Dans ce contexte, nous proposons une hystérectomie avec annexectomie bilatérale et washing péritonéal par laparoscopie. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La patiente regagne son domicile le 09.01.2020 en bon état général. Il s'agit d'une patiente nulligeste de 23 ans, qui nous est envoyée pour préservation de la fertilité pré-chimiothérapie dans un contexte de lymphome de Hodgkin diagnostiqué en décembre 2019. Après exposition des différentes possibilités, la patiente opte pour une annexectomie gauche avec cryo-conservation. Elle signe le consentement éclairé. Elle reçoit une injection de Decapeptyl pour la suppression de la fonction ovarienne le 08.01.2020. L'intervention se déroule sans complication. Nous mettons en évidence une endométriose de stade I. Une biopsie de lésion para-urétrale gauche est effectuée et le résultat confirme qu'il s'agit d'endométriose. Dans le même temps opératoire, un port-à-cath est posé par les chirurgiens. Elle regagne son domicile le même jour. Il s'agit d'une patiente nulligeste de 33 ans, chez qui nous retrouvons un HSIL sur des biopsies du col. Nous lui proposons une conisation sous anesthésie générale, ce qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication le 22.01.2020, permettant un retour à domicile le jour même. La patiente sera vue à votre consultation pour un contrôle à 6 semaines postopératoires. Il s'agit d'une patiente qui consulte les urgences pour un syndrome grippal. Au vu de l'examen clinique rassurant, la patiente entre à domicile avec un traitement symptomatique. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est prévu d'ici 3-4 jours. Il s'agit d'une patiente qui présente un antélisthèse avec amélioration clinique. Nous ne retenons pas d'indication chirurgicale surtout au vu de l'AIT récent de manière aiguë. En effet, il n'existe pas de déficit neurologique sévère pouvant l'indiquer et l'indication en ce qui concerne les douleurs est relative vu l'amélioration. Nous souhaitons que la patiente voit nos collègues de neurologie pour faire le bilan de l'AIT et avoir leur aval en cas de nécessité chirurgicale. Nous lui expliquons les tenants et aboutissants et lui prescrivons l'Aspirine cardio et lui recommandons de le prendre 1x par jour au matin. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Il s'agit d'une patiente qui présente une poussée hypertensive symptomatique avec des pressions artérielles à l'admission à 212/96 mmHg. L'examen clinique est sans particularité avec une diminution des vertiges. Nous administrons 20 mg de Nifédipine, abaissant considérablement la pression artérielle à 143/86 mmHg. Pour la suite de la prise en charge, nous administrons un Amlodipine 5 mg avec contrôle à prévoir à votre consultation. Il s'agit d'une patiente 1G 0P à 24 2/7 SA qui nous est adressée par les urgences pour une suspicion de pyélonéphrite droite. La patiente relate une douleur d'apparition brusque ce jour, insomniante en loge rénale droite sans état fébrile ni autre symptôme. À noter que la patiente est connue pour un antécédent de reflux vésico-urétéral opéré en 2003. À l'anamnèse, nous ne retrouvons pas de signe fonctionnel urinaire. Le statut abdominal montre une douleur à la palpation et percussion de la loge rénale droite. L'abdomen et l'utérus sont souples sans défense ni détente. Le bilan révèle une absence de syndrome inflammatoire et une échographie des voies urinaires effectuée par les radiologues retrouve une dilatation pyélocalicielle droite de 22 mm sans visualisation de lithiase. Le sédiment est positif pour une leucocyturie. Un avis urologique est demandé sans indication à une pose de sonde double J. Le contrôle obstétrical est dans les normes. Les uricults reviennent positifs pour un Staphylococcus epidermidis. Nous hospitalisons la patiente pour antalgie dans un contexte de douleurs de la loge rénale droite avec dilatation pyélocalicielle. En raison des antécédents urinaires chez cette patiente à 24 2/7 SA, nous décidons d'introduire après discussion avec l'urologue - Dr. X- une antibioprophylaxie par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pour 5 jours. La patiente bénéficie d'une antalgie par Dafalgan, Tramal et Buscopan IV avec bonne réponse clinique. Durant l'hospitalisation, la patiente est restée hémodynamiquement stable et afébrile avec une diurèse conservée sans symptômes mictionnels. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 24.12.2019 en bon état général. Elle sera revue pour la suite à votre consultation le 15.01.2020 et pour un contrôle à notre consultation dans 1 semaine. Il s'agit d'une patiente 1G 0P à 33 SA 6/7 hospitalisée le 16.01.2020 pour maturation pulmonaire 2x12 mg (première dose à 12h30) et tocolyse par Adalat dans le contexte d'un saignement vaginal causé par des contractions utérines sur un placenta bas inséré. Dans la nuit du 16 au 17 janvier 2020, la patiente présente un nouvel épisode de métrorragies. Un saignement actif est objectivé par un examen au spéculum avec un col postérieur long. Le monitoring fœtal est rassurant, avec un CTG réactif non pathologique, chez une patiente hémodynamiquement stable. Après évaluation de la situation, l'indication à une césarienne est posée. L'opération se déroule sans complication. La patiente donne naissance à une fille pesant 1890 g, de bonne adaptation néonatale, qui est suivie pour la suite prise en charge dans le service de néonatologie. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 21.01.2020, en bon état général. Il s'agit d'une patiente 1G 0P à 33 6/7 SA le 29.12.2019, hospitalisée afin d'effectuer une protéinurie des 24h en raison d'une TA limite à 140/90 mmHg, un spot urinaire positif à 0.08 et un rapport Sflt1/PlGF à 116 le 23.12 parlant en faveur d'une pré-éclampsie imminente, effectué en raison d'une croix de protéine au stix lors d'une consultation ambulatoire. À noter que la patiente ne présente aucune plainte de pré-éclampsie. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance des tensions et protéinurie des 24h; le bilan de gestose est aligné hormis l'acide urique et la LDH légèrement augmentés. La protéinurie des 24h revient positive à 640 mg/24h, confirmant le diagnostic de pré-éclampsie non sévère. L'attitude d'une provocation d'emblée versus surveillance rapprochée est discutée avec la patiente qui souhaite retarder la provocation, qui est finalement débutée par Propesse à 35 0/7 SA. Pas la suite, le travail est soutenu par Syntocinon sous anesthésie péridurale et la patiente donne naissance par voie basse à une fille et à un garçon qui sont hospitalisés en néonatologie pour détresse respiratoire. La patiente présente une rétention placentaire complète. Elle est descendue au bloc opératoire pour une délivrance manuelle et révision utérine avec une hémorragie du post-partum avec pertes estimées à 1500 cc, résolue par Syntocinon 20Ul, acide tranexamique 1g et fibrinogène 1g. Les suites post-partales sont marquées par la mise en évidence d'une insuffisance rénale pré-rénale, qui se corrige après réhydratation (sur perte de volume suite à l'hémorragie). La patiente bénéficie de 2 culots érythrocytaires le 09.01.2020 en raison d'une anémie spoliative à 66 g/l.Les tensions artérielles durant l'hospitalisation (profil tensionnel 3x/j) sont stables, à environ <140/90 mmHg avec un bilan de gestose qui reste stable chez une patiente qui reste asymptomatique. La pré-éclampsie étant non sévère, nous ne préconisons pas de suivi particulier, hormis une consultation spécialisée à distance avec explications des moyens de prévention pour une prochaine grossesse. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin généraliste. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 11.01.2020, en bon état général. Il s'agit d'une patiente 1G 1P de 35 ans que vous nous adressez pour découverte fortuite d'une masse ovarienne gauche au contrôle annuel. À l'ultrason, une image de 40x49x43 mm, hétérogène, sur l'ovaire gauche est mise en évidence. L'IRM demandé confirme cette masse d'origine ovarienne gauche évoquant une tumeur borderline séreuse. Dans ce contexte, nous proposons une laparoscopie diagnostique avec annexectomie gauche et washing péritonéal, ce que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Nous ne retrouvons pas de masse annexielle gauche et optons contre une annexectomie. Un kyste de l'ovaire droit est ponctionné et biopsié. Le matériel est envoyé en anatomo-pathologie. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Elle regagne son domicile en date du 11.01.2020, en bon état général. Il s'agit d'une patiente 1G 1P, qui nous est transférée à J1 d'une césarienne à 37 6/7 SA effectuée au Daler le 09.01.2020 pour CTG pathologique suite à une provocation de l'accouchement pour RCIU. Le nouveau-né est transféré en néonatologie pour retard de croissance, hypoglycémie et hypothermie. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. La cicatrice est calme et propre. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future sera rediscutée avec le gynécologue traitant, en attendant la patiente utilisera le préservatif si nécessaire. Nous conseillons une vaccination par Boostrix du couple à court terme, à revoir avec le médecin traitant. La patiente regagne son domicile en date du 12.01.2020, en bon état général. Il s'agit d'une patiente 1G 0P à 19 5/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse marquée par des douleurs abdominales et des métrorragies depuis deux semaines. Elle consulte le 05.01.2020 pour augmentation des douleurs abdominales basses et lombaires avec métrorragies modérées. L'US abdominal met en évidence un fœtus vivant, un oligoamnios et un placenta postérieur normo-inséré avec un hématome sous-chorial de 70 mm de grand axe. Nous effectuons un Actimprom qui revient positif avec la présence de sang dans le vagin. L'US transvaginal révèle un col à 17 mm. Nous hospitalisons la patiente dans ce contexte de menace de fausse couche tardive. Elle bénéficie d'une antibioprophylaxie IV par Co-amoxicilline. Par la suite, nous mettons en évidence un anamnios avec un col raccourci à 7 mm. Après explication du pronostic défavorable et discussion avec la patiente, nous proposons une induction de l'expulsion, qu'elle accepte. Le 07.01.2020, elle expulse un fœtus de sexe masculin mort-né de 320 gr après avoir reçu une dose de Cytotec sous anesthésie péridurale. En raison d'une délivrance incomplète, nous effectuons un curetage qui se déroule sans complications. Elle reçoit 1 gr de Dostinex en dose unique le 07.01.2020. Les suites sont simples et la patiente reste afébrile. Elle regagne son domicile le 08.01.2020, en bon état général. Le placenta est envoyé en anatomo-pathologie. Il s'agit d'une patiente 1G 0P de 33 ans suivie en PMA pour une infertilité secondaire. La patiente est connue pour une endométriose de stade I depuis 2017. Au bilan d'infertilité, nous notons une spanioménorrhée avec des cycles de 38-45 jours. Une hydrosalpinx droite est mise en évidence à l'hystéro-salpingographie. Dans ce contexte, nous proposons une laparoscopie diagnostique avec salpingectomie droite et, selon le statut, une plastie tubaire gauche ainsi qu'une résection de nodules d'endométriose. L'intervention se déroule sans complication. Au statut, nous retrouvons un passage rapide du bleu de méthylène dans la trompe gauche, mais aucun passage de la trompe droite qui présente un hydrosaplinx. Nous procédons à la salpingectomie à droite et réséquons un nodule d'endométriose au niveau du ligament sacro-utérin à droite. Les suites postopératoires sont simples et la patiente peut regagner son domicile le même jour. Il s'agit d'une patiente 1G 1P de 28 ans qui présente un HSIL depuis le 25.01.2019. Elle a accouché le 01.09.2019. Par la suite, elle a bénéficié d'une colposcopie avec biopsies du col qui ont montré un HSIL/CIN2 persistant. Dans ce contexte, nous proposons une conisation LEEP que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut regagner son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 2G 2P de 33 ans, qui a bénéficié d'une hystéroscopie avec résection de polype en septembre 2019 et qui présente des douleurs bas-ventre chroniques depuis l'intervention. À l'ultrason, nous mettons en évidence un isthmocèle de la paroi antérieure ainsi que de la paroi postérieure avec une minime stase liquidienne. Une hydrosonographie confirme ce diagnostic. Dans ce contexte, nous proposons une hystéroscopie et éventuellement une laparoscopie diagnostique. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et permet d'infirmer une rupture complète de la paroi utérine. À la laparoscopie, nous suspectons une endométriose de stade I. Une biopsie péritonéale est en cours. Dans ce contexte, nous proposons de débuter un traitement par Visanne. Nous relevons également une absence de la corne utérine droite (cf protocole opératoire). Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Elle regagne son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 2G 2P de 35 ans, qui est connue pour des douleurs pelviennes chroniques aggravées tous les mois après les règles. Elle a bénéficié de plusieurs investigations, y compris urologiques, et elle a essayé plusieurs traitements médicamenteux, dont la Visanne et d'autres pilules oestroprogestatives. Devant l'échec et la mauvaise tolérance à ces traitements, ainsi que la symptomatologie de plus en plus invalidante, la patiente est désireuse d'un traitement plus radical. Après discussion avec nous et après entretien avec la psychologue, nous décidons d'une hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale par laparoscopie. L'intervention se déroule le 21.01.2020 sans complications. Les suites sont simples. La patiente regagne son domicile le 23.01.2020 et sera vue à notre consultation à 10 jours post-opératoires pour l'ablation des fils et à 4 semaines post-opératoires pour la discussion des résultats histopathologiques. Il s'agit d'une patiente 2G 2P de 56 ans, suivie à notre consultation pour des condylomes vulvaires. De plus, nous mettons en évidence une lésion sur la fourchette vulvaire avec une colposcopie dans la norme le 07.01.2020. Dans ce contexte, nous proposons une vaporisation au laser avec biopsie de la lésion de la fourchette. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication ; la lésion de la fourchette n'est pas retrouvée et une lésion kystique de la grande lèvre gauche est excisée. Le matériel est envoyé en anatomopathologie. La patiente regagne son domicile le même jour de l'intervention, en bon état général.Il s'agit d'une patiente 2G 2P de 65 ans, que vous nous adressez en raison de métrorragies post-ménopausiques de faible abondance. Lors des investigations, nous retrouvons un polype cervical ainsi qu'une hypertrophie endométriale à 9mm. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une hystéroscopie avec curetage endométrial et résection du polype. Elle accepte, en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 24.01.2020 sans complication. Le matériel est envoyé en analyse. La patiente regagne son domicile le jour même de l'opération avec un contrôle prévu à votre consultation dans 4 semaines. Il s'agit d'une patiente 3G 1P de 42 ans qui nous est envoyée par son gynécologue traitant pour prise en charge chirurgicale d'un endométriome de l'ovaire droit. Celui-ci a été découvert fortuitement lors du retrait de DIU cuivre en octobre 2019. Un ultrason ainsi qu'une IRM pelvienne ont mis en évidence un kyste endométriosique de 6cm sur l'ovaire droit. La patiente a un désir de grossesse. Dans ce contexte, nous proposons une kystectomie droite avec épreuve au bleu de méthylène et washing péritonéal. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Le passage tubaire est positif des deux côtés. En raison d'une bradycardie sinusale asymptomatique, découverte durant l'hospitalisation, nous proposons un contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. La patiente regagne son domicile en date du 14.01.2020 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G 2P de 38 ans, suivie en ambulatoire pour des ménométrorragies. À l'ultrason, nous mettons en évidence un endomètre à 3 mm. Un prélèvement endométrial montre un endomètre polypoïde. Dans ce contexte, nous proposons une hystéroscopie diagnostique avec ablation de polype si nécessaire et curetage fractionné, qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Nous ne retrouvons pas de polype. La patiente regagne son domicile le même jour. Il s'agit d'une patiente 3G 3P, ayant accouché le 06.01.2020 d'un garçon de 3010g de bonne adaptation néonatale immédiate. À J1, le nouveau-né développe une détresse respiratoire pour laquelle il est transféré dans le service de néonatologie de l'HFR. Le même jour, la patiente est transférée dans le service de Gynécologie pour un rapprochement mère-enfant. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.01.2020, en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G 3P de 34 ans, qui présente une récidive de kyste de l'ovaire droit, découvert fortuitement lors du contrôle annuel. À l'US, nous retrouvons un kyste bi-oculaire d'environ 7cm. Dans ce contexte, nous discutons d'une kystectomie vs annexectomie droite par laparoscopie. La patiente opte pour une annexectomie droite et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Elle regagne son domicile en date du 18.01.2020 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G 3P, qui nous est adressée pour la prise en charge d'un carcinome mammaire à gauche, diagnostiqué suite à une auto-palpation de cette masse. À l'ultrason, une masse de 18x15x14 mm est mise en évidence. La biopsie révèle un carcinome canalaire invasif NST de grade 3. Le PET-CT ne montre pas de métastases. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une tumorectomie avec prélèvement du ganglion sentinelle à gauche. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Deux redons sont laissés en place. Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Les redons sont retirés à J2. Elle regagne son domicile en date du 17.01.2020, en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G 3P de 45 ans, qui présente une incontinence urinaire mixte à prédominance d'effort de plus en plus invalidante, avec parfois une nycturie, sans syndrome de rituel. Dans ce contexte, nous lui proposons une cure par pose de bandelette TOT, qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication le 30.01.2020. Les suites sont simples et la patiente regagne son domicile le jour même après contrôle du résidu post-mictionnel qui est en ordre. Elle sera vue à la consultation du Dr. X le 11.03.2020. Il s'agit d'une patiente 4G 0P qui se présente à 17 1/7 SA pour métrorragie accompagnée de douleurs pelviennes sans facteurs déclenchant. Au statut, nous mettons en évidence une poche des eaux bombante atteignant l'introitus. À l'ultrason, nous mettons en évidence un fœtus vivant avec liquide amniotique dans la norme. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 30 et une leucocytose à 14.3 g/L. Nous hospitalisons la patiente et débutons une antibiothérapie par Clamoxyl iv et selon le désir de la patiente, adoptons une attitude expectative. Par la suite, la poche des eaux se rompt spontanément (actim prom positif) et nous mettons en évidence un oligoamnios à l'ultrason. Dans ce contexte et après discussion des différentes options, la patiente opte pour une induction en vue d'une expulsion fœtale. Après une dose de Cytotec de 400mcg, elle expulse un fœtus mort-né. Elle bénéficie d'une délivrance manuelle avec révision utérine et curetage au bloc opératoire. Elle reçoit 30 IU de Syntocinon, 1gr d'acide Tranexamique, un culot érythrocytaire et un PFC pour une hémorragie avec pertes sanguines estimées à 1500cc. L'hémoglobine postopératoire est à 82g/L, la patiente est asymptomatique. Nous débutons une supplémentation martiale. Les suites sont simples et la patiente reste afébrile. Le placenta est envoyé en anatomo-pathologie. La patiente regagne son domicile en date du 14.01.2020 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 4G 2P, que vous nous adressez en raison d'une grossesse non évolutive de DDR inconnue. À l'ultrason, un embryon sans battements cardiaques est mis en évidence, correspondant à 9 SA. Après exposition des différentes possibilités, la patiente opte pour un curetage évacuateur et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. La patiente regagne son domicile le même jour en bon état général. Il s'agit d'une patiente 4G 4P de 42 ans, qui nous est adressée pour prise en charge chirurgicale dans un contexte d'hyperménorrhées récidivantes anémiantes. Une hystérectomie avec salpingectomie bilatérale a été discutée avec le Dr. X. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste afébrile. La patiente regagne son domicile le 18.01.2020 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 4G 4P de 54 ans, qui nous est adressée pour la correction d'une importante rectocèle de plus en plus invalidante. À l'examen clinique, nous retrouvons également un élytrocèle. À noter que la patiente a eu une hystérectomie totale conservatrice des ovaires par laparotomie selon Pfannenstiel à l'âge de 29 ans en raison d'un prolapsus utérin. De plus, elle présente une urgenturie, sans impact sur sa vie quotidienne. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une colporraphie postérieure avec cure de Richter, qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 23.01.2020 sans complications. La résection de l'élytrocèle est envoyée en analyse anatomopathologique. Les suites sont favorables. La sonde vésicale et les mèches vaginales sont retirées au premier jour post-opératoire. Mr. Y regagne son domicile le 24.01.2020 et sera revu pour un contrôle dans 10 jours post-opératoires. Si cela s'avère nécessaire, une correction de son incontinence urinaire sera à prévoir dans un deuxième temps. Il s'agit d'une patiente 4G-4P de 44 ans, d'origine sri lankaise, sans suivi gynécologique depuis longtemps, qui consulte pour des ménométrorragies depuis environ 3 mois. Les investigations mettent en évidence un polype endométrial avec un endomètre de 13 mm et d'aspect homogène à l'échographie endovaginale. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une hystéroscopie, qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 29.01.2020 et se déroule sans complication, permettant un retour à domicile le jour même de l'intervention. Le matériel est envoyé en analyse. Mme. Y sera vue à notre consultation pour un contrôle avec discussion des résultats à 4 semaines post-opératoires. Il s'agit d'une patiente 5G 2P de 50 ans, adressée depuis l'hôpital de Tavel pour une suspicion de salpingite au vu d'un écoulement purulent vaginal et de douleurs abdominales depuis plusieurs jours. L'anamnèse révèle une patiente en bonne santé habituelle, sans contraception, en probable périménopause au vu de la diminution de la fréquence et de l'abondance des règles, en couple stable, sans comportement à risque. Elle ressent des douleurs dans le bas ventre depuis 3 jours, exacerbées à la marche et en position assise, avec un état fébrile à domicile à 38°C. Pas de nausées ni de vomissements. Elle signale des pertes vaginales abondantes et malodorantes. La patiente est stable hémodynamique à son admission, afébrile, avec un abdomen souple mais diffusément douloureux à l'hémi-abdomen inférieur. L'examen vaginal confirme la leucorrhée purulente. L'échographie met en évidence un sactosalpinx gauche. Le laboratoire met en évidence un important syndrome inflammatoire. Devant la suspicion d'un abcès tubo-ovarien gauche, nous hospitalisons la patiente pour une antibiothérapie intraveineuse. L'évolution est favorable, avec une nette diminution de la douleur, qui reste afébrile pendant son séjour. Elle quitte notre service le 21.01.2020, avec un relais par antibiotique per os. Elle reçoit des explications par rapport à l'éventualité d'une laparoscopie dans un deuxième temps. Elle sera vue à notre consultation pour un contrôle clinique dans 10 jours. Il s'agit d'une patiente 5G 2P de 51 ans, qui est suivie à notre consultation pour des ménométrorragies accompagnées de douleurs pelviennes chroniques. De plus, elle est connue pour une dysplasie cervicale avec HPV-HR positif. Après exposition des différentes options (hystéroscopie et curetage diagnostique vs hystérectomie), la patiente opte pour une hystérectomie conservatrice des ovaires. Elle signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Elle regagne son domicile en date du 18.01.2020 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 5G 3P de 44 ans, qui est suivie pour une masse ovarienne gauche suspecte d'un kyste dermoïde ainsi que des dysménorrhées invalidantes. A l'US ainsi qu'à l'IRM, une masse de 9 cm de grand axe fait suspecter un tératome. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une annexectomie gauche avec hystérectomie totale et salpingectomie droite. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Elle regagne son domicile en date du 19.01.2020 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 6G 3P de 43 ans, connue pour un carcinome mammaire mucineux du sein droit pour lequel elle est traitée par hormonothérapie et chimiothérapie néo-adjuvante depuis le 21.02.2019. Elle a montré une bonne réponse au traitement néo-adjuvant. Dans ce contexte et après présentation du cas au tumor board, une mastectomie droite est proposée. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Deux redons pré-pectoraux sont laissés en place et sont retirés à J1 et J2 respectivement. Elle regagne son domicile en date du 11.01.2020, en bon état général. Il s'agit d'une patiente 6G 3P de 47 ans, qui présente des ménorragies sur utérus myomateux malgré un traitement par Azalia. A l'ultrason ainsi qu'à l'hystéroscopie diagnostique, nous mettons en évidence un myome sous-muqueux d'environ 2,5 cm. Dans ce contexte, la patiente opte pour une hystérectomie avec salpingectomie bilatérale. Elle signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Elle regagne son domicile en date du 16.01.2020, en bon état général. Il s'agit d'une situation délicate avec une rétraction musculaire importante. Dans ce contexte, je discute le cas avec le Dr. X de l'HFR Fribourg, qui proposerait, comme moi, une tentative de réinsertion du sous-scapulaire avec éventuellement une greffe dermale interposée. Mr. Y va réfléchir à ma proposition (situation difficile avec sa maman qui requiert des soins importants). Un prochain contrôle est prévu à ma consultation le 21.02.2020 (une plage opératoire est pré-réservée pour le 10.03.2020). Il s'agit d'une situation délicate. J'aimerais demander un deuxième avis avec prière de prise en charge auprès du Dr. X à l'HFR Fribourg. Je me tiens à disposition pour de plus amples informations. Il s'agit d'une situation habituelle suite à un phénomène de doigt à ressaut qui mène à un flexum de l'IPP qu'il faut maintenant récupérer en ergothérapie avec une attelle à trois points et un traitement cicatriciel. La patiente reçoit une ordonnance pour l'ergothérapie, elle va suivre son traitement à l'HFR Riaz. Je n'ai pas prévu de rendez-vous d'office à ma consultation. Il s'agit d'une tendinite de De Quervain rebelle. Comme moyen initial de traitement, je propose un traitement par anti-inflammatoires locaux par Flector. En cas de persistance des symptômes, je discuterai d'une infiltration. Etant donné son travail comme réceptionniste à l'HFR Riaz, elle me tiendra au courant de l'évolution. Il s'agit plutôt d'une contusion du genou D chez un patient connu pour une hyperlaxité, avec un recurvatum et également une légère ouverture du côté médial qui est similaire, sans provocation de douleur. Prescription de physiothérapie pour rééducation à la mobilisation libre ainsi que pour reprendre de la force. Il est prévu qu'il reprenne le travail dès le 01.02.2020. Prochain contrôle clinique à 5 semaines. Il sera revu le 28.01.2020 par le Dr. X pour contrôle clinique et ablation des fils. La suite du traitement oncologique sera décidée après discussion des résultats anatomopathologiques au tumor board ORL. Il souhaite toujours cette prise en charge chirurgicale. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices de l'intervention à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Il y a plusieurs options de traitements comme une explantation de la prothèse et une mise en place de spacer et implantation d'une nouvelle prothèse. Soit une opération de type Girdlestone vu la paralysie du patient. Ou une attitude observatrice vu le grand risque de complication d'une opération à cause de plusieurs diagnostics supplémentaires du patient. L'attitude observatrice consiste en un pansement journalier en regard de la fistule et une consultation aux urgences en cas de fermeture de fistule ou en cas d'apparition de signes inflammatoires comme fièvre, frissons, rougeur... On discute de toutes les différentes options avec le patient et il se décide pour la 3ème option, on désinfecte toutes les plaies et on fixe un rendez-vous le 21.04.2020 pour un contrôle radioclinique ou plus tôt en cas de complication ou d'apparition de signes inflammatoires.Il y a une claire symptomatologie d'Impingement sur déformation cam. Cliniquement, il existe une torsion fémorale diminuée. On complète le bilan par une arthro-IRM sous traction du côté G avec un CT 3D Impingement pour mesurer la torsion fémorale, il sera convoqué par la radiologie. Puis, il nous rappelle pour fixer un rendez-vous à notre consultation à la suite. Il y a une fausse suspicion d'une lésion du TFCC. Une lésion de la coiffe des rotateurs du côté droit, nous bloquons la pronation/supination avec un plâtre fendu BAB, et nous immobilisons le bras avec un gilet orthopédique. Nous organisons une IRM de l'épaule droite et du poignet droit. Le patient sera revu à la consultation spécialisée du team membre supérieur du Dr. X dès que possible avec le résultat de l'IRM. Iléite le 10.09.2015. Hospitalisation il y a environ 5 ans pour une infection (hémorragie ?) suite à un trauma. Status post-colique néphrétique gauche 2011. Colique néphrétique à gauche le 07.12.2013. Hémochromatose et fracture du MID (tibia + péroné 1997). Status post-3 interventions de la cheville droite. Iléite terminal sur probable Yersinose Iléite terminale -> DD: • infection dans le contexte de gastro-entérite vs entérite aiguë • inflammatoire (MICI) Iléostomie à bas débit Suivi clinique en stomatothérapie Suivi diététicienne Optifibre 5x/jour dès le 05.12.2019 Bioflorin du 16.12 au 30.12.2019 Régime pauvre en fibres et lactose dès le 19.12.2019 Iléostomie à haut débit le 27.11.2019 avec : • insuffisance rénale prérénale AKIN 1 • dénutrition protéino-énergétique sévère • hypotension artérielle sur déshydratation • troubles électrolytiques sévères (hyponatriémie à 131 mmol/l, hypomagnésiémie à 0,43 mmol/l), hypoprotéinémie à 50,3 g/l, avec hypoalbuminémie à 31,3 g/l) • status post-iléus grêle mécanique le 12.10.2019 dans le contexte d'antalgie par opiacés (pour douleurs postopératoires de spondylodèse L3-L5) et antécédents de ses opérations intra-ab abdominales, traité par résection grêle de 20 cm avec mise en place d'une split-stomie (jéjunostomie) le 23.10.2019 • statut post-péritonite des 4 quadrants sur perforation iléale le 23.10.2019 avec éviscération sus-ombilicale d'origine infectieuse Iléostomie à haut débit le 27.11.2019 avec : • insuffisance rénale prérénale AKIN 1, dénutrition protéino-énergétique sévère, hypotension artérielle sur déshydratation, troubles électrolytiques sévères, • sonde naso-gastrique du 12.12 au 16.12.2019 avec échec de nutrition entérale (Novasource GI control), • VVC jugulaire droite du 28.11 au 25.12.2019 avec nutrition parentérale (retrait sur demande de la patiente sur douleur au cathéter), • pose de Picc line le 27.12.2019 pour reprise hydratation IV, arrêt de la nutrition parentérale à la demande de la patiente le 27.12.2019 Péritonite des 4 quadrants sur perforation iléale le 23.10.2019 avec éviscération sus-ombilicale d'origine infectieuse traité par laparotomie exploratrice avec adhésiolyse étendue, résection grêle de 20 cm (140 cm du Treitz et 80 cm de la valve iléo-caecale) et VAC laparostome le 23.10.2019 (Dr. X), • changement de laparostome le 25.10 et le 27.10.2019 • fermeture de la paroi abdominale avec filet ProGrip retro-musculaire, révision de la split-stomie le 30.10.2019 (Dr. X/Dr. X), fermeture cutanée secondaire le 02.11.2019 Iléus grêle mécanique le 12.10.2019 sur antécédents d'opérations intra-abdominales, traité lors d'une laparotomie exploratrice et adhésiolyse le 15.10.2019 Tentamen médicamenteux et alcoolisation aiguë le 25.08.2019 Chute accidentelle le 18.09.2019 avec fracture tassement D9 nouvelle Intoxication médicamenteuse volontaire le 23.12.2017 Laparotomie médiane, adhésiolyse et ablation de la bandelette de Strattice le 24.07.2013 Rectopexie et colpo-suspension par bandelette de Strattice 27.02.2013, pour obstructed outlet syndrome avec rectocèle de stade II, intussusception recto-rectale Troubles mictionnels irritatifs avec pollakiurie, nycturie et incontinence de type urgence associés à une incontinence de stress, douleurs pelviennes et vésicales, faiblesse du membre inférieur droit depuis l'opération du 27.02.2013 Opération de l'épaule gauche au niveau du long biceps en 1996 Colpo-suspension selon Burch en 1995 Hystérectomie avec ovariectomie bilatérale en 1994 pour des fibromes Césarienne 1979 Opération pour diverticulite Appendicectomie Hémangiome rétinien droit Myosite orbitaire Iléostomie à haut débit le 27.11.2019 avec : • insuffisance rénale prérénale AKIN 1, dénutrition protéino-énergétique sévère, hypotension artérielle sur déshydratation, troubles électrolytiques sévères, • sonde naso-gastrique du 12.12.2019 au 16.12.2019 avec échec de nutrition entérale (Novasource GI control), • VVC jugulaire droite du 28.11.2019 au 25.12.2019 avec nutrition parentérale (retrait sur demande de la patiente sur douleur au cathéter), • pose de Picc line le 27.12.2019 pour reprise hydratation IV, arrêt de la nutrition parentérale à la demande de la patiente le 27.12.2019 Péritonite des 4 quadrants sur perforation iléale le 23.10.2019 avec éviscération sus-ombilicale d'origine infectieuse traité par laparotomie exploratrice avec adhésiolyse étendue, résection grêle de 20 cm (140 cm du Treitz et 80 cm de la valve iléo-caecale) et VAC laparostome le 23.10.2019 (Dr. X), • changement de laparostome le 25.10 et le 27.10.2019 • fermeture de la paroi abdominale avec filet ProGrip retro-musculaire, révision de la split-stomie le 30.10.2019 (Dr. X/Dr. X), fermeture cutanée secondaire le 02.11.2019 Iléus grêle mécanique le 12.10.2019 sur antécédents d'opérations intra-abdominales, traité lors d'une laparotomie exploratrice et adhésiolyse le 15.10.2019 Tentamen médicamenteux et alcoolisation aiguë le 25.08.2019 Chute accidentelle le 18.09.2019 avec fracture tassement D9 nouvelle Intoxication médicamenteuse volontaire le 23.12.2017 Laparotomie médiane, adhésiolyse et ablation de la bandelette de Strattice le 24.07.2013 Rectopexie et colpo-suspension par bandelette de Strattice 27.02.2013, pour obstructed outlet syndrome avec rectocèle de stade II, intussusception recto-rectale Troubles mictionnels irritatifs avec pollakiurie, nycturie et incontinence de type urgence associés à une incontinence de stress, douleurs pelviennes et vésicales, faiblesse du membre inférieur droit depuis l'opération du 27.02.2013 Opération de l'épaule gauche au niveau du long biceps en 1996 Colpo-suspension selon Burch en 1995 Hystérectomie avec ovariectomie bilatérale en 1994 pour des fibromes Césarienne 1979 Opération pour diverticulite Appendicectomie Hémangiome rétinien droit Myosite orbitaire Iléostomie de décharge à double canon en FID le 08.10.2019 avec fixation problématique Colostomie terminale et fermeture du moignon rectal le 15.10.2019 Iléus dans le cadre du diagnostic n°1 avec douleurs abdominales et vomissements/nausées Iléus d'origine indéterminée le 13.11.2019 Iléus grêle jéjunal sur bride spontanée. Status après Lichtenstein à gauche en février 2019. Iléus grêle le 19.06.2019 : • CT-scan thoraco-abdominal le 19.06.2019 • sonde naso-gastrique du 19.06.2019 au 23.06.2019 Iléus grêle mécanique le 25.12.2019 Iléus grêle mécanique sur bride le 02.02.17 : • laparotomie avec adhésiolyse (30 min) et lavage péritonéal en urgence le 02.02.17 • hospitalisation en chirurgie du 02 au 08.02.17 Douleurs de la cheville gauche sur algodystrophie froide, fasciite plantaire, tunnel tarsien et probable impingement Cholécystectomie et appendicectomie. Hypothyroïdie latente (sous Cordarone jusqu'au 23.12.11) Cervico-scapulalgies gauches sur troubles statiques et dégénératifs du rachis avec probable atteinte radiculaire C4-C5 gauche Décompensation cardiaque dans contexte de cardiopathie dysrythmique et valvulaire le 09.02.17 : • Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Apixaban Décompensation cardiaque gauche dans le contexte infectieux le 16.11.19 • avec œdème aigu du poumon sur décharge septique le 17.11.19 Iléus grêle • mécanique sur brides versus paralytique d'étiologie indéterminée Iléus grêle (niveau iléum moyen/distal) d'origine indéterminée le 27.01.2020. DD : paralytique, saut de calibre. Iléus grêle probablement mécanique avec signes de souffrance intestinale le 21.01.2020 : • Douleurs de la partie supérieure de l'abdomen d'apparition brutale à 22h00. • Contracture abdominale, nausées et 1-2 épisodes de vomissements. Iléus grêle récidivant dans un contexte de carcinome du rectum et carcinome urothélial opérés le 15.01.2020 : • Diagnostic différentiel mécanique sur brides, diagnostic différentiel paralytique d'origine indéterminée avec possible progression tumorale • status post-résection antérieure inter-sphinctérienne et colostomie terminale le 04.09.2012 • status post-chirurgie par de Bricker en juin 2014 Iléus iléal sur closed-loop le 29.01.20 Iléus intestinal dans un contexte de cancer du pancréas avec importants vomissements Iléus intestinal sur carcinose péritonéale, le 20.01.2020 Iléus intestinal sur carcinose péritonéale, le 20.01.2020 Iléus mécanique Iléus mécanique le 25.01.2020 : • contexte d'iléus mécaniques récidivants Iléus mécanique le 25.01.2020 dans un contexte d'iléus mécaniques récidivants sur : • Adénocarcinome duodénal pT1 Nx Mx G1, L0 V0 R0 • Adénome tubulovilleux avec carcinome intra-épithélial au niveau du côlon droit pTis N0 (0/33) Mx, L0 V0 R0 • 2 Carcinoïdes au niveau de l'intestin grêle pT3 N0 Mx, V0 R0 • Status post-laparotomie médiane exploratrice, duodénotomie avec résection de la partie antérieure du duodénum, cholécystectomie, hémicolectomie droite oncologique avec anastomose termino-terminale, fermeture de la fenêtre mésentérique, résection Wedge de deux lésions iléales extra-muqueuses avec anastomose termino-terminale, curage inter-aortico-cave et pose d'un cystofix le 10.12.2008 • Status post-résection grêle le 17.12.2008 • Status post-laparotomie exploratrice avec adhésiolyse le 10.08.2017 pour iléus grêle mécanique • Iléus mécanique le 13.06.2017, traitement conservateur • Status post-laparotomie et adhésiolyse le 17.11.2011 pour iléus grêle sur bride • Iléus mécanique récidivant le 13.06.2017, 11.09.2019, 22.09.2019 et 26.12.2019, traitement conservateur Iléus mécanique sur carcinose péritonéale le 06.01.2020 Iléus mécanique sur obstruction par adénocarcinome du côlon sigmoïde le 13.01.2020 Iléus mécanique Fracture nasale Douleurs hypocondre droit sur bronchite le 25.12.2019 Douleurs hypocondre gauche d'origine musculo-squelettique le 05.01.2020 Infection urinaire à germe indéterminé le 13.01.2020 : • Ceftriaxone IV du 13.01 au 19.01.2020 Iléus mécaniques récidivants : • status post-iléus mécanique de résolution spontanée le 20.03.2019 • status post-iléus grêle mécanique sur status adhérentiel le 13.08.2017 • status post-résection antérieure inter-sphinctérienne et colostomie terminale le 04.09.2012 • status post-chirurgie par de Bricker en juin 2014 Pyélonéphrite bilatérale avec : • bactériémie K. pneumoniae ESBL le 20.03.2019 • traitement par Méropénème, Ertapénème puis Ciprofloxacine Notion de syndrome de Guillain-Barré (sans précision) Discopathie de la colonne cervicale avec status post-intervention au niveau cervical (sans précision) avec parésie M4+ des deux côtés Carcinome urothélial de la vessie en stade PT2 G3 : • date du diagnostic : 05.06.2012 • status post-RTUV (Dr. X) du 31.05.2012 • histologie : carcinome urothélial de haut grade pT1 G3 • status post-2ème RTUV le 05.07.2012 • histologie : carcinome urothélial solide en partie de type « nested variant » avec infiltration focale stade pT2 G3 • complément du bilan avec PET et CT thoraco-abdominal : voir ci-dessus • status post-radiothérapie (60 Gy) du 15.10. au 26.11.2012 associée à une chimiothérapie par Paraplatine et 5-FU • CT thoraco-abdominal du 10.01.2013 : la masse vésicale n'est plus visible, pas de signe de métastases à distance • CT du 17.09.2013 : status post-radique avec épaississement pariétal sans mise en évidence d'une lésion endoluminale, pas de changement en taille des lésions ganglionnaires métastatiques rétro-péritonéales avec une minime partie avec réhaussement centimétrique • PET CT du 02.10.2013 : pas de captation des lésions rétro-péritonéales • Urétrocystoscopie : multiples télangiectasies dont une saignante à bas bruit dans le contexte de lésions post-radiques • status post-chirurgie par de Bricker en juin 2014 • actuellement : rémission complète Hernie para-stomiale de la colostomie terminale en fosse iliaque gauche : • status post-cure de hernie avec la mise en place d'un filet rétro-musculaire le 12.08.2015 Péjoration d'une polyneuropathie préexistante des membres supérieurs dans un contexte de chimiothérapie (transient acute OXLIN) le 06.12.2016 : • Radiculopathie C4/C5 et C7/C8 préexistante résiduelle d'un canal cervical étroit opéré (sans précision) • Diagnostic différentiel : neuropathie toxique, carentielle • Avis neurochirurgical le 06.12.2016 : pas de sanction neurochirurgicale vu l'absence de compression médullaire Embolies pulmonaires segmentaires des deux lobes inférieurs et thrombose de la veine iliaque externe gauche diagnostiquée en février 2017 Hématurie macroscopique le 28.12.2017 avec status post-opération de Bricker en 2014 pour carcinome de la vessie Syndrome inflammatoire d'étiologie indéterminée le 15.07.2019 avec bactériurie asymptomatique à Proteus mirabilis++, Enterococcus faecalis++ Iléus paralytique post-opératoire et iléus jéjunale mécanique sur carcinose péritonéale le 19.12.2019 : • Laparotomie exploratoire, résection du grêle (50-60 cm), de jéjunum à 90 cm de l'angle de Treitz, anastomose jéjuno-jéjunale latéro-latérale, jéjunostomie en double canon, introduction de sonde d'alimentation entérale le 21.12.2019 (Dr. X, Y) Iléus post-opératoire le 24.12.2019 Iléus sur bride le 13.05.2019 et le 19.10.2017 traité conservativement. Pyélonéphrite bilatérale du 15.08.2014 Opération d'un tunnel carpien à droite en 2007 Amygdalectomie à l'âge de 4 ans Iléus Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 7 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, spécialiste en soins palliatifs, hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé a été apporté.Im Alter von 2 oder 3 Lebensjahren hatte la patiente une épisode von weissem Durchfall, worauf le Hausarzt ein Medikament verschrieben habe und les symptômes nach einer semaine verschwunden sind (diagnose unklar). Im CT Schädel zeigte sich ein Subduralhämatom mit Mittellinienverlagerung. In Rücksprache mit le Dienstarzt Neurochirurgie haben wir le patient zur weiteren Diagnostik und Therapie nach Freiburg verlegt. Imacort sur 48 heures Imasol du 19.01 au 23.01. Imagerie à évaluer IMC type atactique (suivi par Dr. X) Epilepsie partielle secondaire avec : • des crises à répétition malgré le TTT : Lamictal 65-0-65 mg, Depakine 300-0-300 mg, temesta expidet 1 mg en cas de crise s/p encéphalopathie ischémique après asphyxie périnatale Retard du développement psychomoteur Prise pondérale augmentée DD effet secondaire sur Depakine Immer wieder Rückenschmerzen ca. 1x pro Monat, bisher nie Röntgen und nie Physiotherapie. Immobilisation, antalgie par Ibuprofène cp 400 mg max 3x/j en R si douleurs, arrêt de sport et contrôle clinique à une semaine chez pédiatre. Si persistance des douleurs, ad prolongation de l'immobilisation pour un total de 4 semaines. Immobilisation attelle alu pour 10 jours avec relais par syndactylie pour 2 semaines. Immobilisation avec attelle poignet 4 semaines (jour + nuit) Arrêt de sport 4 semaines Contrôle dans 4 semaines chez pédiatre Traitement antalgique en réserve. Immobilisation avec plâtre scaphoïde fendu. Le patient consultera l'hôpital de St-Gall lieu de son domicile. Nous proposons un traitement conservateur pour 8 semaines. Circularisation du plâtre avec contrôle radiologique dans 7 jours. Arrêt de travail pour 8 semaines jusqu'au 22.03.2020. Ordonnance pour anti-douleurs donnée au patient. Immobilisation avec syndactylie O1 et O2 ainsi que semelles rigides Contrôle radio-clinique le 31.01.2020 Immobilisation dans BAB Contrôle radio-clinique le 05.02.2020 Immobilisation dans un gilet orthopédique pour une durée de 6 semaines Physiothérapie Immobilisation dans un gilet orthopédique pour 3 semaines. Physiothérapie. Immobilisation dans un plâtre AB pendant 5 semaines. Immobilisation dans un plâtre BAB. Antalgie au besoin. Consultation de contrôle avec la Dr. X le lundi 20.01 après IRM du poignet (mail envoyé au secrétariat de la Dr. X). Immobilisation dans un premier temps avec une botte plâtrée pour 10 jours, puis contrôle à la consultation du team pied. Par la suite, selon évolution, traitement fonctionnel. Immobilisation dans un Splintpod pendant 1 semaine. Immobilisation dans une attelle Edimbourg pour 2 semaines puis par une syndactalie pour 3 semaines. Immobilisation dans une attelle Edimbourg. Prophylaxie antibiotique par Co-Amoxicilline 2,2 g iv en ordre unique. Sera convoqué pour PEC chirurgicale par le team main (RFOS par embrochage vs ROOS par plaque et vis). Immobilisation dans une attelle en extension à 20°. Charge selon douleurs. Clexane. Repos, glace, surélévation. Antalgie/AINS. Rendez-vous du Dr. X le 31.01.2020. Immobilisation dans une attelle jambière postérieure du 09.01.2020 au 17.01.2020. Immobilisation dans une attelle Aircast pendant les 4-6 semaines suivantes. Immobilisation dans une attelle Jeans avec thromboprophylaxie et soutien par cannes anglaises. Immobilisation dans une attelle plâtrée AB dorsale puis mise en place d'un plâtre en résine pour 5 semaines au total (à partir du 16.12.2019). Immobilisation dans une attelle Stack pendant 5 semaines Prochain contrôle clinique le 05.02.2020 Immobilisation dans une attelle Stack. Antalgie en réserve. Prescription d'ergothérapie pour confection d'une attelle thermo formée type Stack en légère hyperextension afin de rapprocher les moignons, à porter pendant 8 semaines. Contrôle clinique à la consultation orthopédique Team main dans 8 semaines. Immobilisation dans une botte de décharge pour 3 semaines puis botte de marche pour 3 semaines et Aircast pour 6 semaines. Immobilisation dans une botte plâtrée pendant 4 semaines et demi Prochain contrôle radio-clinique le 12.02.2020 Immobilisation dans une botte plâtrée Contrôle clinique le 17.01.2010 Immobilisation doigt D2 10-14 jours Antalgie et glace Immobilisation avec une attelle stack 10 jours, arrêt de sport 14 jours Le patient sera convoqué pour un contrôle clinique à 4 semaines avec le team main Immobilisation initiale par attelle jambière postérieure. Avis orthopédique Dr. X, HFR Fribourg : • pose d'une botte plâtrée fendue, puis contrôle radiologique (pas de déplacement secondaire) • traitement conservateur (patiente éthylo-tabagique, ostéopénie, marche avec déambulateur) • marche en décharge du membre inférieur droit durant 6 semaines (jusqu'au 07.02.2020) • contrôle radiologique à 1 semaine. Immobilisation initiale par attelle jambière postérieure. Avis orthopédique (Dr. X), HFR Fribourg : • pose d'une botte plâtrée fendue, puis contrôle radiologique (pas de déplacement secondaire) • traitement conservateur (car éthylo-tabagique, ostéopénie, marche avec déambulateur). • marche en décharge du membre inférieur droit durant 6 semaines (jusqu'au 07.02.2020) • contrôle radiologique le 03.03.2019. Immobilisation par attelle Aircast à porter durant 3 semaines. Antalgie. Repos. Marche en charge selon douleurs. La patiente a prévu déjà un contrôle à la consultation du Dr. X à la clinique Générale le 28.01.2020, chez qui se fera la suite de la prise en charge. Indications de revenir consulter en cas de mauvaise évolution ou survenue d'un nouveau problème dans l'intervalle. Immobilisation par attelle alu du 25.10.2019 au 07.11.2019 Syndactylie du 07.11.2019 au 05.12.2019 Immobilisation par attelle jambière postérieure du 07.12 au 13.12.2019. Immobilisation par attelle Aircast pendant les 5 semaines suivantes. Immobilisation par attelle plâtrée postérieure pour 3 jours, puis relais par bandage élastique. Immobilisation par BAB fendu Contrôle clinique à 4 semaines post-traumatisme à la consultation de Dr. X (orthopédie pédiatrique) Immobilisation par chaussure Baruk pour 6 semaines Antalgie + arrêt de sport Immobilisation par chaussure de Barouk pour 1 mois. Immobilisation par plâtre fendu Anté-brachial pour quatre semaines, jusqu'au 14.02.2020. Contrôle chez le pédiatre dans quatre semaines (Dr. X ou Dr. X) Immobilisation par une attelle palmaire pour 4 semaines post-opératoires, proscription de charge sur le poignet droit pour 3 mois post-opératoires. Contrôles radiologiques à 2 semaines. Contrôles radiologiques à 4 semaines à prévoir (Dr. X). Immobilisation par une syndactylie Attelle alu D4 D5 puis immobilisation dans une attelle intrinsèque plus pendant 1 mois Immunosuppression dans le contexte de : • hypo-immuno-globulinémie sévère sur syndrome néphrotique avec IgG à 2.7 g/l Corticothérapie systémique débutée le 10.01.2020 Impaction alimentaire. Impaction alimentaire oesophagienne : oesophagoscopie rigide et extraction d'un morceau de viande le 18.05.2012 (Dr. X). Status post-ablation d'un polype du sinus en 2009. Adénopathie axillaire gauche de 1 cm près du muscle grand pectoral, d'origine probablement infectieuse. Suspicion d'arthrite de l'IP du pouce gauche sur un status post-suture d'une plaie superficielle longitudinale de 1 cm sur la face dorsale de l'IP du pouce gauche le 17.04.2019.Crise de céphalée migraineuse de fort intensité. Impaction alimentaire oesophagienne : oesophagoscopie rigide et extraction d'un morceau de viande le 18.05.2012 (Dr. X). Status post-ablation d'un polype du sinus en 2009. Adénopathie axillaire gauche de 1 cm près du muscle grand pectoral, d'origine probablement infectieuse. Suspicion d'arthrite de l'IP du pouce gauche sur un status post-suture d'une plaie superficielle longitudinale de 1 cm sur la face dorsale de l'IP du pouce gauche le 17.04.2019. Suivi clinique et biologique. Vasectomie 2018. Impaction alimentaire oesophagienne le 08.01.2020. • Suspicion d'oesophagite à éosinophiles. Impaction oesophagienne. Impaction oesophagienne avec déchirure de 10 cm de longueur, 1 cm de largeur et 2-3 mm de profondeur le 6 janvier 2020 • dans un contexte d'oesophagite à éosinophiles en 2012. Avis gastroentérologie (Dr. X) : oesogastroscopie en urgence pour extraction de l'impaction, déchirure sur 10 cm de longueur à 30 cm de l'ADS, 2-3 mm de profondeur et 1 cm de largeur. Avis chirurgical (Dr. X) : hospitalisation en. Impaction oesophagienne avec déchirure de 10 cm de longueur, 1 cm de largeur et 2-3 mm de profondeur. • syndrome de Boerhaave. Impétigo arcade sourcilière G le 02.01.2019. Impétigo diffus. Impingement fémoro-acétabulaire avec déformation cam hanche G sur torsion fémorale diminuée cliniquement. Impingement fémoro-acétabulaire de deux côtés • Plus symptomatique à gauche. Impingement fémoro-acétabulaire type cam à D. Impingement fémoro-acétabulaire type mixte, hanche D. Implantation de défibrillateur. Implantation de Pacemaker CRT-P le 14.01.2020, Dr. X, Dr. X RX thorax le 14.01.2020 : sondes en place, pas de pneumothorax. Implantation de pacemaker DDD. Implantation de pacemaker DDD le 21.01.2020 • pour bloc atrio-ventriculaire de haut grade. Implantation de PTH droite et ostéophytectomie par voie antérieure le 22.01.2020 (Dr. X, Dr. X) Redon sous-cutané dès le 22.01.2020. Antibioprophylaxie par Cefuroxime dès le 22.01.2020. Implantation d'un défibrillateur le 30.01.2020. Radiographie thoracique le 30.01.2020. Implantation d'une prothèse bipolaire hanche D (OP le 26.12.2019). Diagnostic anatomopathologique (tête fémur D) - Rapport Promed du 06.01.2020 (en annexe) : pas d'argument pour une atteinte métastatique par le carcinome urothélial connu ; pas d'autre indice de malignité. Implantation d'une prothèse céphalique hanche G par voie latérale directe (OP le 08.12.2019). Implantation d'une PTG G (OP le 18.12.2019). Implantation d'une PTG gauche par Dr. X, à rediscuter selon l'IRM lombaire. Implantation d'une PTH à D par voie latérale, ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure (OP le 17.10.2019) sur coxarthrose symptomatique D sur dysplasie. Implantation d'une PTH à G par OST du grand trochanter avec : • Neurolyse du nerf sciatique • Acétabuloplastie • Greffe rétro-acétabulaire autologue de la tête fémorale • Excision d'ossifications (OP le 30.12.2019). Auto-transfusion de 150 ml par celle-saver pour perte sanguine de 600 ml en peropératoire le 30.12.2019. Implantation d'une PTH à G par voie d'abord antérieure (OP le 11.12.2019). Implantation d'une PTH à G par voie d'abord antérieure (OP le 12.12.2019). Implantation d'une PTH D pour fracture pathologique du col fémoral sur un adénocarcinome pulmonaire le 13.11.2019. Implantation d'une PTH G avec : • Ostéophytectomie le long du bord antérieur puis postéro-inférieur • Ablation d'ostéophytes double fond • Bursectomie trochantérienne (OP le 31.10.2019). Implantation d'une PTH G par voie antérieure (OP le 11.07.2019). Implantation élective de Pacemaker. Implantation prothèse de resurfaçage métal-métal hanche G en 2005 (Dr. X, Payerne). TVP du MID en 1998. Fracture du tibia D et lésion du LCA du genou D en 2007. Cure de hernie crurale G en 2018. Implantation PTG D en août 2013 (Dr. X, clinique générale) avec : • Arthrite septique avec révision PTG D avec remplacement polyéthylène en mars 2015 sur infection PTG à Staph. aureus (Dr. X, clinique générale) traité par lavage arthroscopique (12L, le 06.08.2015) • Récidive d'arthrite septique avec explantation et mise en place d'un spacer statique le 29.05.2017 à l'Inselspital • Implantation d'une nouvelle PTG D avec rotule le 18.09.2017 à l'Inselspital. Implantation PTG G en 2013 avec : • Infection de prothèse à Staph. aureus traité par antibiothérapie (?) • Arrachement osseux de l'épicondyle médial genou gauche le 04.11.2019. Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale sur déshydratation le 03.08.2015. Implantation PTG ddc. Lésion de la coiffe des rotateurs épaule G. Scapulalgies G séquellaires. Implantation PTG G sur gonarthrose valgisante et compartimentale le 14.06.2016. PTH G. Changement PTH D sur descellement aseptique de la tige en 2010 (PTH D posée en 2002). Fracture ouverte phalange distale de Dig III et IV main G le 31.05.2017. Cure D3 à ressaut à G. Cure tunnel carpien D avec neurolyse du nerf médian dans le tunnel carpien le 13.08.2012. 2 cures de tunnel carpien à D dans les années 90 par Dr. X. Cure tunnel carpien ddc en 2000 et 2001. Cure d'un syndrome de compression du nerf ulnaire au niveau du coude D. Suspicion d'endocardite traitée par Rocéphine i.v. pendant 4 semaines en 04/2011. Empyème pleural D à Enterococcus faecalis et Candida albicans en 02/2011 avec récidive en 04/2011. Syndrome Guillain-Barré en 2004 suite à une piqûre de tique en 1999. Hydrocélectomie G en 1996. OP ulcère gastrique et fundoplicature selon Nissen en 1995. Laparotomie exploratrice avec section de bride et résection de l'anse iléale nécrosée, anastomose latéro-latérale en novembre 2015. Implantation PTG G sur gonarthrose valgisante et compartimentale le 14.06.2016. PTH G. Changement PTH D sur descellement aseptique de la tige en 2010 (PTH D posée en 2002). Fracture ouverte phalange distale de Dig III et IV main G le 31.05.2017. Cure D3 à ressaut à G. Cure tunnel carpien D avec neurolyse du nerf médian dans le tunnel carpien le 13.08.2012. 2 cures de tunnel carpien à D dans les années 90 par Dr. X. Cure tunnel carpien ddc en 2000 et 2001. Cure d'un syndrome de compression du nerf ulnaire au niveau du coude D. Suspicion d'endocardite traitée par Rocéphine i.v. pendant 4 semaines en 04/2011. Empyème pleural D à Enterococcus faecalis et Candida albicans en 02/2011 avec récidive en 04/2011. Syndrome Guillain-Barré en 2004 suite à une piqûre de tique en 1999. Hydrocélectomie gauche en 1996. OP ulcère gastrique et fundoplicature selon Nissen en 1995. Laparotomie exploratrice avec section de bride et résection de l'anse iléale nécrosée, anastomose latéro-latérale en novembre 2015. Implantation PTG gauche provisoirement agendée pour le 04.02.2020. Implantation PTH D non cimentée par voie antérieure le 28.11.2019 sur coxarthrose D symptomatique. Implantation PTH D par voie antérieure le 21.11.2019 pour une coxarthrose secondaire à une maladie de Perthes. Implantation PTH D par voie antérieure (OP le 21.11.2019). Implantation PTH D par voie d'abord antérieure (OP le 12.12.2019). Implantation PTH D par voie transfessière avec anneau de Ganz taille 60, cupule polyéthylène Durasul 58/36, tige MS-30 cimentée standard taille 10, tête CrCo 36+4 le 19.12.2019. Coxarthrose sévère invalidante D. Status post PTH G en août 2019. Implantation PTH D par voie transfessière avec anneau de Ganz taille 60, cupule polyéthylène Durasul 58/36, tige MS-30 cimentée standard taille 10, tête CrCo 36+4 (OP le 19.12.2019). Importante anémie symptomatique à 67 g/L sur probable saignement digestif haute le 29.01.2020.• possible composant d'hématurie post-RTUV le 16.01 fecit Dr. X • Impossible de réaliser une récolte de 24h pour calculer la protéinurie et la clearance (troubles cognitifs et mnésiques) • Electrophorèse des protéines avec immunofixation dans le sang et dans les urines le 04.12.2019: négative • ETT le 10.12.2019: sp • Holter de 24h le 11.12.2019: le rapport suivra • Remler le 11.12.2019: HTA nocturne jusqu'à TAS 191mmHg • Recherche d'éosinophiles urinaires le 04.12.2019: négative • Gazométrie veineuse le 11.12.2019: sp • Impotence fonctionnelle du bras gauche • IMR de la colonne cervicale du 21.01.20: pas de lésion dégénérative marquée, ni d'hernie discale. • ENMG chez le Dr. X le 09.12.2019: irritation du nerf médian au poignet bilatéral mais sans lésion neurogène. • IMR épaule D de ce jour: tendinopathie du sus-épineux. Pas de lésion du sous-scapulaire, ni du sous-épineux. Énorme bursite sous-acromiale avec un bec ostéophytaire de l'acromion. Pas d'atrophie. Le biceps est dans sa gouttière. • IMR épaule G de ce jour: rupture de plus de 50% du Footprint dans la partie antéro supérieure du sus-épineux. Bursite sous-acromiale. • IMR épaule G de septembre 2019 (en externe): bursite sous-acromiale. Arthropathie activée de l'articulation AC. Légère tendinopathie dans la coiffe postéro supérieure. Pas de luxation franche du LCB. • IMR neurocrâne du 16.12.19: sans particularité. • IRM épaule G du 08.01.20: rupture complète de l'insertion du muscle sus-épineux ainsi que du muscle sous-scapulaire. Présence d'une atrophie avec infiltration graisseuse au niveau du muscle sus-épineux avec un signe de la tangente positif. Présence de signe dégénératif en faveur d'une omarthrose. • IRM épaule D du 08.01.20: présence d'un kyste de la tête ainsi que d'ostéophyte comme signe d'une omarthrose du muscle sus-épineux, non visualisée jusqu'à son insertion. Muscle sous-scapulaire aminci dans sa partie tendineuse. Présence d'une dégénérescence graisseuse du muscle sus-épineux. • Inactive Hepatitis B • Asthma Bronchiale • Inappétence. • Inappétence chronique. • Inappétence d'origine multifactorielle, contexte de progression tumorale, insuffisance hépatique, médicamenteux • Inappétence: progression tumorale, syndrome anorexie-cachexie, état dépressif • Incapacité à s'hydrater sur gastro-entérite au décours le 17.01.2020. • Incapacité de travail à 0%, mais en gardant une limite de charge jusqu'à fin janvier depuis le 30.12.2019. Il reprend une activité libre et complète dès le 01.02.2020. Je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. • Incapacité de travail à 90%, lui permettant de reprendre des activités légères pour Mr. Y qui est au bénéfice d'une rente AI à 50%. Un contact a été établi avec l'AI depuis l'accident. Je ne pense pas qu'il pourra utiliser sa main de manière normale, il gardera une invalidité suite à cette lésion. Prochain contrôle clinique dans 3.5 mois. • Incidentalome rénal droit le 21.01.20, DD: carcinome à cellules claires • Incidentalomes avec potentiel d'activité neuroendocrine (découverte fortuite sur le CT thoraco-abdominal du 02.11.2018): • masse du corps du pancréas de 1,3 x 1,5 cm, d'apparence multi-kystique à l'endoscopie du 28.11.2018 (cancer non formellement exclu, mais peu probable selon dernières discussions) • masse surrénalienne droite (probable adénome) • Incision de 15 mm, drainage, rinçage, mise de Seton (mesh) 01.01.2020. • Prélèvement de liquide de l'abcès pour bactériologie classique et recherche MRSA. • Contrôle à la FUA dans 24h. • Incision, drainage (pus en quantité minime), rinçage NaCl, pansement. • Contrôle chez le médecin traitant sous 48h. • Incision, drainage, rinçage aiguille boutonnée, pansement. • Consignes de rinçage de la plaie et pansement, contrôle aux ambulatoires des urgences dans 48 heures. • Incision et drainage abcès réalisée sous anesthésie locorégionale, rinçage à bétadine et mise en place d'une mèche • Incision et drainage le 07.01.2020 • Incision et drainage • Frottis pour bactériologie en cours • Incision locale par rapidocaïne, drainage, rinçage, pose de mèche. • Antalgie. • Contrôle à 48h au secteur ambulatoire des urgences pour réévaluation. • Incision, rinçage, marsupialisation. • Mise en place de mèche à la Bétadine. • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie/AG • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 300 cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g • Suite de couches • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 200 cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g • Suite de couches • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 200cc) • Agrafes • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g • Suite de couches • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 200cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g • Suite de couches • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 300 cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g • Suite de couches • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 300cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g • Suite de couches • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie. • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 300cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Perfusion de 45 UI de Syntocinon • Suite de couches • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 700cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g • Suite de couches • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie. • Utérotomie isthmique transverse basse (pertes sanguines estimées 600 cc). • Surjet intradermique. • Prophylaxie antithrombotique. • Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5 g. • Suite de couches. • Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie. • Utérotomie isthmique transverse basse (pertes sanguines estimées 700 cc). • Surjet intradermique. • Prophylaxie antithrombotique. • Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5 g. • Suite de couches. • Inconfort • Inconfort abdominal post prandial d'origine indéterminée: • DD dyspepsie fonctionnelle, coeliaque, intolérance au lactose • inconfort, pleurs • Inconnu • Inconnu • Inconnus • Inconnus • Inconnus • Inconnus • Incontinence mixte occasionnelle dans le contexte de maladie oncologique avancée • Incontinence mixte • Troubles cardio-ischémiques, valvulaires et hypertensifs avec maladie coronarienne monotronculaire avec statut post-PTCA et stent de l'IVA le 07.07.2008, PTCA et stent sur IVA en 2015, actuellement sous Aspirine Cardio • Insuffisance mitrale modérée • FEVG en 2015 à 72% • Discopathie multi-étagée • Ostéoporose • Polyarthrose digitale avec rhizarthrose à droite • Incontinence urinaire • Incontinence urinaire anamnestique de type effort et urgence le 25.11.2019 • Incontinence urinaire de type urgence • Incontinence urinaire de type urgence. • Incontinence urinaire d'effort • Incontinence urinaire depuis 2013 post-intervention du carcinome de la prostate • Cataracte bilatérale opérée en 2010 et 2011 • Carcinome de la prostate, opéré • Fracture ouverte avec sub-amputation traumatique de P3 D5, main gauche en août 2012 Incontinence urinaire d'urgence Incontinence urinaire fonctionnelle (état confusionnel aigu, troubles de la marche, infection urinaire) Incontinence urinaire mixte à prédominance d'effort chez une patiente 3G-3P de 45 ans. Incontinence urinaire nouvelle dans contexte de probable infection urinaire • contexte de s/p prostatectomie en 2009 Incontinence urinaire nouvelle sur infection urinaire Incontinence urinaire secondaire au Deanxit. Pollakiurie dans le contexte d'une anxiété massive, le 14.11.2014. Gastro-entérite probablement virale, le 27.01.2015. Crise de panique dans contexte de trouble borderline et de dépression. Crise d'angoisse. Indication à un équipement par BiPAP Réhabilitation pulmonaire à prévoir Scanner pulmonaire de contrôle dans 6 mois Indication à un TAVI, patiente mitigée • Rediscuter l'indication au TAVI avec la patiente en ambulatoire et l'adresser en cardiologie si elle accepte l'intervention pour suite de prise en charge Indication à une consultation cardiologique + échocardiographie Dernier ECG disponible en 2012 Coronarographie en 2015 : sclérose sans lésion significative Indication de consultation si récidive des malaises, péjoration de l'état général Indication de consulter si péjoration de l'état général, difficulté respiratoire, difficulté d'hydratation ou état fébrile > 5 jours. Indication de reconsultation données à Esteban et à sa maman : si fièvre, si absence d'amélioration ou péjoration de la douleur, douleurs réfractaires aux antalgiques, absence de selle malgré le traitement. Indication de reconsultation si persistance de la fièvre à 24-48h, persistance des vomissements avec difficultés alimentaires/hydratation ou péjoration de l'état général. • Indication de reconsulter si péjoration clinique Indications de reconsultation si persistance ou péjoration des douleurs. Antalgie simple par Dafalgan 15mg/Kg/dose max 4x/j et Algifor 10mg/Kg/dose max 3x/j. Induction de l'expulsion par Cytotec le 06.01.2020 Frottis placentaires et anatomo-pathologie placentaire en cours Induction du travail Induration des tissus mous au niveau de la cicatrice ombilicale de laparoscopie. DD : Hématome sous-cutané ? Abcès (peu probable, vu l'absence de signes d'infection)? Induration sous cutanée d'origine indéterminée à la base du lit de l'ongle D2 gauche le 8.01.2020. Inégalité de longueur des membres inférieurs de 0,5 cm en défaveur de la droite actuellement corrigée Raccourcissement des chaînes musculaires postérieures du membre inférieur droit Infarctus du myocarde en 2018. Cure d'épicondylite radiale à droite. Pyélonéphrite droite à E. coli (ESBL) multi-résistant. Lymphoedème des membres inférieurs décompensé : Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine rénale avec FE urée à 37.9 %, avec une clairance de la créatinine à 24 ml/min, sur insuffisance chronique, sur néphropathie diabétique et hypertensive. Anémie macrocytaire normochrome d'origine indéterminée Cholécystectomie en 1968. Appendicectomie dans l'enfance. Diarrhées et vomissements d'origine indéterminée, DD : probablement virale Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement pré-rénale sur perte hydrique • DD : rénale sur nécrose tubulaire sur insuffisance pré-rénale prolongée • DD : néphrite interstitielle dans le contexte de l'antibiothérapie • DD : insuffisance chronique sur néphropathie diabétique et hypertensive • créatinine à 347 umol/l, clairance 6 ml/min. Crise hypertensive symptomatique le 18.11.2019 à 200/90 mmHg spontanément résolutive • avec céphalées et nausées. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute le 25.11.2019 sur : • déconditionnement physique sur diarrhées chroniques • perte de poids de 13 kg en quelques semaines • probable sarcopénie • diabète de type 2 mal réglé • œdèmes sévères des membres inférieurs MMS le 29.11.2019 à 20/30. Test de la montre le 29.11.2019 à 2/7. Troubles anxio-dépressifs et du sommeil sans précisions le 25.11.2019. Distraneurin en réserve. Introduction Remeron dès le 22.11.2019. Introduction Temesta dès le 28.11.2019. Consultation de psychogériatrie Demande de consilium au géronto-psychiatre GDS le __.12.2019 : _/15 Acutisation d'une insuffisance rénale chronique stade 5 (CKDEPI) dans le contexte de diarrhée chronique, déshydratation et perte de poids de 13 kg le 17.11.2019 • GFR selon MDRD : 12 ml/min Suivi par Dr. X (néphrologue) en ambulatoire. Suivi Dr. X en hospitalier : pas d'indication à la dialyse pour l'instant, pas de signes d'urémie. Mapping artériel des membres supérieurs pour éventuelle mise en place de fistule le 25.11.2019. Gastroparésie DD Dumping syndrome DD Hypotension orthostatique. Infarctus myocardique avec élévation ST (STEMI) inféro-postérieur sur occlusion de la coronaire droite proximale le 03.01.2020 • pic de CK 929 U/l le 04.01.2020 • FEVG à 45 % Infarctus myocardique avec élévation ST (STEMI) sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure distale le 03.01.2020 Infarctus myocardique de type NSTEMI le 07.01.2020 Infarctus myocardique de type NSTEMI le 07.01.2020 • dans un contexte de maladie coronarienne bitronculaire nouvellement diagnostiquée • succès de recanalisation de l'artère circonflexe proximale avec implantation de 1 stent actif Infarctus NSTEMI sur maladie coronarienne monotronculaire de l'IVA revascularisée par angioplastie en 2010. Infarctus NSTEMI sur maladie coronarienne monotronculaire de l'IVA revascularisée par angioplastie en 2010 PTH gauche en 2010 pour arthrose Infarctus segmentaire du grand épiplon droit sur 5-6 cm Carcinome basocellulaire sclérodermiforme nasal profond excisé en septembre 1991 Carcinome basocellulaire de type nodulaire avec ulcération focale excisé en décembre 2013 Infarctus stenté il y a 20 ans Dernière coronarographie 2010 : Lésion monotronculaire avec : Lésion intermédiaire de la première diagonale. Lésion non significative de la seconde marginale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Absence de resténose de l'artère coronaire droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Lésion non significative longue de l'artère rétroventriculaire postérieure. EF 59 % Infarctus subaigu de type STEMI le 09.01.2020 Infection virale des voies respiratoires DD : conjonctivite virale probable Infection à Clostridium difficile le 28.12.2019 Infection à Influenza A avec : Infection aiguë tardive de la PTH à D implantée en 2011 (Dr. X, clinique générale) • Germe (03.12.2019) : Staph. epidermidis (1 colonie) • Sous thérapie hormonale par Arimidex pour carcinome mammaire métastatique depuis 2016 (Dr. X) • Ancienne plaie sur ongle incarné face externe gros orteil D comme probable porte d'entrée (actuellement sans signes infectieux) Infection aiguë tardive de la PTH à D implantée en 2011 (Dr. X, clinique générale) • Germe (03.12.2019) : Staph. epidermidis (1 colonie) • Sous thérapie hormonale par Arimidex pour carcinome mammaire métastatique depuis 2016 (Dr. X) • Ancienne plaie sur ongle incarné face externe gros orteil D comme probable porte d'entrée (actuellement sans signes infectieux) Infection aiguë tardive PTH D sur • st. p. PTH D (2011 par Dr. X, Clinique Générale) • sous thérapie hormonale par Arimidex pour carcinome mammaire métastasé depuis 2016 (Dr. X) • ancienne plaie sur ongle incarné comme probable porte d'entrée (actuellement sans signes infectieux) Infection au sang. Infection au sang. Infection chronique de la PTH G à Staph. epidermidis multi-résistant (ponction hanche G du 30.09.2019) • Status post arthroplastie totale hanche G par voie antérieure le 16.05.2019 pour coxarthrose symptomatique Infection chronique tardive de PTH G à Strept. anginosus (probablement d'origine digestive avec dissémination hématogène), ponction hanche G le 25.09.2019 avec : • Status post explantation de la PTH G, mise en place d'un spacer le 30.09.2019 • Métallose sur PTH G à couple de frottement métal/métal grosse tête, implantée en 2004 • Infection cutanée. • Infection cutanée. • Infection cutanée au niveau du site chirurgical au poignet droit sur : • status post ablation de matériel d'ostéosynthèse en novembre 2019, radius distal droit. • Infection de la plaie latérale pied gauche : • S. p. ostéosynthèse calcanéum gauche en 07.2010 Révision de plaie, débridement, biopsies, rinçage avec 7 l de Lavasept, mise en place d'un pansement VAC pied gauche latéral (OP le 27.08.2010) • Infection de la plaie péri-ombilicale le 24.12.2019. • Infection de l'hallux droit. • Infection de plaie au 5ème métacarpien gauche. • Infection de plaie inguinale gauche avec • 03.01.2020 Révision de la plaie inguinale gauche, fermeture de la plaie et pose de Picco. • 28.12.2019 Révision plaie inguinale gauche et mise en place d'un VAC sous-cutané pour hématome avec retard de cicatrisation • 09.12.2019 TEA carrefour fémoral gauche et plastie d'élargissement par patch de Xénopéricarde • Infection de plaie 5ème métacarpien membre supérieur gauche. • Infection de probable origine virale des voies aériennes supérieures avec : • exanthème viral maculo-papulaire • Infection de probable origine virale des voies aériennes supérieures avec : • encombrement nasal • toux • Infection débutante des voies aériennes supérieures • d'origine virale • Infection débutante d'un kyste nucal. • Pas encore suffisamment formée pour incision. • Infection des glandes salivaires gauche en octobre 2015 Infection des glandes salivaires droite en novembre 2015 Amygdalectomie Asthme allergique à la farine Anévrismectomie avec plicature apicale de l'apex du VG et ablation de TV par cryochirurgie sous CEC, normothermie, cardioplégie au froid et à la solution cardioplégique au sang froid par voie antérograde intermittente le 26.04.2016 fecit Dr. X (Clinique Cécil) pour anévrisme apical post-infarctus en 2010 : • status post STEMI antérieur en 2010 sur occlusion de l'IVA traitée par PCI/1DES (Espagne), actuellement perméable • anévrisme apical post-infarctus antérieur, mesurant 34 x 35 mm (échocardiographie du 18.03.2016) • tachycardie ventriculaire non soutenue sur anévrisme apical • VG non dilaté, non hypertrophié avec akinésie apicale sans anévrisme résiduel, FEVG à 65% (échocardiographie du 02.05.2016) Réadaptation cardiovasculaire Optimisation du traitement cardiovasculaire Gestion des facteurs de risques cardiovasculaires Épanchement pleural gauche de minime abondance : • radiographie du thorax face/profil du 06.05.2016 : petit épanchement basal gauche Cervicalgies • Infection des voies aériennes supérieures • Infection des voies aériennes supérieures • Infection des voies aériennes supérieures • Infection des voies aériennes supérieures • Infection des voies aériennes supérieures • Infection des voies aériennes supérieures • Infection des voies aériennes supérieures • Infection des voies aériennes supérieures à Influenza A avec état confusionnel sur fièvre • Infection des voies aériennes supérieures à RSV • Infection des voies aériennes supérieures d'origine virale. • Infection des voies aériennes supérieures et angine virale • Infection des voies aériennes supérieures le 22.01.2020. • Infection des voies aériennes supérieures le 27.01.2020. • Infection des voies aériennes supérieures probablement d'origine virale • Infection des voies aériennes supérieures probablement d'origine virale le 26.01.2020. • Infection des voies aériennes supérieures • Infection des voies respiratoires à RSV • Infection des voies respiratoires au décours. • Infection des voies respiratoires en décours et otite gauche débutante • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection des voies respiratoires supérieures. • Infection des voies respiratoires supérieures. • Infection des voies respiratoires supérieures. • Infection des voies respiratoires supérieures. • Infection des voies respiratoires supérieures. • Infection des voies respiratoires supérieures aspécifique. • Infection des voies respiratoires supérieures au décours. • Infection des voies respiratoires supérieures avec mauvaise tolérance de la fièvre • Infection des voies respiratoires supérieures avec toux et douleur musculo-squelettique secondaire. • Infection des voies respiratoires supérieures, bronchite asthmatiforme • Infection des voies respiratoires supérieures dans le contexte de BPCO et asthme chronique • Infection des voies respiratoires supérieures d'origine probablement virale. • Infection des voies respiratoires supérieures d'origine probablement virale • Infection des voies respiratoires supérieures d'origine probablement virale avec : • rhinite • Infection des voies respiratoires supérieures le 02.01.20 • 1/4 critères de Centor. • Infection des voies respiratoires supérieures le 28.01.2020 • avec syndrome descendant. • Infection des voies respiratoires supérieures probablement d'origine virale le 23.01.2020. • Infection des voies respiratoires supérieures probablement d'origine virale le 24.01.2020 avec : • bronchite aiguë débutante DD : asthme, anxiété. • Infection des voies respiratoires supérieures probablement d'origine virale le 26.01.2020 avec : • Bronchite aiguë probablement d'origine virale concomitante. • Infection des voies respiratoires supérieures probablement virale. • Infection des voies respiratoires supérieures, sans critère de gravité. • Infection des voies respiratoires supérieures. • sans critère de gravité • Infection des voies respiratoires supérieures sans critères de gravité. • Infection des voies urinaires • Traitement initié à Bern • Infection des voies respiratoires supérieures • Infection digestive par Oxyurose le 21.11.2018. • Infection d'origine indéterminée, dans le contexte du diagnostic 1 DD carcinome surinfecté • dans le contexte du diagnostic 1 et en raison du refus du patient, pas d'investigations supplémentaires et antibiothérapie empirique • Infection d'origine probablement virale. • Infection du matériel d'ostéosynthèse chez Mr. Y connu pour : • lombalgies chroniques avec irradiation sciatique G sur instabilité du segment L5-S1 et chambrage des vis des deux côtés au niveau S1 et syndrome facettaire L4-L5-S1 avec : • status post spondylodèse L3-L4, L4-L5.• status post reprise des deux côtés, ablation des vis S1 des deux côtés, mise en place d'une vis 7x45 à gauche, discectomie L5-S1 et mise en place d'une cage Nuvasive 11 mm avec ouverture à 20°, mise en place d'une tige de 75 mm à droite et d'une tige 90 mm à gauche avec fusion postéro-latérale par BNP et Ceracell. Analyse bactériologique par sonication des vis et boulons en S1. Actuellement : infection de Propionibacterium acnes et St. Epidermidis avec collection para-lombaire D et G fistulisée à la peau le 09.12.2019. Infection du matériel d'ostéosynthèse de la cheville G à Enterobacter complexe cloacae avec plaie chronique face dorsale du pied G sur nécrose après occlusion de l'artère tibiale antérieure dans un contexte postopératoire d'une • Fracture ouverte du pilon tibial et du péroné distal type Gustilo II, jambe G; le 21.09.2019 avec : • Révision plaie, débridement, rinçage, réduction ouverte et mise en place d'un fixateur externe type Orthofix Galaxy, jambe distale G le 21.09.2019. • Ajustement du fixateur externe type Orthofix Galaxy, révision de plaie, débridement, prise de prélèvements, rinçage et mise en place d'un pansement VAC, cheville G le 08.10.2019. • Débridement, rinçage, changement de VAC cheville G le 13.10.2019. • Ablation fixateur externe, réduction et OS de la fracture du péroné par plaque LCP 3.5 Reco (Arthrex 7 trous), OS du pilon tibial par une plaque tibia distal postérieur 5 trous (Arthrex), plaque tibia distal antérieur 3 trous et OS de la malléole médiale par une plaque 2.4 CFS (Arthrex) et une vis spongieuse 4.0. Reconstruction de la jambe par lambeau gracilis libre branché end-to-end sur artère tibiale postérieur et Synovis 2.5 mm à une veine concomitante (prévu initialement une anastomose end-to-side). Reconstruction de la peau par greffe de la cuisse et reconstruction du site donneur avec lambeau épi-fascial cuisse type adducteur le 18.10.2019. • Débridement, résection à 50% du tendon extenseur du gros orteil et du tendon tibial antérieur sur nécrose, mise en place d'une matrice reconstructive Dermal Regeneration Template d'Integra double face avec pansement VAC, pied G le 21.11.2019. • Récidive occlusion artère tibiale antérieure pied G le 04.11.2019 avec ischémie critique du pied G, ré-occlusion de l'artère pédieuse avec développement de collatérales avec artériographie du MIG le 05.11.2019 : multiples angioplasties de l'artère pédieuse. • Plavix 75 mg pendant 3 mois. • Suivi en angiologie avec rdv le 31.01.2020 à 10h00. Infection du matériel d'ostéosynthèse le 09.01.20 avec status post : • AS avec ablation du matériel d'OS (plaque 4.5 tibia proximal), biopsies négatives, ostéotomie tibiale type ouverture interne avec diminution de la pente tibiale de 5°, valgisation de 3° (OP le 12.11.2019). • Ostéotomie tibiale de valgisation type ouverture interne en janvier 2019 (Dr. X, HIB Payerne). • Lavage par v. arthroscopique et arthrotomie genou D en juin 2018 pour arthrite septique. • AS thérapeutique en avril 2018 avec résection ménisque interne genou D. Infection du matériel d'ostéosynthèse tibia proximal D à Staph. aureus sur status post • AS, ablation plaque 4.5 tibia proximal D, ostéotomie tibiale type ouverture interne avec diminution de la pente tibiale de 5°, valgisation de 3° le 12.11.2019. • Ostéotomie tibiale de valgisation type ouverture interne le 30.01.2019 (Dr. X, HIB Payerne). • Lavage par v. arthroscopique et arthrotomie genou D en juin 2018 pour arthrite septique. • Lavage par v. arthroscopique le 14.05.2018, reprise pour arthrotomie genou D le 28.05.2018, (Dr. X, HIB Payerne). • AS genou D avec résection partielle ménisque interne le 06.04.2018. Infection du site opératoire du 3ème rayon du pied gauche le 09.12.2019 à Staphylococcus aureus sensible à la Co-Amoxicilline : • status post-résection et arthrodèse de l'IPP, plastie en Z d'allongement du tendon extenseur, libération de l'AMTP, cravatage du FDB autour de P1 pour O3 gauche en griffe. • ablation de broche, prélèvements bactériologiques, débridement, lavage avec 2 litres, adaptation de la peau le 10.12.2019. • second look, débridement, lavage avec 2 litres, fermeture sur un Manovac le 13.12.2019. • antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 2.2 g iv/jour durant l'hospitalisation, puis relais per-os à raison de 2 x 1 g/jour pour un total de 6 semaines, soit jusqu'au 23.01.2020 inclus. Infection du tractus respiratoire d'origine virale probable. Infection fistulisante à la peau d'une prothèse totale de hanche D. Status post implantation PTH D en 2014 (Dr. X, clinique Générale). Infection génitale à HSV-2 le 25.11.2019. Tachycardie sinusale à 140/min avec extrasystolie ventriculaire importante (bigéminisme) le 03.12.2019. • Avis cardiologie: cause possible cicatrice post-myocardite. Diabète cortico-induit avec normalisation du profil glycémique et arrêt du traitement le 17.12.2019. Infection urinaire basse à E. coli le 22.03.2019. Insuffisance respiratoire suite à Influenza A avec pneumonie et myocardite chez une patiente immunosupprimée et souffrant d'une pneumopathie interstitielle le 01.03.2019. Antécédents d'épisodes d'angoisse en lien avec la dyspnée. • Résolution sous Fentanyl IV en continu. Phakectomie bilatérale (2013). Ligature des trompes (2009). Infection grippale. Infection kyste nucal. Infection locale plaie par fil barbelé punctiforme de 3 mm sur l'avant-bras droit. Infection multi-focale le 15.11.2019 à Streptococcus pyogenes ß-hémolytique A avec : • Arthrite septique hanche native G. • Dermohypodermite du membre inférieur D. • Dermohypodermite de la face latérale du bras G. • Arthrite septique IPP Dig III main D. Infection ORL. Infection pelvienne à Chlamydia en 2004. Condylomes périnéo-vulvo-péri-anaux traités par Aldara (stoppé à 6 SA), puis récidive traitée par laser CO2 (Dr. X) à 17 SA et 37 SA au Daler. Status après curetage aspirateur en 2008. Status post-2 accouchements par voie basse en 2000 et 2011. Infection piercing oreille droite (racine de l'helix). Infection post-partale à E. Coli avec hospitalisation en 2012. Gonalgie gauche le 08.12.2015. Notion anamnestique de hernie discale lombaire. Tendinite des extenseurs doigt 1 main gauche. Infection précoce de la hanche droite à Staph. aureus post-implantation prothèse totale de hanche à droite le 28.09.2017 (Dr. X, Clinique Générale). • révision de plaie, débridement, biopsies et rinçage prothèse totale de hanche à droite (OP le 20.10.2017) + antibiothérapie selon consilium infectiologique. Cholécystectomie par laparoscopie le 01.13.2010 (Dr. X). Pancréatite aiguë d'origine inconnue (DD : abus OH, médicamenteux). Excision d'un kyste poignet D le 01.12.2010 (Dr. X). Opération d'un strabisme. Infection précoce de PTG à gauche à germe indéterminé • s/p implantation de PTG (GMK-Sphère) G le 10.12.19 (Dr. X, Clinique Générale). Infection respiratoire à Influenza A, le 15.01.2020. Infection respiratoire des voies supérieures. Infection sous-cutanée du 3ème doigt de la main gauche sur manucure le 14.01.2020. Infection sous-cutanée sur manucure. Infection subaiguë de PTH gauche à Staphylococcus epidermidis multi-résistant le 30.09.2019 avec : • arthroplastie totale de la hanche gauche par voie antérieure, le 16.05.2019 pour coxarthrose symptomatique. • ponction articulaire le 30.09.2019. • arthrotomie hanche gauche, débridement, ablation de prothèse et mise en place d'un spacer le 08.11.2019. • arthroplastie totale de la hanche gauche par voie antérieure le 16.05.2019 pour coxarthrose symptomatique • ponction articulaire le 30.09.2019 • arthrotomie de la hanche gauche, débridement, ablation de prothèse et mise en place d'un spacer le 08.11.2019 • antibiothérapie par Vancomycine durant 4 semaines après implantation du spacer • ablation de spacer et implantation de PTH à gauche le 08.01.2020 infection tardive aiguë de la PTG G avec bactériémie à Staph. aureus le 21.11.2019 • Implantation PTG G le 04.02.1999 (Dr. X) infection tardive de la PTH G à Strept. anginosus (probablement d'origine digestive avec dissémination hématogène) le 25.09.2019 (ponction hanche G) avec : • Explantation de la PTH G, mise en place d'un spacer le 30.09.2019 • Métallose sur PTH G à couple de frottement métal/métal grosse tête, implantée en 2004 infection tardive de PTH D à staphylocoque aureus (10/2019) • status post implantation de PTH D en 2004 • status post explantation et mise en place d'un spacer le 19.10.2019 infection urinaire basse asymptomatique infection urinaire infection urinaire infection urinaire infection urinaire infection urinaire. injection urinaire. infection urinaire. infection urinaire. infection urinaire. infection urinaire. infection urinaire à E. coli (sensible à la Pénicilline-Tazobactam) sur masse lymphomateuse réalisant une fistule rectovésicale le 02.01.2020 et le 017.01.2020 infection urinaire à E.Coli multisensible infection urinaire à E.Coli 10*6 multisensible infection urinaire à Enterococcus faecalis le 08.12.2019 injection urinaire à Escherichia coli et Enterococcus faecalis le 19.12.2019 injection urinaire à Escherichia coli le 17.01.2020 Sous Furadantin 100 mg du 17.01 au 26.01.2020 injection urinaire à germes mixtes le 13.01.2020 injection urinaire à Klebsiella pneumoniae le 27.10.2019 injection urinaire à Pseudomonas aeruginosa multirésistant et Haemophilus haemolyticus le 17.01.2020 injection urinaire asymptomatique, le 16.01.2020 injection urinaire asymptomatique, 03.01.2020 injection urinaire atypique le 04.03.19. Douleur inguinale droite post-traumatique le 04.12.19. Fracture de côte en 2018. injection urinaire avec incontinence urinaire type urgence à prédominance nocturne. injection urinaire avec uricult négatif le 08.12.2019 traitée par Rocéphine du 08.12.2019 au 15.12.2019 et Céfépime du 15.12.2019 au 16.12.2019 Agranulocytose fébrile d'origine indéterminée le 28.12.2018 Agranulocytose fébrile à point de départ pulmonaire le 08.08.2018 Hydronéphrose droite sur compression tumorale le 02.02.2019 Sepsis à E. Coli le 09.03.2019 Neutropénie fébrile sans foyer clinique le 20.04.2019 d'origine indéterminée injection urinaire basse non compliquée le 19.01.2020 • dans état fébrile avec vessie de rétention (850 ml) injection urinaire basse pas compliquée le 24.12.2019 • Syndrome inflammatoire sans état fébrile injection urinaire basse injection urinaire basse injection urinaire basse injection urinaire basse injection urinaire basse. injection urinaire basse. injection urinaire basse. injection urinaire basse. injection urinaire basse. injection urinaire basse. injection urinaire basse injection urinaire basse injection urinaire basse à Candida glabrata le 11.05.2017 Surinfection d'escarre stade IV de l'ischion gauche le 11.05.2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine pré-rénale le 11.02.2016 Flutter auriculaire inaugural de conduction 1:2, et passage en fibrillation auriculaire non daté le 11.02.2016 Malaise avec chute et possible perte de connaissance d'origine indéterminée le 11.02.2016 injection urinaire basse à E. coli injection urinaire basse à E. coli le 13.07.2019 Colite à C. difficile le 30.07.2019 Fracture du plateau tibial droit le 19.09.2014 Fracture du radius distal droit en 2015 Contusion du genou droit le 24.07.2019 injection urinaire basse à E. Coli résistant à la Ciprofloxacine le 08.01.2019 Fractures du bassin le 31.12.2018 sur chute avec : • fracture de la branche ilio-pubienne droite • fracture de la branche ischio-pubienne droite • fracture de l'aileron sacré droit s/p TAVI 2.12.19 à la clinique Cecil par Dr. X Pose élective de pacemaker le 21.11.19 (Dr. X) à titre préventif dans un contexte de : • pré-TAVI pour sténose aortique sévère symptomatique • bloc a.v. 1er degré et bloc de branche droit complet • suivi Dr. X injection urinaire basse à E. faecalis. injection urinaire basse à E.Coli multisensible depuis le 06.01.20. • s/p greffe rénale ectopique pour une IR pré-terminale sur néphrite lupique en 2010. injection urinaire basse à Escherichia coli le 08.07.2019. Foraminotomie le 21.01.2013 (HFR Fribourg) pour sténose foraminale L4-L5 gauche. Hémicolectomie gauche par LSC avec anastomose colorectale mécanique le 26.11.2007 pour polype sigmoïdien bénin (Dr. X) avec incontinence fécale séquellaire. Cure de cataracte à gauche en 2006. Hystérectomie en 1976. 2 cystopexies et hystéropexie en 1975. Appendicectomie. Ulcères gastriques Forrest 2b sur prise de Brufen. Probable hépatite A selon la patiente vers 1968. injection urinaire basse à Escherichia coli le 08.07.2019. Foraminotomie le 21.01.2013 (HFR Fribourg) pour sténose foraminale L4-L5 gauche. Hémicolectomie gauche par LSC avec anastomose colorectale mécanique le 26.11.2007 pour polype sigmoïdien bénin (Dr. X) avec incontinence fécale séquellaire. Cure de cataracte à gauche en 2006. Hystérectomie en 1976. 2 cystopexies et hystéropexie en 1975. Appendicectomie. Ulcères gastriques Forrest 2b sur prise de Brufen. Probable hépatite A selon la patiente vers 1968. injection urinaire basse à Escherichia Coli multisensible (résistant à la Nitrofurantoïne) le 28.12.2019 : • Colonisation par Enterobacter • Chez patiente porteuse d'une sonde sus-pubienne à demeure pour vessie neurogène injection urinaire basse à germe indéterminé injection urinaire basse à germe indéterminé. injection urinaire basse à germes indéterminés le 05.01.2019. injection urinaire basse à répétition depuis 1 année. injection urinaire basse à 12 ans. injection urinaire basse récidivante à staph. coag. nég. 10E4 avec collection liquidienne au niveau du Douglas Pancréatite aigue biologique le 07.01.16 Pyélonéphrite gauche le 23.10.2019 injection urinaire basse chez une femme enceinte de 15 semaines d'aménorrhée. injection urinaire basse chez une patiente connue pour hydronéphrose et insuffisance rénale chronique. injection urinaire basse compliquée le 12.08.2019. Syncope vaso-vagale post prandiale le 12.08.2019. Douleurs thoraciques atypiques, probablement d'origine pariétale le 08.05.2019 : • DD : composante d'angoisse, spasme coronarien médicamenteux (5FU) peu probable. Décompensation cardiaque gauche le 28.03.2019. Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale le 27.03.2019. Pyélonéphrite en avril 2018. Cure de hernie inguinale gauche sur probable hernie incarcérée (anamnestiquement). injection urinaire basse dans le contexte de sonde urétrale • DD : macrohématurie sur traumatisme sur sonde urinaire injection urinaire basse du 29.12.2019. injection urinaire basse du 31.01.2020 • sur sonde urinaire injection urinaire basse en juillet 2014 Sinusite des sinus frontaux le 07.12.2011 Accident de la voie publique (patiente piétonne coincée entre 2 voitures) avec : • fractures côtes 4, 5 et 6 arc antérieur à droite, 11 et 12 arc postérieur gauche le 13.09.2011 Dyspnée stade NYHA II d'origine multifactorielle le 17.09.2014 • toux sèche dans le contexte d'une rhinosinusite• anémie • probable composante psychogène Anémie normochrome normocytaire à 118 g/l le 17.09.2014 Soins impossibles à domicile dans le contexte d'hospitalisation du conjoint le 17.09.2014 Intertrigo sous-mammaire le 17.09.2014 Angoisses vespérales et insomnie Carence en vitamine D modérée le 18.09.2014 Sinusite d'origine probablement virale Tendinopathie de la coiffe des rotateurs épaule droite le 21.10.2018 avec suspicion de rupture de la coiffe des rotateurs partielle spontanée Infection urinaire basse en mai 2014. Kyste abcédé sus-auriculaire au niveau du cuir chevelu gauche. Accident d'exposition aux liquides biologiques le 29.09.2017. Entorse bénigne du genou gauche en avril 2018. Infection urinaire basse en 2017 et 02.06.2019 Infection urinaire basse le 01.01.2020 Infection urinaire basse le 01.01.2020. Infection urinaire basse, le 03.08.2019. Etat confusionnel aigu d'origine multifactorielle le 04.06.2019 et le 01.07.2019. Toux sur broncho-pneumonie droite possiblement sur broncho-aspiration le 24.06.2019. Hémorragie digestive haute sur ulcère duodénal avec : • perforation couverte du bulbe duodénal (OGD le 03.06 et 11.06.2019). • 12.06.2019 : échec embolisation sur sténose du tronc coeliaque et risque d'insuffisance artérielle hépatique. • 03.06 au 11.06.2019 : transfusion de 11 CE. Crise d'épilepsie partielle le 13.06.2019. Sepsis d'origine urinaire le 17.08.2019, à E.Coli multisensible. Infection urinaire basse le 05.03.2019. Infection urinaire basse le 13.01.2020 Infection urinaire basse le 18.03.2016 Insuffisance rénale acutisée, AKIN 1 le 18.03.2016, d'origine rénale probable Infection urinaire basse le 18.03.2016 Insuffisance rénale acutisée, AKIN 1 le 18.03.2016, d'origine rénale probable • clairance à la créatinine calculée à 46 ml/min/1,73 m2 selon MDRD • fraction excrétée de sodium: 1,62% Douleurs para-sternales droites sur probable effort de toux du 09.12.2019 Infection urinaire basse le 19.01 chez un patient connu pour une hydronéphrose et une insuffisance rénale chronique. Infection urinaire basse le 19.01.2020. Infection urinaire basse le 22.01.2020. Infection urinaire basse le 23.12.2019, avec • implantation d'une sonde double-J au Daler le 02.10.2019. Infection urinaire basse, le 23.12.2019 • Sous Ciprofloxacine du 23.12. au 26.12.2019 Infection urinaire basse le 25.11.2019 • stix et sédiment urinaire: leucocytes positifs, microhématurie, protéinurie • eGFR=98 ml/min/1.73 m² (25.11.2019) Infection urinaire basse le 28.01.2020 • avec rétention urinaire aiguë • crise hypertensive symptomatique Infection urinaire basse le 29.01.2020. Infection urinaire basse le 30.01.20. Infection urinaire basse le 31.12.19 Infection urinaire basse le 31.12.2019 Infection urinaire basse non compliquée. Infection urinaire basse non-compliquée Infection urinaire basse par ESBL le 30.12.2019 DD contamination Infection urinaire basse récidivante le 31.01.2020. Infection urinaire basse • sans critère de gravité. Infection urinaire basse sans germe mis en évidence le 08.12.2019 Infection urinaire basse simple. Infection urinaire basse simple le 05.01.2019 Infection urinaire basse simple. Diarrhées au retour de voyage. Infection urinaire basse le 18.04.2016. Infection urinaire basse simple Diarrhées au retour d'un voyage au Cap Vert Suspicion de vulvite Infection urinaire basse en 2016 Infection urinaire basse traitée par Avalox du 20.11 au 30.11.2019 Obturation dentaire en juillet 2019 Infection urinaire basse, 19.12.2019 Traité par ciprofloxacine Infection urinaire basse 19.12.2019 traitée par Ciprofloxacine Infection urinaire basse, 28.01.2020 • Sensation de vidange incomplète, urine nauséabonde Infection urinaire basse, 29.01.2020 Infection urinaire basse. DD Gastro-entérite DD Douleurs menstruelles. Infection urinaire basse. Malaise sur déshydratation. Aux urgences : Hydratation et Buscopan. Infection urinaire chez patient sondé le 11.12.2019 DD néphrite infectieuse Infection urinaire chez patient sondé le 11.12.2019 DD néphrite infectieuse Infection urinaire compliquée. infection urinaire compliquée Infection urinaire compliquée à Enterobacter complexe cloacae et Enterococcus faecalis Infection urinaire compliquée à Enterocoque faecalis le 02.01.2020 Infection urinaire compliquée à Proteus mirabilis et Escherichia coli le 12.01.2020 : • Reins en fer à cheval avec reflux vésico-urétéral de stade III à droite, II à gauche Infection urinaire compliquée le 23.01.2020. Infection urinaire compliquée • pas de symptômes prostatiques ni rénaux mais syndrome inflammatoire Infection urinaire compliquée récidivante (>3 fois sur le dernière année). Infection urinaire compliquée récidivante dès 2016 • épaississement de la paroi vésicale connu. Infection urinaire d'évolution favorable Infection urinaire exclue Infection urinaire haute à Citrobacter Freundii ESBL le 24.11.2019, sans signe clinique de prostatite aiguë mais avec état fébrile et état confusionnel. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • chute à domicile sans témoin le 15.11.2019, avec agitation post-chute. Délire hyperactif avec hallucinations visuelles le 15.11.2019 probablement sur Bactrim. Insuffisance pré-rénale aiguë sans critère AKIN le 15.11.2019. Prostatite le 04.11.2019. Probable crise partielle le 03.11.2019 chez un patient connu épileptique. Hématome sous-dural droit subaigu d'origine post-traumatique, découvert fortuitement à l'IRM du 17.10.2018. Possible épisode d'épilepsie partielle le 08.09.2018. Morsure de chat le 07.05.2018. Infection urinaire haute en novembre 2017. Candidose oro-pharyngée le 21.03.2017. Fléchissement global des fonctions cognitives (mnésique, gnosique, exécutif et linguistique) avec : • épisode de désorientation spatiale la nuit du 21.03.2017, avec incontinence urinaire • désorientation dans le temps • incohérence du discours à l'hétéro-anamnèse de l'épouse • dans un contexte de troubles cognitifs d'origine mixte : vasculaire, dégénérative et toxique • DD : sur sevrage alcoolique. Crise d'épilepsie partielle avec phénomène de Todd présenté par une aphasie, une apraxie et un trouble de l'état de conscience d'apparition subite le 20.03.2017. Chute d'origine probablement multifactorielle sur déconditionnement, facteurs environnementaux, troubles de la statique, troubles cognitifs débutants en janvier 2015. Cure de hernie ombilicale le 03.03.2015. Opération de la prostate en 2009. Phakectomie bilatérale en 2000. Douleurs basi-cervicales et dorsales post-chute dans un contexte de cervicalgies chroniques. Vitrectomie de l'œil droit pour hémorragie vitréenne. Ostéosynthèse de la jambe droite sur fracture, non datée. Correction de bec de lièvre dans l'enfance. Infection urinaire haute à E. Coli le 13.01.2020. Infection urinaire haute à E. Coli multisensible le 10.01.2020 • hématurie macroscopique et état fébrile Infection urinaire haute à germe indéterminé le 08.01.2020 : Infection urinaire haute à K. pneumoniae R à la Ciprofloxacine et suspicion lithiase urinaire le 30.04.2015.Tendinite de De Quervain gauche depuis juillet 2015. Contusion de la région infra-orbitaire gauche le 06.07.2013. Otite externe bilatérale le 21.03.2016. Sinusite maxillaire en 2014. État grippal le 21.03.2016 et 21.01.2018. Rhino sinusite probable d'étiologie virale en 2016. Colique néphrétique avec passage d'une lithiase urinaire avec : • Présence de quelques cristaux d'acide urique au sédiment urinaire. Colique néphrétique avec calcul de 4 mm à la jonction pyélo-calicielle G en mai 2019. Infection urinaire haute compliquée à Enterococcus faecalis et Achromobacter le 23.07.2019 • Cystofix au long cours Infection urinaire haute (entre 18 à 24 mois). Infection urinaire haute le 08.01.2020 Infection urinaire haute le 14.01.2020 Infection urinaire haute probable Infection urinaire haute sans germe mis en évidence (flore mixte) Infection urinaire haute le 21.01.2020 Infection urinaire haute. Fibrome utérin. S/p torsion ovarienne. Infection urinaire il y a 2 mois, dilatation de l'uretère, depuis lors prophylaxie antibiotique de cotrimoxazole. Infection urinaire le 01.01.2020. • Dans un contexte de fistulisation probable entre le rectum et la vessie. Infection urinaire le 14.01.2020 chez Mme. Y avec rein unique Infection urinaire le 27.01.20 Infection urinaire le 27.08.2017. Infection urinaire le 27.12.2019 Infection urinaire le 29.01.20 Infection urinaire le 31.12.2019 Infection urinaire persistante, antibiothérapie du 19.12.2009 au 27.02.2010 Hémicolectomie gauche et sigmoïdectomie pour cancer, 1995, compliquées par iléus en post-opératoire et nécessitant une laparotomie Appendicectomie dans l'enfance Plaie d'environ 2 mm de largeur et d'environ 2 cm de profondeur au niveau de l'avant-bras droit Infection urinaire récidivante Infection urinaire récidivante le 03.01.2020 Sous Furadantin 100 mg x 2/j du 07.01 au 16.01.2020 Sous Monuril 3 g ordre unique le 20.01.2020 Infection urinaire récidivante le 24.12.2019 et le 08.01.2020 dans le contexte d'une colonisation ESBL Infection urinaire récidivante suite à antibiothérapie Infection urinaire récidivante suite à antibiothérapie. Prescription d'antibiothérapie ciprofloxacine 500 mg toutes les 12 heures pour 5 jours. Culture d'urine à pister. Mme. Y invitée à reconsulter en cas de péjoration clinique. Contrôle clinique à la permanence le 25.01.2020 Infection urinaire récurrente, actuellement hyperactivité vésicale. Infection urinaire simple Infection urinaire simple Infection urinaire simple Infection urinaire simple Infection urinaire simple. Infection urinaire simple. Infection urinaire simple en cours de résolution. Infection urinaire simple en mai 2016. Infection urinaire sur Cystofix Infection urinaire sur sonde, uricult en cours Ciproxine débutée pour 10 jours, changement de Cystofix prévu le 15.01 à la permanence. Infection urinaire sur sonde vésicale à demeure à Raoultella spp. et E. faecalis le 11.08.2018. Douleurs abdominales diffuses sur constipation avec perturbation des tests hépatiques type cholestase le 11.08.2018. Urosepsis à Citrobacter freundii le 22.01.2018. Embolie pulmonaire sous Sintrom en novembre 2017. Chirurgie paraphimosis en septembre 2017 par Dr. X. Pneumonie basale droite en 2017. Hémorragie digestive haute sur ulcères du corps Forrest III sur prise d'AINS et Prednisone en mars 2017. Cure d'hernie inguinale gauche en 1991. Fractures vertébrales sur chute d'une échelle. Décompensation de BPCO dans le contexte d'une pneumonie basale droite en octobre 2018 Insuffisance rénale aigüe AKIN I d'origine pré-rénale avec clairance selon Cockroft & Gault à 43 ml/min chez un patient déshydraté. Globe vésicale avec sonde vésicale mal placée le 09.06.2019. Dyspnée chronique sur statut post-décompensation de BPCO avec critères d'Anthonisen à 2/3. Rétention urinaire aiguë chez un patient porteur d'une sonde vésicale à demeure le 27.11.2019. Pose d'un Cystofix chez un patient sous Sintrom (INR 2.7). 11.2019 Colite sigmoïdienne distale le 28.11.2019, DD diverticulite. Infection urinaire symptomatique, 11.01.2020 Infection urinaire traitée par antibiotique il y a deux semaines. Prostatite aiguë le 11.10.2011. Infection urinaire, 14.12.2019 Infection urinaire, 21.01.2020 Infection urinaire 23.01.2020 Infection urinaire. Brûlures des 1er et 2ème degrés, superficielles, aux deux cuisses et au niveau abdominal. Infection urinaire. DD prostatite. Infection virale Infection virale Infection virale avec réaction asthmatiforme. Infection virale avec traitement symptomatique par dafalgan et tramal. Patient invité à reconsulter en cas de fièvre, frissons ou autre signe de péjoration clinique. Contrôle dans 3 jours chez le médecin traitant. Possible réaction allergique sur irfen avec éviction de l'irfen et réévaluation d'indication à examens allergologiques à distance par le médecin traitant. Infection virale DD Influenza, rhinovirus Infection virale déclenchant une poussée de maladie de Berger Infection virale des voies aériennes supérieures. Nous donnons un traitement symptomatique et antalgique par Panotile, Triofan, Solmucol, Bexine, Collunosol et Algifor. Mme. Y est informée qu'elle doit revenir si péjoration de l'état clinique. Nous mettons Mme. Y en arrêt maladie pour deux jours. Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures Infection virale des voies aériennes supérieures avec : • Angine • Rhinite Infection virale des voies aériennes supérieures avec : • Angine • Rhinite Infection virale des voies aériennes supérieures avec : • Encombrement nasal, angine, tympan gauche non vu • Difficultés d'hydratation, pas de signe de déshydratation Infection virale des voies aériennes supérieures avec : • Otite moyenne aiguë gauche au décours Infection virale des voies aériennes supérieures avec : • Rhinite Infection virale des voies aériennes supérieures avec : • Rhinite • Angine Infection virale des voies aériennes supérieures avec : • Rhinite • Angine Infection virale des voies aériennes supérieures avec : • Éruption de HSV I au niveau labial inférieur • Possible angine bactérienne concomitante traitée par le médecin traitant avec clarithromycine. Infection virale des voies aériennes supérieures d'origine virale le 29.10.2016. Infection virale des voies aériennes supérieures le 14.01.2020. Infection virale des voies aériennes supérieures • pas d'argument pour une rhinosinusite, pour une angine bactérienne ou pour une pneumonie Infection virale des voies aériennes supérieures. Suspicion d'abcès dentaire le 01.09.2019. Infection virale des voies respiratoires supérieures à grippe Influenza A Infection virale des voies respiratoires supérieures probablement une conjonctivite virale. Traitement symptomatique pendant 5 jours par Makatussin, Mometason spray nasal, Solmucol effervescent, Triomer spray nasal, Vitamine A pommade oculaire. Si péjoration de l'état clinique (état fébrile et autre symptôme) le patient est informé qu'il doit reconsulter. Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires inférieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures. Nous donnons un traitement symptomatique par Triofan, Triomer, Bexine sirop, Dafalgan et Irfen. Le patient est informé qu'il doit revenir si péjoration de l'état clinique. Nous mettons le patient en arrêt maladie jusqu'au 24.01.2020. Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures DD: gastroentérite bactérienne Infection virale des voies respiratoires supérieures le 09.01.2020 Infection virale des voies respiratoires supérieures le 11.01.20. Infection virale des voies respiratoires supérieures le 12.01.2020. • DD: grippe. Infection virale des voies respiratoires supérieures le 20.01.2013. Hémorragie de la loge amygdalienne gauche, statut 8 jours post-uvulo-palato-pharyngoplastie. Hémostase de la loge amygdalienne gauche selon protocole classé séparément le 03.05.2013, Dr. X Scarifications de l'avant-bras gauche. Syndrome grippal, le 04/05/2019. Examen clinique. Bilan sanguin. Traitement symptomatique par Dafalgan et AINS. Contrôle clinique auprès du médecin traitant en début de semaine prochaine. Infection virale des voies respiratoires supérieures le 29.01.20. Infection virale des voies respiratoires supérieures • pas d'argument clinique pour une angine bactérienne • pneumonie exclue à la radiographie Infection virale des voies respiratoires supérieures. DD: grippe. Infection virale des voies respiratoires supérieurs Infection virale DD: affection rhumatologique Infection virales des voies aériennes supérieures avec probable exacerbation d'un asthme connu. Infection virales des voies respiratoires supérieures Infection virales des voies respiratoires supérieures. Traitement symptomatique (Triomer, Triofan, Makatussin, Solmucol, Irfen, Dafalgan). Si péjoration de l'état clinique (état fébrile), la patiente est informée qu'elle doit reconsulter. La patiente est mise en arrêt maladie. Infection: virus respiratoire syncytial. Infection voie aérienne supérieure sans détresse respiratoire le 16.01.2020. Infection voies aériennes respiratoires Infections bronchopulmonaires à répétition d'origine indéterminée, sans épisode aigu actuellement dans le contexte de bronchiectasies du lobe supérieur droit Infections des voies respiratoires supérieures Infections pulmonaires: résumé • Pneumonie communautaire sévère d'aspiration polymicrobienne le 25.11.2019 • avec bactériémie à Staph. aureus et Lactobacillus gasseri • suspicion initiale de Staph. à toxines PVL, infirmée • Pneumonie nosocomiale gauche (broncho-aspiration) à Acinetobacter baumannii le 11.12.2019 Infections urinaires à répétition. Infections urinaires à répétition. Infections urinaires à répétition S/p Urétéro-hydronéphrose droite sur lithiase de l'uretère lombaire le 25.01.2018 au Daler Infections urinaires à répétition. Sp Urétéro-hydronéphrose droite sur lithiase de l'uretère lombaire le 25.01.2018 au Daler Infections urinaires en 2018 et 2019. Infections urinaires fréquentes. Mycoses vaginales. Infections virale des voies aériennes supérieures DD: otite externe, pharyngite virale Infections virales des voies respiratoires supérieures Infertilité primaire sur PCOS, grossesse sur stimulation ovarienne. Infertilité secondaire Infertilité secondaire d'origine féminine (tubaire) chez une patiente de 40 ans, 1G 0P Infertilité secondaire (primaire du couple) IVG chirurgicale en 2006 Infertilité suivie à Berne, s/p grossesse sur FIV en 2017. Status après conisation pour CIN II persistant en 2013 Accouchement par voie basse par ventouse métallique pour NPP à 41 semaines d'aménorrhée le 27.07.2017, après provocation chez une patiente de 38 ans, primigeste devenue primipare Infection cutanée Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration. Infiltration. Infiltration. Infiltration. Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration calcanéo-cuboïdienne prévue le 15.01.2020. Prochain contrôle le 05.02.2020. Infiltration de la syndesmose le 15.01.2020 Prochain contrôle le 03.02.2020 Infiltration de l'épaule gauche le 29.01.2020 : Désinfection et champ habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne. Infiltration de 40 mg de Dépo Medrol dans l'articulation acromio-claviculaire et en retirant l'aiguille infiltration de 40 mg de Dépo Medrol dans l'articulation acromio-claviculaire. La mobilisation immédiate est bien tolérée par la patiente. Mise en place d'un pansement stérile. Infiltration de Ropivacaïne. Ensuite, nous arrivons à casser la corde. L'extension est complète au niveau de la MCP. La flexion active également. Le patient va se présenter aujourd'hui pour mise en place d'une attelle d'extension en ergothérapie. Contrôle clinique dans 6 semaines. Infiltration du coude droit du 10.01.2020. Désinfection et champage classiques. D'abord infiltration d'une part de Ropivacaïne loco-dolenti avec avivement extensif de l'origine du ECRB. Finalement mise en place d'un petit dépôt de Dépo-Médrol. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration du genou droit du 22.01.2020 : Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou droit. La mobilisation immédiate est bien tolérée par le patient. Infiltration du genou gauche du 22.01.2020. Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par la patiente. Infiltration du genou gauche du 08.01.2020. Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par la patiente. • Infiltration du 4ème MTP le 29.01.2020 Prochain contrôle le 17.02.2020 Contrôle en dermatologie pour les verrues à organiser par le médecin traitant. • Infiltration épicondylite radiale gauche le 10.1.2020. Désinfection et champage classiques. Repérage du point douloureux digitalement. D'abord infiltration de Ropivacaïne loco-dolenti. Après avivement de l'origine du ECRB. Finalement injection de Dépo-Médrol à l'endroit douloureux. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration épicondylite radiale gauche le 10.1.2020. Désinfection et champage classiques. Repérage du point douloureux digitalement. D'abord infiltration de Ropivacaïne permettant après un needling étendu de l'origine du ECRB. Finalement injection de Dépo-Médrol loco-dolenti. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration épidurale L4-L5 droite sous contrôle CT le 28.01.2020. • Infiltration facettaire bilatérale L4-L5 par le Dr. X le 17.02.2020. Prochain contrôle le 12.03.2020. • Infiltration facettaire C3-C4 G au CIMF le 27.01.2020 Prochain contrôle le 11.02.2020. • Infiltration facettaire L4-L5 bilatérale sous CT le 09.01.2020. Prochain contrôle le 30.01.2020. • Infiltration facettaire L4-L5 Dr. X (à convoquer). Contrôle de suivi. • Infiltration foramen L5-S1 sous CT le 29.01.2020 Prochain contrôle le 18.02.2020 OP pré-réservée pour le 24.02.2020. • Infiltration genou droit Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne. Ponction de 24 cc de liquide synovial citrin clair et infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne dans l'articulation du genou droit. La mobilisation immédiate est bien tolérée par le patient. • Infiltration genou gauche. • Infiltration genou gauche du 15.1.2020. Désinfection et champage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par la patiente. • Infiltration genou gauche du 29.1.2020. Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par le patient. • Infiltration le 04.02.2020. Prochain contrôle le 20.02.2020. • Infiltration le 05.02.2020. Prochain contrôle le 24.02.2020. • Infiltration le 06.03.20 Prochain contrôle le 22.04.20. • Infiltration le 12.02.2020. Contrôle le 11.03.2020. • Infiltration le 13.01.2020. Consultation le 04.02.2020. • Infiltration le 14.02.20 Prochain contrôle le 25.03.20. • Infiltration le 17.01.20 Prochain contrôle le 19.02.20. • Infiltration le 20.01.2020. • Infiltration le 21.01.20 Prochain contrôle le 04.03.20. • Infiltration le 21.02.20 Prochain contrôle le 01.04.20. • Infiltration le 22.01.2020. Prochain contrôle le 10.02.2020. • Infiltration le 28.02.20 Prochain contrôle le 08.04.20. • Infiltration le 29.01.2020. Prochain contrôle le 19.02.2020. • Infiltration le 30.01.2020. • Infiltration le 31.01.2020 Prochain contrôle le 11.03.2020. • Infiltration loco-dolenti autour des têtes des vis le 04.02.2020 (salle des plâtres) Prochain contrôle le 25.02.2020. • Infiltration loco-dolenti le 11.02.2020 (salle des plâtres) Prochain contrôle le 03.03.2020. • Infiltration L4-L5 D le 28.01.2020. IRM le 13.02.2020. Prochain contrôle le 13.02.2020. • Infiltration L5-S1 D le 28.01.2020 et infiltration C6-C7 D le 27.02.2020 au CIMF Prochain contrôle le 26.03.2020. • Infiltration par Curavisc les 11.02.2020 et 03.03.2020. Prochain contrôle le 24.03.2020. • Infiltration péri-radiculaire C6 D au CIMF le 06.02.2020 Prochain contrôle le 03.03.2020. • Infiltration péri-radiculaire L4 D sous CT. Pré-réservation opératoire le 03.02.2020. • Infiltration péri-radiculaire L5 G sous scanner Prochain contrôle chez nous par la suite. • Infiltration prévue le 05.02.2020. Prochain contrôle le 24.02.2020. • Infiltration radiologique d'origine indéterminée des tissus mous pré-sacrés le 06.01.2020. • Infirmité motrice cérébrale de naissance Hypertension artérielle Diabète sous Metformin et Insuline lente Lombalgies chroniques Contracture de Dupuytren Hyperplasie de la prostate modérée (30 ml) avec urines résiduelles 35 ml visualisées à l'ultrason : Status post-insuffisance rénale aiguë le 28.05.08.• TURP le 17.08.09. • Infirmité motrice cérébrale (institutionnalisée au Foyer des Préalpes). Sonde à demeure en raison de rétentions urinaires récidivantes, suivi par le Dr X. • Infirmité motrice cérébrale sur hémorragie intracérébrale in utero et hydrocéphalie congénitale avec : • shunt ventriculo-péritonéal depuis mai 2005, le drain n'a jamais été changé • retard de développement psychomoteur • status post-2 épisodes de convulsions en 2009 • Infirmité motrice-cérébrale. • Inflammation au niveau du MTP 1 pied gauche de probable origine mécanique (osthéphite) le 09.01.2020. • Inflammation au niveau du MTP 1 pied gauche le 09.01.20 • DD : crise de goutte, infection. • Inflammation de l'IPP du 2ème orteil à droite le 21.07.16. TCC avec PC et AC le 16.09.2018. Palpitations le 17.10.2019 DD extrasystole, tachycardie supraventriculaire. Opération ORL (paroi nasale déviée le 07/2020). • Inflammation de l'œil droit (chronique et récurrente, avant la symptomatologie actuelle) • conjonctivite et œdème palpébral, impression de sable dans les yeux sans atteinte de la vision DD : blépharite, rosacée oculaire, probablement pas de tularémie oculaire car la chronologie ne concorde pas. • Inflammation du tympan gauche d'origine traumatique. • Inflammation genou gauche sur triade malheureuse en 2015. • Inflammation péritendineuse des extenseurs 2, 3 et 4 main D (dominante) suite à un traumatisme mineur 07.11.2018. • Influenza A avec insuffisance respiratoire partielle, le 12.01.2020 • Sur pneumopathie interstitielle d'étiologie indéterminée sous Imurek et Prednison. • Information TC simple donnée au patient. Traitement symptomatique. Arrêt de sport durant 1 semaine. • Infrarénal aorte anévrisme • 29.03.2019 : Durchscnitt max. 67 mm • Minimal invasive intervention indiziert, von Pat. 02/2019 nicht erwünscht. • Irrégulière Harnblasenverdickung ED 03.2019 im CT • St.n. papillärem Urothelkarzinom pTaG2 Blasenboden, St. n. TUR-B 9/14. • Paroxysmales tachykardes Vorhofflimmern • orale Antikoagulation mit Rivaroxaban 20 mg • 22.10.2019 EKG : ncSR, LL, inkompletter Rechtschenkelblok. • Chronische Niereninsuffizienz KDIGO G2. • Idiopathisches Parkinsonsyndrom ED 2008, EM 2007/2008 • Stadium Hoehn und Yahr 4. • Fazialisparese unklarer Ätiologie seit 2017 • 30.09.2017 : keine Ischämie oder Blutung. • Ingestion accidentelle produit de nettoyage Sonasol le 18.01.2020. • Ingestion couteau. • Ingestion de corps étranger. • Ingestion de corps étranger métallique. • Ingestion de corps étranger (2 aimants). • Ingestion de corps étrangers (embout spray pour fond de gorge Deaftol) le 09.01.2020. • Ingestion de produit caustique X le 21.01.2020 • possiblement Taski e200 détergent sol pH 8.5. • Ingestion d'un corps étranger. • Ingestion d'un couteau à beurre. • Ingestion d'une pièce de monnaie. • Ingestion produit caustique. • Ingestion toxique. • Ingestion volontaire d'un couteau à beurre le 18.01.2020. • Inhalation d'Atrovent 250 / Ventolin 0.5. Solumédrol 125 mg IV. Magnésium 2 mg IV. Bonne réponse après 2 séances d'aérosol et Solumédrol. Attitude : • Pas d'hospitalisation vu l'excellent état général, peut regagner son domicile. • Nous avons recommandé au patient un suivi par médecin traitant +/- pneumologique pour le rééquilibrage de son asthme. • Symbicort 200/6 inhalation + Prednisone 50 mg 1x/j + ventolin fixe pour 7j puis en réserve prescrit au patient. • Arrêt de travail du 15 au 16.01.2020 inclus. • Inhalation de fumée. • Inhalation de fumée, sans intoxication au CO sur incendie le 03.01.2020. • Initialement aux urgences un lavement est réalisé avec 20ml/kg, rendant quelques selles liquides mais non en grande quantité, un traitement par movicol avec un schéma dégressif (dose désimpaction 1.5mg/kg/j durant 6 jours puis traitement d'entretien à 1mg/kg/j durant 1 mois au total) est préconisé. Dans un 2ème temps avis du Dr X concernant l'ASP réalisé, ce dernier suspecte un bézoard dans la fosse iliaque droite (cæcum et probablement dans le iléon terminal), DD : de selles impactées; tricho-, phyto-, lactobézoard. Dans ce contexte un avis est demandé à la Dr X qui préconise CT abdominal sous narcose (ou demander au Dr X si un IRM abdominal) pour rechercher la nature de cette masse. Appel le 28.01 Dr X : une tumeur semble peu probable. Propose de faire des massages et poursuite du traitement par movicol avec un contrôle ASP afin de voir si la masse se mobilise. Nous appelons alors le père de Mr. Y le 28.01 qui dit que Mr. Y est confortable depuis la veille, il ne se plaint plus de douleurs abdominales. Nous organisons alors un contrôle clinique chez nous aux urgences le 30.01 afin de réévaluer la clinique et de répéter l'ASP pour suivre l'évolution radiologique avec avis auprès du Dr X. • Initialement, nous avions prévu de débrider les phlyctènes non rompues. Au vu de la non-conformité de Mr. Y, nous avons préféré faire un pansement avec Ialugen et Adaptic et attendre encore 48h. • Injection de Ferinject 500 mg à la clinique de jour le 22.01.20 à 13h00. Test de Schellong : Intolérance orthostatique (majoration de 40 bpm sans hypotension). • Injection de Rocéphine. • Injection Humira le 08.01.2020. • Inquiétude en rapport au traitement. • INR infra-thérapeutique. • INR infra-thérapeutique à 1.7. • INR infra-thérapeutique à 1.8 le 26.01.2020 : • chez Mr. Y porteur de valve aortique mécanique depuis 1999 avec cible INR 2.5-3.5. • INR légèrement suranticoagulé le 31.10.2019 • valve mécanique aortique. • INR sous-thérapeutique le 29.01.2020 à 1.7. • INR spontané à 1.4 • chez Mr. Y connu pour cirrhose Child B. • INR supra-thérapeutique > 5.5. • INR supra-thérapeutique à 4.1 le 22.01.2020. • INR supra-thérapeutique à 5.4 le 31.12.2019. • INR supra-thérapeutique le 04.01.2020. • INR supra-thérapeutique le 22.01.2020. • INR supra-thérapeutique > 5.5 sur introduction de Sintrom le 24.01 et 29.01.2020. • INR supra-thérapeutique à 3.2 le 09.01.2020. • INR suprathérapeutique à 4.3, le 23.01.2020. • INR suprathérapeutique à 4.8 le 23.01.2020. • INR suprathérapeutique le 04.01.2020. • INR suprathérapeutique le 06.01.2020. • INR suprathérapeutique le 13.01.2020. • INR supra-thérapeutique le 15.01.2020 • sous Marcoumar. • INR supra-thérapeutique le 16.01.2020. • INR supra-thérapeutique le 31.12.19. • INR suprathérapeutique 5.4. • INR supra-thérapeutique > 5.5. • INR thérapeutique à 2.3. • Inscription à La Roche (EMS) effectuée par la fille de Mme. Y Avis Infirmière de liaison Inscriptions provisoires pour d'autres établissements Reclassement lors de l'hospitalisation le 22.01.2020. • Insertionite du grand fessier D en novembre 2015. Opération de la vessie (diverticules vésicaux) en 1990. Status post drainage kyste sacro-coccygien (6 interventions) en 1963. Status post opération de la vessie (diverticules vésicaux) en 1990. Status post cholécystectomie. Status post amygdalectomie. Status post décompensation cardiaque légère en novembre 2015. 5 cures chirurgicales du rachis lombaire dégénératif (entre le 12.10.2015 et le 19.02.2016) avec un canal lombaire étroit, discopathies sévères et instabilité du segment L3-L4 avec insuffisance de la colonne antérieure sur fond de spondylodiscite à staphylocoque caprae. Décompensation scoliotique sur status post-fracture L2 et stabilisation L3-L5 avec cyphoplastie L2, spondylodèse D10-L5 et vertébroplastie monopédiculaire G de D9, le 19.02.2016 par le Dr X.Contusion vertébrale le 01.04.2016 avec soins impossibles à domicile. Troubles de l'adaptation, réaction dépressive à une longue hospitalisation en avril 2016. Insomnie. Insomnie. Insomnie. Insomnie. Insomnie. Insomnie depuis 1 mois. Insomnie et terreurs nocturnes. Insomnie sous Quetiapine. Insomnie sous Tritico 50 mg 1-2x. Contraception orale. Insomnie sur changement de traitement médicamenteux. Insomnie sur trouble anxieux, 10.01.2020. Inspection, rinçage, adaptation 1 point prolène 4.0 stéristrip. Ablation des fils à J10. Nouvelle présentation si rougeur, douleurs ou sécrétion putride. Instabilité AC stade III sur : • Status post reconstruction AC par un système Dog Bone, le 10.10.2019 par le Dr. X à Lugano. • Instabilité antéro-inférieure de l'épaule D. • Instabilité bilatérale de la cheville ddc. • Entorses à répétition de la cheville D. • Instabilité cheville G. • Status post ostéotomie de valgisation du calcanéum G de type Malerba fixée par plaque rectangulaire Stryker. • Ligamentoplastie de la cheville G avec réinsertion du LTFA, CFL et renfort par plastie du rétinaculum des extenseurs (selon Blanchet) et allongements des gastrocnémiens à G selon Strayer, le 08.11.2019 sur instabilité de la cheville G sur lésion du LTFA et arrière-pied en varus et raccourcissement des gastrocnémiens. • Instabilité chronique de la symphyse pubienne sur diastase de la symphyse sur chute le 15.07.2019. • Distorsion de l'articulation sacro-iliaque D. • Instabilité chronique épaule G avec détachement du bourrelet antéro-inférieur. • Instabilité clavicule G sur status post : • Luxation articulation acromio-claviculaire G stade III selon Tossi-Rockwood ; chute le 01.12.2019. • Instabilité de la cheville D sur probable fracture Weber A en 2005. • Instabilité de la cheville D sur rupture LTFA et CFL. • Instabilité du LCB au niveau du sillon intertubérositaire avec lésion du sous-scapulaire. • Arthrose AC asymptomatique. • Instabilité du long chef du biceps et conflit sous-acromial de l'épaule gauche. • Instabilité en hyperextension articulation MCP pouce bilatérale plus à droite qu'à gauche. • Instabilité épaule G : • Status post réduction luxation antérieure épaule G le 26.07.2019 ; accident de moto sur circuit. • Instabilité fémoro-patellaire bilatérale sur dysplasie trochléenne avec patella alta ddc. • Status post-luxation de la rotule D en 2017 avec réduction spontanée. • Instabilité gléno-humérale D (2ème épisode). • Instabilité latérale de la cheville G sur insuffisance du ligamento-fibulaire antérieur et calcanéo-fibulaire. • Ostéophyte du tibia antérieur, du col du talus et de la partie antérieure de la fibula, lésion ostéochondrale de la malléole interne et du bord supéro-latéral du talus. • Status après ablation d'ossification postérieure de la cheville G le 05.07.2019 sur ossifications multiples postérieures de la cheville G. • Instabilité patellaire genou gauche et status plusieurs luxations. • Instabilité persistante ligament collatéral interne stade III du genou G. • Laxité antéro-postérieure sur status post entorse du genou à gauche le 17.07.2019 avec rupture complète du ligament collatéral interne et du ligament croisé postérieur. • Instabilité psychique. • Instabilité récurrente épaule G : • Arthroscopie diagnostique épaule G, Bankart par v. arthroscopique avec ancres Panalok (OP le 19.07.2012). • Instabilité résiduelle de l'épaule droite suite à 3 luxations gléno-humérales droites, dernier épisode le 18.11.2019. • Instabilité tensionnelle sur un hématome péri-hépatique post-ponction biopsie du foie le 30.01.2020. • Instabilité du LCB à l'épaule droite. • Instauration de Calcimagon. • Instruction de travailler à priori assis. • Instruction rinçage de nez. • Instructions Red flags. • Contrôle chez médecin traitant le 16.01.2020. • Instructions. • Antalgie selon besoin. • Nouvelle présentation si péjoration de l'état général, si crachat purulent ou fluctuation de l'état de conscience. • Instructions. • Traitement symptomatique. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 17.01.2020 avec urémie : • d'origine pré-rénale, FeUrée : 12 %. • Somnolence, délirium et nausée (signes d'urémie). • DD sur infection urinaire. • Avis néphrologue : demande de séances de dialyse refusée car Mr. Y trop instable pour débuter une dialyse. • Avis Mr. Y le 20.01.20 : pas de transfert au SI selon son souhait. • Avis Dr. X : soins maximaux à l'étage. • Insuffisance rénale chronique stade 2 : • Créatinine à 82, eGFR selon CKD_EPI à 82 ml/min. • Insuffisance artérielle des membres inférieurs : • angioplastie artère tibiale antérieure (mars 2018). • revascularisation au ballon actif artère tibiale antérieure (mai 2018). • Hypercholestérolémie traitée. • Troubles cognitifs d'apparition progressive. • Anémie normocytaire hypochrome chronique : • pas de carence en fer ni vitaminique (dernier labo ambulatoire en 09.2019). • pas de dysthyroïdie (TSH normale en 04.2019). • Insuffisance artérielle des membres inférieurs chroniques : • Maladie sténosante du tronc tibio-péroné avec recanalisation par angioplastie de 2 sténoses de l'artère péronière et échec de recanalisation de l'occlusion tibiale antérieure et pédieuse le 10.04.2012. • Angioplastie de la sténose serrée de la poplitée distale, du tronc tibio-péronier et du départ de l'artère péronière gauche par ballon à Éluation de Paclitaxel le 06.03.2012. • Insuffisance cardiaque à FEVG abaissée sur probable tachycardiomyopathie le 14.01.2020 : • FEVG 25 %. • DD : maladie coronarienne sous-jacente. • Insuffisance cardiaque à FEVG conservée probablement sur tachyarythmie : • FA rapide dans un contexte d'hyperthyroïdie en 04.2018. • échographie cardiaque transthoracique (06.04.2018) : dysfonction gauche avec FEVG à 45 %, légère dysfonction droite avec dilatation oreillettes D et HTAP estimée à 53 mmHg. • échographie cardiaque transthoracique (27.04.2018) : FEVG à 63 %, absence de dysfonction diastolique, PAPs 30 mmHg. • Utérus polymyomateux symptomatique avec : • 2014 : hystérectomie totale par Pfannenstiel. • 2009 : annexectomie droite pour torsion d'ovaire. • 2004 : myomectomie par laparotomie selon Pfannenstiel. • 1993 : césarienne élective itérative et stérilisation tubaire. • 1987 : césarienne pour grossesse gémellaire. • 1982 et 1983 : excision d'un kyste mammaire gauche et d'une tumeur bénigne du sein (sans plus de précision). • Insuffisance cardiaque à fraction d'éjection diminuée (HFrEF) sur cardiopathie rythmique et valvulaire : • Fibrillation auriculaire permanente. • Insuffisance du traitement diurétique. • FEVG à 15-20 % (échocardiographie le 20.01.2017 par le Dr. X). • Actuellement : décompensation cardiaque à prédominance droite sur traitement diurétique insuffisant. • Insuffisance cardiaque à prédominance droite avec FEVG à 65 % sur HTAP importante (PAPs à 72 mmHg) : • Coronarographie le 21.08.2015 : absence de lésion significative. • ECG 07.11.2019 : Sinusal, axe à droite, et bloc de branche droite connu. • ETT 14.11.2019 : FEVG à 65 %, HTAP importante (PAPs à 72 mmHg) et insuffisance tricuspide physiologique. Rétrécissement mitral non serré, absence d'insuffisance mitrale. • Diabète mellitus non insulino-requérant. • Hypertension artérielle. • Hyperplasie bénigne de la prostate. • Probable hémangiome hépatique de découverte fortuite au CT thoracique du 23.09.2019. • Artériopathie oblitérante des membres inférieurs : • US Doppler le 13.11.2019 : Altération du flux de l'artère tibiale postérieure et antérieure de la jambe gauche avec une artériosclérose massive. Circulation encore acceptable des artères de la jambe droite malgré l'artériosclérose.Probables troubles cognitifs DD Syndrome démentiel débutant • MMS 23/30, test de la montre 2/6, GDS 1/15 le 04.11.2019 • MOCA: 18/30 le 06.11.2019 • CT 21.09.2019 Atrophie cortico-sous-corticale, avec élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux ainsi que de la fosse sylvienne ddc. Lésions hypodenses sous-corticales dans la région sylvienne des deux côtés d'allure séquellaire. Insuffisance cardiaque actuellement compensée/stable. Insuffisance cardiaque aiguë globale d'origine mixte le 13.01.2020 • sur fibrillation auriculaire rapide, sur insuffisance mitrale et tricuspidienne sévère, origine ischémique non exclue • avec épanchement pleural bilatéral prédominant à droite Insuffisance cardiaque aiguë, le 24.01.2020 DDx : FA, valvulopathie aiguë, cardiomyopathie, hypothyroïdie Insuffisance cardiaque aiguë NYHA III-IV d'origine indéterminée (DD: cardiopathie ischémique, rythmique sur FA rapide) le 03.10.2019 • OAP le 03.10.2019 • FEVG 50% Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • diabète type 2, actuellement non-traité • hypertriglycéridémie Leucémie lymphoïde chronique Hyperuricémie Recto-colite ulcéro-hémorragique • diagnostic PROMED sur biopsie intestinale du 13.09.2019 • colonoscopie par Dr. X Cirrhose CHILD C d'origine OH avec décompensation ascitique le 18.09.2019 Insuffisance cardiaque aiguë sur fibrillation auriculaire rapide et possiblement sur événement ischémique le 27.12.2019 Insuffisance cardiaque aiguë sur non compliance médicamenteuse Insuffisance cardiaque avec défibrillateur implanté en octobre 2015 (Dr. X). Tabagisme. Insuffisance cardiaque avec FEVG à 45% en 2015 Dysfonction systolique sur asynchronisme intra-ventriculaire secondaire au bloc de branche gauche Insuffisance cardiaque chronique Insuffisance cardiaque chronique. • actuellement prise de 2 kg DD en contexte avec syndrome grippal. Insuffisance cardiaque chronique NYHA II sur base ischémique et rythmique • S/p multiples stenting et pontage • Porteur de CRT-D • FEVG 22% (ETT septembre 2019) • Suivi Dr. X Insuffisance cardiaque débutante Lymphoedème avec exsudat lymphatique G Insuffisance veineuse chronique de stade C2-C3 Syndrome douloureux au niveau du pied et de la cheville gauches (Dr. X) Troubles anxieux Hypothyroïdie substituée Ostéoporose Notion anamnestique d'hernie hiatale Anémie normochrome normocytaire Insuffisance cardiaque décompensée à prédominance gauche le 26.12.2019 sur : • probable pneumonie basale droite • avec probable amyloïdose cardiaque Insuffisance cardiaque décompensée dans le contexte d'une cardiopathie ischémique avec : • coronarographie du 29.10.2019 : pontages perméables, bon résultat à long terme après stenting du tronc commun, dysfonction systolique du VG (FEVG 35 %, écho) • ETT du 11.10.2019 : dilatation modérée du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 35 % Hypertrophie excentrique. HTAP modérée. Insuffisance mitrale modérée • coronarographie le 09.03.2017 : FEVG à 34 %. Maladie tritronculaire. Pontages perméables • ETT du 03.02.2017 : dilatation modérée du VG avec hypokinésie globale sévère. FEVG à 25 % • Coronarographie du 13.06.2016 : 1 DES sur l'IVA, sous double anti-agrégation par ASA et Efient 10 mg • Status post quadruple pontage aorto-coronarien à la Clinique Cécil en 2012 • Status post implantation d'un défibrillateur 09.03.2017 en prophylaxie primaire • FEVG à 34 % le 09.03 Insuffisance cardiaque décompensée dans le contexte d'une pneumonie communautaire (27.11.2019) : 1) ETT le 29.11.2019 (Dr. X) : • FEVG à 40-45% • Valve aortique très calcifiée avec sténose sévère • Insuffisance mitrale minime (grade 1/3), d'origine dégénérative • Dysfonction diastolique importante (grade III) • HTP modérée, PAPs estimée à au moins 69 mmHg • Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3) Insuffisance cardiaque décompensée dans le contexte infectieux le 13.01.2020 Insuffisance cardiaque décompensée gauche le 26.01.2020 sur exacerbation BPCO Insuffisance cardiaque décompensée le 24.11.2019, et le 01.01.2020 • dans le contexte d'une cardiopathie d'origine septique Insuffisance cardiaque décompensée le 30.12.2019 Insuffisance cardiaque dilatée sur maladie coronarienne tritronculaire sévère : • 1995 : infarctus du myocarde antéroseptal lysé, triple pontage aorto-coronarien (LIMA-RIVA, RCA veineuse, RCX veineuse) • 2003 : PTCA du pontage veineux thrombosé de manière sub-totale RCA. V-RCX : sténose à 25 %; LIMA-RIVA greffe non remarquable. Navires indigènes : fermeture prox. RIVA, circumflexa à fermeture distale sous-totale et occlusion proximale de RCA, FEVG 30-35 % • 13.10.2009 : PTCA RCX, FEVG 20 % • 21.06.2018 : angiographie coronarienne : prox d'occlusion chronique. RIVA et prox. RCA; LIMA-RIVA Greffe ouverte; Veine RCA Sténose sténotique à 50 % (endoprothèse), veine RCX : fermée; sténose RCX distale significative (approximativement exempte de sténose de stent RCX); FEVG : 15-20 % • IRM du 10.07.2018 : sténose pertinente du RCA. Myocarde viable dans la région de RCX et RCA, EF 25 %. Sténose modérée de la valve aortique • 03.09.2018 : angiographie coronaire avec angioplastie : veine de re-sténose des instants RCA (1xDES), sténose proximale du RIVPO (PTCA / 1xDES), resténose des instants RCX proximale (PTCA / 1xDES), occlusion du milieu RCX (recanalisation, PTCA / 1x), sténose bifurcation sévère RCX (PCI complexe avec PTCA / 1xDES), sténose proximale sous-totale de la 1ère branche marginale proximale (PCI complexe avec PTCA / 1xDES) • ETO du 29.08.2019 : FEVG à 35 %, hypokinésie globale sévère Pose de PM-Défibrillateur ICD préventif en 2009 : • changement de boîtier le 14.05.2018 • infection du boîtier à Staphylococcus coagulase négative en juin 2018 (traitée par Co-Amoxicilline pendant 1 mois) • ablation du boîtier le 25.06.2018 (actuellement : pas de pacemaker défibrillateur) • occlusion embolique post-interventionnelle de l'artère fémorale gauche supérieure gauche avec revascularisation chirurgicale et patch-plastie le 25.06.2018 Troubles du rythme multiples : • salves de tachycardie ventriculaire monomorphe non soutenues le 11.08.2019 • tachycardies supraventriculaires récidivantes (14.08 au 16.08.2019) • FA paroxystique dans un contexte d'hypovolémie le 19.08.2019 • décompensation cardiaque sur passage en TSV le 07.09.2019 • récidive le 08.09.2019 Affections vasculaires multiples : • Thrombus flottant de l'oreillette droite découvert le 17.08.2019 • Thrombus de la veine jugulaire gauche le 17.08.2019 • Subocclusion du tiers distal de la carotide commune gauche sur plaque coralliforme (CT cervical du 08.08.2019) • Traité par Eliquis 5 mg bid dès le 21.09.2019 BPCO Gold stade II avec composante emphysémateuse : • exposition à l'amiante • tabagisme actif à 1 pq/j (50 UPA) • fonctions pulmonaires de 2019 : VEMS : 1.45 l (54%), DLCOc 26%, VO2 max. 14 ml/min/Kg • suivi par Dr. X Suspicion de chorée sénile le 20.09.2019 • DD : médicamenteux (sur Floxapen), lésion ischémique des noyaux gris centraux sur hypoxie peu probable, syndrome paranéoplasique peu probable • IRM cérébrale le 23.09.2019 : pas de métastases, lésion hypodense du noyau caudé droit Insuffisance cardiaque dilatée sur maladie coronarienne tritronculaire sévère 1995: Infarctus du myocarde antéroseptal lysé, Triple pontage aorto-coronarien (LIMA-RIVA, RCA veineuse, RCX veineuse) 2003: PTCA du pontage veineux thrombosé de manière sub-totale RCA. V-RCX: sténose à 25%; LIMA-RIVA Greffe non remarquable. Navires indigènes: fermeture prox. RIVA, circumflexa à fermeture distale sous-totale et occlusion proximale de RCA, FEVG 30-35% 13.10.2009: PTCA RCX, FEVG 20% 21.06.2018: Angiographie coronarienne: prox d'occlusion chronique. RIVA et prox. RCA; LIMA-RIVA Greffe ouverte; Veine RCA Sténose sténotique à 50% (endoprothèse), veine RCX: fermée; sténose RCX distale significative (approximativement exempte de sténose de stent RCX); FEVG: 15-20% IRM du 10.07.2018: sténose pertinente du RCA. Myocarde viable dans la région de RCX et RCA, EF 25%. Sténose modérée de la valve aortique 03.09.2018: Angiographie coronaire avec angioplastie: veine de re-sténose des instants RCA (1xDES), sténose proximale du RIVPO (PTCA / 1xDES), resténose des instants RCX proximale (PTCA / 1xDES), occlusion du milieu RCX (recanalisation, PTCA / 1x), sténose bifurcation sévère RCX (PCI complexe avec PTCA / 1xDES), sténose proximale sous-totale de la 1ère branche marginale proximale (PCI complexe avec PTCA / 1xDES) ETO du 29.08.2019: FEVG à 35 %, hypokinésie globale sévère Pose de PM-Défibrillateur ICD préventif en 2009 Changement de boîtier le 14.05.2018 Infection du boîtier à Staphylococcus coagulase négative en juin 2018 (traitée par Co-Amoxicilline pendant 1 mois) Ablation du boîtier le 25.06.2018 (actuellement: pas de pacemaker défibrillateur) Occlusion embolique post-interventionnelle de l'artère fémorale gauche supérieure gauche avec revascularisation chirurgicale et patch-plastie le 25.06.2018 Troubles du rythme multiples • salves de tachycardie ventriculaire monomorphe non soutenues le 11.08.2019 • tachycardies supraventriculaires récidivantes (14.08 au 16.08.2019) • FA paroxystique dans un contexte d'hypovolémie le 19.08.2019 • décompensation cardiaque sur passage en TSV le 07.09.2019 • récidive le 08.09.2019 Affections vasculaires multiples: • Thrombus flottant de l'oreillette droite découvert le 17.08.2019 • Thrombus de la veine jugulaire gauche le 17.08.2019 • Subocclusion du tiers distal de la carotide commune gauche sur plaque coralliforme (CT cervical du 08.08.2019) • Traité par Eliquis 5 mg bid dès le 21.09.2019 BPCO Gold stade II avec composante emphysémateuse • exposition à l'amiante • tabagisme actif à 1 pq/j (50 UPA) • fonctions pulmonaires de 2019: VEMS: 1.45 l (54%), DLCOc 26%, VO2 max. 14 ml/min/Kg • suivi par Dr. X Suspicion de chorée sénile le 20.09.2019 • DD: médicamenteux (sur Floxapen), lésion ischémique des noyaux gris centraux sur hypoxie peu probable, syndrome paranéoplasique peu probable • IRM cérébrale le 23.09.2019: pas de métastases, lésion hypodense du noyau caudé droit Insuffisance cardiaque d'origine probablement hypertensive • coronarographie (16.09.2016): sclérose coronarienne débutante, FEVG 30% avec dysfonction systolique du VG, pas d'insuffisance aortique • suivi cardiologique Dr. X Hypertension artérielle traitée. Insuffisance cardiaque G légère dans contexte de cardiomyopathie hypertrophique (DD amyloïdose) • sous Torasemide 5 mg et Metoprolol 75 mg • Echo-cardiographie transthoracique (Inselspital, 16.12.2019): pas de dyskinésies, pas de dilatation du ventricule gauche ni de l'oreillette gauche, pas de thrombus, FEVG 51 % Insuffisance cardiaque gauche décompensée le 22.12.2019 DD: pic hypertensif, trouble de la conduction, pneumonie au décours dans un contexte de : Cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique avec : • S/p 2 pontages aorto-coronarien (CHUV en 2000 par Dr. X, un pontage greffon veineux sur l'artère coronaire droite, une anastomose de l'artère mammaire interne gauche sur l'IVA) • Coronarographie du 13.09.2016: Excellent résultat du pontage mammaire sur IVA distale. Pontage veineux occlus sur la CD. 3 sténoses subocclusives sur la coronaire droite. Dilatation avec mise en place de quatre stents actifs avec bon résultat final. • Insuffisance mitrale modérée centrale (grade 2/4) à l'ETT du 23.12.2019 • Bloc de branche gauche connu depuis 1993 • Arrêt cardio-respiratoire sur bloc atrio-ventriculaire du 3ème degré le 28.12.2019 avec pose de pacemaker bicaméral AAI-DDD le 30.12.2019 (Dr. X) • Echographie transthoracique du 23.12.2019: FEVG à 61 % • FRCV: Hypertension artérielle traitée, hypercholestérolémie traitée Insuffisance cardiaque gauche NYHA 2 d'origine parainfectieuse Insuffisance cardiaque globale décompensée dans un contexte de maladie coronarienne tri-tronculaire avec : • s/p triple pontage en 2008 et 2x angioplasties depuis : • AMIG sur IVA perméable avec une sténose subocclusive de l'IVA distale • Graft radial sur circonflexe perméable • Veine saphène sur CD occluse, CD occluse (CTO) • Dysfonction ventriculaire avec EF 35% • Suivi par Dr. X Insuffisance cardiaque globale décompensée le 10.01.20 • dans un contexte de pneumonie communautaire • cardiopathie ischémique tritronculaire avec pose de 2 stents le 07.01.2020 sur l'IVA avec dysfonction du VG (FEVG à 25%) • poids de sortie 110 kg Insuffisance cardiaque globale décompensée le 10.01.2020 • d'origine probablement hypertensive, sur médication en suspens • poids cible à 84 kg Insuffisance cardiaque globale décompensée le 30.12.2019 • Dyspnée de stade NYHA 3 • NT-ProBNP à 9'576 ng/l • Probablement dans un contexte d'infection des voies respiratoires supérieures • Poids cible: 91.5 kg Insuffisance cardiaque globale le 26.12.2019: • cardiopathie hypertrophique à FEVG conservée (80 %) Insuffisance cardiaque globale NYHA III sur cardiopathie ischémique tritronculaire (FEVG 28%) • décompensation cardiaque post-opératoire le 09.01.2020 • occlusion subtotale (90%) chronique de l'IVA distale, sténose aortique modérée (24 mmHg gradient moyen), pas de stent le 07.06.2018 • sténose ostiale de la Cx avec pose d'un stent compliquée d'une dissection du tronc commun avec pose subséquente de 3 stents actifs, et d'une dissection aortique iatrogène stable le 05.01.2018 • lésion ostiale de la Cx significative, sténoses en collier de perle de l'IVA moyenne et distale, pas de stent le 24.11.2017 • resténose très serrée intrastent de la RCX, avec pose de 2 stents actifs le 16.10.2017 • lésion significative de l'IVP (petit vaisseau, traitement conservateur) le 16.10.2017 • stenting du tronc commun et IVA proximale le 20.01.2017 • stenting de l'ACD lors d'un STEMI subaigu le 22.11.2016 • pose de CRT-D en prévention primaire le 17.12.2018 • dernière ETT le 30.12.2019: FEVG à 28%, dyskinésie du septum moyen, du septum basal, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale, une akinésie de la paroi septale antérieure, une hypokinésie sévère de la paroi postérieure, du septum apical et de la paroi inféro-apicale et une hypokinésie modérée de la paroi latérale et de la paroi antérieure. Insuffisance cardiaque globale stade III Syndrome coronarien aigu (STEMI antéro-latéral) le 24.06.2010, avec : • Coronarographie du 24.06.2010: maladie tritronculaire, FEVG à 25% • Brady-asystolie le 25.06.2010 sur choc vagal et bloc atrio-ventriculaire transitoire. Hypertension artérielle. Diabète de type 2, Lantus depuis 2011 Thrombose veineuse profonde jambière gauche Presbyacousie Insuffisance cardiaque globale sur cardiopathie dilatée le 07.09.2019 • maladie coronarienne non significative sous forme d'une sténose <50% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • CRT-D posé le 09.03.2010 • échocardiographie de contrôle en avril 2019: dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale modérée à sévère. FEVG à 30 % (évaluation visuelle)Hypertrophie excentrique Insuffisance cardiaque inaugurale NYHA III, cardiopathie d'origine inconnue Insuffisance cardiaque le 30.12.2019 • Clinique : légères OMI, dyspnée NYHA III, orthopnée, râles bibasaux Insuffisance cardiaque modérée : dysfonction VG avec FE 35-40 %. Insuffisance rénale modérée. Gonarthrose droite tricompartimentale. Insuffisance cardiaque NHYA III sur cardiopathie ischémique tritronculaire (FEVG 28 %) : • pose de CRT-D en prévention primaire le 17.12.2018 BPCO stade IIB selon GOLD en 2019 : • tabagisme actif (> 40 UPA), sevré en 2017, emploi de la cigarette électronique • hypoxémie légère (PaO2 à 62 mmHg), sans hypercapnie en 2015 • absence de trouble de la diffusion du CO selon DLCO 2017 • suivi chez Dr. X, dernier contrôle en 07/2019 Syndrome d'apnées obstructives du sommeil, de degré moyen, selon la polygraphie respiratoire du 12.11.2015 : • index d'apnées hypopnées à 21/h • refus de prise en charge thérapeutique • traitement CPAP interrompu en 2011 sur décision du patient Hyperplasie bénigne de la prostate Schizophrénie stabilisée (plus de suivi psychiatrique ni traitement médicamenteux) Epigastralgies chroniques sur bulbite chronique Obésité de stade III Hypertension artérielle Insuffisance cardiaque nouvelle avec FEVG à 45 % le 27.11.2019. Insuffisance cardiaque (NYHA II) avec FEVG à 45 %, ETT le 29.11.2019 • S. p. décompensation cardiaque le 28.11.2019 • ETT le 29.11.2019 : examen difficile compte tenu d'une qualité acoustique mauvaise : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée de la paroi postérieure, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Présence d'une prothèse (Edward Sapiens 26 mm) en position aortique non sténosante ni fuyante avec une cinétique normale, sans dysfonction. Le gradient max. VG-Aorte est de 18 mmHg. Surface aortique à 1,3 cm² (0,71 cm²/m²). Valve mitrale calcifiée (en particulier le feuillet postérieur). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Dysfonction diastolique importante (grade III). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Proposition le 02.12.2019 (Dr. X) : la patiente est compensée. Pas d'indication à une coronarographie ou à un changement de la médication. • Contrôle cardiologique recommandé à 6 mois Insuffisance cardiaque rythmique et hypertensive • Suspicion bloc AV 2ème degré de type Wenkebach, sus-décalage ST en V2-V3 non significatif, ECG du 19.12.2019. Le patient refuse une pose de pacemaker. Arrêt traitement Bêta-bloquant dès le 19.12.2019 • Décompensation cardiaque le 19.12.2019 avec traitement diurétiques IV du 20.12.2019 au 23.12.2019 puis reprise Torasémide dès le 24.12.2019 • Test de Schellong le 26.12.2019 : dans la norme Aneurysme abdominal (proximal/infrarénal et iliaque), 19.12.2019 • Aneurysme aortique abdominal 8 x 8,5 cm (mesuré à l'ultrason aux urgences), 19.12.2019 • Déjà connu en 2015 : aorte abdominale proximale 6 cm. Aorte abdominale infra-rénale > 6 cm. Iliaque commune droite 54 mm. • Refus d'intervention en 2015 et actuellement le patient refuse une intervention chirurgicale • Avis cardiologique (Dr. X) le 19.12.2019 : si anévrysme infrarénal uniquement, opération par endoprothèse possible. • Avis chirurgical (Dr. X) le 19.12.2019 : pas de prise en charge chirurgicale actuellement chez ce patient. Si prise en charge souhaitée à l'avenir : ad CT injecté Insuffisance rénale chronique avec Cr 161 mcmol/l, Cockcroft 24,7 le 30.12.2019 Insuffisance cardiaque sévère sur cardiomyopathie dilatée : • FEVG 20 % • bloc de branche gauche complet Insuffisance cardiaque sur cardiomyopathie dilatée d'étiologie indéterminée avec : • actuellement : dyspnée et douleurs thoraciques oppressives intermittentes probablement d'origine multifactorielle • Echocardiographie du 25.09.2017 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie sévère des segments restants. FEVG à 35 %. Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. • Coronarographie du 10.06.2017 : pas de lésion coronarienne • IRM cardiaque du 22.06.2017 : légère dilatation du VG, FEVG à 27 %, VD de taille normale avec fonction systolique abaissée, absence de fibrose • OAP sur probable pic hypertensif le 09.06.2017 nécessitant une ventilation non-invasive du 09.06.2017 au 10.06.2017 • US du 05.12.2017 : FE modérément diminuée à 37 %, trouble de la relaxation de grade I. Pas de pathologie valvulaire significative. • Ergométrie du 05.12.2017 : 200 watts (91 % du seuil), 7,7 METS (66 % du seuil). Capacité d'effort partiellement limitée. • status post pics hypertensifs symptomatiques sur non conformité médicamenteuse et incapacité à payer ses primes d'assurance maladie le 06.07.2018 • FEVG 40-45 % le 11.04.2018 • FEVG à 65 % lors du contrôle de septembre 2019 Sarcoïdose de stade I (syndrome de Lofgren) en décembre 2011 avec : • scanner thoracique de décembre 2011 : adénopathie hilaire et médiastinale symétrique • status post érythème noueux du membre inférieur droit • évolution spontanément favorable avec résolution des adénopathies au scanner de contrôle de décembre 2012 • suivi par Dr. X Adénome surrénalien droit de découverte fortuite en décembre 2011 avec : • scanner de contrôle en décembre 2012 : inchangé (contrôle à refaire dans 2 ans) • status post bilan endocrinologique en 2010 sans particularité Asthme poly-allergique cliniquement frustre avec : • tests cutanés de décembre 2012 : hypersensibilité aux acariens, à la poussière, aux pollens de graminés et au chat • fonctions pulmonaires complètes du 27.11.2012 (Dr. X) : trouble ventilatoire obstructif de degré léger (Tiffeneau 91 % du prédit, VEMS 71 % du prédit) • spirométrie du 20.12.2012 sous traitement de Symbicort (Dr. X) : absence de trouble ventilatoire obstructif (Tiffeneau 97 % du prédit, VEMS 95 % du prédit) Syndrome douloureux chronique de l'avant-bras gauche avec • status post contusion du poignet G avec contusion osseuse, tendineuse et lésion traumatique du N médian en septembre 2012 • complexe régional pain syndrome • status post traitement d'épreuve par neurostimulateur sans effet bénéfique • status post neurolyse du tunnel carpien en novembre 2012 • status post neurolyse des nerfs interosseux postérieurs et cure d'épicondylite du coude en juin 2013 • status post neurolyse du nerf radial gauche en juillet 2016 Syndrome lombo-spondylogène chronique avec : • IRM lombaire de mars 2010 : ostéochondrose L5-S1 avec protrusion discale médiane, spondylarthrose L4-S1 Insuffisance veineuse chronique stade II des deux côtés en 2011 Syndrome métabolique avec : • diabète type II inaugural avec HbA1c 6,6 % le 14.06.2017, HbA1C à 7,6 % en juillet 2018 • hypertension artérielle • dyslipidémie • obésité classe III selon OMS (BMI 39,1 kg/m²) Épisode dépressif sévère chronifié avec symptômes psychotiques F32.11. Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen chez patient connu pour épisode dépressif sévère chronifié avec symptômes psychotiques. Insuffisance cardiaque sur cardiomyopathie dilatée d'étiologie indéterminée avec : • actuellement : dyspnée et douleurs thoraciques oppressives intermittentes probablement d'origine multifactorielle Echocardiographie du 25.09.2017 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie sévère des segments restants. FEVG à 35 %. Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. • Coronarographie du 10.06.2017 : pas de lésion coronarienne • IRM cardiaque du 22.06.2017 : légère dilatation du VG, FEVG à 27 %, VD de taille normale avec fonction systolique abaissée, absence de fibrose • OAP sur probable pic hypertensif le 09.06.2017 nécessitant une ventilation non-invasive du 09.06.2017 au 10.06.2017 • US du 05.12.2017 : FE modérément diminuée à 37 %, trouble de la relaxation de grade I. Pas de pathologie valvulaire significative. • Ergométrie du 05.12.2017 : 200 watts (91 % du seuil), 7.7 METS (66 % du seuil). Capacité d'effort partiellement limitée. • status post pics hypertensifs symptomatiques sur non compliance médicamenteuse et incapacité à payer ses primes d'assurance maladie le 06.07.2018 • FEVG 40-45 % le 11.04.2018 Sarcoïdose de stade I (syndrome de Lofgren) en décembre 2011 avec : • scanner thoracique de décembre 2011 : adénopathie hilaire et médiastinale symétrique • status post érythème noueux du membre inférieur droit • évolution spontanément favorable avec résolution des adénopathies au scanner de contrôle de décembre 2012 • suivi par Dr. X Adénome surrénalien droit de découverte fortuite en décembre 2011 avec : • scanner de contrôle en décembre 2012 : inchangé (contrôle à refaire dans 2 ans) • status post bilan endocrinologique en 2010 sans particularité Asthme poly-allergique cliniquement frustre avec : • tests cutanés de décembre 2012 : hypersensibilité aux acariens, à la poussière, aux pollens de graminés et au chat • fonctions pulmonaires complètes du 27.11.2012 (Dr. X) : trouble ventilatoire obstructif de degré léger (Tiffeneau 91 % du prédit, VEMS 71 % du prédit) • spirométrie du 20.12.2012 sous traitement de Symbicort (Dr. X) : absence de trouble ventilatoire obstructif (Tiffeneau 97 % du prédit, VEMS 95 % du prédit) Syndrome douloureux chronique de l'avant-bras gauche avec • status post contusion du poignet G avec contusion osseuse, tendineuse et lésion traumatique du N médian en septembre 2012 • complexe régional pain syndrome • status post traitement d'épreuve par neurostimulateur sans effet bénéfique • status post neurolyse du tunnel carpien en novembre 2012 • status post neurolyse des nerfs interosseux postérieurs et cure d'épicondylite du coude en juin 2013 • status post neurolyse du nerf radial gauche en juillet 2016 Syndrome lombo-spondylogène chronique avec : • IRM lombaire de mars 2010 : ostéochondrose L5-S1 avec protrusion discale médiane, spondylarthrose L4-S1 Insuffisance veineuse chronique stade II des deux côtés en 2011 Syndrome métabolique avec : • diabète type II inaugural avec HbA1c 6.6 % le 14.06.17, HbA1C à 7.6 % en juillet 2018 • hypertension artérielle • dyslipidémie • obésité classe III selon OMS (BMI 39.1 kg/m2) Épisode dépressif sévère chronifié avec symptômes psychotiques F32.11. Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen chez Mr. Y connu pour épisode dépressif sévère chronifié avec symptômes psychotiques. Diabète de type 2 mal contrôlé le 06.07.2018 • HbA1c le 09.07.2018 : 7.6 % Insuffisance cardiaque sur cardiopathie congénitale avec : • grand canal atrio-ventriculaire partiel avec insuffisance valvulaire modérée • grande CIA de type primum (shunt G-D) • petite CIV musculaire (shunt G-D) • surcharge du cœur droit sur shunt G-D avec dilatation des cavités Retard pondéral/croissance sur insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque valvulaire avec cardiopathie ischémique, valvulaire et hypertensive • status après remplacement valvulaire aortique (TAVI) le 14.12.2017 à la clinique Cecil (Dr. X) avec valve Edwards 26 mm • prophylaxie endocardite bactérienne selon carte orange • hypertension artérielle pulmonaire modérée • fraction d'éjection ventriculaire gauche conservée 45 % (01/2020) • suivi par Dr. X • sous Bisoprolol et Aspirine • s/p Insuffisance cardiaque (NYHA II) avec FEVG à 45 %, ETT le 29.11.2019 Gonarthrose fémoro-tibiale interne et externe avec chondrocalcinose bicompartimentale à gauche, radiographie 28.11.2019 Bronchopneumopathie chronique obstructive (sous Symbicort) Cécité œil droit, et dégénérescence maculaire liée à l'âge de l'œil gauche Gonarthrose tricompartimentale Varices (sous Hirudoid) Déconditionnement et troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multiple • chute et fracture fibulaire gauche 28.11.2019 • s/p décompensation cardiaque le 28.11.2019 • gonarthrose fémoro-tibiale Adaptation de l'antalgie Physio- et ergothérapie Troubles du sommeil Trouble anxieux Insuffisance cardiaque valvulaire avec cardiopathie ischémique, valvulaire et hypertensive • status après remplacement valvulaire aortique (TAVI) le 14.12.2017 à la clinique Cecil (Dr. X) avec valve Edwards 26 mm • prophylaxie endocardite bactérienne selon carte orange • hypertension artérielle pulmonaire modérée • fraction d'éjection ventriculaire gauche conservée 45 % (2019) • suivi par Dr. X Gonarthrose fémoro-tibiale interne et externe avec chondrocalcinose bicompartimentale à gauche, radiographie 28.11.2019 Bronchopneumopathie chronique obstructive Cécité œil droit, et dégénérescence maculaire liée à l'âge de l'œil gauche Gonarthrose tricompartimentale Insuffisance cardiaque valvulaire avec cardiopathie valvulaire et hypertensive • coronarographie en 2016 (Dr. X) : sclérose coronarienne débutante • status après remplacement valvulaire aortique (TAVI) le 14.12.2017 à la clinique Cecil (Dr. X) avec valve Edwards 26 mm • prophylaxie endocardite bactérienne selon carte orange • hypertension artérielle pulmonaire modérée • fraction d'éjection ventriculaire gauche conservée 45 %, dysfonction diastolique importante (grade III) (12/2019) • suivi par Dr. X Gonarthrose fémoro-tibiale interne et externe avec chondrocalcinose bicompartimentale à gauche, radiographie 28.11.2019 Bronchopneumopathie chronique obstructive non stadée Cécité de l'œil droit et dégénérescence maculaire liée à l'âge de l'œil gauche Gonarthrose tricompartimentale Varices (sous Hirudoid) Troubles du sommeil Trouble anxieux Insuffisance chronotrope avec épisodes bradycardes Insuffisance chronotrope avec épisodes bradycardes entre 30-40 bpm Insuffisance de la crosse poplitée droite, asymptomatique. Tabagisme actif. Insuffisance de la plastie du LCA avec sensation d'une instabilité suite à l'ablation de la vis d'interférence au niveau fémoral en février 2019 sur status post-plastie du LCA du genou D en 2016 (Dr. X). Insuffisance de la veine grande saphène avec paquet de varices à la face interne de la cuisse sur un status de varices des membres inférieurs en 09.2012. Vertiges d'origine probablement vasovagal dans le contexte de douleurs abdominales d'origine peu claire le 04.03.2019 Hyperkaliémie à 5.2 mmol/l d'origine inconnue. Insuffisance hépatique le 22.12.2019 sur diagnostic n°1 avec hypoprotéinémie, hyponatrémie et perturbation de la crase. Insuffisance mitrale asymptomatique. Psoriasis léger non traité. Insuffisance pré-rénale aiguë AKIN I sur chronique KDIGO stade G3a A1 le 29.12.2019 : • GFR 38 ml/min • FeU : 29.2 % Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine prérénale le 27.01.20Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 • Créatinine à 76 le 19.01.2020 • Cockroft calculé à 33.9 ml/min • Fraction excrétion urée 20% Insuffisance rénale acutisée du 21.01.2020 GFR = 25 ml/mn selon CKD- Epi FeUrée = Insuffisance rénale aiguë Insuffisance rénale aiguë AKIN I, d'origine pré-rénale sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 21.01.2020 d'origine probablement pré-rénale • Laboratoire le 21.01.2020: eGFR 47 selon CKD EPI • Fe Urée 25% Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 le 22.12.2019 d'origine mixte sur rétention urinaire aiguë et déshydratation • GFR à 32 ml/min selon Cockcroft, créatinine à 182 umol/l • FeU à 26.4% Insuffisance rénale aiguë • créatinine à 111 micromol/l. Insuffisance rénale aiguë de probable origine pré-rénale, DD : déshydratation sur état fébrile Insuffisance rénale aiguë à 171 umol/l sans critère AKI sur insuffisance rénale chronique KDIGO G3b A2 Insuffisance rénale aiguë AKI II à 220 umol/l de créatinine sur insuffisance rénale chronique probablement dans le contexte d'un syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN ??? sur insuffisance rénale chronique, d'origine postrénale, 28.01.2020 Insuffisance rénale aiguë AKIN (créatinine à 132 umol/l, clairance à 55 ml/min) : • hyperkaliémie à 5.3 mmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 113 micromol/l le 31.12.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I (clairance estimée à 44.4 ml/min selon Cockcroft) Insuffisance rénale aiguë AKIN I (Créat à 104, GFR selon MDRD: 47.1) Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'allure pré-rénale le 11.01.2020, avec: • FEUrée: 26.7 Insuffisance rénale aiguë AKIN I, d'allure pré-rénale, le 17.01.2020: • FEUrée: 43.8%. • FENa: 2%. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'allure rénale le 17.01.20, DD: médicamenteux? • FEUrée: 49.8% • FENa: 2% Insuffisance rénale aiguë AKIN I DD sur prise d'AINS • GFR à 39 ml/min selon Cockroft • FE Urée à 33% Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine mixte sur déshydratation et rhabdomyolyse le 15.12.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I, d'origine prérénale : • syndrome cardio-rénal. Insuffisance rénale aiguë AKIN I, d'origine pré-rénale dans le contexte infectieux et sur syndrome cardio-rénal le 28.12.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 06.12.2019 dans le contexte infectieux Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation le 04.01.2020 • FEurée : 12.5% Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine septique le 24.11.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 11.01.20. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 16.01.2020 avec : • créatinine à 126 umol (104 le 15.01.2020). Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 17.01.2020 • GFR le 17.01.2020 : 79.2 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 20.01.2020 d'origine probablement pré-rénale avec créatinine à 115 umol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 20.01.2020 origine mixte pré-rénale et rénale • FeNa à 1.23% • créatinine à 138 umol/l, GFR selon CKD-EPI à 49 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement de type pré-rénal sur déshydratation et diarrhées. Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement d'origine pré-rénale et sur rhabdomyolyse (CK 10359) sur insuffisance rénale chronique stade G3aA1 (KDIGO) le 26.12.2019 avec : • Rhabdomyolyse suite au stationnement au sol prolongé : • MDRD 37.2 mL/min, CKD EPI 33 mL/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique d'origine indéterminée le 12.08.2019 • Athérosclérose • Hb à 113 03/2019 • FeUrée 45% DD : composante pré-rénale, composante médicamenteuse Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique d'origine pré-rénale : • Créatinine 174 µmol/l, GFR 22.7 ml/min/1.73 m² (31.12.19) Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique G2 selon KDIGO d'origine pré-rénale le 05.01.2020. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique G3a, 12.01.2020 • d'origine pré-rénale • FE urée 15.3% le 12.01.2020 Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique stade II probablement d'origine multi-factorielle le 28.12.2019 : • Contexte infectieux • Médicamenteux Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique stade 4 le 27.12.2019 d'origine pré-rénale DD : probable syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur probable chronique : • Créatinine 132 µmol/l, GFR 44 ml/min/1.73 m² (31.12.19) Insuffisance rénale aiguë AKIN II Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale • FE Na+ 1% Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine probablement pré-rénale le 15.01.2020 • Créatinine 174 umol/l, eGFR à 31 ml/min/1.73 m2 • DD : Origine chronique sous-jacente ? Nécrose tubulaire aiguë ? Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine rénale sur prise d'AINS et pré-rénale sur déshydratation • Notion de prise de 4 cpr d'Ibuprofène le 31.10.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique stade G3a selon KDIGO le 24.12.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur insuffisance rénale chronique G3a le 17.12.2019 • DD sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique pluri-factorielle le 23.12.2019 : • cardio-rénale sur bas-débit, produit de contraste, hypovolémie et contexte de néphropathie chronique • acidose métabolique • hypocalcémie et hyperphosphatémie Insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique sur insuffisance rénale chronique le 16.01.2020, DD : induite par Gemzar, lupus érythémateux, microangiopathie thrombotique (MAT), SHU : • créatinine à 728 umol/l, eGFR à 6 ml/min (créatinine basale à 200 umol/l) • hyperkaliémie à 6.9 mmol/l • acidose métabolique Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine indéterminée le 16.01.2020 avec : • clairance à 6 ml/min (créatinine à 722 umol/l, urée à 33.9 mmol/l) • hyperkaliémie à 6.9 mmol/l • acidose métabolique (Ph 7.27, Bic à 10 mmol/l, PCO2 à 2.9 kPA, lactates à 0.7 mmol/l) • pré-OAP Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine mixte (pré-rénale et post-rénale) le 16.01.2020 • urétéro-hydro-néphrose droite sur calcul de 6x5 mm de diamètre situé au niveau de l'uretère proximal, à 20 mm distalement de la jonction pyélo-urétérale • créatininémie à 183 µmol/l • FeUrée 11 %. Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine pré-rénale avec hyperkaliémie • Créatinine 349 umol/l le 21.01.2020 • Cockroft 27 ml/min • Fraction excrétion urée 29.7% Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine prérénale le 03.01.2020 • créatinine à 281 µmol/l le 31.12.2019 • FeNa 0.9% - origine prérénale • dans le contexte des diarrhées sous chimiothérapie (encorafenib + binimetinib + cétuximab). Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine pré-rénale • Sur syndrome cardiorénale puis déplétion volémique iatrogène. Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine rénale sur néphropathie de contraste le 21.12.2019 : • avec composante pré-rénale • CT abdominal injecté le 21.12.2019 • FeUrée 32% • hypocalcémie et hyperphosphatémie • connu pour stricture urétérale post-radique avec sonde double J bilatérale. Insuffisance rénale aiguë AKIN III sur chronique d'origine prérénale le 29.11.2019 avec : • acidose métabolique compensée • hyperphosphatémie à 1.75 mmol/L le 05.01.2020 • diurèse conservée • FE urée 31.9% • sur néphropathie chronique diabétique et hypertensive stade KDIGO III. Insuffisance rénale aiguë AKIN III, sur chronique, d'origine pré-rénale sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN III sur insuffisance rénale chronique • créatinine à 180 µmol/l le 21.06.2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN III sur précipitation des chaînes légères (kappa) du myélome multiple le 23.12.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 31.12.2019 sur déshydratation avec : • eGFR : 36 ml/min • FeUrée à 42.3% Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 107 µmol/l, GFR à 60 ml/min le 21.10.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'atteinte mixte (FEUrea à 53.1%). Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale le 01.01.2020 • Créatinine 186 umol/l, eGFR 22 ml/min/1.73 m2 • FeUrée à 20% Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale le 08.11.2019 Thrombose veineuse profonde proximale du MIG étendue jusqu'au niveau de la veine fémorale superficielle proximale à la jonction avec la veine fémorale commune en novembre 2019 Thrombose des veines jumelles interne et externe D avec suspicion d'embolie pulmonaire le 24.07.2018, sous anticoagulation pendant 6 mois Traumatisme crânien le 01.02.2019 sur chute avec rhabdomyolyse Pneumonie à pneumocoques le 02.02.2019 État confusionnel aigu dans un contexte infectieux le 24.07.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 101 µmol/l et clearance à 43 ml/min le 24.07.2018 Globe urinaire le 24.07.2018 Cholécystite lithiasique avec syndrome de Mirizzi traité par antibiothérapie en août 2018 Cholécystite aiguë lithiasique le 26.03.2017 Ulcère gastrique au niveau du pylore le 07.10.2013 Sepsis sévère sur pneumonie lobaire inférieure G pneumococcique en 2012 et 2017 PTG G en 2006, PTH D en 2008 Cure de hernie discale L4-L5 D en 1966 Insuffisance rénale aiguë AKIN I • d'origine pré-rénale probable Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement mixte, le 15.01.2020 • insuffisance rénale chronique • déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement pré-rénale le 05.01.2020 • DD sur choc septique Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine rénale, 29.01.2020 • eGFR 34 ml/min, Créatinine 160 µmol/l • sur produit de contraste Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 03.01.2020 • d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 04.01.2020. Insuffisance rénale aiguë AKIN I prérénale et sur produit de contraste le 25.12.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale • FeNa 0.27%, FeU 8.87% Insuffisance rénale aiguë AKIN I prérénale le 03.01.2020 Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale le 06.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement d'origine prérénale Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement pré-rénale le 25.12.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement pré-rénale ou sur la composante de décompensation cardiaque sur IRC chronique stade 3 avec : • MDRD à 24 mL/min/1.73 m2 le 30.12.2017 • Nouvelle péjoration dès le 06.01.2019 d'origine pré-rénale le plus probable Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique (KDIGO 3a) le 07.01.2020 • créatinine 155 µmol/l • eGFR 35 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique G3bA1 (selon KDIGO) le 09.01.2020 : • DD : origine pré-rénale • créatinine à 247 umol/l, eGFR à 25 ml/min • FE urée : 37% Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine post-rénale le 05.01.2020 Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale dans le contexte infectieux le 10.01.2020 • FEurée 36% Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale le 27.12.2019 • FeNa 0.15% Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale le 27.12.2019 • FeNa 0.15% • Clairance rénale à 35 ml/min selon CKD-EPI Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale sur diarrhées le 11.01.2020 • FE Na : 0.25% Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 anurique sur nécrose tubulaire aiguë le 03.10.2019 • avec composante de néphropathie à IgA probablement secondaire à la cirrhose d'origine alcoolique • DD : dans contexte de possible maladie systémique • ß-NAG 8.70 U/L, lysozyme 146 kU/L • ponction-biopsie rénale le 10.10.2019 : nécrose tubulaire aiguë, pas de signe de vasculite, dépôts d'IgA • complications : surcharge hydrique, encéphalopathie urémique, atteinte pulmonaire interstitielle • hémodiafiltration veino-veineuse continue du 10.10 au 13.10.2019 • encéphalopathie urémique le 10.10.2019 • dialyse intermittente aiguë dès le 15.10.2019 Pneumonie basale droite le 03.10.2019 Hémorragie gastro-intestinale haute dans le contexte d'un ulcère duodénal le 15.10.2019 • OGD le 16.10.2019 (Dr. X) : ulcère bulbaire Cure de hernie inguinale indirecte droite le 16.01.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 avec nécrose tubulaire aigu d'origine mixte le 02.12.2019 • rénale sur rhabdomyolyse anurique • pré-rénale (diarrhées) Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 avec nécrose tubulaire aigu d'origine mixte le 02.12.2019 • rénale sur rhabdomyolyse d'origine virale • pré-rénale (diarrhées) Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 avec oligurie d'origine rénale le 11.11.2019 • Néphropathie aux oxalates (biopsie le 03.01.2020) • Créatinine à 86 umol/l en 06/2019 • Créatinine à 795 umol/l, urée 38 mmol/l le 12.11.2019 • Acidose métabolique sévère et hyperkaliémie • Avec anémie d'origine rénale probable • Urine de 24/h le 12.01.2020 : pas de traces d'oxalates, Vit C dans la norme • Bilan métabolique le 13.01.2020 : pas d'oxalates au niveau plasmatique • Bilan maladie cœliaque : négatif Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 dès le 15.01.2020 • Rein gauche atrophique Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 pré-rénale GFR 10 mL/min FeUrée à 19% Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur chronique d'origine pré-rénale le 20.12.2019 • Créatinine baseline 120 mcmol/l anamnestiquement Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur chronique d'origine pré-rénale le 20.12.2019 • créatinine baseline 120 mcmol/l anamnestiquement. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine indéterminée • Clairance 52 ml/mn /1.73 m2 selon MDRD • FeNa 1.15 % FeUrée 20.17 % Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine indéterminée • Clairance 52 ml/mn /1.73 m2 selon MDRD • FeNa 1.15 % FeUrée 20.17 % Insuffisance rénale aiguë anurique AKIN III d'origine pré-rénale le 23.01.2020 • Acidose métabolique lactique et rénale sévère • Hyperkaliémie à 7.2 mmol/l Insuffisance rénale aiguë anurique AKIN III le 15.11.2019 • Clampage aortique supra-rénal d'une durée de 3 heures • Rhabdomyolyse post-opératoire le 16.11.2019 • Atrophie du rein gauche sur occlusion chronique de l'artère rénale gauche Insuffisance rénale aiguë anurique KDIGO 3 le 30.01.2020 Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 153 mmol/l stade AKIN I Insuffisance rénale aiguë • clairance 40 ml/min selon CKD-EPI Insuffisance rénale aiguë d'allure pré-rénale le 28.01.2020 avec : • FeNa : 1.9%. Insuffisance rénale aiguë d'allure rénale le 28.01.2020 avec : • FeNa : 1.9%. Insuffisance rénale aiguë dans un contexte de néphropathie chronique avancée (diagnostiquée en février 2013) sur glomérulosclérose globale avec : • baisse de l'état général • anémie à 68 G/l • acidose métabolique le 06.03.2017, hypercorrigée en alcalose après la dialyse • hyperkaliémie à 5.6 mmol/l • non conformité au traitement • Biopsie rénale du 23.12.2012 : néphropathie chronique avancée avec glomérulosclérose globale montrant une glomérulonéphrite mésangio-proliférative, fibrose interstitielle importante, atrophie tubulaire et examen en immunofluorescence ininterprétable. L'image histologique fait suspecter une glomérulonéphrite IgA. Hépatite B guérie avec des anticorps HBc IgG positifs. Tabagisme actif. Consommation abusive de THC. Hypertrophie ventriculaire gauche (échocardiographie (Dr. X) 27.02.2013, 04.03.2013 et 11.03.2013) Sérologie hépatites du 25.02.2013 : C négative, D négative, E : IgG positifs, IgM négatifs. Trouble dépressif. Insuffisance rénale aiguë DD chronique • eGFR 33 ml/min • FeUrée : 36.8% • baseline créatinine 110 mcmol/l Insuffisance rénale aiguë DD chronique • eGFR 36 ml/min Insuffisance rénale aiguë de probable origine pré-rénale sans critères AKIN le 22.01.2020 Insuffisance rénale aiguë d'origine indéterminée Insuffisance rénale aiguë d'origine mixte pré-rénale et rénale (nécrose tubulaire aiguë), AKIN 3, sur une insuffisance rénale chronique K-DOCI III (07.02.2017) Anémie normocytaire normochrome d'origine rénale probable (07.02.2017). Adénocarcinome de la prostate • prostatectomie (12.2017) • radiothérapie (06.2018) Cervicarthrose C5-C6 (2001) Dolicho-sigmoïde (2001) Chute épaule G en 1998 : • Acromioplastie G : excision arthroscopique d'une calcification sous-scapulaire (1999) Insuffisance rénale aiguë d'origine mixte pré-rénale et rénale (nécrose tubulaire aiguë), AKIN 3, sur une insuffisance rénale chronique K-DOCI III (07.02.2017) Anémie normocytaire normochrome d'origine rénale probable (07.02.2017). Adénocarcinome de la prostate • prostatectomie (12.2017) • radiothérapie (06.2018) Cervicarthrose C5-C6 (2001) Dolicho-sigmoïde (2001) Chute épaule G en 1998 : • Acromioplastie G : excision arthroscopique d'une calcification sous-scapulaire (1999) Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN 1 sur chronique le 06.08.2019. Insuffisance cardiaque le 19.06.2019 avec : • œdème aigu du poumon sur pic hypertensif Possible pneumonie basale droite communautaire le 07.12.2016. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 vs chronique d'origine rénale le 07.12.2016 Hypothyroïdie primaire subclinique le 13.12.2016. Pneumothorax drainé en juin 2016 (Bâle). Cholecystectomie, appendicectomie probable (n'est pas sûr). Insuffisance cardiaque globale le 20.08.2019. • probablement iatrogène sur hydratation parentérale lors de la dernière hospitalisation • FEVG estimé à 35% en juin 2018. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée 08/19 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN 1 sur chronique le 20.08.2019, • estimation de la clairance à 25.8 ml/min selon MDRD Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN 1 sur chronique le 06.08.2019. Insuffisance cardiaque le 19.06.2019 avec : • œdème aigu du poumon sur pic hypertensif Possible pneumonie basale droite communautaire le 07.12.2016. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 vs chronique d'origine rénale le 07.12.2016 Hypothyroïdie primaire subclinique le 13.12.2016. Pneumothorax drainé en juin 2016 (Bâle). Cholecystectomie, appendicectomie probable (n'est pas sûr). Insuffisance cardiaque globale le 20.08.2019. • probablement iatrogène sur hydratation parentérale lors de la dernière hospitalisation • FEVG estimé à 35% en juin 2018. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée 08/19 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN 1 sur chronique le 20.08.2019, • estimation de la clairance à 25.8 ml/min selon MDRD Syndrome grippal Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale avec : • hypokaliémie à 3.4 mmol/l. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 21.12.2019, puis le 30.12.2019 • FeUrée à 32% le 21.12.2019 • FeUrée à 15.6% le 30.12.2019 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 24.01.2020 • FeNa 0.8% le 24.01.2020 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 31.12.19 • FeUrée 17% • DFG 28 ml/min selon Cockcroft-Gault Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale sans critère AKIN sur chronique G3a d'origine mixte (rénale et pré-rénale) le 22.01.2020 : • FeUrée : 21.2% • présence de cylindre hyalin. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale, 16.01.2020 • eGFR 53 ml/min, créatinine 114, le 16.01.2020 Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement intra-rénale. • créatinine à 134 micromol/l. • Feurée à 38%. • FeNa à 1%. Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement post-rénale, 20.01.2020. • eGFR 32 ml/min, créatinine 172 mcmol/l. Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement pré-rénale. Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement pré-rénale le 03.12.2019 Status post ulcère duodénal en 1998 Status post colique néphrétique Status post opération du tendon d'Achille Hématochézie sur suspicion d'ischémie mésentérique le 13.11.2016 Ulcère duodénal Diverticulose sigmoïdienne Status post amygdalectomie Status post appendicectomie Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement pré-rénale le 03.12.2019. Status post ulcère duodénal en 1998. Status post colique néphrétique. Status post opération du tendon d'Achille. Hématochézie sur suspicion d'ischémie mésentérique le 13.11.2016. Ulcère duodénal. Diverticulose sigmoïdienne. Status post amygdalectomie. Status post appendicectomie. Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement prérénale sur : • Reins en fer à cheval avec reflux vésico-urétéral de stade III à droite, II à gauche Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale • Créatinine 116 umol/l le 23.01.2020 • Cockroft 50 ml/min • Fe urée 46% Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale • Créatinine 116 umol/l le 23.01.2020 • Cockroft 50 ml/min • Fe urée 46% Insuffisance rénale aiguë du 22.01.2020 • contrôle le 30.01.2020 chez médecin traitant Insuffisance rénale aiguë en péjoration le 16.01.2020 : • d'origine probablement pré-rénale avec inversion du spot. Insuffisance rénale aiguë initialement à 196 mcmol/l le 17.01.2020 • CT 10.01.2020 : pas de dilatation pyélocalicielle, pas de signe en faveur d'une obstruction • décompensation probablement due à un syndrome de Lyse Insuffisance rénale aiguë KDIGO I Insuffisance rénale aiguë KDIGO I d'origine prérénale le 03.02.2020 • contexte infectieux, déshydratation Insuffisance rénale aiguë KDIGO I d'origine prérénale le 03.02.2020 • contexte infectieux, déshydratation. Insuffisance rénale aiguë KDIGO I d'origine probablement mixte le 27.01.2020 Insuffisance rénale aiguë KDIGO II le 20.01.2020 • origine pré-rénale sur bas débit le 20.01.2020 • origine rénale sur néphropathie de contraste Insuffisance rénale aiguë KDIGO II le 20.01.2020 • origine pré-rénale sur bas débit le 20.01.2020 • origine rénale sur néphropathie de contraste Insuffisance rénale aiguë KDIGO II d'origine fonctionnelle sur déshydratation le 05.01.2020 Insuffisance rénale aiguë KDIGO II d'origine mixte (pré-rénale et post-rénale) le 16.01.2020 • Créatinine 183 umol/l, eGFR 24 ml/min/1.73m2 • FeNa 0.22% Insuffisance rénale aiguë KDIGO II le 10.01.2020 • sur décompensation ascitique. Insuffisance rénale aiguë KDIGO III d'origine mixte le 13.01.2020 • post-rénale sur compression néoplasique et sur syndrome cardio-rénal • avec hyperkaliémie à 6.0 mmol/L, acidose métabolique, surcharge volémique Insuffisance rénale aiguë KDIGO III d'origine post-rénale bilatérale sur progression d'une tumeur vésicale le 25.12.2019 avec : • acidose métabolique, hyperkaliémie et hyperphosphatémie Insuffisance rénale aiguë KDIGO III sur insuffisance rénale chronique • sur BAV complet (DD : bas débit, NTA) • avec hyperkaliémie à 5.7 mmol/L et acidose métabolique compensée • créatinine à 132 mcmol/l en 2017 Insuffisance rénale aiguë KDIGO stade I probablement d'origine prérénale sur insuffisance rénale chronique le 30.01.2020 avec : • Fraction d'éjection urée : ___ • Créatinine 181 umol/l le 30.01.2020 Insuffisance rénale aiguë KDIGO 1 sur chronique KDIGO 2 le 13.01.2020 : • créatinine habituelle 76 umol/l • sous Entresto et Métoprolol pour raison indéterminée avec suivi chez Dr. X Insuffisance rénale aiguë KDIGO 1 sur chronique, 29.12.2019 • Creat 231, eGFR 17 ml/min Insuffisance rénale aiguë KDIGO 1 sur possible syndrome hépato-rénal de type II le 02.01.2020 • Créatinine 139 umol/l • Clairance 50.3 ml/min le 10.01.2020 Insuffisance rénale aiguë KDIGO 2 d'origine prérénale : • Hypotension à 88/60 mmHg • hyperkaliémie à 5.8 mmol/L le 07.01.2020 Insuffisance rénale aiguë KDIGO 2 d'origine prérénale le 07.01.2020 • FE Na < 0.1% • hypotension à 88/60 mmHg • hyperkaliémie à 5.8 mmol/L le 07.01.2020 • Urines 09.01.2020 : cylindres hyalins sans autre particularité Insuffisance rénale aiguë KDIGO 2 d'origine pré-rénale le 12.01.2020 • Spot : FENa 0.2% ; clairance 19.5 ml/min Insuffisance rénale aiguë KDIGO 2 d'origine pré-rénale le 12.01.2020 • Spot : FENa 0.2% ; clairance 19.5 ml/min PTG G 05.02.18 avec révision le 12.03.18 pour libération et suture de l'aileron rotulien externe PTG D 29.08.16 Opération cataracte Ostéosynthèse radius distal G 01.2015 Ostéosynthèse olecrâne G 03.2006 Prothèse épaule D 2005 Fracture ischio-pubienne 2003 Insuffisance rénale aiguë KDIGO 2 le 24.12.2019, d'origine indéterminée : • Fe Urée à 28 % • DD : toxique sur des médicaments / sur déshydratation suite au traitement diurétique / syndrome cardio-rénal • accompagnée de troubles électrolytiques par hyperkaliémie et hyperphosphatémie • urémie progressive • hyperparathyroïdie probablement secondaire, dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique Insuffisance rénale aiguë KDIGO 3 d'origine rénale (nécrose tubulaire aiguë) le 27.11.2019 • DD : NTA sur sepsis et néphrotoxiques (Bactrim, Vancomycine), néphropathie de contraste Insuffisance rénale aiguë le 01.01.2020 : • DFG à 56 ml/min selon CKD-EPI. Insuffisance rénale aiguë le 06.01.2020 Insuffisance rénale aiguë le 23.01.2020 Origine probablement cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë le 25.12.2019 Insuffisance rénale aiguë le 29.01.20 Insuffisance rénale aiguë légère sans critère AKIN avec créatinine à 106 µmol/l le 13.01.2020. Insuffisance rénale aiguë modérée avec créatininémie à 134 micromol/l le 16.01.2020 Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique, AKIN III, d'origine prérénale le 02.01.2020 • Créatinine 225 umol/l, eGFR 30 ml/min/1.73 m2 • FeNa 0.1% Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique, AKIN III, d'origine prérénale le 02.01.2020 • Créatinine 225 umol/l, eGFR 30 ml/min/1.73 m2 • FeNa 0.1% Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique, AKIN III, le 20.12.2019 • DD : cardio-rénal, néphropathie de contraste • Créatinine à 158 umol/l, eGFR à 29 ml/min/1.73 m3 selon CKD-EPI • FEurée : 8.3% Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique, AKIN III, le 20.12.2019 sur : • néphropathie au produit de contraste • syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique KDIGO III avec éosinophilurie le 27.12.2019 • probable néphrite immuno-allergique secondaire à la pipéracilline-tazobactam • DD : néphropathie à IgA, glomérulonéphrite post-infectieuse, microangiopathie thrombotique rénale moins probables. • dans un contexte d'insuffisance rénale chronique G3b Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique KDIGO III avec éosinophilurie le 27.12.2019 • probable néphrite immuno-allergique secondaire à la pipéracilline-tazobactam • DD : néphropathie à IgA, glomérulonéphrite post-infectieuse, microangiopathie thrombotique rénale moins probables. • dans un contexte d'insuffisance rénale chronique G3b Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique KDIGO III probablement sur néphrite interstitielle immuno-allergique (pipéracilline-tazobactam) • sur insuffisance rénale chronique KDIGO G3bA3, d'origine peu claire probablement diabétique/hypertensif • créatinine sérique basale à 160 umol/l • éosinophilurie le 27.12.2019 • le 31.12.2019 : HBV positif, HCV/HIV négatif • le 01.01.2020 : C3/C4 normal, ANCA/ANA normal, électrophorèse des protéines et immunofixation normales • US voies urinaires 02.01.20 : pas d'argument pour une atteinte post-rénale. Signes mineurs d'une atteinte chronique du parenchyme • biopsie rénale le 09.01.2020 (Inselspital Berne) : image d'une atteinte tubulaire aiguë avec régénération. Infiltrat inflammatoire interstitiel. Glomérulosclérose de type global (6/11) et segmentaire (1/11). Athérosclérose modérée focalisée Insuffisance rénale aiguë oligurique AKIN 2 sur néphropathie chronique diabétique et hypertensive stade 3 avec: • Acidose métabolique compensée • Acutisation le 02.12.2019 suite à une globe urinaire • Insuffisance rénale aiguë prérénale AKIN I le 13.12.2019 sur chronique CKD III A: • Dans le cadre de l'hématome du MIG • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN 1 sur chronique G3bA1 (selon KDIGO) le 09.01.2020 : • créatinine à 247 umol/l, eGFR à 25 ml/min • FE urée : 40.6% le 10.01.2020 • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique stade G3b-4 le 04.01.2020 • créatinine 215 mcmol/l, eGFR 23.3 ml/min/1.73m² • FE urée 24.1% • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale et rénale le 13.09.2019 • hydratation intra-veineuse. • Thrombopénie aiguë le 16.09.2019 : • contrôle hématologique. • Traumatisme crânio-cérébral le 28.08.2019 avec: • hémorragies sous-arachnoïdiennes temporo-basales droites • hématome sous-dural temporo-basal droite 8 mm et contusion parenchymateuse au même endroit • fracture arcade de l'os zygomatique gauche non déplacée avec hématome de l'orbite latéral gauche, hémato-sinus • fracture ouverte os temporo-pariétale gauche avec plaie de 5 cm • plaie cutanée de 3 cm au niveau de l'arcade sourcilière gauche • suture plaies sous anesthésie locale le 28.08.2019 : ablations des fils le 03.09.2019. • Insuffisance respiratoire hypoxémique le 18.09.2019 : • drain pleural gauche du 18.09. au 19.09.2019 • drain pleural droite du 18.09.2019 au 19.09.2019. • VNI dès le 18.09.2019. • Lasix du 18.09. au 20.09.2019. • Torasemid dès le 20.09.2019. • Vulvo-vaginite à candida et infection urinaire basse à E. coli le 09.09.2019 • Nitrofurantoïne retard 2x/jour du 09.09 au 13.09.2019 • Nystatine crème 2-3 fois par jour du 10.09. au 18.09.2019 • Fluomizin 1 ovule vaginal la nuit du 09.09 au 15.09.2019 • Itraconazole 2 cp /j du 10.09 au 12.09.2019. • Hyponatrémie hypo-osmolaire à 114 mmol/l symptomatique le 04.09.2019 : • avec crise convulsive tonico-clonique, confusion et agitation le 04.09.2019. • Hypoacousie droite post traumatique 02.09.2019. • Appendicectomie et cholécystectomie. • Ancienne dépendance à l'alcool. • Sigmoïdectomie selon Hartmann aux HUG en 2011, avec status post-rétablissement de la continuité en 2011 aux HUG : • iléus grêle en 2015, 2017, 09/2018 et 10/2018 traités conservativement. • Infection urinaire basse à E. coli le 09.09.2019. • Malnutrition protéino-énergétique grave 5/7 avec une perte du 7,8 % pendant un mois • alimentation parentérale du 15.09.2019 au 17.10.2019, sous contrôle de syndrome refeeding. • Chute mécanique le 03.11.2019 avec TC sans PC. • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sans critère AKIN d'origine pré-rénale. • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sans critères AKIN, dans le contexte d'insuffisance rénale chronique sur hydronéphrose gauche. • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur déshydratation le 14.12.2019. • Insuffisance rénale aiguë probable pré-rénale. • Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine prérénale • Fe Urée 29.6 % • clearance 50 ml/min le 06.01.2020 • Insuffisance rénale aiguë à 114 mmol/l sans critère AKIN. • Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN dans un contexte d'insuffisance rénale chronique le 22.01.2020 : • iatrogène sur traitement diurétique par Lasix. • Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN • GFR 70 ml/min • Fe Urée 41.6 %. • Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN, le 15.01.2020. • Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN post-injection de produit de contraste le 30.01.2020. • Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN sur chronique le 26.12.2019 • DD produit de contraste DD bas débit • Créatinine base line 140 mcmol/l • Status post-néphrectomie gauche en 2007 pour carcinome • FE Urée 36 %. • Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN, d'origine fonctionnelle le 11.01.2020. • Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN d'origine fonctionnelle le 11.01.2020 • Créatinine à 120 umol/l, eGFR à 63 ml/min/1.73m² • Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN le 20.01.2020 sur déshydratation avec : • créatinine à l'entrée 116 umol/l • Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN le 28.12.2020 : • Fe Urée à 43,9 % : d'origine rénale. • Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN sur chronique G4 selon KDIGO le 19.12.2020. • Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN sur chronique stade 3B d'origine pré-rénale le 19.12.2019 : • FENa 0.8 % • GFR 23.9 ml/min. • Insuffisance rénale aiguë secondaire à la chimiothérapie. • Insuffisance rénale aiguë stade AKIN I d'origine pré-rénale le 11.01.2020 : • FE Urée : 26.7. • Insuffisance rénale aiguë stade AKIN II d'origine rénale le 28.09.2019 DD syndrome cardio-rénal, néphrite interstitielle immuno-allergique (éosinophilie et éosinophilurie), d'origine médicamenteuse (Ceftriaxone, Tazobac) • miction préservée • FE Urée : 39 %, clairance selon CKD-EPI : 17 ml/min • Contexte de néphropathie chronique stade III KDIGO (créatinine habituelle à 190-200 umol/L). • Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 d'origine pré-rénale le 01.01.2020. • Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 d'origine pré-rénale sur déshydratation le 02.01.2020. • Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 d'origine pré-rénale sur déshydratation, le 15.01.2020 : • composante de rhabdomyolyses • FE urée : 9 %. • Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 d'origine pré-rénale sur déshydratation sur chronique stade IIIb selon KDIGO le 01.01.2020. • Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 2 d'origine pré-rénale sur déshydratation : • FE Na : 0.08 % • Reins en fer à cheval avec reflux vésico-urétéral de stade III à droite, II à gauche. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN II d'origine pré-rénale • avec hyperkaliémie associée. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique, AKIN III, d'origine prérénale le 02.01.2020 avec : • acidose métabolique compensée • diurèse conservée • FE urée 31.9 % • sur néphropathie chronique diabétique et hypertensive stade KDIGO III. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN 1 • DD : déshydratation. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique avec • Creat 294 mmol/l • eGFR CKD EPI 12. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique • Avec créatinine à 214 umol/l le 17.01.2020 • eGFR à 27 ml/min. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique • DD sur syndrome cardiorénale. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique d'origine post-rénale. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique d'origine pré-rénale • eGFR à 27 ml/min/1.73m² • FE urée : 28.9 %. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique d'origine pré-rénale le 31.12.19 • DFG 26 ml/min selon CKD-EPI • FE Na 0.4 %. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique d'origine pré-rénale le 31.12.2019 • DFG 26 ml/min selon CKD-EPI • FE Na 0.4 %. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 04.01.2020 • eGFR 42 ml/min. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 23.01.2020. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 24.01.2020 • eGFR 26 ml/min • FE U : 66.9 %. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 29.01.2020 • eGFR à 20.6 ml/min (MDRD) • FE U 39.3 %. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 30.01.20. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique stade G3a selon KDIGO d'origine probablement pré-rénale le 04.01.2020. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique stade G3b avec : • créatinine 129 µmol/l avec eGFR selon CKD-EPI 32 ml/min/1.73 m² le 23.07.2019.• créatinine 300 umol/l avec eGFR selon CKD-EPI 12 ml/min/1.72 m2 le 2.2.20 • Insuffisance rénale aiguë sur chronique stade IV, AKIN 1 possiblement sur déshydratation • GFR selon CKD-EPI 37 ml/min/1.73 m² le 27.08.2019 • GFR selon CKD-EPI 28 ml/min/1.73 m² le 18.01.2020 • Insuffisance rénale aiguë sur chronique stade KDIGO G4A1 sans critère AKIN le 30.12.2019 • Créatinine à 174 mM le 30.12.2019 • Hématurie au sédiment le 03.01.2020 • Protéinurie à 1 g/24h • Insuffisance rénale aiguë sur chronique stade 2 selon KDIGO d'origine probablement mixte avec : • contexte d'anémie et septique • créatinine à 116 umol/l le 20.12.2019, e-GFR à 50 ml/min selon CKD-EPI • Insuffisance rénale aiguë sur chronique sur néphroangiosclérose hypertensive de stade IV (GFR 30 ml/min) le 01.05.2018 • Insuffisance rénale aiguë sur déshydratation, le 09.01.2020. • Insuffisance rénale aiguë sur Methotrexate, avec dialyses du 25.10 au 19.11.2019 • Insuffisance rénale aiguë sur probable déshydratation avec Créat à 106 umol/L. Gastroentérite. • Insuffisance rénale aiguë sur syndrome cardio-rénal de type 1 sur chronique KDIGO G3a1 le 25.12.2019 • Avec rétention urinaire aiguë le 25.12.2019 • FE Na : 0.2 % • Insuffisance rénale aiguë versus chronique • Créatinine 130, eGFR 49 • Insuffisance rénale aiguë versus chronique G3b • Insuffisance rénale aiguë vs chronique d'origine indéterminée (DD hypertensive, autre) • CKD-EPI 35 ml/min/1.73 m2 • Insuffisance rénale AKIN I, d'origine pré-rénale : • Probablement dans le contexte d'un syndrome cardio-rénal • Insuffisance rénale AKIN I d'origine prérénale : • Sur déshydratation • Insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale le 01.01.2020 • Fe urée : 16.6 % • Insuffisance rénale AKIN I d'origine probablement pré-rénale le 09.01.2020, avec : • FE urée : 36 % • Insuffisance rénale AKIN I le 19.12.2019 • créatinine : 58 ml/mn • Fe Na : 1.34 % (mixte) • Insuffisance rénale AKIN I probablement prérénal le 04.01.2020 • DD déshydratation • Insuffisance rénale AKIN I sur chronique stade 4 selon KDIGO le 27.12.2019 d'origine pré-rénale : • Syndrome cardio-rénal. • Insuffisance rénale AKIN II le 23.09.2017. • Insuffisance rénale AKIN II prérénale probablement sur déshydratation. • FeNa : 0.5 % • Insuffisance rénale AKIN II le 26.01.2020 sur choc et produit de contraste • Créatinine à 243 umol/l, eGFR 21 ml/min/1.73 m2 • Fe urée 36.35 % • DD : nécrose tubulaire aiguë • Insuffisance rénale AKIN 1 d'origine prérénale, le 03.01.2020 • FE urée, 03.01.2020 : 32.8 % : pré-rénal • Insuffisance rénale AKIN 1 d'origine prérénale le 21.01.2020 • Insuffisance rénale avec MDRD : 31.3. • DD : pré-rénale, insuffisance rénale chronique. • Insuffisance rénale chronique • Insuffisance rénale chronique • Insuffisance rénale chronique • Insuffisance rénale chronique • Insuffisance rénale chronique • Insuffisance rénale chronique • Insuffisance rénale chronique • Insuffisance rénale chronique • Insuffisance rénale chronique. • Insuffisance rénale chronique • CKD-EPI à 34 • Diabète sucré de type 2 insulino-requérant. • Hypercholestérolémie. • Hypertension artérielle. • Syndrome de dépendance à l'alcool avec cirrhose alcoolique. • Cardiopathie rythmique et possiblement ischémique (non investiguée) avec flutter atypique en 2015. • Insuffisance rénale chronique • CKD-EPI à 34 • Diabète sucré de type 2 insulino-requérant. • Hypercholestérolémie. • Hypertension artérielle. • Syndrome de dépendance à l'alcool avec cirrhose alcoolique. • Cardiopathie rythmique et possiblement ischémique (non investiguée) avec flutter atypique en 2015. • Insuffisance rénale chronique • CKD-EPI à 34 • Diabète sucré de type 2 insulino-requérant • Hypercholestérolémie • Hypertension artérielle • Syndrome de dépendance à l'alcool • Cardiopathie rythmique et possiblement ischémique (non investiguée) avec flutter atypique en 2015 • Insuffisance rénale chronique • Clearance 33 ml/min • Insuffisance rénale chronique acutisée • Insuffisance rénale chronique acutisée AKIN III, le 17.01.2020 • Insuffisance rénale chronique acutisée AKIN 1 d'origine pré-rénale le 30.12.2019 • DD : sur syndrome cardio-rénal • Fe urée à 17.9 % • Insuffisance rénale chronique acutisée AKIN 3 le 26.12.2019 sur syndrome cardio-rénal de type 1 • Insuffisance rénale chronique acutisée avec créatinine à 163 umol/l le 29.12.19 avec : • hyperkaliémie à 5.3 mmol/l • Insuffisance rénale chronique acutisée du 06.01.2020 • Status post-néphrectomie droite sur carcinome rénal à cellules claires bien différencié en 1998, pT3 G1 NX MX. • GFR 21 ml/mn • Insuffisance rénale chronique acutisée, probablement sur syndrome cardio-rénal • Insuffisance rénale chronique acutisée sans critère AKIN le 09.12.2019 : • Probablement dans un contexte de syndrome cardio-rénal • Insuffisance rénale chronique acutisée sur non-compliance médicamenteuse le 30.01.2020. • Insuffisance rénale chronique avec clairance selon Cockcroft and Gault à 21 ml/min • Insuffisance rénale chronique avec Cr 161 mcmol/l, Cockcroft 24.7 le 30.12.2019 • Insuffisance rénale chronique avec créatinine à 138 Umol/l le 27.12.2019 (Cockcroft 39.7 ml/min) • S. p. Insuffisance rénale aiguë acutisée sur chronique du 16.12.2019, GFR 34 ml/min selon CKD/EPI le 20.12.2019 • 300'000 U vitamine D le 24.12.2019 • Calcimagon dès le 24.12.2019 • Listril en pause depuis le 16.12.2019 • Insuffisance rénale chronique avec créatinine à 140 mcmol/l : • clairance estimée à 32 ml/minute selon MDRD. • Insuffisance rénale chronique avec eGFR à 15 mL/min selon Cockcroft • Insuffisance rénale chronique de stade G3a (KDIGO) : • Clairance à 47 ml/min (CKD-EPI) • Insuffisance rénale chronique de stade G3aA1 (selon le CKD) : • Actuellement acutisation d'origine pré-rénale (AKIN II) sur déshydratation et contexte infectieux • Insuffisance rénale chronique de stade G4 A2 (20.01.2020) selon KDIGO acutisé le 15.01.2019 sur : • origine médicamenteuse (sartan), déshydratation et progression de la néphroangiosclérose • Insuffisance rénale chronique de stade G4 A2 (20.01.2020) selon KDIGO avec : • néphrectomie droite pour néoplasie rénale il y a 30 ans • néphroangiosclérose • acidose métabolique compensée • anémie hypochrome macrocytaire, arégénérative • Clcr estimée selon CKD-Epi 9.5 ml/min • néphroangiosclérose • avec hyperparathyroïdisme secondaire • Sténose ostiale de l'artère rénale G par une plaque calcifiée • Retard mental depuis l'enfance : • MoCA du 16.07.2019 : 10/30 • Consommation chronique d'alcool • Hypertonie artérielle • Dyslipidémie • Cholélithiase asymptomatique • Diabète mellitus type 2 insulino-requérant : • polyneuropathie et rétinopathie débutante 2017 • Insuffisance rénale chronique de stade G4A2 (selon KDIGO) acutisé AKIN 1 : • Sur probable syndrome cardio-rénal le 14/12/2019 • Insuffisance rénale chronique de stade III • Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G2 acutisé de type AKIN I • Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G3a acutisée AKIN I le 29.12.2019 : • Origine mixte : déshydratation sur diarrhée et médicamenteuse • Insuffisance rénale chronique de stade 2 • Dyspepsie • Insuffisance veineuse bilatérale, avec varices • s/p thrombose veineuse profonde à droite (environ en 2000) • s/p opération des varices (environ en 1995) • Troubles de la marche et de l'équilibre • s/p prothèse totale de hanche à gauche le 25.01.2016 • antécédent de fracture tibio-fibulaire droite, avec instabilité légère persistante • Rhinites récidivantes • Insuffisance rénale chronique d'origine indéterminée le 03.01.2020 • Clairance créatinine 33.8 ml/min selon CKD-EPI • Valeurs habituelles créatinine 170 mcmol/L • Insuffisance rénale chronique G2Ax • 67.1 mL/min/1.73 m² selon CKD EPI • Insuffisance rénale chronique G3A selon KDIGOeGFR le 18.12.2019: 45 ml/min eGFR le 19.12.2019: 53 ml/min/1.73m2 Insuffisance rénale chronique G3aA1. Insuffisance rénale chronique G3aA2 sur néphropathie mixte : vasculaire, diabétique et interstitielle Insuffisance rénale chronique G3A1 (selon la classification KDGO) acutisée AKIN 1 : • D'origine pré-rénale (FeUrée: 29.04 %) dans un contexte de déshydratation Insuffisance rénale chronique G3b A2 acutisée AKIN I d'origine prérénale : • Sur déshydratation • Sur médicament sous bactrim Insuffisance rénale chronique G3b sur probable néphropathie vasculaire Insuffisance rénale chronique G3bA1 (selon KDIGO), acuité AKIN I d'origine multifactorielle : • Sur injection de produit de contraste le 09.12.2019 • Sur insuffisance cardiaque sévère Insuffisance rénale chronique G4 A2 à diurèse conservée d'étiologie multifactorielle et néphroangiosclérose, néphropathie diabétique, maladie thrombo-embolique, vessie de lutte sans résidu post-mictionnel en 2010 • Clearance mesurée de la créatinine à 27 ml/min/1.73m2 ald 24 ml/min/1.73m2 • Clearance mesurée moyenne urée + créat/2 = 18 ml/min/1.73 m2 • Protéinurie 0.23 g/24H dont 0.108 g/24H d'albumine • Acidose métabolique avec normokaliémie sous Veltasa • TMO Hypocalcémie 1.08 mmol/l (devant hypocalcémie ad changer dosage Rocaltrol lmmj0.5 et samedi dimanche 0.25 le 15.04.2019 Hyperparathyroïdisme secondaire sur IRC (PTH 247 ng/l pour une norme de 15-65 ng/l) en juillet 2018 Troubles osseux dégénératifs • Hypomagnésémie sous diurétique • Anémie normochrome macrocytaire régénérative avec déficit en acide folique Syndrome métabolique avec : • Diabète de type 2 insulino-requérant, suivi par Dr. X • Dyslipidémie • Hyperuricémie • Hypertension artérielle • Obésité : BMI à 33 kg/m2 Maladie thrombo-embolique veineuse, avec : • TVP du membre inférieur gauche et embolie pulmonaire probable le 23.05.2018 • Embolie pulmonaire droite en 1983 Maladie du reflux gastro-oesophagien avec : • Oesophagite de reflux stade B selon Los Angeles • Hernie hiatale • Bulbite duodénale Syndrome d'apnées/hypopnées obstructif du sommeil de degré modéré avec : • Score d'Epworth initial à 4/24, score de Stop Bang à 6/8 • Somnolence diurne importante • Polygraphie diagnostique sous 2 l/min d'oxygène durant l'hospitalisation : IAH 16.7/h, IDO 23.4/h, saturation moyenne nocturne en oxygène 90.7% • Mise sous CPAP le 20.12.2016 (ResMed Air Sense 10, Autoset, pression min/max (8/16 cmH2O) : IAH 4.6/h, IDO 27.4/h, saturation moyenne nocturne en oxygène 83.4%) • Polygraphie avec cygnographie ambulatoire de contrôle le 13.02.2017 (sous 1 l/min d'O2) : IAH 1.3/h, IDO 5.9/h, SPO2 moyenne 92.7% • Actuellement : absence de somnolence diurne et très bonne tolérance de la machine • Ajustement de la PEEP min/max à 10/16 cmH2O le 28.05.2018 Insuffisance rénale chronique G4 A2 à diurèse conservée d'étiologie vasculaire avec : Néphroangiosclérose, néphropathie diabétique, maladie thrombo-embolique • GFR 12 selon CKD EPI • Acidose métabolique hyperK+ IV • Hyperparathyroïdisme secondaire • Troubles osseux dégénératifs • Hypomagnésémie sous diurétique • Anémie normochrome macrocytaire régénérative avec déficit en acide folique • FAV prévue pour le 26.01 chez Dr. X • Vessie de lutte sans résidu post-mictionnel en 2010 Cardiopathie HTA avec FEVG 55% et dysfonction diastolique • Coro 2016 sp Syndrome métabolique avec : • Diabète de type 2 insulino-requérant, suivi par Dr. X • Dyslipidémie • Hyperuricémie • Hypertension artérielle • Obésité : BMI à 33 kg/m2 Maladie thrombo-embolique veineuse, avec : • TVP du membre inférieur gauche et embolie pulmonaire probable le 23.05.2018 • Embolie pulmonaire droite en 1983 Maladie du reflux gastro-oesophagien avec : • Oesophagite de reflux stade B selon Los Angeles • Hernie hiatale • Bulbite duodénale Syndrome d'apnées/hypopnées obstructif du sommeil de degré modéré avec : • Score d'Epworth initial à 4/24, score de Stop Bang à 6/8 • Somnolence diurne importante • Polygraphie diagnostique sous 2 l/min d'oxygène durant l'hospitalisation : IAH 16.7/h, IDO 23.4/h, saturation moyenne nocturne en oxygène 90.7% • Mise sous CPAP le 20.12.2016 (ResMed Air Sense 10, Autoset, pression min/max (8/16 cmH2O) : IAH 4.6/h, IDO 27.4/h, saturation moyenne nocturne en oxygène 83.4%) • Polygraphie avec cygnographie ambulatoire de contrôle le 13.02.2017 (sous 1 l/min d'O2) : IAH 1.3/h, IDO 5.9/h, SPO2 moyenne 92.7% • Actuellement : absence de somnolence diurne et très bonne tolérance de la machine • Ajustement de la PEEP min/max à 10/16 cmH2O le 28.05.2018 Insuffisance rénale chronique G4 A2 acutisée AKIN 1 sur déshydratation Insuffisance rénale chronique IIIb avec clairance de la créatinine à 40 ml/min selon CKD EPI. Insuffisance rénale chronique KDIGO G3a • Créatinine 108 umol/l, DFG d'après CKD-EPI: 51.8 ml/min/1.73 m² (07.12.2019) Insuffisance rénale chronique KDIGO G3a sur possible néphropathie hypertensive • GFR 40 ml/min/1.73 m² (le 17.12.19) Insuffisance rénale chronique KDIGO G3b A2 Insuffisance rénale chronique KDIGO G3b A2 • FE urée 32% Insuffisance rénale chronique KDIGO G4A2 sur néphropathie à oxalate et possible composante de néphrite interstitielle sous AINS et bypass iléo-jéjunal Insuffisance rénale chronique modérée : • eGFR selon CKD-EPI le 19.07.2019 : 58 ml/min/1.73 m². • eGFR selon CKD-EPI le 20.12.2019 : 90 ml/min/1.73 m². Insuffisance rénale chronique secondaire à la toxicité de la ciclosporine. Insuffisance rénale chronique Stade G3a KDIGO Insuffisance rénale chronique stade G3a selon KDIGO, actuellement acutisée (AKIN I), probablement sur déshydratation Insuffisance rénale chronique stade G3a selon KDIGO • eGFR selon CKD-EPI à 58 ml/min avec créatinine à 78 umol/l le 07.03.2017 Fracture complexe polyfragmentaire de la base du nez le 23.02.2017 • CT crânio-cérébral le 23.02.2017 : pas de saignement intracrânien • Co-amoxicilline pendant 3 jours suite à la chute en prophylactique • Consilium ORL le 28.02.2017 avec réduction de la fracture • Triofan 3x par jour jusqu'au 06.03.2017 Oesophagite à reflux traitée Gonarthrose à gauche Hallux valgus Lombalgies chroniques • Troubles dégénératifs rachidiens • Hernie discale avec s. p. infiltration péridurale L5-S1 en 2012 Orthostase importante • Sur contexte de chutes répétées • Schellong le 17.03.2017 : baisse de 40 mmHg de la pression systolique au lever Anxiété chronique • Jusque-là sous Citalopram 20 mg Insuffisance rénale chronique stade G3aA1 (selon KDIGO) d'origine intrinsèque, probablement sur néphropathie hypertensive avec : • Acutisation le 27.12.19 AKIN I sur déshydratation • FeU : 36% • FeNa : 2.5 % Insuffisance rénale chronique stade G3A1 (KDIGO), actuellement acutisée AKIN I d'origine prérénale sur déshydratation Insuffisance rénale chronique Stade G3b KDIGO Insuffisance rénale chronique stade G4 selon KDIGO avec clairance estimée à 17 ml/min, CKD-EPI le 03.01.2019 Insuffisance rénale chronique stade G4A2 (KDIGO 2012) avec : • Valeur de créatinine habituelle autour de 150 umol/l • Acutisation AKIN II (créatinine 340 umol/l) le 09.12.2019 d'origine mixte : pré-rénale sur traitement diurétique et rénale sur produit de contraste iodé et traitement néphrotoxique • Créatininémie à 313 µmol/ le 19.12.2019 avec clairance estimée à 16 ml/min selon Cockcroft-Gault • Créatininémie à la sortie à 265 µmol/ le 22.12.2019 Insuffisance rénale chronique stade I selon KDIGO sur néphropathie hypertensive probable DD atteinte parenchyme rénal • eGFR CKD-EPI: 100.9 ml/min/1.73 mm² le 26.12.2018 Insuffisance rénale chronique stade II selon classification de K/DOQI (grandes clearances d'octobre 2017 à l'Insuline à 74 ml/min x 1.73 m²) suivie par le Dr. X Status post-probable glomérulonéphrite post-streptococcique Status rénal cicatriciel bilatéral Insuffisance rénale chronique stade III A Insuffisance rénale chronique stade III le 27.01.2020. • Créatinine à 201 µmol/l. Insuffisance rénale chronique stade III selon KDIGO avec: • polykystose rénale sur probable mutation HNF 1 bêta (GFR 36.7) • Incontinence urinaire nocturne • Hypercholestérolémie probablement familiale. • Gonarthrose gauche • Ostéoporose Trouble neuro-psychiatrique sur hydrocéphalie probablement secondaire à une hémorragie péri-ventriculaire et parenchymateuse néonatale avec probable composante congénitale associée (hypoplasie cérébelleuse G) avec: • retard mental • épilepsie de type absence partielle complexe • trouble du comportement avec anxiété, agitation • hémiparésie droite Crise d'épilepsie (type absence) partielle complexe • EEG le 14.02.2019 • Majoration Timonil 200 mg /j cpr retard dès le 15.02.2019 Insuffisance rénale chronique stade IIIb le 28.01.20 • CKD-EPI: 34 ml/min • Baseline 150 umol/l de créatinine selon beau-fils (médecin) Insuffisance rénale chronique stade IV • GFR 28 ml/min/1.73 m² Insuffisance rénale chronique stade V : • néphropathie hypertensive/néphroangiosclérose probable (pas de ponction biopsie rénale, refus de la mère) • début des dialyses le 13.11.2009 • confection d'une fistule radio-céphalique gauche selon Cimino-Brescia (2009) • dysfonction d'une FAV radio-céphalique du MSG sur phlébolithe intra-luminale • 15.04.2019: ablation plaque artériosclérose intra-anévrismale sur FAV (fistule artério-veineuse) radio-céphalique MSG et plastie d'élargissement avec patch en xénopéricarde. Décompensation cardiaque, avec syndrome inflammatoire d'origine indéterminée • anémie rénale substituée • hyperparathyroïdisme secondaire Hypertension artérielle sévère (rétinopathie hypertensive degré 1-2) Retard mental congénital, d'étiologie indéterminée Syndrome d'apnées obstructives du sommeil (sous CPAP) Prostatisme Insuffisance rénale chronique stade V sur néphropathie hypertensive/néphroangiosclérose probable (pas de ponction biopsie rénale, refus de la mère) • début des dialyses le 13.11.2009 Insuffisance rénale chronique stade 3a sans acutisation • eGFR selon CKD-EPI 56 ml/min Insuffisance rénale chronique stade 3a selon KDIGO connue • clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 40-45 ml/min Insuffisance rénale chronique sur néphropathie diabétique et hypertensive Insuffisance rénale chronique terminale : • dialyse à Fribourg mar-jeu-sam Cardiopathie dilatée avec dysfonction systolique biventriculaire sévère d'origine non ischémique, dysrythmique et valvulaire (FEVG 25%) • BBG, sténose aortique • le 12.11.2018 CRTD pose de défibrillateur et thérapie de resynchronisation, IRM compatible • 23.04.2018 Dilatation modérée du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 26 % (méthode de Simpson). Hypertrophie excentrique. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite non dilatée HTAP minime (PAP sys 38 mmHg pour une POD à 5 mmHg) Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Absence d'épanchement péricardique. • Echocardiographie du 02.11.2018 (Dr. X): dilatation VG avec dysfonction VG importante (FEVG 25%) et sténose aortique modérée • Coro 25.04.2018 Cardiomyopathie X (non ischémique) avec une dysfonction systolique VG sévère et une dilatation VG modérée. • Adaptation au mieux du traitement médicamenteux IEC et BB (tout en gardant TAsys > 85 mmHg). Actuellement peu de marge pour l'adaptation du traitement médicamenteux • Indication à une pose de CRT-P (BBG > 135 ms, FEVG < 35% et NYHA II-III). • Pose d'un défibrillateur triple chambre et thérapie de resynchronisation le 12.11.2018 par Dr. X • ETT le 02.08.2019 : FEVG 15-20%, sténose aortique modérée (1.2 cm²), insuffisance tricuspide sévère • Actuellement : ETT de contrôle à 3 mois (11/2019) Fibrillation auriculaire paroxystique : • anticoagulation par Sintrom Syndrome métabolique : • Hypercholestérolémie • Hypertension artérielle • Goutte Sténose urétrale, suivi urologique régulier (Dr. X) Ascite probablement d'origine cardiaque le 31.07.2019 Maladie anévrismale et AOMI Fibrose pulmonaire d'origine indéterminée sans trouble ventilatoire exécutif : • Actuellement : Dyspnée en lien avec ascite, insuffisance cardiaque et dialyse. Composante pulmonaire sur l'emphysème et la fibrose probablement faible. Pas de suite de prise en charge particulière d'un point de vue pneumologique. Facteurs de risque cardiovasculaire FA Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Tabagisme ancien Goutte Hyperplasie de la prostate Dysfonction tubaire bilatérale intermittente Ascite d'origine cardiaque le 31.07.2019 • Ponction d'ascite le 31.07.2019 (hospitalisation) : 12 L, exsudat • US abdominal le 02.08.2019 : pas de thrombose portale, pas d'hypertension portale • CT abdominal le 20.08.2019 • Pose de PleurX le 21.08.2019 (Dr. X) : drainage de 3.5 L d'ascite • Drainage d'ascite par les soins à domicile 3x/semaine (retrait 1.5-2.5 L/drainage) • Albumine IV à chaque dialyse – stoppé le 12.10.2019 (Dr. X) Fracture de côte à droite sur chute de sa hauteur • Radiographie du thorax du 09.11.2019 Surinfection pulmonaire post-fracture de côte le 14.11.2019 • Céfépime du 14.11.2019 au 23.11.2918 Insuffisance rénale chronique terminale anurique Insuffisance rénale chronique • 06.01: CKD-EPI de 40 ml/min/1.73 m², stade IIIb Insuffisance rénale chronique Cardiopathie valvulaire • sténose aortique calcifiée discrète à modérée le 03.08.2016 • échocardiographie du 03.08.2016 : FEVG 70-80 % Probable tachycardie par réentrée intranodale le 03.08.2016 Maladie de reflux avec s/p oesophagite peptique Hyperplasie bénigne de la prostate Glaucome Insuffisance rénale chronique Hypertension artérielle Adénocarcinome de la prostate cT1c N0 Mx G2 Lésions dégénératives lombaires et coxo-fémorales cumulées à un DISH Obésité Hyperplasie de la prostate grade 1 Arthrite microcristalline Insuffisance rénale chronique avec Cr 161 mcmol/l, Cockcroft 24.7 le 30.12.2019 Insuffisance rénale d'allure chronique le 01.01.20 • DFG 45 ml/min selon CKD-EPI Insuffisance rénale d'origine indéterminée. DD : IRA sur IRC. Insuffisance rénale d'origine peu claire, le 26.01.2020 DD : IRC vs IRA Insuffisance rénale d'origine pré-rénale le 17.01.2020. Insuffisance rénale d'origine pré-rénale probable Insuffisance rénale d'origine probablement pré-rénale Insuffisance rénale KDIGO I d'origine pré-rénale le 01.01.2020 • probablement cardio-rénale Insuffisance rénale KDIGO I sur syndrome cardio-rénal le 01.01.2020 Insuffisance rénale légère • MDRD 60 ml/min/1.73 m2 • Insuffisance rénale modérée le 15.01.2020 d'origine fonctionnelle • Insuffisance rénale pré-rénale AKIN I le 08.01.2020 : • fraction d'éjection de l'urée 24% et du sodium 0.8% • Insuffisance rénale pré-rénale suite à l'hémorragie avec GFR 87 ml/min selon Cockcroft le 08.01.2020 • Insuffisance rénale probablement chronique d'origine post-rénale le 16.12.2019 (cf. dx supplémentaire 5) • FeUrée à 57.5% • Insuffisance rénale probablement post-rénale le 12.01 • créatinine à 615 contre 150 habituellement, sans atteinte électrolytique, FeU 43% • globe à 1.9L aux urgences, couleur brune • Insuffisance rénale probablement post-rénale le 12.01.2020 sur globe vésical à 1900 cc • Insuffisance rénale sans critère AKIN d'origine pré-rénale le 11.01.2020 • FE urée 21.3% • Insuffisance rénale stade 4 le 21.11.2019 • Insuffisance rénale sur chronique sans critère AKIN • Insuffisance rénale sur déshydratation clinique. • Insuffisance rénale terminale à diurèse conservée. Hépatite B chronique. Hyperparathyroïdisme secondaire. • Insuffisance rénale terminale dans un contexte de rein unique D avec : • Dialyse par cathéter permanent dès le 14.02.2018 3x/semaine : mardi, jeudi et samedi • Status après néphrectomie gauche, splénectomie et pancréatectomie partielle en 1980 pour pyélonéphrite xanto-granulomateuse • Insuffisance rénale terminale dans un contexte de rein unique droit avec : • Dialyse par cathéter permanent dès le 14.02.2018 3x/semaine : lundi, mercredi, vendredi ; suivie par Dr. X • Status après néphrectomie gauche, splénectomie et pancréatectomie partielle en 1980 pour pyélonéphrite xanto-granulomateuse Cystites à répétition : • 4 épisodes de cystite en 2017 (3 traités par ciproxine, 1 E. Coli résistant à ciproxine : traité par Furadantine) • 2 épisodes de cystite en 2016 Hypertension artérielle traitée Trouble dépressif récurrent (patiente refuse un suivi psychiatrique) Epaississement de l'antre gastrique de découverte fortuite le 20.01.2018 Dyslipidémie non traitée • Insuffisance rénale terminale diabétique et hypertensive avec diurèse résiduelle 200 ml en 12/2019 • Insuffisance rénale terminale d'origine mixte sur néphroangiosclérose hypertensive et néphropathie diabétique • atteinte aiguë sur suspicion de glomérulonéphrite paranéoplasique dans un contexte de néoplasie rénale probable • résection du pôle inférieur du rein droit pour un adénome rénal en 05/2001 • suspicion de glomérulonéphrite para-néoplastique dans le contexte de néoplasie rénale probable en 01/2019 • dialyse intermittente chronique depuis 11/2018, actuellement les mardis, jeudis et samedis • Insuffisance rénale terminale d'origine mixte sur néphroangiosclérose hypertensive et néphropathie diabétique • atteinte aiguë sur suspicion de glomérulonéphrite paranéoplasique dans un contexte de néoplasie rénale probable • résection du pôle inférieur du rein droit pour un adénome rénal en 05/2001 • suspicion de glomérulonéphrite paranéoplastique dans le contexte de néoplasie rénale probable en 01/2019 • dialyse intermittente chronique depuis 11/2018, actuellement les mardis, jeudis et samedis • Insuffisance rénale terminale sur néphropathie diabétique, dialysée • Clairance à 4 ml/min en septembre 2013 • Dialyse 3x/semaine lu-me-ve à Payerne Diabète de type I Dyslipidémie Hypertension artérielle Probables troubles cognitifs, avec comportement oppositionnel et manque d'initiatives Discopathie érosive D12-L1, L4-L5 asymptomatique BPCO non gradé • Insuffisance rénale terminale sur probable néphrangiosclérose hypertensive le 29.04.2019 (Suivi par Dr. X) • pose de perm-cath le 30.04.2019 (Dr. X) • dialyse intermittente dès le 01.05.2019 (3x/semaine : mardi, jeudi et samedi) • anticoagulation prophylactique par Héparine arrêté le 10.12.2019 car saignement continu vésicale, bottes anti-thrombotiques Diabète de type II (diagnostic 2015) : pas de traitement médicamenteux, adaptation alimentaire Hypertension artérielle Dyslipidémie traitée Cardiopathie valvulaire (sténose aortique modérée) et dysrythmique sur fibrillo-flutter paroxystique normocarde le 25.04.2019 : • DD trouble du rythme sur urémie • CHAD2VASC : 5, HAS BLED : 3 • FEVG à 60% • introduction de cordarone dès le 29.4.2019 et Metoprolol dès le 8.05.2019 • actuellement pas d'anticoagulation au vu de la péricardite et des multiples comorbidités Cancer urothélial invasif de la vessie minimum pT2 V1 Pn1 cM1 • date du diagnostic : 02.09.2019 • histologie : carcinome urothélial invasif de haut grade au minimum pT2 V1 Pn1 • status post-RTUV le 02.09.2019 • status post-2ème RTUV le 03.10.2019 • IRM du pelvis du 19.09.2019 : masse pariétale proche du col vésical, pas d’adénopathie pelvienne de taille significative, status post-prostato-vésiculectomie radicale • Tumorboard d'urologie du 19.09.2019 : pas de chimiothérapie néo-adjuvante au vu de la dialyse, bilan d'extension et 2ème RTUV puis évaluation d'une radio-chimiothérapie combinée • CT abdominal du 15.11.2019 : nette majoration de l'épaississement tumoral bourgeonnant hémicirconférentiel droit ainsi que des lésions bourgeonnantes de la face supérieure de la vessie associée à l'apparition d'une légère urétéro-hydronéphrose droite avec diamètre antéro-postérieur du pyélon de 10 mm • 19.11.2019 : radio-chimiothérapie combinée à visée cyto-réductrice puis réévaluation d'une chimiothérapie palliative selon évolution des nodules pulmonaires • actuellement : fin de radiothérapie le 23.12.2019 et fin de chimiothérapie le 18.12.2019 Douleurs sus-pubiennes majeures et macrohématurie permanente d'origine oncologique • sous Fentanyl pompe Cholécystolithiase Diverticulose sigmoïdienne (colono-CT 2009) • Insuffisance respiratoire • Insuffisance respiratoire. • Insuffisance respiratoire aiguë d'origine indéterminée le 17.01.2020 DD : pneumonie de broncho-aspiration, œdème aigu du poumon • Insuffisance respiratoire aiguë globale d'origine multifactorielle dès le 15.01.2020 • OAP à répétition • Grippe Influenza A avec surinfection pulmonaire probable • Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine indéterminée le 01.01.2020 DD : pneumonie bilatérale acquise à germe indéterminé, virale • probable pathologie pulmonaire sous-jacente (pathologie d'exposition, silico-anthracose, sarcoïdose) • Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 08.01.2019, DD : broncho-aspiration, surcharge pulmonaire, sepsis • toux avec expectoration • désaturation à 87% sous 4 litres d'oxygène • ronchis bibasaux, prédominant à gauche • Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 18.04.2016 d'origine multifactorielle sur atélectasies bi-basales, avec syndrome restrictif et épanchements pleuraux Rectorragie sur hémorroïdes dans un contexte d'anticoagulation et antiagrégation en avril 2016 Cholécystectomie (pour pancréatite biliaire) et cure d'éventration avec filet ProGrip (pour éventration médiane sur cicatrice sous-costale droite, status après surrénalectomie droite) le 05.02.2013 par le Dr. X Colique néphrétique gauche sur calcul urétéral distal de 10 mm x 8 mm x 6 mm radio-opaque avec lithotripsie et mise en place d'une sonde double J le 22.09.2012 État dépressif en 1995 et rechute en 2002 Découverte fortuite d'un nodule rétropéritonéal, de densité kystique en 2016, évoquant une lésion kystique de nature indéterminée surinfectée, en croissance sur le CT du 18.03.2019 • Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique • pneumonie bilatérale sur probable broncho-aspiration • Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumonie bibasale d'acquisition communautaire, à germe indéterminé, avec sepsis le 28.12.2020 • SOFA score 4 • Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumonie communautaire basale droite à germe indéterminéInsuffisance respiratoire aiguë le 25.12.2019 sur : • trachéite croûteuse avec important bouchon en distalité du laryngostome Insuffisance respiratoire aiguë sévère d'origine plurifactorielle le 25.11.2019 • Pneumonie communautaire avec infiltrats bilatéraux micronodulaires le 25.11.2019 • Troubles sévères de la déglutition • Pneumonie nosocomiale le 11.12.2019 • Polyneuropathie de la maladie critique Insuffisance respiratoire aiguë sévère sur surcharge et fuite capillaire (syndrome de lyse tumorale et possible syndrome ATRA) le 09.10.2014 Agranulocytose fébrile avec translocation et bactériémie soutenue à Escherichia coli et à Clostridium perfringens le 26.09.2014 Coagulopathie intravasculaire disséminée sur LMA M3 • Premier épisode (spontanée) le 26.09.2014 • Réactivation massive post-chimiothérapie le 05.10.2014 Ictère cholestatique obstructif avec suspicion de cholécystite le 01.10.2014 Syndrome confusionnel d'origine indéterminée le 13.10.2014 DD : médicamenteux, CIVD Diarrhées aiguës avec culture de selles + pour C. difficile le 8.11.2014, récidive le 28.11.2014 Globe urinaire le 09.10.2014 Tachycardie auriculaire sur foyer ectopique le 31.10.2014 • Avec résolution spontanée Décompensation cardiaque le 31.10.14 Insuffisance respiratoire aiguë sur broncho-aspiration massive le 17.01.2020 Insuffisance respiratoire aiguë sur probable décompensation cardiaque DD : syndrome coronarien aigu vu hypokinésie de la paroi postérieure à l'échocardiographie Insuffisance respiratoire avec surinfection pulmonaire bilatérale Insuffisance respiratoire chronique : • Hypertension artérielle pulmonaire sévère • Oxygénothérapie (1.5 L) chronique Insuffisance respiratoire chronique avec : • syndrome restrictif connu (obésité), asthme sévère à début tardif • VEMS 2.54L ou 83% prédit, CVF 3.04L ou 78% prédit, fonctions pulmonaires du 04.11.2013 (Dr. X) • insuffisance respiratoire hypoxémique chronique, sous oxygénothérapie à domicile 3 l avec saturation habituelle 91-92% Obésité morbide avec BMI 42.2 kg/m2 (122 kg pour 170 cm) Hypogammaglobulinémie médicamenteuse (Rituximab) Diverticulose sigmoïdienne Glaucome • status post-trabéculotomie et Mitomycine de l'œil D en 2010 • révision de bulles le 16.02.2010 Sclérite sévère Cataracte Psoriasis Insuffisance respiratoire chronique d'origine mixte sur : • Hypertension pulmonaire modérée. • SAOS (NoSAS score 15 points. Stop Bang score 6 points, Epworth score 3 points) • Syndrome restrictif dans contexte d'obésité et d'hypoventilation • BPCO probable non-stadée sur tabagisme actif 30 UPA Insuffisance respiratoire dans le cadre d'une bronchiolite à RSV négatif Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite à RSV Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite modérée à RSV Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite modérée à RSV avec Wang 5 Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite modérée Wang 8, RSV positif Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite RSV négatif Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite RSV positif Insuffisance respiratoire dans un contexte de bronchite spastique modérée (score PRAM 5) péri-infectieuse Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle, 22.01.2020, avec : • Pneumonie et atélectase • Décompensation cardiaque gauche • Influenza A, B et RSV négatif Traitement : • Co-Amoxicillin iv et Clarithromycine po du 30.12.2019 au 06.01.2020 Torasemid 10 mg du 30.12.2019 au 04.01.2020 Torasemid 2.5 mg à partir du 09.01.2020 jusqu'au 21.01.20 et 5 mg jusqu'au 27.01.20 (kardiologisches Konsil Dr. X) Avis pneumologique (Dr. X), 27.01.2020 : Lasix 20 mg, Torasemid 10 mg dès le 28.01, CT thorax CT thorax, 29.01.2020 Insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine multi-factorielle le 25.12.2019 • surcharge volémique dans contexte de l'insuffisance rénale aiguë • atélectases post-opératoires • antalgie complexe post fractures de côtes et fracture D10 • obésité avec composante restrictive probable Insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine plurifactorielle le 17.01.2020 • somnolence sur Rivotril et Distraneurine • hypoventilation c/o obésité • délirium avec état confusionnel transitoire au décours d'un urosepsis • composant de décompensation cardiaque Insuffisance respiratoire globale aiguë sur BPCO décompensée le 01.01.2020 • BPCO non-stadée oxygénodépendante (0-3 l/min selon besoin) • Anthonisen 2/3 (dyspnée, quantité de crachats) Insuffisance respiratoire globale, aiguë sur chronique d'origine multifactorielle le 07.01.2020 • Exacerbation sévère d'une BPCO stade IV selon GOLD sur pneumonie à germe indéterminé • Récidive d'une aspergillose pulmonaire chronique Insuffisance respiratoire globale avec exacerbation BPCO le 12.01.2020 • Critères d'Anthonisen 3/3 • Possible surinfection de bronchiectasies Insuffisance respiratoire globale chronique sur : • Syndrome d'apnées/hypopnées obstructif du sommeil de degré sévère • Syndrome d'hypoventilation/obésité • Syndrome restrictif de degré modéré en 01/2019 (CVF 47%, 1.28 l, VEMS 50%, 1.06 l, VEMS/CVF 106%) • Mise sous VNI et 1 l/min d'O2 nocturne dès 02/2018 • Lumis VPAP 150 Mode ST-A, EPAP 8 cmH2O, IPAP 14 cmH2O, Ti min/max 0.9/1.5 sec, FR 10/min. Masque Air Fit F20 M Syndrome métabolique avec : • Diabète de type 2 non-insulino-requérant • Hypertension artérielle essentielle • Obésité de classe III selon OMS (BMI à 50 kg/m2) • hypercholestérolémie Douleurs rachidiennes sur troubles dégénératifs multi-étagés de la colonne cervicale et dorsale, sous Lyrica Insuffisance respiratoire globale chronique sur : • Syndrome des apnées/hypopnées obstructives du sommeil de degré sévère • Syndrome d'hypoventilation/obésité • Syndrome restrictif de degré modéré (cf. rapports) • Polygraphie nocturne diagnostique 07/2016 : IAH 56.5/H, IDO 89.2/H, SpO2 moyenne 84.3% • Capnographie diagnostique 07/2016 (AA) : PCO2 moyenne 6.5 kPa, PCO2 max 7.87 kPa, SpO2 moyenne 84.7% • Échec de mise sous VNI en 07/2016 en raison d'un inconfort gastrique • Mise sous VNI et 1 l/min d'O2 nocturne dès 02/2018 • Lumis VPAP 150 Mode ST-A, EPAP 8 cmH2O, IPAP 14 cmH2O, Ti min/max 0.9/1.5 sec, FR 10/min. Masque Air Fit F20 M Insuffisance respiratoire globale chronique sur BPCO Gold III, classe B avec emphysème pulmonaire • Tabagisme ancien à 15 UPA, stoppé en 2018 • Exposition professionnelle à des pneumotoxiques (coiffeuse) • CT-thoracique 08/2019 : s/p mastectomie droite. Infiltrat réticulaire sous-pleural antérieur des lobes pulmonaires supérieurs et moyen. Épaississement bronchique diffus avec impactions mucoïdes. Pas de lésion suspecte de métastases. Pas d'embolie. • Status post insuffisance respiratoire globale aigüe postopératoire le 26.09.2019 • Fonctions pulmonaires complètes 21.10.2019 : trouble ventilatoire obstructif de degré sévère, Tiffeneau à 49% (LLN 63%). VEMS à 0.7l (33% du prédit) pré-ventolin et 0.9 l (43% du prédit) post ventolin. Réversibilité aiguë significative post Ventolin. Air trapping statique et hyperinflation pulmonaire. Absence de trouble ventilatoire restrictif avec CPT à 118% du prédit. DLCOc sévèrement diminuée à 17% du prédit Gazométrie (AA pneumologie) du 21.10.2019 : pH 7.37, pCO2 7.2 kPa, pO2 6.8 kPa, bic 30 mmol/l, SaO2 81%, Hb 132 g/l Vaccination : grippe annuelle Thérapie : Ultibro 110/50 mcg 1-0-0 Mise sous VNI en 10.2019 Actuellement : arrêt de l'appareillage par BiPAP en raison d'une intolérance et très faible compliance Insuffisance respiratoire globale favorisée par une hyperactivité bronchique dans un contexte infectieux le 15.01.2020Insuffisance respiratoire globale le 17.01.2020 d'origine multifactorielle : • dans le contexte d'une pneumonie basale, avec décompensation de BPCO surajoutée • dans le contexte d'une décompensation cardiaque (DD : ischémie, pic hypertensif, arythmie) -- poids cible à 48 kg Insuffisance respiratoire globale le 17.01.2020 sur • décompensation cardiaque (DD : ischémie, pic hypertensif, arythmie) • pneumonie basale gauche DD décompensation BPCO Insuffisance respiratoire globale multifactorielle, le 10.05.2016. Fracture de la clavicule droite opérée en 1968. Fracture de la cheville droite opérée en 1990. Fracture de la clavicule gauche au niveau du tiers moyen. Bandage Rucksack pour 6 semaines. Choc anaphylactique sur Céfuroxime. Douleurs basi-thoraciques gauches dans un contexte postopératoire. • épanchement pleural gauche chronique d'étiologie indéterminée. • thoracoscopie gauche, conversion en thoracotomie, décortication/biopsie pleurale, le 27.02.2014 (exsudat fibrinoïde d'origine indéterminée). • emphysème gauche stade II, le 27.02.2014. Traumatisme crânio-cérébral léger avec perte de connaissance brève et confusion. Fracture 3ème et 4ème côte sans complications au CT scan du 26.08.2019. Insuffisance respiratoire globale multifactorielle, le 10.05.2016. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale, le 10.05.2016, sur décompensation cardiaque. Fracture de la clavicule droite opérée en 1968. Fracture de la cheville droite opérée en 1990. Fracture de la clavicule gauche au niveau du tiers moyen. Bandage Rucksack pour 6 semaines. Choc anaphylactique sur Céfuroxime. Douleurs basi-thoraciques gauches dans un contexte postopératoire. • épanchement pleural gauche chronique d'étiologie indéterminée. • thoracoscopie gauche, conversion en thoracotomie, décortication/biopsie pleurale, le 27.02.2014 (exsudat fibrinoïde d'origine indéterminée). • emphysème gauche stade II, le 27.02.2014. Traumatisme crânio-cérébral léger avec perte de connaissance brève et confusion. Fracture 3ème et 4ème côte sans complications au CT scan du 26.08.2019. Plaie simple arcade supra-orbitaire gauche. Insuffisance respiratoire globale Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 19 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Insuffisance respiratoire globale probablement sur crise d'asthme dans contexte de • asthme allergique DD contexte infectieux Insuffisance respiratoire globale sur : • syndrome obésité-hypoventilation Insuffisance respiratoire globale sur exacerbation de BPCO avec : • fonction pulmonaire du 16/07/2019 : obstruction réversible non aiguë modérée, FEV1 1,16 I (objectif 45 %), TLC 6,14 I (objectif 96 %), DLCO sévèrement restreint (objectif 38 %) • critères d'Anthonisen 3/3 • possible surinfection de bronchiectasies Insuffisance respiratoire globale sur exacerbation de BPCO de stade III le 04.01.2020. Insuffisance respiratoire globale sur exacerbation de BPCO de stade III selon GOLD sur reprise du tabagisme le 04.01.2020 • critères d'Anthonisen : 2/3 • Prevenar en 04.2018, vaccin pour la grippe en 2019 Insuffisance respiratoire globale sur exacerbation de BPCO stade III. Insuffisance respiratoire globale sur exacerbation d'une BPCO stade D d'origine infectieuse à germe indéterminé le 10.01.2020. Insuffisance respiratoire globale sur pneumonie acquise en communauté et exacerbation de BPCO le 10.10.2019. Ancien tabagisme sevré en 1987 (30 UPA). Hémorragie digestive sur ulcère de l'estomac sur prise AINS (1987). Césarienne en 1972 avec hystérectomie et annexectomie. Chirurgie du rein droit à l'âge de 20 ans (rein flottant). Laminectomie unilatérale gauche au niveau D3-D4 post Schwannome en 2001. Insuffisance respiratoire globale sur probable exacerbation aiguë de sarcoïdose stade III le 17.04.2019. Fracture de l'avant-bras distal gauche déplacée en juin 2019, avec ostéosynthèse du radius distal par plaque Aptus radius et ostéosynthèse du cubitus distal par plaque Aptus cubitus. Thrombose proximale des veines tibiales postérieures en septembre 2019, sous Xarelto stoppé au vu de rectorragies. Exacerbation aiguë de sarcoïdose de stade III le 30.10.2019 : • avis pneumologue (Dr. X) le 31.10.2019 : majoration de la corticothérapie, vaccin anti-grippe et anti-pneumocoques. Pas de prophylaxie Pneumocystis au vu de la dose minime de corticoïdes actuellement. Fracture Weber B de la cheville gauche stable. Insuffisance respiratoire globale sur probable surinfection bronchique d'une BPCO stade IV D selon GOLD le 10.01.2020 • critères d'Anthonisen 3/3, composante d'angoisse • échocardiographie transthoracique 01/2020 : pas d'argument pour une HTP Insuffisance respiratoire hypercapnique sur exacerbation sur probable surinfection bronchique d'une BPCO stade IV D selon GOLD 2018, critère d'Anthonisen 3/3 avec/sur : • ancien tabagisme sevré en 2013 (50 UPA). • syndrome obstructif de degré très sévère (VEMS 21 % de la valeur prédite). • insuffisance respiratoire globale sévère sous oxygénothérapie continue liquide au débit de 1 lt/min 15h/24 et introduction d'une VNI (5/18 cmH2O). • phénotype exacerbateur : 4-5 épisodes de décompensation traitée en ambulatoire en 2019 (sous Zithromax et intolérance digestive au Daxas). • Pneumovax (vaccin en 2013), Prevenar (vaccin en 2015). Insuffisance respiratoire hypoxémique. • DD HTP, médicamenteux (B-Bloc). Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë d'origine multifactorielle avec sevrage ventilatoire prolongé associé : • pneumonie nosocomiale à MRSA sur broncho-aspiration avec probable abcès pleural basal gauche versus parenchymateux le 04.08.2019 • pneumothorax gauche sur ventilation versus bronchoscopie le 08.08.2019 • pneumonie nosocomiale basale droite à MRSA avec nécrose et épanchement para-pneumonique le 26.08.2019 • pneumonie du lobe inférieur gauche à Stenotrophomonas maltophilia et MRSA le 12.09, et le 01.12.2019 • atélectasie récidivante du poumon gauche sur bouchon muqueux • cultures d'expectoration positive (++) pour Pseudomonas aeruginosa le 13.12.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë multifactorielle le 31.12.2019 • décompensation cardiaque globale sur cardiopathie d'origine indéterminée (DD : infection, ischémique) • syndrome hépato-pulmonaire • épanchement pleural bilatéral prédominant à droite • syndrome restrictif sur ascite Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë plurifactorielle le 09.01.2020 : • pneumonie à Enterobacter complexe cloacae sur broncho-aspirations récidivantes • pneumopathie micronodulaire d'origine indéterminée • dysfonction diaphragmatique post-opératoire, déconditionnement musculaire et toux inefficace Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur pneumonie nosocomiale bi-basale le 19.02.2018. • hémocultures le 19.02.2018. • radiographie du thorax le 19.02.2018. • gazométrie : insuffisance respiratoire hypoxémique avec 7.5 pO2 sous 4 litres • CT thoracique le 21.02.2018. • Rocéphine dès 19.02.2018 au 26.02.2018. Décompensation inaugurale de BPCO stade II D selon Gold sur grippe influenza A le 12.02.2018 avec insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique.• Status post insuffisance respiratoire partielle sévère sous oxygénothérapie continue ou débit de 2 l/min • Tabagisme actif à 70 UPA arrêté le 09.02.2018 • Phénotype non exacerbateur • Emphysème (panlobulaire) pulmonaire bi-basal avec troubles de la diffusion de degré modéré • Cachexie • Déconditionnement sévère à l'effort • Score de CAT 18 • Hémocultures 12.02.2018 et 19.02.2017: négatives • CT thoracique injecté le 12.02.2018 • CT thoracique injecté le 21.02.2018 • VNI aux urgences le 12.02.2018 • Aréosols, corticothérapie • Fonctions pulmonaires du 13.02.2018 à Fribourg: Syndrome obstructif très sévère (Tiffeneau à 36%, VEMS à 25% du prédit) compatible avec une BPCO stade IV • Gazométrie du 26.02.2018 avec 3 litres par min d'O2: PH à 7.46, pCO2 à 5.5 kPa, pO2 à 8.9 kPa, SaO2 à 94%, BIC à 29 mmol/l • Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et ré-entraînement à l'effort (mars 2018) • Score de Bode, à la sortie: 2 Probable hémorragie digestive haute le 14.02.2018 • Pantozol iv puis per os. Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur pneumonie nosocomiale bi-basale le 19.02.2018. Décompensation inaugurale de BPCO stade II D selon Gold sur grippe influenza A le 12.02.2018 avec insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique. Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur pneumonie par broncho-aspiration le 25.12.2019. Insuffisance respiratoire hypoxémique avec infiltrats bibasaux le 14.01.2020 • DD ARDS dans le contexte de la pancréatite Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine indéterminée le 24.01.2018 : • rétention hydro-sodée • syndrome d'apnées du sommeil sévère Dermo-hypodermite du membre inférieur droit à germe indéterminé probablement secondaire à une plaie chronique tibiale en octobre 2017 Dermohypodermite du membre inférieur droit le 26.01.2018 Dermohypodermite membre inférieur droit le 21.06.2018 Fibrillation auriculaire inaugurale à réponse ventriculaire rapide en octobre 2017 : • CHA2DS-VASc : 2 points (risque AVC ajusté 2.2 %/année), HAS-BLED : 4 points (risque de saignement 8.7 %/année) • cardioversion spontanée après résolution de l'état septique, Holter effectué le 22.11.2017 ne montrant pas de récidive de FA Hémorragie digestive haute d'origine incertaine le 04.04.2017 avec : • oesophagite de reflux stade B selon Los Angeles (avril 2017) • oesophagite stade 2 en 2000 Insuffisance respiratoire aiguë sur atélectasies et accumulation de sédatifs avec intubation oro-trachéale (Cormack 2) et ventilation mécanique le 04.04.2017 Infection sous-cutanée à Pasteurella multocida avec lymphangite de l'index D sur morsure de chat le 09.04.2016 Conflit sous-acromial épaule D sur acromion type 2, ténopathie du long chef du biceps et arthrose AC en 2013 Fracture-luxation de la jonction sacro-coccygienne en 2004 Cure de kyste sacro-coccygien en 2000 Dyspnée d'origine mixte le 12.08.2019 : • composante psychogène au premier plan • sevrage opiacé • alcoolisation très importante la veille • composante de décompensation cardiaque possible • oubli du traitement Beloc Zok Tachycardie sinusale à 130/min DD : • composante psychogène • oubli de prise du traitement bétabloquant le 12.08.2019 • sevrage opiacé Rétention urinaire aiguë d'origine probablement sur sevrage d'opiacé le 12.08.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte : infectieuse sur pneumonie nosocomiale à germe indéterminé et sur insuffisance cardiaque gauche décompensée le 31.12.2019 • Ceftriaxone du 22 au 26.12.2019 et Clarithromycine le 22.12.2019 pour pneumonie communautaire Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte le 01.01.2020 • Pneumonie basale gauche • Décompensation cardiaque gauche Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte le 01.01.2020 • Pneumonie et décompensation cardiaque Insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique d'étiologie multifactorielle le 15.01.2020 • probable exacerbation de BPCO légère (1/3 critères d'Anthonisen) sur bronchite • syndrome restrictif sur obésité • décompensation cardiaque globale légère Insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique plurifactorielle le 07.01.2020 : • pneumonie basale bilatérale à germe indéterminé • exacerbation de BPCO Insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique plurifactorielle le 07.01.2020 : • pneumonie basale bilatérale à germe indéterminé • exacerbation de BPCO Gold B Insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique sur exacerbation de BPCO stade III le 23.01.2020 • DD origine infectieuse (doute sur foyer basal droit). Insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique sur probable exacerbation de BPCO le 15.01.2020 avec : • 1/3 critères d'Anthonisen Insuffisance respiratoire hypoxémique le 02.01.2020 DD : • décompensation cardiaque globale d'origine indéterminée (NTproBNP: 11534) • suspicion de surinfection bronchique sur inhalation Insuffisance respiratoire hypoxémique le 15.01.2020 • probable infection pulmonaire à pneumocoques (Antigènes urinaires pos.) Insuffisance respiratoire hypoxémique non hypercapnique sur pneumonie DD • EP: anticoagulation prophylactique • décompensation cardiaque: pas d'argument clinique/biologique franc Insuffisance respiratoire hypoxémique sévère dans un probable contexte infectieux (viral) le 11.01.2018 • patient connu pour probable syndrome emphysème/fibrose, avec trouble sévère de la diffusion du CO, sans syndrome obstructif ni restrictif (fonctions pulmonaires complètes 04.2017) • PaO2 5.7kPa (AA, repos) le 12.01.2018 • dilatation et dysfonction VD et HTP modérée (PAPs 60mmHg) le 12.01.2018 Laboratoire ECG (Dr. X, 11.01.2018) Suivi gazométrique PaO2 en air ambiant : • 5.7kPa le 12.01.2018 • 6.3kPa le 15.01.2018 • 7.2kPa le 18.02.2018 (11kPa sous O2 1l. lunettes) Test de marche de 6 minutes le 15.01.2018 : Saturation 91% sous 2lO2 au repos, RAM env. 80m sous 4lO2 pour une saturation de 92%. Angio-CT thoracique le 11.01.2018 : Pas d'embolie pulmonaire décelable. Important emphysème pulmonaire avec certains signes de fibrose aux bases. Pas d'argument pour une pneumopathie infectieuse. Plaques pleurales calcifiées en rapport avec une probable exposition à l'amiante. Multiples adénopathies médiastinales et hilaires aspécifiques dont certaines calcifiées. Echocardiographie transthoracique le 12.01.2018 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 63 % (méthode de Simpson). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Elévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche légèrement dilatée. Dilatation modérée des cavités droites. Fonction systolique du ventricule droit altérée. HTP modérée (PAPs à 60 mmHg). Absence de valvulopathie significative. Consilium pneumologique (Dr. X) le 12.01.2018 : Prednisone 50 mg pour 5 jours. Prednisone du 12.01 au 16.01.2018. Torasémide 5mg dès le 13.01.2018. Oxygénothérapie à la maison de courte durée Suivi en ambulatoire chez Dr. X le 21.03.2018 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur: DD: Pneumonie atypique, tuberculose active • Chez le médecin de garde (Dr. X): laboratoire: CRP à 148 mg/L et leucocytose à 25.2 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur décompensation cardiaque gauche le 05.01.2020 • alcalose respiratoire • DD sur sepsis, origine centrale, sevrage aux opiacés Insuffisance respiratoire hypoxémique sur grippe à Influenza A le 15.01.2020: • probable composante de surinfection bactérienne Insuffisance respiratoire hypoxémique sur pneumonie bi-basale le 17.01.2020 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur pneumonie communautaire multilobaire à germe indéterminé le 13.12.2019 • dans un contexte d'exacerbation BPCO stade III selon GOLD Insuffisance respiratoire hypoxémique sur pneumonie en 2012 Cure chirurgicale des doigts à ressaut en juillet 2017 Bronchopneumopathie chronique obstructive décompensée Insuffisance respiratoire hypoxémique sur Pneumonie lobaire droite à pneumocoque le 02.01.2020 • surinfection de grippe Influenza A Insuffisance respiratoire hypoxémique sur une pneumonie communautaire à germe indéterminé le 29.12.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur une pneumonie communautaire le 29.12.2019 • possible composante de décompensation cardiaque gauche secondaire Insuffisance respiratoire partielle dans le contexte d'une exacerbation d'une BPCO le 10.01.2020 • d'origine virale le plus probable, DD sur mauvaise compliance médicamenteuse • critère d'Anthonisen • Pro-calcitonine: 0.19 ug/l Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle: • SAOS, HTAP, Insuffisance cardiaque, troubles du sommeil Insuffisance respiratoire partielle le 10.08.2015 sur bronchite asthmatiforme. Tuberculose en 1960 environ. Tachycardie sinusale à 130/min dans un contexte de déshydratation et d'état fébrile en 2018. Insuffisance respiratoire partielle mixte sur: • pneumonie lobaire supérieure gauche • décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire rapide Pneumonie du lobe supérieur gauche avec épanchement parapneumonique avec insuffisance respiratoire partielle le 14.08.2009 Lésions kystiques de l'ovaire droit avec compression urétérale et dilatation pyélo-calicielle 2 cm droit le 17.08.2009 Lipothymies dans un contexte de fibrillation auriculaire tachycarde le 06.08.2016 Laboratoire: TSH dans la norme ECG du 06.08.2016 ECG du 11.08.2016 Test de Schellong le 10.08.2016 Majoration du traitement de Métozérok à 150 mg Gutron introduit le 10.08.2016 IRA AKIN II d'origine pré-rénale avec: • FE urée 26% DD: • Syndrome cardio-rénal • Déshydratation Hydratation intraveineuse pendant 24 heures Mise en suspens des traitements néphrotoxiques Résolue le 16.08.2016 INR supra-thérapeutique le 10.08.2016 Konakion 10 mg iv le 06.08.16 Reprise du Sintrom le 07.08.2016 Prochain contrôle le 23.08.2016 Insuffisance respiratoire partielle probablement chronique le 25.01.2020 DD: bradypnée sur majoration progressive des doses de Tramal, trouble de la diffusion sur vasculite connue (sans corrélat radiologique), trouble neuromusculaire entraînant une insuffisance respiratoire, SCA atypique (pas d'argument et troponines négatives) • pas d'argument pour une EP nouvelle depuis hier, pas de nouveau CT car risque faible et D-dimère nég Insuffisance respiratoire partielle sur décompensation asthmatique dans un contexte d'une infection des voies aériennes supérieures et allergique le 07.01.2020 Insuffisance respiratoire partielle sur probable pneumonie communautaire: • DD exacerbation de BPCO (2/3 critères d'Anthonisen) Insuffisance respiratoire post-opératoire le 18.09.2019 • Syndrome d'apnée du sommeil traité par CPAP depuis 2006 • Ventilation non invasive du 18.09.2019 au 19.09.2019 Trouble de la coagulation dans le contexte de choc septique le 18.09.2019 Diverticulose sigmoïdienne, hémorroïde interne (colonoscopie 2011) Opération de la cataracte il y a deux ans (les deux yeux) Hystérectomie en 1979 Appendicectomie en 1953 Insuffisance respiratoire post-opératoire le 18.09.2019 • Syndrome d'apnées du sommeil appareillé Acutisation d'insuffisance rénale chronique d'origine rénale avec oligurie: • Polykystose rénale avec insuffisance rénale chronique, stade KDIGO G3 • eGFR selon CKD-EPI: 36 ml/min, FeUrée: 46.2% Malnutrition protéino-énergétique légère • NRS à 4/7 Troubles de la crase dans le contexte septique le 18.09.2019 Anémie normocytaire Hypertension artérielle Syndrome des apnées du sommeil appareillé Trouble de l'adaptation chronique, DD autophobie Insuffisance respiratoire sous atélectasies post-opératoires et épanchements pleuraux bilatéraux post-remplissage Insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive péri-infectieuse modérée PRAM 6 Insuffisance respiratoire sur pneumonie basale droite Insuffisance respiratoire aiguë globale d'origine multifactorielle le 15.01.2020 • Insuffisance cardiaque diastolique avec OAP • Grippe A Influenza • STEMI subaigu Insuffisance veineuse bilatérale des membres inférieurs de stade II Cardiopathie hypertensive, rythmique et ischémique: • fibrillation auriculaire permanente • FEVG 60% le 23.02.2019 • insuffisance aortique modérée, insuffisance tricuspidienne minime Glaucome pseudo-exfoliatif Insuffisance veineuse bilatérale. Hypertension artérielle traitée. Obésité morbide avec BMI à 50.1 kg/m² (130 kg/160 cm). Lombalgies chroniques. Coxarthrose bilatérale. Gonarthrose bilatérale avec composante de chondrocalcinose compartimentale bilatérale. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche en avril 2019, étiologie inconnue. Insuffisance veineuse chronique avec dermite de stase bilatérale, droite > gauche Insuffisance veineuse chronique avec ulcération du MIG Insuffisance veineuse chronique bilatérale (C5EpApP) avec: • status post-ulcère veineux malléole interne droite • status post-plusieurs ulcères du côté gauche • dermite ocre bilatérale Insuffisance veineuse chronique de stade II Masse sous-axillaire gauche découverte le 08.05.2018 • taille <1cm • mobile par rapport au plan profond, douloureuse à la palpation • sans signe inflammatoire • en augmentation de taille selon la patiente • Ablation prévue le 10.10.2018 à 8h15 au centre Bertigny, annulée DD: adénopathie, lipome, abcès Constipation chronique sur prise d'opiacés Hypovitaminose D • 25 OH vitamine D2-3 : 53 nmol/l le 02.05.2018 Calcimagon D3 2x/j depuis le 08.05.2018 Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs. Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs des deux côtés avec: • ulcère veineux de la malléole externe à gauche • crossectomie et stripping de la veine saphène interne ddc • fasciotomie médiale MIG et tentative de phlébectomies en 2007 • débridement et greffe de peau ulcère malléole latérale du MIG en 2007 • actuellement: suivi stomatothérapie Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs stade II (C3) Hypertension artérielle traitée Insuffisance veineuse chronique des MI. Insuffisance veineuse chronique plus importante au niveau du membre inférieur droit que du membre inférieur gauche.Status post cure de varices. Hypertension artérielle. Arythmie cardiaque. Insuffisance veineuse chronique stade II Insuffisance veineuse chronique stade II. Dégénérescence musculaire. BCPO de type essentiellement emphysémateuse. Insuffisance veineuse chronique stade IV Chondrocalcinose PTGD le 31.01.2019 (Dr. X, HFR Tafers) PTHG 2002, PTHD 2007 Dégénérescence maculaire liée à l'âge Insuffisance veineuse des membres inférieurs : • Cure de varices bilatérale il y a 20 ans. Insuffisance veineuse des membres inférieurs avec cure de varices bilatérales il y a 20 ans. Insuffisance veineuse des membres inférieurs bilatérales. Thyroïdite de Hashimoto. Asthme. • Suivie par le Dr. X, dernier rdv : 2016, avec Mme. Y cliniquement euthyroïdienne, pas de prochain rdv prévu. • Dernier contrôle TSH : septembre 2017 chez Dr. X, sp selon patiente. Obésité de classe I. Céphalée chronique avec composante migraineuse le 24.03.2018. Insuffisance veineuse des membres inférieurs sans artériopathie des membres inférieurs • Suivi angiologique HFR Fribourg, dernier bilan 09/2017 Omarthrose bilatérale : • Trauma épaule droite en 2003 suite à accident de la voie publique • Suspicion de lésion partielle du tendon sus-épineux à l'épaule gauche en 2007, Dr. X • Dernière consultation Dr. X novembre 2019 : omarthrose, pas de traitement mise à part antalgie Lombalgies chroniques Cervicalgies chroniques : • Uncarthrose pluri-étagées C4-C7, hernie discale postéro-médiane C6-C7 avec empreinte sur le fourreau dural 01/2018 • Traitement par Co-Dafalgan et Physiothérapie Incontinence sphinctérienne Insuffisance veineuse des membres inférieurs stade III. Infections urinaires à répétition. Obésité (BMI 36,4 Kg/m2). Dyspnée chronique depuis plusieurs années. Hypertension artérielle. Gonarthrose invalidante du genou gauche. • Le 17.06.2013, Dr. X : prothèse totale de genou gauche. Douleurs post-opératoires. • Pose d'un cathéter fémoral gauche du 17 au 19.06.2013. Insuffisance veineuse des membres inférieurs Incontinence urinaire de stress Coxarthrose bilatérale Hypovitaminose D DMLA droite Hypertension artérielle • Médecin traitant a proposé à Mme. Y un traitement ponctuel par Adalat retard car tensions labiles. Nycturie (2 épisodes par nuit) et incontinence de stress • Pas de traitement habituel (renseigné auprès du médecin traitant) • Grille mictionnelle Insuffisance veineuse des membres inférieurs. 2 césariennes. Insuffisance veineuse des MI • Crossectomie agendée le 09.01.2020, repoussée. Insuffisance veineuse des MI. 2 césariennes. Insuffisance veineuse des MI. 2 césariennes. Insuffisance veineuse symptomatique de la veine saphène interne et externe gauche (stade C4, Ep, As, PR). • Status post-crossectomie et stripping de la veine saphène interne à droite, phlébectomies des deux côtés en 2008. • Crossectomie et stripping court de la veine saphène interne gauche et phlébectomies étagées du membre inférieur gauche le 17.10.2013. Ostéosynthèse pour une fracture du col du fémur gauche en 1971. Coxarthrose droite symptomatique avec nécrose chronique de la tête fémorale droite probablement suite à une ostéosynthèse pour une ancienne fracture pertrochantérienne le 26.08.2019. • Possible composante de méralgie paresthésique (névralgie fémoro-cutanée). Insuffisance veineuse Gonalgies chroniques bilatérales dans un contexte de : • Contusion par traumatisme direct des 2 genoux le 12.10.2018 • Status post arthroscopie du genou G avec méniscectomie interne et externe partielle, toilette articulaire et résection de plica synovialis et de synovite antérieure le 05.12.2018 par Dr. X • Status post arthroscopie du genou D avec méniscectomie interne partielle de la corne postérieure et antérieure, méniscectomie externe de la corne postérieure et moyenne avec toilette articulaire et résection de plica synovialis et synovite antérieure le 25.02.2019 par Dr. X. Insulatard sc, à adapter durant les phases de mise à jeûn Suivi rapproché des profils glycémiques Insulatard 0-0-18; novorapid 16-6-10 pendant la grossesse. Profil glycémique à J3 HGPO à 3 mois Insulatard 10 UI le matin dès le 20.01.2020 en raison des hyperglycémies. Insuline + Glucose le 09.01.2020 Resonium dès le 09.01.2020 Mise en suspens des IEC et Aldactone Insuline + Glucose le 09.01.2020 Mise en suspens des IEC et Aldactone Resonium du 09.01 au 10.01.2020 Réintroduction de l'aldactone le 14.01.2020 Contrôle chez le médecin traitant le 17.01.2020 Insuline + glucose. Gazométrie : cf. annexes. Mise en suspens des IEC et Aldactone. Hydratation iv 500 Ml/24 heures (CAV patient connu pour FEVG à 15 %). Insuline actrapid 20UI et glucose 20% 250ml. Insuline et glucose le 11.11.2019 Acétate de calcium du 11.11.2019 au 25.11.2019 Alucol dès le 13.11.2019 au 27.11.2019 Suivi biologique Insuline iv du 05.01 au 07.01.2020, sous-cutanée dès le 07.01.2020 Hydratation iv du 05.01 au 07.01.2020 Réévaluer traitement avec patient et diabétologue À prévoir suivi en ambulatoire Insuline iv du 05.01 au 07.01.2020 Hydratation iv du 05.01 au 07.01.2020 Insuline iv puis sc Réintroduction antidiabétiques oraux dès le 08.01.2020 Insuline i.v.c du 21.01 au 22.01.2020 Insuline s.c. dès le 22.01.2020 Avis diabétologique le 22.01.2020 Insuline i.v.c. 14.01-15.01.2020 Insulatard dès 16.01.2020 Insuline i.v.c. 14.01-15.01.2020 Insulatard dès 16.01.2020 Consilium diabétologique Bilan des complications liées au diabète à réaliser en ambulatoire (Fond d'œil, dépistage de la néphropathie diabétique par rapport à la microalbuminurie/créatininurie, podologie) Insuline rapide HbA1c à pister Insuline sc. Hydratation Insuline-glucose, Gluconate de calcium et Salbutamol Résonium Avis infectiologique pour l'arrêt du Bactrim le 18.01.2020 Insuline-Glucose i.v. aux urgences de Riaz Resonium le 02.01.2019 Mise en suspens d'Aldactone dès le 01.01.2020 Insuline-Glucose iv Resonium le 02.01.2019 Mise en suspens de l'Aldactone dès le 01.01.2020 Insulinothérapie durant l'hospitalisation Avis diabétologique : insulatard pendant la corticothérapie puis introduction de 10 UI de Lantus le soir Avis de l'infirmière de diabétologie le 07.01.2020 Insulinothérapie pendant l'hospitalisation Interdiction de conduire pendant 24 h. Envisager autre moyen de contraception physique pendant 6 semaines. Interruption du traitement par Efient selon rapport du cardiologue datant de juin 2019 et après discussion internistique le 10.12.2019. Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 14.12.2019 et Cytotec le 16.12.2019. Expulsion non objectivée pendant l'hospitalisation. Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifégyne le 18.01.2020 et Cytotec le 20.01.2020. Expulsion objectivée pendant l'hospitalisation. Groupe sanguin : A Rhésus positif. Contraception future: sera discutée avec le Dr. X. Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 18.01.2020 et Cytotec le 20.01.2020. Groupe sanguin : A Rhésus positif. Expulsion objectivée pendant l'hospitalisation. Contraception future: DIU Kyleena. Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifégyne le 25.01.2020 et Cytotec le 27.01.2020. Expulsion objectivée pendant l'hospitalisation. Groupe sanguin : A Rhésus positif. Contraception future: préservatifs. Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifégyne le 25.01.2020 et Cytotec le 27.01.2020. Expulsion objectivée pendant l'hospitalisation. Groupe sanguin : O Rhésus positif. Contraception future: préservatifs. Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse le 21.09.2019. Intertrigo. Intertrigo du pli abdominal le 30.12.2019. Intertrigo du scrotum le 23.01.2020. Intertrigo mammaire, 21.01.2020. Intertrigo pli inguinal à D. Intervention : • trépanation frontale gauche le 15.01.2020 (OP Dr. X/Dr. Y) avec retrait des agrafes le 21.01.2020. Attitude : • contrôle à la consultation du Dr. X le 13.02.2020 à 10h avec CT de contrôle. • réévaluation reprise Eliquis dans minimum 4 semaines. Dans l'intervalle, poursuite de la Clexane 20 mg 1x/j. Intervention : • implantation de pacemaker DDD (Biotronik, EDORA 8 DR-T) le 21.01.2020 par le Dr. Z. Investigation : • radiographie thoracique de contrôle le 21.01.2020. • contrôle du pacemaker en cardiologie le 21.01.2020. Attitude : • contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. • contrôle du pacemaker en cardiologie avec le Dr. Z le 25.02.2020. Intervention : • ponction d'ascite le 27.12.2019 (Dr. A) : 5200 ml de liquide jaune, culture nég, protéines 16 g/L, absence de cellules d'allure maligne. Traitement : • Albumine 40 g le 27.12.2019. • Sintrom en suspens du 26.12 au 29.12.2019. • Konakion 10 mg i.v. le 26.12.2019. • Héparine prophylactique 10'000 UI/24h du 28.12.2019 au 02.01.2020. Attitude : • suivi pondéral. Intervention canal lombaire étroit septembre 2019. • Douleur MIG chronique. Status post PTH G. Status post PTG bilatérale, à D en mars 2017. Status post cholécystectomie par laparoscopie le 01.13.2010 (Dr. B). Status post pancréatite aiguë d'origine inconnue (DD: abus OH, médicamenteux). Status post excision d'un kyste poignet D le 01.12.2010 (Dr. C). Status post opération d'un strabisme. Infection précoce hanche D à Staph. aureus post implantation PTH D le 28.09.2017 (Dr. D, Clinique Générale). • Révision de plaie, débridement, biopsies et rinçage PTH hanche D (OP le 20.10.2017). • Consilium d'infectiologie le 20.10.2017. • Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2.2. g 4x/j du 20 au 21.10.2017. • Floxapen 2 g 4-6x/j i.v. à partir du 21.10.2017. • Transfert à la Clinique Générale le 24.10.2017, pour prise en charge par le Dr. D. Intervention chirurgicale agendée au 27.11.2019 pour réimplantation PTH G, annulée la patiente étant sous anticoagulation par Eliquis non stoppée le 23.11.2019. Intervention chirurgicale élective. Intervention chirurgicale le 02.03.2020. Intervention chirurgicale le 03.02.2020. Intervention chirurgicale le 05.02.2020. Prochain contrôle post-opératoire le 19.03.2020. Intervention chirurgicale le 09.03.2020. Intervention chirurgicale le 10.02.2020. Intervention chirurgicale le 13.01.2020. Intervention chirurgicale le 17.01.2020. Intervention chirurgicale le 24.02.2020. Intervention chirurgicale le 27.01.2020. Intervention chirurgicale prévu le 27.04.2020. Contrôle post-opératoire prévu le 12.06.2020. Intervention chirurgicale prévue le 05.03.2020. Intervention chirurgicale prévue le 09.03.2020. Contrôle post-opératoire prévu le 24.04.2020. Intervention chirurgicale prévue le 13.01.2020. Contrôle post-opératoire prévu le 06.03.2020. Intervention chirurgicale prévue le 24.01.2020. Contrôle post-opératoire prévu le 06.03.2020. Intervention chirurgicale prévue le 30.03.2020. Contrôle au neurocentre prévu avant l'intervention. Contrôle post-opératoire prévu le 15.05.2020. Intervention d'une sténose du duodénum au Portugal en 1987. Cholécystolithiase non datée. Intervention élective. Intervention élective.Intervention planifiée. Intervention • pose d'une PEG le 23.01.2020 Traitement prophylactique pré-opératoire • Zinacef 1.5 g le 23.01.2020 • Dentohexine le 23.01.2020 Attitude • rendez-vous de suivi à l'hôpital de jour le 28.01.2020 • CT de planification pour la radiothérapie la semaine prochaine Intervention pour hémorroïdes. Hyper-réactivité bronchique post bronchite aiguë. Crise d'angoisse chez un patient anxio-dépressif. Crise d'angoisse dans un contexte d'anxiété généralisée le 23.03.2018. Dermatite de contact allergique sur le bas du visage le 01.06.2019. Attaques de paniques en augmentation le 03.09.2019 • chez un patient connu pour un trouble anxio-dépressif et multiples hospitalisations à Marsens. Varicocèle D le 20.09.2019. Intervention prévue le 09.01.2020. Intervention prévue le 23.04.2020. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Intervention programmée. Grossesse non désirée à 10 1/7 SA chez une patiente de 34 ans, 4G2P. Intervention • Sondage vésical du 26.12.2019 Adaptation diurétiques Investigation • US prostatique le 08.01.2020. INTERVENTION AMO tibia, correction d'axe du tibia distal avec ostéotomie de la fibula et du tibia et ré-ostéosynthèse tibia par plaque LCP en latéral et MIPO en médial D (Op le 11.12.2019). MICROBIOLOGIE Prélèvements intra-opératoires du 11.12.2019 : Staphylococcus warneri. ANTIBIOTHÉRAPIE Zinacef du 11.12.2019 au 14.12.2019 Bactrim forte du 18.12.2019 au 27.12.2019 avec relais par Levofloxacine et Rifampicine le 27.12.2019 si fermeture complète des cicatrices. Interventions multiples des deux genoux pour nécroses et kystes. Interventions Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement. Interventions Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement. Intoeing bilatéral avec antétorsion fémorale haute physiologique. In-toeing des deux membres inférieurs surtout marqué à droite sur excès d'antétorsion fémorale. Intolérance à la clindamycine. Intolérance à la cordarone Contrôle de la fréquence par majoration du traitement par Meto Zerok 50 mg 1-0-1-0 Contrôle à la permanence le 20.01.2020. Intolérance à la Morphine. Intolérance à l'Augmentin Tabagisme actif à 40 UPA, OH 1 unité/jour. Carcinome épidermoïde peu kératinisant de la base de langue droite, classé cT1 cN2a M0 p16+ • Évidement ganglionnaire sélectif droit, extraction dent 27 le 23.01.2018. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 70 % de l'IVA moyenne : direct stenting (2xDES) : bon résultat • Sténose intra-stent 80 % de l'artère coronaire droite moyenne : PTCA/1xDES (bon) • Fraction d'éjection VG 65 %. ECG Laboratoire Coronarographie le 21.12.2018 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 21.12. au 22.12.2018. Aspirine cardio à vie Efient 10 mg/j pour 6 mois Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 1 année. Intolérance à l'histamine suspectée, à investiguer par pédiatre. Intolérance au Dafalgan (nausées). Intolérance au glucose à jeun • HbA1c 5.9 %. Intolérance au glucose à jeun • HbA1c 6.3 %. Intolérance au glucose à jeun • HbA1c 6.3 %. Intolérance au glucose, 21.01.2020 • Glycémie 11.0 mmol/l. Intolérance au lactose. Intolérance au lactose avec suivi gastroentérologique. Gastrite à collagène sévère et colite à collagène diagnostiquées en septembre 2018. Intolérance au lactose • sous Lacdigest. Intolérance au Tramadol. Intolérance au Tramal. Intolérance au TRAMAL avec asthénie le 15.01.2020. Intolérance au Tramal avec nausées le 08.01.2020. Intolérance aux protéines bovines : alimentation par lait Althéra. Intoxication. Intoxication. Intoxication à la digoxine le 02.07.2019 Pneumonie basale gauche le 19.02.2019 dans un contexte de grippe Influenza A traitée par Rocephin, Klacid. Prothèse de genou gauche et droit Appendicectomie Cure tunnel carpien droit. Intoxication à l'alcool. Intoxication à l'héroïne avec probable crise d'épilepsie le 28.01.2020. Intoxication aiguë à l'alcool. Intoxication aiguë à l'alcool le 01.01.2019 avec agitation importante • trouble de l'état de conscience. Intoxication aiguë volontaire au Paracétamol le 05.12.2015 Lexotanil en réserve Alcoolisation aiguë avec un alcoolémie à 1.5 g pour mille Bypass gastrique en 2010 AVP à faible cinétique Rx colonne cervicale Rx colonne dorsale. Intoxication alcoolique. Intoxication alcoolique. Intoxication alcoolique à 2.45 %o, 05.01.2020 • 10 unités vin/jour. Intoxication alcoolique aiguë. Intoxication alcoolique aiguë le 04.01.2020 • alcoolémie à 2.21 pour mille. Intoxication alcoolique aiguë le 04.01.2020 • alcoolémie à 2.21 pour mille. Intoxication alcoolique avec tachycardie. Intoxication alimentaire. Intoxication alimentaire. Intoxication alimentaire au décours. Intoxication alimentaire au décours. Patient invité à reconsulter en cas de péjoration clinique. Intoxication alimentaire le 22.11.2016. Tentamen par veinosection le 30.10.2018, hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Douleurs thoraciques d'origine probablement pariétale. Prostatite. Intoxication alimentaire sur probable ingestion de poulet avarié. Intoxication alimentaire sur probable ingestion de poulet avarié. Intoxication alimentaire. Burn-out en hiver 2018-2019. Intoxication au monoxyde de carbone. Intoxication avec substance X le 15.08.2017. Intoxication éthylique. Intoxication éthylique aiguë. Intoxication éthylique aiguë. Intoxication éthylique aiguë. Intoxication éthylique aiguë. Intoxication le 18.01.2020 : • But suicidaire. • OH, Quétiapine, benzodiazépine. Intoxication médicamenteuse. Intoxication médicamenteuse. Intoxication médicamenteuse. Intoxication médicamenteuse. Intoxication médicamenteuse aiguë, 17.01.2020 • Ingestion de 10 g de Mefenacide. Intoxication médicamenteuse au Tégrétol et Rivotril avec état confusionnel aigu en novembre 2012. Intoxication médicamenteuse volontaire : • prise de 80 comprimés d'Escitalopram et 6 comprimés de Relaxane avec une bouteille de vin. Intoxication médicamenteuse volontaire, 17.01.2020 • Ingestion de 10 g de Mefenacide. Intoxication OH. Intoxication OH. Intoxication OH. Intoxication OH. Intoxication OH le 01.01.2020 • 6h30 : 1.02 o/oo. Intoxication OH sur syndrome de dépendance à l'alcool. Intoxication possible aux benzodiazépines (15-25 comprimés de Temesta 1 mg selon le patient) et au liquide de lave-vaisselle le 18.01.2020 vers 19h00 : • sans idéation suicidaire • altération de l'état de conscience avec pertes de connaissance durant 30-60 secondes, depuis 19h40 • toxo screening : benzodiazépines, barbituriques et AD tricycliques négatifs.Avis psychiatre Dr. X, CdC adj RFSM : En l'absence d'éléments somatiques expliquant l'altération de la vigilance et de l'état de conscience observée hier, nous imaginons une origine psychogène (crise hystériforme) dans un contexte de trouble psychiatrique grave sous-jacent (probables séquelles de psychose infantile - trouble envahissant du développement ainsi que dysphorie de genre). Le patient ne manifeste pas de volonté auto-agressive et ne présente pas de critères pour une hospitalisation. Nous recommandons la poursuite de la prise en charge ambulatoire pour l'aider à développer des moyens d'adresser sa souffrance psychique de façon mature et efficace. Nous proposons un retour à domicile après nous être entretenus avec l'équipe éducative qui accepte d'accueillir le patient ce jour à l'appartement protégé. Etat dépressif avec idées suicidaires le 14.05.2019 • Avis psy : Il s'agit d'un patient âgé de 19 ans, célibataire, vivant au Foyer FARA (Fondation Ateliers Résidences Adultes), bien connu du RFSM, la dernière hospitalisation datant du 30.01.2019 au 25.02.2019 à l'unité Hermès. Il est adressé en mode volontaire après évaluation somatique aux urgences de l'HFR-Fribourg, pour idéations scénarisées sous forme de marcher sur l'autoroute, avec également un risque hétéro-agressif. Le patient présente un état anxieux important, avec une baisse de l'humeur. Ce dernier est en cours de changement de sexe avec prise hormonale et ces derniers temps, il ressent un malaise dans son travail. Il était amoureux d'un garçon qui s'est revendiqué hétérosexuel et qui s'est refusé à lui. Depuis lors, son état psychique se péjore. • hosp Marsens en volontaire accompagné de sa mère Intoxication possible aux benzodiazépines (15-25 cpr de Temesta 1 mg selon le patient) et au liquide de lave-vaisselle le 18.01.2020 vers 19h00 • sans idéation suicidaire • altération de l'état de conscience avec pertes de connaissance durant 30-60 secondes, depuis 19h40 • toxo-screening : benzodiazépines, barbituriques et AD tricycliques négatifs. Introduction Amlodipine 10 mg/j Introduction Amlodipine 10 mg/j dès le 07.01.2020 Continuation Lisinopril Introduction Coversum depuis le 20.01.2020 Amélioration du profil tensionnel Amlodipine en R. Suivi chez le médecin traitant. Introduction d'Amlodipine 5 mg 2x/j et Ramipril 2.5 mg 2x/j (Universitätsklinikum Freiburg) Arrêt du Ramipril et introduction de Lisinopril le 13.01.2020 Introduction de Brintellix dès le 06.01.2020 Introduction de Januvia au lieu de la Metformine Adaptation de la posologie d'Insulatard Introduction de Novorapid Introduction de la Metolazone au traitement de Torasémide Introduction de l'Enalapril le 12.12.2019 Introduction de l'insuline Stop Diamicron Introduction de Lisinopril 5 mg. Suivi chez le médecin traitant. Introduction de substitution Contrôle biologique durant l'hospitalisation Introduction Distraneurine pour le temps de l'hospitalisation le 07.01.2020. Introduction d'un schéma de correction rapide Introduction d'un traitement p.o. par Colchicine en schéma dégressif Introduction d'une diète sans protéine de lait de vache et sans gluten Convocation en gastroentérologie le 28.01 Consultation diététicien le 28.01 Introduction d'une substitution de Potassium en ordre unique iv continue aux urgences. Puis substitution de KCL P.O pendant 3 jours à domicile. Suivi et contrôle chez son médecin traitant. Nous conseillons à la patiente de reprendre le suivi psychiatrique. Introduction d'une substitution pour l'hiver le 07.01.2020 Introduction Lisinopril le 10.01.2020 Introduction Lyrica dès le 12.12.2019 : 50 mg 2x/j, 100 mg 2x/j dès le 15.12.2019 Ergothérapie pour rééducation neurologique dont thérapie de resensibilisation Proposition : si non survenue de douleurs neuropathiques spontanées, diminution du Lyrica à -100 mg/j aux 3-4 j. Introduction Métoprolol le 28.01.2020 Angio-CT thoracique à prévoir à distance Introduction Metoprolol 25 mg 1x/j Introduction Xarelto 20 mg/j, arrêté le 17.01.2020 en raison d'hématurie Clexane thérapeutique dès le 22.01.2020 Reprise du Xarelto dès le 24.01.2020 Introduction Spiriva Respimat 5 mcg/jour. Benocten 50 mg 0-0-0-1. Makatussin en R 15 gouttes, max 3x/jour. Ad Pneumologue si persistance de la toux. Introduction Torem 5 mg Introduction traitement avec Spiriva Introduction Xarelto 20 mg/j, arrêté le 17.01.2020 en raison d'hématurie Introduction Metoprolol 25 mg 1x/j Intubation difficile : épiglotte tombante Intubation et ventilation mécanique du 28.12.2019 au 30.12.2019 Insuline intraveineuse du 28.12.2019 au 01.01.2019 Nutrition parentérale du 28.12.2019 au 31.12.2019 Intubation oro-trachéale (Cormack 2b) le 08.01.2020 Ablation spacer par voie trans-fessière, prise des prélèvements (x5), implantation PTH à G et cerclage Dall-Miles pour fracture péri-prothétique du petit trochanter intra-opératoire le 08.01.2020 (Dr. X) Prélèvements microbiologiques intra-opératoires du 08.01.2020 Cubicine i.v. 700 mg 1x/j du 08.11.2019 au 18.11.2019 Vancomycine 2 g/24 en continu du 18.11.2019 au 06.12.2019 Vancomycine 1 g/24 2x/j iv du 08.01.2020 au ______________ (taux à faire avant la 4ème dose) Cathéter artériel radial gauche du 08.01.2020 au 09.01.2020 Antalgie par PCA de morphine + oxycontin 20 mg matin et soir Propositions • Mobilisation en charge partielle de 15 kg (touch down) à l'aide de deux cannes anglaises pendant 8 semaines Éviter les mouvements de rotation de la hanche ainsi que la flexion >70° pendant 6 semaines. Pas d'adduction, pas d'abduction active. • Radiographies post-opératoires (Bassin Face et Hanche axiale) demandées. • Ablation Redon selon quantité (directement post-op sans aspiration car coulé. • Ablation agrafes J14 • Avis Infectiologique pour la durée de traitement à prévoir Intubation oro-trachéale (IOT difficile, CK3 avec vidéolaryngo scope) et ventilation mécanique du 25.12 au 28.12.2019 VNI du 28.12.2019 au 01.01.2020 Intubation oro-trachéale (Cormack grade 1) et ventilation mécanique (CK I, Dr. X) le 27.12.2019 Bronchoscopie le 27.12.2019 CT thoracique le 27.12.2019 Drainage thoracique Monaldi à gauche le 27.12.2019 Noradrénaline dès le 27.12.2019 Arrêt de l'héparine non fractionnée le 27.12.2019 Protamine intraveineux et acide tranéxamique le 27.12.2019 Transfusion : 4 concentrés érythrocytaires et 2 plasmas frais congelés le 27.12.2019 Thoracoscopie le 27.12.2019 avec évacuation de l'hématome gauche Intubation oro-trachéale (Cormack 1) et ventilation mécanique : • du 26.11. au 28.11.2019 • du 28.11 au 06.12.2019 • du 11.12.2019 au 13.12.2019 Trachéotomie le 13.12.2019 Trans-canulation pour canule fenestrée le 20.12.2019 Ventilation mécanique sur trachéotomie : • continue du 13. au 17.12.2019 • intermittente du 17.12.2019 au 12.01.2020 CT thoracique le 25.11.2019 Bronchoscopie 26.11.2019 (Dr. X) : biopsies : aspect de pneumonie bactérienne sévère avec composante bronchiolite sévère. Pas d'argument pour une aspergillose invasive. Bronchoscopie de toilettage les 29.11., 11.12., 13.12.2019 Intubation oro-trachéale (Dr. X) du 17.01 au 17.01.2020 Bronchoscopie avec aspiration résidus alimentaires le 17.01 Antibiothérapie par Co-Amoxicilline dès le 17.01.2020 (pour 5 jours au total, jusqu'au 21.01.2020) ATTITUDE DISCUTEE AVEC CURATELLE CE 17.01.2020 (Mme. Y) : • PROJET LIMITE • Pas de réanimation • Plus d'intubation oro-trachéale • Transfert aux Soins Intensifs uniquement si nécessité Ventilation non Invasive Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 15.01 au 17.01.2020 Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 20.01 au 21.01.2020 Ventilation non-invasive intermittente du 21.01 au 27.01.2020Cathéter artériel radial gauche du 20.01 au 28.01.2020 Nitroglycérine iv du 20.01 au 27.01.2020 Nitroprussiate de Na le 20.01.2020 Furosémide iv continu du 20.01 au 23.01.2020 Lisinopril, Physiotens, Deponit patch, Adalat, Metoprolol, Cardura, Torasémide Bilan angiologique et Doppler des artères rénales le 21.01.2020 Coronarographie et cathétérisme rénal le 27.01.2020 : Coronaires saines. Hypertension pulmonaire modérée mixte (PAPm 35 mmHg, TPG 12 mmHg). Pose d'un stent au niveau de l'artère rénale droite pour sténose modérée à 70% Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 20.01 au 21.01.2020 Ventilation non invasive intermittente du 21.01 au 27.01.2020 Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 22.01.2020 au 23.01.2020 Consilium neurologie le 23.01.2020 (Dr. X) Arrêt de la Gabapentine le 22.01.2020 Trittico en suspens du 22.01 au 31.01.2020 Quétiapine en suspens du 22.01 au 26.01.2020 Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 26.11 au 27.11.2019 IRM cérébrale le 26.11.2019 : lepto-méningite régrédiente pariéto-occipitale des deux côtés EEG du 26-27.11.2019 : pas d'activité épileptiforme EEG le 10.12.2019 : pas d'activité épileptiforme Céfépime (taux du 25.11.2019 : 5.4 mcg/ml) Traitement anti-épileptiques : Lévétiracétam introduit à l'Inselspital jusqu'au 10.12.2019 Brivaracetam du 10.12.2019 au 29.12.2019 (en suspens en raison de l'IRA, selon avis Dr. X le 28.12.2019) Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique le 03.01.2020 Massage cardiaque externe (lukas) Echocardiographie de débrouillage le 03.01.2020 Adrénaline Noradrénaline Voie veineuse centrale jugulaire interne gauche le 03.01.2020 Cathéter artériel fémoral gauche le 03.01.2020 Sonde vésicale le 03.01.2020 Intubation oro-trachéale (grade laryngé 1) le 21.01.2020 Ventilation mécanique du 21.01-22.01.2020 Propofol IVC du 21.01-22.01.2020 Hydratation IV du 21.01-22.01.2020 Sonde nasogastrique du 21.01-22.01.2020 Sonde vésicale du 21.01-22.01.2020 Avis consultant de pédopsychiatrie (Dr. X) le 22.01.2020 Intubation par Dr. X (taille 7 mm, arc dentaire à 23 cm) avec induction par Etomidate et Succinylcholine, poursuite de la sédation par Propofol Sondage vésical Échec de pose de cathéter artériel radial à gauche et à droite Radiographie de thorax Transfert aux soins intensifs Intubation FSC, Na+, K+, créatinine, urée, glycémie, ALAT/ASAT, alcoolémie. Intussuception de la jonction œso-gastrique au sein du stent le 18.12.2019 Invagination avec syndrome d'obstruction intestinale incomplète avec laparotomie, désinvagination et appendicectomie en passant en 02.2012 Invagination iléo-caecale réduite par un lavement de NaCl 0.9% le 12.07.2014 Invagination traitée par laparotomie en 08.2014 Psychose aiguë avec agitation psycho-motrice transitoire induite par prise de stéroïdes anaboliques le 04.02.2019. Probable effet Antabus sur consommation d'OH et traitement de fond de Flagyl. Rupture de la plaque palmaire du majeur de la main droite le 07.12.2012 Gastrostomie de 2001 à 2008 Cytolyse hépatique et rhabdomyolyse d'origine médicamenteuse (stéroïdes). Dermohypodermite cuisse gauche, le 22.02.2019 avec signe de myosite radiologique du quadriceps gauche vaste médial Sevrage d'héroïne le 01.01.2020 : • Consommation depuis 1.5 mois (0.5-1 g/j) Consilium psychiatrique (Dr. X) le 01.01.2020 Consilium psychiatrique (Dr. X) le 02.01.2020 : transfert à l'Hôpital de Marsens pour sevrage en mode volontaire, avec organisation de la poursuite du sevrage en ambulatoire au CTS dès le 06.01.2020 Substitution Méthadone 20 mg le 31.12.2019 Quétiapine en réserve Investigation : • Angio-IRM cérébral le 31.12.2019 (Inselspital) • Angio-IRM cérébrale le 31.12.2019 (Inselspital) • IRM cérébrale le 01.01.2020 (Inselspital) • Echocardiographie transthoracique le 03.01.2020 • Bilan neuropsychologique le 06.01.2020 Intervention : • Thrombectomie mécanique sous AG (TICI 3) sans complication le 31.12.2019 Traitement : • Héparine continue jusqu'au 06.01.2020, puis relais par Edoxaban le 06.01.2020 • Conduite automobile contre-indiquée jusqu'à la prochaine évaluation neuropsychologique Investigation : • CT cérébral natif le 09.01.2020 • CT cérébral natif le 10.01.2020 • Test de déglutition Traitement : • Traitement complexe en unité stroke monitorée HFR du 08.01.2020 au 11.01.2020 • Charge Aspirine le 07.01.2020, double antiagrégation par Aspirine et Plavix jusqu'au 09.01.2020, puis Aspirine au long cours dès le 10.01.2020 • Héparine thérapeutique du 08.01 au 15.01.2020 • Eliquis 5 mg 2x/j dès le 15.01.2020 • Neuroréhabilitation pluridisciplinaire Intervention : • Artériographie cérébrale et thrombectomie de l'artère cérébrale moyenne, dissection de l'artère carotide interne droite et pose de stent le 07.01.2020 (Inselspital, Berne) Attitude : • Reclassement en attente de neuro-réhabilitation à Meyriez • Consultation à 3 mois en neurologie Investigation : • PCR C. difficile dans les selles 03.01.2020 : négatif • OGD 07.01.2020 (Dr. X) • Biopsie gastrique et duodénale le 07.01.2020 (Promed P2020.162) : muqueuse duodénale avec quelques petites plages de métaplasie fovéolaire, Helicobacter pylori négatif • Calprotectine fécale 09.01.2020 : 139 mcg/g (douteux) • IgA anti-transglutaminase 08.01.2020 : < 1 U/ml Traitement : • Pantozol • Alucol • Tramadol Convocation en ambulatoire pour une colonoscopie et consultation gastro-entérologique Investigation : • Radiographie du thorax du 26.12.2019 • ETT le 08.01.2019 : FEVG 37% Traitement : • ventilation non invasive intermittente du 26.12 au 28.12.2019 • Furosemide du 26.12.2019 au 08.01.2020 • Métolazone 5 mg 1x/j du 31.12.2019 au 08.01.2020 • reprise aldactone habituelle 50 mg 1x/j le 03.01.2020 • Torem dès le 08.01.2020 Attitude : • envisager fermeture de l'oreillette lorsque le patient devient non anticoagulable • rendez-vous prévu en cardiologie dans 6 mois : le patient sera convoqué • réactivation des soins à domicile Investigation : • bilan angiologique le 31.12.2019 Traitement : • Clexane thérapeutique du 31.12.2019 au 15.01.2020, avec fenêtres thérapeutiques lors des interventions anesthésiologiques • relais par Xarelto 15 mg - 2 x/jour du 16.01.2020 au 21.01.2020, puis Xarelto 20 mg/jour dès le 22.01.2020 Attitude : • contrôle angiologique prévu le 03.04.2020 pour réévaluer la poursuite de l'anticoagulation Investigation : • contrôle pacemaker pré et post-radiothérapie le 20.01.2020 Investigation : • ECG 07.01.2020 Traitement : • hydratation • vitamine D 300'000 UI po le 09.01.2020 • Magnesium 16 mmol iv le 10.01.2020 • Magnesium diasporal 100 mg 2cp 1x/j dès le 10.01.2020 • NaCl 2 capsules 1x/j dès le 09.01.2020 Attitude : • suivi électrolytes Investigation à organiser. Investigation • AngioCT thoracique 25.12.2019 • Consilium ORL (Dr. X) les 25.12 et 26.12.2019 : retrait d'un gros bouchon rigide avant le laryngostome et de la canule, avec amélioration de l'état général de la patiente. Pas de remplacement de canule pour le moment. Si décompensation respiratoire, ad tube 6.5 dans le trachéostome pour ventilation invasive et appel en urgence des ORL • Consilium ORL (Dr. X) le 30.12.2019 : pas de nouvelle obstruction, trachée calme • Consilium ORL le 03.01.2020 : évolution favorable Traitement • Aérosols de Solmucol/Fluimicil, Bépanthène et NaCl • Physiothérapie respiratoire avec aspiration • O2 aux lunettes en réserve Attitude • Réadaptation pulmonaire à l'HFR Billens le 09.01.2019 • Sevrage progressif des aérosols Investigation • AngioCT thoracique 25.12.2019 • Cultures d'expectorations le 26.12.2019 Traitement • Co-Amoxicilline du 26.12.2016 au 28.12.2019 • Levofloxacine du 28.12.2019 au 03.01.2020 • Physiothérapie respiratoire Attitude • Suivi clinique Investigation • Avis chirurgical (Dr. X) 28.12.2019 • CT abdominal 29.12.2019 • Radiographie de thorax 28.12.2019 • Avis Dr. X 08.01.2020 : indication à une colonoscopie Traitement • Piperacillin-Tazobactam jusqu'au 30.12.2019 • Rocephin 2 g 1x/j + Metronidazol 500 mg 2x/jour du 30.12.2019 au 06.01.2020 • Ajout Prednison dès le 30.12.2019 en raison d'une notion d'allergie au métronidazole • Prednison à diminuer selon schéma dégressif • Prednison 15 mg dès le 29.01.2020 pour 7 jours • Prednison 10 mg dès le 05.02.2020 pour 7 jours • Prednison 5 mg dès le 12.02.2020 pour 7 jours Soutien transfusionnel • 2 CE (le 31.12, 02.01 et le 13.01.2020) Intervention • Colonoscopie le 27.01.2020 : pas de sténose, pas de tumeur Investigation • Contrôle du pace-maker pré et post pose de stent 06.01.2020 • Contrôle du pace-maker (Dr. X) 09.01.2020 Investigation • CT abdominal injecté le 26.12.2019 • Anuscopie le 26.12.2019 • Avis gastro-entérologique 26.12.2019 Intervention • Rectosigmoïdoscopie le 26.12.2019 (Dr. X) : clip et injection d'adrénaline de l'ulcère rectal Investigation • CT abdominal natif 21.11.2019 • OGD le 29.11.2019 : présence de 2 ulcères au niveau du genu supérieur duodénal dont un est couvert de fibrine et l'autre recouvert de fibrine ainsi que de traces d'hématine. Oesophagite mycotique sévère. • Avis gastro le 29.11.2019 : Ad Pantozol 8 mg/h pour les premières 72/h. après Pantozol 40 mg 2x/j du 29.11 pour une durée de 6 semaines (jusqu'au 10.01.2020) • Nexium 10 mg eff dès le 15.01.2020 Soutien transfusionnel Investigation • CT cérébral natif 03.01.2020 • CT thoracique 05.01.2020 • Radiographie de thorax 03.01.2020 • Urines 03.01.2020 : pas d'infection urinaire • ECG 03.01.2020 : superposable au comparatif • Contrôle du pace-maker pré et post pose de stent 06.01.2020 puis du 09.01.2020 • Consilium radio-oncologie (Dr. X) 08.01.2020 • CT planification radiothérapie 09.01.2020 Intervention • Pose de stent dans la veine cave supérieure le 06.01.2020 Traitement • Suspension du torasémide du 03.01 au 08.01.2020 Attitude • Radiothérapie à basse dose Investigation • CT thoraco-abdominal haut • Hémocultures à froid 19.12.2019 : négatif • Antigènes urinaires négatifs • Ponction pleurale le 20.12 : exsudat, culture négatif • ECG 17.12.2019 • CT crânio-cervical 17.12.2019 • CT thoraco-abdominal 19.12.2019 • IRM neurocrâne 18.12.2019 • Schellong du 18.12.2019 : subjectif négatif, objectif pathologique • Echocardiographie transthoracique 19.12.2019 Traitement • Ceftriaxone du 19.12.2019 au 29.12.2019 • Antalgie par oxycodone • Mise en suspens du Co-Tenolol au vu de la bradycardie Attitude • Réévaluation reprise du Co-Ténolol Investigation • Dosage CEA le 30.12.2019 : 2.6 (dans la norme) Attitude • OGD et colonoscopie complète en ambulatoire à organiser à distance Investigation d'un SAOS selon votre appréciation. Investigation • ECG 10.01.2020 • Schellong 14.01.2020 : négatif • MMS 13.01.2020 : 28/30 Traitement • physiothérapie • diminution Imovane à 1x/j au coucher Attitude • bilan neuro-psychologique à compléter en ambulatoire • poursuite traitement de prégabaline et Gabapentine comme discuté avec le médecin traitant • majoration des aides à domicile avec surveillance de la médication Investigation • ECG 25.12.2019 • Radiographie de thorax 25.12.2019 Traitement • Furosémide iv du 25.12.2019 à différentes reprises • Aldactone 50 mg 1x/j du 30.12.2019 au 17.01.2020 • Métolazone 5 mg le 01.01.2020 puis 2.5 mg du 06.01 au 10.01.2020 ; reprise le 21.01.2020 • Physiothérapie respiratoire avec CPAP • Stop Lasix et Aldactone le 17.01.2020, introduction Torem 10 mg le 18.01.2020 • Lasix 250 mg i.v. continu + Metolazone 2.5 mg + Albumin dès le 22.01.2020 • Echocardiographie cardiaque le 20.01.2020 : • Prise en charge palliative dès le 26.01.2020 Investigation • ECG 28.12.2019 Traitement • Prednison 10 mg le 30.12.2019, augmenté à la dose de 40 mg jusqu'au 24.01.2020 • Prednison 20 mg dès le 25.01.2020 avec réduction progressive • Febuxostat 40 mg 1x/j du 31.12.2019 • Antalgie par opiacés Investigation • ECG 30.12.2019 : rythme sinusal régulier. • Radiographie de thorax 30.12.2019 • Hémocultures 30.12.2019 : E. Coli sensible à la ciprofloxacine • Urotube 30.12.2019 : flore mixte Traitement • Ceftriaxone 2 g 1x/j du 31.12 au 03.01.2020 • Ciprofloxacine 500 mg 2x/j du 04.01 au 07.01.2020 • Physiothérapie locomotrice Investigation et examens avec explication donnée par le médecin : • US le 06.01.2020 : image sonographique compatible avec une orchi-épididymite gauche non compliquée. Testicule gauche homogène, sans lésion focale, mesurant 48 x 35 x 28 mm.Testicule droit homogène, sans lésion focale, mesurant 45 x 34 x 25 mm. Vascularisation testiculaire asymétrique, augmentée à gauche, toutefois homogène. Épididyme gauche tuméfiée et hypervascularisée. Épididyme droite sans particularité. Minime hydrocèle gauche, avec échos intra-liquidiens. Paroi scrotale et régions inguinales sans particularité. • laboratoire : leuco 11G/l, CRP 67ug/l. • sédiments sans particularité. • PCR pour gonocoques et chlamydia envoyée, le patient sera reconvoqué pour les résultats des PCR Traitement : Tramal 50mg en gtte Ciprofloxacine 500mg 2x/jours Suspenseur testiculaire Nous organisons un contrôle le 09.01.2020 afin de transmettre les résultats des PCR urinaires et adapter, au besoin, le traitement d'antibiothérapie. Investigation et intervention • Coronarographie le 23.12.2019 (Dr. X, Dr. X) : angioplastie et 1 stent actif dans la coronaire droite moyenne Traitement • Aspirine à vie • Efient du 23.12 au 27.12.2019 • Relais de Efient par Plavix le 28.12.2019 au vu de l'hémorragie digestive, pour un total de 3-6 mois • Lisinopril dès le 23.12.2019 Attitude • Contrôle dans 1 mois chez le cardiologue • Ergométrie dans 1 année Investigation • Hémocultures le 16.12.2019 : positives au E. Coli • Sédiment urinaire le 16.12.2019 : positif • Urotube le 16.12.2019 : positive pour E. Coli • Consilium infectiologique 17.12.2019 (Dr. X) Traitement • Moxifloxacine 400 1x/j mg du 16.12.2019 au 17.12.2019 • Ertapénème 500 mg 1x/j du 18.12 au 25.12.2019 Investigation • holter 20.01.2020 • consilium cardiologique (Dr. X/Dr. X) le 16.01.2020 Traitement • arrêt du Métoprolol et du Diltiazem le 16.01.2020 • reprise Diltiazem à dose habituelle du 17.01 au 20.01.2020 • Bisoprolol 2.5 mg 1x/j le 17.01.2020 puis majoration dès le 20.01.2020 • physiothérapie Attitude : • le patient sera convoqué en cardiologie pour discussion du résultat du holter et évaluation de l'indication à une pose de pacemaker Investigation • IRM colonne thoraco-lombaire le 30.12.2019 • Radiographie de thorax le 06.01.2020 Traitement • Gabapentine 100 mg 3x/j du 30.12.2019 au 02.01.2020 puis 300 mg 3x/j du 03.01.2020 au 06.01.2020 • Morphine MST 20 mg 2x/j d'office et réserves de morphine po Attitude • Consultation en ambulatoire au centre de la douleur (la patiente sera convoquée) INVESTIGATION • laboratoire : leucocytes 16, CRP 123 • Rx thorax du 06.12.2019 : pas de foyer • absence de symptômes urinaires • plaie propre MICROBIOLOGIE • Biopsie endomédullaire fémur du 04.12.2019 négative (le jour de son départ, résultat définitif à pister) • hémoculture du 04.12.2019 : négative (le jour de son départ, résultat définitif à pister) • hémoculture du 06.12.2019 : négative (le jour de son départ, résultat définitif à pister) Investigation • Laboratoire • US (aux urgences) : Pas de calcul visualisé, pas d'épaississement de la paroi vésicale, pas de liquide libre péri-vésical. Traitement : • Symptomatique : Paracétamol, Novalgine. Investigation • Radiographie de thorax • Avis Dr. X (palliatologue) 06.01.2020 Traitement • Primpéran, Ondansétron et dexaméthasone d'office • Pantozol augmenté à 60 mg/j du 31.01.2019 au 03.01.2020 puis poursuite à 40 mg/j dès le 04.01.2020 Attitude • Suivi par Voltigo • Le patient a rendez-vous à la consultation du Dr. X (palliatologue) le 23.01.2020 à 14h Investigation • radiographie de thorax le 9.12.2019 • CT thoraco-abdominal le 29.12.2019 • avis oncologique le 30.12.2019 (Dr. X) Oxygénothérapie au niveau de la trachétomie pour une cible à 92 % Aérosols Fluimucil, Bépanthène Physiothérapie respiratoire Morphine en réserve Attitude : • après discussion avec le patient et son entourage, transfert à la VSF demandé le 09.01.2020 • protocole d'urgence en cas de dyspnée aiguë prescrit Investigation • Radiographie de thorax 11.11.2019 • Hémocultures à froids le 11.11.2019 : nég • Urotube 11.11.2019 : nég Traitement • Poursuite de la Co-Amoxicilline commencée en ambulatoire le 07.11.2019 jusqu'au 11.11.2019 • Rocéphine 1000 mg 1x/j IV du 11.11 au 12.11.2019 • Klacid 250 mg 2x/j PO du 11.11 au 12.11.2019 Investigation • Radiographie de thorax 25.12.2019 Investigation • radiographie de thorax 26.12.2019 Traitement • Rocéphine 2 g (au service des urgences en dose unique) le 26.12.2019 Investigation • Radiographie de thorax 28.12.2019 • ECG 28.12.2019 • Urine propre 28.12.2019 • Hémocultures 2 paires (voie périphérique et PAC) 28.12.2019 : nég • Culture d'expectoration 30.12.2019 : flore oro-pharyngée • Antigènes urinaires légionnelle et pneumocoque nég Attitude • En cas de fièvre, nous proposons au patient de reconsulter Investigation • Sédiment urinaire 01.01.2020 : négatif • Hémocultures (piccline et périphérie) 01.01.2020 : toujours stérile après 3 jours • Radiographie de thorax 01.01.2020 • ECG 02.01.2020 Attitude • Contrôle biologique et clinique chez Dr. X au C4 le 07.01.2020 Investigation • urotube 10.01.2020 : E. Coli ESBL Traitement • Furadantine 100 mg 2x/j du 10.01 au 13.01.2020 • Imipénème 500 mg 4x/j du 13.01 au 14.01.2020 • Ertapénème 1000 mg 1x/j du 14.01 au 19.01.2020 Investigation • Urotube 11.01.2020 : ESBL Traitement • Furadantine 100 mg 2x/j du 10.01 au 13.01.2020 • Imipénème 500 mg 4x/j du 13.01 au 14.01.2020 • Ertapénème 1000 mg 1x/j du 14.01 au 19.01.2020 Investigation Analgésie avec Dafalgan et Oxycontin Prégabaline 25 mg 2x/j du 09.01 Diminution Madopar de 13h dès le 09.01.2020 Physiothérapie locomotrice Infiltration intrafaccetaire L3-L4 et L5-S1 sous CT le 22.01.2020 Plavix mise en suspens le 15.01.2020 pour infiltration. A reprendre à la sortie Investigation : Avis orthopédique : pas de fracture à la radiographie, pas d'indication à faire un scanner en urgence radiographie : Pas de fracture Prise en charge : • Crème Voltaren en application locale • Consultation chez sa rhumatologue traitant. Investigation : Laboratoire : D-dimère négatifs. CRP 34 Leucocytes 14.3 G/l Traitement : Voltarène 50 mg 3x/jours 3 jours. Investigation : Laboratoire, Leucocytes 9.9 G/l CRP<5, reste sans particularité. US abdominal : pas de globe, pas d'hydronephrose, rein G 11 cm, rein D 9.3 cm Traitement : Ciprofloxacine 500mg 2x/jours pendant 7 jours Investigation : Laboratoire, pas de syndrome inflammatoire, Tests hépatiques dans la norme. Traitement Pantozol 40 mg Motilium Investigations : • CT Time is brain 13.01.2020 • IRM cérébrale 13.01.2020 • Echocardiographie transthoracique 15.01.2020 • Holter 17.01.2020 Traitement : • Aspirine 100 mg 1x/j 14.01 au 29.01.2020 • Clopidogrel 75 mg 1x/j dès le 14.01.2020 • Atorvastatine 40 mg 1x/j dès le 14.01.2020 Prise en charge multidisciplinaire : • Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan neuro-psychologique Attitude : • Pister les résultats du holter • Si origine cardio-embolique probable (selon résultats du holter), la patiente serait candidate à une anticoagulation • Conduite automobile prohibée jusqu'à nouveau contrôle par son médecin traitant à distance • Reclassement en attendant la réadaptation gériatrique Investigations : • ECG le 10.01.2020 • laboratoire : CRP 9 mg/l, alcool 0 %o, screening des benzodiazépines négatif, TSH dans la norme • CT cérébral injecté le 08.01.2020 • sérologies HIV le 10.01.2020 : négatives • sérologie Syphilis le 10.01.2020 : négative Traitement : • Haldol - 2 x 1 mg et 1 x 2 mg à la permanence de Meyriez, 2 mg aux urgences • Haldol 1 mg en réserve • Benerva 300 mg - 3 x/jour iv puis 100 mg - 1 x/jour per os • Becozyme - 1 x/jour per os • Seresta d'office et en réserve, avec sevrage progressif Investigations : • échocardiographie transthoracique 10.01.2020 • holter 10.01.2020 Traitement : • Bisoprolol 2.5 mg 1x/j Attitude : • consultation chez le Dr. X (cardiologue au HFR) le 05.02.2020 à 14h30 et rediscussion pour un holter de contrôle à 6 semaines Investigations : • radiographie de l'épaule le 24.01.2020 • consilium orthopédique (Dr. X) • IRM de l'épaule droite 27.01.2020 Attitude : • contrôle à la consultation de l'épaule le 31.01.2020 à 08h15 pour discuter de l'IRM et de la suite de prise en charge Investigations : • ECG 13.01.2020 • Test de déglutition le 10.01.2020 sans problème majeur • IRM cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux 14.01.2020 • Holter 15.01.2020 • Echographie transthoracique avec test aux microbulles le 13.01.2020 • Bilan neuropsychologique 16.01.2020 • US des troncs supra-aortiques 17.01.2020 Traitement • Physiothérapie/ergothérapie/logopédie • Suivi diététique • Poursuite de l'Aspirine 100 mg 1x/jour • Atorvastatine 40 mg 1x/jour dès le 10.01.2020 Attitude • Reclassement en attendant la réadaptation neurologique à Meyriez • Contrôle à la consultation du Dr. X (neurologie HFR) le 13.03.2020 à 16h30 avec US des vaisseaux pré-cérébraux Investigations : • ECG 15.01.2020 • Radiographie du thorax 15.01.2020 Traitement : • Co-Amoxicilline 1.2 g iv 2x/jour du 15.01 au 20.01.2020 • Physiothérapie respiratoire Attitude : • reclassement en attendant la réadaptation gériatrique Investigations : • stix/sédiment, spot urinaires • US bedside aux urgences 04.01.2020 : vessie post-mictionnelle 7 x 6 x 5 cm Intervention : • sonde urinaire du 04.01 au 14.01.2020 Traitement : • hydratation Investigations : • Urotube 20.01.2020 : entérocoque faecalis sensible à l'Ampicilline • Urotube 23.01.2020 : négatif • Cultures d'expectoration 21.01.2020 : flore bucco-pharyngée • Hémocultures 23.01.2020 : négatives à 4 jours • US des voies urinaires 21.01.2020 • US au lit du patient 24.01.2020 : pas d'épanchement pleural • Radiographie de thorax 21.01.2020 Traitement • Amoxicilline 1 g 2x/jour per-os du 20.01 au 22.01.2020 • Ceftriaxone 2 g 1x/jour du 20.01 au 22.01.2020 • Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour per-os du 22.01 au 25.01.2020 • Physiothérapie Investigations d'une asthénie avec adénopathies Investigations • ECG • Radiographie thoracique Thérapies • Cordarone 150 mg intraveineux • Digoxine 0.5 mg po aux urgences, 0.25 en réserve 6h après si persistance de FC > 110, puis 0.25 1x/j • Lasix 40 mg iv en bolus puis 3x20mg • Ajout d'Aldactone 25 mg Hospitalisation pour suite de prise en charge Prendre un avis cardio Investigations : Hémocultures (2 paires) : négatives à 5 jours Traitements : Céfépime 2 g 3x/jours du 29.12.2019 au 13.01.2020 Investigations : Hémocultures (2 paires) 15.12.2019 : 4 paires positives avec Granulicatella adiacens, Fusobacterium nucleatum, Paenibacillus barengoltzii ou P. phoenicis Hémoculture (1 paire, par VVC) le 17.12.2019 : négatives à 5 jours Hémoculture (1 paire, par VVC) le 18.12.2019 : négatives à 5 jours Traitements : Céfépime 2 g 3x/j du 15.12 au 17.12.2019 Vancomycine 1 g 2x/j du 16.12 au 17.12.2019 Pipéracilline-Tazobactame 4.5 g 4x/j du 17.12 au 27.12.2019 Investigations par : • CT cérébral natif le 04.01.2020 • CT cérébral injecté le 08.01.2020 • IRM cérébrale le 13.01.2020 • Doppler des vaisseaux pré-cérébraux le 13.01.2020 • ECG le 04.01.2020 • échocardiographie trans-thoracique le 13.01.2020 Consiliums : • avis neurologique le 10.01.2020 : remplacer l'Aspirine par le Plavix • bilan neuropsychologique le 15.01.2020 • MMS 15.01.2020 : score de 23/30 Traitement : • Arrêt Aspirine • Clopidogrel 75 mg - 1 x/jour dès le 10.01.2020 • physiothérapie, ergothérapie Attitude : • neuro-réadaptation à Meyriez et transfert en médecine à Meyriez dans l'attente sur demande du patient • consultation à 3 mois chez le Dr. X, neurologue • Holter à réaliser dans le cadre du bilan AVC • pister bilan neuropsychologique • cible du LDL < 1.4 mmol/l Investigations par Dr. X (hémato-oncologue) n'ayant pas retrouvées d'étiologie claire Substitution en acide folique Investigations psychiatriques en ambulatoire à pister et dossier à récupérer (Dr. X) Consilium psychiatrique le 03.01.2020 Transfert à Marsens le 03.01.2020 Investigations pulmonaires Investigations selon l'avis du cardiologue traitant. Investigations US des voies urinaires le 11.11.2019 • Consilium néphrologique (Dr. X, Dr. X) • Consilium pharmacologique (Dr. X) • Corticothérapie par Solu-médrol 125 mg du 14.11 au 18.11 puis relais Prednisone 50 mg p.o. du 19.11 au 22.11 et 30 mg/j du 23.11 au 16.12.2019 et à 10 mg dès le 16.12.2019 jusqu'au 15.01.2020, 5 mg dès le 16.01.2020 pour 2 semaines • Substitution de bicarbonate du 11.11.2019 au 13.11.2019 puis relais p.o. Intervention • Biopsie rénale le 20.11 (Dr. X) : pas de parenchyme rénal • Biopsie rénale le 03.01.2020 : néphropathie aux oxalates Avis néphro le 10.01.2020 : Introduction Vitamin B6 au traitement de base Urin de 24/h le 12.01.2020 Bilan métabolique le 13.01.2020 Bilan maladie cœliaque le 13.01.2020 Investigations 2 paires d'hémocultures le 10.01.20 : 4 bouteilles positives pour E.Coli ESBL (résistant tazobact et céfépime) 1 paire hémoculture 11.01.20 : Négatives à 5 j 1 paire hémoculture 12.01.20 : Négatives à 5 j Traitements : Céfépime 2 g 3x/j du 10.01 au 11.01.20 Vancomycine 1 dose le 11.01.20 Méropénème 1 g 3x/j du 11.01 au 17.01.20 Ciprofloxacine 750 mg 2x/j du 18.01 au 25.01.20 IOT (Cormack 1) et ventilation mécanique le 01.01.2019 Dormicum et Kétamine (200 mg) en pré-hospitalier CT thoraco-abdominale et cervicale le 01.01.2019 Screening toxiques urinaires le 01.01.2019 : négatif IOT avec vidéo-laryngoscope le 12.01.2020 : sp IOT avec vidéo-laryngoscope le 12.01.2020 : sp IOT du 26.11 au 27.11.2019 IRM cérébrale le 26.11.2019 : leptoméningite régrédiente pariéto-occipitale des deux côtés EEG du 26.11 au 27.11.2019 : pas d'activité épileptiforme EEG le 10.12.2019 : pas d'activité épileptiforme Consilium de neurologie le 09.12.2019 Traitement anti-épileptique : Lévétiracétam introduit à l'Inselspital jusqu'au 10.12.2019 Brivaracetam dès le 10.12 au 29.12.2019 (en suspens en raison de l'IRA, selon avis Dr. X du 28.12.2019) IOT et ventilation mécanique du 15.01 au 17.01 Ventilation non invasive du 17.01 au 19.01 Cathéter artériel fémoral droit du 15.01 au 19.01 Nitroglycérine iv continu, Furosémide iv continu, Aspirine IPP. IPP + Alucol IPP pour une semaine avec contrôle chez le médecin traitant dans une semaine pour suivi. IRA IRA IRA d'origine probablement pré-rénale IRA AKI 1. DD : obstructif, déshydratation. IRA AKI 1 • GFR selon CKD EPI 85 • dans le contexte obstructif IRA AKI 1 • GFR 47 selon CKD EPI • pré-rénal Fe Urée 25% IRA AKI 1 le 04.01.20 • dans le contexte des diarrhées. IRA AKI 1 le 14.01.2020. • pas de dilatation pyélocalicielle au CT. IRA AKI 1 • pas de dilatation pyélocalicielle au CT. IRA AKI 1 • sur déshydratation. IRA AKI 1 sur IRC • Créat habituelle 380 • Prérénale sur déshydratation IRA AKI 1 • sur IRC connue • pré-rénal sur saignement IRA Akin I d'origine pré-rénal IRA AKIN II avec clairance estimée à 22.7 selon Cockroft. IRA AKIN III sur prise de Voltaren et Novalgine le 03.04.2016 (néphrite allergique auto-immune?). Anémie ferriprive. IRA AKIN III sur prise de Voltaren et Novalgine le 03.04.2016 (néphrite allergique auto-immune?). Anémie ferriprive. IRA AKIN 1 IRA AKIN 1. IRA AKIN 1 d'origine pré-rénale sur déshydratation et rhabdomyolyse • FE urée à 16.3 • Sodium urinaire à < 20mmol/l IRA AKIN 1 le 24.01.2020 d'origine prérénale • FeNa 0.94 % IRA AKIN 1-2 IRA AKIN 2 • post rénal sur globe IRA avec GFR à 45 ml/min selon CKD-EPI IRA d'origine prérénale probable dans un contexte de déshydratation.IRA d'origine pré-rénale sur déshydratation le 4.1.2020 avec : • FEurée : 12.5% IRA possiblement sur IRC le 01.01.20 IRA stade AKIN II avec hyperkaliémie à 5.7. IRA stade I KDIGO 2012 d'origine prérénale dans contexte hypovolémique le 14.01.2020 IRA stade III KDIGO 2012 d'origine indéterminée avec : • hyperkaliémie à 6.6 mmol/L • DD : syndrome cardio-rénal, atteinte rénale intrinsèque IRA sur chronique ? (créat 115 en 2015) IRA sur IRC AKIN 1 IRA sur IRC avec Créat 177 eGFR 35.4 IRA sur IRC KDIGO G2 sur déshydratation le 15.01.2020 • eGFR 33 ml/min/1.73m2 IRA sur IRC sans critères AKIN • DD : déshydratation IRA sur déshydratation créat 132. eGFR 47 ml/min IRC avec eGFR à 38 IRC • Créatinine 103mM IRC de stade G3b A2 selon KDIGO acutisé AKIN 1 d'origine rénale : • probablement sur néphropathie hypertensive • actuellement acutisé AKIN 1 sur déshydratation dans le contexte infectieux IRC sans IRA IRC stade G3a selon KDIGO • Créatinine de sortie à 103 mcmol/l le 17.01.2020 • avec carence vitaminique D3 IRC stade KDIGO G4A1 le 07.01.2020 • Fe Urée : 50.4% le 06.01.2020 • GFR 22.7 ml/min le 07.01.2020 Irfen dès le 29.01.2020 pour 3 jours Contrôle chez le médecin traitant et rhumatologue Irfen 400 mg Ciproxine hc gouttes auriculaires Irfen 400 mg Collunosol spray Irfen 600 mg Dafalgan 1 g Bepanthène crème IRM. IRM : antélisthésis L5 sur S1 avec probable lyse isthmique grade II selon Meyerding et sténose foraminale bilatérale. IRM : atteinte du LCA. Intégrité des ligaments périphériques et des ménisques. IRM : atteinte du ligament croisé antérieur et postérieur. Atteinte sous forme de désinsertion du MPFL ainsi que du collatéral médial dans son insertion proximal. Le ménisque interne est à sa place, n'est pas luxé dans l'échancrure. Il n'y a pas de partie du collatéral qui se retrouve incarcérée dans l'articulation. IRM : cadre dégénératif discopathique L4-L5, L5-S1, avec une hernie intra/extra-foraminale L5-S1 à gauche qui est la cause d'un impingement contre la racine L5 homolatérale. On ne peut pas vraiment définir de conflit au vu de l'absence de douleur, mais cela pourrait être la raison du déficit que l'on a mis en évidence. IRM : cadre dégénératif très avancé au niveau lombaire avec une roto-scoliose lombaire, une discopathie pluri-étagée, arthrose articulaire au niveau L2-L3, L3-L4 et L4-L5. À droite, sténoses récessale et foraminale en L2-L3 et L3-L4. IRM : déchirure LCA. Absence de lésion méniscale ou de ligament périphérique. Entorse grade 1 au point d'angle postéro-externe. IRM : discopathie D12-L1 avec probable hernie calcifiée, arthrose facettaire avec épanchement multi-étagé notamment L4-L5 et L5-S1. Pas de franche discopathie hormis en L4-L5. Minime débord discal L5-S1 sans franc conflit radiculaire et des foramens libres. IRM : discopathie L5-S1 sans franche herniation discale. IRM : disque L5-S1 compétent. Dégénérescence graisseuse sacro-coccygienne sans signification. IRM : distorsion du ligament collatéral latéral et au niveau rotulien faisant suspecter une luxation rotulienne. Ligament collatéral médial compétent. IRM : épanchement facettaire L4-L5 et L3-L4 bilatéral accompagné d'une discopathie L4-L5 et essentiellement L5-S1 et sténose récessale bilatérale pouvant créer un conflit S1. IRM : épanchement facettaire L4-L5. Pas de grosse protrusion discale. IRM : exclut la présence d'un kyste. IRM : fracture/tassement d'allure ancienne sans hyper signal STIR au niveau D11 et D7. Canal cervical étroit essentiellement C4-C7, mais prédominant en C5-C6 et C6/C7 sur protrusion discale antérieure, hypertrophie ligamentaire et articulaire postérieure. IRM : gonarthrose tricompartimentale avec effondrement complet de l'interligne fémoro-tibial interne. Encore possibilité de visualisation d'une zone cartilagineuse du compartiment fémoro-tibial externe. Ménisque interne extrudé. Corps libre intra-articulaire dans le cul-de-sac quadriceps ainsi que dans le récessus poplité. Volumineux ostéophytes péri-patellaires et péri-condyliens. IRM : hernie L3-L4 droite avec portion luxée vers le bas et conflit radiculaire L4 à droite. IRM : hypersignal STIR L2, L3, L4 avec fracture-tassement étagée L2, L3, L4 d'allure récente. IRM : intégrité des collatéraux ainsi que du pivot central. Ménisque interne présentant des signes de dégénérescence notamment dans sa corne postérieure. Cartilage intègre. Petit œdème en regard de la corne postérieure et antérieure du ménisque externe. Sans fragment luxé ou luxable dans l'articulation. IRM : intégrité des structures méniscales et ligamentaires. État après entorse grade 1 du collatéral interne et du pivot central. IRM : intégrité des structures musculaires. Pas d'arrachement depuis l'origine pelvienne. IRM : kyste neuroglial frontal droit non communicant avec le ventricule. Pas de franc effet de masse. Scanner thoraco-abdominal (IDMG) : pas de lésion suspecte de néoplasie. IRM : lésion intra-axiale de 3.1x2.5x2.5 cm non réhaussante au niveau F1-F2. IRM : lésion radiale connue sans fragment libre ou luxé dans l'articulation. Cartilage encore bien maintenu. IRM : lésion temporale droite néocorticale infra et latéro-ventriculaire kystique et réhaussante (DD : gangliogliome). IRM : lésions non-transfixiantes du tendon du sus-épineux et du sous-épineux avec lésions longitudinales dans les fibres tendineuses, sans fuite de liquide de contraste dans l'espace sous-acromial. Panorama de la ceinture scapulaire chargée : légère ouverture de l'interligne acromio-claviculaire, sans ascension de la clavicule. IRM : malformation de Chiari type II avec descente amygdalienne jusqu'à C3. Empreinte odontoïde majeure. Pas de signe de myélopathie cervicale. IRM : minime majoration de la prise de contraste frontale droite précédemment connue. Stabilité de la lésion osseuse et méningée pariétale gauche. Majoration de la lésion expansive temporale droite. IRM : mise en évidence de perte de plage cartilagineuse en zone de charge du condyle fémoral interne sans lésion méniscale ou de fragment libre intra-articulaire. Compartiment fémoro-patellaire et fémoro-tibial externe sp. IRM : montre la récidive d'un kyste radio-palmaire du poignet D mesurant 10 x 16 mm. IRM : montre un épaississement des tissus sous-cutanés aspécifiques sans signe d'un kyste arthrosynovial. IRM : montre un kyste scapho-lunaire sans atteinte du ligament scapho-lunaire. IRM : montre une coiffe des rotateurs intègre. On trouve une petite tendinite calcifiante dans le tendon du sus-épineux. Pas d'autre pathologie visible. IRM : montre une petite lésion du sus-épineux avec une omarthrose débutante. Il ne s'agit pas d'arthrose majeure. IRM : œdème bipédiculaire L5 avec impression de lyse isthmique possible. IRM : pas d'augmentation de taille du méningiome mais un important œdème et des remaniements de la substance blanche en regard. IRM : pas de compression radiculaire majeure sur herniation discale. Troubles de la statique. IRM : pas de fracture, pas de protrusion discale majeure. IRM : pas de franche discopathie lombaire, minime épanchement articulaire L4-L5 et L5-S1. IRM : pas de hernie discale au niveau thoracique, pas de fracture, pas d'autre processus expansif. Au niveau lombaire, hypertrophie articulaire L4-L5 avec épanchement facettaire bilatéral. Canal lombaire étroit constitutionnel. Disques en bon état. IRM : pas de lésion franche du bourrelet. Petit encoches du bourrelet supérieur qui pourraient être un récessus sous-labral. Coiffe des rotateurs intacte.IRM : pas de rupture de la coiffe des rotateurs, mais rupture du long chef du biceps qui est descendu dans sa gouttière. IRM : présence d'une anomalie de signal de l'articulation calcanéo-cuboïdienne. IRM : rupture du sus-épineux avec rétraction du 1er à 2ème degrés. IRM : stabilité de l'anévrisme. IRM : suspicion d'anévrisme M1 droit de 1x2 mm sur le TOF. Pas retrouvée en axial. Doutes sur l'origine anévrismale VS infundibulum. IRM : visualisation d'une déchirure du LCA depuis son origine fémorale. Éventuellement, atteinte de la corne postérieure du ménisque interne. Intégrité des structures cartilagineuses et des ligaments périphériques. IRM : visualisation d'une déchirure du LCA. Fracture-enfoncement du plateau tibial externe. Absence d'atteinte méniscale. Collatéraux stables. IRM : visualisation d'une gonarthrose fémoro-tibiale interne de grade IV. Ébauche d'atteinte externe et fémoro-patellaire. Rétraction des chaînes postérieures. IRM : visualisation d'une languette méniscale luxée en anse de seau en regard du ménisque interne. Cette dernière se trouve dans l'échancrure. Lésion du LCA. Pas d'atteinte chondrale ni d'œdème de l'os sous-chondral. IRM : visualisation d'une lésion au niveau du LCA. LCP stable. Pas d'atteinte des collatéraux. Intégrité des structures méniscales qui gardent leur structure. Pas de fragment libre ou luxable dans l'articulation. Œdème sur la corne postérieure du ménisque interne. IRM : visualisation d'une situation connue avec extrusion médiane d'une hernie L5-S1. Cette dernière est toutefois plus petite en taille que lors de l'IRM de 2018 qui était le début de cette hernie. Après infiltration, il y a effectivement eu une résorption partielle de cette dernière. IRM : visualisation d'une zone de contusion avec fissure en regard de la grosse tubérosité de l'humérus sans discontinuité. Œdème également sur le sous-épineux. IRM : visualisation d'une zone de contusion osseuse patellaire sans phénomène de fracture associée. Intégrité ménisco-ligamentaire périphérique et centrale. IRM : visualisation d'une zone remaniée infiltrant les structures graisseuses avoisinantes en regard du creux poplité. IRM : visualisation en regard du condyle fémoral interne, versant externe, d'une lésion ostéochondrale qui ne montre pas de signe de continuité. Pas de rupture du cartilage sous-jacent mais présence d'un petit kyste ; cette zone mesure à peu près 12 x 10 x 14 mm. Il y a encore une intégrité de la trame osseuse. En revanche, œdème du condyle fémoral interne marqué adjacent. Zone d'impaction d'origine fémorale externe et également de la face interne de la rotule compatible avec un épisode luxant latéral de la rotule. Distorsion du MPFL. Dysplasie fémoro-patellaire. Pas d'œdème de l'os sous-chondral. Pas de lésion cartilagineuse fémoro-patellaire. Intégrité des structures méniscales et des ligaments périphériques et centraux. IRM à agender. Prochain contrôle le 05.02.2020. IRM à l'HFR Riaz le 29.01.2020. Prochain contrôle le 11.02.2020. IRM à Riaz le 05.02.2020. Prochain contrôle le 11.02.2020. IRM abdominal prévue le 3.02.2019 à l'HFR Riaz à 10h30 (doit être à jeun). Contrôle de la formule sanguine et discussion des résultats de l'IRM à votre consultation (réévaluation de l'indication à une capsulographie) dans 1 semaine. IRM abdominale le 14.01.2020. IRM (absente ce jour). IRM au CIF et prochaine consultation le 17.01.2020. IRM au CIF le 21.01.2020. Prochaine consultation le 22.01.2020. IRM au CIF ouverte plus ou moins sédation le 10.01.2020. Prochain contrôle le 16.01.2020. IRM avec contraste et traction hanche G : pas de lésion cartilagineuse. Antétorsion fémorale selon Murphy 30°. Possibles signes de conflit ischio-fémoral. Lésions labrales antérieures. Pas d'extravasation du contraste. RX bassin face : légère asymétrie pelvienne avec un ischiome prononcé à G. IRM avec injection de contraste et traction hanche D : fine couche cartilagineuse. Labrum antérieur antéro-supérieur quasiment inexistant. Pas de décentralisation. Bump réactif antéro-supérieur de la tête fémorale. Antétorsion 14° selon Murphy à D. IRM avril 2019 : récidive de hernie discale avec conflit disco-radiculaire au niveau récessal avec la racine S1 droite, ce qui est cohérent avec les symptômes. IRM bassin 12.12.2019 Consilium ortho (Dr. X) le 13.12.2019 : traitement conservateur si la patiente ne développe pas de déficit neurologique. La charge doit être progressive sur 6 semaines, mobilisation avec tintebin. Antalgie par Palexia 50mg ret 2x/j + en réserve. Naproxène 500mg 2x/j jusqu'au 16.12.2019. Dafalgan 500mg 3x/j. Physiothérapie et ergothérapie. IRM : bursite pré-achilléenne. Calcification intra-tendineuse. Prédominance du tubercule de Haglund. IRM cardiaque fonctionnelle à agender en ambulatoire. IRM cérébral du 21.01.2020. Consultation neurologie prévue en ambulatoire. IRM cérébral dans 1 an avec contrôle neuro-chirurgical. IRM cérébral le 16.01.2020 : discrète atrophie globale du parenchyme cérébral (GCA 1). Le système ventriculaire est de morphologie normale, avec discrète ectasie ex-vacuo. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, quelques plages punctiformes hyperintenses non spécifiques de la substance blanche. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection iv de gadolinium, pas de prise de contraste pathologique. Les sinus veineux sont perméables. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularité. Pas d'élargissement de l'espace sous-arachnoïdien des nerfs optiques que des deux côtés, qui se présentent droits et de manière normale des deux côtés. IRM colonne cervicale le 16.01.2020 : hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Phénomène de dessiccation des disques intervertébraux se caractérisant par un hyposignal en pondération T2. De même, unco-discarthrose multi-étagés sévères de C2 jusqu'à C7, avec ankylose complète de C3 et C4. C1-C2. Arthrose C2-C3discale. Uncarthrose. C6-C7 : petite hernie discale à base large, sans rétrécissement significatif. C7-D1 : pas de hernie discale. D1-D2 : présence d'une hernie discale paramédiane droite, avec discret rétrécissement foraminal, sans signe de compression radiculaire. La portion examinée du cordon médullaire se présente normalement. Examen dans les limites de la norme, en particulier pas de signe d'hypertension intracranienne ni d'hydrocéphalie. Au niveau cervical, pas de lésion médullaire. Importante arthrose cervicale, tel que décrit ci-dessus. Radiographie bassin le 15.01.2020 : rapport en attente. IRM cérébral le 30.01.2019 à la recherche de signes d'encéphalite : négatif. Avis psychiatrique. IRM cérébrale : petite lésion de 5 mm de diamètre dans le pont du côté droit, aspécifique. DD maladie démyélinisante ? Pas de signe d'hypertension intracrânienne. IRM cérébrale CIMF le 09.01.2020. Opération pré-réservée pour le 07.02.2020. Prochain contrôle le 16.01.2020. IRM cérébrale de contrôle le 03.01.2020 (comparatif du 04.12.2019) : ablation du drain ventriculo-péritonéal avec persistance d'altérations de signaux autour du trajet mais de façon moins marquée que sur le comparatif. Aspect plus symétrique des ventricules latéraux par rapport au comparatif. Altérations de signaux dans les parties déclives des cornes occipitales des ventricules latéraux bilatéralement, nouvellement apparues à gauche et de manière un peu plus marquée du côté droit par rapport au comparatif du 04.12.2019 ; il est difficile de se prononcer avec certitude sur la nature de ces anomalies de signaux mais une ventriculite résiduelle avec remaniements hémorragiques semble le plus probable. Persistance d'un résidu tumoral lymphomateux dans les colonnes des fornix ddc et de la commissure antérieure.Consilium angiologie 06.01.2020 : thrombose occlusive de la veine jugulaire interne D dès mi-parcours, de 4.5 mm sous compression, sans atteindre le tronc veineux brachiocéphalique, secondaire (cathéter, néoplasie, hospitalisation). Les veines subclavières, axillaires et jugulaire interne G sont perméables. Cathéter dans la veine jugulaire interne D. Indication théorique à une anticoagulation à dose curative, sous réserve de contre-indication neurologique. En cas de CI, à disposition pour un suivi rapproché dans 15 jours de l'évolution. Examen neuropsychologique 27.12.2019 : En conclusion : cet examen neuropsychologique, effectué chez Mr. Y de 68 ans, met en évidence : • Une orientation temporelle légèrement altérée • De légères difficultés exécutives (programmation) • De légères difficultés attentionnelles (fatigabilité, ralentissement cliniquement observable) • De légères difficultés en mémoire épisodique verbale (récupération) Le reste des fonctions cognitives évaluées (nosognosie, orientations spatiale et personnelle, langage, praxies constructives, mémoire à court terme et mémoire de travail) se trouve dans les normes. Ce tableau, d'intensité légère, est à prédominance exécutive et attentionnelle. Il s'inscrit dans le contexte post-résection partielle d'un lymphome cérébral au niveau du 3ème ventricule avec complications multiples, la participation d'une composante vasculaire n'étant pas complètement exclue au vu des FRCV. Il n'y a pas d'indication à une prise en charge neuropsychologique. En accord avec Mr. Y, nous proposons de le revoir pour un bilan d'évolution à 6 semaines environ afin d'évaluer l'aptitude à la conduite automobile. Le patient sera convoqué par écrit. IRM cérébrale du jour (PACS) : stabilité de la lésion expansive à point de départ méningé. IRM cérébrale du 15.01.2020 (PACS) : cavernome pariétal post-central G sans œdème, ni halo d'hémosidérine nouveau. Stable sans saignement récent. IRM cérébrale du 28.01.2020 (PACS) : régression de l'ensemble des trouvailles hémorragiques notamment de l'hématome sous-dural. IRM cérébrale et dorsale au CIMF les 20.04.2020 et 22.04.2020 Prochain contrôle le 28.04.2020 IRM cérébrale et IRM colonne totale le 07.02.2020. Contrôle au neurocentre avec ENMG (à convoquer). Contrôle de suivi. IRM cérébrale injectée le 18.12.2019 Pose de porte-à-cath le 27.12.2019 Acide folique dès le 31.12.2019 Vitamine B12 le 01.01.2020 IRM cérébrale le 03.01.2020 Bilan neuropsychologique le 07.01.2020 Mesure d'indépendance fonctionnelle (MIF) le 09.01.2020 : 72 points Consilium neurologique, Dr. X, le 31.12.2019 Consilium addictologique le 06.01.2020 Ponction lombaire soustractive le 09.01.2020 : pression d'ouverture à 18 cm, pression de fermeture 17 cm après retrait d'environ 23-25 ml Colloque familial le 10.01.2020 IRM cérébrale le 03.01.2020 Cf. traitement et proposition diagnostic principal IRM cérébrale le 12.12.2019 : masse frontale gauche avec un œdème alentour, réalisant un effet de masse sur le système ventriculaire et un début d'engagement sous-falcoriel, évoquant une métastase. Bilan neuropsychologique le 16.12.2019 : atteinte prédominante au niveau langagier et exécutif avec répercussions sur la mémoire et, dans une moindre mesure, au niveau attentionnel. Forte baisse de la thymie. Les difficultés sont compatibles avec une masse cérébrale frontale G. Une évaluation et une prise en charge des aspects thymiques est recommandée. IRM cérébrale de contrôle post-opératoire le 24.12.2019 Laboratoire : cf. annexes Histologie : cf. annexes IRM cérébrale le 12.12.2019 : masse frontale gauche avec un œdème alentour, réalisant un effet de masse sur le système ventriculaire et un début d'engagement sous-falcoriel, évoquant une métastase. IRM cérébrale le 24.12.2019 : rapport en cours Bilan neuropsychologique le 16.12.2019 : le tableau montre une atteinte prédominante au niveau langagier et exécutif avec répercussions sur la mémoire et, dans une moindre mesure, au niveau attentionnel. Une forte baisse de la thymie est mise en évidence, ayant à certains moments limité l'examen (abandon de certaines tâches). Les difficultés sont compatibles avec une masse cérébrale frontale G. Une évaluation et une prise en charge des aspects thymiques est recommandée. Holter le 23.12.2019 : rapport à pister IRM cérébrale le 13.01.2020 Double anti-agrégation 14 jours puis poursuite du Plavix Statines à hautes doses Duplex avec détection de HITs en ambulatoire le 17.01.2020 Traitement à réévaluer en fonction du résultat IRM cérébrale le 24.01.2020 au HFR Riaz IRM cérébrale le 24.01.2020 : Pas d'ischémie, pas d'hémorragie, pas de sténose significative. CT cérébral et vaisseaux précérébraux le 25.01.2020 : Athéromatose calcifiée des vaisseaux pré-cérébraux sans sténose significative. Origine directe de l'artère vertébrale gauche de la crosse aortique. Analyse de cette origine est limitée à cause des importants artéfacts. EEG le 27.01.2020 : Activité de base alpha à 8 Hz, normovoltée, symétrique, modérément spatialisée. Réactivité conservée. Abondants artéfacts musculaires en région temporale droite en rendant difficile l'interprétation. Activité bêta diffuse modérée surajoutée. Pas d'activation lors de la SLI. Pas de graphoélément épileptiforme. Pas de focalisation lente. Conclusion : EEG dans les limites de la norme, avec une imprégnation bêta minime, d'origine médicamenteuse probable (BDZ ?) Examen neurosonologique le 28.01.2020 : mise en évidence d'une athéromatose carotido-vertébrale précérébrale modérée sans sténose hémodynamiquement significative. Épaississement de l'IMT ddc avec présence de plaques d'athérome d'aspect irrégulier, hétérogène situé au mur postérieur au départ de l'artère carotide interne droite et gauche. Artère vertébrale droite et gauche suivies dès leurs origines jusqu'au segment V3 sans sténose hémodynamiquement significative décelable. Variante dans la norme avec l'artère vertébrale gauche donnant naissance directement de l'aorte ascendante. Échocardiographie transthoracique le 28.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 53 % (méthode de Simpson) et à 55 % visuellement. Bourrelet septal sous-aortique avec discrète accélération du flux sous-aortique (absence de SAM). Aorte normale. Rétrécissement aortique léger/sclérose aortique, d'origine dégénérative et sur diminution de mouvement de la cuspide non coronarienne. Surface aortique à 2,34 cm² (1,59 cm²/m²) selon l'équation de continuité. Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique de grade I. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires. VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bilan neuropsychologique le 28.01.2020 : En conclusion : cet examen neuropsychologique et logopédique, réalisé chez Mme. Y de 78 ans, collaborante, met en évidence cliniquement, de discrètes difficultés exécutives au niveau comportemental (jovialité, précipitation), des performances attentionnelles (alerte, attention divisée) à la limite inférieure de la norme, de légères difficultés pour la compréhension écrite de textes. Le reste des fonctions cognitives se situe globalement dans la norme. Il n'y a pas d'indication à une prise en charge neuropsychologique et logopédique.Holter le 28.01.2020: Rapport en cours. IRM cérébrale le 27.01.2020. EEG ETT, Holter, doppler des vaisseaux précérébraux IRM cérébrale le 27.12.2019 et le 10.01.2020 Thiamine Oxazepam IRM cérébrale le 28.01.2021. Prochain contrôle le 28.01.2021 IRM cérébrale le 30.12.19 IRM cérébrale les 27 et 31.12.2019 Sphénoïdotomie droite le 03.01.2020 par le Dr. X Culture prélèvement : négative IRM cérébrale prévue le 10.02.2020 à 10h15 Holter de 72h prévu dès que possible pour exclure trouble du rythme - le patient recevra une convocation Bilan neuropsychologique prévu à 1 mois - le patient recevra une convocation Bilan ophtalmologique à distance - le patient recevra une convocation Contrôle neurologique à 3 mois prévu le 06.05.2020 à 15h30 à l'HFR Fribourg IRM cérébrale 13.11.2019 : Perte de volume généralisée de l'encéphale avec discrète ectasie du système ventriculaire. Discrète dilatation également des cornes temporales des ventriculaires latéraux MTA2. Peu de lésions de la substance blanche sur les coupes FLAIR (FAZEKAS 1). Une lésion sous-corticale frontale D (gyrus frontal moyen) partiellement visible également sur les séquences de diffusion DD lésion de micro-angiopathie avec effet T2 shine through versus petite lésion ischémique sous-corticale subaiguë IRM cérébrale Irfen 400 mg per os Zomig 5 mg intranasal 1x IRM cervicale : cadre dégénératif cervical pluri-étagé à composante mixte arthrosique et discopathique. Rétrécissement foraminal plutôt d'allure arthrosique C3-C4 à gauche, avec hypertrophie facettaire, associée à un cadre analogue jusqu'au niveau C5-C6. IRM cervicale : cf. diagnostic. IRM cervicale : Montre une spondylarthrose cervicale multi-étagée relativement marquée avec des compressions neuro-foraminales ddc. IRM cervicale (à convoquer). Contrôle de suivi. IRM cervicale du 15.01.20 : rétrécissement foraminal au niveau des racines C5 et C6 à D ainsi qu'à G. Présence d'une rectitude du rachis. Présence d'une protrusion discale en C5-C6, ainsi qu'en C6-C7. ENMG du 28.11.2019 : mise en évidence d'un syndrome du canal carpien bilatéral d'allure axonal. Pas de souffrance tronculaire radial D. IRM cervicale du 15.01.2020 : discopathie C5-C6 avec sténose foraminale bilatérale, discopathie C6-C7 avec sténose foraminale bilatérale et empreinte sur le cordon. IRM cervicale du 22.01.2020 RX colonne cervicale face et profil du 27.01.2020 IRM cervicale et lombaire du 23.01.2020 : canal étroit cervical, sans signe pour une myélopathie actuellement, avec punctum maximum en C5-C6 sur uncarthrose multi-étagée avec arthrose facettaire et hypertrophie des ligaments jaunes. Canal lombaire étroit, probablement absolu en L3-L4, relativement inchangé par rapport à l'examen du 22.08.2019, sous réserve des nombreux artéfacts de mouvements. CT cérébral de contrôle le 23.12.2019 : régression de l'épaisseur et de la densité de l'hématome sous-dural para-falcoriel droit et de la tente du cervelet à droite Bilan neuropsychologique du 23.01.2020 : cet examen neuropsychologique, réalisé chez une patiente collaborante, au contact adéquat, présentant un important ralentissement, quelques propos incohérents, fatigable après 40 minutes d'évaluation et présentant des douleurs dorsales, met en évidence une désorientation spatiale, de légères difficultés d'accès lexical, un graphisme altéré, des difficultés mnésiques antérogrades, malgré une mémoire en situation satisfaisante et des capacités d'apprentissages présentes, et un dysfonctionnement exécutif (incitation, programmation, inhibition, résurgence de réflexe archaïque) et attentionnel. L'orientation spatiale et personnelle, le langage écrit, les transcodages et les praxies constructives sont globalement préservés. Le tableau cognitif, ne met pas en évidence de signes neurologiques focaux et semble compatible avec une composante traumatique et vasculaire (leucoaraïose). Il ne parle actuellement pas en faveur d'une étiologie neurodégénérative de type Alzheimer. Finalement, au vu de la bonne compréhension de la situation médicale et des bonnes capacités de raisonnement, la capacité de discernement concernant la prise de décision médicale en lien avec le canal lombaire étroit semble préservée, d'un point de vue strictement neuropsychologique. IRM cervicale et lombaire Avis neurochirurgical IRM cervicale fonctionnelle flexion/extension avec coupe oblique auprès du Dr. X le 07.01.2020. Test avec minerve mousse. Prochain contrôle le 21.01.2020. IRM cervicale le 14.01.2020 Antalgie Physiothérapie IRM cervicale le 14.01.2020 Antalgie Physiothérapie IRM cervico-dorsal sous sédation (claustrophobie) le 10.01.2020 Immobilisation colonne dorsale au lit jusqu'à l'intervention: • Tête 30° (minimal) - 45° (maximal) • Mobilisation en bloc Opération prévue le 13.01.2020: stabilisation dorsale Traitement conservateur cervical: • Minerve Philadelphie jusqu'au 11.01.2020, puis minerve mousse (avis neurochirurgien) IRM cervico-dorsale du 27.11.2019 : Discopathie débutante C6-C7 sans conflit disco-radiculaire. Pas de canal cervical étroit ou de myélopathie ni de sténose foraminale significative. IRM épaule D native : Lame de bursite sous-acromiale. Tendinopathie du muscle du sus-épineux dans sa partie antérieure et du sous-scapulaire dans sa partie supérieure. Angio-CT thoracique : Pas de syndrome de défilé thoracique vasculaire. IRM cheville du jour: pas de solution de discontinuité et visualisation de tout le complexe ligamentaire externe. Pas d'autre signe de lésion ou de tendinopathie. Pas de lésion kystique. IRM (CIF) et prochaine consultation le 30.01.2020. IRM (CIF) le 05.02.2020 Prochain contrôle chez nous par la suite IRM CIMF le 31.01.2020 Prochain contrôle le 11.02.2020 IRM colonne cervical : pas de fracture d'allure récente. Immobilisation avec minerve mousse à but antalgique. Antalgie. Physiothérapie avec mobilisation libre IRM colonne cervicale et lombaire : cf. diagnostic. IRM colonne cervicale le 14.01.2020 IRM colonne cervicale (PACS) : stabilité des discopathies, pas de franche sténose canalaire, sténose foraminale, mais plutôt prédominante à gauche en C5-C6. IRM colonne cervicale 2017 (Payerne) : discopathie C5-C6, C6-C7 avec protrusion discale qui pourrait rétrécir ddc les foramens C5-C6 et C6-C7 et irriter les racines C6 et C7. ENMG avril 2017 (Dr. X) : pas d'altération. IRM colonne lombaire avec bassin: au niveau des lombaires visualisation de discopathies multi-étagées prononcées L5-S1 avec une légère herniation à D L5-S1. Captation d'un signal augmentée au niveau des grands trochanters ddc. Pas d'exostoses visualisées au niveau des grands trochanters. Pas de lésions musculo-tendineuses. Bonne trophicité musculaire au niveau du petit et moyen fessier. IRM colonne lombaire du 06.09.2019 : pas de structure pathologique au niveau de la colonne lombaire. IRM colonne lombaire du 15.11.2019 : nous retrouvons une protrusion discale au niveau L2-L3, L3-L4 et une légère L4-L5 sans signe de grand conflit ou sténose avec une image de radicelle qui peut être suite à l'intervention que le patient a vue. IRM colonne lombaire le 29.01.2020. Avis angiologue Dr. X le 27.01.2020 : pas de thrombose veineuse profonde ni superficielle des deux côtés. Dafalgan 1 g 4x/jour, Voltaren 50 mg 3x/jour.Morphine iv pour un total de 4 mg. Clexane 80 mg 2x/jour (1ère dose le 27.01.2020 à 4h). Lyrica 25 mg 3x/j dès le 30.01.2020. IRM colonne lombaire native du 07.01.2020 : montre une progression de la pathologie à l'étage L5-S1 par rapport à l'IRM du 29.08.2018 avec un fragment de disque luxé dans le canal entrant en conflit avec la racine S1 gauche. IRM colonne lombaire : refusée par le patient malgré les explications effectuées sur les risques encourus (paraplégie) > Dr. X/Dr. X/Dr. X Attitude • lit strict, inclinaison 30° maximum, mobilisation en bloc jusqu'à opération : le patient est informé de ne pas se mobiliser dans le lit, avec explications des risques encourus (paraplégie) • Hydratation par NaCl 0.9% 1500 mL/24h • Suivi neuro aux 3 heures : force/sensibilité membres inférieurs, continence des selles • A jeûn dès minuit pour opération demain IRM colonne thoraco-lombaire le 30.12.2019 : importante scoliose lombaire sinistro-convexe. Protrusions discales à large courbure étagées de L2 à L5 associée à une hypertrophie des ligaments jaunes et à une arthrose inter-apophysaire postérieure bilatérale engendrant un rétrécissement canalaire de grade B en L2-L3 puis de grade C en L3-L4 à L4-L5. Rétrécissements foraminaux dans la concavité de la scoliose du côté droit de L2 à L4 en relation avec des débords discaux foraminaux et l'arthrose inter-apophysaire postérieure ainsi que rétrécissement foraminal significatif en L5-S1 en L4-L5 et L5-S1 du côté gauche sur débords foraminaux et arthrose inter-apophysaire postérieure avec conflit avec la racine L5 gauche. Radiographie de thorax le 06.01.2020 : comparatif du 5 décembre 2019. Index cardiothoracique à la limite supérieure de la norme, sans argument évident pour une décompensation cardiaque. Absence d'épanchement pleural, absence de foyer de pneumonie. Discopathie pluri-étagée du rachis. IRM. Consultation au team hanche. IRM dans 1 an. Suivi dans 1 an. Bilan neurologique pour éventuelle reprise à la conduite. IRM de ce jour : pas de lésion au niveau du ligament collatéral ulnaire ou radial. IRM de ce jour : présence d'un kyste sous-chondral dans le toit du cotyle, remaniement et modification du signal du muscle carré fémoral. IRM de ce jour : rétrécissement foraminal C5-C6 à droite, avec conflit C6 qui pourrait être cohérent sur la clinique. IRM de contrôle : petite collection intra-musculaire type sérome sans signe de reprise de maladie, ni autre lésion visualisée. IRM de contrôle le 01.01.2020 IRM de contrôle le 01.01.2020 Echocardiographie transthoracique le 03.01.2020 Bilan neuropsychologique le 06.01.2020 Proposition neurologues Heparine continue jusqu'au 06.01.20 Relais par Edoxaban le 06.01.20 Conduite automobile contre-indiquée jusqu'à la prochaine évaluation neuropsychologique IRM de contrôle le 05.03.2020 à 12h15 +/- angiographie selon résultats (recherche d'une MAV) Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Pas de conduite, à réévaluer selon l'évolution Consultation neurovasculaire de contrôle le 14.05.2020 à 14h30 Bilan des organes cibles à réaliser en ambulatoire par examen du fond d'œil et bilan rénal. IRM de février 2019 : discopathie L5-S1. IRM de hanche D puis contrôle à la consultation. IRM de juin 2019 : syringomyélie, kyste arachnoïdien au niveau de C7-D1. IRM de la colonne cervicale antif 29.01.2020 : hormis une certaine rectitude de la colonne cervicale, IRM dans les limites de la norme, sans lésion ligamentaire ou osseuse mise en évidence. IRM de la colonne totale réalisée le 03.10.2019 : remaniement dégénératif des facettes articulaires, prédominant de L3 à S1 et une discopathie lombaire étagée prédominant en L5-S1 avec protrusion discale L5-S1 postéro-latérale à droite. IRM de l'abdomen native et injectée : Foie : taille et morphologie normales. Pas de lésion focale. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul au sein de la vésicule, dont les parois sont fines. Rate : morphologie normale, taille légèrement supérieure à la norme (12,9 cm de diamètre). Pancréas : taille et morphologie normales. Glandes surrénales : fines ddc. Reins : en fer à cheval, bonne différenciation cortico-médullaire. Pas d'hydronéphrose. Vessie : partiellement visualisée, sans particularités. Rétropéritoine : pas d'adénopathie rétropéritonéale de taille radiologiquement significative. Aorte : calibre normal. Estomac, intestin, côlon : pas de lésion sous réserve d'un examen non-dédié. Parties molles : sans particularités. Bases pulmonaires : pas d'épanchement pleural. Colonne et os : pas d'altération de signal suspecte dans l'ensemble du volume osseux exploré. CONCLUSION : rate à la limite supérieure de la norme. Reins en fer à cheval. Sinon, IRM abdominale dans les limites de la norme. IRM de l'épaule du 19.11.2019 : cf. diagnostic. IRM de novembre : hernie discale L4-L5 luxée vers le haut avec sténose canalaire sévère. IRM de 2018 : discrète lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque externe avec petite image kystique en regard et dans une très moindre mesure en interne. Absence de franche rupture méniscale. Pas d'atteinte cartilagineuse, pas d'atteinte du pivot central ni des collatéraux. Absence d'épanchement intra-articulaire. Absence de trouble morphologique. IRM de 2018 : visualisation d'une déchirure horizontale du ménisque interne, corne moyenne. Intégrité cartilagineuse fémoro-patellaire, fémoro-tibial interne et externe. Pas d'atteinte des collatéraux ni du pivot central. IRM dorso-lombaire Prochain contrôle le 06.02.2020 IRM du bassin du 05.11.2019 : présence d'une masse tumorale d'environ 6 cm de diamètre au niveau du muscle iliaque droit en avant de la tête fémorale évoquant en première impression un myxome intra-musculaire, mais un diagnostic différentiel avec une lésion tumorale maligne à composante sarcomateuse. IRM du bassin : pas de collection ni de lésion spécifique sur le point marqué par les douleurs. IRM du genou D : status post luxation de la patella avec un œdème pathognomonique en miroir au niveau du bord médial de la patella et du condyle latéral. Absence de lésion transfixiante cartilagineuse et de morceau libre intra-articulaire. Distorsion du MPFL avec les insertions partielles à son insertion au niveau du pôle médial patellaire. Le pivot central ainsi que les collatéraux sont exempts de lésion ainsi que le cartilage fémoro-tibial des 2 compartiments. IRM du genou droit : pas de lésion ligamentaire, pas de lésion méniscale, pas de fracture ou de contusion osseuse visible. Inflammation autour du ligament collatéral interne. IRM du genou du 09.01.2020 : status post ligamentoplastie antérieure sans signe de rupture avec une bonne intégration. Pas d'atteinte cartilagineuse. Lésion longitudinale du ménisque interne sans signe de luxation. Le fragment est libre intra-articulaire. Articulation fémoro-patellaire sans particularité. IRM du genou G : on objective une chondropathie de grade III à IV avec une discrète zone de souffrance sous-chondrale. Pas de fragment libre intra-articulaire. Image d'une Plica prédominant en médial. Pivot central ainsi que collatéraux compétents. Ménisque interne et externe sans lésion. Cartilage fémoro-tibial bilatéral sans lésion. IRM du genou gauche le 26.03.2020 Contrôle clinique le 01.04.2020 IRM du jour : discopathie sévère L5-S1 avec protrusion discale médiane et para-médiane, sténose récessale et foraminale. Petit kyste articulaire. IRM du jour : stabilité de l'IRM sans nouvelle malformation vasculaire retrouvée. Pas d'autres nouvelles anomalies. IRM du jour : pas de récidive du méningiome avec séquelles parenchymateuses.IRM du jour : minime lésion postérieure du ménisque interne. IRM du jour (PACS) : bonne guérison au niveau fracturaire. Syringomyélie stable. IRM du neurocrâne demandé Echocardiographie et Holter demandés. IRM du neurocrâne le 27.01.2020 : pas de signe d'ischémie. Vitesse de sédimentation physiologique. IRM du neurocrâne le 27.12.2019 à 8h45 à l'Hôpital de Riaz. Proposition d'organiser un rendez-vous à la consultation du Dr. X à l'Hôpital de Riaz pour discuter la prise en charge orthopédique si gonalgies gauches persistantes. Bilan neuropsychologique à organiser en ambulatoire à envisager. IRM DU NEUROCRANE NATIVE ET INJECTEE : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, quelques plages punctiformes hyperintenses de la substance blanche, prédominant en sous-cortical, frontal ddc. Kyste arachnoïdien temporal antérieur gauche mesurant 21 x 19 x 30 mm. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection i.v. de Gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale ou au niveau de la méninge. Les sinus veineux sont perméables. Deux images lacunaires avec des contours réguliers, surprojetées sur le sinus transverse gauche, mesurant 11 x 7 mm et 5 x 5 mm, hypersignal en T2, devant correspondre à des granulations arachnoïdiennes de Pacchioni. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularités. St/p craniectomie pariétale gauche. CONCLUSION : pas de masse ou prise de contraste pathologique intra-axiale ou au niveau de la méninge. Pas d'hémorragie mise en évidence. Quelques plages punctiformes hyperintenses en T2 FLAIR dans la substance blanche prédominant en sous-cortical, frontal ddc (aspécifiques). Dr. X. IRM du neurocrâne native et injectée du 14.01.2020 : Comparatif : Le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, quelques lésions de la substance blanche dans la région para-trigonale des deux côtés, en regard d'élargissement des espaces de Virchow-Robin. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection i.v. de Gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. L'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis démontre une perméabilité conservée des artères intracérébrales. Pas d'anévrisme, pas de sténose significative. Diminution focale partielle du signal de la partie distale du segment A1 gauche DD artefacts. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularités. CONCLUSION : IRM cérébrale dans les limites de la norme. Les quelques lésions de la substance blanche autour des espaces de Virchow-Robin dans la région para-trigonale des deux côtés sont aspécifiques. (Dr. X). IRM du pied D : présence d'un kyste au contenu liquidien homogène, s'appuyant sur les tendons extenseurs des orteils, inchangé par rapport à l'examen du 09.07.2017. Présence de lésion ostéo-cartilagineuse du dôme interne de l'astragale. IRM du pied droit le 06.12.2019 Artériographie du membre inférieur droit le 06.12.2019 Radiographie du pied le 09.12.2019 Colloque vasculaire le 09.12.2019 Repérage veineux le 10.12.2019 Exarticulation métatarsophalangienne I à droite le 07.12.2019 (Dr. X, Dr. Y, Dr. Z) Débridement plaie hallux droit et changement de VAC dès 07.12 au 23.12.2019 Amputation transmétatarsienne D, le 02.01.2020 Pontage poplitéo-fibulaire du membre inférieur droit le 23.12.2019 (Dr. X) Angioplastie fibulaire du membre inférieur droit le 23.12.2019 Tazobac du 03.12 au 17.12.2019. IRM du pied G du 27.01.2020 effectué au CIMF : hypersignal de la tête de M2 et de l'ensemble de la phalange proximale du 2ème rayon en séquence STIR, évoquant en premier lieu une ostéomyélite, pas de collection articulaire mais hypersignal et collection péri-articulaire de la 2ème MTP. IRM du pied gauche le 30.12.2019 : petit foyer d'ostéite de la malléole latérale du côté gauche. Consilium infectiologique le 30.12.2019 (Dr. X, Dr. Y) • Traitement empirique par Bactrim Forte du 05.01 au 15.02.2020 (6 semaines au total) • Contrôler la fonction rénale et l'hémogramme de manière régulière. Consilium angiologique le 02.01.2020 (Dr. X, angiologue-traitant) : ok pour l'avis infectiologique pour la prise en charge par Bactrim Forte pendant 6 semaines. IRM du pied gauche le 30.12.2019 Consilium infectiologique le 30.12.2019 (Dr. X, Dr. Y) Consilium angiologique le 02.01.2020 (Dr. X) • Mr. Y ne souhaite actuellement pas d'échosclérose des varices. Co-Trimoxazol Forte du 05.01 au 15.02.2020 (traitement empirique, 6 semaines au total) Contrôles réguliers de la fonction rénale et l'hémogramme. IRM du rachis cervical : pas d'anomalie, pas de fracture, pas d'hématomes. Attitude : ablation de la minerve. IRM du 03.01.2020 : discrète protrusion discale L3-L4 non significative. Protrusion discale L4-L5 relativement marquée avec conflit radiculaire avec la racine L5 gauche et nette mise à l'étroit de la racine L5 droite. Avis neurochirurgien Team Spine de garde (Dr. X) : pas de résidu mictionnel pathologique, pas d'anesthésie en selle, pas de déficit moteur = une opération en urgence n'est pas indiquée. Infiltration sous CT foraminale et radiculaire L5 à gauche le 03.01.2020. Consultation neurochirurgicale le 09.01.2020 (Dr. X) : indication à faire une herniectomie au vu d'une hernie discale hyperalgique. Herniectomie du 13.01.2020 : retrait des agrafes à J8. Mobilisation selon tolérance, pas de charges trop lourdes, rendez-vous à la consultation neurochirurgicale le 25.02.2020 à 14h45. Prednisone 50 mg le 03.01.2020 stoppée post-infiltration radiculaire. Oxycontin et Oxynorm dès le 03.01.2020. Pregabaline dès le 06.01.2020. IRM du 06.01.2020 (Affidea) : En comparant l'IRM du 06.01.2020 à celui du 14.05.2019, on voit la lésion de la corne antérieure du ménisque externe mais absence de kystes méniscaux dans le compartiment latéral par rapport au mois de mai. On ne constate aucune autre lésion après l'accident du mois de janvier. IRM du 07.01.2020 : pas de lésion ménisco-ligamentaire. IRM du 07.01.2020 (PACS) : discopathie L5-S1 avec hernie luxée vers le bas et sténose récessale. Épanchement articulaire L5-S1. IRM du 08.01.2020 : pas de lésion cartilagineuse intra-articulaire de hanche. Présence d'une lésion minime du labrum accompagnée d'une lésion de type cam. Présence d'une hyper-densité au niveau de la bourse trochantérienne évoquant une bursite. Pas d'hypertrophie du muscle tensor du fascia lata. Muscles abducteurs de hanche intacts. IRM du 08.11.2019 : pas de contact avec les racines postérieures, hormis au niveau L4-L5 où l'on remarque un débord discal circonférentiel avec une composante arthrosique des articulations postérieures qui pourrait rétrécir le canal. IRM du 09.01.2020 : pas de lésion cérébrale. IRM du 10.01.2019 : il n'y a pas de dissolution de discontinuité des ligaments collatéraux médiaux. On objective un ménisque dégénératif sans image d'instabilité. Pivot central sans particularité, compartiment externe sans particularité, appareil extenseur montrant des signes dégénératifs modérés. Mise en place d'un traitement conservateur par physiothérapie. IRM du 10.12.2019 : présence d'une hernie discale para-médiane droite L5-S1 comprimant la racine nerveuse S1. IRM du 11.12.2018 : Par rapport à l'examen de 2016, nouvelle apparition d'une zone de dégénérescence dans la corne postérieure du ménisque interne sans diagnostic d'une déchirure méniscale franche. Nouvelle apparition également d'un discret épanchement articulaire. Le reste de l'IRM du genou s'avère parfaitement normal. IRM du 14.06.2019 : discopathie notamment L4-L5 avec sténose foraminale et hernie discale extra-foraminale avec compression radiculaire L4. IRM du 15.01.2020 : Bone Bruise au niveau du condyle médial et du plateau tibial médial. Pas d'enfoncement et pas de fracture nette. Epanchement intraarticulaire. Pas de désinsertion du collatéral interne. Pas de fragment libre intraarticulaire. Compartiments fémoro-patellaire et fémoro-tibial externe sans particularité. Pivot central exempt de lésion. IRM du 15.01.2020 Labo : Lc 10.1, reste aligné Avis spine/neurochirurgie (Dr. X) : hospitalisation en MI, bilan ophtalmologique et neuropsychologique à prévoir, corticothérapie 10 mg aux urgences, 4 mg à 18h puis 3x4 mg/j pendant 7 j. Planifier un CT thoraco-abdominal pour bilan d'extension ATT : Hospitalisation en MI CT Thoraco-abdominal injecté demandé pour recherche d'autre tumeur primaire et bilan d'extension Prednisone 10 mg administré aux urgences, poursuivre avec 3x4 mg/j pendant 5-7 j Bilan neuropsychologie et ophtalmologique à prévoir IRM du 16.12.2019 : lésion des faisceaux profonds du ligament deltoïde inchangée. Bonne évolution de la lésion du LFTA. Pas d'autre lésion visualisée. IRM du 17.10.2019 : épanchement facettaire multi-étagé notamment en L4-L5, L3-L4 et L2-L3 bilatéral. Discopathie L5-S1 sans sténose récessale ni foraminale. IRM du 17.12.2019 : discopathie C5-C6 avec sténose foraminale sur protrusion discale à ce niveau. Hernie discale C6-C7 avec discopathie associée et sténose foraminale majeure en regard de la racine C7 droite. RX du jour : peu de mobilité C5-C6. Statique cervicale avec peu de lordose. IRM du 20.12.2019 : plastie LCA en continuité. Pas de ballonisation des tunnels. Pas de protrusion de la vis d'interférence. Sur une coupe, on objective une déchirure dans la face inférieure de la partie moyenne du ménisque externe dans un contexte de status post suture de la corne postérieure du ménisque externe. Pas d'autre lésion objectivable. IRM du 21.01.2020 : sténose récessale L4-L5 bilatérale sur hypertrophie articulaire et épanchement articulaire L4-L5. Bulging discal L4-L5. Discopathie L5-S1 avec protrusion discale, mais sans franc conflit radiculaire au niveau L5. Petite sténose récessale avec contact éventuel avec la racine S1. IRM du 23.01.2020 : le système ventriculaire est inchangé. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous ou extra-durale. La partie intra-crânienne des artères carotides internes, les artères sylviennes, les artères cérébrales antérieures et postérieures ainsi que le tronc basilaire sont perméables. IRM du 24.01.2020 : discopathie L4-L5 avec protrusion canalaire centrale et récessale. Compression radiculaire L5 gauche. Epanchement facettaire bilatéral L4-L5. IRM du 24.01.2020 : pas de discopathie dégénérative, présence d'une protrusion avec hernie L4-L5 luxée vers le bas. La musculature para-vertébrale présente une bonne trophicité. IRM du 25.09.2019 réalisée en externe : montre une OCD au niveau du condyle latéral dorsal sans lésion du cartilage IRM du 27.12.2019 : absence d'un oedème osseux IRM du 28.01.2020 : présence d'une compression foraminale G entre L4-L5 et L5-S1 pouvant expliquer les douleurs d'allure neuropathique. Fracture pédiculaire G en cours de consolidation. Absence d'hypersignal au niveau du sacrum. IRM du 28.11.2019 : Nous objectivons principalement une gonarthrose fémoro-tibiale interne avec extrusion et rupture méniscale interne. Pas de lésion des ligaments collatéraux, du pivot central et préservation du compartiment externe et du compartiment fémoro-patellaire. IRM du 28.11.2019 : présence d'un arrachement au niveau de la pointe de la malléole latérale sur lequel se fixe le ligament fibulo-talaire antérieur. Ligaments collatéraux, latéraux et médiaux intacts. IRM du 29.11.2019 : cadre discopathique pluri-étagé L3-L4, L4-L5 et L5-S1 avec signes de Modic II, associé à une réaction facettaire débutante au niveau L5-S1 et à une hypotrophie très marquée de la musculature para-spinale avec remplacement graisseux. IRM du 30.12.2019 : 2 lésions réhaussantes annulaires au niveau central, notamment dans un sillon pré-central et l'autre sous-arachnoïdienne en regard d'une veine centrale. IRM du 31.12.2019 : cf. diagnostic. IRM du 31.12.2019 : inflammation autour de l'articulation talo-astragalienne, en contact avec les tendons péroniers qui sont normaux. IRM du 31.12.2019 : pas de lésion méniscale. Distorsion de la portion proximale du ligament croisé antérieur. Pas de lésion du ligament croisé postérieur. Oedème osseux en regard du condyle fémoral latéral avec minime impaction osseuse sous-chondrale correspondant à une image similaire en regard de la partie postéro-latérale du plateau tibial. Lésion partielle de stade II du ligament collatéral interne dans sa portion proximale. Poursuite de l'immobilisation dans une attelle Jeans, de la thromboprophylaxie et protection par des béquilles jusqu'au prévu pour le 5 janvier prochain. Indication de consulter un orthopédiste pour définir un suivi avec lui dès son retour au domicile. Prévoir du repos, pas de sport pendant 3-4 semaines ou jusqu'à résolution des douleurs suivi par des séances de physiothérapie ciblées à renforcer les muscles vastes médiaux et la proprioception. La patiente bénéficie également de la remise d'un CD avec les images effectuées auprès de l'HFR. IRM en ambulatoire, puis contrôle à la consultation orthopédique team pied pour suite de prise en charge. Semelle rigide Antalgie. Lyrica 25 mg. Arrêt de travail pour une semaine. IRM en externe : les images ne sont pas disponibles car elle a oublié le CD. Cf rapport. IRM épaule D : adhésion de la coiffe des rotateurs, suspicion de nécrose partielle de la tête humérale. CT scan épaule D du jour : pas de conflit du matériel d'ostéosynthèse avec l'articulation gléno-humérale, images compatibles avec une nécrose partielle de la tête humérale. IRM épaule D : arthrose AC. Lésion transfixiante de la partie antérieure du sus-épineux. Tendinopathie du LCB avec subluxation vers médiale et une omarthrose débutante avec ostéophytes inférieures à la tête humérale. IRM épaule D : montre malheureusement une re-rupture du sus-épineux avec rétraction du 2ème et 3ème degré. Bonne qualité musculaire. IRM épaule G : lésion constante partielle du tendon du sus-épineux sans lésion transfixiante. IRM épaule D de ce jour : persistance de la lésion transfixiante du sus-épineux sans rétraction ni atrophie. Persistance d'une lésion partielle du sous-scapulaire avec une tendinopathie du LCB et minime lésion partielle du sus-épineux. IRM épaule D du 07.01.2020 : rupture de la partie craniale du tendon sous-scapulaire avec un arrachement presque complet du LCB. Petite rupture au niveau du sus-épineux dans sa partie antérieure. On remarque aussi un os émacié. IRM de la colonne cervicale sans particularité. IRM épaule D du 20.01.2020 au CIF : distorsion ligament CC, rupture de la capsule supérieure AC. Pas de surélévation. Os acromial en train de fusionner.IRM épaule D du 26.08.2019 : bursite sous-acromiale avec une légère tendinopathie du sus-épineux. IRM épaule G du 26.08.2019 : bursite sous-acromiale avec tendinopathie du sus-épineux. Arrachement partiel au niveau du FootPrint. IRM colonne cervicale du 26.08.2019 : légère dégénération au niveau de disque intervertébral 3-4. IRM épaule droite : lésion du labrum antéro-inférieure et oedème osseux de la glène. IRM épaule droite du 8.11.2019 : lésion partiellement transfixiante du sus-épineux avec peut-être une petite atteinte des parties hautes du sous-scapulaire. Arthrose AC. IRM épaule G : les ancres Helicoïl et Foot Print sont toutes en place. Le sous-scapulaire est en place, le sous-épineux a bien guéri, le sus-épineux se présente inséré et bien guéri dans sa partie antérieure, dans sa partie moyenne une partie n'a pas guéri. Pas d'atrophie musculaire. Au niveau du tendon, nous remarquons une inflammation diffuse. IRM épaule G de ce jour : bursite sous-acromiale G. Séquelles anciennes de fracture du quart interne de la clavicule, sans oedème présent ce jour. Ancienne séquelle de Bankart osseux sans signe récent (pas d'oedème). Présence d'un petit kyste au niveau du labrum postérieur. IRM épaule G de février 2019 : subluxation du LCB au niveau de la petite tubérosité avec une lame d'inflammation au niveau du sous-scapulaire sans lésion visible de celui-ci. Tendinopathie insertionnelle du sus-épineux. Ligament gléno-huméral moyen intact. IRM épaule G du jour : visualisation d'une tendinopathie du sus-épineux avec une lésion HAGL partielle. Le labrum se montre, par contre, dans une bonne position. IRM épaule G du 20.09.2019 : visualisation de lésions dégénératives de la coiffe au niveau du sus-épineux avec lésion kystique au niveau du footprint. Forte composante inflammatoire au niveau sous-acromial dans le contexte d'une IRM faite sans moyen de contraste. Le reste du statut est dans la norme par rapport à l'âge. Rx épaule G f/Neer du jour : sp. IRM épaule le 17.01.2020 : cf diagnostic. Status post-refixation vraisemblablement du labrum ou de la capsule antérieure, avec des ancres au niveau de la glène. Infiltration de la gaine du long chef du biceps. Pas de signe de lésion transfixiante de la coiffe. Avis Dr. X : mise en place d'un traitement par physiothérapie. Incapacité de travail pour 5 semaines. Suite de prise en charge chez le Dr. X. IRM est organisé le 23.03. à 9h15 à l'HFR Suivi chez vous, Pédiatre de l'enfant. IRM et Arthro-CT à organiser. Prochain contrôle le 05.02.2020. IRM et contrôle le 16.01.2020. IRM et contrôle le 21.02.2020. IRM et contrôle le 30.01.2020. IRM et contrôle le 31.01.2020. IRM et prochain contrôle le 09.01.2020. IRM et prochain contrôle le 21.12.2018. IRM et prochain contrôle le 22.01.2020. IRM et prochain contrôle le 27.12.2019. IRM et prochaine consultation le 13.02.2020. IRM et prochaine consultation le 14.02.2020. OP le 11.03.2020. IRM externe : pas de lésion ligamentaire visible ni de lésion méniscale. IRM fait en externe. Epaule D IRM de novembre 2019 : rupture transmurale de la partie antérieure du tendon sus-épineux. Epaule G IRM de décembre 2019 : grande calcification au niveau du tendon sus-épineux et sous-épineux. IRM faite en externe qui montre une lésion du genou au niveau du ménisque interne et une fracture au niveau de la tête de la fibula. Sur l'IRM de l'épaule, nous retrouvons un status post luxation de l'épaule avec une lésion Hill Sachs et une lésion du Labrum. Nous effectuons chez nous des radiographies standard de l'épaule et du genou. Sur le genou, nous n'arrivons pas à voir la fracture de la fibula comme sur l'IRM, sur l'épaule nous voyons un bankart osseux. IRM fonctionnelle avec coupe oblique : discopathie C3-C4 avec sténose foraminale prédominante à droite accentuée en flexion et en extension. IRM : fracture non déplacée de la malléole postérieure. IRM genou D : épanchement articulaire. Rupture du LCA. Contusion du condyle fémoral externe et plateau tibial externe jusqu'à interne. Micro-fracture en zone de charge condyle externe fémoral. IRM genou D : pas de lésion du LCA ni au niveau du cartilage. Pas de lésion méniscale. Pas de lésion du ligament collatéral interne externe aiguë. IRM genou D : pas d'épanchement articulaire. Corps de Hoffa proéminent. Pas de lésion méniscale. Pas de lésion cartilagineuse. Bourse bien présente au niveau semi-membraneux. IRM genou D du 30.10.19 : mis à part une lésion cartilagineuse focale de la face médiale de la rotule, examen dans les limites de la norme. RX genou D face/profil : examen dans les limites de la norme. IRM genou D et ménisque interne : status post suture anse de seau en position. Visualisation de réaction osseuse du compartiment interne parlant pour un CRPS. Lésion cartilagineuse condyle interne. IRM genou D native du 23.01.2020 : entorse de stade II du ligament collatéral interne. Pas de lésion du ménisque visualisée. Oedème osseux dans le contexte d'une contusion osseuse en regard du condyle fémoral externe et du plateau tibial antéro-interne. IRM genou G : gonarthrose compartiment interne prononcée au niveau du condyle fémoral. Lésion et externalisation du ménisque interne. Status post-méniscectomie. Kyste de Baker. IRM genou G : kyste ménisque externe avec lésion horizontale corne moyenne jusqu'à la corne antérieure. Ligaments collatéraux stables. IRM genou G de ce jour : vis d'interférence débordante au niveau du condyle latéral fémoral d'environ 4 à 5 mm. Plastie LCA en place. IRM genou G du CIMF du 28.08.2019 : pas de lésion méniscale, légère dégénération du cartilage fémoro-tibiale interne. Petit kyste de Baker. RX genou G f/p et rotule axiale du jour : diminution de l'espace articulaire interne fémoro-tibial avec une légère sclérose subchondrale. IRM genou G du 03.01.2020 : oedème au niveau du ligament croisé antérieur sans rupture. Contusion de la corne postérieure du ménisque interne. IRM genou G du 06.01.2020 : visualisation d'une dégénération débutante au niveau du compartiment fémoro-tibial interne avec des lésions cartilagineuses surtout au niveau du condyle fémoral interne et une dégénération débutante avec des signes mucoïdes du ménisque interne. Pas de lésion du ligament collatéral ni du ligament croisé. Épanchement articulaire. IRM genou G du 30.12.2019 (CIF) : montre une lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque externe sur status post ménisectomie partielle. Signes dégénératifs au niveau du compartiment externe. Pas de lésion du LCA ni du LCP. IRM genou G : pas d'épanchement articulaire. Ménisque externe stable. Pas de flap visualisé. IRM hanche D Affidea : visibles signes de pincer antéro-supérieur. Pas de franche lésion visualisée au niveau labral. IRM lombaire : signal augmenté à l'articulation facettaire L5-S1 D. Possible décompensation annulaire discale L5-S1. IRM hanche D contraste avec traction : lésion labrale inside out antéro-supérieure. Kystes visualisés. Cartilage fémoro-acétabulaire présent. Séquence STIR démontre un conflit postérieur antéversion 40° à D selon Murphy. CT scan 3D Impingement : D antéversion 40°, G antéversion 35°. IRM hanche D : on voit des dégâts cartilagineux outerbridge 2-3 sur une partie de la tête fémorale sinon le reste du cartilage est intact. On voit également le remaniement du labrum sur status post débridement. Léger liquide sur le stir séquence en regard de la bourse trochantérienne. Sans autres particularités. On mesure une torsion fémorale à 12°. IRM genou G : tendinite du tendon rotulien, ancienne lésion du ligament antérieur quasiment cicatrisée, suspicion d'une minime lésion du col postérieur du ménisque externe. Apparition d'un petit kyste à l'endroit de l'insertion originale sur le fémur du ligament croisé antérieur. Absence de pansement intra-articulaire.• IRM hanche G du 26.11.2019: présence de lésions du cartilage grade III-IV au niveau antéro-latéral du cotyle avec signes de pistolgrip au niveau du col fémoral et suspicion de lésions au niveau du labrum antérieur de l'acétabulum. • IRM hanche G injecté: lésions du labrum antérieur et postérieur avec un kyste labral postérieur. Extravasation de contraste antérieure. Pas de décentralisation. Dégénération cartilagineuse. Kyste au niveau de la tête fémorale postérieure. Déformation type cam. • IRM hépatique prévue le 03.02.2020. • IRM injectée : Bone Bruise os scaphoideum. Prise de contraste distalement du ligament dorsal intercarpal. Pas d'oedème au niveau de la colonne postérieure du lunatum ou au niveau de l'encoche postérieure du capitatum. • IRM jambe : hyper-signal en regard de la fracture avec toutefois des corticales qui présentent une solution de continuité. Discrète réaction périostée en regard. Pas d'autre anomalie à cet examen. • IRM janvier 2020 : protrusion discale L5-S1, non visualisée sur l'IRM d'octobre 2019, au niveau récessal gauche. • IRM le 04.02.2020. Prochain contrôle le 11.02.2020. • IRM le 04.02.2020. Prochaine consultation le 06.02.2020. • IRM le 11.02.2020 Prochain contrôle le 11.02.2020. • IRM le 13.01.2020 Intervention chirurgicale le 14.01.2020. • IRM le 13.02.2020. Prochain contrôle le 13.02.2020. • IRM le 17.01: Lésion hypophysaire en contact avec le chiasma optique, évoquant jusqu'à preuve du contraire un adénome. Bilan endocrinien du 17.01.2020: LH 0.1U/l, 2,3 U/l, Prolactine 21,3; cortisol basal à jeun le 16.01.20 : 48, TSH 0,066, T3 et T4 normales, PRL légèrement augmentée (probable effet tige), IGF-1 en cours. Consilium endocrinologique (Dr. X) Bilan neuro-ophtalmologique prévu le 20.01. • Test au Synacthen le 17.01. Solucortef 100mg le 17.01. Solucortef 50mg 4x/j du 17.01 au 19.01. Hydrocortison avec schéma dégressif dès le 21.01.2020. Euthyrox 50 mcg du 18.01 au 19.01 augmenté à 125 mg dès le 19.01.2020. • IRM le 17.01: Lésion hypophysaire en contact avec le chiasma optique, évoquant jusqu'à preuve du contraire un adénome. Test au Synacthen le 17.01. Bilan endocrinien du 17.01.2020: LH 0.1U/l, 2,3 U/l, Prolactine 21,3; cortisol basal à jeun le 16.01.20 : 48, TSH 0,066, T3 et T4 normales, PRL légèrement augmentée (probable effet tige), IGF-1 en cours. Consilium endocrinologique (Dr. X) Bilan neuro-ophtalmologique prévu le 20.01. Solucortef 100mg le 17.01. Solucortef 50mg 4x/j du 17.01 au 19.01. Euthyrox 50 mcg du 18.01 au 19.01 et 125 mcg dès le 20.01.2020. • IRM le 17.01.2020 Prochain contrôle le 04.02.2020. • IRM le 18.12.2019 planifié. • IRM le 20.02.2020. Prochain contrôle le 20.02.2020. • IRM le 22.01.2020 avec rendez-vous à la suite. • IRM le 23.01.2020. Prochain contrôle le 23.01.2020. • IRM le 24.02.2020. Prochain contrôle le 25.02.2020. Avis neurologique concernant l'épilepsie et le traitement de Keppra. • IRM le 27.01.2020. Prochain contrôle le 06.02.2020. • IRM le 31.01.2020 à 10h45 HFR Riaz. • IRM lombaire : Visualisation d'un oedème en regard des pédicules de L5 qui sont du reste courts. Rx lombaire : Évocation d'une déformation scoliotique. • IRM lombaire avec séquences vasculaires le 30.01.2020. Prochain contrôle le 04.02.2020. • IRM lombaire du jour (PACS) : persistance de l'oedème intra-spongieux sur les séquences STIR au niveau de la vertèbre fracturée, ce qui parle en faveur d'une guérison incomplète de la vertèbre. • IRM lombaire le 04.02.2020. ENMG des membres inférieurs Neurocentre à la recherche d'une dénervation aiguë versus polyneuropathie (à convoquer). Consultation de suivi. • IRM lombaire le 07.01.2020 : pas d'argument pour une lésion tumorale métastatique de la colonne lombaire. Lésions dégénératives multi-étagées de la colonne lombaire punctum maximum L5-S1 avec rétrécissement neuro-foraminal bilatéral d'origine dégénérative multifactorielle. • IRM lombaire le 20.01.2020 Prochain contrôle le 21.01.2020. OP pré-réservée pour le 27.01.2020. • IRM lombo-sacrée et contrôle à la consultation du 28.01.2020. • IRM main D du 23.10.2019 : On note un kyste dans la tête métacarpien III qui a accès à l'articulation de côté radial où on note une synovialite. Tuméfaction de la capsule ulnaire du MCP II. Pas de tumeur en soi visualisée. Léger épanchement à hauteur du tendon extenseur III. • IRM main D le 27.01.2020 Prochain contrôle le 24.02.2020. • IRM mars 2019 : pas de sténose majeure. • IRM médullaire totale le 15.01.2020. Bilan métabolique : - B12 normal, folates 2.9nm/ml. - Zn, Cu: dans la norme. - HTLV : en cours. - TSH, syphilis, Lyme, HIV déjà effectués: négatifs. Avis neurologique (Dr. X). Substitution en acide folique dès le 17.01.2020. • IRM natif du genou G du 10.01.20 : Lésion cartilagineuse stade IV sur le versant interne de la rotule. Remaniement modéré des deux ménisques, sans déchirure. Image d'inflammation du ligament collatéral interne sans signe de rupture. • IRM natif du genou D du 10.01.20 : Régression complète des altérations du signal du condyle fémoral externe. Remaniement des ménisques avec suspicion de déchirure oblique de la corne postérieure du ménisque externe. • IRM natif du genou G du 13.11.19 : À part la présence d'une plica médio-patellaire légèrement épaissie, l'examen reste dans les limites de la norme. • IRM natif du genou G du 4.12.19 : Début de gonarthrose tri-compartimentale à prédominance fémoro-patellaire avec chondropathie stade IV rétro-rotulienne. Pas de lésion méniscale externe. Le ménisque interne montre des altérations dégénératives de la corne postérieure. Présence d'un kyste de Baker ainsi que d'une bursite pré-patellaire pouvant correspondre à un status post contusion. Présence de plusieurs ostéophytes, témoignant d'une ostéo-arthrose débutante. Le cartilage du côté fémoral et tibial, dans le compartiment interne, est conservé, toutefois dans le compartiment interne il est légèrement usé. • IRM natif du 17.01.20 : IRM dans les limites de la norme. Pas de lésion ligamentaire. Pas de lésion du cartilage ni du MPFL. • IRM natif genou D du 20.12.19 : Lésion cartilagineuse modérée de la rotule. • IRM natif genou G du 20.12.19 : Déchirure faisant évoquer une désinsertion de la corne postérieure du ménisque interne. Lésion cartilagineuse dans la zone de charge du condyle fémoral interne et du plateau tibial interne. Lésion cartilagineuse en regard de la rotule. • IRM natif genou G : Lésion complexe de la corne postérieure du ménisque interne. Petite usure rétro-rotulienne du cartilage pouvant correspondre à une chondropathie stade III. Petit kyste de Baker dans le creux poplité. • IRM native : probable lésion du sus-épineux mais la qualité de l'imagerie est limitée. • IRM native de septembre 2019 : Probable lésion du sous-scapulaire avec une luxation du LCB. L'examen est limité par le fait qu'il n'y a pas eu d'injection de liquide de contraste. • IRM native du genou D du 17.01.2020 : Petite rupture au niveau de la marge profonde de la corne postérieure du ménisque externe. Chondromalacie plus marquée au niveau rotulien (grade IV). Épaississement diffus de la synoviale articulaire (DD étiologie inflammatoire). Inflammation de la bourse du muscle poplité. • IRM native du genou droit du 7.01.2020 : Lésion partielle du LCA. Entorse stade I du ligament collatéral interne. Légère contusion du plateau tibial latéral. Petite chondropathie fissurée en rétro-patellaire. • IRM native du genou gauche du 10.01.2020 : On voit un status après résection de la corne postérieure du ménisque interne avec signal diffus à ce niveau-là pouvant parler pour une nouvelle lésion de ménisque. Comme diagnostic différentiel, on peut retenir des lésions dégénératives après résection de la corne postérieure du ménisque interne. Les structures ligamentaires sont normales. Amincissement de la couche cartilagineuse fémoro-tibiale interne. IRM native du genou gauche du 2.10.2019 : IRM dans la limite de la norme. Pas de lésion visualisée. IRM native du genou gauche du 23.12.2019 : Lésion grade II du ligament collatéral interne. Absence de lésion du ménisque. RX cheville gauche face profil : Pas de lésion osseuse visualisée. IRM native du genou gauche du 5.12.2019 : Lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque interne. Le reste de l'IRM est normal. IRM native épaule D : cf diagnostic susmentionné. IRM native genou D du 24.01.2020 : à noter que l'IRM est de qualité mineure, néanmoins nous arrivons à voir une chondropathie stade II à III du condyle fémoral externe. Par contre, en dehors de la zone de charge, petit épanchement articulaire, potentielle lésion radiaire de la corne antérieure du ménisque externe. Le reste de l'IRM est normal. IRM neurocrâne en ambulatoire Consultation team spine le 28.01.2020 Substitution vitaminique Adaptation antalgique et sevrage morphine, benzodiazépine Inscription pour réhabilitation musculo-squelettique à prévoir par MT Nouvelle présentation si EF, douleurs en péjoration ou parésie non intermittentes IRM neurocrâne et des vaisseaux pré-cérébraux à organiser à 6 mois, avec réévaluation du traitement d'aspirine en fonction des résultats. Contre-indication à la conduite de 2 semaines. Suivi au neurocentre de neurologie de l'Inselspital à Berne. IRM neurocrâne le 31.12.2019 : Résection partielle de la plus volumineuse lésion kystique pariéto-occipitale droite. Diminution de l'effet de masse consécutif. Stabilité des autres lésions dont certaines présentent une composante hémorragique. Collection sous durale droite, DD hématome ou hygrome, probablement postopératoire. Laboratoire : cf annexes Histologie : cf annexes IRM neurocrâne/carotides le 07.01.2020 Consultation ORL (Dr. X), le 13.01.2020 à 15h IRM neurocrâne : Hormis un système ventriculaire discrètement agrandi par rapport aux espaces sous-arachnoïdiens (clinique pour une hydrocéphalie à pression normale ?), IRM cérébrale dans les limites de la norme. Les quelques lésions de la substance blanche visibles en T2Flair sont aspécifiques DD microangiopathie. Pas de lésion ischémique aiguë. (Dr. X) IRM ou CT hépatique à prévoir en ambulatoire. IRM ou un CT dédié à prévoir en ambulatoire. IRM (PACS) : discopathie C5-C6 et C6-C7 avec sténose foraminale bilatérale. IRM pancréatique en ambulatoire pour bilan de la lésion kystique du pancréas à organiser. IRM pelvienne du utérus poly-myomateux avec volumineux myome cervico-isthmique postérieur, de 6x6x10 cm, en partie nécrotique (contenu liquidien). IRM : petite contusion osseuse au niveau de l'astragale dans la partie antéro-médiale. Lésion du ligament fibulo-talaire antérieur à son insertion distale. IRM pied D : signes d'inflammation au niveau du statut post cure d'hallux valgus ainsi qu'au niveau tarso-métatarsien 2-3. Toutefois, ceci ne correspond pas à la plainte clinique de la patiente. Présence d'un os naviculaire accessoire avec légère prise de contraste aux alentours. IRM poignets D le 22.01.2020 et poignet G le 24.01.2020 Prochain rendez-vous le 31.01.2020 IRM post-opératoire : résection complète de la lésion tumorale. IRM : présence de signes en rapport avec une tendinite des péroniers résiduelle. IRM prévue le 03.02.2020 Contrôle clinique et discussion des résultats le 12.02.2020 IRM 07.09.2019 : œdème osseux au niveau de la fracture. IRM 09.12.2019 : discret signe d'inflammation à l'insertion du péroné court et du tendon d'Achille, pas de lésion cartilagineuse, pas de lésion ligamentaire. IRM 2019 : visualisation d'une déchirure horizontale de la corne postérieure à moyenne du ménisque interne. Statut post-résection partielle du MI. IRM 22.01.2020 : dégénérescence avec discopathie entre C3-C4, C5-C6 avec cyphotisation de ces segments. IRM 31.01.2020 Prochain rendez-vous le 28.02.2020 IRM. Contrôle à la consultation orthopédique team genou pour discussion des résultats. Irritabilité. Irritation anale avec marisques à 7h, 11h et 1h sur diarrhées à répétition dans un contexte de gastro-entérite. Irritation de la branche infra-patellaire du nerf saphène sur : • statut post arthroscopie genou G, résection partielle d'une anse de seau du ménisque interne le 8.7.2019. Irritation de la branche superficielle du nerf ulnaire gauche. S/P embrochage rétrograde de 5ème métacarpe le 04.12.2019 au CHUV au centre de la main. Irritation de la branche superficielle du nerf ulnaire gauche. Status post embrochage rétrograde du 5ème métacarpe le 04.12.2019 au CHUV au centre de la main. Irritation des yeux par un spray chimique. Irritation modérée du nerf cubital coude G sur : • Statut post OS de l'humérus distal à G en 2004. Irritation nerveuse suite à étirement dans un contexte de chute mécanique de sa hauteur, traitement symptomatique par Dafalgan et Novalgin. Patiente invitée à reconsulter en cas de non-amélioration clinique. Irritation nerveuse suite à étirement DD : douleurs d'origine musculaire Irritation paupière sans critère de gravité Irritation sous-acromiale résiduelle sur statut post-ablation de matériel d'ostéosynthèse humérus proximal gauche sur statut post-ostéosynthèse d'une fracture quatre parts de l'humérus proximal gauche en février 2015. Satus post plusieurs infiltrations. Douleurs acromio-claviculaires. Irritation vulvaire. Ischémie aiguë du membre inférieur gauche le 31.12.2019 • occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche débutant au tiers distal du fémur et s'étendant à l'artère poplitée, tibiale postérieure et fibulaire. Ischémie aiguë du membre supérieur gauche sur occlusion de l'artère brachiale sur 4,5 cm.• Endartériectomie de l'artère fémorale commune et superficielle, plastie d'élargissement à l'aide d'un patch veineux le 09.09.2014 • Déhiscence de plaie à la face latérale de la jambe gauche sur status après cellulite (streptocoques pyogènes). Présence de deux reins à gauche, un rein à droite, avec repositionnement des uretères gauches il y a plus de 40 ans pour pyélites à répétition. Bursotomie traumatique fistulisante, genou droit (cultures négatives) le 17.07.2017 PTH en 2016. Ostéosynthèse du deuxième orteil en 2007. Suture du tendon d'Achille en 2004. Spondylodèse L4-L5 pour canal lombaire étroit. Ischémie critique du membre inférieur gauche sur subocclusion sévèrement calcifiée du carrefour fémoral gauche, occlusion de l'artère fémorale superficielle distale et des sténoses calcifiées multiples. • Endartériectomie de l'artère fémorale commune et superficielle, plastie d'élargissement à l'aide d'un patch veineux le 09.09.2014 • Déhiscence de plaie à la face latérale de la jambe gauche sur status après cellulite (streptocoques pyogènes). Présence de deux reins à gauche, un rein à droite, avec repositionnement des uretères gauches il y a plus de 40 ans pour pyélites à répétition. Bursotomie traumatique fistulisante, genou droit (cultures négatives) le 17.07.2017 Prothèse totale de la hanche en 2016. Ostéosynthèse du deuxième orteil en 2007. Suture du tendon d'Achille en 2004. Spondylodèse L4-L5 pour canal lombaire étroit. Ischémie du membre inférieur gauche. Ischémie intestinale sur thrombose veineuse obstructive, 05.01.2020 • Douleurs abdominales depuis 20h00 avec vomissements Prise en charge à Tavel: • Labo: CRP 12 mg/l, Lc 9.8 G/l, Hb 126 g/l, Lactates 2.5 mmol/l • Urine: sp • CT abdomen • Médicaments à Tavel: 1500 ml NaCl i.v., 10 mg Primperan i.v., 4 mg Ondansetron i.v., 1 g Dafalgan i.v., 5 x 2 mg Morphin i.v. Ischémie intestinale sur thrombose veineuse obstructive, 05.01.2020 • Douleurs abdominales depuis 20h00 avec vomissements Prise en charge à Tavel: • Labo: CRP 12 mg/l, Lc 9.8 G/l, Hb 126 g/l, Lactates 2.5 mmol/l • Urine: sp • CT abdomen • Médicaments à Tavel: 1500 ml NaCl i.v., 10 mg Primperan i.v., 4 mg Ondansetron i.v., 1 g Dafalgan i.v., 5 x 2 mg Morphin i.v. Ischémie mésentérique aiguë sur probable volvulus dans une hernie interne le 29.01.2020. Ischémie mésentérique sur probable volvulus le 29.01.20. Ischémie subaiguë du membre inférieur droit. Cure de cataracte gauche le 01.02.2012. Pneumonie basale droite le 08.07.2014. Chutes à répétition avec immobilisation prolongée et rhabdomyolyse (CK 456 U/l), sur benzodiazépines et déconditionnement. Accident vasculaire cérébral de la partie externe du thalamus et du bras postérieur de la capsule interne gauche le 20.06.2016. Pneumonie lobaire droite chez Mme. Y, connue pour BPCO, avec : • insuffisance respiratoire globale avec hypoxémie à 7.7 à l'air ambiant • syndrome inflammatoire • 2/3 critères Anthonisen : exacerbation de la dyspnée, expectorations verdâtres. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • créatinine à 109 mcmol/l. Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition. Ischémie subaiguë du membre inférieur droit. Cure de cataracte gauche le 01.02.2012. Pneumonie basale droite le 08.07.2014. Pneumonie lobaire droite chez Mme. Y, connue pour BPCO. Chutes à répétition avec immobilisation prolongée et rhabdomyolyse (CK 456 U/l), sur benzodiazépines et déconditionnement. Accident vasculaire cérébral de la partie externe du thalamus et du bras postérieur de la capsule interne gauche le 20.06.2016. Isolement Isolement à domicile jusqu'à réception des résultats du Coronavirus, Mr. Y sera contacté par téléphone par l'assistant de garde de pédiatrie. Isolement de contact Isolement de contact dès le 13.01.2020. Isolement de contact du 01.01 au 05.01.2020 puis du 08-11.01.2020 Frottis VRE du 02.01.2020 et 09.01.2020 : négatifs. Isolement de contact du 01.01 au 05.01.2020 puis du 08-11.01.2020 Frottis VRE du 02.01.2020 et 09.01.2020 : négatifs. Isolement de contact du 01.12.2019 au 03.01.2020. Isolement de contact du 09.01 au 13.01.2020 (Frottis nég). Isolement de contact le 03.12 au 06.12.2019 Frottis rectal le 03.12.2019 : VRE négatif. Isolement de contact le 03.12 au 06.12.2019 Frottis rectal le 03.12.2019 : VRE négatif. Isolement de contact le 03.12.2019. Isolement de contact le 03.12.2019. Isolement de contact pour VRE • en raison d'une hospitalisation à l'Inselspital Berne du 30.12 au 31.12.2019. Isolement de contact VRE. Isolement de contact Ventolin 2-4 pushs progressivement espacés aux 6h. Isolement de protection du 24.12 au 25.12.2019 Neupogen du 24.12 au 25.12.2019 1 CE le 31.12.2019 Seuil transfusionnel 70 g/l Surveillance clinique et biologique. Isolement ESBL • ESBL multirésistant urinaire le 14.05.2019. Isolement pour suspicion MRSA le 09.12.2019. Isolement VRE en raison d'un séjour hospitalier à Berne. Isolement VRE suite à une hospitalisation à Berne. Isolement VRE sur hospitalisation à Berne. Isolette du 16.12 au 21.12 Lit chauffant du 21.12 au 29.12. Isolette du 16.12 au 23.12 Lit chauffant du 23.12 au 29.12. Isolette du 18.12 au 29.12 Lit chauffant du 29.12 au 5.01.2020. Isolette du 18.12 au 29.12 Lit chauffant du 29.12 au 5.01. Isolette du 18.12 au 29.12 Lit chauffant du 29.12 au 5.01. Isthmocèle antérieure et postérieure symptomatique chez Mme. Y, 2G 2P de 33 ans. Itinérol B6 Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter en cas de péjoration de l'état général. Itinérol B6 suppositoire et Perenterol 250 mg Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérrol B6 suppositoire Becetamol goutte Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Contrôle clinique aux urgences dans < 24 heures organisé Consigne de reconsulter plus tôt si péjoration de l'état général. Itinérrol B6 suppositoire Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérrol B6 suppositoire Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérrol B6 suppositoire Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérrol B6 suppositoire Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérrol B6 suppositoire Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérrol B6 suppositoire Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérol B6 suppositoire Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérol B6 suppositoire Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérrol B6 suppositoire Perenterol poudre Normolytoral Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation. Itinérol B6 x1. Itinérol B6 Normolytoral Antalgiques en réserve. Itinérol comprimé Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter en cas de péjoration clinique. ITU chronique ? • traitement au long cours par Nitrofurantoïne 100 mg 3x/s • stix sale aux urgences. ITU haute • dans un contexte d'hématurie macroscopique. ITU haute • sans critère de gravité. ITU haute non compliquée DD : gastro-entérite débutante. ITU haute probable. ITU haute probable le 14.01.2020. ITU non compliquée probable. IU basse le 10.01.2020. IU dans l'enfance. IVG médicamenteuse à 6 5/7 semaines d'aménorrhée le 14.12.2019. IVG médicamenteuse. 2x IVG par curetage. Otite moyenne aiguë gauche perforée.Pré-éclampsie sévère. Suspicion de placenta acreta. IVG 2009 Accouchement par césarienne pour désir maternel en cours de provocation dans un contexte de suspicion de RCIU avec oligoamnios à 38 1/7 semaines d'aménorrhée le 11.09.2019 Abcès puerpéral QSE du sein gauche, incision et drainage en novembre 2019 IVRI d'origine probablement virale le 30.01.2020. IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS / état grippal IVRS. - sans critère de gravité. IVRS - sans critère de gravité. IVRS. - sans critères de gravité. IVRS à Influenza A. IVRS au décours IVRS avec amélioration clinique actuellement. Mr. Y invité à reconsulter en cas de péjoration clinique. IVRS avec angine non à Streptocoque IVRS avec - angine - toux sèche IVRS avec angine virale IVRS avec encombrement nasal, tonsillo-pharyngite IVRS (avec suspicion de grippe) IVRS avec suspicion de grippe IVRS avec suspicion de grippe IVRS avec toux irritative IVRS avec traitement symptomatique par triofan, triomer, gelodurat, dafalgan, irfen et makatussin. Mme. Y invitée à reconsulter en urgences en cas de péjoration clinique IVRS DD grippe IVRS DD grippe débutante IVRS (DD possible faux croup résolutif) IVRS d'origine probablement virale IVRS et angine virale IVRS et angine virale IVRS et conjonctivite bilatérale IVRS et gastrite virale IVRS le 03.01.2020. IVRS le 03.01.2020, avec - rhino-sinusite aiguë virale. IVRS le 06.01.2020. IVRS le 07.01.2020. IVRS le 26.01.2020. IVRS le 30.01.20. IVRS le 30.01.2020. IVRS, otite virale bilatérale IVRS probablement virale le 01.01.2020. IVRS, sans critère de gravité. IVRS sans critère de gravité. IVRS sans critère de gravité le 30.01.20, avec: - streptotest: négatif. IVRS sans critères de gravité. IVRS sans critères de gravité. IVRS sans état fébrile IVRS simple le 04.01.2020, avec: - douleurs costales d'origine, probablement musculo-squelettique, sur effort de toux. IVRS (suspicion de grippe) J'ai discuté des options thérapeutiques avec la patiente. Vu son âge et la mauvaise position de la malléole externe, je propose une chirurgie pour permettre une réduction anatomique correcte de la malléole externe. J'informe la patiente du déroulement intra et postopératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 30 janvier 2020. J'ai discuté le cas avec le Dr. X. Il a noté plusieurs ralentissements sensitifs en distal sur les nerfs digitaux 20 mais sans signe d'un syndrome du tunnel carpien résiduel. J'ai peu de propositions thérapeutiques à faire. La patiente elle-même souhaite plutôt un traitement fonctionnel par physiothérapie. Dans ce sens, je prescrits de la physiothérapie. La patiente me recontactera en cas de rechute des douleurs. J'ai proposé à Mme. Y une ablation du fixateur externe et une ostéosynthèse par clous centro-médullaires tibia pour en même temps contrôler la rotation qui me semble légèrement déviée également. La consultation est faite en présence de la maman. Elles sont clairement informées du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elles nous donnent leur accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue le 27.01.2020. La patiente sera encore vue par des collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. JAMBE DROITE ET CHEVILLE DROITE : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. JAMBE DROITE F/P + CHEVILLE DROITE F/P + PIED ENTIER DROIT F/O : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Dr. X. JAMBE GAUCHE DU 25.01.2020 DESCRIPTION On retrouve une altération des tissus mous en regard de la face antérieure proximale du tibia, correspondant à la plaie connue, mais pas d'atteinte osseuse notamment en regard mise en évidence. Dr. X Janumet en suspens dans le contexte d'infection et d'insuffisance rénale à partir du 31.12.2019 Glycémies 3x/j Réevaluer reprise du traitement Janvier 2018 : accouchement par voie basse spontané à 37 0/7 semaines d'aménorrhée, fille de 2600 g. Accouchement par voie basse spontané chez une patiente de 20 ans, 2-gestes devenue 2-pares à 39 1/7 semaines d'aménorrhée le 16.04.2019 Rubéole non immune le 12.10.2018 Coxalgie probablement musculo-ligamentaire après l'accouchement. Sciatalgies non déficitaires le 15.08.2019. Incontinence urinaire d'effort partielle le 15.08.2019 - dans contexte post accouchement par voie basse en 04.2019. Jayson est hospitalisé pour oxygénothérapie dans un contexte d'une bronchite spastique à RSV. A son arrivée aux urgences Jayson est traité avec du Ventolin et du Betnesol. Malgré ses traitements Jayson reste oxygénodépendant ce qui motive une hospitalisation. Sur le plan respiratoire, un monitoring cardiorespiratoire est mis en place. Jayson reste oxygéno-dépendant du 24.01 au 26.01 avec des besoins maximum en oxygène de 3 L. Durant l'hospitalisation un traitement de Ventolin avec schéma dégressif est fait ainsi qu'un traitement Betnesol 0,25 mg/kg/ pour une durée de 3 jours au total. De plus, il bénéficie de traitement complexe de la médecine anthroposophique. Sur le plan infectieux Jayson reste afébrile durant l'hospitalisation. Le frottis pour le RSV revient positif, raison pour laquelle un isolement de contact est mis en place pendant son séjour dans le service de la Pédiatrie.Devant l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 26.01 dans un bon état général avec un rendez-vous prévu à votre consultation en mars pour bilan pneumologique et au besoin introduction d'un traitement de fond. Je discute avec Mr. Y de la nature du doigt à ressaut, qui me semble directement lié au traumatisme et à la prise en charge. Je lui propose une infiltration de la poulie A1 avec Dépo-Médrol/Ropivacaïne. Une date est agendée pour l'infiltration. Je discute de la situation avec Dr. X de l'HFR Fribourg - Hôpital. En accord avec elle, je prescris de l'ergothérapie avec une attelle Belly Gutter. Mr. Y va être convoqué dans les plus brefs délais par l'équipe de la chirurgie de la main de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour un US en vue de la consultation chez Dr. X. Poursuite d'un arrêt de travail. Je n'ai malheureusement aucune proposition à faire au niveau chirurgical pour Mr. Y. Il faudra trouver un accord avec la SUVA pour un travail adapté. Poursuite d'un arrêt de travail comme travailleur de coffrage. Prochain contrôle chez moi le 2.4.2020. Je n'ai malheureusement pas de solution à proposer à Mme. Y. Je suis navré pour Mme. Y de cette évolution défavorable, ceci me touche. Le geste chirurgical a été effectué correctement. Poursuite de l'ergothérapie. Contrôle dans 6 mois. En cas de péjoration du doigt à ressaut de l'auriculaire droit, Mme. Y va me recontacter. Prochain rendez-vous le 30.07.2020. Je n'ai pas de réelles explications pour les douleurs au niveau de l'épaule D. Je conseille à Mme. Y de poursuivre avec les exercices au théraband et de mettre la physiothérapie plutôt en pause. Je prévois de la revoir dans 6 mois pour évaluer la situation. On pourrait répéter une infiltration sans autre. Je n'ai pas l'impression que Mr. Y soit gêné par cette arthrose acromio-claviculaire. Il semble présenter une contracture musculaire au niveau des romboïdes pour laquelle je propose un traitement ostéopathique. De ma part, je n'ai pas prévu de rendez-vous d'office mais je me tiens toutefois à disposition en fonction de l'évolution. Je ne suis pas ravi de retrouver Mr. Y à seulement 6 semaines post-opératoires sans coussin d'abduction, ce qui nous fait douter un peu de sa compliance liée aux limitations post-opératoires. À l'examen clinique par contre, j'ai l'impression d'avoir une bonne force au test de Jobe. Poursuite de la physiothérapie maintenant avec une mobilisation active associée à une surélévation et rotation libre. Bretelle pendant la journée. Arrêt de travail jusqu'au 12.03.2020. Je ne suis pas très inquiet au niveau de son annulaire D, je m'attends à une bonne évolution spontanée sans traitement particulier. Au niveau de l'épitrochléite D, je préconise une infiltration le 21.02.2020, ce qui me permettra également de suivre l'évolution de l'annulaire D. Je pense que Mr. Y souffre de plusieurs pathologies. Il y a des troubles dégénératifs du rachis avec des sténoses marquées au niveau cervical qui fragilisent les nerfs pour une lésion à double niveau. Au niveau du coude pour le cubital et au niveau du canal carpien pour le médian. Il se plaint également d'une lésion du sus-épineux relativement en arrière-plan dans la symptomatologie actuelle. Les deux troubles périphériques du cubital et du médian n'expliquent en rien l'atrophie musculaire cervicale qui devrait, dans ce cas, être remise en relation avec la radiculopathie. Essai de traitements conservateurs, étant donné que Mr. Y sera revu à court terme au team Spine. Concernant le cubital et le médian, mise en place d'une attelle nocturne. Prescription de physiothérapie avec traitement neuro ménagé et instruction pour théraband à domicile. Je peux raisonnablement exclure une lésion structurelle. Pas de mesure particulière de ma part. Mme. Y est satisfaite de la situation. Fin du traitement chez moi, je me tiens toutefois à disposition si nécessaire. Je préconise donc l'AMO. J'informe Mme. Y du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue le 12.05.2020. Je prie le secrétariat de Dr. X de convoquer Mme. Y dans des délais raisonnables. Tel mère de Mme. Y : 077 416 06 01. Je retiens donc l'indication pour une stabilisation arthroscopique simple de l'épaule G. J'informe Mr. Y du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui sera planifiée en fonction de Mr. Y. Il nous recontactera pour fixer une date opératoire. Je reverrai Mme. Y le 5.2.2020. Je suspecte chez Mr. Y une lésion du ménisque interne, éventuellement type anse de seau. Je propose un bilan par IRM le 23.1.2020 et je le reverrai après cette IRM le 29.1.2020 pour discuter des résultats. Jusqu'à ce que je le revois, il reste en arrêt de travail à 100% et il continue l'immobilisation avec l'attelle jeans, la décharge et la thrombo-prophylaxie par Clexane. Je suspecte plutôt un hématome post-opératoire. Prescription d'ergothérapie pour traitement de la cicatrice et rééducation de la main. Mme. Y va recontacter son médecin traitant en cas de péjoration du site local. Malheureusement, je serai absent pour deux semaines mais si Mme. Y présente un problème, elle peut être adressée sans autre aux urgences de l'HFR Riaz. Je n'ai pas prévu de prochain rendez-vous à ma consultation. Je viens d'écrire un mail à Dr. X, de la consultation d'antalgie, en vue d'une infiltration test et éventuellement cryo-ablation de ce névrome. J'ai informé Mr. Y dans ce sens. Je prévois un contrôle dans 2 mois. Je vous laisse le soin de bien vouloir : • contrôler les glycémies régulièrement tant que Mme. Y est sous Prédnisone. • organiser un bilan à distance pour contrôler la vitamine D et l'hypercalcémie. Rendez-vous : Contrôle défibrillateur en Cardiologie au HFR Fribourg le 15.01.2020 à 10h30 Consultation neurologique chez Dr. X au HFR Fribourg le 06.01.2020 à 16h (Mme. Y sera rappelée par SMS 2 jours avant) Physiothérapie ambulatoire au Home. Évaluation logopédique le 28.02.2020 (Mme. Y sera convoquée). Mr. Y est un jeune patient de 12 ans qui est transféré le matin du 21.01.2020 depuis l'HFR Riaz pour la prise en charge d'une torsion testiculaire à droite. Nous effectuons la détorsion chirurgicale et l'orchidopexie en urgence qui permet de préserver le testicule tordu. Les suites postopératoires sont simples permettant à Mr. Y un retour à domicile le 22.01.2020. Mr. Y, patient de 15 ans et 10 mois, est hospitalisé pour surveillance clinique dans le cadre d'une alcoolisation aiguë. La prise de sang montre un taux d'alcoolémie à 1.22 pour mille. La recherche de toxiques dans les urines revient négative. La surveillance clinique est sans particularité pendant l'hospitalisation avec un examen clinique rassurant. Nous prenons avis auprès de nos collègues de pédopsychiatrie qui proposent un suivi ambulatoire. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 05.01.2020. J'essaie de calmer Mme. Y qui semble aussi être décompensée au niveau psychique pour de multiples raisons familiales et autres. Pas de mesure particulière de ma part. Je me tiens toutefois à disposition. Mme. Y est transférée du CHUV pour suite de prise en charge d'une bronchiolite sévère. Sur le plan respiratoire, elle reste oxygéno-indépendante à 0.5L jusqu'au 24-01 au matin, puis a pu faire une sieste sans oxygène et sans péjoration de son état respiratoire. Elle bénéficie des rinçages de nez réguliers. Sur le plan infectieux, elle reste afébrile durant l'hospitalisation.Sur le plan alimentaire, elle reçoit toutes ses quantités per os, la sonde nasogastrique est sevrée le 23.01. L'évolution est vite favorable, Mr. Y peut rejoindre son domicile le 24.01 dans l'après-midi avec un contrôle clinique chez vous dans 48h. • Jeune patient ayant présenté donc probablement un lumbago dans un contexte d'épanchement facettaire L4-L5. Nous recommandons des exercices d'hygiène du dos et une physiothérapie à but d'élongation abdominale et de gainage afin de soulager sa symptomatologie. En cas d'absence d'amélioration, nous envisagerons une infiltration facettaire L4-L5, mais souhaitons revoir notre patient auparavant. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions et entre-temps arrêtons notre patient et ce pour encore 2 semaines à 100% avec une reprise du travail à 50% dès le 26.01. • Jeune patient de 11 ans qui consulte à la Permanence accompagné de sa maman en raison d'un récent choc au pouce gauche lors d'une partie de football. Nous effectuons un examen clinique ciblé et prescrivons une radiographie du pouce qui montre une fracture Salter II phalange proximale D1 gauche. Nous prenons un avis orthopédique auprès du Dr. X qui propose un gantelet plâtré pour 4 semaines avec contrôle radio à quatre semaines. Nous posons un plâtre ouvert dans un premier temps qui sera circularisé dans une semaine lors d'un contrôle radio-clinique. Un contrôle radio-clinique est prévu de plus dans 4 semaines également à la Permanence. • Jeune patient de 14 ans qui consulte à la permanence pour des douleurs à la main droite après avoir reçu un ballon de basket sur la main. Un examen clinique ciblé suspecte des fractures qui sont confirmées par des radiographies de la main. On diagnostique une fracture de la plaque palmaire osseuse PIP O3 droite avec arrachement et atteinte du ligament collatéral radial ainsi qu'une fracture sous-capitale MCP V droite. Nous prenons un avis chirurgical auprès du Dr. X à Fribourg. En collaboration avec la chirurgie de la main de Fribourg, nous traitons le patient conservativement avec une attelle Edimbourg dans un premier temps. Il sera vu, à jeun, à la consultation de la chirurgie de la main le 10.01.2020 à 08:40. Dans l'intervalle, il reçoit une antalgie et une dispense de sport. • Jeune patient de 15 ans qui présente une évolution probablement stable avec peu d'handicap au quotidien. Nous lui exposons les différentes options de traitement, à savoir une surveillance annuelle ou alors une prise en charge chirurgicale que nous préférons repousser pour l'instant au vu du jeune âge du patient. La croissance crânienne est probablement terminée, mais il est de rigueur d'avoir une surveillance stricte. Nous reverrons le patient dans 1 an, il nous contacte dans ce sens. • Jeune patient de 20 ans qui consulte des suites d'une chute avec trauma crânien survenu le 25.01.2019. Un statut neurologique ne montre pas de signe pathologique. Nous excluons une fracture et un saignement crânien à l'aide d'un scanner. Nous diagnostiquons une commotio cerebri et prescrivons au patient une thérapie symptomatique de Brufen, Dafalgan et Domperidon. Nous lui donnons également des conseils quant à la conduite à tenir les jours à venir à savoir pas de musique, TV ou lecture prolongée. Il doit reconsulter son médecin traitant la semaine prochaine. Dans l'intervalle, il doit se présenter en urgence en cas de vomissements, perte de connaissance ou troubles visuels nouveaux. • Jeune patient de 24 ans avec un déséquilibre sagittal et coronal et un flexum spontané dans un contexte de syndrome facettaire. Nous lui recommandons la poursuite du traitement conservateur avec de la physiothérapie à but d'hygiène du dos, de gainage dorsal et d'une élongation des abdominaux. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 20.01.2020. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition et prions le patient de nous recontacter en cas de non-amélioration. • Jeune patient de 5 ans qui consulte à la Permanence accompagné de sa maman en raison de fièvre, maux de gorge et difficultés respiratoires depuis 2 jours. À son arrivée, le patient est stable hémodynamiquement mais présente un état fébrile à 38.3°C. La saturation à l'air ambiant est bonne à 96%. Un examen clinique montre la présence de ronchis sur l'ensemble des plages pulmonaires faisant suspecter une bronchite. Une inhalation par Ventolin ne permet pas une nette amélioration subjective. Nous retenons le diagnostic de bronchite virale et proposons un traitement symptomatique au patient en bon état général. Nous prescrivons un traitement de Ventolin en cas de difficultés respiratoires et un traitement à base d'AINS et de Dafalgan. Nous recommandons à la maman du patient une consultation rapprochée chez le pédiatre en cas d'absence de la symptomatologie. Elle doit reconsulter en urgence en cas de dyspnée aiguë ou de baisse de l'état général. • Jeune patient de 5 ans qui consulte à la Permanence en raison de l'apparition brutale d'otalgie ce matin dans un contexte de syndrome grippal présent depuis une semaine. Un examen clinique ciblé met en avant des otites moyennes aiguës des deux côtés avec notamment une perforation du tympan droit. Nous prescrivons une thérapie par amoxicilline 500 mg 2x/j. pour 10 jours en raison de la perforation. Nous invitons le patient à consulter sa pédiatre pour un suivi et à poursuivre la thérapie d'algifor et de Dafalgan déjà prescrite. Il doit reconsulter en cas de péjoration des symptômes ou de baisse de l'état général. • Jeune patient présentant des crises d'épilepsie avec trouvaille d'une lésion temporale atypique. Nous lui expliquons les origines de cette lésion et notamment les diagnostics différentiels de lésion tumorale, raison pour laquelle nous voulons poursuivre le bilan avec une IRM et une spectroscopie afin de mieux caractériser cette lésion. Nous souhaitons également un examen neuropsychologique ciblé sur la mémoire et enfin nous compléterons le bilan ophtalmologique par un champ visuel automatisé. Un CT-scanner thoraco-abdominal sera également réalisé à la recherche d'une lésion primaire et nous reverrons le patient dans les suites. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions entre-temps. • Jeune patient présentant une symptomatologie atypique avec des vertiges qui semblent être d'allure paroxystique. Dans ce contexte, nous recommandons un suivi ORL afin de bilanter le tout. Concernant cette suspicion de kyste neuroglial, celui-ci mesure 3x2.5x2.5 cm. Nous décidons donc de faire un prochain contrôle dans 3 mois avec une nouvelle IRM. Si le kyste venait à grandir ou causer plus de symptômes, nous rediscuterons à ce moment-là d'une attitude éventuellement chirurgicale. • Jeune patient qui consulte en raison de fièvre et d'une importante odynodysphagie. À l'anamnèse, nous calculons un Centor score de 4. Un examen clinique ciblé montre la présence d'exudats amygdaliens et d'adénopathies douloureuses. Un strep-test revient positif et nous diagnostiquons une angine à streptocoques que nous traitons par antibiothérapie. Le patient reçoit également un traitement antalgique par AINS et Dafalgan. Il est invité à reconsulter si persistance de la symptomatique ou si péjoration de l'état général. • Jeune patient qui présente des douleurs crampiformes à l'hypochondre gauche de résolution spontanée. Nous réalisons un labo qui est tout à fait normal, sans syndrome inflammatoire. Nous proposons un traitement antalgique à base de Buscopan et Dafalgan. Si récidive, le patient sera revu par le pédiatre. • Jeune patient qui présente des douleurs probablement d'allure fonctionnelle raison pour laquelle nous allons entreprendre un programme de réadaptation physiothérapeutique ambulatoire sur les 6 prochains mois. Nous lui prescrivons de la physiothérapie ce jour à but d'élongation abdominale chez un patient avec une forte musculature dorso-lombaire, de massages et d'hygiène du dos.Prochain contrôle clinique dans 3 mois ainsi qu'à 6 mois. Jeune patient se présentant donc dans un contexte de suspicion de scoliose. Nous complétons le bilan par des radiographies colonne totale face et profil à la recherche de cette scoliose. En fonction, un suivi sera établi. Jeune patiente avec des lombalgies ne l'handicapant que très peu. Dans ce contexte, nous recommandons la réalisation de séances de physiothérapie à but d'élongation abdominale et d'hygiène du dos. Prochain contrôle clinique dans 3 mois, entre-temps la patiente effectuera son ENMG qu'elle nous fera parvenir. Jeune patiente avec des troubles de la statique, en amélioration actuellement avec la physiothérapie. Nous souhaitons poursuivre dans cette optique et ne reverrons pas notre patiente d'emblée. En cas de persistance des symptômes, il faudra réaliser éventuellement un ENMG et une consultation neurologique. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Jeune patiente de 18 ans qui consulte en raison de symptômes urinaires dans un contexte d'infection urinaire récidivante en fin d'année 2019. Nous effectuons un sédiment urinaire qui montre la présence d'une croix de bactérie sans autres signes pathologiques. Au vu des antécédents de la patiente et de la présence de symptômes, nous prenons la décision de traiter une infection urinaire simple par Bactrim forte pour 5 jours. La patiente est invitée à reconsulter en cas de persistance ou de récidive de la symptomatologie. Nous conseillons également un bilan gynécologique qui est déjà en cours, comme nous explique la patiente. Elle doit reconsulter en cas de fièvre ou de douleurs en loges rénales. J'explique à la patiente et son mari qu'il y a eu un déplacement au niveau de la fracture mais que la position actuelle est tout à fait acceptable pour un traitement conservateur. Je la revois en contrôle dans 1 semaine. J'explique à la patiente la nature de la pathologie. Je propose de poursuivre le traitement anti-inflammatoire, d'arrêter le Tramal et de le remplacer par de la Novalgine. J'organise également, le plus rapidement possible, une infiltration sous-acromiale de l'épaule D. Je prolonge l'incapacité de travail au moins jusqu'au 28.02.20. J'explique au patient qu'avec l'arthroscopie, on s'est surtout adressé à la régularisation des 2 ménisques et un toilettage articulaire a pu nettoyer le genou mais que la dégénérescence sur les 3 compartiments, c'est-à-dire sa gonarthrose, est la cause de la douleur persistante. C'est pour cette raison que je lui propose une infiltration par Cortisone comme dernier essai de soulager la douleur. Si cette démarche se montre également inefficace, la seule option qu'il resterait serait l'implantation d'une prothèse totale du genou. Le patient est d'accord avec cette attitude. L'infiltration est prévue pour le 29.1.2020. Je reverrai le patient 3 semaines après l'infiltration le 19.2.2020. J'informe la patiente du diagnostic. Vu l'anamnèse avec une épaule tout à fait stable, entre-temps, l'âge de la patiente et ses antécédents, nous partons sur un traitement conservateur. L'évolution clinique favorable, en peu de temps, laisse présager un bon pronostic. Prochain contrôle dans 6 semaines. J'organise une IRM de l'épaule D. Physiothérapie. Prochain contrôle à la suite de l'IRM dans environ 3 semaines. Jumeau, en BSH Déshydratation modérée avec acidose métabolique dans le cadre d'une GEA. Hypoglycémie dans le cadre d'une GEA. Otite moyenne aiguë gauche. Jumeau J1, nouveau-né né prématuré à 34 0/7 semaines d'aménorrhée, poids de naissance 2405 g (P50-75), taille de naissance 46.5 cm (P50-75), périmètre crânien de naissance 33 cm (P50-75). Jumeau J2, nouveau-né né prématuré à 34 0/7 semaines d'aménorrhée, poids de naissance 1960 g (P10-25), taille de naissance 43 cm (P10-25), périmètre crânien de naissance 31.5 cm (P25-50). Jumeau 1 d'une grossesse spontanée gémellaire bi-amniotique - bichoriale. Garçon prématuré de 35 2/7 SA, poids de naissance à 1900 g (P3-P5), taille de naissance à 43 cm (P3-P5), périmètre crânien de naissance à 31 cm (P3-P5). Jumeau 1, garçon né à 34 3/7 semaines d'aménorrhée, grossesse gémellaire monochoriale-biamniotique, poids de naissance 1640 g (P<3), taille de naissance 44.5 cm (P 20), périmètre crânien de naissance 30 cm (P 6). SGA sur RCIU. Défaut du septum interventriculaire périmembraneux le 03.10 (Berne). Hyperbilirubinémie sans incompatibilité foeto-maternelle (groupe de l'enfant : 0, Rh + ; groupe de mère 0, Rh + ; Coombs négatif), avec nécessité de photothérapie (bilirubine maximale à 215 umol/l). S/p hypoglycémie asymptomatique min à 2.1 mmol/l. Troubles alimentaires de la prématurité. Troubles de la thermorégulation de la prématurité. Jumeau 2 d'une grossesse gémellaire spontanée bi-amniotique - bi-choriale. Garçon prématuré de 35 2/7 SA, poids de naissance à 2190g (P10-P25), taille de naissance à 44.5 cm (P3-P10), périmètre crânien de naissance à 32 cm (P10-P25). Jumeau 2, garçon né à 34 3/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse monochoriale-biamniotique, poids de naissance 2015 g (P15), taille de naissance 48 cm (P60), périmètre crânien de naissance 37.7 cm (P >97 ; +2 cm) : A l'entrée : A 35 semaines d'aménorrhée, poids : 1900 g (P5); taille : 44 cm (P10); périmètre crânien : 30 cm (P3). S/p hypoglycémie min à 1.8 mmol/l. Hyperbilirubinémie sans incompatibilité foeto-maternelle (groupe de l'enfant : 0, Rh + ; groupe de mère 0, Rh + ; Coombs négatif), avec nécessité de photothérapie (bilirubine maximale à 226 umol/l) - Photothérapie du 04 au 05.10 durant 17 heures. Jumeau 2, garçon né à 34 3/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse monochoriale-biamniotique, poids de naissance 2015 g (P15), taille de naissance 48 cm (P60), périmètre crânien de naissance 37.7 cm (P >97 ; +2 cm) : A l'entrée : A 35 semaines d'aménorrhée, poids : 1900 g (P5); taille : 44 cm (P10); périmètre crânien : 30 cm (P3). S/p hypoglycémie min à 1.8 mmol/l. Hyperbilirubinémie sans incompatibilité foeto-maternelle (groupe de l'enfant : 0, Rh + ; groupe de mère 0, Rh + ; Coombs négatif), avec nécessité de photothérapie (bilirubine maximale à 226 umol/l) - Photothérapie du 04 au 05.10 durant 17 heures. Jumper's Knee à D. Jumper's Knee ddc. J2: Amputation cutanée partielle D1, P2 au niveau de la pulpe G avec : • saignement artériel actif. K+ = 2.7. Substitution 40 meq dans 500ml de NaCl sur 2h. Contrôle K+ = 3.6. Attitude : contrôle le 08.01.20. K effervette 30 mmol 3x/jour jusqu'au 20.12.2019. Suivi biologique. K effervette 30 mmol 3x/jour jusqu'au 20.12.2019. Suivi biologique. K effervette 30mmol 2x à 23h15 puis 2x à 00H30. 20 meq IV dans 500 NaCl sur 30min. Phosphate Sandoz 16mmol. Kaliémie limite à 3,7 mmol/l. Kamilosan bains 2x/j. KCl effervet du 07 au 08.01.2020. Magnesium sulfate à partir du 07.01.2020. KCL retard 10mmol pendant 7j. KCl retard 1-1-1. Suivi biologique. KCL retard 30 mmol 3x/j. KCL 10 mmol 3x/j du 09.01 au 11.01.2020. Contrôle biologique : potassium dans les normes (4.1 mmol/l) le 13.01.2020. Kelly présente chez nous un excellent état général, sans signes d'inconfort avec un abdomen souple. Nous proposons aux parents d'augmenter les doses de Gatinar à 5 ml 1x/jour et nous préconisons un contrôle chez le pédiatre la semaine prochaine afin de discuter d'un éventuel suivi par un gastro-entérologue. Discuté avec Dr. X Kératite post-traumatique de l'œil droit (contact avec l'huile bouillante). Kératoplastie perforante avec greffe cornéenne œil gauche le 21.08.2014 (cécité quasi-totale) Phakectomie œil droit non datée Remplacement de valve aortique pour sténose sévère en janvier 2011 par prothèse biologique Gastrite chronique inactive (OGD du 03.04.2012, H. Pylori négatif) Opération de l'épaule droite en 2000 Cicatrice de l'épaule gauche sur statut post-résection de mélanome in situ Amputation du 2ème orteil du pied gauche avec préservation de la base de la 1ère phalange pour mal perforant à Staphylococcus aureus, le 28.08.2019 (Dr. X, Dr. X) Lombo-sciatalgie non déficitaire sur : • scoliose lombaire dextro-convexe centrée sur L2-L3 • spondylarthrose, arthrose interfacettaire et discopathie multi-étagère • antélisthésis dégénératif de grade I de L2 sur L3 Kératose séborrhéique sur le dos du nez, contrôle dermatologique par le Dr. X le 23.03.2010 : nihil ou cryoablation pour raisons esthétiques. Mr. Y présente une crise convulsive avec un état fébrile depuis <12 heures. Il s'agit d'un enfant connu pour un syndrome de Wieacker-Wolff polymalformatif suivi au CHUV. Vu le manque de places à l'HFR et le refus des parents pour un transfert aux hôpitaux pédiatriques périphériques et surtout le besoin d'une surveillance monitoring, vu une crise épileptique chez un enfant connu épileptique et un avis neurologique pour la poursuite médicamenteuse, un transfert au CHUV est décidé > Communication avec la garde de la pédiatrie au CHUV Dr. X et Dr. X. Le neurologue de garde du CHUV est averti (Dr. X) Le protocole des soins palliatifs est ci-joint. Discussion du cas avec le médecin adjoint de garde pour la pédiatrie HFR Dr. X Mr. Y bénéficie d'une réhydratation intraveineuse avec une légère amélioration clinique, mais une persistance des douleurs abdominales. Une échographie est réalisée qui ne montre pas de signe indirect d'appendicite (l'appendice n'est toutefois pas visualisé). Un bilan sanguin est également effectué, qui révèle initialement une anémie avec une hémoglobine mesurée à 83 g/l. Cette valeur est contrôlée dans un 2e temps et montre une hémoglobine à 144 g/l. À noter qu'un bilan d'anémie a été effectué lors de la 2e prise de sang et s'est révélé dans la norme. Il n'y a pas non plus de syndrome inflammatoire. Klaciped 15 mg/kg/jour pendant 5 jours (allergie amoxicilline) Klinisch interpretieren wir die Symptome am ehesten im Rahmen einer beginnenden Infektion der oberen Atemwege. Wir behandeln den Pat. symptomatisch mit Dafalgan und Irfen. Der Pat. soll sich wieder vorstellen bei Verschlechterung oder bei Auftreten anderer Symptome. Klinisch interpretieren wir die Symptome am ehesten im Rahmen eines Infektes der oberen et unteren Atemwege. Es zeigen sich keine Zeichen oder Verdacht auf eine Pneumonie. Der Pat. hat bisher keine Behandlung gehabt. Wir verordnen eine Therapie mit Dafalgan bei Bedarf, Ibuprofen 3x pro Tag, Triofan und Triomer, Solmucol 600 mg 1x pro Tag und Makatussin Hustensirup. Wir machen ein Arztzeugnis bis Ende der Woche. Der Pat. arbeitet im Inselspital als Informatiker. Wir empfehlen dem Pat. sich wieder vorzustellen bei Auftreten von Fieber, Verschlechterung des Hustens, Dyspnoe oder bei Verschlechterung des AZs. Klinisch ist von einem Pseudo-Krupp-Anfall auszugehen. Nach Gabe de 4 mg Betnesol und Inhalation mit Adrenalin ist die Symptomatik schon deutlich regredient. Ich habe die Mutter über supportive Massnahmen, wie kalte Luft, Luftbefeuchtung im Bad aufgeklärt. Für morgen habe ich eine weitere Dosis Betnesol rezeptiert. Bei Verschlechterung wird sie sich mit Mr. Y in einem Spital mit angeschlossenem pädiatrischen Notfall vorstellen. Austritt nach Hause. Klinisch contrôle Klinisch stellt sich den V.a einer Zoster ophtalmolicus. Wir verlegen den Pat. nach Bern zur weiterer ophtalmologische und neurologische Untersuchung mit Lumbalpunktion. Klinisch und radiologisch passt der Befund zu einem M. Osgood-Schlatter. Gemäss aktuellen Empfehlungen wird auf eine Ruhigstellung verzichtet. Der Patient erhält Analgesie und Physiotherapie, contrôle beim Hausarzt in 6 Monaten. Klinisch : 4 unscharf begrenzte, rötliche Knoten unter der Haut, lokalisiert an beiden Oberschenkel, druckempfindlich Surveillance clinique Clinique contrôle Clinique contrôle Clinique contrôle Unter Primidon 25 mg x1/T weiter Klinische Untersuchung Angiologisches Konsil am 08.01.2019 um 15:00 im HFR Fribourg Klinische Untersuchung EKG Troponin <40 ng/L Labor CT-Schädel und Carotis NK zum Hausarzt Klinische Untersuchung, entlassung nach Hause mit Sportdispens, Schmerzmittel Klinische Untersuchung Labor Rx des li. Fusses Angiologisches Konsil am 08.01.2020 um 15:00 im HFR Fribourg MRI des Fusses am 08.01.2020 um 07:45 in Affidea Givision Clindamycin 300 mg 3x/T für eine Woche Antalgie mittels Dafalgan, Novalgin Betadine Bad für 1 Woche Nachkontrolle auf der Permanence am 10.01.2020 Klinische Untersuchung, oncologische Besprechung avec Dr. X, HFR Fribourg Labor Symptomatische Therapie mittels Excipial Lotion, Xyzal Klinische Untersuchung Symbicort, GeloDurat, Triomer Spray Klinische Untersuchung Amoxicillin 400 mg 2x am Tag für 5 Tage Algifor, Dafalgan NK beim Kinderarzt Klinische Untersuchung Betnesol 4 mg Inhalation mit Adrenalin 5 mg Klinische Untersuchung Brufen 400 mg 3x am Tag für 5 Tage Physiotherapie Klinische Untersuchung CT Schädel NK beim HA Klinische Untersuchung EKG : AVB 1° cCT Time is Brain cMRT und Angio MRT am 17.01.2020 um 14:30 Uhr in Cimed Fribourg Nachkontrolle am 18.01.2020 in der Permanence um 15:30 Uhr Klinische Untersuchung EKG den 13.01.2019 Relaxane in reserve Klinische Untersuchung EKG Labor Troponin T <40 ng/l D-Dimere 120 NK beim HA Klinische Untersuchung Entlassung nach Hause mit Schmerzbehandlung und Physiotherapie. Wiedervorstellung bei fehlender Besserung. Klinische Untersuchung Entlassung nach Hause mit Schmerzmittel, bei fehlender Besserung contrôle beim HA Klinische Untersuchung Entlassung nach Hause mit symptomatischer Behandlung und AUF 14.01. - 19.01.2020. Klinische Untersuchung Labor : CRP 42 mg/l, Leukos 13,1 G/l Weiterbehandlung durch Orthopädie im Kantonsspital Klinische Untersuchung Labor CT Abdomen Urinsediment Co-Amoxicillin 1.2 g 3x am Tag für eine Woche Antalgie mittels Novalgin, Dafalgan NK auf der Permanence am jeudi, 16.01.2020 Klinische Untersuchung Labor NSAR, Dafalgan, GeloDurat Klinische Untersuchung Labor Rx Thorax 17.01.2020 Hydratation Ärztliche Zeugnis Klinische Untersuchung Moviprep Klinische Untersuchung Röntgen des linken Fusses Orthopädische Meinung Dr. X Gespaltener Unterschenkelgips für eine Woche, geschlossener Gips für zusätzliche 3 Wochen NK in einer Woche auf der Permanence, radiologische Kontrolle nach 4 Wochen auf der Permanence Antalgie mittels Brufen, Dafalgan AUF für einen mois Klinische Untersuchung Röntgen des rechten Handgelenkes Velcro-Schiene Antalgie mittels Dafalgan und Brufen MRI im Affidea Givision am 13.01.2020 geplant Besprechung der résultats auf der Permanence am mardi, 14.01.2020 AUF Klinische Untersuchung Symptomatische Behandlung mittels NSAR : Dafalgan, Gelodurat, Nasonex Klinische Untersuchung Symptomatische Therapie mittels Algifor, Dafalgan, Itinerol B6, Tanno Hermal Schuldispens bis verkrustete Vesikel NK beim Pädiater Klinische Untersuchung Symptomatische Therapie mittels Brufen, Dafalgan, Triofan, Triomer, Otalgan Klinische Untersuchung Symptomatische Therapie mittels Brufen, Dafalgan, Triomer, GeloDurat AUF pour 1 semaine Klinische Untersuchung Symptomatische Therapie nach Bedarf Klinische Untersuchung Ventolin 0.25 ml, Atrovent 250 µg Symptomatische Behandlung mittels Algifor, Dafalgan, Bexin Sirup, Ventolin NK beim Pädiater Klinische Verlaufskontrolle Klinischer Eindruck d'une phlegmone post-infizierte Schnittwunde. In Rücksprache mit den Orthopäden in Fribourg erfolgt die Vorstellung zur Ultraschall gesteuerten Diagnostik d'une Infection der Flexoren-Loge im Handgelenk. Die Weiterbehandlung erfolgt durch die Orthopädie vor Ort. Klinischer Verdacht auf alkoholische Gastritis 11/2017 Suizidabsichten behandelt par Hospitalisation in der Psychiatrie Marsens 07/2015 Knieschmerzen rechts Knöchelverstauchung links Konakion du 22.01.2020 au 23.01.2020 Konakion i.v. le 14.01.2020 Konakion per os Suivi biologique Proposition au médecin traitant : • suivi TP/INR Konakion 10 mg aux urgences Sintrom en pause du 31.12.2019 au 02.01.2020 Konakion 10 mg aux urgences Sintrom en pause Suivi Konakion 10 mg du 15.01 au 17.01.2020 Suivi biologique Konakion 10 mg iv 1x/j dès le 10.01.2020 Thiamine iv Inderal 2 x 10 mg dès le 15.01.2020 US abdominal le 14.01.2020 : flux hépatofuge pathologique mais pas de thrombose de la veine porte ; atrophie hép. importante, sans masse visible, ascite en grande quantité partout dans l'abdomen, splénomégalie Konakion 10 mg i.v. 1x/jour du 03.01 au 10.01.2020 Suivi biologique Konakion 10 mg 3x par semaine - lundi, mercredi, vendredi Konakion 10 mg IV Konakion 5 mg IV aux Urgences Kongenitale Muskeldystrophie Typ Ullrich Kongenitaler Herzfehler (Akten im Kinderspital Bern) Kontrastmittel Paravasat Unterarm rechts am 14.12.19 Kontusion der 8. vorderen Rippe links, DD Fraktur der 8. Rippe links Kopfschmerzen Kraniozervikales Beschleunigungstrauma Nackenmuskulatur rechts Kribbelgefühl linker Arm KTVO 18.12. au 23.12.19 Sonde naso-gastrique du 18.12 au 6.01 KTVO 18.12.2019 au 23.12 sonde naso-gastrique du 18.12 au 6.01. Perfusion de G10% du 18.12 au 23.12 KTVO 18.12.2019 au 23.12.2019 sonde naso-gastrique du 18.12 au 6.01.2020 perfusion de G10 du 18.12 au 23.12 Mr. Y est hospitalisé dans un contexte d'état de mal épileptique. A son arrivée aux urgences, il présente encore des mouvements tonico-cloniques du membre supérieur droit et de l'hémiface droite. Au vu de la persistance de la crise, Mr. Y reçoit 280 mg de phenytoïne IV ce qui permet d'arrêter la crise. Il reste par la suite stable hémodynamiquement. Le bilan est complété par un CT cérébral qui revient sans particularité. La gazométrie d'entrée montre une acidose respiratoire, le bilan biologique ne démontre pas de syndrome inflammatoire ni de troubles électrolytiques. Nous objectivons une créatinine augmentée à l'entrée à 91 umol/l, corrigée par la suite et une discrète augmentation des ALAT à 57 U/l. Une ponction lombaire est réalisée montrant un aspect transparent avec 12 éléments. Dans l'attente des résultats de la ponction lombaire, Mr. Y reçoit 1 dose de Ceftriaxone 100 mg/kg/dose IM aux urgences et est mis sous Acyclovir 20 mg/kg/dose 3x/jour. La culture du LCR reste stérile à 48 heures. La recherche de herpès et varicelle dans le LCR est négative. Les hémocultures reviennent également négatives. Dans ce contexte, l'Aciclovir IV est arrêté le 21.01. Nous retenons le diagnostic d'une probable convulsion fébrile atypique, sans argument pour une méningo-encéphalite. Sur le plan neurologique, un avis est demandé à la neuro-pédiatre Dr. X, qui réalise un EEG le 21.01 et qui revient sans particularité. Dans ce contexte, Dr. X ne préconise aucun suivi pour l'instant. Sur le plan infectiologique, nous retenons une origine virale à sa fièvre. Le patient présente un dernier pic fébrile à 38°C le 20.01. L'évolution est par la suite favorable, sans récidive de la fièvre. L'évolution est nettement favorable, les surveillances et status sont complètement dans les normes. Dans ce contexte, Mr. Y rentre à domicile le 21.01 sans traitement particulier. Kyste arthro-synovial de l'IP du pouce D oligo-symptomatique. Lésion Mallet osseux sans incongruence articulaire subaiguë D5 G. Kyste arthrosynovial face dorsale de la main D (dominant) Kyste arthro-synovial face palmaire du poignet D depuis 2 ans Kyste au niveau de la gorge. Kyste coccygien avec importante réaction inflammatoire le 12.01.2020. Kyste de l'ovaire gauche. Annexectomie gauche par laparoscopie en 2014. Gastroentérite débutante DD intoxication alimentaire. Kyste dermoïde. Kyste dermoïde ovaire gauche et dysménorrhée invalidante chez Mme. Y de 44 ans. Kyste dermoïde sacro-coccygien le 22.01.2020 • contrôle clinique à 24h00 Kyste du pôle inférieur rénal droit Kyste du versant palmaire et radial, poignet G symptomatique. Kyste endométriosique ovaire droit chez Mme. Y de 42 ans. Kyste face antérieure du tibia proximal à G. Kyste hépatique Kyste mammaire QSE sein gauche (surveillance). Maladie de Raynaud. Accouchement par voie basse spontané après provocation au Misoprostol pour rupture prolongée des membranes de > 36h chez Mme. Y de 26 ans devenue 1P à 39 SA. • Déchirure 1er degré. Suturé sous anesthésie péridurale. Kyste nucale du 22.01.2020 : • chez patient connu pour maladie de Verneuil. Kyste ovaire droit chez Mme. Y de 35 ans Kyste ovaire gauche chez Mme. Y de 34 ans 2G 2P traitée par kystectomie par laparoscopie. Kyste ovarien droit en 2017. Endométriose opérée en octobre 2019. Kyste ovarien gauche avec laparoscopie exploratrice et kystectomie sous AG le 07.01.2015. Bronchite virale le 18.02.2016. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 13.08.2016. DD : gastro-entérite. Kyste ovarien 2019 • Opération et Histologie prévue 01-02/19 • Sp ponction fluide abdominale Gastrite chronique • Sp éradication Helicobacter 2019 • Sp Gastro-/Colonoscopie 2019 • sous PPI Sp Infection urinaire basse 2013 • Uvamine durant 5 jours. Kyste pied D face dorsale en regard des tendons extenseurs des orteils. Kyste pilo-nidal Lombalgies basses sans limitation fonctionnelle Angine unilatérale gauche avec : • DD abcès péri-amygdalien, abcès para-pharyngé • laboratoire • Solumédrol 250 mg iv, Augmentin 2,2g iv, puis relai per os • avis ORL : consultation le 25.12.2019 à 11h00 • consilium ORL demandé • NaCl iv Kyste pilonidal. Kyste pilonidal le 24.12.2019. Kyste pilonidal surinfecté Kyste pilonidal Lombalgie basse sans limitation fonctionnelle Angine unilatérale gauche avec : • DD abcès péri-amygdalien, abcès para-pharyngé • laboratoire • Solumédrol 250 mg iv, Augmentin 2.2 g iv, puis relai per os • avis ORL : consultation le 25.12.2019 à 11h00 • NaCl iv Kyste postéo-cervical gauche, pauci-symptomatique. Exérèse du kyste postéro-cervical gauche. Kyste radiocarpale palmaire à G (adominant) Sclérose en plaque (diagnostic 2010) St. p. ablation d'un kyste radio carpal dorsal à G en 2000 (Inselspital Berne) Kyste radio-palmaire poignet droit symptomatique. Kyste rénal droit Hypertension artérielle Hyperplasie bénigne de la prostate • Status post-TURP 11.2007 Maladie coronarienne tritronculaire • Multiples sténoses étagées sur l'IVA, LCX et ACD • NSTEMI dans un contexte de maladie coronarienne tritronculaire le 28.10.2018 • ETT 31.10.2018: FEVG 72% • Coronarographie le 26.11.2018: stenting de l'ACD proximale et dilatation de l'artère circonflexe • sous Plavix, suivi par le Dr. X • ETT le 25.09.2019: Fonction du ventricule gauche conservée, FEVG à 62%, absence de trouble de la cinétique segmentaire Sténose aortique modérée (grade 2/3), stable par rapport au dernier examen. Pas d'autre valvulopathie significative • Actuellement traitement par Plavix 75 mg Kyste sacré. Kyste sacro coccygien abcédé fesse droite, 12.01.2020. Kyste sacro-coccygien abcédé (sans écoulement). Kyste sacro-coccygien avec importante réaction inflammatoire le 12.01.2020. Kyste sacro-coccygien avec status post-incision le 7 mai 2013. Cellulite de l'hémiface débutante le 03.04.2014. Virose le 11.05.2016. Otite externe droite le 20.06.2017 Kyste sacro-coccygien drainé en 2011 et sous antibiothérapie. Ex-héroïnomane, actuellement sous Méthadone. Anciennes hépatites. Fracture diaphysaire MC III et IV main D, oblique long avec raccourcissement le 8.12.2013. Kyste sacro-coccygien le 03.07.2019. Kyste sacro-coccygien le 28.04.2016 Kyste scapholunaire bilatéral symptomatique à D • Bilan par Ultrason (D et G) et Infiltration à D le 09.10.2019 et 11.12.2019 Kyste scapho-lunaire poignet D symptomatique. Kyste scapho-lunaire poignet droit symptomatique. Kyste sébacé au niveau de l'occiput droit. Kyste sébacé fessier droit. Kyste synovial de 4 x 4 cm dans la région postéro-interne péri-géniculée droite ainsi qu'au niveau sus-rotulien externe droit le 27.01.2020. Kystes ovariens. Kystes scrotal et coccygien sans signe inflammatoire le 08.01.2020. Kystes sous l'aisselle des deux côtés. D.D Folliculite ? Furoncles ? Le bilan biologique est dans la norme sans syndrome inflammatoire. Un CT cérébral met en évidence une pansinusite avec remaniement du sinus maxillaire gauche et comblement cellules mastoïdiennes droite. Devant ce tableau nous prenons avis auprès du neurologue de garde qui préconise un traitement par Prednisone 1 mg/kg pendant 10 jours avec schéma dégressif et un contrôle chez son médecin traitant. Devant l'image suspecte de surinfection fongique du sinus chez un patient sous corticoïdes locaux, un avis auprès de l'infectiologue de garde est pris et ne voit pas de contradiction à un traitement de Prednisone. Nous prescrivons alors un traitement de Prednisone 80 mg initialement sur 2 semaines avec un schéma dégressif sur 2 semaines. Nous mettons en place un pansement occlusif de l'œil gauche. Nous proposons au patient de voir son médecin traitant pour un contrôle rapproché. Le patient rentre à domicile le 04.01.2020 avec un arrêt de travail. La biologie montre un syndrome inflammatoire en augmentation. Le bilan radiologique montre une appendicite. En accord avec le Dr. X, le patient est transféré au bloc opératoire pour la suite de la prise en charge. La cadre actuel parle en faveur d'une suspicion de décompensation d'un syndrome facettaire dans le contexte du cadre dégénératif déjà connu, voire la décompensation d'un syndrome sacro-iliaque bilatéral qui pourrait justifier la limitation de la position assise et l'irradiation pseudo-radiculaire dans les fesses et les cuisses. Nous proposons au patient de réaliser une nouvelle IRM, également au vu du cadre de listhésis, afin d'exclure une aggravation morphologique. Nous soulignons que de notre point de vue, il n'y a aucune contre-indication au fait que le patient soit à nouveau pris en charge par le Dr. X qui nous lit en copie. Si le patient souhaite être suivi chez nous, nous organisons une nouvelle IRM et un prochain rdv de contrôle. Une éventuelle infiltration facettaire ou sacro-iliaque pourra être envisagée après la visualisation des nouvelles images. La cible transfusionnelle à l'hôpital est entre 70 et 80 g/l d'hémoglobine, mais, après discussion avec le Dr. X, qui suit le patient, on convient d'une cible entre 90 et 100 g/l à la sortie de l'hôpital. Nous laissons le soin à nos collègues de Tavel d'être attentifs à ce point et de contacter le Dr. X dès qu'une sortie est envisagée. La cicatrice doit être traitée par la physiothérapie avec un appareil particulier ainsi que manuellement en ergothérapie. Les deux bons sont donnés au patient. Nous prévoyons un prochain (dernier) contrôle d'ici 8 semaines. La cicatrice n'est pas fermée mais ne présente aucun signe de surinfection, avec un status local calme. Nous retirons le dernier fil de suture et faisons une réfection de pansement avec Aquacel argent et compresses, les prochains pansements seront faits en diabétologie. Nous restons à disposition si nécessaire. La cicatrice opératoire est calme, la pulpe du doigt est nécrosée. Une consultation par le Dr. X, orthopédiste de garde est effectuée, qui conseille la poursuite de l'immobilisation dans une attelle, antalgie et réfection du pansement. Un contrôle est prévu à la policlinique d'orthopédie pour le 28.01.2020 (Dr. X). La clinique du patient est rassurante et parle plutôt en faveur d'une glissade sur le sol plutôt que d'un véritable traumatisme crânien. Le patient présente une plaie de 2 cm sous-mentonnière. Le tétanos est à jour. Nous effectuons une désinfection, un rinçage et une suture par 3 points de l'Ethilon 5.0. Le patient ira chez le pédiatre dans 1 semaine pour retrait des fils. La maman refera le pansement dans 2 jours. La clinique est évocatrice pour une infection urinaire, fait confirmé par le sédiment urinaire. Nous recommandons un traitement antibiotique oral et un contrôle chez le médecin traitant en début de la semaine prochaine. La clinique est rassurante et le bilan biologique montre toujours une diminution. Nous démarrons une recherche de H. pylori dans les selles. Le patient sera revu pour une réévaluation et les résultats des analyses du 26.02. Il poursuit entre-temps le traitement initié précédemment. La clinique évoque une bronchite virale. Nous rassurons le patient et lui conseillons un traitement symptomatique. Il ira pour un contrôle chez son médecin traitant en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. La clinique n'est pas cohérente avec l'examen neurologique. Le syndrome du tunnel carpien pourrait être une partie de la symptomatologie du patient. Je suspecte par contre également une compression des nerfs cubitaux aux loges de Guyon des deux côtés. Pour cette raison, j'adresse le patient pour un avis neurologique spécialisé auprès du Dr. X au Neurocentre de Fribourg. Par la suite, j'aimerais adresser le patient au Dr. X pour une prise en charge appropriée également pour cette corde de Dupuytren douloureuse. Je me tiens à disposition si nécessaire. La clinique nous fait suspecter une arthrose facettaire ou des douleurs musculaires liées à la scoliose juvénile. Nous organisons un CT scan de la colonne dorso-lombaire afin de confirmer le diagnostic d'arthrose facettaire. Par la suite, nous pourrons envisager une infiltration facettaire si besoin. Prescription de Voltaren, Pantozol et Sirdalud afin de réduire la prise morphinique afin d'éviter une dépendance. La clinique parle en premier lieu pour une IVRS et la probabilité pré-clinique pour une embolie pulmonaire étant faible, nous proposons dans un premier temps un traitement symptomatique. Le patient est informé de reconsulter en cas d'apparition de fièvre ou d'aggravation de la dyspnée.La clinique parle en faveur de plusieurs problèmes, la patiente présente une douleur au niveau de sa sacro-iliaque, une claudication uniquement lors de la marche en montée et cela ne parle pas en faveur d'une origine neurogène mais peut-être vasculaire, raison pour laquelle nous prions l'angiologie de bien vouloir convoquer la patiente pour un contrôle. De plus, la patiente présente une douleur à l'insertion du glutéus minimus et medius avec une bursite trochantérienne persistante. Prochain contrôle après son rdv en angiologie. Si l'origine de la claudication devait être neurogène, une péridurale pourra être organisée et en cas de réponse favorable, une intervention de décompression L3-L4, L4-L5 pourra être envisagée. La culture de selles du 28.01.2020 ne montre pas de Clostridium difficile. Au vu de la bonne évolution clinique et d'un laboratoire de contrôle dans les normes, nous terminons le suivi ce jour. Nous suggérons à la patiente un éventuel contrôle la semaine prochaine chez son médecin traitant. La démarche en-dedans est provoquée par des antétorsions fémorales persistantes. J'ai bien expliqué aux parents que cette problématique peut encore se corriger avec la croissance. Un traitement n'est pas nécessaire à l'heure actuelle. Je reverrai ce patient pour un contrôle clinique dans 2 ans. La dernière IRM date d'octobre 2018, par conséquent nous allons refaire le bilan de l'épaule G par une nouvelle IRM, à la recherche d'une éventuelle progression de la tendinopathie. Entre-temps, le patient souhaite poursuivre le travail à 100% au vu du fait qu'il est à 2 ans de la retraite. Nous lui conseillons de prendre de l'Irfen durant 1 semaine, lors de journées plus dures. Prochain contrôle dans 6 mois avec les résultats de l'IRM. La dernière IRM date du mois de juillet 2019, nous pensons qu'il est nécessaire d'en effectuer une nouvelle. Nous reverrons la patiente après cet examen et pré-réservons déjà une date opératoire pour le 27.01.2020. Le consentement devra être fait lors de la prochaine consultation. Il s'agira probablement d'une décompression canalaire sur plusieurs niveaux. La fille l'apportera dans la journée. La formule sanguine complète ainsi que la CRP sont rassurants pour un état fébrile depuis 7 jours. Nous concluons alors un probable syndrome grippal et nous préconisons un contrôle clinique chez le pédiatre 20.01 en cas de persistance d'un état fébrile. Si péjoration de l'état clinique, reconsulter de suite. (Les signes de gravité sont expliqués aux parents) (Cas discuté avec CDC Dr. X) La fracture de la tête de P1 D1 a un élément intra-articulaire avec déplacement pour laquelle une indication opératoire est posée. Les risques et les bénéfices de l'intervention sont expliqués au patient. Nous lui donnons un formulaire de consentement qu'il signe. Le patient sera adressé à la consultation spécialisée du chirurgien de la main pour la semaine à venir pour agender une date opératoire. Temporairement, il est immobilisé dans un gantelet plâtré. La fracture est réduite sous brève anesthésie (Dr. X). Mise en place d'un plâtre au niveau de la jambe G. Le patient peut retourner à domicile. Un contrôle en policlinique d'orthopédie est prévu le 03.02.2020. La gêne ressentie par la patiente lors des mouvements du côté cubital pourrait trouver une solution avec une infiltration à ce niveau. Une date pour l'infiltration est agendée. La limite de transfusion chez Mme. Y a été fixée à 80g/l, par conséquent, nous décidons de ne pas transfuser la patiente et lui proposons un contrôle biologique et clinique vendredi. Si les résultats des facteurs de coagulation sont disponibles, nous lui communiquerons également à ce moment-là. En effet, nous suspectons éventuellement un syndrome de Heyde. La masse s'est mobilisée et a passé le caecum. Nous préconisons la poursuite du movicol et des massages (de droite à gauche en faisant des cercles). Nous revoyons Maxime le 03.02 à 14h pour contrôle clinique et radiologique (appeler Dr. X pour avoir son avis). Si péjoration des douleurs abdominales, ventre qui devient dur et/ou apparition de vomissements, reconsulter de suite. La mèche est enlevée ce jour, avec désinfection et réfection du pansement. Le contrôle et désinfection de plaie seront effectués chez le médecin-traitant. La mèche est enlevée, la plaie nettoyée et désinfectée. Mise en place d'un pansement. Le cas est discuté au colloque de chirurgie et la patiente est convoquée pour le 28.01.2020 à 16h15 pour une consultation en policlinique de chirurgie. La mère souffrant d'une pneumonie, a peur que Mme. Y l'ait attrapée. La minerve a pu être retirée à son arrivée en raison de l'absence de douleur à la palpation cervicale et pas de douleur post-ablation de la minerve. Des radiographies lombaires sont effectuées et ne montrent pas de fracture lombaire. Un avis orthopédique est demandé et ne propose pas de faire un scanner lombaire en raison de la clinique rassurante. Une antalgie simple est proposée avec Ibuprofen 600 mg et bonne diminution des douleurs lombaires à 3/10 EVA. Nous gardons la patiente en observation aux urgences durant 3 heures, et reprenons une mobilisation progressive qui est bien tolérée par la patiente. Au vu de la clinique rassurante, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec consigne d'arrêt de sport 1 semaine, antalgie en réserve et reconsulter si apparition de symptômes neurologiques. La Mobilière Assurance - À l'attention du médecin-conseil - Rue de Gruyères 67 - CP 235 - 1630 Bulle CERTIFICAT MÉDICAL - Assurance collective d'indemnité journalière en cas de maladie 1. 12.12.2019 2. Épaule gelée gauche. Status post infiltration intra-articulaire et sous-acromiale épaule G le 20.12.19. 3. Juin 2019. 4. La patiente a été suivie auprès de son médecin de famille et a bénéficié d'une IRM. 5. Non. 6. Non, il s'agit d'une maladie. 7. Incapacité de travail (sommelière) dès le 12.12.2019, et ce jusqu'au 20.12.2020 (à réévaluer à la consultation). 8. Non. 9. Non. 10. Non. 11. • La Mobilière Assurances, à l'attention du médecin-conseil Dossier 92.20.021565 - roya Certificat médical - Assurance maladie 1. 03.09.2019 2. Status post arthroscopie genou D, régularisation de la corne postérieure du ménisque interne le 11.11.2019 Status post ponction de décharge genou D le 12.11.2019 3. Le 19.08.2019, le patient chute dans les escaliers avec choc direct du genou D contre un mur. Le patient a tout de suite appliqué de la glace et a tout de même été au travail malgré les douleurs. Durant le courant de la semaine, les douleurs se sont exacerbées raison pour laquelle il consulte le médecin qui demande un bilan par IRM. Le 03.09.2019, nous décidons d'un traitement conservateur et le patient était censé reprendre le travail à 100% dès le 09.09.2019. De ma part, nous n'avions pas prévu de nouveau contrôle. Le 27.09.2019, le patient me recontacte car en descendant un talus le 25.09.2019 il a ressenti une vive douleur d'apparition aiguë sous forme de coup de couteau dans le creux poplité. Depuis, il présente une impotence fonctionnelle et il n'arrive plus à fléchir complètement son genou ni à le tendre complètement. Un bilan IRM a été fait et a mis en évidence une lésion de la corne postérieure du ménisque interne du genou D. L'indication pour une arthroscopie méniscectomie partielle +/- suture est donnée. Le patient est opéré le 11.11.2019. Une ponction de décharge du genou D est nécessaire le lendemain en raison d'un volumineux hématome. La dernière consultation date du 08.01.2020. Au statut, le patient ne montre pas d'épanchement articulaire ni de douleur à la palpation du condyle fémoral interne ni à la mobilisation de la rotule. La mobilité du genou est restreinte en flexion/extension à 120-0-0°, douleurs en fin de course de la flexion. Pas d'instabilité dans le plan frontal ni sagittal. Les tests de ménisques sont négatifs. Nous notons une évolution globale qui est bonne suite au toilettage articulaire.Malheureusement, le patient s'est blessé au genou D le 30.12.2019 après avoir tapé son genou contre un mur suite à un lâchage du genou D en descendant les escaliers. Une reprise du travail n'est donc pas possible pour l'instant étant donné l'importante boiterie que présente le patient. J'ai proposé au patient de prolonger l'arrêt de travail pour 2 semaines et ensuite une reprise à 100%. Un nouveau contrôle d'ici 6 semaines est prévu (19.02.2020), contrôle qui peut être annulé par le patient si tout va bien. • • • Oui. • 100% du 03.09.2019 au 08.09.2019 100% du 26.09.2019 au 26.01.2020, reprise à 100% prévue le 27.01.2020 • Non. • Status post arthroscopie genou D, toilettage articulaire avec régularisation de la corne postérieure ménisque interne le 11.11.2019. • • Prochain contrôle prévu le 19.02.2020 La patiente a augmenté sa mobilisation en rotation externe, néanmoins la flexion et l'abduction restent stables. La patiente ne souhaitant pas faire de physiothérapie, nous ne donnons pas de 3ème ordonnance mais nous lui demandons de réaliser les exercices donnés par la physiothérapeute régulièrement à la maison. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. La patiente a bénéficié d'une infiltration qui a eu un effet à très court terme, le jour même, sans diminution de la symptomatologie à long terme. En raison de cet effet positif, même de court terme, on discute d'une prise en charge chirurgicale avec résection AC, mais la patiente n'est pas prête pour une prise en charge chirurgicale. On opte donc pour un traitement conservateur avec anti-inflammatoire au besoin et protection gastrique. Organisation d'une 2ème infiltration AC dans 6 semaines environ. De plus, la patiente souffre d'une rhizarthrose à D qui reste symptomatique et pour laquelle on pourrait envisager une trapézectomie et plastie de suspension. On discutera de cette prise en charge chirurgicale dans 2 mois. Si celle-ci se fait, on procèdera également à la résection AC en même temps. La patiente a certainement des adhésions de APL et EPB, ce qui explique la limitation de la mobilité en flexion/extension au niveau de l'IP et de la MP. La raison est certainement des adhésions post-opératoires. La tendinite de Quervain me semble être plutôt une réaction à ces adhérences. Par ailleurs, la patiente présente une allodynie le long du ramus superficalis nervi radialis. Ces douleurs étaient déjà présentes avant l'infiltration. Nous allons organiser une sonographie pour investiguer l'intégrité des tendons, également le ramus superficalis nervi radialis. Nous reverrons la patiente par la suite. La patiente a déjà effectué une IRM en 2018 au CUB à Payerne, nous avons le compte rendu du radiologue, mais pas les images, nous allons recevoir un CD avec celles-ci. Le compte rendu du radiologue parle pour une absence de compression des racines et plutôt en faveur d'une arthrose postérieure facettaire sur plusieurs niveaux. Actuellement, la clinique parle en faveur d'une compression radiculaire, raison pour laquelle nous effectuons une nouvelle IRM de la colonne lombaire et nous reverrons la patiente par la suite. La patiente a déjà eu une légère phase d'immobilisation de l'épaule et a déjà commencé la physiothérapie. La patiente a des douleurs à charger et au vu de l'impossibilité d'utiliser des cannes, nous trouvons un compromis avec un Vacoped et charge selon douleur. La patiente sera convoquée pour une consultation spécialisée chez le Dr X dans un délai de 3 semaines et de même pour la fibula dans 4 semaines au team genou. La patiente a été envoyée par son médecin traitant avec une suspicion de dissection aortique vu les douleurs thoraciques irradiant vers les deux jambes, le dos, céphalées occipitales et frontales, accompagnées par les déférences des valeurs de la tension artérielle à 20 points aux deux bras. La patiente note avoir les symptômes depuis 2 semaines, sans péjoration ce jour. Elle dit avoir des sentiments de paresthésie du côté gauche (bras et jambe) qui ont disparu spontanément. Aux urgences, la patiente est hypertendue à 168/100 mmHg du côté gauche et 175/105 mmHg du côté droit. Elle présente des douleurs rétro-sternales de type serrement irradiant vers le dos. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique, pas d'insuffisance rénale, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques, la cinétique négative des troponines (H0 7ng/L, H1 7ng/L), sédiment urinaire revient dans la norme. Nous réalisons un scanner thoraco-abdominal qui revient dans la norme. Vu les valeurs de TA élevées, nous introduisons du Lisinopril 5 mg. La patiente rentre à domicile avec le traitement symptomatique par Dafalgan. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 3-4 jours. La patiente a été vue au Neurocentre où on a confirmé la suspicion d'un tunnel carpien à gauche post-traumatique. Pour cela, on propose un traitement chirurgical avec décompression du nerf médian au niveau du tunnel carpien. En plus, vu que la patiente est symptomatique et handicapée à cause de la rhizarthrose à gauche, on lui a proposé une trapézectomie et suspension en même temps. On a exclu le traitement de la rhizarthrose par une prothèse de la MCP I vu l'atteinte de la STT. La patiente aimerait bien aussi enlever la plaque au niveau du radius distal. Elle ne veut pas faire d'ostéotomie de correction de bascule dorsal comme discuté la dernière fois. Vu que la patiente veut se faire opérer de 3 choses en même temps, on va attendre un an post-opératoire de l'ostéosynthèse du radius distal avant d'enlever le matériel. On va se voir au mois de mai pour organiser la décompression du nerf médian du tunnel carpien, l'AMO de la plaque au niveau du radius distal et le traitement de rhizarthrose par trapézectomie et suspension, tous au niveau de poignet et main droits. La patiente a évidemment besoin d'un renforcement de la musculature scapulo-thoracique vu la mauvaise activation de celle-ci. Poursuite de la physiothérapie. On tente une reprise du travail à 50% dès le 20.1.2020 et une reprise à 100% dès le 10.2.2020. La patiente a gardé 10° de déficit d'extension au niveau des PIP. Vu le status pré-opératoire, le résultat est bon. Poursuite de l'ergothérapie. Sevrage progressif de l'attelle d'extension que la patiente porte pendant la nuit. Vu l'évolution favorable, nous n'avons pas prévu de revoir la patiente. Nous restons à disposition en cas de besoin. La patiente a pu récupérer une très bonne mobilité de son épaule, par contre elle souffre d'un conflit sous-acromial pour lequel on lui propose une infiltration sous-acromiale. Étant donné que la patiente est sous anticoagulant par Sintron, on lui demande de stopper la prise de Sintron 2 jours avant l'infiltration. Elle est également informée qu'après l'infiltration, il faudra surveiller fréquemment la glycémie les jours suivant l'infiltration. Une date est agendée pour l'infiltration. La patiente a rendez-vous à la consultation du Dr X pour réfection des pansements, ablation des fils et suite de la prise en charge orthopédique. La patiente a signalé une douleur abdominale lorsqu'elle était en voiture, en route pour aller skier, après petit-déjeuner, elle a pleuré. Elle a mangé une fondue chinoise la veille et un repas à minuit. Elle dit être légèrement anxieuse par le ski. La douleur est passée spontanément à l'arrivée à l'hôpital. Elle a eu des selles normales à notre service.L'examen clinique est rassurant, le stix urinaire est propre, la douleur n'est pas reproduite. Nous retenons le diagnostic de douleur intestinale causée par la constipation. Mme. Y a subi une fracture de son radius en janvier 2019. Celui-ci a guéri avec une bascule dorsale. Elle a été traitée conservativement par un plâtre. Dès sa mise en place et malgré son changement, la patiente est restée symptomatique avec des sentiments d'endormissement et des dysesthésies au niveau de tous les doigts, principalement les doigts du côté radial. L'ENMG avait mis en évidence un syndrome de canal carpien peu marqué, néanmoins, vu la gêne de la patiente, nous avons procédé à une cure de canal carpien. Nous sommes actuellement à 6 semaines post-opératoires. Vu cette atteinte qui dure depuis longtemps, nous ne nous attendons pas à retrouver une sensibilité normale même si l'examen clinique démontre une discrimination à 2 points proche de la normale. Poursuite de la physiothérapie et ergothérapie pour re/désensibilisation. Nous reverrons la patiente d'ici 3 mois. Si persistance de l'hyposensibilité subjective, nous ferons un nouvel examen neurologique pour investiguer la récupération du nerf. Mme. Y a toujours d'importantes douleurs au niveau du pli de l'aine qui irradient au niveau L2-L3, étant donné qu'au niveau radiologique la hanche ne montre pas de dégénération avancée, nous pouvons seulement proposer à la patiente de faire une infiltration de la hanche diagnostique afin de voir si les douleurs sont vraiment intra-articulaires. Nous organisons l'infiltration pour le lundi 20.01.2020 et nous reverrons la patiente le 18.02.2020 pour discuter des résultats. Mme. Y a une réapparition des douleurs surtout au niveau inguinal et latéral qui irradient également dans la jambe, nous suspectons une irritation à cause des vis trochantériennes. L'examen clinique suggère également cette hypothèse. Nous allons donc procéder à l'ablation des vis trochantériennes, nous remplissons le consentement et planifions l'opération le 12.02.2020. Mme. Y accepte l'intervention. Les risques et les bénéfices de l'opération lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Mme. Y bénéficie d'une radiographie du rachis cervical et dorsal qui est sans particularité. Nous lui proposons un col mousse pour 2 à 3 jours. Nous soulageons la patiente avec du paracétamol et du Brufen. Concernant le flou visuel de l'œil droit, nous prenons un avis ophtalmologique qui propose des larmes artificielles et est disposé à la voir demain si inquiétude. Nous remettons la fiche de surveillance des traumatismes crâniens et la patiente peut regagner son domicile. Mme. Y bénéficie d'une investigation suite à une rixe avec un autre patient. Le CT-scan cérébral et l'ultrason abdominal sont sans particularité. Le laboratoire retrouve une perturbation des tests hépatiques. Du fait de l'absence de lésions objectivées en imagerie, la patiente retourne à Marsens. Mme. Y bénéficie d'une radiographie du rachis cervical. Une IRM du rachis cervical sera réalisée dans 24 heures pour compléter le bilan avec contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Pour la cheville gauche, une indication opératoire est posée suite à la consultation avec le Dr. X. Mme. Y consulte aux urgences en raison de vomissements répétés depuis 3 jours, associés à des brûlures mictionnelles, avec état fébrile mesuré à 38.2°C. Au status, présence de douleurs en épigastre et au niveau de l'hypocondre droit, et d'une loge rénale droite douloureuse à la percussion. Nous réalisons un US abdominal ciblé aux urgences qui ne retrouve pas de liquide dans le Morisson, dans le cul de sac de Douglas et dans le Koelher. On ne retrouve pas de dilatation pyélocalicielle droite et gauche, la vésicule biliaire est épaissie à 4 mm, sans sludge et sans présence de lithiase. La vessie ne montre pas de globe. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire, ainsi que des ALAT et une bilirubine légèrement augmentés. Au sédiment urinaire, présence de leucocytes et d'érythrocytes incomptables et d'une flore bactérienne positive. Un urotube est prélevé. Nous retenons le diagnostic de pyélonéphrite droite et administrons aux urgences 2 g de Rocéphine iv, puis prescrivons une antibiothérapie de Ciprofloxacine per os pour 7 jours. La patiente est autorisée à regagner son domicile après la consultation. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant le lundi 03.02.2020 pour un contrôle clinique et biologique, ainsi que pour le résultat de l'urotube. Mme. Y consulte aux urgences pour des céphalées associées à des otalgies bilatérales présentes depuis environ 3 semaines. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique ni de la crase. Nous concluons à des douleurs d'origine névralgique, de la 2ème branche du trijumeau, et introduisons un traitement de Lyrica 50 mg - 3 x/jour. La tension artérielle élevée est mise sur le compte des douleurs d'origine névralgique. Nous conseillons à la patiente de poursuivre son traitement habituel d'Adalat CR 30 mg, et l'ajoutons en réserve en cas de pression artérielle élevée. Mme. Y se présentera à votre consultation pour la suite de la prise en charge. Nous vous laissons le soin de suivre le profil tensionnel en ambulatoire. Mme. Y consulte par rapport à des douleurs abdominales en bas du ventre accompagnées de la fièvre à 38,5°C. Le bilan biologique montre une CRP à 83 mg/l sans leucocytose, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Le sédiment urinaire revient positif pour leucocytes, nitrites, flore bactérienne. Nous effectuons 2 paires d'hémocultures et un Urotube, les résultats sont en cours. La patiente a reçu de la Rocéphine 2 g aux urgences. La patiente rentre à domicile avec de la Ciprofloxacine 500 mg per os 2 fois par jour. Contrôle clinique et biologique à la filière des urgences ambulatoires le 08.01.2020. Mme. Y consulte suite à un syndrome grippal. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Au vu de l'examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Concernant la contusion du poignet droit, les radiographies ne révèlent rien de particulier. Un contrôle clinique à la consultation du médecin-traitant est prévu dans 3-4 jours. Mme. Y consulte suite à un traumatisme de la cheville droite en inversion. La radiographie de la cheville droite ne montre pas de fracture. Nous immobilisons la cheville par une botte plâtrée. La patiente rentre à domicile avec un traitement antalgique en réserve. Contrôle clinique à la policlinique orthopédique dans 1 semaine. Mme. Y consulte suite à un traumatisme du poignet gauche il y a 2 jours. Nous posons le diagnostic de fracture du 1/3 moyen du scaphoïde droit non déplacée. Nous immobilisons le poignet gauche par un plâtre fendu AB + pouce. La patiente peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. Nous prévoyons un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Prévoir un CT-scanner d'office. Mme. Y consulte suite à une toux sèche accompagnée d'un état fébrile depuis 24h. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, la fonction rénale est bonne et il n'y a pas de trouble électrolytique. Le Streptotest revient négatif. La patiente peut rejoindre l'hôpital de Marsens, en ambulance, avec un traitement symptomatique. Mme. Y consultera l'ophtalmologue de garde le 05.01.2020. Mme. Y continuera le traitement par Ciproxine et nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 24.01.2020. Elle prendra rendez-vous chez un hématologue pour évaluer un potentiel trouble de la coagulation sanguine.La patiente est amenée par son époux pour une crise d'angoisse. Elle se repose quelques temps aux urgences et se sent mieux. Elle ne veut pas d'autre investigation ni de médicament. La patiente décide donc de retourner à domicile. La patiente est connue pour une artériopathie des membres inférieurs avec claudication de stade IIb, avec un antécédent de stenting au niveau de l'artère iliaque commune droite et de l'artère iliaque commune gauche en novembre 2011. Elle bénéficie d'un pontage aorto-bifémoral à l'aide d'une prothèse sur l'artère fémorale commune des deux côtés (clampage infra-rénal), endartériectomie fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à gauche avec pose de filet Ultra-Pro prophylactique le 19.12.2019, qui se déroule sans complication immédiate. En post-opératoire, la patiente est admise aux soins intensifs pour une surveillance clinique et biologique. Elle présente une anémie post-opératoire, motivant un angio-CT qui permet d'exclure un saignement actif et qui met en évidence un thrombus flottant au niveau de l'aorte infra-rénale, qui semble plutôt correspondre à une marque due au clampage. Elle bénéficie dans ce contexte d'une anticoagulation thérapeutique. La patiente est transférée le 21.12.2019 dans le service de chirurgie. A noter qu'une hyponatrémie suspecte d'une SIADH se développe en post-opératoire, sans qu'un traitement ne puisse être incriminé. Nous recommandons une restriction hydrique à un litre par jour et un suivi biologique. La patiente présente un iléus paralytique le 20.12.2019 nécessitant la mise en place d'une sonde nasogastrique qui sera retirée le 22.12.2019. La patiente présente par la suite des nausées et des épisodes de vomissements alimentaires nécessitant l'administration en intraveineux d'Ondansetron du 22.12.2019 au 07.01.2020. La patiente reprend un transit régulier le 08.01.2020. Par la suite, la patiente évolue favorablement permettant un retour à domicile le 09.01.2020. La patiente est déjà connue pour canal lombaire étroit et sténoses foraminales, raison pour laquelle nous discutons avec elle les options thérapeutiques soit les douleurs sont tolérées et gérées avec l'antalgie, soit elles sont intolérables et nous devons procéder à un geste chirurgical qui sera une fixation au niveau L3-L4 et L4-L5 également au vu de l'instabilité à ce niveau déjà vue afin de ne pas décompenser avec une simple fixation L3-L4. Nous réalisons tout d'abord un ENMG, un CT-scanner pour bilanter le statut de guérison au niveau de la cage L2-L3 et nous la reverrons d'ici 2-3 semaines suite à ces examens pour discuter des options. La patiente est déjà informée des risques liés à cette importante prise en charge chirurgicale. Nous pré-réservons une date pour le 30.03.2020. D'ici là, elle essaiera de porter un corset dorso-lombaire sur mesure qui mime l'effet de fixation dorso-lombaire. Nous demandons encore d'effectuer un Spect-CT à la recherche d'une captation au niveau facettaire et nous prions également nos collègues du neurocentre à Villars-sur-Glâne de bien vouloir convoquer la patiente pour réévaluation neurologique avec ENMG. Nous la verrons suite à ce bilan. La patiente est envoyée aux urgences ce jour pour un complément radiologique par CT du pied droit qui montre une fracture non déplacée de l'os naviculaire droit. La patiente étant déjà plâtrée et les douleurs étant contrôlées avec l'antalgie en place, elle rentre à domicile. Nous introduisons un traitement par Clexane prophylactique 40 mg, qu'elle n'avait apparemment pas reçu. Elle sera revue en contrôle clinique à la policlinique orthopédique le 16.01.2020. La patiente est hospitalisée dans le service d'orthopédie suite à une chute de sa hauteur sur malaise à domicile le 06.01.2020. Le bilan du malaise effectué aux urgences conclut à une syncope d'origine indéterminée dans un contexte de syncopes à répétition. Le CT cérébral et l'examen neurologique ne montrent pas de lésions traumatiques aiguës. Le bilan radiologique demandé pour des douleurs de la hanche gauche met en évidence une fracture type Garden I pour laquelle l'indication opératoire est retenue. Après une surveillance neurologique sans complication, l'intervention a lieu le 10.01.2020. En post-opératoire, la patiente présente une anémie à 101 g/l, suivie régulièrement, avec une valeur à 85 g/l le 15.01.2020 indiquant la transfusion d'un culot érythrocytaire. Les douleurs sont maîtrisées par une antalgie standard et le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. La patiente se mobilise difficilement, en charge selon douleurs, à l'aide d'un tintebin et sous la supervision des physiothérapeutiques. La cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Au vu de l'état général de la patiente et de la nécessité de poursuivre une physiothérapie de rééducation à la marche, nous organisons un transfert dans le service de réhabilitation gériatrique pour le 15.01.2020. Le 15.01.2020 au matin, la patiente présente une sensation de malaise avec apparition de voile noir devant les yeux et sensation d'oppression thoracique. Sur avis internistique, un ECG est effectué s'avérant superposable à l'ECG de référence. Un dosage des troponines est à 18 ng/l à 01h00 puis 17 ng/l lors du contrôle à 03h00 du début des symptômes. La radiographie de thorax ne met pas en évidence de foyer ou autre lésion. Un test de Shellong revient fortement positif. Devant une hémoglobine à 85 g/l et des antécédents de cardiopathie ischémique, il est recommandé de procéder à la transfusion d'un culot érythrocytaire. Nos collègues de réhabilitation gériatrique décident de maintenir le transfert de la patiente au 15.01.2020. La patiente est hospitalisée pour des compléments d'investigations d'un syndrome inflammatoire biologique persistant et d'un sédiment urinaire actif. Durant le séjour, un état subfébrile a pu être constaté. Le statut clinique retrouve une polyarthrite touchant les grandes, moyennes et petites articulations. Le bilan sanguin retrouve un syndrome inflammatoire important avec une CRP jusqu'à 207 mg/dL et une hypergammaglobulinémie. La récolte urinaire de 24h pour quantification de la protéinurie, mise en évidence au spot urinaire réalisé en ambulatoire, n'a pu être réalisée pendant le séjour malgré les multiples tentatives (en raison des troubles cognitifs et mnésiques connus chez la patiente). La protéinurie s'avère légère, avec un rapport albumine-protéines à 32%, sans microhématurie associée. Nos collègues néphrologues, à qui on a demandé un avis évoquent initialement dans le diagnostic différentiel une origine médicamenteuse (sur Cosentyx mais peu probable), hypertensive et un syndrome d'hyper-IgG4. Le CT scan abdominal de 2018 chez cette patiente avec des multiples facteurs de risque cardio-vasculaire avait démontré des zones d'atrophie rénale voire d'infarcissement rénal. Au bilan réalisé, on retrouve un taux d'IgG4 augmenté à 4.1 g/L. La relecture des lames de la biopsie ganglionnaire (ganglion inguinal) de mai 2019 retrouve une augmentation focale de plasmocytes IgG4 positifs. Le PET Scan réalisé retrouve des adénopathies généralisées qui sont stables par rapport à la dernière imagerie. La ponction articulaire des genoux retrouve un liquide inflammatoire à 2 reprises. Ainsi, nous retenons le diagnostic de syndrome d'hyper IgG4 et nous débutons un traitement de prednisone 40 mg 1x/j dès le 20.12.2019 (en association avec un traitement de prévention de l'ostéoporose) qui permet une nette amélioration clinique (disparition de l'atteinte polyarticulaire), du syndrome inflammatoire avec une résolution de l'état subfébrile.En ce qui concerne les facteurs de risques cardiovasculaires, nous avons mis en évidence une hypertension artérielle mal contrôlée surtout pendant la nuit, raison pour laquelle nous augmentons le lisinopril à 15 mg/j. Une dyslipidémie est également mise en évidence pour laquelle nous débutons un traitement d'atorvastatine à 40 mg 1x/j. L'ETT ne montre pas de troubles de la cinétique segmentaire, mais vu qu'une coronaropathie ne peut pas être exclue, une ergométrie devra être réalisée à distance. Le rapport du holter est à pister, mais nous n'avons pas d'arguments pour une fibrillation auriculaire pendant le séjour. Pour finir, un examen des selles réalisé retrouve du sang à 2 reprises. Des investigations endoscopiques sont prévues en ambulatoire. Ainsi, la patiente rentre à domicile le 24.12.2019 avec un contrôle clinique et sanguin en janvier 2020 à notre consultation ambulatoire de rhumatologie. La patiente est hospitalisée pour investigation d'un état fébrile associé à un syndrome inflammatoire avec état général conservé, sans signes d'appel pour un foyer avec une radiographie de thorax, un sédiment urinaire et un urotube sans particularité. Une IRM du pied droit exclut une ostéomyélite et un frottis nasopharyngé permet d'exclure une grippe. Nous excluons une endocardite sans échocardiographie transoesophagienne chez une patiente ne présentant pas les critères de Duke, avec une échocardiographie sans signes clairs pour une endocardite et avec 3 paires d'hémocultures négatives à 48 h d'intervalle. Une possible bartonellose n'a pas été retenue au vu de l'absence d'adénopathies ou de trajet lymphatique après la morsure du chat. Finalement, la patiente restant subfébrile du 30.11 au 02.12, avec un nouvel épisode d'état fébrile jusqu'à 38.4 °C du 10.12 au 12.12 et jusqu'à 38.6 °C le 18.12.2019, symptômes associés à des arthralgies majeures, nous considérons que l'étiologie est probablement rhumatologique. Dans ce contexte, un traitement de Kineret (anti-IL1) a été mis en place le 12.12, le 13.12 et le 18.12.2019 avec rémission complète le lendemain de l'état fébrile et des synovites. Néanmoins, il est important de mentionner que la polyarthrite rhumatoïde séronégative n'est pas connue pour être associée à de la fièvre. Mais nous n'avions pas d'arguments pour d'autres maladies qui sont associées à la fièvre récurrente, notamment pour une maladie de Still ou des maladies néoplasiques hématologiques. Une étiologie paranéoplasique reste possible mais peu probable au vu de l'absence de symptômes suggestifs. Sur le plan cardiaque, nous avons mis en évidence une cardiopathie hypertensive et une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose de 70 % de l'artère rétroventriculaire postérieure (petit vaisseau) et une sténose 70-90 % de l'IVA proximale à moyenne pour laquelle 4 stents actifs ont été posés, sans complications. À la place du Plavix, un traitement par Aspirine 100 mg 1x/j et Efient 10 mg 1x/j pendant 6 mois a été débuté. Une ergométrie est à prévoir dans 1 an. Sur le plan biologique, nous avons mis en évidence des multiples troubles électrolytiques, asymptomatiques et d'origine multifactorielle (sur traitement médicamenteux, déshydratation et manque d'apports au premier plan) qui ont été corrigés. Nous avons également mis en évidence une anémie chronique depuis avril 2019, normocytaire et normochrome, arégénérative, actuellement acutisée à 98 g/l que nous avons mise dans le contexte de l'état inflammatoire chronique au vu de l'absence de signes d'hémolyse ou extériorisation. Les vitamines B12, B9 et fer avaient été contrôlées en novembre 2019 et étaient dans la norme. Néanmoins, par précaution, le traitement par Pantozol a été augmenté à 40 mg 2x/j. Une cholestase persistante, asymptomatique, a été aussi mise en évidence et semble secondaire à un NASH même si pas visualisé à l'échographie hépatique vu que la patiente présente un syndrome métabolique. En ce qui concerne son diabète connu, la patiente actuellement présente une HbA1c à 6.4 %, raison pour laquelle elle poursuivra les auto-contrôles à domicile (avec l'aide de sa fille infirmière en diabétologie). À noter également qu'une leucopénie jusqu'à 3.4 G/L a été identifiée après les injections de Kineret qui s'améliore par la suite lorsque l'effet du médicament s'estompe. Pour information, ceci n'est pas une contre-indication à la poursuite du Kineret. Sur le plan digestif, la patiente a présenté des diarrhées secondaires au traitement de Magnesiocard 10 mmol qui ont disparu après la diminution du dosage à 5 mmol. Sur le plan moteur, la patiente se déplace sans difficultés et sans besoin d'un moyen auxiliaire de marche. Dans ce contexte, le retour à domicile a été organisé pour le 21.12.2019 avec un suivi clinique à 10 jours à notre consultation de rhumatologie. La patiente est informée des risques et bénéfices de l'intervention, elle reçoit le consentement éclairé qu'elle nous renverra dans 3 jours par courrier. La patiente est installée en box et reçoit du Voltarène 75 mg puis du Paracétamol qui soulagent les douleurs. Dans ce contexte, elle peut rentrer à domicile avec la poursuite du traitement antalgique prescrit. Elle a un rendez-vous déjà prévu chez le Dr X, urologue, le 06.01 à 11h00. La patiente est plus gênée par le pied D mais est demandeuse d'une attitude active dans les deux pieds. Nous lui proposerons alors dans un premier temps de réaliser une cure chirurgicale d'hallux valgus à D en mini-invasive. Les risques et les bénéfices sont expliqués à la patiente qui les accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention est agendée pour le 04.02.2020. La patiente est rassurée quant à la possibilité d'une rupture spontanée de son kyste. Nous gardons l'IRM du 29.01.2020. Nous organisons une ponction sous US chez le radiologue afin de soulager la patiente. Le contrôle du 03.02.2020 pourra être annulé en cas de disparition de la symptomatologie suite à la ponction. La patiente est renseignée par rapport à l'évolution lente de ce qui paraît un syndrome sacro-iliaque typique avec une forte composante mécanique. Nous reverrons la patiente pour un nouveau point de la situation d'ici 6 mois. À ce moment-là, en cas de persistance de douleurs, on lui proposera des infiltrations par acide hyaluronique de l'articulation sacro-iliaque à gauche. Indication d'avancer le rendez-vous en cas de mauvaise évolution, nouvelle crise ou apparition de nouveaux symptômes. La patiente est satisfaite de l'évolution à 3 mois post-opératoire et souhaite la même prise en charge pour le côté droit. L'intervention est prévue la semaine prochaine. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices, ce qu'elle accepte en signant le consentement. La patiente est satisfaite du résultat au niveau de sa hanche gauche, cependant, elle a des douleurs invalidantes au niveau de la hanche droite qui ne se sont pas bien améliorées avec les antidouleurs. De plus, elle présente d'importants signes de dégénération au niveau radiologique. Nous prévoyons donc de procéder à une implantation de PTH du côté droit également, celle-ci sera faite en mars 2020. Nous réalisons le consentement et remplissons le formulaire d'anesthésie. Concernant le traitement antalgique, nous faisons une prescription de Novalgine. La patiente est suivie en oncologie pour un myélome multiple avec traitement de dexaméthasone, Velcade et Revlimid depuis le 16.12.2019. Lors du bilan pré-2ème cure le 23.12.2019, une insuffisance rénale aiguë AKIN III (créatinine à 794 mcmol/l) entraîne son hospitalisation aux soins intensifs pour investigation.A l'entrée aux soins intensifs, elle présente des signes cliniques de surcharge pulmonaire nécessitant de la VNI. Il n'y a pas d'épanchement pleural ponctionnable. Des dialyses intermittentes sont réalisées dès le 26.12.2019 sur un cathéter de dialyse jugulaire droit, en collaboration avec l'équipe de néphrologie (Dr. X). Après hydratation et prescription de Furosemide, nous observons une reprise progressive de la diurèse. La patiente est ensuite transférée à l'étage de médecine interne le 28.12.2020 pour la suite de la prise en charge. Après bilan, l'étiologie retenue comme plus probable est une toxicité du traitement de Revlimid avec une possible composante pré-rénale. Avec la biopsie rénale, nous posons le diagnostic d'insuffisance rénale aiguë sur précipitation des chaînes légères. Un fibrillo-flutter à conduction ventriculaire rapide apparaît le 26.12.2019 sur une oreillette gauche légèrement dilatée et sans dysfonction cardiaque gauche à l'échocardiographie. Un traitement de Cordarone sur 48 heures ne permet pas d'obtenir une cardioversion. Une anticoagulation thérapeutique et un contrôle de la fréquence cardiaque par Métoprolol sont initiés dès le 28.12.2019. Une ETT réalisée le 30.12.2019 est dans la norme et l'ECG du 08.01.2020 montre un rythme sinusal. Une anticoagulation thérapeutique est initiée par Sintrom et nous vous laissons le soin d'en adapter la posologie. La patiente présente une bicytopénie avec une thrombopénie et une anémie, pour laquelle elle bénéficie de la transfusion de 2 CE au total. Le bilan d'anémie révèle une origine hyporégénérative (réticulocytes 17G/l) d'origine mixte, sans extériorisation de sang. Nous l'interprétons dans le contexte de son myélome et sa chimiothérapie. Un suivi biologique est recommandé. Concernant le myélome multiple, un traitement de Velcad et dextaméthasone est réintroduit le 17.01.2020 et la patiente continuera à être suivie par le service d'oncologie (Dr. X). Le but est de faire une à deux chimiothérapies par semaine lors des passages en dialyse au HFR Fribourg en fonction de sa tolérance. La prochaine injection de Velcad est prévue pour le 21.01.2020 après la dialyse. Concernant le diabète type 2 non insulinoréquerant, le profil glycémique de Mme. Y est satisfaisant suite à son passage aux soins intensifs et sa médication habituelle est mise en pause. Après le début de sa chimiothérapie, des augmentations de la glycémie sont constatées. Nous le mettons en lien avec le traitement de Dexaméthasone. Un schéma de correction à l'insuline rapide est mis en place. Nous vous laissons le soin de réévaluer ce traitement durant son séjour à Tavel. La patiente peut être transférée en gériatrie aiguë le 20.01.2020 à Tavel pour la suite de la prise en charge. Elle continuera à bénéficier de dialyse 3 fois par semaine. La patiente est transférée aux soins intensifs de l'HFR de Fribourg. La patiente est vue par le Dr. X. Au vu de la bonne évolution, nous continuons pour l'instant le traitement physiothérapeutique, vu l'absence de conflit du matériel au niveau articulaire. Néanmoins, nous reverrons la patiente pour un nouveau contrôle clinique dans 2 mois afin d'évaluer l'évolution et discuter, en cas d'une mauvaise évolution, d'une prothèse anatomique de l'épaule. Dans l'intervalle, la patiente peut continuer à travailler à 80%. La patiente étant sous traitement antalgique par AINS, nous décidons d'interrompre ce traitement connu pour avoir un effet antiagrégant, avec substitution par Novalgine 500 mg, glace, et éventuellement, après la progression de l'hématome et amélioration des douleurs, nous conseillons un traitement par Lyman gel à appliquer afin de faciliter la résorption de l'hématome. Contrôle à la consultation du médecin traitant dans 10 jours comme prévu. Indication de revenir consulter en cas d'apparition de troubles neurovasculaires ou d'autres anomalies dans l'intervalle. La patiente est hospitalisée le 06.01.2020 à l'HFR Fribourg en raison de paresthésies du membre supérieur droit. En vacances en Suisse depuis le Portugal, elle se présente au service des urgences la nuit avec une plainte initiale d'état fébrile, accompagné de nausées et, depuis le jour précédent, de céphalées. Elle signale également des paresthésies et une perte de la motricité fine du membre supérieur gauche, ainsi qu'une ptose labiale gauche objectivée par la famille. Un CT Time is Brain est effectué au vu de la symptomatologie neurologique semblant nouvelle, revenant dans la norme. Une ponction lombaire est effectuée dans le contexte des céphalées accompagnées d'état fébrile avec symptômes neurologiques focaux, revenant également dans la norme. Un accident vasculaire aigu ne pouvant être complètement écarté, la patiente est hospitalisée en médecine pour réévaluation neurologique le lendemain, gardée à jeun et en lit strict avec une charge d'aspirine. Une anamnèse plus poussée en Portugais révèle la présence de paresthésies depuis une année, accompagnées d'une douleur de l'épaule gauche connue et exacerbée sur récent port de charge lourde. La patiente a également des paresthésies des deux jambes de longue date, sous Pregabaline. Le bilan infectieux et radiologique poussé excluant également un événement aigu, l'indication à une prise en charge neurologique est donc levée sur avis neurologique. Un ultrason en ambulatoire des vaisseaux précérébraux, au vu de l'athéromatose diffuse des carotides, ainsi que la poursuite de la statine sont proposés à la patiente. Le reste de son traitement demeure inchangé. La patiente restant afébrile sur les 48 heures d'hospitalisation, sans plainte neurologique, elle rentre à domicile en bon état général le 08.01.2020. Elle bénéficiera d'une pose de prothèse de la hanche le 10.01.2020 comme prévu, au Portugal, et d'un suivi par son médecin traitant. La patiente me rapporte encore un traumatisme de son pouce G avec une hyperextension en novembre 2018, avec par la suite des lâchages. L'examen clinique met en évidence cette rhizarthrose, mais confirme également une certaine laxité au niveau de l'articulation MCP 1 qui me fait penser à une instabilité chronique suite à une lésion du ligament collatéral cubital de la MCP 1. Je vais donc bilanter la situation par une IRM de la main G. Entre temps, prescription d'une attelle Rhizoloc pour traiter la rhizarthrose et prescription de patchs Flector. Prochain contrôle chez moi après l'IRM. La patiente mentionne plusieurs antécédents d'entorses à répétition jusqu'à il y a quelques années. La douleur présente au niveau de la face antérieure, voire antéro-latérale de la cheville, évoque une origine de ligament fibulo-talaire antérieur. C'est la raison pour laquelle nous organisons une infiltration locodolenti par un anesthésique local et de la cortisone afin de cibler notre hypothèse clinique. Nous reverrons la patiente 1 semaine après l'examen susmentionné pour évaluer la situation. La patiente montre un état stable au niveau de sa mobilité. Elle présente une forte raideur liée à une probable cicatrice sous-acromiale. Malgré une limitation dans l'amplitude de ses mouvements, la patiente se dit satisfaite et ne souhaite pas une opération pour potentiellement améliorer la situation. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation, mais nous restons à disposition en cas de besoin. La patiente montre une évolution lente mais en amélioration au niveau de la symptomatologie sous physiothérapie. Nous pensons que les séances de physiothérapie lui sont encore bénéfiques. De plus, nous prescrivons des anti-inflammatoires pour 2 semaines. Si la situation reste stagnante, nous pourrons envisager une infiltration sous-acromiale. Prochain contrôle clinique dans 3 mois.La patiente n'a jamais eu de bilan neurologique avec ENMG, donc nous prions nos collègues du neurocentre de bien vouloir la convoquer pour exclure un syndrome périphérique type tunnel carpien, compression du nerf ulnaire. Nous la reverrons suite à ce bilan. Nous lui donnons également, en cas de crise aiguë, un schéma dégressif de Dexaméthasone. Elle a déjà des anti-inflammatoires à domicile, pour l'instant elle ne les a pas encore pris. La patiente ne parle quasiment plus en français. Traitement anxiolytique. IRM du neurocrâne planifié pour le 27.12.2019. Bilan neuropsychologique en espagnol à organiser. La patiente ne présente plus de douleurs abdominales après avoir reçu du Nexium 20 mg iv aux urgences, et le laboratoire effectué ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous laissons donc la patiente rentrer à domicile avec un contrôle chez le pédiatre le lendemain (déjà prévu) et un suivi chez Dr. X, pour lequel la patiente va recevoir une convocation. La patiente ne souhaite pas de pontage aortocoronarien. La patiente ne souhaite pas voir de psychologue. La patiente ne souhaite recevoir aucun autre traitement, à part du Fentanyl. Nous lui expliquons, avec Dr. X, qu'il s'agit d'un traitement à courte durée. Nous proposons un traitement par Morphine à la patiente ou anti-inflammatoires, qu'elle refuse. La patiente insulte Dr. X en le traitant de con et menace le personnel soignant. Elle souhaite partir car elle est mécontente du traitement proposé. Nous lui faisons signer la décharge de sortie contre avis médical. La patiente n'est actuellement pas gênée par les douleurs. Nous proposons alors une attitude expectative. La patiente pourra nous recontacter si elle est de nouveau gênée par ce kyste. Nous proposerons alors, en première intention, une infiltration. La patiente nous dit qu'en raison de son âge, elle ne souhaite pas d'opération supplémentaire. Néanmoins, elle a remarqué qu'elle a moins de force dans le bras, ce qui la rend moins sûre de sa descente dans les escaliers. Nous expliquons à la patiente qu'une greffe du tendon du muscle long palmaire pourrait améliorer la fonction du triceps. Une fonction tricipitale améliorée serait utile en cas d'usage ultérieur d'un tintébin. La patiente comprend nos explications mais n'est quand même pas décidée à se faire opérer pour le moment. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle et la patiente nous recontactera au besoin. La patiente nous rapporte avoir déjà consulté un neurochirurgien qui lui a expliqué les risques opératoires. Le neurocentre a organisé des potentiels évoqués somesthésiques dont nous n'avons pas les résultats ce jour. Nous demandons au médecin traitant de bien vouloir contrôler ces résultats et, en cas de potentiels positifs et en cas de péjoration de la symptomatologie, il faudra adresser la patiente au CHUV pour une prise en charge. Nous proposons à la patiente un traitement conservateur et une évaluation rhumatologique afin d'exclure une éventuelle fibromyalgie. La patiente peut se mobiliser selon les douleurs. Un prochain contrôle clinique aura lieu à ma consultation le 17.02.2020. La patiente poursuivra le suivi à la consultation de chirurgie comme prévu. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle dans 1 semaine. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 12 jours post-opératoires. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 12 jours post-opératoires. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle. Nous vous laissons le soin d'organiser une coloscopie dans 4 semaines afin d'exclure une tumeur caecale. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle, selon évolution. La patiente présente déjà des signes de consolidation. Nous proposons aux parents une charge totale selon les douleurs, c'est-à-dire d'éviter si possible les mouvements de sauts et d'autres mouvements à haut impact. En raison du domicile de la famille, les parents préfèrent faire les prochains contrôles à l'Inselspital. Nous les encourageons donc à prendre un rendez-vous pour dans 3 semaines afin d'évaluer l'état radio-clinique de la jambe. Nous restons bien sûr à disposition en cas de problèmes et, à leur demande, nous allons envoyer le dossier complet à l'Inselspital. La patiente présente depuis 48 heures avant l'admission des douleurs abdominales diffuses, plus marquées en fosse iliaque droite. Elle s'est présentée aux urgences de l'HFR Riaz le 02.01.20 où un CT Scanner abdominal a été réalisé, montrant un ovaire droit augmenté de volume sans pouvoir exclure une torsion ovarienne, raison pour laquelle elle a été transférée à l'HFR Fribourg pour avis gynécologique afin d'exclure une torsion ovarienne droite. L'évaluation gynécologique par écho endovaginale n'a pas confirmé une suspicion de torsion ovarienne droite. La patiente s'est présentée aux urgences de l'HFR Riaz le 03.01.20 pour persistance des douleurs. À noter que la revue du CT Scanner réalisé le 02.01.20 montrait une suspicion d'appendicite, raison pour laquelle une échographie abdominale a été réalisée le 03.01.20 et a mis en évidence une appendicite avec un appendice d'environ 10 mm de diamètre. L'indication opératoire est retenue et Dr. X procède, le 03.01.2020, à une appendicectomie laparoscopique. Dans le même temps opératoire, il réalise l'exérèse d'un naevus ombilical. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, avec bonne gestion de l'antalgie et reprise bien tolérée de l'alimentation. La patiente est sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g iv/jour, relayée per os à raison de 2 x 1 g/jour et à poursuivre jusqu'au 12.01.2020 inclus. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 04.01.2020. La patiente présente des brûlures mictionnelles, une pollakiurie et une macrohématurie depuis cette nuit. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale avec une créatinine à 106 mmol/l, des leucocytes à 13.1 G/l et une CRP < 5 mg/l. Le sédiment urinaire revient positif pour des érythrocytes en purée, des leucocytes en purée, une flore bactérienne. Les nitrites sont négatifs. Nous réalisons un urotube, dont les résultats sont en cours, et débutons un traitement par Rocéphine 2 g iv aux urgences. La patiente rentre à domicile avec poursuite du traitement par Ciprofloxacine 500 mg per os - 2 x/jour pour un total de 7 jours. Contrôle clinique et biologique le 21.01.2020 à la filière des urgences ambulatoires ; urotube à pister. La patiente présente des douleurs au niveau de la TMT 1, mais qui ne paraissent pas mécaniques. Nous organisons une IRM afin d'évaluer le tendon tibial postérieur dans le contexte de pied légèrement plat, ce qui pourrait être la source des douleurs. Nous la reverrons suite à l'examen. La patiente présente des douleurs liées à une coxarthrose G évoluée. Nous proposons à la patiente une prise en charge opératoire avec une PTH G par voie antérieure. En raison de la présence d'un os ostéoporotique, nous demandons la mise en place d'une PTH cimentée pour la tige. Les risques et bénéfices de l'opération sont expliqués à la patiente. Elle signe le formulaire de consentement. La patiente présente des douleurs thoraciques d'origine anxiogène. Le bilan réalisé ne retrouve pas de syndrome inflammatoire et l'ECG est sans particularité. Nous rassurons la patiente et lui proposons un traitement antalgique. La patiente continuera le suivi chez son cardiologue comme initialement prévu.Mme. Y présente des omalgies gauches de longue date ayant motivé la réalisation d'une IRM qui n'a pas montré d'atteinte de la coiffe des rotateurs mais une boursite sous-acromiale étendue, avec une instabilité du long chef du biceps. Vu la gêne constante ressentie par la patiente, le Dr. X retient l'indication à l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. Initialement, une immobilisation par un gilet orthopédique est en place, puis par une bretelle simple à la sortie de l'hôpital. La cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Au contrôle post-opératoire, la patiente ne présente aucun trouble neuro-vasculaire. Devant la bonne évolution clinique, Mme. Y peut retourner à domicile le 15.01.2020. Mme. Y présente des signes d'instabilité des chevilles bilatérales, plus accentuée à droite. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour renforcer les péroniers et de la proprioception. Nous lui prescrivons également des semelles avec point postéro-latéral valgisant. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. À ce moment-là, nous ferons des radiographies avec clichés cerclés de Meary en charge ddc ainsi qu'une radiographie du pied droit de profil en charge. Une éventuelle prise en charge chirurgicale sera discutée en fonction de l'évolution. Mme. Y présente des symptômes typiques d'une coxarthrose avancée et a également d'importants signes de dégénérescence au niveau radiologique. Ayant déjà bénéficié d'une infiltration qui a un peu aidé, nous pouvons proposer l'implantation d'une PTH à droite. La patiente est demandeuse pour cette intervention. Nous planifions cette intervention avec une voie antérieure et réalisons le consentement et le formulaire d'anesthésie. Mme. Y présente donc des tassements multi-étagés dans un contexte de carcinome œsophagien. Nous ne retrouvons pas d'infiltration des tissus mous faisant évoquer des métastases mais ne pouvons l'exclure malgré tout. Nous souhaitons poursuivre le suivi avec des radiographies dans 3 semaines. Nous ne proposons pas cimentoplastie actuellement au vu des fractures multi-étagées aiguës et du peu de douleur de notre patiente. Nous souhaitons en parallèle la réalisation d'un bilan d'ostéoporose pour un éventuel traitement et demandons à nos collègues rhumatologues de bien vouloir convoquer la patiente à cet effet. Mme. Y présente donc très probablement des douleurs sur un syndrome du tractus ilio-tibial causé par la protrusion de la vis céphalique due à la compression de la fracture et à la minceur de la patiente. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie et la reverrons dans 2 mois pour un prochain contrôle radioclinique et nous ferons des RX du genou. Nous expliquons à la patiente qu'il est actuellement trop tôt pour enlever le matériel et que celui-ci ne pourra pas être enlevé au minimum avant 8 mois post-opératoires et selon la consolidation radiographique. Mme. Y présente donc un conflit fémoro-acétabulaire à gauche sur excès d'antétorsion fémorale mesurée à 40° et est demandeuse d'une prise en charge chirurgicale. Nous lui proposons donc de planifier une luxation chirurgicale de hanche avec ostéotomie de dérotation fémorale. Les bénéfices et les risques de l'intervention sont expliqués à la patiente ce qu'elle accepte. Mme. Y présente donc une probable tumeur à cellules géantes de la gaine du fléchisseur du IIème doigt pour laquelle nous proposons une ablation chirurgicale. Les bénéfices et les risques sont expliqués à la patiente qui les accepte et signe le consentement. L'opération est planifiée le 09.03.2020. Mme. Y présente donc une scoliose dextro-convexe thoraco-lombaire avec un angle de Cobb mesuré à 22°, pour laquelle nous proposons un traitement conservateur avec physiothérapie. Nous insistons auprès de la mère de la patiente sur l'importance de réaliser les exercices appris en physiothérapie de manière quotidienne au moins 30 minutes par jour. Nous reverrons la patiente dans 6 mois pour un prochain contrôle radio-clinique. Mme. Y présente encore beaucoup de douleurs au niveau de sa hanche droite, c'est pour cela que nous organisons un arthro-IRM chez nous. Étant donné que la patiente est claustrophobe, elle ne peut pas entrer dans l'arthro-IRM sans une sédation. C'est pour cela que nous organisons les anesthésistes en stand by en remplissant le formulaire d'anesthésie. À l'issue de l'arthro-IRM, nous allons reconvoquer la patiente dans notre consultation pour rediscuter des résultats. Mme. Y présente toujours les mêmes symptômes et n'aurait pas été à selles malgré le traitement laxatif depuis 2 jours. Actuellement, les douleurs sont supportables et l'abdomen peu inquiétant. Dans ces conditions, nous lui proposons de rentrer à domicile. Nous discuterons, au matin, avec le chef de garde de l'indication à prévoir un CT abdominal afin de clarifier la situation. Mme. Y présente toutefois une gêne de la MTP 1 et souhaite une AMO. Nous posons donc l'indication opératoire. Elle est informée du fait que cela ne va pas améliorer la mobilité. Le formulaire de consentement est rempli et signé par la patiente. Mme. Y présente un claquage musculaire de la cuisse droite et une fracture du petit trochanter. Nous réalisons une radiographie du bassin et du genou à droite et complétons avec un CT du bassin qui montre une fracture du petit trochanter. Nous proposons un repos avec antalgie et anti-inflammatoire. La patiente prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour une consultation dans 1 semaine. Mme. Y présente un début de décompensation d'un pied plat accentué par un morphotype en valgus marqué. Cliniquement, elle a associé à cela, un début de tendinopathie du tibialis postérieur et un raccourcissement des chaînes musculaires postérieures et un début de fasciite plantaire. Nous poursuivons la prise en charge conservatrice initiée par nos collègues du team hanche avec port des supports plantaires avec renforcement médial qui sont de conception satisfaisante et on y ajoute de la physiothérapie de stretching des chaînes musculaires postérieures, de renforcement et de stretching du tibialis postérieur. On refait le point cliniquement dans 3 mois. Consécutifs aux gonalgies que présente la patiente, le suivi s'étant arrêté depuis sa prise en charge à Payerne avec une symptomatologie maintenant progressive, nous prions le team genou de convoquer la patiente pour effectuer un bilan radio-clinique. Mme. Y présente un déficit de guérison cutanée, localisé sur un endroit précis de la pointe olécranienne où la peau a de la peine à se fermer. Pour éviter une infection profonde, on propose à la patiente l'ablation du matériel d'ostéosynthèse en ambulatoire. L'ablation de la vis anti-rotatoire au niveau de la hanche est prévue le 06.02.20, par conséquent on procèdera à l'AMO en même temps. La patiente est informée des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. Mme. Y présente un déplacement secondaire du matériel d'ostéosynthèse avec un sittering de la tige probablement dû à la surcharge effectuée par la patiente. Une possibilité de suite de traitement est d'être attentif et de voir l'évolution ou d'une prise en charge chirurgicale consistant en une AMO et prothétique avec implantation de prothèse de révision qui est beaucoup plus invasive. Vu l'âge de la patiente, il y a des hauts risques inclus. Vu la situation actuelle, nous proposons alors une attitude d'attente et reverrons la patiente le 18.02.2020 pour un contrôle radioclinique. Continuation de la mobilisation lit-fauteuil. Le bandage Homan peut être mis à part car la patiente ne le tolère pas et l'enlève de façon autonome.Mme. Y présente un kyste de 1,5 cm de diamètre, complètement asymptomatique et ne souhaite pas, pour le moment, se faire opérer en raison du risque de récidive. Nous reverrons Mme. Y pour un contrôle clinique dans 3 mois. Mme. Y présente un petit hématome postopératoire qui n'est pas inquiétant. Je prescris de la crème Hemeran afin de traiter l'hématome local. Prochain contrôle chez moi comme prévu le 30.1.2020. Mme. Y présente un ulcère malléolaire externe à droite que nous traitons avec un protocole de soins de plaie (remis à l'équipe de soins de Beaulieu) tous les 2 jours et une antibiothérapie pour 7 jours. Un contrôle clinique de la lésion est prévu dans une semaine. L'équipe de Beaulieu est informée de transférer Mme. Y en cas de péjoration de la symptomatologie. Mme. Y présente une acutisation de douleurs lombaires chroniques. Elle a déjà bénéficié d'une prise en charge complexe avec un dernier IRM effectué en mai 2019. Nous proposons à Mme. Y un traitement de prednisone de 40 mg pendant 5 jours avec un traitement de remeron de 15 mg le soir, au vu d'une insomnie depuis 4 jours avec une composante de détresse psychologique des douleurs. Nous invitons Mme. Y à consulter le centre des douleurs à Lausanne afin qu'on puisse lui proposer une prise en charge adéquate de ses douleurs chroniques. Mme. Y présente une antétorsion fémorale plus augmentée avec un possible conflit ischio-fémoral qui peut provoquer une subluxation antérieure confirmée au contrôle clinique. La situation actuelle parle pour une préarthrose avec possible nécessité, dans le futur, d'une prise en charge chirurgicale où il faudra prendre en compte l'antétorsion fémorale augmentée qu'elle présente. De notre part, à l'heure actuelle, elle ne présente pas d'indication chirurgicale. Nous lui proposons d'effectuer des exercices adaptés aux douleurs et à la situation. Éviter les hyperextensions ou des positions qui augmentent le conflit fémoro-acétabulaire. Nous restons à disposition. Mme. Y présente une arthrose totale de la hanche G avec des douleurs invalidantes. En raison de l'aspect traumatique avec cette possibilité de flake osseux, nous prévoyons de faire un CT scan pour compléter le bilan. Nous allons également mesurer la torsion fémorale pendant ce CT scan. Nous prévoyons déjà une date d'opération au 14.05.2020 pour l'implantation d'une PTH par voie antérieure par le Dr. X. Nous discuterons du CT scan après celui-ci. Mme. Y présente une bonne évolution clinique avec disparition des symptômes, pas de fièvre ni de frissons ces jours. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile et ira chez le Dr. X pour la suite de la prise en charge. Mme. Y présente une contusion thoracique qui bénéficie d'un bilan radiologique qui ne retrouve pas de lésion. Nous lui proposons une antalgie et elle peut regagner son domicile. Mme. Y présente une décompensation d'une gonarthrose fémoro-tibiale interne suite à une entorse. Nous sommes en face d'un échec du traitement conservateur et les modalités thérapeutiques conservatrices sont limitées en raison de la médication antidiabétique. Dans ce contexte, on retient une éventuelle PTG, mais avant d'effectuer ce geste, nous souhaiterions savoir si une prise en charge peut être différée par des infiltrations. Mme. Y profitera de la consultation la semaine prochaine chez son diabétologue pour demander si une infiltration est compatible avec la médication et sa problématique diabétique, et on effectuera un bilan complémentaire par radiographie longs axes, schuss et genou face profil et axiale. Nous reverrons Mme. Y pour discuter de la suite de la prise en charge en ayant obtenu ces deux renseignements. Mme. Y présente une déformité de type cam symptomatique à droite. Les douleurs de Mme. Y sont expliquées par cette déformité à laquelle se rajoute un possible conflit extra-articulaire avec une épine iliaque antérieure inférieure proéminente. Nous proposons à Mme. Y une prise en charge arthroscopique pour résection de la déformité. Mme. Y souhaite encore réfléchir et en discuter avec son voisin qui est l'ancien chef de la radiologie, le Dr. X. Mme. Y nous recontactera pour signer le consentement si elle se décide à l'opération. Mme. Y présente une évolution clinique très satisfaisante. Nous l'encourageons à poursuivre les séances de physiothérapie et à lentement augmenter le poids de charge partielle, pour ensuite passer à la charge totale. Nous lui conseillons de commencer à renforcer les abducteurs et le quadriceps de la hanche droite. Le prochain contrôle se fera à 6 semaines. Mme. Y présente une évolution favorable radioclinique au niveau de sa hanche G. Nous lui conseillons de ne plus utiliser la canne du côté G. Concernant les douleurs que Mme. Y nous décrit au niveau de sa PTG G, nous lui prescrivons 500 mg de Novalgin jusqu'à 4 fois par jour et nous convenons avec elle qu'elle va prendre un rendez-vous à la consultation du Dr. X avec des RX en 2 incidences du genou afin d'évaluer ces douleurs. Concernant la hanche G, nous prévoyons un dernier contrôle radioclinique à 12 mois de l'opération. Mme. Y présente une évolution radioclinique très favorable après cette ablation de matériel. Elle n'est pas du tout gênée dans sa vie professionnelle. Le nœud du fil qui n'est pas encore résorbé que l'on peut palper, n'est pas douloureux et va certainement se résorber dans les prochains temps. Nous concluons donc le traitement et ne prévoyons plus de contrôle supplémentaire. En cas de problème, Mme. Y peut bien sûr se présenter à notre consultation pour avoir un nouveau rendez-vous. Mme. Y présente une évolution radioclinique très favorable. Elle préfère encore se concentrer sur la reconvalescence avec de nouvelles séances de physiothérapie. Nous lui prescrivons un bon de physiothérapie pour le renforcement des abducteurs et du quadriceps surtout. De plus, nous prolongeons son incapacité de travail jusqu'au 01.03.2020. À partir de ce moment-là, Mme. Y va reprendre son travail en tant qu'infirmière à 100 %. Concernant la hanche, nous prévoyons encore un contrôle radioclinique le 14.04.2020 à 6 mois post-opératoires. Mme. Y présente une évolution radioclinique très favorable. Nous l'encourageons à poursuivre les séances de physiothérapie, elle peut maintenant arrêter la Clexane et passer à la charge totale sans béquilles. Nous reverrons Mme. Y le 10.03.2020 pour un nouveau contrôle radioclinique afin d'évaluer l'évolution. Mme. Y présente une fracture de la phalange proximale de P1 du doigt 3 de la main gauche. Nous mettons une attelle Edinburg pour 4 semaines avec un contrôle radiologique à une semaine. Mme. Y présente une fracture distale du radius non déplacée nécessitant un plâtre ante-brachial fendu avec un contrôle clinique et radiologique à 5 jours. Mme. Y présente une hématurie d'origine peu claire, soit urologique, soit gynécologique. Au vu de la fermeture de la permanence, Mme. Y est adressée aux urgences de Fribourg pour poursuite des investigations. Elle se rend par ses propres moyens avec son mari et sa fille, ne souhaite pas d'autre antalgie au moment du départ. Mme. Y présente une histoire clinique et des symptômes suspects d'une lésion du ligament croisé antérieur ou du ménisque. L'examen clinique ne permet pas d'appuyer franchement ces diagnostics et est limité par les douleurs et la morphologie de Mme. Y. En l'absence de traumatisme, nous ne réalisons pas de radiographie en première intention et immobilisons Mme. Y, dans une attelle en extension à 20°. Elle sera revue en contrôle fin de semaine, le 31.01.2020, pour une réévaluation chez le Dr. X. Mme. Y rentre à domicile avec un arrêt de travail et une antalgie et des AINS.Mme. Y présente une hypertension post-partum sans signes de gravité. Le laboratoire et l'ECG ne montrent pas de particularités. Il s'agit probablement d'une hypertension sur prise d'AINS et hypervolémie. Nous prescrivons une dose de nifédipine 20 mg en réserve et invitons la patiente à reconsulter en cas de symptômes persistants et non amélioration de la pression artérielle. Mme. Y présente une infection urinaire non compliquée que nous traitons par co-trimoxazole 2x350 mg pendant 5 jours. La patiente est invitée à reconsulter en cas de persistance des symptômes ou apparition de nouveaux symptômes. Les mesures hygiéniques sont communiquées à la patiente et à la famille. Mme. Y présente une irritation de la bourse trochantérienne sans lésion intra-articulaire de la hanche D associée. Radiologiquement et cliniquement, la patiente présente un conflit fémoro-acétabulaire de type cam qui provoque des douleurs du milieu du pli de l'aine. Ces douleurs ne sont pas ressenties par la patiente au quotidien. Nous décidons de prendre en charge les douleurs d'irritation de bursite trochantérienne par des mesures de physiothérapie physique de type ondes de choc. Nous proposons à la patiente une cure d'anti-inflammatoires qu'elle décline. La patiente se présentera à nouveau à notre consultation au besoin en cas de fortes douleurs pour bénéficier d'une 2ème infiltration trochantérienne. Mme. Y présente une IVRS que nous traitons symptomatiquement en l'absence de red flags. Nous invitons la patiente à reconsulter en cas de persistance des symptômes après 10 jours ou de péjoration de la symptomatologie malgré le traitement conservateur. Mme. Y présente une otite moyenne bilatérale, nous la laissons rentrer avec antibiotique et antalgie. Mme. Y présente une péjoration de la symptomatique douloureuse au niveau de sa hanche G où elle présente une coxarthrose péjorée. D'une autre part, elle présente une indication opératoire que nous posons et que la patiente opte pour. L'intervention est expliquée avec l'aide d'un consentement avec explication des risques et bénéfices. Celui-ci est compris et signé par la suite. Elle sera vue par nos collègues de l'anesthésie et nous prenons encore contact avec le Dr. X pour planifier la date opératoire optimale. Mme. Y présente une plaie superficielle verticale sur le bord latéral du pouce gauche, qui traverse à peine la couche cornée de la peau. Du fait de la profondeur de la plaie, nous ne trouvons pas d'intérêt à faire une suture. Nous faisons une désinfection avec de la Chlorhexidine, appliquons un pansement compressif et faisons un rappel du tétanos. Elle consultera son médecin traitant dans 48h pour évaluation clinique. Mme. Y présente une probable neuropraxie du nerf fémoral que nous allons bilanter par ENMG. Nous réaliserons également un CT-scanner à la recherche d'un hématome de la hanche gauche post-chute. Nous reverrons la patiente dès que les examens auront été réalisés. Mme. Y présente une rhizarthrose au niveau de son pouce droit qui est relativement symptomatique. Elle se plaint de douleurs lors de ses activités de la vie quotidienne. Concernant la cicatrice au niveau de l'avant-bras droit, l'évolution est favorable. De ce point de vue là, nous pourrions mettre un terme à la thérapie. Poursuite de la physiothérapie pour son pouce gauche. Concernant le pouce droit, la patiente est informée des différentes options thérapeutiques : infiltration, mise au repos, opération (soit une trapézectomie ou, et c'est mon choix premier, une prothèse). Nous reverrons la patiente dans 6 à 8 semaines. Mme. Y présente une situation légèrement stagnante. Après discussion avec la patiente, elle opte également pour un nouvel essai par MTT afin d'avoir un suivi avec un physiothérapeute et la possibilité d'effectuer les exercices de façon autonome. Je lui explique que faire les exercices quotidiennement peut mener au stress positif pour le renforcement musculaire et au niveau proprioceptif. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois. Mme. Y présente une très probable tendinite de l'EPL. Il n'est pas très clair sur le rapport du Dr. X si l'infiltration a été effectuée au niveau de l'EPL ou au niveau de l'EPB. Nous proposons de réaliser une IRM injectée au Gadolinium afin de rechercher la zone exacte de fixation. Nous reverrons par la suite la patiente en consultation. Mme. Y présente vraisemblablement une tendinopathie insertionnelle du tendon d'Achille à gauche. Il n'y a pas de déficit des fléchisseurs plantaires. Mise en place d'un traitement conservateur par physiothérapie avec ultrason et stretching de la chaîne musculaire jambière postérieure. Prescription de crème anti-inflammatoire topique. Suivi chez le médecin traitant. Mme. Y quitte les urgences avant de recevoir les résultats du laboratoire, sans nous avertir. Mme. Y quitte les urgences avant la suite de la prise en charge. Mme. Y reçoit Solumedrol 125 mg + Tavegyl 2 mg en pré-hospitalier avec une nette régression de la symptomatologie. Nous poursuivons la thérapie anti-histaminique avec Atarax 25 mg et réalisons un bilan biologique qui revient sans particularités. La patiente est surveillée aux urgences pour une durée de 4h avec une nette amélioration de la symptomatologie. Nous réalisons une éducation Epipen et lui prescrivons une double anti-histaminothérapie pendant 5 jours et une consultation allergologique à 6 semaines (le numéro du Dr. X à Bulle est remis à la patiente). Mme. Y reconsultes les urgences le 19.01 vu l'absence d'amélioration des symptômes malgré le traitement débuté il y a 7 jours. Le bilan biologique montre une CRP à 47 mg/l, sans leucocytose. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire clair. Vu la clinique et le bilan biologique, nous retenons le diagnostic de pneumonie communautaire basale droite débutante et instaurons un traitement de Co-Amoxicilline per os pendant 7 jours. Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant dans 3-4 jours. Mme. Y refuse catégoriquement l'hospitalisation malgré les explications données mais accepte le Spitex et d'effectuer les contrôles nécessaires. Désinfection et pansement par Prontosan gel et Adaptic. Contrôle clinico-biologique le 02.02.2020 au secteur ambulatoire des urgences : changement du pansement. La voisine se chargera d'appeler le centre des plaies le 03.02.2020 pour la suite de la prise en charge et de réactiver le Spitex. Numéros communiqués. Mme. Y rentre à domicile avec un diagnostic d'arrachement osseux au niveau du ligament collatéral externe au niveau de la tête de la fibula sur traumatisme en supination de la cheville droite le 26.01.2020. Mme. Y rentre à domicile avec un pansement compressif à changer chaque 24 heures par les soins à domicile. Elle ira en contrôle chez son médecin traitant. Mme. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Elle est informée de la nécessité d'attendre l'efficacité du traitement antibiothérapique pendant les prochaines 48 heures et de reconsulter les urgences en cas de persistance de symptômes. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie et un traitement symptomatique par myorelaxant. Mme. Y repart à domicile avec la police car elle ne veut pas attendre. Mme. Y reprendra contact. Mme. Y retourne dans son home et sera convoquée pour un contrôle au team membre supérieur dans deux mois.La patiente revient ce jour pour un contrôle, nous lui donnons les consignes de surveillance de la plaie et nous lui faisons un arrêt de travail. Le patient rentre à domicile, il ira retirer les fils dans 10 jours chez son médecin traitant. La patiente semble présenter une pathologie sous-jacente qui n'est pas traitable tout simplement par physiothérapie. Il me semble judicieux de chercher une pathologie sous-jacente par IRM. J'organise donc une arthro-IRM le 27.1.2020. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen le 30.1.2020. La patiente sera citée pour le suivi de plaie à la consultation du Dr. X. La patiente sera convoquée en ambulatoire à l'HFR pour un US abdominal complet à la recherche d'une masse ou explication des douleurs en loge rénale G. Contrôle clinique chez le pédiatre dans 2-3 jours (après US afin de discuter les résultats) et prévoir la suite des investigations. Consigne de reconsulter plus tôt si péjoration des symptômes, apparition de déficit neurologique. La patiente sera convoquée pour un CT de contrôle. Reconsultera en cas de récidive d'expectorations verdâtres ou fièvre. La patiente sera convoquée pour un US abdominal en ambulatoire. La patiente sera opérée le 22.02.2020 pour AMO, des vis de verrouillage distale et proximale. La patiente sera reconvoquée par sa rhumatologue traitante dès le 03.01.2020 pour un avancement du rendez-vous prévu initialement le 09.01.2020. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X pour des contrôles radio-cliniques à 2, 4 et 6 semaines du traumatisme. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X pour ablation des fils à 2 semaines, puis pour ablation des broches à 4 semaines et pour suite de la prise en charge orthopédique. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X pour réfection des pansements à J2, pour l'ablation des fils à 15 jours post-opératoires et pour la suite de la prise en charge orthopédique. La patiente sera revue à votre consultation pour ablation du pansement Comfeel à 14 jours post-opératoires. En cas de perte d'étanchéité de celui-ci d'ici là, il devra être remplacé par un pansement standard. En outre, étant donné l'utilisation de matériel résorbable, une ablation de fils ne sera pas nécessaire. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X pour contrôle à 6 semaines post-opératoires. La patiente sera revue à votre consultation pour contrôle clinique, contrôle tensionnel et ablation des fils à 12 jours post-opératoires. La patiente sera suivie chez son médecin traitant pour ablation des fils et changement du pansement. Nous la reverrons pour un dernier contrôle clinique et radiologique à 1 mois post-opératoire. La patiente signe le consentement éclairé après avoir été informée des risques et bénéfices liés à ce geste. Elle bénéficiera du protocole ERAOS et la date opératoire est maintenue pour le 05.02.2020 avec une consultation pré-anesthésique dans l'intervalle. Nous complétons le bilan par des radiographies pré-opératoires pour la planification. À noter que la patiente ne prend aucune médication pour sa polyarthrite rhumatoïde. La patiente souffre de douleurs persistantes et une sensation d'instabilité fémoro-patellaire depuis l'accident susmentionné. À l'examen clinique, on n'arrive pas à provoquer une instabilité. Pour compléter le bilan, nous discutons avec le patient de faire une IRM du genou à gauche pour exclure une lésion ligamentaire et une lésion ostéochondrale. Dans l'intervalle, elle va débuter les séances de physiothérapie avec charge selon douleurs. Elle va essayer de reprendre le travail à 50%. La patiente souffre d'un conflit sous-acromial avec une bursite. On propose à la patiente une infiltration de l'espace sous-acromial de l'épaule D, associée de séances de physiothérapie avec programme San Antonio et décompression de la tête humérale. Une date est agendée pour l'infiltration. La patiente souffre d'une arthropathie de la coiffe des rotateurs pour laquelle la mise en place d'une prothèse inversée est indiquée. Vu la rupture du sous-scapulaire avec une incompétence en rotation interne, on prévoit en même temps un transfert du grand dorsal. La patiente est informée des bénéfices et des risques de l'intervention, ainsi que des suites post-opératoires. Elle nous donne son accord en signant un consentement éclairé. L'intervention est agendée pour fin avril. Concernant sa maladie de Crohn, la patiente aura une colonoscopie la semaine prochaine. Nous remercions le médecin traitant de nous envoyer une copie du rapport, surtout pour savoir si la patiente est sous immunosuppresseur qu'il faudrait éventuellement stopper en pré-opératoire. De plus, la patiente signale une allergie contre le nickel. Nous nous sommes renseignés auprès de nos collègues du team genou qui nous confirment ne pas avoir implanté une prothèse anti-allergique. La patiente est porteuse de 2 PTG, une par le Dr. X. La patiente souffre d'une fracture/arrachement du LCA genou D sans déplacement significatif. On discute avec la patiente de poursuivre le traitement conservateur. Mobilisation en charge progressive sous protection des cannes. Flexion passive assistée jusqu'à 60° pour 6 semaines, suivi en physiothérapie. Arrêt de la prophylaxie antithrombotique dès qu'elle chargera la moitié du poids du corps. On la reverra pour un contrôle clinique à 6 semaines post-traumatisme. La patiente souffre probablement de douleurs suite à la surcharge sur la face interne. En raison des diagnostics susmentionnés, nous lui conseillons de suivre des séances de physiothérapie. Nous lui prescrivons des semelles pour support de la voûte longitudinale médiale et nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 2 à 3 mois. Elle appellera pour un rendez-vous. La patiente souhaite réaliser la suite de la prise en charge avec le Dr. X au CHUV. Nous ne prévoyons donc pas de nouveau contrôle. La patiente va continuer la physiothérapie surtout pour travailler la stabilité et la proprioception. Concernant la fracture, nous la reverrons pour un contrôle à 1 an post-opératoire pour discuter d'une éventuelle AMO si le matériel la gêne. La plaie est désinfectée avec de la Bétadine. Nous faisons une anesthésie locale avec de la Lidocaïne 1% Streuli et du Natriumbicarbonat 8,4%. Nous explorons et rinçons abondamment la plaie au NaCl et à la Bétadine. Nous posons un drainage par Penrose avec 1 point de fixation. La patiente a bénéficié d'un rappel antitétanique. Nous lui administrons aux urgences par voie intraveineuse en dose unique de la Co-Amoxicilline 2,2 g puis nous lui prescrivons 1 g/jour pendant une durée de 7 jours. Nous lui faisons un arrêt de travail jusqu'au 21.01.2020. La patiente reviendra à la policlinique d'orthopédie après 48h pour un contrôle clinique. Le 10.01.2020 à 9h00, nous recevons l'appel de la médecine légale de Lausanne, Dr. X, qui nous transmet que la victime mordue par le chien a été dépistée pour le HIV et l'hépatite B et C. Le dépistage HIV et hépatite C est revenu négatif, le dépistage hépatite B est encore en cours. La plaie est désinfectée avec de la Bétadine, exploration et rinçage de la plaie au NaCl, pansement sec et Stéristrips, immobilisation avec attelle alu au vu d'une bonne évolution. Le patient peut rentrer à son domicile en l'absence de signe alarmant lié au traumatisme, avec des conseils concernant les possibles signes d'appel, signes inflammatoires, rougeur, gonflement, chaleur, douleurs, écoulement purulent, fièvre : reconsulter. La plaie est prise en charge par le CDC de chirurgie pédiatrique, un contrôle à 5 jours sera réalisé aux urgences.Un contrôle ophtalmologique est réalisé ce jour en raison de la localisation de la plaie revenant dans la norme. Sur le plan neurologique, le status reste toujours dans la norme, la surveillance post-traumatisme crânien est sans particularité, retour à domicile avec consignes données aux parents. Arrêt d'école jusqu'au prochain contrôle le 7.01. Arrêt de sport 1 semaine. La plaie est superficielle et pas inquiétante. Nous rassurons la patiente. Désinfection, mise en place de Stéri-strips et d'un pansement. Elle refera ce pansement régulièrement. Prochain contrôle clinique dans un mois. Si la situation se péjore, elle nous contactera ou se présentera aux urgences. La plaie est suturée et un rappel antitétanique par Boostrix est fait. Pour ce patient autiste, ayant un bon rapport avec son médecin traitant, la suite de la prise en charge sera effectuée par ce dernier (contrôle de plaie et ablation des fils). La plaie est suturée par 4 points de suture après désinfection par Octenisept et anesthésique local avec Lidocaïne 1% Streuli avec Natrium bicarbonate 8,4%. En l'absence de signe alarmant lié au traumatisme, le patient peut regagner son domicile avec des conseils concernant les possibles signes d'appel, signes inflammatoires rougeur, gonflement, chaleur, douleur, écoulement purulent, fièvre : reconsulter. La plaie, face antérieure du tibia gauche, est suturée par 4 points de Blair-Donati à l'Ethilon 3-0. Le patient bénéficie d'un rappel antitétanique. Nous suggérons un contrôle de plaie en policlinique d'orthopédie à 48h, l'ablation des fils chez le médecin traitant à 2 semaines. Les consignes de surveillance de plaie sont expliquées au patient. La ponction étant réalisée en dehors des heures d'ouverture du laboratoire, l'examen ne peut pas être effectué ce soir mais sera réalisé demain matin. Les résultats seront transmis au Dr. X (078 684 96 72) qui décidera de la suite de la prise en charge. La possibilité d'une lésion, respectivement d'une neurapraxie d'une branche dorso radial du ramus superficialis nervi ulnaris est possible. À ce niveau, une neurorraphie est difficile, le gain au niveau fonctionnel est minime voire inexistant. L'indication pour une opération est ainsi tout à fait relative. Dans un premier temps, prescription d'ergothérapie pour désensibilisation et resensibilisation. Nous reverrons le patient dans 6 semaines. Il ne nécessite pas d'incapacité de travail. La présentation clinique est évocatrice d'une bronchite virale, fait soutenu par l'examen clinique. Nous recommandons à la patiente un traitement symptomatique et de revenir en consultation en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. La prise en charge en consultation d'antalgie va dans la même logique que le rapport du neurologue et me semble correcte. Je reste à disposition pour une prise en charge ultérieure si nécessaire. Concernant l'activité professionnelle, il est difficile après tout ce temps, que Mme. Y reprenne une activité professionnelle comme femme de ménage, mais elle pourrait actuellement reprendre une activité professionnelle adaptée, légère, progressivement dans les mois à venir. La radio d'abdomen permet de localiser le morceau métallique au-delà de l'estomac. Le patient est actuellement asymptomatique et nous décidons donc de le laisser rentrer à domicile. Il est averti de reconsulter en cas d'apparition de symptôme/douleur abdominale. Il cherchera également le corps étranger dans ses selles et reconsultera dans quelques jours s'il ne l'a pas évacué afin qu'il soit à nouveau localisé. La radio faite aux urgences ne montre pas de lésion osseuse ou de corps étrangers sur l'IRM effectuée le 04.012.2019, nous retrouvons en effet un foyer dans la corticale antérieure du tibia mesurant environ 4 cm x 5 mm avec une inflammation locale des tissus mous en regard de la plaie. La radio ne montre pas de fracture. Devant le diagnostic d'entorse AAC stade 1, nous mettons en place une antalgie simple et une immobilisation par bretelle. Le patient reverra son médecin traitant pour un contrôle clinique. La radiographie confronte le diagnostic. Après discussion avec le Dr. X, nous proposons un traitement conservateur avec une attelle jeans 0° marche en décharge avec le soutien des cannes anglaises. Antalgie. Prophylaxie antithrombotique. Au vu d'une surcharge aux urgences, nous organisons un scanner du genou dans une semaine et un contrôle à la consultation du team membre supérieur pour la suite de la prise en charge. Le patient ne souhaite pas d'arrêt de travail car il pourra s'organiser pour travailler depuis la maison. La radiographie de ce jour montre une évolution satisfaisante. On reverra la patiente une dernière fois au début avril pour le dernier contrôle à 6 mois de l'opération. La radiographie, de ce jour, montre une non-consolidation, pour le moment, de sa fracture. D'un point de vue fonctionnel, la mobilité est améliorée avec les séances de physiothérapie. Nous proposons donc à la patiente de poursuivre le traitement conservateur avec prolongation des séances de physiothérapie avec mobilisation libre du coude selon douleurs. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. La radiographie de face et de profil de la cheville gauche nous fait suspecter soit une entorse grave soit une fracture de type Salter. Nous instaurons un protocole RICE avec une immobilisation de la cheville par une attelle plâtrée postérieure, un traitement antalgique par Dafalgan 500 mg et nous proposons un contrôle radio-clinique à la polyclinique d'orthopédie dans une semaine. En raison d'une puberté commencée, un traitement anticoagulant prophylactique est également mis en place par Clexane 40 mg une fois par jour. Le patient peut rejoindre son domicile avec un état général favorable. La radiographie de face et de profil n'objective pas la présence de fracture phalangienne du 5ème orteil droit. Selon l'avis du Dr. X, le patient peut rejoindre son domicile avec un traitement antalgique par glace et nous lui avons proposé de consulter son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. La radiographie de la cheville D montre une fracture Weber B, que nous immobilisons dans une attelle plâtrée postérieure. Une prophylaxie antithrombotique est débutée et le patient rentre à domicile, en attendant les consignes pour la suite de la prise en charge. La radiographie de la cheville D montre une fracture Weber B, que nous immobilisons dans une attelle plâtrée postérieure. Une prophylaxie antithrombotique est débutée et le patient rentre à domicile, en attendant les consignes pour la suite de la prise en charge. La radiographie de la cheville droite et du pied droit ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic d'entorse de stade 2 de la cheville droite. Nous immobilisons la cheville droite par une attelle Aircast pour une durée de 6 semaines. Le patient rentre à domicile avec antalgie en réserve et un arrêt de travail jusqu'au 12.01.2020. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique dans 1 semaine. La radiographie de la cheville droite montre une fracture Weber B, que nous immobilisons dans une attelle plâtrée postérieure. Une prophylaxie antithrombotique est débutée et le patient rentre à domicile. Il sera revu dans une semaine avec des radiographies en charge afin de vérifier la stabilité de la cheville. La radiographie de la cheville gauche et du pied gauche montre une fracture. Vu le diagnostic clinique, nous immobilisons le pied gauche dans une botte plâtrée fendue. La patiente rentre à domicile avec un traitement par Clexane prophylactique et une antalgie en réserve. Nous planifions un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie à 1 semaine.La radiographie de la cheville gauche ne montre pas de fracture. La patiente bénéficie d'une immobilisation par Aircast pour 6 semaines, d'une antalgie en réserve et nous lui conseillons l'arrêt du sport. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. La radiographie de la cheville gauche ne montre pas de fracture, mais montre des signes d'arthrose. Vu que le patient ne charge pas le pied gauche, nous retenons une entorse de stade III et immobilisons la cheville dans une attelle plâtrée postérieure. Une prophylaxie antithrombotique est débutée. Il rentre à domicile avec une prescription d'antalgie et un arrêt de travail jusqu'au 12.01.2020. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. La radiographie de la cheville gauche ne montre pas de lésion osseuse. Nous retenons le diagnostic d'entorse du ligament latéral externe de la cheville gauche de grade 2. Nous mettons en place une attelle Aircast pour 6 semaines avec des cannes anglaises et marche en charge au seuil de douleurs. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans 1 semaine. La radiographie de la cheville montre une fracture horizontale de la malléole latérale droite. Mise en place d'une attelle JP avec prophylaxie de thrombose avec un contrôle à la policlinique orthopédique dans 7-10 jours. La radiographie de la colonne cervicale ne montre pas de fracture ni d'autre lésion, suite à discussion et évaluation par le Dr. X chirurgien de garde. La patiente peut rentrer à son domicile avec un traitement antalgique, myorelaxant et une collerette mousse à porter 24/24 pendant 2 jours puis 3 jours pour dormir. Nous lui faisons un arrêt de travail. La radiographie de la colonne lombaire ainsi que les stix urinaires reviennent négatifs. Le patient peut regagner son domicile avec une antalgie simple. La patiente est avisée de reconsulter les urgences en cas de persistance des symptômes. La radiographie de la colonne lombaire montre un tassement ancien de T12. Le patient bénéficie d'une titration de morphine et de Sirdalud. Retour à domicile avec prescription de Dafalgan, Voltarène et Sirdalud. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 20.01.2020, avec examen par l'orthopédiste de garde. Si suspicion de fracture nouvelle, discuter d'une IRM du rachis. La radiographie de la main droite effectuée montre une fracture de la tête de 3ème métacarpe droit non déplacée. Nous immobilisons la main par une attelle Edimbourg. Le patient rentre à domicile avec une antalgie de réserve et un arrêt de sport. Contrôle clinique à la policlinique orthopédique à 1 semaine. La radiographie de la main gauche ne montrant pas de lésion osseuse, la patiente est autorisée à regagner son domicile, avec prescription d'une antalgie simple. Nous recommandons un contrôle chez le pédiatre traitant. La radiographie de l'avant-bras gauche ne montre pas de fractures. Au vu de l'examen clinique et radiologique rassurant, le patient rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan et Brufen et un arrêt de sport. La radiographie de l'épaule droite met en évidence une diminution de l'espace sous-acromial. Nous proposons un traitement de physiothérapie en ambulatoire avec un protocole San Antonio ainsi qu'une bretelle orthopédique pour 5 jours. La suite de la prise en charge se fera chez le médecin traitant. La radiographie de l'épaule droite met en évidence une luxation postérieure de l'épaule droite avec le signe de l'ampoule. Nous effectuons une réduction fermée de l'épaule sous sédation par DIPRIVAN et MIDAZOLAM et nous mettons en place une immobilisation par coussin d'abduction que le patient devra garder pendant 6 semaines 24h/24. Un CT-scan est effectué, objectif la présence d'une lésion osseuse humérale Hill Sachs inverse. Selon l'avis orthopédique (Dr. X), un protocole GRACE associé à une immobilisation par coussin d'abduction est mis en place pendant 6 semaines 24h/24. Un contrôle radio-clinique est prévu le 28.01.2020 à la polyclinique pour la suite de sa prise en charge. Le patient peut rejoindre son domicile le 23.01.2020 en bon état général. La radiographie de l'épaule gauche ne montrant pas de fracture, le patient rentre à domicile, avec prescription d'un traitement antalgique par Dafalgan et Brufen. Nous lui demandons de reconsulter son médecin traitant dans 5 jours. La radiographie de l'épaule gauche ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic d'omalgies à gauche sur hyperextension sans traumatisme direct. Nous lui donnons une bretelle pour le bras gauche. Il peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve par Algifor, une prescription n'est pas nécessaire car les parents en ont à la maison. Un rendez-vous chez le pédiatre traitant sera à organiser pour un contrôle. Nous recommandons de reconsulter les urgences en cas de péjoration des douleurs ou de réduction de la mobilité. La radiographie de l'épaule gauche ne montre pas de lésion osseuse. Nous soupçonnons une atteinte du muscle subscapulaire, raison pour laquelle nous conseillons une bretelle dans un but antalgique, une mobilisation libre et une antalgie per os. Nous lui prescrivons de la physiothérapie en ambulatoire. La patiente serait revue dans une semaine à la consultation de Dr. X pour un contrôle. La patiente rentre à domicile avec un arrêt de travail. La radiographie des genoux ne montre pas de fracture. Nous retenons une entorse de stade I du ligament latéral interne du genou gauche et une contusion du genou droit. Nous mettons en place une attelle genou à 0° au genou gauche, marche avec des cannes. Nous lui donnons une antalgie par Dafalgan et Irfen, Pantozol pour protection gastrique et de la Clexane en prophylaxie antithrombotique. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. La radiographie du coude droit ne montre pas d'atteintes osseuses. Sous anesthésie locale, nous effectuons un débridement de plaie, avec mise en place d'un Penrose et 3 points de rapprochement, pansement stérile. Aux urgences, le patient a reçu Co-amoxicilline 2200 mg IV, à poursuivre per os (1g 2x/jour). Le patient peut rentrer à domicile avec immobilisation du coude dans un pansement écossais, ainsi qu'une antalgie en réserve. Un contrôle clinique est prévu à 48h à la policlinique d'orthopédie. La radiographie du coude droit ne montre pas de lésion osseuse. Nous diagnostiquons une contusion de l'avant-bras droit et prescrivons du paracétamol et de l'Ibuprofène pour 5 jours, puis en réserve. La radiographie du genou gauche ne montre pas de fracture. Le patient rentre à domicile, avec une antalgie par Dafalgan et Tramal en réserve. Il se présentera chez son médecin traitant dans une semaine pour contrôle. La radiographie du genou ne montre pas de lésion osseuse. Nous retenons des douleurs postopératoires sur un genou qui a déjà subi plusieurs interventions et nous conseillons une décharge partielle temporale, ainsi qu'une thromboprophylaxie. Contrôle déjà prévu chez le Dr. X, orthopédiste dans une semaine. La radiographie du jour montre un important cal osseux. La fracture est consolidée. La radiographie du pied droit montre une fracture de la base du 5ème métatarse droit. Nous réalisons le changement du plâtre vu les douleurs dans l'ancien plâtre et mettons en place une botte plâtrée fendue (pas de douleur dans le nouveau plâtre). La patiente rentre à domicile avec antalgie en réserve, arrêt du sport. Contrôle clinique et radiologique dans 4 semaines à la policlinique orthopédique. La radiographie du pied gauche ne met pas en évidence de fracture. Le patient rentre à domicile avec repos, glace et surélévation du pied gauche. Il reconsultera en cas de persistance ou péjoration de la symptomatologie. La radiographie du pied montre une fracture avulsion malléole interne. Le bilan est complété avec un scanner du pied. Nous retenons une entorse du ligament latéral externe et une fracture avulsion de la malléole interne pour laquelle nous conseillons un traitement conservateur par botte plâtrée fendue. Nous lui prescrivons une thromboprophylaxie par Clexane ainsi qu'une antalgie per os. La patiente sera revue en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Elle rentre à domicile avec un arrêt de travail. La radiographie du poignet droit montre une fracture intra-articulaire du radius distal droit non déplacée. Nous immobilisons le poignet droit par un plâtre fendu anté-brachial. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve et un prochain contrôle radio-clinique est organisé dans une semaine en policlinique d'orthopédie. La radiographie du poignet droit montre une fracture du radius distal droit Salter II. Sous MEOPA et antalgie par Fentanyl, nous réalisons une réduction fermée et immobilisons le poignet droit par un plâtre fendu anté-brachial. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Nous prévoyons un contrôle clinique à la consultation avec le Dr. X dans 1 semaine. La radiographie du poignet et de la main droite ne montre pas de fracture. La patiente est vue par le Dr. X, orthopédiste de garde. Elle peut rentrer à domicile avec une antalgie simple par Paracétamol et Algifor selon les douleurs. La radiographie du pouce droit ne montre pas de fracture. Toutefois, devant une suspicion de pouce du skieur, nous l'immobilisons dans un gantelet plâtré. Le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie est prévu le 21.01.2020. La radiographie du pouce ne montre pas de lésion osseuse. L'examen clinique est évocateur pour une entorse de la plaque palmaire de la métacarpophalangienne du pouce gauche, pour laquelle nous conseillons l'immobilisation dans une attelle de pouce de skieur et une antalgie orale. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 12.01.2020. La patiente sera revue en policlinique d'orthopédie dans une semaine pour la suite de la prise en charge. La radiographie du thorax montre un foyer débutant basal gauche. Nous retenons une pneumonie gauche à germe indéterminé d'acquisition communautaire pour laquelle nous conseillons un traitement antibiotique et symptomatique pendant une semaine. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en début de semaine prochaine. La radiographie du thorax ne montre pas de pneumothorax, ni de foyer ni d'épanchement. La clinique est fortement évocatrice pour des douleurs pariétales thoraciques, pour lesquelles nous conseillons une antalgie orale. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 03.01. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle si nécessaire. La radiographie du 3ème doigt de la main droite ne montre pas de fracture. Nous immobilisons et mettons une attelle alu avec syndactylie des 2 et 3ème doigts. Nous prescrivons également du repos, de la glace et surélévation ainsi qu'une antalgie/AINS. Le patient se rendra en contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. La radiographie effectuée aux urgences ne retrouve pas de fracture. Nous mettons en place une immobilisation par une attelle Jeans pour 1 semaine, Clexane en prophylaxie. Physiothérapie dès la 2ème semaine. Une IRM genou en ambulatoire est programmée. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 20.01.2019. La radiographie effectuée met en évidence des séquelles d'une luxation de la rotule avec arrachement de l'MPFL. Nous mettons en place une antalgie par Dafalgan et Irfen ainsi qu'une immobilisation par attelle jeans à 0°, Clexane en prophylaxie anti-thrombotique. Un rendez-vous à la policlinique d'orthopédie est pris pour le 13.01.2020 à la consultation du Dr. X. La radiographie effectuée met en évidence une fracture de P3 D main gauche. Nous avons effectué une désinfection avec de la Bétadine après une anesthésie locale à la Lidocaïne 1% Streuli avec natriumbicarbonate 8,4%, exploration et rinçage de la plaie au NaCl et la Bétadine. Suture de la plaie avec 4 points d'Ethilon 4.0. Le patient rentre à son domicile avec un traitement antalgique et contrôle clinique dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Il prendra un RDV à J12 chez son médecin traitant pour l'ablation des fils. La radiographie effectuée montre un cal osseux satisfaisant. La radiographie montre un arrachement osseux de base de la 3ème phalange de l'auriculaire droit. Nous mettons une attelle Stax en extension avec contrôle à la policlinique orthopédique dans 7 jours. Nous donnons au patient un arrêt de travail jusqu'au 20.01.2020. La radiographie montre une fracture de la tête radiale gauche non déplacée. Nous complétons le bilan par un scanner du coude gauche qui confirme le diagnostic d'une fracture de la tête radiale gauche non déplacée. Nous immobilisions le coude gauche avec un plâtre fendu brachio-antébrachial. La patiente entre à domicile avec une antalgie en réserve. Elle ira en suivi orthopédique dans son pays d'origine, l'Égypte. Elle ira faire un contrôle clinique et radiologique dans 7-10 jours. La radiographie montre une fracture du radius distal gauche. Nous effectuons une réduction avec l'aide d'une attelle Japone. Par la suite, immobilisation par attelle AB, contrôle radiologique post-plâtre fendu avec une réduction favorable. Suite à l'avis orthopédique, nous complétons le bilan par un CT scanner. Mme. Y peut rentrer à domicile avec un traitement antalgique. La patiente sera opérée la semaine prochaine pour la suite de la prise en charge. La radiographie montre une fracture métaphysaire proximale du tibia droit. Nous immobilisons la patiente dans une attelle cruropédieuse fendue et lui remettons des cannes pour marcher en décharge. La patiente sera revue en policlinique d'orthopédie pour un contrôle radioclinique dans 7-10 jours. La radiographie montre une fracture non déplacée de P1 D5 de la main droite. On donne alors une attelle alu pour 6 semaines et la suite se fera chez le pédiatre. La radiographie montre une fracture sous-capitale non déplacée de l'humérus gauche. Selon l'avis orthopédique, nous instaurons un traitement conservateur avec un gilet orthopédique et nous demandons un contrôle orthopédique dans une semaine. La patiente rentre à domicile avec un arrêt de travail. La radiographie ne met pas en évidence de lésion osseuse. Le patient est vu par l'orthopédiste de garde, qui préconise une immobilisation par attelle velcro ainsi qu'une antalgie simple. Le patient prendra contact avec la policlinique d'orthopédie pour organiser une consultation d'ici 1 semaine. La radiographie ne met pas en évidence de lésion osseuse. Sur avis de l'orthopédiste de garde, nous mettons en place un gantelet synthétique, ainsi qu'une antalgie simple. Le patient peut retourner à domicile. Une consultation à la policlinique d'orthopédie est prévue d'ici 2 semaines. Une distance de sport est attestée pour 2 semaines. La radiographie ne montre pas de fracture au niveau de la main et du poignet droit. Le patient peut rejoindre son domicile avec une attelle Edimbourg, un traitement antalgique de palier 1 et nous lui proposons une consultation de contrôle chez son médecin traitant dans les 5 jours. La radiographie ne montre pas de fracture. Mme. Y peut regagner son domicile avec une antalgie en réserve. En cas de persistance des douleurs, un contrôle chez son médecin traitant est à prévoir. La radiographie ne montre pas de fracture nette. Au vu de la tuméfaction, de la localisation des douleurs et du chopart positif, nous proposons une décharge complète avec attelle L jusqu'à lundi avec contrôle clinique lundi. Si la tuméfaction et les douleurs persistent, nous proposons d'effectuer un CT afin d'exclure une fracture non visualisée à la radio standard.La radiographie ne montre pas de fracture. Nous prenons avis auprès de l'orthopédiste, le Dr. X, nous mettons en place le protocole RICE, avec la mise en place d'une attelle Aircast. Nous prescrivons un traitement antalgique ainsi que 9 séances de physiothérapie et un arrêt de travail. Nous conseillons au patient de consulter son médecin traitant dans 7 jours. Le patient rentre à domicile le 24.01.2020. La radiographie ne montre pas de fracture, nous retenons donc une contusion de la main droite. Nous lui prescrivons une antalgie et lui conseillons d'appliquer de la glace. Le patient refuse l'arrêt de travail (il est en apprentissage). La radiographie ne montre pas de lésions osseuses visibles. Patiente vue par l'orthopédiste de garde. Antalgie simple et suivie avec son pédiatre. Marche avec cannes à but antalgiques. Pas de sport pendant 2 semaines. La radiographie réalisée ne montre pas de signes de fracture. Nous désinfectons l'ongle et mettons un pansement Adaptic. Le patient ira pour un contrôle à la policlinique dans 2 jours. La réfection du pansement est effectuée. Au vu d'un examen clinique rassurant, la patiente peut rentrer à domicile. L'ablation de fils est prévue dans 14 jours à la consultation du médecin traitant. La relecture de cette IRM post-traumatique nous permet d'exclure des lésions méniscales ou autres problématiques traumatiques imputables à l'entorse de septembre 2018. Les gonalgies que présente le patient peuvent s'expliquer par des discrètes lésions dégénératives qui sont exacerbées par une activité professionnelle en hyperflexion et sur les genoux. Dans ce contexte, nous ne retenons aucune sanction chirurgicale. Il n'y a pas de plan de traitement spécifique et on encourage le patient à garder la mobilité diverse et à une adaptation de son poste de travail. Sauf évolution défavorable, fin du suivi à notre consultation. La rotation interne des deux jambes encore bien haute parle en faveur d'une coxa antetorta avec une antétorsion fémorale haute physiologique pour l'âge de la patiente. Lors de la marche, avec cette antétorsion haute, les jambes sont souvent tournées en-dedans afin de gagner plus de stabilité au niveau de la hanche, ce qui donne l'impression d'un genu valgum. Cependant, en décubitus dorsal, l'axe des membres inférieurs est physiologique. J'aimerais observer l'évolution spontanée lors de la croissance et je reverrai cette patiente dans 2 ans. La rotation interne des deux pieds est liée à une composante de léger metatarsus adductus bilatéral. L'antétorsion fémorale est physiologique pour l'âge. Je propose tout de même de débuter un traitement par attelle 3 points dans les chaussures et par une attelle pendant la nuit. Prochain contrôle le 24.06.2020. La situation à G est donc la même que du côté D. On peut donc proposer à la patiente la même prise en charge chirurgicale, à savoir une PAO avec luxation chirurgicale pour ostéotomie de dérotation fémorale. La patiente souhaite toutefois attendre un peu avant de faire l'opération étant donné qu'elle a planifié un séjour à l'étranger. Dans l'intervalle, il est prévu de la prendre au bloc opératoire la semaine prochaine pour ablation de 2 vis au niveau du bassin ainsi que 2 vis du grand trochanter du côté D. Prochain contrôle radioclinique ensuite à 1 an post-opératoire le 07.07.2020. La situation actuelle avec encore des symptômes algiques et, bien qu'en amélioration, nous oblige à réaliser une nouvelle IRM injectée afin d'exclure une éventuelle récidive précoce de hernie. Nous ne voyons pas de contre-indication à débuter la physiothérapie concernant la perte de force au MID. Arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. La situation actuelle d'un point de vue lombaire est très satisfaisante. L'absence de douleur, malgré le cadre traumatique récent et la possibilité d'avoir pu reprendre son travail avant la fracture de la tête du fémur, sont à considérer comme des signes d'une évolution favorable et d'une guérison de la spondylodèse. Nous prévoyons un prochain contrôle au début juin après que la patiente ait pu reprendre son activité professionnelle. Nous laissons le soin à nos collègues de Riaz, qui se sont occupés de l'intervention de la hanche, de juger de la reprise du travail. Concernant le dos, il n'y a aucune contre-indication à la reprise du travail à 100%. La situation au niveau du poignet est actuellement acceptable. La patiente a récupéré une bonne force du membre supérieur droit, par contre, elle a une mobilité très réduite en raison de la fracture au niveau de l'épaule. Vu la présence d'une bonne fonction du nerf axillaire, on pose l'indication pour une mise en place d'une prothèse inversée. Une date opératoire est agendée. La patiente est informée des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. La situation demeure stable. Vu que la patiente a déjà eu sa poussée de croissance et au vu de l'angle de Cobb actuel qui est stable, nous proposons de continuer la poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie. Nous demandons également l'avis à la Dr. X, spécialiste en orthopédie pédiatrique, qui nous propose également de poursuivre le traitement physiothérapeutique si la situation demeure stable. Prochain contrôle dans 6 mois. La situation est actuellement stable. Les semelles compensent bien. Nous le reverrons dans 1 an et demi pour un contrôle radioclinique (pied droit). Si la situation est stable, nous ferons un dernier rapport avec l'âge de 20 ans en mentionnant bien les risques de décompensation arthrosique à ce niveau du pied dans le futur au vu de sa configuration. La situation est actuellement stable suite aux infiltrations, nous conseillons au patient d'éviter les interventions sur le terrain jusqu'au début mars et également de limiter les activités sportives. Nous discutons déjà avec lui d'une éventuelle prise en charge chirurgicale qui pourrait être réalisée lors de la prochaine crise, il s'agirait d'abord d'une voie d'abord rétro-péritonéale avec discectomie, pose d'une cage et fixation L5-S1. Le patient reprendra contact avec nous en cas de besoin. La situation est en amélioration, pas de signe d'aggravation. Suite chez l'opérateur dans 1-2 jours. La situation est stagnante hormis le fait qu'elle ait récupéré une autonomie complète dans les déplacements. Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie. Un prochain contrôle en neurologie avec ENMG est prévu en février. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. La situation me fait penser à une instabilité du LCB dans sa gouttière, voire une lésion partielle du tendon sous-scapulaire vu l'anamnèse et le traumatisme. Je vais bilanter la situation par arthro-IRM le 22.01.2020. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen le 24.01.2020 pour discuter des options thérapeutiques. À part ce fait, vu qu'il y a une radiographie douteuse pour l'articulation acromio-claviculaire gauche, je vais bilanter la situation par un panorama de la ceinture scapulaire la prochaine fois que la patiente viendra à ma consultation. La situation ne me fait pas penser à une épicondylite radiale classique. La patiente semble présenter un problème musculaire légèrement distal. Pour cette raison, je propose tout d'abord un traitement chiropratique avec massages musculaires auprès de la Dr. X. La situation n'est pas tout à fait claire. Nous demandons au Dr. X de bien vouloir faire une sonographie pour investiguer les tendons FDS et FDP, voir leur intégrité, voir si le patient présente des adhérences. Nous serons présents lors de la sonographie et nous reverrons le patient par la suite pour discuter des suites. Entre-temps, poursuite de la physiothérapie.La situation suggère fortement une lésion scapho-lunaire chronique même si la radiographie parlerait plutôt en défaveur d'une telle pathologie. Je propose donc d'investiguer la situation par une arthro-IRM. Je revois le patient le 21.02.2020 afin d'évaluer la suite de la prise en charge. La suite de la prise en charge se fera, comme initialement prévu, le 07.02.2020 à la consultation du Dr. X. La surveillance est sans complication et sans récidive de saignement. Le patient rentre à domicile le 03.01.2019 en bon état général avec poursuite de l'antibiothérapie. La surveillance post-opératoire en raison de la perforation oesophagienne démontre un épisode fébrile sans autre symptôme et spontanément résolutif. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie du 21.01 au 28.01.2020. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique du patient, il reprend progressivement une alimentation adaptée sans signe de complication, ce qui permet son retour à domicile le 29.01.2020 en bon état général. La surveillance se passe sans complication ni récidive de saignement, ce qui permet son retour à domicile le 03.01.2020 en bon état général, avec poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 05.01.2020. La symptomatologie peut s'expliquer par un éventuel lâchage d'adhérences au niveau du matériel d'ostéosynthèse. C'est un unique épisode et actuellement elle n'est pas du tout gênée. Nous n'avons donc pas d'indication à une AMO. Elle peut fonctionner normalement. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. La symptomatologie présentée parle en faveur de vertiges dans le cadre le plus probablement d'un état ferriprive. Nous débutons une substitution per os en expliquant les possibles effets indésirables du traitement. Un contrôle biologique à 6 semaines devrait être réalisé afin d'évaluer la réponse. La patiente reconsulte en cas de persistance des symptômes ou d'intolérance au traitement. La symptomatologie que présente la patiente peut s'expliquer dans un contexte d'une gonarthrose valgusante avec également un lipome qui semble être également symptomatique. Dans ce contexte, nous allons étendre le bilan par une IRM pour bien évaluer l'avancée des troubles dégénératifs et cette structure et nous reverrons la patiente pour discuter de la suite de prise en charge sur la base de cet examen complémentaire. Labétalol IV du 11.11.2019 au 12.11.2019 Relais par Nifedipine puis Amlodipine Labetalol ivc puis stop car bradycardie à 40 bpm. Labetalol ivc. Metoprolol p.o. Amlodipine et IEC. CT cérébral (Yverdon) le 16.01.2020. CT cérébral le 17.01, le 23.01 et le 24.01.2020 (images pacsées à l'Inselspital). Avis neurologique (Dr. X) Avis neurochirurgical (Inselspital, Berne) le 24.01 et le 25.01.2020. Attitude : • demandes d'EEG, IRM cérébrale, et bilan cardiaque (ETT, Holter) faites le 25.01.2020 • prévoir un suivi logopédique, et neuropsychologique • prévoir un CT scanner cérébral de suivi dans 2 semaines • reprise de l'anticoagulation prophylactique avec Clexane 40 mg SC dès le 25.01.2020 Labétalol le 02.01.2020 Lisinopril 10 mg dès le 03.01.2020 Suivi des tensions artérielles par le médecin traitant. Labétalol le 03.01.2019 (stoppé sur bradycardie). Labo : aligné ECG : sp Att : introduction anti-HTA chez MT Labo : aligné Rx hanche - bassin : fracture branche ischio-pubienne droite. CT : fracture branche ilio et ischio-pubienne droite, sans atteinte du cotyle, avec doute sur atteinte sacrale. Pas d'arguments pour un saignement actif mais hématome extrapéritonéal de petite taille. Avis ortho : hospitalisation pour antalgie. Att : • Hospitalisation • Radiographie de contrôle en charge dans 7 jours Labo : Cf annexes. CT SCAN pelvien : Pas d'argument pour une ostéonécrose. Épanchement articulaire coxo-fémoral droit (arthrite, autre ?) (Dr. X). Labo : CR 7, leuco. Sédiment urinaire : sang +++. CT abdominal injecté : au vu de la surcharge en radiologie et du temps d'attente, nous laissons le patient rentrer à domicile avec contrôle le 04.02.2020. ATT : • RAD avec traitement symptomatique, contrôle clinique et biologique le 04.12.19 • consigne de reconsulter si péjoration des douleurs ou nouveau symptôme Labo : CRP <5, leuco 7. ATT : • RAD avec antalgie, consigne de reconsulter si pas d'amélioration ou nouveau symptôme. Labo : CRP 55, leuco 13.6 sédiment urinaire : à faire. Labo : CRP 55, leuco 13.6, urée 9.5 ECG : rythme sinusal régulier avec QRS élargi, pas de sus ou sous-décalage. Rx thorax : fracture de la 7-8ème côte. CT thoracique : Pneumothorax droit, mesuré à près de 4 cm en antéro-basal, associé à des atélectasies basales, troubles ventilatoires et quelques comblements bronchiques homolatéraux. Lame de pneumothorax postéro-basale droite. Troubles ventilatoires en base gauche. Reste du parenchyme pulmonaire et des hiles en aspect normal. Absence de nodule suspect individualisé. Pas d'épanchement pleural. Large emphysème chirurgical sous-cutané, s'étendant du côlon jusqu'au flanc gauche. Fracture de côtes en série à droite (arc antérieur de la 5ème côte, arcs latéraux 6 et 7 et arcs postérieurs 8 et 9). Labo : faible syndrome inflammatoire, absence de leucocytose, investigations hépatiques et rénales non pathologiques. ECG : déviation gauche, bloc de branche 1er degré. Test quantiféron en cours à pister. VS en cours à pister. Attitude : ad hosp pour investigation et organisation de bronchoscopie en milieu hosp. Labo : fonction rénale normale. Labo : FSS alignée, électrolytes et fonction rénale s.p., GGT stable, bilirubine totale 28.2 dont 11.7 directe, CK 443, CRP 64, alcoolémie 0, crase sp. Absence d'hémorragie intra-crânienne, absence de fracture du crâne au CT cérébral du 21.12.2019. Ad suivi neurologique. Labo : GB 30, CRP 400, Hb 109, INR 1, PTT 40, PS 283, CK 1425, Creat 212, Na/K ok, Urée 19, Albu 30, TSH en cours. CT MID : Infiltration liquidienne diffuse. Pas de collection. Meropenem 1 g. Vancomycine 500 mg. Transfert à Fribourg. Labo : GB 4.1, CRP <5. Discussion de l'indication à un CT avec le chef de garde au matin. Envisager colonoscopie ambulatoire. Envisager SAD. Labo : Hb 55, 58 la veille. Att : 1 CE à l'étage, 1 aux urgences. Pantozol 40 mg po 2x/j. OGD-Colo sous 48 h (gastro contactée). STOP eliquis, anti-HTA en pause, à réévaluer selon évolution. Bottes anti-thrombotiques, réévaluer Clexane prophylactique selon évolution. Bilan carentiel demandé. Labo : insuffisance rénale d'origine probablement pré-rénale, syndrome inflammatoire. Gazo : insuffisance respiratoire hypoxémique. Acidose métabolique compensée. Urines : pas d'infection urinaire. Spot : FENa=0.2 % ; clairance=19.5. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde, pas de trouble de conduction, pas de trouble de repolarisation, axe ok. qSOFA : 2 points. SOFA : 4 points. Rx thorax : opacités. Avis radio : signe de surcharge. Possible foyer apex droit. Rx genou : épanchement pré-fémoral. Hypodensité. Avis radio : compatible avec infection du genou. Avis ortho Dr. X : indication à ponctionner au bloc. Laborantine microbiologie appelée pour Gram en urgence (rdv 4h30). Gazo 3h30 : lactate=1.1. Ponction articulaire au bloc : liquide purulent. Gram en urgence : 3+ leuco, 3+ diplocoque Gram+ (compatible avec strepto). ECG : FA nouvelle, pas de palpitation, pas de DRS. Adaptation ATB : co-amoxi 1.2 g 3x/jour. Attitude : hôpital SIC, ATB co-amoxi 2.2 3x/jour, à jeun, lavage articulaire 12.01.20. Pas de Clexane. Labo : leucocytose. CT : diverticulite simple Hansen Stock 2A. Avis chir Dr. X (et Dr. X) : hosp, ATB IV.Appel Dr. X urgences Mr. Y : hosp ok, si accepté par Dr. X Appel Dr. X : accepte le transfert du patient Attitude : hosp à Mr. Y en chir, ceftriaxone et metronidazole iv, antalgie, patient déplace ses vacances Labo : NT-proBNP >26'000 ECG : fibrillo-flutter normocarde à 70 bpm, bloc de branche gauche Echocardiographie transthoracique du 26.12.2019 : FEVG 25 %, possible amyloïdose Interrogation du Pacemaker le 07.01.2020 : dans les normes Culture d'expectorations : négative Cathéter artériel radial droit le 27.12.2019 VNI dès le 27.12.2019 Furosemide en bolus puis en IV continu du 27.12.2019 au 02.01.2020 Levofloxacine du 27.12.2019 au 01.01.2020 Torasémide dès le 06.01.2020 Eliquis Arrêt de l'Aspirine le 07.01.2020 Aldactone dès le 08.01.2020 Att : • Prochain rendez-vous en cardiologie prévu dans 6 mois Labo : pas d'argument en faveur d'une étiologie cardiaque, rénale ou hépatique Sérologies à pister : HBV, HCV, HIV US Bedside : ascite, pas d'épanchement pleural visualisé, épanchement péricardique en faible quantité, fonction cardiaque visuellement bonne, pas d'évaluation de la région périnéale en raison de l'ascite Attitude : hospitalisation pour investigation Labo : pas de signe en faveur d'un ECA CT : progression majeure des métastases cérébrales Attitude : • Reprise du traitement de corticoïdes • Discussion avec la famille en présence du patient, confirmation de la prise en charge palliative sans soins intensifs/réanimation • Hospitalisation à Mr. Y pour prise en charge palliative Labo : pas de syndrome inflammatoire majeur. IRA d'origine probablement pré rénale Urines : à prélever et pister Rx thorax : superposable au comparatif, pas de foyer Hémoc : pister Réévaluer une antibiothérapie si fièvre ou péjoration clinique. Attitude : hospit médecine, fluconazole, clexane, labo. Labo : pas d'origine infectieuse suspectée Tests thyroïdiens : à пister ECG : rythme irrégulièrement irrégulier, normoaxé, pas de signe d'ischémie, intervalle PR < 200 ms, QTc 441 msec US Bedside : fonction cardiaque visuellement modérée estimée à 30 %, pas d'épanchement péricardique visualisé, épanchements pleuraux estimés à 1000 ml à D et 500 ml à gauche, pas de signe en faveur d'une surcharge intrapulmonaire, anévrysme de l'aorte abdominale et de l'artère rénale gauche connue, pas de liquide libre visualisé au niveau abdominal, pas de signe en faveur d'une obstruction urinaire, pas de globe vésical. Attitude : Lasix 20 mg 3x/j + Beloc Zok 25 mg 1x/j, hospitalisation pour suite de PeC et investigation en milieu hospitalier Labo : perturbation des tests hépatiques, pas de franc syndrome inflammatoire Urines : pas d'infection urinaire franche US : cholécystite, avec paroi 4 mm. Grosses lithiases biliaires. Pas de dilatation des voies biliaires. Avis chir Dr. X : Hospitalisation pour surveillance Rocéphine 2 g iv, flagyl 500 Labo : syndrome inflammatoire et perturbation modérée des tests hépatiques Urines du 07.01.2020 : propre CT abdo du 08.01 : abcès foie droit 8 cm Drainage US guidé le 08.01 Co-amoxi 2.2 g iv aux urg Consilium infectiologique demandé Labo : syndrome inflammatoire, hyponatrémie Hémoc : ___ Ag urinaire : ___ Urines : ___ Rx thorax : pneumonie D ECG : rythme sinusal, régulier, ESV monomorphes, pas de sus décalage CURB 65 : 1 point Attitude : hospitalisation médecine interne en raison d'oxygéno-dépendance et fragilité ; ceftriaxone et clarithro ; ventolin Labo à Mr. Y : GB 30, CRP 400, Hb 109, INR 1, PTT 40, PS 283, CK 1425, Creat 212, Na/K ok, Urée 19, Albu 30, TSH en cours CT MID fait à Mr. Y : Infiltration liquidienne diffuse. Pas de collection. Meropenem 1 g reçu à 19h30 Vancomycine 500 mg reçu à 19h30 Avis (Dr. X) infectiologie : Meropenem 500 mg 2x/j IV (adapté à la fonction rénale) et Clindamycine 900 mg 3x/j IV aux 8h donc prochaines doses à 3h30 Avis (Dr. X) ortho : fascéite nécrosante peu probable au vu de l'absence de douleurs, discussion d'une éventuelle opération pour débridement, nécessité d'en discuter avec la fille mais impossible de la joindre ce soir Urines stix, sédiment et chimie Avis chirurgie (Dr. X) ATT Hospitalisation en médecine avec antibiothérapie Consilium chirurgie vasculaire demandé pour le 11.01.2020, patiente suivie par Dr. X pour ses plaies Labo pour le 11.01.2020 demandé Ortho passera la voir le 11.01 au matin Frottis des phylctènes à pister 2x Atelle jambière postérieure mise Labo à Mr. Y : GB 30, CRP 400, Hb 109, INR 1, PTT 40, PS 283, CK 1425, Creat 212, Na/K ok, Urée 19, Albu 30, TSH en cours CT MID fait à Mr. Y : Infiltration liquidienne diffuse. Pas de collection. Meropenem 1 g reçu à 19h30 Vancomycine 500 mg reçu à 19h30 Avis (Dr. X) infectiologie : Meropenem 500 mg 3x/j IV aux 8h et Clindamycine 900 mg 3x/j IV aux 8h donc prochaines doses à 3h30 Avis (Dr. X) ortho : fascéite nécrosante peu probable au vu de l'absence de douleurs, discussion d'une éventuelle opération pour débridement, nécessité d'en discuter avec la fille mais impossible de la joindre ce soir Urines stix, sédiment et chimie Avis chirurgie (Dr. X) ATT Hospitalisation en médecine avec antibiothérapie Consilium chirurgie vasculaire demandé pour le 11.01.2020, patiente suivie par Dr. X pour ses plaies Labo pour le 11.01.2020 demandé Ortho passera la voir le 11.01 au matin Frottis des phylctènes à pister 2x Atelle jambière postérieure mise Labo : ASAT : 121 U/I ALAT : 46 U/I Phosphatase alcaline : umol/l Gamma-gt : umol/l Bil totale 307 umol/l, bil. directe 274 umol/l, lipase 4 U/L, CRP 139 umol/l. US : suspicion d'hydrops vésiculaire, dilatation intra-hépatique et de la tête du pancréas CT : ___ Avis chef de clinique chirurgie viscérale : masse probablement pseudo-kystique. Indication à drainage des voies biliaires par stent (gastro) ou percutané (radio) pour palliation. Attitude : hospit médecine pour prise en charge palliative ERCP avec pose de stent métallique par gastro lundi (à pister), Dr. X contacté Labo : ASAT 24 U/l, ALAT 14 U/l, LDH 322 U/l, lipase 25 U/l, Urée 6.3 mmol/l, Créatinine 69 umol/l FSC : Lc 9.6 G/l, Hb 136 g/l Labo : BNP à 10'000 ng/L, Hb 103 g/L, reste sans particularités Gazo : pas de lactates, hypoxémie sans trouble acido-basique Radio thorax : discret émoussement des récessus costo-diaphragmatiques D>G ECG : rythme électro-entrainé superposable au comparatif du 01.01.2020, QRS élargis à 130 ms, pas de modifications du ST A reçu Dospir + 2 mg de Mo par les ambulanciers avec amélioration de la dyspnée. Le patient l'évalue à 50-60 % de sa capacité habituelle normale maintenant. Après résultat labo/radio, ad Lasix 20 mg iv en du. Directives anticipées : réa non, IOT non Att : • Hospit à Meyriez pour suite de prise en charge • Contrôler bilan entrée-sortie Labo : cf. annexe ECG : RSR, QRS fin, trouble du QRS en aVF, III et V1 Echocardiographie transthoracique le 17.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 58 % (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique CT cérébral le 16.01.2020 : Citernes basales et mésencéphaliques et système ventriculaire de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas d'altération des sillons cérébraux. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas de collection sous-durale. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Après injection, pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Bonne opacification des sinus veineux intra-crâniens. Au niveau artériel, les artères cérébrales antérieures sont perméables. À noter une hypoplasie du segment A1 du côté droit. Les artères cérébrales moyennes et postérieures sont perméables. À noter une origine foetale des cérébrales postérieures. Tronc basilaire perméable. Artères carotides et vertébrales perméables sans sténose ni argument pour une dissection. Pas de lésion visible sur les apex pulmonaires. IRM cérébral le 17.01.2020 : Examen effectué avant et après l'injection iv de 10cc de Dotarem. Le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, quelques plages punctiformes hyperintenses de la substance blanche. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection iv de gadolinium, pas de prise de contraste pathologique. Les sinus veineux sont perméables. L'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis démontre une perméabilité conservée des artères intracérébrales. Pas d'anévrisme, pas de sténose significative. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularité. Labo : cf annexes US Abdomen le 24.12.2019 : Cirrhose connue avec changements fibrotiques du parenchyme hépatique, sans signe d'hypertension portale, flux normal dans la veine porte, rate de taille normale, pas d'ascites. Cholécystolithiase, une cholécystite ne peut pas être exclue car vésicule biliaire peu remplie. Voies biliaires non élargies. Rx hanche + bassin le 28.12.2019 : aucune fracture visible. US système uro 08.01.2020 : hyperplasie de la prostate, pas de signe de stase rénale. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de 43 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur état confusionnel avec démence débutante et par réduction/perte des capacités fonctionnelles avec perte de mobilité avec risque de chute. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 46 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10 % en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin adjointe en gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 5/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 31/10 MMS/CLOCK 15/30 - 0/6 GDS 8/15 Évaluation sociale (5 domaines) 18.12.2019 Colloque interdisciplinaire 1-3 18.12./23.12./30.12.2019 Colloque interdisciplinaire 4-6 08.01./15.01./22.01.2020 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 5/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 40/13 Labo : CRP et leucocytes dans la norme Rx Thorax : pas d'infiltrat ni épanchement U-Status : Lc +++, bactéries +++, nitrites + Uricult : E.Coli et E.faecalis (E.Coli sensibles au Bactrim) Bactrim forte (2x/jour) du 03.01.20 au 08.01.20 Co-Amoxicilline (1.2g 3x/jour i.v. pendant 10-14 jours, soit du 08.01.2020 au 17.01.2020) Hydratation par NaCl 0.9 % US du système urinaire 08.01.2020 : hyperplasie de la prostate, pas de signe de stase rénale. ECG 08.01.2020 : rythme sinusal, normocarde, sans trouble de la dépolarisation ou repolarisation. Labo du 11.01 : Hb 128, GB 5.8, CRP <5, ASAT 1046, ALAT 698, Bili dir 18.8, Bili tot 23.8, GGT 440, PhAlc 111, Lip 53. Contrôle clinique : abdomen souple et légèrement sensible au niveau de l'hypochondre droit. U/S abdominale du 11.01 : Cholécystolithiases multiples. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra hépatiques. Aspect épaissi des parois de la vésicule biliaire (environ 4,3 mm) sans douleur lors du passage de la sonde DD st/p passage de calcul. Stéatose hépatique. Avis Dr. X : hospitalisation. Labo du 07.01 : CRP augmentée, leucocytes 10.3. Radio thorax du 07.01 : sp. Labo du 07.01.2020 : Hb 136 g/L ; Lc 8.8 g/L ; Tc 280 G/L ; fonction rénale et électrolytes eo. Sérologies du 07.01.2020 : Hép. B négatif, Hép. C négatif, HIV négatif, Syphilis négatif. PAP du 28.06.2019 : LSIL, HPV-HR négatif, CINtec négatif. Labo du 13.01.2020 : Hb 126 g/L ; Lc 14.3 g/L ; Tc 420 g/L ; CRP 30 ; crase eo, fonction rénale et hépatique eo. Labo du 14.01.2020 : Hb 82 g/L ; Lc 10.0 g/L ; Tc 258 G/L. Groupe sanguin : A Rhésus positif. Frottis cervico-vaginal du 13.01.2020 : chlamydia/gonocoques négatifs. Actim prom positif le 13.01.2020. US à l'entrée : Poche des eaux atteignant l'introitus. Grossesse évolutive, BCF +, LA dans la norme. Labo du 13.12.2019 : Stix urinaire : propre. Hémocultures : négatives. Radiographie du thorax du 13.12.2019 : pas de foyer. Labo, ECG Hydratation, Substitution. Labo : Hb 101g/l, Réticulocytes augmentés, Ferritine/vitamine B12/vitamine B9 dans la norme.Ev colonoscopie? Labo: K: 3.2 Bananes, fruits secs Labo: Lc: 30.2 Labo le 25.01.2020 : ASAT 629 U/l, ALAT 875 U/l, GGT 464 U/l, PA 118 U/l, bili totale 14.9 µmol/l, bili directe 10.3 µmol/l. CRP 5 mg/l, Lc 7.8 G/l, TP %, PTT sec ECG le 25.01.2020 : RSR à 81 bpm, QRS fins, axe 40°, pas d'anomalie des ondes T ni du segment ST. Dafalgan 1 g cpr, Nexium 40 mg i.v., Morphine i.v. 6 mg au total Avis chirurgical Dr. X : • Antalgie pour la nuit par Novalgin 500 mg 2 cp, Buscopan 10 mg 2 cp, Tramal 50 mg 2 cp Nous proposons au patient une hospitalisation pour suite de prise en charge mais qu'il refuse une hospitalisation. Il sera revu à la FUA pour contrôle clinique, laboratoire, et pister la sérologie le 27.01.2020. Labo le 29.01.2020 Substitution Labo: leuco 12.3 G/L, CRP: 178 hémoculture en cours sédiment et stix urinaire : leuco +. + flore bactérienne, pas de nitrite Urotube en cours Rx thorax: lâcher de ballon, pas de foyer Attitude: Rocéphine 2 g iv Transfert en médecine pour suite de prise en charge Labo: Leuco 15.9 G/L, CRP < 5 mg/l, Créat 453 umol/l, K+ 2.9 mmol/l, Na+ 134 mmol/l CT natif cérébral le 06.01.20 : pas de saignement, pas d'hématome sous dural. Sinusite maxillaire D chronique. Rx thorax : pas de foyer Sédiment : leuco 500, pas de nitrite Schellong positif (chute de la TAS autour de 75 mmHg au lever. TAS autour de 130 mmHg en position assise ou couchée) ATT : • Sur conseil du néphrologue Dr. X, MT du patient, mise en suspend du Zanidip le 06.01.2020 • Reprise du Zanidip en raison de tension artérielle hypertensive à 192/72 mmHg le 07.01.2020 • Stop Cardura le 09.01.2020 • Augmentation Carvedilol le 13.01.2020 de 12.5 mg 1-0-1 à 25 mg 1-0-1 • Ad Lisinopril 5 mg le 20.01.2020 • Organiser Holter en réhabilitation ou chez sa cardiologue Dr. X Labo (MT): Lc 10, CRP 148, GGT 69, reste aligné Urines: Lc +, prot +, sang +++ CT: diverticulite compliquée Hansen-Stock IIb avec perforation couverte et quelques bulles hydro-aériques Avis chir: Tazobac vue récidive, hospitalisation aux urgences en attente de place en chirurgie ATT : • Hospitalisation en chirurgie dès place disponible • Antibiothérapie par Tazobac 4.5 3x/j • Hydratation Labo: Na 127, similaire à 2018, actuellement substitué. Suivi chez médecin traitant. Labo: Na 128 mmol/l, osmolarité sérique: 295 mosmol/kg patient sous diurétique de l'anse Labo: Na 136, LDH 516, amylase 17, CRP 130, Lc 16 Urines propres ECG (MT): rythme sinusal régulier, sans trouble de conduction ou de repolarisation, ondes Q inférieure non significative CT: appendice épaissi à 12 mm avec liquide péri-appendiculaire. Épaississement diffus de l'intestin grêle et du côlon pouvant évoquer une gastro-entérite ATT : • Hospitalisation en chirurgie • À jeun pour OP Labo: NT-proBNP à 11 800, CRP 28, FSS sp hormis légère anémie à 110 (déjà connue) ECG Gazométrie: pas de trouble acido-basique avec hypocapnie et hypoxémie, lactates < 2. Rx thoracique: épaississement des hiles ddc plus important qu'au comparatif de janvier 2019, pas d'épanchement pleural ou franc foyer visualisable CT thoracique: signes d'insuffisance cardiaque avec épanchement pleural bilatéral, présence d'une EP en base gauche au niveau du segment postéro-basal mais déjà visible sur un comparatif de 2018 et d'allure chronique. US cardiologue (Dr. X): FEVG 25%, HTAP 50 mmHg ATT : • Hospitalisation en médecine • Hausse du Torem de 5 à 10 mg • Passage du Xarelto en thérapeutique à 2x15/j pendant 3 semaines puis 1x20 mg. • Organiser contrôle du PM par Dr. X dès que possible • Pister prise de sang demain matin: ad TSH/B12/acide folique/ferritine (impossible depuis urg) Labo: pas de syndrome inflammatoire ECG: superposable Gazométrie : Acidose respiratoire chronique avec compensation métabolique Hydratation Frottis grippe à pister Rx thorax: pas de foyer Attitude: Diamox 250 OU transfert à Meyriez pour hospitalisation en médecine interne: réévaluation de l'oxygénothérapie à domicile (demande serait faite par son MT selon anamnèse) Labo polytrauma : leucocytose, reste sp US e-FAST : pas de liquide libre visualisé, fonction cardiaque estimée dans la norme CT Total body: fracture du fémur à gauche avec composante intra-articulaire au niveau du genou gauche Avis ortho (Dr. X): sédation par dormicum et kétamine. Réduction de la fracture par traction du fémur Rx cuisse gauche : meilleur axe de la fracture Attitude: • Contrôle de l'hémoglobine: 125 g/L: stable • Hospitalisation en chirurgie orthopédique • Ostéosynthèse prévue le 04.01.2020 • Antalgie par Oxynorm 5 mg per os 4 fois par jour et Perfalgan, Movicol • Pas de Clexane au vu du risque hémorragique Labo Rx thorax Us bedside Gazo ad Lasix 40 Attitude : hospitalisation médecine, O2, Labo: Tc 348 actuellement pausé, à réévaluer Labo: TP 48%, INR 1.4, PTT 34 sec Labo: TSH sp. Ad Indéral. Discuter IRM cérébral. Labo (01.01.20): Créatinine 193 umol/l, MDRD: 31 ml/min/1.73 m2 Labo (06.01.20): Créatinine 132 umol/l, MDRD: 48 ml/min/1.73 m2 Labo (01.01.20): Créatinine 193 umol/l, MDRD: 31 ml/min/1.73 m2 Labo (06.01.20): Créatinine 132 umol/l, MDRD: 48 ml/min/1.73 m2 Labo 10.01.20: Créatinine 147 umol/l, MDRD: 42.4 ml/min/1.73 m² Labo (06.01.2020): Cholestérol 5.9 mmol/l, LDL 4.6 mmol/l Atorvastatine 80 mg/j dès le 07.01.2020 LDL-cible < 1.4 mmol/l Labo 07.01.20: créatinine à 453 umol/l Acutisation probablement d'origine pré-rénale sur hypoperfusion Adaptation Torasemid Restriction hydrique à partir du 10.01.2020 Labo 13.01.2020: Créatinine 364 umol/l Consultation chir urgence 08.01.19 à l'HFR Fribourg Consultation d'anesthésie à Fribourg le 14.01.2020 Confection d'une fistule artério-veineuse avec prothèse en boucle sur le bras gauche le 17.01.2020 Labo (09.01.2020): Créatinine 600 µmol/l, Urée 50.4 mmol/l Torasemid stoppé le 09.01.2020. Labo 10.01.20: Créatinine 147 umol/l, MDRD: 42.4 ml/min/1.73 m² Labo 15.01.20: Créatinine 153 umol/l, MDRD: 40.5 ml/min/1.73 m² Labo 10.01.2020: Leucocytes 30.2 G/l Labo 15.01.2010: Leucocytes 10.2 G/l Labo 10.01.2020: Thrombocytes 348 G/l Injection Nplate le 19.01.2020 (injection tous les 19 jours) Labo (11.01.2020): 142 µmol/l, CKD-EPI 45 ml/min/1.73 m2 Labo (17.01.2020): 165 µmol/l, CKD-EPI 38 ml/min/1.73 m2 Labo 14.01.2020: Hb 121 g/l, Lc 10.4 G/l, Tc 180 G/l, crase alignée, BHCG 5630 Groupe sanguin: O rhésus +, RAI négatif 14.01.2020 Labo 16.01.20: NT-proBNP 4855 ng/l Avis cardio Dr. X: pas de signe d'ischémie aiguë, pas d'autre investigation ECG 16.01.2020: pas de bigémonisme, superposable au comparatif de 2019 Majoration du Torasemid à 15 mg dès le 15.01.2020 Contrôle chez MT prévu le 20.01.2020 Labo 19.12.2019: Créa et urée dans la norme Surveillance biologique et clinique Labo 19.12.2019: Hypoalbuminémie 28.9 g/l, ASAT/ALAT dans la norme, Gamma-GT 189 U/l, Bilirubine directe augmentée 5.7 umol/l, CEA négative US de l'abdomen le 24.12.19: Cirrhose hépatique et Cholélithiase sans signe dur de cholécystite Surveillance clinique et biologique Labo 19.12.2019: K+ 3.6 mmol/l Substitution Labo 19.12.2019: 0.71 mmol/l Substitution jusqu'au 17.01.2020 Labo 19.12.2019: 13 nmol/l Substitution Labo 29.01.20: Créatinine 529, Na 177 Hydratation par G5 Labo 8.01.: CRP < 5 mg/l, VS 5 mm/h, Lc 11.1 G/l Rx bassin et hanche 8.01.: pas de signe d'épiphysiolyse US hanches aux urgences pédiatriques (Dr. X) 9.01.: présence d'un épanchement de 7.8 mm à gauche Labo Avis chirurgie vasculaire (Dr. X/Dr. X) : Hospitalisation en chirurgie vasculaire avec Co-amoxicilline 1.2 g 2x/j au vu de la fonction rénale, arrêt de l'Eliquis et mise en place de Liquémine 15 000 UI/24h.Frottis des plaies à pister ATT Co-amoxicilline 1,2g 2x/j, reçu 1x à 18h le 29.01.2020 Liquémine 15000 UI/24h débuté à 18h le 29.01.2020 Contrôle de l'activité anti-Xa à minuit et 6h avec labo de 6h à pister Hospitalisation en chirurgie vasculaire pour optimisation de l'antalgie et suite de prise en charge des plaies Labo Co-Amoxi 1.2g 3X/jour Bilan angiologique demandé Labo ECG Labo ECG : superposable au comparatif du 27.11.2019 Troponines H0: 13, H1 15, H3 13 Avis Dr. X : Creon, Buscopan, Pantoprazol 40mg IV ATT Substitution PO Contrôle de la natrémie après 6h soit à 21h30 Labo ECG Angio-CT avec vaisseaux précérébraux (rapport oral): pas de lésions constituées, pas de masse tumorale, bonne perméabilité des vaisseaux Avis neurologique (Dr. X, Dr. X): hospitalisation, IRM cérébrale pour compléter le bilan, PL avec anticorps neuronaux Hospitalisation en médecine interne, la famille se présentera à 14:00 pour l'hétéro-anamnèse IRM annoncé, fiche de sécurité remplie et à recontrôler avec la famille pour l'exactitude PL au cours de l'hospitalisation Labo ECG AngioCT cérébral et carotides : plaques athéromateuses des carotides communes et internes sans sténose significative, lésion ischémique pariétale gauche non datable à compléter par IRM, pas de saignement Avis neuro (Dr. X/Dr. X) Bilan lipidique Hb glyquée à pister ATT Hospitalisation aux soins continus IRM cérébrale à organiser à la recherche de lésion ischémique ou de signe de vasculite, questionnaire IRM déjà rempli Bilan cardiaque avec ETT et Holter à organiser Avis rhumatologique à organiser Doppler des artères temporales à organiser pour une suspicion de Horton +/- biopsie des artères temporales selon résultats du Doppler et avis rhumato Double anti-aggrégation par aspirine et clopidogrel dès ce jour, sans charge, au vu de l'athéromatose, pour 1-3 mois Majoration de l'atorvastatine à 40mg (but=stabilisation des plaques) Prednisone 60mg/j dès ce jour puis selon avis rhumato IPP Lit strict mais mobilisation à 90° max Reprise alimentation dès test de déglutition satisfaisant Labo ECG CT cérébral et carotides (rapport oral): pas d'AVC formé, pas de dissection vertébrale ou carotidienne Avis neurologique (Dr. X, Dr. X): hospitalisation au SIC, IRM pour compléter le bilan, Holter 48 heures. Pas de dose de charge d'aspirine, pas d'anti-aggrégation, pause du Xarelto avec contrôle anti-xa le 31.01.20 ETT le 30.01.20 Xarelto pausé car supra-thérapeutique Transfert au SIC Bilan laboratoire à pister Demande IRM effectuée, questionnaire sécurité rempli Holter 48H demandé Labo ECG CT cérébral natif (rapport oral): pas de saignement Hospitalisation en médecine interne (+/- EEG) Holter 48 heures annoncé Labo ECG CT cérébral: pas de saignement intracrânien, pas de métastase, pas de lésion AVC ancien, présence de leucariose Labo ECG CT cérébral (rapport oral): masse cérébrale d'environ 14X9 mm en localisation pariétale, œdème péri-lésionnel jusqu'en fronto-pariétal, pas de déviation Avis neurochirurgie (Dr. X): hospitalisation en médecine interne, surveillance neurologique aux 4 heures, interdiction absolue aux cortico-stéroïdes, pas de clexane, IRM injecté Oncologue de garde informée IRM demandé, questionnaire rempli Transfert en médecine interne Corticostéroïdes INTERDITS sauf avis neurochirurgie/oncologie Labo ECG CT externe (accès aux images via carte patient, rapport dans les documents du patient) Transfert en médecine interne avec ponction pleurale à distance Labo ECG Gazométrie Rx thorax ATT Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2g aux urgences Intensification ttt bronchodilatateur Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge Labo ECG Gazométrie Rx thorax Urines avec antigène Legionnelle à pister ATT Solumédrol 125mg Atrovent et ventolin à 13h30 Antalgie Poursuite de l'Augmentin et ajout de Klacid à 12h30 Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge Labo ECG Gazo Rx thorax Ventolin et Atrovent, prednisone Frottis grippe à pister Hospitalisation en médecine interne Physiothérapie annoncée Labo ECG Lasix 40 mg iv Labo ECG Metoprolol 5 mg iv sur 5 minutes Beloc Zok retard 50 mg Labo ECG Radiographie Avis Ortho (Dr. X) Indication opératoire retenue, à jeun dès minuit Hospitalisation en ortho Labo ECG Resonium 15gr PO le 23.12.19 Labo ECG Rx genou : pas de fracture Rx bassin et hanche droite : pas de fracture Urines stix et sédiment ATT Hospitalisation pour suite de prise en charge au vu du maintien impossible à domicile Proposition d'organiser une consultation neurologique durant l'hospitalisation pour réévaluation des tremblements et de ses traitements habituels Hydratation 750ml/24h Proposition d'effectuer un bilan complet pour chutes à répétition Labo ECG Rx thorax US bedside (Dr. X/Dr. X) Antigène legionnelle et pneumocoque à pister ATT Antibiothérapie par Rocéphine 2g 1x/j et Klacid 500mg 2x/j Atrovent-ventolin Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge Labo ECG Rx thorax Lasix 40 mg iv Hospitalisation en médecine interne (+/- bilan cardiologique) Labo ECG Rx thorax US-Bedside Ponction pleurale aux urgences: retrait d'environ 2000 ml d'un liquide sanguinolent US-Bedside de contrôle post-ponction pleurale: persistance de liquide Hospitalisation en médecine interne Résultat de ponction pleurale à pister avec microbiologie et cytologie Hémoglobine à pister Labo ECG Urines stix et sédiment : pas de sang 1 culot érythrocytaire Pantozol 80mg IV bolus ATT Gastro-colonoscopie à faire dès que possible, consilium fait Duofer 2x/j un comprimé avec jus d'orange à distance de café ou thé, constipation et selles noires possibles Pantoprazol 40mg 2x/j Labo contrôle demain avec ferritine, vitamine B12 et folate Labo ECG US bedside (Dr. X): bonne contractilité cardiaque, pas de dilatation des cavités droites US abdominal annoncé Hydratation 2000 ml NaCl 0.9% 24H Hospitalisation en chirurgie Labo ECG 2 paires hémocultures à froid à pister US bedside (Dr. X/Dr. X): pas de liquide libre dans l'abdomen, lame de liquide péricardique Avis chirurgie (Dr. X) Avis cardiologue (Dr. X/Dr. X): épanchement péricardique physiologique CT abdominal avec produit de contraste PO ATT Konakion IV 10mg pour un TP à 36% spontané, bottes turbopress pour le risque de thrombose 20 meq K/24h Hospitalisation en médecine pour suivi en oncologie OGD à prévoir demain pour visualiser si implants tumoraux bloquent la vidange gastrique, éventuelle pose de stent ? Pose de SNG aux urgences Pantozol 40mg 1x/j IV Labo Gazo ECG Rx Ventolin et Atrovent aux urgences 125 mg Solumedrol iv Ceftriaxone 2000 mg iv et Klacid 500 mg po Hospitalisation en médecine interne à Tafers Frottis grippe, antigène urinaire, culture d'expectorations à pister Labo Gazométrie Glycémie à 23mmol/l Urines stix, sédiment et spot Hydratation 500ml NaCl CT thoraco-abdominale fait au Daler (sur le PACS) : épanchements pleuraux bilatéraux sans signe de carcinomatose pleurale, ascite avec signe de carcinomatose péritonéale au niveau flanc gauche, pas d'argument pour un iléus, régions hypodenses au niveau hépatique et splénique à caractériser avec de meilleures phases, à rediscuter avec radiologue demain, pas d'embolie pulmonaire ATT Antalgie Hospitalisation en médecine pour oncologie, suivie par Dr. X, oncologue à Villars sur Glâne Ponction d'ascite à discuter Labo Gazo Rx thorax Frottis grippe à pister Labo Gazo Rx thorax Ventolin et Atrovent Co-amoxi 2.2 g iv et Klacid 500 mg Hémoccultures à pister Antigènes urinaires à pister Frottis grippe à pister Labo Hydratation Hospitalisation Labo Labor: CRP 110, Lc 17.7 BK 2x2 US veineux: aucune thrombose visible. Oedème sous-cutané Co-Amoxi 2,2 g de charge, puis pour GFR > 30 ml/min posologie habituelle de 1,2 g x 3 par jour Labor: CRP 8 mg/l, Lc normatif Röntgen-Thorax: pas d'infiltrat, pas d'épanchement Thérapie symptomatique Labor suit Labor: pas de CRP, pas de Lc Procédure : • Sortie à domicile avec pommade à base de cortisone et contrôle chez le dermatologue en cas d'absence d'amélioration, nouvelle présentation si l'éruption devient plus grande ou si Mr. Y développe de la fièvre ou des frissons. Labor: aucun signe d'inflammation, valeurs hépatiques et pancréatiques normales, électrolytes normaux, bilirubine normale. Labor: aucun signe d'inflammation accru Urin: aucun indice d'infection CT abdomen: rapport provisoire: pas d'iléus, pas de colite, omentum majus dans la hernie de paroi abdominale avec quelques changements inflammatoires. Pas de contenu intestinal. Labor: Lc 7.8, Hb 132, créat 55 Rx Thorax: pas de décompensation cardiaque Statut urinaire: cétones 1+ ECG: rythme régulier, sinusal, axe normal, QRS fins, pas de décalage ST, pas de troubles de repolarisation. Labor MMS 30/30, test d'horloge 6/6, GDS 0/15 au 21.01.2020 EKG au 22.01.2020: sinus rythme 70/min, Aches +1, PQ 270 ms, QRS 110 ms, QTc 496 ms, pas de troubles de repolarisation. EKG au 29.01.20: À 09:39 heures: EKG au 29.01.20: À 11:20 heures: sinus rythme 64/min, Aches 13, PQ 276 ms, QRS 104 ms, QTc 540 ms, pas de troubles de repolarisation. CT Thorax au 29.01.20: apparitions de petits épanchements pleureux bilatéraux sans modification substantielle des infiltrats bilatéraux et dystélectases par rapport à la VU. Par ailleurs, constatations stationnaires. Röntgen Thorax au 23.01.20: Par rapport à l'examen du 16.01.2020, il y a une légère augmentation de l'épanchement pleural bas droit. Signes stationnaires d'une reconstruction pulmonaire chronique. Aucun signe de redistribution apico-basale des largeurs des vaisseaux. Ombre cardiaque légèrement agrandie avec un HTQ de 15,6:30,6. Statut après sternotomie inchangé. En projection latérale, l'alignement de la BWS est conservé avec des hauteurs de corps vertébraux conservées. Statut après vertébroplastie dans les sections BWK 12/LWK 1/2, partiellement saisi. Densification arrondie bas droit correspondant à une rondealectasie. Pas de preuve d'infiltrat évident. Labor: voir pièces jointes CT crâne nativ: Pas de saignement, pas de démarcation d'infarctus, leucencéphalopathie microvasculaire modérée Holter ECG 24h au 13.01.2020: Résultats en attente Labor: voir pièces jointes EKG au 21.01.2020: rythme sinus, normocarde, LLT, QTc légèrement prolongé (0.468), sinon aucun trouble de dé- ou de repolarisation. Prestation d'une thérapie complexe gériatrique préconisation de 5 jours en raison d'une nécessité de traitement hospitalier due à une déconditionnement en insuffisance rénale aiguë et à des dysfonctionnements gériatriques aigus simultanés avec des limitations de mobilité et un risque accru de chutes. Le traitement a été effectué selon les caractéristiques minimales CHOP, avec une approche ciblée individuellement dans une collaboration intégrée des domaines de thérapeutique, physiothérapie, ergothérapie, logopédie, conseil nutritionnel, neuropsychologie, soins infirmiers (soins thérapeutiques activants et accompagnants par un personnel particulièrement formé (7/7d)) et assistante sociale (évaluation sociale en 5 étapes) sous la direction d'un médecin gériatre (Dr. X), avec 8 séances de thérapie (maximum 10% en thérapie de groupe) d'au moins 30 minutes, documentées lors de réunions d'équipe hebdomadaires. La réunion hebdomadaire de l'équipe se déroule sous la direction d'un gériatre (FMH) chaque mercredi avec la participation de tous les groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, conseil nutritionnel, neuropsychologie, soins infirmiers, conseils aux patients), documentant le déroulement et formulant l'objectif thérapeutique individuel du patient pour chaque semaine. Cet objectif est formulé de manière conforme au patient et est ensuite remis chaque semaine avec le plan de traitement individualisé au patient afin qu'il/elle puisse également voir les prochains objectifs à atteindre et puisse y travailler activement. Évaluation d'admission Mobilité (Tinetti) 17/28 Autonomie FIM (Mot./Cog.) 77/28 MMS/CLOCK 29/30 - 4/6 GDS 1/15 Évaluation sociale (5 étapes) 20.01.2020 Réunion d'équipe 1 22.01.2020 Évaluation de sortie Mobilité (Tinetti) 17/28 Autonomie FIM (Mot./Cog.) 85/28 Labor: voir pièces jointes. Röntgen patella 10.01.2020: Par rapport à la radiographie du 17.12.2019, il y a une position stationnaire de la fracture de la patella non déplacée. Stabilité invariable de l'étage articulaire patellaire de 2 - 3 mm. Œdème/hématome sous-patellaire persistant. Connues calcifications marquées des ménisques. Aucune preuve d'une autre fracture. Röntgen Thorax 14.01.2020: La comparaison est faite avec un CT-Thorax du 14.12.2019. Bande claire trachéale intermédiaire. Médiastin supérieur normalement étroit. Hili typique des vaisseaux. Structure pulmonaire et dessin vasculaire délimités partout jusqu'à la périphérie. Ombre cardiaque normalement étroite, bien définie. Coupoles phréniques lisses avec des angles de bord aigus. Alignement de la BWS conservé avec une légère augmentation de la cyphose thoracique avec des hauteurs de corps vertébraux conservées. Matériel de clip en projection sur le lit de la vésicule biliaire. EKG 16.01.2020: rythme sinusal normokarde, typologie à gauche, aucun trouble significatif de dé- ou de repolarisation. Pas de bloc AV. Labo Radio thorax: pas de foyer infectieux visualisé, superposable au comparatif de septembre ECG: RSR, axe normal, PR < 200 ms, QRS < 120 ms, pas de modification du ST, bonne progression de l'onde R en V1-V6, QTc 378 ms Att: • Transfert à Riaz en gériatrie, étage G en tant que satellite de gériatrie • Suivi des urines • Thromboprophylaxie Clexane labo radio ATT augmentin 2.2 g IV rappel antitétanique fait aux urgences PEC chirurgicale puis hospitalisation en orthopédie à Tafers poursuite ASA; réévaluer l'arrêt de l'anticoagulation selon avis ortho labo radio ecg gaz artérielle ATT augmentin + klacid pister frottis grippe, hémoc, Ag urinaires (prescrits mais non envoyés aux urgences vu absence diurèse) Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX avant-pied gauche le 19.01.2020 : pas de lésion osseuse typique de goutte, notamment pas d'image de géodes. Par ailleurs, pas de tophi visualisé. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire. Laboratoire. Laboratoire. Laboratoire. Laboratoire. Laboratoire Laboratoire: • CRP 152 mg/l, Leucocytes 11.8 G/l (13.01.2020) • CRP 54 mg/l, Leucocytes 6.8 G/l (17.01.2020) Frottis de grippe: négatif (13.01.2020) Hémocultures négatives (13.01.2020) Sédiment urinaire (13.01.2020): Leuco. +, hématurie +++++, bactériure ++, nitrites négatifs Culture d'urine positives à Staph. Haemolyticus et Staph. Epidermidis (13.01.2020) Radiographie du thorax: pas de foyer (13.01.2020) Rocéphine 2 g i.v du 13.01 au 15.01.2020 Co-amoxicilline 1 g x 2/j du 16 au 19.01.2020 Consilium téléphonique avec Dr. X (oncologie, HFR Fribourg): annuler l'immunothérapie prévue le 14.01 Prochaine immunothérapie le 28.01.2020 à 11h30, HFR Fribourg Consilium téléphonique d'infectiologie HFR Fribourg (MA/ Prof. X): Infection urinaire peu probable devant les germes atypiques, l'absence de leucocytose. Fièvre réactionnelle possible à l'immunothérapie.Laboratoire : cf annexe. ECG du 06.12.2019 : bloc atrio-ventriculaire de 1er degré connu, pas d'altération de la repolarisation, QRS fins, QTc 454 ms. Radiographie du bassin et de la hanche du 06.12.2019 : phénomène d'épaulement à la jonction tête-col fémoral à droite. Discret phénomène d'épaulement à gauche. Pas de fracture des hanches des deux côtés. Pas de fracture des os iliaques ni des branches ischio- ou ilio-pubiennes. Radiographie thoracique du 06.12.2019 : cardiomégalie connue et inchangée. Discret flou péri-hilaire. Épanchement pleural légèrement diminué à la base droite par rapport à l'examen précédent avec des opacités alvéolaires un peu plus marquées par contre. Tests de dépistage des troubles cognitifs le 19.12.2019 : MMS à 28/30 ; test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Laboratoire : cf annexes. Consilium/diabétologie : cf. document annexé. Laboratoire : cf annexes. ECG le 19.12.2019 : rythme sinusal tachycarde à 100/min, axe gauche à -38°, PQ 134 ms, QRS à 86 ms, QTc 403 ms, transition après V6, pas d'onde Q pathologique, pas de trouble de la repolarisation. IRM le 13.12.2019 : lésion focale du rein gauche de 4,5 x 4,3 x 5,3 cm de diamètre, bien délimitée, sans invasion de la veine rénale posant le DD d'une tumeur maligne du rein gauche, versus d'un oncocytome. Pas d'adénopathie locorégionale. Pas d'argument pour des métastases à distance. Radiographie thoracique le 17.12.2019 : ascension de la coupole diaphragmatique à gauche. Hypoventilation des deux bases pulmonaires. Aorte déroulée et calcifiée. Laboratoire : leucocytose à 17,7 g/l et une CRP 17 mg/l. Cf. annexes. Stix/sédiment : leucocytose 11-20/champ, hématurie ++. Cf. annexes. THORAX FACE, SACRUM, BASSIN, COLONNE TOTALE : Thorax : comparatif du 05.09.2019. Radiographie du jour effectuée en position couchée. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Sacrum : fracture à la jonction sacro-coccygienne d'aspect multifragmentaire légèrement déplacée. Bassin : pas de fracture des branches ischio et ilio-pubiennes. Pas de fracture des fémurs ddc. Calcifications vasculaires. Colonne lombaire : comparatif du 23.05.2019. Pas de changement. On retrouve un tassement du corps vertébral de L3 avec un aspect biconcave. Pas de nouveau tassement mis en évidence. Colonne dorsale : comparatif du 18.04.2019. Pas de changement du tassement du corps vertébral de D8 avec un aspect cunéiforme relativement superposable sans nouvelle fracture surajoutée. Laboratoire : syndrome inflammatoire discret. Avis Dr. X (Insel, dermatologie) : probable exanthème post infection des voies respiratoires supérieures d'origine virale, Mme. Y sera convoquée sous 5 jours pour contrôle en dermatologie. Attitude : traitement symptomatique. Laboratoire : aligné, mis en annexes. CT DES TISSUS MOUS DU COU INJECTE, CT CEREBRAL NATIF ET INJECTE : examen réalisé avant et après injection i.v. de 60 ml de Iomeron 400. Pas de comparatif à disposition. Sur le natif, pas d'hémorragie intraparenchymateuse ni sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas de déviation de la ligne médiane. Système ventriculaire de morphologie normale. Pas de dédifférenciation cortico-sous-corticale ni hypodensité en faveur d'une lésion ischémique constituée. Sinus paranasaux, cellules mastoïdiennes, oreilles moyennes sont libres. Sur l'angio-CT, pas d'athéromatose ni de sténose significative des vaisseaux précérébraux. Pas de dissection carotido-vertébrale. Dominance vertébrale gauche. Perméabilité du polygone de Willis. Sur le tardif, sinus veineux cérébraux perméables (rehaussement symétrique du sinus transverse et sigmoïdes au temps veineux, asymétrique sur le temps artériel en raison d'un drainage veineux dominant du côté D). Pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Pour le reste, pas de nodule pulmonaire suspect. Thyroïde sans particularité. Pas de lésion suspecte de la filière aéro-digestive sous réserve d'un examen non dédié. Pas de lésion significative de la colonne cervicale. Inversion de la courbure physiologique de la colonne cervicale. CONCLUSION : pas d'hémorragie ni de masse intracrânienne. Pas d'AVC ischémique ni de sténose significative des vaisseaux précérébraux. Laboratoire : aligné. ECG : QTc 404 ms, reste de l'examen sans particularité. Avis psychiatrique : hospitalisation à Marsens. Attitude : • NaCl 0,9 % 1L. • Transfert volontaire à Marsens. Laboratoire : aligné. Urines : Lc ++, pas de nitrite, pas de protéine. En raison de la possibilité d'un iléus, nous proposons un CT abdominal que Mme. Y refuse. Nous lui expliquons donc les risques à ne pas effectuer l'examen, qu'elle comprend et accepte. Nous lui spécifions également que l'utilisation de laxatif dans le cadre d'un possible iléus est fortement contre-indiquée. Nous laissons donc Mme. Y rentrer à domicile après lui avoir fait signer le formulaire de décharge médicale. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. CEA dans la norme, à 2,2. CT abdominal le 25.01.2020 : diverticulose sigmoïdienne avec infiltration de la graisse au pourtour et lame de liquide libre sans perforation ni collection pouvant être à l'origine du saignement. Ganglions mésentériques calcifiés dont deux volumineux à centre nécrotique au flanc droit et au contact de la grande courbure gastrique associés à un épaississement caecal et une infiltration de la graisse au pourtour, ouvrant comme diagnostic différentiel une tuberculose versus sarcoïdose versus lymphome. Toutefois, les ganglions au centre hypodense sont plutôt en faveur d'une tuberculose. Ectasie urétérale droite. Laboratoire : annexé. CT abdominal 16.01.2020 : importante distension des anses jéjunales mesurant jusqu'à 42 mm sans franche image de saut de calibre visible. Bon rehaussement de la paroi des anses intestinales. Pas de signe de souffrance intestinale. Pas de liquide libre intrapéritonéal. Pas de signe de pancréatite, pas de masse visualisée. Rx thorax 17.01.2020 : sonde naso-gastrique en place. Laboratoire : annexé. Uro-CT : absence de pathologie lithiasique des voies urinaires. Pas d'argument pour une pyélonéphrite compliquée actuellement visible. Discrète hétérogénéité aspécifique de la prostate. Statut post-cholécystectomie. US du système urogénital 07.01.2020 : hormis un discret épaississement des parois de la vessie (cystite), ultrason des voies urinaires dans les limites de la norme. Laboratoire : annexé. Alcoolémie à 0,88 pour mille. CT cérébral natif 18.01.2020 : plaie frontale droite, avec hématome sous-galéal et des parties molles sous-cutanées frontales droites à plusieurs endroits. À noter une rotation de C1 sur C2 (DD d'origine positionnelle en premier lieu, mais pour laquelle on ne peut toutefois pas exclure une subluxation). Laboratoire : annexé. BASSIN + CT abdomen natif et injecté 12.01.2020 : pas de lésion traumatique abdominale ni de fracture détectée. Infiltration de petite taille des tissus mous en regard de la crête iliaque postérieure droite. Laboratoire : annexé. Consilium angiologique (Dr. X) : AOMI de stade 4 à gauche avec atteinte pluri-étagée de l'artère fémorale superficielle avec occlusion du tiers distal (du Hunter jusqu'en poplité) et atteinte jambière des artères tibiale postérieure et pédieuse. Laboratoire : annexé. CT abdomen injecté 07.01.2020 : diverticulite sigmoïdienne classée Hansen & Stock IIa. Laboratoire : annexé. CT abdomen injecté 11.01.2020 : examen compatible avec une appendicite débutante, sans signe de complication. Le reste de l'examen est dans les limites de la norme. Laboratoire : annexé. CT abdomen injecté 29.12.2019 : diverticulite aiguë du côlon sigmoïde avec perforation libre au contact (Hansen & Stock IIc). Masse de 3,3 cm de la queue du pancréas contenant une plage de calcification évoquant une tumeur neuro-endocrine associée à une seconde masse intra-hépatique du segment VII suspecte de métastase dans le contexte. À noter encore une hernie de la ligne blanche sus-ombilicale à contenu graisseux discrètement infiltrée. IRM abdominale du 30.12.2019 : hémangiome de 3,25 x 4 mm au niveau du segment VII hépatique. Masse nodulaire mesurant 3,5 x 3,2 mm au niveau de la queue du pancréas avec quelques petites adénopathies, la plus grande mesurant 10 x 6,8 mm en regard de la masse pancréatique. CT thoraco-abdominal du 31.12.2019 : péjoration de la quantité d'air libre en regard d'une diverticulite sigmoïdienne perforée. Pas de collection liquidienne surajoutée en faveur d'une complication abcédée visible actuellement. Absence d'argument pour un processus infectieux à l'étage thoracique. Laboratoire : annexé. CT abdomen natif et injecté 09.01.2020 : pas de lithiase urétérale. Multiples calculs caliciels des deux reins sans signe de complication. Pas de dilatation pyélocalicielle des deux côtés. Pas de signe de pyélonéphrite des deux côtés. Laboratoire : annexé. CT abdomen natif et injecté 28.01.2020, comparatif 23.01.2020 : sonde gastro-jéjunale en place. Courte invagination des anses jéjunales à l'extrémité de la sonde, connue et inchangée sans signe de souffrance circonférentielle entourant le 3ème duodénum ouvrant le diagnostic d'une duodénite. À noter la stagnation de produit de contraste au niveau du gastre ainsi que plusieurs feces sign au sein du grêle distal évoquant un phénomène de gastro-parésie et parésie intestinale dans le contexte du Parkinson. Laboratoire : annexé. CT abdominal : appendicite aiguë sans signe de complication. Laboratoire : annexé. CT abdominal : pas d'argument pour une appendicite, pas de liquide libre intra-abdominal, tuméfaction marquée de l'ovaire droit. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 13.01.2020 : on retrouve le prolapsus rectal connu, mais pas d'autre anomalie associée ou sous-jacente. Important emphysème status post-intervention au niveau de la coupole diaphragmatique gauche. Défécographie du 16.01.2020 : après recueil du consentement éclairé de la patiente, prolapsus rectal remis en place par le Dr. X qui met en place également la sonde rectale. Gonflage du ballonnet. Remplissage du rectum à l'aide d'une pâte barytée. On dégonfle le ballonnet puis on retire la sonde. Le temps de redresser l'appareil pour effectuer la défécographie, le rectum s'est presque totalement vidé de la pâte barytée permettant d'apercevoir uniquement quelques diverticules. Sur l'examen de défécographie, une tentative de poussée sans évacuation. On visualise une jonction anorectale très bas située, en rapport avec le prolapsus rectal connu. Pas d'expulsion du peu de matériel baryté encore présent dans le rectum. Sur l'incidence de face, une image d'addiction à gauche en regard de la partie distale du rectum. ETT du 15.01.2020 (Dr. X) : progression de la sténose aortique actuellement très sévère, possible péjoration de l'insuffisance aortique et de l'insuffisance mitrale. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 16.01.2020 : status post-colectomie totale avec anastomose iléo-sigmoïdienne avec sténose à ce niveau, compliquée par un iléus mécanique grêle en amont. Les anses grêles mesurent jusqu'à 4,5 cm, avec du liquide libre, sans autres signes de souffrance. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 28.01 : les uretères sont fins, partiellement opacifiés. Hypotonie proximale de l'uretère gauche. Opacification partielle transitoire du tiers moyen de l'uretère gauche. Reins en place, de taille normale, sans masse ou calcul visible. Pas d'obstruction des voies urinaires. Vessie sondée, sans caillot ou processus expansif décelable. DIU. Pas de masse annexielle. Remaniement et épaississement cutané et sous-cutané en regard de la face interne du muscle grand-fessier à droite, à confronter à la clinique et aux antécédents de la patiente. Avis néphrologue, Dr. X, le 28.01.2020 : • cause néphrologique a priori peu probable, car une hématurie entraîne une perte de protéines, DD : cystite hémorragique (investigation par cystoscopie). Laboratoire : annexé. CT abdominal injecté : pancréatite aiguë œdémateuse Balthazar C. Pas de lithiase radio-opaque visible dans les voies biliaires. Nodule de la lèvre postérieure du rein gauche de 9x9 mm, de densité tissulaire, à confronter à une échographie dédiée. Laboratoire : annexé. CT abdominal natif : lithiase de 4x4 mm de l'uretère moyen gauche avec dilatation du pyélon en amont à 17 mm. Stéatose hépatique. Laboratoire : annexé. CT abdominal 17.01.20 : appendice visualisé, dilaté à 12 mm de diamètre avec des parois légèrement épaissies et infiltration de la graisse alentour (appendicite aiguë). Pas d'image d'abcès ou de collection focale au niveau de la fosse iliaque droite ou dans le petit bassin. Laboratoire : annexé. CT abdominal 30.12.2019 : colite descendante et sigmoïdienne, dans un contexte de maladie diverticulaire pancolique, DD diverticulite. Liquide libre intra-abdominal en quantité modérée, probablement réactif. Pas d'arguments en faveur d'une perforation ou d'un abcès. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif + massif facial 06.01.2020 : petite plage hyperdense au niveau du cortex du gyrus frontal supérieur droit, pouvant correspondre à une petite contusion hémorragique. Pas de trait de fracture visible au niveau des os du crâne ou du massif facial. CT cérébral natif 07.01.2020, comparatif à l'examen du 06.01.2020 : petite plage hyperdense au niveau du cortex du gyrus frontal supérieur droit, pouvant correspondre à une petite contusion hémorragique (inchangée par rapport au comparatif CT scanner du 06.01.2020). Laboratoire : annexé. CT cérébral natif + sinus/massif facial natif 06.01.2020 : pas d'hémorragie intra-cérébrale. Fracture de la paroi antérieure du sinus maxillaire gauche avec hématosinus. CT genou/jambe droit natif 06.01.2020 : fracture de la rotule multi-fragmentaire légèrement déplacée avec un discret décalage au niveau de la surface articulaire sur le versant interne du genou. Pas de fracture du condyle fémoral ou du plateau tibial ddc. Arthrose fémoro-tibiale externe. Lipohémarthrose. Tuméfaction des tissus mous pré-rotuliens. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif 06.01.2020 : scanner cérébral dans les limites de la norme, sans lésion post-traumatique aiguë, sans hémorragie. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif 08.01.2020 : pas d'hémorragie intra-cérébrale mise en évidence. Pas de trait de fracture au niveau des os du crâne ou du massif facial. Hypodensités diffuses de la substance blanche péri-ventriculaire et profonde des deux côtés pouvant correspondre à une leuco-encéphalopathie, inchangées par rapport au comparatif. Laboratoire : annexé. CT cérébral 27.12.2019 (initial) : hématome sous-dural chronique de l'hémi-convexité gauche mesurant 6 mm d'épaisseur maximale contre 10 mm sur l'examen comparatif, mais avec apparition de composantes denses dans sa partie temporale témoignant d'un saignement récent. Hématome sous-dural chronique de l'hémi-convexité droite mesurant 6 mm d'épaisseur maximale, comme sur l'examen comparatif, avec apparition de composantes denses témoignant de saignement récent.Hématomes sous-duraux aigus le long de la tente du cervelet à droite ainsi que rétro-clival. Pas d'effet de masse notable sur le parenchyme cérébral et le tronc cérébral. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Système ventriculaire et citernes de la base de morphologie normale. Ectasie des sillons cérébraux en rapport avec l'âge de la patiente. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas de fracture. Pneumatisation normale des cavités sinusiennes de la face ainsi que des cellules mastoïdiennes. Discrète infiltration des parties molles sous-cutanées en région péri-orbitaire droite. Hématome sous-dural chronique de l'hémi-convexité gauche mesurant 6 mm d'épaisseur maximale contre 10 mm sur l'examen comparatif, mais avec apparition de composantes denses dans sa partie temporale témoignant d'un saignement récent. CT cérébral et CT contrôle 27.12.2019 : on retrouve une minime lame d'hématome sous-dural aigu sur chronique de la convexité à droite, stable avec stabilité d'une minime lame d'hématome sous-dural aigu sur chronique temporal gauche. Stabilité d'un minime lame d'hématome épidural rétro-clival avec minime lame d'hématome sous-dural de la tente du cervelet à droite. Stabilité de lame d'hématome sous-dural du faux du cerveau de 3 mm d'épaisseur. Pas d'hydrocéphalie. Le reste de l'examen est inchangé. CT rachis cervical 27.12.2019, rachis exploré de C0 à D1 : alignement satisfaisant des murs antérieurs et postérieurs des vertèbres. Hauteur préservée des corps vertébraux. Pas de fracture ni de luxation mis en évidence. Uncarthrose pluri-étagée du rachis cervical. Absence d'argument en faveur d'un hématome épidural. Pas d'infiltration notable des parties molles para-vertébrales. Nodule thyroïdien gauche estimé à 3 cm de grand axe, en partie calcifiée, à corréler à un ultrason. Sur les coupes passant par les apex pulmonaires, mise en évidence d'emphysème de type centro-lobulaire et paraseptal. Laboratoire : annexé. CT pelvis natif 01.10.2020 : copie annexée. Laboratoire : annexé. CT scanner du 02.01.2020 : sigmoïdite sur un segment de 7 cm environ, pour laquelle une lésion tumorale sous-jacente ne peut pas être exclue, à corréler à une coloscopie à distance de l'épisode aigu. Stase stercorale sans distension pathologique. Trois lésions hypodenses hépatiques à caractériser par une IRM. Hypertrophie du lobe gauche hépatique avec contours réguliers du foie. Laboratoire : annexé. CT thoracique injecté et abdomen natif et injecté 17.01.2020 : emphysème sous-cutané au niveau de l'hémi-thorax et l'hémi-abdomen à gauche, inchangé par rapport au comparatif. Emphysème sous-cutané au niveau supra-claviculaire gauche et dans la creux axillaire gauche, diminué par rapport au comparatif. Pneumomédiastin inchangé par rapport au comparatif. Pas de pneumopéritoine. Laboratoire : annexé. ECG : RSR 61 bpm, axe normal, PR 184 ms, QTc 374 ms, pas d'anomalie ST. US abdomen complet natif 07.01.2020 : stéatose hépatique. Plusieurs calculs vésiculaires dont les plus gros mesurent respectivement 21 mm et 11 mm de diamètre. Aspect feuilleté et épaissi de la paroi vésiculaire pouvant correspondre à une cholécystite débutante ou à un status post-passage de calcul. Pas d'hydrops vésiculaire. Pas de dilatation des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. Petit calcul rénal gauche caliciel, non-obstructif. Laboratoire : annexé. ECG : RSR 80/min, axe normal, PR 160ms, QRS fin, QTC 424 ms, pas de signe ischémique. CT thoracique injecté 27.01.2020 : pas d'embolie pulmonaire. Pas de foyer. Pas d'épanchement pleural. US système urogénital 27.01.2020 : les reins se présentent normalement à l'exception d'une petite lésion hyperéchogène de 7 mm dans le tiers moyen du rein gauche pouvant correspondre à un angiomyolipome. La vessie présente des parois discrètement épaissies avec des détritus intravésicaux, d'origine probablement hématique, mobilisés par l'arrivée de l'urine. Pas de caillot constitué. Le volume vésical lors de l'examen est supérieur à 560cm3 avec un résidu post-mictionnel de 500cc. Laboratoire : annexé. ECG : rythme sinusal régulier à 78 bpm, axe normal, pas de trouble des intervalles ni de la repolarisation. CT scan abdominal injecté 09.01.20 : l'examen ne permet pas de visualiser une perforation de la vessie. Cystographie rétrograde le 13.01.2020 : fistule entre la vessie et la cavité abcédée de la fosse iliaque gauche, actuellement drainée. Image d'un reflux vésico-urétéral de grade I à droite. Laboratoire : annexé. ECG : rythme sinusal régulier à 81 bpm. Axe normal. QRS à 82 ms Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. CT colonne cervicale et cérébral natif 11.01.2020 : fracture discrètement déplacée de l'os propre du nez. Pas d'autre lésion traumatique intra-crânienne ou cervicale. Rx thorax le 11.01.2020 : pas de fracture visible. US sein unilatéral, partiel du 12.01.2020 : les collections visibles en superficie de la glande mammaire à l'union des quadrants supérieurs doivent correspondre à des hématomes. Pas de douleurs au passage de la sonde. Nous ne proposons pas de ponction de ces collections au vu de leur configuration anfractueuse, de leur contenu (caillot), de leur taille relativement petite et de l'absence de douleur significative chez cette patiente. Laboratoire : annexé. ECG 14.01.2020 : rythme sinusal, extra-systoles ventriculaires isolées, suspicion de surexcitation végétative (DD : hyperkaliémie). CT cérébral initial du 02.01.2019 : deux saignements intraparenchymateux, frontal droit de 16 x 11 x 7 mm et pariétal droit de 5 mm de diamètre, sans effet de masse. Pas d'effet de masse notable. Pas d'autre saignement mis en évidence. Hématomes sous-galéaux multiples bilatéraux, sans fracture mise en évidence. CT cérébral de contrôle du 03.01.2019 : discrète progression en taille des hémorragies intraparenchymateuses fronto-pariétales droites connues. La lésion du gyrus frontal supérieur droit est passée de 5,7 x 3,8 mm à 6,5 x 5 mm. La lésion pariétale droite est passée de 7,8 x 10 mm à 8,7 x 13 mm. Pas de nouvelle lésion hémorragique décelable. On retrouve des hypodensités péri-ventriculaires s'étendant jusque dans le centre semi-ovale des deux côtés, devant correspondre à des lésions dégénératives microvasculaires. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Le système ventriculaire est inchangé en taille et en aspect. Pas de fracture du crâne. Majoration de la tuméfaction des tissus mous de la région pariéto-occipitale droite ainsi que frontale gauche. Rx bassin et hanche droite du 04.01.2020 : nécrose avasculaire de la tête fémorale droite avec coxarthrose, pas de fracture. Laboratoire : annexé. Rx coude gauche : pas de fracture. CT cérébro-cervico-thoracique natif le 09.01.2020 : pas d'hémorragie intracérébrale. Pas de lésion post-traumatique au niveau des os du crâne ou du massif facial. Altérations dégénératives discovertébrales cervicales, plus marquées au niveau C5, C7 inchangées par rapport au scanner comparatif du 31.01.2017. Pas de trait de fracture visible. Au niveau de la colonne dorsale : altérations dégénératives discovertébrales dorsales, plus marquées au niveau dorsal moyen et inférieur. Discret tassement des corps vertébraux de D8 et D12, inchangé par rapport au comparatif. Laboratoire : annexé. Rx thorax face 28.12.2019 : fracture sur matériel d'ostéosynthèse claviculaire gauche. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible.Rx colonne dorsale 28.12.2019 : importantes superpositions gênant l'interprétation sur le cliché de profil. Dans les limites des incidences, pas d'anomalie de la statique rachidienne avec alignement conservé des murs vertébraux. Si forte suspicion de déplacement osseux post-traumatique des processus épineux, à compléter par un CT à distance. CT cérébral natif et colonne cervicale natif 26.12.2019 : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture des os du crâne ni du rachis cervical. CT thoracique et abdomen natif et injecté 27.12.2019 : déplacement secondaire de la fracture multi-fragmentaire du tiers moyen de la clavicule gauche avec déformation de la plaque d'ostéosynthèse déplacée au sein des parties molles sous-cutanées, associée à une infiltration des parties molles au pourtour du site fracturaire, ainsi qu'au pourtour de la plaque d'ostéosynthèse déplacée. Fracture du manubrium sternal du côté gauche avec extension du trait fracturaire au sein de l'articulation sterno-claviculaire, associée à une discrète infiltration hématique rétro-sternale en regard. Fracture de l'arc postérieur des côtes 2 à 6 du côté gauche avec déplacement des fractures des 4ème et 5ème côtes. Condensations et infiltrats en verre dépoli dans le parenchyme pulmonaire en regard, au sein du segment postérieur du culmen, de la lingula et du lobe inférieur gauche, compatibles avec des contusions pulmonaires. Petit pneumothorax apical. Fractures non déplacées des processus épineux de D3 et D4. Fracture non déplacée du corps de la scapula gauche. IRM 27.12.2019 : fractures connues peu déplacées des processus épineux de D3-D4, sans atteinte interfacettaire ni atteinte ligamentaire interfacettaire. Atteinte ligamentaire inter-épineuse D3-D4, D4-D5 avec infiltration liquidienne. Infiltration hématique en regard des fractures costales en série à gauche, associée à un foyer de contusion pulmonaire sous-pleural. Suspicion de contusion osseuse des plateaux supérieurs étagés de D4 à D7 sans fracture. Scanner abdominal du 02.01.2020 : diverticulite dans le colon descendant classée IIa selon Hansen & Stock. Doute sur une éventuelle colite sigmoïdienne associée, sous réserve de l'absence de distension, en raison d'une tentative d'administration de produit de contraste par voie rectale, mal supportée par Mr. Y, et interrompue rapidement. Scanner cérébral initial du 01.01.2020 : hémorragie sous-arachnoïdienne dans le sillon central droit et en région frontobasale des deux côtés, de petite taille. Discrètes hyperdensités linéaires symétriques dans des sillons pariétaux, pouvant représenter des calcifications vasculaires ou des hémorragies sous-arachnoïdiennes minimes. Fracture non déplacée de l'os occipital droit, sans extension au travers des sinus veineux. Fracture caudale du rocher droit extra-labyrinthique passant par la partie postérieure et latérale du foramen jugulaire droit avec bulle d'air en regard et comblement hématique de quelques cellules mastoïdiennes. Scanner cérébral de contrôle du 02.01.2020 : hémorragie sous-arachnoïdienne inchangée du sillon central droit. Aspect inchangé de l'hémorragie intraparenchymateuse de 10 x 5 mm fronto-basal gauche. Hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-basal bilatérale inchangée. Apparition de petites hémorragies vraisemblablement épi ou sous-durales frontales gauche avec apparition d'une collection extradurale hypodense frontotemporal gauche de 5 mm d'épaisseur, suggérant la formation débutante d'un hygrome sans franc effet de masse, ni dévié de la ligne médiane. Les discrètes hyperdensités linéaires symétriques dans des sillons pariétaux précédemment visibles ne sont quasiment plus reconnaissables; en revanche, apparition d'une hyperdensité spontanée sous-arachnoïdienne pariétale droite correspondant à une hémorragie. Le reste de l'examen inchangé, notamment des fractures connues. US abdominal 03.01.2020 : suspicion d'appendicite aiguë. US abdominal 08.01.2020 : au niveau hépatique, on retrouve le petit kyste biliaire de 6 mm au niveau du segment VI hépatique. La lésion cicatricielle du segment VII n'est quant à elle pas visualisée en raison de la fenêtre échographique. Pas d'autre lésion visualisée. La vésicule présente un épaississement modéré des parois, mesurées à 3 mm, pouvant correspondre à une cholécystite chronique. On retrouve plusieurs calculs infundibulaires de petite taille, sans dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Rate à la limite supérieure de la norme, mesurée à 124 mm de grand diamètre. IRM 09.01.2020 : lithiase cholécystique. Deux petits calculs au niveau du cholédoque juxta-papillaire, mesurant environ 4,5 mm, sans dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Pas de lésion focale suspecte au niveau du foie. Discrète splénomégalie. US abdominal 13.01.2020 : par rapport au comparatif échographique du 08.01.2020, on note une diminution de l'épaisseur de la paroi vésiculaire, avec persistance d'un calcul au niveau infundibulaire. Pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Le cholédoque a été visualisé uniquement dans sa partie proximale. Le bas cholédoque n'étant pas visible à l'échographie, nous ne pouvons pas nous prononcer sur l'évolution des calculs visualisés à l'IRM. IRM 14.01.2020 : persistance de deux calculs dans la partie distale du cholédoque. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Cholécystolithiase multiple avec des parois fines de la vésicule biliaire. ERCP 15.01.2020 : deux calculs de 3-4 mm visualisés au niveau du cholédoque distal. Extraction de débris et d'un calcul. Opacification suivante sans calcul résiduel visible. US abdominal du 11.01.2020 : cholécystolithiases multiples. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Aspect épaissi des parois de la vésicule biliaire (environ 4,3 mm) sans douleur lors du passage de la sonde, DD : status post-passage de calcul. Stéatose hépatique. US abdominal du 13.01.2020 : par rapport au comparatif du 11.01.2020, l'épaississement des parois vésiculaires est régressif malgré le status post-prandial. Les calculs intra-vésiculaires sont toujours en place. Pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Le cholédoque est visualisé sur sa longueur et présente un diamètre normal. Pas de calcul. On note un élargissement du Wirsung à 3 mm, qui n'était pas présent lors du dernier examen, pouvant témoigner d'un status post-passage de calcul. IRM 15.01.2020 : cholécystolithiase sans signe de cholécystite aiguë. Suspicion d'adénomyose du fond de la vésicule biliaire. Le canal cholédoque mesure 6 mm sans cholédocholithiase. Dilatation sans cause obstructive visible du canal de Wirsung au niveau céphalique avec un canal normal au niveau corporéal et caudal, mesuré à 6 mm au niveau céphalique. Laboratoire : ASAT 67 U/I, ALAT 76 U/I, Gamma-gt 101 U/I, bilirubine totale 20,9 umol/l, bilirubine directe 7,2 umol/l. • Retour à domicile et contrôle des paramètres hépatiques chez le médecin traitant en fin de semaine/début de semaine prochaine. Laboratoire : bonne fonction rénale, pas de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire : propre. CT abdominale natif du 26.01.2020 : Examen réalisé sans injection de produit de contraste en protocole low-dose. CT comparatif du 04.08.2019 : On retrouve une lésion hypodense de taille millimétrique au dôme hépatique, non caractérisable sur la base de cet examen. Sous réserve d'un examen non injecté, pas d'autre lésion focale visible. Pas de dilatation des voies biliaires. La vésicule biliaire est sans calcul radio-opaque, sans infiltration autour.La rate mesurant 11 cm en cranio-caudal sans lésion focale visible. Intégrité du parenchyme surrénalien et rénal. Pas de dilatation pyélocalicielle. Pas de calcul visible dans les voies urinaires. Pas de franche infiltration péri ni pararénal. Pas de calcul visible dans la vessie. Pas de distension pathologique de tube digestif. Diverticulose pancolique sans complication visible. Pas de liquide libre ni adénomégalie. Les bases pulmonaires sont libres en dehors d'une minime infiltration paravertébrale basale à droite, déjà visible sur le comparatif. En fenêtre osseuse, pas de lésion ostéolytique ni ostéocondensante suspecte visible. Conclusion : Pas de calcul visible dans les voies urinaires. Pas de dilatation pyélocalicielle. Pas de franche infiltration para ni péri-rénale visible (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. ECG du 07.12.2019 : fibrillation auriculaire à 90 bpm, axe normal, QRS 94 ms, QTc 373 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation. Radiographie du thorax de face le 08.12.2019 : absence d'un bon inspirium. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Laboratoire : cf annexes. CT Triple Rule Out Thoraco-abdomino-pelvien : Pas de dissection aortique ni embolie pulmonaire. Pas d'image d'occlusion coronarienne sténose significative. Dilatation du tronc pulmonaire en faveur d'une hypertension pulmonaire et cardiomégalie avec ballonisation du ventricule gauche. En fenêtre parenchymateuse, pas de franc foyer parenchymateux mais on retrouve les bandes pleuro-parenchymateuses avec remaniement architectural dans les parties déclives des lobes inférieurs comme sur le comparatif. Infiltration péri-vésiculaire ainsi qu'au pourtour de la tête et du processus unciné du pancréas à corréler au bilan biologique (passage d'une lithiase avec pancréatite biliaire ?). US abdomen supérieur : Complément au CT du même jour : Vésicule aux parois épaissies et œdématiées mais sans calcul visible en son sein. Parois non feuilletées. Discret Murphy échographique. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatique ni calcul visible. Laboratoire : cf. annexe. Angio-CT, 29.01.2020 : Pas d'hémorragie ou d'ischémie constituée visible, pour rappel, l'examen de choix reste l'IRM. Artère vertébrale gauche filiforme dès son origine, avec perte d'opacification en regard de C2 correspondant à une occlusion chronique probable. Suspicion de status post thrombose veineuse (plus ou moins chronique) du sinus sigmoïde gauche. Procidence rétro-pharyngée de l'artère carotide interne droite en regard de C2. Kinking important des vaisseaux précérébraux, compatible avec une hypertension artérielle. Laboratoire : cf annexe. Antigène urinaire Pneumocoques et Legionelle du 16.01.2020 : négatifs. Frottis grippe du 16.01.2020 : négatif. Rx thorax le 16.01.2020. Angio-CT thoracique du 18.01.2020 : Embolie pulmonaire dans l'artère pulmonaire droite avec atteinte des branches lobaires, segmentaires et sous-segmentaires en aval, sans répercussion cardiaque droite. Infiltrats en verre dépoli à prédominance bi-basale, et dans une moindre mesure dans la lingula et le segment postérieur du lobe supérieur droit. Plages en rayons de miel en base droite et réticulations périphériques (DD fibrose). Comblement bronchique et troubles ventilatoires bi-basaux. Absence de nodule suspect individualisé. Athérome mixte aortique et calcifications coronaires. Quelques ganglions médiastinaux supérieurs, de taille non significative. Discopathies multi-étagées. DISH. Angio-CT thoracique du 20.01.2020 : aspect stable des embolies pulmonaires à droite et du parenchyme pulmonaire, sans condensation, abcès ou cavitation. Persistance de la dilatation de l'atrium droit, avec reflux de contraste dans la veine cave inférieure. Diamètre des artères pulmonaires stable. Persistance des infiltrats en verre dépoli à prédominance bi-basale, dans une moindre mesure dans la lingula et le segment postérieur du lobe supérieur droit, en rapport avec une surcharge, sans qu'une atteinte infectieuse ne puisse être exclue formellement. Aspect stable des plages en rayons de miel en base droite et réticulations périphériques. Échocardiographie transthoracique du 23.01.2020 : Aspect de cœur pulmonaire aigu avec : Dilatation du ventricule droit et de l'oreillette droite. Fonction systolique du ventricule droit altérée avec signe de McConnell positif (akinésie de la paroi libre et normokinésie de l'apex). HTP importante avec PAPs estimé à au moins 71 mmHg (gradient VD-OD 61 mmHg + POD 10-15 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée à sévère sur prolapsus discret des 3 feuillets probablement secondaire à l'hypertension pulmonaire. Valve pulmonaire normale. Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié. FEVG à 50-55 % (évaluation visuelle), cinétique segmentaire non clairement évaluable. Remodelage concentrique. D-Shaping systolo-diastolique en faveur d'une surcharge de pression du VD, au détriment du VG. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Aorte ascendante non visualisée. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Oreillette gauche non dilatée. Absence d'épanchement péricardique. Échocardiographie transthoracique du 27.01.2020 : amélioration de la fonction systolique radiale du VD, augmentation de l'HTP avec PAPs actuellement estimée à 80 mmHg. Échocardiographie transœsophagienne du 28.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Aorte de dimension normale. Présence d'athéromes de < 4 mm adhérents à la paroi de l'aorte descendante. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche non dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Dilatation du ventricule droit avec fonction systolique normale. Dilatation de l'oreillette droite. HTP avec PAPs estimée à 58 mmHg. Insuffisance tricuspide modérée (rayon PISA 5 mm, VC 6 mm). Valve pulmonaire normale. Foramen ovale perméable à l'état basal, avec passage évident de microbulles au repos. Shunt modéré droit-gauche (FOP grade II). Anévrisme du septum interauriculaire. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexe. Coronarographie le 23.12.2019 (Dr. X, Dr. X) : subocclusion thrombotique de l'artère coronaire droite moyenne avec akinésie inféro-basale comme corrélat à l'infarctus inférieur subaigu. Une angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne avec implantation de 1 stent actif est réalisée, avec bon résultat final. CT abdominal le 26.12.2019 : Saignement actif intraluminal avec une origine au niveau de la paroi droite du bas rectum, épaissie, à environ 7 cm de la marge anale, sans infiltration de la graisse à proximité. Pas de liquide libre. Multiples ganglions à proximité du cæcum, qui présente de multiples diverticules non compliqués. Rectosigmoïdoscopie le 26.12.2019 : Ulcère rectal probablement traumatique. Proctite actinique. Diverticulose calme. L'ulcère, à priori causé par le lavement, présente très probablement la source du saignement visualisé au CT et a été traité par clip et adrénaline. Au vu des hématochézies décrites déjà avant la double-antiagrégation et qui s'inscrivent dans le contexte de la proctite actinique, on doit s'attendre à une continuation des extériorisations de sang. En absence de nouvelle baisse d'hémoglobine significative, je ne propose pas d'intervention sous double-antiagrégation, mais un traitement par coagulation au plasma argon (APC) en électif à distance sous Aspirine seule. L'aspect endoscopique ne fait pas suspecter une infiltration tumorale (CA de la prostate) mais je préconise de revoir les images du CT +/- endosonographie à distance. Sinon, revoir le rapport de la coloscopie du début de l'année (probablement pas de coloscopie de contrôle indiquée devant l'âge et les comorbidités du patient).Laboratoire : cf annexe CT abdominal le 27.01.2020 : Lâchage de l'anastomose colorectale termino-terminale associé à du liquide libre et à un pneumopéritoine. Status post-wedge hépatique des segments V et VII, sans signe de complication. Nous retrouvons d'autres hypodensités dans les segments I et VIII, stables par rapport au comparatif. Variante vasculaire avec drainage veineux indépendant du segment VII. Ectasie des voies biliaires intra- et extra-hépatiques, stables. Hypodensité de 13 x 5 mm sous-capsulaire au niveau splénique pouvant correspondre à un hématome post-opératoire. Thrombose des veines ovariennes bilatérales, probablement en rapport avec le status post-ovariectomie bilatérale. Status post-utérectomie droite avec mise en place d'une sonde double J. Status post-hystérectomie et annexectomie bilatérale. Vessie sondée. Laboratoire : cf annexe. CT cérébral le 23.01.2020 : Saignement intra-parenchymateux thalamique gauche de 14 x 11 x 8 mm, pas d'anomalie vasculaire sous-jacente mise en évidence, ni saignement actif visualisé. La localisation du saignement évoque en premier lieu une origine hypertensive. Echocardiographie transthoracique le 24.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (méthode de Simpson). Hypertrophie concentrique. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 4,21 l/min avec un index cardiaque à 2,52 l/min/m² (101% de la théorique). Aorte normale. Rétrécissement aortique serré calcifié, d'origine dégénérative. Surface aortique à 0,66 cm² (0,39 cm²/m²) selon l'équation de continuité, et à 0,8 cm² par planimétrie. Gradient moyen VG-Ao à 42 mmHg. Insuffisance aortique minime. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires (PAPs à 32 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bilan neuropsychologique le 27.01.2020 : En conclusion, ce bref screening neuropsychologique et logopédique, effectué à 4 jours d'un AVC thalamique G chez cette patiente de 74 ans collaborante mais légèrement stressée, met en évidence au niveau du langage oral un manque d'incitation verbale et un léger manque du mot. Au niveau du langage écrit, des difficultés d'écriture avec des additions et des omissions de lettres, un graphisme peu lisible, des difficultés en calcul, des difficultés pour les praxies idéomotrices, des troubles en mémoire antérograde verbale (atteinte du processus de récupération et dans une moindre mesure du stockage), un dysfonctionnement exécutif au niveau cognitif (programmation motrice, sensibilité à l'interférence, contrôle inhibiteur, persévérations) et comportemental (anosognosie), cliniquement, des difficultés attentionnelles non latéralisées (attention sélective, fluctuations). Le tableau évoque une atteinte à prédominance mnésique et exécutive, compatible avec l'AVC récent. La patiente est rentrée à domicile le 28.01.2020 en accord avec le désir de sa famille. Dans ce contexte et au vu des troubles relevés, nous proposons un bilan d'évolution à 1 mois (la patiente sera convoquée par écrit). Laboratoire : cf annexe CT colonne lombaire le 07.01.2020 : Fracture corps vertébral L1 type B instable. Verdacht auf eine traumatische Läsion/Ruptur der Ligamenta flava sowie des Ligamentum interspinosum bzw. der verknöcherten Lig. supraspinale in Höhe BWK12 LWK1. Es zeigen sich, am ehesten bedingt durch eine Instabilität und eine anzunehmende Fehlbelastung über einen längeren Zeitraum knöcherne Umbauten sowie un geringerer Versatz an den horizontal frakturierten Facettengelenksanteile. Dorsal epidural relativ dichtes Material in dieser Höhe mit konsekutiven mindestens mittelgradigen Spinalkanalstenose. Eine Einengung/Kompression des Conus medullaris ist in Höhe BWK 12/LWK 1 möglich. Kein Nachweis einer pathologischen intraspinalen Anreicherung. Deutlich distendierte Harnblase nach kranial aus, DD neurogene Blase/Überlaufblase. Cholezystolithiasis ohne Zeichen einer Cholecystitis. Grosse blande Nierenzyste am rechten Unterpol. Laboratoire : cf annexe. PCR multiplex des selles le 23.01.2020 : négatif. Calprotectine dans les selles : 2279. RAD avec traitement symptomatique. Colonoscopie à l'HFR Fribourg en ambulatoire. Laboratoire : cf annexe. Radiographie thoracique face profil le 04.12.2019 : Radiographie réalisée en position couchée. Légère augmentation de la silhouette cardio-médiastinale en relation avec la position couchée. Sous réserve d'un inspirium incomplet, pas de foyer parenchymateux constitué visible. Émoussement du cul-de-sac pleural latéral droit probablement séquellaire. IRM du pied droit le 06.12.2019 : Forte suspicion d'ostéomyélite des deux phalanges du gros orteil droit sous réserve d'un examen réalisé sans injection i.v. de produit de contraste. Pas de franche collection constituée visualisée. Echocardiographie transthoracique le 06.12.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Dysfonction diastolique minime (grade I). Ectasie de sinus aortique mesuré à 40 mm. Sténose aortique légère (grade 1/3) d'origine dégénératif. Gradient moyen VG-Ao à 10 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Excès tissulaire du feuillet mitral antérieur. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP (PAPs à 35 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Pas d'argument franc pour une endocardite mais valve aortique calcifiée et présence d'un épaississement du feuillet mitral antérieur (DD : dégénératif). Artériographie du membre inférieur droit le 06.12.2019 : Intervention : ponction échoguidée, après anesthésie locale de l'artère fémorale commune droite et mise en place d'un introducteur 5F. Limitation des angiographies en raison de l'insuffisance rénale. Les injections ont été réalisées par introducteur long à partir de l'artère poplitée. Perméabilité sans sténose de l'artère poplitée distale. Occlusion de l'artère tibiale antérieure, 1 cm après son départ. Occlusion de l'artère fibulaire dès son départ, occlusion de l'artère tibiale postérieure, 1 cm après son départ. La jambe est vascularisée via des collatérales musculaires qui reprennent en distalité l'artère dorsale du pied et les artères plantaires. Changement de l'introducteur court pour un introducteur 5F long et injection de 5000 unités d'Héparine. Tentative infructueuse de cathétérisation de l'artère fibulaire puis de l'artère tibiale antérieure avec différents guides. En raison de l'absence de reprise de vascularisation de ces artères en distalité, la tentative n'est pas poursuivie. Retrait du matériel, fermeture du point de ponction par dispositif FemoSeal, compression du point de ponction durant 5 minutes puis pansement compressif durant 5 heures. Conclusion : Occlusion du trépied jambier avec vascularisation du pied par des collatérales artérielles musculaires dans la jambe. Tentative infructueuse de cathétérisation de l'artère fibulaire et de l'artère tibiale antérieure.Echographie doppler veineux du membre inférieur droit le 10.12.2019 : Les grandes veines saphènes sont perméables et compressibles des deux côtés, en proximal et jambier à droite, léger épaississement pariétal très focal, mais bien compressibles, diamètre à droite 3.6 mm, à gauche 2.7 mm, flux antérograde spontané. Veine poplitée compressible, sans reflux ddc, sans TVP. En passant, artère poplitée triphasique à droite, artère fibulaire calcifiée, mais perméable. Artère pédieuse avec flux à composante diastolique 80 cm/s, pente d'accélération correcte. Radiographie thorax (23.01.2020) : Pas de pneumothorax post pacemaker Laboratoire : cf annexe Rx bras droit du 08.01.2020 : Pas de lésion traumatique osseuse visible. Signe d'omarthrose. Pas d'altérations des tissus mous. CT cérébral du 08.01.2020 : Hématome sous-dural aigu pariétal gauche, d'épaisseur maximale de 5 mm, associé avec une contusion parenchymateuse hémorragique de 6 mm en regard du sillon central gauche, sans effet de masse visible. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. CT cérébral du 09.01.2020 : Pas de fracture cervicale. Diminution de l'hématome sous-dural pariétal gauche passant de 5 à 3 mm d'épaisseur maximale. Stabilité de la contusion parenchymateuse pariétale gauche. Laboratoire : cf annexe. Bilan Neuropsychologique du 14.01.2020 : ce bref screening neuropsychologique et logopédique, réalisé chez cette patiente de 79 ans collaborante et adéquate, met en évidence une légère désorientation aux 3 modes, en langage oral, un léger manque du mot dans une tâche de dénomination. En langage écrit, de légères difficultés de compréhension écrite de phrases, des difficultés pour les praxies idéomotrices et constructives, des difficultés pour les gnosies visuelles discriminatives, des troubles mnésiques épisodiques (atteinte des étapes de stockage et d'encodage), des troubles exécutifs au niveau cognitif (programmation, sensibilité à l'interférence et inhibition), un nombre d'omissions significatives à gauche dans une épreuve de détection de cibles pouvant laisser suggérer la présence d'une héminégligence G (à évaluer plus finement). Le langage oral, l'écriture, le calcul et les capacités attentionnelles sont globalement préservées dans le cadre de ce bref examen. Nous ne relevons pas d'aphasie. Le tableau est compatible avec l'AVC récent multi-territorial. Une prise en charge neuropsychologique et logopédique est indiquée. Angio-CT cranien le 17.01.2020 : comparatif du 12.01.2020 (CT externe). Examen réalisé sans injection de produit de contraste. Persistance d'une hyperdensité de 8 mm de long axe dans les centres semi-ovales à droite, en rapport avec l'hémorragie déjà décrite, de taille diminuée par rapport au comparatif (12 mm contre 8 mm). Pas d'autre hémorragie visualisée. Reste de l'examen globalement superposable au précédent. Angio-CT thoracique le 17.01.2020 : pas de thrombus flottant dans la lumière de l'aorte thoracique. Quelques plaques d'athérome calcifié de l'aorte thoracique ascendante dans la région sino-tubulaire. Laboratoire : cf annexe Consilium neurologique le 20.01.2020 : Mr. Y présente des troubles de l'état de conscience dans un contexte d'hyperammoniémie d'origine encore indéterminée. Le CT cérébral et l'EEG ne révèlent pas d'éléments en faveur d'une origine centrale autre, notamment pas d'état de mal épileptique, d'AVC ischémique ou hémorragique. Nous vous proposons de poursuivre les investigations au niveau hépatique et de réévaluer le traitement médicamenteux. Pas d'indication à un traitement antiépileptique pour le moment. Réévaluation le 21.01.2020 : Nette amélioration de l'état de conscience, patient restant désorienté dans le temps et partiellement sur sa personne. Au status, paires craniennes grossièrement symétriques, pas de latéralisation au niveau des voies longues. Pas d'ataxie MS et MI. Au vu de l'amélioration clinique et de l'absence de latéralisation, pas d'indication à imagerie ou autre bilan sur le plan neurologique. CT cérébral injecté le 20.01.2020 : pas de signes de saignement, athéromatose impotente des vaisseaux précérébraux sans signe de sténose. EEG le 20.01.2020 : Tracé pathologique par une activité de base ralentie et déstructurée, compatible avec une encéphalopathie modérée à sévère. Ce tracé est aspécifique, mais au vu du contexte, compatible avec une encéphalopathie toxique ou métabolique par exemple hépatique. US abdominal supérieur le 21.01.2020 : Vésicule biliaire lithiasique, présentant un épaississement modéré homogène de la paroi, correspondant à une cholécystite chronique. Pas de signe échographique pour une cholécystite aiguë. Visibilité des voies biliaires intra-hépatiques discrètement augmentée, sans signe de dilatation. Pas de cholédocholithiase visualisée, pas de dilatation des voies biliaires extra-hépatiques. IRM abdominal le 27.01.2020 : Pas de calcul dans les voies biliaires. Dilatation des voies biliaires intra-hépatiques à gauche avec ectasie anévrismale de taille péricentimétrique dans la partie proximale de la branche biliaire proximale à gauche. Épaississement d'allure tissulaire périportal ouvrant comme diagnostic différentiel une fibrose vs œdème périportal, associé à une légère splénomégalie et des liquides libres intra-péritonéaux, maladie inflammatoire chronique ? Ad biopsie hépatique. Le cas a été discuté avec Dr. X. Deux lésions de taille infracentimétrique en franc hypersignal T2 dans la tête du pancréas et une lésion de même caractère dans le corps du pancréas sans franche prise de contraste, leur relation avec le Wirsung ne peut pas être évaluée, non caractérisables. Ponction biopsie hépatique sous US le 30.01.2020 : Biopsie sous contrôle sonographique d'un nodule hépatique du segment IVa, et du foie non nodulaire dans ce même segment. Matériel envoyé chez Promed pour analyses histologiques. CT scanner abdominal le 30.01.2020 : Ascite dans les quatre quadrants. Complication hémorragique de la ponction-biopsie du jour avec hématome péri-hépatique droit dans l'ascite, sans saignement actif sur les temps artériel et portal. Signes d'hypertension portale avec varices péri-oesophagiennes. Laboratoire : cf annexe. CT cérébral injecté le 01.01.2020 : comparatif du 18.05.2019. Status post-décompression et reconstruction par volet osseux temporal droit. On retrouve de manière inchangée la volumineuse plage de gliose séquellaire fronto-temporale droite avec dilatation du ventricule latéral droit en rapport. Leuco-encéphalopathie péri-ventriculaire. Pas de saignement intracérébral. Pas de déviation de la ligne médiane. Aspect inchangé du comblement du sinus frontal droit s'étendant dans la zone de gliose frontale droite. Majoration du comblement des cellules mastoïdiennes à droite. Le reste des sinus paranasaux est libre. Pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Bonne opacification des sinus veineux intra-crâniens. Bonne perméabilité du polygone de Willis ; origine foetale de l'artère cérébrale postérieure gauche. Conclusion : aspect inchangé de la volumineuse plage de gliose séquellaire fronto-temporale droite. Absence d'hémorragie. Majoration du comblement des cellules mastoïdiennes à droite.EEG le 03.01.2020 : EEG modérément anormal par une activité de base ralentie et déstructurée. Pas d'activité épileptique sur ce tracé. Appréciation et proposition. Laboratoire : cf annexe CT cérébral injecté le 20.01.2020 : pas de signes de saignement, athéromatose impotente des vaisseaux précérébraux sans signe de sténose EEG le 20.01.2020 : Tracé pathologique par une activité de base ralentie et déstructurée, compatible avec une encéphalopathie modérée à sévère. Ce tracé est aspécifique, mais au vu du contexte, compatible avec une encéphalopathie toxique ou métabolique par exemple hépatique. US abdominal supérieur le 21.01.2020 : Foie de morphologie et d'échostructure normales, de contours réguliers, sans lésion focale visible. Diamètre cranio-caudal sur la ligne médio-claviculaire 129 mm. Lame d'épanchement péri-hépatique. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Vésicule biliaire à parois épaissies (mesurée à 7 mm), avec présence de multiples lithiases. Pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Le cholédoque n'est pas dilaté (mesuré à 6 mm) dans sa partie proximale visualisable. Laboratoire : cf annexe CT cérébral le 15.01.2020 : Pénombre occipito-temporale gauche sans dédifférenciation cortico-sous-corticale avec possible occlusion de l'artère cérébrale postérieure gauche en P4. Athéromatose calcifiée au départ des artères carotides internes avec subocclusion au départ de l'artère carotide interne gauche CT cérébral le 20.01.2020 : Pas d'hypodensité cortico-sous-corticale en faveur d'une lésion ischémique constituée. Pas d'hémorragie intraparenchymateuse ni sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous- ou extra-durale. Le reste de l'examen est superposable. EEG le 16.01.2020 : pas d'activité épileptique franche, minime focalisation lente fronto-temporale gauche compatible avec une origine lésionnelle, à encadrer dans l'AVC suspecté, ou dans un état post-critique. Doppler des vaisseaux pré-cérébraux le 21.01.2020 (Dr. X) : sténose non significative de l'artère carotide interne gauche (50%), asymptomatique. Oesophago-gastro-duodénoscopie le 20.01.2020 (Dr. X) : Oesophage normal. Pas d'hernie. Pas d'oesophagite. Estomac sans lésion jusque dans l'antre où se trouvent 3 petites érosions de 2 mm, couvertes d'un peu de fibrine. Bulbe et deuxième duodénum sans lésion. Pas de trace de sang dans le tube digestif. Laboratoire : cf annexe CT cérébral natif du 21.01.2020 : Pas d'hémorragie intracrânienne. Laboratoire : cf annexe CT total body le 09.01.2020 : Hématome sous-dural para-falcoriel gauche de 5 mm et dans une moindre mesure probablement à droite et de 2 mm. Hématome sous-dural le long de la tente du cervelet à droite, max. 2 mm d'épaisseur. Leuco-araïose péri-ventriculaire. Hématome sous-galéal fronto-pariétal gauche. Athéromatose calcifiée des siphons carotidiens des deux côtés et des bifurcations carotidiennes des deux côtés sans sténose. Fracture des apophyses épineuses de C7 à D2. Fracture de l'arc postérieur de la première vertèbre gauche. Fracture sous-épineuse de la scapula droite sans extension à la surface glénoïdale. DISH du rachis dorsal avec fracture avec éloignement des bords fracturaires au travers du plateau inférieur de D5 ainsi que d'un pont ostéophytaires D5-D6 arraché à son insertion sur D6 associé à une atteinte distractive de la bande de tension postérieure passant au travers de l'apophyse épineuse de D5 et de la pointe de l'apophyse épineuse de D6, pouvant faire penser à une fracture d'hyperextension (AO spine B2 ou B3). Fracture des apophyses transverses droites de D3 à D6. Unco-discarthrose de C4 à C7 et arthrose facettaire aux mêmes niveaux. Discarthrose et arthrose facettaire lombaire. Athéromatose calcifiée de la crosse aortique et des artères coronaires. Pacemaker pré-pectoral gauche reliée à deux sondes se terminant dans l'auricule droit et le ventricule droit. Lame d'épanchement pleural à droite. Pas d'adénopathie. Pas de pneumothorax. Pas de nodule suspect. Nodule triangulaire à raccordements septaux juxta-scissural du lobe moyen évoquant un ganglion intraparenchymateux. Prostate agrandie et hétérogène. Diverticulose sigmoïdienne sans signe de diverticulite. Hernie hiatale par glissement. Athéromatose calcifiée de l'aorte et ses branches sans sténose. CT cérébral le 10.01.2020 : Comparatif du 09.01.2020. Diminution de l'hématome sous-dural para-falcoriel gauche mesurant 3 mm, stable à droite. Pas d'œdème périlésionnel. Diminution de l'hématome sous-galeal gauche. IRM colonne cervicale et dorsale le 10.01.2020 : rapport en cours Laboratoire : cf annexe. CT-scan cérébral injecté le 01.01.2020 : épaississement cutané/sous-cutané des parties molles de l'hémiface gauche s'étendant de la région frontale, pré-septale et jugale gauche. Infiltration diffuse de la graisse sous-cutanée de l'hémiface gauche s'étendant jusqu'à la parotide gauche et se prolongeant caudalement jusqu'à la partie antérieure et supérieure du cou antérieurement aux muscles platysma. De façon moins marquée que le côté gauche, épaississement sous-cutané des tissus mous en regard de l'arcade zygomatique droite/sinus maxillaire droit. Absence d'infiltration de la graisse orbitaire. Pas d'atteinte osseuse sous-jacente visible. Les lésions cutanées/sous-cutanées lymphomateuses connues ne sont quasiment plus reconnaissables ; il persiste quelques stigmates en région jugale gauche et pariétale gauche. Discrète augmentation du comblement quasi-complet du sinus maxillaire droit (kyste de rétention), déjà présent sur les comparatifs. Épaississement muqueux du sinus frontal droit et sphénoïde gauche. Reste de l'examen globalement superposable, avec une absence de prise de contraste pathologique intraparenchymateuse supra- et infratentoriels et d'hémorragie intra- ou extraaxiale. Sillons cérébraux bien définis et système ventriculaire et citernes de la base de morphologie normale. Polygone de Willis perméable. Absence de thrombose des sinus veineux et des parties visibles des veines jugulaires internes. Conclusion : Dermohypodermite de l'hémiface gauche se prolongeant dans la partie crâniale du cou ; l'infiltration diffuse de la graisse sous-cutanée de l'hémiface gauche s'étend jusqu'à la parotide gauche mais sans abcès parotidien visible. De façon moins marquée que le côté gauche, image de dermo-hypodermite de la région prézygomatique/maxillaire droite. CT cervico-thoraco-abdominal le 06.01.2020 : (comparatif CT cérébral du 01.01.2020 et PET/CT du 09.12.2019) > cou : majoration de la dermohypodermite de l'hémiface gauche se prolongeant dans la partie crâniale du cou. De façon moins marquée que le côté gauche, légère majoration de la dermo-hypodermite de la région prézygomatique/maxillaire droite. Absence d'adénopathie cervicale de taille significative. > thorax : status post-exérèse complète de l'adénopathie axillaire droite avec clips chirurgicaux et remaniements post-opératoires en lieu et place sans collection constituée visible. Pas d'adénopathie axillaire gauche de taille significative, ni d'adénopathie de taille significative le long des chaînes mammaires internes. Absence d'adénopathie médiastino-hilaire de taille significative. > abdomen : pas de lésion suspecte visible. Laboratoire : cf annexe ECG : rythme sinusal régulier normocarde, sus-décalage 1 mm en V2. Coronarographie le 04.01.2020 (Dr. X) : _ Laboratoire : cf annexe ECG : rythme sinusal régulier normocarde, sus-décalage 1 mm en V2. Coronarographie le 04.01.2020 : Le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion intermédiaire <50 %. La première diagonale présente une lésion critique à 90-99 %. L'artère circonflexe proximale présente une lésion peu sévère <30 %. L'artère circonflexe moyenne présente une lésion intermédiaire à 50-70 %, englobant l'origine de la seconde marginale. L'artère coronaire droite proximale présente une lésion peu sévère <30 %. L'artère interventriculaire postérieure présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. La ventriculographie gauche a été réalisée. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 65% (en OAD).Laboratoire : cf annexe ECG le 17.01.2020 Laboratoire : cf annexe Gazométrie le 02.01.2020 : acidose métabolique, pas de lactate Radiographie du thorax le 02.01.2020 : foyer pulmonaire droit Laboratoire : cf annexe. Oesogastroduodénoscopie le 23.01.2020 : l'étiologie la plus probable est une pill-induced oesophagitis. Poursuivre les IPP à haute dose, 40 mg 2x/jour. Nourriture lisse en position assise pour les prochaines 48 à 72h. Une OGD de contrôle est à prévoir dans 4 semaines sous stand-by anesthésique à l'HFR. Laboratoire : cf annexe. Radiographie de thorax du 30.01.2020 : status après mise en place d'un pacemaker dont les sondes se situent en surprojection de la silhouette cardiaque. Pas de pneumothorax. Pas de foyer pulmonaire visible. Discret épaississement bronchique à la base gauche. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexe Radiographie du thorax : élargissement du hile droit en majoration par rapport au CT de 2015 avec des lésions nodulaires calcifiées, à confronter à un CT scanner. Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Plages pulmonaires bien ventilées sans condensation ni nodule suspect. Pas d'épanchement pleural. St/p ostéosynthèse de la tête humérale droite. Discarthrose étagée. Echocardiographie transthoracique le 18.12.2019 : aspect de cœur pulmonaire chronique avec : dilatation importante du ventricule droit et de l'oreillette droite. Hypertrophie importante du ventricule droit. Akinésie de la paroi libre du ventricule droit. Fonction systolique radiale du ventricule droit très altérée (fonction longitudinale préservée). HTP importante (PAPs estimée à au moins 64 mmHg pour une POD à 5 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Valve pulmonaire normale. Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. D-Shaping systolo-diastolique du VG. Aorte modérément dilatée. Valve aortique calcifiée. Absence de rétrécissement aortique. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Absence d'épanchement péricardique. Spirométrie 23.12.2019 : fonctions pulmonaires complètes le 23.12.2019 : absence de trouble ventilatoire obstructif ou restrictif (VEMS 2.6 L (119 %), CPT 6.6 L (113 %)). DLCOc modérément diminuée à 54 %. Scintigraphie pulmonaire le 24.12.2019 : mise en évidence de multiples amputations perfusionnelles, segmentaires et sous-segmentaires, sans traduction à la ventilation, traduisant des embolies pulmonaires récentes. Mise en évidence de signes indirects d'une hypertension pulmonaire. CT thoraco-abdominal le 31.12.2019 : dilatation/globe de la vessie et des voies urinaires des deux côtés, suspect d'obstruction prostatique. Cardiomégalie avec signes de surcharge droite, pattern en mosaïque pulmonaire et importante dilatation centrale des artères pulmonaires et rétrécissement en distalité, typique d'un tableau d'hypertension pulmonaire sur maladie thromboembolique chronique. Apparition d'un épanchement pleural bilatéral de moyenne abondance. Augmentation de taille d'une lésion hépatique du segment VI, auparavant d'allure kystique mais prenant actuellement le contraste, à bilanter par exemple par ultrason ou IRM. Apparition d'une lésion tissulaire de 12 mm de la rate, non spécifique, DD hémangiome, autre. Possible épaississement de la paroi du colon ascendant. Cholécystolithiase sans inflammation floride. Hernie ombilicale à contenu intestinal, sans signe de strangulation. Polygraphie respiratoire nocturne diagnostique le 01.01.2019 (sous 1 L/min O2) : IAH 8.3/h, IDO 7.3/h, SpO2 moyenne 88 %, IAH sous-estimé au vu de l'oxygénothérapie. US hépatique le 07.01.2020 (provisoire) : examen comparé au CT scan du 31.12.2019. On retrouve plusieurs kystes simples dans le foie gauche et droit. La lésion hépatique du segment VI décrite au comparatif correspond à une lésion kystique avec contenu partiellement échogène mesurant 14 mm de grand diamètre, sans hypervascularisation au doppler. Cette lésion est aspécifique. Laboratoire : cf annexe. Radiographie du thorax le 06.01.2020 : examen réalisé en position couchée. Sous réserve de la position, on retrouve une discrète cardiomégalie. Pacemaker bicaméral prépectoral droit avec sondes connectées en surprojection de l'oreille et du ventricule droit. Sclérose du bouton aortique et déroulement de l'aorte thoracique. Accentuation de la trame péri-broncho-vasculaire en rapport avec des signes de surcharge. Épaississement bronchique diffus. Emoussement des angles costo-diaphragmatiques ddc pouvant être en lien avec des petits épanchements pleuraux. Cadre osseux et parties molles extra-thoraciques sp. Echocardiographie trans-thoracique le 07.01.2020 : VG non dilaté peu hypertrophié avec fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Flux mitral normalisé avec élévation des pressions de remplissage. Pas de sténose aortique surface aortique à 3,2 cm² (1,65 cm²/m²), gradient moyen VG-Ao à 10 mmHg. Insuffisance aortique modérée (grade 2/4). Discrète accélération sous aortique à 2 m/s sans SAM. Insuffisance mitrale modérée centrale (grade 2/4). SOR de l'IM à 0,21 cm². Dilatation importante du ventricule droit ++ avec insuffisance tricuspide importante +++ (grade 4/4) fonctionnelle par dilatation de l'anneau à 48 mm mais possiblement aussi par la sonde de PM qui va jusque dans l'infundibulum. Franc reflux dans les veines sus-hépatiques, dilatation importante de la veine cave inférieure et veines sus-hépatiques. Pas d'épanchement péricardique, épanchement abdominal. Interrogation du pacemaker le 07.01.2020 : pas de dysfonction, réglage en VVI. CT cérébral natif le 07.01.2020 : examen réalisé en phase natif. Absence de comparatif. Légère infiltration des tissus mous sous-orbitaires droits. Pas d'hématome sous-galéal. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Ectasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire. Élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux. Élargissement de la fossa sylvi ddc. Les structures médianes et les calcifications physiologiques sont en position normale. Pas de lésion focale, pas de masse. Épaississement muqueux du sinus maxillaire droit. Pseudophakie bilatérale. Radiographie de l'épaule le 07.01.2020 : fracture non déplacée du tiers distal de la clavicule droite. Ostéopénie. Boîtier de dispositif cardiaque en projection de la région pectorale. Congruence de l'articulation gléno-humérale. Calcifications en projection des insertions tendineuses sur la tête humérale. Radiographie de l'épaule le 15.01.2020 : en cours Laboratoire : cf annexe. Radiographie du thorax le 10.01.2020 : sans particularité. CT cérébral et sinus le 10.01.2020 : pas d'argument pour une sinusite ou une thrombose des sinus veineux. IRM colonne dorso-lombaire du 15.01.2020 : pas d'argument pour une spondylodiscite ou abcès lombaire. Examen dans les limites de la norme au vu de l'âge et de la constitution du patient.Laboratoire : cf annexe. Radiographie du thorax le 11.01.2020 CT scanner thoracique le 14.01.2020 : Large condensation pulmonaire intéressant le lobe inférieur dans ses segments apical, antéro-basal et latéro-basal, s'étendant également en postéro-basal et médio-basal sous forme de verre dépoli, discrètement moins condensé, compatible avec la pneumonie connue. Nombreux comblements bronchiques. Atélectasie quasi complète du lobe supérieur droit, avec des bronchectasies en son sein, le tout d'allure cicatricielle. Large bronchectasie dans le lobe moyen, dans sa portion supérieure. Épanchement pleural bilatéral, avec atélectasies partielles du parenchyme pulmonaire au contact des deux côtés. Le parenchyme du poumon gauche se présente autrement normalement. Laboratoire : cf. annexe. Radiographie du thorax le 13.01.2020 : par rapport au comparatif, absence de changement de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural, pas de signe de décompensation cardiaque. On retrouve les opacités linéaires du LSD et à la base gauche, sans autre opacité pulmonaire suspecte de foyer visible. Cadre osseux et tissus mous inchangés. CT thoracique du 14.01.2020 : disparition des lésions nodulaires lobaires inférieures gauches. Pas de nouvelle lésion nodulaire suspecte visible. Pas d'infiltrat ni de foyer clairement décelable. Bronchectasies séquellaires lobaires supérieures droites. Laboratoire : cf. annexe. Radiographie hanche, genou D : pas de comparatif. Trame osseuse ostéopénique. Pas de trait de fracture visible. Présence d'une coxarthrose droite. Discrète gonarthrose avec chondrocalcinose discrète du versant médial. Pas d'épanchement intra-articulaire significatif. Présence de matériel chirurgical en fosse iliaque droite. Tissus mous sp. Pas de tassement en L3. ECG 13.01.2020 : normocarde à 70 bpm et rythme sinusal régulier, normo-axé. Onde P monomorphe, PR <120 ms régulier, QRS fins et transition en V3-V4, QTc : 308 ms, ST sans sus- ou sous-décalage significatif. Onde T sp. Radio colonne lombaire, hanche droite et genou droit 13.01.2020 : pas de comparatif. Trame osseuse ostéopénique. Pas de trait de fracture visible. Présence d'une coxarthrose droite. Discrète gonarthrose avec chondrocalcinose discrète du versant médial. Pas d'épanchement intra-articulaire significatif. Présence de matériel chirurgical en fosse iliaque droite. Tissus mous sp. Laboratoire : cf annexe Rx thorax ap/lat 06.01.2020 : Comparatifs du 08.12.2019. Persistance d'un infiltrat péri-broncho-vasculaire en base gauche et péri-hilaire droit. Résorption de l'épanchement pleural bilatéral. Cardiomégalie. Sclérose, élongation et déroulement de l'aorte thoracique. Oesogastroduodenoscopie 06.01.2020 : Introduction du vidéo gastroscope Olympus par la bouche oesophagienne supérieure sous contrôle de la vue. Oesophage normal. Pas d'hernie. Pas d'oesophagite. Pas de lésion susceptible de saigner dans l'oesophage. Dans l'estomac, on note quelques minuscules vaisseaux un peu tortueux, correspondant à de toutes petites angiodysplasies mesurant 1 à 2 mm au plus et une muqueuse très fragile qui saigne au contact de l'endoscope. En regardant de près, la muqueuse contient une multitude de petites ponctuations rouges correspondant à de petits capillaires, il n'y a pas de véritable angiodysplasie de grande taille. De même, dans le bulbe et le duodénum, la paroi frappe également par 2 petits vaisseaux capillaires visibles en surface. On essaie d'électro-fulgurer quelques minuscules vaisseaux un peu plus visibles dans l'estomac avec le laser Argon. Conclusion : Minuscules vaisseaux capillaires, fragiles, ayant pu saigner dans l'estomac. Laboratoire : cf annexe Rx thorax du 05.01.2020 : Examen réalisé en position couchée en incidence antéro-postérieure. Sous cette réserve, thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Laboratoire : cf annexe Rx thorax du 07.01.2020 : Comparatif avec un radiographie thoracique en position debout du 12.02.2019. On constate qu'il y a une persistance d'un moyen trachéal et d'un normal large médiastin supérieur. La structure pulmonaire est bien définie, tous les vaisseaux sont bien visibles, signalant une redistribution apico-basale des largesses vasculaires. Des épanchements pleuraux bilatéraux de légère à moyenne intensité sont notés avec des hypoventilations adjacentes, ici un infiltrat peut être masqué. Echocardiographie transthoracique le 10.01.2020 (Dr. X) : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 50-55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. D-Shaping systolo-diastolique du VG en faveur d'une surcharge de pression du VD, au détriment du VG. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Dilatation importante du ventricule droit et de l'oreillette droite. Hypertrophie du ventricule droit. Fonction systolique radiale du ventricule droit altérée, avec fonction longitudinale conservée. Dilatation importante des cavités droites. HTP avec PAPs estimée à au moins 67 mmHg. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée par dilatation de l'anneau. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexe RX Thorax le 28.01.2020 : extrémité du cathéter de dialyse jugulaire interne droit en place. Laboratoire : cf. annexes. Bonne fonction rénale, bilan hépato-pancréatique dans la norme hormis lipase à 95 U/l, crosse dans la norme, légère leucocytose à 11.3 G/l, CRP <5 mg/l, glucose 6 mmol/l (créatinine 83 µmol/l, Na 143 mmol/l, K 3.9 mmol/l, leucocytes 11.3 G/l, Hb 168 g/l, PLT 233, INR 1.1, PTT 30 s). Lactates sur gazométrie veineuse : lactate 0.7 mmol/l. Cf. annexes. Groupe sanguin : A Rh+ (positif).CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. ECG : dans la norme. Cf. annexes. Avis chirurgical du Dr. X : transfert en chirurgie, manque de places à l'HFR. Avis chirurgical du Dr. X, CHUV : transfert au CHUV. Pose de sonde nasogastrique : antalgie par Fentanyl 150 µg, Paracétamol 1 g, Novalgine 1 g, hydratation 1000 ml NaCl 0,9 %, Primperan 10 mg, oxygénothérapie transitoire. Laboratoire : cf. annexes. Bonne fonction rénale, bilan hépato-pancréatique dans la norme hormis lipase à 95 U/l, crase dans la norme, légère leucocytose à 11,3 G/l, CRP < 5 mg/l, glucose 6 mmol/l (créatinine 83 µmol/l, Na 143 mmol/l, K 3,9 mmol/l, leucocytes 11,3 G/l, Hb 168 g/l, PLT 233, INR 1,1, PTT 30 s). Lactates sur gazométrie veineuse : lactate 0,7 mmol/l. Cf. annexes. Groupe sanguin : A Rh+ (positive). CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. ECG du 21.01.2020 : cf. annexes. Registre un rythme régulier et sinusal à 80 bpm, axe normal, intervalles PR à 140 ms, QRS fins, QTc à 420 ms, pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. CT-scan de l'abdomen natif et injecté : examen réalisé avant et après injection 95 ml de Iomeron 400 i.v. Vu la clinique du patient, pas de préparation par contraste oral. Comparatif : aucun. Foie : taille et morphologie normales. Pas de lésion focale. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul radio-opaque au sein de la vésicule, dont les parois sont fines, avec une image en bonnet phrygien du fond de la vésicule. Rate : taille et morphologie normales. Pancréas : taille et morphologie normales. Glandes surrénales : fines ddc. Reins : taille et morphologie normales, bonne différenciation cortico-médullaire. Pas d'hydronéphrose. Lésion hypodense de 12 mm de diamètre du pôle supérieur du rein D (kyste). Vessie : sans particularités, en faible réplétions. Prostate : calcifications en son sein. Rétropéritoine : pas d'adénopathie rétropéritonéale de taille radiologiquement significative. Aorte : dilatation focale bilobée de l'aorte abdominale infra-rénale mesurée au maximum à 3 cm de diamètre proximalement, située à environ 4 cm du départ de l'artère rénale G. Estomac, intestin, côlon : Status post bypass gastrique. Pas de distension significative de l'estomac. Distension de l'anse alimentaire (maximum 3,6 cm) avec un pied de l'anse qui se situe dans l'hémi-abdomen droit (hypocondre droit) avec une importante dilatation de ce pied de l'anse. Dilatation grêle en aval du pied de l'anse. Discret épaississement pariétal de ces anses dilatées. Distension modérée de l'estomac exclue. Les anses iléales présentent une distension modérée. Pas de distension du côlon. Cavité péritonéale : pas de liquide libre en quantité significative. Pas d'air libre. Parties molles : sans particularités. Bases pulmonaires : pas d'épanchement pleural, pas de lésion nodulaire suspecte. Troubles ventilatoires déclives. Colonne et os : pas de lésion osseuse suspecte dans l'ensemble du volume osseux exploré. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. CONCLUSION : iléus grêle intéressant l'anse alimentaire, le pied de l'anse et les anses intestinales en distalité du pied de l'anse dans le contexte d'un status post bypass gastrique pouvant faire évoquer une hernie interne. En effet, le pied de l'anse est situé dans l'hypocondre droit. Pas d'argument pour une perforation intestinale. Anévrisme bilobé de l'aorte abdominale infrarénale avec un diamètre maximum de 3 cm de diamètre. Laboratoire : cf. annexes. Conseils de garder la jambe surélevée au repos pour diminuer l'oedème. Poursuivre le suivi orthopédique comme prévu. Laboratoire : cf. annexes. Créatinine 107, urée 10,5, Na à 142, K à 3,7, leuco à 18,5 G/l, neutrophiles à 86,4 % CRP < 5, ASAT à 27, ALAT à 22, PA à 65, bilirubine totale à 14,3, bilirubine directe à 4,5, TP à 25, PTT à 30, INR à 2,5. Gazométrie artérielle : cf. annexes. pH à 7,4, pCO2 à 5,7, pO2 à 11,1, bicarbonate à 26, saturation à 96 %. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, PR à 164 ms, QRS à 118 ms, QTc à 446 ms, sus-décalage ST V1-V3. CT-scan thoracique natif et injecté et abdominal natif et injecté : examen réalisé avant et après injection i.v. de 90 ml de Iomeron. Comparatif du CT du 01.01.2015. Vasculaire : st/p valve mécanique aortique. Aorte de calibre régulier, sans signe du croissant en phase native, ni chenal au temps artériel. Massif cardiaque sans particularité. Thorax : Épaississement de la paroi de l'oesophage distal qui est entourée par une infiltration et liquide libre s'étendant dans l'espace médiastinal postérieur à la hauteur du ventricule gauche associé à un pneumomédiastin et un épanchement pleural modéré - important à gauche et un pneumothorax ipsilatéral. Pas de nodule pulmonaire suspect. Pas d'adénopathie médiastino-hilaire ni axillaire. Pas d'embolie pulmonaire centrale. Abdomen : Importante distension gastrique. Pas de liquide libre intra-abdominal. Pas de pneumopéritoine. Foie de taille et de morphologie normale sans lésion focale suspecte. Perméabilité du tronc porte et des veines sus-hépatiques. Aucun calcul radio-opaque dans la vésicule biliaire. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques. Pancréas, la rate, les surrénales sont sans particularité. Les reins sont de taille normale, sans dilatation du système excréteur. Kystes parapyéliques à gauche avec bassinet extrasinusal à droite. Vessie à parois fines et contenu hypodense. Pas d'adénomégalie mésentérique ni rétropéritonéale. Osseux : Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : forte suspicion pour une rupture de l'oesophage distal avec discret pneumomédiastin s'étendant en regard du ventricule gauche associé à un épanchement pleural modéré - important à gauche avec pneumothorax ipsilatéral. Estomac distendu. Pas de liquide libre intra-abdominal. Pas de pneumopéritoine. Pas de dissection aortique. Résultat transmis au chirurgien de garde. Laboratoire : cf. annexes. CRP 122 mg/l, leucocytose 11,4 G/l, créatinine 201 µmol/l. Gazométrie artérielle : lactates 0,7. Cf. annexes. Ultrason ciblé : liquide libre aux flancs avec prédominance en fosse iliaque gauche. CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. Avis chirurgical (Dr. X) : indication à une prise en charge chirurgicale. Avis chirurgical à l'HFR Fribourg : au vu des comorbidités, notamment la greffe cardiaque, nécessité d'un transfert dans une plateforme universitaire. Avis des urgences du CHUV : transfert accepté pour la suite de la prise en charge. Départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. CRP < 5 mg/l, leucocytes 12,2 G/l, Hb 148 g/l, K 3,2 mmol/l. Radiographie de la colonne lombaire face et profil et CT-scan de la colonne lombaire natif : CT du rachis lombaire et radiographies conventionnelles. Comparatif : radiographie du 5 octobre 2017 et IRM du 16 septembre 2016. St/p vertébroplastie avec cimentoplastie du corps vertébral de L4. Les traits de fractures précédemment visibles sont actuellement majorés en épaisseur mais absence de défaut d'alignement des différents composants de la vertèbre. Discrète extravasation de ciment dans les parties molles paravertébrales des deux côtés. Absence de ciment dans le canal rachidien. Séquelles de vis transpédiculaire dans les corps vertébraux de L3 et L5. Pas de franc rétrécissement canalaire ou foraminal visible sur cette modalité d'examen. On retrouve un bombement discal avec des ostéophytes postérieurs en L4-L5 déjà visible sur l'IRM comparative non sténosant. Arthrose facettaire pluriétagée prédominante à droite en L3-L4. Status post-embolisation de l'artère splénique sans autre anomalie des parties molles. IRM de la colonne lombaire native : comparatif : pas de comparatif. Examen effectué de D12 à S3.Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Status post-retrait de la spondylodèse L3-L5. On retrouve le status post-cimentoplastie au sein de L4. L1-L2 / L2-L3 : pas de discopathie significative. La taille du canal spinal et des neuroforamens est dans la norme. L3-L4 : dessiccation discale. Pas d'autre discopathie. La taille du canal spinal et des neuroforamens est dans la norme. Stigmates de vis transpédiculaires L3. L4-L5 : status post-fracture et cimentoplastie relativement inchangé du corps vertébral de L4. Bombement modéré à large rayon de courbure du disque L4-L5, débordant dans les neuroforamens. Ces neuroforamens sont modérément rétrécis à droite comme à gauche en raison de ce bombement discal, et une arthrose facettaire. Le rétrécissement est inchangé par rapport aux examens précédents et il n'existe pas de conflit. La taille du canal spinal n'est que modérément rétrécie pour les raisons précitées. L5-S1 : discrète dessiccation discale. Bombement discal à large rayon de courbure. Les neuroforamens sont inchangés, modérément rétrécis. Pas de conflit disco-radiculaire. La taille du canal spinal est dans la norme. Stigmates de vis transpédiculaires L5. La portion examinée du cordon médullaire se présente normalement. Pour le reste, musculature paravertébrale (y compris muscles psoas) symétrique. Pas d'adénopathie visible dans les portions examinées du rétropéritoine. La portion examinée de l'aorte abdominale se présente normalement. CONCLUSION : pas de hernie discale. Pas de conflit disco-radiculaire. Status post-retrait du matériel de spondylodèse L3-L5. Status post-cimentoplastie de L4 pour fracture, inchangé. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes. CT + radiographies du bassin du 28.01.2020 : examen réalisé sans injection de produit de contraste. Comparatifs CT du 09.05.2017 et 08.07.2016. Importante tuméfaction du muscle grand fessier gauche en rapport avec un hématome intramusculaire difficilement délimité. Pas de fracture mise en évidence. Altérations dégénératives diffuses du cadre osseux, avec une discopathie L3-L4 (DD L4-L5) marquée, une coxarthrose et une arthrose sacro-iliaque bilatérale marquée, ainsi qu'une chondrocalcinose à la symphyse pubienne. Multiples enthésopathies calcifiantes dans le volume exploré, par exemple des tubérosités ischiatiques ou des grands trochanters. Anomalie de transition de la jonction lombosacrée de type IIa selon Castellvi, avec élargissement du processus transverse gauche et pseudarthrose (DD hémi-sacralisation gauche de L5 ou hémi-lombalisation droite de S1). Progression du diamètre de l'aorte abdominale infrarénale peu avant sa bifurcation en artères iliaques, mesurée à 30 x 26 mm contre 26 x 21 mm précédemment au même niveau. Pour le reste, les organes pelviens sont superposables et on retrouve par exemple une diverticulose sigmoïdienne calme, ainsi qu'une prostate de taille agrandie avec une ectasie de l'urètre prostatique devant correspondre à un status après TURP. Conclusion : hématome du muscle grand fessier gauche, sans fracture mise en évidence. Anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale, mesurant 30 x 26 mm contre 26 x 21 mm en 2017. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes. CT abdomen natif du 20.01.2020 : reins : taille et morphologie normales, bonne différenciation cortico-médullaire. Pas de calcul pyélo-caliciel ddc. Calcul mesurant environ 5 mm à la jonction urétéro-vésicale droite avec une urétéro-hydro-néphrose en amont avec un pyélon mesuré à 15 mm de diamètre dans le plan axial. Pas d'hydronéphrose à gauche. Vessie : modérément distendue. Pour le reste, absence d'injection de produit de contraste. Foie : taille et morphologie normales. Pas de lésion focale sur cet examen natif. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul radio-opaque au sein de la vésicule, dont les parois sont fines. Rate : taille et morphologie normales. Pancréas : taille et morphologie normales. Glandes surrénales : fines ddc. Rétropéritoine : pas d'adénopathie rétropéritonéale de taille radiologiquement significative. Aorte : calibre normal. Estomac, intestin, côlon : pas de lésion sous réserve de l'absence de préparation. Cavité péritonéale : pas de liquide libre en quantité significative. Parties molles : hernie inguinale gauche à contenu adipeux. Bases pulmonaires : pas d'épanchement pleural, pas de lésion nodulaire suspecte. Colonne et os : pas de lésion osseuse suspecte dans l'ensemble du volume osseux exploré. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Conclusion : urétéro-hydronéphrose droite avec un pyélon mesuré à 15 mm de diamètre en raison d'un calcul de 5 mm de diamètre situé à la jonction urétéro-vésicale. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes. CT cérébral le 19.12.2019, 14:00 : Atrophie cortico-sous-corticale en rapport avec l'âge. Leuco-encéphalopathie vasculaire. Pas de lésion ischémique aiguë constituée, notamment pas d'asymétrie sur la carte de perfusion. Plaque mixte avec sténose d'allure significative au départ de l'artère carotide interne gauche. La circulation artérielle intracrânienne est sans particularité. Pas de prise de contraste cérébro-méningée pathologique pour un processus inflammatoire, infectieux ou tumoral. CT cérébral le 19.12.2019, 18:00 : Pas de changement par rapport au comparatif, sans apparition de lésion ischémique aiguë constituée ni d'asymétrie sur la carte de perfusion. Polygone de Willis inchangé et bonne opacité des sinus veineux. IRM cérébrale et vaisseaux précérébraux du 20.12.2019 (transmission orale) : Multiples foyers ischémiques sur le territoire sylvien à gauche. Doppler des vaisseaux précérébraux le 19.12.2019 : (transmission orale) : Sténose de 50% (bas degré, plaque molle) de l'artère carotide interne gauche. Échographie cardiaque le 06.01.2020 : • Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). • Aorte discrètement dilatée. Valve aortique normale. Absence de rétrécissement aortique. Gradient max. VG-Ao à 1 mmHg. Insuffisance aortique physiologique. • Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique minime (grade I). • Oreillette gauche discrètement dilatée. • Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence de signes pour une élévation des résistances pulmonaires. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. • Absence d'épanchement péricardique. • Absence de thrombus intracavitaire visualisé. Au vu d'une dilatation de l'aorte ascendante de 40 mm, une imagerie de base de toute l'aorte (CT/IRM) puis suivi par ETT tous les 2-3 ans est recommandé. Radio thorax 19.12.2019 : Silhouette cardio-médiastinale de taille et morphologie normales. Troubles ventilatoires bi-basaux. Pas d'épanchement. Cadre osseux et parties molles sans particularités. Laboratoire : cf annexes. CT cérébral natif et injecté du 20.01.2020 : examen réalisé avant et après injection intraveineuse de 80 ml de Xenetix 350. Absence de comparatif à disposition. Le parenchyme cérébral se présente normalement, sans lésion focale visible. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Absence de collection sous-durale ou épidurale. Pas de signes précoces d'AVC décelables. Morphologie normale du système ventriculaire et des sillons cérébraux. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Absence de rehaussement pathologique intra-axial après l'injection de produit de contraste. Les axes artériels sont perméables, sans sténose ni lésion anévrismale sur leur cours (sous réserve d'artéfacts de mouvement sur les carotides internes juste après leur départ). Bonne opacification des sinus veineux (variante de la norme avec le sinus sagittal supérieur qui se draine dans le sinus transverse droit uniquement). Le cadre osseux est sans particularité. Pas de comblement liquidien des sinus de la face et des cellules mastoïdiennes. Nodule thyroïdien droit de 17 x 30 mm hétérogène, aspécifique. Les glandes salivaires sont sans particularité. Absence d'adénopathie cervicale. Les apex pulmonaires sont sans particularité.Conclusion : pas de signe d'ischémie ou de saignement, ni anomalie des vaisseaux du cou et cérébraux. Nodule thyroïdien droit de 17 x 30 mm à corréler à un avis endocrinologique. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes. CT cérébral natif et injecté du 28.01.2020 : examen réalisé avant et après injection intraveineuse de 60 ml de Iomeron 400. Absence de comparatif à disposition. Le parenchyme cérébral se présente normalement, sans lésion focale visible. Pas d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Absence de collection sous- ou épidurale. Bonne différenciation cortico-sous-corticale. Morphologie normale du système ventriculaire et des sillons cérébraux. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Absence de rehaussement pathologique après injection de produit de contraste. Les axes artériels sont perméables, sans sténose ni lésion anévrismale sur leur cours. Bonne opacification des sinus veineux. Rectitude du rachis cervical avec inversion de courbure en C2-C3-C4 sans autre particularité du cadre osseux. Pas de comblement liquidien des sinus de la face et des cellules mastoïdiennes. La thyroïde et les glandes salivaires sont sans particularité. Ganglions cervicaux bilatéraux augmentés en nombre, de taille toutefois radiologiquement non significative. Les apex pulmonaires sont sans particularité. Conclusion : examen du cerveau et des vaisseaux pré-cérébraux dans les limites de la norme. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes. CT scanner cérébral le 20.12.2019 (12h45) : hémorragie au niveau du thalamus G, sans extension sous-arachnoïdienne, discret effet de masse au niveau du ventricule gauche, déviation de la ligne médiane de 2 mm, après injection pas d'anévrisme, vaisseaux précérébraux perméables. CT scanner cérébral le 20.12.2019 (18h) : discrète augmentation de la taille de l'hémorragie thalamo-capsulo-lenticulaire gauche, mesurée maintenant à 44 x 12 x 18 mm contre 38 x 13 x 17 mm (grand axe x cc x ap) auparavant. Apparition d'une déviation de 3 mm de la ligne médiane vers la droite. Discret œdème péri-lésionnel et effet de masse sur le ventricule latéral gauche, stable. Pas d'extension des espaces sous-arachnoïdiens. Echographie cardiaque transthoracique le 23.12.2019 Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (méthode de Simpson). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit normal. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence de signes pour une élévation des résistances pulmonaires (PAPs à 26 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bilan neuropsychologique 23.12.2019 En conclusion : cet examen neuropsychologique réalisé chez ce patient de 57 ans, collaborant, met en évidence : • une nosognosie partielle • au niveau du langage oral, un manque du mot, des paraphasies verbales réduisant par moment l'intelligibilité du discours, des paraphasies sémantiques et phonologiques autocorrigées • des troubles sévères en mémoire antérograde verbale (atteinte de la récupération et de l'encodage) • des troubles exécutifs (inhibition, flexibilité mentale) L'orientation, la compréhension, le langage écrit, le calcul et les praxies sont globalement préservés dans ce bref examen ; absence de signes manifestes d'héminégligence D. Le tableau évoque une atteinte à prédominance langagière et mnésique verbale, compatible avec une lésion thalamique sous-corticale G à 4 jours de l'AVC ; possible participation de troubles de l'humeur connus bien que le patient décrive un bon moral actuellement. Au vu des troubles relevés, une neurorééducation intensive est indiquée. Un suivi neuropsychologique et logopédique est nécessaire. Concernant l'aptitude à la conduite automobile, nous laissons le soin à nos collègues de l'HFR Meyriez d'évaluer cet aspect. Laboratoire : cf annexes. Dafalgan 1 g 3x/jour Brufen en réserve Hydratation per os Arrêt de travail à 100% du 20.01 au 24.01.2020 Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. CT abdominal : discrète dilatation urétéro-pyélo-calicielle à gauche sans lithiase visible (post passage de calcul ?) (Dr. X). Laboratoire : cf annexes. ECG : FA à env. 70 bpm avec une ExV, axe normal, intervalles QRS fins, Qtc à la limite supérieure à 450 ms, pas de trouble de la conduction, sous-décalage infra-millimétrique en V4-V6. RX thorax face/profil : Cœur de taille à la limite supérieure de la norme, avec un déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural (Dr. X). Laboratoire : cf annexes. ECG : RSR, FC 60 bpm, PR normal, QRS fins, normoaxé, QT dans la norme, pas d'anomalie du segment ST. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 83 bpm, déviation axiale gauche, PR et QT normaux et QRS fins. Radiographie thoracique de face et profil du 28.01.2020 : comparatif du 25.06.2015. Déroulement de l'aorte thoracique ascendante relativement superposable pouvant faire suspecter une pathologie de la valve aortique avec possible anévrisme de l'aorte thoracique ascendante. À confronter à un CT-scanner. Bombement de l'arc moyen. Silhouette cardiaque, sinon, dans les limites de la norme. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Image compatible avec une spondylodèse au niveau lombaire (en bordure de champ d'exploration). (Dr. X) Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 83/min, axe normal, PR 126 ms, QRS 104 ms, QTc 419 ms, bloc de branche droit. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier, FC 57/min. Axe normal. QRS à 0.10. Pas d'onde Q. Pas de trouble de la conduction. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier tachycarde à 116/min, axe normal 12°, PQ 142 ms, QRS fins à 440 ms (manuellement, Bazet, dérivation I), pas d'onde Q pathologique, segment ST isoélectrique, onde T négative et concordante en III et V1, suspicion d'une onde U qui fusionne avec la fin de l'onde T dans les dérivations précordiales, rendant le calcul automatique du QTc erroné à 510 ms, bonne progression de l'onde R avec une zone de transition en V3-V4. Test de Schellong : sp. US bilan des parties molles du 28.01.2020 : la plaie de laparotomie présente une ouverture à la peau dans la région supra-ombilicale mesurant environ 3 cm de longueur. À ce niveau, on met en évidence une collection s'étendant sur une profondeur d'environ 20 mm pour 8 mm de largeur et 36 mm d'extension cranio-caudale. Le contenu est hétérogène et comprend des bulles d'air. La détermination de la profondeur exacte s'avère compliquée en raison de l'artéfact lié à la présence des bulles d'air. Par comparaison, les muscles droits abdominaux se situent à 25 mm sous la peau. Dans la région infra-ombilicale, présence de deux ouvertures à la peau. À ce niveau, on met en évidence une collection reliant les deux extrémités, formant un canal d'environ 10 mm de diamètre. Le contenu est hétérogène avec présence de bulles d'air. (Dr. X)Laboratoire : cf. annexes. ECG à l'arrivée : TSV 200 bpm. cf. annexes. ECG suite à cardioversion : RSR 75 bpm, axe normal, PR 140 ms, QRS 84 ms, QTc 423 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation. cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 02.12.2019 : rythme sinusal normocarde à 66 bpm. PR à 180 ms. QRS fins, monomorphes, avec axe QRS avec tendance à gauche. Bonne progression de l'onde R dans les dérivations précordiales. Pas de troubles de la repolarisation. QTc (Bazett) 440 ms. Radiographie bassin du 30.12.2019 (comparatif du 20.12.2019) : st/p PTH gauche, inchangée, sans déplacement secondaire notable, sans fracture péri-prothétique. Hanche D inchangée. Discrète sclérose de part et d'autre de la symphyse pubienne devant correspondre à des remaniements dégénératifs. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 02.12.2019 : tachycardie sinusale à 130 bpm déjà connue et asymptomatique. Axe QRS normal. Bonne progression de l'onde R dans les dérivations précordiales. QTc (selon Bazett) 550 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 10.12.2019 : rythme sinusal régulier à 60 bpm. PR 160 ms. QRS 100 ms, monomorphes, axe avec tendance gauche. Transition de l'onde T dans les dérivations précordiales entre V4 et V5. Sus-décalage ST en V2 et V3 de 1 mm. QTc (Bazett) 380 ms. Radiographie thorax du 07.01.2020 : accentuation du volume thoracique. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Désorganisation de la trame bronchovasculaire dans le contexte de la BPCO connue. Actuellement, absence de foyer de surinfection décelable. Pas d'épanchement pleural. Cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Sclérose aortique. Multiples clips chirurgicaux en projection de l'abdomen supérieur post-intervention au niveau de la petite courbure gastrique (CT-scanner du 19.11.2019). Absence de fracture/tassement des corps vertébraux. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 11.12.2019 : rythme régulier sinusal avec une FC 81/min, déviation axiale extrême droite avec un aspect QS dans le territoire inférieur, PR et QT normaux et QRS fins. Spirométrie du 17.12.2019 : CVF 56% du prédit, VEMS 20% du prédit, Tiffeneau 30.9% - qualité A. Diffusion du CO du 17.12.2019 : DLCO 32% du prédit. Capno-oxymétrie nocturne du 18.12.2019, sous VNI (7/20) + O2 1.5 lt/min : SpO2 moyenne 89%, indice de désaturation 3/heure, tcpCO2 moyennes 6.5. Radiographie thoracique du 12.12.2019 : distension de la cage thoracique avec horizontalisation des côtes et aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Redistribution de la trame vasculaire. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 3 lt/min : distance parcourue 350 m, SpO2 fin 78%. Test des 6 minutes, à la sortie, sous O2 3 lt/min : distance parcourue 420 m, SpO2 fin 79%. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 13.12.2019 : rythme sinusal normocarde à 89 bpm. PR 180 ms. QRS avec morphologie de bloc de branche gauche complet avec critères de Sgarbossa négatifs. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 15.11.2019 : rythme sinusal régulier à 69 bpm. Axe normal. PQ 160 ms. QRS 100 ms. Transition de l'onde R dans les précordiales en V4-V5. Segment ST isoélectrique. Pas de trouble de repolarisation. QTc (selon Bazett) 365 ms. US doppler du 09.12.2019 : artère radiale droite recanalisée, flux orthograde triphasique, quelques dépôts intra-luminaux discrets dans la partie distale sans sténose. Les veines jugulaires sont recanalisées, flux orthograde DD. À gauche, elle est de petite taille (DD partie distale de la veine jugulaire atrophiée sur l'occlusion avec reprise d'une veine collatérale confondue avec la veine native). Pas de résidus vus. Aux MI : pas de TVP dans l'ensemble des veines du membre inférieur. Pas de TVP fémoro-poplité du membre inférieur gauche. Aspect d'occlusion chronique d'une des 2 veines tibiales post, reste des veines perméables. Évaluation neuropsychologique du 18-22.11.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 16.12.2019 : rythme sinusal régulier à 75 bpm, normoaxé. Spirométrie du 17.12.2019 : CVF 57% du prédit, VEMS 23% du prédit, Tiffeneau 33.1% - qualité A. Spirométrie du 03.01.2020 : CVF 82% du prédit, VEMS 28% du prédit, Tiffeneau 27.7% - qualité A. Oxymétrie nocturne du 18.12.2019, sous O2 1.5 lt/min (dès 23h20) : SpO2 moyenne 94.1%, indice de désaturation 0.7/heure. Oxymétrie nocturne du 19.12.2019, sous O2 1 lt/min : SpO2 moyenne 93.9%, indice de désaturation 0.5/heure. Oxymétrie nocturne du 26.12.2019, sous O2 1 lt/min : SpO2 moyenne 94.4%, indice de désaturation 0.3/heure. Capnographie nocturne du 16.12.2019, sous O2 1.5 lt/min : SpO2 moyenne 90.1%, indice de désaturation 26.02/heure, tcpCO2 5.3 kPa. Capnographie nocturne du 23.12.2019, sous O2 1 lt/min : SpO2 moyenne 85.5%, indice de désaturation 18.76/heure, tcpCO2 5.4 kPa. Diffusion du CO du 17.12.2019 : DLCO 32% du prédit. Radiographie thorax du 17.12.2019 (comparatif du 01.12.2019) : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Accentuation du volume thoracique avec nette raréfaction de la trame pulmonaire dans le contexte de l'emphysème connu. Aplatissement/éversion des coupoles diaphragmatiques. Discrètes lésions dégénératives étagées du rachis dorsal. Radiographie thorax du 03.01.2020 (comparatif du 17.12.2019) : accentuation du volume thoracique. Aplatissement/éversion des coupoles diaphragmatiques, raréfaction de la trame pulmonaire en périphérie des deux poumons dans le contexte de la BPCO connue. Hiles vasculaires. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 1.5 lt/min : distance parcourue 275 m, SpO2 fin 91%. Test des 6 minutes, à la sortie, sous O2 1 lt/min : distance parcourue 335 m, SpO2 fin 93%. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 17.12.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 70 bpm. PR 160 ms. QRS fins, monomorphes avec axe gauche. Pas de trouble de la repolarisation. Transition de l'onde R dans les dérivations précordiales entre V1 et V2. QTc (Bazett) 490 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 18.01.2020 : rythme régulier sinusal, FC 65 bpm, 1 extrasystole ventriculaire, axe normal, intervalles PR 120 ms, QRS fins, QTc dans la norme 430 ms, pas de trouble de la conduction ni de la repolarisation. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 20.12.2019 : rythme sinusal normocarde à 76 bpm, PR 180 ms, QRS fins, monomorphes, axe du QRS avec tendance à gauche. Transition de l'onde R entre V2-V3. Pas de trouble de la repolarisation. QTc (Bazett) 400 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 22.12.2019 : rythme sinusal régulier, QRS fins, axe normal, ST iso-électrique. Radiographie du thorax du 22.11.2019 : distension pulmonaire bilatérale avec signes de bronchopneumopathie chronique obstructive. Aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire. Calcifications du cartilage costal en rapport avec l'âge. Calcifications aortiques. CT-cérébro-cervical 22.11.2019 : • Cérébral : pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Ectasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire. Élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux. Élargissement de la fosse sylvienne des deux côtés. Les structures médianes et les calcifications physiologiques sont en position normale. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Pseudophakie bilatérale. • Cervical : pas de fracture ou de luxation du rachis cervical. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Importante arthrose facettaire multi-étagée. Radiographie du thorax du 03.12.2019 : malgré la position couchée, inspirium profond avec accentuation du volume thoracique évoquant un syndrome obstructif lié à l'âge. Raréfaction de la trame pulmonaire et de l'interstice. Cœur de taille dans la norme, sans signe de décompensation visible. Sclérose aortique. Pas d'épanchement pleural. Importantes calcifications chondro-costales. CT cérébral du 04.12.2019 : importante atrophie cortico-sous-corticale avec leucopathie vasculaire. Laboratoire : cf annexes. ECG du 24.12.2019 : rythme sinusal régulier bradycarde à 54 bpm. PR 180 ms. QRS fins, monomorphes avec axe horizontal. Transition de l'onde R dans les dérivations précordiales entre V4 et V5. QTc (Bazett) : 350 ms ECG du 27.12.2019 : superposable à l'ECG du 24.12.2019. En particulier pas d'aplatissement de l'onde P, QRS fins, pas d'onde T hyper-pointues. Laboratoire : cf annexes. ECG du 30.12.2019 : rythme sinusal régulier à 95/min, normoaxé, PR et QT normaux et complexe QRS fins sans trouble du rythme associé. Gazométrie artérielle du 04.01.2020, sous O2 6 lt/min : pH 7.38, paCO2 6.17 kPa, paO2 10.4 kPa, satO2 93.4%. Radiographie thorax du 31.12.2019 (comparatif du 16.12.2019) : évolution favorable avec régression du foyer de condensation rétrocardiaque basale gauche. Persistance d'un infiltrat mais réapparition partielle de la coupole diaphragmatique. Absence d'épanchement pleural surajouté. Persistance d'une discrète accentuation de la trame péribronchique basale droite sans épanchement. Le cœur est de volume dans les limites supérieures de la norme. Radiographie thorax du 03.01.2020 : persistance d'une discrète accentuation de la trame rétrocardiaque basale gauche sans épanchement pleural surajouté visible. Tassement du parenchyme pulmonaire en base droite sur surélévation de la coupole diaphragmatique. Accentuation de la trame dans le contexte d'un foyer infectieux au décours. De nouveau foyer aux apex pulmonaires. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Pas d'épanchement pleural. St/p mise en place d'un drain en double J rénal ddc. CT scan thoraco-abdominal injecté du 04.01.2020 : à l'étage thoracique, condensation des lobes inférieurs et du lobe moyen avec infiltrats micronodulaires diffus, en rapport avec une atteinte infectieuse. Un nodule de 6 mm dans le lobe supérieur droit à recontrôler à distance de l'épisode infectieux. Cardiomegalie avec dilatation de l'oreillette droite pouvant être en rapport avec une surcharge droite. À l'étage abdominal, statut post-hystérectomie et vraisemblable annexectomie bilatérale, splénectomie, cholécystectomie et dilatation des voies biliaires en rapport, ainsi que mise en place d'une stomie en fosse iliaque gauche. Mise en place de sonde JJ des deux côtés avec dilatation. Laboratoire : cf annexes. Flatulex 42 mg 4x/jour pour 1 semaine. Perenterol 250 mg 1x/jour pour 5 jours. Mme Y vue par le Dr X, chirurgien. Culture des selles. Contrôle clinique et pister le résultat (la patiente n'a pas de médecin traitant). Laboratoire : cf annexes. Frottis nasopharyngé : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. FSS, fonction rénale, électrolytes sp. Pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire : cf annexes. FSS, fonction rénale, électrolytes sp. Pas de syndrome inflammatoire. Crase sp. Tests hépatiques sp. Laboratoire : cf annexes. FSS, fonction rénale, électrolytes sp. Pas de syndrome inflammatoire. ECG : cf annexes. RSR 75 bpm, axe normal, PR 152 ms, QRS 88 ms, QTc 449 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation. Sédiment urinaire : sp. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie artérielle : cf annexes. 2 paires d'hémocultures au froid : en cours. ECG : cf annexes. CT protocole aorte : décrit ci-dessous. Pose de sonde nasogastrique. Radiographie du thorax de contrôle post-naso-gastrique : décrite ci-dessous. Vu perturbation des valeurs de la crase, le patient a reçu du Konakion 10 mg iv, Beriplex 500 ml, acide Tranexamique 1g. Antalgie par Fentanyl 250 µg au total. Le drain thoracique a été posé par le Dr X, chirurgien de garde : 1000 ml de liquide (du sang). Analyses de liquide de ponction : en cours. Céfépime 2000 mg, Vancomycine 500 mg dose aux urgences. Transfert au CHUV avec REGA et SMUR. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie artérielle : pH à 7.4, pCO2 à 5.0, pO2 à 8.6, saturation à 93%. ECG : cf annexes. Radiographie du thorax : comparatif du 02.12.2019. Silhouette cardiaque de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Atélectasies en bandes fines supra-diaphragmatiques basales droite. Pas d'épanchement pleural. On retrouve la lésion nodulaire supra-hilaire postérieure droite d'environ 2.5 cm de diamètre maximal correspondant à une lésion tumorale en cours d'investigation. Pas d'autre lésion nodulaire suspecte visible. Pas de foyer parenchymateux systématisé. Discrètes lésions dégénératives médiodorsales. CT thoracique injecté : examen réalisé après injection de 60 ml de Ioméron 400 i.v. En comparaison avec le CT du 03.12.2019. Tronc pulmonaire de calibre normal, sans embolie pulmonaire décelée. Aorte thoracique de calibre normal. Calcifications de l'IVA et de l'arc aortique. Pas d'épanchement péricardique. Pas d'adénomégalie médiastino-hilaire. Quelques ganglions médiastinaux et hilaires. Pas d'adénomégalie axillaire ni de la chaîne mammaire interne ni de l'angle cardio-phrénique. Dans le parenchyme pulmonaire, nous retrouvons la lésion du segment postérieur du LSD, passant de 25 x 21 mm à 26 x 25 mm. Pas d'autre nodule suspect. Dystélectasies bibasales. Pas de foyer constitué. Quelques granulomes calcifiés dans le lobe supérieur dans le parenchyme pulmonaire bilatéral. Épanchement pleural d'abondance minime, bilatéral. Sur les coupes passant par l'étage abdominal, le foie, la vésicule biliaire, la rate et les surrénales ainsi que le pancréas se présentent normalement. Pas de lésion focale. Sur le volume osseux exploré, pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : pas d'embolie pulmonaire, ni de foyer constitué. Augmentation de la lésion du LSD passant de 25 x 21 mm à 26 x 25 mm. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie artérielle. Antigènes urinaires du 15.01.2020 : positives pour pneumocoques. Culture d'urine du 15.01.2020 : 10E6, flore mixte. Hémocultures du 15.01.2020 : 4/4 bouteilles positives à Escherichia coli multisensible. ECG du 15.01.2020 : rythme sinusal tachycarde à 128/min, axe normal à 9°, PQ à 136 ms, QRS à 76 ms, QTc 438 ms, onde Q en III et aVF, sous-décalage inframillimétrique en I et V5-V6, onde T négative et concordante en III, transition de l'onde R en V5. RX thorax du 15.01.2020 : radiographie effectuée en position couchée. Opacité relativement homogène, bien délimitée médio-basale droite, correspondant probablement à l'atélectasie sur probable broncho-aspiration de corps étranger, déjà connue. Émoussement du récessus costo-diaphragmatique droit pouvant correspondre à un épanchement pleural de faible abondance. Quelques discrètes opacités en bande bibasales pouvant correspondre à des bandes d'atélectasie. Pas de foyer évident. Pour une meilleure évaluation du poumon, nous proposons un scanner thoracique. CT thoracique du 15.01.2020 : Atélectasie chronique médio-basale droite, superposable à l'examen de 2012, probablement sur broncho-aspiration de corps étranger, encore visible en intra-bronchique, inchangé. Pas de foyer de pneumonie. US des voies urinaires du 16.01.2020 : Dilatation pyélo-calicielle droite avec un pyélon mesuré à 12 mm de diamètre sans cause obstructive évidente sur cet examen. Uro-CT le 16.01.2020 : Urétéro-hydro-néphrose droite avec un pyélon mesuré à 16 mm de diamètre en raison d'un calcul de 6 x 5 mm de diamètre situé au niveau de l'uretère proximal, à 20 mm distalement de la jonction pyélo-urétérale. Pas d'hydronéphrose à gauche. Laboratoire : cf annexes. Hb 127 g/l, INR 1.1, TP 79.CT-scan cérébral et cervical natif : absence de comparatif. Cerveau : fine lame hyperdense en région sous-arachnoïdienne frontobasale droite (DD : hémorragie ? artefact ?). Le parenchyme cérébral se présente normalement, sans lésion focale visible. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse. Pas de collection sous- ou épidurale. Morphologie normale du système ventriculaire et des sillons cérébraux. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Os et tissus mous : pas de fracture ni d'anomalie des tissus mous. La dent de l'axis est centrée entre les masses latérales de l'atlas. Alignement normal des vertèbres et des massifs articulaires postérieurs. Pas d'épaississement de la bande de tissus mous pré-vertébrale. Pas de comblement liquidien des sinus de la face et des cellules mastoïdiennes. Apex pulmonaires : sans particularité. CONCLUSION : suspicion d'une fine lame d'hémorragie sous-arachnoïdienne frontobasale droite (DD : artefact de durcissement ?). Absence d'autre anomalie visible. Résultat définitif du compte rendu transmis au médecin de garde des urgences le matin du 29.10.2019 à 11h00. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.5 G/L, CRP 29 mg/L. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.9 G/L, CRP < 5 mg/L. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, Hb dans la norme, pas de trouble électrolytique, créatinine et urée à la limite inférieure (46 µmol/l, 2.4 mmol/l), pas de perturbation hépato-pancréatique. Sédiment urinaire : présence de leucocytes sans nitrite (3-5), pas d'hématurie microscopique. Cf. annexes. Test de grossesse urinaire : négatif. Hydratation. Primpéran. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Mme. Y vue avec le Dr. X, de médecine interne. Retour à domicile. Traitement symptomatique. Arrêt de travail jusqu'au 16.01.2020. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie cheville gauche : détaillée ci-dessous. Avis Orthopédiste (Dr. X). Immobilisation par botte plâtrée fendue. Cannes et Clexane 40 mg. Repos avec jambe surélevée. Antalgie. RDV de contrôle à la consultation du Dr. X, le 08.01.2020. Prise en charge chirurgicale pour le 09.01.2020. Arrêt de travail jusqu'au 09.01.2020. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de la colonne cervicale : décrite ci-dessous. CT-scan cérébral et colonne cervicale le 18.01.2020 : décrit ci-dessous. Avis neurochirurgical (Dr. X, Inselspital Bern) : transfert en ambulance en neurochirurgie à Bern (via les urgences), intervention à planifier dans la semaine. Immobilisation par minerve. Antalgie par Paracetamol 1 g à 13h40, Fentanyl 50 µg à 13h40, Voltarene 75 mg iv à 15h00. NaCl 500 ml iv. Surveillance neurologique aux urgences. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous. Bepanthen Onguent nasal 3-4x/jour. Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie thorax face/profil du 28.01.2020 : silhouette cardiaque inchangée par rapport au 13.01.2020. Déroulement de l'aorte thoracique connu et inchangé. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Discret épaississement bronchique basal D, relativement superposable. Pas de foyer constitué. Pas d'épanchement pleural. Pas de tassement de la colonne dorsale. Laboratoire : cf. annexes. RX abdomen couché du 20.01.2020 : répartition physiologique du gaz intestinal. Pas de coprostase significative. Cadre osseux sain hormis pour une calcification du labrum à D. CT-scan abdomen injecté du 20.01.2020 (pas de comparatif) : foie : taille et morphologie normales. Pas de lésion focale. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul radio-opaque au sein de la vésicule, dont les parois sont fines. Rate : taille et morphologie normales. Pancréas : taille et morphologie normales. Glandes surrénales : fines ddc. Reins : taille et morphologie normales, bonne différenciation cortico-médullaire. Pas d'hydronéphrose. Vessie : sans particularités. Rétropéritoine : pas d'adénopathie rétropéritonéale de taille radiologiquement significative. Aorte : calibre normal. Estomac, intestin, côlon : aspect épaissi du sigmoïde proximal sur environ 4 cm avec infiltration de la graisse péritonéale alentour. Colonne et os : pas de lésion osseuse suspecte dans l'ensemble du volume osseux exploré. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Conclusion : image compatible avec une diverticulite aiguë Hansen et Stock 2A du sigmoïde proximal. Laboratoire : cf. annexes. RX gros orteil G : absence de CE radio-opaque en projection des parties molles. Pas d'argument pour un tophus goutteux. Discrète réaction ostéophytaire débutante sur le versant interne de la tête MT. Pas de destruction osseuse de type érosion ou géode visible. Les rapports articulaires sont conservés. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Très discret syndrome bronchique. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Test de grossesse : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. US abdomen complet natif du 20.01.2020 : foie de morphologie et d'échostructure normales, de contours réguliers, sans lésion focale visible. Diamètre antéro-postérieur sur la ligne médio-claviculaire 134 mm. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Vésicule biliaire à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Pancréas homogène, sans particularité. Rate homogène mesurant 125 mm de grand diamètre. Reins de morphologie normale, aux contours réguliers avec bonne différenciation cortico-médullaire (rein droit 123 mm, rein gauche 110 mm). Pas de dilatation des voies excrétrices urinaires. Vessie en réplétion partielle lors de l'examen, volume estimé à 100 cc, à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Méats urétéraux libres, jets symétriques. Utérus sans particularité. Ovaire gauche sans particularité, ovaire droit non visualisé en raison d'interpositions aérodigestives. Pas de liquide libre dans le petit bassin. Absence de masse dans le rétropéritoine. Aorte abdominale de calibre régulier à 14 mm. Veine cave inférieure sans particularité. En raison d'un important écran gazeux, l'appendice ne peut pas être visualisé. Conclusion : en raison d'interpositions aérodigestives ainsi que d'une vessie peu remplie, l'ovaire droit ainsi que l'appendice n'ont pas pu être visualisés. L'ovaire gauche se présente sans particularité, tout comme l'utérus. Pas de liquide libre dans le petit bassin. Si une exploration de l'ovaire droit s'avère nécessaire, nous recommandons un examen par voie transvaginale. Laboratoire : cf. annexes. Sérologie hépatite E : cf. annexes. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoire le 31.01.2020. Laboratoire : cf. annexes. Sérologie hépatite E : cf. annexes. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoire le 31.01.2020. Laboratoire : cf. annexes. Surveillance paramètres vitaux : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Syndrome inflammatoire avec leucocytes à 10.6 G/L et CRP à 22 mg/L, Hb dans la norme, glucose dans la norme, créatinine et urée dans la norme, pas de trouble électrolytique. Test de grossesse urinaire : négatif. ECG : fréquence à 93/min, rythme sinusal et régulier, axe à -10°, pas de trouble des intervalles, pas de trouble de la repolarisation ni de la morphologie. Radiographie du thorax face : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité.Laboratoire : cf. annexes. Tests de dépistage des troubles cognitifs le 16.12.2019 : MMS à 29/30, test de la montre à 4/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Laboratoire : cf. annexes. Urée 7.8 mmol/l, créat 84 umol/l, Na 143, K 4.6 mmol/l, CRP<5, leucocytose 16.1 G/l, Hb 161 g/l, PLT 229 G/l avec neutrophilie 14.12 G/l, INR 1.1, PTT 30 s, CK 256 U/l. Radiographie de la colonne cervicale face, profil et axiale : CT-scan cérébral natif : CT-scan de la colonne cervicale natif : pas de comparatif disponible. Examen réalisé avant et après injection de 60 ml de Iomeron. Cérébral : pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Colonne cervicale : fractures minimalement déplacées de l'arc antérieur gauche et des arcs postérieurs de C1, avec minime rotation et déplacement latéral de la partie latérale droite et minime rotation médiane de la partie latérale gauche de C1, entraînant une perte de la congruence des articulations atlanto-occipitales. Fracture transverse à la base du processus odontoïde, avec discret déplacement postéro-latéral vers la gauche et une minime bascule postérieure de la dens, sans retrécissement canalaire. Foramens intacts. Pas d'autre fracture visualisée. Oedème des tissus mous en regard de C1 et C2. Sur le plan vasculaire, perméabilité des vaisseaux à un pré-cérébraux jusqu'au polygone de Willis, sans atteinte traumatique, dissection/anévrisme ou sténose significative. Pas d'anomalie suspecte au niveau des apex pulmonaires visualisées. CONCLUSION : fracture de Jefferson type 3. Fracture du processus odontoïde type 2. Pas de lésion traumatique vasculaire cervicale. Pas d'atteinte traumatique cérébrale. Laboratoire : cf. annexes. Angio CT cérébral du 12.01.2020 : pas de saignement intracrânien. Pas d'accident ischémique constitué. Cartes de perfusion symétriques. Défaut d'opacification de l'artère vertébrale gauche débutant à hauteur de C3 et s'étendant jusqu'à son arrivée au tronc basilaire, probablement sur athéromatose calcifiée subocclusive ostiale (DD dissection vertébrale). IRM cérébrale du 13.01.2020 : leucoaraïose. Lésions athéromateuses de l'artère vertébrale gauche avec ralentissement du flux sanguin (au CT, une sténose sévère a été mise en évidence à l'ostium de cette artère). Pas d'accident ischémique ou de dissection aiguë des vaisseaux précérébraux. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie. Hydratation IV NaCl 2L. Retour à domicile avec un traitement symptomatique, et un régime léger. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Avis Neuro (Dr. X) : prendre avis ophtalmo pour exclure décollement rétinien, puis angio-CT et lyse si pas de CI. Avis Ophtalmo (Dr. X) : viendra voir le patient à Fribourg. Transfert à Fribourg pour suite de prise en charge (CDC au courant). Laboratoire : cf. annexes. Biopsie ganglionnaire inguinale gauche du 16.12.19 (P19.9105, P18.13469) : lymphome à cellules B matures : lymphome folliculaire à distribution folliculaire (>75 % de follicules), FL grade 3a d'après WHO 2017. Morphologie et immunophénotype sont en accord avec la nouvelle manifestation du lymphome folliculaire connu, avec aspect de progression (FL low grade -> FL grade 2-3 -> FL high grade), mais sans signe de transformation en DLBCL. CT cervico-thoraco-abdominal du 05.12.2019 : CT cou : pas de lésion suspecte au niveau de la filière pharyngolaryngée. Épaississement muqueux dans le sinus maxillaire gauche et les cellules ethmoïdales et comblement partiel du sinus maxillaire droit. CT thorax-abdomen : pas de foyer pulmonaire. CT thoracique du 06.12.2019 : pas d'embolie pulmonaire visible. Multiples nodules centro-lobulaires en verre dépoli diffuse dans deux plages pulmonaires, compatibles soit avec des foyers infectieux viraux, soit avec des foyers de bronchiolite (épaississements diffus des parois bronchiques). Radiographie thoracique du 01.01.2020 : on retrouve un épaississement péri-broncho-vasculaire rétro-cardiaque. Laboratoire : cf. annexes. CHEVILLE GAUCHE : pas de lyse osseuse franche. Rapports anatomiques physiologiques. Irrégularité osseuse de la pointe de la malléole externe DD ancien arrachement osseux ? à corréler à la clinique. Impression d'une calcification de l'interligne entre le talus et la tête de la fibula DD chondrocalcinose. Calcification du fascia plantaire. Calcifications vasculaires. En cas de persistance de doutes cliniques sur une ostéomyélite, une IRM serait l'examen de choix. Laboratoire : cf. annexes. Consultation en électif chez le Dr. X. Laboratoire : cf. annexes. Contrôle clinico-biologique +/- US le 11.01.2020 à la filière des urgences ambulatoires. Laboratoire : cf. annexes. Coronarographie le 06.01.2020 : l'examen invasif du jour démontre un excellent résultat à long terme après angioplastie de l'IVA proximo-moyenne. La première diagonale présente une sténose subocclusive. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est normale et estimée à 60 %. Après discussion avec Mr. Y, j'ai procédé à une angioplastie au ballon actif de la première diagonale avec un excellent résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, switch Atorvastatine pour Rosuvastatine 10 mg/j en raison du profil lipidique pathologique et LDL > 4. Contrôle dans un mois chez Dr. X. Suivi cardiologique chez PD Dr. X. Laboratoire : cf. annexes. Coronarographie le 16.01.2020 : Cet examen montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux avec comme lésion coupable une occlusion proximale de l'artère circonflexe, qui a pu être désoblitérée avec mise en place d'un stent actif proximalement, mais recanalisation incomplète en raison de la persistance de matériel thrombotique. Succès intermédiaire de recanalisation de l'artère circonflexe distale sans stent. Echographie transthoracique du 16.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie de la paroi postérieure, de la paroi latérale moyenne et de la paroi latéro-basale. FEVG à 64 % (méthode de Simpson). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit normal. Dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires (PAPs à 34 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. Coronarographie le 24.01.2020 (Dr. X, Dr. X) : L'examen invasif du jour démontre comme corrélat au NSTEMI avec dysfonction VG sévère à l'ETT une occlusion subi aiguë de l'IVA moyenne qui est recanalisée et traitée avec un stent actif avec excellent résultat final. La coronaire droite présente une sténose serrée de l'ostium. La fonction VG est sévèrement abaissée avec une akinésie antérieure (FEVG 30 %), les pressions de remplissage VG sont élevées. Laboratoire : cf. annexes. CT + RX du pelvis : détaillés ci-dessous. Repos, glace. Antalgie.Contrôle à la policlinique d'orthopédie le 29.01.2020 Laboratoire : cf annexes. CT abdomen natif et injecté du 20.01.2020 : foie : taille et morphologie normales. Pas de lésion focale. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul radio-opaque au sein de la vésicule, dont les parois sont fines. Rate : morphologie normales. Taille à la limite supérieure de la norme avec un plus grand diamètre mesuré à 13,5 cm. Pancréas : taille et morphologie normales. Glandes surrénales : fines ddc. Reins : taille et morphologie normales, bonne différenciation cortico-médullaire. Pas d'hydronéphrose. Vessie : sans particularités. Rétropéritoine : pas d'adénopathie rétropéritonéale de taille radiologiquement significative. Aorte : calibre normal. Estomac, intestin, côlon : pas de lésion sous réserve de l'absence de préparation. Cavité péritonéale : pas de liquide libre en quantité significative. Parties molles : collection d'environ 14 cm d'extension crânio-caudale et de 5 cm de plus grand diamètre situé dans les tissus mous sous-cutanés de la région sacrée basse s'étendant jusqu'à la jonction sacro-coccygienne en profondeur. Bases pulmonaires : pas d'épanchement pleural, pas de lésion nodulaire suspecte. Colonne et os : pas de lésion osseuse suspecte dans l'ensemble du volume osseux exploré. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Conclusion : volumineuse collection de plus de 14 cm d'extension crânio-caudale d'un diamètre maximum de 5 cm de diamètre située dans les tissus mous sous-cutanés en regard du sacrum, s'étendant en distalité juste dans les tissus mous proches de la jonction sacro-coccygienne DD kyste sacro-coccygien infecté avec extension vers le haut ? (Dr. X) Laboratoire : cf annexes CT abdominal à 48h soit le 02.01.2020 : Abdomen : discrète infiltration de la graisse péri pancréatique en regard de la tête et du corps. Pas d'élargissement de la glande pancréatique ni de collection/abcès péri-pancréatique. Absence de dilatation du canal de Wirsung. Foie de taille, de configuration et de densité normale. Aspect stable d'une structure hypodense mal délimitée de 10 mm dans le segment VIII, non caractérisable. Tronc porte perméable. Pas de dilatation des voies biliaires pour un statut post cholécystectomie. Pas de calcul radio-opaque dans les voies biliaires. Rate, surrénales sans anomalie suspecte. Aspect inchangé du nodule de 16 x 7 mm au contact de la glande surrénale gauche. Aspect inchangé des reins, avec un kyste simple à la lèvre antérieure du rein gauche, stable. Pas de dilatation pyélocalicielle. Vessie sans particularité. Les structures génitales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas de liquide libre en quantité significative. Pas de pneumopéritoine. Quelques ganglions mésentériques et rétropéritonéaux. Diverticulose sigmoïdienne, sans signe de diverticulite. Athéromatose mixte de l'aorte abdominale et des artères iliaques. Perméabilité du tronc coeliaque, de l'artère mésentérique supérieure et de l'artère mésentérique inférieure, avec calcifications en leur origine sans sténose significative. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : épaississement et comblements endobronchiques aux deux bases, avec condensation du segment médio basal du lobe inférieur droit. Quelques condensations micronodulaires du segment postérieur du lobe supérieur droit mesurant 3 mm, d'allure plutôt infectieuse. Absence d'épanchement pleural. Osseux : inchangé. Absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Discopathies multi-étagées, stables. Pancréatite aiguë, Balthazar A sans nécrose intra ou extra-pancréatique ni complication secondaire. Pas de dilatation des voies biliaires ni de signe de cholangite associée. Condensation basale droite (DD : broncho-aspiration ? Foyer de pneumonie ?). IRM le 03.01.2020 : status post-cholécystectomie avec un cholédoque mesuré à 8 mm de diamètre maximal. Ectasie des voies biliaires intra-hépatiques gauches. Absence d'image évidente de calcul dans le cholédoque visible. Présence de quelques hypersignaux T2 francs dans le parenchyme hépatique gauche et droit devant correspondre à des kystes biliaires. Hypersignal T2 un peu moins marqué dans le segment hépatique VII de 5 mm, difficilement caractérisable (hémangiome ?). Pour le reste, absence de lésion visible au sein de la rate, des surrénales et du pancréas avec un Wirsung non dilaté. Kyste cortical banal du rein gauche. Petit kyste parapyélique ddc. Aorte de calibre normal. Absence de liquide libre. Hémangiome de la partie gauche du corps vertébral de D10. Absence d'image franche pour un calcul dans les voies biliaires. Voies biliaires intra-hépatiques gauches et cholédoque discrètement ectasique en lien avec la cholécystectomie. Laboratoire : cf annexes CT abdominal le 06.01.2020 : hydropes vésicule biliaire 13 cm, cholécystolithiases déjà connues depuis 2014, dilatation cholédoque et voies biliaires intra-hépatiques, cholédoques mesurant jusqu'à 15 mm, au niveau ampoule Vater calcul obstructif radio-opaque mesurant 5 x 2 x 3 mm, légère tuméfaction pancréas en lien avec le comparatif de 2014, Wirsung proéminent. réhaussement pariétal du cholédoque. Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes CT abdominal le 26.12.2019 : Sur le plan hépato-biliaire, on note une régression de la dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques avec un cholédoque atteignant 10 mm de diamètre contre 12 mm sur l'examen comparatif. Apparition d'une prise de contraste des voies biliaires extrahépatiques. Sur le plan intestinal, on retrouve une image de twist vasculaire mésentérique, avec infiltration du mésentère dans le flanc gauche devant être en rapport avec une lamination des veines mésentériques, ainsi qu'une lamination focale de l'artère mésentérique supérieure moins marquée que sur le précédent examen, et aspect d'amas d'anses grêles dans le flanc gauche, le tout restant suspect pour une hernie interne ou un volvulus. Toutefois, on note un rehaussement pariétal préservé des anses intestinales et une absence de liquide libre. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Laboratoire : cf annexes. CT abdominal natif : examen effectué sans injection de produit de contraste, en protocole basse dose. Pas de calcul radio-opaque sur le trajet des voies urinaires ou dans la vessie. Les reins sont de taille symétrique, sans dilatation des voies excrétrices. Utérus antéfléchi dextroposé, présentant une calcification aspécifique du fond utérin de 9 mm de diamètre. Pour le reste et en l'absence d'injection de contraste, morphologie normale du foie, de la rate, du pancréas et des glandes surrénales. Diverticulose colique prédominant au niveau du sigmoïde. Appendice fin contenant un appendicolithe. Pas d'infiltration de la graisse viscérale, pas d'adénopathie ou d'ascite. Structures osseuses sans lésion suspecte. Pas de micronodule ou d'épanchement pleural sur les coupes passant par les bases pulmonaires. CONCLUSION : CT dans la norme, sans calcul radio-opaque et sans dilatation des voies urinaires. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes CT abdomino-pelvien du 03.01.2020 Laboratoire : cf annexes CT abdominal injecté du 31.12.2019 • Oedème mésentérique grêle sur thrombose veineuse mésentérique supérieure avec épaississement circonférentiel de stase d'environ 20 centimètres d'iléon moyen et distal. Diminution de la prise de contraste des parois grêles avec liquide libre témoignant d'une souffrance. • Importante athéromatose mixte de l'aorte et ses branches avec anévrisme de 3 cm de l'aorte abdominale infrarénale. Laboratoire : cf annexes. CT cérébral : décrit ci-dessous.Avis infectiologue de garde. Observation, pour l'instant pas de traitement antimycotique. Suivi chez le médecin traitant ou aux urgences en cas d'aggravation. Arrêt de travail. Laboratoire : cf annexes. CT cérébral du 27.12.2019 : pas de saignement intra-crânien. RX thorax du 27.12.2019 : absence de foyer ou d'épanchement. RX épaule droite le 27.12.2019 : omarthrose avec ascension de la tête fémorale par rapport à la glène scapulaire. Calcifications en projection de l'espace sous-acromial, ce dernier est fortement aminci. Avis angiologique le 06.01.2020, Dr. X : syndrome post-thrombotique sévère avec ulcères bilatéraux et phlébo-lymphoedème : pansements et soins locaux adaptés, bandages à allongement court des deux membres inférieurs jusqu'aux genoux au long cours, drainages lymphatiques manuels pour un phlébo-lymphoedème associé. Echosclérose des tributaires incontinents, des grandes saphènes jambières et de la petite saphène droite discutée avec Mme. Y (une documentation écrite lui a été donnée). Consilium ophtalmologique le 07.01.2020, Dr. X : cataracte dense bilatérale et atrophie géographique bilatérale dans le cadre d'une DMLA. Proposition d'opérer la cataracte. Laboratoire : cf annexes. CT cérébral le 08.01.2020 : image de transformation hémorragique corticale de l'AVC ischémique occipito-temporal gauche du 23.12.2019. CT cérébral le 09.01.2020 : hyperdensités spontanées gyriformes corticales au niveau occipito-temporale gauche superposables. CT cérébral le 13.01.2020 : hyperdensités spontanées gyriformes corticales occipito-temporale gauche en légère diminution. Laboratoire : cf annexes. CT cérébral le 10.01.2020 : hématome sous-dural hémisphérique gauche avec effet de masse et déviation de la ligne médiane de 6-7 mm. Laboratoire : cf annexes. CT cérébral le 15.01.2020 : lésion kystique, spontanément hyperdense, mesurant 35 x 28 mm, au niveau du 3ème ventricule avec dilatation secondaire des ventricules latéraux (DD kyste colloïde). Hypodensités diffuses de la substance blanche périventriculaire ddc (possiblement dans le contexte d'une résorption transépendymaire). Laboratoire : cf annexes. CT CEREBRAL NATIF ET INJECTE ET DES TISSUS MOUS DU COU INJECTE : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Les artères du Polygone de Willis sont perméables avec une configuration physiologique. Les artères pré-cérébrales sont totalement perméables, sans irrégularité, sans lésion athéromateuse. Asymétrie de calibre des artères vertébrales, en défaveur de la droite, d'origine constitutionnelle. Pas d'hémorragie mise en évidence. Après injection i.v. de produit de contraste, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. Les artères intracérébrales sont perméables sur cet examen effectué au temps tardif. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularités. Colonne cervicale : hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Uncarthrose C4-C5, C6-C7 et arthrose facettaire C3-C4 droite et C2-C3, C3-C4 gauche. Arthrose atlanto-axoïdienne. Pas de lésion nodulaire suspecte sur les quelques coupes passant par les apex pulmonaires. CONCLUSION : pas de lésion post-traumatique aiguë. Pas d'hémorragie intra-cérébrale. Vaisseaux pré-cérébraux perméables, sans dissection, sans lésion athéromateuse. Uncarthrose cervicale mais pas de fracture aiguë. Arthrose facettaire. (Dr. X). Laboratoire : cf annexes. CT cérébral 07.01.2020 : absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale. Après injection de produit, pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Défaut d'opacification partielle avec du sinus sagittal supérieur avec une extension sur le sinus transverse gauche et le sinus sigmoïde gauche jusqu'au début de la veine jugulaire interne gauche, évoquant une thrombose non occlusive. Conclusion : thrombose non occlusive du sinus veineux sagittal supérieur avec une extension dans le sinus transverse gauche et le sinus sigmoïde gauche jusqu'au début de la veine jugulaire interne gauche. Laboratoire : cf annexes. CT cérébrale + carotide le 02.12.2019 : pas d'argument pour un événement ischémique ou hémorragique aigu. Perméabilité du polygone de Willis et des vaisseaux pré-cérébraux, avec cependant de multiples sténoses significatives carotidiennes et vertébrales (cf.description). Laboratoire : cf annexes. CT cérébro-cervical natif le 25.12.2019 : hématome sous-dural fronto-pariéto-temporal gauche de max 4 mm, HSA en regard, hémorragie intra-ventriculaire latérale droite, possible hémorragie intra-parenchymateuse frontale supérieure gauche de 4 mm, vue l'atrophie cérébrale impossible de certifier si signes d'hydrocéphalie ou non, listhésis dégénératif ancien au niveau cervical sans signe de fracture ou autre lésion ligamentaire. CT-Scanner de contrôle le 26.12.2019 : discrète diminution d'épaisseur de l'hématome sous-dural fronto-pariéto-temporale gauche en rapport avec un déplacement partiel de ce dernier en région plus déclive pariétale postérieure et occipitale. Pas de changement notable des hémorragies sous-arachnoïdiennes à proximité de l'hématome sous-dural. Relative stabilité de l'hémorragie au sein du ventricule latéral droit mais apparition d'hémorragies au sein du ventricule latéral gauche. Laboratoire : cf annexes. CT DES TISSUS MOUS DU COU INJECTE : pas de comparatif. Nasopharynx : pas de lésion suspecte. Oropharynx : pas de lésion suspecte (sous réserve de quelques artéfacts liés au matériel prothétique dentaire). Hypopharynx : pas de lésion focale suspecte. Larynx : pas de lésion focale suspecte. Thyroïde : st/p thyroïdectomie complète, sans signe de récidive locorégionale, sans résidu notable. Pas d'ADP cervicale ddc. Veines jugulaires internes ddc perméables. Arthrose atlanto-axoïdienne. Sinon, hauteur des corps vertébraux conservée avec bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Arthrose zygo-apophysaire multi-étagée, plus marquée à G qu'à D. Les portions examinées des cavités sinusiennes de la face ainsi que les cellules mastoïdiennes sont normalement pneumatisées (les cellules mastoïdiennes sont peu développées). Les quelques coupes passant par la base du cerveau se présentent normalement. Pas de lésion nodulaire suspecte sur les quelques coupes passant par les apex pulmonaires. CONCLUSION : pas de signe de récidive locorégionale du carcinome thyroïdien de type papillaire, opéré en 2005. (Dr. X). Laboratoire : cf annexes. CT scan du 06.01.2020 : stabilité de l'hématome sous-dural. Schellong du 07.01.2020 : symptomatique. Laboratoire : cf annexes. CT scan 10.01.2020 : suspicion discret réhaussement de la vésicule biliaire avec aspect d'épaississement max 4 mm, pas d'infiltration de la graisse péri-vésiculaire ni de trouble de reperfusion (sous réserve d'un temps uniquement portal), quelques ganglions proéminents dans la région coeliaque infracentimétrique d'allure réactive. DD : cholécystite débutante compte tenu des résultats du laboratoire, sans franc signe de cholécystite. Pas de cholédocholithiase radio-opaque, pas de dilatation voies biliaires intra ou extra-hépatique, pas de signe de choléstase. Kystes corticaux des deux reins dont un présente un petit septum calcifié, d'allure bénigne. Appendice sans signe d'inflammation, diverticulose du cadre colique sans signe d'inflammation. Dilatation anévrismale fusiforme du tronc coeliaque, suspecte anévrisme sacculaire du départ de l'artère iliaque gauche avec thrombus murale uni circonférentielle.Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes CT scanner cérébral le 28.01.2020 : Le présent examen est dans la norme, et on ne voit pas de saignement ou de rehaussement pathologique après injection de produit de contraste. Radiographie du thorax le 28.01.2020 : Silhouette cardio-médiastinale dans la norme. Angles costo-diaphragmatiques libres. Pas de foyer constitué. Léger épaississement péri-bronchique diffus, sans foyer constitué. Cadre osseux sans particularité. Radiographie du thorax le 29.01.2020 : Angle costo-phrénique droit libre. Silhouette cardiomédiastinale dans la norme. Accentuation de la trame alvéolaire bi-basale pouvant correspondre à des infiltrats pulmonaires (bronchoaspiration). Cadre osseux superposable. EEG le 30.01.2020 : tracé dans les limites de la norme, présentant quelques minimes anomalies comme un excès d'activité lente et une imprégnation bêta de probable origine médicamenteuse (BDZ). Sur la base de cet EEG, pas d'indication à l'introduction d'un traitement antiépileptique sur le long terme. Il s'agit donc le plus probablement d'une crise provoquée. Conduite automobile interdite pour une durée indéterminée. Laboratoire : cf annexes CT Thoracique du 06.01.2020 • Emphysème pulmonaire marqué. • Large pneumothorax antérieur, sans déviation médiastinale controlatérale. • Condensation et atélectasie quasi-complète du lobe inférieur droit, compatible avec un foyer de pneumonie surajouté. • Deux drains thoraciques, les deux ayant leur extrémité en région apicale droite, le plus proximal avec un trajet antérieur, le plus distal avec un trajet postérieur. Large emphysème sous-cutané thoracique droit remontant jusqu'en regard de C3. • Fractures costales en séries à droite sans volet costal. • Pas de lésion traumatique cervicale. Rx Thorax 08.01.2020: • Pneumothorax droit mesurant 6 cm à l'apex. • Emphysème sous-cutané pour la paroi cervico-thoracique droite. • Les fractures costales antérieures droites décrites au CT ne sont pas clairement identifiées sur cet examen. Rx Thorax 14.01.2020: • Pas de pneumothorax Laboratoire : cf annexes CT thoraco-abdominal du 17.01.2020 : Pneumothorax droit sans déviation médiastinale associée. Fracture non déplacée des arcs antérieurs de la 3ème et 4ème côtes à droite, sans volet costal. Pas d'autre lésion traumatique visualisée. CT poignet-main gauche le 18.01.2020 : Fracture non déplacée transverse à la jonction de la partie moyenne/base du scaphoïde. Pas d'autre fracture visualisée. Maintien des interlignes articulaires. Pas d'infiltration significative des tissus mous. Laboratoire : cf. annexes. CT thoraco-abdominal du 19.01.2020 : condensation et infiltrats dans le lobe inférieur gauche, associée à des bronchogrammes aériens et épaississements bronchiques, évoquant en premier lieu un foyer de pneumonie dans ce contexte clinique. Nodule de 11 mm dans le segment latéro-basal du lobe inférieur gauche, en augmentation de taille (8 mm sur le comparatif du 29.07.2019). Pas d'autre nodule suspect apparu. La lésion sténosante bourgeonnante d'environ 4 cm dans le haut rectum n'est pas visualisée aujourd'hui, sans signe de récidive, d'adénopathie locorégionale ou d'infiltration du mésorectum. Laboratoire : cf annexes CT thoraco-abdominal le 09.01.2020 : Absence d'embolie pulmonaire. Apparition d'épanchements pleuraux bilatéraux avec un épaississement des septa interlobulaires diffus, évoquant en premier lieu une surcharge cardiaque. Pas d'hémorragie active au niveau du site opératoire fémoral droit. Signe de colite du côlon ascendant et de l'angle colique droite, associée à un œdème péri-vésiculaire et péri-portal. Ultrason abdominal le 09.01.2020 : Vésicule biliaire alithiasique avec un épaississement diffus modéré de la paroi de la vésicule biliaire, sans aucun Murphy échographique et donc sans autre argument clair pour une cholécystite. Épaississement focal de la paroi antérieure à hauteur du fundus de nature indéterminée, déjà visible (sous forme kystique) sur un CT du 26.01.2018, sans caractéristique classique pour une adénomyomatose ; à corréler à une éventuelle IRM à distance au besoin ou échographie de contrôle à 6 mois. Laboratoire : cf annexes CT total body du 16.01.2020 : Fracture oblique bifocale de l'os frontal atteignant la table interne mais sans pneumencéphalie en regard. Lame liquidienne au sein du sinus frontal et du sinus maxillaire droit en faveur d'un hémosinus. Petite fracture non déplacée des parois latérale et supérieure de l'orbite droite rejoignant la fracture de l'os frontal avec petites bulles d'air au sein du muscle temporal en regard. Présence d'un pneumo-orbite de la partie supérieure de l'orbite droite. Pas de fracture visible du plancher des orbites. Épaississement muqueux du fond du sinus maxillaire gauche. Pas de saignement intracrânien visible. Pas de lésion traumatique visible du rachis cervical ainsi que thoraco-abdomino-pelvienne. Présence d'une lésion de 16 x 20 mm de plus grand diamètre sous-capsulaire en périphérie du segment VIII hépatique avec rehaussement en motte en faveur d'un hémangiome. Laboratoire : cf annexes CT total body le 03.01.2020 : Fracture multifragmentaire clavicule G, emphysème tissus mous bras G. Pas de saignement. Pas d'autre fracture. CT abdominal le 04.01.2020 : Mise en évidence d'un pneumopéritoine de quantité modérée dans les quatre quadrants, prédominant au niveau sus-hépatique mais avec plusieurs bulles gazeuses dans l'hypocondre-flanc gauche, associée à du liquide libre au niveau péri-hépatique, péri-splénique, dans les gouttières pariéto-coliques et dans le petit bassin. Pas de lésion hépato-splénique ou rénale visible. Pas de défaut de rehaussement au niveau de la paroi des anses coliques et grêles. Vessie sondée sans lésion notable. Laboratoire : cf. annexes. CT-scanner cérébral natif et injecté du 04.01.2020 : CT cérébral natif puis après injection de produit de contraste bien toléré. Comparatif du 16 novembre 2015. Pas de collection intra ou extra-axiale ni effet de masse ni déviation de la ligne médiane. Système ventriculaire symétrique et citernes de la base libres. Axe hypothalamo-hypophysaire sans particularité. Pas d'anomalie des noyaux gris centraux. Comblement subtotal et partiellement dense des sinus maxillaires des deux côtés, des cavités nasales, de l'ensemble des cellules ethmoïdales, des sinus frontaux et des sinus sphénoïdaux évoquant une sinusite fongique allergique. Comblement des cellules pétro-mastoïdiennes à droite. Cellules pétro-mastoïdiennes gauche libres. Après injection, pas de rehaussement suspect intraparenchymateux ou méningé. Sinus duraux et veines cérébrales profondes perméables. Pas de lésion osseuse. CONCLUSION : pansinusite à composante spontanément dense évoquant une sinusite fongique allergique. Comblement de cellules mastoïdiennes à droite, déjà visible sur le comparatif de 2015. Pas d'abcès ni thrombose. Laboratoire : cf. annexes Cytologie épanchement pleural le 19.12.2019 : matériel dont la cellularité seule évoque un transsudat, sans cellule tumorale maligne. Biopsie Oesophage du 03.01.2019 : Dysplasie de haut grade / Carcinome épidermoïde in situ, d'architecture papillomateuse, de la muqueuse malpighienne. Absence d'expression immunohistochimique de la protéine P16 (biopsie œsophage proximal). PET-CT du 12.12.2019 (CHUV) : pas de lésion hypermétabolique suspecte décelable au niveau œsophagien. Ganglion infracentimétrique modérément hypermétabolique pré-carénaire, isolé, restant aspécifique. Œdème diffus des parties molles associé à des épanchements au niveau pleural et péritonéal, à rattacher à la décompensation œdémato-ascitique.Radiographie thoracique le 18.12.2019 : en comparaison avec la radiographie du 14.11.2017. Mise en évidence d'un épanchement pleural d'abondance importante, occupant l'hémithorax inférieur gauche, ne permettant pas d'évaluer la présence d'un foyer également. Angle costo-diaphragmatique droite libre. Pas d'anomalie de la silhouette cardio-médiastinale droite. Pas d'anomalie évidente du cadre osseux. Radiographie thoracique le 20.12.2019 : en comparaison avec la radiographie du 19.12.2019. Nette diminution de l'épanchement pleural gauche sans mise en évidence d'un pneumothorax. Persistance d'un faible épanchement pleural droit comblant le cul-de-sac pleural postérieur. Pas de foyer parenchymateux constitué au sein du parenchyme ventilé des deux plages pulmonaires. Silhouette cardio-médiastinale normale. Endosonographie et oesogastroduodénoscopie le 27.12.2019 : carcinome épidermoïde T2 sur une petite localisation, autrement surtout T1 n1mx. Actuellement, les varices ne risquent pas de saigner, raison pour laquelle il n'est pas nécessaire de les ligaturer. Oesogastroduodénoscopie avec biopsies le 31.12.2019 : forte suspicion pour une néoplasie superficielle de l'oesophage proximal près des varices oesophagiennes stade I. Biopsies abandonnées au vu du saignement. Marquage par un clip au milieu de la lésion. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Angio-CT cérébral et des vaisseaux du cou (HIB Payerne) le 27.12.2019 : sténose de 90% de l'ostium de l'artère carotide interne droite. IRM cérébrale (HIB Payerne) le 27.12.2019 : multiples foyers bilatéraux d'ischémie aigüe des territoires sylviens et postérieurs. CT cérébral natif le 31.12.2019 : extension de la plus volumineuse lésion ischémique, frontale gauche, visible sur les précédents examens, intéressant désormais non seulement le territoire de l'artère cérébrale moyenne gauche comme précédemment, mais également nouvellement le territoire de l'artère cérébrale antérieure gauche (DD nouvelle lésion ischémique). Pour le reste des lésions ischémiques visibles sur l'IRM, on en retrouve quelques-unes en fronto-pariétales droites, plus marquées par rapport au précédent CT, et les lésions de la corona radiata des deux côtés ont augmenté en taille, celle de gauche mesurée pour exemple à 9 x 6 mm contre 2 mm de diamètre sur l'IRM. Pas de transformation hémorragique. Echocardiographie transthoracique le 30.12.2019 : examen difficile en raison de la présence d'une seule fenêtre sonographique (en sous-costale) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 55% (évaluation visuelle). Valve aortique normale. Insuffisance aortique physiologique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. PAPs estimée à 48 mmHg. Possible hypertension pulmonaire, cependant, absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires (cavités droites et VCI non dilatées). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bilan angiologique le 31.12.2019 : sténose à l'origine de l'artère carotide interne D sur plaque molle instable, estimée à 90% sur le plan anatomique comme hémodynamique. Comme discuté par téléphone, indication à un traitement médical optimal associant Aspirine cardio, statine à haute dose pour cible LDL<1.4mmol/l. Selon pronostic oncologique et souhait du patient, indication à une discussion pluridisciplinaire pour chirurgie. Bilan neuropsychologique le 30.12 et 31.12.2019 : nosognosie partielle, désorientation aux 3 modes, des troubles langagiers avec au niveau du langage oral, des temps de latences, un manque du mot, des paraphasies sémantiques et des difficultés en compréhension orale, et en langage écrit, un graphisme maladroit et une dysgraphie avec difficultés post-lexicales (redoublements de jambages, irrégularités dans l'espacement entre les mots, retouches de traits), des troubles praxiques gestuels, des difficultés en mémoire antérograde verbale (atteinte de l'étape de récupération) et de mémoire autobiographique épisodique récente et sémantique, des troubles exécutifs au niveau cognitif (programmation motrice, sensibilité à l'interférence, abstraction) et comportemental (tendance à l'écholalie, précipitation à l'entrée des tâches, tendance aux rires immotivés, à chantonner et à émettre des jurons), des troubles attentionnels (ralentissement, fluctuations, difficultés dans une tâche d'attention sélective) chez un patient très fatigué et fatigable, des difficultés de raisonnement verbal, une thymie abaissée. Les gnosies sont globalement préservées dans ce bref examen. Le tableau évoque une atteinte multidomaine (désorientation, troubles exécutifs, attentionnels, langagiers, praxiques et mnésiques) suite à un AVC multiple bilatéral, à 3 jours de l'AVC. Une participation de la thymie et de l'importante fatigue est probable. Un suivi neuropsychologique et logopédique pourrait être envisagé si l'état général du patient venait à s'améliorer. La conduite automobile est contre-indiquée d'un point de vue strictement neuropsychologique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Avis Dr. X, psychiatre de garde : hospitalisation au RFSM, mode volontaire. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. CT thorax 06.01.2020 : emphysème pulmonaire marqué connu avec condensations, avec perte de volume du lobe moyen et surtout du lobe inférieur droit devant correspondre à des foyers infectieux/broncho-aspiration surajoutés d'atélectasies. Épanchement pleural droit en contact. Apparition de plusieurs nodules pulmonaires de max. 6 mm lobaire supérieure droite DD comblements alvéolaires infectieux. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Ecographie transthoracique du 13.01.2020 : VG non dilaté, hypertrophie concentrique modérée, contractilité globale conservée mais avec un petit anévrysme de la paroi inféro-apicale, une hypokinésie modérée de la paroi inférieure moyenne, une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale et une cinétique normale de la paroi postérieure, de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-apicale et de la paroi antérieure moyenne. FEVG à 60%. Flux mitral normalisé avec élévation des pressions de remplissage. Valve aortique remaniée avec sténose modérée avec surface aortique à 1,69 cm². Gradient moyen VG-Ao à 10 mmHg. Pas de fuite aortique. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). SOR de l'IM à 0,1 cm². Dilatation des 2 oreillettes à 28 cm². Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit normale. HTAP modérée 42 mmHg. Pas d'épanchement péricardique. Angio-CT pulmonaire : pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. Infiltrats pan-lobaires, sans signe d'abcès ou empyème visualisé. Adénopathies médiastino-hilaires en rapport. Pas de changement de l'atélectasie complète et des bronchiectasies variqueuses du lobe moyen. Décompensation cardiaque avec épanchement pleural bilatéral modéré. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Introduction Beloc Zok 25 mg. Contrôle chez un cardiologue. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiologie : Angio-CT des membres supérieurs : Occlusion de l'artère brachiale compatible avec un thrombus frais, sur une longueur de 45 mm, juste avant sa bifurcation en radiale et ulnaire, avec reprise d'une opacification en aval. En amont, kinking de la jonction artère sous-clavière/axillaire gauche. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Schellong : négatif.Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Test de Schellong : négatif. Hydratation iv et per os. Retour à domicile. Laboratoire : cf annexes. ECG : Echocardiographie transthoracique le 30.01.2020 : VG de taille limite sup DTD entre 58 et 61 mm, peu hypertrophié avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 50 %. Fonction diastolique normalisée avec pressions de remplissage élevées. Pas de valvulopathie aortique et mitrale significative. OG de taille limite supérieure. Ventricule droit non dilaté avec fonction systolique du ventricule droit normale. HTAP modérée à 47 mmHg. VCI dilatée à 30 mm mais compliante. Décollement péricardique systolique isolé. CT scanner cérébral et vaisseaux pré-cérébraux le 30.01.2020 : sp (rapport final à pister). Laboratoire : cf annexes. ECG : RS, QRS 100 ms, axe -60°, hémibloc antérieur G, pas de troubles de la repolarisation, QTc 425 ms. CT scanner cérébral le 28.01.2020 : Absence d'hémorragie ou de masse intracrânienne. Hypodensité dans la corona radiata à droite (DD : séquelle VS élargissement des espaces de Virchow-Robin). CT scanner thoracique le 28.01.2020 : Pas d'embolie pulmonaire jusqu'en segmentaire. Nodule spiculé de 8 mm lingulaire supérieur fortement suspect à corréler à un PET-CT, sans adénopathie médiastino-hilaire ni axillaire. Épaississement déclive de la paroi de la vésicule biliaire (DD amas de calculs radio-opaques? Lésion tissulaire?) ad échographie. Echographie transthoracique du 29.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale, FEVG 55% (Simpson biplan). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires (PAPs à 21 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexes. ECG : RSR à 81 bpm, BAV du 1er degré avec PR environ 220 msec, QRS avec morphologie de BBG de nouvelle découverte (seul antécédent disponible du 2012), critères de Sgarbossa négatifs. Radiographie thorax face/profil du 28.01.2020 : cardiomégalie. Discret flou péri-hilaire et augmentation de la trame interstitielle, compatibles avec une insuffisance cardiaque légèrement décompensée. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Discrète spondylose dorsale avec des ostéophytes antérieurs. CT thoracique injecté du 29.01.2020 : comparaison partielle avec le CT abdominal du 16.10.2018. Examen réalisé après injection de 70 ml de Ioméron. Parenchyme pulmonaire : pas de lésion nodulaire suspecte. Pas de foyer de pneumonie. Médiastin : pas d'adénopathie médiastino-hilaire de taille radiologiquement significative. Quelques ganglions médiastinaux calcifiés. Pas d'épanchement péricardique significatif ni d'embolie pulmonaire. Cardiomégalie. Calcifications coronariennes. Plèvre : pas d'épanchement pleural. Abdomen supérieur : pas de lésion suspecte. Calculs vésiculaires. Colonne vertébrale et os : pas de lésion osseuse suspecte dans l'ensemble du volume osseux exploré. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. DISH. Conclusion : pas d'embolie pulmonaire jusqu'en sous-segmentaire. Pas de foyer de pneumonie. Laboratoire : cf. annexes. ECG : RSR 70 bpm, axe normale, PR 154 ms, QRS 98 ms, QTc 370 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation. Sédiment urinaire : propre (cf. annexes). Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal normocarde (FC 93/min), avec extrasystole ventriculaire, axe hypergauche, bloc de branche droite complet pas de trouble de repolarisation. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 79 bpm, normoaxé, PR et QT normaux et QRS fins. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal, régulier à 83/minute, axe QRS normal, BAV 1, onde Q en D III et en V1-V3, absence de progression de l'onde R dans les précordiales, transition en V6, QTc 438 msec, absence de signe d'ischémie aiguë. RX thoracique le 06.01.2020 : status post sternotomie avec matériel de cerclage d'aspect intègre. Cardiomégalie. Status post pose d'un stent coronarien. Suspicion d'atélectasie lobaire inférieure droite. Opacités basales droites compatibles avec un foyer infectieux de pneumonie. Épanchement pleural droite. Altérations dégénératives avec débords ostéophytaires antéro-latéraux. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier, FC 76/min, QRS fins, QTc 400 ms, pas de trouble ischémique aiguë. Radiographie du thorax face et profil du 20.01.2020 : image de caverne avec un niveau hydro-aérique postéro-basal D, évoquant en 1er lieu un abcès pulmonaire. Cœur de taille dans les limites de la norme avec des calcifications aortiques. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec réaction ostéophytaire intersomatique. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier, FC 84 bpm, normoaxé. PR et QT normaux et QRS fins. Aspect extrasystole ventriculaire isolés. Radiologie thorax face/profil du 28.01.2020 : comparatif du 02.06.2016. Mise à part une scoliose dextro-convexe de la partie haute de la colonne dorsale connue, thorax dans les limites de la norme, sans image pathologique mise en évidence. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier normocarde, sus-décalage 1 mm en V2. Coronarographie le 04.01.2020 : le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion intermédiaire <50 %. La première diagonale présente une lésion critique à 90-99 %. L'artère circonflexe proximale présente une lésion peu sévère <30 %. L'artère circonflexe moyenne présente une lésion intermédiaire à 50-70 %, englobant l'origine de la seconde marginale. L'artère coronaire droite proximale présente une lésion peu sévère <30 %. L'artère interventriculaire postérieure présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. La ventriculographie gauche a été réalisée. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 65% (en OAD). Ultrason cardiaque transthoracique le 06.01.2020 : VG non dilaté non hypertrophié normocinétique FEVG à 56 %. Fonction diastolique normale avec pressions de remplissage basses. Pas de valvulopathie aortique. Absence de rétrécissement aortique. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). OG et cavités droites non dilatées. PAPs normales. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexes. ECG du 03.01.2020 : rythme sinusal normocarde à 71/min, axe cardiaque normal à 52°, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, QRS 88 ms, QTc 444 ms, transition en V3, pas d'onde Q pathologique, pas de trouble de la repolarisation. RX thorax du 02.01.2020 : infiltrat alvéolaire confluent péri-hilaire droit n'effaçant pas le bord du cœur, évoquant un foyer de bronchopneumonie lobaire inférieure. Pas d'épanchement pleural visible. Discret agrandissement hilaire évoquant la présente organomégalie associée. Fenêtre inter-aortico-pulmonaire libre. Pas de foyer visible à gauche. Cœur de taille dans la norme, sans signe de décompensation. Lésions dégénératives du rachis dorsal inférieur. RX thorax du 08.01.2020 : sans particularités. CT abdominal le 13.01.2020 : pas de lésion suspecte de néoplasie objectivée à l'étage abdominal. Infiltrats pulmonaires bi-basaux, compatibles avec des foyers. Laboratoire : cf annexes. ECG du 05.01.2020 : rythme sinusal régulier à 52 bpm, PR à 158 ms, QRS fins et normoaxés, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST, QTc à 434 ms.CT cérébral et des tissus mous du cou du 06.01.2020 : hypodensité focale de la substance blanche en regard de la corne frontale du ventricule latéral gauche (d'allure chronique). Pas de lésion ischémique d'allure aiguë démarquée. Pas d'hémorragie intracérébrale. Perméabilité conservée des artères pré-cérébrales et des artères du polygone de Willis. IRM cérébrale du 10.01.2020 (effectuée en ambulatoire) : les lésions de la substance blanche sont aspécifiques mais doivent correspondre au vu de l'âge de Mr. Y et du syndrome métabolique connu à des lésions dégénératives micro-angiopathiques. Pour le reste, IRM cérébrale dans les limites de la norme. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 05.12.2019 : rythme sinusal régulier à 73/min, ondes T positives et pointues en V2-V3-V4 asymétriques. Signe ischémique et Sokolow. Suspicion HVG. Gazométrie du 05.12.2019, sous O2 1.5 lt/min : pH 7.43, pCO2 5.49 kPa, pO2 9.2 kPa, SpO2 91.8%, bic 26.8 mmol/l, COHb 1.8%. Gazométrie du 21.12.2019, sous O2 1.5 lt/min : pH 7.42, pCO2 5.40 kPa, pO2 7.1 kPa, SpO2 87.2%, bic 25.4 mmol/l, COHb 1.7%. Spirométrie du 10.12.2019 : CVF 83% du prédit, VEMS 42% du prédit, Tiffeneau 36.7% - qualité A. Oxymétrie nocturne du 06.12.2019, sous O2 1.5 lt/min : SpO2 moyenne 89.8%, indice de désaturation 2.9/h. Polygraphie nocturne du 12.12.2019, sous O2 1.5 lt/min : IAH 9.2/h, IDO 0.9/h. Diffusion du CO du 17.12.2019 : DLCO 24 % du prédit. Radiographie thorax du 05.12.2019 : présence d'un foyer de condensation alvéolaire au niveau de la base droite. Distension de la cage thoracique avec aplatissement des coupoles diaphragmatiques et horizontalisation des côtes. Radiographie thorax du 19.12.2019 : par rapport au comparatif (05.12.2019), on retrouve tous les signes de BPCO connus inchangés. Actuellement pas d'épaississement interstitiel ou alvéolaire surajouté décelable en faveur d'un foyer. Coeur de volume dans la norme. Sclérose aortique. Lésions dégénératives du rachis. Radiographie colonne cervicale face/profil du 17.12.2019 : pincement intersomatique C5-C6 associé à un aspect sclérosé des plateaux vertébraux accompagnés d'une uncarthrose bilatérale. Discret pincement articulaire C6-C7 avec uncarthrose modérée bilatérale. Remaniements dégénératifs interfacettaires postérieurs associés aux 2 étages susmentionnés. Probable sténose foramen transverse en C5-C6. Épaisseur des parties molles pré-cervicales dans la norme. Absence de côte cervicale. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 2 lt/min : distance parcourue 200 m, SpO2 fin 87%. Test des 6 minutes, à la sortie, sous O2 4 lt/min : distance parcourue 285 m, SpO2 fin 94%. Laboratoire : cf annexes. ECG du 05.12.2019 : rythme sinusal régulier à 78/min, normoaxé, PR et QT normaux et QRS fins. Laboratoire : cf annexes. ECG du 06.01.2020 : rythme sinusal normocarde à 61 bpm. PR 180 ms. QRS fins, monomorphe, hypo-voltage dans toutes les dérivations, axe du QRS avec tendance à gauche. Transition de l'onde R dans les dérivations précordiales entre V3 et V4. QTc (Bazett) 420 ms. ECG du 10.10.2020 : FA tachycarde à 124 bpm ; pour le reste, ECG superposable au 06.01.2020. ECG du 13.10.2020 : rythme sinusal bradycarde à 51 bpm ; pour le reste, ECG superposable. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 06.01.2020 : rythme sinusal régulier avec FC à 85 bpm, PR à 140 ms, QRS fin avec axe à 66°, ST isoélectrique, QTc à 471 ms. ETT du 06.01.2020 : ventricule gauche non dilaté, avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Bioprothèse aortique à armature (Perimount Magna Ease N°23) sans rétrécissement ni insuffisance aortique. Gradient max. VG-Ao à 4 mmHg. Document validé par Dr. X le 06/01/2020. Bioprothèse mitrale à armature (Perimount Magna Ease N°29) sans sténose ni insuffisance significative. Gradient moyen OG-VG à 5 mmHg. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP (PAPs à 25 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. Épanchement péricardique significatif, circonférentiel, à prédominance latérale gauche et postérieure. Bonne tolérance hémodynamique avec absence de compression de cavités. L'épanchement péricardique est stable en comparaison au dernier bilan par ETT du 20.12.2019. ETT du 09.01.2020 : épanchement péricardique abondant circonférentiel, de diamètre maximal en latéral à 26 mm. Tolérance modérée hémodynamique avec légère répercussion sur le VD droit en début de diastole. VCI non dilatée partiellement compliante. Pas de critère formel pour une tamponnade péricardique. Réévaluation pour drainage chirurgical à l'Inselspital. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 07.01.2020 : rythme sinusal régulier avec FC à 81 bpm, PR à 122 ms, QRS fin avec axe à 59°, onde U présentes, QTc à 416 ms. ECG du 08.01.2020 : rythme sinusal régulier avec FC à 89 bpm, PR à 120 ms, QRS fin avec axe à 57°, absence d'onde U, QTc à 437 ms. CT scan sinus le 08.01.2019 : absence de comblement liquidien notable des sinus de la face. Pas d'argument scanographique en faveur d'une sinusite aiguë et en particulier sphénoïdale. Laboratoire : cf annexes. ECG du 09.01.2020 : rythme électro-entraîné à l'étage ventriculaire, normocarde. Radiographie de thorax du 09.01.2020 : signes de surcharge, cardiomégalie, pas de foyer objectivé. Ultrason abdominal du 09.01.2020 : hydrops vésiculaire mesurant 13 x 6 cm avec présence de calculs et de sludge dans ses parties déclives. La partie analysable des parois n'est pas épaissie. Dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Le cholédoque n'est pas clairement visible. Les veines sus-hépatiques sont perméables. Tronc porte non analysable. Multiples lésions kystiques de la tête du pancréas, connues. CT abdominal du 09.01.2020 : hydrops vésiculaire de 13.5 cm et dilatation des voies biliaires intra-hépatiques en rapport avec une augmentation d'une masse d'allure kystique de la tête pancréatique passant de 4 x 4 à 5 x 5 cm. Épanchements pleuraux bilatéraux d'abondance modérée. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 12.01.2020 : rythme sinusal régulier avec FC à 70 bpm, PR à 170 ms, QRS fin avec axe à 34°, transition de l'onde R tardive en V5-V6, ST isoélectriques, QTc à 424 ms. Radiographie du thorax le 12.01.2020 : examen comparatif du 26.01.2019. Par rapport au comparatif, stabilité de la silhouette cardio-médiastinale. Pas de signe de décompensation cardiaque, d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Ventilation pulmonaire symétrique, sans foyer constitué. Cadre osseux et tissus mous inchangés. Laboratoire : cf annexes. ECG du 13.01.2020 : rythme sinusal bradycarde (FC 58/min), axe gauche, légers sous-décalages en V4-V6. Coronarographie du 13.01.2020 : l'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec lésions tritronculaires. Occlusion de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). Sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. Sténose significative de l'artère bissectrice. Sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à indéterminée. Après discussion avec Mr. Y, j'ai procédé à une recanalisation de l'artère interventriculaire antérieure proximale sans stent. Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. Implantation d'un stent actif avec bon résultat final. Échocardiographie transthoracique du 14.01.2020 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie du septum apical et de la paroi inféro-apicale et une hypokinésie de la paroi septale antérieure moyenne. Géométrie normale du ventricule gauche. FEVG estimée à 53% (Simpson biplan). Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique.Laboratoire : cf. annexes. ECG du 13.01.2020 - 10h13 : fibrillation auriculaire avec réponse ventriculaire rapide à 125/min, axe normal à 75°, QRS fin à 74 ms, QTc 470 ms, onde Q inframillimétrique non significative en III et V5-V6, segment ST isoélectrique, pas de trouble de la repolarisation, transition de l'onde R précoce en V2-V3. ECG du 13.01.2020 - 12h54 : rythme sinusal régulier normocarde à 70/min, axe normal à 60°, PQ 170 ms, sinon superposable. CT cérébral natif et injecté 13.01.2020 : pas d'hémorragie intracrânienne. CT thoracique injecté du 13.01.2020 : pas d'argument scanographique pour une embolie pulmonaire. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 17.01.2020 : rythme sinusal régulier avec FC à 57 bpm, PR <200 ms, QRS fin avec axe à 44°, ST isoélectrique, QTc à 418 ms. Laboratoire : cf annexes. ECG du 17.12.2019 : rythme sinusal régulier à 57/min, axe intermédiaire normal, complexes QRS fins à 94 ms, intervalles PR et QT dans la norme, ST isoélectrique. Gazométrie artérielle du 17.12.2019, à l'air ambiant : pH 7.43, pCO2 5.44 kPa, pO2 9.3 kPa, SatO2 93.7%, HCO3 26.3 mmol/l. Spirométrie du 17.12.2019 : CVF 37% du prédit, VEMS 17% du prédit, Tiffeneau 35.1% - qualité B. Diffusion du CO du 17.12.2019 : DLCO 34% du prédit. Polygraphie nocturne du 20.12.2019, à l'air ambiant : IAH 14.6/heure, IDO 5.6/h. Radiographie thorax du 17.12.2019 : accentuation du volume thoracique avec horizontalisation des arcs costaux, aplatissement des coupoles diaphragmatiques, désorganisation et raréfaction de la trame pulmonaire dans le contexte de la BPCO connue. Raréfaction emphysémateuse prédominante aux apex pulmonaires surtout à D. Artères pulmonaires de fort calibre. Lésions dégénératives étagées du rachis dorsal. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 320 m, SatO2 fin 78%. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 380 m, SatO2 fin 77%. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 21.01.2020 : RSR 60/min, axe normal, PR < 200 ms, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire : cf annexes. ECG du 23.01.2020 : rythme sinusal tachycarde (FC 102/min), axe normal, pas de trouble de dé- ou de repolarisation. Galactomannane le 21.01.2020 : index 0.036 (seuil 0.250) : négatif. Radiographie du thorax le 17.01.2020 : silhouette cardiaque dans la norme. Épaississement interstitiel et bronchique compatible avec une bronchite. Pas de foyer constitué. Pas d'épanchement pleural significatif (épaississement de la petite scissure). Cadre osseux sans particularité. CT thoracique le 21.01.2020 : fine lame d'épanchement péricardique d'une épaisseur maximale de 9 mm. Multiples adénopathies médiastinales et hilaires, avec un conglomérat plus important en sous-carinaire. Épaississement marqué en péri-broncho-vasculaire en région hilaire des deux côtés. Épanchements pleuraux bilatéraux d'abondance modérée. De manière diffuse bilatérale, prédominantes aux lobes supérieurs et atteignant la périphérie, mise en évidence d'un épaississement diffus lisse des septa interlobulaires associé à des opacités en verre dépoli (Crazy paving). Multiples petites condensations nodulaires diffuses aux deux bases. Conclusion : sous réserve d'une modalité différente, péjoration de l'imagerie par rapport au comparatif du 17.01.2020. Échographie abdominale le 24.01.2019 : hépatomégalie avec des lésions nodulaires hyperéchogènes dans les deux lobes hépatiques (max. 20 mm à droite), évoquant en première hypothèse des hémangiomes en l'absence d'un contexte oncologique. À corréler à une IRM ou un CT dédié à l'occasion. Vésicule biliaire contenant du sludge, sans signe de cholécystite. Laboratoire : cf annexes. ECG du 23.12.2019 : tachycardie sinusale à 112 bpm, PR 160 ms, QRS fins, monomorphes avec axe normal. Transition de l'onde R dans les dérivations précordiales entre V1 et V2. Pas de trouble de la repolarisation. QTc (Bazett) 460 ms. Laboratoire : cf annexes. ECG du 28.11.2019 : rythme sinusal avec aspect d'extrasystole supra-ventriculaire isolée dans les dérivations précordiales, normoaxé, PR et QT normaux, QRS fins. Gazométrie du 28.11.2019, à l'air ambiant : pH 7.44, pCO2 5.24 kPa, pO2 9.6 kPa, SpO2 96.5%, bic 26.6 mmol/l. COHb 1.2%. Gazométrie du 17.12.2019, à l'air ambiant : pH 7.41, pCO2 5.88 kPa, pO2 9.9 kPa, SpO2 94%, bic 26.6 mmol/l. COHb 1.1%. Spirométrie du 03.12.2019 : CVF 46% du prédit, VEMS 31% du prédit, Tiffeneau 47.2% - qualité D. Spirométrie du 17.12.2019 : CVF 53% du prédit, VEMS 34% du prédit, Tiffeneau 44.8% - qualité D. Diffusion du CO du 03.12.2019 : DLCO 38%. Radiographie thorax du 29.11.2019 : cage thoracique déformée en rapport avec une scoliose dextro-converse du rachis dorsal. On note une distension de la cage thoracique avec un aplatissement des deux coupoles diaphragmatiques. On note la présence d'une opacité au niveau de l'apex pulmonaire gauche. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 220 m, SpO2 fin 77%. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 315 m, SpO2 fin 77%. Laboratoire : cf. annexes. ECG le 08.01.2020 : rythme sinusal normocarde (FC 98/min), axe gauche, BBD. RX du thorax le 08.01.2020 : comparatif du 17.11.2014. Cardiomégalie avec flou péri-bronchovasculaire pouvant entrer dans le cadre d'une décompensation cardiaque. Port-à-cath sous-clavier droit se terminant en projection de la veine cave supérieure. Laboratoire : cf annexes. ECG le 18.12.2019 : rythme sinusal à 69 bpm, normoaxé à 54°, PR à 152 ms, QRS 92 ms, QTc 439 ms, index de Sokolow-Lyon négatif, pas d'onde Q pathologique, négativisation des ondes T en V3-6, biphasique en V2. Coronarographie du 19.12.19 : l'examen a démontré une stabilité de la maladie coronarienne tri-tronculaire avec des résultats satisfaisants avec les stents actifs mis en place et préconisait une optimisation du traitement de l'insuffisance cardiaque. Bilan angiologique du 23.12 : cf rapport annexé. Test de dépistage de la cognition du 26.12.19 : MMSE 26/30, test de l'horloge à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoire : cf. annexes. ECG 06.01.2020 : tachycarde à environ 100 bpm, rythme sinusal irrégulier sur présence d'extrasystoles auriculaires, onde P sans particularité, intervalle PR sans particularité (<120 ms), QRS fins avec bonne progression dans les précordiales, QTc=500 ms, onde T sans particularité. ECG 10.01.2020 : normocarde à environ 60 bpm, rythme sinusal régulier, onde P sans particularité, intervalle PR sans particularité (<120 ms), QRS fins avec léger retard de progression dans les précordiales (en V4), QTc=435 ms, onde T sans particularité. OGD 07.01.2020 (Dr. X) : hypertension portale sur cirrhose éthylique avec : • gastropathie portale sévère • varices oesophagiennes stade I à II • suspicion de varices cardio-fundiques Propose une colonoscopie comme la gastropathie portale, même sévère, n'explique pas forcément une anémie à 47 g/l. US hépatique 08.01.2020 (Dr. X) : imagerie parlant faveur d'une cirrhose hépatique avec hypertension portale possiblement en discrète progression par rapport à l'examen d'octobre 2018.Pas d'ascite ni de splénomégalie. Pas de lésion focale suspecte hépatique. Laboratoire : cf. annexes. ECG 10.01.2020 (Inselspital) : fibrillation auriculaire normocarde. Angio-CT cérébral et des vaisseaux précérébraux le 10.01.2020 (HFR) : AVC ischémique aigu de la région sylvienne superficielle et profonde sur occlusion du segment M1 de l'artère cérébrale moyenne gauche, avec une large région fronto-temporo-pariétale de pénombre, et une petite zone temporale déjà constituée. Angiographie cérébrale le 10.01.2020 (Inselspital) : recanalisation d'une occlusion M2 proximale gauche TICI2b. Embole périphérique résiduelle M3 G. IRM 11.01.2020 (Inselspital) : occlusion M2 D proximale avec restriction de diffusion insulaire droite sans démarcation FLAIR. Démarcation ischémique hémisphérique gauche suite à l'occlusion M2 G la veille avec légère transformation hémorragique. Angiographie cérébrale le 11.01.2020 (Inselspital) : recanalisation d'une occlusion M2 proximale D TICI2b. IRM 12.01.2020 (Inselspital) : démarcation ischémique bihémisphérique sans nouvelle transformation hémorragique. Radiographie du thorax le 12.01.2020 (Inselspital) : trouve ventilation lobe moyen droit DD infiltrat. Echocardiographie transthoracique le 13.01.2020 (Inselspital) : (provisoire) fonction systolique VG dans les normes. Dilatation biatriale. Pas de valvulopathie. CT cérébral le 15.01.2020 (HFR) : pas de lésion traumatique visible. Laboratoire : cf. annexes. ECG 30.12.2019 : rythme sinusal, régulier, à 87/minute ; axe QRS normal, bloc de branche gauche connu. Radiographie thoracique le 30.12.2019 : cardiomégalie avec signes de décompensation cardiaque sous forme de flous péri-broncho-vasculaires et redistribution vasculaire aux apex. Épanchement en base gauche avec atélectasie d'origine passive probable. Status post-sternotomie avec cerclages sternaux pour pontage aorto-coronarien. Laboratoire : cf annexes. Echocardiographie transthoracique le 23.01.2020 : VG non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie de la paroi latérale moyenne et de la paroi postérieure moyenne, une hypokinésie sévère de la paroi postéro-basale et une hypokinésie modérée de la paroi latéro-basale. FEVG à 53 %. Augmentation du débit cardiaque calculé à 7,6 l/min avec un index cardiaque à 3,6 l/min/m² (150 % de la théorique). Fonction diastolique de type I avec pressions de remplissage basses. Pas de valvulopathie aortique significative, surface aortique à 3,28 cm² (1,55 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). OG et cavités droites non dilatées. PAPs normales. Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie le 24.01.2020 (Dr. X) : l'examen invasif du jour démontre un excellent résultat après PCI de la circonflexe proximale. En raison des douleurs thoraciques récidivantes, angioplastie de la bifrucation de branches diagonales de bon calibre avec deux stents actifs avec excellent résultat final. Les lits d'aval du réseau circonflexe et droit sont très infiltrés. La fonction systolique VG est normale avec une hypokinésie inféro-latérale (FEVG 55 %). Laboratoire : cf annexes. Echographie abdominale : cf ci-dessous. Avis du chirurgien Dr. X, demande de CT abdominal pour exclusion d'une étiologie abdominale. CT abdominal : cf ci-dessous. Avis gynécologique : ok pour transfert à Fribourg pour suite de prise en charge gynécologique pour investigation complémentaire, avec sa tante. Laboratoire : cf. annexes. Echographie abdominale le 16.01.2020 : rein droit de position et de morphologie normales mesurant 45 x 41 x 117 mm avec bonne différenciation cortico-médullaire, sans dilatation pyélocalicielle. Rein gauche de position et de morphologie normales mesurant 45 x 41 x 120 mm avec bonne différenciation cortico-médullaire, sans dilatation pyélocalicielle. Vascularisation rénale riche, homogène et symétrique. Vessie aux parois fines à contenu liquidien anéchogène. Mise en évidence d'une probable lithiase de 4 mm à la jonction urétéro-vésical gauche. Mise en évidence d'une probable lithiase de 4 mm à la jonction urétéro-vésical gauche sans dilatation pyélocalicielle associée. Un complément d'imagerie par uro-scanner est requis. CT abdominal low dose le 16.01.2020 : en comparaison avec le CT du 15.08.2019. Abdomen : lithiase à la jonction urétro-vésical gauche de 5 x 3 mm pour une hauteur de 3 mm sans dilatation de l'uretère en amont et sans dilatation pyélocalicielle. Absence d'infiltration péri-rénale et péri-urétérale associée. Reins de taille normale. Vessie en réplétion partielle. Pour le reste et sous réserve d'une absence de produit de contraste : le foie est de taille, configuration et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Pas de liquide libre. Quelques minimes diverticules sigmoïdiennes et coliques sans signe de diverticulite. Utérus sans franche particularité. Pas d'anomalie de calibre de l'aorte. Sur les coupes passant par le thorax, disparition du nodule précédemment visualisé de 8 mm dans le segment latéro-basal du lobe inférieur gauche. Os, pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte visible quelques nodules de SCHMORL. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexes. GENOU GAUCHE, ROTULES DDC, CLAVICULE GAUCHE, ARTICULATIONS ACROMIO-CLAVICULAIRES DES DEUX COTES : genou G et rotules : irrégularité avec solution de continuité au niveau du bord latéral du condyle fémoral externe, visualisée sur l'incidence de face, correspondant probablement à un processus ancien, mais à confronter avec la clinique. Pas d'épanchement articulaire, ni de tuméfaction notable des tissus mous. Clavicule G et articulations AC : fracture de l'extrémité distale de la clavicule G avec également une marche d'escalier AC du même côté, évoquant une luxation AC surajoutée. Dr. X. CT GENOU/JAMBE GAUCHE NATIF : par rapport à la radiographie standard du même jour, on retrouve un fragment osseux au niveau de la corticale externe du condyle fémoral externe, mesurant environ 12 mm de grand axe évoquant un arrachement d'allure récente, toutefois sans tuméfaction des tissus mous en regard, à confronter avec la clinique. Dr. X. Laboratoire : cf annexes. ENMG le 21.01.2020 : (rapport définitif en cours) Signes compatibles avec une encéphalo-myélo-radiculite, dans le contexte d'encéphalite à tique. Bilan neuropsychologique le 21.01.2020 : Cet examen neuropsychologique réalisé auprès de ce patient collaborant âgé de 73 ans met en évidence : • Sur le plan comportemental, une thymie triste relevée cliniquement, une fatigue ainsi qu'un léger ralentissement psycho-moteur, • Des difficultés exécutives (incitation verbale, flexibilité mentale), • Une altération du graphisme, en lien avec l'hémiparésie droite. Ce tableau est compatible avec le diagnostic de méningo-encéphalopathie à tiques au décours. La persistance des difficultés susmentionnées motive un transfert en unité de neuroréhabilitation intensive, ainsi qu'une prise en charge au niveau neuropsychologique axée sur les capacités d'attention soutenue ainsi que sur l'aspect exécutif chez ce patient qui possédait auparavant une relativement bonne autonomie à domicile. Dans ce contexte, un bilan d'évolution pourra être réalisé par nos collègues sur le site de Meyriez afin de suivre l'évolution des difficultés cognitives et pour se prononcer quant à l'aptitude à la conduite automobile.Laboratoire : cf annexes ERCP le 10.01.2020 : Papillotomie et extraction de deux concréments cholédociens CT abdominal le 10.01.2020 : pas de signes radiologiques en faveur de pancréatite (mais CT précoce ne permet pas de l'exclure), pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques, présence de calculs dans la vésicule, interruption de la lumière du cholédoque quand on essaie de la suivre avec probable présence de calculs ou de tissu, épaississement de la paroi de la vésicule biliaire sans infiltrat de la graisse autour en faveur d'une possible cholécystite (sans pouvoir l'exclure ou la confirmer) Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes ETT le 26.12.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 80 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène sévère. Minime obstruction dynamique intraVG médioventriculaire au repos sans SAM liée à la cardiopathie hypertrophique. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Rétrécissement mitral serré, dégénératif calcifié. Gradient moyen OG-VG à 4 mmHg. Surface mitrale estimée à 0,75 cm². Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Élévation franche des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche modérément dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. Dilatation importante des cavités droites. HTAP importante (PAPs à 78 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Radiographie du thorax le 26.12.2019 : discrète cardiomégalie avec un CTR mesuré à 54 %. Discret déroulement athéromateux de l'aorte. Hiles pulmonaires de configuration vasculaire. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Pas de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Pas de foyer constitué de plages pulmonaires. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. CT thoracique non injecté du 27.12.2019 : le tronc de l'artère pulmonaire mesurant à 29 mm qui est dans la limite de la norme. Important emphysème centro-lobulaire diffus. Importantes calcifications de la valve mitrale et de la valve aortique. Calcifications coronariennes. Scintigraphie pulmonaire du 30.12.2019 : absence d'image scintigraphique nette en faveur d'une maladie thrombo-embolique ou d'une éventuelle embolie pulmonaire récente. Mise en évidence de signes indirects d'hypertension pulmonaire. Laboratoire : cf annexes Examen des selles : cf annexes ECG : cf annexes RX thorax : détaillée ci-dessous Toucher rectal : absence de traces de sang. Pas d'hémorroïdes et absence de douleurs. Retour à domicile avec contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 30.01.2020 Laboratoire : cf annexes Galactomannane le 21.01.2020 : index 0.036 (seuil 0.250) : négatif. Radiographie du thorax le 17.01.2020 : silhouette cardiaque dans la norme. Épaississement interstitiel et bronchique compatible avec une bronchite. Pas de foyer constitué. Pas d'épanchement pleural significatif (épaississement de la petite scissure). Cadre osseux sp. CT thoracique le 21.01.2020 : fine lame d'épanchement péricardique d'une épaisseur maximale de 9 mm. Multiples adénopathies médiastinales et hilaires, avec un conglomérat plus important en sous-carinaire. Épaississement marqué en péri-broncho-vasculaire en région hilaire des deux côtés. Épanchements pleuraux bilatéraux d'abondance modérée. De manière diffuse bilatérale, prédominants aux lobes supérieurs et atteignant la périphérie, mise en évidence d'un épaississement diffus lisse des septa interlobulaires associé à des opacités en verre dépoli (Crazy paving). Multiples petites condensations nodulaires diffuses aux deux bases. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie à 22h10 et à 01h00. Test de grossesse urinaire négatif. RX du thorax : cf ci-dessous. ECG : cf annexes. 2 paires d'hémocultures à pister. Atrovent 250 mcg et Ventolin 0.5 ml aux urgences 2x (22h10, 00h45). Prednisone 40 mg aux urgences. Avis du chef de clinique des soins intensifs : ad transfert pour VNI et aérosols en continu. Transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg en ambulance. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie artérielle : cf annexes. ECG : cf annexes. THORAX FACE/PROFIL : comparatif avec radiographie du 14 février 2015. Silhouette cardio-médiastinale dans la norme. Absence d'épanchement pleural, absence de pneumothorax. Absence de foyer parenchymateux mise en évidence. Absence de lésion osseuse suspecte. Dr. X. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie artérielle : hypoxémie sans troubles acido-basiques ni rétention de CO2. ECG : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie artérielle : pas de troubles acido-basiques. ECG : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie artérielle : pas de troubles acido-basiques. ECG : cf annexes. Diltiazem 20 mg iv avec FC à 103/min Retour à Marsens en ambulance pour la suite de la prise en charge psychiatrique. Antalgie de 1er palier en réserve. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie artérielle. ECG : cf annexes. Avis psychiatrique de garde : hospitalisation à l'hôpital psychiatrique de Marsens pour une adaptation du traitement médicamenteux. Transfert sous PAFA à Marsens en ambulance. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie du 28.01.2020 effectuée à air ambiant en position assise : pH 7.39, PCO2 6.7 kPa, PO2 7.3 kPa, bicarbonates : 3.0 mmol/l, excès de base : 5.3 mmol/l, saturation en oxygène 87 %. Gazométrie du 30.01.2020 effectuée à l'air ambiant en position assise : pH 7.41, PCO2 5.8 kPa, PO2 7.3 kPa, bicarbonates 27 mmol/l, excès de base 3.0, saturation en oxygène 86 %. ECG : cf annexe. Consilium infectiologie le 12.01.2020 (Dr. X) : pneumonie d'aspiration à répétition. Un CT scan thoracique est souhaitable. Traitement empirique par Cefepime et clarithromycine. Il n'existe pas d'argument clinique qui fasse suggérer qu'il s'agisse d'une progression de la pneumonie qui avait nécessité l'hospitalisation du 02.01.2020 et de ce fait pas d'argument pour ne pas reprendre le traitement de Cefepime prescrit récemment. Il est à noter que les bronchectasies qui sont présentes chez ce patient sont des bronchectasies de petites tailles qui ne le mettent pas réellement à risque d'être colonisé avec du pseudomonas. Echocardiographie transthoracique du 13.01.2020 : cf annexe. Angio-CT pulmonaire (Dr. X) du 13.01.2020 : pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. Infiltrats pan-lobaires, sans signe d'abcès ou empyème visualisé. Adénopathies médiastino-hilaires en rapport. Pas de changement de l'atélectasie complète et des bronchiectasies variqueuses du lobe moyen. Décompensation cardiaque avec épanchement pleural bilatéral modéré. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie. Hémoculture 2 paires. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Paracétamol/Novalgine. Retour à domicile avec un traitement symptomatique. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie le 29.11.2019 : pas de lactate Procalcitonine à 0.22ug/l le 02.12.2019 Troponines H0, H1, et H3 le 29.11.2019 : 12, 13, 14ng/l. Réticulocytes, LDH et haptoglobine Recherche de sang occulte dans les selles : négatif le 16.12.2019 2 paires d'hémocultures le 29.11.2019 : négatives à 5 jours 1 paire d'HC le 02.12 et le 04.12.2019 : négatives à 5 jours 2 paires d'HC le 10.12.2019 : négatives à J5 2 paires d'HC le 18.12.2019 : en cours Sédiment urinaire le 29.11.2019 : propre Sédiment urinaire le 10.12.2019 : propre Urotube le 29.11.2019 : négatif Frottis grippe le 02.12.2019 : négatifECG le 29.11.2019 : sous-décalage de 1mm de V4 à V6, non retrouvé sur l'ECG de contrôle ultérieur et dans le contexte fébrile. ECG le 29.11.2019 (3h après) : disparition du sous-décalage Rx pied droit face/oblique le 30.11.2019 : comparatif du 29 octobre 2019. Arthrose métatarso-phalangienne du 1er rayon, sans signe d'ostéomyélite. Rx thorax le 30.11.2019 : image cardiovasculaire normale sans signe d'insuffisance cardiaque ou de péricardite. Il n'y a pas d'image pathologique dans les champs pulmonaires. Les hiles, le médiastin, les tissus mous et le cadre osseux sont également de morphologie normale sans évidence de fracture costale en particulier. IRM pied D le 02.12.2019 : absence d'argument en faveur d'une ostéomyélite. Troubles dégénératifs de l'articulation MTP 1 et le long de la gaine des fléchisseurs à hauteur du troisième métatarsien. Probable atteinte inflammatoire/infectieuse des tissus mous sous-cutanés du cinquième rayon à hauteur de l'IPP. Altération des tissus mous sous-cutanés plantaires, à corréler à la clinique. Echocardiographie transthoracique le 02.12.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. Insuffisance aortique légère, d'origine dégénérative. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. CT thoracique injecté le 03.12.2019 : athéromatose calcifiée de l'artère interventriculaire antérieure, de la première diagonale, ainsi que de l'artère coronaire droite, associée à des sténoses, non significatives, estimées à 50% au départ de la 1ère diagonale et de l'IVA. Subocclusion de l'artère coronaire droite dans sa partie descendante. CAD RADS 4. Score calciques à 1069. Un rapport plus détaillé de l'ensemble des mesures du score calcique a été envoyé sur le PACS. US abdominal le 06.12.2019 : échographie abdominale normale. Légère dilatation des voies biliaires extra-hépatiques compatible avec état post-cholécystectomie. Coronarographie le 17.12.2019 : maladie coronarienne bitronculaire et hypertensive le 12.12.2019 avec : • Artères très tortueuses • Sténose 70-90% de l'IVA proximale à moyenne : PTCA/4xDES : Bon • Sténose 70% de l'artère rétroventriculaire postérieure (petit vaisseau) Laboratoire : cf. annexes. Hémocultures le 26.12.2019 : positives pour Campylobacter jejuni sensibles à l'Azithromycine. Urotube le 26.12.2019 : négatif. CT abdominal injecté le 26.12.2019 : status post-résection iléo-caecale avec mise en évidence d'un discret épaississement pariétal du côlon ascendant en aval de l'anastomose, associé à une infiltration de la graisse au contact, compatible avec une colite modérée. Réhaussement pariétal préservé des anses intestinales. Pas de liquide libre. Perméabilité préservée des principaux axes artériels. Absence d'iléus. Radiographie du bassin le 26.12.2019 : pas de fracture décelée. Status post-prothèse de hanche gauche, sans signe de descellement. Radiographie thoracique le 26.12.2019 : pas de signe de décompensation cardiaque, d'épanchement pleural ou de pneumothorax, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. Sclérose de l'arc aortique. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement, sans signe de foyer infectieux. Pas de fracture costale décelée. Laboratoire : cf. annexes Histologie : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Histologie : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Histologie : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes IRM du neurocrâne native et injectée et des carotides injectées : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, pas de lésion de la substance blanche. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection i.v. de gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. L'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis démontre une perméabilité conservée des artères intracérébrales. Pas d'anévrisme, pas de sténose significative. L'angio-IRM centrée sur les vaisseaux précérébraux démontre une perméabilité conservée de ces derniers. Pas de sténose significative des bifurcations carotidiennes. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularité. CONCLUSION : IRM cérébrale dans les limites de la norme. Pas de lésion ischémique aiguë. Cet examen ne permet pas d'évaluer une éventuelle occlusion de l'artère rétinienne. Dr. X. Laboratoire : cf. annexes. Nexium 40 mg. Avis du gynécologue de Fribourg. Transfert en gynécologie à Fribourg. Laboratoire : cf. annexes. Oesogastroduodénoscopie du 08.01.2020, Dr. X : hémorragie digestive haute sur ulcère tumoral gastrique. Laboratoire : cf. annexes. OGD du 16.01.2020 : hernie hiatale actuellement sans signe d'une oesophagite par reflux. Suspicion d'une légère gastrite antrale. Pour le reste, OGD normale, en particulier aucun signe d'un saignement aigu ou récent. > Biopsies : gastrite antrale chronique d'intensité modérée, peu active, accompagnée d'une hyperplasie fovéolaire réactionnelle. Recherche d'Helicobacter pylori négative à la coloration de Giemsa modifiée. Coloscopie du 20.01.2020 : diverticulose sigmoïdienne. Pas d'autre lésion susceptible d'avoir saigné sur le reste du côlon. Rx thoracique du 21.01.2020 : foyer basal G. Laboratoire : cf. annexes. Poursuite IPP et antalgie comme prescrit suite à la consultation du 30.12.2019, ajout de Buscopan et de Primperan en réserve. Proposition de consulter chez le médecin traitant la semaine prochaine pour suites de prise en charge. Laboratoire : cf. annexes Radiographie de thorax le 09.01.2020 : infiltrat pulmonaire lobaire moyen droit Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de thorax le 13.01.2020 : aspect inchangé de la silhouette cardio-médiastinale. Pas de signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Ventilation pulmonaire symétrique, sans foyer constitué. Cadre osseux et tissus mous inchangés. US abdominal du 14.01.2020 : examen très limité par le morphotype du patient. Dans sa partie visible, foie à contours discrètement bosselés évoquant un aspect cirrhotique associé à une stéatose diffuse. Absence de lésion focale suspecte, dans les limites du faible volume exploré. Vésicule biliaire à parois fines, avec présence possible de boue biliaire. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de thorax le 02.01.2020 : cardiomégalie et sclérose vasculaire aortique. Redistribution de la perfusion pulmonaire en périphérie et aux apex. Émoussement des récessus costo-diaphragmatiques des deux côtés évoquant des épanchements. Calcifications coronariennes et probablement péricardiques à corréler au status post-chirurgie cardiaque. Troubles ventilatoires aux deux bases prédominant à gauche. Condensation parenchymateuse en surprojection du rachis sur l'incidente de profil, devant correspondre à un foyer infectieux de pneumonie/broncho-aspiration. Fils de cerclage sternaux en place avec fracture du premier fil. IRM colonne cervicale le 14.01.2020 : rectitude du rachis cervical en relation avec une uncodiscarthrose étagée prédominant de C3 à C7 avec réduction modérée du diamètre antéro-postérieur du canal rachidien à ces étages, inchangé par rapport à la précédente IRM. Absence de rehaussement pathologique au sein des corps vertébraux étudiés ainsi que du canal rachidien.Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du bassin : décrite ci-dessous. Examen clinique en faveur d'une tendinite d'iliopsoas gauche. Anti-inflammatoires pour 3 jours. Physiothérapie. Avis néphrologique (Dr. X). Prednison 20 mg pour 3 jours, antalgie par Dafalgan +/- Tramadol. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax du 25.12.2019 : par rapport au comparatif du 05.12.2012, il y a toujours une réduction du volume pulmonaire gauche avec une portion ventilée circonscrite dans le champ supérieur et un déplacement de la trachée vers la gauche. Transparence préservée du poumon droit. Crête de diaphragme délicatement limitée sur la droite. Aucune preuve d'un infiltrat pneumatique clair à droite. Un infiltrat pourrait être masqué à gauche. Echocardiographie transthoracique le 30.12.2019 : En raison de mauvaises conditions techniques, l'examen ne permet que les conclusions suivantes : • Fonction du VG hyper dynamique, FEVG à 65-70 % (évaluation visuelle) • Gradient moyen OG-VG à 4 mmHg • Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée • Minime épanchement péricardique localisé postérieur CT cérébral natif le 01.01.2020 : examen réalisé sans injection de produit de contraste. Multiples zones séquellaires bilatérales de porencéphalie/encéphalomalacie en contact étroit avec le système ventriculaire : en fronto-temporal gauche avec dilatation du ventricule latéral ipsilatéral. En fronto-pariéto-temporo-occipitales droites, de manière plus marquée en pariéto-occipital avec dilatation du ventricule latéral droit au niveau du trigone et de la corne occipitale. Séquelles/atrophies corticales fronto-pariétales droites multiples. Le corps calleux n'est pas clairement visible (DD : agénésie ?). Absence de malformation de la fosse postérieure. Comblement partiel du sinus maxillaire gauche qui est de taille inférieure par rapport à la droite. Reste des cavités sinusiennes normalement pneumatisées. Déviation sinistro-convexe du septum nasal. EEG le 03.01.2020 : EEG illisible, artéfacté. A répéter selon l'évolution de la patiente. Avis neurologique 01.01.2020 : l'histoire pourrait faire évoquer une épilepsie avec des crises toniques dans le contexte de la T21 (= symptomatique). Ce n'est pas un tableau de petit mal qui est un diagnostic de l'enfant (= absences). Les 4 crises le jour de l'admission sont considérées comme provoquées dans le contexte de la pneumonie qui est actuellement traitée (ce qui ne nécessiterait en soi pas d'adaptation posologique). Par contre, les doses d'AED sont faibles avec possiblement une épilepsie non-contrôlée et je propose d'augmenter le keppra à 2x500 mg pour l'heure (sans changement du VPA). • Il n'y a pas d'indication à refaire des taux de suivi. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax du 26.12.2019 : important épaississement de la trame bronchovasculaire au niveau du champ pulmonaire à D. Emoussement du cul-de-sac costo-diaphragmatique de façon bilatérale. Aorte déroulée et calcifiée. Echographie transthoracique le 08.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, avec une hypokinésie globale. FEVG à 37 % (méthode de Simpson), 35 % visuellement. Géométrie normale du ventricule gauche. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Excès tissulaire des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale modérée, d'origine dégénérative. Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence de signes pour une élévation des résistances pulmonaires. (PAPs à 22 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 10.01.2020. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax le 17.01.2020 : Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax 15.01.2020 : minime opacité rétrocardiaque visible sur le cliché de profil, pouvant faire évoquer un foyer pulmonaire dans le contexte. Bande d'atélectasie basale gauche. Cardiomégalie. Calcifications de la crosse aortique. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Troubles dégénératifs de la colonne dorsale. Laboratoire : cf annexes. Radiographie gros orteil D : Trait radio-transparent traversant la surface articulaire de la base de P1O1, suspecte pour une fracture malgré l'absence de traumatisme, à confronter avec la clinique (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie pulmonaire le 25.12.2019 : rapport définitif suivra. AngioCT thoracique 25.12.2019 : status post-trachéostomie avec mise en évidence de matériel au sein de la trachée ainsi que dans les bronches souches. Épaississements bronchiques diffus bilatéraux et présence de comblements au sein des bronches segmentaires et sous-segmentaires de la pyramide basale gauche ainsi que dans une moindre mesure dans la lingula et la pyramide basale droite. Petite condensation sous-pleurale dans le segment postéro-basal du lobe inférieur gauche entourée d'un infiltrat en verre dépoli, compatible avec un foyer infectieux. Apparition d'un micronodule de 4 mm au sein du segment apical du lobe inférieur droit, à contours spiculés, aspécifique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie thorax le 01.01.2020 (comparatif du 10.12.2019) : cardiomégalie stable, sous réserve d'une incidence antéro-postérieure limitant son interprétation. Discrète sclérose du bouton aortique. Les plages pulmonaires sont superposables ; on retrouve une accentuation de la trame vasculaire compatible avec une surcharge, toutefois sans signe de décompensation cardiaque et en particulier pas d'épanchement pleural. Absence de foyer pulmonaire individualisé. Cadre osseux inchangé. Bilan neuropsychologique du 02.01.2020 : Cet examen neuropsychologique, réalisé chez une patiente collaborante et adéquate, non fatigable après 1 h d'évaluation, met en évidence : • Des troubles exécutifs (incitation, programmation, inhibition, abstraction, mémoire de travail, récupération en mémoire à long terme verbale) • Des difficultés de mémoire antérograde visuelle • Des troubles attentionnels • De légères difficultés de traitement des nombres • Des troubles praxiques idéomoteurs • Une faible mémoire à court terme verbale • Des signes de dysgraphie spatiale L'orientation, le langage oral et écrit, les praxies constructives, les gnosies visuelles discriminatives, la mémoire à court terme visuo-spatiale et la mémoire en situation sont globalement préservés. Le tableau cognitif n'est actuellement pas évocateur d'un épisode de confusion ou d'une maladie neurodégénérative de type Alzheimer. Toutefois, au vu de FRCV, une étiologie vasculaire est probable et une composante médicamenteuse ajoutée (benzodiazépines) ne peut être exclue. Le tableau cognitif est de nature et d'intensité à limiter certaines AVQ. De ce fait, un RAD semble possible avec une structure adéquate, notamment une supervision pour la gestion administrative et médicamenteuse (SAD). Par ailleurs, rappelons que la patiente se plaint d'hallucinations visuelles. Des investigations complémentaires pourraient être envisagées (imagerie cérébrale ?) et nous restons à disposition pour un bilan neuropsychologique d'évolution à distance. Laboratoire : cf. annexes. Radiographies du bassin et de la hanche : décrites ci-dessous. Retour à domicile avec une antalgie simple par Paracétamol et AINS pour 5 jours.Contrôle clinique chez le médecin traitant avec un CT du bassin et de la hanche. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax du 14.01.2020 : absence de foyer parenchymateux organisé ou autre opacité visible. Pas d'épanchement pleural. Pas d'anomalie de la silhouette cardio-médiastinale. Pas d'anomalie évidente du cadre osseux. CT cérébral du 13.01.2020 : pas de masse. Pas de thrombose de sinus veineux. Pas de saignement. Pas de comblement des sinus. IRM du 15.01.2020 : l'examen a été réalisé sur toute la hauteur du cordon médullaire avant et après l'injection iv de 10 cc de Dotarem. Le cordon médullaire est le siège d'une lésion visible sous forme d'une hyperintensité de signal en pondération T2 centrée dans la moelle à hauteur C6-C7. Pas de prise pathologique de produit de contraste. Pas de masse intracanalaire. Pas de malformation de la fosse postérieure. L'os spongieux des corps vertébraux examinés se présente normalement. Altérations dégénératives modérées du rachis cervico-dorsal. Petits débords discaux postérieurs médian D6/D7 et paramédian gauche D8/D9. Hydro-syringomyélie C6-C7, à corréler à la clinique. Pas d'autre lésion du cordon médullaire. Laboratoire : cf. annexes. Rx du thorax le 01.01.2020 : régression partielle des foyers bilatéraux. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas d'épanchement pleural. Rx du thorax du 06.01.2020 : régression partielle des foyers bilatéraux. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas d'épanchement pleural. Rx du thorax du 07.01.2020 : comparatifs du 06.01.2020 et du 01.01.2020. Résorption quasi complète des foyers bilatéraux en projection des bases pulmonaires. Persistance d'un discret épaississement bronchique en base droite. Médiastin et cœur d'aspect normal. Statut post-tendinodèse avec vis en projection de la tête humérale droite. CT thoracique du 03.01.2020 : plages en verre dépoli dans tous les lobes des deux champs pulmonaires sous forme de mosaïque et à prédominance péri-hilaire ainsi que des adénopathies médiastino-hilaires, DD ARDS, infectieux (PCP, mycoplasma), surcharge, Sarcoïdose ? Pas de signe d'une maladie de Wegener. Pas de foyer profond à l'étage abdominal. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 02.01.2020 : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Volumineux épanchement pleural gauche avec atélectasie partielle du lobe inférieur gauche, sans autre lésion visible. Une image dense arrondie bien délimitée mesurant 7 mm qui se trouve en surprojection de l'arc postérieur des 8 ème et 9 ème côtes à droite, mamelon ? Pas d'épanchement pleural à droite. Le cadre osseux montre des altérations dégénératives étagées avec un DISH dorsal, sans autre particularité. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 09.01.2020 : comparatif du 21.09.2018. Statut post-mise en place d'un Pacemaker unicaméral pectoral gauche avec l'extrémité distale se situant en surprojection du ventricule droit. Pas de pneumothorax. Le reste de l'examen est inchangé. Laboratoire : cf. annexes. Rx du thorax le 20.01.2020 : ratio cardio-thoracique augmenté. Troubles de la ventilation et épanchement pleural aux deux bases de petite taille et discret épaississement bronchovasculaire, évoquant possiblement une décompensation cardiaque. Echocardiographie transthoracique le 21.01.2020 : VG dilaté, globuleux, peu hypertrophié avec hypokinésie globale sévère prédominant en latéral moyen et inférieur. FEVG estimée à 21 % (mode TM), Simpson 26 %, visuelle 20/25 %. Flux mitral restrictif type III avec élévation des pressions de remplissage. Absence de rétrécissement aortique. Insuffisance aortique modérée (grade 2/4). Dilatation modérée de l'aorte ascendante et des vasalvas. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Dilatation des 2 oreillettes. VD normo-cinétique avec petite fuite mal captée. VCI dilatée mais compliante. Pas d'épanchement péricardique. Coronarographie le 21.01.2020 : coronaire gauche : le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure proximale présente une lésion intermédiaire < 50 %. L'artère circonflexe est indemne de lésion coronaire significative. Il existe une artère bissectrice visible. Coronaire droite : l'artère coronaire droite est indemne de sténose sur l'ensemble de ses segments. Echographie des artères rénales et des reins le 23.01.2020 : aorte abdominale mesurée à 2.2 cm, les artères rénales ne sont pas visualisables en raison de l'obésité et d'un météorisme très important (Mr. Y a des diarrhées depuis qu'il est à l'hôpital), le rein droit n'est pratiquement pas visualisé en raison du météorisme et le rein gauche est partiellement visualisé et mesure 11.8 cm. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 30.12.2019 : signe de surcharge pulmonaire d'origine cardiaque sans foyer. Bilan angiologique le 31.12.2019 : pas de thrombose veineuse profonde ou superficielle des membres inférieurs. Adénopathie inguinale droite supracentimétrique. Proposition de crème émolliente sur les membres inférieurs en raison de la xérose cutanée. La perfusion du MID doit permettre la guérison des plaies. Echocardiographie transthoracique le 03.01.2020 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire. FEVG à la limite inférieure de la norme à 50 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte ascendante discrètement dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/3). Excès tissulaire du feuillet mitral antérieur. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche modérément dilatée. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Oreillette droite modérément dilatée avec une discrète dilatation du ventricule droit. HTP modérée (PAPs à 52 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Épanchement péricardique de minime abondance, localisé postérieur. Bonne tolérance hémodynamique. Conclusion : fonction du VG conservée avec une FEVG à la limite inférieure de la norme, 50 %. Absence de valvulopathie significative. Légère dilatation du VD avec dilatation importante des 2 oreillettes. Décompensation cardiaque sur HTA non contrôlée et dermohypodermite du MI. Ad Lasix i.v., introduction IEC à petite dose au vu IRA. US des voies urinaires le 09.01.2020 : sous réserve du morphotype et limitant considérablement l'exploration des organes abdominaux, rein de taille normale avec bonne différenciation cortico-médullaire. Présence de quelques lésions kystiques d'allure banale, infracentimétriques du cortex du rein gauche. Quelques encoches séquelles du cortex du rein gauche. Absence de dilatation pyélocalicielle bilatérale. Vessie en réplétion partielle. Prostate non visualisée. Ponction-biopsie rénale : rapport suivra. Laboratoire : cf. annexes. RX thoracique du 22.01.2020 : foyer basal G. ECG du 22.01.2020 à H0 : tachycardie sinusale 101/min, axe normal, PR < 200 ms, ondes Q en DII-DIII-aVF, sous-décalages ST en V4-V5-V6, ondes T négatives en DII-DIII-aVF. ECG du 22.01.2020 à H3 : RSR 72/min, axe normal, PR < 200 ms, ondes Q en DII-DIII-aVF, pas de sus ou sous-décalage ST, ondes T négatives en DII-DIII-aVF. Laboratoire : cf. annexes. Rx thoracique du 23.01.2020 : pas de foyer. Laboratoire : cf. annexes. RX thoracique le 20.01.2020 : comparatif avec le CT du 17.01.2020. Ratio cardio-thoracique dans la norme. Statut post-insertion d'un drain pleural droit, dont l'extrémité se projette en base droite. Sous réserve d'une différence de modalité, taille de l'épanchement pleural droit probablement stable par rapport au comparatif. Pas de pneumothorax. Reste de l'examen globalement inchangé.CT thoracique le 17.01.2020 : masse au niveau de l'hile pulmonaire droite qui occlut la bronche par le lobe moyen. Volumineux épanchement pleural droit avec épaississement de la plèvre. Le cadre est suspect pour une lésion pulmonaire avec carcinose pleurale ou un mésothéliome. CT abdominal le 22.01.2020 : en comparaison avec le CT du 18.07.2011 réalisé en raison d'une sigmoïdite diverticulaire. Apparition d'innombrables lésions hypodenses suspectes dans les deux lobes hépatiques dont la taille s'échelonne de quelques millimètres à 40 mm pour la plus volumineuse d'entre elles située à la face postérieure du segment III. Aucun changement en taille de la lésion nodulaire dans le corps de la surrénale droite en faveur d'un adénome. Majoration de l'ectasie de l'aorte abdominale infrarénale mesurant ce jour 38 x 36 mm contre 30 x 30 mm. Status post-sigmoïdectomie sans infiltration notable en regard de l'anastomose colique. Apparition d'une plage ostéolytique d'environ 20 mm de plus grand diamètre au sein d'une zone ostéoscléreuse du plateau supérieur de la vertèbre L3 sans net tassement vertébral. Sur les coupes passant par les bases pulmonaires : en comparaison avec le scanner du 17.01.2020. Status post-mise en place d'un petit drain thoracique à la base pulmonaire droite avec évacuation quasi complète de l'épanchement pleural. Présence d'importantes lésions nodulaires de carcinomatose pleurale basales droites avec volumineuse masse suspecte à la partie inférieure du hile pulmonaire droit. RX thoracique le 23.01.2020 : en cours. RX thoracique le 27.01.2020 : en cours. Laboratoire : cf. annexes. RX thoracique le 30.12.2019 : pas de franc argument pour une décompensation cardiaque. Épaississements bronchiques bilatéraux diffus pouvant rentrer dans le cadre d'une bronchite, sans foyer pulmonaire individualisé. ETT le 31.12.2019 : fonction du VG conservée, FEVG 65 %. Bioprothèse aortique sans dysfonction ni déplacement. Gradient probablement sous-estimé à cause de la FA à 115/min. Sténose mitrale formellement légère selon les gradients mesurés ce jour mais probablement à nouveau sous-estimés en raison de la FA rapide. À considérer comme une sténose mitrale légère à modérée comme décrit sur l'examen du 10.10.2019 réalisé en RSR. Fonction du VD discrètement altérée. HTP discrète. Théoriquement indication à une anticoagulation thérapeutique au vu du CHADVASC à 4 pts par un AVK au vu de la sténose mitrale légère à modérée. À évaluer en fonction des CI (chute récente). Rate control par BB à majorer avec FC cible <90-100 min. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax du 05.01.2020 : examen réalisé en position couchée en incidence antéro-postérieure. Sous cette réserve, thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax du 15.01.2020 : élargissement cardio-médiastinal. Redistribution avec épaississement interstitiel et émoussement des angles costo-phréniques bilatéraux, pouvant correspondre à une surcharge cardiaque. Sous réserve de la position assise, pas de franc foyer pulmonaire visible. Échocardiographie trans-thoracique du 15.01.2020 : patient en insuffisance respiratoire aiguë sur bronchite, tachypnéique, désaturation AA 82 % : ventricule gauche non dilaté, hypertrophie concentrique modérée, étude de contractilité segmentaire difficile car peu échogène, surtout en parasternal. Il semble présenter une hypokinésie modérée du septum basal, de la paroi inféro-basale, de la paroi latérale moyenne et de la paroi latéro-basale et une hypokinésie minime des segments restants. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Fraction d'éjection stable. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite dilatée. Ventricule droit de taille limite supérieure. HTAP à 57 mmHg. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexes. RX thorax le 21.10.2019 : épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire qui est désorganisée. Ascension de la coupole diaphragmatique gauche. Absence d'un bon inspirium. Aorte déroulée calcifiée. CT thoracique le 21.10.2019 : embolies pulmonaires centrales avec extension lobaire, segmentaire et sous-segmentaire. Signes scannographiques parlant en faveur d'une répercussion sur la fonction cardiaque droite. Petites condensations à base pleurale dans le lobe inférieur droit (DD : troubles ventilatoires, petits infarctus pulmonaires). Emphysème pulmonaire. Pas de foyer pulmonaire. Lame d'épanchement péricardique. Coronaropathie tritronculaire. Échocardiographie transthoracique le 21.10.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Fonction diastolique normale. Aorte discrètement dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3) avec maladie annulo-ectasiante. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Discrète dilatation de l'oreillette droite avec une dilatation modérée du ventricule droit entraînant un D-shaping du VG en diastole en faveur d'une surcharge en volume. Hypertrophie modérée du ventricule droit. Fonction systolique longitudinale du ventricule droit normale. Fonction axiale diminuée. Discrète dilatation de l'oreillette. Absence d'HTP (PAPs à 40 mmHg, VD-OD à 30 mmHg, POD à 10 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. EN CONCLUSION : Signes de répercussion sur le ventricule droit avec une dilatation modérée du ventricule droit et légère de l'oreillette droite entraînant un D-shaping du ventricule gauche en diastole en faveur d'une surcharge en volume. Diminution de la fonction axiale du ventricule droit. Absence d'HTP. Fonction du VG conservée, FEVG à 55 %. Absence de valvulopathie significative. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax le 22.12.2019 : sclérose de l'arc aortique. Pas de signe de décompensation cardiaque ou d'épanchement pleural, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. Pas de franche opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux, sous réserve d'une mauvaise visualisation des bases pulmonaires. Structures osseuses sans particularité. Bilan angiologique le 23.12.2019 : ETT du 23.12.2019 : patient peu échogène, non interrogeable. VG non dilaté peu hypertrophié, normocinétique de visu avec FEVG estimée à 74 % (mode TM) et 65 % visuellement. Fonction diastolique de type I, PR basses. Pas de valvulopathie aortique significative. VD non dilaté, IT petite PAPs limites de la normales entre 30 et 35 mmHg. VCI non dilaté. Frange graisseuse péricardique. CT cérébral natif le 27.12.2019 : examen réalisé sans injection i.v. de produit de contraste. Comparatif du 09.12.2019. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Hypodensité diffuse de la substance blanche notamment en périventriculaire, compatible avec une leuco-araïose. Apparition d'un aspect spumeux dans le sinus sphénoïdal, sinusopathie aiguë? Le reste de l'examen est inchangé. Laboratoire : cf annexes. Scanner du 12.01.2020 : après les épisodes objectivés au CT des 25.11.2013 et 20.08.2018, récidive de colite diverticulaire non compliquée à la jonction côlon descendant-sigmoïde (Hansen-Stock IIa).Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. CT abdominal natif : Abdomen : lithiase de 3 x 2 x 3 mm de l'uretère distal à gauche associée à une dilatation du pyélon à gauche à 12 mm. Reins de morphologie normale. Pour le reste et sous réserve d'une absence de produit de contraste : Le foie est de configuration et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Pas de liquide libre. Vessie et prostate sans particularité. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : absence de lésion nodulaire suspecte. Pas d'épanchment pleural. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : lithiase de 3 x 2 x 3 mm de l'uretère distal à gauche associée à une dilatation du pyélon à gauche à 12 mm. ( Dr. X) Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Antalgie et hydratation iv. Retour à domicile avec un traitement symptomatique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Antalgie par Paracétamol 1 g IV et Ecofenac 75 mg. Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Co-Amoxi 1 g 3 x /jour pendant 7 jours. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires dans 48 h, le 26.01.2020. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Test de grossesse : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Test de grossesse négatif. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Test de grossesse négatif. ECG : cf. annexes. Antalgie par Morphine 6 mg aux urgences avec soulagement pour la patiente. Ad Alucol et Pantozol 40 mg per os. Retour à domicile avec Pantozol 40 mg 2 x /jour et Alucol. Contrôle biologique et clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Uro-CT : décrit ci-dessous. Avis de l'urologue le Dr. X. Retour à domicile avec Tamsulosine et une antalgie. Filtration des urines. Appeler demain au Daler en cas de fièvre ou de douleurs insupportables pour une prise en charge chirurgicale. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Uro-CT : détaillé ci-dessous. Paracétamol, Voltarène, Buscopan, Tramadol, NaCl 0.9 %. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : propre, hématurie microscopique (cf. annexes.) Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : 2 croix de leucocyte, pas de nitrate, avec du sang. CT ABDOMINAL NATIF : examen effectué sans injection de produit de contraste, en protocole basse dose avec patient en procubitus. Comparatif du 04.06.2013. Urolithiase de 3 x 4 x 3 mm à la jonction urétéro-vésicale droite avec dilatation urétérale (max. 6 mm) et pyélocalicielle (pyélon max. 21 mm) en amont. Pas d'autre calcul radio-opaque sur le trajet des voies urinaires ou dans la vessie. Les reins sont de taille symétrique. Pas de dilatation des voies excrétrices gauches. Pour le reste et en l'absence d'injection de contraste, morphologie normale du foie, de la rate, du pancréas et des glandes surrénales, avec une lésion hypodense d'allure kystique aux parois partiellement calcifiées au sein de la rate (max. 7 mm), superposable au comparatif. Cholécystolithiase de 17 x 17 x 17 mm sans signe de complication. La vésicule présente un épaississement pariétal du fundus, avec des calcifications en son sein. Pas d'infiltration de la graisse viscérale, pas d'adénopathie ou d'ascite. Aorte abdominale d'allure ectasique dans la partie infra-rénale, passant de 23 mm au comparatif à 27 mm actuellement, avec des calcifications de l'aorte abdominale et de ses branches. Syndrome de Chilaiditi. Diverticulose sigmoïdienne et du colon descendant sans signe de complication. Status post ostéosynthèse de L3 à L5, matériel intègre. Phénomène de vide discal D12 à L3. Absence de fusion de l'arc postérieur gauche de S1, déjà présent sur le comparatif. Pas de micronodule ou d'épanchement pleural sur les coupes passant par les bases pulmonaires. CONCLUSION : urolithiase à la jonction urétéro-vésicale droite avec dilatation des voies urinaires en amont. Cholécystolithiase sans signe de complication. Suspicion d'adénomyomatose vésiculaire. Apparition d'une ectasie de l'aorte abdominale infra-rénale depuis le comparatif de 2013, passant de 23 mm à 27 mm de diamètre. Diverticulose sigmoïdienne et du colon descendant sans signe de complication. (Dr. X) Laboratoire : cf. annexes. Sérologie HAV, HBV, HCV et hépatite E : en cours. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 28.01.2020 pour contrôle clinico-biologique + résultats sérologie et bilan hémochromatose. Laboratoire : cf. annexes. Stix/sédiment : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Ciprofloxacine 500 mg 2 x /jour pendant 7 jours. Laboratoire : cf. annexes. Suivi biologique. Laboratoire : cf. annexes. Test de grossesse négatif. Angio-CT cérébral et vaisseaux précérébraux : décrit ci-dessous. Avis neurologique du Dr. X. Retour à domicile. Continuer le Betaserc. Physiothérapie vestibulaire. Bilan ORL en ambulatoire en cas de persistance des vertiges. Laboratoire : cf. annexes. Toxicologie : en cours. ECG : cf. annexes. Transfert à Fribourg pour évaluation par pédopsychiatre. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal le 09.01.2020 : Foie de taille normale à 144 mm sur la ligne médioclaviculaire. Stéatose hépatique diffuse marquée, sans lésion focale suspecte sous réserve de la stéatose limitant l'exploration de la partie postérieure du foie droit. Absence de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Le cholédoque n'est pas clairement visible. Vésicule biliaire contenant peu de sludge ; à absence d'épaississement pathologique de ses parois. Le pancréas n'est pas clairement analysable. Les reins sont de taille et d'échostructure normales sans dilatation de leur système excréteur. Vessie sans particularité. Rate de taille normale sans lésion suspecte. Aorte de taille normale. CT abdominal le 10.01.2020. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal le 11.01.2020 : Dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques, à mettre dans le contexte d'un status post-cholécystectomie et possiblement physiologique. Cholangio IRM le 13.02.2020 : Pas de calcul dans les voies biliaires, pas de dilatation des voies biliaires. Hypersignal périportal intra-hépatique, dd œdème portal, cholangite. Pas d'argument pour une pancréatite aiguë ou une pneumonie basale. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal le 12.01.2020 : Appendice à parois épaissies, de diamètre maximal mesuré à 9 mm, avec hypervascularisation périphérique et infiltration de la graisse adjacente. Pas de collection/abcès visualisé. Fine lame de liquide péri-caecale. Utérus sans particularité. Les ovaires ne sont pas visualisés. Pas de liquide libre dans le petit bassin. Foie de morphologie et d'échostructure normales. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Vésicule biliaire à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Pancréas homogène, sans particularité. Rate homogène mesurant 96 mm de grand diamètre. Reins de morphologie normale, aux contours réguliers avec bonne différenciation cortico-médullaire. Pas de dilatation des voies excrétrices urinaires. Vessie à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Aorte abdominale de calibre régulier à 15 mm. Histologie : cf. annexes. Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Ultrason du 12.01.2020 : Appendicite aiguë, cocarde sign, dilatation de 9 mm, absence de péristaltisme Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes. Urine : cf annexes. Test grossesse : négatif. Laboratoire : cf annexes. Urine : cf annexes. Test grossesse : négatif. Contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires le 12.01.2020 à 9h30. Laboratoire : cf annexes. Urine : cf annexes. US des testicules 10/01 : mis en annexes, décrit ci-dessous. Avis de l'urologue le Dr. X : • Ceftriaxone 2g iv 1x/jour pendant 5 jours, • glace locale, • rendez-vous chez son urologue le 13.01.2020. Reconsulter avant en cas de péjoration. Rendez-vous en filière des urgences ambulatoires 1x par jour pour Ceftriaxone 2g iv. Laboratoire : cf annexes. Urines : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Urines : cf annexes. Rendez-vous avec un gynécologue. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires à 24-48h en cas de non-diagnostic gynécologique. Laboratoire : cf annexes. Urines (analyse toxicologique) : négatif, cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Urines (analyse toxicologique) : négatif, cf annexes. Pas d'argument pour retenir une origine épileptique d'un point de vue clinique (devant témoin, pas de convulsion), probable origine sur stase au sol. Retransfert à l'hôpital psychiatrique de Marsens. US abdomen complet natif du 20.01.2020 : Foie de morphologie normale, d'échostructure hyperéchogène, aux contours réguliers, et aux angles arrondis. Au niveau du segment VIII hépatique, mise en évidence d'un hémangiome de 19 x 13 mm ainsi que d'une zone hypoéchogène, correspondant probablement à une zone d'épargne stéatosique mesurant 25 x 18 mm. Diamètre antéro-postérieur sur la ligne médio-claviculaire 109 mm. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Vésicule biliaire à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Pancréas homogène, sans particularité. Rate homogène mesurant 87 mm de grand diamètre. Reins de morphologie normale, aux contours réguliers avec bonne différenciation cortico-médullaire (rein droit 88 mm, rein gauche 100 mm). Pas de dilatation des voies excrétrices urinaires. Vessie peu remplie lors de l'examen, parois difficilement évaluables. Contenu liquidien anéchogène. Méats urétéraux libres. Utérus sans particularité. Ovaire droit non visualisé en raison d'interpositions aérodigestives, ovaire gauche sans particularité. Pas de liquide libre dans le petit bassin. Absence de masse dans le rétropéritoine. Aorte abdominale de calibre régulier à 15 mm. Veine cave inférieure sans particularité. Conclusion : au niveau hépatique, on note la présence d'une stéatose hépatique, sans hépatomégalie. Au niveau du segment VIII hépatique, mise en évidence d'un hémangiome, ainsi qu'une zone hypoéchogène correspondant probablement à une zone d'épargne stéatosique. Toutefois, nous proposons de recontrôler cette lésion par une nouvelle échographie à distance de 3 mois. Vésicule biliaire alithiasique, à parois fines. Voies biliaires intra et extra-hépatiques non dilatées. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes. US abdominal : Examen mettant en évidence une hépatomégalie avec stéatose hépatique diffuse ainsi qu'une lithiase vésiculaire, mais pas de dilatation des voies biliaires actuellement (Dr. X). Laboratoire : cf annexes. US voies urinaires du 30.12.2019 : petits éléments échogènes au niveau du calice moyen rénal droit correspondant probablement à des calculs connus. Discrète dilatation du calice supérieur rénal droit. Pas d'hydronéphrose. CT abdominal natif et injecté du 01.01.2020 : à gauche, dilatation urétérale avec rehaussement pariétal de l'uretère et du pyélon extra-sinusal, associée à une infiltration péri-rénale homolatérale, en rapport avec une pyélo-urétérite. Pas de signe pour une néphrite/collection/abcès ni de dilatation pyélocalicielle. Image de urétéro-pyélonéphrite gauche sans abcédation ni calcul obstructif visible. Prostate de taille agrandie, avec rehaussement hétérogène, aspécifique à corréler au bilan clinico-biologique +/- IRM. Laboratoire : cf annexe US abdomen supérieur du 13.01.2020 : foie de morphologie et d'échostructure normales, de contours réguliers, sans lésion focale visible. Diamètre cranio-caudal sur la ligne médio-claviculaire 154 mm. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Dilatation de la vésicule biliaire qui présente des parois fines, avec présence de sludge. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Pancréas homogène, sans particularité. Rate homogène mesurant 89 mm de grand diamètre. Vessie à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Aorte abdominale de calibre régulier à 15 mm. Veine cave inférieure sans particularité. Absence de thrombose porte. Les veines hépatiques sont perméables. Hydrops vésiculaire avec présence de sludge, sans épaississement pariétal. Recto-sigmoïdoscopie du 16.01.2020 : biopsies du sigmoïde et rectum, rectosigmoïdoscopie sans particularité. En particulier, aucun signe d'inflammation. Laboratoire : cf annexe. US des voies urinaires du 15.01.2020 : Absence d'argument pour une obstruction sur les voies urinaires. Laboratoire : cf ci-dessous. Rx mains face + 3/4 et pieds face + 3/4 : pas d'érosions. Ultrason rhumatologique Dr. X 5.12.19 : synovite de grade 1 poignet G, pas d'autre synovite des mains et poignets et pas de ténosynovite. Hanche gauche difficile à visualiser : manque d'échogénéicité. Score WPI 19/19 et score SS à 6 le 19.12.2019 Laboratoire : cf. copie annexée. Laboratoire : cf. copie annexée. Laboratoire : cf. copie annexée. Laboratoire : cf. copie annexée. Laboratoire : cf. copie annexée. Consilium d'angiologie du 06.01.2020 : cf. copie annexée. Tests de dépistage cognitifs réalisés le 26.12.2019 : MMSE à 28/30, test de l'horloge à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 0/15. Laboratoire : cf. copie annexée. CT abdominal du 19.12.2019 : pas d'image de collection abcédée décelable ce jour. Les lésions hépatiques semblent évoquer des kystes biliaires déjà visibles sur le CT du 22.10.2018. Si forte suspicion de lésions évocatrices d'abcès hépatique, l'IRM hépatique reste l'examen de choix. Séquelles de diverticulite sigmoïdienne avec densification de la graisse péri-sigmoïdienne, sans image de collection ou d'abcès. Tests de dépistages du 17.12.2019 : MMS à 23/30, test de l'horloge à 5/7 ; l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoire : cf. copie annexée. CT cérébral du 17.01.2020 : régression des hématomes sous-duraux, para-falcoriel droit et de la tente du cervelet à droite par rapport au comparatif. Pas de nouveau saignement visible ce jour. Les structures médianes sont en position correcte. IRM cervicale et lombaire du 23.01.2020 : canal étroit cervical, sans signe pour une myélopathie actuellement, avec punctum maximum en C5-C6 sur uncarthrose multi-étagée avec arthrose facettaire et hypertrophie des ligaments jaunes. Canal lombaire étroit, probablement absolu en L3-L4, relativement inchangé par rapport à l'examen du 22.08.2019, sous réserve des nombreux artéfacts de mouvements. Radiographie du thorax pré-opératoire du 24.01.2020 : en cours. Radiographie du bassin et de la hanche droite du 24.01.2020 : en cours. Bilan neuropsychologique du 23.01.2020 : cet examen neuropsychologique, réalisé chez une patiente collaborante, au contact adéquat, présentant un important ralentissement, quelques propos incohérents, fatigable après 40 minutes d'évaluation et présentant des douleurs dorsales, met en évidence une désorientation spatiale, de légères difficultés d'accès lexical, un graphisme altéré, des difficultés mnésiques antérogrades, malgré une mémoire en situation satisfaisante et des capacités d'apprentissage présentes, et un dysfonctionnement exécutif (incitation, programmation, inhibition, résurgence de réflexe archaïque) et attentionnel. L'orientation spatiale et personnelle, le langage écrit, les transcodages et les praxies constructives sont globalement préservés. Le tableau cognitif ne met pas en évidence de signes neurologiques focaux et semble compatible avec une composante traumatique et vasculaire (leucoaraïose). Il ne parle actuellement pas en faveur d'une étiologie neurodégénérative de type Alzheimer. Finalement, au vu de la bonne compréhension de la situation médicale et des bonnes capacités de raisonnement, la capacité de discernement concernant la prise de décision médicale en lien avec le canal lombaire étroit semble préservée, d'un point de vue strictement neuropsychologique. Laboratoire : cf. copie annexée. CT cérébral natif du 27.12.2019 : absence de lésion hémorragique intra ou extra-axiale. Pas de fracture. Radiographie du thorax du 27.12.2019 et de la colonne dorsale de face et profil du 27.12.2019 : • Thorax : cardiomégalie globale avec ICT de 16/26.2 dans signe de décompensation cardiaque. Sclérose aortique et trachéo-bronchique. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas de pneumothorax visible. Absence de fracture costale déplacée. Discret émoussement des sinus costophréniques postérieures sur aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Pas de foyer parenchymateux systématisé visible. Pas de pneumothorax. • Colonne dorsale : scoliose de convexité dorsale gauche, lombaire droite et composante rotatoire marquée au niveau lombaire. Hauteur des corps vertébraux dorsaux conservée sans fracture/tassement. Lésions dégénératives ostéophytaires pluri-étagées. Radiographie du thorax de face et profil du 03.01.2020 : cardiomégalie des quatre cavités avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Déminéralisation osseuse diffuse. Tassement cunéiforme de D12 d'allure ancienne et scoliose dorsale sinistro-convexe. Test de dépistage de la cognition du 07.01.2020 : MMSE à 29/30, test de l'horloge à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG : cf. copie annexée. CT cérébral natif et injecté du 16.12.2019 : corrélation clinico-radiologique avec asymétrie isolée de la carte de perfusion du Tmax en augmentation en cérébelleux droit sans corrélation avec les autres cartes. Pas de lésion focale ou constituée. Pas d'hémorragie intracrânienne. Examen à étayer par une IRM cérébrale. IRM du neurocrâne native et injectée du 17.12.2019 : accident vasculaire cérébral paramédian pontique gauche, constitué. Pas de transformation hémorragique secondaire post lyse. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG : rythme sinusal avec bloc atrio-ventriculaire de 1er degré ainsi qu'un bloc de branche droit (déjà présent sur l'ancien ECG) et des ondes T pointues et amples en V5 et V6. Radiographie du thorax face et profil du 17.12.2019 : comparatif 15.03.2019. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Épaississement bronchique mais pas de foyer de pneumonie constitué. Pas d'épanchement pleural. Attitude scoliotique dextro-convexe de la colonne dorsale haute, connue et inchangée avec spondylose multi-étagée inchangée. Tests cognitifs du 24.12.19 : MMSE à 12/30, test de l'horloge à 0/7, score de GDS (non souhaitée). Laboratoire : cf. copie annexée. ECG d'entrée du 28.12.19 : rythme régulier sinusal, pas de trouble de la conduction, QRS fins, pas de signe d'ischémie. Test de dépistage de la cognition du 07.01.2020 : MMSE à 30/30, test de l'horloge à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 02.01.2020 : rythme sinusal à 76/min, axe normal à -24°, PR à 188 ms, QRS fin, QTc à 421 ms, pas de troubles de la repolarisation, ni d'ondes Q significatives. CT cérébral et maxillo-facial et cervical le 02.01.2020 : minime hématome jugal droit, sans autre lésion traumatique visible. Image compatible avec une sinusite fongique allergique frontal gauche (DD : contenu hématique moins probable en l'absence de fracture). Radiographie de l'épaule droite du 02.01.2019 : contenu calcique, structures osseuses conservées. Interligne articulaire gléno-huméral, espace sous-acromio-huméral conservés. Discrète irrégularité de corticale des processus coracoïdes sur le neer, non visible sur l'incidence de face. Uniquement remaniements dégénératifs ? Petite calcification millimétrique en projection de l'insertion du supra-épineux au-dessus du trochiter, visible sur l'incidence de face. Intégrité des 1ères côtes visible. Radiographie du thorax du 02.01.2019 : status après sternotomie avec cerclages intacts pour pontage aorto-coronarien. Déroulement aortique. Cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Absence de fracture costale déplacée visible, de foyer de contusion pulmonaire ou d'épanchement pleural. Hypercyphose dorsale. Lésions dégénératives dorsales inférieures. Pas de fracture/tassement récent visible. Status après ostéosynthèse de l'humérus gauche. Schellong sans bandes du 08.01.2020 : positif. Schellong avec bandes du 10.01.2020 : négatif. Tests de la cognition du 13.01.2020 : MMSE à 23/30, test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 02.01.2020 : rythme sinusal à 90/min, axe normal à -27°, PR à 130 ms, QRS fin, QTc à 440 ms, pas de troubles de la repolarisation, ni d'ondes Q significatives, présence d'une extra-systole ventriculaire. Consilium d'infectiologie du 30.12.2019 : cf. copie annexée. Tests de la cognition du 17.12.2019 : MMSE à 23/30 et test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 02.12.2019 : fréquence cardiaque à 75/min, QTc 535 ms, bloc atrio-ventriculaire I avec bloc de branche droit connu, avec bigéminisme, sans signe d'ischémie. CT cérébrale natif du 10.12.2019 : conclusion : plusieurs collections sous-durales d'allure chronique (hygromes). Les plus importantes étant : une collection fronto-pariétale convexitaire à gauche, d'épaisseur maximale d'environ 8 mm et une collection fronto-pariétale para-sagittale à droite, d'épaisseur maximale d'environ 6 mm. Pas d'hématome sous-dural ou extradural d'allure récente. Pas d'hématome intraparenchymateux cérébral. Examen neuropsychologique du 19.12.2019 : cf. rapport annexé. Tests de la cognition du 12.12.2019 : MMSE à 18/30, test de la montre à 1/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 03.01.2020 : cf. copie annexée. CT thoracique injecté du 03.01.2020 : la formation lobaire inférieure droite doit correspondre à une atélectasie surinfectée dans le contexte de bronchiectasies. L'image n'est pas compatible avec un foyer de pneumonie classique toutefois. Pas d'EP sur cet examen effectué au temps tardif. Radiographie du thorax de face et profil du 03.01.2020 : comparatif du 29.12.2016. Silhouette cardiaque de volume dans la norme sans signe de décompensation. Discrète sclérose aortique. Accentuation de la trame bronchique avec augmentation de la trame péri-bronchique vasculaire lobaire postéro-basale D suspecte d'un foyer parenchymateux plus ou moins bronchectasies. Pas d'épanchement pleural visible. Absence de fracture/tassement des corps vertébraux. Tests de la cognition du 10.01.2020 : MMS à 27/30, test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 03.01.2020 : flutter à 77/min, axe normal/gauche à 24°, PR à 202 ms, QRS fin, QTc à 420 ms. CT abdominal du 03.01.2020 : Pas de masse intra-abdominale. Pas d'ascite. Diverticulose au niveau de l'angle hépatique du côlon et des côlons descendant et sigmoïde, toutefois sans signe de diverticulite. Hernie inguinale ddc, plus volumineuse à D, sans contenu intestinal. Altérations dégénératives disco-vertébrales dorsales inférieures et lombaires. Antérolisthésis de L5 sur S1 de grade II. Spondylolyse L5 ddc. Rétrécissement neuro-foraminal L4-S1 ddc en raison de l'arthrose facettaire et du listhésis de L5 sur S1. Radiographie du thorax du 03.01.2020 : cardiomégalie modérée avec un déroulement de l'aorte thoracique. Multiples épaississements bronchiques ainsi que désorganisation de la trame bronchovasculaire, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 03.12.2019 : cf. copie annexée. Radiographie de la hanche du 02.12.2019 : par rapport aux comparatifs, remaniement des berges fracturaires des branches ilio- et ischio-pubiennes gauches. Pas de nouvelle fracture. Coxarthrose débutante bilatérale. Ostéochondrose du rachis lombo-sacré. Radiographie du thorax du 03.12.2019 : seule une partie des arcs costaux droits est visible. Pas de fracture, d'épanchement ou d'infiltrat. Test de dépistage cognitifs du 06.12.19 : MMSE à 28/30, test de la montre à 4/7 ; l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 04.01.2020 : cf. copie annexée. CT de la colonne lombaire natif du 04.01.2020 : fracture-tassement modéré de L5, sans recul du mur postérieur et dans la chronologie, est difficilement évaluable en raison de l'absence de comparatif. Bilan à compléter par une IRM lombaire selon nécessité. Altérations dégénératives multi-étagées de la colonne lombaire. IRM de la colonne lombaire native du 09.01.2020 : multiples lésions dégénératives et pincements intersomatiques pluri-étagés. Probablement lombalisation de S1. Ancien tassement du plateau supérieur de L5. Pas de fracture récente visible. Volumineuse hernie récessale foraminale extra-foraminale L1-L2 gauche avec conflit radiculaire. Radiographie de la colonne lombaire de face et profil du 04.01.2020 : tassement du plateau antéro-supérieur de L5 dans le contexte d'une probable lombalisation de S1. Aspect discrètement cunéiforme de L1 et L2. Discopathies multi-étagées. Calcification de l'aorte abdominale. Tests de la cognition du 20.01.2020 : MMSE à 30/30 et test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 04.01.2020 : cf. copie annexée. Radiographie du thorax debout du 04.01.2020 : rapport en cours. Test cognitifs du 08.01.2020 : MMS 23/30, test de l'horloge pathologique à 2/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 7/15 (prédominante de la composante anxieuse). Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 04.12.19 : rythme sinusal régulier à 95 battements par minute, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré avec PR à 260 ms, normoaxé, QRS élargi en V1 et V2 sur BBD, pas de trouble de la repolarisation, QT long selon Bazett 509 ms. Consilium de neuro-psychologie-aphasiologie du 19.12.2019 : cf. copie annexée. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 05.12.2019 : cf. copie annexée. CT cérébral et cervical natif du 05.12.2019 : • Crâne : le parenchyme cérébral se présente normalement, avec des hypodensités péri-ventriculaires et dans la substance blanche des deux côtés, correspondant à la leuco-araïose. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous- ou épidurale. Morphologie normale pour l'âge du système ventriculaire et des sillons cérébraux. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Pas de comblement liquidien des sinus de la face et des cellules mastoïdiennes. Status après phakectomie bilatérale. Infiltration des parties molles péri-orbitaires droites, toutefois sans fracture mise en évidence. • Cou : la dent de l'axis est centrée entre les masses latérales de l'atlas ; calcifications ligamentaires atlanto-odontoïdienne. Alignement normal des vertèbres et des massifs articulaires postérieurs. Altérations dégénératives du rachis cervical, avec par exemple une unco-discarthrose étagée prédominante en C5-C6. Pas d'épaississement de la bande de tissus mous pré-vertébrale. Quelques hypodensités thyroïdiennes infracentimétriques, aspécifiques. Pas d'adénopathie cervicale. Les glandes salivaires sont sans particularité dans leur portion visible. Diverticule trachéal visualisé à hauteur de C7-D1. • Apex pulmonaires : emphysème centro-lobulaire diffus. CONCLUSION : Hématome péri-orbitaire droit, sans autre lésion traumatique mise en évidence, en particulier pas de fracture ni de saignement intracrânien. Diverticule trachéal connu. Radiographie du genou gauche du 17.12.2019 : gonarthrose tri-compartimentale prédominant nettement en fémoro-tibial interne avec pincement articulaire. Ostéophytose périphérique. Importante médiacalcose de l'artère poplitée. Radiographie de la colonne dorsale de face et profil du 05.12.2019 et de la colonne lombaire de face et profil du 05.12.2019 : comparatif du 28.07.2017 : pas d'argument pour une fracture. Maintien de la hauteur et de l'alignement des corps vertébraux. Altérations dégénératives sévères multi-étagées, avec persistance d'un discret antéro-listhésis de L4 sur L5, comparable au précédent examen. Coxarthrose bilatérale et articulations sacro-iliaques dégénératives. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 06.01.2020 : rythme sinusal à 63/min, axe gauche à -31°, bloc AV I PR à 202 ms, QRS fin, QTc à 482 ms, pas d'ondes Q significatives. Radiographie du thorax le 06.01.2020 : pas de foyer de condensation visible. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 07.01.2020 : cf. copie annexée. US de l'abdomen supérieur natif du 13.01.2020 : examen de qualité extrêmement limitée en raison d'un écran aéro-digestif important sur l'ensemble du cadre colique, d'une importante spasticité abdominale dans le contexte de la maladie de Parkinson, du trémor ainsi que de l'incapacité du patient à tenir l'expirium et à mobiliser le membre supérieur droit pour une exploration du foie par voie intercostale. Dans ce contexte, l'exploration hépatique s'avère extrêmement limitée et ne permet pas un examen par échodoppler de l'hémodynamique de qualité suffisante. Rate homogène, de taille normale, mesurant 110 mm de grand diamètre. Rein droit mesurant 94 mm, rein gauche mesurant 95 mm de grand diamètre. CONCLUSION : les mesures demandées n'ont pas pu être effectuées pour les raisons précitées. CT de la colonne lombaire natif du 10.01.2020 : fracture/tassement du corps vertébral de L2 dans sa partie antéro-inférieure avec irrégularité du mur antérieur vertébral et discrète diminution de la hauteur du corps vertébral d'environ 25%. Altérations dégénératives disco-vertébrales lombaires. Athéromatose calcifiée de l'aorte abdominale et des artères iliaques. Radiographie de la colonne dorsale de face et profil, du bassin et de la hanche axiale gauche, de la colonne lombaire de face et profil et du thorax de face du 07.01.2020 : • Colonne dorsale : tous les corps vertébraux dorsaux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Lésions dégénératives multi-étagées, modérées, en relation avec l'âge du patient.Bassin, hanche gauche et colonne lombaire : tassement cunéiforme de L2 avec diminution de hauteur du mur antérieur d'environ 30%, sans recul du mur postérieur, pouvant être récent, à confronter avec la clinique. Calcifications de l'aorte abdominale. St/p mise en place d'une PTH gauche. Cholélithiase. • Thorax couché : cardiomégalie modérée en tenant compte de la position couchée avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Quelques épaississements bronchiques avec une augmentation de la trame péri-hilaire ddc, pouvant correspondre à des foyers. Cholélithiase. Laboratoire : cf copie annexée. ECG du 08.01.2020 : cf. copie annexée. Radiographie de la cheville gauche du 11.01.2020 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mr. Y. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Tests de dépistage des troubles cognitifs non réalisables au vu de la barrière de la langue. Radiographie du thorax du 08.01.2020 : cardiomégalie. Sclérose, élongation-déroulement de l'aorte thoracique. Opacité rétro-cardiaque devant correspondre à un foyer infectieux au vu du contexte clinique. Laboratoire : cf copie annexée. ECG du 09.12.2019 : cf. copie annexée. Consilium de diabétologie : cf. copie annexée. Radiographie du thorax du 09.12.2019 : comparatif debout 30.10.2019. Inspirium diminué. Cardiomégalie globale à prédominance gauche majorée par la position couchée. Élargissement médiastinal supérieur majoré par l'obliquité du cliché. Accentuation diffuse de l'interstice avec redistribution vasculaire dans les apex évoquant une surcharge cardiaque. Un foyer parenchymateux surajouté, notamment en base droite ne peut être exclu. Pas d'épanchement pleural. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 13.12.2019 : cf. copie annexée. Tracé de mauvaise qualité, fibrillation auriculaire normocarde à 61/min, axe normal à 3°, QRS fin, QTc à 436 ms, image rSr' en V2, pas d'ondes Q significatives. Radiographie du thorax du 16.12.2019 : épaississement de l'interstice pulmonaire dans les 2 bases pulmonaires plus marqué à droite inchangé par rapport au comparatif. Augmentation du diamètre antéro-postérieur, espace clair rétro-sternal augmenté, aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Le tout fait évoquer un emphysème pulmonaire. Pas de foyer visible. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Athéromatose calcifiée de l'aorte. Effacement de la coupole diaphragmatique D (probablement petit épanchement pleural). Troubles dégénératifs au niveau de la colonne dorsale avec ostéophytose marginale. Discrète perte de hauteur généralisée des corps vertébraux dorsaux moyens. Bassin et colonne lombaire de face et profil du 18.12.2019 : contenu calcique en relation avec l'âge de Mr. Y. Rachis lombaire effectué en position couchée ne permettant pas de juger pleinement de la statique. Alignement des murs postérieurs et antérieurs conservé. Pas d'argument pour une fracture/tassement visible. Pincement intersomatique L5-S1. Arthrose interfacettaire postérieure de la jonction lombo-sacrée. Articulations sacro-iliaques symétriques sp. Discret pincement des articulations coxo-fémorales sans autre remaniement dégénératif visible. Enthésopathie calcifiante des épines iliaques antéro-supérieures des branches ilio et ischio-pubiennes et des grands trochanters ddc. Pas de lésion traumatique osseuse visible. Ganglion calcifié para-vertébral droit à la hauteur de L5. Importante calcification vasculaire artérielle. Radiographie du thorax du 03.01.2020 : comparatif du 17.12.2019. On retrouve une accentuation du volume thoracique avec importante désorganisation de la trame pulmonaire dans le contexte d'un emphysème pont-lobulaire important bilatéral. Altération péri-bronchique basale droite discrètement accentuée par rapport au comparatif, compatible avec une surinfection. Pas de volumineux épanchement pleural visible. Cœur de taille dans la norme, sans signe de décompensation. Artères pulmonaires de fort calibre évoquant une composante d'hypertension artérielle pulmonaire. Sclérose aortique. Consilium de neuropsychologie-aphasiologie 09.01.2020 : cf. copie annexée. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 15.12.2019 : cf. copie annexée. CT du pelvis natif du 20.12.2019 : fracture pluri-fragmentaire de branche ilio-pubienne gauche. Fracture de branche ischio-pubienne gauche. CT cérébral natif du 18.12.2019 : pas de collection sous-durale ou extra-durale. Pas d'hémorragie intracérébrale mise en évidence. Pas de trait de fracture au niveau des os du crâne et du massif facial. Hypodensités d'allure chronique dans la substance blanche de siège péri-ventriculaire au niveau fronto-pariétal ddc (inchangées par rapport au comparatif du 14.12.2019). DD leuco-encéphalopathie micro-vasculaire. Radiographie du bassin et de la hanche axiale gauche du 18.12.2019 : fracture para-symphysaire gauche des branches ischio et ilio-pubiennes. Pas de fracture des fémurs des deux côtés. Quelques phlébolithes en surprojection du pelvis. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 16.12.2019 : rythme régulier, sinusal, fréquence à 86/minute. Axe gauche. Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction. Voir tracé annexé. Radiographie du thorax le 16.12.2019 : comparatif du 01.10.2017 : cardiomégalie. Important déroulement de l'aorte thoracique. Épaississement interstitiel, un peu moins marqué que sur la radiographie précédente. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Le tout est compatible avec une insuffisance cardiaque légèrement décompensée. Ascension de la tête humérale par rapport à la glène à droite, à corréler à la clinique. Radiographie de l'abdomen sans préparation (ASP) le 20.12.2019 : peu d'air visualisé de répartition aspécifique essentiellement aérocolie sans distension pathologique. Ampoule rectale aérée vide de selles. Pas de fécalome. Absence de double contour en faveur d'un pneumopéritoine décelable. Pas de calcification pathologique visible en projection des voies urinaires. Calcifications vasculaires artérielles. Trouble de la statique et lésions dégénératives sévères pluri-étagées du rachis lombaire. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 16.12.2019 : rythme sinusal régulier 75/min, axe normal à 47°, PR à 140 ms, QRS fin, QTc à 416 ms, pas de troubles de la repolarisation, ni d'ondes Q significatives. US du système urogénital du 02.01.2020 : absence d'obstruction des voies urinaires. Reins de petite taille, bien différenciés. Status après TURP. Radiographie du thorax du 26.12.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Consilium d'infectiologie du 27.12.2019 : cf. copie annexée. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 17.12.2019 : rythme régulier, sinusal, fréquence à 73/minute. Axe normal. PR 154 ms, QRS 102 ms, QTC 440 ms. Pas d'ondes Q significatives, ni de troubles de la conduction, ni de repolarisation. Radiographie du thorax du 17.12.2019 : status post-cerclage sternotomie. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Test de dépistage de la cognition du 26.12.19 : MMSE à 29/30, test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 19.12.2019 : rythme sinusal régulier à 54 battements par minute, axe normal, PR 156 ms, QRS 94 ms, QTc 446 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation. Radiographie du thorax du 19.12.2019 : dans les limites des incidences pas de visibilité de fracture décelable. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Matériel d'OS à gauche au niveau du fémur en place. Aspect très déminéralisé de la trame osseuse.Radiographie de la hanche droite et du bassin du 19.12.2019 : important épaississement de la trame bronchovasculaire. Aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire. Pas d'épanchement pleural visible. Aorte déroulée et calcifiée. Radiographie du thorax du 28.12.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épaississement de la trame broncho-vasculaire. Emoussement du cul-de-sac costo-diaphragmatique. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 20.12.2019 : fibrillation auriculaire connue, normocarde, QRS fins, axe normal, QTc 471 ms, extrasystole monomorphe. Radiographie de l'avant-pied droit du 23.12.2019 : hallux valgus. Pas de signe d'arthrose érosive avancée. Pas d'anomalie suspecte des structures osseuses. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. Test de dépistage de la cognition du 26.12.19 : MMSE à 28/30, test de l'horloge à 6/7 ; l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 0/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 24.12.2019 : cf. copie annexée. Radiographie du thorax face et profil du 24.12.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Absence de net foyer parenchymateux systématisé visible. Pas de bronchogramme aérique. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. CT cérébral natif et injecté du 24.12.2019 et CT des tissus mous du cou injecté du 24.12.2019 : absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou des espaces méningés. Pas de lésion traumatique osseuse récente visible. Pas d'argument pour un AVC ischémique constitué. Importante unco-discarthrose pluri-étagée du rachis cervical. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 26.12.2019 : cf. copie annexée. CT cérébral 26.12.2019 : absence de saignement intracrânien. Tests de la cognition du 05.01.2020 : MMSE à 29/30, test de la montre à 7/7 et un mini-GDS à 0/4. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 29.12.2019 : cf. copie annexée. Tests de la cognition du 07.01.2020 : MMSE à 29/30, test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 30.12.2019 : cf. copie annexée. Radiographie du thorax de face, de la colonne dorsale de face et profil + colonne lombaire de face et profil du 26.12.2019 et du coude droit + poignet droit (2 séries de clichés) du 26.12.2019 : • Thorax : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de pneumothorax visible. • Colonne dorsale : on trouve le st/p cimentoplastie. Dans les limites de l'incidence réalisée, pas d'image de nouvelle fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. • Colonne lombaire : aspect ostéopénique de la trame osseuse. Rectitude rachidienne. Pas de lésion traumatique nouvelle visible. • Coude D : pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. • Poignet D (1ère série de clichés) : rhizarthrose. Arthrose radio-carpienne. • Poignet D (2ème série de clichés) : bonne immobilisation plâtrée. Pas de signe de complication. Pas de déplacement secondaire. CT cérébral natif du 30.12.2019 et CT de la colonne cervico-thoraco-lombaire natif du 30.12.2019 : cf. copie annexée. Les tests cognitifs réalisés le 13.12.2019 mettent en évidence un MMSE à 26/30 et un test de la montre à 1/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 30.12.2019 : cf. copie annexée. Radiographie du thorax de face du 30.12.2020 : pas d'embolie pulmonaire. Pas de signe de surcharge. Minimes troubles ventilatoires en base gauche avec quelques bandes atélectasiques. CT thoracique pour une recherche d'embolie pulmonaire injecté du 30.12.2019 : pas d'embolie pulmonaire. Pas de signe de surcharge. Minimes troubles ventilatoires en base gauche avec quelques bandes atélectasiques. Test de dépistage de la cognition du 7.1.20 : MMSE à 26/30, test de l'horloge à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 30.12.2019 : cf. copie annexée. RX thorax du 30.12.2019 : status post-sternotomie avec cerclage intact pour pontage aorto-coronarien. Accentuation du volume thoracique, horizontalisation des arcs costaux, raréfaction de la vascularisation en périphérie des deux poumons. Épaississement bronchique diffus bilatéral dans le contexte de la BPCO connue. Tassement du parenchyme pulmonaire aux bases avec raréfaction emphysémateuse prédominant aux apex. Surcroît de densité péri-bronchique vasculaire postéro-basal droit, compatible avec un foyer. Compte tenu de l'aplatissement des coupes diaphragmatiques, pas d'évidence d'épanchement pleural associé. Lésions dégénératives du rachis, sans fracture/tassement. RX thorax du 03.01.2020 : par rapport au comparatif du 30.12.2019, on retrouve un infiltrat postéro-basal droit correspondant au foyer de pneumonie connu, en diminution. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 30.12.2020 : rythme ventriculaire irrégulier avec un trigéminisme, fréquence à 92/min, axe hypergauche, extrasystoles ventriculaires avec pauses compensatrices, pas de trouble de la morpho ni de la repolarisation. ECG du 07.01.2020 : bloc atrio-ventriculaire de 1er degré avec axe hypergauche. Radiographie de face et profil du 30.12.2019 : comparatif du 26.03.2018. Pas de foyer constitué. Épaississement bronchique basal droit avec quelques petites opacités pouvant faire évoquer une bronchite, diagnostic différentiel : un début de bronchopneumonie basale droite, diagnostic différentiel : broncho-aspiration. Pas de foyer de pneumonie à G. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiaque dans la norme avec déroulement de l'aorte thoracique un peu plus marqué que sur l'examen précédent. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Discrète spondylose de la colonne dorsale. Test de dépistage de la cognition du 09.01.2020 : MMSE à 17/30 et test de l'horloge à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 31.12.2019 : cf. copie annexée. Radiographie du fémur droit : pas de fracture du fémur dans sa partie proximale, moyenne ou distale. On retrouve une structure ossifiée de l'épine iliaque antéro-inférieure droite pouvant correspondre à un ancien arrachement avec ossification en 1er lieu dans le DD. Petite lésion ostéosclérosante dans la diaphyse distale du fémur ; diagnostic différentiel : petite zone de nécrose ossifiée. Tests de la cognition du 09.01.2020 : MMSE à 28/30, test de la montre à 6/7, GDS à 8. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG le 27.12.2019 : fibrillation auriculaire, normo-axée à 17°, QRS fins à 88 ms, QTc à 425 ms, pas d'onde Q significatives, transition en V4, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax de face et profil du 28.12.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Tests cognitifs le 13.12.2019 avec MMSE 28/30, test de la montre 7/7, GDS 5/15. Laboratoire : cf. copie annexée. Evaluation neuropsychologique du 19.12.2019 : cf. copie annexée. Laboratoire : cf. copie annexée. Radiographie du bassin du 08.01.2020 : pas de fracture des structures osseuses examinées. Sur l'incidence de face, le sacrum est le siège de multiples surprojections aériques et de selles en raison d'une stase stercostase dans l'ampoule rectale. Pas de fracture visible dans ces conditions. Sur l'incidence de profil, pas de fracture évidente du sacrum dans le contexte également d'une ostéopénie modérée. Si l'on veut aller plus loin dans les investigations, un scanner du bassin serait l'examen de choix.Laboratoire : cf. copie annexée. Radiographie du bassin du 30.12.2019 : déminéralisation osseuse diffuse. Status post-prothèse totale de hanche gauche avec élément fémoral cimenté. Pas de signe de descellement de la cupule. Coxarthrose droite avec sphéricité de la tête fémorale conservée. Lésions dégénératives des derniers espaces intersomatiques lombaires. Actuellement pas de destruction ostéolytique ou ostéocondensante suspecte décelable. Structure dense radio-opaque ovalaire en projection de la crête iliaque, correspondant à un granulome calcifié post-injection (CT du 29.11.2019). CT du bassin du 31.12.2019 : déminéralisation osseuse diffuse liée à l'âge. Une lésion dégénérative du pied des articulations SI et de la jonction lombosacrée. Coxarthrose droite avec petite géode du pilier antérieur du cotyle et de la partie postérieure du cotyle déjà visible sur le PET-CT. Pas de masse suspecte visible. Laboratoire : cf. copie annexée. Radiographie du poignet du 06.01.2020 : irrégularité du pôle distal du scaphoïde pouvant correspondre à une fracture peu déplacée de cet os, à confronter à un scanner si l'on veut aller plus loin dans les investigations. Pas de fracture du reste des os du carpe. Pas de fracture du radius ou du cubitus distal. Tests de la cognition du 07.01.2020 : MMSE à 12/30, test de la montre refusé, GDS refusé. Laboratoire : cf. copie annexée. Radiographie du poignet gauche du 09.01.2020 : comparatif 25.12.2019. Évolution favorable sans déplacement secondaire d'une fracture diaphysaire distale peu déplacée de l'humérus. Les axes osseux demeurent corrects. Pour mémoire, calcification cartilagineuse évoquant une chondrocalcinose. Arthrose STT, rhizarthrose. Tests de la cognition du 09.01.2020 : MMS à 27/30, test de l'horloge pathologique à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Laboratoire : cf. copie annexée. Radiographie thoracique de face le 19.12.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Tests de la cognition du 26.12.2019 : MMSE à 19/30, test de la montre à 2/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Laboratoire : cf. copie annexée. Radiographie thoracique du 18.12.2019 : inspirium discrètement diminué. Élargissement de la silhouette cardiaque lié à la position couchée, à l'inspirium diminué. Discrète accentuation toutefois du cœur gauche avec accentuation/turgescence modérée hilaire bilatérale ne permettant pas d'exclure de fins signes de surcharge. En raison du tassement du parenchyme pulmonaire, pas d'évidence de foyer surajouté clairement visible. Pas d'épanchement pleural. Lésions dégénératives du rachis. US des voies urinaires du 19.12.2019 : absence de dilatation des voies urinaires, Cystofix en place, vessie presque vide, d'un volume de 6cm³. L'absence de dilatation des voies urinaires et le très faible volume vésical rendent une obstruction du Cystofix peu probable. CT cérébral du 27.12.2019 : pas de signe d'hémorragie cérébrale avec leucopathie vasculaire. Signes d'atrophie cortico-sous-corticale. Laboratoire : cf. copie annexée. Test de la cognition du 26.12.2019 : MMSE à 11/30, test de l'horloge à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Laboratoire : cf. copie annexée. Tests de dépistage de la cognition du 19.12.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Laboratoire : cf. copie annexée. Tests de la cognition du 08.01.2020 : MMS à 25/30 et test de l'horloge pathologique à 3/7. Laboratoire : cf. copie annexée. Tests de la cognition du 12.11.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 0/15. GDS en décembre 2019 : 4/15. Laboratoire : cf. copie annexée. Tests de la cognition du 13.12.2019 : MMSE à 22/30, test de la montre à 1/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Bilan neuropsychologique du 19.12.2019 : cf. copie annexée. Laboratoire : cf. copie annexée. Tests de la cognition du 16.01.2020 : MMSE à 23/30, test de l'horloge à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Laboratoire : cf. copie annexée. US abdomen complet natif du 21.01.2020 : examen abdomino-pelvien dans la norme, en particulier aorte de calibre régulier, le diamètre de 14 mm. Pas d'anévrisme de l'aorte abdominale. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 20.12.2019 et du 16.01.2020 : cf. copies annexées. US des parties molles du 30.12.2019 : infiltration aspécifique hétérogène des tissus mous de la face antérieure de la jambe mesurant au minimum 6 cm x 2 cm. Une IRM permettrait de mieux caractériser cette lésion et d'en définir mieux les contours. Pas de collection focale. Laboratoire : cf. copie annexée. ECG du 27.12.2019 : fibrillation auriculaire avec transmission ventriculaire rapide, BBG complet connu, troubles de repolarisation connus, mais accentués par rapport au dernier ECG : sus-décalage ST en V1, V2, V3, sous-décalage ST V5, V6. ECG du 31.12.2019 : sus-décalage V1-2-3 et sous-décalage V5-6 + BBG connus ; nouvelle déviation de l'axe à droite. CT cérébral et de la colonne cervicale du 27.12.2019 : pas de lésion traumatique décelable. Radiographie thoracique du 27.12.2019 : important épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire avec épanchement pleural de faible abondance. Aspect d'un flou péri-broncho-vasculaire. Aorte déroulée, calcifiée. Radiographie de la colonne lombaire du 27.12.2019 : spondylarthrose étagée avec aspect irrégulier des plateaux vertébraux. Hyperlordose lombaire. Ostéophytose périphérique antérieure. Aspect ostéopénique de la trame osseuse. Arthrose interfacettaire lombaire basse L4-L5, L5-S1. Radiographie du thorax de face et profil du 31.12.2019 : comparatif du 27.12.2019. Inspirium discrètement diminué. Opacité lenticulaire latéro-basale droite visible sur l'incidence de face avec un aspect grisaille des deux champs pulmonaires évoquant une composante d'épanchement pleural cloisonné. Accentuation des petites et grandes scissures, compatible avec une composante liquidienne. Accentuations péri-bronchiques basales bilatérales à prédominance droite évoquant un foyer de bronchopneumonie plus ou moins surcharge cardiaque. Cœur de volume à la limite supérieure de la norme. Élargissement médiastinal et égalisation de la vascularisation. Sclérose aortique. Laboratoire : cf. copie annexée. Tests de dépistage de la cognition du 19.12.2019 : MMSE à 18/30 (certains items refusés par le patient), test de l'horloge à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoire : cf. copie ci-jointe. Laboratoire : cf. copie ci-jointe. ECG : sus-décalage du segment ST en antérieur (V2, V3, V4). RX colonne cervicale face/profil/axiale, colonne dorsale face/profil, bassin, thorax face du 19.01.2020 : Colonne cervicale : lésions dégénératives multi-étagées du rachis cervical, en relation avec l'âge de la patiente, avec notamment une discopathie C5-C6 ainsi qu'une uncarthrose, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas d'épaississement des tissus mous pré-vertébraux. Colonne dorsale : tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Attitude scoliotique sinistro-convexe. Bassin : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Calcifications artérielles. Augmentation de la pneumatisation grêle et colique. Thorax couché : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Désorganisation de la trame broncho-vasculaire avec une opacité para-hilaire droite pouvant correspondre à un foyer pulmonaire, à confronter avec la clinique. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques dans le cadre de la BPCO. Laboratoire : cf. copie ci-jointe. RX thorax du 13.01.2020 : aspect inchangé de la silhouette cardio-médiastinale. Par rapport au comparatif, on note une perte de la transparence aux apex pulmonaires des deux côtés, suspect de surinfection. Le reste du statut cardio-pulmonaire est sinon inchangé. Cadre osseux et tissus mous inchangés. RX colonne lombaire du 22.01.2020 : tassement cunéiforme de D12 et de L2 pouvant entrer dans le cadre de fracture. Altérations dégénératives du rachis lombaire. Laboratoire : cf. copies annexées. ECG du 20.01.2020 : tachycardie à 113 bpm, rythme sinusal régulier, axe normal, PR 120 ms, QT 320 ms, onde P 100 ms, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST, transition en V3. Consilium psychiatrique du 20.01.2020, Dresse Vég : • Intoxication volontaire par ses psychotropes - X61 • Troubles de l'adaptation avec perturbation mixte des émotions et des conduites - F43.25 • Difficultés dans les rapports avec le conjoint - Z63.0 • Utilisation de l'alcool nocive pour la santé - F10.0 Laboratoire : cf. copies annexées. Laboratoire : cf. copies annexées. Laboratoire : cf. copies annexées. Anticorps ANCA : négatifs Anticorps ANA - anti-Ku : positifs Sédiment urinaire du 04.01.2020 : leucocytes +, Sang +++, pas de nitrites, protéines + Gazométrie artérielle du 04.01.2020 : pH 7.45, pCO2 3.9 kPa, pO2 11.6 kPa, bicarbonates 20 mmol/l, saturation 97% Spot urinaire du 04.01.2020 : créatinine 50.9 umol/l, protéines urinaires 25.7 g/l, protéine/créatinine 0.505 g/mmol Test de grossesse du 04.01.2020 : négatif US des voies rénales du 04.01.2020 : kyste hépatique de 30,4 mm au niveau du segment VII. Reins d'aspect normal, sans dilatation des voies urinaires. Vascularisation rénale présente ddc. Lésion kystique pelvienne droite, probablement appartenant à l'ovaire droit, mesurant 87,5 mm. Lame liquidienne péri-hépatique dans les gouttières para-coliques ddc, inter-anses et au niveau du petit bassin. Épaississement des parois des anses intestinales. US des voies urinaires du 09.01.2020 : pas de complication après la ponction biopsie du rein Consilium néphrologie, Dr. X : probable glomérulonéphrite post-infectieuse ou autre glomérulonéphrite DD vasculite, faire le bilan lipidique complet, une recherche de HBV, HCV, HIV, facteur rhumatoïde, anticorps ALSO, complément C3 et C4, électrophorèse sérique avec immunofixation, dot vasculite, administrer Lasix en iv, continuer cible urines 50 ml/h, anticoagulation prophylactique, faire urines de 24h de dimanche 6 h à lundi 6 h avec : protéines totaux, albumine, sodium, potassium, urée et créatinine urinaire, ensuite appeler Dr. Y lundi pour suite de la prise en charge néphrologique. Consilium néphrologie, Dr. Y du 06.01.2020 : syndrome néphrotique clinique avec œdèmes généralisés, hypoalbuminémie sévère à 17 g/l et protéinurie sélective mesurée à > 10 g/24h. Protéinurie et cylindres granuleux déjà présents le 01.01.2020. Créatininémie normale autour de 60 umol/l. Microhématurie limite initialement avec 3-5 GR/champ au sédiment; actuellement sédiment actif avec microhématurie et leucocyturie avec 10x5 Lactobacillus. Hypo-immuno-globulinémie sévère dans le contexte de syndrome néphrotique avec IgG à 2.7 g/l => CAVE : risque infectieux. Diarrhées d'origine X, sans leucocytose ni CRP mais VS augmentée à 75 mm/h. Ponction rein du 08.01.2020 : résultats préliminaires de la biopsie : minimal change disease. Laboratoire : cf. copies annexées. Bilan phosphocalcique du 14.01.2020 : cf. copie annexée. ECG du 02.01.2020 : cf. copie annexée. RX thorax du 02.01.2020 : comparatif du 29.11.2019. Cardiomégalie inchangée avec calcification péricardique connue. Discret épaississement bronchique inchangé. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Spondylose dorsale modérée. US abdominal du 03.01.2020 : pas de dilatation pyélocalicielle. Amincissement cortical rénal bilatéral. Laboratoire : cf. copies annexées. CT abdominal du 17.01.2020 : pas de collection libre ou image d'abcès au niveau de la fosse iliaque droite. Quelques adénomégalies mesurant jusqu'à 10 mm de l'axe court, aspécifiques au niveau de la fosse iliaque droite. Reste de l'examen dans les limites de la norme. Laboratoire : cf. copies annexées. CT cérébral du 04.01.2020 : examen incomplet en raison de l'agitation du patient. En particulier, la phase artérielle cérébro-cervicale n'a pas été réalisée. Sous cette réserve, pas d'accident vasculaire cérébral ischémique constitué ni hémorragique. Consultation neuropsychologique du 09.01.2020 : difficultés exécutives (programmation motrice, abstraction), difficultés de traitement des nombres, troubles praxiques idéomoteurs, difficultés gnosiques visuelles discriminatives, faible mémoire à court terme, troubles de mémoire antérograde visuelle (cf. copie annexée). Consultation psychiatrique (Dr. Y) du 10.01.2020 : • troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance - F10.2 • délirium d'origine indéterminée, au décours - F05.9 • délirium d'origine organique non surajouté à une démence - F05.0 • trouble psychotique d'origine alcoolique - F10.5 Consultation angiologique (Dr. X) du 10.01.2020 : l'examen angiologique montre une bonne perfusion artérielle des deux côtés. Par contre insuffisance veineuse profonde bilatérale sans signe post-thrombotique échographique ou anamnestique, sauf une thrombose veineuse profonde musculaire (v soléaire) droite probablement ancienne. Laboratoire : cf. copies annexées. CT cérébral et des tissus mous du cou du 28.12.2019 : lésion centimétrique présentant une prise de contraste annulaire et un important œdème péri-lésionnel pariétal gauche évoquant une métastase versus un abcès cérébral et une lésion tumorale cérébrale primaire est moins probable. À compléter le bilan par une IRM cérébrale. Emphysème marqué aux deux apex pulmonaires avec présence de deux nodules de 5 et 7 mm de l'apex gauche. IRM cérébrale du 30.12.2019 : deux lésions cortico-sous-corticales fronto-pariétales gauches mesurant 10 x 12 mm et 6,5 x 6 mm avec une prise périphérique du contraste et restriction de la diffusion (DD abcès cérébraux). Même si la restriction de la diffusion est caractéristique pour des abcès cérébraux, le signe n'est pas pathognomonique et dans ce contexte, la présence de métastases cérébrales ne peut pas être exclue. CT thoraco-abdominal du 30.12.2019 : adénopathies médiastinales d'allure suspecte. Une fibroscopie bronchique est souhaitable. Discret épaississement latéralisé à droite proximal de la trachée. Nodule sous-pleural postérieur du lobe supérieur gauche. Pas d'autre anomalie décelable dans les limites du CT thoracique abdomino-pelvien. Une fibroscopie bronchique est souhaitable. Un PET CT est à discuter. Bronchoscopie avec ultrasonographie endobronchique (EBUS) du 03.01.2020 : status endobronchique mettant en évidence une atrophie de la muqueuse bronchique ubiquitaire ainsi qu'une hypersécrétion bronchique dans le cadre de la bronchite chronique connue. Absence de lésion endoluminale. À l'endoscopie, adénopathies paratrachéales inférieures gauches (4L), ainsi qu'intersegmentaires du culmen du lobe supérieur gauche (12L). EEG du 30.12.2019 : anomalie par ralentissement antérieur gauche d'allure lésionnelle sans composante irritante.DAP EBUS - Promed P2020.7 - du 03.01.2020 : dépôt silico-anthracosique macrophagocytaire sévère du tissu lymphoréticulaire. Sur ce matériel, pas de nécrose, pas de granulome, pas d'inflammation aiguë, pas de tissu dysplasique, pas de tissu néoplasique malin mis en évidence. RX thorax du 03.01.2020 : pas de pneumothorax après bronchoscopie. Discret infiltrat alvéolaire en base droite, pouvant entrer dans le cadre d'un status après lavage broncho-alvéolaire. Laboratoire : cf copies annexées. CT cérébral le 23.01.2020 : cf ci-dessus. Laboratoire : cf copies annexées. CT scan abdominal du 23.12.2019 : pas de signe de diverticulite. Coprostase du côlon ascendant et transverse. Discrète majoration de la dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques avec un canal cholédoque mesuré à 13 mm et un canal hépatique mesuré à 16 mm. Majoration également de la dilatation du canal de Wirsung atteignant 8 mm à proximité de la papille. Pas de franche lithiase ni de masse suspecte décelée à hauteur de la tête du pancréas, toutefois, si l'on souhaite aller plus loin dans les investigations, un complément d'examen par IRM est recommandé. Majoration en taille d'un nodule à contours spiculés dans le lobe moyen, mesurant 14 mm de plus grand axe contre 8 mm sur l'examen comparatif, provoquant un effet de traction sur la petite scissure, suspect d'atteinte néoplasique. US résidu post-mictionnel du 30.12.2019 : les deux reins sont de taille normale, de contours réguliers. Multiples kystes parapyéliques bilatéraux. Pas d'image de collection abcédée. Hypertrophie de la prostate avec un poids estimé à 59 cc. Pas de résidu post-mictionnel significatif estimé à 18 cc. Laboratoire : cf copies annexées. Culture urinaire : 10E5, E coli, Enterococcus faecalis. RX thorax du 03.01.2020 : comparatif du 27.03.2019. Étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à la position couchée, l'obliquité du cliché. Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche. PAC sous-clavier droit en place. Sclérose aortique. Absence de bronchogramme aérique ou de foyer systématisé visible compte tenu du tassement du parenchyme pulmonaire aux bases. RX thorax du 06.01.2020 : comparatif du 03.01.2020. Silhouette cardiaque de volume dans la norme. Sclérose aortique. Pas de signe de décompensation cardiaque. PAC sous-clavier droit en place. Absence de lésion nodulaire suspecte de métastase dans le contexte de l'adénocarcinome connu. Absence de foyer parenchymateux systématisé visible. Aplatissement modéré des coupoles diaphragmatiques. Pas d'épanchement pleural décelable. IRM colonne lombaire du 07.01.2020 : pas d'argument pour une lésion tumorale métastatique de la colonne lombaire. Lésions dégénératives multi-étagées de la colonne lombaire punctum maximum L5-S1 avec rétrécissement neuro-foraminal des deux côtés d'origine dégénérative multifactorielle. Coloscopie, Dr. X, du 09.01.2020 : anastomose ulcérée et d'allure inflammatoire, DD repousse tumorale. DAP, biopsie colique - Promed P2020.252 - du 09.01.2020 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. Duplex veineux, membres inférieurs des deux côtés, Dr. X - du 13.01.2020 : pas de thrombose veineuse profonde ni superficielle des membres inférieurs jusqu'en poplité à droite et jusqu'en jambier à gauche, avec de nombreuses branches variqueuses dans la zone d'érythème à la face antérieure de jambe gauche, toutes compressibles. Dermite de stase compliquée d'ulcères probablement infectés dans un contexte d'obésité morbide et de sédentarité (dans chaise électrique, jambes en déclive toute la journée). Laboratoire : cf copies annexées. ECG : bloc de branche droit (retrouvé sur un ancien ECG). RX thorax face/profil du 26.12.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. RX pieds droit et gauche du 26.12.2019 : les rapports anatomiques sont conservés. Pas de signe de complication. US abdominal du 27.12.2019 : examen de qualité fortement diminuée en raison du morphotype du patient. Foie stéatosique, sans signe de cirrhose, status post-cholécystectomie, pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Pas de liquide périhépatique. Pas de liquide libre dans le petit bassin. Pas d'ascite. Bilan angiologique - Dr. X - du 27.12.2019 : • absence de thrombose veineuse des membres inférieurs. L'origine de la prise de poids et des œdèmes doit être systémique (cardiaque, rénale, hépatique). Le bandage des membres inférieurs est permis sur le plan vasculaire • artériopathie jambière avec probable occlusion de la pédieuse mais sans ischémie critique des deux côtés. Les douleurs de type brûlure des pieds ne sont pas d'origine artérielle mais plutôt neurologique. La perfusion devrait permettre une guérison des différentes croûtes aux bouts des orteils. En cas d'absence de guérison sous traitement local, un essai de recanalisation endovasculaire (par cross-over à cause du gros ventre) pourrait être fait. Échocardiographie transthoracique - Dr. X - du 30.12.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG : cf copie annexée. CT abdominal du 06.01.2020 : multiples ganglions aspécifiques mais trop nombreux par rapport à la norme dans la racine de mésentère (DD réactionnels dans le contexte d'une gastro-entérite ?). Pas d'épaississement pariétal du côlon ou de l'intestin grêle. Pas de liquide libre. Possible lésion kystique d'environ 3 cm de diamètre de l'ovaire gauche à confronter à un avis gynécologique si l'on veut aller plus loin dans les investigations. Stéatose hépatique. Laboratoire : cf copies annexées. ECG : cf copie annexée. RX thorax - CT thoracique du 18.01.2020 : foyer de pneumonie en base gauche. Fracture non déplacée des côtes 2 à 7 droites, sans volet costal. Fractures des vertèbres dorsales : D1 avec atteinte du mur postérieur, D5 sans atteinte du mur postérieur. IRM colonne dorsale native du 23.01.2020 : tassement possiblement subaigu de la partie supérieure du corps vertébral de D1 avec discret bombement du mur postérieur. Aspect cunéiforme des corps vertébraux D5 et D11 d'allure ancienne. Hémangiome en D4 et D9. RX thorax F/P du 24.01.2020 : comparatif du 18.01.2020. Persistance d'opacité basale gauche compatible avec un foyer de pneumonie en discrète diminution. Pas de foyer de pneumonie à droite. Développement d'une petite lame d'épanchement pleural gauche. Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme ainsi qu'un déroulement de l'aorte thoracique connu et inchangé. Status post-opération de l'épaule droite connu est inchangée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG : cf copie annexée. RX thorax du 30.12.2019 : comparatif 15.09.2018. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Les nodules visualisés sur le scanner du 02.09.2019, sont difficilement retrouvés sur cet examen, hormis en base droite où l'on met en évidence une petite opacité en surprojection de l'arc antérieur de la 7ème côte droite. Grand volume pulmonaire en rapport avec un emphysème connu. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Laboratoire : cf copies annexées. ECG : cf copies annexées. Radiographie du thorax du 28.12.2019 : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Absence d'un bon inspirium. Probable foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire inférieur gauche. Radiographie du thorax du 31.12.2019 : comparatif du 28.12.2019. Cardiomégalie connue et inchangée avec sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Par contre, apparition d'un infiltrat interstitiel réticulo-nodulaire, avec un épaississement bronchique hilifuge compatible avec un OAP. Pas d'épanchement pleural.Radiographie du thorax du 02.01.2020 : comparatif 31.12.2019. Cardiomégalie connue. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Diminution de l'infiltrat interstitiel par rapport au 31.12.2019. Mais développement d'une condensation basale gauche silhouettant partiellement la coupole diaphragmatique dans le contexte d'un épanchement pleural basal gauche (atélectasie passive dans le contexte d'un épanchement ?). Probable épanchement scissural droit. CT cérébral natif du 31.12.2019 : comparatif à l'examen du 18.12.2019. Pas de collection hémorragique intracérébrale. Pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique aiguë. Plusieurs plages hypodenses d'allure chronique dans la substance blanche de siège péri-ventriculaire des deux côtés, inchangées par rapport au comparatif. Pas de lésion nouvelle par rapport au comparatif. Laboratoire : cf copies annexées ECG à l'entrée le 16.12.2019 : RSR à 67 bpm, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 419 ms, onde T négative en DII, DIII et de V1 à V6. ECG à la sortie : pas effectué, car continuera sa réadaptation en janvier 2020. Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 426 m, FC repos 75 bpm, FC fin 93 bpm, FC récup 79 bpm, TA repos 122/78 mmHg, TA fin 127/80 mmHg, BORG 2-3/10. Test de marche de 6 minutes à la sortie : pas effectué, car continuera sa réadaptation en janvier 2020. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 02.01.2020 : cf copie annexée. RX thorax F/P du 02.01.2020 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Tassement cunéiforme d'allure ancienne du corps vertébral de D12. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 02.01.2020 : dans la norme hormis des ondes T biphasiques en V4-V5. RX thorax du 02.01.2020 : épaississements bronchiques diffus bilatéraux avec altération de la trame pulmonaire dans le contexte de la BPCO connue. Ce jour, infiltrat alvéolaire confluant en projection des 2 champs pulmonaires, prédominant à mi-plage pulmonaire gauche. Le tout compatible avec des foyers de bronchopneumonie. RX thorax du 05.01.2020 : persistance d'infiltrats alvéolaires confluents en projection de la plage pulmonaire droite et à mi-plage pulmonaire gauche, dans un contexte de foyer parenchymateux. Absence de niveau hydro-aérique ou d'image cavitaire surajoutée. Discret émoussement du sinus costo-phrénique postérieur droit. Le reste du status est superposable. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 02.01.2020 : rythme sinusal régulier à 99 bpm, axe normal, PR 122 ms, QRS 84 ms, QTc 423 ms, pas d'altération significative de la repolarisation. IRM lombaire du 03.01.2020 : discrète protrusion discale L3-L4 non significative. Protrusion discale L4-L5 relativement marquée avec conflit disco-radiculaire avec la racine L5 gauche et nette mise à l'étroit de la racine L5 droite. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 02.01.2020 : rythme sinusal régulier, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. RX thorax le 02.01.2020. CT thoracique le 03.01.2020. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 04.01.2020 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 05.01.2020 : flutter auriculaire à réponse ventriculaire normocarde 77/min à conduction variable, bloc de branche droit. RX thorax du 06.01.2020 : status post-sternotomie avec cerclages intacts pour pontage aorto-coronarien. Cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Absence de foyer parenchymateux systématisé visible. Pas de fracture costale déplacée visible. Pas d'épanchement pleural. Absence de fracture/tassement des corps vertébraux. CT cérébral natif et injecté et des tissus mous du cou injecté du 05.01.2020 : lésion ischémique constituée du corps du noyau caudé gauche avec extension sur la corona radiata à gauche. Calibre fin avec aspect filiforme de l'artère vertébrale gauche avec défaut d'opacification de son segment V3 (DD : constitutionnel ? ancienne dissection ?). Sur les coupes passant par les apex pulmonaires, image de bronchiolite. IRM cérébrale du 06.01.2020 : lésion ischémique récente (1-4 jours) lenticulaire gauche, sans transformation hémorragique surajoutée. Perméabilité du polygone de Willis et des sinus veineux dure-mériens. CT cérébral natif du 09.01.2020 : stabilité en taille et en aspect de la lésion ischémique récente constituée lenticulaire gauche. Pas d'argument pour une transformation hémorragique. RX thorax F/P du 11.01.2020 : comparatif du 06.01.2020. Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Pas de foyer constitué. Épaississement bronchique bibasal plus marqué en base droite. Épanchements pleuraux bilatéraux nouvellement apparus. RX mains droit et gauche F/O du 21.01.2020 : discrète ostéopénie en bande juxta-articulaire métacarpo-phalangienne des deux côtés. Pincement articulaire radio-carpien à prédominance radio-scaphoïdienne. Émoussement de la styloïde cubitale droite. Discrètes calcifications en projection de la styloïde cubitale au niveau du TFCC à droite, évoquant une composante microcristalline. Mise en évidence de plusieurs petites érosions osseuses à bord sclérosé au niveau des têtes métacarpiennes 1 à 5 à droite et à gauche. Pincement articulaire métacarpo-phalangien plus marqué à droite au niveau des 2ème et 3ème doigts. À gauche, le pincement prédomine au niveau du 2ème doigt. Remaniement dégénératif ostéophytaire de la base de P1 D2 ddc avec petite érosion du versant radial des phalanges. Remaniement ostéophytaire et petite géode d'inclusion au niveau de la base de P1 O5 des deux côtés. Les articulations inter-phalangiennes proximales sont conservées des deux côtés, hormis au niveau du 5ème rayon à gauche. Pincements articulaires inter-phalangiens distaux des doigts 2 à 5 des deux côtés avec petite géode/érosion du versant ulnaire de la tête de P2 D2 droite et gauche. Calcifications vasculaires artérielles. Avis neurologique du 06.01.2020 (Dr. X/Dr. X) : proposent un Doppler carotidien, une échocardiographie transthoracique et la reprise d'une anticoagulation dès le 08.01.2020 (Eliquis si pas valvulaire, anti vitamine K si valvulaire) avec arrêt du Plavix, bilan lipidique à prévoir, mobilisation libre. Echocardiographie transthoracique (Dr. X) du 08.01.2020 : cf copie annexée. Avis cardiologique (Dr. X) du 08.01.2020 : arrêt de l'antiagrégant. L'introduction de l'anticoagulation est indiquée si le patient n'a eu aucune plainte ischémique sur la dernière année. Consilium angiologique (Dr. X) du 15.01.2020 : pas de thrombose veineuse profonde ni superficielle du membre supérieur droit. Thrombose veineuse superficielle probablement infectée sur la veine céphalique de l'avant-bras à distance de la profondeur à gauche. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 06.01.2020 : cf copie annexée. RX thorax du 06.01.2020 : inspirium discrètement diminué. Accentuation péri-bronchique postéro-basale lobaire droite compatible avec un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 07.01.2020 : rythme sinusal normocarde à 64/min, pas de trouble de la conduction, QRS fins, ST isoélectrique RX thorax du 07.01.2020 : comparatif à l'examen du 14.09.2018. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Discret déroulement de l'aorte thoracique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. IRM cérébrale et des carotides du 07.01.2020 : comparatif du 06.12.2016. Hormis quelques petites lésions de la substance blanche superposables par rapport à l'examen du 06.12.2016 (aspécifiques, d'origine le plus probablement dégénératif micro-vasculaire), IRM cérébrale dans les limites de la norme, sans argument pour une lésion ischémique aiguë. Vaisseaux intracérébraux et précérébraux perméables.Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 07.01.2020 : rythme sinusal régulier à 92/min, normoaxé, PR à 208 s, QRS fins, QTc 425 ms, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, bonne progression de l'onde R sur les précordiales. RX thorax du 07.01.2020 : RX thorax du 08.01.2010 : CT thoracique du 09.01.2020 : absence d'embolie pulmonaire centrale lobaire ou segmentaire. Épanchement pleural basal bilatéral à prédominance droite, associé à une atélectasie passive des lobes inférieurs. Pas de net foyer parenchymateux systématisé surajouté visible. Pas de masse. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 09.01.2020 : rythme sinusal normocarde à 84/min, axe cardiaque normal, PQ 158 ms, QRS 76 ms, QTc 424 ms, pas d'onde Q pathologique, transition en V3, pas de trouble de la repolarisation. RX thorax du 09.01.2020 : infiltrat lobaire basale gauche. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 13.01.2020 : rythme sinusal normocarde à 84 bpm, axe cardiaque normal à 18°, PQ 178 ms, QRS 80 ms, QTc 422 ms, transition en V2, pas d'onde Q pathologique, pas de trouble de repolarisation. RX thorax du 13.01.2020 : comblement du récessus costo-diaphragmatique gauche, opacités bibasales, sans clair foyer visualisé. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 15.01.2020 : cf copie annexée. RX thorax du 15.01.2020 : pas d'épanchement pleural. RX colonne cervicale F/P/axiale du 16.01.2020 : 6 vertèbres cervicales visibles sur l'incidence de profil, la 7ème partiellement masquée par la superposition des épaules. Morphologie, alignement des corps vertébraux conservés sans fracture/tassement visible. Lésions dégénératives C0-C1-C2. Pincement intersomatique C4-C5 avec réactions ostéophytaires antérieures. Arthrose interfacettaire bilatérale et uncarthrose. Odontoïde centré. Compte tenu de la superposition des dents, pas d'évidence de lésion traumatique osseuse. Épaisseur des parties molles pré-cervicales dans la norme. CT thoraco-abdominal du 16.01.2020 : la lésion de la jonction oeso-gastrique n'est pas délimitable sur cet examen. Pas de lésion suspecte abdomino-pelvienne. Pas de lésion focale suspecte au niveau des 2 poumons. Pas de foyer. Adénopathies médiastino-hilaires augmentées de taille par rapport au comparatif. La lésion musculaire péri-scapulaire droite est iso-dense par rapport aux muscles adjacents, non délimitable. Progression du tassement du corps vertébral de L3 avec réduction de sa hauteur d'environ 70%. Avis diététique du 16.01.2020 : • expliqué l'importance de l'alimentation et de stabiliser le poids en lien avec la maladie et les traitements • adaptations des repas. Mis régime haché-fin, car rien qu'à l'idée de manger du mixé lisse le dégoûte • informé qu'au vu de la perte de poids importante et que le patient dit qu'il n'y a pas d'amélioration des effets secondaires de la chimiothérapie entre deux séances, une SNG sera peut-être nécessaire, à réévaluer. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 15.01.2020 : cf copie annexée. RX thorax du 15.01.2020 : ne parle pas en faveur d'un foyer pulmonaire. ASP du 15.01.2020 : coprostase. RX colonne lombaire F/P du 20.01.2020 : impression d'une discrète perte de hauteur du corps vertébral de L1, avec irrégularité de son plateau antéro-supérieur. Sinon pour le reste, la hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs sauf en L2-L3 où l'on note un discret rétrolisthésis de L2/L3 de grade I dans le contexte d'une discopathie modérée. Discopathie un peu plus marquée en L3-L4, L4-L5. Arthrose facettaire modérée lombaire basse. Calcifications de l'aorte abdominale et de l'artère mésentérique supérieure à son départ. Si on veut aller plus loin dans les investigations, un scanner de la colonne lombaire serait l'examen de choix. (Pour confirmer ou infirmer une fracture de L1, à corréler à la clinique). Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 17.01.2020 : cf copie annexée. ECG du 22.01.2020 : rythme sinusal normocarde à 70/min, axe cardiaque normal à 91°, PQ 190 ms, QRS 91 ms, QTc 454 ms, Q pathologique en aVR, V1-2, sus-décalage en V1-2-3, inversion des ondes T en V2-3-4-5. Coronarographie le 17.01.2020 (Dr. X) : intervention sur IVA : PTCA/Implantation d'un stent actif au niveau de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Le résultat final est excellent. Échocardiographie transthoracique le 17.01.2020 (Dr. X) : Ventricule gauche non dilaté avec une akinésie du septum apical, de la paroi latéro-apicale, de la paroi inféro-apicale et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère du septum moyen et de la paroi antéro-apicale et une hypokinésie modérée de la paroi inférieure moyenne. FEVG à 40 % (méthode de Simpson). Bourrelet septal sous-aortique. L'aorte présente des calcifications importantes. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Échocardiographie transthoracique le 23.01.2020 (Dr. X) : examen globalement superposable au comparatif du 17.01.2020 toujours sans thrombus intracardiaque visualisé. La zone akinétique persiste avec peut-être une récupération de la paroi inféro-septale moyenne. Il est de toute façon trop tôt pour déterminer le potentiel de récupération mais qui paraît très faible en raison d'un infarctus constitué à l'admission sans CK et avec une image d'anévrisme à l'ECG. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 22.01.2020 : cf copie annexée. ECG du 23.01.2020 : rythme sinusal avec extrasystoles auriculaires bigéminées, normocarde à 88 bpm. PR 120 ms. QRS fins, monomorphes, avec axe horizontal avec tendance à gauche. Transition de l'onde T dans les dérivations précordiales entre V4 et V5. QTc (Bazett) 420 ms. RX thorax du 22.01.2020 : signes de surcharge. Échocardiographie transthoracique, Dr. X, du 23.01.2020 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 22.01.2020 : cf copie annexée. RX colonne lombaire du 22.01.2020 : morphologie, alignement et hauteur des corps vertébraux conservés. Absence de pincement intersomatique. Pédicules, apophyses épineuses tous visibles sp, alignés. Articulations sacro-iliaques symétriques. Parties visibles des articulations coxo-fémorales sans anomalie. DIU en projection du petit bassin. Coprostase. IRM lombaire du 24.01.2020 : pas d'image d'abcès, ni de signe en faveur d'une spondylodiscite. Petits prolapsus discaux L2-L3 et L5-S1 avec déchirure de l'anneau fibreux externe, sans compression radiculaire. Pas de fracture. Par ailleurs, on trouve un aspect dilaté des deux pyélons rénaux (à confronter avec une échographie). US des voies urinaires du 25.01.2020 : présence de calculs rénaux caliciels non obstructifs des deux côtés. Du côté droit, mise en évidence d'une discrète dilatation pyélocalicielle avec un pyélon mesuré à 16 mm de diamètre antéro-postérieur. Du côté gauche, dilatation du pyélon dans un contexte de pyélon extra-sinusal et présence de plusieurs kystes parapyéliques DD dilatation pyélocalicielle. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 22.12.2019 : rythme sinusal régulier à 87/min, QRS fins, axe gauche, segment ST isoélectrique.RX thorax du 22.12.2019 : absence de comparatif à disposition. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Absence d'image pathologique au sein des champs pulmonaires, en particulier pas de foyer individualisé. Pas d'épanchement pleural. Structures osseuses sans particularité. CT cérébral et des vaisseaux du cou du 22.12.2019 : absence de saignement intracrânien. Pas de masse. Perméabilité dans la norme des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. Pas de foyer pulmonaire mis en évidence. Ponction lombaire du 22.12.2019 : LCR aspect légèrement trouble, légèrement jaune. Éléments 1028, erythrocytes 213, polynucléaires à 70, mono/macrophages à 9, lymphocytes 21. Glucose LCR à 2.6. Protéines LCR à 1.81. Lactate (LCR) à 8.68. Examen direct du LCR : pas de bactérie, leucocytes +++, hématies +. Culture LCR : Haemophilus influenzae. RX thorax du 23.12.2019 : par rapport au 22.12.2019, mise en place d'une VVC jugulaire interne droite en surprojection correcte sur cette unique incidence de face. La radiographie est effectuée en faible inspirium, en position couchée. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax sur cette radiographie effectuée en position couchée. RX thorax du 27.12.2019 : status post-mise en place d'un PAC. Pas de pneumothorax visible. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Pas d'élargissement de la silhouette cardiomédiastinale. IRM cérébrale du 27.12.2019 : leucopathie vasculaire Fazekas 3. IRM cérébrale du 31.12.2019 : plusieurs plages punctiformes, hyperintenses en T2 FLAIR, de la substance blanche en siège prédominant sous-cortical fronto-pariétal des deux côtés (aspécifique). Comblement du sinus sphénoïdal dans sa partie droite, avec la présence d'une mucocèle cloisonnée au niveau de la paroi antérieure (inchangé). Pas de masse ou collection dans les espaces rétro-orbitaires. Pas de lésion sur le trajet des deux nerfs optiques. Prise asymétrique du produit de contraste au niveau du sinus caverneux droit, à l'apex de l'orbite. Pas d'argument en faveur d'une thrombose des sinus caverneux. Sphénoïdotomie droite le 03.01.2020 par Dr. X : repérage de l'ostium du sphénoïde droit grâce à l'aspiration. Ablation d'un polype. Prélèvement bactériologique d'un écoulement muco-purulent. Élargissement de l'ostium du sphénoïde à la pince champignon. Ablation d'un polype à l'intérieur du sinus et aspiration de liquide muco-purulent. Laboratoire : cf. copies annexées. ECG du 22.12.2020 : rythme sinusal régulier normocarde à 73/min, axe normal à 48°, PQ 140 ms, QRS fins à 96 ms, QTc 433 ms, pas d'onde Q pathologique, segment ST isoélectrique, onde T ample en V2, présence d'une onde U, progression de l'onde R précoce avec une transition en V1-V2. RX main et pouce droits du 21.12.2020 : Main droite : luxation interphalangienne du pouce. Pas d'anomalie décelable des autres structures osseuses. Pouce droit : luxation interphalangienne du pouce. Pas d'anomalie décelable des autres structures osseuses. Post-réduction : Pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 24.01.2020 : cf copie annexée. CT cérébral du 24.01.2020 : CT comparatif du 15.11.2019. Pas d'hémorragie intracrânienne. Atrophie cérébrale et leucoaraïose superposable. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 26.01.2020 : cf copie annexée. RX thorax du 26.01.2010 : par rapport au comparatif du 13.01.2020, on retrouve sur le cliché de face un arrondissement du sinus costo-diaphragmatique latéral gauche, toutefois sans épanchement pleural visualisé sur le cliché de profil. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement des calcifications de l'aorte. Pas d'image nette de foyer pulmonaire. CT thoracique du 27.01.2020 : emphysème bilatéral diffus prédominant aux apex, encore modéré, mais pas d'épanchement, ni de foyer pulmonaire. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 28.12.2019 : cf copie annexée. RX thorax du 28.12.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 29.01.2020 : rythme sinusal normocarde à 85/min. Onde P difficilement visible mais clairement présente dans les dérivations précordiales. Extrasystole auriculaire visible dans les dérivations périphériques. PR 200 ms. QRS 80 ms, monomorphes avec axe horizontal. Faible progression de l'onde R dans les dérivations précordiales. Transition de l'onde R en V5. QTc (Bazett): 490 ms. US système urogénital du 30.01.2020 : le rein gauche se présente normalement, sans dilatation pyélocalicielle. L'extrémité proximale de la sonde double J n'a pas pu être visualisée, ceci n'exclut toutefois pas qu'elle soit en place, notamment en raison du morphotype du patient. L'extrémité distale de la sonde double J est en place au niveau de la vessie. Vessie vide, ballonnet de la sonde urétrale en place. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 30.12.2019 : cf copie annexée. RX thorax du 30.12.2019 : ratio cardio-thoracique augmenté, même en raison d'une projection antéro-postérieure. Flou péri-hilaire et épaississement bronchovasculaire associés à des opacités diffuses sur les champs pulmonaires, prédominantes à droite, en rapport avec des signes de surcharge cardiaque. On trouve également quelques lignes de Kerley B. Épanchement pleural droit de petite taille. Une surinfection ne peut toutefois pas être exclue. Cadre osseux inchangé, avec omarthrose bilatérale sévère. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 31.12.2019 : rythme sinusal et régulier, fréquence 105/min, extrasystoles, aspect de bloc de branche droit, pas de trouble de la morphologie ni de la repolarisation. RX thorax du 31.12.2019 : inspirium discrètement diminué. Cœur de volume à la limite supérieure de la norme voire discrète cardiomégalie non décompensée. Hile vasculaire. Hypoventilation en bande fine en projection de la lingula. Pas de net foyer systématisé visible. Pas d'épanchement pleural. Lésions dégénératives pluri-étagées du rachis dorsal, sans fracture/tassement. CT thoracique du 31.12.2019 : probable syndrome restrictif sur excès pondéral. Absence de pathologique pleuro-parenchymateuse évolutive visible. Artères pulmonaires de fort calibre dans le contexte d'une hypertension artérielle pulmonaire connue. Laboratoire : cf copies annexées. ECG le 12.01.2020. RX thorax du 12.01.2020 : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf copies annexées. ECG le 13.01.2020 : rythme sinusal normocarde à 93/min, axe cardiaque normal à 15°, PQ 136 ms, QRS 90 ms, QTc 498 ms, transition en V2, pas d'ondes Q pathologiques, ondes T aplaties. Cytologie ascite Promed C2020.38 : absence de cellules suspectes de malignité ; liquide de type transsudat, avec entre 330 et 390 éléments par microlitre. La population comprend quelques cellules mésothéliales régulières, sur fond d'éléments inflammatoires principalement mononucléés : lymphocytes, monocytes/macrophages, et rares polynucléaires neutrophiles et hématies fraîches. US abdominal le 15.01.2020 : le tronc porte est perméable, il présente par contre un flux hépatofuge, pour lequel une mesure précise de la vitesse s'avère impossible en raison de la quantité d'ascite. La rate est homogène, agrandie avec une dilatation du réseau veineux. Foie dysmorphique et très atrophique, cirrhotique. Pas de lésion hépatique suspecte visualisée.Laboratoire : cf copies annexées. Gazométrie du 23.12.2019 : pH 7.50, pCO2 5 kPa, pO2 8.2 kPa, bicarbonates 30 mmol/l, lactate 1 mmol/l. ECG du 23.12.2019 : fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide à 150/min. ECG du 24.12.2019 : persistance d'une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide. RX thorax du 25.12.2019 : status post-cerclage et sternotomie. Discrète ascension de la coupole diaphragmatique gauche. Pas d'épanchement pleural visible. RX colonne lombaire du 25.12.2019 : rectitude rachidienne avec perte de lordose anatomique. Ostéophytose marginale étagée. Canal lombaire étroit. RX bassin du 25.12.2019 : aspect ostéopénique de la trame osseuse. Ostéophytose marginale étagée. Coxarthrose bilatérale. CT cérébral natif et injecté du 23.12.2019 : absence de saignement intracrânien. Présence de multiples lésions parenchymateuses séquellaires globalement superposables au comparatif. Pas de franche nouvelle lésion focale suspecte de lésion ischémique récente décelée. Status vasculaire globalement superposable au comparatif avec notamment présence d'une occlusion de l'artère carotide interne gauche et d'un petit anévrisme de 2 mm de l'artère cérébrale moyenne droite. CT thoraco-abdominal du 24.12.2019 : pas d'argument pour un processus expansif primaire ou secondaire à l'étage thoracique. Quelques bulles d'emphysème diffuses bilatérales. Pas de foyer infectieux visible. À l'étage abdominal, présence de produit de contraste au sein de la vessie et de la vésicule biliaire post-CT-scanner la veille. Coprostase. Aspect microkystique du parenchyme pancréatique, aspécifique. Laboratoire : cf copies annexées. Hémoculture, culture de selles, uroculture : négatives. RX thorax F/P du 26.12.2019 : aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire. Aorte déroulée et calcifiée. Pas de foyer de condensation visible. Épanchement pleural à gauche de faible abondance. CT scan abdominal du 25.12.2019 : minime épaississement pariétal de quelques anses grêles à proximité de l'anastomose et du côlon sigmoïde, associée à une discrète distension de quelques anses en hypocondre droit, sans argument pour un iléus. Progression des lésions hépatiques, notamment dans le segment VII du foie, avec apparition d'une discrète ectasie des voies biliaires intra-hépatiques, sans dilatation des voies biliaires extra-hépatiques pour un statut post-cholécystectomie. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 27.12.2019 : cf copie annexée. RX thorax du 27.12.2019 : absence d'une bonne symétrie. Importantes lésions d'infiltrat pulmonaire de la base pulmonaire droite et de l'hémichamp pulmonaire supérieur homolatéral. Discrète déviation du médiastin vers le côté droit. Anomalie de la statique rachidienne. CT cérébro-thoraco-abdominal du 27.12.2019 : pas de lésion post-traumatique décelée. Condensations pulmonaires droites avec comblement bronchique dans le lobe inférieur droit, probablement sur broncho-aspiration. Épaississement régulier de la paroi de la vessie. Minime lame de liquide libre en fosse iliaque droite. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : positive pour Campylobacter jejuni. Culture de selles : positive pour Campylobacter jejuni. PCR multiplex selles : positive pour Campylobacter spp. US abdomen complet natif du 31.12.2019 : épaississement des parois du côlon ascendant jusqu'à 4,2 mm, aspécifique (probablement dans le contexte d'une colite). Appendice non-visualisé. Pour le reste, l'examen abdominal se trouve dans les limites de la norme. CT abdominal injecté du 31.12.2019 : épaississement diffus avec un aspect œdématié des parois du côlon ascendant et transverse (aspécifique, DD colite). Quelques adénomégalies iléo-caecales (aspécifiques). Laboratoire : cf copies annexées. IRM colonne lombaire native du 29.01.2020 : discopathies modérées, plus marquées en L4-L5 avec rétrécissement modéré du canal spinal. Pas de rétrécissement neuro-foraminal significatif. Arthrose facettaire multi-étagée lombaire basse, un peu plus marquée en L4-L5 et L5-S1 avec hypertrophie des ligaments jaunes. Le signal de l'os spongieux est relativement hypo-intense en pondérations T1 et T2, à confronter à la formule sanguine complète (anémie ? autre problème hématologique ?). Laboratoire : cf copies annexées. LCR : 5 éléments, 1000 érythrocytes/mm³, PN 0%, lymphocytes 42%, mono/macrophages 52%, glucose 3.8 mmol/l, protéines 0.26 g/l, lactate 2.28 mmol/l, chlore 127 mmol/l, xantochromie négative. ECG du 09.01.2020 : tachycardie sinusale à 104/min, axe normal, PR à 150 ms, QTc à 443 ms, repolarisation précoce. CT cérébral du 10.01.2020 : possible petite hémorragie sous-arachnoïdienne frontale droite, DD artéfact de durcissement. Si nécessaire, compléter le bilan par une IRM. Asymétrie constitutionnelle du sinus transverse en défaveur du côté gauche, sans signe de thrombose du sinus veineux. Pas de malformation artério-veineuse ni d'anévrisme sur le volume exploré. IRM cérébral du 10.01.2020 : IRM cérébrale dans les limites de la norme. Laboratoire : cf copies annexées. Rectosigmoïdoscopie : cf copie annexée. DAP biopsie colique : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax assis du 28.11.2019 : comparatif du 31.10.2019. Status post-changement de voie veineuse centrale jugulaire interne droite. Extrémité en projection de la veine cave supérieure à la hauteur de l'azygos. Pas de pneumothorax décelable. Cœur de taille dans la norme. Absence de foyer parenchymateux ou de signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. CT des tissus mous du cou natif et injecté du 24.12.2019 : probable minime infection cutanée locale située antérieure au boîtier de la voie veineuse centrale par voie jugulaire interne droite. Pas d'abcès ni de signe de dermo-hypodermite franche. Probable petit thrombus collé à la voie veineuse à hauteur de la jonction de la veine jugulaire interne et la veine sous-clavière droite, DD artéfact de flux ou de durcissement. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 01.01.2020 : cœur de volume à la limite supérieure de la norme. Sclérose aortique. Tassement du parenchyme pulmonaire aux bases ne permettant pas notamment d'exclure un éventuel foyer débutant en base D. Pas d'épanchement pleural. Lésions dégénératives pluri-étagées du rachis dorsal. US uro-génital du 01.01.2020 : reins de taille à la limite inférieure de la norme, d'échostructure conservée, non obstructifs. Pas d'évidence de lithiase rénale. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 09.01.2020 : épaississement de la trame bronchovasculaire, plus marquée à droite avec présence de quelques petites opacités alvéolaires basales droites DD bronchopneumonie débutante. Pas de foyer ni d'épanchement pleural. Silhouette cardiovasculaire dans les limites de la norme. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 10.01.2020 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Infiltrat postéro-basal droit, compatible avec un foyer pulmonaire, à confronter avec la clinique. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 13.01.2020 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Cadre osseux dans les limites de la norme pour l'âge de la patiente. RX colonne dorsale du 13.01.2020 : tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal en relation avec l'âge de la patiente. Pas d'évidence de métastase osseuse.Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 16.12.2019 : aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire. Effacement de la coupole diaphragmatique à droite. Bonne ventilation des deux bases pulmonaires. Aorte déroulée calcifiée. RX thorax du 23.12.2019 : comparatif du 16.12.2019. Évolution favorable du statut avec régression du foyer de condensation alvéolaire basale droite. Persistance d'une discrète accentuation de la trame bronchique. Apparition d'un émoussement du sinus costophrénique postérieur évoquant un épanchement pleural para-pneumonique. Cœur de volume dans la norme. Sclérose et déroulement aortique. Pas de foyer systématisé à gauche. Statut post-cyphoplastie. Omarthrose droite. US système urogénital du 19.12.2019 : reins de néphropathie chronique, en défaveur de la droite, sans syndrome obstructif. Vessie sans particularité. RX thorax du 17.01.2020 : absence de signe de surcharge pulmonaire. US système uro-génital du 17.01.2020 : les reins se présentent sans particularité avec une bonne différenciation et ce malgré une insuffisance rénale aiguë. Pas de cause post-rénale. Pas de lithiase. La vessie étant très peu remplie lors de l'examen, une mesure précise de la prostate n'est pas réalisable. Si nécessaire, nous restons à disposition pour répéter l'examen avec une vessie pleine. RX thorax du 20.01.2020 : opacité alvéolaire lobaire supérieure droite correspondant à un foyer de pneumonie. Pas de foyer à gauche. Épaississement bronchique basal droit. Pas d'épanchement pleural. Cardiomégalie. Déroulement de l'aorte thoracique. Spondylose dorsale modérée. RX thorax du 21.01.2020 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Tassement de D8 aux dépens du plateau supérieur avec perte de hauteur de 50% visible sur la radiographie de thorax du 30.05.2017. CT cérébral injecté du 21.01.2020 : pas d'hématome intracérébral. Pas de masse ou prise de contraste pathologique. Pas de lésion ischémique démarquée. Les sinus veineux sont perméables. RX genou gauche du 24.01.2020 : signes d'arthrose prépatellaire, le reste est sans particularité. US du genou gauche du 27.01.2020 : examen du genou sans particularité à l'exception d'un discret épanchement au niveau de la bourse suprapatellaire. Pas de calcification tendineuse, pas de kyste poplité. EEG du 27.01.2020 : peu contributif et essentiellement superposable à l'évaluation précédente de septembre 2019. RX thorax du 29.12.2019 : comparatif du 10.12.2019. Examen réalisé en position couchée. Cardiomégalie connue avec persistance d'une égalisation vasculaire baso-apicale et de signes de décompensation cardiaque. Phénomène de la silhouette para-cardiaque droite avec une opacité mal délimitée en projection du lobe inférieur droit, évoquant un foyer infectieux lobaire moyen droit, DD d'origine cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Cadre osseux superposable, sous réserve d'une interprétation difficile du rachis dorsal lié à l'acquisition différente. Sédiment urinaire : leucocyturie, GR 21-40/champ, nitrites positifs, protéines positives. Urotube : 10E3 germes. RX colonne lombaire du 05.01.2019 : multiples métastases vertébrales et du bassin, sans fracture. TSH : dans la norme à 2,920 mU/l (résultat reçu après la sortie du patient). ECG du 10.01.2020 : fibrillation auriculaire à 165/min. Urotube du 08.01.2020 : positif pour E. Coli. Hémocultures : négatives à 5 jours. ECG du 08.01.2020 : rythme sinusal régulier, tachycarde, QRS fins, QTc 497. Pas de trouble ischémique. US des voies urinaires du 08.01.2020 : examen dans la norme. En particulier, pas d'obstruction, pas de lithiase urinaire visualisée, pas d'abcès rénal. Pas de complication de pyélonéphrite. CT abdomino-pelvien du 08.01.2020 : CT abdomino-pelvien dans les limites de la norme. US des voies urinaires du 31.12.2019 : reins de taille et d'échostructure conservées, sans dilatation pyélocalicielle. Volumineuse masse ronde de 2,5 cm de diamètre au niveau de la paroi vésicale G, suspecte d'une lésion tumorale. US tissus mous le 18.12.2019 : La localisation et l'aspect de la lésion correspondent à un hématome ancien, comprenant des zones liquidiennes et des parties solides. Pas de compression vasculaire. L'hématome est localisé dans la partie profonde du quadriceps. Nous proposons un contrôle échographique à distance de 3 mois afin de juger de l'évolution. Consilium ostéoporose du 19.12.2019 : votre patiente présente une ostéoporose fracturaire, mise en évidence par plusieurs tassements vertébraux et une fracture du bassin lors d'une chute de sa hauteur le 5.11.2019. Elle présente en outre un antécédent de fracture du col fémoral droit en avril 2019. Le bilan biologique ne met pas en évidence de cause d'ostéoporose secondaire. Nous vous proposons de doser la vitamine D et d'intensifier la substitution en cas de carence. Au vu de l'âge et des comorbidités de la patiente, la nécessité d'une ostéodensitométrie peut être discutée. La dernière datant de 2016, une nouvelle mesure permettrait de connaître les valeurs actuelles avant de débuter une thérapie. Nous proposons un traitement anti-résorptif Aclasta 5 mg IV 1x/an, à réévaluer après 3 ans. Ces propositions vous sont faites en collaboration avec le Dr. X, médecin d'Oscar, qui se tient à votre disposition pour tout renseignement complémentaire. ECG : cf copie annexée. ECG : cf copie annexée. RX thorax du 01.01.2020 : cliché réalisé pratiquement en expirium. Étalement de la silhouette cardiomédiastinale avec volumineuse frange graisseuse à l'apex cardiaque limitant l'analyse du parenchyme pulmonaire. Un éventuel foyer surajouté rétrocardiaque gauche ne pouvant être exclu. Les apex pulmonaires sont libres des deux côtés. Statut post-prothèse humérale inversée de l'épaule droite. Statut post-ostéosynthèse humérale gauche. Important excès pondéral. ECG du 09.01.2020 : rythme sinusal normocarde à 79/min. PR 180 ms. QRS monomorphes, fins, avec axe normal. Progression de l'onde R en V3. Faible progression de l'onde R dans les dérivations précordiales. QTc (Bazett) 450 ms. US abdomen supérieur du 10.01.2020 à 10h30 : foie atrophié avec contour irrégulier, pas de signe de thrombose de la veine porte, présence de calculs dans la vésicule biliaire. CT abdominal du 23.01.2020 : pas de signe en faveur d'une perforation intestinale. Ascite d'abondance importante aux 4 quadrants. Foie dysmorphique, compatible avec la cirrhose connue. Splénomégalie et cholécystolithiase connue. Dilatation du jéjunum jusqu'en fosse iliaque droite avec épaississement des parois DD subiléus (le contraste oral a progressé jusque dans le colon) DD inflammation. US abdominal du 24.01.2020 : mise en évidence au niveau du flanc droit et au niveau de la musculature abdominale d'une ligne arciforme hypo-échogène discrètement irrégulière ouvrant le DD d'une infiltration hématique versus un petit hématome fusant dans la paroi abdominale ou une collection liquidienne dans le contexte anasarque. Fine lame de liquide entourant au niveau de la graisse sous-cutanée. Au point de ponction, pas d'hématome. Pour mémoire, ponction à l'aide d'un Venflon de 18 G. Persistance d'ascite. En regard du point de ponction, au niveau intra-abdominal on retrouve des anses grêles à parois épaissies dans le contexte de l'ascite connue. Pas d'interruption du plan pariétal.Examen neuropsychologique du 23.01.2020 : troubles exécutifs sévères sur le plan cognitif et comportemental. Difficultés lexico-sémantiques. Difficultés de traitement des nombres. Difficultés praxiques constructives et idéomotrices. Possible atteinte gnosique visuelle discriminative. Désorientation temporelle. Les troubles cognitifs sont de nature et d'intensité à entraver le fonctionnement au quotidien. De ce fait, si un retour à domicile devait se faire, une aide pour la gestion médicamenteuse et administrative est indiquée. IRM du 26.01.2020 : comparatif du 09.03.2018, (Dr. X) : conclusion : IRM cérébrale dans les limites de la norme. Perméabilité conservée des artères intra-cérébrales. Les quelques lésions de la substance blanche visibles sur la séquence T2 FLAIR sont aspécifiques et peuvent correspondre à des lésions micro-angiopathiques. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 18.12.2019 : cf copie annexée. Coloscopie du 19.12.2019 : diverticulose pancolique modérée. DAP, biopsie rectum - Promed P2019.14507 - du 20.12.2019 : muqueuse de la jonction colorectale et transitionnelle du canal anal avec inflammation active focale minime de la muqueuse à la jonction, focalement quelques cryptes dilatées, des vaisseaux ectasiques et une légère fibroélastose. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 27.12.2019 : rythme sinusal régulier à 80/min, QRS 116 ms, axe gauche, ST iso-électrique, T négatif en I, aVL, V5 et V6. RX thorax du 27.12.2019 : accentuation du cœur gauche avec ICT de 16.7 sur 29.7 avec discrète turgescence de la veine azygos accompagnée d'une accentuation diffuse de l'interstice péri-hilaire avec discrètes opacités alvéolaires confluentes ouvrant le DD d'une surcharge hydrique. Pas d'épanchement pleural visible. Un éventuel foyer de broncho-aspiration ou de surinfection débutant ne peut être exclu. Echocardiographie du 28.12.2019 : • Dilatation importante du ventricule gauche avec une akinésie de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale, une hypokinésie modérée de la paroi postérieure, de la paroi latérale moyenne, de la paroi latéro-basale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi antéro-basale et une hypokinésie sévère des segments restants. FEVG à 25 % visuellement et à 33 % selon la méthode de Simpson biplan. Hypertrophie excentrique. • Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. • Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime fonctionnelle. Dysfonction diastolique modérée (grade II). • Oreillette gauche modérément dilatée. • Absence de dilatation des cavités droites. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. • Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie du 29.12.2019 (Dr. X) : maladie coronarienne tritronculaire. Comme culprit lésion pour le SCA, on trouve une lésion subtotale de l'IVA moyenne et une lésion subtotale de la première diagonale. En plus, la bifurcation IVA prox./1. Diagonale montre une lésion complexe significative. Après des prédilatations et implantation de 4 stents actifs (2x pour l'IVA, 2x pour le DA), le résultat final est bon avec un flux normal sans sténose résiduelle. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 25.12.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : positif à E.coli. Hémocultures : négatives. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : rythme sinusal normocarde (FC 63/min), axe gauche, pas de trouble de dé- ou de repolarisation. CT cérébral du 31.12.2019 : examen réalisé sans injection de produit de contraste. IRM comparative du 19.06.2018. Pas de lésion traumatique visible. Aspect entièrement inchangé de l'hydrocéphalie à pression normale sous réserve de la différence technique par rapport à l'examen comparatif. IRM du 03.01.2020 : • crâne : aspect totalement inchangé par rapport au comparatif de la dilatation des ventricules latéraux et du 3ème ventricule ainsi que de la résorption trans-endymère se caractérisant par un hypersignal T2 FLAIR dans la substance blanche péri-ventriculaire et ceci de manière relativement marquée. Atrophie modérée inchangée du parenchyme cérébral et de la fosse postérieure. Absence de restriction de la diffusion ou d'hyposignal pathologique sur la séquence T2*. Absence d'anomalie du cordon médullaire dans sa portion examinée en cervical. Absence de prise de contraste pathologique aux étages supra- et infra-tentoriels. Polygone de Willis perméable. Sinus veineux perméables. • colonne lombaire : rachis analysable de D12 jusqu'au coccyx. Dessiccation de l'ensemble des disques intervertébraux visualisés se caractérisant par un hyposignal T2. Sténose canalaire lombaire modérée en L3-L5 sur des débords discaux postérieurs, une atteinte dégénérative des articulations facettaires avec une hypertrophie des ligaments jaunes. Absence de franche hernie discale visible. Rétrécissement neuro-foraminal L5-S1 gauche sur une atteinte dégénérative, avec possible pincement de la racine L5 de ce côté. Multiples herniations intra-spongieuses des plateaux vertébraux de manière pluri-étagée. Bilan neuropsychologique le 07.01.2020 : nosognosie partielle, désorientation aux 3 modes. Au niveau du langage oral, manque du mot, occasionnelles paraphasies phonologiques et difficultés de compréhension orale. Au niveau du langage écrit, difficultés d'écriture (substitutions et persévérations de lettres) avec une altération du graphisme, difficultés en calcul oral. Troubles sévères en mémoire antérograde verbale avec oubli à mesure (atteinte de l'encodage, de la récupération et du stockage) et en mémoire autobiographique. Atteinte exécutive sévère au niveau cognitif (programmation, contrôle inhibiteur, persévérations inter-tâche et graphiques) et au niveau comportemental (closing in, réflexes de grasping et d'imitation), difficultés au niveau du raisonnement, ralentissement sévère et fluctuations attentionnelles. Comparativement au bilan réalisé en janvier 2017, nous relevons une nette aggravation des performances dans tous les domaines cognitifs. Le tableau évoque une atteinte diffuse d'intensité sévère d'origine mixte (hydrocéphalie et processus neurodégénératif) probable. Aussi, une participation de la thymie n'est pas exclue. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Biopsie osseuse, ponction-biopsie de moëlle osseuse, cytologie : cf. copies ci-jointes. Echocardiographie trans-thoracique du 30.01.2020 : VG non dilaté, hypertrophie modérée concentrique avec fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 62 %. Fonction diastolique du type I avec pressions de remplissage basses. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4) centrale SOR de l'IM à 0,1 cm² avec OG discrètement dilatée à 24 cm², pas d'inversion FVPS. VD non dilaté, normocinétique. PAPs limite sup 34 mmHg. Aorte non dilatée. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Coproculture du 15.12.2019 : négative. ECG du 14.12.2019 : rythme irrégulièrement irrégulier, fréquence 133/min, axe normal. RX thorax du 14.12.2019 : aspect normal de la silhouette cardio-médiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable.Laboratoire : cf. copies ci-jointes. • CT cérébral natif du 30.01.2020 : pas de lésion post-traumatique aiguë intra-cérébrale. Pas de fracture du crâne. Fracture des os propres du nez à droite. • CT cérébral du 22.01.2020 : pas d'argument pour un AVC ischémique ou hémorragique aigu. Irrégularité de l'opacification du segment V3 de l'artère vertébrale gauche. • IRM des carotides du 24.01.2020 : examen réalisé avant et après injection de 15 ml de Dotarem. • Angio-CT comparatif du 22.01.2020 : on retrouve un aspect irrégulier focal du segment V3 de l'artère vertébrale gauche avec minime flap intimal pour une dissection focale. Pas de franche anomalie de signal en hypersignal sur la séquence black blood pour un hématome de la paroi. Toutefois, sur la base de cet examen, la nature aiguë de cette dissection ne peut pas être exclue. EEG le 22.01.2020 : examen dans les limites de la norme, avec une imprégnation bêta d'origine médicamenteuse (Rivotril). Laboratoire : cf. copies ci-jointes. • ECG : rythme sinusal normocarde (FC 91/min), axe hyper-gauche, pas de trouble de dé- ou de repolarisation. • CT cérébral le 01.01.2020 : pas de fracture ou de saignement intra-crânien. Atrophie cérébrale modérée sans prédominance régionale. • US abdominal le 01.01.2020 : par rapport à l'échographie du 18.12.2019, on retrouve un aspect cirrhotique du foie, avec cependant majoration des signes d'hypertension portale. Le Doppler-couleur indique une inversion du flux sans thrombose, et l'analyse spectrale ne permet pas d'en mesurer la vitesse. Apparition d'ascite péri-hépatique. La vésicule biliaire montre des parois épaissies à 6 mm à mettre en rapport avec l'ascite en premier lieu, sans calcul ni sludge. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. • RX thorax du 03.01.2020 : examen effectué en position couchée, incidence antéro-postérieure. Thorax normal, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. • RX genou droit du 03.01.2020 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Consilium angiologique le 03.01.2020, Dr. X : pas de thrombose veineuse profonde ou de thrombose veineuse superficielle des membres inférieurs. Pas de lymphoedème des membres inférieurs. Adénopathies inguinales bilatérales. Oedèmes des membres inférieurs probablement d'origine systémique dans le contexte d'une cirrhose décompensée, plus marqués à droite en raison d'une incontinence de la grande veine saphène de ce côté. En l'absence de CI, compression élastique des membres inférieurs prudente en plus de la PEC systémique de la cirrhose. Bilan neuropsychologique le 07.01.2020 : cet examen neuropsychologique non exhaustif, portant sur la capacité de discernement quant au lieu de vie, effectué chez Mr. Y, collaborant sur une grande partie de l'évaluation, met en évidence : une anosognosie, une désorientation temporelle, des troubles de la mémoire épisodique modérés à sévères (dès l'étape d'encodage) et autobiographique, des troubles exécutifs modérés sur les plans cognitif (programmation) et comportemental (détérioration de la collaboration en fin d'examen, irritabilité), des difficultés attentionnelles (ralentissement, fatigabilité), des difficultés de raisonnement, des troubles de la compréhension orale, des signes d'agraphie. L'orientation spatiale et personnelle, de même que la mémoire à court terme et la mémoire de travail sont conservées dans le cadre de cet examen. Ce tableau, d'allure diffuse, est d'intensité modérée à sévère. Ensemble avec les éléments d'hétéroanamnèse disponibles, il évoque un trouble neurocognitif majeur d'intensité légère à moyenne dont l'origine est probablement multiple (neurodégénérative, toxico-métabolique, vasculaire) si l'on considère l'IRM et les antécédents médicaux. Dans le cadre de cet examen, au vu de ces troubles, Mr. Y n'est pas capable de comprendre les éléments pertinents à son état de santé actuel, d'en apprécier les implications et d'exprimer un choix. Dans ce sens, il n'a actuellement pas sa capacité de discernement par rapport au choix de son lieu de vie. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. • ECG : rythme sinusal régulier, fréquence 68/min, axe gauche, pas de trouble de la repolarisation. • RX thorax du 31.10.2019 : comparatif du 05.01.2011. Cardiomégalie. Statut post-sternotomie pour remplacement de valve aortique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. • Echographie du système uro-génital du 01.11.2019 : aspect modérément irrégulier des contours des reins d'allure séquelle ancienne. Pas de dilatation des cavités rénales et pas d'image d'abcès rénal. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. • ECG du 10.01.2020 : BAV du 1°, pas de sus-/sous-décalage. • CT cérébral du 04.01.2020 : atrophie cortico-sous-corticale diffuse, lésions de leucoaraïose et probable séquelle ischémique lenticulaire gauche mais sans lésion hémorragique traumatique. • US abdominal le 05.01.2020 : examen très limité par le gabarit du patient et l'absence de collaboration. Foie d'échogénicité stéatosique, sans franche dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Pancréas lipomateux. Reins de contours bosselés des deux côtés avec volumineux kyste cortical de 5 cm du rein droit. Ectasie de l'aorte abdominale mesurée à 3,1 cm. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 08.01.2020 : atrophie cortico-sous-corticale diffuse, lésions de leucoaraïose et probable séquelle ischémique lenticulaire gauche mais sans lésion hémorragique traumatique ou ischémique d'allure récente. Présence d'une plaque d'athérome molle au départ de l'artère carotide interne droite entraînant une sténose d'environ 50 à 60%. Présence également du côté gauche d'une plaque d'athérome molle postérieure au départ de l'artère carotide interne entraînant une sténose inférieure à 30%. Echocardiographie trans-thoracique le 13.01.2020 : examen de qualité d'échogénicité médiocre ne permettant que les conclusions suivantes : ventricule gauche non dilaté. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 34 mmHg). Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Absence d'épanchement péricardique. Doppler des vaisseaux pré-cérébraux le 13.01.2020 : athéromatose carotido-vertébrale pré-cérébrale discrète à modérée, avec présence de plaques d'athérome au départ de la carotide interne bilatérale, situées au mur postérieur, non sténosantes. Épaississement de l'IMT des deux côtés. Artère vertébrale bilatérale de flux antérograde et non accéléré, sans argument pour une sténose hémodynamiquement significative des segments V0 à V3 à gauche et de V1 à V3 à droite. Le départ de l'artère vertébrale droite n'a pas pu être visualisé avec certitude. Artère ophtalmique de sens physiologique et de flux antérograde. IRM cérébrale le 13.01.2020 : lésions supratentorielles intra-axiales d'âges différents, l'une correspondant à un AVC subaigu avec séquelles de minime transformation hémorragique, située en temporo-occipital droit, l'autre située dans la substance blanche péri-ventriculaire droite, aspécifiques mais devant également correspondre à un petit AVC d'origine thrombo-embolique vu la plaque d'athérome molle au départ de l'artère carotide interne droite entraînant une sténose d'environ 50 à 60 % décrite au CT.Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG du 13.01.2020 : pas de sus- ou sous-décalage ST, ondes T négatives en D3 et V3R V4R. Angio-CT thoracique du 13.01.2020 : pas d'embolie pulmonaire ni de foyer thoracique. Echocardiographie tran-sthoracique du 13.01.2020 : patient peu échogène, examen en décubitus dorsal : VG non dilaté, non hypertrophié sans trouble de la cinétique visible mais manque d'échogénicité. FEVG à 60 %. Fonction diastolique de type I. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Pas de valvulopathie aortique. Aorte ascendante non dilatée. Cavités droites non dilatées, PAPs dans les limites de la normale. VCI dilatée mais compliante. Absence d'épanchement péricardique. Récidive de douleur épigastrique majorée par la palpation non trinitro sensible. Coronarographie le 17.01.2020, Dr. X : l'examen invasif du jour démontre une coronarographie normale avec une fonction systolique du VG normale. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG du 19.01.2020 : rythme régulier et sinusal à 62 bpm, axe normal, intervalle PR à 160 ms, QRS fins, QTc dans la norme à 410 ms, trouble aspécifique de la conduction avec aspect rsr' en V1, pas de trouble de la repolarisation. Cf. copie ci-jointe. Avis psychiatrique (Dr. X) : considérant l'état dépressif sévère et l'absence de moyens de l'EMS Billens pour assurer la sécurité de ce patient qui fait des menaces suicidaires, qu'il nie par la suite, mais qui présente également des moments d'agitation, de désorientation et de confusion faisant craindre à l'équipe soignante une mise en danger, nous proposons une hospitalisation en mode PLAFA en psychogériatrie afin de soigner l'état dépressif et d'aménager l'accueil en EMS. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG du 20.01.2020 : rythme sinusal régulier à 90 bpm, axe normal, intervalle PR 150 ms, QRS fins, QTc dans la norme à 440 ms, trouble aspécifique de la conduction avec aspect rsr' en aVF, pas de trouble de la repolarisation. CT cérébral natif et injecté du 20.01.2020 : examen dans la norme, notamment pas de lésion focale parenchymateuse, pas d'altération des sillons cérébraux, absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne, pas de collection sous-durale ou extradurale. Bonne perméabilité du polygone de Willis. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. RX thorax du 21.01.2020 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG du 30.12.2019 : rythme sinusal normocarde (FC 59/min), axe hyper-gauche, pas de trouble de dé- ou de repolarisation. CT colonne totale du 30.12.2019 : fracture du corps de D10 touchant les plateaux supérieur et inférieur, sans atteinte du mur postérieur (A2 selon classification AO). Petit anévrisme sacculaire de la paroi inférieure de l'isthme aortique, inchangé. Dilatation fusiforme de l'aorte thoracique descendante stable à 35 x 39 mm s'étendant sur 45 mm de hauteur, au niveau de D8. RX colonne dorsale du 03.01.2020 : fracture du corps vertébral de D10 avec atteinte des plateaux supérieur et inférieur, sans recul du mur postérieur. Discopathie pluri-étagée avec syndesmophytes. Reste de l'examen globalement inchangé, sans argument pour une autre lésion traumatique récente. Ankylose des articulations costo-vertébrales multi-étagée. Ces altérations sont hautement suggestives d'une spondylarthrite ankylosante. IRM avec séquences STIR le 10.01.2020 : fracture récente D10 avec atteinte du mur postérieur et des deux pédicules. Deux zones minimes d'œdème des plateaux vertébraux D1 et D12 pouvant correspondre à des tassements récents. La portion examinée de l'aorte thoracique présente une dilatation jusqu'à 37 mm. Echocardiographie trans-thoracique le 15.01.2020 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 3,34 l/min avec un index cardiaque à 1,97 l/min/m² (82% de la théorique). Aorte modérément dilatée. Rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénérative. Surface aortique à 1,26 cm² (0,74 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 13 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4), d'origine dégénérative. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. RX colonne dorsale du 23.01.2020 (post-opératoire) : status post-cyphoplastie de D10 avec une bonne distribution de ciment. Pas d'extravasation de ciment. Le reste de l'examen est superposable au comparatif du 03.01.2020. La courbure de la colonne lombaire est physiologique. Spondylose lombaire. Diminution de hauteur des disques intervertébraux L4-L5 et L5-S1. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG le 22.01.2020 : rythme sinusal régulier à 74/min, pas de trouble de la conduction, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation, ST iso-électrique. Consilium psychiatrique du 23.01.2020, Dr. X : Intoxication volontaire par un hypnotique - X61 Épisode dépressif, sans précision - F32.9 Personnalité émotionnellement labile, type borderline - F60.31 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de substances psycho-actives multiples (cocaïne, méthamphétamine, THC) - F19.25 Difficultés dans les rapports avec le partenaire - Z63.0 Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX colonne lombaire face/profil du 19.01.2020 : l'examen est superposable au comparatif du 04.05.2017, notamment pas d'image de tassement vertébral avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX thorax du 10.01.2020 (comparatif du 14.12.2019) : par rapport au comparatif, il y a une majoration des signes d'insuffisance cardiaque décompensée avec cardiomégalie, redistribution de la vascularisation aux apex et flou péri-broncho-vasculaire. Sclérose, élongation et déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer pneumonique. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX thorax du 19.01.2020 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques mais pas de foyer, d'infiltrat et ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX thorax du 26.01.2020 : comparatifs du 11.07.2012. Silhouettage de la coupole diaphragmatique gauche sur infiltrat de tout le lobe inférieur gauche. Condensation postérieure, bien visualisée sur le cliché de profil. Probable infiltrat du lobe supérieur droit. La silhouette cardio-médiastinale est inchangée. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX thorax du 30.01.2020 : thorax normal. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Sédiment urinaire : corps cétoniques. CT abdominal injecté le 20.01.2020 : les structures digestives sont sans particularité. L'appendice notamment est fin sur toute sa longueur. Absence d'adénopathie mésentérique ou rétropéritonéale. Pas d'ascite. Absence de lésion hépatique. Vésicule biliaire à contenu hypodense homogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Le pancréas, la rate, les reins, et les surrénales sont de morphologie normale. Une petite lésion focale hypodense mal délimitée de 5 mm de diamètre au sein de la rate aspécifique. Pas de dilatation des voies urinaires. Vessie aux parois fines et à contenu hypodense homogène. Vessie en faible réplétion. Les organes génitaux internes sont sans particularité. Absence d'adénopathie pelvienne. Les coupes passant par l'étage thoracique sont sans particularité. Le cadre osseux est dans les limites de la norme.CONCLUSION La petite lésion splénique hypodense de 5 mm est aspécifique. A confronter à un US. Sinon pour le reste, examen dans les limites de la norme, en particulier sans signe d'atteinte inflammatoire digestive. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Sédiment urinaire : hématurie chez une patiente en cours de menstruations. Cf. copie ci-jointe. Test de grossesse urinaire : négatif. ECG : rythme sinusal régulier, fréquence 90/min, axe normal, pas de trouble des intervalles, pas de trouble de la morphologie ni de la repolarisation. Cf. copie ci-jointe. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Sédiment urinaire : leucocytes 11-20, érythrocytes 3-5, pas de nitrites, HCG négatif. Laboratoire : cf copies ECG du 23.12.2019 : RSR à 95 bpm, normoaxé. Présence d'une onde T négative en D1 et intervalle PR augmenté à 130 ms laissant suspecter un BAV 1er degré. Gazométrie sous 1 L/min d'O2 du 23.12.2019 : pH 7.47, pCO2 4.89 kPa, pO2 7.5 kPa, SatO2 90.8%, HCO3 26.9 mmol/L. Gazométrie sous 1 L/min d'O2 du 31.12.2019 : pH 7.46, pCO2 5.49 kPa, pO2 9.6 kPa, SatO2 94.0%, HCO3 28.8 mmol/L. Spirométrie du 25.12.2019 : CVF 55% du prédit, VEMS 37% du prédit, Tiffeneau 52.6% - qualité D. Oxymétrie nocturne sous 1 L/min d'O2 avec CPAP : SpO2 moyenne de 92.8%. Index des évènements de désaturation 2.2/heure. Capno-oxymétrie nocturne sous O2 1 L/min d'O2 et CPAP : SpO2 moyenne de 95.9%, indice de désaturation à 5.5/h, tcpCO2 à 4.4 kPa. RX thorax du 23.12.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Présence de séquelles pleuro-parenchymateuses en bandes fines lingulaires et postéro-basales G, inchangées. Pas de foyer systématisé visible. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques et une raréfaction de la trame vasculaire en périphérie des 2 poumons évoquant un contexte de syndrome obstructif. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous 3 L/min d'O2 : distance parcourue 120 m, SatO2 fin 89%. Test des 6 minutes, à la sortie, sous 3 L/min d'O2 : distance parcourue 230 m, SatO2 fin 92%. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG à l'entrée le 03.12.2019 : RSR à 53 bpm, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 400 ms, trouble aspécifique de la repolarisation en V2. ECG à la sortie le 20.12.2019 : RSR à 61 bpm, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 430 ms, onde T ample dans les dérivations précordiales. Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 615 m, FC repos 60 bpm, FC fin 112 bpm, FC récup 89 bpm, TA repos 133/88 mmHg, TA fin 170/95 mmHg, BORG 3-4/10. Test de marche des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 630 m, FC repos 63 bpm, FC fin 116 bpm, FC récup 91 bpm, TA repos 123/82 mmHg, TA fin 175/87 mmHg, BORG 3-4/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG à l'entrée le 03.12.2019 : RSR à 72 bpm, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 422 ms, onde T négative en DI, aVL et de V2 à V5. ECG à la sortie le 19.12.2019 : RSR à 73 bpm, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 436 ms, onde T négative en DI, aVL et de V1 à V6. Test d'effort le 09.12.2019 : faible réponse chronotrope avec profil TA satisfaisant. Pas d'arythmie et clinique négative. Arrêt pour fatigue des membres inférieurs. Holter le 09.12.2019 : rythme sinusal de fond à 80/min ; pas de bloc ou pause ; pas d'arythmie de type flutter ou fibrillation atriale ; ectopie supra et ventriculaire isolée non significative (< 3/h, principalement diurne). Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 350 m, FC repos 66 bpm, FC fin 69 bpm, FC récup 69 bpm, TA repos 157/83 mmHg, TA fin 160/85 mmHg, BORG 3-4/10. Test de marche des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 445 m, FC repos 64 bpm, FC fin 76 bpm, FC récup 71 bpm, TA repos 108/75 mmHg, TA fin 137/78 mmHg, BORG 2/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG à l'entrée le 04.12.2019 : fibrillation atriale tachycarde à 113/min, QRS fins normo-axés, QTc à 449 ms, pas de trouble de la repolarisation. ECG à la sortie le 23.12.2019 : fibrillation atriale normocarde à 81/min, QRS fins axés à gauche, QTc à 454 ms, pas de trouble de la repolarisation. Test de marche de 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 420 m, FC repos 58 bpm, FC fin 129 bpm, FC récup 112 bpm, TA repos 135/69 mmHg, TA fin 119/78 mmHg, BORG 2-3/10. Test de marche de 6 minutes à la sortie : distance parcourue 505 m, FC repos 78 bpm, FC fin 86 bpm, FC récup 68 bpm, TA repos 106/64 mmHg, TA fin 143/74 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG à l'entrée le 04.12.2019 : rythme sinusal régulier à 67/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins axés à gauche, onde T négative en DI, aVL et de V4 à V6, QTc à 417 ms. ECG à la sortie le 20.12.2019 : rythme sinusal régulier à 65/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, onde T négative en DI, aVL et de V4 à V6, QTc à 425 ms. ETT le 20.12.2019 : HVG avec composante ischémique. FEVG +/- 50-55%. Trouble diastolique de type I. Calcification aortique (NSC) et mitrale (feuillet ant.), sans conséquence hémodynamique. Insuffisance mitrale (1)/4. Pas de signe indirect en faveur d'HTP. Diamètre aorte abdominale 22x24 mm. Test d'effort le 18.12.2019 : EE menée jusqu'à la limite de la tolérance musculo-respiratoire : 80% de la réserve coronaire sont explorés ; pas de modification ECG suspecte, ni d'arythmie ; clinique négative. Bons paramètres de récupération. Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 572 m, FC repos 64 bpm, FC fin 87 bpm, FC récup 75 bpm, TA repos 118/70 mmHg, TA fin 131/73 mmHg, BORG 3/10. Test de marche des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 645 m, FC repos 73 bpm, FC fin 104 bpm, FC récup 81 bpm, TA repos 98/73 mmHg, TA fin 116/69 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG à l'entrée le 05.12.2019 : rythme sinusal régulier à 71/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 431 ms, onde T négative en DIII, aVR et V1. ECG à la sortie le 23.12.2019 : rythme sinusal régulier à 68/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 394 ms, onde T négative en DIII, aVR et aVF. Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 465 m, FC repos 77 bpm, FC fin 88 bpm, FC récup 77 bpm, TA repos 124/89 mmHg, TA fin 128/83 mmHg, BORG 3/10. Test de marche des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 600 m, FC repos 68 bpm, FC fin 92 bpm, TA repos 118/82 mmHg, TA fin 137/82 mmHg, BORG 4-5/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG à l'entrée le 06.12.2019 : RSR à 68 bpm, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 445 ms, onde T négative en DII, DIII, aVF, V4, V5 et V6. ECG à la sortie le 20.12.2019 : RSR à 68 bpm, onde P biphasique en V1 et V2, intervalle PR à 200 ms, QRS fins normo-axés, QTc à 453 ms, onde T négative en DII, DIII, aVF, V4, V5 et V6. Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 505 m, FC repos 75 bpm, FC fin 87 bpm, FC récup 82 bpm, TA repos 123/82 mmHg, TA fin 138/81 mmHg, BORG 3/10. Test de marche des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 610 m, FC repos 65 bpm, FC fin 87 bpm, FC récup 76 bpm, TA repos 114/83 mmHg, TA fin 157/88 mmHg, BORG 3-4/10. Laboratoire : cf copies en annexe. • ECG à l'entrée le 07.01.2019 : rythme sinusal régulier à 66/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 396 ms, onde T négative en DII, DIII et aVF. • ECG à la sortie le 24.01.2020 : rythme sinusal régulier à 69/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 400 ms, onde T négative en DIII et aVF. • Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 360 m, FC repos 67 bpm, FC fin 86 bpm, FC récup 73 bpm, TA repos 108/74 mmHg, TA fin 120/76 mmHg, BORG 3/10. • Test de marche des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 540 m, FC repos 79 bpm, FC fin 87 bpm, FC récup 84 bpm, TA repos 110/75 mmHg, TA fin 135/71 mmHg, BORG 2/10. • ECG à l'entrée le 08.01.2020 : rythme sinusal régulier à 78/min, bloc auriculoventriculaire du 1er degré, QRS fins normo-axés, QTc à 455 ms, trouble aspécifique de la repolarisation. • ECG à la sortie le 27.01.2020 : rythme sinusal régulier à 55/min, BAV du 1er degré (200 ms), QRS fins normo-axés, QTc à 411 ms, trouble aspécifique de la repolarisation (T plates en DII, négatives en DIII), transition du complexe QRS en V3. • ETT le 16.01.2020 : FEVG à 60%. Pas de dilatation des cavités. Valve biologique en place sans fuite para- ou trans-prothétique. DeltaP 5-9 mmHg. Remaniement des feuillets mitraux. Fuite mitrale minime. Pas d'épanchement péricardique ni pleural. • Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 440 m, FC repos 70 bpm, FC fin 90 bpm, FC récup 78 bpm, TA repos 122/89 mmHg, TA fin 150/80 mmHg, BORG 0/10. • Test de marche des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 560 m, FC repos 62 bpm, FC fin 125 bpm, FC récup 60 bpm, TA repos 153/83 mmHg, TA fin 175/95 mmHg, BORG 3/10. • ECG à l'entrée le 08.01.2020 : rythme sinusal régulier à 75/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 389 ms, onde T négative en aVR, en aVL et de V1 à V3. • ECG à la sortie le 17.01.2020 : rythme sinusal régulier à 72/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 391 ms, onde T négative en aVR, V1 et V2. • Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 600 m, FC repos 65 bpm, FC fin 116 bpm, FC récup 73 bpm, TA repos 137/79 mmHg, TA fin 163/79 mmHg, BORG 2/10. • Test de marche des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 675 m, FC repos 70 bpm, FC fin 140 bpm, FC récup 111 bpm, TA repos 136/75 mmHg, TA fin 179/85 mmHg, BORG 4/10. • ECG à l'entrée le 09.12.2019 : rythme sinusal régulier à 74/min, onde P biphasique en V1 et en V2, bloc auriculo-ventriculaire du 1er degré, QRS fins axés à gauche, onde T négative en aVR, aVL et de V1 à V6, QTc à 434 ms. • ECG à la sortie le 20.12.2019 : rythme sinusal régulier à 74/min, onde P biphasique en V1 et en V2, bloc auriculo-ventriculaire du 1er degré (218 msec), QRS fins axés à gauche, onde T négative en aVR, aVL et de V1 à V6, QTc à 449 ms. • ETT le 17.12.2019 : HVG modérée (135 g/m²), hypokinésie septale (post-opératoire), FEVG 55% (Teicholz), MASPSE 12 mm, VD Tapse 22 mm. Roth. Ao. mécanique en place : pas de fuite, deltaP 6/13 mmHg. Pas d'épanchement péricardique. VCD plutôt plate. Pas de signe indirect en faveur d'une HTP. • Test de marche des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 540 m, FC repos 77 bpm, FC fin 101 bpm, FC récup 87 bpm, TA repos 132/79 mmHg, TA fin 137/86 mmHg, BORG 3/10. • Test de marche des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 600 m, FC repos 80 bpm, FC fin 105 bpm, TA repos 103/72 mmHg, TA fin 148/79 mmHg, BORG 3-4/10. • ECG à l'entrée le 12.12.2019 : rythme sinusal régulier à 74/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 418 ms, trouble aspécifique de la repolarisation. • ECG à la sortie 31.12.2019 : rythme sinusal régulier à 68/min, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 456 ms, trouble aspécifique de la repolarisation. • Radiographie du thorax le 27.12.2019 : comparatif du 02.01.2019. Status post sternotomie avec cerclages intacts. Clips chirurgicaux para-médiastinal supérieur, supra-hilaire gauche. Attraction hilaire gauche vers l'apex pulmonaire avec aspect triangulaire du pied de la grande scissure post-résection apicale lobaire supérieure gauche. Mise en évidence d'une collection lenticulaire postéro-apicale bien visible sur le profil, évoquant un petit épanchement cloisonné. Emoussement du sinus costophrénique ne permettant pas d'exclure une petite composante d'épanchement pleural basal. Désorganisation diffuse et raréfaction diffuse de la trame pulmonaire dans le contexte d'une BPCO connue. Absence de fracture/tassement des corps vertébraux. • Test de marche de 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 300 m, BORG 2/10. • Test de marche de 6 minutes à la sortie : distance parcourue 385 m, FC 67-78-75 bpm, TA au repos 115/73 mmHg, TA à la fin 128/73 mmHg, BORG 2-3/10. • ECG à l'entrée le 13.12.2019 : rythme sinusal régulier à 63/min, intervalle PR dans la norme, bloc de branche droite complet, QRS axés à gauche, QTc à 538 ms, onde T négative en DIII et aVR. • ECG à la sortie le 19.12.2019 : rythme sinusal régulier à 62/min, intervalle PR dans la norme, bloc de branche droite complet, QRS axés à gauche, QTc à 496 ms, onde T négative en DIII, aVR et V1. • ECG de repos du 09.12.2019 : RSR à 64 bpm, intervalle PR dans la norme, QRS fins normo-axés, QTc à 421 ms, onde T négative en DIII et aVR. • Test de marche de 6 minutes (09.12.2019) : distance parcourue 327 m, FC repos 62 bpm, FC fin 72 bpm, FC récup 68 bpm, TA repos 151/74 mmHg, TA fin 154/64 mmHg, BORG 2-3/10. • Test de marche des 6 minutes (23.12.2019) : distance parcourue 380 m, FC repos 59 bpm, FC fin 68 bpm, FC récup 62 bpm, TA repos 135/67 mmHg, TA fin 145/76 mmHg, BORG 2-3/10. • ECG de repos du 10.01.2020 : RSR à 56 bpm, intervalle PR à la limite supérieure normale pour la fréquence cardiaque, QRS fins normo-axés, QTc à 414 ms, onde T négative en DIII, V1, V2. • Test de marche de 6 minutes du 10.01.2020 : distance parcourue 327 m, FC repos 62 bpm, FC fin 72 bpm, FC récup 68 bpm, TA repos 151/74 mmHg, TA fin 154/64 mmHg, BORG 2-3/10. • ECG du 19.12.2019 : rythme sinusal, fréquence cardiaque à 84/min, axe 19°, QRS 136 ms, QT 394 ms, pas de signes d'ischémie aiguë. • Radiographie du thorax de face du 20.12.2019 : comparatif du 20.03.2019 : surélévation connue de la partie antérieure de la coupole diaphragmatique D réalisant une image de double contour de la coupole. Apparition d'une atélectasie en bande fine latéro-basale D. Frange graisseuse épicardique à la pointe du cœur mimant une ligne de damoiseau. La coupole diaphragmatique demeure bien visible à G. Pas d'évidence de bronchogramme aérique en faveur d'un foyer systématisé. Cardiomégalie. Sclérose aortique. Laboratoire : cf copies • HbCO à 1.2%. • Expectoration du 19.12.2019 : flore bucco-pharyngée. • ECG du 19.12.2019 : RSR à 82 bpm normoaxé avec un PR normal et QRS fins. • Gazométrie du 19.12.2019 sous 1 L d'O2/min : pH 7.44, pCO2 4.80 kPa, pO2 8.4 kPa, SatO2 94%, HCO3 24.7 mmol/l. • Gazométrie du 06.01.2020 en position assise AA après 30 min au repos : pH 7.48, pCO2 4.34 kPa, pO2 8.0 SpO2 90.5%, HCO3 25.1 mmol/l. • Spirométrie du 24.12.2019 : CVF 64% du prédit, VEMS 34% du prédit, Tiffeneau 45.0% - qualité D. DLCO : 20% du prédit --> trouble diffusionnel sévère. • Oxymétrie nocturne du 24.12.2019 sous 1 L/min d'O2 : SpO2 moyenne 87.9%. Index des événements de désaturation à 5.9/heure.RX thorax du 20.12.2019 : en confrontation avec le scanner du 26.04.2019 et le PET-scanner du 30.10.2019 (absence de comparatif récent), on retrouve un emphysème latéro-thoracique D remontant dans le creux axillaire post-interventionnel. Epanchement pleural basal D de moyenne abondance, associé à un tassement du parenchyme pulmonaire et des atélectasies en bandes fines. Perte de volume de l'hémithorax D. A confronter aux clichés post-opératoires. PAC sous-clavier G en place avec extrémité en projection de la veine cave supérieure. Absence de foyer parenchymateux ou d'épanchement pleural visible à G. Ostéopénie. RX thorax du 03.01.2020 : (comparatif 20.12.2019). On retrouve un remaniement parenchymateux lobaire inférieur D avec épanchement pleural et atélectasies versus séquelle interstitielle en bandes fines, stable. Actuellement disparition de l'emphysème sous-cutané latéro-thoracique D et du creux axillaire. Le reste du status est superposable au précédent examen. Pour mémoire, PAC sous-clavier G en place. Actuellement pas de foyer d'apparition récente visible ddc. Test des 6 minutes, à l'entrée sous 2 L d'O2 : distance parcourue 325 m, SatO2 fin 82 %. Test des 6 minutes, à la sortie AA : distance parcourue 360 m, SatO2 fin 80 %. Laboratoire : cf feuille annexe. PCR des selles : en cours. Recherche de calprotectine dans les selles : en cours. Laboratoire : cf rapport annexé. ECG du 24.12.2019 : rythme sinusal régulier à 68 bpm, normoaxé, intervalle PR à 124 ms, QRS de morphologie et de durée normale, QTc à 430 ms, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax du 24.12.2019 : radiographie réalisée en position assise. Pas de corps étranger radio-opaque visible au sein de l'arbre trachéo-bronchique et des bases pulmonaires. Émoussement du cul-de-sac pleural latéral gauche. Minimes altérations interstitielles aux deux bases. Calcifications du bouton aortique et aspect déroulé de l'aorte thoracique descendante. Pas de foyer parenchymateux constitué dans les deux plages pulmonaires. Tests de dépistage de la cognition du 26.12.2019 : MMSE à 13/30, test de l'horloge à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/13. Laboratoire. Cf annexes. Nexium 40 mg / Buscopan 20 mg IV / Ulcar. Traitement d'épreuve par Nexium pendant 7-10 jours. Contrôle chez le MT et envisager une gastroscopie en ambulatoire si absence d'amélioration. Laboratoire : CK 70 U/l, CRP 33 mg/l, hémoglobine 112 g/l, glucose 7.1 mmol/l, reste sans particularité. Dosage du valproate : infra-thérapeutique à 16 mg/l. Gazométrie initiale : pH 7.46, pCO2 4.3 kPa, pO2 6.9 kPa, bic 23, EB -0.8. Gazométrie de contrôle : pH 7.45, pCO2 5.1 kPa, pO2 9.0 kPa, bic 26, EB 2.2. CT cérébral le 23.01.2020 : pas d'hémorragie intracérébrale mise en évidence. Lésions séquellaires cortico-sous-corticales frontales des deux côtés, plus évidentes à gauche. Hygromes des deux hémi-convexités cérébrales d'épaisseur réduite par rapport au comparatif. Pas de collection sous-durale ou extra-durale d'allure récente. Hématome épicrânien fronto-pariétal gauche de 7 mm d'épaisseur. Fractures fronto-pariétale gauche, connue et inchangée par rapport au comparatif. Pas de trait de fracture récent. Attitude : • Keppra 1 g IV • avis Neurologique (Dr. X) : Majoration Depakine à 1 g 2x/j, contrôle à 5 jours du taux et envisager la diminution des neuroleptiques (Dipiperon, Quétiapine) • hospitalisation en lit monitoré sur la nuit • contrôle dépakinémie à 5 jours à faire à Marsens. Laboratoire : créat 234, urée 20.8. K+ 5.2, CRP 24. Avis psychiatrique : incapacité de prise en charge à domicile, risque d'hétéro-agressivité, décision d'hospitalisation en PAFA à Marsens. Feuille remise à Mme. Y avec explications en présence de sa sœur. Laboratoire : créat 65 mmol/l, CRP 7 mg/l, pas de leucocytose. Stix urinaire : leuco 0, nitrites 0. Echographie : absence d'argument pour une fuite d'urine en intra-abdominale. L'absence de visualisation de jet urétéral gauche et de la dilatation pyélocalicielle/urétérale gauche nouvelle. Laboratoire : créat 66, Na 139, K 3.8, ASAT 20, ALAT 17, PAL 95, GGT 10, Bilit 6.4, Lipase 11, Leuco 8.2, Hb 148. Sédiment urinaire : propre. Radiographie du thorax et de la colonne cervicale : Colonne cervicale : Rectitude de la colonne cervicale. Examen effectué de C1 à C7. La hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Bon alignement des facettes. La dens est bien alignée ainsi que les massifs latéraux. Pas de fracture mise en évidence. Thorax : Index cardio-thoracique nettement augmenté chez ce patient jeune, trop marqué pour être uniquement expliqué par la position couchée. L'inspirium est relativement faible. Pas de pneumothorax (position couchée), pas d'épanchement pleural, pas de foyer de pneumonie. Pas de fracture déplacée des côtes. La forme du thorax est relativement conique DD incidence. A confronter à une nouvelle radiographie debout, de face et de profil, en bon inspirium. CT rachis cervical : Bon alignement des murs antérieurs, postérieurs et de la ligne spino-lamère. Respect de hauteur des corps vertébraux. Pas de trait de fracture visualisé. Pas d'anomalie des parties molles péri-vertébrales. Pas d'anomalie sur les coupes passant par la base du crâne. Kystes de rétention du fond des sinus maxillaires des deux côtés (DD : polypes). Apex pulmonaires, filière pharyngo-laryngée, glandes salivaires et thyroïde sans particularités. Pas d'adénopathie cervicale. Laboratoire : créat 77, Na 140, K 3.8, CRP <5, Leu 6.6, Hb 148, PLT 197, D-dimères <190. Angio-CT cérébral : dans la norme, pas d'hémorragie, pas de dissection carotide. Avis de Dr. X : antalgie, contrôle au FUA demain. Paracétamol, Voltarène, Fentanyl 25 mcg aux urgences. Antalgie par Dafalgan et Brufen. Contrôle aux urgences (FUA) à 24 h. Laboratoire : créatinine à 124 mmol/l (clearance 33 ml/min stable), perturbation des tests hépatiques, CK-MB 25, Troponines 60, CRP 26, FSC sp, électrolytes sans particularité. Sédiment urinaire : érythrocytes 6-10, reste sans particularité. Radiographie du thorax. CT thoracique natif. ECG 13.12 : fibrillation auriculaire à 76 battements par minute, BBD incomplet, QRS 108 ms, QTc 439 ms, pas de troubles de la repolarisation. Lasix relayé par Torasémide. Laboratoire : créatinine à 140 mcmol/l, urée à 12.6 mmol/l. Spot urinaire : FE urée 50.55 %, donc probable origine rénale. Laboratoire : créatinine à 159 µmol/l, urée dans la norme. Laboratoire : créatinine à 196, urée 34.6 (clairance 22.7 selon Cockroft). Laboratoire : créatinine 138, Na 137, K 4.2, CRP 16, GB 7.5, Hb 98, TP 58 % (Eliquis), BNP 6047. Gazométrie en AA : pH 7.52, pO2 17.4, pCO2 2.8, bic 17, excès de base -5.4. CT cérébral et de la colonne cervicale sans lésion traumatique décelable. Rx thorax : important épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire avec épanchement pleural de faible abondance. Aspect d'un flou péri-broncho-vasculaire. Aorte déroulée, calcifiée. Rx colonne lombaire : spondylarthrose étagée avec aspect irrégulier des plateaux vertébraux. Hyperlordose lombaire. Ostéophytose périphérique antérieure. Aspect ostéopénique de la trame osseuse. Arthrose interfacettaire lombaire basse L4-L5, L5-S1. ECG le 27.12.2019 : FA avec transmission ventriculaire rapide, BBG complet connu, troubles de repolarisation connus, mais accentués par rapport au dernier ECG - sus-décalage ST en V1, V2, V3, sous-décalage ST V5, V6. ECG le 31.12.2019 : sus-décalage V1-2-3 et sous-décalage V5-6 + BBG connus ; nouvelle déviation de l'axe à droite. Echocardiographie transthoracique le 31.12.2019 : ventricule gauche de taille à la limite supérieure de la norme, non hypertrophié avec une dyskinésie du septum moyen et une hypokinésie des segments restants. FEVG à 30 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 2,98 l/min avec un index cardiaque à 1,86 l/min/m² (89 % de la théorique).Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Excès tissulaire des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale sévère (grade 3/3) péjorée par rapport au dernier comparatif de 2014, d'origine dégénérative sur restriction du feuillet mitral postérieur. d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,24 cm². Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit non dilaté. Hypokinésie légère globale du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. Absence de dilatation des cavités droites. HTP modérée (PAPs à 50 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Minime épanchement péricardique localisé rétro-auriculaire droit. Dysfonction du VG modérée à sévère avec une FEVG à 30% déjà connue. Insuffisance mitrale sévère (grade 3/3) d'origine dégénérative sur restriction du FMP péjorée par rapport au dernier comparatif de 2014 probablement dans le contexte de la décompensation cardiaque. OG dilatée. Fonction systolique du VD diminuée. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). HTP modérée avec PAPS à 50 mmHg. Echocardiographie transthoracique du 13.01.2019 : • ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une dyskinésie du septum moyen et une hypokinésie sévère des segments restants. FEVG à 30 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 2,98 l/min avec un index cardiaque à 1,91 l/min/m² (92% de la théorique). • aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). • excès tissulaire des 2 feuillets mitraux. Restriction de mouvement du feuillet mitral postérieur. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale moyenne (grade 3/4), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,17 cm². Insuffisance mitrale stable par rapport à l'examen précédent. • oreillette gauche très dilatée. • ventricule droit non dilaté. Hypokinésie globale du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP modérée (PAPS à 58 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). • absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : CRP à la baisse à 55, pas de leucocytose. Antalgie simple. Mme. Y est informée des signes nécessitant une consultation en urgence. Laboratoire : CRP à 21 mg/l ECG Gazométrie : sans particularité Radiographie du thorax : opacité diffuse sur les deux plages pulmonaires Hémocultures : négatif Lasix 40 mg puis 2x20 mg Oxygénothérapie Antibiothérapie sous Rocéphine 2 g en intra-veineux pendant 7 jours Laboratoire : CRP 10 mg/L, leucocytose 3.3G/L (cf. annexes.) Laboratoire : CRP 10 mg/L, pas de leucocytose, tests hépatiques normaux sauf bili directe à 6.3 µmol/l. (Cf. annexes.) Sédiment urinaire : GR 3-5/champ, GB 3-5/champ. (Cf. annexes.) Laboratoire : CRP 108 mg/l, Leuco : 10.2 g/l RX thorax le 12.08.2019 : pas de foyer Ag urinaires pneumocoque et Légionelle : nég Hémocultures à froid : nég CT-Thoracique le 16.08.2019 : une aspergillose bronchopulmonaire allergique. Discret emphysème pulmonaire centrolobulaire prédominant aux apex Culture de l'expectoration : leucocyte ++, cocci Gram (+) ++ Ceftriaxone 2 g une dose Klacid 500 mg une dose Ceftriaxone du 12.08 au 14.08.2019 Co-amoxicilline 1 g 3x/J du 15.08 au 19.08.2019 Physio-respiratoire Attitude : • suivi biologique chez le médecin traitant Laboratoire : CRP 18, Lc 5.2 ECG le 17.01.2020 CT thoracique le 17.01.2020 Radiographie thoracique le 20.01.2020 Radiographie thoracique le 23.01.2020 Radiographie thoracique le 27.01.2020 CT abdominal le 22.01.2020 Ponction pleurale le 20.01.2020 • Cytologie : adénocarcinome • Exsudat mono-macrophagique • Pose VVC 1 voie du 20.01.2020 au 22.01.2020 : retrait de 3500 ml Laboratoire : CRP 23, leuco 10.4 Rx du thorax F/P : pas de foyer ATT : • RAD avec traitement symptomatique et arrêt de travail Laboratoire : CRP 30 mg/l, Leucocytes 11 G/l Hémocultures : négatives à 5 jours Antigénurie urinaires : négative pour Pneumocoques et Legionella Pneumophila Culture d'expectoration : flore bucco-pharyngée RX thorax : foyer basal droit Antibiothérapie par Rocéphine 2 g puis relais per os par co-amoxicilline Bronchodilatateurs selon traitement habituel Oxygénothérapie pour une saturation cible 90-92% Physiothérapie respiratoire Laboratoire : CRP 32 mg/l, pas d'insuffisance rénale, D-dimères positives, Trop 4 ng/l, BNP 99 ng/l. CT-scanner thoracique injecté du 17.01.2020 : examen réalisé après injection i.v. de 60 ml de Iomeron. Comparatif du CT du 19.04.2019. Thorax : défaut d'opacification de l'artère segmentaire postéro-basale avec deux triangles d'hypodensité à base pleurale postro-basale droite. Troncs artériels artères pulmonaires de calibre normal. Rapport VD/VG physiologique. Pas de reflux du produit de contraste dans les veines sus-hépatiques. Pas d'adénopathie médiastino-hilaire ni axillaire. Plusieurs zones de dyselctases sous-pleurales. Micronodule solide sous-pleural de 4 mm et un second en verre dépoli postéro-basal gauche. Pas d'épanchement pleural. Sur les coupes passant par l'abdomen, la partie visible de la rate, du pancréas, des reins, les surrénales sont sans particularité. Osseux : pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : embolie pulmonaire segmentaire inférieure droite avec deux plages d'infarcissement pulmonaire. Micronodule solide sous-pleural de 4 mm et un second en verre dépoli du segment 6 gauche à surveiller par un CT dans 12 mois. Laboratoire : CRP 42, leucocytes 4.1 Radiographie du thorax : foyer lobe moyen droit Laboratoire : CRP 6 mg/L, leucocytes 3.6 G/L. Laboratoire : CRP 75 mg/L sans leucocytose, tests hépatiques dans la norme (lipase à 68U/L), fonction rénale conservée, pas de trouble ionique. Sédiment urinaire : propre. Radiographie du thorax : discrète augmentation de la trame interstitielle, aspécifique. Pas de foyer constitué. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Émoussement du sinus costo-diaphragmatique G. Laboratoire : dans la norme, explication donnée par le médecin. Attitude : au vu de céphalées connues selon la patiente, nous donnons un traitement antalgique iv aux urgences avec une bonne réponse. Sur demande de la patiente, nous continuons la gestion antalgique en ambulatoire. Laboratoire : dans la norme, pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire : D-dimères à 1600 US Bedside : pas de TVP visible Attitude : • Xarelto 15mg 2x/jour pendant 3 semaines puis 20 mg 1x/jour pour 6 mois (à réévaluer avec angiologue) • Consilium angiologique demandé, le patient sera convoqué • bas de contention Patient informé des signes/symptômes nécessitant une consultation en urgence. Laboratoire : discret syndrome inflammatoire, K 3.4 mmol/l, Na 141 mmol/l, D-dimères négatifs. ECG : sans particularité. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : en annexe Laboratoire : en annexe Laboratoire : en annexe Laboratoire : en annexe Angio-CT cérébral du 22.01.2020 : Hypodensité cérébelleuse gauche paramédiane s'étendant au pédoncule cérébelleux gauche évoquant dans le contexte un AVC ischémique constitué. Pas de lésion traumatique intracrânienne. Hématome sous-galéal pariétal gauche. Sur les coupes passant par les apex pulmonaires, calcifications ganglionnaires médiastinales et hilaires.IRM cérébral du 23.01.2020 : AVC ischémique aigu constitué cérébelleux gauche et occipital à droite sans transformation hémorragique. Origine principalement carotidienne de l'artère cérébrale postérieure gauche. Hypoplasie de l'artère communicante postérieure à droite. Echocardiographie cardiaque du 23.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 54 % (méthode de Simpson). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de rétrécissement aortique. Insuffisance aortique physiologique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit normal. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires (PAPs à 42 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bilan neuropsychologique le 28.01.2020 (rapport provisoire) : Examen n'ayant pas pu être réalisé jusqu'à la fin en raison du refus du patient et du manque de collaboration. Dysfonctions exécutives présentes et anosognosie, toutefois incapacité à se prononcer en raison de l'examen abrégé. Holter sur 72h : Résultats en cours (cf annexe) Laboratoire : en annexe Angio-CT cérébral du 22.01.2020 : Hypodensité cérébelleuse gauche paramédiane s'étendant au pédoncule cérébelleux gauche évoquant dans le contexte un AVC ischémique constitué. Pas de lésion traumatique intracrânienne. Hématome sous-galéal pariétal gauche. Sur les coupes passant par les apex pulmonaires, calcifications ganglionnaires médiastinales et hilaires. IRM cérébral du 23.01.2020 : AVC ischémique aigu constitué cérébelleux gauche et occipital à droite sans transformation hémorragique. Origine principalement carotidienne de l'artère cérébrale postérieure gauche. Hypoplasie de l'artère communicante postérieure à droite. Echo cardiaque du 23.01.2020 : FEVG à 55 %, reste sp. Laboratoire : en annexe Angio-CT cérébral du 25.01.2020 : Discrète asymétrie avec hypovascularisation de la corona radiata postérieure droite - bras postérieur de la capsule interne. Pas d'AVC hémorragique. Nodule thyroïdien gauche non caractérisable. CT cérébral natif du 26.01.2020 (12h) : Constitution d'un AVC dans la région suspectée sur le CT de la veille, touchant le corps du noyau caudé, la corona radiata droite, le bras postérieur de la capsule interne et les noyaux lenticulaires droits (branche profonde de l'artère cérébrale moyenne droite). Pas de transformation hémorragique visible sur le CT. CT cérébral natif du 26.01.2020 (13h) : On retrouve la lésion ischémique constituée de corps de noyau caudé s'étendant au noyau lenticulaire, corona radiata et le bras postérieur de la capsule interne droite sans transformation hémorragique visible sous réserve de la limite du CT. Pas d'apparition de nouvelle lésion dans l'intervalle. IRM neurocrâne 27.01 : Lésion ischémique aiguë du corps de noyau caudé s'étendant au bras postérieur de la capsule interne et le noyau lenticulaire à droite sans transformation hémorragique. ETT 27.01 : VG non dilaté, discrète hypertrophie concentrique, fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 4,82 l/min avec un index cardiaque à 2,69 l/min/m² (98 % de la théorique). Fonction diastolique normale avec pressions de remplissage basses. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 2,03 cm² (1,13 cm²/m²). Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Micro fuite mitrale physiologique. OG non dilatée. Ventricule droit normal non dilaté. PAPs normales. Pas de FOP y compris au test aux bulles avec et sans manoeuvre de Vasalva. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : en annexe CT cérébral du 18.01.2020 : Le parenchyme cérébral est modérément atrophique, sans prédominance régionale, contenant des hypodensités périventriculaires et dans la substance blanche des deux côtés correspondant à de la leuco-araïose. Pas de signes précoces d'AVC décelables. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous- ou extra-durale. Élargissement du système ventriculaire et des sillons cérébraux en rapport avec l'atrophie cérébrale. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Absence de rehaussement pathologique après injection de produit de contraste, en particulier pas de masse visualisée. Bonne opacification des sinus veineux crâniens. Pas de comblement liquidien des sinus de la face et des cellules mastoïdiennes. Status après phakectomie bilatérale. À noter une hyperostose diffuse de la table interne. CONCLUSION : Pas de saignement intracrânien. Pas de métastase. Laboratoire : en annexe CT cérébral le 19.12.2019, 14:00 : Atrophie cortico-sous-corticale en rapport avec l'âge. Leuco-encéphalopathie vasculaire. Pas de lésion ischémique aiguë constituée, notamment pas d'asymétrie sur la carte de perfusion. Plaque mixte avec sténose d'allure significative au départ de l'artère carotide interne gauche. La circulation artérielle intracrânienne est sans particularité. Pas de prise de contraste cérébro-méningée pathologique pour un processus inflammatoire, infectieux ou tumoral. CT cérébral le 19.12.2019, 18:00 : Pas de changement par rapport au comparatif, sans apparition de lésion ischémique aiguë constituée ni d'asymétrie sur la carte de perfusion. Polygone de Willis inchangé et bonne opacité des sinus veineux. IRM cérébrale et vaisseaux précérébraux du 20.12.2019 (transmission orale) : Multiples foyers ischémiques sur le territoire sylvien à gauche. Doppler des vaisseaux précérébraux le 19.12.2019 : (transmission orale) : Sténose de 50 % (bas degré, plaque molle) de l'artère carotide interne gauche. Radio thorax 19.12.2019 : Silhouette cardio-médiastinale de taille et morphologie normales. Troubles ventilatoires bi-basaux. Pas d'épanchement. Cadre osseux et parties molles sans particularités. Laboratoire : en annexe ECG : en annexe Laboratoire : en annexe ECG du 24 janvier 2020 : rythme sinusal de tachycardie (HR 130 / min), type raide, pas de troubles de dé-/repolarisation. US glande thyroïde du 24.01.2020 : Stroma multinodulaire, thyroïdite de Hashimoto peu probable, mais non exclue. Laboratoire : en annexe ECG du 24.01.2020 : rythme sinusal et régulier, FC à 100/min, normoaxé, pas de trouble des intervalles ni de la morphologie ni de la repolarisation. Laboratoire : en annexe ECG le 25.01.2020 : tachycardie-bradycardie en association d'un bloc sino-atrial paroxystique (cf. copies) (BBD partiel connu sur le tracé ECG de base) cf annexes. Ecocardiographie le 26.01.2020 : VG non dilaté, non hypertrophié, fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Flux mitral normalisé. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 1,74 cm². Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Plastie mitrale modérément sténosante avec gradient moyen OG-VG à 6 mmHg et surface par Hatt 2.3 cm² associée à une insuffisance mitrale modérée centrale (grade 2/4). SOR de l'IM à 0,07 cm². VD non dilaté, discrètement hypertrophié avec fonction systolique du ventricule droit normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). HTAP 51 mmHg. Absence d'épanchement péricardique. Patiente ressent depuis 48 h des palpitations et nausées sans DT. N’avait pas ressenti de palpitations depuis sa chirurgie valvulaire en 2017. Conclusion : ETT stable par rapport à la dernière. Garde maladie mitrale avec sténose et fuite modérées et HTAP stable connue. Hier passage en TSV paroxystique avec bradycardie sinusale et ESV isolées dans le contexte d'anomalie ionique. Surveillance cette nuit pas de salve de TSV ni de pauses significatives. Toutefois au vu de la valvulopathie prévoir Holter ECG sur 72h pour possible maladie rythmique de l'oreillette. Pas de modification du traitement pour l’instant.Laboratoire : en annexe IRM cérébrale (Berne) 24.01.2020 : Pas d'ischémie, pas d'hémorragie, pas de sténose significative CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux le 25.01.2020 : • Athéromatose calcifiée des vaisseaux pré-cérébraux sans sténose significative. • Origine directe de l'artère vertébrale gauche de la crosse aortique. • Analyse de cette origine est limitée à cause des importants artéfacts. Laboratoire : en annexe Radiographie du thorax du 03.01.2020 • CT-thorax • Hémocultures : négatives • Cultures d'expectorations : bactériologie classique • Tavanic du 03.01.2020 au 07.01.2020 • Physiothérapie respiratoire Laboratoire : en annexe Radiographie du thorax du 25.12.2019 : Par rapport au comparatif du 5 décembre 2012, il y a toujours une réduction du volume pulmonaire gauche avec une portion ventilée circonscrite dans le champ supérieur et un déplacement de la trachée vers la gauche. Transparence préservée du poumon droit. Crête de diaphragme délicatement limitée sur la droite. Aucune preuve d'un infiltrat pneumatique clair à droite. Un infiltrat pourrait être masqué à gauche. Echocardiographie transthoracique le 30.12.2019 : En raison de mauvaises conditions techniques, l'examen ne permet que les conclusions suivantes : • Fonction du VG hyperdynamique, FEVG à 65-70 % (évaluation visuelle). • Gradient moyen OG-VG à 4 mmHg. • Dilatation modérée du ventricule droit. • Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. • Minime épanchement péricardique localisé postérieur. CT cérébral natif le 01.01.2020 : Examen réalisé sans injection IV de produit de contraste. Multiples zones séquellaires bilatérales de porencéphalie/encéphalomalacie en contact étroit avec le système ventriculaire : En fronto-temporal gauche avec dilatation du ventricule latéral ipsilatéral. En fronto-pariéto-temporo-occipitales droites, de manière plus marquée en pariéto-occipital avec dilatation du ventricule latéral droit au niveau du trigone et de la corne occipitale. Séquelles/atrophies corticales fronto-pariétales droites multiples. Le corps calleux n'est pas clairement visible (DD : agénésie ?). Absence de malformation de la fosse postérieure. Comblement partiel du sinus maxillaire gauche qui est de taille inférieure par rapport à la droite. Reste des cavités sinusiennes normalement pneumatisés. Déviation sinistro-convexe du septum nasal. Laboratoire : en annexe Radiographie du thorax le 06.01.2020 : examen réalisé en position couchée avec redistribution de la perfusion pulmonaire et opacités diffuses des deux poumons, possiblement sur une décompensation cardiaque avec épanchements pleuraux bilatéraux étalés. Bulle de 6 cm de diamètre dans le lobe moyen, inchangée par rapport au comparatif. Opacité basale gauche, difficilement caractérisable en raison de la position couchée. Radiographie du thorax le 08.01.2020 : on retrouve la bulle dans le parenchyme pulmonaire en para-cardiaque droit. Emoussement du sinus costo-diaphragmatique bilatéral. Etalement de la silhouette cardio-médiastinale vraisemblablement en rapport avec la position couchée. Le reste de l'examen est inchangé. CT cérébral : pas de fracture, pas de saignement, pas de signe d'ischémie. Laboratoire : en annexe Radiographie du thorax le 22.01.2020 : apparition de multiples opacités nodulaires en projection des 2 plages pulmonaires, compatibles avec des métastases en "lâché de ballons". Cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. CT thoraco-abdomino-pelvien du 22.01.2020 : rapport définitif en cours Laboratoire : en annexes. ECG du 07.01.2020 : inversion des ondes T en V2-V3-V4. CT thoracique le 07.01.2020 : embolie pulmonaire centrale bilatérale avec répercussion sur la cavité cardiaque droite, sans infarctus pulmonaire. Echocardiographie transthoracique le 07.01.2020 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction globale discrètement abaissée. Cinétique segmentaire non analysable. FEVG à 50 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Augmentation du débit cardiaque calculé à 4,54 l/min avec un index cardiaque à 2,51 l/min/m² (121 % de la théorique). Aorte non dilatée. Absence de rétrécissement aortique. Surface aortique à 1,92 cm² (1,06 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Importante hypokinésie globale du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Oreillette droite non dilatée. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3) par dilatation de l'anneau avec défaut de coaptation. VCI dilatée et compliante. HTP modérée avec une PAPS à 46 mmHg. Absence d'épanchement péricardique. Cœur droit aigu avec dilatation importante du VD et dysfonction sévère du VD. Signe de McConnell. Dichrotic notch au PW doppler dans la CCVD. HTP modérée, PAPS à 46 mmHg. IT modérée sur dilatation de l'anneau. Fonction du VG à la limite inférieure avec une FEVG à 50 % visuellement. Laboratoire : en annexe US abdominal le 11.11.2019 : On ne retrouve pas de cause post-rénale expliquant l'insuffisance rénale aiguë. L'hyperéchogénicité du cortex s'avère symétrique et témoigne d'une souffrance corticale. Au niveau duodénal, on retrouve un épaississement pathologique de la paroi dont la cause est indéterminée. Présence de lithiases vésiculaires sans signe de cholécystite. Rx thorax le 11.11.2019 : Présence d'infiltrats interstitiels et en partie micro-nodulaires péri-hilaires dans le lobe supérieur droit ; épaississements péri-broncho-vasculaires, le tout évocateur d'une décompensation cardiaque, sans franc épanchement pleural. Absence de foyer franc de pneumonie. CT abdominal natif 21.11.2019 : Pas d'image suspecte de saignement post-biopsie du rein droit. Épanchements pleuraux des deux côtés de faible abondance. Infiltrat parenchymateux basal droit évoquant un foyer infectieux. Troubles ventilatoires en base gauche. OGD le 29.11.2019 Biopsie œsophage le 29.11.2019 : absence d'altération dysplasique, aucun indice de malignité. Présence de candidose. Recherche d'helicobacter pylori négative à la coloration de Giemsa modifiée. Biopsie rénale le 03.01.2020 Laboratoire : Fonction rénale, électrolytes sp. CRP 6, Hg 162 g/l, neutrophiles 1.87 G/l. ECG : RSR 75 bpm, axe normale, PR 196 ms, QRS 72 ms, QTc 402 ms, présence ondes Q en V1-2, pas d'altérations significatives de la repolarisation. Sédiment urinaire : leuco, érythrocytes (la patiente a ses menstruations). RX thorax : Silhouette cardiaque sagittalisée, de volume dans la norme. Inspirium profond. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. Laboratoire : FSS, fonction rénale, électrolytes, sp. Pas de s. inflammatoire. Sédiment urinaire : Leucocyturie 6-10, flore bact. +++. CT CÉRÉBRAL NATIF, CT COLONNE CERVICALE NATIF.CT cérébral : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Pas d'hémorragie mise en évidence. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularités. Pas de fracture du crâne. CT colonne cervicale : examen effectué de C1 à D3. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Arthrose atlando-axoïdienne. Uncarthrose C5-C6, C6-C7. Arthrose facettaire surtout marquée à gauche en C3-C4, C4-C5. Pas de fracture décelable. Défaut de fusion congénital de l'arc postérieur de C1. Pas de lésion nodulaire suspecte sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires. Une lésion nodulaire de 10 mm de diamètre au sein du lobe thyroïdien à gauche. Filière aéro-digestive symétrique. CONCLUSION : pas de lésion post-traumatique aiguë intracérébrale ou cervicale. Uncarthrose C5-C6, C6-C7 et arthrose facettaire (punctum maximum C3-C4 C4-C5 gauche). Lésion nodulaire d'1 cm de diamètre du lobe thyroïdien gauche à confronter à une échographie. (Dr. X). Laboratoire : FSS, fonction rénale, électrolytes, sp. Pas de syndrome inflammatoire. Crase sp, D-dimères négatifs. Laboratoire : FSS, fonction rénale, électrolytes, sp. CRP 6, leucocytes 11.3. Crase sp. ECG : RSR 120 bpm, axe normale, PR 162 ms, QRS 74 ms, QTc 417 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation, présence ESSV. Gazométrie à l'entrée : pH 7.39, pO2 8, pCO2 6.6, bic 30. Gazométrie de 21h : pH 7.35, pO2 8.8, pCO2 7.3, bic 30. Radiographie du thorax : comparatif du 28.11.2019. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. (Dr. X). Laboratoire : FSS, fonction rénale, électrolytes, sp. Pas de s. inflammatoire. Crase sp. Sédiment urinaire : érythrocytes et leucocytes incomptables, flore +. Laboratoire : GB 7.9 G/l, CRP 25 mg/l, créatinine 59 µmol/l. Mis en annexes. Urine : sans particularité, mis en annexes. US des testicules 10/01 : mis en annexes, augmentation du volume du scrotum 76 vs 12 cm3. Plage hypervascularisée, sans épanchement. Probable orchite (DD tumeur peu probable). Laboratoire : glucose élevé à 17.0, hémoglobine glyquée à 9%, CRP à 7 mg/l sans leucocytes, hémoglobine à 117 g/l, créatinine à 140 µmol/l (clairance 62 selon Cockroft). Adaptation de l'insulinothérapie. Laboratoire : Hb à 128, leucocytes à 12.9, CRP <5, créat à 61, Na à 144, K à 4.2, ASAT à 18, ALAT à 17, LDH à 339, PA à 84, GGT à 13, Bil. totale à 8.3, Bil. directe à 3.7, Lipase à 13, TP à 72, INR à 1.2, ptt à 23. Laboratoire : Hb à 128, leucocytes à 12.9, CRP <5, créat à 61, Na à 144, K à 4.2, ASAT à 18, ALAT à 17, LDH à 339, PA à 84, GGT à 13, Bil. totale à 8.3, Bil. directe à 3.7, Lipase à 13, TP à 72, INR à 1.2, ptt à 23. TR : tonus normal. Traces de selles noires, pas de sang frais. Sang occulte positive. ATTITUDE • Pantozol 80 mg ivd puis 8 mg/h iv continu. RAD avec traitement IPP 40 mg x2/j. Contrôle à la FUA le 20.01.2020 avec contrôle biologique, clinique et avis proctologique. Laboratoire : Hb à 128, leucocytes à 12.9, CRP <5, créat à 61, Na à 144, K à 4.2, ASAT à 18, ALAT à 17, LDH à 339, PA à 84, GGT à 13, Bil. totale à 8.3, Bil. directe à 3.7, Lipase à 13, TP à 72, INR à 1.2, ptt à 23. TR : tonus normal. Traces de selles noires, pas de sang frais. Sang occulte positive. ATTITUDE • Pantozol 80 mg ivd puis 8 mg/h iv continu. RAD avec traitement IPP 40 mg x2/j. Contrôle à la FUA le 20.01.2020 avec contrôle biologique, clinique et avis proctologique. Le 20.01.2020 : Au laboratoire, on note une hémoglobine à 92 g/L, pas de leucocytose, pas de CRP. Tests hépatiques et pancréatiques dans la norme. Le patient présente selon lui moins de douleurs au niveau épigastriques. A l'examen clinique, on ne note pas de défense ni de détente, bruits légèrement augmentés en fréquence. Laboratoire : Hb à 153, leucocytes à 7.3, CRP à 6, thrombocytes à 141, sodium à 135, potassium 3.7, calcium à 2.30, magnésium 0.80, ASAT à 283, ALAT 224, PA à 146, GGT à 120, bilirubine totale 5.2, bilirubine directe 3.2, lipase à 97. ECG : rythme sinusal régulier à 64/min, QRS fins, QTc 406 ms, pas de trouble ischémique aigu. Avis Psychiatre (Dr. X) : prise en charge du sevrage en somatique pendant 24 à 72 heures, puis transfert à Marsens en PAFA (pas besoin de faire PAFA car déjà sous PAFA). Hospitalisation aux Urgences en lit monitoré durant la nuit du 09 au 10.01.2020. Seresta 4 x 50 mg + réserve, selon score de Cushman avec surveillance 1x/h. Reçoit pendant la nuit : • Seresta 50 mg x 2 + 15 mg. • Valium 10 mg iv x 2 en raison d'une agitation. Laboratoire : Hb à 154 g/l, leucocytes 7.8 G/l, CRP <5 mg/l, créatinine 72 µmol/l, pas de trouble électrolytique, tests hépatiques normaux. Sédiment urinaire : normal. ECG : bradycardie sinusale régulière à 46/min, axe normal à -3°, bloc AV du 1er degré avec PQ à 212 ms, QRS fins à 86 ms, QTc à 370 ms, onde QS en V1 et V2, sus-décalage du segment ST inframillimétrique non significatif en V1-V3, pas de trouble de la repolarisation, présence d'une onde U, bonne progression de l'onde R avec une zone de transition en V3-V4. Laboratoire : Hb 124 g/L, pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale conservée, pas de trouble ionique. Gazométrie AA : pH 7.42, PCO2 5.1 kPa, PO2 8.9 kPa, bicarbonate 24 mmol/L, SaO2 91 %, lactates 0.7 mmol/L. Radiographie du thorax : par rapport au comparatif du 16.11.2019, on constate une diminution de l'opacité en regard de l'arc postérieur de la 8ème côte droite pouvant correspondre à une fracture de côte en voie de consolidation, à confronter avec la clinique. Pour le reste, l'examen est superposable avec notamment une silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme et un PAC sous-clavier gauche, sans foyer ni épanchement pleural visualisé. Dr. X. Laboratoire : Hb 137 g/l, leucocytes 6.8 G/l, CRP 9 mg/l, créatinine 50 µmol/l. Pas de trouble électrolytique, ni de la crase. Laboratoire : Hb 138 g/L, leucocytes 9.5 G/L, CRP 10 mg/L, pas de trouble ionique, fonction rénale conservée, glucose 5.1 mmol/L, pas de trouble de la crase. Sédiment urinaire : GR 21-40/champ, GB incomptables, traces de protéines, nitrites négatifs. Uro-CT natif : examen effectué sans injection de produit de contraste, en protocole basse dose avec le patient en procubitus. Comparatif du 26.01.2014. Un calcul à la jonction pyélo-urétérale gauche, mesurant 7 x 5 x 9 mm (AP x LL x CC), engendrant une dilatation pyélocalicielle en amont avec un pyélon mesurant jusqu'à 28 mm, associé à une infiltration de la graisse alentour. Un calcul millimétrique se trouve également dans le système caliciel inférieur gauche. Pas d'autre calcul radio-opaque sur le trajet des voies urinaires ou dans la vessie. Les reins sont bien en place, de taille normale, avec plusieurs kystes parapyéliques des deux côtés. Pas de dilatation des voies urinaires à droite. Pour le reste et en l'absence d'injection de contraste, morphologie normale du foie, de la rate et des glandes surrénales. Calcification de max. 4 mm dans le segment VII/VIII. Status post cholécystectomie sans dilatation des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. Atrophie lipomateuse du pancréas. Pas d'adénomégalie ou d'ascite. Diverticulose du cadre colique sans signe de complications. Structures osseuses sans lésion suspecte. Les bases pulmonaires sont libres.CONCLUSION : un calcul à la jonction pyélo-urétérale gauche, mesurant 7 x 5 x 9 mm (AP x LL x CC), engendrant une dilatation pyélocalicielle en amont avec un pyélon mesurant jusqu'à 28 mm, associé à une infiltration de la graisse alentour. Dr. X. Laboratoire : Hb 151 g/l, leucocytes 19.5 g/l avec neutrophilie à 17.28 g/l, CRP 6 mg/l, fonction rénale conservée, pas de trouble ionique, glucose 7.2 mmol/l, tests hépatiques dans la norme sauf LDH à 2115 u/l. Laboratoire : Hb 151 g/l. Sédiment urinaire : pas de microhématurie. US bedside : pas de LL visualisé en intra-abdominal. CT abdominal : pas de fracture, pas de saignement, pas de lésion interne. Retour à domicile avec antalgie. Pas de travail physique ni équitation pendant une semaine. Laboratoire : Hb 154 g/l, leucocytes 7.1 g/l, CRP 65 mg/l, pas de trouble ionique, fonction rénale normale, tests hépatiques dans la norme sauf bilirubine directe à 7.8 µmol/l. Sédiment urinaire : propre. Laboratoire : Hb 157 g/l, leucocytes 7.9 g/l, CRP 30 mg/l, fonction rénale conservée, pas de trouble ionique, tests hépatiques dans la norme, pas de trouble de la crase. CT abdominal : examen réalisé après injection de 90 ml de Iomeron 400 i.v et contraste par voie orale. Pas de comparatif à disposition. Le foie est de taille et de configuration normale sans lésion focale visible. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques. Vésicule biliaire sans lithiase radio-opaque. Tronc porte perméable. Les glandes surrénales, la rate et le pancréas se présentent normalement. Les reins sont de taille et de configuration normale sans dilatation du système excréteur. Pas de liquide libre ou air libre intra-abdominal. Pas de collection visible. Présence de multiples ganglions et adénopathies avec quelques adénomégalies en région péricaecale. Sous réserve d'une absence d'opacification de l'appendice (lavement rectal non tenu), ce dernier se présente avec un diamètre maximal de 5.5 mm, non pneumatisé (img 250-256, série 301). Le reste du cadre digestif est sans particularité. Vessie en réplétion incomplète. Prostate sans particularité. Sur les coupes passantes par l'étage thoracique, pas d'épanchement pleural. Pas de lésion ostéolytique ou condensante suspecte sur le volume osseux exploré. Discopathie L3-L4 et L4-L5. CONCLUSION Sous réserve d'une absence d'opacification de l'appendice, pas d'argument en faveur d'une appendicite aiguë. Pas de liquide libre ni d'abcès visualisé. Multiples ganglions et adénomégalie en fosse iliaque droite, aspécifiques, pouvant parler en faveur d'une adénite mésentérique. Dr. X Laboratoire : hématologie et chimie, alcoolémie. Radio thorax : détaillé ci-dessous Hydratation Glucosalin 500 ml iv, Paracétamol 1 g iv Transfert volontaire au patient au RFSM de Marsens (unité Jasmin) Laboratoire : hémoglobine 108 g/l, leucocytes 2.1 g/l, sans agranulocytose, CRP 108 mg/l, créatinine à 121 umol/l, sodium 135 mmol/l, potassium 3.5 mmol/l. Pas de troubles de la crase. Laboratoire : hémoglobine 145 g/l, leucocytes 7.9 g/l, CRP <5 mg/l. Cf. copies ci-jointes. Sédiment urinaire : leucocytes et nitrites négatifs, sang ++++. Test de grossesse négatif. Avis du gynécologue de garde : probable saignement sur changement de contraception. Pas d'examen gynécologique en urgence, prévoir consultation chez le gynécologue traitant. Laboratoire : insuffisance rénale d'origine pré-rénale. Pas de syndrome inflammatoire. Urines : pas d'infection. Hydratation. Avis Dr. X : pas de changement thérapeutique ce jour. Attitude : retour à domicile. Sera vue en consultation de chirurgie jeudi. Pas d'anti-diarrhéique en sus. Laboratoire : K à 3.2 mM. Laboratoire : Lc 8.3 g/l. CRP 33 mg/l. Ponction articulaire sous scopie : • désinfection par Betaseptic • anesthésie locale à la Rapidocaïne 1% • retrait de 4 ml de liquide citrin : - numération : GB 13500/mm3, PN 65% - cristaux : introuvables - bactériologie : négative à 5 jours. Bretelle. Repos. Glace. Antalgie/AINS. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Laboratoire : Leuco 9.2, CRP<5, Créat 74. Sédiment urinaire : sang +, cristaux++. Test grossesse : négatif. Uro-CT : absence de calcul visualisé des deux côtés. Pas de dilatation des voies urinaires. Vessie aux parois fines et à contenu homogène. Sur le reste de l'examen, sous réserve d'une phase native, pas d'anomalie du foie, des surrénales, de la rate ou du pancréas. Pas de liquide libre. Pas d'adénopathie. Tractus digestif sans particularité. En fenêtre osseuse, pas de lésion lytique ou condensante suspecte. Hernie de Schmorl étagées suggérant des séquelles de maladie de Scheuermann. Sur les coupes passant par les bases pulmonaires, pas d'épanchement ni nodule suspect. CONCLUSION Absence de lithiase le long des voies urinaires ni signe indirect de passage de calcul. Dr. X Laboratoire : leucocytes 11.8 g/l, CRP 17 mg/l, créat 147, Na 134, crase dans la norme, hsTrop H0 34, H1 34. Consilium d'infectiologie le 27.12. et 30.12.2019. Antibiothérapie : Cefepime du 26.12. au 30.12.2019. Urotube du 30.12.2019 : 10E5 de germes mixtes. Laboratoire : leucocytes 15.8 g/l, CK 261. ECG : sans particularité. Laboratoire : leucocytose sans CRP, pas de perturbation des tests hépatiques/pancréatiques. US : sludge et hydrops VB, épaisseur paroi limite supérieure norme, liquide péri vésiculaire, calculs multiples intra VB dont un infundibulaire, pas de dilatation des VB. Avis chirurgical (Dr. X) : cholécystite débutante vs colite au vu du tableau clinique. Attitude : • RAD avec antalgie et contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences le 21.01.2020. • Evaluation d'un CT/nouvelle échographie selon évolution avec avis chirurgical. Laboratoire : Na à 132 mM. Laboratoire : OH 1.66. ECG : normal. Contrôle neurologique à 8h15 dans la norme. Évolution aux urgences : hémodynamiquement stable sans péjoration ni apparition de nouveau trouble neurologique ou de l'état de conscience, pas de plainte et anamnèse reprise au matin avec confirmation de l'ECA sur éthylisation aiguë. Hydratation et observation aux urgences. Laboratoire : pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique. Test de grossesse urinaire négatif. CT scan cérébral sans particularité. IRM neurocrâne, 29.01.2020: ____________. Avis ORL : Nystagmus spontané battant vers le bas, si cause centrale raisonnablement exclue (avis neuro en cours) possibilité de réaliser un vHIT (vidéo Head Impulse Test) afin d'explorer la fonction des autres canaux semi-circulaires. Avis neurologues : Examen neurologique effectué (pas de nystagmus), chute vers l'arrière en position debout, réflexes hypervifs symétriques. Ad Charge d'aspirine, puis 100 mg 1x/jour. IRM le 29.01 à la recherche d'une pathologie de la fosse postérieure (DD ischémique, démyélinisante, autre masse). PL si IRM normale car pathologie parainfectieuse non exclue (rhume il y a 2 semaines). Hosp en médecine. Clexane 40 mg. Compléter le laboratoire avec TSH, cholestérol. Hb glyquée. Attitude : • 500 mg Aspirine i.v., le 28.01.2020. • Aspirine 100 mg dès le 29.01. Pister résultat IRM, puis évaluer vHIT ou PL. Laboratoire : pas d'argument en faveur d'une atteinte cardiaque ou d'une MTEV, tests thyroïdiens dans la norme. ECG : pas d'extrasystole visualisée, dans la norme. Retour à domicile avec demande de consilium en cardiologie pour la semaine prochaine. Laboratoire : pas de déficit vitaminique, TSH normale, déficit en Fer. Ferinject 1 fois par semaine. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Incision (Dr. X) et pose d'une mèche sous anesthésie locale. Contrôle en FUA le 01.02.2020 à 10h45, avec avis chirurgical. Antalgie. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, cf. copies ci-jointes. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire : CRP à 10, pas de leuco. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale conservée, pas de trouble ionique (cf. annexes). CT CEREBRAL NATIF : pas de comparatif disponible. Examen réalisé sans injection de produit de contraste. Les citernes basales et mésencéphaliques ainsi que le système ventriculaire ont une morphologie normale. Les calcifications physiologiques et les structures médianes sont en position normale. Pas d'altération des sillons cérébraux. Pas de lésion focale parenchymateuse. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. CONCLUSION : CT cérébral normal. (Dr. X) Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale conservée, pas de trouble ionique, D-dimères négatifs (cf. annexes). Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale conservée, pas de trouble ionique, pas de trouble de la crase. Radiographie de la cheville gauche : 1ère série de clichés 05.01.2020 : Fracture de la malléole externe de type Weber B, peu déplacée. 2ème série de clichés 05.01.2020 : Examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé et superposable au comparatif du même jour, notamment sans déplacement secondaire de la fracture de la malléole externe de type Weber B. Dr. X Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Cf. copies ci-jointes. Sédiment urinaire : propre. Cf. copie ci-jointe. CT abdominal natif et injecté du 20.01.2020 : examen évoquant une iléite terminale, toutefois de moindre importance que précédemment, et sans infiltration de la graisse adjacente ni adénopathie, pouvant alors entrer dans le cadre d'une inflammation chronique. (DD maladie de Crohn ?) Une entéro-IRM serait l'examen de choix si l'on voulait aller plus loin dans les investigations. Pas de calcul urinaire. Hépatomégalie (20 cm de flèche hépatique). (Dr. X) Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas d'éosinophilie. Gazométrie artérielle. ECG : rythme sinusal à 101/min, pas de troubles de conduction, pas de troubles de repolarisation, ondes R profuses en V3. (index Sokolow nég) Radiographie de thorax Sédiment urinaire en cours Spot urinaire en cours US abdominal (Dr. X) : pas d'obstruction rénale du rein droit, pas de dilatation pyélo-calicielle droite ATTITUDE • protocole insuline-glucose (250 ml de G20% avec 20U de Actrapid sur 20min), contrôle K 4.9 mmol/l, glycémie capillaire à 6.9 mmol/l après 1h, et glycémie à 2.2 mmol/l à 15h (resucré par glucose 40% 10 ml, 4 ampoules) • avis néphrologue Riaz (Dr. X) : 100 mmol de Bic (100 ml de bic 8.4%) sur 2h, NaCl 0.9 % 1000 ml sur 4h iv • avis soins intensifs HFR (Dr. X) : ad lasix 80 mg iv sur 30 min pour stimulation de la diurèse • transfert aux soins intensifs pour suite de la prise en charge Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire Stix urinaire propre US abdominale à 17h00 ce jour Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire Stix urinaire propre US abdominale : Appendicite aiguë, image de cocarde, appendicite 9 mm ATB prophylaxie par ceftriaxone et metronidazole Attitude : PEC au bloc puis chir. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire US abdominal le 28.12.2019 Urotube 28.01.2019 : Escherichia coli et Entérocoque faecalis Rocéphine 2 g en intra-veineux le 28.12.2019 Ciproxine 250 mg 2x/j per os du 29.12.2019 au 02.01.2020 Avis urologie le 29.12.2019 : • Pas de changement de cystofix nécessaire • Poursuivre avec des rinçages 2x/j Laboratoire : Potassium 3.2 mmol/l, CRP 32 mg/l. Hydratation IV Traitement symptomatique. Laboratoire (rajout de la fonction rénale) Urine légionellose : le patient n'a pas uriné aux urgences Expectorations : en cours avec cultures pour Mycobactéries Antibiothérapie par : Rocéphine 2gr et Klacid 500 mg aux urgences Hémocultures 2 paires à froid Suite Hospitalisation aux soins avec isolement aérosol Laboratoire : régression des leucocytes (9.8 G/L), CRP < 5 mg/l. Laboratoire : sans particularité. Trop H0 H1 H6 : sans particularité. ECG : sans particularité. Tentative de sevrage de la polymédication avec échec thérapeutique et reprise du traitement initial. Laboratoire + sédiment urinaire : cf. copies ci-jointes. Laboratoire : Sédiment urinaire : GR < 3/champ, GB 21-40/champ, nitrites nég. Laboratoire : selon DPI. Laboratoire : selon DPI. RX main droite le 22.12.2019 : calcifications des parties molles de la pulpe des doigts 2 à 4 pouvant évoquer une sclérodermie. Pas d'érosion osseuse décelée. Discrets remaniements dégénératifs des articulations interphalangiennes distales. Rhizarthrose. Bilan angiologique le 31.12.2019 : thrombose veineuse superficielle basilique autour du picc line qui se prolonge en thrombose veineuse profonde axillaire et sub-clavière au membre supérieur droit, secondaire (hospitalisation, cathéter, immobilisation). Indication à une anticoagulation à dose curative comme discuté téléphoniquement pour une durée minimale de 3 mois. La patiente sera revue pour un suivi dans 3 mois, soit le 03.04.2020 à 14h15. Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 187 mg/l et leucocytose à 13.1 G/l, cholestase biologique avec phosphatase alcaline à 182 U/l, gamma-GT à 125 U/l, ASAT dans la norme, ALAT légèrement augmentés à 61 U/l, bilirubine directe légèrement augmentée à 3.7 umol/l, pas de trouble électrolytique, créatinine dans la norme, lipase dans la norme. Cf. copies ci-jointes. Sédiment urinaire : présence de leucocytes et d'érythrocytes (incomptables), flore bactérienne (+++). Urotube : en cours. ECG : copie ci-jointe. US abdominal ciblé : pas de liquide dans le Morisson, dans le cul de sac de Douglas et dans le Koelher. On ne retrouve pas de dilatation pyélocalicielle droite et gauche et la vésicule biliaire est épaissie à 4 mm, sans sludge et sans présence de lithiase. Pas de globe vésical. Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 81 mg/l, leucocytes : 4.1 G/l, eGFR : 47. Hémoculture le 13.01.2020. Sédiment urinaire. RX rachis dorsal. Avis chirurgical (Dr. X/Dr. X) pas d'imagerie à faire, transfert pour hospitalisation au HUG à l'étage de chirurgie Julia 71. Surveillance en lit d'observation aux urgences (pas de place dans le service de médecine) du 12 au 13.01.2020. Titration de Morphine, puis introduction Oxycontin/Oxynorm. Laboratoire : syndrome inflammatoire (CRP à 59 mg/l et leuco à 14 g/l). La patiente a pu s'hydrater sans revomir, pas de signe de gravité. Retour à domicile avec antalgie simple et consigne de reconsulter en cas de péjoration. Laboratoire : syndrome inflammatoire sans leucocytose Urines : pas de signe infectieux Urotube : à pister Radiographie thorax : présence d'un foyer au lobe moyen droit ECG : dans la norme pour l'âge. Attitude : Retour à domicile avec traitement symptomatique, reconsulte en cas de péjoration des symptômes après 48h pour instauration d'un traitement antibiotique pour une pneumonie atypique. Explications des examens faits aux urgences données au patient par le médecin. Laboratoire : tests hépato-pancréatiques normaux, CRP 26 mg/l, GB 5.8 G/l, Hb 141 g/l. Cf. annexes. Ultrason abdominal : plusieurs calculs dans la vésicule biliaire, épaississement de 6 mm de la paroi de la vésicule biliaire, pas de liquide au pourtour de la vésicule, pas de dilatation des voies biliaires, polype fundique de 9 mm, lésion de 3x4 cm dans le lobe hépatique gauche. Laboratoire : Trop H0 19 ng/ml, Trop H1 19 ng/ml, Trop H3. Radiographie du thorax. ECG. Surveillance la nuit aux urgences. Avis cardio demain matin.Épouse avertie, à recontacter le matin du 20.09 pour nouvelles. • Laboratoire : troponines h0 = 4 ng/l et D-Dimères = 2428 ng/ml • CT thoracique du 03.01.2020 : embolies pulmonaires bilatérales, lobaires pour les plus proximales, avec signe de surcharge droite et troubles ventilatoires aux deux bases devant faire évoquer des infarctus parenchymateux. Nodule médio-basal lobaire inférieure gauche de 16 x 11 mm, à recontrôler à 3 mois. • Laboratoire : Vitamine B12 325, acide folique 9, Ferritine 345 • Suivi biologique • Laboratoire : voir annexes. • Gazométrie du 15.12.2019 : insuffisance respiratoire partielle avec alcalose respiratoire. • Hémocultures du 15.12.2019 : 2 paires négatives à 5 jours. • Culture d'expectoration : flore bucco-pharyngée. • Recherche de Mycobactéries : BAAR négatif, culture négative après 8 semaines. • Recherche de Clostridium dans les selles : négative. • ECG du 15.12.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 86/min, aspect d'un hémibloc antérieur gauche avec un axe à -60°, bloc AV de 1er degré avec un PQ à 310 ms, QRS fins à 100 ms, QTc 429 ms, onde Q inframillimétrique en aVL, V2-V3, pas de trouble de la repolarisation, mauvaise progression de l'onde R sans transition. • CT thoracique protocole EP du 15.12.2019 : embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires lobaires inférieures droites et sous-segmentaires lobaires inférieures gauches, sans retentissement sur les cavités cardiaques et sans élargissement du tronc pulmonaire. Opacité diffuse dans les parties déclives des deux bases pulmonaires, plus marquée du côté droit, DD infarctus pulmonaires débutants, DD troubles ventilatoires. • Radiographie thoracique f/p du 18.12.2019 : épanchement pleural à droite avec effacement de la coupole diaphragmatique. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Absence d'un bon inspirium. Pseudo-élargissement de la silhouette cardiomédiastinale. • Radiographie thoracique f/p du 23.12.2019 : comparatif 18.12.2019. Silhouette cardiaque dans la norme, inchangée. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Épanchement pleural basal droit connu et inchangé. Quelques dystélectasies basales droites probablement dans le contexte de l'EP et de l'épanchement pleural. À gauche, pas d'épanchement pleural, pas de foyer de pneumonie. Discrètes lésions dégénératives de la colonne dorsale. • Laboratoire : voir copies annexées. Avec troponines et D-Dimères. • Test de Schellong : négatif. • ECG : cf. annexes. Rythme régulier, sinusal, fréquence à 108/minute. Axe normal. QRS à 80. Ondes Q en AVL. Pas de sus ni de sous-décalage. Pas de troubles de la conduction. Voir tracé annexé. • Radiographie du thorax face et profil : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Absence de lésion nodulaire suspecte sur l'ensemble des 2 champs pulmonaires. Pas de fracture de côtes, pas de pneumothorax ni d'épanchement pleural. Arthrose AC gauche. Pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte décelable. • Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire, Hb dans la norme, glucose dans la norme, créat / urée dans la norme, pas de trouble électrolytique hormis légère hypocalcémie avec Ca corrigé à 2.04. • Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de trouble électrolytique, pas de perturbation des tests hépatiques, pas de troubles de la crase, cinétiques des troponines négatives (H0 à 8 ng/l, H1 à 7 ng/l). • ECG : rythme sinusal régulier à 67/min, un axe normal, PR 172 ms, QRS à 90 ms, QTc à 411 ms, pas de signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique, pas de signe d'HVG. • Radiographie du thorax face du 14.01.2020 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Déroulement aortique. Les hiles pulmonaires sont symétriques. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Les structures osseuses sont sp. • Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire • Stix/sédiment : leucocytes et nitrites • Urotube : en cours • US bedside : vessie vide, pas de dilatation des voies urinaires • Avis infectiologique : traitement par Nitrofuratoïne, suivi des cultures d'urines • Attitude : • Nitrofurantoïne pour 7 jours et poursuite du traitement habituel • Pister cultures d'urines et avis infectiologique si nécessaire • Évaluer l'indication à la remise de sonde urinaire selon l'évolution des symptômes urinaires • Laboratoire : acide folique à 4.4 ng/mL • US abdominal (09.12.19) : pas de splénomégalie • Attitude : substitution par acide folique 5 mg/j. • Laboratoire • Adaptation du traitement • Laboratoire : alcool 0.00%o • Urine • ECG : RSRN, pas de BB, pas de BAV, crochetage en III et V1 • Avis psychiatrique : risque suicidaire élevé, ad Marsens • Traitement : • Hydratation • Benerva 300 mg i.v. • Laboratoire : alcool 0.00%o. • Urines. • ECG : RSRN, pas de BB, pas de BAV, crochetage en III et V1. • Avis psychiatrique : risque suicidaire élevé, ad Marsens. • Traitement : • Hydratation. • Benerva 300 mg i.v. • Laboratoire : aligné. • ECG : rythme sinusal régulier, axe normal, tachycardie sinusale et régulière. • Laboratoire : aligné • Attitude : observation aux urgences sur la nuit, réassurance et retour à domicile. • Laboratoire : aligné. • Attitude : • Antalgie. • Retour à Marsens. • Laboratoire : aligné • ECG : rythme régulier, sinusal, 2 ESA, PR 124 ms, QRS fins, pas de sus ou sous-décalage, onde T sp. • CT-scanner cérébral natif du 17.01.2020 : examen réalisé sans injection de produit de contraste. Pas de comparatif. Pas de fracture ni d'hématome. Pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne ni intraparenchymateuse. Pas d'hématome sous ou extradural. Élargissement des sillons cérébraux compatible avec une atrophie cortico-sous-corticale physiologique pour l'âge. Les citernes basales et mésencéphaliques ainsi que le système ventriculaire ont une morphologie normale. Comblement muqueux du sinus maxillaire gauche. Les sinus paranasaux, cellules mastoïdes et oreilles moyennes sont libres. • CONCLUSION : examen sans particularité. • Laboratoire : aligné • ECG : sans particularités • Urine : pas de protéinurie • Nifedipine 20 mg en réserve si TA >180 • Laboratoire : aligné. • Test de grossesse urinaire négatif. • Consilium gynécologique : annexes sans particularité, examen normal, frottis effectué et résultats à pister. • Attitude : • Vu le labo rassurant et l'examen gynécologique normal, retour à domicile avec traitement symptomatique. Critères de gravité expliqués au patient qui dit avoir bien compris ce qui doit l'inciter à reconsulter les urgences (fièvre, vomissements importants, douleurs en péjoration ou qui changent de caractère). • Contrôle en filière à 48h (mardi matin idéalement, patient sera convoqué), selon clinique ad laboratoire ou non. • Laboratoire : ammonium à 105 • ECG • Rx thorax • US aux urgences • Reprise du Duphalac • Laboratoire : ASAT 31, ALAT 28, PAL 74, GGT 26, Bilit 2.2, Lipase 39, Leuco 6.7, Hb 162. • Radiographie du thorax : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Discret déroulement de l'aorte thoracique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Pas de fracture déplacée des côtes. Quelques dystélectasies basales G. Deux sondes en surprojection de la jonction dorsolombaire devant correspondre à des sondes de neurostimulation. • Radiographie genou gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Épanchement intra-articulaire. • Laboratoire : atteinte hépatique, EBV monotest positif. • US Bed-side : pas de liquide libre intra-abdominal visualisé, pas de dilatation des voies biliaires, vésicule biliaire mesurée dans la norme, sans signe inflammatoire, pas de dilatation pyélocalicielle, pas d'épanchement pleural ou péricardique, fonction cardiaque visuellement dans la norme, pas de signe de surcharge droite ou gauche.Stop antibiothérapie, stop traitement hépatotoxique. RDV de contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences à 48 heures. Laboratoire. Attitude: • au vu de l'amélioration clinique, de l'absence de syndrome inflammatoire nous renvoyons le patient à domicile. • contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Le patient est informé des symptômes qui doivent motiver une nouvelle consultation aux urgences. Laboratoire au foyer: Hb 92, leucocytes 15.3 G/L avec neutrophilie, PLT 256 G/l, Na 136, K 4.9, creat 302, urée 26.4, NT-proBNP 5695, CRP 237, INR >5.5 ECG: RSR 80 bpm avec ESV, axe normal, PR 200 ms, QRS 74 ms, QTc 437 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation Labo du 10.01.20 à 18h: Lc 290, Hb 94, Tc 290, K+ 5.3, créat. 297, CRP 254, TP 20%, INR 3.1, PTT 43 sec. RX thorax. pas de foyer visualisable, pas d'épanchement, cardiomégalie CT thoracique Dr. X: troubles ventilatoires de 2 bases, pas de foyer, présence de surcharge. 2 petits nodules LSG env. 6 mm pas présents en 2017 CT abdomino-pelvienne (Dr. X): infiltration des tissus mous avec présence d'air sous-cutanée, pas d'abcès ni masse, pas de masse du petit bassin. Lésion ovarienne G 3.5 cm (possiblement un kyste). Diverticulose sans diverticulite, cholecystolithiase sans cholécystite Atrovent + Ventolin aux Urgences Rocéphine 2g + Klacid 500 mg en 1 h aux Urgences Examen clinique 15h30: pas de sibilances, diminution des râles crépitants ATT discuté avec Dr. X Avis Dr. X Transfert sur Fribourg gynécologie pour prise en charge chirurgicale Laboratoire avec frottis de grippe: CRP 150, grippe négative Hémocultures et culture d'urine Radiographie du thorax: pas de foyer Rocéphine 2 g aux urgences Hospitalisation en médecine pour suite de prise (à Meyriez car pas de place à Fribourg) Prendre contact avec le Dr. X pour la suite de prise en charge oncologique (chimio prévue le 14.01) Laboratoire avec FS et CRP le 27.01.2020. Ponction de hanche D le 03.02.2020. Contrôle clinique et résultats bactériologiques le 03.03.2020. Laboratoire avec gazométrie ECG sp, superposable PCR Influenza en attente (selon patiente positif chez med. trait., pas de documentation) Rx Thorax Atrovent Ventolin Solumedrol 40mg IV Tamiflu 75mg Attitude: Hospitalisation, Prednisolone, Tamiflu - en cas de PCR négatif changement pour Co-Amoxicilline Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie Laboratoire avec groupage sérologique. Stix et sédiment urinaire. ECG: Fibrillation auriculaire. Pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax: discret émoussement du récessus costo-diaphragmatique G. Suspicion d'emphysème sous-cutané à G, non retrouvé à l'examen clinique. Pantozol 80mg IV Pantozol perfusion 8mg/h Konakion 10mg IV Transfusion de 2 culots érythrocytaires Contrôle de l'Hb après la transfusion: 77 ATT: • Hospitalisation en MI pour suite de prise en charge. • Demande de gastro- et colonoscopie faite • Pister prise de sang avec bilan carentiel le 24.01.2020 (Dernier bilan en 2008) Laboratoire avec PTH ECG le 12.12.2019: RSR à 67 bpm, QRS fins avec bonne progression de l'onde R, onde T négative en V1, hémibloc antérieur gauche, QTc dans la norme. Stimuler apports hydriques per os Mise en suspens du calcimagon et du thiazide dès le 13.12.2019 Scintigraphie osseuse à considérer en cas de persistance de l'hypercalcémie Laboratoire avec Troponines sans cinétique ECG du 15.01.2020: sans particularité. Attitude: Consultation cardiologique ambulatoire Antalgie simple Consignes de reconsulter en urgence si récidive des douleurs. Laboratoire avec troponines ECG: BBG connu avec sous décalages superposables au comparatif CT thoracique: pas d'embolie pulmonaire Pas d'antibiothérapie d'emblée au vu de l'absence de foyer et de CRP, suivi en hospitalier Bronchodilatateurs Prednisone 40 mg pour 5 jours dès le 21.01 Physio respiratoire Hospitalisation en médecine Laboratoire Avis neurochirurgical (Dr. X) Attitude: • Aspirine en pause • Hospitalisation pour surveillance neurologique aux 4h, ad scan natif si péjoration neuro • Indication opératoire planifiée à 5-6 jours pour cause d'antiagrégation Laboratoire Bern le 02.01.2020: Cholestérol 4.75 mmol/l; HDL 0.84 mmol/l; LDL 2.37 mmol/l, TG 3.4 mmol/l; HbA1c 6.1% Angio-CT cérébral le 02.01.2020: Absence d'argument évident pour un AVC ischémique ou hémorragique aiguë. Absence d'asymétrie notable sur les cartes de perfusion. Occlusion courte (1 mm) de la division inférieure de l'artère cérébrale moyenne gauche en M2 avec reprise immédiate de l'opacification en distalité. Aspect grêle de certaines branches des artères cérébrales moyennes des deux côtés sur une athéromatose diffuse. Sinon, polygone de Willis perméable sans anévrysme. Kissing des artères carotides internes en regard de C2 et C3, avec procidence rétropharyngée. Absence de sténose significative des vaisseaux précérébraux. IRM cérébral de contrôle le 02.01.2020 (Insel): recanalisation de la M2 G CT cérébral le 03.01.2020: Pas de changement significatif par rapport au comparatif de la veille, notamment pas de saignement secondaire sur le volume exploré ni d'AVC constitué Laboratoire Berne le 02.01.2020: Cholestérol 4.75 mmol/l; HDL 0.84 mmol/l; LDL 2.37 mmol/l, TG 3.4 mmol/l; HbA1c 6.1% Angio-CT cérébral le 02.01.2020: absence d'argument évident pour un AVC ischémique ou hémorragique aiguë. Absence d'asymétrie notable sur les cartes de perfusion. Occlusion courte (1 mm) de la division inférieure de l'artère cérébrale moyenne gauche en M2 avec reprise immédiate de l'opacification en distalité. Aspect grêle de certaines branches des artères cérébrales moyennes des deux côtés sur une athéromatose diffuse. Sinon, polygone de Willis perméable sans anévrysme. Kissing des artères carotides internes en regard de C2 et C3, avec procidence rétropharyngée. Absence de sténose significative des vaisseaux précérébraux. IRM cérébrale de contrôle le 02.01.2020 (Insel): recanalisation de la M2 gauche. CT cérébral le 03.01.2020: pas de changement significatif par rapport au comparatif de la veille, notamment pas de saignement secondaire sur le volume exploré ni d'AVC constitué. Echocardiographie transthoracique le 06.01.2020: VG non dilaté, non hypertrophié, étude de la contractilité difficile par manque d'échogénéicité avec FEVG Simpson à 56 %, visuelle 50/55 %. Flux mitral normalisé, pressions de remplissage basses. Pas de valvulopathie aortique. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). OG et cavités droites non dilatées. Minime épanchement péricardique localisé postérieur et en regard du ventricule droit non compressif de 6/7 mm.Recherche FOP négative (mauvaise qualité examen). Laboratoire: Bilirubine totale 30.5, Bilirubine directe 9.6, CRP < 5, Lc 10.3. Urine: pas de sang, pas Lc, pas de nitrite, Urobilinogène pos, protéine pos, corps cétoniques ++++. Attitude: • Pantozol 40 mg 1x/jour durant 10 jours, puis diminuer. • Antalgie. • Feuille des aliments à éviter, redresser le lit à 30°. Laboratoire: bonne fonction rénale, électrolytes dans la norme, Hb dans la norme, pas de leucocytose, CRP 61, Troponines négatives, D-Dimères non dosés (dosés récemment chez le médecin traitant, positifs à 4000), gazométrie normale, lactates négatives. CT-scanner thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injecté du 12.01.2020: examen réalisé après injection i.v. de 70 ml de Iomeron. Thorax : défaut d'opacification des artères sous-segmentaires à destinée des segments 8 avec infarcissement parenchymateux à droite. Calibre du tronc pulmonaire et des artères pulmonaires normal. Rapport VD/VG physiologique. Pas de reflux du contraste dans les veines sus-hépatiques. Troubles ventilatoires des bases pulmonaires. Pas de nodule pulmonaire suspect. Pas d'épanchement pleural. Quelques ganglions dans les hiles pulmonaires, sans adénopathie de taille radiologiquement significative. Massif cardiaque, thyroïde et œsophage sans particularité. Sur les coupes passant par l'abdomen, les surrénales, la partie visible du foie, de la rate, du pancréas et des reins sont sans particularité. Osseux : pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Discopathie pluri-étagée thoracique. CONCLUSION: embolies pulmonaires sous-segmentaires à destinée des segments 8 avec infarcissement parenchymateux à droite. Pas de répercussion hémodynamique. (Dr. X) Laboratoire ce jour pas de syndrome inflammatoire selon avis chirurgien de garde appendicite peu probable à 48h du début des symptômes sans syndrome inflammatoire, probable adénite mésentérique. Contrôle clinique le 11.01 aux urgences - appeler le chirurgien. Laboratoire: cf annexe Angio CT abdomino-pelvien le 26.11.2019 : pseudo-anévrisme prenant son origine à la face antérieure de l'artère fémorale commune mesurant 62 x 51 x 63 mm et de collet mesurant 4,5 mm. Echographie transthoracique du 17.01.2020 : VG non dilaté, hypertrophie concentrique modérée avec fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 %. Fonction diastolique de type I avec pressions de remplissage basses. Sténose mitrale lâche gradient moyen 6 mmHg, surface 2.5 cm² par Hattle avec petite fuite centrale. Maladie aortique avec sténose lâche gradient moyen VG-Ao à 9 mmHg. Insuffisance aortique modérée à moyenne (grade 2 à 3/4) sur valve dégénérative. PAPs dans les limites de la normale. Pas d’épanchement péricardique. Avis infectiologique le 18.01.2020 (Dr. X) : • Mise en suspens des traitements néphrotoxiques • Arrêt de l'antibiothérapie par Bactrim ce 18.01.2020. Surveillance ECG et biologique (fonction rénale et électrolytes) sur le week-end. Dès lundi 20.01, Ciproxine 250 mg 2x/jour et Linézolide 600 mg 2x/jour. Laboratoire: cf annexe Consilium diabétologie en annexe ECG le 16.01.2020 : Normocarde à 75 bpm, rythme régulier, normo-axé. Onde P d'amplitude 0.15 mV en DII et de 0.05 mV en V1. PR <120 ms sans signe de bloc, QRS fins avec bonne progression (transition en V3-V4). QTc : 354 ms. Onde T et segment ST sans particularité. Radiographie pulmonaire le 14.01.2020 : Syndrome obstructif avec augmentation du diamètre antéro-postérieur de la cage thoracique et aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Pas de foyer pneumonique systématisé. Quelques images bien délimitées millimétriques denses para scissural à droite, non spécifiques. Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax. Asymétrie de silhouette mammaire en défaveur du côté gauche. Importante ostéopénie diffuse. Pas de fracture costale déplacée visible. Laboratoire: cf annexe Consilium psychiatrique (Dr. X): patiente plus calme, discours cohérent, euthymique dans son humeur. Dit qu'elle a un traitement antidépresseur depuis sa 1ère hospitalisation en 2003-2004, et qu'elle continue de le prendre essentiellement pour les douleurs. Elle dit être suivie par un psychologue mais n'a pas de suivi psychiatrique. Au vu de la décompensation récente, nous recommandons l'arrêt des antidépresseurs pour le moment et si ce traitement doit être réintroduit dans le futur, la patiente doit prendre rendez-vous avec un psychiatre. Consilium neurologique (Dr. X / Dr. X) : Mme. Y a présenté un épisode transitoire d'agitation psychomotrice avec hallucinations visuelles et auditives, complètement résolu lors de l'évaluation le lendemain. Il n'y a pas d'argument pour une cause infectieuse centrale ou une atteinte de type encéphalite limbique au vu de l'évolution clinique favorable. Nous ne retenons pas d'indication à des investigations supplémentaires (IRM ou PL) pour le moment et vous proposons une surveillance simple. CT cérébral du 29.01.2020 : Pas de lésion parenchymateuse focale visible. Comblement liquidien partiel du sinus maxillaire droit, pouvant faire évoquer une éventuelle sinusite, à confronter à la clinique. Laboratoire: cf annexe CT cérébral du 18.01.2020 : Pas de saignement intracrânien. Pas de métastase. Radiographie de l'épaule droite le 19.01.2020 : Cliché réalisé en position couchée. Déformation de la tête humérale avec aspect engrainé, accompagnée d'une importante réaction périostée, réalisant sur l'incidence de face une espèce de couronne en goutte. Aspect perméatif hétérogène de la médullaire osseuse du col chirurgical de l'humérus avec aspect hétérogène fragmenté du trochiter. Congruence gléno-humérale conservée. DD d'une fracture engrainée de la tête humérale sur os pathologique ouvert. Radiographie de l'épaule droite le 28.01.2020 : Par rapport à l'examen du 19.01.2020, l'image radiologique est superposable. Radiographies du thorax le 22.01.2020 : Déplacement secondaire du tube orotrachéal se situant actuellement à environ 1 cm au-dessus de la carène. SNG dépassant la coupole diaphragmatique dont l'extrémité n'est pas visible. Pas de pneumothorax. Emoussement du sinus costo-phrénique gauche associé à un effacement de la silhouette cardiaque gauche et une image de condensation rétrocardiaque (surinfection ?). Sinus costo-phrénique droit libre. Le reste est inchangé. Radiographie du thorax le 24.01.2020 : SNG faisant une boucle au sein de l'estomac, avec une extrémité se situant dans l'œsophage moyen. Status post ablation du tube endotrachéal. Reste de l'examen superposable. Laboratoire: cf annexe. CT-thoracique le 14.01.2020 : Lésion tissulaire spiculée au contact pleural lobaire supérieur gauche suspecte d'une tumeur nécrosée. Adénomégalie centimétrique hilaire gauche. Plusieurs ganglions médiastinaux. Trois lésions tissulaires spiculées lobaires supérieures droites contro-latérales également suspectes. Épaississement nodulaire suspect au vu du contexte au niveau surrénalien des deux côtés DD adénome. Absence d'atteinte osseuse. Hémocultures le 15.01.2020 : négatives à 5 jours. Laboratoire: cf annexe. Echographie abdominale du 24.12.2019 : cholélithiases sans signe de cholécystite, associées à la présence de sludge vésiculaire. Echographie abdominale du 27.12.2019 : sludge vésiculaire et cholélithiases sans signe de cholécystite. Suspicion de métastase pariétale bourgeonnant dans la lumière de la vésicule biliaire. Foie d'aspect stéatosique. Les masses tumorales rétropéritonéales sont mal visualisées. Echocardiographie 23.12.2019 : VG non dilaté non hypertrophié normocinétique avec FEVG à 54 % (méthode de Simpson). 3 cusps aortiques légèrement remaniées et calcifiées avec sclérose aortique sans fuite, surface aortique à 2,62 cm² (1,29 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. Sinus de Vasalve peu dilatés à 38 mm. Insuffisance mitrale modérée centrale (grade 2/4). SOR de l'IM à 0,13 cm². OG dilatée. VD discrètement dilaté normocinétique. HTAP non connue entre 55 et 60 mmHg.IRM abdominale 03.01.2020 : comparatif CT thoraco-abdominal du 5 décembre 2019. On retrouve les multiples métastases hypervasculaires de taille globalement inchangées au sein de la tête, du corps et de la queue du pancréas, dans la surrénale gauche, l'adénopathie inter-aorto-cave très hétérogène et en partie nécrotique ; taille globalement inchangée de l'adénopathie rétro-cave présentant une restriction de la diffusion. Par rapport au comparatif CT, visualisation nouvelle d'une lésion focale de 18 x 15 mm interposée entre le lobe caudé et la veine cave inférieure se caractérisant par un hyposignal T1, un hypersignal T2 modéré, un hypersignal sur la séquence de diffusion mais sans hyposignal sur la carte ADC (effet T2), une possible discrète prise de contraste périphérique, sa localisation est incertaine entre une lésion de la paroi de la veine cave inférieure ou une lésion sous-capsulaire hépatique du lobe caudé. Au sein de la vésicule biliaire, présence d'une lésion pariétale polypoïde pédiculée de 16 x 15 mm, située à hauteur du col de la vésicule biliaire présentant une prise de contraste. Rehaussement discrètement nodulaire de la paroi postérieure du fundus de la vésicule biliaire de nature incertaine. Multiples lithiases dans la vésicule biliaire avec niveau liquidien. Absence d'argument sur cet examen pour une cholécystite. Absence de calcul visible dans les voies biliaires intra- ou extrahépatiques qui ne présentent pas de dilatation. L'hyposignal intraluminal central dans le cholédoque distal doit correspondre à un artéfact de flux. A noter, à proximité de l'ampoule de Vater mais plus antérieurement la présence d'une métastase pancréatique envahissant le duodénum. Absence de dilatation du Wirsung. Veines sus-hépatiques et tronc porte perméables. Pour le reste, rate de taille normale contenant une petite lésion en hypersignal T2 punctiforme millimétrique non clairement caractérisable. Rein gauche sans franche particularité. Status post-surrénalectomie et néphrectomie droite. Hernie hiatale par roulement. Multiples métastases pulmonaires avec fines lames d'épanchements pleuraux bilatéraux. Laboratoire : cf. annexe ETT le 23.12.2019 : VG non dilaté non hypertrophié normocinétique FEVG estimée à 63% (mode TM). Augmentation du débit cardiaque calculé à 5,76 l/min avec un index cardiaque à 2,94 l/min/m² (128% de la théorique). Pas de dysfonction de la prothèse (Edward Sapiens N°23) en position aortique avec une cinétique normale, sans fuite ni sténose ni végétation, gradient moyen VG-aorte est de 16 mmHg, petit épaississement annulaire non circulant. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4 SOR de l'IM à 0,13 cm²) centrale sur valve fine sans végétation visible, sténose mitrale lâche avec gradient moyen à 4 mmHg. OG dilatée. VD non dilaté, IT petite, valve fine sans végétations visibles. PAPs normales. Valve pulmonaire mal vue. Pas d'épanchement péricardique. ETO du 23.12.2019 : • pas de dysfonctionnement prothèse aortique, pas de fuite, cusps fines mobiles, pas d'épaississement annulaire ni mitro-aortique, pas de végétations. • Valve mitrale fine sans végétation visible, fuite mitrale centrale grade I fort. • Valve tricuspide fine sans végétation. • 2 sondes de PM vues sans image de végétation. • Bonne contractilité VG et VD. • Auricule libre sans thrombus, vitesse de vidange basse à 39 cm/s. • Pas de shunt inter-atrial. • Athérome aortique diffus mais plaque < 4 mm. Laboratoire : cf. annexe. MMS 28/30, test de la montre 6/6, GDS 3/15 le 18.12.2019. ECG le 18.12.2019 : RSR FC 66/min, Axe gauche, PR 194 ms, QRS 76 ms fin, pas de troubles de la repolarisation, QTc 425 ms. Laboratoire : cf. annexe. Radiographie du thorax du 04.01.2020 : Infiltrat alvéolaire aux 2 bases pulmonaires associé à une cardiomégalie, le tout pouvant entrer dans le cadre d'une insuffisance cardiaque décompensée. Pas d'épanchement pleural. CT injecté du membre inférieur gauche du 07.01.2020 : Image compatible avec une dermohypodermite sans collection profonde visible. Laboratoire : cf. annexe. Radiographie du thorax le 15.01.2020 : Echographie transthoracique du 16.01.2020 : Discrète dilatation du ventricule gauche avec une akinésie de la paroi septale antérieure moyenne et une hypokinésie modérée de la paroi antérieure moyenne, de la paroi antéro-basale et de la paroi septale antérieure basale. Géométrie normale du ventricule gauche. FEVG estimée visuellement à 45%. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Calcifications importantes de l'anneau mitral. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Absence d'épanchement péricardique. OGD 17.01.2020 : Petite hernie hiatale actuellement sans signe d'oesophagite par reflux. Suspicion d'une légère gastrite antrale. Pour le reste, OGD normale en particulier, aucun signe d'un saignement aigu ou récent. Colonoscopie 17.01.2020 : Lésion polypoïde de 1 à 2 cm au niveau du rectum. DD prolapsus de la muqueuse rectale, DD polype. Pour le reste sous réserve d'une vue, coloscopie sans signe d'un saignement aigu ou récent. Laboratoire : cf. annexe. Radiographie pulmonaire le 06.01.2020 : silhouette cardio-médiastinale normale, sans signe de surcharge. Pas de nodule suspect individualisé ni de franc foyer infectieux. Épaississements bronchiques des deux côtés, DD bronchite ? Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax. Discopathies pluri-étagées. CT Time is Brain le 06.01.2020 : pas d'argument sur cet examen pour un AVC ischémique ou hémorragique aigu. Pas de lésion sténosante significative des vaisseaux précérébraux et du polygone de Willis. Pas de prise de contraste cérébro-méningée pathologique pour un processus inflammatoire, infectieux ou tumoral. Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG le 19.12.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 73/min, axe normal à 40°, PQ 162 ms, image d'un bloc de branche droit complet avec un QRS à 130 ms (manuellement), un retard de l'inscription du R en V1-V3 et une onde S large en I, QTc 444 ms, segment ST isoélectrique, onde T négative non-concordante en V1-V4, absence de transition de l'onde R.Laboratoire: cf annexes Angio-CT thoracique le 13.01.2020. Pas de dissection aortique, ni autre signe radiologique pouvant expliquer les signes et symptômes du patient. Au moins trois lésions hépatiques hypodenses difficilement caractérisables au vu de l'acquisition précoce, dans les segments II (9 x 10 mm), IVa (19 x 13 mm) et IVb (5 x 5 mm). Coronarographie du 13.01.2020: L'examen invasif du jour en urgence démontre comme corrélat pour le SCA une maladie coronarienne avec une lésion subtotale de l'ACD moyenne. Les autres segments ne montrent pas des lésions significatives. Après discussion avec Dr. X, j'ai procédé à une dilatation et implantation d'un stent actif avec un bon résultat immédiat (les DRS étaient reproduits durant la dilatation). Laboratoire cf. annexes avec résultats de culture urinaire Radiographie de thorax le 03.01.2020: Silhouette cardio-médiastinale de taille et de morphologie normales. Sclérose de la crosse aortique. Augmentation de volume des plages pulmonaires et aplatissement des coupoles diaphragmatiques, évoquant un BPCO. Pas de franc foyer ni nodule suspect. Amputation de l'humérus proximal droit. Echographie prostate et vessie le 15.01.2020: Vessie de lutte en rapport avec une très volumineuse prostate. Résidu post-mictionnel significatif estimé à 235cm3. Laboratoire: cf. annexes • CT le 12.12.2019: Hématome de la loge musculaire postérieure de la jambe droite avec bulles d'air sous le fascia, évoquant une fascéïte nécrosante. Compression complète de la veine poplitée droite par l'hématome. Pas de saignement actif. • CT cérébral (19.12): Pas de saignement intracrânien. Pas de lésion ischémique récente constituée. • CT-cérébral le 08.01.2020: Hématome sous-galéal occipital gauche avec une épaisseur mesurant 3 mm. Hémorragies punctiformes sous-durales de contre-coup en parafalcoriel frontal droit. • CT-cérébral et cervicale de contrôle le 09.01.2020: Comparatifs du 08.01.2020 et du 13.07.2019. Absence de nouvelle hémorragie cérébrale. Absence de fracture vertébrale. • CT du 17.01.2020: Évolution favorable de la composante hémorragique parafalcorielle droite. Pas de nouveau saignement mis en évidence. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes ECG: cf annexes Laboratoire: cf annexes ECG: cf annexes Echocardiographie transthoracique le 20.01.2020: VG non dilaté, non hypertrophié, large akinésie apicale et antérieure étendue avec une hypokinésie modérée de la paroi inférieure moyenne, une hypokinésie minime du septum basal, de la paroi inféro-basale et de la paroi septale antérieure basale avec altération sévère de la fonction systolique FEVG à 20 %. Onde E mitrale exclusive sur FA rapide. Oreillettes droite et gauche dilatées. Pas de valvulopathie aortique significative. Surface aortique à 1,94 cm². Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Pas d'épanchement péricardique. STEMI avec FA rapide de bonne tolérance hémodynamique mais large akinésie apicale et antérieure avec dysfonction systolique sévère. Coronarographie le 20.02.2020: L'examen invasif du jour en urgence démontre comme corrélat pour le STEMI une occlusion thrombotique de l'IVA moyenne. La dominante CX ne montre pas des lésions significatives, l'ACD est petite. Après recanalisation, dilatation/stenting (1x stent actif) et aspiration, le résultat est bon (TIMI 2-3). La fraction d'éjection du VG est sévèrement diminuée (20%, akinésie antéro-apicale). Laboratoire: cf annexes. ECG du 24.12.2019: rythme sinusal régulier à 68 bpm avec un axe dévié à gauche. PR et QT normaux et QRS fins. ETT du 03.01.2020 (Dr. X): HVG frustre + HVD nette avec une FEVG conservée et un trouble de la compliance. La racine aortique est calcifiée (diamètre tubulaire à 39 mm avec des parois fines). On note la présence de calcification mitro-aortique nette avec un nodule calcifié sur le petit feuillet mitral (E gauche). À gauche, on trouve une hyperplasie focale de l'intima. Artère vertébrale droite sp à l'US. Au niveau de l'a. vertébrale gauche, on suspecte une irrégularité sténosante de la paroi de l'artère (sténose de bas grade). Angio-CT cranio-cérébral 14.01.2020 : changements régressifs du parenchyme cérébral, surtout pariéto-fronto-temporal. Pas de signe d'une leucoencéphalopathie microangiopathique avancée. Pas de sténose vasculaire intracranienne. À la haute C1-C2 gauche, altération de la paroi de l'artère vertébrale gauche, non sténosante (proximal du segment V2), DD Résidus d'une dysplasie fibromusculaire.Apport d'une traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de 32 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur déconditionnement après chute avec fracture du col du fémur droit et par réduction/perte des capacités fonctionnelles au niveau de la mobilité et de l'équilibre. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 41 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 9/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 56/19 MMS/CLOCK 22/30 - 6/6 GDS 13/15 Evaluation sociale (5 domaines) 24.12.2019 Colloque interdisciplinaire 1-4 30.12.19/08.01./15.01./22.01.2020 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 11/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 79/24 Laboratoire: cf. annexes. 16.12.2019: MMS 24/30; Clock-Test 4/6; GDS 2/15 ECG 17.12.19: fibrillation auriculaire tachycarde (FC 94/min), BBD incomplet, QTc long (484ms). CT cranio-cérébral 08.01.2020: pas de saignement ni ischémie visible. Apport d'une traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de 26 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur déconditionnement après pneumonie et par réduction/perte des capacités fonctionnelles avec mobilité limitée et risque de chute élevé. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 31 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 15/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 50/24 MMS/CLOCK 24/30 - 4/6 GDS 2/15 Evaluation sociale (5 domaines) 17.12.2019 Colloque interdisciplinaire 1 - 4 18.12./23.12./30.12./08.01.2020 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 19/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 71/22 Laboratoire: cf. annexe Tox screening urinaire: ECG: Rythme sinusale, hémibloc antérieur gauche et BBD incomplet Angio-CT cérébral le 09.01.2020: pas de lésion hémorragique ni ischémique constituée. Pas d'occlusion vasculaire (rapport oral). IRM cérébrale le 09.01.2020: Deux petites lésions ischémiques aiguës dans le territoire sylvien gauche. Pas de transformation hémorragique visible. CT cérébral natif le 10.01.2020: Pas d'hémorragie intracrânienne décelée. Angio-CT pulmonaire du 10.01.2020 (rapport oral): absence d'embolie pulmonaire Echographie transthoracique du 10.01.2020: • Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 57 % (méthode de Simpson monoplan). Géométrie normale du ventricule gauche. Mouvement paradoxal du septum • Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. • Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Fonction diastolique normale. • Oreillette gauche non dilatée. • Oreillette droite normale. Ventricule droit non dilaté mais allongé. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires (PAPs à 24 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. • Test aux microbulles: foramen ovale perméable avec un shunt important, majoré au Valsalva. • Absence d'épanchement péricardique. Proposition: FOP clair au test aux microbulles. De plus, nous constatons un mouvement paradoxal du septum interventriculaire, probablement sur HBAG et BBD. Laboratoire (cf ci-joint) NT-pro BNP dans la norme. Tryptase négative le 11.12.2019 HIV négatif le 06.12.2019 P1NP et betacrosslaps le 17.12.2019 Recherche de maladie coeliaque négative le 11.12.2019 Recherche de maladie de Whipple (sang et salive) négatif le 18.12.2019 Anti-FR et anti-CCP négatif, FAN à 80, DOT connectivites (négatif), DOT vasculites (négatif) le 06.12.2019. ECG le 6.12.2019: RSR à 66bpm, QRS fins avec bonne progression de l'onde R, onde T négative en V1, axe gauche, bloc partiel G, QTc 398 ms. Rx thorax le 06.12.2019: rapport ci-joint Rx mains et pieds face le 06.12.2019: rapport ci-joint IRM bassin 12.12.2019: Status après PTH droite, engendrant des artefacts. Examen évoquant, en l'absence de traumatisme, une fracture par insuffisance du sacrum, des branches ilio- et ischio-pubiennes (cf. commentaire). Les petites plages d'hyposignaux en pondération T1 siégeant au niveau de la moelle peuvent encore être normales chez cette patiente ; toutefois, ceci devrait être corrélé aux examens de laboratoire pour exclure un myélome surajouté.US abdominal demandé le 13.12.2019 : Stéatose hépatique. Vésicule biliaire lithiasique, contenant deux calculs de 15 mm non mobilisables, sans signe de cholécystite. Laboratoire (cf ci-joint) Spot urinaire le 06.12.2019 NTproBNP à 894 ng/l le 09.12.2019 Tests Coombs le 18.12.2019 positif ECG le 06.12.2019 : RSR à 69 bpm, QRS élargi en BBD (superposable au comparatif) Radiographie cheville G face/profil le 10.12.2019 : pas de matériel d'ostéosynthèse au niveau de la malléole externe. US abdominal le 17.12.2019 : Examen très peu contributif en raison du morphotype du patient. Foie homogène et hyper-échogène avec gradient hépatorénal, évoquant une condition de stéatose. La taille du foie (visualisé en intercostal) n'est pas déterminable. Pas de lésion focale décelée dans les portions du foie analysées. Rate de taille normale et aspect homogène à 94 mm. Reins de taille normale (droit 107 mm, gauche 104 mm), avec bonne différenciation cortico-médullaire, cavités pyélo-calicielles fines. IRM cervicale le 11.12.2019 : Discopathie pluri-étagée, sans franche HD. On dénote cependant un débord discal circonférentiel en C4-C5 débordant dans les neuroforamens (clinique pour une compression radiculaire C5 ?). Absence d'argument pour une fracture ou une lésion érosive active de la maladie rhumatismale. Arthrose facettaire pluri-étagée avancée. US épaule gauche le 11.12.2019 : Suspicion de rupture quasi-complète du tendon du muscle supra-épineux, à compléter éventuellement avec IRM. Laboratoire cf copie Radiographie du thorax : _____ Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG des 03.01 et 04.01.2020 : cf. copies ci-jointes. Coronarographie le 03.01.2020, Dr. X : l'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne bi-tronculaire avec sténose significative de l'interventriculaire antérieure moyenne englobant l'origine de la 1ère diagonale et une occlusion thrombotique récente de la coronaire droite proximale : recanalisation de l'artère coronaire droite proximale avec thrombectomie et implantation de 2 stents actifs, avec bon résultat final, avec flux TIMI 3, sans thrombose ni dissection. Echocardiographie trans-thoracique le 06.01.2020 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie de la paroi postérieure, latéro-basale, inférieure moyenne et inféro-basale. FEVG à 45 % (méthode de Simpson monoplan), 45-50 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique calcifiée. Calcification nodulaire de la valve mitrale. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale moyenne (VC 4 mm), d'origine dégénérative. Oreillette gauche modérément dilatée. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. Discrète dilatation de l'oreillette droite. PAPs à 26 mmHg. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique Laboratoire. Cf. annexes. Antalgie par Buscopan, Paracétamol. Laxoberon 7.5 mg en O.U. aux urgences. Retour à domicile avec traitement laxatif de fond. Laboratoire. Cf. annexes. Bilan hépatopancréatique dans la norme, D-dimères 33 ng/ml. Examen ORL dans la norme. Arrêt de travail. Hydratation per os. Primperan 10 mg, NaCl 0.9 % 500 ml aux urgences. Laboratoire. cf. annexes. ECG dans la norme. Nifédipine 10 mg, Temesta 1 mg aux urgences. Surveillance tension artérielle. Suite chez le médecin traitant. Laboratoire. Cf. annexes. Radiographie. Cf. annexes. Antalgie par Morphine 10 mg (réclame +++ peu calmé). Avis orthopédique, (Dr. X) : transfert par ses propres moyens au CHUV pour prise en charge. Laboratoire. cf. annexes. Rx Abdomen. cf. annexes. Grand lavement. Envisager colonoscopie ambulatoire. Laboratoire contrôle demain avec tests hépatiques Sédiment urinaire le 20.01.2020 Laboratoire : coproculture et selles directes (en cours). Laboratoire, crase. Avis ORL. Laboratoire : créat 102, Na 135, K 3.1, ALT 17, AST 23, IFCC 79, GGT 113 U/l, bili tot 7.3, bili dir 4.3, amylase 74, lipase 34, leu 15.6, Hb 134, PLT 258. ECG le 25.01.2020 à 16h40 : FA à env 59/min, axe normal, intervalles QRS fins, Qtc à 420 ms, pas de troubles de la conduction, présence de l'onde U. ECG le 25.01.2020 à 20h40 : FA à env 58/min, axe normal, intervalles QRS fins, Qtc à 420 ms, pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. Laboratoire : créat 275, eGFR 15 ml/min ECG Stix/sédiment Spot urinaire US aux urgences : épanchement péricardique env. 4-5 mm, veine cave non compliante. Épanchements pleuraux bilatéraux env. 8 cm. Bonne contractilité cardiaque. Attitude : • Ad soins intensifs pour surveillance Laboratoire : créat 64, Na 143, K 3.7, Mg 0.79, CRP 6, GB 5.8, Hb 136 ECG : RSR, axe G, fréquence 75 bpm, QRS 80 ms, transition de l'onde R en V4, ST isoélectrique, ondes 3 plates en D3, QTc 426 ms. Laboratoire : créatinine à 97, urée 4.4, Lc 13.4, Hb 127, Tc 237, CRP 16 Radiographie du thorax du 25.12.2019 : sans particularité Test de déglutition le 27.12.2019 : risque de broncho-aspiration élevé, régime alimentaire adapté Antibiotique par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j pour un total de 5 jours, jusqu'au 30.12.2019 Tests de dépistage de la cognition du 26.12 : 13/30 Horloge 3/7. GDS 2/13 Laboratoire : créatinine à 104 µmol/l, urée 8.3 mmol/l, glucose limite supérieure, pas de trouble électrolytique, albumine dans la norme, pas de trouble hépatopancréatique, LDH dans la norme, léger syndrome inflammatoire avec CRP à 9 mg/l et leuco dans la norme, Hb dans la norme. Sédiment urinaire : propre. ECG : FC à 61/min, rythme sinusal et régulier, pas de trouble des intervalles ni de la repolarisation. Ultrason bilan des parties molles (paroi abdominale gauche) du 02.01.2020 : mise en évidence dans le flanc gauche, au niveau de la masse palpée cliniquement d'une hernie de la paroi abdominale à contenu digestif. Large collet avec à l'épreuve de Valsalva, herniation et mouvement des anses intestinales en aller et retour, sans souffrance ni douleurs mentionnées par le patient. Pas de distension des anses intestinales au sein du sac herniaire. Pas de liquide libre. Absence de liquide libre dans le Douglas. CONCLUSION : volumineuse hernie réductible, connue de la paroi abdominale gauche, sans signe de souffrance digestive. (Dr. X) Laboratoire : créatinine 120 Spot urinaire : FE urée : 36.4 % intrinsèque US urinaire : hydronéphrose bilatérale, volume vésical : 570 ml Attitude : • Mise en suspens du Coversum • Pose d'une sonde vésicale, qui ramène 450 ml • Appeler MT pour savoir valeurs habituelles Laboratoire : créatinine 196, GFR 33 % Spot urinaire FE urée 48.64 % Attitude : • Mise en suspens des médicaments néphrotoxiques • Suivi biologique Laboratoire : créatinine 48 µmol/l, Na 139 mmol/l, K 40 mmol/l, CRP 19 mg/l, GB 8.9 H/l, Hb 134 g/l, microcytose, hypochromie, TP 100 %. Sédiment urinaire : érythrocytes +++. Laboratoire : créatinine 62 µmol/l, Na 137 mmol/l, K 3.1 mmol/l, CRP 54 mg/l, GB 9.4 G/l, Hb 124 g/l. Laboratoire : créatinine 97 µmol/l, Na 137 mmol/L, K 3.2 mmol/l, CRP 98 mg/l, GB 5.6 G/l, Hb 125 g/l, thrombocytes 169 ng/L. Culture urinaire : E. coli sensible à la Ciprofloxacine. Hémocultures : en cours. Laboratoire : créatinine/urée dans la norme, pas de trouble électrolytique, leucocytes à 12.2 G/l, CRP 22 mg/l, Hb 133 g/l. Sédiment urinaire : hématurie sans signe d'infection. Ultrason par le Dr. X aux urgences : péritoine sec sans signe de globe vésical et la présence d'une dilatation des voies pyélocalicielles de grade 2/3 à droite sans calcul visible. CT-scanner abdominal natif du 01.01.2020 : pas de comparatif disponible. Examen réalisé sans injection de produit de contraste. Lithiase urinaire de 4 mm (environ 570 HU) à la jonction vésico-urétérale droite, associée à une dilatation urétéro-pyélo-calicielle en amont, avec un pyélon mesuré à 20 mm et un diamètre maximal urétéral à 14 mm. Congestion rénale droite ; infiltration péri-rénale et péri-urétérale ipsilatérale. Calcul millimétrique au pôle inférieur et moyen du rein droit. Pas de calcul visualisé dans le système excréteur gauche. Petite lésion focale corticale de 3 mm spontanément dense du pôle supérieur du rein gauche (DD : kyste hémorragique). Vessie partiellement remplie avec probablement un résidu de l'ouraque.Pour le reste de l'examen et sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, parenchyme hépatique sans lésion parenchymateuse suspecte, de densité, de morphologie et de taille normale. Vésicule biliaire sans calcul radio-opaque. Rate, surrénales, pancréas sans lésion suspecte. Pas de dilatation des anses digestives. Infiltration d'allure liquidienne autour des anses grêles en FIG (DD : artefact de mouvement) non clairement caractérisable. Structures génitales sans particularité. Pas d'adénopathie. Calcifications aortiques. Déhiscence minime de la ligne blanche. Sur les coupes passant par l'étage thoracique, pas de lésion nodulaire suspecte ni d'épanchement pleural. Minimes discopathies multi-étagées, sans lésion osseuse suspecte dans le cadre osseux. CONCLUSION : lithiase urinaire de 4 mm (environ 570HU) à la jonction vésico-urétérale droite, associée à une dilatation urétéro-pyélo-calicielle en amont, avec un pyélon mesuré à 22 mm et un diamètre maximal urétéral de 14 mm sans signe de rupture de fornix. Laboratoire : CRP < 5 mg/l, Lc 4.7 G/l, Hb 150 g/l, Plts 223 G/l US abdominal : appendice visualisé et non tuméfiée 4-5 mm, mais présence d'un stercolite de 2.7 mm au bout de l'appendice, correspondant exactement au lieu de douleurs abdominales, pas de liquide libre, pas de ganglions Avis chirurgical : contrôle clinique et biologique dans 24 heures aux urgences HFR +/- US abdominal à répéter Laboratoire : CRP < 5 mg/l, Lc 5.4 G/l, Hb 157 g/l, Plts 246 G/l US abdominal : Absence d'argument échographique en faveur d'une appendicite aiguë. Pas d'argument pour une malrotation. Avis chirurgical : appendicectomie non nécessaire, antalgie en réserve Laboratoire : CRP à 15 mg/l, leucocytose à 12 G/l Gazométrie Urines antigène pneumocoque, légionnelle : à pister RX du thorax : pas de foyer franc visualisé, possiblement atélectasie en rétrocarde (face profil), émoussement du récessus costo-diaphragmatique à gauche Oxygénothérapie 2L aux urgences Atrovent, Ventolin aux urgences Suite Hospitalisation en médecine interne pour suite de prise en charge Poursuite du Co-Amoxicilline et Prednisone 40 mg pendant 5 jours Poursuite des aérosols Laboratoire : CRP, Urée-Créat, Na, K, Hémato v status urinaire Culture US des voies urogénitales Rocéphine 2 g iv Ciprofloxacine 500 mg x 2/j, pendant 7 jours Laboratoire : CRP 10 mg/l, Leucocytes 8.6 G/l, D-Dimères 905 ng/ml. Radiographie de la cheville droite du 14.01.2020 : arthrose de la cheville et de l'arrière-pied déjà avancée, avec notamment un pincement tibio-astragalien sévère avec tuméfaction des tissus mous péri-malléolaires. Aspect fragmenté et remanié de la malléole interne avec également des fragments osseux dans le prolongement de la malléole externe, à mettre en relation avec l'ancien traumatisme connu. Doppler de la veine jambe droite (thrombus) du 14.01.2020 : perméabilité conservée de l'axe fémoro-poplité à l'examen écho-Doppler et par compression veineuse. Infiltration diffuse de la graisse au niveau de la jambe droite. Pas de collection au niveau de la face antéro-médiale de la jambe droite. Infiltration liquidienne des parties molles sous-cutanées de la jambe (œdème). CONCLUSION : pas d'argument en faveur d'une thrombose veineuse de l'axe fémoro-poplité. Laboratoire : CRP 110, Lc 17.7 BK 2x2 US veineux : pas de thrombose visible. Œdème sous-cutané. Co-Amoxi 2,2 g de dose de charge, puis pour GFR > 30 ml/min dose habituelle de 1.2 g x 3 par jour. Laboratoire : CRP 14, leuco 13.6, bilirubine totale 20.2, bilirubine directe 13.4, phosphatase alcaline 174, GammaGT 397 US : pas de dilatation franche des voies biliaires, pas de calculs visualisés CT scan abdominal : Dilatation voie biliaire 12 mm, idem précédent examen. Concrétions dans le bas choledoque. Avis chirurgical : hospitalisation, thérapie antibiotique, ERCP, prise d'hémocultures en cas de fièvre. Avis chir Dr Miftaroski : coro d'abord, puis hospitalisation pour prise en charge abdo Avis Dr Stadler : donner 1 ampoule konnakion. Attendre mercredi pour ERCP. Pas de contre indication si besoin d'introduire de l'aspirine Attitude : • transfert en chirurgie le 07.01.2020 • Rocephine 2g et Flagyl 500mg 2x à poursuivre • Antalgie au besoin • Konakion 1 ampoule iv à donner. • ERCP mercredi, mettre le patient à jeun dès mardi à minuit Laboratoire : CRP 14, leuco 13.6, bilirubine totale 20.2, bilirubine directe 13.4, phosphatase alcaline 174, GammaGT 397 US : pas de dilatation franche des voies biliaires, pas de calculs visualisés CT scan abdominal : Dilatation voie biliaire 12 mm, idem précédent examen. Concrétions dans le bas choledoque. Avis chirurgical : hospitalisation, thérapie antibiotique, ERCP, prise d'hémocultures en cas de fièvre. Avis chir Dr Miftaroski : coro d'abord, puis hospitalisation pour prise en charge abdo Hosp en SIC en attendant place en chir le 07.01.20 Avis Dr Stadler : donner 1 ampoule konnakion. Attendre mercredi pour ERCP. Pas de contre indication si besoin d'introduire de l'aspirine Coro : superposable à la précédente. Pas de geste. Attitude : • Rocephine 2g et Flagyl 500mg 2x à poursuivre • A jeûn • Antalgie au besoin • Konnakion 1 ampoule iv à donner. Laboratoire : CRP 18, Lc 5.2 Gazométrie : ECG 17.01.2020 : tachycardie sinusale, SIQIII, pas de BAV, pas de BB, pas de trouble de la repolarisation CT thoracique, 17.01.2020 Attitude : • Hospitalisation en médecine interne • Bilan d'extension à organiser à l'étage • Avis pneumologique : bronchoscopie ? • Présentation au Tumor Board dès que possible • Ponction pleurale ? Traitement : • Hydratation • Temesta en Réserve Laboratoire : CRP : 18 mg/l, Leuco : 10.6 g/l Urine : Leuco ++++, Sang +++ Laboratoire : CRP 215 mg/l, leuco 11.5 G/l Gazométrie : lactate dans la norme ECG : BBD nouveau avec un bloc AV 1er degré connu Stix Sédiment sp CT abdominal natif : pancolite (ascendant et descendant), kystes rénaux D augmentés de taille, vessie dilatée Avis Chirurgie : Antibiothérapie par Ceftriaxone 2g IV 1x/jour Métrodinazole 500mg 3x/jour, Hospitalisation, Coproculture Laboratoire : CRP 30, leucocytes 5.3 Protocole soins de plaie tous les 2 jours Co-amoxicilline 3x625 mg pendant 7 jours Contrôle clinique le 24.01 à 15h Laboratoire : CRP 39, pas de leucocytose, pas de perturbation des tests hépatiques, pas de cholestase, pas de lipase. Le patient part contre avis médical en raison du temps d'attente. Laboratoire : CRP < 5 mg/l, Leucocytes 12.3 G/l, ASAT 20 U/l, ALAT 16 U/l. Laboratoire : CRP 50, Leucocytes 12 Urines : sans particularité. Retour à domicile avec traitement symptomatique Contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant à 48-72h. Explications données au patient par le médecin. Laboratoire : CRP 62, Bilirubine totale à 49 et directe à 11,6. Urines, stix et sédiment urinaire. Antalgie. Hydratation. Contrôle clinico-biologique à 48h au Secteur Ambulatoire des Urgences. Laboratoire : CRP 62, pas de leucocytes. Sédiment : sans particularité. US : appendice non visualisé, lame d'épanchement (possiblement en lien avec arrêt de la pilule en attente des règles), 2 adénopathies en fosse iliaque droite infra-centimétrique.Avis chirurgie: CT scan abdominal. CT scan abdominal (Dr. X): appendice rétrocaecal, diamètre 5 mm, pas de signe inflammatoire, multiples adénopathies (<5mm), foyer pulmonaire à droite. Attitude: • Consultation médecin traitant dans une semaine pour contrôle clinique et biologique. Laboratoire: CRP 7 mg/l, leucocytose 12.2 G/l, VS en cours, acide urique 481 umol/l, bonne fonction rénale. Radiographie du genou droit face/profil et défilé fémoro-patellaire du 01.01.2020: aspect remanié des diaphyses proximales du tibia et du péroné avec de petites angulations, correspondant à d'anciennes fractures consolidées. Calcifications en regard du plateau tibial externe, mais pas de cause objectivée aux douleurs du patient. Pas d'épanchement articulaire. (Dr. X) Laboratoire: CRP 76, pas de leucocytose, D-dimère 1100 ng/L Sédiment urinaire Radiographie Angio-CT thoracique: pas d'embolie pulmonaire, lésion hile G passage de 30x22 cm à 33x22 cm. Condensation lobe supérieur D partiellement nouvelle et partiellement connue possiblement cicatricielle infectieuse. Signes de bronchite et bronchiolite. Bronchopneumonie lobe supérieur D. Attitude: • Co-amoxicilline 1200 mg IV aux urgences • Poursuite co-amoxicilline 1200 mg 3x/j pendant 7 jours • Hospitalisation à Tafers Laboratoire: CRP 79, GB 15.5 Laboratoire: CRP 87 mg/l, pas de leucocytose Radiographie thorax face/profil: pas de foyer de pneumonie Traitement symptomatique. Laboratoire: CRP: 9 mg/l, Leuco: 11.2 g/l, Créa: 45 umol/l Urine: sang +++, bactérie + US des voies urogénitales: pas de dilatations pyélocalicielle, pas de stase, pas de trouble de la perfusion, les deux reins sont symétriques. Laboratoire: CRP 9 (11), reste aligné. CT-scan low dose. Avis gynécologique: examen gynécologique dans la norme chez une patiente de 29 ans 3 G 3 P. Avis chirurgical (Dr. X): possibles adhérences entre la vessie et les intestins avec composante d'IU associée, coprostase visible sur le scanner du 12.01.2020 pouvant, en lien avec le reste, expliquer le tableau, sans toutefois être une certitude. Culture d'urine prolongée avec recherche de champignons. Contrôle en chirurgie pour évaluation clinique, +/- discussion d'une adhésiolyse. Mise en copie du Dr. X et Dr. X qui suivent la patiente sur le plan uro-gynécologique et gynécologique. Movicol 3x/j pendant 7j. Laboratoire: CRP<5, Leu 4.9 Hb 143, PLT 210, glucose, Na 138, K 3.9, glc 5.9 mmol/l Frottis grippe : en cours Brufen, Dafalgan Contrôle chez le médecin traitant Laboratoire: CRP<5, Leuco:6,8 g/l, Sérologie de Lyme: en cours Laboratoire: dans la norme. Laboratoire: dans la norme, D-Dimères <190 mg, CRP <5 ECG: Rythme régulier, sinusal, fréquence à 68 /minute. Axe normal. Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction. Pas de signe de repolarisation. Voir tracé annexé. Test de grossesse: négatif. Radiographie du thorax face/profil du 12.01.2020: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. (Dr. X) Laboratoire: D-Dimère 1959, Troponine 7/7. Gazométrie alignée ECG: RSRN, BAV 1°, QTc allongé (connu limite). CT thoracique, 21.01.2020: négatif Pantozol + alucol + antalgie Hospitalisation pour surveillance et antalgie à Meyriez Laboratoire: d-dimères 416 ng/ml. Rx thorax. Avis oncologique (Dr. X): retour à domicile avec scanner thoraco-abdominal pour extension. Contrôle chez le médecin traitant. Représentation en cas d'apparition de red flags. Laboratoire de contrôle à votre consultation pour le phosphate et les bicarbonates avec adaptation de l'acétate de calcium et du Néphrotrans Les résultats du bilan phosphocalcique vous parviendront dans les meilleurs délais avec proposition de suite de prise en charge à votre consultation. Laboratoire de contrôle avec fonctions rénales Laboratoire de contrôle (FSS / créatinine / électrolytes) le 31.01.2020 Laboratoire de contrôle le 15.01.2020 : pas de baisse de l'hémoglobine. Pantozol 40 mg iv bolus puis 8 mg/h le 15.01.2020. Sandostatine 50 mcg iv en bolus puis 25 mcg/h le 15.01.2020. Laboratoire de suivi: pas de leucocytose (leucocytes à 7.4 G/l), CRP < 5 mg/l US abdominal: Appendice non visualisé (artefacts liés aux selles dans les intestins), absence de liquide libre Concilium avec garde de chirurgie: pas d'argument pour appendicite, retour à domicile avec antalgie Consigne de reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Laboratoire d'entrée : Hyponatrémie + à 121 mmol/l Laboratoire de sortie: Hyponatrémie + à 133 mmol/l Restriction hydrique à 1000 ml Substitution de l'Olmesartan/HCT par du Losartan Laboratoire d'entrée du 28.12.2019 : créatinine à 110 umol/l Laboratoire de sortie du 08.01.2020 : créatinine à 95 umol/l Laboratoire: Dépistage coeliaque, Na, K, urée, Créat, Protéines, albumine Pantozol 20 mg Laboratoire: discret syndrome inflammatoire (leucocytose à 11.9G/L, CRP à 13mg/L). reste de la formule sanguine simple alignée. Pas d'insuffisance rénale Sédiment urinaire: propre Antalgie à la permanence par paracétamol-novalgine, hydratation et ondansétron iv avec bon effet sur les nausées et les douleurs. Valtrex 1g 3x/j pendant 7j Patient encouragé à prendre contact avec le médecin qui le suit au centre de la douleur à l'Inselspital si évolution non favorable des douleurs. Laboratoire: discrète leucocytose à 10.6G/L, CRP 50 CT abdominal: Pas de collections ou abcès, infiltration de la graisse sous-cutanée abdominale au niveau de la cicatrice Antalgie avec palexia au besoin RDV chez le chirurgien dès que possible Laboratoire du 22.01.2020 : Hb 114 g/l, Lc 10G/l; Tc 260 G/l; Groupe sanguin O Rhésus Positif, RAI Négatif Sérologies: Toxo non immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Laboratoire du 20.01.20: pas de perturbation des tests hépatiques, Hb 132g/l, MCV 84fl, MCH 28pg, Leucocytes 6.4G/l, CRP < 5, pas d'hypoglycémie. Bandelette urinaire du 20.01.20: leuco négatif, nitrites négatif, sang négatif, corps cétonique ++ Frottis grippe du 20.01.20: positif pour Influenza virus A Test rapide Malaria du 20.01.20: négatif Test au microscope de la malaria/parasitologie du 20.01.20: introuvable Laboratoire du 01.01.2020: Hémoglobine 120 g/l, Leucocytes 8.4 G/l; Thrombocytes 209 G/l; CRP 6 mg/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif 09.08.2019 Frottis vagin-rectum du 05.12.2019: Streptocoques du groupe B négatif Sérologies: Toxoplasmose non-immune 09.08.2019; CMV non-immune 09.08.2019; Rubéole immune 09.08.2019; Varicelle immune 09.08.2019, TPHA négatif 09.08.2019; HBV Vaccinée; HCV négatif 09.08.2019; HIV négatif 09.08.2019; Boostrix non documenté. Laboratoire du 02.01.2019 • CRP 122 • Hb à 88 Sédiment urinaire : leucocytes +++, sang +++ CT-scan abdominal du 01.01.2019 : hématome 8x8x1.8cm au niveau du pôle inférieur du rein D rétropéritonéal qui s'étend jusqu'au flanc D sans saignement actif. Avis chirurgical (Dr. X/Dr. X): hospitalisation en chirurgie, 2000 hydratation iv, rocéphine 2g, à jeûn. Uriculture du 01.01.2019 Attitude: • À jeun dès minuit. • Rocéphine 2g iv • Uriculture à pister • Hospitalisation en chirurgie pour suite de prise en charge. Laboratoire du 02.01.2020: Hb 120 g/l, Leucocytes 8.6 G/l, Thrombocytes 158 G/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 02.01.2020 Streptocoques du groupe B positif le 10.12.2019 Sérologies: Toxo immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Boostrix non documenté Laboratoire du 02.01.2020: Hb 128 g/L, Lc 12.1 G/L, Tc 220 G/L Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 02.01.2020 Streptocoques du groupe B positifs le 07.12.2019 Sérologies: CMV immune; Rubéole immune; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle immune • Laboratoire du 02.01.2020: Hb 130 g/L; Lc 11.4 g/L; Tc 310G/L; crase et fonction rénale eo. Groupe sanguin: O Rhésus positif Sérologies du 02.01.2020: Hép. B nég, Hép C nég, HIV nég. Frotti cervico-vaginal du 02.01.2020: chlamydia nég PAP du 02.01.2020: sp hormis candida (asymptomatique) • Laboratoire du 02.01.2020: Hb 157 g/L, Lc 9.9 G/L, Tc 203 G/L, CRP 6 mg/L Frottis bactériologique en cours • Laboratoire du 02.01.2020: Hémoglobine 125 g/l, Leucocytes 13.6 G/l; Thrombocytes 298 G/l Hémoglobine post-partale: 92 g/l. Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 02.01.2019 Frottis ano-génital pour Streptocoques du groupe B négatif le 31.12.2019. Sérologies du 28.06.2019: Toxoplasmose immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HIV négatif. Sérologies du 19.11.2019: HBV négatif; HCV négatif; Varicelle immune • Laboratoire du 02.12.2019: Hb 129 g/L; Lc 8.7 g/L; Tc 251 G/L; fonction rénale, électrolytes et crase eo. Sérologies du 02.12.2019: Hép. B anti HBc IgG Positif, Hép. C nég, HIV nég, Syphilis nég Frottis cervico-vaginal du 15.08.2019: chlamydia négative PAP du 16.08.2019: AGC-NOS, HPV-HR positif Biopsies du 09.09.2019: à 12h modifications cellulaires évocatrices d'une atteinte HPV; lésion nodulaire quadrant sup matériel peu représentatif; à 5h pas atypie, peu représentatif; CEC CIN I/LSIL. • Laboratoire du 03.01.20: Hb 119 g/l, Lc 8.3 G/l; Tc 221 G/l. Groupe sanguin B-, immunoglobuline anti-D le 20.11.19, AC irréguliers négatif le 24.07.19. Streptocoques du groupe B négatif le 03.01.2020. Sérologies: Toxo non immune; CMV non immune; Rubéole immune (03.05.19); VDRL négatif; HBS négatif (03.05.19); HCV négatif (03.05.19); HIV négatif (03.05.19); Varicelle positif (03.05.19), Ac syphilis négatif 03.05.19. • Laboratoire du 03.01.2020: Hémoglobine 124 g/l, Leucocytes 8 G/l, Thrombocytes 135 G/l Groupe sanguin 0 Rhésus négatif, AC irréguliers négatif le 21.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif le 18.12.2020 Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif ; Varicelle faite. • Laboratoire du 03.01.2020: Hb 130 g/L, Lc 3.7 g/L, Tc 364 G/L Laboratoire du: fonction rénale eo; LDH 561 U/L IRM du 16.07.2019: diminution en taille de la tumeur primaire de 93x80 mm à 78x73mm, PET-CT du 21.10.2019: nécrose de la tumeur primaire, disparition des ganglions axillaires et diminution de 50% de la taille de la métastase osseuse crête iliaque droite. • Laboratoire du 03.01.2020: Hémoglobine 118 g/l, Leucocytes 7.1 G/l, Thrombocytes 191 G/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 03.01.2020 Streptocoque du groupe B négatif le 30.12.2019 Sérologies: Rubéole immune; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle positif Boostrix non documenté • Laboratoire du 03.11.2019: Hb 151 g/L, Lc 9.1 g/L, Tc 326 G/L, fonction rénale en ordre, crase en ordre. Groupe sanguin A Rhésus positif Sérologies du 25.01.2019: CMV non-immune, Rubéole limite, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Varicelle immune PAP du 29.01.2019: HSIL, HPV HR +, CINtec positif Colposcopie du 19.11.2019: biopsie à 2h montrant un HSIL/CIN2; à 6h muqueuse exocervicale sans dysplasie. • Laboratoire du 04.01.20: HS-troponine à 47 puis 88 à H1, créatinine à 91, kaliémie à 3.2, leucocytes à 10.8. Radiographie du thorax du 04.01.20: pas de signes de surcharge cardiaque. ECG du 04.01.20: fibrillation auriculaire avec réponse ventriculaire tachycarde à 147 bpm, image de bloc de branche gauche incomplet. • Laboratoire du 04.01.2019 • CRP 20 • Leucocytes négatifs ECG du 04.01.2019 Hémocultures 2 paires à pister Dosage de traitement antiépileptique à pister Ammoniémie: à pister ATT Tazobactam 4.5g IV aux urgences Tazobactam 4.5g 4x/j Contacter MT pour confirmer liste de traitement et allergie • Laboratoire du 04.01.2019: Hémoglobine 140 g/l; Leucocytes 8.8 G/l; Thrombocytes 196 G/l Groupe sanguin A Rhésus positif. AC irréguliers négatifs 04.01.2020 Streptocoques du groupe B négatifs 05.12.2019 Sérologies: Rubéole immune; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Boostrix non documenté • Laboratoire du 04.01.2020: Hb 118 g/l, Lc 8.4 G/l; Tc 131 G/l Groupe sanguin: B négatif Streptocoques du groupe B négatif non daté Sérologies: Toxo; CMV non immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBV vaccinée; HCV négatif; HIV négatif Boostrix non documenté • Laboratoire du 04.01.2020: hémoglobine 128 g/l, leucocytes 13.9 G/l; thrombocytes 266 G/l; CRP <5 mg/l; Groupe sanguin A Rhésus positif, Ac irréguliers négatifs le 04.01.2020. Test à la fibronectine négatif le 03.01.2020. Frottis vaginal bactériologique fait le 03.01.2020 est sans particularité. Le frottis ano-vaginal pour le Streptocoque du groupe B est négatif le 04.01.2020. L'urinoculture faite le 03.01.2020 est sans particularité. L'échographie transabdominale du 04.01.2020: présentation céphalique, placenta postérieur bas inséré à 17 mm de l'OI, Manning 8/8, AFI dans la norme, Doppler ombilical et artère cérébrale moyenne en ordre, Doppler des artères utérines en ordre. Monitoring CTG: R-NP, pas de contraction visible au tocogramme. • Laboratoire du 06.01.2020: CRP 150 mg/l, leucocytose 10.7 G/l, neutrophiles 8.72 G/l, lymphocytes 0.81 G/l, monocytes 1.07 G/l Laboratoire du 11.01: CRP 178 mg/l, leucocytes 11.6 G/l, neutrophiles 9.16 G/l Gazométrie du 06.01.2020: pH 7.44, pCO2 4.4 kPa, pO2 9.8 kPa, HCO3 22 mmol/l, saturation 95%, lactates 1.5 mmol/l Hémocultures Antigènes urinaires: négatifs Bactériologie expectoration: Pseudomonas + RX thorax du 06.01.2020: accentuation péri-bronchique postéro-basale lobaire droite compatible avec un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Oxygénothérapie du 06.01 au 10.01.2020 Atrovent 250 mcg 4x/jour Physiothérapie respiratoire Rocéphine 2 g iv du 06.01.2020 au 11.01.2020 Klacid 500 le 06.01.2020 Relai per os par co-amoxicilline du 11.01.2020 au 13.01.2020 • Laboratoire du 06.01.2020: Hb 142 g/l, Lc 11,2 G/l; Tc 184 G/l; Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif 06.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif 06.12.2019 Sérologies: CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Boostrix non documenté • Laboratoire du 06.01.2020: Hb 135 g/l, Lc 17 G/l; Tc 268 G/l Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI négatifs 06.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif le 17.12.2019 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Boostrix non documenté • Laboratoire du 06.01.2020: Hémoglobine 120 g/l, Leucocytes 7,8 G/l, Thrombocytes 185 G/l Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif 06.01.2020 Frotti ano-vaginal: streptocoques du groupe B négatif 09.12.2019 Sérologies: Toxoplasmose immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBsAg négatif, HIV négatif, HCV négatif, Varicelle faite Boostrix le 09.12.19 • Laboratoire du 06.01.2020 Radiographie des poumons du 06.01.2020 CT-time is brain du 06.01.2020: absence d'ischémie Ponction lombaire du 06.01.2020 (Dr. X): limpide, 1 élément Avis neurologique (Dr. X) le 06.01.2020: dans le doute d'un éventuel accident cérébrovasculaire aigu, surveillance neurologique aux 4 heures, lit stricte, à jeun, avec charge de 250 mg d'aspirine et ré-évaluation le 07.01.2020 Avis neurologique le 07.01.2020 (Dr. X): absence d'argument pour cause cérébrovasculaire. IRM et aspirine non nécessaire ATT: • antalgie simple • physiothérapie de mobilisation • Laboratoire du 07.01.20: leuco 7.4 g/l, Radiographie de la hanche droite du 07.01.20: pas de fracture, pas de signe d'épiphysiolyseScore de Kocher: 3% Transfert en pédiatrie à HFR Fribourg • Laboratoire du 07.01.2020 : Hb 129 g/l, Lc 9,4 G/l; Tc 219 G/l • Groupe sanguin A Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D 10.10.2019, AC irréguliers négatif • Sérologies : Toxo immune; CMV non-immune; Rubéole immune; TPHA négatif; HBV Vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite • Boostrix fait le 10.10.19 • Laboratoire du 07.01.2020 : Hb 131 g/l, Lc 9.4 G/l; Tc 199 G/l • Groupe sanguin O Rh positif, RAI négatifs le 07.01.2020 • Streptocoques du groupe B négatif 09.12.2019 • Sérologies : CMV immune, Rubéole immune, VDRL non-immune, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif • Varicelle faite, Boostrix reçu durant la grossesse • Laboratoire du 07.01.2020 Hb 112 g/l, Lc 6.9 G/l; Tc 182 G/l. • Hb post-partale : 116 g/l. • Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 28.01.2020. • Streptocoques du groupe B négatif le 07.01.2020. • Sérologies : Toxoplasmose non-immune le 26.06.19; CMV immune le 26.06.19; Rubéole immune le 26.06.19; VDRL négatif le 26.06.19; HBS positif le 26.06.19; HCV négatif le 26.06.19; HIV négatif le 26.06.19. • Laboratoire du 08.01.20 : Hb 120 g/l, Lc 8.7 G/l; Tc 149 G/l. • Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 11.01.2020. • Streptocoques du groupe B négatif le 11.01.2020. • Sérologies : Toxo non documenté; CMV non-immune le 01.07.2019; Rubéole immune; VDRL négatif le 01.07.2019; HBS négatif le 01.07.2019; HCV négatif le 01.07.2019; HIV négatif le 01.07.2019; Varicelle faite • Boostrix à jour. • Laboratoire du 08.01.20 : Hb 122 g/l, Lc 8.7 G/l; Tc 249 G/l • Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 18.01.2020 • Streptocoques du groupe B négatif le 15.01.2020 • Sérologies : Toxo non-immune (05.06.19); CMV non-immune (25.06.19); Rubéole immune (25.06.19); VDRL négatif (25.06.19); HBS négatif (14.10.19); HCV négatif (14.10.19); HIV (25.06.19); Varicelle faite • Boostrix fait le 25.09.19 • Laboratoire du 08.01.20 : Hb 128 g/l, Lc 10.4 G/l; Tc 165 G/l • Groupe sanguin A Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D le 09.01.20, AC irréguliers négatifs le 09.01.2020 • Streptocoques du groupe B négatif le 03.01.2020 • Sérologies du 14.05.19 : Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite • Boostrix non documenté • Laboratoire du 08.01.20 : Hb 128 g/l, Lc 9.5 G/l; Tc 249 G/l • Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 18.01.20 • Streptocoques du groupe B négatif le 15.01.20 • Sérologies : Toxo non-immune (12.06.19); CMV non-immune (08.07.19); Rubéole immune (12.01.12); VDRL négatif (08.07.19); HBS négatif (08.11.19); HCV négatif (08.11.19); HIV négatif (08.07.19); Varicelle faite • Boostrix fait le 09.10.19 • Laboratoire du 08.01.2020 : Hb 92 g/l, Lc 8.7 G/l; Tc 263 G/l; crase eo • Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 08.01.2020 • Streptocoques du groupe B négatif le 08.01.2020 • Sérologies du 26.08.19 : Toxo non-immune; CMV immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite • Rubéole non documentée. • Boostrix fait le 22.11.19 • Laboratoire du 08.11.2019 : hb 136 g/L; Lc 8.1 g/L, Tc 317 G/L; creat 59 umol/l; crase en ordre. • Groupe sanguin : A Rhésus positif • Hystéro-salpingographie du 09.10.2019 : hydrosalpinx droit, passage tubaire à gauche. • Laboratoire du 09.01.2020 : Hb 123 g/l, Lc 6.1 G/l; Tc 263 G/l; crase en ordre • Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 09.01.2020 • Streptocoques du groupe B négatif le 18.12.19 • Sérologies du 28.05.19 : VDRL négatif; HBV vaccinée • Sérologies du 25.09.10 : Rubéole immune; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite • Boostrix non documenté • Laboratoire du 09.01.2020 : Hb 124 g/l, Lc 8.2 G/l; Tc 139 G/l; crase eo • Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 09.01.2020 • Streptocoques du groupe B positif le 27.12.2019 • Sérologies du 23.08.19 : CMV immune; Rubéole immune; Varicelle faite • Sérologies du 20.08.19 : VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif • Laboratoire du 10.01.20 : Hb 125 g/l, Lc 7.1 G/l; Tc 266 G/l; crase eo • Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 17.01.2020 • Streptocoques du groupe B négatif le 10.01.2020 • Sérologies du 07.05.18 : Toxo non-immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif. • Sérologies du 25.01.19 : HIV négatif. • Sérologies du 06.12.19 : HBS négatif; HCV négatif. • Varicelle faite et Boostrix fait le 29.10.19 • Laboratoire du 10.01.20 : Hb 138 g/l, Lc 15.7 G/l; Tc 279 G/l. • Hb post-partale : Hb 105 g/l. • Groupe sanguin AB Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 10.01.20. • Streptocoques du groupe B négatif le 10.01.20. • Sérologies : Toxo non-immune 12.09.19; CMV non-immune 12.09.19; Rubéole non-immune 29.05.19; VDRL négatif 29.05.19; HBS négatif le 29.05.19; HCV négatif 29.05.19; HIV négatif 29.05.19; Varicelle négatif. • Boostrix non documenté • Laboratoire du 10.01.2020 : Hb 155 g/L, Lc 9.4 G/L, Tc 248 G/L • Frottis PAP du 04.12.2019 : LSIL et ASC-H • Biopsie du 12.12.2019 : Lésion malphighienne intra-épithéliale de haut grade. Inflammation virale à HPV. Muqueuse glandulaire endocervicale saine (HSIL) (3 biopsies du col utérin). • Laboratoire du 10.01.2020 : Hémoglobine 121 g/l, Lc 13.3 G/l; Tc 287 G/l; CRP 5 mg/l • Groupe sanguin B positif, AC irréguliers négatif le 10.01.2020 • Streptocoques du groupe B négatif le 23.12.2019. • Sérologies : Toxo non-immune 10.05.2019; Rubéole immune 10.05.2019; VDRL négatif 10.05.2019; HBS négatif 10.05.2019; HCV négatif 10.05.2019; HIV négatif 10.05.2019; particularités : Boostrix fait le 22.10.19 • Laboratoire du 10.12.2019 : NT-proBNP 14'364 ng/l • Radiographie du 11.12.2019 : cardiomégalie, épanchement pleural gauche • ECG du 10.12.2019 : rythme pacemaker-induit • Adaptation médicamenteuse par Lasix et Torasemid • Laboratoire du 11.01.2020 : Hb 130 g/l, Lc 7.9 G/l; Tc 230 G/l, crase eo • Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 11.01.2020 • Streptocoques du groupe B positif le 26.10.2019 • Sérologies du 17.06.2019 : Toxo non-immune • Sérologies du 09.07.2019 : CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif, HIV négatif • Sérologies du 24.10.2019 : HBS négatif; HCV négatif • Varicelle faite. • Boostrix durant la grossesse. • Laboratoire du 12.12.2019 : Créatinine à 131 umol/l, CKD-EPI 30.4 mL/min/1.73m² • Laboratoire du 14.12.2019 : Créatinine à 88 umol/l, CKD-EPI 49.1 mL/min/1.73m² • FeUrée à 28,3 prérénal • Laboratoire du 13.01.2020 : cf. annexes. GB 7.5 G/L, CRP 29 mg/L. • Rocéphine 2g IV (J4/5). • Rendez-vous chez l'urologue le 14.01.2020 (Dr. X - dossier faxé). • Laboratoire du 14.01.2020 : Hb 120 g/l, Lc 13 G/l; Tc 234 G/l; • Groupe sanguin B Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D le 14.01.2020, AC irréguliers négatif le 14.01.2020 • Streptocoques du groupe B positif le 19.12.2019 • Sérologies : CMV immune; Rubéole non immune; VDRL négatif le 12.07.2019; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite • Boostrix durant la grossesse. • Laboratoire du 14.01.2020 : Hb 104 g/l, Lc 11 G/l; Tc 207 G/l; CRP 8 mg/l • Laboratoire du 15.01.2020 : Hb 95 g/l, Lc 14 G/l; Tc 140 G/l • Hb post-partale : 88 g/l • Groupe sanguin B Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D le 02.01.2020, AC irréguliers négatif le 15.01.2020 • Streptocoques du groupe B négatif le 03.01.2020 • Sérologies du 15.01.2020 : VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite, Toxo statut inconnu; CMV statut inconnu; Rubéole pas de documentation disponible; • Boostrix non documenté. • Laboratoire du 14.01.2020 : Hb 115 g/l, Leucocytes 8.1 G/l, Thrombocytes 289 G/l • Groupe sanguin B Rhésus positif; AC irréguliers négatif 09.07.2019; • Streptocoques du groupe B négatif 13.12.2019; • Sérologies du 09.07.2019 : Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite; • particularités : rub limite • Boostrix non documenté • Laboratoire du 14.01.2020 : Hb 142 g/L, Lc 6.1 G/L, Tc 287 G/L, TP PTT en ordre. • Frottis PAP du 25.07.2019 : LSIL, ASCH, HPV 16 et autre haut risque positif, CINtec PLUS positif. Biopsies (12h, 7h, curetage de l'endocol): CIN2/HSIL à 12h, CIN/LSIL à 7h, CEC: ASCUS, pas de dysplasie marquée. Laboratoire du 14.12.2019 : NT-proBNP à 5475 Suivi du poids Adaptation des diurétiques Majoration du Bisoprolol Laboratoire du 15.01.2020 : Hb 130 g/l, Lc 6 G/l; TC 204 G/l; Groupe sanguin B Rhésus positif; AC irréguliers négatif 01.07.2019; Streptocoques du groupe B négatif 11.12.2019; Sérologies: CMV immune 29.01.2013; Rubéole immune 29.01.2013; VDRL négatif 01.07.2019; HBS négatif 01.07.2019; HCV négatif 01.07.2019; HIV négatif 01.07.2019; Varicelle, faite; particularités: Syphilis AC négatif le 01.01.19 Boostrix non documenté. Laboratoire du 15.01.2020 : Hb 136 g/l, Lc 9 G/l; Tc 297 G/l; CRP <5 mg/l Bilan de gestose aligné hormis spot urinaire 15.01.2020 à 156 mg Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 17.06.2019; Streptocoques du groupe B négatif 18.12.2019; Sérologies 17.06.2019: CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle positif Boostrix durant la grossesse. Laboratoire du 15.01.2020: Hb 133 g/l, Lc 11.8 G/l; Tc 245 G/l. Ferritine 14 ug/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 17.01.20. Streptocoques du groupe B négatif le 18.12.19 Sérologie du 19.07.19: Rubéole immune Sérologie du 29.07.19: Toxo non-immune; VDRL nég; HIV nég. Sérologie du 06.08.19: CMV immune Sérologies du 18.12.19: HBS nég.; HCV nég.; Varicelle faite Boostrix fait le 08.11.19 Laboratoire du 15.01.2020: Hb 136 g/L, Lc 4.8 G/L, Tc 278 G/L, HbA1c: 12.7 Frottis PAP du 27.11.2019: absence de cellules suspectes IRM pelvienne du 03.12.2019: Utérus myomateux. Masse pelvienne de 11 cm correspondant à une tumeur ovarienne gauche. Dilatation des uretères bilatéralement plus marquée à droite. Marqueurs tumoraux du 10.12.2019: CA-125 à 17 kU/L, CA 19-9 à 13 kU/L, CEA 4.5 microg/L Sérologies IST (HIV, HBV, HCV) du 23.12.2019: négatifs Laboratoire du 15.12.2019 : D-dimère 1642 NT-proBNP à 44 402 Radiographie du thorax ECG Score de Genève : 9 pts avec une suspicion intermédiaire. US des membres inférieurs : pas de thrombose veineuse profonde. Anticoagulation sous HNF en intraveineux du 15.12.2019 au 19.12.2019 puis relais sous Eliquis du 19.12.2019 au 23.12.2019 Laboratoire du 16.01: pas de syndrome inflammatoire. Avis dermatologique du CHUV sur photo: antibiothérapie, suivi chez le médecin traitant puis consultation dermatologique dans un second temps vu les antécédents tumoraux. Attitude: • Augmentin 3x/jour, poursuite de la Fucidine. • Consignes de reconsulter si fièvre, douleurs, évolution rapide sur le weekend. • Suivi chez le médecin traitant puis chez le dermatologue. Laboratoire du 16.01.20: Hb 127 g/l, Lc 8.1 G/l; Tc 222 G/l; CRP <5 mg/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 16.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif le 16.01.2020 Sérologies du 20.08.19: Toxo immune; Rubéole immune, syphilis nég. Sérologies du 14.08.19: HBS nég; HCV nég; HIV nég; Varicelle faite Boostrix fait le 27.11.2019 Laboratoire du 16.01.2020: Hb 132 g/l, Lc 11.5 G/l; Tc 320 G/l; CRP 8 mg/l Hb post-partale: 91 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 16.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif le 18.12.2010 Sérologies du 12.07.19: Rubéole immune; VDRL négatif Sérologies du 15.07.20: HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 16.01.2020: Hb 135 g/L, Lc 5.6 G/L, Tc 222 G/L Examen urodynamique du 10.01.2020: Hyperactivité vésicale peu gênante. Rectocèle III. Laboratoire du 16.12.2019 : ECG du 16.12.2019 Radiographie du thorax Réadaptation gériatrique aiguë du 17.12.2019 au 24.12.2019 Physiothérapie de mobilisation Ergothérapie Bilan nutritionnel Tests cognitifs du 24.12.19 : MMSE 12/30, test de l'horloge 0/7 et score de GDS (non souhaité) Laboratoire du 17.01.20: Hb 129 g/l, Lc 15.6 G/l; Tc 230 G/l; CRP <5 mg/l; crase eo Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 17.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif le 27.12.19 Sérologies du 02.12.19: VDRL nég.; HBS nég. (vaccinée); HCV nég.; HIV nég.; Varicelle faite Rubéole non-immune Laboratoire du 17.01.20: Hb 130 g/l, Lc 11.7 G/l; Tc 227 G/l; CRP <5 mg/l, bilan de gestose eo Kleihauer du 18.01.2020: 0 Groupe sanguin AB Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D le 22.11.19, AC irréguliers négatif le 17.01.20 Streptocoques du groupe B négatif le 10.01.20 Sérologies du 05.07.19: Toxo non-immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL nég.; HBS nég.; HCV nég.; HIV nég.; Varicelle faite Laboratoire du 17.01.2020 : CRP 278 mg/l, leucocytose à 18.7 G/l Gazométrie artérielle du 17.01.2020 : hypoxémie à 7.9 kPa, pH à 7.48, PCOE 4.9 kPa, Bic à 27 mmol/l, lactates à 1.4 mmol/l ECG Laboratoire du 18.01.20: CRP 177 mg/l, pas de leucocytose, GGT 65 U/I, bili totale 12.1 umol/l, bili direct 5.9 umol/l Laboratoire du 18.01.20: Hb 121 g/l, Lc 7 G/l; Tc 259 G/l; CRP <5 mg/l Groupe sanguin: O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 18.01.20 Streptocoques du groupe B négatif le 18.01.20. Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif. Laboratoire du 18.01.20: Hb 143 g/l, Lc 15.9 G/l, Tc 292 G/l, crase eo Laboratoire du 18.01.20: Hb 159 g/l, Lc 9.6 G/l; Tc 273 G/l. Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 18.01.20. Streptocoques du groupe B négatif le 16.12.19 Sérologies: CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS vaccinée; HCV négatif; HIV négatif. Laboratoire du 18.01.2020 : CRP 205 mg/l, pas de leucocytose. Antigènes urinaires du 18.01.2020 : négatifs. ECG du 18.01.2020 : rythme non sinusal irrégulier à 79/min, QRS fins, ST isoélectrique, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax du 18.01.2020 : possible foyer pulmonaire gauche. CT thoracique du 18.01.2020 : foyer pulmonaire gauche, fracture de côtes des 2-3-4-5-6 arcs postérieurs, pas de volet costal. Goitre nodulaire d'allure polykystique. Co-amoxicilline 2200 mg iv 3x/jour du 18 au 24.01.2020 y compris. Laboratoire du 18.01.2020: Hb 136, Lc 22.7, CRP 241, Tc 245, Na 134, K 3.5 TG urinaire: négatif Stix: propre Laboratoire du 20.01.2020: LC 14.1 G/L, CRP 141 mg/L Frottis vaginal du 18.01.2020: Chlamydia négatif, Gonocoque négatif. Bactériologie générale en cours Laboratoire du 18.01.2020 CT cérébral natif et injecté du 18.01.2020 : pas de saignement intracrânien, pas de métastases cérébrales, pas de thrombose du sinus veineux. ECG du 18.01.2020 Avis neurologique Dr. X: Crise tonico-clonique inaugurale d'origine indéterminée. Proposition d'une introduction de Gabapentine 300 mg 3x/j Laboratoire du 18.01.2020 CT cérébral natif et injecté du 18.01.2020 : pas de saignement intracrânien, pas de métastases cérébrales, pas de thrombose du sinus veineux. ECG du 18.01.2020 Avis neurologique Dr. X: Crise tonico-clonique inaugurale d'origine indéterminée. Proposition d'une introduction de Gabapentine 300 mg 3x/jour Laboratoire du 19.01.20 : Hb 85 g/L, Lc 9.3 G/L, CRP 286 mg/L US du 19.01.20: utérus antéversé, de 13 cm x 9 cm, avec endomètre épaissi hétérogène et image de rétention matérielle de 5 cm x 5 cm. Annexes sans particularités des deux côtés, pas de liquide libre. Hémocultures: Positives à E. Coli ESBL Uricult: Flore mixte Frottis bactériologique: E. Coli ESBL Laboratoire du 19.01.2020 : CRP 200 mg/l, leucopénie 2.2 Gazométrie : pH 7.37, pCO2 4.2 kPa, pO2 9.3 kPa, bicarbonates 18 mol/l, pas de lactates Antigènes urinaires Legionella, pneumocoque : négatifs Frottis nasopharynx PCR Influenza A/B + RSV : négatifs Hémocultures du 18.01.2020 : en cours Rx thorax Rocéphine 2000 mg iv et Klacid 500 mg Physiothérapie respiratoire Laboratoire du 19.01.2020: Hb 133 g/L, Tc 212000, Lc 16.9 G/L Groupe sanguin du 19.01.2019: 0 Rh Positif, RAI négatif S. agalactiae de groupe B du 09.01.2020: négatif Sérologies: CMV non-immune 30.09.2019, Rubéole immune 27.05.2019, VDRL négatif 27.05.2019, HBV négatif 27.05.2019, HIV négatif 27.05.2019. Laboratoire du 19.12.2019: hémoglobine 78, érythrocytes 2.55, hématocrite 0.25, CRP 81 Mise en pause de la Clexane le 29.11.2019 Transfusion d'un culot érythrocytaire le 18.12.2019 Laboratoire du 19.12.2019: Hb 131 g/l, Lc 9.4 G/l, Tc 199 G/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatifs le 19.12.2019 Streptocoque du groupe B ano-génital 19.12.2019: négatif Sérologies du 22.11.19: CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBs négatif; HIV négatif; Varicelle faite Boostrix et vaccin grippe fait le 25.10.19 US du 19.12.2019: Céphalique dos à droite, placenta fundique sans signe de décollement, ILA 11, Manning 8/8 (mouvements foetaux ressentis durant l'examen), PFE 2971 g, IP DO et DC eo US du 20.12.2019 par Dr. X: Manning 8/8, pas de procidence du cordon, Doppler eo, ILA eo Laboratoire du 20.01.20: Hb 140 g/l, Lc 14.3 G/l; Tc 257 G/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 28.06.19 Streptocoques du groupe B positif. Sérologies du 28.06.19: Toxo non-immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL nég.; HBS nég.; HIV nég.; HCV nég. Laboratoire du 20.01.2020: CRP à 255 mg/l sans leucocytose (4.6 G/l). Gazométrie du 20.01.2020: pH 7.46, PCO2 4.9 kPa, PO2 12.2 kPa, Bicarbonate 26 mmol/l, saturation 98%. Antigènes urinaires légionelle + pneumocoque le 20.01.2020: négatifs. Radiographie du thorax du 20.01.2020: pneumonie bi-lobaire (lobe supérieur et inférieur) droite. Radiographie du thorax de contrôle du 24.01.2020: disparition des foyers pulmonaires. Oxygénothérapie 1 litre à l'entrée. Aérosol Atrovent-Ventolin d'office et en réserve. Symbicort 100/6. Ceftriaxone 2 g iv 1x/j du 20 au 26.01.2020. Clarithromycine 500 mg per os 2x/j du 20 au 21.01.2020. Laboratoire du 20.01.2020: Hb 122 g/l, Lc 12 G/l; Tc 337 G/l; Glu 3.4 mmol/l, Urée 62 mmol/l, Sodium 139 mmol/l, Potassium 3.8 mmol/l, ALAT/ASAT 25/26, Bilirubine 3.1, Haptoglobine 0.49, LDH 411 Laboratoire du 21.01.2020: Hb 110 g/l, Lc 12.5 G/l; Tc 255 G/l; Glu 2.5 mmol/l, Urée 55 mmol/l, Sodium 135 mmol/l, Potassium 4.0 mmol/l, Magnesium 0.75 mmil/l, ALAT/ASAT 26/25, Bilirubine 7.3, Haptoglobine 0.94, LDH 376 Laboratoire du 22.01.2020: Hb 107 g/l, Lc 13 G/l; Tc 255 G/l; Glu 2.6 mmol/l, Urée 63 mmol/l, Sodium 134 mmol/l, Potassium 4.4 mmo/l, Magnesium 2.21 mmil/l, ALAT/ASAT 28/23, Bilirubine 8.9, Haptoglobine 1.12, LDH 515 Laboratoire du 24.01.2020: Hb 110 g/l, Lc 8.4 G/l; Tc 280 G/l; Glu 3.5 mmol/l, Urée 62 mmol/l, Sodium 137 mmol/l, Potassium 4.1 mmo/l, Magnesium 0.74 mmil/l, ALAT/ASAT 27/23, Bilirubine 3.7, Haptoglobine 1.56, LDH 395 Hb post-partale: 110 g/l Bilan de pré-éclampsie: aligné hormis LDH à 515 U/L Groupe sanguin A Rhésus Positif Sérologies 11.09.2019: Toxo non-immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Laboratoire du 20.01.2020: Hémoglobine 119 g/l, Leucocytes 7.3 G/l, Thrombocytes 169 G/l, CRP < 5 mg/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatifs le 20.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif le 17.01.2020 Sérologies: Toxoplasme non immune, CMV non immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire du 21.01.2020: Hb 104 g/l, MCV 61 fl, MCH 19 pg, MCHC 310 g/l, Na 134 mmol/l, K 4.2 mmol/l, CRP 19 Gazométrie du 21.02.2020: pH 7.44, pCO2 4.2 kPa, pO2 10.3 kPa, Bic 22 mmol/l, excès de base -2.5 mmol/l, lactacte 0.8 mmol/l Laboratoire du 21.01.2020: Hb 118 g/L, Lc 7.7 G/L, Tc 299 G/L, CRP 10 mg/L, TP PTT en ordre. Biopsie endométriale (Pipelle de Cornier) du 04.12.2019: Polype endométrial. Absence d'hyperplasie atypique et de carcinome. Frottis PAP du 04.12.2019: Absence de cellules endométriales. Négatif pour une lésion malpighienne intra-épithéliale. Chlamydia négatif le 04.12.2019. Laboratoire du 21.01.2020: Hb 124 g/L, Lc 6.5 G/L, Tc 210 G/L Dernier frottis PAP (en attente du cabinet de Dr. X) IRM du 11.09.2018: Utérus de taille normale, latéro-dévié vers la gauche. Annexes folliculaires avec follicule dominant annexiel droit. Probable myome sous-séreux de la partie latérale gauche du corps de l'utérus. Doute sur la présence d'une petite lésion d'allure liquidienne centrée sur l'endomètre, à la partie droite de la région isthmique utérine. Laboratoire du 21.01.2020: Hb 137 g/L, Lc 10.4 G/L, Tc 292 G/L, CRP < 5 mg/L, béta HCG 0 US abdominal du 21.01.2020: L'utérus est antéversé à contours réguliers, de 60x18x40 mm, endomètre régulier à 4.4 mm OVAIRE DROIT: Normale, contours réguliers, Taille 23 mm x 26 mm x 21 mm OVAIRE GAUCHE: Taille 68 mm x 61 mm x 71 mm. Masse hétérogène à gauche, bien délimité, Doppler+ (suggestive pour un kyste hémorragique du corps jaune) avec lame de liquide 37 mm x 12 mm. Laboratoire du 22.01.2020: Hémoglobine 120 g/l, Leucocytes 8.1 G/l, Thrombocytes 242 G/l Groupe sanguin AB Rhésus positif, AC irréguliers négatif 22.01.2020 Streptocoques du groupe B positif Sérologies: • 07.2019: Toxoplasme immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HIV négatif • 11.2019: HBsAg négatif, HCV négatif Varicelle faite Laboratoire du 22.01.2020: syndrome inflammatoire. Gazométrie artérielle du 22.01.2020: hypoxémie à 10.6 kPa. Frottis grippe positif à Influenza B. Radiographie de thorax du 22.01.2020: pas de foyer visualisé. Hospitalisation en médecine interne avec isolement gouttelettes (suspicion grippe). Laboratoire du 22.01.2020: Hb 141 g/L, Tc 236000, Lc 11.5 G/L, PT 100%, INR 1.0, PTT 34 sec, Fibrinogène 4.7 mcmol/L, Urée 4.3 mmol/L, Na 141 mmol/L, K 4.1 mmol/L. Laboratoire du 22.01.2020: urée 6 mmol/l, créat 36 umol/l, CK 2461 U/l Laboratoire du 22.12.2019: Hb 124 g/L, Lc 12.7 g/L, CRP 7 Laboratoire du 23.12.2019: Hb 117 g/L, Lc 8.5 g/L, CRP 73 Sédiment urinaire du 22.12.2019: leucocyturie Uricult: Staph Epidermidis US abdominal le 22.12.2019: dilatation pyélo-calicielle droite max 22 mm, pas de lithiase visualisée, uretères mal visualisés Laboratoire du 23.01.2020: Hémoglobine 129 g/l, Leucocytes 8.1 G/l; Thrombocytes 125 G/l; crase en ordre. Hémoglobine post-partale: 99 g/l. Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatifs le 23.01.2020. Sérologies du 20.06.2019: Toxoplasmose immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBV négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle immune. Laboratoire du 23.01.2020: Hémoglobine 141 g/l, Leucocytes 6.4 G/l; Thrombocytes 182 G/l; crase en ordre. Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatifs le 23.01.2020. Streptocoques du groupe B négatifs le 06.01.2020. Sérologies du 24.07.2019: rubéole immune; VDRL négatif; HBV négatif; HCV négatif; HIV négatif. Laboratoire du 23.12.19: Hb 142 g/l, Lc 9.6 G/l; Tc 197 G/l; crase eo Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 12.06.19 Streptocoques du groupe B négatif le 23.12.2019 Sérologies du 12.06.19: Toxo non-immune Sérologies du 28.12.17: CMV immune; Rubéole immune Sérologies du 19.07.19: VDRL nég.; HCV nég.; HIV nég.; HBV nég.; Varicelle faite. Laboratoire du 24.01.2020: Hb 106 g/L, Lc 7.6 G/L, Tc 148 G/L Hb post-opératoire le 25.01.2020: 103 g/L CT scan abdominal du 15.01.2020: Pas de CT comparatif récent à disposition ce jour. Status post by-pass gastrique sans remplissage notable de l'estomac exclu et sans iléus grêle en amont du pied de l'anse. Pas de lésion focale splénique visible. Présence d'une hernie de la ligne blanche située environ 5 cm au-dessus de l'ombilic avec collet mesurant 27 x 40 mm et à contenu graisseux sans complication actuelle. Frottis PAP du 22.10.2019: Absence de cellules suspectes. Chlamydia négatif. Laboratoire du 24.12.2019: Hb 136 g/L; lc 5.7 g/L; Tc 284 G/L; crase en ordre. Mammographie et US du 13.12.2019: Masse suspecte de malignité de 18x15x14 mm quadrant supéro-interne sein gauche (ponction). Biopsie QSI sein gauche: carcinome canalaire invasif, NST, G3, ER 100%, PR nég, Ki-67 25 %, HER2 nég. PET-CT 23.12.2019: absence de lésion en faveur d'éventuelles métastases. Laboratoire du 25.01.2020: Hb 126 g/L, Lc 8.6 G/L, Tc 158 G/L. Hb post-partum: Hb 75 g/L le 27.01.2020. Groupe sanguin A-, immunoglobuline anti-D le 30.09.2019, AC irréguliers négatifs 25.01.2020. Streptocoques du groupe B positifs le 25.01.2020. Sérologies du 12.06.2019: rubéole immune; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; varicelle immune. Laboratoire du 25.01.2020: Hb 139 g/L, Leu 11.8 G/L, Tc 194 G/L, CRP: 32 mg/L. Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif. Streptocoques du groupe B négatif 30.12.2019. Sérologies du 22.07.19: Toxoplasmose non-immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite. Laboratoire du 25.01.2020: Hémoglobine 137 g/L, Leucocytes 10,2 G/L, Thrombocytes 268 G/L, CRP < 5. Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatifs 14.06.2019. Frottis vagino-rectal pour Streptocoques B négatifs le 06.01.2020. Sérologies: Toxoplasmose non-immune 27.09.2017; CMV non-immune 25.09.2019; Rubéole immune 14.06.2019; VDRL négatif 17.06.2019; HBV négatif 17.06.2019; HCV négatif 17.06.2019; HIV négatif 17.06.2019. Laboratoire du 26.01 Consilium ophtalmologique du 26.01 et 28.01 Acyclovir iv 20 mg/kg q8h du 26.01 au 29.01 Laboratoire du 26.01.20: Hb 129 G/L, Lc 10.6 G/L; Tc 329 G/L; crase en ordre. Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 26.01.2020. Streptocoques du groupe B négatif le 16.01.2020. Sérologie du 04.07.19: Toxoplasmose non-immune. Sérologies du 08.08.19; CMV non-immune; VDRL négatif, HIV négatif. Sérologies du 13.11.17: Rubéole non-immune. Sérologies du 20.11.19: HBS négatif; HCV négatif; Varicelle faite. Boostrix fait le 20.11.2019. Laboratoire du 26.01.2020: Hb 125 g/L, Lc 5.9 G/L; Tc 105 G/L. Groupe sanguin O-, immunoglobuline anti-D le 14.10.19, AC irréguliers négatif le 26.01.2020. Streptocoques du groupe B négatif le 24.01.2020. Sérologies du 11.07.19: CMV immune; Rubéole vaccinée; VDRL négatif; HBV vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite. Laboratoire du 26.01.2020: Hb 130 g/L, Lc 8.6 G/L, Tc 204 G/L, CRP 128 mg/L. Laboratoire du 28.01.2020: Lc 6 G/L, CRP 83 mg/L. Frottis cervical du 26.01.2020: Chlamydia et Gonocoque négatif. US endovaginal du 26.01.2020: Utérus rétroversé, mesurant 8.9x5.5x6.5 cm. Endomètre mesuré à 5 mm. OVAIRE DROIT: 48x22 mm sans particularité. OVAIRE GAUCHE: 30x21 mm sans particularité. Région annexielle droite: volumineuse collection de 9x4 cm, multiples septas. CT scan abdominal du 26.01.2020: Abcès mesurant 9 x 5 cm dans le plan axial dans l'espace de Douglas. Pas de franc signe de diverticulite. Pas de signe radiologique pour une pyélonéphrite. Pas de dilatation pyélocalicielle. Laboratoire du 26.12.2019 : natrémie à 115 mmol/L, osmolalité à 253 mosmol/kg. Spot urinaire. Lit monitoré du 26 au 27.12.2019, puis hospitalisation en médecine le 27.12.2019. Hydratation iv le 26.12.2019. Restriction hydrique à 1000 ml/jour per os. Laboratoire du 26.12.2019 : • NT-ProBNP 188 ng/L, créatine 73 mmol/L, tests hépatiques normaux • Troponines T hs le 02.01.2020 : 68 ng/L • Troponines T hs le 03.01.2020 : 81 ng/L Gazométrie du 26.12.2019 : hypoxémie sans trouble acido-basique, pH 7.43, PCO2 4.6 kPa, pO2 7.5 kPa, bic 23 mmol/L. ECG du 26.12.2019 : bloc de branche droit (retrouvé sur un ancien ECG). ECG du 03.01.2020 : comparable à celui du 26.12.2019. RX thorax face/profil du 26.12.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Epaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. US abdominal du 27.12.2019 : foie stéatosique, sans signe de cirrhose, status post-cholécystectomie, pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Pas de liquide périhépatique. Pas de liquide libre dans le petit bassin. Pas d'ascite. Echocardiographie - Dr. X - du 30.12.2019 : FEVG conservée, pas de dysfonction systolique ni diastolique. Avis angiologique le 27.12.2019 : artériopathie jambière importante, pas de thrombose veineuse profonde, veine cave dilatée. Avis cardiologique : pas de coronarographie, IRM fonctionnelle à prévoir, adaptation du traitement hypertenseur par majoration du Lisinopril possible jusqu'à 20 mg et ajout de Bisoprolol 2.5 mg 2x par jour. Atrovent et Ventolin 4x/jour. Co-Amoxi 2,2 iv 3x/j du 26 au 31.12.2019 inclus. Laboratoire du 27.01.2020: Hb 123 g/L, Lc 11.7 G/L; Tc 329 G/L; CRP 13 mg/L. Groupe sanguin O-, immunoglobuline anti-D négatif le 27.01.2020, AC irréguliers négatif le 27.01.2020. Streptocoques du groupe B négatif le 03.01.2020. Sérologies: Toxoplasmose immune 15.11.17; CMV immune 15.11.17; Rubéole; VDRL négatif 11.07.19; HBS négatif 03.12.19; HCV négatif 03.12.19; HIV négatif 11.07.19. Laboratoire du 27.01.2020: Hb 147 G/L, Lc 7.6 G/L, Tc 245 G/L, CRP <5 mg/L, Na 131 mmol/L, K 3.6 mmol/L. Fonction thyroïdienne: TSH 0.8 mU/L. Frottis vaginal: C. albicans. Chlamydia trachomatis négatif. Stix: lc+, sg+, prot+. Culture urinaire: négative. USTV: grossesse intra-utérine évolutive à 9 6/7 semaines d'aménorrhée. Laboratoire du 27.01.2020: Hémoglobine 131 g/L, Leucocytes 16 G/L; Thrombocytes 312 G/L; crase en ordre. Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatifs le 27.01.2020. Frottis vagino-rectal pour Streptocoques du groupe B négatif le 07.01.2020. Sérologies: Toxoplasmose immune le 12.07.2019, CMV non immune le 12.07.2019, Rubéole: immune le 12.07.2019, VDRL négatif le 12.07.2019, HBV négatif; HCV négatif, HIV négatif le 12.07.2019, Varicelle immune. Laboratoire du 27.01.2020: Leucocytose à 17.3 G/L, Thrombocytes 151 G/L, CRP 29 mg/L, transaminasémie avec ASAT 101 U/L, ALAT 118 U/L. Sérologie du 27.01.2020: EBV VCA IgG <10 U/ml, EBV VCA Ig 68.0 U/ml, EBV EBNA-1 IgG <3 U/ml, CMV IgG 86,2 U/ml, CMV IgM 15,8 U/ml, Tularémie négatif. Test Mono rapide: positif. Echographie des parties molles du cou du 27.01.2020: multiples adénopathies bien différenciées non collectées, vascularisation normale, pas de tumeur. Hémocultures en cours. Laboratoire du 27.11.2019: Hb 140 g/L, Lc 8.3 g/L, Tc 266 G/L. Laboratoire du 02.12.2019: fonction rénale en ordre. CA-125 6 U/ml. Frottis cervico-vaginal du 27.11.2019: chlamydia négatif. IRM du 13.12.2019: ovaire gauche de 33x31x26 mm avec plusieurs lésions focales hétérogènes (plus grande 21 mm) compatibles avec une tumeur borderline dd hémorragique. US du 04.12.2019: Utérus rétroversé, kyste ovarien gauche uniloculaire de 40x49x43 mm avec présence de 4 papillations intrakystiques, contours réguliers, score Doppler 1. IOTA risque de malignité de 61 %, suspicion de kyste borderline séreux. Ovaire droit sp. Pas de liquide libre. Laboratoire du 27.12.19: Hb 122 g/L, Lc 9.8 g/L, Tc 181 G/L, crase en ordre. Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 28.12.19. Streptocoques du groupe B négatif le 21.11.2019. Sérologies du 29.05.19: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle immune. Boostrix non documenté. Laboratoire du 28.01.2020: Hb 130 g/L, Leu 14.1 G/L, Tc 224 G/L. Laboratoire: Groupe sanguin A Rhésus positif. Streptocoques du groupe B positif 05.12.2019. Sérologies du 17.05.2019: Toxo immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HIV négatif.Laboratoire du 28.12.19: Hb 120g/l, Lc 9G/l, Tc 147 G/l, crase alignée, fibrinogène 2.9 g/l, fonction hépatique et rénale en ordre, LDH 604 U/l, acide urique 346 umol/l, haptoglobine 0.63 g/l Hb post accouchement: Hb 66 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI négatif le 29.12.2019 Streptocoque du groupe B négatif 30.12.19 Sérologies: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Boostrix non documenté Laboratoire du 29.12.2019: Hb 141 g/L, Lc 7.4 g/L, Tc 217 G/L, CRP <5 Urotube du 29.12.2019: négatif Frotti cervico-vaginal du 29.12.2019: candidose (traitement par Fluomizin en cours), chlamydia négatif Hydrosonographie du 31.12.2019: isthmocèle de 7.8 x 4.5 mm avec couverture myométriale de 1.5 mm sur la paroi antérieure, probable fausse-route postérieure en regard de l'isthmocèle avec couverture myométriale de 1.6mm. Laboratoire du 30.01.2020: leucocytes 5 G/l, CRP <5 mg/l. Sédiment urinaire du 30.01.2020: propre. Urotube du 27.01.2020: E. coli. Laboratoire du 30.01.2020. ECG du 30.01.2020. CT cérébral injecté du 30.01.2020: superposable, pas de saignement. EEG du 30.01.2020. Avis neurologique du 30.01.2020 (Dr. X): ad Lamotrigine en schéma progressif, Urbanyl en schéma dégressif, ad stop conduite et réévaluation à la consultation Dr. X dans 3 mois. Instruction des symptômes nécessitant une nouvelle consultation en urgence. Laboratoire du 30.12.19: Hb 121 g/l, Lc 13.6 G/l; Tc 324 G/l. Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 31.12.19 Streptocoques du groupe B négatif le 31.12.19 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Boostrix non documenté Laboratoire du 30.12.19: Hb 131 g/l, Lc 7.5 G/l; Tc 203 G/l; 29.12.19 CRP 5 mg/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 05.07.19 Streptocoques du groupe B négatif le 16.12.19 Sérologies: Toxo: immune; CMV non-immune; Rubéole: immune, VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 30.12.20: Hb 121 g/l, Lc 8.2 G/l; Tc 183 G/l. Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 25.01.2020. Streptocoques du groupe B positif le 30.12.19. Sérologies: Toxo immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL; HBS vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite. Laboratoire du 30.12.2019: BNP élevés à 7801, troponine 46 à h0, 44 à h1, CRP à 61 mg/l sans leucocyte, sans trouble électrolytique ECG du 30.12.2019: rythme sinusal irrégulier, fréquence à 92/min, axe hypergauche, bloc atrio-ventriculaire 1er degré, extrasystoles ventriculaires avec pauses compensatrices, pas de trouble de la morphologie ni de la repolarisation Lasix 20 mg 2x/j le 30.12.2019 et le 01.01.2020 en ordre unique avec relais sous Torem 15 mg Ad. Bisoprolol car fréquence cardiaque à tendance élevée Laboratoire du 30.12.2019: Hb 104 g/L; Lc 8.9 g/L; Tc 613 G/L; CRP 150 mg/l; crase en ordre. Groupe sanguin: O Rhésus positif. Sérologies du 30.12.2019: CMV non-immune, EBV EBNA-1 IgG 499.0 U/ml (EBV VCA IgG, IgM négatifs); Hépatite B vaccinée; Hépatite C négatif; Lues négatif; HIV négatif. USTV du 06.01.2020: utérus en AVF, endomètre 2 mm, OvD 9 petits follicules; OvG 6 petits follicules. IRM lombo-pelvienne du 23.12.2019: atteinte multifocale du squelette avec processus infiltratif L4. Volumineuse adénopathie rétropéritonéale, inter-aortico-cave, para-aortique gauche. PET-CT du 30.12.2019: multiples hypercaptations latéro-cervical droit, supra-claviculaire gauche, rétropéritonéal, abdominal droit, surrénalien, D12, sacrum, aires iliaques bilatérales. Laboratoire du 30.12.2019: Hémoglobine à 147 g/l, Leucocytes 17.5 G/l, Thrombocytes 255 G/l Groupe sanguin A Rhésus positif. AC irréguliers négatif le 30.12.2019 Streptocoques du groupe B ano-vaginal positif le 13.12.2019 Sérologies du 24.06.2019: Toxoplasmose non-immune, CMV immune, VDRL négatif, HBV négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle immune, particularités: Boostrix effectué durant la grossesse Laboratoire du 31.12.2019: Hb 113 g/l, Leucocytes 7.8 G/l; Thrombocytes 202 G/l Groupe sanguin O Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D 27.09.2019 et le 02.01.2020. AC irréguliers négatif 31.12.2019 Streptocoques du groupe B négatif 20.12.2019 Sérologies du 11.06.2019: CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HIV négatif, Varicelle positif, du 29.12.2019 HBS négatif Boostrix durant la grossesse. Laboratoire du 3.12.2019: AST/ALT >1, GGT 100. Suivi clinique. Laboratoire. ECG du 18.01.2020: tachycardie sinusale à 103/min, axe normal, intervalle PR à 140 ms, QRS fins, QTc dans la norme à 420 ms, pas de trouble de la conduction ni de la repolarisation. Laboratoire ECG du 24.01.2020: rythme sinusal et régulier, FC à 100/min, normoaxé, pas de trouble des intervalles ni de la morphologie ni de la repolarisation Laboratoire ECG CT cérébral le 10.01.2020 IRM cérébral le 10.01.2020 Avis neurologique (Dr. X): nécessité d'une PL malgré les résultats du CT, à la recherche d'une méningite et HSA, hyperleucocytose possible uniquement sur le phénomène de céphalée. Ponction lombaire (Dr. X): désinfection locale, champage, ponction en L4 en une fois, évacuation d'un liquide eau de roche. Pas de complication post geste. Mesure de pression du LCR à 21 mmHg. Pas d'éléments en faveur d'une méningite ou d'une HSA. Surveillance en lit monitoré la nuit du 09 au 10.01.2020 Normalisation de l'examen neurologique Suivi par le médecin traitant Laboratoire effectué à Riaz: pas de syndrome inflammatoire Itinerol B6 suppositoire Antalgie en réserve Consigne d'hydratation fractionnée Consigne de reconsulter si signe de déshydratation Laboratoire: en annexe. Laboratoire en annexe Consiliums infectiologique, rhumatologique, hématologique et dermatologique en annexe CT thoraco-abdomino-pelvien du 17.01: Comparatif du CT du 27.11.2019 réalisé au centre CIMF. Thorax: Aspect globalement superposable des ganglions médiastinaux antérieurs et axillaires, DDC. Abdomen: Nette diminution en taille de l'adénopathie iliaque commune droite mesurant ce jour 9x9mm contre 18x20mm et des adénopathies iliaques externes droites dont la plus volumineuse passe de 30x16mm à 7x11mm. Pas de changement des quelques ganglions infracentimétriques rétropéritonéaux latéro-aortiques gauches et mésentériques. Absence d'hépato-splénomégalie. Pas d'argument en faveur d'un foyer infectieux. Laboratoire: en annexe CT scanner thoracique le 06.01.2020: pas d'embolie pulmonaire ni signe indirect d'embolie pulmonaire. Coronarographie le 06.01.2020 (Dr. X): le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure ne présente pas de sténose significative sur l'ensemble de ses segments proximal, moyen et distal. La première marginale est occluse (occlusion aigüe). L'artère coronaire droite moyenne présente une lésion intermédiaire <50%. FEVG 45%. Echocardiographie transthoracique le 07.01.2020 (Dr. X, Dr. X): ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec un anévrisme de la paroi apicale et une hypokinésie modérée de la paroi latérale moyenne et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 41% (méthode de Simpson). Absence de thrombus visualisé au sein de l'anévrisme. Géométrie normale du ventricule gauche. Fonction diastolique normale. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. PAPS non évaluable en l'absence de d'IT. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire: en annexe CT scanner thoracique le 06.01.2020: pas d'embolie pulmonaire ni signe indirect d'embolie pulmonaire. Coronarographie le 06.01.2020 (Dr. X): le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure ne présente pas de sténose significative sur l'ensemble de ses segments proximal, moyen et distal. La première marginale est occluse (occlusion aiguë). L'artère coronaire droite moyenne présente une lésion intermédiaire <50 %. FEVG 45%. Echocardiographie transthoracique le 07.01.2020 (Dr. X, Dr. X): ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec un anévrisme de la paroi apicale et une hypokinésie modérée de la paroi latérale moyenne et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 41 % (méthode de Simpson). Absence de thrombus visualisé au sein de l'anévrisme. Géométrie normale du ventricule gauche. Fonction diastolique normale. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. PAPS non évaluable en l'absence de d'IT. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire: en annexe ECG: BAV 1er degré connu IRM cérébrale: à pister CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 27.01.2020: pas d'argument pour une lésion ischémique récente, ni de saignement mis en évidence. Status vasculaire superposable à l'examen du 26 août 2015, sans nouvelle occlusion ou sténose. Subocclusion chronique inchangée de l'artère carotide interne droite. Sténose significative du départ de l'artère vertébrale droite inchangée. Echocardiographie le 28.01.2020: sous réserve d'une qualité sonographique médiocre. Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie minime du septum moyen et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Absence d'épanchement péricardique. Absence de FOP après injection de microbulles et Valsalva. Duplex des artères pré-cérébrales et temporales le 28.01.2020: absence de signes échographiques en faveur d'une vasculite des gros vaisseaux. Artériopathie précérébrale obstructive d'origine athéromateuse, avec subocclusion chronique de l'ACI droite, bon résultat après CEA de l'ACI gauche, et sténoses de l'ACE et de l'a. vertébrale droite (stables). Laboratoire: en annexe ECG du 07.01.2020: inversion des ondes T en V2-V3-V4 CT thoracique le 07.01.2020: embolie pulmonaire centrale bilatérale avec répercussion sur la cavité cardiaque droite, sans infarctus pulmonaire. Echocardiographie transthoracique le 07.01.2020: ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction globale discrètement abaissée. Cinétique segmentaire non analysable. FEVG à 50 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Augmentation du débit cardiaque calculé à 4,54 l/min avec un index cardiaque à 2,51 l/min/m² (121% de la théorique). Aorte non dilatée. Absence de rétrécissement aortique. Surface aortique à 1,92 cm² (1,06 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Importante hypokinésie globale du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Oreillette droite non dilatée. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3) par dilatation de l'anneau avec défaut de coaptation. VCI dilatée et compliante. HTP modérée avec une PAPS à 46 mmHg. Absence d'épanchement péricardique. Coeur droit aigu avec dilatation importante du VD et dysfonction sévère du VD. Signe de McConnell. Dichrotic notch au PW doppler dans la CCVD. HTP modérée, PAPS à 46 mmHg. IT modérée sur dilatation de l'anneau. Fonction du VG à la limite inférieure avec une FEVG à 50% visuellement. Laboratoire: en annexe ECG du 31.01.2020: RSR Radiographie thoracique du 31.01.2020: foyer basale gauche Laboratoire: en annexe ECG le 05.01.2020: RSR, axe normal, pas de BAV, QRS fins ST iso-électrique, pas de trouble de la dé- ou repolarisation, QTc 360 Laboratoire en annexe. Radiographie de thorax le 16.01.2020: calcification de la crosse aortique avec déroulement aortique. Cardiomégalie avec turgescence hilaire pouvant faire évoquer une surcharge cardiaque. Pas de franc foyer pulmonaire décelable. Status post-sternotomie avec cerclage intact. L'os est sans particularité en dehors d'une arthrose acromio-claviculaire bilatérale. ECGs du 17.01: FA lente, nombreuses extrasystoles ventriculaires parfois polymorphes dont certaines avec phénomène R sur T. Discret sous-décalage ST < 1 mm V3V6 déjà présent. Echocardiographie trans-thoracique du 16.01: ETT stable: VG de taille limite supérieure, hypertrophie concentrique modérée, hypocinésie globale prédominante en inféro-basal avec FEVG visuelle 40/45% mais difficile à évaluer car FA et nombreuses ESV. Onde E exclusive. Aorte normale, valve aortique normale avec sclérose sans sténose. Surface aortique à 2,05 cm². Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dilatation franche des 2 oreillettes. Dilatation modérée du ventricule droit. PAPs normales. IT grade II. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire: en annexe Radiographie du thorax le 05.01.2020 Coronarographie le 06.01.2020: l'examen invasif du jour démontre une coronarographie normale avec un réseau de Thébésus proéminent. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à EF 55%. Laboratoire: en annexe Radiographie du thorax le 06.01.2020: examen réalisé en position couchée. Sous réserve de la position, on retrouve une discrète cardiomégalie. Pacemaker bicaméral pré-pectoral droit avec sondes connectées en surprojection de l'oreille et du ventricule droit. Sclérose du bouton aortique et déroulement de l'aorte thoracique. Accentuation de la trame péri-broncho-vasculaire en rapport avec des signes de surcharge. Épaississement bronchique diffus. Emoussement des angles costo-diaphragmatiques pouvant être en lien avec des petits épanchements pleuraux. Cadre osseux et parties molles extra-thoraciques sans particularité. Echocardiographie trans-thoracique le 07.01.2020 (Dr. X, Dr. X): VG non dilaté peu hypertrophié avec fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Flux mitral normalisé avec élévation des pressions de remplissage. Pas de sténose aortique, surface aortique à 3,2 cm² (1,65 cm²/m²), gradient moyen VG-Ao à 10 mmHg. Insuffisance aortique modérée (grade 2/4). Discrète accélération sous-aortique à 2 m/s sans SAM. Insuffisance mitrale modérée centrale (grade 2/4). SOR de l'IM à 0,21 cm². Dilatation importante du ventricule droit avec insuffisance tricuspide importante (grade 4/4) fonctionnelle par dilatation de l'anneau à 48 mm mais possiblement aussi par la sonde de PM qui va jusque dans l'infundibulum. Franc reflux dans les veines sus-hépatiques, dilatation importante de la veine cave inférieure et veines sus-hépatiques. Pas d'épanchement péricardique, épanchement abdominal.Interrogation du pacemaker le 07.01.2020 (Dr. X, Dr. X): Pas de dysfonction, réglage en VVI. CT cérébral natif le 07.01.2020: Examen réalisé en phase natif. Absence de comparatif. Légère infiltration des tissus mous sous-orbitaires droits. Pas d'hématome sous-galéal. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Ectasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire. Elargissement des sillons cérébraux et cérébelleux. Elargissement de la fossa sylvi ddc. Les structures médianes et les calcifications physiologiques sont en position normale. Pas de lésion focale, pas de masse. Épaississement muqueux du sinus maxillaire droit. Pseudophakie bilatérale. Radiographie de l'épaule le 07.01.2020: Fracture non déplacée du tiers distal de la clavicule droite. Ostéopénie. Boîtier de dispositif cardiaque en projection de la région pectorale. Congruence de l'articulation gléno-humérale. Calcifications en projection des insertions tendineuses sur la tête humérale. Laboratoire: en annexe Radiographie du thorax le 06.01.2020 CT cérébral: pas de fracture, pas de saignement, pas de signe d'ischémie. Laboratoire en annexes. Test rapide du paludisme: négatif Laboratoire en annexes. US ABDOMINAL COMPLET ET RECHERCHE D'APPENDICITE: foie de morphologie et d'échostructure normales, de contours réguliers, avec deux lésions hyperéchogènes, une mesurant 14.5mm au niveau du segment VI et une mesurant 4.2mm au niveau du segment II. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Vésicule biliaire à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Pancréas homogène, sans particularité. Rate homogène mesurant 93.9 mm de grand diamètre. Reins de morphologie normale, aux contours réguliers avec bonne différenciation cortico-médullaire (rein droit 112.2 mm, rein gauche 92.3 mm). Pas de dilatation des voies excrétrices urinaires. Vessie à parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Méats urétéraux libres. Utérus et ovaires sans particularité. Pas de liquide libre dans le petit bassin. Au niveau de la FID, on trouve une fine lame liquidienne. Léger épaississement des parois du côlon à ce niveau. L'appendice non visualisé. Pas de douleur au passage de la sonde. Aorte abdominale de calibre normal. CONCLUSION: deux lésions hyperéchogènes hépatiques, une de 14.5mm au niveau du segment VI et une de 4.2mm au niveau du segment II (correspondant le plus probablement à des hémangiomes). Appendice non visualisé. Fine lame liquidienne au niveau de la FID. Léger épaississement des parois du côlon à ce niveau. Pas de douleur au passage de la sonde. Utérus et ovaires sp. (Dr. X.) CT ABDOMEN INJECTE: Foie: taille et morphologie normales. Petite lésion kystique de 4mm au niveau du segment VIII hépatique. Lésion hypodense avec une prise de contraste nodulaire, périphérique, mesurant 15 x 10mm, au niveau du segment VI, sous-capsulaire (correspondant probablement à un hémangiome). Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul radio-opaque au sein de la vésicule, dont les parois sont fines. Rate et pancréas: taille et morphologie normales. Glandes surrénales: fines ddc. Reins: taille et morphologie normales, bonne différenciation cortico-médullaire. Petits calculs radio-opaques de 2-3mm au niveau d'un calice rénal inférieur G. Pas d'hydronéphrose. Vessie: peu remplie, sans particularités. Rétropéritoine: pas d'adénopathie rétropéritonéale de taille radiologiquement significative. Aorte: calibre normal. Estomac, intestin, côlon: aspect discrètement épaissi et oedématié des parois d'une portion du côlon ascendant, aspécifique. L'appendice est visualisé, de 8mm de diamètre, avec de parois fines, situé en position haute, sous-hépatique. Le reste du cadre colique se présente normalement. Bases pulmonaires: pas d'épanchement pleural, pas de lésion nodulaire suspecte. Colonne et os: pas de lésion osseuse suspecte dans l'ensemble du volume osseux exploré. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. CONCLUSION: lésion hypodense de 15 x 10mm avec une prise de contraste périphérique au niveau du segment VI hépatique, correspondant probablement à un hémangiome. Aspect discrètement épaissi et oedématié d'une portion du côlon ascendant (aspécifique). L'appendice d'aspect normal, en position sous-hépatique. (Dr. X.) Laboratoire en copie Laboratoire en cours Hemoculture en cours Hydratation 500 ml NaCl 0.9% iv Novalgin 1A Co-amoxicilline 2.2g iv Transfert à Fribourg Laboratoire et culture de selles. Résultats discutés le 18.01.2020. Laboratoire et gazométrie le 16.01: gazométrie alignée, léger syndrome inflammatoire, pas d'insuffisance rénale ni hépatique, crase normale Parasitémie le 16.01: augmentée à 1% Parasitémie le 20.01: indétectable Radiographie du thorax le 17.01: épaississements bronchiques bilatéraux, aspect compatible avec une infection virale Anomalie de radiotransparence apicale de deux côtés et para-cardiaque droite avec bronchogramme aérique évoquant un trouble ventilatoire, pas d'épanchement. Cadre osseux et parties molles sans particularité Laboratoire et sédiment urinaire mis en annexes. Laboratoire et sédiment urinaire mis en annexes. US abdominal: le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas est sans particularité. La rate est de taille à la limite supérieure de la norme, avec un diamètre d'environ 12,5 cm mais présente un aspect fin. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en semi-réplétion présente des parois fines et l'on ne visualise pas de liquide libre intra-péritonéal. L'appendice sur sa partie visualisée présente un aspect fin. En FID, on visualise quelques ganglions mésentériques modérément agrandis, mesurés à environ 5 mm de petit axe. CONCLUSION: pas d'image pathognomonique pour une APP, mais à noter quelques ganglions mésentériques modérément agrandis en FID. (Dr. X.) Laboratoire et urines: cf. annexes Hémocultures et urotube: cf. annexes Uro CT: rein droit superposable, calcul uretère moyen gauche à hauteur du disque intervertébral L3/4 mesurant 7 x 9 mm de diamètre, avec DPC 23mm en amont et infiltration rein et uretère en amont, pas d'abcès, pas de rupture du fornix. Laboratoire, examen clinique CT Abdomen ECG Superposable Avis chirurgien Att.: Hospitalisation, Sonde naso-gastrique, traitement conservateur Laboratoire. Examen clinique. RX genou f/p et rotule axiale. Avis orthopédique (Dr. X). Retour à domicile, poursuite Célébrex. Contrôle secteur ambulatoire des urgences le 07.01.2020 pour réévaluation et établir un diagnostic clair. Laboratoire, examen clinique. US (Dr. X): pas de dilatation voie rénale, pas de masse intravésicale visible. Attitude: Bactrim Forte, contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire: Folate à 2.8ng/mL Attitude: Substitution par acide folique 5mg/jour Laboratoire: Folgt Urine: pas d'infection urinaire Laboratoire: formule sanguine complète alignée, tests hépatiques et fonction rénale sp, TSH et vit B12 sp Attitude: • Traitement empirique de Pantozol 40mg. • Gastroscopie le 08.02.19 au Lindenhof • Arrêt de travail, repos, hydratation per os et diminuer posologie de Paracétamol pour les céphalées• Numéro du RFSM remis à l'amie de la patiente pour qu'elle agende un rendez-vous avec un psychologue/psychiatre lusophone • Recommandations de trouver un médecin traitant pour suite des investigations après la gastroscopie et l'évaluation psychologique. Laboratoire: FSC, tests hépatiques, électrolytes et fonction rénale alignés fonction thyroïdienne sp, pas de carence en vit B12 ni folate, carence en vitamine D (à 24 nmol/L) Attitude selon avis psychiatrique téléphonique (Dr. X): • Numéro du RFSM remis au mari (appeler lundi pour prendre rdv le jour même pour une consultation en urgence avec un traducteur, ou avant si situation non gérable à domicile) • Temesta 1mg exp en réserve si anxiété max 3x/j Ordonnance faxée le 27.01.20 avec substitution en vitamine D. Contrôle à prévoir chez médecin traitant à 3 mois. Laboratoire: FSS, fonction rénale, électrolytes sans particularité. Pas de syndrome inflammatoire. Crase sans particularité. Sédiment urinaire: érythrocytes et leucocytes incomptables, flore +. Laboratoire: FSS, fonction rénale et électrolytes sans particularité. Pas de syndrome inflammatoire. Tests hépato-pancréatiques sans particularité. Sédiment urinaire: sans particularité. Radiographie du bassin du 02.01.2020: structures osseuses du bassin et des fémurs proximaux conservées. Phlébolithes pelviens. Articulations sacro-iliaques et coxo-fémorales symétriques, sans lésion traumatique visible. (Dr. X) Radiographie de la colonne lombaire face/profil du 02.01.2020: contenu calcique dans la norme. Morphologie, alignement, hauteur des corps vertébraux lombaires conservées. Hypoplasie des 12èmes côtes prédominante à D. Absence de pincement intersomatique. Processus épineux, pédicules tous visibles, alignés. Lésions dégénératives interfacettaires bilatérales L5-S1. (Dr. X) Laboratoire: FSS, fonctionne rénale, électrolytes, sp. Pas de s. inflammatoire. crase sp, troponine négatives ECG: RSR 70 bpm, axe normal, PR 164 ms, QRS 104 ms, QTc 391 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation Laboratoire: FSS, fonctionne rénale, électrolytes sp. Pas de s. inflammatoire. Crase sp Gazométrie: acidose métabolique compensée à 7.39, lactates 1.3 ECG: RSR 70 bpm, axe normal, PR 170 ms, QRS 80 ms, QTc 413 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation, présence de une ESV Laboratoire: FSS, fonctionne rénale sans particularité. Pas de s. inflammatoire. K 3.2 mmol/l, Na 131 mmol/l. Protéines totales 61 g/l. Sédiment urinaire propre. Laboratoire: FSS sp, créatinine 94, urée 14.8, électrolytes sp. CRP 25. INR> 5.5. CK 213, CK-MB 31 et Troponines H0 30 H1 29, NT-proBNP 7228 ECG: rythme régulier 75 bpm, axe gauche, P non visualisable, QRS 120 ms, QTc 476 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation, présence de EV RX thorax: épanchement pleural D Laboratoire Gazométrie initiale le 24.01.2020 Sédiment urinaire : propre Hémoculture le 24.01.2020 : en cours Urotube : contamination probable Antigènes légionelle et pneumocoque : négatifs Frottis de grippe : négatif ECG RX thorax : foyer au niveau du lobe moyen droit Oxygénothérapie aux lunettes (2 l/min) Rocephin 2 g iv 1x/jour dès le 24.01.2020 Klacid 500 mg 2x/jour dès le 24.01.2020 Surveillance en lit monitoré aux urgences du 24.01.2020-25.01.2020 (MEDU) Séance de ventilation non-invasive, puis transfert aux soins intensifs - HFR Fribourg, le 25.01.2020 Laboratoire. Gazométrie. ECG. CT thoracique injecté. Hospitalisation en lit monitoré. À jeûn avec surveillance neurologique aux 4h. Laboratoire: GGT 101, LDH 621, reste aligné. CT cérébral: pas d'hémorragie, pas de masse. Retour à domicile. Contrôle chez le médecin traitant pour adresser la patiente à un neuropsychologue en ambulatoire pour évaluation d'une démence Distraneurin en Réserve. Laboratoire: glucose dans la norme, urée et créatinine dans la norme, pas de trouble électrolytique, syndrome inflammatoire avec leuco à 14.6 G/l et CRP à 29 mg/l. Sédiment urinaire: infection urinaire avec leuco sans nitrite, pas d'hématurie. Urotube: à pister. Test de grossesse: négatif. Laboratoire: glycémie 18.5 mmol/L. Sédiment urinaire: pas de corps cétonique. Laboratoire: Hb à 132, pas de syndrome inflammatoire, leucocytes à 7.6, CRP<5. Calcium corrigé diminué à 2.13, le reste des électrolytes normal, GGT légèrement augmenté à 46, reste du bilan hépatique normal. Pas de trouble de la crase. Sédiment urinaire: présence de sang ++++, pas de leucocyte, pas de nitrite. CT-scanner de l'abdomen natif et injecté du 02.01.2020: examen réalisé avant et après injection intraveineuse de 90 ml de Iomeron 400. Pas de calcul mis en évidence le long des voies urinaires. Les reins sont symétriques en taille et en aspect, sans dilatation de leur système collecteur. Absence d'infiltration péri-rénale ou de la graisse du sinus rénal des deux côtés. Vessie aux parois fines et à contenu hypodense homogène. Structure kystique de 26 x 21 mm centrée sur l'annexe droite, devant correspondre à un follicule. Suspicion de rétention intra-vaginale, à corréler à la clinique. Les organes génitaux internes sont autrement sans particularité. Absence d'adénopathie pelvienne. Absence de lésion hépatique suspecte notable. Aspect inchangé de la calcification punctiforme du segment hépatique VI (DD : ancienne echinococcose granulosus ?). Status post-cholécystectomie. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Le pancréas, la rate, et les surrénales sont de morphologie normale. Les structures digestives sont sans particularité. Absence d'adénopathie mésentérique ou rétropéritonéale. Pas d'ascite. L'aorte abdominale est de calibre normal et régulier. Les coupes passant par l'étage thoracique sont sans particularité. Le cadre osseux est dans les limites de la norme, avec un limbus vertebrae en L3, sans changement. CONCLUSION: pas de calcul urinaire ni d'autre anomalie des voies urinaires (DD passage de calcul). Pas de lésion tumorale visualisée. Follicule ovarien gauche pouvant éventuellement expliquer les douleurs de la patiente, à corréler au cycle menstruel (DD Mittelschmerz). Suspicion de rétention de matériel intra-vaginal, à corréler à la clinique. (Dr. X) Laboratoire: Hb à 136 g/l, Leucocytes à 7.4 G/l, CRP à 15 mg/l, créatinine à 100 µmol/l, Na à 136 mmol/l, K à 3.9 mmol/l. Pas de trouble de la crase. Radiographie du thorax face/profil du 18.01.2020: silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. (Dr. X) Laboratoire: Hb à 140 g/l, leucocytes à 7.7 G/l, CRP à 10 mg/l. Pas de trouble électrolytique. Laboratoire: Hb à 145, leucocytes à 5.7, CRP<5, créatinine à 64, K à 3.5, Na à 138, Ca corrigé à 2.24. Mg à 0.90, phosphate à 1.30. Pas de troubles de la crase. ECG: RSR, Fc 50, QRS fins, QTc à 398 ms. Pas de trouble ischémique. Laboratoire: Hb à 168 g/l, leucocytes à 11.2 G/l, CRP <5 mg/l, créatinine à 96 µmol/l. Pas de trouble électrolytique, ni hépato-pancréatique. Pas de trouble de la crase. Radiographie de l'abdomen couché et CT-scanner de l'abdomen injecté du 17.01.2020: examen réalisé après injection intraveineuse de 90 ml de Iomeron 400. Comparatif CT du 25 avril 2018 et RX du 21 mars 2016. Stase stercorale modérée au sein du cadre colique avec d'une petite quantité de selles dans la dernière anse grêle, sans distension pathologique. À noter la présence de quelques niveaux discrètement denses dans le rectum et le côlon sigmoïde, suspects de correspondre à une extravasation de produit de contraste. Toutefois en l'absence d'extériorisation de sang, un saignement reste peu probable (DD en rapport avec le produit utilisé pour le lavement réalisé aux Urgences avant l'examen ?). Présence de deux altérations du calibre du côlon, une dans le sigmoïde (images 292-315/443), et la seconde dans l'angle colique gauche (images 126-140/443). Absence d'adénopathie mésentérique ou rétropéritonéale. Pas de liquide ni d'air libre.Foie de taille et de configuration normales, contenant une petite lésion hypodense à cheval sur les segments D3, inchangée, devant correspondre à un kyste biliaire. Vésicule biliaire aux parois fines et à contenu hypodense homogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques. Splénomégalie à 14 cm de plus grand axe, inchangée. Le pancréas, les reins et les surrénales sont dans les limites de la norme. Pas de dilatation des systèmes collecteurs. Vessie en faible réplétion, aux parois ininterprétables. Les organes génitaux internes sont sans particularité. Absence d'adénopathie pelvienne. Les coupes passant par l'étage thoracique montrent des discrets troubles ventilatoires, sans autre lésion notable. Kyste sous-cutané dorsal (DD kyste sébacé). Le cadre osseux présente des discrètes altérations dégénératives, avec notamment une discopathie L5-S1 modérée. CONCLUSION: niveaux discrètement denses dans le rectum et le côlon sigmoïde (DD saignement, toutefois peu probable en l'absence d'extériorisation de sang). Coprostase. Présence de deux altérations du calibre du côlon, dans le sigmoïde et dans l'angle colique gauche sans masse objectivée, évoquant en premier lieu des spasmes mais pour lesquels une lésion tumorale sous-jacente ne peut pas être formellement exclue. Pour le reste, l'examen est dans les limites de la norme, superposable au précédent, en particulier sans signe d'iléus. Laboratoire: HB: 134 G/l, explication donnée. Compression bi-digitale. Nous motivons Mr. Y à recontacter son ORL traitant afin d'évaluer une prise en charge par cautérisation. Laboratoire: Hb: 146 g/L. Thrombocytes: 57G/L (stable), tests hépatiques alignés. Bilirubine à 4 umol/L, albumine à 43 g/L, INR à 1.1 Attitude: • Nous recommandons à Mme. Y de mesurer sa tension artérielle lors d'un futur épisode d'épistaxis. Un traitement d'Adalat 20 mg en réserve lui est prescrit si celle-ci s'avère élevée. • Recommandations d'usage données à Mme. Y pour la gestion d'un épistaxis (compression du nez, pencher la tête en avant, glace dans la nuque). • En cas d'épistaxis persistante, nous recommandons à Mme. Y de consulter les urgences. • En cas de récidive d'épistaxis auto-limitée, nous proposons à Mme. Y de contacter un ORL pour cautérisation au vu des épisodes répétés. Laboratoire: Hb 96g/l, phosphate 0.5, Mg 0.73, recherche des facteurs de coagulation, INR, PTT en cours. Pantozol 40 mg 3x/jour. Stop aspirin cardio. Hydratation 100 ml NaCl 0.9%. Phosphate 500 mg 3x/j. Magnesiocard 10 mmol 2x/j. Contrôle biologique et clinique le 03.01. Laboratoire: hématurie microscopique. Uro-CT: Urolithiase de 4 mm à gauche, sans signe de complication. Laboratoire: Hémoculture. Laboratoire: hémoglobine à 139 g/l, leucocytes à 13.9 G/l, CRP à 15 mg/l, Na à 140 mmol/l, K à 3.6 mmol/l. CT-scanner des tissus mous du cou injecté du 17.01.2020: Mme. Y a présenté une réaction au produit de contraste iodé IV sous la forme d'un prurit généralisé. Nous vous en avons informé immédiatement par téléphone. Filière aéro-digestive symétrique. Pas de lésion focale suspecte. Les glandes parotides sont discrètement asymétriques, à la limite du significatif. Pas de collection. Pas de masse. Absence d'infiltration significative autour des glandes parotides. Les glandes sous-mandibulaires sont symétriques, sans lésion focale. Colonne cervicale : la courbure de la colonne est physiologique. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes bien pneumatisées avec toutefois un petit niveau hydro-aérique dans le fond du sinus maxillaire ddc compatible avec une sinusite aiguë. Pas de mastoïdite. Les quelques coupes passant par les apex pulmonaires ne démontrent pas de lésion nodulaire suspecte. CONCLUSION: probable sinusite maxillaire ddc débutante. Pas d'argument pour une mastoïdite. Pas d'altération significative des glandes parotides en particulier de la glande parotide D. Pas de collection. Pas d'adénopathie cervicale. Laboratoire: hémoglobine à 153, eGFR à 69, INR à 2.4, aPTT: 41. Laboratoire: Hémoglobine 102 g/l, Leucocytes 11.5 G/l, Thrombocytes 268 G/l. Groupe sanguin O Rhésus positif. Streptocoques du groupe B négatif 04.12.2019. Sérologies: • du 03.07.2019: CMV non-immune, VDRL négatif, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif, Rubéole immune. Boostrix fait le 18.09.2019. Laboratoire: Hémoglobine 138 g/l, Leucocytes 5.6G/l, Thrombocytes 238 G/l. Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 24.01.2020. Streptocoques du groupe B négatif 20.01.2020. Sérologies 11.07.2019: Toxoplasme non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune (vaccinée); VDRL négatif, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif. Varicelle faite. Boostrix fait le 17.10.19, vaccin grippe fait le 11.11.2019. Laboratoire: Hémoglobine 145 G/l, Leucocytes 15.5 G/l, Thrombocytes 178 G/l. Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 22.01.2020. Sérologies 18.07.2019: Toxoplasmose non-immune, CMV immune, Rubéole limite, VDRL négatif, TPHA négatif, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif. Varicelle positif. Laboratoire: H0: 5 ng/l, H1: 6 ng/l. Réassurance. Retour à domicile avec antalgie simple. Laboratoire: Lc 14.1, CRP <5. Urines: Lc +++, sang +++. Attitude: • Rocéphine 2 g IV + ciprofloxacine 500 mg. • Ciprofloxacine 500 2x/j pendant 7j. Uricult envoyé, à pister à 48h chez médecin traitant. Explications des symptômes nécessitant une nouvelle consultation. Laboratoire: Lc 6.7 G/l, Hb 119 g/l, Plts 314 G/l, CRP <5 mg/l. Traitement symptomatique. Consigne de reconsulter en cas de péjoration clinique. Laboratoire: Lc 7.6 G/l, Hb 133 g/l, Plts 244 G/l, CRP < 5 mg/l. Avis ORL: pas possible de voir Mr. Y rapidement, abcès rétropharyngé peu probable si nucalgie afébrile. Aviso radiopédiatre (Dr. X): CT scanner injecté à faire afin d'exclure un abcès rétropharyngé si syndrome inflammatoire biologique. Laboratoire le 02.01 : CRP en augmentation 45 mg/l, leucocytes 14.4 G/l, VS 66 mm/h. Hémoculture en cours. US épaule droite le 02.01: pas d'épanchement, ni collection. Hospitalisation pour antibiothérapie IV par Co-amoxicilline 50 mg/kg/dose toutes les 8 heures. IRM le 03.01: Images d'arthrite de l'épaule droite (septique ?). Une ostéomyélite concomitante ne peut être exclue avec certitude. Sur la partie examinable du parenchyme pulmonaire droit, présence de multiples infiltrats importants hautement évocateurs d'une pneumonie, à corréler à la clinique et à une radiographie du thorax. Laboratoire le 05.01.2020 : cf annexes. Flatulex 42 mg 4x/jour pour 1 semaine. Perenterol 250 mg 1x/jour pour 5 jours. Effectuer une PCR multiplex des selles (recherche des bactéries entéropathogènes) en cas de persistance des symptômes. Suivi chez le médecin traitant. Laboratoire le 05.01.2020 : cf annexes. Stix/sédiment urinaire le 05.01.2020 : cf annexes. Spot urinaire le 05.01.2020 : cf annexes. Urotube le 05.01.2020. Pose de sonde vésicale : 300 ml d'urine. Ablation de la sonde vésicale. Introduction de Tamsulosine. Ciproxine 250 mg 2x/jour pour 14 jours. Contrôle rapproché chez l'urologue.Laboratoire le 12.08.2019 : Na 131 mmol/L, Osm sanguine 295 Laboratoire le 14.08.2019 : Na 141 mmol/L Spot urinaire Bilan lipidique dans la norme Hydratation i.v. par 1000 ml NaCl 0.9% Laboratoire le 13.01.2020 : ferritine 27 microg/l Substitution par Maltofer Laboratoire le 16.01 : CRP à 26 mg/l et une leucocytose à 16 G/l sans déviation gauche Laboratoire le 19.01 : CRP en diminution à 18 mg/l, pas de leucocytose CT cérébrale 19.01 : abcès en regard du canal lacrymal droit, à la partie antéro-médiane inférieure de l'orbite, en région préseptale, au contact du périoste, sans infiltration de la graisse péri-orbitaire alentour. Pas d'abcès cérébral et bonne perméabilité des sinus veineux intracrâniens Laboratoire le 16.01 et 19.01 Co-Amoxicilline 50 mg/kg 3x/jour IV du 16.01 au 21.01 Co-amoxicilline 1 g 3x/jour per os du 21.01 au 29.01 Consultation ophtalmologique (Dr. X) le 20.01 et le 21.01 CT-scan cérébral le 19.01 Laboratoire le 16.12.2019 Gazométrie artérielle le 16.12.2019 Antigènes urinaires pour légionelle et pneumocoque : négatifs Culture des expectorations le 16.12.2019 : Staphylocoque aureus Radiographie du thorax le 16.12.2019 : aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire, effacement de la coupole diaphragmatique à droite, bonne ventilation des deux bases pulmonaires, aorte déroulée calcifiée. Aérosols par Atrovent, Ventolin, Pulmicort Oxygénothérapie 1 l/min Physiothérapie respiratoire Rocéphine 2 g iv du 16 au 18.12.2019 y compris, Klacid 500 mg per os du 16 au 18.12.2019 y compris, relayé par Co-amoxicilline 1 g 1x par jour jusqu'au 22.12.2019 y compris Laboratoire le 17.01.2020 : CRP 274 mg/l, leucocytose à 14.9 G/l, hémoglobine Hb 143 g/l. Sang occulte : positif, test à l'eau oxygénée positif (selles brunes visualisées). Calprotectine : 21 ug/l. Coproculture : positive pour Campylobacter jejuni. PCR Clostridium difficile : négatif. CT abdominal le 17.01.2020 : pas de collection, pas d'abcès, pas de complication post-opératoire. Avis Dr. X (chirurgien) : pas de complication chirurgicale Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/j, flagyl 500 mg 3x/j per os du 17 au 18.01.2020, relayé par Azithromycine 500 mg per os 1x par jour pendant 3 jours (du 18 au 20.01.2020 y compris). Budésonide 3 mg per os 3x/j du 17.01 au 19.01.2020. NaCl 1 L par 24h. Organiser une colonoscopie à distance (3 mois) avec le médecin traitant. Laboratoire le 17.01.2020. Gazométrie artérielle le 17.01.2020. Sédiment urinaire le 17.01.2020. Avis diabétologique le 20.01.2020 : introduction Lantus 26 UI le matin et Humalog 10-6-6 UI. Consultation infirmière en diabétologie les 20 et 21.01.2020 pour l'apprentissage des gestes. Redormin 50 mg le soir + 1/2 cpr max 1x/24h si anxiété. Rendez-vous en diabétologie, HFR Fribourg, le 28.01.2020 à 09h00. Rendez-vous service de diététique, HFR Fribourg, le 28.01.2020 à 10h30. Rendez-vous en pédopsychiatrie, RFSM Fribourg, le 28.01.2020 à 13h30. Laboratoire le 19.01 : pas de syndrome inflammatoire Gazométrie le 19.01, 20.01 et 21.01 : augmentation initiale des lactates, qui se sont normalisés le 21.01, pas de troubles électrolytiques, pas d'hypoglycémie Toxines urinaires le 19.01 : négatives à part des benzodiazépines (avait reçu du midazolam) Sédiment urinaire le 19.01 : négatif Ponction lombaire le 19.01 : aspect limpide, transparent, 12 éléments au total, glucose 4.8 mmol/l, protéines 0.35 g/l, lactate 1.44 mmol/l CT cérébral injecté le 19.01 : pas d'hémorragie, de masse ou d'abcès intracérébral, pas d'argument pour une encéphalite au scanner. À noter que l'IRM est l'examen de choix pour exclure une encéphalite. Culture du LCR : négative Hémocultures le 19.01 : négatives PCR pour herpès/varicelle dans le LCR : négatif EEG le 21.01 : sans particularité (rapport oral par Dr. X) Laboratoire le 20.01 : pas de syndrome inflammatoire, pas de déviation gauche, CRP 8 mg/l Sédiment et culture urinaire (clean catch) : négatifs Hémoculture : négative Frottis RSV et grippe : RSV négatif, grippe Influenza A positive Laboratoire le 21.01.2020 : aligné. Score de Cushman à 7. Seresta 50 mg 4x/jour per os dès 21.01.2020 + réserve Benerva 100 mg iv dès le 21.01.2020. Surveillance en lit d'observation aux urgences. Laboratoire le 21.01.2020 : hémoglobine 154 g/l, leucocytes 11.3 G/l, thrombocytes 269000, PT >100, INR 0.9, PTT 23 sec Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 21.01.2020 ? Streptocoques du groupe B négatif 08.01.2020 Sérologies • 27.10.2017 : Rubéole immune • 18.07.2019 : CMV immune, VDRL négatif, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle immune. Boostrix reçu le 17.10.2019 Laboratoire le 21.01.2020 Radiographie coude et poignet le 21.01.2020 Avis orthopédique (Dr. X) le 21.01.2020 Traitement antibiotique : Co-amoxicilline 2.2 g iv pour 7 jours (jusqu'au 29.01.2020) Bilan CK + FAN Laboratoire le 22.01.20 : albumine 32.2 g/l Stix/sédiment le 22.01.20 : protéines 29.4 g/l Laboratoire le 22.01.20 : Calcium corrigé à 2.01 mmol/l Gluconate de Calcium 1 amp/20 min Laboratoire le 22.01.20 : Calcium corrigé à 2.01 mmol/l Gluconate de Calcium 1 amp/20 min Laboratoire le 22.01.20 : Calcium corrigé à 2.01 mmol/l Gluconate de Calcium 1 amp/20 min Mme. Y asymptomatique Laboratoire le 22.01.20 : Hb à 83 g/l, thrombo 32 g/l Stix/sédiment le 22.01.20 : hématurie, protéines 29.4 g/l CT abdomino-pelvien le 22.01.20 : Saignement vésical actif avec présence d'un caillot intra-vésical et hématome de paroi en regard. Transfusion : • 2 Culots globulaires • 2 Culots plaquettaires • 1 PFC Correcteur de la coagulation : • BERIPLEX 500 ml IV • Acide Tranxénamique 1 g IVD Avis Urologue : Dr. X : rinçage en continu, contrôle de la coagulation / hémoglobine Pose sonde vésicale 3 voies = Rincage -------- ml Laboratoire le 22.01.20 : Hb à 83 g/l, thrombo 32 g/l Stix/sédiment le 22.01.20 : hématurie, protéines 29.4 g/l CT abdomino-pelvien le 22.01.20 : Saignement vésical actif avec présence d'un caillot intra-vésical et hématome de la paroi en regard. Urotube 26.01.2020 : pas de germe Laboratoire le 22.01.20 : Hb à 83 g/l, thrombo 37 g/l Laboratoire le 22.10.20 post-transfusion : Hb 87 g/l, thrombo 42 g/l Stix/sédiment le 22.01.20 : hématurie, protéines 29.4 g/l CT abdomino-pelvien le 22.01.20 : Saignement vésical actif avec présence d'un caillot intra-vésical et hématome de paroi en regard. Transfusion : • 2 Culots globulaires • 2 Culots plaquettaires • 1 PFC Correcteur de la coagulation : • BERIPLEX 500 ml IV • Acide Tranxénamique 1 g IVD Avis Urologue, Dr. X : Demande de stabilisation hématologique aux urgences avec contrôle de la coagulation à H3 post-transfusion afin d'évaluer la potentielle prise en charge chirurgicale. Faire pose d'une sonde urinaire 3 voies avec rinçage pour décaillotage. Pose sonde vésicale 3 voies = Rinçage 12'000 ml Transfert à Fribourg pour prise en charge chirurgicale par Dr. X ! À son arrivée aux Urgences de Fribourg, Mme. Y doit recevoir un concentré plaquettaire, être annoncée au bloc opératoire, et l'anesthésiste doit contacter Dr. X 30 min avant l'intervention. Laboratoire le 22.01.20 : leuco 3.2 g/l, Hb 83 g/l, thrombo 32 g/l Transfusion : • 2 Culots globulaires • 2 Culots plaquettaires • 1 PFC Laboratoire le 22.01.20 : leuco 3.2 g/l, Hb 83 g/l, thrombo 37 g/l Transfusion : • 2 Culots globulaires • 2 Culots plaquettaires • 1 PFC Correcteur de la coagulation : • BERIPLEX 500 ml IV • Acide Tranxénamique 1 g IVD Laboratoire le 22.01.20 : leuco 3.2 g/l, hémoglobine 83 g/l, thrombo 32 g/l Transfusion : • 2 Culots érythrocytaires • 2 Culots plaquettaires • 1 PFC Laboratoire le 23.01Oesogastroduodénoscopie le 23.01.2020: rapport écrit à suivre svp Laboratoire le 24.12.2019: K+ 3.5mmol/l Substitution du 24.12.2019 au 27.12.2019 Laboratoire le 24.12.2019: TSH 5.52 mU/l, T3/T4 dans la norme US 30.12.2019: 3 petits nodules hypervascularisés dans les bords US de contrôle organisé le 02.07.2020 à 10h30 à Tavel Laboratoire le 24.12.2019: VitD 62 nmol/l Laboratoire le 13.01.2020: VitD 64 nmol/l Substitution Laboratoire le 25.01.2020: ASAT 629 U/l, ALAT 875 U/l, GGT 464 U/l, PA 118 U/l, bilirubine totale 14.9 µmol/l, bilirubine directe 10.3 µmol/l. CRP 5 mg/l, Lc 7.8 G/l. (cf. annexes) ECG le 25.01.2020: RSR à 81 bpm, QRS fins, axe 40°, pas d'anomalie des ondes T ni du segment ST. (cf. annexes) A reçu aux urgences: Dafalgan 1 g cpr, Nexium 40 mg i.v., Morphine i.v. 6 mg au total. Avis chirurgical Dr. X: antalgie pour la nuit par Novalgine 500 mg 2cp, Buscopan 10 mg 2cp, Tramal 50 mg 2cp. Contrôle en FUA le 26.01.2020 avec: • US abdominal à la recherche de lithiase le 26.01.2020. • bilan biologique avec sérologies HAV, HBV, HCV et tests hépatiques + FSS-CRP le 26.01.2020. • organisation d'une gastroscopie en ambulatoire selon résultat examens (demande du patient). Laboratoire le 28.01.2020: Hémoglobine 141 g/l, Leucocytes G/l, Thrombocytes 252 G/l. US endovaginal 28.01.2020: Utérus AVF 102x59x72 mm, ovaire droite 30x18x29 mm d'aspect normal, ovaire gauche 26x31x23 mm d'aspect normal, pas de liquide libre dans le Douglas. • avant l'expulsion: Sac gestationnel de 25x29 mm dans le col utérin. • après l'expulsion: Pas de sac gestationnel, endomètre 13 mm. Frottis vagin 14.01.2020: Flore normale, Chlamydia négatif. Laboratoire le 29.01.2020: Hémoglobine 126 G/l, Leucocytes 9.3 G/l, Thrombocytes 239 G/l. Groupe sanguin O Rhésus positif. US endovaginal 29.01.2020: L'utérus est rétroversé à contours réguliers. Longueur 84 mm. Epaisseur 64 mm. Largeur de la cavité 78 mm. L'endomètre à 20.0 mm. Laboratoire le 29.12.2019: créatinine à 163 umol/l, potassium à 5.3 mmol/l Stop traitements néphrotoxiques Resonium du 29 au 30.12.2019 Laboratoire le 6.01: Lc 4.4 G/l, CRP < 5 mg/l Laboratoire: légère augmentation de la créatinine mais absence de critères AKIN et de troubles électrolytiques. Traitement symptomatique et hydratation. Reconsulter en cas de symptômes de pathologie bactérienne. Laboratoire: légère perturbation des tests hépatiques avec ALAT à 64 U/l et GGT à 73 U/l. Reste du laboratoire aligné. Stix/sédiment urinaire: négatif. Test de grossesse urinaire: négatif. CT-scanner abdominal natif du 10.11.2019: absence de comparatif CT. Examen réalisé sans injection IV. de produit de contraste. Abdomen: les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Pour le reste et sous réserve d'une absence de produit de contraste: le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Coprostase colique prédominante à droite. Reste du tube digestif et appendice rétro-caecal sans particularité. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie, pas de liquide libre. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique: absence de lésion nodulaire suspecte. Pas d'épanchement pleural. Hernie hiatale par glissement. Os: absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION: sous réserve d'un examen natif, absence d'explication scanographique claire à la symptomatologie présentée par la patiente. On note tout au plus une coprostase colique prédominante à droite. Laboratoire: leucocytes 10.4, crp 27 Co-amoxicilline 2.2 g IV aux urgences Attitude: Poursuite co-amoxicilline 1.2 g IV 3x/j pendant 10 j (adapté à la fonction rénale) Laboratoire: Leucocytes 16.6 G/l, CRP 16 Urines: Pas de nitrite, pas de leuco CT abdominal: colique néphrétique à droite avec calcul de 6 x 5x 8 mm dans le plan crânio-caudal au niveau de l'uretère distal. Dilatation pyélocalicielle à 25 mm et de l'urètre à 14 mm. Possible rupture du fornix. Présence de bulles dans la vessie. Pas d'ileus. Présentation du cas en chirurgie viscérale Dr. X: Discussion avec le Dr. X: indication à poser une sonde double J le 21.01.2020 Rocéphine 2 gr aux urgences puis aux 24 heures Gentamycine 240 mg aux urgences puis aux 48 heures (adaptation au vu du MDRD) Hospitalisation en chirurgie Cystoscopie, Urétéropyélographie rétrograde et pose de double J à D prévue le 21.01.2020 (consentée, marquée, annoncée) Laboratoire: leucocytes à 12.6 G/l en régression, discrète neutrophilie sans déviation gauche. CRP 40 mg/l. Laboratoire: Leucocytes à 18.1 G/l, CRP normale à <5 mg/l, K + à 3.2 mmol/L, Na+ à 135 mmol/l, ALAT à 49 U/l. Reste aligné. Sédiment urinaire: normal. Urino culture et coproculture: cf annexe. Radiographie du thorax face/profil du 10.11.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. Laboratoire: Leucocytes 10 G/L, CRP < 5 mg/L. Radiographie du coude gauche du 12.01.2020: importante tuméfaction des tissus mous en regard de l'olécrâne, compatible avec une bursite mais pas de lésion osseuse typique d'ostéite. Pas d'épanchement articulaire. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Laboratoire: Leucocytes 10.6 G/l, CRP 37. Urine: Leucocytes +++, nitrites +. Hémoculture: en cours. Urotube: en cours. Radiographie du thorax. US bed-side: pas de liquide libre, pas de dilatation pyélocalicielle, pas de dilatation des voies biliaires, possible condensation en base pulmonaire gauche, avec augmentation des lignes B. Radiographie du thorax: pas de foyer. Rocéphine 2 g iv pour 7 jours. Laboratoire: leucocytes 11.3, Hg 115 g/l, fonction rénale, électrolytes, sp. CRP 13, crase sp (sous Xarelto). ECG: RSR 115 bpm, PR 120 ms, QRS 84 ms, QTc 436 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation. Laboratoire: Leucocytes 11.4 G/l, CRP 36 mg/l, Hb 119 g/l, Créatinine 59 µmol/l, Na 132 mmol/L, K 3.4 mmol/l, D-dimères 1110 ng/mL. ECG: tachycardie sinusale, QRS fins, QTc 410ms. bHCG urinaire: négatif. CT-scanner thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injecté du 02.11.2019: injection de 70cc de Iomeron 400 en iv., bien tolérée par la patiente. Les structures médiastinales et cardio-vasculaires ont une morphologie normale. Pas d'embolie pulmonaire. Un micronodule triangulaire lingulaire inférieur, d'aspect bénin, évoquant un ganglion intrapulmonaire. Epaississement pleural dans le LID, en regard de l'arc postérieur de la 11ème côte droite, aspécifique. Pas d'épanchement pleural ou péricardique. Pas de masse ou d'adénopathies. Le parenchyme pulmonaire et les hiles ont un aspect normal. Sur les coupes passant par l'étage abdominal, double artère rénale à gauche. Cadre osseux sans lésion suspecte. CONCLUSION: absence d'embolie ou de foyer pulmonaire. Absence de pneumothorax. Ultrason de l'abdomen complet natif du 02.11.2019: foie de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Vésicule biliaire à parois fines, sans image de calcul. Le pancréas, la rate et les reins sont sans particularité. Visibilité des deux structures rétro-utérines en projection des fossettes ovariennes droite et gauche, mesurant respectivement 5 et 4cm à contenu échogène et difformes, évoquant des endométriomes. La vascularisation ovarienne est conservée. Lame de liquide au niveau du cul-de-sac de Douglas. On trouve un aspect rétracté au niveau médian, en rétro-utérin, les deux lésions déjà décrites.CONCLUSION : aspect pouvant cadrer avec deux kystes endométriosiques des deux ovaires, de 4 et 5 cm. Un avis gynécologique est souhaitable. Une endométriose pelvienne est suspectée. Un complément par IRM peut être indiqué à distance pour rechercher d'autres lésions. Laboratoire : leucocytes 12 G/l, pas de CRP. Sédiment urinaire : taché. CT abdominal natif : examen réalisé sans injection de produit de contraste, en protocole basse dose, et avec un patient placé en procubitus. Absence de comparatif. Calcul urinaire de 4 mm de diamètre enclavé dans le tiers distal de l'uretère droit, à hauteur du croisement des vaisseaux iliaques. Un deuxième petit calcul de 2 mm de diamètre à environ 1 cm de la jonction vésico-urétérale. Dilatation pyélocalicielle droite à 11 mm d'axe antéro-postérieur entre les lèvres du rein, avec une image de pyélon extra sinusale, que l'on mesure à 17 mm d'axe antéro-postérieur. Infiltration de la graisse autour du pyélon et de l'uretère proximal, toutefois sans infiltration de la graisse du sinus rénal. Les reins sont symétriques en taille et en aspect. Pas de dilatation du côté gauche. À noter la présence d'un calcul dans le groupe caliciel inférieur du rein droit mesurant 6 x 3 x 4 mm. Infiltration de la graisse péri-rénale bilatérale, aspécifique discrètement majorée du côté droit. Pour le reste, le foie est de taille, de configuration, de densité normales, sans lésion focale. Vésicule biliaire aux parois fines et à contenu hypodense homogène. Pas de dilatation des voies biliaires extra-hépatiques. Le pancréas, la rate, et les surrénales sont sans particularité. Les organes génitaux internes sont sans particularité. Pas d'adénopathie pelvienne. Le cadre colique et les anses digestives sont sans particularité. Pas d'adénopathie mésentérique ou rétropéritonéale. Pas de liquide libre ni d'air libre. Les coupes passant par les bases thoraciques montrent des troubles ventilatoires sans autre particularité. Rectitude du rachis dorso-lombaire, avec discopathie lombaire étagée prédominante en L5-S1. Sténose foraminale osseuse au niveau L5/S1 gauche. Pas de lésion lytique ou condensante suspecte de néoplasie. CONCLUSION : deux calculs urinaires localisés dans l'uretère droit de 4 mm (à la croisée des vaisseaux iliaques), et le second de 2 mm à 1 cm de la jonction vésico-urétérale. Dilatation pyélocalicielle droite à 11 mm. Pas de signe de rupture du fornix. Laboratoire : leucocytes 12.0 G/l, thrombopénie à 77 g/l, pas de trouble électrolytique. Test rapide Malaria : négatif. Radiographie du thorax face/profil du 14.01.2020 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : leucocytes 12.5 G/l, CRP < 5 mg/l, enzymes hépatiques ok. Sédiment urinaire : érythrocytes +++, propres. Test de grossesse : négatif. Laboratoire : leucocytes 13.8 G/l, CRP 207 mg/l, troponine T < 40 ng/l, proBNP 422 ng/l, Hb 130 g/l, créatinine 73 µmol/l, pas de troubles électrolytiques. ECG : tachycardie sinusale à 112/min. Pas de BAV. QRS fin. Ondes T négatives en V4-5-6, DIII et aVF. CT thoracique : épanchement péricardique circonférentiel mesurant 2.3 cm. Pas de répercussion au niveau des cavités cardiaques visualisées. Signes d'infiltrations interstitielles. Ad transfert à Fribourg (attendu à 15 h en cardiologie) pour évaluation cardiologique et échocardiographie. En fonction, décision de ponction ou non et orientation (soins intensifs, médecine). Laboratoire : leucocytes 22.4 G/l, CRP 7 mg/l, créatinine 57 µmol/l, hémoglobine 128 g/l, Na 142 mmol/l, K 3.5 mmol/l. Rx thorax : Pas d'air sous la coupole. Laboratoire : leucocytes 23.3 G/l avec neutrophilie, reste de FSS, fonction rénale, électrolytes, test hépato-pancréatiques sans particularité. Pas de syndrome inflammatoire. Crase sans particularité. Repolarisation. Sédiment urinaire : propre. CT-scanner abdominal du 02.01.2020 : examen réalisé après injection intraveineuse de Xenetix 350. Absence de comparatif à disposition. Pas d'épaississement pariétal ni de maladie diverticulaire. Structure tubulaire en fosse iliaque droite d'allure d'être un appendice mesurant 10 mm de diamètre contenant des bulles d'air, toutefois associée à une infiltration de la graisse péri-appendiculaire. Absence d'adénopathie mésentérique ou rétropéritonéale. Pas d'air libre. Aspect tuméfié de l'annexe droite, toutefois sans signe franc de torsion. Rehaussement marqué d'une structure kystique de 12 x 14 mm, devant correspondre à un follicule. L'annexe gauche et l'utérus sont sans particularité. Une fine quantité de liquide libre pelvien, pouvant être physiologique. Absence d'adénopathie pelvienne. Absence de lésion hépatique suspecte notable. Vésicule biliaire à contenu hypodense homogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Le pancréas, la rate, les reins, et les surrénales sont de morphologie normale. Pas de dilatation des voies urinaires. Vessie en faible réplétion. L'aorte abdominale est de calibre normal et régulier. Les coupes passant par l'étage thoracique sont sans particularité. Le cadre osseux est dans les limites de la norme. CONCLUSION : structure tubulaire en fosse iliaque droite d'allure d'être un appendice mesurant 10 mm de diamètre contenant des bulles d'air, toutefois associée à une infiltration de la graisse péri-appendiculaire évoquant en premier lieu une appendicite. À corréler à la clinique et bilan laboratoire. Pas de signe de colite ni de diverticulite. Aspect tuméfié de l'annexe droite, toutefois sans signe franc de torsion ou autre pathologie annexielle. Fine lame de liquide libre pelvien, pouvant être physiologique. Laboratoire : leucocytes 24.9 G/l, CRP 6 mg/l, créatinine µmol/l, hémoglobine 133 g/l, Na 140 mmol/l, K 3.8 mmol/l. Stix urinaire : leuco +, pas de nitrites, pas de sang. Sédiment urinaire : leuco 3-5. Culture de selles : A pister. Laboratoire : leucocytes 6.5 G/l, CRP 84 mg/l, créatinine 95 µmol/l, hémoglobine 118 g/l, Na 133 mmol/l, K 3.7 mmol/l. Rx thorax : CT thorax. Laboratoire : leucocytes 7.5 G/l, CRP 29 mg/l, VS 16 mm/h, hémoglobine 139 g/l. Laboratoire : leucocytes 8.6 G/l, CRP 18 mg/l, créatinine 82 µmol/l, hémoglobine 138 g/l, Na 136 mmol/l, K 4 mmol/l. Laboratoire : leucocytes 8.9 G/l, Hb 148 g/l, PLT 241 G/l, créat 56 µmol/l, CRP 13 mg/l, D-Dimères 294 ng/ml, bilan hépato-pancréatique dans la norme. Gazométrie artérielle : pH 7.45, pCO2 4.9, pO2 12.5 kPa, Bicarb 26, excès de base 1.8, SatO2 97 %. ECG du 21.01.2020 enregistre un rythme régulier et sinusal à 52 bpm, BAV 1° avec PR à 220 ms, axe normal, intervalles QRS fins, Qtc dans la norme à 350 ms, onde Q en D III, pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. Radiographie du thorax face/profil du 21.01.2020 : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de foyer pneumonique visible. Laboratoire : leucocytose à 12.9 G/l avec neutrophilie à 9.68 G/l, CRP à 6 mg/l, créatinine 84 µmol/l. Radiographie du genou gauche et des rotules des deux côtés du 14.01.2020 : importante tuméfaction des tissus mous prérotuliens, compatible avec une bursite possiblement infectée, à confronter avec la clinique, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Laboratoire: Leucocytose à 15.5 G/L, CRP < 5 mg/L, créatinine 76 umol/L Sédiment urinaire: Pas de leucocytes ni nitrites. Erythrocytes +++ Quelques cristaux de calcium oxalate. Uro-CT (rapport oral Dr. X): calcul de 4 mm à la jonction urétéro-vésicale. Pyélon mesuré à 15 mm. Pas d'infiltration périrénale Attitude: Traitement symptomatique. RAD avec antalgie, Pradif et filtre pour les urines Patient informé des red-flags devant le faire reconsulter. Laboratoire: leucocytose à 17,8 G/L sans déviation gauche. ECG: RSR. Urines: propres. Test de Schellong: négatif. Stimulation à la boisson per os. Repos. Exclusion d'une cause cardiaque et orthostatique. Attitude: • contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences le 04.02.2020 à 10 heures. • La patiente consultera les urgences en cas de péjoration de la symptomatologie. Laboratoire: leucocytose, CRP à 66 (à la baisse par rapport à début janvier) Urines: stix et sédiment retrouvant une hématurie microscopique et signes d'infection Laboratoire: Leucopénie à 1,2 G/L, anémie à 81 g/L, thrombopénie à 3 G/L Avis du CHUV, Dr. X (oncologue de garde du CHUV) au 0795562234: Transfusions de 2 culots plaquettaires. Surveiller si état fébrile. Proposition de débuter les injections de Granulocytes. La patiente ne supporte pas les injections de Neupogen. Transfusion de 2 culots plaquettaires aux urgences Mise en suspend de la Fragmine Suite Isolement agranulocytose Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge Pister labo du 26.01.2020 Tél GFP pour changement de chambre en G34 ou en médecine dès que possible Laboratoire: lipase 17 U/L, amylase 46 U/L, ALAT 114 U/L, ASAT 73 U/L. Laboratoire: lipase 59 U/L légèrement augmenté, Lc 9.5 G/L, Hb 137 g/L, CRP < 5 mg/L, VS 1 mm/h Majoration traitement d'Esoméprazole 40 mg 1x/jour Ulcar 3x/jour Tube pour récolte de selles donné à la maman qui nous ramènera des échantillons le 15.01 Contrôle chez le pédiatre dans < 24 h Suivi demandé chez Prof. X en gastroentérologie pédiatrique, la patiente sera convoquée par son secrétariat Laboratoire: microhématurie, pas d'infection urinaire. Attitude: • Contrôle chez urologue traitant, Spasmo Urgénine 2x/j. Laboratoire mis en annexes. Laboratoire mis en annexes. Sérologie HAV, HBV, HCV et hépatite E: en cours Laboratoire. Mouchage +. Rhinostop à droite. Stop Xarelto pour demain. Rendez-vous en ORL à 48 h pour cautérisation. Laboratoire: Na+ à 122 mmol/L le 05.01.20 et à 125 mmol/L le 07.01.20 Spot urinaire (05.01.20): Na+ urinaire: 96 mmol/L Attitude: • Restriction hydrique 1L/24 h • Capsule de sel • Arrêt de l'Hydrochlorothiazide • Suivi de la natrémie rapproché (contrôle prévu le 10.01.20 chez médecin traitant) Laboratoire: Na 129 mmol/L. FSS, fonction rénale, reste des électrolytes sp. Pas de s. inflammatoire. Crase sp ECG: RSR 80 bpm, axe normal, PR 154 ms, QRS 76 ms, QTc 431 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation Sédiment urinaire propre. Laboratoire: NtProBNP à 5'385 ECG: Rythme sinusal. BBD connu. Pas de trouble de la repolarisation. US cardiaque au lit du patient: dilatation du VD. Trouble de la contractilité du VG léger à modéré. Pas de signe d'épanchement péricardique. Diamètre de la VCI répondant à la respiration dans les limites de la norme. US pulmonaire au lit du patient: visualisation de quelques lignes B aux bases. Pas de signe de pneumothorax. US abdominal au lit du patient: présence d'ascite périhépatique (3 cm) et dans le Douglas. Reins normaux en taille, sans dilatation pyélo-calicielle. Attitude: • Optimisation du traitement diurétique: Lasix 40 mg/j et majoration Aldactone à 100 mg/j dès le 09.12.19 puis diminué aux doses habituelles le 13.12.19. • Pas de ponction d'ascite (quantité trop faible à l'US) Laboratoire: pas d'anémie, pas de signe inflammatoire, CK dans la norme, Troponines négatives. Urines: propres. US Bed-side: pas de liquide libre intra-abdominal, organes intra-abdominaux dans la norme, aorte mesurée à 1.4 cm, pas d'épanchement pleural, pas de condensation pleurale, lignes B < 3 /plan, glissement pleural visualisé sur toutes les plages pulmonaires, pas d'épanchement péricardique, fonction cardiaque visuellement bonne, pas de signe de surcharge G/D. Radiographie du thorax: pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural/péricardique, pas de fracture. RAD avec traitement antalgique. Laboratoire: pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire. Troponines 11. Urines: leucocytes ++, +++ flore bactérienne. ECG: rythme sinusal régulier, QRS fins, axe ok, pas de sus-décalage, aspect QS en V1-V4, ondes T pointues en V2. ECG globalement superposable au comparatif, ad Nifédipine. Mouchage: caillots extériorisés. Réévaluation: tension artérielle stabilisée, pas d'épistaxis antérieur ou postérieur. Plaie avant-bras gauche: stéristrips, pansement. Surveillance sur la nuit. RAD. Reconsulte si récidive d'épistaxis. Nous proposons au médecin traitant de réévaluer la thérapie antihypertensive au besoin. Laboratoire: pas de leucocytose, CRP à 34 mg/L. Doppler de la veine jambe droite (thrombus) du 22.01.2020: l'axe veineux profond du MID est perméable et compressible avec des flux laminaires. On visualise par contre au niveau de la région poplitée une image compatible avec un volumineux kyste de Baker à contenu hétérogène évoquant un saignement. On retrouve un important œdème des tissus sous-cutanés de la face postérieure de la jambe avec des travées liquidiennes disséquant les lobules graisseux. CONCLUSION: examen compatible avec un volumineux kyste de Baker hémorragique, possiblement rompu, mais pas de TVP objectivée. Laboratoire: pas de leucocytose (leucocytes à 7.7 G/L), CRP < 5 mg/L Sédiment urinaire: pas de leucocytes, pas de nitrite, pas d'hématurie, 1+ de flore bactérienne US abdominal: Appendice visualisé et mesuré à 4.3 mm avec visualisation de 2 stercolites, un peu de liquide libre (milimétrique) Concilium avec médecin assistant de chirurgie Dr. X: contrôle clinique le 13.01 à 18 h Laboratoire: pas de neutropénie ou de thrombopénie, laboratoire superposable au précédent. Urines: pas de signe infectieux. Uricult: à pister. Hémocultures: à pister. Attitude: retour à domicile avec poursuite du traitement de Dafalgan pour la fièvre, suite de prise en charge le 16.01 en oncologie Laboratoire: pas de souffrance rénale, pas de syndrome inflammatoire. Ultrason des voies urinaires (demandé par le médecin traitant). Uro-CT (demandé par le radiologue). Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, amélioration de la fonction rénale. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, BNP négatif. Gazométrie artérielle: hypoxémie à 9.1 kPa sous air ambiant, pas de rétention de CO2 ni de troubles acido-basiques. ECG: rythme sinusal normocarde à 76/min, pas de troubles de conduction, ST iso-électrique, pas de troubles de la repolarisation. Radiographie du thorax face/profil du 17.01.2020: à comparer avec l'examen précédent du 17.12.2019. Constaté un emphysème étendu avec des signes radiologiques massifs d'hypertension pulmonaire. Pas d'infiltrats ou d'épanchements ou de lésions suspectes de tumeur délimitées, pas de pathologie squelettique actuelle. Pas de dynamique de constatation significative comparée au 17.12.19. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale et tests hépatiques dans la norme. Alcoolémie nulle le 28.11.2019 ECG le 28.11.2019: RSR à 59 bpm, QRS fins avec bonne progression de l'onde R, segments PR, QT et ST spécifiques, onde T négative en aVR et V1, axe normal, Sokolow spécifique. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale et tests hépatiques dans la norme.Alcoolémie nulle le 28.11.2019 ECG le 28.11.2019: RSR Consilium anesthésiologie le 28.11.2019: patiente descendue en salle de réveil pour titrage morphine et kétamine. Puis pose de PCA de morphine. Ad Seresta 15 mg plus en réserve selon score CIWA. CIWA 4x/j du 28.11 au 02.12.2019: zero Voltaren 50 mg 3x/j du 28.11 au 29.11.2019 Novalgine 500 mg 2cp 3x/j dès le 29.11.2019 PCA de morphine du 28.11 au 03.12.2019 Tramal 100 mg ret 2x/j + 50 mg en réserve dès le 03.12.2019 Seresta 15 mg au coucher du 28.11 au 01.12.2019 Reprise de son Temesta 1mg expidet en réserve dès le 02.12.2019 Perfusion de lidocaïne le 06.12.2019 Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, Hb 140 et Ferritine 789, trop neg, CkMb neg ECG: 102/min, extrasystoles supra-ventriculaires, axe normal, QTc dans la norme, QRS fins, pas d'élévation ST Pas de facteurs de risque CV Temesta 2 cpr de 1mg en réserve Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, ni d'anémie. Bonne fonction rénale, crase dans la norme: INR 1.1, PTT 27 sec. : cf annexes. Prélèvement de selles pour PCR multiplex (recherche de Salmonella, Shigella, Campylobacter) en ambulatoire (pas de selles aux urgences). Coloscopie en ambulatoire (demande envoyée à l'hôpital de jour à Riaz) Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique. ECG: flutter auriculaire tachycarde puis normocarde, sous-décalage connu en V2-V4. CHADS VASC: 2 points. HAS BLED: 0 point. Ad xarelto. Avis psychiatrique Dr. X: indication à hospitalisation en PAFA à Marsens, Unité Aubépine. Transfert à l'Hôpital psychiatrique de Marsens en PAFA. Pister liste traitement chez MT (non joignable au SU) Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de troubles de la crase CT scan cérébrale: hématome sous-dural pariétal bilatéral (D 7mm, G 5mm) avec engagement central (protrusion tonsilles cérébelleuses 10 mm ddc. Avis neurochirurgical (Dr. X): surveillance aux soins intensifs, dexaméthasone Aux urgences: Paracétamol 1g Sirdalud 4mg Dexaméthasone 8mg IV Attitude: Hospitalisation soins intensifs pour surveillance A jeun Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Stix urinaire: propre. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Attitude: retour à domicile avec antalgie, Movicol, contrôle clinique (biologique si jugé nécessaire) en F34 dimanche pour réévaluation abdominale. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire Radiographie thoracique: pas de foyer visualisé Ventolin 20 mcg ordre unique Ventolin en réserve Prednisone 40 mg pendant 5 jours Augmentation du symbicort 400/12 à 2-0-2 Poursuite du traitement ambulatoire symptomatique déjà prescrit Contrôle clinique dans 3 jours Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire Urine: propre TR: pas de fécalome Présentation du cas au Prof. X: indication à effectuer un CT avec carte de perfusion CT cérébral, time is brain (Dr. X): Agénésie de l'artère cérébrale antérieure droite. Pas de thrombus visualisé, pas d'asymétrie au niveau de la carte des perfusions, pas d'argument pour un AVC. Ponction lombaire refusée par la patiente malgré les explications données (exclusion d'une encéphalite virale) Suite Hospitalisation en médecin interne Pister les médicaments pris auprès du médecin traitant/psychiatre/suivi à Berne par le Dr. X Laboratoire: pas de trouble des tests hépatiques, paracétamolémie 11.4 mg/l ECG: rythme sinusal bradycarde entre 45/55 bpm, sans trouble de conduction visualisé ni de trouble de repolarisation. Laboratoire: pas de trouble électrolytique, LDH dans la norme, créatinine/urée dans la norme, pas de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire: propre. ECG: fréquence à 60/min, rythme sinusal et régulier, pas de trouble des intervalles ni de la repolarisation ou morphologie. Ultrason du tissu mou musculo-squelettique du 01.01.2020: diastasis de la ligne blanche. Remaniement cicatriciel du pli inguinal D, sans image de récidive herniaire au repos et à l'épreuve de Valsalva. Au niveau d'une déhiscence de la ligne blanche, à la hauteur du Spiegel (objectivée sur le CT du 02.02.2018), pas d'évidence d'anse grêle incarcérée ou de souffrance visible. Pas de liquide. CONCLUSION: déhiscence de la ligne blanche au niveau du Spiegel à D, connue. Remaniement cicatriciel du pli inguinal D, sans récidive herniaire. (Dr. X) Laboratoire: pas de trouble électrolytique, pas de perturbation des tests hépatiques. Avis gynéco: tout ok niveau obstétrical. Prescription d'Itinérol, Primpéran, Pantozol et retour à domicile. Attitude: avis gynéco. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire PCR multiple des selles -> PCR Campylobacter spp positive Laboratoire: Phosphathémie à 0.66 mmol/l (27.11.2019) Substitution per os du 10.12.2019 au 12.12.2019 Laboratoire polytraumatisme: leucocytose, reste s.p. US e-FAST: pas de liquide libre visualisé, fonction cardiaque estimée dans la norme CT: fracture fémur gauche avec composante intra-articulaire genou gauche Rx cuisse gauche: Avis ortho: Attitude: Laboratoire: pro-BNP à 2'639 ng/L Introduction de Torasémide Laboratoire radiographie Laboratoire Radiographie du thorax le 10.01.2020 Laboratoire refusé par le patient. Laboratoire. Rx thorax: pas de foyer visualisé. Traitement symptomatique. Laboratoire. RX thorax du 04.12.2019: pas de comparatif. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique modérés. Pas de foyer pneumonique visible. Discret épaississement bronchique basal droit. Pas d'épanchement pleural. CT thoraco-abdominal du 06.12.2019: quelques lésions confluentes à rehaussement périphérique dans le foie droit mesurant d'environ 5,3 x 3,5 cm en axiale avec hypodensité œdémateuse du parenchyme au pourtour évoquant un abcès. Présence d'une seconde petite hypodensité mal délimitée non caractérisable du segment VI. Lames d'épanchement pleural des deux côtés. Laboratoire. RX thorax du 22.01.2020: morphologie cardiopulmonaire dans la norme compte tenu de la position. Discrète sclérose aortique. Absence de fracture costale déplacée visible. Pas d'épanchement pleural. CT cérébro-thoraco-abdominal du 22.01.2020: hématome péri-orbitaire droit de 3 x 1 cm. L'aspect dense de la parotide droite est aspécifique mais pourrait faire évoquer, dans un contexte post-traumatique, un hématome ou une contusion. L'aspect épaissi du muscle sterno-cléido-mastoïdien est aspécifique mais pourrait faire évoquer, dans un contexte post-traumatique, un hématome ou une contusion. Pas d'autre lésion post-traumatique décelée. Globe vésical. Laboratoire sanguin: hémoglobine 147 g/l, urée et créatinine dans la norme, crase sans particularité, pas de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire: purée érythrocytaire, leucocytes +. Ultrason de complet natif du 19.01.2020: pancréas en place, homogène, sans masse ou dilatation du Wirsung. Le foie est en place, de taille dans les limites de la norme, à bords et contours réguliers, au parenchyme homogène, visible essentiellement par abord intercostal droit. Pas de lésion focale décelable. Vésicule biliaire alithiasique, coudée, à parois fines. Pas de distension des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. Rate de taille dans la norme, au parenchyme homogène. Les reins sont en place, mesurant 10.3 cm de grand axe à droite et 11.6 cm de grand axe à gauche. Différenciation parenchymato-sinusale conservée. Pas de masse. Pas de calcul. Absence de dilatation pyélocalicielle. La vessie est moyennement remplie, limitant partiellement l'analyse des parois. Le contenu est anéchogène. Pas de caillot ou d'évidence de processus exophytique. Les jets urinaires sont présents des deux côtés. Pas de lithiase urétérale distale. La prostate est discrètement augmentée de taille. Pas de liquide libre. Aorte abdominale de calibre conservé. CONCLUSION: très discrète hypertrophie prostatique connue. Absence de masse ou de dilatation des voies urinaires. Pas de calcul mis en évidence. (Dr. X) laboratoire sanguin : pas de syndrome inflammatoire biologique Laboratoire sanguin: CRP 172 mg/l, leucocytes 12 G/l. Sédiment urinaire: leucocytes, corps cétoniques. CT-scanner de l'abdomen injecté du 17.01.2020: examen réalisé après administration rectale de produit de contraste et après injection intraveineuse de 90 ml de Iomeron 400. Comparatif du 14 août 2019. Épaississement circonférentiel des parois du côlon sigmoïde dans son tiers moyen, avec un diverticule sur la paroi antéro-supérieure montrant également un épaississement marqué. Infiltration marquée de la graisse locorégionale, sans collection mise en évidence ni fuite extradigestive de produit de contraste. Discret épaississement de la dernière anse grêle, ainsi que d'une autre anse iléale à proximité de l'épaississement colique, compatible avec une inflammation par contiguïté. Adénopathies remontant jusque dans le rétropéritoine, la plus volumineuse étant mesurée à 8 x 11 mm dans le plan axial pour 25 mm de hauteur cranio-caudale. Pas de liquide ni d'air libre. Foie de taille et de configuration normales, contenant une petite hypodensité de 3 mm de diamètre dans le segment IVa, trop petite pour être caractérisée, mais inchangée par rapport au précédent examen. Vésicule biliaire aux parois fines et à contenu hypodense homogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques. Le pancréas, la rate, les reins, et les surrénales sont sans particularité. Pas de dilatation des systèmes collecteurs. Vessie en faible réplétion et aux parois ininterprétables. Pas d'anomalie des organes génitaux internes. Absence d'adénopathie pelvienne. Les coupes passant par l'étage thoracique sont dans les limites de la norme. Discopathie L5-S1 avec affaissement de l'espace discal et phénomène de vide. Pas de lésion lytique ou condensante suspecte de néoplasie. CONCLUSION: diverticulite Hansen & Stock IIa, associée à une iléite par continuité. (Dr. X) Laboratoire sanguin. Sédiment urinaire. US des voies urinaires. Consultation auprès du Dr. X en début de semaine (rendez-vous à prendre). Eviction des AINS. laboratoire sanguin test malaria Laboratoire: sans particularité. CT: pas d'hématome ou de fracture du massif facial visualisé. Laboratoire: sans particularités ECG: bloc de branche droit CT time is brain: pas de lésion ischémique ou hémorragique constituée, pas d'asymétrie des cartes de perfusion, pas d'amputation vasculaire (rapport oral) • laboratoire le 09.01: aligné (D-dimères en cours) Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) Lyse débutée à 8h22 NIHSS à l'arrivée: 8 points NIHSS après la lyse: 0 points Transfert SIC pour suite de la prise en charge IRM demandée Laboratoire: sans particularités ECG: sans particularités Urine: Laboratoire: sans particularité. Stix et sédiment urinaire: s.p. Test de grossesse: négatif. Contrôle ambulatoire à 24 heures. Laboratoire, sédiment urinaire : cf. copies ci-jointes. Ultrason abdominal complet et natif le 30.01.2020 : Reins d'aspect normal. Pas de dilatation pyélo-calicielle. Pas de liquide libre. Petite image polypoïde au niveau du fundus de la vésicule mesurant 4 mm de diamètre. A recontrôler par ultrason. Laboratoire, sédiment urinaire et gazométrie : cf annexes. RX thorax : cf ci-dessous. ECG : cf annexes. Lasix iv 40 mg en O.U. aux urgences. CT-scanner thoracique : cf ci-dessous. Avis de Dr. X, soins intensifs : transfert aux soins intensifs B à l'HFR Fribourg, en ambulance, avec Héparine en bolus de 5000 U puis en iv continu de 20000 U sur 24h. Bolus d'héparine 5000 U réalisé aux urgences de Riaz. Laboratoire: • Selles directes • Coproculture Traitement symptomatique Laboratoire Sérologies HIV, HBV, HCV négatives Sevrage éthylique pendant l'hospitalisation Surveillance clinique US hépatique montrant une cirrhose et une hypertension portale stable depuis octobre 2018 • sera convoqué par le Dr. X pour le suivi hépatique Laboratoire: s.p. Traitement symptomatique avec consignes de reconsultation. Laboratoire, stix/sédiment urinaire, bHCG urinaire. Laboratoire Stix/sédiment US Bedside (Dr. X) : multiples lithiases biliaires, liquide libre CT scanner : nécrose >50%, liquide libre, coulée rétro-péritonéale, pas de collection Avis chirurgical (Dr. X) Attitude : • Stop Escitalopram • Couverture par Imipenem, hydratation, antalgie • Hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire: syndrome inflammatoire avec déviation gauche. Rx thorax : foyer gauche, rétrocardiaque. Attitude: Retour à domicile avec antibiotiques, Dafalgan. Reconsulte si péjoration. Laboratoire: syndrome inflammatoire avec leucopénie à 3.3 G/l monocytose à 22 %. Rx du thorax: pas de foyer visualisé. Contrôle clinique et biologique chez le Dr. X dans 48 heures, le patient prendra rendez-vous. Laboratoire: syndrome inflammatoire débutant. Urines: leucocyturie et nitrites positifs, GR +++. US ciblé des Urgences: pas de dilatation pyélocalicielle. Ceftriaxone 2g iv aux urgences. Contrôle à 48 heures au Secteur Ambulatoire des Urgences. Ceftriaxone iv 2g 1x/j pendant 7 jours au total, au vu de la rupture tendineuse sous Quinolone. Conseils de reconsultation. Injection de Rocéphine aux Urgences le 14.01.2020. Laboratoire: syndrome inflammatoire discret, pas de trouble électrolytique majeur. RAD avec traitement symptomatique. Contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences à 3 jours. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter au préalable. Laboratoire: syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique. Consilium ORL: l'anamnèse n'oriente pas vers un diagnostic de vertige primaire. VPPB postérieur droit déclenché au testing avec manœuvre de Semont, sans déclenchement de crise ni résolution du vertige de base. Probablement une découverte fortuite. Vertiges probablement sur déshydratation et anxiété. Sera revu dans 1 semaine. Streptotest: pas effectué car nouvelle recommandation de ne pas traiter par ATB. Frottis grippe: pas effectué car pas d'hospitalisation. Réévaluation : se sent légèrement mieux après remplissage. RAD avec antalgie, antibiothérapie, primpéran, IPP. Le patient sera revu en consultation ORL. Laboratoire: syndrome inflammatoire. Avis chirurgical: Pas de révision nécessaire en urgence. En raison de la créatinine très haute, effectuer IRM pour évaluer l'éventuelle présence d'abcès / collection au niveau du rectum. RDV en proctologie déjà prévu demain. Conseil hospitalisation avec suivi par équipe Dr. X. L'équipe de chirurgie reste à disposition pour réévaluer le patient aussi après IRM. ATT: • Hosp en Méd interne avec suivi en collaboration avec chirurgiens. • IRM Abdo-rectum • Évaluation proctologique prévue le 29.01.2020 Laboratoire: syndrome inflammatoire. CT abdominal demandé: diverticulite au niveau du colon descendant et du sigmoïde. Pas de perforation, pas d'abcès. Signes radiologiques de colite au niveau du sigmoïde, avec un minime épaississement et réhaussement. Présentation du cas au Dr. X: antibiothérapie IV le 02.02.2020 avec Rocéphine 2gr et Flagyl 500 mg aux urgences puis Ciprofloxacine 500 mg 2x par jour et Flagyl 500 mg, 3x par jour. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48 heures. Suite : Contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences à 48 heures agendé au 04.01.2020 à 17 heures. En cas de péjoration de la symptomatologie, le patient consultera les urgences. Laboratoire: syndrome inflammatoire Urines: normales CT abdo: diverticulite colo descendante Hansen II a sans signe de complication. Consilium chir: ttt conservateur avec Rocéphine et flagyl. labo demain. nutrition normale. clexane 40. Rocéphine 2 g et flagyl 500 mg Iv aux urg ATT: Hospitalisation Meyriez pour continuer tt ATB. Laboratoire: thrombocyte à 79 G/l et Hb 71 g/l Attitude: • réévaluer le 13.01 +/- 1 CE si afébrile Laboratoire: thrombocyte à 79 G/l et Hb 71 g/l 1 CE aux urgences le 12.01, 2 CE le 13.01 Avis Dr. X : cible durant hosp. à 70-80, mais à la sortie viser 90-100 pour éviter réhospitalisation; le prévenir pour planifier suite de prise en charge ambulatoire Laboratoire: Troponine H0: 10, H1: 10, H3: 11 Rx thorax: pas de cardiomégalie, pas d'épanchement pleural US bedside (Dr. X): hypocontractilité globale US cardio (Dr. X): FEVG 40-45%, pas de valvulopathies, hypocontractilité globale. Ad hospitalisation pour Holter 48h, Schellong pour investigation des vertiges. Pas de modification des médicaments Contexte: mère mourante, fille en instance de séparation Traitement: • 500 mg aspirine par ambulanciers • 2x Magnesium 2 g iv lent aux urgences Laboratoire: Troponine sans cinétique. ECG: rythme sinusal régulier. US cardiaque aux urgences (Dr. X): fonction systolique conservée, contraction homogène des cavités, sans dilatation. Pas d'épanchement péricardique visualisé. CT thoraco-abdominal: dans la limite de la norme. Antalgie. Suite. Au vu du contexte (histoire familiale cardiaque positive, HTA et hypercholestérolémie) un bilan cardiologique est indiqué avec ergométrie et échocardiographie en ambulatoire. Demande faite dans le DPI pour une ergométrie et échocardiographie en ambulatoire. Le patient sera convoqué. Laboratoire: troponines à > 2500 ECG: tachycardie irrégulière à QRS fins 140-160 bpm, avec sus-décalages ST en V2 à V4 Echocardiographie: FEVG 20%, troubles cinétiques Beloc 2,5 mg iv 2x Charge en Aspirine 500 mg iv, Héparine 5000 UI iv, Efient 60 mg po Lasix 20 mg Temesta 2,5 mg Tavegyl 2 mg, Solu-medrol 125 mg car antécédent d'allergie au produit de contraste il y a 20 ans Refus initial de subir une coronarographie et d'être hospitalisé. Accepte finalement. Transfert en coronarographie puis aux soins intensifs. Laboratoire: Troponines H0 6 ng/l, H1 7 ng/l. ECG par les ambulanciers: RSR 70 bpm, axe normal, présence de sous décalage d'environ 1 mm en D2-V5-V6, présence de plusieurs ESV +. ECG aux urgences: RSR 80 bpm, axe normal, PR 194 ms, QRS 98 ms, QTc 456 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation, présence de plusieurs ESV. Sédiment urinaire: aligné. Radiographie du thorax face/profil du 14.01.2020: cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X) Laboratoire: troponines 21 ng/l ECG Surveillance rythmique aux urgences Transfert aux soins intensifs pour surveillance rythmique Holter annoncée Laboratoire: Troponines 6 ng/l, D-Dimères négatifs. ECG: RSR à 59 bpm, PR à 168 ms, QRS fins et normoaxés, pas de sus ou sous décalage du segment ST, QTc à 416 ms selon Bazet. Radiographie du thorax face/profil du 21.01.2020: la taille du cœur est dans la limite de la norme. Turgescences hilaires bilatérales, surcharge cardiaque ? Adénopathies ? Quelques infiltrats réticulaires basaux à droite. Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax. L'os est sans particularité. (Dr. X) Laboratoire: urée / créat dans la norme, pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire, Troponines h0 à 3 et h1 à 3, D-Dimères dans la norme. ECG: fréquence à 94/min, rythme sinusal et régulier, pas de trouble de la morphologie ni de la repolarisation. Laboratoire: urée 4.1, créat 87, CRP <5, Leu 15.6 G/l avec neutrophilie 12.43, Hb 150, PLT 201. Sédiment urinaire: leucocyturie, protéines pos, corps cétoniques, urobilinogène, érythrocyturie, flore bactérienne +. Urotube: à pister. Ultrason ciblé aux urgences: rein droit dans la norme, uretère D proximal dilaté à 6 mm, dilatation pyélo-calicielle, pas de calcul visualisé, vessie 22 ml. CT-scan abdominal natif du 21.01.2020: absence de comparatif CT. Abdomen: lithiase de 3 x 3 x 6 mm dans l'uretère moyen droit (hauteur L4/L5) avec dilatation pyélocalicielle (pyélon à 18 mm) en amont à droite. Absence de rupture de fornix. Les reins sont de taille et de configuration normale. Possible résidu de l'ouraque sous réserve d'une vessie vide. Pour le reste et sous réserve d'une absence de produit de contraste: le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie, pas de liquide libre. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique: absence de lésion nodulaire suspecte. Pas d'épanchement pleural. Os: absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION: lithiase de 3 x 3 x 6 mm dans l'uretère moyen droit (hauteur L4/L5) avec dilatation pyélocalicielle (pyélon à 18 mm) en amont à droite. Absence de rupture de fornix. (Dr. X) Laboratoire, urines: cf. copies ci-jointes. CT abdominal injecté du 19.01.2020: pas de comparatif disponible. Examen réalisé après injection de 100 ml de Ioméron et avec lavement au contraste. Abdomen: Épaississement pariétal circonférentiel du sigmoïde proximal autour de diverticules, sur un segment d'environ 7 cm, associée à une infiltration de la graisse mésentérique alentour et la présence de quelques ganglions mésentériques. Fine lame de liquide dans le pelvis à gauche. Pas d'argument pour une collection/abcès. Diverticulose pancolique. Pas de dilatation ni de défaut de rehaussement pariétal des anses digestives. Pas de pneumatose pariétale ou de pneumopéritoine. Le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Hypodensité millimétrique dans le segment V, trop petite pour être caractérisable. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Vessie et utérus sans particularité. Ovaires non visualisés. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie. Calcifications aortiques et des axes iliaques. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique: pas de nodule parenchymateux suspect ni d'épanchement pleural. Osseux: Absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Arthrose sacro-iliaque bilatérale, prédominant à gauche. (Dr. X) Laboratoire US abdominale du 14.12.2019: probable cardiomégalie sans épanchement péricardique avec veine sus-hépatique de taille à la limite supérieure de la norme. Arguments échographiques en faveur d'un foie de stase. Pas de pathologie biliaire visible. Laboratoire: voir annexe. 27.12.2019: MMS 25/30; Test de la montre 4/6; GDS 7/15. CT thoracique injecté le 16.12.2019: Pas d'embolie pulmonaire. Image de décompensation cardiaque gauche. Sur les coupes passant par l'abdomen, foie dysmorphique d'allure cirrhotique associé à du liquide libre péri-hépatique et péri-splénique. Kyste non caractérisable du pôle supérieur du rein gauche. Radiographie poignet/main droite 17.12.2019: Important diastase scapho-lunaire de 7 mm avec ascension proximale du capitatum, bascule dorsale du lunatum et palmaire du scaphoïde. Arthrose radio-scaphoïdienne. Cette image représente un SLAC Wrist.Rhizarthrose. Absence de fracture. Calcifications vasculaires importantes. Echocardiographie transthoracique le 18.12.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 4,58 l/min avec un index cardiaque à 2,34 l/min/m² (106 % de la théorique). Aorte non dilatée. Rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique à 1 cm² (0,51 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 26 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,33 cm². Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit normale. Dilatation importante de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. HTAP modérée (PAPs à 55 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée à moyenne (grade 2 à 3/4). Absence d'épanchement péricardique. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de 20 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus avec risque de chute élevé et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur baisse de l'état général à cause de sepsis. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 20 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10 % en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 13/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 36/18 MMS/CLOCK 25/30 - 4/6 GDS 7/15 Évaluation sociale (5 domaines) 30.12.2019 Colloque interdisciplinaire 1 - 2 08.01./15.01.2020 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 4/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 49/21 Laboratoire : voir annexe. ECG le 06.01.2020 : RSR, FC 66/min, axe gauche, PR 250 ms, QT 440 ms, pas de troubles de la repolarisation, QTc 463 ms. MMS 29/30, Test de la Montre 2/6, GDS 8/15 le 06.01.2020. Gastroscopie le 13.01.2020 : Hernie hiatale, Œsophagite II, Pantozol 40 mg 1x/j jusqu'au 28.02.2020. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de 20 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur déconditionnement général et par réduction/perte des capacités fonctionnelles avec risque de chute élevé. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 26 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10 % en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 14/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 75/26 MMS/CLOCK 29/30 - 2/6 GDS 8/15 Évaluation sociale (5 domaines) 06.01.2020 Colloque interdisciplinaire 1-3 08.01./15.01./22.01.2020 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 18/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 81/26 Laboratoire : voir annexe. ECG le 27.12.2019 : Pacemaker introduit 50/min, FA, QRS -70, PR 190 ms, QRS 210 ms, QTc 479 ms. MMS 16/30, 0/6, GDS 2/15 le 09.01.2020 en italien, (au présent son fils). Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de 22 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur arrêt cardio-respiratoire et par réduction/perte des capacités fonctionnelles avec risque de chute élevé. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 26 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10 % en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement.Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 12/28 avec tintébin Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 25/11 MMS/CLOCK 16/30 • 0/6 GDS 2/15 Evaluation sociale (5 domaines) 30.12.2019 Colloque interdisciplinaire 1-3 30.12.2019/08.01./15.01.2020 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 12/28 avec tintébin Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 52/18 Laboratoire: voir annexes. ECG: tachycardie sinusale régulière à 110/min, axe normal à 24°, PR à 172 ms, QRS fins à 84 ms, QTc à 433 ms, ondes Q inframillimétriques en I, II, aVL, V4-V6, pas de trouble de la repolarisation, transition de l'onde R précoce en V2-V3. RX thorax f/p du 22.12.2019: Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. CT thoracique injecté du 22.12.2019: Pas d'embolie pulmonaire. Épaississement septal interlobulaire et discrets comblements alvéolaires non spécifiques. L'image correspond en premier lieu à une atteinte infectieuse atypique ou à une surcharge. Dans le diagnostic différentiel, on peut évoquer une pneumopathie interstitielle ou un lymphome. Laboratoire: voir annexes. Hémocultures du 10.12.2019: 2 paires négatives à 5 jours. Frottis de plaie du phlyctène droit: quelques Corynebacterium afermentans. Angio CT MI 10.12.2019: Infiltration diffuse des tissus mous sous-cutanés de la racine de la cuisse, mais surtout de la jambe et du pied droit, aspécifique DD infectieux. Pas de bulle d'air mise en évidence (pas d'argument pour une fasciite nécrosante avec production de gaz). Pas de collection. Les artères et les veines du membre inférieur droit sont perméables. Agrandissement des ganglions inguinaux à droite avec altération de la graisse alentour (inflammatoire) et petites adénopathies rétropéritonéales en regard du promontoire sacré probablement réactionnelles également. Laboratoire (01.01.20) CRP 76 mg/l, Leucocytes 17.9 G/L Laboratoire (06.01.20): Leucocytes 9.1 G/L ECG: superposable aux comparatifs Radiographie du thorax: foyer basal à gauche Co-amoxicilline 2.2 gr IV aux urgences puis adapté à la fonction rénale à 1200 mg/12h Relais Co-amoxicilline 625 mg 2x/j du 07.01.20 Physiothérapie respiratoire Laboratoire (01.01.2019): Na à 128 mmol/l, Osmolalité à 302 mosm/kg Correction de l'hyponatrémie avec hydratation Laboratoire (01.01.2020): Créatininémie à 300 µmol/l, K+ à 5.5 mmol/l Laboratoire (06.01.2020): Créatininémie à 115 µmol/l, K+ à 4.5 mmol/l Spot urinaire: Fe(urée) <35% CT abdominal (01.01.2019): Pas de cause post-rénale identifiée Attitude: • Hydratation • Mise en suspens transitoire des traitements néphrotoxiques/métabolisés par le rein • Retour à la baseline de la créatinémie au laboratoire du 06.01.2020. Laboratoire 04.01.2020: Hémoglobine 118 g/l, Leucocytes 8.0 G/l, Thrombocytes 209 G/l 25.10.2019 Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif 04.01.2020 Sérologies: • 05.2019: Toxo non-immune • 07.2019: CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HIV négatif • 11.2019: HBsAg négatif, HCV négatif Varicelle faite Boostrix non documenté Laboratoire 04.01.2020: Hémoglobine 124 g/l, Leucocytes 8.7 G/l, Thrombocytes 203 G/l, CRP <5 mg/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 04.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 02.12.2019 Sérologies 24.05.2019: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole non-immune, VDRL négatif, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Boostrix non documenté Laboratoire 04.01.2020: Hémoglobine 137 g/l, Leucocytes 11.0 G/l, Thrombocytes 195 G/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatifs 04.01.2020 Streptocoques du groupe B négatifs 31.12.2019 Sérologies du 17.06.2019: Rubéole immune, VDRL négatif, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif Varicelle faite. Boostrix non documenté Laboratoire (04.01.2020): leucocytose à 16.8 G/L, CRP à 96 mg/L, fonction rénale normale Stix urinaire (03.01.2020): leucocytes +++, nitrites positifs, sang +++ Culture d'urine (04.01.2020): E. Coli 10^6 multisensible CT abdominal (04.01.2020): pyélonéphrite gauche sans signes de complications Antibiothérapie • Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j po du 03 au 04.01.2020 • Ceftriaxone 2 g 1x/j iv du 04.01.2020 au 05.01.2020 • Ciprofloxacine 500 mg 2x/j po du 06.01.2020 au 17.01.2020 Laboratoire (05.01.2020): CRP à 175 mg/L sans leucocytose, CT abdominal (05.01.2020): diverticulite sigmoïdienne Hansen & Stock IIa. Avis chirurgical: hospitalisation pour traitement conservateur du 05 au 07.01.2020 Antibiothérapie: • Ceftriaxone du 05 au 07.01.2020 • Ciprofloxacine du 08 au 14.01.2020 • Flagyl du 05 au 14.01.2020 Laboratoire 05.01.2020: Hémoglobine 114 g/l, Lc 11.5 G/l, Tc 239 G/l, CRP 24 mg/L Laboratoire 06.01.2020: Hémoglobine 106 g/l, Lc 15 G/l, Tc 208 G/l, CRP 43 mg/L Laboratoire 07.01.2020: Hémoglobine 96 g/l, Lc 9.8 G/l, Tc 181 G/l Groupe sanguin A Rhésus positif, RAI négatifs le 05.01.2020 Actimprom positif le 05.01.2020 Frottis vaginal le 05.01.2020: chlam/gono négatifs; gardnarella + Urotube 05.01.2020: négatif US-abdominal 05.01.2020: siège décomplété, battements cardiaques présents, PFE 345 gr, oligoamnios, placenta postérieur normo-inséré avec hématome sous-chorial placentaire de 60x23x70 mm USTV: Col à 17 mm Frottis placentaires: négatifs à J3 Anatomo-pathologie placentaire: EN COURS Laboratoire 05.01.2020: Hémoglobine 122 g/l, Leucocytes 4.8 G/l, Thrombocytes 282 G/l, crase eo Laboratoire (05.01.2020): pas de perturbation de la fonction rénale, HbA1c à 5.2% Sédiment urinaire (06.01.2020): érythrocyturie, protéines à 0.45 g/L avec rapport protéine/créatinine à 0.02 g/mmol Attitude: Contrôle du sédiment urinaire chez le médecin traitant Laboratoire (05.01.2020): transaminases augmentées à 2-3x la norme, GGT à 4x/ la norme, bilirubinémie augmentée (totale: 23 umol/L, directe: 13 umol/L) CT abdominal (05.01.2020): foie de morphologie normale mais avec un réhaussement hétérogène discret du parenchyme hépatique (DD: stéatose focales ?), sans lésion suspecte visible Attitude: US hépatique en ambulatoire le 16.01.20 (HFR-Meyriez) et contrôle des tests hépatiques chez le médecin traitant Laboratoire (05.01.2020): transaminases augmentées à 2-3x la norme, GGT à 4x/ la norme, bilirubinémie augmentée (totale: 23 umol/L, directe: 13 umol/L) Sédiment urinaire (05.01.2020): bilirubine ++ CT abdominal (05.01.2020): foie de morphologie normale mais avec un réhaussement hétérogène discret du parenchyme hépatique (DD: stéatose focales ?), sans lésion suspecte visible Attitude: US hépatique en ambulatoire le 15.01.20 (HFR-Meyriez) et contrôle des tests hépatiques chez le médecin traitant Laboratoire (06.01.2020): Creat 107 umol/l, DFG d'après CKD-EPI: 39.8 ml/min/1.73 m² Laboratoire (06.01.2020): Hb: 116 g/l, VGM: 96 fl, CMH: 31 pg (06.01.2020)Laboratoire (06.01.2020): kaliémie à 2.6mmol/L, natrémie à 141mmol/L; créatininémie à 83umol/L Sédiment urinaire (06.01.2020): aligné Spot urinaire (06.01.2020): K+: 38 mmol/L ECG (06.01.2020): rythme sinusal régulier sans trouble de la repolarisation sans signes francs d'hypokaliémie Substitution potassique iv le 6.01.2019 puis per os du 7 au 8.01.2019 Thiazide suspendu du 6 au 08.01.19 Laboratoire (06.01.2020): pas de syndrome inflammatoire, anémie normocytaire normochrome à 112g/L connue, tests hépatiques alignés RX thorax (06.01.2020): Pas de franc foyer Traitement symptomatique (Nasonex et Ponstan) Physiothérapie Laboratoire 07.01.2020: Hb 111g/l, Lc 16.2G/l, Tc 294G/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 07.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif 16.12.2019 Sérologies: Toxo non-immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Boostrix fait le 28.11.19 Laboratoire (07.01.2020): pas de syndrome inflammatoire Radiographies standard du bassin, hanche droite et colonne lombaire (07.01.2020): pas de fracture Adaptation de l'antalgie par Dafalgan, Novalgine, Oxycontin 2x5mg (Oxynorm en R) Physiothérapie de mobilisation Laboratoire (07.01.2020): troponines stables (H0 à 34 ng/L et H3 à 37 ng/L), NT-proBNP à 6369ng/L, absence de syndrome inflammatoire Radiographie thoracique (07.01.2020): signes de décompensation cardiaque, pas de foyer ECG (07.01.2020): rythme régulier sinusal, pas de bloc de conduction, pas de trouble de la repolarisation ETT (10.01.2020): FEVG conservée. Dysfonction diastolique de stade I. Pas de valvulopathie significative. OG modérément dilaté (ne motivant pas la nécessité de faire un Holter à la recherche d'une FA) Lasix 20 mg/j iv du 07.01 au 12.01 Introduction Torasemid 10 mg (12.01.2020) Deponit patch en réserve pour les pics hypertensifs Consilium téléphonique néphrologie HFR Fribourg 13.01.2020: Introduction Torem et Aldactone au long court, arrêt hydrochlorothiazide. Contrôle à 1 mois. Laboratoire 07.01.2020 Hémoculture le 07.01 : négative Radiographie épaule gauche et coude gauche 07.01 : structures osseuses en rapport avec l'âge et la constitution du patient, sans lésion focale, traits de fracture ou ostéolyse visible. Articulations normales. Echographie épaule gauche 07.01 : Aspect normal de l'articulation de l'épaule gauche sans signes d'épanchement ou de troubles inflammatoires IRM épaule gauche le 08.01 : Pas d'argument pour une ostéomyélite. Minime épanchement intra-articulaire pouvant évoquer une arthrite, cependant l'association de liquide au sein de la bourse sous-acromio-deltoïdienne peut également évoquer une origine post-traumatique. Laboratoire 08.01.2020 : créatinine 94 umol/l, urée 5.5 mmol/l, CRP 162 mg/l Laboratoire 10.01.2020 : créatinine 64 umol/l, urée 4.4 mmol/l, K+ 3.6 mmol/l, CRP 54 mg/l Uroculture : 10E6 E. Coli Hémoculture : positive E.Coli Sédiment du 07.01.2020 : pathologique : hématurie, leucocyturie, flore bactérienne Sonde vésicale Antibiothérapie par Rocéphine 2 g, avec relais par ciprofloxacine per os pour une durée totale de 2 semaines Laboratoire (08.01.2020): phosphatémie à 0.73mmol/L, magnésémie à 0.56 mmol/l Substitution du phosphate per os du 08 au 09.01.2020 Substitution du magnésium per os du 08 au 20.01.2020 Labo (11.01.2020): phosphatémie à 1.53 mmol/l, magnésémie à 0.69 mmol/l Labo (17.01.2020): magnésémie 0.77 mmol/l Laboratoire 09.01.2020: Hb 132 g/l, Lc 9.9G/l, Tc 2016 G/l, crase alignée Groupe sanguin O Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D 28.10.2019, AC irréguliers négatif 09.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif 10.12.2019 Sérologies: Toxo non-immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Boostrix fait le 24.09.2019 Laboratoire 09.01.2020: Hémoglobine 123 g/l, Leucocytes 9.1G/l, Thrombocytes 228G/l Groupe sanguin B Rhesus négatif, immunoglobuline anti-D le 19.12.2019, Ac irréguliers négatifs le 23.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif 09.01.2020 Sérologies 25.06.2019: Toxoplasme immune, CMV non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBsAg négatif, HIV négatif Laboratoire (11.01.2020): TSH 24,11 mU/l, FT4 7 pmol/l, FT3 2.42 pmol/l Reprise Euthyrox à la dose habituelle de 100 mcg/j (14.01.2020) Bilan thyroïdien à 3 mois Laboratoire 13.01 Laboratoire 14.01 Laboratoire (13.01.2020): CRP à 35mg/L sans leucocytes. pas d'insuffisance rénale. pas de troubles électrolytiques significatifs Sédiment urinaire (13.01.2020): propre ECG (13.01.2020): rythme sinusal régulier à 80/min. pas de BAV. QRS fin. pas de trouble de la repolarisation, pas de déviation de l'axe. RX de thorax (13.01.2020): pas de foyer. Hydratation 1L de NaCl 0.9% Réassurance RAD avec traitement symptomatique Laboratoire 13.01.2020: Hémoglobine 124 g/l, Leucocytes 7.3 G/l, Thrombocytes 204 G/l, CRP 7 mg/l Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif 25.06.2019 Streptocoques du groupe B négatif 16.12.2019 Sérologies 25.06.2019: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Boostrix durant la grossesse. Analyses anatomo-pathologiques du placenta en cours. Laboratoire 14.01 Uricult 14.01 - 10^6 - E.coli ESBL Hémocultures 14.01 - négative US voies urinaires 16.01 : Échographie des voies urinaires normale. Laboratoire 14.01.2020: CRP 106mg/l, Lc dans la norme Radio du thorax 14.01.2020: pas d'infiltrat ni d'épanchement Antibiothérapie par Co-amoxicilline 1.2g i.v. du 14.01.2020 au 21.01.2020 Traitement symptomatique Laboratoire 17.01 : eosinophilie à 1.2 G/l, bilirubinémie totale légèrement augmentée à 8.3 µmol/l Adénovirus et Rotavirus dans les selles : négatifs coprocultures : négative 3 fois recherche parasites selles (protozoaire/helminthes) : négative Laboratoire (17.01.2020): • NT-ProBNP à 8 065 ng/l • CRP 157 mg/l, Leucocytes 4.2 G/l Adaptation du traitement diurétique: > Lasix 80 mg i.v du 17 au 18.01.2020 > Torem 20mg à partir du 19.01.2020 Digoxine 0.5mg le 17.01 puis 0.25 mg du 18 au 19 puis 0.125 à partir du 20.01 Majoration du Beloc Zok à 100-0-100 Cefepime i.v 1g x3/j du 17 au 23.01.2020 Majoration des doses d'Hydrocortisone 30-10-10 du 17 au 23.01.2020 Laboratoire 19.01.20: CRP 200, leucopénie 2.2 CT scan thoraco-abdominal 19.01.20 (Dr. X): condensation bibasale, épanchement pleural G Attitude: Hospitalisation en médecine interne Pister hémocultures, antigènes urinaires Poursuite Rocéphine/Klacid Si persistance d'état fébrile à 48h du début de l'antibiothérapie élargir le spectre Physiothérapie respiratoire Laboratoire 2 paires d'hémocultures : négatives Antigènes urinaires: négatifs RX thorax CT cérébral Ponction lombaire - Culture LCR Co-Amoxicilline 2.2 g 6x/j du 22 au 24.12.2019 Rocéphine 2 g 2x/jour du 22.12.2020 au 07.01.2020 Dexaméthasone IV 10 mg 4x/j du 27 au 31.12.2020 Avis infectiologique Laboratoire 21.01.2020: Hémoglobine 131g/l, Leucocytes 12.8 G/l, Thrombocytes 268 G/l Groupe sanguin O Rhésus positif, Ac irréguliers négatifs 21.01.2020 Streptocoque B négatif le 31.12.2020 Sérologies 19.06.2019: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole non-immune, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif Laboratoire (21.01.2020): pas de syndrome inflammatoire ECG: superposable Gazométrie : Acidose respiratoire chronique avec compensation métabolique et hypoxie à 8.5 Kpa. Frottis grippe négatif (21.01.2020) Rx thorax: pas de foyer Oxygénothérapie 2l/min Inhalation Atrovent/Ventolin 4x/j, prednisone 40mg Oxygénothérapie à domicile Prochain RDV de pneumologie le 17.02.2020 à 14h, Dr. X Laboratoire 22.01 & 24.01 Gazométrie 22.01 : alignée Frottis grippe/RSV : négatif/positif Radiographie du thorax : Examen réalisé en position couchée. Mise en évidence d'une opacité alvéolaire para-cardiaque droite avec léger effacement de la silhouette cardiaque droite évoquant un foyer infectieux. Aéro-bronchogramme présent. Angles costo-diaphragmatiques libres. Silhouette cardiaque dans la norme. Cadre osseux sans particularité. Laboratoire 23.01.2020 : Hémoglobine 121 g/l, Leucocytes 10.1 G/l, Thrombocytes 218 G/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 23.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif 31.12.2020 Sérologies : • 07.2013 : CMV immune • 06.2016 : Rubéole immune • 07.2019 : HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif, VDRL négatif Varicelle faite. Laboratoire 24.01.2020 : Hb 145 g/l, Lc 12.8 G/l, Tc 224 G/l Groupe sanguin O Rhésus positif Chlamydia négatif le 17.04.2019 PAP normal le 04.06.2019 Laboratoire 24.01.2020 : Hémoglobine 126 g/l, Leucocytes 9.4 G/l, Thrombocytes 196 G/l Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 24.01.2020 Streptocoques du groupe B négatif le 03.01.2020 Sérologies : • 2014 : CMV immune • 01.2019 : Rubéole immune • 08.2019 : VDRL négatif, HBsAg négatif, HCV négatif, HIV négatif Varicelle faite. Boostrix fait le 16.10.19 et vaccin grippe le 20.11.19. Laboratoire 24.12.2019 : CRP 41, leucocytes 12.5, hémoglobine 116, erythrocytes 4.37, hématocrite 0.37 Sédiment urinaire 24.12.2019 : leucocytes +++, sang ++ PCR des selles : négatif ASP : Absence de signe d'iléus. Avis de Dr. X : pas de signes d'abdomen aigu, CT abdominal après normalisation des valeurs de créatinine. Hydratation avec NaCl 0,9 % 1500 ml par 24 h Rocéphine 2 g iv, Metronidazole 500 mg iv CT abdominal le 27.12.2019 : pas de diverticulite. Laboratoire 26.01.20 : CRP 128, pas de leucocytose CT abdomen 26.01.20 : pas de signes de pyélonéphrite, pas de diverticulite, abcès petit bassin 9 cm x 5 cm. Avis gynécologique : PID ou hydrosalpinx. Attitude : • Hospitalisation en gynécologie et antibiothérapie IV. Laboratoire 26.01.2020 : syndrome inflammatoire (CRP 128 mg/L, leucocytes à 8.6 G/L) Test de grossesse négatif. CT abdomen 26.01.20 : pas de signe de pyélonéphrite, pas de diverticulite, image d'abcès dans l'espace de Douglas de 9 cm x 5 cm. US endovaginal : hydro-pyosalpinx. Frottis cervical : négatif Hospitalisation pour antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine, Vibramycine, Flagyl du 26.01-29.01.2020. Relais antibiotique per os du 29.01.2020-09.02.2020 par Levofloxacine et Metronidazole. Laboratoire 28.12.19 : Hb 126 g/l, Lc 9.5 G/l, Tc 201 G/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers positif 16.12.2019 Anti-E pos, Coombs nég. Streptocoques du groupe B négatif 12.12.2019 Sérologies : Toxo non-immune 24.05.2019 ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite. Status vaccinal Boostrix non documenté. Laboratoire 3 HémoCue à 79 mg ECG Avis Gastro-entérologique (Dr. X) : indication à gastroscopie dans les 24 h. Attitude : • 750 ml NaCl et 1 g Acide Tranexamique 1 g dans l'ambulance • Hydratation 750 ml aux urgences, Protamine 4000 UI • Bolus iv de 80 mg de Pantozol puis ivc 8 mg/h • Demande OGD faite. Laboratoire 31.12.2019 : CRP 293 mg/l, leucocytes 10.4 G/L Urine 31.12.2019 : leucocytes 3 +, bactéries 2 +, nitrites négatifs. Radiographie thoracique 31.12.2019 : pas de foyer visualisé (radio couchée, mal inspirée). 2 paires d'hémocultures 31.12.2019 : en cours. NaCl 0.9 % 500 ml Rocéphine 2 g iv ordre unique Paracétamol 1 g iv ordre unique. Laboratoire 02.01.2020 : CRP 179, leucocytes 6.9 G/L Rocéphine 2 g 1x/j jusqu'au 02.01.2020 avec relais par Ciproxine 500 mg 2x/j jusqu'au 04.01.2020. Laboratoire 31.12.2019 : K 6.5 mmol/l, CRP 12 mg/l, Leucocytes 5 G/l ECG 31.12.2019 : Ondes T pointues, déviation gauche, QRS fins, FA avec rythme irrégulier 57 puls/min 20 EI Insulin Novorapid iv avec Glucose 20% 200 ml 4 IE Novorapid sc Resonium 15 g 3x/j du 31.12.2019 au 02.01.2019 Nephrotrans 2x15 g le 01.01.2020 Laboratoire 03.01.2020 : K 4 mmol/l Aldactone en suspens depuis le 31.12.2019 : évaluer reprise à votre consultation. Laboratoire 800 U/j Contrôle à 3 mois. Laboratoire Aerius cpr pell 5 mg Alfacortone crème 2.5 % (hc 10/19). Laboratoire Alcoolémie à 0. Keppra 1.5 gr dose de charge aux urgences puis Keppra 500 mg, 2 x par jour Surveillance clinique aux urgences. Suite En cours d'investigations par le médecin traitant, un CT a récemment été effectué. Pister les résultats déjà effectués. CT crâne à effectuer en cas de nouvelles crises d'épilepsie. Avis Dr. X à solliciter le 27.01.2020. Laboratoire. Angio-CT cérébral et cervical (rapport provisoire) : pas de dissection, asymétrie de l'artère carotidienne G>D comme variable de la norme selon les radiologues. Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie. IRM cervicale et contrôle clinique au team spine à une semaine. Laboratoire. Angio-CT cérébral : Pas de saignement mis en évidence. Pas d'œdème cérébral. Dormicum 2x1 mg pour réalisation CT cérébral. Avis du Prof. X : Keppra 750 mg iv en dose de charge aux urgences, puis 750 mg 2x/j. Indication à effectuer un EEG le 23.01.2020. ATT : • Hospitalisation pour suite de prise en charge. • Demande d'EEG faite. • Pister labo du 23.01.2020. Laboratoire Angio-CT cérébral : Pas de signe de lésion ischémique ou hémorragique. Attitude : • Retour à domicile. Explications des signes qui doivent amener une nouvelle consultation. Contrôle chez le médecin traitant prévu le 10.01.2020. Laboratoire. Antalgie. Dormicum 1 mg. Pantoprazol 80 mg IV. Avis gastroentérologie (Dr. X) : oesogastroscopie en urgence pour extraction du corps étranger. Déchirure oesophagienne sur 10 cm de longueur à 30 cm de l'ADS, 2-3 mm de profondeur et 1 cm de largeur. Pose de sonde naso-gastrique sous contrôle visuel. CT cervico-thoraco-abdo. Avis chirurgical (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie viscérale au CHUV pour surveillance et suite de prise en charge. Transfert en ambulance. Laboratoire Antigène urinaire le 28.12.2019 : négatifs. Radiographie du thorax le 28.12.2019. Rocéphine 2 g iv du 28.12 au 31.12.2019. Klacid 500 mg per os du 28.12 au 30.12.2019. Tavanic 500 mg du 02 au 03.01.2020. Laboratoire Antigènes urinaires : négatifs pour Légionelle et pneumocoques. Hémocultures : négatives. RX thorax CT thoraco-abdominal. Céfépime 2 g 2x/jour du 27.12.2019 au 30.12.2019. Co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 03.01.2020. Laboratoire Arrêt des AINS, Pantozol pour 1 semaine. Laboratoire Artériographie du MID le 04.10.2019. Rx bassin f, hanche D ax., fémur D f/p le 16.10.2019. Rx thorax 17.10.2019. CT bassin 05.11.2019. Rx thorax 06.11.2019. Laboratoire. Attitude : retour à domicile. Sera convoquée pour US abdominal. Colonoscopie en ambulatoire à organiser. Ne souhaite pas d'antalgie. Laboratoire. Attitude : • Substitution per os. Laboratoire. Attitude : • Retour à domicile avec conseils relatifs à la gastroentérite. Primpéran et Pantozol. Le patient est informé des symptômes qui doivent amener une nouvelle consultation aux urgences. Laboratoire Attitude : Bilan anémie 29.01.2020. Laboratoire Attitude : Hospitalisation en médecine. Téléphone au MT pour savoir si bilan angiologique effectué. Laboratoire Attitude : Suivi biologique. US hépatique à prévoir. Laboratoire Attitude : Traitement symptomatique. Prochain rendez-vous en oncologie et en chirurgie le 31.01.20. Laboratoire. Avis chirurgical : hospitalisation en MI et intervention demain. ATT : • Hospitalisation en urologie et changement de JJ le 31.01.2020. Laboratoire. Avis chirurgical : hospitalisation pour antalgie et contrôle demain. Réévaluation de l'indication au CT. Antalgie par morphine 10 mg IV. ATT : • Hospitalisation en satellite de chirurgie pour antalgie et surveillance clinique. Laboratoire de contrôle demandé. Laboratoire Avis Dr. X: majoration du Revolade à 100 mg. Thrombocytes tous les jours. • Anticoagulation selon thrombocytes: • si > 50 G/l: xarelto • si 30-50 G/l: Liquiémine avec cible 0.3 à 0.4 • si < 30 G/l: pas d'anticoagulation Attitude: • Hospitalisation en médecine Traitement: • Xarelto 15 mg 2x/jour • Majoration du Revolade à 100 mg/jour (sur ordre du Dr. X) Laboratoire Avis neurologique (Dr. X): prendre avis ophtalmologique pour exclure décollement de la rétine Avis ophtalmologique (Dr. X): décollement vitré postérieur avec hémato vitré, déchirure de la rétine à l'extrême périphérie nasale Attitude: Prise en charge pour opération au laser le lendemain à 8 h. Mr. Y se présente à l'accueil à 8 h. Laboratoire. Bilan urinaire. Laboratoire Co-amoxicilline iv 2,2 Consilium ortho (Dr. X): hospitalisation en médecine ATT: délimitation lésion Hospitalisation médecine interne Laboratoire Colonoscopie le 19.12.2019 Laboratoire Consilium neurologique (Dr. X): Pas d'initiation de traitement actuellement Evaluation à indication de CT cérébral natif Réévaluation par neurologue demain Hospitalisation en médecine interne pour investigation Laboratoire: Créatinine kinase augmentée à 440 UI. Créatinine plasmatique dans la norme à 52 umol/l. Laboratoire CT Laboratoire CT abdominal Laboratoire CT abdominal injecté: mise en évidence d'une pancératite Balthazar C, sans présence de coulées nécrotiques, sans calcul biliaire visualisé. Avis chirurgical (Dr. X): hospitalisation du patient. Hydratation. Antalgie. Prophylaxie anti-TVP. Prévoir US de contrôle pour exclure calcul biliaire comme origine de la pancréatite. ATT: • Hospitalisation du patient à Riaz pour suite de prise en charge. • Organiser une US de l'abdomen supérieur. Laboratoire. CT abdominal: Pas de signes d'iléus. Hydratation après 500 mL NaCl 0.9 % IV. Attitude: • Retour à domicile avec recommandation d'hydratation. Laboratoire CT abdominal prévu le 28.01.2020: Antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl. ATT: • Hospitalisation en chirurgie et AB. • CT de contrôle prévu • Laboratoire de contrôle prévu. Laboratoire CT abdominal (rapport oral): Iléus iléal au niveau para-ombilical sur closed-loop. Dilatation jusqu'à 32 mm. Peu de liquide libre, pas d'autres signes de souffrance, pas de pneumomatose. Avis chirurgical: Pose de SNG. Hospitalisation en chirurgie. Transfert en chirurgie Laboratoire CT avec cartes de perfusion Charge en aspirine 250 mg iv Hospitalisation aux soins intensifs Pour la suite: Aspirine, Plavix, Atorvastatine 80 mg, pister bilan lipidique et HbA1c Bilan angio doppler par Dr. X et IRM prescrite et questionnaire fait Laboratoire CT cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux le 16.01.2020: sans particularité Avis neurologique (Dr. X/Dr. X): pas d'argument pour un AVC pour l'instant, pas de médicament nécessaire, troubles fonctionnels IRM cérébral le 17.01.2020: sans particularité Physiothérapie Laboratoire. CT cérébral injecté: pas d'HSA, pas d'anévrisme visualisé (temps artériel légèrement tardif) Évolution: disparition des céphalées après 30 min et 10 mg de morphine po. Retour à domicile avec antalgie, revenir en cas de récidive, rester accompagné ce soir. Trouver un médecin traitant. Laboratoire CT cérébral natif: sinus maxillaire droit comblé Attitude: Antalgie Antibiothérapie Contrôle chez le médecin traitant. Explications données au patient par le médecin. Laboratoire CT cérébro-cervical: Nodule thyroïdien droit avec évolution de 22 mm à 28 mm depuis 2015, pas de saignement intracrânien, pas de masse, pas de signe d'ischémie, pas de fracture cervicale. Attitude: Antalgie Retour à domicile, réassurance Red Flags enseignés au patient Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire CT crânio-cervico-thoracique: pas de fracture retrouvée. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie. Examens effectués aux urgences expliqués au patient par le médecin. Laboratoire CT scanner abdo: pas de pancréatite, collection le long de la cicatrice de laparotomie d'allure séreuse de 17 cm sur 46 mm Avis chir (Dr. X/Dr. X) Hosp pour reprise de la cicatrice opératoire et pose de VAC Laboratoire. CT thoracique. Co-amoxicilline pour 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire. CT time is brain: lésion pariéto-occipital D. Carte de perfusion suggérant une lésion constituée. Avis neurologique: Lésion constituée. Au vu du délai dépassé, hospitalisation aux SI pour surveillance rythmique. Multiples lésions d'allures anciennes au niveau thalamique bilatéral et du centre semi-oval, suggérant une origine cardio-embolique. ATT: • Hospitalisation aux SI pour surveillance rythmique. • Prévoir ETT et Holter. Laboratoire CT time is brain: Occlusion M2 à G proximal Alteplase 0.9 mg/kg à 10 h 35 Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) Attitude: Transfert à l'Inselspital Laboratoire. CT Time is Brain: Pas de saignement, pas de désafférentation cortico-sous-corticale, pas de mismatch aux cartes de perfusion. Petite diminution du TMAX en pariétofrontal D. Sténose serrée (75 %) de l'artère carotide interne G. Sténose à 50 % de l'artère vertébrale G. Avis neurologique: Contrôle de la TA et hospitalisation en Stroke si lits disponibles. Ajouter IRM cérébrale et ajouter Atorvastatine 40 mg. ATT: • IRM demandée. • Hospitalisation en Stroke Unit pour suite de prise en charge. Laboratoire CT total Body: Pas de fracture cervicale ou crânienne retrouvée. Pas de lésion abdominale mise en évidence. Radiographies cervicales fonctionnelles: alignement vertébral, pas de signe de listhésis. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie. • Explication des signes qui doivent motiver une nouvelle consultation aux urgences. • Distribution de la feuille d'information traumatisme crânien simple. • Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire: DD: 413, Magnésium 0.76, CRP < 5. Examen clinique rassurant. Retour à domicile. Laboratoire. Dosage Lamotrigine et Dépakine. Avis neurologique (Dr. X): dosage Lamotrigine et Dépakine envoyé. Arrêt Lamotrigine, majoration du traitement de Dépakine à 750 mg 2x pendant 3 jours, puis 500 mg 2x/jour. Rediscussion avec neurologue traitant (Dr. X) pour la suite de la prise en charge. Introduction Xyzal 5 mg ordre unique. Laboratoire ECG Laboratoire ECG: fibrillation auriculaire connue, examen superposable au comparatif de juillet 2019 Vitamine D: dans les normes Radiographie lombaire + bassin Réadaptation gériatrique aiguë du 18.12.2019 au 31.12.2019 Laboratoire. ECG: rythme sinusal, avec extrasystoles ventriculaires. Pas de trouble de la repolarisation. CT cérébral: pas de lésion hémorragique. Retour à domicile. Contrôle chez le médecin traitant. Évaluer la nécessité d'un Holter en ambulatoire. Laboratoire ECG: rythme sinusal régulier, pas de trouble de la repolarisation, QTc à 363 ms Avis Tox Info: pic de concentration plasmatique 3 à 4 h post-ingestion, surveiller le risque de convulsion, détresse respiratoire et trouble cardiaque avec allongement du QT Charbon actif (2 h 30 après ingestion médicamenteuse) Hospitalisation en lit monitoré pour la nuit - Surveillance rythmique et ECG Avis Dr. X, psychiatre de garde: indication à une hospitalisation à Marsens sous PAFA si nécessaire Laboratoire. ECG: rythme sinusal, régulier, sans trouble de la repolarisation. Retour à domicile avec antalgie simple. Laboratoire. ECG: rythme sinusal, sans trouble de la repolarisation. Pas de SIQIII. Retour à domicile avec paracétamol. Mme. Y est informée des symptômes devant l'amener à reconsulter.Laboratoire ECG CT cérébral natif : pas de saignement intra-crânien Test de Schellong : négatif Réadaptation gériatrique aiguë du 30.12.2019 au 05.01.2020 Tests de la cognition du 05.01.2020 : MMS à 29/30, test de la montre à 7/7 et un mini-GDS à 0/4 Laboratoire ECG du 01.01.2019 : tachycardie sinusale CT-scan cérébral injecté le 01.01.2020 IRM neurocrâne/tissus mous le 09.01.2020 : rapport oral du radiologue (Dr. X) : cellulite périorbitaire pré-septale gauche avec abcès sous-cutané, sans atteinte intra-orbitaire ni abcès intra-cérébral Hémocultures 2 paires à froid (dont 1 sur le PAC) : négatives à 5 jours Hémocultures 2 paires à chaud (dont 1 sur le PAC) : négatives à 5 jours Consilium infectiologique (Dr. X) le 03.01.2020 : • Clindamycine 300 mg iv 3x par jour • Azactam 2 g 3x/j • Cubicine 350 mg 1x/j • Valtrex prophylactique • Nasonex 2x/j • pas d'anticoagulation nécessaire Avis oncologique (Dr. X) : • CT cervico-thoraco-abdominal le 06.01.2020 • Gazyvaro 1000 mg IV le 11.01.2020 (initialement G-ICE prévu) Antalgie par Oxycodone PO Transfert à l'Inselspital le 14.01.2019 pour suite de prise en charge avec notamment drainage/biopsie de l'abcès Laboratoire. ECG du 21.01.2020 : fibrillation auriculaire, QRS fin, QTc normal. Axe droite. Pas de sus-/sous-décalage segment ST Radiographie thoracique du 23.01.2020 : cardiomégalie importante. Emoussement du sinus costo-diaphragmatique gauche. Pas d'épanchement pleural. Doute sur foyer en base droite Laboratoire ECG : FA connue versus flutter à conduction variable, avec extrasystoles ventriculaires versus aberrations de conduction arrêt de la distraneurine et de l'atarax, seresta en réserve si sevrage maintien torem, à rediscuter si récidive de vomissements becozym et benerva laboratoire de contrôle lundi Laboratoire. ECG : fibrillation auriculaire connue. BBG connu. Radiographie thoracique CT-abdominal : signes de souffrance au niveau du tract digestif hernié. Avis chirurgical : discussion avec Mr. Y et sa famille (épouse et 3 fils). Il ne souhaite pas d'opération et comprend que cela implique un décès inévitable. La décision est prise d'initier des soins de confort. ATT : • Transfert à Tavel pour suite de prise en charge en soins de confort. • Si vomissements importants et inconfort du patient, pose d'une SNG. Laboratoire ECG : fibrillation auriculaire normocarde Avis neurologue de garde (assistant) : pas de critères de lyse au vu du wake-up stroke, transfert à l'HFR Fribourg avec IRM cérébrale IRM cérébrale, 16.01.2020 (résultat par oral) : pas de lésion ischémique, pas d'occlusion des vaisseaux précérébraux, possible sténose P1 gauche de l'artère cérébrale postérieure Attitude : • Disparition des vertiges lors d'observation aux Urgences mais une faiblesse généralisée. Risque de chute élevé. • Hospitalisation en médecine de Riaz pour la suite de prise en charge. Laboratoire. ECG : Fibrillation auriculaire. Pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax : discrète redistribution vasculaire. Cardiomégalie. US au lit de Mme. Y : Présence d'ascite, probablement sur la décompensation cardiaque. Pas d'indication à une ponction aux urgences. Lasix 20 mg IV ATT : • Hospitalisation en MI pour suite de prise en charge. • Poursuite du Lasix 40 mg po. Laboratoire ECG : fibrillation auriculaire. Rx thorax : US au lit de Mme. Y : quelques lignes B visualisées aux bases. Pas d'épanchement péricardique. Fonction cardiaque droite et gauche diminuée. Pas de trouble de la cinétique. Lasix 20 mg IV ATT : • Hospitalisation en MI suite de prise en charge. • Torem 10 mg. Laboratoire. ECG le 04.01.20 : rythme sinusal régulier, pas de trouble de la conduction, QRS fins, ST isoélectrique. Laboratoire ECG le 19.12.2019 : RSR à 79 bpm, onde P biphasique en V1, QRS fins avec mauvaise progression de l'onde R de V1 à V3, sus-décalage du segment ST de 1 mm de V2 à V4, segments PR et QT sp, onde T négative en V1, aVR et DIII, Sokolow à 41, axe gauche dans le contexte d'un hémibloc antérieur gauche. Rx mains et pieds le 20.12.2019 : atteinte classique de PR érosive avec séquelles et troubles arthrosiques secondaires. Main D : Arthrose des articulations interphalangiennes distales des 2ème, 3ème et 5ème rayons avec légère subluxation latérale de la dernière phalange du 3ème rayon. Pincement de l'interligne métacarpo-phalangien du 2ème rayon avec légère subluxation postérieure de la tête du deuxième métacarpien. Arthrose modérée scapho-trapézoïdienne ainsi que rhizarthrose débutante. Arthrose radiocarpienne avec probable kyste osseux centimétrique du bord médial de l'épiphyse radiale inférieure. Arthrose radio-ulnaire distale. Probable ancienne fracture non consolidée de la styloïde ulnaire. Variance ulnaire positive. Main G : Arthrose modérée des articulations interphalangiennes distales des deuxième et troisième rayons. Pincement de l'interligne métacarpo-phalangien du 2ème rayon avec légère subluxation postérieure de la tête du deuxième métacarpien. Présence d'érosion osseuse versus kystes ganglionnaires au sein de la base du 2ème métacarpien ainsi que de l'hamatum et du scaphoïde. Pieds : Hallux valgus bilatéral. Luxation supérieure de la tête des deuxièmes métatarsiens de façon bilatérale. Erosion osseuse au sein des têtes des deuxième, troisième, quatrième et cinquième métatarsiens du côté gauche ainsi que du deuxième métatarsien du côté droit. US abdominal supérieur le 20.12.2019 : examen dans les limites de la norme, sans dilatation pathologique des voies biliaires. Pas de lithiases visibles. Parenchyme hépatique sans particularité. Laboratoire ECG : RSRN, QRS fin, trouble du QRS en aVF, III et V1 CT cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux, 16.01.2020 : sans particularité Avis neurologique : pas d'argument pour un AVC pour l'instant, troubles fonctionnels clairs. Attitude : • Hospitalisation dans le service de médecine • IRM dès que possible • Pas d'aspirine pour l'instant • Consilium psychiatrique Laboratoire ECG : rythme électro-entraîné. Primpéran 10 mg IV NaCl 0.9 % 1000 ml IV Attitude : • Retour à domicile au vu de l'état clinique rassurant, de l'absence de nouveaux vomissements aux urgences et d'un laboratoire rassurant, avec traitement symptomatique des nausées en réserve. Explications données à Mr. Y par le médecin. Laboratoire ECG : rythme sinusal régulier, pas de trouble de la repolarisation. US au lit du patient (Dr. X) : fonction ventriculaire gauche altérée visuellement ; pas d'épanchement péricardique. Reins de taille normale, sans dilatation pyélocalicielle. Aorte abdominale de 1.7 cm de diamètre, sans trace de dilatation. Attitude : • Retour à domicile après informations des signes et symptômes qui doivent motiver une nouvelle consultation. Laboratoire ECG : rythme sinusal, régulier. QRS élargis, BBD (connu). Pas de trouble de la repolarisation. Radiographie de la hanche G : suspicion de fracture pertrochantérienne. CT bassin et hanche G : fracture pertrochantérienne avec multiples fragments. Avis orthopédique : discussion avec la représentante thérapeutique. Hospitalisation et opération. ATT : • Hospitalisation en orthopédie pour suite de la prise en charge.Laboratoire ECG: Rythme sinusal régulier. Sans trouble de la repolarisation. Angio CT-cérébral: Pas de fracture. Hématome intra-parenchymateux fronto-pariéto-occipital et de la capsule interne avec déviation de la ligne médiane de 7mm et compression ventriculaire. Oedème péri-lésionnel. Intubation le 22.01.2020: Propofol 200, Fentanyl 150, Emeron 100. ATT: • Transfert à Berne pour suite de prise en charge. • Téléphone épouse: 079 239 04 94 Laboratoire. ECG: rythme sinusal, régulier. Sous-décalage V3-V5. Avis cardio: charger le patient en aspirine et liquémine 5000UI, puis coronarographie ce jour. ATT: • Coronarographie puis hospitalisation pour surveillance au SIC. Laboratoire ECG: sans particularité US abdominal, 11.01.2020: dilatation des voies intra et extra-hépatique à 8mm, dilatation jusqu'à l'apoule de Vater. Pas de liquide libre. Foie dysmorphique. Avis chirurgical (Dr. X): 11.01.2020: Hospitalisation, laboratoire 12.01, Couverture antibiotique avec Rocephine/Flagyl, alimentation légère. Pantozol 40mg Attitude: • Rocephine/Flagyl (à débuter à l'étage), du 11.01 au ____ • Pantozol 40mg, du 11.01 au ____ • Réévaluer laboratoire du 12.01: si péjoration, évaluer CT abdominal/ERCP (+/- Cholangio-IRM) Laboratoire ECG: superposable au comparatif de 2017 Urines: leucocytes sans nitrites Radiographie du thorax: pas de foyer Co-amoxicilline 1g 1x/j du 15.01 au __ Ventolin et Atrovent Laboratoire ECG: superposable aux comparatifs Radiographie du thorax: foyer basal à gauche Co-amoxicilline 2.2 gr IV aux urgences puis adapté à la fonction rénale à 1200 mg/12h Suite Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge Présentation du cas au HFR Meyriez: patient accepté par le CDC de garde. Transfert en ambulance le 01.01.2020. Chambre 209. Laboratoire ECG: tachycardie sinusale Gazométrie Rx thorax: pas de foyer CT thoracique, 05.01.2020: pas d'embolie pulmonaire, pas de foyer. Emphysème pulmonaire centro-lobulaire Attitude: • Ventolin 5mg 2x/ • Morphine 2mg avec bon effet • Levofloxacine 500mg i.v. 1x/jour durant 5 jours Laboratoire ECG CT abdominal: iléus avec possible saut de calibre mais situation non claire, pas de signes de souffrance (sous réserve d'un examen non injecté), augmentation des nodules pulmonaires, hernie para stomiale graisseuse Consilium chirurgical Dr. X Pose de SNG: mal supportée initialement Maintien à jeun Pantozol iv 2x/j Telebrix 1 amp vers 16h puis ASP demain Pas de couverture TAB Hospitalisation en chirurgie Laboratoire ECG CT angio: AVC pariéto-occipital G subaigu, occlusion complète de V4 à G, sténose 50% de la carotide interne gauche, lésion cérébelleuse d'allure ancienne Consilium neurologique téléphonique (Dr. X) charge en aspirine 250 mg iv, puis aspirine et plavix augmentation de l'atorvastatine à 80 mg hospitalisation aux soins intensifs prévoir bilan lipidique Laboratoire ECG CT cérébral et carotidien injecté : Hypodensité focale du noyau lenticulaire droit se prolongeant à la tête du noyau caudé droit et à la corona radiata, pouvant correspondre à une lésion ischémique récente constituée, cependant difficilement datable avec certitude, à confronter à une IRM au besoin. Bonne perméabilité des vaisseaux pré-cérébraux et du polygone de Willis. Avis neurologique (Dr. X): Possible atteinte cardio-embolique ou micro-angiopathique. Pas de dose de charge en aspirine, poursuite du Sintrom avec INR 2-3. Indication à hospitaliser en stroke unit, aux SI Test de déglutition aux urgences: pas de troubles majeurs de la déglutition Appel avec le CDC de garde des SI: patient accepté aux SI, transféré le 02.02.2020 Laboratoire ECG CT cérébral US vésical: globe vésical Attitude: Sondage avec résolution partielle des symptômes d'agitation et confusion. Retour au home en accord avec le médecin traitant. Laboratoire. ECG. CT Time-is-brain (rapport oral) : occlusion jonction M1-M2 à gauche avec AVC formé au niveau pariétal gauche avec pénombre importante. Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) : indication à une lyse posée. Début de lyse aux urgences avec transfert à l'Inselspital pour suite de prise en charge. Labétalol 20 mg iv bolus puis iv continu. Actilyse (poids rapporté de 102 kg, début à 17h21) 9 mg iv bolus aux urgences puis 81 mg en iv continu sur une heure. Transfert Inselspital pour suite de prise en charge. Laboratoire. ECG. Gazométrie. Antalgie. Intubation. CT Thoraco-abdominal: dissection aortique de type A, jusqu'à artère sous-clavière gauche Transfert à Berne pour chirurgie thoracique et suite de prise en charge avec SMUR et ambulance (REGA ne vole pas). Images Pacsées à l'Inselspital. Laboratoire ECG Hydratation 3L/24h, pas de diurétiques d'emblée Calcitonine à l'étage (pas accessible aux urgences) Hospitalisation et prise de contact avec le Dr. X le 29.01 puis discuter d'un autre traitement au long cours Prescrire un labo 6h après la prise de miacalcic Laboratoire ECG Pantoprazol 40 mg PO Attitude: Pantoprazol 40 mg 1x/j pendant 4-8 semaines Contrôle chez le médecin traitant Antalgie avec Paracétamol. Laboratoire ECG Radiographie ETT Laboratoire ECG RX cervical face et profil: pas de fracture ni tassement vertébral. Signes d'arthrose à la radiographie Hospitalisation en médecine interne pour gestion de l'antalgie et soins impossibles à domicile Pister labo du 03.01.2020 Laboratoire ECG Rx thorax: épanchement pleural CT thoracique: Pas d'embolie pulmonaire, épanchements pleuraux ddc (D>G), cardiomégalie, pas de masse. Urines Traitement: • Lasix 40mg • Ponction pleurale 1.5L, clampage 2h, résultats à pister, drain laissé en place • Hospitalisation en MI Laboratoire ECG Rx thorax Lasix 40 mg iv aux urgences Oxygénothérapie Hospitalisation en médecine interne (+/- bilan cardiologique) Rediscuter reprise Sartan et Aldactone Laboratoire. ECG. Suite de prise en charge à l'Inselspital. Laboratoire. ECG. Total Body scan CT (rapport téléphonique): pas de lésion post-traumatique. RAD avec antalgie simple. Feuille d'observation post TC donnée à Mme. Y. Reconsulte si apparition de nouvelle symptomatologie ou péjoration de la symptomatologie actuelle. Laboratoire ECG US abdominal aux urgences: pas de liquide libre, dilatation des anses digestives CT abdominal: oedémateuse interstitielle sans nécrose sans collection extra pancréatique, duodénite au contact, sludge et calculs radioopaques (suspicion de cholécystite et passage de calcul), pas de dilatation des voies biliaires. Plaques athéroscléreuses mésentériques supérieures et fémorales Avis chirurgien de garde, Dr. X ATT Hospitalisation aux soins intensifs Hydratation 3000ml (1500ml NaCl 0.9% et 1500ml Glucosalin) sur 24h A jeun Suivi clinico-biologique Suivi de la diurèse Suivi glycémies IPP i.v. Traitement antihypertenseur conservé par voie orale Reste du traitement en suspens Laboratoire ECG US hépatique et des voies biliaires Laboratoire. Examen clinique. CT scanner cérébral et lombaire. Avis orthopédique (Dr. X): indication à hospitalisation au vu des troubles de la marche et IRM en urgence. Hospitalisation refusée par le patient, IRM indisponible avant lundi 13.01.20. Organisation d'IRM ambulatoire et consultation en équipe spine en ambulatoire. En cas de perte de sensibilité périanale ou problèmes mictionnels/sphinctériens, re-consultation aux urgences (patient informé). Laboratoire Frottis de plaie le 21.11.2019: P.Aeruginosa multisensible Antibiothérapie par Pipéracilline-tazobactam du 21.11 au 06.12.2019 Adaptation de MST et Réserve de morphine Laboratoire Frottis grippe le 07.01.2020 : négatif CT thoracique le 06.01.2020 Avis pneumologique (Dr. X) le 10.01.2020 Ventilation non-invasive intermittente au service des soins intensifs du 06.01 au 09.01.2020 Ventilation non-invasive par Bi-PAP nocturne dès le 10.01.2020 Physiothérapie respiratoire Capnographie sous VNI et oxygénothérapie (1-2 l/min) la nuit du 15-16.01.2020 avec gazométrie au matin • tracé capnographique inutilisable (défaut du capteur); SpO2 moyenne 91 %, médiane 92 %, IDO 11/h Gazométrie artérielle au réveil, sous VNI et O2 (débit inconnu) : • pH 7.33, PaCO2 8.0 kPa, PaO2 9.9 kPa, HCO3- 31 mmol/l, SaO2 93 % Contrôle technique le 16.01.2020 (analyse ResScan) • fuites 95ème centile : 44 l/min • utilisation la nuit du 15.01-16.01.2020 : 8h22 min • fréquence respiratoire : médiane 12/min, 95e centile 22/min, 22 % d'inspirations spontanées Atrovent et Ventolin aérosols Co-amoxicilline 625 mg 3x/j du 06.01 au 10.01.2020 Prednisone 50 mg du 07.01 au 09.01.2020 Traitement actuel • mode de ventilation : BPAP • machine : Lumis VPAP 150 ST-A • masque : facial, AirFit F20M • Mode de traitement : ST (spontaneous timed) • IPAP : 16.0 cmH2O • EPAP: 6.0 cmH2O • fréquence resp: 12/min • Timin : 0.6s • Timax : 1.6s Physiothérapie respiratoire à l'HFR Fribourg en ambulatoire 3 x / semaine puis relais par réhabilitation pulmonaire à Billens dès que possible (délai probable 2-3 semaines) Laboratoire. Frottis Influenza : résultats à pister. ECG : rythme sinusal régulier tachycarde. PR abaissé et crochetage du ST en II. Pas de trouble de la repolarisation. US 4 points : pas de signes ultrasonographiques compatibles avec une TVP. Attitude : • RAD après réassurance du patient. Laboratoire Gaz du sang artériel (Test Aellen ok) Sédiment urinaire Spot urinaire Avis soins intensifs : ok pour transfert soins intensifs Fribourg Laboratoire. Gazométrie. Laboratoire Gazométrie artérielle : pH 7.06, PCO2 13.6 kPa, lactates 3 mmol/l ECG : sus-décalages ST en V1-V3 nouveaux par rapport au comparatif de 02/2019 Radiographie de thorax • intubation par l'équipe d'anesthésie (taille 6.5 mm, 20 cm à l'arc dentaire) avec induction par Propofol, Fentanyl et Esmeron, poursuite de la sédation par Propofol iv continu • échec de pose d'un cathéter artériel radial droit, pose d'un cathéter artériel fémoral droit • nitroglycérine iv continu, lasix iv continu • transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg • fille contactée par téléphone (Mme. Y) : intubation/soins intensifs OUI, REA NON La patiente est transférée aux soins intensifs de l'HFR de Fribourg. Laboratoire Gazométrie artérielle Gazométrie veineuse Laboratoire Radio thorax ap le 18.01.2020 ECG le 18.01.2020 Hydratation 2000 ml en 4h Laboratoire Gazométrie artérielle Radiographie thoracique ECG : rythme sinusal. BBD connu. Pas de trouble de la repolarisation. Inhalations d'Atrovent/Ventolin Solumédrol 125 mg IV Lasix 20 mg IV Co-amoxicilline 1.2 g IV 3x/J Attitude: Laboratoire. Gazométrie artérielle. Sédiment urinaire 14.01.2020 : signes d'infection urinaire. Hémocultures du 14.01.2020 : positif à E.coli Urotube du 14.01.2020 : négatifs. ECG du 14.01.2020 : rythme sinusal tachycarde à 126/min régulier, ondes T négatives en V1. CT thoraco-abdominal injecté du 14.01.2020 : aspect fragmenté de la masse axillaire gauche avec la présence de 2 masses tissulaires mesurant respectivement 55 x 45 mm et 62 x 52 mm. Perméabilité conservée de l'artère axillaire gauche. Les trajets veineux sont difficilement identifiables. Pas de lésion pulmonaire suspecte. Pas de masse abdomino-pelvienne. Discrète progression de l'hydronéphrose gauche (pyélon gauche mesuré à 20 mm de diamètre) avec trouble de la fonction rénale gauche. US doppler du membre inférieur gauche et du membre supérieur gauche du 14.01.2020 : échographie du membre supérieur gauche : perméabilité conservée de la veine sous-clavière et de la veine céphalique gauche. Pas de flux sur le trajet de la veine basilique gauche. Échographie du membre inférieur gauche : perméabilité conservée de l'axe fémoro-poplité gauche. Consilium angiologique, Dr. X, du 15.01.2020 : pas de syndrome de la v. cave supérieure. Traitement de la maladie de base pour faire diminuer les diverses masses. Membre supérieur gauche : surélévation du bras gauche. Anticoagulation intermédiaire par Clexane 2 inj/j sc à 40 mg compte tenu de la fonction rénale de la patiente et bien entendu uniquement si les thrombocytes sont supérieurs à 50 et en l'absence de contre-indication hémorragique. Pour l'œdème du membre inférieur gauche : contention élastique par bandes du lever au coucher. Laboratoire Gazométrie ECG US Bedside : Veine cave 1.8 cm, épanchements pleuraux bilatéraux, FEVG <30 % visuel Rx Thorax Sédiment CT thoracique (rapport oral, Dr. X) : Embolie pulmonaire segmentaire droite, épanchements bilatéraux, signes de décompensation cardiaque Clexane thérapeutique Sonde vésicale Laboratoire Gazométries ECG : BBD connu Inhalations de Ventolin/Atrovent 3 Séances de VNI Solumédrol 125 mg IV Co-Amoxicilline 2.2 g Laboratoire Gazométrie Stix, sédiment et culture d'urines. Hémocultures du 15.01.2020 : bacille gram - US des voies urinaires le 16.01.2020. Uro-CT le 16.01.2020. Ceftriaxone 2 g iv du 15.01. au 16.01.2020. Ertapénème 1 g dès le 16.01.2020. Laboratoire Hémoculture : à pister Stix/sédiment : sang 4+, protéines, Urine : antigènes urinaires à pister CURB-65 : 1 point : (âge >65 ans) Attitude : • Co-Amoxicilline 2.2 aux urgences, puis 1.2 g 3x/jour durant 5 jours • NaCl 1000 ml/h • Dafalgan en R • Si péjoration : évaluer Tavanic (cf. hospitalisation de 2015) Laboratoire Hémocultures du 08.01.2020 : négatives Antigènes urinaires Pneumocoque et Légionnelle : négatifs Radio de thorax le 08.01 ECG le 08.01.2020 • Rocéphine 2 g 1x/j du 08.01 au 10.01.2020 • Klacid 500 mg 2x/j du 08.01 au 09.01.2020 • Co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 11.01 au 17.01.2020 • oxygénothérapie • physiothérapie respiratoire Laboratoire. Hémocultures le 07.01.2020 : négatif à 24h. Ponction lombaire le 08.01.2020 : explications données au patient et consentement signé, position assise, espace L3/L4, anesthésie locale, aiguille 22 G, une tentative (début Dr. X/fin Dr. X), liquide clair, 6.1 mmol/L de glycémie post ponction lombaire. Le 08.01 : amélioration sous antalgie pallier 1, consignes de reconsultation. Laboratoire. Hémocultures le 27.01.2020 : à pister. Antigènes urinaires : pas d'urines aux urgences. Rx thorax : probable foyer pneumonique en base D. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2.2 g ATT : • Hospitalisation en MI pour suite de prise en charge. • Antibiothérapie par co-amoxicilline 1.2 g 3x/J et Klacid 500 mg 2x/J. Laboratoire Hydratation iv et po Laboratoire. Investigation par le médecin traitant. Laboratoire KCl 40 mmol/2h dans 1000 ml de NaCl Contrôle après substitution i.v. : 3.0 mmol/l Potassium effervette 30 mmol per os aux urgences Suivi biologique Laboratoire. Le patient est informé des symptômes nécessitant une nouvelle consultation aux urgences. Laboratoire Nexium 80 mg ivd Contrôle chez le médecin traitant afin d'organiser une gastroscopie rapidement Laboratoire Pantozol 80 mg IV Pantozol 8 mg/h IV continu Attitude : Hospitalisation en médecine Actuellement à jeun Patient plutôt contraire à un OGD/colonoscopie prévoir discussion avec les fils demain Tel médecin traitant pour savoir si OGD/colonoscopie effectuées Laboratoire Pas de sédiment urinaire réalisé, le patient n'ayant pas pu uriner. Attitude: • Contrôle des valeurs de créatinine chez le médecin traitant en début de semaine prochaine après hydratation du patient. Laboratoire. PCR Influenza : négatif. Strepto Test : négatif. Ponction lombaire : LCR : sous microscope, leucocytes, érythrocytes, débris cellulaires. Sédiment urinaire : propre. CT cérébral le 20.01.2020. Avis neurologique (Dr. X) : méningite peu probable. RX thorax le 21.01.2000. Avis ORL : Radiographie thoracique le 21.01.2020 Avis ORL : pas de sphénoïdite. Hospitalisation sous surveillance en lit monitoré aux urgences. Laboratoire Ponction lombaire Spontanément résolutif Laboratoire Prednisone 20 mg du 03.01 au 06.01.2020 Colchicine 1 mg du 03.01 au 05.01.2020, puis 0.5 mg du 06.01 au 07.01.2020 (stoppé pour douleurs abdominales) Laboratoire radiographie Laboratoire Radiographie colonne cervicale et thoracique le 17.01.2020 CT cervical natif 22.01.2020 Avis antalgie (Dr. X) : imagerie (IRM cervicale) : métastases ?, hernie discale ? uncarthrose facettaire ?. Continuer minerve, MST 10-0-10 et introduire Arcoxia 30 à 60 mg le matin pour remplacer les AINS. Sirdalud 2-2-0 / jour et Sirdalud retard 6 mg au coucher. Si imagerie sp ad physio. Antalgie avec morphine Minerve mousse cervicale au besoin Physiothérapie avec détente de la ceinture scapulaire par massage et application de chaleur Si persistance des douleurs, merci de poursuivre les investigations +/- avis rhumatologique ou infiltrations Laboratoire Radiographie de thorax le 24.12.2019 Antigènes urinaires 24.12.2019 : nég Ceftriaxone 2 g 1x/j du 24.12.2019 au 31.12.2019 Clarithromycine 500 mg 2x/jour du 24.12.2019 au 27.12.2019 Laboratoire Radiographie du genou : mise en évidence du matériel d'ostéosynthèse, sans modification. Pas de fracture. CT injecté du MID : Pas de collection. Infiltration au niveau cutané compatible avec une dermohypodermite. ATT : • Co-Amoxicilline 2.2 g IV 3x/J pour 10 J. Laboratoire. Radiographie du thorax. Antigènes urinaires Legionella et Pneumocoque. Co-amoxicilline 1000 mg 3x/jour et Klacid 500 mg 2x/jour du 09.01.20 au 14.01.20. Prednisone 40 mg p.o. du 09.01.20 au 14.01.20 (dose usuelle à 5 mg), puis schéma dégressif. Laboratoire. Radiographie du thorax. ECG. Gazométrie veineuse : pas d'acidose. Frottis grippe : positif pour Influenza A, reste négatif. Attitude : Pas d'antibiothérapie d'emblée au vu de l'absence de franc syndrome inflammatoire ou de foyer clinique ou radiologique. Nous proposons de réévaluer l'indication aux antibiotiques selon évolution clinico-biologique. Aérosol 6x/j + 6x/j en réserve. Prednisone 50 mg donné aux urgences (16h30). Tamiflu 2 x 75 mg par jour (première dose donnée aux urgences à 17h30). Transfert à Payerne pour hospitalisation. Laboratoire Radiographie épaule gauche/coude gauche le 07.01 Echographie épaule gauche le 07.01 IRM épaule gauche le 08.01 Laboratoire Radiographie hanche + bassin D : fracture pertrochantérienne complexe. Avis ortho (Dr. X) : fracture avec indication opératoire. Pas de CT nécessaire. Sonde urinaire ATT : • Hospitalisation en orthopédie pour suite de prise en charge, patiente vue par la garde d'anesthésie. • FSS demandée pour le 19.01. • Patiente à jeûn dès minuit. Laboratoire Radiographie thoracique Traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen et Makatussin IA 100 % du 11 au 13.01.2020 Laboratoire. Radiographie thorax : Stix et sédiment urinaire. CT cérébral : Hypodensité sylvienne D d'allure ancienne (DD AVC). Atrophie cérébrale. Laboratoire. Radiographie. Attitude : ad SABA. suivi à 48 h. Laboratoire Radiographie CT full body : pas d'autre fracture Hospitalisation en orthopédie, opération dès que possible Laboratoire Radiographies Intervention chirurgicale le 6.01 Laboratoire Restriction Hydrique < 1 L/J dès 20.01.20 Laboratoire RX colonne lombaire Fentanyl 100 mcg IV aux Urgences Hospitalisation pour adaptation de l'antalgie Majoration du Fentanyl patch de 100 mcg à 125 mcg le 05.01.2020, plus Effentora 200 mcg en réserve max 6x/j, avec soulagement des douleurs Laboratoire Rx poignet D Avis orthopédie (Dr. X) Aux urgences : réduction, plâtre, contrôle radiographique sp Attitude : Hospitalisation en médecine interne pour soins impossibles à domicile Prévoir hospitalisation UATO/home/soins à domicile pour la suite Contrôle dans une semaine en orthopédie team membre supérieur à organiser Laboratoire Rx thorax Attitude : lasix 40 mg Fentanyl pour dyspnée et douleurs Ceftriaxone 2 g dès le 13.01.20 Laboratoire RX thorax du 18.01.2020 : comparatif du 14.06.2016. On retrouve une raréfaction de la trame parenchymateuse aux apex pulmonaires avec tassement du parenchyme aux bases. Par rapport au comparatif, opacités péri-broncho-vasculaires confluentes postéro-basales droites, correspondant à un foyer de bronchopneumonie. À gauche, discret effacement du rétrocarde évoquant un foyer de bronchopneumonie controlatéral. Pas d'épanchement pleural. Le cœur est de volume dans la norme. Sclérose et déroulement aortiques. Lésions dégénératives étagées du rachis dorsal. Laboratoire Rx thorax : Pas de foyer pulmonaire retrouvé. Avis infectiologique (Dr. X) : Pneumonie et Tbc peu vraisemblable au vu de laboratoires et de l'imagerie. Pas d'antibiothérapie indiquée. Refaire CT thoracique et réaliser une bronchoscopie au vu des lésions suspectes sur le CT de décembre. ATT : • Hospitalisation en MI pour suite des investigations. • CT thoracique demandé • Demande de bronchoscopie à faire. Laboratoire Rx thorax : pas de franc foyer visualisé Hémocultures 2 paires Stop antibiothérapie Avis infectiologique (Dr. X, Dr. X) : En raison d'une fièvre avec neutrophilie et déviation gauche associée à un syndrome inflammatoire répondant à la Rocéphine, recherche d'un foyer profond à effectuer par CT thoraco-abdomino-pelvien + hémoculture afin de documenter un possible foyer endovasculaire. Stop antibiothérapie et suivi. Hémocultures 1x/j CT : ____ ATT Hémocultures 1x/j, stop antibiothérapie selon avis infectio Hospitalisation en MI et suivi clinique Laboratoires : cf copies annexées ECG du 13.12.2019 : fibrillation auriculaire à 76 bpm, BBD incomplet, QRS 108 ms, QTc 439 ms, pas de troubles de la repolarisation ECG du 18.12.2019 : flutter auriculaire, rythme irrégulier à 63/min, axe normal -26°, QRS fin, QTc à 445 ms, inversion onde T en DI et aVL. Radiographie du thorax de face et profil et CT thoracique natif du 13.12.2019 : conclusion : décompensation cardiaque avec signes de surcharge interstitielle et alvéolaire. Absence de foyer infectieux. Ganglions médiastinaux réactionnels. US abdomen complet natif du 14.12.2019 : conclusion : probable cardiomégalie sans épanchement péricardique avec veine sus-hépatique de taille à la limite supérieure de la norme. Arguments échographiques en faveur d'un foie de stase. Pas de pathologie biliaire visible. Laboratoires : Cf annexe. ECG : Cf annexe. CT cérébral le 29.01.2020 : Pas d'argument pour un AVC ischémique ou hémorragique aigu. Calcifications en V4 de l'artère vertébrale droite, filiforme en aval mais restant perméable. Sinon pas de lésion anévrismale ou de sténose significative dans le reste des axes artériels. Lésion nodulaire partiellement visible du segment antérieur du LSD (DD : micronodule ?). Un CT thoracique à 3 mois peut être recommandé pour exploration de cette lésion. IRM cérébrale le 30.01.2020 : Examen dans les limites de la norme au vu de l'âge du patient, sans argument en faveur d'un évènement ischémique. Pas d'hémorragie ou de lésion focale suspecte du parenchyme. Echocardiographie transthoracique le 29.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène avec aspect brillant-granuleux du myocarde. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence d'HTAP (PAPs à 34 mmHg). Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Une IRM morphologique avec question de cardiomyopathie infiltrative (DD amyloïdose) et proposée avec séquences de perfusion pour recherche d'ischémie en vue des douleurs rétrosternales à l'effort. Laboratoires : Cf. annexes. ECG : Cf. annexes. Echocardiographie transthoracique le 13.01.2020 : • Patient peu échogène. • VG non dilaté, hypertrophie concentrique modérée normo-cinétique globalement FEVG estimée à 59 % (mode TM) visuelle 60 %, étude segmentaire impossible. • Flux mitral normalisé avec élévation des pressions de remplissage. • Maladie mitrale modérée avec sténose mitrale gradient moyen 5 mmHg, planimétrie non faisable et fuite mitrale de grade I visuellement. • OG dilatée 23 cm². • Valve aortique calcifiée sténose modérée possiblement sous-estimée par la mauvaise échogénéicité avec surface aortique à 1,16 cm². • Gradient moyen VG-Ao à 24 mmHg. • Vélocité maximale 3 m/s. • HTAP modérée 46 mmHg. Coronarographie du 23.01.2020 : • L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne bi-tronculaire sur réseau gauche dominant avec sténose subocclusive de la CX moyenne et subocclusive de l'IVA ostiale et proximale avec sténose intermédiaire de l'IVA moyenne. • Après discussion avec Mr. Y, j'ai procédé à une angioplastie difficile (en raison de la tortuosité extrême de l'axe ilio-fémoral (introducteur long armé)) puis angioplastie de la CX sur support d'un Guideliner avec mise en place d'un stent actif et de l'IVA ostio-proximale avec un stent actif avec bon résultat final. • Il existe une sténose intermédiaire de l'IVA moyenne qui n'a pas été traitée en raison de la difficulté de l'accès et de la fonction rénale réduite. • Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Brilique 90 mg 1-0-1, contrôle strict des FRCV. • Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. • Ergométrie dans 1 an. • Contrôle angioplastie dans 8 semaines. • Les sténoses CX et IVA peuvent très certainement être à l'origine du BAV. • Holter et massage des sinus sur le suivi pour discuter de la mise en place d'un PM. Consilium endocrinologique : • Vous nous sollicitez concernant l'étiologie du BAV complet ainsi que l'adaptation du traitement thyroïdien. • L'hypothyroïdie est une étiologie peu probable du BAV complet, en raison d'une TSH à 6,32 mU/l déjà supra-thérapeutique effectuée par le médecin traitant il y a un mois. • Nous retenons principalement un surdosage de Néomercazole et proposons de le diminuer à 5 mg 1,5-0-0 avec un suivi de la TSH (cible entre 3-5 mU/l) à effectuer par le médecin traitant à la sortie du patient. Consilium angiologique le 14.01.2020 : • Axes ilio-fémoraux perméables ddc, sans argument direct ou indirect pour une sténose significative. • Pas d'argument direct ou indirect pour une sténose artérielle rénale. • IR élevé dans un contexte de diabète +/- origine parenchymateuse à l'insuffisance rénale. Consilium angiologique le 24.01.2020 : • Pseudoanévrisme d'environ 5*3*3 cm un peu en dessous du départ de l'A fémorale superficielle, ouvert, en dessous du niveau de la tête fémorale, empêchant une bonne compression. • Collet court et sinueux. • Décision de traitement par thrombine. Consilium angiologique le 27.01.2020 : • Occlusion persistante du pseudo-anévrisme. Holter du 24.01.2020 au 27.01.2020 : rapport en cours. Laboratoires : cf. annexes. OPG le 05.12.2019 : granulome apical en position 31. • Status après multiples traitements dentaires. • Édentation partielle maxillaire et mandibulaire. CT cervico-thoraco-abdominal le 05.12.2019. RX thorax le 05.12.2019 : voie veineuse jugulaire interne droite courte, se terminant dans la veine cave supérieure à hauteur de la carène. • Champs pulmonaires et silhouette cardio-médiastinale dans la norme. • Pas de pneumothorax. ETT le 06.12.2019 : • VG non dilaté non hypertrophié normocinétique FEVG à 76 % (méthode de Simpson). • Fonction diastolique normale avec pressions de remplissage basses. • Pas de valvulopathie mitrale, micro fuite centrale. • Aorte non dilatée. • Absence de dilatation des cavités droites. • Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). • PAPs normales. • Pas d'épanchement péricardique. Laboratoires : cf. annexes. Radio du pied gauche le 14.01.2020 : • Importante ostéopénie diffuse. • Fracture sous-capitale de la phalange proximale du 1er rayon discrètement déplacée. • Doute sur une fracture discrètement déplacée de la face latérale de la base de la phalange distale du 1er rayon. • Sous réserve d'une importante ostéopénie, pas d'autre fracture visible. • Les rapports articulaires sont préservés. Radiographie du thorax le 14.01.2020 : • Calcifications de la rosse aortique. • Pas de franc foyer pulmonaire décelable. • Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax sous réserve d'un cliché réalisé en position assise. • Coiffe biapicale. • Pas de fracture costale déplacée visible. • Matériel d'ostéosynthèse de la colonne cervicale, partiellement investigué. Laboratoires : cf. annexes. Angio-CT cérébral le 19.01.2020 : examen superposable au dernier, sans lésion ischémique constituée mise en évidence. • Perméabilité préservée des vaisseaux du cou et cérébraux. • Complément de bilan par IRM recommandé. IRM cérébrale le 22.01.2020 : pas de lésion ischémique aiguë. • Stigmates d'angiopathie amyloïde sous forme de sidéroses superficielles et de microbleeds bilatéraux. Electroencéphalogramme le 20.01.2020 : • EEG compatible plutôt avec une encéphalopathie, ne montre pas de signe irritatif. • Je propose de chercher des nouvelles lésions de type hémorragique ou ischémique, par une IRM cérébrale. • Pas de stricte indication à introduire un traitement antiépileptique. Laboratoires : cf. annexes. Angio-scanner cérébral du 06.01.2020 : AVC ischémique aigu sylvien gauche, sans franche occlusion de l'artère cérébrale moyenne droite, avec pénombre, sans partie constituée franche ni de différenciation cortico-sous-corticale. IRM cérébrale du 07.01.2020 : Petit AVC constitué au niveau du cortex du gyrus long de l'insula à gauche (restriction de la diffusion linéaire au niveau du gyrus long de l'insula gauche, avec corrélation sur la séquence FLAIR). • Absence de prise de contraste focale. • Le reste de l'examen se situe dans les limites de la norme, avec structures médianes en place. • Ventricule et citernes de la base de taille normale et symétrique. • Présence de plusieurs petites lésions hyperintenses dans la séquence FLAIR au niveau de la substance blanche péri-ventriculaire des deux côtés, compatible avec une leuco-araïose de type Fazekas 1. • Absence d'atrophie parenchymateuse significative. • Sur la séquence TOF, absence de sténose ou d'occlusion des vaisseaux intracrâniens. • Origine foetale des artères cérébrales postérieures des deux côtés, expliquant l'aspect grêle des artères vertébrales dans leur segment V4 des deux côtés, de même que le tronc basilaire. • Bonne opacification des sinus intracrâniens des deux côtés. • Comblement du sinus maxilaire gauche, compatible avec une sinusite. • Le reste des cavités paranasales et des cellules mastoïdiennes sans particularité des deux côtés. Echocardiographie transthoracique du 07.01.2020 (Dr. X, Dr. X): Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche discrètement dilatée. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. PAPS non évaluable en l'absence d'IT. Absence d'épanchement péricardique. Absence d'évidence pour un FOP après manœuvre de Valsalva adéquate et injection de microbulles. Laboratoires : cf. annexes Angio-scanner cérébral du 06.01.2020 : Zone de pénombre pariéto-temporal gauche sur une occlusion segmentaire d'une des branches M2 à gauche. Absence de zone d'AVC constitué. Absence d'hémorragie. IRM cérébrale du 07.01.2020 : Petit AVC constitué au niveau du cortex du gyrus long de l'insula à gauche (restriction de la diffusion linéaire au niveau du gyrus long de l'insula gauche, avec corrélation sur la séquence FLAIR). Absence de prise de contraste focale. Le reste de l'examen se situe dans les limites de la norme, avec structures médianes en place. Ventricule et citernes de la base de taille normale et symétrique. Présence de plusieurs petites lésions hyperintenses dans la séquence FLAIR au niveau de la substance blanche péri-ventriculaire des deux côtés, compatibles avec une leuco-araïose de type Fazekas 1. Absence d'atrophie parenchymateuse significative. Sur la séquence TOF, absence de sténose ou d'occlusion des vaisseaux intracrâniens. Origine foetale des artères cérébrales postérieures des deux côtés, expliquant l'aspect grêle des artères vertébrales dans leur segment V4 des deux côtés, de même que le tronc basilaire. Bonne opacification des sinus intracrâniens des deux côtés. Comblement du sinus maxillaire gauche, compatible avec une sinusite. Le reste des cavités paranasales et des cellules mastoïdiennes sans particularité des deux côtés. Echocardiographie transthoracique du 07.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche discrètement dilatée. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. PAPS non évaluable en l'absence d'IT. Absence d'épanchement péricardique. Absence d'évidence pour un FOP après manœuvre de Valsalva adéquate et injection de microbulles. Bilan neuropsychologique le 08.01.2020 : Difficultés d'évocations lexicales. Discrètes difficultés exécutives. Irritabilité. (Provisoire) Holter (sur 72 heures) du 08.01.2020 : Résultats en cours Laboratoires : cf. annexes Angioscanner thoracique du 17.01.2020 : Embolie pulmonaire centrale et segmentaire des artères pulmonaires droite et gauche, et touchant toutes les artères lobaires et segmentaires, associée à une dilatation ventriculaire droite, sans infarctus pulmonaire visible. Echographie transthoracique du 17.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté avec une dyskinésie du septum et de la paroi septale antérieure. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Oreillette gauche non dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Oreillette droite modérément dilatée avec une dilatation importante du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Absence d'épanchement péricardique. Triade de dysfonction droite aigue avec dilatation du VG, dysfonction systolique et aplatissement du SIV. En plus : signe de McConnell. Selon discussion interdisciplinaire : • Héparine iv • Surveillance aux SICO • Réévaluation demain (clinique et échocardiographique) pour décider si une lyse locale est indiquée Laboratoires : cf. annexes Créatinine à 736 umol/l avec fraction excrétion urée 14.2 % (le 23.01.2020) Electrophorèse de protéines avec immunofixation B NAG et lysozyme Pas d'éosinophiles urinaires Scanner cérébral HIB Payerne : pas d'hémorragie Scanner abdominal HIB Payerne : pas de lithiase Laboratoires : cf annexes CT abdominal le 05.12.2019 : Par rapport à l'examen précédent, on retrouve la collection à contenu stercoral dans la loge de cysto-prostatectomie augmentée en taille (17 x 30 mm à 26 x 48 mm), avec fistule sigmoïdienne et épaississement pariétal sigmoïdien, toutefois sans passage du produit de contraste administré par voie rectale dans la collection. Le reste de l'examen est superposable à celui réalisé une semaine auparavant, et on ne met pas en évidence de distension digestive, signe de colite, ni liquide ou air libre. Status après confection d'une dérivation iléale selon Bricker superposable, avec sondes double-J en place. CT ABDOMEN INJECTE 20.12.2019 : Nette augmentation en taille et nombre des lésions hypodenses hépatiques, mal délimitée, évoquant en premier lieu des métastases. On retrouve les amas d'adénopathies, certains au sens nécrotique, en rétropéritonéale, grossièrement inchangées. On retrouve les adénopathies inguinales bilatérales, stables. Stabilité des adénopathies des axes iliaques bilatérales. St/p colostomie de décharge au flanc gauche, sans complication. Diminution en taille de la collection pré-rectale passant de 4 à 2,6 cm de grand axe avec contenu hydrique ce jour. Lame de liquide libre et infiltration dans le meso-rectum, apparue dans l'intervalle. Stabilité des ganglions et adénomégalies de la racine du mésentère. Apparition d'une lame de liquide péri-hépatique et péri-splénique, dans la gouttière pariéto-colique bilatérale et en fosse iliaque gauche. Les sondes double J sont en place. Apparition d'une prise de contraste du pyélon et de l'uretère à gauche pour une pyélo-urétérite. Apparition d'une lame d'épanchement pleural bilatéral discrètement plus marquée à gauche avec atélectasie passive en regard. Apparition des multiples lésions ostéocondensantes millimétriques dans l'ensemble du squelette, parlant pour des lésions secondaires. Laboratoires : cf. annexes. CT cérébral injecté du 14.01.2020 : pas d'hémorragie intracrânienne ni masse visible. En cas de symptomatologie persistante, nous proposons de compléter le bilan par une IRM. IRM cérébrale injectée du 14.01.2020 : IRM cérébrale normale pour l'âge de la patiente, notamment pas de tumeur intra- ou extra-axiale ni d'œdème mis en évidence. US abdominal du 14.01.2020 : foie de morphologie et d'échostructure normales, de contours réguliers, sans lésion focale. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extrahépatiques. Pancréas homogène, sans particularité. Status post cholécystectomie. Electroencéphalogramme le 20.01.2020 : le tracé est ralenti et microvolté, traduisant des fluctuations de la vigilance. Lorsqu'il y a l'ouverture des yeux, il y a une réactivité et dans les secondes qui suivent la refermeture des yeux, on a un alpha postérieur bilatéral et symétrique. Artéfacts correspondants aux mouvements des yeux au niveau frontal des deux côtés. Absence de foyer net ou d'épisode irritatif. Bilan neuropsychologique le 24.01.2020 : ce bref screening neuropsychologique, réalisé chez une patiente collaborant à la passation des tests dans la mesure de ses possibilités, présentant une thymie triste avec des pleurs et des réactions de catastrophe face à sa situation, non ralentie, met en évidence : au premier plan des troubles du comportement, avec un discours logorrhéique, sautant du coq à l'âne, avec des propos incohérents et difficilement canalisables, des persévérations idéiques et des idées de persécution, une agitation psychomotrice, une distractibilité et des difficultés à entrer dans les tâches, une désinhibition comportementale (montre son soutien-gorge à l'examinateur), des comportements d'utilisation et un agrippement manuel; des difficultés exécutives sur le versant cognitif (inhibition, abstraction). En revanche, la mémoire épisodique et les fonctions instrumentales (langage, praxies constructives et idéomotrices, gnosies visuelles discriminatives) sont globalement préservées lors d'un bref sondage clinique. Le tableau cognitif, associé à l'imagerie cérébrale sans particularité, les sérologies négatives et le LCR normal, n'est actuellement pas évocateur d'une étiologie organique et parle plutôt en faveur d'une pathologie psychiatrique actuellement décompensée. Un bilan neuropsychologique à distance de la phase aiguë serait indiqué afin de suivre l'évolution de la patiente et mieux vérifier cette hypothèse diagnostique.Laboratoires : cf. annexes. CT cérébral le 25.12.2019 : diminution de taille de la métastase thalamique droite, s'étendant vers le pédoncule cérébral, présentant actuellement un aspect bilobé, un rehaussement annulaire et deux centres nécrotiques. Progression en taille de la métastase centrée sur la tête du noyau caudé à droite, mesurant 10 mm de diamètre contre 4 mm sur l'examen comparatif, présentant un rehaussement annulaire et un centre nécrotique. Progression en taille de la métastase occipitale droite, mesurant 17 x 23 x 19 mm contre 15 x 18 x 17 mm sur l'examen comparatif, présentant un rehaussement annulaire et un centre nécrotique. Pas de majoration notable des composantes spontanément denses connues au sein de ces lésions, parlant en défaveur de saignement intralésionnel nouveau. Pas de nouvelle lésion focale suspecte de métastase décelée. Nette majoration de l'oedème péri-lésionnel dans l'hémisphère cérébral droit, prédominant en région pariéto-occipitale, provoquant un effacement des sillons, un effet de masse sur le ventricule latéral droit ainsi que sur le 3ème ventricule avec déviation de la ligne médiane vers la gauche à ce niveau mesurée à 8 mm. Signes d'hydrocéphalie débutante du ventricule latéral gauche avec aspect discrètement plus dilaté des cornes temporale et frontale par rapport à l'examen comparatif. Pas de franc signe d'engagement temporal. Pas d'argument en faveur d'une atteinte ischémique. Pas de collection sous ou extra-durale. Pas de saignement sous-arachnoïdien. Pas de thrombose des sinus veineux. Pseudophakie du côté gauche. Pneumatisation normale des cavités sinusiennes de la face et des cellules mastoïdiennes. IRM cérébral du 27.12.2019 : en comparaison avec l'IRM du 26.04.2019. Par rapport à cet examen : la lésion prenant le produit de contraste, évoquant une métastase dans la région thalamique droite a diminué de volume. La lésion métastatique du noyau caudé à droite a augmenté de volume (4 mm de diamètre sur le précédent examen, 10 mm de diamètre sur l'examen actuel). La lésion métastatique occipitale à droite a augmenté de volume (15 x 18 x 17 mm sur le précédent examen, 17 x 23 x 20 mm sur l'examen actuel). Mise en évidence d'une petite lésion en périphérie de l'hémisphère cérébelleux droit de 3,5 mm de diamètre. Mise en évidence d'une lésion pariéto-occipitale à droite de 5 mm de diamètre. Les lésions métastatiques à l'étage sus-tentoriel sont entourées d'un œdème se caractérisant par hypersignal sur les coupes FLAIR. Sur les coupes pondérées T2*, il y a quelques minuscules plages hypo-intenses dans la lésion thalamique droite, pouvant correspondre à quelques dépôts d'hémosidérine. Les lésions précédemment décrites réalisent un effet de masse sur le système ventriculaire à droite, cet œdème touchant également le pédoncule cérébral à droite. Sur l'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis, la partie intra-crânienne des artères carotides internes, les artères sylviennes, les artères cérébrales antérieures et postérieures et le tronc basilaire sont perméables. Dans la substance blanche, sur les coupes FLAIR, il y a plusieurs plages d'hypersignaux, devant correspondre à des altérations dégénératives vasculaires. Laboratoires : cf. annexes. CT cérébral natif le 27.12.2019 : pas de saignement intracrânien décelé ou d'AVC constitué. Augmentation du volumineux anévrysme de la carotide interne gauche. Laboratoires : cf. annexes. CT cérébral 20.01.2020 : status post craniectomie frontale gauche pour métastasectomie frontale gauche avec plage hypodense de gliose séquellaire inchangée. Absence de prise de contraste suspecte d'une éventuelle récidive tumorale sous réserve d'une modalité moins sensible que l'IRM. Absence d'hémorragie intra ou extra-axiale. Le reste de l'examen est également inchangé par rapport au comparatif. Absence de thrombose des sinus veineux ou de lésion significative du polygone de Willis. EEG le 21.01.2020 : pas de foyer épileptique visualisé, EEG dans la norme. Laboratoires : cf. annexes. CT scanner cérébral le 18.01.2020 : Hématome sous-dural bilatéral dense (à environ 50 HU) et homogène, occupant chaque hémi-convexité presque dans sa totalité, mesuré à droite au plus épais à 7 mm et à gauche à 5 mm. Effet de masse avec effacement des sillons cérébraux dans la majeure partie, et signe d'engagement central où la protrusion des tonsilles cérébelleuses est estimée à 10 mm (incomplètement visualisée). IRM cérébrale le 20.01.2020 : Signes d'hypotension du LCR sous forme d'une herniation cérébelleuse, d'un hématome sous-dural bilatéral, d'une prise de contraste diffuse des pachyméninges, d'un aspect bombé de l'hypophyse ainsi que d'un aspect fin du 3ème ventricule. IRM médullaire le 21.01.2020 et complément le 22.01.2020 : La moelle épinière et le cône médullaire sont de signal et morphologie normales. Sur la séquence de T1, on visualise un aspect hétérogène de la graisse épidurale postérieure à l'étage thoracique. Sur la séquence de T2 STIR, infiltration liquidienne dans l'espace épidural postérieur sur l'ensemble de l'étage dorsal de 2 mm de diamètre antéro-postérieur. Après injection de produit de contraste, on visualise une prise de contraste hétérogène de l'espace épidural postérieur susmentionné. Pas de franche image de brèche dure-mérienne visible. Pas de lésion suspecte à l'étage cervical ni lombaire. Les corps vertébraux sont de signal et morphologie normales. Laboratoires : cf. annexes. CT scanner cérébral le 29.01.2020 : Hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale gauche. Le reste de l'examen est superposable au comparatif, sans autre saignement mis en évidence. CT scanner cérébral le 30.01.2020 : Les images de comblement des espaces sous-arachnoïdiens du lobe pariétal gauche sont inchangées par rapport au scanner de la veille. Cette image est aspécifique. Il pourrait s'agir d'une hémorragie sous-arachnoïdienne subaiguë dans le DD. Les vaisseaux pré-cérébraux sont perméables. Pas d'anévrisme mis en évidence. On retrouve une lésion de l'apex pulmonaire gauche relativement inchangée en taille et en aspect par rapport au scanner de repérage du PET-CT du 07.01.2019 (DD atélectasie sur tumeur ? autre ?). CT scanner cérébral le 31.01.2020 : Pas de nouvelle hémorragie sous-arachnoïdienne ou intraparenchymateuse. L'hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale gauche visible sous forme d'hyperdensité spontanée et comblement du sillon est inchangée. Le reste de l'examen est superposable.EEG le 31.01.2020 : Déstructuration de l'activité de base, compatible avec une encéphalopathie modérée à sévère sans activité irritative. Cave bradycardie sinusale. Laboratoires : cf. annexes CT scanner cérébral Time is Brain le 23.01.2020 : pas d'occlusion carotidienne, pas de lésions ischémiques ou hémorragiques. IRM cérébrale le 24.01.2020 : Pas de lésion ischémique aiguë. Pas de saignement intracrânien. Pas de prise de contraste cérébro-méningée pathologique pour un processus inflammatoire, infectieux ou tumoral. Minime lésion ischémique séquellaire corticale du lobule pariétal supérieur à droite. Echocardiographie transthoracique le 24.01.2020 : VG non dilaté, non hypertrophié, fonction contractile segmentaire et globale normale sous réserve d'une échogénéicité moyenne. FEVG à 65 %. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 3,9 l/min avec un index cardiaque à 2,22 l/min/m² (101 % de la théorique). Fonction diastolique de type I avec pressions de remplissage basses. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 1,61 cm² (0,92 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). OG discrètement dilatée 22 cm². VD normo-cinétique avec fuite tricuspide de grade II. PAPs normales. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : cf. annexes CT thoraco-abdominal du 13.01.2020 : Par rapport au comparatif du 03.12.2019, défaut d'opacification millimétrique de la veine jugulaire interne droite parlant pour une minime thrombose flottante. Apparition d'une lame d'épanchement pleural gauche. Dilatation de la vésicule biliaire avec lame de liquide per vésiculaire. Lame de liquide également à la fosse iliaque droite avec présence des 2 agrafes à ce niveau. Pas d'abcès. Pas de signes de perforation de la vessie. Laboratoires : cf. annexes CT thoraco-abdominal le 09.01.2020 : Absence d'embolie pulmonaire. Apparition d'épanchements pleuraux bilatéraux avec un épaississement des septa interlobulaires diffus, évoquant en premier lieu une surcharge cardiaque. Pas d'hémorragie active au niveau du site opératoire fémoral droit. Signe de colite du côlon ascendant et de l'angle colique droit, associée à un œdème péri-vésiculaire et péri-portal. US abdominal le 09.01.2020 : Vésicule biliaire alithiasique avec un épaississement diffus modéré de la paroi de la vésicule biliaire, sans aucun Murphy échographique et donc sans autre argument clair pour une cholécystite. Épaississement focal de la paroi antérieure à hauteur du fundus de nature indéterminée, déjà visible (sous forme kystique) sur un CT du 26.01.2018, sans caractéristique classique pour une adénomyomatose ; à corréler à une éventuelle IRM à distance au besoin ou échographie de contrôle à 6 mois. Laboratoires : cf. annexes. ECG : cf. annexes. CT thoraco-abdomino-pelvien le 17.01.2020 en ambulatoire : épaississement de l'interstice pulmonaire plus marqué au niveau du poumon gauche (segment apical-postérieur du lobe supérieur et segment postéro-basal du lobe inférieur), avec plusieurs petites lésions micronodulaires à contours irréguliers (DD infectieux DD lymphangite carcinomateuse). Pas de foyer. Pas d'embolie pulmonaire. Métastases hépatiques en progression par rapport au comparatif. Petite lésion nodulaire au niveau de la glande surrénale droite, mesurant environ 10 mm, aspécifique, inchangée par rapport au comparatif. Plusieurs lésions ostéosclérosantes au niveau de la colonne vertébrale, des os du bassin et du grand trochanter fémoral à gauche (DD lésions secondaires). Anévrisme de l'aorte abdominale infrarénale partiellement thrombosée. CT cérébral le 18.01.2020 : pas de métastase cérébrale. Leuco-araïose. Laboratoires : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie thoracique du 29.12.2019 : index cardio-thoracique normal. Sinus costo-diaphragmatiques libres. Foyer basal droit. Surcharge vasculaire. Tube oro-trachéal en place. Sonde naso-gastrique en place. Holter du 07.01 au 09.01.2020 (Dr. X) : Rythme de base sinusal avec une fréquence cardiaque moyenne de 74 bpm, maximale de 108 bpm, minimale de 46 bpm. Extrasystolie ventriculaire complexe d'incidence modérée, 1,6 % (doublets, 1 salve de 3 complexes, bi et trigéminismes). Une extrasystolie supraventriculaire complexe de faible incidence, 0,3 % (doublets, salves de 3 et 4 complexes). Une TSV de 11 complexes d'une durée de 4 sec à une FC moyenne de 169 bpm, à 10:35. RR maximal à 1340 ms. Pas de sus ni de sous décalage du segment ST significatif. Pas de plainte ni d'enregistrement volontaire. P.S : intérêt d'une consultation cardiologique pour rechercher une cardiopathie. Laboratoires : cf. annexes ECG : cf. annexes Rx thorax du 18.12.2019 : Cardiomégalie. Opacité diffuse de la plage pulmonaire droite vraisemblablement en lien avec un épanchement pleural étalé en raison de la position couchée. Stent vasculaire en surprojection de l'apex pulmonaire droit. Probable atélectasie en base droite surajoutée. Drainage pleural du 19.12.2019 : Repérage échographique de l'épanchement pleural. Désinfection cutanée et champage. Anesthésie locale de la peau en profondeur au moyen de Rapidocaïne 1 %. Ponction échoguidée de l'épanchement pleural et mise en place d'un guide Amplatz. Mise en place d'un drain 8.5 F jusque dans l'épanchement. Le matériel est recueilli pour analyse microbiologique. Suture du drain à la peau. Rinçage abondant. Mise en place d'un pansement stérile. Rx thorax du 19.12.2019 : Drain pleural en superposition de la base pulmonaire droite, avec persistance d'un épanchement d'abondance minime droit. Émoussement de l'angle costo-diaphragmatique gauche. Pas de pneumothorax. PICC Line gauche se terminant en superposition de la veine cave supérieure. Stent de la veine sous-clavière droite en place. Le reste de l'examen est inchangé. Rx thorax du 24.12.2019 : Drain pleural en superposition de la base pulmonaire droite, avec persistance d'un épanchement d'abondance minime droit. Émoussement de l'angle costo-diaphragmatique gauche. PICC Line gauche se terminant en superposition de la veine cave supérieure. Stent de la veine sous-clavière droite en place. Le reste de l'examen est inchangé. Rx thorax du 29.12.2019 : Cardiomégalie avec épanchement pleural droit récidivant après le retrait du drain visualisé sur le comparatif. Pas de changement du stent en projection de l'apex droit. Picc line se terminant à la confluence des veines brachio-céphaliques. Angio CT des membres inférieurs le 16.12.2019 : Du côté droit, sténose tout le long du pontage aorto-fémoral, de même que le long du pontage fémoro-poplité. Absence d'opacification visible des artères tibiale antérieure et fibulaire. Du côté gauche, anévrisme de l'artère fémorale commune, pas de sténose significative le long du pontage aorto-fémoral ou fémoro-poplité. Présence d'un thrombus mural. Colloque vasculaire le 16.12.2019 : Indication à amputation susgéniculée. Angio CT cérébral avec cartes de perfusion le 22.12.2019 : Pas de signes d'ischémie aiguë. Hématome sous-dural droit récent, hématome sous-dural gauche chronique de 8 mm. Sténose subocclusive au départ de la carotide interne droite. Artère vertébrale droite de petit calibre avec probable occlusion du segment V4 sur calcifications. Stent de la veine sous-clavière droite en place. PAC sous-clavier gauche en place. Athéromatose de l'arc aortique. Apex pulmonaires sans particularité. Présence de multiples ganglions du médiastin antérieur. Béance œsophagienne. Unco-discarthrose multi-étagée. Laboratoires : cf. annexesECG : cf. annexes Rx thorax du 18.12.2019 : Cardiomégalie. Opacité diffuse de la plage pulmonaire droite vraisemblablement en lien avec un épanchement pleural étalé en raison de la position couchée. Stent vasculaire en surprojection de l'apex pulmonaire droit. Probable atélectasie en base droite surajoutée. Drainage pleural du 19.12.2019 : Repérage échographique de l'épanchement pleural. Désinfection cutanée et champage. Anesthésie locale de la peau en profondeur au moyen de Rapidocaïne 1%. Ponction échoguidée de l'épanchement pleural et mise en place d'un guide Amplatz. Mise en place d'un drain 8.5 F jusque dans l'épanchement. Le matériel est recueilli pour analyse microbiologique. Suture du drain à la peau. Rinçage abondant. Mise en place d'un pansement stérile. Rx thorax du 19.12.2019 : Drain pleural en superposition de la base pulmonaire droite, avec persistance d'un épanchement d'abondance minime droit. Émoussement de l'angle costo-diaphragmatique gauche. Pas de pneumothorax. PICC Line gauche se terminant en superposition de la veine cave supérieure. Stent de la veine sous-clavière droite en place. Le reste de l'examen est inchangée. Rx thorax du 24.12.2019 : Drain pleural en superposition de la base pulmonaire droite, avec persistance d'un épanchement d'abondance minime droit. Émoussement de l'angle costo-diaphragmatique gauche. PICC Line gauche se terminant en superposition de la veine cave supérieure. Stent de la veine sous-clavière droite en place. Le reste de l'examen est inchangé. Rx thorax du 29.12.2019 : Cardiomégalie avec épanchement pleural droit récidivant après le retrait du drain visualisé sur le comparatif. Pas de changement du stent en projection de l'apex droit. Picc line se terminant à la confluence des veines brachio-céphaliques. Rx thorax du 02.01.2020 : Cardiomégalie avec épanchement pleural droit d'aspect superposable au comparatif du 30 décembre 2019. Angio CT des membres inférieurs le 16.12.2019 : Du côté droit, sténose tout le long du pontage aorto-fémoral, de même que le long du pontage fémoro-poplité. Absence d'opacification visible des artères tibiale antérieure et fibulaire. Du côté gauche, anévrisme de l'artère fémorale commune, pas de sténose significatif le long du pontage aorto-fémoral ou fémoro-poplité. Présence d'un thrombus mural au sein. Angio CT cérébral avec cartes de perfusion le 22.12.2019 : Pas de signes d'ischémie aiguë. Hématome sous-dural droit récent, hématome sous-dural gauche chronique de 8 mm. Sténose subocclusive au départ de la carotide interne droite. Artère vertébrale droite et de petit calibre avec probable occlusion du segment V4 sur calcifications. Stent de la veine sous-clavière droite en place. PAC sous-clavier gauche en place. Athéromatose de l'arc aortique. Apex pulmonaires sans particularité. Présence de multiples ganglions du médiastin antérieur. Béance œsophagienne. Unco-discarthrose multi-étagée. Scanner cérébral le 10.01.2019 : Comparatif du 22.12.2019. Pas d'AVC constitué. Pas d'occlusion vasculaire aigüe. Pas d'hémorragie. Aspect superposable de l'hématome sous-dural pariétal droit. Lésion hyperdense dans la glande parotide droite, probablement une tumeur de Wartin. Status post TEA droit sans saignement. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Laboratoires : cf. annexes ECG : cf. annexes Rx thorax du 18.12.2019 : Cardiomégalie. Opacité diffuse de la plage pulmonaire droite vraisemblablement en lien avec un épanchement pleural étalé en raison de la position couchée. Stent vasculaire en surprojection de l'apex pulmonaire droit. Probable atélectasie en base droite surajoutée. Drainage pleural du 19.12.2019 : Repérage échographique de l'épanchement pleural. Désinfection cutanée et champage. Anesthésie locale de la peau en profondeur au moyen de Rapidocaïne 1%. Ponction échoguidée de l'épanchement pleural et mise en place d'un guide Amplatz. Mise en place d'un drain 8.5 F jusque dans l'épanchement. Le matériel est recueilli pour analyse microbiologique. Suture du drain à la peau. Rinçage abondant. Mise en place d'un pansement stérile. Rx thorax du 19.12.2019 : Drain pleural en superposition de la base pulmonaire droite, avec persistance d'un épanchement d'abondance minime droit. Émoussement de l'angle costo-diaphragmatique gauche. Pas de pneumothorax. PICC Line gauche se terminant en superposition de la veine cave supérieure. Stent de la veine sous-clavière droite en place. Le reste de l'examen est inchangée. Rx thorax du 24.12.2019 : Drain pleural en superposition de la base pulmonaire droite, avec persistance d'un épanchement d'abondance minime droit. Émoussement de l'angle costo-diaphragmatique gauche. PICC Line gauche se terminant en superposition de la veine cave supérieure. Stent de la veine sous-clavière droite en place. Le reste de l'examen est inchangé. Rx thorax du 29.12.2019 : Cardiomégalie avec épanchement pleural droit récidivant après le retrait du drain visualisé sur le comparatif. Pas de changement du stent en projection de l'apex droit. Picc line se terminant à la confluence des veines brachio-céphaliques. Angio CT des membres inférieurs le 16.12.2019 : Du côté droit, sténose tout le long du pontage aorto-fémoral, de même que le long du pontage fémoro-poplité. Absence d'opacification visible des artères tibiale antérieure et fibulaire. Du côté gauche, anévrisme de l'artère fémorale commune, pas de sténose significatif le long du pontage aorto-fémoral ou fémoro-poplité. Présence d'un thrombus mural au sein. Colloque vasculaire le 16.12.2019 : Indication à amputation susgéniculée. Angio CT cérébral avec cartes de perfusion le 22.12.2019 : Pas de signes d'ischémie aiguë. Hématome sous-dural droit récent, hématome sous-dural gauche chronique de 8 mm. Sténose subocclusive au départ de la carotide interne droite. Artère vertébrale droite et de petit calibre avec probable occlusion du segment V4 sur calcifications. Stent de la veine sous-clavière droite en place. PAC sous-clavier gauche en place. Athéromatose de l'arc aortique. Apex pulmonaires sans particularité. Présence de multiples ganglions du médiastin antérieur. Béance œsophagienne. Unco-discarthrose multi-étagée. CT cérébral le 10.01.2020 : Comparatif du 22.12.2019. Pas d'AVC constitué. Pas d'occlusion vasculaire aigüe. Pas d'hémorragie. Aspect superposable de l'hématome sous-dural pariétal droit. Lésion hyperdense dans la glande parotide droite, probablement une tumeur de Wartin. Status post TEA droit sans saignement. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Laboratoires : cf. annexes ECG : FA, QRS fin, QTc normal. Axe droite. Pas de sus-/sous-décalage segment ST. Radiographie thoracique du 23.01.2020 : Cardiomégalie importante - Émoussement sinus costo-diaphragmatique gauche - Pas d'épanchement pleural - Doute sur foyer en base droite. Laboratoires : cf. annexes ECG : pas de signe d'ischémie myocardique. Laboratoires : cf. annexes ECG : rythme sinusal régulier à 57 BPM, BAV 1er degré, QRS fins, axe normal, ST iso-électrique, T négatifs nouveaux de V1 à V4. Radiographie thoracique du 27.12.2019 : Aorte déroulée et calcifiée. St/p cerclages de sternotomie. Foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire inférieur D avec composante d'épanchement pleural minime. Laboratoires : cf. annexes ECG : rythme sinusal régulier à 57 BPM, BAV 1er degré, QRS fins, axe normal, ST iso-électrique, T négatifs nouveaux de V1 à V4. Radiographie thoracique du 27.12.2019 : Aorte déroulée et calcifiée. St/p cerclages de sternotomie. Foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire inférieur D avec composante d'épanchement pleural minime. Laboratoires : cf. annexes. ECG : rythme sinusal, régulier, à 89/minute, axe QRS normal, ondes T négatives en V2-V6, QTc 477 msec.RX thoracique le 31.12.2019 : examen réalisé en position couchée, en incidence antéro-postérieure. Comparatif du 22.12.2019. Examen superposable au précédent avec des signes de BPCO avancés et notamment une radio-transparence marquée de la base gauche en rapport avec de volumineuses bulles d'emphysème. Majoration des épaississements bronchiques diffus bilatéraux, associée à des opacités alvéolaires floues, pouvant correspondre à des foyers. Pas de pneumothorax visualisé, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. Pour le reste, l'examen est superposable au précédent, on retrouve un status après mise en place d'un pacemaker monocaméral en position inchangée ainsi que de multiples clips chirurgicaux en projection du bord gauche du coeur et des deux côtés du médiastin supérieur, en rapport avec un status après pontage coronarien. Fracture de l'arc postérieur de 8ème côte à droite. Laboratoires : cf. annexes ECG du 08.01.2019 : rythme sinusal tachycarde régulier avec FC à 103 bpm, PR à 132 ms, QRS fin avec axe à 13°, ST isoélectrique, QTc à 421 ms Scanner thoraco-abdomino-pelvien du 04.01.2019 : à l'étage thoracique, condensation des lobes inférieurs et du lobe moyen avec infiltrats micronodulaires diffus, en rapport avec une atteinte infectieuse. Un nodule de 6 mm dans le lobe supérieur droit à recontrôler à distance de l'épisode infectieux. Cardiomégalie avec dilatation de l'oreillette droite pouvant être en rapport avec une surcharge droite. À l'étage abdominal, statut post-hystérectomie et vraisemblable annexectomie bilatérale, splénectomie, cholécystectomie et dilatation des voies biliaires en rapport, ainsi que mise en place d'une stomie en fosse iliaque gauche. Mise en place de sonde JJ des deux côtés avec dilatation pyélique résiduelle à droite. Pas de franc nodule de carcinomatose péritonéale. Pas d'argument pour un foyer abdominal profond. Scanner abdominal du 08.01.2019 : par rapport au comparatif du 04.01.2020, majoration du foyer de pneumonie basale gauche avec persistance d'un foyer à droite et d'une bronchite-bronchiolite diffuse marquée. Concernant le status abdominal, disparition de la dilatation pyélique droite avec sondes double J en place. Produit de contraste per os (administré lors de l'examen précédent), actuellement localisé dans le côlon et dans la stomie. Aspect inchangé de l'ectasie de certaines anses grêles en fosse iliaque droite. Discrète diminution de la collection de petite taille au contact du moignon rectal dans le pelvis. Avis ORL le 11.01.2020 : nasofibroscopie normale. Nous proposons de réaliser des tests de déglutition par les physiothérapeutes. En cas de mise en évidence de fausses routes persistantes, merci d'organiser une consultation chez notre phoniatre. Bilan déglutition par physiothérapeutes : pas de trouble de la déglutition. Laboratoires : cf. annexes ECG du 27.01.2020 : inversion des ondes T en III nouvelles Echographie transthoracique le 29.01.2020 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie minime de la paroi postérieure et de la paroi latérale moyenne. FEVG à 51 % (méthode de Simpson). Remodelage concentrique. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : cf. annexes. ECG du 27.12.2019 : rythme sinusal régulier à 57/min, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, QRS fins, axe normal, ST isoélectrique, T négatifs nouveaux de V1 à V4 Radiographie thoracique du 27.12.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Status post-cerclages de sternotomie. Foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire inférieur droit avec composante d'épanchement pleural minime. CT thoracique du 10.01.2020 : présence d'un emphysème marqué. Par rapport au 20.02.2019, disparition des lésions nodulaires du lobe supérieur gauche et du segment apical du lobe inférieur gauche, qui devaient correspondre en premier lieu, au vu de leur évolution, à des lésions infectieuses. Laboratoires : cf. annexes ECG 10.01.2020 : RSR 120 bpm, axe normal, PR 162 ms, QRS 74 ms, QTc 417 ms, pas d'altérations significatives de la repolarisation, présence ESSV Radiographie thoracique le 10.01.2020 : index cardiothoracique normal - sinus costo-diaphragmatiques libres - pas d'épanchement - pas de pneumothorax - pas de foyer - pas de surcharge vasculaire - emphysème Laboratoires : cf. annexes. Echocardiographie transthoracique le 17.01.2020 : VG non dilaté non hypertrophié, avec une hypokinésie minime du septum basal. FEVG à 55/60 %. Fonction diastolique normale. Pas de valvulopathie aortique, mitrale, tricuspide et pulmonaire significative. Valve aortique normale. Surface aortique à 2,95 cm². Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. OG non dilatée. VD de taille limite sup normocinétique. PAPs normales. Pas de shunt interatrial visible. Absence d'épanchement péricardique. Proposition : remplacer Metoprolol par Sotalol 80 mg matin et soir, poursuivre Eliquis 5 mg matin et soir, traiter hyperthyroïdie et voir exploration de celle-ci avec endocrinologue (arrêt Amiodarone il y a 2 mois, possible dysthyroïdie sur Amiodarone). Prévoir la consultation avec Dr. X pour ablation FA. Laboratoires : cf annexes Echocardiographie transthoracique le 30.01.2020 : VG de taille limite sup DTD entre 58 et 61 mm, peu hypertrophié avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 50 %. Fonction diastolique normalisée avec pressions de remplissage élevées. Pas de valvulopathie aortique et mitrale significative. OG de taille limite supérieure. Ventricule droit non dilaté avec fonction systolique du ventricule droit normale. HTAP modérée à 47 mmHg. VCI dilatée à 30 mm mais compliante. Décollement péricardique systolique isolé. CT scanner cérébral et vaisseaux pré-cérébraux le 30.01.2020 : pas d'hémorragie intracrânienne ni accident vasculaire cérébral constitué. Pas de dissection carotido-vertébrale. Thyroïde asymétrique avec hypertrophie nodulaire lobaire gauche à corréler à une échographie thyroïdienne. Laboratoires : cf. annexes IRM cérébrale le 24.09.2019 : asymétrie de signal en défaveur de la carotide G constituant un argument en faveur d'un phénomène de bas débit Angio-CT injecté du 25.09.2019 : sténose de l'artère carotide interne G mesurée à environ 82 % Bilan angiologique du 25.09.2019 : un traitement par anti-agrégation plaquettaire et statine au long cours Bilan neurologique du 27.09.2019 : fluctuation des troubles cognitifs pouvant être en relation avec une sténose sévère symptomatique Laboratoires : cf. annexes OGD le 13.01.2020 : pas de saignement actif, saignement sur érosion de décubitus par stent. Ablation de stent avec par la suite injection de produit de contraste sous scopie : pas de fuite. Pas de nouveau stent mis en place Avis endocrinologues le 15.01.2020 : pas de nouvel essai de passage de l'Euthyrox intraveineux dans la phase aiguë. Majoration du dosage de l'Euthyrox à 250 mcg/jour avec contrôle TSH / T4 à 10 jours (vers le 25.01). La patiente doit être à jeun (pas de nutrition par jéjunostomie) 2 heures avant et 2 heures après la prise. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie du thorax le 08.01.2020 : hernie graisseuse de Bochdalek connue, pas d'argument franc en faveur d'un foyer. Laboratoires : cf. annexes Radiographie du thorax le 10.01.2020 : (comparatif du 20 mars 2018). Aspect inchangé de la silhouette cardiomédiastinale avec cardiomégalie et discret déroulement athéromateux de l'aorte. Hiles pulmonaires de configuration vasculaire. Absence d'épanchement pleural. Pas de signe de décompensation cardiaque. Présence d'une perte de la transparence en base droite, correspondant vraisemblablement à un foyer débutant, visible uniquement sur la rx de face. Néanmoins, sur la rx de profil, présence d'une bande de perte de transparence en projection de la colonne dorsale et de l'arc aortique pouvant correspondre à une zone d'atélectasie, DD 2ème foyer.Reste du status pulmonaire sp. Cadre osseux et tissus mous sp. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie du thorax le 24.01.2020 (comparatif du 05.04.2019 et PET/CT du 05.06.2019), examen réalisé en position assise : étalement de la silhouette cardio-médiastinale, lié à la position assise. Calcifications du bouton aortique connues. Persistance d'une distension pulmonaire bilatérale avec aplatissement des coupoles diaphragmatiques et une hypertransparence pulmonaire bilatérale connue, sans franc foyer infectieux visible. Multiples lésions nodulaires en projection de la lingula, correspondant à des nodules pulmonaires connus. Emoussement des récessus costo-diaphragmatiques. Pas de pneumothorax. Cadre osseux superposable. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie du thorax le 27.12.2019 : Sur la radiographie du thorax, pas de foyer infectieux. Radiographie du bassin/hanche droite : pas de fracture ni de signe de descellement de la PTH bilatérale. Radiographie de la cheville droite, complétée par un CT le 27.12.2019 : Épaississement de la peau avec infiltration dans les tissus mous sous-cutanés diffus avec des calcifications dans les membres inférieurs (évoquant une insuffisance veineuse) plus marquée de la face latérale de la cheville gauche sans collection visible. Une infection surajoutée n'est pas exclue. IRM des pieds le 30.12.2019 : Aspect IRM en faveur d'un petit foyer d'ostéite de la malléole latérale du côté gauche. Remaniements dégénératifs du tarse et des articulations métatarso-phalangiennes et interphalangiennes du 1er rayon et du 5ème rayon du côté droit. Oedème des parties molles de la face dorsale et latérale du pied à droite et à gauche. Pas de collection visible au sein des parties molles. Avis ORL le 06.01 : Mr. Y connu pour une allergie aux IEC qui en a reçu depuis 3 jours avec angioedème au niveau de la langue, légère dyspnée en amélioration, dysphonie, pas d'odynodysphagie, arrive bien à avaler sa salive. Status : angioedème important au niveau de la langue avec vésicules au niveau antérieur et latéral gauche de la langue, palais semble calme, fond de gorge visualisé uniquement partiellement mais pas de déviation visualisée. Nasofibroscopie : Nez sp, cavum libre, phlyctène au niveau latéral gauche du pharynx dont l'origine est indéterminée (bas de langue? loge amygdalienne?) avec petit effet de masse au niveau de l'épiglotte légèrement déviée vers la droite, épiglotte en oméga, pas érythémateuse, bon espace aérien, cordes vocales mobiles lisses et symétriques, aryténoïdes légèrement tuméfiées. CONCLUSIONS : Angioédème probablement sur IEC. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie du thorax le 29.12.2019 : phénomène de silhouettage de la coupole diaphragmatique gauche, correspondant à un infiltrat rétro-cardiaque visualisé juste sur le cliché de profil. Déroulement et calcification aortique. Pas de nodule suspect individualisé. Épaississement bronchique diffus des deux côtés. Comblement du récessus costo-diaphragmatique des deux côtés, compatible avec un épanchement pleural. Altérations dégénératives multi-étagées du rachis dorsal, correspondant à l'âge de Mr. Y. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie thoracique du 17.01.2020 : Index cardio-thoracique normal - Pas d'élargissement médiastinal - Sinus costo-diaphragmatiques libres - Pas de foyer franc - Pas de surcharge. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie thoracique du 19.01.2020 : Radiographies bassin + colonne cervicale + colonne dorsale du 19.01.2020 : Coronarographie du 19.01.2020 : artères coronaires athéromateuses avec : • Lésion non significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. • Ventriculographie : dysfonction VG sévère avec FEVG 20-25% avec apicale ballooning témoignant d'un syndrome de Takotsubo. • Athéromatose aorto-iliaque diffuse et anévrisme de l'artère iliaque interne gauche. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie thoracique du 21.01.2020 : Index cardiothoracique normal - Pas d'élargissement médiastinal - Sinus costo-diaphragmatiques libres - Pas d'épanchement - Pas de foyer - Pas de surcharge. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie thoracique le 12.01.2020 : pas d'épanchement pleural, pas de signe de foyer infectieux. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie thoracique 17.01.2020 : Laboratoires : cf. annexes. Radiographie thoracique 17.01.2020 : Index cardiothoracique normal - Pas d'élargissement médiastinal - Sinus costo-diaphragmatiques libres - Pas de foyer - Pas de surcharge - Pacemaker en place. Contrôle pacemaker 17.01.2020 : Les tests de détections, stimulations et impédances sont dans les normes. Fonctionnement normal. Laboratoires : cf. annexes. Scanner cérébral du 23.01.2020 : pas d'occlusion carotidienne, pas de lésions ischémiques ou hémorragiques. IRM cérébrale du 24.01.2020 : Pas de lésion ischémique aiguë. Pas de saignement intracrânien. Pas de prise de contraste cérébro-méningée pathologique pour un processus inflammatoire, infectieux ou tumoral. Minime lésion ischémique séquellaire corticale du lobule pariétal supérieur à droite. Echocardiographie transthoracique le 24.01.2020 : VG non dilaté, non hypertrophié, fonction contractile segmentaire et globale normale sous réserve d'une échogénéicité moyenne. FEVG à 65 %. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 3,9 l/min avec un index cardiaque à 2,22 l/min/m² (101% de la théorique). Fonction diastolique de type I avec pressions de remplissage basses. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 1,61 cm² (0,92 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). OG discrètement dilatée 22 cm². VD normo-cinétique avec fuite tricuspide de grade II. PAPs normales. Absence d'épanchement péricardique. US doppler des vaisseaux pré-cérébraux le 28.01.2020 : rapport en attente. Laboratoires : cf. annexes. US abdominal le 20.01.2020 : examen analysé comparativement au CT du 29.08.2019 - Foie dysmorphique d'échostructure hétérogène avec lésions hépatiques connues. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Status post cholécystectomie. Pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Le cholédoque distal n'est pas visualisé en raison du morphotype de Mr. Y. Radiographie thorax le 19.01.2020 : silhouette cardiomédiastinale avec discrète cardiomégalie et déroulement athéromateux de l'aorte. Hiles pulmonaires de configuration vasculaire. Pas de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural significatif. PAC pectoral droit dont l'extrémité se projette au niveau de la veine cave supérieure. Présence de plusieurs opacités nodulaires principalement du poumon gauche, au nombre d'au moins 5 à gauche et 2 à droite, la plus grande située en péricardiaque à gauche, mesurant environ 30 mm de diamètre de même qu'en périhilaire gauche, mesurant 24 x 34 mm. Pas de foyer constitué.Cadre osseux et tissus mous inchangés. Laboratoires : cf. annexes US angiologie le 27.01.2020 (rapport oral) : TVP proximale au niveau illiaque commune et dans fémorale commune. Phlébographie ilio-fémorale membre inférieur gauche et lyse in situ le 27.01.2020 : Mme. Y présentant une thrombose veineuse iliaque commune et iliaque externe gauche subaiguë à aiguë. En raison d'un œdème massif persistant du membre inférieur gauche malgré le traitement anticoagulant, on décide de recanaliser cette thrombose par lyse intravasculaire. Sous repérage échographique, on effectue une anesthésie sous-cutanée puis une ponction de la veine fémorale commune en haut de la cuisse du côté gauche. Mise en place d'un introducteur court 6 French. Phlébographie qui montre un thrombus frais iliaque externe et une probable occlusion chronique iliaque commune gauche au vu des très volumineuses collatérales dans le territoire de la veine iliaque interne. Recanalisation de l'occlusion puis mise en place d'un cathéter de lyse de type Craigh-Manara d'une longueur de travail de 20 cm. Fixation à la peau puis transfert aux soins continus pour lyse par actilyse pendant 15 heures. Une phlébographie de contrôle est prévue le lendemain matin. • Phlébographie et pose de 2 stents au niveau de la veine iliaque commune gauche le 28.01.2020 Laboratoires : cf. annexes. US Doppler du 10.01.2020 : pas de thrombose veineuse profonde. Radiographie du thorax du 10.01.2020 : opacité rétro-cardiaque devant faire suspecter un foyer de pneumonie. Grands volumes pulmonaires pouvant entrer dans le cadre d'un syndrome obstructif chronique. Épaississement des parois bronchiques en base droite. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas d'altération de la structure osseuse. Radiographie bassin et hanche profil du 10.01.2020 : coxarthrose à droite. US abdominal du 13.01.2020 : dilatation des veines sus-hépatiques et de la veine cave inférieure. Sous réserve des interpositions aéro-digestives, pas d'évidente masse mise en évidence. Pour l'exploration des organes pelviens, bilan à compléter par un examen gynécologique et éventuellement un CT dédié. Laboratoires : cf copie annexée. Gazométrie : pH dans la norme, PCO2 et Bic dans la norme, PO2 abaissé à 4.9, Sat 72%. ECG du 28.11.2019 et du 03.12.2019 : cf. copies annexées. Radiographie du thorax de face et profil du 28.11.2019 : étalement de la silhouette cardiomédiastinale en rapport avec la position couchée. Aorte déroulée et calcifiée. Hypoventilation basale gauche. Radiographie du thorax du 03.12.2019 : comparatif du 28.11.2019. En position debout, on retrouve une cardiomégalie globale à prédominance gauche avec ICT de 17.4/26.8. Pas d'élargissement médiastinal. Sclérose aortique. Épaississement bronchique diffus péri-hilaire prédominant aux deux bases et surtout en base gauche dans le rétrocarde. Épanchement pleural basal gauche de moyenne abondance. Déminéralisation osseuse diffuse sans fracture/tassement. Radiographie du 08.12.2019 : comparatif du 03.12.2019. En position couchée, on retrouve une cardiomégalie globale associée à un aspect grisaille des bases pulmonaires ne permettant pas d'exclure un éventuel épanchement pleural déclive. Sclérose aortique. Élargissement médiastinal lié à l'obliquité du cliché. Pas de bronchogramme aérique décelable en faveur d'un foyer. Tests de la cognition du 03.12.2019 : MMSE à 20/30, test de la montre à 1/7 ; l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Laboratoires : cf. copie annexée. Radiographie du thorax du 27.12.2019 : pas de foyer franc, augmentation de la trame bronchique aux bases des deux côtés. CT du thorax du 27.12.2019 : pas d'argument pour un foyer pulmonaire. Épaississement circonférentiel de la paroi de tiers moyen et distal de l'œsophage. Distension des voies biliaires principales droite et gauche, partiellement investiguée. Tests de la cognition du 06.01.2020 : MMSE à 23/30 et test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoires : cf. copie annexée. CT cérébral natif, du bassin, de la hanche axiale droite et CT du pelvis natif du 21.09.2019 : • Bassin et hanche droite : comparatif du 20 janvier 2018 : fracture transverse, diaphysaire proximale du fémur droit, avec angulation antérieure de la tête, du col et de la région per-trochantérienne à 90°. Infiltration hématique quadricipitale en regard de la fracture. Irrégularité de la corticale de la face antérieure du sacrum au niveau S4-S5, évoquant une fracture non déplacée. Pas d'autre fracture visualisée. Discopathie L5-S1 avec débords ostéophytaires latéraux. Clips chirurgicaux para-aortiques homolatéraux. Pas de liquide libre intra-abdominal. • Conclusion : pas de fracture des os du crâne, ni de saignement intracrânien. Fracture diaphysaire proximale du fémur droit. Suspicion d'une fracture non déplacée de la face antérieure du sacrum au niveau S4-S5. Radiographie du fémur droit du 22.09.2019 : comparatif du 21.09.2019 : réduction partielle de la fracture sous-trochantérienne droite par rapport à l'examen comparatif. Distalement à la fracture, le fémur se présente normalement. Radiographie du bassin et de la hanche axiale droite du 24.09.2019 : comparatifs du 22.09.2019 : status après mise en place d'un PFNA avec cerclage. Rétablissement des rapports anatomiques. Matériel en bonne position. Tuméfaction et multiples bulles de gaz au sein des parties molles sur le site opératoire. Radiographie du thorax de face du 25.09.2019 et radiographie du thorax de face du 27.09.2019 : comparatif du 21 septembre 2019 : cardiomégalie. Status post-cathéter de dialyse en position inchangée, en surprojection de l'oreillette droite. Atélectasie lamellaire gauche inchangée entre le 25 et le 27. Atélectasie basale droite avec surélévation de la coupole diaphragmatique droite, sous réserve de la position couchée et assise. Absence d'argument pour une fracture costale. Multiples clips chirurgicaux en surprojection de l'hémi-abdomen gauche. Radiographie du thorax de face et profil du 09.10.2019 : examen comparatif du 07.10.2019 : discrète augmentation de la trame pulmonaire des deux côtés avec un petit épanchement pleural bilatéral allant dans le sens d'une surcharge cardiaque. Pas d'autre changement du status cardio-pulmonaire par rapport au comparatif. Pas d'apparition de foyer constitué. Consilium d'infectiologie du 26.09.2019, HFR Fribourg, Dr. X : cf rapport annexé. Tests de la cognition du 03.10.2019 : MMSE à 26/30 et test de la montre à 6/6. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Laboratoires : cf. copie annexée. ECG : cf. rapport annexé. Radiographie du thorax de face et profil du 21.11.2019 : ascension de la coupole diaphragmatique gauche. Importantes lésions d'infiltrat pulmonaire bilatérales avec aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire. Rétraction de la trachée vers le côté droit. Effacement des coupoles diaphragmatiques de façon bilatérale. CT thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injecté du 21.11.2019 : comparatif au CT thoracique du 04.04.2018 : conclusion : pneumopathie interstitielle diffuse d'origine indéterminée. Majoration de l'épaississement des septas (diagnostic différentiel : décompensation cardiaque). Signe d'hypertension artérielle pulmonaire avec dilatation des artères pulmonaires. Pas d'image d'embolie pulmonaire. Laboratoires : cf. copies annexées. Test de Schellong du 13.12.2019 : négatif. Radiographie du poignet gauche du 09.12.2019 : comparatif 04.12.2019. Importantes calcifications cartilagineuses radio-carpiennes et en projection du TFCC dans le contexte d'une chondrocalcinose. Absence de solution de continuité ou d'irrégularité de corticale en faveur d'une fracture visible.Importantes calcifications vasculaires et artérielles. Radiographie du poignet gauche du 10.12.2019 : comparatif à l'examen du 09.12.2019. Status après mise en place d'une contention en résine. Pas de pli ou point de pression visible. Contexte de chondrocalcinose et de calcifications vasculaires artérielles connues. Pas de solution de continuité en faveur d'une fracture déplacée visible. Tests de la cognition du 13.12.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/7. Laboratoires : cf copies annexées. Bilan angiologique du 25.11.2019 : mapping pour fistule artério-veineuse. ECG du 27.11.2019 : rythme sinusal, fréquence cardiaque à 67/min, PQ 154ms, QT 404ms. Consultation géronto-psychiatrique : troubles anxio-dépressifs et du sommeil avec un impact réactionnel. Proposition d'instaurer du Brintellix. Proposition d'instaurer la Mélatonine 3 mg 0-0-1-0. Tests de la cognition du 29.11.2019 avec un MMS à 20/30, test de la montre à 2/7. L'échelle gériatrique de dépression mesurée le 04.12.2019 s'élève à 4/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 02.12.2019 : rythme sinusal régulier à 86 bpm, déviation axiale gauche, intervalle PR 136 ms, QRS de morphologie et de durée normale, QTc à 458 ms, pas de trouble de la repolarisation. US hépatique du 08.12.2019 : hépatomégalie avec foie dysmorphique présentant plusieurs lésions hypoéchogènes nodulaires. Diagnostic différentiel : ouvert entre des métastases versus une atteinte hépatique multifocale. Une lésion calcifiée du dôme hépatique à droite (métastase colique ?). Cholécystolithiase calcifiée. Proposition d'un CT-scanner 3 phases en complément de bilan. CT abdominal du 10.12.2019 : EP postéro-basale lobaire inférieure droite sans répercussion pleuro-parenchymateuse. Ganglions médiastinaux pré-trachéaux, le plus gros centimétrique en petit diamètre. Foie de configuration cirrhotique avec dysmorphie hépatique, signe d'hypertension porte marquée par un shunt spléno-rénal. Veine porte perméable. Infiltrations tissulaires nodulaires ouvrant le diagnostic de métastases réparties dans l'ensemble des segments hépatiques, hormis le segment I. Atteinte prédominante à droite. Ascite dans les 4 quadrants péritonéaux ne permettant pas de faire la part des choses entre une décompensation cirrhotique ± une carcinose péritonéale. Adénopathies centimétriques hilaires hépatiques et rétrocaves sus-mésocoliques. Formation kystique annexielle droite de 2,5 cm. Au niveau hépatique le DD est ouvert entre une atteinte métastatique versus un CHC multifocal. Radiographie du thorax de face du 01.12.2019 : pas de comparatif. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. En surprojection de l'arc postérieur de la 4ème côte gauche, mise en évidence d'une structure modérément dense de 17mm de long par 2mm d'épaisseur, aspécifique. Calcifications parenchymateuses ou pleurales ? Corps étranger à la peau ? Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer de pneumonie constitué. Rapport diagnostic cytopathologique de la ponction, Promed C2019.1571, du 12.12.2019 : matériel dont la cellularité seule évoque un transsudat, sans cellule tumorale maligne. CT cérébral du 16.12.2019 : Atrophie cortico-sous-corticale. Leucopathie vasculaire. Pas de lésion d'allure métastatique cérébrale. Tests de la cognition du 03.12.2019 : MMSE à 19/30 ; test de la montre à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 14.12.2019 : fibrillation auriculaire, axe normal horizontal, FC 83/min. Radiographie de la colonne lombaire de face et profil du 04.12.2019 : attitude scoliotique dextro-concave d'origine dégénérative. Léger antérolisthésis de L4 sur L5 de grade I. Ostéophytose marginale antérieure lombaire. Ostéophytose latérale plus marquée au niveau L3-L4 de la partie droite. Phénomène de Baastrup lombaire inférieur. La hauteur des corps vertébraux est conservée. Altérations dégénératives disco-vertébrales au niveau lombaire avec légère réduction de hauteur des disques intervertébraux L4-S1. Pas de trait de fracture visible. Athéromes calcifiés au niveau de l'aorte abdominale. CT de la colonne lombaire du 09.12.2019 : conclusion : la hernie discale L3-L4 précédemment visualisée en 2016 n'est pas retrouvée sur ce scanner. Pseudo-antélisthésis de L4/L5 connu et inchangé. Le canal spinal est modérément rétréci à ce niveau en raison d'une arthrose facettaire relativement évoluée. Les neuroforamens sont modérément rétrécis de façon multi-étagée, un peu plus en L5-S1 des deux côtés et en L3-L4 et L4-L5 à droite. Tests de la cognition du 13.12.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 21.11.2019 : rythme de fibrillation auriculaire à 91/min, axe cardiaque normal à 5°, PQ pas mesurable, QRS de morphologie et de durée normale, QTc 427 ms, pas de trouble de repolarisation. Tests de la cognition du 04.12.2019 : MMSE à 18/30, test de la montre non réalisable. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 8/15. Test de Schellong du 22.11.2019 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. ECG le 12.11.2019 : bloc atrio-ventriculaire du premier degré, fréquence à 65/min, axe normal à -21°, PR à 242 ms, QRS fin, QTc à 417 ms, pas de troubles de la repolarisation, ni d'ondes Q significatives. ECG le 18.11.2019 : BAV du premier degré, fréquence à 83/min, axe normal à -24°, PR à 222 ms, QRS fin, QTc à 414 ms, pas de troubles de la repolarisation, ni d'ondes Q significatives, présence d'une extrasystole supra-ventriculaire. Radiographie du pied entier droit du 27.11.2019 : plage radiotransparente au sein de P2 O1 pouvant faire suspecter une ostéomyélite de cette phalange. La trame osseuse de P1 O1 est normale. Doppler membre inférieur droit artério-veineux du 13.11.2019, Dr. X : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. Radiographie du bassin et de la hanche droite du 18.11.2019 : par rapport au 05.11.2019, pas de changement du status après enclouage centromédullaire avec cerclage du fémur proximal droit pour fracture sous-trochantérienne. Pas de déplacement secondaire du matériel ou de la fracture qui n'est pas consolidée. Reste des structures osseuses inchangées. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 17.12.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. Laboratoires : cf. copies ci-jointes. ECG : RSR à 90/min, ondes P bifides, PR 160 ms, QRS fins, ondes T négatives en D1, aVL, sous-décalage ST en V5 et V6. RX thorax du 17.01.2020 (comparatif du 21.05.2019) : BPCO. Pas de franc foyer pulmonaire décelable. Possible lame d'épanchement pleural à droite. Infiltrat réticulaire bilatéral plus marqué en plage pulmonaire gauche, foyer infectieux ? Surcharge cardiaque ? Calcification de la crosse aortique. Le reste de l'examen est inchangé. Laboratoires : en annexe. Laboratoires : en annexe. Angio-CT cérébral le 27.01.2020 : Parenchyme cérébral : pas d'hémorragie. Lésions parenchymateuses hypodenses séquellaires connues et inchangées pariétale droite et occipitale droite. Atrophie cérébrale. Hypodensité de la substance blanche périventriculaire compatible avec de la leuco-araïose. Vaisseaux précérébraux : perméables. Plaques d'athéromatose des bulbes carotidiens sans sténose significative ; Segment V4 droit hypoplasique connu (DD : terminaison en PICA, plusieurs subocclusions sur athéromatose). Vaisseaux intracérébraux : Bonne perméabilité du polygone de Willis ; hypoplasie du segment A1 de l'artère cérébrale antérieure gauche. Anévrisme de 3 mm au niveau de l'artère communicante antérieure. Cartes de perfusion : pas d'asymétrie notable, mise à part une région cérébelleuse droite de MTT relativement prolongée, sans diminution du Blood Flow corrélée. Coupes injectées (t. veineux) : sinus veineux perméables. Pas de prise de contraste pathologique intra-axiale.IRM cérébrale le 28.01.2020 : Pas de lésion ischémique aiguë. Lésions ischémiques séquellaires pariétale et occipitale à droite. On retrouve l'anévrisme sacculaire aux dépens de l'artère communicante antérieure mesurant 2 mm du collet 2,5 mm de profondeur, d'allure inchangée par rapport au comparatif. Distension du système ventriculaire avec le 3ème ventricule mesurant 12 mm de diamètre, inchangé par rapport au comparatif, d'allure disproportionnelle par rapport à l'atrophie cérébrale sans angle callosal aigu, toutefois pouvant faire évoquer une hydrocéphalie à pression normale, à corréler à la clinique. Sur la séquence T2*, on retrouve les anciennes transformations hémorragiques au sein de la lésion occipitale droite avec quelques microbleeds à l'étage supra-tentoriel avec apparition d'un microbleed dans la partie postérieure de la corona radiata droite et un au niveau pariéto-occipitale à droite. On retrouve un petit cavernome cérébelleux gauche. Laboratoires : en annexe Angio-CT pulmonaire le 07.01.2020 : embolies pulmonaires lobaires avec extension segmentaire et sous-segmentaire bilatérales. Pas d'infarctus pulmonaire ni répercussion sur les cavités cardiaques. Echographie transthoracique le 08.01.2020 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Présence d'un D-Shaping surtout en phase proto-diastolique, comme signe indirect d'une augmentation de pression dans le VD. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide pour estimer la PAPs. Comme signe indirect d'une augmentation de pression dans le VD, présence d'une D-Shaping proto-diastolique du VG. VCI non visualisée. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : en annexe. CT cervico-thoraco-abdominal le 06.01.2020 : comparatif CT du 11.09.2019. Sous réserve des artefacts métalliques générés par la prothèse d'épaule gauche, aspect globalement stable de la cervicale inférieure gauche péri-claviculaire proximale avec infiltration cutanée et venant au contact de la trachéostomie. Majoration de la masse tissulaire engainant l'arc postérieur de la 8ème côte gauche avec majoration de la lyse de celle-ci. Apparition d'une lésion tissulaire ostéolytique de 32 x 28 x 28 mm de la partie gauche du manubrium sternal en regard du 1er cartilage costal gauche avec infiltration tissulaire antérieurement. Nette majoration de la lésion hypodense dans le segment III hépatique passant de 13 mm à 33 x 30 mm. Apparition d'un épanchement pleural gauche d'abondance moyenne dont la plus grande épaisseur est de 70 mm avec atélectasie parenchymateuse passive lingulaire et lobaire inférieure gauches au contact. Diminution en nombre des lésions nodulaires en verre dépoli dans les 2 plages pulmonaires avec toutefois actuellement apparition de plages en verre dépoli dans les lobes supérieurs (infection ? effet indésirable de la chimiothérapie ?). Avis anesthésiologique le 13.01.2020 : douleurs d'allure neuropathiques, intercostales, probablement sur atteinte métastatique 8ème côte. Décharges électriques, brûlures, allodynies. Probablement plusieurs branches atteintes (tableau clinique relativement étendu). Au status, douleurs palpation diffuse zone douloureuse paroi thoracique + colonne thoracique basse G très sensible. Propositions : • semble mieux avec TTT instauré => souhaite attendre. • TTT topiques peu indiqués car peau avec multiples lésions (Neurodol patch, gel Kétamine / amitriptyline). • Si douleurs impossibles le 14.1 => considérer lido (voir avec Dr. X). • considérer vitamine K et suivi crase => TP 60 % ce jour, insuffisant pour geste éventuel au niveau du neuraxe. • Si geste => éventuellement ESP bloc dx, puis avec dexa si effet favorable (ponction à distance de la zone douloureuse). Laboratoires : en annexe Echocardiographie transthoracique le 27.12.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 47 % (méthode de Simpson). Hypertrophie concentrique. Aorte normale. Rétrécissement aortique serré calcifié, d'origine dégénérative. Surface aortique à 0,78 cm² (0,56 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 24 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). • valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Discrète augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 34 mmHg). Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Cathétérisme cardiaque gauche-droit le 28.12.2019 : maladie coronarienne monotronculaire avec une lésion critique de l'ostium de l'ACD. Après dilatation et implantation d'un stent actif, le résultat est bon. Le cathétérisme gauche/droit montre une sténose aortique sévère (low flow low gradient) avec une surface calculée à 0,65 cm². La fonction systolique est normale. CT thoraco-abdominal injecté le 30.12.2019 : St/p pontage aorto-bi-fémoral qui est perméable. Occlusion de l'artère mésentérique supérieure sur 5 cm du fait de l'athéromatose calcifiée avec perméabilité d'aval. Lésion kystique de la tête du pancréas mesurant 13 x 9 mm. Épaississement de la paroi sigmoïdienne et colique gauche avec ganglions calcifiés de proximité (DD colite/diverticulite/antécédent de tuberculose digestive). Radiographie du thorax le 06.01.2020 : ratio cardio-thoracique dans la norme. Trachée calcifiée et calcifications aortiques. Pas de foyer/infiltrats ni de signe de décompensation cardiaque. Discret épaississement bronchique. Opacité basale latérale gauche, probablement en rapport avec une image de surprojection. Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax. Cadre osseux inchangé. CT natif du massif facial le 07.01.2020 : pas de signe en faveur d'une sinusite. Laboratoires : cf. annexe CT-cérébral injecté le 26.01.2020 : pas d'argument pour un AVC ischémique hémorragique ou ischémique récent. Pour une meilleure investigation, l'IRM est l'examen de choix. Pas d'occlusion des vaisseaux précérébraux et du polygone de Willis. Le reste de l'examen est superposable, avec signes d'atrophie cérébrale et de leuco-araïose ainsi que quelques lésions ischémiques séquellaires. Laboratoires : cf annexes Laboratoires : cf annexes Laboratoires : cf annexes Chimio-embolisation de l'artère hépatique par billes chargées en Doxorubicine le 27.01.2020. Laboratoires : cf annexes CT abdominal le 15.01.2020 : iléus grêle jusqu'à 5 cm et distension gastrique également, avec retour à un calibre normal de l'iléon et du côlon, toutefois sans évident saut de calibre évoquant alors une origine paralytique en premier lieu. Pas d'argument pour une souffrance digestive, sous réserve de l'absence d'injection produit contras. Apparition de métastases pulmonaires bilatérales, la plus volumineuse mesurée à 8 mm dans le lobe inférieur droit. Apparition d'un épanchement pleural droit, sans épaississement pleural mesurable, sous réserve de l'absence d'injection produit contraste (diagnostic différentiel carcinose ?).Laboratoires: cf annexes CT abdomino-pelvien le 10.01.2020 : Bulle d'air en regard du bulbe duodénal avec infiltration de la graisse autour du premier et du deuxième duodénum compatible avec un ulcère duodénal perforé. Pneumopéritoine et épanchement liquidien péri-hépatique, et dans la gouttière pariéto-colique droite. Radiographie de thorax le 10.01.2020 : Surélévation de la coupole diaphragmatique droite avec clarté évoquant en premier lieu un pneumopéritoine. Laboratoires: cf. annexes CT cérébral natif le 18.01.2020 : Lésion de type contre-coup avec hémorragies sous-arachnoïdiennes bi-frontales avec composantes sous-durale frontale droite, associées à des contusions parenchymateuses bi-frontales. CT cérébral le 19.01.2020 : Augmentation significative de l'hémorragie parenchymateuse frontale droite 44 x 19 x 23 mm avec œdème péri-lésionnel. Augmentation de l'hémorragie parenchymateuse frontale gauche 8 mm avec discret œdème péri-lésionnel. CT cérébral le 20.01.2020 : Pas de changement significatif de l'hémorragie parenchymateuse frontale droite. CT cérébral le 24.01.2020 : Stabilité de l'hémorragie parenchymateuse frontale droite avec œdème péri-lésionnel ainsi que de l'hémorragie parenchymateuse frontale gauche. Stabilité des petites composantes sous-arachnoïdiennes bi-frontales. Légère diminution de la composante sous-durale. Bilan neuropsychologique le 23.01.2020 : cf. rapport Laboratoires: cf annexes CT Total Body le 16.12.2019 : Fracture discrètement déplacée de l'arcade zygomatique à droite sans franche infiltration de la graisse en regard, ancienne fracture? À corréler à la clinique. Très discrète asymétrie des massifs latéraux du C1 par rapport au corps de C2, une lésion ligamentaire n'est pas exclue. Possible fracture discrètement déplacée de la partie supérieure de massif articulaire supérieur de C4 à gauche. Minime lame de pneumothorax à gauche avec deux minimes décollements. Radiographie thorax + épaule 16.12.2019 : Fracture de l'omoplate G. Fracture de côtes sur l'hémithorax G. Laboratoires: cf. annexes Histologie: cf. annexes Laboratoires: cf annexes Image: cf. annexes CT abdomino-pelvien le 21.01.2020 : image compatible avec une appendicite aiguë débutante touchant la pointe de l'appendice. Laboratoires: cf. annexes Radiographie pulmonaire (comparatif du 17.08.2019) : Quelques infiltrats réticulo-nodulaires basales des deux côtés, silhouettant les contours cardiaques, évoquant des foyers infectieux. Émoussement des sinus costo-diaphragmatiques postérieures des deux côtés, compatible avec un épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Le reste de l'examen est inchangé par rapport au comparatif. Laboratoires: cf annexes Radiographie thorax le 21.01.2020 : Pneumothorax gauche, avec une séparation pleuro-parenchymateuse maximale mesurée à 17 mm en apical, sans déviation médiastinale. Épanchement pleural homolatéral. Pas de condensation/infiltrats ni de signe de décompensation cardiaque. Ratio cardio-thoracique dans la norme. Cadre osseux sans particularité, sans fracture des côtes visibles. Radiographie thorax le 23.01.2020 : Status post-ablation du drain thoracique gauche avec persistance d'une lame de pneumothorax apical gauche de 5 mm. Pas d'épanchement pleural. Parenchyme pulmonaire gauche se présentant normalement, quelques lignes en surprojection basale droite, correspondant probablement à des plis cutanés (à corréler à la clinique). Le reste des structures est superposable au comparatif. Laboratoires: cf annexes Ultrason abdominal 19.01.2020 : appendicite débutante avec diamètre de 7 mm, image en cocarde, hypervascularisation périphérique. Histologie : cf annexes Laboratoires: dépistage VIH et HCV. Analyses urine native : gonorrhée, chlamydia. Avis infectiologie (Dr. X). Attitude : • Début prophylaxie post-exposition VIH : starter kit remis à Mr. Y aux urgences avec instructions sur la prise des médicaments. • Mr. Y est informé d'éviter absolument les rapports sexuels non protégés. • Mr. Y prendra contact lundi le 13.01.2020 avec le secrétariat d'infectiologie pour organiser un rendez-vous à la consultation de Dr. X pour suite de prise en charge. Laboratoires: pas de syndrome inflammatoire. CT cérébral natif (rapport oral) : pas de saignement. Avis neurologique (Dr. X) : hospitalisation pour physiothérapie, ergothérapie. Avis rhumatologie (Dr. X) : pas de complément d'investigations nécessaire, ponction lombaire déjà effectuée. Attitude : • Organiser le suivi psychiatrique : prendre contact avec psychiatre traitant Dr. X et discuter suite de prise en charge au vue de nouvelle symptomatologie. • Réhabilitation à la marche et parole avec physiothérapie et ergothérapie. • Pas de changement de traitement nécessaire. Laboratoires: pas de troubles électrolytiques, pas de syndrome inflammatoire, D-Dimères < 190 ng/l. CT-scan cérébral et des vaisseaux précérébraux (rapport oral Dr. X) : hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale droite serpentiforme, pas de malformation vasculaire sous-jacente, pas de thrombose du sinus veineux. Beriplex 1000 IE iv. Attitude : • Avis neurochirurgical (Inselspital, Dr. X). • Effectuer IRM de contrôle demain : à la recherche d'une angiopathie amyloïdienne ou vasculite. • Xarelto mis en pause (reprise possible à 4 semaines après IRM de contrôle), à rediscuter l'indication avec médecin traitant. • Lit strict jusqu'à demain ensuite mobilisation libre, Clexane prophylactique à partir de demain. • Cible tensionnelle < 160 mmHg. • Hospitalisation aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique et neurologique. Laboratoires : 12.01.2020 : Rx thorax : superposable au comparatif, pas de foyer. 13.01.2020 : urines : bactériurie asymptomatique. 12.01.2020 : 2 paires hémocultures : négatives à 5 jours. 13.01.2020 : Streptotest négatif. 14.01.2020 : Dép. a-HIV1+2 et ag HIV p24 : négatif. 14.01.2020 : Consilium et examen ORL : pharyngolaryngite virale surinfectée (présence de pus), pas d'élément en faveur d'une complication locale. Traitements : • Co-amoxicilline (adaptée à la fonction rénale) : 1 g 2x/j du 14.01 au 21.01.2020. ATT : • Contrôle ORL ambulatoire le 24.01.20 à 09h15. Laboratoire. Sang occulte dans les selles 01.01.2020 : négatif. 17.01.2020 Hb 70 g/l --> Transfusion de 2 concentrés érythrocytaires (17.01.2020 & 18.01.2020). Laboratoires. Angio-CT cérébral 22.01.20 : pas d'hémorragie intracrânienne. Remaniements tissulaires après résection partielle et radiothérapie d'un glioblastome de l'hémisphère cérébral gauche. Avis neurologie (Dr. X). EEG du 23.01.20 : foyer temporo-postérieur gauche à ondes polymorphes. Suivi-proposition : • Traitement par Lévétiracétam 2x 1000 mg, si trop de fatigue descendre à 2x750 mg. • Pas de conduite automobile jusqu'à nouvel ordre. • Contrôle à la consultation de neurologie dans 6 mois, sera contacté directement. Laboratoires. Avis psychiatrique (Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation en psychogériatrie au vue d'absence de troubles du comportement. Attitude : • Organisation suite de prise en charge sociale. Laboratoires. Avis psychiatrique (Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation en psychogériatrie au vue d'absence de troubles du comportement. Attitude : • Organisation suite de prise en charge sociale. • Prochain contrôle du neurostimulateur à l'Inselspital dans 5 mois. Laboratoires. CT cérébral avec vaisseaux précérébraux (rapport oral) : pas de saignement, pas d'ischémie, vaisseaux pré-cérébraux perméables.Avis neurologique (Dr. X): indication à hospitalisation, pas nécessaire d'être en lit stroke monitoré, débuter anti-aggrégation par Aspirine après bolus Attitude • Aspirine 300mg po • IRM demandé, formulaire rempli • Hospitalisation en MI Laboratoires Discuter pose de pacemaker Laboratoires ECG: rythme sinusal normocarde CT time is brain Avis neurologique (Dr. X): au vu de l'anamnèse peu claire du début des symptômes, un traitement conservateur est décidé Aspégic 250mg iv Plavix 75mg po Attitude • Introduire Aspirine/Plavix + Statine haute dose • Hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire. Sédiment et stix urinaire. CT abdominal: lésion d'aspect kystique du rein gauche avec possible saignement ou surinfection. Abcès moins probable. Bilan à compléter par IRM séquence courte Avis chirurgical: hospitalisation, débuter ciproxine 500 mg po 2X/jour Urotube à pister Questionnaire IRM remplie (à recontrôler avec FARA et patient), demande IRM effectuée, US à organiser Hospitalisation en chirurgie Laboratoire. Sédiment et stix urinaire. Urotube. ATT: • Récoltes d'urines sur 24h. Surveillance de la créatinine. • Add avis néphrologique. Laboratoire Sédiment et urotube US bedside (Dr. X): dilatation pyelo-calicielle droite CT (rapport oral): urolithiase de 3 mm à la jonction uretéro-vésicale avec dilatation pyelo-calicielle de 28 mm, multiples calcifications calicielles à gauche Avis urologique (Dr. X): hospitalisation, filtragre urine, pas d'antibiotiques, à jeûn, hydratation 1500 ml NaCl 0.9% Hospitalisation en chirurgie Laboratoire Sédiment: négatif Culture: hémoculture sur piccline et périphérique à froid, cultures d'urine Radiographie du thorax Pour la garde: pister labo jeudi matin, plaquettes prescrites en ou Laboratoire Sédiment urinaire : négatif CT Cérébral natif : pas de saignement Test de Schellong : négatif Laboratoire Sédiment urinaire : propre. Hydratation iv. Laboratoire. Sédiment urinaire. CT abdominal natif et injecté : hématome rétropéritonéal, signes de rupture d'anévrisme, dissection de l'aorte thoracique. Antalgie par titration de Fentanyl 250 mcg et Kétamine. Soins de confort : Morphine et Dormicum en iv continu. Surveillance en lit monitoré. Décès le 21.01.2020. Laboratoire Sédiment urinaire sans particularité Bilan inflammatoire avec CRP à 60 mg/l, VS à 66 mm/h, FR à 10U/ml, anti-CCP à 7 U/ml Contrôle du syndrome inflammatoire à distance. Laboratoire Sédiment urinaire Uricult: stérile le 16.01.2020 US abdominal le 16.01.2020: foie stéatosique, pas de dilatation des voies urinaires. Ceftriaxone IV du 13 au 16.01.2020, relais per os par Ciproxine pour 6 jours Laboratoire Sédiment urinaire Urotube : Klebsiella pneumoniae ++ 10E5 Hémocultures 17.01.2020 : négatives Ceftriaxone iv du 17.01. au 19.01.2020, puis Ciprofloxacine dès le 20.01.2020 pour un total de 14 jours Laboratoire Sédiment urinaire Avis neurologique le 16.01.2020 Avis psychiatrique le 16.01.2020 IRM cérébral le 17.01.2020 Bilan neuropsychologique le 20.01.2020 Leponex 12.5 dès le 17.01.2020 augmenté à 25 mg le 18.01.2020, jusqu'au 21.01.2020 Pregabaline 75 mg 1x jour dès le 22.01.2020 augmenté à 125 mg dès le 23.01.2020 Rendez-vous de contrôle ORL prévu pour le 30.01.2020 à 14h00 Rendez-vous au Centre Psychosocial RFSM le 30.01.2020 à 17h00. Laboratoire Sédiment urinaire Culture urinaire Attitude: Rocéphine 2g/j, Urotube à pister Laboratoire Sédiment urinaire Culture urinaire Hémocultures Rx thorax Antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobac 4.5 g 3x/24h dès le 05.12.2019 Vancomycine 1000 mg 2x/24h dès le 06.12.2019 Transfert à l'HFR Fribourg pour investigations le 06.12.2019 Laboratoire Sédiment urinaire Hémocultures CT abdominale (Dr. X): lâchage anastomose, pneumopéritoine, plage hypodense au niveau de la rate (possible hématome) Avis chirurgical (Dr. X) Traitements: Tazobac 4.5g IV aux urgences NaCl 1000ml aux urgences Attitude: Transfert au bloc opératoire Laboratoire Sédiment urinaire Radiographie du thorax Laboratoire. Sédiment urinaire. US bedside (Dr. X): pas de dilatation des voies urinaires, vésicule biliaire s.p., pas de dilatation des voies biliaires, pas de liquide libre. Traitement symptomatique. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter Laboratoire. Sédiment. Hydratation. Contrôle clinique et biologique à 24 heures. Laboratoire. Sédiment. Hydratation. Contrôle en ambulatoire d'oncologie. Laboratoires Gazométrie ECG Radio thorax: pas d'infiltrat Culture d'expectorations 15.01.2020: à pister Attitude • Prednisone 50mg pour 5 jours avec antihistaminiques (au vu d'origine allergique probable de la crise d'asthme) • Inhalations par Atrovent/Ventolin fixe et en réserve • Initialement pas de traitement antibiotique: à évaluer selon évolution clinique et biologique (labo prescrit demain) Laboratoires Gazométrie ECG Radio thorax: pas d'infiltrat Culture d'expectorations 15.01.2020 et le 16.01.2020 Fonctions pulmonaires à distance de l'événement aigu (discuté avec Dr. X) Prednisone 50mg pendant 5 jours Xyzal 2x par jour pendant 5 jours Aérosols Atrovent et Ventolin 6x par jour Physiothérapie respiratoire • Inhalations par Atrovent/Ventolin fixe et en réserve, puis relais par Vannair dès le 21.01.2020 • Co-Amoxicilline 1 g 2x/j du 16.01 au 22.01.2020 Laboratoires Interventions : • Chimiothérapie 1er cycle par Cisplatine, 5-FU du 23.12 au 27.12.2019 Attitude : • Rendez-vous le 13.01.2020 pour un marquage en radio-oncologie (suite à la chimiothérapie), la SNG n'est pas une contre-indication à la radiothérapie • Le patient sera contacté directement par le Dr. X pour suite de prise en charge • Soins à domicile organisés pour nutrition parentérale par SNG, pendant la nuit Laboratoire Sondage vésical aux urgences Tamsulosine 0.4mg Attitude: Stimulation hydratation Poursuite Tamsulosine Rendez-vous chez le Dr. X vendredi 07.02.20 9h15 pour ablation de la sonde urinaire. Laboratoire Spontanément résolutifs. Réassurance, éviction opiacés Laboratoire Spot urinaire Laboratoire Spot urinaire Attitude: Pister spot urinaire Suivi biologique Laboratoire. Spot urinaire. Consignes d'hydratation, suivi de la fonction rénale chez M. Y. Laboratoire Spot urinaire Mise en suspens des médicaments potentiellement néphrotoxiques Suivi biologique Laboratoire Spot urinaire NaCl 2 % 30 ml/h le 20.12.2019 (0.3 mmol/h de correction) Capsules de NaCl dès le 30.12.2019 Restriction hydrique dès le 30.12.2019 Attitude: • Poursuite de la restriction hydrique et substitution PO de NaCl à adapter selon suivi biologique Laboratoires Radio de thorax ECG: rythme électro-entraîné Lasix 20mg iv Attitude • Rediscuter avec le patient, fils et cardiologue traitant (Dr. X) si coronarographie souhaitée • Diurétiques et suivi du poids Laboratoires Scanner cérébral (protocole stroke): AVC ischémique aigu sylvien gauche, sans franche occlusion de l'artère cérébrale moyenne droite, avec pénombre, sans partie constituée franche ni de différenciation cortico-sous-corticale. Lyse cérébrale protocole stroke Attitude • Hospitalisation aux soins intensifs Laboratoires Sédiment urinaire: leucocytose, nitrite positif, flore bactérienne Urotube: à pister Hémocultures: à pister Radio thorax Gazométrie: pH 7.53, pO2 12.2 kPA, pCO2 3.1 mM, lactates 2.5mM US abdominal ciblé (Dr. X): pas de liquide libre, pas de dilatation pyélo-calicienne, pas de cholelithiase, pas d'épanchement péricardique CT thoraco-abdominal à la recherche d'un foyer Rocéphine 2g iv Hydratation par 3500ml NaCl 0.9% Attitude • Hospitalisation aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique SSU ATT selon avis uro • hospitalisation en chir pour gestion de l'antalgie + ceftriaxone Laboratoire. SSU. ECG. Bilan neuro cognitif selon évolution. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Laboratoire Stix et sédiment urinaire ECG: Rythme sinusal régulier. Pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax: CT cérébral: Pas d'hémorragie, pas de fracture du crâne. Diminution de l'angle calosale et dilatation ventriculaire. Forte suspicion radiologique d'HPN. Avis neurologique: Pas de soustraction en urgence. Mme. Y devra être vue par les neurologues, après intervention orthopédique. Mesure de pression d'ouverture par les anesthésistes si rachis anesthésie. Pas d'indication à un contrôle par les neurologues le 19.01 avant l'intervention prévue. ATT: • Demander consilium neurologique pour suspicion d'HPN. Laboratoire Stix et sédiment urinaire Uricult : 10E3 germes, signe d'une contamination Traitement empirique par Rocéphine 2 g iv du 05 au 09.01.2020 Laboratoire Stix urinaire US abdominal Traitement symptomatique par Pantoprazole et Motilium Laboratoire Stix/sédiment urinaire Radiographie thoracique 2 paires d'hémocultures Urotube Antigènes urinaires à compléter à l'étage! Avis néphrologique Rocéphine 2g 1x/24h du 10.01.20 au____ Laboratoire Stop hydrochlorothiazide Laboratoire Substitution Laboratoire. Suite de prise en charge à Marsens. Laboratoire Suivi biologique Laboratoire: test rapide EBV igM positif. Fonctions hépatiques pathologiques. Leuco 9.6 G/l, CRP 17. Laboratoire. Traitement symptomatique. Nous proposons un bilan pneumologique à la recherche d'une BPCO au vu de la durée des symptômes. Laboratoire Troponines : pas de cinétique Rx thorax US cardio ECG Traitement: • 500 mg aspirine par ambulanciers • 2x Magnesium 2 g iv lent aux urgences • 1/2 Temesta en réserve Attitude : Holter de 24h posé ce jour. Conduite contre-indiquée tant que l'interprétation du holter n'est pas réalisée Ne souhaite pas de pacemaker Laboratoire Ultrason ciblé le 04.12.2019 Drainage de l'hématome le 04.12.19 (Dr. X) Penrose retiré 06.12.2019 Retrait des fils 18.12.2019 Laboratoire Urine: antigènes urinaires à pister Rx thorax, 12.01.2020): bronchogramme Hémocultures à froid: à pister ECG: RSRN, sans particularité Attitude: • Hospitalisation en médecine • Antibiothérapie avec Co-Amoxicilline 1.2g i.v. OU le 12.01.2020 • Antibiothérapie avec Rocéphine/Klacid Laboratoire Urine: pas de Lc TR: légère douleur à la palpation de la prostate, pas de sang, pas de selles ECG CT thoraco-abdominal injecté, 16.01.2020: sans particularité Avis infectiologique: Possible candidose oesophagienne, DD ulcère gastrique perforé. Fluconazol 400mg, Rocéphine pour couvrir un éventuel ulcère gastrique couvert, IPP à haute dose. Hémocultures à chaud: à pister Attitude: • Hospitalisation en médecine interne • Fluconazol 400mg i.v. • Rocéphine 2g dès le 16.01.2020 • Pantoprazol 80mg i.v., puis 8mg/h dès le 16.01.2020 • à jeûn pour OGD dès que possible Laboratoire Urine ECG: RSRN, QRS 120ms nouveau (bloc de branche gauche complet): sinon superposable à 2016 Rx thorax, 03.01.2019: radiographie difficilement évaluable, pas de franc foyer visualisé Attitude: • Proposition d'effectuer un ultrason cardiaque de stress • Avis diététique • Physiothérapie • Ergothérapie Laboratoire Urine ECG Rx thorax, 11.01.2020: sans particularité Attitude: • Mise en pause du Lisinopril (effet secondaire rare: hyponatrémie): tension artérielle à suivre • Hydratation 1500ml Attitude: • Ad hospitalisation à Riaz (discuté avec la Dr. X) Laboratoire Urine Nitrofurantoïne 100 mg Laboratoire Urines : CT cérébral : pas de masse, pas de saignement, pas d'hydrocéphalie, pas d'œdème, doute sur lésion frontale droite. Indication à IRM cérébrale pour visualiser des lésions plus petites. Attitude: Hospitalisation médecine Appel demain matin le MT pour changement de médicaments récent et posologie exacte des médicaments IRM cérébrale (demande faite) US abdomen sup (demande faite) Labo à pister Restriction hydrique 1000ml/24h Laboratoire: Urines: CT-abdominal le 04.01.2019: CT abdominal le 04.01.2020 : récidive de l'iléus grêle mécanique avec saut de calibre dans le flanc droit à proximité de la chaînette d'agrafes devant être en rapport avec la fermeture d'iléostomie. ATT: • Hospitalisation en chirurgie Laboratoire. Urines stix : négatif. Avis psychiatrique (Dr. X) : hospitalisation à Marsens pour suite de prise en charge. Attitude Hospitalisation volontaire à Marsens pour suite de prise en charge, en ambulance. Laboratoire Urines Test VIH accepté par le patient, sera reconvoqué en F34 sous 72h pour les résultats Laboratoire Urine US bedside: vessie: 300ml, reins kystiques de taille normale. US abdominal: en attente (rapport oral, Dr. X) : appendice non visualisable, pas de signe indirect d'une appendicite, pas de liquide libre, pas d'adénopathie, pas de murphy sonographique, pas de dilatation des voies biliaires, pas de cholecystite Attitude: • Remplissage par 2000ml • Pose d'une sonde vésicale le 29.01.2020 • Tazobac 4.5 mg 3x/jour durant 24h, puis adapter selon créatinine • Réévaluer cliniquement l'abdomen et si présence de péritonisme, avis chirurgical à demander Laboratoire US au lit du patient: Pas de signe d'appel pour une TVP. Pas de signe d'abcès au niveau de la lésion érythémateuse. ATT: • Hospitalisation en MI pour suite de prise en charge. • Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 3x2.2g IV Laboratoire US au lit du patient: suspicion de TVP fémoral proximal, en raison de la veine fémorale commune non compressible. Avis angiologique le 07.01.2020: Thrombose de la veine fémoral superficielle, de la veine fémorale commune et de l'artère iliaque externe. Propose une hospitalisation pour investigation et surveillance de Mr. Y. Bonne perfusion en périphérie. Anticoagulation par Clexane 80mg 2x/J. Anticoagulation par Clexane thérapeutique (80mg 2x/J) ATT: • Hospitalisation en MI pour PEC, bilan d'extension et recherche d'étiologie. • Recherche Ca? Laboratoire US aux urgences Rx thorax Cultures: hémocultures à froid et culture d'urine Ag urinaires fenêtre thérapeutique +/- avis infectio Laboratoire. US bed-side (Dr. X): pas de TVP, pas de boursite. Traitement conservateur par ecofenac crème. Physiothérapie ambulatoire. Contrôle chez le MT au besoin. Laboratoire US Bedside (Dr. X/Dr. X) : Dilatation pyélocalicielle droite, pas de lithiase visualisée, vessie sans particularité CT low dose : lithiase rénale de 3 mm visualisée au niveau de l'uretère distal droit, dilatation pyélocalicielle droite de 13 mm Urines stix et sédiment Test de grossesse négatif Attitude: Tamsulosine Antalgie Filtre urines Arrêt de travail Contrôle chez son médecin traitant. Explications données à Mme. Y par le médecin. Laboratoire US (Bedside) CT thoraco-abdominal, 17.01.2020 (rapport oral): majoration de l'épanchement pleural, pas de nouvelle lésion costale, lésion lytique stable. Attitude: • Hospitalisation en médecine pour antalgie_____________ • Avis anesthésologique pour infiltration d'une côte__________ • Discussion avec la Dr. X • Fixer un protocole d'urgence en cas de péjoration des douleurs (Voltigo) • Pister laboratoire du 18.01 • Rendez-vous à la consultation d'antalgie du Dr. X (anesthésie) le 23.01.2020 à 11h Laboratoire US membres inférieurs (radiologie): pas de TVP visualisées CT thoracique (rapport oral): embolies pulmonaires segmentaires bilatérales sans répercussion cardiaque, probables foyers infectieux lobe moyen et supérieur droit ou potentielle tumeur hilaire Eliquis 10 mg Hydratation post-injection CT Hospitalisation en médecine interne (+/- bilan angiologique) Laboratoire 2 paires d'hémoculture US jambe droite (Kolly) : dermo-hypodermite et infiltration profonde au contact de l'ostéosynthèse Avis orthopédique (Dr. X) Attitude : • Pris au bloc opératoire pour lavage/prélèvement • Hospitalisation en orthopédie Laboratoire 2 paires d'hémocultures à pister ECG Rx thorax CT cérébral : pas de masse, pas de thrombose, pas de saignement, pas de comblement des sinus Ponction lombaire réalisée par Dr. X : dissociation albumino-cytologique avec protéines et 2 cellules mononucléées, HSV 1 et 2, EBV, CMV et Lyme à pister Avis neurologie (Dr. X) Vitamine B12 et folates à pister HIV à pister ATT : Antalgie Hospitalisation en médecine Immunoglobulines, ENMG et IRM rachis à rediscuter demain Laboratoire 2x hémocultures le 22.01.2020 : à pister. Frottis de grippe le 22.01.2020 : à pister. Antigènes urinaires : à faire Gazométrie US au lit du patient : Pas de signe de pneumothorax. Pas d'épanchement pulmonaire retrouvé. Pas de lignes B retrouvées. Rx thorax : Foyer pulmonaire au lobe inférieur D ? Infiltrat en base G ? ATT : • Antibiothérapie par Ceftriaxone • Évaluer Tamiflu selon résultats du frottis de grippe Laboratoire EKG 13.01.2020 : normokarder Sinusrythmus avec 78 bpm, Normalachse avec QRS -9°, feine QRS 110 ms, iso-électrique ST-Segment, R/S Umschlag V4, QTc 446 ms. CT crânien : DESCRIPTION Examen comparatif du 29.10.2016. Citernes basales et mésencéphaliques et système ventriculaire de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Présence d'une petite structure nodulaire adjacente au sinus sagittal supérieur et au vertex paramédian gauche, mesurant environ 12 x 8 mm en axial et déjà présente sur l'examen comparatif, a priori compatible avec un méningiome. Bonne opacification des sinus veineux intra-crâniens. Bonne perméabilité du polygone de Willis. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. CONCLUSION Absence de saignement intracrânien. Présence d'une petite structure nodulaire adjacente au sinus sagittal supérieur, compatible avec un méningiome, en discrète augmentation de taille par rapport au comparatif de 2016. Laboratoire Rx cheville Avis angiologie (rapport oral) : pas de TVP Antibiothérapie par Co-amoxi 2.2 g Hospitalisation en médecine interne avec Co-amoxi 2.2 g 3X/jour Laboratoire Rx colonne cervicale et thoracique faites le 17.01.2020 Antalgie avec titrage de morphine Minerve mousse cervicale Attitude : • Compléter le bilan par CT-scan du rachis cervico-thoracique déjà prévu le 22.01.2020 à 12h15 • Hospitalisation en médecine pour adaptation de l'antalgie • Consultation de la douleur à prévoir Laboratoire Rx thorax Laboratoire Rx thorax ECG US Bed-Side (Dr. X) Lasix 40 mg iv Hospitalisation en médecine interne Holter et ETT annoncés Laboratoire Rx thorax Gazométrie Gazométrie post-VNI CT thoracique : atélectase versus foyer avec épanchement pleural droit ATT Solumédrol 125 mg IV Atrovent et Ventolin aérosols VNI 1h débutée à 20h30 Antibiothérapie avec Co-amoxicilline 2,2 g IV 3x/j, première dose reçue aux urgences à 20h30 Transfert aux soins intensifs pour suite de prise en charge Laboratoire Rx thorax Lasix 40 mg iv Ponction pleurale G le 19.01.2020 : retrait 350 ml liquide orange-sanguinolent Drain à retirer le 20.01.20 à l'étage Laboratoire Rx thorax Rx cheville gauche post-réduction ECG Avis ortho (Dr. X) ATT Zinacef 1,5 g IV Réduction cheville gauche aux urgences Bloc opératoire ce jour pour pose d'un fixateur externe Hospitalisation en orthopédie pour suite de prise en charge Laboratoire Rx thorax Rx genou droit Urines stix et sédiment 2 paires d'hémocultures Avis ortho (Dr. X) CT genou droit injecté à la recherche d'un abcès : abcès suprapatellaire Nouvelle ponction intra-articulaire au bloc opératoire et drainage d'abcès ATT À jeun Possible arthroscopie ce jour Laboratoire Rx CT thoracique (rapport oral) : foyer infectieux lobe moyen et supérieur droit ou tumeur hilaire Antigènes urinaires à pister (+/- Klacid selon résultats) Rocéphine 2 g iv Rediscuter résultats CT Laboratoire Sédiment à pister Laboratoire Sédiment urinaire : 2+ de leuco sans nitrite, sédiment propre 2 paires d'hémocultures : négatives à 5 jours Radiographie du thorax : pas de foyer ETT et ETO sans végétation visualisable Rocéphine 2 g iv du 23.12 au 30.12 Laboratoire Sédiment Hydratation Laboratoire Sérologies HIV, hépatite C à pister PCR urinaire gonocoque et chlamydia à pister Dépistage syphilis à pister Attitude : • Ad contrôle chez gynécologue traitant (vérifier si a pris rendez-vous) • Reconsulter si péjoration de la symptomatologie actuelle ou apparition de nouvelle symptomatologie • Suivi et annonce de résultats à la filière 34 à 72h Laboratoire Spot ATT Pister spot (prélèvement pas obtenu au SU) Restriction hydrique 1000/24h Substitution NaCl 0.9% 1000 ml/4h Laboratoire SSU Radio ATT Pister antigènes urinaires Levofloxacine vu notion d'allergie à l'augmentin dans le dossier Laboratoire Stix et sédiment US abdominal CT abdominal (rapport oral) : compatible avec cholangio-carcinome Avis chirurgical (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie pour bilan tumoral, pas de clexane, pause du Xarelto Hospitalisation en chirurgie, labo de contrôle Cholangio-IRM et ERCP annoncés, formulaire IRM rempli Ca 19-9 à pister Laboratoire Urines stix et sédiment à pister Laboratoire Urines Switch Xarelto pour Eliquis Surveillance biologique Laboratoire US abdominal Laboratoire US abdominal (rapport oral) : pas d'APP, sludge, pas de lithiase biliaire CT abdominal (rapport oral) : Balthazar C Avis chirurgical (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie, hydratation 2 000 ml, antalgie Hospitalisation en chirurgie Laboratoire US par urgentiste ATT Ceftriaxone, métronidazole une dose aux urgences Hospitalisation en chirurgie Laboratoire US ATT : PEC chirurgicale au bloc opératoire Laboratoire U-Status et Uricult Co-Amoxi 3 g/jour du 22.01.2020 au 31.01.2020 Hémocultures 23.01.2020 : négatives L'accident de Mr. Y était probablement à haute énergie. Ce jour, en regardant les images, on remarque encore la présence de fractures des côtes 1 et 2, ce qui correspond à un trauma de haute énergie. Heureusement, l'examen neurologique a exclu des lésions nerveuses. Les derniers contrôles (arthro-IRM et scanner) de l'épaule ont aussi exclu la présence de lésions de la coiffe des rotateurs. Au niveau de la partie haute du thorax, on a une grande irritation, au niveau musculaire et du plexus, ce qui peut entraîner des douleurs à long terme. Raison pour laquelle, il faut poursuivre la physiothérapie avec mobilisation douce. On prescrit également des anti-inflammatoires à prendre au besoin. On met en place un traitement de confort avec une bretelle en 8 pour la clavicule, afin de mieux stabiliser l'articulation sterno-claviculaire, et ceci pour 3 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 22.03.20. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'accident et l'évolution parlent pour une lésion de l'ischio-jambier interne avec possible apophysite. A l'heure actuelle, il présente encore une inflammation à l'origine. Par conséquent, je lui propose une cure de 5 jours d'Algifor et poursuite des exercices de physiothérapie pour relâchement des chaînes postérieures. Reprise à partir de janvier des entraînements de football de façon progressive avec reprise des matchs en février 2020. En cas de persistance des douleurs, je proposerai encore d'approfondir le bilan par une IRM. Nous restons à disposition.Lacération du front Lâchage anastomose avec péritonite le 27.01.20 • Intervention CHUV 13.01.20 : laparotomie exploratrice : cytoréduction complète, omentectomie, résection anastomose colorectale et réfection par anastomose termino-terminale, hystérectomie et annexectomie bilatérale, urétérectomie D, résection wedge des segments hépatiques VII et V, thremodestruction au pasmajet de lésion de la paroi abdominale, chimiothérapie hyperthermique intra-péritonéale (CHIP : mitomycine 35 mg/m2) + 5FU IV. Lâchage d'anastomose avec péritonite secondaire et choc septique le 27.01.2020 Lâchage du genou droit. Lâchage suture sus-épineux épaule D sur statut post réinsertion sus-épineux, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, résection AC épaule D le 20.6.2016. Lacrinorm gouttes Lacrycon et contrôle ophtalmologique demain. Lacrynorm Lactatémie à 5,4 mmol/l le 15.01.2020 • DD sur accumulation de metformine dans le contexte de l'insuffisance rénale • DD sur insuffisance respiratoire • DD dans le contexte du sepsis Lactatémie 8,6 mmol/l, 05.01.2020 • Possiblement dans le cadre de l'alcoolémie Lactulose CT cérébral le 20.01 EEG le 21.01 Cathéter artériel radial droit du 20.01 au 22.01 Dosage ADAMT-13 le 21.01.2020 (Berne) : en cours ANCA : négatif Avis neurologique le 20.01.2020 Avis néphrologique le 20.01.2020 Avis hématologique le 21.01.2020 Attitude : • IRM cérébrale en suspend (à la recherche de signe de vasculite) • Évaluer l'indication du dosage de la L-carnitine Lactulose Konakion Thiamine L'alignement de la fracture permet de poursuivre avec le traitement conservateur. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Si Mme. Y sent que le plâtre est trop serré ou développe des troubles en distal, elle nous recontactera pour changer le plâtre. Nous lui prescrivons du Xarelto pour 3 mois. Lame d'HSA en pariétal gauche au CT scan L'amélioration clinique de la symptomatologie urinaire et des douleurs en loge rénale gauche, ainsi qu'un sédiment urinaire propre et l'absence de leucocytose au laboratoire avec CRP à 55 mg/l parlent en faveur d'une infection urinaire en cours de résolution. Nous laissons rentrer Mme. Y à domicile avec un traitement symptomatique par Dafalgan et Primperan, et nous convoquons Mme. Y en filière des urgences ambulatoires le 18.01.2020 au matin pour un contrôle clinique et biologique. Lamine est hospitalisé pour mise à l'abri dans le contexte d'un état dépressif avec idées suicidaires. Il est initialement évalué par notre pédopsychiatre de liaison, Dr. X. Sa thymie reste triste, il présente des symptômes dépressifs sous forme de tristesse, pleurs, idées suicidaires et troubles du sommeil. Il ne présente pas de signes florides de la lignée psychotique. Dans ce contexte, une hospitalisation pour mise à l'abri d'idées suicidaires et d'épuisement maternel est réalisée. Le 14.01, il est évalué par Dr. X qui met en évidence que Lamine semble présenter des traits autistiques (DD Asperger) avec une haute intelligence qui rendent sa scolarisation en 8H difficile en raison des difficultés récurrentes avec ses camarades et de sa difficulté à exécuter les tâches réclamées et à répondre aux exigences de cette année charnière. Lamine se retrouve ainsi déprimé depuis plusieurs mois, conscient de décevoir son entourage. La verbalisation d'idées suicidaires le 13.01 fait partie de ce contexte et est à mettre en lien avec le fait que Lamine se retrouve débordé à l'école tant dans les apprentissages que dans les relations avec les autres. L'évolution est favorable, Lamine peut rejoindre son domicile le 14.01.20. Il ne présente à ce jour plus d'idées suicidaires. Un suivi sera assuré par Dr. X en ambulatoire. Laminectomie bilatérale L3-L4 avec décompression canalaire (OP le 10.01.2020). L'ampleur des symptômes, je propose à Mme. Y une cure de doigt ressource sur D4 en anesthésie locale et selon l'évolution jusqu'à l'influx en charge chirurgicale sur D5. Le formulaire d'information et de consentement est rempli en ce sens, une date opératoire est agendée. L'anamnèse et la clinique nous laissent suspecter, suite à la fixation lombo-sacrale, un syndrome de la sacro-iliaque gauche. Pour l'instant, au vu du contexte infectieux, une infiltration avec de la cortisone n'est pas envisageable. Nous donnons au patient des séances de physiothérapie pour manipulation de la sacro-iliaque, également une ordonnance pour un coussin troué pour le soulager lors de la position assise. Nous le reverrons pour un contrôle fin avril, nous lui renouvelons son incapacité de travail à 100 % jusqu'au début mai. L'anamnèse et la présentation clinique ne permettent pas de retenir un syndrome de Morton. En effet, Mme. Y ne relate pas spontanément de douleurs au niveau de son pied. Compte tenu des notions hétéro-anamnestiques concernant le consilium neurologique et bien que nous ne disposions pas du rapport du neurologue, on peut raisonnablement imputer les fourmillements dont se plaint Mme. Y à une neuropathie périphérique décompensée par un canal lombaire étroit. Mme. Y est réadressée à son médecin traitant pour la prise en charge de la neuropathie périphérique. L'anamnèse et l'examen clinique de Mme. Y étant très suggestifs d'un syndrome grippal, nous introduisons un traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen, sirop pour la toux, et Mébucaïne en comprimés. Nous donnons à Mme. Y un arrêt de travail pour 2 jours, à réévaluer avec son médecin traitant. Elle est prévenue de reconsulter en cas de péjoration des symptômes. L'anamnèse et l'examen clinique du patient parlant en faveur d'un syndrome grippal, nous prescrivons un traitement symptomatique par Novalgine (patient allergique au Paracétamol et sans effet bénéfiques par Irfen), décongestionnant nasal et comprimés de Lidocaïne pour les maux de gorge. Reconsulter si péjoration de la clinique. L'anamnèse et l'examen clinique laissent effectivement penser à une récidive, la 4ème. Nous allons organiser une nouvelle IRM afin de préciser la localisation de la lésion et son étendue. On évoque déjà avec Mme. Y la possibilité d'un traitement radical par arthrodèse pour tenter de prévenir une récidive. On la reverra le 03.02.2020 après l'IRM du 29.01.2020 pour discuter de la prise en charge. Mme. Y est en arrêt de travail jusqu'à son prochain contrôle. L'anamnèse et l'examen clinique ne retiennent pas de signe indirect de lésion grave de son genou gauche. Cliniquement, on retient une entorse de grade I du ligament collatéral médial. Dans ce contexte, mise en place d'un traitement conservateur par physiothérapie. Incapacité de travail du 22.01 au 26.01.2020 puis reprise à 100 % dès le 27.01.2020. Suite de prise en charge chez son médecin traitant. L'anamnèse suggérant une infection des voies urinaires, nous effectuons un StixU, positif à leucocytes et nitrites. Nous débutons alors un traitement antibiotique par Ciproxin 500 mg 2x/j, et nous effectuons une culture des urines (qui est en cours). Mme. Y prendra rendez-vous avec son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle et interprétation des résultats de la culture urinaire (qui sera envoyé au médecin par notre laboratoire).L'angio-CT cérébral ne retrouve pas de pathologie et le bilan biologique reste dans la norme. On instaure une antalgie. Le patient sera revu en consultation aux urgences (FUA) le lendemain pour contrôle. • Lansoprazol 30 mg per os pour 14 jours • Riopan cpr 800 mg en réserve • Patient sera convoqué pour une gastroscopie à l'HFR • H. pylori Ag (selles) : en attente de prélèvement Laparoscopie avec annexectomie droite le 17.01.2020. Pièce opératoire envoyée en anatomo-pathologie. Antalgie simple. Laparoscopie avec annexectomie gauche et hystérectomie avec salpingectomie droite le 16.01.2020. Antalgie simple. Laparoscopie avec épreuve au bleu de méthylène (passage à gauche, pas de passage à droite), salpingectomie droite et exérèse d'un nodule d'endométriose sur le ligament sacro-utérin droit sous anesthésie générale le 07.01.2020. Pièces opératoires envoyées en anatomo-pathologie Antalgie simple. Laparoscopie avec washing péritonéal et kystectomie droite le 14.01.2020. Anatomo-pathologie en cours. Antalgie simple. Laparoscopie diagnostique avec ponction et biopsie de kyste sur l'ovaire droit et washing péritonéal sous anesthésie générale le 09.01.2019. Suspicion de masse annexielle gauche infirmée en per-opératoire. Pièces opératoires envoyées en anatomo-pathologie. Antalgie simple. Laparoscopie diagnostique dans le contexte d'une infertilité (1998). Appendicite ulcéro-phlegmoneuse le 05.01.17. Laparoscopie diagnostique et opératoire avec hystéroscopie diagnostique le 29.12.2015. Fausse-couche spontanée 2015. Laparoscopie en urgence sous anesthésie générale le 21.01.2020 : Détorsion, biopsie du kyste et ovariopexie. Envoi de la pièce en anatomopathologie. Contraception par Valette minimum 3 mois. Laparoscopie exploratrice avec conversion en laparotomie et résection segmentaire grêle à 50 cm du Treitz le 05.01.2020. • Pipéracilline-Tazobactam du 05.01.2020 au 07.01.2020 • Fluconazol du 05.01.2020 au 07.01.2020 • Rocéphine et Metronidazole du 07.01.2020 au 10.01.2020 Sonde naso-gastrique du 05.01.2020 au 07.01.2020. Laparoscopie exploratrice avec évacuation d'un hématome de l'hypochondre gauche le 28.12.2019 (Dr. X). • Intubation et ventilation mécanique du 28.12.2019 au 29.12.2019 • Cathéter artériel radial gauche du 28.12.2019 au 01.01.2019 • Voie veineuse centrale jugulaire droite du 28.12.2019 au 01.01.2019 Remplissage volémique. Noradrénaline du 28.12.2019 au 30.12.2019. • Tazobac dès le 28.12.2019 • Fluconazol dès le 28.12.2019 • Vancomycine du 28 au 29.12.2019 Laparoscopie exploratrice, conversion et laparotomie, ICG peropératoire, résection grêle 260 cm avec anastomose latéro-latérale en deux plans en urgence le 05.01.2020 (Dr. X, Dr. X). Noradrénaline 05.01.2020 en périopératoire. VVC jugulaire interne droite dès le 05.01.2020. Nutrition parentérale dès le 05.01.2020. CT abdominal le 05.01.2020. Pipéracilline/Tazobactam dès le 04.01. Laparoscopie exploratrice, cure de hernie hiatale avec réduction herniaire, exérèse du sac, plastie des piliers et gastropexie, cholécystectomie laparoscopique, splénectomie d'hémostase par laparoscopie le 24.01.2020 (Dr. X). Vaccination Prevenar (pneumocoque) et Menveo (méningocoque) le 29.01.2020. Rappel vaccination Menveo après 4 semaines chez le médecin traitant. Laparoscopie opératoire sous anesthésie générale le 23.01.2020 : Hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale. Envoi des pièces en analyse anatomopathologique. Laparoscopie pour endométriose en 2008. Status post-laparotomie pour péritonite sur abcès ovarien droit rompu dans un contexte d'endométriose en mai 2018. Hernie cicatricielle sous-ombilicale symptomatique sans incarcération • cure d'éventration selon Rives le 11.09.2019. • antalgie compliquée. Collection sous-cutanée de 7 x 10 cm en regard de la cicatrice de laparotomie le 24.09.2019 avec déhiscence cutanée et retard complexe de cicatrisation • mise à plat d'un abcès de paroi et mise en place d'un VAC sous-cutané le 24.09.2019 • changement de VAC de manière itérative du 26.09.2019 au 26.11.2019 • greffe de Tiersch le 21.11.2019 Dr. X. Antibiothérapie par Dalacin du 24.09.2019 au 27.09.2019. Antibiothérapie par Méropénème du 27.09.2019 au 28.09.2019. Antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole du 27.09.2019 au 23.10.2019. Infection urinaire basse nosocomiale le 21.09.2019 • Fosfomycine le 21.09.2019. Laparoscopie pour endométriose. Appendicectomie. Iléite terminale d'origine indéterminée le 22.04.2018 dans un contexte de maladie de Crohn : • Maladie de Crohn depuis 2010. • Suivi par Dr. X à Lausanne. Laparotomie exploratrice, cholécystectomie, ultrason peropératoire, double dérivation bilio-digestive le 10.01.2020 ( Dr. X) • Jackson-Pratt derrière l'anastomose bilio-digestive en fosse iliaque droite • Jackson-Pratt devant l'anastomose bilio-digestive et anastomose gastro-jéjunale en fosse iliaque gauche • Pas d'ablation des fils (résorbables) Clexane prophylactique à partir de 6h post opératoire Céfuroxime durant 48h Antalgie par péridurale D8-D9 Bupivacaïne/ Fentanyl dès le 10.01.2020 Présentation au Tumor board le 15.01.2020 Laparotomie exploratrice, cholécystectomie, ultrason peropératoire, double dérivation bilio-digestive le 10.01.2020 (Résection R0 impossible) Discussion au colloque onco-chirurgical le 15.01.2020 : radio-chimiothérapie palliative Laparotomie exploratrice et hémi-colectomie D avec CME le 24.07.2019 par Dr. X. Laparotomie exploratrice, lavage abdominal, suture d'anastomose, iléostomie à double canon en fosse iliaque droite le 27.01.2020 (Dr. X) • Pipéracilline-tazobactam iv le 27.01.2020 • Meropenem dès 27.01.2020 • Noradrénaline du 27.01. au 28.01.2020 CT abdominal le 27.01.2020 Laparotomie médiane sous anesthésie générale le 22.01.2020 : hystérectomie totale, annexectomie bilatérale, washing péritonéal Envoi du matériel en analyse anatomopathologique Mr. Y est hospitalisé pour surveillance clinique et alimentaire dans le contexte de difficulté alimentaire sur IVRS. Sur le plan infectieux, Mr. Y présente une IVRS qui est stable en cours d'hospitalisation. Le prélèvement des sécrétions nasales revient négatif pour le RSV. Sur le plan alimentaire, Mr. Y ne nécessite pas de sonde-nasogastrique, il prend toutes ses quantités per os avec diminution progressive des vomissements. Dans le cadre de notre approche thérapeutique intégrative, le patient a également bénéficié de thérapies complémentaires de médecine anthroposophique, dont des applications externes, les inhalations et les médicaments oraux. Ceci a contribué à la stabilisation des symptômes. Au vu de l'évolution favorable, il peut rentrer à domicile le 05.01.2020 avec un contrôle chez vous dans 48h. • Large communication interauriculaire type ostium secundum • Larmoiement. • Larmoiement accru sur traitement Alimta • L'arrêt de travail est prolongé pour 1 semaine avec reprise à 50% pendant 15 jours. Nous reverrons Mr. Y pour refaire le point. Dans l'intervalle, il continuera les séances de physiothérapie prescrites. L'arthro IRM a mis en évidence une lésion étendue du labrum antérieur. On décide, avec Mr. Y, de procéder à une prise en charge chirurgicale par AS et une procédure de Bankart, augmentation de la glène avec greffe de la crête iliaque ipsilatérale, refixation du SLAP. Mr. Y est informé des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. On organise une reconstruction du scan en 3D chez Affidéa pour pouvoir estimer la taille du défect osseux de la glène pour planifier l'intervention. Mr. Y est actuellement très pris au niveau professionnel en tant qu'ingénieur et en parallèle, il fait des études pour le Master, raison pour laquelle il préfère repousser l'intervention pour la fin de l'été. On lui réserve donc une date opératoire pour le 31.08.20, on le reverra 1 mois avant pour le consentement éclairé. Remarque : Mr. Y nous a téléphoné le lendemain pour finalement avancer la date opératoire. Nous avons trouvé une date pour le mois de février. L'arthro-IRM montre avec surprise une omarthrose concentrique avec un grand ostéophyte de la tête humérale inférieure. L'articulation de Chopart est stable mais encore symptomatique au niveau de sa zone fracturaire. Dans ce contexte, on poursuit le temps partiel chez cette patiente qui doit beaucoup se déplacer pour son activité professionnelle et ainsi poursuite à 50% tout le long du mois de janvier et reprise à 100% dès le mois de février. On constate qu'elle a un schéma de marche perturbé avec un corps, une rééducation suffisante, raison pour laquelle on poursuit la physiothérapie de renforcement. Correction du schéma de marche, proprioception et stretching. On refait le point cliniquement dans le courant du mois de mars. Laryngite Laryngite bactérienne avec membranes Laryngite bactérienne débutante. Laryngite d'origine virale probable. Laryngite et bronchite avec probable surinfection bactérienne en janvier 2017 Status après ostéosynthèse d'une fracture diaphysaire du radius et ulna gauches Fracture intra-articulaire déplacée P1 D5 main gauche en août 2019, avec traumatisme crânien simple et dermoabrasion du bras gauche de 1.5cm x 5mm, face externe, tiers moyen traitée par réduction sous MEOPA et mise en place d'une syndactylie, immobilisation en attelle Edimbourg. Laryngoscopie, en suite oesophagoscopie en sédation par ORL, corps étranger déjà passé dans l'estomac Attitude : Retour à domicile. Antalgie selon besoin. Contrôle si péjoration des douleurs ou fièvre. Laryngo-trachéite : • Westley 1 • s/p crise de faux croup à domicile Lasix en intraveineux Aérosols en réserve Suivi du poids Lasix OU 20 mg IV Suivi clinique Lasix 01.01.-02.01.2019 puis reprise Torem Lasix 40 mg en sc du 19.12. au 23.12.2019, relais par Torem 20 mg po Suivi du poids Lasix 40 mg iv Métolazone 5 mg po Suivi biologique avec amélioration Lasix 40 mg iv puis Torasémide per os Metoprolol 5 mg iv Metoprolol 25 mg Echocardiographie transthoracique le 14.01.2020 Lasix 40 mg 1x par jour per os du 31.12 au 01.01.2020 Lasix 20 mg iv 2 x par jour dès le 01.01.2020 Torem 20 mg dès le 06.01.2020 Lasix 40 mg IV Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge Lasix 40 mg IV Nitroglycérine 0,8 mg caps Lasix 60 mg en intraveineux aux urgences le 06.12.2019 Lasix 20 mg en intraveineux du 07.12.2019 au 10.12.2019 Relais par Torem 30 mg Introduction Metolazone 5 mg le 19.12.2019 L'aspect des lésions et la clinique ne nous permettent pas d'exclure un zona, toutefois ni l'un ni l'autre ne sont typiques de ce diagnostic et la patiente se présente en dehors de la fenêtre thérapeutique. Dans ce contexte, nous lui proposons un traitement symptomatique. Le prurit est selon elle léger et tout à fait tolérable, elle ne souhaite pas de traitement pour cela. Attitude : Retour à domicile avec Fucidin crème pour 7 jours. Patiente prévenue des symptômes qui doivent l'inciter à reconsulter les urgences ou son médecin traitant, tels que fièvre, douleurs intolérables, extension des lésions. L'attelle peut être mise de côté. Mme. Y peut commencer à fléchir sa DIP sans forcer. Une thérapie n'est actuellement pas nécessaire. Nous prévoyons un prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'arrêt de travail est à 0% depuis le 16.12.2019. Mr. Y est un jeune patient de 13 ans qui se présente le 19.01.2020 aux urgences en raison de douleurs abdominales depuis la veille. Le bilan effectué aux urgences met en évidence une appendicite aiguë. Nous effectuons l'appendicectomie laparoscopique qui se déroule sans complication. Les suites postopératoires sont simples permettant à Mr. Y un retour à domicile le 22.01.2020.lavement Lavement avec Frecka-Clyss: peu rendu • Poursuite Movicol à domicile • Contrôle clinique chez le pédiatre dans 1-2 jours • Consigne de reconsulter en cas de péjoration clinique (vomissement répété, absence de gaz, douleurs abdominales) Lavement avec soulagement des symptômes • Mme. Y invitée à reconsulter en cas de péjoration clinique Lavement Freka Clyss • Pas de pose de sonde naso-gastrique ni d'imagerie en accord avec les souhaits de Mr. Y. Lavement par Freka-clyss avec libération des selles et des urines • Introduction d'un traitement par macrogol • Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine Lavement Practomil • Introduction Movicol Lavement 20 cc/kg avec grand rendement Lavements par Freka Clyss, Practomil et Moviprep le 22 et le 23.01.2020 • Sirop de figues • Poursuite du traitement habituel Laxatif • Gastrographine 100 ml le 21.01.2020 • Sandostatine iv continu • Novalgine • Pantozol iv Laxatif • Gastrographine 100 ml le 21.01.2020 • Sandostatine iv continu • Novalgine • Pantozol iv • Morphine iv • Halopéridol iv Laxatif osmotique 50 ml Laxatif • Sandostatine 1 mg dès le 23.01.2020 • Antalgie • Dexaméthasone 4 mg • Pantozol iv • Anti-émétiques Laxatifs. Laxatifs • Alimentation plaisir Laxatifs • Lavement Freka • Suivi clinique Laxoberon et Movicol • Extraction manuelle de fécalome le 31.12.2019 Laxoberon po Lc 16, CRP 24 Stix et sédiment négatif LCA genou gauche. • 2 fausses couches. • 2 grossesses. • Helicobacter Piloris traité médicalement. • Entorse cheville gauche de stade III en 2017. LCR : aspect limpide, eau de roche, que 2 éléments présents • Recherche VZV/HSV dans le LCR : négatif LCR: culture négative, 11 éléments • Bilan urinaire nég • Hémoculture nég à 72 heures • Frottis RSV négatif • Frottis grippe négatif • Pas de syndrome inflammatoire biologique • Amoxicilline 50 mg/kg/8 h soit 265 mg / 8 heures iv pendant 72 heures • Ceftriaxone 100 mg/kg/24 h soit 530 mg / 24 h iv pendant 72 heures LDH chroniquement élevées sur probable lyse plaquettaire après pose de valve cardiaque LDL à 2.13 mmol/l le 08.01.2020 Le bilan angiologique ne met pas en évidence de lésion vasculaire. Le bilan IRM et clinique nous font penser à une maladie de Sudeck. Nous demandons donc à nos collègues de rhumatologie de bien vouloir se prononcer sur son état (rdv prévu le 30.01.2020). Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à mi-février et la reverrons après le contrôle en rhumatologie. Le bilan biologique de ce jour montre une nette amélioration du syndrome inflammatoire, avec une CRP à 18, sans leucocytose. Au vu d'un examen clinique et biologique rassurant, Mme. Y peut regagner son domicile. Le bilan biologique du jour montre des taux des énigmes pancréatiques normaux. Vu que les douleurs sont en voie de résolution, nous rassurons Mme. Y et la laissons regagner son domicile. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant en début de la semaine prochaine pour une réévaluation clinique et biologique si nécessaire. Le bilan biologique du jour montre une amélioration de la fonction rénale et une diminution du syndrome inflammatoire. L'uroculture isole un e-coli multi-sensible, raison pour laquelle nous conseillons à Mme. Y de poursuivre le traitement par Ciprofloxacine comme prévu. Elle reviendra le 07.01 en contrôle à la filière des urgences ambulatoires (car son médecin traitant travaille au Portugal). Le bilan biologique effectué aux urgences de Riaz révèle un syndrome inflammatoire avec une CRP à 107 mg/L sans leucocytose, le reste du laboratoire est dans la norme. Notion de RCUH distale traitée par 5-ASA 3 g/j, stable depuis 2005, selon le rapport du Dr. X le 06.05.2019, mais Mme. Y me signale ne prendre aucun traitement per os ou intra-rectal. Le Dr. X décrit également une diverticulose sigmoïdienne floride n'ayant pas pu être franchie à 30-35 cm de la marge anale à la colonoscopie et des hémorroïdes internes stade I à II. Nous effectuons un CT-scanner abdominal injecté qui révèle les mêmes images qu'en mai 2019. Et nous notons une collection liquidienne au niveau de l'ovaire, ainsi qu'une bulle d'air au niveau para-rectale avec sténose de la marge anale. Nous mettons en place une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Flagyl 500 mg po dans ce contexte après avoir mis au courant le service de chirurgie de HFR Fribourg. Au vu de ce bilan autant biologique que radiologique, Mme. Y est transférée à HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Elle s'y rend avec son mari. Le bilan biologique est effectué et est aligné (troponines <4 ng/L). La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ou d'épanchement visualisé, pas de signe de surcharge. Devant un status clinique rassurant, Mme. Y peut retourner au RFSM de Marsens, si de nouveaux symptômes réapparaissent, elle consultera les urgences ou le médecin traitant pour plus d'investigations. Le bilan biologique est aligné, au vu de la clinique de Mr. Y nous avons demandé un avis au chirurgien de garde le Dr. X qui, en raison d'une masse palpable dans l'hémi-abdomen inférieur gauche, propose de compléter le bilan par un CT-scanner abdominal qui ne montre pas de lésion tumorale. Mais on visualise une éventration ombilicale, un globe urinaire et une lithiase vésiculaire. Mr. Y a bénéficié d'un bladder scanner après une miction spontanée qui a montré un volume post-miction de 300 ml. Nous proposons à Mr. Y de prendre un rendez-vous chez le médecin traitant pour organiser un contrôle chez un urologue dans les prochains jours. Le bilan biologique est rassurant avec une CRP à 10 mg/l sans leucocytose. Nous prenons avis auprès de l'orthopédiste de garde le Dr. X. Les douleurs sont possiblement en lien avec la reprise un peu plus importante de l'activité physique et de la marche sans signes de complications locales. Mme. Y rentre à domicile avec ses cannes et l'attelle Aircast. Elle sera revue dans 24 h pour un nouveau contrôle biologique afin d'exclure la progression du syndrome inflammatoire. Le bilan biologique est sans particularité excepté une légère hypokaliémie à 3.1 mmol/l. Au vu du scanner abdominal sans particularité effectué le 30.12.2019 et du bilan biologique de ce jour rassurant, nous proposons à Mme. Y un retour à domicile avec la poursuite de l'antalgie simple et du traitement d'IPP et l'ajout de Buscopan et de Primperan en réserve. Nous conseillons à Mme. Y de prendre contact avec son médecin traitant dès le 06.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Le bilan biologique et l'ECG excluent un syndrome coronarien aigu. Au vu des douleurs position-dépendantes à la position allongée, les douleurs épigastriques sont plus probables. On commence le traitement par IPP et on conseille de compléter le bilan cardiologique et d'effectuer une gastroscopie en ambulatoire en cas de persistance de douleurs. Mme. Y peut rentrer à domicile. Le bilan biologique et l'ECG sont normaux. Vu le caractère non systématisé de la symptomatologie décrite par Mme. Y et le fait que l'examen neurologique est normal, nous retenons des troubles somatoformes. Nous rassurons Mme. Y et la laissons regagner son domicile. Nous la conseillons de revenir en cas de persistance ou péjoration de la symptomatologie. Le bilan biologique met en évidence des D-dimères à 1095 ng/mL, le reste du laboratoire est aligné. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ou d'épanchement visualisé, pas de signe de surcharge. Nous complétons le bilan par un CT-scan thoracique qui ne montre pas de signe d'embolie pulmonaire. Mme. Y peut rentrer à domicile, nous proposons d'organiser un bilan cardiologique dans les prochains jours.Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 15 mg/l et une leucocytose 13.9 G/l. Au vu de l'ultrason parotidien et de la mauvaise évolution, nous complétons le bilan par un scanner cérébral et du massif facial qui met en évidence une parotide de taille augmentée prenant le produit de contraste, pas d'abcès visualisable, pas de mastoïdite. Nous contactons le Dr. X qui suspecte une otite externe compliquée à droite. La patiente sera vue à sa consultation ce jour pour la suite de la prise en charge (rinçage, antibiothérapie topique). À signaler que la patiente a présenté une réaction allergique de stade I à la suite de l'injection du produit de contraste. Elle a présenté un érythème facial associé à un prurit des mains et des pieds. Pas de serrement de gorge, pas de dyspnée. L'auscultation pulmonaire est normale. Nous administrons du Solumedrol et du Tavegyl. Elle est gardée en surveillance avant sa consultation en ORL. Nous prescrivons pour le domicile de la Prednisone et Xyzal pendant 4 jours. Le bilan biologique montre des légers troubles électrolytiques. L'ECG montre une tachycardie sinusale avec des troubles de repolarisation aspécifiques et une QT longue. La patiente est asymptomatique. Nous supplémentons le MG iv et recommandons à la patiente de prendre du calcium et du magnésium par voie orale pendant une semaine. Le TSH est dosé et un screening urinaire des toxiques est réalisé. Nous conseillons à la patiente de consulter son médecin dans une semaine pour réévaluation clinique et pour les résultats des examens réalisés aux Urgences (TSH, toxiques). Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire. La patiente reçoit du Tavegyl 2 mg et Solumedrol 125 mg IV aux urgences, avec surveillance clinique de 4h. Vu l'amélioration des symptômes durant la surveillance clinique, la patiente rentre à domicile. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme hormis une lipase à 84 U/l, pas de trouble de la crase, pas d'anémie. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Aux urgences, la patiente note une nette diminution des douleurs sans traitement en place. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, elle peut rentrer à domicile avec un traitement par Nexium 40 mg, Buscopan 10 mg et Dafalgan 1 g. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinico-biologique le 05.01.2020. La patiente a été informée qu'en cas d'aggravation des douleurs malgré l'antalgie en place, elle doit se représenter aux urgences. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Le test de grossesse revient négatif. Le Strepto-test est négatif. La patiente a reçu de l'antalgie par Dafalgan et Nexium avec un effet favorable sur les douleurs. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Arrêt du travail. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 3 jours. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques, pas de perturbation de la crase, pas d'anémie. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Nous réalisons un scanner abdominal qui ne montre pas de calcul dans les voies urinaires. Pas de dilatation pyélocalicielle. Pas d'infiltration péri ni pararénale. Une calcification de 2 mm en para-vaginal à droite très possiblement compatible avec une phlébolithe et moins probable pour un calcul vu l'absence d'une dilatation pyélocalicielle et l'absence d'une infiltration péri-rénale à droite. Possible sludge dans la vésicule biliaire avec les matériels denses dans la partie déclive de la vésicule biliaire. Nous complétons le bilan par un ultrason abdominal qui revient dans la norme, pas de calcul biliaire, pas d'épaississement des parois des voies biliaires. Vu l'examen clinique, biologique et radiologique rassurants, la patiente rentre à domicile avec l'antalgie en réserve. Vu que la patiente vit dans le canton de Vaud, elle consultera son chirurgien. Nous proposons au médecin traitant d'organiser une OGD en ambulatoire. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas de signe d'insuffisance rénale. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Aux urgences, la patiente a reçu une antalgie par Voltaren 75 mg iv avec un effet favorable sur les douleurs. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Elle ira pour un contrôle clinique à la consultation urologique la semaine prochaine en cas d'absence d'expulsion du calcul. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Le sédiment urinaire revient dans la norme. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 61/min, axe normal, pas de signe d'ischémie active, PR à 134 ms, QRS à 72 ms, QTc 416 ms. Le test de Schellong revient négatif. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Le CT-scan cérébral revient dans la norme. La patiente rentre à domicile avec le traitement symptomatique de la migraine. Arrêt du travail donné. Contrôle clinique chez le médecin traitant à la fin de cette semaine. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, sans anémie ni trouble de la crase, ni perturbation des tests hépato-pancréatiques. Le sédiment urinaire revient positif avec des érythrocytes 11-20/champ. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 69/min, axe normal, pas de signes d'ischémie active, PR à 138 ms, QRS à 106 ms, QTc à 413 ms. Un CT abdominal est réalisé, qui met en évidence une discrète dilatation urétéro-pyélo-calicielle gauche sans lithiase visible. Aux urgences, le patient a reçu une antalgie par Morphine 4 mg et Voltaren 75 mg, avec un effet favorable sur les douleurs. Au vu de l'examen clinique et radiologique rassurants, le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Un contrôle chez son médecin-traitant est conseillé en cas de réapparition de la symptomatologie. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, sans anémie, ni trouble électrolytique. Pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Le sédiment urinaire revient dans la norme. La radiographie du thorax ne montre pas de pneumothorax ni hémothorax. Au vu de l'examen clinique et radiologique rassurants, la patiente rentre à domicile avec un traitement antalgique en réserve. Un contrôle chez son médecin-traitant est à prévoir d'ici 5 jours. Le bilan biologique montre l'absence de trouble électrolytique, insuffisance rénale aiguë, pas de perturbation des tests hépatiques, leucocytose avec neutrophilie, D-dimères à 1021 ng/mL. Nous réalisons un scanner thoraco-abdominal qui met en évidence un hémo-pneumothorax gauche, pneumomédiastin. Les paramètres vitaux sont les suivants : TA 117/72 mmHg, FC à 120/min, saturation 91% sous 15 litres au venti-masque. Étant donné la perturbation des valeurs de la crase, nous administrons du Konakion 10 mg iv, Beriplex 500 ml, acide Tranexamique 1 g. Nous réalisons 2 paires d'hémocultures à froid, les résultats sont en cours. Le drain thoracique a été posé par le Dr. X, chirurgien de garde. L'analyse de la chimie du liquide de ponction a été réalisée. Le patient a reçu de la Cefepime 2000 mg et Vancomycine 500 mg aux urgences. Hb à l'arrivée à 156 g/l, Hb de contrôle à 1h30 à 122 g/l. La gazométrie artérielle de contrôle post-ponction sous 15 litres en masque montre pH à 7,29, pO2 à 13,8, pCO2 à 6,7, saturation à 97, lactate à 3. Après la discussion avec le chirurgien thoracique de garde et le chirurgien viscéral de garde, le Dr. X, nous transférons Mr. Y au CHUV, avec SMUR et REGA.Le bilan biologique montre pas de syndrome inflammatoire CRP à 10, pas de leuco. Nous réalisons une ponction de la bourse : coloration en gram revient négatif, bactériologie en cours. Nous immobilisons le coude gauche par une attelle plâtrée BAB, bretelle. Le patient rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan et Brufen. Contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 35 mg/l et leucocytes à 11,2 G/l, ainsi qu'une perturbation de la bilirubine totale et directe. ASAT, ALAT, Gamma-GT, ALP, LDH, Lipase, Électrolytes, fonction rénale et des sédiments sont dans la norme. Nous effectuons alors un US abdominal, qui ne montre pas de signe d'appendicite mais quelques ganglions au niveau de la fosse iliaque droite, parlant en faveur d'une adénite mésentérique. Nous laissons alors rentrer le patient à domicile avec un traitement antalgique/anti-inflammatoire par Dafalgan et Irfen, et nous l'adressons à son médecin traitant pour un contrôle clinique et biologique (syndrome inflammatoire et bilirubine) en fin de semaine. Le patient reconsultera en cas de péjoration des symptômes. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytes à 11 G/l, CRP à 15 mg/l, hypokaliémie à 3,3 mmol/l, pas de troubles de la crase. Le sédiment urinaire revient dans la norme et le Streptotest revient négatif. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Au vu de l'examen clinique, biologique et radiologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 283 (82 le 06.01.) sans leucocytose. Hémocultures reviennent positives pour Escherichia coli multisensible. CT scanner ne montre pas de complication. La patiente a reçu de la Rocéphine 2g aux urgences. Nous proposons à la patiente une hospitalisation, mais la patiente refuse et préfère rentrer à domicile, elle revient le 09.01.2020 à la FUA pour le contrôle clinique et biologique et la troisième dose de Rocéphine. Appel de la Dr. X à 21h30 le 08-01-2020 : la patiente se sent mieux, pas de fièvre ni frissons, elle a été informée que si la péjoration des symptômes devait revenir aux urgences. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytes à 15 g/l avec une CRP à > 5 mg/l. Les tests hépato-pancréatiques sont alignés. Le sédiment urinaire réalisé montre +++ de sang avec des érythrocytes par champ 6-10. Nous complétons le bilan par une radiographie de l'abdomen sans préparation qui met en évidence une coprostase. Monsieur peut regagner son domicile avec un traitement laxatif et un contrôle dans une semaine chez son médecin traitant. Le bilan biologique montre une leucocytose à 14 g/l avec une CRP à 5 mg/l. Le patient a donc reçu un traitement par IPP et Ulcar aux urgences avec une bonne efficacité. Le patient peut regagner son domicile avec un traitement par IPP et Ulcar pour une durée d'une semaine et un contrôle clinique chez son médecin traitant, pour discussion de la suite. Le bilan biologique montre une absence de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de trouble électrolytique. Pas de perturbation des tests hépatiques, pas de trouble de la crase. Aux urgences, la patiente a reçu Nexium 40 mg per os, Primperan 10 mg iv avec un effet favorable sur les douleurs et les nausées. Au vu de l'examen clinique et biologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Le bilan biologique montre une créatinine à 120 urée à 8,4 troponines à 37 h et H 35, leucocytes 11,6 le reste du bilan est dans la norme. D-dimères 3590, raison pour laquelle nous complétons le bilan par un CT scanner thoracique permettant d'exclure une embolie pulmonaire mais la découverte d'un anévrisme de l'aorte. Suite à la discussion avec le chef de clinique le Dr. X, nous demandons un avis de la chirurgie cardio-vasculaire du CHUV, le Dr. X. Le bilan biologique montre une CRP à 14 mg/l sans leucocytose ni perturbation des tests hépatiques; la fonction rénale est bonne et le sédiment urinaire revient dans la norme. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Au vu de l'absence de selles pendant la consultation aux urgences, nous n'avons pas pu réaliser une culture. De ce fait, le matériel nécessaire a été remis à la patiente et si elle présente à nouveau plus de 2 selles liquides par jour, elle nous apportera un échantillon pour analyse. Au vu de l'examen clinique, biologique et radiologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec le traitement symptomatique. Un contrôle chez le médecin traitant dans 3-4 jours est recommandé. Le bilan biologique montre une CRP à 17 mg/l et des leucocytes à 7 G/l; pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques ni de trouble de la crase et la fonction rénale est bonne. Un sédiment urinaire revient dans la norme. Au vu de l'examen clinique et biologique rassurant, le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Un contrôle clinique chez le médecin traitant dans 3-4 jours est recommandé. Le bilan biologique montre une CRP à 23 mg/l et leucocytes à 6,7 g/l, pas de perturbation des tests hépatiques et pancréatiques. Le sédiment urinaire parle en faveur d'une infection urinaire chez une patiente asymptomatique, la radiographie de l'abdomen sans préparation ne montre pas de dilatation, mais une coprostase. Nous complétons le bilan par un CT scan abdominal qui montre une coprostase mais permettant d'exclure une lésion tumorale. La patiente a bénéficié d'un lavement avec 800 ml d'H2O, 100 ml de Paraffine, 100 H2O, 0,3 oxygène 2 x 500 ml avec bonne efficacité. La patiente peut rentrer à son domicile avec un traitement laxatif, elle prendra un rendez-vous chez son médecin traitant dans deux semaines pour contrôle clinique. Le bilan biologique montre une CRP à 47 mg/l, pas de leucocytose ni de perturbation des tests hépato-pancréatiques. La radiographie de l'abdomen couché ne montre pas de signes d'iléus. Nous complétons le bilan par un CT scan de l'abdomen qui met en évidence une diverticulite sigmoïdienne aiguë de stade 2A selon la classification d'Hinchey. Aux urgences, le patient reçoit de la Co-Amoxicilline 2200 mg iv. Monsieur rentre à domicile avec un traitement de Co-Amoxicilline 1 g per os 3x/jour pendant 7 jours au total et une antalgie en réserve. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est prévu dans 3-4 jours et nous vous proposons d'organiser une colonoscopie dans 6 semaines en ambulatoire. Le bilan biologique montre une glycémie à 10.5 sans autre altération significative. La gazométrie artérielle met en évidence un pH à 7.5 avec CO2 3.8. Nous hydratons la patiente avec administration de NaCl 500 ml. Sur le plan thérapeutique, nous adaptons le traitement antidiabétique au vu d'une Hb glyquée à 8.6, par introduction de Metformine 500 mg 3x/jour. Un contrôle chez le médecin traitant est à organiser par la patiente qui est mise au courant. En absence d'éléments aigus nécessitant une hospitalisation, la patiente peut rentrer à domicile. Le bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 21 mg/l sans leucocytose, les tests hépato-pancréatiques sont alignés. Le patient a bénéficié d'une hydratation intraveineuse pendant la consultation et une antalgie standard avec bonne efficacité. Le patient peut regagner son domicile avec la consigne de bien s'hydrater pendant les prochains jours, si péjoration ou apparition de nouveaux symptômes, le patient consultera les urgences ou son médecin traitant. Le bilan biologique montre une légère augmentation de la CRP à 17 mg/l avec les leucocytes à 4,7 G/l. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente peut rentrer à domicile. Le bilan biologique montre une légère hausse de la CRP, sans leucocytose. Le sédiment urinaire montre une érythrocyturie. Nous retenons une infection virale des voies respiratoires supérieures, pour laquelle nous conseillons un traitement symptomatique. Nous conseillons à la patiente de consulter son médecin traitant en début de la semaine prochaine pour réévaluation. Le bilan biologique montre une légère hausse de la CRP, sans leucocytose. L'ultrason abdominal montre une cholécystite lithiasique, pour laquelle nous conseillons un traitement conservateur par antibiothérapie per os. Réévaluation clinique dans une semaine chez le médecin traitant et dans 3 semaines chez le Dr X, afin d'envisager une cholécystectomie. Vu qu'une lésion hépatique a été découverte fortuitement à l'ultrason abdominal, nous proposons un bilan complémentaire par une IRM hépatique le 03.02.2020. Le bilan biologique montre une légère hausse de la CRP sans leucocytose. Nous retenons une sinusite maxillaire aiguë pour laquelle nous conseillons un traitement antibiotique et symptomatique per os. La patiente rentre à domicile. Elle a un contrôle chez son gynécologue la semaine prochaine. Nous lui faisons un arrêt de travail. Le bilan biologique montre une leucocytose à 13,7 g/l avec une CRP dans la norme, le sédiment urinaire montre +++ de flore bactérienne mais le reste est aligné. Par la suite, nous discutons du cas avec le Dr X, chef de clinique, et nous complétons le bilan par un Uro-CT ne montrant pas de dilatation des voies urinaires mais la découverte fortuite d'une maladie lithiasique. La patiente sera vue à la filière des urgences ambulatoires le 11.01.2020 pour pister le résultat de l'urotube. Le bilan biologique montre une leucocyturie sans élévation de la CRP. Le sédiment urinaire retrouve une purée de leucocyturie, érythrocyturie et flore bactérienne +. On prélève une uroculture. Nous faisons un uro-CT qui confirme une lithiase de 3 x 3 x 6 mm dans l'uretère moyenne droite (à la hauteur de L4/L5) avec dilatation pyélocalicielle (pyélon à 18 mm) en amont à droite. Nous commençons une antibiothérapie par une dose unique de Ceftriaxone avec continuation de Ciprofloxacine et instaurons un traitement par Tamsulosine. Le patient a un contrôle chez le Dr X le 22.01. Le bilan biologique montre une très légère péjoration du syndrome inflammatoire par rapport aux examens du 16.01.2020. Le CT pelvien met en évidence des signes de coxarthrose bilatérale, ainsi qu'un épanchement articulaire minime (2 mm à droite), sans signe de fracture ou nécrose. Monsieur Y rentre à domicile avec une antalgie simple (Paracétamol et AINS pour 5 jours, Sirdalud et Tramal en réserve). Le patient se rendra en consultation chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Le bilan biologique montre une très légère perturbation de la CRP et des leucocytes, à la limite de la norme, et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Nous laissons alors rentrer la patiente à la maison avec la reprise de son traitement par Seretide 500 2x/j (arrêté spontanément il y a 2 ans), ainsi qu'un traitement par Prednisone 50 mg 1x/j pour 3 jours, du ventolin 4x/j + 4 x en R, du Dafalgan en R, du Fluimucil. Nous agendons un RDV de contrôle à la FUA le lundi 06.01.2020. Reconsulter si péjoration. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique associé. Le sédiment urinaire n'indique pas d'infection urinaire. On retient une gastro-entérite virale avec mise en place de traitement symptomatique, antalgie, antiémétiques et hydratation par voie orale. Le bilan biologique ne montre pas de perturbation des tests hépatiques ni pancréatiques, l'hémoglobine à 149 g/l, CK à 62, Troponine à 5 ng/l. Le reste du bilan est aligné, le sédiment urinaire est sans particularité. La radiographie de thorax ne montre pas de fracture de pneumothorax. Mme Y peut rentrer à domicile avec un traitement antalgique. Le bilan biologique ne montre pas de perturbation des tests hépatiques ni pancréatiques, l'hémoglobine est à 122 g/l. Le reste du bilan est aligné. Le bilan radiologique montre une fracture de l'extrémité distale de la clavicule gauche avec également une marche d'escalier acromio-claviculaire du même côté, évoquant une luxation acromio-claviculaire surajoutée. Au genou, une irrégularité avec une solution de continuité au niveau du bord latéral du condyle fémoral externe est visualisée sur l'incidence de la face, correspondant probablement à un processus ancien, mais à confronter avec la clinique. Pas d'épanchement articulaire, ni de tuméfaction notable des tissus mous. Suite à la discussion avec le Dr X, l'orthopédiste de garde, nous complétons le bilan par un CT-scan qui montre un fragment osseux au niveau de la corticale externe du condyle fémoral externe, mesurant environ 12 mm de grand axe, évoquant un arrachement d'allure récente, toutefois sans tuméfaction des tissus mous en regard, à confronter avec la clinique. Nous proposons la mise en place d'un gilet orthopédique et une attelle Jean 20°. La patiente rentre à son domicile avec un traitement antalgique et une thromboprophylaxie par Clexane pendant l'immobilisation, des cannes anglaises et contrôle clinique dans une semaine à la consultation du Dr X. Nous lui faisons un arrêt de sport. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. La radiographie de la colonne lombaire ne montre pas de péjoration importante en comparaison du cliché de 2017. Vu la présence de paresthésies des pieds et l'absence de réflexes ostéotendineux au niveau des membres inférieurs, nous proposons une consultation rhumatologique et neurologique dans un but diagnostique. Le patient regagne son domicile avec la prescription d'une antalgie par Dafalgan, Irfen et Tramal. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. La radiographie de la jambe gauche ne montre pas de fracture. Nous réalisons le rappel anti-tétanique aux urgences. Nous réalisons un pansement par Prontosan et Aquacel avec une compresse stérile. Le patient rentre à domicile avec un contrôle dans 48h à la filière des urgences ambulatoires (le 09.01.2020 à 8h00). Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, le sédiment urinaire est pathologique. Un Uro-CT est effectué et montre une dilatation urétéro-vésicale gauche de 14 mm avec un calcul de 4 mm et 3 petits calculs dans le rein gauche. La patiente peut rentrer à domicile avec un traitement par antalgique, Tamsulosine et filtres pour les urines. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, les tests hépato-pancréatiques sont alignés. Nous complétons le bilan par une échographie abdominale à la recherche d'une lithiase vésiculaire, mais celle-ci est dans les limites de la norme. Le sédiment urinaire est sans particularité. Le patient a reçu une antalgie standard avec une bonne efficacité. Devant une évolution clinique favorable, Monsieur Y peut rentrer à son domicile avec un traitement antalgique en réserve. Si de nouveaux symptômes réapparaissent, le patient consultera les urgences ou son médecin traitant. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, les urines sont propres. L'Uro-CT ne retrouve pas de calcul ni de gêne rénale (calcul passé?). Par rapport aux signes de dépression, vu l'absence d'idées noires, le patient va consulter son médecin traitant. Le patient rentre à domicile et va continuer son suivi urologique. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. L'examen clinique de la région lombaire est en faveur de douleurs musculaires paravertébrales, que l'on traite par antalgie et myorelaxants. La patiente est informée de ne pas conduire après les myorelaxants.Par rapport aux selles molles avec hématochésie, nous demandons un prélèvement des selles en ambulatoire (absence de selles aux urgences) et une coloscopie en ambulatoire. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Aux urgences, le patient a reçu une antalgie par Paracétamol et du Nexium avec un effet favorable sur les douleurs. Le patient peut rentrer à domicile avec le traitement symptomatique. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de thrombopénie, pas de troubles de la crase, une bonne fonction rénale. La patiente rentre à domicile. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique, pas d'anémie ni de trouble de la crase. Nous prenons l'avis du Dr. X, neurologue, qui nous conseille de réaliser un CT cérébral et des vaisseaux précérébraux injectés. L'examen ne montre pas de masse, pas de signe d'hémorragie ni d'ischémie, pas de signe de thrombose. Aux urgences, le patient reçoit une antalgie par Zomig 5 mg spray nasal avec un effet favorable sur les douleurs. Au vu de l'examen clinique et radiologique rassurant et d'une nette amélioration des douleurs avec l'antalgie par Zomig, le patient rentre à domicile. Un contrôle est prévu dans 3-4 jours chez le médecin traitant et nous vous proposons d'organiser une IRM cérébrale en ambulatoire. Le bilan biologique ne montre pas de trouble des tests hépatiques et une paracétamolémie 11.4 mg/l. L'ECG montre un rythme sinusal bradycarde entre 45/55 bpm, sans trouble de conduction visualisé ni de trouble de repolarisation. La surveillance aux urgences est sans particularités du point de vue respiratoire, avec une bradycardie autour de 50/min, asymptomatique. Nous ne retenons pas d'indication pour un traitement par acétyl-cystéine et conseillons un contrôle des tests hépatiques dans le courant de la semaine. Nous demandons l'avis de la Dr. X, psychiatre de garde qui, au vu de la tentative de suicide avec la situation délicate au domicile, recommande une hospitalisation en psychiatrie au RFSM Marsens. En accord avec la patiente, nous mettons son mari au courant de son hospitalisation. Nous appelons le service de l'enfance et de la jeunesse (SEJ) car le mari de la patiente a annoncé un risque de fuite au Portugal avec ses 3 enfants. La patiente est transférée en ambulance au RFSM Marsens en mode volontaire. Le bilan biologique ne montre pas de trouble électrologique ni de perturbation de crase. Le bilan radiologique montre une fracture du radius distal et cubitus gauche et au niveau du Chopart droit. Nous demandons un avis au Dr. X, orthopédiste de garde qui propose une intervention chirurgicale dans quelques jours et de compléter le bilan par un CT-scan de la cheville qui montre une lésion de Chopart avec atteinte osseuse. La fracture du radius distal et du cubitus gauche est réduite par le Dr. X avec la mise en place d'une attelle antébrachiale et contrôle post-plâtre. Pour la lésion de Chopart, nous immobilisons par une attelle VacoPed pour une durée de 6 semaines. Discussion du cas avec la Dr. X, anesthésiste de garde (pas nécessaire de mettre en place la Clexane, mais juste de stopper l'Eliquis). Le bilan biologique réalisé et le sédiment urinaire sont annexés. Nous réalisons un scanner abdominal qui montre un calcul de 3*2*3 mm à l'uretère distale, dilatation pyélo calicielle à 13 mm. Aux urgences, le patient a reçu une antalgie par Paracétamol 1g, Voltaren 75 mg et Morphine 4 mg avec un effet favorable sur les douleurs. Le patient rentre à domicile avec du Pradif jusqu'à l'expulsion du calcul ainsi qu'une antalgie en réserve. Le bilan biologique réalisé retrouve une CRP à <5 mg/l, des Leucocytes à 12.3 G/l, ASAT à 20 U/l et ALAT à 16 U/l. Nous soulageons la patiente avec du Buscopan IV et proposons un traitement symptomatique. La patiente est mise en garde du fait de l'apparition de fièvre et la persistance ou aggravation des symptômes pour lesquels elle ne manquera pas de reconsulter. Le bilan clinique met en évidence le diagnostic susmentionné. Nous mettons le patient dans un VacoPed avec une flexion plantaire à 30°. Cannes anglaises. Nous adressons le patient pour un US. Suite de la prise en charge au Team pied. Le bilan diagnostique effectué avec l'infiltration nous pousse à dire qu'une opération d'ablation de ce bout d'os pourrait être envisagée. Nous avons discuté de manière minutieuse avec la patiente des risques et des bénéfices et elle souhaite 4 semaines de réflexion et on se reverra pour discuter de la planification d'une opération en cas de réponse positive. Le bilan est rassurant aux urgences. Elle peut rentrer à domicile avec son mari. La feuille de surveillance neurologique post-traumatisme crânien a été donnée et expliquée. Le bilan IRM réalisé dans l'intervalle met en évidence un Bankart en position anatomique. Petit Hill-Sachs non engageant. Coiffe avec une lésion partielle sur le versant articulaire du sus-épineux. Le bilan laboratoire montre un syndrome inflammatoire. CT-scan abdominal montrant un iléus grêle au niveau de l'iléum moyen/distal et une hernie graisseuse ombilicale incarcérée avec signe d'infiltration. Selon l'avis chirurgical de l'HFR Riaz, de l'HFR Fribourg et avec l'accord de l'équipe du CHUV, le patient est transféré au CHUV. Départ en ambulance. Le bilan laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. La radiographie du bassin ne montre pas de pathologie de la hanche gauche. Selon l'avis orthopédique et l'examen clinique en faveur d'une tendinite d'iliopsoas gauche. Nous instaurons un traitement anti-inflammatoire par Prednison, physiothérapie et l'antalgie par Dafalgan avec Tramadol en réserve selon l'avis néphrologique. La patiente rentre à domicile avec un arrêt de travail. Le bilan neurologique a mis en évidence un syndrome de tunnel carpien bilatéral modéré avec une prédominance à D, pour lequel un traitement conservateur, avec le port d'une attelle nocturne pour le poignet, a été mis en place. On conseille donc à la patiente de poursuivre le traitement conservateur déjà mis en place. La patiente reste handicapée par son doigt à ressaut, du majeur main D, raison pour laquelle on prévoit une cure de doigt à ressaut. De plus, le jour de l'intervention, on va évaluer la situation et voir si le traitement conservateur a été efficace. En cas d'échec du traitement conservateur, nous ferons alors en même temps que la cure de doigt à ressaut, une cure de tunnel carpien à D. La patiente est informée des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. Le bilan présente un patient souffrant encore de douleurs parlant en faveur d'un déconditionnement du MID. Par conséquent, je lui propose des séances de physiothérapie pour école à la marche, relâchement des chaînes postérieures interne et externe et médial avec, par la suite, renforcement musculaire et proprioception. Nous le reverrons dans 4 mois à notre consultation. Le bilan radioclinique de l'épaule gauche met en évidence une fracture non déplacée du tubercule majeur de l'humérus. Nous conseillons un traitement conservateur avec un gilet orthopédique pendant 6 semaines, ainsi qu'un contrôle à la consultation du Dr. X dans une semaine. Le bilan radioclinique évoque le diagnostic de fasciite plantaire. Nous lui montrons des exercices de stretching à faire 3x10 par jour. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec US. Si ce traitement n'est pas efficace, nous envisagerons des ondes de choc. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique.Le bilan radio-clinique met en évidence le diagnostic susmentionné. Nous lui prescrivons un traitement par physiothérapie et du stretching. Nous lui expliquons que cette situation peut durer environ 2 à 3 mois ou plus, nous lui conseillons également de réduire les activités sportives jusqu'à ce que la situation s'améliore. Nous ne prévoyons pas de contrôle d'office. Nous le reverrons selon les besoins. Le bilan radio-clinique met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente est immobilisée dans une attelle alu à 20°. Ordonnance en ergothérapie pour faire une attelle en 8 pour deux semaines suivie d'une syndactylie et un suivi en ergothérapie. Le bilan radio-clinique montre que la fracture n'est pas guérie, ce qui était attendu à ce stade, compte tenu de la localisation de la lésion. Nous recommandons la poursuite d'un traitement conservateur avec charge tolérance sous protection d'une chaussure à semelle rigide, puis dès que possible sous protection d'une semelle en carbone dans les chaussures de série. La patiente reçoit une ordonnance à cet effet. La patiente est bien informée qu'elle doit continuer la prophylaxie par Clexane 1x/j jusqu'à charge complète, elle reçoit une autre prescription pour cet effet. L'arrêt de travail à 100% est prolongé jusqu'au 17 février prochain. Le bilan radiologique à 6 semaines montre la présence d'un bon cal osseux, sans déplacement secondaire supplémentaire. Le bilan radiologique confirme la suspicion posée lors de la dernière consultation. La patiente présente une intervention plus augmentée. De notre part, une prise en charge chirurgicale est indiquée qui consiste en une luxation chirurgicale et évaluation de l'articulation fémoro-acétabulaire et d'une dérotation proximale. Nous donnons à la patiente la possibilité de faire une réflexion sur le diagnostic et la prise en charge chirurgicale. Nous reverrons la patiente pour discussion de l'intervention elle-même et pour planifier celle-ci en cas de confirmation du traitement le 11.02.2020. Le bilan radiologique confirme le diagnostic susmentionné. Comme la patiente souffre de douleurs, nous lui proposons une infiltration articulaire en anesthésie locale de la hanche D. Pour cela, nous convenons d'un rendez-vous le 27.01.2020 et nous prions la patiente d'amener une personne comme traducteur lors du prochain rendez-vous du 03.03.2020. Le bilan radiologique démontre effectivement une hypercaptation des signaux au niveau des grands trochanters parlant pour une bursite trochantérienne. En conséquence, nous proposons une infiltration ddc par anesthésie et Depo-Medrol. Concernant le dos, la patiente a été vue avec le Dr X qui propose d'une part des manipulations sacro-iliaques par chiropracteur et/ou des séances de physiothérapie avec le but de l'école du dos. Vu que la patiente est en pleine préparation de déménagement, nous proposons d'effectuer les infiltrations et de revoir la patiente pour un contrôle clinique. En cas de persistance des douleurs lombaires, la patiente pourra rediscuter avec le team Rachis lors de ce contrôle clinique pour préciser le traitement futur qui aura lieu par la suite chez nos collègues du Valais. L'infiltration est agendée pour le 13.01.2020. Le bilan radiologique du jour n'explique pas sa situation. Nous pensons plutôt qu'il s'agit de séquelles de l'entorse. Nous lui prescrivons donc de la physiothérapie pour récupérer les amplitudes. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique est rassurant. Je propose que la patiente continue à se mobiliser en charge selon douleurs à l'aide d'un moyen auxiliaire. Je propose un nouveau bilan radiologique à 3 mois post-opératoires si possible à ma consultation. Le bilan radiologique montre une progression de la dégénérescence. Nous lui expliquons que le traitement de choix consiste en une arthrodèse. Toutefois, la situation est plutôt calme, sans limitation et quasiment sans douleur. Nous convenons d'une attitude expectative. La patiente est bien consciente qu'elle aura besoin de cette intervention à moyen terme. Elle nous recontactera au besoin. Le bilan radiologique ne met pas en évidence de fracture. Nous laissons repartir la patiente à domicile avec un traitement antalgique simple et un arrêt de travail. Le bilan radiologique ne met pas en évidence de fracture. Vu les douleurs importantes, l'examen clinique est peu contributif et le patient est donc immobilisé dans un Splintpod en décharge. Le patient sera revu à 48h en policlinique pour tester le Lisfranc/Chopart et surveiller l'état cutané. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail. Le bilan sanguin du jour ne révèle pas de syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire montre des leucocytes 11-20, érythrocytes 3-5 et absence de nitrites. Nous effectuons un ultrason de l'abdomen ce jour qui ne montre pas de liquide libre. L'ovaire gauche se présente normalement. Pas d'anomalie au niveau des reins, de la vésicule et du foie. L'appendice n'est pas visible ni l'ovaire droit. Après discussion avec le Dr X, nous adressons Mme. Y à l'HFR Fribourg en gynécologie pour effectuer une échographie endovaginale et exclure une pathologie gynécologique. Mme. Y reviendra selon l'évolution clinique. Le bladder scan donne 516cc dans la vessie. Nous mettons en place une sonde vésicale CH14 avec soulagement de la symptomatologie avec récolte de 950ml d'urines. En ce qui concerne la constipation sur fécalome, la tentative d'extraction manuelle est impossible. Nous faisons un grand lavement par Practomil efficace avec expulsion de selles en grande quantité. La patiente regagne son domicile avec du Movicol en réserve et sa sonde vésicale en place. Nous l'invitons à se présenter à la consultation d'un urologue à J4 pour ablation de sa sonde. Le cadre clinique actuel est très cohérent avec un état postopératoire à 3 semaines. On ne trouve pas d'indication pour l'instant d'effectuer une chirurgie de révision et nouvelle évacuation. On a bien souligné qu'il y a par contre une interdiction à la conduite et à effectuer des travaux à domicile avec des ustensiles potentiellement dangereux. Dans 3 semaines, nous reverrons le patient avec un nouveau scanner de contrôle. Si à ce moment-là, il y a une aggravation au niveau morphologique de la taille de la collection résiduelle, voire une aggravation des symptômes neurologiques, comme déjà discuté, une éventuelle opération de réévacuation pourrait être discutée. Le cadre clinique ressemble à un mixte, nous attendons le bilan du neurocentre avec une ENMG pour exclure une atteinte nerveuse. Nous lui donnons déjà un bon de physiothérapie et une ordonnance pour des anti-inflammatoires, anti-douleurs pour l'épaule droite. Nous le reverrons le 18 février pour discuter de la suite de la prise en charge. Pour l'instant, le patient ne souhaite pas une infiltration sous-acromiale. Il y a une IRM de l'épaule d'août 2019 qui ne montre pas de lésion tendineuse, mais une bursite sous-acromiale. Le cadre présent est très bizarre avec un clair conflit radiculaire, mais sans aucune amélioration après une infiltration. Au vu de cela, bien que l'examen clinique confirmait des douleurs au niveau du membre inférieur gauche avec irradiation dans la jambe, on a effectué une radiographie de la hanche et du bassin avec évidence d'un impingement suspect au niveau de la hanche gauche. Au test spécifique, à la palpation et à la mobilisation proximale, la douleur évoque bien plus qu'à la distinction du membre inférieur (signe de Lasègue négatif). On considère nécessaire un bilan spécifique effectué par nos collègues du team hanche. On organise une IRM de la hanche et on prie nos collègues de convoquer le patient pour évaluation.Le cadre radiologique pourrait justifier la cruralgie sur une radiculopathie mixte L3 et L4. Les douleurs lombaires peuvent être justifiées par l'hypotrophie très sévère des muscles para-spinaux, dans le cadre de sa maladie de base et par la roto-scoliose. Des troubles facettaires avec hypersignal T2 au niveau facettaire en L2-L3 et L3-L4 ddc sont mis en évidence. Nous discutons avec la patiente et son époux concernant les douleurs lombaires, au vu du cadre mal systématisé, nous proposons une prise en charge physiothérapeutique très intensive afin d'essayer de renforcer les muscles lombaires, afin d'avoir un soutien majeur au niveau de la colonne. Nous prions le service d'antalgie de bien vouloir convoquer la patiente afin de réaliser une infiltration épidurale au niveau L2-L3, afin de traiter les douleurs des MI présentes ddc mais en aggravation à droite actuellement. Le cas de Mr. Y sera à nouveau discuté au prochain colloque FOP cardio-neurologique au mois de février 2020. Le complexe ligamentaire externe est compétent. Il n'y a pas de lésion résiduelle objectivable. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec renforcement et proprioception. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 01.03.2020. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines pour réévaluer la reprise du travail. Le comportement de l'enfant (souriant, énergétique) et l'examen clinique étant rassurants, le patient peut regagner son domicile avec un traitement antalgique par Dafalgan et Algifor en sirop en réserve pour 3 jours. Nous donnons la feuille de surveillance neurologique à la mère. Le contrôle à 6 semaines post-traumatisme est favorable, notamment en raison d'absence de douleurs. Prescription de séances de physiothérapie avec mobilisation libre et renforcement progressif. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Le contrôle biologique est rassurant. Nous discutons du cas avec le chef de clinique de garde Dr. X. Au vu de l'absence de chute récente et d'un examen clinique plutôt rassurant, nous n'effectuons pas d'examen radiologique et nous décidons de laisser Mr. Y rentrer à domicile avec une adaptation du traitement antalgique. Un contrôle chez le médecin traitant est prévu mercredi prochain. Le contrôle clinique à presque 4 semaines post-opératoires est favorable avec une bonne mobilisation au niveau de la hanche. Continuation de la mobilisation douce avec limitation de flexion jusqu'à 90°. Rotation selon douleurs non forcée. Continuation de décharge de 15 kg du membre inférieur G. Continuation d'utilisation des cannes. Antalgie adaptée par Dafalgan 500 mg 3x/j fixe, protection gastrique et Brufen 600 IE 2x/j fixe et Novalgin 4x 500 mg en réserve. En cas de physiothérapie à prendre Irfen 600 mg 30-60 min avant les séances. Continuation de l'arrêt de travail à 100%. Nous reverrons la patiente pour un contrôle radioclinique le 28.01.2020. Le contrôle clinique de la plaie suturée au niveau de la pulpe du 3ème doigt main gauche montre une bonne évolution, sans signe d'infection. Aux urgences: désinfection + pansement simple. Ablation des points de suture dans 5 jours chez le médecin traitant (pour un total de 7 jours à partir du 02.01.2010). Le contrôle clinique est tout à fait favorable. Suivi en physiothérapie avec pour but principal le renforcement dans l'axe et de proprioception. Pas d'activité sportive au pivot encore possible pour les prochains 7 mois et demi. Les exercices sont également à effectuer de manière autonome. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Le contrôle clinique et l'explication des douleurs parlent pour un syndrome des loges chroniques et d'effort. Par conséquent, nous prions Dr. X de bien vouloir convoquer rapidement cette jeune patiente sportive afin de confirmer le diagnostic. Nous la reverrons par la suite pour discuter de leur entretien et de la suite de la prise en charge. Le contrôle clinique présente une patiente décompensée au niveau des douleurs nécessitant des réserves additionnelles morphiniques. Nous prions que la demande de réhabilitation soit réactivée et sera, si acceptée, directement contactée par le centre de réhabilitation à Billens. De sa part, la patiente informera son employeur de cette réhabilitation prévue dans le futur proche pour être libérée de son travail de secrétaire à 100%. Nous reverrons la patiente 6 semaines après le début de la réhabilitation à notre consultation. Le contrôle montre une bonne évolution de la plaie. Par ailleurs, la patiente signale une toux augmentée ce jour et l'auscultation et l'examen ORL sont dans la norme. Elle prendra rendez-vous en policlinique de chirurgie pour un contrôle de la plaie le 03.01 et pour planifier une éventuelle excision du kyste. Le contrôle présente une évolution tout à fait favorable avec une amélioration de la symptomatologie. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire spécifique du vaste interne et proprioception. Nous la reverrons pour un contrôle clinique en mars. Le contrôle radio-clinique à 4 semaines post-traumatisme montre une consolidation en cours sans déplacement secondaire. Nous avons remplacé le plâtre cruro-pédieux par une botte plâtrée. Marche en charge selon douleurs. Prochain contrôle radio-clinique le 05.02.2020. Le contrôle radio-clinique à 6 semaines de l'intervention susmentionnée montre une légère amélioration au niveau du nerf fémoral qui s'était déjà présenté en postopératoire direct à M2. Nous proposons alors de faire le point avec d'une part une ENMG, d'autre part, par l'activation spécifique avec le tensor et de la physiothérapie à but principal d'une école à la marche, renforcement musculaire, activation du quadriceps et proprioception. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle clinique du 10.03.2020. Le contrôle radioclinique à 6 semaines post-opératoires présente une évolution tout à fait atteinte et favorable. Le patient peut suivre la physiothérapie pour l'école à la marche avec des exercices de renforcement musculaire surtout des abducteurs. Exercices de proprioception. Prise d'antalgie selon nécessité. Reprise des activités de loisirs au fur et à mesure et selon les douleurs. Charge complète. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique à 1 an post-opératoire le 24.11.2020. Le contrôle radioclinique concernant la prothèse est favorable. Concernant le manque de force, la patiente présente effectivement une indication de prise en charge en physiothérapie. Vu la situation actuelle personnelle et que la patiente nécessite également encore d'un traitement concernant la parotidite qui sera effectué à l'hôpital de l'Ile, elle aimerait encore attendre pour les séances de physiothérapie. Concernant l'IRM effectuée au niveau du rachis, demandé par nos collègues de la neurologie, elle sera revue à la consultation de Dr. X pour discussion des résultats. De notre part, nous restons à disposition. Le contrôle radio-clinique est favorable avec une évolution à temps. Poursuite des séances de physiothérapie désormais avec charge progressive et mobilisation complète. Arrêt de travail encore jusqu'à fin janvier. Relâchement des chaînes postérieures et renforcement musculaire par la suite. Contrôle radio-clinique lors de la 1ère semaine de février 2020 à la consultation de Dr. X. Le contrôle radioclinique est favorable. La patiente peut commencer la mobilisation libre sous physiothérapie pour améliorer la mobilisation des tendons. Il faut éviter encore la charge complète pour les 6 prochaines semaines. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 2 février, puis à 50% du 03.02 au 01.03.20. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois.Le contrôle radioclinique est favorable surtout avec le status clinique de plaie sèche. Nous expliquons à la patiente qu'une chirurgie consistant en une implantation d'une prothèse tumeur pourrait être envisagée au plus tôt à 3 mois si les tissus mous sont favorables. De notre part, nous réservons une place opératoire le 29.04.2020 et agendons un rendez-vous clinique à notre consultation le 03.03.2020. La patiente nécessite depuis la sortie de l'hôpital d'une chaise roulante, en conséquence une prescription est donnée à la patiente depuis cette date. Le contrôle radio-clinique est tout à fait favorable. Circularisation du plâtre possible. Nous reverrons le patient mi-février pour un contrôle radio-clinique. Avant la radio, il sera nécessaire d'enlever le plâtre circularisé et, en salle de consultation, une ablation de broche sera effectuée. Arrêt de sport jusqu'au prochain contrôle le 18.02.2020. Le contrôle radio-clinique est favorable. Nous avons procédé à l'ablation de la broche et à une réfection du pansement. Prescription d'une attelle velcro pendant encore 2 semaines. Arrêt de sport pendant 4 semaines. Prochain contrôle radio-clinique le 19.02.2020. Le contrôle radio-clinique parle pour un CRPS post-suture du ménisque interne par arthroscopie, en conséquence, je lui prescris des anti-inflammatoires avec Miacalcic, Redoxon et protection gastrique. Diminution des activités de renforcement en physiothérapie et prescription pour US et mobilisation. Nous reverrons le patient dans 1 mois pour un contrôle clinique. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable avec encore un épanchement articulaire. Reprise de la marche en charge complète selon douleurs. École à la marche en physiothérapie avec relâchement des chaînes postérieures, renforcement musculaire dans l'axe et proprioception. Arrêt de sport d'école jusqu'à fin mars. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Le contrôle radioclinique présente une évolution stable. La patiente présente tout de même un manque de rééducation, en conséquence je fais une prescription de physiothérapie avec amélioration de la mobilité, renforcement musculaire et proprioception pour pouvoir se libérer des cannes et de tenir à nouveau une autonomie plus sécurisée. Instruction des exercices afin qu'elle puisse les faire de façon autonome. Nous referons un contrôle radioclinique à 1 an post-opératoire le 07.07.2020. En cas de péjoration de la situation, elle prendra directement contact avec nous. Le contrôle radioclinique présente une évolution tout à fait atteinte et favorable avec peu de déminéralisation osseuse. Charge progressive avec protection des cannes encore pour les 2 prochaines semaines. Prescription de physiothérapie avec but d'école à la marche, relâchement des chaînes postérieures et mobilisation articulaire et renforcement musculaire et proprioception. Pas d'arrêt de travail. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique le 25.02.2020. Le contrôle radioclinique se présente favorable avec une évolution lente. Prescription de séances de physiothérapie dans le but principal de renforcement musculaire, proprioception et relâchement des chaînes postérieures ; également par la suite du MTT 36 séances. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Le contrôle radiologique est plutôt rassurant sans lésion pathologique au niveau méniscal, ligamentaire, cartilagineux. Le corps de Hoffa est proéminent, ce qui peut expliquer une possibilité de cliquement. Également, la patiente présente un déconditionnement du genou. Nous lui proposons donc de la physiothérapie avec renforcement musculaire dans l'axe et avec proprioception. Suite des activités possible selon douleurs. Nous restons à disposition. Le contrôle scanographique à 6 semaines de la fracture est satisfaisant. Nous procédons à l'ablation du plâtre et prescrivons des séances de physiothérapie au patient pour mobilisation libre selon douleurs. Ce dernier souhaite reprendre le travail le plus vite possible. Nous lui prescrivons donc encore 2 semaines d'arrêt de travail et lui autorisons ensuite à reprendre son activité professionnelle. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 2 mois. Le CT ce jour confirme une fracture non déplacée de la tête de l'humérus droit. Selon l'avis orthopédique du Dr. X, nous immobilisons l'épaule dans un gilet orthopédique d'abduction et nous préconisons un contrôle à la consultation de Dr. X dans une semaine. Le CT du poignet droit confirme un arrachement de triquetrum droit. Selon l'avis orthopédique, on met en place un plâtre anté-brachial du poignet droit (avec immobilisation de pouce). Un contrôle à la policlinique orthopédique est prévu dans une semaine. Le CT-scan de l'épaule confirme une fracture du trochiter. Nous prenons l'avis orthopédique (Dr. X) qui propose un gilet orthopédique pendant 6 semaines. Physiothérapie avec mouvements passifs. Rendez-vous de contrôle à la policlinique (avec radiographie de contrôle) dans une semaine. Pas de sport pendant 6 semaines. Le CT-scanner montre la fracture du plateau tibial externe nécessitant une prise en charge chirurgicale. Nous discutons avec la patiente qui préfère être opérée en France, à Strasbourg, lieu d'origine de la patiente. La patiente bénéficie d'un certificat médical du 05.01.2020 au 12.01.2020. Le diagnostic d'une crise de goutte, pseudo-goutte, semble vraisemblable vu que le patient a bien réagi à la cortisone. Nous regardons les images conventionnelles qui avaient été faites au niveau du poignet droit. À ce niveau, nous ne mettons pas en évidence de calcification qui pourrait confirmer une crise de pseudo-goutte. Une crise de goutte peut être néanmoins évoquée en sachant que celle-ci ne fait pas de calcification. Nous continuons avec le schéma cortisone en dosage dégressif. Nous reverrons le patient dans 6 semaines. Dans l'intervalle, prescription d'ergothérapie. Le patient est suivi une fois par semaine par le Dr. X. Si l'on devait noter une nouvelle apparition de rougeur au niveau de sa main droite, il nous informerait et nous pourrions revoir le patient dans les délais les plus brefs. Actuellement, je ne pose pas d'indication pour un traitement par antibiotique. Le dosage des D-Dimères revient à 1110 ng/ml. Nous réalisons un CT-scanner thoracique qui infirmera une embolie pulmonaire. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 11.4 G/l et une CRP à 36 mg/l. À l'examen clinique, nous obtenons une défense en fosse iliaque droite. L'ultrason abdominal montre des lésions kystiques ovariennes de 5 et 4 cm, d'allure hyperéchogène et de contenu probablement hémorragique, peu de liquide libre dans le Douglas. Nous retenons un Kissing ovaries sign avec une suspicion d'endométriose. La patiente se rend par ses propres moyens, accompagnée de sa mère, à l'HFR Fribourg pour une consultation gynécologique. Le genu valgum est plus marqué en position debout en raison du valgus de l'arrière-pied des deux côtés. En position couchée, le genu valgum est nettement plus visible à gauche qu'à droite. Étant donné que cette patiente n'a que 8 ans et qu'il n'y a pas d'instabilité ni de douleur, je recommande un suivi dans 2 ans. En cas de persistance du genu valgum, un EOS du membre inférieur pourra être réalisé. Le laboratoire confirme la bonne évolution des tests hépatiques. Les sérologies virales reviennent négatives (hépatite E ancienne), faisant suspecter une origine médicamenteuse à l'hépatite (Pantoprazole). Ce médicament est donc mis en suspens. Vu l'évolution rassurante, nous proposons un prochain contrôle biologique à la filière des urgences ambulatoires dans 72 heures. Le patient présente par ailleurs des signes de gastrite. Vu la suspicion d'hépatite médicamenteuse, nous remplaçons le Pantoprazole par du Lansoprazole (30 mg 1x/jour pendant 2 semaines) et ajoutons du Riopan. Le patient amènera un prélèvement de selles lors du contrôle du 31.01.2020 afin de réaliser une recherche d'Ag H. Pylori. Il sera par ailleurs convoqué par le service de gastro-entérologie en vue d'une OGD.Concernant l'élévation de la ferritine, celle-ci pourrait entrer dans le contexte de l'hépatite. Nous préconisons donc un contrôle dans 3 semaines chez le médecin traitant ainsi que des tests hépatiques. En cas de ferritine élevée (500) avec des tests hépatiques normaux, nous proposons d'organiser une IRM hépatique avec protocole hémochromatose. Le laboratoire de contrôle montre une créatinine stable à 108 µmol/l, des leucocytes qui sont revenus dans la norme (de 13.1 G/l le 19.01 à 5.6 G/l le 21.01) et une CRP < 5 mg/l. L'évolution clinique et biologique étant bonne, nous proposons un suivi simple chez le médecin traitant. Nous n'avons pas les résultats de l'antibiogramme de l'infection à E.Coli mais, au vu de la bonne évolution clinique et biologique, nous ne contactons pas Mme. Y une seconde fois à la filière des urgences ambulatoires et lui proposons le suivi simple chez son médecin traitant. Mme. Y continue le traitement par Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pour un total de 7 jours. Le laboratoire d'entrée est rassurant. L'uricult est en cours, merci à nos collègues de Marsens d'appeler pour le résultat. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer visible. Durant son passage aux urgences, elle présente une hypertension artérielle 208/95 dans le contexte d'agitation. Elle reçoit Nifédipine 20 + 5 mg Lisinopril avec amélioration, cependant avec des moments d'élévation en lien avec sa crise d'agitation. Elle reçoit 1 mg Haldol pour son agitation avec peu d'effet, raison pour laquelle nous lui donnons 5 mg vers 18h20. Mme. Y est vue par la psychologue Dr. X, qui propose un transfert à Marsens Aubépine en placement à des fins d'assistance. Mme. Y refuse une hospitalisation en volontaire par les ambulanciers. Le laboratoire effectué aux urgences ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire, une radiographie du genou montre des signes radiologiques de tuméfaction, pas de calcification chondrale ou signe d'arthropathie. Au vu de la symptomatologie et des antécédents d'arthralgies au niveau des chevilles et des hallux, un diagnostic de gonalgie sur récidive de goutte est retenu et nous introduisons un traitement de Diclofénac. Concernant les cervico-brachialgies, une prescription de physiothérapie est faite. De plus, nous proposons à Mr. Y de revoir son médecin traitant. Le laboratoire effectué ne met pas en évidence d'anémie. Nous lui administrons du Nexium 80 mg en ivd. Étant donné un bilan rassurant, Mr. Y est autorisé à rentrer à domicile avec un traitement de Nexium 40 mg et de Perentérol. Nous lui conseillons de stopper les AINS et de prendre RDV avec son médecin traitant durant la semaine afin d'organiser une gastroscopie en ambulatoire. Le laboratoire effectué ne montre pas de syndrome inflammatoire, avec une CPR à 5 mg/l et des leucocytes à 7.4 G/l, pas de perturbation hépato-pancréatique, une urée et une créatinine dans la norme, une glycémie à 6.6 mmol/l, pas de trouble électrolytique franc, une hémoglobine à 143 g/l, pas de trouble de la crase. L'ECG est normal. Sur avis du Dr. X, chef de clinique interniste, nous prescrivons un traitement IPP d'épreuve par Nexium 40 mg à prendre 2 x/jour durant une semaine, puis 1 x/jour durant une semaine également, associé à une antalgie par Dafalgan et Tramal en réserve. Mme. Y se présentera à la consultation de son médecin traitant la semaine prochaine pour contrôle et discussion d'une oesogastroduodénoscopie à prévoir en ambulatoire afin d'exclure un Helicobacter pylori. Le laboratoire est dans la norme. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer visible. Nous concluons à un syndrome grippal pour lequel nous introduisons un traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Le laboratoire et l'ECG sont annexés. Une gazométrie artérielle a été réalisée. La radiographie du thorax réalisée est décrite ci-dessus avec le CT thoracique injecté. Mme. Y rentre à domicile avec un contrôle clinique et biologique chez son médecin traitant la semaine prochaine. Le laboratoire, la gazométrie artérielle et l'ECG sont mis en annexes. Nous donnons à Mr. Y du Diltiazem 20 mg iv avec FC à 103/min. Mr. Y rentre à Marsens en ambulance pour une suite de prise en charge psychiatrique. Nous lui prescrivons une antalgie de 1er palier en réserve. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 74 sans leucocytose. Nous suspectons une pneumonie débutante et introduisons du Tavanic 500 mg pendant 1 semaine. Mr. Y est avisé de reconsulter les urgences en cas de réapparition de hémoptisie. Le laboratoire montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 15 mg/l en relation probable avec un syndrome grippal. Mme. Y boit aux urgences 200 ml de Normolytoral, ce qui permet d'améliorer nettement son état général. Au vu de son bon état général, nous la laissons rentrer à domicile avec contrôle clinique à 48h chez le pédiatre (la maman va chercher un pédiatre) si persistance de l'état fébrile. Si difficultés d'hydratation à domicile, reconsulter de suite. Nous pisterons le frottis grippe par nos soins et tiendrons la maman informée des résultats. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 17.7 g/l et une CRP de 17 mg/l. Nous complétons le bilan avec une radiographie du thorax qui ne montre pas de franc foyer pulmonaire et un stix/sédiment qui montre une leucocyturie avec une hématurie. Nous prescrivons alors un traitement par Ciprofloxacine pour une durée totale de 1 semaine. Nous effectuons une radiographie de la colonne totale et du bassin qui ne montre pas de franche fracture nouvelle mais une augmentation de la scoliose par rapport au comparatif. Après avis du Dr. X, orthopédiste, nous retenons une contusion coccygienne et prescrivons un coussin circulaire ainsi qu'une antalgie, avec un contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Le laboratoire montre une hausse de la CRP et un taux normal des leucocytes. Le Dr. X, urologue de garde, considère qu'il n'y a pas d'indication à mettre une sonde double J en urgence et convoque Mme. Y à son cabinet le 06.01.2020 pour une réévaluation clinique et des examens supplémentaires si nécessaire. Nous conseillons à Mme. Y de continuer le traitement antalgique et alphabloquant PO prescrit la veille et de filtrer ses urines. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Le sédiment urinaire est propre. Nous effectuons un CT abdominal qui montre des séquelles d'iléite terminale en comparatif à l'examen de 09.2017, ainsi qu'un épaississement de l'iléon distal. Il n'y a pas d'infiltration de la graisse, pas de liquide libre. Nous prescrivons une antalgie simple par Dafalgan et Voltarène, ainsi que du Tramal en réserve, et demandons à Mme. Y de se rendre chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge, avec discussion d'une éventuelle colonoscopie à distance. Nous recommandons également un contrôle gynécologique. Le laboratoire ne trouve pas d'anomalie. Le CT cervical ne met pas en évidence de masse cervicale, ni d'adénopathie, ni d'autre lésion solide pouvant expliquer la dysphagie. Vu qu'une cause organique de la dysphagie a été exclue, nous organisons un TOGD à la filière des urgences ambulatoires la semaine prochaine à la recherche d'une cause fonctionnelle. Mme. Y rentre à domicile.Le mécanisme des douleurs nous évoque plutôt une tendinite débutante qui concernerait avant tout les extenseurs ainsi que le carré pronateur. Le morceau que Minh voit dans la glace correspond à la luette, qui n'est ni déviée ni tuméfiée. Traitement par Dafalgan et Algifor. Le neurologue confirme la présence d'une blessure au niveau du plexus, probablement d'origine traumatique avec aussi atteinte du nerf axillaire. Aujourd'hui, nous avons étudié les images avec une forte suspicion d'une rupture massive de la coiffe des rotateurs avec arthropathie débutante. Par contre, le patient n'a pas de douleur à l'épaule G. Dans ce contexte, poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie pour renforcer la musculature et atteindre la reprise fonctionnelle du nerf. Prochain contrôle dans 3 mois. Si aucune évolution, il faudra envisager une prise en charge chirurgicale. Le patient a bénéficié d'une stabilisation AC par un système Dog Bone en octobre 2019 qui malheureusement par la suite a lâché. Le patient se plaint actuellement surtout d'un manque de force qui l'empêche de reprendre son travail ainsi que les activités sportives. La symptomatologie douloureuse est peu gênante et l'examen clinique montre une certaine stabilité au niveau AC à la surélévation. On propose au patient un essai d'un traitement conservateur par infiltration AC et des séances de physiothérapie pour stabilisation de la musculature scapulo-thoracique. Par conséquent, on effectue ce jour une infiltration AC sous contrôle scopique et conditions stériles, en injectant du Dépo-Médrol Ropivacaïne. Bon effet immédiat sur la symptomatologie douloureuse. Prochain contrôle dans 6 semaines afin d'observer l'évolution sous traitement conservateur. Le patient a également été examiné par le Dr. X. Au vu de la réinsertion professionnelle du patient, nous nous décidons pour une attitude expectative. En cas de persistance de douleurs lors de son nouveau travail, alors nous envisagerons une nouvelle AS avec éventuelle suture du ménisque et débridement du kyste. Prochain contrôle en juin 2020. Actuellement, AT à 0% mais nous restons à disposition en cas de péjoration. Le patient a également été examiné par le Dr. X. Étant donné qu'il n'y a pas de déplacement de fragment et que la fracture est verticale, on opte pour un traitement conservateur. On enlève l'attelle jeans et on informe le patient qu'il est autorisé à une flexion maximale de 30-35°, charge partielle de 5 maximum 10 kg pour 6 semaines sous protection de Clexane. Physiothérapie pour renforcement musculaire et pour des exercices isométriques du quadriceps droit. On le reverra dans 5 semaines pour un contrôle radio-clinique. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 16.02.2020. Le patient a été reconvoqué en raison d'un doute sur la radiographie cervicale. Vu la clinique rassurante, nous ne complétons pas le bilan. Le patient a été vu par nos collègues rhumatologues qui ne proposent malheureusement pas d'autres mesures qu'une antalgie par anti-inflammatoires et la poursuite de la physiothérapie au long cours. Nous discutons avec le patient d'une éventuelle infiltration à but antalgique, à laquelle il réfléchira et, dans ce cas, il nous recontactera. Par ailleurs, nous précisons à son assurance qu'il s'agit en effet d'un accident dans les suites d'un traumatisme datant de septembre 2018, objectivé lors de plusieurs statuts réalisés à cette période. L'os trigone ayant été mis en évidence au CT n'est absolument pas responsable de la symptomatologie actuelle du patient (aucun signe de conflit postérieur au statut). Le patient a eu fracture de la 1ère phalange du pouce gauche. Il bénéficie d'un bilan radiologique qui met en évidence la fracture et nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde, qui propose une attelle Édimbourg avec des antalgiques. Le patient sera revu en consultation en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Le patient a l'impression d'avoir une gêne liée au matériel d'ostéosynthèse (vis tibiale). Une prise en charge chirurgicale peut être proposée sous forme d'ablation de ce matériel. Le patient sera convoqué pour ce geste. Le patient a rendez-vous à votre consultation le 03.02.2020 pour contrôle clinique et biologique. Il sera reconvoqué par le service de gastro-entérologie pour OGD. Le patient a répondu favorablement à son infiltration L5-S1 foraminale et malgré les signes d'arthrose facettaire avancée avec effet de masse sur l'émergence L5 ddc visualisés sur l'IRM, nous prévoyons un prochain contrôle clinique dans 6 mois. Le patient a repris le travail à 50% à partir de la consultation du 10.01 et ne rapporte pas de plainte. Au vu de cette bonne évolution clinique, nous décidons, avec le patient, de mettre fin au suivi en policlinique. Nous restons à disposition si besoin. Le patient a retrouvé une bonne extension au niveau de la PIP même si celle-ci n'est pas encore parfaite. Une amélioration semble être encore possible même si celle-ci risque d'être très lente. Concernant la DIP, aucune amélioration n'est à attendre. Comme mécanicien, la fonction de la main est également limitée. Une reconversion professionnelle est certainement à conseiller au patient. Nous reverrons le patient d'ici 3 mois. Le patient a un rendez-vous chez son urologue (Dr. X) demain, son dossier a été faxé ce jour. Le laboratoire de contrôle montre une stagnation du syndrome inflammatoire. Le patient a une hyperextension au niveau de la MCP, une lésion tendineuse zone 5 semble ainsi très peu probable. L'examen clinique ne démontre pas de signe d'infection. Le patient est actuellement encore sous antibiothérapie. Il continue pour deux jours supplémentaires, ainsi, il aura été 7 jours sous antibiothérapie. Ablation de l'attelle et mobilisation avec le soutien de l'ergothérapie. Contrôle clinique le 03.02.2020. Incapacité de travail prolongée jusqu'à cette date. Le patient arrive depuis Fribourg sans attelle. Radiographie du poignet le 04.12.2019 : rapport dans le système du 09.12.2019 - fracture. Radiographie du poignet refaite le 09.12.2019, mis en place d'une attelle. Pose de plâtre le 10.12.2019. Pas de charge sur le poignet, taurus autorisé. Radiographie de contrôle et consultation orthopédique le 17.01.2020 à 9h00 à la Policlinique d'Orthopédie à l'Hôpital de Riaz. Le patient ayant reçu les traitements nécessaires, nous surveillons le patient durant 4h00. L'urticaire s'estompe, le patient évolue bien cliniquement et nous prescrivons un traitement de Prednisone 50 mg avec Pantozol pendant 5 jours, avec du Xyzal 10 mg pendant 7 jours. Nous conseillons au patient la totale éviction du sésame et de faire attention lorsqu'il va au restaurant ou achète des plats préparés. Le patient rentre à domicile le 18.01.2020. Le patient bénéficie d'une immobilisation par attelle Aircast pour une durée de 3-4 semaines, avec marche en charge possible. Une consultation est prévue à 24 heures en policlinique d'orthopédie pour contrôle de l'évolution et décision de l'indication à un plâtre. Le patient consulte aux urgences de l'HFR Fribourg en raison de douleurs du flanc gauche présentes depuis le 01.01.2020. Au début, les douleurs étaient également importantes au niveau épigastrique et le patient relate une symptomatologie urinaire avec une brûlure mictionnelle et un épisode d'hématurie, le tout suivi d'urines plus foncées le 02.01.2020. Un épisode fébrile à 39°C le 01.01.2020. Le patient nie toute relation à risque. Il avoue consommer beaucoup d'alcool, environ 2 litres de bière par jour depuis 2 ans. Le patient est transféré à l'HFR Riaz pour suite de la prise en charge. À l'examen clinique aux urgences de l'HFR Fribourg, auscultation cardio-pulmonaire sans particularité. Sur le plan digestif, les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en intensité, l'abdomen est souple, douloureux lors de la palpation du flanc gauche et épigastrique profonde, sans masse palpable, sans organomégalie. Pas de défense, ni de détente. Patient anictérique.Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 116 mg/l et une leucocytose à 11 G/l. Présence d'une perturbation des tests hépatiques, GGT 254 U/l, perturbation des tests pancréatiques avec une lipase à 141 U/l. Le CT du 07.01.2020 met en évidence une pancréatite aiguë œdémateuse Balthazar C. Il n'y a pas de lithiase radio-opaque visible dans les voies biliaires. À noter un nodule de la lèvre postérieure du rein gauche de 9x9 mm, de densité tissulaire. Mr. Y est mis au bénéfice d'une hydratation et d'une antalgie par Tramal en réserve. L'évolution est favorable, tant sur le plan clinique que biologique, Mr. Y peut retourner à domicile le 12.01.2020. Il a rendez-vous à l'HFR Fribourg pour le 14.01.2020 à 11h30, afin d'exclure une cause biliaire. Mr. Y a été averti qu'il devra se présenter à jeun. Mr. Y consulte aux urgences pour des douleurs au niveau du gros orteil gauche, sans notion de traumatisme. Le bilan biologique montre une CRP <5 mg/l, des leucocytes à 13,1 G/l et un acide urique à 473 umol/l. La radiographie du gros orteil gauche ne montre pas d'atteinte osseuse. Mr. Y regagne son domicile avec un traitement de Colchicine pour 5 jours et une antalgie en réserve. Nous lui conseillons un contrôle chez son médecin traitant dans 3 jours. Mr. Y consulte les urgences parce qu'il a toujours les mêmes douleurs thoraciques (comme il y a deux jours). Pas de problème pour respirer, pas de facteur de risque cardiaque. Les analgésiques qu'il a pris ont aidé, surtout avec l'Irfen. Mr. Y consulte les urgences pour un syndrome grippal. Au vu de l'examen clinique rassurant, Mr. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est à prévoir d'ici 3-4 jours. Mr. Y consulte pour un syndrome grippal. Au vu de l'examen clinique rassurant, il rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Un contrôle clinique chez son médecin traitant est à prévoir d'ici 3-4 jours. Mr. Y consulte pour une douleur rétrosternale d'origine indéterminée. Un ECG révèle un rythme sinusal et régulier, sans signe ischémique. Le laboratoire ne retrouve pas d'élévation des enzymes cardiaques, ni des D-dimères. Nous réalisons également une radiographie du thorax qui est sans particularité. Dès l'admission, nous administrons 1 pulvérisation d'Isoket qui améliore les symptômes. Nous rassurons Mr. Y qui peut regagner son domicile avec une antalgie en réserve. Il consultera son médecin traitant pour une investigation d'un probable angor (examen planifié avant la consultation de ce jour). Mr. Y consulte suite à un traumatisme du pouce gauche en hyperextension. La radiographie du pouce gauche ne montre pas de fracture. Nous immobilisons le pouce par un gantelet. Mr. Y rentre à domicile avec une antalgie en réserve et un arrêt de sport. Contrôle clinique en policlinique d'orthopédie le 22.01.2020. Mr. Y consulte suite à une lombalgie depuis le 17.01.2020. Vu l'examen clinique rassurant, Mr. Y rentre à domicile avec un traitement par Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal. Nous mettons Mr. Y en arrêt de travail jusqu'au 24.01.2020. Il se rendra chez son médecin traitant pour contrôle clinique dans 3-4 jours. Mr. Y doit impérativement reprendre sa rééducation en physiothérapie et poursuivre le suivi chez son chirurgien. Pas d'argument ce jour pour une complication avec une plastie qui tient, un appareil ligamentaire latéral qui tient et une absence de signe clinique pour une infection post-opératoire. Attitude: • Prescription de physiothérapie. • Adaptation de l'activité professionnelle pour 1 semaine. • Suivi chez son orthopédiste traitant. Nous restons à disposition au besoin pour faire le relais en cas d'absence de suivi. Mr. Y est accompagné par un ami qui fait la traduction. On discute des différentes options thérapeutiques. D'un côté, il y a la possibilité d'implantation de PTH D pour avoir une hanche D plus fonctionnelle et diminuer la douleur. L'autre option est une attitude observatrice avec un contrôle dans 6 mois, dès qu'on verra un collaps de la tête on procèdera à ce moment-là à l'implantation d'une PTH D. Mr. Y préfère la 2ème option raison pour laquelle on donne un bon pour la physiothérapie, on prolonge l'incapacité de travail à 100% vu qu'il a un travail manuel jusqu'à fin février 2020 et on revoit Mr. Y pour un contrôle radio-clinique le 07.07.2020 ou plus vite en cas de problème. Mr. Y est actuellement dans une phase favorable et la situation est chronique. Nous lui donnons ce jour 2 bons de physiothérapie, un pour le dos et un pour la fasciite plantaire. Selon le nombre de crises sur une année, nous pourrons discuter d'une éventuelle prise en charge chirurgicale mais pour l'instant, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle et restons à disposition. Mr. Y est algique à la prise en charge nécessitant l'application d'Oxybuprocaïne gouttes. Nous ne visualisons pas de corps étranger au test à la Fluorescéine. Nous demandons l'avis de l'ophtalmologue de garde de l'HFR Fribourg qui propose de mettre un bandage compressif de l'œil droit avec Vitamine A et Tobradex. Mr. Y a rendez-vous le 15.01 à 08h00 à l'HFR Fribourg dans le service d'ophtalmologie pour une évaluation spécialisée. Le tétanos n'étant pas à jour, nous faisons un rappel aux urgences. Mr. Y est asymptomatique. Il persiste uniquement une légère perte de mobilité. Poursuite de la physiothérapie. Reprise du travail à partir du 16.01.2020. Contrôle radio-clinique dans 3 mois. Mr. Y est aussi examiné par le Dr. X. Il s'agit plutôt d'une surcharge du compartiment médial du genou gauche. Mme. Y est très sportive. Poursuite avec de la physiothérapie et des exercices de stretching que Mme. Y effectuera elle-même à la maison de manière journalière. Mme. Y pratique de la plongée sous-marine en Afrique. Elle peut continuer sans exagération. Prochain contrôle dans deux ans. Mr. Y est aussi examiné par le Dr. X. L'évolution est tout à fait favorable à 4 mois post-opératoire. Poursuite de la physiothérapie avec renforcement musculaire. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle d'ici 3 mois. Mr. Y est aussi examiné par le Dr. X. On discute des images intra-opératoires. Poursuite avec la physiothérapie pour renforcement musculaire. Globalement, l'évolution est favorable. Nous reverrons Mr. Y dans 2 mois pour faire le point concernant les douleurs sur le ménisque interne. En cas de suspicion de non-cicatrisation du ménisque, nous organiserons une IRM du genou opéré. Mr. Y est connu pour une gonarthrose tricompartimentale à droite surtout au niveau de l'articulation fémoro-patellaire. On discute avec lui d'une prise en charge chirurgicale pour implantation d'une prothèse totale du genou droit, ainsi que resurfaçage de la rotule. L'opération est prévue pour le 28.01.2020. Nous avons rediscuté avec Mr. Y des bénéfices et des risques de l'intervention, surtout proche de cet épisode de pneumonie, d'un risque élevé d'avoir une infection prothétique. Il a signé le consentement éclairé. Mr. Y et sa femme vont rediscuter s'il souhaite vraiment la prise en charge chirurgicale en janvier ou si l'on repousse l'intervention de 2-3 mois. Ce jour, il a également été vu par les anesthésistes pour discuter de la prise en charge. Mr. Y est connu pour une insuffisance de la plastie du LCA suite à l'ablation des vis d'interférence. Il présente beaucoup d'épisodes d'instabilité avec des sensations de subluxation surtout lors des mouvements de pivot, qui est positif cliniquement. Face à cette situation, nous discutons avec Mr. Y qu'il nécessite une nouvelle plastie du LCA avec un renfort externe par une bandelette du tractus ilio-tibial. Afin d'évaluer au mieux les anciens tunnels qui sont encore bien visibles à l'IRM de décembre 2019, nous organisons un CT-scanner et nous le reverrons après cet examen pour discuter des suites à entreprendre.Le patient est convoqué chez son pédiatre à votre consultation pour un contrôle de la fonction rénale à 48h, le 24.01 à 9h30. Hydratation régulière avec un minimum de 2 litres par jour. En cas de fièvre pas d'Ibuprofen. Le patient est également examiné par le Dr. X. Evolution favorable. Poursuite avec une charge max. de 5 kg. Antibiothérapie par Bactrim forte 3x/j pour encore 2 semaines. Prochain contrôle avec rx le 24.01.2020. Le patient est en excellent état général et reste en surveillance durant 2 heures aux urgences où il arrive à boire 50 ml d'eau et mange quelques cuillères de compote, bien toléré, sans récidive de vomissement. Il fait également une sieste et maintient une bonne saturation au sommeil. Dans ce contexte, Mr. Y rentre à domicile avec consigne d'hydratation fractionnée. Le patient est hospitalisé pour stabilisation et surveillance. Cependant, quelques heures après son arrivée, il présente un nouvel épisode de saignement. Une prise en charge au bloc opératoire est effectuée immédiatement. Les suites sont simples et exsangues. Mr. Y rentre à domicile en bon état général. Le patient est informé de la possibilité de l'ablation du matériel si celui-ci venait à le gêner, mais pour l'instant il est satisfait de la situation et ne ressent quasiment pas le clou, raison pour laquelle il décide de le garder et reprendra contact avec nous dans le cas contraire. Le patient est informé de la reprise progressive de la charge sur le membre inférieur D. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge de la moitié de son poids. Prolongation de l'arrêt de travail avec une reprise progressive durant les prochaines semaines. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour entretenir les amplitudes articulaires, la proprioception et la mobilisation progressive de la cheville. Nous le reverrons pour un dernier contrôle clinique dans 6 semaines. Le patient est orienté et collaborant. Il rapporte que les céphalées ont diminué après l'administration d'un Dafalgan à 15h30. Il ne se plaint plus de nausées ni de vertiges à l'entrée. L'examen clinique neurologique est sans particularité clinique. Après avis pédiatrique, nous proposons à la famille une surveillance à 6 heures de la chute aux urgences. La proposition est refusée par le père qui préfère quitter les urgences contre avis médical. Il a été informé des risques et des symptômes cliniques qui peuvent être engendrés par une chute avec traumatisme crânien. Une décharge de responsabilité a été signée par Mr. Y né le 05.02.1970 et ils ont rejoint le domicile. Le patient est prié de prendre des notes de l'évolution des douleurs (probablement difficile à cause des problèmes de communication). Nous prévoyons un prochain rendez-vous dans 6 semaines. Le patient est reconvoqué le 01.01.2020 pour effectuer un ultrason abdominal complet, suite à une chute à ski, à la recherche d'une lésion de la rate ou la présence de liquide libre dans l'abdomen. Le patient est satisfait du résultat au niveau de ces 2 poignets. Pour rappel, il avait refusé à plusieurs reprises une prise en charge chirurgicale et il ne souhaite actuellement pas poursuivre les investigations en regard du poignet G. Nous lui prescrivons un nouveau bon de physiothérapie afin d'améliorer encore la force au niveau des fléchisseurs et des extenseurs de l'avant-bras. Étant donné que le patient n'est pas très gêné par ces douleurs au niveau de la styloïde ulnaire et que ces douleurs-là sont en train de s'améliorer, nous proposons de faire le contrôle à 1 an du traumatisme au sein de l'équipe main. Nous restons bien évidemment à disposition en cas de problème. Le patient est soulagé après l'administration de 16 mg de Morphine et regagne son domicile en compagnie de la famille. Le patient est surtout gêné par ses douleurs et cette instabilité au niveau externe dans ce contexte d'insuffisance ligamentaire. Nous prévoyons une ligamentoplastie selon Blanchet. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des suites, avec une hospitalisation de 3 jours et une immobilisation plâtrée d'au moins 6 semaines. Il signe le formulaire de consentement éclairé après avoir reçu nos explications traduites par le traducteur. Dans le même temps opératoire, nous allons tenter d'aborder les ostéophytes du côté externe. L'intervention est prévue pour le 03.03.2020 avec une hospitalisation de 3 jours environ. Le patient est très angoissé par ses cervicalgies. Nous rassurons le patient et lui recommandons de poursuivre le traitement de Sirdalud ainsi que la physiothérapie. Le patient aura un contrôle chez son médecin traitant dans la semaine. Le patient est vu avec le Dr. X, on lui prescrit de la natation et on lui donne les indications d'hygiène posturale afin d'éviter des surcharges au niveau de la colonne lombaire. Au vu de la bonne évolution clinique, nous prévoyons un nouveau contrôle clinique dans 2 mois à notre consultation afin d'évaluer l'évolution et éventuellement mettre un terme au traitement. Nous restons à disposition en cas de survenue d'un nouveau problème dans l'intervalle. Le patient est vu par l'ORL qui fait une réduction de la luxation bilatérale. Il peut rentrer à domicile avec une antalgie. Le patient est vu par l'orthopédiste de garde. La plaie étant sans particularité, nous changeons les pansements. Il poursuivra les changements de pansement tous les 2 jours (Ialugen plus, avec Adaptic et compresse). Le patient sera vu en consultation à la policlinique dans 8 jours chez Dr. X. Le patient marche avec des chaussures sans semelle rigide et ne présente pas de boiterie ni de douleur. Une reprise du travail à 100 % est programmée pour le 13.01.2020. Devant cette bonne évolution radio-clinique, nous mettons fin au suivi en policlinique d'orthopédie. Nous restons à disposition en cas de péjoration des symptômes. Le patient montre une bonne évolution à 6 semaines de traitement par physiothérapie. Nous demandons au patient de poursuivre régulièrement les exercices d'étirements à la maison et aussi de terminer les 9 séances de physiothérapie qui lui restent. Nous reverrons le patient uniquement en cas de besoin. Il s'annoncera à notre consultation si nécessaire. Le patient montre une bonne évolution de ses symptômes permettant son retour à domicile le 10.10.2020 en bon état général avec un rendez-vous de contrôle en ORL. Le patient montre une instabilité persistante de son épaule G avec également une tendinopathie de la coiffe des rotateurs. Actuellement, le patient est en train d'avoir un sevrage pour son problème d'alcoolisme. De plus, il a un contrôle chez le Professeur X au Sonnenhof Spital la semaine prochaine, raison pour laquelle on trouve que c'est important d'avoir les résultats de cette consultation et d'attendre également le sevrage alcoolique du patient avant d'entreprendre d'éventuelles étapes chirurgicales. Entre-temps, on continue de faire de la physiothérapie. Prochain contrôle dans 2 mois. D'ici là, on prie le médecin traitant, Dr. X, d'adapter l'antalgie avec le patient car il ressent que cette médication est trop faible pour ses douleurs.Le patient n'a malheureusement pas eu suffisamment d'ergothérapie et de physiothérapie pour la mobilisation de son pouce. La mobilité actuelle ne lui permet pas de reprendre son activité professionnelle comme menuisier. Prescription de physiothérapie 2 à 3 fois par semaine. Poursuite de l'incapacité de travail. Nous prévoyons un contrôle clinique dans 6 semaines. Le patient n'a pas encore bénéficié de physiothérapie, ce que l'on prescrit ce jour. Nous ne voyons pas de limitation au fait que le patient puisse partir en voyage dans 2 semaines. Au vu de l'évolution très favorable, sans aucun symptôme, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. Le patient n'a pas encore récupéré sur le plan nerveux et présente une déformation en griffe cubitale de la main gauche. A noter que l'électrostimulation en physiothérapie n'a pas pu être réalisée étant donné que la plaque motrice est trop petite pour la main du patient. Nous expliquons au patient et à sa mère que le potentiel de récupération nerveuse à son âge est très bon. Il poursuivra des séances d'ergothérapie et de physiothérapie de manière plus espacée et nous le reverrons pour un contrôle clinique en mars 2020. Le patient n'ayant pas de MT, nous effectuons le suivi de la plaie au Secteur Ambulatoire des Urgences. Prochain contrôle à 48 heures. Le patient ne nécessite pas de point de suture. Nous désinfectons la plaie avec de l'Hibidil et mettons un pansement Opsite spray. Le patient rentre à domicile avec une antalgie. Nous lui donnons la feuille de surveillance neurologique. Le patient ne présente pas d'amélioration de mobilisation au niveau de l'interphalangienne malgré l'ergothérapie. Nous demandons au patient de faire, en plus, de la physiothérapie, les douleurs qu'il ressent sont certainement dues à une contracture de la capsule articulaire du côté dorsal. Nous expliquons encore au patient la nécessité de faire de la mobilisation passive. Nous le reverrons d'ici 2 mois. Il ne nécessite pas d'incapacité de travail. Le patient ne souhaite pas d'intervention chirurgicale. Le patient ne veut pas attendre. Retour à domicile avec consignes de reconsulter si aggravation des symptômes. Le patient n'est pas désireux d'une prise en charge chirurgicale ni d'une poursuite d'un traitement conservateur par physiothérapie. Nous décidons donc de terminer le traitement en policlinique. En cas de péjoration des plaintes ou de nouvelle demande du patient, nous restons à disposition pour le revoir en consultation ou nous vous invitons à lui prescrire de la physiothérapie afin d'essayer d'atténuer ses douleurs ou d'améliorer sa mobilité de l'épaule. Le patient nous consulte suite à morsure de son chien. La radiographie du 2ème doigt de la main gauche ne montre pas d'atteinte osseuse. Sous anesthésie locale par Rapidocaïne et Bicarbonate, nous effectuons un rinçage abondant de la plaie. La plaie ne montre pas d'atteinte des structures nobles et nous mettons en place un pansement stérile. La main est immobilisée dans une attelle Edimbourg. Le patient a reçu une dose de Co-amoxicilline 2200 mg iv aux urgences. Son tétanos est à jour. Le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve et du Co-amoxicilline per os pendant 3 jours. Un prochain contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires est prévu le 19.01.2020 à 8h, patient à jeun. Le patient nous décrit les symptômes typiques d'une coxarthrose avancée, les RX nous montrent également une importante dégénération de l'articulation. Le patient est gêné dans ses activités quotidiennes et a une importante diminution de l'amplitude de l'articulation. En raison d'une suspicion de torsion fémorale pathologique, nous allons d'abord procéder à un CT scan pour mesurer la torsion fémorale. Nous planifions également le 26.03.2020 pour l'implantation d'une PTH G par voie antérieure chez le Dr. X. En raison d'une prise de Prednisolone, nous allons voir au niveau intra-opératif si la tige sera cimentée ou pas. Nous réalisons le consentement et remplissons le formulaire d'anesthésie. Le patient nous décrit l'histoire d'une instabilité de la cheville D. Néanmoins, le patient ne se plaint pas de douleurs. Nous expliquons au patient la possibilité de réaliser une prise en charge opératoire avec plastie ligamentaire afin d'augmenter la stabilité de sa cheville. Le patient souhaite encore réfléchir. Nous remettons au patient une ordonnance de physiothérapie afin de continuer les séances de renforcement de la proprioception. Le patient s'annoncera à notre consultation en fonction de sa décision. Pas de prochain rendez-vous à organiser. En ce qui concerne la boursite trochantarienne, nous donnons au patient une ordonnance d'anti-inflammatoires ainsi que des séances de physiothérapie. Le patient nous recontacte. Le patient part sans consultation médicale. Le patient passe actuellement une période de crise avec beaucoup de stress et de pression entre ses études et son travail. Il présente un épisode dépressif moyen aigu depuis 4 semaines. Nous proposons au patient de faire un arrêt de travail pendant une semaine, ce qu'il refuse. Nous lui prescrivons du ginkgo 80 mg pour les troubles de la concentration et proposons un RDV de contrôle le 17.01.2020 et de consulter un psychiatre afin d'investiguer la suspicion d'une hypomanie. Nous contacterons le patient si les résultats du laboratoire reviennent positifs. Le patient passe la nuit en surveillance aux urgences dans le contexte d'une déshydratation modérée après échec de pose de voie veineuse périphérique, une réhydratation per os par Normolytoral est débutée et bien tolérée. Au vu du nombre important de vomissements précédant l'arrivée aux urgences, nous proposons une surveillance aux urgences durant la nuit, qui se déroule sans récidive de vomissement et amélioration de l'état général. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile le 17.01 avec consigne d'hydratation fractionnée. Le patient peut rentrer à domicile une fois le corps étranger évacué dans le tube digestif. Nous lui conseillons de boire aussi lorsqu'il mange et de couper en petits morceaux la nourriture. Le patient peut reprendre toutes ses activités sans limitation. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Le patient peut reprendre une activité quotidienne tout à fait normale. Nous reverrons le patient pour un contrôle radio-clinique à 6 mois de l'opération. A ce moment-là, nous discuterons avec le patient de la possibilité d'une ablation de matériel d'ostéosynthèse. Vu qu'il n'est absolument pas gêné, celle-ci ne s'avère pas nécessaire. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Le patient prendra rendez-vous pour contrôle clinique et biologique à votre consultation à 1 semaine. Prévoir un rendez-vous chez un urologue à distance. Le patient prendra rendez-vous pour un suivi clinique rapproché chez son médecin traitant pour réintroduction du Torasémide selon profil tensionnel et état volémique.Le patient présente au contrôle clinique une gonarthrose débutante avec un diagnostic différentiel de kyste de Baker ou de lésion méniscale. Nous proposons alors d'approfondir le diagnostic avec une IRM et nous le reverrons par la suite. Jusque-là, je lui prescris de la physiothérapie pour relâchement des chaînes postérieures et renforcement musculaire dans l'axe selon douleurs. Le patient présente au niveau de son genou gauche avec un léger varus, une lésion du ménisque externe ou nous proposons un traitement conservateur. Physiothérapie, école à la marche avec charge selon douleurs et antalgie avec relâchement des chaînes postérieures. Le patient présente également des douleurs au niveau de la cheville et de la hanche avec une typologie nerveuse. En conséquence prescription de nouvelle antalgie par Dafalgan, Novalgine et Brufen ainsi que protection gastrique avec du Redoxon. Nous prions la SUVA de convoquer d'être évalué par le médecin de SUVA comme il présente une atteinte de différente articulation qui diminue le pronostic favorable. Il est bien possible que s'il pourrait profiter d'aide additionnelle cela améliorerait le outcome. Arrêt de travail à 100%. Nous reverrons le patient à la mi-février. Le patient présente clairement les symptômes d'une infection virale des voies aériennes supérieures. Nous donnons un traitement symptomatique (Triofan, Triomer, Zovirax, Irfen). Malgré l'absence de critère ce jour pour une angine bactérienne au vu de l'évolution positive sous clarithromycine, nous proposons au patient de poursuivre le traitement comme prescrit. Nous mettons le patient en arrêt maladie. Le patient présente cliniquement et sur l'EMG clairement un syndrome du tunnel carpien G. Étant donné sa gêne bien localisée, je me permets de proposer une cure de tunnel carpien. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue le 25.02.2020. Le patient présente des douleurs de hanche D sur un conflit fémoro-acétabulaire sur déformation de la tête fémorale de type cam avec une antétorsion fémorale D normale. Nous lui expliquons la possibilité d'une correction par arthroscopie de hanche dans le cas où les douleurs auraient une répercussion sur sa vie quotidienne. Le patient souhaite réfléchir d'autant plus qu'il n'est actuellement gêné que dans les activités sportives. Nous proposons alors de le revoir dans 6 mois pour un prochain contrôle clinique. Le patient présente des douleurs lombaires depuis la veille au matin. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ni d'insuffisance rénale. Le sédiment urinaire est dans la norme. Au vu d'un examen clinique et biologique rassurant, le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Le patient présente des syncopes situationnelles avec des malaises vaso-vagaux. Il bénéficie d'un laboratoire qui retrouve une hypokaliémie à 3.3. Nous supplémentons et conseillons au patient de manger des bananes. Le patient bénéficie également d'un ECG qui est sinusal et sans signes ischémiques ni bradycardie. Concernant les douleurs abdominales, le patient bénéficie d'un lavement avec du Freka Clyss qui le soulage. Il est observé aux urgences et retourne à domicile avec du Laxoberon en réserve. Le patient présente donc une arthrose de la MTP1 du pied D avancée ainsi qu'une arthrose modérée de la MTP1 du pied G. Il est cependant plus gêné par une hypoesthésie des deux pieds pouvant correspondre à une neuropathie périphérique. Nous prions nos collègues de l'HFR de convoquer le patient et d'explorer cette probable neuropathie périphérique. Nous reverrons le patient par la suite pour discuter avec lui d'une éventuelle prise en charge chirurgicale de l'arthrose de la MTP1 à D. Le patient présente encore des douleurs au niveau du pli de l'aine, il a repris son travail à 100% (bureau). Nous lui prescrivons encore des séances de physiothérapie afin de continuer le renforcement du membre inférieur. De plus, nous lui organisons une AMO des vis au niveau du grand trochanter et nous réalisons le consentement. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle à 6 mois de l'opération le 31.03.2020 pour un nouveau contrôle radioclinique. Le patient présente la lésion susmentionnée lors d'une chute de sa hauteur et présente une impotence fonctionnelle importante, raison pour laquelle le Dr. X retient l'indication à une réinsertion de la coiffe des rotateurs et à une ténodèse du long chef du biceps, intervention qui se déroule sans complication le 14.01.2020. Les suites opératoires sont simples, avec bonne gestion des douleurs. Le pansement Comfeel est étanche et les plaies sont calmes et propres. Il n'y a pas de trouble neuro-vasculaire du membre supérieur gauche en post-opératoire et une immobilisation par coussin d'abduction est en place pour une durée de 6 semaines. Par ailleurs, il bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive en abduction/élévation 90°, rotations libres. Pas de flexion active forcée au niveau du coude, pas d'extension passive brusque. Vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 17.01.2020. Le patient présente le diagnostic susmentionné. Il présente un flexum réductible qui doit être pris en charge en physiothérapie pour regagner l'extension complète. Décharge à cause de la micro-fracture encore pour 2 semaines puis charge progressive par la suite. Mobilisation jusqu'à la prochaine consultation avec les cannes. Physiothérapie pour relâchement des chaînes postérieures et école à la marche. Le patient est jeune avec des activités de skate et de snowboard et présente effectivement une indication d'une prise en charge chirurgicale mais nécessite tout d'abord une bonne rééducation. Nous reverrons le patient dans 4 à 6 semaines. Le patient présente les symptômes d'une coxarthrose avancée. De plus les RX soulignent la dégénération de l'articulation. L'antalgie ne l'aurait pas suffisamment soulagé et il a encore d'importantes douleurs surtout la nuit, ces douleurs typiques d'une coxarthrose localisée au pli de l'aine. Nous convenons donc avec le patient de procéder à une implantation d'une PTH G, nous réalisons le consentement et lui donnons une date opératoire au 29.01.2020. Le patient présente les symptômes d'une IVRS pour laquelle nous instaurons un traitement symptomatique. Par contre l'oppression thoracique reste d'origine peu claire, le patient se sent un peu soulagé après inhalation avec Atrovent et Ventolin raison pour laquelle une trachéite est possible, traitement par Symbicort et AINS. Si persistance des symptômes, le patient doit reconsulter sans faute son médecin traitant. Le patient présente principalement des lésions longitudinales et non-transfixiantes des tendons sus-épineux et sous-épineux pour lesquelles je ne propose pas de traitement chirurgical. On peut s'attendre à une amélioration de la situation. Je conseille la poursuite de la physiothérapie pour récupérer la mobilité de l'épaule et renforcer la coiffe des rotateurs. Je n'ai pas prévu de nouveau rendez-vous ni d'arrêt de travail. Je laisse au médecin traitant le soin de gérer l'arrêt de travail. Je me tiens à disposition si la situation ne s'est pas améliorée d'ici 2 à 3 mois. Le patient présente probablement une névralgie latéro-thoracique gauche sans red flags suite au faux mouvement effectué ce matin. Nous prescrivons une antalgie et proposons au patient de reconsulter en cas de péjoration des symptômes malgré le traitement antalgique. Le patient présente toujours un épanchement articulaire qui ne s'est pas résorbé complètement. Je propose de continuer la physiothérapie à but de drainages lymphatiques et pour tonifier le muscle quadriceps. J'explique au patient que l'épanchement articulaire fait dévier la rotule ce qui pourrait expliquer qu'elle se croche lors des mouvements de flexion-extension. On pourra juger du degré du conflit mécanique seulement une fois que l'épanchement articulaire sera complètement résorbé.Je le revois dans 2 mois le 4.3.2020 pour une réévaluation clinique. Le patient présente très probablement une irritation du tractus ilio-tibial sur les 2 vis trochantériennes. Nous proposons alors une ablation des 2 vis. Les bénéfices et les risques de l'intervention sont expliqués au patient qui les accepte et signe le consentement éclairé. L'opération est agendée pour le 05.03.2020. Le patient présente un nouvel épisode de gonarthrose. Comme le patient a démontré un effet positif après l'infiltration il y a 6 mois, je propose une nouvelle infiltration surtout qu'il planifie de partir en février au Rwanda. Je lui prescris également des séances de physiothérapie avec relâchement des chaînes postérieures et renforcement dans l'axe. Nous planifions dans la première semaine de janvier une infiltration avec Ropivacaïne et Corticoïde DépoMédrol. Jusque-là, antalgie par AINS possible. Le patient présente un problème mécanique d'une part avec une formation du petit trochanter proéminent qui mène à un conflit antérieur également avec une probable rotation externe diaphysaire plus augmentée qui peut provoquer un conflit postérieur. A l'heure actuelle, nous préconisons un traitement conservateur avec adaptation de l'ergonomie dans le but d'une élévation de la hanche G pour éviter une flexion au-delà de 70°. En cas de chirurgie, il présente un énorme risque car les structures nobles (artères, veines et nerfs) sont directement en médial de l'exostose du petit trochanter. D'autre part, les RX effectuées du rachis lombaire du 19.12.2019 montrent une possible cintering des vertèbres 3 et 4. En conséquence, nous prions nos collègues de l'équipe du rachis de convoquer le patient dans 8 semaines pour laisser effectuer un contrôle radiologique car le patient, au vu de son autisme et mutisme, se tient difficilement calme à long terme pour effectuer une IRM. Le patient présente une atteinte de la coiffe des rotateurs faisant possiblement suite à la luxation antérieure de l'épaule. En raison de l'âge du patient, nous recommandons une prise en charge conservatrice avec séances de physiothérapie. Mobilisation libre de l'épaule selon douleurs. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Le patient présente une bonne évolution à 3 mois post-traumatique. Il peut reprendre toutes ses activités, néanmoins, les activités à haut risque de choc comme le ski sont pour l'instant à éviter. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique dans 3 mois. Le patient présente une bonne évolution à 6 semaines post-opératoires. En présence d'une ostéomyélite chronique, l'écoulement au niveau du pôle distal est tout à fait normal. Nous recommandons la poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim à vie. Prochain contrôle radioclinique à notre consultation dans 7 semaines le 03.03.2020. Le patient présente une bonne évolution clinique, néanmoins nous ne pouvons pas juger l'évolution radiologique, raison pour laquelle nous prescrivons de poursuivre l'immobilisation par corset 3 points, ainsi que prolongation de l'arrêt de travail qui sera réévaluée lors du prochain contrôle prévu pour le 11 février prochain. A ce moment-là, on réévaluera la clinique et comparera l'évolution radiologique sur les 6 semaines suivant l'accident. Dans l'intervalle, le patient est autorisé comme il fait maintenant à enlever le corset pendant la nuit et pour se doucher. Il est renseigné par rapport à des mesures d'hygiène posturale et nous recontactera en cas de mauvaise évolution ou apparition de troubles neurologiques. Le patient essaie d'obtenir un CD contenant les examens mêmes. Le patient présente une bronchite aiguë en phase humide. Nous réalisons une radiographie du thorax qui ne retrouve pas de foyer de condensation. Le patient ayant déjà un traitement adapté, nous lui conseillons de continuer le traitement et lui donnons un arrêt de travail pour 1 semaine. Le patient ne souhaitant pas encore de prise en charge de la tuméfaction inguinale du fait de l'absence de symptôme, nous lui expliquons l'évolution probable et lui laissons le soin de prendre contact avec un chirurgien au besoin. Le patient présente une crise de goutte du genou droit, nous le laissons rentrer à domicile avec AINS et novalgin, nous proposons un contrôle chez le médecin traitant à 3 semaines avec dosage de l'acide urique et bilan des FRCV. Consigne de revenir si pas d'amélioration les prochains jours. Le patient présente une déformation de l'ACC gauche, un acromion prédominant (connu selon le patient) et des douleurs à la palpation de l'ACC et de la face antérieure de l'épaule. La mobilité active est réduite par la douleur. Face à cela, nous décidons de mettre en place une bretelle et un traitement antalgique simple pour une luxation ACC de stade 3. Le patient sera revu en consultation d'orthopédie dans 7-10 jours pour un contrôle clinique. Le patient présente une entorse modérée de l'articulation AC avec un déplacement de la clavicule surtout dans le sens crânio-caudal et peu dans le sens antéro-postérieur. A l'IRM, les ligaments coraco-claviculaires semblent encore intacts dans environ 30% de leurs portions. Cela laisse de bonnes chances de guérison avec un traitement conservateur. Comme garde forestier, le patient est à l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 02.02.20, puis à 70% à partir du 02.02.20 au 04.03.20. Nous expliquons au patient qu'il doit compter sur une incapacité de travail pendant environ 2 mois. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Le patient présente une évolution atteinte 6 semaines post-opératoires. Nous proposons désormais que le patient soit suivi avec de la physiothérapie avec le but principal de renforcement, de l'école à la marche et de proprioception. Prise d'antalgique selon la nécessité. Continuation du traitement nécessaire concernant l'adénocarcinome. De notre part, nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique dans 3 mois le 07.04.2020. Le patient présente une évolution radioclinique très favorable 2 mois après l'opération. L'opération de la hanche G, qui a été planifiée pour le 15.01.2020, avait été supprimée en raison d'une période de convalescence trop courte. Le patient désire cependant l'opération de sa hanche G le plus vite possible. Nous arrivons donc à lui organiser une nouvelle date d'opération pour ce vendredi 17.01.2020. Jusqu'à la prochaine opération, nous lui établissons encore un certificat médical. Le patient présente une évolution radiologique satisfaisante. C'est pour cela que nous encourageons le patient à maintenant commencer à augmenter la charge et de mettre une charge de 30 kg sur sa hanche D et il pourra également commencer la physiothérapie. Cependant, une abduction contre résistance est pour l'instant interdite. Nous allons revoir le patient d'ici 6 semaines afin de réévaluer l'évolution radioclinique. Nous encourageons également le patient à continuer d'aller régulièrement chez le médecin traitant afin de contrôler les paramètres d'inflammation. Le patient présente une évolution très favorable. Au niveau radioclinique de ses fractures de l'avant-bras, de l'épaule et du grand trochanter à G. Concernant les fractures du membre supérieur, nous encourageons le patient à continuer la physiothérapie avec la mobilisation des articulations. Concernant la hanche G, en vue de la bonne consolidation, nous allons encore laisser le bandage de Haumann avec une déambulation en fauteuil et nous reverrons le patient le 03.03.2020 pour un contrôle radioclinique de toutes les fractures pour noter l'évolution de la consolidation et éventuellement passer à la charge totale si tout est en place.Le patient présente une gêne du matériel pour laquelle nous allons proposer une ablation. Avant cela, nous organisons un CT afin de vérifier qu'il n'y ait pas d'ostéophyte ou de fragment osseux mal réduit qui pourrait expliquer l'image du côté interne et qui pourrait donc nécessiter un geste qui se fera durant l'intervention. Nous le reverrons suite au CT pour planifier l'AMO. Le patient présente une infection urinaire que nous traitons par Ciproxin pour 7 jours. Nous invitons le patient à reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie ou apparition de nouveaux symptômes (écoulement urétral, tuméfaction testiculaire, douleurs loges rénales...) Le patient présente un kyste classique du versant palmaire et radial de son poignet G. Étant donné la gêne, je préconise l'excision de ce kyste. Mr. Y est informé du déroulement intra- et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention prévue pour le 09.03.2020. Le patient présente une paralysie faciale périphérique depuis 4 jours avec magnésie. Nous instaurons un traitement de Prednisone, Acyclovir, des larmes artificielles et un cache-œil. Nous proposons de revoir le patient en contrôle clinique dans 1 semaine à la FUA pour évaluation. Le patient présente une plaie du scalp de 2 cm. Nous faisons une désinfection avec Chlorhexidine, une anesthésie locale et une suture avec 2 points séparés en utilisant du fil 3-0 non résorbable. Le Tétanos est à jour. Il peut rentrer à domicile avec une antalgie. Un contrôle clinique chez le pédiatre dans 48 h sera à organiser ainsi que l'ablation des fils à J7. Le patient présente une plaie superficielle de 1 cm au niveau de la pulpe du pouce droit que nous désinfectons et appliquons un pansement simple. Il rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 26.01 et il refera le pansement 1 fois/24 h à domicile. Le patient présente une plaie superficielle rectiligne sur le rebord ulnaire de la 2ème phalange du pouce droit. Nous faisons une désinfection, une suture par 4 points simples à l'Ethilon 4-0, mettons une compresse et une bande Cofix. Nous faisons un rappel anti-tétanique. Le patient peut rentrer à domicile. Le contrôle de la plaie se fera à 48 h par l'infirmier de la caserne. L'ablation des fils se fera à J10. Le patient présente une pseudarthrose d'un arrachement osseux de la phalange moyenne du 5ème orteil du pied D. Afin de stimuler la guérison osseuse, nous proposons une thérapie par ondes de choc. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Le patient présente une rupture massive de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite avec tendinopathie du long chef du biceps suite à une chute de sa hauteur. Après bilan par IRM, le Dr. X retient l'indication opératoire et l'intervention se déroule sans complication le 21.01.2020. Les suites opératoires sont simples, avec bonne gestion des douleurs, initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. Le contrôle radiologique post-opératoire est satisfaisant et un coussin d'abduction est en place pour une durée de 6 semaines. Une physiothérapie de mobilisation passive en abduction/élévation 90°, rotations libres est entreprise. La flexion active forcée du coude et l'extension passive brusque sont proscrites. La cicatrice est surveillée à travers le pansement Comfeel. Toutefois, ce dernier ayant perdu son étanchéité le 22.01.2020, il est changé pour un pansement sec avec réfection aux 48 heures à votre consultation. Vu la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 23.01.2020. Le patient présente une sciatalgie S1 gauche non déficitaire. Nous débutons un traitement antalgique et nous recommandons une nouvelle consultation s'il devait y avoir une aggravation clinique. Le patient présente une situation stable avec de légères gonalgies ddc, plus à G qu'à D, où elle est connue pour une arthrose fémoro-tibiale. Au niveau du genou D, pas de signe pour un déscellement de la prothèse. Avec le traitement physiothérapeutique et la dernière infiltration du genou G d'octobre 2019, elle est assez soulagée. Elle ne souhaite pas de prise en charge chirurgicale au niveau des deux genoux, à D non limitée à la marche. Les douleurs sont surtout liées au niveau de la colonne lombaire et à une polyneuropathie. Elle va être suivie par son médecin de famille, le Team Rachis et le Dr. X. Actuellement, pas de prochain contrôle chez nous. Prescription de physiothérapie pour renforcement général et exercices de mobilité. Nous restons à disposition. Le patient présente vraisemblablement une tendinopathie, bursite post-traumatique au niveau de la coiffe postéro-supérieure. À l'examen clinique, nous ne retrouvons pas de franc déficit de cette structure, cependant, au vu de l'impossibilité à effectuer une pronation de l'avant-bras et d'un mécanisme compensatoire, le patient sera revu après l'IRM comme prévu chez le Dr. X. Le patient présente 2 problématiques, la coxarthrose à droite et la lombosciatalgie, avant de lui proposer une prise en charge chirurgicale, nous allons compléter le bilan avec un contrôle au neurocentre avec ENMG des membres inférieurs et une infiltration L4 droite foraminale sous CT-scanner. Nous le reverrons suite à ce bilan pour décider de la suite de la prise en charge. Le patient quitte les urgences en arrachant son bracelet de triage en insultant le personnel de l'admission. Tentative de réassurance du patient sans effet. Le patient refuse des investigations. Le patient refuse la prise de sang pour contrôler la coagulation. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement Bepanthen Oingt nasal. Nous expliquons au patient qu'en cas de saignement, il faut appuyer sur son nez 20 min et si ça ne s'arrête pas, reconsulter les urgences. En cas de saignement très important, aller directement à l'hôpital de Fribourg pour une cautérisation. Le patient refuse le vaccin contre le tétanos. L'examen clinique est rassurant, il n'a pas besoin d'intervention. En cas de péjoration, contacter médecin traitant. Le patient refuse les rx postopératoires de l'épaule D. Le patient rentre à domicile avec comme instruction de garder l'attelle et de recontrôler en policlinique le 06.01. Il a une antalgie déjà prescrite. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Le patient rentre à domicile avec une antalgie simple par Dafalgan et Brufen et un arrêt de travail pour une journée. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous lui donnons comme conseil une bonne hydratation et un régime léger. Le patient revient le soir aux urgences en raison d'une récidive de difficulté respiratoire. Le père n'est pas sûr d'avoir bien administré le Ventolin. Il a nettoyé l'aérochambre et le Ventolin se dépose sur les parois de la chambre. Aux urgences, il reçoit à nouveau 6 pushs de Ventolin avec une nouvelle chambre. Les aérodoseurs de Ventolin ont été pesés et ne sont pas vides. Le papa a reçu les explications pour l'administration du Ventolin et l'entretien de la chambre. Il rentre à domicile avec Ventolin 4 pushs aux 4 heures puis contrôles chez le pédiatre dans 48 h. Le patient revient pour un contrôle clinique et biologique à la FUA pour des douleurs abdominales avec des diarrhées depuis 2 semaines. Les douleurs sont toujours présentes avec une irradiation dans le dos. Présence de nausées sans vomissements avec un épisode de selles avec sang frais sur le papier. Il n'y a pas de fièvre, pas de frissons.Une colonoscopie a été effectuée en 2017 avec polypectomie. On ne note pas de perte de l'appétit, mais directement des diarrhées, pas d'aphtes, pas de douleurs articulaires, pas de dysurie, pas de pollakiurie. Le patient n'a pas fait de voyage. Il n'y a pas de contage. Pas d'antibiothérapie dernièrement. Un rendez-vous pour effectuer une colonoscopie est prévu le 24 mars 2020. Général : normocarde, normotendu, afébrile. Abdominal : souple, sensible diffusément, pas de défense, pas de détente. Les loges rénales sont souples et indolores. Bruits normaux en tonalité et en fréquence. Murphy et signe du psoas négatif, pas de douleur à la pression du point de McBurney. Toucher rectal : 3 marisques à 3h, 6h, 9h, sans traces de sang et présence de selles fraîches sur le doigtier, pas de fécalome, pas de trouble sphinctérien. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre rien de particulier. La PCR multiplex effectuée lors de sa dernière consultation est négative. La calprotectine fécale est à 2279. Nous prescrivons un traitement symptomatique et contactons les gastroentérologues de l'HFR de Fribourg afin d'avancer la colonoscopie. Le patient rentre à domicile le 23.01.2020. Le patient s'annoncera au besoin à notre consultation. Le patient se fait cette fracture, avec une luxation de l'épaule gauche, lors d'une chute à ski le 30.12.2019. Cliniquement, il n'y a pas de trouble du nerf axillaire en pré-opératoire. Sur le scanner, présence d'un assez grand fragment d'environ un tiers de la surface de la glène, antéro-inférieur, déplacé. Le Dr X retient l'indication à une ostéosynthèse et l'intervention est agendée au 10.01.2020. Les suites post-opératoires sont simples, les douleurs sont initialement gérées par un cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive et active assistée en abduction-élévation 90°, rotation externe 20°, rotation interne sur le ventre. La rotation externe et l'abduction combinées sont proscrites. En dehors des séances de physiothérapie, un gilet orthopédique est en place pour une durée de 6 semaines post-opératoires. La cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Devant la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 12.01.2020. Le patient se fait cette lésion lors d'une chute à ski il y a un peu plus de deux semaines. Radiologiquement, on trouve une distance coraco-claviculaire doublée par rapport au côté opposé avec, cliniquement, une instabilité franche de la clavicule. Il s'agit d'un jeune patient sportif avec de hautes demandes fonctionnelles. L'indication à une stabilisation acromio-claviculaire gauche est retenue et l'intervention se déroule sans complication le 16.01.2020. L'opération était initialement prévue sur un mode ambulatoire mais, en raison d'un état nauséeux et d'un inconfort général dans les suites de la narcose, Mr. Y est admis dans le service d'orthopédie pour surveillance. Sur le plan orthopédique, il n'y a pas de trouble neuro-vasculaire post-opératoire, le pansement Comfeel est étanche et l'antalgie est maîtrisée de façon satisfaisante. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Une immobilisation par gilet orthopédique est en place initialement, relayée par une bretelle. Le lendemain de l'intervention, le patient est confortable, les nausées ont complètement disparu et, devant la bonne évolution clinique, il peut retourner à domicile le 17.01.2020. Le patient se fait la fracture suscitée lors d'une chute à ski. Il s'agit d'une fracture non déplacée, mais avec un angle de Pauwels du IIIème degré nécessitant une ostéosynthèse, intervention qui se déroule sans complication le 12.01.2020. Les suites opératoires sont marquées par une rétention urinaire nécessitant la pose d'une sonde vésicale permettant de ramener 850 ml d'urines claires. Après retrait de la sonde le 15.01.2020, bonne reprise des mictions. Le patient reste afébrile et la gestion de l'antalgie est bonne. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge de 15 kg, sous protection de deux cannes anglaises, ce qui est prévu pour une durée de 6 semaines. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée pour 6 semaines. La cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Durant le séjour, un bilan de l'ostéoporose est réalisé, avec mise en évidence d'une hypovitaminose D indiquant l'instauration d'une supplémentation par vitamine D qui sera poursuivie à la sortie, puis adaptée par vos soins. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 16.01.2020. Le patient se plaint encore d'importantes douleurs au niveau postérieur à G, cela nous fait plutôt penser à une pathologie de la colonne vertébrale. Nous allons donc procéder à une IRM de la colonne lombaire afin d'évaluer s'il y a une pathologie dégénérative, par exemple des disques. Nous donnons donc un rendez-vous pour cette IRM et discuterons des résultats le 11.02.2020 lors de notre consultation. Nous avons établi une incapacité de travail jusqu'à la date de l'IRM et à la prochaine consultation chez nous. Le patient se présente aux urgences de l'HFR Fribourg le 06.01.2020 suite à une chute mécanique de sa hauteur. Le bilan radio-clinique met en évidence la fracture suscitée et une ostéosynthèse par plaque Philos est effectuée le 07.01.2020. En raison d'un manque de place à Fribourg, Mr. Y est transféré dans le service d'orthopédie de l'HFR Riaz le 09.01.2020 pour suite de la prise en charge. Dans les suites opératoires, les contrôles biologiques montrent une anémie à 80 g/l d'hémoglobine, nécessitant la transfusion d'un culot érythrocytaire le 11.01.2020 (deux culots ont été transfusés à Fribourg durant l'intervention), la valeur remonte à 94 g/l. Dans le cadre du bilan de cette anémie, une recherche de sang occulte dans les selles est effectuée, revenant positive chez ce patient, semble-t-il connu de longue date pour la présence de sang occulte dans les selles, suivi par vous-même, avec réalisation de coloscopies à intervalles réguliers. Selon le patient, une coloscopie devrait être réalisée d'ici peu. Lors de ces mêmes contrôles biologiques, mise en évidence de perturbations électrolytiques avec une kaliémie à 3,3 mmol/l, répondant bien à une substitution per-os du 09 au 11.01.2020. Durant son séjour, le patient présente un état fébrile avec apparition de toux et d'un syndrome inflammatoire biologique (CRP à 245 mg/l, leucocytes à 9,9 G/l). Dans ce contexte, une radiographie de thorax est effectuée, mettant en évidence une pneumonie basale gauche indiquant l'instauration d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g iv/jour pour une durée de 7 jours. L'évolution est favorable sous traitement antibiotique, avec régression des symptômes et du syndrome inflammatoire biologique. Sur le plan orthopédique, le patient ne présente pas de plainte particulière, la réfection régulière du pansement montre une cicatrice calme, recouverte de steristrips. Il n'y a pas de trouble neuro-vasculaire. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive et active assistée en dehors du gilet, avec une abduction/élévation limitée à 90°, rotation interne sur le ventre, rotation externe 0°, ceci durant 6 semaines post-opératoires. Devant la bonne évolution clinique, Mr. Y retourne à domicile le 18.01.2020. Le patient se présente avec une crise d'angoisse. Nous réalisons un laboratoire qui est dans la norme. Nous débutons une hydratation avec 500ml de NACl 0.9% et 0.5mg de Temesta qui soulage le patient. Le patient se sent beaucoup mieux et nous le laissons rentrer à domicile avec du Temesta en réserve. Le patient se présente ce jour à Dr. X pour effectuer une IRM cérébrale qui, mis à part des lésions de la substance blanche aspécifiques, correspond à l'âge du patient et au syndrome métabolique connu, avec des lésions dégénératives micro-angiopathiques. Le reste est dans les limites de la norme. L'origine de la perte de connaissance reste indéterminée. En cas de récidive, nous proposons de recontacter un neurologue afin d'évaluer l'indication d'un EEG. Devant un patient se plaignant d'un transit irrégulier avec des diarrhées associées à des douleurs abdominales par intermittence, un bilan laboratoire est réalisé ce jour, retrouvant une légère perturbation des tests hépatiques avec ASAT à 41, ALAT à 61, GGT à 149, et une minime syndrome inflammatoire avec CRP à 19, probablement d'origine virale, Potassium à 3.4, CK à 133. Le bilan est complet par un CT abdominal injecté qui retrouve une maladie diverticulaire avec possible diverticulite aiguë débutante. Un avis auprès de Dr. X est demandé, qui propose un traitement ambulatoire Co-amoxicilline et Flagyl. Nous vous laissons le soin d'organiser une colonoscopie en ambulatoire dans 6 semaines. Le patient se tape le doigt avec écrasement le 28.08.2019. L'examen clinique montre une tuméfaction de P3 D2 avec une plaie et un hématome sous-ungéal de D2 qui n'est pas sous tension. Le bilan radiologique réalisé aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Nous réalisons alors une ablation de l'ongle avec suture du lit de l'ongle et la mise en place d'un ongle artificiel pour 3 semaines au total. Une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline est initiée. À noter que le vaccin antitétanique est à jour. Le patient est par la suite suivi dans notre service pour réfection de plaie. Le patient sera contacté par le secrétariat de Dr. X pour un rendez-vous de contrôle à 7-14 jours. Poursuite de l'antibiothérapie, comme édictée par les orthopédistes, jusqu'au 23.01.2020 inclus. Le patient sera contacté pour un suivi urologique à la consultation de Dr. X. Le patient sera convoqué en cardiologie pour discussion du résultat du Holter et évaluation de l'indication à une pose de Pacemaker. Contrôle à la consultation de Dr. X le 13.02.2020 à 10h avec CT cérébral de contrôle. Réévaluation reprise Eliquis dans minimum 4 semaines. Dans l'intervalle, poursuite de la clexane 20 mg 1x/j administrée par les soins à domicile. Le patient sera convoqué par le service d'oncologie pour une nouvelle date de cycle de chimiothérapie. Le patient sera convoqué pour une réadaptation respiratoire à Billens. • Effectuer une gazométrie à distance de l'épisode aigu pour évaluer le besoin d'une oxygénothérapie à domicile • Rendez-vous en oncologie avec Dr. X avec une prise de sang le 28.01.2020 à 10h00 • Poursuite du schéma dégressif de Prednisone • Vaccin pour le pneumocoque et la grippe dès 20 mg de Prednisone • Proposition d'immunothérapie adjuvante par Durvalumab selon Prednisone Le patient sera recontacté par Dr. X pour l'annonce des résultats anatomo-pathologiques. Le patient sera recontacté pour discuter de la suite de la prise en charge de ces lésions suspectes. Le patient sera reconvoqué en oncologie pour discussion des résultats et du projet thérapeutique. Réalisation d'un Holter ambulatoire (le patient sera convoqué). Le patient sera revu à la consultation de Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient sera revu à votre consultation à 2 semaines post-opératoires pour contrôle et ablation des steristrips. Le patient sera revu à votre consultation pour ablation du Comfeel et des steristrips à 2 semaines post-opératoires. En cas de perte d'étanchéité du Comfeel, il devra être remplacé par un pansement standard. En outre, étant donné l'utilisation de matériel résorbable, une ablation de fils ne sera pas nécessaire. Un contrôle radio-clinique est prévu à la consultation de Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle à 1 semaine post-opératoire. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle de la crase, puis pour ablation des fils à 12 jours post-opératoires. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Nous vous laissons également le soin de réévaluer la durée de l'incapacité de travail. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 15 jours post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Contrôle radio-clinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Le patient sera revu en consultation à la policlinique d'orthopédie dans 7 jours. Le patient s'est présenté initialement chez nous ce matin avec des signes de décompensation psychotiques. Nous avions décidé de lui augmenter son traitement avec quetiapine 25 mg cpr 1-1-2, nous lui avions communiqué le numéro d'urgences psychiatrique et lui avions conseillé de consulter son psychiatre le plus vite possible. Le patient a vu son psychiatre directement dans l'après-midi suite à quoi, il lui a prescrit un traitement avec hadol 1mg 1-1-1, Akineton 4 mg 1-0-0, Latuda 40 mg 1-0-0. Nous n'avons pas plus d'informations sur la consultation. Le patient a ensuite décompensé sur le chemin du retour avec des idées suicidaires aiguës et une sensation de perte de contrôle. Il s'est donc rendu directement chez nous pour chercher de l'aide. Au vu du risque suicidaire élevé, nous décidons de transférer le patient aux urgences de Fribourg pour une évaluation pédo-psychiatrique en vue d'une hospitalisation. Dr. X de garde est informée et l'évaluera dès son arrivée. Le patient souffre de douleurs chroniques au niveau de la face antérieure du genou droit. Plusieurs reprises chirurgicales n'ont pas amélioré la situation. Cliniquement, il présente une atrophie du quadriceps et nous lui proposons pour cela de faire régulièrement des entraînements musculaires. L'IRM n'a pas montré de lésion cartilagineuse au niveau de la rotule. À noter que la rotule, comparée avec le côté non opéré, est distalisée, ce qui peut expliquer une partie des douleurs. Nous ne pensons pas qu'une nouvelle prise en charge chirurgicale puisse aider le patient. Nous n'avons pas prévu de rendez-vous, nous restons à disposition. Le patient souffre de douleurs chroniques au niveau du compartiment interne, surtout au niveau de l'insertion du Pes anserinus. On discute avec lui de faire une IRM pour voir s'il y a une bursite ou une tendinite au niveau du Pes anserinus et pour exclure une lésion du ménisque interne. Nous reverrons le patient après l'examen pour discuter des résultats. Le patient souffre de gonarthrose fémoro-tibiale interne sévère. Nous discutons des options avec lui. Comme première option, nous proposons un traitement conservateur avec infiltration articulaire par Synovial ou des corticostéroïdes. Nous proposons également de poursuivre la physiothérapie, les activités sportives régulières et la prise d'antalgique selon besoin.La deuxième option serait une prise en charge chirurgicale avec remplacement du compartiment fémoro-tibial par une prothèse unicompartimentale, à savoir qu'il peut persister des douleurs du compartiment externe et fémoro-patellaire car le patient est aussi connu pour une chondrocalcinose. Une ostéotomie de valgisation, à son âge, avec une gonarthrose sévère du compartiment interne et chondrocalcinose du compartiment externe, ne semble pas être la bonne option car cela va encore surcharger le compartiment externe. Le patient se décide dans un premier temps d'essayer une infiltration par des visco-supplémentations qui est prévue pour jeudi prochain. Nous le suivrons à la consultation. Le patient souffre de sensation d'instabilité au niveau du genou à gauche qui est aussi présente à l'examen clinique avec une instabilité du ligament collatéral interne en flexion et en extension et une instabilité antéro-postérieure qui est moins présente. Genu valgum plus marqué à gauche qu'à droite. Avec cette instabilité persistante, nous discutons avec le patient qu'une probable prise en charge chirurgicale sera nécessaire avec reconstruction du ligament collatéral interne et en même temps du ligament croisé postérieur. Également à déterminer si une ostéotomie sera à faire en même temps. Nous discutons avec le patient que nous allons refaire une IRM pour mieux bilanter la situation méniscale et cartilagineuse et nous reverrons le patient. Le patient souffre d'un doigt à Mallet. Traitement conservateur par attelle Stack en hyperextension pour 8 semaines jours et nuits, ensuite 4 semaines supplémentaires uniquement durant la nuit. Contrôle clinique dans 8 semaines. Le patient est physiothérapeute dans le réseau HFR, il n'a pas besoin d'arrêt de travail. Le patient souffre d'une arthrose huméro-cubitale, raison pour laquelle on lui propose une prise en charge chirurgicale avec une plastie Kashiwagi et un débridement intra-articulaire au coude D. En 2014, le patient avait déjà bénéficié de la même intervention et qui avait eu un bon effet postopératoire. Le patient est informé des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. Il est notamment informé que les résultats avec cette intervention restent incertains. On effectue encore un CT avant l'intervention pour la planification. Une date opératoire est agendée début mars. Le patient souffre d'une dégénération du compartiment fémoro-tibial interne. Actuellement, il est très peu symptomatique. Nous lui prescrivons une cure de Chondrosulf 800 mg per os 1x/j pour 3 mois. Il peut également mettre du Voltaren local au besoin. Pas de contrôle prévu de manière fixe mais nous restons à disposition s'il a des douleurs persistantes. Pas d'arrêt de travail. Le patient souffre d'une entorse du LLI, il ne présente pas de nette ouverture du côté interne mais provocation de fortes douleurs. Afin de mieux bilanter le LLI et pour exclure une lésion méniscale, nous organisons une IRM. Poursuite de la charge selon douleurs sous protection des cannes si nécessaire. Mobilisation libre selon douleurs. Physiothérapie en ambulatoire. Nous le reverrons après l'IRM. Arrêt de travail pour 2 semaines. Le patient souffre d'une gonarthrose tricompartimentale avancée. Comme option thérapeutique ce sera la mise en place d'une prothèse complète du genou à gauche aussi avec resurfaçage de la rotule. Actuellement, vu que le patient a une leucopénie, une prise en charge opératoire n'est pas possible. S'il y a une normalisation des valeurs sanguines, il va nous recontacter. À savoir qu'il faut aussi faire un bridging pour arrêter l'anticoagulation avec du Sintrom. Le patient souffre d'une irritation du nerf cubital suite à une OS du coude à G en 2004. Nous lui proposons une ablation partielle du matériel d'OS soit une ablation de la plaque médiale avec transposition du nerf ulnaire à G pour diminuer l'irritation du nerf ulnaire à cet endroit. Nous informons le patient que la récupération du nerf prendra un certain temps et une récupération complète ne peut pas être garantie. Nous informons le patient des risques et bénéfices de cette intervention et il nous donne son accord en signant un consentement éclairé. La date opératoire est agendée pour le 05.03.2020. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à la date de l'opération. Nous prévoyons un arrêt de travail d'environ 6 semaines en post-opératoire. Le patient souffre d'une lésion de Lisfranc au niveau du pied à D. Les rayons Lisfranc sont bien centrés dans les RX en charge. On peut donc poursuivre le traitement conservateur. Immobilisation dans une botte plâtrée fermée et décharge en touch down de 10 à 15 kg sous protection des cannes pour 6-8 semaines. Prochain contrôle à la consultation du Dr. X à 4 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique avec Xarelto 10 mg 1x par jour per oral jusqu'à la charge complète hors plâtre. Antalgie au besoin. Le patient souffre d'une vis d'interférence débordante symptomatique au niveau du condyle latéral du fémur G. Il est surtout gêné lors des mouvements répétitifs en flexion/extension et des entraînements musculaires. Les séances de physiothérapie n'ont pas amélioré la situation. On pose l'indication pour une prise en charge chirurgicale avec une reprise de la cicatrice plus ou moins prolongation et raccourcissement de la partie débordante. Le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices ont été expliqués au patient qu'il accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. Le patient souffre surtout de douleurs du côté G avec une constitution rare d'une dysplasie acétabulaire avec une formation de type cam avec une torsion fémorale à 0°. Il présente également des signes qui mènent vers une décentralisation fémoro-acétabulaire G. Les douleurs sont parfois de grande amplitude. De notre part il présente une indication chirurgicale qui prendrait en compte ces 3 composantes. La chirurgie consisterait en une luxation chirurgicale à G avec une création d'offset, une ostéotomie de rotation puis par la suite une ostéotomie péri-acétabulaire. Le patient va discuter avec son médecin traitant. Le patient va écrire un journal des douleurs qu'il va nous apporter lors du prochain contrôle clinique le 06.02.2020. Le patient va refaire ce pansement tous les jours. Nous le reverrons dans une semaine pour un contrôle clinique. Nous contrôlons également que la botte diabétique ait une décharge au niveau du mal perforant. Le patient va très bien après cette AMO en 11.2019, il n'a plus de douleurs et a déjà repris son activité physique comme avant l'opération. Nous allons donc conclure le traitement. Le patient vient ce jour pour organiser la suite de prise en charge, car il avait consulté le 08.11.2019 suite à un traumatisme pour lequel avait été posé le diagnostic sus-mentionné et une IRM avait été demandée, mais le patient étant claustrophobe, il a été impossible de l'effectuer à l'HFR, et n'a pas recontacté les urgences pour avoir un RDV ailleurs. Nous le reconvoquons ce jour aux Urgences pour discuter de la suite de prise en charge. IRM coude gauche le 28.01.2020 au CIF. Arrêt de travail du 22.11.2019 au 16.02.2020. Suite de prise en charge au Team Membre Supérieur après IRM. Le patient vient consulter suite à un traumatisme du pied droit. La radiographie du pied droit ne montre pas de corps étranger ni d'atteinte osseuse. Nous refermons la plaie avec un point de suture à l'Ethilon 4.0, mise en place de tulle bétadinée et pansement stérile. Le vaccin du Tétanos est à jour. Nous proposons un contrôle clinique de la plaie dans 48 heures. Ablation des fils à J14. Le patient vient pour une demande volontaire de l'hospitalisation à l'hôpital de Marsens. L'ECG est mis en annexes. Nous transférons le patient à l'hôpital de Marsens pour hospitalisation en mode volontaire.Le patient présente des douleurs persistantes avec des brûlures qui ont cédé grâce au Lyrica. Afin d'exclure une origine neurogène, nous proposons une infiltration du nerf sural dans la zone proximale. Le patient a un rendez-vous prévu en antalgie le 12.02.2020 et nous prions donc nos collègues de bien vouloir faire un bloc au niveau du nerf sural en proximal des douleurs à but diagnostic et thérapeutique. Si cela calme les douleurs, l'origine neurogène sera confirmée. Si non, nous le reverrons pour refaire un bilan. Le père étant infirmier spécialisé en soins d'urgence, conscient des risques et se décrivant compétent pour effectuer une surveillance neurologique rapprochée, ainsi qu'en raison de l'amélioration clinique, nous proposons une surveillance à domicile, nous donnons les critères de reconsultation (sur papier). Le plâtre a été enlevé ce jour. La mobilité peut être reprise selon douleurs mais sans forcer au stress varus-valgus. Arrêt de sport jusqu'à fin janvier 2020. Prochain contrôle radio-clinique le 15.01.2020. Le prélèvement urinaire met en évidence une infection urinaire. Vu la clinique rassurante, nous décidons, après explications au patient, de ne pas initier d'antibiothérapie probabiliste et d'attendre les résultats de la culture. Le patient reconsultera en cas de péjoration clinique et sera revu à 72 heures pour les résultats et initier l'antibiothérapie. Le prochain changement du pansement avec ablation des fils doit avoir lieu à J14 à votre cabinet. Le traitement antibiotique doit être poursuivi jusqu'au 25.01.2020. Un prochain contrôle à ma consultation n'est pas prévu mais je reste à disposition au besoin. Le résultat de l'infiltration péri-radiculaire nous confirme l'origine des douleurs au niveau de la racine C8. En revanche, les images des examens scannographiques et de l'IRM cervicale nous évoquent plutôt une origine possiblement mécanique et non pas dégénérative. À ce propos, nous proposons de compléter le bilan par une ENMG afin d'objectiver une radiculopathie C8 plutôt que C7 à la recherche de signes de dénervation et une angio-IRM cervicale avec coupe oblique et étude de vaisseau de cou afin de caractériser l'hémangiome vu l'absence de signe de discopathie majeure. Nous reverrons le patient après avoir effectué ces examens. Le résultat post-traitement du pied bot est bon. Je propose un nouveau contrôle dans deux ans. Le papa a été informé qu'il faut faire attention avec le raccourcissement du groupe postérieur mais que la pratique du Taïkwondo et de toutes les autres activités sportives est autorisée. Le scanner confirme un début de consolidation osseuse de l'arthrodèse, notamment dans la région mi-carpienne et également du radius semi-lunaire. Ablation du plâtre fendu ce jour afin que le patient réintègre mieux sa main dans le quotidien. Prescription de séances d'ergothérapie et de physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Si à ce moment on a un doute au niveau de la consolidation de l'arthrose, on effectuera un nouveau scanner. Le scanner montre les séquelles d'une ancienne fracture au niveau de la malléole interne ainsi que des ostéophytes au niveau de la syndesmose et une position anormale du péroné au niveau du Notch sur les coupes axiales. Présence aussi d'une arthrose moyenne au niveau du Lisfranc. Le scanner réalisé lors de la dernière consultation mettait en évidence des facteurs de risque pour les luxations postérieures récidivantes, notamment la présence d'ossification antérieure. Nous discutons alors avec le patient et son épouse des différentes options. La première option, chirurgicale, serait une révision de PTH avec changement de la cupule et résection des ossifications antérieures. La deuxième option est une attitude conservatrice avec poursuite du traitement en physiothérapie. Le patient explique qu'il ne souhaite pas actuellement de prise en charge chirurgicale étant donné que la gêne dans sa vie quotidienne est minime. Nous ne proposons donc pas de prochain contrôle clinique mais restons à disposition si besoin. En cas de nouvel épisode de luxation, l'indication à une révision avec changement de la cupule serait évidemment posée. Le score de Centor montre une très haute probabilité d'une angine à Streptocoques bêta-hémolytique de groupe A. Le streptotest confirme le diagnostic. Nous conseillons un traitement antibiotique oral pendant une semaine. Le sédiment urinaire effectué montre une leucocyturie que nous traitons par Furadantine 100 mg 2x/j pendant 5 jours. Mme. Y peut retourner à domicile. Le sédiment urinaire est en faveur d'une infection urinaire. L'ultrason ciblé ne montre pas d'anomalie rénale. Nous prélevons un urotube, commençons une antibiothérapie empirique par Ciprofloxacine et organisons un contrôle en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle des résultats de l'uroculture le 17.01.2020. Nous conseillons d'effectuer un diagnostic des troubles de coagulation en ambulatoire (la maladie de Willebrand, etc.). Le status abdominal est rassurant. Au vu de l'anamnèse, nous concluons à des douleurs abdominales sur probable constipation. Nous proposons de débuter un traitement par Movicol 2 sachets par jour et nous préconisons un contrôle chez le pédiatre à 24-48h si persistance des douleurs abdominales. Reconsulter avant si péjoration des douleurs. Le status clinique est suspect d'une tendinite des extenseurs des doigts sur un statut post-entorse bénigne du poignet gauche en novembre 2019. Nous proposons à la patiente de se mobiliser librement selon les douleurs et de réaliser quelques séances de physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de persistance de la symptomatologie à 6 semaines. Le suivi sera effectué par le Dr. X à Payerne. Le tableau clinique parle en faveur d'une sinusite bactérienne aiguë, nous prescrivons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2 x 1000 mg/jour pour 7 jours. Nous retenons également une infection virale du tractus respiratoire supérieur et nous prescrivons un traitement symptomatique (antipyrétique et anti-inflammatoire). Nous recommandons à la patiente de reconsulter en cas de persistance de la fièvre ou de péjoration des symptômes. Le test à la Fluorescéine montre une petite érosion dans le quadrant latéral supérieur. Nous prenons l'avis ophtalmologique du Dr. X qui conseille de mettre en place un traitement par pommade vitamine A, pommade Floxal, pansement occlusif jusqu'à demain matin et à partir du 15.01.2020, Tobradex gouttes 2x/jour pendant 3-5 jours. En cas d'absence d'amélioration dans 3 jours, la patiente prendra rendez-vous chez un ophtalmologue pour un contrôle. Le test avec Fluorescéine revient négatif (pas de corps étranger, pas d'érosion). Au vu de l'examen clinique rassurant, le patient rentre à domicile avec un traitement par Tobradex gouttes pendant 3-5 jours. Si absence d'amélioration après 3 jours du traitement, le patient prendra un rendez-vous chez un ophtalmologue. Le test avec la Fluorescéine revient négatif (pas de corps étranger, pas d'érosion). Face à l'examen clinique rassurant, le patient rentre à domicile avec un traitement par Tobradex gouttes pendant 3-5 jours. Si absence d'amélioration après 3 jours du traitement, le patient se rendra à un contrôle ophtalmologique. Le test rapide du paludisme réalisé est négatif et le patient peut regagner son domicile avec du Dafalgan. En cas de persistance des symptômes, le patient consultera son médecin traitant. Le tétanos est à jour. Nous faisons une désinfection à l'Hibidil. Nous conseillons de planifier un contrôle chez le pédiatre traitant la semaine prochaine.Le traitement conservateur ne me semble pas du tout indiqué. Si on poursuit le traitement conservateur, on risque une raideur majeure du coude. Dans ces conditions, je préconise une réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque et vis. J'informe la grand-mère du patient ainsi que le patient lui-même et sa maman par téléphone du déroulement intra et post-opératoire. Ils me donneront leur accord signé demain. J'ai prévu l'intervention pour le 11.1.2020. Le traitement par immobilisation dans le plâtre est terminé. Cependant, il faut faire attention à ce que la patiente ne tombe pas ou ne saute pas dans les 2 prochaines semaines. Un prochain contrôle à ma consultation n'est pas nécessaire mais je reste à disposition au besoin. Le traitement par immobilisation est terminé et Mr. Y peut mobiliser son poignet selon les douleurs. Une application de Voltaren pommade en local a été prescrite. Pas de sport à l'école pendant encore deux semaines et pas de basket pendant encore quatre semaines. Pas de prochain contrôle à ma consultation. Le traitement par immobilisation est terminé. Pas de sport pendant encore une semaine. Un prochain contrôle à ma consultation n'est pas prévu mais je reste à disposition au besoin. Le traumatisme et le bilan réalisé aux urgences sont peu suspects d'une fracture. Les lombalgies pourraient être causées par une petite pathologie herniaire que nous ne pouvons actuellement pas exclure, ni confirmer. Le patient ne présente cependant aucun déficit. À noter que les paresthésies crurales droites disparaissent spontanément durant le séjour aux urgences. Dans ces circonstances, après discussion et explication au patient, nous initions un traitement symptomatique et du repos. En cas de persistance de douleurs ou de péjoration, le patient consultera son médecin traitant afin d'organiser une IRM en ambulatoire pour investiguer les disques intervertébraux et l'attitude scoliotique du patient. Il sera ensuite adressé au team Spine à l'HFR Fribourg pour résultats et évaluation. Le vomissement fait suite à une quinte de toux selon l'anamnèse. Nous proposons alors à la maman de faire un rinçage de nez demain matin lors de la prochaine dose avant l'administration de l'antibiotique et de le donner de manière fractionnée. Si récidive du vomissement dans les 30 minutes, redonner la dose un peu plus tard. Le 01.01.2020, Dr. X, Dr. X : ostéosynthèse par DHS 2 trous. Le 02.01.2020, Dr. X, Dr. X : réduction fermée et enclouage par clou Gamma. Matériel implanté : clou Gamma 125°/11/180 mm. Le 02.01.2020, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous. Le 03.01.2020, Dr. X : appendicectomie laparoscopique. Exérèse du naevus ombilical. DAP : • Appendicite aiguë ulcéro-hémorragique et phlegmoneuse, accompagnée d'une péritonite fibrino-purulente secondaire. • Naevus mélanocytaire composé de type papillomateux, d'activité jonctionnelle modérée, accompagné d'une importante incontinence pigmentaire. Exérèse complète. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g iv/jour, puis relais per-os à raison de 2 x 1 g/jour jusqu'au 12.01.2020 inclus. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à J12. Le 03.01.2020, Dr. X : réduction et ostéosynthèse par plaque d'appui 5 trous en L du tibia proximal. Le 03.02.2020 pour contrôle et retrait des fils. Consulter en cas de fièvre, douleur thoracique, dyspnée. Le 05.01 : Azithromycine 500 mg 1x/j pendant 3 jours. Coprocultures : Campylobacter, antibiogramme en cours. Consignes de reconsulter si persistance symptômes >48h. Le 05.01 : Examen clinique. Laboratoires. Sédiment urinaire : propre. Urotube du 02.01 (médecin traitant) : E. Faecalis multisensible. Urotube du 05.01 : négatif. Changement de sonde urinaire aux urgences. Le 08.01 : laboratoire : diminution du sd inflammatoire, amélioration clinique. Retour à domicile avec consignes de reconsultation. Le 06.01 : ablation de la fibrine, pansement, Ialugen. Suivi organisé en stomato. Le 06.01 : péjoration créatinine, origine prérénale. Att : surveillance créatinine chez MT, consigne d'hydratation redonnée au patient. Le 06.01 : persistance d'une discrète hypomagnésémie. Le 06.01 : réassurance et RAD vue l'amélioration clinique nette. Hémocultures négatives. Le 06.01.19 • Radiographie avant-bras gauche/coude gauche • Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) - diagnostic peu clair • Immobilisation avec attelle BAB Contrôle clinique de ce jour : • Avis orthopédique Dr. X • Echographie coude gauche (Dr. X) • immobilisation par attelle BAB fendue (service de plâtriers) Le 06.01.2020, Dr. X : cure de hernie inguinale bilatérale par voie laparoscopique extra-péritonéale avec mise en place de deux filets 3 D Max light large. Cure de hernie ombilicale avec filet Ultrapro pré-péritonéal. DAP : tissu adipeux mature vascularisé par de grosses veines musculaires, avec un foyer d'inflammation lympho-histiocytaire et un ganglion lymphatique montrant une histiocytose sinusale. Ablation des fils dès J10 à votre consultation. Le 06.01.2020, Dr. X, Dr. X : ostéosynthèse du plateau tibial droit. Matériel implanté : plaque LCP tibia proximal 4.5/5.0 6 trous et plaque tiers-tube 5 trous. Le 06.01.2020, Dr. X : cure d'hallux valgus bilatérale avec : • Scarf et Akin à droite • résection d'ostéophytose et Akin à gauche. Le 06.01.2020, Dr. X : révision des tendons fléchisseurs au poignet, synovectomie et neurolyse du nerf médian à gauche. Le 07.01 : plaie calme. Retour à domicile avec consignes de douche 4x/jour et consultation en proctologie pour chirurgie ambulatoire. Le 07.01.20 : résolu. Le 07.01.20 : en cours de résolution, conseil d'hydratation et retour à domicile. Le 07.01.2020, Dr. X, Dr. X : ostéosynthèse de la rotule droite. Matériel implanté : cerclage-haubanage et 2 vis perforées 3.5. Le 07.01.2020, HFR Fribourg : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos 3.5 5 trous de l'humérus proximal gauche. Transfert à l'HFR Riaz le 09.01.2020 pour suite de prise en charge. Le 08.01.2019, Mr. Y est admis dans notre unité pour la réadaptation cardiovasculaire. À l'admission, le patient ne reporte pas de dyspnée ni de douleur thoracique. Il ne présente pas de palpitations ni d'orthopnée ou de nycturie. Il mentionne un tabagisme à 55 UPA en cours de sevrage. Dans la nuit du 08-09.01.2020, il est réveillé par une douleur très violente, la même que celle qui l'a conduit à l'hôpital le 26.12.2019. La douleur est améliorée sous Tramal 50 mg, mais seulement après quelques heures. Par la suite, un patch de Fentanyl 12 ug/h est posé sans effet notable aux dires du patient. La douleur réapparaît sans liaison avec l'effort; elle n'est pas reproductible à la palpation, mais plutôt liée au port de charge lourde, elle n'est pas respiro-dépendante. Il relate aussi l'impossibilité de maintenir un décubitus dorsal prolongé. Il doit dormir relevé à 30-45°! Face à ses plaintes anamnestiques et un examen clinique non contributif, nous réalisons une iconographie thoracique. Une image nodulaire probablement sur la 3ème côte G nous incite à envisager un CT scanner. Après avoir pris connaissance des résultats de la prise de sang du 14.01.2020 (majoration de la leucocytose associée à une CRP à 84 mg/l), un scanner thoracique est réalisé en urgence le 14.01.2020 avec une exploration étendue sur le plan abdominal; cet examen montre une lésion tissulaire spiculée au contact pleural lobaire supérieur G suspecte d'une tumeur nécrosée, une adénomégalie centimétrique hilaire G, plusieurs ganglions médiastinaux, trois lésions tissulaires spiculées lobaires supérieures D contro-latérales également suspectes, un épaississement nodulaire suspect au vu du contexte au niveau surrénalien des deux côtés (DD : adénome). Absence d'atteinte osseuse.Lors d'un entretien avec Mr. Y, celui-ci affirme avoir eu des crachats hémoptoïques qui, à ce jour, n'ont pas été objectivés mais, une exploration des crachats est en cours. Il est subfébrile (37.7°C). Sur le plan de l'antalgie, il est soulagé par la prise de Novalgine. Relevons un terrain psychique particulier avec une composante mystique, mais le patient reste très compliant. Dans ce contexte et en accord avec le patient, nous organisons un transfert à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour la suite de la prise en charge diagnostique et thérapeutique. La prise en charge extracantonale a été acceptée par le médecin cantonal du canton de Vaud. Le 08.01.2020, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : hyperplasie prostatique bénigne et foyers de prostatite chronique peu active. Revêtement urothélial de l'urètre prostatique sans lésion néoplasique. Sonde vésicale du 08 au 11.01.2020. Antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour du 08 au 11.01.2020. Tamsulosine d'office et sirop de figues en réserve. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 28.01.2020 pour contrôle et évaluation de la poursuite du traitement de Tamsulosine. Le 08.01.2020, Dr. X, Dr. Y, genou gauche : • arthroscopie diagnostique • arthrotomie para-patellaire latérale, extraction d'une lésion chondrale libre circulaire d'environ 1,5 cm de diamètre, stimulation de l'os sous-chondral au niveau du condyle fémoral externe gauche par micro-fractures • réinsertion d'une lésion pédiculée ostéo-chondrale au moyen d'une ancre Smart nail. Le 08.01.2020, Dr. X, Dr. Y : ablation du matériel d'ostéosynthèse, réduction ouverte et nouvelle ostéosynthèse de la clavicule gauche. Matériel implanté : plaque clavicule Variax 10 trous. Le 09.01.2020, Dr. X : cure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein. Ablation des fils à 10 jours post-opératoires à votre consultation. Le 10.01.2020, Dr. X : cure d'hydrocèle droite. Le 10.01.2020, Dr. X : implantation d'une prothèse céphalique du fémur gauche. Matériel implanté : tige Zimmer MS 30 taille 8 latéralisée, tête bipolaire 46 mm, bouchon 3, centraliser 8/10. Le 10.01.2020, Dr. X : réduction ouverte, ostéosynthèse par deux vis 3.5 canulées. Le 10.01.2020, Dr. X : arthroplastie totale de la hanche droite par voie antérieure minimale invasive. Matériel implanté : cupule MPact 50/liner D polyéthylène/col moyen tête 32/tige non cimentée standard 3. Le 11.01 : • Labo : discret syndrome inflammatoire (CRP à 47 mg/l, leucocytes à 13.3 g/l), discrète kaliémie à 3.4 mmol/l • CT-scan abdominal du 10.01.2020 : colite droite non compliquée Att : Ciprox 250 mg 2x/j du 08.01 au 18.01 et Flagyl 500 mg 3x/j du 11.01 au 18.01 Le 15.01 : • Labo : Sd inflammatoire stable Att : poursuite ATB, épouse amène le 16.01 les CD des images pour relecture. Le 11.01.2020, Dr. X : appendicectomie laparoscopique. Le 11.01.2020, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par une plaque interne LCP 3.5 et une plaque postéro-latérale 2.8 mm (Medartis). Le 12.01.2020, Dr. X : AMO. Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque DHS 2 trous et vis anti-rotatoire 7.3 mm. Le 12.01.2020, Dr. X, Dr. Y : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Aptus du radius distal 2.5. Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Aptus de l'ulna distale 2.5. Le 13.01.2020, Dr. X : fistulectomie par voie ouverte avec lambeau muqueux d'avancement de type lip-flap. Excision de la fistule cutanéo-cutanée dans le même temps opératoire. Paraffine 20 ml 1x/jour. Antalgie simple en réserve par Paracétamol et Ibuprofen. Douches 6x/jour. Contrôle à la policlinique de chirurgie de l'HFR Riaz le 21.01.2020 à 14h45. Le 13.01.2020, Dr. X : arthroscopie diagnostique, décompression sous-acromiale avec boursectomie sous-acromiale arthroscopique et acromioplastie, ténotomie et ténodèse sous-pectorale du tendon bicipital gauche. Le 14.01.2020 : poursuite du traitement jusqu'à la fin. Pas de contrôle, mais explication des symptômes nécessitant une nouvelle consultation. Autorisation à reprendre le travail s'il ne prend pas de Tramal (chauffeur poids lourd). Si besoin de Tramal, Mr. Y nous reconsultera pour prolonger le certificat. Le 14.01.2020, Dr. X : transfert du grand dorsal, épaule gauche. Cathéter interscalénique. Le 14.01.2020, Dr. X : arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion du sus-épineux, épaule gauche. Le 15.01.2020, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : carcinome acinaire de la prostate, de groupe 1, score de Gleason 3+3=6 (WHO/ISUP 2016) infiltrant 7 copeaux de résection (<5%). Hyperplasie prostatique bénigne et foyers de prostatite chronique en partie active. Revêtement urothélial de l'urètre prostatique sans lésion néoplasique. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg per-os/jour du 15 au 18.01.2020 inclus. Sonde vésicale du 15 au 18.01.2020. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 15.01.2020, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : hyperplasie prostatique bénigne et foyers de prostatite chronique non active. Revêtement urothélial de l'urètre prostatique sans lésion néoplasique. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline per-os depuis le 13.01.2020 pour infection du site opératoire sur un statut post-résection et arthrodèse de l'IPP de 03, à poursuivre jusqu'au 23.01.2020 selon l'orthopédiste (pas d'autre antibiothérapie per-opératoire mise en place). Sonde vésicale du 15.01 au 18.01.2020. Rendez-vous dans 1-2 semaines sera organisé par le secrétariat du Dr. X. Le 15.01.2020, Dr. X, Dr. Y : mise en place d'une prothèse totale de la hanche gauche par voie antérieure mini invasive. Matériel implanté : prothèse Medacta, tige standard non cimentée taille 5, coltyle MPact 54, liner E, tête 32 céramique, col court. Le 16.01.2020, Dr. X : stabilisation par la technique Twin Tail TightRope gauche. Le 16.01.2020 : désinfection bétadinée, drainage de l'abcès pour une ouverture de 1 cm de long. Écoulement séreux-sanguinolent. Rinçage aiguille boutonnée NaCl 0.9 %. Méchage. Pansement simple. Attitude : • Poursuite du traitement anti-douleurs et antibiotiques. • Contrôle clinique à 48h avec ablation de la mèche en cas de bonne évolution. Le 17.01.2020 à 10h30 chez Dr. X pour ablation des fils et discussion des résultats. Le 17.01.2020, Dr. X : révision chirurgicale avec excision du kyste, mise en place d'un filet. Ablation des fils à J10 à votre consultation. Le 17.01.2020, Dr. X : cure de la hernie inguinale bilatérale par filet non résorbable, selon Lichtenstein. Contrôle et ablation des fils à J12 à votre consultation. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 16.03.2020 à 09h15. Le 17.12.2019, Dr. X : cure d'éventration xipho-sus-pubienne par filet Parietex bi-couche de 30 x 20 cm, pré-fascial et rétro-musculaire. Sonde vésicale du 17 au 20.12.2019. Ceinture abdominale pendant 6 semaines. Ablation des agrafes le 30 et le 31.12.2019. Contrôle clinique et ablation du drain le 06.01.2020 à la consultation du Dr. X. Rendez-vous à la consultation du Dr. X à 2 mois post-opératoires.Le 18.01.2020, examen clinique. Explication des examens effectués. Laboratoire. US ciblé aux urgences (Dr. X/Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle des deux côtés, pas de dilatation de la vésicule biliaire, pas de lithiase biliaire visualisée, pas de dilatation de l'appendice. Attitude : • Majoration de l'antalgie simple et sirop de figue. • Reconsulte si apparition de nouvelle symptomatologie ou péjoration de la symptomatologie actuelle. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Le 19.01.2019, Dr. X, Dr. X : réduction fermée et enclouage du tibia gauche par clou T Stryker. Matériel implanté : clou Stryker 300 mm de longueur, 10 mm de diamètre, verrouillage distal statique par 2 vis, verrouillage proximal distal et dynamique. (OP le 19.01.2019) Le 19.01.2020, Dr. X, Dr. X : réduction fermée et ostéosynthèse par clou Gamma court 125°, vis céphalique 100 mm, vis de verrouillage distal 35 mm. Le 20.01.2020, Dr. X : cure selon Lichtenstein d'une hernie inguinale droite de type direct. Bloc ilio-inguinal à la Naropine 0,5 %. Ablation des fils à J12 à votre consultation. Le 20.01.2020, Dr. X : laparoscopie exploratrice. Section de bride. Bilan biologique. CT abdominal. Mise à jeun, nutrition parentérale dès le 17.01.2020. Sonde nasogastrique en aspiration douce dès le 16.01.2020 et jusqu'au 21.01.2020. Hydratation intraveineuse. Reprise de l'alimentation orale le 21.01.2020 avec arrêt de l'alimentation parentérale le 21.01.2020. Retour à domicile le 22.01.2020 avec une antalgie standard palier I. Contrôle à votre consultation à 1 semaine de la sortie, avec ablation des fils à J10-J12. Le 20.01.2020, Dr. X : cure d'hallux valgus selon Scarf et Akin et Chevron du 5ème rayon, pied gauche. Cure d'hallux valgus selon Scarf et Akin, pied droit. Le 20.01.2020, Dr. X, avant-pied des deux côtés : • AMO premier métatarsien, AMO de P1, arthrotomie, ré-Akin du pied gauche • arthroplastie selon Hohmann du 2ème orteil • ténotomie du long fléchisseur du 3ème orteil • arthroplastie et plastie cutanée selon Thompson du 5ème orteil des deux côtés. Le 21.01.2020, Dr. X : crossectomie, stripping court jusqu'à la face interne de mi-cuisse et phlébectomies à la demande à droite, crossectomie, stripping externe de la veine saphène interne et accessoire antérieure sur une quinzaine de centimètres, phlébectomies à la demande à gauche. Anticoagulation prophylactique par Clexane du 21 au 22.01.2020. Réfection des pansements le 23.01.2020 à 14h30 en policlinique de chirurgie. Port de bas à varices durant 6 semaines. Le 21.01.2020, Dr. X : excision de gynécomastie bilatérale. Pansement Jelonet et Mepore Pro (réfection à J1 en raison de saignement). Contrôle de la plaie en policlinique de chirurgie le 23.01.2020 et le 30.01.2020, ce dernier avec ablation des fils. Le 21.01.2020, Dr. X : réduction ouverte, ostéosynthèse par plaque Medartis postéro-latérale et plaque interne. Le 21.01.2020, Dr. X : ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion de la coiffe des rotateurs en deux rangées selon la technique Suture Bridge Rip-Stop. Cathéter interscalénique antalgique. Le 22.01.2020, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : hyperplasie prostatique bénigne et foyers de prostatite chronique peu active. Revêtement urothélial de l'urètre prostatique sans lésion néoplasique. Sonde vésicale du 22 au 25.01.2020. Antibiothérapie par Cefuroxime 1,5 g iv dose unique, puis per-os à raison de 500 mg/jour jusqu'au 25.01.2020 inclus. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 22.01.2020, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : carcinome urothélial papillaire non invasif de haut grade (G2). Stade TNM : pTa. Sonde vésicale du 22 au 24.01.2020. Anticoagulation prophylactique par Clexane. Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1,5 g iv en per-opératoire puis 500 mg per-os/jour du 22 au 24.01.2020 inclus. Le patient sera contacté pour un suivi urologique à la consultation du Dr. X. Le 22.01.2020, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : carcinome urothélial papillaire non invasif de haut grade, G2. Stade TNM : pTa. Sonde vésicale du 22 au 24.01.2020. Anticoagulation prophylactique par Clexane. Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1,5 g iv, puis 500 mg per-os/jour jusqu'au 24.01.2020 inclus. Uro-CT injecté prévu le 24.01.2020 à la recherche d'une éventuelle lésion de l'arbre urinaire supérieur, refusé par le patient. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 22.01.2020, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. Adhésiolyse. DAP : cholécystite chronique lithiasique. Ablation des fils à J12 à votre consultation. Le 22.01.2020, Dr. X : arthroplastie totale de la hanche droite par voie antérieure minimale invasive. Matériel implanté : cupule MPact 60/liner polyéthylène G/col moyen céramique tête 32/tige non cimentée 3 standard. Le 25.01.2020, Dr. X, Dr. X : mise en place d'une prothèse céphalique de la hanche droite. Matériel implanté : tige Zimmer MS 30/10, centraliser distal 10/12 pour MS30, bouchon obturateur diaphysaire taille 3, tête 28 S avec cupule modulaire bipolaire 46 et noyau nodulaire bipolaire 28/46, 1,5 dose de ciment Palacos. Le 26.01 : Métronidazole 250 mg pendant 5 jours. Le 28.01 : Avis Infection : mise en suspens du Metronidazole pour réévaluation étiologie. Att : Organiser récolte selles sur 3 jours pour recherche de parasites, et cultures de selles pour bactéries entéropathogènes. Sérologie et PCR HEV à demander, pas de nécessité pour HAV et HBV car patient vacciné. Sérologies EBV, CMV demandées. Le 27.01.2020, Dr. X : AMO du fixateur externe, débridement de plaie et ostéosynthèse du tibia gauche par clou CCM Stryker T2. Le 27.12.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par deux vis de stabilisation 2.7/16 mm puis une vis de 14 mm, plaque tiers-tube LCP 10 trous, fixation de la syndesmose par deux broches 1.6 mm. Le 28.01 : ECG, laboratoire, radiographie thorax, hémocultures, Amoxicilline 1 g 3X/jour pendant 5 jours. Le 29.01 : hémocultures négatives à 24h, pas de syndrome inflammatoire biologique, Peak flow 52 % prédit, ad Ventolin et consignes de consulter son médecin traitant à distance pour évaluer le traitement de fond de son asthme. Le 28.01 : persistance des douleurs, ad Sumatriptan avec consignes de reconsultation et de bonne prise médicamenteuse vu l'allaitement. Le 28.01.2010, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. DAP : Cholécystite aiguë à subaiguë, focalement ulcéro-hémorragique, sur un fond d'inflammation chronique de la vésicule biliaire, y compris un important remaniement fibo-musculaire de la paroi, avec atrophie secondaire de la muqueuse. Ablation des fils à J12 à votre consultation. Le 28.01.2020, Dr. X : ténodèse du long chef du biceps, réinsertion de la coiffe des rotateurs en deux rangées. Le 28.01.2020, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos et 5 fils de fiber wire posés dans la coiffe des rotateurs. Le 28.01.2020, Dr. X, Dr. X : révision de plaie, réduction ouverte et ostéosynthèse des métacarpiens 2 et 3, suture des extensor hoods. Le 28.12.2019, Dr. X : ablation partielle du cerclage rotulien droit, débridement, lavage et fermeture. Prélèvements bactériologiques : négatifs. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g iv/jour du 28.12.2019 au 04.01.2020. Le 28.12.2019, Dr. X, Dr. X : excision de nécrose, drainage et prélèvement de l'hématome, lavage, matelassage et mise en place d'un VAC. Le 30.12.2019, Dr. X, Dr. X : ablation du VAC et mise en place d'un pansement par Aquacel-Prontosan, Adaptic. Prélèvements bactériologiques : quelques staphylococcus epidermidis. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g iv/jour du 28.12.2019 au 01.01.2020, puis relais per-os dès lors à raison de 2 x 1 g/jour jusqu'au 08.01.2020 inclus. Le 29.01 : correction partielle de la créat. Le 29.01.2020 Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : Carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade (G1 à G2 focalement) (copeaux de TURV pour 3 ml). Classification pathologique (selon TNM 8ème édition 2017) : pTa. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 29 au 31.01.2020. Sonde vésicale du 29 au 31.01.2020. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 29.01.2020, Dr. X : cure d'hydrocèle gauche avec épididymectomie. Antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour du 29.01 au 06.02.2020 inclus. Ablation du Penrose le 31.01.2020. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 29.01.2020, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : Carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade (G1) (copeaux de TURV). Classification pathologique (selon TNM 8ème édition 2017) : pTa. Sonde vésicale du 29 au 31.01.2020. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 29 au 31.01.2020 inclus. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 31.12.2019, Dr. X, Dr. X : réduction fermée et ostéosynthèse du plateau tibial externe par vis percutanées. Réduction ouverte et ostéosynthèse du plateau tibial interne par plaque antiglide postéro-médiale. Le 31.12.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte, greffe de Tutoplast et ostéosynthèse du plateau tibial externe droit. Réduction du massif des épines. Matériel implanté : plaque LCP 4.5 du tibia proximal latéral de Synthès. Mme. Y est vue en consultation pédopsychiatrique par Dr. X. Décision de transfert à Marsens en ambulance. Lea est vue en consultation pédopsychiatrique par Dr. X. Décision de transfert à Marsens en ambulance. Mme. Y présente un état grippal sans signes d'alerte. Nous n'avons pas d'arguments en faveur d'une surinfection pulmonaire dans un contexte d'une grippe potentielle et l'état général est bien conservé. Nous poursuivons un traitement symptomatique et nous préconisons un contrôle chez le pédiatre pour réévaluation clinique dans 48 heures. Consignes pour consultation aux urgences si tachypnée en dehors de la fièvre, signes de détresse respiratoire, troubles de la réhydratation et altération de l'état général. Mr. Y ne ressent plus de douleurs au moment de la consultation. Nous retenons alors des douleurs abdominales sans signes de gravité sur probable constipation au vu de l'anamnèse. Nous proposons un traitement par des mesures d'hygiène : hydratation et alimentation riche en fibres. Si récidive de la douleur abdominale, reconsulter de suite. L'ECG effectué se révèle rassurant. Nous surveillons le patient aux urgences, sous scope, pendant 2h30 et observons une régression spontanée de la tension artérielle à 140 mmHg. Nous n'avons pas observé de trouble du rythme durant cette période. Nous proposons au patient un contrôle chez son médecin traitant afin d'organiser un Holter et introduction d'un traitement anti-hypertenseur de fond, en raison d'une hypertension artérielle qui semble mal contrôlée. L'ECG met en évidence une tachycardie sinusale à 114/min, sans signe d'ischémie. Le laboratoire montre de légers troubles électrolytiques et une hyperglycémie à 9.2 mmol/L. La radiographie du thorax reste dans la norme. Nous administrons une dose de Lisinopril 5 mg aux urgences, permettant une baisse de la pression artérielle jusqu'à 140 mmHg. En raison de l'hyperglycémie, nous demandons une HbA1c (résultat annexé). Un contrôle glycémique pourrait être effectué chez le médecin traitant. Vu le bilan rassurant, nous laissons rentrer le patient à domicile avec un traitement de Lisinopril 5 mg. Le patient va avancer la consultation avec son médecin traitant, prévue initialement mi-février. L'ECG montre une fibrillation auriculaire rapide, le laboratoire ne montre rien de particulier. Nous décidons de réintroduire le Beloc Zok 25 mg, avec un contrôle prochainement chez le cardiologue traitant. Le patient rentre à domicile le 07.01.2020. L'ECG 18 dérivations montre des altérations de la repolarisation compatibles avec un syndrome coronarien aigu (selon l'avis de notre chef de clinique Dr. X). AG urinaire, 2 paires d'hémoculture, analyse expectoration en cours. L'échographie abdominale permet d'exclure une lésion splénique. En raison d'une auscultation douteuse, nous refaisons une radiographie du thorax qui ne montre pas de pneumothorax. Le patient peut donc regagner son domicile, avec poursuite du traitement symptomatique. Des exercices de physiothérapie respiratoire lui sont expliqués. Nous suggérons un contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. L'échographie réalisée met en évidence une cholécystite lithiasique. Nous effectuons un bilan biologique ne montrant pas de syndrome inflammatoire, les tests hépato-pancréatiques montrent : ALT 42, GT 49, Amylase 114. Le reste du bilan est aligné. Suite à la discussion du cas avec Dr. X, chirurgien de garde, Mme. Y peut rentrer avec un traitement antalgique. Elle sera vue à la consultation du Dr. X le 30.01.2020 pour discuter d'une intervention chirurgicale. Si avant la date Mme. Y a mal au ventre, de la fièvre, il faut reconsulter les urgences. L'effet de l'infiltration parle en faveur d'une compression radiculaire C5 droite, nous complétons le bilan avec un rdv au Neurocentre pour une ENMG. Les tests pour la coiffe des rotateurs sont négatifs malgré la symptomatologie du patient, il pourrait s'agir d'une tendinopathie sans lésion complète. Suite au bilan, nous pourrons lui prescrire de la physiothérapie pour renforcement de la coiffe des rotateurs. Le patient ne souhaite pas faire de physiothérapie actuellement, il préfère terminer son bilan et refuse le traitement par Dexaméthasone proposé car il a déjà eu une cure l'année passée sans bénéfice sur le long terme. L'ECG montre un rythme régulier, sinusal, fréquence à 68/minute. Axe normal. QRS à 98 ms. Ondes T biphasiques au V2-V6. Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. Voir tracé annexé. ASP : pas de signe de pneumo-péritonite. La prise de sang montre : urée 5.2, créat 5.3, Na 142, K 4.4, ASAT 26, ALAT 42, ph alcalin 59, GGT 49, amylase 136, lipase 87, CRP<5, leuco 10.7, troponine 0H <3. Léger genu valgum. Léger metatarsus adductus bilatéral. Léger traumatisme facial avec : • Petite plaie superficielle de 1 cm au niveau du menton à gauche. • Petit hématome de la muqueuse de la lèvre inférieure (morsure), sans plaie objectivée. Léger trouble de la mémoire. Légère anémie normochrome normocytaire. • le 16.08.2019 : Hb 113 g/l. Légère anémie normocytaire normochrome avec hémoglobine à 129 g/l. Légère atonie utérine. Légère atonie utérine avec PE à 300 ml. Légère cataracte sénile le 10.01.2020. Légère cétose de jeûne. Légère douleur du Vème orteil sur minimevalgus du Vème orteil le 10.01.2020. Légère hypokaliémie. Légère hypokaliémie à 3.3 mmol/L Légère hypokaliémie à 3.3 mmol/L sur traitement diurétique Légère hypotension artérielle symptomatique. DD : sur Temesta. Légère perturbation des tests hépatiques médicamenteux probables le 16.01.2020 Légère perturbation des tests hépatiques probablement d'origine médicamenteuse (Co-Amoxicilline, Paracétamol) le 16.01.2020 légère protéinurie avec un rapport albumine-protéines à 32% associée à une discrète leucocyturie et sans microhématurie : Probablement dans le contexte du syndrome d'Hyper-Ig G4 DD : focal-segmental glomerulosclerosis (FSGS) sur HTA ou infarcissement rénal (zones d'atrophie corticale voire d'infarcissement cortical sans dilatation du système excréteur au CT de 2018 et au CT de décembre 2019) Légers troubles électrolytiques : • Hypocalcémie à 2.14 mmol/L • Hypomagnésémie à 0.77 mmol/L Léila est hospitalisée pour une bronchiolite modérée à RSV oxygénodépendante. Elle bénéficie d'une oxygénothérapie maximum à 1L du 19.01 au 21.01. Sur le plan respiratoire, le Ventolin est initialement poursuivi. En raison d'une absence de réponse favorable, ce dernier est arrêté le 20.01. Des rinçages de nez sont régulièrement effectués. Dans le cadre de notre approche thérapeutique intégrative, la patiente a également bénéficié de thérapies complémentaires de médecine anthroposophique, dont des applications externes, les inhalations. Sur le plan digestif, Léila reçoit toutes ses quantités per os et ne bénéficie pas de soutien par une sonde nasogastrique. Elle présente plusieurs épisodes de diarrhées durant son hospitalisation, la recherche de Rotavirus, adénovirus et Norovirus revient négative. Nous retenons le diagnostic de diarrhées peri-infectieuses. Sur le plan infectiologique, Léila présente un dernier pic fébrile le 22.01 à 38.5°C. À la sortie, une otite moyenne aiguë droite débutante est mise en évidence. Un traitement par anti-inflammatoire durant 24h à 48h est préconisé avec un contrôle à votre consultation dans 24 heures en cas d'évolution défavorable. L'évolution est rapidement favorable, Léila peut rentrer à domicile le 22.01. Léiomyosarcome de la jambe droite, grade 2 Stade T2b Nx Mx : • Chirurgie au CHUV avec greffe de peau le 14.11.2019 • Suivi par Dr. X au CHUV ; cas à discuter au colloque multidisciplinaire pour les sarcomes Lemar est hospitalisée dans un contexte de déshydratation suite à des vomissements et diarrhées d'origine indéterminée. Le bilan d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques, pas d'atteinte de la fonction rénale, une gazométrie alignée, nous notons uniquement la présence d'une discrète éosinophilie à 15 % soit 1.2 G/l. Sur le plan alimentaire, dans le contexte de la déshydratation modérée à environ 5 %, une réhydratation avec un bolus de NaCl 0.9 % 20 ml/kg sur 2h est réalisée, par la suite une perfusion par Glucosalin est mise en place, puis sevrée dès le 18.01, date à laquelle Lemar prend toutes ses quantités per os. Sur le plan infectiologique, des analyses des selles sont réalisées, le Rotavirus et l'adénovirus dans les selles reviennent négatifs, les coprocultures et la recherche de parasites dans les selles reviennent négatives. Les hémocultures réalisées le 17.01 sont négatives. Nous retenons le diagnostic d'une gastroentérite virale au décours, si les symptômes viennent à persister à distance nous vous laissons le soin d'investiguer pour une maladie inflammatoire intestinale, coeliaque ou une intolérance alimentaire. La patiente reste afébrile durant l'hospitalisation. L'évolution est favorable, dans ce contexte Lemar rentre à domicile le 20.01. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien gauche. L'EMG montre un syndrome du tunnel carpien de la main gauche débutant. Lenael est hospitalisé pour une bronchite spastique modérée péri-infectieuse. Le frottis RSV revient positif. Il bénéficie initialement d'un traitement par Betnesol 0.25 mg/kg/jour et du Ventolin qui est progressivement espacé, mais il présente une réponse seulement partiellement favorable au Ventolin seul. Devant une suspicion clinique plutôt de trachéobronchomalacie avec un bruit aux 2 temps qui persiste, et après avis auprès du Dr. X, pneumologue pédiatre, nous débutons le 15.01 un traitement par Atrovent 250 mcg 4x/jour et Pumicort 1 mg 2x/jour en nébulisations et arrêtons le Ventolin. Nous rajoutons également un traitement anti-inflammatoire par Betnesol en schéma dégressif durant 9 jours et Klaciped 7.5 mg/kg/dose 2x/jour durant 7 jours, schéma qui est débuté le 16.01. Sur le plan respiratoire, et afin d'investiguer mieux cette suspicion de trachéo/bronchomalacie, nous organisons avec Dr. X un CT thoracique injecté et une bronchoscopie sous anesthésie générale le 27.01. Le traitement par Atrovent et Pulmicort en nébulisations devrait être poursuivi jusqu'à cette date-là. Lenael a été vu en consultation pré-anesthésique le 16.01. Sur le plan infectiologique, il présente un état fébrile à maximum 38.6°C le 16.01, en raison d'une amélioration clinique sur le plan respiratoire et aucun autre foyer présent, nous préconisons un suivi clinique sans autres investigations. Sur le plan alimentaire, il présente initialement des difficultés alimentaires dans le contexte peri-infectieux. Une sonde nasogastrique est posée du 12.01 au 13.01, par la suite il reçoit tous ses apports per os. À noter que le 16.01, une erreur infirmière est réalisée, avec une des infirmières qui a administré 600 mg de paracétamol intra-rectal en dose unique, la dose maximale journalière pour son poids étant de 960 mg. Une paracétamolémie est réalisée 4 heures post-administration et est revenue négative. L'incident a été signalé. Devant une évolution favorable sous le dernier traitement instauré, Lenael rentre à domicile le 16.01. Leo est hospitalisé pour mise à l'abri dans un contexte d'idées suicidaires augmentées. Durant son hospitalisation, Leo est resté tout à fait collaborant et calme. Il a été évalué par notre pédopsychiatre de liaison, Dr. X qui préconise un transfert à Marsens pour une hospitalisation plus prolongée, plan accepté par Leo et sa famille. Il est donc transféré à l'hôpital psychiatrique à Marsens, à l'unité Chrysalides le 24.01 à midi. Léo est hospitalisé pour surveillance clinique et alimentaire dans le contexte d'un état fébrile sans foyer. Sur le plan infectieux, Léo ne présente pas d'état fébrile durant l'hospitalisation. L'examen clinique met en évidence un encombrement nasal avec des rinçages de nez efficaces, le reste du status est rassurant. La surveillance clinique durant l'hospitalisation est sans particularité. Sur le plan alimentaire, les doubles pesées avant et après l'allaitement démontrent une prise alimentaire adéquate pour l'âge de Léo. Au vu de l'évolution favorable, il peut rentrer à domicile le 04.01.2019 avec un contrôle chez vous dans 48h. Leonie est hospitalisée pour une bronchiolite modérée à RSV initialement oxygénodépendante. Elle bénéficie d'une oxygénothérapie maximum à 1L du 19.01 jusqu'au 24.01 au matin. Un essai de Ventolin push a été tenté au début mais en raison d'une absence de réponse favorable, ce dernier est vite arrêté. Des rinçages de nez sont effectués régulièrement.Dans le cadre de notre approche thérapeutique intégrative, la patiente a également bénéficié de thérapies complémentaires de médecine anthroposophique, dont des applications externes, les inhalations. Sur le plan infectiologique, nous objectivons une angine virale chez Mr. Y, avec un important inconfort. Dans ce contexte, un traitement par Algifor est débuté durant 48 heures, l'évolution est par la suite favorable. La patiente obtient une apyrexie le J3 de son hospitalisation, soit le 21.01. Sur le plan digestif, elle prend toutes ses quantités per os et ne bénéficie pas de soutien par sonde nasogastrique. Elle présente plusieurs épisodes de diarrhées durant l'hospitalisation. L'analyse des selles ne démontre pas de Rotavirus ou Adénovirus. L'évolution est vite favorable. L'évolution étant favorable, Mr. Y rentre à domicile le 24.01.2020 sans traitement particulier. Mr. Y est hospitalisé pour un état fébrile. Un bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Devant une fontanelle discrètement bombée, une méningite a été exclue. Une dose de Ceftriaxone 100 mg/kg iv est administrée. Les hémocultures restent stériles. Un frottis nasal est positif pour l'Influenza A. Le patient présente un dernier pic fébrile le 22.01 matin, mais diminuant bien avec les fébrifuges. Sur le plan alimentaire, il prend toutes ses quantités per os. L'évolution est par la suite favorable, Mr. Y rentre à domicile le 23.01.2020. L'épaule gauche est immobilisée dans un gilet orthopédique pendant 6 semaines. Le Dr. X, orthopédiste, conseille une activité pendulaire du membre supérieur gauche dès maintenant, une activité assistée dès la 3ème semaine et une activité libre dès la 6ème semaine. Nous lui prescrivons une antalgie PO et un arrêt de travail jusqu'au 07.01.2020. La patiente sera revue en contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. L'épisode décrit par la maman semble lié à la montée de la fièvre et ne présente pas de signe de gravité. Mme. Y reste en surveillance aux urgences jusqu'à diminution de la température. L'état général est alors à nouveau très bon et la fréquence cardiaque diminue à 140/min. Leponex et Trittico Ad Depakin 300 mg sur 1 semaine L'épouse va amener demain la liste. Lercanidipine dès le 10.01.2020 IEC dès le 24.01.2020 à posologie progressive Nitroglycérine en réserve Les bilans biologiques et radiographiques sont dans la norme. L'anamnèse et l'examen clinique parlent en faveur d'une fracture de fatigue versus goutte. Une antalgie par AINS est ordonnée. Un contrôle chez le médecin traitant en cas de réapparition de symptômes est conseillé. Les brûlures qui sont racontées par la patiente pourraient être liées à la sténose foraminale C5/6 à droite. Dr. X a conseillé une infiltration à St Thérèse. Elle préfère faire d'autres mesures avant de se laisser infiltrer vu qu'elle a entendu de mauvais résultats. Sur le plan chirurgie de la main, nous avons une suspicion d'une tendovaginite de Quervain qui pourrait également créer des douleurs brûlantes. On commence un traitement conservateur avec une ergothérapie pour mise en place d'une attelle de Quervain ou bien Néopren, des exercices en stretching et l'application des patchs Flectoparin. Si le succès est insuffisant, une ultrasonographie pour visualisation de l'inflammation ainsi qu'une infiltration aux stéroïdes peuvent être envisagés comme prochaine étape. Comme Mme. Y ne veut actuellement pas d'infiltration cervicale, elle va repousser le rendez-vous du 15.01.2020 à Ste Thérèse. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 6 semaines en même temps que la consultation du Dr. X pour un contrôle de la prothèse de l'épaule. Les derniers examens à notre disposition datent de 2018 et de 2019 et montrent un cadre dégénératif débutant qui doit être à nouveau investigué au moyen de nouvelles IRM. Nous suspectons une aggravation d'un syndrome facettaire qui pourrait justifier les douleurs avec une composante mécanique. Nous expliquons au patient qu'afin de pouvoir nous prononcer sur sa capacité de travail, nous devons avoir à disposition des examens récents. Prochain contrôle après ces examens. Les différentes options thérapeutiques sont discutées avec la patiente, le diagnostic lui est expliqué. Cette corde de Dupuytren au niveau de P1 est vraisemblablement une corde latérale ou une corde du musculus abductor digiti minimi. L'anamnèse pour des saignements plus importants que la normale a été effectuée avec la patiente. Durant la consultation, nous contactons notre hématologue Dr. X à l'HFR. Une maladie de neurofibromatose de Recklinghausen n'est pas connue pour causer des saignements plus importants. Nous demandons ainsi un bilan hématologique. Si celui-ci devait être positif, Dr. X recevrait également une copie et convoquerait la patiente. Nous consentons la patiente pour une cure de maladie de Dupuytren. Les douleurs au niveau du genou se sont bien amendées. A l'heure actuelle, cette patiente est gênée au niveau du calcanéum du pied. Cette gêne peut être provoquée par des proéminences osseuses sur Morbus Sever. Le traitement de physiothérapie doit être continué pour stretching et ultrason local à l'insertion du tendon d'Achille. Prochain contrôle clinique le 01.07.2020. Les douleurs au niveau du membre inférieur peuvent s'expliquer dans le contexte de ces lombosciatalgies bilatérales à claudication neurogène et sont également attribuables à une tendinopathie probable du fascia lata. Cliniquement, il n'y a pas d'atteinte au niveau prothétique. Dans ce contexte, nous proposons de poursuivre la physiothérapie en piscine et de compléter avec de la physiothérapie à sec centrée sur une détente et massage du fascia lata. Nous maintenons le contrôle prévu. Les douleurs du patient sont compatibles avec compression foraminale des racines C5 et C6 à D. Nous demandons une suite de prise en charge au team Spine. Concernant le syndrome du canal carpien bilatéral, il n'y a pour le moment pas d'indication pour une prise en charge chirurgicale. Concernant la rupture transmurale du sus-épineux, le patient présente une bonne fonction musculaire et ne nécessite pas de prise en charge chirurgicale ou physiothérapeutique pour le moment. Pas de nouveau contrôle prévu à notre consultation, mais nous restons à disposition en cas de besoin. Les douleurs intermittentes de Mr. Y sont liées à l'arthrose débutante. On ne note pas de dislocation secondaire de la plaque ni des vis. On conseille un traitement conservateur avec une antalgie symptomatique. En cas de péjoration, nous pourrions prévoir une infiltration avec des stéroïdes. Le patient nous recontactera en cas de besoin. Les douleurs lombaires provoquées sont probablement suite à une décompensation, vu que le patient est limité dans sa mobilisation fémoro-acétabulaire qu'il compense lombaire. De notre part, concernant la hanche, une possible indication opératoire consistant en une luxation chirurgicale avec triming antéro-supérieur et refixation labrale pourrait être envisagée. A l'heure actuelle, le patient est indécis. D'abord, il se sent plus gêné par les douleurs lombaires, par conséquent, nous prions nos collègues du team rachis de convoquer le patient à leur consultation pour une meilleure évaluation et une proposition de traitement. Le patient nous contactera par la suite de façon autonome en cas de décision chirurgicale. Les douleurs neuropathiques du patient présentent une amélioration. Nous ne proposons pour le moment pas de nouvelle prise en charge. Si une recrudescence des douleurs neuropathiques venait à apparaître, une éventuelle infiltration foraminale de la racine L5 G pourrait être discutée. Nous vous demandons de diminuer l'antalgie du patient afin d'avoir les doses minimales efficaces en Targin. Poursuite du Lyrica. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique le 28.04.2020.Les douleurs présentées par le patient, ainsi que la limitation de la mobilité articulaire, sont plutôt liées à une capsulite rétractile de l'épaule plus qu'à une lésion de la coiffe. L'amélioration clinique est notable après infiltration et les séances de physiothérapie. Après discussion avec le patient, nous proposons de poursuivre avec la physiothérapie. Le patient sera revu pour un contrôle dans 2 mois. Les douleurs que présente le patient peuvent s'expliquer par cette Plica médiale et également dans un contexte d'une chondropathie post-traumatique. Dans un premier temps, nous allons effectuer un traitement conservateur par physiothérapie. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique à distance de ce traitement. Les douleurs qu'elle présente peuvent s'expliquer sur un conflit du sinus du tarse en raison d'un affaissement progressif du médio-pied diminuant ainsi l'espace sous-talien. Les blocages mécaniques ne s'expliquent pas précisément. Dans ce contexte, nous allons effectuer une infiltration teste par corticoïdes et Rapidocaïne du sinus du tarse. Nous la reverrons 2 semaines après ce geste. En parallèle, physiothérapie pour renforcer le tibialis postérieur. Suivant les résultats de l'infiltration, nous envisagerons un éventuel chaussage avec soutien de la voûte médiale. Les douleurs sont bien contrôlées et le patient est capable de respecter la marche en charge partielle à l'aide de cannes. Nous le reverrons pour un contrôle radio-clinique à 8 semaines postopératoires et débuterons à ce moment-là la physiothérapie en cas de contrôle radiographique satisfaisant. Les douleurs sont principalement situées en regard de la fin de la zone de sécurité des chaussures qui est donc probablement à l'origine d'une contusion lors de la flexion dorsale forcée de la chaussure. Nous réalisons une radiographie décrite ci-dessus qui ne montre pas de fracture. Le patient rentre à domicile avec une antalgie. Il est prévenu de reconsulter en cas de persistance ou de péjoration des douleurs. Les douleurs sont probablement dues à un retard de consolidation et également avec un composant d'Impingement vu la proximalisation du fragment du petit trochanter. Poursuite avec physiothérapie et charge selon douleurs qui doit être gérée par le patient avec 2 cannes anglaises pour les 3-4 prochaines semaines et après progressivement en charge totale. Prochain contrôle le 18.02.2020 avec un scanner du bassin et hanche D pour bilanter la consolidation de la fracture. Ordonnance avec Dafalgan 1 g 3x/j donnée au patient. Les douleurs sont rapidement soulagées suite à l'administration de Novalgine et Primperan aux urgences. Vu le bilan biologique et la clinique avec une notion de contage familial, nous suspectons une gastro-entérite virale que nous traitons donc symptomatiquement. La suite de la prise en charge se fera chez son médecin traitant. Les douleurs toujours présentes 7 mois après l'arthroscopie de la hanche G, nous suspectons un nouveau conflit localisé entre le cotyle et le massif inter-trochantérien qui est très proéminent. Nous proposons donc au patient d'adresser ce problème via une luxation chirurgicale, celle-ci permettrait d'avoir une vue intégrale de l'articulation et d'adresser tous les mécanismes de conflit. Nous expliquons en détail l'intervention. Étant donné que le patient présente encore des douleurs suspectes abdominales qui pourraient peut-être irradier dans le pli de l'aine, celui-ci préfère que l'on fasse un bilan au niveau viscéral. Nous prévoyons donc d'adresser le patient à nos collègues de la chirurgie viscérale afin que ceux-ci puissent établir un bilan qui pourrait exclure les douleurs causées par une problématique viscérale. Dès que le patient aura été bilanté par les collègues de la chirurgie viscérale, nous allons revoir le patient pour un contrôle et discuter des résultats. Les douleurs ulnaire sont très probablement liées à la légère ulna + qui résulte de la bascule dorsale du radius et, éventuellement, à la pseudarthrose de la styloïde ulnaire. En réévaluant toutes les radios qui ont été faites après la réduction fermée, on note une légère bascule dorsal du radius avec une ulna + consécutive. Si les douleurs actuelles sont uniquement liées à la malunion ou que la fracture date d'uniquement il y a 3 mois, il est difficile à dire. On discute avec Mr. Y et Mme. Y des possibilités : continuer le traitement conservateur avec l'ergothérapie pour un renforcement et un travail à l'amplitude surtout à la supination ou bien une ostéotomie de correction du radius. Vu que Mme. Y prévoit une opération à son genou pour une fracture de la rotule le 17.02.2020, on se décide dans un premier temps pour le traitement conservateur. Nous prévoyons un prochain contrôle le 16.03.2020. Si les douleurs se péjorent, la patiente est priée de se représenter plus tôt. Pour l'arrêt de travail, nous conseillons de le prolonger jusqu'à l'opération du genou à 100 %. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. • CT abdominal injecté : aérocolie, aucune autre anomalie. Pas de lithiase visible. • Laboratoire : normal. • Urines normales. Attitude : Traitement symptomatique. Consulter médecin traitant si persistance des douleurs. Rendez-vous déjà prévu demain avec rhumatologue. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Antalgie. Laboratoire : Leucocytose à 12,7 G/l. Urine : propres. Suite : Contrôle clinique à la filière 34 le 26.01.2020. Le patient consultera les urgences avant le rendez-vous de contrôle en cas de péjoration de la symptomatologie. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Antalgie. Urine : propre. Laboratoire : aligné. Le patient consultera son médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. ECG : RSR sans trouble de repolarisation, axe gauche, légère élévation ST non significative de V1 à V3, ondes T amples et symétriques de V2 à V5. Laboratoire : Lc 10.3, K 3.5, Troponines négatives, reste sans particularité. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. ECG : rythme sinusal, avec bigéminismes, BAV 1°, nombreuses extrasystoles. Avis cardio Dr. X avec transmission des ECG : peu d'arguments pour une décompensation cardiaque actuelle, ECG comparable à la description de l'holter. Compléter labo avec NT-pro BNP. ETT indiqué pour évaluer stabilité du TAVI. US cardiaque : FEVG 60 %, pas de complication majeure de la TAVI. À l'ECG : bigéminismes, symptomatique probable sur HTA mal contrôlée. Remler à organiser en ambulatoire. Laboratoire : Troponines : H0 31, H1 30, H3 35 / NT-Pro BNP : 803 (négatif). Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. ECG : rythme sinusal régulier, normo-axé, pas de trouble de la repolarisation. Nifédipine 20 mg. Attitude : Ad Amlodipine 5 cpr d'office le matin + 5 en réserve. Contrôle chez MT pour adaptation du traitement si nécessaire. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. ECG. Laboratoire. Radiographie du thorax : pas d'anomalie. Angio-CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire, structures pulmonaires sans particularité. Avis cardio : pas d'argument pour SCA ; ETT sans particularité. Possible effet secondaire du Métoprolol. Attitude : Retour à domicile, re-consultation si péjoration. Contrôle ambulatoire cardiologie et pneumologie, à convoquer. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. ECG. Troponines dans la norme. Radiographie. Attitude : Antalgie, suivi ambulatoire.Consignes de reconsulter si fièvre, douleur en péjoration. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Examen clinique. Désinfection Hibidil. Anesthésie locale rapidocaïne. Drainage longitudinal 1 cm. Rinçage aiguille boutonnée NaCl 0.9 %. Méchage. Pansement compresse. ATT Poursuite antibiothérapie prescrit par le médecin traitant (Co-Amoxicilline 1 g 2x/j pendant 5 jours) Contrôle secteur ambulatoire des urgences à 48 h avec ablation de la mèche et suivi chez le médecin traitant en cas d'évolution favorable (contrôle prévu lundi) Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Examen clinique. ECG. Attitude : • Réassurance. • Suite de prise en charge par médecin traitant. • Reconsulte si apparition de nouvelle symptomatologie ou péjoration de la symptomatologie actuelle. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Investigation. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, reste aligné. Radiographie du thorax : pas de foyer visualisé, pas d'épanchement pleural. Avis hématologue (Dr. X) : pas d'indication à des investigations spécifiques ou à un traitement d'antibiotique prophylactique. Intervention. Traitement symptomatique. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Laboratoire : Lc 11.7, CRP 11, reste aligné. Stix urinaire : propre. Attitude : Réassurance, poursuite du suivi chez le médecin traitant avec éventuelle nouvelle consultation chez gastro-entérologue en fonction de l'évolution. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. ECG. Nitroderm, Adalat, Lercanidipine. Attitude : contrôle chez le médecin traitant, augmentation Lercanidipine à 2x10 mg si hypertension persistante le lendemain. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Gazométrie. ECG. US angiologue (rapport oral) : pas de thrombose veineuse profonde. Arrêt de travail. Contrôle clinique en ambulatoire à 48 h. Représentation en cas d'apparition de red flags. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Radiographie : présence de fracture susmentionnée. Suite de prise en charge opératoire avec opération ambulatoire le 31.12.2019. Le patient signe un consentement et donne son accord pour l'opération. Antalgie. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Rx face/profil/oblique pied G, 23.01.2020 : doute sur un arrachement osseux du cuboïde (vs surprojection). Avis orthopédiste (Dr. X) • pas de fracture visualisée. • Bandage cool fix. • Repos. • Arrêt sport 1 semaine. • Antalgie au besoin topique. • Arrêt de travail. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Rx thorax : pas d'épanchement pleural. Laboratoire : trop H0=8 H1=8 ; pas de syndrome inflammatoire. ECG : rythme sinusal régulier, pas de bloc de conduction ni de repolarisation. Ad antalgie et Temesta. Nous proposons une hospitalisation en oncologie au vu de l'angoisse de la patiente lorsqu'elle est prête à rentrer à domicile. Finalement, elle refuse l'hospitalisation. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. Stix sédiment. Changement de sonde urinaire. Erythème sur le ventre : Tavegyl en réserve si prurit. Attitude : retour à domicile avec antibiotiques (bactrim). Le home appellera pour résultat de culture. Les examens effectués sont expliqués au patient par le médecin. US bedside : pas de déchirure musculaire visible, pas d'hématome. Artères iliaques et poplitée sp, veines pas de thrombose à la veine poplitée et fémorale des deux côtés. Attitude : • Antalgie locale et systémiques • Physiothérapie • Acupuncture • Exercices d'étirement • Arrêt de travail • Clexane 40 mg pendant 3 jours • RDV au secteur ambulatoire des urgences le 31.01.2020 Les examens radiologiques effectués ne montrent pas de fracture. L'examen clinique est en faveur d'une entorse de Chopard. On met une attelle JP, prescrivons une prophylaxie anti-thrombotique et donnons un rendez-vous pour contrôle à la policlinique orthopédique dans une semaine. Les gonalgies que présente la patiente peuvent s'expliquer par une dysbalance musculaire consécutive à sa pratique sportive intensive. Dans ce contexte, nous proposons des séances de physiothérapie. Cliniquement, elle présente également une probable douleur sur une plica médiale. Nous n'avons aucune image complémentaire, raison pour laquelle nous organisons une IRM afin de poser un diagnostic clair et de déterminer le suivi si nous sommes en présence de troubles morphologiques. Prochain contrôle après cet examen. Les images radiologiques sont superposables au dernier contrôle datant du mois de décembre 2016 et on ne voit donc pas de cause flagrante pour ces douleurs d'apparition nouvelle. Je propose donc de bilanter par un scanner ainsi que par une ponction de hanche. On reverra le patient après ces examens le 04.02.2020. Les investigations avec IRM de la colonne cervicale, ENMG et consultation par le team Spine, n'ont pas pu mettre en évidence l'origine de ces cervicobrachialgies. Cliniquement, la palpation du trajet du nerf radial reste douloureuse, notamment à la hauteur de l'arcade de Frohse, raison pour laquelle on aimerait organiser une infiltration du nerf radial à l'arcade de Frohse sous contrôle US par nos collègues de l'antalgie. On adresse le patient au Dr. X à Bulle pour ce geste et nous remercions d'avance de bien vouloir convoquer le patient. Les lésions visualisées à l'IRM sont compatibles avec une luxation d'épaule. Il a relativement peu de symptomatologie. Je propose a priori un traitement conservateur avec renforcement musculaire, stabilisation de l'épaule en évitant la rotation externe en abduction. Poursuite de l'incapacité de travail à 100 % jusqu'au prochain contrôle, à savoir dans 6 semaines. Il faudra envisager une IRM de contrôle à 6 mois concernant le LCB. Les mesures pour les deux attelles ont été prises ce jour par Mr. Z d'Orthoconcept. Il s'agit d'une attelle cruro-pédieuse pour la nuit et d'une attelle pour la jambe bloquant la planta-flexion pour la journée. Les paramètres hépatiques sont actuellement en amélioration. Les sérologies virales n'étant pas encore sorties, nous proposons un nouveau contrôle à 24 h. Dans le cadre d'une ferritine très élevée, nous complétons également le bilan d'hémochromatose. Afin de soulager le patient, nous lui conseillons de poursuivre le traitement d'IPP et de discuter avec son médecin traitant pour l'organisation d'une gastroscopie ambulatoire. Les paramètres vitaux sont dans la norme. Dans ce contexte clinique, nous décidons de drainer ce kyste sous l'avis chirurgical du Dr. X par incision longitudinale. Un traitement antiseptique par spray est instauré deux fois par jour après rinçage de la plaie. Une prochaine consultation chirurgicale est prévue avec le Dr. X le lundi 27.01.2020 à 16 h pour un contrôle de la plaie. Le patient rentre à son domicile le 23.01.2020 en bon état général. Les plaies sont suturées par 26 points de suture après une désinfection par Bétadine, une anesthésie locale avec lidocaïne 1 % Streuli avec Natriumbicarbonat 8,4 %. Nous explorons et rinçons les plaies au NaCl. En l'absence de signe alarmant lié au traumatisme, le patient peut regagner le RFSM Marsens avec des conseils concernant les possibles signes d'appel. Les plaintes du patient ne sont probablement pas d'origine de la protrusion discale. Nous pensons peut-être à une dysbalance d'électrolyte, c'est pour cela que nous demandons au médecin traitant de bien vouloir contrôler les électrolytes du patient, inclus potassium et magnésium, et remplacer en cas de déficit. Nous prions également nos collègues en neurologie de bien vouloir voir le patient pour leur avis. Nous reverrons le patient suite à la neurologie.Les radiographies de la jambe et de la cheville droites ne montrent pas de lésion osseuse de la cheville. Nous retenons une entorse de stade II de la cheville droite pour laquelle nous conseillons l'immobilisation de la cheville dans une attelle Aircast, une antalgie orale et un contrôle clinique dans une semaine chez le médecin traitant. Les radiographies du genou gauche, de la jambe gauche et de la cheville gauche ne montrent pas de fracture. Nous immobilisons la jambe gauche par un Splinpod et lui donnons de la Clexane prophylactique. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan et Brufen. Elle reviendra pour un US de la jambe gauche le 09.01.2020. Les radiographies du pied gauche montrent une fracture in situ de la base du 2ème métatarse gauche. Immobilisation par botte plâtrée fendue. Mr. Y rentre à domicile avec antalgie en réserve par Algifor. Contrôle clinique à la policlinique dans une semaine. Les radiographies du poignet droit et du coude droit montrent une fracture du radius diaphysaire droit non déplacée. Nous immobilisons Mme. Y dans un plâtre fendu BAB. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie par Algifor. Nous lui donnons un rendez-vous à la policlinique d'orthopédie dans une semaine. Les radiographies effectuées aux urgences ne mettent pas de fracture en évidence. Nous mettons alors en place un traitement, après discussion avec Mme. Y, par attelle Jeans (mais pharmacies RIEDO fermées jusqu'à lundi, donc attelle jeans pour 3 jours avec Clexane en prophylaxie, puis changement d'attelle). Antalgie en R. Interdiction de conduire pendant 10 jours. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 13.01.2020. Physiothérapie de renforcement dans l'axe du genou + proprioception. Arrêt du travail jusqu'au 13.01.2020. Les radiographies effectuées chez le médecin traitant montrent le diagnostic susmentionné. Immobilisation par attelle Edimbourg. Mr. Y est convoqué le lendemain à 8H00 à jeun (07.01.2020) pour intervention chirurgicale. Arrêt du travail pour 6 semaines. Les radiographies effectuées mettent en évidence la fracture susmentionnée. Nous immobilisons Mr. Y dans une attelle alu en flexion à 30°. Il bénéficie aussi d'un bon d'ergothérapie. Arrêt de travail pour 2 semaines, puis réévaluation à la policlinique d'orthopédie. Les radiographies effectuées ne montrent pas de fracture. Au vu de l'impossibilité à charger la cheville et du doute sur l'entorse de Lisfranc, nous mettons en place une attelle jambière postérieure, avec prophylaxie antithrombotique. Mr. Y se rendra en contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 10 jours. Les radiographies effectuées ne montrent pas de signe de fracture. La plaie est désinfectée et suturée par 4 points de Prolene 2.0. La vaccination antitétanique est à jour. Un contrôle de la plaie est prévu le 20.01.2020 à la consultation du médecin traitant, ainsi que l'ablation des fils dans 2 semaines. Les radiographies initiales ne mettent pas en évidence de lésion osseuse. L'IRM réalisée dans l'intervalle montre un œdème osseux postéro-supérieur avec une impaction minime, correspondant à une lésion de Hill-Sachs. Trait évoquant une fracture dans la région du trochiter. Subluxation du LCB. Pas de lésion au niveau du labrum antérieur. Les radiographies montrent une bonne consolidation avec une petite déviation axiale. Les résultats de la biopsie effectuée ne sont pas clairs ni représentatifs. On devra donc organiser une 2ème biopsie ouverte à l'Inselpital pour caractériser la masse tumorale. On explique à Mr. Y que l'on ne peut pas faire ceci sur le site de Fribourg vu que pour toute la Suisse, il y a un centre reconnu pour le traitement de la pathologie tumorale de l'appareil locomoteur et que c'est à l'Inselspital de Berne. Donc, nous contacterons directement le Dr. X pour organiser cette biopsie et la prise en charge de Mr. Y pour le traitement suivant. Les résultats de l'analyse du frottis sanguin confirment la suspicion de leucémie. En l'absence d'état fébrile et de syndrome inflammatoire, nous n'avons pas prélevé d'hémoculture. Du point de vue métabolique, le bilan ne montre pas de perturbations compatibles avec un syndrome de lyse. À noter que le bilan est complété par une radiographie de thorax qui ne révèle pas de masse médiastinale. Les résultats du US sacral sont à envoyer au pédiatre pour organiser une consultation avec le chirurgien pédiatrique (Dr. X) si des pathologies sont trouvées dans l'US effectué le 14.01.2020. Les résultats vous seront transmis séparément. Les risques et les bénéfices de l'intervention sont expliqués à Mr. Y et à sa maman à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Les RX de la hanche droite du 19.11.2019 ont retrouvé des signes débutants d'arthrose de la hanche droite. Il n'y a donc actuellement pas d'indication opératoire claire pour l'implantation d'une PTH. Nous décidons de poursuivre la physiothérapie et de majorer le traitement antalgique avec adjonction du Tramal retard en réserve. Nous reverrons Mr. Y pour un prochain contrôle clinique dans 3 mois le 07.04.2020. Les sérologies d'hépatite E reviennent positives dans les classes IgM et IgG. L'évolution clinique et biologique est favorable. Selon l'avis du Dr. X, infectiologue, nous installons un traitement symptomatique. Nous expliquons à Mr. Y les mesures hygiéniques. Les suites opératoires sont simples. Mme. Y rentre à domicile le 31.01.2020 en bon état général avec un rendez-vous à 24h pour rinçage et suivi. Les suites opératoires sont simples et Mme. Y est afébrile. Elle ne présente aucun signe de complication. Elle est informée concernant le régime alimentaire (lisse/froid) à respecter et de s'abstenir de paracétamol et AINS tout en mesurant sa température régulièrement. Les symptômes nécessitant une consultation en urgence lui sont expliqués. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Les drains chirurgicaux sont retirés à J3 post-opératoire. Mme. Y rentre à domicile en bon état général. Les suites post-opératoires sont simples et exsanguines. Mr. Y rentre à domicile le 19.01.2020 en bon état général. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 21.01.2020. La suite de prise en charge se fera en fonction des résultats anatomopathologiques. Les suites post-opératoires sont simples et exsangues. Mme. Y rentre à domicile en bon état général. Les suites post-opératoires sont simples et exsangues. Mme. Y rentre à domicile en bon état général. Elle sera revue par le Dr. X à 48h post-opératoire. Les symptômes sont partiellement améliorés par la Flectoparin patch et l'attelle comfort cool la nuit, mais Mme. Y est encore assez algique. Nous lui proposons alors une infiltration, ce que Mme. Y accepte. Lésion ACD moyenne de 90% : PTCA/1x stent actif. Lésion acromio-claviculaire stade III gauche. Lésion annexielle droite et endomètre épaissi chez une patiente 2G1P de 65 ans. Lésion annulaire réhaussante en regard du cortex moteur une centimétrique et une autre infra-centimétrique avec restriction de la diffusion avec DD : abcès, lésion expansive. Lésion aspécifique du pont (DD maladie démyélinisante?). Lésion auto-infligée par utilisation d'objet tranchant - dermabrasions superficielles avant-bras gauche. Lésion à la base du 1er métacarpien de la main droite avec plaie superficielle. Traumatisme crânien simple, sans perte de connaissance. Lésion boutonnière sur une maladie de Dupuytren sur la face palmaire de l'auriculaire gauche. Lésion caecale suspecte avec adénopathies de contact le 26.12.2019. Lésion cartilagineuse rétro-patellaire interne à droite sur probable sub-luxation de la rotule le 01.08.2019.Dysplasie de type P. Lésion Chopart et Lisfranc à G le 16.06.2019 avec fracture articulaire du processus antérieur calcanéum, fracture-arrachement au niveau de l'os naviculaire, subluxation articulation astragalo-cuboïdale, fracture au niveau du cunéiforme et intermédiaire. Lésion chronique du ligament SL à G (dominant) • suspicion d'un ganglion radiocarpal dorsal symptomatique St. p. cure de tunnel carpien en août 2019 Lésion chronique exsudative au niveau du CAE droit. Lésion coiffe des rotateurs épaule droite. Contusion poignet droit. Lésion complète tendon rotulien genou droit, avec rupture du LCA et fracture non déplacée plateau tibial postéro-latéral. Lésion complexe de la corne postérieure du ménisque interne associée à un kyste de Baker en regard du genou G. Lésion complexe du pied G en 2013 avec • fracture multifragmentaire diaphyse proximale des 2ème et 3ème métatarsiens • fracture base 4ème métatarsien • fracture P1 et P2 gros orteil • petit arrachement tubérosité du 5ème métatarsien. Lésion cornéenne gauche le 12.01.2020. Lésion cutanée. Lésion cutanée dans la région inguinale gauche. (DD : verrue séborrhéique). Lésion cutanée DD : paranéoplasique ? Lésion cutanée de la face latérale du bras gauche d'origine indéterminée, possiblement zona. Lésion cutanée de type télangiectasies en augmentation le 29.08.2019. Lésion cutanée épaule gauche, d'origine indéterminée. Lésion cutanée fesse D. Lésion cutanée fesse droite. Lésion de Chopart avec atteinte osseuse droite (charge possible). Lésion de la tête du pancreas de découverte fortuite • avec dilatation du cholédoque et canal de Wirsung. Lésion de grattage et sur irritation mécanique au niveau de lèvres génitales. Lésion de la coiffe des rotateurs à droite : • Rupture du M. Supraspinatus • Tendinopathie Calcificans M. Infraspinatus • Vd. a. subluxation Caput Longus M. Biceps brachii. Lésion de la coiffe des rotateurs des deux côtés d'étiologie mixte (post-traumatique et dégénératif) le 23.10.2018 : • à droite suspicion de lésions supra-épineux, petit rond, infra-épineux, fibre inférieure du sub-scapulaire, probable bursite sous-acromiale. • à gauche suspicion de lésions supra-épineux, LCB, fibre inférieure du subscapulaire, possibles lésions du petit rond et de l'infra-épineux. Lésion de la corne postérieure du ménisque interne du genou D avec : • status après arthroscopie du genou D, résection partielle de la corne postérieure du ménisque interne et suture de celui-ci all inside le 13.01.2020. Lésion de la plaque palmaire de l'IPP avec arrachement osseux de P2 D5 à droite. Lésion de la plaque palmaire de l'IPP de D3 et D4 à gauche avec arrachement osseux. Lésion de la plaque palmaire de l'IPP de D3 gauche le 27.01.2020. Lésion de la plaque palmaire du 5ème doigt droit le 15.01.2020. Lésion de la plaque palmaire IPP du 4ème rayon de la main droite. Lésion de la plaque palmaire MCP III, PIP II / III à G du 21.08.2019. Lésion de la pulpe Digit 3 main droite. Lésion de la syndesmose de la cheville D. Lésion de l'articulation de Chopard du pied droit avec arrachement osseux talo-naviculaire et calcanéo-cuboïdien le 06.11.2019 avec immobilisation dans une botte plâtrée pendant 6 semaines. Lésion de Lisfranc gauche le 25.01.2020 avec : • fragment osseux versant postéro-médial du naviculaire. Lésion de 2mm sur la cornée de l'œil gauche. Lésion de 2mm sur la cornée de l'œil gauche : Test à la fluorescéine : visualisation d'une lésion de 2mm sur la cornée gauche. Consilium avec garde d'ophtalmologie Dr. X : application d'un pansement sur l'œil avec 2 gouttes de floxal et pommade vitamine A. Application de Tobrex collyre 1 à 2 gouttes 4x/jour et application de la crème vitamine A en cas besoin durant les prochaines 24h. Contrôle en ophtalmologie en fin de semaine. Lésion de 23 mm sur le rein gauche, inchangée depuis 2009. Opération pancréatique au Portugal sans autre précision. Décompensation diabétique hyperosmolaire, le 04.02.2019, sur non-compliance médicamenteuse avec : • HbA1c >15% le 04.02.2019. • Diabète secondaire à une pancréatite chronique. • Status post plusieurs hospitalisations pour décompensation diabétique (du 28.03 au 31.03.2014 ; du 30.04 au 08.05.2014 ; du 07.12 au 16.12.2016). Malaise orthostatique avec perte de connaissance et traumatisme crânien simple le 09.04.2019. s/p Dermohypodermite débutante O2 pied G et pied D le 31.05.19 sur dermabrasion, traumatisme cutanée, onychomycose. S/p suspicion de dermohypodermite bilatérale des O1 le 01.06.2019. • DD crise de goutte, DD Sudeck. Fin antibiothérapie comme prévue le 11.06.2019. Rx orteil 1 droite, 24.06.2019 : Avis orthopédique : possible goutte, ad Ibuprofène, contrôle laboratoire. Douleur pied droit d'origine indéterminée. DD : post traumatique le 28.05.2019, TVP. Lésion dégénérative corne moyenne et postérieure ménisque interne genou gauche, ébauche d'arthrose fémoro-tibiale interne. Lésion dégénérative corne postérieure ménisque interne genou D. Lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne et externe du genou G. S/p entorse du genou G de septembre 2018. Lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne genou G avec arthroscopie et méniscectomie partielle genou G 03.2012. Entorse cheville gauche le 12.08.2014. État d'agitation aigu le 12.08.2014 sur probable delirium tremens dans un contexte de syndrome de dépendance à l'alcool. Bronchite aiguë le 12.02.2017. Lésion degré 1 ligament scapho-lunaire dorsal à droite. Lésion du Chopart à D le 06.01.2020. Lésion du Chopart du pied G le 25.09.2019 avec : • fracture/arrachement sur la face dorsale du naviculaire • fracture/arrachement sur la face dorsale de la tête du talus • fracture du processus antérieur au niveau du calcanéum • fracture/avulsion au niveau du cuboïde latéral. Lésion du Chopart du pied gauche avec arrachement du naviculaire et du cuboïde le 01.09.2019. Lésion du Chopart pied D avec arrachement du processus antérieur du calcanéum le 20.09.2019. Lésion du Chopart pied G avec fracture du processus antérieur du calcanéum et arrachement à la face dorsale du talus au niveau talo-naviculaire. Distorsion de la TMT I avec arrachement du cunéiforme médial dans la partie médiale de l'articulation cunéo-métatarsienne. Lésion du Chopart pied G avec fracture du processus antérieur du calcanéum et arrachement à la face dorsale du talus au niveau talo-naviculaire. Distorsion de la TMT I avec arrachement du cunéiforme médial dans la partie médiale de l'articulation cunéo-métatarsienne. Lésion du FPL à G (non dominante) (à la jonction zone 1 à 2 à 95 %) le 10.10.2019 traitée par suture selon Lim-Tsai le 10.10.2019 (Dr. X). Lésion du LCA genou droit. Lésion du ligament fibulo-talaire antérieur cheville G avec fracture/tassement non déplacée sur la face postérieure de la malléole médiale sur entorse sévère du 16.01.2020. Lésion du ligament TFCC poignet G en 2018, traitement conservateur. Plaie face externe genou G en 2010 (15 points de suture). Fracture tibia en 2009 environ. Lésion du Lis franc le 06.11.2019. Status post immobilisation dans une botte plâtrée. Lésion du Lisfranc à G du 29.04.2019 avec fracture au niveau du cunéiforme médiale et intermédiaire. Lésion du Lisfranc avec fracture intra-articulaire de la base du 2ème métatarse du cunéiforme. Lésion du Lisfranc avec fracture Salter II de la base du 1er métatarsien et fracture de la base des métatarsiens II à IV, peu déplacée pied D le 12.01.2020. Lésion du Lisfranc du pied à D le 01.01.2019.Fracture-arrachement au niveau de l'os cunéiforme médial, intermédiaire et latéral. Fracture-arrachement au niveau de la base du 2ème, 3ème et 4ème métatarses. Fracture-arrachement au niveau de l'os naviculaire antéro-médial. Lésion du LLI du genou droit avec lésion de type Pelligrini Stieda et suspicion d'entorse du LCA suite à une chute à ski. Lésion du ménisque interne le 13.10.2019. Cystite simple en août 2019. Lésion du sous-scapulaire avec instabilité du long chef du biceps d'origine traumatique en 2018. Lésion du tendon de l'EPL post-enclouage par clou de Prévôt du radius par voie d'abord dorsale au niveau du Lister le 30.05.2019. Lésion du tendon sub-scapulaire partielle épaule G avec capsulite rétractile épaule G. Lésion endo-orbitaire/extra-ophtalmique droite • découverte fortuite au CT-scan cérébral du 29.12.2019 • DD : anévrisme ? Lésion expansive intra-axiale frontale G, DD : gliome de bas grade • mesurant 30 x 25 x 25 mm environ. Lésion expansive intra-axiale frontale pré-centrale G IRM-spectroscopie : altération concentration neuradrénaline, sans augmentation significative coline : • suspicion de gliome de bas grade. Lésion fovéale du TFCC à G après • chute en 07/2018. Lésion grade II du LLI et suspicion de lésion du ménisque interne du genou gauche • sur entorse en varus et flexion le 07.01.2020. Lésion hamstring antérieur proximal. Lésion hépatique du segment IVb, hypodense et non hypervasculaire au scanner, compatible avec une zone de stéatose focale. Ostéoporose traitée. Lésion hépatique gauche de 3x4 cm d'origine indéterminée découvert fortuitement à l'ultrason abdominal. DD : hyperplasie nodulaire focale, adénome hépatique. Lésion hépatique kystique du segment VI mesurant 23 x 15 mm d'origine indéterminée. Lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque interne du genou gauche. Lésion hypodense de taille péri-centimétrique transmurale de l'apex cardiaque le 31.12.2019 • image compatible avec un thrombus apical. Lésion hypodense de taille péricentimétrique transmurale de l'apex cardiaque le 31.12.2019 • image compatible avec un thrombus apical à la pointe du VG. Lésion intracérébrale par balle il y a 22 ans avec hyposensibilité frontal G, perte de l'œil G Péjoration de céphalées chroniques avec hémisyndrome sensitif droit fluctuant le 18.07.13. Bronchite virale le 24.09.2019. Anémie hypochrome, microcytaire sur carence en fer le 25.09.2019. Lésion intra-tendineuse de la partie antérieure du sus-épineux de l'épaule D avec éventuelle atteinte de la poulie. Tuméfaction d'origine X de P2 main D. Lésion kystique au niveau du 3ème ventricule avec dilatation secondaire des ventricules latéraux • DD : kyste colloïde. Lésion kystique cérébrale droite d'origine inconnue avec hémiparésie gauche. DD : Métastase. Lésion kystique de la tête du pancréas mesurant 13 x 9 mm • DD kyste / IMPN • dans un contexte de perte pondérale de 30 kg en 2 ans, d'origine indéterminée. Lésion kystique pancréatique suspect de IPMN dégénéré : • Date du diagnostic : 2017 • Endosonographie du 08.11.2019 (Prof. X) : TIPMP polykystique du Wirsung dont la taille est assez identique que lors de l'examen précédent, mais le diamètre de toutes les lésions mesurent 14 x 15 mm. • Cytologie (Promed C2019.1410) : cytologie suspecte de néoplasie kystique muco-sécrétante, avec atypies de bas grade. • Liquide de ponction du kyste le 08.11.2019 : CEA 1486 ng/ml (élevé). Lésion kystique <1 cm grande lèvre gauche. Lésion LCA et LLI genou droit. Lésion LCA genou droit, le 26.10.2019 • Arthroscopie avec plastie du LCA au par prise au TQ et renfort externe selon plastie de Lemaire genou D (Op le 18.12.2019). Lésion Lisfranc G avec fractures des bases des métatarsiens 1-2-3-4 le 14.02.2019 traitées conservativement. Lésion L2-L3 compatible avec une spondylodiscite • sans clinique ni syndrome inflammatoire. Lésion médiastinale. Lésion ménisque interne droit avec greffe et arthroscopie en octobre 2017 (Dr. X). Lésion ménisque médial périphérique avec distension du ligament collatéral latéral, genou gauche. Lésion musculaire de l'épaule droite post-traumatique. Lésion musculaire sur traumatisme indirect. Lésion musculo-tendineuse de la coiffe des rotateurs épaule droite. Lésion nodulaire pulmonaire apicale gauche de 2 aspects (antérieur à 25 mm et postérieur à 6 mm). Lésion nodulaire région apicale lobe du poumon droit. Lésion nodulaire solido-kystique du rein gauche évocatrice d'un adénocarcinome le 30.01.20. Lésion osseuse avec épaississement cortical d'origine indéterminée (DD : ostéomyélite chronique ? angiome osseux ?). Insuffisance veineuse superficielle connue. Intolérance à la morphine (peine à respirer). Lésion osseuse IPP D IV gauche. Lésion ostéo-chondrale condyle fémoral médial G et D. Status post-AS diagnostique genou G avec : • résection de la souris cartilagineuse et régularisation corne antérieure ménisque interne le 17.07.2019 sur : Lésion cartilagineuse sur OCD condyle interne genou gauche. Lésion corne antérieure ménisque interne. Lésion ostéochondrale de la facette externe de la rotule genou D d'environ 1.5 x 1.6 cm en 09.2019 • AS avec soit AMIC, soit avec mosaïc plastie après ablation de souris articulaire genou D (Op le 7.1.2020). Lésion ostéolytique de la 7ème côte droite, découverte fortuitement le 24.06.2019 • Avis radiologique : probable dysplasie fibreuse, DD enchondrome avec épaississement de la plèvre en regard. Lésion par scie pouce gauche du 24.11.2019 avec • Fracture ouverte de P1 • lésion 70 % du EPL Zone 2 • Lésion 100 % de A./N. digito-palmaire radiale • St. p. Ostéosynthèse par vis (Aptus 1.5/1.3 mm), suture EPL (KirchmeyerKessler PDS 3.0, Silfverskjöld PDS 5.0), neurorrhaphie épineurale N. digitopalmaire radiale (Dafilon 9.0) le 25.11.2019. Lésion parotidienne droite découverte fortuitement sur CT du 26.12.2019 : • DD : adénopathie post abcès cervical, tumeur bénigne. Lésion partielle de petite taille du sus-épineux épaule droite avec arthrose AC droite asymptomatique et des contractures importantes de la ceinture scapulaire bilatérales sur status post discectomie C4-C5 et mise en place de 2 cages en C4-C5 et C5-C6 le 6.9.2019. Lésion partielle des parties antérieures du sus-épineux épaule droite avec haute suspicion de tendinopathie du LCB. Lésion partielle des parties antérieures du sus-épineux épaule droite avec haute suspicion de tendinopathie du LCB. Lésion partielle des parties antérieures du sus-épineux épaule droite avec haute suspicion de tendinopathie du LCB. Status post infiltration sous-acromiale épaule droite le 10.1.2020.Lésion partielle du LCA genou droit. Lésion partielle du sus-épineux de l'épaule D et boursite sous-acromiale D. Status post infiltration le 29.11.19. Lésion partielle du sus-épineux et boursite sous-acromiale de l'épaule G au décours, arthropathie AC activée. Eventuelle cervicobrachialgie G. Lésion partielle du tendon sus-épineux de l'épaule gauche. Lésion partielle du TFCC et ligament LT à G Syndrome tunnel carpien à G Irritation du nerf ulnaire dans le sulcus et de sa branche dorsale à l'avant-bras distal. Lésion partielle du TFCC fovéal à G après une entorse du 07.08.2019. Lésion partielle transfixiante du tendon du sus-épineux de l'épaule gauche avec raideur articulaire post-traumatique marquée. Arthrose peu symptomatique du coude gauche. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire de l'épaule gauche le 06.12.2019. Lésion partielle UCL MCP I à G (adominant) du 24.12.2019. Lésion plaie profonde main D à hauteur du pli fléchisseur proximal Suspicion de lésion nerveuse/tendineuse. Lésion plaque palmaire IPP 5ème doigt (osseuse) main droite. Lésion pôle inférieur rein D, sous surveillance CT par Dr X. Dysbalance de l'équilibre sagittal avec syndrome du dos plat: • spondylodèse de L3 à L5 avec PAD, arthrodèse L3-L4 avec cage OLIF et décompression par cross-foraminotomie L3-L4 par la G le 24.09.2012 • reprise le 11.01.2013 pour une révision L3-L4, ablation du PAD, décompression L3-L4 par foraminotomie G et re-spondylodèse L3-L4 par Facet Wedge small. • Persistante d'écoulement de LCR au niveau de la plaie lombaire sur status post révision, suture de la dure-mère et patch de TachoSil le 29.03.2018 sur brèche de LCR L3-L4 sur status post-spondylodèse L2-S1 par système Viper (vis 6.0/50 en L2, L3, L4 et L5 et vis 6.0/45 en S1; 2 tiges lordosantes de 11cm), décompression canalaire L3-S1, ablation du système PAD L4-L5 et suture d'une brèche durale le 26.03.2018 pour une sténose L3-L4 et L4-L5 sévère sur hypertrophie ligamentaire et hernie discale paramédiane G, arthrose facettaire sévère multi-étagée et dysbalance de l'équilibre sagittal avec flat back. Tabagisme ancien 20 UPA stoppé en 1996. Hypertension artérielle traitée avec mauvaise adhérence au traitement. Obésité stade 2 avec BMI à 33.7 kg/m2. Syndrome d'apnée du sommeil, non appareillé. Lésion polypoïde dans le fond du caecum (CT du 7.01.2015). Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique avec: • sclérose coronarienne débutante (coronarographie en février 2015) • hypertension artérielle pulmonaire pré-capillaire: probablement secondaire à l'hypoxémie sur épanchement pleural • fonction ventriculaire gauche systolique conservée • insuffisance mitrale légère à modérée • fibrillation auriculaire anticoagulée • Status post-Pacemaker double chambre AAI-DDD le 12.02.2015. Lésion pré-unguéale majeur droit, 19.12.2019. Lésion pulmonaire suspecte sur PET CT 01/2019. Lésion pulmonaire suspecte sur PET CT 01/2019. Diabète de type 2 insulino-requérant • Hémoglobine glyquée à 7.5% en septembre 2019 Démence vasculaire par infarctus multiples. Hypertension artérielle traitée. Troubles de la marche d'origine multifactorielle. Lésion radiale du ménisque interne genou D. Lésion SLAP type II épaule droite. Lésion sous-cutanée au flanc droit DD: lipome / kyste. Lésion stade II du ligament collatéral interne genou gauche. Lésion superficielle au pli inguinal gauche pas de signe inflammatoire/infectieux. Lésion sus-épineux épaule gauche chronique avec très probable atteinte du sous-scapulaire, omarthrose débutante gauche. Lésion suspecte oropharynx droit le 10.01.2020. Lésion syndesmose de la cheville gauche avec fracture de Volkmann non-disloquée et fracture du tubercule de Chapuis, fracture proximale du péroné gauche le 03.01.2014. Fracture de l'humérus gauche non datée. Fracture du coude non datée. Cure d'hémorroïdes non datée. Cure de varices non datée. Cataracte en 2015. Syncopes sur malaise vagal le 08.04.2016. Pyélonéphrite droite le 16.12.2019. Choc anaphylactique sur Rocéphine le 16.12.2019. Lésion transfixiante de la partie antérieure du sus-épineux, tendinopathie du LCB et tendinopathie du sous-scapulaire. Omarthrose débutante. Lésion transfixiante de petite taille sus-épineux épaule droite post-traumatique. Status post arthroscopie épaule G, ténotomie et ténotède du long chef du biceps, résection AC le 31.01.2017. Status post infiltration sous-acromiale épaule droite le 16.08.2019. Lésion transfixiante des parties antérieures du tendon du sus-épineux épaule D avec luxation du long chef du biceps et lésion des parties hautes du sous-scapulaire. Lésion transfixiante du sus-épineux avec ténopathie sévère du long chef du biceps, épaule gauche. Lésion tumorale de 5.8 x 5.4 x 5.7 cm au niveau du lobe pulmonaire inférieur gauche avec: • infiltration de l'artère segmentaire basale gauche avec présence d'un thrombus intra-luminal • adénopathie au niveau du hile gauche • lésion ostéolytique du grand trochanter gauche. Lésion ulcérée palais dur le 31.01.2020. DD: néoplasie. Lésion vésicale hypodense de 23x26x20mm au niveau du méat urétéral droit le 02.01.2019 DD cystocèle avec: • Insuffisance rénale aiguë AKIN I • Dilatation pyélocalicielle droite à 15mm. Lésions cérébrales multiples d'origine indéterminée le 06.03.2019, avec: • crise d'épilepsie tonico-clonique le 06.03.2019 • crise d'épilepsie type absence le 05.03.2019 • DD: abcès, métastase d'une lésion pulmonaire basithoracique droite en investigation (lymphome?) • Keppra 500mg 2x/J dès le 06.03.2019, arrêté par le patient en fin d'année 2019 • CT cérébral 05.03.2019 (HFR Riaz): prises de contraste occipitales droites, occipitale gauche et frontales droites posent le DD de métastases de siège cortical et/ou sous-cortical en premier lieu. Des emboles septiques pourraient rentrer dans le DD Ponction lombaire 06.03.2019 (HFR Riaz) aspect eau de roche, éléments 2/mm3, Glucose 4.9 mM, Protéines 0.32 g/l, Lactates 2.3 mM, Chlorures 121 mM GRAM suspect pour BGN mais suspicion faible • EEG le 21.03.2019: pas de claire activité épileptique visible sur ce tracé • IRM cérébrale: quatre lésions cortico-sous-corticales en premier lieu en rapport avec des abcès. Ces lésions sont entourées d'une plage hypersignal T2 d'œdème péri-lésionnel. Anomalie de signal de l'hippocampe droit en probable rapport avec l'état de mal épileptique récent (origine herpétique non exclue sur base de l'imagerie seule). Cavernome frontal gauche. • Procalcitonine 1.09 ug/L • Tuberculose (GenXpert sur expectos 3x): négatif • AG sérique cryptococcus noformans: négatif • Dépistage (CLIA) Syphilis: négatif • HIV (Ag p24, anti-HIV 1/2): négatif • Sérologie hépatite A ancienne (Anti HAV-IgM négatif), anti-HBc totaux positifs, anti HBs 146 UI/l, HBs-AG négatif, anti-HCV totaux: négatifs • Toxoplasmose (ECLIA): IgG positif, IgM négatifs • Herpès, Anti HEV IgG et IgM: non effectué selon téléphone avec laboratoire du CHUV le 13.03.2019. Lésions cutanées. Lésions cutanées. Lésions cutanées maculaires brunes de l'hémi-thorax postérieur gauche le 08.01.2020 constatées par épouse pour la 1ère fois fin novembre 2019. DD sur traitement de radiothérapie.• DD sur traitement de radiothérapie • Lésions d'allure kystique prenant le lobe hépatique droit (découverte fortuite). • Lésions du jéjunum proximal : > OGD du 19.08.2016 : pas de lésion intra-luminale mise en évidence > Biopsie du 19.08.2016 : ectasies des vaisseaux lymphatiques dans la lamina propria des axes villositaires pouvant être secondaires à une lésion sous-jacente (p. ex néoplasique, parasitaire) • Ablation d'un polype colique d'environ 5 mm (coloscopie 03/2016) • Hémorragie digestive haute sur angiodysplasie duodénale en mai 2019 • PTG droit en 2014, à la Clinique Générale • Épanchement pleural et péricardique (2013) • Status post-pneumonie en février, août et septembre 2016 avec : > Abcès sur pneumonie du lobe supérieur G le 13.08.2016 : • antibiothérapie pendant 4 semaines • RX thorax le 09.09.2016 : infiltrat résiduel dans le loge supérieur postérieur G • Thrombose veineuse profonde aiguë iliaque externe, fémorale commune et profonde G le 20.08.2016 > sur immobilisation et absence d'anticoagulation prophylactique après hémorragie digestive haute > sous Eliquis jusqu'au 21.11.2016 > Status post-TVP D • Déconditionnement global du fait de sa longue hospitalisation avec trouble de la marche et d'équilibre sur : > st. p. cellulite du membre inférieur droit dans le contexte d'un lymphoedème chronique du 24.06 au 05.07.2018 > antibiothérapie avec Co-Amoxicilline 2200 g 4x/24h intraveineuse du 24.06 au 28.06.2018, Cubicine 500 mg 1x/24h iv du 28.06 au 02.07.2018, Céfépime 2000 mg 2x/24h iv du 28.06 au 02.07.2018 (taux de Céfépime résiduel du 02.07.2018 : 33 mg/l), Céfépime 500 mg 2x/24 du 03.07 au 05.07.2018 (taux de Céfépime résiduel du 06.07.2018 : 13 mg/l) > IRM membre inférieur droit, le 29.06.2018 : cellulite profonde > Scintigraphie osseuse : fortement évocatrice d'une algoneurodystrophie > Hypovitaminose D grave à 21 nmol/l le 19.07.2018 • Dermohypodermite du membre inférieur D le 18.12.2018 > 06/18 hospitalisation pour dermohypodermite traitée par Céfépime et Cubicine > Antécédent bactériologique : présence de E. faecalis polysensible > Co-Amoxicilline IV 1.2 g 3x/j du 19.12 au 25.12.2018 adapté à la clairance rénale • IRA AKIN I d'origine pré-rénale depuis le 18.12.2019 sur IRC chronique G3ab l > Dans un contexte de glomérulonéphrite membraneuse sous Prednisone depuis 10 ans > Avec syndrome néphrotique stable Protéinurie stable à 5.22 g/24h, UPCR stable > Albumine à 22 g/L • Anémie hyporégénérative hypochrome normocytaire ferriprive à 80 g/l le 07.05.2019 d'origine multifactorielle > Sur hémorragie digestive haute > Sur carences vitaminiques (B9, B12) et martiale > Avec transfusion 1 CE le 07.05.2019 et de Ferinject 500 mg le 08.05.2019 • Lésions et excoriations sur environ 5 cm de diamètre du bas ventre droit, accompagnées d'une lésion vésiculo-pustuleuse • DD : impétigo, zona. • Lésions ischémiques cérébrales asymptomatiques d'âge différent d'origine probablement artério-embolique • Lésions le 30.01.20 • Lésions longitudinales non-transfixiantes des tendons sus-épineux et sous-épineux de l'épaule droite post-traumatiques. • Status post stabilisation de l'articulation acromio-claviculaire droite en 2018. • Lésions papulaires périnéales le 28.09.2017. • Douleurs abdominales d'origine fonctionnelle probable le 04.03.2018. • Infection des voies respiratoires supérieures d'origine probablement virale le 12.07.18. • Douleur abdominale sans étiologie retrouvée le 06/09/18. • Lésions typiques pour une varicelle, avec notion de contage • Traitements symptomatiques prescrits. • Contre-indication donnée pour algifor. • Indication de reconsulter si péjoration clinique • Lésions vertébrales lytiques avec fracture instable • L'état clinique de l'enfant est correct lorsqu'il est afébrile. Il pleure souvent mais se calme bien dans les bras du papa. Il est souriant par moments. • La recherche de virus dans les sécrétions nasopharyngées revient positive pour le RSV. L'état clinique de l'enfant et la baisse de la CRP mesurée chez le médecin traitant parlent en défaveur d'une surinfection. Nous proposons donc une surveillance à domicile avec un contrôle clinique au besoin. • Leucémie à larges cellules granulaires et lymphocytaires > date du diagnostic : 07.07.2016 > biopsie médullaire : infiltration du tissu hématopoïétique environ 20 à 30 % par des cellules T de petites tailles, matures, lymphocytaires à gros grain (T-LGL) > bilan d'extension : infiltration médullaire, pas d'adénopathie au scanner du 24.08.2016 > formule sanguine du 24.08.2016 : agranulocytose (0.35 x 10^9/l), hémoglobine 132 g/l, thrombocytes 259 x 10^9/l > électrophorèse des protéines dans la norme > Status sous-chimiothérapie par Méthotrexate 10 mg/semaine associée à Prednisone (5 à 10 mg/jour) > ponction de moelle osseuse (biopsie et aspiration) du 15.02.2017 : infiltration médullaire (10 à 15 %) par des cellules lymphocytaires T-granulaires > traitement par Méthotrexate depuis août 2016, excellente tolérance et amélioration progressive de la leucopénie > actuellement : excellente évolution des valeurs leucocytaires, status post-infection des voies respiratoires, bonne évolution sous antibiothérapie, carence martiale, substitution par Ferinject, poursuite du traitement par Méthotrexate et Prednisone > suivi par Dr. X • Lymphome de type Malt : > date du diagnostic : 1996 > status post-résection et radiothérapie en 1996 > maladie auto-immune de type Sjögren avec SSA (RO) à 144 (norme < 20) et SS-B (LA) à 116 (norme < 20) > actuellement : pas d'évidence de rechute, CT mars 2018 • Lésions papulaires périnéales le 28.09.2017. • Douleurs abdominales d'origine fonctionnelle probable le 04.03.2018. • Infection des voies respiratoires supérieures d'origine probablement virale le 12.07.18. • Douleur abdominale sans étiologie retrouvée le 06/09/18. • Lésions typiques pour une varicelle, avec notion de contage > traitements symptomatiques prescrits. > contre-indication donnée pour algifor. > indication de reconsulter si péjoration clinique • Lésions vertébrales lytiques avec fracture instable à 15%) par des cellules lymphocytaires T-granulaires • traitement par Méthotrexate depuis août 2016, excellente tolérance et amélioration progressive de la leucopénie • actuellement : excellente évolution des valeurs leucocytaires, status post-infection des voies respiratoires, bonne évolution sous antibiothérapie, carence martiale, substitution par Ferinject, poursuite du traitement par Méthotrexate • Suivi par Dr. X Lymphome de type Malt • date du diagnostic : 1996 • status post-résection et radiothérapie en 1996 • maladie auto-immune de type Sjögren avec SSA (RO) à 144 (norme < 20) et SS-B (LA) à 116 (norme < 20) • actuellement : pas d'évidence de rechute, CT mars 2018 Leucémie avec: • leucocytose, 85.5% de blastes • thrombopénie • anémie Leucémie lymphatique chronique stade Binet B et Rai II, avec : • date du diagnostic : 20.05.2016. • cytométrie de flux Inselspital du 20.05.2016 : immunophénotype et morphologie en faveur d'une leucémie lymphatique chronique à cellules B, CD38 négatif en faveur d'un bon pronostic. • analyse NGS, CHUV du 20.05.2016 : pas de mutation de TP53. • puce ADN le 20.05.2016 : sans particularité. Leucémie lymphatique chronique HTA Diabète de type II hyperplasie de la prostate Leucémie lymphoïde chronique à cellules B-Kappa débutantes, stade A selon Binet et 0 selon Rai • date du diagnostic : 04.03.2013 • délétion 13q14.3 de type I Hypertension artérielle Hernie et béance hiatales Dolichocôlon Diverticulose sigmoïdienne Hémorroïdes internes stade I Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec multiples chutes : • consommation d'alcool chronique • malnutrition Tremor (de repos et d'intention) Troubles dégénératifs méniscaux à gauche Leucémie lymphoïde chronique Binet A (12/2015) • Contrôles tri-mensuels avec Dr. X (HFR Fribourg), aucun traitement en cours • Leucocytes 74.6 G/L en 11/2019 Leucémie lymphoïde chronique connue depuis 2010 : • leucocytose et apparition de masses ganglionnaires en 2012 • réapparition d'une leuco-lymphocytose en janvier 2016 • chimiothérapie par Fludarabine et Endoxan, 6 cycles d'octobre 2012 à mars 2013, avec réponse clinique et biologique complète, Rituximab d'octobre 2012 à avril 2013, interrompu en raison d'une leucopénie avec surinfection récidivante • traitement par Imbruvica depuis février 2016 dans un contexte de mutation p53-délétion du chromosome 17, avec réponse hématologique complète. En raison de douleurs musculaires, le traitement d'Imbruvica a progressivement été diminué à 1 cp/jour sans que cela péjore la leuco-lymphocytose • arrêt du traitement par Imbruvica le 20.10.2017 au vu de la chimiothérapie en cours • ponction-biopsie de moelle du 27.03.2019 (Promed P2019.3588) : infiltration diffuse par la LLC, environ 80 à 90 % de la moelle • traitement par Mabthera et Zydelig dès le 12.04.2019, Zydelig stoppé le 21.05.2019 au vu d'une incompatibilité pharmacologique avec le traitement systémique pour le cancer du côlon • actuellement : traitement par Venclyxto, interrompu depuis le 17.01 Goutte sous Allopurinol Hypertension artérielle Leucémie lymphoïde chronique connue depuis 2010 • leucocytose et apparition de masses ganglionnaires en 2012 • réapparition d'une leuco-lymphocytose en janvier 2016 • chimiothérapie par Fludarabine et Endoxan, 6 cycles d'octobre 2012 à mars 2013, avec réponse clinique et biologique complète, Rituximab d'octobre 2012 à avril 2013, interrompu en raison d'une leucopénie avec surinfection récidivante • traitement par Imbruvica depuis février 2016 dans un contexte de mutation p53-délétion du chromosome 17, avec réponse hématologique complète. En raison de douleurs musculaires, le traitement d'Imbruvica a progressivement été diminué à 1 cp/jour sans que cela péjore la leuco-lymphocytose • arrêt du traitement par Imbruvica le 20.10.2017 au vu de la chimiothérapie en cours • ponction-biopsie de moelle du 27.03.2019 (Promed P2019.3588) : infiltration diffuse par la LLC, environ 80 à 90 % de la moelle • traitement par Mabthera et Zydelig dès le 12.04.2019, Zydelig stoppé le 21.05.2019 au vu d'une incompatibilité pharmacologique avec le traitement systémique pour le cancer du côlon Leucémie lymphoïde chronique le 02.01.2020 • suivie par Dr. X depuis des années • patiente non informée du diagnostic car de nature très anxieuse (ne pas lui en parler - en accord avec Dr. X et fille) Leucémie lymphoïde chronique (LLC B) stade I selon la classification RAI B, classification de Binet (ICD10 C91.1) avec : • diagnostiqué en 2013 • 25.02 au 05.06.2013 : réalisation de 3 cycles FCR (700 mg Mabthera J1, 35.5 mg Fludarabine de J1 à J3 associé de 355 mg d'Endoxan J1 à J3 en IV) • 18.08.2016 TDM thoraco-abdomino-pelvienne : discrète augmentation en taille d'un ganglion axillaire droit de 6 à 7 mm. Importante cardiomégalie avec signes de cœur droit. Dysmorphie hépatique avec atrophie du segment IV et hypertrophie du segment I. Rate de taille normale. Ganglion iliaque externe de taille discrètement augmentée à droite passant de 7 à 10 mm. Diverticulose connue calme. Rétrolisthésis de L2/L3 de grade 1 ainsi que le tassement connu de L+. Pas de lésion osseuse suspecte. Reste de l'examen superposable au comparatif • 10.01.2018 : TDM thoraco-abdomino-pelvienne : péjoration des adénopathies sus et sous-diaphragmatiques. Péjoration de la cardiomégalie. Splénomégalie passant de 12.5 à 13.5 cm • 24.01.2018 : bilan biologique : Hb à 102 g/l, Hc 32 %, Th 108 G/l, Lc 42.9 G/l, électrophorèse des protéines sériques normales • 25.01 au 07.08.2018 : traitement de 2ème ligne comme traitement de rattrapage d'une récidive tardive par Zydelig 150 mg 2 cp/jour associé au Mabthera 375 mg/m2 mensuel • 02.08.2018 : TDM thoraco-abdomino-pelvien : évolution favorable avec diminution en taille et en nombre des adénopathies médiastino-hilaires, axillaires, rétropéritonéales, mésentériques et diminution en taille de la rate • 19.09.2019 : CT thoraco-abdomino-pelvien : progression de la maladie oncologique à l'étage thoraco-abdomino-pelvien sous forme d'apparition de multiples adénopathies et d'une splénomégalie à 16 cm • traitement par 3ème ligne par Gazyvaro (Obinutuzumab)-Bendamustine en octobre 2019 • chimiothérapie du 30.10 au 13.11.2019 avec Bendamustine et Obinutuzumab Leucémie myéloïde aiguë Leucémie myéloïde aiguë avec RUNX1 muté et FLT3ITD positif selon OMS 2017 et M4 selon FAB : • date du diagnostic : 21.10.2019 • présentation initiale : anémie et thrombocytopénie et présence de 20% de blastes en périphérie • mutations FLT3-ITD positives, Ratio ITD/FLT3 total : 8.2%, Ratio ITD/wild type : 9 %. • hyperexpression WT1 • médullogramme du 21.10.2019 : moelle hypercellulaire avec présence d'une importante infiltration par des blastes myéloïdes ainsi que des cellules monocytoïdes MPO+, ANBE+, allant jusqu'à 50 %, compatible avec une LMA M4 selon FAB. • biopsie ostéomédullaire du 21.10.2019 : moelle hypercellulaire avec infiltration diffuse par des blastes d'aspect myélomonocytaire d'environ 30 et par endroits 50 % avec différenciation myélomonocytaire. • cytométrie en flux médullaire du 21.10.2019 : 20 % blastes, une population : CD34+, CD117+, CD13+, CD33+, HLA-DR+, MPO(+), CD123+, CD105(+) et la deuxième population CD34-, CD117-, CD13(+), cMPO(+), CD33+, CD11b+, HLA-DR+, CD14+, IREM-2(+), CD64+, CD36+, CD123+, CD56+, autres marqueurs B et T nég. Cytogénétique médullaire du 21.10.2019 : 46, XY[20] Biologie moléculaire (PCR) du 21.10.2019 (CHUV) : AML1-ETO, CBFB-MYH11, BCR-ABL, MECOM, tous négatifs et hyperexpression WT1 positive. (NCN à 15'470) Biologie moléculaire (PCR) du 21.10.2019 (Unilabs) : FLT3-Asp835 tous négatifs, FLT3-ITD positif. (ratio ITD/FLT3 total : 8.2 %, ITD/Wildtype : 9 %) Next Generation Sequencing (panel TruSight Myeloid*) du 21.10.2019 : *54 gènes mutation c.1417delG du gène RUNX1 (48.7 %) mutation c.181C>A du gène NRAS (38.5 %) mutation c.2645G>A du gène DNMT3A (44.6 %) mutation c.1198_1199delAA du gène WT1 (46.7 %) mutation c.4936dupC du gène BCOR (81.7 %) Facteurs de mauvais pronostic : • LMA avec RUNX1 muté et FLT3ITD positif • échec d'induction • typisation HLA : en cours • sérologies : HBV-, HCV-, HIV-, HSV1+, HSV2+, VZV+, Toxoplasmose+, CMV+, EBV+, Quantiféron tuberculose - • pas de cryoconservation du sperme (discuté avec le patient le 22.10.2019 avec le Dr. X) Chimiothérapie d'induction type « 7+3 » du 23.10 au 29.10.2019 • Cytosar 200 mg/m2, J1-7, du 23.10 au 29.10.2019 • Idarubicin 12 mg/m2, J1, J3, J5 le 23-25-27.10.2019 • Fortecortin 8 mg, J1-7, du 23 au 29.10.2019 • Midostaurine 50 mg 2x/j, J9-J22 Bilan J20 PBM (11.11.2019) : • Cytométrie en flux : cellules avec phénotype connu de la LAM : 3.9% (CD34+, CD117+, CD123+, GDI05 (faible), HLA-DR+) • Biopsie (P2019.12568) : tissu hématopoïétique hypercellulaire avec importante hyperplasie et déviation à gauche de la myélopoïèse avec signes de dysmyélopoïèse, présence d'éléments blastiques et suspect de blastes (CD34 et CDU7 : environ 5 à 10%) ainsi qu'importantes modifications réactives dans le cadre d'un statut post-chimiothérapie. Chimiothérapie re-induction par FLAG du 19.11 au 24.11.2019 • Fludara 30 mg/m2 J1 à J5, du 19.11 au 23.11.2019 • Cytosar 2000 mg/m2 J1 à J5, du 19.11 au 23.11.2019 • Dexaméthasone 4 mg IV J1 à 6, du 19.11 au 24.11.2019 • Midostaurine 50 mg 2x/j J6 à 21, du 24.11 au 30.11.19 BPM du 18.12.19 : • hématologie moléculaire : expression du gène WT1 reste augmentée, avec un nombre de copies normalisé (NCN) de 4905 • cytométrie en flux (Inselspital) : part des cellules avec phénotype immun associé à la leucémie connue (CD34+, CD117+, HLA-DR+, CD123+, CD105 (faible)) : 0.3%. Réduction des blastes • caryotype : 46,XY[20] • Onco-Hématologie (Unilabs) : négatif pour la présence d'une ITD dans le gène FLT3 • Panels NGS (Unilabs) : mutations : -- NRAS 31% -- DNMT3A 43.2% -- WT1 38.2% -- RUNX1 44.4% -- BCOR 66.2% Leucémie myéloïde aiguë avec RUNX1 muté selon OMS 2017 et présence de FLT3ITD, diagnostic le 27.11.2019 Leucémie myéloïde aiguë promyélocytaire type M3 avec : • date du diagnostic : 26.09.2014 • présentation initiale le 26.09.2014 : agranulocytose fébrile, sepsis à E. coli, coagulation intravasculaire disséminée • syndrome de lyse tumorale post-chimiothérapie le 08.10.2014 • ATRA syndrome le 05.10.2014 • cytogénétique : t(15;17)(q24;q21), réarrangement PML-RARA (76 %) • chimiothérapie induction : • Vesanoid du 25.09. au 05.10.2014, puis du 06.10. au 09.10.2014, puis du 16.10. au 31.10.2014, puis du 03.11. au 16.11.2014 • Trisenox (Arsenic Trioxid) du 06.10.2014 au 08.10.2014 puis du 13.10.2014 au 30.10.2014 et du 04.11 au 14.11.2014 • Litalir le 05.10.2014, puis le 09.10.2014 • Zyloric du 25.09.2014 au 03.10.2014 • chimiothérapie de consolidation : -- Vesanoid du 17.11 au 30.11.2014, puis 2 semaines de pause, puis 2 semaines prévues de traitement et 2 semaines de pause (total prévu 7 x 2 semaines de traitement) -- Trisenox 5 j/7 pendant 4 semaines puis 4 semaines de pause (total prévu 4 x 4 semaines de traitement) • ponction de la moelle osseuse le 26.09.2014 • ponction de moelle 12.11.2014 Diabète type 2 insulino-requérant Hypercholestérolémie Leucémie myéloïde aiguë promyélocytaire type M3 avec : • date du diagnostic : 26.09.2014 • présentation initiale le 26.09.2014 : agranulocytose fébrile, sepsis à E. coli, coagulation intravasculaire disséminée • syndrome de lyse tumorale post-chimiothérapie le 08.10.2014 • ATRA syndrome le 05.10.2014 • cytogénétique : t(15;17)(q24;q21), réarrangement PML-RARA (76 %) • chimiothérapie induction : • Vesanoid du 25.09 au 05.10.2014, puis du 06.10. au 09.10.2014, puis du 16.10. au 31.10.2014, puis du 03.11 au 16.11.2014 • Trisenox (Arsenic Trioxid) du 06.10.2014 au 08.10.2014 puis du 13.10.2014 au 30.10.2014 et du 04.11 au 14.11.2014 • Litalir le 05.10.2014, puis le 09.10.2014 • Zyloric du 25.09.2014 au 03.10.2014 • chimiothérapie de consolidation : -- Vesanoid du 17.11 au 30.11.2014, puis 2 semaines de pause, puis 2 semaines prévues de traitement et 2 semaines de pause (total prévu 7 x 2 semaines de traitement) -- Trisenox 5 j/7 pendant 4 semaines puis 4 semaines de pause (total prévu 4 x 4 semaines de traitement) • ponction de la moelle osseuse le 26.09.2014 • ponction de moelle 12.11.2014 Insuffisance respiratoire aiguë sévère sur surcharge et fuite capillaire (syndrome de lyse tumorale et possible ATRA syndrome) le 09.10.2014 Agranulocytose fébrile avec translocation et bactériémie soutenue à Escherichia coli et à Clostridium perfringens le 26.09.2014 Coagulopathie intravasculaire disséminée sur LMA M3 • premier épisode (spontané) le 26.09.2014 • réactivation massive post-chimiothérapie le 05.10.2014 Ictère cholestatique obstructif avec suspicion de cholécystite le 01.10.2014 ATRA syndrome le 05.10.2014, résolu Syndrome confusionnel d'origine indéterminée le 13.10.2014 DD : médicamenteux, CIVD Inappétence et malnutrition Diarrhées aiguës avec culture de selles positive pour C. difficile le 8.11.14, récidive le 28.11.14 Globe urinaire le 09.10.2014 Tachycardie auriculaire sur foyer ectopique le 31.10.14 • avec résolution spontanée Décompensation cardiaque le 31.10.14 Leucémie myéloïde chronique BCR-ABL1 positive, en phase chronique, de score de Sokal à 0,81 (risque intermédiaire) et de score Hasford à 737 points (bas risque), diagnostiquée le 02.02.2016 avec : • hémogramme du 02.02.2016 : Hb 115 g/l, Gb 76,8 G/l (PMN 70%, Eo 1%, Baso 0%, Mono 2%, Lympho 4%, promyélo 0,5%, myélo 13,5%, métamyélo 8,5%, blastes 0,5%), Tc 505 G/l • biologie moléculaire du sang périphérique du 03.02.2016 : présence du transcrit de fusion MBCR-ABL (protéine p210) • ponction biopsie de moelle du 03.02.2016 : moelle hypercellulaire, avec hyperplasie de la lignée myéloïde et quelques légers signes de dysplasie surtout dans la ligne mégacaryocytaire, sans excès de blastes, compatible avec une LMC en phase chronique au médullogramme ; tissu hématopoïétique hypercellulaire (environ 95% de la cellularité), sans excès de blastes CD34+, avec une absence de fibrose réticulinique à la biopsie ostéomédullaire • cytogénétique médullaire du 03.02.2016 : caryotype 46,XX,t(9;22)(q34;q11.2)[20] • US abdominal du 02.02.2016 : rate homogène mesurant 10 x 7 mm de grand diamètre • traitement : cytoréduction par Litalir 2x1 g par jour du 02.02.2016 au 03.02.2016, puis par Glivec 400 mg par jour du 04.02.2016 au 03.06.2016, puis par Glivec 200 mg par jour dès le 04.06.2016 (en raison d'une intolérance sous 400 mg par jour sous forme d'une importante rétention hydrique avec crampes très fréquentes) • bilan à six mois post-traitement de Glivec : rémission complète hématologique et cytogénétique, avec diminution du transcrit de fusion BCR-ABL à 0,14 % dans le sang périphérique (réponse optimale selon les critères ELN 2013) sous un traitement de Glivec 200 mg/jour augmenté à 300 mg/jour dès le 12.08.2016 • remplacement du traitement de Glivec 300 mg/jour le 29.10.2016 par du Sprycel 100 mg/jour (en raison d'une intolérance au Glivec 300 mg/jour sous forme d'une récidive de rétention hydrique malgré des diurétiques, crampes, nausées et vertiges) • diminution du Sprycel à 50 mg/jour dès le 04.11.2016 (intolérance au Sprycel 100 mg/jour sous forme d'un important œdème péri-orbitaire avec rougeurs et démangeaisons du visage), avec diminution du Sprycel à 25 mg/jour dès le 21.07.2017 en raison de la persistance d'effets secondaires • situation actuelle (04.09.2017) : rémission moléculaire majeure (BCR-ABL < 0,01 % sur l'échelle internationale) • leucémie myéloïde chronique BCR-ABL1 positive, en phase chronique, de score de Sokal à 0,81 (risque intermédiaire) et de score Hasford à 737 points (bas risque), diagnostiquée le 02.02.2016 avec : • hémogramme du 02.02.2016 : Hb 115 g/l, Gb 76,8 G/l (PMN 70 %, Eo 1 %, Baso 0 %, Mono 2 %, Lympho 4 %, promyélo 0,5 %, myélo 13,5 %, métamyélo 8,5 %, blastes 0,5 %), Tc 505 G/l • biologie moléculaire du sang périphérique du 03.02.2016 : présence du transcrit de fusion MBCR-ABL (protéine p210) • ponction biopsie de moelle du 03.02.2016 : moelle hypercellulaire, avec hyperplasie de la lignée myéloïde et quelques légers signes de dysplasie surtout dans la ligne mégacaryocytaire, sans excès de blastes, compatible avec une LMC en phase chronique au médullogramme ; tissu hématopoïétique hypercellulaire (environ 95 % de la cellularité), sans excès de blastes C34+, avec une absence de fibrose réticulinique à la biopsie ostéomédullaire • cytogénétique médullaire du 03.02.2016 : caryotype 46,XX,t(9;22)(q34;q11.2)[20] • US abdominal du 02.02.2016 : rate homogène mesurant 10 x 7 mm de grand diamètre • traitement : cytoréduction par Litalir 2x 1 g par jour du 02.02.2016 au 03.02.2016, puis par Glivec 400 mg par jour du 04.02.2016 au 03.06.2016, puis par Glivec 200 mg par jour dès le 04.06.2016 (en raison d'une intolérance sous 400 mg par jour sous forme d'une importante rétention hydrique avec crampes très fréquentes) • bilan à six mois post-traitement de Glivec : rémission complète hématologique et cytogénétique, avec diminution du transcrit de fusion BCR-ABL à 0,14 % dans le sang périphérique (réponse optimale selon les critères ELN 2013) sous un traitement de Glivec 200 mg/jour augmenté à 300 mg/jour dès le 12.08.2016 • remplacement du traitement de Glivec 300 mg/jour le 29.10.2016 par du Sprycel 100 mg/jour (en raison d'une intolérance au Glivec 300 mg/jour sous forme d'une récidive de rétention hydrique malgré des diurétiques, crampes, nausées et vertiges) • diminution du Sprycel à 50 mg/jour dès le 04.11.2016 (intolérance au Sprycel 100 mg/jour sous forme d'un important œdème péri-orbitaire avec rougeurs et démangeaisons du visage), avec diminution du Sprycel à 25 mg/jour dès le 21.07.2017 en raison de la persistance d'effets secondaires • situation actuelle (04.09.2017) : rémission moléculaire majeure (BCR-ABL < 0,01 % sur l'échelle internationale) • leucémie myéloïde chronique BCR-ABL1 positive, en phase chronique, de score de Sokal à 0,81 (risque intermédiaire) et de score Hasford à 737 points (bas risque), diagnostiquée le 02.02.2016 avec : • hémogramme du 02.02.2016 : Hb 115 g/l, Gb 76,8 G/l (PMN 70 %, Eo 1 %, Baso 0 %, Mono 2 %, Lympho 4 %, promyélo 0,5 %, myélo 13,5 %, métamyélo 8,5 %, blastes 0,5 %), Tc 505 G/l • biologie moléculaire du sang périphérique du 03.02.2016 : présence du transcrit de fusion MBCR-ABL (protéine p210) • ponction biopsie de moelle du 03.02.2016 : moelle hypercellulaire, avec hyperplasie de la lignée myéloïde et quelques légers signes de dysplasie surtout dans la ligne mégacaryocytaire, sans excès de blastes, compatible avec une LMC en phase chronique au médullogramme ; tissu hématopoïétique hypercellulaire (environ 95 % de la cellularité), sans excès de blastes C34+, avec une absence de fibrose réticulinique à la biopsie ostéomédullaire • cytogénétique médullaire du 03.02.2016 : caryotype 46,XX,t(9;22)(q34;q11.2)[20] • US abdominal du 02.02.2016 : rate homogène mesurant 10 x 7 mm de grand diamètre • traitement : cytoréduction par Litalir 2x 1 g par jour du 02.02.2016 au 03.02.2016, puis par Glivec 400 mg par jour du 04.02.2016 au 03.06.2016, puis par Glivec 200 mg par jour dès le 04.06.2016 (en raison d'une intolérance sous 400 mg par jour sous forme d'une importante rétention hydrique avec crampes très fréquentes) • bilan à six mois post-traitement de Glivec : rémission complète hématologique et cytogénétique, avec diminution du transcrit de fusion BCR-ABL à 0,14 % dans le sang périphérique (réponse optimale selon les critères ELN 2013) sous un traitement de Glivec 200 mg/jour augmenté à 300 mg/jour dès le 12.08.2016 • remplacement du traitement de Glivec 300 mg/jour le 29.10.2016 par du Sprycel 100 mg/jour (en raison d'une intolérance au Glivec 300 mg/jour sous forme d'une récidive de rétention hydrique malgré des diurétiques, crampes, nausées et vertiges) • diminution du Sprycel à 50 mg/jour dès le 04.11.2016 (intolérance au Sprycel 100 mg/jour sous forme d'un important œdème péri-orbitaire avec rougeurs et démangeaisons du visage), avec diminution du Sprycel à 25 mg/jour dès le 21.07.2017 en raison de la persistance d'effets secondaires • situation actuelle (04.09.2017) : rémission moléculaire majeure (BCR-ABL < 0,01 % sur l'échelle internationale) • leucémie myéloïdes aiguë liée aux thérapies selon la classification OMS 2017, aleucémique, diagnostiquée le 27.05.2019 • actuellement en rémission • lymphome folliculaire de grade 1, stade III-IV le 27.02.1995 transformé en DLBCL en 09.2007. • atrophie du rein gauche avec hydronéphrose sans cause obstructive décelée. • leucémie prolymphocytaire T diagnostiquée le 02.04.2014, suivie par Dr. X avec : • hémogramme au diagnostic : Hb 143 g/l, GB 21,4 G/l (PMN 29 %, eo 0 %, mono 3,5 %, lympho 67,5 %), TC 287 G/l • cytométrie en flux du sang périphérique du 02.04.2014 : présence d'une population lymphocytaire T CD4+ représentant 93 % des lymphocytes, CD3+, CD5fort, CD7fort, CD26-, CD30-, CD35-, CD10-, compatible avec une leucémie prolymphocytaire T ou un lymphome T NOS • biologie moléculaire du sang périphérique du 02.04.2014 : présence d'un réarrangement clonal des gènes de la chaîne ß du récepteur TCR-aß et réarrangement clonal des gènes de la chaîne g du récepteur TCR-gd • CT thoraco-abdominal du 21.11.2013 : pas d'hépatosplénomégalie ni d'adénopathie pathologique • ponction-biopsie de moelle du 28.04.2014 : aspiration sans grumeau, infiltration interstitielle diffuse, en partie intra-sinusoïdale et para-trabéculaire environ 30 à 50 % du tissu hématopoïétique par une néoplasie à cellules T matures compatible avec une leucémie prolymphocytaire T (T-PLL selon OMS 2008) • cytométrie en flux médullaire du 28.04.2014 : infiltration lymphocytaire T CD4+, CD3+, CD52+, CD5fort, CD7fort, d'immunophénotype compatible avec une leucémie prolymphocytaire T représentant 55 % des cellules nucléées de la moelle • cytogénétique médullaire : 46, XX, add(7)(q11.2), i(8)(q10), del(11)(q21), inv(14)(q11.2q32), -21, idic(21)(p11.2), +r[4], 46, XX[17] • sérologies HTLV1 et HTLV2 du 28.04.2014 : négatives • progression rapide de la lymphocytose (de 51,1 G/l le 27.03.2019 à 83,3 G/l le 20.05.2019) avec splénomégalie à 14 cm au CT-scan thoraco-abdomino-pelvien du 20.05.2019 (vs 8,7 cm au CT scan du 14.12.2017). • thérapie : immunothérapie par Alemtuzumab (Campath) dès le 15.07.2019, 5e cycle fini le 16.08.2019 • 12.08.2019 : réponse hématologique complète (disparition de la lymphocytose) • pose de PICC Line le 15.07.2019 • sous Bactrim forte 3x/semaine dès le 15.07.2019 et Valtrex 1x/jour du 15.07. au 09.08.2019 • réactivation CMV du 05.08.2019 (3'016 UI/ml), indétectable dès le 09.09.2019, traitée par ValganciclovirValcyte® du 09.08 au 26.08.2019, puis Foscarnet du 26.08 au 11.09.2019 • pancytopénie avec agranulocytose du 01.09 au 07.09.2019 • Valtrex du 11.09 au 07.11.2019 puis repris le 11.11.2019 Artériopathie des vaisseaux précérébraux : • sous Clopidogrel depuis février 2019 Consommation d'alcool à risque avec hépatopathie Coxarthrose droite avec douleurs chroniques et boiterie Incontinence fécale sur hypotonie du sphincter anal post-opératoire : • pas d'amélioration avec gymnastique pelvienne et Imodium • implantation d'un neuro-modulateur anal par le Dr. X, retiré le 22.06.2012 (Dr. X) Infections urinaires basses à répétition BPCO stade 2 avec composante asthmatique : • sur ancien tabagisme à 30 UPA • sous Spiriva Consultation pneumologique (Dr. X) de mai 2018 : indication pour introduction de Vannair 200 2x/jour avec Aérochamber retenue en complément du Spiriva 1x/jour CT pulmonaire du 11.09.2019 : pas d'indice pour un emphysème majeur Leucémie prolymphocytaire T diagnostiquée le 02.04.2014, suivie par le Dr. X avec : • hémogramme au diagnostic : Hb 143 g/l, GB 21,4 G/l (PMN 29 %, eo 0 %, mono 3,5 %, lympho 67,5 %), TC 287 G/l • cytométrie en flux du sang périphérique du 02.04.2014 : présence d'une population lymphocytaire T CD4+ représentant 93 % des lymphocytes, CD3+, CD5fort, CD7fort, CD26-, CD30-, CD35-, CD10-, compatible avec une leucémie prolymphocytaire T ou un lymphome T NOS • biologie moléculaire du sang périphérique du 02.04.2014 : présence d'un réarrangement clonal des gènes de la chaîne ß du récepteur TCR-aß et réarrangement clonal des gènes de la chaîne g du récepteur TCR-gd • CT thoraco-abdominal du 21.11.2013 : pas d'hépatosplénomégalie ni d'adénopathie pathologique • ponction-biopsie de moelle du 28.04.2014 : aspiration sans grumeau, infiltration interstitielle diffuse, en partie intra-sinusoïdale et para-trabéculaire (environ 30 à 50 %) du tissu hématopoïétique par une néoplasie à cellules T matures compatibles avec une leucémie prolymphocytaire T (T-PLL selon OMS 2008) • cytométrie en flux médullaire du 28.04.2014 : infiltration lymphocytaire T CD4+, CD3+, CD52+, CD5fort, CD7fort, d'immunophénotype compatible avec une leucémie prolymphocytaire T représentant 55 % des cellules nucléées de la moelle • cytogénétique médullaire : 46, XX, add (7)(q11.2, i(8)(q10), del(11)(q2?1), inv(14)(q11.2q32), -21, idic(21)(p11.2), +r[4], 46, XX[17]. • sérologies HTLV1 et HTLV2 du 28.04.2014 : négatives • progression rapide de la lymphocytose (de 51.1 G/l le 27.03.2019 à 83.3 G/l le 20.05.2019) avec splénomégalie à 14 cm au CT-scan thoraco-abdomino-pelvien du 20.05.2019 (vs 8.7 cm au CT scan du 14.12.2017). • thérapie : immunothérapie par Alemtuzumab (Campath) dès le 15.07.2019, 5e cycle fini le 16.08.2019 • 12.08.2019 : réponse hématologique complète (disparition de la lymphocytose) • pose de PICC Line le 15.07.2019 • sous Bactrim forte 3x/semaine dès le 15.07.2019 et Valtrex 1x/jour du 15.07 au 09.08.2019 • réactivation CMV du 05.08.2019 (3'016 UI/ml), indétectable dès le 09.09.2019, traitée par Valganciclovir (Valcyte®) du 09.08 au 26.08.2019, puis Foscarnet du 26.08 au 11.09.2019 • pancytopénie avec agranulocytose du 01.09 au 07.09.2019 • Valtrex du 11.09 au 07.11.2019 puis repris le 11.11.2019 Artériopathie des vaisseaux précérébraux : • sous Clopidogrel depuis février 2019 Consommation d'alcool à risque avec hépatopathie Coxarthrose droite avec douleurs chroniques et boiterie Incontinence fécale sur hypotonie du sphincter anal post-opératoire : • pas d'amélioration avec gymnastique pelvienne et Imodium • implantation d'un neuro-modulateur anal par le Dr. X, retiré le 22.06.2012 (Dr. X) Infections urinaires basses à répétition BPCO stade 2 avec composante asthmatique : • sur ancien tabagisme à 30 UPA • sous Spiriva Consultation pneumologique (Dr. X) de mai 2018 : indication pour introduction de Vannair 200 2x/jour avec Aérochamber retenue en complément du Spiriva 1x/jour CT pulmonaire du 11.09.2019 : pas d'indice pour un emphysème majeur Leucocytes de forme anormale Leucocytose à Lc 24.3 G/l, avec neutrophilie • DD gastroentérite débutante. Leucocytose. DD : sur fécalome, infectieux. Leucocyturie asymptomatique. Leucocyturie asymptomatique du 15.01.2020 • chez Mme. Y connue pour multiple cystites s/p colporraphie antérieure et pose de TOT 11.2019 Leucocyturie asymptomatique le 03.01.2020. Leucocyturie asymptomatique le 05.01.2020. Pas de pollakiurie, de brûlures mictionnelles, de douleurs à la palpation de la vessie et de l'ébranlement des loges rénales. Leucocyturie asymptomatique le 09.01 et 10.01.2020 Leucocyturie asymptomatique le 09.01 et 10.01.2020 : • pas de sonde urinaire Leucocyturie asymptomatique le 10.01.2020 Leucocyturie asymptomatique le 14.01.2020. Leucocyturie asymptomatique le 15.01.20 Leucocyturie asymptomatique le 27.12.2019 Leucocyturie asymptomatique le 31.01.2020 Leucocyturie et bactériurie asymptomatique Leucocyturie et bactériurie asymptomatiques le 15.01.2020 Leucoencéphalopathie Fazekas III le 30.01.2019 Leucoencéphalopathie périventriculaire discrète probablement d'origine vasculaire, trouvaille IRM cérébrale du 15.04.2019 contribuant probablement à la clinique cognitive actuelle Leucomalacie péri-ventriculaire Leucopénie asymptomatique à 3.4 G/l sur Kineret Leucopénie d'origine indéterminée le 20.01.2020 • DD médicamenteuse sur Pantoprazole • Leucocytes à 2.7 le 20.01, 2.8 le 21.01 et Neutrophiles 1.08 G/l Levé le 06.12.2019 Levetiracetam du 15 au 17.01.2020 (arrêté pour somnolence) Phenytoïne dès le 17.01.2020 Stix urinaire : pas d'argument pour infection Pas d'IRM selon désir de la patiente Levetiracetam du 15 au 17.01.2020 (arrêté pour somnolence) Phenytoïne dès le 17.01.2020 Stix urinaire : pas d'argument pour infection Pas d'IRM selon désir de la patiente Levetiracetam 1.5 g en dose de charge le 25.01.2020, puis Levetiracetam 500 mg 2x/jour Surveillance neurologique Consilium neurologique (Dr. X, Dr. X) EEG le 28.01.2020 Mr. Y est hospitalisé pour prise en charge d'une insuffisance respiratoire et surveillance alimentaire dans le cadre d'une bronchiolite. Il reçoit de l'oxygénothérapie du 25.01 au 28.01. Des rinçages de nez sont effectués régulièrement. Dans le cadre de notre approche thérapeutique intégrative, la patiente a également bénéficié de thérapies complémentaires de médecine anthroposophique, dont des applications externes, les inhalations et les médicaments oraux. Ceci a contribué à la stabilisation des symptômes. Le frottis des sécrétions nasales revient négatif pour le RSV. Sur le plan alimentaire, il prend tous ses apports per os sans nécessité de soutien par sonde nasogastrique. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 28.01 avec un contrôle chez vous dans 24h. L'évolution à plus d'une année postopératoire est plutôt stagnante avec surtout des douleurs neurogènes qui restent handicapantes pour le patient en raison des décharges électriques. Il est limité dans ses activités professionnelles surtout quand il doit porter des charges lourdes. On lui propose d'aller consulter chez nos collègues du centre de la douleur pour éventuellement planifier une infiltration avec, par la suite, une éventuelle nouvelle ablation du neurome. Nous remercions nos collègues de l'antalgie de convoquer la patiente. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution à trois mois postopératoires reste bonne. J'explique au patient que le blocage au niveau de l'extension du genou s'est associé à son épanchement articulaire qui va disparaître avec le temps. Je lui propose une nouvelle réévaluation clinique dans six semaines. Il poursuit la physiothérapie pour la rééducation du genou. Nous prolongeons l'arrêt de sport pour encore deux mois. L'évolution à un an est favorable. Il n'y a pas de différence de longueur ni de trouble de rotation au niveau de la jambe. En revanche, la boiterie décrite par la mère est probablement due à la légère faiblesse du côté G en comparaison au côté D. Cette situation devrait se corriger avec l'âge et les activités sportives du patient qu'il pratique comme le football. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle. Nous restons à disposition. L'évolution à 1 an postopératoire est favorable. Les douleurs que ressent le patient sont dans un contexte musculo-squelettique et nous lui conseillons de prendre une bonne posture, de perdre un peu de poids et de bien faire attention lorsqu'il porte des charges lourdes au niveau de son travail. Nous lui donnons également quelques séances de physiothérapie qui lui ont apporté beaucoup de bénéfice la dernière fois, pour école du dos et balnéothérapie. L'évolution à 1 année postopératoire est très favorable avec une bonne rééducation en ergothérapie. Poursuite des séances d'ergothérapie et de physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. Entre-temps, la patiente aura une nouvelle évaluation par ENMG le 29.04.20. L'évolution à 3 mois après cette lésion du Lisfranc est favorable et on explique au patient qu'il est normal qu'il présente encore des douleurs. Poursuite de la physiothérapie. À la demande du patient, on autorise une reprise du travail à 50% dès la semaine prochaine pour tout le mois de février puis à 100% dès le mois de mars. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution à 3 mois post-opératoire est satisfaisante mais le patient doit poursuivre les séances d'ergothérapie pour gagner en mobilisation. Nous le reverrons donc dans 3 mois pour un prochain, et dernier, contrôle. L'évolution à 3 mois post-traumatiques est favorable avec une diminution des douleurs. Nous la rassurons quant à la persistance des douleurs qui peuvent durer au moins 6 mois. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 16.02.2020 puis reprise à 100%. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. L'évolution à 3 mois post-traumatiques est favorable. Nous stoppons le port des chaussures Kuenzli. Physiothérapie pour renforcement musculaire. Reprise du travail à 20% dès le 27.01.2020. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution à 3 mois post-traumatiques est favorable. Poursuite de la physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 16.02.2020. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution à 3 semaines de l'accident est tout à fait favorable. La fracture montre des signes de consolidation déjà à 6 semaines et la clinique confirme l'évolution très satisfaisante. La patiente a encore quelques séances de physiothérapie. Nous ne la reverrons pas d'office mais restons à disposition en cas de mauvaise évolution. L'évolution à 4 mois et demi est favorable. La persistance des légères douleurs est tout à fait normale. Nous lui expliquons ceci et lui conseillons de poursuivre la physiothérapie. Nous la reverrons dans 3 mois pour un dernier contrôle clinique. L'évolution à 4 mois post-plastie du ligament croisé et suture de la lésion type anse de seau du ménisque externe stagne. La flexion n'évolue pas et ne va pas au-delà des 110°. Je propose un bilan par IRM afin d'exclure un problème mécanique type cyclope ou une autre lésion de ménisque. Je reverrai la patiente après cette IRM pour discuter des résultats et du traitement. Prochain rendez-vous le 05.02.2020. L'évolution à 4 semaines post-traumatiques est favorable. Poursuite de l'immobilisation par Vacoped et de la marche en charge partielle. Prochain contrôle radioclinique dans 2 semaines où nous pourrons stopper l'immobilisation par Vacoped, reprendre progressivement la charge et débuter la physiothérapie. L'évolution à 5 mois postopératoire est très favorable avec une guérison qui progresse. On l'autorise à reprendre toutes les activités sportives. Prochain contrôle radioclinique à une année postopératoire. L'évolution à 6 mois post-traumatiques est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution à 6 semaines est relativement satisfaisante malgré le fait que l'on estime pouvoir gagner encore quelques degrés en dorsiflexion avec de la physiothérapie plus intense. On conseille au patient de reproduire les exercices plusieurs fois par jour au domicile. Nous referons le point avec un nouveau contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution à 6 semaines opératoires est marquée par une persistance des douleurs, surtout à la mobilisation du pouce, ce qui est probablement lié à un hématome postopératoire et le fait que la patiente n'a pas encore bénéficié de séances d'ergothérapie. Par conséquent, prescription de séances d'ergothérapie dans le but de mobilisation et décollement de la cicatrice sur la prise de greffe du FCR. Prescription également de Dafalgan 1 g et Novalgine 50 g maximum 4 X par jour pour les 2. On conseille à la patiente de prendre d'office, durant les 10-14 jours prochains, les antalgiques et par la suite diminuer le dosage. Prochain contrôle dans 6 semaines. L'évolution à 6 semaines post-opératoires est favorable. On stoppe l'immobilisation plâtrée. La patiente gardera les cannes encore quelques jours pour récupérer une marche fluide. On prescrit de la physiothérapie pour la récupération des amplitudes articulaires, renforcement musculaire et proprioception. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution à 6 semaines post-opératoires est favorable. Poursuite de l'incapacité de travail et de l'autophysiothérapie sous forme de marche pour les prochaines 6 semaines. Prochain contrôle clinique à 3 mois post-opératoires. Il pourra éventuellement reprendre son travail à 50%, à juger selon l'évolution. L'évolution à 7 mois post-opératoires est favorable. Nous lui conseillons de porter constamment ses semelles et donc d'acheter des chaussures dans lesquelles les semelles rentrent. Il est au chômage mais peut reprendre le travail. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution à 8 semaines post-opératoire est tout à fait favorable. Le patient peut reprendre le sport mais il doit éviter de faire du football pendant encore 4 semaines. L'évolution à 9 mois post-traumatiques est favorable même s'il persiste des douleurs mais qui sont également liées à son travail de charpentier qui est très demandant pour le pied. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous lui conseillons toutefois de refaire des exercices de stretching au niveau du mollet régulièrement. L'évolution après l'opération au poignet gauche est favorable. Mr. Y est prié de continuer la thérapie. Nous rajoutons des exercices pour le TFCC et application des patchs de Flectoparin. Lors du prochain contrôle, nous ferons une radio pour le poignet. Il va être vu après notre consultation au team membre supérieur pour des problèmes à l'épaule. En ce qui concerne la main, l'arrêt de travail passe à 0% à partir du 03.02.2020. L'évolution après rééducation thérapeutique est satisfaisante. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle. Nous restons à disposition si nécessaire. L'évolution, après une fracture de type Volar lip, est dans les normes. On prescrit une série d'ergothérapie pour un banana splint ou bien une attelle en extension pour la nuit, des exercices pour la flexion pendant la journée. Pendant la consultation, on instruit l'usage de bandage Coban contre les tuméfactions. Le patient est informé que des douleurs et les tuméfactions peuvent durer pendant encore des mois. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 8 semaines.L'évolution avec le traitement conservateur, avec physiothérapie et infiltration sous-acromiale, est favorable. Par conséquent, poursuite du traitement conservateur. Prescription de nouvelles séances de physiothérapie avec décompression de la tête humérale et renforcement du deltoïde antérieur. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution clinique à trois mois post-opératoires reste marquée par une restriction encore importante de la mobilité. Mme. Y va continuer la physiothérapie pour récupérer la mobilité. Je la reverrai dans deux mois pour une réévaluation clinique. L'évolution clinique à 2 mois du traumatisme est satisfaisante. Mme. Y est autorisée à reprendre les activités sportives. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution clinique à 3 mois du traumatisme initial est satisfaisante. Nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle, mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution clinique à 3 mois post-opératoire est tout à fait satisfaisante. Mr. Y est autorisé à reprendre le travail à 100 % et poursuivra les séances d'ergothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 3 mois post-opératoires est satisfaisante mais Mr. Y n'est pas encore prêt à reprendre le travail. Nous proposons donc de poursuivre la physiothérapie et de commencer le travail de renforcement musculaire. Nous le reverrons dans un mois pour un contrôle clinique le 18.02.2020 et pour discuter de la reprise du travail. L'évolution clinique à 4 mois post-ostéosynthèse d'une fracture du pilon tibial est tout à fait normale. Mr. Y a récupéré une bonne mobilité. La prochaine étape est de regagner la force. Il continue donc la physiothérapie. Une reprise du travail actuellement n'est donc pas possible. Il reste en arrêt de travail à 100 % jusqu'au prochain rendez-vous prévu pour le 19.2.2020. L'évolution clinique à 6 mois post-opératoires est satisfaisante. Nous reverrons donc Mme. Y à un an post-opératoire pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie pour renforcement musculaire des muscles fibulaires et proprioception. L'évolution clinique à 6 semaines est satisfaisante, étant donné que les cicatrices sont fermées, nous autorisons Mme. Y à stopper l'antibiothérapie. Nous lui conseillons d'hydrater la peau avec de la crème Excipial et nous la reverrons dans 6 semaines pour un prochain contrôle radio-clinique. L'évolution clinique à 6 semaines post-opératoire est acceptable. Poursuite du traitement par physiothérapie avec mobilisation libre et renforcement progressif. Prescription d'anti-inflammatoire sous protection gastrique à prendre d'office tous les jours pour les 14 jours à venir et par la suite avant les séances de physiothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. L'évolution clinique à 7 semaines de l'ablation partielle du matériel d'ostéosynthèse au niveau de la hanche gauche est globalement favorable avec une patiente qui ressent tout de même une amélioration de sa gêne à ce niveau. Je déconseille à Mme. Y d'essayer d'enlever le reste du matériel dans cette hanche gauche. Actuellement, elle souffre plutôt d'un problème de lombalgies chroniques qui crée quelques irradiations dans le membre inférieur gauche, sans toutefois perte de sensibilité ou de fonction motrice. Je préconise donc, sous surveillance du physiothérapeute, d'effectuer une instruction pour l'école du dos, rebalancement musculaire et stretching et renforcement des abdominaux ainsi que de la musculature dorsale. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 8 semaines post-traumatique est satisfaisante. Nous ne prévoyons donc pas de nouveau contrôle mais restons à disposition si nécessaire. Mme. Y est autorisée à reprendre toutes ses activités sportives. L'évolution clinique après infiltration est favorable, même si la zone infiltrée correspond à l'APL alors que les douleurs sont beaucoup plus ulnaire. Nous proposons donc une attitude expectative avec un prochain contrôle clinique dans 3 mois. Si Mme. Y notait une réapparition du kyste entre-temps, elle nous recontacterait pour réaliser un nouvel ultrason. L'évolution clinique de Mme. Y est favorable, elle va continuer à marcher avec les cannes anglaises avec une charge de 20 kg et nous allons la revoir pour un contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires le 28.01.2020. L'évolution clinique est favorable à 3 mois de l'intervention susmentionnée. On discute avec Mr. Y de poursuivre des exercices en physiothérapie, renforcement musculaire, ainsi que la reprise des activités sportives, les activités sportives avec mouvements de pivot sont à éviter. On le reverra pour un contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution clinique est favorable. Ce jour, la cicatrice est calme et propre et nous retirons la mèche. Le suivi se fera chez son médecin traitant ou à la policlinique de chirurgie. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X dans 3 semaines pour une prise en charge chirurgicale de cette récidive. L'évolution clinique est favorable et nous ne prévoyons pas de prochain contrôle à ma consultation. Je reste à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable. Mr. Y peut continuer la physiothérapie sans limitation particulière. Il peut reprendre progressivement son activité favorite de randonnée en montagne mais avec des chaussures montantes. Nous lui recommandons de garder ses semelles avec le soutien longitudinal de la voûte plantaire. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique afin de s'assurer de l'absence de développement d'une insuffisance du tendon tibial postérieur. L'évolution clinique est favorable mais légèrement ralentie. Mr. Y est donc autorisé à marcher en charge partielle de 25 à 30 kg pour les 6 prochaines semaines. Nous le reverrons ensuite pour un prochain contrôle radio-clinique le 18.02.2020 afin d'autoriser la charge totale si l'évolution radio-clinique est satisfaisante. Mr. Y reste en arrêt de travail de 100 % jusqu'au prochain rendez-vous. L'évolution clinique est favorable. Nous lui prescrivons une orthoplastie pour le 4ème espace interdigitale à porter progressivement. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution clinique est favorable. Nous prolongeons l'arrêt de sport et de gym pour encore 3 semaines. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. L'évolution clinique est favorable. On procède à la réfection du pansement, rembourrage et application d'un bandage élastique non serré. Mme. Y va poursuivre l'antibiothérapie per-os comme prévu jusqu'au 17 janvier prochain. La réfection du pansement doit toujours être effectuée tous les 2 jours par les soins à domicile. Mme. Y doit continuer à marcher en décharge avec la chaussure de décharge sous protection de cannes anglaises jusqu'à restauration de l'intégrité du tégument. On la reverra une semaine après l'arrêt des antibiotiques pour un nouveau contrôle clinique. L'évolution clinique est favorable. Radiologiquement, on note effectivement une progression par rapport à la radiographie du mois de décembre mais on explique à Mr. Y qu'il est encore trop tôt pour le laisser charger sans limitation et reprendre toutes activités sportives. On convient d'un prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois. Dans l'intervalle, Mr. Y pourra s'adresser à nous en cas de survenue de symptômes.L'évolution clinique est favorable. Réfection du pansement. Poursuite du port de la semelle jusqu'à la récupération de l'intégrité du tégument. Il est informé qu'il peut arrêter les antibiotiques. Il refera lui-même les pansements. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 3 km/h sur une pente de 2.5% pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+85 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi que d'ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 4 mmol/L, des HDL à 1.12 mmol/L, des LDL à 2.71 mmol/L et des triglycérides à 0.80 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8 mmol/l. Enfin, les glycémies restent alignées sans médication et le profil tensionnel est dans la norme durant le séjour. Au cours de son hospitalisation, au vu d'une majoration des OMI et de la cinétique pondérale, nous adaptons plusieurs fois le traitement diurétique et prescrivons des bas de contention avec un bon effet. Nous vous laissons le soin de contrôler l'évolution en ambulatoire et de réévaluer l'indication du traitement. Mr. Y est anticoagulé par Sintrom pour une fibrillation auriculaire. Nous adaptons plusieurs fois la dose de Sintrom avec un INR de 3.3 à la sortie. Le patient sera revu par son médecin traitant le 27.12.2019 afin d'effectuer un contrôle et d'adapter le dosage. L'examen clinique de sortie est sans particularité. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Concernant le suivi en ambulatoire, Mr. Y aura un rendez-vous cardiologique de contrôle chez le Dr. X le 22.01.2020. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 30 minutes à une puissance de 100 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 75 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Devant ce tableau, au vu de cette amélioration rapide, le patient rentre à domicile le 18.01.2020 et entrera dans le programme de réadaptation cardiovasculaire ambulatoire de notre établissement à partir du 20.01.2020 pour une durée totale de 4 semaines. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi que des ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle lipidique en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8 mmol/l. Depuis le début de son hospitalisation, Mr. Y présente des épisodes d'hypoglycémies après les séances de physiothérapie. Dans ce contexte et sur l'avis de l'infirmière de diabétologie, nous lui proposons de prendre une collation avant de réaliser un effort avec un bon effet. Par ailleurs, au vu d'une FEVG abaissée à 38% et dans le but d'obtenir un effet cardioprotecteur, nous remplaçons la Metformine par le Jardiance pour le retour à domicile. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution du profil glycémique et d'effectuer un contrôle biologique avec l'hémoglobine glycquée dans un mois en ambulatoire. Le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont restés dans la norme pendant le séjour. L'examen clinique de sortie est sans particularité. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Le Holter du 07.01.2020 se montre sans particularité. Dans ce contexte, en l'absence de tachycardie, nous arrêtons le Beloc Zok et conservons le Bilol, traitement pris à domicile par le patient, l'indication à un double traitement bêtabloquant ne nous semblant plus justifiée actuellement. Concernant le suivi post-opératoire, Mr. Y aura rendez-vous à la consultation du Dr. X 6 semaines après l'opération. Mr. Y nous rapporte des épisodes de ronflements confirmés par son épouse et par son voisin de chambre. Le patient est asymptomatique avec un score d'Epworth < 10 (4/24). Nous réalisons deux oxymétries nocturnes qui démontrent une saturation en oxygène (SpO2) moyenne de 91 et de 93% respectivement ainsi qu'un index de désaturation (ID) de 6.9 et de 4.7/h respectivement. Au vu de ces résultats chez un patient ne rapportant pas de somnolence diurne, une polygraphie diagnostique n'apparaît pas indiquée actuellement. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 30 minutes à une puissance de 100 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 4 km/h sur une pente de < 5% pendant 25 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+80 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi que d'ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 2.6 mmol/L, un HDL à 1.16 mmol/L, un LDL à 1.25 mmol/L et des triglycérides à 1.3 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.4 mmol/l. Enfin, les glycémies restent alignées sans médication, le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont dans la norme durant le séjour. L'examen clinique de sortie est sans particularité, avec amélioration de la ventilation des deux hémi-champs. Le sternum est stable et les cicatrices saines et calmes.L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. L'ETT de contrôle du 16.01.2020 montre une FEVG à 60%, il n'y a pas de dilatation des cavités. La valve biologique est en place, il n'y a pas de fuite para- ni transprothétique. Il existe une fuite mitrale minime. Il n'y a pas d'épanchement pleural, ni péricardique. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 25 minutes à une puissance de 115 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+120 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi que des ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des facteurs de risques cardiovasculaires, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 4.3 mmol/L, HDL à 1.11 mmol/L, LDL à 3.03 mmol/L, des triglycérides à 1.66 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.4 mmol/l. Enfin, les glycémies restent alignées sans médication et le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont dans la norme durant le séjour. Mr. Y présente une fibrillation auriculaire pour laquelle il est anticoagulé par Sintrom depuis le mois de novembre 2019. Nous adaptons plusieurs fois la dose de Sintrom avec un INR stable tout au long de son hospitalisation. L'INR à la sortie est de 2.8. Contrôle chez son médecin traitant le 07.02.2020 pour suivi thérapeutique. L'examen clinique de sortie est sans particularité. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. L'ETT de contrôle du 17.12.2019 montre une hypertrophie ventriculaire gauche modérée avec une FEVG estimée à 55%. La prothèse aortique est en place, il n'y a pas de fuite et les gradients sont dans les normes. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 25 minutes à une puissance de 65 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 5 km/h sur une pente de 2% pendant 30 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, nous objectivons une augmentation de la distance parcourue (+60 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi que d'ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 3.4 mmol/L, HDL à 0.72 mmol/L, LDL à 2.05 mmol/L et des triglycérides à 1.97 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.4 mmol/l. Suite à la mise en place de la prothèse métallique, Mr. Y est anticoagulé par Sintrom. Nous adaptons plusieurs fois la dose avec un INR suprathérapeutique à deux reprises à la sortie. Devant ce tableau, le patient sera revu par son médecin traitant le 23.12.2019 et reviendra dans notre établissement le 27.12.2019 afin d'adapter la dose. L'examen clinique de sortie est sans particularité. Bonne évolution de la stabilité sternale. Mr. Y est d'accord de continuer sa réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire avec début janvier 2020. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. L'ETT de contrôle du 20.12.2019 montre une hypertrophie ventriculaire gauche, bonne fonction globale estimée à 50-55%. Il existe une calcification aortique et mitrale. Il n'y a pas de signe indirect en faveur d'une HTP. Un test d'effort en fin d'hospitalisation ne montre pas d'arythmie. La clinique est négative avec de bons paramètres de récupération. Concernant le suivi, le patient sera revu à la consultation du Dr. X. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 25 minutes à une puissance de 82 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 5 km/h sur une pente de 6.5% pendant 30 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+73 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi que d'ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan diététique, Mr. Y a participé à 6/6 conférences sur l'alimentation cardioprotectrice; il a apprécié les conférences, estime qu'il a déjà de bonnes bases. Il repère notamment ses points faibles et nous avons discuté de manières de les améliorer. Les objectifs discutés aussi individuellement avec lui qu'en cours ont été : l'augmentation de la consommation de fruits; vérification des huiles utilisées et introduction des huiles riches en oméga-3; diminution de la consommation de boissons sucrées (actuellement 2x JP/j) et la réduction de la quantité de pain consommée quotidiennement. Sur le plan ergothérapeutique, vu la profession du patient (agriculteur), le port de charges (>5 kg) fut testé ; les paramètres hémodynamiques sont bons (corrects), mais constat d'une dyspnée post effort, rapidement récupérée. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 3.8 mmol/L, des HDL à 0.85 mmol/L, des LDL à 2.63 mmol/L (comparatif à 4.61 mmol/l le 22.11.2019) et des triglycérides à 1.07 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.4mmol/l. Sur le plan médicamenteux, en raison d'un profil tensionnel bas (TAs 100-105 mmHg), nous diminuons le Lisinopril à 2,5 mg avec des TAs qui sont correctes (à > 110 mmHg). Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire et d'adapter le traitement selon l'évolution. L'examen clinique de sortie est sans particularité. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. L'Holter du 09.12.2019 se montre sans particularité.Un test d'effort le 09.12.2019 montre une faible réponse chronotrope avec un profil tensionnel satisfaisant. Il n'y a pas d'arythmie et la clinique est négative. Sur le plan du réentraînement à l'effort, Mme. Y débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, elle est capable de pédaler durant 30 minutes à une puissance de 29 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. A la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 2 km/h pendant 30 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+95 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, Mme. Y bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi que d'ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 5.8 mmol/L, des HDL à 1.11 mmol/L, des LDL à 4.31 mmol/L et des triglycérides à 1.57 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. Enfin, les glycémies restent alignées sans médication et le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont dans la norme durant le séjour. Mme. Y a présenté une fibrillation auriculaire paroxystique suite à l'opération pour laquelle elle est actuellement anticoagulée par Sintrom. Au cours de son hospitalisation, nous adaptons plusieurs fois la dose avec un INR à la sortie de 1.7. L'examen clinique de sortie est sans particularité. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Sur le plan du réentraînement à l'effort, Mr. Y débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 5.1 km/h sur une pente de 2.5% pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 180 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, Mr. Y bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi que des ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, Mr. Y participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 3.6 mmol/L, des HDL à 0.65 mmol/L, des LDL à 2.54 mmol/L et des triglycérides à 1.74 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.4mmol/l. Mr. Y débute un sevrage tabagique au cours de son séjour dans notre établissement. Il bénéficie d'une substitution nicotinique pour l'aider dans ses projets. Nous avons eu plusieurs entretiens de motivation concernant la cessation de la fumée. Malheureusement, le tabagisme est toujours actif à la fin de son hospitalisation. En effet, il fume encore 8 cigarettes par jour. Nous lui rappelons à nouveau l'importance d'obtenir une abstinence tabagique complète et vous laissons le soin de suivre l'évolution du sevrage en ambulatoire. Notre tabacologue, le Dr. X reste à sa disposition au besoin. Enfin, les glycémies restent alignées sans médication; le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont dans la norme durant le séjour. L'examen clinique de sortie est superposable à celui de l'admission. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Sur le plan du réentraînement à l'effort, Mr. Y débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 25 minutes à une puissance de 84 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle; il peut également faire du tapis roulant à une vitesse de 25 km/h pendant 25 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 139 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, Mr. Y bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi que d'ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, Mr. Y participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle lipidique en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.4 mmol/l. Mr. Y maintient une abstinence tabagique complète au cours de son séjour dans notre établissement et nous vous laissons le soin de suivre l'évolution du sevrage en ambulatoire. Enfin, les glycémies restent alignées sans médication, le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont dans la norme durant le séjour. Durant son séjour à domicile lors de la fermeture de notre service pour les fêtes de fin d'année, Mr. Y a présenté des lésions érythémateuses prurigineuses au niveau de la cicatrice de sternotomie qu'il a tout d'abord traitées par Pevaryl crème, sans effet. Par la suite, le patient a présenté un impétigo surajouté au niveau des lésions. Devant ce tableau, nous débutons un traitement topique par Fucicort crème avec une bonne évolution. Le patient poursuivra le traitement jusqu'au 14.01.2020 inclus et nous vous laissons le soin de suivre l'évolution en ambulatoire. L'examen clinique de sortie est sans particularité. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Sur le plan du réentraînement à l'effort, Mr. Y débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 30 minutes à une puissance de 129 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 5 km/h sur une pente de 3% pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+15 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, Mr. Y bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi que d'ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, Mr. Y participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation.Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 2.7 mmol/L, un HDL à 0.83 mmol/L, un LDL à 1.8 mmol/L et des triglycérides à 0.76 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. Mr. Y consolide un sevrage tabagique au cours de son séjour dans notre établissement. Il ne désire pas de substitution nicotinique pour l'aider dans ses projets. Nous avons eu plusieurs entretiens de motivation concernant la cessation de la fumée et le patient maintient une abstinence complète. Nous lui rappelons à nouveau l'importance d'une absence complète de tabac et le patient est motivé pour maintenir ce statut. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution du sevrage, en ambulatoire. Enfin, les glycémies restent alignées sans médication et le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont dans la norme durant le séjour. L'examen clinique de sortie est sans particularité. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 30 minutes à une puissance de 80 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 135 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi que des ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 2.5 mmol/L, des HDL à 0.82 mmol/L, des LDL à 1.28 mmol/L et des triglycérides à 1.65 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.4 mmol/l. Enfin, les glycémies restent alignées sans médication et le profil tensionnel et la fréquence cardiaque dans la norme durant le séjour. L'examen clinique de sortie est sans particularité. Le sternum est stable et les cicatrices sont saines et calmes. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il a atteint son objectif et est capable de monter 12 marches d'escaliers à l'aide de sa prothèse et de ses cannes. Sur le plan des corrections des facteurs de risques cardiovasculaires, nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. De plus, au vu d'un profil glycémique bas le matin, nous diminuons l'Humalog du soir et du matin ainsi que la Lantus et au vu d'une sortie anticipée de notre service, nous lui recommandons d'aller consulter un diabétologue en ambulatoire afin d'adapter le traitement. Le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. L'examen clinique de sortie est sans particularité. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Une oxymétrie nocturne à l'air ambiant démontre une saturation en oxygène (SpO2) moyenne de 94% et un index de désaturation (ID) de 22.9/h. Devant ce résultat, nous vous proposons d'organiser une polygraphie-diagnostic en ambulatoire afin de rechercher un syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS). Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi que des ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 3.2 mmol/L, un HDL à 0.71 mmol/L, un LDL à 1.22 mmol/L et des triglycérides à 2.55 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. Au vu d'un profil glycémique élevé, nous adaptons plusieurs fois la dose d'insuline lente avec un bon effet et nous laissons le soin à son diabétologue traitant (Dr. X) qui nous lit en copie de suivre l'évolution en ambulatoire et d'adapter le traitement si nécessaire. Le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont restés dans la norme pendant le séjour. L'examen clinique de sortie est sans particularité. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Une oxymétrie nocturne à l'air ambiant démontre une saturation en oxygène (SpO2) moyenne de 94% et un index de désaturation (ID) de 22.9/h. Devant ce résultat, nous vous proposons d'organiser une polygraphie-diagnostic en ambulatoire afin de rechercher un syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS). Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi que des ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 3.2 mmol/L, un HDL à 0.71 mmol/L, un LDL à 1.22 mmol/L et des triglycérides à 2.55 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. Au vu d'un profil glycémique élevé, nous adaptons plusieurs fois la dose d'insuline lente avec un bon effet et nous laissons le soin à son diabétologue traitant (Dr. X) qui nous lit en copie de suivre l'évolution en ambulatoire et d'adapter le traitement si nécessaire. Le 24.12.2019 Mr. Y rentre à domicile pour les fêtes de fin d'année et sera réadmis le 06.01.2020 pour la poursuite de sa réadaptation cardiovasculaire.L'évolution clinique est favorable, sans signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie aux contrôles cliniques ou sur les ECG réalisés. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 25 minutes à une puissance de 60 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle; il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 4.5 km/h sur une pente de 5.5% pendant 30 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+105 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, le patient bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi que d'ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, le patient participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire Au cœur de l'alimentation. Sur le plan des corrections des FRCV, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 2.7 mmol/L, des HDL à 1 mmol/L, des LDL à 1.60 mmol/L et des triglycérides à 0.57 mmol/L. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. Enfin, les glycémies restent alignées sans médication et le profil tensionnel et la fréquence cardiaque sont dans la norme durant le séjour. Sur le plan médicamenteux, afin de faciliter la prise du traitement, nous remplaçons le Sintrom par l'Eliquis et laissons le soin à son cardiologue traitant qui nous lit en copie de réévaluer l'indication à l'anticoagulation en ambulatoire. L'examen clinique de sortie est sans particularité. Le sternum est stable et la cicatrice saine et calme. L'évolution clinique est globalement favorable même si Mme. Y est encore gênée au niveau de son quatrième doigt. Etant donné la persistance de douleur au niveau de la MCP à la face palmaire, nous lui proposons une infiltration que la patiente ne souhaite pas réaliser pour l'instant. Nous lui autorisons donc à reprendre son travail à 100% dès le 01.02.2020. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution clinique est globalement satisfaisante même si Mme. Y nous rapporte avoir encore des céphalées de tension intermittentes, toutefois en amélioration par rapport à la dernière fois. Elle présente également une appréhension à la marche, notamment lorsqu'elle monte ou descend les escaliers. Nous proposons à Mme. Y d'être vue par le Dr. X. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution clinique est lente, mais bonne suite à la ténolyse du tendon extenseur et à l'ablation du matériel d'ostéosynthèse en regard du 5ème doigt de la main droite. Le patient va continuer l'ergothérapie. Je le reverrai dans 2 mois pour une nouvelle évaluation clinique. Pas d'arrêt de travail. Prochain rendez-vous le 04.03.2020. L'évolution clinique est lentement favorable à une semaine. Nous proposons de poursuivre le protocole de pansement proposé à la dernière consultation (Bepanthen et Mépilex lite). Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est satisfaisante mais le patient garde un flessum de l'IP par rapport au côté controlatéral. Par ailleurs, l'attelle qu'il porte la nuit n'est pas tout à fait en extension pour l'IP. Nous proposons donc d'adapter l'attelle et de revoir le patient pour un prochain et dernier contrôle clinique dans 3 à 4 mois. L'évolution clinique est satisfaisante, nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution clinique est satisfaisante. Nous prévoyons un prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution clinique est stationnaire. L'ostéochondrome reste de taille identique comparativement aux derniers clichés. Prochain contrôle radiologique dans 6 mois (10.7.20). L'évolution clinique est tout à fait satisfaisante chez un patient maintenant asymptomatique. D'un point de vue radiologique, on retient ce diagnostic sans autre lésion surajoutée. Dans ce contexte, on autorise une reprise progressive des sports avec toutefois une absence de match jusqu'à la fin janvier. Prochain contrôle clinique à distance. L'évolution clinique est tout à fait satisfaisante. Le patient continuera les séances d'ergothérapie mais nous ne prévoyons pas de prochaine consultation chez nous. Nous restons à disposition si nécessaire. L'évolution clinique est tout à fait satisfaisante, même sans physiothérapie. Nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution clinique est tout à fait satisfaisante. Nous ne prévoyons donc pas de nouveau contrôle mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution clinique est tout à fait satisfaisante. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition si besoin. L'évolution clinique post-opératoire est satisfaisante. Nous reverrons donc Mme. Y à 6 mois de l'intervention pour un prochain contrôle. L'évolution concernant l'épaule D est stagnante avec des douleurs persistantes mais une mobilité qui n'a pas de limite dans les activités de la vie quotidienne. Concernant l'épaule G, Mme. Y réfère une péjoration de la symptomatologie douloureuse, suite à l'infiltration. On ne voit pas d'indication chirurgicale puisqu'il s'agit d'une lésion partielle du sus-épineux et la bursite sous-acromiale n'a pas répondu à l'infiltration. On propose de poursuivre la physiothérapie en piscine et à sec en insistant sur la mobilisation et surtout le renforcement pour la décompression de la tête humérale. On propose également de répéter l'infiltration sous-acromiale de l'épaule D, et 6 semaines plus tard infiltration de l'épaule G. Les dates sont agendées pour les 2 infiltrations. Concernant les douleurs chroniques, on souhaiterait adresser Mme. Y à nos collègues du centre des douleurs avec le but de mieux adapter l'antalgie pour cesser le cercle vicieux. L'évolution de l'épaule reste favorable avec absence de douleurs et un patient qui arrive à jouer 3 fois par semaine au squash. Au niveau professionnel, il travaille à 100% comme informaticien sans limitation. On ne prévoit pas de traitement spécifique pour l'épaule. Concernant les douleurs au poignet, il s'agit probablement d'une neurapraxie de la branche superficielle du nerf radial. Pour cette atteinte, nous ne prévoyons pas, également, de traitement spécifique mais on rassure le patient que cette symptomatologie va diminuer avec le temps. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution des tissus mous est suffisamment favorable pour permettre une intervention qui aura lieu le 09.01.2020, la patiente est prévenue des risques péri et post opératoires qu'elle accepte ce jour en signant le consentement. Elle sera vue par les anesthésistes le jour même. L'évolution des 2 épaules est stagnante. Le patient arrive encore à effectuer des travaux manuels et du sport, comme le squash malgré cette omarthrose. Pour le moment, on ne propose pas de traitement particulier à part conserver la mobilité le plus possible, et la prise de Dafalgan au besoin. On propose également une cure de Chondrosulf 800 mg 1 fois par jour durant 3 mois. Prochain contrôle dans 1 an mais on reste à disposition entre temps.L'évolution est assez bonne vu le point de départ. • Poursuite de la physiothérapie. • Prochain contrôle chez moi le 21.2.2020. Jusque là, poursuite d'un arrêt de travail à 100%. L'évolution est bonne. J'ai programmé un contrôle clinique final dans 2 mois : le 05.03.2020. L'évolution est bonne, mais logiquement lente, vu l'extension de l'opération. Prescription d'ergothérapie pour une rééducation sensitive du nerf cutané de l'avant-bras postérieur qui a été pris dans la cicatrice. • Prochain contrôle le 29.01.2020. Jusque-là, poursuite de l'arrêt de travail. L'évolution est bonne mais marquée d'une inflammation du deltoïde. • Poursuite de la physiothérapie à sec et physiothérapie en piscine. • Contrôle final chez moi dans 3 mois. L'évolution est bonne. • Poursuite de la physiothérapie. • Reprise du travail à partir du 10.02.2020 à 50% et à partir du 09.03.2020 à 100%. • Prochain contrôle chez moi le 12.03.2020. L'évolution est bonne. • Poursuite de la physiothérapie. • Un avis a été demandé auprès du Dr. X (RV le 21.02.2020). L'évolution est bonne, toutefois encore marquée par une raideur articulaire post-opératoire. • Poursuite de la physiothérapie à sec et dans l'eau. • Prochain contrôle à ma consultation le 27.04.2020. L'évolution est clairement lente chez ce patient. Je préconise la poursuite de la physiothérapie. • Reprise du travail à 50% comme maçon à partir du 17.2.2020. • Prochain rendez-vous chez moi le 12.3.2020. L'évolution est correcte. En ce qui concerne l'hyposensibilité sur le versant dorso-cubital de D4, celle-ci est liée à la traction sur le nerf dorso-cubital. Prescription d'ergothérapie pour une rééducation sensitive. • Prochain contrôle le 02.03.2020. Pas d'arrêt de travail. L'évolution est correcte. Je propose un traitement ergothérapeutique pour un traitement cicatriciel. Je reverrai le patient pour un contrôle final dans 2 mois le 26.3.2020. L'évolution est donc globalement favorable chez ce patient, nous souhaitons le revoir dans 6 mois avec un CT-scanner lombaire afin de clore le suivi. Entre-temps nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. L'évolution est favorable à 3 mois après une réduction ouverte d'une fracture de l'avant-bras distal à droite. • On met un terme aux contrôles chez nous. • Mme. Y est priée de se représenter en cas de problème. L'évolution est favorable à 4 mois post-opératoire. • Un traitement de physiothérapie n'est pas nécessaire. • Je reverrai ce patient à une année post-traumatisme par fracture supra-condylienne. L'évolution est favorable à 4 semaines post-entorse. • Le traitement par immobilisation peut être terminé et la patiente peut se mobiliser en charge complète selon douleurs ses prochaines semaines. • Pas de sport durant encore 3 semaines (pas de trampoline ni de trottinette). • Un prochain contrôle n'est pas programmé au vu de l'absence de douleurs. Je reste à disposition au besoin. L'évolution est favorable à 4 semaines post-opératoire. • Nous avons discuté avec la patiente et sa maman qu'il est absolument nécessaire que le bras ne soit plus immobilisé et que ce dernier doit être bougé en flexion/extension et prosupination selon douleurs avec une charge progressive. • Un traitement de physiothérapie a été prescrit afin d'améliorer la mobilisation avec aussi la nécessité de faire des exercices à la maison. • Arrêt de sport jusqu'à fin Janvier 2020. • Prochain contrôle radio-clinique le 29.01.2020. L'évolution est favorable à 6 mois post-opératoire sans signe de récidive avec une mobilité du 5ème doigt tout à fait normale. • Un prochain contrôle à ma consultation n'est pas nécessaire mais je reste à disposition au besoin. L'évolution est favorable à 6 semaines de la fracture. • Charge selon douleur avec poursuite de la physiothérapie. • Nous le reverrons pour un prochain contrôle radio-clinique le 19.02.2020 à 3 mois de la fracture. • Le patient a rendez-vous vendredi 17 janvier à la Team genou, pour sa plainte concernant son genou. L'évolution est favorable à 6 semaines post-opératoires. • Poursuite de la physiothérapie avec école de marche, reprise de la charge progressive selon douleurs, renforcement musculaire dans l'axe jusqu'à 60° et proprioception. • Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable à 8 semaines post-traumatisme. • Le sport peut être repris. • Etant donné que le patient se mobilise normalement, un prochain contrôle à ma consultation n'est pas nécessaire. Je reste à disposition au besoin. L'évolution est favorable. • Ablation des agrafes ce jour et réfection d'un pansement stérile. • Arrêt de l'Héparine et reprise du traitement habituel par Eliquis. • Poursuite de l'immobilisation avec l'attelle pour 4 semaines avec charge de 15-20 kg. • Contrôle de la cicatrice en début de semaine prochaine chez le médecin traitant. Elle est autorisée à enlever la botte et mobiliser la cheville en flexion/extension 2-3 fois par jour afin d'éviter la raideur et de diminuer les risques d'algoneurodystrophie. Nous la reverrons dans 4 semaines pour un contrôle radioclinique en charge et ablation de l'attelle. L'évolution est favorable, actuellement, avec récupération progressive des amplitudes et diminution de la symptomatologie douloureuse. Dans ce cas, je pense qu'il est temps de mettre en marche une réorientation professionnelle pour une activité en utilisant pas le bras D de manière régulière, ni en charge, en évitant les environnements froids. Mr. Y travaillait comme monteur sanitaire et est intéressé par l'enseignement. Il est motivé. Pour l'incapacité de travail, concernant son activité habituelle, il reste en incapacité totale pour une durée indéterminée et pour une activité adaptée selon évolution. • Prochain contrôle dans 3 mois. L'évolution est favorable après la cure de Xiapex au IVème rayon. • On conseille de porter de temps en temps l'attelle la nuit. • Si les plaintes au niveau de l'index et des brûlures nocturnes de la main se péjorent, le patient est prié de nous recontacter. • Pour l'instant, nous ne fixons pas de nouveau rendez-vous. L'évolution est favorable. • Arrêt de travail à 100% pour un mois et reprise à 100% le 10.02.2020. • Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. L'évolution est favorable. • Arrêt de travail comme déjà prévu à 50% et reprise à 100% dès le 30.01.2020. • Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable au niveau des 3 cicatrices. • Le patient est asymptomatique. Nous mettons un terme à la prise en charge mais restons bien entendu à disposition s'il devait de nouveau développer des symptômes. Nous n'avons pas prévu de le revoir. L'évolution est favorable. • Au vu de l'absence de gêne du matériel, nous ne prévoyons pas d'AMO. • Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable avec ce traitement conservateur et la fracture semble guérie. Dans le contexte pédiatrique et en l'absence de symptomatologie, je ne préconise pas de contrôle radiologique. Je propose une fin de traitement et les parents de la patiente sont informés de l'évolution naturelle de la pathologie, et notamment de la correction de la déformation de la clavicule avec la croissance. L'évolution est favorable avec encore une raideur articulaire. Nous conseillons à la patiente une physiothérapie active, si possible 2 fois par semaine serait bien. • Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. L'évolution est favorable avec la physiothérapie. Nous lui donnons un 2ème bon avec 9 séances pour pouvoir continuer les exercices posturaux et nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 6 mois.L'évolution est favorable avec la prescription de physiothérapie et de semelles orthopédiques. Nous proposons donc de poursuivre ces deux traitements. Nous reverrons ce patient dans 2 ans. L'évolution est favorable avec le traitement conservateur chez un patient à risque avec des problèmes vasculaires. Nous conseillons de poursuivre avec les soins à domicile 3 fois par semaine avec des soins locaux et des bains. Il sera suivi par son médecin traitant pour les multiples comorbidités ainsi que la plaie. En cas de péjoration, il doit contacter son médecin traitant ou les chirurgiens vasculaires. L'évolution est favorable avec un patient qui a repris toutes les activités sportives et professionnelles sans limitation fonctionnelle. En l'absence de douleurs, on ne prévoit pas d'autre rendez-vous mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable avec une situation qui s'est stabilisée et une coiffe des rotateurs qui est tout à fait fonctionnelle. On conseille à la patiente de poursuivre les exercices à la maison. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable concernant ces 2 plaies de l'avant-bras où on ne constate pas de déficit sensitif ou moteur. Le patient décrit encore un membre supérieur G qui est légèrement engourdi. Par ailleurs, le patient décrit également un traumatisme psychologique par rapport à cet accident. J'ai discuté avec le patient et pour ma part, il me semble important que le patient puisse voir un psychologue afin de pouvoir améliorer la situation sur le plan psychologique. Je souhaiterais que le patient bénéficie de séances d'ergothérapie afin qu'il puisse récupérer le plus rapidement possible toutes ses capacités au niveau de son membre supérieur G avec notamment des thérapies de réintégration de la main G dans les activités de la vie quotidienne. Toutefois, je tiens à préciser que l'évolution du pronostic me semble bonne chez un patient qui est très motivé à reprendre le travail. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 23.02.2020 puis reprise du travail le 24.02.2020. Le patient sera revu peu de temps après pour voir si la reprise du travail se passe bien. L'évolution est favorable. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable dans l'ensemble avec des douleurs plutôt des tissus mous rétro-malléolaires internes. Toutefois, il décrit qu'il y a des périodes sans douleur et qu'elles surviennent plutôt à l'effort ou après une période de repos. Ceci est de bon pronostic. Nous l'encourageons à continuer la physiothérapie et à augmenter progressivement l'activité physique. Poursuite d'un traitement anti-inflammatoire à prendre le matin car, lorsqu'il prend ce traitement, il arrive mieux à se mobiliser le reste de la journée. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. L'évolution est favorable. D'entente avec le physiothérapeute, nous poursuivons du traitement en physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable et, au vu de la stabilité de la fracture et de l'absence de signe clinique, je ne préconise pas de contrôle radiologique supplémentaire. Je laisse la patiente reprendre progressivement ses activités habituelles, mais lui recommande d'attendre encore un mois avant la reprise des activités sportives. La patiente a un camp de ski le 27.01.2020. Je l'autorise à s'y rendre, mais lui prescrit une attelle de poignet amovible à porter uniquement lors des activités à risque. Je conviens avec le père de la patiente de ne pas la revoir d'emblée pour un contrôle. Son père reprendra contact pour un rendez-vous à ma consultation au besoin. L'évolution est favorable et j'autorise le patient à reprendre progressivement ses activités habituelles, notamment son activité professionnelle à 100% dès le 06.01.2020. Le patient n'est pas gêné par les degrés d'amplitude manquants et j'escompte qu'il les récupérera progressivement avec la reprise des activités habituelles. Je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition si besoin. Je procède ainsi à une fin de traitement en policlinique. L'évolution est favorable et je mets fin au traitement en policlinique d'orthopédie. Le patient est informé du risque de récidive chez les jeunes hommes de son âge. Je l'informe également sur les possibilités d'une stabilisation chirurgicale qui sont indiquées après la survenue d'un deuxième épisode de luxation. L'évolution est favorable et l'instabilité du biceps est aujourd'hui indolore. Dans ce contexte et au vu du jeune âge de la patiente, je propose une observation jusqu'à la fin de la croissance. Je l'autorise à reprendre progressivement ses activités sportives mais lui recommande d'éviter les sports nécessitant une rotation extrême du bras tel que le tennis. Le père de la patiente reprendra rendez-vous à ma consultation si la symptomatologie devait redevenir gênante. Face à cette clinique rassurante, nous procédons à une fin de suivi dans notre service. L'évolution est favorable. Il persiste toutefois une limitation de l'extension qui est probablement liée à une rétraction de la capsule postérieure. Nous le reverrons à 6 mois post-opératoires pour un contrôle clinique. Poursuite des exercices et de la physiothérapie. Les activités sportives à pivot sont à éviter pour 6 mois post-opératoires. L'évolution est favorable. Il peut reprendre le fitness pour le haut du corps mais on lui recommande encore d'éviter le sport de balle ou tous sports susceptibles de solliciter son articulation de Chopart jusqu'à 3 mois post-traumatiques. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous lui donnons un certificat d'incapacité de sport pour 6 semaines. L'évolution est favorable. La patiente doit poursuivre les exercices par elle-même. Prochain contrôle à 6 mois. Nous avons discuté avec la patiente de la possibilité de faire un ENMG pour évaluer la sensibilité des 4ème et 5ème rayons, chose qu'elle ne veut pas pour l'instant. L'évolution est favorable. La patiente et sa maman sont informées du risque de récidive. En prévention, je recommande à la patiente de poursuivre les exercices enseignés en physiothérapie. Je propose une fin de traitement en policlinique mais reste à disposition au besoin. L'évolution est favorable. La patiente n'a plus mal au niveau de son extenseur de son pouce. Les suites en physiothérapie et ergothérapie ont été effectuées sur le site de l'HFR à Fribourg de manière à pouvoir contrôler optimalement et à pouvoir réagir si la patiente devait développer des douleurs importantes au niveau de son EPL. Dans ce cas-là, nous aurions pu voir la patiente durant ses séances de thérapie et, le cas échéant, procéder à une mobilisation du tendon EPL hors de son troisième compartiment. L'évolution est favorable. La patiente présente une flexion de 35° malgré le port de l'attelle d'une manière conséquente. Ainsi, nous ne posons pas d'indication pour de l'ergothérapie. Dans 6 semaines, la patiente aura accouché. Elle reprendra contact avec nous si elle devait garder une perte de mobilité de la DIP sinon, nous n'avons pas prévu de revoir la patiente. L'évolution est favorable, le patient a une crise par année et souhaite d'abord bénéficier d'un traitement conservateur. Nous restons à disposition en cas de nouvelle crise. Prescription de physiothérapie pour école du dos et balance posturale et d'une ordonnance pour du Tramal en réserve. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si besoin. L'évolution est favorable. Le patient bénéficie de la réfection du pansement lors de la consultation. Il sera vu par les stomatothérapeutes la semaine prochaine. Nous allons poursuivre la réfection du pansement par les soins à domicile 3x/semaine avec le même protocole pour l'instant. On reverra le patient dans 2 semaines pour un contrôle clinique. L'arrêt de travail à 100% est prolongé jusqu'au 03.02.2020.L'évolution est favorable. Le patient est asymptomatique. Il présente une mobilité tout à fait normale. Nous mettons un terme à la thérapie. Cette bascule dorsale de 15° est tout à fait compensée par la MCP qui a une capacité à compenser les hyperextensions des phalanges proximales importantes. Le patient est informé de cette légère déformation. Nous restons à disposition si le patient devait dans le futur développer des symptômes, ce qui semble être peu vraisemblable. L'évolution est favorable. Le patient est asymptomatique. Nous mettons un terme à la prise en charge. Le patient désire reprendre le sport et s'il devait développer de nouveau des douleurs, il reprendrait contact avec nous. À ce moment-là, nous ferions un scanner de contrôle pour voir l'évolution de cette fracture du scaphoïde. Actuellement, vu qu'il est asymptomatique, nous n'avons pas fait de contrôle radiologique, ce qui n'aurait pas de conséquence thérapeutique. L'évolution est favorable. Le patient est encouragé à faire des exercices d'hyperextension 1 fois par jour durant 1 année pour essayer de gagner les derniers degrés. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. Nous remarquons pendant la consultation, au niveau de l'index de la main, une déformation au niveau de l'IPP. Le patient nous parle d'une ancienne fracture et qu'il aimerait éventuellement corriger cette déformation. Nous lui conseillons de prendre rendez-vous avec le chirurgien de la main Dr. X, mais le patient préfère attendre. Par conséquent, nous lui donnons la carte du service concerné pour prendre un rendez-vous ultérieurement. L'évolution est favorable. Le patient est libéré du plâtre et il est invité à charger selon tolérance à partir d'aujourd'hui. Il reçoit une prescription pour 9 séances de physiothérapie à but de rééducation à la marche. Le patient est informé qu'il a l'interdiction de conduire une voiture avec embrayage jusqu'à la 10ème semaine après l'opération. Nous organisons l'ablation de la vis syndesmotique en ambulatoire le 31.03.2020, le patient signe le formulaire de consentement éclairé après avoir été informé clairement sur l'indication et sur les risques. Nous le reverrons une semaine avant ce geste afin de nous assurer de l'intégrité du tégument en vue de l'opération. L'arrêt de travail à 100% est prolongé jusqu'au 17 mars prochain chez ce patient qui travaille dans la vente habituellement. L'évolution est favorable. Le patient est très satisfait des résultats. On lui explique qu'il peut recommencer le tennis mais progressivement. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Le patient fera des exercices de stretching, on lui donne aussi une bande élastique pour le tendon d'Achille. On ne prévoit pas de prochain contrôle chez nous. L'évolution est favorable. Le patient finira les séances de physio et d'ergothérapie restantes. Il pourra reprendre le travail le lundi 13 janvier 2020. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Les séances d'ergothérapie peuvent être encore suivies jusqu'à la fin de l'ordonnance. On ne prévoit pas de nouveau contrôle. Le patient peut se représenter en cas de problème. L'évolution est favorable. Il peut reprendre toutes ses activités sans limitation et peut faire le service militaire dans 2 semaines. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable, mais sur les derniers mois, le patient a peut-être trop surchargé son épaule et actuellement il ressent une gêne la nuit. Nous lui conseillons la prise d'anti-inflammatoires avec protection gastrique, de reprendre le fitness médical 1x/semaine et de faire de l'auto-physiothérapie à la maison avec des élastiques pour renforcement de la coiffe des rotateurs. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution est favorable. Nous conseillons au patient, avec la reprise à 100% de son travail, de garder en réserve des anti-inflammatoires au besoin. Nous préconisons encore un dernier contrôle clinique à une année de l'opération. L'évolution est favorable. Nous conseillons au patient de poursuivre les séances d'ergothérapie. Nous conseillons également au patient de masser les cicatrices de manière à ramollir celles-ci. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à fin janvier avec reprise début février. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable. Nous discutons avec le patient d'une éventuelle AMO, pour l'instant le patient n'est pas gêné par le matériel d'ostéosynthèse, donc il nous recontactera uniquement au besoin. L'évolution est favorable. Nous donnons au patient une ordonnance pour de l'Irfen 400 au besoin. Nous lui donnons comme conseil d'effectuer de l'auto-physiothérapie sous forme de stretching en flexion-extension car les douleurs et les petites gênes qu'il ressent pourraient être liées à une inflammation de la capsule plutôt qu'à la fracture. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. Nous évoquons la possibilité de retirer le reste du matériel mais nous doutons que ceci ait un impact significatif sur les symptômes dont se plaint actuellement le patient, à savoir des démangeaisons et des douleurs occasionnelles au niveau du tendon d'Achille. D'entente avec le patient, nous convenons d'une attitude expectative et le reverrons dans 6 mois pour un contrôle clinique. À ce moment-là, il pourra nous faire part de sa décision au sujet de l'ablation du reste du matériel. L'évolution est favorable. Nous lui conseillons de continuer avec les exercices de stretching et de la physiothérapie afin de maintenir la situation. Les douleurs résiduelles du site opératoire sont encore normales post-opératoires. La patiente sera opérée d'une fusion du coccyx le 17.01.2020 suite à laquelle, elle sera un peu limitée à la mobilisation, raison pour laquelle, nous lui prescrivons de la physiothérapie au domicile pour maintenir l'évolution favorable de sa cheville. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution est favorable, nous lui conseillons de s'habituer à s'asseoir progressivement sans le coussin. Elle peut reprendre son activité sportive et avoir des rapports sexuels dès 2 mois post-opératoires. Prochain contrôle clinique à 3 mois post-opératoires. L'évolution est favorable. Nous mettons un terme à la prise en charge et restons à disposition de la patiente en cas de besoin. L'évolution est favorable, nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. Le patient peut reprendre ses activités sportives. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition.L'évolution est favorable, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si besoin. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle. Nous restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous recommandons à la patiente de faire un échauffement particulièrement attentif au niveau de la cheville G avant toute activité sportive. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous recommandons à la patiente de reprendre la thérapie en physiothérapie, accès sur le stretching du triceps sural et l'US thérapie au niveau du chef médial du gastrocnémien. Elle reçoit une prescription pour 9 séances à cet effet. Prochain contrôle dans 3 mois. De plus, on prie nos collègues du Team Genou de convoquer la patiente pour un nouveau contrôle. L'évolution est favorable. On prescrit de la physiothérapie pour améliorer les amplitudes, surtout du poignet. Le patient peut continuer à travailler à 100 %. Nous organisons un prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie. Nous débutons un traitement en ergothérapie pour la prise en charge de la cicatrice. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie pour la souplesse et du renforcement musculaire. Arrêt de travail à 100 % jusqu'à fin janvier, reprise à 50 % dès le 01.02.2020 jusqu'au prochain contrôle fin mars. L'évolution est favorable. Poursuite des dernières séances de physiothérapie. Étant un joueur de basket, nous l'autorisons à reprendre les entraînements mais pas encore les matchs. Ceux-ci pourront se faire lorsqu'il n'aura plus de douleur au saut monopodal. Il peut également faire du vélo d'appartement pour maintenir la force. Nous lui expliquons que les douleurs vont disparaître progressivement d'ici la fin du mois et à ce moment il pourra reprendre ses activités sans restriction. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec le plâtre. Prochain contrôle radioclinique le 11.02.2020 avec RX hors plâtre. L'évolution est favorable radiologiquement et cliniquement. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Reprise progressive des activités sportives sans grosses contraintes mécaniques. Prochain contrôle radioclinique à 1 année post-opératoire pour discuter d'une AMO en cas de gêne. L'évolution est favorable. Reprise de la marche en charge complète. Physiothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires, renforcement musculaire et proprioception. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable sans gêne particulière. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable sans plainte. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Vu l'amélioration clinique et l'exclusion des lésions ligamentaires au niveau de MCP V, on prolonge l'arrêt de travail à 100 % seulement pendant 2 semaines et ensuite reprise du travail à 50 % pendant 2 semaines et à 100 % à partir du 24.02.2020. Nous prévoyons un prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution est favorable 3 mois après suture du ménisque interne où le patient est asymptomatique. Il reste l'instabilité liée à la re-rupture du LCA. On discute avec le patient accompagné de sa maman de faire une plastie du LCA par le tendon quadriceps. Si on voit en intra-opératoire un pivot shift qui persiste ou une instabilité, on va également ajouter une bandelette du tractus ilio-tibial pour un renfort latéral. Le patient a été informé du déroulement de l'intervention, ainsi que des risques et bénéfices et le consentement est signé. L'évolution est globalement favorable. A noter que l'examen histologique du tissu osseux prélevé s'est révélé fortement évocateur d'une ostéomyélite subaiguë. De ce point de vue, l'antibiothérapie de 6 semaines est jugée suffisante (recommandation des infectiologues : 4 semaines). La patiente est donc informée que l'antibiothérapie peut être interrompue dès à présent. Les douleurs susmentionnées sont imputées à une origine neurologique et la patiente reçoit une prescription de 9 séances d'ergothérapie à but de désensibilisation. On la reverra dans 6 semaines pour faire le point sur l'évolution clinique. En cas de persistance de douleurs selon l'évolution on pourra envisager d'entreprendre une nouvelle IRM. L'évolution est globalement favorable. Nous autorisons le patient à reprendre son activité professionnelle à 60 % mais il n'est pas encore question de reprendre le travail à 100 % et le patient a encore besoin d'une aide dans son activité professionnelle. Il n'est cependant pas question de réorientation professionnelle, étant donné les progrès effectués ces derniers mois. Par ailleurs, il poursuivra les séances de physiothérapie pour un renforcement musculaire. Nous reverrons le patient dans 2 mois pour évaluer l'augmentation progressive de sa capacité de travail. Par ailleurs, les douleurs persistantes sont potentiellement en lien avec une gêne du matériel d'ostéosynthèse, dont l'ablation sera donc à discuter dans le courant de cette année. L'évolution est globalement favorable. Prochain contrôle radioclinique dans 1 année. L'évolution est lente, avec des douleurs résiduelles. Je suis obligé de poursuivre l'arrêt de travail de la patiente. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle chez moi le 21.02.2020. L'évolution est lente, mais bonne. Prescription d'ergothérapie pour une rééducation sensitive et motrice ainsi que pour un traitement cicatriciel. Reprise du travail à partir du 27.01.2020. Contrôle final dans 3 mois : le 16.04.2020. L'évolution est lente mais favorable. Cliniquement il n'y a pas de laxité donc le pronostic est tout à fait bon. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle dans 2 mois. Arrêt des sports jusqu'au prochain contrôle. L'évolution est lente mais globalement bonne. Poursuite d'un arrêt de travail à 100 % comme ferblantier jusqu'au 9.02.2020 avec une reprise le 10.02.2020. Prochain contrôle chez moi le 21.02.2020. L'évolution est lentement favorable. Compte tenu de la persistance des symptômes, nous recommandons de poursuivre la physiothérapie axée sur la proprioception et l'antalgie. Nous lui donnons un certificat d'incapacité de sport pour 3 mois. Prochain contrôle clinique dans 3 mois pour voir l'évolution et vérifier l'indication de poursuivre la physiothérapie. L'évolution est lentement favorable. Je propose de poursuivre la physiothérapie et en cas de persistance des douleurs je propose une infiltration loco-dolenti avec cortisone et anesthésique local. La patiente reprendra rendez-vous à notre consultation si elle souhaite procéder à l'infiltration. L'évolution est lentement favorable. Le patient reprendra le travail à 20 % à partir du 1er février jusqu'au prochain contrôle début avril. Prescription de 9 séances de physiothérapie pour massage décontractant pour ECBRA, ECLR et renforcement musculaire. Nous lui donnons une ordonnance pour Voltarène et Pantozol à prendre d'office le 1er mois, suite à la reprise du travail. Prochain contrôle clinique début avril 2020.L'évolution est lentement favorable. Nous redonnons un bon de fitness médical pour renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. L'évolution est logiquement lente, mais me semble favorable. Prescription d'ergothérapie pour une rééducation sensitive et motrice. Prochain contrôle dans 3 mois : 17.04.2020. L'évolution est maintenant stagnante suite à l'intervention mais a pu permettre des bénéfices. Nous sommes toujours dans un contexte de pieds plats avec un surpoids important. Pour le moment, la situation est supportable comme cela. Une intervention de correction du pied plat n'est pas souhaitable à l'heure actuelle. La situation devrait encore s'améliorer avec la modification des semelles. Dans un premier temps, nous proposons d'essayer un traitement par anti-mycotique et une prise en charge en pédicure afin d'essayer de régler le problème des ongles des orteils 2 et 5 à G. Nous la reverrons dans 3 mois pour refaire le point. Entre temps, elle aura revu le Dr. X concernant la prothèse. L'évolution est pour l'instant favorable avec une cheville qui est encore enraidie. Poursuite de la physiothérapie. Il reste toujours un doute sur la stabilité de la cheville et elle pourra notamment alterner lorsque la patiente aura récupéré une bonne amplitude articulaire. À ce moment-là, il faudra voir s'il y a une instabilité et si celle-ci crée un retentissement clinique. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 16.02.2020, puis reprise à 50% du 17.02 au 01.03.2020 et reprise du travail à 100% le 02.03.2020. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution est satisfaisante au niveau de la malléole externe. Elle profitera encore de quelques séances de physiothérapie pour recevoir des instructions pour le stretching de la musculature de la loge antérieure. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est satisfaisante avec ce traitement conservateur avec une patiente qui a maintenant un appareil extenseur qui est stable. Pour vaincre cette appréhension à la reprise des activités physiques, nous lui prescrivons une genouillère élastique à renfort péri-patellaire. Reprise des activités sportives scolaires. Poursuite de la rééducation pour elle-même et sauf récidive, fin du suivi à notre consultation. L'évolution est satisfaisante avec des fractures consolidées et une absence d'insuffisance ligamentaire. Il persiste un déficit de rééducation, raison pour laquelle nous lui prescrivons encore de la physiothérapie. Nous la reverrons à 6 mois post-traumatisme. L'évolution est satisfaisante. Je prévois une augmentation de capacité de travail avec intensification également de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois le 03.03.2020. L'évolution est satisfaisante. Poursuite de la physiothérapie à sec et en piscine. Nous l'autorisons à reprendre une des deux activités professionnelles dans le courant de janvier et une reprise à 50% en février. Nous la reverrons dans 3 mois. L'évolution est stable avec une pseudarthrose asymptomatique. Vu que nous n'avons jamais pu exclure une infection, on prévoit un prochain contrôle dans 10 semaines. Si la pseudarthrose reste stable, on terminera le suivi à ce moment-là. L'évolution est toujours favorable. Poursuite de l'ergothérapie maintenant surtout pour le traitement de la tendovaginite de Quervain. Si les douleurs ne s'améliorent pas avec la thérapie, nous pourrions faire une ultrasonographie avec une éventuelle injection de cortisone. Nous organisons un prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution est tout à fait atteinte et favorable avec une bonne évolution. Le patient peut reprendre à partir de 3 mois post-opératoires les activités explosives et stop and go. Jusque-là, continuation de la physiothérapie avec relâchement des chaînes postérieures et renforcement musculaire dans l'axe et proprioception. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique à 1 an post-opératoire le 17.11.2020. L'évolution est tout à fait atteinte. Il est nécessaire de continuer avec la physiothérapie et surtout des exercices adaptés axés sur le renforcement musculaire des abducteurs. École à la marche et proprioception. Il ne faut pas s'engager dans des exercices évoquant de la douleur. Charge complète possible dès aujourd'hui. Arrêt de travail jusqu'à la prochaine consultation qui aura lieu le 03.03.2020. Contrôle clinique à ce rendez-vous. Antidouleurs selon nécessité. L'évolution est tout à fait favorable après une PTG à G. Prochain contrôle à distance. Pour l'instant, pas de geste à D. L'évolution est tout à fait favorable avec une bonne évolution au niveau musculaire. Poursuite de la physiothérapie espacée avec le but de renforcer la musculature. Nous le reverrons pour un contrôle clinique à 1 an post-opératoire. L'évolution est tout à fait satisfaisante et les douleurs que présente la patiente peuvent s'expliquer par des raideurs musculaires principalement au niveau des ischio-jambiers et une tendinopathie débutante au niveau de la pes anserinus. Dans ce contexte, physiothérapie avec relâchement du sinus musculaire postérieur, travail sur cette tendinopathie et prise de la charge progressive. Arrêt progressif des cannes. Prolongation de l'incapacité de travail jusqu'à fin janvier à réévaluer selon ce que la patiente nous communiquera pour organiser son travail. L'évolution est tout à fait satisfaisante permettant de mettre fin au suivi. Le patient continuera de son côté à faire de la physiothérapie avec des auto-exercices de stretching de la chaîne musculaire postérieure. L'évolution est tout à fait satisfaisante permettant de mettre fin au suivi. On reverra la patiente pour le contrôle radio-clinique usuel prothétique à 5 ans postopératoires. L'évolution est très favorable à l'heure actuelle. Un traitement de physiothérapie n'est plus nécessaire ceci étant donné que les pieds sont normaux à l'heure actuelle sans signe de déformation comme un pied adductus. Un prochain contrôle à ma consultation n'est pas nécessaire mais je reste à disposition au besoin. L'évolution est très favorable à 3 mois postopératoires. La rotule est stable et le patient a déjà bien regagné la mobilité du genou gauche, il persiste encore une atrophie du quadriceps du côté gauche. Il doit poursuivre la physiothérapie et le renforcement musculaire. On le reverra pour un contrôle clinique à 6 mois postopératoires. L'évolution est très favorable à 5 semaines post-opératoire chez une patiente qui a bien récupéré la mobilité au niveau de son coude gauche qui est presque similaire à celle au côté opposé. Les exercices doivent être poursuivis à la maison. Le traitement de physiothérapie a été stoppé. Prochain contrôle clinique le 18.03.2020 avec aussi un contrôle radio-clinique à une année de la première opération soit en août 2020. L'évolution est très favorable à 6 semaines post-traumatisme. Poursuite des séances de physiothérapie avec mobilisation libre et renforcement progressif. La patiente reprend le travail dès la semaine prochaine. Nous la reverrons pour un contrôle clinique le 04.03.2020. L'évolution est très favorable après ablation du kyste arthrosynovial radiocarpal dorsal à gauche. Le granulome de cicatrice va se résorber. La patiente est priée de bien désinfecter au cas où le granulome s'ouvre et de nous recontacter en cas de péjoration ou de signe d'infection. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 6 semaines. L'évolution est très favorable après le traitement conservateur de la fracture de l'os hamatum à droite. Du point de vue de la diastase du ligament SL bilatéral, D > G, on propose un traitement conservateur avec un renforcement de ECRL/ECRB et FCR en physiothérapie ou bien en ergothérapie. On a la suspicion d'une diastase congénitale qui s'est éventuellement aggravée à droite après l'accident en 2019. Pour l'instant, nous ne prévoyons pas d'intervention. Nous revoyons Mr. Y dans 3 mois pour une réévaluation.L'évolution est très favorable avec le port des chaussures et des semelles sur mesure. Nous poursuivons ce traitement conservateur. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. L'évolution est très favorable ceci étant donné que le patient est totalement asymptomatique. Nous lui avons tout de même remis une ordonnance pour un traitement de physiothérapie pour la proprioception. Mr. Y doit encore éviter de faire du sport pendant 2-3 semaines. Prochain contrôle le 27.05.2020 avec une radiographie afin d'évaluer les lignes de croissance. L'évolution est très favorable. La patiente ne souhaite plus faire d'ergothérapie. Nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est très favorable. Le patient est complètement asymptomatique. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle. Mr. Y nous contactera en cas de besoin. L'évolution est très favorable. Le patient est presque asymptomatique. Vu la bonne évolution, nous n'organisons pas de contrôle, il va nous contacter en cas de besoin. L'évolution est très favorable. Le plâtre a été enlevé. Pas de sport durant encore 4 semaines. Un prochain contrôle n'est pas prévu. Les parents nous recontacteront si un contrôle à une année post-fracture s'avère nécessaire. L'évolution est très favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est très favorable. Nous reverrons le patient dans un mois pour un contrôle clinique et pour évaluer la cicatrisation complète. Entre-temps, il sera contrôlé avec réfection des pansements par le CMS. L'évolution est très favorable. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique à une année des opérations. En cas de problème dans l'intervalle, nous restons à disposition. L'évolution est très favorable. Pas de charge de la main pendant encore 6 semaines. Par conséquent, le travail ne peut pas être repris. Le patient va continuer l'ergothérapie à Riaz, une nouvelle ordonnance a été donnée au patient. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 6 semaines. L'évolution est très favorable. Reprise du travail à 50 % à partir du 22.01.2020 pendant un mois et reprise du travail à 100 % à partir du 23.02.2020. Prochain contrôle radio clinique dans 3 mois. Il nous recontactera avant s'il a des difficultés pour reprendre le travail. L'évolution est très favorable sous un traitement conservateur. Une raideur de la capsule persiste avec une légère limitation de la mobilité avec des nets progrès durant ses 4 dernières semaines. Nous avons discuté avec la patiente et sa maman de la nécessité de poursuivre un traitement de physiothérapie avec une mobilisation et une charge libre. Les activités sportives peuvent être reprises. Prochain contrôle clinique le 18.03.2020. L'évolution étant favorable, il s'agit maintenant de faire des séances de physiothérapie avec une rééducation à la marche. La patiente sera revue par son médecin traitant dans 6 semaines au besoin. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle mais restons à disposition en cas de péjoration des douleurs. L'évolution étant favorable, nous maintenons encore des séances de physiothérapie, le patient peut reprendre le travail à 50 % dès le 21.01.2020 puis à 100 % dès le 01.02.2020. Nous ne proposons pas de contrôle, mais restons à disposition en cas de péjoration des douleurs. Arrêt de travail total : • à 100 % du 30.11.2019 au 20.01.2020 • reprise à 50 % du 21.01.2020 au 31.01.2020 • reprise à 100 % dès le 01.02.2020. L'évolution étant spontanément favorable, avec un patient ne présentant aucune plainte ce jour, nous proposons de maintenir des séances de physiothérapie et d'effectuer des exercices d'entretien quotidiens de sa coiffe des rotateurs. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle, il pourra reprendre ses activités sportives d'ici la fin du mois de janvier. Nous restons à disposition si besoin. L'évolution étant très favorable, on peut arrêter les séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution favorable. Prochain contrôle le 26.03.2020. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'à ce jour. Reprise du travail à 50 % à partir du 22.01.2020. Reprise du travail à 100 % dès le 01.03.2020. L'évolution globale à 3 mois post-AMO est tout à fait favorable. La patiente a gagné encore plus d'amplitude. Je propose de continuer à tonifier la coiffe des rotateurs. La patiente aimerait faire une pause de physiothérapie jusqu'à son opération de la colonne cervicale puis elle reprendra la physiothérapie de son épaule droite en même temps que pour la colonne cervicale. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. L'évolution globale est bonne suite au toilettage articulaire, malheureusement le patient s'est blessé son genou D le 30.12.2019 après avoir tapé son genou contre un mur suite à un lâchage de son genou D en descendant les escaliers. Une reprise de travail n'est donc pas possible pour l'instant étant donné l'importante boiterie que présente le patient. J'ai proposé au patient de prolonger l'arrêt de travail pour deux semaines et ensuite une reprise à 100 %. Je propose un nouveau contrôle clinique d'ici six semaines à ma consultation, contrôle qui peut être annulé par le patient si tout va bien. L'évolution globale est favorable avec les semelles orthopédiques sur mesure. J'explique à la patiente que tant que les douleurs de l'hallux sont acceptables, je déconseille un geste chirurgical. En cas de douleurs, elle me recontactera pour décider des mesures thérapeutiques. Dans ce cas-là, je l'adresserai au team pied du service d'orthopédie de l'HFR Fribourg pour une évaluation pour une éventuelle cure d'hallux valgus à gauche. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. La patiente me recontactera en cas de besoin. Autrement fin de traitement. L'évolution globale est toujours favorable. Le patient constate une meilleure force au travail. Il a de plus en plus de facilité pour effectuer ses tâches. Il reste toujours une impotence fonctionnelle assez marquée, avec une limitation de flexion qui actuellement ne va pas au-delà de 100° à froid. Je propose de continuer la physiothérapie pour améliorer la mobilité. Je pense qu'il faudra enlever le matériel d'ostéosynthèse pour améliorer la flexion. Pour l'instant, le patient n'est pas prêt pour un tel geste. Il a peur de perdre son emploi, étant donné qu'après cette intervention il sera à nouveau en arrêt de travail durant minimum 3 mois. Pour l'instant, une reprise de travail à 100 % n'est pas possible. Le patient reste en arrêt de travail à 50 % jusqu'au prochain rendez-vous du 11.03.2020. L'évolution globale reste favorable. Je réexplique à la patiente qu'une rééducation d'épaule prend du temps. Elle va donc continuer la physiothérapie à but antalgique et pour continuer à tonifier la coiffe des rotateurs. Je la revois dans 3 mois pour une réévaluation clinique le 08.04.2020. Pas d'arrêt de travail nécessaire. L'évolution globale six mois après ostéosynthèse de la tête de l'humérus G est favorable. La patiente va continuer la physiothérapie pour regagner encore plus de mobilité. Elle récupérera le reste de la mobilité probablement lorsque nous effectuerons l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. J'ai donc proposé à Mme. Y de la revoir au mois de juin 2020 pour un contrôle radioclinique et pour discuter de l'éventuelle nécessité de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse.L'évolution n'est toujours pas favorable mais les attelles que porte le patient ne sont pas adaptées. Nous prenons donc contact avec l'équipe d'ergothérapie pour leur demander d'adapter les attelles. Nous montrons de nouveau au patient les exercices qu'il doit faire lui-même de manière quotidienne au cours de la journée et lui expliquons qu'il présente un bon potentiel de récupération d'extension, étant donné que nous avons réussi à gagner 10° d'extension de la PIP entre le début de l'examen clinique et la fin après mobilisation passive. L'évolution post-chirurgicale est favorable, la cicatrice suit une bonne évolution, néanmoins la présence de cette voussure au-dessus de la cicatrice empêche le patient de travailler. C'est la raison pour laquelle nous lui avons renouvelé l'arrêt de travail. Nous lui avons remis une prescription pour des séances de physiothérapie afin d'assouplir la cicatrice et d'une pommade. Nous reverrons le patient pour réévaluer son arrêt de travail d'ici 1 mois. L'évolution postopératoire à 3 ans est favorable. Le patient présente des symptômes plutôt liés à un problème des tendons de la coiffe des rotateurs à l'épaule droite pour lequel nous conseillons une arthro-IRM de son épaule droite et un suivi auprès d'un spécialiste du membre supérieur. Nous lui conseillons également un contrôle neurologique avec ENMG pour le bras gauche au vu des symptômes ressentis. Le patient ne veut pas poursuivre le suivi chez nous au vu de la distance de son travail et de son domicile, nous prions donc son médecin traitant de s'occuper de la suite de la prise en charge et de l'adresser au spécialiste le plus près de chez lui. Nous restons à disposition si nécessaire. L'évolution post-opératoire est lente et le patient a remarqué une légère amélioration clinique. Je réexplique au patient, comme déjà dit avant l'intervention, que le nerf médian à gauche, déjà avant l'intervention, présentait une démyélinisation d'un sévère degré et c'est pour cette raison que la récupération du nerf sera également beaucoup plus longue. Il n'est pas sûr que le patient récupère toute la sensibilité dans le territoire du médian. En plus, le muscle du thénar montre une atrophie déjà trop avancée et je ne pense pas qu'il puisse récupérer une force à ce niveau-là. Le patient et son épouse ont bien compris. Néanmoins, à 2 mois post-opératoires, il est trop tôt pour se prononcer sur le degré de récupération de la fonction de ce nerf. Je propose au patient de continuer l'ergothérapie dans le but de la désensibilisation. Je le revois dans 3 mois pour une réévaluation clinique le 8.5.2020. L'évolution radio-clinique à 3 mois post-opératoire est satisfaisante. Nous décidons de poursuivre les séances de physiothérapie et reverrons la patiente à 6 mois post-opératoire pour un contrôle radio-clinique. L'évolution radio-clinique à 6 semaines post-opératoire est satisfaisante. Nous proposons de poursuivre l'ergothérapie et reverrons la patiente pour un prochain contrôle radio-clinique dans 8 semaines. L'évolution radio-clinique à un peu plus de 1 an de l'implantation de la prothèse totale à droite est tout à fait favorable. Prochain contrôle radio-clinique à 5 ans de l'opération ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 1 an de l'implantation de prothèse totale de hanche droite est tout à fait favorable avec une patiente très contente du résultat. Du côté de la hanche gauche, la douleur postérieure parle plutôt en faveur d'un problème sacro-iliaque et de la scoliose sigmoïdienne que d'un problème de hanche. Celle-ci présente une arthrose débutante très peu symptomatique avec quelques douleurs au niveau du pli inguinal lors de la rotation interne forcée en flexion de 90°. Prochain contrôle radio-clinique concernant la hanche droite à 5 ans de l'opération ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 1 an de l'implantation de PTH G est tout à fait favorable. Il n'y a aucun problème et la patiente peut tout à fait se faire opérer de son genou gauche au mois de février, tel que prévu. L'évolution radio-clinique à 1 an de l'intervention est favorable. Poursuite des séances de physiothérapie à sec et en piscine en 2020, afin d'améliorer la fonctionnalité de cette hanche. Prochain contrôle radio-clinique à 5 ans de l'opération. L'évolution radio-clinique à 1 an de l'intervention susmentionnée est tout à fait favorable. Prochain contrôle radio-clinique à 5 ans de l'opération ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 1 an postopératoire est globalement favorable. Le risque de récidive de la fracture en cas de retrait de la plaque est encore trop élevé. Nous proposons à la patiente un prochain contrôle radio-clinique dans 6 mois, le 28.07.2020, pour discuter d'une éventuelle ablation de la plaque LISS ce qui pourrait faire gagner quelques degrés d'amplitude supplémentaires à la patiente. L'évolution radio-clinique à 10 ans de l'implantation des prothèses de hanches ddc. est tout à fait favorable avec un patient très satisfait du résultat. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 ans ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radioclinique à 10 mois postopératoires est excellente. Le patient peut reprendre toutes les activités sportives sans limitation. Pour une ablation du matériel d'ostéosynthèse, on explique au patient qu'à 10 mois postopératoires c'est encore trop tôt, on préfère attendre 1.5 ans. Pour cette raison, on prévoit un nouveau contrôle radioclinique dans 6 mois. Durant cette période, le patient testera la gêne réelle en effectuant toutes les activités. L'évolution radio-clinique à 2 mois post-traumatique est satisfaisante. Le patient est donc autorisé à reprendre le travail à 100 % et nous ne prévoyons pas de prochain contrôle. Nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 2 mois post-opératoires est satisfaisante avec une fracture en cours de consolidation. Nous autorisons la patiente à retirer le plâtre. Elle devra se déplacer en charge partielle de 20 kgs du membre inférieur D pour encore 2 semaines, puis pourra reprendre la charge progressive selon tolérance. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un prochain contrôle radio-clinique. L'évolution radio-clinique à 3 ans du changement de prothèse totale de hanche gauche est tout à fait favorable. Prochain contrôle radio-clinique à 5 ans de l'intervention ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 3 mois de l'intervention est satisfaisante. Nous reverrons le patient à 1 année post-opératoire pour un prochain contrôle radio-clinique le 29.09.2020. L'évolution radio-clinique à 3 mois est favorable. Poursuite de la physiothérapie. Reprise du travail à 100 % dans 2 jours. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution radio-clinique à 3 mois est favorable. Prochain contrôle radio-clinique le 28.04.2020 pour un suivi de l'évolution de ces ossifications hétérotopiques qui se sont formées après l'intervention susmentionnée. Étant donné que la patiente est asymptomatique, nous ne préconisons pas de traitement actuellement. Elle est autorisée à marcher en charge complète selon douleur. L'évolution radioclinique à 3 mois post-opératoire est satisfaisante. Nous autorisons le patient à débuter les séances de physiothérapie pour renforcement musculaire et nous le reverrons à 1 an post-opératoire pour un contrôle radioclinique le 06.10.2020. L'évolution radioclinique à 3 mois post-opératoires est satisfaisante. La patiente souhaite poursuivre les séances de physiothérapie, nous lui donnons donc une nouvelle ordonnance. Nous la reverrons à 1 an post-opératoire pour un contrôle radioclinique le 06.10.2020. Par ailleurs, elle est autorisée à reprendre son métier d'infirmière à 100 % dès demain.L'évolution radioclinique à 3 mois post-opératoires est satisfaisante. Nous autorisons donc Mr. Y à marcher en charge selon tolérance et à se sevrer progressivement des cannes. Nous prescrivons par ailleurs des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire. Nous reverrons Mr. Y dans 6 semaines le 18.02.2020 pour un contrôle radioclinique. L'évolution radio-clinique à 3 mois postopératoires est satisfaisante. Nous proposons alors l'ablation du matériel d'ostéosynthèse, les bénéfices et les risques de l'intervention sont expliqués à Mr. Y et à son papa qui les accepte et signe le consentement. L'intervention est agendée pour le 21.01.2020. L'évolution radioclinique à 3 semaines de la fracture est satisfaisante. Nous décidons de poursuivre le traitement conservateur avec lit-fauteuil pour minimum 6 semaines et nous reverrons Mme. Y pour un prochain contrôle radioclinique à 6 semaines de la fracture le 28.01.2020. L'évolution radio-clinique à 3 semaines post-opératoire est favorable avec peu de douleurs et une mobilité satisfaisante pour ce contrôle à court terme de l'intervention. L'érythème péri-cicatriciel est probablement dû au matériel de suture cutané avec un Stratafix. Mr. Y va poursuivre ses séances d'ergothérapie et nous prévoyons un prochain contrôle à la consultation du Team main dans 4 à 6 semaines. L'évolution radio-clinique à 3 1/2 mois de l'intervention est favorable. On explique à Mme. Y que la gêne au niveau de la cicatrice opératoire est due aux vis situées au niveau du grand trochanter, qu'on pourrait enlever dans 2 mois. Par contre, en ce qui concerne les douleurs au niveau du genou, celles-ci sont probablement dues à la dérotation du fémur et vont disparaître avec le temps et la physiothérapie. Prescription de physiothérapie à but de renforcement des abducteurs et du quadriceps avec centralisation de la rotule. Nous allons également organiser l'ablation des vis au niveau du grand trochanter. Nous expliquons à Mme. Y le déroulement, les risques ainsi que les bénéfices de cette intervention et elle nous donne son accord en signant le formulaire de consentement éclairé. L'opération est prévue pour le 11.03.2020 en ambulatoire. L'évolution radioclinique à 4 mois de la fracture est très favorable. Mr. Y a pu reprendre son travail sur le chantier à 100% sans problème. Nous convenons avec Mr. Y de conclure le traitement de cette fracture. Mr. Y peut bien sûr nous joindre en cas d'éventuels soucis. L'évolution radio-clinique à 4 mois de la fracture et à 6 semaines de l'ablation du clou est satisfaisante. Nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de nécessité. L'évolution radio-clinique à 4 mois est satisfaisante, nous proposons alors à Mme. Y et à sa maman l'ablation du clou. L'intervention est agendée pour le 16.01.2020, les bénéfices et les risques de l'intervention sont expliqués à Mme. Y et à sa maman qui les accepte et signe le consentement. L'évolution radio-clinique à 4 semaines postopératoires est satisfaisante. Nous procédons donc à l'ablation des broches et à la réfection du pansement. Celui-ci pourra être enlevé dans 48 h. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle radioclinique dans 1 mois. Arrêt de sport prolongé pour encore 1 mois. L'évolution radio-clinique à 5 mois de l'intervention susmentionnée est tout à fait favorable avec toutefois persistance de légères douleurs probablement dues à la gêne des vis. Dès lors et étant donné la consolidation de l'ostéotomie du grand trochanter, nous proposons à Mme. Y l'ablation de ces vis en ambulatoire et celle-ci est d'accord avec ce procédé. Nous lui expliquons le déroulement, les risques ainsi que les bénéfices de l'opération et le formulaire de consentement éclairé est rempli et signé. L'intervention est agendée pour le 15.04.2020 en ambulatoire avec un arrêt de travail pour 1 semaine par la suite et des séances de physiothérapie. L'évolution radio-clinique à 6 mois est satisfaisante. Nous proposons donc à Mr. Y de prendre un rendez-vous provisoire à une année de la lésion, rendez-vous que Mr. Y pourra annuler s'il n'a plus aucune plainte dans 6 mois. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse est tout à fait favorable. On peut donc mettre un terme au suivi. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de l'intervention est excellente. Nous reverrons Mme. Y pour un prochain contrôle radio-clinique à 1 année postopératoire, le 03.11.2020 ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de l'intervention susmentionnée est favorable. Mme. Y peut terminer la thromboprophylaxie et abandonner progressivement les cannes anglaises. Autorisation à conduire le véhicule. La contracture s'explique partiellement par l'allongement nécessaire du membre inférieur gauche lors de l'opération. Prescription des séances de physiothérapie avec : vélo d'appartement (à initier avec la souplesse, mais pas la force), école de marche, traitement de l'œdème pré-tibial par drainage lymphatique, stretching du droit antérieur et des adducteurs de la hanche et renforcement des abducteurs. Mme. Y sera revue à notre consultation d'ici 6 à 8 semaines pour un contrôle clinique. L'évolution radioclinique à 6 semaines postopératoire est favorable. Prescription de nouvelles séances de physiothérapie pour mobilisation libre et renforcement progressif. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. L'évolution radio-clinique à 6 semaines post-opératoires est tout à fait satisfaisante. Prescription d'une crème pour l'hydratation cutanée. Étant donné que Mme. Y quitte le sol suisse, le suivi pourrait se faire dans son nouveau pays d'accueil. Nous restons toutefois à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 6 semaines post-opératoires est tout à fait satisfaisante. Nous revoyons donc Mr. Y à une année post-opératoire pour le prochain contrôle le 24.11.2020. L'évolution radio-clinique à 7 semaines de l'intervention susmentionnée est favorable. Prescription de séances de physiothérapie pour renforcement de la musculature du quadriceps et augmentation progressive de la charge. Prochain contrôle radio-clinique le 25.02.2020. L'évolution radio-clinique à 8 semaines de l'opération susmentionnée est globalement favorable. Suite à la survenue des douleurs il y a 2 semaines, nous avons suspecté une fracture occulte au niveau du col fémoral. Cependant, celle-ci ne s'est pas confirmée à la visualisation de la radiographie de contrôle de ce jour. Étant donné que les douleurs sont en amélioration, Mme. Y va poursuivre les séances de physiothérapie avec marche en charge selon douleurs. Elle doit éviter le stress des articulations coxo-fémorales (compression, sauts) et les mouvements exagérés pendant encore 6 semaines. Au cas où les douleurs très aigües surviennent à nouveau, Mme. Y va nous recontacter et nous allons organiser une IRM du bassin pour rechercher une éventuelle fracture occulte et pour pouvoir comparer avec le côté opposé. Prochain contrôle clinique le 18.02.2020. L'évolution radioclinique à 8 semaines post-opératoires est tout à fait satisfaisante malgré l'apparition de douleurs sacro-iliaques droites, qui sont normales et attendues après cette intervention, ce que nous expliquons à Mme. Y. Elle est autorisée à reprendre le travail à 50% dans un mois (à 3 mois post-opératoires) puis à 100% un mois plus tard.Prochain contrôle radioclinique à une année post-opératoire. • L'évolution radio-clinique à 9, resp. à 17 ans de l'implantation des prothèses de hanches est tout à fait favorable. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 ans ou plus vite en cas de besoins. • En ce qui concerne le pied et en cas de douleurs persistantes, nous conseillons à Mr. Y de nous recontacter. Il faudra alors effectuer une radiographie en charge du mi-pied face/profil/oblique. • Concernant les problèmes au niveau du dos, Mr. Y va réfléchir quant à la prise d'un rendez-vous à la consultation du Dr. X. • L'évolution radioclinique de Mr. Y à 4 mois de l'opération susmentionnée est très favorable. Mr. Y ne présente plus de douleurs et marche sans boiterie. De plus, au niveau radiologique, les fractures sont bien consolidées. Mr. Y peut maintenant reprendre toutes les activités qu'il souhaite faire. Nous ne prévoyons plus de prochain contrôle, cependant, Mr. Y peut bien sûr se présenter à notre consultation en cas de problème. • L'évolution radioclinique de Mme. Y est très favorable au niveau de la fracture du fémur. Nous encourageons maintenant Mme. Y à passer en charge totale au fur et à mesure selon les douleurs. Elle va continuer les séances de physiothérapie avec la reprise progressive de la marche et nous la reverrons à 3 mois post-opératoire le 03.03.2020 pour un nouveau contrôle radioclinique. • L'évolution radioclinique de la fracture du radius distal G est satisfaisante, cela dit Mme. Y est fortement gênée à la marche. Elle présente probablement une coxarthrose G dont la symptomatologie a été exacerbée par la chute récente. En effet, les signes d'arthrose étaient déjà présents mais moins évolués sur des RX du bassin de 2014. Nous proposons de la physiothérapie pour rééducation à la marche et renforcement musculaire et reverrons Mme. Y dans 6 semaines. Concernant le poignet, elle est autorisée à se mobiliser en physiothérapie, sans charge ni force pour encore 6 semaines. • L'évolution radio-clinique de la hanche gauche est favorable. Par contre, Mme. Y souffre beaucoup de sa hanche droite qui présente une coxarthrose gravissime. La seule option thérapeutique reste l'implantation d'une prothèse totale de hanche à droite. Au préalable, il faut compléter le bilan radiologique par un CT-scan avec schéma lyonnais (mesures entre les sacro-iliaques et les pieds en mesurant la longueur jambes-fémurs) pour vérifier le stock osseux, et planifier au mieux l'intervention avec égalisation de la longueur des membres inférieurs. Prochain contrôle pour discuter du résultat du CT-scan et du procédé ultérieur, le 18.02.2020 à la consultation du Dr. X et moi-même. • L'évolution radioclinique du coude G est favorable mais il faut encore poursuivre la physiothérapie, notamment pour le déficit d'extension et un manque de force globale. De plus, Mme. Y souffre d'une tendinite de De Quervain pour laquelle on prescrit une ordonnance pour une attelle pouce en ergothérapie ainsi qu'une infiltration, agendée pour le 21.01.20. • L'évolution radioclinique du tibia est plutôt favorable. Prescription de séances de physiothérapie pour renforcement et relâchement de la chaîne postérieure. Prochain contrôle dans 6 mois. • L'évolution radioclinique est favorable à 3 mois postopératoire. Nous discutons avec Mr. Y par rapport au sport et ce que son épaule peut supporter. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. • L'évolution radioclinique est favorable. Après désinfection, ablation des broches sans difficulté, pansement simple. Nous recommandons une mobilisation active, sans charge, selon tolérance durant les prochaines semaines. Il reçoit un arrêt de sport jusqu'au 04.03.2020. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. • L'évolution radioclinique est favorable. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution radio-clinique est favorable. Nous avons procédé à l'ablation de la broche en consultation. Mr. Y et sa maman sont informés d'une probable déformation unguéale. Arrêt de sport durant encore 3 semaines. Prochain contrôle le 06.03.2020. • L'évolution radioclinique est favorable. Nous décidons donc de poursuivre le traitement conservateur en mettant en place une nouvelle botte plâtrée circulaire pour 6 semaines totales d'immobilisation. Poursuite de la Clexane 40 mg 1 fois par jour jusqu'à l'ablation de la botte. Prochain contrôle radioclinique dans 1 semaine (rx en charge dans le plâtre), puis à 6 semaines de l'accident (rx hors plâtre en charge). • L'évolution radio-clinique est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle. Nous restons à disposition. • L'évolution radio-clinique est favorable, nous notons des signes de consolidation et la fracture est toujours en place sans déplacement secondaire. Nous allons donc procéder dans 3 semaines à l'ablation du plâtre et nous enlèverons la broche dans notre consultation. Nous referons un contrôle radiologique également. Jusque-là nous expliquons à Mr. Y de se représenter chez nous en cas de problème avec le plâtre, comme d'importantes douleurs, des troubles de la sensibilité et des fourmillements. • L'évolution radioclinique est favorable. Nous notons que Mr. Y a nettement progressé d'un point de vue de la mobilité. Nous lui montrons des exercices pour lutter contre le flexum. Nous lui prescrivons encore de la physiothérapie axée sur la récupération de l'extension et la tonification du quadriceps. Il peut arrêter la Clexane. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 11.03.2020. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. • L'évolution radio-clinique est favorable, nous préconisons un dernier contrôle radio-clinique dans 1 mois hors plâtre en charge, à la recherche de signes de consolidation. Dans l'intervalle, Mr. Y est autorisé en charge en Touch Down. • L'évolution radioclinique est favorable. Nous reverrons Mme. Y pour un prochain contrôle à 6 mois de l'intervention avec un scanner afin de juger de la fusion vertébrale, d'ici là elle aura terminé ses séances de chimiothérapie. Nous lui conseillons de bien se nourrir et d'essayer de garder le moral et au besoin de parler avec un psychiatre. • L'évolution radio-clinique est favorable, pour le manque de force ressenti par Mr. Y, nous prescrivons 9 séances de physiothérapie pour renforcement musculaire des membres inférieurs. Nous lui donnons un certificat d'incapacité de travail à 100% encore pour 1 mois. Par la suite, il reprendra à 50% pour 2 mois et il reprendra à 100% au début du mois de mai. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois. • L'évolution radioclinique est favorable. Prescription d'encore 9 séances de physiothérapie à domicile pour renforcement musculaire et nous reverrons pour un contrôle radioclinique à 6 mois de l'intervention. • L'évolution radioclinique est favorable. Prochain contrôle clinique dans un mois et ensuite un contrôle radioclinique à 1 année post-opératoire. • L'évolution radioclinique est inchangée. Nous le reverrons dans 2 ans pour un contrôle radioclinique. Dans l'intervalle, nous restons à disposition. • L'évolution radio-clinique est jugée satisfaisante. Mme. Y peut désormais reprendre le port de chaussures. On recommande l'utilisation d'une semelle plutôt rigide. On la reverra dans 6 semaines pour un nouveau contrôle radio-clinique. • L'évolution radio-clinique est satisfaisante avec une disparition des douleurs, cela dit Mr. Y présente une faiblesse de la musculature des quadriceps et des abducteurs de hanche D pour laquelle nous prescrivons des séances de physiothérapie. Nous reverrons Mr. Y le 03.02.2020 pour un contrôle clinique.L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Mme. Y est autorisée à reprendre le travail à 100 %. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Mr. Y est autorisé à enlever l'attelle pouce du skieur et nous débutons une mobilisation en ergothérapie. Il est par ailleurs autorisé à reprendre sa formation de poly-mécanicien. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution radioclinique est satisfaisante malgré la persistance de légères douleurs, toutefois nettement inférieures à avant l'opération. Nous proposons à Mme. Y de poursuivre les séances de physiothérapie et nous la reverrons à 1 an post-opératoire le 06.10.2020. L'évolution radioclinique est satisfaisante, malgré une légère instabilité de la DRUJ au statut qui ne gêne cependant pas Mme. Y dans sa vie de tous les jours. Nous proposons donc un prochain contrôle radioclinique à 1 an post-opératoire le 27.10.2020. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Nous retirons l'attelle plâtrée LUCA ce jour. Mme. Y est autorisée à se mobiliser librement sans force ni charge. Elle débutera également les séances d'ergothérapie et nous la reverrons à 3 mois de la fracture pour un contrôle radioclinique. L'évolution radioclinique est superposable au contrôle d'il y a une année. Les douleurs sont bien gérées par Mr. Y. Si la symptomatologie devait se péjorer, on pourrait discuter d'une prise en charge chirurgicale. Et en cas d'apparition d'arthrose radio-carpienne, on pourrait organiser une arthrodèse. Actuellement, il n'y a pas d'indication pour une prise en charge chirurgicale. Nous referons le point dans une année. L'évolution radioclinique est tout à fait satisfaisante. Les gênes que présente Mr. Y s'attribuent à un problème d'un nerf sensitif au niveau de la cicatrice mais ceux-ci sont en diminution. On s'accorde avec Mr. Y pour ne pas faire d'ergothérapie ni de rééducation sensitive pour le moment. Au niveau des douleurs qu'il présente au niveau de la TTA et du tendon rotulien, celles-ci sont attribuables à la reprise de fonction quadricipitale pour un appareil extenseur qui a été modifié. Il n'y a pas de déficit et sur la radiographie nous n'objectivons pas de lésion traumatique. Dans ce contexte, poursuite de la rééducation. Prochain contrôle clinique en juillet 2020. L'évolution radio-clinique est très favorable à 4 semaines post-traumatisme. Mme. Y peut désormais marcher en charge totale sans semelle rigide ni syndactylie. Fin de traitement. L'évolution radioclinique est très favorable, Mme. Y peut donc arrêter les séances de physiothérapie. Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radiologique à 6 semaines post-opératoire est satisfaisante mais Mme. Y est encore quelque peu algique et très angoissée. Nous lui proposons des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire et réassurance à la marche, ce que Mme. Y refuse. Nous lui autorisons cependant la marche en charge selon tolérance avec sevrage progressif des cannes et nous reverrons Mme. Y à 3 mois post-opératoire le 25.02.2020 pour un prochain contrôle radioclinique. L'évolution radiologique est favorable. La persistance des symptômes est imputable en grande partie à une irritation des péroniers et Mme. Y reçoit une prescription de Voltarène et Emulgel à appliquer localement dès à présent. On recommande la poursuite de la physiothérapie compte tenu des amplitudes limitées et de la forte défense à l'examen. Mme. Y reçoit une prescription de 9 séances à cet effet. Nous prévoyons un prochain contrôle radioclinique à un an post-opératoire mais nous invitons Mme. Y à nous recontacter dans l'intervalle en cas d'évolution insatisfaisante. L'évolution reste plutôt stationnaire mais favorable. Pas d'indication formelle d'effectuer de nouvelles investigations ce jour. Toutefois, une IRM pourrait être réalisée en juin de cette année pour évaluer une possible lésion chondrale qui pourrait avoir évolué depuis l'accident primaire. Il sera reconvoqué pour cette date. L'évolution suite à l'infiltration est favorable avec presque disparition des douleurs malgré la persistance d'une cicatrice encore très collée. Nous conseillons à Mr. Y de la masser. Nous lui prescrivons une ordonnance pour du fitness médical. Prochain contrôle radioclinique à 2 ans postopératoires, soit fin novembre 2020. L'examen abdominal met en évidence des douleurs à la palpation en sus-pubien mais pas de douleur aux loges rénales. L'ultrason abdominal montre un globe urinaire avec 500 ml d'urines. Nous réalisons un sédiment urinaire qui montre +++ de sang sans autre anomalie. Le Dr. X pose une sonde urinaire n°12 droite siliconée. Mr. Y rentre à domicile et prendra contact avec son médecin traitant pour ablation de la sonde. L'examen actuel montre une possible décompensation d'un syndrome facettaire C3-C4 sur composante arthrosique, au vu des évidences cliniques, de la localisation des douleurs et des images. Nous discutons donc avec Mme. Y et organisons une infiltration test au niveau C3-C4 sous scanner chez le Dr. X. Nous reverrons Mme. Y par la suite. L'examen cardio-pulmonaire est sans particularité et l'abdomen est dépressible et indolore à la palpation superficielle et profonde. Le signe de Murphy est négatif et la percussion de la colonne vertébrale est indolore. Nous adaptons le traitement antalgique avec du Tramadol/Dafalgan et nous proposons à Mr. Y de revoir son médecin traitant si la douleur ne diminue pas. Mr. Y peut rejoindre son domicile en état général conservé. L'examen clinique à l'admission aux urgences est rassurant. Mr. Y reçoit un traitement antalgique par Dafalgan + Voltaren avec amélioration des douleurs. Nous laissons Mr. Y regagner son domicile avec un traitement antalgique et myorelaxant. Nous avons conseillé à Mr. Y qu'en cas de persistance des douleurs malgré le traitement antalgique qu'il consulte son médecin traitant en début de semaine prochaine afin d'organiser une IRM lombaire. Nous avisons également Mr. Y qu'en cas de persistance des douleurs ou péjoration de son état clinique qu'il reconsulte aux urgences de Riaz. L'examen clinique à l'admission est normal. Nous retenons une hypertension artérielle symptomatique avec céphalées. Nous faisons un laboratoire et un ECG en annexes. Aux urgences, Mme. Y reçoit Adalat retard 20 mg et Dafalgan 1 g, avec amélioration de la tension artérielle et disparition des douleurs. Durant son passage aux urgences, Mme. Y est restée hémodynamiquement stable et normotendue. Nous la laissons regagner son domicile et lui conseillons de prendre rendez-vous avec son médecin traitant. En attendant le contrôle chez son médecin traitant, nous introduisons un traitement par Adalat retard 20 mg si TAs>160 mmHg. Nous laissons le soin à son médecin traitant de faire un suivi du profil tensionnel et de réévaluer l'indication d'introduire un traitement antihypertenseur. L'examen clinique à l'admission est rassurant. Nous concluons à des douleurs probablement d'origine musculo-squelettique pour lesquelles nous introduisons une antalgie simple. Un contrôle et suivi seront effectués par le médecin traitant. Mr. Y est avisé, qu'en cas de péjoration de son état clinique, il reconsulte les urgences de l'HFR Riaz.L'examen clinique à l'admission est rassurant et les paramètres vitaux sont stables. Nous avons pu exclure une lésion ischémique coronarienne aiguë et le dosage des troponines est revenu négatif. Le dosage des D-Dimères est également négatif ce qui nous permet d'exclure une embolie pulmonaire. Les douleurs présentées par Mr. Y sont probablement d'origine pariétale et nous laissons le patient regagner son domicile avec un traitement antalgique. Le patient est informé qu'en cas de persistance des symptômes ou d'une péjoration de son état clinique, il doit reconsulter les urgences. L'examen clinique à l'admission est rassurant. Le laboratoire montre une hémoglobine à 132 g/l, des leucocytes à 8,5 G/l, une CRP <5 mg/l. Il n'y a pas de trouble électrolytique, pas de trouble des tests hépato-pancréatiques ni de la crase. Nous effectuons un prélèvement de selles pour recherche de PCR, dont le résultat sera pisté lors d'un rendez-vous de contrôle le 21.01.2020 à la filière des urgences ambulatoires. Par ailleurs, un test de grossesse revient négatif. Nous laissons Mme. Y regagner son domicile, avec un traitement antalgique par Dafalgan, un spasmolytique, et lui recommandons de bien s'hydrater. L'examen clinique à l'entrée est rassurant. Nous retenons le diagnostic d'hématochésie d'origine indéterminée. Nous faisons un bilan biologique. Le patient rentre à domicile avec un traitement par IPP 40 mg 2x/jour. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 20.01.2020. Il reviendra en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinico-biologique et avis proctologique le 20.01.2020. L'examen clinique a montré une petite plaie de 1 cm horizontale à la tête de pouce gauche, la plaie est superficielle et bien fermée, pas de saignement actif, pas de signe d'hématome. Nous proposons au patient un examen radiologique afin d'exclure la présence de fracture, mais le patient a refusé. Le vaccin antitétanique est à jour. Nous proposons au patient de faire un contrôle chez le médecin traitant début de la semaine prochaine. Au vu du type de son travail dans le domaine de la construction, nous donnons un arrêt de travail pour 1 jour. L'examen clinique aux urgences met en évidence des éruptions cutanées type urticaire aux extrémités des MI et MS. Le reste de l'examen est rassurant, avec des constantes stables. Le patient reçoit aux urgences 1 cpr de Xyzal et 50 mg de Prednisone per os. Nous conseillons au patient de ne plus utiliser la crème à base d'Arnica et châtaigne et le laissons regagner son domicile avec un traitement antihistaminique pour 5 jours et Prednisone 50 mg pour 4 jours. Le patient sera revu à la consultation du médecin traitant pour une réévaluation, ainsi qu'une consultation chez un allergologue. L'examen clinique aux urgences est normal. Nous laissons Mme. Y regagner son domicile avec un traitement de Paracétamol selon douleurs. L'examen clinique aux urgences met en évidence une légère sensibilité en loge rénale gauche et des douleurs au niveau de la symphyse pubienne. Nous faisons un sédiment urinaire ainsi qu'un bilan biologique (détaillés ci-dessus). Nous concluons à une probable infection urinaire débutante simple. La patiente reçoit une dose de Monuril aux urgences et nous la laissons regagner son domicile avec un suivi à organiser chez son médecin traitant. L'examen clinique (avec une auscultation pulmonaire propre) étant suggestif d'un syndrome grippal, nous débutons un traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen, sirop pour la toux, décongestionnant nasal. La suite de la prise en charge se fera chez son médecin traitant. La patiente est prévue de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie, notamment en cas d'expectorations purulentes. L'examen clinique, biologique et radiologique parle en faveur d'une appendicite. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien de garde. Le patient est pris en charge chirurgicalement avec par la suite une hospitalisation en chirurgie. L'examen clinique de ce jour est rassurant et nous permet de confirmer le diagnostic de fracture supra-condylienne in situ. On recommande la poursuite du traitement conservateur par immobilisation dans l'attelle BAB. Éviction de charges et de toutes activités sportives pendant la durée de l'immobilisation. On reverra Mme. Y dans une semaine pour un contrôle radio-clinique. On prévoit une immobilisation de 4 semaines en l'absence de déplacement secondaire. L'examen clinique d'entrée est rassurant, avec une auscultation pulmonaire sans foyer audible. Le statut ORL est normal. Le laboratoire ne montre pas de signe inflammatoire, et la radiographie thoracique ne met pas en évidence de foyer. Nous concluons donc à un syndrome grippal et introduisons un traitement symptomatique, avec conseils usuels d'hydratation. En cas de persistance des symptômes, le patient contactera son médecin traitant. L'examen clinique d'entrée met en évidence une douleur au niveau lombaire L3-L4. La marche sur le point des pieds est difficile, mais réalisable. La marche sur les talons est sp. Nous concluons donc à une acutisation de ses lombalgies chroniques, et introduisons un traitement antalgique. Nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer l'indication à une IRM lombaire. L'examen clinique du patient est rassurant et nous ne notons pas de trouble neurologique. Pour la plaie au niveau pariétal droit, nous désinfectons et suturons avec de l'Ethilon 4-0. Nous proposons de faire un suivi chez le pédiatre avec un premier contrôle à J2 et l'ablation des fils à J10. Nous recommandons de ne pas mouiller la tête d'ici l'ablation des points. En ce qui concerne le traumatisme crânien, les parents feront une surveillance neurologique. L'examen clinique du 06.01.2020 est caractérisé par la présence, à l'otoscopie de l'oreille droite, d'un petit écoulement jaunâtre ainsi que d'une rougeur du canal auriculaire, suggérant la présence d'une otite externe pour laquelle nous débutons un traitement par Ciproxine gouttes auriculaires, ainsi que du Dafalgan et de l'Irfen pour la symptomatologie douloureuse, qui devrait également aider pour la symptomatologie grippale. Pas de bombement du tympan ni de perforation du tympan visualisé. Concernant la constipation, nous prescrivons un traitement en réserve par Movicol max 2x/jour. Nous conseillons alors au patient de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie ou en cas d'absence d'amélioration à la fin du traitement. L'examen clinique est dans la norme. Le bilan biologique montre une hypokaliémie à 3,1 mmol/l que nous corrigeons par KCl 40 mmol IV. Le bilan de contrôle montre K à 3,9 mmol/l. La patiente rentre à domicile avec PCR de selles à prélever en cas de diarrhées. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinico-biologique dans 2 jours. L'examen clinique est dans les limites de la norme et l'ECG est superposable au tracé effectué en novembre 2019. Nous attribuons ces symptômes à une crise d'angoisse, pour laquelle nous prescrivons du Temesta en réserve. Nous retenons également comme diagnostic différentiel une possible compression nerveuse pour laquelle nous organisons un CT scan de la colonne cervicale et thoracique le 22.01.2020. Le patient sera revu à la filière des urgences ambulatoires après l'imagerie. L'examen clinique est en faveur de douleurs extra-articulaires du genou droit. Le bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire. Les examens ne sont pas concluants pour le diagnostic précis au moment donné. Le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique, un arrêt de travail jusqu'au 07.01.2020 et il prendra rendez-vous chez le Dr. X dans un mois.L'examen clinique est en faveur d'une bursite traumatique du genou gauche. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 12.9 G/l et une CRP à 6 mg/l. Nous commençons l'antalgie, une immobilisation dans l'attelle jeans à 0° et une anticoagulation. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 22.01. Le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans environ 3 jours. L'examen clinique est en faveur d'une entorse du ligament latéral externe de la cheville droite à 2° avec entorse de Chopart (DD: fracture de Chopart). La radiographie ne montre pas de lésion osseuse claire. Nous mettons en place une attelle jambière postérieure à 90°, une prophylaxie thromboembolique par Clexane et une antalgie. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 20.01. La patiente prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 7 jours. L'examen clinique est en faveur d'une infection urinaire basse. La patiente bénéficie d'un traitement par Monuril 3g et ira contrôler les résultats d'urotube chez son médecin traitant. L'examen clinique est évocateur pour une balanite d'origine peu claire (candidosique, eczéma, dermite, lichen, psoriasis, etc). Vu que le patient n'a aucun symptôme, nous ne recommandons pas de traitement et lui conseillons de consulter un dermatologue. L'examen clinique est évocateur pour une entorse du ligament latéral interne du genou gauche. La radiographie du genou gauche ne montre pas de fracture. Nous retenons une entorse du genou gauche pour laquelle nous conseillons de porter une attelle jeans et prescrivons une antalgie orale. Nous ne recommandons pas de thrombo-prophylaxie car la patiente arrive chargée sur la jambe gauche. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 12.01. Elle prendra rendez-vous chez le Dr. X pour un contrôle dans une semaine. L'examen clinique est normal. La description des événements faite par la mère correspond à une urticaire. Nous conseillons à la mère d'administrer un traitement antihistaminique à la patiente pendant 3 jours et de faire un contrôle clinique chez le pédiatre. L'examen clinique est rassurant, et la radiographie du thorax est sans particularité. Devant un tableau clinique pouvant évoquer un probable syndrome grippal, actuellement en résolution, nous prescrivons un traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen, sirop pour la toux, et nous faisons un arrêt de travail rétroactif du 14.01.2020 jusqu'au 17.01.2020. Reconsulter en cas de péjoration des symptômes. L'examen clinique est rassurant. La patiente rentre à domicile avec un traitement par Xyzal 5 mg pendant 5 jours. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique dans 3 jours en cas de persistance des symptômes. L'examen clinique est rassurant, le bilan biologique montre une CRP à 13 mg/l sans leucocytose et la radiographie thoracique est dans la norme. Le patient rentre à domicile avec comme consigne de continuer son traitement par Co-Amoxicilline. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas de persistance des symptômes. L'examen clinique est rassurant. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de trouble électrolytique. Nous concluons à une gastro-entérite probablement d'origine virale. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique par Motilium et conseils d'avoir une bonne hydratation. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 27.01 et le suivi se fera chez son médecin traitant. L'examen clinique est rassurant, le CT-scanner cérébral ne montre pas de lésion traumatique, pas d'hémorragie intracrânienne. Nous instaurons une antalgie et lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 17.01. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Il se présentera aux urgences en cas de red flags. L'examen clinique est rassurant. L'ECG ne montre que des troubles aspécifiques de conduction en V1. Nous rassurons le patient et lui conseillons de poursuivre le traitement psychiatrique en ambulatoire. L'examen clinique est rassurant. Nous communiquons au patient les facteurs de risque d'AVC et de la position pour dormir pour éviter les paresthésies et dirigeons le patient vers son médecin traitant. En cas de troubles vasculaires, prendre rendez-vous chez l'angiologue. L'examen clinique est rassurant. La patiente ne prend pas le traitement antalgique prescrit lors de la dernière consultation du 25.12.2019. Elle dit être soulagée par le Co-Dafalgan mais en même temps, elle dit ne pas arriver à travailler. Nous pensons dans ce cas plus à une composante psychologique et nous lui donnons un arrêt de travail pour une semaine. Nous expliquons à la patiente la nécessité de prendre le traitement antalgique prescrit et proposons un contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. L'examen clinique est rassurant. La radiographie thoracique du 21.01.2020 et ECG sont dans la norme. Au vu que la patiente est déjà suivie par son médecin traitant qui a effectué le bilan biologique la semaine passée, nous avons prélevé le frottis pour la grippe. Suivi chez le médecin traitant. L'examen clinique est sans particularité hormis la présence d'un abdomen douloureux à la palpation profonde au niveau du cadran épigastrique. Le Murphy est négatif et il n'y a pas de détente ni de défense abdominale. Un ECG est effectué et revient dans les normes. Dans ce contexte clinique, nous suspectons un ulcère gastrique/duodénal. Nous proposons au patient de prendre rendez-vous en ambulatoire pour une consultation gastro-entérologique avec la réalisation d'une endoscopie oeso-gastro-duodénale. Mr. Y peut rejoindre son domicile avec un traitement de Nexium. L'examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques seront effectués par le laboratoire externe coopérant avec la police. L'examen clinique est suspect d'une fracture costale. En l'absence de complication de celle-ci, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec consigne de physiothérapie respiratoire et antalgie. La patiente reconsultera en cas de péjoration/dyspnée. L'examen clinique est suspect d'une insuffisance des muscles abducteurs de hanches D. Nous réaliserons alors une IRM selon le protocole Maveric à la recherche de l'intégrité de l'insertion du moyen fessier et reverrons la patiente par la suite. L'examen clinique et biologique est rassurant. La patiente rentre à domicile avec un traitement anti-inflammatoire. Le résultat du frottis nasopharynx sera transmis au médecin traitant, chez qui la patiente va se rendre en consultation d'ici 2 jours. L'examen clinique et radiologique est rassurant. On conclut à une contusion simple sur chute à ski. On lui donne les conseils pour surveillance neurologique et le patient peut rentrer à domicile. L'examen clinique étant sans particularité, nous proposons un traitement antalgique à la patiente. Si persistance des symptômes, la patiente devra consulter son médecin traitant pour prise en charge. L'examen clinique, le statut neurologique sont normaux. Une suture de la plaie est effectuée aux urgences. La vaccination antitétanique est à jour (dernière dose en 2017). En l'absence de complication post-geste, la patiente retourne à domicile avec son père, muni d'un formulaire de surveillance neurologique. L'examen clinique, l'ECG ainsi que la radiographie sont rassurants. Le test de Schellong est négatif. Le patient peut rentrer à domicile. Mr. Y va contacter son médecin traitant pour réglage du Sintrom et prise en charge du diabète. L'examen clinique met en évidence des bruits cardiaques bien frappés sans souffle audible et une absence d'oedèmes aux membres inférieurs. L'ECG est sans particularité et le laboratoire objective une légère hypokaliémie sans augmentation des D-dimères. Les troponines ont été dosées, excluant le diagnostic de NSTEMI.Mme. Vigna peut rejoindre son domicile avec une antalgie de palier 1. L'examen clinique met en évidence un souffle systolique au niveau du foyer aortique 2/6 qui irradie aux carotides (connu depuis l'enfance). La palpation de l'abdomen ne montre pas de particularité clinique et le toucher rectal n'objective pas de douleur, ni de traces de sang, ni d'hémorroïdes. On note la présence de râles crépitants et ronchis au niveau de l'ensemble du champ pulmonaire droit. Les paramètres vitaux sont dans la norme. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer de pneumonie franc. Le laboratoire n'objective pas de syndrome inflammatoire mais une leucocytose à neutrophiles. Nous proposons à la patiente d'effectuer une consultation de contrôle le 30.01.2020 pour suivre l'évolution des globules blancs. L'évolution clinique est bonne et Mme. Ducret peut rejoindre son domicile. L'examen clinique met en évidence une douleur à la palpation paravertebrale au niveau de D3-D4. Le reste de la palpation du rachis est indolore. Stix urinaire propre. Radiographie de la colonne dorsale : scoliose, mais pas de lésions osseuses suspectes de fracture. Nous laissons le patient regagner son domicile avec un traitement antalgique simple, myorelaxant et le suivi sera fait par son médecin traitant. Le patient est informé qu'en cas de persistance des douleurs ou de péjoration de l'état clinique, de consulter les urgences, afin de compléter le bilan par un CT-scan de colonne. L'examen clinique, mis à part une légère douleur à la palpation du colon ascendant, est normal. Au vu de l'anamnèse de vomissements noirs non objectivables à la permanence, nous effectuons un bilan biologique montrant un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 11 mg/L avec une légère leucocytose à 10.6 G/L. Hémoglobine à 148 g/L. Nous prenons un avis pédiatrique à Fribourg qui préconise 2x40 mg de Pantozol les premières 24 heures puis un passage à 40 mg 1x/j pendant 2 semaines. Ils proposent également un contrôle biologique à 24 heures que nous organisons à la permanence. Le patient est invité, selon avis pédiatrique, à se présenter aux urgences pédiatriques cette nuit en cas de récidive de la symptomatique ou si péjoration des douleurs abdominales. L'examen clinique montre des modifications typiques pour une otite bactérienne bilatérale, que nous traitons par des antibiotiques PO. Nous conseillons au patient de consulter son médecin traitant en cas de persistance ou péjoration de la symptomatologie. L'examen clinique montre une disparition des symptômes. Les analyses des selles sont négatives. Au vu de la bonne évolution clinique, nous proposons un suivi simple chez le médecin traitant. L'examen clinique montre une douleur élective à la palpation de L5 sans douleur paravertébrale. Le bilan radiologique est complété par une radiographie de la colonne lombaire face/profil en charge, le tout démontrant une fracture de L5 de type ostéoporotique de stade 1 non déplacée. Le contact est pris avec le neurochirurgien de garde, Dr. X, qui préconise une antalgie simple et un contrôle en consultation de neurochirurgie à 2-3 semaines avec un contrôle radiologique. La patiente sera convoquée par le service de neurochirurgie pour le rendez-vous. L'examen clinique montre une légère tuméfaction du bord latéral de la main gauche. Nous effectuons une radiographie de la main gauche, qui ne montre pas de fracture. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous concluons à une probable bursite de la main gauche et introduisons un traitement antalgique par Dafalgan et Brufen. La patiente reviendra en contrôle clinique à la FUA le 27.01.2020. L'examen clinique montre une mobilité active limitée par les douleurs, situées en regard de la face antérieure du coude. Le patient ne présente pas de TNV. Le bilan radiologique met en évidence une fracture de la tête radiale peu déplacée. Devant ce tableau, nous décidons d'immobiliser le patient dans une attelle plâtrée postérieure de coude. Le patient sera revu en consultation à la policlinique d'orthopédie dans 7 jours. L'examen clinique ne met pas en évidence de déficit sensitivo-moteur. Le patient ne relate pas de trouble sphinctérien. Il refuse de faire des investigations complémentaires. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement antalgique. Nous conseillons au patient de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour effectuer la suite de la prise en charge, ainsi que pour une réévaluation de l'indication de réaliser un IRM (le patient refuse qu'on organise ici à Riaz). L'examen clinique ne montre pas d'atteinte neurologique. Nous notons la présence d'une fracture du nez à la radiographie avec une tuméfaction du nez. Nous mettons en place un traitement par Augmentin 1 g 3x/jour pour 5 jours. Le patient ira consulter l'ORL dans la semaine (Dr. X). On note une petite dermabrasion sur l'arête du nez, après désinfection, nous mettons en place un pansement simple que le patient changera dans deux jours. L'examen clinique ORL est sans particularité clinique. La thyroïde est de consistance élastique, sans augmentation de volume, mobile à la déglutition et non douloureuse à la palpation. Au vu de ce tableau clinique, nous proposons à la patiente de rejoindre son domicile et de consulter son médecin traitant pour effectuer un bilan thyroïdien. L'examen clinique parle en faveur de myalgies du muscle dorsal latéral et des muscles intercostaux à droite, sur mouvements répétitifs au travail. Une antalgie est mise en place. Un arrêt de travail est attesté à 100% du 26.01.2020 au 01.02.2020. Un contrôle chez le médecin traitant est à prévoir en cas de persistance des symptômes. L'examen clinique parle en faveur d'un syndrome grippal, mais au vu de l'état d'allaitement en cours nous ne pouvons pas prescrire les médicaments nécessaires (AINS, antitussif, décongestionnant nasal). Nous proposons à la patiente deux solutions : prendre le Dafalgan seul ou arrêter l'allaitement temporairement et prendre tous les médicaments nécessaires, elle choisit la première option. Nous prescrivons alors du Dafalgan 1 g max 4x/jour, et nous conseillons à la patiente de reconsulter aux urgences ou chez le médecin traitant en cas de péjoration pour un éventuel changement de stratégie. L'examen clinique permet de mettre en évidence une probable rétro-torsion des cols fémoraux, un valgus correspondant à l'âge qui est physiologiquement accentué et une tendance à la platipodie bilatéraled qui est encore réductible. Nous n'avons pas d'examen radiologique récent au niveau des hanches, cependant, ce jour, nous ne retenons pas de diagnostic de dysplasie. Nous proposons la poursuite du traitement conservateur par suivi physiothérapeutique et ergothérapeutique et un suivi annuel en consultation d'orthopédie pédiatrique chez Drsse X. Une fois le squelette plus mature, il s'agira d'évaluer les malformations résiduelles pour pouvoir se positionner sur une éventuelle intervention chirurgicale. Nous prions le secrétariat d'orthopédie pédiatrique de bien vouloir convoquer Y pour un prochain contrôle dans une année. L'examen clinique rapporte un ganglion cervical légèrement sensible à la palpation, probablement d'origine post-virale. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec CRP à 10 mg/l, sans leucocytose (leucocytes à 7.7 G/l mais probablement d'origine post-virale). Nous effectuons un Asto-test qui revient négatif. Nous concluons à un état post-grippal et laissons le patient regagner son domicile avec un traitement symptomatique. Le suivi se fera chez son médecin traitant. Si persistance du ganglion de plus de 3 semaines, une consultation ORL est à prévoir.L'examen clinique retrouve une douleur à la palpation de l'os naviculaire et cunéiforme médial gauche mais la radiographie ne met pas en évidence de fracture. Face à cette clinique rassurante, nous retenons le diagnostic susmentionné. L'examen cutané met en évidence des plaies superficielles et un léger œdème du pouce droit avec sensation de brûlures et picotements; pas d'autres symptômes. Sur le plan thérapeutique, un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours est instauré. Nous informons la patiente concernant la maladie de griffe de chat (période d'incubation, symptômes associés). Elle est invitée à consulter son médecin traitant s'il y a une péjoration de la symptomatologie ou apparition de fièvre et adénopathie. Au vu de l'absence d'éléments aigus nécessitant une hospitalisation, la patiente peut rentrer à domicile. L'examen effectué en physiothérapie montre une faiblesse importante des ischio-jambiers à gauche et à droite ainsi qu'une faiblesse du quadriceps à gauche par rapport au côté opposé probablement liée aux dernières chirurgies effectuées sur le genou gauche. Nous expliquons à la patiente qu'il sera nécessaire d'effectuer de la physiothérapie spécifique pour renforcer la musculature et nous réexpliquons les possibilités chirurgicales d'une nouvelle reconstruction de la MPFL à travers probablement le gracilis qui n'était pas utilisé pendant la dernière chirurgie ou éventuellement avec une allogreffe vs prise du gracilis du côté opposé. Pour l'instant, la famille et la patiente veulent rediscuter ce type de prise en charge. Une date est réservée pour le 12.02.2020 et la patiente va reprendre contact avec nous en début de semaine pour voir si elle veut confirmer ou non cette chirurgie. Il sera nécessaire de fixer un nouveau rendez-vous de contrôle pour le consentement éclairé. L'examen neurologique est dans la norme. L'IRM cérébrale dans les limites de la norme. Vu la bonne évolution, nous dirigeons le patient vers son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. L'examen neurologique est rassurant; nous expliquons toutefois à la maman d'être attentive à un éventuel changement de comportement de son enfant et si céphalées/vertiges, nausées/vomissements, de revenir aux urgences. Nous posons une agrafe après désinfection au Hibidil et recommandons l'ablation de l'agrafe à J5 chez le pédiatre. L'examen ophtalmologique ne met pas en évidence de corps étranger ni de lésion cornéenne, ni de sclère. On effectue un lavage au NaCl 0,9 % avec onguent ophtalmique (vitamine A). Un contrôle chez le médecin traitant est à prévoir si apparition d'un écoulement. L'examen ORL montre des signes d'otite moyenne aiguë droite. Par rapport à l'hypertension présentée à l'arrivée aux urgences, nous constatons une normalisation après Nifédipine 20 mg et antalgie. L'ECG est comparable avec celui de décembre 2019. Nous prescrivons une antibiothérapie orale par Amoxicilline et une antalgie par Brufen si douleurs. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour le suivi. L'examen radiologique confirme une fracture non déplacée du métatarse 2 droit. Selon l'avis orthopédique, on instaure une semelle rigide pour encore 2 semaines, on continue antalgie. Un contrôle à la policlinique orthopédique est prévu dans 2 semaines. L'exploration des plaies montre que les plaies restent sur le plan du tissu sous-cutané, sans exposition ni atteinte des tendons ni atteinte capsulaire. Nous suturons la plaie avec du fil 4.0, nous effectuons un rappel antitétanique aux urgences. Ablation des fils dans 10 jours chez le médecin traitant. L'histoire du patient est atypique d'une origine lombaire pure même si celle-ci ne peut être exclue. Nous recommandons donc la réalisation d'une ENMG à la recherche d'une radiculopathie plutôt L5 ou S1 ou alors une atteinte périphérique notamment du sciatique poplité externe chez ce jeune patient entretenant des positions assises longues et ayant présenté ces douleurs au réveil après une longue nuit. Nous reverrons le patient après cet examen. Mr. Y est hospitalisé pour une pneumonie lobe inférieur droit associée aux troubles de la réhydratation et oxygénodépendance. À l'admission aux urgences, devant l'état général abaissé un bilan biologique est réalisé ne montrant pas de syndrome inflammatoire avec une gazométrie alignée et le frottis grippe revient négatif. Le frottis RSV revient positif et la radiographie du thorax montre un foyer pulmonaire lobe moyen et inférieur droit. Devant l'oxygénodépendance, Mr. Y est hospitalisé. Sur le plan infectieux, Mr. Y reste afébrile durant l'hospitalisation. Une antibiothérapie par Amoxicilline 40 mg/kg/dose 2x/j per os est débutée le 22.01 aux urgences peut être arrêtée après 3 jours au vu de l'évolution clinique et des paramètres infectieux. En effet, un contrôle biologique réalisé à 48 heures du début de l'antibiothérapie montre l'absence d'un syndrome inflammatoire. Après avoir discuté du cas avec Dr. X (infectiologue pédiatre) et la suspicion d'une pneumonie virale et non bactérienne, l'antibiothérapie est arrêtée le 24.01. Un isolement contact est mis en place au début de son hospitalisation au vu du RSV positif. Sur le plan respiratoire, la patiente nécessite d'une oxygénothérapie maximum à 1 L du 22.01 au 26.01. L'évolution est favorable par la suite. Mr. Y bénéficie de la médecine anthroposophique durant son hospitalisation. Sur le plan alimentaire, dans un contexte initialement de discrète déshydratation évaluée à < 5 %, une hydratation iv par un bolus de NaCl 10 ml/kg sur 1 heure est réalisée, par la suite la perfusion est sevrée le 25.01, date à laquelle elle prend toutes ses quantités per os avec une prise pondérale satisfaisante. Devant l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 26.01 avec un contrôle chez vous dans environ 48 heures. Mr. Y est hospitalisé pour une surveillance clinique dans le contexte d'un premier épisode d'une crise convulsive fébrile simple associée à une forte inquiétude maternelle. Sur le plan neurologique, Mr. Y n'a présenté aucune crise convulsive ni d'altération de l'état général et les contrôles neurologiques sont dans les normes. Sur le plan infectieux, il reste afébrile. Il présente une otite droite débutante, pour laquelle il bénéficie d'anti-inflammatoires. Devant l'évolution favorable, Mr. Y a pu rentrer à domicile le 24.01.2020 sans traitement particulier. Lichen facial basal gauche DD dermatite toxique post épilation le 08.01.2020. Lifting en Tunisie il y a 4 ans, suivi par infection locale par Pseudomonas. Névralgie d'Arnold il y a 4-5 ans traitée par infiltration locale de cortisone. Ligamentoplastie de la cheville droite avec réinsertion du LTFA, CFL et renfort par plastie du rétinaculum des extenseurs (selon Dr. X) (OP le 17.12.2019). Ligamentoplastie selon Dr. X prévue le 03.03.2020. Ligature des trompes en 1974. Intoxication au CO en 1997. Anneau gastrique en 2001. PTG G 2013, PTG D 2014. Cure d'orteils en marteau en 2015. Fracture pertrochantérienne fémur droit 2015. Sepsis urinaire à Pseudomonas le 07.08.2018. Laboratoire leucocytes 7 G/l, CRP 115 mg. Sédiment urinaire leucocytes, nitrites. Uricult du 07.08.2018: Pseudomonas aeruginosa multi-résistant. Uricult du 12.08.2018: négatif.Hémocultures le 07.08.2018: négatives Ultrason abdominal le 08.08.2018: Hydronéphrose avec dilatation des voies urinaires bilatérale Ultrason abdominal post-mictionnel le 09.08.2018: Urine résiduel de 500 ml. Avis infectiologie (Dr. X) le 13.08.2018 Avis urologique (Dr. X) le 08.08.2018: Sepsis urinaire probablement sur rétention urinaire sur insuffisance neuromusculaire de la vessie. Remettre sonde urinaire et changer la sonde aux 6 semaines. Tazobac du 07.08.2018 au 08.08.2018 Céfépime du 08.08.2018 au 14.08.2018 Isolement de contact du 12. au 14.08.2018 Mise de gants lors de chaque contact avec des liquides corporels pendant une année Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine mixte infectieuse et post-rénale le 07.08.2018 • GFR selon CDK EPI 24 ml/min/1.73 m² • FE Urée 40% Ultrason abdominal le 08.08.2018: Hydronéphrose avec dilatation des voies urinaires bilatérale Ultrason abdominal post-mictionnel le 09.08.2018: Urine résiduel de 500 ml. Pose d'une sonde urinaire à demeure dès le 10.08.2018 • A changer chaque 6 semaines dans l'EMS Ligature des trompes en 1974 Intoxication au CO en 1997 Anneau gastrique en 2001 PTG gauche en 2013, PTG droit en 2014 Cure d'orteils en marteau en 2015 Fracture pertrochantérienne fémur droit en 2015 Sepsis urinaire à Pseudomonas le 07.08.2018 Ligatures artériolaires au Vicryl 4.0 et suture cutanée à l'Ethilon 4.0 sous anesthésie locale. Consignes de surveillance des plaies expliquées. Réfection du pansement à 72h chez le médecin traitant. Ablation des fils à J10. Tétanos à jour. L'immobilisation dans l'attelle du pouce du skieur est terminée. Mobilisation libre selon douleurs. Étant donné la bonne mobilité, un traitement de physiothérapie n'est pas nécessaire. Pas de prochain contrôle à ma consultation mais je reste à disposition au besoin. L'immobilisation dans le plâtre est terminée et Mr. Y peut mobiliser sa cheville selon douleurs et avec l'aide des béquilles. Prochain contrôle le 10.02.2020 pour planifier l'ablation du matériel. L'immobilisation dans le plâtre est terminée et Mr. Y peut se mobiliser avec l'aide des béquilles ces deux prochaines semaines. Un bon pour un traitement de physiothérapie a été remis. Un prochain contrôle à ma consultation n'est pas prévu. L'indication de l'anticoagulation par Eliquis étant uniquement la fibrillation auriculaire, nous suggérons d'arrêter l'Eliquis ou de réévaluer l'indication. L'indication pour un traitement conservateur de la lésion de l'appareil extenseur du Dig III est confirmée. Vu que le doigt a été mobilisé lors de l'ultrasonographie, on commence un traitement pour 6 semaines dans une attelle Stack à partir d'aujourd'hui. Après les 8 semaines, l'attelle peut être retirée pendant la journée et en la gardant la nuit pendant 4 semaines. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 8 semaines. L'inégalité de longueur des membres inférieurs retrouvée lors de la dernière consultation n'est actuellement plus objectivée au statut. Cependant, Mr. Y présente tout de même un raccourcissement des chaînes musculaires postérieures du membre inférieur droit pour lequel nous proposons de poursuivre la physiothérapie pour stretching. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle d'office mais nous restons à disposition si nécessaire. L'infiltration sacro-iliaque n'ayant eu aucun effet antalgique, il est probable que les douleurs de Mme. Y soient causées par une coxarthrose débutante déjà visualisée sur des précédentes radiographies. Nous rappelons que Mme. Y avait déjà bénéficié d'une infiltration thérapeutique de la hanche droite et de la hanche gauche durant l'année 2019. Nous proposons de compléter le bilan avec un Bone-CT de la colonne et du bassin avec cartographie afin de déterminer l'origine des douleurs de Mme. Y. Lipase: très légèrement augmentée 52 U/l Enzymes hépatiques dans la norme: ASAT 28 U/l, ALAT 19 U/l Gazométrie alignée Sédiment urinaire: 1+ de leucocytes, nitrites négatifs, pas de flore bactérienne, pas d'érythrocytes, pas de protéines Lipo-lymphoedème avancé bilatéral, avec papillomatose Lipome face antérieure épaule gauche. Lipothymie Lipothymie d'allure orthostatique. Lipothymie d'allure orthostatique le 19.01.20, DD: arythmique? Lipothymie d'allure vaso-vagale probable le 19.01.20 Lipothymie dans un contexte vagal et orthostatique. Lipothymie le 12.01.2020. Lipothymie le 18.01.2020. DD : vagale, situationnelle. Lipothymie le 20.04.2016 • Vertiges au réveil • Dysesthésie hémicorps gauche • Douleurs basithoraciques intermittentes. Lipothymie sans perte de connaissance. Lipothymie sur probable malaise vaso-vagal. Traumatisme crânien sévère en 1965. Amygdalectomie (dans l'enfance). Prothèse genou droit (Daler). Lipothymie. DD : vagal, sur extrasystole. Liquémine L'IRM a confirmé une entorse stade II de l'AC à droite pour laquelle nous effectuons un traitement conservateur par immobilisation avec une bretelle pendant une semaine. Nous l'informons de l'incapacité de jouer pendant les prochaines 3 semaines avec entraînement du bas du corps sans limitation. Mobilisation de l'épaule droite à partir de la semaine prochaine, libre en dessous de l'horizontal, sans charge. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. L'IRM cervicale et le bilan neurologique, par le Dr. X, n'ont pas mis en évidence de lésions neurogènes ni dégénératives de la colonne cervicale. On propose à Mme. Y de poursuivre la physiothérapie, vu les bénéfices apportés jusqu'à présent, également pour travailler l'hygiène posturale. Prescription de vitamines D en goutte. Pour encore évaluer l'origine de ces cervicobrachialgies, nous demandons une évaluation à nos collègues de la rhumatologie et nous les prions de bien vouloir convoquer Mme. Y. L'IRM cervicale montre une discopathie C6-C7 centrale avec protrusion discale postérieure mais sans signe de compression de la moelle et sans conflit radiculaire. L'IRM confirme l'existence d'un lipome volumineux de l'épaule gauche. L'IRM de la colonne dorso-lombaire réalisée en octobre et une IRM cervicale réalisée à l'extérieur ne mettent pas en évidence de lésion ligamentaire. Pas de hernie, ni de discopathie. Concernant le syndrome du tunnel carpien bilatéral, il n'y a actuellement pas d'indication opératoire devant la persistance de douleurs rachidiennes diffuses. Nous adressons Mme. Y en consultation de rhumatologie. À noter que le Dr. X, le neurologue qui avait réalisé l'ENMG, proposait également des injections de toxine botulique en cas de persistance de cervicalgies. Nous prions le secrétariat de rhumatologie de bien vouloir convoquer Mme. Y. L'IRM de l'épaule D de novembre 2019 montre une lésion du labrum antéro-inférieur assez étendue vers médial. Le patient amènera son CD avec le scanner dans les prochains jours. L'IRM démontre une persistance de la lésion transfixiante du sus-épineux mais sans rétraction du tendon ou atrophie musculaire. Sur le plan clinique, Mme. Y reste gênée et limitée dans ses activités, raison pour laquelle on propose une prise en charge chirurgicale avec refixation de la lésion de la coiffe, même en l'absence de douleurs nocturnes. Aux niveaux professionnel et privé, Mme. Y souhaite s'organiser, notamment pour trouver quelqu'un qui puisse soigner les 5 chiens. Par conséquent, elle souhaite faire cette intervention durant les vacances d'été. Prochain contrôle en avril pour juger de l'évolution et planifier l'intervention. Dans l'intervalle, poursuite de la physiothérapie. L'IRM du genou D révèle une régression complète des altérations de signal en regard du condyle fémoral externe. On note donc une évolution favorable. En ce qui concerne les gonalgies G, l'IRM révèle une chondropathie stade IV rétro-rotulienne, probablement la cause des douleurs. En cas de persistance des douleurs, je propose au Mr. Y d'effectuer une infiltration, soit par cortisone, soit par acide hyaluronique dans l'articulation du genou G. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu, mais je reste bien évidemment à disposition en fonction de l'évolution. L'IRM du genou G et D révèle des lésions cartilagineuses débutantes derrière les rotules et du côté G dans le compartiment fémoro-tibial interne. En regard du genou G, on visualise une déchirure de la corne postérieure du ménisque interne avec probable désinsertion. Le status clinique est par contre rassurant, les tests méniscaux sont négatifs. Les douleurs sont clairement situées derrière la rotule, raison pour laquelle je propose à Mme. Y une infiltration par cortisone à but thérapeutique et comme test. L'infiltration est prévue pour le 15.01.2020. Un contrôle est agendé au 05.02.2020 pour en évaluer les effets. L'IRM est discutée avec notre référent musculo-squelettal en radiologie, le Dr. X. Il confirme la surcharge ou le bone bruise au niveau du scaphoïde, pas de trait de fracture visible. La prise de contraste du poignet au niveau dorsal pourrait être un conflit entre la corne postérieure du lunatum et le capitatum, même si les deux zones ne présentent pas de bone bruise, le tissu mou pourrait être coincé sans que l'os ne réagisse. Le Mr. Y présente une hyperlaxité avec des positions en hyperextension quand il tient sa canne de hockey, ces deux diagnostics nous semblent en rapport avec sa position quand il tient sa canne de hockey. Dans un premier temps, prescription de physiothérapie pour renforcement, mobilisation. Nous reverrons le Mr. Y dans 2 mois. L'IRM est fortement évocatrice d'une atteinte osseuse. Par ailleurs, le status évoquant la persistance d'une absédation, on retient l'indication opératoire pour un débridement au bloc opératoire avec nouvelle prise de prélèvements assortis d'une résection de la 2ème articulation métatarso-phalangienne. La Mme. Y est clairement informée de cette indication, de même que des suites possibles et elle nous donne son accord en signant le formulaire de consentement éclairé. L'IRM est rassurante et exclut une nouvelle rupture du ménisque, qui est toutefois légèrement touché. Nous lui conseillons donc d'éviter les activités avec une hyperflexion du genou G. Par ailleurs, il peut reprendre ses activités habituelles. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition. L'IRM montre un bourrelet antéro-inférieur détaché. Par contre, la configuration inférieure de la glène me fait penser à une impaction à ce niveau. L'IRM montre un très probable ostéochondrome 2 x 3 mm sur le versant cubital de P3 D2. L'IRM montre une chondromalacie grade IV derrière la rotule que je considère comme source principale des douleurs de Mme. Y. La petite rupture au niveau de la corne postérieure du ménisque externe n'est pas symptomatique à l'examen clinique. Pour ce genou, je propose une infiltration par cortisone. Mme. Y préfère d'abord se faire opérer du tunnel carpien de la main G. En même temps, elle désire l'ablation du matériel d'ostéosynthèse du radius distal G. Je suis tout à fait d'accord avec cette attitude, je lui explique en détails l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord, oral et signé. Nous prévoyons donc l'ablation du matériel d'ostéosynthèse en regard du radius distal G ainsi qu'une cure de tunnel carpien de la main G. Cette opération est prévue le 30.01.2020. La Mme. Y sera encore vue par mes collègues du service d'anesthésie pour définir le type d'anesthésie. Étant donné que l'opération est déjà prévue pour la semaine prochaine, nous attendons encore pour l'infiltration du genou D. Entretemps, elle peut reprendre son travail à 100% dès le 23.01.2020. L'IRM montre une instabilité du LCB avec une atteinte du ligament transverse et des parties hautes du sous-scapulaire. L'IRM montre une petite hernie discale L4-L5, mais les douleurs décrites par la Mme. Y sont plutôt de type musculaire, raison pour laquelle nous insistons avec elle pour une prise en charge en physiothérapie avec éducation posturale, stretching et nous prions le Dr. X de bien vouloir la convoquer pour exclure une éventuelle fibromyalgie. Nous ne redonnons pas d'ultérieur rendez-vous car selon lui, il n'y a pas d'indication chirurgicale. Nous restons à disposition en cas de besoin. L'IRM native du genou D du 24.01.2020 met en évidence une chondropathie stade II à III qui est la probable raison de l'épanchement articulaire présent. L'IRM révèle également une potentielle lésion radiaire de la corne antérieure du ménisque externe. Je propose à Mme. Y un traitement conservateur. Elle ira faire de la physiothérapie à but antalgique et je lui prescris du Voltarène 75 mg ret 2 cpr/jour fixe pendant une semaine, puis elle pourra diminuer le dosage en fonction de la douleur. Je reverrai la Mme. Y le 11.03.2020 pour réévaluation clinique. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. L'IRM native du genou droit effectuée le 10.01.2020 montre une méniscopathie en regard de la corne postérieure du ménisque interne. Cette image peut être expliquée dans le contexte d'un status post-résection partielle de la corne postérieure du ménisque. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir une nouvelle lésion. Le Mr. Y est relativement peu symptomatique. Il a pu travailler toute l'année au chantier, ceci sans beaucoup de difficulté. Le Mr. Y veut absolument continuer à travailler. Comme j'ai compris, le Mr. Y a peur que l'assurance invalidité lui propose de changer de métier. J'explique au Mr. Y que c'est finalement lui qui prendra cette décision et non l'AI. J'explique au Mr. Y que le contact avec l'AI me semble justifié pour au moins discuter de trouver un travail adapté. On a convenu avec Mr. Y qu'il n'y a pour le moment pas d'indication opératoire. Cette décision sera prise uniquement en fonction de sa souffrance. En cas de persistance de douleurs ou péjoration, on pourra répéter une arthroscopie du genou pour aller régulariser la corne postérieure du ménisque interne. Chez un Mr. Y actuellement peu symptomatique, l'indication par contre n'est pas donnée. Je reste à disposition s'il y a un changement d'attitude de la part du Mr. Y. Pour l'instant, il est apte à travailler à 100%. L'IRM native montre une légère tendinopathie du sus-épineux avec une arthrose acromio-claviculaire droite. L'IRM ne montre pas de lésion qui permet d'expliquer les céphalées. Les douleurs sont légèrement soulagées par Irfen 400 mg. Un essai de Zomig 5 mg ne montre par contre pas d'effet. Dans ce contexte, et étant donné que la Mme. Y n'a pour le moment pas pris d'antalgique, nous proposons d'instaurer une antalgie par Dafalgan et Ibuprofène ainsi que Novalgine en réserve avec un contrôle en début de semaine si nécessaire. Au vu de la lésion non spécifique du pont visualisé sur l'IRM, nous proposons un contrôle en neuropédiatrie afin d'évaluer l'indication à répéter l'imagerie. L'IRM ne montre pas d'importante inflammation, que ce soit au niveau de la TMT ou de l'articulation naviculo-cunéenne. Il y a une légère prise de contraste aux alentours de l'os naviculaire accessoire. Les douleurs qu'elle présente sont donc atypiques, qui ne sont pas clairement mécaniques et qui sont difficiles à localiser. Nous décidons de réaliser une nouvelle infiltration sous contrôle scopique afin de voir si les douleurs maximales à la palpation correspondent à une structure anatomique précise. Nous la reverrons suite à cette infiltration.L'IRM nous permet de diagnostiquer une Bone Bruise fémoro-tibiale interne. À l'examen clinique, il n'y a pas d'instabilité ligamentaire. Pas d'atteinte cartilagineuse ni méniscale. Dans ce contexte, nous retenons un traitement conservateur avec physiothérapie encadrée et évitement des chocs pour un minimum de 3 à 6 mois. Déambulation en charge complète selon tolérance. D'un point de vue professionnel, reprise de l'activité à 50 % dès le 20 janvier et reprise à 100 % le 24 février 2020. On refait un contrôle clinique dans 2 mois, soit environ à 3 mois du traumatisme. L'IRM nous permet d'infirmer une rupture de la plastie du LCA. Le patient n'est pas symptomatique de cette minime déchirure que l'on objective en coupe au niveau du ménisque externe et il n'a pas de signe d'instabilité de celui-ci. Dans ce contexte, on propose un traitement conservateur avec une reprise progressive des activités de pivot et une stabilisation que le patient effectuera par lui-même. Du point de vue professionnel, il aura un examen sportif dans le courant du mois de janvier et il peut tout à fait demander à notre secrétariat en cas de mauvaise évolution une dispense sportive avec des exercices de physiothérapie. Par principe, fin du suivi à notre consultation. Lisinopril commencé le 23.12.19 Amlodipine commencé le 10.01.2020 Lisinopril dès le 23.01.2020 Lisitril 5 mg dès le 28.01.20 liste apparemment non à jour (novembre) LISTE DE MEDICAMENTS PAS CLAIRE Liste de médicaments pas claire avec FA pas anticoagulé le 28.01.2020 Lit chauffant du 10.01 au 12.01. Lithiase radio-opaque de 4 mm calicielle inférieure du rein gauche le 05.01.2020 Lithiase rénale de 7 mm du tiers distal de l'uretère gauche le 03.08.2015 : • sonde double J le 04.08.2015 • lithotripsie le 10.08.2015. Douleurs flanc droit aiguës le 02.03.2019, DD : passage de calcul, douleurs musculo-squelettiques, constipation. Coprostase. Lithiase rénale droite avec probable passage de calcul le 03.01.2020. Lithiase rénale G et lithotripsie (2007). Cure de hernie selon Shouldice à G en 2006. Bronchopneumonie atypique le 05.12.2018 DD virose. Troubles cognitifs indéterminés. MOCA 17/30 (06.12.18). Myoglobinurie d'origine indéterminée, en 12.18. Plaques pleurales en partie calcifiées bilatérales le 05.12.2018. • sur probable exposition professionnelle à l'amiante Polyarthrite rhumatoïde séronégative d'évolution spontanément positive. Lithiase urétérale droite de 5 x 4 mm • Légère dilatation du pyélon à 15 mm. Lithiase urinaire à la jonction urétéro-vésicale gauche de 3 mm le 14.12.2017. Lithiase urinaire de 5 x 5 x 6 mm localisée au niveau de l'uretère proximal avec : • dilatation de l'uretère à 12 mm, • dilatation du pyélon à 14 mm. Lithiase urinaire droite sans complication. Lithiase urinaire gauche de 4 mm à la jonction urétéro-vésicale non compliquée (1er épisode). Lithiase urinaire gauche en 2012. Lithiase biliaire en 2015. Hystérectomie totale. Lithiase urinaire à la jonction pyélo-urétrale droite de 7 mm. Lithiase vésiculaire avec 3 épisodes de crises les derniers 4 mois pouvant évoquer un passage de calcul. Lithiase vésiculaire découverte fortuite à l'uro-CT. Lithiase vésiculaire découverte fortuitement au scanner. Lithiase vésiculaire (janvier 2010). Lithiases rénales. St post cure hernie discale lombaire en 2000. Lithiases vésiculaires symptomatiques. Lithotripsie. Il s'agit très probablement d'une instabilité multi-directionnelle de cette épaule. Pour cette raison, poursuite de la physiothérapie avec renforcement de la coiffe des rotateurs. Pas de mesure chirurgicale. Prochain contrôle chez moi dans 3 mois le 16.4.2020. Lobectomie de totalisation lobe inférieur droit par thoracotomie, adhésiolyse 45', curage ganglionnaire le 16.01.2020 (OP Dr. X). 2 drains thoraciques dès le 16.01 (antérieur apicale et postérieur). Oxygénothérapie. Anesthésie péridurale 16.01 - 17.01. PCA 1 mg aux 3 minutes dès le 17.01. Consultation chez Dr. X à 6 semaines. Mr. Y présente une bronchite obstructive sévère dans un contexte péri-infectieux. Il bénéficie aux urgences de 3 x 6 push de Ventolin, 4 push d'Atrovent et 0.25 mg/kg/dose de Betnesol. Par la suite, son état respiratoire s'améliore. À 3 h du dernier train de Ventolin, il présente une fréquence respiratoire à 27/min, SpO2 à 98 % à air ambiant, pas de SDR, pas de sibilants. Au vu de la nette amélioration, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile avec Ventolin au besoin, poursuite du traitement de Betnesol jusqu'au 13.01 et contrôle clinique chez le pédiatre en début de semaine prochaine. En cas de péjoration, reconsulter de suite. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie aiguë. Lombalgie aiguë droite non déficitaire post-traumatique. Lombalgie aiguë non déficitaire. Lombalgie aiguë non déficitaire. Lombalgie aiguë non déficitaire. Lombalgie aiguë non déficitaire : • actuellement suivi par le Dr. X • Dernier bilan IRM en mai 2019 : rétrécissement lombaire L3-L5 • Sous tramal retard 100 mg 2 x/jour et Novalgin 500 mg 3 x/jour. Lombalgie aiguë non déficitaire atraumatique le 08.01.2020. Lombalgie aiguë non déficitaire dans le contexte d'une hernie discale au niveau L4-L5 médiane et paramédiane D en mai 2013. Lombalgie aiguë non déficitaire. • IRM lombaire : petite hernie L5-S1 sans conflit disco-radiculaire. Lombalgie aiguë non-déficitaire. Lombalgie aiguë sur chronique, non déficitaire. Lombalgies chroniques. Lombalgie chronique. Lombalgie chronique sur probable hernie discale lombaire anamnestique. Lombalgie commune non déficitaire. Lombalgie droite. Lombalgie droite non déficitaire. Lombalgie droite non déficitaire le 22.01.2020. Lombalgie droite non spécifique le 17.09.2016. Plaie franche sur la face dorsale de l'éminence thénar gauche. Lombalgie et dorsalgie non déficitaires : • notion de traumatisme chute du lit de < 1 m le 08.01.2020. Lombalgie G le 31.01.20 chez le patient avec : • Atteinte pluri-radiculaire chronique sur sténoses foraminales L4-L5 et L5-S1 et latérales • Claudication neurogène spinale sur canal lombaire étroit L2-L3 et L4-L5.Sarcopénie des membres inférieurs Suivi par le Dr. X. Lombalgie gauche le 27.01.2020. Lombalgie gauche non déficitaire. Syndrome de Vidal. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire avec lésion lytique au niveau de L2 d'origine néoplasique probable. Lombalgie non déficitaire chronique. Lombalgie non déficitaire chronique. Lombalgie non déficitaire D2-D3 droite. Lombalgie non déficitaire gauche. • Examen neurologique rassurant. Lombalgie non déficitaire, le 06.01.2020. Lombalgie non déficitaire le 10.02.2013. Fracture pseudo-Jones de la base du 5ème métatarse, pied droit. Lombalgie gauche mécanique sur élongation de la musculature para-lombaire gauche. Néphrolithiase gauche le 02.08.2016 avec : • calcul de 7,3 x 6,6 mm de l'uretère distal gauche • dilatation pyélo-calicielle à 23 mm. Le 12.08.2016, Dr. X : pose d'une sonde double J gauche. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 11.08.2016, d'origine rénale et médicamenteuse (calcul + AINS) avec : • créatinine à 129 mm/l. Lombalgie non déficitaire le 21.11.2019. Anxiété généralisée le 21.11.2019. Acné simple le 21.11.2019. Lombalgie non déficitaire le 28.01.2020. Lombalgie non déficitaire le 29.01.2020. Lombalgie non déficitaire, non traumatique. Lombalgie non déficitaire. Contracture musculaire du trapèze le 05.06.2017. Fasciculation de la lèvre inférieure. Lombalgie non invalidante. Lombalgie non déficitaire chronique, acutisée le 26.08.2019. Accident de la voie publique à haute cinétique le 10.10.2016 avec contusion thoracique antérieure gauche et traumatisme crânien simple. S/p curetage de l'endocol pour un LSIL au PAP-test (HPV HR positif, HPV16-18 négatif) le 01.10.2012 • dernier PAP-test en octobre 2018 : normal Interruption volontaire de grossesse chirurgicale à 8 2/7 semaines d'aménorrhée le 06.03.2013 Interruption volontaire de grossesse chirurgicale à 14 1/7 semaines d'aménorrhée le 18.09.2015 Accouchement par césarienne en urgence pour CTG suspect après déclenchement par Syntocinon pour rupture prématurée prolongée des membranes le 12.04.2019. Abcès pubien gauche de 1,5 cm sur poil incarné le 23.11.2018. Lombalgie non-déficitaire. Contracture musculaire du trapèze le 05.06.2017. Fasciculation de la lèvre inférieure. Lombalgie non-déficitaire. Contracture musculaire trapèze le 05.06.2017. Fasciculation lèvre inférieure. Lombalgie paravertébrale droite le 15.01.2020. Lombalgie post-traumatique (contrôle à 24 heures). Lombalgie simple le 08.01.20. Lombalgie sub-aiguë non déficitaire. DD : Canal lombaire étroit ? Lombalgie traumatique non déficitaire le 27.01.2020. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Traitement antalgique (Dafalgan, Irfen, Novalgine). Si reprise ou persistance des douleurs, le patient est informé qu'une physiothérapie sera nécessaire. Le patient est mis en arrêt maladie. Lombalgies aiguës, non-déficitaires, le 04.01.2020. Lombalgies aiguës sur déchirure de l'anneau fibreux le 22.01.2020 : • suite à un faux mouvement le 21.01.2020 • lombalgies chroniques jamais investiguées • altérations dégénératives • douleur invalidante sur rupture de l'anneau fibreux, déclenchée suite au faux mouvement. Lombalgies atraumatiques non déficitaires. • absence de red flags. Lombalgies au niveau L4 avec déficit moteur. Lombalgies basses sur : • Syndrome facettaire L4 à S1 avec : • Troubles dégénératifs pluri-étagés avec dos plat dégénératif et canal lombaire étroit sévère en L3-L4, L4-L5 dégénératif avec arthrose majeure facettaire L4-L5 ainsi que sacro-iliaque. • Claudication neurogène intermittente avec au premier plan douleurs lombo-sacrées d'allure facettaire sur status post-infiltration sacro-iliaque droite sur 3 séances avec du Curavisc et status post-infiltration facettaire L4-L5, L5-S1. Lombalgies basses sur : • syndrome facettaire L4 à S1 avec : • troubles dégénératifs pluri-étagés avec dos plat dégénératif et canal lombaire étroit sévère en L3-L4, L4-L5 dégénératif avec arthrose majeure facettaire L4-L5 ainsi que sacro-iliaque. • Claudication neurogène intermittente avec au premier plan douleurs lombo-sacrées d'allure facettaire sur status post-infiltration sacro-iliaque droite sur 3 séances avec du Curavisc et status post-infiltration facettaire L4-L5, L5-S1. Status post multiples infiltrations par Curavisc. Lombalgies basses : suspicion d'arthropathie ilio-sacrale à D avec arthropathie facettaire L5-S1 sur possible décompensation discale L5-S1. Conflit fémoro-acétabulaire bilatéral type pincer sur hanche profonde et sur couverture antéro-latérale symptomatique à D. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques : • cure de hernie discale L4-L5 en 1992 au CHUV et 2012 à Fribourg. • dernière infiltration corticoïdes en juillet 2016. Etat dépressif traité par Cipralex. Lombalgies chroniques depuis 2005. Status post luxation de l'épaule droite en 1999. Status post épicondylite post-traumatique du coude droit et neuropathie du nerf interosseux dorsal droit d'origine compressive (par une armoire électrique) le 22.11.2004 et status post cure d'épicondylite et neurolyse du nerf interosseux droit le 16.12.2004 puis révision d'épicondylite et débridement du muscle 2ème radial ainsi que de la réinsertion du muscle du poignet radial du bras droit par arthroscopie le 28.06.2005. Status post déchirure musculaire du rectus femoris droit avec hématome au football en septembre 2009. Status post arthroscopie de la cheville en 1992. Status post pneumonie traitée par antibiothérapie à domicile en été 2009. Status post appendicectomie le 03.11.2001. Status post septoplastie dans l'enfance pour fracture nasale sur chute. Status poste myosite ossifiante quadriceps gauche. Lombalgie post-traumatique sans fracture le 13.05.15. Lombalgies chroniques depuis 2005. Status post luxation de l'épaule droite en 1999. Status post épicondylite post-traumatique du coude droit et neuropathie du nerf interosseux dorsal droit d'origine compressive (par une armoire électrique) le 22.11.2004 et status post cure d'épicondylite et neurolyse du nerf inter-osseux droit le 16.12.2004 puis révision d'épicondylite et débridement du muscle 2ème radial ainsi que de la réinsertion du muscle du poignet radial du bras droit par arthroscopie le 28.06.2005. Lombalgies chroniques gauches non déficitaires avec: • Connexion par système offset de la spondylodèse dorsale avec la fixation et spondylodèse lombo-sacro-iliaque par 2 systèmes offset au niveau de L2 et 2 tiges de 300 mm fixées par boulons dynamométriques. Lombalgies chroniques mixtes, mécaniques et neuropathiques et douleur du MID. DD : syndrome facettaire et CLE, syndrome sacro-iliaque. Lipomatose péridurale. Suspicion de meralgia paresthetica droite. Tendinite des moyens fessiers droits. HTA. Syndrome des jambes sans repos. Lombalgies chroniques non déficitaires le 30.01.2020. Lombalgies chroniques non déficitaires. • Probable irritation radiculaire L4-5. Dépression. Lombalgies chroniques sur arthrose facettaire pluri-étagée de L3 à S1. • Maladie de Baastrup au niveau L4-L5. • Hémiplégie congénitale G. Lombalgies chroniques sur: • Canal lombaire étroit en L5-S1 sur antérolisthesis de grade I L5-S1 sur lyse isthmique bilatérale. • Discopathie L5-S1 avec protrusion focale postéro-médiane latéralisée à droite. • Angiome D12-L1-L2. • Echec d'IRM le 17.12.2019 à l'HFR en raison de l'obésité du patient. Lombalgies chroniques. État anxio-dépressif. Douleurs résiduelles sur neurome cicatriciel tibia proximal G sur status post • OST de correction de la pente tibiale genou G le 02.11.2016 sur insuffisance du LCP. • AS genou G avec débridement bride et fibrose en intra-articulaire le 12.04.2016. • Reconstruction LCP avec tendon du muscle quadriceps, reconstruction LLE avec tendon du muscle gracilis le 20.01.2015 sur instabilité postérieure et postéro-latérale genou G. • AS thérapeutique genou G pour lésion ménisque externe en octobre 2013 (Dr. X). • AS genou G, ablation plaque d'OST, excision neurome cicatriciel et ablation tissu cicatriciel jambe proximale le 20.09.2017. Lombalgies chroniques. HTA traitée. Lombalgies chroniques. Syndrome d'apnée du sommeil. Étourdissements, généralement une microangiopathie cérébrale. Gonarthrose droite. Maladie coronarienne à 1 vaisseau (pro. RIVA) (ED 01/19). • Coronarographie 01/19: Sténose 70-90% RIVA proximal au niveau de la bifurcation avec la première diagonale: stenting direct / POT. • Echocardiographie 20.11.19: (Dr. X): EF obtenue de 50%, sténose aortique modérée. Niveau de lambeau calcifié. Dysfonction systolique légère du ventricule droit. • EKG 18.01.2020: Tachycardie rythme sinusal, position gauche, bloc de branche gauche (précédemment connu), négation T dans aVF et I. • KVRF: Dyslipidémie, hypertension artérielle, syndrome d'apnée du sommeil. • Prise d'aspirine cardio, atorvastatine, bilol, lisinopril. Diabète mellitus type 2. • 21.01.2020 HbA1c 6.1 %. • Sous Januvia. Dysthyroïdie. • St.n. Strumectomie 1992. • 21.01.2020: TSH 1.640 mU/l, fT4 11 pmol/l, fT3 3.44 pmol/l. • Sous Neo-Mercazole. Hypertension artérielle. Dépression chronique. • Sous Cymbalta. Développement démentiel. • Sous Symfona. Insomnie. • Sous Imovane. Lombalgies déficitaires. Lombalgies d'origine musculo-squelettique dans un contexte de faux mouvement. Lombalgies droite non déficitaires le 16.01.2020. Lombalgies droites. Lombalgies droites non traumatiques, non déficitaires le 12.02.2018. Hémorroïdectomie selon Ferguson le 16.11.2015 par Dr. X. Index gauche à ressaut chronique. Lombalgies gauches chroniques acutisées non déficitaires. Lombalgies gauches non déficitaires. Lombalgies gauches non déficitaires le 26.01.2020. Lombalgies invalidantes dans un contexte de syndrome facettaire. Lombalgies irradiant dans le MID en 2017, traitées conservativement par injection X et antalgie. Lombalgies non déficitaires le 28.10.2019. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires dans un probable contexte de virose le 18.01.2020. Lombalgies non déficitaires dans un probable contexte de virose le 18.01.2020. Lombalgies non déficitaires droites le 26.01.2020. Lombalgies non déficitaires du 22.01.2020. Lombalgies non déficitaires, le 03.01.2020. Lombalgies non déficitaires, le 04.01.2019. Lombalgies non déficitaires le 31.01.2020. Lombalgies non déficitaires le 31.03.2015. Lombalgies non déficitaires sur hernie discale connue L4-L5. Lombalgies non déficitaires. DD : canal lombaire étroit, origine dégénérative. • Radiographie de la colonne lombaire face/profil le 20.12.19 : pas de fracture. Lombalgies non traumatiques non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Anémie normochrome, normocytaire. Lombalgies persistantes suite à un AVP en septembre 2019 sur : • Fragment osseux articulaire corticalisé au niveau L3-L4 droit. Lombalgies positionnelles sur alitement prolongé. Lombalgies post-traumatiques 12/2012. Syndrome descendant avec foyer basal D le 01.02.2015. • antibiothérapie par Augmentin 1 g 2x/j pendant 7 jours • Douleurs costales pariétales sur effort de toux • Lombalgies post-traumatiques • DD : suspicion de lésion vertébrale nouvelle. • Lombalgies simples. • Lombalgies simples : DD néphrolithiase. • Lombalgies sur scoliose dégénérative sur spondylodiscarthrose sévère L3-L4. • Lombarthrose et coxarthrose • Lombocruralgie gauche avec atteinte sensitive > IRM du 10.12.18 : présence d'une discopathie L4-5 avec possible atteinte radiculaire à gauche. Possible spondylarthropathie axiale et enthésitique périphérique • sacro-iliite bilatérale et multiples enthésopathies à l'IRM de 2017. • tendinite du moyen fessier gauche. • absence de réponse au Cosentyx (novembre 2017 - février 2018) et Cimzia (mars 2018 - septembre 2018). Suspicion de syndrome sec • test de Schirmer pathologique. DD : sous traitement de fluoxétine. Fracture os naviculaire médial pied gauche. Hypoesthésie du trijumeau sans étiologie retrouvée. • Lombo-dorsalgie non traumatique. • Lombo-dorsalgie non traumatique. • Lombo-dorsalgies d'origine indéterminée, le 24.01.2020 • Lombo-ischialgies sur hernie discale L4/L5 avec canal lombaire étroit L4/L5 traité par décompression L4/L5, laminectomie et foraminotomie L4/L5 le 13.06.2016 • Ostéoporose • Hypercholestérolémie • Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle • Hypercholestérolémie avec : • Cholestérol total à 8.3 mmol/L, LDL-cholestérol à 7.07 mmol/l • Lombo-radiculalgie L4 D non déficitaire avec : • status post herniectomie L4-L5 D en 1998 • Lomboradiculalgie L4 G. • Syndrome sacro-iliaque G. • Lombosciatalgie. • Lombosciatalgie. • Lombosciatalgie. • Lombosciatalgie. • Lombosciatalgie à G avec : > IRM de la colonne lombaire en 2013 : discopathies dégénératives pluri-étagées sur séquelles dystrophiques avec prédominance nette en L5/S1 associées à une hernie médiane et paramédiane G L5/S1 neuro-compressive et signes de souffrance radiculaire S1/S2 sur canal lombaire relativement étroit. • infiltrations au niveau lombaire Opération au niveau de deux coudes et du genou pour des souris articulaires Urétérolithiase gauche de 3 mm au niveau de la jonction urétéro-vésicale avec minime dilatation des cavités calicielles et du bassinet mesurée à 10 mm, associées à des kystes parapyéliques. • Lombosciatalgie aiguë • Lombosciatalgie aigue droite non déficitaire. • Lombosciatalgie bilatérale non déficitaire. • Lombosciatalgie chronique. • Lombosciatalgie chronique avec perte d'urine anamnestique le 03.01.2020. • Lombosciatalgie chronique gauche acutisée. • Lombosciatalgie D en péjoration depuis le 20.10.2011 sur hernie discale L5 connue. • s/p ablation Naevus au niveau dorsal le 06.06.12 avec arrachement d'un point de suture le 07.06.2012. • Lombosciatalgie D. • Arthrose facettaire pluri-étagée. • Lombosciatalgie droite non déficitaire connue diagnostiquée en 2017. • Lombosciatalgie gauche aiguë sans signes de gravité le 11.09.2019 • Status post-appendicectomie. • Status post-hernie discale opérée L4-L5 (Dr. X), 2007, reprise par la suite en raison d'une infection • Status post-fracture cheville gauche. • Status post-amygdalectomie et ablation des végétations. 18.07.2008 : AVB d'un garçon (Hugo) pesant 4020 g à l'HFR-Riaz à T+6. Lésion génitale : EMLD. Allaitement durant 2 mois. Particularités : Pas de DG. 2010 : FC + curetage. 2012 : FC. Accouchement par voie basse chez une patiente 4G 2P à 38 1/7 SA en février 2012. Diabète gestationnel insulino-requérant Douleur thoracique de probable origine musculo-squelettique Contusion D2-D3-D4 main droite • Lombosciatalgie gauche aiguë sans signes de gravité le 11.09.2019 • Status post-appendicectomie. • Status post-hernie discale opérée L4-L5 (Dr. X), 2007, reprise par la suite en raison d'une infection • Status post-fracture cheville gauche. • Status post-amygdalectomie et ablation des végétations. 18.07.2008 : AVB d'un garçon (Hugo) pesant 4020 g à l'HFR-Riaz à T+6. Lésion génitale : EMLD. Allaitement durant 2 mois. Particularités : Pas de DG. 2010 : FC + curetage. 2012 : FC. Accouchement par voie basse chez une patiente 4G 2P à 38 1/7 SA en février 2012. Diabète gestationnel insulino-requérant Douleur thoracique de probable origine musculo-squelettique Contusion D2-D3-D4 main droite • Lombosciatalgie gauche L5 déficitaire. • Lombosciatalgie gauche non déficitaire le 23.01.2020. • Lombosciatalgie L5 non déficitaire le 30.01.2020 : • sur chute de sa hauteur • status post-fixation de canal lombaire étroit L2-L3 en 2017. • Lombosciatalgie non déficitaire, le 03.01.2015. Suspicion de lésion du LCA gauche, le 03.01.2015. DD arthrose rétro-patellaire. • Lombosciatalgie non déficitaire le 26.01.2020. DD : exacerbation d'un syndrome de jambes sans repos. • Lombo-sciatalgie non déficitaire le 27.01.2020. • Lombosciatalgie non déficitaire L4-L5 gauche post-opératoire (le 19.10.2016 par le Dr. X). • Lombosciatalgie S2, non déficitaire. • Lombosciatalgie S2 non déficitaire • Lombosciatalgie S2 non déficitaire. • Lombosciatalgies • Lombosciatalgies • Lombosciatalgies. • Lombosciatalgies. • Lombosciatalgies. • Lombosciatalgies aiguës G sur radiculopathie L4, dans le contexte d'une fracture de stress vertèbre L5 et possible impingement vis/racine au niveau foraminal L4-L5 G • Status post-décompression L5-S1 G et stabilisation monolatérale L5-S1 avec système Neo vis 6.0/45 et Cerasorb postéro-latéral le 30.09.2019 pour une récidive de lombosciatalgies bilatérales prédominantes à G sur nouveau kyste arthrosynovial foraminal G L5-S1 avec sténose L5 et également S1 • Status post-infiltration trans-foraminale L5-S1 le 08.05.2019 • Status post-décompression sélective L3-L4, L4-L5 et L5-S1 par la gauche avec ablation de kystes synoviaux sur 3 niveaux et herniectomie + microdiscectomie L4-L5 par la gauche 17.12.2018 sur sténose canalaire sévère L3-L4, L4-L5 et L5-S1 à prédominance gauche sur des kystes arthro-synoviaux et hernie discale L4-L5. • Arthrose cervicale multi-étagée avec listhésis C3-C4 et arthrose facettaire • Lombosciatalgies aigues non déficitaires • Lombosciatalgies aiguës sur chroniques suite à un faux mouvement. • Lombosciatalgies avec syndrome radiculaire L5 déficitaire moteur droit (extenseur gros orteil) • Lombosciatalgies bilatérales avec hyposensibilité L5/S1 à droite > IRM lombaire du 05.12.2019 : scoliose importante avec changements dégénératifs sévères, protrusions discales, sténose du canal spinal L2-L3 • Hospitalisation en raison d'une antalgie insuffisante en ambulatoire • Dexaméthasone du 09.12 au 15.12.2019 • Lombosciatalgies bilatérales non déficitaires chroniques sur : • Lombo-discarthrose pluri-étagée avec canal lombaire étroit d'origine dégénérative CT en 2013. • Hernie discale L4-L5 opérée. • Tassement D8 et L3 d'allure ancienne. • en péjoration suite à une contusion dorsale le 06.12.2019 • Lombosciatalgies chroniques. • Status post discectomie rétro-péritonéale L5-S1 par la G, décompression bilatérale, reconstruction de la lordose avec mise en place d'une cage ALIF 12 mm 14° pré-remplie de Ceracell et fixée par 2 vis de 20 mm en L5 et par 2 vis 25 mm en S1. • Discectomie rétro-péritonéale L4-L5 par la G, décompression bilatérale, reconstruction de la lordose avec mise en place d'une cage Synfix Evolution 12 mm 14° pré-remplie de Ceracell et fixée par 4 vis de 20 mm en L4-L5 (OP le 15.04.2019) • Status post herniotomie L5-S1 D le 12.05.2017 pour une hernie discale L5-S1 D dans le contexte d'une discopathie L4-L5 et L5-S1 et inversion de la lordose lombaire. • Lombo-sciatalgies chroniques. • Sténose du récessus latéral droit L1-L2 et L2-L3. • Sténose du canal lombaire au niveau L5 avec kyste synovial L5-S1 à droite.Foraminotomie L1-L2, L2-L3 à droite. Laminectomie L5 avec ablation du kyste synovial à droite le 05.05.2011. Lombosciatalgies chroniques. Etat anxio-dépressif, en traitement chez la psychiatre Dr. X. Lombosciatalgies D sur: • Scoliose lombaire dextro-convexe avec un angle de 13° • Syndrome sacro-iliaque sur asymétrie des MI en défaveur de 1cm du côté D • Sténose foraminale L4-L5 D sur protrusion discale et arthrose et kyste facettaire • Protrusions discales L2-L3 et L3-L4 Lombosciatalgies droites. Lombosciatalgies droites chroniques non déficitaires : • discopathie lombaire pluri-étagée associée à une hypertrophie des ligaments jaunes L4-5 avec rétrécissement récessal bilatéral • infiltration péridurale avec Fortecortin 12 mg et Ropivacaïne 0.2 % 5 ml en L3/4 le 18.02.2019 (HFR Tafers) Coxarthrose bilatérale Kyste poplité gauche Troubles anxio-dépressifs récurrents avec attaque de panique récidivante • status post-épisode moyen en 2006, hospitalisation à Marsens anamnestiquement Retard mental léger : • sans trouble du comportement significatif nécessitant une surveillance et un traitement Diabète de type 2 insulino-requérant Obésité de classe 2 Hypercholestérolémie Hypertension artérielle grade 2 Lombosciatalgies droites non déficitaires, le 13.01.2020. Lombo-sciatalgies droites non déficitaires, le 06.01.2020. Lombosciatalgies et douleurs abdominales postopératoires sur lombalgies chroniques D avec : • Status post XLIF L4-L5 avec abord rétropéritonéal et trans-psoas du côté G avec pose de cage Timberline Zimmer 22x50x12 mm/8° et vis latéro-latérales, le 21.01.2019, pour maladie du segment adjacent L4-L5 avec discopathie sévère, débord discal global prédominant à D et arthrose facettaire modérée de L5-S1 (HFR) Lombosciatalgies G sur discopathie L5-S1. Lombosciatalgies gauche Lombosciatalgies gauche. Lombo-sciatalgies gauche non déficitaires. Lombosciatalgies gauches. Lombosciatalgies gauches de type L4 avec déficit moteur sur : • hernie discale au niveau L3-L4. Lombosciatalgies gauches non déficitaires en juillet 2017 Status après prothèse totale du genou gauche en 2013 Thrombose fémoro-poplitée dans le contexte de son carcinome de la vessie en 2009 traitée avec Lixiana Status après cure de hernie discale en 1988 Diarrhées iatrogènes sur probable trouble hypochondriaque Lombosciatalgies persistantes sur : • status post-révision L4-L5 G, ablation de la cage TLIF Juliet et mise en place d'une cage OLIF TM Ardis (Zimmer) 34/11/13 le 26.11.2018 pour un déplacement secondaire de la cage TLIF vers postérieur le 08.11.2018 • déplacement secondaire de la cage TLIF en postérieur le 08.11.2018 • status post-spondylodèse L4-L5 par système Romeo (vis 6.0/50, tiges 40mm) + connecteur transverse Matrix, décompression canalaire L4-L5 et discectomie L4-L5 + mise en place d'une cage TLIF Juliet 12/4° le 26.09.2018 pour une sténose canalaire L4-L5 sur un listhésis L4-L5 Lombosciatalgies sans déficit sensitivomoteur en 2009. Hypertension artérielle traitée en 2013. Lombosciatalgies. Sinusite frontale probable le 18.07.2018. Opération du nez il y a 3 ans. Lombosciatialgie L5 D sur hernie discale L4-L5 para-médiane D en conflit avec la racine L5. Lombo-sciatique gauche chronique avec : • antélisthésis grade II selon Meyerding de L5-S1 sur probable lyse isthmique bilatérale • bilan à la recherche d'une spondylarthrite : HLA-B27, possible foyer de sacro-illite à gauche, pas de syndrome inflammatoire Lombosciatique L5 D résolutive sur : • discopathie L4-L5 et sténose récessale avec conflit radiculaire L5 • status post infiltration péri-radiculaire le 14.11.2019 avec très bonne réponse antalgique. Lombosciatique S1 D sur hernie discale L5-S1 D avec : • Status post-fenestration inter-laminaire L5-S1 D, flavectomie et cure d'hernie discale L5-S1 D avec décompression récessale le 02.12.2019 sans complications. Lombo-sciatiques persistantes sur : • status post-révision L4-L5 G, ablation de la cage TLIF Juliet et mise en place d'une cage OLIF TM Ardis (Zimmer) 34/11/13 le 26.11.2018 pour un déplacement secondaire de la cage TLIF vers postérieur le 08.11.2018 • déplacement secondaire de la cage TLIF en postérieur le 08.11.2018 • status post-spondylodèse L4-L5 par système Romeo (vis 6.0/50, tiges 40mm) + connecteur transverse Matrix, décompression canalaire L4-L5 et discectomie L4-L5 + mise en place d'une cage TLIF Juliet 12/4° le 26.09.2018 pour une sténose canalaire L4-L5 sur un listhésis L4-L5 • Suspicion de syndrome sacro-iliaque droit sur différence de longueur des MI : pas de réponse à l'infiltration Longue discussion sur les difficultés de la prise en charge et des interactions médecins/infirmiers-patient avec communication verbale et écrite avec beaucoup de stigma.Lorazepam en réserve Ne souhaite pas de soutien spécialisé Lorazépam Relais par Quétiapine dès le 19.12.2019 stoppé le 24.12.2019 Ajout Distraneurin le 24.12.2019 Mr. Y est hospitalisé à la demande de Dr. X pour suite de prise en charge d'un état dépressif avec possible symptômes psychotiques. Durant l'hospitalisation, un suivi régulier est assuré par l'équipe de pédopsychiatrie, un cadre est mis en place. Dans ce contexte, l'évolution de Mr. Y est favorable, il est convenu à sa sortie le 23.01 de poursuivre le suivi régulier en pédopsychiatrie. Le traitement par Risperdal et Atarax introduit durant la dernière hospitalisation est poursuivi. Mr. Y rentre à domicile le 23.01.2020. Mr. Y est hospitalisé pour des troubles anxieux avec des idées suicidaires et mise à distance du milieu anxiogène. Le 06.01, une évaluation pédopsychiatrique est réalisée par Dr. X. Au cours de cette consultation, Mr. Y met en avant sa tristesse et son manque d’envie de faire les choses, il décrit avoir des hallucinations visuelles sous la forme d'une ombre humaine, qui ne le fait pas peur et ne lui dit pas de se faire du mal. Mais suite à cela, il se sent envahi par une tristesse et des douleurs de tout son corps accompagnées de difficultés respiratoires. L'évaluation du risque suicidaire est considérée moyenne, Mr. Y décrit un scénario avec une prise de médicaments mais n'a pas accès à ses médicaments. Dr. X étant actuellement absent, nous prenons contact avec Mme. Y, psychologue de Mr. Y. Un nouvel entretien a lieu le 07.01 avec Dr. X et Mme. Y ainsi qu'une traductrice. Le diagnostic actuellement retenu est un épisode dépressif avec des symptômes psychotiques. Après discussion avec la mère, un traitement antipsychotique par Risperdal est introduit. Un bilan biologique, ainsi qu'un ECG sont réalisés avant l'introduction du médicament et reviennent alignés. Concernant son traitement par Floxyfral, nous préconisons de ne pas reprendre ce traitement, qui aurait en partie pu expliquer les symptômes présents ces dernières semaines. Concernant les troubles du sommeil décrits par Mr. Y, un traitement par Atarax est introduit durant l'hospitalisation, permettant une amélioration du sommeil. Après discussion avec la pédopsychiatre, cette dernière mentionne qu'un syndrome génétique devrait être recherché chez Mr. Y à distance de la crise actuelle. En effet, Mr. Y présente un retard du développement psychomoteur dans la petite enfance, une surdité, des troubles psycho-comportementaux, une dépression avec hallucinations associés à une légère dysmorphie faciale. Nous vous laissons le soin d'organiser le bilan avec éventuellement une IRM cérébrale et une évaluation neuropsychologique. L'évolution étant favorable, Mr. Y passe un contrat de non-passage à l'acte dans lequel Mr. Y doit informer à ses parents dès qu'il présente des idées suicidaires, ces derniers vont contacter directement le CPP ou viendront directement aux urgences HFR si cela se présente. Mr. Y rentre à domicile le 07.01 avec sa mère. Un suivi ambulatoire est organisé au CPP et avec Mme. Y. L'origine des douleurs n'est pas tout à fait claire. Comme les douleurs principales sont plutôt en dorsal, cela pourrait être une capsulite des MTP 2 à 5. Sur le 1er métatarsien, nous n'avons rien trouvé qui pourrait expliquer ces douleurs. Nous lui prescrivons des patchs Olfen pour la nuit et un appui rétro-capital avec bandelette pour la journée. Nous la reverrons dans 6 semaines. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance et investigations d'un œdème du visage en péjoration. À son admission aux urgences à l'hôpital de Tavel, Mr. Y a bénéficié d'un traitement par Solumédrol IV et des aérosols de Ventolin et Atrovent pour une sensation de dyspnée avec une évolution favorable au niveau respiratoire. Le bilan sanguin initial ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire, de pathologie rénale, hépatique ou pancréatique. Une glycosurie initiale ne se répète pas au prochain stix urinaire. Un prélèvement bactériologique est effectué au niveau de sa plaie du mollet gauche qui met en évidence un Staphylococcus epidermidis. Concernant l'œdème du visage progressif, nous prenons un avis dermatologique de Dr. X, dermatologue-pédiatre. Elle évoque une suspicion de collagénose de type dermatomyosite ou autre. Elle propose de compléter le bilan avec un bilan immunologique avec C3, C4 et FAN. Ils reviennent tous dans les normes, la VS étant normale aussi. Elle va voir Mr. Y prochainement à sa consultation afin d'effectuer une biopsie cutanée. Sur le plan cardio-pulmonaire, un monitoring cardiorespiratoire est mis en place sans événements particuliers. Devant l'état stable de Mr. Y, il a pu rentrer à domicile le 18.12 avec des consignes de surveillance à domicile. Lors des grippes, présence de vomissements, jusqu'à maintenant jamais avec sang. Entre les grippes, en forme. Appendicectomie laparoscopique 04/2017. Oxyure (découverte fortuite intra-opératoire) traité avec Vermox 04/2017. Lors de la chute en juillet 2019, Mme. Y a subi une lésion de la plaque palmaire de la PIP Dig III. On lui explique que la reconvalescence peut être lente, et on prescrit de l'ergothérapie pour mobilisation et application d'une attelle Belicater. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 10 semaines. Lors de la consultation, Mme. Y présente à nouveau deux vomissements. Nous décidons alors de la garder en surveillance neurologique. Elle ne présente pas de récidive de vomissements. Lors de la surveillance aux urgences, Mme. Y ne présente aucune complication et reste stable. Elle n'a pas de nouveau de vomissements et la prise alimentaire est satisfaisante. Lors de la précédente hospitalisation : MMSE 27/30 le 15.11.2019. Suivi clinique. Réadaptation pour investigations complémentaires. Lors de la première consultation après avoir posé de Letgel durant 30 minutes, arrêt du saignement. Mise en place d'un pansement compressif et retour à domicile avec contrôle dans 48h. Environ 2 heures plus tard, Mme. Y se représente aux urgences avec un pansement imbibé de sang. Lorsque nous enlevons le pansement, un petit saignement actif artériel motive un consilium de chirurgie. Pose de Gel Let, puis eau oxygénée et pose de Tabotan permettent de tarir le saignement. Puis mise en place d'un pansement compressif. Contrôle aux urgences dans 24 heures. Lors de l'ergothérapie, application d'une attelle pour l'extension des doigts qui doit être portée la nuit pendant 4 semaines, pas d'attelle pendant la journée. On prévoit un prochain rendez-vous dans 6 semaines. Lors de l'observation sur la nuit, les contrôles neurologiques sont toujours dans la norme. Elle n'a pas représenté de vomissement, ce qui nous permet de la laisser retourner à domicile au matin avec les consignes de retour à l'hôpital données à la maman (feuille TCC donnée) et poursuite de l'hydratation régulière. Losartan 100 mg Esidrex 12.5 mg Mr. Y est hospitalisé dans le cadre d'une dyspnée en aggravation dans les dernières 24 heures avec état fébrile et toux les jours précédents. Il présentait à son arrivée une insuffisance respiratoire modérée avec saturation à 87% à l'air ambiant et des crépitants en base droite. Une radiographie de thorax confirme une pneumonie basale droite. Il reçoit l'amoxicilline 80 mg/kg/dose 2 fois par jour dès le 02.01. Une oxygénothérapie est mise en place le 02.01, par la suite, il ne présente plus de désaturation. Il reste afébrile et stable hémodynamiquement durant son séjour, gardant une hydratation et diurèse dans la norme.Dans le cadre de notre approche thérapeutique intégrative, le/la patient/e a également bénéficié de thérapies complémentaires de médecine anthroposophique, dont des applications externes, les inhalations et les médicaments oraux. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 03.01. Mr. Y est hospitalisé dans le cadre d'une péjoration respiratoire d'une pneumonie basale droite traitée depuis le 02.01 par Amoxicilline. Il nécessite de l'oxygénothérapie à 1L maximum dès son arrivée et jusqu'au 06.01. Il bénéficie également de la physiothérapie respiratoire. L'antibiothérapie est poursuivie par Amoxicilline 80 mg/kg/jour en 2 doses jusqu'au 07.01. Le frottis de Mycoplasme pneumoniae revient positif le 07.01, raison pour laquelle l'antibiothérapie est relayée par Azithromycine 10 mg/kg/jour en 2 doses dès le 7.01 pour une durée totale de 3 jours. L'évolution sur le plan respiratoire est favorable. Il reste afébrile et stable hémodynamiquement durant son séjour. Mr. Y rentre à domicile le 07.01 avec poursuite de l'Azithromycine jusqu'au 09.01 inclus. LSIL col utérin, HPV HR positif, CINtec Plus positif Intoxication médicamenteuse volontaire par Seroquel et Remeron en janvier 2018 Intoxication médicamenteuse volontaire par Seroquel le 09.11.2017 Intoxication médicamenteuse volontaire par Quétiapine et Fluoxétine associée à la prise de bière le 27.08.2017 Intoxication médicamenteuse volontaire par Paracétamol le 25.06.2017 Scarification des 2 poignets le 19.09.2017 IVG non-datée LSIL du col de l'utérus LSIL sur frottis PAP du 08.01.2020. Mme. Y présente initialement des céphalées temporales droites et la sensation de tête qui tourne. Ces symptômes disparaissent au cours de la surveillance. L'examen neurologique est rassurant, ne montrant pas d'anomalie. Nous suturons la plaie au niveau de la pommette droite avec deux points à l'Ethilon 6.0. Le papa changera le pansement à J 2. Nous lui proposons de faire un suivi chez le pédiatre dans 5 jours pour l'ablation des fils. Mr. Y est un jeune patient de 2 ans et 9 mois qui est hospitalisé en électif le 09.01.2020 pour la prise en charge opératoire d'une courbure ventrale de la verge associée à un hypospadias fruste avec prépuce complet. Mr. Y bénéficie le jour même d'une correction de hypospadias et découdure de verge avec circoncision d'égalisation qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples. La sonde urinaire est retirée le lendemain de l'opération, permettant à Mr. Y un retour à domicile le jour même. Mr. Y est hospitalisé devant une hypoglycémie néonatale minimale à 1.9 mmol/l. Il bénéficie d'une sonde oro-gastrique pour corriger son hypoglycémie. Les glycémies préprandiales restent par la suite dans les normes. La sonde a pu être sevrée le 10.01 au soir. Sur le plan cardiovasculaire, Mr. Y reste stable durant son hospitalisation sans événements particuliers. Il reçoit le Konakion à la naissance et le recevra aussi à J4. Nous vous laissons le soin de donner le Konakion à J28. Nous lui prescrivons de la vitamine D 400 UI 1x/j dès J10. Les recommandations habituelles pour la sécurité, la prévention des accidents, la mort subite, la coloration des selles et la fièvre néonatale ont été données. Les parents rentrent à domicile après avoir reçu les conseils usuels de sortie. Une première consultation se fera à votre cabinet à un mois de vie. Mme. Y est hospitalisée pour surveillance dans un contexte de crise épileptique. La gazométrie réalisée à l'entrée montre une alcalose respiratoire avec un pH à 7.53, pCO2 4.1, des bicarbonates à 26 mmol/l, des lactates 0.8mmol/l, la glycémie et l'ionogramme étant en ordre. Le statut neurologique d'entrée est superposable au statut connu de base de Mme. Y. Sur le plan neurologique, les surveillances neurologiques s'avèrent normales, sans récidive de crise. Un avis est demandé auprès de son neuropédiatre le Dr. X qui retient le diagnostic d'une crise épileptique dans le contexte peri-infectieux abaissant le seuil épileptogène. Il préconise une majoration de son traitement par Timonyl à 450 mg 2x/jour. Sur le plan infectiologique, Mme. Y présente aux urgences un état subfébrile à 38°C associé à 3 épisodes de vomissements alimentaires sans sang. Sur le reste de la surveillance elle ne présente plus de récidive des vomissements. Nous retenons le diagnostic d'une gastroentérite virale, étant donnée la notion de contage et un état fébrile objectivé à 2 reprises. Actuellement nous n'avons pas d'argument pour penser à une obstruction du drain, en effet Mme. Y ne présente aucun autre signe clinique parlant en faveur de cela (reste du statut neurologique superposable). Nous encourageons la mère de reconsulter si les vomissements devraient récidiver. Devant une évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 15.01.2020. Lumbago Lumbago Lumbago Lumbago Lumbago Lumbago aigu Lumbago aigu. Lumbago aigu non déficitaire. Lumbago aigu non déficitaire. Lumbago aigu non déficitaire le 24.11.19. Cardiopathie ischémique tritronculaire avec: • coronarographie (Dr. X) le 09.06.2016: • FEVG 68% • sténose significative de la première diagonale • sténose significative de l'artère circonflexe moyenne • sténose significative de l'artère coronaire droite proximale Suivi cardiologique à la consultation du Dr. X le 11.07.2016. Lumbago Lumbago Lumbago lumbalgie Lundi 16.03.2020 à 11h00 cystoscopie de contrôle chez le Dr. X Lupus Lupus érythémateux • sous Plaquenil • suivi par Dr. X, Muntelier Lupus érythémateux disséminé avec: • S/p AVC hémorragiques sur vasculite lupique en 2007 et 2012 avec • Hémianopsie gauche • Héminégligence gauche • Hémiplégie partielle gauche • S/p méningite bactérienne post trépanation en 2007 et 2012 Embolie pulmonaire il y a 15 ans Hémorragie intra-alvéolaire en 2007 Insuffisance rénale terminale dialysée de 2012 à 2014 Greffe rénale en 2014 Crise d'épilepsie tonico-clonique généralisée le 8.6.2015 : CT cérébral natif le 8.6.2015 : possible hémorragie ponctiforme antérieurement à la zone séquellaire Lupus érythémateux disséminé depuis 1965, actuellement contrôlé IRC pré terminale de stade V sur néphropathie lupique avec : hyperparathyroïdisme secondaire, acidose métabolique, hypertension artérielle avec statut post greffe rénale gauche en mars 2010 Parésie du membre supérieur droit post-traumatique (arrachement du plexus brachial) Atopie avec rhino-conjonctivite printanière (traitement par Nasacort) Infections urinaires à répétition Syndrome métabolique (BMI 32, dyslipidémie, HTA) Diabète possiblement cortico-induit Artériopathie de stade II du MID sur atteinte aorto-iliaque et occlusion chronique de l'artère iliaque primitive droite (sp pontage aorto-bi-iliaque par laparotomie et kystectomie de l'ovaire gauche le 9.11.2009) Palpitations sur tachycardie sinusale dans le cadre d'un état anxieux Hypertension artérielle mal contrôlée Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale le 08.07.2019 Lupus érythémateux systémique • sous Plaquenil L' Uro-CT réalisé retrouve une lithiase urétérale proximale mesurant 5 x 5 x 6 mm, avec dilatation de l'uretère à 12 mm et dilatation du pyélon à 14 mm. Le bilan biologique ne retrouve pas de souffrance rénale avec une créatinine tout à fait dans la norme et pas de syndrome inflammatoire. Nous prenons avis auprès du Dr. X, chirurgien de garde. Nous demandons ensuite l'avis de l'urologue de garde, le Dr. X, qui propose 2 possibilités au patient, soit un traitement conservateur de 3 semaines avec filtrage des urines et traitement antalgique, anti-inflammatoire et spasmolytique avec filtrage des urines, soit une prise en charge urologique au Daler dès le 22.01.2019. Le patient souhaite un traitement conservateur et est libre de rejoindre son domicile avec le traitement sus-mentionné.En cas de péjoration des douleurs ou d'apparition d'un état fébrile, Mr. Y est invité à se présenter aux urgences. Les coordonnées du cabinet urologique du Dr. X sont remises à Mr. Y au cas où celui-ci changerait d'avis. L'urotube effectuée lors de la dernière consultation n'étant pas analysable, mais le sédiment urinaire du jour étant complètement normal avec une patiente ne rapportant aucun symptôme urinaire, nous n'effectuons pas d'autre urotube. Elle nous signale également avoir eu des effets secondaires quand elle prend son traitement du Tramal (récemment prescrit), avec de la fatigue et des tachycardies, nous substituons alors avec du Co-Dafalgan. Nous invitons la patiente à prendre rendez-vous avec son médecin traitant pendant la semaine prochaine pour la suite de la prise en charge. L'urotube et la PCR pour N. gonorrhoeae et Chlamydia trachomatis sont négatifs. L'ultrason testiculaire est dans la norme. Nous posons le diagnostic le plus probable d'hyperactivité du détrusor. Nous instaurons un traitement par Spasmo-urgenine et lui conseillons d'agender un contrôle auprès de son urologue traitant. L'US abdominal exclut une lésion de la rate ou du rein gauche. Nous rassurons Mr. Y et le laissons regagner son domicile. L'US abdominal met en évidence une hépatomégalie, avec stéatose hépatique, toutefois sans dilatation des voies biliaires ni lithiase. Laboratoire de contrôle : ASAT à 356, ALAT à 765, LDH 2237, PA à 120, GGT 424, Bilirubine directe 6.5, amylase 77, Lipase 24, CRP à 6, leucocytes à 8.4. Les sérologies hépatiques sont en cours. Mr. Y est vu par le chirurgien de garde, le Dr. X, qui ne préconise pas de prise en charge chirurgicale. Nous proposons à Mr. Y une hospitalisation, pour suite de prise en charge et suivi du laboratoire, toutefois refusée par Mr. Y. Mr. Y sera revu à la FUA le 27.01.2020 à 8h pour contrôle clinique, laboratoire et pister la sérologie. Nous lui proposons de poursuivre le traitement IPP, ainsi que d'éviter la prise de Dafalgan. L'US de la jambe gauche montre un tendon d'Achille intact, présence de micro-hématomes diffus au niveau de la partie inférieure du muscle soléaire gauche. La patiente rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan et Brufen. L'US de la jambe gauche ne montre pas de rupture mais des micro-hématomes dans le muscle soléaire gauche. Nous stoppons l'immobilisation. La patiente marche selon douleurs avec des cannes. Elle rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan et Brufen. Arrêt de sport pour 4 semaines. Luxation AC D Rockwood IV avec stabilisation coraco-claviculaire par FiberTape et Endobutton le 07.02.2019. Luxation acromio-claviculaire droite stade II selon Rockwood. Luxation aigue postérieure de l'épaule post-électrisation le 23.01.2020 sur épaule instable. Luxation anamnestique de l'épaule droite spontanément réduite le 13.11.2019 premier épisode. Luxation antérieure épaule G. Gène testiculaire d'origine indéterminée le 8.12.2018 avec : • status post-multiples investigations testiculaires par généraliste / urologues depuis 2013 • contexte de stress actuellement avec crise d'angoisse. Douleur de type neuropathique d'origine indéterminée dans le contexte d'une luxation antérieure d'épaule gauche en 2014, le 09.10.19. Probable gastrite aiguë dans le contexte de prise d'AINS, le 09.10.19. Luxation antérieure du coccyx, sur troubles de la marche et de l'équilibre. Luxation antérieure vs postérieure inférieure épaule droite sur chute non témoignée le 20.01.2020. Luxation antéro-inférieure de l'épaule droite, réduite par Mr. Y lui-même le 28.09.2019. Luxation antéro-inférieure de l'épaule gauche (premier épisode), avec lésion de Bankart osseux. Luxation antéro-inférieure épaule gauche le 06.10.2019 • 2ème épisode (premier le 19.06.2019). Luxation atraumatique de la PTH D, probablement le 28.10.2019, avec • Collection péri-prothétique en contact avec le métal suspecte d'infection de PTH • PTH D implantée en 1991 pour nécrose de la tête fémorale. Luxation bilatérale atraumatique de la mâchoire. Luxation chirurgicale de la hanche D, conflit fémoro-acétabulaire D type cam et pincer avec rétroversion acétabulaire. Luxation chirurgicale de la hanche D par ostéotomie du grand trochanter avec : • ostéotomie de rotation soustrochantérienne de 15°, plaque 4,5/5,0 LCP 6 trous, acier, large • correction de l'offset et trimming du massif intertrochantérien antérieur • énucléation des calcifications intra-labrales • refixation du labrum par 3 ancres Bioraptor (OP le 16.01.2020). Luxation chirurgicale G avec correction offset de 10h à 4h sur les vaisseaux rétinaculaires, trimming du tuberculum tertium, trimming du mur antérieur de 11h à 3h avec refixation du labrum avec 3 ancres, microfacturing du cotyle sur conflit fémoro-acétabulaire type CAM, hanche G avec lésion du labrum antéro-supérieur et kyste para-labral, le 28.11.2019. Luxation chirurgicale hanche D avec : • Correction de l'offset fémoral • Suture du labrum par PDS 2.0 de 2h à 3h30 • Dénervation du labrum dans l'hémisphère supérieur • Rallongement relatif du col fémoral avec distalisation du grand trochanter (OP le 14.11.2019). Luxation chirurgicale hanche D avec : • correction de l'offset jusqu'aux vaisseaux rétinaculaires • refixation du labrum de 10 h à 12 h • dénervation du labrum dans l'hémisphère supérieur (OP le 27.11.2019). Luxation chirurgicale hanche G par ostéotomie du grand trochanter avec : • correction de l'offset • trimming du massif intertrochantérien antérieur • réduction du mur antéro-supérieur de 10h à 3h par 3 mm • résection du ganglion intra-labral • excision du kyste pré-articulaire • refixation du labrum avec 4 ancres • refixation de la capsule transosseuse antérieure (OP le 11.12.2019). Luxation chirurgicale par ostéotomie du grand trochanter avec correction de l'offset, trimming du massif intertrochantérien antérieur, réduction du mur antéro-supérieur de 10h à 3h par 3 mm, résection du ganglion intra-labral, excision du kyste pré-articulaire, refixation du labrum avec 4 ancres, refixation de la capsule trans-osseuse antérieure le 11.12.2019 sur conflit fémoro-acétabulaire antérieur à G sur rétroversion cotyloïdienne avec torsion diminuée, ganglion intra-labral et kyste extra-articulaire dans le muscle ilio-capsulaire.Luxation coude droit en 2014. 2004 : hémorragie cérébrale. Luxation coude G sur chute à vélo le 26.11.2019. Luxation de la dent 51. Luxation de la mâchoire. Luxation de la patella D premier épisode le 10.12.2019. Luxation de la rotule avec probable arrachement du MPFL avec lésion ostéochondrale de la rotule. Luxation de la rotule D, 2ème épisode, le 07.06.2019. Luxation de l'articulation acromio-claviculaire droite de grade III selon Rockwood. Luxation de l'articulation acromio-claviculaire G Tossy 2. Luxation de l'articulation interphalangienne proximale du 5ème doigt à gauche le 25.07.2016 avec plaque palmaire. Réduction fermée sous Meopa. Immobilisation par attelle alu. Schéma plaque palmaire avec attelle plaque palmaire dès le 26.07.2016. Contrôle orthopédique à la consultation orthopédie urgences dans 10 jours. Avis orthopédique du Dr. X. Contusion du 4ème doigt gauche le 25.07.2016. Luxation de l'articulation temporo-mandibulaire gauche le 29.11.2015 et suspicion de déchirure du disque articulaire. Luxation de l'épaule à droite le 05.01.2020. Luxation de l'épaule droite. Luxation de l'épaule gauche, 2013. Fracture base 4ème métacarpien main droite, 2016. ORIF base 4ème MC et refixation fragment os hamatum main D (OP le 04.01.2016). Luxation de l'épaule gauche 2018. Luxation de Lisfranc. Luxation dorsale de l'interphalangienne du pouce droit, ouverte. Luxation du coude gauche avec arrachement de l'épicondyle médial le 16.10.2019. Luxation du doigt V le 20.12.2019. Luxation épaule. Luxation épaule à D avec fracture déplacée du trochiter, le 29.12.2019. Luxation épaule, I° épisode le 31.12.2019. Luxation fracturée épaule droite le 18.01.20. Luxation genou G : • déchirure proximale, collatérale médiale, déchirure LCP origine fémorale. • déchirure LCA intra-substance. • contusion plateau tibial externe. • déchirure verticale corne postérieure ménisque externe. • rupture du MPFL. Luxation gléno-humérale antérieure à droite en 2015 et 03.05.2019. • stabilisation de l'articulation en septembre 2019. Lésion de Bankart épaule droite, lésion Hill Sachs épaule droite. • réinsertion lésion de Bankart épaule droite par arthroscopie (OP le 16.05.2014). Luxation gléno-humérale antérieure droite. Luxation gléno-humérale antérieure droite le 13.09.2019. Luxation gléno-humérale antérieure droite (2ème épisode). Luxation gléno-humérale invétérée avec fracture de la glène droite, le 08.10.2019. Luxation latérale IPP D5 main gauche le 08.01.20. Luxation mandibulaire bilatérale. Luxation mandibulo-maxillaire gauche. • DD : luxation méniscale. Luxation patello-fémorale gauche, 1er épisode le 29.10.2019. Status post-rupture du LCA en janvier 2015. Status post-replastie sur rupture en juin 2015. Status post-débridement du ménisque interne en juin 2017. Luxation postérieure de la hanche droite chez un patient porteur de PTH D avec : • fracture péri-prothétique droite, Vancouver B2. • descellement de la tige. Luxation postérieure de la PTH avec fracture périprothétique du fémur proximal type Vancouver B2, à D. • Implantation PTH D en 2008 (Dr. X, clinique générale), reprise pour descellement de PTH D avec métallose en 2018 (Dr. X, clinique générale). Luxation postérieure de la PTH D le 31.08.2019 sur status post. • Réduction fermée luxation PTH D le 21.08.2019, HFR Tafers. • Implantation PTH D en septembre 2011 (Dr. X, Tafers). Luxation postérieure de la PTH G sur chute mécanique le 02.01.2020. • Status post luxation PTH G en octobre 2015 sur chute. • Status post implantation PTH G en 2004. Luxation postérieure de PTH droite le 27.01.2020 sur chute. Luxation post-traumatique de la rotule droite le 16.11.2019. Luxation PTH G sur chute mécanique le 02.01.2020. Luxation récidivante épaule D. Luxation récidivante rotule genou D. • Dernier épisode il y a 2 mois. Obésité. HTA non traitée. Hypercholestérolémie non traitée. Dysfonction chronique de l'articulation temporo-mandibulaire D. Luxation rotule gauche le 24.03.18, avec résolution spontanée. Luxation sous-astragalienne latérale cheville à D, le 13.10.2019 avec arrachement au niveau de la pointe de la fibula distale. Fracture-arrachement au niveau de la partie postéro-médiale et antéro-médiale du talus. Lésion du Lisfranc avec fracture-arrachement au niveau de la face antéro-latérale du cuboïde. Fracture intra-articulaire de la partie antéro-latérale du cunéiforme latéral et au niveau du cunéiforme intermédiaire médial. Fracture intra-articulaire de la base du 2ème métatarsien et 4ème métatarsien. Contusion genou D le 13.10.2019. Luxation traumatique de la patella droite le 17.10.19. Luxation traumatique de la rotule du genou G le 11.09.2019. Status post luxation traumatique premier épisode de la rotule du genou D en 2017. Luxation traumatique d'un tiers de la matrice unguéal du 3ème doigt de la main droite le 27.12.2019. Luxation traumatique épaule droite. Luxation traumatique récidivante de l'épaule droite (1er épisode mi-2018). Luxation 2. Phalanx 5. Finger rechts ohne Trauma. Luxations à répétition de l'épaule droite avec intervention en 2013 à la clinique générale (Dr. X). Luxation antérieure épaule droite sur probable récidive le 01.11.2016 - réduction probablement spontanée par le patient. Récidive de luxation de l'épaule D le 21.11.2016. Morsure de tique au niveau du creux axillaire droit. Désinfection, ablation de la tête de la tique. Patient informé de reconsulter en cas d'apparition d'un érythème migrant, de fièvre ces prochains jours. Lymphadénopathie indolore inguinale des deux côtés. Lymphocèle pli inguinal droit post cathétérisme inguinal droit. Lymphocèle post-mastectomie le 08.12.2019 avec : • Ponction aspiration de lymphocèle (Dr. X) le 08.12.2019. • Consilium infectiologique (Prof. X) : Clindamycine PO pendant 10 jours. Hématome de la paroi thoracique droite post-mastectomie le 27.12.2019 avec : • Evacuation de l'hématome, rinçage à l'eau oxygénée, hémostase, poudre de thromboplastine, mise en place d'un redon 16G. • Consilium infectiologique (Prof. X) : Clindamycine PO pendant 10 jours, Flagyl PO pendant 5 jours. AVB x 3. Appendicectomie en 1954. Acutisation d'une insuffisance rénale chronique de stade IIIB le 29.11.2019. Infection urinaire basse à E.Coli multisensible le 29.11.2019. Pyélonéphrite à E.Coli 09.2018. Erysipèle du pied gauche 02.2016. Fracture humérale bilatérale avec ostéosynthèse le 09.03.2014. Mise en place de prothèse genou droit en 2001 et G 2007. Lymphoedèmes inflammatoires des membres inférieurs du 04.01.2019. • Bas de contention. • Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/j du 29.06 au 01.07.2019. Lymphome à cellules B mature de la zone marginale extra-ganglionnaire de type MALT le 20.01.2020. Lymphome à cellules B de la fosse iliaque droite fistulisant avec la vessie et le rectum. Lymphome de Burkitt à cellules B matures. Lymphome de Burkitt en 1992 avec ablation de 80 cm de l'intestin grêle et appendice, avec métastases hépatiques guéries après chimiothérapie. Lymphome de Hodgkin classique stade IIIB IPS1, diagnostiqué le 20.01.2017, actuellement en rémission complète théorique. • Suivi par le Dr. X. Lymphome de Hodgkin, de type sclérose nodulaire classique, stade IB avec facteurs de risque (VS et Bulk). • date du diagnostic : 31.08.2017. • histologie : biopsie ganglionnaire médiastinale compatible avec un lymphome de Hodgkin classique avec sclérose en partie dans l'aspect nodulaire, pas d'évidence d'une positivité EBV. • CT thoracique du 11.08.2017 : masse hétérogène du médiastin supérieur antérieur et moyen. Effet de compression sur la veine cave supérieure avec léger épanchement péricardique, de faible abondance. Épanchement pleural bilatéral de faible abondance • PET-CT du 24.08.2017 : mise en évidence de multiples hypercaptations médiastinales bilatérales supra- et infra-carinaires, compatibles avec une infiltration lymphomateuse. Pas d'autre lésion hypermétabolique suspecte • Bilan biologique du 22.08.2017 : leucocytes 10,9 G/l, hémoglobine 139 g/l, thrombocytes 296 G/l, LDH 543 U/l, bêta-2-microglobuline à 2,0 mg/l, VS 35 mm/h • Sérologies HBV, HCV, HIV négatives. CMV négatif, EBV IgG positif, IgN négatif • Status post 2 cures de chimiothérapie selon schéma ABVD du 20.09.2017 au 15.11.2017 avec rémission complète • Actuellement : poursuite du traitement par 2 cures d'ABVD supplémentaires puis évaluation d'une radiothérapie Lymphome de Hodgkin : diagnostic radiologique le 23.12.2019. Lymphome de Hodgkin diagnostiqué fin 2012, en rémission depuis fin 2013 Lymphome de Hodgkin sous chimiothérapie en rémission 11.2019, dernier cycle le 26.11.2019 (auparavant 05.11.2019). Thrombose veineuse profonde bilatérale le 22.11.2019 dans le contexte oncologique : • Clexane thérapeutique dès le 22.11.2019 pour 3 mois, Xarelto contre-indiqué en raison d'une interaction avec une des chimiothérapies selon Dr. X • Polyneuropathies secondaires à la chimiothérapie Lymphome de Hodgkin • Date du diagnostic radiologique : 23.12.2019 • IRM lombo-pelvienne du 23.12.2019 : atteinte multifocale du squelette avec processus infiltratif L4, petit foyer suspect D11, D12. Volumineuse adénopathie rétropéritonéale, inter-aortico-cave, para-aortique gauche. • PET CT du 30.12.2019 : multiples hypercaptations d'origine probablement maligne : au niveau latéro-cervical droit (SUV 18), supra-claviculaire gauche (SUV 9,9), rétropéritonéal, abdominal droit, surrénalien, D12, sacrum latéralisé à droite, aires iliaques bilatérales. • Status post-adénectomie latéro-cervicale droite le 31.12.2019 • Traitement : • 15.01.20 : Brentuximab 120 mg • 16.01.20 : Endoxan 2200 mg, Adriblastin 70 mg, Etopophos 264 mg • 17.01.20 : Etopophos 264 mg, Dacin 440 mg • 18.01.20 : Etopophos 264 mg, Dacin 440 mg Lymphome folliculaire de grade IIIB, de stade IVBS FLIPI I 4/5 FLIPI II 2/5 : • Date du diagnostic : 28.01.2019 • Exérèse ganglionnaire du 28.01.2019 • Histologie (Promed P2019.1123) : lymphome à cellules B matures de type lymphome folliculaire selon OMS 2017, grade 3B dans un ganglion lymphatique avec infiltration focale du tissu péri-ganglionnaire. FISH négatif pour réarrangement IRF4. Mib 80 à 90% • Ponction-biopsie de moelle du 30.01.2019 : absence d'infiltration dans le cadre du lymphome folliculaire connu • Ponction lombaire du 30.01.2019 : liquide limpide comprenant 7 éléments par m3, de type mononucléaire. • CT-Scan thoracique du 24.01.2019 : adénopathies multiples médiastinales, creux axillaires, hilaires, supra-claviculaires. Splénomégalie. • PET-CT du 29.01.2019 : lymphome avec multiples adénopathies fortement agrandies, notamment au niveau axillaire, médiastinal, ostéolyse de la vertèbre D8 du côté gauche. Masse de 12 mm dans le lobe inférieur gauche. Mise en évidence de multiples hypercaptations ganglionnaires supra et infra-diaphragmatiques osseuses, spléniques, pulmonaires gauche, d'origine maligne compatibles avec un lymphome. • Échocardiographie du 24.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire globalement normale. FEVG à 70%. • Échocardiographie du 07.02.2019 : régression partielle de l'épanchement péricardique. • Sérologie du 24.01.2019 : hépatite B, C : négative ; HIV négatif, CMV négatif, EBV : IgG positif. • Status post-6 cures de chimiothérapie selon schéma R-CHOP du 05.02.2019 au 20.05.2019 avec rémission complète • Status post-2 cures de Mabthera de maintenance les 16.07.2019 et 23.09.2019 • IRM neurocrâne du 09.10.2019 : masse de 11 mm située dans les tissus mous sous-cutanés en avant du sinus maxillaire gauche. Prise de contraste mal délimitée au niveau de la glande parotide gauche sur le trajet du nerf facial • PET-CT du 24.10.2019 : apparition d'une hypercaptation sous-cutanée temporale gauche SUVmax = 8.4, au niveau rétromandibulaire gauche SUVmax = 7.6, au niveau infra-orbitaire gauche SUVmax = 6.3, et au niveau axillaire droit SUVmax = 19.2 • Status post-biopsie exérèse d'un ganglion temporal le 28.10.2019 • Histologie Promed P2019.12035 : lymphome à grandes cellules B matures avec croissance à prédominance diffuse, histomorphologiquement et immunohistochimiquement compatible avec un lymphome diffus à grandes cellules B DLBCL NOS • Transformation en DLBCL NOS avec atteinte cervicale, axillaire et de la face octobre 2019 • Analyse FISH : pas de réarrangement MYC. • Immunohistochimie c-myc positivité limite, BCL2 nettement positif. Négativité EBV • Ponction lombaire Promed C2019.1342 : LCR non-hémorragique sans pléocytose et sans cellule tumorale maligne • Status post-Solumedrol i.v. 125 mg du 28.10.2019 au 31.10.2019 • Status post-2 cures de R-DHAP de rattrapage du 31.10.2019 jusqu'au 26.11.2019 • Ponction lombaire avec cytométrie de flux du 22.11.2019 : absence de cellules suspectes de malignité • Radiothérapie au niveau maxillaire gauche du 26.11.2019 au 12.12.2019 pour un total de 30 Gy • PET-CT du 09.12.2019 : diminution de l'hypercaptation au niveau infra-orbitaire gauche mais augmentation de la captation du ganglion axillaire à droite • Réponse dissociée décembre 2019 • Exérèse ganglionnaire droite du 16.12.2019 • Histologie (Promed P2019.14298) : lymphome diffus à grandes cellules B, DLBCL NOS de type non GCB selon Hans sans réarrangement MYC. Lymphome folliculaire grade 3A, stade IV, FLIPI 3. Lymphome folliculaire stade IVB (Dr. X) : • Date du diagnostic : 02.10.1997 • Status post-6 cycles de chimiothérapie de type CVP d'octobre 1997 à janvier 1998 • Status post-4 cycles de Rituximab (protocole SAKK 35/98) en avril 1998 avec rémission complète • Récidive aux niveaux inguinal et iliaque du lymphome folliculaire de grade 3 en décembre 2006 • Status post-4 cycles de Rituximab (protocole SAKK 35/03) en février 2007, stoppé avant le traitement d'entretien à la demande de la patiente, rémission complète • Status post-récolte des cellules souches périphériques le 25.03.2007 (5.3 x 10*6 CD34/kg) • 2ème récidive du lymphome folliculaire en juillet 2012 • Status post-5 cycles de chimiothérapie par Rituximab et Bendamustine du 04.07.2012 au 31.10.2012 avec rémission complète • 3ème récidive du lymphome aux niveaux sus- et sous-diaphragmatiques en mai 2016 • Status post-6 cycles de chimiothérapie de type R-CHOP et 2 Rituximab de juin à novembre 2016 avec rémission complète • PET-CT du 25.05.2018 (clinique La Source) : hypercaptations au niveau médiastinal avec SUV 24.2, adénopathies bilatérales, lésions en faveur d'une infiltration médullaire au niveau sacré et de l'omoplate • Transformation en lymphome diffus à grandes cellules en juin 2018 • Chimiothérapie selon le schéma R-GDP dès le 28.06.2018 (2 cycles effectués) • PET-CT du 02.08.2019 : régression complète des hypercaptations sans manifestation tumorale visible • Poursuite de la chimiothérapie sans Platinol (vertiges, ototoxicité) pour un 3ème cycle le 20.08.2018 puis 2 cycles de Mabthera seul jusqu'au 01.10.2018 • CT thoraco-abdominal du 09.10.2018 : stabilité des ganglions sans adénopathie visible • CT thoraco-abdominal du 06.02.2019 : stabilité des ganglions sans adénopathie • CT thoraco-abdominal du 12.06.2019 : stabilité des ganglions • PET-CT du 29.10.2019 : multiples hypercaptations sous-cutanées, axillaire gauche et inguinales bilatérales suspectes de récidive du lymphome • Biopsie adénopathie inguinale gauche et masse du sein gauche le 08.11.2019 : lymphome B diffus à grandes cellules associé à une importante sclérose sur l'adénopathie inguinale gauche et lymphome folliculaire de grade I-II sur la biopsie du sein gauche. • Chimiothérapie de rattrapage par R-ESAP sans Platinol : 1er cycle le 09.12.2019. • Lymphome folliculaire stade IVB (Dr. X) : • Date du diagnostic : 02.10.1997 • 6 cycles de chimiothérapie de type CVP d'octobre 1997 à janvier 1998 • 4 cycles de Rituximab (protocole SAKK 35/98) en avril 1998 avec rémission complète • Récidive au niveau inguinal et iliaque du lymphome folliculaire de grade 3 en décembre 2006 • 4 cycles de Rituximab (protocole SAKK 35/03) en février 2007, stoppé avant le traitement d'entretien à la demande de la patiente, rémission complète • Récolte des cellules souches périphériques le 25.03.2007 (5.3 x 10*6 CD34/kg) • 2ème récidive du lymphome folliculaire en juillet 2012 • Status post 5 cycles de chimiothérapie par Rituximab et Bendamustine du 04.07.2012 au 31.10.2012 avec rémission complète • 3ème récidive du lymphome aux niveaux sus- et sous-diaphragmatiques en mai 2016 • 6 cycles de chimiothérapie de type R-CHOP et 2 Rituximab de juin à novembre 2016 avec rémission complète • PET-CT du 25.5.2018 (clinique La Source) : Hypercaptations au niveau médiastinal avec SUV 24.2, adénopathies bilatérales, lésions en faveur d'une infiltration médullaire au niveau sacré et de l'omoplate • Transformation en lymphome diffus à grandes cellules en juin 2018 • Chimiothérapie selon le schéma R-GDP dès le 28.06.2018 (2 cycles effectués) • PET-CT du 02.08.2019 : Régression complète des hypercaptations sans manifestation tumorale visible. • Poursuite de la chimiothérapie sans Platinol (vertiges, ototoxicité) pour un 3ème cycle le 20.08.2018 puis 2 cycles de Mabthera seul jusqu'au 01.10.2018 • CT thoraco-abdominal du 12.06.2019 : Stabilité des ganglions. • PET-CT du 29.10.2019 : Multiples hypercaptations sous-cutanées, axillaire gauche et inguinales bilatérales suspectes de récidive du lymphome. • Chimiothérapie de rattrapage par R-ESAP sans Platinol : 1er cycle le 09.12.2019, 2ème cycle le 06.01.2020. • Actuellement : Chimiothérapie de rattrapage par R-ESAP sans Platinol : 1er cycle le 09.12.2019, 2ème cycle le 06.01.2020. Evaluation d'une chimiothérapie à haute dose et transplantation de cellules souches autologues en cas de bonne réponse. Intervalle des cycles : 4 semaines. Nombre de cycles prévus : 3, dont bilan après 2 cycles. • Lymphome lymphoblastique T, stade III médiastinal, diagnostiqué en septembre 2018. • Lymphome non hodgkinien diagnostiqué en 1999, avec status après plusieurs récidives. • Sinusite chronique. • Accident vasculaire cérébral en 2014, non séquellaire. • BAV 1er degré. • Lymphome non-Hodgkinien folliculaire de stade IIIB août 2019 (Dr. X) : • Premier diagnostic 22.11.2018, rémission 12.02.2018-août 2019 • Facteurs de risque : aucun • Anamnèse familiale : frère avec un Glioblastome • Histologie : ganglion élargi avec infiltration par des cellules-B de la zone marginale, compatible avec un lymphome de la zone marginale • Examen biologique moléculaire : réarrangement clonal des IgH Gen • 16.05.2018 : gastro- et colonoscopie sans pathologie • 03.10.2018 : CT thorax/abdomen : adénopathies axillaires gauches, médiastinale, para-aortale droite, para-oesophagienne, rétro- et intra-péritonéale le long de la petite courbure de l'estomac, lésion hépatique du segment II • 23.10.2018 : PET-CT : hypercaptation supra-claviculaire gauche, axillaire gauche, médiastinale en supra- et infra-carinaire ddc, coeliacale, et rétropéritonéale • Ponction et aspiration de moelle osseuse ainsi que cytométrie de flux : moelle riche en cellules sans preuve suffisante d'infiltration par un lymphome • Ponction des adénopathies rétropéritonéales sous guidage CT-graphique : peu de matériel, population mixte de lymphocytes B et T • Sérologie : CMV et EBV anciens, hépatites A (ancienne infection 1980), B (vaccin), C et HIV négatifs • 15.11.2018 : biopsie chirurgicale de ganglion axillaire gauche : lymphadénite aspécifique • 22.11.2018 : laparoscopie avec biopsie du paquet lymphocytaire en rétropéritonéal et para-aortal gauche (Dr. X) • 30.11.2018 au 03.06.2019 : 5 cycles de chimiothérapie avec Ribomustin et Mabthera • 12.02.2019 : PET-CT, juin 2019 CT : rémission complète • Août 2019 : progression des adénopathies : axillaire et cubital droite, inguinal et para-illiaque ddc • PET-CT : ganglion lymphatique hypercaptant actif au niveau supra- et infra-diaphragmatique • 19.08.2019 biopsie chirurgicale de ganglions inguinaux gauche : lymphome folliculaire, Grade 2 à 3a, chacun 50 % • 13.09.2019 : chimiothérapie par Mabthera, Fludara, Novantron et Dexaméthasone (dernier cycle 14.11.2019) • Lymphome non-Hodgkinien folliculaire de stade IIIB 08/2019 (Dr. X) : • Premier diagnostic 22.11.2018, rémission 12.02.2018-08/2019 • Facteurs de risque : aucun • Anamnèse familiale : frère avec un Glioblastome • Histologie : ganglion élargi avec infiltration par des cellules-B de la zone marginale, compatible avec un lymphome de la zone marginale • Examen biologique moléculaire : réarrangement clonal des IgH Gen • 16.05.2018 : gastro- et colonoscopie sans pathologie • 03.10.2018 : CT thorax/abdomen : adénopathies axillaires gauches, médiastinale, para-aortale droite, paraoesophagienne, rétro- et intrapéritonéale le long de la petite courbure de l'estomac, lésion hépatique du segment II • 23.10.2018 : PET-CT : hypercaptation supra-claviculaire gauche, axillaire gauche, médiastinale en supra- et infracarinaire ddc, coeliacale, et rétropéritonéale • Ponction et aspiration de moelle osseuse ainsi que cytométrie de flux : moelle riche en cellules sans preuves suffisantes d'infiltration par un lymphome • Ponction des adénopathies rétropéritonéales sous guidage CT-graphique : peu de matériel, population mixte de lymphocytes B et T • Sérologie : CMV et EBV anciens, hépatites A (ancienne infection 1980), B (vaccin), C et HIV négatifs • 15.11.2018 : biopsie chirurgicale de ganglion axillaire gauche : lymphadénite aspécifique • 22.11.2018 : laparoscopie avec biopsie du paquet lymphocytaire en rétropéritonéal et para-aortal gauche (Dr. X) • 30.11.2018 : au 03.06.2019 : 5 cycles de chimiothérapie avec Ribomustin et Mabthera • 12.02.2019 : PET-CT, 06/2019 CT : rémission complète • Août 2019 : progression des adénopathies : axillaire et cubital droite, inguinal et para-illiaque ddc • PET-CT : ganglion lymphatique hypercaptant actif au niveau supra- et infradiaphragmatique • 19.08.2019 : biopsie chirurgicale de ganglions inguinaux gauche : lymphome folliculaire, Grade 2 à 3a, chacun 50 % • 13.09.2019 : chimiothérapie par Mabthera, Fludara, Novantron et Dexaméthasone (dernier cycle 14.11.2019) • Biopsie ganglionnaire inguinale gauche du 16.12.19 : lymphome à cellules B matures : lymphome folliculaire à distribution folliculaire (>75 % de follicules), FL grade 3a d'après WHO 2017. Morphologie et immunophénotype sont en accord avec la nouvelle manifestation du lymphome folliculaire connu, avec aspect de progression (FL low grade -> FL grade 2-3 -> FL high grade), mais sans signe de transformation en DLBCL. chimiothérapie par ESAP : 1er cycle le 24.12.2019 (Etopophos, Platinol, Cytosar), 2ème cycle le 16.01.2020 (Etopophos, Paraplatine (stop Platinol car ototoxicité), Cytosar) Lymphome T agressif de type Sézary : • date du diagnostic : 12.09.2019 • CT thoraco-abdominal le 28.08.2019 (Payerne) : pas de thrombose, pas d'EP, hépato-splénomégalie avec infarctus spléniques, infiltrat liquidien au niveau mésentère et rétropéritonéale • CT abdominal du 30.08.2019 : examen superposable au comparatif du 29.08.2018 sans nouvelle lésion susceptible d'expliquer la symptomatologie. On retrouve notamment une infiltration diffuse du mésentère, partiellement nodulaire, associée à des adénopathies et à du liquide libre dans les quatre quadrants (diagnostic différentiel : panniculite mésentérique secondaire à un lymphome ou à une autre tumeur ? Lymphome mésentérique ?). Pas de majoration des infarctus spléniques • hémogramme du 30.08.2019 : anémie modérée avec thrombopénie sévère, avec discrète érythroblastose sans myélémie ni signes de dysplasie significatifs au frottis sanguin • biopsie de moelle osseuse du 30.08.2019 : > médullogramme : pas interprétable à cause de la pauvreté du matériel. Sur les empreintes examinées, on note une moelle très hypoplasiée, avec une infiltration par de lymphocytes allant jusqu'à 40 à 50 % de la cellularité totale (sous réserve de la pauvreté du matériel) > morphologie et immunophénotype : ne permettent pas de trancher entre un processus néoplasique (néoplasie à cellules T matures) ou réactionnel • PET-CT du 04.09.2019 : caractère fortement hypermétabolique d'une atteinte ganglionnaire cervicale, sus et sous-diaphragmatique, des foyers hypermétaboliques hépatiques, spléniques, gastriques, osseux, ainsi que des épanchements pleuraux bilatéraux et de l'ascite • biopsie d'un ganglion cervical postérieur droit du 06.09.2019 : infiltration dans le cadre d'une néoplasie à cellules T matures • excision d'une adénopathie cervicale droite du 12.09.2019 : infiltration ganglionnaire dans le cadre d'une néoplasie cellules T matures avec un immunophénotype évoquant en premier lieu un syndrome de Sézary • chimiothérapie par CEPP (Endoxan, Etopophos, Natulan) : 1er cycle du 20.09 au 29.09.2019, 2ème cycle du 18.10 au 28.10.2019, 3ème cycle du 15.11 au 01.12.2019. • Suivi par le Dr. X Lympho-oedème chronique Diabète de type 2 non traité Cardiopathie hypertensive Oedèmes des membres inférieurs d'origine multifactorielle • Composante d'anasarque, lympho-oedème chronique, hypoalbuminémie • Avec l'apparition de phlyctènes et lésions punctiformes rouges violacés d'origine indéterminée le 31.12.19 DD Vasculite, infectieux, paranéoplasique, autoimmun, médicamenteux avec un purpura nécrotique réactionnel sur héparine ou d'origine thrombopénique Bilan angiologique le 30.12.19 Cryoglobuline le 31.12.19 négative Avis dermatologique téléphonique (Inselspital) le 01.01.20 : • Biopsie cutanée (immunofluorescence, histologie, microbiologie) 07.01.20 en attente Avis dermatologique le 08.12.19 (HFR) Avis hématologique le 06.01.20 Lymphopénie sévère à 0.35 G/L le 25.11.2019 • DD réactionnel Lypothymie d'origine indéterminée le 17.01.2020 • FRCV : hypertension, diabète de type 2, dyslipidémie Lypothymie sur hypotension orthostatique, actuellement pas de traitement Lyrica 50 mg 3x/j dès le 09.12.2019 Rééducation sensitive en ergothérapie Lyse cellulaire hépatique sur probable origine infectieuse le 02.12.2019 DD : toxique Lyse cellulaire hépatique sur probable origine infectieuse le 02.12.2019 DD : toxique Mr. Y présente une tendinopathie de la coiffe des rotateurs ddc, prépondérante à G avec une rupture du sous-scapulaire et du sus-épineux. Au niveau des 2 épaules, le patient présente une omarthrose. En raison d'une présence d'une tendinopathie accompagnée d'une arthrose, nous ne recommandons pas actuellement une prise en charge chirurgicale pour suture tendineuse. Cependant, nous recommandons la réalisation de séances de physiothérapie de manière assidue. Arrêt de travail à 100 % de 2 mois. Actuellement, le patient est encore trop jeune pour pouvoir bénéficier d'une prothèse, aussi sa fonction actuelle peut être améliorée par la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Mr. Y est adressé par les urgences de Tafers pour une filière Stroke. Patient de 38 ans, connu pour une arythmie non spécifiée sous bétabloquant par le passé, qui présente le 16.01.2020 vers 5h30 des vertiges mal systématisés, d'une durée de 30 min. Vers 11h, apparition d'un hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural droit (atteinte faciale uniquement sensitive) alors qu'il est au travail. Pas de céphalées, pas de vertiges au moment de la consultation, pas de trouble visuel notamment pas de diplopie. Pas d'aphasie, dysarthrie, dysphonie ou dysphagie. Pas de trouble sphinctérien. Anamnèse effectuée avec l'épouse qui traduit depuis le hongrois. A la reprise de l'anamnèse par le collègue des urgences, contexte de stress avec licenciement il y a deux semaines. Au niveau neurologique, au statut d'entrée on note une hypoesthésie de toute l'hémiface droite avec pallesthésie du front à 2/8 à D, 8/8 à G. Epreuve des bras tendus avec chute du MSD sans pronation ni creusement. Chute absente lorsque le testing est effectué avec distraction. Epreuve genoux fléchis avec chute du MID disparaissant si le patient effectue une autre tâche. Pallesthésie genoux à 3/8 à D, 4/8 à G, hallux à 4/8 à D, 8/8 à G. Hypoesthésie modérée de l'hémicorps droit au toucher-piquer et au froid sauf au niveau du dos où présence d'un niveau à environ T3 au toucher-piquer à droite. Nous effectuons un CT cérébral, qui se montre négatif. Nous interprétons les signes cliniques dans le cadre d'un syndrome fonctionnel neurologique. Une IRM cérébrale pour compléter le bilan se montre négative. Un contrôle biologique se montre sans particularités. Sur le plan cardiaque, en raison des douleurs thoraciques présentes depuis plusieurs jours, nous effectuons un ECG qui montre des troubles de la conduction aspécifique en territoire inférieur d'origine probablement structurelle (LGL syndrome). Nous complétons le bilan avec une échocardiographie qui se montre sans particularités. En raison de la négativité des investigations, nous attribuons les symptômes à un trouble dysfonctionnel lié probablement au stress. Vu que Mr. Y présente une amélioration spontanée de la symptomatologie, nous laissons rentrer le patient selon son souhait le 19.01.2020. Mr. Y est encore clairement limité par les conditions actuelles. Depuis août 2018, le patient n'a pas encore pu reprendre une mobilisation régulière correcte de l'épaule ainsi nous pouvons expliquer partiellement les problèmes de coordination et proprioception au niveau de l'épaule. Dans ce cas, les pronostics sur le long terme de l'épaule ne sont pas sûrs et nous sommes convaincus qu'un travail en physiothérapie est encore nécessaire pour plusieurs mois. Nous ne pouvons assurer une reprise fonctionnelle de l'épaule D à 100 %, celle-ci sera à réévaluer dans les mois à venir. C'est pourquoi, la reprise du travail à 100 % n'est sûrement pas possible ; nous lui prolongeons donc le certificat à 50 %. Le patient a été vu par l'AI pour une première évaluation. Il va apparemment être suivi par une ergonome ainsi qu'une éventuelle deuxième figure de coaching pour le soutenir dans le travail. La première mesure à faire est d'améliorer l'ergonomie au travail, la deuxième est éventuellement de réévaluer une réadaptation sur le type de travail et nous soutenons également l'option du coaching pour les mois à venir dans une phase plus difficile actuellement. Pour l'épaule, il faut absolument continuer les exercices de coordination et proprioception en physiothérapie. Prochain contrôle clinique à fin janvier 2020. Par rapport au problème du poignet, nous attendons sur le long terme tout de même encore une amélioration à réévaluer dans le futur.Mr. Y est un patient de 69 ans connu pour une leucémie chronique qui consulte les urgences dans le cadre d'un état fébrile sans foyer clinique. Le bilan biologique montre une anémie avec thrombopénie sévère nécessitant un culot plaquettaire aux urgences mais absence de syndrome inflammatoire. La radiographie de thorax est superposable et l'analyse urinaire ne montre pas de germe. Le patient est alors hospitalisé en médecine pour surveillance et soutien transfusionnel. La surveillance clinique est sans particularité et la prise de sang de contrôle ne révèle pas de nouveau syndrome inflammatoire. Les hémocultures restent négatives. Nous laissons donc le patient rentrer à domicile le 03.01.2020. Il a rendez-vous le 07.01.2020 pour contrôle biologique et clinique à la consultation du Dr. X, hématologue traitant. Mr. Y souffre d'une compression du nerf cubital au coude, après arthrodèse du poignet D. Pas de succès avec le traitement conservateur pour cette lésion confirmée à l'ENMG. Je lui propose une prise en charge chirurgicale avec neurolyse et transposition antérieure du nerf cubital. Une date opératoire est agendée. Le patient est informé des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. Nous demandons également à nos collègues de la rhumatologie de convoquer le patient. Mr. Y est transféré chez nous le 20.02 en attente d'une place dans un EMS psychogériatrique. Le patient était très agité pendant le séjour à Fribourg et devait être contentionné jour et nuit. Chez nous, il est relativement calme le jour mais très agité la nuit avec agressivité, dégâts matériels, insultes, hurlements. Nous modifions la médication avec introduction de dipipérone le 22.01 ce qui calme modérément le patient. Le Dr. X accepte un transfert à Marsens pour adaptation de la médication. À noter que l'ancien EMS du patient ne souhaite pas le reprendre en raison d'escaliers que le patient n'est plus capable de faire dans son état actuel. En revanche, Mr. Y a une place possible à l'EMS des Bouleyres à Bulle. Mr. Y a un tuteur de portée générale en la personne de Mr. Y, service des curatelles de la Gruyère. Par ailleurs, le patient ne comprend pas qu'il a une fracture du fémur et qu'il doit respecter une charge partielle. Vu son état d'agitation, nous avons décidé de ne pas insister et de laisser le patient marcher comme il le souhaite. Nous avons volontairement laissé une faible antalgie afin que la douleur soit un signal d'alarme naturel qui motive le patient à ne pas marcher sur son membre inférieur droit. Il n'y a actuellement aucun objectif de réadaptation vu l'état psychique du patient. Pendant le séjour à Meyriez, les tensions artérielles sont restées basses. Nous n'avons pas repris les antihypertenseurs mis en suspens à Fribourg. Si jamais le patient représentait une hypertension, le lisinopril devrait être repris. Mr. Y est transféré le 23.01 vers l'hôpital de Marsens. Mr. Y, 82 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur le 01.01.2020. Le patient décrit des douleurs thoraciques transfixiantes depuis 5 jours, en péjoration le 01.01.2020. Aux urgences, l'ECG montre un STEMI inférieur. La coronarographie effectuée de suite retrouve une sténose serrée de la coronaire droite moyenne, distalement à un anévrisme, et une occlusion thrombotique de l'artère coronaire droite distale traitée par mise en place de 2 stents. Cet examen met également en évidence une occlusion chronique de la première marginale ainsi qu'une lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. La fraction d'éjection est estimée à 50% avec hypokinésie sévère diaphragmatique. Une double antiagrégation par Aspirine et Efient est à poursuivre pendant 12 mois, suivie d'aspirine au long cours. La surveillance hémodynamique et rythmique est sans particularité, hormis une tendance à la bradycardie sinusale asymptomatique. Les bétabloqueurs sont à introduire en fonction de l'évolution clinique. Le point de ponction fémoral droit est calme. Le patient est transféré en médecine interne le 02.01.2020 pour suite de prise en charge. Mr. Y a bien profité de l'infiltration mais il reste encore une claire limitation avec une fonction à environ 50% de l'épaule D, par rapport à avant l'accident. On prescrit de nouvelles séances de physiothérapie en espérant une amélioration à au moins 70%. Si ce n'est pas le cas, lors du prochain contrôle dans 2 mois, on discutera de l'option chirurgicale pour refixer le tendon et effectuer une décompression sous-acromiale. Mr. Y est adressé par son médecin traitant en raison d'une acutisation de son insuffisance rénale chronique et d'une anémie chronique en péjoration. L'origine de l'acutisation est probablement mixte : progression de la néphroangiosclérose, médicamenteuse (Sartan) et déshydratation. Une échographie des voies urinaires permet d'écarter une cause post-rénale. L'évolution de la fonction rénale est favorable après hydratation et mise en suspens transitoire du traitement par Sartan. En raison d'une sténose ostiale de l'artère rénale gauche par une plaque calcifiée visualisée sur le CT abdominal du 30.07.2019, nous réintroduisons le Sartan de manière prudente. Au vu d'une péjoration progressive de la fonction rénale depuis quelques mois, un bilan pré-dialyse est réalisé avec un mapping veineux des membres supérieurs et du cou qui montre de bons accès bilatéraux. Nous proposons d'éviter les prises de sang du côté gauche afin de préserver le capital veineux pour le futur. En vue d'une éventuelle vaccination, à réaliser avant l'hémodialyse, une sérologie est réalisée pour les virus HBV, HCV, VIH. Face à un statut séro-négatif, nous recommandons une vaccination contre l'hépatite B. Sur le plan hématologique, nous relevons une pancytopénie avec une anémie hypochrome macrocytaire arégénérative. Un bilan vitaminique et ferrique permet d'écarter une origine carentielle. Le patient bénéficie d'une transfusion de deux concentrés érythrocytaires. Selon un avis hématologique, une ponction de moelle osseuse n'est pas nécessaire à ce stade pour rechercher une évolution de l'ICUS diagnostiquée en 2018. Nous ne mettons pas en évidence de blaste à la formule sanguine et la pancytopénie est en amélioration spontanée durant le séjour. Nous recommandons la réalisation d'une formule sanguine complète mensuelle chez le médecin traitant. En cas d'apparition de blastes ou péjoration de la pancytopénie, les hématologues se tiennent à disposition pour réaliser une ponction-biopsie de moelle. Le patient rentre à son domicile le 22.01.2020. Mr. Y, 67 ans, connu pour un AVC ischémique sylvien gauche en 11.2018, est hospitalisé en raison d'un AVC ischémique sylvien superficiel G le 01.01.2019. Pour rappel, il présente le 31.12.2019 une aphasie non-fluente associée à des troubles de la compréhension. Il est amené le lendemain aux urgences. Le NIHSS d'entrée s'élève à 3 points avec au statut présence d'une probable hémianopsie homonyme latérale droite. L'angio-CT cérébral met en évidence un AVC ischémique sylvien gauche avec une lésion temporo-pariéto-occipitale subaiguë, ainsi qu'une sténose estimée à 50% de l'a. carotide interne gauche et occlusion complète de V4 à gauche. De plus, on note une lésion d'allure ancienne au niveau cérébelleux gauche, absente en 2018. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique après avoir bénéficié d'une charge en Aspirine.Sur le plan étiologique, nous effectuons une échocardiographie montrant une FEVG à 42% avec des troubles de la cinétique modérés. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation et montre quelques extrasystoles atriales avec quelques courtes salves, sans passage en fibrillation auriculaire. Le bilan angiologique retrouve des calcifications prédominantes aux bifurcations, mais sans sténose hémodynamiquement significative. Le Dupplex transcrânien avec détection de HITs à la recherche d'embole asymptomatique est négatif. À noter également la présence d'un FOP de grade III découvert lors du 1er AVC en 11.2018, dont l'indication à une fermeture n'avait pas été retenue. Le cas de Mr. Y sera discuté au prochain colloque FOP cardio-neurologique au mois de février. Une origine sur FOP est toutefois peu probable en raison d'un score de ROPE bas ainsi que des événements répétitifs du territoire sylvien gauche. Nous retenons une origine artério-artérielle sur athéromatose non-sténosante de la carotide interne G pour laquelle un traitement médicamenteux est instauré. Sur le plan médicamenteux, une double anti-agrégation est introduite par Plavix 75mg/j et Aspirine 100mg/j pour une durée de deux semaines, avec poursuite par la suite d'une simple anti-agrégation par Plavix. Le traitement d'Atorvastatine est également majoré en raison de valeurs de LDL au-dessus de la cible. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Sur le plan cardiologique, l'ECG d'entrée met en évidence une inversion nouvelle des ondes T dans les territoires inférieurs et en V6 par rapport au comparatif de mars 2019. Au vu des troubles de la cinétique à l'échocardiographie, une coronarographie est effectuée et montre des artères coronaires saines avec une fonction systolique conservée. Le bilan neuropsychologique montre une aggravation des troubles du langage oral et écrit compatible avec l'AVC sylvien gauche. Un suivi est organisé pour le 26.02.2020. Du point de vue ophtalmologique, il persiste une probable hémianopsie homonyme D pour laquelle le patient sera convoqué en ambulatoire par nos collègues ophtalmologues. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée jusqu'à la nouvelle évaluation neuropsychologique et ophtalmologique. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois, le patient sera convoqué par nos soins. L'évolution clinique est satisfaisante avec un statut neurologique de sortie qui montre une amélioration des troubles phasiques et une probable hémianopsie homonyme à D. NIHSS de sortie à 3 points. Mr. Y peut regagner son domicile le 10.01.2020. Mr. Y est un patient de 81 ans sans antécédents particuliers qui nous est envoyé par le médecin de garde afin d'écarter une embolie pulmonaire. Il présente depuis 3 jours une asthénie associée à des douleurs dans les mollets à la marche. Depuis hier, il rapporte une douleur basi-thoracique droite respiro-dépendante associée à une dyspnée. Pas de voyage récent, pas d'hospitalisation récente. Pas de palpitations. À noter que le patient a été multi-investigué sur le plan cardiaque (ECG, ETT, Coro-scanner) la semaine passée par le Dr. X avec un bilan qui s'est avéré strictement normal. À son arrivée, le patient est subfébrile à 37,8°C, normotendu à 140/70 mmHg, normocarde à 95/min, tachypnéique à 32/min avec une saturation en oxygène à l'air ambiant à 89%. Au status, B1b2 bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté, pas d'oedèmes des membres inférieurs, Homans négatif des deux côtés, perte du ballant du mollet à gauche. Murmure pulmonaire vésiculaire symétrique, quelques crépitants fins aux deux bases. L'abdomen est souple et indolore à la palpation, sans défense ni détente, avec des bruits hydro-aériques normaux en fréquence et une tonalité normale. Le bilan biologique retrouve des D-Dimères à 1259 ng/ml et un syndrome inflammatoire avec une CRP à 66 mg/l et leucocytose à 15.6 G/l. Nous réalisons un CT thoracique injecté qui montre des embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires lobaires inférieures droites et sous-segmentaires lobaires inférieures gauches, sans retentissement sur les cavités cardiaques et sans élargissement du tronc pulmonaire. On constate encore une opacité diffuse dans les parties déclives des deux bases pulmonaires, plus marquée du côté droit, qui évoque un début d'infarcissement pulmonaire (DD troubles ventilatoires). Nous demandons un avis angiologique. Il est recommandé d'effectuer un bilan oncologique afin de rechercher la présence d'une éventuelle néoplasie, ce bilan peut être effectué en ambulatoire. Si la dyspnée persiste durant 3 mois, il est conseillé d'organiser un bilan cardiologique afin de détecter une éventuelle hypertension artérielle pulmonaire séquellaire. Nous débutons une anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15mg 2x/j pour 3 semaines puis relais par 20mg 1x/j pendant 6 mois minimum. Vu le probable infarcissement pulmonaire, une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est débutée et le patient est hospitalisé en médecine. Durant son séjour hospitalier, le patient est fébrile, présentant une dyspnée avec toux; il déssature à l'effort. Les radiographies thoraciques de contrôle effectuées le 18 et 23.12.2019 montrent un épanchement pleural à droite avec effacement de la coupole diaphragmatique persistant, associée à un épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Nous constatons également une prise de poids de 1 kg associée à une majoration de la NTproBNP durant le séjour hospitalier, évoquant une décompensation cardiaque droite; nous adaptons la diuréticothérapie avec torasemide 15 mg par jour, avec une réponse favorable. Les hémocultures, la culture d'expectoration et une recherche de mycobactéries par BAAR et culture reviennent négatives. Le 24.12.2019, le patient se plaint de diarrhées; une recherche de Clostridium difficile revient négative. L'évolution étant favorable sur le plan respiratoire, le patient retourne à domicile le 24.12.2019. Mr. Y, HTA. Mr. Y est un patient de 69 ans connu pour un cancer pulmonaire qui est hospitalisé dans le contexte d'un syndrome de la veine cave supérieure. Il a présenté des hypotensions et un oedème des membres supérieurs est apparu. Après confirmation par CT du syndrome, le patient bénéficie de la pose d'un stent permettant une diminution des oedèmes du cou et des membres inférieurs. Sur le plan oncologique, nous avertissons le Dr. X de la situation. Celui-ci propose une évaluation par les radio-oncologues qui recontacteront le patient pour une probable radiothérapie à basse dose après étude du CT de planification. À noter que le patient développe une dysphonie pendant le séjour, probablement sur une atteinte tumorale du n. laryngé récurrent. Sur le plan diabétologique, le patient est connu pour un diabète de type 2 traité par insuline. Il présente lors du séjour des hypoglycémies nécessitant une adaptation du traitement par les diabétologues. Suite à l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 10.01.2020. Mr. Y présente un déficit de réhabilitation post-ostéosynthèse par plaie dorsal du P2 Dig V à droite. Les adhérences palmaires sont éventuellement liées à l'hématome post-opératoire dans la gaine des fléchisseurs, dorsalement causé par les adhérences de la plaque. On lui propose le procédé suivant : une opération en deux temps avec, dans un premier temps, une ténolyse de l'appareil extenseur en anesthésie WALANT avec un contiplex en post-op hospitalisation pendant 4 jours et, dans un deuxième temps, une ténolyse des fléchisseurs en WALANT, si nécessaire jusqu'à hauteur du poignet, et en post-op également un contiplex pendant 4 jours. Une ergothérapie et une physiothérapie intensives vont être nécessaires lors des deux opérations. La durée d'arrêt de travail va être d'au minimum 12 semaines. Vu l'arthrose débutante en radio, les douleurs indiquées à la palpation de la DIP ne vont éventuellement pas se résoudre à 100%.Mr. Y est gêné puisqu'il pratique la moto, et le déficit d'extension le gêne également dans la vie de tous les jours. Il souhaite une prise en charge chirurgicale. Je remplis avec lui le formulaire d'information et consentement éclairé, en vue d'une aponévrectomie du 5ème rayon de la main D. Il donne son accord en signant le consentement éclairé. Une date opératoire est agendée. Mr. Y est un patient de 69 ans hospitalisé pour un état fébrile probablement d'origine pulmonaire. Il dit avoir un peu plus de toux que d'habitude mais sans changement d'expectoration. Une fois hospitalisé, l'état fébrile, toutefois, ne récidive pas et le patient présente un état général conservé. La radiographie de thorax retrouve un infiltrat compatible avec un foyer, néanmoins, au vu de la disparition de l'état fébrile, des hémocultures négatives, et cultures d'expectoration non contributives, nous renonçons à un traitement antibiotique. La surveillance clinique est sans particularité, notamment sans état fébrile. Le bilan biologique de contrôle montre un syndrome inflammatoire en diminution. Au vu de l'évolution spontanément favorable sans piste microbiologique, nous laissons le patient rentrer à domicile le 02.01.2020. Mr. Y est un patient de 73 ans connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, hospitalisé aux SI suite à son intervention de TEA carotidienne D le 13.01.2020 (Dr. X) La surveillance neurologique et hémodynamique en postopératoire est sans particularité, avec la TA systolique dans la cible, sans événement neurologique. Une FA connue est anticoagulée en thérapeutique dès 6 heures postopératoire (antiXa 0.34 le 14.01). Un relais avec anticoagulation orale est à effectuer dans les prochains jours selon le chirurgien. Une pancytopénie préopératoire ainsi qu'une légère baisse des plaquettes en postopératoire doit être également suivie avec un avis hématologique en cas de péjoration. Il est transféré en chirurgie vasculaire le 14.01.2020 pour la suite de prise en charge. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique et hémodynamique en raison d'un STEMI sur occlusion aiguë de l'artère circonflexe. Aux FRCV d'une dyslipidémie non traitée, le patient se présente aux urgences pour des douleurs épigastriques (sensation de ballonnement à 5-6/10), apparues au repos le jour de son admission à 22h, avec irradiation dans la nuque et les deux bras. L'ECG retrouve un sus-décalage en territoire inférieur et latéral. La coronarographie montre une maladie tri-tronculaire avec comme lésion coupable pour le STEMI une occlusion aiguë de l'artère circonflexe proximale. L'artère circonflexe a pu être désoblitérée avec mise en place d'un stent actif proximalement mais recanalisation incomplète en raison de la persistance de matériel thrombotique d'où mise en route de tirofiban. La surveillance rythmique est sans particularité. Le pic de CK est à 2394 u/l le 16.01.2020. L'échographie transthoracique montre une FEVG à 64 % (méthode de Simpson), un ventricule gauche avec une akinésie de la paroi postérieure, de la paroi latérale moyenne et de la paroi latéro-basale. Un traitement de double anti-agrégation (Aspirine, Efient) est institué pour 6 mois, puis aspirine seule au long cours. Du Metoprolol, Lisinopril et Atorvastatine (LDL cible < 1.4 mmol/l) sont également introduits. Une hypophosphatémie légère est substituée. Le délai d'une nouvelle coronarographie est à discuter avec le cardiologue (Dr. X) pour traiter les autres lésions coronariennes. Une réadaptation cardiaque reste à organiser. Le 17.01.2020, Mr. Y est transféré vers le service de médecine interne (HFR-Riaz). Mr. Y, patient de 78 ans, hospitalisé à Payerne pendant 3 semaines pour une fibrillation auriculaire rapide avec décompensation cardiaque, est réhospitalisé le 25.12.2019 dans un contexte de récidive de décompensation cardiaque probablement sur arrêt des diurétiques 48h précédant son admission. Le Torasémide a été arrêté en raison d'hypotensions. Pour rappel, il rentre de Payerne le 21.12.2019 et présente depuis 3 jours une dyspnée ainsi qu'une rétention urinaire aiguë. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë mise sur le compte d'un syndrome cardio-rénal de type 1. Il bénéficie d'une combinaison de diurétiques et de physiothérapie respiratoire permettant une diminution de la surcharge et une stabilisation du poids. Sur le plan urinaire, le patient présente une rétention urinaire aiguë lors de son admission nécessitant un sondage. En raison de son adénocarcinome prostatique connu, nous demandons un US prostatique avec un échec de visualisation de la prostate. Sur le plan biologique, le 16.01.2020, on note une augmentation des valeurs infectieuses, correspondant à une baisse de l'état général avec probable début d'un état confusionnel (attitude angoissée). Un sédiment urinaire revient négatif. En raison d'un état subfébrile persistant, nous débutons un traitement antibiotique avec Ceftriaxone le 16.01.2020. Une radiographie du thorax montre une péjoration des épanchements pleuraux ainsi qu'un probable foyer infectieux. Un frottis naso-pharyngé est négatif. L'évolution ne se montre pas favorable, raison pour laquelle nous adaptons le traitement avec changement d'antibiotique. Un échocardiographie cardiaque montre une végétation au niveau de la valve mitrale, et une endocardite ne peut pas être exclue. L'examen montre une péjoration de la fonction cardiaque par rapport au dernier contrôle de juillet 2019, avec une FEVG à 45 % ainsi qu'une insuffisance mitrale sévère et sténose aortique sévère. Dans le contexte d'état infectieux, le patient présente une récidive de décompensation cardiaque avec augmentation des œdèmes et dyspnée. Malgré l'adaptation des diurétiques avec introduction de Lasix IV, nous n'observons pas d'amélioration clinique. Après triple combinaison d'albumine, metolazone et lasix, on note une reprise de la diurèse sans amélioration clinique. Sur le plan néphrologique, on note une péjoration progressive de sa fonction rénale avec augmentation de l'urémie qui nous explique l'état clinique que le patient développe (somnolence sur la journée, délire de persécution la nuit, nausées). Un avis néphrologique est demandé, mais une dialyse ne peut pas être effectuée en raison de l'état globalement instable. Le patient exprime son souhait de ne pas vouloir être transféré aux SI. Malgré les adaptations médicamenteuses, le patient ne montre pas d'amélioration sur le plan clinique ainsi que biologique. Après discussion avec la famille, nous arrêtons le traitement de base et envisagions une attitude palliative dès le 27.01.2020. Le patient décède le 27.01.2020 soir à 20:15 h. Macro-adénome hypophysaire non sécrétant : • déficit thyréotrope, déficit corticotrope, déficit gonadotrope (bilan endocrinien du 17.01.2020) Macroangiopathie aortique • plaque maximale de 3 mm dans l'aorte descendante (ETO du 13.01.2020) Macrocytose sans anémie d'origine indéterminéeDD : carence vitaminique, dysthyroïdie, syndrome myélodysplasique Macrocytose sur carence en acide folique le 27.01.2020 Macrogol poudre : 2 cuillères à soupe/j puis à adapter en fonction de la consistance des selles Macrohématurie Macrohématurie. Macrohématurie avec/sur : • Résection polype vésiculaire en août 2019 • Anticoagulation par Xarelto Status post prothèse totale du genou droit Status post opération de la colonne vertébrale (S7) Status post PUC à gauche Macrohématurie et douleurs en loge rénale droite. Macrohématurie le 03.01.2020 dans le contexte de l'anticoagulation supra-thérapeutique Macrohématurie le 18.01.2020. Macrohématurie le 20.12.2019 • probablement sur irritation mécanique par sonde urinaire Macrohématurie non glomérulaire dans un contexte de traitement d'Eliquis et sonde double J en place à G depuis novembre 2019 Macrohématurie nouvelle le 22.01.2020 Macrohématurie nouvelle le 22.01.2020 • DD sur antiagrégation / anticoagulation ? Macrohématurie post-biopsie rénale le 21.01.2019 Macro-hématurie post-changement de sonde urinaire le 05.01.2020 Macrohématurie probablement d'origine mécanique, le 30.01.2020 • porteur d'une sonde vésicale depuis janvier 2019. Macrohématurie sur probable progression du carcinome de la prostate le 09.01.2020 Macrohématurie sur probable prostatite en août 2012 • DD : traumatique. Conjonctivite virale de l'œil gauche probable le 16.01.2020. Canal lombaire étroit opéré en 2017 à Berne. Macrohématurie sur probable prostatite DD : traumatique en août 2012 Macrosomie Macrosomie confirmée Macrosomie foetale Macrosomie foetale. Macrosomie foetale avec PFE > p95 (3741 g) Macrosomie foetale avec p > 95 Macrosomie foetale infirmée Macrosomie infirmée Macules pétéchiales au niveau du scrotum et de la région inguinale et des membres inférieurs secondaire à thrombopénie diagnostiquée 10/2019 Ancien alcoolisme (arrêt en 2013) actuellement sevré Pseudohyponatrémie sur hyperprotéinémie (protéines totales 84.3 g/l) (non-datée) Hyponatrémie à 126 mmol/l, osmolarité 277 mosmol/kg le 22.11.2019 Hypokaliémie modérée à sévère à 2.7 mMol (11/2019) Hypomagnésiémie (11/2019) Insuffisance rénale aiguë sur déshydratation avec créatinine 158 umol/l (11/2019) Coprostase le 22.11.2019 • sous Duphalac 3 x 50 ml • Ammoniémie normale le 23.11.2019 maculo-pustule grattée : • sans signe de surinfection Mme. Y, 54 ans, est admise aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance neurologique après craniotomie et exérèse de méningiomes bifrontaux. La patiente consulte en novembre 2019 en raison de céphalées importantes et un bilan par CT et IRM retrouve deux méningiomes frontaux droite et gauche avec effet de masse majeure. Une prise en charge chirurgicale élective par craniotomie et exérèse des lésions a lieu le 17.01.2020, sans complication immédiate. La surveillance post-opératoire est marquée par l'apparition d'un mutisme avec une évaluation neurologique difficile. Un CT cérébral est réalisé sur avis neurochirurgical, qui met en évidence des saignements intra-parenchymateux frontaux droits associés à un œdème péri-lésionnel, provoquant un effet de masse sur le ventricule latéral droit et une déviation des structures de la ligne médiane. Un traitement empirique par dexaméthasone et levetiracetam est introduit dès le 17.01.2020. Au vu d'une péjoration sur le plan neurologique avec apparition d'une héminégligence droite, un CT cérébral est effectué, montrant un engagement sous-falcoriel. Le bilan est complété par un EEG, qui ne retrouve pas d'activité épileptogène. L'évolution neurologique est par la suite favorable et l'imagerie de contrôle montre des lésions stables. Un schéma dégressif de dexaméthasone est débuté dès le 23.01.2020. Une décompensation diabétique le 21.01.2020 chez une patiente connue pour un diabète de type II insulino-requérant sous dexaméthasone nécessite un traitement par insuline i.v. continu. Sur avis diabétologique, un traitement par insuline s.c. est repris dès le 22.01.2020. Un suivi diabétologique sera assuré par la suite. Le traitement antihypertenseur est majoré en post-opératoire avec introduction transitoire de labetalol i.v. continu. Le traitement sera à adapter selon le profil tensionnel. La patiente est transférée en chirurgie le 23.01.2020 pour suite de la prise en charge. Mme. Y, 29 ans, est adressée par le Dr. X qui suit la patiente pour une névrite optique droite progressive depuis le 4 janvier 2020, sans amélioration sous stéroïdes et nécessitant des plasmaphérèses. La patiente rapporte des réactions urticariennes d'origine indéterminée en décembre 2019 et depuis le 04 janvier 2020 un voile au niveau du champ visuel de l'œil droit associé à de légères douleurs à l'oculomotricité, une désaturation des couleurs au rouge et une baisse de la sensibilité à la lumière. Jusqu'ici, la patiente était en bonne santé. Elle rapporte avoir eu un suivi médical jusqu'à l'âge de 6 ans pour un souffle cardiaque. Comme médication, la patiente prend uniquement une contraception orale. Une IRM cérébrale réalisée le 7 janvier 2020 montre des lésions aspécifiques de la substance blanche avec comme diagnostic différentiel une maladie démyélinisante. L'IRM met également en évidence une anomalie autour de la gaine des nerfs optiques des deux côtés un peu plus marquée à droite, posant le diagnostic différentiel d'une névrite optique modérée. Malgré les stéroïdes administrés durant le mois de janvier 2020 (2 cycles de méthylprednisolone et prednisone dans l'intervalle), aucune amélioration significative n'a été constatée. La patiente est adressée aux soins intensifs le 28.01.2020 pour la réalisation d'une séance de plasmaphérèse quotidienne pendant 5 jours. La première séance s'est bien déroulée Après discussion avec le Dr. X, nous recommandons un schéma dégressif rapide pour la prednisone (-20 mg tous les 3 jours et stop). Une IRM cérébrale devrait être effectuée durant le séjour hospitalier. Une hypokaliémie attribuée à la prise récente de stéroïdes a été corrigée par substitution orale. Une glande thyroïde de taille augmentée a été constatée de manière fortuite lors du repérage échographique pour la pose du cathéter de dialyse. La fonction thyroïdienne est normale. Nous recommandons la réalisation d'un ultrason de la thyroïde à distance afin d'établir de façon formelle l'existence d'un goitre. Les réactions d'urticaire d'origine indéterminée depuis le mois de décembre ont été traitées symptomatiquement. À la fin de la 1ère plasmaphérèse, un léger rash cutané localisé du visage est apparu de manière furtive et migrante sans tuméfaction. Un traitement anti-histaminique est prescrit en réserve au besoin. La contraception orale habituelle a été interrompue en raison du risque thrombotique potentiellement plus élevé durant la période des plasmaphérèses. Un autre moyen de contraception devra être envisagé pendant 6 semaines au minimum. Une prophylaxie anti-thrombotique par enoxaparine 20 mg 1 x/jour le soir pourra être administrée si le fibrinogène est supérieur à 1 mmol/l lors du contrôle du soir. La patiente a été transférée dans le service de médecine interne dans l'attente de la prochaine séance de plasmaphérèse, prévue le 29.01.2020 Mme. Y, 29 ans, est adressée pour une névrite optique droite progressive depuis le 4 janvier 2020, sans amélioration sous stéroïdes et nécessitant des plasmaphérèses. La patiente rapporte des réactions urticariennes d'origine indéterminée en décembre 2019 et, depuis le 04 janvier 2020, un voile au niveau du champ visuel de l'œil droit associé à de légères douleurs à l'oculomotricité, une désaturation des couleurs au rouge et une baisse de la sensibilité à la lumière. Jusqu'ici, la patiente était en bonne santé. Elle rapporte avoir eu un suivi médical jusqu'à l'âge de 6 ans pour un souffle cardiaque. Comme médication, la patiente prend uniquement une contraception orale. Une IRM cérébrale réalisée le 7 janvier 2020 montre des lésions aspécifiques de la substance blanche faisant suspecter une maladie démyélinisante. L'IRM met également en évidence une anomalie autour de la gaine des nerfs optiques des deux côtés, un peu plus marquée à droite, posant le diagnostic différentiel d'une névrite optique modérée. Malgré les stéroïdes administrés durant le mois de janvier 2020 (2 cycles de méthylprednisolone et prednisone dans l'intervalle), aucune amélioration significative n'a été constatée. La patiente est adressée aux soins intensifs le 28.01.2020 pour la réalisation de séances quotidiennes de plasmaphérèse pendant 5 jours. La deuxième séance s'est bien déroulée. Après discussion avec le Dr. X, nous recommandons un schéma dégressif rapide pour la prednisone (-20 mg tous les 3 jours et stop). Une IRM cérébrale sera effectuée le 30.01.2020. Une hypokaliémie attribuée à la prise récente de stéroïdes a été corrigée par substitution orale. Une glande thyroïde de taille augmentée a été constatée de manière fortuite lors du repérage échographique pour la pose du cathéter de dialyse. La fonction thyroïdienne est normale. Nous recommandons la réalisation d'un ultrason de la thyroïde à distance afin d'établir de façon formelle l'existence d'un goître. Les réactions d'urticaire d'origine indéterminée depuis le mois de décembre ont été traitées symptomatiquement. À la fin de la 1ère plasmaphérèse, un léger rash cutané localisé du visage est apparu de manière furtive et migrante sans tuméfaction. Un traitement anti-histaminique est prescrit en réserve au besoin. La contraception orale habituelle a été interrompue en raison du risque thrombotique potentiellement plus élevé durant la période des plasmaphérèses. Un autre moyen de contraception devra être envisagé pendant 6 semaines au minimum. Une prophylaxie anti-thrombotique par enoxaparine 20 mg 1x/jour le soir pourra être administrée si le fibrinogène est supérieur à 1 mmol/l lors du contrôle 4 heures après la fin de la plasmaphérèse. La patiente a été transférée dans le service de médecine interne dans l'attente de la prochaine séance de plasmaphérèse. Mme. Y, 29 ans, est adressée pour une névrite optique droite progressive depuis le 4 janvier 2020, sans amélioration sous stéroïdes et nécessitant la plasmaphérèse. La patiente a bénéficié de sa 3ème séance. Elle rapporte une légère amélioration des symptômes visuels. La substitution s'est faite avec de l'albumine 5% et PFC en raison du taux de fibrinogène bas <1 g/l. À la fin de la séance, la patiente a présenté un rash cutané prurigineux au niveau facial, oreilles, mains. La patiente a reçu du Tavegyl et nous proposons de lui administrer du Xyzal pour ce soir et de la prémédiquer avec du Tavegyl le 31.01.2020. Mme. Y, 29 ans, est adressée pour une névrite optique droite progressive depuis le 4 janvier 2020, sans amélioration sous stéroïdes et nécessitant la plasmaphérèse. La patiente a bénéficié de sa 3ème séance. Elle rapporte une légère amélioration des symptômes visuels. La substitution s'est faite avec de l'albumine 5% et PFC en raison du taux de fibrinogène bas <1 g/l. À la fin de la séance, la patiente a présenté une macule non prurigineuse au-dessus de la lèvre supérieure qui a disparu spontanément. L'enoxaparine devra être administrée si le fibrinogène est > ou égal à 1 g/l. Pour la séance du 01.02.2020, nous proposons de lui administrer du Xyzal 2.5 mg pour ce soir et de la prémédiquer avec du Tavegyl le 01.02.2020 avant son admission. Mme. Y se présente en urgence à la permanence en raison d'une possible exacerbation d'asthme avec quinte de toux persistante, dyspnée et efforts de vomissements présents depuis 30 minutes. À son arrivée, on retrouve une patiente stable hémodynamiquement avec d'importants efforts de toux et dyspnée. Elle bénéficie de l'administration d'Atrovent et Ventolin en urgence. Au vu de l'absence d'amélioration initiale avec les aérosols, nous administrons 125 mg de Solumédrol i.v. La patiente est restée hémodynamiquement stable avec une saturation à >99%, eupnéique durant l'entier de la crise. Par la suite, la situation se stabilise et la patiente retrouve son calme. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire avec une CRP à <5 mg/L et des leucocytes à 9.3 G/L. Nous retenons le diagnostic de probable exacerbation asthmatique dans un contexte d'infection virale des voies aériennes supérieures présente depuis plusieurs jours. Nous adaptons le traitement anti-asthmatique à l'aide de symbicort 200/6 ug 2x/j. Nous proposons à la patiente un suivi chez son médecin traitant en début de semaine. Elle doit reconsulter en cas de récidive ou de péjoration de la symptomatique. Mme. Y est une patiente de 30 ans, connue pour un status post-hémicolectomie avec mise en place de split-stomie et fermeture par la suite dans un contexte d'appendicectomie compliquée d'une fasciite, qui se présente le 12.01.2020 aux urgences en raison de douleurs abdominales associées à plusieurs épisodes de vomissements. Au vu des antécédents chirurgicaux, un scanner abdominal est effectué qui ne retrouve pas de complication de l'opération. La patiente est hospitalisée dans notre service pour une antalgie. Par la suite, elle présente à l'examen un Murphy positif motivant la réalisation d'une sonographie abdominale. Le bilan retrouve un épaississement à la limite de la norme des parois de la vésicule biliaire, raison pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie. L'évolution par la suite est favorable permettant à la patiente un retour à domicile le 16.01.2020. Elle sera par la suite revue à la consultation du Dr. X pour un contrôle clinique et discussion de la suite de prise en charge. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs pour un probable vasospasme coronarien. Cette patiente de 49 ans, tabagique, présente des douleurs thoraciques d'apparition soudaine avec migration dans le bras droit et accompagnées d'une légère dyspnée. L'ECG révèle des sous-décalages en V4 et V5 et une discrète élévation des biomarqueurs cardiaques. La patiente reçoit une dose de charge d'Asprine et Efient considérant un probable NSTEMI. Le bilan est complété par une coronarographie s'avérant normale, avec une FEVG à 55% et l'hypothèse d'un probable vasospasme coronarien est retenue. Nous introduisons un traitement par Zanidip. Les enzymes cardiaques sont à la baisse. Le point de ponction est calme, et en accord avec le cardiologue, la patiente rentre à domicile le 05.01.2020. Le bilan sera complété par un enregistrement Holter au cours de la semaine, ainsi qu'une IRM cardiaque, chacun organisé en ambulatoire pour lesquels la patiente sera convoquée. Mme. Y est hospitalisée pour un NSTEMI d'origine indéterminée (DD : NSTEMI type II sur vasospasme coronarien?). La coronarographie montre une sclérose coronarienne sans nouvelle lésion. L'ETT met en évidence un ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié, avec une fonction contractile segmentaire et globale normale (FEVG à 60%). Au vu d'une suspicion de vasospasme coronarien, les cardiologues proposent d'introduire un traitement de Zanidip 10 mg/j. Ils recommandent également d'organiser une IRM cardiaque fonctionnelle suivie d'un contrôle chez son cardiologue traitant (Dr. X).La patiente rentre à domicile le 30.01.2020. Mme. Y est amenée par ses enfants en raison d'une chute de sa hauteur à domicile le 29.12.2019. Il n'y a pas eu de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. La patiente se plaint sinon de douleurs costales droites. Les troubles de l'équilibre sont connus et ont bénéficié d'investigation en juillet 2019. Des séances de physiothérapie sont effectuées avec un bon résultat. Après discussion avec la famille et le service de liaison, nous constatons que la situation à la maison est précaire avec une perte de l'autonomie et plusieurs chutes sans conséquences. Nous décidons d'un commun accord d'un placement en home. Concernant les douleurs costales, en vue de l'absence de sanction thérapeutique, nous n'effectuons pas de radiographie et les douleurs évoluent favorablement sous Paracétamol. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service se soit terminée le 06.01.2020. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 37 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur broncho-aspiration précipitée par une crise d'épilepsie partielle le 25.12.2019. Cette patiente consulte aux urgences de l'HFR Tafers en raison de quatre crises convulsives suivies par des vomissements et une dyspnée. La patiente avait consulté son médecin traitant les jours précédant son admission pour une pneumonie qui a été traitée avec des antibiotiques en ambulatoire. Le bilan réalisé aux urgences met en évidence un syndrome inflammatoire ainsi qu'une hypoxémie importante. Le diagnostic de pneumonie de broncho-aspiration est retenu et la patiente nous est transférée pour suite de prise en charge. La pneumonie est traitée par co-amoxicilline et ventilation non-invasive, avec une évolution lentement favorable sur le plan respiratoire. La persistance de l'hypoxémie associée à un hippocratisme digital et le risque d'une cardiopathie congénitale dans le contexte de la trisomie 21, font suspecter un shunt intracardiaque qui est exclu à l'échocardiographie transthoracique. Une gazométrie artérielle de contrôle est effectuée à la sortie qui démontre des échanges gazeux satisfaisants sans rétention de CO2. L'épisode continue à présenter des courts épisodes de désaturation pendant son sommeil, très probablement en lien avec un SAOS non diagnostiqué. Mme. Y est connue pour des crises d'épilepsie sous bithérapie (acide valproate et Lévétiracétam) introduite par son médecin traitant il y a environ 5 ans. Son père nous informe qu'elle n'a jamais vu de neurologue et n'a jamais été bilantée par imagerie cérébrale et EEG. Elle fait des crises épileptiques environ 3x/semaine. Durant son séjour aux soins intensifs, elle présente une crise épileptique partielle sous forme d'absence et des mouvements toniques des membres supérieurs, d'une durée de quelques secondes. Le dosage des taux sanguins d'antiépileptiques montre des taux infra-thérapeutiques. Il n'y a pas d'argument pour une malcompliance médicamenteuse et la technique d'administration des sirops par son père est adéquate. Sur avis des neurologues, la dose de l'acide valproate est augmentée. Le CT cérébral natif montre des multiples zones séquellaires bilatérales de porencéphalie/encéphalomalacie en contact étroit avec l'élargissement du système ventriculaire. La patiente aura un EEG le 03.02.2020, puis l'attitude sera discutée avec l'équipe de neurologie. Mme. Y est connue pour une forme sévère de trisomie 21. Elle a un retard mental sévère et elle est complètement dépendante pour les activités de la vie quotidienne. Le contact verbal avec elle est impossible. Sur désir de la famille, un passage d'aide à domicile sera organisé au cours de son hospitalisation en médecine. Mme. Y est transférée dans le service de médecine interne le 02.01.2020. Mme. Y, 37 ans, est hospitalisée pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur broncho-aspiration, précipitée par une crise d'épilepsie partielle, nécessitant un séjour initial aux soins intensifs. La patiente est initialement prise en charge par le service des urgences de l'HFR Tafers le 25.12.2019 en raison de quatre crises convulsives suivies de vomissements et d'une dyspnée. Elle avait consulté le jour précédant son médecin traitant qui l'avait mise sous traitement antibiotique pour une pneumonie. Le bilan réalisé au service des urgences met en évidence un syndrome inflammatoire, ainsi qu'une hypoxémie importante. Le diagnostic de pneumonie de broncho-aspiration est retenu et la patiente est hospitalisée initialement aux soins intensifs et ensuite en médecine interne. La pneumonie est traitée par co-amoxicilline et ventilation non-invasive, avec une évolution lentement favorable sur le plan respiratoire. Une gazométrie artérielle de contrôle effectuée à la sortie démontre des échanges gazeux satisfaisants, sans rétention de CO2. Mme. Y continue de présenter de courts épisodes de désaturation pendant son sommeil, très probablement en lien avec un SAOS non diagnostiqué. Mme. Y est connue pour des crises d'épilepsie sous bithérapie (acide valproate et Lévétiracétam) introduite par son médecin traitant il y a environ 5 ans. Son père nous informe qu'elle n'a jamais vu de neurologue et n'a jamais été bilantée par imagerie cérébrale et EEG. Elle fait des crises épileptiques environ 3x/semaine. Durant son séjour aux soins intensifs, elle présente une crise épileptique partielle sous forme d'absence et des mouvements toniques des membres supérieurs de quelques secondes. Le dosage des taux sanguins d'antiépileptiques montre des taux infra-thérapeutiques. Il n'y a pas d'argument pour une malcompliance médicamenteuse et la technique d'administration des sirops par son père est adéquate. Le CT cérébral natif montre des multiples zones séquellaires bilatérales de porencéphalie/encéphalomalacie en contact étroit avec l'élargissement du système ventriculaire. Un EEG le 03.01.2020 est non-contributif en raison des artéfacts. Sur avis neurologique, la dose de Lévétiracétam est augmentée. Mme. Y est connue pour une forme sévère de trisomie 21. Elle a un retard mental sévère et elle est complètement dépendante pour les activités de la vie quotidienne. Le contact verbal avec elle est impossible. En accord avec la famille, un passage des soins à domicile est organisé 2x/jour. De plus, au vu du domicile et des moyens auxiliaires non adaptés, une prise en charge par ergothérapie est organisée. Mme. Y quitte notre service de médecine interne le 08.01.2020. Mme. Y est patiente de 81 ans connue pour les antécédents susmentionnés, hospitalisée dans notre service de chirurgie pour y bénéficier d'une fermeture d'iléostomie dans un contexte de maladie diverticulaire. L'opération se déroule sans complication le 10.01.2020. Les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 14.01.2020. Nous proposons de continuer les soins à domicile avec rinçage une fois par jour. La patiente sera revue en consultation des chefs de clinique le 27.01.2020. Mme. Y est hospitalisée en unité stroke monitorée pour suspicion d'AIT/AVC le 21.01.2020. Cette patiente présente le 20.01 des vertiges à type de tangage avec instabilité à la marche et nausées avec vomissements, déclenchés au moindre mouvement, avec sensation de serrement autour de la tête. La prise de tension artérielle révèle une TAS à 190 mmHg. L'angio-CT cérébral ne met pas en évidence de lésion ischémique. L'examen neurologique et l'anamnèse est plutôt évocatrice d'une cause périphérique et dans ce contexte, une évaluation par l'ORL est demandée. Suite à la discussion avec le Dr. X, le traitement de méthotrexate prévu pour aujourd'hui est mis en suspens et la patiente est transférée en médecine le 21.01 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 41 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences avec des douleurs abdominales en fosse iliaque droite de forte intensité, ainsi que des nausées sans vomissement. Le bilan clinique, biochimique et l'ultrason abdominal mettent en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle Mme. Y bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 20.01.2020. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinicobiologique favorable, Mme. Y peut rentrer à domicile le 22.01.2020 dans un bon état général. Elle sera vue en contrôle le 03.03.2020 à 10:40 à la consultation du Dr. X. Mme. Y, 63 ans, a été hospitalisée en unité stroke monitorée suite à une récidive le 07.01.2020 d'un AVC ischémique aigu sylvien droit sur occlusion proximale de l'artère cérébrale moyenne et de l'artère carotide interne à droite, compliqué d'une légère transformation hémorragique et d'un œdème cérébral vasogénique avec effet de masse. La patiente est suivie pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur gauche sous chimiothérapie palliative et était anticoagulée par rivaroxaban suite à une embolie pulmonaire en 2017. Elle est hospitalisée depuis le 31.12.2019 en raison d'un AVC ischémique sylvien droit sur occlusion proximale de l'artère cérébrale moyenne M1 d'origine paranéoplasique, malgré l'anticoagulation. Une thrombectomie endovasculaire a été réalisée le 31.12.2019. Une minime HSA fronto-temporale droite associée à des transformations hémorragiques pétéchiales occipitales droites sont apparues par la suite. Vu le contexte paranéoplasique (Syndrome de Trousseau), l'anticoagulation thérapeutique a été poursuivie par héparine iv puis Edoxaban. Le 07.01.2020, Mme. Y a présenté un nouvel AVC ischémique avec dysarthrie, hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural et héminégligence multimodale à gauche. Une occlusion récidivante de l'artère cérébrale moyenne proximale M1 droite ainsi qu'une occlusion de l'artère carotide interne droite ont été traitées par thrombectomie endovasculaire, permettant une reperméabilisation artérielle, et une dissection de l'artère carotide interne droite a nécessité la pose d'un stent. En raison du risque élevé de récidive thrombotique secondaire au syndrome paranéoplasique, une double antiagrégation par Aspirine et Clopidogrel a été administrée jusqu'au 09.01.2020, puis de l'aspirine au long cours est proposée, en association avec une anticoagulation thérapeutique prudente, initialement par héparine, malgré la minime transformation hémorragique du noyau caudé droit. Les déficits neurologiques se sont légèrement aggravés le 09.01.2020. Le CT cérébral a montré un œdème vasogénique hémisphérique droit avec un effet de masse modéré autour de l'AVC constitué pariéto-temporal droit; les zones de transformations hémorragiques dans les ganglions de la base ipsilatéral sont restées stables. La vigilance s'est améliorée et les déficits neurologiques sont restés stables par la suite. Une ptose palpébrale et myosis à droite sont attribués à un syndrome de Horner secondaire à la dissection carotidienne droite. Une hématurie macroscopique post-TEV et sous anticoagulation avait nécessité des rinçages vésicaux lors du premier séjour à l'hôpital, sans récidive. Une perturbation transitoire des tests hépatiques est d'origine incertaine. L'angio-CT abdomino-pelvien du 03.01.2020 n'a pas montré d'atteinte hépatique ni des voies biliaires. Cependant, une progression de l'épaississement nodulaire tumoral pleural gauche est actuellement visible. Suite à une discussion multidisciplinaire, puis avec la patiente et sa famille, il a été décidé qu'en cas d'aggravation neurologique par un œdème cérébral malin, une récidive thrombotique ou hémorragique, un traitement conservateur sera privilégié, sans craniectomie de décompression ni artériographie cérébrale. Ces mesures interventionnelles sont disproportionnées étant donné les risques majeurs de la chirurgie, la thrombophilie paranéoplasique et les séquelles neurologiques actuelles. D'autre part, le processus tumoral semble progresser sous chimiothérapie palliative. La patiente a été transférée le 11.01.2020 dans le service de médecine interne.Cependant, une progression de l'épaississement nodulaire tumoral pleural gauche est actuellement visible. Suite à une discussion multidisciplinaire, puis avec la patiente et sa famille, il a été décidé qu'en cas d'aggravation neurologique par un œdème cérébral malin, une récidive thrombotique ou hémorragique, un traitement conservateur sera privilégié, sans craniectomie de décompression ni artériographie cérébrale. Ces mesures interventionnelles sont disproportionnées étant donné les risques majeurs de la chirurgie, la thrombophilie para-néoplasique et les séquelles neurologiques actuelles. D'autre part, le processus tumoral semble progresser sous chimiothérapie palliative. L'évolution est favorable sur le plan de la vigilance. L'anticoagulation thérapeutique par héparine est relayée par Eliquis le 15.01.2020 sans complication. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement en attendant la neuro-réhabilitation à Meyriez. Mme. Y, 63 ans, est admise aux soins intensifs le 01.01.2020, à l'unité stroke monitorée, suite à une thrombectomie endovasculaire le 31.12.2019 à Inselspital pour un AVC ischémique sylvien droit sur occlusion de M1 d'origine paranéoplasique, dans un contexte d'adénocarcinome pulmonaire. Cette patiente présente un wake up stroke le 31.12.2019 à 06h20 avec apparition d'un hémisyndrome gauche, héminégligence et dysarthrie motivant l'appel de l'ambulance par son fils et le transfert à l'Insel. À son arrivée à Insel, le score de NIHSS est à 9. Après la réalisation d'une IRM cérébrale, l'indication à une TEV est posée qui se déroule le 31.12.2019. À l'IRM cérébrale de contrôle, il existe une minime HSA fronto-temporale droite associée à des transformations hémorragiques pétéchiales occipitales droites. Une origine paranéoplasique dans le contexte d'une hypercoagulabilité (syndrome de Trousseau) est retenue. Le Rivaroxaban est arrêté avec un relais par héparine prophylactique. Le séjour à l'Insel se complique d'une hématurie macroscopique dans le contexte d'une thrombopénie chronique, probablement secondaire à la toxicité hématologique de la chimiothérapie en cours et de l'anticoagulation orale, nécessitant une cystoscopie, puis la pose d'une sonde urinaire à 3 voies. Un CT scan thoraco-abdominal est également effectué qui ne montre pas de pathologie au niveau urinaire. Il démontre une masse pulmonaire associée à un épanchement pleural. Après son retour au SI, la patiente reste stable hémodynamiquement et neurologiquement, avec un score NIHSS à 4. Un CT cérébral le 03.01.2020 est compatible avec un AVC constitué. L'échographie cardiaque du 03.01.2020 a exclu un thrombus intracardiaque. L'hématurie a complètement régressé, et une anticoagulation thérapeutique est reprise le 03.01.2020, puis un relais avec Edoxaban doit être fait le 06.01.20. Le score NIHSS à la sortie de SI est à 4. Un ictère avec perturbation de tests hépatiques a motivé la réalisation également d'un Angio-CT abdomino-pelvien le 03.01.2020, qui n'a pas montré de cholécystite ni de pancréatite. Une image embolique du rein droit, stable depuis son dernier scanner, est mise en évidence. Un pseudo-anévrisme de l'artère fémorale droite, sur le site de ponction, est également noté, pour lequel un avis angiologique est demandé pour éventuellement une compression sous échographique (à suivre). Sur le plan oncologique, la patiente est actuellement sous chimiothérapie palliative par Alimta 1x/3 semaines. Mme. Y, 63 ans, nous est transférée des soins intensifs avec un score NIHSS à 4 points après un court séjour du 01.01 au 03.01.2020 pour les suites de la prise en charge d'un AVC ischémique sylvien droit sur occlusion de M1 d'origine paranéoplasique probable, dans un contexte d'adénocarcinome pulmonaire ayant été traité par une thrombectomie endovasculaire le 31.12.2019 à Berne. Pour rappel, elle avait présenté le 31.12.19 un Wake Up Stroke avec l'apparition d'un hémisyndrome gauche, d'une héminégligence et une dysarthrie avec un score NIHSS de 9. Suite à la thrombectomie, il existe une minime HSA fronto-temporale droite associée à des transformations hémorragiques pétéchiales occipitales droites. Une origine paranéoplasique dans le contexte d'une hypercoagulabilité (syndrome de Trousseau) est retenue. L'héparine continue est relayée par du Edoxaban dès le 06.01.20. L'échocardiographie du 03.01.2020 a exclu un thrombus intracardiaque. Le séjour à Berne se complique d'une hématurie macroscopique dans le contexte d'une thrombopénie chronique, probablement secondaire à la toxicité hématologique de la chimiothérapie en cours et de l'anticoagulation orale, nécessitant une cystoscopie, puis la pose d'une sonde urinaire à 3 voies. Au vu de l'amélioration clinique, la sonde urinaire est retirée le 06.01.20 avec une reprise de la diurèse. Elle a présenté au cours de son séjour aux soins intensifs un ictère avec une perturbation de tests hépatiques; l'angio-CT abdomino-pelvien du 03.01.20 ne montre pas de cholécystite ni pancréatite. Au cours de son hospitalisation, nous suivons les valeurs biologiques des tests hépatiques. Sur le plan oncologique, la patiente est actuellement sous chimiothérapie palliative par Alimta 1x/3 semaines. Durant la nuit du 06.01 au 07.01, Mme. Y présente une parésie faciale et de l'hémicorps gauche avec une pupille D aréactive et une perte visuelle droite, score NIHSS à 7 points. Le CT cérébral natif et injecté montre une occlusion complète de la carotide interne droite à partir de la bifurcation jusqu'à la partie clinoïdienne et l'occlusion M1 à droite. Mme. Y est transférée à Berne pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 75 ans, qui nous est adressée par son médecin traitant pour prise en charge d'un hématome sous-dural chronique à gauche. La patiente est hospitalisée dans notre service pour surveillance neurologique. Les suites hospitalières restent sans particularité permettant à la patiente un retour à domicile le 11.01.2019. Elle sera revue en consultation pour planification de la trépanation par la suite. Mme. Y, patiente de 58 ans, connue pour un adénocarcinome pancréatique de stade IV avec métastases péritonéales, pulmonaires et osseuses, est amenée aux urgences par sa fille le 15.11.2019 en raison de nausées et de vomissements alimentaires en péjoration depuis le début de la chimiothérapie par Gemzar et Abraxane. À son arrivée aux urgences, la patiente est tachycarde, subfébrile à 37.5°C et sature à 92% sous 1 litre d'oxygène. À l'examen physique, nous auscultons une hypoventilation sur les deux plages pulmonaires, mais prédominante à gauche et la palpation abdominale est douloureuse au niveau des hypochondres droit et gauche. Les loges rénales sont sensibles à la percussion des deux côtés. Le bilan biologique montre une fonction rénale dans la norme avec une hypokaliémie à 3.2 g/l, un syndrome inflammatoire avec une CRP à 63 mg/l. Nous effectuons un scanner abdominal qui met en évidence une dilatation intestinale au niveau de l'intestin grêle compatible avec un subiléus, un épanchement pleural bilatéral prédominant à gauche et une ascite légèrement augmentée par rapport au comparatif d'octobre. Nous mettons en place une sonde nasogastrique et gardons la patiente à jeun avec mise en place d'une nutrition parentérale. Les symptômes sont en amélioration, mais au vu d'une intolérance de la sonde naso-gastrique, un stent pyélo-gastro-duodénal, dans le but de confort et pour enlever cette obstruction est posé. Grâce à ce stent, la patiente a pu remanger des petites portions, tout en ayant une alimentation supplémentaire parentérale.Lors de son séjour elle bénéficie de la chimiothérapie qui malheureusement ne permet pas l'amélioration de sa symptomatologie et la patiente se dégrade sur le plan général avec une progression de sa carcinomatose péritonéale et des douleurs nécessitant un traitement par opiacés. Vu la dégradation de son état une pompe à morphine est mise en place avec une demande active de la patiente d'être transférée aux soins palliatifs pour un accompagnement de fin de vie. Dès le 31.12.2019 et dans l'attente d'une place à la Villa St-François, Mme. Y reste hospitalisée dans notre service bien que la prise en charge spécifique soit terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est transférée aux soins palliatifs le 03.01.2020. Mme. Y, patiente de 76 ans, connue pour une sclérodermie nous est transférée des urgences le 26.12.2019 en raison d'une acutisation de ses douleurs musculo-articulaires diffuses depuis 3 jours sans notion de traumatisme ni déficit neurologique. Durant son hospitalisation, elle bénéficie de gabapentine avec augmentation progressive malheureusement sans effet. L'IRM de la colonne vertébrale montre des protrusions discales L2-L5 avec arthrose engendrant un rétrécissement canalaire et des rétrécissements foraminaux comme décrits ci-dessus, n'expliquant toutefois pas la symptomatologie. L'adjonction de la morphine ne diminue pas non plus la douleur. Suite à cela, nous arrêtons le traitement de gabapentine mais poursuivons la morphine que nous vous proposons de réévaluer. Nous concluons à des douleurs d'origine indéterminée possiblement somatoformes et proposons une suite de prise en charge au centre de la douleur (en copie). La patiente rentre à domicile le 08.01.2020. Elle sera convoquée par le centre de la douleur pour une première consultation dès réception de la présente lettre. Mme. Y est une patiente de 75 ans, connue pour un hématome sous-dural chronique à gauche diagnostiqué par IRM le 09.01.2020, qui est hospitalisée le 16.01.2020 pour bénéficier d'une prise en charge chirurgicale élective par trépanation crânienne. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 21.01.2020. Nous prévoyons un contrôle scannographique et clinique en consultation de neurochirurgie le 11.02.2020. Mme. Y est transférée le 22.01.2020 d'Estavayer-le-Lac pour la pose d'un pacemaker CRT-D dans le cadre d'une cardiopathie rythmique et valvulaire associée à un bloc de branche gauche. L'opération se déroule bien et la patiente peut regagner l'étage de médecine interne. Une radiographie de contrôle ne révèle pas de complication. Le traitement médicamenteux ne change pas durant l'hospitalisation. Concernant la fibrillation auriculaire paroxystique, il avait été décidé en 2016 de ne pas anticoaguler en raison d'antécédents de spoliation digestive. Nous informons le Dr. X de la situation et elle se chargera de réévaluer l'indication à l'introduction d'une anticoagulation. Mme. Y est ensuite transférée au Home les Mouettes le 24.01.2020. Mme. Y est une patiente de 73 ans connue pour un cancer ovarien métastatique, qui est adressée depuis l'oncologie ambulatoire en raison d'un état fébrile d'origine indéterminée. Le status ne retrouve pas de foyer franc mais le sédiment urinaire montre une leucocyturie avec germes chez une patiente bénéficiant d'une sonde double J pour compression tumorale. Elle rapporte également une toux nouvelle et une douleur à la loge rénale droite. Elle est hospitalisée en médecine pour suite de prise en charge. Nous retenons une pneumonie communautaire confirmée à la radiographie avec, comme diagnostic différentiel, au vu du sédiment urinaire, une pyélonéphrite droite. À noter que l'on retrouve, aux anciens urotubes, un entérocoque faecalis sensible à l'Amoxicilline motivant une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Amoxicilline, relayée par Co-Amoxicilline per-os. L'évolution est favorable. Sur le plan vasculaire, la patiente présente une majoration de ses oedèmes des membres inférieurs. L'US exclut une thrombose appuyant l'hypothèse d'une origine mécanique par compression tumorale. Elle bénéficie de bandage des jambes et de drainage par les physiothérapeutes permettant une diminution des oedèmes. Les drainages sont à poursuivre en ambulatoire. Sur le plan ostéo-articulaire, la patiente se plaint de douleurs à l'épaule droite préjudiciant la mobilité du bras droit. L'IRM recommandée par le Dr. X, réalisée le 27.01.2020, montre une rupture subtotale du muscle supra-tendineux à droite. Une consultation ambulatoire est prévue le 31.01.2020 à 08h15 pour la suite de la prise en charge. Sur le plan oncologique, la patiente avait rendez-vous le 28.01.2020 pour une consultation pré-PIPAC. Le Dr. X nous informe que ce rendez-vous doit être annulé car, lors de la discussion du tumorboard à Genève, l'indication n'est plus retenue. Ce dernier prendra contact avec le Dr. X afin de décider de la prochaine chimiothérapie. Dans l'intervalle, la patiente poursuivra son suivi oncologique auprès du Dr. X. En raison de l'évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 28.01.2020. Mme. Y, 53 ans, connue pour une maladie de Basedow, est hospitalisée pour une radiothérapie métabolique à l'iode radioactif qui se déroule du 06.01 au 14.01.2020 sans complications. Un traitement par néo-mércazole est réintroduit durant l'hospitalisation suite à une hyperthyroïdie retrouvée au laboratoire. Un rendez-vous de suivi en endocrinologie est prévu pour le 23.01.2020. Mme. Y rentre à domicile le 14.01.2020. Mme. Y, 64 ans, est hospitalisée en médecine pour investigations d'une dysarthrie et d'une faiblesse des membres inférieurs transitoire le 22.01.2020, accompagnées d'une perte de contact. L'examen clinique d'entrée aux urgences montre une dysarthrie modérée avec une ataxie du membre supérieur gauche. Un CT time is brain est organisé, qui ne montre pas de signe d'AVC ou de saignement. Une ponction lombaire est refusée par la patiente. À l'étage de médecine, l'examen clinique de contrôle le 23.01.2020 montre une patiente orientée dans les trois modes avec un status neurologique dans la norme, hormis des troubles sensitifs des membres inférieurs connus. Il n'y a notamment pas de dysarthrie ou d'ataxie. Nos collègues neurologues proposent de compléter le bilan avec une IRM neurocrâne, qui ne montre pas de signe d'AVC ou d'AIT. Au vu de l'irrégularité de l'opacification du segment V3 de l'artère vertébrale gauche, nous complétons l'examen avec d'autres séquences qui mettent en évidence une dissection focale du segment V3 de l'artère vertébrale gauche, raison pour laquelle nous initions un traitement d'Aspirine. Un EEG revient sans particularité chez une patiente prenant des benzodiazépines. L'amylase pancréatique ne parle pas pour un surdosage de Prégabaline. Concernant la symptomatologie, nous retenons un malaise avec perte de contact d'origine indéterminée mais avec comme origine la plus probable sa médication, notamment la Prégabaline. La dissection de l'artère vertébrale gauche reste une cause possible mais cette dissection est non datable et il y a une absence de lésion ischémique à l'IRM.Après réévaluation de la patiente par les neurologues, un retour à domicile est organisé le 29.01.2020, avec contre-indication à la conduite pour 2 semaines et un contrôle IRM avec séquence vasculaire qui sera à organiser à 6 mois, avec réévaluation du traitement d'Aspirine en fonction des résultats. La patiente souhaite continuer son suivi neurologique au Neurocentre de neurologie à l'Inselspital à Berne. Mme. Y présente un début de gonarthrose tri-compartimentale traumatisée suite au choc direct sur la rotule. Je propose dans un premier temps une infiltration par Cortisone. L'usure cartilagineuse n'est toutefois pas en avant-plan actuellement. L'indication opératoire n'est actuellement pas donnée. L'infiltration est programmée pour le 15.01.2020. Un contrôle est agendé au 05.02.2020 afin d'évaluer l'évolution. Mme. Y est une patiente de 90 ans qui nous est adressée pour une réadaptation. Pour rappel, Mme. Y nous est adressée par l'HFR de Fribourg dans les suites d'une STEMI inférieure du 04.12.2019 traitée par la mise en place de deux stents. Sur le plan social, Mme. Y vit seule à domicile. À son admission à l'étage de gériatrie, Mme. Y est calme et collaborante, aplaintive. L'examen cardiovasculaire constate des B1 et B2 bien frappés, sans souffle audible. Nous retrouvons des oedèmes des membres inférieurs. Le reste du statut est sans particularité. Au vu de l'évolution favorable de l'insuffisance rénale aiguë suite à sa dernière hospitalisation, nous reprenons le traitement sous Torasémide, Losartan et Aldactone. Nous adaptons le traitement selon le suivi pondéral et la créatininémie, qui d'ailleurs restent stables durant son séjour dans notre service. À sa sortie, la patiente est toujours sous double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel. Faisant suite au bilan martial réalisé dans un contexte d'anémie hypochrome, une saturation de la transferrine à la limite inférieure de la norme est identifiée, motivant la prescription de Maltofer 100 mg 1x/jour pendant 3 mois. Pendant son séjour, Mme. Y effectue des séances de physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 130 mètres et elle peut gravir 16 marches d'escaliers avec l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 108/126 par rapport à 77/126 à son entrée (MIF physio : transferts 7/7, déplacements 6/7, escaliers 6/7). Le TUG se réalise en 14.70 secondes. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge qui a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements, ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Le 08.01.2020, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile, comme suit : 2x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, 2x/jour pour les soins de base. Mme. Y est une patiente de 92 ans qui nous est adressée pour une prise en charge conservative. Pour rappel, Mme. Y a été hospitalisée à Tavel pour une chute survenue le 13.02.2018 avec de multiples fractures vertébrales, de la branche ilio-ischio-pubienne gauche ainsi que du col du fémur de stade Garden 1, et dont certaines fractures sont d'allure ancienne. Après discussion auprès de l'entourage, une opération n'est pas souhaitée et l'orientation se porte plutôt vers une prise en charge conservative. À son arrivée à l'étage de gériatrie, Mme. Y est plutôt somnolente, confuse mais calme, collaborante et présente des douleurs diffuses aux localisations des fractures. L'anamnèse est limitée en raison de l'état confusionnel de la patiente. Au statut d'entrée, l'examen orthopédique est limité. L'examen cardiovasculaire révèle un rythme irrégulier avec des B1 et des B2 lointains sans souffle surajouté, accompagné d'oedème des membres inférieurs. Sur le plan pulmonaire, nous auscultons des murmures vésiculaires symétriques. Nous retenons une décompensation cardiaque globale pour laquelle nous adaptons un traitement diurétique sous Torem avec comme étiologie une mauvaise compliance médicamenteuse. Nous mettons en évidence une hypokaliémie à 3 mmol/l, ce qui nous pousse à maintenir l'Aldactone à 25 mg, puis nous réduisons le Torem à 20 mg. L'évolution par la suite est favorable avec une perte pondérale de 2.7 kg. Le poids à la sortie est à 40.1 kg. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement si nécessaire. Nous retrouvons également une insuffisance rénale chronique qui s'est acutisée avec des valeurs de créatinine à 131 µmol/l, probablement dans un contexte de déshydratation. Après réhydratation, la fonction rénale s'améliore. Nous attirons votre attention sur le fait que, compte tenu des multiples fractures, Mme. Y se mobilise peu, ce qui contribue à un déconditionnement global. Pendant son séjour, Mme. Y effectue des séances de physiothérapie de mobilisation. L'objectif est de maintenir la mobilisation selon les douleurs mais nous n'y parvenons pas. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère pour laquelle la patiente bénéficie d'un enrichissement des repas. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 26.12.2019 montrent un MMSE à 11/30, un test de l'horloge à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Le 09.01.2020, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 14.01.2020, Mme. Y rejoint la résidence Sénévita Beaulieu à Morat. Mme. Y est une patiente de 72 ans, connue pour les antécédents susmentionnés dont une artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IV avec une sub-occlusion de l'artère fémorale commune s'étendant sur la fémorale superficielle, pour laquelle nous posons l'indication à une thrombendartériectomie à droite. Au vu d'un ulcère de la jambe droite d'origine traumatique, un débridement est effectué pendant le même temps opératoire et des soins sont suivis par des traitements locaux. Le 09.01.2020, la patiente présente un état fébrile avec hypotension artérielle et tachycardie ne répondant pas au remplissage. Un CT thoraco-abdominal met en évidence une colite du côlon ascendant et de l'angle colique droit sans autre foyer infectieux. Une antibiothérapie empirique par Co-amoxicilline est administrée du 09.01 au 17.01.2020 avec une bonne évolution clinique et biologique. Au vu d'une maladie de Churg-Strauss sous corticothérapie de longue date, nous initions une substitution par Hydrocortisone avec un relai par Prednisone. Sur le plan cardiaque, la patiente présente une fibrillation auriculaire à conduction rapide qui est cardioversée par Amiodarone le 09.01.2020. Sur le plan vasculaire, la patiente présente une bonne revascularisation du membre inférieur droit, mais présente une fistule lymphatique pour laquelle un redon est laissé en place pour le retour à domicile. Suite à la bonne évolution de la patiente, cette dernière rentre à domicile le 21.01.2020 et sera suivie à la consultation de chirurgie vasculaire.Mme. Berset, 72 ans, est admise aux soins intensifs en raison d'un sepsis d'origine indéterminée ainsi qu'une fibrillation auriculaire à conduction rapide. La patiente bénéficie le 06.01.2020 d'une endartériectomie fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à droite pour un ulcère maléolaire sur artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade III. Le 09.01.2020, la patiente présente un état fébrile avec hypotension artérielle et tachycardie. La plaie opératoire est revue par le Dr. X sans arguments pour une complication locale. Un CT thoraco-abdominal met en évidence une colite du côlon ascendant et de l'angle colique droit avec œdème péri-vésiculaire et péri-portal. Nous prescrivons une antibiothérapie d'amoxicilline-acide clavulanique dès le 09.01.2020 avec remplissage vasculaire. L'atteinte digestive objectivée au CT ne corrèle à aucune plainte ou anomalie clinique. Un US complémentaire ainsi que les tests hépatiques écartent une cholangite ou une cholécystite. L'évolution est rapidement favorable sans nécessité de soutien aminergique. L'origine exacte de l'état fébrile reste indéterminée avec des hémocultures encore en cours. Aucun foyer clinique n'est objectivé. Une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide se cardioverse après remplissage vasculaire, substitution en magnésium et une dose d'amiodarone. Ce trouble rythmique a possiblement contribué à l'hypotension artérielle initiale. Une insuffisance surrénalienne dans le contexte de stress opératoire et infectieux peut également avoir contribué à l'hypotension artérielle. De l'hydrocortisone est prescrite initialement relayée par un doublement de la dose habituelle de prednisone. Cette dernière sera à reprendre à dose habituelle dès résolution de l'état de stress dans quelques jours. À noter la découverte d'un épaississement focal de la paroi antérieure de la vésicule biliaire de nature indéterminée le 09.01.2019 à l'ultrasonographie pour lequel un contrôle par US et/ou IRM est recommandé à 6 mois. La patiente est transférée en chirurgie ce 10.01.2020. Mme. Bertschy est une patiente de 85 ans, connue pour une démence de type Alzheimer et des chutes à répétitions, hospitalisée pour des crises épileptiques tonico-cloniques généralisées suite à un traumatisme crânien. Le scanner met en évidence un hématome sous-dural aigu et une contusion parenchymateuse pariétale gauche. Un traitement anti-épileptique de Levetiracetam est initié. Après un EEG de contrôle, les neurologues ne préconisent pas de traitement anti-épileptique à long terme. Nous mettons en place un schéma dégressif de Levetiracetam. Au vu d'une diminution de l'hématome au scanner de contrôle, la patiente peut regagner son EMS le 14.01.2020. Mme. Bertschy, 85 ans, a été admise aux soins intensifs pour un hématome sous-dural aigu et une contusion parenchymateuse pariétale gauche, compliquée de deux crises d'épilepsies généralisées. Connue pour une démence de type Alzheimer, la patiente a trébuché avec une chute témoignée par l'infirmière de son EMS. Elle a fait un traumatisme crânio-cérébral sans perte de connaissance. Elle a donc été admise aux urgences où elle a présenté deux crises d'épilepsie tonico-clonique généralisée de 40 secondes et 3 minutes qui ont cédé spontanément. Le bilan radiologique met en évidence un hématome sous-dural pariéto-occipital gauche aigu ainsi qu'une contusion parenchymateuse pariétale gauche. À noter une nouvelle crise d'épilepsie au moment du CT-scan qui a été interrompue par du Rivotril. Un traitement anti-épileptique de Levetiracetam a été débuté. Le CT cérébral de contrôle a montré une diminution de l'hématome sous-dural et stabilité de la contusion intracérébrale gauche. Celle-ci n'est pas forcément explicable par la chute et pourrait être secondaire à une hémorragie spontanée à l'origine de l'épilepsie. La durée du traitement anti-épileptique devra être discutée avec les neurologues. Un EEG devrait être réalisé dans quelques jours. Un petit déficit moteur au niveau de la main droite est attribué à la contusion parenchymateuse arrondie de 6 mm en regard du sillon central gauche. L'étiologie des chutes à répétition sans perte de connaissance n'est pas claire. L'épilepsie semble plutôt secondaire au traumatisme crânio-cérébral. Il faut rechercher des troubles du rythme cardiaque par un enregistrement Holter. Face à une somnolence induite par l'administration diurne de Distraneurine, il faut aussi évoquer une origine médicamenteuse. La Distraneurine est stoppée le jour et gardée uniquement en réserve pour la nuit. La plaie de l'arcade sourcilière a été refermée par 4 points de suture qu'il faudra retirer le 13.01.2020. Le consultant d'orthopédie propose la mise en place d'une bretelle pour soulager les contusions de l'épaule et bras droits. La patiente a été transférée le 09.01.2020 dans le service de chirurgie. Mme. Betticher est hospitalisée dans le cadre de lombosciatalgie L5-S1 gauches chez une patiente connue pour polyangéite granulomateuse s'étant déjà manifestée par une hypoacousie bilatérale. Une IRM effectuée en ambulatoire le 10.01.2020 montrait une hernie discale médiane L1-L2 luxée vers le haut sans nette contrainte sur les racines, ainsi que des débords discaux de L3 à S1, imagerie n'expliquant pas la symptomatologie. Le laboratoire d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire et le sédiment urinaire est sans particularité. Au vu de sa vasculite à ANCA anti-MPO, un bilan est effectué à la recherche d'activité de la maladie. Un CT thoracique est superposable au précédent et ne retrouve pas de signe de vasculite mis en évidence à ce niveau. La patiente se plaignant d'une impression d'augmentation de sa perte d'audition, un bilan ORL est effectué ne retrouvant pas de poussée inflammatoire et une audiométrie superposable à la précédente. Sur le plan neurologique, un premier ENMG montre une atteinte axonale des nerfs péronier et sural gauche, non compatible avec sa clinique de sciatique. Un ENMG de contrôle à 48h retrouve les mêmes lésions, en légère péjoration, et compatibles avec une lésion vasculitique. La prednisone est donc majorée à 40 mg 1x/j et l'administration d'une dose de Rituximab sera discutée au prochain rendez-vous ambulatoire de rhumatologie. Parallèlement, le traitement antalgique est adapté à l'entrée avec introduction de Tramadol retard et prégabaline sans effet secondaire rapporté par la patiente. Elle bénéficie également de séances de physiothérapie avec bon effet. Durant le séjour, la patiente présente également un épisode de dyspnée importante au repos. Le bilan est rassurant avec un ECG dans la norme, des troponines et D-dimères négatifs. Une gazométrie retrouve une insuffisance respiratoire partielle probablement chronique et l'évolution est spontanément favorable. Des fonctions pulmonaires pourront être rediscutées à distance de l'hospitalisation. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Betticher peut rentrer à domicile le 02.02.2020. Elle sera convoquée à 2 semaines à la consultation ambulatoire de rhumatologie. Mme. Bezzola est une patiente de 72 ans qui est amenée aux urgences pour des chutes à domicile à répétition. Mme. Bezzola décrit une sensation de perte d'équilibre survenant souvent au moment de se lever, avec des chutes en conséquence sans faiblesse dans les membres inférieurs, ne sait pas dire si elle chute plus d'un côté ou de l'autre. Les chutes sont apparues apparemment depuis quelques mois. Mme. Bezzola vous a consulté il y a 12 jours avec à la sortie une mise sous Bétahistine, pris pendant une dizaine de jours. La patiente ne sait nous dire s'il y a eu traumatisme crânien mais pas de perte de connaissance ni d'amnésie circonstancielle et des douleurs à l'épaule gauche sont rapportées, conséquentes à sa chute du 24.12.2019 avec un petit hématome sans limitation de la mobilité.Sur le plan social, Mme. Y habite seule dans un appartement à Fribourg avec ascenseur et a 2 enfants. A l'étage de gériatrie, le bilan biologique retrouve une carence en acide folique et en vitamine D pour lesquelles nous introduisons une substitution per os. Mme. Y nous dit présenter une incontinence urinaire chronique d'effort pour laquelle nous préconisons un avis gynécologique pour évaluer la trophicité de la muqueuse et discuter d'une éventuelle mise en place d'un pessaire. La patiente nous dit également présenter chroniquement des diarrhées intermittentes non objectivées durant son séjour. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 30.12.2019 au 05.01.2020. Le contexte des troubles de la marche est multifactoriel, avec l'introduction de la Betahistine récente, une probable neuropathie diabétique et carence vitaminique. Le CT cérébral d'entrée ne met pas en évidence des lésions ni hémorragie. Le Schellong est négatif. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 120 mètres, peut gravir 9 marches à l'aide d'une rampe et est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 112/126 par rapport à 105/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 4/7). Le TUG se réalise en 16 secondes avec l'aide d'une canne. Sur le plan diététique, un bilan nutritionnel ne met pas en évidence de déficit nutritionnel. En ergothérapie, la patiente profite d'une évaluation anamnestique du domicile avec des propositions de modification, reçoit des conseils pour la prévention des chutes et adaptation des moyens auxiliaires pour la marche. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués montrent un MMS à 29/30, un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 0/4. Le 07.01.2020, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile. Mme. Y est admise aux soins intensifs le 19.01.2020 pour une surveillance hémodynamique et rythmique en raison d'un syndrome de Tako-Tsubo avec fraction d'éjection ventriculaire gauche à 20-25%. La patiente est initialement adressée aux urgences de Riaz suite à une chute à domicile avec décubitus prolongé le 17.01.2020. L'ECG réalisé à l'admission montre un sus-décalage dans les dérivations antérieures. Les troponines sont à 293. La patiente est chargée en Aspirine, Liquémine et Efient puis transférée au HFR Fribourg pour bénéficier d'une coronarographie en urgence différée. La coronarographie met en évidence une athéromatose coronarienne avec plaque non significative de l'IVA ostiale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 20-25% avec un ballonnement apical parlant en faveur d'un syndrome de Takotsubo. Nos collègues cardiologues préconisent un traitement par aspirine, inhibiteurs de l'enzyme de conversion, diurétiques et bêta-bloquants à petites doses. Une échographie transthoracique de contrôle est à organiser dans 4-5 jours pour un suivi de la fonction cardiaque. L'origine de la chute initiale avec décubitus prolongé est attribuée en premier lieu à un déconditionnement et une dénutrition sévère, exacerbés dans un contexte de probable pneumonie communautaire au décours et d'une prise chronique d'opiacés. Un bilan de chute formel reste à effectuer. En l'absence de symptôme respiratoire et de signes radiologiques francs, la Co-Amoxicilline introduite en ambulatoire est arrêtée le 20.01.2020 (J6). La rhabdomyolyse et l'insuffisance rénale aiguë discrètes se corrigent progressivement après réhydratation ciblée. La patiente est retransférée à Riaz le 20.01.2020 pour suite de prise en charge. Un escarre sacré est à suivre quotidiennement, au même titre que le bilan nutritionnel. Concernant la prise chronique d'opiacés avec probable dépendance, nous vous laissons le soin de discuter d'un sevrage progressif avec la patiente et le médecin traitant. Mme. Y, 32 ans, hospitalisée à Marsens, est admise aux soins intensifs suite à l'ingestion d'un couteau le 18.01.2020. Cette patiente, connue pour un trouble de la personnalité de type borderline avec auto-mutilations, intoxications médicamenteuses et ingestion de corps étrangers à répétition, avait consulté à Riaz le 17.01 pour des douleurs abdominales. Un CT abdominal retrouve une suspicion d'hernie interne du sigmoïde au vu du statut chirurgical de la patiente ainsi qu'une augmentation de l'infiltration de la graisse abdominale sous-cutanée droite compatible avec une cellulite traitée par Amoxicilline. Le soir du 18.01, elle avale un couteau à beurre en raison d'impulsions incontrôlables. L'OGD, réalisée sous anesthésie générale, permet d'extraire ce corps étranger. Le traitement par Pantoprazol est majoré et à poursuivre pendant 1 semaine. Les douleurs abdominales sont spontanément résolutives sans trouble digestif durant la surveillance. Sur le plan cutané, l'on ne retrouve pas de signe d'infection locale au niveau abdominal. L'antibiothérapie est à poursuivre pendant 1 semaine. Mme. Y rentre à Marsens le 19.01.2020 pour suite de prise en charge psychiatrique. Mme. Y, âgée de 79 ans, est hospitalisée pour embolies pulmonaires segmentaires bilatérales. Une désaturation nouvelle et asymptomatique est constatée au Home où elle habite, motivant une consultation aux urgences. Une antibiothérapie par Furadantine est débutée la veille pour suspicion de pyélonéphrite. Le bilan d'entrée retrouve des D-Dimères à 5625 ng/ml avec hypoxémie sévère, sur multiples embolies artérielles pulmonaires segmentaires bilatérales et infarctus pulmonaire du lobe moyen et supérieur droit. Une masse hilaire gauche non connue est de même constatée, pouvant expliquer l'état hypercoagulable sous-jacent de la patiente. Un doppler des membres inférieurs exclut la présence de thrombose veineuse. Une anticoagulation orale est débutée, avec physiothérapie respiratoire et oxygénothérapie et l'évolution clinique est favorable. Quant à la masse hilaire gauche non connue, une origine néoplasique est primairement suspectée. Cependant, après discussion avec la famille, au vu des troubles cognitifs avancés, il est décidé de ne pas réaliser de mesure diagnostique supplémentaire sur absence de bénéfices avérés d'une éventuelle prise en charge oncologique. Un soutien par oxygénothérapie au besoin est décidé à titre palliatif. Une hypercalcémie asymptomatique d'origine probablement para-néoplasique est découverte. Un bilan phosphocalcique complet n'a pas été effectué durant l'hospitalisation. Nous avons proposé à la sortie un traitement par calcitonine intranasale qui n'est plus commercialisé actuellement. A la place, nous vous proposons, en cas d'hypercalcémie légère persistante un éventuel traitement par Mimpara (cinacalcet) ou, en cas d'hypercalcémie sévère, une dose de biphosphonate, tout en faisant attention à la fonction rénale et aux taux de vitamine D (à substituer avant si nécessaire). Sur le plan urinaire, le traitement de probable pyélonéphrite est poursuivi par de la Ceftriaxone, pour une durée totale de 7 jours. Sur récidive de syndrome inflammatoire, suspectant une résistance à la Ceftriaxone, une culture d'urine sous antibiothérapie est réalisée, dont les résultats sont en attente. Cependant, une monoarthrite du genou droit sur crise de chondrocalcinose est finalement retenue à l'origine de la perturbation biologique, d'évolution favorable par traitement de Colchicine. Une ponction articulaire permet d'exclure une origine septique.Mme. Blanchard regagne le Home des Martinez le 21.01.2020. Mme. Blaser, 83 ans, est admise aux soins intensifs pour une crise thyrotoxique. Cette patiente connue pour une démence progressive présente depuis 2 semaines un état confusionnel en aggravation. Le 24.01, son fils la retrouve au sol à moitié sous son lit et appelle l'ambulance. Aux urgences, elle est tachycarde à 170/min, hypertendue et afébrile. Le bilan biologique met en évidence une TSH effondrée et une élévation des hormones thyroïdiennes périphériques, compatible avec une crise thyrotoxique. Il n'y a par ailleurs pas de trouble électrolytique ni de syndrome inflammatoire. Sur avis endocrinologique, un traitement freinateur de néomercazole est initié ainsi qu'un traitement bétabloquant. Nous introduisons également le Solucortef. L'évolution est rapidement favorable avec normalisation de la fréquence cardiaque et retour à l'état neurologique de base, permettant son transfert à l'étage de médecin le 25.01.2020. Mme. Blondel, patiente de 76 ans connue notamment pour une hypertension artérielle sous quadrithérapie, une BPCO et SAOS appareillé, est hospitalisée le 20.12.2019 en raison d'une crise hypertensive avec atteinte multi-organique, notamment une décompensation cardiaque globale. Pour rappel, la patiente consulte une première fois le 14.12.2019 à l'HFR Riaz pour un pic hypertensif, puis se présente à nouveau le 19.12.2019 au service des urgences pour une dyspnée en péjoration depuis 3 jours accompagnée de céphalées. La patiente est connue pour avoir présenté des tableaux cliniques similaires dans le passé, notamment durant les dernières hospitalisations, avec séjour de réadaptation à l'HFR Billens. Le bilan initial met en évidence une hypertension jusqu'à 200 mmHg. Une encéphalopathie hypertensive sous forme de céphalées cède sous paracétamol et après correction de la tension artérielle, par Trinitrine puis Nicardipine i.v. au service des soins intensifs. La quadrithérapie est maintenue, nous remplaçons le Zanidip par de la Nifédipine. Nous visons une tension artérielle systolique entre 160 et 180 mmHg. Une décompensation cardiaque globale est traitée par ventilation non-invasive, permettant une évolution favorable. Une cause ischémique peut être raisonnablement écartée. Une échocardiographie transthoracique retrouve une fonction systolique normale (FEVG à 65 %), sans valvulopathie significative ou dilatation cavitaire. De plus, le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë probablement sur chronique, qui se corrige progressivement. Une hyponatrémie hypotonique hypervolémique est objectivée dans le contexte mixte d'insuffisance cardiaque et d'insuffisance rénale. L'hyponatrémie est substituée partiellement par NaCl 2 % puis par limitation de l'apport hydrique et capsules de sel. L'évolution est favorable et à suivre. Dans le bilan étiologique, un examen angiologique ne retrouve pas de sténose des artères rénales expliquant l'hypertension artérielle réfractaire et le dosage des métanéphrines sériques est dans la norme. Les tensions artérielles se normalisent pendant le séjour. Le traitement diurétique est adapté selon la clinique et est actuellement mis en suspens en raison d'un poids baissé rapidement sur 7 jours. Nous proposons un suivi du poids quotidien et une reprise du traitement en fonction de son évolution. Une réadaptation cardiovasculaire est proposée et acceptée par la patiente. Mme. Blondel peut donc être transférée à l'HFR Billens pour une réadaptation le 09.01.2020 en bon état général. Mme. Bochud est une patiente de 79 ans, que vous nous avez adressée pour une hyperglycémie à 25 mmol/l. Pour rappel, Mme. Bochud est connue pour un diabète mellitus de type 2, non insulino-requérant, sous Metformine. Selon la fille de la patiente, depuis quelques jours, Mme. Bochud présente des tremblements et est plus faible. Mme. Bochud ne rapporte pas de douleur mais des brûlures mictionnelles en fin de miction accompagnées de démangeaisons, sans symptôme digestif ou respiratoire. Mme. Bochud présente également régulièrement des vertiges avec une perte de l'équilibre et marche habituellement avec une canne. Sur le plan social, Mme. Bochud est veuve, a 4 enfants, vit dans une maison en rez-de-chaussée et bénéficie de soins à domicile 1x/semaine pour le contrôle de la santé ainsi que la préparation du semainier. La patiente est hospitalisée dans le service de gériatrie aiguë pour une décompensation diabétique sans troubles acido-basiques. Une hydratation IV est mise en place temporairement. Le bilan ne retrouve pas de syndrome inflammatoire et la radiographie du thorax ne retrouve pas de foyer. La patiente n'a pas changé de traitement récemment et prend ses médicaments régulièrement. Elle nous explique cependant ne jamais avoir fait très attention à son alimentation et avoir mangé ces derniers temps plus souvent des aliments sucrés. Nous expliquons alors la décompensation diabétique par l'alimentation probablement inadéquate et par la présence de la mycose vaginale. Nous mettons en place un traitement d'insuline lente avec Lantus associé à un schéma d'insuline rapide avec Humalog, que nous ajustons progressivement. Nous suspendons également le traitement d'Atorvastatine en raison de l'effet secondaire potentiel d'hyperglycémie, que nous vous laissons le soin de réévaluer en ambulatoire. Nous mettons également en place un suivi par une infirmière en diabétologie et par nos nutritionnistes. Au vu de la présence de démangeaisons vaginales associées à une gêne à la miction, nous effectuons un examen clinique des parties génitales externes et retrouvons la présence d'un érythème des petites et grandes lèvres ainsi que péri-anale et des dépôts blanchâtres. Le sédiment urinaire retrouve 2 croix de leucocytes, sans nitrite, sans sang. Un urotube est effectué le 17.12.2019 et revient négatif. Un second est fait le 18.12.2019 qui retrouve une flore mixte (contaminée). Nous concluons donc à une mycose vaginale que nous traitons avec Econazole ovule pendant 3 jours et une crème avec de l'Econazole locale pendant 1 semaine avec une résolution des symptômes. Mme. Bochud mentionne avoir des vertiges d'allure orthostatique. Nous réalisons alors un test de Schellong qui revient négatif. Le bilan biologique retrouve une insuffisance pré-rénale probable sur déshydratation. Nous mettons alors en place une hydratation en intraveineux avec une évolution favorable. Durant le séjour, Mme. Bochud a bénéficié de séances de physiothérapie de mobilisation. La patiente se mobilise sur une distance de 150 mètres avec l'aide d'une canne et peut gravir 36 marches avec l'aide de sa canne. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle s'élève à 102/126 par rapport à 84/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 15 secondes avec l'aide de la canne. Un bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence démontrée par un NRS à 3, des apports à 50-75 % des habitudes ces deux derniers mois et une légère perte de poids (2 kg). Un suivi en ergothérapie n'est pas nécessaire. Le 03.01.2020, Mme. Bochud quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour les signes vitaux, 2x/jour pour les tests simples de glucose et 3x/jour pour la médication. Mme. Boegli est hospitalisée pour une dysphagie aux solides sur cancer œsophagien traité par 5 cycles de chimiothérapie par Taxol-Carboplatine (dernier le 23.12.2019) et 30 séances de radiothérapie (dernière le 07.01.2020).Nous posons une SNG pour réalimenter la patiente. Elle bénéficie également d'une hydratation d'abord IV puis entérale par SNG. Afin d'éviter un syndrome de renutrition, elle est supplémentée en vitamines et les électrolytes sont régulièrement contrôlés. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mme. Y rentre à domicile le 07.01.2020 avec un suivi diététique en ambulatoire. Elle sera revue par le Dr. X le 21.01.2020 à 11h30. Mme. Y est une patiente de 61 ans connue pour le diagnostic susmentionné, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie le 10.01.2020 pour bénéficier d'une duodéno-pancréatectomie céphalique selon Whipple. En peropératoire, le status montre une infiltration tumorale des vaisseaux mésentériques supérieurs avec une résection R0 impossible, la patiente bénéficie alors d'une double dérivation bilio-digestive. L'intervention se déroule sans complication, les suites postopératoires sont marquées par un état fébrile avec apparition de toux et de diarrhées importantes le 16.01.2020. Un CT scan thoraco-abdominal met en évidence des foyers de condensation pulmonaires bibasaux. Nous débutons alors une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone. Les coprocultures mettent en évidence un clostridium difficile, qui est traité par une antibiothérapie par Flagyl pour un total de 14 jours. L'évolution est par la suite favorable tant sur le plan clinique que biologique permettant un retour à domicile le 22.01.2020. Suite à la discussion au colloque onco-chirurgical du 15.01.2020, la patiente sera convoquée par le service d'oncologie pour débuter une radio-chimiothérapie palliative. Consultation postopératoire chez Dr. X le 10.02.2020 à 13h30. Mme. Y présente une gonarthrose tri-compartimentale prédominante fémoro-tibiale interne du genou droit. Je propose dans un premier temps un traitement conservateur avec physiothérapie. Je lui prescris 9 séances à but antalgique. Je la reverrai dans 3 mois pour une réévaluation clinique le 22.04.2020. En cas de persistance de la douleur, on pourrait éventuellement infiltrer le genou par Cortisone. En ce qui concerne l'épaule et le poignet, fin de traitement. Mme. Y est une patiente de 68 ans qui est hospitalisée pour la prise en charge d'un traumatisme crânien lors d'une chute à cheval le 08.01.2020, pour laquelle le bilan réalisé aux urgences retrouve une hémorragie frontale droite. La surveillance neurologique dès 24h est sans particularité et le scanner cérébral de contrôle le 09.01.2020 retrouve une diminution de l'hématome. L'évolution clinique étant favorable, la patiente retourne à domicile le 10.01.2020 avec un suivi ambulatoire à la consultation de neurochirurgie dans 4 semaines. Mme. Y est une patiente de 76 ans, qui nous est transférée depuis le service de gériatrie de Meryez où elle a été hospitalisée du 01.10.2019 au 24.10.2019 dans la suite d'un séjour en orthopédie à Fribourg pour une fracture infra-trochantérienne droite le 21.09.2019. Mme. Y est connue pour une insuffisance rénale terminale, dialysée 3x/semaine depuis le 14.02.2018 ; un syndrome de Meige, des troubles neuro-cognitifs modérés associés à des troubles dépressifs. La patiente nous est transférée pour la suite de sa réhabilitation. À son arrivée dans notre service, la patiente est désorientée et nous dit ne pas comprendre pourquoi et où elle a été transférée. Elle décrit une sensation de forte angoisse connue chez elle et signale être bien soulagée par le traitement par Temesta. Mme. Y est quand même bien orientée par rapport à ses antécédents médicaux. La patiente présente une cyphose dorsale sévère avec des troubles ventilatoires occasionnels et des râles crépitants en base droite connus (atélectase base droite). Une dystonie bucco-faciale est constatée dans le contexte de son syndrome de Meige. La force musculaire est à M5 aux membres supérieur et inférieur gauche et M2 au membre inférieur droit. Pas de trouble de la sensibilité. Pas de plainte sur le plan cardio-respiratoire et mictionnelle. Mme. Y vit chez son frère actuellement, au vu des travaux effectués en ce moment dans son appartement, où elle vit habituellement avec son mari. À la sortie, elle habitera dans un nouvel appartement de plain-pied sans escaliers. Avant son hospitalisation, la patiente se mobilisait sans moyens auxiliaires. Le 28.10.2019, soit 3 jours après son admission, la patiente développe un état fébrile dont le bilan permet de diagnostiquer une infection urinaire à Klebsiella pneumoniae. Dans le contexte de la dialyse, un avis néphrologique est demandé pour le choix de l'antibiothérapie. De la Vancomycine associée à de la Cefepime sont prescrites. Dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique sous dialyse, les séances sont poursuivies chez nous le mardi, jeudi et samedi. La mobilisation est quasi impossible en début de séjour, comme en témoigne une MIF physio de 3/21. Par la suite, les séances de physiothérapie permettent à la patiente d'effectuer les transferts couché-assis sous guidance verbale. Le passage de la position assise à debout peut être réalisé avec une légère aide en fin de séjour. Sur le plan fonctionnel global, la MIF est de 65/126. Un suivi par l'équipe d'ergothérapie est réalisé durant le séjour, le bilan modulaire d'ergothérapie montre une anosognosie et des troubles de la mémoire de travail et à court terme. Les praxies sont conservées. Une malnutrition protéino-énergétique avec un NRS 4/7 dans le cadre d'une dysphagie sur dystonie bucco-faciale et dans le cadre d'une achalasie déjà connue depuis 2003 justifie un suivi nutritionnel. Mme. Y a un GPR en place depuis 2018. En raison de troubles thymiques mal contrôlés, un avis psychogériatrique est demandé. La prescription de Brintellix et de Circadin est proposée mais pas introduite. En raison d'un potentiel de réhabilitation, la suite de la prise en charge sera faite en réhabilitation gériatrique. Mme. Y est une patiente de 77 ans connue pour une fracture infra-trochantérienne droite (21.09.2019) dans le contexte de troubles de la marche et de l'équilibre chroniques, pour une insuffisance rénale terminale dialysée 3x/semaine depuis le 14.02.2018, un syndrome de Meige, des troubles neuro-cognitifs modérés associés à des troubles dépressifs, qui est ce jour prise en charge en réhabilitation gériatrique. Dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique, la patiente poursuit son traitement en dialyse chez nous le mardi, jeudi et samedi. Un écoulement séreux autour de la gastrostomie est mis en évidence. Un prélèvement bactériologique réalisé montre une colonisation par Klebsiella, Staph. epidermidis et enterococcus. Au vu de la bonne évolution locale, sans rougeur, après des soins locaux, nous ne mettons pas en place de traitement antibiotique. Pendant son séjour, Mme. Y effectue des séances de physiothérapie en décharge initialement puis en charge complète par la suite après avis du Dr. X le 18.11.2019. À la sortie, son périmètre de marche est de 150 mètres avec un rollator. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 83/126 par rapport à 59/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 1/7). Le TUG se réalise en 36 secondes à l'aide du rollator. Sur le plan diététique, nous notons une malnutrition protéino-énergétique dans le cadre d'une dysphagie sur dystonie bucco-faciale et dans le cadre d'une achalasie déjà connue depuis 2003. Mme. Y a un GPR en place depuis 2018. Nous poursuivons l'adaptation alimentaire déjà mise en place et l'iso-source. Le poids cible de la patiente est de 52-53 kg.En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan cognitif, les tests réalisés le 20.11.2019 mettent en évidence un MMSE à 26/30 et un test de la montre à 6/6. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Au vu d'une évolution favorable, Mme. Y quitte notre service le 28.11.2019 avec la mise en place de soins à domicile comme suit : • 1x/jour pour les soins de la plaie, • 2x/jour pour les soins de base, • 2x/jour pour la mise en route et l'arrêt de l'alimentation. Mme. Y présente une lésion complexe de la corne postérieure du ménisque interne. La patiente est fortement gênée par cette lésion méniscale. L'indication pour une arthroscopie et résection partielle, avec suture de la corne postérieure du ménisque interne est donnée. La patiente est clairement informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord oral et signé pour cette intervention fixée au 16.01.2020 en ambulatoire. Mme. Y, âgée de 63 ans et connue principalement pour un syndrome des apnées obstructives du sommeil appareillé, un adénome hypophysaire et une hypertension artérielle traitée, consulte les urgences le 20.01.2020 en raison d'une dyspnée accompagnée d'une toux sèche et d'un état subfébrile depuis 1 semaine. A l'admission aux urgences, la patiente est normotendue, normocarde, subfébrile à 37.5°C et sature à 88% à l'air ambiant. L'examen clinique met en évidence des râles crépitants en base droite et des sibilances diffuses dans toutes les plages pulmonaires. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec CRP à 255 mg/l sans leucocytose. La gazométrie artérielle est normale avec une saturation en oxygène à 98%. La radiographie du thorax met en évidence 2 foyers pulmonaires dans les lobes supérieur et inférieur droits. Nous retenons le diagnostic de pneumonie bi-lobaire droite, complétons le bilan par la recherche des antigènes urinaires (Legionelle et pneumocoque), mettons en place des aérosols (Atrovent, Ventolin et Symbicort) et introduisons une antibiothérapie par Ceftriaxone iv et Clarithromycine per os. La patiente est hospitalisée dans notre service de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Sur le plan infectieux, les antigènes urinaires reviennent négatifs. Nous stoppons la Clarithromycine et continuons la Ceftriaxone iv. Une radiographie de contrôle le 24.01.2020 montre la disparition des foyers pulmonaires. L'antibiothérapie iv est poursuivie pour une durée totale de 6 jours (26.01.2020). Sur le plan biologique, nous observons une hypokaliémie que nous substituons per os. Nous constatons également une anémie normochrome normocytaire. Nous réalisons un bilan d'anémie qui met en évidence un déficit en acide folique pour lequel la patiente bénéficie d'une substitution orale pour une durée de 1 mois. Nous vous laissons le soin de poursuivre le suivi biologique. A signaler que la patiente a présenté à l'entrée des diarrhées qui se tarissent à l'arrêt de la Clarithromycine. Au vu de la bonne évolution clinique, biologique et radiologique, Mme. Y peut regagner son domicile le 27.01.2020. Mme. Y est suivie par Dr. X pour une déformation complexe des deux avant-pieds et est admise sur un mode électif en vue d'une prise en charge chirurgicale. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, avec bonne gestion de l'antalgie. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et le retour à la marche se fait en charge selon douleurs, sous protection de chaussures Barouk et de cannes anglaises. Durant son séjour, Mme. Y est sous prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour, traitement qui est stoppé à la sortie. Devant la bonne évolution clinique, Mme. Y peut retourner à domicile le 22.01.2020. Mme. Y, 84 ans, est transférée dans le service de médecine interne de l'HFR Riaz depuis les urgences de l'HFR Fribourg le 24.01.2020, dans le contexte d'un état confusionnel aigu d'origine probablement médicamenteuse (Zolpidem) avec possible consommation d'alcool concomitante. A son arrivée dans le service de médecine interne, la patiente présente une agitation psychomotrice. Elle bénéficie d'une évaluation psychiatrique par Dr. X qui propose l'introduction de Quétiapine d'office, de la Distraneurin en réserve et un arrêt du Zolpidem (Stilnox), estimé comme probable cause de l'état confusionnel. Le bilan biologique ne montre pas d'anomalie. Pendant son séjour, nous remarquons une bonne orientation dans le temps et dans l'espace chez une patiente qui présente toujours une légère agitation motrice (déambule constamment dans les couloirs). Une nouvelle évaluation est demandée auprès de Dr. X qui évoque l'hypothèse de troubles démentiels débutants et propose de réaliser un bilan neuropsychologique en ambulatoire le 28.02.2020 à 14h00 à l'HFR Riaz. Au vu de l'évolution favorable des symptômes, Mme. Y rentre à domicile le 31.01.2020. Mme. Y, 18 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'épisodes de lipothymies depuis environ 1 semaine. La patiente décrit avoir des épisodes de malaise sans perte de connaissance présente depuis 1 semaine, ainsi que des douleurs rétro-sternales. Elle décrit également une perte de poids depuis plusieurs mois, accompagnée d'épigastralgies après les repas, sans altération du schéma corporel ni comportement compensatoire. Elle décrit une incapacité à s'alimenter, en raison d'une satiété précoce. Elle est demandeuse d'une aide psychologique et somatique dans le but de mieux s'alimenter. Dans le bilan somatique, la patiente n'avait pas présenté de maladie coeliaque lors du bilan réalisé le 25.09.2017 et il n'y avait pas d'insuffisance pancréatique. La calprotectine est légèrement augmentée, raison pour laquelle nous vous proposons d'organiser une colonoscopie en ambulatoire. Une évaluation par l'équipe multi-disciplinaire de nutrition (médecins, diététicienne), ainsi que par nos collègues psychiatres est réalisée, avec mise en place d'un cadre, pour permettre une réhabilitation à l'alimentation. Une substitution vitaminique et électrolytique est mise en place. Une sonde naso-gastrique est mise en place le 18.12.2019, en raison d'une stagnation du poids malgré le cadre mis en place. La patiente n'a pas le profil pour bénéficier d'un séjour dans l'unité spécialisée dans les troubles du comportement alimentaire, selon discussion avec Dr. X, responsable des admissions. Dans l'évolution, sur le plan nutritionnel, la patiente réalise des progrès, avec majoration de l'alimentation per os. Les apports par la sonde naso-gastrique peuvent être diminués dès le 06.01.2019. De plus, les contrôles biologiques permettent un arrêt de la substitution électrolytique. Durant l'hospitalisation, la patiente fait régulièrement état des douleurs retro-thoraciques. Un ECG revient normal et les troponines sont dans la norme. Une radiographie thoracique se révèle sans particularité. Nous discutons avec la patiente de ne pas escalader dans les investigations dans l'état actuel des choses. Le 08.01.2020, la patiente développe une importante baisse de moral, en lien avec un éloignement par un membre de son entourage. Dans le cadre de cette souffrance aiguë, la patiente fait un tentamen de strangulation au sein de notre unité. Une minerve cervicale est mise en place, et la patiente est transférée le 08.01.2020 dans l'unité des soins intensifs pour la suite de la prise en charge, avec un entourage médico-soignant renforcé. Mme. Y, âgée de 68 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Tavel pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à des lombosciatalgies bilatérales invalidantes ainsi que pour la prise en charge de l'antalgie, le 24.12.2019.A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont moyennement contrôlées par l'antalgie en place. A l'anamnèse par systèmes, hormis les lombosciatalgies bilatérales exacerbant surtout lors de la mobilisation, la patiente n'a aucune plainte au niveau somatique. Les diarrhées sont en amélioration depuis son hospitalisation à l'HFR Riaz avec un traitement de Dexaméthasone dans le contexte des lombosciatalgies. Mme. Y décrit avoir des diarrhées en poussées depuis des années, avec beaucoup de glaires et ballonnement intestinal mais sans présence de sang. Pour rappel, une Calprotectine très élevée a été mise en évidence à l'HFR Tavel. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Les bruits abdominaux sont augmentés en fréquence et normaux en intensité. L'abdomen est souple et indolore. A l'examen neurologique, la force des membres inférieurs est conservée mais limitée par la douleur au niveau du muscle iléo-psoas bilatéralement. Hyposensibilité bilatérale au niveau du dermatome L5 et S1. Lasègue positif et test de Bragard positif bilatéralement. Le 08.01.2020, nous transférons Mme. Y à l'Inselspital en raison d'une incontinence fécale et urinaire nouvelle ainsi qu'une hypo-sensibilité péri-anale et déficit du sphincter anal. A l'examen neurologique des membres inférieurs, nous retrouvons une hypo-sensibilité déjà connue en territoire L5-S1 ainsi qu'une parésie M3-M4 du muscle quadriceps à gauche, des fléchisseurs et extenseurs de la cheville associée à une hyporéflexie gauche. De plus, exacerbation des douleurs lombaires irradiant dorsalement et bilatéralement à gauche plus qu'à droite à 10/10 sur l'EVA douleurs, sachant que la patiente n'a jamais été soulagée efficacement par l'antalgie en place (actuellement Palexia 350 mg/jour + réserves). La marche est très algique mais reste possible. Après discussion avec le neurochirurgien de garde Dr. X, nous retenons l'indication d'une IRM avec Gadolinium de D9 jusqu'au sacrum en raison d'une décompensation hyper-aiguë de la symptomatologie dans un contexte oncologique et de lésions dégénératives sévères. Mme. Y, 59 ans, nous est transférée le 31.12.2019 des soins intensifs de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge d'une exacerbation de BPCO non stadée d'origine probablement virale avec insuffisance respiratoire hypercapnique. Pour rappel, la patiente se présente aux urgences de Riaz le 30.12.2019 pour une dyspnée en péjoration depuis le 27.12.2019. Hormis une toux chronique sans modification récente, elle n'a pas d'autre plainte. La gazométrie initiale montre une acidose mixte, respiratoire non compensée avec insuffisance respiratoire globale. De la ventilation non invasive est débutée avant son transfert aux soins intensifs le 30.12.2019. L'évolution est favorable sous traitement bronchodilatateurs et corticoïdes per os. La patiente bénéficie de l'oxygénothérapie et de la physiothérapie respiratoire sans besoin de ventilation non invasive. L'absence d'argument pour un processus bactérien (absence de foyer radiologique, pas de syndrome inflammatoire) permet un arrêt rapide de la Levofloxacine. Il n'y a pas de documentation microbiologique aux cultures d'expectorations, le frottis de grippe est négatif. Au vu des allergies multiples aux antibiotiques (pénicilline, sulfamides, céphalosporines) avec notion d'angioedème dans le passé, une consultation allergologique s'avère souhaitable. Au vu de l'exacerbation d'une BPCO non stadée, nous vous proposons d'organiser une consultation pneumologique en ambulatoire afin de réaliser des fonctions pulmonaires. Sur le plan biologique, nous observons une macrocytose sans anémie pour laquelle nous complétons le bilan par un dosage des folates, de la vitamine B12 et de la TSH. Nous vous laissons le soin de pister les résultats de laboratoire. Mme. Y refusant une réadaptation à l'HFR Billens pour la BPCO, elle rentre à domicile le 02.01.2020. Mme. Y, 18 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance suite à une tentative de suicide par pendaison ce 08.01.2020. La patiente est hospitalisée en médecine interne depuis le 08.12.2019, en raison d'une malnutrition protéino-énergétique grave dans le cadre d'un probable trouble du comportement alimentaire. Une sonde naso-gastrique est mise en place le 18.12.2019 avec suivi par l'équipe médico-soignante de nutrition. L'évolution est favorable avec reprise progressive de poids et absence de nécessité de substitution électrolytique. Le 08.01.2019, la patiente fait un tentamen par pendaison après avoir averti l'équipe infirmière du service et l'avoir entendu entrer dans la chambre. Une dépendaison a pu être effectuée immédiatement alors que la patiente avait perdu connaissance. Elle s'est rapidement réveillée sans déficit neurologique. Le bilan radiologique par CT-scan est rassurant. La patiente motive son acte suite à l'annonce de son compagnon d'une éventuelle rupture. L'évaluation psychiatrique réalisée le 09.01.2020 pose l'indication à une hospitalisation d'office à fins d'assistance en milieu psychiatrique à fin à Marsens pour mise à l'abri chez cette patiente qui dit ne pas avoir de pathologie psychiatrique et ne pas avoir voulu mourir. Mme. Y est transférée ce 09.01.2020 en mode PAFA au RFSM de Marsens. Mme. Y est une patiente de 78 ans qui nous est adressée pour la suite de prise en charge d'un léiomyosarcome de la jambe droite. Pour rappel, Mme. Y a bénéficié au CHUV d'une excision en bloc puis cimentage le 14.11.2019 avec, par la suite, un enclouage centromédullaire du tibia droit avec un changement du ciment et une couverture par lambeau musculaire pédiculé du jumeau interne gauche couvert de peau mince le 28.11.2019. Dans les suites opératoires, Mme. Y a présenté une déhiscence de la greffe de peau mince, traitée par des soins locaux avec une hospitalisation au service d'orthopédie de l'HFR Riaz. Lors du dernier contrôle, le 19.12.2019, la greffe semble bien prendre, avec une évolution favorable. Un protocole de pansement est mis en place au CHUV. Notons également une thromboprophylaxie qui devra être poursuivie durant 6 semaines puis réévaluée à votre consultation. Un contrôle radioclinique a eu lieu le 10.01.2020 à la consultation du Dr. X avec un changement de protocole des pansements. Sur le plan biologique, une anémie normochrome normocytaire non régénérative a été mise en évidence au labo du 30.12.2019. Le bilan étiologique montre une carence martiale que nous substituons en IV, ainsi qu'une carence en folates que nous substituons per os. Durant son séjour, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche est de 120 mètres à l'aide d'un tintébin à 2 roues et peut gravir les escaliers à l'aide de 2 rampes. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 92/126 par rapport à 77/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 1/7). Le TUG se réalise en 46 secondes à l'aide du rollator. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel ne retrouve aucun problème nutritionnel. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 26.12.2019 mettent en évidence un MMSE à 29/30, un test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15.Le 17.01.2020, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : • 3x/semaine pour les soins de la plaie, • 3x/semaine pour les soins de base, • 2x/jour pour le contrôle de la santé, • antalgie. Nous recommandons également un suivi régulier à votre consultation, ainsi qu'un suivi chez le Dr. X pour la suite de la prise en charge du léiomyosarcome avec un contrôle d'imagerie dans 3 mois. Mme. Y est une patiente de 91 ans qui est amenée en ambulance aux urgences pour une chute survenue le 24.12.2019. Mme. Y dit être partie en arrière en se réceptionnant sur le dos sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. Un membre de sa famille présent l'a aidée à se lever. Devant la persistance de la douleur au niveau du dos, ainsi que la peur de chuter à nouveau, la patiente nous est adressée. De plus, vous aviez constaté des douleurs à la hanche droite que Mme. Y n'accuse pas à son admission aux urgences. Sur le plan social, Mme. Y habite dans une maison avec un étage à la Roche, se déplace à l'aide d'une canne, prend ses repas chez sa fille, bénéficie d'une aide au ménage, d'un service d'aide à domicile mais n'a pas de soins à domicile. A son admission en gériatrie, Mme. Y est calme et collaborative, rapporte des dorsalgies localisées en regard des vertèbres T2-T3 sans autre symptôme associé. La radiographie du 27.12.2019 ne montre que des modifications dégénératives sans fracture associée. Après instauration d'un traitement antalgique sous Tramal, les dorsalgies s'estompent progressivement. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à un traitement antalgique si les douleurs récidivent. Le bilan biologique réalisé le 27.01.2020 met en évidence une hypokaliémie à 3.0 mmol/l ainsi qu'une hypomagnésémie à 0.75 mmol/l sur une insuffisance d'apport pour laquelle une substitution en intra-veineux le 27.12.2019 avec un relais per os du 27.12.2019 au 01.01.2020 est mise en place suivie d'une bonne évolution biologique. Le reste du bilan montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 107 mg/l sans franche leucocytose, que nous attribuons au contexte de la chute, au vu d'une absence de piste clinique franche. Nous attirons votre attention sur le fait que Mme. Y présente, durant son hospitalisation, un profil tensionnel élevé malgré la poursuite du traitement habituel sous Beloc 50 mg ainsi que du Coversum ; raison pour laquelle nous majorons le traitement antihypertenseur avec l'introduction de l'Amlodipine 5 mg. Par la suite, nous parvenons à des valeurs tensionnelles plus adaptées et nous vous laissons le soin de pister ces valeurs et d'adapter le traitement si besoin. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 27.12.2019 au 10.01.2020. Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. La patiente se mobilise sur une distance de 200 mètres à l'aide d'une canne et peut gravir 18 marches d'escaliers à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 98/126 par rapport à 91/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 6/7). Le TUG se réalise en 24 secondes. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée, en lien avec une baisse de l'état général, et démontrée par un NRS à 4/7. Nous recommandons une prise en charge nutritionnelle avec la mise en place de potages enrichis accompagnés de suppléments nutritifs oraux. Nous vous invitons à surveiller le poids de Mme. Y avec un poids cible à 46 kg, et de procéder à une commande de suppléments nutritifs oraux si le poids tend à diminuer, comme préconisé par nos collègues diététiciens. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 07.01.2020 montrent un MMS à 29/30, un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Le 10.01.2020, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : • 2x/semaine pour les signes vitaux, • 2x/semaine pour les soins de base ; • ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mme. Y se présente initialement à la permanence de Meyriez pour une faiblesse des membres inférieurs prédominant à droite. En raison d'une anamnèse de gastro-entérite quelques jours auparavant, la patiente est transférée à l'HFR Fribourg sur avis neurologique pour suspicion d'un syndrome de Guillain-Barré. Aux urgences de Fribourg, les réflexes achilléens sont normovifs et symétriques. Une ponction lombaire n'est donc pas effectuée. L'IRM de la colonne dorsale et lombaire ne met pas en évidence d'atteinte de la moelle ou des racines nerveuses. La patiente bénéficie d'une antalgie par opiacés, de séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Sur l'IRM de la colonne dorsale et lombaire, nous visualisons une imposante infiltration de la graisse pré-sacrée. Le CT abdominal retrouve cette importante infiltration liquidienne de la graisse pré-sacrée ainsi qu'un épaississement irrégulier prenant le contraste de la paroi rectale postérieure du rectum de 4h à 8h en position gynécologique. A la rectosigmoïdoscopie, l'aspect macroscopique est normal. A l'écho endoscopie rectale, la paroi du rectum est sans particularité. L'examen gynécologique est également dans la norme. Cette infiltration pré-sacrée peut être expliquée par les nombreuses opérations abdominales de la patiente. Nous vous proposons néanmoins d'effectuer une IRM du petit bassin dans 1-2 mois si les biopsies rectales étaient normales. La patiente est transférée le 20.01.2020 à Tavel en gériatrie aiguë. Mme. Y, patiente de 45 ans, est hospitalisée en raison d'un AVC ischémique sur occlusion de l'artère cérébrale moyenne gauche au segment M2 d'étiologie indéterminée. Cette patiente, institutionnalisée à la Traversée, est amenée en ambulance depuis les urgences de Payerne pour suspicion d'AVC le 02.01.2020. Pour rappel, la patiente avait présenté à 08h15 une dysarthrie et une parésie faciale non présentes au réveil le matin même. Aux urgences de l'HFR, une lyse est réalisée sur avis neurologique, puis la patiente est transférée à l'Inselspital de Berne pour l'évaluation d'un traitement endovasculaire, dont l'indication n'est pas retenue. Une IRM cérébrale de contrôle à l'Inselspital montre une recanalisation du segment M2. La patiente est alors hospitalisée dans nos soins intensifs à l'unité monitorée de Stroke pour suite de prise en charge. Aux soins intensifs, la patiente est hémodynamiquement stable et un NIHSS est calculé à 1 point pour une parésie faciale droite persistante. En raison d'un profil tensionnel haut avec des TAS supérieures à 180 mmHg, du Labétalol est introduit avec un relais par TNT vu l'apparition d'un bronchospasme aigu. Ce dernier est traité avec de l'Optiflow et des bronchodilatateurs en continu le 02.01.2020 avec une évolution favorable. Un scanner de contrôle le 03.01.2020 permet d'exclure une transformation hémorragique. La patiente est transférée à l'étage de médecine le 03.01.2020 pour suite de prise en charge. Dans le bilan étiologique, on retient un tabagisme actif à 2-3 paquets par jour, une hémoglobine glyquée à 6.1 %, et un profil lipidique et tensionnel mal contrôlé. Un traitement de Lisinopril est introduit le 03.01.2020 permettant un meilleur contrôle tensionnel. La surveillance hémodynamique en unité monitorée ne permet pas de déceler de troubles du rythme. Une échocardiographie transthoracique est réalisée le 06.01.2020 et ne retrouve notamment pas de FOP, de valvulopathie ou dilatation cavitaire significatives. A noter cependant, qu'en présence d'un AVC chez une patiente jeune, l'exclusion d'un FOP par une échocardiographie trans-oesophagienne est proposée si le bilan étiologique devait rester négatif. Un enregistrement par ECG Holter sur 48h est également réalisé du 07.01.2020 au 09.01.2020 à la recherche d'une fibrillation auriculaire, dont les résultats sont encore en cours et nous vous prions de les pister.Au vu d'une évolution satisfaisante, Mme. Y peut retourner dans son foyer le 09.01.2020 en bon état général, malgré une parésie faciale droite partielle discrète persistant à sa sortie. Mme. Y, 45 ans, est admise aux soins intensifs à l'unité stroke monitoré pour un AVC ischémique sur occlusion de l'artère cérébrale moyenne gauche au segment M2 le 02.01.2020. Cette patiente, institutionnalisée à la Traversée, est amenée en ambulance depuis les urgences de Payerne pour suspicion d'AVC. Le matin du 02.01.2020 à 08h15, elle présente une dysarthrie et une parésie faciale non présente au réveil à 7h00 du matin. Aux urgences de l'HFR, une lyse est réalisée, puis la patiente est transférée à l'Insel pour évaluation d'une TEV. L'indication à une TEV n'est pas retenue, l'IRM cérébrale de contrôle montre une recanalisation du segment M2. La patiente est retransférée à l'HFR. À son arrivée aux soins intensifs, la patiente est hémodynamiquement stable. Elle présente un score de NIHSS à 1 (persistance d'une paralysie faciale mineure). En raison d'un profil tensionnel haut avec des TAS supérieures à 180 mmHg, du Labétalol est introduit avec relais par TNT vu l'apparition d'un bronchospasme aigu. Ce dernier est traité avec de l'optiflow et des bronchodilatateurs en continu avec évolution favorable. Un scanner de contrôle le 03.01 permet d'exclure une transformation hémorragique. Dans le bilan étiologique, on retient un tabagisme actif à 2-3 paquets par jour, une hémoglobine glyquée à 6.1 %, et un profil lipidique et tensionnel mal contrôlé. La surveillance hémodynamique ne permet pas de déceler de troubles du rythme. Une échocardiographie et un enregistrement holter sont demandés. La patiente est transférée le 03.01.2020 en stroke unit. Mme. Y est hospitalisée pour une sténose duodénale dans le contexte de son adénocarcinome du côlon traité par chimiothérapie palliative. Elle présente à son entrée des nausées et vomissements biliaires incoercibles ainsi qu'une malnutrition protéino-énergétique grave depuis un mois. Le scanner abdominal du 05.12.2019 montre une récidive locale avec une infiltration de la graisse périphérique, du duodénum et de l'uretère droit avec dilatation pyélocalicielle. Sur le plan symptomatique, un traitement anti-émétique et une sonde naso-gastrique sont introduits sans amélioration clinique. Sur le plan abdominal, une suspicion de subiléus le 04.01.20 motive une radiographie abdominale montrant une coprostase sans niveau hydro-aérique pathologique et une dilatation gastrique. La patiente est mise à jeun du 04.01 au 07.01.20 et un traitement d'érythromycine est introduit sur trois jours pour stimulation intestinale. La sonde naso-gastrique est ensuite changée pour une sonde naso-jéjunale à but de renutrition entérale. Au vu de la persistance des vomissements, un CT abdominal révèle un emplacement gastrique de la sonde naso-jéjunale. L'alimentation entérale est stoppée pour une nutrition parentérale sur picc-line. Un avis gastro-entérologique et chirurgical est demandé et une dérivation gastro-jéjunale est réalisée le 15.01.2020 sans complication notable. La réalimentation progressive débutée le 17.01.20 est bien tolérée. La poursuite de l'adaptation de la nutrition parentérale sera réalisée au cours de son séjour à la Villa St-François. Sur le plan oncologique, la chimiothérapie prévue le 06.01.20 est réalisée sans complication et la suite sera prévue en ambulatoire. Sur le plan biologique, une thrombocytopénie, une anémie ainsi qu'une leucopénie progressives sont mises en évidence le 16.01.2020 dans le contexte post-opératoire et de chimiothérapie. Nous suspectons un HIT, raison pour laquelle un dosage des anticorps anti-PF4 est demandé et les résultats sont encore à pister. Nous notons une amélioration au cours de son séjour. Au vu de l'amélioration clinique, une réadaptation palliative à la Villa St-François est possible dès le 27.01.20. Mme. Y nous est transférée depuis le HFR Fribourg pour effectuer une réhabilitation neurologique intensive dans le cadre de la décompensation d'un trouble neurologique fonctionnel connu de longue date et suivi à l'Inselspital, dont le bilan lésionnel est négatif (CT scan cérébral). La patiente habite actuellement avec son ex-mari et ses 2 enfants. Elle travaille à temps partiel en tant que réceptionniste dans l'atelier d'un centre protégé. Elle était autonome et indépendante avant l'hospitalisation, mais présentait depuis longtemps des crises, avec des manifestations neurologiques complexes comme céphalées, tremblements, faiblesse de l'hémicorps G, absences de productions verbales variablement associées. À l'entrée dans le service, Mme. Y est dans un état stable, orientée dans les 3 modes et vigilante. Le discours est informatif mais elle présente une dysarthrie légère (parle avec un accent). Pas de troubles de la compréhension ou de la production orale et écrite. Pas d'acalculie, Serial 7 et test des 3 mots dans la norme. La production des gestes symboliques, l'utilisation des objets, la représentation graphique d'un cube et les praxies bucco-linguo-faciales sont sans particularité. Il n'y a pas de persévération, le test des frises de Luria est normal, ainsi que le go/nogo et le test des consignes contradictoires. Il n'y a pas de grasping et le réflexe palmo-mentonnier n'est pas évoqué. L'acuité visuelle est référée comme normale. Il n'y a pas d'altération de l'oculomotricité ni amputation des champs visuels. La motricité du visage est dans la norme mais il y a une hyposensibilité de l'hémiface à gauche. La force musculaire est à M4/5 dans l'hémicorps droit, force maximale de l'hémicorps gauche à M4 mais avec forte variabilité (M2/3 minimale) de cette dernière en fonction du degré d'attention de l'examinateur. Le tonus et les réflexes ostéotendineux sont globalement normaux. La motricité fine est légèrement déficitaire à gauche, il n'y a pas de signe de Hoffmann-Tromner ni de Babinski. La sensibilité tactile superficielle est globalement réduite dans l'hémicorps gauche, la pallesthésie est à 4 au niveau rotulien et malléolaire gauche, à 6 dans les autres proéminences osseuses. Il n'y a pas de dysdiadococinésie, le Rebound est normal bilatéralement. À l'épreuve doigts-nez, il y a une dysmétrie bilatérale énormément exagérée et variable à gauche, inchangée à la fermeture des yeux. Le test talon-genou est dans la norme. À la station debout, pas de danse des tendons, Romberg positif avec instabilité surtout du tronc et mouvements rotatoires des membres supérieurs, sans chute. La marche est à polygone de sustentation élargi, instable avec extension des membres inférieurs. Les status cardio-pulmonaire et abdominal sont sans particularité. Mme. Y peut initialement bénéficier d'une neuroréhabilitation multidisciplinaire avec une légère amélioration des troubles moteurs et un bon contrôle des céphalées. Toutefois, contre l'avis médical, elle décide de quitter notre service le 31.01.2019. Elle décide de maintenir un voyage prévu au Nord de l'Italie avec sa fille de 17 ans. Son ex-mari, qui est responsable de la fille, est informé de l'avis médical contraire et autorise la sortie anticipée de Mme. Y et autorise sa fille à partir avec sa maman, et en assume la responsabilité. Un entretien est organisé entre la fille et l'équipe médicale du service pour confirmer sa volonté de partir avec sa mère ainsi que l'information et l'acceptation du papa. Des conseils lui sont prodigués et il lui est demandé notamment d'appeler l'ambulance en cas de crise, avec explication de la situation des troubles fonctionnels de la maman. Une copie du rapport pourra alors être envoyée aux équipes en charge de Mme. Y.PROCEDURES: • Sortie avec retour à domicile • Poursuite de la prise en charge avec le Dr. X de l'Inselspital de Berne Mme. Y est une patiente de 90 ans, connue pour une maladie tri-tronculaire sous aspirine, hospitalisée suite à un trauma crânien suite à une chute mécanique avec formation d'un hématome sous-dural ainsi qu'une petite plaie frontale. Le CT scan de contrôle montre une stabilité de l'hématome, permettant une reprise de son traitement par aspirine et un retour à l'EMS le 07.01.2020. Mme. Y est une patiente de 87 ans qui réside au Foyer St-Joseph à Vuadens et qui nous est adressée pour une baisse de l'état général avec une toux persistante depuis des semaines, traitée par Co-Amoxicilline 625 mg du 22.11.2019 au 29.11.2019. A son admission, Mme. Y présente une toux persistante associée à des expectorations, sans douleur ni palpitations. Le reste de l'anamnèse est peu contributif au vu du manque de compliance de la patiente. Mme. Y est afébrile et hémodynamiquement stable. Le statut cardiovasculaire est normal. A l'auscultation pulmonaire, nous constatons la présence de râles bibasaux prédominants à droite sans signe de tirage ou de cyanose. Le statut abdominal et le statut urologique sont normaux. La radiographie du thorax réalisée le 17.12.2019 est sans particularité. Nous retenons donc une infection des voies respiratoires supérieures pour laquelle nous préconisons un traitement symptomatique. L'ECG du 16.12.2019 montre un rythme sinusal avec un bloc atrio-ventriculaire de 1er degré ainsi qu'un bloc de branche droit (déjà présent sur l'ancien ECG) et des ondes T pointues et amples en V5 et V6. Le bilan biologique effectué met en évidence une acutisation d'une insuffisance rénale chronique avec une créatinine à 206 umol/l et une urée à 17 mmol/l d'origine pré-rénale sur déshydratation. L'évolution suite à une hydratation IV est favorable avec une créatininémie à la sortie à 141 umol/l (valeurs habituelles). Une hyperkaliémie à 6.2 mmol/l aussi retrouvée à l'entrée est attribuée à l'insuffisance rénale et évolue favorablement sous un schéma Insuline-Glucose. La kaliémie à la sortie est à 4.9 mmol/l. Par ailleurs, une anémie normocytaire normochrome arégénérative à 96 G/l est mise en évidence. Un bilan vitaminique et martial est sans particularité. Au vu de l'absence des éléments anamnestiques pour une spoliation digestive, avec aussi un examen clinique dans la norme, nous attribuons cette anémie connue de longue date à l'insuffisance rénale chronique pour laquelle nous vous proposons d'évaluer la pertinence d'un traitement par érythropoïétine sous-cutanée. Pendant son séjour, Mme. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 17.12.2019 au 24.12.2019. Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. La patiente peut se déplacer sur une distance de 130 mètres avec l'aide d'un rollator et peut gravir les escaliers à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 59/126 par rapport à 55/126 à son entrée (MIF physio : transferts 5/7, déplacements 6/7, escaliers 3/7). Le TUG s'effectue en 23 secondes à l'aide d'un rollator. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan nutritionnel, nous mettons en évidence une malnutrition protéino-énergétique avec un score NRS à 4 points, motivant un suivi diététique avec aussi des repas fractionnés enrichis. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 24.12.2019 montrent un MMSE à 12/30, un test de l'horloge à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression n'est pas évaluée en raison du manque de compliance de Mme. Y. Le 24.12.2019, Mme. Y quitte notre service et regagne le Foyer St-Joseph de Vuadens où elle réside, avec un suivi régulier à votre consultation. Mme. Y, 74 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'une suspicion d'épilepsie. Selon l'hétéro-anamnèse avec la famille, la patiente n'est plus réveillable après un moment de sieste, raison pour laquelle la famille appelle l'ambulance, avec un GCS oscillant entre 10 et 15 en présence de nos collègues ambulanciers. Un angio-CT cérébral et une IRM cérébrale ne révèlent pas d'hémorragie ou d'ischémie aiguë. Un EEG ne montre pas de signe irritatif. Un traitement de Levetiracetam initialement introduit peut être stoppé au vu de l'absence de signe d'épilepsie. Nous suspectons un état confusionnel aigu hypoactif comme cause des troubles de l'état de conscience. Dans ce contexte, une infection urinaire est traitée par Bactrim pour une durée totale de 7 jours. L'évolution favorable permet à la patiente de regagner son domicile le 24.01.2020 entourée des soins à domicile. Mme. Y présente une lésion partielle du LCA du genou droit. Je propose de poursuivre un traitement conservateur. Elle ira faire de la physiothérapie pour la rééducation du genou. Je lui prescris une genouillère articulée type genu-train qu'elle peut porter à but antalgique. Elle marchera en charge complète donc une thrombo-prophylaxie n'est pas nécessaire. Elle reste en arrêt de travail à 100% jusqu'au 2.2.2020, reprise prévue à 100% dès le 3.2.2020. Je la reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation clinique le 4.3.2020. Mme. Y, 39 ans, connue pour une néphropathie à IgA dans le cadre d'un purpura de Schönlein-Henoch, est hospitalisée en raison d'une pyélonéphrite gauche associée à une cystite hémorragique. La patiente présente une hématurie macroscopique, associée à des brûlures mictionnelles et des douleurs suspubiennes. À noter également une sensibilité de la loge rénale gauche. Le bilan biologique permet de retenir une infection urinaire avec pyélonéphrite gauche associée à une cystite hémorragique, pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie par Ceftriaxone intraveineuse. Vu l'évolution clinique rapidement favorable, le relai oral se fait par Ciprofloxacine après 48h d'antibiothérapie intraveineuse, pour une durée totale de 7 jours. Concernant la néphropathie à IgA connue, la récolte d'urines de 24h montre une hyperfiltration glomérulaire pour laquelle les néphrologues proposent de compléter les investigations par un dosage de l'hémoglobine glyquée et des immunoglobulines. Ils proposent également d'effectuer un dosage de la ferritine. Ces investigations n'ont pas été effectuées durant l'hospitalisation. Si cette dernière est abaissée, la recherche d'une maladie coeliaque est à envisager car souvent associée aux néphropathies à IgA. Mme. Y rentre à domicile le 30.01.2020. Elle prendra rendez-vous auprès du Dr. X pour un contrôle néphrologique à distance de l'infection urinaire. Mme. Y, 59 ans, est admise aux soins intensifs pour des troubles de l'état de conscience sur tentamen médicamenteux le 02.01.2020. Cette patiente est retrouvée avec des troubles de l'état de conscience dans un centre commercial. Elle aurait pris 20 mg de Temesta, 20 comprimés de Tramadol et 300 mg de mydocalm (anamnèse fluctuante). Le bilan biologique se révèle normal, hormis une discrète insuffisance rénale connue et stable. Le screening urinaire pour alcool, paracétamol et antidépresseurs tricycliques est négatif. La surveillance neurologique est rapidement favorable. La surveillance aux soins intensifs se déroule sans complication. Un consilium psychiatrique ne retient pas la visée suicidaire au geste, la patiente ayant précisé avoir été spécifiquement dans un lieu public pour être retrouvée et prise en charge, mais a pris ces médicaments intentionnellement dans l'objectif de se soulager de ses souffrances et angoisses. La patiente est transférée de manière volontaire à l'hôpital psychiatrique de Marsens pour suite de prise en charge le 03.01.2020. Mme. Y, connue pour les antécédents susmentionnés, se présente à l'HFR Fribourg pour une angioplastie élective des membres inférieurs par le Dr. X. À son arrivée, la patiente n'a aucune plainte. Les pouls périphériques ne sont pas palpables mais sont présents au Doppler. Les interventions ont lieu le lundi 09.12.2019 au niveau du membre inférieur gauche et le mercredi 11.12.2019 sur le membre inférieur droit, avec mise en place d'un traitement antalgique par Fentanyl. Le 11.12.2019, suite à l'angioplastie, un hématome sur la partie proximale postérieure du mollet droit apparaît immédiatement en post-opératoire, pour lequel un contrôle échographique en angiologie préconise un pansement compressif. Sur la nuit, l'hématome progresse au niveau de la jambe, devenant extrêmement douloureux. L'angio-scanner montre une absence de saignement actif, mais le bilan biologique montre une anémie à 84 g/dl et la patiente présente cliniquement un syndrome des loges postérieur. Une fasciotomie postérieure a lieu immédiatement le 12.12.2020 avec en intra-opératoire des muscles vitaux et réactifs et une loge latérale souple. Au vu d'une mauvaise évolution de la laparotomie, des prélèvements mettent en évidence des Klebsiella pneumoniae et Pseudomonas aeruginosa pour lesquels nous demandons un avis infectiologique et débutons un traitement par Imipenem pour une durée de 7 jours. Des révisions au bloc opératoire de la fasciotomie médiale sont effectuées jusqu'au 02.01.2020. Mme. Y bénéficie d'une greffe de Tiersch le 02.01.2020. L'évolution est alors favorable. Sur le plan neurologique, la patiente présente un état confusionnel le 18.12, mis sur le compte d'une accumulation d'opiacés en absence de lésion cérébrale à l'imagerie et sans argument clinique des collègues neurologues. La patiente présente également un traumatisme crânien le 08.01.2020 sur chute mécanique. Le CT met en évidence un hématome sous-galéal occipital gauche avec une épaisseur mesurant 3 mm et une hémorragie punctiforme sous-durale de contre-coup en parafalcoriel frontal droit. Le CT de contrôle du 09.01.2020 est superposable. Mme. Y part en réadaptation le 29.01.2020. Mme. Y est hospitalisée pour une exacerbation aiguë de BPCO stade III groupe D selon GOLD d'origine infectieuse sans germe identifié. Le CT thoracique ne retrouve pas de pneumonie ni d'embolie pulmonaire. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Lévofloxacine PO du 05.01 au 09.01.2020, d'une corticothérapie systémique par Prednisone PO du 05.01 au 07.01.2020, d'aérosols de Ventolin et Atrovent et de physiothérapie respiratoire. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mme. Y rentre à domicile le 07.01.2020. Mme. Y est une patiente de 26 ans enceinte à 16 semaines d'aménorrhée qui se présente aux Urgences pour des douleurs en fosse iliaque droite depuis la veille. Un ultrason abdominal met en évidence une appendicite aiguë et la patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 27.01.2020. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont favorables. Après un ultrason de contrôle par nos collègues de Gynécologie qui montrent une bonne viabilité fœtale sans signe de complication, la patiente peut retourner à domicile le 29.01.2020. Mme. Y, 86 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une acidose respiratoire sévère avec troubles de l'état de conscience sur exacerbation d'un syndrome restrictif d'origine infectieuse, avec également une décompensation cardiaque gauche sur insuffisance diastolique le 07.01.2020. Cette patiente sous oxygène à domicile est retrouvée inconsciente par son infirmière à domicile. À son arrivée aux urgences, le GCS est à 7. La gazométrie révèle une acidose respiratoire sévère avec hypercapnie marquée. Un traitement par ventilation non invasive est rapidement débuté, avec résolution progressive de l'état de conscience. Devant l'état de conscience diminué et l'absence d'anamnèse claire, un scanner cérébral est effectué qui revient sans signe de saignement ni d'ischémie. L'exacerbation du syndrome mixte oxygéno-requérant est attribuée à une infection pulmonaire. Un traitement par co-amoxicilline, glucocorticoïdes et aérosols de bronchodilatateurs est instauré avec évolution favorable. Des séances de ventilation non invasive intermittente permettent la restauration d'un état de conscience normal et la normalisation des échanges gazeux. Nous proposons la réalisation d'un test de fonction respiratoire à distance de cette exacerbation afin de confirmer le diagnostic de BPCO et adapter le traitement bronchodilatateur selon le stade de la maladie. Au cours de l'hospitalisation, la patiente présente une décompensation cardiaque gauche, investiguée par échocardiographie, qui révèle une insuffisance cardiaque diastolique, caractérisée par des œdèmes aigus du poumon nocturnes répétés dès l'augmentation de la TAs >135, nécessitant la poursuite du traitement par VNI, l'introduction de furosemide iv et l'administration transitoire de TNT et de morphine ainsi que l'optimisation de ses traitements hémodynamiques. Une fibrillation auriculaire rapide paroxystique sur hypovolémie induite par le traitement diurétique, sans répercussion hémodynamique, nécessite la majoration du traitement bêtabloquant, un remplissage hydrique intraveineux et un bolus d'amiodarone qui permettent une cardioversion rapide en rythme sinusal. La patiente est transférée dans le service de médecine interne le 10.01.2020.Au cours de l'hospitalisation, la patiente présente une décompensation cardiaque gauche, investiguée par échocardiographie qui révèle une insuffisance cardiaque diastolique, caractérisée par plusieurs épisodes de décompensation cardiaque en particulier la nuit, nécessitant la poursuite du traitement par VNI, l'introduction de furosemide iv et l'administration transitoire de TNT et de morphine. La bonne évolution clinique permet un relais par Torasémide 10 mg/j per os. Une fibrillation auriculaire rapide paroxystique favorisée par une hypovolémie induite par le traitement diurétique, sans répercussion hémodynamique, nécessite la majoration du traitement bêtabloquant, un remplissage hydrique intraveineux et un bolus d'amiodarone qui permettent une cardioversion en rythme sinusal. En raison d'un CHA2DS2VASc score à 6 l'introduction d'une anticoagulation thérapeutique est à discuter. Cette patiente vivant chez sa fille travaillant à 100 % et avec un maintien à domicile compliqué est en attente d'un placement EMS. Elle reste hospitalisée au sein de l'HFR Fribourg bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée le 22.01.2020. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 88 ans, vivant seule à domicile, qui est hospitalisée le 24.12.2019 pour une pneumonie communautaire et infection urinaire non compliquée. Pour rappel, Mme. Y se présente aux urgences, en raison d'une dyspnée au repos nouvelle ainsi qu'une aggravation des douleurs lombaires. Le bilan d'entrée montre un syndrome inflammatoire et le sédiment urinaire est positif. La radiographie du thorax montre un foyer infectieux basal droit correspondant à l'auscultation pulmonaire. Nous concluons à une pneumonie et une probable infection urinaire gauche non compliquée, que nous traitons par ceftriaxone et Klacid avec arrêt de ce dernier une fois les antigènes urinaires revenus négatifs. Le bilan biologique montre également une anémie microcytaire d'origine indéterminée. Un contrôle biologique montre des valeurs de vitamine B12, acide folique et fer dans la norme. Une anémie d'origine inflammatoire ne peut pas être écartée. Nous vous laissons le soin de faire un contrôle biologique à distance de la phase aiguë. Nous adaptons le traitement analgésique en raison des lombalgies. Sur le plan cardiaque, en raison du risque de fibrose pulmonaire, nous arrêtons le traitement avec Cordarone. A noter que Mme. Y présente une dysphagie ainsi qu'une dysarthrie résiduelle d'un AVC droit non daté. Nous avons adapté le régime alimentaire (haché-fin, étape 3). Sur le plan social, Mme. Y habite seule à domicile et n'a pas d'enfants. Dans le même bâtiment habitent sa belle-sœur et sa nièce, qui aident la patiente pour les AVQ ainsi que pour les repas. Mme. Y marche sans moyens auxiliaires, mais selon l'anamnèse familiale, la patiente présente de plus en plus de troubles de la marche, mais n'accepte pas un rollator à la maison. Son appartement présente 12 marches d'escaliers. En raison d'un désentraînement général dû à l'état infectieux, nous organisons un séjour en réhabilitation gériatrique et la patiente est transférée le 09.01.2019 à l'HFR Riaz. Mme. Y, patiente de 86 ans, connue notamment pour un m. Waldenström actuellement en rémission partielle, est hospitalisée en raison d'une pneumonie le 10.01.2020. La patiente se plaint de symptômes d'une infection virale des voies aériennes depuis le 01.01.2020, avec péjoration de la dyspnée et de la toux et un état fébrile le 07.01.2020 motivant l'appel de Med Home. Une antibiothérapie orale empirique par Amoxicilline et un traitement de Prednisone sont commencés. En raison d'une mauvaise évolution avec récidive fébrile et dyspnée aiguë sur la nuit du 10.01.2020, elle se présente au service des urgences où l'examen clinique et la radiographie font suspecter une pneumonie. Mme. Y est mise au bénéfice d'une antibiothérapie par Rocéphine et Clarithromycine ainsi qu'un traitement symptomatique permettant une excellente évolution clinique et biologique et un retour à domicile le samedi 18.01.2019. Des tensions artérielles hautes étant retrouvées lors de l'hospitalisation, un traitement par Amlodipine 10 mg est introduit avec bonne évolution. Nous vous laissons le soin de suivre le profil et adapter le traitement en conséquence. Mme. Y, patiente de 77 ans connue notamment pour une fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto, consulte les urgences le 14.12.2019 en raison de nausées et de vomissements (>10 épisodes) biliaires accompagnés de fièvre, de douleurs abdominales diffuses sous forme de crampes et de 4 épisodes de diarrhées. A signaler que la patiente était sous antibiothérapie jusqu'au 05.12.2019 pour une pneumonie. A l'admission aux urgences, la patiente est hypotendue à 101/57 mmHg, tachycarde à 139 bpm, fébrile à 38°C, avec une saturation à 94 % à l'air ambiant. Cliniquement, l'abdomen est diffusément douloureux à la palpation, sans défense ni détente. L'auscultation cardiaque révèle un rythme irrégulier. Le reste de l'examen clinique est normal. Au laboratoire, nous mettons en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 7 mg/l et une leucocytose à 12.8 G/l, ainsi qu'une légère insuffisance rénale, avec une créatinine à 106 umol/l et une clearance à la créatinine à 53 ml/min. L'ECG montre un rythme irrégulièrement irrégulier avec une fréquence cardiaque à 133/min que nous ralentissons par Diltiazem. Nous retenons une fibrillation auriculaire sur déshydratation et Mme. Y est réhydratée. Nous complétons le bilan par une coproculture à la recherche de Clostridium, qui revient négative, ainsi que par une radiographie du thorax et un sédiment urinaire qui s'avèrent tous deux normaux, puis hospitalisons la patiente dans le service de médecine. Nous mettons en pause le Co-Candesartan, le Torem et l'Aldactone en raison de l'insuffisance rénale aiguë, et poursuivons l'hydratation iv. Durant le séjour, nous observons un amendement de la symptomatologie digestive. Sur le plan rénal, l'hydratation iv permet la normalisation de la fonction rénale avec une créatinine à la sortie à 72 umol/l. Sur le plan biologique, nous objectivons une légère hypokaliémie à 3.3 mmol/l que nous substituons durant l'hospitalisation. Du point de vue hémodynamique, le profil tensionnel est bas. Nous ne reprenons pas le traitement diurétique et antihypertenseur, que nous vous prions de réévaluer. A signaler que la patiente dit ne pas prendre depuis 3 semaines son traitement habituel d'Euthyrox. Nous réalisons un dosage de la TSH qui se révèle à 5,22 mU/l, et lui conseillons de reprendre le traitement d'Euthyrox. Mme. Y regagne son domicile le 21.12.2019. Mme. Y, 78 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne le 10.01.2020 en raison d'une décompensation cardiaque globale. La patiente présente une clinique typique de décompensation cardiaque depuis quelques jours, avec corrélat biologique et radiologique, suite à un arrêt de son traitement antihypertenseur en décembre 2019 dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë et d'une gastro-entérite. Un traitement par Furosémide permet une réduction de la surcharge hydrosodée, avec un retour à son probable poids cible de 84 kg, avec un retour à sa dose habituelle de Torasémide. Nous reprenons le Candesartan sans Hydrochlorothiazide au vu du traitement de Torasémide concomitant. Une échographie cardiaque de contrôle sera à réévaluer à la consultation du Dr. X, cardiologue traitant.Au vu d'une évolution favorable, Mme. Y regagne son domicile le 16.01.2020. Mme. Y est une patiente de 88 ans qui est admise en gériatrie aiguë dans les suites de troubles de la marche et de l'équilibre ainsi qu'une baisse de l'état général. Mme. Y présente également une prise de poids de 2 kg entre le 12.12.19 et le 15.12.19. Pour rappel, Mme. Y est connue pour une fibrillation auriculaire sous Sintrom. A son entrée en gériatrie, Mme. Y présente un état fébrile à 39.1°C associé à des frissons, tachycarde à 120 battements par minute mais est hémodynamiquement stable. Nous observons également une exacerbation des épisodes de toux sans expectoration. A l'anamnèse par système, Mme. Y ne présente pas de douleur rétrosternale, pas de palpitation, pas de dyspnée, pas de nycturie. Au status d'entrée, l'examen pulmonaire révèle des murmures vésiculaires diminués accompagnés de râles crépitants des deux côtés. L'examen cardiovasculaire constate des B1 B2 réguliers sans souffle surajouté associé à des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux jusqu'aux mi-mollets, prenant le godet. Le bilan biologique révèle des NT proBNP dosés à 5475 ng/l toutefois sans syndrome inflammatoire. La gazométrie ne révèle pas d'altération acido-basique ni de trouble ventilatoire ou métabolique. Les hémocultures réalisées reviennent stériles. L'ECG réalisée le 15.12.2019 met en évidence une fibrillation à réponse ventriculaire rapide à 100 bpm. Au vu du tableau clinique et biologique, nous retenons donc une décompensation cardiaque globale à prédominance gauche pour laquelle nous introduisons un traitement diurétique sous Lasix en intra-veineux à 40 mg puis 2x/20 mg. Etant donné la bonne évolution clinique nous relayons le traitement sous Torem 20 mg. Concernant l'étiologie, nous retenons une pneumonie nosocomiale pour laquelle nous introduisons un traitement sous antibiotique par Rocéphine 2 g pendant 7 jours. Une étiologie rythmique à l'origine de cette décompensation ne peut toutefois être exclue, c'est pourquoi nous décidons de majorer le traitement de B-Bloquant sous Bisoprolol à 7.5 mg. Le 24.12.2019, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 26.12.2019, Mme. Y sera ré-hospitalisée en gériatrie aiguë. Mme. Y est une patiente de 88 ans qui se présente suite à une baisse de son état général. Pour rappel, Mme. Y est connue pour une fibrillation auriculaire sous Sintrom. A son admission en gériatrie, l'hétéro-anamnèse avec son fils et sa fille rapporte des chutes à plusieurs reprises de la patiente à domicile sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. Mme. Y rapporte également des faiblesses des membres inférieurs sans trouble sensitif associé. Au status effectué à l'étage, l'examen neurologique révèle une désorientation dans l'espace et le temps. L'examen pulmonaire révèle des murmures vésiculaires réduits des deux côtés avec des râles crépitants bibasaux des deux côtés remontant jusqu'au tiers inférieur. L'examen cardiovasculaire est sans particularité. Sur le plan social, la patiente est veuve et vit dans la maison familiale. Elle bénéficie de l'aide à domicile quotidienne, sa fille l'assiste dans certaines activités. Elle sort avec un rollator. Pendant le séjour, Mme. Y présente un état de conscience altéré associé à des douleurs difficilement caractérisables et localisables. Nous décidons d'effectuer un ECG montrant un rythme de fibrillation auriculaire déjà connu, le dosage de troponine ne montrant pas de cinétique à la hausse. Nous attribuons cet événement à un état confusionnel aigu dans le contexte d'un trouble anxieux généralisé. En collaboration avec notre collègue de psycho-gériatrie, nous tentons un sevrage des traitements sous benzodiazépines afin de limiter les risques de chutes qui pourraient survenir chez Mme. Y. Malheureusement, cela se conclut par un échec et nous reprenons son traitement habituel. Au bilan biologique, nous retrouvons une anémie normocytaire normochrome à 109 g/l arégénératif dont le bilan vitaminique et martial est sans particularité. Devant ce tableau biologique, nous ne préconisons qu'un suivi biologique à distance. Mme. Y est prise en charge pour une réadaptation gériatrique aiguë du 21.11.2019 au 05.12.2019. Durant son séjour, Mme. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation. La patiente peut se déplacer sur une distance de 140 mètres et peut monter les escaliers avec l'aide d'une rampe d'escaliers. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 78/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 5/7, escaliers 1/7). Le TUG se réalise en 42.5 secondes avec l'aide d'un rollator. Sur le plan cognitif, les tests de la cognition effectués le 04.12.2019 montrent un MMSE à 18/30, le test de la montre n'a pas pu être réalisé. Sur le plan affectif, l'échelle de dépression gériatrique s'élève à 8/15. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée avec un BMI à 18.7, nous mettons donc en place un enrichissement des repas ainsi qu'une supplémentation nutritive orale. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Le bilan modulaire d'ergothérapie montre des troubles de la mémorisation légèrement aidés par l'indiçage et des difficultés d'attention. Le 05.12.2019, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que Mme. Y a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 15.12.2019, Mme. Y partira pour le Foyer St-Germain de Gruyères. Mme. Y est une patiente de 88 ans qui est hospitalisée en attente d'un placement depuis le 21.11.2019. La patiente a eu une chute de sa hauteur le 18.12.2019 avec traumatisme crânien mais sans perte de connaissance. La radiographie du bassin du 18.12.2019 montre une fracture para-symphysaire gauche des branches ischio et ilio-pubiennes, nous complétons le bilan par un scanner du bassin le 20.12.2019 qui met en évidence une fracture pluri-fragmentaire de la branche ilio-pubienne gauche. En accord avec nos collègues orthopédistes, nous nous accordons à nous orienter vers une prise en charge conservatrice. Sur le plan nutritionnel, la patiente présente toujours une malnutrition protéino-énergétique modérée. Hormis des SNO, Mme. Y ne souhaite pas d'autre mesure. La patiente est suivie en ergothérapie pour s'exercer aux activités de la vie quotidienne. Le 09.01.2020, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Finalement, le 15.01.2020, Mme. Y est ré-hospitalisée en gériatrie aiguë. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs après ingestion d'opioïdes et AINS à visée suicidaire. Cette patiente de 51 ans, sans antécédent psychiatrique connu, a ingéré 12 000 mg d'Ibuprofène, 2 500 mg de Tramadol et deux verres d'alcool dans l'idée de mettre fin à ses jours, geste qu'elle a planifié depuis la veille, dans un contexte de tension familiale et au sein du couple. Du point de vue somatique, la patiente ne présente pas de complication neurologique ou hémodynamique. Au vu de la prise d'AINS et d'un antécédent récent d'ulcère gastrique, nous instaurons un traitement par Pantozole. Un consilium psychiatrique conclut à un trouble de l'adaptation avec perturbation des émotions et des conduites avec comme diagnostic différentiel un épisode dépressif moyen. Une hospitalisation en milieu psychiatrique est proposée, afin de permettre l'investigation diagnostique et le soutien nécessaire, au niveau individuel voire familial, en situation de crise, et acceptée par la patiente de manière volontaire. Elle est transférée le 05.01.2020 à l'hôpital de Marsens. Mme. Y, patiente de 48 ans, est hospitalisée en urgence dans le service de chirurgie dans le cadre d'une péritonite localisée avec appendicite aiguë nécrotique et perforation. Un traitement par antibiothérapie Pipéracilline-Tazobac est initié le 29.11.2019 et la patiente bénéficie d'une laparoscopie exploratrice, appendicectomie avec agrafage de la base et rinçage abdominal le 30.12.2019. Les suites cliniques et biologiques sont simples, permettant un relais de l'antibiothérapie par voie orale par Ciproxine-Flagyl du 04.01 au 13.01.2020 et un retour à domicile le 05.01.2020. Nous suggérons un contrôle chez le médecin traitant avec ablation des fils dans 10 jours. Mme. Y, patiente de 66 ans, est amenée aux urgences en ambulance le 15.01.2020 en raison d'une dyspnée avec état fébrile jusqu'à 40°C et frissons. Elle se plaint également de douleurs para-lombaires droites et sous-costales droites depuis la veille, ainsi qu'une toux grasse avec expectorations jaunâtres. Elle a présenté un épisode de vomissement alimentaire le matin du 15.01.2020, sans douleur abdominale ni troubles du transit intestinal. Pas de symptomatologie urinaire. La patiente est vaccinée contre la grippe. À l'arrivée aux urgences, la patiente est subfébrile à 37,8°C, tachycarde à 129/min, hypotendue à 99/61 mmHg, tachypnéique à 36/min avec une saturation en oxygène à l'air ambiant à 89% sans utilisation de la musculature accessoire. La patiente est acyanotique et on constate une hypoventilation en base droite à l'auscultation pulmonaire. Au niveau urogénital, la loge rénale droite est douloureuse à la palpation. Le bilan biologique d'entrée montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 271 mg/l, une leucocytose à 14,7 G/l avec une déviation gauche à 2,65 G/l et une insuffisance rénale aiguë AKIN II avec une créatininémie à 125 µmol/l qui se péjore en AKIN III avec une créatininémie de 183 µmol/l le lendemain (valeur habituelle 46 µmol/l). Le bilan urinaire montre une pyurie avec microhématurie sans présence de nitrites. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire partielle avec un pH dans la norme à 7.45 et des lactates à 7 mmol/l, ce qui est interprété comme une alcalose respiratoire entièrement compensée par une acidose métabolique par hyperlactatémie (sur sepsis et probable accumulation de metformine vu l'insuffisance rénale, DD sur insuffisance respiratoire). Quatre bouteilles d'hémocultures sont prélevées. Le bilan est complété par une radiographie du thorax qui montre quelques discrètes opacités en bande bibasales pouvant correspondre à des bandes d'atélectasie, il n'y a pas de foyer évident expliquant la dyspnée. Un CT thoracique effectué ensuite montre une atélectasie chronique médio-basale droite, superposable à l'examen de 2012, probablement sur broncho-aspiration de corps étranger, encore visible en intra-bronchique, inchangé; on ne constate pas de foyer de pneumonie. Une antibiothérapie par Rocéphine en iv est débutée et la patiente est hospitalisée en service de médecine. Les antigènes urinaires pour les pneumocoques reviennent positifs, les quatre bouteilles d'hémocultures montrent une croissance d'un bacille gram négatif. Une hydratation parentérale est mise en place dans le contexte septique. Le bilan est complété par une échographie des voies urinaires qui montre une dilatation pyélo-calicielle droite avec un pyélon mesuré à 12 mm de diamètre sans cause obstructive évidente sur cet examen. Un Uro-CT met en évidence une urétéro-hydro-néphrose droite avec un pyélon mesuré à 16 mm de diamètre en raison d'un calcul de 6 x 5 mm de diamètre situé au niveau de l'uretère proximal, à 20 mm distalement de la jonction pyélo-urétérale; absence d'hydronéphrose à gauche. Vu l'aggravation de la fonction rénale et du syndrome inflammatoire, nous relayons l'antibiothérapie le 16.01.2020 par la Céfépime 2g 2x/j. Selon le Dr. X, infectiologue, il faudrait plutôt de couvrir un éventuel ESBL en mettant en place l'ertapénème 1 g iv 1x/j, ce qui est fait. La patiente est ensuite transférée dans le service d'urologie de Fribourg le 16.01.2020 pour la pose d'une sonde JJ. Mme. Y, 66 ans, est admise aux soins intensifs pour un urosepsis à E. coli multisensible sur pyélonéphrite obstructive à droite le 16.01.2020, compliqué d'une insuffisance rénale aiguë, d'une acidose mixte et thrombopénie. La patiente présente un état fébrile, une dyspnée péjorée et des douleurs à la loge rénale droite depuis 2 jours avant son admission. Elle est traitée initialement pour une bactériémie à gram négatif (4b/4b) sur point de départ urinaire par Ceftriaxone dès le 15.01.2020. L'évolution est défavorable avec péjoration de la fonction rénale et des paramètres inflammatoires. Le spectre antibiotique est élargi à l'Ertapénème afin d'assurer une couverture ESBL. L'Uro-CT confirme une pyélonéphrite obstructive avec un calcul de 4 mm dans l'uretère droit. La patiente bénéficie d'une pose de sonde JJ à droite le 16.01.2020, sans complication. Le délai pour le retrait de la sonde est à discuter avec l'urologue. La microbiologie identifie une E. coli multisensible avec diminution du spectre à la Ceftriaxone. L'insuffisance rénale KDIGO II d'origine mixte (pré-rénale et post-rénale) s'améliore après résolution de l'obstruction rénale et hydratation. Un trouble métabolique mixte: acidose métabolique avec hyperlactatémie secondaire au sepsis et Metformine, et une alcalose respiratoire sont identifiés. L'évolution est favorable avec normalisation des lactates. La Metformine est en suspens. Du Néphrotrans est ajouté à son traitement. Une thrombopénie légère secondaire au sepsis reste à surveiller. Une insuffisance respiratoire modérée hypoxémique motive la réalisation d'un CT thoracique, qui met en évidence des atélectasies basales droites. Des antigènes urinaires sont positifs pour un pneumocoque. Étant donné la péjoration de la dyspnée habituelle et d'une toux productive, une infection respiratoire pulmonaire est probable. Mme. Y présente une dyspnée chronique degré 3-4 (échelle MRC) depuis quelques années qui justifie une investigation en ambulatoire. Le 17.01.2020, Mme. Y est transférée vers le service de médecine interne (HFR-Riaz). Mme. Y est une patiente de 73 ans qui nous est transférée depuis le service de médecine pour une réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mme. Y a déjà été hospitalisée suite à une baisse de l'état général avec acutisation d'une insuffisance rénale chronique. Sur le plan social, Mme. Y vit seule en appartement sans escalier, son mari est au Home de Vuisternens. Au niveau rénal, la patiente est hydratée per os. Les valeurs de la créatinine restent entre 359 micromol/l et 362 micromol/l dans le service. Pendant son séjour, Mme. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 160 mètres. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 83/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 1/7). Au niveau nutritionnel, la patiente est suivie par l'équipe diététique. Le traitement antidiabétique est adapté et la patiente gère elle-même les injections de correction. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements, ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Sur le plan psychiatrique, la patiente exprime plusieurs fois une thymie abaissée et des troubles du sommeil, nous poursuivons donc le traitement par Remeron. Mme. Y bénéficie d'une consultation géronto-psychiatrique par le Dr. X qui propose l'ajout d'un traitement par Brintellix le matin et de la Mélatonine 3 mg le soir. À la sortie, la patiente est sous Remeron et Brintellix. Lors d'hospitalisation, nous constatons des mycoses au niveau des plis inguinaux, raison pour laquelle nous instaurons du Pevaryl qui permet une évolution favorable. Nous vous laissons faire le suivi clinique. Durant le séjour dans le service, la patiente signale des nausées. À l'examen clinique, l'abdomen reste sans particularité. Nous suspectons une gastroparésie dans le cadre du diabète et nous instaurons du Primperan en réserve. Le 17.12.2019, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 23.12.2019, la patiente sera placée au Foyer Ste-Marguerite de Vuisternens-devant-Romont. Mme. Y est une patiente de 80 ans, hospitalisée dans notre service de médecine interne après la pose d'un Pacemaker. La patiente décrit une vision trouble en juillet 2019, à début soudain et durant environ 30 minutes, accompagnée de palpitations irrégulières. Un diagnostic de fibrillation auriculaire est posé et de multiples tentatives de cardioversion ont échoué. Une pose de Pacemaker en ambulatoire est décidée en raison d'une bradycardie en présence d'un fibrillo-flutter persistant. Une radiographie du thorax ne met pas en évidence de complication après la pose du Pacemaker. La patiente sera convoquée à la consultation ambulatoire du Dr. X à 1 mois. Mme. Y rentre à domicile le 29.01.2020 avec poursuite de son traitement habituel. Mme. Y est une patiente de 89 ans qui nous est amenée par ambulance aux urgences en raison d'une dyspnée depuis le foyer de Sainte-Marguerite à Vuisternens. Mme. Y souffre de dyspnée depuis 1-2 jours avec une désaturation au foyer à 82% à l'air ambiant avec une toux sèche sans état fébrile. Mme. Y présente des douleurs costales dans la région inférieure, en barre depuis l'apparition de la dyspnée. Pas de douleur rétro-sternale, pas de malaise. Nous retrouvons des œdèmes des membres inférieurs stables. Aux urgences, une radiographie du thorax est effectuée, reste suspecte pour un foyer rétrocardiaque. Le laboratoire met en évidence un discret syndrome inflammatoire avec une CRP à 22 mg/l et une leucocytose à 13.3 g/l, ainsi qu'une insuffisance rénale d'origine pré-rénale. La gazométrie montre un pH dans la norme, PCO2 et Bic dans la norme, PO2 abaissée à 4.9 et une saturation à 72%. Devant ces éléments, nous retenons comme diagnostic une décompensation cardiaque globale à prédominance gauche sur un foyer rétrocardiaque et la patiente est par la suite hospitalisée en gériatrie aiguë sous un traitement par oxygène, aérosols ainsi que par des corticoïdes pendant 5 jours. Devant une forte suspicion clinique et radiologique pour un foyer pulmonaire, nous introduisons un traitement antibiotique par Ceftriaxone 2g 1x/j pour un total de 7 jours. La patiente bénéficie aussi de physiothérapie respiratoire et d'une oxygénothérapie. L'évolution est favorable et permet le sevrage de l'oxygénothérapie avec une saturation qui reste autour de 90-92% à l'air ambiant. Mme. Y est mise sous Sérétide 2x/jour. Sur le plan cardiaque, nous introduisons un traitement par Lasix IV, relayé par Torasémide et Métolazone per os, suite à une évolution favorable avec disparition des signes de surcharge et une perte pondérale d'environ 10 kg. Le poids à la sortie est à 85.7 kg. Sur le plan néphrologique, nous mettons en évidence une acutisation (AKIN I) d'une insuffisance rénale chronique stade G4A2 (selon KDIGO) avec une créatinine à 313 umol/l. Le bilan effectué parle en faveur d'une origine pré-rénale, probablement dans un contexte de syndrome cardio-rénal. L'évolution est plutôt favorable avec une créatinine à la baisse (265 umol/l le 23.12.2019). Un suivi clinique et biologique par la suite montre des signes cliniques de déshydratation avec une fonction rénale qui reste perturbée, raison pour laquelle nous diminuons et finalement nous arrêtons tout traitement diurétique. Le poids reste stable autour de 85 kg et nous proposons un nouveau contrôle biologique en ambulatoire. Une anémie normocytaire normochrome avec une hémoglobine à 112 g/l à l'entrée est attribuée au syndrome inflammatoire ainsi qu'à l'insuffisance rénale chronique. Une carence en vitamine D retrouvée est substituée per os. Le séjour de Mme. Y est compliqué par une infection urinaire à Enterococcus faecalis qui est traitée par Vancomycine 500 mg 1x/jour en intraveineux pendant 6 jours, avec une évolution favorable. Durant son hospitalisation, Mme. Y effectue des séances de physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, son périmètre de marche avec un rollator est de 100 mètres avec une pause. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 65/126 par rapport à 63/126 à son entrée (MIF physio : transferts 3/7, déplacements 5/7 et escaliers 1/7). TUG se réalise en 36 secondes. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Y quitte notre service le 24.12.2019 et peut retourner au Home de Sainte-Marguerite. Mme. Y, patiente de 28 ans, connue pour un tabagisme actif, consulte les urgences le 03.01.2020 en raison de douleurs thoraciques respiro-dépendantes et intermittentes depuis le 02.01.2020, associées à un seul épisode de dyspnée. À son arrivée aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable, afébrile, avec une saturation à l'air ambiant à 95%. L'auscultation clinique revient sans particularité, mise à part quelques crépitants en base gauche. Les mollets sont souples, indolores avec un signe de Homans négatif. Un CT thoracique met en évidence des embolies pulmonaires lobaires bilatérales avec des signes radiologiques de retentissement sur le cœur droit et un léger élargissement du tronc pulmonaire, sans signe biologique ou clinique d'une souffrance myocardique ou instabilité hémodynamique. Une anticoagulation par Clexane en dose thérapeutique est débutée, avec un relais par Xarelto le même jour. La dose de charge de Xarelto 15 mg 2/jour est à poursuivre pour un total de 3 semaines (jusqu'au 25.01.2020). La dose d'entretien de Xarelto 20 mg 1/jour est à poursuivre pendant 3-6 mois par la suite.Une échocardiographie transthoracique est agendée chez le Dr. X le 10.02.2019 en ambulatoire. L'évolution sur le plan respiratoire est favorable et sans complication par la suite. L'antalgie est gérée par Dafalgan et Voltarène. Une consultation au service d'angiologie permet d'exclure une thrombose veineuse profonde. Comme facteur déclenchant, nous identifions une possible cause hormonale (la patiente a pris une contraception hormonale post-coïtale à mi-décembre 2019), une immobilisation de 9 h pendant un voyage en bus au début décembre, ainsi que le tabagisme actif. Nous lui conseillons fortement d'arrêter de fumer. Les risques d'un traitement anticoagulant par Xarelto, notamment hémorragiques, ont été expliqués à la patiente, et au vu du potentiel tératogène de ce médicament, nous lui proposons de prendre rendez-vous chez son gynécologue afin de discuter d'une contraception non hormonale pendant la durée du traitement. Comme découverte radiologique fortuite, nous retrouvons un nodule pulmonaire de 16 mm, qui sera à contrôler dans 3 mois, et dans ce contexte, un CT thoracique est agendé pour le 05.03.2020. Mme. Y peut regagner son domicile le 10.01.2020. Mme. Y, patiente âgée de 61 ans et connue pour un mélanome multimétastatique (abdominal et cérébral), qui a récemment débuté une immunothérapie par Ipilimumab et Nivolumab (dernière dose : 30.12.2019), nous est transférée du CHUV pour une surveillance clinico-biologique dans un contexte de diarrhée d'origine encore indéterminée. Un bilan microbiologique déjà réalisé aux urgences du CHUV revient négatif. Nous complétons par la recherche de Clostridium qui revient également négatif. Une rectosigmoïdoscopie est effectuée le 13.01.2020 et montre une muqueuse normale. Les biopsies prélevées montrent une muqueuse colique d'architecture préservée, comportant quelques zones de minime hyper-cellularité inflammatoire de composition majoritairement lymphoplasmocytaire ainsi que de rares foyers d'hyperémie capillaire. Suspectant une colite médicamenteuse liée à l'immunothérapie, nous commençons une corticothérapie par Solumédrol le 13.01.2020, en accord avec nos collègues gastroentérologues et la Dr. X, oncologue traitant au CHUV. À noter également une toxidermie, sans critère pour une DRESS, probablement également liée à l'immunothérapie. Sur le plan biologique, nous constatons divers troubles électrolytiques que nous substituons. Au vu des pertes hydriques intestinales et d'une déshydratation consécutive, une hydratation intraveineuse est également nécessaire. Mme. Y est réadmise dans le service d'oncologie du CHUV le 14.01.2020. Mme. Y, âgée de 76 ans et connue pour dissection de l'artère carotidienne G en 2007, consulte aux urgences de Riaz sous avis de son ostéopathe (pour douleur au bras G), pour sensation de malaise/vertige/mal-être/vaseuse (difficilement caractérisable par la patiente) ce matin le 17.01.2020 avec peine à se lever. L'ostéopathe a pris la tension artérielle qui a mis en évidence une tension artérielle élevée. Anamnèse systématique: • général : fatigue importante, pas de fièvre/frissons, prise de poids (4-5 kg en 4 mois) • cardiovasculaire : pas de DRS, pas de palpitations, pas OMI, pas d'orthopnée, pas de DPN • pulmonaire : pas de dyspnée mais essoufflement à l'effort depuis plusieurs années, pas de douleur aux mollets • abdominal : pas de nausée/vomissement, pas de douleur abdominale, tendance constipation, urine sp • neurologique : sensation de tête lourde et bras D lourd (connu depuis dissection artère carotidienne en 2007 mais péjoré ce jour), pas perte de force, pas de trouble de la sensibilité, pas de paresthésie, pas de trouble visuel Examen clinique aux urgences : • cardiovasculaire : B1B2 bien frappés, rythme régulier, pas de souffle cardiaque, PPP, pas OMI • pulmonaire : murmures vésiculaires symétriques, pas de bruits surajoutés, mollet souple et indolore à la palpation • abdominal : BNFT, abdomen souple et indolore à la palpation sans défense ni détente • neurologique : GCS 15, orienté dans les 3 modes, nuque souple et indolore à la palpation, pupille iso-iso, NC II à XII sp, sensibilité conservée aux 4 membres, force M5 aux 4 membres, pas de disdiadococinésie, pas de dysmétrie, barré et Mingazzini tenu, ROT hypovifs et symétriques aux 4 membres, RCP sp Le scanner cérébral et carotidien met en évidence une occlusion complète de l'artère carotide interne G à l'origine de la bifurcation et une lésion ischémique gauche d'aspect chronique. Nous contactons le Dr. X qui propose une surveillance de 24 h aux soins continus en stroke unit, étant donné qu'un AVC aigu ne peut pas être exclu. Mme. Y est transférée aux soins continus le 17.01.2020. Mme. Y est admise aux soins intensifs (SIC) en stroke unit monitoré pour une suspicion d'AVC/AIT. La patiente de 76 ans, connue pour un antécédent d'AVC subaigu pariéto-occipital gauche avec dissection de l'artère carotidienne interne gauche en 2007, et séquelle de parésie et ataxie du membre supérieur droit, est envoyée par son ostéopathe pour une asthénie, et sensation de mal-être depuis 4 h du matin le 17.01.2020. Le bilan aux urgences de Riaz retrouve une carotide interne gauche occluse à l'origine de la bifurcation et l'ancien AVC précité. Sur avis du Dr. X, la patiente nous est adressée pour la suite de la prise en charge. À son admission, la patiente est éveillée, orientée aux 3 modes, avec un NIHSS d'entrée à 1 point. La surveillance neurologique est simple sans complications. Le bilan lipidique retrouve une hyperlipidémie, raison pour laquelle nous majorons son traitement de statine. L'HbA1c est normale. Sur avis du Dr. X, une IRM et un EEG sont demandés. Un bilan cardiaque est à prévoir selon les résultats de l'IRM. Au vu du bon état clinique, Mme. Y est transférée en stroke unit non monitorée le 18.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 76 ans, connue pour un antécédent d'AVC subaigu pariéto-occipital gauche avec dissection de l'artère carotidienne interne gauche en 2007, avec séquelle de diminution de la motricité fine au membre supérieur droit, avec également des sensations dysesthésiques variables à l'hémicorps droit, envoyée par son ostéopathe pour une asthénie, et sensation de mal-être depuis 4 h du matin le 17.01.2020 accompagnée d'une sensation de lourdeur du membre supérieur droit. Aux urgences, le CT cérébral montre une occlusion complète de l'artère carotidienne interne gauche non datable et une lésion ischémique gauche d'aspect chronique. La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique. Sur le plan étiologique, l'IRM ne montre pas de lésion ischémique aiguë, excluant un nouvel AVC. L'EEG ne montre pas de signes en faveur d'une origine épileptique. Le test de Schellong est dans les normes. L'aggravation de la symptomatologie est probablement expliquée par le contexte de baisse de l'état général. Nous ne trouvons pas de cause à cette baisse d'état général, une fatigue liée à une situation complexe à domicile en est probablement à l'origine. Nous vous proposons de réaliser un bilan thyroïdien en ambulatoire. Sur le plan médicamenteux, l'anti-agrégation par Aspirine est poursuivie et l'Atorvastatine est majorée à 40 mg/j en raison d'un LDL cholestérol à 3.6 mmol/l. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases dans 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie retrouvant un creusement de la main droite aux épreuves de stabilisation et une diminution de la motricité fine de la main droite. La patiente peut regagner son domicile le 21.01.2020.Mme. Clément, 84 ans, a été initialement hospitalisée dans le service de médecine interne pour une décompensation cardiaque sur hypertension artérielle mal contrôlée et pneumonie basale droite traitée par Ceftriaxone pendant 7 jours. Le 27.12.2019, elle a présenté un trouble de l'état de conscience associé à une bradycardie et une cyanose, suivi d'un arrêt cardio-respiratoire au moment de son admission aux soins intensifs. Un massage cardiaque externe a immédiatement été entamé avec 17 minutes de low-flow, puis récupération d'une circulation spontanée avec bradycardie à 45/min sur un bloc atrio-ventriculaire complet. Un pacemaker endoveineux provisoire jugulaire droit a été posé jusqu'au 30.12.2019, date de l'implantation d'un pacemaker bicaméral définitif en mode AAI-DDD avec une fréquence de base à 60/minute. L'enregistrement holter, que portait la patiente au moment de l'arrêt cardio-respiratoire, a montré un bloc atrio-ventriculaire du 3e degré suivi d'une pause sinusale de 6 secondes avant le massage cardiaque. L'origine des troubles de la conduction pourrait être ischémique, dans le contexte de la coronaropathie connue. La fonction ventriculaire gauche est conservée, sans trouble de la cinétique segmentaire. Suite à l'extubation le 29.11.2019, la patiente présente des signes de décompensation cardiaque gauche et des épanchements pleuraux bilatéraux, nécessitant des séances de ventilation non invasive intermittente et un diurétique. L'hypertension artérielle persistante est contrôlée par une triple thérapie anti-hypertensive. Une possible pneumonie de broncho-aspiration bilatérale est traitée par Pipéracilline-Tazobactam. L'aggravation aiguë de l'insuffisance rénale chronique est secondaire à une cause rénale, associée à une éosinophilie et éosinophilurie. L'étiologie pourrait être une néphrite interstitielle immuno-allergique d'origine médicamenteuse (ceftriaxone, puis pipéracilline-tazobactam, ou Furosemide), à laquelle s'est ajoutée une possible nécrose tubulaire aiguë sur le bas débit cardiaque. La fonction rénale est en voie d'amélioration après stabilisation hémodynamique et arrêt de l'antibiothérapie. La patiente est transférée le 31.12.2019 dans le service de médecine interne. En médecine, la patiente présente une nouvelle décompensation cardiaque à prédominance gauche ne répondant pas au Furosemide en bolus et en pompe. La fonction rénale se péjore progressivement. Une ponction pleurale gauche à but thérapeutique n'améliore que peu la dyspnée de la patiente. L'état général de la patiente se dégrade rapidement. Après discussion avec la patiente et sa famille, il est décidé de passer à des soins de confort le 13.01.2020. La patiente décède le 17.01.2020. Mme. Collaud, âgée de 68 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par le CHUV pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une arthroplastie totale de la cheville gauche le 13.12.2019 sur arthrose post-traumatique. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. L'auscultation cardiopulmonaire est sans particularité. La force du membre inférieur gauche est cotée à M4-5 au niveau du muscle quadriceps fémoris et iliopsoas. Nous mettons en évidence aussi une hyposensibilité au niveau des orteils du pied gauche en relation avec un œdème postopératoire, d'évolution favorable au cours de l'hospitalisation. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre de 15 m en respectant la décharge. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Collaud peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 06.01.2020, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour la suite de la prise en charge. Les soins à domicile seront activés par le biais du médecin traitant. Mme. Comazzi, âgée de 58 ans, connue pour une BPCO stade IV D selon GOLD 2018, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réhabilitation respiratoire suite à une wedge résection du lobe supérieur gauche avec réduction chirurgicale du volume au CHUV, le 28.11.2019, en raison d'un nodule suspect découvert de manière fortuite lors d'un bilan de pré-greffe pulmonaire. Les suites opératoires se déroulent sans complication. Sur le plan social, la patiente, divorcée, vit seule avec son fils de 15 ans à domicile. À l'admission, la patiente note une amélioration de sa dyspnée à la suite de son opération, non accompagnée de toux ni d'expectoration. En général, elle rapporte une dyspnée stade 2-3 selon mMRC. Le status général est sans particularités hormis une diminution du murmure respiratoire sur l'ensemble des 2 champs pulmonaires sans bruit ni râle surajouté. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré très sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV selon GOLD 2018. Le score de CAT atteste d'un stade D. La gazométrie sous O2 1.5 lt/min n'a pas pu être réalisée. Une capno-oxymétrie nocturne sous 1.5 lt/min d'O2 et VNI (7/20) a été réalisée la nuit du 18.12.2019 objectivant une SpO2 moyenne à 89% avec un indice de désaturation de 3/heure et une tcpCo2 moyenne à 6.5 kPa. La VNI est parfaitement employée et tolérée. Des fuites importantes et fluctuantes selon le relevé sont objectivées. La patiente est sensibilisée à ce problème récurrent et nous ne modifions pas son interface faciale (Airfit 20). La radiographie thoracique à l'entrée met en évidence une distension de la cage thoracique avec une horizontalisation des côtes et aplatissement des coupoles diaphragmatiques. On note également une redistribution de la trame vasculaire. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 350 m à 420 m. La patiente se sent également subjectivement améliorée depuis la réduction du volume. À la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 9 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Comazzi peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 20.12.2019, en bon état général. Mme. Constanda est une patiente de 74 ans connue pour des chutes à répétition qui est hospitalisée suite à une nouvelle chute probablement d'origine médicamenteuse. La patiente aurait chuté en se levant de son lit. À noter à l'hétéro-anamnèse une prise excessive d'Imovane au cours des derniers jours avec une somnolence augmentée et des comprimés d'Imovane en moins dans le semainier. L'évolution à l'étage est rapidement favorable avec disparition de la somnolence et une mobilisation sécuritaire sans moyen auxiliaire. Le Schellong revient dans la norme. Nous prenons contact avec les soins à domicile pour augmenter les contrôles, en particulier médicamenteux. La patiente rentre finalement à domicile le 15.01.2020. Mme. Constantino consulte à la permanence en raison de vomissements récurrents depuis cette nuit. Aux urgences, elle bénéficie d'un examen clinique montrant une douleur à la palpation épigastrique. Le reste de l'examen est normal. Un bilan biologique montre une légère leucocytose à 12.1 G/L sans syndrome inflammatoire. Nous administrons en aigu, 10 mg de Priméran, 1 g de Dafalgan et 500 ml de NaCl 0.9% en i.v. Nous retenons le diagnostic de gastro-entérite virale et prescrivons à la patiente un traitement symptomatique par Primpéran, Pantozol et Ulcar. Elle reçoit également une prescription de Normolytoral avec conseils d'hydratation. Elle doit reconsulter en cas de persistance de la symptomatologie ou de fièvre.Mme. Corpataux, âgée de 61 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisée pour investigations d'une ascite importante, d'origine indéterminée. Pour rappel, la patiente présente une prise de poids progressive depuis quelques mois, mais nettement plus importante depuis 3 semaines, avec apparition d'une dyspnée, des oedèmes et une nette augmentation du périmètre abdominal. Le tout s'associe à une asthénie. Elle ne présente pas de sudation nocturne, pas de tabagisme, pas de consommation alcoolique à risque, pas de voyage dans des pays à risque. Elle n'a plus de suivi gynécologique depuis des années. Sa maman a eu un cancer vésical et sa cousine paternelle un cancer du sein à 30 ans. Au laboratoire, elle ne présente pas de syndrome inflammatoire ni d'atteinte hépatique ou rénale. Les sérologies des hépatites, CMV et VIH sont négatives et l'EBV montre une infection ancienne. Une ponction d'ascite à but diagnostique et symptomatique est réalisée le 23.01.20. Les résultats révèlent un adénocarcinome d'origine séreux ovarien probable. Le CT thoraco-abdo-pelvien du 24.01.20 met en évidence une masse au niveau utérin et ovarien avec une possible carcinomatose péritonéale. La consultation gynécologique démontre une origine ovarienne. Le tumor board du 28.01.20 propose une prise en charge par chimiothérapie néo-adjuvante suivie d'une chirurgie. Mme. Corpataux peut rentrer à domicile le 30.01.20 avec une prise en charge ambulatoire oncologique qui sera assurée par le Dr. X, avec une première consultation prévue pour le 06.02.2020. Mme. Costa est une patiente de 51 ans qui nous est transférée du Luxembourg suite à un AVC ischémique droit sur dissection carotidienne sans notion de traumatisme. Le bilan réalisé au Luxembourg ne montre pas de sténose des troncs supra-aortiques et leur échocardiographie transthoracique revient dans la norme. L'IRM cérébrale lors de la présente hospitalisation confirme l'AVC important du territoire sylvien droit et des territoires limites sur occlusion de l'artère carotide interne droite sur probable dissection. À noter une nécrose corticale laminaire étendue du lobe temporal droit et ischémie d'allure plus récente dans les territoires limites à droite, pouvant correspondre à des événements d'âges différents. Concernant la dissection de l'artère carotide interne, un contrôle à 3 mois est organisé auprès du Dr. X avec un doppler des vaisseaux supra-aortiques. Un traitement d'Aspirine seule et de statines est instauré. Nous réalisons une échocardiographie avec test aux microbulles le 13.01.2020, permettant d'exclure la présence d'un foramen ovale persistant. Durant le séjour, la patiente bénéficie d'une neuro-rééducation intensive avec une prise en charge multidisciplinaire par physiothérapie, ergothérapie et suivi neuropsychologique, avec une évolution lentement favorable. Nous vous laissons le soin de pister les résultats du bilan neuropsychologique complet. Concernant son ancienne dépendance, le Subutex est relayé par de la Méthadone au Luxembourg. Nous poursuivons la substitution par Méthadone, sans signe de sevrage. La patiente souhaite un sevrage complet à Marsens après la fin de la neuro-réhabilitation. Nous vous laissons le soin de reprendre contact avec les addictologues pour la suite de la prise en charge. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. La patiente est actuellement en attente d'une neuro-réhabilitation intensive à Meyriez. Mme. Costa est une patiente de 58 ans, connue pour un status post-cholécystectomie en 2010, qui se présente aux urgences de notre hôpital en raison de douleurs abdominales en péjoration depuis 48 heures, associées à des nausées et vomissements. Le bilan biologique et radiologique effectué aux urgences puis au sein de notre service permet de conclure à une suspicion de migration lithiasique biliaire dont l'évolution clinique et biologique est spontanément favorable, permettant un retour à domicile le 14.02.2020. Nous proposons de poursuivre l'antibiothérapie prophylactique pour une durée totale de 10 jours et d'effectuer un contrôle clinique et biologique auprès du médecin traitant à 1 semaine. Dans le but de prévenir la formation de lithiase biliaire, nous proposons l'introduction d'un traitement par Ursofalk dès le 14.01.2020. Mme. Cotter est une patiente de 28 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences de notre hôpital le 19.01.2020 en raison de douleurs en fosse iliaque droite, crampiformes, évoluant depuis 6 heures et associées à des nausées sans vomissement. Le bilan clinique, biologique et sonographique effectué aux urgences fait suspecter une appendicite aiguë débutante. L'indication opératoire est donnée et la patiente bénéficie d'une laparoscopie exploratrice. Le status intra-opératoire permet la mise en évidence d'une torsion de kyste tubaire droit. Nous demandons un avis gynécologique et procédons à l'excision in toto du kyste tubaire ainsi qu'à une appendicectomie. Les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 21.01.2020. Mme. Cotting est une patiente de 39 ans qui est hospitalisée pour prise en charge chirurgicale d'une obésité morbide de grade III selon l'OMS par un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 30.12.2019 par Dr. X. Les suites post-opératoires sont simples tant sur le plan clinique que paraclinique. La patiente est mise au profit d'un traitement de Pantozol pour 8 semaines et Clexane pour 3 semaines. Elle quitte l'hôpital le 02.01.2020 avec un contrôle ambulatoire dans 12 jours chez son médecin de famille pour l'ablation des fils et chez le Dr. X dans 4 semaines. Mme. Coulange, 27 ans, notamment connue pour une malformation d'Arnold-Chiari et un trouble conversif, suivie dans la région lyonnaise, est hospitalisée dans le service de chirurgie pour un traumatisme crânien avec perte de connaissance, puis transférée en médecine interne en raison de crises non épileptiques psychogènes récidivantes. La patiente est admise suite à un malaise dans les escaliers avec perte de connaissance d'une durée de 15 minutes. Cliniquement, une paralysie et une anesthésie complètes du membre inférieur gauche sont mises en évidence. Vu la perte de connaissance, le déficit neurologique et l'absence de témoin, un CT total body est effectué aux urgences, qui ne montre pas de lésions traumatiques. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée pour surveillance neurologique. Selon l'avis neurologique, bien qu'une origine fonctionnelle aux déficits neurologiques soit probable, le bilan est complété par une IRM de la colonne. Celle-ci met en évidence une hydro-syringomyélie dans le contexte de la malformation d'Arnold-Chiari connue, sans autres lésions. Durant le séjour, la patiente présente plusieurs épisodes de crises avec perte de connaissance et mouvements anormaux des 4 membres. Les imageries cérébrales permettent d'exclure une hémorragie ou d'autres lésions. Un EEG avec vidéo-EEG ne montre pas d'anomalie notable et n'apporte pas d'argument pour une origine épileptique aux pertes de connaissance de la patiente. Les neurologues confirment l'origine fonctionnelle des troubles et appuient le fait qu'un suivi psychiatrique est nécessaire.Vu la descente des tonsilles cérébelleux mise en évidence à l'IRM, nous demandons un avis neurochirurgical. Ce dernier rapporte une anatomie normale dans le cadre d'une malformation d'Arnold-Chiari opérée en 2008, sans risque d'engagement ni contre-indication à un long trajet. Le bilan effectué durant le séjour ayant pu écarter des lésions potentiellement graves à ses symptômes neuropsychologiques, la paralysie et l'anesthésie du membre inférieur gauche étant en régression, Mme. Y demande à rentrer à domicile. Elle est tout à fait consciente de l'origine psychogène de ses crises avec déficits neurologiques connus de longue date. Après discussion avec ses proches (mère et compagne), et vu la réhabilitation psychiatrique en cours d'organisation dans sa région, la patiente rentre à domicile le 26.01.2020, accompagnée de sa compagne. Mme. Y est une patiente de 74 ans, connue pour un lymphome de Hodgkin qui bénéficie d'une résection extra-anatomique du lobe inférieur droit le 16.01.2020 pour un nodule d'origine indéterminée. L'intervention se déroule sans complication, les suites opératoires sont simples permettant un retour à domicile le 20.01.2020. Mme. Y est une patiente de 32 ans, connue pour une maladie de Crohn avec lésion ulcéreuse et fistulisante de l'iléon terminal ainsi que pour un kyste ovarien droit suspect d'endométriome, qui est hospitalisée en chirurgie générale le 17.01.2020 pour prise en charge chirurgicale élective. La patiente bénéficie le jour même d'une résection iléo-caecale avec annexectomie droite par laparoscopie et mini-laparotomie. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont marquées par une déglobulisation nécessitant deux transfusions de CE le 18.01.2020 et le 21.01.2020. Sur le plan clinique, la patiente présente une tolérance modérée à la réalimentation dans un premier temps et une reprise du transit tardive le 23.01.2020. L'évolution clinique et biologique étant finalement favorable, Mme. Y rentre à domicile le 24.01.2020. Nous prévoyons un contrôle post-opératoire à la consultation des Chefs de clinique de chirurgie le 20.02.2020 et recommandons un contrôle post-opératoire auprès du gynécologue traitant à 4 semaines. Mme. Y consulte à la Permanence en raison de vomissements, de céphalées et d'un état fébrile présents depuis hier. Elle bénéficie d'un examen clinique ciblé sans piste pathologique. Un bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire ou de leucocytose. Nous administrons un ondansetron 4 mg avec succès. Nous diagnostiquons un syndrome grippal et prescrivons un traitement symptomatique par primpéran et Dafalgan ainsi qu'un arrêt de travail. La patiente doit reconsulter en cas de persistance de la symptomatique ou de péjoration de l'état général. Mme. Y consulte à la permanence suite à une coupure ce matin au travail. Elle bénéficie d'un status clinique ciblé sans signe de complications. Nous effectuons un traitement de plaie comme suit: anesthésie par Letgel, désinfection par octanisept, rinçage par NaCl 0.9%, 4 points par prolène 4.0, pansement stérile. Elle bénéficie d'un rappel anti-tétanos, d'une antalgie par AINS et Dafalgan ainsi que d'un arrêt de travail d'une semaine. L'ablation des fils se fera chez le médecin traitant. Elle est invitée à reconsulter en cas de signes infectieux locaux, type rougeur, écoulement. Mme. Y est une patiente de 36 ans qui est hospitalisée pour prise en charge d'une suspicion de Candy Cane Syndrome post-bypass gastrique il y a plusieurs mois. La chirurgie par laparoscopie avec résection segmentaire du grêle se déroule sans particularité, avec bonne amélioration clinique en post-opératoire. Le suivi clinique et biologique étant favorable, Mme. Y rentre à domicile le 28.01.2020. Mme. Y, patiente de 72 ans connue notamment pour une hypertension artérielle, est hospitalisée dans un contexte d'AVC hémorragique thalamique gauche. Pour rappel, la patiente présente le 23.01 à 10h une dysarthrie. Aux urgences, le NIHSS est à 2 avec une dysarthrie et une désorientation temporelle. Le CT cérébral révèle un saignement intra-parenchymateux thalamique gauche sans anomalie vasculaire sous-jacente ou saignement actif visualisé. La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique. L'origine de l'AVC hémorragique est attribuée à une hypertension artérielle mal contrôlée en raison de la localisation de la lésion et de l'absence de malformation vasculaire sous-jacente. Un IRM est prévu le 9.03.2020 afin d'évaluer l'évolution et la présence d'une autre étiologie, toutefois moins probable. Du point de vue thérapeutique, du Labétalol puis de la TNT i.v. sont administrés, suivi d'un relais par Esidrex, Lisinopril, Nifédipine et Metoprolol per os ainsi que d'un patch de nitrés permettant un contrôle progressif des profils tensionnels, avec toutefois des valeurs restant hautes le matin. Nous vous proposons d'adapter le traitement en ambulatoire. En raison de la sténose aortique, le traitement de nitrés devrait être arrêté en premier, suivi par le traitement de Lisinopril. Dans le cadre du bilan des complications de l'hypertension, une échocardiographie transthoracique est réalisée et montre une sténose aortique serrée, dont l'indication à un TAVI est retenue par nos collègues cardiologues en raison du haut taux de morbidité/mortalité. La patiente étant mitigée, nous vous proposons d'en rediscuter en ambulatoire avec elle puis de l'adresser en cardiologie dans le cas où la patiente accepterait l'intervention. Merci de compléter le reste du bilan d'hypertension par un examen du fond d'œil. Du point de vue rénal, Mme. Y présente une insuffisance rénale avec une GFR estimée à 35 ml/mn/1.73 m2 stable par rapport à son dernier séjour à l'hôpital de Riaz. À l'époque, des investigations rénales avaient été proposées mais refusées par la patiente. Nous vous proposons de rediscuter avec la patiente la réalisation d'investigations rénales. Merci également de contrôler la fonction rénale en raison de l'introduction d'un traitement par IEC. Du point de vue neuropsychologique, le bilan met en évidence au niveau du langage oral un manque d'incitation verbale et un léger manque du mot. Au niveau du langage écrit, des difficultés d'écriture avec des additions et des omissions de lettres, un graphisme peu lisible, des difficultés en calcul, des difficultés pour les praxies idéomotrices, des troubles en mémoire antérograde verbale, un dysfonctionnement exécutif au niveau cognitif et comportemental et cliniquement, des difficultés attentionnelles non latéralisées. Le tableau évoque une atteinte à prédominance mnésique et exécutive, compatible avec l'AVC récent. Un bilan d'évolution est prévu à 1 mois. Dans l'intervalle, nous prions la famille d'aider la patiente dans ses tâches administratives. Concernant la conduite automobile, la patiente ne conduit plus. L'évolution clinique est stable avec un statut neurologique de sortie ne montrant plus de dysarthrie. Mme. Y peut regagner son domicile le 28.01.2020. Mme. Y, 72 ans, est admise en Stroke unit monitorée le 23.01.2020 en raison d'un AVC hémorragique thalamique gauche. La patiente consulte initialement aux urgences en raison d'une dysarthrie apparue vers 10h00 du matin, objectivée par son fils. À l'entrée aux urgences, elle présente une désorientation spatio-temporelle, une ptose labiale droite ainsi qu'une dysarthrie (NIHSS à 3). Le CT cérébral d'entrée met en évidence un saignement intra-parenchymateux thalamique gauche sans anomalie vasculaire sous-jacente ou saignement actif visualisé. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge.L'origine de l'AVC hémorragique est attribuée à une hypertension mal contrôlée. Dans ce contexte, du Labétalol puis de la TNT i.v. sont administrés, suivis d'un relais par Torasis, Lisinopril, Nifédipine et Metoprolol po, permettant un contrôle progressif des profils tensionnels. D'entente avec les neurologues, nous n'avons pas prévu de CT-scan cérébral de contrôle d'office. Un nouveau bilan d'imagerie cérébrale est à réaliser en urgence en cas de dégradation nouvelle. Nous vous laissons également le soin d'organiser un bilan neuro-psychologique. L'évolution neurologique clinique est simple, avec un NIHSS à 0 à la sortie. Dans le contexte d'une hypertension artérielle chronique mal contrôlée, une ETT est réalisée en cours de séjour, dont les résultats définitifs sont à suivre. Le bilan initial fait état d'une sténose aortique sévère. Nous vous laissons le soin de discuter de la suite de la prise en charge avec Mme. Y et nos collègues cardiologues en vue d'un éventuel bilan pré-TAVI à distance de l'AVC hémorragique et en fonction des symptômes et de l'évolution clinique. Un fond d'œil est également à organiser. Mme. Y est transférée le 24.01.2020 en Stroke unit non-monitorée pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 68 ans, connue pour un carcinome papillaire séreux de l'ovaire avec compression des uretères et une dilatation pyélocalicielle bilatérale qui a bénéficié de la mise en place de deux tumor stents le 15.04.2019. Elle est hospitalisée en électif pour le changement de son tumor stent à droite. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples. La patiente peut regagner son domicile le 21.01.2020. Mme. Y est une patiente de 92 ans envoyée par son médecin traitant pour une péjoration de douleurs chroniques aux membres inférieurs avec une perte de force et un malaise avec chute dans des circonstances pas très claires. Elle est restée au sol plusieurs heures étant incapable de se relever. Après un bilan clinico-biologique de base, une origine médicamenteuse sur prise de Zolpidem est retenue après une hétéroanamnèse auprès de sa fille. L'évaluation faite par nos physiothérapeutes ne retrouve pas d'indication pour une réhabilitation avant un retour à domicile. Le bilan de base confirme par contre une infection urinaire, suspectée à l'anamnèse, chez cette patiente qui est connue pour en faire de manière répétée. Un traitement par nitrofurantoïne est initié avec une bonne évolution. Concernant ses douleurs chroniques aux membres inférieurs, un bilan exhaustif a déjà été réalisé par vos soins. Nous retenons une exacerbation de ses douleurs dans le contexte infectieux. En effet, elles retrouvent leur niveau habituel spontanément. Nous vous proposons toutefois un traitement par Mediaven Forte pour diminuer la composante d'insuffisance veineuse. Mais au vu de la non tolérance des autres veinotoniques essayés par le passé, nous vous laissons le soin de réévaluer son introduction. Mme. Y est une patiente de 45 ans, hospitalisée en électif le 17.01.2020 pour la prise en charge d'une hernie infra-ombilicale symptomatique. La patiente bénéficie d'une cure d'hernie selon IPOM le jour même de l'hospitalisation, qui se déroule sans particularité. Les suites opératoires sont simples, permettant à la patiente un retour à domicile le 20.01.2020. Elle sera par la suite revue à notre consultation des chefs de clinique. Mme. Y est une patiente de 45 ans qui a bénéficié le 17.01.2020 d'une cure de hernie ombilicale avec filet par laparoscopie (IPOM). La patiente se présente le 23.01.2020 aux urgences en raison de douleurs abdominales. Elle est hospitalisée dans notre service pour un contrôle clinique et biologique. L'hospitalisation se déroule sans particularité permettant à la patiente un retour à domicile le 24.01.2020. Mme. Y, âgée de 84 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par le Salem Spital à Bern pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une opération de stabilisation L4-S1 et hémilaminectomie L5 avec décompression L4-S1 le 13.12.2019. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle reçoit de l'aide pour le ménage 1x/semaine. Avant l'hospitalisation, elle était indépendante pour les activités de la vie quotidienne. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La force globale aux MI est cotée à M4+, excepté pour les releveurs du pied à M0 (paralysie connue depuis la 2ème opération de colonne lombaire). La sensibilité est conservée. Le périmètre de la marche est de 100 m. Durant son séjour, elle n'a pas présenté de problématique particulière; l'état clinico-biologique est resté favorable durant l'hospitalisation. Sur le plan nutritionnel, elle a bénéficié d'un régime normal. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. Nous avons noté une reprise progressive de la tolérance à l'endurance. La patiente a un périmètre de marche de 130 m avec rollator à la sortie. Elle a bénéficié d'exercices de renforcement des muscles stabilisateurs du tronc. Elle peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 11.01.2020, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont réactivés. Mme. Y est une patiente de 56 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales depuis la veille associées à des nausées. Le bilan biologique et par ultrason abdominal met en évidence une perturbation globale des tests hépatiques et pancréatiques avec à l'ultrason une cholélithiase sans dilatation de voies biliaires. Nous retenons le diagnostic d'une pancréatite aiguë sur probable migration lithiasique et la patiente bénéficie d'une ERCP avec papillotomie le 23.01 qui confirme la suspicion d'un passage de calcul. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable, une cholécystectomie laparoscopique est effectuée le 26.01.2020. Suite à une évolution post-opératoire favorable tant sur le plan clinique que biologique, la patiente peut regagner son domicile le 30.01.2020. Mme. Y, patiente de 55 ans, est hospitalisée de manière élective dans le service de chirurgie de Fribourg le 08.01.2020 pour une résection antérieure par laparoscopie avec anastomose colo-rectale mécanique dans le cadre d'un adénocarcinome moyennement différencié sténosant de la jonction recto-sigmoïdienne. L'opération se déroule sans particularité. Les suites cliniques et biologiques sont favorables avec une reprise rapide du transit habituel et une réalimentation bien supportée. Mme. Y rentre à domicile le 11.01.2020. Le cas sera présenté au colloque interdisciplinaire du 15.01.2020. Nous suggérons un contrôle clinique et l'ablation des fils chez le médecin traitant le 20.01.2020. Mme. Y sera vue à la consultation du Dr. X le 13.01.2020 et le 06.02.2020.Mme. Y est amenée aux urgences en ambulance le 23.12.2019 en raison d'un trouble de l'état de conscience. L'anamnèse est impossible chez cette patiente cachectique avec un ralentissement psychomoteur qui est actuellement quasiment plégique nécessitant de l'aide pour le lever et pour les déplacements. A l'arrivée, la patiente est hypertendue à 240 mmHg et tachycarde à 250 bpm avec une fibrillation à réponse ventriculaire rapide à l'ECG. Au bilan biologique, elle présente des troubles électrolytiques sévères avec une hypercalcémie à 3.82 mmol/l, une hypomagnésémie à 0.43 mmol/l et une hypophosphatémie à 0.42 mmol/l. Devant le trouble de l'état de conscience, un CT cérébral est effectué sans anomalie retrouvée. La cause probable retenue est le trouble électrolytique avec une hypercalcémie sévère. Le bilan de l'hypercalcémie, comprenant le dosage de Beta-crosslaps, du P1NP, du PTH intact et de la PTHrp revient dans les normes. Un CT thoraco-abdominal ne révèle pas de néoplasie sous-jacente. Le dosage de la vitamine D revient supérieur à la norme, parlant en faveur d'un excès d'apport calcique via Calcimagon D3 ainsi qu'à l'immobilisation de la patiente. Nous mettons en place une chasse hydrique par hyperhydratation et du Lasix iv, ainsi que la fixation calcique par Calcitonine 250 U sous-cutané et acide zolédronique iv. Suite à ce traitement, la calcémie se normalise. L'hypomagnésémie et l'hypokaliémie se corrigent après substitution iv et per os. Lors de son arrivée, Mme. Y présente une urgence hypertensive sans symptôme clair, nécessitant l'utilisation transitoire de Trandate iv, suivi de la poursuite de ses médicaments anti-hypertension habituels et permettant de maintenir un profil tensionnel dans les limites de la norme. La fibrillation à réponse ventriculaire rapide est freinée par Dilzem iv avec un relais per os ainsi que la poursuite de son bêta-bloqueur. La patiente poursuivra l'anticoagulation sous Eliquis au vu du risque d'accident vasculaire cérébral élevé selon le score CHA2DS2-VASc. A noter que la patiente chute depuis son lit le 25.12.2019, sans conséquence selon le bilan radiologique. Suite à la correction des troubles électrolytiques, Mme. Y peut regagner le Foyer St-Germain le 07.01.2020. Mme. Y, connue pour un diabète de type 2 insulino-requérant, une obésité de classe 2 et des troubles anxio-dépressifs récurrents, se présente aux urgences le 30.12.2019 en raison d'hyperglycémies récidivantes aux auto-contrôles depuis 4 semaines, associées à une polydipsie et polyurie. Aux urgences, la patiente est en état général conservé. Le bilan biologique montre une hyperglycémie à 32.5 mmol/l avec hyperosmolarité sérique sans critère pour une décompensation diabétique acido-cétosique. En accord avec nos collègues diabétologues consultants et au vu d'une hémoglobine glyquée à 9,9 % indiquant des hyperglycémies chroniques, les doses d'insuline sont adaptées progressivement, avec une majoration de la dose de Lantus à 50 UI par jour et du Novorapid à 30-16-6 UI avec les repas, à la sortie. Une hypertension artérielle motive l'introduction de Lisinopril. Nous vous laissons les soins d'adapter le traitement en fonction du profil tensionnel. L'évolution clinique est favorable. Pour la suite de prise en charge, la patiente bénéficiera du passage des soins à domicile et un rendez-vous en diabétologie à l'HFR Fribourg est agendé pour le 14.02.2020. Mme. Y peut regagner son domicile le 10.01.2020. Mme. Y, 16 ans, est admise aux soins intensifs pour le monitorage cardio-respiratoire et suivi électrolytique au vu du risque de syndrome de renutrition dans un contexte d'une anorexie mentale avec malnutrition protéino-calorique sévère. Cette patiente est hospitalisée en pédiatrie en février 2019 en raison d'une dénutrition protéino-énergétique sévère avec troubles dépressifs, nécessitant l'introduction d'une nutrition entérale durant l'hospitalisation avec un poids de 32 kg à la sortie. Malgré un suivi nutritionnel en ambulatoire, la patiente présente une perte pondérale de 7 kg, avec actuellement un poids à 25 kg (BMI 10 kg/m2). L'anamnèse par systèmes révèle des douleurs abdominales et des diarrhées intermittentes. La patiente signale avoir plusieurs intolérances alimentaires. Elle s'alimente quasi-exclusivement avec des fruits et des légumes. Il n'y a pas de notion d'hyperactivité. Suite à la motivation des membres de sa famille, il est décidé de l'amener à l'hôpital. Sur avis du médecin nutritionniste du CHUV (Dr. X), une alimentation entérale est débutée progressivement avec une surveillance étroite de la glycémie et des électrolytes qui restent stables et une bonne tolérance clinique. Des suppléments vitaminiques et électrolytiques sont également introduits. Au status, il n'y a pas de signes de surcharge volémique parlant en faveur d'un syndrome de renutrition inappropriée. Une cytolyse hépatique est également présente à l'entrée, qui s'améliore spontanément et qui est attribuée à la dénutrition. Un ultrason abdominal sera effectué durant l'hospitalisation en médecine interne ainsi qu'une échocardiographie transthoracique à la recherche d'une cardiomyopathie métabolique. Mme. Y est connue pour des troubles dépressifs (diagnostic posé en pédiatrie en février 2019). Sa mère relate une humeur triste, des difficultés scolaires et un isolement social de sa fille. Un avis de pédopsychiatrie est demandé. La patiente est surveillée pendant 48 heures aux soins intensifs. Elle présente une prise pondérale d'environ 900 g. Au vu du faible risque de syndrome de renutrition au-delà de cette période, il est décidé de la transférer dans le service de médecine interne. La patiente sera vue par l'équipe de nutritionnistes et des diététiciens de l'HFR le 06.01.2020. Une discussion au sujet de l'orientation après l'hôpital sera également abordée (unité ABC de St. Loup, DISA). Mme. Y est transférée dans le service de médecine interne le 02.01.2020. Mme. Y est une patiente de 90 ans, en bonne santé habituelle, autonome et indépendante à domicile, qui chute de sa hauteur avec réception sur le poignet droit. La patiente est amenée aux urgences par ambulance et le bilan radio-clinique met en évidence la fracture suscitée pour laquelle l'indication opératoire est retenue. En outre, Mme. Y présente une contusion avec petite éraflure au niveau du nez, sans signe clinique de fracture. L'ostéosynthèse se déroule sans complication le 12.01.2020 et les suites opératoires sont simples. Une immobilisation par attelle palmaire est en place pour une durée de 6 semaines et, hors attelle, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active assistée, sans charge. Il n'y a pas de trouble neuro-vasculaire post-opératoire et les douleurs sont gérées par l'antalgie standard. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 17.01.2020 dans l'attente d'une place en réhabilitation gériatrique. Vous recevrez à la fin du séjour de reclassement un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Mme. Y est une patiente de 93 ans qui consulte les urgences suite à une chute à domicile avec impossibilité de se relever ; ce sont des amis qui l'ont trouvée et emmenée aux urgences. Mme. Y n'a aucune plainte à part des troubles de l'équilibre, malgré le rollator. Pour rappel, Mme. Y est connue pour une fibrillation auriculaire sous Xarelto, ainsi qu'un diabète de type II insulino-requérant.Sur le plan social, Mme. Y vit seule dans un appartement au 5ème étage à Bulle avec ascenseur, a une fille avec qui elle n'a plus de contact, se fait livrer les repas et une infirmière passe tous les matins. A son entrée à l'étage, le bilan biologique met en évidence une bactériurie, une leucocyturie et la présence de nitrites. Le diagnostic de cystite simple est posé puis traité par antibiothérapie sous Rocéphine puis Bactrim pour une durée totale de 5 jours. Nous retrouvons une créatinine à 153 micromol/l à l'entrée puis nous mettons en pause la Metformine et nous instaurons un traitement par Januvia et insuline. La créatinine à la sortie est à 150 micromol/l. Nous constatons également une anémie normocytaire normochrome hyporégénérative dans un probable contexte inflammatoire et carentiel en folates. Nous substituons donc l'acide folique. Une carence en vitamine D est mise en évidence, que nous substituons per os. Pendant son séjour, Mme. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un tintébin à 2 roues est de 120 mètres sans pause, les escaliers ne sont pas réalisés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 82/126 par rapport à 67/126 à son entrée (MIF : transferts 6/7, déplacements 5/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas testé. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements, ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Sur le plan diététique, la patiente bénéficie d'une évaluation globale. Le BMI est à 27.6 kg/m2. Son poids reste stable. Les glycémies sont stables à la sortie avec l'insulinothérapie adaptée et le traitement par Januvia. Le 08.01.2020, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 14.01.2020, Mme. Y partira au Home de Sorens. Mme. Y, 63 ans, connue pour une sclérodermie systémique limitée avec un syndrome de CREST, se présente aux urgences pour des douleurs au majeur de la main gauche en augmentation depuis une semaine malgré une antibiothérapie par Céfuroxime initiée par vos soins. Une thérapie par Iloprost est débutée sur avis des rhumatologues. Un traitement de Nifédipine est associé, avec une bonne tolérance. Un traitement de fond par Sildenafil est introduit le 03.01.2020, avec garantie d'assurance jusqu'au 31.07.2020. Compte tenu des douleurs très importantes rapportées par la patiente, une antalgie par Novalgine, Brufen, Oxycontin et Oxynorm est mise en place, avec ajout rapidement d'une antalgie par PCA d'opiacés et de Kétamine. Par la suite, des blocs sensitivo-moteurs itératifs sont réalisés, avec bon effet mais malheureusement transitoire, raison pour laquelle un bloc du ganglion stellaire est réalisé le 10.01.2020, sans effet. Compte tenu d'une prise en charge difficile avec absence de possibilité de sevrage de la PCA, nous prenons avis auprès des palliatologues afin de permettre un retour au domicile avec une PCA et un suivi par Voltigo. Nous effectuons donc un relais par une PCA de Fentanyl/Kétamine, avec des réserves de Fentanyl et Rivotril. Un traitement de Méthadone à visée antalgique est également introduit. Le 31.12.2019, une thrombose veineuse profonde axillaire et sub-clavière droite secondaire à la Picc-line est diagnostiquée. La patiente est mise au bénéfice d'une anticoagulation thérapeutique par Clexane, avec relais par Xarelto à la sortie. Un contrôle angiologique est prévu le 03.04.2020 pour réévaluer la poursuite de l'anticoagulation. Suite à cela, Mme. Y est transférée à la Villa St-François pour réhabilitation palliative et adaptation de l'antalgie avant le retour à domicile avec suivi par Voltigo. Mme. Y est une patiente de 73 ans, polymorbide, qui consulte les urgences (adressée par Dr. X, hôpital Daler), en raison d'une faiblesse généralisée avec douleurs articulaires et abdominales. Elle a déjà été hospitalisée au Daler pour une diverticulite connue exacerbée avec sortie le 17.12.2019 et changement de son traitement antalgique pour du targin, mal supporté par la patiente. Pour rappel, la patiente a bénéficié de multiples antibiothérapies pour une diverticulite, dont de la pipéracilline tazobactam pendant 48h lors de l'hospitalisation, puis Co-Amoxicilline/Ciprofloxacine jusqu'au 22.12.2019 avec disparition des douleurs. Toutefois, à l'entrée, la patiente se plaint de douleurs abdominales diffuses avec selles molles et sanguinolentes depuis 1 semaine. Le bilan aux urgences indique récidive de la diverticulite motivant un traitement antibiotique par ceftriaxone et Metronidazole, malgré l'intolérance connue pour ce dernier en raison de l'échec des autres antibiotiques. Afin de pallier l'intolérance et de traiter l'exacerbation probable de la polyarthrite rhumatoïde, nous ajoutons de la Prednison. Les hémocultures reviennent négatives. Durant l'hospitalisation, la patiente présente des épisodes d'hématochézie nécessitant des transfusions. Le CT natif réalisé suite à une exacerbation des douleurs abdominales montre une stabilité de la diverticulite (sigmoïdite chronique) avec pour diagnostic différentiel une lésion néoplasique. Nous demandons un avis au Dr. X qui propose une colonoscopie qui est effectuée le 27.01.2020. L'examen ne met pas en évidence de sténose, ni de tumeur. Sur le plan rhumatologique, l'introduction de la Prednisone permet une diminution progressive des douleurs ostéo-articulaires. Nous vous prions de diminuer le dosage de Prednison selon schéma dégressif. La patiente présente également des tophi et une hyperuricémie importante. En raison de son intolérance à l'allopurinol, un traitement de fébuxostat est augmenté après le traitement corticoïde, permettant une normalisation de l'acide urique. L'évolution est favorable au niveau biologique ainsi que clinique. Sur le plan hématologique, nous observons une anémie sur carence martiale en plus des saignements digestifs, raison pour laquelle nous introduisons une substitution par Maltofer, arrêtée par la suite en raison des rectorragies. Le traitement est repris à la sortie. La patiente n'a plus présenté de rectorragies depuis le 09.01.2020, raison pour laquelle nous reprenons le traitement avec Aspirine 100 mg. Sur le plan médicamenteux, en raison d'une bradycardie persistante associée à une fatigue, nous arrêtons le traitement avec le bêta-bloquant. Concernant l'hypertension artérielle, nous observons un profil au-dessus de la normale, raison pour laquelle la thérapie est adaptée avec introduction de Losartan et Esidrex avec évolution favorable. Nous vous laissons les soins de pister et adapter le traitement selon l'évolution. La prise en charge au service de médecine aiguë est terminée, mais nous organisons un séjour de réhabilitation en raison d'un déconditionnement général d'origine multifactorielle, afin d'améliorer l'autonomie ainsi que la marche de la patiente. Mme. Y est transférée au service de réhabilitation de l'hôpital de Riaz le 29.01.2020. Mme. Y est une patiente de 81 ans qui nous est transférée du service d'orthopédie pour la suite de sa prise en charge. Sur le plan médicamenteux, l'antalgie est gérée avec du Dafalgan, de l'Ecofenac gel et du Tramal. A la sortie, Mme. Y est sous Dafalgan seul avec un bon effet antalgique. Un bilan biologique effectué met en évidence une carence en vitamine D, ainsi qu'une hypomagnésiémie que nous substituons per os.Nous retrouvons aussi une discrète perturbation de la fonction rénale avec une créatinine à 140 umol/l, pour laquelle nous retenons une origine pré-rénale sur déshydratation. L'évolution est favorable suite à une hydratation adéquate. La créatinine à la sortie est à 100 umol/l. • Une anémie normocytaire normochrome à 115 g/l a aussi été mise en évidence. Le bilan étiologique revient sans particularité, raison pour laquelle nous retenons une origine post-traumatique et nous proposons un nouveau contrôle à distance. En raison des épisodes d'hypotension d'allure orthostatique récidivants, nous décidons de ne pas poursuivre le traitement par Amlodipine à la sortie. Le profil tensionnel reste bien contrôlé et nous vous laissons le soin de modifier le traitement si nécessaire. Pendant son séjour, Mme. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, son périmètre de marche avec l'aide d'un rollator est de plus de 100 mètres et peut gravir 13 marches d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 88/126 par rapport à 76/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 5/7). La patiente poursuivra les séances de physiothérapie après sa sortie. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Le 18.12.2019, Mme. Y quitte notre service et se rend pour un court séjour au Home Le Châtelet à Attalens. Mme. Y est une patiente de 89 ans, qui nous est adressée pour une réadaptation gériatrique suite à une chute à domicile avec fracture des cervicales. Pour rappel, Mme. Y est hospitalisée en orthopédie à Fribourg suite à une chute dans les escaliers le 25.12.2019, avec fracture complexe de C6 traitée par ACDF C6-C7 le 03.01.2020 ainsi que la mise en place d'une minerve mousse pour 3 mois. Mme. Y présente également une fracture non déplacée de l'ulna distal gauche traitée par attelle durant 6 semaines. Sur le plan social, Mme. Y habite seule dans la ferme familiale à Porsel, son fils habite juste au-dessus. À son entrée en réadaptation gériatrique, Mme. Y n'est pas algique et se plaint d'une dysphagie modérée depuis son arthrodèse. La cicatrice opératoire est calme et propre. L'examen clinique neurologique, cardiovasculaire, pulmonaire et abdominal est sans particularité, en dehors d'un souffle cardiaque télésystolique à 3/6 (bord droit du sternum), dans le contexte d'une sténose aortique sévère. Durant son séjour, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est de 80 mètres de façon autonome avec une canne basse et peut gravir 18 marches avec l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 89/126 à sa sortie par rapport à 82/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 16 secondes avec une canne basse. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne, pour l'aide à l'habillage, l'amélioration des transferts du lit et l'installation d'une barrière de sécurité latérale du lit à la maison. Sur le plan cognitif et psychologique, les tests de dépistage effectués le 09.01.2020 montrent un MMS à 27/30, un test de la montre pathologique à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Concernant la fracture ulnaire gauche, la radiographie de contrôle à 2 semaines ne montre pas de déplacement. Mme. Y a rendez-vous en policlinique d'orthopédie à l'hôpital de Riaz le 05.02.2020 à 14h15. Au cours de son hospitalisation à Fribourg, une sténose aortique sévère a été mise en évidence à l'ETT. La cardiologue traitante, Dr. X à Billens, nous apprend que cette sténose est connue et que la patiente a refusé une prise en charge chirurgicale par le passé. Nous rediscutons d'une TAVI avec Mme. Y, qui confirme son refus. Nous mettons en évidence une anémie ferriprive normocytaire hypochrome que nous traitons par injection de Ferinject. Nous vous laissons le soin de contrôler l'hémoglobine à distance. Une hypovitaminose D est substituée per os. Mme. Y, devant son appréhension à l'idée de rentrer à domicile avec une minerve et une attelle, bénéficie d'un court séjour en EMS. Le 17.01.2020, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 20.01.2020, Mme. Y part pour la maison St-Joseph à Châtel-St-Denis. Mme. Y, 71 ans, est admise aux soins intensifs pour un arrêt cardiorespiratoire le 03.01.2020. La patiente est hospitalisée en médecine interne à l'HFR Riaz depuis le 02.01.2020 pour une baisse de l'état général avec maintien à domicile précaire dans un contexte de maladie de Parkinson mal contrôlée. Une insuffisance respiratoire hypoxémique est objectivée à son arrivée dont l'origine est attribuée à une décompensation cardiaque d'origine indéterminée versus une surinfection bronchique. Elle est transférée le 03.01.2020 à l'HFR Fribourg pour avis neurologique spécialisé. À son arrivée, la patiente présente une agitation psycho-motrice avec désaturation à 85% à l'air ambiant. 10 minutes plus tard, elle présente un arrêt cardiorespiratoire en présence de l'équipe médico-infirmière de garde de médecine interne débutant immédiatement des mesures de réanimation. Le rythme initial est une AESP avec 20 min de low-flow et ROSC après administration d'adrénaline. Aux soins intensifs, la patiente présente 3 nouveaux arrêts cardio-respiratoires de type AESP avec reprise d'un pouls après administration d'adrénaline. L'étiologie la plus probable est une hypoxémie sur œdème pulmonaire aigu en raison de l'importante quantité de sécrétions mousseuses et rosées sortant du tube endo-trachéal. Une échocardiographie transthoracique réalisée au lit du malade retrouve une fonction biventriculaire conservée sans valvulopathie significative et absence d'épanchement péricardique. L'ECG ne présente pas de signe d'ischémie cardiaque aiguë. De hautes doses de noradrénaline combinées à des bolus d'adrénaline sont nécessaires pour maintenir l'hémodynamique. Nous discutons avec le fils et la belle-fille de la patiente ainsi que son mari qui nous décrivent une situation à domicile dépassée avec attente de placement dans un home après 3 mois d'hospitalisation et procédure de divorce en cours. Au vu de la situation dépassée, nous décidons en accord avec la famille de ne pas poursuivre la réanimation et de prodiguer des soins de confort. La patiente décède le 04.01.2020. Une autopsie n'a pas été demandée. Mme. Y consulte les urgences le 22.01.2020 en raison de la présence, depuis 5 jours, d'une voix enrouée accompagnée d'une toux grasse avec expectoration difficile. Elle présente également une sensation d'irritation/pression thoracique droite avec dyspnée en péjoration surtout le matin. Elle décrit avoir eu des épisodes de vomissements sur efforts de toux et dit avoir eu un épisode de selles liquides quatre jours auparavant, sans récidive. Au niveau ORL, elle présente une rhinorrhée. Elle décrit un épisode fébrile à 39° avec notion de contage auprès de son fils. Elle n'est pas vaccinée contre la grippe.A l'admission aux urgences, tension artérielle 126/80 mmHg, saturation à 94% à l'air ambiant, fréquence cardiaque 92/min. Au status cardio-vasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle audible. A l'auscultation pulmonaire, fréquence respiratoire à 25/min, pas d'utilisation de la musculature accessoire, hypoventilation en base droite avec discrets râles grossiers, pas de sibilances. Au niveau ORL, pas d'adénopathie, fond de gorge calme, tonsilles non tuméfiées. Le laboratoire effectué aux urgences montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 70 mg/l sans leucocytose. La gazométrie artérielle montre une hypoxémie à 10.6 kPa. Un frottis de grippe est lancé et une antibiothérapie par co-amoxicilline 1.2 g iv 3x/j et Klacid 500 mg 2x/j per os est introduite. La radiographie de thorax effectuée le 22.01.2020 ne montre pas de foyer pulmonaire et le frottis de grippe revient positif à Influenza B. Au vu de ce résultat, nous prescrivons à la patiente un traitement symptomatique de paracétamol cpr 1g 4 x par jour et Ibuprofène cpr 400 mg 3 x par jour. Mme. Y peut regagner son domicile le 23.01.2020. Mme. Y est patiente de 37 ans, est hospitalisée pour une grippe à Influenza type B et un syndrome inflammatoire d'origine peu claire. Pour rappel, elle a été hospitalisée du 07.01 au 13.01.20 pour un état fébrile d'origine indéterminée. Elle avait alors bénéficié d'un traitement antibiotique empirique par Ceftriaxone pour une suspicion initiale de méningite qui avait été ultérieurement infirmée. Des hémocultures n'avaient pas été faites. L'évolution avait été finalement favorable, sans que l'origine de la symptomatologie puisse être précisée. Actuellement, la patiente décrit l'installation d'un nouveau état fébrile depuis le 18.01.2020, associé à des myalgies, une asthénie et ultérieurement l'apparition d'une rhinorrhée et d'une toux sèche, ainsi que des céphalées légères. Absence de contage actuel (IVRS chez l'époux en décembre). Absence de symptômes gastro-intestinaux, cutanés, génito-urinaires ou ostéo-articulaires. Elle consulte son médecin traitant qui suspecte une pneumonie et débute une antibiothérapie par Co-Amoxicilline et Klacid depuis le 20.01.20. En raison de la persistance d'un état fébrile, elle consulte les urgences. Le complément d'anamnèse ne révèle pas de voyage récent. Par le passé, la patiente aurait voyagé en Amérique du Nord et en Afrique (Cap-Vert). Pas de voyage récent en dehors de l'Europe, pas de contact avec des animaux, pas de contact avec la tuberculose, travaille en tant qu'assistante médicale et n'a pas de comportement sexuel à risque. Le test HIV effectué par le médecin traitant en septembre 2020 était négatif. L'examen clinique actuel met en évidence des râles crépitants sur toute la plage pulmonary gauche, sans autre piste infectieuse. La palpation abdominale est complètement indolore. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire important avec discrète leucopénie (3.9 G/l) et une déviation gauche significative, qui se corrige spontanément le lendemain, tout comme le syndrome inflammatoire et la fièvre. Un CT-scan thoraco-abdominal met en évidence uniquement des signes compatibles avec une colite droite, sans abcès ou autre foyer infectieux. A noter que la patiente a bénéficié d'une endoscopie en décembre 2019 et que celle-ci avait montré des signes d'une colite non spécifique. Aucun argument pour une colite d'origine inflammatoire n'avait été évoqué et la patiente est actuellement asymptomatique du point de vue digestif. Les antibiotiques sont mis en suspens, des hémocultures sont prélevées le 21, le 22 et le 23.01 à la recherche d'un éventuel foyer endovasculaire, ainsi qu'un frottis naso-pharyngé qui revient positif pour une Influenza B. Le 23.01.2019, la patiente développe une agranulocytose afébrile qui pourrait être en lien avec l'administration de la Novalgine le 21 et le 22.01 chez une patiente de base leucopénie possiblement due à son traitement anti-épileptique (Lamotrigine). Vu la nette amélioration de la symptomatologie qui est tout à fait compatible avec l'origine virale prouvée, chez une patiente qui est en excellent état général, nous décidons de poursuivre le suivi et les investigations en ambulatoire et d'éviter ainsi son exposition aux éventuels pathogènes intra-hospitaliers. Un suivi de la formule sanguine ambulatoire est prévu et la patiente est sensibilisée à reconsulter rapidement en cas de dégradation de son état général ou apparition d'autres symptômes associés à un état hautement fébrile. En cas de persistance de l'agranulocytose malgré l'arrêt du métamizole, nous proposons des investigations hématologiques plus poussées. Une consultation gynécologique est prévue le 27.01.20 pour contrôler le stérilet et exclure une infection vaginale. Au vu de l'amélioration clinique, la patiente peut rentrer à domicile avec des contrôles ambulatoires. Mme. Y, 49 ans, est admise aux soins intensifs en post-opératoire d'une double TLIF L2L3 et L3L4 le 06.01.2020. La patiente, connue pour hypertension artérielle, pour syndrome d'apnées obstructives du sommeil appareillé, a bénéficié d'un TLIF L2L3 et L3L4 sous anesthésie générale, intubation oro-trachéale (Cormack II). L'intervention s'est déroulée en décubitus ventral. Les pertes de sang sont estimées à 400 cc. Le post-opératoire immédiat se complique de douleurs difficilement contrôlables malgré la morphine, la Kétamine et la clonidine. L'examen neurologique est sans particularité et ne montre notamment pas de trouble sensitivo-moteur. Durant la surveillance aux soins intensifs, Mme. Y reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Les douleurs sont suffisamment contrôlées avec une antalgie de 3e palier par Oxycontin. Sur le plan clinique, la patiente rapporte une hypoesthésie de la cuisse antérieure gauche, sans déficit neuro-moteurs associés, ne correspondant pas à un territoire neurologique précis ni à la zone opératoire. Nous vous laissons le soin de suivre cliniquement. Le pansement est propre. En date du 07.01.2020, Mme. Y est transférée en unité de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 61 ans en bonne santé habituelle qui se présente aux urgences de notre hôpital le 15.01.2020 en raison de douleurs thoraciques du flanc gauche à la suite d'une chute à ski le jour-même. Le bilan scannographique met en évidence le diagnostic susmentionné et la patiente est hospitalisée en chirurgie pour antalgie et physiothérapie respiratoire. Les suites de l'hospitalisation sont favorables permettant un retour à domicile le 18.01.2020. Nous proposons un contrôle à la consultation du médecin traitant à 1 semaine et la poursuite des exercices de physiothérapie respiratoire à domicile. Mme. Y, âgée de 52 ans, connue pour une maladie thrombo-embolique veineuse et une obésité morbide, consulte les urgences le 11.01.2020 en raison de la péjoration de la dermatite des membres inférieurs ainsi que pour des céphalées fronto-occipitales accompagnées d'un état sub-fébrile le 11.01.2020. Le laboratoire met en évidence la présence d'un léger syndrome inflammatoire illustré par une CRP augmentée à 13 mg/l sans leucocytose. Cliniquement, elle présente des placards érythémateux douloureux au niveau des membres inférieurs plus accentués à gauche et présentant des signes inflammatoires locaux, sans état fébrile. Devant ce tableau, une antibiothérapie par co-amoxicilline en iv est débutée et la patiente est hospitalisée en médecine. Elle bénéficie d'un bilan angiologique, qui conclut à une dermatite de stase compliquée d'ulcères dans le contexte de son obésité morbide et de sa sédentarité. Le traitement antibiotique est donc arrêté. L'échographie doppler ne met pas en évidence de thrombose veineuse profonde ni superficielle au niveau des deux membres inférieurs. Connue pour sa maladie thrombo-embolique veineuse depuis 2001, nous poursuivons son traitement anticoagulant par Xarelto 20 mg, selon l'avis du Dr. X, qui sera arrêté la veille de son intervention chirurgicale dermatologique prévue pour le 17.01.2020 avec une reprise dès que possible en post-opératoire. Nous introduisons un traitement par compression élastique multi-couche pour les ulcères débutants bilatéraux prédominant à gauche dès le 13.01.2020 qui sera relayé par l'utilisation de bas de contention classe 2 sur mesure tricotés à plat que la patiente porte habituellement et qui sont anamnestiquement sales actuellement.A l'admission, elle se plaint de céphalées d'intensité 6/10 selon EVA. L'examen clinique ne met pas en évidence de signe d'irritation méningée. Les céphalées sont gérées avec succès par une antalgie simple. Après 3 jours d'hospitalisation, l'évolution clinique est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 14.01.2020, en bon état général. Mme. Y présente des céphalées de l'hémicrâne gauche depuis 3 jours. L'examen clinique est rassurant. Aux urgences, la patiente reçoit du Primperan 10 mg iv, Voltaren 75 mg iv et Zomig 5 mg avec un effet favorable sur les douleurs. Au vu d'un examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile. Elle aura un contrôle gynécologique le 27.01.2020. Mme. Y est une patiente de 86 ans qui est connue pour une fibrillation auriculaire sous Eliquis et une ostéoporose fracturaire. Pour rappel, Mme. Y a été hospitalisée dans le service de Médecine interne à l'Hôpital de Fribourg suite à un polytraumatisme multi-fracturaire suite à une chute dans le cadre d'un choc hypovolémique dû à une gastro-entérite virale. A son arrivée en gériatrie, Mme. Y présente toujours au status une hémiparésie gauche avec une diminution de la sensibilité sur la face gauche du visage, sur la cuisse gauche et sur la face externe de la jambe gauche. Le reste du status par système est sans particularité. Le bilan biologique retrouve une hypomagnésémie chronique qui est substituée oralement ainsi qu'une anémie normocytaire normochrome que nous mettons sur le compte, entre autres, d'une carence en acide folique, également substituée oralement. Au vu d'une hyponatrémie persistante, nous décidons de mesurer le cortisol basal qui est à 628 nmol/l (n = 172-536 nmol/l). Nous décidons donc de mettre en suspens le traitement par Florinef. Pendant son hospitalisation, Mme. Y présente une douleur au niveau crural gauche avec une tuméfaction. Nous réalisons un ultrason des parties molles qui met en évidence un hématome d'allure plutôt chronique. Le radiologue propose un contrôle ultrasonographique à 3 mois. Au vu des antécédents de la patiente, un bilan ostéoporotique est réalisé par le Dr. X et le Dr. X. Ils proposent un traitement anti-résorptif Aclasta 5 mg en intraveineux 1x/an avec une réévaluation au bout de 3 ans, ainsi qu'une éventuelle ostéodensitométrie. Durant son séjour, Mme. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche seule est de 20 mètres à l'aide du tintébin. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 83/126 par rapport à 65/126 à son entrée (MIF physio : transferts 5/7, déplacements 3/7, escaliers 1/7). Le TUG se réalise en 2 minutes et 45 secondes avec l'aide du tintébin. Le risque de chute est élevé. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements, ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Sur le plan nutritionnel, nous mettons en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une dysphagie (suite à l'accident vasculaire cérébral) qui est stabilisée par la mise en place de SNO et un enrichissement des repas. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 13.12.2019 montrent de bonnes performances avec un MMS à 28/30 et un test de la montre à 4/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. Le 27.12.2019, étant donné une stabilisation clinique, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement en attente de court séjour et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 74 ans, est hospitalisée dans notre unité pour le survenu d'une hyperactivité bronchique dans un contexte infectieux et asthme connu. Un traitement de Prednisone, Xyzal, aérosols et une antibiothérapie permettent une excellente amélioration des symptômes. Sur avis des pneumologues, le traitement est relayé par du Vannair en fixe et réserve, jusqu'à son prochain rendez-vous en pneumologie, où des fonctions pulmonaires sont prévues. Une oxymétrie nocturne sera également effectuée chez cette patiente obèse (108 kg) rapportant la mise en évidence d'apnées du sommeil lors d'un bilan effectué il y a 5 ans. Elle serait intéressée par un traitement par CPAP. Concernant la présence de bactéries multirésistantes en 2018 (Pseudomonas), un prélèvement urinaire lors de la présente hospitalisation est effectué, mettant en évidence un Pseudomonas multisensible ainsi qu'un E. Coli multirésistant (ESBL), chez cette patiente porteuse d'une sonde à demeure pour vessie atonique. Un isolement de contact et géographique est introduit et sera à poursuivre lors de toute hospitalisation cette prochaine année. De nouveaux prélèvements seront à effectuer ultérieurement. Suite à la bonne évolution clinique et le sevrage de l'oxygénothérapie, la patiente rentre au foyer de Cottens le 23.01.2020. Mme. Y est admise aux soins intensifs (SIC) pour une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumonie bi-basale. La patiente de 36 ans, connue pour une trisomie 21, en bonne santé habituelle, se présente aux urgences de Riaz en raison d'une dyspnée en péjoration, malgré une antibiothérapie par Cefuroxime prescrit par son médecin traitant pour une suspicion de foyer pulmonaire le 14.01.2020. A son admission, la patiente est tachypnéique à 60/min avec un balancement thoraco-abdominal, éveillée et réactive, collaborante. Elle reçoit une antibiothérapie par de la Ceftriaxone et de la Clarithromycine, et nous débutons une ventilation non-invasive. L'évolution est favorable, avec une amélioration clinique sous antibiothérapie et VNI. A noter la présence d'un épanchement péricardique circonférentiel modéré, qu'il conviendra de contrôler. Mme. Y, 79 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'une récidive de fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide. Pour rappel, Mme. Y avait été hospitalisée du 13.12 au 19.12.2019 en raison d'un fibrillo-flutter auriculaire intermittent diagnostiqué le 02.12.2019, mise sous Eliquis et Métoprolol. Une échographie cardiaque transthoracique avait montré une FEVG conservée. La patiente présente le soir du 31.12.2019 une nouvelle oppression rétrosternale apparue au repos, avec irradiation dans les 2 bras et le cou, sans dyspnée ni palpitation associée. Elle rapporte avoir arrêté son traitement de Metoprolol, n'ayant pas compris qu'elle devait le poursuivre. Le bilan effectué au service des urgences met en évidence une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide (130/minute), raison pour laquelle elle bénéficie d'un traitement par Métoprolol et Diltiazem qui se complique par une hypotension et bradycardie, nécessitant l'administration de l'Ephédrine, de l'Adrénaline et de l'Atropine avec bonne réponse.Le traitement béta-bloquant est ensuite repris avec bonne évolution sur le contrôle de la fréquence cardiaque mais sans contrôle du rythme, qui en fibrillation auriculaire. Mme. Y présente des douleurs abdominales épigastriques depuis son entrée, selon elle, depuis l'introduction du Metoprolol. La cinétique des troponines et l'ECG effectués sont rassurants, et les douleurs répondent bien à l'Alucol. Nous majorons le traitement de Pantozol à 40 mg 2x/jour pour une durée de 2 semaines, et vous laissons réévaluer l'indication à un OGD en fonction de l'évolution. Dans le cadre de la suspicion d'un état confusionnel chez une patiente qui présente des troubles cognitifs, nous effectuons un bilan à la recherche d'une infection urinaire qui se confirme et que nous traitons par de la Nitrofurantoïne. Un bilan neuro-psychologique est également effectué et met en évidence la présence des troubles exécutifs, des troubles de la mémoire antérograde visuelle, des troubles attentionnels et une faible mémoire verbale à court terme. Ces troubles font suspecter une démence, possiblement à corps de Lewy tenant compte de la présence d'hallucinations visuelles. Nous vous proposons donc d'éviter la prescription des neuroleptiques et de compléter le bilan par une imagerie cérébrale. Un bilan neuropsychologique à distance pour évaluer l'évolution est à programmer. Devant ces troubles, nous avons organisé une supervision médicamenteuse par les soins à domicile et proposons une supervision administrative. Mme. Y rentre à domicile le 07.01.2020 entourée des soins à domicile. Mme. Y est une patiente de 69 ans qui bénéficie d'une cure de hernie hiatale par laparoscopie avec cholécystectomie laparoscopique le 24.01.2020, pendant l'intervention une splénectomie d'hémostase est nécessaire. Les suites post-opératoires sont favorables tant sur le plan clinique que biologique. Selon les recommandations actuelles, nous effectuons une vaccination contre le pneumocoque et le méningocoque avant la sortie de l'hôpital et la patiente peut regagner son domicile le 30.01.2020. Mme. Y est une patiente de 76 ans, ayant bénéficié d'une cholécystectomie en août 2019, qui est hospitalisée pour la prise en charge d'une pancréatite aiguë sur probable migration lithiasique. En effet, la patiente consulte les urgences le 31.12.2019 en raison de l'apparition de douleurs épigastriques avec irradiation dans le dos, lui faisant rappeler ses douleurs lithiasiques. Le bilan aux urgences confirme le diagnostic de pancréatite aiguë avec perturbation des tests hépatiques, faisant suspecter une possible origine obstructive, et la patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est mise au profit d'un traitement antibiotique et l'évolution est par la suite favorable avec une normalisation des tests hépatiques et biliaires. Le scanner abdominal à 48 heures retrouve une pancréatite de stade Balthazar A et une IRM biliaire ne retrouve pas de lithiase dans les voies biliaires, mais une légère ectasie des voies biliaires, compatible avec le statut post-cholécystectomie. L'évolution clinique et paraclinique étant favorable, la patiente retourne à domicile le 06.01.2020 et nous lui expliquons la possibilité d'une récidive de cet épisode, raison pour laquelle nous instaurons un traitement par De-Ursil pour une durée provisoire de 3 mois, à réévaluer par la suite par son médecin de famille. Mme. Y, 80 ans, est admise aux soins intensifs pour un infarctus du myocarde type STEMI subaiguë. Il s'agit d'une patiente connue pour un carcinome urothélial de la vessie métastatique qui n'est plus en traitement de chimiothérapie depuis octobre 2019, qui est hospitalisée en médecine interne pour des douleurs de l'hémibassin droit. Le bilan met en évidence une progression tumorale avec une infiltration musculaire par des métastases. La patiente présente également une probable hémorragie digestive haute sur prise d'AINS à domicile (anémie et méléna). Le 13.01, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë associée à une hyperkaliémie à 6.6 mmol/l. L'électrocardiogramme met en évidence des modifications sous forme de sus-décalages dans le territoire inférolatéral, sans corrélat clinique. Quelques heures plus tard, dans la matinée du 14.01.2020, elle présente une bradycardie sur BAV complet. Devant un contexte oncologique dépassé, une décision de soins de confort est établie, en accord avec la patiente et son ami. Mme. Y décède paisiblement entourée de sa famille le 14.01.2020. Mme. Y, 85 ans, est admise aux soins intensifs pour insuffisance respiratoire aiguë sur broncho-aspiration avec nécessité d'intubation ce 17.01.2020 aux urgences de Tavel. La patiente, connue pour hypertension artérielle, pour diabète de type II, pour antécédents d'AVC ischémique avec séquelles de type hémiplégie droite et aphasie de Broca, fait une broncho-inhalation lors de son déjeuner, suite à laquelle elle fait une hypoxémie sévère. Aux urgences de Tavel, elle est directement intubée au vu de la détresse respiratoire et d'une saturation à 50%. Une bronchoscopie retrouve des résidus alimentaires dans les bronches bilatéralement, avec aspiration de quelques-uns de ces résidus. L'antibiothérapie par Co-Amoxicilline est directement débutée le 17.01.2020 pour une durée de 5 jours. L'auscultation du 17.01.2020 retrouve des râles bibasaux, sans autre bruit surajouté. La radiographie thoracique du jour même ne montre pas de foyer. Durant la surveillance aux soins intensifs, Mme. Y reste cliniquement et hémodynamiquement stable. La sédation est levée dès le 17.01.2020 après-midi et l'extubation se fait dans la soirée. La patiente est confortable et reste cliniquement stable au niveau respiratoire, avec une bonne saturation sous un fond d'oxygène (FiO2 29%). Au vu d'une insuffisance rénale aiguë sur chronique, nous mettons en suspens les traitements néphrotoxiques et nous préconisons une surveillance biologique. Mme. Y est transférée dans le service de médecine à Tavel ce 18.01.2020. Mme. Y est une patiente de 90 ans, connue pour les comorbidités susmentionnées, qui consulte en raison d'une réapparition des diarrhées avec une légère douleur en fosse iliaque gauche sans fièvre. Pour rappel, Mme. Y a été hospitalisée dans le service de gériatrie du 02.12.2019 au 19.12.2019 pour une colite à Clostridium difficile traitée par Vancomycine jusqu'au 13.12.2019. À son entrée, Mme. Y est stable sur le plan hémodynamique mais fébrile à 38°C. L'examen clinique montre une sensibilité à la palpation abdominale en fosse iliaque gauche sans défense ni détente. Le laboratoire réalisé met en évidence un syndrome inflammatoire avec une élévation de la CRP à 60 mg/l sans leucocytose. L'analyse des selles montre une nouvelle fois la présence de Clostridium difficile. Dans ce contexte, Mme. Y est à nouveau mise sous antibiothérapie par Vancomycine 125 mg 4x/jour per os du 30.12.2019 au 09.01.2020. Les hémocultures reviennent négatives. Les troubles électrolytiques dans le contexte de diarrhées, avec une hypomagnésémie à 0.68 mmol/L et une hypophosphatémie à 0.63 mmol/L, sont substitués per os. Nous mettons également une insuffisance rénale aiguë AKIN I, probablement d'origine mixte sur une déshydratation sur diarrhée médicamenteuse. Après la mise en place d'une hydratation, la créatinine revient dans les valeurs habituelles.La patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation initialement en chambre en raison de l'isolement de contact. L'évaluation et le suivi montrent des déplacements et des transferts de manière autonome sans moyens axillaires juste avec une guidance verbale. La patiente n'aura pas besoin de séance en ambulatoire. Le 10.01.2020, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile 1x/semaine pour le contrôle de la santé. Mme. Y est une patiente de 87 ans qui est hospitalisée suite à une chute vers l'arrière sur une perte d'équilibre sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. Pour rappel, Mme. Y est connue pour une fibrillation auriculaire sous Eliquis depuis octobre 2019 et qui a été hospitalisée il y a un mois pour une chute avec de multiples fractures traitées conservativement. Sur le plan social, Mme. Y est veuve et vit en appartement avec sa fille. A son arrivée aux urgences, nous réalisons une radiographie du bassin au vu des douleurs au niveau de la hanche gauche et une radiographie du thorax au vu d'une douleur costale droite inférieure, ne révélant pas de fracture. Le bilan biologique réalisé à l'étage montre des troubles électrolytiques avec une hypokaliémie à 3,4 mmol/l et une hypomagnésiémie à 0,75 mmol/l pour lesquels nous procédons à une substitution. A son admission à l'étage, la patiente présente une persistance des lombalgies et des coxalgies avec une mobilisation limitée attribuée à une maladie arthrosique. Après adaptation du traitement antalgique et la mise en place de la physiothérapie de mobilisation, l'évolution clinique est favorable. Pendant son séjour, Mme. Y bénéficie d'une réhabilitation gériatrique aiguë du 03.12.2019 au 13.12.2019. Mme. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation. La patiente peut se déplacer sur une distance de 200 mètres à l'aide du rollator et peut gravir les escaliers avec l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 76/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 5/7, escaliers 1/7). Le TUG se réalise en 22,68 secondes avec l'aide d'un rollator. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence un risque d'apport insuffisant sur une difficulté de mastication et une inappétence pour laquelle nous adaptons les repas. Nous ne préconisons pas de suppléments nutritifs oraux pour la sortie. En ergothérapie, Mme. Y profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Nous recommandons un passage de l'ergothérapie à domicile afin de sécuriser le domicile et d'adapter les moyens auxiliaires afin de prévenir les risques de chutes. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 06.12.2019 montrent un MMS à 28/30, un test de la montre à 4/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Le 14.12.2019, Mme. Y peut regagner son domicile avec un renforcement des soins à domicile, de la physiothérapie ainsi que de l'ergothérapie en ambulatoire, tout en ayant un suivi régulier à votre consultation. Mme. Y, 73 ans, connue pour une cardiomyopathie dilatée d'origine idiopathique vs toxique, porteuse d'un pacemaker / défibrillateur implanté avec une fonction ventriculaire gauche normalisée sous ce traitement, se présente aux urgences de Riaz pour des palpitations ressenties durant la nuit du 16.01.2020. Au vu d'une suspicion initiale de tachycardie ventriculaire, la patiente est transférée aux soins intensifs de Fribourg. L'interrogation du CRT-D révèle plusieurs épisodes de tachycardie supra-ventriculaire régulière à conduction ventriculaire rapide (fréquence 200-230/min), sans passage en tachycardie ventriculaire. Un traitement par Amiodarone intraveineux puis per os dès le 17.01.2020 est introduit, permettant un retour à un rythme sinusal à 24h. La dose de charge est à poursuivre pour une durée totale de 10 jours avec un relais par un dosage de 200 mg/j. Après avis cardiologique, nous arrêtons le traitement de Tambocor (risque d'accélération de la conduction atrio-ventriculaire, contre-indication dans les cardiopathies structurelles) et poursuivons le Carvédilol. Il n'y a actuellement pas d'indication à une anticoagulation mais reste à réévaluer. Compte tenu d'une évolution rapidement favorable, la patiente rentre à domicile le 21.01.2020. Mme. Y, 73 ans, est admise aux soins intensifs en raison d'une tachycardie ventriculaire avec douleur thoracique. La patiente, connue pour une cardiomyopathie dilatée d'origine idiopathique (DD OH) sous traitement d'insuffisance cardiaque avec pacemaker/ défibrillateur implanté avec une fonction ventriculaire gauche normalisée sous ce traitement, se présente aux urgences de Riaz le 17.01.2020 en raison de palpitations avec sensation douloureuse et immédiate au niveau thoracique. L'ECG montre une tachycardie supraventriculaire à 128 bpm sans anomalie biologique. La patiente décrit une sensation de lourdeur dans la poitrine sans autre plainte. La patiente est mise au bénéfice d'une thérapie par Amiodarone intraveineuse puis per os dès le 17.01.2020. La surveillance rythmique met en évidence une tachycardie sinusale à 110-130 de fréquence. L'interrogation du pacemaker ne montre pas de TV ni de choc mais des TSV. En raison de la stabilité hémodynamique et rythmique, la patiente peut être transférée à l'étage de médecine. Après avis cardiologique, nous arrêtons le traitement de Tambocor, poursuivons le Carvédilol et introduisons de l'Amiodarone. Concernant les douleurs thoraciques, celles-ci sont reproductibles à la palpation et apparaissent de manière spontanée en décharge. Les examens ne mettent pas en évidence de cause cardiopulmonaire, raison pour laquelle la patiente est transférée en médecine. Mme. Y, 76 ans, est hospitalisée pour une pose de pacemaker le 14.01.2020 sans complications. La patiente présente des douleurs modérées locales, bien soulagées par l'antalgie au Dafalgan. Nous notons des signes de surcharge pulmonaire qui sont soulagés par l'administration de Lasix. Afin de bénéficier d'un milieu encadré pour les suites post-opératoires immédiates, Mme. Y est transférée au foyer St-Joseph de Morlon le mercredi 15.01.2020. Nous vous remercions de la revoir à 10 jours pour le contrôle de la plaie et du pansement. Elle sera revue pour un contrôle en cardiologie au mois de février 2020. Mme. Y, 60 ans, est admise aux soins intensifs pour l'acutisation d'une insuffisance rénale chronique stade IV avec hyperkaliémie le 06.01.2020. La patiente est connue pour une sclérodermie avec insuffisance rénale chronique et thoracotomie pour drainage d'une tamponnade cardiaque en 12/2019. Elle consulte en raison d'une baisse de l'état général avec nausées et vomissements depuis 1 semaine. Une hémorragie digestive haute est suspectée en raison de méléna persistant et d'une anémie à 64 g/l motivant une oesogastroduodénoscopie le 06.01.2020 qui retrouve de minuscules vaisseaux capillaires, fragiles, ayant pu saigner dans l'estomac sans source franche de saignement. Quelques vaisseaux sont cautérisés à l'argon. Le gastro-entérologue propose de répéter une colonoscopie en électif pour brûler d'autres éventuelles angiodysplasies situées sur le côlon (antécédents d'angiodysplasies iléo-coliques). La patiente a été traitée pendant son séjour aux soins intensifs par Pantozole à haute dose en IV, a été mise à jeûn transitoirement et a reçu 2 concentrés érythrocytaires. Une hyperkaliémie est mise en évidence à l'entrée et traitée par insuline et glucose IV. L'hyperkaliémie est mise sur le compte de l'acutisation de l'insuffisance rénale connue suite à l'anémie et de la chute de la volémie consécutive au saignement gastro-intestinal. Une acidose d'origine rénale sur perte de bicarbonates est mise en évidence, raison pour laquelle nous les substituons.La fonction rénale s'améliore avec une reprise de la diurèse. Une collecte d'urine sur 24 heures permet le calcul d'une clairance à la créatinine à 17 ml/min. Les médicaments néphrotoxiques sont mis en suspens. Sur le conseil de sa néphrologue, nous reprenons le traitement à basse dose d'IEC afin d'éviter une crise hypertensive sur la sclérodermie et introduisons du bicarbonate per os. Nous recommandons la reprise de la colchicine pour la prévention de récidive d'épanchement péricardique dès que possible. Un traitement par Actemra prévu initialement le 07.01.2020 a été annulé à cause de l'hospitalisation de la patiente. La patiente est transférée le 07.01.2020 dans le service de médecine interne. Mme. Y présente une lésion stade II du ligament collatéral interne du genou gauche. Je propose un traitement conservateur avec physiothérapie et traitement par des AINS sous forme de Brufen 400 mg cp 3x/jour en réserve. Je lui prescris également une protection gastrique sous forme de Pantozol 40 mg 1 cp/jour. Après 9 séances de physiothérapie, je la revois pour une réévaluation clinique. Elle reprendra contact à mon secrétariat en fonction de ses horaires de travail. Mme. Y et Chère Consoeur, J'accuse réception de votre courrier du 13.1.2020 au sujet de la patiente susnommée qui est en traitement chez moi depuis le 5.12.2019. Elle présente une lésion trans-fixiante des parties antérieures du sus-épineux avec une très probable instabilité du LCB. L'évolution sous traitement conservateur est moyennement bonne. Elle a bénéficié d'une infiltration de son épaule le 10.1.2020 avec une évolution post-infiltration plutôt correcte avec une diminution des douleurs de la patiente. Actuellement, la patiente se trouve en rééducation en traitement physiothérapeutique. J'ai augmenté sa capacité de travail à 60% dès le 3.2.2020. Je la reverrai le 5.3.2020 pour faire la part des choses. Pour répondre à vos questions, je pense qu'il faut patienter jusqu'à la reprise à 100%. Il y a des restrictions dans son travail comme assistante de clientèle CFF. Je déconseille les longues lignes. Elle-même souhaite avoir un travail dans les lignes régionales. Je vais faire la part des choses le 5.3.2020. En cas de persistance des douleurs, il faudra peut-être, à mi ou long terme, envisager une réinsertion des parties antérieures du sus-épineux. En restant à votre disposition, je vous prie d'agréer, Mme. Y et Chère Consoeur, mes meilleures salutations. Mme. Y est une patiente connue pour une insuffisance veineuse chronique bilatérale avec un statut post-ulcères actuellement guéris. Un bilan angiologique montre la présence de plusieurs veines perforantes qui sont marquées en préopératoire. Nous effectuons les opérations susmentionnées le 16.01.2020. Les suites opératoires sont simples et la patiente rentre à domicile le 17.01.2020. Elle sera revue à la consultation de chirurgie vasculaire à 6 semaines postopératoires. Mme. Y, 73 ans, est admise aux Soins Intensifs pour des douleurs avec faiblesse et paresthésies du membre supérieur gauche dans le contexte d'un AIT versus canal cervical étroit associé à une élévation des troponines sur probable spasme coronarien. La patiente présente brutalement le 31.12.2019 une douleur intense au niveau du membre supérieur gauche avec faiblesse, puis des paresthésies. La symptomatologie dure quelques heures puis s'estompe progressivement spontanément. Elle a présenté un épisode du même type il y a environ deux semaines, moins intense. L'ECG réalisé aux urgences montre une image de bloc de branche gauche avec des sous-décalages dans les dérivations latérales. Les troponines ont une cinétique positive. Suspectant un NSTEMI, la patiente est transférée au HFR en vue de la réalisation d'une coronarographie. La coronarographie effectuée en urgence ne met pas en évidence de lésion coronarienne significative. L'ETT ne montre pas de valvulopathie ni de troubles de la cinétique segmentaire ni d'argument pour une cardiomyopathie de stress. Il existe une hypertrophie ventriculaire excentrique non obstructive à l'état basal. Les d-dimères permettent d'exclure une embolie pulmonaire. L'élévation des troponines est probablement due à un spasme coronarien précipité par le stress et l'hypokaliémie. Il n'y a pas d'argument pour une myocardite (anamnestique ou biologique). L'évolution biologique est spontanément favorable avec diminution des enzymes. L'ECG reste inchangé et la patiente ne présente pas de troubles du rythme cardiaque. Concernant la symptomatologie transitoire du membre supérieur gauche, notre diagnostic différentiel comprend un AIT ou une origine périphérique sur décompensation d'un canal cervical étroit au vu de l'atteinte unilatérale et des antécédents opératoires à l'étage C5-C6. Le bilan est complété avec un angio-CT cérébral et du cou qui ne montre pas de processus intracrânien ischémique ou hémorragique ni d'image parlant en faveur d'une compression médullaire. Il existe des discopathies multi-étagées, rétrécissant de façon modérée le diamètre du canal rachidien C6-C7. Sur avis des neurologues, nous proposons de compléter le bilan par une IRM cérébrale et de la moelle épinière cervicale. Le traitement par Clopidogrel et statine est poursuivi. Au vu des antécédents de thrombose artérielle d'étiologie inconnue et la présence d'un souffle carotidien bilatéral, un US-doppler du MSG et des vaisseaux du cou est réalisé qui se révèle dans les limites de la norme en dehors d'une discrète athéromatose non sténosante carotidienne et sous-clavière. Il n'y a pas d'argument pour un syndrome de défilé thoraco-brachial ni d'image compatible avec une vasculite ou une fibrodysplasie. Lors de la surveillance aux soins intensifs, Mme. Y ne présente pas de récidive des douleurs. Toutefois, elle relate des douleurs cervicales et scapulaires intermittentes associées à des paresthésies, qui lui rappellent des symptômes qu'elle avait avant son opération en 2012. Le statut neurologique est non contributif. Les paramètres inflammatoires, y compris la VS, sont dans la norme, le diagnostic d'une maladie rhumatismale de type polymyalgie rhumatica paraît improbable. À l'entrée, il existe une hypokaliémie sévère qui est attribuée au traitement diurétique (hydrochlorothiazide et Torasémide). Il n'y a pas d'argument pour une acidose tubulaire rénale ni de pertes rénales importantes. L'évolution est favorable avec substitution de potassium intraveineuse et per os. L'Hydrochlorothiazide est arrêté. Le diagnostic de paralysie périodique hypokaliémique est évoqué mais semble peu probable vu le tableau atypique avec atteinte unilatérale. Mme. Y est transférée dans le service de médecine le 01.01.2020. Mme. Y, patiente de 48 ans connue pour un myélome multiple réfractaire à toute thérapie actuellement, présente des épistaxis invalidantes et une somnolence à domicile difficilement gérables par les soins palliatifs à domicile, ce qui motive des soins de confort en milieu hospitalier. La patiente se péjore rapidement au cours de l'hospitalisation et décède paisiblement le 19.01.2020, entourée de ses proches. Mme. Y consulte le matin du 19.12.2019 au service des urgences en raison de douleurs épigastriques, irradiant dans les deux épaules, associées à une dyspnée. À l'ECG, on retrouve un STEMI inférieur, la patiente est chargée en Aspirine, Efient et Héparine. À la coronarographie du 19.12.2019, nous retrouvons une sténose thrombotique de l'artère coronaire droite ainsi qu'une sténose de l'ostium de l'IVA. Elle bénéficie de la mise en place de deux stents sur la coronaire droite moyenne. Une angioplastie de l'IVA avec mise en place d'un stent a lieu dans un second temps le 03.01.2020. À la ventriculographie, nous retrouvons une dysfonction sévère du ventricule gauche estimée à 15% avec hypokinésie diffuse. Une bithérapie antiplaquettaire par Aspirine (à vie) et Efient (pour 12 mois) est initiée. Le traitement de l'insuffisance cardiaque est également introduit (Metoprolol, Lisinopril, Aldactone) et le traitement hypolipémiant habituel majoré. Une ergométrie est à prévoir à un an. Une réhabilitation cardiovasculaire aura lieu en ambulatoire à l'HFR Billens (la patiente sera convoquée).A noter, en per coronarographie, une instabilité hémodynamique, nécessitant un soutien transitoire par noradrénaline. La surveillance hémodynamique aux soins intensifs puis à l'étage de médecine se déroule par la suite sans particularité. • Une décompensation cardiaque aiguë évolue favorablement sous traitement diurétique iv puis per os et séance de VNI intermittente. • Une insuffisance rénale aiguë anurique AKIN III d'origine mixte sur probable néphropathie au produit de contraste et sur syndrome cardio-rénal évolue favorablement après hydratation transitoire et traitement de diurétique à haute dose permettant une reprise de la diurèse. A l'ultrason, on retrouve des reins de morphologie normale avec bonne différenciation cortico-médullaire sans dilatation du système excréteur. Un suivi de la fonction rénale est à prévoir par le médecin traitant à 1 mois. Au vu d'un état général très satisfaisant, Mme. Y rentre à domicile le 07.01.2020 et sera convoquée en ambulatoire pour une réhabilitation cardiovasculaire à l'HFR Billens. Mme. Y, 64 ans, est admise aux soins intensifs suite à la coronarographie élective pour angioplastie d'une sténose de l'IVA. • Une maladie coronarienne bitronculaire a été mise en évidence lors d'un STEMI inférieur le 19.12.2019. En urgence, la sténose coupable de la CD a été prise en charge. La coronarographie initiale s'est compliquée d'une insuffisance rénale anurique transitoire. • La coronarographie et angioplastie du 03.01.2020 se déroule sans complications péri-interventionnelles, hormis un discret saignement du point de ponction Impella inguinale gauche. • La surveillance aux soins intensifs post-coronarographie est sans particularité. Mme. Y ne présente pas de troubles de rythme et la fonction rénale reste stable. Nous pouvons donc transférer la patiente à l'étage de médecine le 04.01.2020. Mme. Y, 52 ans, a été hospitalisée aux soins intensifs après un lâchage d'anastomose avec péritonite secondaire et choc septique. La patiente est connue pour un adénocarcinome du sigmoïde, qui avait été traité par hémicolectomie gauche et entérectomie segmentaire en novembre 2017, ainsi que par chimiothérapie. Suite à une récidive sous forme métastatique avec carcinose péritonéale, infiltration utérine et rectale, ainsi que métastases hépatiques, une chimiothérapie a été reprise de juin à août 2019. Une chirurgie de cyto-réduction complète a été réalisée le 13.01.2020 au CHUV, avec une omentectomie, résection de l'anastomose colorectale et réfection par anastomose termino-terminale, hystérectomie, annexectomie, urétérectomie droite, résection wedge des segments hépatiques V et VII, chimiothérapie hyperthermique intra-péritonéale et 5-fluorouracil iv. La patiente a quitté le CHUV le 24.01.2020. Elle a présenté des douleurs abdominales d'apparition aiguë le 27.01.2020, suite à un lâchage de l'anastomose colo-rectale termino-terminale associée à une péritonite secondaire. Une laparotomie exploratrice a été effectuée en urgence, avec lavage abdominal, suture de l'anastomose et confection d'une iléostomie à double canon en fosse iliaque droite. L'intervention s'est déroulée sans complication immédiate. Le choc septique secondaire à la péritonite a nécessité un remplissage vasculaire et soutien vasopresseur pendant plusieurs heures. Une antibiothérapie empirique a été instaurée pour sept jours, par meropenem au vu d'une colonisation urinaire par E. coli BLSE en 2017. La prochaine réfection du pansement aspiratif VAC abdominal sera organisée pour le 30.01.2020. L'antalgie est contrôlée par oxycodone per os et une PCA de morphine iv. • Une dénutrition protéino-calorique depuis plusieurs semaines comporte un risque élevé de syndrome de renutrition et nécessitera un contrôle quotidien des électrolytes. Une réalimentation progressive a été débutée, avec un complément partiel de nutrition parentérale périphérique couvrant 50% de la cible jusqu'au 30.01.2020. Un suivi par les diététiciennes a été demandé du fait de nombreuses intolérances alimentaires. La patiente a été transférée le 29.01.2020 dans le service de chirurgie. Mme. Y, âgée de 71 ans, est hospitalisée pour investigation d'insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine rénale. La patiente présente des oedèmes des membres inférieurs avec prise pondérale de 10 kg en un mois, dans les suites d'une hospitalisation fin novembre 2019 pour pyélonéphrite droite à E. coli, traitée par Ceftriaxone, relayée par de la Co-Amoxicilline suite à une réaction allergique avec angioedème. Sur persistance de leucocyturie urinaire asymptomatique, un traitement par Nitrofurantoïne est administré durant 7 jours dès le 16.12.2019. La patiente est transférée de Tavel pour un bilan néphrologique. Une insuffisance rénale d'origine rénale est retenue avec clairance à 19 ml/min. Sur eosinophilie urinaire non quantifiable et eosinophilie plasmatique, avec exposition récente à la Ceftriaxone, Co-Amoxicilline et Nitrofurantoïne, une néphrite immuno-allergique est retenue, confirmée par une biopsie rénale, montrant une inflammation interstitielle mononucléée et éosinophilique. Une consultation en allergologie avec le Dr. X est réalisée pour identification du médicament responsable, avec test de stimulation lymphocytaire prévu en fin février 2020. Une insuffisance rénale chronique de stade G3 d'origine hypertensive et diabétique, avec hyalinose et glomérulosclérose, est également retenue sur la base de la biopsie, avec syndrome néphrotique et hypoalbuminémie sévère. Quant au reste du bilan étiologique à l'insuffisance rénale aiguë, le bilan de vasculite et connectivité revient dans la norme et une électrophorèse des protéines montre l'absence de gammapathie monoclonale significative. Une glomérulonéphrite extra-membraneuse et une maladie lupique sont de même exclues, avec absence d'arguments radio-cliniques pour une néphrocalcinose uratique et une maladie des emboles de cholestérol. Une origine infectieuse (HIV, HCV, HBV) est de même exclue. Une échocardiographie permet d'écarter enfin une composante cardio-rénale. Sur le plan médicamenteux, sur signes de surcharge volumique évoquant une composante pré-rénale, un traitement diurétique par Furosemide iv est débuté, de réponse clinique favorable, permettant un relais oral. Cependant, au vu d'une péjoration de la fonction rénale, une corticothérapie par Prednisone 1 mg/kg est instaurée, pour une durée prévue totale de 3 semaines, avec schéma dégressif à définir selon avis néphrologique en ambulatoire. Sur protéinurie massive dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique, la patiente bénéficie enfin de l'administration itérative d'Albumine, avec traitement néphro-protecteur par IEC dès stabilisation de la fonction rénale. Des troubles électrolytiques sont de même corrigés. Quant au suivi, une consultation néphrologique est agendée au 03.02.2020 avec contrôle biologique et discussion quant au sevrage de la corticothérapie. Un test de stimulation lymphocytaire est de même agendé au 26.02.2020 pour identification du médicament responsable.Durant le séjour, la patiente développe de même une thrombose veineuse profonde axillaire et de la veine basilique gauche, secondaire à la pose de Picc Line, pour laquelle une anticoagulation par Héparine en iv continue est introduite, avec relais par antivitamine K, indiquée pour une durée totale de 3 mois. Enfin, sur décompensation diabétique dans le contexte hospitalier et la corticothérapie, une adaptation de l'insulinothérapie est réalisée, avec suivi glycémique indiqué en ambulatoire à votre consultation. Mme. Y est une patiente de 38 ans, en bonne santé habituelle, qui se plaint de diarrhées et vomissements (4-5 épisodes par jour) depuis le 22.12.2019. Les selles sont totalement liquides avec parfois des bouts d'aliments non digérés. Elle n'a pas remarqué la présence de sang et les selles ne sont pas d'allures glaireuses. Pas de notion de contage, pas de voyage récent, pas d'antibiothérapie récente. Elle ne relève aucun épisode fébrile ou des frissons. Elle a consulté les urgences de l'HFR Fribourg le 30.12.2019 où un diagnostic de gastro-entérite virale a été posé. Au vu de la persistance de ses symptômes, la patiente consulte une nouvelle fois les urgences de l'HFR Riaz le 04.01.2020. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée à l'Inselspital pour l'ablation d'un névrome, une greffe de nerf médian et un tunnel carpien du 18 au 23.12.2019. Suite à cela, elle a été traitée par Dafalgan, Novalgine, Targin en R, et Lyrica 75 mg 2x/j et tous les traitements ont été stoppés le 30.12.2019. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité. Au status, nous retrouvons un abdomen globuleux, avec sensibilité en fosse iliaque gauche mais sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en tonalité, augmentés en fréquence. Le status cardiaque et pulmonaire est dans la norme. Une recherche de Clostridium Difficile est réitérée (déjà effectuée à Fribourg le 30.12.2019) mais négative. La culture des selles et la recherche des Norovirus et Rotavirus dans les selles le 08.01.2020 sont également négatives. La Calprotectine dans les selles est augmentée à 491. Au bilan biologique, nous retrouvons une leucocytose sans augmentation de la CRP. Au cours de l'hospitalisation, la patiente présente de légers troubles électrolytiques avec une hypokaliémie à 3.3 mmol/l, qui est supplémentée oralement. Pour la suite des investigations, nous effectuons un CT abdominal le 06.01.2020, qui ne met pas en évidence d'inflammation des parois intestinales. Cependant, un kyste ovarien gauche de 3 cm est mis en évidence. Nous vous proposons donc d'effectuer un suivi gynécologique chez cette patiente. Finalement, nous proposons à la patiente un complément d'investigation par une colonoscopie ainsi qu'une gastroscopie, proposition qu'elle refuse. Mme. Y rentre à domicile le 09.01.2020. Mme. Y est une patiente de 70 ans, qui se présente aux urgences de notre hôpital le 18.01.2020 en raison de douleurs thoraciques gauche à la suite d'une chute à domicile par glissade le 17.01.2020. Le bilan radiologique d'entrée met en évidence un pneumothorax gauche ainsi que des fractures costales gauche en série sans volet costal. La patiente bénéficie de la mise en place d'un drain thoracique gauche le jour même et est hospitalisée en chirurgie générale pour suite de prise en charge. L'évolution est favorable permettant un retrait du drain le 21.01.2020 et un retour au domicile le 23.01.2020. Nous recommandons la poursuite des exercices respiratoires à domicile ainsi qu'un contrôle clinique auprès du médecin traitant à 1 semaine. Mme. Y est une patiente de 83 ans connue pour les diagnostics susmentionnés, hospitalisée le 15.01.2020 en électif pour une cholécystectomie laparoscopique suite à un épisode de cholécystite lithiasique en octobre 2019. Les suites opératoires sont marquées par une évolution clinique et biologique favorables permettant un retour à domicile le 19.01.2020. Mme. Y, patiente de 54 ans connue pour dépendance à l'alcool et une hypertension artérielle, est amenée aux urgences en ambulance le 22.01.2020 dans un état d'alcoolisation aiguë et présentant un traumatisme facial avec un hématome au niveau de l'arcade sourcilière droite ainsi que de multiples hématomes de datations différentes, sur chute ou DD violence conjugale. À l'admission aux urgences la patiente est bien orientée, calme et collaborante. Glasgow à 15/15. Au status digestif, défense en fosse iliaque gauche. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité. Au niveau ostéoarticulaire, douleurs diffuses à la palpation des membres inférieurs avec présence de plusieurs hématomes. Au status cutané, hématome et tuméfaction de l'œil droit. Le status cardio-pulmonaire et neurologique est sans particularité. Une alcoolémie effectuée montre un taux de 4.4 pour mille et le bilan biologique montre des tests hépatiques perturbés. Le sédiment urinaire revient positif et dans ce contexte une antibiothérapie par Nitrofurantoïne est débutée. Concernant l'état d'alcoolisation aiguë, la patiente bénéficie d'une hydratation et d'une surveillance des signes de sevrage. Sur le plan ostéoarticulaire, au vu de la notion de chute DD violence conjugale, de l'examen clinique évoquant des douleurs généralisées, d'une défense abdominale et d'une douleur à la percussion du rachis, des examens radiologiques sont effectués. Le CT cervical est superposable à l'examen du 26.01.2019 et le CT cérébral et abdominal revient dans la norme. Un avis psychiatrique est demandé et au vu d'un risque élevé de mise en danger, le Dr. X, psychiatre de liaison, valide l'indication à un transfert de suite au CSH de Marsens pour mise à l'abri des alcoolisations massives et de la violence conjugale supposée (à clarifier), en PAFA car la patiente refuse catégoriquement une hospitalisation à Marsens. Mme. Y est donc transférée à Marsens le 23.01.2020 à l'unité Thalassa. Mme. Y, patiente de 72 ans, est hospitalisée dans le service de chirurgie de Fribourg dans le cadre d'une diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock IIB avec un abcès au niveau de la partie antérieure du sigmoïde. Un drainage de l'abcès par guidage CT est effectué le 31.12.2019, le liquide prélevé revient positif pour un Streptococcus Intermedius sensible à l'antibiothérapie par Rocéphine-Metronidazole initiée le 31.12.2019. L'évolution clinique et biologique est simple, permettant un retour à domicile le 04.01.2020 avec des soins à domicile une fois par jour pour le rinçage du drain. À noter que sur la durée de l'hospitalisation, nous remarquons une différence de pression artérielle entre le bras droit et gauche, initialement avec une différence de 40 mmHg de la systolique, diminuant rapidement à 20 mmHg. Une atteinte sténosant de l'aorte ou des artères brachiales n'est pas mise en évidence sur le CT d'entrée. Nous suggérons un suivi tensionnel chez le médecin traitant et un éventuel bilan angiographique si la différence persiste. La patiente bénéficiera d'un CT abdominal le jeudi 09.01.2020 pour un suivi de l'abcès drainé avec une consultation chez les Chefs de clinique le 13.01.2020. Au vue de la perte de poids importante, des troubles de transit ainsi que des sueurs nocturnes sur les derniers 6 mois, une colonoscopie est prévue à Santé Bulle le 05.02.2020 à 13h. Mme. Y présente une tendinite d'insertion en regard de l'os naviculaire du tendon du muscle tibial postérieur, ceci étant dû à une configuration de pes planovalgus avec affaissement de la voûte longitudinale et d'une moindre importance de la voûte horizontale. Je propose un traitement conservateur. La patiente ira chez l'orthopédiste pour faire des semelles orthopédiques sur mesure qui corrigeront l'affaissement de la voûte longitudinale par un soutien interne et un appui rétro-capital pour remonter la voûte horizontale pour décharger la tête du 2ème métatarsien. Ensuite la patiente ira faire de la physiothérapie avec des exercices d'étirement et à but antalgique pour la tendinite tibiale postérieure. Je la revois dans deux mois pour une réévaluation clinique. En cas de persistance des douleurs, on pourrait infiltrer loco dolenti par cortisone le tendon du muscle tibial postérieur.Mme. Y est une patiente de 74 ans qui a séjourné récemment dans notre service de gériatrie du 06.11.2019 au 29.11.2019 et qui est à nouveau hospitalisée en gériatrie aiguë. Pour faire suite aux gonalgies gauches de Mme. Y nous effectuons une radiographie qui montre une gonarthrose tri-compartimentale prédominant nettement en fémoro-tibial interne avec pincement articulaire. Après discussion avec le chef de clinique d'orthopédie, nous proposons d'organiser un rendez-vous à la consultation du Dr. X à l'Hôpital de Riaz pour discuter de la prise en charge orthopédique si les gonalgies gauches persistent. Pendant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche avec un rollator est de 140 mètres et elle peut gravir 9 marches d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 73/126 par rapport à 63/126 à son entrée (MIF physio: transferts 6/7, déplacements 6/7 et escaliers 4/7). Le TUG se réalise en 28 secondes. Nous constatons chez la patiente une péjoration de ses capacités cognitives. Mme. Y ne parle quasiment plus français et présente plusieurs épisodes de confusion et d'agitation, ce qui rend la communication limitée. Malgré un traitement par Lexotanil, Quétiapine d'office et Haldol en réserve, nous ne retrouvons pas d'amélioration clinique importante. Devant ces éléments, nous organisons une IRM du neurocrâne pour le 27.12.2019. Un bilan neuropsychologique reste aussi à organiser en espagnol. Le 23.12.2019 après-midi, nous recevons un appel de la concierge du domicile de Mme. Y, qui nous informe que la patiente a quitté l'hôpital pour rentrer chez elle sans avertir l'équipe du service. Nous prenons contact avec son fils et nous l'informons de la situation. Suite à notre discussion téléphonique, il nous demande de ne pas avertir la police et propose d'aller chercher Mme. Y afin de la ramener à l'hôpital. Le 24.12.2019, Mme. Y est toujours absente. Nous organisons un entretien entre les médecins du service (Dr. X, médecin chef du service, Dr. X, chef de clinique, Dr. X, médecin assistant) et l'équipe infirmière afin de réévaluer la situation et déterminer la suite de la prise en charge. Au vu de l'absence de nouvelles de la part de la famille, nous prenons de nouveau contact avec la famille. Nous arrivons à joindre la fille de la patiente qui, au moment de notre appel, se trouve chez sa mère avec aussi l'infirmière des soins à domicile. Nous lui expliquons la situation et nous exprimons nos soucis par rapport à la fugue de sa mère. Par la suite, elle nous rassure que sa mère reste stable, sans plaintes particulières et nous décidons, avec aussi l'accord de l'infirmière des soins à domicile, que Mme. Y va rester chez elle avec un suivi par les soins à domicile. Nous vous informons que le rendez-vous pour l'IRM prévue pour le 27.12.2019 reste programmé mais en ambulatoire. Par contre, nous n'avançons pas avec l'organisation du bilan neuropsychologique et nous vous laissons le soin de le prévoir en ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 89 ans qui est hospitalisée en gériatrie aiguë suite à une chute de sa hauteur avec traumatisme crânien. Pour rappel, Mme. Y est connue pour une cardiopathie valvulaire et une cardiopathie ischémique avec pontage aorto-coronarien en 2011. À son admission en gériatrie, nous retrouvons une patiente apyrétique, hémodynamiquement stable avec toutefois une baisse de l'état général très marquée. Au status, l'examen cardiovasculaire révèle des bruits du cœur réguliers avec un souffle aortique à 3/6. Nous retrouvons également une turgescence jugulaire à droite associée à des œdèmes des deux membres inférieurs remontant jusqu'à mi-cuisse et prenant le godet sans signe de thrombose veineuse profonde. L'examen pulmonaire révèle des bruits normo-transmis sans bruit surajouté, sans signe de détresse respiratoire. Le bilan biologique du 15.12.2019 retrouve des valeurs de NT-proBNP à 44 402 ng/l ainsi que des D-dimères à 1642 ng/l. L'ECG du 15.12.2019 montre un rythme sinusal régulier à 94 battements par minute avec un QRS large essentiellement dans les dérivations précordiales V5 et V6, parlant en faveur d'un bloc de branche gauche déjà retrouvé sur les ECG précédents. La radiographie de thorax du 15.12.2019 montre une cardiomégalie accompagnée d'un discret flou péri-hilaire en rapport avec une insuffisance cardiaque légèrement décompensée ainsi qu'un épanchement pleural bilatéral inchangé avec des opacités bibasales. Devant le tableau clinique et biologique, nous retenons une décompensation cardiaque droite, raison pour laquelle nous introduisons un traitement sous Lasix en intra-veineux 60 mg/j du 15.12.2019 au 16.12.2019, puis relayé par traitement sous Torem 30 mg per os avec initialement une stabilité de son état général, avec un poids à la sortie de 44,5 kg par rapport à un poids de 45,5 kg à l'entrée. Concernant l'étiologie, nous retenons une embolie pulmonaire avec un score clinique de Genève à 9 pts pour laquelle un scanner injecté n'a pu être réalisé compte tenu d'une fonction rénale détériorée. Nous débutons une anticoagulation sous héparine non fractionnée en intra-veineux du 15.12.2019 au 19.12.2019 avec un relais par Eliquis per os. Par ailleurs, nous mettons en évidence une insuffisance rénale chronique de stade G4A2 acutisé AKIN 1 sur un probable syndrome cardio-rénal avec au bilan biologique une créatinémie à 184 mcmol/l et une urémie à 26.4 mmol/l sans trouble électrolytique. Le séjour de Mme. Y se complique le 19 décembre 2019 d'une nouvelle décompensation cardiaque globale sur une tachycardie supra-ventriculaire accompagnée d'une instabilité hémodynamique. L'ECG réalisée montre une tachycardie supra-ventriculaire raison pour laquelle Mme. Y est transférée au MEDU du 19.12.2019 au 20.12.2019 pour une surveillance rythmique. Un traitement est initié par un bolus de Cordarone en intra-veineux relayé par du Dilzem. Malgré ces traitements instaurés, nous ne parvenons pas à stabiliser l'état général de la patiente. En accord avec la famille et les souhaits de Mme. Y, nous arrêtons tout traitement et instaurons des soins de confort. Mme. Y décède le 26.12.2019. Mme. Y, 68 ans, se présente aux urgences en raison d'une asthénie avec ralentissement psycho-moteur nouveau et une douleur de la face médiale de la jambe gauche, associée à un érythème et une chaleur locale. Nous diagnostiquons une dermo-hypodermite du membre inférieur gauche dans un contexte de lipo-lymphoedème sévère bilatéral. Un CT injecté du membre inférieur permet d'écarter une collection profonde. L'évolution est lentement favorable sous antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam iv 4.5 g du 04.01.2020 au 14.01.2020. Un traitement de secours par Clindamycine est mis en place pour le domicile avec consigne de consulter rapidement. En cas de récidive, une antibioprophylaxie serait à réévaluer au vu du contexte de lipo-lymphoedème sévère.En raison d'une notion anamnestiquement peu claire d'allergie ou intolérance à la pénicilline, l'antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam iv est relayée par une antibiothérapie par Co-amoxicilline per os le 14.01.2020. La patiente développe une réaction anaphylactique de stade III suite à la prise de Co-amoxicilline avec un retentissement digestif, neurologique et circulatoire. L'évolution est rapidement favorable sous corticothérapie iv puis per os et antihistaminique durant 5 jours. Concernant le lipo-lymphedème sévère bilatéral, celui-ci est associé à une papillomatose cutanée. Selon l'évaluation angiologique et dermatologique, une prise en charge spécifique au CHUV avec drainages lymphatiques, bandages multi-couches et compression élastique serait nécessaire, mais toutefois refusée par la patiente qui ne supporte pas la mise en place des bandes élastiques. Une surveillance clinique pour dépistage de transformation des lésions papillomateuses en lymphangiosarcome est à effectuer par le médecin traitant. Un état confusionnel hypoactif transitoire d'origine mixte est présent à l'arrivée : dermo-hypodermite et hyperammoniérie d'origine médicamenteuse sur Phénytoïne et Valproate. Pour l'hyperammoniémie, un traitement par Duphalac est introduit et le Valproate diminué (sur avis neurologique et en fonction des taux médicamenteux). Nous proposons à la patiente, qui n'a pas de neurologue traitant, de prendre un rendez-vous auprès du neurocentre de Fribourg afin d'organiser le suivi neurologique. Sur le plan respiratoire, la patiente présente une dyspnée NYHA III le 04.01.2020 dont l'origine est probablement mixte, avec une composante restrictive au vu du BMI de la patiente, une composante de trouble ventilatoire au vu de l'alitement prolongé ainsi qu'une composante de décompensation cardiaque légère dans le contexte infectieux. L'évolution est favorable sous majoration du Torasemide. La patiente rentre à domicile le 21.01.2020. Mme. Y est une patiente connue pour les antécédents susmentionnés, dont des plaies chroniques des membres inférieurs dans un contexte d'insuffisance veineuse, en mauvaise évolution malgré des traitements locaux. D'importantes calcifications de la plaie et du tissu cutané avoisinant motivent l'excision de celle-ci et une greffe de Thiersch dans un même temps après obtention d'un tissu sain. Les suites sont simples et la greffe adhère en totalité permettant à la patiente de rentrer à domicile, le 18.01.2020. Elle sera revue à la consultation de chirurgie vasculaire pour suivi de plaie. Mme. Y est une patiente de 72 ans connue pour un carcinome épidermoïde du canal anal cT3 cN0 cM0, qui nous est adressée pour une réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mme. Y a été hospitalisée à l'HFR de Fribourg du 28.11.2019 au 23.12.2019 pour une agranulocytose fébrile sur chimiothérapie ainsi qu'une entérite avec iléus-paralytique sur radiothérapie traitée par Metronidazole du 29.11.2019 au 02.12.2019 et alimentation parentérale puis reprise d'alimentation orale par pallier. L'état cutané anal se péjore durant les derniers jours de radiothérapie avec l'apparition d'une radio-épithélite péri-anale et inguinale traitée par des soins topiques rapprochés selon le protocole stomathérapeutique. Au vu d'un déconditionnement global sur le long séjour hospitalier, d'une reprise progressive du transit et de la nécessité de poursuivre les soins topiques du siège, Mme. Y nous est adressée. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie de séances de physiothérapie de mobilisation. La patiente est autonome sur une distance de 200 mètres et peut gravir 36 marches à l'aide d'une main courante. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 75/126 par rapport à 97/126 à son entrée. (MIF physio : transferts 7/7, déplacement 7/7, escaliers 6/7). Le TUG n'est pas réalisé. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Au niveau nutritionnel, nous diagnostiquons une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une inappétence et des nausées démontrées par des ingesta < 25%, puis nuls ainsi qu'une perte de 2 kg et un NRS à 6. Le régime alimentaire est adapté. Tout au long de son séjour, Mme. Y se plaint de dorso-lombalgie sans déficit neurologique à l'examen clinique. La radiographie du bassin ne montre pas de destruction ostéolytique ou ostéocondensante suspecte décelable et le CT du bassin confirme l'absence de masse suspecte. Au vu de ce contexte oncologique, un complément de bilan par une IRM est à réévaluer à la recherche de métastases. La patiente se plaignant de troubles du sommeil, nous lui prescrivons de la Distraneurin. Concernant les ulcères chroniques des membres inférieurs sur insuffisance veineuse, une prise en charge chirurgicale en électif par Dr. X est prévue le 09.01.2020 à Fribourg. Dans ce contexte, Mme. Y est transférée à Fribourg le 08.01.2020. Mme. Y présente une inflammation du 2ème orteil du pied gauche que je vois dans le contexte d'une surcharge fonctionnelle. Je prescris à la patiente des anti-inflammatoires sous forme de Voltarène 75 mg Retard 2 cp/jour fixe pendant 1 semaine puis diminution du dosage à 1 cp/jour pendant encore une semaine. Ceci est combiné avec une protection gastrique sous forme de Pantozol 40 mg 1 cp/jour. Je lui conseille également de contrôler ses semelles orthopédiques qu'elle n'a pas changées depuis 5 ans. Avec l'intervention qu'elle a eue, il se peut que la statique du pied ait changé et éventuellement plus d'appui sur le 2ème orteil. Il serait donc judicieux de contrôler ses semelles orthopédiques chez son orthopédiste et éventuellement en faire une nouvelle paire. Nous gardons le contrôle prévu le 11.3.2020 pour son 3ème orteil. Elle reste en arrêt de travail à 50% jusqu'au 2.2.2020. Reprise à 100% prévue le 3.2.2020. Mme. Y, patiente connue pour une cardiopathie dysrythmique et hypertensive avec décompensation cardiaque le 08.12.2019, nous est adressée par le foyer de La Providence le 30.12.2019 en raison d'une prise pondérale de 3 kg en 7 jours malgré la majoration des diurétiques (torasémide) de 30 à 60 mg. À noter que la patiente est asymptomatique sur le plan cardio-respiratoire. À l'auscultation, nous retrouvons de légers râles crépitants bibasaux, avec un souffle systolique 2/6 et des oedèmes des membres inférieurs prenant le godet, jusqu'aux racines des cuisses. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë dans le contexte du syndrome cardio-rénal. La radiographie du thorax met en évidence des images compatibles avec une surcharge volémique. Un traitement diurétique intraveineux est mis en place. Nous remarquons sous ce traitement une amélioration de la surcharge volémique et de la fonction rénale. L'origine de cette décompensation cardiaque reste peu claire en absence d'un syndrome inflammatoire, une bonne compliance thérapeutique et un ECG montrant fibrillation auriculaire normocarde déjà connue. Pendant le séjour, nous demandons également un consilium stomatothérapie, au vu d'une plaie type escarre de stade I sur le trochanter droit. Le protocole est à poursuivre également au home. Vu la bonne évolution clinique, Mme. Y peut rejoindre le foyer le 14.01.2020. Nous vous proposons un suivi étroit du poids et de la fonction rénale afin d'adapter le traitement diurétique. Mme. Y, âgée de 87 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture per-sous-trochantérienne reverse déplacée à gauche le 06.12.2019 avec réduction fermée et ostéosynthèse par PFNA fémur G, le 07.12.2019.Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée, collaborante et très communicative. La cicatrice est calme. L'examen cardiopulmonaire est sans particularités. La flexion/extension de l'hanche gauche est de 20°-0°-0° en actif et 60°-0°-0° en passif. La force du quadriceps G et de l'iliopsoas G est limitée par la douleur et cotée à M2, la sensibilité est conservée. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin sur un périmètre limité en raison de la décharge. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de l'hanche gauche à 110°-0°-0° en actif et en passif. La force des membres inférieurs est globalement cotée à M4. Nous profitons de l'hospitalisation pour effectuer un bilan lipidique qui est tout à fait satisfaisant. Après 2 semaines et demie d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service, à sa demande, pour rejoindre son domicile, le 31.12.2019, en état général conservé. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Mme. Y, 71 ans, connue pour une BPCO stade IV sous oxygénothérapie à domicile et ventilation non invasive, est hospitalisée pour une nouvelle exacerbation de BPCO sur augmentation de la dyspnée NYHA IV, du volume des expectorations et de la purulence. Pour rappel, Mme. Y était sortie le 04.12.2019 d'une réadaptation pulmonaire à Billens et présentait depuis lors une péjoration de la symptomatique. La patiente est admise initialement aux soins intensifs pour surveillance et ventilation non invasive intensifiée. La patiente bénéficie de séances de ventilation non invasive durant son séjour avec amélioration gazométrique. Répondant à 3/3 critères d'Anthonisen, la patiente est traitée par Co-Amoxicilline pour une durée de 5 jours et reçoit des corticoïdes pendant 3 jours. Sous ces traitements, elle présente une évolution favorable. Une échographie cardiaque est effectuée au vu de l'augmentation de la fréquence des exacerbations en décembre 2019, et ne met pas en évidence de pathologie ou de péjoration cardiaque sous-jacente. On note une fréquence haute des consultations ambulatoires chez le pneumologue traitant, ne trouvant pas à chaque fois une cause infectieuse ou autre sous-jacente. Nous initions des petites doses de morphine per os, à titre symptomatique et à but de diminuer les dyspnées, voire une angoisse conséquente aux attaques dyspnéiques. La patiente n'est actuellement pas preneuse d'un traitement anxiolytique de fond. Un essai par une benzodiazépine (Temesta) en intra-hospitalier n'a pas eu d'effet subjectif. Dans le cas où la symptomatologie anxiogène devait devenir au premier plan, nous proposons l'introduction d'un SSRI tout en vérifiant l'absence d'interaction avec la médication actuelle. En accord avec la patiente, nous prenons contact avec l'équipe de soins spécialisés Voltigo, qui est mise au courant de la situation et se mettra à disposition en ambulatoire. La patiente peut rentrer à domicile le 16.01.2020. Mme. Y, 71 ans, est admise aux soins intensifs pour insuffisance respiratoire globale sur exacerbation infectieuse d'une BPCO stade D. La patiente, connue pour une BPCO stade IV oxygénodépendante (1 litre/min au domicile) avec VEMS à 21% de la valeur prédite, se plaint d'une péjoration de sa dyspnée avec majoration du volume des expectorations qui sont purulentes. Elle consulte son pneumologue traitant qui réalise des NT-proBNP et des D-dimères qui reviennent négatifs. Aux urgences de Riaz, la patiente présente une dyspnée NYHA IV avec signes de détresse respiratoire (tirage), ce qui motive son transfert aux soins intensifs. Il n'y a pas de foyer radiologique. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline avec bronchodilatateurs et corticothérapie systémique sont prescrits. À noter que Mme. Y est sortie d'une réadaptation pulmonaire à Billens le 04.12.2019. L'évolution aux soins intensifs est rapidement favorable sous la BPAP personnelle portée durant la nuit du 10 au 11.01.2020. Il convient de poursuivre la ventilation nocturne habituelle avec éventuellement des séances itératives sur la journée au besoin. L'oxygénothérapie est actuellement à 4l/min avec désaturation à l'effort. Nous proposons une durée de 5 jours d'antibiotique empirique au vu de l'absence de germe identifié. En l'absence d'infiltrat radiologique, nous stoppons la clarithromycine. La patiente est transférée en médecine interne pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 43 ans, qui se présente le 22.01.2020 aux urgences en raison de douleurs abdominales. Le bilan effectué met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle nous prenons le patient au bloc opératoire la nuit même de la présentation pour une appendicectomie laparoscopique. L'intervention se déroule sans complication. Les suites sont simples, permettant un retour à domicile le 24.01.2020. Mme. Y, 31 ans, est hospitalisée pour une deuxième thérapie à l'iode radioactif qui se déroule du 20 au 22.01.2020. Elle est adressée par son endocrinologue traitant, le Dr. X, qui remarque des taux de thyroglobuline restant relativement élevés. La thérapie se déroule sans complication et une scintigraphie de contrôle est réalisée le 22.01.2020. La patiente rentre à domicile le 22.01.2020 avec la poursuite du suivi ambulatoire auprès du Dr. X. Mme. Y, 83 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'une sigmoïdite d'origine indéterminée. Pour rappel, la patiente est hospitalisée en séjour de reclassement dans notre service suite à un NSTEMI. Durant le séjour, elle présente un état fébrile persistant depuis le 30.12.2019, sans syndrome inflammatoire, avec une inflammation du sigmoïde visible au CT abdominal le 30.12.2019. Une calprotectine est augmentée à 1'515 ug/g le 08.01.2020. Le 15.01.2020, une colonoscopie revient dans la norme. La symptomatologie s'amende spontanément, permettant l'arrêt des investigations. Des lésions kystiques de la tête du pancréas sont observées au CT thoraco-abdominal du 30.12.2019. Une IRM abdominale le 14.01.2020 révèle des lésions de type IPMN. Au vu de ces résultats rassurants, la patiente est adressée en ambulatoire à nos collègues cardiologues pour l'organisation d'une TAVI en raison de sa sténose aortique serrée. Mme. Y quitte notre service de médecine interne le 16.01.2020. Mme. Y, 83 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne pour la suite de prise en charge d'un syndrome coronarien aigu sur sténose de l'artère coronaire droite associée à une sténose aortique sévère, après avoir été admise aux soins intensifs. La patiente présente depuis environ 3 semaines des douleurs thoraciques irradiantes dans l'omoplate gauche, accompagnées d'une dyspnée à l'effort. Depuis le 26.12.2019 au soir, elle présente une exacerbation des symptômes. Le 27.12.2019 au matin, elle est admise au service des urgences de l'HIB Payerne où un syndrome coronarien aigu est suspecté, motivant son transfert à l'HFR Fribourg. L'échocardiographie montre une hypokinésie globale minime du ventricule gauche, une FEVG à 47 % et un rétrécissement aortique serré. La coronarographie du 28.12.2019 montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une lésion critique de l'ostium de l'artère coronaire droite, traitée par l'implantation d'un stent actif. Le cathétérisme cardiaque gauche/droit confirme la sténose aortique sévère de type low flow low gradient avec une surface à 0.65 cm². La fonction ventriculaire gauche systolique est conservée. Le bilan est complété par un CT thoraco-abdominal le 30.12.2019, afin d'évaluer, entre autres, l'axe aorto-bifémoral (perméabilité du pontage aorto-bifémoral) en vue d'un TAVI. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X est organisé pour le 10.01.2020.En raison d'une hypertension artérielle, nous introduisons un traitement de Torasémide transitoirement, du Metoprolol et du Lisinopril à petites doses. La patiente fait un épistaxis le 29.12.2019 sans amélioration après méchage nasal. Une cautérisation est réalisée le 02.01.2020 par nos collègues du service de l'ORL. Une récidive de saignement le 07.01.2020 justifie une 2e intervention par notre collègue de l'ORL, qui cautérise au niveau du plexus de Kiesselbach. Des traitements locaux sont poursuivis. Un état fébrile persistant et asymptomatique est objectivé durant le séjour. Aucune piste infectieuse, notamment urinaire ou respiratoire n'est retrouvée. Un CT thoracique du massif facial ne montre pas de signe de sinusite. En relisant les images du CT thoraco-abdominal, et au vu d'une probable inflammation au niveau du sigmoïde, nous dosons la calprotectine, qui revient fortement élevée. Après discussion avec nos collègues de gastro-entérologie, et au vu d'une défense en fosse iliaque gauche, malgré l'absence de diverticulose au CT abdominal, nous organisons une colonoscopie, qui aura lieu le 15.01.2020. Au CT abdominal du 30.12.2019, une lésion d'allure kystique est également identifiée au niveau de la tête du pancréas. Vu le contexte de perte de poids et d'état fébrile sans foyer et afin d'exclure une origine néoplasique, nous organisons une IRM abdominale qui sera effectuée prochainement à l'HFR Fribourg. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR Fribourg bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 09.01.2020 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 78 ans qui est connue pour une RCUH non traitée avec antécédent de perforation couverte et sténose sigmoïdienne traitée par sigmoïdectomie en novembre 2019. Elle est hospitalisée actuellement en électif pour une préparation à une colonoscopie prévue pour contrôle post-opératoire et de la RCUH. A son admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle bénéficie de la colonoscopie qui se déroule sans complication le 24.01.2020. Suite à cela, Mme. Y rentre à domicile et sera revue par le service de chirurgie de l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Mme. Y est admise aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance neurologique d'une évacuation d'un hématome épidural avec un syndrome de la queue de cheval en urgence le 17.01.2020. La patiente de 52 ans est connue pour une claudication neurogène invalidante sur un canal lombaire étroit L4-L5, L5-S1, et des sténoses foraminales avec hypomatose épidurale étendue. Une décompression canalaire et foraminotomie est réalisée le 13.01 avec complication per-opératoire d'une brèche durale nécessitant la mise en place d'un point de rapprochement per-opératoire et d'un alitement strict de 48h. L'évolution est marquée par l'apparition d'un syndrome de la queue de cheval sur un hématome épidural le 17.01, motivant la reprise en urgence au bloc opératoire pour une évacuation de ce dernier. L'intervention se déroule sans complications. La surveillance neurologique rapprochée est simple. Le statut neurologique de sortie retrouve une hypoesthésie du membre inférieur gauche, avec une motricité et une force des membres inférieurs symétriques et conservées. Une anesthésie en selle persiste, avec un trouble sphinctérien (pas de sensation à la défécation). En date du 18.01.2020, Mme. Y est transférée en unité de chirurgie orthopédique pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 47 ans qui est hospitalisée pour la prise en charge chirurgicale d'un nodule pulmonaire. Elle bénéficie d'une segmentectomie par thoracoscopie uniportale et lymphadénectomie loco-régionale. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples et favorables, permettant un retour à domicile le 25.01.2020. La patiente est avisée de ne pas s'exposer à des variations de pression atmosphériques (montagne, avion, plongée) pour six semaines. Mme. Y sera vue en consultation par Dr. X le 06.03.2020 à 10:30 et sera convoquée. Mme. Y est une patiente de 81 ans, qui présente un malaise en cuisinant avec une sensation de voile noir, une dyspnée et une sensation d'oppression dans la poitrine avec une perte d'urine. Mme. Y nous informe que le malaise a été spontanément résolutif après 10 minutes, après s'être assise. Il n'y a pas de notion de morsure de langue, de convulsion, de phase post-critique. Mme. Y décrit une baisse de l'état général depuis 2-3 jours avec une sensation d'oppression et une dyspnée au repos avec irradiation dans le bras gauche. La patiente a eu un changement médicamenteux avec l'introduction du Zanidip récemment et se dit plus angoissée ces jours, en raison de ce changement. A son admission à l'étage de gériatrie, Mme. Y est afébrile, normocarde, normotendue. L'examen cardiovasculaire révèle des B1 et B2 bien frappés réguliers sans bruits surajoutés et sans oedèmes des membres inférieurs, avec des pouls périphériques palpables aux 4 membres. L'examen pulmonaire révèle des murmures normo-transmis sans bruits surajoutés. Concernant cette perte de connaissance survenue à domicile, nous retenons un diagnostic de syncope vaso-vagale sans critère de gravité. L'ECG réalisé met en évidence un rythme sinusal régulier, sans trouble de la conduction avec des QRS de morphologie et de durée normales, sans signe d'ischémie. Le test de Schellong effectué ne démontre pas d'hypotension orthostatique. Devant ce tableau clinique et biologique sans critères de gravité, nous procédons à un suivi clinique. Le laboratoire d'entrée met en évidence une hyponatriémie à 120 mmol/l hypoosmolaire à 270 mosm/kg pour lequel nous attribuons une origine médicamenteuse sur le traitement de Olmesartan/HCT. Nous procédons à un remplacement du traitement par du Losartan et nous vous laissons le soin de procéder à un contrôle biologique à votre consultation. Par ailleurs, nous mettons en évidence une hypokaliémie à 3.2 mmol/l que nous substituons, ainsi qu'une légère détérioration de la fonction rénale avec une créatinine à 110 mmol/l qui se corrige à 95 umol/l. Mme. Y, pendant son séjour, bénéficie de séances de physiothérapie de mobilisation. La patiente se mobilise sur une distance de 200 mètres et peut gravir 27 marches d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 107/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 6/7). Le TUG n'est pas réalisé. Sur le plan diététique, un bilan nutritionnel met en évidence une bonne couverture des besoins nutritionnels. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 07.01.2020 montrent un MMS à 30/30, un test de la montre à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15.Le 08.01.2020, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : • 1x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, • 1x/semaine pour un contrôle et des conseils ; • ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mme. Y est un patient de 69 ans, connue pour un diabète traité ainsi qu'un trouble bipolaire, qui consulte en raison de vertiges, de céphalées pariétales droites apparues depuis ce matin. Pour rappel, Mme. Y était hospitalisée en gériatrie aiguë du 06.02.2019 au 15.02.2019 pour une pneumonie basale et des troubles de la marche et de l'équilibre. À son admission en gériatrie, Mme. Y est somnolente mais calme et collaborante, ne présente pas de plainte particulière. Au status d'entrée, la patiente est orientée dans le temps et l'espace, désature à 88% à l'air ambiant. Sur le plan cardiologique, nous retrouvons des B1 B2 bien frappés, réguliers. Sur le plan pulmonaire, des râles crépitants bibasaux. Au niveau abdominal, nous auscultons des bruits en tonalité et en fréquence normale avec un abdomen souple et indolore. L'examen neurologique ne démontre pas de trouble sensitivo-moteur grossier. Le bilan biologique réalisé le 30.12.2019 met en évidence une glycémie élevée à 17 mmol/l ainsi qu'une hémoglobine glyquée à 9%. La radiographie du thorax ne démontre pas de foyer clairement visualisé, ni d'épanchement. La gazométrie d'entrée montre une hypoxémie sans trouble acido-basique. Le CT thoracique réalisé ne démontre pas d'embolie pulmonaire, ni de signe de surcharge. Au vu des glycémies élevées, nous retenons un diagnostic de décompensation diabétique pour laquelle nous majorons la Lantus à 60 U et nous introduisons une Novorapid à 6 U, nous poursuivons le traitement d'ADO sous Jardiance. Concernant l'étiologie, il n'y a pas de notion de changement dans l'alimentation ou de changement dans la prise médicamenteuse. Nous suspectons une étiologie infectieuse à l'origine de cet épisode de décompensation. Nous vous laissons le soin de contrôler les glycémies et d'adapter l'insulinothérapie au besoin. Une infection urinaire basse est mise en évidence suite à un examen urinaire montrant la présence de leucocytes que nous traitons par Nitrofurantoïne du 30.12.2019 au 04.01.2020 pour un total de 5 jours, avec une évolution clinique favorable. Au vu de la désaturation à l'entrée qui se répète durant le séjour, accompagnée d'une gazométrie montrant une hypoxémie, nous retenons le diagnostic d'insuffisance respiratoire partielle. Nous suspectons un syndrome d'apnée du sommeil et préconisons une polycapnographie, dont nous vous laissons le soin d'organiser en ambulatoire. Une légère détérioration de la fonction rénale est retrouvée, pour laquelle nous retenons une insuffisance rénale aiguë sur déshydratation dans le contexte de la décompensation diabétique. L'évolution clinique est favorable après réhydratation. La créatininémie à la sortie est à 116 umol/l et nous proposons un suivi biologique à distance, à votre consultation. Durant son séjour, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. La patiente se mobilise sur une distance de 60 mètres dans le couloir. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 50/126 par rapport à 48/126 à son entrée (MIF physio : transferts 3/7, déplacement 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 43 secondes avec rollator. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 07.01.2020 montrent un MMS à 26/30, un test de la montre à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Le 09.01.2020, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place des soins à domicile comme suit : • 3x/jour pour les tests simples du glucose puis l'administration des médicaments, • 1x/semaine pour le semainier ; • ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mme. Y est une patiente de 70 ans, en bonne santé habituelle, qui présente depuis au moins un mois des douleurs crampiformes de l'hémi-abdomen supérieur, plus marquées à l'hypocondre droit. Ces douleurs sont plus importantes en post-prandial. Le CT abdominal du 25.11.2019 a mis en évidence une cholécystite sans calcul visualisé tandis que l'échographie du 17.12.2019 a montré une cholécystite avec un calcul vésiculaire, ainsi qu'un sludge vésiculaire, ayant motivé une antibiothérapie par Co-Amoxicilline. L'indication à une cholécystectomie est retenue, planifiée pour le 28.01.2020. Au status, l'abdomen est souple, l'hypocondre droit est assez sensible, mais le signe de Murphy est négatif. L'intervention se déroule sans complication. En post-opératoire, la patiente présente une fatigue, des crises d'hypotension, raison pour laquelle elle est gardée en surveillance dans le service de chirurgie avec hydratation intraveineuse par Ringer-Lactate 1500/24 heures. L'évolution est favorable, tant cliniquement que sur le plan tensionnel (TA 114/71 mmHg). Les douleurs sont bien gérées par l'antalgie standard. Durant son séjour, la patiente relate une sensation de palpitations après la prise de Novalgine, non objectivées, mais motivant l'arrêt de ce traitement. Le 29.01.2020, Mme. Y peut retourner à domicile avec une antalgie standard. Mme. Y, 80 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'un état confusionnel aigu. Un CT cérébral ne révèle pas de saignement intra-crânien, ni de signe d'ischémie. Une culture urinaire révèle un Enterobacter complexe cloacae et Enterococcus faecalis. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée, avec adaptation par Amoxicilline et Bactrim forte selon l'antibiogramme, pour une durée totale de 10 jours. Des hémocultures sont négatives à 5 jours. Avec traitement de l'infection urinaire, on observe une correction de l'état confusionnel aigu avec retour à l'état clinique de base, selon la famille. La patiente nous avait été adressée initialement en raison de mélénas, avec suspicion d'hémorragie digestive haute. Selon les directives anticipées de la patiente et après discussion avec la famille, une gastroscopie n'est pas organisée et un traitement par Pantozol est débuté. Une fibrillation auriculaire nouvelle, non datable, est identifiée à l'entrée, sans instabilité hémodynamique. Au vu des comorbidités de la patiente et du saignement digestif probable, et après discussion avec la famille, nous décidons de ne pas mettre en place d'anticoagulation. À noter que le traitement neuroleptique de la patiente est modifié, à savoir un passage en réserve de la Distraneurine, la patiente étant plutôt paisible. De plus, le traitement d'Imovane pour les troubles du sommeil est mis en réserve, remplacé par de la Quétiapine au vu des comorbidités neurologiques de la patiente, avec bonne tolérance. Mme. Y retourne chez elle le 02.01.2020. Mme. Y, 74 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne dans les suites d'un AVC postérieur et thalamique gauche ainsi qu'antérieur droit le 09.01.2020. La patiente avait été amenée initialement en ambulance au service des urgences de l'HFR Fribourg en raison d'un hémi-syndrome droit avec troubles de l'élocution le 09.01.2020, avec un NIHSS à 11. Une thrombolyse initiée à Fribourg, complétée d'une thrombectomie mécanique à l'Inselspital Berne, permet une reperfusion complète, avec une lésion persistante au niveau thalamique gauche ainsi qu'une transformation hémorragique secondaire au niveau du corps calleux à droite. La patiente nous est réadressée de l'Inselspital le 12.01.2020 pour suite de prise en charge, le NIHSS d'entrée est évalué à 3. Sur le plan étiologique, une plaque artériosclérotique avec éléments flottants au niveau de l'aorte ascendante est identifiée à l'échocardiographie transœsophagienne (ETO) à l'Inselspital Berne. Un CT thoracique effectué le 17.01.2020 ne permet pas d'observer cette lésion aortique. Un CT cérébral de contrôle montre une stabilité de la transformation hémorragique, permettant le remplacement du traitement d'Aspirine Cardio par du Rivaroxaban. Une ETO de contrôle est prévue à 6 mois (la patiente sera convoquée par le service de cardiologie) et en cas de disparition de la plaque, un arrêt du Rivaroxaban et réintroduction de l'Aspirine Cardio serait alors à envisager. Une origine cardio-embolique ne peut être formellement exclue. En effet, un R-test effectué à Berne ne révèle pas de trouble du rythme emboligène. Le R-test est renouvelé durant son hospitalisation à l'HFR Fribourg, dont nous attendons encore les résultats. Si le test s'avère négatif, nous recommandons la réalisation d'un troisième R-test afin d'exclure une telle arythmie. Un bilan neuro-psychologique montre des troubles praxiques, mnésiques, ainsi qu'une possible discrète héminégligence. Une réhabilitation neurologique à Meyriez est décidée. Un rendez-vous de contrôle est prévu le 24.04.2020 en neurologie. La conduite est pour l'instant contre-indiquée, et à réévaluer durant le séjour à l'HFR Meyriez. Mme. Y est transférée le 22.01.2020 pour une réhabilitation neurologique à l'HFR Meyriez. Mme. Y est une patiente de 83 ans, connue pour un diabète de type 2 non insulino-requérant et hypertension artérielle traitée, qui se présente aux urgences le 26.12.2019 suite à des malaises avec vision floue, sensations vertigineuses, trouble de l'élocution et des troubles de l'équilibre avec chute sans perte de connaissance et sans traumatisme crânien. L'angio-CT cérébral réalisé à l'entrée des urgences met en évidence le 26.12.2019 une sténose de la carotide interne droite de plus de 90%, une occlusion v4 distale vertébrale gauche et une lésion d'un AVC frontal droit d'allure ancienne raison pour laquelle la patiente est transférée aux soins intensifs du 26.12.2019 au 27.12.2019 pour une surveillance neurologique. La surveillance hémodynamique aux soins est stable et la surveillance neurologique est superposable avec un NIHSS à 3, c'est pourquoi la patiente est transférée en chirurgie le 27.12.2019. Elle bénéficie le 29.12.2019 d'une endartériectomie de la carotide interne droite avec plastie d'élargissement avec un patch xénopéricarde (Dr. X). Les suites opératoires sont marquées par l'ajustement de la tension artérielle chez une patiente connue pour une hypertension artérielle par Labétalol intraveineux, puis par son traitement habituel aux soins intensifs. À son arrivée à l'étage, la patiente présente une parésie M4 du membre supérieur et inférieur gauche ainsi qu'une instabilité à la marche qui se résolvent spontanément par la suite. Le traitement antiagrégant plaquettaire par Aspirine seule est poursuivi en post-opératoire. Par la suite, le patient évolue favorablement permettant un retour à domicile le 11.01.2020. La patiente sera revue à la consultation d'angiologie à l'Hôpital de Riaz le mercredi 8 avril à 13h30 puis à la consultation du Dr. X le 29.04.2020 à 15h30. Mme. Y, 93 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine en raison d'une embolie pulmonaire et d'un hématome sous-dural. La patiente présente une baisse de l'état général depuis environ 4 jours, sans autre plainte rapportée, avec une tachycardie à 130/min et une désaturation à 88% à air ambiant aux urgences. Un CT thoracique met en évidence une embolie pulmonaire segmentaire droite. Une anticoagulation thérapeutique par Clexane est débutée aux urgences. Dans l'évolution, la patiente présente une péjoration rapide de son état de conscience, devenant non-réveillable. Nous suspendons la Clexane, une gazométrie exclut une carbonarcose, et un test à la Naloxone exclut un surdosage en opiacés. Un CT cérébral révèle un hématome sous-dural hyper-aigu vs chronique. Dans l'évolution, une amélioration du Glasgow permet son hospitalisation dans l'unité de médecine, avec persistance d'un état confusionnel. Un CT cérébral de contrôle le lendemain montre qu'il y a eu probablement un saignement aigu sur un hématome sous-dural plutôt chronique. Après discussion avec le mari de la patiente et au vu de la qualité de vie de la patiente, nous passons à des soins de confort le 09.01.2020. En parallèle, la patiente présente une décompensation cardiaque globale, peu symptomatique. En raison de la complication intra-cérébrale, après discussion avec le mari de la patiente et dans le contexte du retrait thérapeutique, celle-ci n'est pas traitée activement. Mme. Y décède le 11.01.2020. Mme. Y est hospitalisée le 09.01.2020 suite à une crise d'asthme déclenchée probablement dans un contexte septique sur pneumonie basale droite. Sous bronchodilatateurs et corticothérapie, antibiotique et physiothérapie, l'évolution est progressivement favorable avec disparition du bronchospasme et normalisation des valeurs du Peak flow. La patiente continuera l'antibiothérapie pour une durée totale de 7 jours. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 14.01.2020. Elle sera revue à votre consultation le 14.01.2020. Mme. Y, 91 ans, est admise aux Soins Intensifs pour surveillance neurologique post-AVC ischémique ce 13.01.2020. La patiente, connue pour une hypertension artérielle et pour une BPCO post-tabagique, est adressée aux urgences par son médecin traitant pour un hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural droit et des troubles de l'élocution. Le NIHSS à son arrivée est à 8. Le scanner cérébral ne met pas en évidence de foyer clair d'ischémie mais montre une occlusion/sténose subtotale du départ de l'artère sous-clavière gauche, sur une longueur d'environ 28 mm. Une reperfusion s'effectue en distal, probablement grâce à l'artère thoracique interne et au tronc thyro-cervical gauche. Nous notons également la présence d'une sténose de 75% de l'artère carotide interne proximale droite, environ 1 cm après son départ et d'une sténose de 60% de l'artère carotide interne proximale gauche, environ 1 cm après son départ. Les neurologues préconisent une surveillance en Stroke monitorée, raison pour laquelle la patiente est admise aux Soins Intensifs. Une double antiagrégation par Aspirine et Plavix est débutée ce 13.01.2020 et une anticoagulation par Clexane dès le 14.01.2020. Une statine est introduite. Les doses médicamenteuses sont adaptées au poids de la patiente, qui pèse 35 kg à son entrée. À son entrée aux soins continus, la patiente présente un NIHSS à 3 points, avec une légère ataxie à droite, une discrète ptose labiale à droite et une perte de force dans le membre inférieur droit. Une IRM réalisée le 14.01.2020 montre des lésions ischémiques récentes corticales frontales postérieures et pariétales gauches. Durant la surveillance aux Soins Intensifs, la patiente reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Le NIHSS à la sortie des Soins intensifs est à 1 pour une légère faiblesse du membre inférieur droit. Elle n'a pas de douleur ni autre plainte. À noter que, sur la radiographie thoracique réalisée aux urgences, un infiltrat lobaire droit est mis en évidence. Nous débutons donc une antibiothérapie par Co-Amoxicilline dès le 13.01.2020 pour une durée de 5 jours. La Clarithromycine est arrêtée le 14.01.2020 au vu des antigènes urinaires négatifs. Mme. Y peut être transférée en médecine ce 15.01.2020. Mme. Y, 91 ans, est hospitalisée en médecine pour un AVC fronto-pariétal gauche d'origine indéterminée. Elle a présenté une hémiparésie à droite avec dysarthrie en se réveillant d'une sieste dans l'après-midi. Anamnestiquement, la patiente serait tombée du lit en se levant ce matin et aurait fait 2 chutes non objectivées dans la matinée.Aux urgences, la patiente présente un hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural droit avec un NIHSS initial à l'entrée à 8 points. Le CT Time is Brain montre des sténoses des artères carotides et l'IRM réalisée le 14.01.2020 confirme des lésions ischémiques récentes corticales, frontale postérieure et pariétale gauche. Sur avis neurologique, la patiente est traitée par Aspirine, Clopidogrel et Statine. A son entrée aux soins continus, la patiente présente un NIHSS à 3 points, avec une légère ataxie droite, une discrète ptose labiale droite et une perte de force dans le membre supérieur droit. L'évolution neurologique est favorable avec régression du NIHSS permettant un passage à l'étage de médecine le 15.01.2020. L'échographie transthoracique retrouve une oreillette gauche dilatée. La relecture de l'IRM retrouve en sus des lésions décrites ci-dessus, une lésion controlatérale compatible avec une origine cardio-embolique. La patiente bénéficie donc d'un holter dont le résultat reste à pister. Elle bénéficie également d'un bilan neuropsychologique dont le rapport est en cours à ce jour mais ne rapporte pas de contre-indication à un retour à domicile après réadaptation. A noter toutefois que la patiente a l'interdiction de conduire avant de refaire un contrôle par son médecin traitant à distance. Sur le plan pulmonaire, la radiographie réalisée sur plainte d'expectorations augmentées, montre un foyer infectieux droit qui est traité par Co-Amoxicilline avec évolution favorable. Au vu de l'évolution favorable chez une patiente déconditionnée, elle est reclassée le 21.01.2020 en attendant un séjour de réadaptation gériatrique à Riaz. Mme. Y est une patiente de 77 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente le 09.01.2020 aux urgences pour des douleurs coliques du flanc droit. Elle avait été traité par Ciprofloxacine depuis le 07.01.2020 pour une suspicion de pyélonéphrite. L'évaluation met en évidence une lithiase de 3 mm à la jonction urétéro-vésicale droite sans signe de gravité. Elle est hospitalisée pour surveillance au vu des grandes quantités d'antalgie nécessaires aux urgences pour calmer la symptomatologie. La patiente présente une disparition complète de la symptomatologie sur la journée permettant un retour à domicile en fin de journée. Nous préconisons une poursuite de la filtration des urines et Tamsulosine jusqu'à l'excrétion de la lithiase. La patiente se présentera chez son médecin traitant pour un contrôle clinique et laboratoire en début de semaine prochaine. La patiente se représentera en cas de nouvelle symptomatologie ou apparition de signes de complications. Mme. Y, 61 ans, est hospitalisée aux soins intensifs dans le contexte d'une insuffisance respiratoire globale, aiguë sur chronique dans le cadre d'une exacerbation sévère de sa BPCO stade IV dans un contexte de pneumonie à germe indéterminé et récidive d'une aspergillose pulmonaire chronique. La patiente présente une baisse de l'état général évoluant depuis une semaine avant son admission associée à une toux avec dyspnée en péjoration et état fébrile motivant une consultation aux urgences. Le bilan met en évidence une insuffisance respiratoire globale et un syndrome inflammatoire. Une antibiothérapie par piperacillin/tazobactam est donc introduite et elle est transférée aux soins intensifs pour de la ventilation non-invasive. L'antibiothérapie par pipéracilline/tazobactam est poursuivie pendant 7 jours en absence de documentation microbiologique avec nette diminution des paramètres inflammatoires. Le diagnostic d'aspergillose semi-invasive chronique est confirmé par dosage des anti-IgG spécifiques pour Aspergillus fumigatus, chez cette patiente vraisemblablement colonisée. Sur avis des infectiologues, un traitement par voriconazole est introduit dès le 09.01 avec bonne tolérance clinique et biologique et des taux de médicaments résiduels dans l'intervalle thérapeutique. Ce traitement nécessite une diminution du traitement par trazodone et mirtazapine. Au vu des interactions médicamenteuses susmentionnées, le traitement anxiolytique et antidépresseur est adapté chez cette patiente dont l'état psychique se révèle fluctuant avec crises d'angoisse alternées par des moments d'hypoactivité/sédation. L'évolution respiratoire est défavorable sous traitement intermittent par ventilation non-invasive et oxygénothérapie à haut débit. Le CT thoracique de contrôle le 19.01.2020 permet d'exclure une embolie pulmonaire et montre une majoration des infiltrats. Sur avis des infectiologues, un traitement par ciprofloxacine est instauré pour couvrir une nouvelle surinfection pulmonaire. Sous ce nouveau traitement, l'évolution reste défavorable chez cette patiente souffrant d'une maladie terminale, évolutive et irréversible. Plusieurs réunions ont été réalisées entre l'équipe médico-infirmière et la famille de la patiente. En accord avec la patiente et ses proches, un projet palliatif est décidé le 20.01.2020. La patiente décède le 21.01.2020. Mme. Y, patiente de 75 ans, en bonne santé habituelle, bénéficie d'une résection grêle segmentaire de 260 cm par laparotomie avec ICG peropératoire (IndoCyanine Green Test) et anastomose latéro-latérale en deux plans en urgence dans le cadre d'une nécrose grêle sur volvulus mésentérique. En post-opératoire, une nutrition parentérale est mise en place du 05.01. au 09.01.2020. L'évolution clinique et biologique est favorable avec une réalimentation bien supportée et un retour du transit habituel. La patiente peut rentrer à domicile le 11.01.2020 en bon état général. Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 11.02.2020 à 10:40. Mme. Y, 75 ans, est admise aux soins intensifs post laparotomie et résection d'intestin grêle pour une nécrose sur torsion mésentérique. Cette patiente présente des douleurs abdominales diffuses depuis le soir du 04.01.2020, raison pour laquelle elle se présente aux urgences de Tafers. Radiologiquement, la suspicion initiale est une ischémie mésentérique sur occlusion thrombotique d'une veine mésentérique. Elle est donc transférée à l'HFR pour prise en charge chirurgicale. En intra-opératoire, le status met en évidence une torsion du mésentère comme cause de l'ischémie mésentérique, dont l'origine reste indéterminée. 260 cm de grêle nécrotique sont réséqués et une anastomose latéro-latérale est faite. Mme. Y est transférée intubée et avec soutien aminergique aux soins intensifs. Elle peut être extubée le jour de son admission sans complications. Le noradrénaline est sevrée rapidement. Vu le haut risque d'iléus paralytique de long durée anticipée, une nutrition parentérale est introduite dès le 05.01.2020 sur avis chirurgical. L'antalgie est contrôlée avec des opiacés. L'évolution est favorable permettant un transfert en division de chirurgie le 06.01.2020. Mme. Y est une patiente de 89 ans connue pour une maladie d'Alzheimer et une hypothyroïdie substituée depuis une vingtaine d'années. Pour rappel, Mme. Y est transférée depuis Fribourg suite à une perte de connaissance sur une fausse route alors qu'elle mangeait une fondue en famille. Les mesures de premier secours ont été effectuées par sa fille au moyen de compressions thoraciques, suite à quoi Mme. Y reprend connaissance. A l'arrivée de l'ambulance, la patiente est agitée et désature à 81% à l'air ambiant et remontant à 96% sous oxygénothérapie. Pendant le trajet, l'expulsion d'un morceau de pain est objectivée par les ambulanciers.Sur le plan social, Mme. Y vit seule à domicile avec son époux et est au bénéfice du passage des soins à domicile 1x/semaine. La patiente est indépendante pour la plupart des activités de la vie quotidienne et ne nécessite pas de moyen auxiliaire, mais se mobilise toutefois en se tenant au mobilier. A son admission en gériatrie, la patiente est normotendue à 120/80 mmHg et normocarde à 90 battements par minute. L'examen pulmonaire rapporte un murmure vésiculaire normo-transmis sans bruit surajouté. Le reste du status est sans particularité. Le bilan biologique réalisé met en évidence un syndrome inflammatoire avec des Leuco à 13 et une CRP en augmentation (à 73 mg/l le 25.12), ainsi qu'une insuffisance rénale sans critère AKIN avec une eGFR à 45 ml/min et une valeur de créatinine à l'entrée 97 µmol/l et une urée à 5 mol/l qui se corrige après hydratation. Créatinine à la sortie 82 umol/l. La gazométrie artérielle du 24.12.2019 met en évidence une acidose métabolique, probablement sur insuffisance rénale, avec des valeurs de lactate à 7.1 mmol/l, qui est rapidement résolue. Devant ces éléments, nous retenons le diagnostic d'une pneumonie sur broncho-aspiration pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie sous Co-Amoxicilline 2x 1g pour une durée de 5 jours du 26.12.2019 au 30.12.2019. Un bilan dysphagique auprès des physiothérapeutes révèle un risque de fausse route, c'est pourquoi nous préconisons un régime alimentaire mixte et lisse ainsi qu'un épaississement des boissons. Le reste du bilan retrouve une carence en vitamine D à 20 nmol/l et une carence en vitamine B12 à 137 pg/ml pour lesquels nous vous laissons le soin de procéder à une substitution si besoin. Pendant son séjour, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. La patiente est mobile sur une distance de 130 mètres avec l'aide d'un rollator et peut gravir 18 marches d'escalier à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 61/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 4/7). Le TUG se réalise en 20.9 secondes avec l'aide du rollator. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 26.12.2019 montrent un MMSE à 13/30, un test de l'horloge à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/13. Le 27.12.2019, au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile 1x/semaine ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mme. Y, 89 ans, est connue pour une maladie d'Alzheimer et une hypothyroïdie substituée et elle a été récemment hospitalisée en gériatrie aiguë pour une pneumopathie du 24.12.2019 au 27.12.2019, traitée par Co-Amoxicilline jusqu'au 28.12.2019. Elle est amenée aux urgences le 02.01.2020 en raison d'un état fébrile associé à une dyspnée, une désaturation et une toux. Le bilan radiologique (radiographie thorax, CT thoracique) montre une pneumonie basale gauche. Une antibiothérapie par Tazobac et une oxygénothérapie sont débutées. La patiente est hospitalisée en MEDU aux urgences pour une surveillance respiratoire et hémodynamique pendant la nuit. Au vu d'une broncho-aspiration probable, nous proposons d'épaissir tous les liquides et un régime lisse et mixte. Un bilan de dysphagie sera à effectuer par la suite. L'évolution pendant la surveillance est favorable, permettant un transfert le 03.01.2020 dans le canton de Vaud où Mme. Y, plus précisément au CHUV, pour une hospitalisation en médecine interne. Mme. Y est une patiente de 47 ans qui se présente le 21.01.2020 aux urgences en raison de douleurs abdominales. Le bilan effectué met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle nous prenons la patiente au bloc opératoire pour une appendicectomie laparoscopique. L'intervention se déroule sans complication. Les suites sont simples, permettant un retour à domicile le 22.01.2020. Mme. Y est une patiente de 78 ans qui consulte les urgences pour une chute survenue dans la nuit du vendredi 03.01.2020 au 04.01.2020. Mme. Y est tombée du lit à cause d'un cauchemar et a atterri sur le coccyx avec des douleurs lombaires (EVA 8/10) lors de sa mobilisation, sans traumatisme crânien ni perte de connaissance et sans déficit sensible ou moteur. La patiente est transférée à Tafers. A son arrivée à Tafers, la radiographie lombaire et le scanner lombaire montrent une fracture sur tassement modéré de la vertèbre L5. Mme. Y nous est alors adressée par le service de chirurgie pour la suite de sa prise en charge. Sur le plan social, Mme. Y vit seule dans un appartement en rez-de-chaussée, a 2 enfants, 8 petits-enfants et 3 arrière-petits-enfants. A son admission en gériatrie, Mme. Y est dans un bon état général, hypertendue à 173/85 mmHg, normocarde à 60/minute avec une saturation en oxygène dans l'air intérieur à 97%. L'examen cardiovasculaire met en évidence un souffle systolique à 2/6 au foyer aortique et mitral avec des pouls périphériques palpables des deux côtés. A l'examen pulmonaire, nous auscultons des bruits de respiration vésiculaire sur tous les champs pulmonaires. L'examen ostéo-articulaire met en évidence une palpation douloureuse de la colonne lombaire avec une percussion douloureuse. L'examen neurologique ne montre pas de déficit sensibilité ou moteur des quatre extrémités et des réflexes symétriques conservés. Le CT-scan du 04.01.2020, réalisé à Tafers, montre une fracture avec un tassement de la vertèbre L5. A la demande des chirurgiens orthopédistes, le bilan est complété par une IRM. L'examen confirme le tassement du plateau supérieur de L5 et met en évidence une hernie récessale foraminale L1-L2 gauche. Au vu de l'absence de symptôme radiculaire, nous procédons à une adaptation du traitement antalgique. Devant ce tableau d'ostéoporose fracturaire, nous préconisons un bilan d'ostéoporose en ambulatoire et d'introduire un traitement sous biphosphonate si tel n'a pas été le cas jusqu'à présent. Le bilan biologique montre une carence en vitamine D à 26 nmol/l et en acide folique à 3,6 ng/ml pour lesquels nous procédons à une substitution. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'une réhabilitation gériatrique aiguë du 09.01.2020 au 20.01.2020. Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche est à volonté et peut gravir 18 marches à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 104/126 (MIF physio : transferts 7/7, déplacements 7/7, escaliers 6/7). Le TUG se réalise en 12.45 secondes avec l'aide du rollator. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une bonne couverture des besoins. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 20.01.2020 montrent un MMS à 30/30 et un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Le 20.01.2020, Mme. Y quitte notre service et peut regagner son domicile avec un suivi régulier à votre consultation. Mme. Y est une patiente de 63 ans, connue pour hyperparathyroïdisme dans un contexte d'adénome parathyroïdien inférieur droit, qui est hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale élective le 15.01.2020. La patiente bénéficie d'une parathyroïdectomie inférieure droite le jour même. L'intervention se déroule sans complication et les suites postopératoires sont simples, avec un contrôle ORL postopératoire dans la norme, permettant un retour à domicile le 16.01.2020.Nous prévoyons un contrôle à la consultation du Dr. X le 24.02.2020. Mme. Y, patiente de 86 ans, est hospitalisée pour la prise en charge d'un accident vasculaire cérébral ischémique récidivant. La patiente, connue pour un accident vasculaire cérébral fronto-temporal droit et temporal gauche d'origine cardio-embolique sur fibrillation auriculaire actuellement traitée, est hospitalisée pour une lipothymie d'origine indéterminée. L'anamnèse est peu contributive, car la patiente présente une amnésie circonstancielle. Selon l'hétéroanamnèse, elle aurait glissé en arrière sur son tabouret et son époux l'aurait rattrapée avant qu'elle ne chute réellement. Elle n'aurait pas perdu connaissance mais, durant 5-10 minutes, elle répondait de manière inaudible. Elle n'a pas présenté de mouvements tonico-cloniques, pas de perte d'urine, ni de selle. Le bilan effectué exclut une épilepsie ou un trouble du rythme ou de la conduction atrio-ventriculaire qui serait à l'origine de la lipothymie et le test de Schellong revient négatif. L'IRM cérébrale révèle des lésions ischémiques occipitales et frontales droites qui sont chroniques, mais qui sont nouvelles par rapport au scanner de mai 2019. Ces lésions sont apparues malgré le traitement anticoagulant par Eliquis que la patiente aurait pris correctement depuis son dernier AVC. La dose d'Eliquis avait été réduite à 2.5 mg 2x/jour en raison de la fonction rénale. Dans ce contexte et dans l'hypothèse d'une possible anticoagulation insuffisante, nous changeons le traitement anticoagulant pour du Sintrom. Une insuffisance rénale aiguë pré-rénale est attribuée à un contexte de déshydratation et se résout rapidement sous une stimulation hydrique. Les médicaments néphrotoxiques sont repris dès le 21.01.2020 à des doses réduites. Mme. Y présente, au cours de son hospitalisation, un profil tensionnel élevé, raison pour laquelle nous majorons son traitement par Aprovel dès le 28.01.2020. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 30.01.2020 avec la poursuite des soins à domicile quotidiennement, ainsi que la livraison des repas à domicile. Mme. Y est une patiente de 25 ans connue de notre service pour un status post-cholecystectomie avec deux épisodes à distance de migration lithiasique ayant nécessité de faire une ERCP avec papillotomie. La patiente a de nouveau ressenti des douleurs typiques avec un mouvement enzymatique hépatique, témoin d'une nouvelle obstruction avec probable sténose de la papille. Nous organisons une nouvelle ERCP le 30.01.2020 et dans l'intervalle, la patiente retourne à domicile. Mme. Y est hospitalisée pour une décompensation cardiaque à prédominance droite avec un NYHA 3 dans le contexte d'une fibrillation auriculaire connue, actuellement à conduction ventriculaire rapide. Pour rappel, le Lisinopril et la Lasilactone ont été récemment mis en suspens par le médecin traitant en raison d'une hypotension artérielle et d'une hyperkaliémie. L'évolution clinique est rapidement favorable sous traitement diurétique et le traitement pour l'insuffisance cardiaque est optimisé durant le séjour. Afin d'investiguer l'étiologie de la décompensation cardiaque, nous complétons le bilan par une échocardiographie qui montre des troubles de la cinétique segmentaire, ainsi qu'une dilatation bi-auriculaire. Une coronarographie est effectuée et nous permet d'exclure une cause ischémique. L'origine la plus probable de la décompensation est le changement médicamenteux récent ou la fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide. La fréquence cardiaque se stabilise autour des 90/minute, allant par moment jusqu'à un maximum de 110/minute durant le séjour hospitalier avec une très bonne tolérance, raison pour laquelle nous poursuivons le Métoprolol à 200 mg/minute et programmons un Holter afin d'évaluer la nécessité d'intensifier son traitement freinateur. Une consultation cardiologique ambulatoire est prévue après le Holter. Elle présente une malnutrition légère, raison pour laquelle elle bénéficie d'une prise en charge spécifique durant le séjour avec des conseils diététiques pour la sortie. Une carence en vitamine D, B9 et B12 est découverte et est substituée. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 30.01.2020 avec l'introduction de soins à domicile. Mme. Y, 86 ans, connue pour un méningiome fronto-polaire gauche traité conservativement, est conduite au service des urgences par sa famille en raison d'un état confusionnel associé à une aphasie. Un CT-scan cérébral permet d'exclure un évènement ischémique et révèle le méningiome extra-axial connu depuis 2010. L'électroencéphalogramme met en évidence un ralentissement antérieur gauche d'allure lésionnelle avec une discrète composante irritative. Dans ce contexte, un traitement par Levetiracetam est initié. La patiente sera suivie en neurologie avec un prochain contrôle prévu le 23.04.2020. Une discussion avec le service de neurochirurgie est menée et une indication opératoire est posée. Dans ce contexte, une IRM est réalisée pour caractériser la lésion qui met en évidence un discret effet de masse sur le parenchyme cérébral adjacent et un œdème fronto-temporal. Une corticothérapie transitoire a été administrée dans ce contexte. Une consultation de neurochirurgie aura lieu le 14.01.2020 pour discuter de la suite de la prise en charge. Dans le cadre d'une éventuelle opération, nous demandons à notre service d'hématologie un avis concernant sa LLC. La pathologie ayant une espérance de vie de >10 ans à son stade, cela ne contraindique en rien une éventuelle opération. La patiente ayant un profil tensionnel relativement élevé, nous introduisons de l'Amlodipine et supprimons l'hydrochlorothiazide. Le profil tensionnel est par la suite dans la norme. La prise en charge spécifique par notre service se termine le 13.01.2020 mais l'état de santé de la patiente ne permettant pas un retour à domicile et le projet concernant son méningiome n'étant pas encore clair, nous organisons un séjour en réhabilitation gériatrique. Il n'y a cependant pas de place dans l'immédiat. Mme. Y reste donc hospitalisée au sein de l'HFR en attendant le transfert. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à son terme un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 50 ans, consulte les urgences le 22.01.2020 en raison de lombalgies sans irradiation suite à un faux mouvement au travail le 21.01.2020, sans notion de traumatisme. A l'admission aux urgences, la patiente est normotendue, normocarde, afébrile et sature à 98% à l'air ambiant. Cliniquement, la percussion du rachis lombaire est douloureuse. L'examen neurologique met en évidence une motricité limitée par la douleur. Le reste de l'examen clinique est non contributif. La radiographie de la colonne lombaire ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic de lombalgies aiguës et hospitalisons la patiente dans le service de médecine interne pour antalgie et poursuite des investigations. L'IRM de la colonne lombaire met en évidence une déchirure de l'anneau fibreux L5-S1, pouvant expliquer les douleurs. L'antalgie est maîtrisée par Paracétamol, Ibuprofène et Fentanyl patch. A la sortie, nous relayons le Fentanyl patch par de la Morphine. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement antalgique par la suite. Au vu des antécédents de lithiase urinaire, nous réalisons une échographie des voies urinaires qui montre une ectasie pyélo-calicielle bilatérale avec un jet urinaire conservé. A signaler que la patiente a présenté une hypotension artérielle à 65/30 mmHg avec étourdissement le 23.01.2020, résolu après une hydratation iv. Les causes possibles sont une déshydratation ou un effet secondaire des opiacés. Le diagnostic différentiel reste ouvert pour un malaise vaso-vagal sur douleurs vives.Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 31.01.2020, avec antalgie et physiothérapie de mobilisation. Nous recommandons un contrôle à votre consultation pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 75 ans connue pour une pneumopathie interstitielle de type NSPI sous oxygénothérapie à domicile 4L, adressée par son médecin traitant en raison d'une décompensation respiratoire apparue progressivement ces 2-3 mois. A l'entrée, sur le plan cardiorespiratoire, la patiente décrit une augmentation progressive de la dyspnée ces 2-3 derniers mois empêchant tout effort. La patiente décrit une orthopnée chronique non péjorée et des douleurs rétro-sternales le matin et le soir régulièrement. La patiente ne présente pas de toux, quelques expectorations blanchâtres non augmentées, pas d'oedème des membres inférieurs, ni DPN. Mme. Y signale la présence d'un orthostatisme au vu de vertiges/instabilités le matin au réveil en se levant. La décompensation respiratoire est traitée par des aérosols de ventolin et d'Atrovent, ainsi que par l'augmentation transitoire de la Prednisone. La gazométrie d'entrée montre une PO2 à 9.7, une PCO2 à 6.3 et un pH à 7.43 sous 4 litres d'oxygène. L'absence de marqueurs inflammatoires sanguins permet d'écarter raisonnablement une origine infectieuse. Une composante cardiaque, comme le témoigne un NT-proBNP à 3800, nécessite une augmentation transitoire des diurétiques permettant de ramener la valeur à 1118. Une péjoration brusque de la dyspnée motive la réalisation d'un CT thoracique à la recherche d'une embolie pulmonaire, ce diagnostic est écarté. L'examen montre en revanche un épaississement des septas témoignant d'une progression de la pneumopathie et d'une surcharge liquidienne. Des signes d'hypertension artérielle pulmonaire sont également identifiés. L'amélioration clinique est minime, nous décidons donc d'introduire des petites doses de morphine en réserve. A raison d'épisodes hypotensifs, le Deponit est mis en pause. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie respiratoire et de mobilisation pour augmenter la tolérance à l'effort. Elle est capable de réaliser 80m avec 3 pauses et se mobilise avec l'aide d'un tintébin. A sa sortie, sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 75/126. Une évaluation par les ergothérapeutes est réalisée. Le bilan modulaire d'ergothérapie montre un fléchissement de mémorisation avec une capacité d'apprentissage conservée. Une évaluation nutritionnelle objective une malnutrition légère avec un NRS 3/7, motivant des conseils diététiques. Malgré une situation très fragile, un retour à domicile est souhaité par la patiente et son mari. Le 29.11.2019, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile. Mme. Y présente toujours des gonalgies à 3 mois post-résection partielle de la corne postérieure du ménisque interne et du corps du ménisque externe. La douleur de ce jour n'a pas le caractère de douleur méniscale. Les tests méniscaux sont négatifs. Il s'agit plutôt d'une douleur arthrosique qui est à mettre en premier lieu dans le contexte d'une usure cartilagineuse déjà visualisée à l'arthroscopie. Il y a certainement aussi une composante de douleurs qui viennent de sa coxarthrose gauche. Je propose dans un premier temps d'augmenter les anti-inflammatoires sous forme de Voltarène 75 mg R, 2 cp/j., fixe pour 1 semaine, à diminuer ensuite, en fonction du besoin. Je programme une infiltration pour début mars. La patiente me contactera 1 semaine avant l'infiltration pour confirmer ce geste. Rendez-vous infiltration le 04.03.2020. Mme. Y présente une fracture intra-articulaire de l'extrémité distale du radius gauche qui a refusé le traitement chirurgical au profit d'un traitement conservateur malgré les explications sur les avantages et inconvénients de chaque option thérapeutique. La patiente bénéficie d'un plâtre antébrachial qui est fendu et contrôlé avec une radiographie. La patiente sera revue en contrôle radio-clinique dans 1 semaine à la policlinique d'orthopédie. Mme. Y est adressée par son médecin traitant au service des urgences pour une baisse d'état général et confusion accompagnée de diarrhées avec soins impossibles à domicile. Une inscription pour un EMS serait d'ailleurs déjà envoyée. Le bilan au service des urgences met en évidence une bactériurie toutefois asymptomatique. La patiente bénéficie malgré tout d'un traitement de Nitrofurantoïne durant 3 jours. L'antibiogramme définitif met en évidence une Klebsiella résistante à cette molécule. Compte tenu d'une situation en franche amélioration et du statut toujours asymptomatique, nous n'élargissons pas le spectre et privilégions un suivi clinique. Les diarrhées sont en diminution spontanée, sans syndrome inflammatoire associé. Nous retenons une probable intoxication alimentaire. Une insuffisance rénale selon toute vraisemblance pré-rénale s'améliore après hydratation modérée. Durant son séjour, l'état général de la patiente s'améliore très rapidement. Après discussion avec la famille, nous confirmons que la patiente est bien inscrite en home. Nous convenons d'un retour à domicile avec des soins accrus en attendant le placement définitif. Mme. Y rentre à domicile le 05.01.2020. Mme. Y, 66 ans, connue pour des AVC récidivants, dont un en 2018 avec pose d'un stent sur l'artère cérébrale antérieure, a consulté les urgences de Fribourg le 06.12.2019 pour un manque de mot et une perte de force à droite. Le bilan montre une thrombose intra-stent et la patiente est transférée à Berne pour la suite de la prise en charge. Une prise en charge par thrombectomie se complique d'une dissection iatrogène nécessitant la pose d'un nouveau stent. Le 10.12.2019, une nouvelle thrombectomie est réalisée suite à une ré-occlusion du stent avec de multiples emboles péri-interventionnels et un déplacement du stent avec transformation hémorragique de la zone infarcie. Mme. Y est transférée en médecine à Fribourg le 24.12.2019 avec une proposition de prise en charge conservatrice. A son arrivée, elle a un NIHSS à 17/42 avec une aphasie globale, un hémi-syndrome facio-brachio crural droit et une dysphagie sévère. La patiente est évaluée le 30.12.2019 par les neuro-psychologues qui concluent à un bon potentiel de récupération. Elle fait des progrès durant son hospitalisation sous traitement ergothérapeutique et physiothérapeutique. Concernant la dysphagie sévère, Mme. Y est au bénéfice d'une nutrition entérale par SNG depuis son hospitalisation à Berne. Un test de déglutition effectué le 07.01.2020 montre une amélioration de la dysphagie. Une alimentation orale par yogourt 2x par jour sous contrôle soignant est mise en place dès le 07.01.2020 avec succès. Des tests de déglutitions devraient être répétés régulièrement par les physiothérapeutes afin d'adapter l'alimentation. En cas d'amélioration insuffisante dans le futur, la famille de la patiente est favorable à la pose d'une PEG. A l'entrée, elle présente une décompensation de son diabète de type 2. Le profil glycémique est à suivre régulièrement avec adaptation du traitement. Le traitement des autres FRCV est également à suivre. Mme. Y est transférée le 09.01.2020 à l'hôpital de Meyriez pour réadaptation neurologique. Mme. Y est une patiente de 75 ans, connue pour un carcinome du sein droit depuis juillet 2019 qui a bien répondu à son traitement néo-adjuvant. Elle présente une hématurie macroscopique importante le 22.01.2020 nécessitant une réversion de sa crase ainsi que plusieurs transfusions. Elle bénéficie d'une cystoscopie mettant en évidence une cystite hémorragique traitée par un décaillotage et une coagulation diffuse de la vessie le 22.01.2020. L'intervention se déroule sans complication. La patiente est mise au profit d'une antibiothérapie ainsi que de rinçages vésicaux. Son séjour est marqué par une évolution favorable avec un arrêt de son hématurie. Elle regagne son domicile le 29.01.2020.Mme. Jeanrichard souffre d'une coxarthrose gauche pour laquelle l'indication opératoire est donnée, malgré le fait qu'elle présente également une démence. Dans le contexte de la démence, je propose de pratiquer cette intervention par voie antérieure mini-invasive, sous anesthésie rachidienne. J'explique à la patiente le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices liés à celle-ci. Son fils, qui est le représentant légal, viendra signer le consentement éclairé à la consultation le 04.02.2020. L'intervention est prévue pour le 10.02.2020, avec l'entrée à l'hôpital la veille. Mme. Jeanrichard sera vue par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mme. Jelk est une patiente de 78 ans connue pour une ostéoporose fracturaire et des troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition. Elle est amenée aux urgences suite à une chute mécanique le 11.01.2020 devant sa porte après avoir raté une marche. Traumatisme crânien avec réception sur le visage et amnésie circonstancielle de quelques minutes. Pas de notion de malaise, ni de douleurs thoraciques avant la chute. Présence d'une plaie frontale de 2 cm, dermabrasion du visage et tuméfaction de la base du nez. A l'examen clinique, patiente en bon état général, afébrile à 36.7°, normocarde et normotendue. Sur le plan neurologique, Glasgow 15/15, patiente orientée dans l'espace et sur la personne, mais pas dans le temps. Pupilles réactives des deux côtés, mydriase à gauche. Pas de troubles sensitivomoteurs au niveau de la face. Sensibilité et force conservées aux quatre membres. Tuméfaction de la base du nez. Plaie de 1,5 cm de diamètre au niveau frontal gauche. Présence également d'un hématome du sein gauche. Plaie superficielle de 1 cm au niveau du genou gauche ne nécessitant pas de suture. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. La plaie frontale est suturée par deux points de Prolène 5/0, celle du genou gauche est désinfectée et la patiente reçoit un rappel antitétanique aux urgences. Le bilan biologique est aligné, il n'y a pas de trouble électrolytique. Un CT cérébro-cervical ne montre pas de signe de saignement intra-crânien, ni de fracture de la colonne cervicale. Par contre, présence d'une fracture probable très discrètement déplacée de l'os propre du nez. Mme. Jelk est hospitalisée dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique rapprochée. Le traitement d'Aspirine est mis en suspens et sera repris le 14.01.2010. Concernant la fracture nasale, un avis est demandé au médecin ORL de garde qui ne propose pas d'intervention actuellement. L'indication est à réévaluer si la patiente devient symptomatique dans 4-5 jours. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour est instaurée et sera poursuivie jusqu'au 17.01.2020 inclus. En raison de l'hématome du sein gauche, une radiographie de thorax est effectuée, permettant d'exclure une fracture. Le bilan est complété par la réalisation d'un ultrason du sein, montrant des collections visibles en superficie de la glande mammaire à l'union des quadrants supérieurs devant correspondre à des hématomes qui sont non douloureux et de petite taille, raison pour laquelle elles ne sont pas ponctionnées. Nous avons proposé à la patiente de prendre rendez-vous chez son gynécologue dans les prochains jours pour un contrôle. L'évolution est favorable, la surveillance neurologique se déroule sans complication et, le 13.01.2020, Mme. Jelk peut retourner à domicile. Mme. Jomazada est une patiente de 34 ans qui est hospitalisée pour prise en charge d'épigastralgies avec perturbation des tests hépatiques faisant évoquer en premier lieu un passage de calcul biliaire, à savoir chez cette patiente ayant déjà bénéficié d'une cholécystectomie en 2014. Les suites de l'hospitalisation montrent initialement une diminution des paramètres hépatiques et une cholangio-IRM réalisée le 28.01.2020 reviendra sans particularité. Nous ne retenons donc pas le diagnostic de migration lithiasique dans ce contexte et nous laissons le soin au médecin de famille de contrôler biologiquement la patiente dans 7 jours afin de suivre l'évolution de ses paramètres sanguins. La patiente retourne à domicile le 28.01.2020. Mme. Jutzet est une patiente de 94 ans hospitalisée pour une pneumonie communautaire basale gauche. Elle a présenté une toux depuis 2 semaines avec une dyspnée à l'effort. La radiographie de thorax montre un infiltrat évoquant un foyer pulmonaire rétro-cardiaque et le bilan biologique retrouve un syndrome inflammatoire. La patiente bénéficie d'un traitement par Co-Amoxicilline permettant une évolution favorable. Mme. Jutzet présente toutefois un déconditionnement suite à la pneumonie nécessitant une réadaptation gériatrique. Dans l'attente d'une place en réhabilitation, la patiente est reclassée le 21.01.2020. A noter une décompensation cardiaque globale pour laquelle nous majorons le traitement diurétique par Torasémide. Nous laissons le soin à nos collègues de réhabilitation gériatrique de suivre le poids et d'adapter le traitement lors du séjour en réhabilitation. Mme. Kaech est une patiente de 90 ans qui consulte aux urgences pour une dyspnée et une sensation de palpitations depuis une semaine. Mme. Kaech se plaint d'avoir des œdèmes des membres inférieurs et de ne plus arriver à mettre ses chaussures. À cause de ces œdèmes, il y a 3 semaines, Mme. Kaech rapporte être tombée en arrière, la nuque contre le bord de la chaise sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Depuis une semaine, la patiente rapporte avoir une sensation de cœur qui s'emballe de façon intermittente suite à quoi vous avez augmenté le 23.12.2019 la dose de Lasix. La patiente rapporte uriner très peu. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité. Au status aux urgences, nous retrouvons une patiente tachycarde, normotendue et afébrile. Des B1 et B2 sont auscultés, bien frappés mais irréguliers. Nous observons des œdèmes des membres inférieurs jusqu'aux genoux prenant le godet ainsi que des crépitants bibasaux pulmonaires. Le reste du status est dans la norme. Aux urgences, la fréquence cardiaque est ralentie à 110 battements par minute avec 5 mg de Beloc en intraveineux. Mme. Kaech reçoit un traitement par Lasix en intraveineux ce qui permet un soulagement rapide de la dyspnée. Concernant le traumatisme crânio-cervical récent, un CT est réalisé ne montrant pas de lésion osseuse ni d'hémorragie intra-cérébrale. Sur le plan social, Mme. Kaech vit seule dans un appartement, se déplace en rollator et est au bénéfice de soins à domicile 3x/semaine. En gériatrie, sur le plan biologique, la Digoxine est dans les valeurs cibles avec 0.7 nmol/l. Nous retrouvons une hypomagnésémie à 0.45 mmol/l que nous mettons sur le compte des traitements anti-diurétiques et sur l'insuffisance rénale chronique qui est substituée par traitement intraveineux. Le 29.12.2019, Mme. Kaech se plaint de douleurs rétrosternales survenues de façon aiguë au repos, en étaux, non respiro-dépendantes et avec une irradiation dans le bras gauche. L'ECG réalisé est superposable aux précédents. Le premier train de Troponine est à 59, le 2ème à 60. La douleur est de suite soulagée par l'administration de Morphine 2 mg. Nous demandons un avis au Dr. X, médecin de garde, qui préconise de faire un bolus de 500 mg d'Aspirine en intraveineux et de poursuivre une anti-agrégation par Aspirine cardio. La coronarographie n'est, selon le Dr. X, pas indiquée au vu de l'amélioration des douleurs avec la morphine ; mais celle-ci est à réévaluer si les douleurs persistent.Le 30.12.2019, nous proposons d'effectuer une ETT afin de caractériser une atteinte ischémique. Les cardiologues de Fribourg recevront Mme. Y le 31.12.2019 pour cet examen. Le 31.12.2019, la patiente se plaint de vertiges et présente une orthopnée franche, raison pour laquelle une radiographie du thorax est effectuée, mettant en évidence une majoration de l'oedème pulmonaire. La patiente est alors placée sous Lasix en pompe. Mme. Y est transférée à Fribourg pour son ETT et est gardée en hospitalisation dans le service de médecine interne à Fribourg au vu de son instabilité du point de vue respiratoire et la nécessité d'une VNI, qui est difficilement envisageable à Riaz. Mme. Y, patiente de 90 ans connue pour une cardiopathie hypertensive, rythmique et valvulaire ainsi qu'une insuffisance rénale chronique, est transférée de l'HFR Riaz pour la prise en charge d'un pré-OAP dans le contexte d'une décompensation cardiaque depuis le 27.12.2019. Pour rappel, elle est premièrement hospitalisée à l'HFR Riaz pour des DRS avec palpitations présentes depuis 7 jours. Un ralentissement par beta bloquant intraveineux puis digoxine est premièrement tenté, associé à l'introduction de diurétique pour une surcharge pulmonaire. Cependant, le 31.12.2019, Mme. Y présente une décompensation respiratoire sévère avec trouble acido-basique, raison de son transfert. Un oedème aigu du poumon est retenu et après bolus et Lasix en perfusion continue, une amélioration de la dyspnée est rapidement obtenue et la patiente ne nécessite pas d'aide respiratoire. L'ETT effectuée montre une FEVG à 30% (connue). Une fibrillation auriculaire rapide réfractaire est traitée dans un premier temps par de la Digoxine IV puis PO, avec décision d'introduire un traitement d'Amiodarone ainsi que de majorer le traitement bêtabloquant sur avis cardiologique dès le 08.01.2020. Ceci permet un bon contrôle de la fréquence cardiaque. Le traitement par Lasix intraveineux en continu peut être arrêté le 08.01.2020 et remplacé par un traitement de Torasemide et d'Aldactone. Une anticoagulation par Apixaban est à poursuivre. Nous retenons une fibrillation auriculaire rapide comme étiologie à la décompensation cardiaque, bien qu'une insuffisance mitrale sévère péjorée soit décrite à l'échocardiographie et qu'une maladie coronarienne sous-jacente ne soit pas exclue. Nous proposons d'envisager une coronarographie à distance. Dans le contexte d'une insuffisance rénale chronique acutisée sur probable syndrome cardio-rénal, nous suspendons temporairement les médicaments potentiellement néphrotoxiques. Pour la suite de la prise en charge, une réadaptation gériatrique est proposée et acceptée par la patiente. Mme. Y peut donc être transférée à Riaz le mardi 14 janvier 2020. Mme. Y, 37 ans, est hospitalisée en électif le 10.01.2020 afin de bénéficier d'une cholécystectomie laparoscopique. L'intervention est effectuée le jour même de l'hospitalisation et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples, permettant à la patiente un retour à domicile le 12.01.2020. Mme. Y, connue pour une infection du tractus urinaire il y a 6 mois, consulte les urgences le 08.01.2020 en raison de douleurs de la loge rénale droite, un état fébrile, des frissons et des nausées. Au bilan, nous mettons en évidence la présence de leucocytes et des nitrites dans le sédiment urinaire. En raison de la présence de sang dans le sédiment, un US et un Uro-CT sont effectués et ne révèlent pas d'anomalie. Le tableau clinique correspond à une pyélonéphrite, raison pour laquelle la patiente est mise sous Rocéphine IV avec une bonne évolution. L'antibiothérapie IV peut être relayée par la Ciproxine, à poursuivre jusqu'au 15 janvier 2020. Mme. Y peut quitter notre service le 09.01.2020. Nous recommandons un contrôle chez le médecin traitant à la fin de l'antibiothérapie. Mme. Y, âgée de 88 ans, est hospitalisée pour pneumonie bibasale. Vous nous adressez la patiente pour une dyspnée progressive depuis 3 jours avec toux grasse, des expectorations jaunâtres et état fébrile. Le bilan d'entrée aux urgences montre un foyer radiologique rétrocardiaque avec un faible syndrome inflammatoire. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est débutée pour une durée de 7 jours avec un traitement bronchodilatateurs et oxygénothérapie, d'évolution clinico-biologique favorable. Une décompensation cardiaque droite est de même traitée par adaptation du traitement diurétique. Au vu d'un déconditionnement global secondaire à l'état infectieux, une réadaptation gériatrique est organisée à Tavel. Mme. Y, de 67 ans, est hospitalisée de manière élective pour la pose d'un pacemaker CRT-D le 16.01.2020, sans complication. La radiographie ainsi que le contrôle du pacemaker post-opératoires reviennent dans la norme. Un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X sera organisé à un mois post-opératoire. Après une nuit de surveillance et au vu d'une clinique favorable, la patiente rentre à la maison le 17.01.2020. Mme. Y nous est transférée des soins intensifs de l'HFR Fribourg le 03.01.2020 pour la suite de la prise en charge. La patiente est hospitalisée à l'HFR Fribourg le 01.01.2019 suite à une chute avec décubitus prolongé au sol et une exacerbation de sa BPCO avec trouble de l'état de conscience sur carbonarcose nécessitant un séjour aux soins intensifs. L'évolution est favorable au niveau respiratoire sous antibiotique et corticothérapie avec sevrage des aérosols. La patiente poursuivra son traitement d'Ultibro et de sa CPAP personnelle. La nécessité d'utilisation d'oxygène est revenue comme d'habitude avec 1 à 2 litres d'oxygène. L'antibiotique est maintenu pour une durée totale de 5 jours. L'insuffisance rénale, attribuée au contexte infectieux avec possible composante de déshydratation, est rapidement corrigée après l'hydratation, permettant la reprise des diurétiques et de l'IECA. Au vu d'un écoulement purulent de l'oreille gauche persistant depuis mi-décembre, nous préconisons une consultation d'ORL, qui est prévue le 10.01.2020 à l'HFR Fribourg. Mme. Y quitte notre service le 10.01.2020 pour se rendre à sa consultation ORL à l'HFR Fribourg. Elle regagnera son domicile après la consultation. Mme. Y, 78 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une décompensation de BPCO sévère. Elle présente une baisse de l'état général depuis environ une semaine, avec toux, dyspnée et expectorations en augmentation. Utilisation augmentée de l'oxygène diurne également. Elle aurait chuté hier soir accidentellement et ensuite passé la nuit assise sur un fauteuil, retrouvée ce matin par l'infirmière du CMS qui appelle l'ambulance. Aux urgences de Riaz, le bilan met en évidence une acidose respiratoire associée à des troubles de l'état de conscience dans un contexte de BPCO décompensée, motivant son transfert aux soins intensifs de Fribourg. Un traitement par VNI et aérosols est débuté et une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est introduite pour une durée totale de 5 jours. L'évolution sur le plan respiratoire est rapidement favorable, permettant la reprise de la CPAP personnelle dès le 02.01.2020.L'insuffisance rénale, attribuée au contexte infectieux avec possible composante pré-rénale, est rapidement corrigée après hydratation et mise en suspend des diurétiques et IEC. Une reprise du traitement habituel est à réévaluer selon l'évolution de la créatinémie. Au vue d'un écoulement purulent de l'oreille gauche persistant depuis mi-décembre, nous préconisons la réalisation d'un bilan ORL par la suite. La patiente est transférée en médecine interne à Riaz le 03.01.2020. Mme. Y est admise aux soins intensifs le 25.01.2020 pour une surveillance rythmique après des épisodes de brady- et tachycardie attribués à une possible maladie de l'oreillette. Après une pose de hémiprothèse du genou droit élective le 21.01.2020 à la clinique générale, Mme. Y présente le 25.01 deux épisodes de palpitations de plusieurs minutes sans autre symptôme associé. À l'anamnèse dirigée, elle rapporte des palpitations intermittentes depuis quelques semaines, de courte durée. À noter deux épisodes de syncope dans le passé, dont le dernier remonte à l'année passée. Le bilan initial met en évidence une tachycardie supraventriculaire motivant son transfert aux urgences. Aux urgences, elle présente une tachycardie supraventriculaire alternant avec un rythme sinusal associé à un bloc de branche droit intermittent et une pause de 5 secondes. L'évolution aux soins intensifs est simple, la patiente restant asymptomatique tout au long du séjour. Au scope, on note un rythme sinusal normocarde, avec quelques extrasystoles ventriculaires et supraventriculaires asymptomatiques. L'origine des troubles du rythme est possiblement une maladie de l'oreillette, possiblement favorisée par des troubles électrolytiques discrets. Une échocardiographie a été réalisée, qui ne montre pas de dilatation des cavités droites et qui est superposable au comparatif du 16.01.2020. En l'absence de clinique de TVP, nous ne réalisons pas de bilan angiologique dans l'immédiat et poursuivons une anticoagulation prophylactique par Clexane. La TSH est à pister. Un Holter a été demandé pour le 27.01.2020. Les troubles électrolytiques (hypokaliémie à 3.2 mmol/l, hypomagnésémie à 0.76 mmol/l, hypophosphatémie à 0.71 mmol/l) sont substitués initialement par voie intraveineuse puis per os. L'hyponatrémie est probablement consécutive au traitement thiazidique, que nous avons stoppé. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution. La patiente est transférée à l'étage de médecine le 26.01.2020 pour suite de prise en charge. Mme. Y, patiente de 83 ans qui a bénéficié d'une hémiprothèse du genou droit le 21.01.2020 par Dr. X à la clinique générale et une annuloplastie de la valve mitrale en 2017, est hospitalisée dans le contexte d'une tachy-bradycardie sur une possible maladie de l'oreillette. La patiente présente des palpitations de plusieurs minutes sans aucun autre symptôme. Elle mentionne déjà depuis plusieurs semaines des palpitations avec également deux épisodes de syncope dans l'année passée. Le bilan initial met en évidence une tachycardie supraventriculaire motivant son transfert au HFR de Fribourg. Aux urgences, on retrouve des rythmes variables entre une tachycardie supraventriculaire et une bradycardie sinusale avec un bloc de branche droit intermittant. L'origine des troubles du rythme semble être une maladie de l'oreillette. Des troubles électrolytiques comme cause restent un diagnostic différentiel. La TSH est dans la norme. Une échocardiographie a été réalisée, qui ne montre pas de dilatation des cavités droites et qui est superposable au comparatif du 16.01.2020. En l'absence de clinique de TVP, nous ne réalisons pas de bilan angiologique dans l'immédiat et poursuivons une anticoagulation prophylactique par Clexane. Un Holter a été demandé pour le 27.01.2020 et les résultats seront à pister en ambulatoire. Les troubles électrolytiques (hypokaliémie à 3.2 mmol/l, hypomagnésémie à 0.76 mmol/l, hypophosphatémie à 0.71 mmol/l) sont substitués initialement par voie intraveineuse puis per os. L'hyponatrémie est probablement consécutive au traitement thiazidique, que nous avons stoppé. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution biologique avec adaptation des substitutions. En raison d'une amélioration sur le plan biologique ainsi que clinique, la patiente peut être transférée le 30.01.2020 à l'hôpital de Billens où un séjour de réhabilitation musculo-squelettique était envisagé dans le contexte d'une hémiprothèse de genou droit (le 21.01.2020). À noter une charge partielle à 4 kg (touch-down). Mme. Y, patiente de 80 ans, vivant en France, en vacances chez sa fille et connue pour un adénocarcinome du colon, opérée d'une hémicolectomie en juin 2018 avec métastase hépatique suivi par l'IPC de Marseille, est amenée aux urgences le 24.12.2019 en raison d'une baisse de l'état général depuis 48h avec diarrhées, vomissements, état fébrile à 40°C avec des frissons. Cliniquement, nous trouvons un abdomen souple mais sensible à la palpation en flanc droit et fosse iliaque droite sans défense ni détente, avec des bruits diminués en fréquence et tonalité. Un syndrome inflammatoire est remarqué au laboratoire. Le CT abdominal montre un minime épaississement pariétal de quelques anses grêles à proximité de l'anastomose et du côlon sigmoïde et une progression des lésions hépatiques, notamment dans le segment VII du foie, avec apparition d'une discrète ectasie des voies biliaires intra-hépatiques qui nous fait suspecter soit une colite infectieuse soit une cholangite infectieuse au vu d'une cholestase, image radiologique et syndrome inflammatoire. Nous optons pour un traitement par Rocéphine et Metronidazole. La culture des selles revient stérile mais la patiente évolue bien cliniquement et biologiquement sous un traitement d'antibiotique de 6 jours. Vu l'évolution favorable, Mme. Y peut rentrer chez sa fille le 31.12.2019 et ira consulter Dr. X, son oncologue de l'IPC de Marseille, dès son retour en France. Mme. Y, 84 ans, est hospitalisée en raison d'une ischémie mésentérique aiguë sur probable volvulus dans une hernie interne. La patiente présente des douleurs abdominales d'apparition brutale au matin, accompagnées de nausées. Le CT abdominal montre une ischémie mésentérique aiguë sur probable volvulus dans une hernie interne para-caecale, avec d'importants signes de souffrance des anses. L'indication à une révision chirurgicale est retenue par nos collègues chirurgiens. Cependant, la patiente refuse l'intervention en connaissance des risques encourus et du décès. Dans ce contexte, elle est hospitalisée pour des soins de confort. Mme. Y décède le 31.01.2020. Mme. Y est connue pour un lymphome non-Hodgkinien folliculaire de stade IIIB avec un dernier cycle de chimiothérapie par Mabthera, Fludara, Novantron et Dexaméthasone le 14.11.2019. Elle est hospitalisée pour une bronchite probablement virale le 04.12.2019. Le CT cervico-thoraco-abdominal du 05.12.2019 retrouve un épaississement diffus des parois bronchiques mais pas de foyer de pneumonie. Les antigènes urinaires, la PCR Influenza A/B + RSV + B. pertussis + B parapertussis, la culture des expectorations, les hémocultures et la culture urinaire sont négatifs. Elle bénéficie d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline du 04.12.2019 au 07.12.2019 et d'injections de Neupogen du 05.12.2019 au 07.12.2019. L'évolution est marquée par un 1er épisode d'agranulocytose du 10.12.2019 au 11.12.2019, compliquée par un état fébrile sur probable progression du lymphome. Les hémocultures et la culture urinaire sont négatifs. Elle reçoit du Neupogen du 10.12 au 19.12.2019. La Cefepime introduite le 10.12.2019 est stoppée le 11.12.2019 en l'absence de foyer infectieux.Au vu d'une suspicion de progression du lymphome, nous effectuons une biopsie ganglionnaire inguinale gauche le 16.12.19 qui conclut à un lymphome à cellules B matures de type folliculaire avec aspect de progression (FL low grade -> FL grade 2-3 -> FL high grade) mais sans signe de transformation en DLBCL. • Un 1er cycle de chimiothérapie par ESAP (Etopophos, Platinol, Cytosar) est administré du 24.12.2019 au 29.12.2019. L'évolution est marquée par un 2ème épisode d'agranulocytose du 31.12.2019 au 09.01.2020 compliquée par un état fébrile sur mycose oropharyngée le 31.12.2019 (DD: infection urinaire avec une culture urinaire positive pour un E. coli mais chez une patiente asymptomatique du point de vue urinaire). Les hémocultures et la recherche de Clostridium difficile dans les selles sont négatives. Nous n'identifions pas de foyer pulmonaire. Nous commençons un traitement de Tazobac du 01.01 au 10.01.2020, Mycostatine du 02.01 au 12.01.2020 et Fluconazole du 01.01 au 08.01.2020 (couverture d'une candidose oesophagienne potentiellement associée). La patiente reçoit du Neulasta le 29.12.2019. L'évolution clinique et biologique est favorable, permettant un retour à domicile le 11.01.2020. Un contrôle clinique et biologique est prévu en oncologie le 15.01.2020. La patiente sera hospitalisée le 16.01.2020 pour commencer le 2ème cycle de chimiothérapie. Mme. Y, patiente de 37 ans, connue pour une obésité sévère grade III selon OMS ainsi que des antécédents familiaux de cancer gastrique est hospitalisée dans notre service le 15.01.2020 pour bénéficier d'une prise en charge chirurgicale élective avec bypass gastrique proximal et gastrectomie subtotale par laparoscopie. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples avec une réalimentation progressive bien tolérée. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, Mme. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 17.01.2020. La patiente sera suivie par le service de nutrition de notre hôpital de façon ambulatoire. Nous prévoyons de revoir la patiente à la consultation du Dr. X pour un contrôle post-opératoire le 18.02.2020. Mme. Y, 87 ans, est hospitalisée dans notre service pour une infection urinaire haute à E. Coli. Celle-ci évolue favorablement suite à une antibiothérapie IV. • Suite à la réception d'un paquet de viande gelée sur le pied gauche à domicile, la persistance des douleurs motive une radiographie. Celle-ci retrouve une fracture de la 1ère phalange du 1er orteil et de la 2ème phalange du 2ème orteil à gauche. Un avis orthopédique préconise le port de chaussure Darko ainsi qu'une mobilisation selon les douleurs sans contrôle nécessaire. L'admission à l'hôpital se fait dans un contexte de chutes à domicile sur faiblesse dans un contexte infectieux et des troubles de la marche connus dans le cadre de sa polyarthrite rhumatoïde. Malgré la fragilité croissante et la limitation dans la mobilité, la patiente est désireuse d'un maintien à domicile. Lors d'une discussion conjointe avec la patiente, sa fille et le personnel soignant, une réhabilitation gériatrique à Riaz est proposée, ce que la patiente accepte. La patiente et la famille sont prêts à intensifier la présence à domicile avec soins, apport des repas par la Croix Rouge et le restaurant à proximité. Avant son transfert à Riaz, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR Fribourg bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, âgée de 54 ans, connue pour un trouble anxio-dépressif avec syndrome douloureux chronique et antécédent récent d'une résection d'adénocarcinome colorectal le 08.10.2019 au HIB Payerne, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à une encéphalopathie d'origine mixte ainsi qu'un choc septique abdominal sur lâchage de l'anastomose le 13.10.2019. Sur le plan social, la patiente, divorcée, vit seule à domicile. Elle est à l'arrêt de travail depuis 2006, vit actuellement de l'aide sociale. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Mme. Y ne signale aucune plainte spontanément sur le plan somatique. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse par systèmes, la patiente signale des douleurs aux deux chevilles s'exacerbant la nuit, d'évolution favorable en cours d'hospitalisation. Au status, la patiente est orientée aux 4 modes mais peu collaborante, l'attention est conservée. L'examen cardiopulmonaire est sans particularité. Pas de trouble sensitivomoteur grossier aux 4 extrémités. L'examen des nerfs crâniens est sans particularité. Pas d'asymétrie aux épreuves cérébelleuses. Mme. Y a été suivie par le service de nutrition et diététique de l'HFR Fribourg et de Billens. Initialement, nous avons diagnostiqué une malnutrition protéino-énergétique grave et des apports oraux insuffisants ayant nécessité la mise en place d'un support nutritionnel parentéral, puis entéral. À son arrivée à Billens, nous avons progressivement pu diminuer les volumes de nutrition entérale jusqu'à pouvoir la sevrer entièrement. Actuellement, Mme. Y couvre entièrement ses besoins per os (sans SNO) et maintient son poids. Mme. Y souffre également d'une fonction gastro-intestinale altérée, avec une iléostomie à bas débit avec la présence importante de gaz dans la poche. L'introduction successive d'un schéma d'Optifibre, d'un régime pauvre en fibres et en lactose et de Flatulex ont permis d'améliorer le transit. À noter également que Mme. Y consomme un régime haché fin en raison d'une fatigue musculaire. Nous lui avons proposé de tester un régime normal, ce qu'elle n'a pas souhaité. Pour la suite de sa prise en charge, nous avons effectué les transmissions nécessaires à l'UATO via la remise de service infirmier et fourni une prescription pour un suivi diététique ambulatoire au cas où la patiente devait rentrer à domicile avant le rétablissement de la continuité intestinale. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie avec une évolution favorable. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire sur de courtes distances et sous surveillance. Elle peut monter/descendre 5 marches d'escaliers avec la main-courante. La patiente gère la vidange de sa poche sous stimulation. Après 7 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre l'UATO, le 20.01.2020, en état général conservé. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est retransférée du CHUV le 29.11.2019 pour la suite de sa prise en charge après la pose d'un pacemaker provisoire au CHUV en remplacement du pacemaker infecté à Streptococcus dysgalactiae le 27.11.19. Pour rappel, elle est initialement hospitalisée à l'HFR de Fribourg pour une infection des sondes du pacemaker à Streptococcus dysgalactiae associée à une thrombose septique au niveau brachio-céphalique et sous-clavière gauche. Elle est transférée au CHUV pour le changement du pacemaker et des sondes avec mise en place d'un pacemaker provisoire, contre-indication pour un retour à domicile jusqu'à l'implantation d'un pacemaker définitif.Elle présente le 04.12.19 une suspicion d'un abcès pectoral gauche en progression au niveau du retrait de l'ancien pacemaker gauche, qui nécessite un drainage chirurgical. Les biopsies microbiologiques per-opératoires restent stériles, orientant plutôt vers un hématome. Nous poursuivons l'antibiothérapie par Ceftriaxone pour un total de 6 semaines selon avis infectiologique. Les investigations dentaires et gynécologiques quant aux recherches de l'origine infectieuse reviennent dans la norme. Sur avis cardiologique formel, la patiente reste hospitalisée jusqu'à la pose du pacemaker définitif (type Micra) le 14.01.20 par le Dr. X après fenêtre de 2 semaines sans antibiotique, sans complication. A la suite de la pose du pacemaker, la patiente présente des douleurs rétrosternales avec nausées et vomissements, pour lesquels une échocardiographie transthoracique et une radiographie de contrôle reviennent dans la norme. Une origine musculo-squelettique et sur angoisse est suspectée. La patiente est surveillée une nuit en unité de soins intensifs sans complication notable. Un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X est prévu à un mois post-opératoire. Son traitement de la polyarthrite rhumatoïde est mis en pause, provoquant une reprise des raideurs et des douleurs articulaires gérées par des traitements topiques. Après la reprise des injections d'Humira dès le 24.12.19, les symptômes disparaissent progressivement. Durant le séjour, la patiente fait deux épisodes de malaises avec symptomatologie variable et fluctuante, consistant en douleurs thoraciques sous forme de prurit et picotements, troubles visuels, vertiges rotatoires et vomissements. Les bilans cliniques et biologiques reviennent dans les normes. Les malaises sont mis sur le compte d'une intolérance aux opiacés, ou éventuellement sur une anxiété au vu de la symptomatologie fluctuante, spontanément résolutive, ne correspondant pas à des pathologies précises, chez une patiente anxieuse en raison d'une hospitalisation prolongée. La patiente rentre à domicile le 15.01.20 au vu de l'amélioration clinique post-opératoire. Mme. Y, patiente de 72 ans, connue pour une BPCO non stadée et un alcoolisme chronique, est hospitalisée aux urgences de Riaz suite à une pneumonie droite, avec insuffisance respiratoire globale et syndrome de sevrage d'alcool. Elle présente depuis quelque temps une dyspnée en péjoration, associée à une toux grasse et des expectorations brunâtres depuis 1 semaine. A noter un voyage en Turquie avec retour en Suisse le 11.12.2019. A noter une consommation d'alcool importante, rapportée par la patiente et également signalée par sa fille. Le bilan diagnostique aux urgences met en évidence une exacerbation de BPCO sur pneumonie du lobe moyen droit, avec insuffisance respiratoire globale. Une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid, ainsi qu'une oxygénothérapie sont débutées. Un frottis grippe et les antigènes urinaires légionelle et pneumocoques reviennent négatifs. Des hémocultures sont en cours. En parallèle, la patiente présente également un syndrome de sevrage alcoolique avec un score de Cushman estimé à 10 à son arrivée aux urgences. Un traitement par benzodiazépines et une substitution par thiamine ont été débutés. La patiente est hospitalisée en MEDU pour une surveillance respiratoire et hémodynamique, ainsi que pour la gestion du syndrome de sevrage. Au vu d'une péjoration de son état de vigilance et d'une aggravation de l'insuffisance respiratoire globale le 25.01.2020, la patiente bénéficie d'une séance de VNI aux urgences de Riaz puis elle est transférée aux soins intensifs de l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Mme. Y consulte en raison d'une toux irritative persistante depuis 1 semaine. Nous effectuons un examen clinique se montrant rassurant chez une patiente en excellent état général. Nous prescrivons un traitement symptomatique par Gelodurat, Bexine et Brufen. Elle est priée de reconsulter en cas de persistance des symptômes ou de péjoration de l'état général. Mme. Y est une patiente de 73 ans, qui est hospitalisée pour la prise en charge chirurgicale d'un nodule de la glande thyroïde. Elle bénéficie le 22.01.2020 d'une thyroïdectomie totale droite, l'intervention se déroule sans complication. Les suites postopératoires sont simples et favorables, permettant un retour à domicile le 25.01.2020. Mme. Y sera vue pour un contrôle, ainsi que pour la suite de la prise en charge en consultation du Professeur X le 17.02.2020. Elle sera suivie par le service d'endocrinologie. Mme. Y est hospitalisée dans le service de médecine interne le 09.01.2020 suite à un état grippal en péjoration malgré l'antibiothérapie de Céfuroxime et de Moxifloxacine instaurée dès le 07.01.2020. A son admission aux urgences, la patiente présente des râles grossiers sur les 2 bases pulmonaires avec une insuffisance respiratoire partielle et un syndrome inflammatoire important faisant suspecter une infection respiratoire basse, qui est confirmée par la radiographie thoracique qui révèle un foyer basale gauche. Sous Rocéphine et Klacid, la patiente s'est nettement améliorée avec normalisation des paramètres biologiques, ce qui a permis le relais per os par Co-amoxicilline pour une durée totale de 7 jours. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y peut regagner son domicile le 15.01.2020, avec proposition de contrôle clinique à votre consultation. Mme. Y n'est pas motivée quant à une infiltration, voire à une révision des branches du nerf radial superficiel, ce que je peux tout à fait comprendre. Elle semble toutefois motivée à reprendre son activité professionnelle, du moins à temps partiel. Elle est actuellement en recherche d'emploi (a été licenciée). Une capacité de travail à 100 % est donc attestée à partir du 27.01.2020. Poursuite de l'ergothérapie. Un rendez-vous est prévu à la consultation du Dr. X début mars. Pour ma part, un contrôle est agendé à ma consultation pour le 30.03.2020. Mme. Y est admise aux soins intensifs (SIC) pour une agitation d'origine peu claire. La patiente de 77 ans, connue pour une hypertension artérielle, pour un diabète de type II insulino-requérant et pour une démence vasculaire, consulte les urgences de Riaz le 28.01.2020 pour des céphalées. Le bilan retrouve essentiellement une hypertension artérielle et une infection urinaire. Elle consulte à nouveau le 29.01.2020 pour persistance des céphalées et maintien impossible à domicile. Le bilan scannographique retrouve une hémorragie sous-arachnoïdienne spontanée, sans notion de traumatisme. Un CT scanner est répété le 30.01.2020 en raison d'un état confusionnel hypoactif, qui ne retrouve pas de péjoration de l'HSA. Elle nous est adressée pour une péjoration de son état neurologique avec GSC 6/15. Devant ce tableau clinique, une suspicion de crise d'épilepsie, sans témoin, motive l'administration de Lévétiracétam avant son transfert aux soins intensifs (HFR, Fribourg). A son admission, on retrouve une patiente avec un GSC 10/15, hypertendue à 190 mmHg de systole, avec un état confusionnel hypo- puis hyper-actif avec agitation psychomotrice. Après la pose d'une sonde urinaire, nous mettons en évidence un globe vésical. Par la suite, la patiente évolue favorablement avec un état calme et collaborant, et avec un profil tensionnel qui s'améliore. Nous retenons un état confusionnel aigu mixte sur une infection urinaire basse avec rétention urinaire aiguë, expliquant les pics hypertensifs symptomatiques. Un avis neurologique préconise de réaliser un nouveau scanner cérébral qui montre un aspect stable de l'hémorragie sous-arachnoïdienne, sans nouvelle hémorragie démontrée. L'EEG ne retrouve pas de foyer épileptogène mais met en évidence une déstructuration de l'activité de base compatible avec une encéphalopathie modérée à sévère.Le Lévétiracétam est mis en suspens dès l'arrivée aux Soins Intensifs, sans récidive de perte de conscience ni de péjoration de son état clinique neurologique. En ce qui concerne l'infection urinaire basse, nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine dès le 30.01 remplacée par la Nitrofurantoïne dès le 31.01.2020. Nous vous laissons le soin de modifier l'antibiothérapie en fonction des résultats de l'uricult. La patiente arrache sa sonde vésicale ce 31.01.2020. Celle-ci n'est pas remise d'emblée mais nous rendons l'étage attentif au fait que la patiente peut de nouveau présenter un globe vésical. Mme. Y reste stable sur la nuit. Elle est transférée le 31.01.2020 en médecine à l'HFR Fribourg. Mme. Y est une patiente de 90 ans, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés. Pour rappel, Mme. Y a été hospitalisée dans le service de chirurgie à l'HFR Fribourg du 04.12.2019 au 16.12.2019 dans le cadre de cholédocolithiases symptomatiques avec un ERCP le 04.12.2019. Sur le plan social, Mme. Y a 3 enfants petits-enfants et bénéficie d'un excellent soutien familial, est veuve depuis 5 ans et vit actuellement seule en appartement. À son entrée en gériatrie, Mme. Y n'a aucune plainte particulière. Le statut par système est sans particularité excepté de légers œdèmes au niveau des membres inférieurs prenant le godet jusqu'à la cheville. Le bilan biologique met en évidence une carence en vitamine D3 que nous substituons oralement. Mme. Y présente une anémie normochrome normocytaire hyporégénérative sans carence vitaminique ou martiale, que nous mettons sur le contexte post-inflammatoire. Pendant son séjour, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation en charge complète. La patiente peut se déplacer sur une distance de 260 mètres seule, sans moyen auxiliaire et peut gravir 36 marches. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 96/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 5/7). Le TUG n'est pas réalisé. Sur le plan nutritionnel, les diététiciennes diagnostiquent une malnutrition protéino-énergétique grave dans un contexte post-cholédocholithiase avec un NRS à 5/7. Un enrichissement des repas est proposé ainsi qu'un fractionnement de l'alimentation (mise en place de collations) et l'introduction d'un SNO/jour. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 16.12.2019 ne montrent pas de franches altérations des fonctions cognitives avec un MMS à 29/30 et un test de la montre à 4/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Le 27.12.2019, Mme. Y quitte notre service pour regagner son domicile. Mme. Y, 92 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'une pneumonie communautaire. La patiente présente une clinique typique de pneumonie depuis 24h. Elle est vue par Medhome, qui met en évidence un syndrome inflammatoire, raison de son transfert au service des urgences de l'HFR Fribourg. Une radiographie du thorax met en évidence un foyer bi-basal. Nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline, pour une durée totale de 7 jours. La patiente présente une rapide amélioration clinico-biologique. Mme. Y quitte notre service le 02.01.2020 à destination du domicile, sans soins à domicile. Mme. Y est admise aux soins intensifs (SIC) pour une acidose métabolique sévère sur probable accumulation d'acide pyroglutamique secondaire à un traitement de paracétamol. La patiente de 72 ans se présente aux urgences en raison d'une baisse de l'état général et d'une dyspnée. L'hétéro-anamnèse avec le mari rapporte une prise chronique de paracétamol, et une antibiothérapie par pénicilline récente. Le bilan scannographique ne retrouve pas d'embolie pulmonaire. Néanmoins, nous retrouvons une acidose métabolique sévère, une insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale, et un syndrome myéloprolifératif en péjoration. Nous retenons une acidose métabolique sur probable accumulation d'acide pyroglutamique secondaire à un traitement de paracétamol le 16.01.2020. Un traitement de bicarbonate et de N-acétylcystéine est débuté avec bonne évolution biologique et clinique. Une hydratation et la suspension des traitements néphrotoxiques permettent l'amélioration transitoire de l'insuffisance rénale aiguë AKIN I. Nous vous laissons le soin de suivre la fonction rénale et ses électrolytes. La patiente présente des lésions cutanées étendues sur un érythème polymorphe sur pénicilline probable depuis 11.2019. Un complément de bilan dermatologique est demandé. En raison d'un syndrome inflammatoire à la hausse, avec des lésions étendues, nous débutons une antibiothérapie par Clindamycine empiriquement pour une durée de 5 jours. Nous laissons le soin à nos collègues de l'étage de prévoir un bilan diabétologique et un suivi des lésions si besoin. Une tachycardie sinusale était traitée par Aténolol, arrêté au mois de novembre 2019 en raison d'une hypotension. Un bilan par échocardiographie le 17.09.2019 montre une fonction globale conservée, avec FEVG à 55%. Nous réintroduisons le bilol avec bonne tolérance clinique. Au vu de la stabilité clinique, Mme. Y est transférée en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, patiente de 65 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisée en électif pour pose de pacemaker pour un bloc atrioventriculaire de degré variable (y compris de 3ème degré) avec syncope le 27.12.2019. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution clinique est favorable. La radiographie de contrôle ne montre pas de signe de pneumothorax, ni autre complication. Le positionnement du pacemaker est correct. Mme. Y retourne à domicile en très bon état général, sans traitement médicamenteux le 10.01.2020. La suite de la prise en charge sera ambulatoire chez son cardiologue et médecin traitant. Mme. Y est une patiente de 34 ans connue pour une obésité sévère de grade II avec un BMI à 39,8 kg/m2, qui est hospitalisée en électif pour la réalisation d'un bypass gastrique proximal laparoscopique le 06.01.2020. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont marquées par une évolution rapidement favorable, permettant un retour à domicile le 08.01.2020. La patiente est mise au profit d'un traitement par Pantozol 40 mg (1-0-0-0) à poursuivre pour un total de 8 semaines ainsi qu'un traitement de Clexane 60 mg (0-0-1-0) pour un total de 3 semaines. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X le 06.02.2020. Mme. Y, une patiente de 61 ans aux antécédents susmentionnés, est hospitalisée pour une nouvelle décompensation BPCO. La patiente présente à son arrivée une dyspnée importante au repos avec désaturation à l'air ambiant à 70%. Le bilan de base laisse suspecter une décompensation BPCO d'origine infectieuse, un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline est initié. Une oxygénothérapie et des aérosols de Ventolin et Atrovent ainsi que des corticoïdes sont mis en place. L'évolution est rapidement favorable. Suite aux hospitalisations rapprochées pour exacerbation de sa BPCO et après discussion avec la patiente et son pneumologue traitant, nous modifions le traitement de fond en remplaçant l'Anoro ellipta par le Trelegy ellipta qui contient un corticoïde inhalé. Nous vous laissons le soin d'évaluer à distance de l'événement aigu la tolérance du traitement par la patiente. Nous vous proposons aussi de mesurer le nombre d'éosinophiles pour donner un poids supplémentaire à l'indication au Trelegy ellipta.Selon avis physiothérapeutique et au vu du contexte, une réhabilitation pulmonaire est indiquée et une demande est réalisée pour le site de Billens. La nécessité d'une oxygénothérapie à l'effort devra être évaluée à distance de l'hospitalisation en fonction de la récupération. Au vu du profil glycémique nous demandons un avis diabétologique qui confirme le diagnostic de diabète de type II. Des mesures hygiéno-diététiques et l'activité physique sont les seuls traitements préconisés à ce stade. Nous vous laissons le soin de recontrôler en ambulatoire le profil glycémique et l'hémoglobine glyquée à 3 mois afin de déterminer la nécessité d'introduire un traitement par Metformine. Les hospitalisations ayant causé le report du traitement par Prolia de l'ostéoporose de Mme. Y, nous vous laissons le soin d'organiser l'injection en ambulatoire à distance de l'événement infectieux. Après la résolution de l'épisode aigu avec une bonne évolution clinique, la patiente retourne à son domicile le 22.01.2020 et sera convoquée dans un deuxième temps depuis le domicile pour une réhabilitation respiratoire à Billens. Dans l'intervalle, Mme. Y bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire. Mme. Y, âgée de 76 ans, connue pour une cardiopathie hypertensive et valvulaire et pour un asthme, nous est adressée par l'hôpital de Rennaz pour une réadaptation pulmonaire suite à une dyspnée sur insuffisance respiratoire globale avec acidose respiratoire le 26.11.2019. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, la patiente, divorcée, vit seule à domicile. A l'admission, la patiente se plaint d'une péjoration de sa dyspnée stade 3-4 selon NYHA, en péjoration depuis 1 mois sans toux ni expectoration. Elle présente également une humeur labile suite au décès de sa fille il y a 6 mois d'un cancer pulmonaire. La spirométrie d'entrée ne montre pas de trouble ventilatoire obstructif avec un VEMS à 60%. Nous entamons une investigation approfondie de son insuffisance respiratoire globale illustrée à la gazométrie d'entrée sous 1.5lt/min par une saturation à 92.9% avec une hypoxémie légère et une hypercapnie. L'oxymétrie nocturne sous 1lt/min d'O2 sans VNI montre une SpO2 moyenne à 76.6% avec un index de désaturation à 73.3/heure. Une polygraphie diagnostique sous O2 1lt/min, réalisée à l'entrée, mettait en évidence la présence d'un index d'apnées/hypopnées à 48.2/heure. La radiographie du thorax met en évidence la présence d'un épaississement bronchique avec une égalisation de la vascularisation pulmonaire avec une discrète accentuation en direction des apex évoquant des signes de surcharge chronique. Une échographie transthoracique ne montre pas de signe indirect en faveur d'une HTP. L'ensemble des éléments est compatible avec un syndrome obésité-hypoventilation associé à un syndrome d'apnées/hypopnées sévère. Nous introduisons de ce fait une ventilation non invasive par BiPAP (EPAP 13 - IPAP 20) et nous diminuons l'oxygénothérapie à 1lt/min dans le but de diminuer le CO2. Dès l'introduction de cette VNI, nous notons une amélioration significative de sa symptomatologie clinique et des échanges gazeux. Un sevrage de l'oxygène est fait avant sa sortie et la patiente peut rentrer à son domicile sans oxygénothérapie. La tolérance et l'adhérence thérapeutique sont optimales ainsi que le contrôle des troubles respiratoires. Mme. Y a présenté le 07.01.2020 un pic hypertensif allant jusqu'à 198 mmHg en systolique, raison pour laquelle nous avons adapté le traitement antihypertenseur. Nous notons une évolution favorable de la tension artérielle. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y présente une obésité de stade 1 (BMI 34) et un manque de connaissance quant aux conseils hygiéno-diététiques concernant le diabète de type 2. Nous l'avons inscrite à la conférence sur le diabète durant son séjour, à laquelle elle a assisté avec intérêt. Nous lui avons proposé un suivi diététique ambulatoire qu'elle refuse pour l'instant, mais pourrait être preneuse dès que son genou gauche aura été opéré. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 60m à 30m, à relever une limitation fonctionnelle en raison de la gonarthrose avancée G. A la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 13.01.2020, en bon état général. A la fin de son hospitalisation, Mme. Y a émis le souhait de réintégrer notre service en mars 2020 pour une réadaptation musculo-squelettique suite à la pose d'une PTG G. Mme. Y est une patiente de 44 ans qui bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 24.01.2020 dans le cadre du diagnostic susmentionné. La cholangiographie peropératoire met en évidence un calcul flottant dans le bas cholédoque, raison pour laquelle la patiente bénéficie d'une ERCP le 27.01.2020 qui permet l'extraction du calcul du cholédoque. Les suites sont favorables permettant un retour à domicile le 28.01.2020. Mme. Y présente en premier lieu une tendinite du tendon rotulien type Jumper's knee d'origine indéterminée. Les douleurs initiales sur la face interne du genou sont bien expliquées par le traumatisme en valgus au mois de septembre. En l'absence de signe pathologique à l'IRM native 2 semaines après son traumatisme initial, il n'y a probablement pas eu de conséquence due à l'accident. Pour la tendinite du tendon rotulien, je propose un traitement conservateur. La patiente continue la physiothérapie à but antalgique et pour donner des instructions pour faire des exercices d'étirement qu'elle devra faire régulièrement. Je propose une attelle type Genu point qu'elle peut porter afin de soulager le tendon rotulien. Je propose un nouveau contrôle clinique dans 2 mois à ma consultation le 13.3.2020. Mme. Y, âgée de 74 ans, connue pour une BPCO stade IIID selon la nouvelle classification GOLD avec composante emphysémateuse et chevauchement asthmatique, nous est adressée de manière élective pour une réadaptation respiratoire suite à une péjoration de sa dyspnée au repos le 23.12.2019. Les vaccins sont à jour. A son arrivée dans notre service, Mme. Y présente une décompensation de sa BPCO d'origine infectieuse avec 3/3 critères d'Anthonisen, caractérisée par une péjoration de sa dyspnée et une augmentation de la fréquence de sa toux, associées à une modification de l'aspect de ses expectorations (jaunâtres) depuis environ 2 semaines. Les examens de laboratoire mettent en évidence une infection par Moraxella catharralis. Un traitement par Co-Amoxicilline 2 g/jour est débuté pour une durée de 7 jours avec de la Prednisone 40 mg pendant 5 jours. La patiente ressent une nette amélioration de sa symptomatologie clinique depuis l'introduction des antibiotiques. Sur le plan général, Mme. Y rapporte une dyspnée de stade 3-4 selon mMRC; elle est connue de notre service où elle a séjourné en février 2019 et durant lequel une oxygénothérapie nocturne 1 L d'O2/min avait été instaurée. Elle ne se plaint pas de douleur thoracique. Le statut clinique est sans particularité, hormis la présence de tremblements au repos de la mâchoire, qui disparaissent à l'effort. Nous pensons à un tremblement essentiel.La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV selon GOLD. Le score de CAT atteste d'un stade D. La gazométrie d'entrée sous 1 L/min d'O2 montre une saturation à 90.8% avec une hypoxémie sévère, sans hypercapnie. L'oxymétrie nocturne sous 1 L/min d'O2 et sous CPAP montre une SpO2 moyenne à 92.8% avec un index de désaturation à 2.2/heure. La tolérance et l'adhérence au dispositif sont optimales. La radiographie du thorax d'entrée n'objective pas de foyer systématisé visible mais l'on note un aplatissement des coupoles diaphragmatiques avec une raréfaction de la trame vasculaire en périphérie des 2 poumons, secondaire à sa pathologie pulmonaire. Durant le séjour, Mme. Y se plaint d'une céphalée occipitale de tension associée à des douleurs cervicales; une antalgie orale par Brufen est instaurée. De plus, de par une mauvaise utilisation de son traitement inhalé avec Ultibro, nous changeons sa médication par du Spiolto Respimat 2 inhalations 1x/jour, avec une bonne utilisation du dispositif. L'état nutritionnel de Mme. Y est stable depuis l'année dernière; notons une prise pondérale de 10 kg en une année, suite à l'arrêt du tabac, toujours abstinente à ce jour. BMI 26.4, NRS 3/7 (BPCO et âge). Un risque d'apport insuffisant est toujours présent, lié à sa peur de prendre du poids et à sa maladie cachectisante mais, actuellement, la situation est stable. Elle a pu bénéficier de conseils nutritionnels à plusieurs reprises et l'objectif que nous avons fixé avec la patiente est un maintien du poids si possible sans restriction, sachant qu'elle a une faible capacité à fixer les priorités dans sa situation médico-nutritionnelle. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 120 m à 230 m et la patiente augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 12 minutes de 1.6 km à 2.0 km pendant 20 minutes. À la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 10.01.2020, en bon état général. Mme. Y présente depuis deux mois une asthénie avec état fébrile, des sudations nocturnes, un syndrome pseudo-grippal avec fortes myalgies, perte de poids, dyspnée à l'effort ainsi que des adénopathies douloureuses inguinales droites et axillaires droites. Elle nous est adressée par son médecin traitant pour poursuivre les investigations, une biopsie inguinale droite ayant exclu un lymphome et montré une atteinte granulomateuse. Elle bénéficie alors d'un CT de contrôle qui montre des adénopathies loco-régionales inguinale, iliaque commune et iliaque externe droites en nette diminution de taille. Nous demandons un avis hématologique qui ne retrouve pas de signes de dysplasie ni de signe de rupture de la barrière médullosanguine à l'examen du frottis sanguin. Après discussion avec les rhumatologues, nous recherchons et excluons une sarcoïdose et une vasculite de type Wegener. Après avis de nos collègues infectiologues, nous demandons un test Quantiféron et les sérologies d'EBV, Bartonella henselae et Pasteurella tularensis pouvant être responsables de telles manifestations. Les sérologies reviennent positives pour une Tularémie et bien que la porte d'entrée au niveau cutané reste non identifiée, elle suit en général une morsure de tique. Le tableau clinique est entièrement compatible avec ce diagnostic et un traitement par doxycycline pour une durée totale de 2 semaines est initié. Concernant les lésions dermatologiques mentionnées ci-dessus, un avis dermatologique est demandé. Des biopsies et une culture mycologique sont réalisées et en cours d'analyse. Un rendez-vous de contrôle à un mois est pris pour discuter des résultats et de la suite de prise en charge. Mme. Y, patiente de 47 ans connue pour un diabète de type 1 avec récente greffe d'îlots de Langerhans dans le foie et mastectomie pour cancer du sein en septembre 2019, consulte les urgences le 12.01.2020 en raison de la présence, depuis environ 5 jours, d'une douleur scapulaire droite d'installation rapidement progressive irradiant vers l'omoplate gauche reproductible à la palpation. À l'admission, la patiente est stable au niveau hémodynamique et respiratoire. Elle présente un état subfébrile à 38,2°C et elle se plaint des fortes douleurs (10/10 à l'EVA) au niveau de l'omoplate gauche. Une antalgie par Morphine titrée en intraveineux avec un relais par Oxycontin et Oxynorm permet de gérer les douleurs. Le bilan biologique montre une CRP élevée à 80 mg/l sans leucocytose. Des radiographies de colonne vertébrale et de l'omoplate ne montrent pas de lésion suspecte ni traumatique. Nous contactons nos collègues du service de transplantation des HUG qui suivent la patiente pour la greffe des cellules d'îlots. Un effet secondaire du traitement par Cellcept comme cause des douleurs semble probable, chez une patiente qui aurait déjà présenté des arthralgies dans ce contexte. En accord avec la patiente et nos collègues des HUG, Mme. Y est transférée à Genève le 13.01.2020. Tous les autres examens supplémentaires possiblement nécessaires seront réalisés au sein des HUG. Mme. Y revient ce jour car elle présente depuis le 15.01.2020 des douleurs dans la région épigastrique et au niveau de la fosse iliaque droite avec également une sensibilité en loge rénale droite. Au laboratoire, on note une bilirubine totale légèrement augmentée à 22.8 umol/l et une bilirubine directe à 7.6 umol/l. Pas de syndrome inflammatoire; lipase, amylase et tests hépatiques dans la norme. Après discussion avec le Dr. X, chirurgien, nous effectuons un ultrason de l'abdomen qui ne montre pas de calcul ni de cholécystite ni d'obstruction des voies hépatiques. Présence d'une stéatose hépatique avec, dans le segment 8, une zone hypoéchogène et un hémangiome dans le segment droit. Appendice dans la norme. Au vu des douleurs épigastriques, nous proposons à la patiente un traitement par Pantozol 40 mg 1x/jour le matin. De plus, au vu de la présence d'une zone hypoéchogène au niveau du segment 8, il est proposé à la patiente de refaire une échographie dans 3 mois pour voir l'évolution de cette zone. Au vu de l'imagerie négative et de l'examen clinique et biologique rassurant, nous proposons à la patiente un traitement d'épreuve par Pantozol pour éliminer une gastrite. Si le traitement s'avérait inefficace, nous lui proposons de prendre contact avec son gynécologue à la recherche d'une endométriose qui pourrait expliquer les symptômes. J'ai donc vu en consultation, en date du 30.1.2020. Pour rappel, il s'agit d'un patient ouvrier, constructeur métallique, qui a reçu une nacelle sur l'avant-pied gauche le 7.10.2019. Il a eu la mise en place d'un traitement conservateur avec une attelle type splintpod portée pour 10 jours puis une rééducation à la marche. L'évolution a été marquée par une symptomatologie algique limitant la charge au niveau du premier rayon. Un bilan scanographique et IRM a permis d'exclure une fracture mais mise en évidence d'une importante inflammation des tissus mous. Il a eu la mise en place de lits plantaires avec décharge de la métatarso-phalangienne ainsi qu'un traitement par anti-inflammatoires et vitamine C. Ne pouvant reprendre son activité professionnelle, d'entente avec le patient, nous aurions souhaité qu'il puisse être hospitalisé dans votre service pour une rééducation mobilisation intensive.A l'examen clinique local, il présente une tuméfaction inflammatoire de la MP O1 gauche. La mobilisation de cette articulation déclenche une symptomatologie algique mais sans limitation de l'amplitude articulaire. Les douleurs sont localisées au niveau de la sangle métatarsienne avec des douleurs à la compression et à la palpation. Il se déplace sur le bord externe du pied. A noter un hématome sous-unguéal. Pour ce patient, je pense qu'il est important qu'il puisse être désensibilisé et avoir une rééducation pour une marche plantigrade et ce le plus rapidement possible. Dans l'attente de sa convocation, je vous prie d'agréer, mes meilleures salutations. Mme. Y, âgée de 81 ans, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressée par le Sonnenhof Spital à Bern pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une opération de spondylodèse L5-S1, le 23.12.2019. Il s'agit de la troisième chirurgie lombaire chez cette patiente. Pour mémoire, la patiente a été hospitalisée à Fribourg en raison des douleurs rétrosternales et dyspnée le 18.09.2019. Pendant son séjour, Mme. Y a fait une chute dans un contexte d'hypotension. La patiente a été transférée à l'étage de gériatrie sur le site l'HFR Riaz afin de continuer la thérapie avec une bonne évolution. Mme. Y a présenté une faiblesse progressive au niveau du MIG et une troisième opération de la colonne lui a été proposée au vu des résultats des examens d'imagerie de contrôle, pour stabiliser et réparer les conséquences de la chute. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle bénéficie du passage des soins à domicile 2x/semaine. A l'admission, la patiente n'a pas de plainte particulière. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme et sans signe d'inflammation. A l'auscultation cardiaque, nous relevons un souffle systolique à 2/6 au foyer aortique. Présence d'OMI jusqu'aux genoux ne prenant pas le godet. La force musculaire globale des MI est cotée à M4+ et la sensibilité est conservée. La patiente se mobilise avec un rollator sur un périmètre de marche d'environ 60 m avec une pause assise. Mme. Y est continente des 2 modes. L'examen de laboratoire réalisé le 27.12.2019 a mis en évidence une anémie normochrome normocytaire avec une valeur d'hémoglobine à 77 g/l dans le contexte postopératoire, chez cette patiente connue pour une sténose aortique modérée, raison pour laquelle une transfusion de 1 CE est effectuée le 27.12.2019, sans complication. Le bilan sanguin du 28.12.2019 montre une augmentation de la valeur de l'hémoglobine à 91 g/l. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec rollator ou 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes et la rampe. Après 6 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service, à sa demande, pour rejoindre son domicile, le 28.12.2019, en état général conservé. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour renforcement des MI. Les soins à domicile sont réactivés. Mme. Y est une patiente de 94 ans, qui est amenée par les ambulanciers suite à un saignement sur une varice sur la cuisse gauche. La patiente présente un épisode d'angoisse aigu. A son arrivée, la patiente ne présente pas de saignement, pas d'autre plainte mais se sent inquiète. Sur le plan social, Mme. Y est veuve, a deux enfants (dont un est décédé), vit dans un appartement au 2ème étage sans ascenseur (30 marches à monter avec l'aide de la barrière). Son appartement ne possède pas d'aménagement et n'a pas de seuil. L'appartement comporte des tapis dans toutes les pièces. Mme. Y bénéficie de soins à domicile environ 2x/semaine pour la prise de tension, le poids et la préparation du semainier. La patiente s'occupe des autres activités de la vie courante, se déplace avec des cannes dans son appartement et à l'extérieur s'aide du rollator. Aux urgences, le status est sans particularité sur le plan cardiorespiratoire et digestif. Concernant les membres inférieurs, nous retrouvons des varices superficielles avec une plaie qui est suturée par un point simple. Les fils sont à enlever le 16.01.2020. Le reste du bilan biologique et radiologique (thorax) est sans particularité. La patiente est hospitalisée dans le contexte de l'épisode anxieux aigu. Afin de réévaluer son retour à domicile, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie. Son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 150 mètres, peut gravir 36 marches et nécessite une légère aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 63/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 6/7). Le TUG se réalise en 17 secondes avec l'aide du rollator. Sur le plan diététique, aucune problématique n'est retrouvée hormis un risque de malnutrition étant donné son âge. En ergothérapie, Mme. Y refuse toutes les adaptations du domicile, refuse le suivi ergothérapeutique pour adapter son environnement par rapport à ses besoins visuels, refuse une nouvelle paire de lunettes pour améliorer sa vision également, mettant en avant qu'au vu de son âge cela est inutile. Sur le plan cognitif, le bilan modulaire d'ergothérapie retrouve un défaut de mémorisation à court terme et de compréhension. Mme. Y présente des hésitations et des difficultés au niveau de l'orientation temporelle et spatiale mais bonne remémoration. Mme. Y est rassurée et peut regagner son domicile le 09.01.2020, avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, 1x/semaine pour le semainier, 1x/jour pour les médicaments, 1x/2 jours pour les soins de la plaie. Mme. Y, âgée de 81 ans, connue pour une diverticulose ainsi qu'une FA sous anticoagulation, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture multifragmentaire de la patella droite le 15.12.2019 traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par cerclage le 16.12.2019. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle est à la retraite (ancienne aide pharmacienne). A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée, collaborante et très communicative. La cicatrice est calme. L'auscultation cardiopulmonaire est sans particularité, pas d'irrégularité du rythme ni de perte de pouls en périphérie, le murmure respiratoire est symétrique sans bruit surajouté. La flexion/extension du genou droit est de 55°-10°-0° en actif et en passif. La force et la sensibilité sont conservées des deux côtés. Durant son séjour, elle a présenté à plusieurs reprises des épisodes de fibrillation atriale paroxystique symptomatique. Nous poursuivons le traitement anticoagulant par Rivaroxaban et nous adaptons le traitement par bétabloquant. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication du traitement de Metoprolol à distance. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes antébrachiales (décharge du MSG) sur un périmètre de 100 m. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou droit 90°-0°-0° en actif.Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 21.01.2020, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont activés. Mme. Y, 62 ans, est ré-hospitalisée dans notre service de médecine interne à la suite d'une prise en charge à l'Inselspital Berne du 02.01 au 03.01.2020. Pour rappel, la patiente avait consulté le service des urgences de l'HFR Fribourg le 14.12.2019 pour une dyspnée d'apparition progressive depuis une semaine, avec mise en évidence d'un volumineux épanchement pleural droit, de type exsudat, dans un contexte d'adénocarcinome pulmonaire récemment diagnostiqué. La pose d'un drain thoracique permet une bonne évolution initiale et un Pleur-X est ensuite mis en place, le 27.12.2019, en raison de la réapparition de l'épanchement. L'évolution est malheureusement défavorable avec échec de vidange de l'épanchement pleural en raison de la formation des cloisons. Dans ce contexte, Mme. Y est adressée, le 02.01.2020 à l'Inselspital Berne pour évaluation de la possibilité d'une prise en charge chirurgicale. A l'Inselspital Berne, la patiente bénéficie d'une bronchoscopie qui met en évidence une infiltration tumorale de la carène, avec infiltration significative de la bronche souche droite, ainsi qu'une infiltration partielle de la bronche souche gauche au niveau médial. Après évaluation par l'équipe de chirurgie thoracique, l'indication chirurgicale n'est pas retenue et la patiente nous est adressée pour suite de la prise en charge. En raison d'un syndrome inflammatoire persistant et d'une possible pneumonie sous-jacente, une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est initiée pour une durée totale de 7 jours. Une hypercalcémie d'origine probablement paranéoplasique est traitée conservativement par de la Calcitonine, diurétiques et chasse hydrique. Nous laissons nos collègues des soins palliatifs réévaluer l'introduction de Biphosphonates dans l'évolution. Concernant la prise en charge oncologique, une IRM cérébrale avait confirmé la présence de métastases cutanées, sans mise en évidence de métastases intra-cérébrales. Après discussion avec nos collègues de l'oncologie, la possibilité d'un traitement par chimiothérapie palliative est exposée à la patiente, en présence de son fils. La patiente souhaitant préserver sa qualité de vie le plus longtemps possible, refuse l'initiation d'une chimiothérapie et désire une prise en charge axée sur les soins palliatifs. Mme. Y quitte notre service à destination du service des soins palliatifs complexes de la Villa St-François le 09.01.2020. Mme. Y est une patiente de 94 ans connue pour de multiples accidents vasculaires cérébraux, en séjour d'attente de placement depuis le 11.12.2019, est retransférée dans notre service de gériatrie aiguë en raison d'une décompensation cardiaque nécessitant l'introduction de Lasix en intra-veineux. Concernant la décompensation cardiaque, la patiente présente d'importants oedèmes des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, nous notons des râles jusqu'à mi-plage des deux côtés ainsi que des sibilances diffuses. Nous introduisons alors des aérosols et mettons en place un traitement par diurétique en intra-veineux par Furosemide. L'évolution est progressivement favorable avec une nette diminution des oedèmes des membres inférieurs et une amélioration du statut pulmonaire. Nous décidons alors de repasser à un traitement diurétique per os par Torasémide. Durant son séjour, nous notons une perte pondérale de 6 kg avec un poids de 53,8 kg à la sortie. Concernant l'ostéomyélite, nous poursuivons l'antibiothérapie par Bactrim Forte jusqu'au 07.01.2020. La formule sanguine reste stable. Concernant l'insuffisance rénale aiguë, Mme. Y présente une péjoration de sa fonction rénale en parallèle à l'augmentation de ses signes de surcharge, raison pour laquelle nous attribuons cette insuffisance rénale à un syndrome cardio-rénal. Cette insuffisance rénale s'améliore progressivement avec le traitement diurétique. Nous notons une bonne évolution des signes de surcharge. Au vu de la dépendance totale de Mme. Y, sans potentiel d'amélioration, nous ne mettons pas en place de séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Le 16.01.2020, Mme. Y reste hospitalisée dans notre service bien que sa prise en charge spécifique soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 21.01.2020, Mme. Y est admise à la résidence des Epinettes à Marly. Mme. Y est une patiente de 98 ans, connue pour une fibrillation auriculaire et qui a été hospitalisée en médecine interne suite à un accident vasculaire cérébral ischémique probablement d'origine cardio-embolique avec un hémisyndrome droit le 15.10.2019. Sur le plan social, Mme. Y est veuve et vit chez sa fille. Mme. Y est transférée dans notre service de réhabilitation gériatrique avant un placement en foyer. Pendant son séjour, en raison de l'apparition d'un syndrome inflammatoire avec une CRP à 29 mg/l, sans foyer clair au statut, nous suspectons une infection urinaire ; raison pour laquelle une antibiothérapie par Ciproxine est débutée pour une durée de 7 jours. Mme. Y développe également une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale. Une hydratation en intra-veineuse est mise en place et nous mettons en suspens les médicaments néphro-toxiques. L'évolution est favorable. En ce qui concerne la décompensation cardiaque, nous reprenons le Torem à 5 mg (25 mg avant la suspension) et nous mettons en place des aérosols avec une bonne évolution. Pour ce qui est de l'anémie, nous réalisons un bilan sanguin qui met en évidence une carence en folate, que nous ne substituons pas au vu d'une évolution clinique globalement défavorable. Nous proposons une introduction per os selon l'évolution. Mme. Y, durant son hospitalisation en médecine, a développé une plaie au membre inférieur droit, ce qui a nécessité des points de suture. Ces derniers ont été retirés le 07.11.2019. Un débridement a dû être effectué par Dr. X le 13.11.2019 en raison de l'apparition d'une nécrose sèche au niveau de la plaie résiduelle ainsi que d'un hématome sous-cutané. Un doppler est réalisé afin d'évaluer le potentiel de cicatrisation. L'examen retrouve une bonne perfusion jusqu'en pédieux au dos du pied droit, ce qui devrait permettre une guérison de la plaie. Par la suite, la patiente a développé une 2ème plaie au niveau du membre inférieur gauche, due probablement à un hématome sous-cutané qui a percé sur un léger choc. Un suivi par la stomathérapeute est demandé et l'évolution des deux plaies est progressivement favorable. Suite à l'apparition de douleurs aspécifiques de l'hémicorps gauche et thoracique le 12.11.2019, un ECG est réalisé. Celui-ci revient rassurant. Durant son séjour, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation mais les évaluations concernant les transferts, la marche, les escaliers et le TUG sont impossibles en raison d'une mobilité trop réduite. Mme. Y nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 23/126 (MIF physio : transferts 1/7, marche 1/7 et escaliers 1/7).Sur le plan cognitif, les tests de dépistage sont impossibles à effectuer en raison de troubles neurologiques post-accident vasculaire cérébral trop marqués (dysarthrie sévère). Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel ne met pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique mais nous retrouvons un risque de malnutrition au vu du contexte global, des SNO sont alors mis en place. Le 26.11.2019, Mme. Y développe un abcès en regard de l'articulation interphalangienne de l'hallux droit avec la présence d'un écoulement purulent. Le laboratoire réalisé ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire important (pas de leucocytose et une CRP à 25 mg/l). Un frottis de l'écoulement est réalisé et nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline. Une radiographie du pied est réalisée et nous demandons un avis orthopédique. Ces derniers ne préconisent pas de prise en charge chirurgicale au vu du contexte global. Au vu de ce nouvel événement, le 28.11.2019, nous décidons de transférer Mme. Y en gériatrie aiguë. Mme. Y est une patiente de 98 ans qui nous est transférée suite à l'apparition d'un abcès en regard de l'articulation interphalangienne de l'hallux droit avec la présence d'un écoulement purulent. Le bilan réalisé conclut à une ostéomyélite probablement chronique au vu de la radiographie du pied droit. Nous retrouvons quelques cocci Gram positifs suite au frottis de l'écoulement mais sa culture revient négative. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline a été débutée avec relais à la sortie par Co-Trimoxazol (Bactrim Forte) pour une durée totale de 6 semaines. Les soins de la plaie sont également poursuivis. À la sortie, la plaie est totalement refermée et l'hallux ne présente plus de signe d'inflammation. Pendant son séjour, Mme. Y présente un état fébrile avec un syndrome inflammatoire que nous attribuons à une infection urinaire au vu d'un statut pulmonaire rassurant, une procalcitonine à 0,43 mcg/l, ainsi qu'une bonne évolution clinique des plaies des membres inférieurs ainsi que de l'ostéomyélite. Nous introduisons donc un traitement par Co-Trimoxazol (Bactrim Forte) durant 7 jours avec une bonne évolution du syndrome inflammatoire. Nous décidons également de réaliser une tentative de sevrage de sonde urinaire qui a malheureusement échoué. Une hypokaliémie est également mise en évidence que nous substituons par voie orale. Mme. Y présente une décompensation cardiaque globale nécessitant l'augmentation des diurétiques ainsi que la reprise des aérosols. Dans ce contexte, nous retrouvons également une insuffisance rénale aiguë d'origine mixte pour laquelle nous adaptons le traitement de diurétiques. Nous observons progressivement une amélioration des signes de surcharge ainsi que de la fonction rénale. Concernant les plaies des membres inférieurs, nous poursuivons les soins de base avec une bonne évolution. Pendant son séjour, Mme. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 24/126 par rapport à 21/126 à l'entrée (MIF physio : transferts 1/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le TUG est impossible. Mme. Y présente une baisse du moral en réaction à sa perte d'indépendance, son hospitalisation prolongée et ses complications somatiques à répétition. Mme. Y a régulièrement des épisodes de pleurs et une envie de mourir. Au vu du contexte, nous mettons en place un traitement antidépresseur par Escitalopram et nous proposons le passage de l'aumônier, ce que la patiente accepte. Progressivement, nous notons une amélioration de sa thymie. Le 11.12.2019, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 51 ans, connue pour le diagnostic susmentionné, qui bénéficie d'une gastro-jéjuno-anastomose par laparoscopie le 03.01.2020 pour une sténose duodénale d'origine tumorale. L'intervention se déroule sans complication. Les suites se sont compliquées d'une gastroparésie ayant nécessité la mise en place d'une sonde nasogastrique. Par la suite, l'évolution est favorable avec une reprise de transit et une absence de nausée. Sur le plan nutritionnel, nous instaurons une alimentation parentérale avec un suivi diététicien. L'alimentation parentérale a été progressivement suspendue le 14.01.2020 au vu de la reprise d'une alimentation normale. Mme. Y a été suivie durant son séjour par nos confrères diabétologues avec une insulinothérapie. Au vu de l'évolution favorable tant sur le plan clinique que biologique, nous laissons la patiente rentrer à domicile le 16.01.2020 avec un suivi en diabétologie et en oncologie. Mme. Y, 51 ans, est admise en Stroke unit monitorée le 23.01.2020 pour une suspicion d'AIT. La patiente présente depuis 2 semaines des fourmillements du membre supérieur gauche, fluctuants, avec apparition d'une dysarthrie le matin vers 09h30 d'une durée de 5 minutes, motivant la consultation à l'hôpital de Riaz. À son arrivée aux urgences, l'examen neurologique est dans la norme. Le CT cérébral d'entrée ne montre pas de signe d'ischémie, ni de sténose des vaisseaux pré-cérébraux. Sur avis neurologique, une dose de charge d'aspirine est administrée et la patiente nous est transférée pour surveillance en Stroke unit monitorée. À son entrée dans notre unité et tout au long du séjour, le NIHSS est à 0. Le bilan est complété par une IRM cérébrale, un EEG et une échocardiographie, qui s'avèrent dans les limites de la norme. L'évolution neurologique clinique est simple, avec un NIHSS à 0 à la sortie. La patiente est sortie à domicile le 24.01.2020. Elle sera convoquée par le service de cardiologie pour la pose d'un Holter en ambulatoire. Mme. Y nous est adressée pour une pose de pacemaker unicaméral. Elle est connue pour une fibrillation auriculaire et a présenté des épisodes de tachycardie et de bradycardie symptomatiques dont un avec malaise. L'intervention a lieu sans complication notable le 09.01.2020. La radiographie de thorax de contrôle ne montre pas de pneumothorax et le contrôle du pacemaker revient sans particularité. Elle sera convoquée en cardiologie pour les consultations de contrôle à 1 mois. Le pansement sera à changer chez le médecin traitant à 10 jours. Le Sintrom sera réintroduit dès le 11.01.2020. Mme. Y rentre à domicile le 10.01.2020. Mme. Y est admise aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance neurologique d'une intoxication médicamenteuse. La patiente de 19 ans, en bonne santé habituelle, résidente du foyer de Seedorf en réinsertion professionnelle, a pris volontairement 20 comprimés de Méfénacide à 10h30 ce jour en raison d'une déception de la réaction d'un éducateur, dans un grand désespoir. Elle bénéficie d'un traitement de charbon actif en extra-hospitalier. À son admission, la patiente est hémodynamiquement compensée avec un statut neurologique sans particularité. Attitude : • surveillance neurologique (risque d'épilepsie 20%) • avis psychiatrique à évaluer Mme. Y est admise aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance neurologique d'une intoxication médicamenteuse. La patiente de 19 ans, en bonne santé habituelle, résidente du foyer de Seedorf en réinsertion professionnelle, a pris volontairement 20 comprimés de Méfénacide (équivalent à 10g) le 17.01.2020 en raison d'une déception de la réaction d'un éducateur, dans un grand désespoir. Elle bénéficie d'un traitement de charbon actif en extra-hospitalier ainsi qu'un traitement de Pantozol. La patiente est admise aux soins intensifs le 17.01.2020 pour une surveillance neurologique.Nous prenons avis auprès du centre de toxicologie qui confirme une dose toxique de Mefenacide attendue dès 3.5 g et des convulsions épileptiques (20 % des cas). Ils préconisent un traitement symptomatique des troubles gastroentériques sans pantozol d'office ainsi qu'une surveillance neurologique de 12 heures. Au cours de l'hospitalisation, le statut neurologique de la patiente reste dans la norme, sans convulsions épileptiques. Un avis psychiatrique retient un trouble de la personnalité borderline ainsi que trouble de stress post-traumatique après un abus sexuel. Toutefois, la patiente peut se distancer des idées suicidaires et déclare ne pas avoir voulu se suicider. Elle convient de chercher de l'aide lors d'une prochaine situation de crise. La patiente rentre à domicile le 18.01.2020. Mme. Y est une patiente de 29 ans qui bénéficie d'une résection antérieure basse par laparoscopie avec hystérectomie et iléostomie de protection le 03.01.2020 dans le cadre du diagnostic sus-mentionné. L'intervention se déroule sans complication, les suites opératoires sont favorables avec une reprise rapide du transit par l'iléostomie et une réalimentation progressive, permettant un retour à domicile le 11.02.2020. La patiente est présentée au colloque interdisciplinaire du 08.01.2020 où une chimiothérapie adjuvante est proposée. La patiente sera revue aux consultations du Dr. X et du Prof. X. Mme. Y, âgée de 73 ans, connue pour une BPCO stade IV D selon GOLD 2018, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation respiratoire suite à une exacerbation de BPCO d'origine infectieuse avec 3/3 critères d'Anthonisen, le 01.12.2019. Elle a été traitée par Prednisone du 01.12.2019 au 04.12.2019 et par Ceftriaxone du 01.12.2019 au 05.12.2019. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, la patiente, divorcée, vit seule à domicile au 6ème étage d'un immeuble avec ascenseur. À l'admission, la patiente se plaint d'une péjoration de sa dyspnée depuis 1 mois cotée à 3-4 selon mMRC sans toux ni expectoration. Elle est sous oxygénothérapie 1.5 lt/min 15 h/24. Le statut général est sans particularité hormis une diminution du murmure respiratoire sur l'ensemble des 2 champs pulmonaires. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré très sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV selon GOLD 2018. Le score de CAT atteste d'un stade D. À noter que la patiente a refusé la réalisation de la gazométrie à plusieurs reprises durant son hospitalisation. Une oxymétrie nocturne sous 1.5 lt/min d'O2 montre une SpO2 moyenne à 94.1 % avec un index de désaturation à 0.7/heure. C'est pourquoi, nous décidons de diminuer son oxygénothérapie à 1 lt/min. Une nouvelle oxymétrie sous 1 lt/min objective une SpO2 moyenne à 94.4 % avec un indice de désaturation à 0.3/heure. L'oxymétrie nocturne à l'air ambiant met en évidence une SpO2 à 85.1 % avec un indice de désaturation à 38.5/heure. Nous décidons de maintenir son oxygénothérapie à 1 lt/min 15 h/24 au repos et à l'effort malgré l'absence de gazométrie et du fait que la patiente possède déjà une oxygénothérapie à domicile. La radiographie du thorax met en évidence une accentuation du volume thoracique avec une nette raréfaction de la trame pulmonaire dans le contexte de l'emphysème connu. On note également un aplatissement/éversion des coupoles diaphragmatiques, sans évidence d'épanchement pleural surajouté. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y a été prise en charge pour une malnutrition grave et chronique (NRS 5/7, BMI 17.5). Durant son séjour, les besoins étaient couverts à travers des suppléments nutritifs oraux que la patiente reçoit déjà à son domicile. La malnutrition s'explique par un accès difficile à l'alimentation au domicile. En effet, lorsque les repas sont à disposition, les besoins sont facilement couverts. Nous avons donc recommandé à Mme. Y de reprendre des repas à domicile 1-2 fois par semaine, et pour le reste d'organiser avec sa fille des courses livrées à domicile. Elle a reçu à plusieurs reprises des conseils nutritionnels pour une prise en charge optimale de sa maladie. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 275 m à 335 m et la patiente augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 15 minutes, reste stable (1.4 km). À la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 04.01.2020, en bon état général. Mme. Y est une patiente de 83 ans, hospitalisée jusqu'au 13.01.2020 en Gériatrie et Réhabilitation gériatrique à Tafers en raison d'une fracture du péroné gauche. Depuis le 15.01.2020, elle présente une dyspnée NYHA III en aggravation et une orthopnée, accompagnées d'une toux avec expectorations blanchâtres, déjà présente en fin de séjour à Tafers, mais en augmentation. Une dose de Co-Amoxicilline est administrée par MedHome le 20.01.2020. La patiente mentionne également une aggravation des douleurs au niveau du mollet gauche, sans notion de traumatisme. À l'admission, un angio-CT thoracique est effectué. Ce dernier permet d'exclure une embolie pulmonaire et ne met pas en évidence de foyer. Le diagnostic d'exacerbation BPCO est retenu et la patiente est hospitalisée pour la suite de prise en charge. Un traitement de Prednisone est introduit pour 5 jours, ainsi que des aérosols d'Atrovent et de Ventolin, avec une évolution clinique favorable. Au vu de l'âge de la patiente, nous ne retenons pas d'indication à des investigations pneumologiques pour stader la BPCO, mais relayons le Symbicort pour de l'Ultibro afin d'optimiser le traitement de la pathologie sous-jacente. À noter que le scanner effectué à l'entrée met en évidence une lésion ulcéreuse sur une plaque athéromateuse de l'aorte descendante, déjà présente sur un comparatif d'octobre 2017, de taille similaire. Nous ne préconisons pas davantage d'investigations pour cette découverte fortuite et stable dans le temps, chez une patiente âgée. Sur le plan social, l'entourage de la patiente est inquiet de la savoir seule à domicile et souhaiterait un placement. Mme. Y accepte une inscription en EMS avec un retour à domicile dans l'intervalle. La patiente étant autonome durant l'hospitalisation et capable de discernement, nous organisons un retour avec l'aide quotidienne des soins à domicile pour les aérosols. Mme. Y rentre à domicile le 28.01.2020. Mme. Y est une patiente de 52 ans hospitalisée pour la prise en charge chirurgicale d'un goitre multi-nodulaire. Elle bénéficie d'une thyroïdectomie totale bilatérale le 15.01.2020 qui se déroule sans complication. Dans les suites opératoires, la patiente présente une hypocalcémie symptomatique qui est substituée. Elle peut regagner son domicile le 19.01.2020 et sera suivie en ambulatoire par le Dr. X. Mme. Y, 75 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'une embolie pulmonaire. La patiente décrit une douleur avec tuméfaction au niveau du mollet gauche depuis une semaine. Elle décrit également une apparition de douleurs thoraciques oppressives il y a 3 jours, spontanément régressives. Ce jour, la patiente a une réapparition de l'oppression thoracique accompagnée de douleurs, surtout à la respiration profonde, associées à une dyspnée. Une radiographie du thorax ne montre pas de signe de décompensation cardiaque. Un CT-thoracique révèle une embolie pulmonaire centrale et para-centrale à gauche, accompagnées d'un infarctus pulmonaire. Nous introduisons de l'Apixaban et adaptons l'antalgie.La patiente reste stable, avec régression rapide de la symptomatologie. Un retour au Home médicalisé du district du lac à Morat est organisé le 11.01.2020. Mme. Y, âgée de 74 ans, connue pour un adénocarcinome peu différencié de la valve iléo-caecal classé pT4a pN2b M0, stade III diagnostiqué le 14.06.2016 et actuellement sous chimiothérapie palliative par Braftovi, Mektovi, Erbitux (débutée le 18.12.2019) et une polyarthrite rhumatoïde, nous est adressée par Dr. X pour la prise en charge d'une insuffisance rénale aiguë pré-rénale avec créatinine à 281 umol/l. La dernière séance de chimiothérapie date du 02.01.2020. A l'admission, elle accuse une asthénie généralisée associée à des diarrhées aqueuses abondantes allant jusqu'à 15 selles par jour depuis l'introduction de la nouvelle chimiothérapie le 18.12.2019, ainsi que des douleurs lombaires et des deux poignets. A l'examen clinique, elle présente des oedèmes bilatéraux au niveau des membres inférieurs prenant le godet remontant jusqu'à mi-jambe. Le bilan biologique objective une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale dans le contexte des diarrhées abondantes. La radiographie thoracique du 03.01.2020 montre une suspicion d'un nouveau foyer pulmonaire basal gauche. Dans le doute d'une infection pulmonaire, un traitement par Rocéphine est débuté et arrêté 3 jours plus tard. La culture des selles est négative. Nous mettons les troubles gastro-intestinaux en relation avec la chimiothérapie et un traitement symptomatique est administré. Par ailleurs, nous notons la péjoration d'une anémie hypochrome microcytaire chronique probablement d'origine mixte, carentielle, toxique et spoliative. La patiente est transfusée d'un culot érythrocytaire le 06.01.2020 et des perfusions par Ferinject sont prévues régulièrement. Vu que la patiente accuse des saignements anaux, une coloscopie est réalisée le 09.01.2020 n'objectivant pas la présence d'altération dysplasique avec aucun signe de malignité pouvant nous faire penser à une récidive de l'adénocarcinome colorectal connu. A noter que le traitement par hydroxychloroquine, que la patiente prenait pour la polyarthrite rhumatoïde, a été arrêté car celui-ci est incompatible avec la chimiothérapie en cours. En accord avec les rhumatologues, un traitement corticoïde est instauré. La dose doit être titrée en fonction de la symptomatologie et le traitement poursuivi à long terme. Suite à une hydratation adéquate et à la mise en suspens de la chimiothérapie reprise en décembre 2019, l'évolution de la fonction rénale est favorable. Après 12 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 14.01.2020, en bon état général. Nous proposons un contrôle clinico-biologique à votre consultation à une semaine de la sortie. Mme. Y présente des gonalgies G que je vois en premier lieu dans le contexte d'un lipoedème et pas dans le contexte d'un problème au niveau de l'appareil locomoteur. Elle présente une probabilité d'insuffisance veineuse chronique assez marquée avec d'importants oedèmes des deux membres inférieurs. Comme diagnostic différentiel, on peut retenir une boursite para-rotulienne pour laquelle je prescris à la patiente du Voltarène 75 mg Retard 2 cp/j pendant une semaine, ensuite en réserve. J'aimerais adresser la patiente dans notre service d'angiologie chez Dr. X (rv le 14.02.2020) pour un bilan angiologique et un avis de traitement. Je reverrai la patiente après la consultation chez l'angiologue pour discuter des résultats et pour un contrôle clinique de la boursite pré-patellaire. Mme. Y consulte la permanence en raison de vomissements et de douleurs abdominales. Elle rapporte parallèlement une symptomatologie de refroidissement. A la permanence, elle bénéficie d'un examen clinique ciblé montrant une douleur à la palpation de l'épigastre. Aux urgences, elle reçoit en aigu un traitement par Alucol et Pantozol. Un bilan biologique montre des résultats normaux. Nous diagnostiquons une gastrite probablement aiguë dans un contexte d'infection virale. La patiente bénéficie d'une thérapie symptomatique et d'un arrêt de travail. Elle est invitée à se représenter en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatique. Mme. Y, âgée de 65 ans, est connue pour une BPCO et des lombalgies chroniques, qui a bénéficié d'une spondylodèse le 07.10.2019 compliquée par un iléus et une péritonite (suite au traitement opiacé et adhérences anciennes) nécessitant une iléostomie. Depuis la sortie de l'HFR Fribourg le 23.11.2019, la patiente présente des pertes importantes par la stomie, accompagnées par une perte de poids d'1 kg/jour massif. La patiente est amenée aux urgences en ambulance le 27.11.2019 en raison d'une baisse de l'état général. Aux urgences, la patiente se plaint de fatigue généralisée, d'une déprime et d'un épisode de fièvre à 38,7°C le matin de l'admission. Au status d'entrée, nous retrouvons une hypotension, une douleur diffuse à la palpation abdominale sans défense ni détente. Les bruits intestinaux sont augmentés en fréquence et en tonalité, B1B2 bien frappés réguliers normocardes, murmure vésiculaire bilatéral, loges rénales indolores à la percussion. Le bilan biologique montre des troubles électrolytiques sévères et une insuffisance rénale AKIN 1, sans syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire revient dans la norme. La PCR de selles revient négative pour une bactérie pathogène. La patiente est substituée en électrolytes, elle reçoit une hydratation et nous instaurons un traitement de ralentissement du transit. Les pertes par la stomie sont très variables allant de 1500 ml à 4000 ml. Il est à noter que la patiente ne tolère pas plusieurs médicaments (morphiniques), mettant la prise en charge de freinage du transit limitée. A savoir qu'une restriction hydrique et les solutions de réhydratation sont refusées par la patiente. Vu la situation de dénutrition sévère et de troubles électrolytiques sévères, une VVC est mise en place et maintenue jusqu'au 25.12.2019 en raison d'une suspicion d'infection locale et des tissus mous, écartée par un CT du cou et une bactériologie du point de cathéter qui s'avère stérile. L'accès veineux est remplacé par le PICC-Line Pro-PICC® CT 5F 39 cm dans la veine brachiale gauche. A noter un suivi étroit par les nutritionnistes et Dr. X, spécialiste en nutrition clinique. Un essai de nutrition entérale avec mise en place de la sonde nasogastrique a échoué (majoration des pertes, sonde naso-gastrique mal tolérée au niveau nasal). Lors de son séjour, la gestion des pertes et substitution est fluctuante. La patiente se trouve dans une situation d'hospitalisation de longue durée et désire finalement rentrer à domicile malgré la situation clinique instable sur le plan nutritionnel et biologique (électrolytes). Nous avons pu négocier avec la patiente un suivi ambulatoire avec un contrôle biologique les 03.01 et le 07.01.2020 avec une consultation chez Dr. X le 07.01.2020 à l'HFR Fribourg. Mme. Y rentre à domicile le 31.12.2019. Mme. Y, patiente de 65 ans hospitalisée pour une insuffisance rénale aiguë avec troubles électrolytiques ainsi qu'un risque suicidaire. Elle est connue pour une iléostomie posée le 23.10.2019 suite à un iléus et péritonite compliquée suite à une spondylodèse le 07.10.2019. Son conjoint rapporte à sa médecin traitante (Dr. X) une baisse de l'état général de la patiente avec douleurs abdominales diffuses, brûlures au niveau de la stomie et idées suicidaires. Elle est donc adressée au service des urgences où le bilan met en évidence des troubles électrolytiques ainsi qu'une insuffisance rénale sur probable déshydratation. Vu que la patiente relate des souhaits suicidaires avec un risque majeur de passer à l'acte selon les collègues psychiatres, elle est admise aux soins intensifs pour une surveillance.Le lendemain une nouvelle évaluation psychiatrique nous permet de lever la surveillance et la patiente est transférée en médecine. Mme. Y est réévaluée le 10.01.2020 et la psychiatre indique la possibilité de retour à domicile avec la poursuite du suivi infirmier en ambulatoire. Sur le plan rénal, nous concluons à une baisse de la fonction avec troubles électrolytiques sur déshydratation et dénutrition. Elle bénéficie d'une hydratation et de substitutions permettant une correction de la fonction rénale et des électrolytes. A noter toutefois une persistance d'une hypomagnésiémie et d'une hypercalcémie ? Sur le plan abdominal, un avis a été pris auprès du Dr. X à l'entrée de la patiente, qui explique qu'un rétablissement de la continuité est envisageable mais présente de nombreux risques de complications au vu du statut cicatriciel de l'abdomen. Au niveau des douleurs chroniques de la patiente, un avis est demandé au service d'antalgie. Le Dr. X recommande de stabiliser la patiente au niveau de sa thymie comme première mesure et de prescrire de la physiothérapie et de la mobilisation en première intention. Selon le Dr. X, une nutrition parentérale est indiquée chez la patiente tant que son poids corporel reste faible et qu'elle ne couvre pas ses besoins à cause du transit accéléré sur l'intestin court. Cependant la patiente la refuse. La thérapie actuelle recommandée consiste donc dans le ralentissement du transit, sans opiacés comme la patiente ne les supporte pas. Nous ajoutons un traitement de colestyramine permettant une diminution des brûlures de la stomie. Sur le plan biologique, nous notons une persistance de l'hypomagnésiémie. Nous mettons en place une formule substitutive différente (magnésium marin), et nous vous prions d'effectuer des contrôles biologiques avec régularité (tous les 2 semaines). Au vu de l'amélioration de son état clinique, Mme. Y rentre à domicile le 13.01.2020. Mme. Y présente des gonalgies D d'origine indéterminée. Je propose à Mme. Y de bilanter son genou par une IRM native. Je la reverrai après cette IRM pour discuter des résultats et du traitement. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mme. Y, patiente de 86 ans, connue pour une hypertension artérielle non traitée, consulte les urgences le 28.12.2019 pour une baisse de l'état général avec toux sans expectoration, dyspnée à l'effort, frissons et fièvre depuis 3 jours ainsi que céphalées constantes de type serrement. A l'examen clinique aux urgences, la patiente est fébrile et hypertendue et saturant bien à l'air ambiant. A l'auscultation, nous retrouvons des râles grossiers bibasaux avec des sibilances généralisées. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 35 mg/l sans leucocytose. Malgré l'absence de foyer radiologique avec une clinique parlant en faveur de pneumonie, nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g en iv et Klacid (jusqu'à l'obtention des antigènes pour Legionelle négatifs), avec relais par Tavanic 500 mg. Une suspicion de réaction allergique cutanée au Tavanic (démangeaisons des membres supérieurs et inférieurs et bouche) nous incite à l'arrêt de ce dernier. La patiente a donc bénéficié d'une semaine d'antibiothérapie au total. Un traitement symptomatique par Symbicort dans le contexte de réactivité bronchique est introduit avec un bon effet et nous vous proposons de le poursuivre pour deux semaines. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y peut regagner son domicile le 04.01.2020. Mme. Y, 68 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'une crise d'épilepsie tonico-clonique inaugurale. La patiente était initialement hospitalisée à l'HFR-Riaz le 18.01.2020 en raison d'une crise d'épilepsie inaugurale d'environ 20 minutes, probablement sur troubles électrolytiques. Un CT-cérébral s'avère sans particularité. Après avis neurologique, un traitement de Gabapentine est débuté le 19.01.2020, et les divers troubles électrolytiques sont substitués. Le 22.01.2020, elle présente un trouble de l'état de conscience avec un score de Glasgow à 7, pour lequel une intubation est réalisée à l'HFR Riaz. La patiente est ensuite transférée aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 22.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Une origine médicamenteuse sur Gabapentine est retenue comme cause des nouveaux troubles de l'état de conscience, avec mise en suspens de la médication par Gabapentine, Trittico et Quétiapine. Une évolution neurologique favorable permet une extubation le 23.01.2020. Après avis neurologique, des examens supplémentaires ne sont pas nécessaires. Une reprise de la Quétiapine est faite progressivement, et le Trittico est à réintroduire progressivement. Une fracture du trochiter de l'épaule droite mise en évidence le 18.01.2020 est traitée conservativement avec immobilisation par gilet orthopédique pour 6 semaines. Un contrôle radiologique à 1 semaine ne montre pas de déplacement. Nous vous laissons organiser une radiographie à 2 semaines, puis à 6 semaines de l'événement, en poursuivant le port du gilet orthopédique. La patiente présente une péjoration de ses troubles de la déglutition en lien avec les troubles de la conscience et un possible phénomène de Todd. Une alimentation par sonde naso-gastrique est débutée. En lien avec l'agitation de la patiente, celle-ci est plusieurs fois arrachée. Après amélioration progressive de la déglutition, une alimentation par un régime mixé lisse est réintroduite, avec hydratation épaissie. Nous vous laissons réévaluer si un retour au régime d'origine est possible (haché fin). Egalement dans le contexte des troubles de la déglutition, la forme de Madopar est changée par la forme Madopar Liq, avec bonne tolérance par la patiente. Après discussion avec le représentant thérapeutique, son médecin-traitant le Dr. X, nous décidons de limiter l'attitude thérapeutique à des soins maximaux à l'étage, sans investigation avancée, notamment pas d'endoscopie ni introduction de nutrition entérale invasive. La patiente rentre au Foyer St-Germain le 31.01.2020. Mme. Y est une patiente de 71 ans qui bénéficie d'une thrombectomie avec patch d'élargissement le 15.01.2020 dans le cadre d'une occlusion de boucle Omniflow le 15.01.2020. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant à la patiente un retour à domicile le 17.01.2020 avant de bénéficier de sa dialyse le jour même au HIB. La patiente sera par la suite convoquée par le service d'angiologie pour effectuer un sono-Duplex de la fistule afin d'évaluer si une réfection sera nécessaire. Mme. Y, 51 ans, est admise aux soins intensifs en raison d'une tachycardie supraventriculaire le 04.01.2020. La patiente est hospitalisée en médecine interne depuis le 26.12.2019 pour gestion d'antalgie d'une fracture de la branche supérieure du pubis. Elle présente des palpitations durant la nuit du 04.01.2020 sans douleurs thoraciques. L'électrocardiogramme montre une tachycardie supraventriculaire à 200 battements par minutes. La patiente est connue pour des antécédents de tachycardie sinusale avec des épisodes 1x/3 mois se résolvant après respiration profonde.Sur le plan rythmique, plusieurs tentatives de manœuvre vagales se soldent par un échec. L'injection d'adénosine 6 mg permet une cardioversion avec retour en rythme sinusal. Il n'y a aucune complication sur le plan respiratoire. L'ECG post-cardioversion montre un PR court à 90 ms. La fonction thyroïdienne est par ailleurs dans les normes. Un avis cardiologique quant à des investigations électrophysiologiques est à prendre. Mme. Y est transférée en médecine interne le 04.01.2020. Mme. Y, 51 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne pour gestion d'antalgie en raison d'une fracture pelvienne. Pour rappel, la patiente chute le 12.12.2019 à basse cinétique, occasionnant une fracture du pelvis. Celle-ci est traitée conservativement en ambulatoire. En raison d'une gestion difficile des douleurs et d'un épuisement de son réseau de soutien à domicile, la patiente est hospitalisée. Les radiographies ne montrent pas de déplacement secondaire. Nous constatons un état de stress post-traumatique important avec une impossibilité de s'occuper des activités de la vie quotidienne simples qui prolonge le séjour hospitalier. Nous encourageons la patiente et la physiothérapie intensive permet de réassurer progressivement la patiente. Les douleurs sont contrôlées par une antalgie simple. Nous organisons également un suivi ergothérapeutique durant le séjour et à domicile à but d'adaptation du domicile. Si persistance d'un état d'angoisse, nous conseillons d'organiser un avis psychiatrique. En lien avec la fracture, une ostéoporose est suspectée, au vu de la faible cinétique. Nous effectuons un bilan biologique, et la patiente sera convoquée en ambulatoire à la consultation de rhumatologie de l'HFR-Fribourg. Du Calcimagon Forte est débuté, un bilan biologique est en cours; celui-ci sera réévalué à la consultation de rhumatologie. À l'entrée, la patiente présente des palpitations persistantes, situation connue depuis son enfance. Le bilan électrolytique revient dans la norme, hormis une hypokaliémie, qui est substituée. La fonction thyroïdienne est dans la norme. En cas de récidive, nous vous laissons adresser la patiente à une consultation cardiologique. Mme. Y rentre à domicile le 04.01.2020, sans soins à domicile. Mme. Y est une patiente de 46 ans qui est transférée de l'hôpital Daler le 28.12.2019 dans un contexte de choc septique et hypovolémique post-bypass gastrique par le Dr. X le 18.12.2019. L'évolution post-opératoire initiale est défavorable avec une asthénie, une inappétence avec perte de 10 kilos et des douleurs en fosse iliaque gauche. Un CT abdominal est réalisé le 27.12.2019 et montre une collection liquidienne de densité séreuse de 8x5x4 mm au contact de la rate sans contact direct avec l'estomac ou l'anastomose gastro-jéjunale sans air libre et sans fuite de produit de contraste. En raison d'une suspicion de lâchage de l'anastomose, la patiente est transférée à l'HFR Fribourg pour une reprise chirurgicale. La patiente bénéficie le 28.12.2019 d'une laparoscopie exploratrice avec évacuation de l'hématome péri-splénique et d'une surveillance post-opératoire aux soins intensifs du 28.12.2019 au 01.01.2020. Les prélèvements reviennent positifs pour un streptocoque oralis motivant l'introduction de Tazobac et Fluconazol. La patiente présente parallèlement une acidose métabolique sévère dans le cadre de son traitement antidiabétique oral qu'elle a poursuivi malgré son absence de reprise d'alimentation standard post-chirurgicale. L'évolution est par la suite rapidement favorable tant sur le plan clinique que paraclinique et la patiente est consultée par nos collègues diabétologues qui introduisent un traitement d'insuline sous-cutanée lente et préconisent la reprise d'un traitement antidiabétique oral. La patiente quitte l'hôpital le 06.01.2020 avec un suivi ambulatoire à la consultation du Dr. X par la suite. Mme. Y, âgée de 75 ans, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture du col du fémur D Garden II sur chute le 18.12.2019, traitée par pose de DHS le 19.12.2019. Sur le plan social, Mme. Y vit en Espagne; elle est venue rendre visite à ses enfants en Suisse en décembre 2019. Elle a travaillé pendant 22 ans en tant qu'aide anesthésique dans le canton de Fribourg. À l'admission, la patiente se plaint de douleurs localisées au niveau de sa cuisse droite depuis son opération. Elle est jugée à 8/10 selon EVA douleurs en diminution avec le traitement antalgique de palier I. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme et ne présente pas de signe inflammatoire. On note la présence d'un hématome au niveau de la partie latérale de la cuisse droite. La flexion de la hanche D est de 60° en actif et 70° en passif. La force musculaire du psoas D est cotée à M3 et celle du releveur du pied à M5. La sensibilité au membre inférieur droit est conservée. Pendant l'hospitalisation, une substitution par Calcimagon et Vitamine D3 a été instaurée. Nous proposons la réalisation d'une ostéodensitométrie en ambulatoire. Par ailleurs, en vue de sa sortie, le traitement anticoagulant par Clexane a été remplacé par du Xarelto 20 mg jusqu'au 30.01.2020. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et autonome pour la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre le domicile de sa fille, le 09.01.2020, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour maintenir les acquis et améliorer sa marche. Mme. Y est hospitalisée pour une chimiothérapie par FLAG dans le cadre d'une rechute d'une leucémie myéloïde aiguë FLT3 mutée avec greffe allogénique de moelle osseuse en 2017 avec traitement actuel de Nexavar. Nous débutons la chimiothérapie le 28.12.2019 avec protocole habituel. La patiente présente des signes de surcharge durant la chimiothérapie contrôlés par diurétique. Le traitement est bien toléré. L'agranulocytose se complique d'un épisode fébrile sans foyer clinique franc. L'évolution sous antibiothérapie est favorable sur le plan clinique et biologique avec amélioration du syndrome inflammatoire. Il persiste au décours un état fébrile jusqu'au retour à domicile sans apparition de symptôme. Les pics fébriles sont interprétés dans le cadre de la sortie d'agranulocytose. Il est recommandé à Mme. Y de reconsulter si péjoration de l'état général ou augmentation progressive de la température. Sur le plan hématologique, le Nexavar est arrêté (rechute pendant traitement), et la patiente sera vue en consultation ambulatoire pour discuter de la suite de traitement. Mme. Y ressent une gêne au niveau du matériel d'ostéosynthèse. Elle souhaiterait son ablation. L'intervention est prévue pour le 30.01.2020. Elle est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord oral et signé. Mme. Y est une patiente de 87 ans qui est adressée par son médecin traitant pour une baisse de l'état général depuis une semaine avec inappétence et asthénie. Elle est actuellement traitée pour un zona du nerf V1 gauche par Valacyclovir. Une fois hospitalisée, le traitement de Valacyclovir est poursuivi comme prévu. L'évolution est toutefois défavorable avec développement d'un mutisme. L'IRM cérébral exclut une encéphalite mais montre une atrophie cérébrale marquée. Nous suspectons un syndrome de glissement surajouté à l'état post-zostérien avec probable développement d'une dépression.En raison de l'absence d'amélioration clinique, nous demandons un avis psychiatrique, selon lequel une dépression sévère est confirmée. Selon l'avis psychiatrique, une thérapie avec Brintellix serait envisageable. Vu le désaccord de la part de la famille et de la patiente sur ce traitement, nous ne l'introduisons pas. Sur le plan de l'analgésie, en raison de la persistance de douleur de type neuropathique post-zona au niveau des branches V1, V2 du nerf trijumeau, nous introduisons un traitement avec Gabapentin, Cymbalta et Oxycontin avec bon effet. En raison d'une tendance persistante à l'hypokaliémie, nous arrêtons le traitement avec Esidrex et Aprovel et introduisons un traitement épargnant le potassium. Au niveau social, la patiente et son mari ont récemment déménagé chez leur fille en raison des escaliers devenus pénibles à gravir. Selon l'anamnèse, ce changement de lieu a contribué fortement à la baisse de la thymie de Mme. Y. Le projet final est discuté à plusieurs reprises avec la patiente et sa famille. Vu le déconditionnement général, un retour à domicile n'est, selon la famille, pas envisageable. En accord avec eux, nous organisons un placement dans un EMS. Sur le plan antalgique, nous vous laissons le soin de diminuer le dosage selon clinique. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 88 ans, résidente au Home de Billens, porteuse d'une sonde sus-pubienne à demeure pour une vessie neurogène, qui est amenée en ambulance pour une sonde urinaire bouchée. Mme. Y se plaint de douleurs abdominales avec peu d'urine dans l'uriflac et mentionne un écoulement d'urine par voie naturelle, ce qui n'est pas habituel. Nous ne retrouvons pas de fièvre. Aux urgences, des rinçages sont effectués et passent sans résistance mais créent une douleur et de faibles retours. Le laboratoire effectué ne montre pas de syndrome inflammatoire mais une insuffisance rénale aiguë. L'uroculture montre une Escherichia coli multi-résistant et une colonisation d'Enterococcus. Une antibiothérapie par Rocéphine est débutée puis relayée par Ciproxine per os. Un avis urologique est demandé auprès de Dr. X qui préconise une poursuite des rinçages mais pas de changement de cystofix. L'insuffisance rénale aiguë AKIN I s'améliore après une perfusion intraveineuse et l'arrêt des traitements néphrotoxiques. La créatinine de sortie est à 199 mcmol/l. La patiente présente clairement une IRC stade G4. L'anémie normochrome normocytaire hyporégénérative sur carence en folates est traitée par substitution per os. L'hypovitaminose D est traitée par substitution per os et l'hyperkaliémie est traitée par Résonium. Au cours du séjour, nous observons une décompensation cardiaque avec une augmentation des oedèmes des membres inférieurs, raison pour laquelle nous ajoutons du Metolazone au traitement habituel de Torasémide. Au vu d'une décompensation diabétique, le traitement d'Insulatad est adapté, la Metformine est remplacée par Januvia et de la Novorapid est introduite. Au vu de la fonction rénale fluctuante, nous conseillons un suivi régulier et un arrêt du Januvia à distance si la GFR diminue encore. Nous observons un profil tensionnel élevé, raison pour laquelle le traitement de Lisinopril est augmenté. Durant son séjour, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation, bien qu'elle ne marche plus. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 54/126 par rapport à 48/126 à l'entrée (MIF physio : transferts 5/7, déplacement 1/7, escaliers 1/7). Le TUG est impossible. Le 09.01.2020, au vu d'une stabilité clinique, Mme. Y quitte notre service et regagne le Home de Billens. Mme. Y est une patiente de 82 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, qui est hospitalisée pour une surveillance et la prise en charge d'une entérite dans un contexte de nausées accompagnées et d'un épisode de vomissement biliaire. Au vu de l'absence de selles depuis le 25.11.2019 et la clinique, nous suspectons un début d'iléus, qui est infirmé au scanner. Le bilan biologique et radiologique confirme le diagnostic d'une entérite. Une alimentation progressive est instaurée et bien tolérée par la patiente. Son séjour est marqué par une évolution favorable sur le plan clinique et biologique, permettant un retour à domicile le 27.11.2019. Mme. Y est une patiente de 82 ans, connue pour les comorbidités et antécédents suscités, notamment pour des rectorragies sous Xarelto par le passé. Elle consulte en raison d'une hématochésie et de méléna depuis le 24.01.2020 au soir, le premier épisode vers 22h00, puis trois épisodes dès 06h30 le matin du 25.01.2020. Les selles étaient toujours liquides et il y a des traces de sang frais sur le slip. Mme. Y rapporte des douleurs en fosse iliaque gauche le 24.01.2020, soulagées après les selles et ne réapparaissant pas par la suite. À noter que la patiente est sous Clexane prophylactique depuis le 26.12.2019 dans un contexte de fracture de la cheville gauche. Elle prend également de l'Aspirine Cardio et les dernières doses ont été prises le 24.01.2020 au matin. À l'examen clinique, la patiente est en bon état général, normocarde, normotendue et afébrile. L'examen cardiaque est sans particularité. L'auscultation pulmonaire met en évidence de discrets ronchis bilatéraux. Sur le plan digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente, les bruits sont normaux en fréquence et tonalité. Les loges rénales sont souples et indolores. Au toucher rectal, on retrouve des hémorroïdes à 11h00 en position gynécologique, présence de méléna et de sang sec sur le doigtier. Pas de saignement vaginal. Le bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 30 mmol/l et une leucocytose à 14,3 G/l ainsi qu'une anémie normocytaire normochrome avec une hémoglobine à 111 g/l, MCV 82 fl, MCHC 330 g/l. Un CT abdominal met en évidence une diverticulose sigmoïdienne avec infiltration de la graisse au pourtour et une lame de liquide libre, sans perforation ni collection pouvant être à l'origine du saignement. Présence également d'un épaississement du caecum faisant suspecter une éventuelle cause tumorale. Le CEA est alors dosé, il est à 2,2 ng/ml le 28.01.2020. Mme. Y est hospitalisée dans le service de chirurgie, mise sous antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl. Les traitements de Clexane et d'Aspirine Cardio sont mis en suspens, repris dès le 27.01.2020. L'évolution tant clinique que biologique est favorable, avec disparition de l'hématochézie, du méléna et des diarrhées. La reprise d'un régime pauvre en fibres est bien tolérée. Sur le plan biologique, amélioration du syndrome inflammatoire avec une CRP à 20 mg/l et des leucocytes à 10,7 G/l le 27.01.2020. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut regagner son domicile le 29.01.2020.Mme. Petermann, âgée de 34 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, est hospitalisée le 04.01.2020 en raison d'un syndrome néphrotique avec des oedèmes généralisés et une hypoalbuminémie sévère. La patiente consulte une première fois les urgences le 01.01.2020 pour une pollakiurie, traitée par Monuril en dose unique. Elle reconsulte les urgences le 04.01.2020 en raison de l'apparition brutale d'oedèmes au niveau des membres inférieurs et du visage, plus accentués le matin, et accuse une prise de poids rapide de 5 kg. A l'anamnèse, elle mentionne un état grippal et une constipation une semaine avant sa consultation, motivant la prise de Neocitran et l'Exlax (laxatif acheté aux USA sur Internet). A l'admission, les paramètres vitaux sont dans la norme et nous retrouvons au status clinique, la présence d'un abdomen légèrement distendu, dépressible, sensible à la palpation au niveau du cadran épigastrique et hypogastrique. On note aussi la présence de douleurs à la percussion de la loge rénale gauche et des oedèmes au niveau des membres inférieurs et du visage prenant le godet. Le bilan biologique montre une hypoalbuminémie sévère à 17 g/l associée à une protéinurie sélective > 10 g/24 h et une hypo-immuno-globulinémie sévère. L'échographie des voies urinaires montre des reins de taille et morphologie normales, sans hydronéphrose. Un bilan complémentaire est effectué selon l'avis des néphrologues, montrant une hyper-gamma-globulinémie sévère dans le contexte d'un syndrome néphrotique avec IgG à 2.7 et des anticorps anti-Ku positifs. Devant ce tableau clinico-biologique, nous débutons selon l'avis de Dr. X, une anticoagulation thérapeutique par Clexane stoppée le 07.01.2020 et une substitution par 40 mg/j d'albumine à deux reprises. Une ponction biopsique rénale est effectuée à Fribourg le 08.01.2020 par Dr. X documentant une minimal change disease. L'échographie de contrôle ne montre pas de complications post-biopsie. De ce fait, un traitement par corticothérapie systémique à 50 mg/j, anticoagulant prophylactique par Xarelto, et prophylactique anti-infectieux par Bactrim forte ainsi que la vaccination contre le pneumocoque (Prevenar 13) est administré tout au long de son hospitalisation. De plus, une alimentation pauvre en sel et hyperprotéinée est préconisée et nous conseillons à la patiente d'éviter l'utilisation de Neocitran et Exlax (possible trigger de la maladie). Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Petermann peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 14.01.2020, en bon état général. Un rendez-vous est agendé à la consultation de Dr. X le 17.01.2020. Mme. Piller, âgée de 86 ans, est hospitalisée pour surveillance clinique dans les suites d'un upgrade de pacemaker en CRT-P. L'implantation se passe sans complication. La surveillance clinico-radiologique se déroule sans complications notables, permettant un retour au Home le 17.01.2020. Un contrôle de la plaie à 10 jours est indiqué par le médecin traitant, avec contrôle cardiologique prévu à un mois. Mme. Pilloud, 79 ans, est hospitalisée le 08.01.2020 pour la réalisation d'une coloscopie. La coloscopie effectuée le 09.01.2020 se déroule sans complication. Trois polypes infracentimétriques sont réséqués. Pour les troubles du transit, Dr. X propose de régulariser le transit avec un traitement régulier de Metamucil et un traitement symptomatique d'Iberogast, dans l'hypothèse d'une composante fonctionnelle étant donné la chronicité des symptômes. La patiente est gardée pour surveillance la nuit suivant la coloscopie. La surveillance se passe sans complication et Mme. Pilloud peut regagner son domicile le 09.01.2020. Mme. Pittet est une patiente de 66 ans, connue, entre autres, pour une probable bronchopneumopathie chronique obstructive avec un emphysème pulmonaire et pour un retard mental depuis l'âge de 3 ans. Pour rappel, Mme. Pittet a été hospitalisée en médecine interne dans le cadre d'une pneumonie virale. Dans un même temps, une lésion au niveau du rein gauche a été mise en évidence de façon fortuite lors du CT thoracique. Une IRM a donc été réalisée pour compléter le bilan et le dossier de la patiente a été discuté au tumor board d'urologie. La patiente sera vue à la consultation de Dr. X le 06.01.2020 pour la planification d'une néphrectomie partielle ou totale. Sur le plan social, Mme. Pittet vit avec son frère et sa belle-soeur dans une ferme et bénéficie de soins à domicile 1x/jour. Le bilan biologique effectué retrouve une carence en acide folique et en vitamine D que nous substituons oralement. Au cours de son séjour, la patiente présente une thrombopénie que nous mettons sur le compte de la prophylaxie par Clexane, raison pour laquelle elle est interrompue et remplacée par de l'Arixtra. Les thrombocytes reviennent alors rapidement dans la norme. Les anti-PF4 sont mesurés mais reviennent négatifs. Durant son séjour, Mme. Pittet présente une tendance à la tachycardie que nous associons à son traitement de Ventolin, nous introduisons donc un traitement par Bilol, qui permet un contrôle de la fréquence cardiaque. Pendant son séjour, Mme. Pittet participe à des séances de physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche seule est de 120 mètres à l'aide d'une canne et peut gravir 12 marches d'escalier avec l'aide de 2 mains courantes. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 78/126 par rapport à 63/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 5/7, escaliers 4/7). Le TUG se réalise en 15 secondes avec l'aide d'un rollator. De la physiothérapie ambulatoire est proposée pour la sortie. Au niveau nutritionnel, les diététiciennes mettent en évidence des apports protéino-énergétiques insuffisants et mettent en place un enrichissement des repas. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Un suivi en ambulatoire est proposé à la sortie. Le 30.12.2019, Mme. Pittet quitte notre service avec la mise en place de nouveaux soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, 1x/semaine pour le semainier, 2x/jour pour les soins de base et 1x/jour pour les gouttes oculaires. Mme. Pittet est une patiente de 84 ans qui nous est adressée dans l'attente d'une place à Billens pour une neuro-réadaptation. Pour rappel, Mme. Pittet est hospitalisée le 16.12.2019 en médecine interne à l'HFR de Fribourg suite à un accident vasculaire cérébral ischémique aigu pontique gauche d'origine indéterminée. Sur le plan social, Mme. Pittet habite à Broc dans une maison. A l'étage, nous réalisons un bilan sanguin qui ne retrouve pas de troubles électrolytiques, de transferrine, et une saturation de la transferrine dans les normes avec un fer sérique légèrement diminué. Mme. Pittet participe à des séances de réhabilitation gériatrique avec de la physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un tintébin est de 150 mètres sous surveillance et peut gravir 18 marches d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 63/126 (MIF physio : transferts 4/7, déplacements 4/7, escaliers 1/7). Le TUG se réalise en 30 secondes avec l'aide du tintébin et sous surveillance. En ergothérapie, Mme. Pittet est très volontaire, de caractère très actif mais avec une grande précipitation car priorise le résultat plus que l'activité, avec une suractivité du côté gauche et sous-utilisant le côté droit. Mme. Pittet présente toujours une dysarthrie, hémiparésie gauche avec ataxie, une difficulté de motricité fine principalement (arrive à fléchir légèrement les doigts et serrer mais de manière très globale). Sur le plan cognitif, l'évaluation ergothérapeutique précoce ne montre pas de troubles mais un BME complet sera nécessaire durant le séjour en neuro-réadaptation.Le 24.12.2019 Mme. Y est transférée à Billens afin de bénéficier d'une neuro-réadaptation. Mme. Y est une patiente de 95 ans, qui est hospitalisée pour prise en charge d'une cholécystite aiguë lithiasique avec des douleurs de l'hypochondre droit depuis 24-36h avant sa consultation aux urgences. Notre prise en charge conservatrice par antibiothérapie aura une évolution rapidement favorable tant sur le plan clinique que biologique. Nous expliquons à la patiente la nécessité de, par la suite, bénéficier d'une cholécystectomie à distance, raison pour laquelle elle sera consultée par le Dr. X dans 4 semaines. La patiente retourne à domicile le 31.12.2019. Mme. Y, 85 ans, est admise aux soins intensifs pour une suspicion d'AVC ischémique pariéto-occipital gauche traité par lyse. Cette patiente institutionnalisée en EMS, connue pour une démence modérée et des troubles de la marche et de l'équilibre, ainsi que pour deux antécédents d'AIT en 2006 et 2019, présente le matin du 24.01.2020 à 9h45 une dysarthrie avec héminégligence droite. Aux urgences, on objective en plus un hémisyndrome moteur droit, une hémianopsie latérale droite et une ataxie des membres inférieurs et supérieurs. Le CT cérébral initial ne montre pas de lésion ischémique. Au vu de la clinique potentiellement handicapante, après discussion avec les proches et après explication des risques potentiels, il est décidé de réaliser une lyse intraveineuse. Une HTA sévère motive l'introduction d'un traitement de TNT intraveineux. L'évolution neurologique lors de la surveillance est rapidement défavorable avec troubles de la vigilance rapidement progressifs, motivant la réalisation d'un nouveau CT cérébral qui met en évidence de multiples lésions hémorragiques intraparenchymateuses. Au vu de l'évolution défavorable avec coma profond et en raison du risque élevé de séquelles définitives, et après discussion avec la famille, il est décidé d'effectuer un retrait thérapeutique en privilégiant les soins de confort dès le 24.01.2020 au soir. Mme. Y décède le 25.01.2020 à 8h55. Mme. Y est une patiente connue pour les antécédents susmentionnés dont des troubles cognitifs fluctuants avec mise en évidence d'une sténose de la carotide interne gauche à 80% et une asymétrie de perfusion au bilan radiologique, chez qui nous posons l'indication à une TEA carotidienne avec plastie d'élargissement suite à la discussion au colloque de vasculaire interdisciplinaire. L'intervention se déroule sans complication, le 06.01.2020. La surveillance post-opératoire habituelle aux soins continus est marquée par une ptose labiale gauche en régression spontanée mise sur le compte du bloc cervical. Une hypertension artérielle post-opératoire motive la modification de l'introduction de Nifédipine et nous prions le médecin traitant de faire un suivi et une nouvelle adaptation en cas de besoin. La bonne évolution de la patiente permet un retour à domicile le 11.01.2020. Elle sera revue à la consultation de chirurgie vasculaire suite à un Doppler des vaisseaux pré-cérébraux à 3 mois post-opératoires. Mme. Y, 66 ans, est admise aux Soins Intensifs en post-opératoire d'une thrombendartériectomie avec plastie patch xénopéricarde le 06.01.2020. La patiente, connue pour hypertension artérielle traitée, pour tabagisme ancien stoppé en 2012 (20 UPA), pour troubles cognitifs d'origine indéterminée, est hospitalisée ce 06.01 afin de bénéficier d'une TEA de la carotide gauche sous anesthésie locorégionale par bloc cervical superficiel. Hormis un petit saignement au site opératoire, rapidement contrôlé, le per-opératoire se déroule sans complication. L'examen neurologique réalisé en post-opératoire met en évidence une ptose labiale gauche, sans autre signe de latéralisation. Durant la surveillance aux Soins Intensifs, Mme. Y reste cliniquement stable, raison pour laquelle nous la transférons en chirurgie ce jour. Présence d'une légère HTA motivant l'augmentation de ses traitements antihypertenseurs. L'examen clinique est superposable avec la persistance d'une ptose labiale gauche. Mme. Y est hospitalisée pour une baisse d'état général avec état fébrile depuis le 01.01.2020 sur probable progression d'un lymphome T agressif de type Sézary. Le CT cervico-thoraco-abdominal du 08.01.2020 montre une augmentation de la taille des ganglions dans le médiastin et dans le rétropéritoine ainsi qu'une hépatosplénomégalie. Une corticothérapie à haute dose est administrée dès le 18.01.2020 et un 1er cycle de chimiothérapie de type mini-CHOP est effectué du 21.01.2020 au 23.01.2020. L'évolution est malheureusement rapidement défavorable avec des troubles de l'état de conscience et une décompensation respiratoire d'origine multifactorielle (infection, surcharge). Au vu de l'état général de la patiente et du très mauvais pronostic oncologique, nous décidons avec la famille de la patiente de procéder à des soins de confort. Mme. Y décède paisiblement le 27.01.2020. Mme. Y est une patiente de 88 ans qui est connue pour une cardiopathie sévère d'origine multifactorielle et qui bénéficie d'une oxygénothérapie au long cours à domicile. La patiente est référée par son médecin traitant le 05.01.2020 en raison d'une péjoration de sa dyspnée malgré une augmentation du traitement diurétique à domicile. Le bilan clinique, biologique et radiologique sont compatibles avec une décompensation cardiaque. Une échocardiographie cardiaque transthoracique démontre une FEVG à 20% ainsi que des multiples troubles de la cinétique segmentaire, une insuffisance mitrale modérée et une sténose aortique sévère. Un traitement diurétique intraveineux est instauré le 05.01.2020 avec une évolution initialement favorable permettant un relais oral. Sur le plan respiratoire, l'anamnèse et le statut clinique de la patiente parlent en faveur d'une broncho-pneumopathie chronique obstructive. Au vu de l'âge et des comorbidités de la patiente, aucune investigation pulmonaire n'est réalisée pour confirmer ce diagnostic. Une thérapie bronchodilatation est instaurée le 07.01.2020 avec une bonne évolution clinique. Sur le plan digestif, la patiente présente un pyrosis ainsi que deux épisodes de vomissements le 10.01.2020. Sur la base d'un avis gastro-entérologique du 04.04.2019 (Dr. X), le traitement pour son hernie hiatale est réinstauré le 10.10.2020 avec une évolution satisfaisante. Malgré un traitement favorable dans un premier temps, la patiente présente une dyspnée en péjoration et un abaissement de l'état de vigilance. L'évolution sur le plan cardiaque est progressivement défavorable malgré un traitement bien conduit. Compte tenu de la situation, nous discutons avec la patiente et son entourage et mettons en avant le caractère avancé de la pathologie cardiaque. Nous convenons d'une attitude conservatrice pour les intérêts de la patiente. Les traitements per os sont progressivement arrêtés et un passage aux soins de confort est introduit le 15.01.2020 et le pacemaker/défibrillateur est arrêté le 20.01.2020. Mme. Y décède entourée de ses proches le 21.01.2020. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs en raison d'un choc septique sur infection aiguë secondaire de PTG G à streptocoques pneumoniae. Patiente de 85 ans, se plaint à l'entrée de douleurs du genou gauche depuis 10 jours en augmentation avec chute le 12.01.2020. Elle a bénéficié d'une implantation de prothèse de genou gauche en 2018 (Dr. X, clinique générale).A l'admission, Mme. Y présente le tableau d'un choc septique avec signes inflammatoires au niveau du genou gauche justifiant un remplissage et un support aminergique par Noradrénaline. Une ponction d'articulation révèle du pus au niveau de l'articulation. Un lavage, rinçage et débridement avec changement de polyéthylène PTG G est alors réalisé le 12.01.2020. Les prélèvements microbiologiques (liquide articulaire et hémocultures) permettent d'identifier un streptocoque pneumoniae multisensible. Le point de départ est probablement une infection dans la sphère ORL ou pulmonaire. A noter des expectorations purulentes et une otite droite anamnestiquement présentée à Noël. Le traitement empirique de Co-Amoxicilline administré à l'entrée est changé au Ceftriaxone en accord avec les collègues infectiologues. A son arrivée, une fibrillation auriculaire non connue est mise en évidence. Vu une dilatation des deux oreillettes à l'échocardiographie de débrouillage, nous suspectons une fibrillation auriculaire chronique. Une anticoagulation thérapeutique à l'Héparine est débutée au vu d'une possible deuxième intervention orthopédique. L'introduction des bêtabloquants permet de ralentir la fréquence cardiaque. Une échocardiographie par les collègues cardiologues est demandée. Une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale qui est initialement présente est mise sur le compte du contexte septique. La fonction rénale se normalise rapidement sous hydratation intraveineuse. Mme. Y présente des apports nutritionnels insuffisants aux soins intensifs motivant l'implication des collègues de la nutrition clinique. Vu l'évolution favorable, Mme. Y est transférée à l'étage d'orthopédie le 14.01.2020. Mme. Y, 85 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique post-opératoire après ablation de PTG gauche surinfectée et mise en place d'un spacer le 16.01.2020. La patiente est hospitalisée aux soins intensifs du 12.01. au 14.01.2020 dans le contexte d'un choc septique sur une infection aiguë secondaire de PTG gauche à streptocoque pneumoniae, avec point de départ pulmonaire. Un lavage articulaire avec débridement et changement de polyéthylène de la PTG gauche est effectué le 12.01.2020. Une antibiothérapie empirique initiale par Co-Amoxicilline est relayée par Ceftriaxone le 13.01.2020. Une fibrillation auriculaire non datée est mise en évidence lors de son premier séjour dont le résultat de l'échocardiographie transthoracique permet de conclure à une maladie de l'oreillette et une probable cardiopathie hypertensive. Un dosage de la TSH doit encore être réalisé. Nous vous laissons reprendre une anticoagulation thérapeutique dès que possible. Durant la période de surveillance, une réponse ventriculaire rapide est constatée justifiant la majoration du traitement par bêtabloquant. En raison d'une dénutrition protéino-énergique modérée sur une insuffisance d'apports, des suppléments nutritifs et une supplémentation vitaminique sont ajoutés. Un suivi nutritionnel est déjà institué. Le 17.01.2020, Mme. Y est transférée vers le service d'orthopédie avec un suivi par le consultant de médecine interne prévu. Mme. Y consulte les urgences le 23.01.2020 en raison d'une baisse de l'état général depuis le matin. La patiente est connue pour un cancer utérin avec multiples métastases ganglionnaires rétropéritonéales et axillaire gauche et œdème lymphatique des membres supérieur et inférieur gauches. Elle présente depuis le matin de l'admission des nausées avec des épisodes de vomissements alimentaires, sans douleur abdominale. A savoir que la patiente est vaccinée contre la grippe, qu'elle a subi une radio-chimiothérapie en fin d'année 2019 et qu'elle est actuellement sous Ospen dans un but antibioprophylaxie pour une dermohypodermite récidivante du membre supérieur gauche dans le contexte de lymphoedème post-radique. A savoir que la dernière chimiothérapie a été effectuée le 26.12.2019. Aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable, fébrile avec une tachycardie sinusale. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une pancytopénie avec déviation gauche, une acutisation de l'insuffisance rénale et les urines sont sales. Vu l'antécédent d'urosepsis à E. Coli en décembre 2019 avec une hydronéphrose rénale gauche et une patiente immunosupprimée, un CT thoraco-abdominal est effectué. Ce dernier montre une hydronéphrose gauche connue en augmentation avec des troubles de perfusion rénale gauche. L'uriculture et les hémocultures sont prélevées et la patiente est mise sous Pipéracilline/Tazobactam. Une bouteille sur 4 est positive pour E. Coli (R à Augmentin, Ciprofloxacine) et l'antibiothérapie est relayée par Rocéphine. Les urines sont contaminées par Staphylocoque aureus. L'absence d'E. Coli dans les urines malgré une bactériémie à E. Coli peut être expliquée par le fait que l'hydronéphrose soit avancée et que les germes soient localisés au niveau du pyélon gauche. Pour cette raison, l'indication à la pose d'une sonde double J est retenue par le Dr. X, urologue, et l'intervention est programmée pour le 24.01.2020. Le bilan angiologique ne met pas en évidence de thrombose profonde ni superficielle du membre inférieur gauche, un œdème dû à compression et invasion par masse tumorale iliaque gauche. Au membre supérieur, mise en évidence de compression et invasion avec éventuelle thrombose proximale de la veine sous-clavière qui ne peut pas être exclue avec proposition de mise en place de Clexane 40 mg deux fois par jour (mis en place dès amélioration du taux des plaquettes). A noter une fonction rénale légèrement péjorée. Mme. Y a sûrement une insuffisance rénale chronique dans le contexte de son hydronéphrose gauche avec une image de trouble de la perfusion. La composante prérénale dans le contexte infectieux s'est corrigée lors de son hospitalisation. Du point de vue oncologique, un PET-CT et un rendez-vous à la consultation de la Dr. X sont prévus afin de voir l'évolution et de discuter de la suite de la prise en charge. Mme. Y est donc transférée à l'HFR Fribourg le 23.01.2020 pour préparation de l'intervention de pose de double J le 23.01.2020. L'antibiothérapie est à poursuivre jusqu'à 48 h après la pose de la sonde. A savoir aussi que l'antibioprophylaxie par Ospen reste à reprendre dès la sortie de l'hôpital pour une durée de 3-6 mois à réévaluer avec les infectiologues. Mme. Y, 54 ans, est transférée depuis le service de chirurgie de l'HFR Fribourg où elle a bénéficié de la pose d'une sonde double J en raison d'un urosepsis évoluant depuis le 14.01.2020. Elle est connue pour un cancer utérin avec de multiples métastases et un antécédent d'urosepsis à E. Coli en décembre 2019 avec une hydronéphrose rénale gauche. A l'admission le 14.01.2020, le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une pancytopénie avec déviation gauche, une acutisation de l'insuffisance rénale et des urines sales. Un CT thoraco-abdominal met en évidence une péjoration de l'hydronéphrose gauche avec des troubles de la perfusion rénale. La patiente est donc transférée à l'HFR Fribourg pour la pose d'une sonde double J à gauche qui se déroule le 24.01.2020 sans complication. A son retour à l'HFR Riaz le 25.01.2020, l'antibiothérapie par Rocéphine est poursuivie 48 h après la pose de la sonde double J. La patiente ne présente plus de fièvre ni de symptôme urinaire. Un relais per os par Bactrim est poursuivi pour une durée de 7 jours. La sonde vésicale est retirée avec reprise des mictions. L'antibioprophylaxie par Ospen sera reprise à la suite du traitement par Bactrim en accord avec les infectiologues.Mme. Privet peut regagner son domicile le 27.01.2020. Mme. Progin, 62 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une hémorragie digestive haute (anastomose gastro-jéjunale) sur érosion de décubitus par stent le 13.01.2020. Cette patiente a subi une conversion d'anneau gastrique en bypass gastrique par laparoscopie le 09.12.2019 en raison d'une récidive d'obésité morbide, avec des suites opératoires multi-compliquées nécessitant une reconstruction complexe du tube digestif avec également mise en place d'un stent couvert au niveau de la jonction gastro-jéjunale, présente des hématémèses avec présence de sang dans la stomie alimentaire le 13.01.2020. À son arrivée aux soins intensifs, la patiente est hémodynamiquement stable. Son état nécessite un soutien transfusionnel avec des culots érythrocytaires et du plasma frais congelé. Un traitement par Pantoprazol est également débuté en i.v. continu. La gastroscopie réalisée en urgence relative ne montre pas de saignement actif mais met en évidence la présence d'un saignement sur érosion de décubitus par le stent. Le stent est donc retiré, et le contrôle scopique ne montre pas de fuite. La surveillance hémodynamique aux soins intensifs se déroule sans particularité. La patiente ne présente plus d'extériorisation de sang. Le suivi d'hémoglobine révèle des valeurs qui se stabilisent aux alentours de 80 g/l. À noter que la patiente présentait un rash maculo-papuleux, lors de son arrivée aux soins intensifs, d'origine médicamenteuse. Nous avons introduit des anti-histaminiques avec un bon effet. Le diagnostic différentiel se fait entre les deux nouveaux traitements qui avaient été mis en route : Flector patch et Ivemend. En ce qui concerne son hypothyroïdie, les dosages de TSH étant encore très élevés ce 15.01 (76 mU/I), nous demandons un nouvel avis endocrinologique. Ceux-ci nous proposent de majorer sa dose d'Euthyrox à 250 mcg en veillant bien à laisser la patiente à jeun deux heures avant et deux heures après la prise (pas de nutrition par la jéjunostomie), et de recontrôler la TSH et la T4 dans 10 jours (25.01). Mme. Progin est retransférée en chirurgie ce 15.01.2020. Mme. Puerro, âgée de 71 ans, est hospitalisée pour épanchements pleuraux bilatéraux d'origine néoplasique. La patiente rapporte une dyspnée et une toux d'apparition progressive, symptomatologie similaire à décembre 2019 quand un épanchement pleural gauche d'origine tumorale avait été diagnostiqué et drainé, avec mise en évidence de métastases hépatiques et osseuses nouvelles. Le bilan radiologique d'entrée retrouve une récidive d'épanchement pleural bilatéral, avec progression des métastases hépatiques et osseuses connues. Dans ce contexte, une thoracoscopie gauche, avec talcage et pose de Pleur-X bilatéral sont réalisées le 17.01.2020, avec réponse clinique favorable. Les biopsies pleurales et péricardiques confirment l'origine métastatique du carcinome lobulaire du sein connu. Dans ce contexte, une nouvelle ligne de chimiothérapie palliative est administrée le 28.01.2020, suivie d'une réadaptation palliative à la Villa St François dès le 30.01.2020. Mme. Pugin, 71 ans, a été admise aux soins intensifs pour une embolie pulmonaire centrale droite avec cœur pulmonaire aigu et une hypoxémie sévère persistante plurifactorielle. La patiente s'est présentée aux urgences de l'HFR Riaz le 16.01.2020 en raison d'un état grippal évoluant depuis une semaine avec des douleurs thoraciques oppressives et une dyspnée stade NYHA IV. Le bilan a mis en évidence initialement une pneumonie bilatérale avec décompensation cardiaque gauche associée. La persistance d'une hypoxémie importante malgré l'antibiothérapie a été attribuée à une embolie pulmonaire centrale droite le 18.01.2020. Malgré l'anticoagulation thérapeutique par enoxaparine et l'oxygénothérapie, l'évolution a toutefois été marquée par des désaturations au moindre effort. L'embolie pulmonaire est restée inchangée à l'angio-CT thoracique du 23.01.2020. L'échocardiographie a mis en évidence un cœur pulmonaire aigu et une hypertension pulmonaire systolique à 71 mmHg. Après discussion multidisciplinaire, une lyse artérielle pulmonaire in situ a été réalisée le 24.01.2020. Malgré la lyse in situ et l'anticoagulation thérapeutique, l'insuffisance respiratoire ne s'est pas améliorée significativement, avec persistance de désaturations jusqu'à 70% au moindre effort. Bien qu'une légère amélioration du cœur pulmonaire aigu ait été constatée, l'hypertension pulmonaire systolique est restée élevée à 80 mmHg le 27.01, puis 58 mmHg le 28.01.2020. L'hypoxémie réfractaire est probablement plurifactorielle. Un shunt intra-cardiaque droite-gauche à travers un foramen ovale perméable de grade II est favorisé par l'hypertension pulmonaire. Le shunt étant modéré, les cardiologues ne retiennent pas l'indication à une fermeture du foramen ovale, mais proposent d'effectuer une échocardiographie au plus tard à 3 mois. Le traitement de lisinopril a été remplacé par de la nifédipine. Une fibrose pulmonaire prédominante aux bases est aspécifique à cet âge, selon les pneumologues. Cependant, dans le contexte d'un syndrome de Raynaud, d'une dysphagie et d'une vitesse de sédimentation élevée, le bilan est complété à la recherche d'une connectivite. Les résultats devront être discutés conjointement par les rhumatologues et les pneumologues. Vu la stabilité des infiltrats pulmonaires, l'antibiothérapie a été stoppée après 7 jours. L'odynodysphagie et la dysphonie pourraient être aussi favorisées par un reflux gastro-oesophagien, traité par inhibiteur de la pompe à protons. Un suivi ORL est préconisé. L'apport nutritionnel journalier couvre environ 50% des besoins en raison de l'inappétence. Une consultation diététique est souhaitable. Une rétention urinaire aiguë récidivante, favorisée par l'alitement et l'administration d'opiacés, a nécessité un sondage vésical répété. Une origine neurogène devra être recherchée et un bilan uro-dynamique pourrait être envisagé en cas d'absence d'amélioration. Mme. Pugin a été transférée le 29.01.2020 dans le service de médecine interne. Mme. Pugin, 71 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur embolie pulmonaire lobaire droite survenant dans le contexte d'une pneumonie communautaire à germe indéterminé associée à une décompensation cardiaque le 19.01.2020. Cette patiente se présente à Riaz le 16.01.2020 en raison d'un état grippal évoluant environ depuis une semaine avec des douleurs thoraciques oppressives non irradiantes et dyspnée NYHA IV. Le bilan met en évidence une pneumonie bilatérale avec décompensation cardiaque gauche associée. Vu la persistance d'une hypoxémie importante, un CT thoracique est réalisé qui montre une embolie pulmonaire. Un traitement d'héparine est ensuite instauré. En raison d'une hypoxémie réfractaire, la patiente est transférée aux soins intensifs. L'évolution est progressivement favorable durant le séjour. Une HBP est instaurée le jour du transfert. Nous prenons contact avec nos collègues angiologues qui ne retiennent pas d'indication à une lyse in situ. La pneumonie bilatérale à germe indéterminé est traitée par ceftriaxone et clarithromycine. Il est à noter que les radiologues évoquent la possibilité d'une fibrose pulmonaire sous-jacente que nous vous laissons investiguer. La décompensation cardiaque gauche est attribuée au contexte infectieux et nécessite un contrôle de la volémie avec des diurétiques de l'anse i.v. Un traitement de métoprolol et de lisinopril est également instauré chez cette patiente connue pour une insuffisance cardiaque à fraction d'éjection réduite d'origine ischémique.mentionnons enfin une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale probable dont l'évolution est favorable. Vu la stabilité hémodynamique et respiratoire, la patiente est transférée en Médecine de Riaz le 20.01.2020 pour la suite de prise en charge. Mme. Y, 76 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'une pneumonie du lobe inférieur gauche. La patiente décrit une péjoration de sa dyspnée habituelle depuis environ 4 jours, d'apparition progressive, avec dégradation aiguë durant la nuit du 16.01 au 17.01.2020 avec apparition d'une orthopnée. Aux urgences, une radiographie du thorax montre des signes compatibles avec une surcharge cardiaque associés à un foyer pulmonaire basal gauche. Un traitement de Furosémide iv est introduit, de même qu'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour une durée totale de 5 jours, ainsi que de la Prednisone. Des aérosols de Salbutamol et d'Ipratropium sont également initiés, avec majoration du temps de la BPAP. L'évolution est progressivement favorable. Une réhabilitation gériatrique à l'HFR Tafers est organisée, avant un retour à domicile. La patiente présente une anémie macrocytaire hypochrome le 20.01.2020. Un culot érythrocytaire est transfusé et une substitution en acide folique est débutée. Une origine digestive du saignement n'est pas exclue, mais la patiente ne souhaite pas d'investigation digestive. Le Pantozol est majoré à raison de 40 mg - 2 x/jour pour une durée d'un mois. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 23.01.2020 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 69 ans, nous est transférée depuis l'HIB Payerne le 05.12.2019 en raison d'un syndrome de Guillain-Barré. Cette patiente, en bonne santé habituelle, présente le 25.11.2019 un état fébrile à point de départ respiratoire haut (toux, rhinite) traité en ambulatoire par Azithromycine pendant 3 jours. Le 27.11.2019, elle rapporte l'apparition d'une parésie des membres inférieurs avec difficultés à la marche motivant son hospitalisation à l'hôpital de Payerne dès le 30.11.2019. Depuis le 04.12.2019, l'évolution est marquée par l'apparition d'une tétraparésie proximo-distale. Le bilan effectué à Payerne montre une dissociation albumino-cytologique à la ponction lombaire. L'IRM cérébro-médullaire se révèle normale. Un CT thoraco-abdominal est également réalisé mettant en évidence une masse du lobe supérieur droit associée à des adénopathies médiastinales et hilaires, investiguée par biopsie sous CT. Devant la suspicion d'un syndrome Guillain-Barré et au vu de la sévérité de l'atteinte, caractérisée par une atteinte bulbaire débutante, la patiente est transférée aux soins intensifs de l'HFR le 05.12.2019. L'ENMG confirme le diagnostic d'un syndrome de Guillain-Barré, survenant dans un contexte post-infectieux versus paranéoplasique. Un traitement par IVIG est débuté dès le 05.12.2019. L'évolution neurologique est stable avec à la sortie une persistance d'une tétraparésie aréflexique symétrique sans atteinte respiratoire (capacité vitale à 2.8 L pour une limite inférieure à 1.5 L) ni des troubles de la déglutition. La patiente présente des tensions artérielles hautes et non fluctuantes, asymptomatiques, sans arythmie ni signe franc de dysautonomie en cours de séjour. Dans ce contexte, un traitement antihypertenseur par bétabloquant et anticalcique est instauré. Un suivi régulier des paramètres vitaux et de la capacité vitale pulmonaire est préconisé. En cas de dégradation respiratoire et/ou de signe franc de dysautonomie, nous nous tenons à disposition 7j/7j H24 pour réévaluer l'indication à une surveillance rythmique rapprochée. Cliniquement, la patiente est stable et la tétraparésie présente une évolution positive. La patiente peut à nouveau mouvoir ses membres supérieurs avec une force de M5 et ses membres inférieurs dans le plan du lit, à M2 bilatéralement. La patiente reste toutefois très dépendante des soins infirmiers pour les activités et les besoins quotidiens, raison pour laquelle nous entamons une inscription en neuro-réhabilitation intensive à Meyrier. Mme. Y présente des douleurs d'allure neurologique (sensation de brûlure) au niveau des membres inférieurs d'intensité variant entre 5 et 10/10. Nous les prenons en charge par prégabaline et morphine en réserve, avec une réponse satisfaisante. Sur le plan oncologique, les résultats de la biopsie de la masse pulmonaire du lobe supérieur droit indiquent un adénocarcinome compatible avec une origine pulmonaire, le NGS permet d'exclure le diagnostic différentiel de tumeur endométrioïde. La patiente est présentée au Tumorboard thoracique le 11.12.2019, où une prise en charge curative est premièrement proposée. Nous complétons les examens par un PET-CT qui rapporte une lésion pulmonaire hypermétabolique avec suspicion d'atteinte ganglionnaire médiastinale, raison pour laquelle une bronchoscopie avec EBUS est effectuée. Une biopsie d'une adénopathie médiastinale revient négative. Au vu de la prise en charge chirurgicale de la masse pulmonaire, Mme. Y est transférée à l'Inselspital à Berne le 07.01.2020. L'opération est prévue le 08.01.2020. Une neuro-réadaptation à l'HFR Meyriez est organisée mais doit être confirmée en post-opératoire. Mme. Y, 69 ans, récemment hospitalisée pour un syndrome de Guillain-Barré avec découverte fortuite d'un adénocarcinome pulmonaire, nous est retransférée de l'Inselspital pour suite de prise en charge en attendant la neuro-réhabilitation intensive à Meyriez. La patiente a bénéficié à Berne d'une lobectomie supérieure droite, avec bonne évolution ne nécessitant pas de contrôle ultérieur. Dans notre service, de la physiothérapie et de l'ergothérapie sont instaurées. Concernant l'adénocarcinome pulmonaire, la patiente va être convoquée en oncologie ambulatoire pour discuter d'un traitement adjuvant après la fin de la réhabilitation. Le 20.01.2020, en attendant le transfert pour la neuro-réhabilitation intensive à l'HFR Meyriez, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant qu'elle a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie dans le contexte d'une rupture chronique du sus et du sous-épineux, avec déficit marqué de la rotation externe, pour laquelle le Dr. X retient l'indication opératoire par transfert du grand dorsal. L'intervention se déroule sans complication le 14.01.2020. Les suites opératoires sont marquées par des crises hypotensives symptomatiques, pour lesquelles nous demandons un avis à nos collègues de médecine interne. Dans le bilan réalisé, il est suspecté un rythme jonctionnel, pour lequel il est conseillé de stopper le bêta-bloquant et d'organiser un contrôle cardiologique en ambulatoire. De plus, au laboratoire, mise en évidence de troubles électrolytiques avec une hypophosphatémie supplémentée, une hypomagnésémie supplémentée, ainsi qu'une perturbation de la fonction rénale résolue par hydratation intraveineuse. Une anémie normocytaire hypochrome fait l'objet d'une surveillance biologique.Sur le plan orthopédique, les suites opératoires sont favorables, avec bonne gestion des douleurs, initialement par cathéter inter-scalénique, puis par l'antalgie standard. Il n'y a pas de trouble neuro-vasculaire post-opératoire. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive en abduction/élévation 90°, rotations libres. En dehors des séances de physiothérapie, un coussin d'abduction est en place pour une durée de 6 semaines. La cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. En fin de séjour, la patiente ne présente plus de crise hypotensive et est asymptomatique. Le 20.01.2020, Mme. Y peut retourner à domicile. Mme. Y consulte à la permanence en raison de douleurs dans la fesse avec irradiation persistante depuis 5 jours. Un statut clinique montre une douleur à la palpation de la sacro-iliaque mais pas d'autre trouvaille pathologique. Un bilan radiologique ne montre pas d'atteinte osseuse. Nous diagnostiquons des sacro-ilialgies consécutives à un faux mouvement. Nous optons dans un premier temps pour un traitement médicamenteux et prescrivons une thérapie par Prednison 20 mg, Novalgine, Dafalgan, AINS. Nous invitons la patiente à reconsulter son médecin traitant en cas d'absence d'amélioration de la symptomatique. Nous restons également à disposition. La patiente doit reconsulter en urgence en cas de perte d'urine ou de selles, de perte de force ou de trouble de la sensibilité. Mme. Y est une patiente de 97 ans qui nous est adressée par l'Hôpital de Rennaz. Pour rappel, Mme. Y s'adresse aux urgences de l'Hôpital de Rennaz pour une baisse de son état général avec une toux productive. L'anamnèse révèle une oppression thoracique de type serrement à la marche qui diminue spontanément au repos. Le laboratoire effectué aux urgences de Rennaz révèle un syndrome inflammatoire. Sur le plan social, Mme. Y est veuve, habite au rez-de-chaussée dans une ferme, son fils habite l'appartement au-dessus. A son admission en gériatrie, Mme. Y est calme, collaborante, hémodynamiquement stable avec une tension artérielle à 123/83, une fréquence cardiaque à 75 battements par minute, une SaO2 à 94% à l'air ambiant mais fébrile à 38°C. Mme. Y n'a pas de plainte particulière nouvelle hormis ce qui a été mentionné aux urgences de Rennaz. Au statut d'entrée, l'examen cardiovasculaire révèle des B1 B2 lointains sans souffle surajouté, sans œdème des membres inférieurs. L'examen pulmonaire révèle des bruits diminués aux bases pulmonaires plus marquées du côté droit mais sans signe de détresse respiratoire. Le laboratoire d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 159 mg/l accompagné d'une leucocytose à 15 G/l. Le reste du bilan objective une anémie normocytaire normochrome à 98 G/l d'origine mixte sur carence en acide folique et inflammatoire dans un contexte infectieux, ainsi qu'une carence en vitamine D, pour lesquelles nous décidons d'une substitution. Nous vous laissons le soin de procéder à un contrôle de l'hémoglobine à votre consultation. Par ailleurs, une hyponatrémie à 129 mmol/l normo-osmolaire est retrouvée pour laquelle une surveillance biologique est instaurée. La natrémie à la sortie est à 131 umol/l. Devant ce tableau clinique et biologique, un diagnostic de pneumonie basale droite est retenu, raison pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie sous Rocéphine du 30.12.2019 au 04.01.2020 pour une durée totale de 5 jours, avec une bonne évolution clinique. Un NSTEMI a été diagnostiqué aux urgences de Rennaz, pour laquelle nous proposons à Mme. Y de poursuivre un traitement sous Aspirine cardio 100 mg, Atorvastatine 10 mg ainsi que sous Plavix à 75 mg. Au vu de l'âge et des comorbidités de la patiente, nous renonçons à des investigations invasives et nous préconisons une adaptation du traitement symptomatique. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie de séances de physiothérapie de mobilisation. La patiente se mobilise sur une distance de 130 mètres et peut gravir 18 marches. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 95/126 par rapport à 91/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 6/7). Le TUG se réalise en 13 secondes sans moyen auxiliaire. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave avec un BMI à 18.2 pour lequel nous préconisons d'enrichir et de fractionner l'alimentation. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 07.01.2020 montrent un MMSE à 29/30 et un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Le 09.01.2020, Mme. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 2x/semaine pour les signes vitaux, 1x/semaine pour le contrôle de la santé ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mme. Y, âgée de 61 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture plurifragmentaire déplacée sous-trochantérienne de type reverse du fémur gauche sans signe clair de métastase à ce niveau, traitée par clou PFN long + cerclage le 06.12.2019. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. Pas de trouble sensitivomoteur grossier des membres inférieurs, hormis une légère faiblesse du membre inférieur gauche dans le contexte postopératoire. Depuis le matin du 25.12.2019, nous notons une irritabilité ainsi que des céphalées occipitales et des douleurs à la nuque survenues sur la journée. En début d'après-midi, les 2 fils de Mme. Y décrivent une confusion importante. A l'examen neurologique, la patiente est consciente (GCS 15/15) et orientée aux 4 modes avec une attention conservée. Les pupilles sont normo-réactives, la pupille gauche étant possiblement légèrement agrandie. A noter que la patiente a eu une opération récente pour la cataracte à gauche. La motricité faciale est sans particularité mais nous devons rappeler à la patiente de fermer l'œil gauche. A l'épreuve des bras tendus, nous mettons en évidence une faiblesse importante du membre supérieur gauche avec pronation. La patiente banalise par contre les symptômes, décrivant la faiblesse de la main gauche comme étant le symptôme principal dans le contexte de la découverte des métastases cérébrales. La communication est sans particularité, pas de dysarthrie ni de dysphonie. De plus, nous suspectons une négligence du champ visuel gauche. Les épreuves cérébelleuses n'ont pas été effectuées. Nous transférons Mme. Y à l'HFR Fribourg pour investigations et avis neurochirurgical le jour même. Mme. Y, 61 ans, admise aux soins intensifs pour un état confusionnel aigu avec une héminégligence gauche nouvelle sur progression de métastases cérébrales d'un adénocarcinome pulmonaire le 25.12.2019. Le CT cérébral effectué au service des urgences dans le cadre du bilan de l'état confusionnel met en évidence une progression de multiples métastases cérébrales ainsi qu'une nette majoration de l'œdème péri-lésionnel dans l'hémisphère cérébral droit. Sur avis neurochirurgical, un traitement par Dexaméthasone est initié. Une IRM cérébrale le 27.12.2019 confirme l'augmentation en taille et en nombre des métastases cérébrales. Après discussion avec les neurochirurgiens et les oncologues, il est décidé d'une prise en charge conservatrice avec corticothérapie. Une radiothérapie à visée palliative va être discutée lors de la consultation de radio-oncologie du 06.01.2020. La situation neurologique s'améliore rapidement, malgré légère héminégligence gauche résiduelle. A noter un sevrage progressif de la Dexaméthasone sans péjoration clinique que nous vous laissons le soin de poursuivre selon la clinique de la patiente et une éventuelle radiothérapie qui risquerait de majorer l'œdème.A noter un diabète cortico-induit sur Dexaméthasone que nous vous laissons le soin de suivre et réévaluer la nécessité d'un traitement de fond au vu d'une diminution progressive de la Dexaméthasone. Pour rappel, Mme. Y était hospitalisée en réadaptation musculo-squelettique à l'HFR Billens dans le contexte d'une fracture pathologique opérée pour laquelle nous avons poursuivi la prise en charge physiothérapeutique. Dans l'attente, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, patiente de 25 ans, connue pour un diabète de type 1B et une hypothyroïdie préclinique, est hospitalisée en électif le 27.01.2020 pour la pose d'une pompe à insuline dans un contexte de désir de grossesse. Sur le plan diabétique, la patiente bénéficie d'une pose de pompe à insuline le 27.01.2020. Dès le 27.01.2020, la patiente bénéficie d'un suivi en diabétologie pour des conseils diététiques et pour le réglage de sa pompe. L'évolution du contrôle glycémique est bonne, y compris lors de mise en situation en effort. Sur le plan thyroïdien, un bilan endocrinologique révèle une hypothyroïdie primaire. Au vu d'une hypo-substitution, le traitement par Euthyrox est majoré. Un contrôle à 4-6 semaines doit être organisé chez le médecin traitant. Sur le plan gastro-entérologique, la patiente reste symptomatique de sa gastro-colite à collagène. Nous proposons une réévaluation clinique en gastro-entérologie. La patiente peut rentrer à son domicile le 30.01.2020. Mme. Y, 50 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'un trouble nouveau du comportement. La patiente présente une modification de son comportement depuis le mois de décembre 2019 selon l'hétéroanamnèse auprès de sa famille, en aggravation, raison pour laquelle elle est amenée au service des urgences. L'anamnèse d'entrée est non-contributive. Au status, on remarque une logorrhée avec discours incohérent, passant du coq à l'âne, avec persévérances verbales fréquentes. L'orientation est par contre conservée sans trouble de la mémoire au premier plan. Au bilan, une hyponatrémie légère est identifiée, sans autre trouble électrolytique. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire, et un status urinaire revient négatif. Un scanner cérébral et une IRM cérébrale reviennent dans la norme. Après avis neurologique, un bilan démence est effectué dans le sang et dans le LCR, sans qu'une cause étiologique soit identifiée à ce jour. Les protéines 14-3-3, Tau, phospho-Tau et A-beta40 sont toujours à cours d'analyse. Nous substituons une carence en folates et en vitamine B1. Après avis psychiatrique, le traitement par Escitalopram est arrêté, remplacé par de la Vortioxetine; le Clonazepam est remplacé par du Bromazepam. Une origine neurodégénérative est évoquée initialement. Cependant, la rapidité d'apparition des symptômes et le bilan neuropsychologique avec des troubles du comportement au premier plan, sans atteinte de la mémoire épisodique et des fonctions instrumentales, fait avant tout suspecter une origine psychiatrique. Dans l'attente des résultats finaux du bilan somatique et en raison de la persistance de la symptomatologie, un transfert en milieu psychiatrique à Marsens est organisé. La patiente présente des troubles des paramètres hépatiques. Un ultrason abdominal revient dans la norme. Dans l'évolution, ceux-ci se normalisent. Mme. Y quitte notre service de médecine interne le 24.01.2020, pour se rendre en milieu psychiatrique à Marsens. Mme. Y, 63 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique sur exacerbation BPCO, dans le contexte d'une grippe A. La patiente présente une péjoration de sa dyspnée habituelle, actuellement au moindre effort depuis 4 jours, raison de sa venue à votre consultation, et où vous auriez diagnostiqué une grippe A, malgré une vaccination préalable. Une gazométrie révèle une insuffisance respiratoire partielle et une radiographie du thorax ne révèle pas de foyer suspect. L'évolution est favorable après introduction d'inhalations, de corticothérapie et de Tamiflu. L'oxygénothérapie peut être sevrée progressivement. A noter que la patiente a une intervention prévue au CHUV le 18.02.2020 pour une lobectomie de la Lingula du lobe supérieur gauche. Mme. Y rentre à domicile le 30.01.2020. Mme. Y consulte la permanence en raison d'une céphalée aiguë d'apparition subite cet après-midi. A la permanence, nous effectuons un status clinique qui revient dans la norme. Nous complétons l'examen clinique par un bilan biologique. Au bilan biologique, on note un syndrome inflammatoire avec une CRP à 28 mg/L sans leucocytose. Les électrolytes sont dans la norme ainsi que la fonction rénale. Au vu de l'anamnèse de maux de têtes extrêmes d'apparition subite, nous excluons un saignement sous-arachnoïdien à l'aide d'un CT scanner cérébral. Nous observons également un comblement du sinus frontal gauche au scanner. Nous retenons le diagnostic de céphalée aiguë dans un contexte de sinusite virale frontale. Nous prescrivons à la patiente une thérapie symptomatique. Elle est invitée à reconsulter si récidive de la symptomatologie ou si apparition d'un signe clinique d'atteinte neurologique. Mme. Y est une patiente de 75 ans hospitalisée pour une biopsie de ganglion sous-clavier gauche hypercaptant au PET FDG du 06.01.2020. La biopsie peut être effectuée le 22.01.2020, les suites postopératoires sont simples et sans complication, Mme. Y peut rentrer à domicile le 23.01.2020 dans un bon état général. Elle sera vue à la consultation de Dr. X le 24.02.2020 à 9h. Mme. Y, patiente de 66 ans, hospitalisée pour investigations d'oedèmes des membres inférieurs en péjoration depuis environ 2 semaines. Le laboratoire d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire mais retrouve une hypoalbuminémie importante. La créatinine est élevée, mais correspond aux valeurs habituelles de la patiente. Le sédiment urinaire montre une purée d'érythrocytes glomérulaires sans leucocyturie. Concernant les oedèmes des membres inférieurs, un avis angiologique est demandé à la recherche de thromboses veineuses profondes, non retrouvées lors du bilan. Celui-ci montre par contre des adénopathies bilatérales au niveau inguinal. Le bilan est donc complété avec un CT abdomino-pelvien (non-injecté) à la recherche d'une masse ou d'une compression. L'examen revient dans la norme et montre une sonde double J à gauche toujours en place. Après discussion avec les néphrologues, la légère protéinurie n'expliquerait pas l'hypoalbuminémie. Un traitement par Esidrex est introduit et adapté durant le séjour. Au vu de la bonne évolution, l'origine de ses oedèmes semble probablement cette hypoalbuminémie sur manque d'apport, la patiente s'étant quasiment pas alimentée durant plus de 2 semaines.Parallèlement, sur le plan nutritionnel, un avis est demandé auprès des collègues nutritionnistes qui proposent un bilan large à la recherche de carences vitaminiques chez cette patiente connue pour un bypass iléo-jéjunal dans les années 1990. Hormis l'hypoalbuminémie importante, le bilan retrouve des carences en Zinc, Sélénium et Vitamine A. Celles-ci sont substituées oralement. Une hypovitaminose sévère mise en évidence à l'entrée est substituée par une dose intramusculaire de 300 000 unités et la dose de vitamine D est augmentée à la sortie. À noter que la patiente refuse toujours un rétablissement de la continuité, malgré toutes les complications et la malabsorption découlant de cette ancienne opération, et ce après plusieurs explications. Sur le plan rénal, une légère protéinurie est mise en évidence à l'entrée ainsi qu'une hématurie. La créatininémie est stable, et les valeurs de la récolte urinaire de 24h sont globalement rassurantes. Un traitement de Nephrotrans est introduit durant quelques jours et concernant la néphropathie à oxalates, nos collègues néphrologues adaptent le traitement avec carbonate de Calcium, majoration du citrate de Magnésium (alcalinisation des urines) et conseillent une hydratation d'au moins 3 litres par jour. Le traitement d'Eliquis avait été introduit pour traiter un épisode unique de TVP avec des facteurs de risque transitoires lors de l'incident et après discussion avec les angiologues, celui-ci peut être stoppé. L'origine de l'hématurie pourrait être la sonde double J posée en novembre 2019. La patiente va prendre rendez-vous avec le Dr. X afin de discuter l'ablation de celle-ci. La patiente sera revue en ambulatoire en néphrologie chez le Dr. Y. Sur le plan hématologique, une anémie macrocytaire hypochrome est mise en évidence. Le bilan vitaminique montre des folates et B12 dans la norme, l'électrophorèse des protéines avec immunofixation est négative. Le bilan ferrique est dans la norme, la patiente ne consomme pas d'alcool. Après discussion avec le Dr. Z, l'anémie pourrait être d'origine rénale et elle propose un dosage de l'EPO qui revient dans la norme. Selon l'évolution, une ponction biopsie de moëlle pourrait être rediscutée mais n'est pas indiquée actuellement. Durant le séjour, la patiente se plaint également de douleurs des 2 pieds, sur la face dorsale, péjorées lors de la marche. Les radiographies de pieds ne montrent pas de fracture et une IRM du pied D retrouve une légère inflammation en regard des métatarses sans signe de fracture. Les douleurs sont soulagées par de l'antalgie et une semelle rigide. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 28.01.2020. Mme. Y est une patiente de 74 ans, qui est admise en réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mme. Y est connue pour un adénocarcinome sigmoïdien entre autres et a été hospitalisée dans le cadre d'une résection oncologique du sigmoïde par laparotomie avec iléostomie de protection le 05.11.2019. Sur le plan social, Mme. Y vit seule dans un appartement. À son arrivée, l'anamnèse par système est sans particularité. À l'examen clinique, nous retrouvons des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet ainsi qu'un souffle systolique prédominant en regard de la valve mitrale. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique retrouve une pancytopénie que nous mettons tout d'abord sur le compte d'une carence en vitamine B12 et en folates. La vitamine B12 est substituée dans un premier temps par voie intramusculaire puis relayée par voie orale dans un deuxième temps. L'acide folique est également substitué par voie orale. Pendant son hospitalisation, Mme. Y présente une décompensation diabétique au vu de son profil glycémique, raison pour laquelle nous adaptons la thérapie avec la mise en place de Metformine et Januvia, ainsi que l'introduction de l'insuline Lantus. Concernant le contexte de pertes hydriques importantes au niveau de la stomie, Mme. Y est substituée à plusieurs reprises avec des électrolytes et est réhydratée par NaCl. La patiente présente une décompensation cardiaque sur l'apport hydrosodé intraveineux que nous traitons par 5 mg de Torem. Pendant son séjour, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, la patiente se déplace de façon autonome, sans moyen auxiliaire et peut gravir 18 marches d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 97/126 par rapport à 72/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 6/7). Le TUG s'effectue en 15 secondes sans moyen auxiliaire. Au niveau nutritionnel, les diététiciennes mettent en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée avec des pertes irrégulières des selles sur stomie à haut débit. Des adaptations sont mises en place au niveau de l'alimentation et proposent la pose d'une sonde nasogastrique. Celle-ci est refusée par la patiente à plusieurs reprises. Finalement, avec comblement des pertes par perfusion intraveineuse, adaptation du régime alimentaire, introduction des apports nutritifs oraux supplémentaires, la patiente garde un poids stable et les pertes sont minimes à la sortie. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 22.11.2019 mettent en évidence une altération des fonctions cognitives avec un MMSE à 25/30 et un test de la montre de 1/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 0/15. Le BME effectué par les ergothérapeutes met en évidence une bonne capacité de mémorisation, une bonne orientation et un léger défaut de compréhension avec une capacité d'apprentissage présente. Concernant la stomie, Mme. Y bénéficie d'un suivi par la stomathérapeute. Malheureusement, la stomie n'est toujours pas totalement imperméable et la patiente reste dépendante pour le changement de sa poche, raison pour laquelle nous lui proposons un court séjour jusqu'à amélioration de la situation. Le 23.12.2019, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 03.01.2020, Mme. Y est admise à l'UATO. Mme. Y est une patiente de 76 ans, connue pour un carcinome pulmonaire à petites cellules, diagnostiqué en mars 2018, suivie par le Dr. X, qui est transférée depuis la réhabilitation gériatrique post-chute à l'HFR Riaz, où un nouveau bilan oncologique a été effectué suite à une perte de force et de sensibilité du membre inférieur gauche. On retrouve à l'IRM une progression tumorale avec métastases osseuses et suspicion de métastases cérébrales ainsi qu'un hématome sous-dural de stade subaigu tardif fronto-pariétal droit. Elle est transférée le 29.10.2019 dans le service de médecine interne pour prise en charge oncologique. Sur le plan oncologique, la radiothérapie est poursuivie du 27.10 au 08.11.2019, en concomitance avec la chimiothérapie 1x/semaine. La chimiothérapie est mise en suspens en raison d'une thrombopénie post-chimiothérapie et ne sera pas reprise sur avis du Dr. Y qui propose une prise en charge axée maintenant sur des soins de confort avec un arrêt de la chimiothérapie et radiothérapie en accord avec le souhait de la patiente.Sur le plan neurologique, nous retrouvons à l'entrée une perte de force M2 dans les fléchisseurs de la hanche (quadriceps), M4 dans le reste du membre inférieur gauche. Suite à la radiothérapie, nous ne notons pas d'amélioration de la clinique. Concernant l'hématome sous-dural de stade subaigu tardif fronto-pariétal droit visualisé à l'IRM du 17.10.2019, un CT scan cérébral est effectué à 3 semaines d'intervalle montrant une diminution du saignement et pas de signe en faveur de métastase. Le Xarelto n'est pas repris en raison de la thrombopénie et la patiente reste sous Clexane prophylactique. Une imagerie de contrôle est proposée à 4 semaines d'intervalle selon avis neurochirurgical. Du point de vue nutritionnel, Mme. Y refuse une prise en charge par les diététiciens et nous arrêtons la substitution des électrolytes en accord avec le projet palliatif afin d'alléger son traitement quotidien. Après un colloque de famille ainsi que de nombreuses discussions avec la patiente, un retour à domicile n'étant plus possible, un placement en home est décidé. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 86 ans qui nous est adressée pour une réadaptation gériatrique. Pour rappel, le 16.12.2019, Mme. Y est hospitalisée en médecine interne à l'HFR de Fribourg pour une embolie pulmonaire. Son séjour se complique par un choc anaphylactique sur Rocéphine mise en place dans un contexte de suspicion d'infection urinaire. Sur le plan social, Mme. Y vit seule dans une maison de plein pied à Marly, a 3 enfants, 2 garçons dont un est décédé et une fille. Le bilan biologique retrouve une carence en acide folique et en vitamine D pour lesquelles nous débutons une substitution per os. Durant son séjour, Mme. Y a bénéficié d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 150 mètres et peut gravir 72 marches à l'aide d'une canne. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 96/126 par rapport à 92/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 15 secondes avec l'aide d'une canne. En ergothérapie, la patiente profite d'une évaluation et d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Le bilan modulaire montre un fléchissement de la mémorisation et de l'orientation temporelle par conséquent. Capacité de compréhension possible mais défaut d'audition qui influence et une capacité d'apprentissage présente. Nous conseillons de s'adresser à vous même si elle remarque une péjoration. Nous restons à disposition si vous souhaitez une évaluation à la consultation ambulatoire de la mémoire ou sur Riaz ou Billens. Le 06.01.2020, Mme. Y quitte notre service et peut regagner son domicile. Mme. Y est une patiente de 75 ans connue pour une cholécystolithiase asymptomatique. La patiente consulte le 11.01.2020 en raison d'une douleur crampiforme, en barre, apparue brutalement l'après-midi même, durant environ 20 minutes avant de disparaître spontanément pour réapparaître le soir, environ 20 minutes post-prandial. Ces douleurs ne sont pas irradiantes, toujours crampiformes, constantes, non accompagnées de nausées ou de vomissements. Pas d'état fébrile associé, pas de symptôme urinaire. À l'examen clinique, la patiente est normocarde, normotendue et afébrile à 36.7°. Sur le plan digestif, les bruits sont normaux en tonalité et en fréquence, l'abdomen est souple, sensible à la palpation de l'hypochondre droit, sans défense, ni détente. Signes de Murphy et du Psoas négatifs. Pas de douleur à la pression du point de McBurney. Loges rénales souples et indolores. Le bilan biologique du 11.01.2020 montre une élévation des tests hépatiques avec une ASAT 1046 U/l, une ALAT à 698 U/l, bilirubine directe 18.8 µmol/l, totale 23.8 µmol/l, GGT 440 U/l, phosphatases alcalines 111 U/l, lipase 53 U/l. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire (leucocytes 5.8 G/l, CRP inférieure à 5 mg/l). L'ultrason effectué le jour même permet de visualiser des cholécystolithiases multiples et un épaississement des parois de la vésicule biliaire. La patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour une surveillance biologique et clinique. En raison de l'évolution biologique, un nouvel ultrason est réalisé, ne permettant pas de voir de calculs dans le cholédoque. En raison d'une lipase nouvellement augmentée à 64 U/l le 14.01.2020, une cholangio-IRM est réalisée le 15.01.2020 qui permet de confirmer l'absence de calculs dans le cholédoque. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique et des résultats radiologiques, Mme. Y peut retourner à domicile le 16.01.2020. Elle a rendez-vous à la consultation du Dr. X le 30.01.2020 pour contrôle et discussion d'une cholécystectomie. Mme. Y est une patiente de 65 ans qui est hospitalisée pour la prise en charge d'un nouvel épisode d'hématochésie d'origine probablement diverticulaire. En effet, la patiente avait déjà présenté ces symptômes au mois de novembre, associés par ailleurs à une cholécystite aiguë traitée conservativement, pour lesquels elle avait bénéficié d'une colonoscopie et d'une OGD, ne retrouvant que la présence de diverticules sans saignement visible. L'épisode actuel est plus modéré. Nous ne répétons pas les examens endoscopiques. L'évolution est spontanément favorable. Les gastro-entérologues proposent une éventuelle exploration de l'intestin grêle par vidéo-capsule afin d'éliminer toute autre source de saignement. Si cette hypothèse venait à être éliminée, nous pourrions alors discuter avec la patiente d'une possible prise en charge chirurgicale des saignements diverticulaires probables. La patiente retourne à domicile le 06.01.2020 avec un suivi ambulatoire chez son médecin traitant ainsi que chez son gastro-entérologue. Nous reverrons Mme. Y à notre consultation dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Mme. Y, patiente de 78 ans connue pour 2 antécédents d'AVC et un épisode de syncope avec troubles neurologiques transitoires en 2015, nous est transférée de l'Inselspital en raison d'une suspicion d'AIT. Pour rappel, la patiente présente le 24.01 à 11h30, alors qu'elle était hospitalisée à la clinique générale pour une opération d'une hernie discale qui s'est déroulée le 20.01.2020, un épisode de péjoration d'un hémisyndrome facio-brachio-crural sensitivo-moteur droit connu, d'aphasie et de dysarthrie d'une durée de quelques minutes. À l'arrivée des ambulanciers, la patiente présente une récidive des symptômes de quelques minutes. Elle est transférée à l'Inselspital pour suite de prise en charge. À l'arrivée, le NIHSS est à 5 avec un discret hémisyndrome sensitivomoteur droit, une légère dysarthrie et une ataxie du MID. D'après le mari, cet état correspondrait à son état habituel. L'IRM ne met pas en évidence de lésion ischémique aiguë ou hémorragique. En raison d'une suspicion d'AIT, la patiente est transférée aux soins intensifs de l'HFR pour une surveillance neurologique. À son arrivée dans notre service, la patiente décrit une amnésie circonstancielle totale de l'événement. L'évaluation clinique est marquée par une fluctuation de la symptomatologie présentée, raison pour laquelle les examens sont complétés par un angio-CT cérébral avec des vaisseaux précérébraux qui montrent une athéromatose calcifiée des vaisseaux précérébraux sans sténose significative ou de nouvelle lésion aiguë.Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas d'anomalie structurelle. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un examen neurosonologique retrouve une athéromatose marquée mais sans sténose significative. L'origine de cet événement reste indéterminée. Un AIT est possible mais explique difficilement l'amnésie circonstancielle. Devant l'hypothèse d'une origine épileptique, un EEG est réalisé, toutefois dans les normes. Sur le plan médicamenteux, l'Aspirine avait été arrêtée par le médecin traitant. En raison des antécédents d'AVC et d'une origine vasculaire à cet événement non exclue, nous reprenons l'Aspirine 100 mg/j. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Le bilan des facteurs de risque cardiovasculaire met en évidence un prédiabète pour lequel un dépistage annuel du diabète est indiqué. Le bilan neuropsychologique montre de discrètes difficultés exécutives au niveau comportemental, des performances attentionnelles à la limite inférieure de la norme, de légères difficultés pour la compréhension écrite de textes. Le reste des fonctions cognitives se situent globalement dans la norme. Il n'y a pas d'indication à une prise en charge neuropsychologique et logopédique. Il n'y a pas de contre-indication à la conduite automobile. Nous recommandons toutefois à la patiente d'être attentive à la fatigue et à son état émotionnel, et, en fonction de ceux-ci, de moduler ses trajets. Du point de vue de l'opération, la patiente sera revue en consultation le 5.03.2020 chez le Dr. X. De la physiothérapie et une antalgie lui sont prescrits dans l'intervalle. L'évolution clinique est favorable avec la disparition complète des symptômes et un status neurologique de sortie dans les normes. Mme. Y peut regagner son domicile le 29.01.2020. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mme. Y, 78 ans, est transférée depuis l'Inselspital en unité stroke monitorée pour une suspicion d'AVC ischémique sylvien gauche. Opérée d'une hernie discale le 20.01.2020, elle présente le 24.01 à la clinique générale un épisode de dysarthrie et une paresthésie faciale droite pendant 4-5 minutes puis de nouveau la même symptomatologie à l'arrivée des ambulanciers motivant son transfert à Berne. Les collègues de Berne mettent en évidence un NIHSS à 5 à son arrivée avec un discret hémisyndrome sensitivomoteur droit, légère dysarthrie et une ataxie. À noter deux AVC en 1989 et 2007 avec arrêt d'Aspirine en 2007 selon la patiente. L'évaluation clinique est marquée par un hémisyndrome sensitivomoteur droit résiduel fluctuant. Selon le mari, son état aux urgences à Berne (NIHSS 5) correspond à son état de base. Une IRM cérébrale permet d'exclure une ischémie et une hémorragie. Mme. Y nous est donc adressée pour la surveillance neurologique. Le traitement d'Aspirine est repris ainsi que l'Atorvastatine. Elle présente pendant la surveillance un hémisyndrome sensitivo-moteur droit fluctuant, raison pour laquelle nous réalisons un CT cérébral le 25.01 qui ne met pas en évidence de nouvelle anomalie au niveau du parenchyme ni de sténose significative au niveau des vaisseaux précérébraux. Le diagnostic différentiel reste ouvert avec une origine épileptique. Une nouvelle IRM devra être réalisée, ainsi qu'un EEG. Le reste du bilan étiologique (Holter, échocardiographie, doppler des vaisseaux précérébraux) est à pister. La patiente peut être transférée en unité non monitorée le 25.01.2020. Mme. Y est une patiente de 24 ans qui est hospitalisée pour des cholécystolithiases symptomatiques avec migration lithiasique. Elle avait présenté des douleurs épigastriques brutales le 28.01.2020 avec un laboratoire faisant suspecter une migration lithiasique. L'ultrason abdominal réalisé retrouve une vésicule lithiasique sans signe de cholécystite ni de dilatation des voies biliaires. L'évolution clinique et biologique étant par la suite favorable, la patiente bénéficie d'une cholécystectomie par laparoscopie avec cholangiographie intra-opératoire dont les suites sont simples, tant d'un point de vue clinique que paraclinique. Mme. Y est une patiente de 67 ans qui présente une lésion de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite, symptomatique, avec une mauvaise évolution sous traitement conservateur. Dans ce contexte, le Dr. X retient l'indication à une réinsertion du sus-épineux. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, avec bonne gestion de l'antalgie. La cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est calme et propre. Un coussin d'abduction est en place pour une durée de 6 semaines et la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive en abduction/élévation 90°, rotations libres. Celle-ci se déroule bien et, vu la bonne évolution clinique, Mme. Y peut retourner à domicile le 31.01.2020. Mme. Y consulte à la permanence en raison d'épisodes récidivants d'oppression thoracique et de dyspnée nocturne depuis 3 jours. Elle bénéficie d'un status clinique complet ne montrant pas de particularité. Au vu de la prise d'un contraceptif oral depuis peu, nous excluons une embolie pulmonaire à l'aide de D-dimères revenant négatifs à 270 ng/ml. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ou de leucocytose. Nous rassurons la patiente et sa maman sur le caractère bénin de l'origine de la symptomatologie que nous mettons en lien avec la probable récente rupture de la jeune femme. Nous diagnostiquons donc des oppressions thoraciques d'origine probablement anxieuse. Au vu du jeune âge de la patiente et avec son approbation, nous ne prescrivons pas de traitement de réserve à la patiente qui est libre de rentrer à domicile. Elle est invitée à se représenter en cas de persistance de la symptomatologie. Mme. Y est une patiente de 25 ans, en bonne santé habituelle hormis une endométriose, qui consulte aux urgences pour une symptomatologie d'appendicite en péjoration depuis la veille au soir. L'ultrason confirme le diagnostic d'appendicite aiguë. Nous effectuons une appendicectomie laparoscopique le 12.01.2020 qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 13.01.2020. Mme. Y est une patiente de 80 ans, connue pour un adénocarcinome moyennement différencié de la jonction recto-sigmoïdienne avec hémicolectomie gauche en 2006, qui se présente avec une pollakiurie, dysurie et des mictions impérieuses en péjoration depuis quelques semaines associées à une constipation depuis 2 jours. Le scanner met en évidence une urétéro-lithiase de 6 x 5 x 8 mm au niveau de l'uretère distal droit avec dilatation pyélocalicielle à 25 mm associée à un syndrome inflammatoire suggérant une pyélonéphrite obstructive débutante à droite. La patiente est mise au profit d'une antibiothérapie et bénéficie de la pose d'une sonde double J le 21.01.2020 qui se déroule sans complication. L'antibiothérapie est maintenue pour 10 jours et la patiente sera revue à la consultation du Dr. X le 03.02.2020 pour l'ablation de la sonde double J. Elle regagne son domicile le 23.01.2020. Mme. Y, 86 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'une suspicion d'AIT.La patiente présente le 26.01.2020 vers 18h des vertiges rotatoires de début soudain, d'une durée d'environ 5 minutes, spontanément régressifs. Elle se présente dans ce contexte aux urgences, accompagnée de sa fille. Un CT cérébral injecté ne révèle pas de signe en faveur d'une ischémie ou d'hémorragie aiguë. Dans l'évolution, la patiente ne présente pas de récidive ni de nouvelle symptomatologie. Le traitement de Sintrom est adapté. Des conseils diététiques sont donnés à la patiente et nous vous laissons discuter avec elle du traitement par Statine, traitement qu'elle a interrompu malgré un bilan lipidique fortement perturbé. La patiente rentre à domicile le 28.01.2020. Mme. Y, 93 ans, est retrouvée au sol à domicile par sa famille. Elle est désorientée et n'arrive pas à se relever. Une ambulance la rapatrie et la ramène aux urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Mme. Y n'a pas consulté un médecin depuis 15 ans et ne prend pas de médicament. Une rhabdomyolyse ainsi qu'un syndrome inflammatoire sont constatés aux urgences, sans véritable point d'appel pour ce dernier. Une piste pulmonaire ou cérébrale est écartée radiologiquement. Nous constatons des ulcères bilatéraux des membres inférieurs dans un état avancé de négligence et interprétons ce syndrome inflammatoire dans ce contexte. Moyennant des soins cutanés intensifs, nous arrivons à stabiliser la situation. Nous recommandons de poursuivre le traitement actuel. Un suivi angiologique est organisé et la patiente bénéficie de plusieurs séances d'échosclérose des membres inférieurs. Mme. Y rapporte une baisse de la vision depuis des années. Elle est vue en ophtalmologie où une cataracte sévère et une atrophie géographique bilatérale dans le cadre d'une DMLA sont diagnostiquées. Un rendez-vous pour la suite de la prise en charge est organisé pour le 12.02.2020 à 09h45 en ophtalmologie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Concernant l'audition, Mme. Y a constaté une constante péjoration sur les dernières années. Nous recommandons une prise en charge en ambulatoire à la sortie de l'HFR. Durant l'hospitalisation, nous constatons une insuffisance rénale aiguë de type pré-rénal avec une hyperkaliémie associée. Nous hydratons la patiente et la stimulons à boire, ce qui permet une correction des valeurs. Nous mettons également en place une prise en charge nutritionnelle en raison d'une dénutrition protéino-calorique modérée. Concernant la situation à domicile, un retour semble peu plausible en raison des difficultés liées à la mobilité, des soins des plaies et des troubles de la marche et de l'équilibre ayant engendré la chute actuelle. Il est décidé d'un placement en home d'un commun accord avec la patiente et ses fils. Une place en home n'étant cependant pas tout de suite disponible, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit terminée le 13.01.2020. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez, au terme de celui-ci, un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est admise aux soins intensifs (SIB) depuis l'hôpital de Riaz pour une insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique. La patiente de 73 ans, connue pour un adénocarcinome de la queue du pancréas depuis juin 2019, traité par chirurgie et chimiothérapie adjuvante initialement par Xeloda/Gemzar, puis Gemzar seule avec dernière cure le 05.12.2019. Elle est hospitalisée du 12.12 au 24.12.2019 pour atteinte multi-organique sur le Gemzar le 13.12.2019 avec lésions cutanées impétignisées, micro-angiopathie thrombotique avec atteinte rénale. La patiente est considérée en rémission complète. La patiente présente une baisse de l'état général avec asthénie importante et rapporte des brûlures mictionnelles avec pollakiurie sans macrohématurie ni état fébrile les jours précédents. À noter une prise de Ciprofloxacine 500 mg 1x/j pour 7 jours fin décembre 2019 après sa sortie de l'hôpital de Riaz. Ce jour, elle est adressée par son oncologue traitant aux urgences de Riaz qui retrouve une insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique. L'ultrason abdominal ne retrouve pas de signe pour une cause obstructive. Sur avis néphrologique, un traitement par diurétique, insuline-glucose et bicarbonate est débuté. À son admission aux soins intensifs, la patiente est compensée sur le plan hémodynamique, somnolente, facilement réveillable, orientée aux 3 modes. On retrouve essentiellement une patiente en surcharge sur le plan pulmonaire et des membres inférieurs. Nous tentons une dose de Furosemide 250 mg en bolus et complétons le bilan biologique qui montre des arguments en faveur d'une microangiopathie (schizocytes à 59 %, haptoglobine effondrée et LDH élevée, le dosage du complément est en cours). De ce fait, nous contactons nos collègues des soins intensifs de l'Inselspital pour une plasmaphérèse en urgence. Mme. Y, 73 ans, est admise aux soins intensifs (SIC) depuis l'hôpital de l'Inselspital pour une anémie hémolytique et insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique. La patiente est connue pour un adénocarcinome de la queue du pancréas depuis juin 2019, traité par chirurgie et chimiothérapie adjuvante initialement par Xeloda/Gemzar, puis Gemzar seule avec dernière cure le 05.12.2019. Elle est hospitalisée du 12.12 au 24.12.2019 pour atteinte multi-organique sur le Gemzar le 13.12.2019 avec lésions cutanées impétignisées ainsi qu'une micro-angiopathie thrombotique avec atteinte rénale. Le 16.01.2020, la patiente est réhospitalisée aux soins intensifs en raison d'une insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique avec hyperkaliémie et décompensation cardiaque. Au vu d'une nouvelle suspicion de microangiopathie thrombotique avec atteinte rénale sévère, la patiente est transférée aux soins intensifs de l'Inselspital à Berne pour suite de la prise en charge. Devant la suspicion initiale de purpura thrombotique thrombocytopénique, la patiente est transfusée de 4 PFC. Ce diagnostic de PTT est infirmé par la suite. Une péjoration de la fonction rénale avec décompensation métabolique et surcharge volémique nécessite une dialyse intermittente dès le 17.01.2020. Mme. Y nous est retransférée le 19.01.2020. Le bilan de l'insuffisance rénale est complété par des sérologies, sans résultat biologique en faveur d'un lupus. Une biopsie rénale droite est effectuée sous contrôle radiologique le 21.01.2020, les résultats sont à pister. Devant un diagnostic différentiel de syndrome néoplasique, nous préconisons d'effectuer un CT thoraco-abdominal à la recherche de manifestations tumorales. Un état confusionnel hyperactif est rapidement résolutif sous traitement de quétiapine et réafférentation. La patiente présente une macrohématurie post-biopsie rénale droite sans répercussions hémodynamiques et avec stabilité de l'hémoglobine. Des rinçages manuels réguliers sont effectués et un avis urologique est demandé. La patiente est transférée en médecine interne le 21.01.2020 pour suite de la prise en charge. Mme. Y, 73 ans, est transférée des soins intensifs en médecine interne, après un séjour à l'Inselspital pour une anémie hémolytique et insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique. Pour rappel, la patiente est connue pour un adénocarcinome de la queue du pancréas depuis juin 2019, traité par chirurgie et chimiothérapie adjuvante, initialement par Xeloda/Gemzar, puis Gemzar seule avec dernière cure le 05.12.2019. Elle est hospitalisée du 12.12 au 24.12.2019 pour atteinte multi-organique sur le Gemzar le 13.12.2019 avec lésions cutanées impétignisées ainsi qu'une micro-angiopathie thrombotique avec atteinte rénale. Le 16.01.2020, la patiente est hospitalisée aux soins intensifs en raison d'une insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique avec hyperkaliémie et décompensation cardiaque. Au vu d'une suspicion de microangiopathie thrombotique avec atteinte rénale sévère, la patiente est transférée aux soins intensifs de l'Inselspital à Berne pour suite de la prise en charge et notamment traitement de plasmaphérèse. Le diagnostic de PTT est infirmé par la suite au vu d'un taux d'ADAMTS 13 de plus de 60 %. Une péjoration de la fonction rénale avec décompensation métabolique et surcharge volémique nécessite une dialyse intermittente dès le 17.01.2020. Un état confusionnel hyperactif est rapidement résolutif sous traitement de quétiapine et réafférentation. Mme. Y est ensuite retransférée le 19.01.2020 aux soins intensifs de Fribourg. Le diagnostic de MAT n'est pas complètement exclu à ce stade. Au vu de l'absence d'argument pour un PTT, le traitement par plasmaphérèse est interrompu.Le bilan de l'insuffisance rénale est complété par des sérologies, sans résultat biologique en faveur d'un lupus. Une biopsie rénale droite est effectuée sous contrôle radiologique le 21.01.2020. Les résultats confirment les signes d'une microangiopathie thrombotique aiguë et ancienne, probablement sur Gemzar. Nos collègues d'hématologie pensent plutôt à des microthrombi sur toxicité du Gemzar, au vu d'une probabilité faible d'un purpura thrombotique thrombocytopénique, avec un taux de thrombocytes relativement haut. Au vu de la sévérité de l'atteinte rénale et ce malgré un diagnostic peu clair, un transfert est organisé à l'Inselspital pour plasmaphérèse et traitement d'Eculizumab. La patiente présente une macrohématurie post-biopsie rénale droite le 21.01.2020 sans répercussions hémodynamiques et avec stabilité de l'hémoglobine. Des rinçages manuels réguliers sont effectués avec résolution. La sonde 3 voies est gardée lors du transfert. Mme. Y présente un état fébrile le 22.01.2020 avec douleurs à la nuque et en fosse iliaque gauche, sans foyer clinique clair. Des hémocultures ainsi qu'un urotube sont prélevés, en cours. Le matin du 23.01.2020, l'état clinique général de la patiente est bon lors du transfert. Le status montre une patiente afébrile, sans méningisme, ni douleur à la palpation abdominale, et sans autre foyer. Nous préconisons un suivi clinique et si récidive de fièvre, un frottis à la recherche de grippe. La patiente est transférée à l'Inselspital le 21.01.2020 pour suite de la prise en charge. Mme. Y présente une lésion complexe de la corne moyenne et postérieure du ménisque interne, associée à un œdème osseux en regard du plateau tibial interne pouvant correspondre à un traumatisme récent. La patiente nie tout événement traumatique. Dans ce contexte d'une lésion complexe du ménisque, je lui ai proposé une arthroscopie afin de régulariser le ménisque, avec toilettage articulaire. La patiente va réfléchir à ma proposition et me recontactera. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire (la patiente n'a pas d'emploi actuellement). Mme. Y, 82 ans, bénéficie le 27.01 d'une mise à plat d'un anévrisme de l'aorte par abord antérieur. L'opération se déroule sans complication et la patiente est transférée aux soins intensifs pour suite de prise en charge. La surveillance post-opératoire est simple. La patiente reste stable sur le plan hémodynamique et l'antalgie est bien contrôlée par paracétamol et oxycontin/oxynorm. À noter une brèche durale à la pose d'une première péridurale pré-op ainsi qu'un reflux sanguin en fin d'intervention sur la deuxième péridurale motivant l'ablation du cathéter avant l'arrivée de la patiente aux soins intensifs. Pendant la surveillance post-opératoire, l'équipe note une béance anale motivant un CT lombaire en urgence qui est sans particularité. La patiente est connue pour un carcinome anal traité par radiothérapie et elle ne présente pas de troubles neurologiques, avec un tonus anal préservé. Le status est probablement connu et séquellaire au traitement de radiothérapie. Les neurochirurgiens préconisent de faire une IRM du rachis en cas de déficit neurologique nouveau. La patiente est transférée le 28.01.2020 en service de chirurgie pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 61 ans qui est hospitalisée pour la prise en charge d'une cholangite aiguë lithiasique. En effet, la patiente consulte les urgences le 06.01.2020 pour des douleurs épigastriques avec cholestase biologique. La patiente bénéficie d'un CT abdominal qui retrouve une dilatation des voies biliaires. Elle bénéficie ensuite le 07.01.2020 d'une ERCP avec papillotomie et extraction d'une lithiase dans le bas cholédoque. L'évolution est alors favorable cliniquement et biologiquement, permettant une cholécystectomie laparoscopique le 10.01.2020. L'évolution post-opératoire étant favorable, Mme. Y rentre à domicile le 13.01.2020. Mme. Y est une patiente de 83 ans, connue notamment pour insuffisance rénale chronique avec sonde double J bilatérales et sonde vésicale à demeure. La patiente a eu en 2003 un carcinome du col de l'utérus et depuis des problèmes dans la sphère urogénitale et est suivie par le Dr. X. La patiente se présente en électif pour un changement de sonde double J bilatéral qui se déroule le 13.01.2020 sans complication. Les suites opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le 14.01.2020. Nous préconisons un prochain changement de sonde double J dans 6 mois. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X dans 3 mois. Mme. Y est une patiente de 79 ans, que nous décidons de transférer en orthopédie pour la suite de sa prise en charge après une chute de sa hauteur le 24.01.2020. Pour rappel, Mme. Y est connue pour des troubles de la marche et de l'équilibre avec de multiples chutes. La patiente a déjà été hospitalisée en décembre 2019 suite à une chute avec traumatisme crânien, rhabdomyolyse sur station au sol prolongée et hémorragies sous-arachnoïdiennes et hématomes sous-duraux. Mme. Y présente des douleurs à la hanche droite, des douleurs à la fesse gauche sont stables par rapport à ces derniers jours. Le status retrouve un raccourcissement du membre inférieur droit avec rotation externe. Le bilan radiologique effectué retrouve une fracture du col fémoral droit Garden IV. À noter que durant son séjour en attente de placement, Mme. Y effectue son rendez-vous de contrôle neurochirurgical auprès du Dr. X qui retrouve une évolution post-traumatique favorable, sans déficit focal au niveau cérébral. Le scanner de contrôle du 17.01.2020 ne montre pas d'évolution vers un hématome sous-dural chronique, ni de nouveau saignement. En revanche, lors de la consultation, nous remarquons une nette aggravation du cadre clinique lombaire avec une impossibilité pour la patiente de garder une position orthostatique pour faiblesse au niveau des muscles fessiers et des cuisses. Il est alors préconisé de réaliser une nouvelle IRM lombaire ainsi que cervicale. Le résultat met en évidence un canal cervical étroit, sans signe pour une myélopathie avec punctum maximum en C5-C6 sur une arthrose multi-étagée avec arthrose facettaire et hypertrophie des ligaments jaunes et un canal lombaire étroit, probablement absolu en L3-L4, relativement inchangé par rapport à l'examen du 22.08.2019 et sous réserve de nombreux artéfacts de mouvements. Nous laissons le soin à nos collègues de recontacter le Dr. X pour discuter de la suite de la prise en charge. Pendant son séjour, en attente d'un placement, Mme. Y bénéficie également d'un bilan neuropsychologique qui retrouve une désorientation spatiale, de légères difficultés d'accès lexical, un graphisme altéré, des difficultés mnésiques antérogrades, un dysfonctionnement exécutif (incitation, programmation, inhibition, résurgence de réflexe archaïque) et attentionnel et ce, malgré une mémoire en situation satisfaisante et des capacités d'apprentissage présentes. Le tableau cognitif ne met pas en évidence de signes neurologiques focaux et celui-ci semble compatible avec une composante traumatique et vasculaire (leucoaraïose), ne parlant actuellement pas en faveur d'une étiologie neuro-dégénérative de type Alzheimer. Mme. Y est une patiente de 75 ans, connue pour un carcinome hépato-cellulaire sur une cirrhose de Child A sur NASH avec varices oesophagiennes et rectum variqueux, connue également pour un adénocarcinome du rectum avec radio-chimio thérapie en mai 2019, qui nous est adressée directement de la consultation ambulatoire d'endoscopie en raison d'une hémoglobine à 52 g/l. La patiente se plaint de rectorragies récidivantes presque tous les jours, sans douleurs, sans méléna, en péjoration depuis l'arrêt du traitement de Sandostatine mis en place en début décembre 2019 lors d'une hospitalisation en chirurgie pour la même problématique. Une endoscopie complète montre des varices inchangées, un saignement rectal diffus visualisé compatible avec une atteinte post-radique. Un avis des gastro-entérologues propose un traitement conservateur des varices rectales et de réévaluer un TIPS avec le Bauchzentrum à l'Inselspital. La patiente bénéficie de 2 transfusions érythrocytaires durant le séjour à titre symptomatique sans complication, avec stabilisation de l'hémoglobine à 70 g/l. Elle bénéficie également d'une transfusion de fer. Au dernier contrôle en chirurgie viscérale à l'Inselspital concernant la problématique des varices, il est dit qu'une pose de TIPS serait techniquement difficile mais faisable, avec risque élevé d'une encéphalopathie post-intervention. Le traitement par beta-bloqueur non-sélectif permet d'abaisser l'hypertension portale pour éviter les saignements. Au vu de la récidive importante de saignement, un avis est repris à Berne qui propose une optimisation du traitement médicamenteux avec Carvedilol, à augmenter selon tolérance jusqu'à 2x 12.5 mg par jour. La patiente sera convoquée à 4-6 semaines pour une réévaluation de la pose d'un TIPS. Une légère rougeur sous-mammaire sur probable mycose cutanée est traitée avec crème anti-fongique. La patiente rentre le 23.01.2020 à domicile au vu d'une évolution favorable. Mme. Y, 74 ans, connue pour un adénocarcinome pulmonaire avec masse cérébrale réséquée en juillet 2019, consulte au service des urgences dans le contexte d'un malaise survenu au domicile. La patiente était allongée dans son lit lorsqu'elle décrit une quinte de toux très importante. Elle se met au bord du lit mais n'arrive pas à reprendre son souffle. Elle décrit avoir vu arriver son ami dans la chambre puis s'être sentie partir sans mouvement tonico-clonique, clonie buccale ou palpébrale, perte d'urine ou de selle durant la perte de connaissance. Il n'y a pas d'élément favorisant pour une crise d'épilepsie, notamment pas de déficit en sommeil, ni de changement au niveau de la consommation d'alcool. Elle ne rapporte ni palpitations ni douleurs thoraciques avant l'évènement. L'auscultation pulmonaire montre un murmure vésiculaire lointain sans sibilances ni ronchis et l'examen neurologique revient dans la norme. Concernant l'épisode de malaise, un avis neurologique exclut une cause d'origine cérébrale au vu d'un scanner et d'un EEG sans particularité. Nous retenons une syncope vaso-vagale post-quinte de toux. À noter que la patiente a été traitée par antibiotiques et Prednisone pendant 5 jours il y a deux semaines environ. Depuis, elle décrit une persistance de la toux avec crachats verdâtres. Concernant la situation respiratoire, nous conseillons à la patiente de reprendre contact avec le pneumologue traitant si péjoration des symptômes pour réévaluation des traitements de la BPCO. Mme. Y rentre à domicile le 21.01.2020. Mme. Y, patiente de 37 ans en bonne santé habituelle, se présente aux urgences le 02.01.2020 en raison de lombosciatalgies gauches avec paresthésies dans le pied gauche ainsi qu'une réduction de la capacité fonctionnelle depuis une semaine. Elle a connu les mêmes symptômes en novembre dernier qui se sont améliorés après un traitement ostéopathique. Elle ne décrit pas de traumatisme, pas de faux mouvement, pas de chute. L'examen clinique aux urgences révèle une force conservée dans les membres inférieurs mais une hypoesthésie sur la face latérale de la jambe gauche ainsi qu'au niveau du gros orteil gauche avec des paresthésies. Les réflexes ostéotendineux sont vifs et symétriques, le Lasègue se positive à 30°. Au toucher rectal, nous ne retrouvons pas d'anesthésie en selle ni de trouble sphinctérien. Nous prenons avis chez nos collègues de la team Spine à l'HFR Fribourg (Dr. X), qui ne retiennent pas d'indication à opérer la patiente en urgences en l'absence de signe d'alarme. La patiente est hospitalisée dans le service de médecine interne pour mise en place d'une antalgie en attendant une IRM. Nous introduisons dès le 02.01.2020 de l'Oxycontin ainsi que de la Prednisone 50 mg. Une IRM lombaire est effectuée le 03.01.2020 et montre une hernie L4-5 avec conflit disco-radiculaire. Une infiltration foraminale est effectuée sous CT au niveau L5 à gauche et la Prednisone est arrêtée. Au vu des douleurs persistantes, nous majorons progressivement les doses d'Oxycontin jusqu'à 2 x 25 mg, seuil auquel la patiente ressent trop d'effets secondaires. Nous maintenons donc une dose de 2 x 20 mg. Une thérapie par Prégabaline est également commencée, avec 2 x 25mg. La patiente est vue en consultation neurochirurgicale le 09.01.2020, où l'on propose une herniectomie au vu d'une hernie discale hyperalgique. Elle est effectuée le 13.01.2020 en ambulatoire, avec retour à l'HFR Riaz pour prise en charge post-opératoire. La patiente décrit une nette amélioration des douleurs, ce qui nous permet de diminuer progressivement les doses d'antalgie. Sur le plan urinaire, la patiente présente une dysurie avec présence de sang dans les urines vs d'origine gynécologique. Un sédiment ainsi qu'un urotube ne révèlent pas de signe d'infection urinaire. La symptomatologie disparaît spontanément, mais nous proposons que la patiente consulte son gynécologue pour un contrôle. Au vu de sa bonne amélioration clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 17.01.2020. Le traitement d'opiacé est à arrêter progressivement. Elle sera vue en consultation neurochirurgicale le 25.02.2020 à 14h45. Mme. Y, âgée de 79 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture ilio et ischio-pubienne gauche, le 14.12.2019. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. L'auscultation cardiopulmonaire est sans particularités. Pas de trouble sensitivo-moteur grossier des membres inférieurs. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin à 2 roues sur un périmètre de 40 m et fauteuil roulant pour les longs trajets; elle respecte partiellement la décharge. Elle peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe sous surveillance.Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 09.01.2020, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Mme. Y est une patiente de 37 ans qui est hospitalisée pour une majoration de ses diarrhées et douleurs abdominales d'origine indéterminée. Pour rappel, elle présente ces plaintes depuis deux mois, ayant nécessité une hospitalisation en décembre 2019, les sérologies hépatiques sont négatives, le CT et l'US abdominal réalisés montrent une hépatomégalie avec stéatose modérée dans le contexte d'une consommation alcoolique chronique actuellement sevrée depuis 3 mois. Le bilan biologique montre une amélioration des paramètres hépatiques. Un prélèvement de selles pour analyse de Clostridium difficile revient négatif. L'oeso-gastro-duodénoscopie du 07.01.2020 révèle une gastro-bulbite non spécifique avec un aspect diffusément érythémateux et oedémacié de la muqueuse gastrique et un aspect irrégulier et par endroits érythémateux de la muqueuse au niveau du bulbe duodénal. L'anti-transglutaminase IgA revient négative, la calprotectine fécale est légèrement augmentée, mais non significative. Les biopsies montrent quelques plages avec une métaplasie fovéolaire au niveau de la muqueuse duodénale, pas d'argument pour une infection à Helicobacter pylori. Mme. Y sera convoquée en ambulatoire pour une colonoscopie et une consultation gastro-entérologique. Mme. Y peut rentrer à domicile le 09.01.2020. Mme. Y est une patiente de 27 ans qui se présente le 12.01.2020 en raison de douleurs abdominales depuis 48 heures, d'abord en épigastre puis qui migrent en fosse iliaque droite. Le bilan effectué aux urgences met en évidence une appendicite aiguë. Nous posons l'indication à une appendicectomie laparoscopique. L'intervention est effectuée le jour même et se déroule sans particularité. Les suites opératoires sont simples, permettant à Mme. Y un retour à domicile le 14.01.2020. Mme. Y se présente pour une pollakiurie. Nous ne mettons pas en évidence une infection urinaire, ni un syndrome inflammatoire, ni une leucocytose. L'examen clinique est aussi rassurant. Nous proposons un retour à domicile et rassurons la patiente. Mme. Y, connue pour une cardiopathie valvulaire, consulte les urgences le 28.01.2020 en raison de la présence, depuis environ 1 mois et demi, d'une constipation sans amélioration sous laxatifs et d'une dyspnée à l'effort en péjoration. La patiente se plaint également d'une baisse de l'état général avec fatigue. Cliniquement, l'abdomen est globuleux sans signe de péritonisme. Un ASP montre une coprostase importante et la symptomatologie s'améliore avec un lavement. Des râles pulmonaires bi-basaux avec une turgescence jugulaire sont également remarqués. Au vu d'une dyspnée nouvelle en péjoration et d'une fatigue intense, avec turgescence jugulaire bilatérale, nous débutons un traitement par Lasix 20 mg 3x/j et la patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Les NT-proBNP sont à 13 606 ng/l. Après discussion avec Mme. Y, il s'avère que des investigations ont été effectuées en mars 2017 par son cardiologue, le Dr. X, suite à une syncope à l'emporte-pièce et l'indication à un RVA par voie classique a été posée. Cependant, au vu du haut risque de mortalité per-opératoire, la patiente a refusé l'intervention. Sur le plan cardiaque, la patiente répond rapidement au traitement de Lasix, raison pour laquelle le traitement de Torem 10 mg peut être repris. Sur le plan abdominal, la patiente présente des douleurs abdominales dans le quadrant inférieur droit, sans signe de péritonisme. À l'ASP, nous retrouvons une coprostase. La patiente est mise sous laxatifs avec une bonne réponse par la suite. Une insuffisance rénale et une dysélectrolytémie sont gérées avec une substitution et une hydratation per os. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 28.01.2020. Mme. Y est admise aux soins intensifs (SIB) pour une embolie pulmonaire centrale bilatérale avec répercussion cardiaque. Cette patiente de 90 ans nous est référée par son médecin traitant qu'elle consulte suite à l'apparition brutale de douleurs basithoraciques bilatérales associées à une dyspnée. Une embolie pulmonaire centrale est mise en évidence au CT scanner, avec un cœur pulmonaire aigu à l'échocardiographie réalisée aux urgences. Une anticoagulation par héparine continue est débutée aux soins intensifs, avec un relais par Xarelto dès le 08.01.2020. Considérant l'excellent état clinique, nous renonçons à une lyse in situ. Une hyponatrémie modérée est mise en évidence au laboratoire initial. Un spot urinaire est en cours. L'évolution est spontanément favorable. Au vu du bon état clinique, Mme. Y est transférée en unité de médecine pour une suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 90 ans hospitalisée pour une embolie pulmonaire centrale bilatérale avec répercussion cardiaque droite. Elle nous est référée par son médecin traitant qu'elle consulte suite à l'apparition de douleurs basithoraciques bilatérales apparues brutalement avec une dyspnée. L'embolie est mise en évidence au CT scanner, avec un cœur pulmonaire aigu nouveau à l'échocardiographie réalisée aux urgences. Une anticoagulation par héparine IVC est débutée aux soins intensifs, avec un relais par Xarelto dès le 08.01.2020 au vu du bon état clinique de la patiente. Le bilan sanguin met en évidence une insuffisance rénale aigue d'allure chronique, dans le doute son traitement par Celebrex est mis en suspens, nous vous laissons le soin de le réintroduire si nécessaire. L'évolution clinico-biologique est rapidement favorable, Mme. Y ne remplissant pas les critères pour une réadaptation gériatrique, elle peut rentrer à domicile le 14.01.2019. Mme. Y, patiente de 75 ans, connue pour une maladie d'Alzheimer, est hospitalisée pour des douleurs abdominales intermittentes, crampiformes avec péjoration depuis 48h et tendance à la constipation. Un CT abdominal est effectué le 26.12.2019, mettant en évidence la présence de liquide libre intra-abdominal, de multiples calcifications pancréatiques, une lésion hypodense d'allure kystique dans la tête du pancréas et une zone de rétrécissement de calibre d'une anse grêle dans le pelvis. Une antibiothérapie par Rocephin-Métronidazole est initiée et la patiente bénéficie d'une laparotomie exploratrice avec prélèvement d'ascite chyleuse pour cytologie et bactériologie, ainsi que des biopsies tissulaires du mésentère le 27.12.2019, un drainage intra-abdominal est laissé en place. Les suites cliniques et biologiques sont simples, la cytologie revient négative pour des signes de malignité. Son séjour se marque par une évolution favorable, permettant un retour à domicile le 10.01.2020 avec le drain en place. Elle sera par la suite revue à la consultation des Chefs de clinique pour évaluation du retrait du drain avec un suivi par CT post ablation et contrôle chez le Dr. X. Mme. Y est une patiente de 74 ans, connue de notre service pour un adénocarcinome colorectal réséqué par RAUB en juin 2019 avec fermeture d'iléostomie le 12.11.2019, qui a présenté depuis un épisode d'iléus. Elle se présente le 04.01.2020 aux urgences avec une symptomatologie d'iléus et est hospitalisée pour un traitement conservateur avec pose de sonde naso-gastrique. Elle présente une évolution favorable avec reprise d'un transit, permettant un retour à domicile le 09.01.2020.Durant son séjour, elle bénéficie d'un scanner pour le suivi d'une masse hépatique en cours d'investigation. Nous agendons une IRM en ambulatoire pour mieux caractériser cette lésion. La patiente sera revue par le Dr. X et convoquée par le Dr. X pour les suites de prise en charge. Mme. Y, 44 ans, est hospitalisée aux soins intensifs (SIB) suite à un tentamen médicamenteux. La patiente, connue pour une dépression chronique traitée, est amenée en ambulances aux urgences suite à l'ingestion d'environ 4 g de Distraneurin. A l'arrivée des ambulanciers, du charbon actif est administré. A l'entrée, elle présente un état somnolent et est admise aux soins intensifs pour surveillance neurologique et respiratoire qui est sans particularité. Un avis psychiatrique recommande une suite de prise en charge à Marsens. Elle est transférée en volontaire le 13.01.2020. Mme. Y, 28 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance d'un saignement actif sous capsulaire du rein droit avec extension para-rénale homolatérale le 04.01.2020. La patiente, connue pour une sclérose tubéreuse de Bourneville avec angio-myolipomatose rénale bilatérale, consulte pour des douleurs au niveau du flanc droit, de forte intensité, apparues subitement le 02.01.2020. Le scanner abdominal révèle un saignement actif au pôle supérieur du rein droit. Au vu de la stabilité hémodynamique et des antécédents récents d'embolisation rénale à gauche, une prise en charge conservatrice est décidée avec surveillance clinique et suivi de l'hémoglobine. Devant l'apparition d'une anémie symptomatique, la patiente bénéficie de la transfusion de culots érythrocytaires. Le syndrome inflammatoire est attribué à l'hématome lui-même, raison pour laquelle l'antibiothérapie par ceftriaxone introduite à l'entrée est rapidement arrêtée. L'évolution est favorable avec stabilisation de l'hémoglobine et des douleurs contrôlées par opiacés. La patiente reste nauséeuse, un traitement d'ondasétron est introduit avec bon effet. Mme. Y se plaint aussi de nausées persistantes avec des vomissements post-prandiaux depuis l'intervention de novembre 2019 et rapporte une perte de poids d'environ 20 kg dans ce contexte. Au laboratoire, il existe des troubles électrolytiques qui sont substitués. Un trouble spontané de la coagulation est corrigé par substitution de vitamine K. Une oesogastroduodénoscopie avec pose d'une sonde naso-jéjunale est réalisée le 06.01.2020, qui révèle un status oesophagien et gastrique normal. L'origine de la symptomatologie digestive reste donc inexpliquée. Au vu de la présence de sludge dans la vésicule biliaire au CT abdominal, avec toutefois des tests hépatiques dans la norme et absence de dilatation des voies biliaires, un complément d'imagerie par ultrason hépatique à la recherche de maladie lithiasique peut être envisagé. Nous vous rendons attentifs au risque important de syndrome de renutrition inappropriée. Une alimentation entérale devra être introduite de manière progressive suite à la correction des troubles électrolytiques (potassium à la sortie : 3.7 mmol/l), puis ensuite un suivi clinique et biologique rapproché doit être effectué. La patiente sera également suivie par l'équipe des nutritionnistes et diététiciens. Mme. Y est transférée en chirurgie le 06.01.2020. Mme. Y, 65 ans, consulte les urgences le 22.12.2019 en raison de céphalées frontales irradiant au niveau temporal et dans la nuque d'apparition progressive et intermittente depuis une semaine. Elle vous consulte le 18.12.2019 et vous prescrivez du Voltarène, sans amélioration des douleurs. Elle est connue pour une hypertension artérielle et un diabète et présente des troubles de l'équilibre au moment de l'apparition des céphalées. Nausées et vomissements les 2-3 premiers jours des céphalées. La patiente présente aussi une toux sèche depuis 3 jours. Pas de traumatisme crânien récent. Pas de fièvre, pas de photo-phonophobie, pas de trouble de la vision (diplopie, vision floue, flash de lumière, voile noir), pas de trouble de l'audition (acouphène, diminution de l'audition), pas de vertige, pas de paresthésie, pas de trouble de la sensibilité. A l'admission, la patiente est hypertendue, tachycarde et fébrile. A l'examen clinique, on note un ralentissement psychomoteur (confirmé par la famille), une mauvaise compréhension des ordres simples, pupilles isocores et isoréactives, pas de trouble des nerfs crâniens, motricité et sensibilité normales aux 4 membres, réflexes ostéotendineux vifs et symétriques, réflexes cutanés plantaires indifférents, test bras tendus tenu, pas de dysmétrie, ni dysdiadococinésie, pas de raideur de nuque. Le Romberg et la marche sont instables. L'auscultation cardio-pulmonaire est normale. Le laboratoire revient sans particularité. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Le CT cérébral montre une sinusite sphénoïdale, mais pas d'hémorragie, ni de masse. Les vaisseaux sont perméables. La ponction lombaire montre un LCR d'aspect légèrement trouble, riche en éléments 1028, pauvre en glucose et avec une protéinorachie et un taux de LDH élevés. Ces éléments sont en faveur d'une méningite bactérienne, raison pour laquelle une antibiothérapie par co-amoxicilline à haute dose est débutée. L'ORL de garde considère que la sphénoïdite est plutôt chronique. Nous retenons une méningite bactérienne compliquant une sinusite sphénoïdale chronique et débutons une antibiothérapie empirique par co-amoxicilline. La culture de LCR montre que la bactérie en cause est l'Haemophilus influenzae. Le traitement antibiotique est changé pour de la Rocéphine iv et une corticothérapie de courte durée est rajoutée. Malgré l'amélioration clinique et la diminution du syndrome inflammatoire, la patiente présente un strabisme convergent de l'œil gauche. Après avoir examiné la patiente, l'ophtalmologue de garde retient un strabisme convergent de l'œil gauche plutôt d'allure ancienne. Un contrôle clinique est proposé à 3 mois. Le spécialiste ORL propose finalement un drainage des sinus par sphénoïdotomie, qui est réalisée le 03.01.2020. Les cultures réalisées à partir des prélèvements intra-opératoires sont stériles. Le traitement antibiotique est poursuivi pour une durée totale de 14 jours. L'évolution est par la suite favorable avec une disparition complète des symptômes neurologiques. Mme. Y peut regagner son domicile le 08.01.2020. Mme. Y, patiente de 71 ans connue pour une BPCO de stade 3, est adressée par le médecin traitant pour une dyspnée au repos depuis 3 jours en péjoration avec toux et expectorations augmentées en volume et en fréquence. A l'entrée, on retrouve une patiente stuporeuse avec un GCS diminué à 14/15, la gazométrie montre une hypercapnie à 11,4 kPa et une hypoxie avec une PO2 à 8,7 kPa sous 4 L d'O2 aux lunettes, ainsi qu'une acidose avec un pH à 7.30. Un CT thorax réalisé à l'entrée permet d'exclure une embolie pulmonaire et montre un emphysème pulmonaire marqué et des condensations avec perte de volume du lobe moyen et du lobe inférieur droit. La patiente est hospitalisée au service des soins intensifs pour surveillance et traitement antibiotique et ventilatoire non-invasif. Au vu des condensations pulmonaires au CT, de la clinique et des désaturations, une thérapie antibiotique par Co-Amoxicilline et de prednisone est instaurée. La patiente profite de séances de VNI et de physiothérapie durant son séjour et montre une amélioration de la clinique et de ses paramètres respiratoires.Selon le pneumologue traitant de la patiente (Dr. X), l'hypercapnie est nouvelle. Une gazométrie de contrôle montrait une capnie à 6 kPa en avril 2019. Il recommande d'envoyer la patiente en séjour de réhabilitation pulmonaire après l'hospitalisation aiguë. La patiente refusant une prise en charge stationnaire, nous organisons une réhabilitation pulmonaire en ambulatoire à l'HFR Billens avec prise en charge de physiothérapie respiratoire à l'HFR Fribourg dans l'intervalle. Malgré la persistance de l'hypercapnie à la gazométrie, celle-ci est nettement améliorée avec la ventilation nocturne par rapport au comparatif du 10.01.2020. Nous organisons un appareillage avec une Bi-Pap à domicile, qu'elle rejoint le 17.01.2020. Les radiologues recommandent encore la réalisation d'un CT de contrôle à 6-12 mois chez une patiente à haut risque selon les critères de Fleischner. Mme. Y, 71 ans, est admise aux Soins Intensifs pour une exacerbation infectieuse de BPCO stade III avec atélectasie du lobe inférieur droit. La patiente, connue pour une BPCO stade III avec oxygénothérapie en continu au domicile, ainsi que pour une parésie phrénique bilatérale idiopathique, est envoyée par son médecin traitant pour une péjoration d'une dyspnée au repos depuis 3 jours, accompagnée de toux et d'expectorations augmentées en volume et en fréquence. Aux urgences, la patiente est stuporeuse avec insuffisance respiratoire globale. Le CT thoracique objective une condensation de la majorité du lobe inférieur droit et lobe moyen qui présentent une importante perte de volume en lien avec de multiples comblements endo-bronchiques segmentaires et sous-segmentaires. Ces images sont compatibles avec une bronchopneumonie et une atélectasie du lobe inférieur. Il n'y a pas d'embolie pulmonaire (voyage en voiture de 7 heures pour retour de vacances). Mme. Y bénéficie d'une antibiothérapie empirique par amoxicilline-acide clavulanique, d'aérosols bronchodilatateurs, d'une corticothérapie systémique et d'une ventilation non invasive intermittente. L'évolution est subjectivement favorable avec une tolérance variable à la ventilation non invasive. L'acidose respiratoire presque corrigée témoigne d'une insuffisance respiratoire globale également chronique avec une élévation du bicarbonate à 40 mmol/l. Selon le pneumologue traitant (Dr. X), la dernière valeur de capnie date d'avril 2019 et était à 6 kPa. L'échographie pleurale du 09.01.2020 confirme la parésie phrénique sévère à droite et légère à gauche, pouvant expliquer les atélectasies du lobe inférieur droit. Nous recommandons la poursuite de la ventilation non invasive 2x/j à l'étage avec physiothérapie et de discuter l'indication à un appareillage par Bi-Pap ainsi qu'un séjour de réhabilitation pulmonaire. Les radiologues recommandent la réalisation d'un CT thoracique de contrôle à 6 mois en raison de la présence de plusieurs nodules pulmonaires de max. 6 mm lobaires supérieurs droits, partiellement spiculés. La patiente est transférée le 09.01.2020 dans le service de médecine interne. Une réadmission aux soins intensifs pour de la ventilation non invasive pourrait être considérée si besoin, mais la patiente ne souhaite pas de soutien mécanique invasif, ni mesures de réanimation. Mme. Y est une patiente de 79 ans qui se présente le 15.01.2020 aux urgences en raison de douleurs du flanc gauche d'apparition brutale. Le bilan met en évidence un calcul dans l'uretère proximale. La patiente est hospitalisée dans notre service pour une antalgie. L'évolution est rapidement favorable. La patiente extériorise son calcul le lendemain de son hospitalisation permettant un retour à domicile le 16.01.2020. Mme. Y est une patiente de 37 ans qui est hospitalisée pour prise en charge d'une récidive de sa cholécystite aiguë, diagnostiquée en novembre 2019. La patiente avait été mise au profit d'un traitement antibiotiques avec bonne évolution initiale mais par la suite, avait présenté une récidive de ses douleurs et une réintroduction de l'antibiothérapie. À noter que la patiente est également en cours de bilan pour une hépatopathie d'origine indéterminée. Elle bénéficie le 31.12.2019 d'une cholécystectomie par laparoscopie en urgence, avec cholangiographie intra-opératoire qui sera normale, ainsi qu'une biopsie hépatique pour bilan de cette hépatopathie. L'évolution étant par la suite favorable, la patiente retourne à domicile le 01.01.2020 avec un suivi ambulatoire par son médecin de famille pour poursuite de l'équilibre de son traitement anti-diabétique et du bilan de cette hépatopathie. Mme. Y, 86 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë globale sur OAP dans un contexte d'insuffisance cardiaque diastolique, exacerbée par la transfusion d'un culot érythrocytaire le 15.01.2020. Cette patiente, en cours d'investigations pour une anémie probablement sur saignement digestif à bas bruit, est adressée à la Clinique de Jour par son médecin traitant pour transfusion de culots érythrocytaires le 15.01.2020. Vers la fin de la transfusion, elle développe un OAP flash avec carbonarcose nécessitant une intubation orotrachéale et son transfert aux soins intensifs. La décompensation cardiaque aiguë avec OAP est d'origine multiple. Une insuffisance cardiaque chronique, progressant cliniquement depuis 1 mois (OMI, dyspnée...) et une insuffisance diastolique retrouvée à l'ETT. Une cause ischémique avec un STEMI subaigu et une cause infectieuse avec une grippe A. La décompensation cardiaque est traitée avec de la nitroglycérine et Furosémide avec bon effet, permettant un sevrage ventilatoire progressif et une extubation le 17.01.2020. Concernant le STEMI subaigu, la patiente présente des sus-décalages en antérieur le 15.01. En raison de la régression des troponines et de la normalisation de l'ECG, la coronarographie est repoussée au 20.01. Concernant l'anémie, Mme. Y décrit des hémorroïdes qui saignent depuis plusieurs mois. Au vu d'une baisse brutale de l'Hb, un bilan endoscopique effectué le 17.01 ne met pas en évidence de saignement actif. Un polype est réséqué, la pathologie doit être pistée. En raison de la présence de selles, la coloscopie n'est pas effectuée dans un contexte optimal. Elle devra être refaite à distance. Le bilan d'anémie montre une probable anémie ferriprive avec une saturation de la transferrine à 6% avec une ferritine à 524ug/l, augmentée dans le contexte inflammatoire. Concernant l'insuffisance rénale, l'origine est initialement cardio-rénale. Étant déplétée rapidement dans le contexte de l'insuffisance cardiaque aiguë, l'insuffisance se péjore en raison de l'hypovolémie iatrogène. Elle reste en surcharge dans le troisième secteur (OMI & râle crépitant), le traitement diurétique devra être repris prudemment dès l'amélioration de la créatinine. En raison de l'évolution favorable, la patiente est transférée en médecine interne le 19.01.2019. Mme. Y, 86 ans, est réadmise aux soins intensifs pour un OAP flash le 19.01.2020. Cette patiente, déjà admise aux soins intensifs de l'HFR du 17.01 au 19.01 pour un OAP flash d'origine mixte ayant nécessité une intubation orotrachéale avec ventilation mécanique pendant 48 heures, est réadmise moins de 24 heures après son transfert en division en raison d'un nouvel épisode d'OAP flash accompagné d'une carbonarcose. Un essai de traitement avec de la ventilation non invasive s'avère infructueux, raison pour laquelle une intubation orotrachéale est effectuée peu de temps après sa réadmission aux soins intensifs. La décompensation cardiaque aiguë avec l'OAP flash est d'origine multiple et survient dans le contexte d'une dysfonction diastolique modérée avec pics hypertensifs, d'une hypertension réfractaire avec composante réno-vasculaire probable et d'un état infectieux respiratoire au décours. La décompensation cardiaque est traitée avec de la nitroglycérine et Furosémide, permettant un sevrage ventilatoire progressif et une extubation le 21.01.2020. Mme. Y bénéficie de séances de ventilation non invasive par la suite en raison d'OAP à répétition sur pics hypertensifs.Elle est finalement stabilisée sous traitement antihypertenseur per os important (heptathérapie). Elle bénéficie le 27.01 d'une coronarographie qui montre un réseau coronaire sain. Dans le même temps, une angiographie artérielle rénale est réalisée, qui confirme une sténose de 70% de l'artère rénale droite déjà visualisée au bilan angiologique et qui est traitée par la pose d'un stent. L'évolution est favorable, avec une patiente qui reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Les modifications ECG et mouvement de troponine associée à une diminution transitoire de la fonction cardiaque, dans le cadre d'un réseau coronaire sain sont compatibles avec un syndrome de Tako-Tsubo. Concernant l'insuffisance rénale, l'origine est probablement cardio-rénale. L'imagerie rénale montre une atrophie du rein gauche, et un rein droit hypertrophié compensateur. Le traitement diurétique est adapté en cours de séjour. L'évolution est progressivement favorable et nous vous proposons de poursuivre une déplétion volémique et de suivre de manière rapprochée la fonction rénale. La patiente est transférée à l'étage de médecine interne le 28.01.2020. Monsieur Y, âgé de 62 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture par insuffisance du sacrum, des branches ilio- et ischio-pubiennes gauches, visualisée à l'IRM bassin du 12.12.2019. Sur le plan social, le patient, veuf, vit seul à domicile. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. A l'anamnèse par systèmes, le patient signale un état pseudo grippal avec des tremblements et des nausées en association avec l'administration d'Aclasta le 19.12.2019. L'évolution est rapidement favorable. Au status, le patient est orienté et collaborant. L'examen cardio-pulmonaire est sans particularité. Pas d'OMI ni d'autre signe d'insuffisance cardiaque. Pas de trouble sensitivomoteur grossier aux membres inférieurs. Monsieur Y se rendra à votre cabinet dans 2 semaines pour réévaluer le traitement antalgique ainsi que le traitement antihypertenseur. Nous avons réintroduit le Votum plus 40/12.5 et nous avons diminué le dosage de la spironolactone à une seule prise le matin. De plus, nous arrêtons la substitution en fer ainsi que celle en acide folique et en magnésium. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge. La force ainsi que la sensibilité des membres inférieurs restent conservées. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Y peut quitter notre service, à sa demande, pour rejoindre son domicile, le 27.12.2019, en état général conservé. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Les soins à domicile sont activés. Monsieur Y présente un syndrome du tunnel carpien de la main gauche symptomatique. L'EMG le confirme. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 10.2.2020 en ambulatoire. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour définir le type d'anesthésie. Monsieur Y est un patient de 56 ans, qui est hospitalisé dans le service d'orthopédie en raison d'une fracture de l'humérus proximal droit suite à une chute de sa hauteur, dans un cadre de prise en charge conservatrice et d'antalgie non satisfaisante à domicile. Une immobilisation par gilet orthopédique est en place pour une durée de 6 semaines. Au cours de l'hospitalisation, les douleurs sont maîtrisées de façon satisfaisante par l'antalgie instaurée. Le contrôle radiologique effectué à une semaine du traumatisme ne montre pas de déplacement secondaire de la fracture. Au laboratoire, relevons une hyponatrémie chronique, connue et bien tolérée, jamais supplémentée selon le patient, une hypokaliémie à 3 mmol/l supplémentée durant 48 heures, avec une valeur à 3,7 mmol/l le 13.01.2020. Présence également d'un magnésium à 0,78 mmol/l, supplémenté par Magnesiocard. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôler ces troubles électrolytiques après sa sortie de l'hôpital. En fin de séjour, Monsieur Y est confortable et pratiquement autonome pour les gestes de la vie courante. Il peut retourner à domicile le 16.01.2020. Mme. Y, âgée de 73 ans, nous est adressée par les urgences de l'HFR Fribourg le 21.01.2020 pour une Dermohypodermite du membre inférieur droit traitée par Clindamycine du 17.01 au 21.01.2020 et Bactrim Forte 2x/jour du 21.01 au 23.01.2020. Selon l'avis des infectiologues, une antibiothérapie par Cefepime est instaurée depuis le 23.01.2020. Le 23.01.2020, Mme. Y se plaint de la péjoration de sa dyspnée depuis le 19.01.2020 avec l'apparition progressive d'une toux et d'expectorations de couleur blanchâtre. Elle ne se plaint pas de douleur thoracique. À noter que le patient est connu pour une BPCO stade III D selon GOLD 2018 sur tabagisme actif. Le vaccin contre la grippe n'a pas été fait cette année. L'examen clinique montre une saturation à 84% sous 2 l/min, raison pour laquelle nous décidons d'augmenter l'oxygénothérapie à 3 l/min avec bonne réponse et une saturation qui augmente à 89%. Le patient ne montre pas de signe de détresse respiratoire avec une fréquence respiratoire à 16 battements par minute. L'auscultation pulmonaire met en évidence des murmures respiratoires diminués, secondaires à sa pathologie sans râle ni bruit surajouté. Le laboratoire du 23.01.2020 objective un syndrome inflammatoire avec une CRP à 62 mg/l et une leucocytose à 13.7 G/l. La radiographie thoracique ne permet pas d'objectiver un foyer franc pneumonique. Nous pensons à une exacerbation de BPCO d'origine infectieuse chez un patient déjà sous Céfépime 2g/jour depuis le 21.01.2020. La gazométrie artérielle sous 3 l/min objective une acidose respiratoire avec une hypoxémie légère avec hypercapnie à 8.6. En raison d'une indication à l'utilisation d'une VNI thérapeutique et avec l'accord de nos collègues de l'HFR Fribourg, Mme. Y est transférée aux soins intensifs le 23.01.2020. Mme. Y est hospitalisée en raison d'une décompensation cardiaque gauche sur STEMI subaigu. Elle a présenté une dyspnée en progression depuis le 06.01.2020, au moindre effort ainsi que des douleurs thoraciques oppressives entre Noël et Nouvel-An, qu'elle avait attribuées aux copieux repas de fêtes. Une récidive des douleurs thoraciques est apparue le 08.01.2020, qui est actuellement résolue. L'électrocardiogramme met en évidence un sus-décalage ST antérieur (V2-V3) avec des ondes T négatives dans le territoire latéral. L'échographie transthoracique montre une hypokinésie apicale et septale sévère avec une fraction d'éjection estimée à 25%. Après avis cardiologique, une attitude conservatrice est décidée vu qu'il s'agit d'une atteinte subaiguë, probablement non-réversible. Le traitement médicamenteux est donc adapté avec mise en place d'un bêta-bloquant et un inhibiteur de l'enzyme de conversion, à petites doses, que nous vous laissons augmenter selon la tolérance. En raison d'une décompensation cardiaque associée, un traitement diurétique est mis en place avec un bon résultat et une évolution rapidement favorable. La patiente est anticoagulée par Sintrom pour une thrombose veineuse profonde datant de 2016 avec des récidives. Après discussion avec le médecin traitant, Dr. X, le traitement par Sintrom est changé pour du Xarelto 10 mg selon la recommandation des angiologues. Une antiagrégation plaquettaire n'a pas été mise en place vu que la patiente est sous traitement anticoagulant par Sintrom pour une thrombose veineuse profonde, datant de 2016. Toutefois, vu que nous avons changé, en accord avec les collègues angiologues, le traitement anticoagulant pour du Xarelto à dose prophylactique, le rajout d'une antiagrégation doit être rediscuté avec les cardiologues. Nous attendons un avis de leur part qui vous sera très probablement transmis directement. Mme. Y est inscrite pour une réadaptation gériatrique à l'Hôpital de Tavel. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y présente un os naviculaire accessoire symptomatique. Je lui ai expliqué qu'il s'agit d'une variante normale de l'os naviculaire, qui est présent chez environ 12 % de la population. La majorité des patients sont asymptomatiques. En cas de symptômes, on peut le traiter par des mesures conservatrices, c'est-à-dire, modification de chaussure et restriction de l'activité. Si ces mesures ne sont pas efficaces, on peut immobiliser le pied pour une courte période. Si les douleurs persistent, il y a aussi une solution opératoire en excision de l'os naviculaire. J'ai proposé à Mme. Y encore un avis spécialisé auprès du Dr. X, chirurgien du pied, à l'HFR Fribourg. Je prie le team pied de bien vouloir convoquer la patiente pour la consultation spécialisée. Un contrôle chez moi n'est pas prévu. Je reste bien sûr à disposition pour tous renseignements supplémentaires. Mme. Y, 73 ans, est admise aux soins intensifs pour une exacerbation de BPCO stade III. La patiente, connue pour les antécédents sus-mentionnés, est hospitalisée à Riaz depuis le 21.01.2020 pour une dermohypodermite du membre inférieur droit traitée par Céfépime depuis le 23.01. Elle se plaint d'une péjoration de sa dyspnée depuis 4 jours avec apparition d'une toux productive avec expectorations blanchâtres. Pas d'autre plainte ni autre symptôme. Au vu d'une insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique sur exacerbation de BPCO stade III, nécessitant de la ventilation non invasive, la patiente nous est transférée. Sur le plan respiratoire, l'évolution clinique est lentement favorable. À noter que la ventilation non invasive est mal tolérée sur le plan hémodynamique, chez cette patiente connue pour une hypertension pulmonaire sévère. En ce qui concerne la dermohypodermite du membre inférieur droit avec plaie pré-tibiale, nécrose et hématome sous-cutané, nous demandons un avis orthopédique qui préconise une prise en charge chirurgicale. La patiente bénéficie le 24.01 d'une excision de la nécrose, drainage de l'hématome, prélèvements et rinçage. Les cultures des prélèvements sont à pister et l'adaptation de l'antibiothérapie sera à discuter avec les infectiologues. La prochaine réfection du pansement devra se faire le 26.01 par les orthopédistes. La patiente peut être transférée en médecine interne le 25.01.2020, avec un suivi par les orthopédistes en parallèle. Mme. Y, âgée de 61 ans, connue pour une ovariectomie partielle en 2014 et une polyarthrite rhumatoïde traitée par Methotrexate, nous est ré-adressée par l'HFR Fribourg pour suite de la réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche à la suite d'une cytoréduction étendue de son pseudo-myxome péritonéal avec chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale, le 23.09.2019. La patiente a subi une omentectomie et splénectomie en monobloc, cholécystectomie, glissonectomie hépatique droite, hystérectomie et annexectomie bilatérale en monobloc, anastomose colorectale et biopsies multiples du péritoine et CHIP. Pour rappel, à la suite de son opération, elle a fait face à de nombreuses complications infectieuses. Pour mémoire, Mme. Y a été transférée au CHUV puis à l'HFR Fribourg dans un contexte de sepsis sur pneumonie bi-basale le 16.12.2019. Elle est actuellement sous Pipéracilline-Tazobactam depuis le 28.12.2019 et ce jusqu'au 15.01.2020. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte ni de dyspnée. Elle présente une asthénie généralisée à la suite de l'ensemble des complications postopératoires. Elle note une amélioration de son état général avec une diminution de sa toux depuis 2 semaines. Le 03.01.2020, Mme. Y présente, vers 07h00 du matin, avant le déjeuner, un épisode de vomissement du liquide de nutrition entérale. Les paramètres vitaux sont dans la norme hormis une diminution de la SpO2. Elle a été mise sous O2 1 lt/min. Vers 11h30, elle vomit de nouveau avant le repas malgré la prise de Dompéridone sans nausées au préalable. À 12h40, la patiente se plaint de frissons et présente un pic fébrile à 38.4°C. À 13h15, une nouvelle prise de température révèle un état fébrile à 39°C. La patiente ne se plaint pas de douleur. À l'auscultation pulmonaire, on note la présence de râles crépitants bibasaux et une diminution du murmure respiratoire au niveau de la région inférieure du poumon droit. Le stix urinaire revient négatif. La radiographie thoracique ne montre pas de foyer de comblement alvéolaire et nous sommes en attente des résultats des 2 paires d'hémocultures effectuées le 03.01.2020. Le bilan sanguin montre la présence d'un syndrome inflammatoire caractérisé par une CRP à 30 mg/l et une leucocytose à 21.6 G/l avec neutrophilie. Nous suspectons la présence d'une pneumonie sur broncho-aspiration secondaire aux différents épisodes de vomissements. Nous maintenons l'antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam et la sonde naso-jéjunale est retirée le 03.01.2020. Le 04.01.2020, Mme. Y présente une péjoration de sa dyspnée et une SpO2 à 83 % sous O2 2 lt/min. Nous augmentons l'oxygénothérapie à 6 lt/min avec une SpO2 à 90 %. L'auscultation pulmonaire démontre des râles crépitants bilatéraux et la présence d'OMI légers. La gazométrie artérielle sous O2 6 lt/min met en évidence une acidose à la limite inférieure, une hypoxémie et une hypercapnie légères. Nous transférons Mme. Y le 04.01.2020 aux urgences de l'HFR Fribourg pour investigations et prise en charge spécialisée. Mme. Y, 71 ans, a été admise aux soins intensifs pour un STEMI inféro-postérieur sub-aigu sur occlusion de la coronaire droite proximale le 03.01.2020. Elle se présente pour une douleur rétrosternale oppressive depuis 3 jours, intermittente associée à une dyspnée, avec malaise le 01.01.2020. Un STEMI inféro-postérieur a été diagnostiqué et la patiente reçoit une charge en aspirine et Efient. La coronarographie réalisée en urgence a montré une occlusion de la coronaire droite proximale traitée par thrombectomie et la mise en place de 2 stents actifs. Une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) sera traitée dans 3 à 4 semaines. L'élévation des enzymes cardiaques est compatible avec un syndrome coronarien sub-aigu. Le pic de CK s'est élevé à 929 U/l. La fonction ventriculaire gauche est modérément diminuée avec une FE à 45 %.Un bloc atrio-ventriculaire du 2ème degré de type Mobitz II a dégénéré en bloc atrio-ventriculaire complet en post-coronarographie avec un échappement ventriculaire à 60/minute. Le trouble de la conduction s'est résolu spontanément avec un retour en bloc atrio-ventriculaire du 1er degré dès le 05.01.2020, sans récidive. Les cardiologues n'ont pas retenu d'indication à la pose d'un pacemaker vu la stabilité en BAV 1er degré. Une dyspnée survenue le 07.01.2019 et attribuée à une atélectasie de la base pulmonaire gauche s'est améliorée après mobilisation active et physiothérapie respiratoire. Cependant, une possible infection pulmonaire associée est suspectée en raison d'un état fébrile et d'un syndrome inflammatoire (CRP à 267 mg/l). Ce dernier pourrait aussi être secondaire à l'infarctus myocardique. Nous proposons de compléter encore le bilan par un sédiment urinaire. Une antibiothérapie empirique de co-amoxicilline a été débutée pour une durée de 5 jours et la physiothérapie respiratoire devra être poursuivie. Mme. Y, 72 ans, est admise aux soins intensifs pour un STEMI inféro-postérieur subaigu sur occlusion de la coronaire droite proximale le 03.01.2020. La patiente décrit des douleurs rétrosternales oppressives depuis plusieurs semaines, intermittentes, associées à une dyspnée, ainsi qu'un épisode de syncope le 01.01.2020. Un STEMI inféro-postérieur est diagnostiqué et la patiente reçoit une charge en Aspirine et Efient. La coronarographie réalisée le 06.01.2020 par le Dr. X montre une occlusion de la coronaire droite proximale traitée par thrombectomie et mise en place de 2 stents actifs. Une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) est organisée pour le 23.01.2020. L'élévation des enzymes cardiaques est compatible avec un syndrome coronarien subaigu. Le pic de CK est élevé à 929 U/l. La fonction ventriculaire gauche est modérément diminuée, avec une fraction d'éjection à 45%. Une ergométrie sera à organiser à un an. Un bloc atrio-ventriculaire du 2ème degré de type Mobitz II évolue en bloc atrio-ventriculaire complet post-coronarographie, avec un échappement ventriculaire à 60/minute. Le trouble de la conduction se résout spontanément, avec un retour en bloc atrio-ventriculaire du 1er degré dès le 05.01.2020, sans récidive. Après avis cardiologique, les épisodes de blocs atrio-ventriculaires de haut degré sont secondaires à l'ischémie nodale dans le contexte du STEMI inférieur, transitoires, de bon pronostic, sans investigation supplémentaire nécessaire. La patiente présente le 07.01.2020 une dyspnée. Une infection pulmonaire est suspectée et une antibiothérapie empirique par co-amoxicilline est débutée, avec réduction du spectre à de l'amoxicilline pour une durée totale de 5 jours, les antigènes urinaires revenant positifs pour un pneumocoque. Cependant, persistance d'un état fébrile malgré l'antibiothérapie, avec recrudescence des symptômes respiratoires. Une radiographie de contrôle révèle un foyer basal droit, absent à la dernière radiographie. Nous majorons le spectre avec du pipéracilline-tazobactam pour une durée de 5 jours. Les hémocultures prélevées reviennent négatives. L'évolution est par la suite favorable. La patiente décrit la présence de selles méléniques, associées à une recherche de sang occulte positive. Le traitement par Pantozol est majoré à 40 mg - 2 x/jour pour une durée d'un mois, puis 1 x/jour au long cours. Une anémie concomitante, dans le contexte du syndrome coronarien aigu récent, est traitée par transfusion d'un culot érythrocytaire. Nous vous proposons de suivre la formule sanguine et d'organiser une colonoscopie en ambulatoire en cas de récidive d'extériorisation ou de chute de l'hémoglobine. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 20.01.2020 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 18 ans, nous est adressée par vos soins pour une hospitalisation dans notre service de médecine interne en raison d'une anorexie mentale. La patiente décrit une péjoration de la situation depuis environ 2 mois, avec une importante restriction alimentaire associée à des comportements de compensation (sport, vomissements volontaires). Elle décrit une perturbation de son image, avec un poids cible idéal de 40 kg selon elle. Des crises de boulimie suivies de vomissements volontaires ont aussi été présentes. À savoir que la patiente était déjà connue pour une anorexie mentale suivie par Dr. X, psychiatre-traitante, et qu'elle décrit un facteur déclenchant il y a 3 ans lors d'un séjour linguistique, caractérisé par un mobbing par les élèves et enseignants de sa classe. Actuellement, Mme. Y a un BMI à 14.7, et désire obtenir de l'aide. Après évaluation par une équipe multidisciplinaire de nutrition (médecins, diététicienne), ainsi que par nos collègues psychiatres, un cadre est mis en place, en association avec une sonde naso-gastrique le 17.12.2019. Une alimentation entérale est débutée avec majoration après une semaine. Un bilan biologique permet le suivi électrolytique. Une substitution vitaminique et électrolytique est mise en place. Après discussion avec l'unité spécialisée dans les troubles du comportement alimentaire (Dr. X), une consultation pré-hospitalisation est organisée le 07.01.2020. Cette consultation n'apporte pas de grand changement, Mme. Y ayant déjà décidé de rentrer à domicile. Le trouble des comportements alimentaires est compliqué par un trouble borderline. Elle ne montre actuellement pas beaucoup d'introspection par rapport à sa maladie. Nous débutons toutefois une diminution des Xanax. Après le colloque multidisciplinaire du 06.01.2020, un projet de RAD sans sonde nasogastrique mais avec suppléments nutritifs 4 x/j permettant de couvrir ces besoins est décidé vu que la patiente ne souhaite pas rester hospitalisée. Les critères de réhospitalisation suivants : poids inférieur à 45 kg, si ne se présente pas aux consultations de contrôle, si critères somatiques (anomalies au laboratoire, température corporelle, fréquence cardiaque) ont été discutés et acceptés par la patiente. Un suivi ambulatoire au centre Matrix pour le suivi psychiatrique et diététique sera organisé par la patiente. Un suivi par un médecin spécialiste avec Dr. X est organisé. Mme. Y rentre à domicile le 07.01.2019. Mme. Y, âgée de 53 ans, est hospitalisée pour suspicion de réaction septique sur transfusion de culot érythrocytaire pour anémie sévère symptomatique à 45 g/l le 03.01.2020. La patiente présente 48 heures auparavant une syncope avec lipothymie, accompagnée de fatigue et dyspnée. Sur anémie hypochrome microcytaire sévère à 45 g/l, la patiente bénéficie d'une transfusion de culot érythrocytaire aux urgences, avec développement immédiat d'une réaction septique avec frissons, tachycardie et fièvre jusqu'à 39.6°C. Une contamination de la poche de sang est suspectée et selon avis hématologique, une antibiothérapie par Cefepime est débutée dans l'attente des résultats des hémocultures, avec hospitalisation pour surveillance clinico-biologique. Aucun germe n'est identifié à 5 jours, permettant l'arrêt de l'antibiothérapie.La transfusion de culots érythrocytaires n'étant pas contre-indiquée dans ces circonstances, la patiente bénéficie au total de 5 culots érythrocytaires, avec hémoglobine à 113 g/l à la sortie. Quant au bilan d'anémie, nous mettons en évidence une carence martiale que nous substituons. Nous ne retenons pas d'argument pour une anémie d'origine autoimmune, raison pour laquelle un bilan étiologique n'est donc pas réalisé. Enfin, nous suspectons une hémorragie digestive haute sur prise régulière d'AINS depuis le mois de septembre. Un traitement par IPP est débuté et une gastro-colonoscopie est réalisée, montrant l'absence d'érosion gastrique ou d'hémorragie colique, mais des varices oesophagiennes de stade 3 avec signe rouge, jusqu'à présent non connues. Dans ce contexte, le bilan est complété d'un US abdominal, retrouvant une lésion kystique du foie droit, pouvant comprimer la branche portale droite et participer à une hypertension portale. Selon l'aspect radiologique par scanner et IRM, une echinococcose est primairement suspectée, avec sérologies revenant cependant négatives, comme pour une schistostomiose. Un bilan biologique de cirrhose (hépatites, HIV, EBV, CMV, DOT hépatites, Alfa-anti trypsine, AFP) revient négatif avec paramètres hépatiques restant alignés. Le dosage de cuivre revient normal. Une biopsie hépatique a été effectuée et est actuellement en cours d'analyse. À savoir qu'au vu d'une augmentation des pressions de pré-charge cardiaque lors des mesures trans-jugulaires, le bilan est enfin complété par une échocardiographie et CT thoracique, revenant dans la norme. L'origine de cette hypertension portale reste ainsi peu claire, mais la lésion kystique hépatique semblerait être la cause primaire. Il pourrait s'agir en premier lieu d'une echinococcose ou d'un adénome. Sur le plan médicamenteux, un traitement par Propranolol est débuté. Au vu de l'absence de symptômes cliniques et en attendant les résultats de la biopsie, un retour à domicile est organisé, avec suivi en ambulatoire gastroentérologique rapproché, lors duquel un avis formel en centre universitaire sera demandé en vue d'une éventuelle résection diagnostique. Mr. Y, dont les antécédents vous sont bien connus, est admis pour un contrôle d'un appareillage BiPAP par polygraphie nocturne, capnographie et gazométrie artérielle. Sur le plan clinique, le patient ne décrit aucun changement depuis la dernière consultation, tant sur le plan respiratoire que somnologique. Concernant son traitement par BiPAP, Mr. Y explique ne pas utiliser la machine plus d'une heure par nuit, du fait d'une intolérance au masque, avec endormissement impossible et fuites importantes. Nous notons que cette situation est superposable à la dernière consultation ambulatoire du sommeil, où le patient n'utilisait la machine que 2h par nuit. L'analyse statistique ResScan du 27.11.2019 au 13.01.2019 confirme une faible compliance, avec une utilisation moyenne par jour de 01h15min, malgré amélioration des fuites et adaptation du masque lors de la dernière visite. Au vu de la très faible compliance au traitement, il est à nouveau très difficile d'interpréter les données concernant l'appareillage. Le patient explique lui-même ne pas voir le bénéfice d'un tel traitement. Les examens du jour montrent des apnées résiduelles (IAH 18.8/h) avec une capnie dans la norme (tcPCO2 moyenne 4.92 kPa) sans hypoxémie nocturne à l'air ambiant (SpO2 moyenne 93.1%), malgré des fuites très importantes (95e centile : 75.6 l/min). Sur le plan respiratoire, une BPCO stade III B selon GOLD est traitée par bronchodilatateur inhalé (Ultibro Breezhaler) avec une bonne stabilité clinique et l'absence de plainte. Au vu des éléments sus-mentionnés et en l'absence d'argument permettant d'affirmer que le patient bénéficie d'un appareillage par BiPAP, nous décidons en accord avec le patient de ne pas continuer un tel traitement, tout en poursuivant le traitement d'Ultibro. Nous restons naturellement à disposition en tout temps en cas de péjoration sur le plan somnologique ou respiratoire. Mme. Y a consulté les urgences les 26 et 27.12.2019 suite à des épisodes récidivants de myoclonie sous forme de crispation de la main droite avec fasciculations au niveau de la paupière droite et de la joue droite, d'une durée d'environ 8 minutes et spontanément résolutifs. Le 28 décembre 2019, elle reconsulte les urgences en raison d'une gêne douloureuse de type pression derrière l'œil droit. Elle a également présenté une crise myoclonique de l'hémiface droite ainsi que du membre supérieur droit sans autre symptôme neurologique. Nous effectuons un CT cérébral qui met en évidence une lésion de 10 mm annulaire au niveau du lobe pariétal gauche et une lésion de 4 mm au niveau occipital, avec œdème péri-lésionnel. L'IRM cérébrale confirme les lésions sans pour autant distinguer une lésion néoplasique d'un abcès cérébral. Au vu d'un contexte possible de néoplasie, le bilan complet thoraco-abdominal révèle la présence d'adénopathie médiastinale d'allure suspecte qui a conduit à une bronchoscopie organisée pour le 03.01.2020. Selon l'avis de l'infectiologue, l'étiologie d'abcès cérébraux est retenue comme la plus probable. Dans ce contexte, le dosage des CD4 est revenu dans les normes et le dépistage HIV négatif. La patiente bénéficie d'une corticothérapie ainsi que d'une antibiothérapie IV de ceftriaxone et Metronidazole per os. Suite à l'épisode de myoclonie, un EEG effectué met en évidence un ralentissement antérieur gauche d'allure lésionnelle sans composante d'irritation. Sur avis neurologique, la patiente est mise sous traitement de Keppra. Sous ce traitement, la patiente ne présente plus de récidive de myoclonies. Elle sera revue à la consultation du Dr. X (neurologue HFR) avec un EEG de contrôle le 26 mars 2020. Nous informons la patiente de l'interdiction de la conduite d'automobile jusqu'à la nouvelle évaluation neurologique. Comme déjà mentionné, Mme. Y est transférée à Fribourg pour une broncoscopie diagnostique le 02.01.2020.Suite à l'épisode de myoclonie, un EEG effectué met en évidence un ralentissement antérieur gauche d'allure lésionnelle sans composante d'irritation. Sur avis neurologique, la patiente est mise sous traitement de Keppra. Sous ce traitement, la patiente ne présente plus de récidive de myoclonies. Elle sera revue à la consultation du Dr. X avec un EEG de contrôle le 26 mars 2020. Nous informons la patiente de l'interdiction de la conduite d'automobile jusqu'à la nouvelle évaluation neurologique. L'évolution étant favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 08.01.2020 avec activation des soins à domicile pour la poursuite de l'antibiothérapie iv. Un contrôle à votre consultation est prévu le 20.01.2020. Mme. Y est une patiente de 61 ans, en bonne santé habituelle, qui est adressée par le Dr. X en raison d'une paralysie faciale droite présente depuis le 05.01.2020, avec notion de chute de sa hauteur avec traumatisme crânien sans perte de connaissance le 01.01.2020. Un CT cérébral a été demandé par le Dr. X, effectué dans notre établissement, ne montrant pas de lésion fracturaire, mais une hémorragie intra-parenchymateuse frontale gauche. Le bilan est initialement complété par un angio-CT cérébral ainsi que des vaisseaux pré-cérébraux qui ne mettent pas en évidence de thrombose, ni d'autre lésion vasculaire hormis l'hémorragie précitée. Pour rappel anamnestique, la patiente décrit une chute accidentelle de sa hauteur le 01.01.2020 avec réception sur la région occipitale, sans céphalées, nausées ou vomissements par la suite, puis elle décrit avoir été exposée au froid durant plusieurs heures le 05.01.2020, avec survenue progressive en 24 heures de paresthésies puis d'une paralysie de l'hémiface droite. À l'examen clinique aux urgences, le statut neurologique est globalement dans la norme hormis la paralysie faciale mise en évidence par un effacement des rides du front, une impossibilité d'occlusion complète de l'œil ainsi qu'un affaissement du pli nasogénien et une chute de la commissure labiale droite. Le bilan biologique est sans particularité. Au vu de l'hémorragie intracérébrale et de la situation globale, la patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique et suite de la prise en charge. Un CT cérébral est effectué le lendemain de l'entrée et ne met pas en évidence de péjoration ou d'évolution défavorable de l'hémorragie. Un avis est pris auprès de nos collègues neurochirurgiens de l'HFR Fribourg qui préconisent un contrôle à 4 semaines avec scanner et consultation de neurochirurgie, sans autre prise en charge particulière. Un avis est également demandé à nos collègues neurologues de l'HFR Fribourg en raison de la paralysie faciale. Un traitement par corticothérapie intensive est mis en place à raison de Prednisone 60 mg/jour pendant 7 jours et Valacyclovir 3x1 g/jour pendant 7 jours, ainsi que des soins oculaires locaux. Sur demande des neurochirurgiens et des neurologues, le bilan radiologique est complété par la réalisation d'une IRM cérébrale coupes fines qui ne met pas en évidence de fracture mais une zone inflammatoire du nerf VII au niveau du conduit auditif interne signant la présence d'une paralysie faciale périphérique. Au vu de la bonne évolution clinique et de l'absence de nouveaux symptômes neurologiques, Mme. Y peut regagner son domicile le 09.01.2020, avec plusieurs rendez-vous agendés pour suite de la prise en charge : • Rendez-vous en ophtalmologie de l'HFR Fribourg le vendredi 10.01.2020 à 11h15. • Rendez-vous en neurologie de l'HFR Fribourg (Dr. X) le 24.01.2020 à 11h15. • CT cérébral natif à l'HFR Riaz le 03.02.2020 à 11h00. • Rendez-vous en neurochirurgie de l'HFR Fribourg le 04.02.2020 à 10h00. Mme. Y est admise au service de médecine interne pour prise en charge d'une masse de la tête du pancréas découverte le 19.12.2019 par IRM, dans le contexte d'un ictère prurigineux et d'une perte de poids de 10 kg survenue rapidement. L'ERCP du 23.12.2019 montre un envahissement de la paroi médiane du 2ème duodénum et une infiltration avec compression du 3ème duodénum jusqu'à l'angle de Treitz. Des biopsies prélevées durant l'ERCP confirment la présence d'un adénocarcinome du pancréas. Compte tenu de l'envahissement duodénal, la pose d'un stent biliaire par voie endoscopique est impossible. Un drainage externe est réalisé en radiologie interventionnelle. Une pose de stent biliaire par la radiologie interventionnelle est réalisée le 10.01.2020 au vu d'une situation purement palliative sans prise en charge chirurgicale possible. Sur le plan oncologique, nous complétons le bilan par un scanner thoraco-abdominal qui ne met pas de métastase en évidence. Nos collègues oncologues proposent une chimiothérapie palliative en cas de drainage des voies biliaires efficace avec une récupération d'un bon état général. Au vu de l'évolution clinique et en accord avec la patiente, nous décidons de soins palliatifs et de support sans chimiothérapie. En cas de changement majeur de l'état général de la patiente, nous vous laissons le soin de reprendre contact avec l'équipe d'oncologie. Durant le séjour, la patiente développe une cystite traitée initialement par nitrofurantoïne. Celle-ci se complique par une pyélonéphrite droite avec la mise en évidence d'un E. Coli résistant à la nitrofurantoïne dans les urines. L'évolution est favorable après relais par Ertapenem, que nous vous laissons le soin de poursuivre jusqu'au 19.01.2020. Afin de favoriser un retour au domicile dans les meilleures conditions, une réhabilitation palliative à la Villa St. François est demandée. La fille aménage une pièce à son domicile pour accueillir la patiente avec un soutien par les soins à domicile ainsi que l'équipe de soins palliatifs de Voltigo. La demande Voltigo est en attente d'un contact avec le médecin traitant. Mme. Y est transférée à la Villa St. François le 15.01.2020. Mme. Y est une patiente de 92 ans qui consulte les urgences de l'HFR Fribourg pour une baisse de l'état général avec une grande faiblesse et une impossibilité de se relever du lit, une notion de diminution des mictions depuis 2 jours est à noter également. Pour rappel, Mme. Y est hospitalisée dans le service de médecine et de gériatrie du 22.08.2019 au 14.09.2019 pour un accident vasculaire cérébral ischémique du gyrus para-central droit ainsi que pour un état confusionnel sur une infection urinaire. À son entrée en gériatrie, Mme. Y est confuse, calme et collaborante. Au vu de la barrière de la langue, l'anamnèse est limitée mais la patiente ne présente pas de plainte spontanée. Au statut d'entrée, Mme. Y est tachycarde à 100 battements par minute, hypertendue à 200/110 mmHg, fébrile à 38°C et désorientée dans les 3 modes. L'examen cardiovasculaire montre des bruits cardiaques normaux sans autres bruits surajoutés. Sur le plan abdominal, Mme. Y montre un inconfort au niveau de l'abdomen en sus-pubien, sans défense ni détente avec des bruits normaux en fréquence et en intensité. Les loges rénales sont douloureuses à la percussion. Le bilan biologique réalisé met en évidence une CRP à 115 mg/l sans franche leucocytose. Le stix urinaire montre des leucocytes ++ confirmés par un sédiment montrant de 21 à 40 leucocytes/champ. Devant ce tableau clinique et biologique, nous retenons le diagnostic d'infection urinaire haute à germe indéterminé pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie sous Rocéphine du 08.01.2020 au 11.01.2020 relayé par Bactrim du 11.01.2020 au 14.01.2020 pour une durée totale de 7 jours.Sur le reste du bilan, nous objectivons une carence en vitamine D pour laquelle nous procédons à une substitution. Une hyperkaliémie est également repérée à 5.1 mmol/l, qui évolue favorablement après l'administration de Résonium. Nous remarquons une agitation pour laquelle nous retenons le diagnostic d'état confusionnel aigu objectivé avec un score de CAM (3 critères) dans le contexte de l'infection urinaire ; s'améliorant après traitement de l'infection. Nous retrouvons une insuffisance rénale chronique de stade G3bA2 avec une protéinurie retrouvée dans les urines qui s'est acutisée probablement dans le contexte de l'infection. Nous retenons une étiologie probable de néphropathie hypertensive. Après avoir retrouvé une stabilité initiale, les fonctions rénales se péjorent à nouveau durant le séjour probablement dans le contexte de la déshydratation et de l'antibiothérapie mise en place que nous parvenons à équilibrer par la suite. Nous vous proposons de procéder à un contrôle biologique à votre consultation. Concernant l'hypertension artérielle à 200/110 mmHg à son arrivée, nous poursuivons le traitement sous Perindopril avec un profil tensionnel contrôlé par la suite. Durant son séjour, Mme. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche est de 10 mètres à l'aide d'un rollator et de deux personnes et peut gravir les escaliers avec l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 24/126 (MIF physio : transferts 2/7, déplacements 2/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas réalisable. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une bonne couverture des apports alimentaires. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage n'ont pu être effectués en raison de la barrière de la langue. Le 20.01.2020, Mme. Y est admise en réhabilitation gériatrique. Mme. Y, 65 ans, est hospitalisée le 09.01.2020 à l'HFR Fribourg en raison d'une exacerbation de sa BPCO. Elle est amenée aux urgences en ambulance suite à une chute mécanique avec réception occipitale. Une désaturation à 78 % à l'air ambiant est mise en évidence. Elle rapporte également une dyspnée NYHA stade IV évoluant depuis 2 semaines, avec une notion de contagion chez des amis. Un bilan met en évidence un syndrome inflammatoire, avec une procalcitonine dans la norme et une hypoxémie sans répercussion à la gazométrie. La patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge en médecine interne. Elle bénéficie d'aérosols d'Atrovent et de Ventolin, ainsi que de physiothérapie respiratoire et d'oxygénothérapie avec une évolution favorable. Mme. Y rentre à domicile le 13.01.2020. Mme. Y consulte pour une dyspnée d'apparition subite au cours de la nuit du 16.01.2020. Au vu de la constellation clinique et biologique avec des d-dimères très légèrement augmentées, un examen par ultrasons des collègues de l'angiologie qui se révèle négatif et une clinique résolutive, nous renonçons à effectuer des examens complémentaires. Nous expliquons à la patiente les résultats des investigations effectuées et les bénéfices et risques d'éventuelles investigations supplémentaires. Cette dernière accepte la prise en charge proposée et renonce à effectuer d'autres examens. Elle se représentera en consultation de contrôle à 48 heures. Elle est informée de la nécessité de consulter en cas d'apparition de red flags. Mme. Y est hospitalisée pour surveillance après un tentamen médicamenteux avec IEC et anticalcique. Cette patiente, connue pour une polyarthrite rhumatoïde, consomme 20 comprimés d'Amlodipine 5 mg, 10 comprimés de Zoldorm et 10 comprimés de Candesartan 16 mg à visée suicidaire. Du point de vue somatique, elle est retrouvée inconsciente par son mari, mais réveillable à l'arrivée des secours. Elle n'a pas présenté de trouble hémodynamique majeur, n'a pas nécessité de soutien aminergique. Son traitement antihypertenseur est suspendu, à reprendre si la TAS dépasse 140 mmHg. Un consilium psychiatrique est demandé qui conclut à un trouble de l'adaptation avec perturbation des émotions et des conduites. Une hospitalisation en milieu psychiatrique est demandée pour une patiente banalisant massivement son passage à l'acte, qui n'est pas demandeuse de soins et qui ne dispose pas d'un suivi psychiatrique quelconque. La patiente est transférée le 05.01.2020 à Marsens. Mme. Y, 74 ans, est hospitalisée dans notre service de médecine interne en raison d'oedèmes d'origine indéterminée. La patiente présente une baisse de l'état général depuis environ 1 semaine, avec des oedèmes des membres inférieurs connus en majoration depuis également une semaine, et apparition d'un oedème facial des joues associées à des télangiectasies, et dans une moindre mesure périorbitaire. Le bilan biologique ne retient pas d'argument pour une atteinte rénale ou cardiaque. Une origine médicamenteuse est suspectée dans le contexte d'introduction récente d'Arcoxia. L'évolution est favorable avec une diminution progressive des oedèmes de la face et des membres inférieurs suite au retrait de ce traitement et l'introduction de Torasémide. En parallèle, la patiente présente des douleurs inguinales droites, d'allure mécanique. Une radiographie du bassin et de la hanche confirme la présence d'une importante coxarthrose. La symptomatique est lentement régressive avec une antalgie et de la physiothérapie. A noter que la patiente se mobilise habituellement avec une canne en raison des douleurs. Nous vous laissons réévaluer les douleurs à votre consultation, et éventuellement adresser la patiente à une consultation orthopédique. En raison d'une suspicion de maladie de Parkinson de votre part, vous introduisez du Madopar et organisez un suivi au Neurocentre ; la patiente ne peut se rendre au rendez-vous du 10.01.2020 en raison d'une recrudescence de ses douleurs. Un consilium neurologique conclut à une maladie de Parkinson de type akinéto-rigide. En raison de la clinique aiguë des oedèmes, le Madopar est suspendu, et la patiente sera vue au Neurocentre le 22.01.2020 où l'introduction du Madopar sera réévaluée. Mme. Y rentre à domicile le 15.01.2020. Mme. Y consulte en raison d'un panari. Suite à un statut clinique ciblé, nous effectuons une incision avec désinfection par Octanisept, anesthésie en bague par Rapidocaïne, incision proximal au lit de l'ongle-angle ulnaire de l'ongle, désinfection par Octanisept, bandage stérile. Nous initions une antibiothérapie à base d'amoxicilline 1 g 3x/j. pour 5 jours ainsi qu'une antalgie par Novalgin et Brufen. La patiente sera vue en contrôle à la permanence le 11.01.2019 pour un suivi. Elle est invitée à se représenter en urgence en cas de fièvre ou de signes infectieux locaux. La patiente est libre de rentrer à domicile. Mme. Y est admise aux soins intensifs dans le post-opératoire après une spléno-pancréatectomie distale par laparotomie bi-sous-costale avec patch jéjunal. Une lésion kystique pancréatique suspect de IPMN dégénéré est découverte chez cette patiente, connue pour une polyarthrite rhumatoïde. Elle bénéficie de l'intervention sus-mentionnée par laparotomie avec intervention de Roux et utilisation d'une anse digestive collée après ablation du pancréas sur la zone restante. Patiente sous anesthésie générale avec péridurale, sans complications anesthésiques. Extubation puis transfert aux soins intensifs.initialement nécessité de petites doses de Noradrénaline puis possibilité de sevrage rapide. Sur le plan antalgique, la patiente présente des douleurs au niveau T12 nécessitant l'augmentation du débit de Bupivacaine dans péridurale puis on retire le cathéter de péridural de 2 cm avec bonne amélioration des douleurs secondairement. La patiente garde des glycémies correctes qu'il faut continuer de surveiller. Nécessité de remplissage dans contexte d'hypotension face à péridurale et possible retard de remplissage. Mme. Y est une patiente de 64 ans connue pour une polyarthrite rhumatoïde, qui est hospitalisée pour la résection d'une lésion polykystique du pancréas suspecte d'un IPMN. Elle bénéficie d'une spléno-pancréatectomie distale par laparotomie bi-sous-costale avec patch jéjunal le 07.01.2020 qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont marquées par une évolution favorable tant sur le plan clinique que biologique. Un drain doit cependant être laissé en place pour s'assurer du bon drainage en regard de l'anastomose. La patiente peut regagner son domicile le 20.01.2020 avec le drain en place et sera revue à la consultation du Dr. X le 27.01.20 à 10h30 pour discuter de l'ablation du drain. Mme. Y, patiente de 80 ans, est hospitalisée pour une chute devant la maison avec réception sur l'occiput, avec amnésie circonstancielle, sans perte de connaissance. Elle se plaint de légères douleurs au niveau occipital sur le point de chute. À noter que la patiente a récemment commencé un traitement par Tramal pour les douleurs importantes sur l'arthrose de hanche. Le bilan montre un CT sans particularité, une échocardiographie transthoracique montrant une sclérose aortique et une FEVG conservée. À noter que ce dernier examen met en évidence un kyste hépatique confirmé au CT. Le test de Schellong est pathologique. Le bilan sanguin met en évidence des déficits vitaminiques et un syndrome inflammatoire. L'auscultation pulmonaire retrouve de légers râles en base gauche motivant un CT thoracique montrant une pneumonie du lobe inférieur gauche avec épanchement pleural gauche. Nous prélevons des hémocultures à froid et des antigènes urinaires, qui reviennent tous deux négatifs et mettons la patiente sous ceftriaxone iv du 19.12.2019. L'épanchement pleural est drainé et révèle un exsudat dont la culture est négative. L'évolution est favorable avec diminution du syndrome inflammatoire. Sur le plan cardiaque, nous mettons en suspens le Co-Tenolol au vu de la bradycardie. Nous vous laissons le soin de reprendre cette thérapie en fonction de l'évolution. Sur le plan orthopédique, la patiente est connue pour une coxarthrose droite avec opération prévue en mars. Toutefois, elle se déplace sans douleur notable et la marche pathologique dénote plutôt un syndrome extra-pyramidal sur flupentixol. La radiographie montre une arthrose légère sans indication opératoire d'emblée. En raison de l'amélioration des douleurs, nous vous proposons de réévaluer cette indication. Sur le plan social, la patiente habitait à la maison avec son mari. Après discussion avec elle, la patiente souhaite être institutionnalisée car ne peut plus rentrer avec tous ses escaliers, de préférence avec son mari. À noter que ce dernier devrait être institutionnalisé dans une unité USD. Nous demandons donc une place à l'UATO afin de réévaluer le projet. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 75 ans, connue pour maladie d'Alzheimer et sinusite chronique, se présente aux urgences le 21.01.20 en raison d'une baisse de l'état général avec des tremblements diffus associés à une perte d'urines et de selles. À l'arrivée, on constate un état fébrile à 38.5°C. Le bilan montre une pyélonéphrite à E. Coli multi-sensible traitée par Rocéphine. Au vu d'une douleur en péjoration avec un état fébrile persistant, un CT abdominal permet d'exclure une complication et confirme une pyélonéphrite bilatérale avec une dilatation pyélocalicielle bilatérale sans signe d'obstruction. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable. Au cours de son séjour, elle présente une hypertension artérielle. Un traitement par Lisinopril 5 mg est introduit dès le 28.01.20. Selon l'hétéro-anamnèse avec la famille, la situation à domicile est devenue difficile depuis quelque temps avec une patiente qui a de la peine à s'alimenter et à maintenir son hygiène corporelle. La famille de la patiente signale son épuisement. La patiente vit avec son mari, et a toujours refusé l'intervention des soins à domicile pour elle-même, malgré une situation à domicile qui s'aggrave. Un signalement à la Justice de Paix a déjà été effectué, selon la fille, avec des inscriptions en home. Un réseau avec les enfants et le mari est organisé le 29.01.20, avec comme conclusion un retour à domicile impossible. Mme. Y n'est plus capable de discernement à ce sujet et un signalement à la Justice de Paix est réalisé. Un avis psychiatrique est demandé pour exclure une dépression. À noter un bilan neuropsychologique récent de 2018 montrant l'absence de capacité de discernement. À noter la découverte fortuite d'une lésion kystique multi-lobée de la tête du pancréas mesurant 18 x 15 mm. Cette lésion pourrait être bilantée par une IRM pancréatique en ambulatoire. Nous n'effectuons pas d'investigation dans l'aigu au vu du caractère asymptomatique et de la situation globale de la patiente. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y présente un orteil en griffe symptomatique dû à un pes transverso-planus avec affaissement de la voûte horizontale. Je prescris à la patiente des semelles orthopédiques sur mesure avec appui rétro-capital afin de corriger la déformation du pied. Ceci va également corriger la déformation de l'orteil en griffe. Afin de décharger localement l'articulation IPP du 2ème orteil, je propose le port de pansements spéciaux de décharge. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. La patiente me recontactera en fonction de l'évolution. Mme. Y est transférée de Marsens en médecine sous PAFA pour investigation somatique d'une baisse d'état général. Hospitalisée depuis le 09.12.2019 pour un état confusionnel d'origine indéterminée avec symptômes psychotiques. L'anamnèse est très difficile car la patiente est mutique. Cliniquement, la patiente est fébrile, présente un état d'agitation avec impossibilité de contact, un oedème important du membre inférieur gauche. Le reste de l'examen clinique est non contributif. Le bilan au service des urgences met en évidence une thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche confirmée par nos collègues angiologues montrant une thrombose veineuse proximale étendue du membre inférieur gauche avec probable embolie pulmonaire associée. Une anticoagulation thérapeutique est instaurée. Nous vous laissons le soin de suivre l'INR en ambulatoire et d'adapter la posologie du Sintrom. Une insuffisance rénale aiguë s'améliore après hydratation.La patiente est mise au bénéfice d'une sonde urinaire dès le 22.12.2019. Celle-ci n'est pas retirée avant la sortie en raison d'un escarre sacré en cours de cicatrisation avec soins de plaie aux 48h. Un état fébrile avec syndrome inflammatoire sans foyer clinique franc est traité empiriquement par Rocéphine et Klacid au vu du contexte n'excluant pas une broncho-aspiration. Les antigènes urinaires pneumocoque et legionelle revenant négatifs, nous arrêtons le Klacid et gardons la Rocéphine pour un total de 7 jours. L'évolution du syndrome inflammatoire est favorable avec toutefois une persistance d'un léger syndrome en fin d'hospitalisation. La sonde urinaire est à retirer dès que possible sur le plan des soins de plaies. Concernant l'état confusionnel, la patiente est calme mais reste confuse et mutique malgré de nombreuses adaptations du traitement psychotrope discuté avec les collègues de psychiatrie. Une amélioration progressive de la confusion est observée en parallèle de la baisse du syndrome inflammatoire sans résolution cependant. Mme. Y est retransférée à Marsens le 09.01.2020 pour la suite de la prise en charge au sein du service de psychogériatrie. Mme. Y, âgée de 78 ans, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture du col du fémur G Garden IV traitée par pose d'une PTH et cerclage, le 27.11.2019. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule dans un appartement. Elle est à la retraite et travaillait dans la restauration. À l'admission, la patiente se plaint de douleurs cotées à 7-8/10 sur l'EVA douleurs au niveau de la hanche G, sous antalgie de palier 1 et adopte une position antalgique. L'évaluation de la douleur est biaisée par la labilité de son humeur objectivée par des pleurs et une insomnie avec des difficultés à l'endormissement depuis le décès de son mari il y a 2 ans. Elle présente une hypothymie. Nous majorons son traitement de Saroten le 12.12.2019. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice postopératoire est calme sans signe inflammatoire. La flexion de la hanche G est de 90° en actif. La force du psoas G est cotée à M2 et la force du quadriceps G est cotée à M3-M4. La sensibilité du membre inférieur gauche est conservée. Tout au long de son séjour, Mme. Y a présenté une humeur labile. Un consilium psychiatrique avec le Dr. X, psychiatre de liaison, a été réalisé posant comme diagnostic un épisode dépressif moyen avec syndrome somatique - F32.11. L'augmentation de la dose du Saroten venant d'être prescrite, nous décidons de poursuivre cette médication pour une durée minimale de 3 semaines afin d'objectiver une amélioration éventuelle de son état psychique. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre de 30-35 m en respectant la décharge de 15-20 kg. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche G à 90° en actif. La force musculaire du psoas G est cotée à M3 et le quadriceps G à M4. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 24.12.2019, en bon état général. Les soins à domicile sont activés. Mme. Y est une patiente de 90 ans qui est amenée aux urgences par sa fille dans un contexte de péjoration de dyspnée depuis 1 semaine. Pour rappel, Mme. Y est connue pour une insuffisance mitrale sévère sans suivi cardiologique. Mme. Y n'est pas connue pour des antécédents respiratoires, mais a déjà été vue aux urgences le 07.11.2019 pour le même motif ; un diagnostic de décompensation cardiaque avait été posé ainsi qu'une majoration du traitement diurétique avec un retour à domicile sans hospitalisation. Sa fille rapporte une amélioration depuis la majoration du traitement diurétique mais que depuis une semaine, elle note une péjoration de la dyspnée ainsi que de l'état général. Il ne nous est pas rapporté de toux ou d'état fébrile, de douleur abdominale, de trouble du transit mais une tendance à la constipation, pas de brûlure mictionnelle mais une pollakiurie, sans céphalée. Sur le plan social, Mme. Y vit seule avec le passage des soins à domicile 2x/semaine, et est indépendante pour les activités de la vie quotidienne. À l'examen aux urgences, nous retrouvons, sur le plan général, une patiente en état général conservé, calme et collaborante, sans état fébrile, hypertendue avec une tension artérielle à 208/90 et une saturation à 88% à l'air ambiant. Sur le plan cardiovasculaire, des bruits cardiaques B1 et B2 bien frappés, sans souffle surajouté avec cependant des signes de surcharge et des œdèmes importants aux membres inférieurs. Sur le plan pulmonaire, nous auscultons des crépitants et des ronchis bibasaux (prédominants à droite), sans hypoventilation. Au niveau abdominal, l'abdomen est souple et indolore. L'examen neurologique est dans la norme. Le bilan biologique à l'étage montre une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 138 umol/l, une urée à 11,1 mmol/l, sans troubles hydro-électrolytiques, sans syndrome inflammatoire avec une CRP < 5 mg/l, une leucocytose (7,3 G/l), une hémoglobine à 111 g/l et la Pro-bnp à 2810. Nous notons une hypertension à 208/85 à l'entrée pour laquelle nous prescrivons de la Nifédipine en ordre unique avec une amélioration de la tension artérielle. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer mais des signes de surcharge. Nous posons le diagnostic décompensation cardiaque et nous mettons en place un traitement par diurétique en intraveineux. L'évolution est favorable avec perte de poids de 2 kg durant le séjour. Sur le plan rénal, nous mettons en évidence une acutisation de l'insuffisance rénale chronique. Nous mettons en pause la Metfin et Atacand. Après le traitement de l'insuffisance cardiaque, la fonction rénale revient aux valeurs de base. Créatinine de sortie à 144 mcmol/l. Sur le plan diabétique, nous mettons en place une insulinothérapie avec normalisation des glycémies. La patiente bénéficie d'une prise en charge en physiothérapie, la MIF à la sortie est à 44/126 non changée depuis l'entrée (Physio : transferts 5/7, déplacements 5/7 et escaliers non faits), le TUG est à 39 sec avec rollateur, elle marche 200 m avec rollateur. En ergothérapie, le BME montre des troubles de la mémoire et des difficultés de compréhension. Désorientée dans le temps et l'espace, déficit d'attention, difficultés au niveau des praxies. Anosognosique de ses difficultés. Sur le plan nutritionnel, le BMI est à 29 et la patiente ne présente pas de dénutrition actuellement avec couverture des besoins nutritifs et protéiques. Le 24.12.2019, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 09.01.2020, Mme. Y rejoint le Foyer St-Joseph à Sâles. Mme. Y, 53 ans, est admise aux soins intensifs pour NSTEMI sur occlusion aiguë de la CD proximale le 01.01.2020. Cette patiente consulte aux urgences de Tavel pour des douleurs thoraciques typiques apparues la nuit du 01.01.2020. L'ECG montre un sous-décalage du segment ST dans le territoire inféro-latéral et le laboratoire montre un mouvement des enzymes cardiaques. Elle est transférée à l'HFR Fribourg le 01.01.2020 pour une coronarographie. Les collègues de Tavel signalent un épisode de bradycardie sinusale extrême à 25/min, asymptomatique et spontanément résolutive (pas de tracé ECG disponible). À son arrivée aux soins intensifs, la patiente est hémodynamiquement stable et n'a pas de plaintes.La coronarographie effectuée en urgence montre une maladie coronarienne bi-tronculaire avec occlusion de la CD proximale (a posteriori chronique) traitée par implantation d'un stent actif. Par ailleurs, il existe une sténose significative et excentrique de la Cx proximale et de la 1ère marginale (artère de petit calibre). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Lors de la reperfusion de l'artère coronaire droite, la patiente présente une bradycardie sinusale nécessitant l'administration de l'atropine. Une double antiagrégation par aspirine et ticagrélol est introduite en parallèle d'un traitement par atorvastatine. Au vu d'une fonction systolique conservée et d'une tendance à la bradycardie, nous n'introduisons pas de traitement par inhibiteur d'enzyme de conversion ni de bétabloquant. Le séjour aux soins intensifs se déroule sans complication. La patiente sera vue prochainement en contrôle chez son médecin traitant, Dr. X, puis elle sera convoquée par le service de cardiologie dans 3-4 semaines pour le traitement de l'artère circonflèxe. Nous avons signalé à Mme. Y l'importance d'arrêter le tabac. Un contrôle strict des facteurs de risque cardiovasculaire doit également être envisagé à long terme. La patiente peut quitter l'hôpital pour rentrer à domicile le 02.01.2020. Mme. Y consulte à la permanence en raison de douleurs abdominales persistantes depuis 10 jours. Nous effectuons un examen clinique ciblé montrant des douleurs diffuses majoritairement sur le trajet du côlon ascendant. Un bilan biologique de dépistage comprenant les tests hépato-pancréatiques revient totalement aligné. Nous effectuons une radiographie de l'abdomen montrant une importante présence de selles dans le cadre colique, raison pour laquelle nous prescrivons du Laxoberon à la patiente. Elle est invitée à se représenter si la situation ne s'améliore pas ou si les douleurs se péjorent. Mme. Y présente une fracture du plateau tibial postéro-externe ne nécessitant pas de prise en charge chirurgicale. Associée à cette lésion, elle présente une rupture complète du LCA et des lésions méniscales. Actuellement, le genou est extrêmement tuméfié donc un examen clinique n'est pas concluant. Je propose dans un premier temps de poursuivre le traitement conservateur. La patiente reste immobilisée dans l'attelle jeans pour une durée totale de 6 semaines. Mobilisation du genou douce en dehors de l'attelle jeans avec une flexion maximale de 40° sans charge pendant 6 semaines. Physiothérapie pour la tonification isométrique de la musculature du quadriceps. Elle continue la thrombo-prophylaxie par Clexane 40 mg sous-cutané 1x/jour. Je reverrai la patiente à 6 semaines du traumatisme pour un contrôle radiologique et ensuite on pourra commencer la rééducation du genou, tout d'abord pour regagner la mobilité et ensuite pour stabiliser le genou. On verra à distance s'il faut s'adresser sous forme d'une arthroscopie à ces lésions de ménisque ou pas. Une plastie du LCA chez une patiente de 52 ans n'est pas indiquée. Prochain contrôle radio-clinique le 21.2.2020 à ma consultation. Jusque-là, la patiente reste en arrêt de travail à 100%. Mme. Y, patiente institutionnalisée, est hospitalisée pour un sepsis avec état confusionnel, amenée en ambulance sur décision du médecin du home. Après bilan biologique et radiologique, une pneumonie est mise en évidence. Une insuffisance rénale acutisée est également présente. Après discussion avec la famille et compte tenu de l'état de santé général de la patiente, une tentative de traitement antibiotique par Ceftriaxone intraveineuse et Clarithromycine orale, ainsi que des bolus de morphine intraveineuse pour un confort respiratoire sont initialement mis en place avec décision de ne pas entamer d'escalade thérapeutique. La patiente montre cependant une amélioration progressive de l'état de conscience. La poursuite du traitement antibiotique jusqu'au 09.01.2020 permet une bonne amélioration clinique et biologique. L'insuffisance rénale se corrige également par une hydratation intraveineuse et la mise en suspens des médicaments potentiellement néphrotoxiques. Selon l'évolution de la thymie, la reprise d'un traitement antidépresseur pourrait être rediscutée, tout comme la reprise d'un inhibiteur de la pompe à protons en cas de symptômes. L'hospitalisation permet la simplification du schéma thérapeutique avec la diminution du traitement diurétique avec 5 mg de Torasemide à la sortie. Le traitement antalgique est simplifié avec le maintien du patch de fentanyl seul avec bonne évolution. Devant un profil tensionnel correct, l'Ibesartan n'est pas repris et est à reconsidérer en cas de majoration du profil tensionnel. À noter l'apparition d'une hypernatrémie hyperosmolaire le 06.01.2020, qui est corrigée par une hydratation par Glucose 5% IV. Au vu d'une évolution clinique et biologique satisfaisante, Mme. Y peut finalement regagner son EMS le 14.01.2019. Syndrome de Madelung symptomatique des 2 côtés. Mlle. Y présente des gonalgies D d'origine indéterminée. Je propose de bilanter le genou par une IRM. Je la revois en consultation le 24.01.2020 afin d'en discuter les résultats ainsi qu'envisager la suite de la prise en charge. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mlle. Y consulte les urgences le 08.01.2020 en raison d'une importante douleur au niveau de la loge rénale droite, avec un état fébrile, sans nausée ni vomissement. Un syndrome inflammatoire est retrouvé au bilan, ainsi qu'une culture urinaire positive avec une présence d'E. coli. Une pyélonéphrite droite est retenue et une antibiothérapie est initiée avec une bonne évolution, permettant un relais per os par du Bactrim forte pour une durée totale de 7 jours. La patiente rentre à domicile le 11.01.2020 et prendra rendez-vous à votre consultation pour un contrôle. Madopar mis en suspend temporairement dans le contexte du diagnostic principal. Consilium neurologique le 13.01.2020. Consultation ambulatoire au Neurocentre le 22.01.2020. Magnesiocard. Magnesiocard 10 mmol 1x par jour du 02.01 au 05.01.2020. Magnesiocard 10mmol 1x/j dès le 12.12.2019. Magnésium à 0,69 mmol/l le 16.09.2019, 0,71 mmol/l le 08.11.2019. Poursuite substitution p.o. Bilan nutritionnel. Magnésium IV. Magnésium IV le 27.12.2019. Magnesium le 17.01. Cordarone intraveineuse le 17.01.2020. Cordarone PO dès le 17.01.2020. Contrôle pacemaker le 17.01.2020. Radiographie thoracique le 17.01.2020. Magnésium per os. Holter en ambulatoire (le patient sera convoqué). Magnésium sulfate en intra-veineux. Phosphate per os. Magnesium sulfate 2 g iv le 29.12.2019. Resonium 15 mg le 01.01.2020. Magnésium sulfate 2g en intra-veineux le 29.12.2019. Magnésium sulfate 8 mg iv du 25.12.2019 au 06.01.2020. Magnesium 2g IV le 19.12.2019. Substitution phosphate de potassium 40 mmol puis par phosphate de sodium IV le 19.12.2019. Magnesiumsulfate 20 mmol iv. Magnesiumsulfate 5 mmol iv. Constats de décès. Famille avertie. Main D : • Lésion du ligament collatéral radial Dig I St. p. reconstruction du ligament collatéral radial avec prise de greffe du tendon palmaris longus latéral et fixation par vis Pick ténodésis 3 x 8 mm le 22.07.2019.Main D : Maladie de Dupuytren avec infiltration de la poulie A1. St. p. cure de maladie de Dupuytren main D le 22.07.2019. Main D : St. p. cure doigt à ressaut Dig III et IV le 15.10.2019. St. p. cure doigt à ressaut Dig II et V 2017. Doigt à ressaut stade 1 selon Green Dig IV G. Main D : syndrome canal carpien post-traumatisme du 06.09.2018. Inflammation du nerf ulnaire au niveau du canal de Guyon. Main D dig II : fracture multifragmentaire P3 le 03.04.2018. Main D dig II : fracture multifragmentaire P3 (03.04.2018). Main D (dominant) : • St. p exploration plaie Dig II à droite avec neurorrhaphie épineurale du nerf digitopalmaire ulnaire et col tissuel, suture FDP, suture branche radiale FDS et résection branche ulnaire le 19.12.2019 suite à plaie profonde pli palmodigital du 17.12.2019 avec lésion 100 % du nerf digitopalmaire ulnaire, lésion 30 % FDP (zone 2c/d) et lésion 100 % FDS (zone 2c/d). Main D (dominante) : Entorse de la plaque palmaire PIP Dig IV le 05.11.2019 traitée conservativement. Main D (dominante) : Fracture métacarpienne IV du 27.09.2019. • Traitement conservateur. Main D (dominante) : Fracture sous-capitale du Vème métacarpien. Main D (dominante) : Suspicion crise de goutte. DD : Pseudo-goutte. Main D (dominante), traumatisme du 25.10.2019 avec : • Plaie de la paume s'étendant de la poulie A1 Dig II jusqu'à la poulie A2 Dig V, sans atteinte neuro-vasculo-tendineuse. • Fracture transverse déplacée de P1 Dig IV. • Défect cutané face dorsale de 10x10 cm. Main D en deux plans : Par rapport aux clichés du 09.12.2019, consolidation de la fracture. Main D (non dominant) : Fracture sous-capitale du Vème métacarpien avec bascule palmaire le 06.01.2020. Arrachement de la plaque palmaire PIP Dig III avec arrachement du LCR PIP Dig III le 06.01.2020. Main droite : Dig III à ressaut et syndrome de tunnel carpien bilatéral plus marqué à D qu'à G. Main G : • Fracture ouverte de la houppe de P3 Dig III et IV par scie circulaire le 02.08.2019. Main G : infection face dorsale main G sur morsure de chien le 10.05.2016. • Germes en cause (flore mixte : Pasteurella canis, Pasteurella stomatis, Neisseria weaveri, Streptocoques, anaérobes). Main G : Lésion à 100 % Nn. médian et ulnaire et A. ulnaire, FCU, FDS III à V, FDP III à V le 26.07.2019. • St. p. neurorraphie N. médian et ulnaire, suture A. ulnaire et suture tendineux FCU, FDS III à V, FDP III à V le 26.07.2019. Main G : • St. p. fracture sous-capitale MC V avec cal vicieux (date pas connue). • St. p. distorsion MCP V le 11.09.2019. Main G : 2 kystes vs fibromes face dorsale du poignet au sein de l'EIP et de l'EDC III. Maladie de Dupuytren Dig IV stade I selon Tubiana. St. p. trapézectomie et plastie de suspension. Main D : St. p. trapézectomie et plastie de suspension. Main G (adominant) : • Arthrose STT avec éventuelle irritation du FCR. • Kyste arthrosynovial dorso-radial. • St. p. infiltration du kyste en surface du ligament scapho-lunaire, par le Dr X le 08.01.2020. Main G (adominant) : Dig III à ressaut stade 2 selon Green. Main G (adominant) : St. p. fracture Winterstein le 03.01.2019. St. p. ostéosynthèse plaque le 07.01.2019. St. p. AMO le 23.05.2019. Actuellement : Adhérences APL, EPB, neurapraxie ramus superficalis nervi radialis. DD : Scar tethering. Main G (non dominante) : Probable tumeur à cellules géantes de la gaine des fléchisseurs de Dig II, face palmaire en zone 2. MAIN GAUCHE : fractures de la base de P1 du doigt 2-4 sans déplacement. Tuméfaction de parties molles autour des fractures. MAIN GAUCHE : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. MAIN GAUCHE, POIGNET GAUCHE FACE ET PROFIL ET SCAPHOIDE GAUCHE : contenu calcique en relation avec l'âge de la patiente. Remaniement arthrosique radio-ulnaire. Arthrose radio-scaphoïdienne avec pincement articulaire et discrète réaction ostéophytaire de la styloïde radiale. Rhizarthrose modérée. Absence de lésion traumatique visible des os du carpe en particulier sur les incidences à disposition. Intégrité du scaphoïde. Arthrose scapho-trapézoïdenne. Remaniements dégénératifs arthrosiques interphalangiens du pouce. Ostéome capsulaire bien corticalisé du versant ulnaire de l'articulation interphalangienne proximale du 3ème doigt. Remaniements dégénératifs arthrosiques interphalangiens distaux des doigts II à V. Maintenant initiation d'un traitement physiothérapeutique pour renforcement de la coiffe des rotateurs et recentrage de la tête humérale. Reprise du travail à 60 % dès le 3.2.2020. Prochain contrôle chez moi le 5.3.2020. Maintien à domicile difficile. • Patiente vivant chez sa fille travaillant à 100 %. Maintien à domicile impossible. Maintien impossible à domicile dans le contexte de troubles cognitifs sur maladie d'Alzheimer. • Inscription aux homes déjà effectuée. Majoration Betabloquants. Digoxine et Cordarone 06.01.2020. Avis médecine interne. Majoration Co-Amoxicilline à 1 g 3x/jour. Contrôle à 48 heures au secteur ambulatoire des urgences. Majoration de la statine. Bilan lipidique le 17.01.2020. LDL-cible < 1.8 mmol/l. Majoration de l'antalgie. Prochain contrôle le 07.04.2020. Majoration de l'antalgie. Rotation AINS. Utiliser les positions antalgiques. Majoration de l'atorvastatine à 60 mg le 01.01.2020 pour une cible de LDL < 1.4 mmol/l. Contrôle des CK et des tests de cytolyse le 03.01.2020 : dans la norme. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Majoration de l'atorvastatine à 60 mg le 01.01.2020 pour une cible de LDL < 1.4 mmol/l. Contrôle des CK et des tests de cytolyse le 03.01.2020 : dans la norme. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Majoration de l'Eliquis à 10 mg 2x/j pour 7 jours, puis 5 mg 2x/j pour 3 mois. Héparine dose thérapeutique du 27.11 au 05.12.2019. Eliquis dès le 06.12.2019, mis en suspens du 12.01 au 14.01.2020 pour la pose de pacemaker. Ultrason le 13.01.2020 (Dr X). Majoration de l'IEC en fonction de la fonction rénale. Reprise de la colchicine selon la fonction rénale (prophylaxie épanchement péricardique), traitement par actemra en ambulatoire à organiser (médecin traitant). Contrôle de l'hémoglobine. Colonoscopie si nouvelle extériorisation de sang. Majoration de l'Inderal. Majoration du Bétabloquant. Majoration du bêtabloquant. Holter en ambulatoire. Majoration du Bilol. Majoration du Demetrin à 10 mg le soir. Majoration du Pantoprazol habituel. Majoration du Pantozol le 06.01.2020. Alucol en réserve. En cas de persistance, contrôle endoscopique à prévoir. Majoration du traitement antalgique : • STOP Zaldiar. • Poursuivre le traitement par Inflamac, Collu-Blache spray. • Ad Dafalgan eff 1 g 4x/jour + Tramal gttes 50 mg 4x/jour. Poursuivre le traitement antibiotique par Co-Amoxi 1 g 2x/jour PO. Suivi par MT en ambulatoire. Majoration du traitement anti-hypertenseur. Majoration du traitement antihypertenseur. Majoration du traitement de manière transitoire. Majoration du traitement diurétique. Réévaluation de la possibilité de majorer le traitement cardio-protecteur de Losartan. Majoration du traitement hypolipémiant. Majoration du traitement laxatif. Majoration du traitement le 31.12.2019. Contrôle à faire dans 3 semaines. Majoration du traitement le 31.12.2019. Contrôle à faire dans 3 semaines. Majoration du traitement par IEC et bêta-bloquant selon tolérance.Echocardiographie transthoracique prévue le 13.02.2020 à 10h00 Discussion d'une coronarographie selon la récupération de la FEVG : • +/- ablation de flutter • +/- introduction d'aldactone Le patient prendra contact avec vous-même pour suivre l'adaptation du Sintrom Suivi du poids avec adaptation du traitement diurétique Majoration Lantus à 24 unités le soir Majoration Lisinopril Bisoprolol dès le 03.01.2020 Majoration morphine PO via GPR puis IV Arrêt de la nutrition entérale Laxatifs et lavement Prise en charge interdisciplinaire Makatussin gouttes Mometason spray nasal Triomer spray nasal Solmucol cpr eff Makatussin Solmucol Triomer spray nasal Mal de gorge. Mal de gorge, céphalées, arthromyalgies et fièvre. Mal de gorge depuis 2 jours Mal de gorge depuis 3 jours Mal de gorge et arthromyalgie. Mal de gorge, obstruction nasale et arthromyalgie. Mal de gorge, toux sèche et arthromyalgies Mal perforant chronique de la tête du 5ème métatarse gauche Mal perforant plantaire au niveau de la tête du 2ème métatarsien avec dermo hypodermite du pied G associé le 13.12.2019. • Status après de multiples débridements et lavages, la dernière fois le 24.12.2019. Germes trouvés : S. pyogenes [ß-hémol.A], Enterobacter complexe cloacae, Klebsiella oxytoca, Staphylococcus pseudo-intermedius. Mal perforant plantaire de l'hallux droit depuis novembre 2019 • suivi en podologie (Dr. X) • colonisation par Morganella Morganii le 26.11.2019 • Co-Amoxicilline initialement, puis Ciproxine le 27.11.2019, ajout de Clindamycine le 28.11.2019 • CT le 02.12.2019 : pas d'ostéomyélite Mal perforant plantaire en regard de la tête du 1er métatarse du pied G chez un patient connu pour diabète mal perforant. Mal perforant plantaire en regard de la tête du 1er métatarsien pied gauche. Mal perforant plantaire en regard de la tête du 2ème métatarse pied gauche chez un patient diabétique. Mal perforant plantaire hallux droit, adressé par diabétologie pour hospitalisation Mal perforant plantaire surinfecté en regard du moignon pied G avec suspicion d'ostéomyélite du 1er métatarsien sur • Probable surinfection pied G le 19.12.2019 (frottis plaie : Staph. aureus quelques, Staph. lugdunensis quelques) sous antibiothérapie par co-amoxicilline puis Dalacin du 19.12. au 30.12.2019 • Status post débridement, prise de prélèvements, rinçage moignon pied T le 23.11.2018 sur mal perforant plantaire surinfecté par Staph. aureus R pénicilline et Alcaligenes faecalis. • Status post surinfection à Staph. aureus pied G en août 2018 traitée par antibiothérapie • Amputation transmétatarsienne pied G sur gangrène gazeuse et confection d'un lambeau le 01.11.2014 Mal perforant tête du 5ème métatarse pied droit • dans un contexte de Diabetes Mellitus type II Malade coronarienne bitronculaire, valvulaire avec : • Status après-STEMI latéral le 27.12.2018 traité avec stenting de l'artère circonflexe • Stenting de l'artère coronaire droite le 22.02.2019 pour une lésion significative • FEVG à 55% avec hypokinésie latérale • Dyspnée NYHA II • Actuellement : patient stable, asymptomatique, absence d'évidence pour une progression significative de la maladie coronarienne • Sténose aortique modérée avec une surface d'ouverture valvulaire à 1.4 cm2 par planimétrie Maladie Alzheimer à début tardif. Démence de maladie Alzheimer, forme atypique ou mixte en mars 2017 par Dr. X. Maladie Alzheimer modérée à sévère Cardiopathie hypertensive et valvulaire : • TAVI septembre 2016 • Holter du 25.01.2017 : pas de troubles significatifs • Echocardiographie trans-thoracique le 13.08.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Hypercholestérolémie Ostéoporose fracturaire avec : • Fracture du L1 type A1.2 traitée par Cyphoplastie L1 avec SpineJack et ciment Cohésion 8 cc le 27.06.2014 • Fracture-tassement L4 bi-concave, grade III selon Genant avec vertebral cleft, traité par vertébroplastie L4 par Vertecem 6.5cc le 16.09.2019 • Suspicion fracture par insuffisance du sacrum 31.10.2019 • Cyphoplastie avec Spine Jack moyen 5.0 mm et 6 cc de ciment cohésion au niveau L3 bipédiculaire et vertébroplastie préventive monopédiculaire de L2 par la gauche avec 5.5 cc de ciment Vertecem 08.11.2019 Epilepsie depuis le jeune âge adulte avec : • Introduction traitement par Vimpat le 08.08.2017 • EEG du 10.08.2017 : bradydysrythmie diffuse avec suspicion d'un minime foyer irritatif fronto-central droit. • Crise tonico-clonique généralisée du 09.08.2017 sous Valproate (taux thérapeutique à 10.08) et 24h après charge en Vimpat, dans contexte d'introduction récente d'Halodol • Crise en 03.2017 lors d'une tentative d'introduction de Mémantine • Crise tonico-clonique généralisée avec chute et traumatisme cranien le 14.09.2015 • Chute accidentelle avec suspicion de traumatisme crânien mineur et amnésie circonstancielle le 11.06.2015 Tremblements des membres supérieurs probablement d'origine médicamenteuse (Dépakine) MGUS avec : • Anémie macrocytaire normochrome • Gammapathie-monoclonale IgM Kappa • Béta-2 microglobuline augmentée, Vitesse de sédimentation augmentée à 32mm/h • Ponction de moelle le 24.07.2014 : présence de 5% de plasmocytes polytypiques. Neuropathie périphérique sensitivo-motrice discrète et longueur dépendante avec probable syndrome du tunnel carpien droit surajouté en 07.2016 Quadranopsie inférieure droite sur glaucome et cataracte : • Sp phakectomie de l'œil droit • Sous travatan • suivi Dr. X Syndrome post-thrombotique du membre inférieur gauche avec oedèmes avec : • Thrombose avec thrombectomie il y a 10 ans Insuffisance rénale chronique KDIGO stade G3a A1 Oesophagite érosive de reflux et endobrachy-oesophage avec gastrite antrale nodulaire (OGD 12/2002 Dr. X, 09/2013 Dr. X) Diverticulose spastique non inflammatoire (colonoscopie 27.11.2015, Dr. X) Chutes à répétition Polyarthrite rhumatoïde séronégative de forme non érosive depuis 1991 : • Intolérance à méthotrexate et Actemra (Tocilizumab) • Orencia 1x/semaine (Abatacept) • Suivi par Dr. X Maladie anévrismale : • 29.10.2019 : TEVAR avec transposition sous-clavière G (CHUV) • 2017 : échec de recanalisation endovasculaire iliaque D • 02.04.2014 : cure d'anévrisme des artères iliaques communes, interne G et commune D à l'aide d'endoprothèses ViaBahn Maladie aortique avec insuffisance aortique modérée et sténose aortique valvulaire congénitale modérée : • Opération de Ross le 16.07.2018 (Dr. X au CHUV) avec mise en place d'une homogreffe entre le ventricule droit et la bifurcation pulmonaire.Syndrome de Dressler post-péricardotomie traité par stéroïdes fin juillet 2018 et septembre 2018 (ce dernier avec légère atteinte myocardique). Maladie aortique avec insuffisance aortique modérée et sténose aortique valvulaire congénitale modérée: • Opération de Ross le 16.07.2018 (Dr. X au CHUV) avec mise en place d'une homogreffe entre le ventricule droit et la bifurcation pulmonaire. • Syndrome de Dressler post-péricardotomie traité par stéroïdes fin juillet 2018 et septembre 2018 (ce dernier avec légère atteinte myocardique). Maladie aortique avec insuffisance aortique modérée et sténose aortique valvulaire congénitale modérée: • Opération de Ross le 16.07.2018 (Dr. X au CHUV) avec mise en place d'une homogreffe entre le ventricule droit et la bifurcation pulmonaire. • Syndrome de Dressler post-péricardotomie traité par stéroïdes fin juillet 2018 et septembre 2018 (ce dernier avec légère atteinte myocardique). Maladie aortique avec insuffisance aortique modérée et sténose aortique valvulaire congénitale modérée: • opération de Ross le 16.07.2018 (Dr. X au CHUV) avec mise en place d'une homogreffe entre le ventricule droit et la bifurcation pulmonaire. • syndrome de Dressler post-péricardotomie traité par stéroïdes fin juillet 2018 et septembre 2018 (ce dernier avec légère atteinte myocardique). Maladie Basedow. Maladie bipolaire, diagnostiquée en 1987 avec : • Episodes dépressifs récidivants • Lithium le 04.10.2018: 0.67mmol/l (Mr. Y dit prendre Lithium 1-0-0.5, lettre psychiatre 1-0-0) • Lithium le 16.10.2018: 0.42mmol/l (après ce labo lithium repris à 1-0-0.5, avant 1-0-0) • MMS 27/30, Clock-Test 5/7, GDS 13/15 le 04.10.2018 • Traitement: Lithium, Venlafaxin, Trazodon Polyneuropathie sensomotrice subaiguë, chronique DD Lithium • Sarcopenie des MI d'origine indéterminée avec force diminuée • Clinique: Flapping tremor avec myoclonies négatives, pallhypesthésies distales gauche>droite, hypoesthésies, sarcopénie importante des membres inférieurs avec force M3 gauche, M4 droite, aréflexie des membres inférieurs • EMG le 20.04.2018 (Inselspital Bern): Polyneuropathie sensible • Labo le 15.10.2018: Vitamine B12 446pg/ml (normal), acide folique 6ng/ml (normal), TSH 1.41mU/l (normal), ferritine 148ug/l(normal) Diabète de type 2 (ED 2011), non insulino-requérant avec: • HbA1c 7.0% le 04.10.2018 • traité par Galvus 50mg Hypovitaminose D • 04.10.2018: 46nmol/l • Substitution orale avec 5600IE/semaine Maladie bitronculaire (CD et Cx), avec: • lésion intermédiaire de la Cx à 50-70 %. Lésion sévère de l'ostium de la première marginale à 70-90 %. • coronaire droite proximale est occluse (occlusion aigüe). Tabagisme actif à 30UPA Maladie cérébro-vasculaire : • AVC ischémique de la corne postérieure du ventricule latéral gauche le 24.01.2019 • AVC hémorragique sylvien profond gauche (probablement à départ thalamique gauche), dans un contexte d'angiopathie amyloïde avec hémisyndrome sensitivo, moteur droit et état confusionnel en régression en septembre 2015 (NIHSS à 3) • AIT réseau carotidien gauche fin 2013 Maladie d'Alzheimer avancée et démence vasculaire post-AVC multiples Angiopathie amyloïde cérébrale • suivi par le Dr. X Hypertension artérielle traitée Hypoacousie bilatérale connue appareillée Troubles visuels sur DMLA bilatérale traitée par Monoprost Maladie cérébrovasculaire avec : • AVC en 2008 avec quadranopsie supérieure droite séquellaire • AVC ischémiques aigus multifocaux occipital droit et insulaire gauche le 31.10.2018 • AVC ischémique aigu occipital droit, thalamique postérieur D et cérébelleux bilatéralement le 18.01.2019 avec occlusions de l'a. cérébelleuse supérieure G et de l'a. cérébrale postérieure G d'origine artério-artérielle • AVC ischémique aigu cérébelleux vermien le 26.03.2019 d'origine artério-artérielle probable • AVC ischémique cérébelleux droit inférieur paramédian et occipital droit paramédian d'allure aiguë le 04.06.2019, avec transformation hémorragique d'origine artério-artérielle probable sur occlusion de l'artère vertébrale D en V1-2 et sténose de la vertébrale G en V4 • AVC ischémique thalamique et occipital gauche et de probable origine embolique artério-artérielle le 18.07.2019 • Actuellement: AVC ischémique du pédoncule cérébelleux supérieur gauche et temporo-occipital gauche le 04.01.2020, d'origine artéro-artérielle probable (symptomatologie prédominante: dysarthrie, trouble de l'équilibre) Maladie cérébrovasculaire sur : • status post AVC ischémique à D en 2010 avec une hémiplégie G et dysphagie séquellaire Status post perforation jonction caecum-côlon ascendant sur iléus grêle paralytique le 14.10.2019 et status post laparotomie exploratrice, révision grêle, résection iléo-caecale et split-stomie côlon ascendant-iléon. Maladie cérébro-vasculaire sur fibrillation auriculaire paroxystique probable avec : • Accident vasculaire cérébral ischémique probablement d'origine cardio-embolique avec hémisyndrome droit le 15.10.2019 • Accident vasculaire cérébral ischémique, probablement lacunaire avec dysarthrie et parésie faciale droite, en janvier 2006 • Accident ischémique transitoire dans territoire vertébro-basilaire, en 1999 Probable diverticulose Reflux sur hernie hiatale Polyarthrose Démence vasculaire Leucoencéphalopathie Maladie coeliaque Maladie coeliaque Maladie coeliaque Maladie coeliaque (diagnostic en 1995) Maladie coeliaque. • Polyarthrite symétrique des petites articulations dans le cadre d'une maladie coeliaque. Maladie congénitale neurologique indéterminée • avec importants troubles cognitifs et moteurs associés. Hypomélanose de Ito Maladie coronaire bitronculaire le 03.01.2019 • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). • Occlusion récente de l'artère coronaire droite proximale (voir diagnostic principal) Maladie coronaire bitronculaire • Occlusion subaiguë IVA moyenne • Sténose serrée de la coronaire droite ostio-proximale Maladie coronarienne bitronculaire • occlusion IVA thrombotique proximale : PTCA/Aspiration/3xDES • sténose subtotale CX ostiale : stent actif direct • FE du VG 40%, hypo/akinésie antéro-apicale Maladie coronarienne • s/p pontage coronarien env. 1995 (suivi chez le Dr. X avec dernier ETT et ergométrie en avril sp ) Hypertension artérielle Insuffisance rénale d'allure chronique le 01.01.2020 • DFG 45ml/min selon CKD-EPI Maladie coronarienne • s/p pontage coronarien env. 1995 Hypertension artérielle Maladie coronarienne • 4 pontages coronariens en 1994 (suivi chez le Dr. X avec dernier ETT et ergométrie en avril 2019 dans la norme) Hypertension artérielle Bloc trifasciculaire Insuffisance rénale d'allure chronique le 01.01.2020 • DFG 45ml/min selon CKD-EPI Maladie coronarienne avec lésion monotronculaire avec 3 stents actifs sur la coronaire droite en 2015 Status post arthroscopie du genou gauche en mars 2019 Status post hernie discale en 1993 Status post cholécystectomie en 1976 Status post césarienne Maladie coronarienne avec lésion monotronculaire avec 3 stents actifs sur la coronaire droite en 2015 Status post arthroscopie du genou gauche en mars 2019 Status post hernie discale en 1993 Status post cholécystectomie en 1976 Status post césarienne Radiculopathie L4 D sur volumineuse hernie discale L4-L5 D avec compression majeure du fourreau dural. Herniectomie L4-L5 D sous microscope par fenestration inter-lamaire étendue. Foraminotomie L5 D. Insuffisance respiratoire partielle probablement d'origine mixte. • DD sur traitement d'opioïdes (équiv. 160 mg Morphine po), trouble ventilation/perfusion du côté droit (positionnel, obésité).ECG RX du thorax le 16.11.2019. Gazométrie artérielle. Echographie transthoracique le 15.11.2019. Consilium pneumologie : physiothérapie respiratoire, bilan fonctionnel (fonctions pulmonaires complètes) +/- CT thoracique à organiser à distance. Maladie coronarienne avec lésions bitronculaires : • Sp STEMI inférieur avec stent sur la coronaire droite en 2010. • Sp STEMI antérieur le 05.10.2015. Hypertension artérielle sous traitement. Nodule pulmonaire sous surveillance. Psoriasis. Maladie coronarienne avec lésions tritronculaires : • Occlusion de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). • Sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. • Sténose significative de l'artère bissectrice. • Sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure. • Succès de recanalisation de l'artère interventriculaire antérieure proximale avec pose de 3 stents. • Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. • Implantation de 1 stent actif. Maladie coronarienne avec STEMI inférieur sur sténose sub occlusive de l'artère coronaire droite proximale le 19.03.2012. • pose de 3 stents artère coronaire droite (Prof. Goy). Arthropathie scapulaire gauche d'origine indéterminée. Tabagisme actif (36 UPA). Maladie coronarienne avec sténose complète de la circonflexe en 2000. Insuffisance rénale chronique sur néphropathie hypertensive. Troubles de la marche sur arthrose sévère de la cheville gauche. Syndrome du tunnel carpien droit. Myélome multiple de type IgG Kappa de stade IB selon Durie-Salmon, de stade III selon ISS : • Date du diagnostic : 06.03.2014. • Médullogramme du 03.03.2014 : infiltration plasmocytaire dépassant par endroit 50%. • Cytogénétique et FISH du 03.03.2014 : trisomie 4, 6, 11, ré-arrangement IgH. • Traitement de 1ère ligne de type Bortezomib (Velcade) et dexaméthasone du 27.03.2014 au 21.11.2014. Maladie coronarienne avec (suivi Dr. X) • status post stenting de l'IVA proximale avec un stent bio-résorbable le 03.07.2013. • resténose intra-stent à 40% le 18.08.2014. • angioplastie de l'IVA proximale avec implantation d'un stent actif le 17.10.2017. • légère dysfonction ventriculaire gauche avec fraction d'éjection à 55%, hypokinésie apicale. Maladie coronarienne avec tritronculaires : • sténose subocclusive de l'artère interventriculaire antérieure moyenne : PTCA/DES. • sténose significative de l'artère circonflexe moyenne. • sténose significative de l'ostium de la première marginale. • sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne. • hypokinésie apicale, fraction d'éjection VG 45%. Maladie coronarienne bi-tronculaire : • PTCA avec pose de stent actif sur l'IVA le 20.01.2010. • PTCA élective le 21.4.2010 : petite dissection non occlusive persistante de l'IVA moyenne, mise en place d'un stent sur la CX moyenne. • FEVG 63% le 21.4.2010 avec hypokinésie antéro-latérale et dyskinésie apicale. FRCV : obésité, dyslipidémie, tabagisme actif (40 UPA). Syndrome de dépendance à l'alcool. Hyperplasie bénigne de la prostate. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) : PTCA IVA proximale/moyenne avec mise en place d'un stent actif/fénestration de la branche diagonale à travers les mailles du stent / POT de l'IVA proximale. • resténose significative in stent de la première diagonale : PTCA/DES. • sténose coronaire droite moyenne. • fonction systolique du VG normale Fraction d'éjection VG 65%. Maladie coronarienne bi-tronculaire : • Bon résultat du stenting au niveau de l'artère coronaire droite moyenne le 19.12.2019. • Sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). Maladie coronarienne bitronculaire : • Cx : sténose serrée distale (troisième marginale, grand calibre), PTCA le 27.01.2020. • IVA : longues lésions intermédiaires (50%) proximale à moyenne et première diagonale. • CD : pas de lésion. • FEVG 51%. Maladie coronarienne bi-tronculaire : • lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • occlusion chronique de la première marginale. • sténose serrée de la coronaire droite moyenne distalement à un anévrisme et occlusion thrombotique de l'artère coronaire droite distale. • fraction d'éjection estimée à 50% avec hypokinésie sévère diaphragmatique. Maladie coronarienne bitronculaire : • occlusion thrombotique IVA moyenne le 20.01.2020. • sténose significative CD distale 70%. • insuffisance aortique minimale d'origine dégénérative. Maladie coronarienne bitronculaire : • s/p dilatation au ballon seul de l'artère coronaire droite moyenne le 06.11.2019. • s/p PCI/ 1 DES coronaire droite proximale et PCI/ 1 DES de l'IVA. • sténose sub-totale de l'artère coronaire droite moyenne le 04.12.2019 : échec d'angioplastie. • FRCV : hypertension artérielle, diabète, surcharge pondérale. AVC ischémique avec hémisyndrome gauche résiduel et asymétrie faciale en 1998. Diabète de type II non insulino-requérant. Plaies interdigitales des orteils, pied gauche, chez patient diabétique. Insuffisance rénale chronique. Anémie microcytaire hypochrome chronique ferriprive. Déficit en fer : 1183.52. Fer inject 1000 le 30.12.2019. Colonoscopie à organiser par le médecin traitant en ambulatoire selon évolution. Maladie coronarienne bitronculaire : • Sténose serrée de l'IVA proximale. • Sténose serrée de la première diagonale. • Sténose serrée de la circonflexe moyenne. • Sténose non significative de la coronaire droite moyenne (dominante). • Artère mammaire interne gauche perméable. • Fonction systolique VG normale 65%. Maladie coronarienne bitronculaire. • Artères très tortueuses. • Sténose 70-90% de l'IVA proximale à moyenne : PTCA/4xDES : Bon • Sténose 70% de l'artère rétroventriculaire postérieure (petite vaisseau) Maladie coronarienne bi-tronculaire, avec : • absence de resténose de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif le 09.01 • sténose significative de l'artère circonflexe moyenne • succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Implantation de 1 stent actif • échec de réouverture d'une branche diagonale partant du stent Maladie coronarienne bi-tronculaire avec : • status post-stent nu de l'artère interventriculaire antérieure proximale et de l'artère circonflexe en février 2010 • FEVG 62% en février 2010 Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • hypercholestérolémie • diabète de type II • obésité Insuffisance veineuse des membres inférieurs avec : • status post-thrombose veineuse profonde. État anxio-dépressif, sous Trittico Gonarthrose droite et coxarthrose droite Maladie de Parkinson Démence Alzheimer Intelligence limite de type hébéphrénie et troubles cognitifs Maladie coronarienne bitronculaire avec : • très bon résultat à court terme après PCI IVA (STEMI le 20.01.2020) • sténose significative de la RVG : PCI 1xDES • FEVG légèrement abaissée avec une dyskinésie apicale 48% Sténose aortique légère (Gradient pic à pic 12mmHg) Maladie coronarienne bitronculaire avec : 1) 02.12.2019 : STEMI antérieur sur subocclusion de l'IVA ostio-proximale en bifurcation avec la 1ère diagonale : • pic de CK à 833 U/L • LDL à 2.46 mmol/L Procédure : 02.12.2019 : coronarographie (Prof. X, Dr. X) : • subocclusion IVA ostio-proximale en bifurcation avec la 1ère DG (lésion critique à 90-99%) : reverse T stenting, POT/Kissing final : 2xDES • dissection localisée en distalité de la 1ère DG : PTCA 1x DES • longue sténose serrée de l'IVA médio-ostiale (lésion sévère à 70-90%) : PTCA 3x DES • recanalisation et dilatation au ballon de la 2ème DG • sténose intermédiaire de la Cx ostiale et de la 1ère et 2ème marginales Coronarographie N° 2 - 23.12.2019 (Prof. X, Dr. X) : • bon résultat après PCI (6DES) IVA proximo-médio-distale et 1ère DG • sténose significative de la bifurcation TC/bissectrice/Cx ostiale (lésion sévère 70-90%) : PCI 1x DES vers la bissectrice et kissing balloon bissectrice/Cx avec bon résultat final • ventriculographie gauche : FEVG normalisée à 60% ETT le 03.12.2019 (Dr. X, Dr. X) : VG non dilaté avec hypokinésie apicale, du septum antérieur, du septum inférieur moyen, de la paroi inférieure moyenne. FEVG à 38%. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Maladie coronarienne bi-tronculaire avec : • courte occlusion de l'artère interventriculaire antérieure proximale reprise par des collatérales venant de la CX (Rentrop 2-3) • occlusion chronique de l'artère coronaire droite moyenne au départ de la marginale du bord droit reprise par des collatérales venant de la CX (Rentrop 2) • ventriculographie : Akinésie apicale et possible thrombus, hypokinésie antérieure avec EF 45%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • lésion non significative du tronc commun (contrôle IVUS) • lésion non significative de l'IVA proximale • occlusion chronique de la seconde marginale à lit d'aval limité • sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne dominée • dysfonction VG sévère (FEVG 20%) Sténose aortique modérée (1.1cm2, gradient moyen 12mmHg) Hypertension pulmonaire légère (PAPm 29mmHg) Axes vasculaires ilio-fémoraux très calcifiés et tortueux Maladie coronarienne bitronculaire avec NSTEMI en mai 2019 avec : • occlusion fonctionnelle bissectrice : PCI (1DES) : bon • atteinte coronarienne diffuse intermédiaire • aorte porcelaine et sclérose valvulaire aortique • fraction d'éjection VG 48% • coronarographie le 24.05.2019 Carcinome épidermoïde moyennement différencié glotto-sus-glottique pT3 pN0 cM0 avec : • laryngectomie totale, évidement ganglionnaire et trachéotomie suivi par radiothérapie en 1993 • status post-thyroïdectomie totale bilatérale et pexie d'un diverticule œsophagien antérieur en octobre 2010 • cure de diverticule oro-pharyngé par rebord cervical en mars 2017 • fistule pharyngo-cutanée, fermeture en avril 2017 Troubles anxieux dans le cadre de pathologies multiples avec : • F43.2 trouble de l'adaptation, F45.0 somatisation (clinique la Métairie, 02/2016) • contexte d'isolement social • contexte de trachéostomie avec sécrétions trachéales Hernie hiatale axiale avec ulcérations (lésions Cameron) Hypertension artérielle Dyslipidémie Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Emphysème pulmonaire sous-pleural apical droit (CT du 13.11.2015) et BPCO sur ancien tabagisme Insuffisance rénale chronique Ostéoporose traitée par Bonviva Polyarthrose vertébrale Épilepsie sous Mysoline et Tranxilium (multiples crises entre l'adolescence et 30 ans, pas de récidive depuis lors) Hypothyroïdie post-opératoire, substituée : • status post-thyroïdectomie totale bilatérale pour goitre diffus nodulaire plongeant (13.10.2010) Nodule pulmonaire péribronchovasculaire dans le segment ventro-basal du lobe inférieur droit : • Présentation au tumorboard thoracique le 04.12.2019 ; segmentectomie et curage ganglionnaire, prévu le 06.02.2020 Douleurs mandibulaires connues d'origine indéterminée DD : arthrose temporo-mandibulaire Maladie coronarienne bitronculaire avec : • NSTEMI sur sténose subocclusive de l'IVA moyenne en 2010 avec coronarographie et mise en place d'un stent sur l'IVA moyenne le 31.05.2010. • Coronarographie le 11.12.2018 : bon résultat à long terme après PCI de l'IVA moyenne. Sténoses intermédiaires de l'IVA proximale et moyenne et de l'ACD proximale et moyenne. FEVG à 65%. Maladie de Churg-Strauss (granulomatose éosinophilique avec polyangéite et asthme) • sous Prednisone 10 mg depuis plus de 10 ans Maladie coronarienne bitronculaire avec, suivi par le Dr X : • NSTEMI subaigu le 19.11.2015 • sténose significative d'IVA (50-70%) 1 stent actif • occlusion de la petite branche inframillimétrique de la MA • FEVG à 65% FRCV : tabagisme actif à 34 UPA, intolérance au glucose. Lupus. Hypothyroïdie substituée. Hernie hiatale. Notion de BPCO. Maladie coronarienne bitronculaire (co-dominance) : • Sténose significative de l'IVA moyenne : PTCA 1xDES • Sténose significative de la coronaire droite proximale • Fonction systolique VG normale (FEVG 65%) Maladie coronarienne bitronculaire (CX et IVA) • NSTEMI sur occlusion de la circonflexe proximale et moyenne le 01.05.2019 • Coronarographie le 01.05.2016 : mise en place de 2 stents actifs au niveau de l'artère circonflèxe proximale et moyenne • FEVG à 68% le 01.05.2019 Hypercholestérolémie traitée Maladie coronarienne bitronculaire le 24.01.2020 : • excellent résultat après PCI CX proximale (STEMI le 16.01.2020), à lit d'aval très pathologique • sténoses serrées de la bifurcation de deux branches diagonales : PCI en V-Stenting avec 2xDES • sténose intermédiaire de la coronaire droite distale et lit d'aval très infiltré sur l'IVP et RVG • STEMI sur occlusion aiguë de l'artère circonflexe proximale le 16.01.2020 • fonction systolique VG normale (FEVG 55%), hypokinésie diaphragmatique Maladie coronarienne bi-tronculaire : • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • Occlusion chronique de la première marginale. • Sténose serrée de la coronaire droite moyenne distalement à un anévrisme et occlusion thrombotique de l'artère coronaire droite distale • Fraction d'éjection estimée à 50% avec hypokinésie sévère diaphragmatique Maladie coronarienne bitronculaire : • Occlusion ACD proximale • Lésion IVA moyenne 50-70% Maladie coronarienne bitronculaire : • Sténose significative de l'artère circonflexe proximale : PTCA/DES x2 • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale : échec de recanalisation • Fraction d'éjection VG 55%, akinésie diaphragmatique Maladie coronarienne bi-tronculaire. Tabagisme chronique et actif. Maladie coronarienne de 1 vaisseau (coronaire droite). PCI/ 1 DES IVP : bon résultat. Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :75%). Artériopathie des membres inférieurs avec status post angioplastie iliaque droite en juin 2016. Maladie coronarienne de 1 vaisseau (coronaire droite). Resténose subtotale intrastent CD moyenne : PCI/ 1 DES (stent in stent) : bon. Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (coronaire droite et IVA). • 9/2018 : PCI/ 1 DES IVA proximale : bon résultat. • 9/2018 : Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :80%). • 12/2017 : stenting de la coronaire droite : PCI/ 1 DES • Suivi Dr X AOMI • Bon résultat à court terme d'un double kissing balloon, suivi d'un double kissing stent des 2 artères iliaques communes. Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (coronarographie du 26.04.2019) : • Bon résultat après PCI de l'IVA moyenne (DES 1x) • Sténose 50% de l'ACD moyenne • Fraction d'éjection du ventricule gauche 45% • Hypertension artérielle pulmonaire pré-capillaire, PAPs 58 mmHg • FRCV : fumeuse active : 50UPA Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec : • A gauche : stade IV (ulcère médial de l'hallux et latéral du 5ème orteil) avec subocclusion de l'artère iliaque commune et occlusion de l'artère fémorale commune • A droite : stade IIA à IIB avec sténose significative de l'artère iliaque commune et subocclusion de l'artère fémorale superficielle proximale. • FRCV : tabagisme actif (50UPA), HTA traité, hypercholestérolémie traitée TEA du carrefour fémoral gauche plus revascularisation de l'axe iliaque à gauche en endovasculaire, le 25.11.2019 Fasciotomie des 4 loges membre inférieur gauche le 25.11.2019 Fermeture secondaire des fasciotomies le 28.11.2019 Broncho-pneumopathie obstructive chronique (BPCO) de stade III selon GOLD avec : tabagisme actif • VEMS 40% ; DLCO 6% • oxygénothérapie aux lunettes (Fi02 28%) la nuit • FRCV : tabagisme actif (50UPA) Syndrome des jambes sans repos • hyponatrémie 127 mmol chronique sous Pramipexol asymptomatique Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et CD) en 2008 et 2016 avec : • PCI/ 2 stents artère coronaire droite proximale et moyenne (2016) • Stenting direct IVA proximale et stenting direct IVA moyenne • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE : 72%), en 2016 Syndrome du côlon irritable avec douleurs abdominales aspécifiques : • Suspicion de malabsorption sur éventuelle insuffisance pancréatique avec notion de troubles du transit après ingestion d'aliments riches en graisse • Souffle artériel abdominal • Insuffisance des artères mésentériques • Colonoscopie (2016) et OCG (2015) sans anomalie • Recherche d'Ag à Helicobacter Pylori dans les selles le 02.11.2019 : négatif • US abdominal le 08.11.2019 : pas d'anévrisme aortique, abdomen dans la norme Hyperplasie bénigne de la prostate, avec un PSA à 1.6 ng/ml en mars 2016 Maladie de Ménière, non traitée actuellement Syndrome des jambes sans repos Ostéoporose fracturaire avec : • Ostéopénie (densitométrie en septembre 2017) et proposition de substitution vitamino-calcique et contrôle avec densitométrie dans 2 ans • Tassement/fracture de L1 avec hernie discale médiane paramédiane gauche en L1-2 en 06.2017, avec traitement conservateur décidé à la consultation du Dr X le 27.06.2017 • 2 stents sur l'IVA moyenne le 27.02.2019 • 2 stents sur la CD le 13.03.2019 Maladie coronarienne de 3 vaisseaux : • Bon résultat à moyen terme PCI/ 2 DES artère circonflexe proximale, PCI/ 2 DES IVA proximale et moyenne, PCI/ 1 DES 1ère diagonale ; sténose de 70-80% ostium 1ère diagonale. • Actuel : stenting direct (1 DES) de la coronaire droite distale et stenting direct (1 DES) de la coronaire droite moyenne : bon résultat immédiat. • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :70%). Maladie coronarienne de 3 vaisseaux avec : • Bon résultat à long terme PCI/ 1 DES artère coronaire droite moyenne. • PCI/ 1 DES 3ème marginale de l'artère circonflexe (=vaisseau CX dominant) : bon. • PCI/ 1 DES d'une double sténose longue de l'IVA moyenne : bon. • Akinésie postéro-basale. • Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE :54%). Maladie coronarienne de 3 vaisseaux, avec subocclusion du tronc commun, occlusions proximales IVA et CX, pont mammaire interne gauche-IVA perméable. Bon résultat à court terme PCI/ 1 DES PAC-marginale CX- diagonale. Actuel : PCI/ 3 DES artère coronaire droite proximale, moyenne et distale : bon résultat immédiat. PTCA au ballon seul d'une longue sténose subtotale de l'IVP : sténose résiduelle 80-90%. Maladie coronarienne de 3 vaisseaux. Status post infarctus myocardique sans élévation ST (NSTEMI) sur sténose subtotale de l'artère circonflexe moyenne le 12.07.2019. Tabagisme actif (50 UPA). Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie le 14.07.2019. Maladie coronarienne des 3 vaisseaux : 1) 21.11.2019 (Dr. X) : pontage mono-coronaire LIMA-RIVA : • Complications post-op : pneumothorax gauche, épanchement pleural gauche ; saignement pulmonaire G per-opératoire ; fibrillation auriculaire rapide 21.11.2019 : résection apicale avec persistance du saignement sur fistule. Anatomopathologie : carcinome bronchique (21.11.2019). 2) coronarographie le 13.11.2019 (Dr. X) : bon résultat PCI/1 DES Cx ostiale et PCI/1 DES ACD proximale • IVA ostiale à 70-90%. • Ostium 1ère marginale à < 50%. • Artère sous-clavière gauche à 50%. 3) coronarographie le 28.10.2019 (Dr. X) : bon résultat à long terme stenting ACD et CX • IVA ostiale à 50-70%. 4) coronarographie le 13.04.2017 (Dr. X) : • Sténose à 70-90% CD proximale : PCI/1 DES : bon résultat • Absence de resténose à long terme du stent implanté sur la CX proximale en 2012 • Absence de lésion hémodynamiquement significative sur l'IVA 5) ETT le 27.10.2019 (Dr. X) : FEVG à 65 % sans trouble de la cinétique. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Maladie coronarienne monotronculaire. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) : PTCA/DES/POT avec fénéstration de la branche diagonale • Fraction d'éjection VG 50%. Maladie coronarienne monotronculaire • Occlusion chronique collatéralisée de l'IVA proximale et sténose de 90% IVA moyenne • Désoblitération réussie de l'IVA proximale avec mise en place d'un stent actif et PCI/ 1 DES IVA moyenne : bon résultat immédiat. Coronarographie le 24.10.2018 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 24.10.2018 au 25.10.2018. Aspirine cardio à vie. Efient pour 6 mois. Maladie coronarienne monotronculaire • Sp STEMI antérieur (2009) : excellent résultat après PCI de l'IVA proximo-moyenne • Sténose subocclusive de la première diagonale : PCI au ballon actif • Fonction systolique VG normale (FEVG 60%) le 11.12.2017. Maladie coronarienne monotronculaire : • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure (IVA) moyenne • Dysfonction ventriculaire gauche avec fraction d'éjection ventricule gauche à 32%. • Coronarographie (Dr. X) 05.11.2013 : PTCA / stent nu IVA moyenne. Hypertension artérielle traitée. Artériopathie du membre inférieur droit avec : • Recanalisation d'une longue occlusion fémorale superficielle par angioplastie simple et recanalisation d'une occlusion du tronc tibio-péronier par un stent actif le 30.05.2012 • Angioplastie du membre inférieur droit le 05.12.2012. Maladie coronarienne mono-tronculaire : • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne à succès d'angioplastie avec mise en place d'un stent actif. • Sténose aortique sévère avec gradient moyen de 38 mmHg, surface de 0.98 cm2, indexée à 0.45 cm2/m2. • Absence d'hypertension pulmonaire avec PAPm mesurée à 17 mmHg. • Ventriculographie FEVG 60%. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Infarctus en 2001 (1 stent CD) • Infarctus du myocarde inféro-postéro-latéral aigu thrombolysé à la Rapilysin le 28.01.2011 • STEMI inférieur sur occlusion CD moyenne et distale le 02.12.2018 (2 stents actifs). Hypercholestérolémie. Tabagisme actif jusqu'au 29.01.2001. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Infarctus en 2001 (1 stent CD) • Infarctus du myocarde inféro-postéro-latéral aigu thrombolysé à la Rapilysin le 28.01.2011 • STEMI inférieur sur occlusion CD moyenne et distale le 02.12.2018 (2 stents actifs). Hypercholestérolémie. Tabagisme actif jusqu'au 29.01.2001. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Infarctus en 2001 (1 stent CD) • Infarctus du myocarde inféro-postéro-latéral aigu thrombolysé à la Rapilysin le 28.01.2011 • STEMI inférieur sur occlusion CD moyenne et distale le 02.12.2018 (2 stents actifs). Hypercholestérolémie. Tabagisme actif jusqu'au 29.01.2001. Diverticulose du colon. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • NSTEMI sur subocclusion de la CD moyenne le 08.02.2014 • NSTEMI sur probable spasme coronarien le 24.04.2014 avec : • Coronarographie le 25.04.2014 (lésions connues, stables, FEVG 80 %). Tabagisme actif (4-5 cigarettes/jour sans inhaler). Hypothyroïdie traitée. Cervicarthrose avec discopathie sévère C4-C5 et C5-C6. État anxio-dépressif. Maladie coronarienne mono-tronculaire avec : • Sténose 70% ACD proximale : PCI (1 DES fecit Dr. X en janvier 2014) • Sténose 50% sur plaque ulcérée ACD moyenne : PCI (1 DES fecit Dr. X en janvier 2014) • Angioplastie de la RVP et échec de recanalisation de la Dg de l'IVA. • fraction d'éjection VG 65% • plaque ulcérée, rupturée artère iliaque commune droite • infarctus antéro-septal traité conservativement en 1991. NSTEMI le 06.08.2019, dans contexte tachycardie et pic hypertensif Fibrillation auriculaire le 07.08.2019, avec : • angor secondaire de repos EHRA IV. Cardioversion par Cordarone 300 mg iv, puis relais par 900 mg/24h, puis 600 mg/24h jusqu'au 15.08.2019, puis 200 mg/24h dès le 16.08.2019, à vie. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Infarctus myocardique sans élévation ST (NSTEMI) sur sténoses pluri-étagées de la circonflexe moyenne et distale le 05.04.2016, • Coronarographie le 06.04.2016 (Dr. X) : 3 sténoses étagées de 70-95% de l'artère circonflexe moyenne et distale : angioplastie avec 2 stents actifs (06.04.2016), • Ventriculographie : FEVG 61% sans dysfonction régionale, • Echocardiographie transthoracique le 06.04.2016 (Dr. X) : fonction ventriculaire gauche normale (FE 66%), • FRCV : HTA, hypercholestérolémie, ancien tabagisme à 50 UPA, (HbA1c 6%). Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Occlusion de l'artère circonflexe moyenne, englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation) reprise par des collatérales issues de l'IVA, succès d'angioplastie de la bifurcation avec mise en place de 2 stents actifs selon la technique du TAP (T and Protusion) avec kissing final. • Fraction d'éjection VG 65%. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Occlusion subaiguë de la première marginale • Sténose intermédiaire < 50% RCx distale • Fraction d'éjection VG 45%, dyskinésie apicale • fermeture FOP 2008 (CHUV, BioStar?) Maladie coronarienne monotronculaire de la coronaire droite prox. • STEMI inférieur en 2009 • Fraction d'éjection VG 40% (2009) Fibrillation auriculaire permanente Fractures des 5ème et 6ème côtes gauches le 21.09.2016. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute de sa hauteur en octobre 2016. Maladie coronarienne monotronculaire le 19.01.2020 (coronaire droite) Maladie coronarienne monotronculaire non significative • IVA prox. 50 % Maladie coronarienne silencieuse de 3 vaisseaux : • Pose de stent coronaire droite en 2008 • Pontage aorto-coronarien le 22.07.2014 à Berne (quadruple revascularisation : mammaire gauche-IVA, pont veineux séquentiel 2 branches marginales de l'artère circonflexe, pont veineux-IVP). Artériopathie oblitérante des membres inférieurs • stade IV du membre inférieur gauche avec nécrose du deuxième orteil Cardiopathie ischémique tritronculaire • Echocardiographie de stress le 15.2.17 : FEVG à 55%, hypokinésie modérée du septum apical du VG. Test négatif cliniquement et électriquement. • Pose de pacemaker CRT-P le 18.03.2019 (Dr. X) • avec FEVG à 30% • avec insuffisance chronotrope Athéromatose cérébro-vasculaire asymptomatique (s/p endartériectomie de l'artère carotide interne gauche) avec occlusion chronique de l'artère carotide interne droite • TEA carotide interne gauche en 2014 et patch en plastique le 22.7.14 pour une sténose serrée. Diabète type 2 (actuellement non traité). Hypertension artérielle. Coxarthrose. Gonarthrose gauche, kyste synovial. Hyperplasie bénigne de la prostate. Sévère oesophagite de reflux. Suspicion de pathologie pulmonaire sous-jacente. • Notion d'emphysème pulmonaire et suspicion de fibrose pulmonaire sur CT du 6.2.15 lors d'une hospitalisation aux soins intensifs pour pneumonie atypique basale droite avec développement d'une hypoxémie sévère malgré une antibiothérapie. • Nécessité d'une VNI pendant 8 jours. Troubles urinaires fonctionnels (dysurie, nycturie, brûlures mictionnelles), depuis l'hospitalisation du 17.02.2019. Probable AIT sylvien gauche / cortical. Maladie coronarienne, status après NSTEMI en avril 2016 • Intrastent resténose de l'artère bissectrice, PTCA /DES 1x 09.05.2017 • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • Sténose significative de la première marginale • Fraction d'éjection VG 40% mai 2019 • Suivi par Dr. X Découverte fortuite d'une masse de 28 mm du rein droit le 03.07.2016. Maladie coronarienne (suivi par Dr. X à Guin) • STEMI inférieur en 2011 : 1 stent actif dans la CD proximale et 1 stent actif dans la CD distale • Coronarographie 09/2015 à cause d'une tachycardie ventriculaire soutenue à l'ergométrie : sclérose sans sténose • IRM myocardique en 10/2015 sans particularités • Ergométrie 12/2019 : négative • FEVG 12/2019 : 55% • Diabète mellitus de type 2 non insulino-requérant • Dyslipidémie • Hypertension artérielle Maladie coronarienne tri-tronculaire avec : • sténose significative de pontage saphène CD III en deux endroits • succès d'angioplastie sans stent (ballon à élution utilisé aux 2 endroits). Maladie coronarienne tri-tronculaire avec triple pontage (11.2018) : Réseau natif : • Occlusion IVA proximale • Sténose 50-70% CX proximo-moyenne en bifurcation avec la 1ère marginale : PCI 1xDES • Coronaire droite rudimentaire Pontages : • AMIG-IVA perméable • AMID-2ème marginale perméable mais grêle • Saphène-1ère diagonale perméable • Fraction d'éjection VG normale (FEVG 65%). Maladie coronarienne tritronculaire : • status après double pontage au CHUV en juin 2012 • status après NSTEMI en mai 2012 • FEVG conservée à 81% (06.2016). Maladie coronarienne tritronculaire : • 19.11.2019 : NSTEMI 19.11.2019 : Coronarographie (Prof. X) : • IVA proximale à 50% • IVA moyenne à 70-90% • IVA distale à 70-90% • Cx proximale à 50-70% • 1ère marginale à 70-90% • ACD proximale à 50-70% • Occlusion ACD moyenne 19.11.2019 : ETT (Dr. X) : FEVG à 60%, insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique minime (grade I). 27.11.2019 (Dr. X) : triple pontage aorto-coronarien avec pontage veineux sur CD et sur marginale G et dérivation AMIG sur IVA Complications post-opératoires : nihil US carotidien : athéromatose de la bifurcation carotidienne D avec important cône d'ombre mais sans sténose significative de l'ACI. Maladie coronarienne tritronculaire : • 19.11.2019 : NSTEMI 19.11.2019 : Coronarographie (Prof. X) : • IVA proximale à 50% • IVA moyenne à 70-90% • IVA distale à 70-90% • Cx proximale à 50-70% • 1ère marginale à 70-90% • ACD proximale à 50-70% • Occlusion ACD moyenne 19.11.2019 : ETT (Dr. X) : FEVG à 60%, insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique minime (grade I). 27.11.2019 (Dr. X) : triple pontage aorto-coronarien avec pontage veineux sur CD et sur marginale G et dérivation AMIG sur IVA Complications post-opératoires : nihil US carotidien : athéromatose de la bifurcation carotidienne D avec important cône d'ombre mais sans sténose significative de l'ACI. Maladie coronarienne tri-tronculaire : • Plaque calcifiée et non significative du tronc commun ostial. • Sténose intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne qui s'avère être hémodynamiquement positive avec FFR = 0,77 (0,91 au repos). • Sténose significative de l'artère circonflexe proximale. • Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale. • EF 65%. Maladie coronarienne tritronculaire : • sténose serrée de l'IVA ostio-proximale : PTCA 1xDES vers le TC/POT/fenestration bissectrice avec POT (optimisation de l'angioplastie) final • sténose serrée de la première diagonale : T-stenting PTCA 1xDES/Kissing IVA/Diagonale • Sténose intermédiaire de la bissectrice : PTCA 1xDES • Occlusion chronique de la circonflexe ostiale avec bonnes collatérales controlatérales • Sténose intermédiaire de l'IVP • Hypertension pulmonaire modérée (PAPm 43 mmHg) • FEVG 60 % • Angioplasties multiples de 1899 à 2012 • Premier infarctus le 24.07.2004 • Suivi par le Dr. X • Maladie coronarienne tritronculaire : • Sténose 70-90% CX proximale : PTCA 1xDES : bon résultat final le 12.06.2018 • Sténose 70% IVA moyenne : PTCA 2xDES : bon résultat final le 16.07.2018 • Occlusion chronique ACD • Tortuosité importante des axes vasculaires inférieurs (Dt >>> G) Coronarographie le 16.07.2018 (Prof. X) Syndrome métabolique : • Diabète de type 2 • Hypercholestérolémie • Hypertension artérielle Vasculite de Horton probable • Symptomatologie initiale : céphalées bitemporales • IRM du 18.09.19 : discrète prise de contraste focale autour de l'artère temporale droite • Biopsie de l'artère temporale non réalisable en raison de sténoses carotidiennes bilatérales • Réponse clinique et biologique aux corticoïdes Ostéoporose du col fémoral et du tiers distal du radius, DXA 02.10.2019 Suspicion de syndrome myélodysplasique sur la base d'une anémie macrocytaire depuis une année Index réticulocytaire compatible avec une anomalie de production • Suspicion de SMD sur la base d'une anémie macrocytaire • Suivi de l'hémogramme • Transfusion si anémie mal tolérée Athéromatose vaisseaux pré-cérébraux • CID sténose serrée • CIG sténose haut degré Anomalie du métabolisme du fer Maladie coronarienne tritronculaire : 1) 20.12.2019 (Prof. X) : quadruple pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA, AMID/CD, veine en séquence sur bissectrice et marginale) : • Complication post-opératoire : tachycardie sinusale • ETO post-opératoire : FEVG à 55% sans trouble de la cinétique segmentaire. Pas de dysfonction D. Insuffisance mitrale légère sans sténose. 2) 25.11.2019 : Coronarographie (Prof. X) : • Sténose serrée du tronc commun distal (Medina 1-1-0) • Sténose serrée d'une branche bissectrice • Sténose serrée de la première diagonale ostiale : 70-90% • Sténose serrée de la coronaire D moyenne : 50-70% • Ventriculographie G : FEVG estimée à 65%. 3) 24.12.2019 : ETT : FEVG conservée sans anomalie segmentaire objectivable. Pressions de remplissage normales. Pas de valvulopathie. Pas d'épanchement péricardique. Maladie coronarienne tritronculaire : 1) 22.11.2019 : SCA type NSTEMI sur sténose significative de l'IVA moyenne/2ème diagonale • Pic de CK à 928 u/l, • LDL 4.61 mmol/l Coronarographie (1er examen, Prof. X, 22.11.2019) : • IVA moyenne : 50-70% englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation) • Marginale 1 : 90-99% • Ostium marginale 2 : 70-90% • CD moyenne et IVP : 50-70% Procédure : • Angioplastie de l'IVA moyenne avec stent actif et fenestration de la deuxième diagonale • Angioplastie par ballon simple de la 1ère marginale et mise en place d'un stent actif au niveau de la 2ème marginale Complications : • Insuffisance cardiaque aiguë en salle de cathétérisme sur STEMI sur occlusion intra-stents : • Coronarographie (2ème examen, Prof. X, 22.11.2019) : occlusion thrombotique des 4 branches préalablement traitées Procédure : recanalisation de l'IVA, de la DA, de la RCx, de la MA2, puis de la MA1 ; Tirofaban pendant 24 h + soutien aminergique d) ETT le 25.11.2019 : VG avec hypokinésie sévère de la paroi septale antérieure basale, hypokinésie modérée de la paroi antéro-apicale et de la paroi antérieure moyenne + hypokinésie minime du septum moyen et du septum basal. FEVG à 60%. Sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). ETT (20.12.2019, Dr. X) : HVG avec composante ischémique. FEVG +/- 50-55%. Trouble diastolique de type I. Calcification aortique (surtout nsc) et mitrale (feuillet ant.), sans conséquence hémodynamique. Insuffisance mitrale (1)/4. Pas de signe indirect en faveur d'une HTP. Diamètre aorte abdominale 22x24 mm. Maladie coronarienne tritronculaire : 18.12.2019 (Prof. X) : triple pontage aorto-coronarien (AMID/IVA, AMIG/bissectrice, grande veine saphène/CD) : • Complication post-opératoire : insuffisance rénale aiguë (IRA) KDIGO I avec pic de créatinine à 111 µmol/l (19.12.2019), résolution spontanée. 23.12.2019 : ETT (Dre X) : VG avec hypertrophie concentrique, FEVG estimée à 65% sans anomalie de la cinétique segmentaire. Importante diminution de la contractilité longitudinale du VD post-opératoire avec fonction globale conservée. Absence de valvulopathie significative, absence d'épanchement péricardique. 20.11.2019 : Coronarographie (Dr. X) : • IVA proximale : lésion intermédiaire (50%) • Ostium de la 1ère marginale : lésion intermédiaire (50-70%) • Ostium de la 2ème marginale : lésion intermédiaire (50%) • Ostium de la bissectrice : lésion intermédiaire (50-70%) • CD proximale : occlusion chronique, avec collatérales gauches-droites • CD distale : lésion sévère (70-90%) • Ostium de l'IVP : lésion critique (90-99%) • Ventriculographie G : hypokinésie modérée postéro-basale, FEVG conservée à 63% 20.11.2019 : Bilan angiologique : athéromatose importante des carotides bilatéralement avec sténose de moins de 50% au départ de l'ACI droite. 11.11.2019 : Test d'effort (Dr. X) : cliniquement et électriquement positif pour une ischémie. 11.11.2019 : ETT (Dr. X) : VG de taille normale avec fonction systolique globale normale, sans trouble de la cinétique segmentaire. Insuffisance mitrale discrète sur épaississement valvulaire sans signe indirect en faveur d'une HTP. Maladie coronarienne tritronculaire : 23.11.2019 : STEMI (DT typique) postéro-latéral sur sténose subtotale de la circonflexe proximale : • Pic de CK à 1090 U/l • LDL à 4.29 mmol/l Procédure : 23.11.2019 : coronarographie + angioplastie (Dr. X) : 2 DES sur une double sténose de 70-95% de la Cx proximale. IVA proximale 70-90% ; D1 : lésion critique 90-99% ; Cx proximale : lésion critique 90-99% ; CD moyenne : sévère 70-90%, CD distale : intermédiaire à 50-70%. 25.11.2019 : ETT : FEVG à 60 %. Sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance mitrale minime. 27.11.2019 : angioplastie (Dr. X) : 1 DES IVA proximale (direct stenting), 1 DES 1ère diagonale, stenting direct IVA moyenne (bifurcation avec 1ère diagonale) avec kissing balloon final IVA-D1. 08.01.2020 : lésions CD à traiter en janvier 2020 Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Double pontage au CHUV en juin 2012 • NSTEMI en mai 2012 • FEVG conservée à 81% (06.2016). Maladie coronarienne tri-tronculaire avec : • Coronarographie élective du 01.06.2011 : stenting actif direct de l'IVA II, sténoses résiduelles de la CD distale (IVP et RVP), • Suite à la coronarographie le 13.05.2011 pour angor : occlusion chronique de la CD II traitée par ballon à élution, sténose serrée de la 2ème Mg traitée par un stent, FEVG à 65%, • STEMI inférieur le 17.08.2006 sur occlusion de la CD traitée par 3 stents nus, • Sténose IVA moyenne (70%), sténose CX proximale (40-50%), sténose 2ème marginale (60-70%) et de la 1ère marginale (40%). FRCV : hypertension artérielle, hypercholestérolémie, ancien tabagisme à 15 UPA. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Excellent résultat après angioplastie IVA moyenne et CX distale (22.11.2019) • Sténose 70-90% de la 1ère marginale de petit calibre • Sténose 70% de la CD moyenne : PTCA 2xDES • FEVG 50-55%. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Excellent résultat post PTCA/DES IVA moyenne 20.12.2019 (fecit Prof. X) • Sténose 70% de la circonflexe proximale : stenting primaire DES • Sténose serrée de l'ostium de la première diagonale : stenting primaire DES, fénestration de l'ostium de la circonflexe moyenne. • Sténose 70 % de la coronaire droite moyenne : stenting primaire DES • Fonction systolique VG normale (ventriculographie 20.12.2019) • Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • Sténose significative 70-90 de la première diagonale au niveau d'une branche de bifurcation (culprit) • Sténose significative de l'artère circonflexe moyenne • Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale et sténose de 50-70 % de l'artère interventriculaire postérieure (artère de petit calibre et peu étendue) • Fraction d'éjection VG 65 % • Maladie coronarienne tritronculaire avec : 1) 01.11.2019 : STEMI inférieur sur occlusion thrombotique de l'ACD moyenne : • Pic de CK à 1557 U/L • LDL à 2.66 mmol/L Procédure : 01.11.2019 : Coronarographie (Dr. X) : • Occlusion thrombotique ACD moyenne : PCI (1 DES) • Occlusion chronique RCx • IVA moyenne à distale : sténose 70 % • Ventriculographie gauche : FEVG à 40 % 04.11.2019 : ETT (Dr. X) : VG non dilaté, non hypertrophié. FEVG à 55 %. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Sclérose de la valve mitrale avec épaississement des 2 feuillets mitraux. Dysfonction diastolique minime (grade I). Élévation des pressions de remplissage du VG. Oreillette G dilatée. Absence d'épanchement péricardique. 2) 29.11.2019 : Coronarographie (Dr. X) : • Excellent résultat après PCI de l'ACD moyenne • Occlusion thrombotique RCx : PCI (1 DES) • Sténose bifurcation RCx/MA2 : PCI (1 DES) • Sténose 70 % IVA moyenne à distale : PCI (1 DES) • Ventriculographie G : FEVG à 45 %. • Maladie coronarienne tritronculaire avec anomalie coronarienne (a. circonflexe aberrante, de la cuspe droite) • Subocclusion IVA proximale : PCI (1 DES, aggrastat) : Bon • Excellent résultat après PCI RCx distale (Dr. X) • Excellent résultat après PCI ACD proximale (Dr. X) • Bonne fonction VG systolique résiduelle • Maladie coronarienne tritronculaire avec atteinte périphérique : • Coronarographie le 26.01.2016 sur NSTEMI, abord radial G (Dr. X) : sténoses intra-stent subocclusive et thrombotiques de l'artère coronaire droite distale, moyenne et proximale. PTCA avec implantation de 3 stents actifs (stent in stent). FEVG 75 % • Coronarographie sur NSTEMI le 5.12.2012 sans stenting • Coronarographies antérieures non datées Ancien tabagisme Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie Artériopathie du membre inférieur droit stade III avec : • Recanalisation d'une occlusion fémorale commune G et multiples angioplasties fémorales superficielles poplitées jusqu'au départ du tronc tibio-péronier le 03.07.2019 • Stenting axe iliaque droit + rotarex de l'artère fémorale superficielle droite le 09.01.2019 • Stenting de l'artère fémorale superficielle droite le 27.12.2018 • Occlusion du carrefour fémoral droit et longue occlusion de l'artère fémorale superficielle avec reprise en poplité, occlusion de l'artère tibiale antérieure et postérieure droite sur l'angio-CT du 23.12.2018 • Recanalisation et stenting artère fémorale superficielle D 02.12.2018 • Thrombendartériectomie fémorale droite avec patch de xénopéricarde, le 28.12.2018 • Stenting poplité et angioplastie axe poplité tronc tibio-péroné et péroné D 17.08.2018 • Angioplastie de l'artère fémorale commune G, de l'artère fémorale superficielle gauche et de l'artère poplitée et du tronc fibo-péronier 07.06.2018 • Angioplastie de multiples resténoses intra-stents fémorales superficielles et poplitées du tronc tibio-péronier et de la péronière D 22.05.2018 • Angioplastie de plusieurs sténoses fémorales superficielles et poplitées D, stenting de la poplitée distale D 13.09.2016 • Angioplastie intra-stent de l'artère fémorale superficielle D 07.07.2016 • Angioplastie intra-stent de toute l'artère fémorale superficielle D 23.09.2015 • Angioplastie de resténose intra-stent fémorale superficielle G et angioplastie de l'artère poplitée G 18.08.2015 • Angioplastie de resténose intra-stent fémorale superficielle D avec pose de nouveau stent proximal et angioplastie de resténose poplitée, du tronc tibio-péronier et intra-stent péronière D 05.02.2014 • Angioplastie de resténose intra-stent fémorale superficielle G 02.09.2010 • Angioplastie et stenting de sténoses multiples de l'artère fémorale superficielle G 06.01.2010 • Recanalisation et stenting d'une occlusion de l'artère fémorale superficielle D le 02.12.2009 • Double antiagrégation plaquettaire Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Xarelto • Fibrillation auriculaire inaugurale le 02.01.2019 et probable NSTEMI secondaire • Tachycardie supraventriculaire (FA vs Flutter) avec NSTEMI secondaire 25.06.2019 Diabète type 2 non insulino-requérant • Maladie coronarienne tritronculaire avec atteinte périphérique : • Coronarographie le 26.01.2016 sur NSTEMI, abord radial G (Dr. X) : sténoses intra-stent subocclusive et thrombotiques de l'artère coronaire droite distale, moyenne et proximale. PTCA avec implantation de 3 stents actifs (stent in stent). FEVG 75 % • Coronarographie sur NSTEMI le 5.12.2012 sans stenting • Coronarographies antérieures non datées Ancien tabagisme Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie Artériopathie du membre inférieur droit stade III avec : • Recanalisation d'une occlusion fémorale commune G et multiples angioplasties fémorales superficielles poplitées jusqu'au départ du tronc tibio-péronier le 03.07.2019 • Stenting axe iliaque droit + rotarex de l'artère fémorale superficielle droite le 09.01.2019 • Stenting de l'artère fémorale superficielle droite le 27.12.2018 • Occlusion du carrefour fémoral droit et longue occlusion de l'artère fémorale superficielle avec reprise en poplité, occlusion de l'artère tibiale antérieure et postérieure droite sur l'angio-CT du 23.12.2018 • Recanalisation et stenting artère fémorale superficielle D 02.12.2018 • Thrombendartériectomie fémorale droite avec patch de xénopéricarde, le 28.12.2018 • Stenting poplité et angioplastie axe poplité tronc tibio-peroné et péroné D 17.08.2018 • Angioplastie de l'artère fémorale commune G, de l'artère fémorale superficielle gauche et de l'artère poplitée et du tronc fibo-péronier 07.06.2018 • Angioplastie de multiples re-sténoses intra-stents fémorales superficielles et poplitées du tronc tibio-péronier et de la péronière D 22.05.2018 • Angioplastie de plusieurs sténoses fémorales superficielles et poplitées D, stenting de la poplitée distale D 13.09.2016 • Angioplastie intra-stent de l'artère fémorale superficielle D 07.07.2016 • Angioplastie intra-stent de toute l'artère fémorale superficielle D 23.09.2015 • Angioplastie de resténose intra-stent fémorale superficielle G et angioplastie de l'artère poplitée G 18.08.2015 • Angioplastie de resténose intra-stent fémorale superficielle D avec pose de nouveau stent proximal et angioplastie de resténose poplitée, du tronc tibio-peronier et intra-stent péronière D 05.02.2014 • Angioplastie de resténose intra-stent fémorale superficielle G 02.09.2010 • Angioplastie et stenting de sténoses multiples de l'artère fémorale superficielle G 06.01.2010 • Recanalisation et stenting d'une occlusion de l'artère fémorale superficielle D le 02.12.2009 • Double antiagrégation plaquettaire Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Xarelto • Fibrillation auriculaire inaugurale le 02.01.2019 et probable NSTEMI secondaire • Tachycardie supraventriculaire (FA vs Flutter) avec NSTEMI secondaire 25.06.2019 Diabète type 2 non insulino-requérant • Maladie coronarienne tritronculaire avec NSTEMI actuel : • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • Sténose significative 70-90 de la première diagonale au niveau d'une branche de bifurcation (culprit) • Sténose significative de l'artère circonflexe moyenne. • Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale et sténose de 50-70% de l'artère interventriculaire postérieure (artère de petit calibre et peu étendue). • Fraction d'éjection VG 65%. • Maladie coronarienne tri-tronculaire avec s/p IM avec: • s/p triple pontage en 2008 et 2x angioplasties depuis • AMIG sur IVA perméable avec une sténose subocclusive de l'IVA distale • graft radial sur circonflexe perméable • veine saphène sur CD occluse, CD occluse (CTO) • dysfonction ventriculaire avec EF 35% • Diabète type II non insulino-requérant • BPCO • AOMI avec stenting pour stade IIb sur l'AFS D • Insuffisance rénale chronique • Maladie coronarienne tritronculaire avec status post-4 PAC en 2010 : • Longue sténose serrée de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec excellent résultat après AMIG-IVA • Sténoses significatives de la première diagonale et de l'artère circonflexe avec excellent résultat après PAC-saphène-DA-MA1 et MA2 • Sténose subtotale de l'artère coronaire droite moyenne avec occlusion PAC-ACD : PCI (1DES) • Fonction ventriculaire gauche systolique normale, FE 60%. • Tako-Tsubo le 21.05.2019. • Réseau coronarien inchangé par rapport à 2017 sur la coronarographie du 22.05.2019. • Forte suspicion de syndrome de Lynch (patiente refuse étude, mais syndrome de Lynch familial avéré), suivi annuel par CT thoraco-abdominal, mammographie et US des seins. • Diabète mellitus type 2, non-insulino-requérant, sous Metformine. • Hypertension artérielle. • Dyslipidémie. • Tremblement des mains bilatérales de type essentiel. • Cholélithiase sans signe de cholécystite ni de dilatation de voies biliaires, le 21.05.2019. • Maladie coronarienne tri-tronculaire avec: • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne à distale à succès d'angioplastie avec mise en place de 2 stents actifs jointifs. • Sténose significative de l'artère circonflexe moyenne, englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation). • Sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne. • Maladie coronarienne tritronculaire et insuffisance mitrale légère à modérée le 03.01.2020 : • Athéromatose de l'IVA et occlusion d'allure thrombotique de l'IVA distale • Sténose non significative de l'ostium de l'artère bissectrice • Bon résultat intrastent actif de la CD proximale et distale, athéromatose diffuse sans sténose significative. • Hypokinésie diffuse et akinésie apicale avec FEVG 35% • STEMI inférieur en 2011 : 1 stent actif dans la CD proximale et 1 stent actif dans la CD distale • Coronarographie 09.2015 à cause d'une tachycardie ventriculaire soutenue à l'ergométrie : sclérose sans sténose • IRM myocardique en 10.2015 sans particularités • Suivi chez Dr. X • Maladie coronarienne tritronculaire et insuffisance mitrale légère à modérée le 03.01.2020 : • Athéromatose de l'IVA et occlusion d'allure thrombotique de l'IVA distale (voir diagnostic principal) • Sténose non significative de l'ostium de l'artère bissectrice • Bon résultat intrastent actif de la CD proximale et distale, athéromatose diffuse sans sténose significative. • Hypokinésie diffuse et akinésie apicale avec FEVG 35% • Maladie coronarienne tritronculaire et insuffisance mitrale modérée à sévère avec : • status post-PTCA le 27.10.2009 • status post-triple pontage aorto-coronarien le 06.11.2009 : réparation mitrale par raccourcissement des cordages et annuloplastie • Coronarographie le 19.12.14 (Dr. X) • Sténose significative de l'anastomose distale du pontage Cx II (saphène) • Perméabilité du pontage IVA II (mammaire gauche pédiculée) • Succès angioplastie de l'anastomose distale du pontage - Cx II (saphène) • Succès d'angioplastie du milieu du pont saphène avec implantation d'un stent actif • coronarographie de contrôle en déc. 2019 : FEVG 70%, troncs perméables • Infarctus pulmonaire avec suspicion de surinfection le 10.04.2012 • Épanchement pleural droit sur embolie pulmonaire le 10.04.2012 • Hernie cicatricielle abdominale médiane avec : • status post-Hartmann pour diverticulite sigmoïdienne perforée le 18.05.2011 • status post-éviscération avec fermeture du fascia par un filet de Vicryl le 30.05.2011 • status post-rétablissement de la continuité et résection du côlon descendant le 30.08.2011 • cure d'éventration selon Rives (Ultrapro) par laparotomie avec adhésiolyse et plastie de la cicatrice médiane le 07.03.2012 • Status post-épanchement pleural droit récidivant drainé en avril 2010 • Status post-fibrillation auriculaire transitoire post-opératoire • Status post-gastrite à Helicobacter pylori • Status post-greffe de cornée à droite en 2008 • Status post-appendicectomie à l'adolescence • Status post-opération d'un ménisque • Status post-opération pour maladie de Dupuytren à la main gauche • Status post-traumatisme et opération des doigts de la main droite • Maladie coronarienne tri-tronculaire le 04.10.2019 • Coronarographie le 04.10.2019 : Resténose serrée du tronc commun gauche distale (MEDINA 1-1-1) : PCI (2xPEB) : Bon • Sténose 70% IVA distale : PCI (1DES) : Bon • Bon résultat intrastent IVA, RCx, MA et DA • Edge resténose 40% après PCI de l'ACD • Bonne fonction VG systolique, 65-70% • BAV II° pendant la procédure • Bloc atrioventriculaire du 1e degré le 04.10.2019 • Cardiopathie ischémique, avec : • pose de stents cardiaque en avril 2016 (HFR Fribourg) • pose de 3 stents cardiaque en septembre 2007 (hôpital de l'Ile, Berne) • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Goutte • Maladie coronarienne tri-tronculaire le 16.01.2020 • Sténose significative 50-70% de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). • Sténose significative 70-90% de l'artère circonflexe moyenne d'aspect thrombotique et de l'artère circonflexe distale 70-90% • Sténose significative de l'artère coronaire droite distale 70-90% • Fraction d'éjection VG 64% • Maladie coronarienne tri-tronculaire le 16.01.2020 • Sténose significative 50-70% de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). • Sténose significative 70-90% de l'artère circonflexe moyenne d'aspect thrombotique et de l'artère circonflexe distale 70-90% • Sténose significative de l'artère coronaire droite distale 70-90% • Fraction d'éjection VG 64% • Maladie coronarienne tri-tronculaire le 16.01.2020 • Sténose significative 50-70% de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). • Sténose significative 70-90% de l'artère circonflexe moyenne d'aspect thrombotique et de l'artère circonflexe distale 70-90% • Sténose significative de l'artère coronaire droite distale • Dyslipidémie • Maladie coronarienne tritronculaire sévère : • coronarographie le 04.06.2019 : sténoses significatives de l'artère interventriculaire antérieure proximale présente une lésion critique à 70-90%. L'artère interventriculaire antérieure distale présente une lésion critique à 90-99 %. Sténose intermédiaire de l'ostium de l'artère circonflexe proximale à 60%. L'ostium de la première marginale est occlus. Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale à 70%, sténoses subtotales de l'artère rétro-ventriculaire à 90-99%. Calcification et tortuosité sévère des artères ilio-fémorales • Artériopathie du membre inférieur • Angioplastie de l'artère fémorale superficielle droite (2010) • Difficultés de marche et d'équilibre avec étourdissements avec pallesthésie 6/8 malléolaire (08/2018) • Suspicion de FA paroxystique le 08.05.2019 motivant introduction de Xarelto mais jamais documentée Maladie coronarienne tritronculaire sévère : • CCS 1 + NYHA II 22.11.2019 : Coronarographie (Dr. X) : • IVA ostiale : subocclusion à 70-90% • RCx ostiale à 50% • RCx proximale à 50-70% englobant l'origine de la 1ère marginale • RCx distale à 50-70% • CD proximale à 50% • CD distale à 90-99% Procédure : 29.11.2019 : triple pontage aorto-coronarien avec pontage AMID prolongée par segment veineux/MG, en séquence/CD et dérivation AMIG/IVA (Dr. X - Clinique Cecil) FEVG pré et post-opératoire : 65% Complication post-opératoire : • 12.12.2019 : Brèche pleurale G avec drainage aérique persistant sans pneumothorax Maladie coronarienne tritronculaire sévère avec quadruple PAC en électif (AMI -IVA, pontage veineux sur la CD, la marginale et la CX) le 19.03.2014 (Dr. X, CHUV). Fibrillation auriculaire récidivante (2 épisodes), post-opératoire en mars 2014. Flutter à conduction variable (suivi cardiologique Dr. X). Hyperplasie bénigne de la prostate. Maladie coronarienne tritronculaire sévère (IVA proximale, moyenne, distale, 1ère marginale, coronaire droite proximale et distale, IVP et rétro-ventriculaire postérieure) avec : • FRCV : HTA, dyslipidémie, prédisposition familiale, ancien tabagisme (50 UPA) • NSTEMI 19.10.2010 et STEMI 20.10.2010 • pose de stents actifs sur l'IVA et la CD 20.10.2010 • sténose in-stent et dissection coronarienne CD distale 27.10.2011 • ACR sur bradycardie extrême le 19.10.2010 • syndrome de blue toe post-coronarographie doigt I ddc Claudification intermittente de stade IIB des membres inférieurs Canal lombaire étroit Diabète de type 2 Maladie coronarienne tritronculaire : • Sténose serrée de l'IVA proximale : PTCA 1xDES • Occlusion chronique CD proximale bien collatéralisée • Occlusion chronique CX proximale bien collatéralisée • Dysfonction VG modérée (FEVG 40%) Maladie coronarienne tritronculaire • STEMI latéral sur occlusion de la première marginale le 23.09.2009 avec PTCA et stenting actif de première marginale, CD ostiale et moyenne le 23.09 et le 25.09.2009 • Triple pontage le 05.10.2009 • ETT le 30.09.2009 : FEVG normale (55 %). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) Syndrome métabolique : • hypertension artérielle • diabète mellitus type 2, non-insulino-requérant • obésité • dyslipidémie Hypothyroïdie substituée Ancien tabagisme Maladie coronarienne tritronculaire • Sténose serrée de l'IVA ostio-proximale : PTCA 2xDES • Sténose 50-70% IVA moyenne en bifurcation avec la première diagonale • Sténose 50% de la circonflexe moyenne • Sténose 50-70% de l'interventriculaire postérieure distale • Dysfonction VG sévère (FEVG 25%) Maladie coronarienne tritronculaire • subocclusion de l'IVA moyenne • subocclusion de la circonflexe proximale • sténose significative de la coronaire droite distale et de l'IVP • FEVG 70% Maladie coronarienne tritronculaire traitée par quadruple pontage aorto-coronarien (AMIG/diagonale et IVA en séquentiel, AMID/2e marginale et IVP) le 31.10.2017 par Dr. X (CHUV). • Coronarographie du 14.09.2017 : maladie coronarienne tritronculaire avec une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, de la première diagonale, de l'artère circonflexe moyenne, de la première marginale, de l'ostium de la seconde marginale, de l'artère coronaire droite proximale, de l'artère coronaire droite moyenne et de l'artère rétroventriculaire postérieure. FEVG à 65%. • Echocardiographie du 09.11.2017 : VG non dilaté, non hypertrophié, de fonction systolique normale, FEVG calculée à 63%, sans anomalie de la cinétique segmentaire détectable, sauf un mouvement paradoxal du septum en post-opératoire. Relaxation retardée. Dysfonction diastolique de grade I. OG de volume normal. Valve aortique tricuspide, discrètement sclérosée, sans sténose significative, avec une légère insuffisance. Valve mitrale sclérosée, avec une légère insuffisance. VD non dilaté, de fonction globale conservée. Valve tricuspide d'aspect normal, avec minime insuffisance. VCI non dilatée avec bonne fluctuation respiratoire. HP peu probable mesurée à ~ 25 mmHg. Abence d'épanchement péricardique ou d'hématome localisé. Racine de l'aorte de taille normale. Probable anévrisme du septum interauriculaire sans foramen ovale perméable détectable par Doppler couleur. Valve pulmonaire d'aspect normal, avec légère insuffisance. • Test d'effort 01/19 négatif AOMI avec : • status post stenting de l'artère fémorale superficielle gauche en avril 2012 • status post stentin de l'artère fémorale superficielle droite en juillet 2012 Lymphoedème important bilatéral à droite plus qu'à gauche, status post cure de varices bilatérales prédominant à gauche en 1999 Hernie hiatale (oeso-gastroscopie en juillet 2008) Syndromes lombo-vertébraux récidivants Maladie coronarienne tritronculaire • Triple PAC en 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale Pontage saphène-ACD 90% : implantation de 1 stent actif 27.08.2018 13.12.2018 - ETT : LVEF 55%. 04.07.2019 - ETT : Fonction biventriculaire normale et dimension LVEF 60%, sclérose valvulaire aortique, sinon pas de vitamine significative, pas d'épanchement péricardique. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Ancien tabagisme chronique à environ 40 UPA, stoppé en 2016. Bigéminisme ventriculaire (type retard droit). Insuffisance rénale chronique G3a selon KDIGO : 07.12.2019 - CT abdomen : Hydronéphrose gauche de stade 1. Fraction d'excrétion d'urée : 64% -> non prérénal, créatinine 206 umol / I, GFR 27 ml / min. Echographie 08.12.2019 : Urine résiduelle 150 ml. 13.12.2019-29.12.2019 : IRA sur compression tumorale des uretères et de l'urètre. 13.12.2019 - Biopsie du col vésical (B2019.46897) : Infiltrat extensif d'un lymphome à cellules B agressif. 16.12.2019 - Créatinine 209 umol / l, GFR 26 ml / min. 02.01.2020 - Créatinine 175umol / I, GFR 50 ml / min. Lichen plan diagnostiqué en octobre 2017, en amélioration sous traitement topique. Dermatite séborrhéique (Diagnostic différentiel : sébopsorose). Polyneuropathie sensitivomotrice longueur dépendante à prédominance myélinique d'origine indéterminée (Diagnostic différentiel : toxique, chimiothérapie, diabétique). Syndrome encéphalopathique sur chimiothérapie CAR. Nodule thyroïdien hypodense gauche. Maladie coronarienne tri-tronculaire : 1) Angor instable : 20.11.2019 : Echocardiographie de stress (Dr. X, Dr. X) : FEVG à 65%. 21.11.2019 : Coronarographie (Dr. X, HFR Fribourg - Hôpital cantonal) : • multiples sténoses significatives IVA proximale à moyenne englobant l'origine de la 1ère diagonale ; sténose significative d'une bissectrice de bon calibre. • occlusion de la CX proximale reprise par des collatérales issues du réseau droit. • longue sténose significative de la CD moyenne à distale. • ventriculographie : FEVG à 60% sans trouble de la cinétique segmentaire. 25.11.2019 (Dr. X) : quadruple revascularisation myocardique par pontage en Y mammaire avec l'AMIG en séquentiel sur la diagonale et l'IVA distale, de l'AMID sur la marginale circonflexe, pontage veineux aorto-coronarien sur l'IVP de la coronaire droite au départ de l'origine de la mammaire droite, à cœur battant. Complications : • culture d'expectorations positives pour Pseudomonas aeruginosa (03.12.2019) : considéré comme un colonisant post-opératoire chez un patient asymptomatique avec un syndrome inflammatoire à la baisse, pas de traitement (Dr. X). • anémie post-opératoire à 94 g/dl. • fibrillation auriculaire per-opératoire. • atélectasie rétro-cardiaque post-opératoire et épanchements pleuraux bilatéraux prédominants à gauche post-opératoires. • ictère post-opératoire d'origine mixte (sdr Gilbert très probable, polymédication per- et post-opératoire : antibiotiques, opiacés, paracétamol, IPP). Maladie coronarienne tri-tronculaire avec : • Sténoses étagées de 50% de l'IVA moyenne à distale qui sont hémodynamiquement non significatives avec FFR = 0,83 (0,91 au repos). • Sténose de 50% de la CX moyenne vers la 1ère marginale qui est hémodynamiquement non significative avec FFR = 0,83 (0,91 au repos). • Sténose significative et d'aspect hétérogène de l'artère coronaire droite proximale à succès d'angioplastie avec mise en place d'un stent actif Resolute Onyx 3.5 x 30 mm sans thrombose ni dissection. • Fraction d'éjection VG 65%. Maladie coronarienne. HTA. Hypercholestérolémie. Maladie d'Alzheimer. Maladie de Basedow : • diagnostiquée en 2010. • suivie par Dr. X. • Ophtalmopathie Basedowienne sévère bilatérale (actuellement prédominante du côté gauche). • Status post-radiothérapie près de la cavité orbitaire en 2012 et 2010. • Status post-corticothérapie à haute dose. • évaluation chez Dr. X en 08.17 qui avait suggéré de discuter une thyroïdectomie totale bilatérale. Cervicalgie chronique : • Sous Tramadol et Sirdalud si nécessaire. Maladie de Basedow en 2010 avec : • récidive en 2012. • actuellement sans traitement. Maladie de Basedow : • sous Néo-Mercazole depuis 2013. • arrêt du Néo-Mercazole début 2018 avec thyroïd storm en avril 2018. • US thyroïde le 07.11.2018 : volume 35.5 ml, pas de nodule. • anticorps anti-récepteurs TSH 04. 2018 : 6.4 U/l. • orbitopathie Basedowienne légère. Maladie de Basedow. Migraine maux de tête. Hyperthyroïdie subclinique dans la maladie de Basedow connue : • TSH 0.014, normale T4, T3. Maladie de Bechterew, depuis l'âge de 30 ans (anamnestiquement). Troubles de la marche et de l'équilibre avec : • chute dans un contexte d'alcoolisation aiguë avec fractures des arcs postérieurs et latéraux des côtes 8, 9 et 10 à droite. • syndrome de dépendance à l'alcool. • status après accident vasculaire cérébral en 2008. • troubles cognitifs. • possible trouble de l'humeur. Cancer de la vessie avec : • status post-TURV en 2014. • status post-prostatectomie radicale en 2014 (Dr. X). • actuellement, suivi 1 x/année (Dr. X), avec prochain contrôle prévu le 20.01.2020. Maladie de Bechterew traitée par anti TNF-alpha. Trouble bipolaire : • hospitalisation à Marsens pour tentamen. • hospitalisation à Marsens pour état dépressif. Maladie de Berger. Maladie de Bruton (immunodéficience). Plaie frontale suturée le 10 mai. Ablation de 4 points simples. Maladie de Churg-Strauss (granulomatose éosinophilique avec polyangéite et asthme) : • sous Prednisone 10 mg depuis plus de 10 ans. Maladie de Crohn. Maladie de Crohn. Maladie de Crohn. Maladie de Crohn. Maladie de Crohn. Maladie de Crohn. Maladie de Crohn - date du diagnostic le 03.07.2017 : • Poussée de maladie de Crohn avec probable surinfection d'une maladie diverticulaire avec : • légère acutisation clinique aiguë le 23.01.2019. • colonoscopie en 2017 (Prof. X) : pancolite ulcéreuse et aphteuse qui augmente en amont. • éradication d'Helicobacter Pylori en 11.2015. Suspicion d'une tuberculose latente avec Quantiféron douteux, granulome calcifié du LSD en janvier 2019. Hernie discale C6-C7. Rupture de la coiffe des rotateurs. Crise hémorroïdaire aiguë de stade III en février 2019. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 d'origine pré-rénale avec clearance à 39 ml/min selon MDRD. Adénocarcinome classé pT1 cN0 cM0 sur polype sessile en 2015 avec : • résection endoscopique avec marquage du site de résection en novembre 2015. • polypectomie multiple en 2016. • pas de signes de dysplasie / néoplasie intra-épithéliale ni de tissu néoplasique malin mis en évidence à la colonoscopie en 2017. PTH droite en 2013. Appendicectomie. Cure de varices. Cure de hernie ombilicale en 2014. Cure de cataracte droite en 2015. Maladie de Crohn associée à une spondylarthropathie (suivie par Dr. X, Prof. X, Prof. X) avec : • diagnostic en 2003. • uvéite en 2012. • poussées digestives en avril 2012, avril 2014, septembre 2015, mai et avril 2016. • traitement : Humira jusqu'en 2014 : perte d'efficacité, Cimzia depuis début 2014 : pas d'efficacité, actuellement reprise de l'Humira. • IRM hanche gauche le 10.04.2014 (CIF) : pas d'ostéonécrose, pas d'inflammation notable. Maladie de Crohn, avec : • diagnostic en juillet 2017. • localisation iléo-colique droite et périnéale. • forme sténosante et fistulisante, compliquée d'un abcès péri-anal en août 2011 et abcès péri-iléaux en juillet 2019. • Colonoscopie 29.10.2019 : iléon terminal ulcères linéaires creusants, valve caecale pourtour érythémateux avec érosions à fond blanc. Maladie de Crohn, avec fistule anale. Maladie de Crohn, avec fistule anale.Maladie de Crohn avec: • status post-multiples opérations par laparotomie (résections intestinales) à la clinique Ste-Anne • suivi par Dr. X (suivi tous les 6 mois, dernier suivi fin 2018) • dernière poussée de Crohn il y a environ 10 ans • actuellement pas de traitement selon le patient Rupture du fornix rénal droit sur multiples calculs rénaux à droite et à gauche le 05.05.2019 • Pose de sonde double J bilatérale le 05.05.2019 • Néphrostomie droite 08/2019 Maladie de Crohn le 29.10.2019 Maladie de Crohn sous Methotrexate. Diabète de type II insulino-requérant : • Décompensation diabétique avec hyperglycémie à 23,9 le 15.11.2019, dans le contexte infectieux. • HbA1c à 9.1 % Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sans notion de chute Maladie de Crohn sous Methotrexate Diabète de type 2 insulino-requérant Hyperplasie prostatique • volume estimé à 61 cm3 en novembre 2019 Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle (polyneuropathie des membres inférieurs d'origine diabétique, mal perforant plantaire) Embolie pulmonaire massive para-centrale bilatérale sur thrombose veineuse profonde fémorale droite, avec embolectomie pulmonaire sous CEC et filtre cave en 2004, actuellement sous Sintrom Maladie de Crohn sous Quantalan et Prednisone : Poussée à 27 4/7 SA. Maladie de Crohn (stable sans traitement depuis 2014) Maladie de Crohn. Hernie hiatale. Urticaire chronique. Insomnie en péjoration. Maladie de Crohn. Spondylarthropathie avec atteinte axiale et périphérique (IRM le 08.03.2013). Maladie de Dupuytren bilatérale Maladie de Dupuytren du 4ème et 5ème rayon de la main D; status post opération du 4ème rayon en 2005 à Genève. Maladie de Dupuytren main D • Rayon III stade N (Tubiana) • Rayon IV stade 1 (Tubiana) • Rayon V stade 1 (Tubiana) • Injection de Xiapex le 13.01.2020 rayon IV/V • Craquement de la corde rayon IV/V le 15.01.2020 Maladie de Haglund à D. Tendinopathie à l'insertion du tendon d'Achille à D. Fasciite plantaire à D. Status post cure de Haglund à G par abord latéral à la Clinique Générale il y a 4 ans. Maladie de la jonction pyélo-calicielle droite avec artère polaire le 17.06.2016. Maladie de Leiden. Maladie de Lyme en 2002. Hernies inguinales ddc. Hématome de 4x5 cm en cours de réabsorption depuis 15 jours siégeant au niveau para-ombilical droit, par choc direct par une branche d'un arbre. Maladie de Lyme traitée en 2016/2017 Tassement vertébral L5 non daté Fracture ouverte de la phalange distale de D3 à gauche le 29.12.2018 avec: • atteinte du lit de l'ongle. Accident ischémique transitoire (AIT) sylvien dans le territoire superficiel gauche le 21.08.2019 d'origine cardio-embolique probable • Symptômes initiaux: aphasie non fluente, parésie faciale droite • NIHSS à l'admission 2 points; aux soins intensifs 1 point; à la sortie 0 point Prise en charge neurologique complexe en Stroke unit monitorée du 21 au 22.08.2019 (Dr. X) CT-scan cérébral le 21.08.2019 IRM du neurocrâne le 21.08.2019 Charge d'aspirine le 21.08.2019, puis stop Eliquis 5 mg 2x/j dès le 22.08.2019 Cardiopathie dysrythmique avec fibrillation auriculaire paroxystique, avec : • coronaires saines (Coronarographie du 28.07.2011) • thermo-ablation à la Clinique Cecile par Dr. X en février 2019 • CHA2DS2VASc Score 3 Echocardiographie transthoracique le 21.08.2019 Eliquis dès le 22.08.2019 Départ fusiforme de l'artère cérébrale postérieure gauche sans sac anévrismal évident associé le 21.08.2019. • découverte fortuite Avis neurochirurgical, Dr. X, le 22.08.2019 Angio-IRM cérébrale ambulatoire de contrôle prévue dans 3 mois Rendez-vous de suivi ambulatoire en neurochirurgie à l'HFR-Fribourg Gammapathie monoclonale suivie en ambulatoire Immunofixation le 22.08.2019: résultats définitifs suivent. NB: en fonction de la cinétique des valeurs IgM et du rapport kappa/lambda et des bilans effectués en ambulatoire, discuter d'un avis hématologique spécialisé +/- biopsie médullaire Maladie de Ménière. Maladie de Ménière en cours d'investigations • IRM le 08.01.2020, en attente de résultats par Dr. X fin janvier. Maladie de Ménière. Asthme bronchique. Masse pré-sternale proximale contrôlée par ultrason en avril 2016. Maladie de Ménière. Asthme bronchique. Masse pré-sternale proximale contrôlée par ultrason en avril 2016. Sclérose en plaques. Carcinome du sein gauche traité et guéri. Maladie de Osgood-Schlatter. Maladie de Parkinson Maladie de Parkinson. Maladie de Parkinson. Maladie de Parkinson : • Suivi par Dr. X Maladie de Parkinson au stade II selon Hoehn et Yahr, connue depuis 2010 avec: • démence parkinsonnienne en aggravation depuis fin octobre 2017 • neurostimulateur du pallidum interne depuis le 24.02.2016 (Boston Vercise), adaptation le 11.12.2019 à l'Inselspital • troubles thymiques sous Rivastigmine, Duloxetine, Quétiapine et Rivotril • décompensation dans le cadre de l'arrêt du patch de Rivastigmine le 30.06.2019 • malaises neuro-vagaux sur probable dysautonomie • suivi par Dr. X puis Dr. X en neurologie à l'HFR Fribourg, ainsi qu'à l'Inselspital. Maladie de Parkinson au stade II selon Hoehn et Yahr, connue depuis 2010. • avec neurostimulateur du pallidum interne depuis le 24.02.2016 (Boston Vercise), adaptation le 02.11.2017 • suivi par Dr. X puis Dr. X en neurologie à l'HFR Fribourg, ainsi qu'à l'Inselspital. Maladie de Parkinson DD Démence de Lewy, avec: • démence avancée, troubles de la marche et de l'équilibre, hypotension orthostatique • consilium neurologie par Dr. X novembre 2018: possible multiples troubles neurologiques (parkinsonisme typique/atypique, hydrocéphalie à pression normale, AVC) Diabète mellitus Maladie de Morton Déconditionnement majeur avec troubles sévères de la marche et chutes à répétition DD Alitement suite à trois chirurgies successives 08-09/2018 DD Parkinson typique/atypique DD atrophie globale et vasculaire Cholécystectomie laparoscopique le 16.08.2018 Cyphoplastie par système VBS le 7.09.2018 Décompression canalaire par laminectomie et fixation par spondylodèse L3/L5 le 15.09.2018 (canal lombaire étroit sur fracture vertèbre L4 (AO Type A4) avec recul du mur postérieur): • colonne lombaire face et profil du 25.10.2018: status post-spondylodèse de L3 à L5 avec matériel intègre, en position inchangée, status post-cimentoplastie de la vertèbre L4, sans changement Légère dysphagie de la phase pharyngée • Vidéofluoroscopie le 09.10.2018: petit passage passif de résidu de contraste dans la cavité pharyngée avec petite stase valléculaire, sans fausse route ni pénétration laryngée. Plaque mixte au départ de la carotide interne à droite avec sténose d'allure significatif (CT du 26.11.2019) avec décision de prise en charge médicamenteuse uniquement Dyslipidémie traitée par Atorvastatin Maladie de Parkinson de stade II selon Hoehn et Yahr connue depuis 2010, avec : • neurostimulateur du pallidum interne depuis le 24.02.2016 (Boston Vercise), avec adaptation le 11.12.2019 à l'Inselspital • démence parkinsonnienne en aggravation depuis fin octobre 2017 • suivi par Dr. X, puis Dr. X en neurologie à l'HFR Fribourg, ainsi qu'à l'Inselspital. Maladie de Parkinson mal contrôlée le 02.01.20 • actuellement Duodopa, précédemment sous Stalevo. Maladie de Parkinson (premier diagnostic en 2017) • sous Madopar depuis 2018 • suivi par Dr. X • test de Schellong (18.11.2019): hypotension orthostatique Maladie de Parkinson sévère avec : • mise en place d'une stimulation cérébrale profonde en 2006, changement des piles des deux côtés en 2015 • importante rigidité avec multiples dysautonomies (troubles mictionnels; constipation chronique)Fonctions pulmonaires du 24.04.2014: trouble ventilatoire restrictif de degré modéré, péjoré en position couchée, courbe débit-volume parlant en faveur d'une dysfonction glottique, faiblesse musculaire. Mauvaise hygiène dentaire. Dysphagie modérée sous alimentation mixée et épaissie. Livedo réticulaire des membres inférieurs, probablement effet secondaire du traitement de Symmetrel le 18.11.2015. Maladie de Parkinson sévère avec: • mise en place d'une stimulation cérébrale profonde en 2006, changement des piles des deux côtés en 2015 • importante rigidité avec multiples dysautonomies (troubles mictionnels ; constipation chronique) Maladie de Parkinson, sous Azilect 1 mg et Stalevo 100/25/200 Prostatisme sur probable hyperplasie bénigne Cardiopathie valvulaire avec sténose aortique modérée Angine de poitrine instable, le 29.06.2019 Cardiopathie ischémique sur maladie bitronculaire et valvulaire sur sténose aortique modérée et IM légère a • Pontage (aorto-coronarien) de l'artère mammaire interne gauche sur l'IVA moyenne à coeur battant le 17.11.2017 • Resténose intra-stent de l'IVA en 2007, traitée par PTCA et multiples poses de stents sur dissection de l'IVA en 2007 • NSTEMI en 2005 avec maladie bi-tronculaire, sténose IVA, occlusion CD • STEMI antérieur avec PTCA de l'IVA en 2005 • Echocardiographie du 01.12.2017 : FEVG 50%, hypokinésie antérieure, IM légère, sténose aortique modérée Maladie de Parkinson sous Madopar (suivi par Dr. X) Maladie de Parkinson (suivi Prof. X depuis 2005) • bradykinésie axiale, dysphagie, dysautonomie tensionnelle, trouble de l'équilibre, incontinence/rétention urinaire et fécale • broncho-aspirations avec pneumonies à répétition (1x 2017, 1x 2015) • infections urinaires sur rétention aiguë (2x 2017, 1x 2015). Maladie de Parkinson • Suivie par Dr. X Hypertension artérielle traitée Maladie de Parkinson (2011). Maladie de QTc long le 14.08.2019 • sous cordarone pour fibrillation auriculaire chronique et Olanzapine Maladie de reflux gastrique traitée par IPP depuis 2 ans Obésité morbide Maladie de Strümpell-Lorrain. Hyperplasie bénigne de la prostate. Thrombose récidivante des membres inférieurs: • Syndrome post-thrombotique sous Xarelto 10 mg. Maladie de Verneuil. Maladie de Verneuil avec multiples excisions de kyste sacro-coccygien • dernière opération en novembre 2015 (Dr. X, Hôpital Daler). Kyste sacro-coccygien dans le contexte d'une maladie de Verneuil. Excision d'un kyste profond avec extériorisation d'une petite quantité de pus et d'un caillot de sang de 0.8 mm de diamètre • sous analgo-sédation iv par Fentanyl (au total 250mcg) et Propofol (au total 150mg). Contrôle à 24h (le 29.11.16) en filière 34 avec ablation de la mèche bétadinée. Maladie de Verneuil traitée par Doxycycline Status post-exérèse de multiples kystes épidermiques Fracture de la tête du radius droit (non datée) Abcès facial gauche (non daté) Kyste synovial du poignet gauche (non daté) Kyste du coude droit (non daté) Abcès cervical sur possible maladie de Verneuil le 10.05.2016 Ancienne toxicomanie à la cocaïne Alcoolisation aiguë avec possible traumatisme crânien le 05.05.2018 Surveillance neurologique aux Urgences CT cérébral natif le 05.05.2018 (Dr. X) : pas de saignement, pas de fracture osseuse Consignes pour surveillance neurologique en ambulatoire Abcès cutané du dos 2x2 cm Kyste testiculaire de 5 cm de diamètre le 16.04.2019. Abcès multiples au niveau ORL avec dermohypodermite associée au niveau cervical • abcès cervicale postérieure • rétro-auriculaire droit Maladie de Verneuil. Kyste ovarien gauche, de 36 mm de diamètre (scanner du 21.04.2019). Hémorroïdes de stade II. Notion d'ulcère gastrique (rapporté par la patiente). Suivi psychiatrique. Maladie de Wegener diagnostiquée en janvier 2018, avec: • ANCA positif (PR3-ANCA 167.6 UI/ml), anti-GBM négatif, C3 1.58 g/l (augmenté), C4 0.31 g/l (normal), FAN 80 (homogène) • Atteinte pulmonaire sévère: abcès pulmonaires aseptiques, ulcère paratrachéal droit sous-glottique, sténoses multi-étagées avec desquamation trachéale, trachéomalacie débutante • Insuffisance rénale sur glomérulonéphrite rapidement progressive le 03.01.2018 • Pétéchies des membres inférieurs le 03.01.2018 • Arthralgies (chevilles et poignet G>D) • Scléromalacie de l'œil gauche • sous Azathioprine jusqu'en janvier 2020 Insuffisance rénale terminale sur glomérulonéphrite rapidement progressive avec diurèse conservée: • Dialyse 3x/semaine depuis le 01.02.2018 par Permacath jugulaire droite • Confection d'une fistule artério-veineuse ulno-basilique membre supérieur gauche (Dr. X) 11/2018 • Status post-angioplastie de la veine basilique transposée à son départ et de l'anastomose entre la veine basilique et la veine céphalique par accès artériel 20/2018 (Dr. X et Dr. X) Cardiopathie hypertensive • ETT 01/2018 (Dr. X): FEVG 75%. Cardiopathie hypertrophique homogène modérée. HTAP minime (PAPs 47mmHg) Goutte Gonarthrose droite Maladie de Wegener diagnostiquée en janvier 2018, avec : • atteinte pulmonaire sévère: abcès pulmonaires aseptiques, ulcère paratrachéal droit sous-glottique, sténoses multi-étagées avec desquamation trachéale, trachéomalacie débutante • insuffisance rénale sur glomérulonéphrite rapidement progressive le 03.01.2018 • pétéchies des membres inférieurs le 03.01.2018 • arthralgies (chevilles et poignet G>D) • scléromalacie de l'œil gauche • sous azathioprine (stoppé) Hypertension artérielle Goutte Gonarthrose droite Maladie de Widal. Asthme. Maladie de Widal. Asthme. Maladie d'Ehlers Danlos Maladie d'Ehlers-Danlos (suivie au Portugal, pas suivie en Suisse) Maladie diverticulaire avec : • status post-laparotomie, sigmoïdectomie, anastomose descendo rectal latéro-latérale, iléostomie de protection le 18.09.2019 pour diverticulite abcédée Hansen Stock IIB première épisode Maladie diverticulaire chronique avec : • colectomie gauche oncologique par laparotomie et anastomose primaire colorectale latéro-terminale mécanique le 10.04.2019 • pathologie Promed P2019.4290 : diverticulose du gros intestin avec sévère diverticulite active, largement ulcéro-phlegmoneuse, abcédante et focalement perforante, réaction inflammatoire giganto-cellulaire floride de type à corps étranger sur résidus de cellulose/matériel fécal et focalement sur fils, œdème et important remaniement fibro-blastique de la sous-séreuse et péritonite fibrino-leucocytaire. Pseudo polypes inflammatoires et polypes hyperplasiques de la muqueuse colique. Pas de dysplasie épithéliale ni de tissu néoplasique malin, notamment carcinomateux • Abcès para-colique gauche Erysipèle du MIG en 2018 Atteinte de la coiffe des rotateurs épaule D le 07.07.2017 Luxation IPP 4e rayon main D le 07.07.2017 Pancréatite aiguë d'origine biliaire en février 2011, hospitalisation du 24.02.2011 au 01.03.2011 Appendicectomie par tomie Amygdalectomie Choléstase avec sludge dans la voie biliaire principale ERCP le 13.07.2011 avec extraction de sludge cholédocien et papillotomie Bactériémie à S. dysgalactiae multisensible le 15.08.2018 • Sur dermohypodermite (plaie du 2ème orteil gauche surinfectée, avec érythème évoluant depuis 1 mois, en péjoration le 13.08.2018) Maladie d'Osgood-Schlatter G > D. Maladie d'Osgood-Schlatter traitée, ainsi que des troubles de la hanche à droite sans diagnostic spécifique. Maladie du sinus pilonidal inter-fessier avec : • Cinq orifices primaires, • Deux orifices secondaires à droite et à gauche, • Status post incision d'une maladie du sinus pilonidal pour un abcès inter-fessier stade III début juin 2018. Cure de sinus pilonidal le 17.07.2018 en électif par le Dr. X. Maladie épileptique depuis l'enfance (première crise à 8 ans), traitée par Lamotrigine, Briviact et Topiramate suivie par Dr. X. Maladie hémorroïdaire stade III à IV avec prolapsus muqueux en circonférentiel péri-anal. Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique avec STEMI en 1997, sous Aspirine Cardio. Cécité bilatérale. Constipation chronique. Canal lombaire étroit L2-L3 symptomatique secondaire à un kyste synovial postérieur gauche invétéré avec occlusion latérale. Troubles de la marche d'origine multifactorielle. Cervicalgies sur spondylarthrose de la colonne cervicale. Maladie hémorroïdaire. Maladie hypertensive et coronarienne formellement tritronculaire avec : • Occlusion fonctionnelle de l'IVA sur deux sténoses serrées IVA : PCI (2x1DES) : Bon • Sténose bifurcation MA/RCx : PCI (2DES) : Bon • Dysfonction VG systolique modérée, EF 42%. Maladie inflammatoire intestinale atypique probablement post-actinique avec : • colonoscopie du 20.07.2018 : colite ulcéreuse • sous Entocort • Salofalk 1 g 1x/jour dès le 03.12.2019 Maladie mains-pieds-bouche Maladie thrombo-embolique chronique : • thromboses veineuses profondes en 2003 et 2007, anticoagulation depuis 2003 (Marcoumar puis Xarelto) • status post varicectomie sur probable insuffisance veineuse chronique secondaire Hypertension artérielle Polyarthrite rhumatoïde DD maladie arthrosique • suivi anciennement par le Dr. X • actuellement : pas de suivi rhumatologique Syncopes récidivantes d'origine indéterminée, sans prodromes • avec premier épisode de chute le 29.01.2018 et dernière chute le 18.12.2018 • ETT le 04.01.2019 : FEVG à 65 %. Valve aortique très sclérosée sans sténose. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). • Bradycardie sinusale asymptomatique connue de longue date • Holter le 07.01.2019 : Extrasystolie ventriculaire et supraventriculaire complexe, de faible incidence. • Holter en février 2018 : pas d'arythmie maligne, pas de pause sinusale Pose de pacemaker (Dr. X) le 07.02.2019 Rx thoracique 08.02.19 Contrôle du pansement à prévoir à J10 chez le médecin traitant Suivi cardiologique à 4-6 semaines Maladie thrombo-embolique chronique Reprise du Xarelto le 09.02.19 Maladie thrombo-embolique chronique : • thromboses veineuses profondes en 2003 et 2007, anticoagulation depuis 2003 (Marcoumar puis Xarelto) • status post-varicectomie sur probable insuffisance veineuse chronique secondaire Hypertension artérielle Polyarthrite rhumatoïde DD maladie arthrosique • suivi anciennement par le Dr. X • actuellement : pas de suivi rhumatologique Syncopes récidivantes d'origine indéterminée, sans prodrome avec : • premier épisode de chute le 29.01.2018 et dernière chute le 18.12.2018 • ETT le 04.01.2019 : FEVG à 65 %. Valve aortique très sclérosée sans sténose. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). • Bradycardie sinusale asymptomatique connue de longue date • Holter le 07.01.2019 : Extrasystolie ventriculaire et supraventriculaire complexe, de faible incidence. • Holter en février 2018 : pas d'arythmie maligne, pas de pause sinusale Pose de pacemaker (Dr. X) le 07.02.2019 Rx thoracique 08.02.19 Contrôle du pansement à prévoir à J10 chez le médecin traitant Suivi cardiologique à 4-6 semaines Maladie thrombo-embolique chronique Reprise du Xarelto le 09.02.19 Maladie thrombo-embolique chronique anticoagulée. Goutte. Urgences mictionnelles sous Vesicare et Spasmo Urgénine. Obésité de classe 3. Maladie thrombo-embolique veineuse avec • Embolie pulmonaire centrale le 08.11.2019 avec cœur pulmonaire, sous Eliquis Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • Embolies pulmonaires 2018 • TVP 2018 Opération colonne lombaire 2018 sur probable sténose lombaire (rappatrier les infos chez le MT) Maladie thrombo-embolique veineuse le 08.01.2020 avec : • embolies pulmonaires segmentaires bilatérales • TVP proximale du membre inférieur gauche Maladie thromboembolique veineuse, traitée par Xarelto 20 mg avec : • embolie pulmonaire bilatérale en 2002 • embolie pulmonaire segmentaire le 09.11.2018 • TVP musculaire droite (v. soléaire) secondaire dans contexte postopératoire/oncologique (US du 08.10.2019) Maladie coronarienne de 3 vaisseaux, avec : • IVA moyenne : sténoses 70-90 %. angioplastie avec 4 stents actifs le 28.08.2019 • circonflexe moyenne : lésion sévère à 70-90 %, 1ère marginale lésion sévère à 70-90 %, ostium 2ème marginale : lésion critique à 90-99 % • NSTEMI le 30.07.2019 sur sténose significative de la coronaire droite. • coronarographie du 31.07.2019 : resténose intra-stent traitée par PCI et implantation de 3 stents actifs, FEVG 60 % • deuxième coronarographie fin août pour traiter les lésions de l'IVA • 6 mois de double antiagrégation Aspirine et Plavix (du 08/2019 jusqu'à fin février 2020) puis Aspirine au long cours • avis cardiologique Dr. X : le Clopidogrel ne peut PAS être mis en pause avant le 01.12.2019 (risque de sténose intrastent trop élevé). Intervention sous Clopidogrel Rhizarthrose bilatérale Diabète mellitus type II non insulino-dépendant HTA Maladie variqueuse débutante des MI stade C2. Maladie variqueuse des MI de stade C3. Maladie Von Willebrand. Syndrome de la sacro-iliaque D • canal lombaire étroit de grade C selon Schizas en L3-L4 en rapport avec une protrusion discale. Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise Malaise Malaise Malaise malaise malaise Malaise avec accident sur la voie publique. Malaise avec nausée lors de la remise en position debout le 23.01.2020. DD EI à la prise de Sirdalud aux urgences. Malaise avec péjoration d'un hémisyndrome facio-brachio-crural sensitivo-moteur droit, aphasie, dysarthrie et amnésie circonstantielle rapidement résolutive d'origine indéterminée (DD : AIT, épilepsie) : • NIHSS initial (Inselspital) 5 points, NIHSS à l'admission (HFR) 2 points, NIHSS à la sortie 0 point Malaise avec perte de connaissance et hypoesthésie du pouce droit. Malaise avec perte de connaissance et traumatisme crânien 22.02.2015 Douleurs scapulaires droites 22.02.2017 Malaise avec perte de connaissance sans traumatisme crânien. Malaise avec perte de connaissance sans traumatisme crânien ni amnésie circonstancielle d'origine probablement vaso-vagale le 29.12.2019 avec facteur favorisant : vin blanc, repas abondant, douche chaude. Pneumonie basale droite le 19.03.2019. Hypokaliémie à 3.1 mmol/l. Malaise avec probable perte de connaissance d'origine indéterminée le 07.01.2016. Anémie normochrome normocytaire d'origine indéterminée le 07.01.2016. Malaise avec prodrome lipothymique sur utilisation de l'alcool avec une alcoolémie à 2.09. Malaise avec traumatisme crânien. Malaise avec traumatisme crânien et perte de connaissance. Malaise avec tremblements. Malaise avec vertiges probablement dans le contexte de virose. Malaise, céphalées et douleurs abdominales Malaise d'allure orthostatique. Malaise d'allure vagale, le 19.01.2020 • DD : hypotension sur prise médicamenteuse. Malaise d'allure vagale le 19.01.2020 • DD : hypotension sur prise médicamenteuse. Malaise dans le contexte infectieux et l'hypoxémie le 06.12.2019. Malaise dans un contexte de grippe DD convulsion fébrile complexe Malaise, DD : décompensation cardiaque 06/2017. Urticaire généralisé 2017. Globe urinaire avec caillotage le 04.05.2017. Compression L5 04/2017. Broncho-aspiration le 05.02.2017. Résection transurétrale de la vessie 12/2016. Carcinome de la prostate traité par radiothérapie et Casodex par le Dr. X. Rupture coiffe des rotateurs dégénérative épaule droite 08/2015. • status post fracture sous-capitale humérus épaule droite. Rhizarthrose symptomatique gauche dans un contexte de traumatisme avec dislocation scapho-lunaire 01/2015. Douleur abdominale aiguë d'origine indéterminée le 18.02.2014 • DD gastrite, épaississement de la pointe de l'appendice. Prothèse totale du genou droit en janvier 2014. Malaise d'origine indéterminée dans un contexte fébrile, DD convulsions fébriles atypiques, peu d'arguments pour cause cardiaque Malaise d'origine indéterminée DD : neurologique central, hormonal. Malaise d'origine indéterminée le 04.01.2020. DD malaise vasovagal vs maladie du sinus vs orthostatique. Malaise d'origine indéterminée le 09.01.2020, DD : vasovagal. Malaise d'origine indéterminée le 17.01.20 DD : épilepsie ? arythmie ? Malaise d'origine indéterminée le 17.01.2020 DD orthostatique. Malaise d'origine indéterminée le 21.01.2020 DD : vasovagal sur crise de toux. Malaise d'origine probablement vaso-vagale. Malaise d'origine vaso-vagale probable. Malaise d'origine vasovagal probable. Malaise hypotensif. Status post-appendicectomie. Status post traumatisme crânien sur accident de la voie publique en juin 2011. Trauma crânien simple sans PC ou AC. Plaie superficielle avec un verre, le 29.1.17. Malaise lipothymique. Malaise lipothymique le 21.01.2020. Malaise matinaux répétitifs en cours d'investigation avec actuellement un reveal (Dr. X) Maladie Alzheimer sous Memantin et Donepazil. Malaise non circonstancié avec sensation vertigineuse sans perte de connaissance en décembre 2015. Suspicion d'hématémèse estimée à un verre après de nombreux efforts de vomissement en décembre 2015. Probable hématémèse le 10.05.2016. Plaie superficielle de la main gauche. Fracture de l'os pariéto-temporal gauche sur traumatisme crânien. CT cérébral injecté le 12.09.2019. CT de contrôle le 13.09.2019. Antibiothérapie par Co-Amoxiciline 3 x 1 g/jour pendant 10 jours. Dermabrasion dorsale de 8 cm de longueur. Désinfection et soins de plaie. Alcoolisation aiguë à 1,45 pour mille dans un contexte d'éthylisme chronique. Benerva et Becozyme. Seresta en réserve. Malaise orthostatique à répétition • chute avec traumatisme crânien et perte de connaissance le 06.01.20 DD orthostatisme : majoration du traitement anti-hypertenseur, syndrome dysautonomique. Malaise orthostatique avec perte de connaissance et traumatisme crânien simple le 09.04.2019. Lésion de 23 mm sur le rein gauche, inchangée depuis 2009. Décompensation diabétique hyperosmolaire en mars 2014, avril 2014, décembre 2016, février 2019, en juin 2019. Dermohypodermite débutante O2 du pied gauche et du pied droit sur dermabrasion, traumatisme cutané, onychomycose le 31.05.2019. Fracture intra-articulaire non déplacée de la base de P1 O1 à droite le 31.05.2019. Malaise orthostatique sur hypotension après introduction Vascord. Syndrome de Claude Horner gauche de découverte fortuite avec : • ptose palpébrale et miosis réactive gauche. Carcinome épidermoïde cutané bien différencié sur fond de kératose actinique hypertrophique et pimenté de l'arête nasale droite, classé pT1 cN0 Mx avec biopsie et exérèse en totalité en octobre 2010 (Dr. X). Naevus à cellules naeviques composées, dysplasiques avec atypies modérées, exérèse in toto en octobre 2007. Carcinome épidermoïde de la loge amygdalienne gauche, classé pT2 pN2a cM0 • tumorectomie par voie transorale et reconstruction par lambeau associé à un évidemment fonctionnel sus-omo-hyoïdien en juin 2000. • status post-radiothérapie adjuvante de juillet à août 2000. • reprise d'évidemment latéro-cervical gauche pour récidive ganglionnaire (1/7 adénopathie métastatique en dépassement capsulaire) en 2003 sans traitement complémentaire associé.Carcinome épidermoïde la paroi postérieure paramédiane gauche de l'oropharynx avec extension hypopharyngée, classée pT2 cN0 cM0 • tumorectomie au laser CO2 par voie endoscopique en MPS en 2008 Pneumonie communautaire avec empyème basal gauche le 14.11.2019 • DD: sur fausse route Radiographie thorax 14.11.2019 CT Thoracique le 15.11.2019 Ponction pleurale droite le 14.11.2019 : liquide purulent à la ponction • Cultures du liquide Streptocoque gr. anginosus/milleri Pose de drain thoracique (Dr. X) le 14.11.2019 : suspicion de cloisonnement, retiré le 20.11.2019 Pose de Pigtail 15.11.2019 (Dr. X), retiré le 21.11.2019 Antibiothérapie par Ceftriaxone 2g 1x/24h iv dès le 14.11.2019 Radiographie thorax 20.11.2019 Malaise probablement dans le contexte néoplasique en 2017. Amputation de l'extrémité distale de P3 du 4ème doigt. Iléus sur bride avec laparotomie en 2002. Épanchement pleural gauche néoplasique non drainé dans le cadre d'un état fébrile. Malaise probablement d'origine vaso-vagal Électrocardiogramme normal Avis cardiologique (Dr. X) Surveillance neurologique et cardiorespiratoire sans particularité Malaise probablement sur anxiété le 19.12.2019 • avec vertiges, sensation de poing au niveau abdominal • spontanément résolutif Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance d'origine probablement vagal. Malaise sans perte de connaissance et sans traumatisme crânien. Cystite. Malaise sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Malaise sans perte de connaissance ni traumatisme crânien Malaise sans traumatisme crânien ni perte de connaissance ou amnésie circonstancielle. Malaise sans traumatisme crânien, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle dans le contexte de troubles neurologiques fonctionnels depuis 2017 et pluri investigués CHUV+HFR (IRM, CT, PL...) avec des troubles de la mémoire depuis 5-6 mois. Malaise sur déshydratation suite à GI de probable origine virale Malaise sur dialyse le 09.11.2019. Insuffisance respiratoire globale le 02.02.2019 d'origine mixte : • grippe à Influenza A avec sur-infection bactérienne secondaire • anasarque • exacerbation syndrome obstructif, syndrome hypopnée-hypoventilation • prise en charge aux soins intensifs du 02.02 au 07.02.2019 Chute de sa hauteur le 19.05.2019 avec TC dans un contexte de chutes à répétition : • CT cérébral 19.05.2019 (Dr. X) : pas de saignement • Schellong positif : diminution de 30 mmHg systole sans augmentation de la TA • chute avec trauma crânien sous anticoagulation par Eliquis le 02.02.2019 Boursite traumatique coude droite associée à hématome 5 x 4 x 2 cm possiblement surinfecté le 19.05.2019. Contusion simple de l'épaule et de la hanche droite suite à chute de sa hauteur 19.05.2019. Saignement au niveau du cathéter de dialyse jugulaire droit le 13.06.2019. Suspicion d'hémorragie digestive haute le 02.02.2019. Mycose buccale le 02.02.2019. Tendinopathie de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite. Cure de canal carpien. Excision d'un kyste ovarien. Appendicectomie en 1981. Syncope d'origine hypotensive probable durant la dialyse le 01.08.2019. Malaise sur probable bradycardie sinusale d'origine médicamenteuse le 25.08.2012. Hypokaliémie à 3 mmol/l le 20.11.2015. Pneumonie lobaire inférieure gauche le 19.11.2015. Malaise sur probable crise d'angoisse, le 09.10.2019. Thyroïdectomie. Malaise vagal Malaise vagal Malaise vagal. Malaise vagal probablement dans un contexte de virose débutante Malaise vagal sans perte de connaissance le 03.09.2019 : • avec probable crise d'angoisse surajoutée. Malaise vagal sans perte de connaissance le 31.01.2020 • avec probable crise d'angoisse surajoutée. Malaise vagal sur consommation de tabac et contexte de déshydratation le 31.12.2019 Malaise vagal le 25.04.2018 Malaise vaso-vagal. Malaise vaso-vagal Malaise vaso-vagal à répétition. Alcoolisation aiguë à 1.98 en septembre 2017. Varices du membre inférieur gauche. Malaise vasovagal dans un contexte fébrile avec PC simple et plaie frontale gauche. Malaises. Malaises. Malaises avec perte de connaissance à répétition, d'origine indéterminée, DD : hypotension orthostatique; épilepsie; SEP (investigations en cours); composante psychologique non exclue. Deux accouchements par voie basse. Entorse du Chopart pied droit le 01.11.2017 Malaises probablement vaso-vagaux avec douleurs rétrosternales, nausées, vomissements et vision floue (DD Intolérance aux opiacés, anxiété) • le 11.12.2019 sous Fentanyl patch • le 14.01.2020 sous Buprénorphine Malaises vagaux le 13.05.2018 Malaises vaso-vagaux. Malaises vaso-vagaux. Malaria à Pl. Falciparum le 18.01.2020 • parasitémie 1.0% Malaria à P. falciparum, le 17.03.2019. Malaria non compliquée à Plasmodium Malariae Malaria non compliquée à Pl. Falciparum le 18.01.2020 : • parasitémie 1.0% Malformation ano-rectale depuis l'enfance avec trouble de la vidange • Mr. Y procède lui-même si nécessite extraction de selle • Iléo-colonoscopie 03.07.2018 (Dr. X) Oligodendrogliome anaplastique OMS grade III • date du diagnostic : 30.07.2014 • pathologie : oligodendrogliome anaplasique OMS grade III, sur probable transformation de l'oligodendrogliome grade II • biologie moléculaire : IDH1 pos., MAP2 pos., MiB1 en cours. • status post-craniotomie fronto-pariétale droite le 30.07.2014 • status post traitement adjuvant combiné de radio- et chimiothérapie (Temodal) du 06.10 au 20.11.2014 • actuellement : ttt médicamenteux, cicatrice vs tumeur de taille stable (suivi USZ au 6 mois par IRM) • épilepsie symptomatique avec crises partielles (suivi Dr. X) Oligodendrogliome OMS grade II para-central droit • date du diagnostic : 11.05.2010 • pathologie : oligodendrogliome OMS grade II • biologie moléculaire : IDH1 pos.; MAP2 pos, Ki67<3, LOH chromosome 1p19q, • status post-résection subtotale fronto-pariétale droite avec résection microchirurgicale le 11.05.2010 Hémorroïdes. Syndrome de dépendance à l'alcool et autres substances, actuellement abstinente. Trouble dépressif récurrent, avec épisode moyen en décembre 2016. Malformation ano-rectale depuis l'enfance avec trouble de la vidange • Mr. Y procède lui-même si nécessite extraction de selle • Iléo-colonoscopie 03.07.2018 (Dr. X) Oligodendrogliome anaplastique OMS grade III • date du diagnostic : 30.07.2014• pathologie (Universitätsspital Zürich NB2014.846) : oligodendrogliome anaplasique OMS grade III, sur probable transformation de l'oligodendrogliome grade II • biologie moléculaire : IDH1 pos., MAP2 pos., MiB1 en cours. • status post-craniotomie fronto-pariétale droite le 30.07.2014 • status post traitement adjuvant combiné de radio- et chimiothérapie (Temodal) du 06.10 au 20.11.2014 • actuellement : ttt médicamenteux, cicatrice vs tumeur de taille stable (suivi USZ au 6 mois par IRM) • épilepsie symptomatique avec crises partielles (suivi Dr. X) Oligodendrogliome OMS grade II para-central droit • date du diagnostic : 11.05.2010 • pathologie (Universitätsspital Zürich 2010.718-720) : oligodendrogliome OMS grade II • biologie moléculaire : IDH1 pos.; MAP2 pos, Ki67<3, LOH chromosome 1p19q, • status post-résection subtotale fronto-partétale droite avec résection microchirurgicale le 11.05.2010 Hémorroïdes Syndrome de dépendance à l'alcool et autres substances, actuellement abstinente Trouble dépressif récurrents, avec épisode moyen en décembre 2016 Malformation d'Arnold Chiari type I Malformation de Chiari type II avec hydrocéphalie concomitante avec : • vomissements en jet • céphalées occipitales • parésie de l'hémicorps gauche ainsi que des pertes d'équilibre et des troubles statiques en augmentation • hypoacousie droite, une diplopie avec flou visuel • troubles de la déglutition (aux solides uniquement) avec une perte de poids de 9 kg en 8 mois • Consultation en neurochirurgie • sous Diamox (suivi par Dr. X) Malgré les inquiétudes de la famille du patient au sujet des troubles cognitifs récents, nous n'objectivons pas de troubles neurologiques nécessitant une imagerie en urgence. Étant donné un contexte émotionnel lourd en ce moment pouvant expliquer le comportement étrange du patient et une normalité des examens paracliniques et du statut neurologique, nous proposons donc un suivi ambulatoire chez le médecin traitant, ainsi qu'une éventuelle reconsultation aux urgences si les symptômes devaient se reproduire ou se péjorer. Malgré une faible mobilité, à l'examen clinique, le patient arrive tout de même à bouger. Nous mettons cela plutôt sur le compte d'un stress avec un patient tendu. D'après sa fille, le patient arrive à mieux mobiliser à domicile et avec les physiothérapeutes. Une compensante psychogène peut être associée, cependant nous maintenons une prise en charge optimale sous physiothérapie avec rééducation de l'épaule G en balnéothérapie et mobilisation libre selon douleurs. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Nous préconisons au patient la prise de médicaments antalgiques à base anti-inflammatoire à prendre systématiquement pendant 10 jours. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Malgré une infiltration L4-L5 D en 2018, qui avait résolu quasi complètement les douleurs du patient, actuellement selon les images et la symptomatologie, nous ne pouvons pas expliquer comment l'hernie en L4-L5 pourrait comprimer la racine L5, selon nous, il s'agit d'un tableau complexe avec un syndrome de la sacro-iliaque, actuellement décompensé, également sténose L3-L4, L4-L5. L'IRM date de la fin de 2017. Nous organisons une nouvelle IRM de la colonne lombaire et une infiltration sacro-iliaque droite pour essayer de soulager le patient. Nous reverrons le patient suite à ce bilan, nous avons déjà discuté avec le patient d'une éventuelle prise en charge chirurgicale avec décompression du canal lombaire étroit. Malheureusement au vu du suivi radiologique non effectué ce jour, nous agendons une IRM et reverrons le patient la semaine prochaine. Entre temps le patient sera également revu le 30.01.2020 en neuropsychologie et en fonction, une reprise du travail sera discutée. Malheureusement, je ne suis pas la bonne adresse pour l'investigation du patient ni pour la situation neurologique qui me semblerait important d'éclaircir avec le neurocentre de Fribourg. En ce qui concerne la côte surnuméraire droite, j'adresse le patient pour un avis spécialisé auprès du Dr. X, chirurgien thoracique de l'HFR Fribourg. De ma part, je me tiens à disposition. Malheureusement le port des bas à varices n'a pas amélioré la souffrance de la patiente. Vu les importantes varices dans le creux poplité, je propose une évaluation chirurgicale pour faire un stripping des varices. J'adresse la patiente à la consultation spécialisée du Dr. X du service de chirurgie de l'HFR pour une éventuelle prise en charge chirurgicale. De ma part, les douleurs décrites par la patiente ne sont pas dans le contexte de l'arthrose fémoro-patellaire et l'indication donc pour une infiltration par cortisone n'est actuellement pas donnée. Un contrôle d'emblée chez moi n'est pas prévu. Je prie le service de chirurgie de bien vouloir convoquer la patiente directement pour la consultation auprès du Dr. X. Malheureusement, l'infiltration du genou droit n'a montré aucun effet. Nous rediscutons la situation avec Mr. Y. Il a compris que la douleur encore présente est dans le contexte de la gonarthrose du compartiment interne. Il n'y a maintenant plus de problème mécanique qui provient du ménisque. Dans le contexte d'une arthrose limitée au compartiment fémoro-tibial interne, on pourrait discuter d'une éventuelle ostéotomie de valgisation pour soulager le compartiment interne. Une autre option serait une prothèse uni-compartimentale du compartiment fémoro-tibial interne. Le patient ne désire pas d'intervention chirurgicale pour le moment. Il veut attendre et voir l'évolution spontanée. Il me recontactera en cas de besoin. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Malheureusement, l'infiltration loco-dolenti n'a calmé la situation que temporairement. Je n'ai pas d'explication pour les gonalgies décrites par le patient. Il y a une discrépance entre ce que l'on voit sur l'IRM du 22.11.2019 et ce que me dit le patient. Je n'ai pas de proposition thérapeutique pour l'instant. Je propose à Mr. Y une attitude attentive et nous verrons l'évolution clinique sur les prochains mois. En cas de persistance de douleurs au-delà de 6 mois, le patient me recontactera. Un contrôle d'emblée n'est pas prévu. Malheureusement, l'infiltration n'a pas montré l'effet désiré et n'a soulagé la patiente que pendant 1 semaine. On est donc face à une arthrose manifeste symptomatique où la seule option qui reste est l'implantation d'une prothèse totale de genou. Pour l'instant, la patiente ne se voit pas reprendre le travail à plus que 50%. Je la garde alors à 50% d'arrêt de travail jusqu'au prochain rendez-vous prévu le 4.3.2020 pour ainsi planifier la PTG G pour fin avril 2020. Malheureusement, Mme. Y est de nouveau symptomatique en ce qui concerne les omalgies gauches et les gonalgies droites. Je suis d'accord avec la patiente de répéter l'infiltration. Nous commençons par l'épaule gauche où on va infiltrer l'articulation acromio-claviculaire ainsi que l'espace sous-acromial par du Dépo-Médrol. L'infiltration est prévue pour le 29.1.2020. Je reverrai la patiente 3 semaines après l'infiltration le 19.2.2020 pour un contrôle clinique. Je prie le médecin traitant de bien vouloir garder en suspens le Sintrom suite à l'extraction de la dent qui est prévue la semaine prochaine et garder la patiente anti-coagulée prophylactiquement par Clexane 40 mg/sous-cutanée 1x/jour. Je prie également le médecin traitant de bien vouloir réintroduire le Sintrom le lendemain de l'infiltration. Malheureusement, nous ne disposons pas de tout le bilan radiologique afin de pouvoir proposer un avis complet. Nous allons donc solliciter le centre de radiologie où s'est déroulée l'infiltration afin d'obtenir un compte rendu pour savoir quelle infiltration a été faite. De plus, nous allons demander au médecin traitant les images de l'IRM et du CT. Nous expliquons au patient et à son père qu'un traitement par arthrodèse représente une solution radicale mais qu'en l'absence de lésion dégénérative franche, cette solution est plutôt à éviter. C'est pourquoi nous proposerions plutôt un traitement chirurgical par révision et comblement du kyste par greffe autologue. Nous le recontacterons pour un nouveau contrôle dès la réception de toutes les informations.Malheureusement, nous ne disposons pas encore du compte rendu de la neurologue que la patiente a consultée avant- hier. Nous évoquons • 2 options thérapeutiques, d'une part l'optimisation du traitement conservateur avec confection de nouveaux supports plantaires mieux adaptés et plus à même de décharger efficacement l'avant-pied, d'autre part une révision chirurgicale, dont l'issue est incertaine. La patiente sera revue en consultation au début du mois de mars. À cette occasion, elle prendra avec elle ses semelles orthopédiques afin que nous puissions déterminer l'indication à la confection de nouveaux supports plantaires plus adaptés. Malheureusement, nous sommes face à l'échec de la suture du sus-épineux à D, probable toutefois bien connu suite à ce genre de lésion. Étant donné l'âge du patient et la qualité musculaire conservée, je vais tenter une nouvelle réinsertion du sus-épineux. Le patient est informé du déroulement intra- et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention prévue pour le 03.03.2020. Mme. Y est hospitalisée pour surveillance dans le contexte d'une bronchiolite sévère. Le frottis revient positif pour le RSV. Au niveau respiratoire, elle s'améliore progressivement, avec persistance de légères sibilances et un léger tirage intercostal. Durant son séjour, elle n'a pas nécessité d'oxygène. Des rinçages nasales sont effectués régulièrement et la technique est expliquée à la mère. Elle reprend une bonne hydratation ainsi qu'une bonne diurèse et ne présente pas de signe de déshydratation. Elle reste hémodynamiquement stable et afébrile. Devant une évolution favorable le lendemain après-midi, Mme. Y peut rentrer à domicile le 26.11 avec rinçages de nez à poursuivre et sans autre traitement particulier. Mallet Finger Dig V D Mallet finger Dig.4 main droite Mallet Finger tendineux du majeur de la main gauche. Mallet Finger tendineux du 4ème doigt droit le 24.01.2020. Mallet finger tendineux du 5ème doigt de la main gauche. Mallet finger tendineux du 5ème doigt de la main gauche daté de mi-décembre 2019. Mallet osseux Dig IV à D du 12.11.2019 • traitement conservateur par attelle Stack Grossesse de 7 mois Mallet osseux Dig IV à G avec subluxation au DIP du 07.11.2019 • Réduction fermée avec ostéosynthèse par broches (Ishiguro) le 18.11.2019 Malnutrition légère avec un NRS 3/7 Malnutrition modérée le 18.12.2019 : • Perte de poids de 15.3 kg (19%) en 6 mois • NRS à 4/7 Malnutrition protéino-calorique avec risque de syndrome de renutrition inappropriée avec • troubles électrolytiques • troubles de la crase sur déficit en vitamine K Malnutrition protéino-calorique sévère dans le cadre d'une sigmoïdectomie par laparotomie avec anastomose colo-rectale et iléostomie de protection le 05.11.2019 Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique : • Avec carence vitaminique et troubles cognitifs Malnutrition protéino-énergétique déjà investiguée lors de sa dernière hospitalisation avec : • Carence en folates • Carence en vitamine B12 • Carence en vitamine D Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave : • Contexte post-cholédocolithiases engendrant des nausées et des dégoûts, démontré par une perte de poids de 5 kg, soit 8.5% de son poids, en 3 semaines avec un état général diminué et un NRS à 5/7. Malnutrition protéino-énergétique grave • baisse de l'appétit chronique • augmentation des besoins dans le contexte de la BPCO • NRS à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique grave NRS 5/7 et des apports per os de 0-25% des habitudes depuis 1 semaine. Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • hypoalbuminémie • hypophosphatémie Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • hypoalbuminémie sévère Malnutrition protéino-énergétique grave, avec : • NRS 6/7 • perte de 16% de son poids en 1 mois • troubles légers de la déglutition • hypophosphatémie et hypomagnésémie légère Malnutrition protéino-énergétique grave avec BMI à 18,2 • NRS à 5 Malnutrition protéino-énergétique grave (BMI à 15.4 kg/m²) Malnutrition protéino-énergétique grave dans contexte trouble de la déglutition sévère probablement d'origine centrale décompensé suite à l'anesthésie générale 08.01.2020 Malnutrition protéino-énergétique grave dans un contexte de dysphagie sur carcinome épidermoïde supraglottique : • Perte de 20 kg en 1 an sur inappétence et odynodysphagie • NRS 6/7 Malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une satiété précoce • apports < 25% • BMI à 13.1 (taille : 1.56 m, poids : 31.9 kg) • NRS à 5 • DD : trouble du comportement alimentaire, gastrite chronique avec hyperplasie lympho-nodulaire à Helicobacter Pylori (diagnostiquée par OGD en avril 2017) Malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une satiété précoce • apports à < 25% • BMI à 13.1 (taille : 1.56 m, poids : 31.9 kg) • NRS à 5 • DD : trouble du comportement alimentaire, gastrite chronique avec hyperplasie lympho-nodulaire à Helicobacter Pylori (diagnostiquée par OGD en avril 2017) Malnutrition protéino-énergétique grave le 02.01.2020. Malnutrition protéino-énergétique grave le 24.12.2019 • CT thoraco-abdominal natif le 16.12.2019 en ambulatoire : normal • sang occulte selles : 1 positif, 2 négatif et 3 douteux • PSA libre à 21.74 ng/ml • PSA 51.9. Malnutrition protéino-énergétique grave le 25.11.2019 : • NRS 5/7 • Apports à 50-75% • Perte pondérale de 7.5% du poids en 1 mois • Troubles de la déglutition et dysphagie sur accident vasculaire cérébral depuis Novembre 2019 Malnutrition protéino-énergétique grave, NRS à 5/7 et un BMI à 16.5 kg/m² : • Avec troubles électrolytiques : hypophosphatémie 0,75 mmol/l, hypomagnésémie 0.85 mmol/l Malnutrition protéino-énergétique grave NRS à 6 dans le contexte oncologique Malnutrition protéino-énergétique grave NRS 5 avec : • Hypokaliémie • Hypomagnésémie Malnutrition protéino-énergétique grave NRS 5 avec : • Hypokaliémie • Hypomagnésémie Malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5/7) le 15.11.2019 avec multiples troubles électrolytiques : • hypoalbuminémie • hypokaliémie • hypomagnésémie • hypophosphatémie • hypocalcémie Malnutrition protéino-énergétique grave sur éthylisme chronique Malnutrition protéino-énergétique grave • Sur inappétence, cirrhose Malnutrition protéino-énergétique grave • syndrome de renutrition inappropriée 26.11.2019 Malnutrition protéino-énergétique grave (69.8%) avec poids d'entrée 34.9 kg (BMI 14) dans le contexte d'un trouble du comportement alimentaire restrictif Malnutrition protéino-énergétique le 12.12.2019 avec : • Vitamine D à 16 nmol/l • Acide folique à 2 ng/ml Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légèreMalnutrition protéino-énergétique légère • Ingesta couvrant 85% des besoins • BMI à 21.2 • NRS à 3 Malnutrition protéino-énergétique légère • dans un contexte d'éthylisme chronique • carence en acide folique Malnutrition protéino-énergétique légère • en lien avec une inappétence démontrée par un NRS à min 3 • des ingesta à ~50% des besoins énergétiques. Malnutrition protéino-énergétique légère avec : • Poids cible 53 kg • Dysphagie sur dystonie bucco-faciale • Achalasie dans le cadre d'une section des muscles péri-oesophagiens et adhésiolyse en 2003 Malnutrition protéino-énergétique légère avec : • carence en acide folique Malnutrition protéino-énergétique légère avec dysphagie sévère Malnutrition protéino-énergétique légère avec une perte d'appétit et un NRS à 3/7. Malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence • NRS à 3 • pertes de poids de 4% en 1 mois • ingestas à 50-75% de ses apports habituels Malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une sécheresse buccale empêchant la prise d'aliments, démontrée par des apports à 50% des habitudes avec baisse de l'état général, et un NRS à 3/7. Malnutrition protéino-énergétique légère le 12.12.2019 : • Avec carence en vitamine D3 • En lien avec une inappétence depuis octobre 2019 • Démontré par un NRS à 3 et des ingestas à 75% de ses apports habituels depuis plusieurs semaines Malnutrition protéino-énergétique légère le 16.12.2019 Malnutrition protéino-énergétique légère, NRS à 3. Malnutrition protéino-énergétique légère (NRS à 3) : • Sarcopénie • Repas fractionnés enrichis Malnutrition protéino-énergétique légère, NRS --/7 Malnutrition protéino-énergétique légère • sur inappétence dans le contexte OH Malnutrition protéino-énergétique modérée • hypoalbuminémie • hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésémie, hypocalcémie Malnutrition protéino-énergétique modérée : • NRS à 4/7 Malnutrition protéino-énergétique modérée NRS 4 Malnutrition protéino-énergétique modérée avec : • carence en vitamine K et coagulopathie modérée (allongement spontané du temps de prothrombine) • hypoalbuminémie sévère Malnutrition protéino-énergétique modérée avec un BMI à 18.7. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec un NRS 4/7 Malnutrition protéino-énergétique modérée, NRS à 4 Malnutrition protéino-énergétique modérée • NRS à 4 Malnutrition protéino-énergétique modérée • NRS (06.12.2019) : 4/7 Malnutrition protéino-énergétique modérée : • NRS 4/7 • IMC 27 kg/m2 • apport nutritif <5% dans la dernière semaine Malnutrition protéino-énergétique modérée • perte de poids env 5 kg en 2 semaines (poids de forme environ 68-70 kg) • pas d'appétit Malnutrition protéino-énergétique non démontrée par le BMI : • Avec trouble électrolytique (hypoph 0.62, hypoMg 2+). • Avec hypoalbuminémie 33.4. • Avec carence en vitamine D. Malnutrition protéino-énergétique NRS4 12/2019 Malnutrition protéino-énergétique probable : • Hypomagnésiémie à 0.54 mmol/l Malnutrition protéino-énergétique sévère • des troubles de la déglutition • NRS 5/7 Malnutrition protéino-énergétique sévère • sur adénocarcinome pancréatique Malnutrition protéino-énergétique sévère avec risque de syndrome de renutrition le 31.12.2019 Malnutrition protéino-énergétique sévère. • BMI 16,6 m2/kg • Laboratoire 07.04.16 : préalbumine 0,2 g/l. • Laboratoire 15.04.16 : albumine 38,8 g/l, protéines totales 62,6 g/l. Oedème péri-maléollaire bilatéral sur probable insuffisance veineuse chronique. • Laboratoire 15.04.16 : NT-pro BNP 82 ng/l, albumine 38,8 g/l, protéines totales 62,6 g/l. Entorse cheville gauche (2016). Burnout (2012). Malaise d'origine indéterminée le 29.10.2018 Malnutrition protéino-énergétique sévère dans le cadre d'une sténose duodénale d'origine tumorale Malnutrition protéino-énergétique sévère dans le contexte d'une dysphagie Malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une cause inconnue démontrée par un NRS à 5, une perte de 11% en moins de 3 mois, un BMI à 15.7 le 13.01.2020. Malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une inappétence et une longue période de jeûne démontrée par un NRS à 5/7, une perte de poids de 4.5 kg soit 6% en moins d'un mois Malnutrition protéino-énergétique sur : • status post-gastrectomie quasi-totale avec jéjunostomie alimentaire le 07.10.2019 Malnutrition protéino-énergétique, 02.01.2019 • 60% des besoins Malnutrition protéino-énergétique sévère • BMI <18.5, un NRS à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique Malrotation fémorale sur status post réduction fermée, OS par clou LFN long fémur D (OP le 01.08.2019) pour fracture médio diaphysaire fémur D Défaut de rotation de 40° à droite Maltofer 100 mg comprimé per os. Maltofer 100 mg cp 1x/j du 16.12 au 23.12.2019 Suivi biologique Maltofer 100 mg cpr 1 fois par jour po. Maltofer 100 mg 2x/j Mal-union radius distal G sur fracture type Barton (Fernandez type 2) du 08.04.2019. Status post correction par ostéotomie et réduction par plaque Aptus Adaptive 2 assistée arthroscopiquement le 02.10.2019.Mamma Fibroadenom. Migräne. Mammakarzinom links 1990 avec • Status post-Ablation und axillärer Lymphadenektomie. • Radiotherapie. Status post-PTH le 18.01.2017. Mammakarzinom links (1992): Ablatio mammae, Reconstruction, Radiotherapie, Tamoxifen Pseudo-Démence 09/2019 St.n. diaphragmatische Parese (bds, fonctionnel) 09/2016 St.n. plusieurs interventions an der Wirbelsäule (bei chronischen Lumbalgien): • Dekomprimierung L2-3 links und L3-4 links 07/2016 • Dekomprimierung Foramina L5-S1 09/2017 • Fazettektomie und Foraminotomie L5-S1 09/2018 • Dekomprimierung L4 mit Flavektomie, Rezessustomie und Foaminotomie L4-L5 links und Herniektomie 03.12.2019. Mandat d'amener Mandat d'amener. Manger des pommes de terre et des bananes. Maniaco-dépressif sous lithium. Maniaco-dépressif sous lithium. Manifestation extra-intestinale de maladie de Crohn : Spondylarthrite HLA B27 POS avec sacro-ilite symptomatique, pour laquelle l'équipe de rhumatologie de l'HFR a posé l'indication au Cimzia, en suspens au vu de chirurgie en janvier 2020 Tabagisme actif. Manifeste ostéoporose • letzte osteodensitometrie am__ • unter Aldronat 70 mg alle woche seit 20___ • Vitamin D-mangel 70 nmol/L am 22.01.2020. Manoeuvre de l'épaule postérieure. Manoeuvre de réduction de la pronation douloureuse aux urgences. Manoeuvre de réduction de la pronation douloureuse en hypersupination, sous MEOPA. Ressaut senti après le premier essai. Normalisation complète des douleurs et limitations au niveau du coude après réduction. Manoeuvre de réduction réussie. Manoeuvre de réduction, utilise son bras sans problème par la suite. consignes de prévention données aux parents. Manoeuvre de Valsalva et Valsalva modifié, massages des sinus carotidiens : sans effet Metoprolol 25 mg Adénosine 6 mg Avis cardiologique demandée - la patiente sera convoquée en ambulatoire. Manoeuvre de Valsalva et Valsalva modifié Massages des sinus carotidiens Metoprolol 25 mg Adénosine 6 mg Avis cardiologique à prendre le 04.01.2020. Manoeuvre de Valsalva pendant la tachycardie aux urgences : ralentissement transitoire Magnesium 2g IV le 25.01. Avis cardiologue de garde le 25.01.2020 (Dr. X) : correction des troubles électrolytiques, ad surveillance rythmique. Echocardiographie transthoracique le 26.01.2020 : fonction ventriculaire gauche normale. Pas de dilatation des cavités droite. HTAP à 55 mmHg, superposable au comparatif du 13.01.2020. Holter demandé pour le 27.01.2020 Clexane prophylactique. Manoeuvre d'Epley. Manoeuvre libératrice d'Epley partiellement efficace. Retour à domicile avec instruction d'auto-manoeuvre + Betaserc 24 mg/jour. Arrêt de travail avec instruction de consulter un ORL en cas de persistance à 3 jours. Manoeuvres positionnelles. Furosemide IV le 27.12.2019, puis dès le 02.01.2020. Albumine du 30.12.2019 au 01.01.2020. Manoeuvres vagales : échec 1 bolus de 150 mg Cordarone 1er choc à 120J puis 2ème choc à 170J (retour en RSR puis TSV après 30 minutes). Pas d'adénosine en raison d'une BPCO et HTP. RSR suite à un bolus de Cordarone 250 mg. manque de force dans les jambes. Manque de force de la jambe droite. Manque de vitamine D. Manque du mot. Mr. Y est un jeune patient de 17 ans, connu pour des antécédents cardiaques, hospitalisé pour un premier épisode d'urétérolithiase symptomatique le 26.01.2020. Un traitement conservateur est mis en place avec bonne évolution permettant un retour à domicile le 27.01.2020. Le patient sera convoqué pour un contrôle chez le Dr. X. Marche avec béquilles avec charge selon douleurs. Pas de sport durant 4 semaines. Prochain contrôle à ma consultation le 02.03.2020. Marche avec in-toeing des deux côtés plus marqué à gauche sur excès d'antétorsion fémorale (physiologique pour l'âge). Marche en charge partielle à gauche (5 kg) pour 6 semaines post-opératoires, dans une botte de marche amovible. Marche en charge partielle à gauche (5 kg) pour 6 semaines post-opératoires, dans une botte de marche amovible pour surveillance cutanée. Poursuite de la mobilisation du genou limitée à 90° de flexion pour 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la mobilisation active assistée de la cheville et de l'articulation sous-talienne. Thromboprophylaxie pour 3 mois post-opératoires. Ablation des agrafes à J18 post-opératoires (le 30.12.2019). Contrôle clinique (Dr. X) le 08.01.2020 à 10h30, radio-clinique le 29.01.2020 à 14h45. Marche en charge partielle à gauche (5 kg) pour 6 semaines post-opératoires, dans une botte de marche amovible pour surveillance cutanée. Poursuite de la mobilisation du genou limitée à 90°de flexion pour 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la mobilisation active assistée de la cheville et de l'articulation sous-talienne. Thromboprophylaxie pour 3 mois post-opératoires. Ablation des fils à J21 post-opératoires (le 10.01.2020). Contrôle clinique (Dr. X) le 08.01.2020 à 10h30, radio-clinique le 29.01.2020 à 14h45. Marche en charge selon douleurs avec rollator. Pas d'autre contrôle prévu chez nous. Nous restons à disposition en cas de besoin. Marche en charge selon douleurs. Pas de flexion au-dessus de 90° pour deux semaines. Pas de sport. Anti-inflammatoires. Contrôle chez le médecin de famille dans une semaine. Explications données au patient par le médecin. Marche en rotation interne avec des jambes en X plus prononcée à gauche qu'à droite et arrière-pied en valgus réductible. Marche sur la pointe des pieds bilatérale depuis l'acquisition de la marche. Marche sur la pointe des pieds des deux côtés. Marcoumar en suspens du 22.01 au 26.01.2020. Marisque hémorroïdaire (DD: petite hémorroïde non-thrombosée). Marquage de la lésion. Laboratoire : GB 9.4, CRP 62. Co-Amoxicilline 1g, 3x/j pendant 1 semaine puis selon évolution. Repos, glace. Antalgie. AINS. Arrêt de travail à 100% du 31.01.2020 au 07.02.2020. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires dans 48h. Marquage de veines perforantes membre inférieur droit en angiologie le 16.01.2020 Cure des varices avec crossectomie, stripping longs des saphènes internes des deux côtés ainsi que ligature des perforantes membre inférieur droit, le 16.01.2020. Marsupialisation sous anesthésie générale le 02.01.2020. Frottis bactériologique du liquide d'abcès en cours. Massage carotidien le 19.01 : pas de pause sinusale. Massage de relaxation. Antalgie. Masse cérébrale pariétale d'origine indéterminée le 30.01.20, avec : • Oedème péri-lésionnel jusqu'en fronto-pariétal • Syndrome sensitivo-ataxiant MSG le 30.01.20 DD : sur lymphome ? Métastase sur primaire pulmonaire ? Masse de la paroi de la vessie latérale à gauche découverte fortuitement le 31.12.2019. Masse de la région pinéale avec hydrocéphalie interne le 14.01.2020 • DD tumeur embryonnaire, Astrocytome, choriocarcinome ? Masse de 6.5 cm de l'hile pulmonaire droite occluant la bronche du lobe moyen, 17.01.2020, avec : DD lésion pulmonaire avec carcinose pleurale, DD mésothéliome • Volumineux épanchement pleural droite avec épaississement de la plèvre. • Radiographie chez le Dr. X : épanchement pleural important de tout le lobe inférieur droit. • Laboratoire chez le médecin traitant : CRP 16.7, Hb 175, Lc 5.7. Masse ganglionnaire hilaire gauche le 25.12.2019 • Associée à nodule pulmonaire spiculé du lobe supérieur droit de 4 mm. • De découverte fortuite. • En absence de symptômes B. Masse hilaire gauche hétérogène (30 x 35 x 42 mm (LL x AP X CC) de découverte fortuite le 11.01.2020 : • multiples ganglions hilaires et en régions médiastinales supérieures bilatérales. DD : lymphome, adénocarcinome pulmonaire Masse hypodense mal délimitée et microlobulée du pôle inférieur du rein gauche découverte le 27.09.2019 • avec suspicion de carcinome papillaire en cours d'investigation • tumorboard d'urologie (11.10.2019): prévoir CT à 6 mois Masse intracrânienne avec hydrocéphalus interne DD Astrocytome Masse mammaire d'origine indéterminée (DD Néoplasie, inflammation hormonale). Masse médiastinale antérieure de 32 x 16 mm au contact de l'aorte, opérée en 2017. Masse médiastinale antérieure de 32 x 16 mm au contact de l'aorte, opérée en 2017 Nodule pulmonaire du lobe moyen traité par résection Wedge Accident de moto avec traumatisme de l'œil gauche -> prothèse oculaire œil gauche. Erosion cornéenne droite sur probable corps étranger métallique. Tentamen médicamenteux. Masse pancréatique avec suspicion radiologique d'un IPMN de type side branch de 20 mm du corps du pancréas (CT scanner abdominal le 01.06.2019). HTA traitée. Vessie hyperactive. Syndrome des jambes sans repos sous Sifrol. Masse prostatique suspecte d'un carcinome de la prostate avec métastases osseuses le 23.12.2019 • découverte sur CT thoraco-abdominal ambulatoire du 13.12.2019 Masse pulmonaire lobaire inférieure G avec infiltration de l'artère segmentaire basale et présence d'un thrombus intra-luminal le 06.01.2020 • épisode d'hémoptysie mineur le 06.01.2020 Masse surrénalienne gauche de 3 x 2 cm, découverte fortuitement, nécessitant une surrénalectomie gauche par voie laparoscopique en juillet 2007. Fracture C1-C3 et D2-D3 en avril 2007 traitée par ostéosynthèse. Prothèse totale hanche gauche en novembre 2006. Opération d'un kyste testiculaire en 2006. Coxarthrose droite. Implantation prothèse totale de hanche droite (OP le 19.01.2017). Masse vésicale d'origine indéterminée le 06.12.2019 • CT en 2017: nettes irrégularités de la paroi de la vessie • CT thoraco-abdominal natif le 06.2019: adénopathies rétropéritonéales, médiastinales postérieures, épaississement de la paroi de la vessie, dilatation des voies urinaires. • CT thoraco-abdominal injecté le 10.12.2019 Probable pneumopathie interstitielle bilatérale avec : • CT thoracique natif et injecté le 27.06.2016 : épaississement bronchique diffus. Épaississements pariétaux latéraux droits de la trachée et épaississement nodulaire de la bronche souche gauche mesurant 7 mm. Lésion micro-nodulaire péri-vasculaire périphérique dans les 2 lobes pulmonaires inférieurs. Absence d'adénopathie hilaire. Discret emphysème centro-lobulaire. Apparition d'un épaississement à base large au niveau de la paroi latérale de la trachée et d'une lésion polypoïde dans la bronche souche gauche (DD : mucus, néoplasie) • DD : sarcoïdose, pneumoconiose (silicose, asbestose) • PET CT en 2014 avec captation en regard d'un nodule pulmonaire droit et hypercaptation hilaire bilatérale et médiastinale • Refus d'une bronchoscopie de la part du patient en 2016 • Fonctions pulmonaires complètes du 22.06.2016 : trouble ventilatoire obstructif de degré très sévère avec VEMS à 30% du prédit. • Exposition professionnelle (solvants et amiante) • Suivi par Dr. X BPCO de stade III D avec : • Ancien tabagisme à 30 UPA (stop en 2010) • Fonctions pulmonaires du 22.06.2016 : trouble obstructif de degré très sévère, sans réversibilité aiguë après inhalation de B-2 mimétiques avec VEMS à 30% du prédit • Introduction d'Anoro Ellipta et Pulmicort en lieu et place du Symbicort dès le 22.06.2016 • Refus du patient d'une réhabilitation pulmonaire • En moyenne, 1 à 2 exacerbations par année, nécessitant une antibiothérapie Bloc de branche gauche à l'ECG mis en évidence le 06.12.2019 • Echocardiographie transthoracique de contrôle auprès du Dr. X le 4 février 2019 à 13h au HFR Suspicion de carcinome urothélial le 23.12.2019 • Épisode de macrohématurie depuis 2016 • Avec épaississement visualisé au niveau du trigone vésical au CT du 10.12.2019 Masse (x2) au niveau du pôle supérieur du rein gauche (DD oncocytome, carcinome à cellules rénales) • Date du diagnostic : 15.03.2012 • CT thoraco-abdominal le 08.01.2019 : nette progression de la masse située au niveau du pôle supérieur gauche mesurant 118 x 103 x 132 mm contre 88 x 60 x 85 mm • Suivi par Dr. X à l'Inselspital Berne (dernier suivi en 10/2018) Diabète sucré de type 2 non insulino-dépendant • Hb1Ac 6.1% (10.08.2017) Cardiopathie hypertensive, rythmique (FA) et probablement ischémique avec : • ETT du 27.11.2018 (Dr. X, Dr. X) : FEVG à 60%, hypertrophie excentrique • ETT du 05.02.2019 : hypokinésie minime du septum moyen, du septum basal, de la paroi inféro-basale et de la paroi septale antérieure basale, FEVG conservée • ETT ciblée le 28.02.2019 : OG modérément dilatée, absence d'épanchement péricardique, pas d'indication à une coronarographie • Holter du 03.07.2019 : FA paroxystique à réponse ventriculaire lente puis constante • Arrêt de l'aspirine et anticoagulation par Marcoumar depuis le 12.02.2019 • Hypertension artérielle traitée Artériopathie oblitérante des membres inférieurs • Artériographie du MID avec angioplastie du 03.11.2018 Statut après récidive d'AIT dans la sténose de l'artère vertébrale droite, date non spécifiée • Anévrisme soupçonné de l'artère basilaire Troubles de la marche et de l'équilibre de causes multiples • Orthostatisme • Modifications dégénératives de la colonne lombaire avec hernie discale connue L5, S1 • Gonarthrose à droite • Coxarthrose des deux côtés avec s/p PTH hanche droite • Chute le 02.08.2017 • MMS 26/30, test d'horloge 4/7, GDS 9 points le 14.08.2017 Bronchopneumopathie chronique obstructive de stade indéterminé sur tabagisme actif • Jusqu'ici pas de suivi pneumologique Anémie normocytique et normochrome chronique avec déficit en acide folique Trouble dépressif • Sous Venlaflaxine Cystite récurrente avec : • Urosepsie en juin 2001 Coxarthrose bilatérale Masse à la poitrine Mastectomie avec curage axillaire le 26.07.2007 pour carcinome du sein gauche pT2 pN1 (mi) M0, G2, stade IIB. Hystérectomie en 1979. Ostéosynthèse, plastie spongieuse et chrono fracture radius distal gauche en 2006. Hypovitaminose B12 sur manque d'apport avec état confusionnel aigu le 09.05.2015.MMS à 24/30 et test de la montre pathologique. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN 1 le 09.05.2015 sur déshydratation. Mycose buccale le 09.05.2015. Anémie macrocytaire normochrome à 112 g/l et thrombopénie à 135 g/l sur hypovitaminose B12 le 09.05.2015. Fracture de l'extrémité distale du radius droit type AO 23-A2; le 13.10.2015. Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Aptus 3 trous, radius distal droit (OP le 14.10.2015). Fracture de l'extrémité distale du radius gauche avec déplacement postérieur le 30.08.18 traitée conservativement. • Mastectomie droite sous anesthésie générale le 08.01.2020 Antalgie simple. • Mastite débutante DD: Kyste • Mastocytose cutanée (urticaire pigmentaire) • Matelas anti-escarre Mepilex au niveau des escarres Suivi stomatothérapie • Patient de 4 ans, hospitalisé dans le cadre de malaises pour surveillance clinique et réassurance parentale. Durant l'hospitalisation, la surveillance clinique est sans particularité. Il reste afébrile et ne présente pas de nouvel épisode de malaise. L'examen clinique est rassurant, notamment sur le plan neurologique. Nous prenons avis auprès de notre neuropédiatre Dr. X qui n'envisage pas d'investigations complémentaires sauf si récidive de tels épisodes. Sur le plan infectieux, le frottis pour la grippe revient positif. Nous attribuons donc ces malaises au contexte de grippe. Au vu de l'évolution favorable, il peut rentrer à domicile le 03.11.2019 avec les consignes données aux parents en cas de récidive de malaise. • Matériel donné au père qui amènera les urines une fois obtenues car ne souhaite pas de sondage urinaire Consultation si péjoration de l'état général ou état fébrile (discuté avec cheffe de clinique) • Matériel d'ostéosynthèse gênant (lame du col fémoral) sur statut post-ostéosynthèse d'une fracture pertrochantérienne type Kyle IV le 28.02.2017 • Patient de 1 an et 2 mois, hospitalisé pour surveillance clinique dans un contexte de varicelle avec difficulté alimentaire et probable surinfection. Sur le plan infectieux, le bilan sanguin du 02.01 montre des leucocytes à 12.4 g/l et une CRP à 43 mg/l. Elle est fébrile jusque dans la nuit du 02.01 au 03.01. Les hémocultures sont négatives à 5 jours. Elle présente un rash maculo-papuleux avec plusieurs pétéchies millimétriques dispersées sur le tronc et le visage, faisant suspecter une surinfection des lésions de varicelle, raison pour laquelle un traitement de co-amoxicilline est introduit. Au vu d'un inconfort en raison des démangeaisons, nous introduisons un traitement de Feniallerg. Sur le plan alimentaire, une sonde naso-gastrique est mise en place du 02.01 au 03.01. Elle bénéficie d'une réhydratation par Normolytoral sur 4 heures, puis reçoit les besoins d'entretien par Normolytoral par la sonde naso-gastrique jusqu'au 03.01. Par la suite, elle prend progressivement ses quantités per os. Au vu de l'évolution favorable, elle peut rentrer à domicile avec poursuite du traitement antibiotique et contrôle chez le pédiatre à la fin du traitement. • Patient hospitalisé pour surveillance neurologique dans le contexte de convulsion fébrile 1 heure après une chute de sa hauteur avec réception sur la tête sans perte de connaissance. Il présente à son arrivée un score de Galsgow à 14/15 (ouverture des yeux à la demande) sans trouble de l'état de conscience, avec un polygone de sustentation élargi mais spontanément résolu 1 heure après son arrivée. Un CT scan cérébral est demandé et ne montre pas de fracture ni hémorragie intra-cérébral. Le laboratoire effectué ne montre pas de syndrome inflammatoire et la gazométrie est alignée. Dans ce contexte, nous le gardons hospitalisé durant la nuit, avec des contrôles neurologiques rapprochés qui sont dans la norme. Il reste stable hémodynamiquement et afébrile durant son séjour, gardant une bonne hydratation ainsi qu'une diurèse conservée. Nous retenons comme diagnostic une convulsion fébrile simple sur probable virose. Du point de vue infectieux, il ne présente pas de récidive d'état fébrile durant son séjour. Au vu de l'état général excellent, il peut rentrer à domicile le 02.01.2020 • Patient bénéficie d'une réhydratation par sonde naso-gastrique sur la nuit. Au matin, au vu d'une prise hydrique per os suffisante durant la période d'observation d'une douzaine d'heures, il peut rentrer à domicile avec un contrôle chez le pédiatre en fin de journée (pédiatre informé par téléphone). • Patient hospitalisé pour une réhydratation par sonde naso-gastrique dans le contexte d'une gastro-entérite aiguë à Rotavirus. Au moment de son arrivée, il présente des signes de déshydratation modérée avec pâleur cutanée, tachycardie et une apathie. La gazométrie montre une acidose métabolique compensée, améliorée par la suite. Après la réhydratation 50 ml/kg sur 4 heures, bien tolérée, il présente une nette amélioration clinique. Par la suite, l'évolution est favorable avec résolution des diarrhées et une reprise progressive de l'alimentation per os, la sonde naso-gastrique est retirée le 01.01. Au vu du bon état général, il peut rentrer à domicile le 02.01.2020 avec des consignes pour stimuler l'hydratation. • Patient hospitalisé dans un contexte d'état fébrile persistant avec apparition d'une détresse respiratoire. Devant une suspicion clinique de pneumonie, une antibiothérapie par Co-amoxicilline 80 mg/kg/jour est débutée le 04.01, sachant qu'il était déjà sous Amoxicilline pour une otite depuis le 31.12. Il nécessite initialement une oxygénothérapie qui a pu être sevrée le 05.01. Le frottis RSV prélevé le 04.01 revient négatif. Le 06.01 soir, il présente une récidive d'état fébrile à 38.7°, après 48 heures d'apyrexie, et cela malgré une antibiothérapie bien conduite. Nous répétons le frottis grippe et RSV le 07.01, et il revient positif pour H.Influenza et RSV. Nous retenons finalement le diagnostic d'une pneumonie virale à Influenza A et RSV et poursuivons l'antibiothérapie jusqu'au 10.01 qu'à cause de son otite persistante droite. Sur le plan alimentaire, et devant des difficultés d'hydratation, une sonde naso-gastrique doit être posée le 06.01. Dès le 07.01, il reprend tous ses besoins hydriques per os et la sonde est sevrée. Devant l'apparition de diarrhées probablement induites par l'antibiothérapie, un traitement par Perentérol 250 mg 1x/j est débuté le 06.01. Durant l'hospitalisation, nous objectivons qu'il présente un BMI > P97 et la mère décrit régulièrement lui donner des chips, du jus, dans ce contexte nous vous laissons le soin d'organiser un suivi avec une diététicienne pour rediscuter des habitudes alimentaires de patient. L'évolution étant favorable, il rentre à domicile le 07.01, avec indication de poursuivre l'antibiothérapie pour une durée totale de 10 jours. • Patient hospitalisé pour surveillance neurologique rapprochée dans le contexte d'un traumatisme crânien simple chez un patient connu pour hémophilie A. Un avis est demandé à la garde d'hématologie (Dr. X) qui propose l'administration de facteur VIII en IV et une hospitalisation pour surveillance neurologique. Il bénéficie d'une dose d'Octanate 500 ui IV donnée aux urgences avec des sérologies pour l'hépatite A, B, C, HIV réalisées avant l'administration du traitement, qui reviennent toutes négatives. Durant son séjour, il reste stable hémodynamiquement avec des contrôles neurologiques qui restent dans la norme. Au vu de l'évolution favorable, et en accord avec les hématologues de garde, il peut rentrer à domicile le 03.01. • Maturation pulmonaire les 26-27.10.2019 Surveillance • Mauvaise compliance médicamenteuse depuis quelques semaines. Examens complémentaires : • ECG du 22.01.2020 à H0 : tachycardie sinusale 101/min, axe normal, PR < 200 ms, ondes Q en DII-DIII-aVF, sous-décalages ST en V4-V5-V6, ondes T négatives en DII-DIII-aVF • ECG du 22.01.2020 à H3 : RSR 72/min, axe normal, PR < 200 ms, ondes Q en DII-DIII-aVF, pas de sus ou sous-décalage ST, ondes T négatives en DII-DIII-aVF • Sang : troponines 8 ng/L à H0, 9 ng/L à H1, 8 ng/L à H3 Attitude : • Avis cardiologique : pas d'indication à des investigations complémentaires en urgence. Contrôle cardiologique avec test d'effort en ambulatoire à distance de la pneumonie • Mauvaise prise pondérale sur IVRS • Maux de gorge • Maux de gorge • Maux de gorge • Maux de gorge d'origine peu claire DD viral, DD bactérien • Maux de gorge et rhume • Maux de gorge et toux. • Maux de gorge, fièvre • Maux de gorge persistants • Maux de gorge Toux grasse avec expectoration jaune verdâtre • Maux de gorge Céphalées Fatigue • Maux de gorge Toux grasse Rhume Céphalées • Maux de gorge Toux Rhume Céphalées • Maux de tête. • Maux de ventre Mr. Y, 15 ans, a été admis aux soins intensifs pour un coma éthylique. Ce jeune patient est amené aux urgences pédiatriques dans le contexte de troubles de l'état de conscience avec chute de sa hauteur et traumatisme crânien le 21.01.2020 à 18h45, dans un parking à Bulle en présence de copains, après s'être vanté auprès d'eux d'avoir consommé 15 Corona et 15 verres de vin blanc. À l'arrivée des ambulanciers, le score de Glasgow est à 3 points et de même à l'arrivée aux urgences. L'alcoolémie est alors à 1.16 pour mille. Le patient est intubé aux urgences. Le CT cérébral natif ne montre pas de saignement intracrânien. La surveillance neurologique et respiratoire se déroule sans particularités et le patient peut être extubé le 22.01.2020 sans complication. Le contexte psycho-social est difficile avec plusieurs séjours à la Chrysalide et à Time Out dans le passé. Ce jour, la collègue du service de pédopsychiatrie, Dr. X, ne retient pas de mise en danger aiguë. Il n'y a pas de pensée suicidaire. Lors de cet entretien, Mr. Y est d'accord avec une hospitalisation au centre de soins hospitaliers du RFSM à Marsens, ce qui n'est actuellement pas possible face au manque de place. Les parents d'adoption expriment une certaine réticence par rapport au maintien à domicile dans l'état actuel, le Service de l'enfance et de la jeunesse sera réactivé le jour même de la sortie pour trouver une solution. Mr. Y quitte notre service et retourne à domicile le 22.01.2020. Mr. Y est hospitalisé dans le cadre d'une bronchiolite à RSV. À son arrivée, il présente des signes d'insuffisance respiratoire modérée avec un tirage intercostal et une désaturation jusqu'à 85% à l'air ambiant. Durant son séjour, il bénéficie d'un soutien par oxygénothérapie du 30.12 au 01.01.2020. Il ne présente par la suite plus d'épisode de désaturation. Au niveau de l'alimentation, il poursuit l'alimentation habituelle et maintient une bonne diurèse, sans signe de déshydratation. Il présente dès le 01.01 une candidose buccale, traitée par Daktarin gel 1 ml 4x/jour pour un total de 7 jours. Au niveau infectieux, il reste subfébrile avec un maximum à 38.0°C jusqu'au 31.12, puis afébrile par la suite. Dans le cadre de notre approche thérapeutique intégrative, le patient a également bénéficié de thérapies complémentaires de médecine anthroposophique, dont des applications externes, des inhalations et des médicaments oraux. Ceci a contribué à la stabilisation des symptômes. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 02.01.2020. Syndrome de Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser (MRKH) MCP I à D (dominant) : Refixation LCU (ancre Arthrex Nano Corkscrew) pour lésion LCU de l'articulation métacarpo-phalangienne pouce D du 30.10.2019 MCP III D : • St. post reconstruction RCL (tendon PL, Arthrex Biotenodèse) • St. post rupture chronique du ligament collatéral radial de l'articulation MCP de la main droite suite à un accident en Turquie du 07.06.2019. • Syndrome du tunnel carpien bilatéral. • Kyste dans le semi-lunaire bilatéral des deux côtés. Méchage par l'ORL du 20.01.2020 au 22.01.2020 Antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline du 20.01.2020 au 22.01.2020. 2 culots érythrocytaires le 23.01.2020 pour anémie symptomatique à Hb 83g/l Mèche avec ballonnet gonflable le 29.12.2019 ; chute spontanée Mèche avec ballonnet gonflable du 30.12 au 01.01.2020 Consilium ORL le 02.01.2020 (Dr. X) Consilium ORL le 07.01.2020 (Dr. X) Médecin de garde des SP prévenu dimanche et propose une rediscussion du cas lundi Suivi à domicile par Voltigo, qui proposait déjà une éventuelle hospitalisation à SF Médecin traitant dans 7 jours Médecine anthroposophique simplifiée Vide gtts Contrôle clinique chez le pédiatre dans 48 heures si persistance de symptômes respiratoires Suivi chez pédiatre à 1 mois de vie Médecine anthroposophique Weleda sirop 5ml aux 3 heures. Contrôle chez le pédiatre si réapparition de l'état fébrile et/ou si diminution de l'état général. Médecine du personnel, infection au sang Médiastinite, empyème de la paroi thoracique et ostéomyélite > chez patient suivi pour des fistules oesophago-bronchiques avec stent oesophagien en place dans un contexte de sténose oesophagiennes post-radiques Médication à la sortie : Co-Amoxicilline pendant 5 jours, jusqu'au 14.01.2020. Dafalgan 1 g si douleurs, max. 4x/jour. Médicaux : Enfance : fracture main droite et pied gauche Œil droit : ne voit rien du tout et œil gauche : déficit de 80% Chirurgicaux non gynécologiques : amygdalectomie-végétations dans l'enfance 2017 : opération ongles incarnés Familiaux : frère de la patiente trisomique Médicaux : mutation hétérozygote facteur II Médicaux : 08.2012 : suspicion d'embolie pulmonaire non confirmée par CT pulmonaire Chirurgicaux : 28.02.2012 : plastie LCA gauche Gynécologiques non opératoires : 2018 FC précoce (Cytotec) Médicaux : 2016 : lithiase rénale droite Obstétricaux : 2018 : accouchement par voie basse spontanée à 41 SA sous péridurale, fille, 3280g, déchirure périnéale degré 1. Particularité : brèche de la dure mère. HFR Fribourg Médicaux : 2018 : trouble anxio-dépressif traité par Temesta ainsi que suivi psychologique pendant quelques mois avec bonne évolution Chirurgicaux non gynécologiques : 2008 : ablation des 4 dents de sagesse Médicaux : Carcinome mammaire droit - Diagnostique le 17.01.2019 - Histologie : carcinome muciné G2, ER80%, PR 9%, MIB-1 25%, HER-2 négatif - s/p ponction crête iliaque droite : métastase osseuse de carcinome mucineux - 21.02.2019 début Zoladex, Aromasin, Ibrance Obstétricaux : - 2007 AVB T + 3, déchirure I, HFR Fribourg, M 4090, particularités : induction pour macrosomie - 2000 AVB T, déchirure II, Cameroun, F 3500 g, HTA gravidique Gynécologiques non opératoires : - 2010 IVG médicamenteuse - 2013 FC spontanée, prise de Cytotec Gynécologiques opératoires : - 2014 IVG chirurgicale, curetage Familiaux: mère: HTA, soeur: HTA Médicament anamnestique Folsäuremangel Médicament en intoxication Médicament anamnestique Hyperlipidémie • sous Atorvastatin • Mefenacid 125 mg 3x/jour d'office • Mefenacide 125 mg 3x/jour durant 24-48h Contrôle à 24h chez la pédiatre Mélanome amélanique d'emblée métastatique • diagnostiqué en janvier 2019 • excision d'une lésion sous-cutanée au bras droit en Thaïlande le 13.12.219: DAP : tumeur maligne sans autre précision • Excision en bloc de ganglion axillaire droit le 23.01.2019 DAP: mélanome amélanique, typisation BRAF en cours • Bilan d'extension par PET-CT et IRM cérébrale : localisation axillaire droite, médiastinale, sous-cutanée pectorale gauche et hépatiques multiples • Immunothérapie par Keytruda de février à mars 2019 • Identification d'une mutation BRAF V600 en février 2019 • TTT par Tafinlar et Mekinist d'avril 2019 à mai 2019 avec réponse clinique et radiologique quasi complète mais avec baisse d'état général, altération de l'état de conscience et états fébriles à répétition conduisant à l'interruption des TTT par BRAF inhibiteur et MEK inhibiteur. • Reprise d'un traitement de Tafinlar à demi-dose depuis juillet 2019 avec poursuite d'une réponse clinique ganglionnaire complète sans réapparition de symptomatologie neurologique. • Interruption du Tafinlar en novembre 2019 en raison d'une recrudescence des douleurs au niveau hépatique et lombaire avec aspect d'hépatomégalie sur infiltration métastatique. • IRM cérébrale mai 2019 : altérations de la substance grise sans métastase décelée • Immunothérapie par Keytruda (première dose) le 11.12.2019 • suivi par Dr. X Mélanome malin d'origine primaire indéterminée classé cTx pN3 (23/35) cM0 stade III, BRAF muté (V600E) • Date du diagnostic : 10.12.2013 • Histologie (Promed P10333.13) : adénopathie excision inguinale droite : métastase ganglionnaire d'un mélanome malin. Génotypisation du gène BRAF (exon 15, y compris V600) : mutation ponctuelle p.V600E • IRM pelvienne du 04.12.2013 : volumineuses adénopathies inguinales et de la chaîne iliaque droite, gros ganglion iliaque commun. Pas de pathologie au niveau pelvien • IRM du neurocrâne du 23.12.2013 : pas d'argument en faveur d'une métastase intracérébrale • PET-scan du 24.12.2013 (CHUV) : rapport oral Dr. X : plusieurs adénopathies inguinales, iliaques internes, externes, rétropéritonéales, montant jusqu'au niveau des artères rénales • Colonoscopie du 31.12.2013 : polype de 5mm dans le bas fond cæcal, sans autre lésion • Consilium gynécologique du 20.12.2013 : recherche de la lésion primaire négative • Status post-curage inguinal crural droit, ilio-obturateur droit, para-cave droit jusqu'à la veine rénale droite le 21.01.2014. Stade post-opératoire : pN3 (26/35) • Apparition de ganglions centimétriques inguinaux gauches. Biopsie sous US d'un ganglion inguinal gauche : pathologie (Promed P3582.14) : fragment d'un ganglion lymphatique avec légère hyperplasie folliculaire, inter-folliculaire et corticale profonde, rares blastes isolés avec positivité pour EBV, discret signe d'une composante dermatophytique ainsi qu'une modification non spécifique. L'ensemble des modifications parle pour une lymphadénite chronique non spécifique • Récidive tumorale sous forme de métastases cérébrales en février 2015 • Status post-traitement radio taxique de la métastase frontale gauche à une dose de 24 Gy le 17.03.2015 • Status post-2ème traitement de radiothérapie stéréotaxique au niveau occipital en mai 2015 • Status post-3ème stéréotaxie au niveau des deux lésions temporales droites à une dose de 24 Gy le 06.08.2015 • Status post-résection de la métastase mammaire gauche avec chirurgie radioguidée (fecit Dr. X, Dr. X) le 26.08.2015 • Status post-radiothérapie stéréotaxique au niveau des 5 lésions cérébrales (frontal gauche, occipital gauche, temporal droit, frontal droit et frontal droit à une dose de 24 Gy le 16.12.2015 • Apparition des 9 nouvelles lésions métastatiques cérébrales au mois de février 2016 • Sous thérapie ciblée avec double inhibition par Dabrafenib et Tramétinib dès le 17.03.2016 jusqu'à présent • Status post-stéréotaxie des 2 lésions métastatiques cérébrales pour progression en février 2017 (CHUV) • Status post-4 cures d'immunothérapie par Yervoy et Opdivo, du 07.03 au 16.05.2017 avec stabilité tumorale • Sous traitement d'immunothérapie par Opdivo seul dès le 06.06.2017 • Progression tumorale au niveau cérébral en juillet 2017 • Status post-stéréotaxie de nouvelles métastases le 10.08.2017 (CHUV) • Status post-résection d'une métastase mammaire droite le 05.10.2017, reprise de l'exérèse de la tumorectomie le 16.11.2017 (Dr. X) • Progression cérébrale à plusieurs reprises entre janvier 2017 et mai 2018, traitée par radiothérapie stéréotaxique sur de multiples lésions • Progression tumorale au niveau d'une métastase pancréatique en mars 2018 • Status post-radiothérapie au niveau de la métastase pancréatique à une dose de 39 Gy en 13 fractions du 26.04. au 15.05.2018 • Nouvelle progression cérébrale en juin 2018 sous forme d'une lésion unique frontale gauche • Status post-chimiothérapie palliative par Tafinlar/Mekinist du 27.09 au 24.10.2018, stoppée pour intolérance • Actuellement : demande de prise en charge par le médecin-conseil de la caisse-maladie d'un traitement par Zelboraf (vémurafénib) et Cotellic (cobimetinib) pour les traitements d'une patiente atteinte d'un mélanome métastatique, porteuse d'une mutation BRAF V600, intolérante au traitement préalable par Tafinlar/Mekinist Mélanome malin du pied gauche (Breslow 4.1 mm) excisé le 31.03.2016 (biopsie mammaire refusée par la patiente) Carcinome du sein gauche diagnostiqué également en 2016 : suivi Dr. X (sous Faslodex) Mélanome malin du pied gauche (Breslow 4.1 mm) excisé le 31.03.2016 Carcinome du sein gauche diagnostiqué également en 2016 : suivi Dr. X (sous Faslodex) Mélanome malin nodule Breslow 0.47 mm, pT1a cN0 cM0 stade 1 A flanc gauche • status post-excision totale 01.06.12. Épisode dépressif moyen, probablement réactif le 02.04.2019 • status post-état dépressif réactif, 2007, hospitalisation pendant 3 semaines à la Métairie Troubles de l'état de conscience sur intoxication médicamenteuse le 14.10.2019 avec hospitalisation à Marsens jusqu'en décembre 2019. Mélanome métastatique agressif • avec syndrome de lyse • CT thoraco-abdo-pelvien 10.01.20 (Hôpital intercantonal de la Broye, est sur le pacs) : adénopathies sus-claviculaires droites, axillaire gauche, médiastino-hilaires (avec effet de masse segmentaire sur l'œsophage, pas de compression bronchovasculaire significative), rétropéritonéal, iliaques et inguinales avec aspect nodulaire de la rate, pas de compression vasculaire. Quelques nodules pulmonaires épars, discret épanchement péricardique banal, pas d'épanchement pleural. Pancréas, surrénales et reins sp, voies urinaires fines. Pas de lésion sur le plan osseux • 16.01.20 : biopsie ganglion inguinal droite (Payerne, envoyé à Promed) : métastase ganglionnaire d'un mélanome malin fortement pigmenté, en partie nécrosé (> 50 % de la surface). Le mélanome remplace presque la totalité du ganglion Mélanome multimétastatique (diagnostiqué en 2003) : • métastase au niveau abdominal et cérébral • Suivi par Dr. X (CHUV, Tel. 079/556.26.98). Mélanome nodulaire ulcéré de l'hélix droit Breslow 5,5 mm, Clark III-IV, stade pT4b pN2a M0 stade IIIC • date du diagnostic : septembre 2019 • pathologie (CHUV H1917210) : ganglion sentinelle du groupe IB droit; 2 ganglions lymphatiques avec métastases du mélanome connu, 1 avec effraction capsulaire sur 4 ganglions lymphatiques isolés (1/4) • Exérèse totale le 13.09.2019 • Reprise chirurgicale avec marge de 2 cm et recherche du ganglion sentinelle le 01.11.2019 : 2 ganglions métastatiques dont 1 avec effraction capsulaire • Actuellement : thérapie adjuvante par Keytruda • Mélanome nodulaire ulcéré de l'hélix droite, Breslow 5,5 mm, Clark III-IV, classé pT4b pN2a M0, stade IIIc • Date du diagnostic : septembre 2019 • Pathologie (CHUV H1917210) : ganglion sentinelle du groupe Ib droit ; 2 ganglions lymphatiques avec métastases du mélanome connu, 1 ganglion avec effraction capsulaire sur 4 ganglions lymphatiques isolés (1/4) • Exérèse totale le 13.09.2019 • Méléna d'origine indéterminée le 01.05.2016. Douleurs abdominales diffuses d'origine indéterminée le 16.09.2018. • DD infectieux (peu d'argument), inflammatoire (peu d'argument), ischémique (pas d'argument car bonne perfusion), tumorale, dans le contexte de coprostase. • CT (en ambulatoire) le 10.09.2018 : épaississement et prise de contraste de l'iléum terminal. • Persistance sous Ciprofloxacin/Flagyl. • Méléna le 16.09.2018 • DD : dans le contexte d'épistaxis postérieur chronique, hémorragie digestive. Epistaxis intermittente. • DD : dans le contexte d'une rhinite vasomotrice. Lésion du gland du pénis : • DD : Herpès génital, chancre, lichen. Douleurs linguales d'origine indéterminée le 18.09.2018. • Méléna sur probable hémorragie digestive haute, le 06.01.2020. Hémoglobine 64 g/l • Mr. Y présente un état fébrile depuis 10 jours avec une apyrexie de 24 heures, il y a 5 jours. Actuellement, l'état général est excellent à part une tachypnée qui peut être expliquée par le début de l'état fébrile aux urgences. Vu l'état général excellent et l'absence des signes d'alerte, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile avec traitement symptomatique. Les résultats de la Grippe sont en cours. Ils vont être communiqués à la mère si résultats positifs. Signes d'alerte expliqués en détails. Contrôle chez le pédiatre est proposé dans 48 heures pour réévaluation clinique. • Mme. Y reçoit paracétamol 15 mg/kg/dose et Ibuprofène 10 mg/kg/dose aux urgences ce qui permet d'atténuer les douleurs. Elle peut par la suite exprimer qu'elle ressent notamment des douleurs en fosse iliaque gauche. L'US abdominal effectué aux urgences permet d'exclure une appendicite ainsi qu'une coprostase. Les ovaires ne sont pas visualisés mais nous n'avons pas d'argument pour une torsion ovarienne au vu de l'absence de liquide libre. Nous visualisons plusieurs ganglions en fosse iliaque des deux côtés ce qui permet de conclure à une probable adénite mésentérique. Nous proposons alors, dans ce contexte, d'initier un traitement par Ibuprofène 10 mg/kg/dose 3x/jour et de reconsulter si pas d'amélioration après 24-48 h. Reconsulter de suite si péjoration de l'état clinique. (Cas discuté avec Dr. X) • Même si cliniquement l'évolution est favorable avec une quasi disparition des douleurs et récupération de la mobilisation. Radiologiquement, il y a des signes de déplacement secondaire de la tête fémorale sans nécrose et le risque que la vis anti-rotatoire perce la tête et entre dans l'articulation, raison pour laquelle on organise l'ablation des vis anti-rotatoires en ambulatoire et après, on va faire un PET-CT du bassin avec scintigraphie pour évaluer la vascularisation de la tête fémorale et décider de la prise en charge selon le résultat de la scintigraphie. On réserve une date opératoire pour le 06.02.2020 et on lui explique les risques et bénéfices de cette opération. La patiente donne son accord en signant le consentement éclairé. Poursuite avec physiothérapie jusqu'à l'opération. Concernant le coude, à cause de cette croûte sur la cicatrice sans signes inflammatoires ou rougeur, on prie nos collègues du team membres supérieurs de convoquer la patiente pour un contrôle à la consultation du Dr. X. • Même si la fonction, dans l'ensemble, est dans la norme, il manque encore une intégration durant la vie quotidienne de son bras D. On est convaincu que les exercices d'ergothérapie et physiothérapie peuvent permettre à la patiente d'avoir une vie quotidienne dans la norme et une activité professionnelle. Raison pour laquelle, on demande aux assurances de soutenir la prise en charge de la physiothérapie et débuter l'ergothérapie. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. • Mémento post-splénectomie donné à la patiente à la sortie. Consultation chez le Dr. X le 10.03.2020 à 09h40. Ablation des fils chez le médecin traitant à J12-14 post-opératoires. Rappel vaccination méningocoque (Menveo) chez le médecin traitant à 4 semaines. • Menace auto/hétéro-agressive. • Menace d'accouchement prématuré à 30 semaines d'aménorrhée avec cure de maturation pulmonaire. • Menace d'accouchement prématuré avec col raccourci à 19 mm chez patiente de 30 ans 1G-0P à 32 4/7 semaines d'aménorrhée. • Menace d'accouchement prématuré avec un col à 20 mm chez une patiente de 23 ans 1G 0P à 28 3/7 semaines d'aménorrhée le 26.10.2019. • Menace d'accouchement prématurée à 32 2/7 SA le 24.01.2020 chez une patiente de 39 ans 3G 2P avec : • Col raccourci à 12 mm • Test à la Fibronectine négatif le 24.01.2020 • Rupture prématurée de membranes à 32 SA 5/7 le 27.01.2020 • Menace d'état de mal épileptique le 08.12.2019 DD : irritatif sur status post résection de méningiome (04.11.2019), antécédent d'AVC ischémique thrombo-embolique sur FA (03/2019), infectieux (cf diagnostic 1), Ciprofloxacine (débuté le 07.12.2019 pour prostatite chronique) • Ménigiomes frontaux bilatéraux avec : • Lésion extra-axiale frontale droite de 8.5 x 7.5 x 3.7 cm, exerçant effet de masse sur l'hémisphère et le ventricule droit • Lésion extra-axiale frontale gauche de 2.5 x 2.3 x 1.5 cm, sans effet de masse • Méningiome frontal (11 x 20 x 29 mm), avec épilepsie secondaire : • Diagnostic initial février 2015 • Épilepsie focale sous forme d'absences, traitée par Orfiril • Refus du traitement chirurgical. • Consultation neurochirurgie à l'inselspital en janvier 2019 : pas de changement de traitement en raison du manque de compliance Hypoglycémies récidivantes dans le cadre de troubles du comportement alimentaire (DD Anorexie atypique DD Sport intensif), déjà notifiées lors d'anciennes hospitalisations/consultations. Hépatite C (non traitée). Perturbation chronique de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition d'origine multifactorielle • Polyneuropathie des membres inférieurs d'origine toxico-métabolique probable sur ancienne dépendance à l'alcool/ancienne toxicomanie • S/p Fracture intertrochantérienne multi-fragmentaire G-31 AO type A2 en 2016 • S/p Ostéotomie du pied droit. Troubles du comportement avec désorientation récurrente, d'origine multifactorielle • Ancienne toxicomanie et abus d'alcool • Méningiome frontal Troubles dégénératifs de la colonne vertébrale. Exotropie de l'œil gauche (congénitale). Troubles psychiatriques mixtes : • Trouble dépressif récurrent, sans idées suicidaires F 33 (2018) • Troubles de la personnalité avec impulsivité • S/p abus de drogues • S/p abus d'alcool • Suspicion d'anorexie mentale • S/p intoxication à la Bexine en 2014. • Suivie par Dr. X Tabagisme actifSuspicion de crise d'épilepsie partielle récidivante le 01.08.2019 • sur malcompliance médicamenteuse et méningiome frontal • sous Orfiril depuis août 2018 • EEG dans les limites de la norme (août 2018) • CT-scan natif et injecté, 30.07.19: pas de signe d'hypertension intra-crânienne, pas d'hémorragie, méningiome de taille stationnaire au niveau frontal • dosage Valproate (Viollier), 30.07.19: <21umol/l (346-693umol/L) • drug-screening, 30.07.19: négatif, alcool 0.2 pour mille Avis psychiatrique: capacité de discernement conservée, pas de trouble psychiatrique aigu Contrôle régulier des taux d'acide valproique chez le médecin traitant Si nouvelle hospitalisation, prise contrôlée de valproate pendant 4 jours et mesure du taux au 5ème jour pour confirmer mauvaise compliance versus hyper-catabolisme médicamenteux. Consommation chronique d'alcool • supplémentation Benerva et Bécozyme • surveillance score CIWA Méningiome frontal (11x20x29 mm), avec épilepsie secondaire : • diagnostic initial février 2015 • épilepsie focale sous forme d'absences, traitée par Orfiril • refus du traitement chirurgical. • consultation de neurochirurgie à l'Inselspital en janvier 2019: pas de changement de traitement en raison du manque de compliance • Suspicion de crise d'épilepsie partielle récidivante le 01.08.2019: au CT pas de signe d'hypertension intra-crânienne, pas d'hémorragie, méningiome de taille stationnaire au niveau frontal • sur malcompliance médicamenteuse et méningiome frontal • sous Orfiril depuis août 2018 Hypoglycémies récidivantes dans le cadre de troubles du comportement alimentaire (DD anorexie atypique DD sport intensif), déjà notifiées lors d'anciennes hospitalisations / consultations. Hépatite C (non traitée). Perturbation chronique de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition d'origine multifactorielle • Polyneuropathie des MI d'origine toxico-métabolique probable sur ancienne dépendance à l'alcool / ancienne toxicomanie • Status post OS fracture intertrochantérienne multi-fragmentaire à GG en 2016 • Status post OP des 2 pieds en 1997 à D et 1998 à G Troubles du comportement avec désorientation récurrente, d'origine multifactorielle • Ancienne toxicomanie • Abus d'alcool Troubles dégénératifs de la colonne vertébrale. Exotropie de l'œil G (congénitale). Troubles psychiatriques mixtes sur : • Trouble dépressif récurrent, sans idées suicidaires F 33 (2018) • Troubles de la personnalité avec impulsivité • Suspicion d'anorexie mentale • Status post intoxication à la Bexine en 2014. Tabagisme actif Méningite bactérienne à Haemophilus influenzae le 22.12.2019 Méningite en octobre 2019 Méningite virale le 14.09.16. Méningite virale probable le 7.1.2020 • Etat fébrile depuis le 4.1.2020 • Score de Hoen: 0.01 (+ pour viral) Méningo-encéphalite à tiques le 11.11.2019 • chez patient immunosupprimé • tremblements des membres supérieurs et parésie de l'hémicorps droit séquellaires Méningo-encéphalite aseptique avec symptomatologie focale le 11.03.2013 (CHUV) Céphalées inhabituelles sans diagnostic précis le 31.03.2014 (Fribourg) Accident vasculaire cérébral pariétal gauche avec lyse le 11.03.2013 Accident ischémique transitoire en 2000, 2010 et 2014 Cure de cataracte bilatérale sans précision Etat hypo-maniaque sur syndrome de passage après encéphalopathie d'origine indéterminée le 28.05.2017 avec / sur : • Suspicion de méningo-encéphalite aseptique récidivante d'étiologie inconnue à l'Inselspital sur PL traumatique • Soins intensifs de l'Inselspital du 30.05 au 03.06.2017 • Surveillance neurologique et rythmique aux soins intensifs du 03.06 au 07.06.2017 Physiothérapie de mobilisation Troubles du rythme du 05.06 au 07.06.2017 Chute avec traumatisme crânien le 15.06.2017 avec fracture pariétale gauche non déplacée et plaie pariéto-occipitale gauche Méningo-encéphalite d'étiologie peu claire en 2005 avec : • 3 intubations 28.08-21.09.2005, 22.08-29.09.2006 et 19-23.08.2006, trachéotomie transitoire 21.09.2005 • pose de PEG le 27.10.2006 • troubles cognitifs, du comportement • épilepsie focale complexe secondairement généralisée • état de mal le 08.07.2011 • crises épileptiques partielles récidivantes 29.08.2011 Crise d'épilepsie récidivantes le 23.03.2016 : • contexte de déshydratation • suspicion de foyer pulmonaire en base gauche Etat de mal épileptique dans le contexte d'une épilepsie pharmaco-résistante connue et d'un état fébrile le 24.01.2016 avec : • Crises d'épilepsies partielles complexes récidivantes secondairement généralisées Pneumonie d'aspiration avec foyer lobaire inférieur gauche le 24.01.2016 • Moraxella catarrhalis dans les aspirations bronchiques (frottis grippe négatif) Cholécystectomie par laparoscopie le 16.01.2016 (Dr. X) Ménisco-encéphalite virale au décours Méniscectomie droite. Boursite traumatique olécrane droit. Méniscopathie du ménisque médial au genou droit. Méniscopathie interne genou gauche du 14.01.2020. Méno-métrorragies avec polype endométrial bénin sur biopsie endométriale chez Mme. Y 4G-4P de 44 ans. Méno-métrorragies et douleur pelvienne chronique avec isthmocèle et adénomyose utérine chez Mme. Y 2G 2P Ménométrorragies péri-ménopausiques et douleurs pelviennes chroniques chez Mme. Y 5G 2P de 51 ans. Ménométrorragies péri-ménopausiques. Hystéroscopie + curetage. Contracture du trapèze gauche ainsi que paravertébrale, le 11.09.2017. Ménopause (sans traitement substitutif) depuis février 2018 Hypertension traitée Hypercholestérolémie traitée Diabète de type II Ménorragie anémiante chez Mme. Y 3G 2P de 40 ans Ménorragies sur utérus myomateux chez Mme. Y 6G 3P de 47 ans. MEOPA, désinfection avec bétadine, anesthésie locale avec 3 ml de Rapidocaïne, incision, drainage de l'abcès, rinçage à l'aiguille boutonnée avec mélange NaCl-Bétadine, mise en place d'une compresse dans l'orifice, pansement simple. Antalgie simple. Contrôle en secteur ambulatoire des urgences à 48h. MEOPA retrait du taquet de boucle d'oreille MEOPA Rinçage au NaCl Pansement avec Ialugen plus et Adaptic Contrôle aux urgences dans 72 heures le 14.01 (maman indisponible le 13.01) Meralgia paresthetica gauche sur probable compression ascitique le 06.09.2019 Décompensation cardiaque globale d'origine indéterminée le 04.09.2019 Fracture-luxation bimalléolaire cheville D le 19.12.2012 Appendicectomie dans l'enfance Décompensation œdème-ascitique d'une cirrhose CHILD-PUGH B (9 pts) d'origine éthylique sur mal compliance médicamenteuse le 15.11.2019 avec Epanchement pleural bilatéral probablement d'origine néoplasique le 15.11.2019 Hypokaliémie modérée sur traitement diurétique le 21.11.2019. Merci au médecin traitant de vérifier que le bilan et le suivi de l'ectasie de l'Ao ascendante ont bien été organisés. Merci beaucoup au Dr. X de bien vouloir examiner cette jeune patiente. Rendez-vous pris le 03.02.2020. Merci de prévoir réhabilitation cardiovasculaire en ambulatoire. Merci de suivre le profil tensionnel et d'adapter le traitement tout en maintenant un IEC en place. Poursuite d'Efient pour 12 mois. Consultation de cardiologie avec Dr. X à 1 mois. Le patient sera convoqué directement. Merci de revoir ce patient afin de : • contrôler la fonction rénale, • augmenter les bêtabloquants selon tolérance, • titration de l'Entresto jusqu'à la dose cible de 2 x 200 mg/jour. Réhabilitation ambulatoire cardio-vasculaire (le patient sera convoqué). Rendez-vous de contrôle en cardiologie le 27.02.2020. Merci d'évaluer la nécessité d'un bilan par fonctions pulmonaires ou un nouveau bilan cardiaque. Contrôle du nodule infracentimétrique pulmonaire à 12 mois par CT-scan thoracique. Contrôle par échographie rénale en ambulatoire (patient sera convoqué). Anticoagulation pour une durée totale de 6 mois, puis seulement prophylactique lors de longs voyages (>4-5h). Dosage des anticorps antiphospholipides le 21.01.2020 à pister. Merci d'informer la Dr. X. Mère : B Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus positif. Rhophylac 300 mcg fait le 14.01.2018. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : B Rhésus positif. Rhophylac 300 mcg reçu. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : négatif. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : négatif. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus négatif. Mère : rhésus négatif. Nouveau-né : rhésus négatif. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus positif. Rhophylac reçu le 27.01.2020. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus positif. Rhophylac 300 IM le 10.01.2020. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus positif. Rhophylac 300 mcg IV le 02.01.2020. Mère : Rhésus négatif. Nouveau-né : Rhésus positif. Rhophylac 300 mcg iv OU le 28.01.2020. Méropénem dès le 17.12.2019. CT abdominale du 19.12.2019. Meropenem le 16.12.2019. Vancomycine le 17.12.2019. Daptomycine dès 18.12-03.01.2020. Retrait cathéter de dialyse le 17.12.2019. Hémocultures à froid le 19.12.2019 : stériles. Pister hémoculture du 11.01.2020 et le 16.01.2020. Meryxisme lorsqu'il dort, connu depuis des années. Mesure de contention mécanique dans un contexte d'agitation. Mesure de contention mécanique dans un contexte d'agitation. Mesures de réafférentation. Mesures de réafférentation. Mesures de réafférentation. Mesure de contention physique du 11.12. au 18.12.2019 (risque important d'arrachement de SNG avec risque de broncho-aspiration). Mesures de réafférentation. Mesure de contention physique du 11.12 au 18.12.2019 (risque important d'arrachement de SNG avec risque de broncho-aspiration). Mesures de réafférentation. Traitement des facteurs précipitants. Mesures hygiéno-diététiques. Dépistage annuel du diabète chez le médecin traitant. Mesures hygiéno-diététiques. Dépistage annuel du diabète chez le médecin traitant. Mesures hygiéno-diététiques. Dépistage annuel du diabète chez le médecin traitant. Mesures hygiéno-diététiques. Dépistage annuel du diabète chez le médecin traitant. Mesures hygiénodiététiques. Dépistage du diabète 1x/an chez le médecin traitant. Mesures hygiénodiététiques. Dépistage du diabète 1x/an chez le médecin traitant. Mesures hygiéno-diététiques. Suivi des glycémies. HbA1c tous les 3-6 mois chez le médecin traitant. Mesures hygiéno-diététiques. Suivi glycémie et HbA1c 1x/an chez le médecin traitant. Métastase cérébelleuse droite d'un carcinome pulmonaire à petites cellules le 03.01.2020. Métastase cérébrale symptomatique le 12.12.2019. Métastase cérébrale symptomatique le 12.12.2019. Métastase d'un carcinome urothélial pariéto-occipitale droite avec effet de masse et déplacement de la radiation optique (diamètre 6x5x6x5x5 cm). Métastases cervicales et parotidienne gauche d'un carcinome conjonctival, classé cT4a cN1 cM0 au départ de la cavité orbitaire gauche avec status post-protonthérapie locale terminée en 12/2019. Métastases hépatiques et carcinose péritonéale avec : • douleurs de type nociceptif viscéral et neuropathique. Métastases multiples avec : • status post-crâniotomie frontale D et exérèse de la lésion intra-parenchymateuse le 04.12.2019 pour une lésion expansive frontale droite. • lésion expansive pariétale gauche essentiellement osseuse et possiblement méningée. • lésion frontale gauche osseuse. • lésion expansive temporale droite. Métastases osseuses des vertèbres dorsales et lombaires avec infiltration dans le canal spinal au niveau D12-L3 le 15.10.2019. • Clinique : perte de force musculaire progressive du membre inférieur gauche depuis mi-septembre 2019. Radio lombaire le 10.10.2019 : perte de hauteur lombaire, cyphoscoliose. IRM rachis, le 15.10.2019 : formation tumorale avec prise intense de contraste dans le canal spinal au niveau de D12-L3, étendue sur une longueur de 10 cm dans l'axe longitudinal, qui comprime le cordon médullaire et le conus terminalis et les déplace vers la D et s'interpose entre les racines de la queue de cheval au niveau lombaire, avec altérations de signal intramédullaire D12 (myélopathie probablement secondaires à la compression tumorale). Métatarsalgie M4 d'origine indéterminée avec lésion de verrues plantaires pied G. Métatarsalgie 1er rayon pied droit, de type surcharge. Métatarsalgie 1er rayon pied G avec suspicion de névralgie du nerf saphène. Métatarsalgie 2-3-4ème tête Métatarses pied droit, post-DMMO 2-3-4, le 05.11.2019 sur : • status post-cure d'hallux valgus par probable Scarf de M1 et Akin P1 O1, cure d'orteil en griffe 2-3-4, cure de quintus varus par chevron inversé en 2011 (Dr. X). Métatarsalgies bilatérales prédominantes à D avec pes plano valgus bilatéral et raideur au niveau de la chaîne postérieure. Status post cure de névrome de Morton en février 2019 par Dr. X à D. Métatarsalgies des 2 pieds (D>G). Metfin en suspend dès le 22.01. Schéma d'insuline rapide en réserve. Metfin en suspend du 22 au 29.01.2020. Schéma d'insuline rapide en réserve. Metformine mise en pause durant l'hospitalisation en raison de l'acidose métabolique. Suivi glycémie. Lisinopril arrêté le 18.01.2020. Aldactone 50 mg dès le 19.01.2020. Metformine en suspend sur IRA, remplacée par Januvia jusqu'au 31.12.2019. Insuline en schéma de correction pour l'hospitalisation. Metformine en suspend sur IRA, remplacée par Januvia jusqu'au 31.12.2019 : • Insuline en schéma de correction pour l'hospitalisation. • Reprise du Januvia dès le 06.01.2020. Methylprednisolone iv dès le 22.01.2020. Adrénaline inhalée du 22.01 au 23.01.2020. Trachéotomie et cytoponction le 23.01.2020 (Dr. X). CT crânio-cervical et thoraco-abdomino-pelvien le 22.01.2020. Consultation ORL le 22.01.2020 (Dr. X). Consultation oncologique le 24.01.2020 (Dr. X). Consultation endocrinologique le 24.01.2020 (Dr. X). Options à discuter : chirurgie de réduction et radiothérapie palliatives ou soins conservateurs. Métoclopramide au besoin. Métoclopramide dès le 10.01.2020. Sonde naso-gastrique d'aspiration en cas de récidive. Metoprolol dès le 20.01.2020. Labetolol ivc du 22.01. au 23.01.2020. Métoprolol dès le 25.12.2019. Metoprolol dès le 29.10.2019, à titration progressive, 150 mg/jour dès le 14.11.2019. ECG. Suivi clinique. Metoprolol en suspens pour 48h. Surveillance rythmique et tensionnelle. Metoprolol iv, hydratation iv, Cordarone iv le 09.01.2020. Metoprolol per os dès le 09.01.2020. Anticoagulation à discuter.Metoprolol le 09.11.2019 Normalisation pour la suite Metoprolol Lisinopril Atorvastatine Echocardiographie transthoracique le 14.01.2020: Fraction d'éjection 53% Metoprolol per os Metoprolol 12.25 mg/jour Lisinopril 5 mg en suspens dès le 13.12.2019 Stop Torem 5 mg le 03.01.2020 Metronidazole 3 x 500 mg i.v. du 23.01.2020 au 24.01.2020 Rocéphine 1 x 1 g i.v. du 23.01.2020 au 24.01.2020 Appendicectomie par laparoscopie en urgence le 23.01.2020 Métrorragie Métrorragie chronique probablement sur une tumeur de l'endométriose soit du col de l'utérus depuis le 21.12.2018 • Rendez-vous prévu le 09.12.2019 annulé car pas de transport et fille refuse d'amener Mme. Y à l'hôpital • Nouveau rendez-vous est prévu le 15.01.2020 à 11h00 chez l'Anesthésie HFR Fribourg (consultation pré-opératoire) • Hystéroscopie diagnostique avec courtage et conisation du col de l'utérus est prévue le 21.01.2020 HFR Fribourg • Bilan martial et vitaminique • Ferritine 26 ng/L, Fer 6,9 nmol/L le 10.12.2019 • Sous Maltofer du 11.12.2019 • Cytologie gynécologique (ARGOT Lab: 19G67671) prélèvement le 11.09.2019: Cellules kératinisées atypiques, faisant suspecter une dysplasie de haut grade (ASC-H selon Bethesda 2014). • Prélèvement du 25.09.2019 (ARGOT Lab; G46878.19): Papillomavirus (hybridation), génotype high risk, positif pour les génotypes 16-45-52-68 • Hémoglobine 92 g/L 13.12.2019, 86 le 16.12.2019, 113 g/L le 18.12.2019, 95 g/L le 06.01.20, 84 g/L le 13.01.2020 et 108 g/L le 20.01.20 • Une hystéroscopie est prévue le 21.01.2020 à Fribourg par Dr. X • Consultation d'anesthésie le 15.01.2020 à 11h00 HFR Fribourg Métrorragie dans le cadre des contractions utérines chez une patiente avec placenta marginal Métrorragie post-ménopausique probable sur polype intra-utérin chez une patiente de 60 ans 2G 2P. Métrorragie post-ménopausique avec polype cervical et endomètre polypoïde chez une patiente 2G 2P de 65 ans Métrorragie sur placenta marginal Métrorragies Métrorragies. Métrorragies à J30 post-embolisation des artères utérines et traitement par MTX pour grossesse sur isthmocèle post-césarienne chez patiente 2G1P de 36 ans. Métrorragies DD règles. MGUS à chaînes légères libres lambda de haut risque avec bilan radiologique négatif pour des lésions ostéolytiques Ostéoporose fracturaire avec: • bilan phosphocalcique dans la norme (27.03.2014) • substitution de 300'000 UI Vit D le 29.03.2014 per os pour carence sévère en Vit D Rectocolite ulcéro-hémorragique du côlon transverse et rectosigmoïde diagnostiquée en 2003, actuellement calme, dernière poussée en 2005 Polymyalgia rheumatica État anxio-dépressif MGUS le 4.01.2020 Microalbuminurie à 3 mois à votre consultation. Bilan ophtalmologique en ambulatoire (le patient sera convoqué). Suivi diabétologique ambulatoire. Micro-anévrismes hépatiques le 26.01.2020 DD: • Inflammatoire: vasculite (polyarthrite nodosa ou autre) • Infectieux: fongique • Vasculopathie: athéromatose, medial degeneration/dysplasia Microangiopathie thrombotique avec insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique le 16.01.2020 avec: • hyperkaliémie à 6.9 mmol/l • acidose métabolique • surcharge pulmonaire • encéphalopathie urémique DD: induite par GEMZAR ou secondaire au lupus érythémateux Microangiopathie thrombotique, DD sur Gemzar DD paranéoplasique avec: • anémie hémolytique à Coombs positif le 16.01.2020 • biopsie rénale 21.01.2020: confirmation d'une microangiopathie thrombotique avec signes de poussée aiguë et ancienne, probablement sur Gemzar • thrombopénie relative depuis décembre • haptoglobine < 0.10, C3 et C4 dans la norme le 17.01.2020 Hospitalisation aux soins intensifs à l'Inselspital Berne du 17.01. au 19.01.2020: • bilan immunologique 17.01.2020 (Inselspital): ANCA <1:80, ANA, dsDNS, histone, anticardiolipines, anti B-2 glucoprotéine négatifs • anémie normochrome normocytaire avec schizocytes • ADAMTS-13 à 61 % le 17.01.2020 (Inselspital) • hépatite B, C, HIV négatifs le 18.01.2020 (Inselspital) • transfusion de 4 PFC le 17.01.2020 Microbiologie (CHUV): • PCR Treponéma Whipple: en cours • Giardia cryptosporidium Entameaba: en cours • Yersinia enterocolitica, Vibrio: annulée par le laboratoire Microcéphalie et possible dysgénésie de corps calleux (US cérébral du 22.01.2020) Micro-infarctus nerf crânien III à D probable le 14.04.2018 Cholécystectomie par laparoscopie et cholangiographie intra-opératoire le 13.02.2018 Phlyctènes hémorragiques, ulcère sur le gros orteil ddc, crevasse talon gauche 05/18 Micronodule pulmonaire du segment apico-dorsal du culmen: • CT thorax du 04/2018: micro-nodule de 6 mm de diamètre au niveau du segment apico-dorsal du culmen lobe supérieur G Echocardiographie du 24.10.2018: artères coronaires saines, fonctions systoliques globale et régionale du VG conservées (FEVG 80%) Hyperlipidémie traitée Thyroïdite auto-immune avec hypothyroïdie substituée: • status post curiethérapie en 1996 • hypothyroïdie substituée depuis 1997 Consommation à risque OH: 5 verres de vin/jour Céphalées tensionnelles soulagées par AINS Ostéoporose sous Calcimagon Micro-nodules hépatiques du segment VII avec suivi scanographique à distance Hypertension artérielle Micro-nodules hépatiques du segment VII avec suivi scanographique à distance. Hypertension artérielle. Micro-sonde naso-gastrique depuis le 10.01.2020 Nutrition entérale progressive complémentaire depuis le 10.01.2020 Attention au risque de syndrome de renutrition Substitution en thiamine, électrolytes Miction spontanée. Midazolam iv. le 15.01.2020 Levetiracetam dès le 15.01.2020 CT cérébral le 15.01.2020 CT cérébral le 20.01.2020 EEG le 16.01.2020 Midazolam i.v. le 16.01.2020 Haldol le 17.01.2020 Catapresan du 18.01 au 20.01.2020 Mifegyne le 04.01.2020 en ambulatoire Hospitalisation ambulatoire pour prise de Cytotec selon schéma le 06.01.2020 Antalgie simple. Migraine Migraine Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine de tension le 08.05.2014. Migraine accompagnée le 22.05.2014. Hypertension artérielle. Migraine acéphalgique avec aura • hypoesthésie facio-brachiocrurale droite le 17.11.2014 Migraine avec aura Migraine avec aura. Migraine avec aura. Migraine avec aura atypique le 09.01.2020 • céphalée frontale avec découverte fortuite d'une lésion frontale droite de 8 mm au CT non confirmée par l'IRM cérébrale • avec légère dysarthrie, aphasie de compréhension et flou visuel de l'hémichamp droit transitoire Migraine avec aura le 30.12.2019 • scintillement, nausée avec vomissement • connue depuis des années, non investiguée non traitée Migraine avec aura ophtalmique le 15.01.19.Migraine avec aura vestibulaire. Migraine avec aura visuel depuis 2007. Migraine avec aura visuelle le 30.05.2017. Migraine depuis 2017 traitée par Zomig. Migraine probable le 19.01.2020 • symptomatologie fluctuante en localisation avec nausées, légère photophobie Migraine sans aura. Migraine sans aura, le 15.01.2020. Migraine (suivie par Dr. X). Dépression chronique. Migraine temporale gauche chronique sans aura depuis l'âge de 16 ans, suivie au CHUV (Dr. X): • Status post-céphalées sur abus médicamenteux avec sevrage en automne 2016, • IRM cérébrale (01.09.2016): légère asymétrie mésio-temporale, sinusite maxillaire et ethmoïdale, • Status post-crise migraineuse temporale gauche sans aura le 31.08.2016, • État de mal migraineux sans aura le 14.03.2017, • Sous traitement de Saroten d'office et Maxalt, Tramal et Dafalgan en réserve, • Le patient a des infiltrations de corticoïdes dont la dernière le 04.05.17 au CHUV, • Une décompression nerveuse a été réalisée au CHUV en mars 2018. Exacerbation de migraine temporale gauche chronique le 14.08.2017, 21.09.2017, 02.10.2017, 14.03.18, 24.05.2018, 14.07.2018, 06.09.2018, 15.09.2018, 14.11.18, 25.11.2018 Epigastralgies chroniques. État dépressif. Migraine temporale gauche chronique sans aura depuis l'âge de 16 ans, suivie au CHUV (Dr. X): • Status post-céphalées sur abus médicamenteux avec sevrage en automne 2016. • IRM cérébrale (01.09.2016): légère asymétrie mésio-temporale, sinusite maxillaire et ethmoïdale. • Status post-crise migraineuse temporale gauche sans aura le 31.08.2016. • État de mal migraineux sans aura le 14.03.2017. • Sous traitement de Saroten d'office et Maxalt, Tramal et Dafalgan en réserve. • Le patient a des infiltrations de corticoïdes dont la dernière en date du 04.05.2017 au CHUV. • Une décompression nerveuse a été réalisée au CHUV en mars 2018. Exacerbation de migraines temporales gauches chroniques le 14.08.2017, 21.09.2017, 02.10.2017, 14.03.18, 24.05.2018, 14.07.2018, 06.09.2018, 15.09.2018, 14.11.18, 25.11.2018. Epigastralgies chroniques. État dépressif. Migraine Acidité gastrique sous Oméprazole Ménométrorragies fonctionnelles chez une patiente 2G 2P préménopausée de 43 ans. Migraine Asthme d'effort (traitement occasionnel) Migraine. Boulimie (F50.2) depuis 12 ans, avec antécédents de scarification et consommation compulsive de médicaments Aménorrhée avec contraception par le passé par Depo-Provera (information anamnestique). Migraine. Boulimie (F50.2) depuis 12 ans, avec antécédents de scarification et consommation compulsive de médicaments. Aménorrhée avec contraception par le passé par Depo-Provera (information anamnestique). Migraine Cystites à répétition, la dernière en 2011 Migraine. Endométriose. Suspicion de kyste arachnoïdien ventral dorso-lombaire vs pseudo-méningocèle vs arachnoïdite chronique sur: • Syndrome douloureux chronique avec hypoesthésie et allodynie sensitive au niveau du membre inférieur gauche et au niveau sous-géniculaire à droite avec déficit moteur à M3/5 au membre inférieur gauche dans tous les segments dans le cadre d'un saignement sous-arachnoïdien post-ponction lombaire et arachnoïdite résiduelle le 10.10.2018. Migraine. Endométriose. Suspicion de kyste arachnoïdien ventral dorso-lombaire vs pseudo-méningocèle vs arachnoïdite chronique sur: • Syndrome douloureux chronique avec hypoesthésie et allodynie sensitive au niveau du membre inférieur gauche et au niveau sous-géniculaire à droite avec déficit moteur à M3/5 au membre inférieur gauche dans tous les segments dans le cadre d'un saignement sous-arachnoïdien post-ponction lombaire et arachnoïdite résiduelle le 10.10.2018. Migraine. Hypertension artérielle (Adalat en R). Migraine. Luxation épaule gauche en antérieur spontanément réduite le 11.10.2016. Migraine. Luxation épaule gauche en antérieur spontanément réduite le 11.10.2016. Ortho-gilet pour immobilisation de l'articulation pour 10 jours. Antalgie en réserve. Arrêt de travail pour 10 jours. Avis orthopédiste (Dr. X) le 11.10.2016: Immobilisation en ortho-gilet pendant 10 jours, contrôle en ortho team membre supérieur. Radiographie épaule gauche le 11.10.2016: Position de l'articulation normale, pas de lésion ossuaire. Migraine. Otite à répétition avec baisse de l'audition à droite et acouphène. Migraines Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines avec aura Migraines avec aura. Migraines avec aura. Hypertension artérielle traitée. Hypothyroïdie substituée. Migraines avec aura visuelles et sensitives. Épilepsie généralisée traitée par Depakine 300 mg (dernière crise il y a 3 ans, suivi par Dr. X). Spina Bifida. Syndrome d'Asperger. Migraines connues de longue date et traitées par Triptan en dehors de la grossesse. Anémie connue. Migraines depuis 17 ans sans aura Migraines depuis 1984. Troubles anxio-dépressifs. Migraines depuis 2017 traitées par Zomig. Migraines en traitement avec un Triptan et Brufen en réserve. Anxiété. Hypotension non traitée. Stérilisation chirurgicale. Migraines le 15.01.2020 Migraines occasionnelles sans aura Hypothyroïdie substituée Thrombopénie chronique, DD: toxicité hématologique sur chimiothérapie Migraines occasionnelles sans aura Hypothyroïdie substituée Thrombopénie chronique, DD: toxicité hématologique sur chimiothérapie Migraines occasionnelles sans aura Hypothyroïdie substituée Thrombopénie chronique, DD: toxicité hématologique sur chimiothérapie Migraines occasionnelles sans aura Hypothyroïdie substituée Thrombopénie chronique, DD: toxicité hématologique sur chimiothérapie Migraines périmenstruelles Migraines sous Sumatriptan 50 mg en réserve Presbyoesophage (DD dysphagie d'origine indéterminée) avec reflux Arthrose dégénérative sévère/spondylarthrose au niveau cervical 3/4 et 6/7 Migraines sous traitement. Migraines temporales gauches chroniques Migraines temporales gauches chroniques sans aura depuis l'âge de 16 ans, suivies au CHUV (Dr. X) et au centre de la douleur (Dr. X): Migraines traitées par Imigran en réserve. Migraines. Connectivite non classifiable: • polyarthralgies de 2003 à 2006, ANA et anti-DNA positif. Synovite art IPP et MCP 5ème doigt droit le 26.07.2015. Migraines. Cystites. Migraines Dépression Obésité (BMI 35 kg/m2) Insuffisance rénale chronique Hypothyroïdie substituée (status post thyroïdectomie) Migraines Dépression Obésité (BMI 35 kg/m2) Insuffisance rénale chronique Hypothyroïdie substituée (status post thyroïdectomie) Migraines. État anxieux. Migraine. Sinusite chronique. Migraines Kyste congénital arachnoïdien frontal à G de découverte fortuite; pas de traitement Migraines Kyste congénital arachnoïdien frontal à G de découverte fortuite; pas de traitement Migraines Restless legs syndrome Récidive hernie inguinale D depuis mai 2018 • OP hernie inguinale D + vasectomie en 2013 • OP hernie inguinale G en 2003 Migraines. Suspicion d'insuffisance veineuse avec probable lymphoedème congénital symptomatique. • cure de Daflon pendant 3 mois. Migraines Valvulopathie X Migraines. Valvulopathie X. Migraineuse connue Migration calculose au niveau de voie biliaire Migration de calculs au niveau des voies biliaires. Migration percutanée d'un cerclage de rotule droite. Status après ostéosynthèse de la rotule droite en 2016. Status après arthroplastie totale du genou droit en 2014. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance neurologique dans le cadre d'une crise convulsive fébrile. A son arrivée, la crise convulsive est résolue et il présente un status neurologique dans la norme. Durant son séjour, les contrôles neurologiques sont stables malgré un état fébrile à 38.6°C. Il maintient une bonne hydratation et alimentation per os ainsi qu'une diurèse conservée. Nous retenons le diagnostic de crise convulsive fébrile simple sur angine virale. Sur demande des parents, nous laissons rentrer Mr. Y après 12 heures de surveillance clinique. Mild cognitive impairment • Minimentalstatus (MMS) 18/30 und Uhrentest 1/6 am 21.08.2018 • Neuropsychologische Abklärung am 05.09.2019 Minerve mousse la nuit Prochain contrôle le 23.04.2020 après CT de l'odontoïde du jour. Minerve. CT crânio-cervico-thoraco-abdominal : cervical est superposable à l'examen du 26.01.2019 ; CT cérébral et abdominal dans la norme. Minimal handling • monitoring cardio-respiratoire • Médecine anthroposophique Minimum handling • Rinçage de nez au NaCl • Fractionnement des repas • 2 pushs de ventolin aux 4 heures en réserve • Contrôle clinique demain le 2.01.20 à 8h30. • Reconsulter avant si augmentation des signes respiratoires, difficultés alimentaires, altération de l'état général. Mirtazapine dès le 21.01.2020. Mis en place valériane. Mis en suspens de l'anticoagulation du 09.01.2020 au 11.01.2020 Konakion 10 mg iv le 09.01.2020 au vu de la bronchoscopie avec biopsie. Mis en suspens du metolazone. Laboratoire : K 3.3, Creat 196. Antalgie. Mis en suspens Marcoumar. Suivi biologique de l'INR. Adaptation traitement. Mise à l'abri dans le cadre de violences conjugales. Mise à l'abri des idées suicidaires. Mise à plat de l'anévrysme de l'aorte abdominale et pontage aorto-aortique le 27.01.2020 (Dr. X). Héparine 7500 UI/24h du 27.01 au 28.01.2020. Clexane prophylactique dès le 28.01.2020. Alimentation Real 1 dès le 28.01.2020. Mise à plat de pseudo-anévrisme iliaque gauche surinfecté et pontage iléo-fémoral profond gauche avec Omniflow 8 mm, le 26.11.19. Débridement d'hématome et traitement TPN itératifs jusqu'au 02.01.2020. Dans prélèvements novembre 2019 : Staphylocoque epidermidis. Dans prélèvements dès début décembre 2019 : Klebsiella pneumoniae. Co-amoxicilline du 26 au 30.11.2019. Vancomycine du 30.11.2019 au 03.01.2020. Ciprofloxacine du 26.12.2019 au 03.01.2020. Bactrim du 03.01.2020 au 18.01.2020. Mise à plat d'un anévrisme de l'aorte abdominale par tube droit et adhésiolyse le 20.01.2020 (Dr. X). Cathéter artériel radial gauche du 20.01 au 21.01. CVC jugulaire droit du 20.01 au 21.01. Mise à plat d'un anévrisme de l'aorte abdominale par tube droit et adhésiolyse prévu le 20.01.2020 (Dr. X). Cathéter artériel radial gauche du 20.01 au 21.01. VVC jugulaire droit du 20.01 au 21.01. PCA morphine du 21.01 au 23.01. 1PFC le 20.01. Mise des plâtres le 08.01.2020. Mise en pause des ADO durant la phase péri-opératoire. Reprise du Diamicron et de la metformine dès le 05.12.2019. Suivi diabétologique. Suivi des glycémies. Mise en pause Torem. Hydratation avec 500 ml NaCl /12 h à l'entrée, puis hydratation per os. Mise en pause Torem, stop Ciproxine et hydratation en intraveineux NaCl. Suivi biologique. Mise en place de 2 sondes de décharge pré et post perforation le 30.08.2019 (Dr. X). Repositionnement de la sonde proximale le 12.09.2019 (Dr. X). Rinçages de la cavité para-oesophagienne du 12.09 au 15.09.2019. Thoracotomie droite, recouvrement perforation oesophagienne et bronche souche droite par muscle grand dorsal droit. Stent oesophagien et confection d'une jéjunostomie selon Witzel le 26.09.2019 (Dr. X, Dr. X). Oesogastroduodénoscopie le 30.08, le 09.09, le 12.09 et le 13.09.2019. Biopsies oesophagiennes le 30.08 (Promed), puis le 17.10.2019 (Dr. X). Oesogastroduodénoscopie le 22.11.2019 (Dr. X). Oesogastroduodénoscopie le 10.12.2019 : dilatation à 10 mm et pose de prothèse double type de 15 cm (Dr. X). Oesogastroduodénoscopie + ablation de prothèse oesophagienne le 30.12.2019 (Dr. X, Dr. X). • Retrait de la prothèse oesophagienne. Absence de sténose oesophagienne résiduelle. Hernie hiatale de 5 cm. • Proposition gastroentérologie CHUV : rediscuter un projet chirurgical anti-reflux. Absence de possibilité de réaliser une mucosectomie endoscopique anti-reflux (ARMS) devant l'importance de la hernie hiatale. Poursuivre le traitement médical anti-acide. Transfusions : 1 CE le 06.08 et le 28.08, 2 CE le 30.08, 2 CE le 11.12, 1 CE le 14.12.2019. Antibiothérapie : • Caspofungine du 30.08 au 12.09.2019 • Fluconazole prophylactique (1x semaine) du 13.09 au 18.09.2019 • Aciclovir du 30.08 au 03.09.2019 • Co-Trimoxazol du 12.09 au 19.09.2019 • Céfépime du 18.09 au 24.09.2019 • Fluconazole 800 mg puis 400 mg/j du 18.09 au 17.10.2019 • Vancomycine IV 15 mg/Kg 2x/j du 23.09 au 10.10.2019 • Imipenem IV 750 mg 4 x par jour du 24.09 au 01.10.2019 • Ertapenem 01.10 au 10.10.2019 IPP dès le 10.12.2019 à poursuivre à long terme. Mise en place du Rapid-rhino. L'indication est donnée à Mr. Y ainsi qu'à Mme. Y de consulter un ORL dans les 72h. Contrôle à la consultation du médecin traitant pour discuter l'introduction d'un traitement anti-hypertenseur. Mise en place d'un accompagnement au besoin à domicile par Voltigo. Contrôle chez la pneumologue traitant à distance. Mise en place d'un bandage aux urgences. Repos, AINS, glace et décharge par béquilles au besoin. Si aucune amélioration clinique après 48h, reconsulter chez le pédiatre. Mise en place d'un nouvel aquacel sur la partie inférieure de la brûlure. Mise en place d'un pansement avec Ialugen Plus et Adaptic. Mise en place d'un stent dans l'artère carotide interne droite le 07.01.2020 (Inselspital, Berne). Surveillance clinique. Mise en place d'un suivi par Voltigo. Rendez-vous de suivi chez Dr. X le vendredi 31.01.2020 à 12h. Mise en place d'un traitement conservateur avec physiothérapie bien encadrée. Prescription d'une chevillère élastique avec renforts latéraux. Prochain contrôle dans 5 semaines à savoir à 6 semaines du traumatisme qui se fera dans le canton de Vaud où Mme. Y va déménager dans quelques semaines. Poursuite de la déambulation en charge selon douleurs. Mise en place d'une minerve mousse. Reprise de la physiothérapie douce sans manipulation. Prochain contrôle le 06.02.2020. Mise en place d'une pompe à insuline Novorapid le 27.01.2020. Interventions, conseil et traitement diététiques, au moins 2 unités de traitement. Suivi diabétologique. Mise en place d'une sonde urinaire. Attitude : • Instauration de Lasix 20 mg 1x/j • Surveillance du poids 1x/j. Mise en place d'une thérapie par laxatifs. Mise en place d'une supplémentation avec l'acide folique. Contrôle à distance de l'état inflammatoire. Mise en suspens Coversum combi (traitement habituel). Suivi biologique. Mise en suspens Coversum. Traitement de la décompensation cardiaque. Mise en suspens des médicaments néphrotoxiques. Hydratation intraveineuse puis per os. Diminution de l'Allopurinol. Mise en suspens des traitements néphrotoxiques. Hydratation. Pose de sonde J-J à droite le 16.01.2020 (Dr. X). Mise en suspens des traitements néphrotoxiques. Mise en suspens du traitement diurétique. Sonde urinaire dès le 02.01.2020. Bicarbonate per os dès le 02.01.2020. Acétate de calcium dès le 04.01.2020. US abdominal le 03.01.2020 : pas d'obstruction post-rénale. Mise en suspens du traitement néphrotoxique • Hydratation Mise en suspens Co-Lisinopril et Torem • Suivi biologique Mise en suspens de chimiothérapie. Mise en suspens de chimiothérapie. Durant l'hospitalisation, leucocytes dans la norme. Hémoglobine en amélioration - 100 g/l à la sortie. Mise en suspens de la metformine • Oxygénothérapie. • Suivi biologique. Mise en suspens de la spironolactone • Resonium du 09.10. au 10.10.2020 Mise en suspens de l'Aldactone • Resonium du 09.10. au 10.10.2020 Mise en suspens de l'anticoagulation prophylactique. • Bottes anti-thrombotiques • Avis orthopédique le 30.01.2020 Mise en suspens de l'héparine et suivi de PTT Mise en suspens de l'IPP durant l'épisode aigu de gastro-entérite. Mise en suspens des betabloquants • Dosage TSH et avis endocrinologique • Isoprénaline le 12.01.2020 • Cathéter artériel radial D du 12.01 au 14.01.2020 • Echocardiographie transthoracique le 13.01.2020 • Avis cardiologique : prévoir une coronarographie dès que la fonction rénale le permet Mise en suspens des traitements néphrotoxiques • Traitement de la décompensation cardiaque Mise en suspens des traitements néphrotoxiques du 07.01. au 11.01.2020 • Suivi biologique Mise en suspens des traitements néphrotoxiques • Hydratation Mise en suspens du Marcoumar dès le 09.01.2020 • Konakion i.v. le 09.01.2020 et 10.01.2020 • Beriplex 2000 UI le 10.01.2020 • Reprise de l'anticoagulation thérapeutique dès le 11.01.2020 Mise en suspens du Seresta • Séance de ventilation non-invasive le 25.01.2020 Mise en suspens du Sintrom du 02 au 04.01.2020. • Konakion 10 mg iv le 03.01.2020. Mise en suspens du Temgesic, stop ciprofloxacine et adaptation des antihypertenseurs dès le 10.01.2020 • Reprise Gabapentine le 11.01.2020, surveillance neurologique • Remplissages intraveineux itératifs • CAVE : FEVG 20% (ETT du 18.12.2019) • Scores de CAM-ICU Mise en suspens du thiazidique. Mise en suspens du traitement antidiabétique oral. • Schéma d'insuline rapide en réserve. Mise en suspens du traitement habituel néphrotoxique avec reprise dès amélioration de la fonction rénale. • Sonde urinaire du 03 au 07.01.2020. • Néphrotrans 3x/j per os du 02 au 14.01.2020, 2x/j pour la sortie. • Acétate de calcium dès le 04.01.2020. • US abdominal le 03.01.2020 : pas d'obstruction post-rénale. Mise en suspens du traitement habituel par Tresiba en phase aiguë • Relais de l'insulinothérapie ivc par Insulatard sc dès le 02.01.2020 • Suivi rapproché des glycémies Mise en suspens du traitement néphrotoxique • Recontrôler la fonction rénale à distance Mise en suspens du Xenalon habituel à l'entrée • Résonium le 31.12.2019 Mise en suspens Hydrochlorothiazide • Substitution intraveineuse et per os Mise en suspens Hydrochlorothiazide/Torasemide • Substitution intraveineuse et per os Mise en suspens Marcoumar jusqu'au 17.01.2020 (à reprendre) Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée Mme. Y présente donc une cervico-brachialgie C7-C8 à droite et C8 gauche possible dans un contexte de discopathie. Nous proposons malgré tout la réalisation d'un ENMG afin de confirmer notre suspicion de radiculopathie C7. Les symptômes C8 sont peu expliqués à l'IRM, l'ENMG pourrait évoquer une origine périphérique, ainsi que l'avis de nos collègues neurologues. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Mme. Y nous est transférée du service de Médecine interne de l'HFR Tavel le 18.12.2019 pour une réhabilitation gériatrique après des douleurs lombaires aiguës le 02.12.2019. A son entrée, la patiente se plaint des douleurs lombaires droite et aussi au niveau de la poplité droite pendant la marche. Le reste de l'anamnèse est sans particularité. Mme. Y est une religieuse vivant dans une communauté, marchant habituellement avec une canne. Le couvent est équipé d'un ascenseur. Avant l'hospitalisation, elle était indépendante pour les AVQ. Au status, nous observons une cicatrice calme en regard du genou droit, et aussi une douleur lombaire droite bien localisée au niveau de la rotatoire externe de la hanche droite. Aussi une douleur au niveau de la poplitée droite seulement pendant la marche en arrière. En début de séjour, la patiente effectue les transferts avec une aide modérée. Elle marche >50 m avec un rolateur sous supervision. Les escaliers ne sont pas testés. Le risque de chute est très élevé et la mobilité massivement réduite. Mme. Y bénéficie durant son hospitalisation de physio- et ergothérapie intensives. À la sortie, elle effectue les transferts et marche de façon autonome avec le rolateur sur 200 m. La montée des marches n'est pas entraînée car non nécessaire. Le risque de chute en fin de séjour légèrement augmenté avec une légère limitation de la mobilité (Tinetti 18/28). L'hypovitaminose D retrouvée au laboratoire est substituée. En outre, Mme. Y bénéficie d'une consultation diététique, qui ne met pas en évidence de malnutrition.Le contrôle de laboratoire montre un taux de TSH élevé à 10.9 mU/L aussi T3 est à 3.50 Pmol/L. Nous traitons comme une hypothyroïdie sub-clinique et vous laissons le soin de contrôler la TSH et adapter le traitement à distance. Nous poursuivons le traitement antihypertenseur avec un contrôle clinique régulier. Mme. Y peut regagner son couvent en bon état général le 31.12.2019 avec une prescription de physiothérapie ambulatoire. Mme. Y, 87 ans, est hospitalisée pour un état fébrile, une baisse de l'état général et une inappétence depuis plusieurs jours. L'examen clinique et les examens complémentaires permettent le diagnostic d'une pneumonie communautaire bibasale. L'évolution est bonne sous antibiothérapie iv puis per os avec un sevrage progressif de l'oxygénothérapie. L'hyponatrémie légère se corrige d'elle-même au cours de l'hospitalisation. L'évaluation physiothérapeutique ne montre pas la nécessité d'un passage en réhabilitation. Au vu d'une évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y rentre à domicile avec soins à domicile le 16.01.2020. Mme. Y est partie contre avis médical et n'a pas attendu l'avis orthopédique qui a été donné après son départ. Si Mme. Y devait consulter le MT prochainement pour la même plainte, notre collègue orthopédiste propose un traitement conservateur par bretelle orthopédique et antalgie au besoin. Mme. Y présente donc uniquement un syndrome sacro-iliaque gauche compatible avec une asymétrie actuellement des membres inférieurs en lien avec les chirurgies récentes. En effet, une décompensation n'est pas atypique, nous aurions aimé proposer une infiltration sacro-iliaque, mais en raison de l'Eliquis, celle-ci n'est pas réalisable. Nous proposons donc un contrôle auprès du Dr. X à la clinique Générale et des manipulations ostéopathiques afin de libérer cette sacro-iliaque. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Mme. Y, 37 ans, connue pour les antécédents sus-mentionnés et suivie en endocrinologie pour une hypokaliémie en cours d'investigation, est hospitalisée en médecine pour un état fébrile depuis le 04.01.2020 avec céphalée frontale-occipitale irradiant dans la nuque et légère phonophobie. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire important et la ponction lombaire montre 500 éléments et 66 % de neutrophiles. Au vu de la répartition, une suspicion de méningite est initialement retenue au service des urgences et la patiente est mise sous Rocéphine et Acyclovir. Après discussion avec nos collègues infectiologues, la méningite est écartée au vu de la clinique (pas de raideur de nuque, pas de déficit neurologique focal) et de la ponction lombaire traumatique après correction avec le ratio érythrocyte/leucocyte revenant, après correction, à 0 élément et une encéphalite herpétique n'est pas retenue au vu de l'absence d'érythrophage dans le LCR qui motive l'arrêt de l'Acyclovir. Nous complétons le bilan par un CT scan des sinus qui revient dans les limites de la norme et ne montre notamment pas de comblement au niveau du sinus sphénoïdal. L'origine de la symptomatologie et du syndrome inflammatoire reste inconnue, mais devant l'importance du syndrome inflammatoire une cause bactérienne semble probable, le traitement antibiotique est maintenu pour une durée totale de 7 jours. L'évolution est rapidement favorable. Concernant son hypokaliémie en cours d'investigation depuis septembre 2019, elle se normalise durant l'hospitalisation sous substitution per os. Nos collègues endocrinologues proposent de compléter le bilan endocrinologique avec cortisol, créatinine et potassium dans les urines de 24 heures et rénine, aldostérone plasmatique. La patiente doit prendre rendez-vous à la consultation du Dr. X pour les résultats de ce bilan. Mme. Y peut rentrer à domicile le 13.01.2020. Mme. Y est hospitalisée en médecine pour un état fébrile en cours d'investigation. La patiente a bénéficié d'une pose de pacemaker et d'un TAVI le 12.2019. L'évolution post-opératoire est marquée au niveau inguinal par l'apparition d'un lymphocèle fistulé à la peau, avec un écoulement séreux uniquement, sans signe inflammatoire local. Elle est adressée par son médecin traitant pour frissons solennels depuis le 22.12 sans autres symptômes. Le bilan aux urgences met en évidence un syndrome inflammatoire avec un sédiment urinaire pathologique. Au vu du contexte récent de TAVI et de l'état fébrile, une échocardiographie transthoracique et transoesophagienne sont effectuées et ne montrent pas de végétations. Un avis infectiologique est demandé et la patiente est mise sous Ceftriaxone empiriquement dès le 23.12 pour un total de 7 jours d'antibiothérapie, nous retenons un probable urosepsis. L'urotube montre une flore mixte que nous imputons à une contamination. Les hémocultures reviennent négatives à 5 jours, permettant d'écarter une infection endovasculaire. Concernant le lymphocèle, le liquide récolté est resté séreux et non suspect de surinfection. Nous avons mis en place avec l'aide des stomatothérapeutes un sachet de récolte et préconisons des soins à domicile 3x/semaine. Au vu d'une évolution clinico-biologique favorable, la patiente rentre à domicile le 31.12 avec soins à domicile. Mme. Y, âgée de 74 ans, nous est adressée par son médecin pour investigation de pneumonie récidivante. Elle rapporte environ 3 épisodes de pneumonie par an avec toux et expectoration purulente depuis près de 30 ans cédant sous antibiothérapie empirique. Il n'y a jamais eu de documentation microbiologique. Le dernier épisode date de décembre 2019. À son arrivée, elle ne présente pas de clinique pour un nouvel épisode de pneumonie. Un scanner thoracique met en évidence des bronchectasies d'allure séquellaires du lobe supérieur droit. Des nodules spiculés relevés lors d'un scanner de décembre 2019 ont disparu, corroborant une probable origine infectieuse. Après discussion avec nos collègues pneumologues, nous concluons à un probable épisode infectieux au décours dans un contexte de possible colonisation des bronchectasies par un germe potentiellement atypique et/ou résistant. Une bronchoscopie à visée diagnostique est refusée par la patiente. Dans ce contexte, des fonctions pulmonaires sont organisées en ambulatoire et la patiente sera également revue en consultation pneumologique. L'indication à un traitement prophylactique d'azithromycine à dose anti-inflammatoire sera discutée à ce moment-là en fonction de l'évolution. Dans l'intervalle, nous proposons au médecin traitant d'effectuer des cultures d'expectoration dès que possible et en cas de récidive symptomatique avant l'instauration d'un traitement. Par ailleurs, la patiente présente une poussée d'arthrite microcristalline de la 1ère articulation métatarsophalangienne droite. L'évolution est favorable sous traitement de Colchicine. Un traitement de fond par Allopurinol est également introduit au vu de plusieurs épisodes. Un retour à domicile est organisé le 17.01.2019. Mme. Y est une patiente de 90 ans hospitalisée pour une pyélonéphrite droite. Elle a présenté un état fébrile et des frissons motivant sa consultation aux urgences. Le status montre une sensibilité légère à la loge rénale droite et le sédiment urinaire montre des bactéries. La patiente est traitée par ceftriaxone. Les hémocultures sont positives pour un E. Coli résistant au bactrim mais sensible à la ceftriaxone et à la ciprofloxacine. L'évolution est favorable avec disparition de la fièvre permettant un relais par ciprofloxacine puis un retour à domicile le 06.01.2020.Mme. Huber, 83 ans, est admise aux soins intensifs pour une suspicion de NSTEMI avec troubles électrolytiques sous forme d'hyperkaliémie et hyponatrémie. La patiente est hospitalisée depuis le 26.11.2019 en chirurgie vasculaire pour rupture d'un faux anévrisme infecté (staphylocoque epidermidis, Klebsiella pneumoniae) du carrefour fémoral gauche post-multiples reconstructions vasculaires du carrefour fémoral gauche. Elle est traitée par mise à plat du pseudo-anévrisme iliaque gauche et pontage iléo-fémoral profond gauche avec prothèse Omniflow et thérapie par VAC qui sont changés de manière itérative. Une antibiothérapie par Vancomycine et ciprofloxacine puis Bactrim est prescrite selon les recommandations infectiologiques. A l'étage, la patiente présente depuis plusieurs jours des douleurs rétro-sternales typiques à 9/10, survenant au repos et cédant spontanément pour une durée peu claire. L'ECG montre un bloc de branche gauche alternant avec un bloc de branche droit dans un contexte de BAV 1 et HBAG. Les enzymes cardiaques sont légèrement augmentées avec cinétique positive. Une échographie transthoracique est réalisée le 17.01.2020, montrant une fraction d'éjection ventriculaire gauche conservée à 60% et mettant en évidence une insuffisance aortique modérée déjà connue. Un avis cardiologique sera à redemander avec discussion d'une éventuelle coronarographie le 20.01.2020. Le bilan biologique objective une hyperkaliémie et hyponatrémie sévères avec acidose métabolique à trou anionique normal. Ces troubles sont possiblement expliqués par la prise de spironolactone, ARAII et Esidrex qui sont arrêtés. Une possible acidose rénale de type IV est évoquée. Au vu de l'amélioration lente des troubles électrolytiques, le Bactrim est également mis en cause, raison pour laquelle un avis infectiologique est demandé ce 18.01.2020, préconisant un arrêt de l'antibiothérapie par Bactrim sur le week-end avec surveillance ECG, biologique et une reprise d'une antibiothérapie par Ciproxine et Linézolide dès le 20.01.2020 en fonction de l'évolution clinique. Mme. Huber peut être transférée en médecine ce 18.01.2020. Mme. Huebscher est une patiente de 69 ans hospitalisée pour une progression de son carcinome pulmonaire sous Tagrisso. Elle a présenté des douleurs thoraciques intermittentes avec ESV objectivées par le médecin traitant. Le CT réalisé en ambulatoire montre une progression de la maladie oncologique. Après discussion avec son oncologue traitant, la patiente est hospitalisée pour poursuite du bilan cardiaque et oncologique. Sur le plan cardiaque, le holter met en évidence de nombreuses extrasystoles ventriculaires motivant l'introduction de Bisoprolol. L'échocardiographie ne montre pas d'infiltration myocardique tumorale visible. Elle poursuivra le suivi cardiologique à la consultation du Dr. X comme mentionné. Sur le plan oncologique, une biopsie transcutanée est réalisée le 20.01.2020. Elle poursuivra le suivi oncologique auprès du Dr. X et du Dr. X le 06.02.2020. Le résultat de la biopsie lui sera communiqué lors de ces entretiens. Sur le plan digestif, la patiente développe des diarrhées avec PCR positive pour le clostridium difficile motivant l'introduction de Métronidazole. La patiente se plaint toutefois d'effets indésirables avec nausées et vomissements possiblement d'origine mixte sur Métronidazole et d'origine psychogène. Le traitement est donc changé pour de la Vancomycine p.o. En raison de la persistance des diarrhées, le Tagrisso est diminué de moitié puis stoppé. L'évolution est favorable avec une reprise d'un transit normal le 20.01.2020. Sur le plan diabétologique, la patiente est traitée par Diamicron à domicile. En raison du risque d'hypoglycémies chez cette patiente fragile mangeant très peu, nous arrêtons ce traitement et le remplaçons par du Januvia. La patiente rentre à la maison le 22.01.2020 avec des soins à domicile. Des soins palliatifs ambulatoires vont être réévalués avec les soins au domicile. Mme. Lauper est hospitalisée électivement pour contrôle annuel de sa ventilation non invasive (VNI), initiée en 01/2018, après une dizaine d'années de traitement par ASV pour un syndrome d'apnées du sommeil de type mixte, à prédominance centrale, dans un contexte de cardiopathie dilatée. La patiente tolère très bien l'appareillage, ce dont témoigne l'excellente compliance, et est asymptomatique sur le plan somnologique (absence de fatigue, somnolence diurne ou symptômes d'hypercapnie). Le masque est bien adapté, il n'y a pas de fuites significatives à la lecture rétrospective. La patiente note tout au plus une sensation de gorge sèche le matin, non dérangeante, ainsi qu'une dyspnée d'effort chronique, stade mMRC 1, stable depuis 1 an. Les fonctions pulmonaires sont superposables au comparatif de janvier 2019, sans trouble ventilatoire obstructif ou restrictif. Le contrôle polygraphique montre des résultats similaires à ceux de janvier 2019, avec persistance d'apnées/hypopnées, à prédominance centrale, avec toutefois une saturation moyenne en oxygène correcte sur la nuit. Bien que la capnographie ait malheureusement échoué, la gazométrie de contrôle du matin montre une normoxémie et une hypocapnie, interprétée dans le contexte d'hyperpnée consécutive aux apnées centrales. En l'absence de symptomatologie, et dans la mesure où une ASV s'était montrée aussi peu efficace que la VNI en place, nous décidons de poursuivre le traitement avec paramètres inchangés. Un prochain contrôle est prévu dans un an. Traitement à la sortie: Mode d'application de pression: BPAP Machine: Lumis 150 VPAP ST-A Masque: facial, Amara View M Réglage: Mode de traitement: ST (spontaneous timed) IPAP: 16 cmH2O EPAP: 8 cmH2O Fréquence resp.: 10/min Timin: 0.7 s Timax: 1.5 s Mme. Lehmann est hospitalisée pour un 2ème cycle de chimiothérapie ESAP dans un contexte de lymphome non-Hodgkinien folliculaire. A noter que le Platinol a été remplacé par du Paraplatine en raison de la probable ototoxicité du Platinol. La chimiothérapie se déroule sans complication clinique significative. La patiente rentre à domicile le 22.01.2020. Mme. Lehmann sera revue par le Dr. X le 28.01.2020. Mme. Magnin, 72 ans, est admise aux soins intensifs le 25.01.2020 en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique dans le cadre d'une exacerbation de BPCO et de troubles de la vigilance sur accumulation de benzodiazépines dans le contexte d'un sevrage éthylique. Elle est initialement hospitalisée à l'HFR Riaz depuis le 24.01 pour une exacerbation de BPCO avec dyspnée, toux et expectoration en augmentation depuis 1 semaine, pour laquelle un traitement de Rocéphine, Klacid et aérosols est instauré. Elle présente également un syndrome de sevrage (consommation de 1 litre de vin par jour relaté par la patiente) avec un score de Cushmann évalué à 10 à son admission, pour lequel un traitement de Seresta est initié. Le 25.01.2020, au vu d'une altération de son état de vigilance et d'une dégradation de l'insuffisance respiratoire, elle est transférée aux soins intensifs de Fribourg pour la suite de prise en charge et ventilation non invasive. A son admission dans notre service, elle présente une amélioration spontanée de l'insuffisance respiratoire et de son état de vigilance, probablement en lien avec la clairance des benzodiazépines. La ventilation non invasive n'est finalement pas nécessaire au vu de l'absence de critère. Nous poursuivons l'antibiothérapie uniquement par Rocéphine, les antigènes urinaires étant négatifs pour la Légionelle, et associons un traitement de Prednisone pour une durée totale prévue de 5 jours. Des hémocultures sont en cours et restent à pister. Nous vous proposons de discuter de la réalisation de fonctions pulmonaires en ambulatoire.Le sevrage d'alcool est traité par benzodiazépines à faible doses, adaptées au score Cushman. Mme. Y nous consulte ce jour pour le suivi post-opératoire qui est plutôt bon. Concernant la lésion osseuse méningée pariétale gauche, nous avions recommandé une résection de celle-ci et la confection d'un volet osseux en 3D en raison de la peau très fine en regard et des signes de souffrance. Actuellement, d'un commun accord, elle souhaite poursuivre les séances de radiothérapie et se laisser un peu de temps de réflexion. Nous la reverrons dans 6 semaines pour décider de la suite et suspendons la commande du volet osseux et la prise en charge chirurgicale. Mme. Y est hospitalisée pour des vertiges d'origine périphérique (probable VPPB). La patiente est examinée par les ORL pour qui l'examen vestibulaire clinique est normal. Ils n'ont malheureusement pas pu réaliser un Video Head Impulse Test car la patiente était trop nauséeuse. Le CT cérébral et l'IRM cérébrale excluent une origine centrale. Au bilan angiologique, les vaisseaux précérébraux sont dans les limites de la norme pour l'âge. Le test de Schellong ne met pas en évidence d'hypotension orthostatique. Nous introduisons un traitement symptomatique par Bétaserc d'office et Ondansétron en réserve. L'évolution clinique étant favorable, la patiente rentre à domicile le 08.01.2020. Nous vous proposons d'organiser un nouveau bilan ORL en cas de réapparition des vertiges. Mme. Y sera revue dans 7 jours pour un contrôle clinique en ORL. Mme. Y a été hospitalisée dans notre service dans un contexte de baisse de l'état général d'origine mixte, avec comme plainte au premier plan des lombalgies mécaniques, de charge sur multiples tassements dans un contexte d'ostéoporose fracturaire cortico-induite. Dans ce contexte, nous majorons le traitement antalgique par des petites doses de tramadol avec bon effet. En ce qui concerne la polyarthrite rhumatoïde, la patiente mentionne avoir des douleurs articulaires chroniques qui sont stables actuellement et qu'elle gère avec son Calcort. La maladie reste active avec un syndrome inflammatoire persistant, mais la patiente refuse toute proposition de traitement de fond autre que ses corticoïdes, et ce malgré la confirmation radiographique d'une évolution défavorable avec la présence de multiples érosions et des déformations articulaires et les conséquences du traitement corticoïdes au niveau rachidien. Sur le plan biologique, Mme. Y présentait à l'entrée une hyperkaliémie à 5.4 mmol/l sans répercussions à l'ECG dans le contexte de la prise de son Aprovel, raison pour laquelle nous stoppons ce dernier traitement et un traitement de Resonium est débuté, ce qui a permis la normalisation de la kaliémie. On note également une hyponatrémie jusqu'à 122 mmol/l dans un contexte de syndrome de libération inapproprié de l'hormone antidiurétique, anomalie que la patiente a refusé d'investiguer et pour lequel nous avons proposé un traitement symptomatique par des comprimés de sel. Nous avons également mis en évidence une hypovitaminose D sévère à 26 nmol/l et en acide folique à 4 ng/ml que nous avons substitués ainsi que des tests hépatiques et une lipase perturbés, chez une patiente asymptomatique avec un US abdominal supérieur dans la norme. Au vu d'une amélioration spontanée, nous n'avons pas procédé à d'autres examens supplémentaires. Sur le plan tensionnel, nous avons mis en évidence des rares pics hypertensifs jusqu'à 179/89 mmHg, asymptomatiques, mais qui étaient seulement en lien avec les poussées de douleurs. Sur le plan digestif, la patiente a une tendance à la constipation qui s'est aggravée avec l'introduction du Tramadol. Néanmoins, le transit intestinal a pu se normaliser avec un traitement laxatif par Movicol 1x/j. La patiente rentre à domicile le 27.12.2019 avec un suivi par des soins infirmiers à domicile. Mme. Y, patiente de 86 ans, est hospitalisée en électif pour une surveillance post-implantation de pacemaker. Le pacemaker est indiqué suite à un malaise dans le contexte d'une fibrillation auriculaire bradycarde. Les suites de l'intervention se déroulent sans problème. La radiographie thoracique réalisée le 28.11 ne montre pas de pneumothorax. Les douleurs sont soulagées par antalgie simple. Le traitement habituel est inchangé. La patiente rentre à domicile le 29.01.2020 sans aide, avec des contrôles en cardiologie en ambulatoire. Mme. Y est hospitalisée pour une exacerbation aiguë de BPCO stade IV groupe D selon GOLD d'origine infectieuse sans germe identifié. La radiographie thoracique montre un épaississement péri-bronchique ainsi qu'un infiltrat parenchymateux basal gauche pouvant correspondre à un foyer débutant. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Co-amoxicilline PO du 01.01.2020 au 07.01.2020, d'une corticothérapie systémique par Prednisone PO du 01.01.2020 au 06.01.2020, d'aérosols de Ventolin et Atrovent ainsi que de physiothérapie respiratoire. Nous n'avons actuellement pas d'argument pour une oxygénothérapie à domicile. Dans ce contexte infectieux, la patiente développe aussi une probable décompensation cardiaque gauche. Nous ne retrouvons pas d'argument pour une origine ischémique ni rythmique à l'ECG. Il n'y a pas de cinétique des troponines. Nous ne notons pas de souffle significatif à l'auscultation. Nous mettons en place un traitement de Torasémide PO du 05.01.2020 au 13.01.2020. L'évolution clinique et biologique étant favorable, la patiente rentre à domicile le 13.01.2020. Nous vous proposons d'organiser une consultation pneumologique et cardiologique en ambulatoire. Mme. Y est hospitalisée pour une anémie normocytaire hypochrome arégénérative avec Hb 53 g/L sur spoliation digestive. La patiente mentionne en effet avoir eu du méléna de manière intermittente ces dernières semaines. Nous effectuons une OGD et une coloscopie qui ne permettent pas de mettre en évidence une lésion susceptible d'avoir saigné. La patiente est transfusée de 4 CE et bénéficie de l'injection de 1000 mg de Ferinject. Nos collègues gastroentérologues proposent d'introduire un traitement de Pantozol 40 mg 1x/j et de reprendre l'Eliquis 5 mg 2x/ qui avait initialement été suspendu. Ils recommandent d'effectuer une entéro-IRM en cas de récidive de spoliation digestive. Mme. Y, 68 ans, institutionnalisée en EMS, est admise aux soins intensifs le 22.01.2020 pour des troubles de l'état de conscience ayant nécessité une intubation orotrachéale le 22.01.2020. Cette patiente a été hospitalisée à l'HFR Riaz le 18.01.2020 pour une crise d'épilepsie tonico-clonique inaugurale d'une durée de 20 minutes probablement sur troubles électrolytiques. Un CT cérébral s'avère sans particularité. Un traitement de gabapentine est débuté le 19.01.2020. Les divers troubles électrolytiques sont substitués. Le 22.01.2020, elle présente un trouble de l'état de conscience avec GCS 7/15 raison pour laquelle une intubation est réalisée à l'HFR Riaz pour protection des voies aériennes. Nous retenons en premier lieu une origine médicamenteuse aux troubles de l'état de conscience, raison pour laquelle nous suspendons la gabapentine sur avis du neurologue ainsi que le Trittico et la Quétiapine. Le dosage de la gabapentine du 22.01 est en cours. L'évolution neurologique est favorable permettant une extubation le 23.01.2020. Selon avis du neurologue, d'autres examens complémentaires ne sont pas nécessaires. Elle présente également le même jour une hyperkaliémie à 6.4 mmol/l d'origine iatrogène. Un ECG ne rapporte pas de troubles de conduction ni de repolarisation. Un protocole insuline-glucose est alors administré.Un hypocalcémie secondaire au déficit de vitamine D est substitué. Une fracture du trochiter de l'épaule droite mise en évidence le 18.01.2020 est traitée conservativement avec immobilisation par gilet orthopédique pour 6 semaines. La patiente devrait être revue à la policlinique d'orthopédie à 1, 2 et 6 semaines pour contrôle radio-clinique. Une bactériurie à K.pneumoniae est détectée aux cultures mais en absence de symptômes aucun traitement n'est institué. Le 23.01.2020, Mme. Y est transférée vers le service de médecine. Mme. Y, 46 ans, est admise aux soins intensifs pour un choc septique et hypovolémique post-bypass gastrique. La patiente bénéficie d'un bypass gastrique le 18.12.2019 à l'Hôpital Daler qu'elle quitte le 21.12.2019. L'évolution en ambulatoire est défavorable avec asthénie, inappétence avec perte de 10 kilos et douleurs en fosse iliaque gauche. Un CT abdominal est réalisé le 27.12.2019 et montre une collection liquidienne de densité séreuse de 8 x 5 x 4 mm au contact de la rate sans contact direct avec l'estomac ou l'anastomose gastro-jéjunale sans air libre et sans fuite de produit de contraste. En raison d'une suspicion de lâchage de l'anastomose, la patiente est transférée à l'HFR Fribourg pour reprise chirurgicale. La laparoscopie exploratrice est effectuée le 28.12.2019 avec évacuation d'hématome péri-splénique. L'examen ne montre pas de lâchage anastomotique ou de péritonite au statut intra-opératoire. Les prélèvements reviennent positifs pour un streptocoque oralis, motivant l'introduction de Tazobac et Fluconazol. Un soutien aminergique est nécessaire dans ce contexte et est sevré à l'extubation. Une acidose métabolique sévère sur cétose de jeûne et Dapagliflozine nécessite l'administration de bicarbonates. Du glucose intraveineux ainsi qu'une alimentation parentérale sont débutés en parallèle d'une insulinothérapie iv. Malgré une substitution en potassium, magnésium et phosphate, la patiente présente un syndrome de renutrition nécessitant des hautes doses de substitution électrolytique et insulinique. L'évolution est favorable avec la reprise d'une nutrition adéquate et d'une insulinothérapie sous-cutanée. La patiente est transférée en médecine interne le 03.12.2019. Mme. Y, 58 ans, est hospitalisée aux soins intensifs suite à des céphalées en coup de tonnerre inaugurales. Mme. Y présente depuis quelques mois une sensation d'asthénie générale, avec vision floue et lombalgies pour lesquelles une IRM cérébrale du 21.01.2020 montre trois lésions de la substance blanche, parlant en faveur d'une SEP. Un suivi en neurologie pour ce motif est prévu. Le 29.01.2020, peu après son réveil le matin, elle présente des céphalées en coup de tonnerre, occipitales irradiant en frontal, suivies d'une perte de connaissance sans témoins d'une durée de quelques minutes. Le CT cérébral avec vaisseaux précérébraux le 29.01.2020 a exclu une dissection, une thrombose veineuse et une hémorragie n'est pas visualisée. Une ponction lombaire est réalisée pour exclure une HSA étant donné que l'imagerie cérébrale a été réalisée à plus de 6 h post-céphalée, mais qui est non contributive. Un angio-IRM est réalisée le 30.01.2020 qui ne retrouve pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne. Un bilan de vasculite (VS, CRP) est demandé pour le 31.01.2020. La patiente est transférée le 30.01.2020 à l'étage de médecine interne. Nous laissons le soin à nos collègues de prévoir une consultation neurologique et une IRM de moelle sur avis du Dr. X à préciser. Mme. Y, patiente de 81 ans connue pour une dermatopolymyosite idiopathique depuis 2005 ainsi que pour une ostéoporose traitée, est hospitalisée pour un court séjour à la suite d'un traitement immunomodulateur par Privigen le 07.01.2019. Pour rappel, la patiente était traitée par Kiovig 50 mg (1 chaque 3 mois) depuis 2015. L'évolution était tout à fait favorable jusqu'en avril 2019. En raison d'une non-disponibilité sur le marché du médicament, une substitution par Intratect est envisagée. Cependant, la patiente a nettement péjoré son état de santé avec une augmentation des myalgies et surtout une diminution de la force de la musculature extenseur, avec des difficultés lors de la levée d'une chaise ou à la marche. Une thérapie immunomodulatrice est donc envisagée et la patiente reçoit la première dose de 60 mg aujourd'hui. À l'entrée à l'étage, la patiente se plaint d'une légère douleur à la tête, avec bonne évolution après analgésie simple (paracétamol). L'examen clinique montre une perte de force de la musculature proximale, plus marquée dans l'hémicorps gauche que à droite (muscles fléchisseurs principalement). La surveillance clinique sur la nuit déroule sans complications. La patiente rentre à domicile le 08.01.2020. La prochaine dose de Privigen sera à prévoir dans 4 semaines. Mme. Y est hospitalisée pour un 2ème cycle de chimiothérapie de rattrapage par R-ESAP sans Platinol dans le contexte d'un lymphome folliculaire transformé en DLBCL. La chimiothérapie se déroule sans complication clinique ni biologique. Une prise de sang de contrôle est prévue à Meyriez le 15.01.2020. La patiente sera revue par Dr. X le 29.01.2020 après le PET-CT de contrôle du 27.01.2020. Mme. Y est une patiente de 83 ans hospitalisée dans le contexte d'un syndrome lombo-spondylogène L3/4 droits non déficitaires d'origine mixte. À savoir qu'une radiographie réalisée à l'HFR de Meyriez avait montré une scoliose sinistroconvexe avec étirement L2/3. La patiente ne rapporte aucun traumatisme et pas d'évolution avec les antalgiques utilisés en ambulatoire. À noter que la patiente souffre de Parkinson avec possible dystonies exacerbant les douleurs. Nous diminuons donc la dose de Madopar de midi et ajoutons un traitement de prégabaline pour une composante neurogène. Parallèlement, elle bénéficie de physiothérapie locomotrice. L'évolution clinique se montre en amélioration mais la patiente se plaint d'une persistance de douleurs malgré les adaptations de l'analgésie. Nous effectuons une infiltration sous guidage de CT avec nette amélioration de la symptomatologie. Au niveau biologique, un contrôle de l'HbA1c se montre à 8.5%. Nous effectuons un suivi de la glycémie durant le séjour et en raison de la persistance d'un profil glycémique élevé, nous adaptons le traitement antidiabétique avec bonne évolution. Vu l'évolution favorable, la patiente rentre à la maison le 23.01.2020. Mme. Y, 46 ans, connue pour une maladie de Crohn avec spondylo-arthropathie associée (sous Méthotrexate, Humira et Olumiant) et dépression, est hospitalisée en médecine pour investigation d'un état d'agitation psychomotrice avec hallucinations auditives et visuelles et discours décousu, incohérent depuis 48 h. Rupture avec son mari en novembre 2019 avec changement d'appartement, avec un stress important associé. Le bilan aux urgences met en évidence des troubles électrolytiques mixtes, nous débutons une substitution per os et iv. Un CT cérébral injecté revient sans particularité. Sur le plan neurologique, à l'étage de médecine, la patiente est cohérente et orientée dans les 3 modes, le status neurologique est dans la norme. Une maladie démyélinisante est évoquée dans le contexte de la prise d'Humira (effet indésirable possible) mais n'est pas retenue au vu du bilan et de la clinique. Nos collègues neurologues ne proposent pas non plus de bilan supplémentaire, cependant s'il y a récidive d'une symptomatologie neurologique, une IRM neurocrâne serait à organiser. Sur le plan psychiatrique, les collègues psychiatres proposent d'arrêter le traitement antidépresseur en raison d'un probable état maniaque durant la période d'agitation de la patiente. Un sevrage progressif du traitement par benzodiazépine est organisé et se fera sur 1 mois avec réévaluation clinique de la patiente de manière fréquente.Sur le plan général, il n'y a pas d'argument pour une rechute de la maladie de Crohn ou de la spondylarthropathie. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X pour la suite de la prise en charge. La suite de la prise en charge se déroulera à la clinique Meiringen en psychiatrie après discussion avec la famille et la patiente. Le séjour a été décidé et organisé de manière indépendante par elle-même et sa famille. Mme. Y évolue de manière stable, voire favorable, au niveau sacro-iliaque. Nous ne recommandons pas plus d'investigations ou de traitement actuellement. Elle est en révision pour ses demandes AI avec une expertise psychiatrique probable. Elle verra également nos collègues de la hanche pour une suspicion de coxarthrose que nous ne retrouvons pas franchement. Mme. Y est hospitalisée pour des vertiges d'origine périphérique (probable VPPB) avec vomissements. Des antiémétiques et des séances de physiothérapie permettent d'améliorer les symptômes. Par ailleurs, au laboratoire d'entrée, nous mettons en évidence un important syndrome inflammatoire. Le CT thoracique retrouve un foyer pulmonaire inférieur gauche que nous mettons sur le compte d'une possible bronchoaspiration dans le contexte des vomissements. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline PO pour 7 j. Enfin, le CT thoracique retrouve aussi une augmentation de la taille du nodule dans le segment latéro-basal du lobe inférieur gauche (11 mm vs 8 mm sur le comparatif du 29.07.2019). Nos collègues pneumologues et oncologues recommandent d'effectuer un CT thoracique de contrôle dans 3 mois. Mme. Y, du 25.04.1942, domiciliée à la Pestalozzistrasse 19, 3280 Morat, est hospitalisée aux soins palliatifs de l'Hôpital de Meyriez. Elle est atteinte d'une sclérose en plaques depuis 1992. Sa qualité de vie était relativement bonne jusqu'en décembre 2019. Elle a alors subi une opération de la vessie en raison d'un carcinome urothélial. L'opération s'est compliquée d'une tamponnade vésicale qui a obstrué l'uretère gauche. Partant, elle a développé une pyélonéphrite sévère abcédante du rein gauche avec choc septique. Elle a bénéficié des soins intensifs et de traitements maximalistes. Malgré cela, une néphrectomie aurait dû être réalisée, ce que la patiente a refusé. Des dialyses à long terme ont également été refusées. Elle est donc arrivée chez nous en soins palliatifs dans le contexte d'une insuffisance rénale terminale le 06.01.2020. Elle est une femme volontaire et décidée, et elle souhaitait une fin de vie sans souffrance. Le rein droit, encore fonctionnel, contribue probablement à compenser partiellement l'insuffisance rénale gauche et l'état de la patiente reste stable depuis son arrivée. Toutefois, elle souffre d'importantes nausées et vomissements en raison de l'hyperuricémie et ne peut plus se nourrir. En outre, elle a des douleurs et des crampes musculaires dues à la sclérose en plaques qui nécessitent un traitement par opiacé et occasionnent une constipation opiniâtre. Elle est grabataire et dit souffrir à un point inimaginable. Malgré plusieurs rotations médicamenteuses, nous n'avons pas trouvé de traitement offrant un soulagement de ces symptômes. Pour cette raison, elle souhaite l'aide au suicide. Elle dispose de sa capacité de discernement pleine et entière. Elle est accompagnée par son mari et sa fille qui soutiennent pleinement sa décision. À noter que Mme. Y est membre de longue date d'Exit Suisse mais a décidé de se tourner vers Exit Suisse Romande en raison des délais administratifs annoncés par Exit Suisse. Liste des diagnostics: • Insuffisance rénale terminale • Sclérose en plaques avec douleurs chroniques des membres inférieurs • Asthénie • Nausées et vomissements réfractaires • Carcinome uréthélial de la vessie non invasif • Myélopathie de signification indéterminée Mme. Y consulte pour une dyspnée en aggravation depuis 2 jours. La patiente, connue pour une embolie pulmonaire en 2015 et une fibrillation auriculaire, porteuse d'un pacemaker et anticoagulée par Xarelto, présente une dyspnée en aggravation depuis le 13.01.2020. Le Dr. X, cardiologue traitant, effectue un contrôle du pacemaker le 15.01, qui est sans particularités, et revoit la patiente le 16.01 avec un US cardiaque qui montre une baisse de la FEVG à 25 % et une HTAP nouvelle (50 mmHg). Dans ce contexte, la patiente est adressée aux urgences. Un CT-scan thoracique met en évidence des signes de décompensation cardiaque et une embolie pulmonaire de localisation identique à celle diagnostiquée en 2015. La patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Dans un premier temps, on suspecte une récidive de l'embolie pulmonaire, l'anticoagulation par Xarelto ayant été brièvement stoppée les jours précédant l'hospitalisation en raison d'une chute avec un important hématome au niveau du genou gauche. Au vu des images du scanner et après discussion multidisciplinaire, on retient une embolie pulmonaire chronique. La dyspnée est attribuée à une décompensation cardiaque gauche, probablement dans un contexte de baisse de la FEVG sur stimulation ventriculaire seule. Le traitement diurétique est augmenté momentanément, jusqu'à rejoindre le poids de forme de 92 kg, ainsi que le traitement de l'insuffisance cardiaque, avec introduction d'un IEC et d'un bêta-bloquant, qui sont progressivement adaptés à la hausse et pourront l'être encore en ambulatoire. Le Dr. X, contacté, préconise un complément par coronarographie, en vue d'une éventuelle thérapie de resynchronisation. L'examen a lieu le 23.01, normal. Sur le plan biologique, on met en évidence une anémie dont le bilan montre des carences en folates et en fer, dans une moindre mesure en B12, qui sont substituées. L'évolution clinique est bonne. Mme. Y rejoint son domicile le 24.01.2020. Mme. Y, 81 ans, nous est transférée des urgences de l'HFR Fribourg suite à une chute à domicile. La patiente est retrouvée au sol par le livreur du repas. Elle présente une plaie à la face. Les circonstances du traumatisme crânien sont indéterminées en raison d'une amnésie circonstantielle de plusieurs heures. Pas de plainte à l'anamnèse par système sous réserve de troubles cognitifs débutants. Au statut d'entrée, la patiente est en bon état général, l'état hémodynamique est stable. Sur le plan neurologique, le GCS est à 15/15, désorientation partielle surtout dans le temps, les paires crâniennes sont intègres, il n'y a pas de déficit sensitivo-moteur des membres. Douleur à la palpation grand trochanter gauche et poignet gauche sans déficit de mobilisation. Des radiographies des articulations douloureuses susmentionnées n'ont pas montré de fracture. Un CT tête et cou a également permis d'exclure une fracture mais a mis en évidence un minime hématome sous-galéal frontopariétal gauche de 5 mm d'épaisseur. La plaie du visage a été suturée au bloc opératoire d'ophtalmologie et sera contrôlée le 17.01.2020 à Fribourg. Dans ce sens, nous débutons une antibiothérapie probabiliste à titre prophylactique pour la plaie du visage (visant également les bactéries urinaires). Le bilan de la chute a révélé: une infection urinaire, une hypothyroïdie, une carence vitaminique ainsi qu'une forte suspicion de troubles cognitifs débutants. Nous substituons oralement la vitamine D et faisons une injection de vitamine B12. Nous reprenons l'Euthyrox à la dose habituelle de 100 mcg/j, qu'il faudra contrôler à 3 mois. La poursuite d'un schéma de substitution en B12 devrait être menée mais au vu de la carence légère, nous avons proposé à la patiente de prendre une substitution orale plutôt que des injections.Durant l'hospitalisation, nous suspectons fortement des troubles cognitifs chez Mme Y, mais les investigations des troubles ont été refusées par la patiente et sa famille. Devant une évolution clinique favorable, Mme Y peut retrouver son domicile le 16.01.2020 avec l'organisation des soins à domicile 2x/j. • MMS + horloge : non réalisé car traumatisme crânien récent. • Bilan neuropsychologique du 23.01.2020 : pas de signes neurologiques focaux, capacité de discernement semble conservée. • MMS à 18/30, test de l'horloge à 2/7 le 15.01.2020. • Avis gériatrique (Dr. X) : transfert en gériatrie aiguë pour suite de prise en charge et bilan gériatrique après fin des investigations pour le prolapsus rectal. • MMS 10/30, Clock-Test 0/6, GDS 0/15 le 18.12.2019. • Mémantine depuis le 25.12.2019. • MMS 14/30, Test de la Montre 0/6, GDS 7/15 le 9.10.2019. • MOCA 18.10.2019 15/30. • Colloque avec le juge de paix 12/2019, une curatelle est en cours, et placement en établissement médicalisé décidé, Mr. Y est en accord avec la décision. • MMS 19/30, test de la montre à 2/6 ; GDS 5/15 le 30.02.2019. Radiographie thoracique le 19.12.2019 : Examen en incidence antéro-postérieure en position couchée. Probable cardiomégalie. Sclérose de la crosse aortique et aspect dolichoïde de l'aorte descendante. Discret trouble ventilatoire rétro-cardiaque sans franc foyer. Pas d'épanchements pleuraux. Cadre osseux et parties molles sans particularités. Avis cardiologique (Dr. X) le 19.12.2019 : • Hospitalisation aux soins intensifs sous scope afin de rechercher des blocs sur la nuit mais au vu de la situation globale et patient refusant pacemaker si besoin, pas d'indication aux SI. • ETT non effectué au vu de l'absence de sanction clinique. • Arrêt traitement Bêta-bloquant au vu du bloc AV le 19.12.2019. Urotube le 19.12.2019 : non contributif. Angio-CT des membres inférieurs du 31.12.2019 : Vasculaire : Athéromatose mixte importante de l'aorte abdominale avec anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale mesurée au maximum à 107 x 89 x 180 mm partiellement thrombosé et angulation dextro-convexe à hauteur de L4. Ectasie des artères fémorales communes avec sténose de 40 % sur plaque molle à droite. Athéromatose mixte sans sténose des artères fémorales superficielles et profondes jusqu'à l'occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche débutant au tiers distal du fémur et s'étendant à l'artère poplitée, tibiale postérieure et fibulaire sans franche reperméabilisation d'aval. Subocclusion de l'artère tibiale postérieure droite après le départ de l'artère tibiale antérieure. Occlusion totale de l'artère tibiale postérieure droite à hauteur du talus. Athéromatose calcifiée importante de l'artère tibiale antérieure et fibulaire sans sténose significative. Sur les coupes passant par le thorax : pas de nodule suspect ni d'épanchement pleural. Troubles ventilatoires des bases. Abdomen : Foie stéatosique sans lésion focale suspecte. Deux kystes biliaires infracentimétriques, l'un du segment II et l'autre du segment IVa. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. Hémangiome de 8 mm de la rate. Deux lésions kystiques de 18 mm de la tête et de la queue du pancréas. Les surrénales ont une morphologie normale. Reins atrophiques de 78 et 74. • MMS 19/30, test de la montre à 2/6 ; GDS 5/15 le 30.02.2019. Laboratoire : cf. annexes. • MMS 28.01.20 : 22-24. • MMS 28/30 ; Clock-Test 2/6 (5.12.2019). • MMS 28/30, MMS-Test de l'horloge combiné 6/9, GDS 2/15 (10.01.2020). Prévoir imagerie cérébrale et/ou évaluation neuropsychologique détaillée. • MMS : 29/30 ; test de la montre 4/6 ; GDS 3/15. Laboratoire : voir annexes. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de 22 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur une chute avec immobilisation durant 4 semaines et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur trouble de la marche et de l'équilibre. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 27 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10 % en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin adjointe en gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée : Mobilité (Tinetti) 12/28 avec rolateur. Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 59/19. MMS/CLOCK 29/30 - 4/6.GDS 3/15 Evaluation sociale (5 domaines) 09.12.2019 Colloque interdisciplinaire 1 - 4 11.12./18.12./23.12./30.12.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 14/28 avec rollateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 63/24 MMSA 10/30 dans un contexte d'HSA frontale gauche opérée en 2003 Status post-AVC droit en 2014 Insuffisance rénale chronique droite MMSE à 26/30 le 10.10.2020 Mobilisation de la patiente avec charge selon douleurs. Il n'y a pas de restriction. Prochain contrôle dans 3 mois. Mobilisation en charge partielle de 15 kg (touch/down) à l'aide de deux cannes anglaises pendant 6 semaines. Anticoagulation préventive pendant 6 semaines par Clexane. Réfection du pansement tous les 2 jours et ablation des agrafes à J14 post-opératoires, soit le 22.01.2020. Contrôle radio-clinique le 18.02.20 à 9h à la consultation du Dr. X. Mobilisation libre. Pas de sport pendant encore 3 semaines. Contrôle clinique pour vérifier la mobilité chez le médecin traitant. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 30.1.2020. Poursuite d'une physiothérapie intensive pour récupération des amplitudes articulaires. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 48 heures. Contrôle à ma consultation dans 3 semaines. Mobilisation selon douleurs. Nous reverrons Mme. Y pour un contrôle radio-clinique dans 4 à 6 semaines, puis à 1 année post-traumatisme. Mobilisation selon douleurs sous aide des béquilles. Contrôle clinique dans 3 semaines. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation dans 3 semaines le 30.1.2020. Mobilité active de la hanche excellente et FABER sans particularités ne faisant pas suspecter de coxarthrose avancée. Attitude: • retour à domicile avec traitement symptomatique de Dafalgan seul (Mme. Y en a déjà et est très réticente à l'utilisation de médicaments) • Avisée de consulter son médecin traitant si persistance des douleurs après quelques jours pour réévaluation du traitement +/- US musculaire. Modification du carnet. A contrôler au secteur ambulatoire des urgences à 48h soit le 22.01.2020 à 8h, puis suite de prise en charge chez médecin traitant. Modification du traitement antalgique, nous recommandons l'organisation d'un examen IRM en ambulatoire. Modification du traitement inhalateur habituel : ajout d'un corticoïde inhalé par switch d'Anoro ellipta à Trelegy ellipta. Nasonex pour 3 mois indication à réévaluer selon symptômes. Réadaptation pulmonaire ambulatoire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort 3x/semaine (dernière datant de 2016) puis réadaptation respiratoire à Billens. Discussion d'introduire à domicile l'oxygénothérapie à l'effort à distance de l'évènement aigü Molluscum contagieux avec signes de surinfection Molluscum en regard de la vulve et face interne des cuisses Mometason spray nasal Triomer spray nasal Makatussin gouttes Algifor Mometason Makatussin Triomer Algifor Repos Monarthrite de la cheville gauche Monitorage neurologique, respiratoire et hémodynamique Monitoring cardio-respiratoire dans un contexte d'épisodes de cyanose Monitoring cardio-respiratoire 4h post-adrénaline aux urgences Dr. X: Nébulisation d'adrénaline 4mg Betnesol 6.5mg PO Bilan biologique Transfert pédiatrie HFR Monitoring cardio-resp du 28.12 au 4.01.2020 ECG dans la norme, confirmant le diagnostic Souffle en disparition lors du status de la sortie Monitoring cardio-respiratoire Monitoring cardiorespiratoire Monitoring cardio-respiratoire dans la norme Monitoring cardio-respiratoire et surveillance neurologique de 14 heures aux urgences pédiatriques s'avérant sans particularité Charbon actif 60g à 1h post-ingestion (vomi à 2h post-ingestion) Consilium pédopsychiatrique (Dr. X, Dr. X) Consilium Tox-Zentrum ECG: QTc = 442 ms Monitoring cardio-respiratoire Transfert au CHUV vu absence de places au HFR Avis neurologique à poursuivre Monitoring cardio-respiratoire Frottis RSV Monitoring cardio-respiratoire Minimal handling Oxygénothérapie du 12.01 au 18.01 Monitoring cardio-respiratoire Oxygénothérapie aux lunettes du 20.01 au 23.01 Bilan hydrique Monitoring cardiorespiratoire Oxygénothérapie du 17.01 au 20.01 Ventolin pushs du 17.01 au 23.01 progressivement espacés Betnesol 0.25 mg/kg/dose 1x/jour du 19.01 au 21.01 Monitoring cardiorespiratoire Oxygénothérapie du 22.01 au 24.01 Frottis RSV Monitoring cardio-respiratoire Oxygénothérapie du 05.01 au 06.01 au matin Ventolin en pushs, espacés progressivement Betnesol 0,25 mg/kg/jour du 05.01 au 07.01 Monitoring cardio-respiratoire Radiographie du thorax le 11.01 Frottis RSV le 11.01 Oxygénothérapie du 10.01 au 13.01 Amoxicilline per os 25 mg/kg/dose 3x/jour du 10.01 au 14.01 Monitoring cardiorespiratoire Ventolin du 17.01 au 20.01 Oxygénothérapie du 17.01 au 20.01 Isolement contact Monitoring cardiorespiratoire Ventolin du 19.01 au 20.01 Oxygénothérapie du 19.01 au 21.01 Rinçages nasales Frottis RSV Isolement contact Monitoring cardio-respiratoire Ventolin du 19.01 au 20.01 Oxygénothérapie du 19.01 au 24.01 Frottis RSV Isolement contact Monitoring cardio-respiratoire Ventolin le 20.01 Betnesol 0.25 mg/kg, dose unique le 20.01 Oxygénothérapie du 20.01 au 21.01 Rinçages de nez réguliers Frottis RSV Monitoring du 18.12.2019 au 9.1.2020 (3 jours de documentation qu'aucune stimulation nécessaire) Monitoring du 7.1. au 21.01 Mono-arthrite aiguë du genou gauche atraumatique d'origine indéterminée Monoarthrite du genou droit sur chondrocalcinose le 17.01.2020 Monoarthrite du poignet G, 21.01.2020 • Sur probable chondrocalcinose Monoarthrite interphalangienne pouce gauche en février 2017 Lithiase urinaire symptomatique le 20.07.2015 Status post fracture du pouce gauche dans l'enfance Monoarthrite talo-naviculaire droite d'origine indéterminée. DD : para-infectieuse, micro-cristalline, décompensation arthrosique. Mono-arthrose MCP II à D (dominant) Mononucléose Mononucléose Mononucléose infectieuse à EBV, le 11.01.2020. Mononucléose infectieuse à EBV, le 11.01.2020. Mononucléose infectieuse le 12.07.2017. Mononucléose. • Amygdales hypertrophiques non ulcéreuses. • Ganglions cervicaux pré-SCM. Mononucléose • Amygdales hypertrophiques non ulcéreuses • Ganglions cervicaux pré-sterno-cléido-mastoïdiens Monotest rapide Mr. Y consulte le service des urgences de Rennaz le 18.01.2020 en raison de douleurs thoraciques rétrosternales en augmentation depuis 1 semaine sans dyspnée associée. Il relate également 2 à 3 épisodes de méléna depuis le mois de septembre 2019, non investigués. A son arrivée, il présente une anémie sévère à 45 g/l et des modifications ECG avec élévation des troponines compatibles avec un NSTEMI, possiblement secondaire à l'anémie mais dont une origine primaire n'est pas exclue. Il bénéficie de la transfusion de 5 CE au total et d'un traitement d'IPP à haute dose, avec stabilisation de l'hémoglobine. L'Aspirine cardio est suspendue transitoirement. Il ne présente pas de récidive de douleur thoracique par la suite et reste stable hémodynamiquement. L'ECG se normalise, les troponines restent toutefois fluctuantes. Mr. Y nous est transféré le 21.01.2020 pour suite des investigations. La source du saignement reste incertaine. Une OGD est réalisée le 22.01.2020 et ne montre pas de lésions digestives hautes, une colonoscopie a lieu le 24.01.2020, qui ne montre pas non plus de source de saignement. En raison de la forte suspicion d'une origine spoliative digestive (ferritine 5 mg/l à Rennaz, anamnèse de méléna), une IRM de l'intestin grêle est organisée en ambulatoire à l'HFR Riaz le 03.02.2020. Concernant la médication, nous stoppons le traitement par IPP, réintroduisons l'Aspirine le 21.01.2020 et administrons une dose supplémentaire de 500 mg de Ferinject le 28.01.2020. A savoir que pendant son hospitalisation, le patient ne présente pas de récidive d'extériorisation et l'hémoglobine se montre stable.Une échocardiographie de stress est effectuée le 27.01.2020 et ne montre aucune modification qui n'était pas déjà connue (akinésie inféro basale et inféro moyen). Il n'y a pour l'instant pas d'indication à effectuer une coronarographie pour bilanter le NSTEMI qui est très probablement secondaire à l'anémie. Le 21.01.2020, le patient présente un flutter auriculaire paroxystique, qui est spontanément résolutif. Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état général le 29.01.2020. Mr. Y, 70 ans, est transféré aux soins intensifs (SIC) depuis les soins intensifs de l'HRC Rennaz pour une suspicion d'hémorragie digestive haute avec NSTEMI secondaire. Il consulte les urgences de Rennaz le 18.01.2020 en raison de douleurs thoraciques rétrosternales en augmentation depuis 1 semaine sans dyspnée associée. Il relate également 2 à 3 épisodes de méléna depuis le mois de septembre 2019, non investigués. À son arrivée, il présente une anémie sévère à 45 g/l et des modifications ECG avec élévation des troponines compatibles avec un NSTEMI, possiblement secondaire à l'anémie mais dont une origine primaire n'est pas exclue. Il bénéficie de la transfusion de 5 CE au total et d'un traitement d'IPP à haute dose, avec stabilisation de l'hémoglobine. L'aspirine cardio est suspendue transitoirement. Il ne présente pas de récidive de douleur thoracique par la suite et reste stable hémodynamiquement. L'ECG se normalise, les troponines restent toutefois fluctuantes. Le patient nous est transféré le 21.01.2020 pour suite des investigations. Au vu d'une suspicion d'hémorragie digestive haute, le pantoprazol 40 mg 2x/j est poursuivi et une perfusion de Ferinject est administrée le 21.01.2020 qui sera répétée le 28.01.2020. Une OGD est réalisée le 22.01.2020 qui ne montre pas de lésions digestives hautes, raison pour laquelle une colonoscopie est prévue le 24.01.2020 afin de compléter le bilan de l'anémie. À savoir que pendant son hospitalisation, le patient ne présente pas de récidive d'extériorisation. Une coronarographie pour bilanter le NSTEMI est prévue le 27.01.2020. Une simple antiagrégation par aspirine est reprise dès le 21.01.2020. Le 21.01.2020, le patient présente un flutter auriculaire paroxystique, qui est spontanément résolutif. Le patient est transféré en médecin interne le 23.01.2020 pour suite de la prise en charge. Mr. Y, 70 ans, est transféré aux soins intensifs (SIC) depuis les soins intensifs de l'HRC Rennaz pour une suspicion d'hémorragie digestive haute avec NSTEMI secondaire. Il consulte les urgences de Rennaz le 18.01.2020 en raison de douleurs thoraciques rétrosternales en augmentation depuis 1 semaine sans dyspnée associée. Il relate également 2 à 3 épisodes de méléna depuis le mois de septembre 2019, non investigués. À son arrivée, il présente une anémie sévère à 45 g/l et des modifications ECG avec élévation des troponines compatibles avec un NSTEMI, possiblement secondaire à l'anémie mais dont une origine primaire n'est pas exclue. Il bénéficie de la transfusion de 5 CE au total et d'un traitement d'IPP à haute dose, avec stabilisation de l'hémoglobine. L'aspirine cardio est suspendue transitoirement. Il ne présente pas de récidive de douleur thoracique par la suite et reste stable hémodynamiquement. L'ECG se normalise, les troponines restent toutefois fluctuantes. Le patient nous est transféré le 21.01.2020 pour suite des investigations. Au vu d'une suspicion d'hémorragie digestive haute, le pantoprazol 40 mg 2x/j est poursuivi et une perfusion de Ferinject est administrée le 21.01.2020 qui sera répétée le 28.01.2020. Une OGD est réalisée le 22.01.2020 qui ne montre pas de lésions digestives hautes, raison pour laquelle une colonoscopie est prévue le 24.01.2020 afin de compléter le bilan de l'anémie. À savoir que pendant son hospitalisation, le patient ne présente pas de récidive d'extériorisation. Une coronarographie pour bilanter le NSTEMI est prévue le 27.01.2020. Une simple antiagrégation par aspirine est reprise dès le 21.01.2020. Le 21.01.2020, le patient présente un flutter auriculaire paroxystique, qui est spontanément résolutif. Le patient est transféré en médecin interne le 23.01.2020 pour suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 62 ans connu pour une cardiopathie ischémique qui se présente aux urgences le 25.01 pour une douleur rétro-sternale d'apparition subite. Un bilan cardiologique ne retient pas d'origine cardiaque, un bilan biologique et par CT scan abdominal fait suspecter une pancréatite aiguë. En l'absence d'argument pour une origine éthylique ou lithiasique, avec une calcémie et triglycéridémie normales, nous retenons l'hypothèse d'une pancréatite médicamenteuse, possiblement sur Atorvastatine qui est mise en suspens. Le patient est hospitalisé pour un traitement antalgique et une surveillance clinique. L'évolution est par la suite favorable tant sur le plan clinique que biologique, permettant un retour à domicile le 30.01.2020. Mr. Y, patient de 81 ans connu pour des antécédents d'embolie pulmonaire et anticoagulé par Sintrom, est hospitalisé en raison d'un NSTEMI le 07.01.2020. Pour rappel, le patient est référé par son médecin traitant en raison de douleurs thoraciques typiques évoluant depuis plusieurs jours. L'ECG est sans particularité mais les troponines sont élevées avec cinétique. Sur avis des cardiologues, une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel est introduite, en parallèle de l'anticoagulation orale par Sintrom. De l'atorvastatine est également introduite pour une LDL cible < 0,8 mmol/l chez ce patient à très haut risque cardiovasculaire. Un traitement de Lisnopril est instauré pour contrôle de la pression artérielle. Au vu d'une perturbation de la crase avec INR à 3, le Sintrom est mis en suspens et de la vitamine K est administrée afin de permettre une coronarographie le 09.01.2020. La coronarographie retrouve une maladie coronarienne bitronculaire et l'artère coronaire circonflexe est traitée par implantation d'un stent actif. Une coronarographie est prévue dans environ 2 semaines pour le traitement d'une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure. Nous décidons d'un changement de l'anticoagulation par Sintrom pour du Xarelto 20 mg, afin de faciliter la reprise de l'anticoagulation à sa sortie d'hospitalisation et son arrêt pour la nouvelle coronarographie prévue. L'anticoagulation et l'antiagrégation seront à rediscuter après la prochaine coronarographie. Après une remobilisation sans complication avec le suivi de nos collègues physiothérapeutes, Mr. Y peut retourner à domicile en bon état général le 11.01.2020. Mr. Y, 68 ans, est hospitalisé en raison d'une exacerbation de BPCO sur probable infection virale. Le patient présente une dyspnée progressive depuis 10 jours, associée à un recours accru au Ventolin, jusqu'à une forte péjoration le jour de l'admission. La dyspnée est associée à des douleurs thoraciques oppressives, pour lesquelles il utilise des capsules de nitroglycérine avec bon effet. L'auscultation pulmonaire montre des sibilances diffuses. À l'admission, le bilan biologique ne montre pas de mouvement des enzymes cardiaques ni de syndrome inflammatoire, et l'ECG ne montre pas de signe d'ischémie aiguë. Le diagnostic d'exacerbation de BPCO est retenu, chez ce patient tabagique actif à 100 UPA.Une corticothérapie est instaurée pour une durée de 5 jours, ainsi que des aérosols d'Atrovent et de Ventolin, permettant une évolution clinique favorable. Par la suite, un traitement de fond par Ultibro est instauré. Un bilan pneumologique avec fonctions pulmonaires est prévu à distance de l'épisode aigu pour investiguer une probable BPCO. Mr. Y rentre à domicile le 27.01.2020. Mr. Y, 81 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour suspicion de NSTEMI le 07.01.2020. Ce patient est référé par son médecin traitant pour des douleurs thoraciques typiques évoluant depuis plusieurs jours. L'ECG est sans particularité mais le bilan biologique révèle une augmentation des biomarqueurs. Sur avis des cardiologues, une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel est introduite, en parallèle de l'anticoagulation orale par acénocoumarol. De l'atorvastatine est également introduite pour une LDL cible < 0.8 mmol/l chez ce patient à très haut risque cardiovasculaire. Du lisinopril est instauré pour contrôle de la pression artérielle. Au vu d'une perturbation de la crase avec INR à 3, le Sintrom est mis en suspens et de la vitamine K est administrée. Le séjour aux soins intensifs se déroule sans complication. Le patient peut être transféré en division de médecine interne le 08.01.2020. La coronarographie est prévue pour le 09.01.2020. Mr. Y est un patient de 79 ans qui est institutionnalisé au Foyer de la Roseraie des Bains. Mr. Y est amené en ambulance aux urgences suite à une chute en allant vers l'ascenseur sans notion de malaise, ni de traumatisme crânien ou de perte de connaissance. Selon les témoins, Mr. Y a perdu soudainement l'équilibre en se promenant ; et depuis cette chute, des douleurs lombaires sont présentes. À noter également que depuis quelque temps, le patient présente des épisodes de toux accompagnés d'expectorations objectivées lors du suivi à votre consultation. À son admission en gériatrie, Mr. Y est somnolent, calme et collaborant et rapporte effectivement des dorsalgies en regard de la vertèbre L2 sans autre symptôme associé. D'après ses dires, les épisodes de toux et d'expectorations s'améliorent, sans fièvre ces derniers temps. Au statut d'entrée, nous observons un déconditionnement global avec une dénutrition visible, le patient est algique à la moindre mobilisation. L'examen cardiovasculaire montre des pouls périphériques réguliers, des B1 et B2 bien frappés, un souffle holosystolique irradiant dans l'aisselle à 3/6 ainsi que de légers œdèmes des membres inférieurs symétriques des deux côtés. L'examen pulmonaire montre des râles crépitants au niveau du lobe moyen et basal gauche. L'examen ostéo-articulaire démontre une percussion du rachis douloureuse à la palpation au niveau de D5 D6 et L1-L2. La radiographie effectuée le 08.01.2020 montre un tassement de la vertèbre L2. Après un échange téléphonique auprès de la team rachis, nous complétons le bilan d'un CT lombaire qui met en évidence une fracture sur tassement de la vertèbre L2. Une prise en charge conservatrice est préconisée. Toutefois, nous vous proposons de compléter le bilan de l'ostéoporose en ambulatoire et nous préconisons également l'introduction d'un traitement sous Biphosphonate. La radiographie du thorax du 08.01.2020 montre un foyer probable en regard du lobe de la base gauche. Devant ce tableau clinique et radiologique, nous retenons un diagnostic de pneumonie basale et moyen gauche pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie sous Rocéphine 2g en intra-veineux du 07.01.2020 au 13.01.2020 avec une bonne évolution clinique. Le bilan biologique d'entrée montre une anémie normocytaire normochrome à 116 g/l arégénératif probablement dans le contexte d'une spoliation digestive. Concernant la cirrhose CHILD A sur éthylisme ancien compliquée de varices œsophagiennes de stade II, pour lesquels Mr. Y a eu 2 épisodes d'hémorragies digestives hautes avec ligatures des varices en 2002, notons qu'un traitement sous Inderal aurait dû être introduit mais en raison d'une hypotension orthostatique nous ne le mettons pas en place. Durant son séjour, le patient bénéficie d'une réadaptation gériatrique du 07.01.2020 au 04.01.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 37/126 (MIF physio : transferts 2/7, déplacement 1/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas réalisable. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec des besoins augmentés et une inappétence démontrée par un NRS à 3, des apports oraux couvrant 52% des BE et 46% des BP et une perte de poids progressive depuis 4 ans. Nous réalisons également un test de déglutition qui met en évidence une dysphagie que nous attribuons à la maladie de Parkinson. Nous proposons d'adapter la texture alimentaire et d'évaluer l'introduction d'une sonde nasogastrique si toutefois une persistance de la malnutrition protéino-énergétique est observée. Le 14.01.2020, Mr. Y quitte notre service et peut regagner son Home avec un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIB) pour une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur une pneumonie communautaire le 29.12.2019. Il consulte initialement aux urgences de Riaz le 29.12.2019 dans un contexte de baisse de l'état général depuis environ deux jours associée à une dyspnée, une toux grasse et un état fébrile avec frissons. Au vu d'un état d'agitation attribué en premier lieu à une hypoxémie réfractaire, et après échec de VNI, il est intubé à Riaz puis nous est transféré pour suite de prise en charge. À l'admission dans notre service, le patient doit être réintubé suite à un problème mécanique (fuite sur le ballonnet). Une pneumonie communautaire est traitée par Ceftriaxone et Clarithromycine, avec une évolution clinique rapidement favorable permettant une extubation 24 heures plus tard suivie d'un relais par VNI et physiothérapie respiratoire intensive. L'évolution post-extubation le 30.01.2019 est marquée par une paralysie récurrentielle bilatérale symptomatique (stridor et troubles de la déglutition). Sur avis des ORL, nous débutons le solumedrol et les aérosols d'adrénaline, avec une évolution progressivement favorable. En raison des troubles de la déglutition associés, une nutrition parentérale est initiée dès le 01.01.2020. Nous vous laissons le soin d'introduire une alimentation per os sous supervision directe selon l'évolution clinique et avis des physiothérapeutes. En cours de séjour, le patient présente des épisodes de bradycardie sinusale, asymptomatiques et transitoires. Par surplus, nous suspectons une probable composante de décompensation cardiaque gauche comme facteur contributif au tableau initial de décompensation respiratoire aiguë. Pour ces raisons, nous proposons à nos collègues de médecine interne d'organiser un ETT et un Holter en division. En date du 02.01.2020, Mr. Y est transféré en unité de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur une pneumonie communautaire. Le patient consulte le service des urgences de l'HFR Riaz le 29.12.2019 pour une baisse de l'état général depuis environ deux jours, associée à une dyspnée, une toux grasse et un état fébrile avec frissons. Au vu d'une agitation psycho-motrice, la ventilation non invasive ne peut pas être instaurée et il nécessite une intubation en urgence à l'HFR Riaz puis un transfert aux soins intensifs à l'HFR Fribourg. Aux soins intensifs, un problème mécanique du tube orotrachéal nécessite une réintubation. À l'extubation, une paralysie récurrentielle bilatérale est retrouvée. Sur avis des ORL, nous débutons le Solumedrol et des aérosols d'Adrénaline, avec une évolution progressivement favorable jusqu'à résolution de la dysphonie.Une pneumonie communautaire est traitée par Ceftriaxone et Clarithromycine avec une bonne évolution. Une bradycardie sinusale asymptomatique transitoire est retrouvée lors de sa surveillance aux soins intensifs. Un Holter est effectué durant l'hospitalisation mettant en évidence une extrasystolie supraventriculaire complexe de haute incidence et une salve de TSV de 11 complexes. Une consultation cardiologique ambulatoire afin de rechercher une cardiopathie sous-jacente est proposée. Mr. Y présente durant son séjour un état confusionnel aigu dans le contexte infectieux, avec probables troubles cognitifs d'origine indéterminée sous-jacents. Nous vous laissons le soin d'organiser un bilan neuropsychologique à distance. L'évolution est favorable et le patient rentre à domicile le 11.01.2020. Après discussion avec Mr. Y et son épouse, ceux-ci ne souhaitent pas la mise en place de soins à domicile. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome sigmoïdien sous chimiothérapie et un tabagisme actif, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique sylvien droit. Pour rappel, le patient se présente aux urgences le 08.01.2020 car il présente au réveil à 5h45 des troubles de l'élocution et un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche. Aux urgences, le NIHSS s'élève à 11 points. Le CT cérébral révèle une occlusion de l'artère cérébrale moyenne D dans son segment M2 avec une pénombre frontale droite. En raison d'une contre-indication à la lyse au vu du contexte oncologique et de l'heure de la dernière preuve de bonne santé peu claire, la lyse n'est pas administrée et le patient est transféré à Berne pour une thrombectomie. Cette dernière est réalisée avec une reperfusion partielle en raison d'un petit thrombus per-intervention au niveau de la branche M3 temporo-occipital droite. Le CT scanner à 24h ne retrouve pas de transformation hémorragique. Une IRM cérébrale ne peut pas être réalisée en raison d'un état d'agitation. Le patient nous est retransféré le 09.01.2020 pour suite de prise en charge. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre un foramen oval perméable avec un shunt important. Un Holter de 24h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Nous suspectons une étiologie paranéoplasique dans le contexte de néoplasie sigmoïdienne. Sur le plan médicamenteux, une anticoagulation par héparine puis Lixiania est introduite en raison de la suspicion d'origine paranéoplasique. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL 1.4 mmol/l). Du point de vue neuropsychologique, le bilan montre des difficultés exécutives ainsi que quelques troubles de la mémoire avec des évocations différées pour lesquelles une neuroréhabilitation est indiquée. Concernant l'anévrisme de l'artère cérébrale antérieure du segment A3 à gauche de 4 mm visualisé à l'angiographie artérielle, le cas sera discuté au collège interdisciplinaire à l'Inselspital. Il faudra recontacter les neuroradiologues pour la suite de prise en charge. Lors du séjour, Mr. Y est très renfermé et la communication avec l'équipe soignante est difficile. Pour ces raisons, un avis est demandé à nos collègues psychiatres qui mettent en évidence un épisode dépressif moyen. Un traitement de Brintellix est instauré avec arrêt du Citalopram. Du point de vue oncologique, la chimiothérapie est suspendue en raison de l'AVC et sera reprise au plus vite. À noter également une malnutrition protéino-énergétique déjà suivie par nos collègues diététiciennes. Une sonde naso-gastrique sera à rediscuter sur l'évolution. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée et sera à réévaluer à Meyriez. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est stable avec un statut neurologique de sortie retrouvant une anosognosie, une parésie faciale légère, une dysarthrie légère et une héminégligence visuelle. Mr. Y est transféré en médecine interne en attente d'une neuro-réhabilitation intensive à Meyriez. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance neurologique après une thrombectomie d'un AVC ischémique sylvien droit le 08.01.2020. Le patient de 57 ans, connu pour un adénocarcinome sigmoïdien, un tabagisme actif, se présente aux urgences dans les suites d'un wake-up stroke le 08.01.2020 à 5h45 (dernière preuve de bonne santé à 3h). Une occlusion de M2 à droite est mise en évidence avec un NIHSS initial à 11 points. En raison d'une contre-indication à la lyse au vu du risque hémorragique de son cancer, il est transféré à Berne pour une thrombectomie. Cette dernière est réalisée avec une reperfusion partielle en raison d'un petit thrombus per-intervention au niveau de la branche M3 temporo-occipital droite. Un CT scanner à 24h est réalisé (en raison d'une agitation à l'IRM) qui ne retrouve pas de transformation hémorragique. À son admission dans notre unité, le patient est somnolent, réveillable à la stimulation douloureuse. Le NIHSS est évalué à 5 points. Concernant l'anévrysme de l'artère cérébrale antérieure du segment A3 à gauche de 4 mm le 08.01.2020 visualisé à l'angiographie artérielle, un avis des collègues de Bern propose une surveillance contrôle IRM dans 3 mois. Durant le séjour aux soins intensifs, le patient est resté stable avec des NIHSS qui persistent à 5. Il garde une dysarthrie, une petite paralysie faciale, une héminégligence. Début d'une anticoagulation thérapeutique en accord avec les neurologues le 09.01. Face à une augmentation des doses d'héparine ce matin, il faudra pister l'antiXa prévu à 16h. Mr. Y est un patient de 28 ans qui est hospitalisé pour prise en charge d'une appendicite aiguë diagnostiquée par scanner le 31.12.2019. Il bénéficie le 01.01.2020 d'une appendicectomie par laparoscopie. Les suites post-opératoires sont simples tant d'un point de vue clinique que paraclinique et le patient retourne à domicile le 02.01.2020. Mr. Y est un patient de 62 ans qui est hospitalisé pour une pancréatite aiguë probablement toxique. En effet, le patient se présente aux urgences le 08.01.2020 avec des douleurs épigastriques et des tests pancréatiques biologiques perturbés. Le patient dénonce une consommation alcoolique de 2 litres de vin par jour avec une consommation plus accrue ces dernières semaines. L'évolution sera par la suite favorable tant sur le plan clinique que paraclinique et nous prodiguons les conseils habituels sur la nécessité de stopper cette consommation alcoolique, ce que le patient comprend. Le patient quitte l'hôpital le 13.01.2020 avec un suivi ambulatoire par son médecin de famille. Mr. Y, 57 ans, est hospitalisé en médecine interne pour la prise en charge d'une colite à Clostridioides difficile s'étant manifestée par des diarrhées et un état fébrile. Pour rappel, il a été hospitalisé pour un AVC ischémique sylvien droit d'origine paranéoplasique probable avec un hémisyndrome facio-brachio-crural gauche, une anosognosie et une dysarthrie légère. Une lyse était contre-indiquée et donc une intervention endovasculaire a été réalisée à l'Inselspital. Il a ensuite été hospitalisé aux soins intensifs du 09.01 au 10.01.2020, puis en Stroke Unit du 11.01 au 17.01.2020, puis en médecine interne en attente d'une place en neuro-réadaptation intensive avec un reclassement dès le 20.01.2020.La colite à Clostridium difficile est associée à l'antibiothérapie par Ceftriaxone IV que le patient avait reçu pour une infection urinaire du 13.01 au 19.01.2020. Une antibiothérapie par Métronidazole est introduite dès le 22.01.2020 pour une durée totale de 10 jours. L'évolution est favorable du point de vue clinique et paraclinique. La chimiothérapie adjuvante sera reprise en dehors de l'épisode infectieux. Sur le plan neurologique, Mr. Y reste stable et est transféré en neuro-réhabilitation intensive le 03.01.2020. Mr. Y, 20 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc hypovolemique sur gastrentérite sévère. Le patient, connu pour une encéphalopathie ischémique après asphyxie périnatale, est amené aux urgences pour déshydratation sur vomissements et diarrhées (selles liquides jusqu'à 20 fois par jour) depuis 48 heures. Sa maman nous dit avoir eu des symptômes de type vomissements peu de temps avant lui. À l'arrivée aux urgences, le patient est en état de choc (tachycarde, hypotendu, marbré). Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire important, une insuffisance rénale aiguë AKIN III et une hyperkaliémie. La gazométrie montre une acidose métabolique compensée au niveau respiratoire et des lactates augmentés à 2.8. La radiographie thoracique ne retrouve pas de foyer. Les cultures mettent en évidence une infection virale par Norovirus. Une antibiothérapie par pipéracilline-tazobactam est débutée le 21.01.2020 et remplacée par ceftriaxone, Flagyl et clarithromycine le 22.01, en attendant les résultats bactériologiques. Une réaction allergique modérée cutanée de type urticaire sur les membres supérieurs est mise en évidence à la fin de la première perfusion de métronidazole. Vu la confirmation de Norovirus dans les selles le 22.01.2020 et selon l'avis des infectiologues, les antibiotiques sont arrêtés. L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable, avec amélioration de la fonction rénale et baisse des marqueurs inflammatoires. Durant la surveillance aux Soins Intensifs, Mr. Y reste apyrétique. Il rentre à son domicile le 23.01.2020 avec une surveillance assurée par sa mère et des soins à domicile. Mr. Y est un patient de 84 ans qui nous est adressé pour une réhabilitation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y était hospitalisé à l'HFR Tavel pour des épigastralgies probablement d'origine mixte sur une ischémie mésentérique chronique, un syndrome du côlon irritable et une composante pancréatique. Mr. Y est connu pour une insuffisance artérielle chronique des membres inférieurs avec angioplastie des artères fémorales et tibiales. Sur le plan social, le patient habite seul dans un appartement en rez-de-chaussée. À son entrée à l'étage de gériatrie, Mr. Y se plaint de douleurs dans les mollets, déjà connues. Un bilan angiologique des membres inférieurs est réalisé, qui retrouve une artériopathie des membres inférieurs avec une atteinte jambière de l'articulation du tibia antérieur des deux côtés ainsi qu'une atteinte externe droite avec une sténose à 50% en série, stable par rapport au contrôle de mai 2019. La pléthysmographie est au-dessus du seuil d'ischémie critique. Un reconditionnement, un entraînement à la marche et un bon contrôle des facteurs de risques cardiovasculaires sont recommandés ainsi qu'un contrôle angiologique dans 4 mois. Durant le séjour, Mr. Y présente une hyponatrémie légère, raison pour laquelle nous stoppons l'Esidrex et nous introduisons le Bisoprolol afin de réguler le profil tensionnel. Concernant l'anémie, le bilan biologique retrouve une absence de carence en fer et une TSH dans les normes. Une carence en folates et en vitamine B12 est mise en évidence pour lesquelles nous introduisons une substitution par voie orale. L'hémoglobine reste stable durant son séjour. Mr. Y, connu pour des troubles anxio-dépressifs et traité par Fluoxétine, exprime une certaine anxiété ainsi que des troubles du sommeil durant son hospitalisation. Nous décidons alors de stopper son traitement antidépresseur de Fluoxétine pour mettre à la place un traitement par Mirtazapine 15 mg qu'il faudra majorer à 30 mg selon sa tolérance. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie de séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 150 mètres, peut gravir 18 marches et est autonome pour les soins. Sa mesure d’indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 104/126 par rapport à 96/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 15 secondes. Sur le plan diététique, un bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec des besoins accrus démontrés par un NRS à 5/7 et un BMI à 16.5 kg/m². Une alimentation enrichie et fractionnée avec 2 SNO/jour est mise en place et Mr. Y bénéficie également d'un enseignement nutritionnel avec comme thème le rythme des repas, la qualité et la quantité des repas avec les SNO. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués montrent un MMS à 28/30 et un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 0/15. Le 06.01.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 2x/semaine pour les signes vitaux, 1x/semaine pour le semainier et 2x/jour pour les contrôles. Mr. Y, 85 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique dans le cadre d'un accident ischémique transitoire. Le patient, connu pour une hypertension artérielle, un diabète de type II non insulino-requérant et pour une consommation d'alcool, se présente aux urgences pour des vertiges de type tangage, une dysarthrie, une ptose labiale droite et une dysmétrie apparues après sa sieste. Les symptômes auraient duré environ une heure. Le scanner réalisé aux urgences ne montre pas de lésion ischémique ni hémorragique. Une IRM cérébrale réalisée le 24.01 n'a pas mis en évidence de lésion ischémique aiguë ni de saignement intracrânien mais avec présence d'une minime lésion ischémique séquellaire corticale du lobule pariétal supérieur à droite. Le bilan est complété par une échocardiographie transthoracique retrouvant essentiellement une oreillette gauche discrètement dilatée. Une tendance à la bradycardie asymptomatique à 45-50 accompagnée d'extrasystoles ventriculaires est empiriquement traitée par une substitution de magnésium, avec maintien de son traitement habituel d'aténolol. Nous vous laissons le soin de suivre les électrolytes et d'adapter le traitement si besoin. Un complément par Holter est demandé. Le traitement antihypertenseur est adapté durant le séjour, avec introduction du lisinopril. Par ailleurs, une insuffisance rénale d'origine rénale reste stable. Un suivi biologique est recommandé. L'évolution neurologique est sans complications, avec un NIHSS à 0 à la sortie. Mr. Y est transféré le 25.01.2020 à l'étage de médecine interne. Mr. Y, 85 ans, est admis pour une surveillance neurologique dans le cadre d'un accident ischémique transitoire. Le patient, connu pour une hypertension artérielle, un diabète de type II non insulino-requérant et pour une consommation d'alcool, se présente aux urgences le 23.01.2020 pour des vertiges de type tangage, une dysarthrie, une ptose labiale droite et une dysmétrie apparues après sa sieste. Les symptômes auraient duré environ une heure.Le scanner réalisé aux urgences ne montre pas de lésion ischémique ni hémorragique. Une IRM cérébrale réalisée le 24.01 n'a pas mis en évidence des lésions ischémiques aiguës ni de saignement intracrânien, mais montre la présence d'une minime lésion ischémique séquellaire corticale du lobule pariétal supérieur à droite. Le bilan est complété par une échocardiographie transthoracique retrouvant essentiellement une oreillette gauche discrètement dilatée. Une tendance à la bradycardie asymptomatique à 45-50 accompagnée d'extrasystoles ventriculaires est empiriquement traitée par une substitution de magnésium, avec reprise de son traitement habituel d'aténolol. Un bilan biologique ne montre pas de troubles électrolytiques. Un complément par Holter est demandé et les résultats seront à pister. Le traitement antihypertenseur est adapté sur le séjour, avec introduction de Lisinopril. Un ultrasonographie de vaisseaux précérébraux ne montre pas de sténoses significatives. Par ailleurs, une insuffisance rénale d'origine rénale reste stable. Un suivi biologique est recommandé. L'évolution neurologique est sans complications, avec un NIHSS à 0 à la sortie. En raison d'une amélioration sur le plan clinique ainsi que biologique, le patient quitte notre service et rentre à domicile le 29.01.2020. À noter que les résultats de l'Holter restent à pister. Mr. Y, 80 ans, est connu pour un syndrome coronarien aigu le 06.11.2019 et un NSTEMI le 03.12.2019 avec pose de deux stents sur l'artère inter-ventriculaire antérieure et sur l'artère coronaire droite proximale. La prise en charge endovasculaire d'une sténose à > 50 % de l'artère coronaire droite moyenne a échoué à deux reprises. Il se présente aux urgences le 23.12.2019 pour des douleurs thoraciques typiques ne cédant pas après la prise de deux comprimés de nitroglycérine. L'ECG et le dosage des troponines réalisés aux urgences posent le diagnostic de NSTEMI. Il est transféré le jour même dans le service de médecine interne. Durant l'hospitalisation, un nouvel épisode de douleurs rétro-sternales avec sous-décalage dans le territoire latéral parle en faveur d'un nouvel épisode de NSTEMI durant l'hospitalisation. Les douleurs thoraciques ressenties par le patient évoluent favorablement avec une adaptation de la médication. Le Deponit patch est majoré à 15 mg et posé sur la journée pour favoriser la mobilisation du patient. Un traitement par Dancor est introduit pour la nuit. Une coronarographie avec un Rotablator sera organisée de manière élective chez le Dr. X. Une anémie hypochrome normocytaire ferriprive est également retrouvée au laboratoire, pour laquelle une dose de Fer Inject 1000 mg est donnée le 30.12.2019. La présence de sang dans les selles n'a malheureusement pas pu être effectuée, mais une origine spoliative est suspectée et nous vous proposons d'organiser une colonoscopie en ambulatoire selon évolution clinique. Le patient rentre à domicile le 31.12.2019. Mr. Y, patient de 55 ans, est hospitalisé de manière élective le 27.01.2019 pour une cure de hernie ombilicale avec filet par laparoscopie, opéré par le Dr. X. L'opération a eu lieu le jour même et s'est déroulée sans particularité. L'évolution clinique est tout à fait favorable, permettant un retour à domicile le 29.01.2020. Nous suggérons un contrôle clinique avec ablation des fils dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X, le 10.03.2200 pour un contrôle post-opératoire. Mr. Y, 75 ans, est hospitalisé pour une exacerbation de BPCO stade IIID. Le patient rapporte une fatigue progressive depuis sa sortie de l'hôpital en décembre 2019, avec une augmentation de la purulence des expectorations et une désaturation à 88 %. Il mentionne une chute mécanique de sa hauteur le 09.01.2020, sans traumatisme crânien, avec un contrôle par le médecin de garde qui a retenu des contusions para-lombaires droite et gauche. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire, sans hypoxie ni hypercapnie, avec à la radiographie du thorax, une perte de la transparence pulmonaire aux apex bilatéraux, possiblement compatible avec une surinfection. Au vu d'une récente hospitalisation, d'un VEMS à 30 % du prédit en 2016 et de bronchectasies radiologiques, une antibiothérapie par Cefepime est débutée pour une semaine, couplée à une corticothérapie et à une majoration des bronchodilatateurs. L'évolution est favorable, permettant un sevrage progressif des aérosols. Un suivi pneumologique aura lieu en février pour un test de marche, les fonctions pulmonaires ainsi qu'une polygraphie. Une récidive d'hématurie macroscopique est objectivée dans le contexte de suspicion d'un carcinome urothélial. Des rinçages de la sonde ont été effectués, avec une bonne amélioration. En raison d'une récidive de saignement le 21.01.2020 et l'introduction d'une anticoagulation thérapeutique, une sonde à 3 voies est posée pour des rinçages continus. Une cystoscopie diagnostique avec biopsie est réalisée le 27.01.2020 par le Dr. X, avec TUR-B et TUR-P. Mr. Y sera convoqué rapidement par le Dr. X pour la suite de la prise en charge. Le patient présente une asymétrie des membres inférieurs motivant un ultrason du membre inférieur droit, mettant en évidence une thrombose veineuse profonde fémorale proximale et distale droite secondaire le 21.01.2020. Un traitement de Clexane thérapeutique est introduit en lien avec la biopsie vésicale. Nous proposons de changer l'anticoagulation pour du Xarelto à quelques jours de la biopsie, à poursuivre pour une durée minimale de 3 mois, voire plus vu le contexte oncologique. Une radiographie lombaire réalisée le 22.01.2020 en raison d'une douleur lombaire intermittente au niveau paravertébral et L5 suite à une chute de sa hauteur à domicile le 13.01.2020 révèle des tassements vertébraux D12 et L2. Vu que la douleur n'est pas située à ce niveau, nous considérons que les lésions sont asymptomatiques et nous ne réalisons pas d'autres investigations. Une réhabilitation gériatrique à l'HFR Riaz est prévue, avec un transfert le 28.01.2020. Mr. Y est un patient de 56 ans, récemment diagnostiqué d'un carcinome épidermoïde de l'amygdale gauche avec extension vers le voile du palais gauche avec une proposition de radio-chimiothérapie définitive. Il est hospitalisé pour la mise en place d'une PEG préventive pré-chimiothérapie. L'opération se déroule le 23.01.2020 sans complication permettant un retour à domicile le 24.01.2020. Il bénéficiera d'un suivi par les soins à domicile pour soins de la PEG. Mr. Y, 81 ans, est hospitalisé en raison d'une décompensation cardiaque gauche sur exacerbation de BPCO. Le patient présente une dyspnée en progression depuis la veille, accompagnée d'une toux avec expectorations jaunâtres. Il rapporte également des douleurs thoraciques à l'effort, ainsi qu'une dyspnée paroxystique nocturne, une orthopnée et une nycturie. Le bilan biologique ne montre pas de mouvement enzymatique cardiaque. Les examens paracliniques permettent de retenir le diagnostic de décompensation cardiaque gauche sur exacerbation de BPCO. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est administrée aux urgences, et non poursuivie devant l'absence d'indication claire. Une intensification du traitement diurétique et du traitement bronchodilatateur permet une évolution clinique rapidement favorable. Mr. Y rentre à domicile le 29.01.2020, avec une réactivation des soins à domicile. Mr. Y est hospitalisé pour première chimiothérapie (Cisplatine/5-FU) définitive d'un cancer de l'œsophage diagnostiqué en novembre 2019. Le patient se présente à l'admission avec une dysphagie majeure préjudiciant la prise alimentaire. Nous mettons en place une nutrition par sonde naso-gastrique, qui est bien tolérée par le patient et qui ne contre-indique pas les traitements de radiothérapie prévus. Une PEG pourrait être discutée à l'avenir selon nécessité. À noter qu'au vu de l'anatomie, une mise en place endoscopique ne serait pas possible. Un abord chirurgical est possible, cependant.Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.01.2020 avec la suite de la prise en charge oncologique ambulatoire et de la radiothérapie au décours. Mr. Y est un patient de 67 ans, connu pour une FA chronique sous sintrom, qui consulte les urgences de notre hôpital le 18.01.2020 à la suite d'une chute par glissade sur une plaque de verglas avec traumatisme crânien et amnésie circonstancielle. Le bilan scannographique d'entrée révèle des hémorragies sous-arachnoïdiennes bi-frontales associées à des contusions parenchymateuses bi-frontales. Le patient est hospitalisé en chirurgie générale pour surveillance neurologique et suite de prise en charge. Le traitement par sintrom est mis en suspens dès le 18.01.2020. Nous effectuons un contrôle scannographique à 24 h qui révèle une augmentation en taille des HSA principalement à droite avec oedème péri-lésionnel sans péjoration à l'évaluation clinique. Un nouveau contrôle scannographique le 20.01.2020 permet de confirmer la stabilité des lésions avec un contrôle biologique normalisé et un INR à 1.1 le même jour. Une évaluation neuropsychologique réalisée le 23.01.2020 ne révèle pas de contre-indication pour un retour à domicile. Un dernier contrôle cérébral est effectué par CT le 24.01.2020 mettant en évidence une stabilité de l'hémorragie parenchymateuse et sous-arachnoïdienne. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 25.01.2020. Dans le contexte des lésions hémorragiques, nous préconisions une mise en suspens du traitement par sintrom ainsi qu'une abstinence de conduite automobile pour une durée de 4 semaines jusqu'au contrôle scannographique et clinique prévu à la consultation de neurochirurgie. Mr. Y est un patient de 65 ans, notamment connu pour une schizophrénie traitée, vivant au Foyer Horizon Sud, qui a récemment bénéficié d'un traitement oral de spironolactone semblant avoir induit une gynécomastie bilatérale. Malgré l'arrêt du traitement, la gynécomastie persiste et un ultrason effectué le 13.11.2019 confirme le diagnostic et le patient est alors adressé à la consultation du Dr. X. À l'examen clinique, présence d'une gynécomastie bilatérale prédominant à droite où elle est de surcroît douloureuse. À droite, elle mesure environ 4x4 cm en rétro-aréolaire, à gauche, elle est plus près de 1x1 cm. Après discussion avec le patient et les éducateurs du foyer, une gynécomastectomie bilatérale est proposée. L'intervention se déroule sans complication le 21.01.2020. Un saignement souillant les pansements par Jelonet et Mepore Pro dans le post-opératoire nécessite une réfection à J1. Sinon, les suites post-opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie, et le patient peut retourner à domicile le 22.01.2020. Il sera revu en policlinique de chirurgie le 23.01.2020 pour la réfection des pansements, puis le 30.01.2020 pour suivi clinique et ablation des fils. Mr. Y, patient de 67 ans connu pour 2 AIT en 2010 et 2015 dans un contexte de subocclusion carotidienne D, un s/p endartériectomie de la carotide interne G et une maladie coronarienne tritronculaire, est hospitalisé dans un contexte de probable ischémie rétinienne droite. Pour rappel, vous nous l'adressez en raison d'une faiblesse généralisée mal systématisée avec apparition d'un voile noir devant l'œil droit d'une durée de 5-20 minutes. Aux urgences, le statut neurologique est dans les normes. Le CT cérébral ne montre pas de lésion ischémique récente et un statut vasculaire superposable à l'examen du 26 août 2015, avec une subocclusion chronique inchangée de l'artère carotide interne droite et une sténose significative du départ de l'artère vertébrale droite inchangée. L'IRM cérébrale ne montre pas de lésions ischémiques aiguës. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une charge en Aspirine et Atorvastatine. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre un ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie minime du septum moyen et de la paroi postérieure avec bonne FEVG et absence d'anomalie structurelle. En raison d'une vitesse de sédimentation à 66 à votre consultation, nous réalisons un bilan angiologique et ophtalmologique qui ne retrouvent pas de lésions en faveur d'un Horton. Le patient ne présentant pas de symptomatologie typique hormis une asthénie liée à sa récidive de carcinome prostatique selon lui et la VS étant à la baisse, nous ne retenons pas ce diagnostic. Sur le plan médicamenteux, une double anti-agrégation est introduite par Plavix 75 mg/j et Aspirine 100 mg/j pour une durée de 14 jours avec poursuite du Plavix uniquement par la suite. Un traitement d'Atorvastatine 80 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Concernant la subocclusion chronique de l'artère carotidienne interne, en raison de l'absence de symptomatologie dans les 6 derniers mois, de l'absence de lésion aiguë ou chronique à l'IRM et d'embolisation asymptomatique au Duplex transcrânien, une attitude conservatrice est décidée. Le patient sera toutefois convoqué en ophtalmologie pour une angiographie afin d'évaluer la perfusion rétinienne et son cas sera discuté en fonction au colloque pluridisciplinaire de la chirurgie vasculaire. Du point de vue rénal, le patient est connu pour une insuffisance rénale chronique. En raison de l'injection de produit de contraste, nous préconisons un contrôle de la créatinine en début de semaine prochaine. Dans ce contexte, la Metformine est suspendue et est à reprendre selon l'évolution de la fonction rénale. À noter également un nodule thyroïdien de découverte fortuite au CT. Le bilan thyroïdien est dans les normes. Une consultation en endocrinologie avec US thyroïdien est prévue en ambulatoire. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 14 jours. Une consultation neurovasculaire de contrôle avec examen neurosonologique est prévue le 28.02.2020 chez le Dr. X. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie dans les normes. Mr. Y peut regagner son domicile le 31.01.2020. Mr. Y, 67 ans, a été admis en unité stroke monitorée pour probable AIT avec amaurose fugace. Connu pour des AIT en 2010 et 2015, le patient a été adressé le 27.01.2020 aux urgences par son médecin traitant pour une faiblesse généralisée mal systématisée avec un voile noir devant l'œil droit durant 5-20 minutes avec une régression spontanée. Le statut neurologique à son arrivée est normal. Le bilan radiologique aux urgences a mis en évidence une sub-occlusion de la carotide droite superposable à celle décrite sur une imagerie de 2015 faisant suspecter un AIT comme cause des symptômes visuels. Une charge d'aspirine a été administrée. Un bilan angiologique confirme la sub-occlusion de l'artère carotide droite et de la vertébrale droite. Une IRM cérébrale est prévue. Nous impliquons nos collègues de la chirurgie vasculaire quant à la possibilité d'une sanction chirurgicale. On ne note aucun trouble hémodynamique durant la surveillance monitorée. L'échocardiographie n'a pas identifié de source cardio-embolique. Il n'y a pas de récidive de symptômes.Au vu d'une vitesse de sédimentation décrite au-dessus de la norme chez le médecin traitant, et une asthénie que le patient met cependant sur la récidive de sa néoplasie prostatique, nous envisageons le diagnostic différentiel d'une maladie de Horton. Le bilan angiologique ne retrouve pas de signe de halo sur les artères temporale ou sous-claviaires. Un bilan ophtalmologique ne montre pas d'occlusion vasculaire ni de signes cliniques de maladie de Horton et devra être répété à deux semaines. Un contrôle de la vitesse de sédimentation montre une diminution de la moitié de la valeur décrite en ambulatoire. Ces éléments nous font plutôt écarter le diagnostic d'artérite. L'anémie normochrome normocytaire est associée à une carence en acide folique que nous substituons. Le patient a été transféré le 29.01.2020 en unité stroke non monitorée. Mr. Y est un patient de 33 ans, requérant d'asile d'origine iranienne en Suisse depuis mai 2019 environ. Il est connu pour un état dépressif sous Floxyfral et Rispéridone, et est hospitalisé le 03.01.2020 dans le cadre d'un état fébrile d'origine indéterminée. Le patient avait été hospitalisé du 25.10 au 01.11.2019 pour un épisode similaire avec investigations multiples ne retrouvant pas de cause claire. Il a été vu en rhumatologie le 13.12.2019 où le diagnostic de maladie auto-inflammatoire périodique était suspecté. A son arrivée aux urgences, le patient rapporte une fièvre depuis 48 heures mesurée jusqu'à 39.5°C, avec par la suite des céphalées frontales bilatérales, ainsi qu'une toux légèrement productive avec expectorations jaunâtres depuis 2 jours. Il décrit simultanément des polyarthralgies migrantes, prédominantes dans les genoux et les poignets, accompagnées de myalgies principalement au niveau lombaire et des cuisses. L'anamnèse systémique retrouve de légères douleurs abdominales, de type crampiforme, sans nausée ni vomissement, et une légère sécheresse buccale. Il ne présente pas d'atteinte cutanée initialement. Un contage est présent avec 2 personnes malades dans le foyer de la Poya. L'examen clinique initial retrouve un patient fébrile avec un fond de gorge légèrement érythémateux, sans adénopathie cervicale associée. Il ne présente pas de synovite ou limitation articulaire. Une tache lie de vin est présente au niveau occipital bas. Le bilan biologique retrouve initialement une CRP à 31 mg/l sans leucocytose. L'épisode fébrile ressemblant fortement à celui d'octobre 2019, sans critère de gravité ni signe infectieux, le bilan d'entrée n'est pas élargi et le patient est hospitalisé. Il bénéficie d'un traitement par prednisone 20 mg 1x/j pour 4 jours et colchicine 1 mg 1x/j comme traitement de fond. La fièvre dure au total 72 heures et un exanthème maculaire apparaît au niveau du dos, des bras et des jambes, durant environ 24 heures, avec léger prurit associé. Dans le cadre du traitement de colchicine, le patient rapporte des diarrhées ainsi que des douleurs abdominales avec ballonnements. La dose est diminuée de moitié, mais les symptômes restant présents, le traitement est stoppé. La situation de Mr. Y est fortement suggestive d'un syndrome auto-inflammatoire de type fièvre méditerranéenne et une consultation génétique est déjà prévue le 27.02.2020. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 08.01.2020. Si un épisode fébrile devait se reproduire, le patient devrait contacter le secrétariat de rhumatologie au 026 306 19 00 afin d'être revu en consultation. Mr. Y est transféré des soins intensifs le 07.12.2019 pour les suites de la prise en charge d'une insuffisance rénale aiguë d'origine rénale. Le patient présente le 01.12.2019 une toux, des myalgies et des céphalées ainsi que des diarrhées. Durant la nuit du 02.12.2019, il fait une chute sur faiblesse musculaire, et reste au sol pendant 2 heures. Nous diagnostiquons une myosite, avec une tétraparésie proximale et axiale à prédominance gauche confirmée par un ENMG. Un frottis de grippe et recherche HIV reviennent négatifs ainsi que la recherche d'une cause auto-immune qui revient négative (électrophorèse des protéines, immunofixation, cryoglobulines, C3, C4, ANA, ANCA, Antistreptolysines, Aldolase, antiphospholipides). Au vu de l'évolution rapidement favorable spontanément, d'un point de vue clinique que paraclinique (ENMG de contrôle le 10.01.2020), une origine para-infectieuse virale est la plus probable. Un suivi neurologique est prévu en ambulatoire avec ENMG de contrôle. L'insuffisance rénale aiguë stade AKIN 3 avec nécrose tubulaire aiguë est d'origine mixte, rénale sur la rhabdomyolyse avec une composante pré-rénale sur les diarrhées. L'évolution est initialement défavorable avec apparition d'une anurie, acidose métabolique, et surcharge pulmonaire. Une HDFVVC au citrate est débutée le 03.12.2019 avec un relais par dialyse intermittente dès le 07.12.2019. La dialyse est arrêtée le 28.12.2019 en raison d'une amélioration de la fonction rénale et d'une reprise des diurèses. Une biopsie rénale est effectuée le 17.12.2019 dans le cadre de l'insuffisance rénale, montrant une masse rénale non visualisée lors du premier ultrason rénal. La biopsie se révèle compatible avec un carcinome rénal à cellule claire. Le bilan est complété avec un CT thoracique et une IRM abdominale. Une scintigraphie rénale gauche montre une légère asymétrie de la fonction rénale en défaveur du côté gauche et le PET Scan montre une faible captation au niveau de la lésion tumorale rénale gauche connue, un foyer hypercaptant au niveau du côlon descendant, un épanchement pleural droit légèrement hypercaptant, d'origine très probablement inflammatoire. Mr. Y est présenté au Tumorboard d'urologie le 09.01.2019 où il est décidé de procéder à une néphrectomie partielle dès que possible. Un suivi ambulatoire est organisé afin de planifier l'intervention. Concernant le foyer hypercaptant au côlon descendant, une coloscopie reste à organiser en ambulatoire pour exclure un foyer tumoral. Un sevrage alcoolique est traité par Seresta avec une bonne évolution sans complication et une substitution par thiamine est instaurée. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y bénéficie d'une nutrition par sonde nasogastrique adaptée à l'insuffisance rénale, en raison d'un apport journalier très insuffisant. Celle-ci peut être retirée grâce à la bonne évolution clinique et biologique. Dans le décours, le patient présente un érythème maculaire à prédominance des membres supérieurs et sur les flancs attribué à l'introduction d'antibiotiques (une dose de Vancomycine et Tavanic le 13.12.2019). L'évolution est spontanément favorable. En raison d'un œdème du membre supérieur gauche apparu durant l'hospitalisation, nos collègues angiologues effectuent un ultrason ne mettant pas en évidence de thrombose ou de lésion vasculaire. Lors de l'hospitalisation, le patient remarque une amélioration suite à un massage au niveau scapulaire gauche. Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état général le 11.01.2020. Mr. Y est hospitalisé pour une décompensation diabétique hyperosmolaire dans un contexte de diabète de type II insulino-requérant secondaire à une pancréatite chronique alcoolique. Nous n'avons pas d'argument pour une origine infectieuse à la décompensation diabétique qui est mise sur le compte d'une compliance insuffisante. Le patient bénéficie d'une insulinothérapie, d'une hydratation et d'une substitution en potassium. Le patient sera revu en diabétologie le 06.02.2020. En consultation podologique, nous objectivons un ulcère sous l'hyperkératose au niveau de la tête du Vème métatarse du pied gauche sans atteinte osseuse. Nous réséquons l'hyperkératose, prélevons l'écoulement dont la culture reviendra positive pour un Staphylococcus epidermidis, refaisons le pansement et donnons des chaussures Darco au patient. Nous n'effectuons pas de radiographie ni n'introduisons d'antibiothérapie d'emblée. Le patient refusant les soins à domicile, il changera lui-même son pansement 3x/semaine. Le patient sera revu en podologie le 04.02.2020.Concernant la suspicion de syndrome douloureux régional complexe au pied droit (DD: pseudarthrose), nous introduisons de la Prégabaline 25 mg 2x/jour et du Tramal retard 50 mg 2x/jour. Le patient sera revu en orthopédie le 03.02.2020 et au centre de la douleur le 02.04.2020. Le patient présente également un état dépressif avec des troubles du sommeil. Nous stoppons l'Escitalopram et le Trittico qui ont été introduits en octobre 2019 mais qui n'ont pas amélioré la symptomatologie. Nous augmentons le Remeron à 45 mg 1x/jour et poursuivons l'Imovane 7.5 mg 1x/jour. Un suivi psychiatrique est refusé par le patient. Mr. Y se présente aux urgences suite à une chute d'une échelle d'une hauteur de 3 mètres. La radiographie de la colonne lombaire montre une diminution d'hauteur L2-L4. Nous complétons le bilan par un CT de la colonne lombaire qui ne révèle pas de fracture. Le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve par Dafalgan, Brufen et Tramal avec un contrôle chez le médecin traitant. Mr. Y est admis pour une coronarographie élective dans un contexte d'ergométrie pathologique chez un patient très sportif ayant bénéficié d'angioplastie de 2 branches coronariennes en 2016. L'examen invasif du jour démontre un excellent résultat dans les stents, mais une subocclusion de l'IVA proximale nouvelle. Selon entente avec Mr. Y, angioplastie de cette lésion avec mise en place d'un nouveau stent actif et un bon résultat immédiat. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 10.01.2020 en bon état général. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de dyspnée lentement progressive depuis plusieurs mois. Un bilan organisé chez le cardiologue traitant (Dr. X) met en évidence une hypertension artérielle pulmonaire à 74 mmHg. Une désaturation lors de la consultation motive son admission. Hormis la dyspnée, l'anamnèse est non contributive et le statut est non révélant. L'origine de l'hypertension pulmonaire est probablement mixte : sur emphysème pulmonaire sévère et sténose mitrale modérée à sévère. Un CT thoracique non injecté montre un emphysème centro-lobulaire important sans masse, le tronc pulmonaire est dans les limites supérieures de la norme. Une scintigraphie pulmonaire confirme l'absence d'embolie pulmonaire récente, relevant toutefois des signes indirects de l'hypertension pulmonaire. Le bilan est complété par des fonctions pulmonaires ne mettant pas en évidence de trouble ventilatoire, mais un trouble de la diffusion important. Une polygraphie confirme un syndrome des apnées du sommeil léger pour lequel un appareillage est à rediscuter en ambulatoire. Au vu de l'âge du patient, nous ne retenons pas l'indication à la réalisation d'un cathétérisme gauche-droit. Une oxygénothérapie à domicile au long cours est mise en place à la sortie. Lors du séjour, le patient bénéficie d'une optimisation de son traitement par bétabloquant ainsi que diurétiques. Un suivi chez son cardiologue traitant est organisé à la sortie. Mr. Y rentre à domicile le 08.01.2020. Mr. Y est hospitalisé le 04.01.2020 en raison de troubles du comportement nouveaux avec hétéro-agressivité verbale et attitude menaçante envers sa compagne ainsi qu'une désorientation dans l'espace. A l'hétéro-anamnèse, la compagne du patient relate un fléchissement cognitif progressif depuis le mois de décembre, avec un inversement du rythme éveil-sommeil et des actions et propos incohérents. Le patient aurait renversé les tiroirs des armoires à domicile, enlevé tous les tableaux accrochés dans la maison pour les donner à des connaissances, et aurait tendance à déambuler la nuit. A l'admission aux urgences, des mesures physiques et médicamenteuses de contention ont été nécessaires pour améliorer la situation. Au bilan somatique, un CT cérébral effectué ne révèle pas d'hémorragie, de masse ou de signe ischémique. Un fécalome est mis en évidence et une suspicion d'infection urinaire est émise devant les sédiments contenant des leucocytes et des nitrites, qui n'est pas retenue après le résultat stérile de l'urotube. Devant ce tableau d'agitation, l'avis neuropsychologique retient des difficultés exécutives, praxiques, gnosiques et de mémoire. L'avis psychiatrique penche vers des troubles mentaux et du comportement avec délirium et trouble psychotique. Une hospitalisation en milieu adéquat est indiquée, raison de son transfert en psychogériatrie au RFSM CSH Marsens. A noter des œdèmes des membres inférieurs déjà connus auparavant et qui sont majorés durant son hospitalisation, les causes fréquentes ont été exclues au bilan biologique. L'examen angiologique montre plutôt une insuffisance veineuse profonde bilatérale, qui nécessite le port de bandes élastiques. Mr. Y est donc transféré au RFSM CSH Marsens le 15.01.2020. Mr. Y est un patient de 85 ans qui a été hospitalisé du 29.11.2019 au 11.12.2019 dans le service de médecine de l'Hôpital de Fribourg en raison d'un choc septique d'origine indéterminée, accompagné d'une décompensation cardiaque globale sur cœur pulmonaire chronique. Sur le plan social, Mr. Y vit à domicile, en maison, avec son épouse. A son arrivée en gériatrie, Mr. Y est hémodynamiquement stable. Sur le plan cardiaque, une nouvelle prise pondérale d'environ 2 kg accompagnée des signes de surcharge motive l'augmentation du traitement diurétique par Torasémide avec une bonne réponse. Le poids à la sortie est de 102 kg. Sur le plan rythmique, nous constatons une fréquence stable autour de 75 bpm et nous poursuivons le traitement antiarythmique par Amiodarone, instauré lors de sa dernière hospitalisation en médecine interne. Au vu d'un score de CHA2-DS2-VASc à 5 points, nous poursuivons l'anticoagulation par Sintrom. Sur le plan rénal, nous constatons une créatinine à la baisse qui reste autour des valeurs habituelles, avec une diurèse préservée. La valeur à la sortie est de 271 umol/l. Sur le plan urologique, une sonde urinaire posée le 02.12.2019 suite à une globe urinaire a été retirée le 16.12.2019, sans complications. À noter que le patient reste sous un traitement par Tamsulosine et un contrôle urologique est proposé à distance. Pendant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation en charge complète. A la sortie, son périmètre de marche avec une canne est de 100 mètres et il peut gravir 18 marches à l'aide d'une rampe et de sa canne. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 82/126 par rapport à 69/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 5/7 et escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 13.52 secondes. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Les tests de la cognition réalisés le 13.12.2019 montrent un MMSE à 22/30, un test de la montre à 1/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. L'évaluation des troubles neurocognitifs est complétée par un bilan neuropsychologique le 19.12.2019 qui montre des troubles cognitifs d'origine vasculaire, péjorés par l'épisode aigu.Le 20.12.2019, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : • 1x/semaine pour l'évaluation, • 2x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, • 2x/semaine pour un contrôle/conseil. Mr. Y nous est transféré des soins intensifs de l'HFR Fribourg le 04.01.2020 où il a été hospitalisé du 02 au 04.01.2020 en raison d'une insuffisance rénale aiguë oligurique AKIN III d'origine prérénale. Sur le plan de la fonction rénale, le patient retrouve ses valeurs de créatinines habituelles. Cependant, en raison de la mise en pause du traitement diurétique néphrotoxique, le patient présente des signes de surcharge volémique avec œdèmes des membres inférieurs sans répercussion sur le plan respiratoire. Les diurétiques sont repris prudemment avec équilibrage volémique et stabilité de la fonction rénale par la suite. Le patient présente une acidose métabolique et une hyperphosphatémie dans le contexte de l'insuffisance rénale qui se corrige suite à l'introduction de l'acétate de calcium et Néphrotrans. Nous vous proposons un contrôle et une réévaluation des traitements à votre consultation dans une semaine. Au vu de sa bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 14.01.2020. À noter un bilan phosphocalcique à pister, avec PTH qui va vous parvenir dans les meilleurs délais. Mr. Y, 85 ans, est hospitalisé aux soins intensifs en raison d'une insuffisance rénale aiguë oligurique AKIN III d'origine prérénale. Le patient, hospitalisé du 29.11. au 02.12.2019 aux soins intensifs pour un choc septique d'origine incertaine ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë oligurique d'origine pré- et post-rénale, est adressé aux urgences par son médecin traitant en raison d'une baisse de l'état général ainsi qu'une hypotension artérielle. Le bilan met en évidence une insuffisance rénale aiguë dans un contexte de néphropathie diabétique et hypertensive. Les diurétiques ainsi que les traitements néphrotoxiques sont mis en suspens. Une acidose métabolique compensée secondaire à cette néphropathie est traitée par une substitution en bicarbonate, à adapter selon l'évolution. Au vu d'un INR supra-thérapeutique, le Sintrom est mis en suspend et de la vitamine K est administrée. Une macrohématurie dans ce contexte cesse rapidement. L'anticoagulation thérapeutique par Sintrom est reprise le 04.01.2020 avec un contrôle de l'INR prévu le 07.01.2020. Le patient est transféré le 04.01.2020 en médecine interne à l'hôpital de Riaz pour suite de prise en charge. Mr. Y, 67 ans, est hospitalisé en raison d'un AVC ischémique pariéto-occipital droit constitué au niveau du territoire de l'artère cérébrale postérieure. Le patient présente initialement une diminution de la vision périphérique gauche, suivie de céphalées persistantes. À l'admission, le NIHSS est à 4 points, avec une hémianopsie homonyme à gauche et une ptose labiale à gauche. Le CT cérébral montre un AVC ischémique aigu constitué occipito-pariétale droit, sans asymétrie des cartes de perfusion ni occlusion du polygone de Willis. Selon avis neurologique, le traitement d'Aspirine est maintenu, et le Plavix est ajouté dans un second temps. La Simvastatine est relayée par de l'Atorvastatine avec une cible de LDL-cholestérol inférieure à 1.4 mmol/L. La surveillance neurologique en Stroke Unit, puis en Médecine interne se déroule sans complications, avec la persistance d'une hémianopsie homonyme gauche, et la régression presque complète de la ptose labiale gauche. Dans le cadre du bilan étiologique, une IRM cérébrale et un Holter sont organisés en ambulatoire. L'échocardiographie transthoracique montre uniquement une importante dilatation de l'aorte ascendante, que les cardiologues proposent de bilanter par un CT thoracique que nous vous laissons le soin d'organiser. Dans ce contexte, nous introduisons un traitement par bêta-bloquant, bien toléré. Le bilan neuropsychologique montre des troubles visuo-spatiaux, des difficultés de mémoire visuelle, une possible héminégligence gauche, et des difficultés d'attention sélective. Une évaluation en situation est effectuée par les ergothérapeutes, qui montre une bonne compensation des troubles précités pour les activités de la vie quotidienne. Mr. Y rentre à domicile le 30.01.2020. La suite du bilan étiologique de l'AVC, ainsi que les bilans neuropsychologique de contrôle et ophtalmologique sont organisés en ambulatoire. Le patient sera revu pour un contrôle neurologique dans 3 mois. Mr. Y consulte à la Permanence en raison d'otalgie depuis 2 jours. À l'examen clinique, nous mettons en évidence des otites moyennes aiguës bilatérales que nous traitons par amoxicilline 750 mg 3x/j. pour 5 jours. Le patient reçoit également un traitement antalgique et un arrêt de travail. Il est invité à reconsulter en cas d'absence d'amélioration des symptômes, de baisse de l'état général ou d'apparition de fièvre. Mr. Y est un patient de 73 ans qui nous est transféré de l'Inselspital de Berne pour suite de prise en charge d'une insuffisance rénale aiguë oligo-anurique KDIGO III probablement sur néphrite interstitielle immuno-allergique sur antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam. D'un point de vue néphrologique, la fonction rénale montre une amélioration au cours de l'hospitalisation. La Prednisone introduite à Berne est poursuivie, avec un schéma dégressif à partir du 02.02.2020 (diminuer de 10 mg tous les 3 jours jusqu'à une dose de 10 mg, puis réduire par étapes de 2.5 mg). Des troubles électrolytiques (hypophosphatémie, hypomagnésémie et hypokaliémie) sont mis sur le compte d'une perte tubulaire d'électrolytes sans critères pour un syndrome de Fanconi. Une origine médicamenteuse dans le contexte de traitement par Prednisone est suspectée par l'équipe de néphrologie. Une stabilisation des électrolytes est possible par substitution orale et itérativement intraveineuse. Nous proposons de recontacter l'équipe de néphrologie en cas de persistance des troubles après l'arrêt de la corticothérapie. Un hyperparathyroïdisme secondaire est également mis en évidence. Un traitement de Rocaltrol est mis en place. Un contrôle de la PTH est effectué le 31.01.2020, la valeur se monte à 84 ng/l. D'un point de vue neurologique, le patient présente un hémi-syndrome moteur avec parésie flasque du membre supérieur droit (M3) et inférieur droit (M2). Un ENMG met en évidence des signes compatibles avec une encéphalo-myélo-radiculite, compatible avec le diagnostic de méningo-encéphalite à tiques. Une IRM de la colonne totale (coupe sagittale et axiale) serait indiquée à but pronostique pour évaluer s'il y a une atteinte de la corne antérieure. Le patient ne souhaitant pas d'examens supplémentaires pour le moment, celle-ci pourrait être rediscutée par la suite. Un bilan neuropsychologique montre quelques difficultés exécutives, également compatibles avec le diagnostic de méningo-encéphalite à tiques. Le patient bénéficie d'une physiothérapie et d'une ergothérapie, il est transféré en neuroréhabilitation intensive à Meyriez. D'un point de vue hépatologique, la dose de Sirolimus est adaptée selon le taux et l'avis hépatologique de l'Inselspital. Il est indiqué de recontrôler le taux de Sirolimus le 31.01.2020 et d'en parler avec un chef de clinique d'hépatologie de l'Inselspital. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Mr. Y, 72 ans, a été hospitalisé le 10.11.2019 à l'Inselspital à Berne pour une méningo-encéphalite à tiques. Son séjour s'était compliqué d'une pneumonie nosocomiale, d'une crise tonico-clonique généralisée, ainsi que d'un état confusionnel hypoactif persistant. Des myoclonies arythmiques, non stéréotypées des membres supérieurs et de la tête ont été traitées par un antiépileptique malgré l'absence d'éléments épileptiformes sur les tracés EEG répétés. Le patient a été transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 03.12.2019, puis en médecine interne le 05.12.2019. L'état de conscience s'est nettement amélioré. Une hémiparésie droite M1 au membre inférieur et M3 au membre supérieur sont persistantes depuis son hospitalisation. Un état fébrile survenu le 18.12.2019 a été attribué à une infection urinaire avec colonisation par Pseudomonas aeruginosa et Enterococcus faecalis. Un traitement empirique de co-amoxicilline a été poursuivi par pipéracilline-tazobactam puis meropenem. Sur avis infectiologique, le traitement antibiotique a été stoppé et la sonde vésicale a été changée le 31.12.2019. Le 27.12.2019, le patient a présenté un oedème aigu du poumon. Il a été réadmis aux soins intensifs. Cette insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë a été attribuée à une décompensation cardiaque gauche avec une crise hypertensive et surcharge volémique. L'état clinique s'est amélioré sous ventilation non invasive, physiothérapie respiratoire, diurétiques et traitement anti-hypertenseur. Une acutisation KDIGO III de son insuffisance rénale chronique est d'origine vraisemblablement rénale avec une éosinophilurie dans un contexte de probable néphrite immuno-allergique secondaire à la pipéracilline-tazobactam, qui a été stoppée. Une échographie des voies urinaires a pu exclure une origine post-rénale. En raison de l'aggravation de la fonction rénale, il a été décidé de transférer le patient en néphrologie à l'Inselspital en vue d'une biopsie rénale et de discuter l'indication à une corticothérapie. Le traitement immunosuppresseur de sirolimus a été adapté selon les concentrations sériques et l'avis des hépatologues de l'Inselspital. En raison de l'insuffisance rénale aiguë, le traitement antiépileptique de Brivaracetam a été interrompu. Nous vous laissons le soin d'évaluer la nécessité de le poursuivre au vu de la disparition des myoclonies. La substitution thyroïdienne a été augmentée en raison d'une hypothyroïdie persistante et un contrôle sera à effectuer dans trois semaines. Des fractures-tassements en progression D11-12, L2, L4-5 nécessitent un bilan phospho-calcique et d'ostéoporose dès que possible, ainsi qu'une substitution en vitamine D3 et calcium, en particulier si une corticothérapie est débutée. L'avis d'un pneumologue est proposé afin de discuter deux protubérances intra-luminales de 9 mm dans la bronche souche droite et de 7 mm dans la bronche souche gauche, dont l'étiologie est indéterminée. Mr. Y a été transféré le 01.01.2020 à l'Inselspital à Berne pour une biopsie rénale. Mr. Y, 72 ans, a été réadmis aux soins intensifs en raison d'un oedème aigu du poumon plurifactoriel et d'une probable néphrite interstitielle immuno-allergique. Un état fébrile survenu le 18.12.2019 a été attribué à une infection urinaire avec colonisation par Pseudomonas aeruginosa et Enterococcus faecalis. Un traitement empirique de co-amoxicilline a été poursuivi par pipéracilline-tazobactam puis meropenem. Sur avis infectiologique, le traitement antibiotique a été stoppé et la sonde vésicale a été changée le 31.12.2019. Le 27.12.2019, le patient a présenté un oedème aigu du poumon. Il a été réadmis aux soins intensifs. Cette insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë est secondaire à une décompensation cardiaque gauche, une crise hypertensive et surcharge volémique. La fonction ventriculaire gauche est modérément diminuée (FE 40 %). L'état clinique s'est amélioré sous ventilation non-invasive, physiothérapie respiratoire, diurétiques et traitement anti-hypertenseur. Une aggravation rénale aiguë KDIGO III, d'origine rénale avec éosinophilurie, est apparue le 27.12.2019 et a été attribuée à une probable néphrite immuno-allergique sur pipéracilline-tazobactam, qui a été stoppée. Le meropenem a aussi été interrompu le 31.12.2019 afin d'éviter une réaction immuno-allergique croisée. Une échographie des voies urinaires a pu exclure une origine post-rénale. En cas d'aggravation de la fonction rénale, le patient sera transféré en néphrologie à l'Inselspital en vue d'une biopsie rénale et de discuter l'indication à une corticothérapie. Le traitement immunosuppresseur de sirolimus a été adapté selon les concentrations sériques et l'avis des hépatologues de l'Inselspital. En raison de l'insuffisance rénale aiguë, le traitement antiépileptique de Brivaracetam a été interrompu. Nous vous laissons le soin d'évaluer la nécessité de le poursuivre au vu de la disparition des myoclonies. La substitution thyroïdienne a été augmentée en raison d'une hypothyroïdie persistante et un contrôle sera à effectuer dans trois semaines. Des fractures-tassements en progression D11-12, L2, L4-5 nécessitent un bilan d'ostéoporose dès que possible, ainsi qu'une substitution en vitamine D3 et en calcium, en particulier si une corticothérapie est débutée. L'avis d'un pneumologue est proposé afin de discuter deux protubérances intra-luminales de 9 mm dans la bronche souche droite et de 7 mm dans la bronche souche gauche, dont l'étiologie est indéterminée. Mr. Y a été transféré le 31.12.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, âgé de 60 ans, est hospitalisé pour dermohypodermite du membre inférieur gauche sur un mal perforant plantaire. Le patient rapporte une rougeur et douleur pulsatile du pied gauche dans les suites d'un débridement pour mal perforant plantaire la veille. Le bilan d'entrée montre un syndrome inflammatoire biologique et le patient est hospitalisé pour antibiothérapie intraveineuse par co-amoxicilline. L'évolution clinique est favorable, permettant un relais per os de l'antibiothérapie pour une durée totale de 10 jours. Un bilan angiologique montre l'absence d'artériopathie. Un contrôle clinique est prévu en orthopédie le 20.01.2020. Mr. Y, patient de 65 ans, connu pour une maladie de Crohn stabilisée actuellement, se présente aux urgences de notre hôpital le 10.01.20 pour des douleurs épigastriques aiguës d'apparition subite. Le patient signale prendre un traitement par AINS depuis plusieurs mois en raison de douleurs situées à la base de la langue. Le bilan radiologique d'entrée met en évidence une perforation duodénale et l'indication opératoire est donnée. Le patient bénéficie d'une laparotomie exploratrice avec suture duodénale avec patch ligamentaire en urgence. L'intervention se déroule sans complication. Nous introduisons un traitement antibiotique et antifongique par céftriaxone, métronidazole et fluconazole du 10.01 au 17.01.2020.A noter, la mise en évidence le 10.01.2020 d'une lésion suspecte de la base de langue lors de l'intubation. Un avis ORL est demandé et une biopsie est effectuée le jour même. Le patient sera convoqué par nos collègues du service ORL pour communication des résultats histopathologiques et suite de prise en charge. Les suites post-opératoires sont lentement favorables avec une réalimentation bien tolérée permettant un retour à domicile le 19.01.2020. Dans le contexte de la lésion suspecte nouvellement diagnostiquée, nous proposons de compléter le bilan gastro-entérologique par une gastroscopie en ambulatoire. Nous prévoyons de revoir Mr. Y pour un contrôle post-opératoire le 17.02.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIB) pour une péjoration d'un hématome sous-dural avec péjoration de l'oedème périfocal. Le patient est hospitalisé du 16.01 au 24.01.2020 en chirurgie (HFR) pour un hématome sous-dural et des fractures multiples des membres supérieurs traité conservativement, dans les suites d'une chute de sa hauteur avec un contexte peu clair. Lors de sa réadaptation à Estavayer-le-Lac, il présente le 24.01 vers 18h, un épisode d'aphasie de 5 minutes, accompagné de céphalée pariétale gauche, raison pour laquelle il est adressé aux urgences de Fribourg. A son admission, Mr. Y ne présente pas de déficit neurologique. Le bilan scannographique montre une discrète augmentation de l'hématome sous-dural et de l'oedème périfocal. Un avis neurologique retrouve un status clinique rassurant, néanmoins une aphasie motrice légère, avec manque du mot et paraphrasie est mise en évidence. Les collègues neurochirurgiens à l'Inselspital ne retiennent pas d'indication à une intervention. Un scanner cérébral de suivi est recommandé dans 2 semaines, avec une reprise de l'anticoagulation prophylactique dès le 25.01.2020. Un bilan complémentaire est organisé (EEG, IRM cérébrale, bilan cardiaque). La surveillance clinique et neurologique est sans particularité. Le patient est transféré en médecine interne le 25.01.2020 après discussion avec les neurologues et les neurochirurgiens. Mr. Y est un patient de 71 ans qui s'est présenté aux urgences de l'Hôpital d'Yverdon-les-Bains suite à une chute mécanique de sa hauteur avec réception sur le visage au niveau frontal, avec perte de conscience d'environ 1 minute et une amnésie circonstancielle. La clinique et l'imagerie mettent en évidence un hématome sous-dural aigu et sous-arachnoïdien de la convexité gauche diffus sans déficit neurologique, ainsi que des fractures des membres supérieurs. Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg pour surveillance neurologique qui se déroule de manière simple et favorable. Un CT de contrôle est effectué le 23.01.2020, qui ne démontre pas d'augmentation significative des hématomes. Le patient peut être transféré en réadaptation à Estavayer le 24.01.2020. Il sera vu en contrôle neurochirurgical avec scanner préalable le 20.02.2020 à l'HFR, convoqué pour un contrôle en chirurgie maxillo-faciale à l'HFR et suivi en policlinique orthopédique à Yverdon. Mr. Y, 69 ans, a été transféré aux soins intensifs depuis les urgences de l'HIB Payerne pour une insuffisance rénale aiguë oligo-anurique d'origine pré-rénale hypovolémique. Le patient s'est plaint de pseudo-vertiges avec des chutes à domicile depuis quelque temps. La semaine du 15.01.2020, une des chutes s'est compliquée d'une fracture de l'humérus gauche traitée conservativement. Suite à la prescription de Tramadol pour l'antalgie 1 semaine avant son admission, le patient a développé des nausées et vomissements à répétition. Il est tombé à domicile le 23.01.2020 pendant la nuit, est resté au sol durant 4h ce qui a motivé sa consultation aux urgences à Payerne. Une insuffisance rénale aiguë oligo-anurique AKIN III d'origine pré-rénale a été constatée avec une créatinine à 736 umol/l, une hyperkaliémie sévère et une acidose métabolique mixte, rénale et lactique. L'hyperkaliémie et l'anurie ont nécessité une hémodiafiltration veino-veineuse continue qui a été effectuée aux soins intensifs à Fribourg. L'absence d'éosinophiles sériques et urinaires parle contre une néphrite interstitielle. L'hypothèse diagnostique étant une insuffisance pré-rénale sur la baisse de l'état général, l'absence d'hydratation spontanée et les vomissements à répétition. La fonction rénale est en voie de récupération avec une phase polyurique à 150-200 ml/h, à surveiller et compenser partiellement au cours des prochains jours. Une hypocalcémie sévère attribuée à l'insuffisance rénale aiguë et à une carence sévère en vitamine D a nécessité une substitution IV et orale. Un bilan complémentaire devra être envisagé selon l'évolution. Le syndrome inflammatoire constaté à l'admission est probablement plurifactoriel : une possible broncho-aspiration secondaire aux vomissements, des atélectasies, la fracture humérale gauche, une gastrite et leucocyturie. L'évolution spontanément favorable a motivé une surveillance clinique uniquement. Une anémie normochrome normocytaire est présente à l'admission dont le bilan sera à compléter selon l'évolution. Le patient a été transféré le 27.01.2020 aux soins intensifs de l'hôpital intercantonal de la Broye à Payerne. Mr. Y est hospitalisé pour un NSTEMI sur anémie. L'évolution est favorable après correction de l'anémie. Dans ce contexte, une coronarographie n'est pas réalisée. Concernant le bilan d'anémie, une OGD révèle une importante hernie hiatale qui pourrait constituer une source de saignement, et ce notamment sans un contexte d'antiagrégation plaquettaire et anticoagulation. L'anticoagulation par Rivaroxaban est changée pour de l'Apixaban en raison de son meilleur profil par rapport au saignement digestif. Une colonoscopie est réalisée mais peu interprétable au vu d'une mauvaise préparation. Nous proposons un nouvel examen si un doute persiste quant à un saignement digestif. Il est recommandé de traiter le patient avec 2 x 40 mg/j d'ésoméprazole pendant 2 mois puis 1x/j. En raison de la possible interaction avec le Clopidogrel, nous traitons avec Pantoprazol. Le patient bénéficie d'une injection de Ferinject ainsi que de transfusions durant son hospitalisation. L'hémoglobine est stable par la suite. Pendant l'hospitalisation, Mr. Y développe des douleurs à l'hypochondre droit pour lesquelles nous diagnostiquons une cholangite biliaire. Sous traitement antibiotique, l'état clinico-biologique s'améliore rapidement. Une cholécystectomie sera discutée en ambulatoire avec les chirurgiens à environ 6 semaines de l'événement infectieux. Une cholangio-IRM est effectuée et montre une lésion polypoïde au niveau du col de la vésicule biliaire compatible avec une métastase ainsi que de multiples lithiases biliaires. Du point de vue oncologique, ceci ne contre-indique pas une cholécystectomie à distance. Du point de vue oncologique, un rendez-vous ambulatoire est prévu pour poursuite de l'immunothérapie. À la suite de son hospitalisation, le patient décide de ne plus rentrer à domicile et demande une inscription en institution en raison des multiples comorbidités. Une place en foyer temporaire est trouvée et Mr. Y quitte l'hôpital le 14.01.2020.Mr. Y, 35 ans, est admis aux soins intensifs pour une thrombose veineuse cérébrale avec crises d'épilepsie. Suite à une méningo-encéphalite d'origine indéterminée, le patient présente des crises d'épilepsie réfractaires (manifestation clinique : élévation involontaire du membre supérieur droit) à raison de 10-15 crises par mois. Il est suivi par le Dr. X, neurologie HFR. Au décours d'une otite externe, il se présente aux urgences amené par ses parents en raison de céphalées et de 3 crises d'épilepsies tonico-cloniques inhabituelles. Le bilan aux urgences objective une thrombose du sinus sagittal supérieur avec extension au niveau du sinus transverse gauche. Nous débutons une anticoagulation thérapeutique par héparine et contrôlons les crises d'épilepsies par rivotril itératif sans nécessité d'adaptation du traitement de fond après avis neurologique. L'origine est possiblement un état pro-coagulant sur polyglobulie stable depuis 2011. L'hématologue préconise une recherche de polycytémie vera (dosage JAK2 V617F +/- exon 12) et dosage de l'érythropoïétine, qui sont actuellement en cours. Après discussion avec les parents et en raison de l'état général du patient pour qui l'hospitalisation est génératrice de stress important et de l'opposition involontaire à tout traitement, une attitude pragmatique globale est adoptée. Nous renonçons à pratiquer une saignée sous sédation et débutons une anticoagulation thérapeutique de manière off-label par rivaroxaban. Une consultation neurologique ambulatoire sera prise à la consultation du Dr. X par la mère du patient dès la semaine prochaine. Les parents sont informés des signes de gravité nécessitant une nouvelle consultation en urgence. Il n'existe par ailleurs pas d'interaction médicamenteuse connue entre le traitement anticoagulant et les anti-épileptiques. Le patient rentre à domicile le 09.01.2020. Mr. Y, 71 ans, est admis aux soins intensifs dans le cadre d'un sepsis pulmonaire bibasal à germe indéterminé compliqué d'une décompensation cardiaque gauche avec plusieurs OAP d'origine mixte au cours de l'hospitalisation. Ce patient a consulté aux urgences le 28.12.2019 pour dyspnée NYHA IV d'apparition brutale, associée à des douleurs rétrosternales. Le diagnostic de pneumonie communautaire avec décompensation cardiaque est retenu et le patient est initialement admis à l'étage de médecine. L'évolution respiratoire est défavorable avec, à la gazométrie, une insuffisance respiratoire hypoxémique avec acidose métabolique lactique, le patient est transféré aux soins intensifs. Le sepsis pulmonaire est traité par co-amoxicilline et clarithromycine, avec élargissement transitoire du spectre antibiotique avec du méropénem en raison de suspicion de décharges septiques non contrôlées avec plusieurs épisodes de détresse respiratoire. De la ventilation invasive est introduite. L'échocardiographie transthoracique ne montre pas d'argument en faveur d'une endocardite. Il n'y a pas de documentation microbiologique aux différents prélèvements, le spectre antibiotique est ensuite réduit pour une durée totale de 7 jours. La décompensation cardiaque gauche dans le contexte septique nécessite un traitement par furosemide et VNI. L'échocardiographie se révèle superposable à celle de la dernière hospitalisation, sans nouveau trouble de la cinétique segmentaire et avec des valvulopathies stables. Lors du séjour, le patient présente des OAP nocturnes à plusieurs reprises d'origine mixte, sur pics hypertensifs précipités par l'occlusion de l'a. rénale droite. Une origine ischémique peut être exclue suite à la coronarographie du 02.01.2020. Un avis angiologique est demandé afin d'évaluer la possibilité d'un traitement endovasculaire et le cas va être discuté au colloque vasculaire le lundi 06.01.2020. Une anémie hypochrome normocytaire arégénérative nécessite un soutien transfusionnel. Un avis hématologique est demandé au vu de la présence de cellules atypiques et d'érythroblastes à la formule sanguine. Un syndrome myélodysplasique sous-jacent n'est pas exclu, à recontrôler et bilanter par PBM à distance de l'épisode infectieux. Le patient est transféré en Médecine le 04.01.2020. Mr. Y, 71 ans, est hospitalisé pour un sepsis pulmonaire bibasal à germe indéterminé, compliqué d'une décompensation cardiaque gauche avec plusieurs OAP d'origine mixte au cours de l'hospitalisation. Ce patient a consulté aux urgences le 28.12.2019 pour dyspnée NYHA IV d'apparition brutale, associée à des douleurs rétrosternales. Le diagnostic de pneumonie communautaire avec décompensation cardiaque est retenu. L'évolution respiratoire est initialement défavorable avec, à la gazométrie, une insuffisance respiratoire hypoxémique et une acidose métabolique lactique. Le sepsis pulmonaire est traité par co-amoxicilline et clarithromycine avec élargissement transitoire du spectre antibiotique avec du méropénem en raison de suspicion de décharges septiques non contrôlées avec plusieurs épisodes de détresse respiratoire. De la ventilation invasive est introduite. L'échocardiographie transthoracique ne montre pas d'argument en faveur d'une endocardite. Il n'y a pas de documentation microbiologique aux différents prélèvements, le spectre antibiotique est ensuite réduit pour une durée totale de 7 jours. La décompensation cardiaque gauche dans le contexte septique nécessite un traitement par furosemide et VNI. L'échocardiographie se révèle superposable à celle de la dernière hospitalisation, sans nouveau trouble de la cinétique segmentaire et avec des valvulopathies stables. Lors du séjour, Mr. Y présente des OAP nocturnes à plusieurs reprises d'origine mixte, sur pics hypertensifs précipités par l'occlusion de l'artère rénale droite. Une origine ischémique est exclue suite à la coronarographie du 02.01.2020. Le CT-scan thoraco-abdominal met en évidence une occlusion de l'artère rénale droite avec atrophie rénale droite secondaire, ainsi qu'une sténose de l'artère rénale gauche. Selon un avis angiologique et néphrologique, nous proposons un traitement initial conservateur par lisinopril 5 mg avec l'indication d'augmenter progressivement la dose (respecter un intervalle de minimum 1 mois entre les augmentations de la posologie), tout en surveillant la fonction rénale de manière étroite (aux 15 jours). En cas de péjoration de la fonction rénale (> 50 %) ou de récidive des épisodes d'OAP (sous IEC), nous proposons une revascularisation de l'artère rénale droite en premier car malgré l'occlusion de celle-ci et l'atrophie rénale secondaire, le rein est probablement encore perfusé. L'artère rénale gauche devrait être reperfusée en dernière intention, en cas d'échec de la reperfusion gauche. Cette stratégie est proposée avec le but de protéger le rein gauche car en cas de complication, le patient risquerait de se trouver en insuffisance rénale terminale (selon consultation de néphrologie attachée). Une pancytopénie avec anémie chronique acutisée nécessite un soutien transfusionnel. Un avis hématologique est demandé au vu de la présence de cellules atypiques et d'érythroblastes à la formule sanguine. Un syndrome myélodysplasique sous-jacent n'est pas exclu. Si l'anémie persiste malgré une substitution en vitamine B12, nous proposons de compléter le bilan avec une ponction-biopsie de moelle osseuse à distance de l'épisode infectieux. Durant l'hospitalisation, il présente une tuméfaction érythémateuse et douloureuse de l'extrémité distale du 1er orteil à gauche. La radiographie montre une ostéonécrose d'allure ancienne. Selon un avis orthopédique, un diagnostic de panaris débutant est retenu, sans signe de collection évidente. Un traitement par bains d'Hibidil est mis en place. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X le 13.01.2020 à 13h50.L'évolution favorable permet le retour à domicile le 10.01.2020. Mr. Y, 77 ans, a été admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale sur une décompensation de BPCO secondaire à une pneumonie bilatérale et à une décompensation cardiaque à prédominance droite. Le patient est connu pour une BPCO Gold B, une silicose et un syndrome d'apnées obstructives du sommeil appareillé. Il est suivi en ambulatoire par Dr. X (dernier contrôle ambulatoire le 03.12.2019 avec situation respiratoire stable et bon fonctionnement de la CPAP nocturne). Il a consulté les urgences de l'HFR Tavel pour une toux depuis 1 semaine et une somnolence depuis 24h. Aux urgences, il présentait une première saturation à 56% à l'air ambiant. Le bilan a mis en évidence une insuffisance respiratoire globale avec infiltrats aux deux bases faisant suspecter une pneumonie débutante. Une thérapie par Co-amoxicilline, Clarithromycine, bronchodilatateurs et corticoïdes systémiques a été débutée et le patient a été transféré pour ventilation non invasive. L'insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique a persisté malgré la ventilation non invasive et la physiothérapie respiratoire. Une composante de décompensation cardiaque à prédominance droite est présente avec épanchements pleuraux bilatéraux. L'échocardiographie montre un coeur pulmonaire chronique avec PAPs estimée à 67 mmHg. Le drainage pleural gauche a évacué 1500 ml de transudat à prédominance lymphocytaire, dont la cytologie est en cours. Les diurétiques sont majorés dès le 10.01.2020 ainsi que le diltiazem habituel en raison d'une fibrillation auriculaire rapide à une fréquence comprise entre 100 et 120 bpm. L'antibiothérapie est poursuivie pour une durée totale de 5 jours. Le frottis de grippe et les antigènes urinaires pneumocoque et légionellose sont négatifs et les hémocultures sont actuellement stériles. L'évolution est progressivement favorable permettant de poursuivre le soutien respiratoire par la CPAP nocturne dès le 10.01.2020. Une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur néphropathie chronique stade KDIGO 3a, avec hyperkaliémie associée, a motivé l'interruption transitoire des traitements néphrotoxiques et l'administration de résine échangeuse d'ions. L'anticoagulation par marcoumar a été interrompue et la coagulation corrigée par l'administration de vitamine K et concentré de complexe prothrombinique afin de permettre la ponction pleurale. L'anticoagulation orale pourra être reprise après avoir évalué la nécessité d'une ponction de l'épanchement pleural droit résiduel en cas de réponse insuffisante au diurétique. Le patient est transféré le 11.01.2020 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 77 ans, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire globale sur une décompensation de BPCO secondaire à une pneumonie bilatérale et à une décompensation cardiaque à prédominance droite. Le patient consulte les urgences de l'HFR Tavel pour une toux avec expectorations depuis une semaine plus importante que d'habitude et une somnolence depuis 24h. Aux urgences, il présentait une première saturation à 56% à l'air ambiant. Nous diagnostiquons une insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique sur une pneumonie basale bilatérale à germe indéterminé avec une exacerbation de BPCO surajoutée. Une thérapie par Co-amoxicilline, Clarithromycine, bronchodilatateurs et corticoïdes systémiques est débutée à Tavel et le patient est transféré aux soins intensifs pour ventilation non invasive. L'évolution est rapidement favorable permettant un transfert en unité de médecine interne dès le 09.01.2020. L'antibiothérapie est poursuivie pour une durée totale de 5 jours. L'insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique persiste malgré la ventilation non invasive et la physiothérapie respiratoire. Une composante de décompensation cardiaque à prédominance droite est présente avec des épanchements pleuraux bilatéraux. L'échocardiographie montre un coeur pulmonaire chronique avec PAPs estimée à 67 mmHg. Pour traiter la décompensation cardiaque, une ponction pleurale gauche, qui permet d'évacuer 1500 ml de transudat à prédominance lymphocytaire, et une majoration des diurétiques sont effectuées. L'évolution est progressivement favorable permettant de poursuivre le soutien respiratoire par la CPAP nocturne dès le 10.01.2020. Une indication à une réadaptation respiratoire est posée, c'est pourquoi à la demande du patient, nous organisons une réadaptation respiratoire à Heiligenschwendi pour des raisons linguistiques. Le patient n'utilisant plus régulièrement sa CPAP à domicile, nous organisons un rendez-vous de contrôle chez Dr. X après la réadaptation respiratoire pour exclure une cause centrale à l'apnée du sommeil et adapter la thérapie. Une insuffisance rénale aiguë motive l'interruption transitoire des traitements néphrotoxiques. Les antihypertenseurs mis en suspens sont repris le 23.01.2020, nous proposons un contrôle des électrolytes et de la fonction rénale le 24.01.2020. Le 17.01.2020, un état fébrile transitoire et un syndrome inflammatoire sont observés en lien avec un premier épisode de poussée d'arthrite microcristalline de l'articulation métacarpo-phalangienne II. Une thérapie locale par glace et anti-inflammatoire montre une nette amélioration clinique. Au vu d'une suspicion initiale de complication pulmonaire, une antibiothérapie empirique est mise en place puis rapidement stoppée. Les hémocultures reviennent stériles et le CT thoracique montre une persistance de foyer de pneumonie bi-basaux, sans signe de complication, que nous considérons comme un retard radiologique au vu de l'absence de symptomatologie respiratoire. Mr. Y peut se rendre en compagnie de son épouse en réhabilitation respiratoire à Heiligenschwendi le 22.01.2020. Mr. Y, âgé de 78 ans, est hospitalisé pour un déséquilibre hyperglycémique d'un diabète de type 2 non insulino-requérant. Le patient présente une fatigue et des symptômes de polyurie et polydipsie depuis 7 jours. Une insulinothérapie est débutée, permettant une correction progressive des valeurs de glycémie. Le traitement par Trajenta est poursuivi, avec reprise de l'Empaglifozine (Jardiance) dès correction de la fonction rénale. Pour simplifier au maximum le traitement d'insuline, un traitement par insuline mixte est débuté, avec suivi par les soins à domicile. Un suivi en diabétologie est prévu en ambulatoire avec également discussion quant à l'implantation d'un éventuel capteur Freestyle. Un suivi des glycémies par entretien téléphonique est agendé au 10.01.2020 pour adaptation des doses d'insuline. Le patient présente un épisode aigu d'une lombalgie le 08.01.2020 probablement d'origine musculaire. La radiographie de la colonne lombaire ne montre pas d'argument pour une fracture. Une antalgie simple est introduite et le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. Le patient rentre le 10.01.2020 à domicile avec intensification des soins à domicile. Mr. Y est amené aux urgences le 30.12.2019 suite à une chute avec traumatisme crânien sans perte de connaissance dans un contexte d'éthylisation aiguë à 2,7 pour mille. A l'admission aux urgences, Glasgow à 14/15, fréquence cardiaque 64/min, température 36,3°C et saturation à 94% à l'air ambiant. Le patient est en état général moyen. Au status neurologique, Glasgow à 14/15. Le patient est agité. Au status cutané, présence d'une plaie superficielle de 3 cm frontale et de 2 cm au niveau du menton. Au status ostéoarticulaire, légère douleur à la palpation de C5.La plaie est désinfectée et suturée. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour l'ablation à J7. En raison de la chute, nous effectuons un CT scan cérébral qui ne retrouve pas de saignement intracrânien ni de fracture. Sur avis du Dr. X, chirurgien de garde, Mr. Y est gardé en lit d'observation aux urgences pour la nuit. Le 31.12.2019, en raison d'une mydriase gauche et d'une vision trouble, un second CT scan cérébral est effectué et est comparable au précédent. Le reste du statut neurologique est dans la norme. Mr. Y peut regagner son domicile le 31.12.2019. Mr. Y consulte les urgences par ses propres moyens suite à une intoxication médicamenteuse volontaire avec la prise de 80 comprimés d'Escitalopram et 6 - 7 comprimés de Relaxane, associée à une bouteille de vin blanc vers 19h00. Il décrit des idées suicidaires toujours présentes à son arrivée aux urgences. Le patient présente un GSC à 15/15. Il est collaborant, non somnolent. Il explique de façon froide et détachée son geste. Il est stable hémodynamiquement. L'ECG réalisé à l'arrivée est sinusal régulier, sans trouble de repolarisation ni conduction, sans allongement du QT. Le laboratoire montre une alcoolémie à 1.26 g/l, pas de perturbation des tests hépatiques, K 3.4, créatinine à 84 mcmol/l. L'examen clinique cardiopulmonaire et neurologique est dans la norme. Nous prenons contact avec le Tox Info qui préconise une surveillance ECG pour la recherche d'un potentiel allongement du QT, ainsi qu'une surveillance neurologique en raison du risque de convulsion. Le patient reçoit dès son arrivée du charbon actif (2h30 post-ingestion) et il est gardé en lit monitoré aux urgences pour la nuit. Un ECG répété à 4h post-ingestion des comprimés ne montre pas d'allongement du QT ni autre trouble du rythme. Le psychiatre de garde est contacté et ne préconise pas d'évaluation psychiatrique pendant le séjour aux urgences mais demande une hospitalisation du patient à Marsens sous PAFA. Le lendemain matin le patient regrette son geste et le considère comme un appel à l'aide. Il demande l'hospitalisation à Marsens, la réalisation du PAFA n'est donc plus nécessaire. Le matin du 06.01.2020, un ECG de contrôle et une prise de sang sont réalisés. Avant son départ le patient est stable hémodynamiquement, sans aucune plainte somatique. Nous notons une thrombopénie, qui reste stable par rapport à la veille. Nous conseillons l'arrêt du traitement par Escitalopram et l'arrêt de la consommation d'alcool. Une surveillance du taux de plaquettes est à organiser dans les jours qui viennent. Le matin le score de Cushman est calculé à 2. Mr. Y est transféré en ambulance au RFSM à Marsens le 06.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 70 ans, hospitalisé pour un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 12.08.2019. Le patient a présenté un syndrome inflammatoire avec CRP à 70 mg/l sans état fébrile, associée à des expectorations jaunes, dyspnée NYHA III sans état fébrile. Nous retenons initialement une pneumonie. Un traitement par Co-Amoxicilline i.v. est débuté avec une durée totale de 7 jours, sans amélioration clinique ni biologique. Une décompensation cardiaque est identifiée à ce moment et un traitement diurétique est débuté avec une bonne évolution sur le plan respiratoire. À noter une amélioration spontanée du syndrome inflammatoire suite à l'arrêt de l'antibiothérapie. Le CT thoracique a mis en évidence un nodule de l'apex pulmonaire gauche d'origine peu claire qui sera suivi par nos collègues du service de pneumologie. À noter que cette lésion était déjà présente sur une radiographie du thorax du 03.02.2011. L'examen biologique a mis en évidence une anémie importante avec hypovitaminose ainsi qu'hémoccult douteux. Le patient n'a pas présenté d'hématochésie, ni de changement de transit ces derniers temps. Pour compléter le bilan d'anémie, une colonoscopie est organisée en ambulatoire. Le 26.08.2019, Mr. Y peut regagner son domicile. Mr. Y est un patient de 78 ans qui est admis dans notre service de gériatrie pour la gestion de l'antalgie. Pour rappel, Mr. Y est amené en ambulance aux urgences de l'HFR de Fribourg depuis la Villa Beausite à Fribourg où il est institutionnalisé pour la gestion de l'antalgie. Mr. Y est connu pour une fracture-tassement traumatique T12 en Décembre 2019. À son arrivée aux urgences, les douleurs sont importantes. À l'étage de gériatrie, l'antalgie est gérée par Buprénorphine au début puis par Fentanyl. Au vu des dorsalgies importantes, nous instaurons un schéma par Oxycontin, Pregabaline (d'office) et de l'Oxynorm en réserve avec un bon effet antalgique. Sur le plan biologique, nous constatons une anémie macrocytaire normochrome probablement liée à une malnutrition et une carence en folates. À noter que le patient est connu pour une MGUS. À sa sortie, l'hémoglobine est stable à 117 g/l. Nous constatons aussi une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique, d'origine prérénale, avec une créatinine à 146 umol/l. L'évolution est favorable suite à une hydratation adéquate par voie orale. La valeur de la créatinine à la sortie est dans la norme à 91 umol/l. Durant son séjour, Mr. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche à l'aide du rollator est de 100 mètres. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 49/126 (MIF physio : transferts 5/7, déplacements 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est impossible à réaliser. Sur le plan diététique, nous posons un diagnostic de malnutrition protéino-énergétique modérée avec un NRS à 4/7. Nous substituons le magnésium, les folates et le potassium. Un suivi diététique n'est pas prévu au vu d'un retour au Home à la fin de son hospitalisation. Au vu de la stabilité clinique, le 08.01.2020, Mr. Y quitte notre service pour rejoindre son Home de la Villa Beausite. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Mr. Y, 60 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs dans le post-opératoire d'une double dérivation bilio-digestive et cholécystectomie le 10.01.2020. La patiente est connue pour un adénocarcinome de la tête du pancréas et du processus unciné, stade II A selon TMN, diagnostiqué en août 2019. Une chirurgie de Whipple était programmée, mais le statut opératoire a montré une tumeur avancée dont une résection n'est plus possible. Une double dérivation bilio-digestive et cholécystectomie ont donc été réalisées sans complication. L'antalgie est assurée par l'administration de Bupivacaïne/Fentanyl par cathéter péridural (D8-9). Une anticoagulation prophylactique a été débutée à 6 heures post-opératoire. Une antibioprophylaxie de céfuroxime a été administrée durant 48 heures. L'administration de liquide a été possible dès le 11.01.2020 et une réalimentation progressive pourra être considérée dès le 12.01.2020. Une oligurie post-opératoire modérée a nécessité l'administration répétée de cristalloïdes et la diurèse devra être contrôlée 2 fois par jour jusqu'à normalisation. Une anémie et une thrombocytose modérées d'origine inflammatoire sont à contrôler. Mme. Y a été transférée le 11.01.2020 dans le service de chirurgie. Mr. Y, patient de 54 ans, consulte les urgences le 10.01.2020 en raison de l'apparition depuis une demi-heure d'une douleur rétrosternale oppressive, sans irradiation vers la mâchoire ni le membre supérieur gauche. Le patient décrit également une dyspnée au moment de la douleur et des palpitations.A l'admission aux urgences, Mr. Y est en état général conservé, avec des douleurs et des palpitations présentes. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont audibles et irréguliers, sans souffle ni bruit surajouté, sans signes de décompensation cardiaque, notamment pas d'OMI, pas de reflux hépato-jugulaire et l'auscultation pulmonaire est normale. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Nous n'avons pas d'argument pour un syndrome coronarien aigu. Le patient présentant une fibrillation auriculaire paroxystique moins de 2 heures avant l'admission, nous débutons la Cordarone et mettons en place une anticoagulation à 5 mg d'Eliquis. Le patient reçoit 300 mg de Cordarone en 2 doses, suivis par une perfusion de 900 mg avec retour en rythme sinusal. Mr. Y est gardé en lit monitoré pour la nuit. La surveillance est sans particularité, sans troubles de rythme mis en évidence. Nous introduisons l'Eliquis, le Beloc Zok 12.5 mg et nous recommandons la prise régulière d'Amlodipine 5 mg (prise irrégulière jusqu'au présent). Le patient prendra rendez-vous chez le Dr. X, cardiologue, pour la suite de la prise en charge. Mr. Y peut regagner son domicile le 11.01.2020. Mr. Y, 70 ans, connu pour un carcinome hypopharyngé multimétastatique, est hospitalisé pour majoration d'un épanchement pleural droit probablement paranéoplasique versus parapneumonique. Le patient se présente avec une baisse de l'état général, une inappétence et une majoration de sa dyspnée. Le bilan au service des urgences montre un syndrome inflammatoire, ainsi qu'une augmentation d'un volumineux épanchement pleural droit connu. Une ponction pleurale évacue 2 litres d'un exsudat séro-sanguinolent avec diminution légère de la dyspnée. La cytologie revient négative pour des cellules malignes. Une culture du liquide pleural n'a malheureusement pas été envoyée. Les hémocultures sont revenues négatives, ainsi que les antigènes urinaires. La radiographie post-ponction ne montre pas de complication. Un traitement par Co-Amoxicilline intraveineuse a été mis en place. Le patient s'est plaint également de lombalgies. Le CT du 18.12.2019 montrait un tassement de L5 pour lequel un avis neurochirurgical en ambulatoire préconisait un traitement conservateur. L'antalgie est adaptée. Le 06.01.2020, le patient présente un état d'agitation qui répond très bien à une dose de 0.5 mg de Halopéridol, sans autre évènement ultérieur, notamment sans récidive d'agitation ou d'autre signe de détresse. Le matin du 07.01.2020, il est retrouvé décédé dans son lit. Vu le contexte oncologique avancé avec un très mauvais pronostic et en accord avec la famille, nous renonçons à faire une autopsie. Mr. Y, 75 ans, connu pour un quadruple pontage aorto-coronarien en raison d'une maladie coronarienne tritronculaire sévère en mars 2014, consulte les urgences le 05.01.2020, accompagné de sa famille, suite à une chute survenue le 04.01.2020. En effet, le patient ne désirait pas consulter de médecin, mais finalement, au vu de l'aggravation de la situation, sa famille l'y contraint. Le patient marchait accompagné de son neveu de 9 ans quand il a soudainement chuté. Un traumatisme crânien n'est pas exclu et le patient présente une amnésie circonstancielle. Depuis lors, il présente un trouble mnésique, un manque du mot et fait beaucoup de répétitions verbales. Il ne se plaint pas de douleur ni de nausée mais rapporte des vertiges orthostatiques. Au status neurologique aux urgences, le patient est orienté aux 4 modes, les nerfs crâniens sont sans particularité, la force et la sensibilité aux 4 membres sont normales, le Mingazzini et le Barré sont tenus et symétriques, les épreuves cérébelleuses sont effectuées sans problème. Nous retrouvons cependant des difficultés mnésiques antérogrades, mais pas de manque de mots objectivable, pas d'ataxie, pas de trouble de l'élocution. Au laboratoire, nous retrouvons une insuffisance rénale aiguë, que nous traitons par hydratation iv. Un ECG est réalisé et montre un flutter auriculaire à réponse ventriculaire normocarde et à conduction variable d'apparition nouvelle. Nous gardons le patient en surveillance neurologique et rythmique aux urgences, en lit monitoré. Nous effectuons un CT cérébral le 05.01.2020 révélant une hypodensité thalamique et lenticulaire gauche d'allure constituée. Une IRM est organisée pour le 06.01.2020 et permet de poser le diagnostic d'accident vasculaire cérébral ischémique lenticulaire gauche. Nous demandons un avis neurologique au Dr. X. L'aspirine cardio est stoppée le 05.01.2020 et relayée par du Plavix 75 mg jusqu'au 09.01.2020. Au vu d'une échocardiographie transthoracique sans valvulopathie et d'un CT natif cérébral sans transformation hémorragique le 09.01.2020, nous stoppons le Plavix et instaurons un traitement de Xarelto 20 mg 1x/j. Au vu d'un profil tensionnel plutôt élevé, nous majorons le Vascord HCT à 40/5/12.5. Un Doppler carotidien et un contrôle neurologique auront lieu le 09.03.2020 à 13h00 à l'HFR Fribourg. Au cours de son hospitalisation, le patient développe une thrombophlébite infectieuse sur cathéter périphérique, qui se complique d'une bactériémie à Staphylococcus aureus multisensible. Le cathéter est retiré et la plaie est désinfectée. Selon l'avis infectiologique de la Dr. X, nous mettons le patient sous co-amoxicilline du 12.01.2020 au 25.01.2020. Nous demandons également un avis angiologique, qui met en évidence une thrombose occlusive sur les 2/3 proximaux de l'avant-bras gauche au niveau de la veine céphalique. L'évolution clinique est favorable. Sur le plan rhumatologique, le patient développe lors de son hospitalisation une crise de goutte sur les articulations interphalangiennes distales qui répond bien au traitement de Colchicine. La radiographie des mains montre plutôt une arthrose. L'acide urique est mesuré et est dans la norme. Nous proposons que le patient soit vu par un rhumatologue en ambulatoire pour suite de prise en charge, ce qu'il refuse. Au vu d'une bonne amélioration clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 26.01.2020. Mr. Y, 56 ans, est hospitalisé pour une résection élective endoscopique d'un adénome tubuleux-villeux rectal. Le patient présente un adénome tubuleux-villeux du rectum avec résections endoscopiques incomplètes à plusieurs reprises. Une rectosigmoïdoscopie avec EFTR est réalisée le 31.01.2020. Une antalgie et une antibioprophylaxie sont mises en place. Les suites opératoires sont simples et le patient rentre à domicile le lendemain de l'intervention. Il sera revu au cabinet de gastroentérologie pour une rectosigmoïdoscopie de contrôle dans 3 mois. Mr. Y, 54 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique post-NSTEMI sur subocclusion de l'artère coronaire droite moyenne le 02.12.2019. Le patient présente une douleur rétrosternale typique, cédant spontanément 2 heures plus tard, associée à une dyspnée présente uniquement pendant l'épisode douloureux. L'ECG objective une inversion d'onde T en DIII, avec une élévation des troponines. La coronarographie montre une subocclusion de l'ACD moyenne qui est directement dilatée et stentée avec bon résultat final. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 55-60%. Le pic de CK est à 331 U/l. Une échocardiographie transthoracique le 03.12.2019 montre un ventricule gauche non dilaté, avec une hypokinésie modérée de la paroi postérieure et de la paroi inféro-basale et une FEVG à 55%. Nous prévoyons une réhabilitation cardio-vasculaire pour laquelle il sera convoqué par nos collègues de Billens. Le traitement bétabloqueur débuté le 05.12.2019 reste à adapter lors du suivi ultérieur.Mr. Y, 79 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale le 15.01.2020. Le patient est hospitalisé à l'hôpital de Tafers depuis le 10.01.2020 pour un urosepsis à Klebsiella pneumoniae et E. coli avec une évolution favorable après changement de sonde à demeure et traitement antibiotique. Le 14.01.2020, le patient présente un délirium hypoactif avec une somnolence et des épisodes d'hallucinations, motivant l'introduction d'un traitement par Halopéridol et Distraneurine. Se rajoute à cela un traitement de Rivotril et de Sifrol, pour un syndrome des jambes sans repos. Le 15.01.2029, le patient présente une augmentation de la somnolence avec mise en évidence d'une insuffisance respiratoire globale motivant son transfert aux soins intensifs. Nous retenons une insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine plurifactorielle, médicamenteuse sur Rivotril et Distraneurine, délirium avec état confusionnel transitoire, probable syndrome obésité-hypoventilation et une composante de décompensation cardiaque. L'évolution clinique et gazométrique est favorable sous ventilation non invasive intermittente, mise en suspens des traitements sédatifs et traitement de l'insuffisance cardiaque. La décompensation cardiaque dans le contexte de délirium et de fibrillation auriculaire rapide est traitée par un diurétique. Nous réintroduisons le traitement de Métoprolol pour contrôle de la fréquence cardiaque. Nous mettons en suspens le traitement d'Amiodarone chez un patient en fibrillation auriculaire permanente et proposons de revoir son indication. Une échocardiographie retrouve une FEVG à 55 % et une sténose aortique modérée avec surface aortique à 1,45 cm². Une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale est rapidement corrigée après hydratation. En raison d'un INR suprathérapeutique, le traitement de Marcoumar est suspendu et sera à reprendre dès le 17.01.2020. Le patient est transféré à un médecin interne à Tafers le 17.01.2020. Mr. Y souffre d'un syndrome du tunnel carpien bilatéral prédominant à droite. Nous prévoyons une neurolyse tout d'abord du côté droit du nerf médian en regard du tunnel carpien. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 27.01.2020. Le patient sera encore vu par mes collègues d'anesthésie pour définir le type d'anesthésie. Mr. Y, patient de 42 ans, hospitalisé actuellement au RFSM CSH Marsens pour des idées suicidaires, est amené aux urgences le 21.01.2020 en raison d'une hypertension artérielle à 220/130 mmHg. Il a reçu 20 mg de Nifédipine et 5 mg d'Amlodipine. Pas de céphalée, pas de trouble visuel, pas de douleur rétrosternale, pas de dyspnée. Il rapporte des palpitations de temps en temps, mais pas dernièrement. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par systèmes. Consommation importante d'alcool (3 l/jour), a arrêté de consommer le 20.01.2020. À l'admission aux urgences, le patient est hypertendu à 160/106 mmHg, tachycarde à 106/min et afébrile. Le statut neurologique est sans particularité hormis de légers tremblements. Au statut cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers. Le statut digestif est sans particularité. Nous effectuons un ECG qui montre une tachycardie sinusale, le laboratoire est aligné. Nous administrons du Seresta, qui permet de diminuer la tension artérielle ainsi que la tachycardie. En raison d'un score de Cushman à 7, nous gardons le patient pour surveillance en lit monitoré pour la nuit. Pendant la nuit, on observe une bonne évolution avec normalisation de la tension artérielle et de la fréquence cardiaque, ainsi qu'une bonne réponse au traitement contre le sevrage alcoolique avec un score de Cushman à 0. Mr. Y est réadmis au RFSM CSH Marsens le 22.01.2020. Mr. Y, 91 ans, consulte les urgences le 04.01.2020 pour une dyspnée en péjoration depuis 3 jours associée à une dysphagie, sans état fébrile mais avec une toux productive et des expectorations jaunâtres. Le patient a consulté le médecin de garde le 02.01.2020 qui lui a prescrit de la Clarithromycine. À l'entrée aux urgences, nous retrouvons un patient présentant une désaturation à 89 % à l'air ambiant, raison pour laquelle nous introduisons une oxygénothérapie à 2 l/min. Le patient est hémodynamiquement stable et afébrile. À l'auscultation pulmonaire, nous notons un souffle tubaire sur le lobe moyen droit et des crépitants bibasaux. Le B1B2 est bien frappé avec un souffle systolique à l'apex avec irradiation dans l'aisselle, d'intensité 2/6. Le reste de l'examen clinique par système est sans particularité. Au bilan biologique aux urgences, nous retrouvons une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 110 umol/l sans trouble électrolytique, un syndrome inflammatoire avec une CRP à 292 mg/l sans leucocytose. Dans le contexte de l'insuffisance rénale probablement d'origine pré-rénale, nous mettons en place une hydratation intraveineuse par 1000 ml de NaCl 0,9 % sur 24 h avec bonne réponse biologique. Pour compléter le bilan sur le plan pulmonaire, une radiographie thoracique est effectuée mais ne met pas en évidence de foyer clair. Les antigènes urinaires sont positifs pour un pneumocoque. Au vu de la clinique, nous posons le diagnostic de pneumonie à pneumocoques du lobe moyen droit et nous mettons en place un traitement par Rocéphine 2 g iv du 04 au 10.01.2020. Lors de son séjour, le patient bénéficie d'une physiothérapie respiratoire. Au cours de son hospitalisation, le patient présente des épisodes de confusion nocturnes avec agitation, qui nous poussent à instaurer un traitement par Distraneurine. Des tests de dépistage cognitifs sont réalisés. Au vu de sa bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 13.01.2020, avec instauration de soins à domicile 2 fois par jour. Mr. Y est hospitalisé pour une crise épileptique inaugurale dans le contexte de son glioblastome connu et réséqué en septembre 2019. Le 22.01.20, il a présenté des sensations d'absence, peine à trouver ses mots ainsi que d'évaluer les distances. Lors du trajet pour les urgences, il présente des mouvements anormaux devant témoin. Le scanner ne montre pas de saignement ni péjoration des lésions cérébrales connues. L'EEG effectué est en faveur d'un foyer épileptogène. Sur recommandation de nos collègues neurologues, un traitement antiépileptique est débuté et à poursuivre jusqu'à réévaluation neurologique à 6 mois. Sur le plan oncologique, le traitement ne contre-indique pas la poursuite des cycles de chimiothérapie par Temodal dont le suivant est maintenu. Les prises de sang pendant l'hospitalisation montrent une diminution de l'hématopoïèse compatible avec une toxicité sur la chimiothérapie. Sur le plan orthopédique, en raison de douleurs persistantes lombaires post-crise, un contrôle radiologique est effectué et montre des fractures de L1, L2. Sur avis des neurochirurgiens, ces fractures sont prises en charge conservativement avec mobilisation selon douleur. Il est recommandé à Mr. Y d'effectuer le plus possible les mouvements en bloc et de ne pas ramasser d'objets lourds. Un suivi ambulatoire est organisé. Mr. Y, connu pour un diabète de type 2, une obésité morbide, un ancien tabagisme, est hospitalisé dans notre service pour une dermo-hypodermite du MID. Pour rappel, il présente le 03.01.2020 une douleur du genou droit avec une rougeur, une chaleur et une tuméfaction nouvelle, le tout associé à un syndrome inflammatoire. Absence d'état fébrile.En raison de la présence d'un matériel d'ostéosynthèse au niveau de la jambe droite, un CT-scan est effectué, qui exclut une infection de ce dernier. Mr. Y bénéficie d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline. L'évolution clinique se complique d'une bactériémie à Staphylococcus aureus avec infection secondaire du matériel d'ostéosynthèse de la jambe droite. Une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline est administrée pour une durée de 14 jours, puis un relais est effectué par Bactrim per os jusqu'à l'ablation du matériel. Un suivi régulier de la fonction rénale et de la formule sanguine est préconisé. Sur le plan orthopédique, nos collègues ne préconisent pas une intervention pour ablation du matériel d'ostéosynthèse en urgence, au vu de la bonne évolution clinico-biologique sous antibiothérapie, mais plutôt à distance de l'événement aigu. Une consultation est prévue le 04.02.2020 chez Dr. X pour la suite de la prise en charge. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile avec l'intensification des soins à domicile le 22.01.2020 et la poursuite de l'antibiothérapie jusqu'à la prise en charge orthopédique. Mr. Y est un patient de 68 ans qui est adressé aux urgences par vous-même pour une asthénie et une perte pondérale récente avec épigastralgies depuis 2-3 mois. À son arrivée, il présente un syndrome de sevrage avec un score de Cushman à 11 points, ainsi qu'une perturbation des tests hépatiques au bilan biologique, probablement secondaire à sa consommation d'alcool abusive. Une substitution par benzodiazépine, Thiamine et Becozym est introduite. Le sevrage se déroule sans complication, avec bonne évolution clinico-biologique. Un ultrason abdominal montre une hépatomégalie et un foie stéatosique. Les épigastralgies sont rapidement contrôlées après introduction d'IPP et arrêt des anti-inflammatoires que le patient prenait depuis 2 ans. En cas de récidive de la symptomatologie, une endoscopie est à discuter. Un bilan néoplasique par CT-scan abdominal est également à discuter en cas de persistance de perte pondérale. Les troubles électrolytiques multiples mis en évidence à l'entrée évoluent favorablement avec une substitution et reprise d'une alimentation. Le patient rentre à domicile le 30.01.2020. Mr. Y, 68 ans, est admis aux soins intensifs (SIB) pour un syndrome de sevrage alcoolique. Le patient de 68 ans, connu pour un diabète de type II non insulino-requérant, des lombalgies chroniques sous AINS (Ecofenac) depuis 4 ans, et une consommation d'alcool à risque, est adressé par son médecin traitant aux urgences de Riaz pour une baisse d'état général, avec inappétence, nausées et vomissements post-prandiaux précoces et des diarrhées liquides (2-3x/j) accompagnées d'une perte pondérale de 8 kg cette dernière semaine. Par ailleurs, il rapporte des épigastralgies depuis 2-3 mois. En raison de la symptomatologie, le patient ne prend plus son traitement de Metfin depuis 3 semaines et nous dit également avoir moins consommé d'alcool. À son admission à Riaz, le patient se présente avec un score de Cushman à 11 points. Le bilan biologique retrouve des troubles électrolytiques multiples, avec perturbations des tests hépatiques sans syndrome inflammatoire. Il nous est donc transféré pour surveillance clinique. Durant son séjour aux soins intensifs, le sevrage alcoolique s'amenuise avec l'oxazépam prescrit. Une vitaminothérapie est introduite. Nous substituons les différents troubles électrolytiques. Les épigastralgies sont contrôlées après introduction des IPP, nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication d'une endoscopie. Concernant la perte pondérale involontaire, l'inappétence et la baisse d'état général global, nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à réaliser une imagerie à la recherche d'une néoplasie selon le contexte anamnestique et clinique. Une hyperglycémie est retrouvée à son admission, pour laquelle le traitement de Metfin est laissé en suspens en raison de l'anorexie, avec un schéma d'insuline rapide introduit en réserve. L'hémoglobine glyquée est dans la norme, ainsi que ses glycémies. Nous vous laissons le soin d'introduire un suivi diététique si besoin. Au vu de la stabilité clinique, Mr. Y est transféré en médecine le 23.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est transféré de l'HFR Billens le 15.01.2020 où il effectuait une réadaptation cardiaque dans le cadre d'un angor instable avec pose de 3 stents du 26.12.2020. Lors du séjour à Billens, le patient se plaint de toux et l'apparition de douleurs au niveau de l'hémithorax gauche. Une radiographie est effectuée le 10.01.2020 et se révèle dans la norme. Au vu de la persistance des symptômes, un CT thoracique est réalisé le 14.01.2020. Une masse périphérique de 3 cm de diamètre dans le lobe supérieur gauche est découverte. Le patient est alors transféré dans notre service pour investigations. Une nouvelle radiographie de thorax révèle cette fois un infiltrat dans le lobe supérieur gauche. Nous retenons le diagnostic de pneumonie. Un traitement de Co-Amoxicilline est introduit pour 10 jours. Les hémocultures reviennent négatives et un prélèvement d'expectorations montre une flore bucco-pharyngée sans présence de BAAR. Lors du CT du 14.01.2020, nous découvrons de manière fortuite trois lésions tissulaires spiculées lobaires supérieures droites (6-7 mm de diamètre pour les 3) et un épaississement nodulaire au niveau surrénalien des deux côtés. Au vu du contexte infectieux actuel, nous organisons un CT de contrôle à 6 semaines pour juger de l'évolution de ces incidentalomes. Le patient a rendez-vous le 04.03.2020 à l'HFR Fribourg. L'évolution clinique du patient étant bonne, il peut être retransféré à l'HFR Billens le 21.01.2020 pour la suite de sa réadaptation cardio-vasculaire. Mr. Y consulte aux urgences de Tavel pour une dyspnée avec toux et expectorations jaunâtres se péjorant sur 4 jours et sans amélioration après une semaine d'antibiothérapie empirique. Au vu d'une insuffisance respiratoire globale, il est transféré à Fribourg pour hospitalisation au service des soins intensifs. Nous mettons en évidence une insuffisance respiratoire globale sur BPCO exacerbée (sous oxygène à domicile) d'origine infectieuse sur probable surinfection de bronchiectasies, motivant une antibiothérapie à large spectre. L'évolution est favorable en 24 heures, permettant un arrêt de la ventilation non-invasive et un transfert en médecine interne le 12.02.2020. Le traitement habituel par Spiriva est modifié pour de l'Ultibro et sera à réévaluer par le pneumologue traitant. Il persiste une hypercapnie légère chronique asymptomatique. Mr. Y est connu un carcinome épidermoïde du lobe supérieur droit (cT4 cN3 M0) depuis août 2019, actuellement traité par immunothérapie et chimiothérapie. Un suivi chez oncologue traitant est organisé à la sortie. Mr. Y rentre à domicile le 14.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour la ventilation non-invasive dans le cadre d'une insuffisance respiratoire globale sur BPCO exacerbée (sous oxygène à domicile), s'étant manifestée par une dyspnée évolutive sur 4 jours avec toux et expectorations augmentées jaunâtres, sans symptômes grippaux associés, et sans amélioration sous antibiothérapie d'une semaine en ambulatoire. La décompensation respiratoire est attribuée à une exacerbation BPCO sur probable surinfection de bronchiectasies, motivant une antibiothérapie plus large. L'évolution est favorable en 24 heures, permettant un arrêt de la VNI. Il persiste une hypercapnie légère asymptomatique. La physiothérapie respiratoire est à poursuivre.Mr. Y est connu pour un carcinome épidermoïde du lobe supérieur droit (cT4 cN3 M0) depuis août 2019, actuellement traité par immunothérapie et chimiothérapie. Le timing de la prochaine cure est à discuter avec son oncologue, au courant de l'hospitalisation. Mr. Y présente des gonalgies D que je vois en premier lieu dans le contexte d'une gonarthrose dans le compartiment fémoro-tibial interne. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir une lésion dégénérative du ménisque interne. Je propose à Mr. Y un bilan par IRM native de son genou D. Je le reverrai après l'IRM pour discuter des résultats et du traitement. Mr. Y, 70 ans, est initialement hospitalisé pour une décompensation cardiaque dans le contexte d'une dermohypodermite. Il se présente aux urgences se plaignant d'asthénie et de dyspnée avec des plaies en regard d'une dermohypodermite ayant récidivé depuis le dernier épisode il y a un mois. Le bilan radio-biologique met en évidence une décompensation cardiaque et le patient est hospitalisé pour suite de prise en charge. Sur le plan cardiaque, l'échocardiographie transthoracique montre une fonction gauche conservée mais une surcharge persistante, nécessitant un traitement diurétique intraveineux. Mr. Y présente également une hypertension artérielle pour laquelle un IEC est introduit à petite dose au vu de l'insuffisance rénale chronique connue. Sur le plan cutané, un bilan angiologique effectué au vu des plaies suspendues et plutôt ponctiformes montre une perfusion artérielle adéquate sans thrombose veineuse. Le patient est traité par Co-amoxicilline et bas de contention avec évolution favorable. Le séjour est marqué par une aggravation rapide de la fonction rénale. Celle-ci est initialement mise sur le compte d'une composante pré-rénale sur traitement diurétique intensifié, mais, au vu de l'apparition d'un syndrome néphritique accompagné d'une protéinurie sévère, un avis néphrologique est sollicité. Celui-ci préconise l'arrêt des traitements possiblement incriminés, notamment la Co-amoxicilline et le Torasemide, ainsi qu'un large bilan biologique et une ponction-biopsie rénale. Les différentes investigations mettent en évidence une glomérulonéphrite, d'origine probablement para-infectieuse. Le bilan étiologique est encore en cours et le patient sera revu et suivi en néphrologie pour la pose définitive du diagnostic et la suite de prise en charge. Une hyperkaliémie transitoire est mise en évidence dans ce contexte, ainsi qu'une hypertension nécessitant l'introduction de Physiotens et l'augmentation du Dilzem. À noter, suite au traitement diurétique initial, l'apparition d'une crise de goutte au niveau de la main droite, traitée par colchicine sur avis des collègues rhumatologues et néphrologues. L'évolution est bonne et le traitement bien toléré. Nous proposons de le poursuivre à la sortie en l'adaptant selon la fonction rénale et la tolérance, puis d'introduire de l'Allopur en laissant la colchicine en parallèle jusqu'à 6 mois après atteinte de la valeur cible d'acide urique. Mr. Y rentre à domicile le 16.01.2020. Mr. Y, 79 ans, est hospitalisé en raison d'une incontinence urinaire nouvelle sur probable infection urinaire. Il présente depuis 4-5 jours une incontinence urinaire nouvelle avec pollakiurie, faiblesse généralisée et asthénie. Le bilan aux urgences montre un syndrome inflammatoire et un stix légèrement positif. Un ultrason ne montre pas d'anomalie au niveau des voies urinaires. La radiographie thoracique ne montre pas de foyer. L'urotube montre une flore mixte et les hémocultures sont négatives. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée avec relais oral pour une durée de 14 jours au total. L'évolution des symptômes est rapidement favorable et permet le retour à domicile le 24.01.2020. Mr. Y, âgé de 25 ans, est hospitalisé pour gastro-entérite d'origine virale avec insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale. Le patient rapporte des vomissements et céphalées apparus 24 heures auparavant, suivis de diarrhées liquides et douleurs abdominales crampiformes. Le bilan biologique initial retrouve un syndrome inflammatoire avec leucocytose et déviation gauche, avec une insuffisance rénale aiguë stade AKIN 2 de type pré-rénale sur déshydratation. Les cultures des selles par PCR n'identifient pas de germe, nous permettant de suspecter une origine virale. L'évolution clinico-biologique est favorable par hydratation et traitement symptomatique. Le patient développe en cours de séjour une infection urinaire à Escherichia coli et Proteus mirabilis, traitée par Ciprofloxacine durant 14 jours dans un contexte de reins de cheval et reflux vésico-urétéral bilatéral. Mr. Y présente des douleurs abdominales en hypochondre gauche de type tiraillement avec état fébrile depuis 48 heures, complètement disparues avec Voltaren et Dafalgan aux urgences. Les douleurs sont reproductibles à la palpation des côtes gauches, parlant plutôt pour une origine pariétale. Toutefois, nous retrouvons une élévation de la lipase au laboratoire parlant pour une pancréatite biologique avec état subfébrile à 37.6°C. Nous suspectons une infection virale expliquant l'état fébrile sans pancréatite aiguë. De ce fait, nous proposons un traitement symptomatique avec contrôle clinique et laboratoire chez le médecin traitant à 4-5 jours. Le patient nous informe par téléphone le 13.01 d'une apparition ce jour de papules au niveau du tronc et thorax et que sa fille a eu la varicelle il y a 3 semaines. Je lui propose un rendez-vous chez son médecin traitant pour évaluer l'introduction d'un traitement antiviral précoce. Mr. Y, 43 ans, est hospitalisé pour un syndrome de sevrage et dans un contexte de dyspnée d'origine indéterminée. Il se présente au service des urgences en raison d'une dyspnée progressive évoluant depuis 3 jours. Le bilan du service des urgences met en évidence une alcoolémie à 3,33 pour mille, des tests hépatiques perturbés ainsi qu'une thrombocytopénie. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ou d'épanchement. L'ultrason abdominal montre une cirrhose hépatique associée à une stéatose diffuse, sans décompensation ascitique. Le bilan étiologique de la dyspnée ne montre pas de signe d'origine cardiaque ou pulmonaire. Une origine mixte dans le contexte d'alcoolisation aiguë, composante psychogène, syndrome obésité-hypoventilation est évoquée et les symptômes s'amendent spontanément. Le patient, connu pour une consommation éthylique chronique, décrit avoir été abstinent depuis 4 mois avant de reprendre une consommation initialement festive le 26.12.19 puis de plus en plus importante avec perte de contrôle sur la consommation avant l'hospitalisation. Un sevrage alcoolique important est traité par Seresta jusqu'à 4x50 mg. Il est suivi par les infirmiers spécialisés en addictologie durant l'hospitalisation mais ne souhaite pas de suivi en ambulatoire. Le patient raconte être motivé à arrêter de consommer, mais ne souhaite pas de mesure de soutien supplémentaire. Une hospitalisation à Marsens pour suite du sevrage est également refusée par le patient. En l'absence de critère de PAFA, nous recommandons la poursuite d'un suivi ambulatoire. Nous expliquons à Mr. Y qu'en cas de récidives fréquentes ou de mise en danger avérée, une hospitalisation en milieu psychiatrique serait nécessaire en mode volontaire ou contre son gré. Sur le plan hématologique, la thrombocytopénie s'améliore au cours de l'hospitalisation. Selon un avis hématologique, une cause toxique sur l'alcool est retenue. Au cours de l'hospitalisation, le patient présente une infection des voies aériennes supérieures, traitée symptomatiquement. Un frottis de grippe revient négatif.L'évolution favorable permet le retour à domicile le 22.01.2020. Le Seresta est sevré jusqu'à 15 mg 1x/j et sera arrêté en ambulatoire le 24.01.2020. Mr. Y prendra un rendez-vous à votre consultation dans les jours qui suivent sa sortie pour un contrôle clinique. Mr. Y est un patient de 34 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé suite à un accident de la voie publique le 03.01.2020 (choc frontal avec une camionnette). Le scanner d'entrée met en évidence uniquement une fracture de la clavicule gauche. Le 04.01.2020, le patient présente un abdomen diffusément douloureux avec péritonisme et bénéficie d'un scanner qui met en évidence un pneumo-péritoine ainsi que du liquide libre périhépatique. Il est pris au bloc pour une laparotomie exploratrice avec résection segmentaire grêle à 50 cm du Treitz le 05.01.2020 (Dr. X). Le 09.01.2020, il bénéficie d'une réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque antérieure de sa clavicule gauche. Les suites opératoires sont simples et le patient peut regagner son domicile le 11.01.2020. Il sera reconvoqué à 6 semaines pour un contrôle post-opératoire à la consultation des chefs de clinique de chirurgie. Mr. Y, 71 ans, est adressé par son médecin traitant à la permanence de l'HFR Meyriez le 13.01.2020 en raison d'une persistance de dyspnée et de douleurs thoraciques depuis 1 semaine, sans amélioration malgré une antibiothérapie par Co-amoxicilline ainsi qu'un important syndrome inflammatoire biologique. L'électrocardiogramme montre une tachycardie sinusale à 112/min avec des ondes T négatives en V4-5-6, DIII et AVF et sous-décalage de PR dans les dérivations inférieures. Un CT-thoracique met en évidence un volumineux épanchement péricardique ainsi qu'un épanchement pleural bilatéral. Il est transféré aux urgences de Fribourg pour compléter le bilan par une échocardiographie transthoracique. Une échographie réalisée à son arrivée montre l'épanchement péricardique abondant circonférentiel, hémodynamiquement significatif mais sans signes de tamponade. Un traitement par Ibuprofène 600 mg 3x/j po est introduit pour 2 semaines, avec de la Colchicine 0.5 mg 2x/j po pour 3 mois. Afin d'exclure une étiologie bactérienne post-pneumonie, nous effectuons une ponction pleurale qui montre un exsudat à prédominance monocytaire raison pour laquelle, après discussion infectiologique, nous n'introduisons pas de traitement antibiotique. L'évolution clinique est favorable tout comme les suivis échographiques réguliers qui montrent une diminution de l'épanchement. Le prochain contrôle échocardiographique est prévu dans 1 semaine. Le séjour est compliqué d'une pyélonéphrite nosocomiale initialement traitée par Rocephin, relayée ensuite par du Bactrim en raison d'un E. Coli ESBL. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR Fribourg bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y sera transféré en réadaptation gériatrique à Tavel dès qu'une place sera disponible. Mr. Y, 71 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique en raison d'un épanchement péricardique circonférentiel d'origine indéterminée le 13.01.2020. Traitement de Co-amoxicilline 1 g x2/j du 06.01.2020 au 12.01.2020 pour suspicion de pneumonie. Le patient est adressé par son médecin traitant à la permanence de Meyriez le 13.01.2020 en raison de la persistance d'une dyspnée depuis 1 semaine, sans amélioration malgré une antibiothérapie par Co-amoxicilline ainsi qu'un important syndrome inflammatoire biologique. Le patient décrit des douleurs position et respiro-dépendantes. Cliniquement, le patient présente une décompensation cardiaque. L'électrocardiogramme montre une tachycardie sinusale à 112/min avec des ondes T négatives en V4-5-6, DIII et AVF et sus-décalage de PR dans les dérivations inférieures. Un CT-thoracique retrouve un volumineux épanchement péricardique ainsi qu'un épanchement pleural bilatéral. L'échocardiographie montre un épanchement péricardique abondant circonférentiel, hémodynamiquement significatif mais sans signes de tamponade avec une FEVG à 50-55 % et une hypokinésie de la paroi postérieure moyenne du ventricule gauche. Au laboratoire, les troponines et les CK sont dans la norme. Un traitement par Ibuprofène 600 mg 3x/j po sera à poursuivre pendant 2 semaines (dose dégressive après 1 semaine) et Colchicine 0.5 mg 2x/j po pour 3 mois. La fonction rénale devra être suivie. L'insuffisance respiratoire serait probablement liée à un syndrome coronarien vu les anomalies électriques et la présence d'une hypokinésie postérieure à l'échocardiographie. Une coronarographie est à prévoir en fonction du suivi échocardiographique. Le patient est transféré en médecine interne le 14.01.2020. Mr. Y, 68 ans, est hospitalisé pour la suite de prise en charge d'une résection de lymphome cérébral compliqué d'une hydrocéphalie et d'une ventriculite nosocomiale par surinfection d'un drain ventriculo-péritonéal. Pour rappel, le patient avait été bilanté le 10.10.2019 pour des troubles de la parole, désorientation temporale et un ralentissement psychomoteur avec mise en évidence d'une masse cérébrale. Dans ce contexte, il avait bénéficié d'une prise en charge neurochirurgicale à l'Inselspital avec résection partielle de la tumeur. L'intervention s'était compliquée par une hydrocéphalie nécessitant la mise en place d'une dérivation ventriculo-péritonéale qui a été ultérieurement retirée en raison d'une ventriculite secondaire. L'histologie avait révélé un lymphome cérébral diffus à cellules B du troisième ventricule, qui avait été initialement traité par une chimiothérapie type R-MTX-araC. En raison d'une insuffisance rénale sur toxicité de la chimiothérapie, celle-ci a été interrompue. Durant le séjour actuel, nous avons poursuivi l'antibiothérapie par Ceftriaxone, comme prévu, avec une évolution favorable. De point de vue oncologique, Mr. Y sera réévalué par nos collègues oncologues pour la mise en place d'une nouvelle chimiothérapie, ceci après son séjour en neuroréhabilitation. Lors de son séjour à l'Inselspital, une fibrillation auriculaire paroxystique avec passages en flutter auriculaire atypique et une thrombose de la veine jugulaire droite ont été mises en évidence. Malgré l'indication à une anticoagulation pour ces deux problèmes, ceci n'a pas pu être débuté au vu du contexte post-opératoire récent. Le 03.01.2019, une IRM cérébrale de suivi est effectuée, montrant la persistance d'un résidu tumoral lymphomateux dans les colonnes des fornix et de la commissure antérieure, sans autre complication. Suite à cette imagerie et après discussion des images avec l'équipe de neurochirurgie de l'Inselspital, une anticoagulation thérapeutique peut être débutée. En attendant la consultation neurochirurgicale de contrôle du 14.01.2020 suite à laquelle la décision d'une éventuelle reprise chirurgicale sera prise, nous mettons le patient sous Clexane. Afin de bilanter son état neuro-cognitif actuel, nous avons organisé un bilan neuro-cognitif qui a mis en évidence des difficultés exécutives, attentionnelles, mnésiques et d'orientation. Ces difficultés sont légères et secondaires à sa prise en charge neurochirurgicale. Un bilan d'évolution a été programmé à 6 semaines afin d'évaluer son aptitude à la conduite automobile qui lui est interdite dans l'intervalle.Un séjour de neuro-réhabilitation est organisé, pour permettre au patient une récupération neuro-cognitive optimale. Mr. Y est transféré en neuro-réhabilitation à l'HFR Meyriez le 07.01.2020. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour une décompensation de BCPO stade IV sur infection à .... Ce patient de 67 ans présente une récente péjoration de sa dyspnée accompagnée d'expectorations purulentes sans EF associé. Mr. Y est un patient de 81 ans qui est admis suite à un état fébrile. Pour rappel, Mr. Y est connu pour les comorbidités susmentionnées et est amené au service des urgences par son fils pour un état fébrile avec confusion. Le patient avait déjà été hospitalisé en gériatrie le 26.11.2019 après une infection urinaire après un changement de sonde urinaire à demeure. Au status d'entrée, nous retrouvons un patient confus mais toutefois calme et collaborant, normotendu, normocarde avec un état fébrile à 39.3°C. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont sensibles à la percussion des deux côtés. Le reste de l'examen reste sans particularité. Nous posons alors le diagnostic d'une récidive ou d'une persistance d'urosepsis sur pyélonéphrite bilatérale. Nous retrouvons également une bactériémie à Escherichia Coli sur un prélèvement d'hémoculture effectué le 07.12.2019, qui n'est plus retrouvée sur les paires d'hémocultures suivantes. Le bilan biologique du 07.12.2019 retrouve un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 13.5 G/l accompagné d'une déviation gauche et une CRP à 178 mg/l. Une antibiothérapie sous Meropenem est instaurée à 1 g 2x/jour du 07.12.2019 au 09.12.2019 relayée par la Rocéphine 1 g en intra-veineux 1x/jour du 10.12.2019 au 16.12.2019 avec une bonne évolution clinique et biologique. Au vu d'un contexte avec des infections urinaires récidivantes, nécessitant des hospitalisations à répétition, nous introduisons une antibiothérapie prophylactique par Bactrim 3x/semaine pendant une période de minimum de 6 mois et nous vous laissons le soin d'évaluer une éventuelle prolongation de ce traitement. Le reste du bilan biologique montre une péjoration de la fonction rénale durant le séjour avec une créatinine à 234 µmol/l le 12.12.2019, pour laquelle nous retenons une insuffisance rénale chronique acutisée probablement par une déshydratation. Suite à la mise en suspens temporaire du traitement diurétique et à une hydratation en intra-veineux, la fonction rénale se corrige durant le séjour. La valeur de la créatinine à la sortie est à 97 µmol/l et nous vous proposons un contrôle de la fonction rénale à distance. Pendant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. Le patient peut marcher sur une distance de 140 mètres avec l'aide d'un rollator et 4 pauses assises et peut gravir 9 marches thérapeutiques (monter et descendre) avec l'aide de 2 rampes. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 46/126 par rapport à 41/126 à son entrée (MIF physio : transferts 5/7, déplacements 5/7, escaliers 2/7). Le TUG n'est pas réalisé. Le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence déjà diagnostiquée lors de la précédente hospitalisation, comme le démontre un NRS à 4. Mr. Y bénéficie de nouveau d'un enseignement ainsi que de suppléments nutritifs oraux. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage cognitif n'ont pas pu être réalisés, en raison du manque de collaboration du patient. Le 27.12.2019, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile (1x/semaine pour l'évaluation, 1x/semaine pour la tension artérielle et le poids puis 2x/jour pour les soins de base) ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est un patient de 67 ans qui est hospitalisé à nouveau, pour des douleurs abdominales épigastriques, pour laquelle une ERCP avait été réalisée le 23.12.2019 avec papillotomie. Dès lors, le patient présente à nouveau des épisodes de douleurs abdominales épigastriques avec sensation de reflux pour laquelle il est mis au profit d'un traitement par Pantozol 40 mg 2 fois par jour avec traitement d'Alucol en réserve. L'évolution clinique est par la suite favorable et la surveillance biologique est sans particularité, tout comme les tests hépatiques et biliaires. Le patient retourne à domicile le 28.12.2019 avec un contrôle ambulatoire par la suite par son médecin de famille et à la consultation du Dr. X comme planifié. Mr. Y, 84 ans, connu pour des troubles cognitifs d'origine mixte et une hydrocéphalie à pression normale est hospitalisé dans un contexte de faiblesse progressive et de troubles du comportement en progression au domicile. L'hétéro-anamnèse rapporte également des chutes à répétition depuis plusieurs semaines, la dernière le 29.12.2019 avec traumatisme crânien associé, sans perte de connaissance. Le patient présente également une péjoration de la mémoire et une augmentation des troubles de la marche et de l'équilibre depuis des mois. Du point de vue neurologique, le patient présente une péjoration des troubles neurodégénératifs d'origine mixte avec probablement une composante de progression de l'hydrocéphalie à pression normale. Au CT et à l'IRM cérébraux, on ne retrouve pas d'argument pour un événement hémorragique ou ischémique, on retrouve par contre une progression de l'hydrocéphalie à pression normale. Le bilan neuropsychologique montre une nette aggravation des performances dans tous les domaines cognitifs par rapport au dernier bilan de 2017. Une ponction lombaire soustractive est effectuée le 09.01.2020. L'évaluation par le physiothérapeute et l'observation par l'équipe soignante ne montrent pas de réelle amélioration post-ponction. Dans ce contexte, nous suggérons de ne pas répéter cet examen à l'avenir au vu de l'absence de bénéfice. Au vu de la sévérité des troubles cognitifs, un colloque familial a lieu le 10.01.2020. La situation étant actuellement gérable à domicile pour l'épouse du patient, la famille est demandeuse d'un retour à domicile avec encadrement, ce que nous organisons. Concernant les activités de la vie quotidienne, le patient est relativement autonome pour la réalisation de la plupart d'entre eux mais nécessite une supervision et une guidance importante. Concernant les troubles de la marche, une IRM est réalisée et retrouve un pincement de la racine L5. Étant donné les comorbidités du patient et l'absence de réelle symptomatologie, nous ne procédons pas à des investigations supplémentaires. Une supplémentation en vitamine D est mise en place, ainsi que des séances de physiothérapie et d'ergothérapie permettant une amélioration de l'équilibre. Mr. Y peut rentrer à domicile le 15.01.2020, en bon état général, en compagnie de son épouse. Mr. Y est un patient de 49 ans, en bonne santé habituelle, qui est rapatrié d'Italie suite à un polytraumatisme après un accident de moto. Il présente notamment un large pneumothorax à droite pour lequel il bénéficie de la mise en place de 2 drains thoraciques (en Italie) ainsi que des fractures costales en série sans volet à droite. Le bilan à Fribourg met en évidence une bulle d'emphysème au niveau apical à droite, raison pour laquelle il bénéficie d'une bullectomie avec talcage le 10.01.2020 sans complication post-opératoire. Les suites sont marquées par une évolution favorable, permettant un retour à domicile le 14.01.2020. Le patient bénéficie de physiothérapie ambulatoire et sera revu à la consultation du Dr. X le 06.03.2020 et est invité à reconsulter en cas de péjoration de sa symptomatologie.Mr. Y se présente aux urgences en raison de lombalgies suite à une chute lors de son match de hockey le 11.01.2019. Un status clinique ciblé ne permettant pas d'exclure une atteinte osseuse, nous effectuons un bilan radiologique. Les différentes radiographies ne montrent pas de fractures ou de défaut de position de la colonne vertébrale. Nous diagnostiquons une contracture para-vertébrale lombaire gauche que nous traitons conservativement par Dafalgan et AINS. Le suivi se fera chez le médecin traitant. Le patient est invité à reconsulter si persistance de la symptomatologie ou péjoration subite des symptômes. Mr. Y, âgé de 57 ans, est hospitalisé pour une agranulocytose fébrile sans foyer clinique. Le patient présente dans la suite de sa chimiothérapie de type R-DHAP, reçue durant l'hospitalisation du 13.01 au 15.01.2020, un état fébrile. À l'admission, le patient ne présente pas de plainte hormis deux épisodes de selles liquides. Le status est sans particularité. Le bilan biologique montre une agranulocytose ainsi qu'un syndrome inflammatoire. Nous débutons une antibiothérapie par Céfépime jusqu'à la sortie de l'agranulocytose. Il bénéficie d'un soutien transfusionnel. Le patient rentre le 27.01.2020 à domicile. Mr. Y est connu depuis 2015 pour une leucémie lymphoïde chronique qui a évolué en lymphome à cellules B de type DLBCL (syndrome de Richter) en novembre 2019. Le patient a reçu 2 cycles de chimiothérapie RCHOP en novembre et décembre 2019. Comme le PET-CT du 30.12.2019 n'a mis en évidence qu'une légère diminution de la captation au niveau des lésions lymphomateuses rétropéritonéales (environ 33 %), il est hospitalisé pour un 1er cycle de chimiothérapie par RDHAP le 13.01.2020. La chimiothérapie se déroule sans complication clinique ni biologique. Mr. Y sera revu par le Dr. X le 22.01.2020. Un 2ème cycle de chimiothérapie par RDHAP est prévu le 10.02.2020. Mr. Y est un patient de 74 ans, qui se présente pour des douleurs abdominales depuis 10 jours avec péjoration sur les dernières 24 heures aux urgences de Meyriez. Un CT abdominal est effectué et met en évidence une thrombose veineuse mésentérique supérieure avec un épaississement circonférentiel de stase d'environ 20 cm d'iléon moyen et distal. Le patient est transféré à Fribourg le jour même. Une anticoagulation thérapeutique par Héparine est initiée et des contrôles cliniques et biologiques réguliers sont effectués. Le 01.01.2020, le patient démontre une nette diminution des douleurs abdominales et une reprise alimentaire est entreprise. Les suites cliniques et biologiques sont simples, permettant un relais per os de l'anticoagulation par Xarelto le 04.01.2020 et un retour à domicile le 06.01.2020. À noter que l'origine même du thrombus n'est pas claire. Anamnestiquement, le patient ne présente pas de troubles de la coagulation, pas de perte de poids ou autres symptômes B ni de maladie tumorale intestinale familiale. Nous suggérons une nouvelle colonoscopie dans les prochaines semaines ainsi qu'un contrôle clinique et laboratoire chez le médecin traitant dans une semaine. Le patient sera revu à la consultation des chefs de cliniques le 23.01.2019. Mr. Y, âgé de 87 ans, est hospitalisé pour anémie macrocytaire hyporégénérative à 61 g/l. Le patient présente une fatigue progressive depuis plusieurs mois, avec dyspnée de stade NYHA 3 et faiblesse des membres inférieurs, majorées depuis une semaine. Vous nous adressez le patient en raison d'une anémie à 68 g/l nouvelle, constatée lors d'un contrôle clinico-biologique pour probable bronchite en décours. Sur bicytopénie et absence de carence vitamino-ferrique au bilan biologique, un syndrome myélodysplasique semblerait être à l'origine de l'anémie. Selon avis hématologique et après discussion avec la famille, une biopsie de moelle osseuse n'est pas réalisée à titre diagnostique au vu des coûts-bénéfices et de l'absence d'implication dans la prise en charge clinique. Un soutien transfusionnel seul est indiqué, avec transfusion de 4 culots érythrocytaires durant le séjour hospitalier. Un suivi rapproché de la formule sanguine est proposé en ambulatoire avec transfusion en dessous de valeurs d'hémoglobine inférieures à 85 g/l. Enfin, au vu d'une corticothérapie itérative pour maladie d'Horton, couplée d'une antiagrégation plaquettaire avec chute marquée de l'hémoglobine, une spoliation digestive est de même suspectée, avec organisation de gastroscopie en ambulatoire et majoration dans l'intervalle du traitement par Pantoprazol. Une correction de l'insulinothérapie est réalisée selon valeurs glycémiques, avec suivi prévu à domicile par l'infirmière en diabétologie et adaptation du traitement par le service de diabétologie. Mr. Y, patient de 57 ans, connu pour une hypertension artérielle mal contrôlée, est hospitalisé dans un contexte d'AVC hémorragique thalamique gauche. Il présente le 20.12.2019 vers 11h30 un hémisyndrome sensitivo-moteur droit d'apparition soudaine, après avoir pris du Sildénafil. À l'admission, la tension systolique est mesurée à plus de 220 mmHg. Au niveau clinique, le score NIHSS est estimé à 8 points avec une dysarthrie et aphasie légère, un hémisyndrome moteur droit avec une ataxie du MID. Le CT cérébral montre une lésion hémorragique au niveau du thalamus gauche. Il bénéficie d'une surveillance monitorée aux soins intensifs avec initialement des difficultés à stabiliser son profil tensionnel qui se normalise par la suite. Nos collègues de neurochirurgie ne retiennent pas d'indication opératoire. Une imagerie de contrôle est réalisée à 6 heures du début des symptômes et montre une stabilité de la lésion hémorragique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre un remodelage concentrique sans autres anomalies structurelles significatives. Nous suspectons une étiologie hypertensive à cet AVC hémorragique, avec une composante de mauvaise compliance médicamenteuse (TTT habituels à vérifier avec le médecin traitant). Le traitement antihypertenseur est majoré au cours du séjour, permettant un bon contrôle des tensions artérielles. Un suivi de la fonction rénale ainsi qu'un suivi ophtalmologique seront à effectuer en ambulatoire, dans le cadre du bilan des complications secondaires de l'HTA (bilan ophtalmologique demandé). De plus, Mr. Y sera reconvoqué en ambulatoire pour une polygraphie du sommeil à la recherche d'un SAOS. À noter que le patient bénéficiait d'un traitement par Aspirine, qui a été interrompu dans le contexte hémorragique. N'ayant pas pu joindre le médecin traitant durant le séjour, nous vous proposons de rediscuter l'indication de l'antiagrégation, qui sera à réintroduire au plus tôt à 4 semaines de l'événement. Au service des urgences, Mr. Y présente un globe urinaire, nécessitant la pose de sonde urinaire. Les deux tentatives de retrait se soldent par des échecs, avec nécessité de repose d'une sonde. Un traitement de spasmo-urgénine est instauré, puis remplacé par de la Tamsulosine dès le 01.01.2020. Lors de la dernière tentative de sevrage, le patient développe une infection urinaire basse à E. Coli, traitée initialement par Ceftriaxone puis Co-amoxicilline. Sur avis urologique, nous effectuons une nouvelle tentative de sevrage le 05.01.2020, qui se déroule sans complication. Nous vous proposons de poursuivre le suivi clinique et de prévoir une consultation en urologie en cas de persistance d'une gêne urinaire ou d'une récidive de globe urinaire. Le séjour est marqué par plusieurs épisodes d'hématochézies sans chute de l'hémoglobine. Mr. Y ayant déjà présenté des symptômes identiques à domicile. Nous proposons la réalisation d'une colonoscopie en ambulatoire.La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée selon le bilan neuropsychologique et sera réévaluée durant le séjour à l'HFR Meyriez, en fonction de l'évolution et du bilan ophtalmologique éventuellement. Une consultation neurovasculaire de contrôle est agendée à trois mois, en neurologie à l'HFR. Si le suivi est finalement poursuivi à l'HFR Meyriez, nous laissons le soin à nos collègues de la réadaptation d'annuler ce rendez-vous. L'évolution clinique est favorable avec persistance d'un discret hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural droit ataxiant (NIHSS à 4 points). Mr. Y est transféré en neuroréadaptation intensive à l'HFR Meyriez le 06.01.2020. Mr. Y est un patient de 78 ans, connu pour les antécédents cardiologiques susmentionnés, qui est hospitalisé en électif le 02.12.2019 pour une cholécystectomie laparoscopique. L'intervention est effectuée le jour même de l'hospitalisation et se déroule sans complication. Les suites postopératoires sont marquées par des troubles à la parole dès le réveil. Un scanner cérébral effectué en urgence ne retrouve pas d'événement ischémique ou hémorragique. Sur avis de nos collègues du service de neurologie, un AIT est tout de même retenu. Le lendemain de l'opération, le patient présente des douleurs rétrosternales. Un ECG ainsi qu'une cinétique négative de troponines permettent d'exclure une origine cardiaque. Un globe urinaire en postopératoire nécessite la mise en place d'une sonde urinaire. L'évolution du point de vue abdominal est favorable avec des douleurs bien supportables, des plaies calmes avec une réalimentation tolérée sans problèmes et une évolution biologique favorable. Au vu des complications cardiovasculaires en postopératoire, le patient est transféré dans le service de médecine le 04.12.2019. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour surveillance après thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne à G par patch de Xénopéricarde. Ce patient de 87 ans est hospitalisé depuis le 19.12.19 pour un AVC ischémique gauche, dont le bilan avait mis en évidence une sténose carotidienne gauche à 60%, ainsi que de multiples foyers d'AVC, motivant l'indication à une prise en charge chirurgicale. L'hospitalisation s'est compliquée par une pneumonie nosocomiale traitée par Tazobac avec une bonne évolution. Il bénéficie ce jour de l'intervention susmentionnée sous anesthésie générale. L'intervention se passe sans complication chirurgicale ni anesthésique. La tension artérielle est bien contrôlée par Labétalol iv, puis par le traitement habituel de Lisinopril. Le pansement est propre. L'examen neurologique est superposable. Le patient est transféré dans le service de chirurgie le 05.01.2020. Mr. Y est un patient de 87 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui nous est transféré par Riaz suite à une faiblesse de la jambe et du bras droit d'apparition subite le 19.12.2019. L'angio-CT cérébral réalisé à l'entrée des urgences met en évidence une sténose à 60 % de la carotide interne gauche mais sans AVC formé et l'IRM du 20.12.2019 met en évidence de multiples foyers d'AVC ischémiques gauche, raison pour laquelle le patient est transféré aux soins intensifs du 19.12.2019 au 20.12.2019 pour une surveillance neurologique. La surveillance hémodynamique aux soins est stable et la surveillance neurologique est superposable avec un NIHSS à 3. L'indication à une thrombendartériectomie de la carotide interne gauche est posée. À son transfert, le patient, connu pour une BPCO stade IV, présente une clinique de pneumonie avec un état fébrile le 22.12.2020. Un traitement par Tazobac 4.5 g 3x/j pendant une semaine est débuté et la prise en charge chirurgicale est différée au 04.01.2020. Le patient bénéficie d'une thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne à gauche avec un patch Xénopéricarde le 04.01.2020. L'intervention se déroule sans complication. En post-opératoire, le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique du 04.01.2020 au 05.01.2020. Les suites opératoires sont marquées par l'ajustement de la tension artérielle chez un patient connu pour une hypertension artérielle par Labétalol en intraveineux, puis par le traitement habituel de Lisinopril aux soins intensifs. Afin de maintenir un profil tensionnel avec une tension artérielle systolique inférieure à 130 mmHg, nous continuons le Lisinopril seul, qui permet un contrôle adéquat de la tension artérielle. Durant son hospitalisation, Mr. Y présente une évolution favorable des symptômes neurologiques avec un NIHSS à 0 le 04.01.2020. Le traitement antiagrégant plaquettaire par Aspirine seule est poursuivi en post-opératoire. Par la suite, le patient évolue favorablement, permettant un retour à domicile le 09.01.2020. Il sera revu à la consultation d'angiologie le mercredi 8 avril à 9h00 et en chirurgie vasculaire à 11h30 (Dr. X) pour un contrôle post-opératoire. Mr. Y, 73 ans, connu pour une cirrhose d'origine éthylique diagnostiquée en 2018, est adressé aux urgences par sa fille en raison d'une baisse de l'état général avec confusion nouvelle associée à une augmentation du périmètre abdominal et à des œdèmes des membres inférieurs. À l'examen clinique, on retrouve un patient en état général diminué, présentant des œdèmes généralisés, de nombreux hématomes, de l'ascite et des signes d'encéphalopathie. Nous diagnostiquons une décompensation œdémato-ascitique d'une cirrhose CHILD C d'origine éthylique qui a été bilanée en 2018. Un ultrason abdominal permet d'écarter une thrombose de la veine porte et montre un foie d'allure cirrhotique avec des signes indirects d'hypertension portale. Un traitement par Aldactone, Torasemide et Duphalac est débuté, permettant une disparition des œdèmes et une amélioration clinique. Du Konakion est introduit, puis stoppé au vu d'une non-correction de la crase. Une ponction d'ascite diagnostique permet d'exclure une péritonite bactérienne spontanée. Au vu d'un score de Maddrey à 37%, une corticothérapie est introduite dès le 10.01.2020. Malgré un score de Lille le 17.01.2020 à 0.628 points, signifiant une absence d'amélioration sous corticothérapie, nous décidons, en raison de la nette amélioration clinique sous traitement, de poursuivre la corticothérapie pendant 1 mois, puis de l'arrêter avec un schéma dégressif. Une antibioprophylaxie par Norfloxacine est également introduite. En décembre 2018, une gastroscopie avait été proposée pour exclure des varices œsophagiennes, toutefois celle-ci n'a pas eu lieu au vu des comorbidités. En raison d'une probabilité importante de varices œsophagiennes (signes indirects d'hypertension portale, gradient albumine sérum/ascite 18 g/l), nous introduisons une thérapie par Indéral. Le patient présente en début d'hospitalisation un état fébrile intermittent, sans foyer clinique, et récidivant avec une hyper-éosinophilie transitoire. L'origine est peu claire mais une piste médicamenteuse est suspectée, notamment sur la Co-Amoxicilline introduite à son arrivée au vu d'une suspicion dermohypodermite des membres inférieurs. Les hémocultures reviennent négatives ainsi que les cultures d'urine, d'ascite et la recherche de parasites dans les selles. Un contrôle de la formule sanguine est prévu à distance de l'hospitalisation. D'un point de vue cognitif, le bilan neuropsychologique retrouve des troubles neurocognitifs majeurs d'intensité légère à moyenne d'origine multifactorielle : neuro-dégénérative, toxico-métabolique et vasculaire. L'évaluation montre que le patient n'est pas capable de comprendre les éléments pertinents à son état de santé actuel, d'en apprécier les implications et d'exprimer un choix. Dans ce sens, il n'a pas sa capacité de discernement par rapport au choix de son lieu de vie. Un placement dans un home est décidé après discussion avec les filles du patient. Une attente de décision par la justice de paix pour mise en place d'une curatelle de portée générale (demandée par la fille du patient) est en attente.Mr. Y peut être reclassé le 16.01.2020 en attente d'un placement dans un home. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant qu'il a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 78 ans qui se présente aux urgences avec des douleurs abdominales en fosse iliaque droite en péjoration depuis cinq jours, accompagnées de diarrhées et de nausées sans vomissement. Le bilan clinique, biochimique et le scanner révèlent une pancolite qui est prise en charge de manière conservatrice avec une antibiothérapie. Les douleurs, ainsi que le syndrome inflammatoire en régression, Mr. Y peut rentrer à domicile le 27.01.2020 dans un bon état général. Le patient sera vu en consultation gastroentérologique pour une coloscopie dans 4 semaines sur convocation à domicile. Une découverte fortuite d'une plaque athéromateuse dans l'aorte abdominale motive une prise en charge vasculaire, ainsi Mr. Y sera vu par Dr. X le 18.02.2020 à 10:30. Mr. Y, connu pour un lymphome folliculaire à grande cellule B, hospitalisé du 07.11 au 23.12.2019 pour deux chimiothérapies de rattrapage par RDHAP puis par G-ICE, est hospitalisé pour une probable dermo-hypodermite périorbitaire à prédominance gauche. Pour rappel, le patient avait bénéficié en octobre 2019 d'une cytoponction au niveau zygomatique gauche et d'un ganglion occipital qui a permis le diagnostic de DLBCL. Une radiothérapie locale a été effectuée du 26.11 au 12.12.2019. A l'entrée, le patient présente une tuméfaction douloureuse avec impossibilité d'ouverture de l'œil gauche. Une lésion du tissu sous-cutané est visualisée au CT cérébral sans signe d'atteinte de la graisse périoculaire ni d'abcès, les glandes lacrymales ne sont pas obstruées. Il n'y a pas d'atteinte neurologique. Le bilan biologique rapporte un syndrome inflammatoire, une antibiothérapie par clindamycine est initialement instaurée et sur péjoration de l'état clinique avec apparition de sécrétion et croûte purulente associée à un pic fébrile à 40°, rapidement complété par de la Cubicin et Azactam. Une prophylaxie antiherpétique est également débutée. Les hémocultures, prélevées à froid puis à chaud, se révèlent négatives à 5 jours. Un CT-scan cervico-thoraco-abdominal réalisé le 06.01.2020 dans un but initial de suivi oncologique met en évidence une majoration de la dermohypodermite de l'hémiface gauche se prolongeant dans la partie crâniale du cou par rapport au 01.01.2020. L'évolution biologique montre une nette diminution du syndrome inflammatoire, l'évolution clinique montre elle une diminution de l'inflammation, avec un status local restant cependant mauvais et compliqué d'une abcédation et extériorisation de pus le 09.01.2020. Un frottis de la plaie ne retrouve pas de germe. Une IRM du neurocrâne est réalisée le 09.01.2020 et confirme la présence d'un abcès sous-cutané périorbitaire gauche sans abcédation de l'orbite ou du cerveau. La gestion de cet abcès, dans ces tissus altérés (radiothérapie, lymphome) nécessite selon nous l'avis de la chirurgie maxillo-faciale et des plasticiens dans une optique multidisciplinaire. Sur le plan oncologique, il est prévu que Mr. Y bénéficie d'une autogreffe de consolidation (à l'Inselspital, Prof. X) après un dernier cycle de chimiothérapie de rattrapage par G-ICE (suivi d'un nouveau PET-CT). Le dernier cycle de chimiothérapie par G-ICE, prévu initialement le 10.01.2020 ne peut être réalisé en raison d'un contexte infectieux. Cependant le patient bénéficie d'une injection de Gazyvaro seul 1000 mg IV le 11.01.2020. Au vu de l'évolution clinique et de la nécessité probable d'une prise en charge interventionnelle de l'abcès au niveau sous-orbitaire gauche, une discussion pluridisciplinaire convient d'un transfert à l'Inselspital de Berne le 14.01.2019 en accord avec le Prof. X, pour la suite de la prise en charge. Mr. Y évolue plutôt bien avec absence de déficit neurologique. Le diagnostic différentiel de spondylodiscite est actuellement au second plan. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois, le patient nous recontactera en fonction de l'évolution de son épouse pour fixer le rdv. Mr. Y est un patient de 59 ans qui est hospitalisé pour prise en charge d'un cholangio-sepsis avec bactériémie sur obstruction de son stent biliaire, en place dans le cadre de son adénocarcinome connu du pancréas. Il bénéficie en urgence le 04.01.2020 d'une ERCP avec changement du stent biliaire avec bonne évolution clinique et biologique. Les hémocultures reviennent positives à Klebsiella aerogenes et Enterococcus faecium et sur avis infectiologique, le patient est mis au profit d'un traitement par Meropenem également avec bonne évolution clinique et biologique. Le patient devait bénéficier le lundi 06.01.2020 d'une chimiothérapie auprès de Dr. X, qui a été annulée. Son oncologue lui a rendu visite durant son hospitalisation et a convenu d'un nouveau rendez-vous ambulatoire par la suite. Le patient est vu par nos collègues ophtalmologues le vendredi 10.01 pour prise en charge d'une cataracte et sera également suivi en ambulatoire par la suite. Le rendez-vous à l'Hôpital de Bern le lundi 13.01.2020 est maintenu après contact avec ces derniers. Le patient retourne à domicile le 11.01.2020. Mr. Y consulte à la permanence suite à une coupure sur son lieu de travail à Micarna. Nous prenons en charge la plaie par désinfection par Octanisept, exploration, colle, pansement. Le patient est informé sur les signes infectieux locaux à surveiller et est invité à chercher de l'aide médicale si apparition de ces symptômes. Il reçoit un justificatif pour le travail et un rappel du tétanos. Mr. Y, patient de 62 ans, connu pour un lupus et un tabagisme actif, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique sylvien sous-cortical droit. Pour rappel, il présente le 25.01.2020 à 10h30 un manque du mot avec dysarthrie et trouble de la coordination du membre supérieur gauche. Aux urgences, le NIHSS est à 6 en raison d'une aphasie et dysarthrie légère, d'une diminution de la force du membre supérieur gauche et d'une légère parésie faciale droite. Le CT cérébral révèle une discrète asymétrie avec hypovascularisation de la corona radiata postérieure droite et du bras postérieur de la capsule interne. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une lyse intraveineuse. L'évolution neurologique est initialement favorable avec une nette régression des symptômes. Le CT cérébral à 24h ne montre pas de transformation hémorragique. Le 26.01.2020, le patient présente une clinique fluctuante avec plusieurs épisodes transitoires de récidives des symptômes. Un nouveau CT cérébral est réalisé en urgence et ne montre pas de transformation hémorragique. L'IRM confirme un AVC ischémique dans le corps du noyau caudé et s'étendant au bras postérieur de la capsule interne et au noyau lenticulaire à droite sans transformation hémorragique.Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une discrète hypertrophie concentrique avec une fonction contractile segmentaire et globale normale et sans autre anomalie structurelle. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. L'étiologie reste indéterminée. Une origine secondaire au lupus ne peut être exclue, le dermatologue suivant le patient pour son lupus est malheureusement absent lors du séjour et ne peut pas nous informer sur le niveau d'activité actuel du lupus. Dans ce contexte, un bilan hématologique est réalisé avec notamment dosage des anticorps. En cas de positivité, les résultats devraient être répétés pour confirmation après 6 semaines et une anticoagulation réévaluée en cas de confirmation. Le patient se rendra en consultation chez son dermatologue à la sortie de l'hôpital. Nous évoquons en DD une origine microangiopathique mais la lésion dépasse le diamètre de 20 mm ce qui est atypique. Sur le plan médicamenteux, une simple anti-agrégation par Aspirine est initiée avec relai par Plavix 75 mg/j à poursuivre au long cours. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Du point de vue neuropsychologique, le bilan montre une héminégligence à un test uniquement, contre-indiquant toutefois la reprise de la conduite et de l'activité professionnelle pour le moment. Le patient sera convoqué à 4 semaines pour réévaluer ces aspects. Du point de vue ergothérapeutique, le patient présente des troubles de la motricité fine légers, toutefois en amélioration et ne contre-indiquant pas une reprise professionnelle et ne justifiant pas un suivi en ambulatoire. À noter un nodule thyroïdien de découverte fortuite au CT. Le bilan thyroïdien est dans les normes. Une consultation en endocrinologie avec US thyroïdien est prévue le 10.02.2020. À noter également l'apparition de douleurs au coude droit et au pied droit sans signe inflammatoire de bonne évolution sous anti-inflammatoires et pour lesquels le patient se rendra en contrôle à votre consultation. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie montrant uniquement une diminution de la motricité fine du membre supérieur gauche. Mr. Y peut regagner son domicile le 30.01.2020. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y, 62 ans, est admis aux soins intensifs pour un AVC ischémique à droite le 25.01.2020, traité par lyse intraveineuse. Ce patient, connu pour un lupus, présente une aphasie et un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche le 25.01.2020 à 10h30, raison pour laquelle il consulte les urgences de Tavel, avant d'être transféré aux urgences de Fribourg. Le NIHSS initial est à 6 (aphasie légère, dysarthrie légère, diminution de la force du membre supérieur gauche, légère parésie faciale droite). L'angio-CT cérébral réalisé en urgence montre une discrète asymétrie avec hypovascularisation de la corona radiata postérieure droite et du bras postérieur de la capsule interne, sans hémorragie. Une lyse intraveineuse a été effectuée le 25.01.2020 à 12h17. L'évolution neurologique après la lyse est initialement favorable avec une nette régression des symptômes (légère ataxie du membre inférieur gauche mais disparition de la dysarthrie, et de l'hémisyndrome moteur). Un traitement de Labétalol intraveineux est mis en place transitoirement pour le contrôle de la tension artérielle. Un traitement d'aspirine est instauré 24h post-lyse après réalisation d'un CT cérébral natif qui ne montre pas de transformation hémorragique et montre des signes d'AVC ischémique constitué dans le territoire précédemment décrit. Le 26.01.2020, il présente plusieurs épisodes transitoires de réapparition des symptômes (dysarthrie, parésie du membre supérieur gauche). Un nouveau CT cérébral est réalisé en urgence, qui ne montre pas d'hémorragie. L'IRM le 27.01 confirme un AVC ischémique dans le territoire lenticulo-strié droit, sans transformation hémorragique. Le bilan étiologique montre une hémoglobine glyquée et un bilan lipidique dans la norme. Un Holter et une échocardiographie ont été demandés. Dans le contexte du lupus, nous dosons les anticorps anti-phospholipides, anti-cardiolipines, bêta-2-glycoprotéine et l'homocystéine, dont les résultats sont en cours. Le patient est transféré en unité Stroke non monitorisée le 27.01.2020. Mr. Y, 69 ans, connu pour fibrillation auriculaire, est amené au service des urgences en ambulance pour un état fébrile à 40,1° avec des troubles de l'état de conscience objectivés par sa femme. Une radiographie thoracique ne met pas en évidence de foyer pulmonaire. Des hémocultures et un urotube sont prélevés et une antibiothérapie par Rocéphine est introduite. Le patient est transféré en médecine le jour même. Les hémocultures reviennent positives pour un Lactobacillus paracasei le 22.12.2019 et sur avis de Dr. X, nous changeons l'antibiothérapie pour de la Co-Amoxicilline intraveineuse et organisons un CT-abdomino-pelvien à la recherche de foyer abdominal. Le scanner met en évidence un abcès splénique. Après 10 jours de traitement, l'abcès est en diminution au scanner de contrôle. En accord avec nos collègues infectiologues, Mr. Y est mis au bénéfice d'un traitement d'Avalox oral pour un minimum de 4 semaines pour permettre son retour à domicile. La durée de l'antibiothérapie et les modalités de contrôle radiologique seront à déterminer lors de la consultation de suivi auprès de Dr. X en ambulatoire. Un ECG de contrôle du QT est prévu le 07.01.2020 avant la consultation d'infectiologie afin de suivre un éventuel QTc long sous Avalox. L'insuffisance rénale aiguë objectivée à l'entrée évolue favorablement après hydratation. Le CT-scan du 23.12.2019 met également en évidence une diverticulose pancolique avec une diverticulite sigmoïdienne et un abcès périsigmoïdien de petite taille. La situation évolue favorablement au cours de l'hospitalisation sur le plan clinique et radiologique. Nous vous proposons de réaliser une colonoscopie à distance de l'hospitalisation. Mr. Y rentre à domicile le 04.01.2020 avec un contrôle en infectiologie prévu le 07.01.2020. Mr. Y, 74 ans, est adressé aux urgences du HFR par son médecin traitant suite à la mise en évidence d'un épanchement pleural important associé à une perte de poids et une fatigue. Le CT-thoracique met en évidence une masse hilaire droite qui occlut la bronche souche du lobe moyen associée à un volumineux épanchement pleural droit avec un épaississement de la plèvre. Un bilan d'extension par CT abdominal montre de nombreuses lésions hépatiques ainsi qu'une lésion ostéolytique L3. À noter une lésion surrénalienne droite connue et stable parlant en faveur d'un adénome. L'analyse du liquide de la ponction du liquide pleural met en évidence des cellules d'un adénocarcinome d'origine broncho-pulmonaire. Le bilan à la recherche de la mutation EGFR et ALK ainsi que l'expression du PD-L1 est en cours. Le patient sera convoqué en oncologie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y rentre à domicile le 27.01.2020. Mr. Y, 78 ans, est admis aux soins intensifs dans un contexte postopératoire de fracture vertébrale L1 instable d'origine traumatique compliquée d'une parésie proximale des membres inférieurs sur compression médullaire et traitées par décompression Th11-L1, évacuation d'hématome et stabilisation Th11-L3 le 08.01.2020.Ce patient, connu pour une spondylarthrite ankylosante, se présente aux urgences de l'HFR Meyriez le 07.01.2020 en raison des lombalgies et des troubles de la marche évoluant depuis une chute de sa hauteur en mi-décembre 2019, d'origine probablement mécanique sur perte d'équilibre, avec évolution défavorable malgré des antalgiques prescrits par le médecin traitant. Selon sa conjointe, les deux jours avant son admission, le patient a présenté également des pertes urinaires. Le CT de la colonne lombaire effectué à Meyriez montre une fracture du corps vertébral L1 instable, l'indication à une fixation chirurgicale est posée par les neurochirurgiens et le patient est transféré à Fribourg le 08.01.2020. Durant la surveillance neurologique en division de chirurgie, il développe une parésie proximale des membres inférieurs le 08.01.2020 et il est pris au bloc opératoire en urgence. À noter qu'une IRM de la colonne lombaire a été refusée par ce patient claustrophobe malgré des explications effectuées sur les risques encourus. Le status per-opératoire montre une thrombose veineuse traumatique avec formation d'hématome en regard du L1 traitée par décompression Th11-L1, évacuation d'hématome et stabilisation Th11-L3. À son arrivée aux soins intensifs, le patient est hémodynamiquement stable. Le status neurologique des membres inférieurs est en discrète amélioration avec sensibilité intacte, absence de trouble sphinctérien et force M1 proximal à droite et M2 proximale à gauche. La surveillance neurologique se révèle sans particularité avec une légère amélioration du status à la sortie (M1+ à D, M2 à G). La surveillance hémodynamique se révèle également normale. L'antalgie a été assurée par du paracétamol et de la morphine en réserve. Un traitement laxatif permet un transit conservé. Sur avis chirurgical, la mobilisation selon tolérance est possible dès le premier jour postopératoire. De la physiothérapie de mobilisation est également prescrite. Une imagerie de la colonne vertébrale de contrôle (CT versus IRM sous sédation/anesthésie) sera organisée prochainement. Un bilan de troubles de la marche et de l'équilibre, d'ostéoporose ainsi que la recherche de métastases osseuses chez un patient avec des antécédents d'adénocarcinome prostatique doit être envisagé dans le futur. Le patient peut être transféré en division de chirurgie le 09.01.2020. Mr. Y est un patient de 58 ans, connu pour un canal lombaire étroit L2-L3 opéré en 2017 à Berne, qui a chuté ce matin même dans les escaliers, avec réception sur les fesses et la région lombaire. Il a ensuite travaillé toute la journée malgré des douleurs lombaires qui ont pu être gérées par du Dafalgan (le patient travaille comme carreleur). Ce soir vers 18h15, suite à une flexion antérieure pour ramasser quelque chose, le patient présente un blocage, raison pour laquelle il consulte aux urgences. À l'examen clinique, douleur à la palpation paravertébrale gauche au niveau de L4-L5. Le patient ne présente pas de déficit sensitivomoteur, la marche sur les talons et sur les pointes est réalisable. Le Lasègue est positif à 60°. Les réflexes ostéotendineux achilléens et rotuliens sont normovifs et symétriques, le Babinski est en flexion des deux côtés. Le toucher rectal ne met pas en évidence de déficit sensitif ni de trouble sphinctérien. Une radiographie lombaire est réalisée, qui ne met pas en évidence de déplacement du matériel opératoire, ni de tassement vertébral. Aux urgences, le patient reçoit du Fentanyl, avec bon effet. Au vu de l'absence de signe de gravité, nous retenons le diagnostic de lombosciatalgie L5 non déficitaire et le patient peut rejoindre son domicile le jour même. Il a rendez-vous avec son médecin traitant le 31.01.2020, où un contrôle clinique pourra être réalisé. Mr. Y a présenté des douleurs de type pression à l'effort depuis 48h. Les troponines reviennent négatives. Un avis cardiologique avec US et visualisation de l'ECG revient rassurant concernant la TAVI et avec bonne fonction cardiaque (FEVG 60%). Les cardiologues proposent un suivi rapproché des tensions artérielles avec contrôle par Remler à distance (2-4 semaines). Mr. Y est amené au service des urgences en ambulance suite à une chute d'origine peu claire. Le patient était au sol depuis une durée indéterminée. Un CT-scan abdominal effectué en raison de diarrhées inflammatoires, associées à une sensibilité abdominale à la palpation, révèle une colite ascendante, qui est initialement traitée empiriquement par Ceftriaxone et Métronidazole. L'évolution est favorable mais devant une hémoculture positive à Campylobacter jejuni, nous décidons de mettre en place un traitement par Azithromycine. Une insuffisance rénale aiguë est mise sur le compte d'une déshydratation dans le contexte des diarrhées et est également due à une rhabdomyolyse. Les deux problèmes évoluent favorablement avec une hydratation. Dans le contexte infectieux et d'une rhabdomyolyse, Mr. Y présente un état confusionnel qui s'améliore suite au traitement de l'infection et de la rhabdomyolyse. Une hématurie macroscopique d'origine traumatique suite à une manipulation involontaire de la sonde urinaire par le patient évolue favorablement après des rinçages vésicaux, permettant le retrait de la sonde le 30.12.2018. En raison d'un déconditionnement global ne permettant pas un retour à domicile, un séjour en réhabilitation gériatrique est organisé. Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service se soit terminée le 06.01.2020. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suivi et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 83 ans, qui est admis en réadaptation gériatrique dans le contexte des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multi-factorielle avec chutes. Pour rappel, Mr. Y était hospitalisé dans le service de médecine de l'HFR Fribourg du 26.12.2019 au 07.01.2020 suite à une chute d'origine peu claire avec rhabdomyolyse sur stationnement au sol prolongé. Durant son hospitalisation à Fribourg, une bactériémie à Campylobacter jejuni avait été mise en évidence secondaire à une colite du côlon ascendant. L'évolution a été favorable sous une antibiothérapie initialement par Rocéphine et Métronidazole, relayée par Azithromycine par la suite. Le patient ne présente plus de diarrhées et l'isolement protecteur a été enlevé. Sur le plan biologique, une insuffisance rénale aiguë sur chronique secondaire à une déshydratation mise en évidence à l'hôpital cantonal évolue favorablement avec une créatininémie à 119 umol/l (valeur habituelle) au labo du 13.01.2020. Une carence en folates et vitamine D a été substituée par voie orale. Nous vous proposons de poursuivre un traitement par Calcimagon D3 à long terme pour une prévention secondaire des chutes. Durant son séjour en réadaptation, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. Mr. Y se mobilise sur une distance de 500 mètres à l'aide de sa canne simple et peut gravir 36 marches à l'aide d'une rampe et de sa canne. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 95/126 par rapport à 86/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 5/7). Le TUG s'effectue en 15 secondes avec l'aide d'un rollator.En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne avec un entraînement sur les transferts. Une ordonnance est faite pour des chaussettes adaptées, ainsi que pour une barrière latérale de redressement (bedcane) et des plots réhausseurs de lit. Sur le plan diététique, le bilan effectué ne retrouve pas de problème nutritionnel. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 08.01.2020 montrent un MMS à 25/30, un test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Le 16.01.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : • 1x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, • 1x/jour pour le traitement, • 1x/semaine pour le semainier, • 1x/jour pour les soins de base ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y nous est adressé par les Urgences de Fribourg. Mr. Y vit en EMS à Courtepin et présente depuis plusieurs jours une baisse de l'état général avec un état fébrile à 39°C notamment. Aux urgences de Fribourg, le patient bénéficie d'un bilan biologique et radiologique permettant de diagnostiquer une pneumonie pour laquelle il reçoit de la Co-Amoxicilline adaptée à sa fonction rénale. A son arrivée à Morat, l'anamnèse est difficile à effectuer en raison de la démence susmentionnée. Il présente une saturation de 95% sous 6 litres d'oxygène au masque. A l'examen clinique, on note un état général diminué avec un patient faible et très rigide dans le cadre de la maladie de Parkinson. Au status pulmonaire, on note des râles crépitants en base gauche, ainsi que des encombrements bronchiques sur toutes les plages pulmonaires. Le patient porte une sonde urinaire, qui avait été mise en place aux urgences de Fribourg en raison d'un globe urinaire. Nous poursuivons le traitement par Co-Amoxicilline 1.2 g 2x/j iv car l'état du patient est fluctuant et il n'arrive pas à prendre des comprimés. Le patient bénéficie également de physiothérapie respiratoire. L'évolution est lentement favorable, permettant un retrait de l'oxygénothérapie le 05.01. Le 07.01.2020, nous pouvons passer de la thérapie intraveineuse à un traitement per os de Co-Amoxicilline 625 mg 2x/j jusqu'au 08.01.2020. La fonction rénale s'améliore spontanément avec une filtration glomérulaire estimée à 48 ml/min le 07.01.2020. La mycose testiculaire évolue bien et nous stoppons le traitement par Mycoster le 07.01.2020. Le 07.01.2020, un essai de sevrage de la sonde urinaire est infructueux. Le patient va donc rentrer à l'EMS avec sa sonde urinaire. Nous vous prions de retenter un nouveau sevrage prochainement. Mr. Y peut retourner à l'EMS de Courtepin le 08.01.2020. Mr. Y présente un début de coxarthrose gauche sur maladie de Perthès. Les douleurs étant encore gérables avec une antalgie simple et occasionnelle, nous proposons pour l'instant une attitude expectative. Néanmoins, nous organisons un CT scan des membres inférieurs avec mesure des axes et des torsions et prévoyons un contrôle dans 6 mois pour refaire le point de la situation. Mr. Y est hospitalisé pour l'investigation d'une baisse de l'état général importante depuis 2 semaines avec multiples adénopathies découvertes au CT scan du 10.01.2020. A l'admission, le patient rapporte des douleurs dorsales en barre sans autre symptôme. L'examen clinique met en évidence une hépatomégalie, l'imagerie montre un foie d'allure cirrhotique sans ascite. Les examens biologiques révèlent une insuffisance rénale, des signes de lyse cellulaire ainsi qu'une perturbation des tests hépatico-biliaires avec insuffisance hépatique. Le patient rapporte avoir une consommation d'alcool chronique, actuellement continuée sans augmentation. Du point de vue hépatique : après discussion avec nos collègues gastro-hépato-logues, la péjoration rapide de l'insuffisance hépato-cellulaire sans développement d'ascite et peu d'arguments pour une hépatite alcoolique aiguë (hépatite virale négative) est considérée comme secondairement à l'infiltration par le processus tumoral. Du point de vue rénal : la péjoration rapide de l'insuffisance rénale (initialement prérénale) malgré remplissage est attribuée en partie au syndrome de lyse tumorale, expliquant également la péjoration des troubles électrolytiques. La situation est rapidement défavorable avec dégradation de l'état neurologique. Après réception du résultat de la biopsie (mélanome agressif avec syndrome de lyse), il est décidé d'un retrait thérapeutique en l'absence de traitement curatif. Le mélanome initial pourrait être en lombaire droite. Après discussion avec l'épouse, des soins de confort sont débutés. Mr. Y décède le 22.01.2020. Mr. Y consulte les urgences le 26.12.2019 pour une dyspnée de stade III en péjoration depuis 2 semaines avec une prise pondérale de 5 kg en 3-4 semaines et l'apparition d'œdèmes des membres inférieurs qui sont douloureux. Aux urgences, le bilan biologique met surtout en évidence une hyponatrémie hypo-osmolaire à 115 mmol/l, ainsi qu'une cinétique des troponines stables. Au vu de l'hyponatrémie hypo-osmolaire lors de l'arrivée du patient, un séjour en lit monitoré est nécessaire ainsi qu'une restriction hydrique proposée dans le cadre de la suspicion du SIAD. La natrémie se normalise progressivement au cours du séjour en lit monitoré. Devant ce tableau de surcharge, le bilan biologique ne met pas en évidence d'atteinte rénale. Les tests hépatiques sont normaux et un US abdominal, ne révélant qu'une stéatose hépatique, exclut une cause hépatique. Le dosage de proBNP est dans la norme et la radiographie pulmonaire ne parle pas en faveur d'une décompensation cardiaque. La cinétique stable des troponines et le résultat de l'échocardiographie montrant une FEVG conservée sans anomalie segmentaire permettent d'écarter une étiologie ischémique. Cependant, la possibilité d'une HTAP persiste et nécessite une IRM fonctionnelle qui sera effectuée en ambulatoire. Le dosage des protéines dans les urines revient négatif. L'anamnèse n'est pas contributive quant à une cause médicamenteuse. Le patient est connu pour une insuffisance veineuse chronique avec rétention hydrique interstitielle qui pourrait entrer comme étiologie de sa surcharge actuelle, malgré un bilan angiographique sans thrombose veineuse profonde. De plus, le patient a été récemment hospitalisé pour l'investigation pulmonaire concernant un trouble ventilatoire mixte sévère avec un composant d'ACOS qui répond aux corticoïdes. Le réglage de sa VNI s'est avéré fastidieux et pourrait provoquer une rétention de CO2 surtout nocturne, qui contribue à l'œdème des membres inférieurs. Suite au traitement diurétique et de contention par bandage élastique ainsi qu'au drainage lymphatique, l'évolution est favorable avec résorption des œdèmes des membres inférieurs et la disparition des douleurs qui y sont liées. Au niveau de la dyspnée en progression, une bronchite spastique avec possible surinfection est retenue. Suite aux bronchodilatateurs en aérosols et à l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline, l'évolution est tout à fait favorable avec amélioration de la dyspnée. Au vu de l'état cutané des membres inférieurs, une suspicion de dermo-hypodermite est aussi soulevée et le patient bénéficie également de la propriété antibactérienne de son traitement de Co-Amoxicilline. Les soins de plaie sont à poursuivre à domicile.Le patient présente une hypertension mal contrôlée sous bithérapie avec un profil tensionnel haut durant son hospitalisation, ce qui motive une majoration du Lisinopril et l'instauration du Bisoprolol. Mr. Y peut regagner son domicile le 07.01.2020 avec l'aide des soins à domicile pour pansement et semainier, et sera revu pour un contrôle à votre consultation dans 2 semaines. Mr. Y est un patient de 54 ans connu pour une ectasie du sinus de Valsalva, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales basses avec une notion de frissons. Le bilan effectué met en évidence une diverticulite sigmoïdienne non compliquée ainsi qu'une thrombose de la veine porte du foie. Le patient est hospitalisé pour une antibiothérapie ainsi qu'une anticoagulation thérapeutique par Clexane. L'évolution est rapidement favorable mais une perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée est observée. Nous effectuons une cholangio-IRM à la recherche d'un calcul cholédocien qui n'est pas retrouvé. Une origine médicamenteuse est préconisée et le Pantozol mis en suspens avec par la suite une baisse des valeurs hépatiques. Mr. Y peut retourner à domicile le 17.01.2020. L'anticoagulation sera continuée pour une totalité de 3 mois. Mr. Y est un patient de 61 ans, en bonne santé habituelle, connu pour une hyperplasie bénigne de la prostate de stade III, actuellement sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 23.01.2020 inclus en raison d'une infection du site opératoire du 3ème rayon du pied gauche le 09.12.2019 à Staphylococcus aureus dans un statut post-résection et arthrodèse de l'inter-phalangienne proximale du 3ème rayon. Le 15.01.2020, le Dr. X procède à une résection transurétrale de la prostate, intervention qui se déroule sans complication. Les suites post-opératoires immédiates sont simples. L'antibiothérapie par Co-Amoxicilline initiée pour le problème orthopédique est poursuivie. Dans le décours de l'hospitalisation, le patient présente une hématurie importante le 15.01.2020 au soir nécessitant 4 litres de rinçage manuel effectué par le Dr. X. Ceci permet l'extraction de nombreux caillots et d'une hématurie importante. Cette dernière se tarit progressivement avec toutefois persistance d'extraction de caillots lors des lavages manuels, sans douleur, ni autres troubles urinaires. La sonde vésicale est retirée le 18.01.2020 avec bonne reprise des mictions, le résidu post-mictionnel étant inférieur à 200 ml. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 18.01.2020. Mr. Y présente des podalgies droites que je vois en 1er lieu dans le contexte d'une configuration de pied plat valgus bilatéral, prédominante à droite. Je propose un traitement par physiothérapie avec des exercices d'étirement, avec éventuellement application d'ondes de choc. Un traitement anti-inflammatoire par AINS et l'adaptation de semelles orthopédiques sur mesure pour corriger l'affaissement de la voûte longitudinale. Pas d'arrêt de travail. Mr. Y, 72 ans, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire partielle d'origine mixte infectieuse et sur insuffisance cardiaque gauche décompensée. Le patient était hospitalisé pour une pneumonie basale droite du 22.12 au 27.12.2019, traitée par Ceftriaxone. Il se présente aux urgences le soir même de sa sortie pour une péjoration de sa dyspnée avec persistance d'une toux grasse. Le bilan met en évidence une persistance du syndrome inflammatoire avec un Pro-BNP à 17'276 ng/l. La radiographie thoracique montre une majoration des épaississements bronchiques diffus bilatéraux, associée à des opacités alvéolaires floues, pouvant correspondre à des foyers. Les antigènes urinaires et les hémocultures sont négatifs. Nous retenons une pneumonie nosocomiale que nous traitons par Pipéracilline / Tazobactam ainsi que la Clarithromycine pour couverture des germes atypiques, malgré les antigènes urinaires négatifs pour la Legionelle. Le traitement bronchodilatateur est aussi intensifié. Une insuffisance cardiaque décompensée par le problème infectieux nécessite une intensification du traitement diurétique. L'évolution est favorable et le patient est transféré en réadaptation pulmonaire à Billens le 10.01.2020. Nous vous proposons de réévaluer la dose du Torasémide en fonction de l'évolution, éventuellement de le reprendre à 5 mg. Nous proposons également d'augmenter l'Eliquis à une dose standard de 2 x 5 mg, sauf contre-indication que nous n'avons a priori pas retrouvée. Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour les comorbidités sus mentionnées, qui se présente aux urgences envoyé par l'EMS suite à une hématurie chez un patient porteur de sonde vésicale depuis sa dernière hospitalisation. Une sonde 3-voies avec des rinçages vésicaux est mise en place. Le patient montre une évolution favorable permettant un retrait de la sonde vésicale le 31.12.2019. Suite au retrait, il retrouve une miction adéquate. Concernant l'hématurie macroscopique, nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser un contrôle chez un urologue pour une cystoscopie. Lors de l'hospitalisation, il présente une constipation importante nécessitant une extraction manuelle de fécalome le 31.12.2019. Nous initions un traitement de Movicol qu'il sera nécessaire d'arrêter dès l'obtention d'une normalisation du transit intestinal. Mr. Y, 58 ans, est admis pour un STEMI inférieur le 19.01.2020. Le patient en bonne santé habituelle présente un angor typique sous forme de douleurs rétrosternales gauches oppressives irradiant dans le bras gauche et dans le dos, associée à une dyspnée, survenu au repos à 8/10 vers 16 heures le 19.01.2020. Au laboratoire, les CK et les troponines T sont augmentés. L'électrocardiogramme montre des sus-décalages en V1 et V2. La coronographie montre une maladie coronarienne mono-tronculaire sur occlusion aiguë de l'artère coronaire droite proximale, motivant la mise en place d'un stent actif avec bon résultat final. L'évolution aux soins intensifs est simple, sans trouble du rythme significatif ni récidive d'angor. Le point de ponction radial droit ne présente pas d'hématome ni de souffle à l'auscultation. Le patient est transféré pour la suite de la surveillance aux soins intensifs de Payerne le 20.01.20. Un contrôle dans un mois chez le Dr. X, suivi d'une ergométrie dans une année sont prévus. Mr. Y est un patient de 53 ans, connu pour une orchi-épididymite compliquée traitée en décembre 2019, qui se présente aux urgences le 05.01.2020 suite à une péjoration clinique locale après l'arrêt de l'antibiothérapie. L'évaluation aux urgences met en évidence un testicule droit hétérogène avec un abcès en communication avec le testicule. Le patient est mis sous traitement antibiotique et bénéficie d'une exploration scrotale et drainage de l'abcès. En peropératoire, nous constatons un parenchyme testiculaire nécrosé et abcédé et procédons à une orchidectomie totale droite. Un drain Easyflow est laissé en place dans la plaie. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles et le statut local montre une évolution favorable, permettant un retrait de l'Easyflow à J3. Nous préconisons une poursuite des rinçages réguliers de la plaie ainsi qu'un maintien de l'antibiothérapie pour 10 jours. Le patient sera revu en contrôle au cabinet du Dr. X le 20.01.2019 à 10h00. Mr. Y est victime d'un arrêt cardiaque alors qu'il présentait les jours précédents des épisodes de diarrhée et de la fièvre. Retrouvé en asystolie, une circulation peut être rétablie après environ 35 minutes. La cause retenue de cet arrêt cardiaque est une arythmie maligne dans le cadre d'un syndrome de Brugada, l'ECG d'entrée montrant des altérations typiques et la coronarographie étant blanche. A noter que Mr. Y avait déjà présenté un arrêt cardiaque dans le passé, lors d'un épisode de sepsis traité en Portugal. Comme facteur déclenchant, on retrouve cette fois-ci une salmonellose, avec une hypokaliémie sévère (sous-estimée par l'acidose à l'admission).Le diagnostic du syndrome de Brugada de type 1 a été retenu par notre rythmologue, le Dr. X. Une analyse de génotype a été demandée. Dès réception, nous contacterons la famille pour organiser une prise en charge des descendants. L'arrêt cardiaque est malheureusement compliqué par une encéphalopathie anoxique sévère, avec nécrose corticale diffuse à l'IRM et apparition progressive de signes d'œdème cérébral sévère. Après explication à la famille, nous optons pour des soins de confort exclusifs, avec décès du patient après extubation. Une procédure de don d'organe à cœur arrêté a été effectuée avec le consentement de la famille. Les reins et le foie ont pu être prélevés. Une autopsie n'a pas été demandée. Mr. Y est un patient de 26 ans, connu pour un syndrome d'apnées du sommeil non appareillé et une obésité morbide de grade III selon l'OMS, qui est hospitalisé le 13.01.2020 pour la prise en charge élective d'un bypass gastrique laparoscopique. L'opération se déroule sans complication, permettant un retour à domicile le 15.01.2020. Un traitement par Pantozol est introduit pour 8 semaines et un traitement par Clexane pour 3 semaines. Le patient sera revu pour un contrôle à la consultation du Dr. X le 13.02.2020. Mr. Y, 26 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance post-bypass gastrique le 13.01.2019. Le patient est connu pour un SAOS non appareillé et une obésité morbide de grade III selon l'OMS avec un BMI initial à 46,8 kg/m2. L'opération se déroule sans complications. Nous introduisons une antalgie efficace. La surveillance ne montre pas d'épisode de désaturation significative. Le patient est transféré en chirurgie le 14.01.2020. Mr. Y présente donc un conflit fémoro-acétabulaire qui est actuellement peu symptomatique sur une asphéricité antérieure du col fémoral avec une ossification du labrum. Je propose pour l'instant une attitude expectative avec une reprise du travail à 100%. En cas de réapparition des douleurs, le patient se représentera à notre consultation pour discuter d'une prise en charge chirurgicale. Mr. Y, patient de 21 ans en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 31.12.2019 en raison d'épigastralgies type coup de couteau apparues le 30.12.2019 en fin de journée. Cliniquement, le patient est en état général conservé, mais très algique. L'abdomen est souple mais sensible en région épigastrique, avec défense au niveau du flanc gauche. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire sans perturbation des tests hépato-pancréatiques. L'US abdominal montre un épaississement des parois du côlon ascendant jusqu'à 4,2 mm, et le CT abdominal injecté met en évidence un épaississement diffus avec un aspect œdématié des parois du côlon ascendant et transverse avec quelques adénomégalies iléo-caecales. Sur avis chirurgical, nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine et Metronidazole et le patient est hospitalisé. La culture de selles revient positive pour le Campylobacter jejuni avec également une bouteille sur quatre d'hémoculture qui revient positive pour le même germe et l'antibiothérapie est relayée par le Klacid pour une semaine. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique, Mr. Y peut regagner son domicile le 03.01.2020. Mr. Y, patient de 63 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique et hémodynamique dans le cadre d'un NSTEMI. Mr. Y présente le 12.01.2020 une douleur rétrosternale transfixiante (5-6/10) sans irradiation apparue en quelques secondes vers 14h30 alors qu'il montait un escalier, associée à un hoquet qui a persisté pendant une heure, soulagée par l'antéflexion du tronc et péjorée par le décubitus dorsal, suivi de paresthésie main gauche. Une cinétique positive pour les troponines et des CK à 102 U/l, sans changement à l'ECG, sont présents au bilan initial. En raison des caractéristiques de la douleur, un angio-CT est réalisé et écarte une dissection aortique. La coronarographie démontre un syndrome coronarien aigu sur une maladie coronarienne avec une lésion subtotale de l'ACD moyenne traité par PTCA et pose de 1 stent actif. L'aspirine et Plavix sont à poursuivre pour 6 mois puis aspirine au long cours. De l'Atorvastatine est ajouté en raison d'une hypercholestérolémie et visant des LDL < 1.4 mmol/l. Du Pantoprazol 40 mg est introduit en raison de la double antiagrégation. Le patient est preneur d'une cessation tabagique. Son traitement de Bisoprolol et de Candesartan sont poursuivis. Sur le plan tensionnel, le patient est normotendu, le Zanidip est donc stoppé et non réintroduit à la sortie. Le patient sort des soins intensifs le 14.01.2020 à son domicile avec un certificat médical d'incapacité de travail à 100% jusqu'au 20.01.2020 date à laquelle il doit reconsulter son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 57 ans qui est hospitalisé pour des douleurs abdominales et des frissons depuis plusieurs jours. Il bénéficie le 08.01.2020 d'un CT abdominal qui retrouve un volumineux abcès hépatique. Ce dernier est drainé par guidage ultrasonographique le 08.01.2020. Des cultures du liquide sont faites et reviennent négatives à 3 jours. Une sérologie amibiase est réalisée et revient positive. Après discussions avec nos confrères infectiologues, nous mettons en place une antibiothérapie pour un total de 3 semaines. Au vu de l'évolution favorable tant sur le plan clinique que biologique, un retour à domicile est possible le 16.01.2020. Nous gardons le drain en place avec des soins à domicile. Un scanner abdominal, avec ablation du drain +/- embolisation est prévu pour le 30.01.2020 à 11h00 suivi d'un contrôle en chirurgie une semaine après. Au vu du contexte et de l'image radiologique, nous organisons une colonoscopie en ambulatoire afin d'exclure une origine néoplasique. Le patient sera convoqué par courrier postal. Mr. Y est adressé au service des urgences de l'HFR Fribourg suite à un épisode de lipothymie lors d'un contrôle pour son VIH à l'Inselspital à Berne le 17.01.2020. Pour rappel, le patient a été récemment hospitalisé dans le service de médecine interne du 03.01 au 15.01.2020 pour une crise d'asthme et prostatite aiguë sur chronique avec traitement de Co-Amoxicilline en cours. Nous hospitalisons le patient afin de réévaluer la structure à domicile. Le bilan initial est rassurant et le patient n'a pas de plainte particulière. Le patient bénéficie de physiothérapie montrant son aptitude à gérer 2 étages d'escalier. Nous prenons contact avec sa curatrice ainsi qu'avec les soins à domicile avec qui nous organisons un retour à domicile le 22.01.2020 avec majoration des soins à domicile à une fréquence de 1x/j. Mr. Y, 61 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire d'un bypass gastrique. Ce patient est connu pour une obésité sévère de grade II dans le cadre d'un syndrome métabolique avec diabète de type 2 et hypertension artérielle et un syndrome d'apnées obstructives du sommeil. Il a été hospitalisé en électif pour un bypass gastrique par laparoscopie. L'intervention s'est déroulée sans complication le 30.01.2020. Le patient est resté stable durant la surveillance aux soins intensifs et n'a pas nécessité de soutien respiratoire. L'alimentation per os est débutée progressivement dès le 31.01.2020. Nous poursuivons l'insulinothérapie à une dose réduite, qui devra être adaptée en fonction de la réalimentation.L'hypertension artérielle est habituellement traitée par Exforge HCT (Amlodipine 10 mg / Valsartan 160 mg / Hydrochlorothiazide 25 mg). Nous avons repris uniquement le sartan en post-opératoire. Le traitement devra être adapté selon le profil tensionnel. L'insuffisance rénale chronique est d'origine diabétique et hypertensive, et suivie en ambulatoire par son médecin traitant avec une récolte urinaire tous les 6 mois. Nous vous proposons de profiter de l'hospitalisation pour réaliser une nouvelle récolte urinaire de 24h (clearance de la créatinine et protéinurie de 24h). Le 31.01.2020, Mr. Y est transféré dans le service de chirurgie. Mr. Y, 76 ans, est admis aux soins intensifs (SIB) depuis le service de médecine interne en raison d'un choc hémorragique sur rupture de micro-anévrismes hépatiques le 26.01.2020. Le patient est hospitalisé depuis le 16.01.2020 en médecine interne pour l'investigation d'un état fébrile (38.9°C), d'une inappétence (perte de poids non quantifiée) depuis 5 jours avant son admission, et d'un syndrome inflammatoire avec CRP > 400. À noter qu'il a consulté aussi son médecin traitant qui, suite à un bilan biologique et radiologique faisant suspecter un problème infectieux, le met sous Co-Amoxicilline et Flagyl le 16.01, relayé par Fluconazole et Ceftriaxone à son hospitalisation avec régression du syndrome inflammatoire. Des investigations extensives pour une fièvre d'origine indéterminée sont réalisées qui ne mettent pas de cause infectieuse en évidence. Une OGD montre une gastrite chronique modérée et un lymphome B de type MALT indolent. Le CT thoraco-abdominal montre un foie dysmorphique sans autre lésion. Le 26.01.2020, le patient présente un état de choc. Un CT thoraco-abdominal effectué en urgence montre un hémopéritoine prédominant dans la région sous-capsulaire du foie ainsi que dans le pelvis sur un saignement artériel actif intraparenchymateux hépatique dans le segment V. La lésion vasculaire est embolisée avec succès. Le patient reçoit une expansion volémique, transfusion de produits sanguins, fibrinogène et acide tranexamique avec résolution de l'état de choc. Une insuffisance rénale aiguë KDIGO 2 secondaire au choc se résout spontanément après réanimation. Sur le CT du 26.01, les vaisseaux hépatiques et les branches pancréatiques de l'artère splénique ont un aspect en chapelet avec par endroits dilatation anévrismale, d'apparition nouvelle par rapport aux imageries précédentes. L'origine de ces anévrismes est peu claire, avec un diagnostic différentiel ouvert entre une maladie inflammatoire (PAN, vasculite, ...) versus infectieuse (anévrismes mycotiques). L'antibiothérapie est élargie le 26.01 par Meropenem, Vancomycine, Doxycycline et Caspofungine. Après discussion multidisciplinaire, en l'absence de documentation microbiologique et au vu de l'aspect évocateur d'une PAN, une corticothérapie haute dose est introduite le 27.01. L'étiologie restant peu claire, un CT de contrôle total body est effectué le 30.01 qui met en évidence une progression importante des anévrismes (qui se situent au niveau hépatique, rénal, pancréatique, jéjunum proximal et colon droit) malgré la corticothérapie, avec en particulier un anévrysme qui mesure 2 cm dans le segment hépatique 2. Dans ce cadre, une biopsie hépatique transjugulaire est effectuée, dont les résultats sont encore en cours (microbiologie à l'HFR, pathologie au laboratoire Promed). À noter sur le CT du 30.01 la découverte fortuite d'une image d'abcédation de la prostate, asymptomatique. Nous contactons les urologues qui ne proposent pas de biopsie prostatique ou de drainage à ce stade. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à un tel examen. À noter que nous avons appris que le patient a eu une biopsie prostatique au mois d'octobre. Nous vous ferons suivre les documents dès réception. À noter également une thrombose partielle de la veine splénique qui n'est pas anticoagulée dans le contexte du saignement hépatique. Dans ce contexte, nous prenons contact avec les équipes de chirurgie viscérale et vasculaire ainsi que les collègues intensivistes au CHUV et décidons de transférer le patient pour la suite des investigations et pour surveillance dans un centre de référence en cas de récidive de saignement sur rupture d'anévrysme et éventuel échec d'embolisation qui nécessiterait une hépatectomie. Le patient est transféré aux Soins Intensifs du CHUV le 31.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIB) pour une intoxication aiguë à l'héroïne avec crise d'épilepsie. Le patient est connu pour une consommation d'héroïne, de cocaïne, et de cannabis. Anamnèse non fiable chez patient agité et ne parlant pas français. Adressé par la police pour consommation d'héroïne, 0.5 gramme nasal (jamais iv, consomme depuis 4-5 mois de l'héroïne, avant de la cocaïne, dernière consommation de cocaïne il y a 2 semaines). Possible crise d'épilepsie avec mouvement clonique du membre supérieur gauche avant de s'effondrer et de continuer les mouvements tonico-cloniques puis phase post-critique de 2 minutes, pas de morsure de langue, pas de perte d'urine, pas de TCC. Le patient serait connu pour de l'épilepsie (non traitée, diagnostic au CHUV). Récupération totale aux urgences. État psychique altéré avec thymie abaissée dans le contexte de crise amoureuse. Mr. Y, 27 ans, a été admis aux soins intensifs pour une intoxication aiguë à l'héroïne avec crise d'épilepsie provoquée. Ce patient originaire du Portugal est connu pour une consommation d'héroïne, de cocaïne, et de cannabis. Il a été adressé en ambulance après avoir consommé de l'héroïne (0.5 g) par voie nasale, puis a développé des mouvements tonico-cloniques du membre supérieur gauche avant de s'effondrer et de continuer la crise tonico-clonique généralisée, avec une phase post-critique de 2 minutes. Il n'y avait pas de morsure de langue, ni de perte d'urine. Il dit consommer de l'héroïne depuis 4 à 5 mois (jamais de prise intraveineuse), et n'avoir pas consommé de cocaïne depuis 2 semaines. À noter deux consultations pour des malaises avec possible crise épileptique au CHUV en début d'année 2019, avec proposition de réaliser un EEG et une échocardiographie en ambulatoire. Le patient ne s'est jamais présenté à ces consultations. La crise d'épilepsie est à l'origine d'une hyperlactatémie et d'une rhabdomyolyse modérée (pic de CK à 5358 U/l). L'alcoolémie était à 0.1 pour mille et la toxicologie urinaire retrouve des traces de cannabis et d'opiacés. Le CT cérébral réalisé en urgence est sans particularité. À son admission aux soins intensifs, le patient a présenté immédiatement une agitation psycho-motrice extrême avec un état hétéro-agressif nécessitant une contention chimique intraveineuse (halopéridol, lévomépromazine, midazolam, propofol) et physique. L'agitation prolongée a été mise sur le compte d'un probable syndrome de sevrage aigu, qui a pu être contrôlé par l'administration de morphine et midazolam en iv continu, puis relais par une médication per os (Méthadone et Lexotanil). L'évolution a été par la suite favorable. Le tracé EEG réalisé le 30.10.2020 était dans la limite de la norme. L'épilepsie probablement provoquée ne nécessite donc pas de traitement de fond. Le patient est interdit de conduite automobile jusqu'à nouvel avis. Une pneumonie bilatérale de broncho-aspiration est traitée par Co-Amoxicilline initialement IV puis per os, pour une durée totale prévue de 5 jours. Le patient a bénéficié d'un suivi par le service de psychiatrie de liaison, qui ne retient pas d'indication à une hospitalisation d'office en milieu psychiatrique. Un sevrage en mode volontaire (en hospitalier ou en ambulatoire) est proposé.Le patient est au bénéfice d'un permis de résidence L, mais il n'a plus de domicile fixe. Le service social de liaison lui a donné quelques adresses utiles temporaires. Le 31.01.2020, le patient a quitté inopinément l'hôpital contre avis médical et sans ordonnance de médicaments. La recherche par l'équipe de sécurité de l'hôpital est restée infructueuse. Une recherche par la police a permis de le retrouver en ville. La police a proposé à Mr. Y de le ramener à l'hôpital pour qu'il puisse recevoir les ordonnances et consignes pour la suite de la prise en charge, mais le patient a refusé catégoriquement. Au besoin, le patient pourra être adressé au service cantonal d'addictologie pour un sevrage en mode volontaire. Mr. Y, patient de 63 ans, est hospitalisé en médecine interne après un séjour aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique et respiratoire en post-opératoire d'une révision de la PTH gauche le 09.01.2020. Le patient présente en fin 2019 un descellement de la PTH gauche avec suspicion d'infection prothétique. Toutefois, une ponction de la hanche gauche en octobre 2019 ne parlait pas en faveur d'une origine infectieuse. L'indication à une révision acétabulaire est posée par les orthopédistes. Cette intervention est effectuée le 09.01.2020 sans complication locale, une transfusion autologue est réalisée en per-opératoire et une antibiothérapie par Céfuroxime est mise en place jusqu'à réception des résultats des prélèvements microbiologiques qui reviennent négatifs. Une mobilisation en charge partielle de 15 kg (touch/down) à l'aide de deux cannes anglaises est à respecter durant 8 semaines. Une anticoagulation prophylactique est à poursuivre jusqu'à la charge totale. Le pansement est contrôlé quotidiennement par les orthopédistes, un rendez-vous de contrôle radio-clinique à 6 semaines chez le Dr. X est organisé. L'ablation des agrafes est repoussée au 30.01.2020 et sera à faire par les soins à domicile. Il présente une décompensation cardiaque globale en post-opératoire immédiat associée à une insuffisance respiratoire hypoxémique nécessitant un séjour de 3 jours aux soins intensifs pour ventilation non invasive. L'évolution est par la suite favorable sous traitement diurétique iv puis per os permettant un sevrage de l'oxygénothérapie. Sur avis cardiologique, nous majorons le traitement par Entresto progressivement. En raison d'hypotensions symptomatiques sous dosage maximale, nous laissons un dosage de 100 mg le matin et 200 mg le soir. Nous proposons de faire un contrôle clinique ainsi que biologique des électrolytes et de la fonction rénale chez le médecin traitant la semaine prochaine. Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état général le 23.01.2020. Mr. Y, 63 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique et respiratoire en post-opératoire d'une révision de la PTH gauche le 09.01.2020. Ce patient présente un descellement de la PTH gauche, diagnostiqué en 2019. Une ponction de la hanche gauche en octobre 2019 ne parle pas en faveur d'une origine infectieuse. L'indication à une révision est posée par les orthopédistes. De même, une antibiothérapie par Céfuroxime est instituée jusqu'aux résultats définitifs des prélèvements microbiologiques qui sont en cours. Un relais et avis de l'infectiologue devra être considéré en cas d'un résultat positif à la microbiologie. Une mobilisation en charge partielle de 15 kg (touch/down) à l'aide de deux cannes anglaises est à respecter durant 8 semaines. Une anticoagulation prophylactique est à poursuivre jusqu'à la charge totale. Mr. Y est connu pour une dysfonction cardiaque sévère sur cardiopathie ischémique tritronculaire (FEVG 28%). Il présente dans la phase post-opératoire une décompensation respiratoire nécessitant un séjour de 3 jours aux soins intensifs. Sous des séances de VNI, reprise de son traitement habituel et adaptation du traitement diurétique, on note bonne évolution clinique. A noter la persistance d'une hypoxémie modérée, liée aussi à l'immobilisation et la surcharge pondérale. Le besoin de suivi médical rapproché motive le transfert en médecine interne (et non en orthopédie), la physio respiratoire est à poursuivre. Mr. Y, 74 ans, est hospitalisé pour prise en charge invasive d'un angor instable. Le patient présente une oppression thoracique depuis environ 2-3 mois, avec majoration de la symptomatologie depuis 48 heures et, au moment de sa consultation aux urgences, une douleur qui était devenue insomniante. L'électrocardiogramme effectué au service des urgences ne montre pas de signe d'ischémie aiguë et il n'y a pas de cinétique des troponines. Le patient est chargé en Aspirine et bénéficie d'une coronarographie qui montre une resténose subtotale du stent mis en place dans l'artère circonflexe. Un nouveau stent actif est mis en place dans l'ancien stent par angioplastie, et une double antiagrégation Aspirine et Plavix est reprise pour une durée totale de 6 mois, avec poursuite sur le long terme de l'Aspirine. Une ergométrie est à organiser dans 6 mois et nous vous laissons revoir le patient dans 1 mois à votre consultation. Mr. Y rentre à domicile le 09.01.2020, sans soins à domicile. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle et un diabète, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique cérébelleux droit. Pour rappel, le patient présente le 13.01 vers 21h des vertiges. Le lendemain au réveil, les vertiges persistent avec difficultés à la marche, dysarthrie et chute de la commissure labiale droite constatée par l'ex-femme qui appelle l'ambulance. Aux urgences, le NIHSS s'élève à 4. Le CT cérébral révèle une large pénombre cérébelleuse droite dans le territoire de la PICA droite avec une occlusion/subocclusion de la PICA droite dès son départ confirmé à l'IRM. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une double anti-agrégation avec charge d'Aspirine et Plavix et une statine à haute dose. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas d'anomalie structurelle. Un Holter de 24h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un examen neurosonologique retrouve une accélération focale au départ de l'artère vertébrale droite, formellement compatible avec une sténose de bas degré (< 50 %). Nous suspectons une étiologie artério-embolique. Sur le plan médicamenteux, la double anti-agrégation est initialement suspendue en raison du risque d'œdème cérébral avec engagement puis progressivement réintroduite par Aspirine puis par Plavix 75 mg/j seul à poursuivre au long cours. Un traitement d'Atorvastatine 80 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Du point de vue neuropsychologique, le bilan montre un dysfonctionnement exécutif et des difficultés attentionnelles compatibles avec l'AVC cérébelleux droit récent. Il n'y a pas d'indication à une prise en charge neuropsychologique. Toutefois, un nouveau bilan neuropsychologique pourra être réalisé lors du séjour à Meyriez afin d'évaluer la capacité à la conduite automobile et la reprise professionnelle. En raison d'une dysphagie sévère secondaire à l'AVC, une alimentation entérale est initiée et progressivement majorée et sera à adapter à Meyriez.Du point de vue des facteurs de risques cardiovasculaires, le patient est connu pour un diabète de type 2. L'HbA1c à 10% témoigne d'un mauvais contrôle métabolique nécessitant l'introduction d'une insulinothérapie. Le bilan des complications liées au diabète est à organiser en ambulatoire, à savoir un fond d'œil 1x/an, le dépistage de la néphropathie diabétique par le rapport microalbuminurie/créatininurie et un suivi podologique en raison de pieds à risque. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pour le moment et sera à réévaluer à Meyriez. Une consultation neurovasculaire de contrôle avec examen neurosonologique est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est stable avec un statut neurologique de sortie retrouvant une dysarthrie, une dysphagie sévère, des troubles de la sensibilité dissociés sous forme d'atteinte thermo-algique brachio-crurale G et un syndrome cérébelleux statique prononcé. Mr. Y est transféré à Meyriez en neuroréhabilitation intensive pour suite de prise en charge. Mr. Y, 53 ans, est transféré de l'HFR Riaz pour une pneumonie bibasale prédominante à droite compliquée d'un abcès pulmonaire droit. Pour rappel, le patient présente un état fébrile depuis 3 semaines associé à une dyspnée et une toux avec expectorations verdâtres depuis 2 semaines. Selon avis des chirurgiens thoraciques et des pneumologues, l'indication à un drainage transthoracique ou transbronchique de l'abcès n'est pas retenue. L'hypothèse d'une broncho-aspiration chez un patient sous Clonazépam est avancée. Ainsi, sur avis infectiologique, l'antibiothérapie de Co-Amoxicilline est poursuivie par voie intraveineuse durant le séjour, et relayée par voie orale pour le retour à domicile, pour une durée totale de 8 semaines. L'évolution clinique et biologique est favorable. Un CT thoracique de contrôle est prévu au terme de l'antibiothérapie. Par ailleurs, une dilatation pyélocalicielle gauche est mise en évidence au CT thoracique effectué à l'admission. Anamnestiquement, le patient rapporte un épisode de macrohématurie. Vu le sédiment urinaire non pathologique, nous suspectons un passage de calcul et n'entamons pas davantage d'investigations. Mr. Y rentre à domicile le 31.01.2020. N'ayant pas de suivi somatique ambulatoire, il est vivement encouragé à trouver un médecin traitant. Mr. Y, connu pour un trouble schizotypique et un trouble dépressif récurrent, a été hospitalisé en psychiatrie à Marsens le 14.01.2020 en mode volontaire pour une mise à l'abri d'idées suicidaires et des troubles du sommeil. Il a présenté, suite à son admission, une toux non productive associée à un état fébrile, secondaire à une grippe A, motivant son transfert en milieu somatique à l'HFR Riaz. La nuit du 19.01.2020, le patient développe un état de détresse respiratoire, raison pour laquelle il est transféré aux soins intensifs de l'HFR, Fribourg, puis en médecine interne. Un infiltrat pulmonaire bilatéral est compatible avec un ARDS secondaire à la grippe malgré des séances de ventilation non invasive, l'hypoxémie persistante nécessite une ventilation mécanique invasive jusqu'au 23.01.2020. Une antibiothérapie de Co-Amoxicilline puis de Tazobac a été administrée pendant 5 jours dans l'hypothèse d'une surinfection bactérienne surajoutée. L'Oseltamivir a également été maintenu pendant 5 jours. L'évolution est favorable, le patient est extubé le 23.01.2020. Il nécessite une oxygénothérapie et la poursuite de la physiothérapie respiratoire. Une réalimentation orale est reprise dès le 24.01.2020, jour de son transfert en médecine interne. En médecine interne, le patient évolue favorablement d'un point de vue clinique et biologique pour l'ensemble des diagnostics sus-mentionnés. Une perturbation modérée des tests hépatiques a été attribuée à l'antibiothérapie. À l'ultrason abdominal, on ne retrouve pas de cholestase mais une hépatomégalie avec des lésions nodulaires hyperéchogènes dans les deux lobes hépatiques (max. 20 mm à droite), évoquant en première hypothèse des hémangiomes. Une IRM ou un CT dédié est à prévoir en ambulatoire. L'évaluation psychiatrique par la psychiatrie de liaison retient un épisode dépressif sévère sans éléments psychotiques, ni idées suicidaires actives. Les traitements psychotropes habituels sont repris et un transfert au RFSM Marsens est organisé le 30.01.2020. Le patient et sa mère ont verbalisé leur crainte de voir le traitement psychiatrique majoré au vu de sa fatigue, qui a encore une composante somatique (s'améliorant de jour en jour). Une dyspnée/fatigue peut persister pendant plusieurs semaines et l'évolution clinique doit être favorable. En présence d'une péjoration clinique somatique (dyspnée, fièvre, autre), un bilan sera à nouveau à effectuer. Mr. Y, patient de 37 ans, hospitalisé à Marsens depuis le 14.01.2020 en mode volontaire pour une mise à l'abri d'idées suicidaires et de troubles du sommeil, présente depuis environ une semaine une toux non productive associée à un état fébrile, motivant son transfert en milieu somatique (Riaz). La grippe Influenza A compliquée d'une surinfection basale droite à germe indéterminé est traitée avec de la Co-amoxicilline iv et le Tamiflu. La nuit du 19.01.2020, il présente une désaturation avec besoin d'oxygène en majoration et une hypoxémie à 7.2 kPa. La fréquence respiratoire est entre 40 et 56/min avec un balancement abdominal. Vu la limitation de place aux soins intensifs de Fribourg, nous convenons d'envoyer le patient aux urgences de l'HFR Fribourg le 20.01.2020 pour une évaluation et suite de la prise en charge. Mr. Y, 37 ans, est admis aux soins intensifs pour un ARDS secondaire à une grippe Influenza A. Ce patient est connu pour un trouble schizotypique et un trouble dépressif récurrent. Il a été hospitalisé en psychiatrie à Marsens le 14.01.2020 en mode volontaire pour une mise à l'abri d'idées suicidaires et des troubles du sommeil. Il présente depuis environ une semaine une toux non productive associée à un état fébrile, secondaire à une grippe A, motivant son transfert en milieu somatique (HFR, Riaz). La nuit du 19.01.2020, il développe un état de détresse respiratoire, raison pour laquelle il est transféré aux soins intensifs (HFR, Fribourg), puis en médecine interne. Malgré un traitement d'Oseltamivir, l'insuffisance respiratoire hypoxémique s'est aggravée, et le patient a été retransféré aux soins intensifs le 21.01.2020. Un infiltrat pulmonaire bilatéral est compatible avec un ARDS secondaire à la grippe. Malgré des séances de ventilation non invasive, l'hypoxémie persistante nécessite une ventilation mécanique invasive jusqu'au 23.01.2020. Une antibiothérapie de Co-Amoxicilline puis de Tazobac a été administrée pendant 5 jours dans l'hypothèse d'une surinfection bactérienne surajoutée. L'Oseltamivir a aussi été maintenu pendant 5 jours. L'évolution est favorable, le patient est extubé le 23.01.2020. Il nécessite une oxygénothérapie et la poursuite de la physiothérapie respiratoire. Une réalimentation orale est reprise dès le 24.01.2020. Des épanchements pleuraux bilatéraux modérés ont été mis en évidence au CT du 21.01.2020. Une ponction drainage devra être envisagée en cas d'état fébrile ou syndrome inflammatoire récidivant. De multiples adénopathies médiastinales et hilaires sont probablement réactionnelles à la grippe, mais en cas de persistance de l'élévation de la LDH, des investigations complémentaires devront être considérées. Une perturbation modérée des tests hépatiques a été attribuée à l'antibiothérapie. Des investigations complémentaires devront être effectuées en cas d'aggravation. L'évaluation psychiatrique retient un épisode dépressif sévère sans éléments psychotiques ni idées suicidaires actives. Les traitements psychotropes habituels sont repris et un suivi psychiatrique est organisé le 24.01.2020.Mr. Y est transféré en médecine interne le 24.01.2020. Mr. Y, 37 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique dans le cadre d'une grippe surinfectée le 19.01.2020. Ce patient, hospitalisé à Marsens depuis le 14.01.2020 en mode volontaire pour une mise à l'abri d'idées suicidaires et des troubles du sommeil, présente depuis environ une semaine une toux non productive associée à un état fébrile, motivant son transfert en milieu somatique. La nuit du 19.01, il développe un état de détresse respiratoire, raison pour laquelle il est transféré aux soins intensifs. La grippe Influenza A compliquée d'une surinfection basale droite à germe indéterminé est traitée avec de la co-amoxicilline per os pour une durée de 5 jours et de l'oxygénothérapie aux lunettes. Durant la surveillance aux soins intensifs, le patient reste cliniquement et hémodynamiquement stable. L'auscultation pulmonaire révèle des ronchis mobilisables à la toux, sans autre bruit surajouté. Ce patient, connu pour un trouble schizotypique et un trouble dépressif récurrent avec des idées suicidaires ponctuelles, décrit une péjoration de son état psychique et des angoisses constantes avec des troubles du sommeil. Selon l'évaluation psychiatrique faite, il n'y a pas de suicidalité active actuellement, ce qui permet l'hospitalisation en milieu somatique. Nous remarquons une polypnée avec une fréquence respiratoire jusqu'à 60 par minute, une respiration superficielle et un balancement thoraco-abdominal, présente uniquement lors des phases de sommeil. Le diagnostic différentiel reprend surtout une étiologie centrale ou une origine médicamenteuse chez un patient qui décrit cette polypnée depuis une année, moment correspondant avec une stabilisation de ses médications psychotropes. Nous proposons donc un avis psychiatrique afin de réévaluer son traitement habituel. Le patient est retransféré en médecine à Riaz ce 19.01.2020. Mr. Y présente donc cette lésion osseuse depuis plusieurs années avec une gêne dans les activités de la vie quotidienne. Nous proposons donc la résection de celle-ci avec une chirurgie minimalement invasive notamment en fraisant cette lésion. Nous enverrons des biopsies si possible per-opératoires. Nous donnons le consentement éclairé au patient en spécifiant les risques d'infection et d'hémorragie au premier plan, de déficit neurologique, de coma ou de décès. Mr. Y est adressé par son médecin traitant pour une hospitalisation en raison de soins impossibles à domicile chez un patient présentant des propos incohérents dans un contexte de péjoration d'une démence sur maladie de Parkinson. Aux urgences, nous effectuons un laboratoire qui se révèle dans la norme. Au vu d'un manque de place à l'HFR, le patient est transféré à l'HIB pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est hospitalisé pour une chimiothérapie de consolidation par FLAG dans le cadre d'une LMA avec RUNX1 muté. La chimiothérapie débute le 28.12.2019 selon protocole, avec prophylaxie bactérienne et virale ainsi que du syndrome de lyse. Mr. Y reçoit un stimulateur de l'hématopoïèse durant toute la durée de la chimiothérapie. Au cours du séjour, il présente des phosphènes avec myodésopsies pour lesquels un avis ophtalmologique est effectué. Une hémorragie rétinienne minime est mise en évidence. Pour cette raison, nous élevons le seuil de transfusion plaquettaire. L'évolution est favorable au contrôle ophtalmologique à 10 jours. La chimiothérapie se complique d'une agranulocytose fébrile sur dermohypodermite du 5ème doigt de la main gauche. Nous objectivons un trajet lymphangitique, de même que des hémocultures positives à E.Coli ESBL. Le point de départ de l'infection est le point de ponction des glycémies capillaires (utilisation d'un stylo réutilisable). Sous antibiothérapie adéquate, l'évolution clinico-biologique est favorable, ce qui permet un relais à un traitement per os pour le retour à domicile. Du point de vue hémato-oncologique, le patient sera vu en ambulatoire le 27.01 pour discussion de la suite de prise en charge. À noter qu'un projet d'allogreffe de cellules hématopoïétiques est en cours. Mr. Y est un patient de 75 ans qui nous est amené par ambulance suite à une chute à domicile sans traumatisme crânien le 04.01.2020. Suite à sa chute, Mr. Y est resté allongé au sol pendant 45 minutes avant l'intervention de ses voisins. Son neveu rapporte que l'état général de Mr. Y baisse depuis quelques semaines, avec des chutes à plusieurs reprises, une inappétence et une asthénie nouvelle. Le reste de l'anamnèse aux urgences est sans particularité. Nous mettons cependant en évidence un fécalome qui cède suite à un lavement de Practomil le 04.01.2020. Sur le plan social, Mr. Y a 2 sœurs et 2 frères dont un est décédé, vit en appartement protégé seul à Ursy au rez-de-chaussée. Le bilan biologique réalisé met en évidence un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à prédominance neutrophilique ainsi qu'un taux de CRP à 84 umol/l. L'analyse urinaire met en évidence une protéinurie et une hématurie microscopique, mais pas de leucocyturie ni de nitrites urinaires. La culture urinaire parle en défaveur d'une colonisation. En l'absence d'argument pointant vers une origine urinaire, et en l'absence de foyer à la radiographie du thorax du 04.01.2020, nous retenons le diagnostic de bronchite aiguë et nous introduisons un traitement de Ceftriaxone en intraveineux durant 5 jours. Mr. Y présente également une rhabdomyolyse avec une CK sanguine à 12'151 U/l aux urgences, raison pour laquelle nous hydratons le patient par voie intravasculaire. Nous substituons l'hypokaliémie sur manque d'apport et nous surveillons l'anémie inflammatoire asymptomatique. Mr. Y présente une hypertension matinale spontanément résolutive durant la journée. Cette observation, couplée à la corpulence du patient, fait suspecter un syndrome d'apnées obstructives du sommeil. Mr. Y ne souffrant pas de somnolence diurne, nous vous laissons le soin d'apprécier la pertinence d'une investigation de cette problématique. Pendant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 07.01.2020 au 13.01.2020. Le patient effectue des séances de physiothérapie de mobilisation et peut se déplacer sur une distance de 200 mètres à l'aide du rollator, peut monter 36 marches d'escalier en s'aidant de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 89/126 par rapport à 78/126 à son entrée. Le TUG se réalise en 25 secondes à l'aide du rollator. En ergothérapie, le patient bénéficie d'un renforcement des déplacements en activité avec port d'objet et une discussion pour la prévention des chutes. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel est sans particularité. Le patient reçoit des conseils diététiques pour ses repas à domicile. Les tests de la cognition effectués le 08.01.2020 mettent en évidence un MMS à 23/30, un test de l'horloge pathologique à 2/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 7/15 (prédominance de la composante anxieuse). Pour le moment, nous n'introduisons pas de traitement anxio-dépressif au vu de la stabilité dans le temps selon le patient. Nous laissons son traitement de Zolpidem en place. Nous restons à disposition en cas de péjoration des troubles cognitifs pour une évaluation ambulatoire à la clinique de la mémoire à Riaz ou Billens.Le test de Schellong effectué le 08.01.2020 revient négatif. Le 16.01.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place des soins à domicile comme suit : • 2x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, • 2x/jour pour la vérification des médicaments, • 1x/jour (le soir) pour l'aider à se déshabiller, • 1x/jour (le matin) pour le contrôle du matin. Un repas chaud par jour sera également livré. Mr. Y nous est adressé par les urgences de l'HFR Fribourg pour une hospitalisation au vu de soins à domicile impossibles. Son neurologue traitant, Dr. X, l'avait adressé aux urgences suite à l'épuisement important de la femme du patient. Mr. Y présente une péjoration des troubles cognitifs connus avec une augmentation de la dépendance aux soins. De plus, il se présente par moment agressif verbalement envers sa femme. Les troubles moteurs sont bien contrôlés par la thérapie mise en place. A l'entrée, Mr. Y n'évoque pas de plainte somatique. Il reconnait que la situation à domicile est compliquée et avoue se sentir perdu. L'anamnèse systématique est sans particularité. A l'examen clinique, le patient est désorienté au temps et à l'endroit. Il est orienté à la personne et la situation. Le discours est décousu et difficile à suivre. Il répète plusieurs fois les mêmes paroles. On décèle des tendances paranoïaques avec des accusations qui se révèlent non fondées concernant son neurologue et sa femme (Mr. Y explique par exemple qu'on lui aurait retiré le permis de conduire automobile sans aucune raison). Le statut cardiaque, pulmonaire et abdominal est sans particularité. Mr. Y vit actuellement dans un appartement avec sa femme. Elle est le proche aidant principal, le couple n'a pas d'enfants. Mme. Y explique s'occuper jour et nuit de son conjoint et être épuisée physiquement et psychiquement. Elle se plaint surtout des nuits, pendant lesquelles elle doit accompagner son époux plusieurs fois aux toilettes et lui administrer son traitement. La journée, elle décrit qu'elle doit surveiller son époux tout le temps. Pour elle, un retour à domicile est inconcevable. Mr. Y, malgré ses troubles cognitifs, peut comprendre les difficultés de son épouse et se dit d'accord pour entamer des recherches d'établissement médico-social avec notre infirmière de liaison. Celles-ci sont en cours. Concernant son psoriasis, le patient bénéficie d'une injection de Humira le 08.01.2020. Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 71 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque globale secondaire à une valvulopathie mixte et une cardiomyopathie hypertensive, compliquée d'une hyponatrémie sévère le 05.01.2020. Ce patient institutionnalisé a été envoyé aux urgences suite à une chute de sa hauteur avec réception sur le côté droit le 05.01.2020 (pas de témoin présent lors de l'évènement). Il avait aussi une dyspnée de stade NYHA IV évoluant depuis quelques jours, associée à une augmentation d'oedèmes des membres inférieurs et une prise de poids d'environ 2 kg. Le statut révèle une anasarque et des signes de surcharge pulmonaire, la radiographie du thorax montre une redistribution apicale. L'étiologie de la décompensation cardiaque est une dysfonction diastolique hypertensive connue ainsi que plusieurs valvulopathies déjà documentées en décembre 2019 : une insuffisance mitrale et aortique modérées et une insuffisance tricuspidienne importante fonctionnelle associée à une dilatation importante du ventricule droit. L'interrogation du pacemaker a montré un bon fonctionnement, sans trouble du rythme cardiaque détecté. Il n'y a pas d'argument pour une origine ischémique ni pour un état infectieux. La décompensation cardiaque globale a nécessité un traitement de Furosémide i.v. permettant un meilleur contrôle de la volémie et une bonne évolution sur le plan respiratoire. Une reprise de la spironolactone devrait être envisagée après correction des troubles électrolytiques. Il faudrait rechercher par ultrason abdominal la présence d'ascite (visible au CT-scan en septembre 2019) et effectuer une ponction diagnostique si possible. L'hyponatrémie hypo-osmolaire sévère et symptomatique (ralentissement psychomoteur marqué) a été attribuée à l'insuffisance cardiaque et corrigée progressivement avec une restriction hydrique et le traitement diurétique. La pose de la sonde vésicale aux urgences permet de découvrir un globe urinaire attribué à l'hyperplasie de la prostate connue. Les analyses urinaires ne montrent pas d'infection. Un hématome péri-orbitaire droit est d'origine traumatique et favorisé par l'anticoagulation orale par Rivaroxaban. Le CT cérébral n'a pas montré de lésion post-traumatique. Un hématome de l'épaule droite d'origine traumatique est associé à une fracture non déplacée du tiers distal de la clavicule droite, avec impotence fonctionnelle. Le consultant d'orthopédie a proposé un traitement conservateur avec gilet d'immobilisation et la réalisation d'une radiographie de contrôle après une semaine. Le patient est transféré le 08.01.2020 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 71 ans, est amené aux urgences suite à une chute de sa hauteur avec trauma crânien. Il présente également une dyspnée NYHA stade IV évolutive avec une prise de poids. Le statut révèle une anasarque et des signes de surcharge pulmonaire, la radiographie du thorax montre une redistribution apicale. Il est hospitalisé au service des soins intensifs pour une décompensation cardiaque globale secondaire à une valvulopathie mixte et une cardiomyopathie hypertensive, compliquée d'une hyponatrémie sévère le 05.01.2020. Sur le plan cardiologique, une échocardiographie montre une insuffisance tricuspidienne majeure avec répercussion sur le ventricule droit. L'interrogation du pacemaker est sans particularité. Il n'y a pas d'argument pour une origine ischémique ni pour un état infectieux. L'évolution est favorable avec un traitement diurétique intra-veineux, avec un relai per os possible le 15.01.2020 avec bonne évolution. L'hyponatrémie hypo-osmolaire sévère et symptomatique (ralentissement psychomoteur marqué) a été attribuée à l'insuffisance cardiaque et corrigée progressivement avec une restriction hydrique et le traitement diurétique. Un globe urinaire attribué à l'hyperplasie de la prostate connue est mis en évidence après la pose de la sonde vésicale au service des urgences. Les analyses urinaires ne montrent pas d'infection. La sonde est retirée le 14.01.2020 avec bonne reprise mictionnelle. Un hématome périorbitaire droit d'origine traumatique chez ce patient anticoagulé par Rivaroxaban motive la réalisation d'un CT cérébral qui ne montre pas de lésion post-traumatique. Une fracture non déplacée du tiers distal de la clavicule droite avec impotence fonctionnelle est traitée conservativement avec gilet d'immobilisation suivi radiologique. Une radiographie de contrôle avec consultation en orthopédie est prévue à 6 semaines. Mr. Y présente probablement des douleurs dans le cadre de la remise en marche avec une tendinite du psoas. De plus, il est gêné par la plaque ainsi que les vis de l'ostéotomie du grand trochanter, que l'on prévoit d'enlever au courant du mois de mai. Prochain contrôle le 28.04.2020.Mr. Y, âgé de 47 ans, connu pour un antécédent d'hépatite A+E diagnostiquée en 2011, consulte les urgences le 02.01.2020 en raison d'un état grippal accompagné d'une dyspnée et d'un état fébrile. A l'admission aux urgences, le patient est hypotendu à 108/54 mmHg, tachycarde à 135 bpm et fébrile à 38.5°C, saturant à 93% à l'air ambiant. Il présente depuis le 31.12.2019 une fièvre accompagnée d'une toux expectorante et d'une dyspnée. Il a été vu à son domicile le 31.12.2019 par un médecin de MedHome qui a retenu un syndrome grippal et a mis en place un traitement symptomatique par Dafalgan et Otrivin. Le streptotest réalisé à domicile est revenu négatif. L'évolution est défavorable avec péjoration de la dyspnée, apparition d'une toux avec des expectorations jaunes et d'un état fébrile avec frissons. Cliniquement, nous auscultons de discrètes crépitations en base gauche. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 30 mg/l sans leucocytose et une hypomagnésémie à 0.73 mmol/l. La gazométrie révèle une alcalose respiratoire et une insuffisance respiratoire partielle hypoxémique. La radiographie de thorax ne montre pas de foyer constitué. Par la suite, le frottis naso-pharyngien revient positif pour Influenza A. Les antigènes urinaires reviennent positifs pour le Pneumocoque. Nous retenons finalement le diagnostic de Grippe A avec surinfection bactérienne à pneumocoque. Nous stoppons la Clarithromycine et poursuivons la Ceftriaxone que nous relayons par de la Co-amoxicilline per os pour une durée totale de 10 jours. L'oxygénothérapie est sevrée en 48h. Au vu d'une bonne évolution clinico-biologique, Mr. Y rentre à domicile le 05.01.2020. Il sera revu par vos soins le 10.01.2020. Mr. Y est un patient de 60 ans qui bénéficie d'une exarticulation métatarso-phalangienne I à droite le 06.01.2020 dans le cadre d'une arthrite goutteuse métatarso-phalangienne I à droite. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables avec une plaie calme. Une mobilisation progressive permet un retour à domicile le 15.01.2020. Mr. Y est un patient de 58 ans connu pour le diagnostic susmentionné, qui est hospitalisé en chirurgie générale le 23.01.2020 afin de bénéficier d'une résection segmentaire de la pyramide basale droite par thoracoscopie le jour même. L'intervention se déroule sans complication. Les suites postopératoires sont simples permettant une ablation du drainage le 27.01.2020 et un retour à domicile le jour même. Mr. Y sera revu pour un contrôle postopératoire à la consultation de chirurgie thoracique le 06.03.2020. Mr. Y, 71 ans est hospitalisé en médecine interne pour une pneumonie basale droite. Le patient, connu pour une plaie chronique sous ombilicale dans le contexte d'une résection sigmoïdienne se présente aux urgences de l'HFR Fribourg le 29.12.2019 en raison d'une toux avec expectorations jaunâtres depuis quelques jours, sans état fébrile. Pas de détresse respiratoire, pas de palpitation, pas de prise pondérale. Légers oedèmes des membres inférieurs. A l'admission aux urgences, le patient est dyspnéique. A l'auscultation pulmonaire, nous retrouvons des râles crépitants à la base droite. Le reste de l'examen est sans particularité. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont réguliers, sans souffle audible. Les pouls périphériques sont palpables aux 4 membres (légers oedèmes des membres inférieurs) et les carotides non soufflantes. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore. Le transit est normal (stomie). Il ne présente pas de défense ni de détente. Mc Burney et Murphy négatifs. La radiographie de thorax montre l'absence de foyer clinique et les hémocultures reviennent négatives à 72 heures. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine et clarithromycine est introduite, avec relais par co-amoxicilline pour une durée totale de 7 jours, couplée à une corticothérapie durant 3 jours. En raison de la présence de signes de décompensation cardiaque, un traitement par furosémide iv est administré, avec relais oral par du Torasemide à une dose majorée. L'évolution clinico-biologique est favorable, permettant le sevrage des aérosols. Mr. Y présente durant l'hospitalisation une réaction paradoxale au Zolpidem, avec agitation et insomnie. Ce traitement est donc arrêté et remplacé par la valériane pour soulager ses plaintes. Au vu de l'évolution favorable sur le plan respiratoire, Mr. Y peut regagner son domicile le 07.01.2020. Nous recommandons un contrôle à votre consultation. Mr. Y, patient de 50 ans trisomique 21, connu pour des pneumonies à répétition sur broncho-aspiration, est amené aux urgences le 27.12.2019 en raison d'un état fébrile à 38,3°C et d'une hypotension. Selon les éducateurs du foyer, le patient présente une péjoration de l'état général depuis le matin du 27.12.2019. A noter une chute dans les escaliers, mais sans traumatisme crânien ni lésion mise en évidence. Pour rappel, Mr. Y a bénéficié d'une antibiothérapie par co-amoxicilline jusqu'au 26.12.2019, d'une durée de 5 jours, pour une suspicion de pneumonie. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers. Pas de souffle audible. Les pouls périphériques sont palpables. A l'auscultation pulmonaire, nous retrouvons une légère hypoventilation bilatérale. Au status digestif, l'abdomen est souple, le transit est perçu. Pas de défense ni de détente. Le laboratoire met en évidence une CRP à 104 mg/l avec une leucocytose très importante à 19 G/l et la radiographie du thorax est compatible avec une pneumonie. Au vu de la clinique et du traumatisme, nous effectuons un CT thoraco-abdominal qui montre des condensations pulmonaires droites avec comblement bronchique dans le lobe inférieur droit sur probablement broncho-aspiration. Dans ce contexte, nous débutons une antibiothérapie par Céfépime iv pendant trois jours avec relais par co-amoxicilline per os. A l'admission, le patient présente également une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 184 de probablement origine pré-rénale dans le contexte septique. Une hydratation est mise en place avec la normalisation de la fonction rénale à la sortie. Le patient présente également un état confusionnel aigu avec un ralentissement psychomoteur que nous mettons dans le contexte de l'infection pulmonaire. Au vu de la chute dans les escaliers, nous effectuons un CT cérébral qui ne montre pas de lésion. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et Mr. Y peut regagner son foyer le 31.12.2019 avec un traitement antibiotiques jusqu'au 03.01.2020. Mr. Y, âgé de 31 ans et machiniste de profession, présente une configuration mixte d'une part d'une dysplasie fémoro-acétabulaire avec une coxa-vara avec une diminution de l'antétorsion fémorale et une présence de signes dégénératifs au niveau acétabulaire. Pour cela nous proposons une possibilité de chirurgie consistant en une ostéotomie acétabulaire et une dérotation du fémur proximal. Cette chirurgie a comme but principal de prolonger la survie de l'articulation fémoro-acétabulaire pour pouvoir éloigner le plus longtemps possible une nécessité d'implantation de PTH. Une reprise de travail avec une telle chirurgie pourra être au plus tôt après 6 mois post-opératoire. Nous expliquons également au patient qu'il est judicieux de penser à une conversion professionnelle dans un travail moins lourd et qu'une perte de poids serait bénéfique à long terme. Nous parlons de réhabilitation. Une infiltration intra-articulaire est possible comme mesure d'amélioration des douleurs mais ne résout pas le problème. Le patient discutera de cette indication chirurgicale dans son réseau social et nous reverrons le patient à notre consultation pour discuter de la suite.Mr. Y est un patient de 83 ans hospitalisé pour une craniectomie décompressive élective d'un hématome fronto-pariétal gauche chronique avec effet de masse apparu suite à une chute d'origine peu claire le 15.01.2020. Ce patient, sous traitement d'Abixaban pour une fibrillation auriculaire, a été premièrement traité conservativement. Le suivi radiologique a montré une augmentation en taille (avec actuellement 16 mm) avec effet de masse et déviation de la ligne médiane gauche de 11 mm vers la droite. L'indication pour une craniectomie décompressive est posée par les collègues de neurochirurgie et la trépanation a lieu le 15.01.2020. Sur le plan neurochirurgical, le drain sous galéal est retiré le 17.01.2020 et la surveillance neurologique post-trépanation se déroule sans complication. Les agrafes sont retirées le 21.01.2020 et le patient sera contrôlé le 13.02.2020 à la consultation du Dr. X. Sur le plan cardiaque, le patient présente des épisodes de bradycardie à 38 bpm avec pauses, pendant la surveillance post-trépanation, motivant l'arrêt du traitement freinateur de Métoprolol et Diltiazem, que le patient prend à domicile. Il présente suite à cet arrêt une fibrillation auriculaire avec réponse ventriculaire rapide, avec des pics à 150-160 bpm. Sur avis du cardiologue, du Bilol est introduit. Il bénéficie d'une pose de holter pour surveillance rythmique. Nous majorons progressivement le traitement de Bisoprolol avec une bonne tolérance. Il sera convoqué par le service de Cardiologie pour la suite du suivi. Sur le plan métabolique, de l'Oxazépam est introduit en prévention d'un syndrome de sevrage éthylique chez ce patient connu pour un éthylisme chronique avec antécédent de sevrage en décembre 2019. La supplémentation vitaminique et par Thiamine est poursuivie. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 22.01.2020. Mr. Y, 83 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique et tensionnelle post-craniectomie décompressive élective pour un hématome fronto-pariétal gauche chronique avec effet de masse le 15.01.2020. Ce patient, sous traitement d'apixaban pour une fibrillation auriculaire, qui est connu pour un hématome fronto-pariétal gauche chronique suite à chute mécanique le 14.12.2020, traité conservativement, avec au suivi radiologique une augmentation en taille avec actuellement 16 mm avec effet de masse et déviation de la ligne médiane de 11 mm gauche vers la droite. L'indication pour une craniectomie décompressive est posée par les collègues de neurochirurgie. La trépanation a lieu le 15.01.2020, puis le patient est transféré aux soins intensifs. Il sera par la suite revu à la consultation du Dr. X le 13.02.2020. A son arrivée aux soins intensifs le patient est hémodynamiquement stable avec un GCS 15/15 et absence de déficit neurologique. Le traitement anti-hypertenseur habituel est repris immédiatement pour maintenir une TAS <150 mmHg. Sur avis chirurgical le patient reste en lit strict avec tête à 0° pendant 48h. Le drain sous galéal est retiré le 17.01.2020. La surveillance neurologique se déroule sans complications. Durant son séjour le patient présente des épisodes de bradycardie à 38 bpm avec des pauses, des passages en FA et Flutter avec réponse ventriculaire rapide. À noter que le patient est sous double traitement ralentisseur à domicile (Metoprolol et Dilzem). Sur avis du cardiologue, du Dilzem est réintroduit puis du Bilol en raison de la tachycardie persistante. Sous ce traitement le patient présente de nouveaux épisodes de bradycardie (FC < 40/min/10 sec) asymptomatique. Un holter sera posé à l'étage de médecine. Étant à la limite du traitable au niveau médicamenteux, la pose d'un pacemaker doit être discutée. De l'Oxazépam est introduit en prévention d'un syndrome de sevrage éthylique chez ce patient connu pour un éthylisme chronique avec antécédent de sevrage en décembre 2020. La supplémentation vitaminique et par thiamine est poursuivie. Le patient peut être transféré dans le service de médecine le 19.01.2020. Mr. Y présente un tableau de lombosciatalgies sans éléments inquiétants à l'anamnèse. Nous retrouvons néanmoins une atteinte déficitaire L5 droite claire sous forme d'un déficit moteur de l'extenseur du gros orteil non algique, avec une manœuvre de Lasègue atypique, mais que nous considérons comme positive. Dans ce contexte, le patient bénéficie de physiothérapie avec exercices en piscine. Le déficit retrouvé au niveau de l'hallux droit à l'entrée est en amélioration (confortant notre impression qu'il existe bien une atteinte radiculaire récente), mais le patient reste toujours symptomatique malgré l'antalgie et les exercices, avec une irradiation des douleurs en direction de la face postérieure de la cuisse. Dans ce contexte, une nouvelle IRM lombaire est réalisée le 23.01.2020 retrouvant la discopathie L4-L5 avec modification de type Modic II, sans rétrécissement foraminal ni canalaire significatif. Un doute persiste cependant sur une irritation de la racine L5 à droite et nous proposons donc une infiltration épidurale L4-L5 droite sous contrôle CT à but antalgique, ce que le patient accepte. Celle-ci se déroule sans complication le 28.01.2020. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 31.01.2020. Mr. Y est un patient de 92 ans, qui est transféré en chirurgie vasculaire le 31.12.2019 pour prise en charge d'une ischémie aiguë du membre inférieur gauche. Pour rappel, le patient hospitalisé en médecine interne le 19.12.2019 en raison de troubles de la marche avec chutes à domicile d'origine multifactorielle : infection urinaire (traitée par Ciprofloxacine), décompensation cardiaque associée à un bloc AV 2ème degré pour lequel le patient refuse la pose d'un pacemaker. Il est connu également pour un anévrisme de l'aorte abdominale avec une indication opératoire, qui est également refusée par le patient. Lors de son admission en réadaptation gériatrique, le patient présente de fortes douleurs du membre inférieur gauche, jambe froide et absence de pouls. L'angio-CT du membre inférieur gauche confirme une occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche débutant au tiers distal du fémur et s'étendant à l'artère poplitée, tibiale postérieure et fibulaire. Une reperméabilisation de l'artère poplitée et tibiale antérieure est réalisée le 31.12.2019. Une fasciotomie du membre inférieur gauche est effectuée pour prévention d'un syndrome des loges. L'évolution est par la suite favorable, permettant une fermeture secondaire des plaies de fasciotomies médiales le 07.01.2020 et latérale avec greffe de Thiersch le 09.01.2020. Les suites post-opératoires sont marquées par une déhiscence de plaie de fasciotomie médiale nécessitant une révision de plaie au bloc opératoire le 20.01.2020 avec mise en place de pansement VAC changé itérativement au bloc opératoire. À noter également une insuffisance cardiaque décompensée le 31.12.2020, nous adaptons le traitement diurétique du patient. Le 24.01.2020, en raison d'une détérioration clinique sur le plan respiratoire, nous demandons un avis à nos collègues de la médecine interne qui suivent également le patient. Le 25.01.2020, Mr. Y décède des suites de sa maladie. Mr. Y est hospitalisé pour une décompensation asthmatique dans le contexte d'une infection des voies respiratoires supérieures et allergique sur contact avec des acariens. Il présente à son entrée des sibilances sur toutes les plages pulmonaires sans tirage ni cyanose et une désaturation variable entre 85-90% sans oxygène. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire partielle. Il est traité par des aérosols de Ventolin, introduction de Pulmicort, une oxygénothérapie ainsi que de la physiothérapie respiratoire. Une évolution lentement favorable est objectivée.Sur le plan digestif, une discussion est menée avec le Dr. X au sujet d'une gastrostomie. La famille se laisse un délai de réflexion et sera revue avec Mr. Y en consultation en mars prochain. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut sortir le 14.01.2020 avec un traitement de Pulmicort 2x/j pour encore deux semaines et la poursuite d'aérosol de ventolin d'office deux fois par jour. Nous vous laissons les soins d'évaluer ce traitement à distance. Mr. Y est un patient de 73 ans, connu pour une AOMI de stade IV avec plaie chronique et ostéomyélite du talon droit ainsi que de multiples pontages notamment aorto-bifémoral en 2004, poplitéo-tronco-tibio-péronier droit en 2005, pontage veineux artère fémoral commune et artère poplitée gauche en 2007, qui est hospitalisé électivement le 13.12.2019 au vu d'une amputation du membre inférieur droit suite à une artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IV. Nous présentons le cas de Mr. Y au colloque vasculaire le 16.12.2020 et nous préconisons une amputation sus-géniculée du membre inférieur droit. Dans ce contexte, une antibiothérapie par clindamycine est débutée le 14.12.2019. Cependant, en préopératoire, le patient présente une parésie et ataxie du membre supérieur gauche avec somnolence (NIHSS 3) raison pour laquelle nous organisons un angio-CT qui met en évidence une artère vertébrale droite de petit calibre avec probable occlusion du segment V4 sur calcifications et une sténose de la carotide interne droite subocclusive symptomatique ainsi qu'un hématome sous-dural D le 22.12.2019. Le patient bénéficie d'une thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne à droite le 30.12.2019 qui se déroule sans complication. En post-opératoire, le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique du 30.12.2019 au 31.12.2019. Les suites opératoires sont marquées par l'ajustement de la tension artérielle avec Labétalol aux soins intensifs. Le patient est transféré à l'étage de chirurgie le 31.12.2019. Sur le plan vasculaire, le patient bénéficie de l'amputation sus-géniculée droite prévue le 08.01.2020. Les suites opératoires sont marquées par un AVC ischémique sylvien droit d'origine non-carotidienne le 10.01.2020 pour lequel le patient est admis en unité Stroke, la bithérapie antiagrégante et une anticoagulation prophylactique sont poursuivies et après surveillance en Stroke unit, le patient retourne à l'étage de chirurgie le 11.01.2020. Sur le plan néphrologique, les dialyses sont poursuivies 3 fois par semaine et 2 CE sont transfusés dans le cadre d'une anémie d'origine mixte. L'évolution se complique par la suite par une ischémie et nécrose complète du moignon d'amputation le 13.01.2020. En raison de la situation dépassée, des multiples comorbidités et le mauvais état général du patient, nous décidons, en présence de la famille, des soignants, de l'équipe de chirurgie vasculaire et de néphrologie, d'effectuer des soins de confort et d'accompagnement. Le patient décède le 15.01.2020. Mr. Y, 73 ans, a été admis en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique sylvien droit survenu 11 jours après une thrombendartériectomie carotidienne droite et 2 jours après une amputation du membre inférieur droit. Le patient est connu pour une insuffisance rénale terminale dialysée 3x/semaine. Il souffre aussi d'une artériopathie sévère ayant nécessité une TEA de la carotide interne droite le 30.12.2019 ainsi qu'une amputation sus-géniculée droite le 08.01.2020. Au cours d'une séance de dialyse le 10.01.2020, il a présenté une parésie de l'hémicorps gauche ainsi qu'une hypoesthésie du membre inférieur gauche. Une hypotension artérielle à 70/40 mmHg a été corrigée par un remplissage et la mise en suspens du traitement antihypertenseur. La transfusion de 1 concentré érythrocytaire a aussi été nécessaire. À son admission en unité stroke, le patient avait un Glasgow à 14/15, un ralentissement psychomoteur avec une parésie M2 au niveau ilio-psoas et quadriceps, une hypoesthésie du membre inférieur gauche nouvelle, un miosis droit peu réactif et un astérixis au niveau des membres supérieurs (score NIHSS initial à 5 points, puis transitoirement à 8 points, avant de se stabiliser à 5 points). Ces déficits neurologiques font suspecter un AVC ischémique sylvien droit, soit d'origine artério-artérielle, soit cardio-embolique, soit secondaire à un bas débit cérébral sur l'hypotension artérielle. Le CT cérébral a montré un aspect superposable de l'hématome sous-dural pariétal droit et un status post TEA droit mais sans saignement ni lésion ischémique aiguë. La bithérapie antiagrégante et une anticoagulation prophylactique sont poursuivies. Du fait de l'hématome sous-dural pariétal droit minime, un scanner cérébral natif de contrôle devrait être réalisé dans 4 semaines (07.02.2020) ou plus tôt en cas d'altération neurologique. Une légère désorientation spatio-temporelle ainsi qu'un état confusionnel aigu hypoactif résiduels et un astérixis ont été attribués à une encéphalopathie métabolique (accumulation de buprénorphine, gabapentine ou ciprofloxacine, petit débit cérébral secondaire à l'hypotension artérielle et néphropathie chronique). Les douleurs neuropathiques fantômes du membre inférieur droit sont apparues après la récente amputation sus-géniculée gauche. La Gabapentine a été reprise dès le 11.01.2020, avec une administration d'office après les dialyses (3x par semaine) et une réserve de 100 mg 1x par jour si l'état de vigilance le permet. Une lésion hyperdense dans la glande parotide droite a été découverte fortuitement lors du CT-scan et pourrait correspondre à une tumeur de Warthin. Un avis ORL est recommandé. Mr. Y a été transféré le 11.01.2020 en chirurgie vasculaire. Mr. Y, 73 ans, est admis aux soins intensifs en post-opératoire d'une amputation sus-géniculée droite pour une insuffisance artérielle stade IV avec nécrose du pied droit. Pour rappel, le patient est connu pour un syndrome métabolique, une insuffisance rénale terminale anurique dialysée, une artériopathie sévère des membres inférieurs avec plusieurs amputations d'orteils, une cardiopathie ischémique et un SAOS appareillé. Il est hospitalisé depuis le 13.12.2019 pour l'artériopathie sévère des membres inférieurs avec infection de plaies du pied droit. Le 22.12.2019, le patient présente un AVC ischémique avec hémisyndrome moteur gauche et mise en évidence d'une sténose subocclusive carotidienne interne droite. Une TEA avec plastie d'élargissement de la carotide interne droite est réalisée le 30.12.2019 avec de bonnes suites post-opératoires. Le 08.01.2020, il bénéficie d'une amputation sus-géniculée du membre inférieur droit. Le patient est extubé directement en post-opératoire. Un soutien aminergique par Noradrénaline est sevré très rapidement après son arrivée dans le service. Une anticoagulation prophylactique par héparine est débutée dès 6h post-opératoire. Un saignement veineux au niveau du moignon est vu par le Dr. X avec nécessité d'un pansement compressif pour 24-48h. L'antalgie est assurée par du paracétamol, des réserves de Temgesic, et un cathéter d'antalgie posé en peropératoire avec une infusion continue de Ropivacaïne 0.2%. À noter que le patient a également reçu une dose de Lyrica en préopératoire pour la prévention des douleurs fantômes, poursuivi avec la Gabapentine en post-opératoire, 200 mg les jours de dialyse. Nous stoppons les antibiotiques avec l'accord du Dr. X au vu de l'amputation.Le patient est transféré en chirurgie pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient âgé de 76 ans, polymorbide, connu pour les antécédents sus-mentionnés, consulte les urgences de l'HFR Riaz le 27.12.2019 pour une décompensation cardiaque globale d'origine multifactorielle dans le contexte d'une exacerbation d'origine infectieuse de sa BPCO 4 D selon GOLD 2018 avec un 1/3 critère d'Anthonisen (dyspnée). Aux urgences, le patient se plaint de la péjoration de sa dyspnée depuis quelques jours sans toux ni expectoration, accompagnée d'une altération de son état général. L'examen clinique est sans particularité hormis la présence d'une diminution du murmure respiratoire au niveau de la base pulmonaire droite avec la présence de râles crépitants au niveau basal gauche et la présence d'oedèmes bilatéraux volumineux remontant jusqu'à mi-cuisse prenant le godet. Par ailleurs, le patient présente un érythème chronique au niveau du membre inférieur. Une échographie doppler réalisée exclut la présence d'une thrombose veineuse profonde. La radiographie thoracique du 27.12.2019 objective la présence d'un foyer de condensation au niveau de la base droite avec une composante d'épanchement pleural minime. Le laboratoire d'entrée montre une acutisation de son insuffisance rénale chronique probablement d'origine cardio-rénale, des NT-proBNP à 13000 ng/l et des troponines à 97 ng/l. Dans ce contexte clinique et paraclinique, Mr. Y est transféré aux soins intensifs à l'HFR Fribourg où un traitement par VNI est instauré avec Furosémide et Cefepime car le patient est porteur du Pseudomonas. Au vu d'une évolution clinique rapidement favorable, le patient est retransféré dans le service de médecine interne de l'HFR Riaz le 28.12.2019. Une contamination par staphylocoques aureus est retrouvée dans les expectorations, nous relayons donc l'antibiothérapie déjà mise en place par de la Levofloxacine du 30.12.2019 au 03.01.2020 et ajoutons une corticothérapie systémique pendant trois jours accompagnée d'une adaptation de son traitement inhalé. Le traitement préventif par Zithromax est stoppé et sera repris à distance de son épisode infectieux le 17.01.2020. Durant son séjour, le patient se plaint de palpitations durant la nuit, le réveillant et associées à une dyspnée et une désaturation en oxygène nécessitant l'augmentation de son oxygénothérapie à 5 l/min. Un ECG est réalisé objectivant la présence de courts épisodes de tachycardie supraventriculaire à 130 battements par minute réfractaires au bolus de Cordarone et aux chocs électriques externes. Mr. Y est donc retransféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 07.01.2020 et réadmis dans notre service de médecine après quelques heures. A noter que le traitement par adénosine n'est pas administré en raison de son HTP secondaire à sa maladie pulmonaire. Aux soins intensifs, le patient reçoit un nouveau bolus de Cordarone et retrouve un rythme sinusal régulier. Un traitement par Cordarone est poursuivi à la sortie du patient. On note une amélioration de son état général et de sa dyspnée ainsi que la diminution de ses oedèmes au niveau des membres inférieurs. Le traitement par Lasix est remplacé par du Torasémide et par des bandages compressifs. Le 13.01.2020, nous notons un décollement du fil tenant en place son drain biliaire externe mis en place par le Dr. X le 15.11.2018. Une consolidation a été faite ce jour et refaite le 16.01.2020 par le Dr. X. Durant son séjour, le patient bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, ré-entraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 16.01.2020, en bon état général. Nous proposons la réalisation d'une coronarographie à distance de l'épisode infectieux. Mr. Y, 76 ans, est admis aux soins intensifs pour une tachycardie supraventriculaire à 130/minute instable le 07.01.2020. Le patient est hospitalisé à Riaz en raison d'une décompensation cardiaque dans un contexte infectieux au décours d'une pneumonie basale gauche. Le 07.01.2020 le patient décrit des palpitations le réveillant pendant la nuit. Il présente une tachycardie supraventriculaire à 130/minute associée à un ralentissement psychomoteur, dyspnée, désaturation à 87% sous 5L d'oxygène. Des manoeuvres vagales se soldent par un échec. Un traitement d'adénosine n'est pas administré en raison d'une BPCO et HTP. Il reçoit donc un bolus de Cordarone et un choc électrique externe a été administré à 2 reprises, ce qui permet un retour en rythme sinusal régulier mais récidive de TSV après 30 minutes. Il est transféré aux soins intensifs (SIB, Fribourg) pour suite de prise en charge. Suite à un second bolus de Cordarone et remplissage, le patient se cardioverse en rythme sinusal régulier normocarde. Nous retenons une TSV dans un contexte d'hypovolémie. La surveillance est sans particularité, sans récidive d'arythmie. Nous débutons une charge de Cordarone dès le 07.01.2020, que nous vous proposons de poursuivre à court terme, au vu de la pneumopathie avancée. En date du 07.01.2020, Mr. Y est transféré à Riaz en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 84 ans qui est adressé aux urgences par le MedHome pour une dyspnée paroxystique, une agitation et des troubles anxieux. Mr. Y nous rapporte une oppression thoracique ressentie ce jour et une dyspnée nocturne. Pour rappel, Mr. Y a été hospitalisé du 26.02.2019 au 04.03.2019 pour des troubles du sommeil sur une dyspnée paroxystique nocturne pour laquelle une origine multi-factorielle avait été retenue avec des apnées du sommeil, d'origine centrale, de degré sévère, une insuffisance cardiaque diastolique et une composante d'anxiété surajoutée probable. Les fonctions pulmonaires avaient été effectuées pendant l'hospitalisation et ne montraient ni syndrome restrictif ni obstructif. Un essai par CPAP avait été effectué mais abandonné au vu du manque de compliance du patient. Une oxygénothérapie nocturne avait été introduite à domicile avec une amélioration de la symptomatologie que nous poursuivons lors de son hospitalisation avec une amélioration des symptômes par la suite. Sur le plan social, Mr. Y vit à domicile avec son épouse (souffrant d'Alzheimer), bénéficie de soins à domicile 1x/semaine pour la préparation du semainier et son fils vit dans la ferme familiale. Au statut effectué aux urgences, Mr. Y est normotendu, normocarde et eupnéique. L'examen cardiovasculaire montre des B1 et B2 bien frappés, irréguliers, sans souffle audible, des pouls périphériques palpables sans oedèmes des membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire révèle des murmures vésiculaires symétriques, sans bruit surajouté. L'examen abdominal révèle des bruits hydroaériques normaux en fréquence et en tonalité, un abdomen souple et dépressible, une palpation indolore, sans signe de défense ou détente. Le laboratoire d'entrée montre une fonction rénale normale sans syndrome inflammatoire. L'ECG réalisé montre un rythme de fibrillation auriculaire connu, normocarde, QRS fins, axe normal, QTc 471ms, présence des extrasystoles ventriculaires monomorphes. A l'étage de gériatrie, Mr. Y est calme, collaborant. Les symptômes de dyspnée paroxystique nocturne ou d'orthopnée disparaissent mais l'oxygénothérapie est maintenue au vu de désaturations répétées durant l'hospitalisation. Nous réussissons par la suite à sevrer l'oxygène.Une hypokaliémie à 3,4 mmol/l et une hypomagnésémie à 0,68 mmol/l sont observées pour lesquels nous procédons à une substitution. Par ailleurs, une carence en vitamine D à 30 nmol/l est mise en évidence que nous supplémentons. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. Le patient se déplace sur une distance de 260 mètres et peut gravir 27 marches d'escalier à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 93/126 par rapport à 87/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 6/7). Le TUG n'est pas réalisé. Le bilan neuropsychologique réalisé révèle quelques difficultés autant sur le plan exécutif que sur le plan comportemental révélateur d'une probable démence vasculaire. Nous réalisons un test de dépistage de la cognition montrant un MMS à 28/30, un test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 0/15 ne révélant pas de trouble grossier dans les différentes tâches demandées. Toutefois, nous préconisons de prévoir une évaluation psychiatrique en ambulatoire. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Le 31.12.2019, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile (1x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, 1x/semaine pour le semainier) ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y, 65 ans, est admis le 25.12.2019 aux soins intensifs (SIB) en raison d'une insuffisance rénale aiguë KDIGO III d'origine post-rénale. Il consulte initialement les urgences en raison de douleurs costales droites apparues après une chute mécanique avec réception sur le dos. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë KDIGO III. Le CT abdominal natif effectué à l'admission montre une hydronéphrose bilatérale secondaire à une progression d'une masse tumorale vésicale. Une cystoscopie avec TURV et mise en place de néphrostomies bilatérales est réalisée en urgence. Il nous est alors adressé intubé pour suite de prise en charge. Le patient développe transitoire une polyurie de levée d'obstacle, sans perturbation électrolytique. Les néphrostomies sont perméables avec un débit urinaire plus bas à droite (10-20 ml/h). Un US abdominale réalisé le 28.12 montre une diminution des dilatations pyélocalicielles. La suite de la prise en charge urologique est organisée dès le 06.01.2020 avec le Dr. X. Le bilan traumatologique d'entrée met en évidence multiples fractures costales (8-9-10èmes côtes droites) ainsi qu'une fracture vertébrale D10 et du coin antéro-supérieur de D11. Sur avis neurochirurgical, une prise en charge conservatrice avec une mobilisation progressive est adoptée. Un corset n'est pas mis en place en raison de la localisation des néphrostomies bilatérales. Une chirurgie est à considérer en cas de persistance des douleurs et/ou de déficit neurologique nouveau. Au vu d'un état d'agitation initial et du contexte traumatique, un scanner cérébral et cervical est effectué, qui permet d'exclure un saignement intracrânien. Cependant, il révèle une lésion parotidienne droite déjà visible sur un CT-scanner cervical injecté réalisé le 22.05.2019 et pour laquelle des investigations supplémentaires pour bilan d'éventuelle tumeur parotidienne sont recommandées. Nous laissons le soin à nos collègues de l'étage de prévoir un US avec cytoponction en consultation ORL dès que possible. Il présente dès l'admission le 25.12.2019 une insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine multimodale, attribuée en premier lieu à la surcharge volémique dans le contexte de l'insuffisance rénale aiguë, à des atélectases post-opératoires survenant dans le contexte d'une antalgie complexe post fractures de côtes et fracture D10 et d'une obésité avec composante restrictive probable. L'évolution est progressivement favorable après contrôle du problème rénal aigu et adaptation de l'antalgie, permettant une extubation le 28.12.2019 avec relais par VNI. Cette dernière est progressivement sevrée par la suite. La physiothérapie visant la prévention des atélectasies et la mobilisation progressive est à poursuivre. Une anémie nécessite la transfusion d'un CE. Le bilan vitaminique met en évidence une carence sévère en acide folique, pour lequel une substitution est à débuter. Nous vous laissons le soin de compléter le bilan d'anémie ultérieurement. Concernant le diabète de type 2 insulino-requérant, le traitement d'insulino-thérapie est repris prudemment en raison de fausse-route post-extubation ne permettant pas une alimentation orale optimale. Actuellement résolue avec une reprise des portions normales, nous vous laissons le soin de suivre les glycémies et de réintroduire son traitement habituel. Le traitement anti-hypertenseur est adapté tout au long de son séjour dans notre unité. En date du 02.01.2020, Mr. Y est transféré en unité de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 71 ans, a été hospitalisé initialement pour AVC ischémique pariétal droit, temporal droit et frontal gauche d'origine cardio-embolique, qui s'est compliqué d'un STEMI sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure distale. Le patient est connu pour un diabète sucré de type 2, une dyslipidémie et une HTA. Il a présenté un épisode de dysarthrie et de dysmétrie qui a duré 1-2 minutes le 02.01.2010 à 20h15 alors qu'il regardait la télévision, puis un second épisode similaire à 20h25. Il signale aussi une douleur épigastrique. A l'admission aux urgences, les déficits neurologiques ont disparu (NIHSS à 0 point) et un pic hypertensif à 250/150 mmHg a nécessité l'administration titrée de Labétalol. De multiples AVC ischémiques récents des lobes pariétal droit, temporal droit et frontal gauche ont été identifiés et sont compatibles avec une origine cardio-embolique. Les déficits neurologiques n'ont pas récidivé. Une double antiagrégation plaquettaire a été introduite. Une fibrillation auriculaire paroxystique rapide suivie d'une tachycardie ventriculaire sans instabilité hémodynamique a été traitée par amiodarone dans la nuit du 03.01.2020. L'évolution s'est compliquée d'un STEMI inféro-latéral. La coronarographie réalisée en urgence a mis en évidence une occlusion de l'IVA distale, d'origine probablement embolique, qui a été traitée par une recanalisation au ballon seul du fait de son petit calibre. Le pic de CK s'est élevé à 690 U/l. La fonction ventriculaire gauche est modérément diminuée avec une hypokinésie diffuse et une akinésie apicale (fraction d'éjection à 35 %). Une insuffisance mitrale légère à modérée a aussi été mise en évidence. Vu la fibrillation auriculaire paroxystique avec un score CHADSVASC à 6 points et les événements emboliques, une anticoagulation thérapeutique a été débutée avec l'accord des neurologues. L'aspirine est à poursuivre durant 1 mois, le clopidogrel pendant une année, puis l'anticoagulation thérapeutique sera poursuivie seule au long cours. Le traitement de l'insuffisance cardiaque (B-Bloquant, IEC, spironolactone) est à majorer selon la clinique. Le traitement hypolipémiant est poursuivi en visant un taux de LDL < 1.4 mmol/l. L'HbA1C est à 6.4 %. Les cardiologues recommandent la réalisation à distance d'une IRM myocardique de viabilité et de stress afin d'évaluer l'indication à une angioplastie ciblée. Une ergométrie devra être réalisée dans 1 an.Les épisodes récurrents de tachycardie ventriculaire posent l'indication à l'implantation d'un pacemaker-défibrillateur selon l'avis du Dr. X, rythmologue. Cette procédure sera organisée au cours des prochains jours. En cas de tachycardie ventriculaire récidivante malgré l'amiodarone, une prise en charge électrophysiologique sera à discuter. Un emphysème pulmonaire apical bilatéral a été découvert fortuitement lors du bilan radiologique. Par ailleurs, des épisodes de désaturation nocturne ont été observés aux soins intensifs. Nous recommandons la réalisation de fonctions pulmonaires et, selon l'évolution, une polysomnographie à distance. Le patient a été transféré le 07.01.2020 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 71 ans, est hospitalisé initialement pour un AVC ischémique pariétal droit, temporal droit et frontal gauche d'origine cardio-embolique, et le séjour s'est compliqué d'un STEMI sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure distale. Le patient présente un épisode de dysarthrie et de dysmétrie le 02.01.2010 à 20h15, puis un second épisode similaire à 20h25. Il signale aussi une douleur épigastrique. A l'admission aux urgences les déficits neurologiques ont disparu (NIHSS à 0 point) et un pic hypertensif à 250/150 mmHg a nécessité l'administration titrée de Labétalol. Des multiples AVC ischémiques récents des lobes pariétal droit, temporal droit et frontal gauche ont été identifiés et sont compatibles avec une origine cardio-embolique. Une double antiagrégation plaquettaire a été introduite. Une fibrillation auriculaire paroxystique rapide suivie d'une tachycardie ventriculaire sans instabilité hémodynamique ont été traitées par Amiodarone dans la nuit du 03.01.2020. L'évolution s'est compliquée d'un STEMI inféro-latéral. La coronarographie réalisée en urgence a mis en évidence une occlusion de l'IVA distale, d'origine probablement embolique, qui a été traitée par une recanalisation au ballon seul du fait de son petit calibre. La fonction ventriculaire gauche est modérément diminuée avec une hypokinésie diffuse et une akinésie apicale (FEVG à 35%). Vu la fibrillation auriculaire paroxystique, une anticoagulation thérapeutique a été débutée avec l'accord des neurologues. L'aspirine est à poursuivre durant 1 mois, le Clopidogrel pendant une année, puis l'anticoagulation thérapeutique sera poursuivie seule au long cours. Le traitement hypolipémiant est poursuivi en visant un taux de LDL < 1.4 mmol/l. L'HbA1C est à 6.4 %. Une implantation d'un pacemaker-défibrillateur selon l'avis du Dr. X est effectuée le 09.01.2020. Le contrôle post-opératoire montre un défaut de localisation de la sonde auriculaire mais sans impact sur la fonction du pacemaker. Un rendez-vous de contrôle est organisé chez le Dr. X le 06.02.2020. En cas de tachycardie ventriculaire récidivante malgré l'amiodarone, une prise en charge électrophysiologique sera à discuter. Les cardiologues recommandent la réalisation à distance d'une scintigraphie myocardique de viabilité et de stress afin d'évaluer l'indication à une angioplastie ciblée. Une ergométrie devra être réalisée dans 1 an. Un emphysème pulmonaire apical bilatéral a été découvert fortuitement lors du bilan radiologique. Par ailleurs, des épisodes de désaturation nocturne ont été observés aux soins intensifs. Une convocation en pneumologie pour des investigations sera envoyée au patient. Le patient est transféré le 10.01.2020 en réhabilitation cardio-pulmonaire à Billens. Mr. Y est un patient de 44 ans, connu pour un syndrome d'apnées du sommeil de type mixte sous oxygénothérapie nocturne au long cours et pour une obésité morbide de grade II selon l'OMS, qui est hospitalisé le 13.01.2020 pour la prise en charge élective d'un bypass gastrique laparoscopique. L'opération se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 15.01.2020. Sur avis de nos collègues endocrinologues (Dr. X), nous arrêtons le traitement antidiabétique en phase postopératoire et prévoyons un contrôle auprès de la Dr. X endocrinologue traitant le 24.01.2020. Dans l'intervalle, le patient effectuera un contrôle de glycémie à domicile. Un traitement prophylactique de Pantozol est introduit pour 8 semaines et un traitement par Clexane pour 3 semaines. Le patient sera revu pour un contrôle postopératoire à la consultation du Dr. X le 13.02.2020. Mr. Y, 44 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance post-bypass gastrique le 13.01.2019. Le patient est connu pour un SAOS de type mixte sous oxygénothérapie nocturne au long cours ainsi qu'une obésité morbide de grade II selon l'OMS avec un BMI initial à 39,1 kg/m2. L'opération se déroule sans complications. Nous introduisons une antalgie efficace. La surveillance ne montre pas d'épisode de désaturation significative. Une légère détérioration de la fonction rénale est marquée le 14.01.2020, raison pour laquelle l'Aldactone et l'Entresto sont mises en suspens, avec une hydratation adéquate. Une surveillance de la fonction rénale est à suivre à l'étage. Le patient est transféré en chirurgie le 14.01.2020. Mr. Y est un patient de 93 ans qui nous est adressé depuis la gériatrie aiguë afin de continuer sa réhabilitation ainsi que son antibiothérapie. Pour rappel, sur le plan social, Mr. Y vit seul dans une ferme rénovée, son fils et sa belle-fille sont à côté et son épouse est en Home. Le 26.12.2019, l'antibiothérapie par Gentamycine et Vancomycine est terminée et le lendemain, le 27.12.2019, la Picc Line est enlevée. Les valeurs de la créatinine restent toujours légèrement au-dessus de la norme (120 µmol/l à l'entrée et 117 µmol/l à la sortie). Nous vous proposons de recontrôler la fonction rénale en ambulatoire. Pendant son séjour, Mr. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. A la sortie, son périmètre de marche avec un rollator est de 130 mètres. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 74/126 (MIF physio: transferts 6/7, déplacements 6/7 et escaliers 1/7). Le TUG n'est pas réalisé. Le 27.12.2019, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 30.12.2019, Mr. Y rejoint le Home de Vuisternens. Mr. Y présente une douleur à la palpation de la face externe de l'hallux gauche. Pas de trouble neurovasculaire ni de laxité. A la radiographie, nous n'observons pas de lésions osseuses. Nous recommandons au patient de porter des chaussures avec une semelle rigide. Le patient rentre à domicile avec une antalgie et il consultera son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 58 ans, est hospitalisé pour plusieurs petits AVC ischémiques aigus, pariétal et mésencéphalique gauche le 11.01.2020. Il présente une diplopie binoculaire d'apparition brutale le 11.01.2020. L'examen clinique met en évidence une ophtalmoplégie internucléaire gauche ainsi qu'une hypoesthésie V2-3 gauche nouvelle, une pallesthésie à 2/8 au niveau du pied gauche et Babinski bilatéral (déjà connu). L'angio-CT cérébral montre plusieurs lésions de la substance blanche pouvant parler soit en faveur de lacunes soit pour une leuco-araïose, sans argument pour un AVC. L'IRM cérébrale montre plusieurs petits AVC ischémiques aigus, pariétaux et mésencéphaliques gauches, probablement d'origine microangiopathique, dont une lésion pouvant expliquer l'ophtalmoplégie internucléaire. Un bilan ophtalmologique sera effectué en ambulatoire le 06.02.2020, nous expliquons au patient la contre-indication à la conduite jusqu'alors.Selon avis neurologique, une antiagrégation par Aspirine est initialement introduite puis changée pour du Clopidogrel à poursuivre au long cours. Un traitement d'Atorvastatine est mis en place visant un taux de LDL-cholestérol < 1.4 mmol/l. Un contrôle des facteurs de risque cardio-vasculaire est recommandé, notamment sur le plan de l'hypertension. En effet, le patient rapporte une mauvaise compliance médicamenteuse. Le traitement anti-hypertenseur est majoré et nous vous invitons à suivre la pression et la compliance régulièrement. Le patient ne se dit pas prêt à sevrer sa consommation de tabac. Un diagnostic de polyneuropathie périphérique est retenu lors d'une hospitalisation en septembre 2019. Au vu de la présence de signes de Babinski bilatéralement et de la persistance de réflexes achiléens des deux côtés, une composante centrale est également suspectée. Les multiples lésions ischémiques pontiques observées à l'IRM cérébrale pourraient expliquer en partie les symptômes. Le bilan est complété par une IRM panmédullaire qui exclut une myélopathie. Un déficit en acide folique est substitué. Une thymie triste avec composante anxieuse est observée au cours de l'hospitalisation. Du Lorazepam en réserve est mis en place. Un soutien spécialisé par un psychiatre est proposé mais refusé à plusieurs reprises par le patient. L'évolution favorable permet le retour à domicile le 17.01.2020. Le patient bénéficiera de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 61 ans, connu pour un adénocarcinome du côlon droit, qui est hospitalisé en électif le 07.01.2019 pour la prise en charge chirurgicale de la néoplasie. Il bénéficie le lendemain de l'hospitalisation d'une hémicolectomie droite par laparotomie qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont favorables. La réalimentation est bien tolérée et l'antalgie est gérable rapidement par antalgie simple. Au vu de la bonne évolution post-opératoire, le patient peut retourner à domicile le 14.01.2020. Il sera par la suite revu à notre consultation. Les résultats histopathologiques seront discutés au colloque interdisciplinaire oncologique du 15.01.2020. Mr. Y, 72 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance respiratoire dans le contexte d'un syndrome d'apnées du sommeil non appareillé, à la suite d'une révision de prothèse totale du genou (PTG) gauche le 31.12.2019. Ce patient a eu l'implantation de PTG gauche le 10.12.2019, qui s'est compliquée d'une mauvaise cicatrisation de la plaie opératoire avec écoulement, faisant suspecter une infection précoce. Le 30.12.2019, une ponction articulaire du genou est effectuée dont les résultats sont à pister. Le 31.12.2019, il bénéficie d'un changement des parties mobiles de la prothèse. À son arrivée aux soins intensifs, le patient est hémodynamiquement stable et apyrétique. La co-amoxicilline est introduite suite aux différents prélèvements per-opératoires et est poursuivie. À noter qu'il s'agit d'un patient avec un SAOS non appareillé, pour lequel une VNI est proposée et refusée par le patient. Le séjour aux soins intensifs se déroule sans particularités et le patient est transféré en Orthopédie le 01.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 81 ans, est hospitalisé pour une coronarographie élective se compliquant par un œdème aigu du poumon sur probable pic hypertensif. Le patient rapporte une dyspnée de stade NYHA 3, avec majoration des œdèmes des membres inférieurs dans un contexte de cardiopathie ischémique, valvulaire et dysrythmique connue. La coronarographie retrouve une maladie tritronculaire sur sténose serrée de l'IVA ostio-proximale en continuité avec le tronc commun, une sténose serrée de la première diagonale et de la bissectrice et une occlusion chronique collatéralisée de la circonflexe connue. Le patient bénéficie ainsi d'une angioplastie de la bifurcation IVA-diagonale avec T-stenting et kissing, d'un stent de l'IVA vers le tronc commun et d'une fenestration puis stenting de la bissectrice. La surveillance après geste est marquée par un œdème aigu du poumon, nécessitant un soutien ventilatoire non invasif de 24 heures aux soins intensifs, avec réponse clinique favorable par diurétiques et nitrés. Une échocardiographie constate une fonction ventriculaire stable et conservée (FEVG : 60 %), avec sténose aortique et insuffisance mitrale modérées. Sur le plan rythmique, une récidive de flutter auriculaire typique est constatée le 08.01.2020, avec cardioversion médicamenteuse par Cordarone, permettant un retour en rythme sinusal régulier seulement transitoire. Après exclusion de source hémorragique digestive par gastro-colonoscopie en raison d'une chute significative de l'hémoglobine, une anticoagulation orale est débutée, initialement par Xarelto, remplacé par Eliquis. Vu le début de l'anticoagulation dans le contexte des angioplasties récentes avec mise en place des stents actifs, il est décidé après avis cardiologique, d'effectuer une double antiagrégation par Aspirine et Plavix durant 1 mois, avec poursuite seule du Plavix durant 6 mois et une anticoagulation à vie. Sur le plan hématologique, une anémie hypochrome normocytaire à 88 g/l hypogénérative est constatée. Une origine carentielle ferriprive et vitaminique (B9) est substituée par du Ferinject et en acide folique, avec bilan thyroïdien aligné. Une colonoscopie et oeso-gastro-duodénoscopie ne retrouvent pas de source hémorragique. Sur le plan abdominal, l'examen endoscopique identifie une sténose du côlon sigmoïde, d'allure inflammatoire en faveur d'une diverticulite chronique. Les biopsies sont sans particularité et un scanner abdominal à distance est à discuter si la clinique l'impose, sachant que le patient est actuellement asymptomatique. À noter qu'il a présenté des épisodes de rectorragie post-biopsie, ceci dans le contexte de la double antiagrégation et de l'anticoagulation. Vu qu'il s'agit jusqu'à présent de rectorragies en petite quantité, sans répercussion hémodynamique ou sur l'hémoglobine, nous n'avons pas changé le traitement et avons opté pour un suivi clinique et biologique. Nous vous laissons le soin de poursuivre ce suivi et de compléter la substitution en fer que nous avons fait que partiellement (cf. diagnostic d'anémie). Sur le plan infectieux, une pneumonie communautaire du lobe supérieur droit est traitée par antibiothérapie de Ceftriaxone durant 7 jours et Clarithromycine durant 3 jours, d'évolution clinico-biologique favorable. Un érythème isolé du dos, complètement résolutif et sans autre symptôme associé pourrait être en lien avec l'antibiothérapie. Un transfert pour réhabilitation cardiaque à Estavayer-le-Lac est prévu le 22.01.2020. Mr. Y, 52 ans, a été admis aux soins intensifs pour une endocardite à Staphylococcus aureus. Le patient a été retrouvé par terre par sa mère le matin du 05.01.2020. Il présentait une baisse de l'état général avec fièvre, diarrhées et vomissements depuis environ 72 heures. Une antibiothérapie empirique de Ceftriaxone puis de Co-amoxicilline a été introduite pour un sepsis. Cliniquement, le patient présente des lésions suspectes d'emboles septiques à l'orteil gauche et des douleurs à l'épaule droite sans collection palpable. Un CT thoraco-abdominal laisse suspecter la présence d'emboles septiques au niveau rénal et splénique. Les hémocultures identifient un Staphylococcus aureus MSSA dans 4/4 bouteilles. Le bilan est complété par une échocardiographie transthoracique qui montre une végétation valvulaire aortique de >10 mm. Le point de départ de l'infection est probablement une plaie chronique du membre supérieur gauche (status post-opératoire complexe il y a >10 ans), avec un frottis de la plaie qui revient également positif pour un Staphylococcus aureus. Le matériel d'ostéosynthèse de l'avant-bras gauche est probablement aussi infecté. Dans ce contexte, l'antibiothérapie a été modifiée pour de la flucloxacilline dès le 06.01.2020 avec ajout d'une dose quotidienne de Gentamicine et de Rifampicine dès le 07.01.2020.En raison d'un ralentissement psychomoteur important à l'entrée, le bilan initial a été complété par une ponction lombaire qui montre la présence de leucocytes (9/mm3) mais pas de germes à l'examen direct ni croissance à la culture. Un CT cérébral ne montre pas de lésion suspecte. Le bilan devra être complété par une IRM cérébrale à la recherche d'abcès profonds ou de zones d'ischémie. • Une tachypnée importante jusqu'à 60/min associée à une hypoxémie a été attribuée au sepsis, avec une possible composante de décompensation cardiaque et un probable sevrage aux opiacés chez un patient qui consomme de hautes doses d'antalgiques (MST, Oxycontin) à domicile. En raison de signes d'épuisement respiratoire, le patient a été intubé le 06.01.2019. • Un choc septique est apparu le 07.01.2020 avec un besoin croissant de noradrénaline, associé à un état fébrile persistant malgré le traitement antibiotique. Une nouvelle échocardiographie montre une progression de la taille de la végétation (de 10 à 13 mm) et de l'insuffisance valvulaire aortique (de léger à modéré) avec une fonction ventriculaire gauche conservée (FE 55%). • Au vu de la taille de la végétation ainsi que de la présence de multiples emboles septiques, nous prenons contact avec nos collègues de chirurgie cardiaque de l'Inselspital qui retiennent une indication opératoire en urgence. Il est à noter que la prise en charge chirurgicale sera compliquée par la présence d'une infection probable du matériel d'ostéosynthèse dans le membre supérieur gauche. Le patient a été transféré le 07.01.2020 aux soins intensifs de l'Inselspital. Mr. Y, qui était hospitalisé du 14 au 18.01.2020 pour une exacerbation de BPCO traitée par Co-amoxicilline jusqu'au 21.01.2020, est réhospitalisé le 26.01.2020 en raison d'une récidive d'exacerbation de sa BPCO avec une dyspnée aiguë, une tachypnée, une désaturation à 86% à l'air ambiant, accompagnés de ronchis diffus et de râles pulmonaires basaux droits à l'auscultation. Sous bronchodilatateurs et physiothérapie respiratoire, l'évolution est progressivement favorable. Un CT thoracique effectué le 27.01.2020 a montré un emphysème bilatéral diffus prédominant aux apex, encore modéré. Le patient continuera son traitement habituel et sera revu à la consultation de son pneumologue (Dr. X). • Une hyponatrémie hypo-osmolaire est mise en évidence lors de l'hospitalisation, dont l'étiologie est imputée à la prise de thiazide, raison pour laquelle ce traitement est arrêté, permettant une normalisation de la natrémie. Suite à la bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 31.01.2020. Une consultation pneumologique chez Dr. X à Bulle est organisée pour le 10.02.2020. Mr. Y, 79 ans, connu pour une cardiopathie ischémique, rythmique et hypertensive, est hospitalisé en médecine interne suite à une dyspnée en péjoration et des troubles de la marche. • Une échographie transthoracique montre une globale stabilité des fonctions cardiaques et l'évolution est rapidement favorable sous diurétiques. Nous retenons une insuffisance cardiaque chronique et adaptons le traitement médicamenteux. Nous vous proposons de poursuivre la majoration des différents traitements en ambulatoire. Une évaluation CINACARD est effectuée avant la sortie afin d'optimiser le suivi et les connaissances du patient sur sa maladie. Des soins à domicile sont mis en place pour un contrôle de santé 1x/semaine. Un rendez-vous de suivi chez son cardiologue traitant est organisé le 10.03.2020. Concernant l'asthénie et la perte de 10 kg en un an, le bilan clinique, par CT cérébro-thoraco-abdominal et par oesogastroduodénoscopie effectué en ambulatoire, n'a pas mis en évidence une origine néoplasique. Nous l'attribuons à une dysgueusie probablement secondaire au traitement de Cordarone. En accord avec les cardiologues, nous arrêtons la Cordarone et majorons le traitement par Bêtabloquant. Nous proposons à Dr. X de réévaluer le traitement en mars 2020. Mr. Y rapporte également des douleurs dans les membres inférieurs dont l'origine reste indéterminée. Le bilan angiologique montre une bonne perfusion artérielle jusqu'en distalité aux membres inférieurs des deux côtés. Une composante douloureuse secondaire à son insuffisance veineuse chronique est probable. Une hypothyroïdie est objectivée au laboratoire et nous vous proposons de doser une TSH à 6 semaines. L'hospitalisation est compliquée d'une entorse à la cheville gauche sans anomalies radiographiques objectivées. Un Aircast est mis en place et une antalgie simple est introduite. Des béquilles sont fournies au patient à but antalgique. Mr. Y rentre à domicile le 08.01.2020. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance neurologique dans un contexte d'AVC ischémique cérébelleux. • Mr. Y présente vers 21h le 13.01 des vertiges. Le patient se relève vers 00h et présente de forts vertiges avec vomissements en jet. Le 14.01 au lever vers 5h, il présente à nouveau des vertiges importants, des céphalées occipitales, des difficultés à la marche avec chute du côté droit, une dysarthrie, et une chute de la commissure labiale droite constatée par l'ex-femme qui appelle l'ambulance. Le bilan aux urgences met en évidence un NIHSS à 4 points avec dysarthrie, ptose labiale et ataxie du membre supérieur droit. Le CT cérébral met en évidence une ischémie cérébelleuse droite constituée. L'IRM confirme une ischémie de la partie supérieure de tout l'hémisphère cérébelleux droit. Avec les collègues neurologues et neurochirurgiens, vu le risque d'évolution vers un œdème malin, est discuté au vu de la taille de la lésion, l'Aspirine et le Plavix initialement donnés sont transitoirement stoppés au vu de la possible nécessité d'une craniotomie décompressive. Au vu des troubles de la déglutition sévère, une sonde nasogastrique est posée le 15.01.2020. La décompensation diabétique nécessite l'introduction d'une insulinothérapie intraveineuse qui est relayée par l'Insulatard le 16.01.2020. Un suivi diabétologique est à prévoir. La surveillance aux soins intensifs reste sans particularité avec un NIHSS stable à 3 points. Un CT cérébral natif le 16.01.2020 permet d'exclure une transformation hémorragique. L'aspirine est donc débutée et Mr. Y est transféré en lit Stroke non-monitoré le 16.01.2020. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance neurologique suite à un épisode d'amaurose fugace la veille. Le 06.01.2020, Mr. Y rapporte une amaurose pendant 1 minute spontanément résolutive. Le lendemain, il consulte donc les ophtalmologues qui mettent en évidence une subocclusion de l'artère centrale de la rétine gauche et l'adressent aux urgences. Le statut neuro étant sans particularités avec un NIHSS à 0 points et le CT cérébral ne révélant pas de lésion hémorragique, le diagnostic d'un AIT est suspecté. Vu des myalgies sous Prednisone (DD polymyalgie rhumatismale) et un syndrome inflammatoire, une maladie de Horton ne peut pas être exclue. Nous débutons donc une double antiagrégation ainsi que du Prednisone à 60 mg.Bonne stabilité sur le plan neurologique sans nouvel épisode d'amaurose. Le patient garde un NIHSS à 0. L'étiologie de cet événement reste actuellement non éclaircie, car des arguments pour une maladie de Horton ainsi que pour un AIT restent présents. Il faudra encore pister un examen ophtalmologique ce jour le 08.01, un doppler des troncs supra-aortiques en attente ainsi qu'un IRM cérébral en attente. Mr. Y et cher Collègue, Voici quelques lignes concernant votre patient que j'ai vu en urgence à ma consultation le 16.01.2020. Diagnostic • Entorse en inversion grade I-II de la cheville D le 15.01.2020 avec impotence fonctionnelle totale Le 15.01.2020, en jouant avec ses amis, Mr. Y présente une entorse en inversion de la cheville D ayant entraîné une impotence fonctionnelle totale et une tuméfaction péri-malléolaire externe. Mr. Y a immédiatement déchargé sa cheville D avec 2 cannes béquilles. Ses parents me l'amènent pour évaluation. Selon les critères d'Ottawa, puisque Mr. Y ne peut pas faire 4 pas au moment de l'examen, je réalise des radiographies qui ne montrent pas de fracture au niveau de la cheville ou du pied. A l'examen clinique, il y a une douleur à la palpation des faisceaux talo-fibulaires antérieur et fibulo-calcanéens D et un œuf de pigeon. Il n'y a pas de laxité dans la limite de l'interprétation de l'examen qui est assez douloureux. Le traitement est alors conservateur avec des AINS, une immobilisation par une chevillère D de type MalleoTrain S et la poursuite de la décharge par les cannes ainsi qu'une dispense de toutes activités sportives. Un contrôle est prévu dans une semaine suivi d'une prise en charge rééducative. Tout en restant à disposition pour de plus amples renseignements, je vous adresse, cher Collègue, mes salutations les meilleures. Mr. Y, 83 ans, connu pour un SAOS appareillé, se présente aux urgences le 06.01.2020 en raison d'une toux avec expectorations blanchâtres depuis une semaine, accompagnée d'un état fébrile et d'une dyspnée en péjoration. A l'examen clinique à l'admission aux urgences, nous retrouvons à l'auscultation pulmonaire des sibilances diffuses ainsi que des ronchis en base gauche. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Au bilan biologique, nous retrouvons un syndrome inflammatoire avec une CRP à 250 mg/l ainsi qu'une leucocytose à 10,7 G/l. Nous notons une insuffisance rénale chronique stade G3a selon KDIGO avec un GFR diminué à 56 ml/min qui reste stable au cours de l'hospitalisation. La radiographie thoracique ne révèle pas de foyer clair, mais au vu d'une clinique typique, un traitement par Rocéphine 2 g iv du 06 au 10.01.2020, avec relais per os par Co-Amoxicilline du 10 au 13.01.2020 est instauré. Les hémocultures et les antigènes urinaires reviennent négatifs. Cependant, à la culture des expectorations, nous retrouvons un Pseudomonas résistant au Tazobac. Nous ne retenons pas le diagnostic de pneumonie à Pseudomonas au vu de la bonne réponse clinique aux antibiotiques. Le patient bénéficie d'une oxygénothérapie qui peut être sevrée le 08.01.2020 avec de bonnes saturations à l'air ambiant, ainsi que des réserves d'Atrovent. Il effectue également une physiothérapie respiratoire que nous poursuivons en ambulatoire. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 13.01.2020. Mr. Y, 61 ans, est hospitalisé en raison d'un accident ischémique transitoire. Il se présente aux urgences dans la nuit du 28-29.01.2020 en raison d'un épisode d'hypoesthésie facio-brachio-crurale gauche apparu quelques heures auparavant, persistant durant environ 1h30 avant de régresser spontanément. Aux urgences, le patient est asymptomatique et l'examen clinique neurologique est normal. Un CT cérébral ne montre pas de signe d'ischémie ou d'hémorragie. Une IRM cérébrale ne montre pas de lésion. Un Holter est à organiser en ambulatoire pour recherche de fibrillation auriculaire. Un traitement d'Aspirine est mis en place. Une dyslipidémie insuffisamment traitée bénéficie de l'introduction d'Atorvastatine avec une cible de LDL < 1.4mmol/L. Le patient décrit également des douleurs rétro-sternales à l'effort depuis quelques mois. Un ECG montre des sous-décalages dans les dérivations latérales et les troponines ne montrent pas de cinétique. Une échocardiographie transthoracique met en évidence une cardiomyopathie hypertrophique homogène avec aspect brillant-granuleux du myocarde, avec une fonction cardiaque segmentaire et globale conservée. Selon avis cardiologique, une IRM de stress en ambulatoire avec recherche d'amyloïdose est indiquée pour investiguer à la fois l'angor stable et la cardiomyopathie. Une électrophorèse des protéines ne montre pas de gammapathie monoclonale. Au CT cérébral, on découvre fortuitement une lésion nodulaire pulmonaire partiellement visible du segment antérieur du lobe supérieur droit (micronodule ?). Un CT thoracique de contrôle à 3 mois est recommandé. L'évolution est favorable. Le patient rentre à domicile le 31.01.2020. Le patient souhaite organiser le suivi au Portugal. Il prendra contact avec son médecin traitant qui organisera la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 49 ans, hospitalisé le 01.01.2020 en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë. Le patient présente une toux sèche depuis 1 mois, motif pour lequel il a consulté les urgences le 28 décembre. Devant une aggravation des symptômes sous traitement symptomatique, il consulte le médecin de garde qui constate une désaturation à 80 % à l'air ambiant, une tachypnée à 30 bpm et un syndrome inflammatoire au laboratoire. Il adresse alors le patient aux urgences pour suite de prise en charge. La radiographie du thorax d'entrée montre des condensations pulmonaires bilatérales. Au CT, on retrouve des plages en verre dépoli dans tous les lobes des deux champs pulmonaires sous forme de mosaïque et à prédominance péri-hilaire ainsi que des adénopathies médiastino-hilaires d'origine indéterminée (DD ARDS, infectieux, sarcoïdose). Le frottis grippe ainsi que les hémocultures, cultures d'expectoration et antigènes pour Legionelle et Pneumocoque reviennent négatifs, de même que le GeneXpert et le test de dépistage HIV. A l'anamnèse dirigée, nous ne retrouvons pas de facteur prédisposant (en Suisse depuis plus de 10 ans, veuf depuis 15 ans; absence d'asthme connu ou de consommation active de tabac, travaille dans le bâtiment sans exposition particulière). D'entente avec nos collègues infectiologues, une tuberculose de même qu'une infection à PCP paraissent peu probables au vu de l'anamnèse, de l'évolution clinique et du bilan radiologique et biologique. Une bronchoscopie met en évidence un statut bronchique fortement inflammatoire. Le lavage broncho-alvéolaire est compatible avec une infection au décours. Des biopsies bronchiques mettent en évidence des éosinophiles sous-muqueux suspects d'une pathologie d'exposition à un médicament systémique ou des irritants inhalés malgré une anamnèse d'exposition négative. Les résultats de biopsie définitifs sont en attente au moment de la sortie, ainsi que les résultats des PCR pour des bactéries atypiques et virus effectués lors du lavage broncho-alvéolaire. Un traitement empirique par Ceftriaxone et Clarithromycine est introduit, avec une réponse clinique rapidement favorable. La ceftriaxone est stoppée au vu d'une présentation peu évocatrice d'un germe typique. Le traitement par clarithromycine est maintenu pour une durée totale de 15 j bien que l'origine reste indéterminée. Une cause infectieuse indéterminée (bactéries atypiques vs viral) est fortement probable dans un contexte de pathologie pulmonaire sous-jacente jamais diagnostiquée. Un bilan immunologique (ANCA, ANA) est réalisé avant la sortie.Un retour à domicile est organisé le 10.01.2020. Mr. Y, 57 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique, respiratoire et contrôle antalgique suite à une chirurgie pour ablation de spacer et mise en place de PTH gauche le 08.01.2020. Le patient est connu pour une infection subaiguë de PTH gauche à Staphylococcus epidermidis multirésistant le 30.09.2020 ayant nécessité une arthrotomie de la hanche gauche, un débridement, une ablation de prothèse et mise en place d'un spacer le 08.11.2019. Une reprise au bloc opératoire a été effectuée le 13.11.2019 pour la décompression du nerf fémoral gauche incarcéré dans la cicatrice d'arthrotomie. Le 08.01.2020, il a été hospitalisé pour l'ablation du spacer et la mise en place d'une PTH gauche (changement en deux temps). Une antibiothérapie par Vancomycine est reprise dont la durée de traitement est à rediscuter avec l'infectiologue. Des prélèvements microbiologiques sont en cours. Une hémorragie intra-opératoire avec perte de 2 litres de sang a été compensée par l'auto-transfusion de 850 ml par cell-saver. La concentration d'hémoglobine est restée stable. La douleur est contrôlée par administration d'opiacés par PCA. Une acidose respiratoire modérée s'est corrigée spontanément le soir après l'intervention, après reprise de l'appareillage nocturne par CPAP personnelle pour le syndrome d'apnées obstructives du sommeil. La mobilisation selon les recommandations des opérateurs est effectuée sans problème. Des radiographies post-opératoires sont à effectuer. Le patient a été transféré le 09.01.2020 dans le service d'orthopédie. Mr. Y, 57 ans, est hospitalisé en électif pour ablation de spacer et réimplantation d'une PTH retirée dans le contexte d'une infection subaiguë de la prothèse à Staphylococcus epidermidis. Il a bénéficié d'un traitement de Vancomycine jusqu'au 14.01.2020. L'intervention se déroule le 08.01.2020. Les suites post-opératoires sont marquées par un épisode fébrile sans foyer le 10.01.2020. Sur le plan orthopédique, les radiographies sont satisfaisantes. La cicatrice évolue favorablement, sans trouble neuro-vasculaire et les agrafes seront retirées le 22.01.2019. Sur le plan infectieux, la Vancomycine est arrêtée suite aux résultats négatifs de cultures de prélèvements per-opératoires. L'anémie post-opératoire évolue favorablement après le passage de 2 culots érythrocytaires. Le patient est transféré en médecine suite à l'apparition d'une oppression thoracique le 13.01.2020. Le bilan indique un NSTEMI probablement secondaire à l'anémie. Sur avis du Dr. X, cardiologue, nous introduisons un traitement d'Aspirine dès le 13.01.2020. L'échocardiographie est difficile à réaliser, mais montre une FEVG conservée et la coronarographie, effectuée par le Prof. X le 17.01.2020, revient sans particularité. À noter un CT-thoracique qui ne montre pas d'embolie pulmonaire. Le patient ne présente pas de récidive de douleur durant l'hospitalisation. Le 20.01.2020, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Le patient sera transféré en réhabilitation musculo-squelettique pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 80 ans, amené en ambulance suite à deux chutes à domicile sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. Mr. Y se plaint uniquement de douleurs au niveau du fémur à droite. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une maladie de Parkinson ainsi que pour les comorbidités susmentionnées. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse dans un appartement avec ascenseur à Bulle. Aux urgences, le patient est stable sur le plan hémodynamique et afébrile. L'examen clinique montre une palpation douloureuse au niveau du tiers distal du fémur droit sans œdème, hématome ou trouble neurologique et une charge totale possible. Le reste du status cardio-pulmonaire, digestif et uro-génital revient sans particularité. L'ECG réalisé revient superposable aux antécédents. Le laboratoire effectué met en évidence un syndrome inflammatoire avec une élévation de la CRP à 122 mg/L, une leucocytose à 13 G/l sans autres troubles hormis une hypomagnésiémie à 0.7 mmol/l. La radiographie de fémur ne montre pas de fracture. Le sédiment urinaire revient sale. Nous retrouvons également une anémie hypochrome normocytaire sur une carence en folate que nous substituons per os. Au vu des urines purulentes, sans plaintes de la part du patient, nous retenons un diagnostic de prostatite aiguë et nous mettons en place de la Ceftriaxone du 31.12.2019 au 07.01.2020 avec un passage per os par Ciprofloxacine dès le 08.01.2020 jusqu'au 13.01.2020. La culture urinaire montre un Klebsiella pneumoniae multisensible. Les hémocultures reviennent quant à elles négatives chez un patient fébrile à 39°C. Durant son séjour en gériatrie, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 03.01.2020 au 09.01.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. Le patient se mobilise sur une distance de 150 mètres à l'aide d'une canne ou d'un rollator, les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 87/126 (MIF physio : transferts 5/7, déplacement 5/7, escaliers 1/7). Le TUG se réalise en 17 secondes avec 1 canne simple, 21 secondes avec le rollator. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence, des besoins augmentés, une dysphagie démontrée par un NRS à 4, des apports à 50-75% des habitudes ces dernières semaines ainsi qu'une perte de poids de >20% en 1 an et un BMI à 19.4. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne, discutions de la mise en place des structures à domicile pour son retour avec une ergothérapie ambulatoire. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 09.01.2020 montrent un MMS à 28/30, un test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 8/15. Le 09.01.2020, Mr. Y quitte notre service accompagné de son épouse pour un retour à domicile. Mr. Y est un patient de 93 ans, connu entre autres pour une démence de type Alzheimer, une cardiopathie sévère ainsi qu'une suspicion de néoplasie vésicale dont la famille ne souhaite pas d'investigations. Il se présente le 01.12.2019 pour un nouvel épisode d'hématurie macroscopique associé à une rétention urinaire aiguë. Le patient bénéficie de la mise en place d'une sonde 3 voies avec des rinçages vésicaux. En raison de la persistance de l'hématurie, un traitement de Cyklokapron est introduit le 02.12.2019. Par la suite, le patient montre une évolution lentement favorable au niveau urologique. Nous rediscutons des options thérapeutiques avec la famille, qui ne souhaite pas plus d'investigations ou gestes urologiques. Dans ce contexte, nous préconisons un maintien de la sonde vésicale en place avec une poursuite du Cyklokapron jusqu'au retour à des urines claires ainsi qu'un maintien du Cyklokapron en réserve en cas de nouvel épisode. Le changement de la sonde vésicale pour une sonde 2 voies est prévu dans 6 semaines. Durant son hospitalisation, le patient présente un état subfébrile et syndrome inflammatoire faisant suspecter une surinfection urinaire pour laquelle un traitement de Ceftriaxone est débuté. Le patient développe par la suite une insuffisance respiratoire associée à une toux et un fort encombrement. Au vu de l'évolution clinique, un urotube négatif et d'une radiographie du thorax suspectant un foyer pulmonaire, nous retenons la piste pulmonaire. Nous poursuivons le traitement de Ceftriaxone jusqu'à son transfert dans le service de médecine interne et préconisons un traitement de 7 à 10 jours au total selon l'évolution clinique.Concernant la démence, le patient présente des épisodes d'agitation nocturne lors de l'hospitalisation. Nous instaurons un traitement d'Haldol et accordons à la famille de rester durant les nuits. Avant son hospitalisation, Mr. Y vivait à domicile aidé de sa famille et de soins à domicile 2 fois par semaine. Malgré le souhait d'un retour à domicile, la famille exprime leur inquiétude du retour en raison des nouvelles contraintes médicales. Nous laissons le soin à nos collègues de la médecine interne d'évaluer la possibilité d'un retour à domicile avec majoration des soins à domicile. Lors de l'hospitalisation, nous contactons le service des soins palliatifs en accord avec la famille. Un arrêt des traitements à but préventif est proposé ainsi qu'une majoration des traitements de confort (antalgie, Haldol durant le séjour). Mr. Y, 83 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs suite à une crise d'épilepsie généralisée avec suspicion d'AVC ischémique. Le patient a présenté le 15.01.2020 une aphasie de production motivant l'appel à l'ambulance. Sur site, les ambulanciers objectivent une crise tonico-clonique généralisée, traitée par midazolam iv. Aux urgences, une antiagrégation d'aspirine et un traitement antiépileptique par Levetiracetam ont été débutés. Le CT cérébral fait suspecter un possible AVC ischémique sur occlusion de l'artère cérébrale postérieure gauche en P4. Sur avis neurologique, une double antiagrégation par aspirine et clopidogrel est poursuivie dès le 16.01.2020. Le patient a développé un état confusionnel hyperactif rendant la réalisation d'une IRM cérébrale impossible. Un CT cérébral de contrôle le 20.01.2020 n'a pas montré de lésion ischémique constituée, ni de transformation hémorragique. Le bilan a été complété par un doppler des vaisseaux pré-cérébraux qui n'a pas décelé de sténose vasculaire significative. L'EEG n'a pas enregistré de franche focalisation. L'évolution neurologique est par la suite favorable sous traitement de benzodiazépine, halopéridol et clonidine jusqu'au 20.01.2020. Une imagerie par IRM pourrait confirmer le diagnostic d'AVC et, dans ce cas, l'indication à une échocardiographie et enregistrement Holter devrait aussi être discutée. Plusieurs épisodes de méléna survenus le 18.01.2020 ont motivé un traitement par inhibiteur de la pompe à protons et l'interruption transitoire de l'antiagrégation plaquettaire. L'oesogastroduodénoscopie a identifié trois érosions au niveau de l'antre gastrique, sans saignement actif. La reprise d'une antiagrégation simple par aspirine a été possible dès le 21.01.2020. En cas de méléna récidivant ou anémie, une colonoscopie est à prévoir, non réalisée à ce jour en raison de la stabilité de l'hémoglobine et du manque de collaboration du patient pour une préparation colique. En raison d'une insuffisance rénale aiguë, les médicaments néphrotoxiques ainsi que les antidiabétiques oraux ont été mis en suspens. Après hydratation, nous notons une amélioration des paramètres rénaux mais persistance d'une insuffisance rénale avec une eGFR à 41 ml/min, ouvrant le diagnostic différentiel entre une nécrose tubulaire aiguë et une néphropathie chronique sous-jacente. Le traitement habituel est à reprendre en fonction de l'évolution des paramètres rénaux et les anciennes valeurs de créatinine sont à rechercher auprès du médecin traitant (fonction rénale normale en 2009). Le patient a été transféré le 22.01.2020 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé en raison d'une crise d'épilepsie généralisée d'origine indéterminée le 15.01.2020. Le patient présente une aphasie de production le 15.01.2020. A l'arrivée des ambulanciers, il présente une crise tonico-clonique généralisée, traitée par midazolam iv. Au service des urgences, le patient est chargé en aspirine et un traitement antiépileptique par Levetiracetam est débuté. Le bilan est complété par un CT cérébral, qui fait suspecter initialement un possible AVC ischémique sur occlusion de l'artère cérébrale postérieure gauche en P4. Sur avis neurologique, une double antiagrégation par aspirine et clopidogrel est introduite dès le 16.01.2020. Un CT cérébral de contrôle le 20.01.2020 ne montre pas de lésion ischémique constituée, ni de transformation hémorragique. Une IRM cérébrale ne montre pas de lésion ischémique ou hémorragique. Un EEG montre une minime focalisation lente fronto-temporale gauche compatible avec une origine lésionnelle, sans activité épileptique observée. Le bilan est complété par un doppler des vaisseaux pré-cérébraux qui ne montre pas de lésion significative. L'origine de la crise d'épilepsie reste indéterminée, dans ce contexte le traitement de Levetiracetam est poursuivi. Un rendez-vous chez un neurologue dans 6 mois avec un électroencéphalogramme est à prévoir. Mr. Y est averti que la conduite automobile est contre-indiquée pour au minimum 1 an. Un bilan neuropsychologique met en évidence une atteinte multi-domaine à prédominance mnésique, exécutive et attentionnelle. La conduite est également contre-indiquée d'un point de vue neuropsychologique. Nous proposons un bilan neuropsychologique de suivi à 1 an. Une échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 55% et une sténose aortique modérée. Un Holter ne montre pas d'arythmie emboligène, malgré plusieurs épisodes de tachycardie irrégulièrement irrégulière au pouls, également non retrouvées aux ECG itératifs. Nous proposons de répéter un Holter à distance à la recherche d'une arythmie emboligène. Un état confusionnel aigu hyperactif post-ictal nécessite un traitement par benzodiazépine ainsi que Haldol et Catapresan jusqu'au 20.01.2020, avec résolution progressive. Le 18.01.2020, le patient présente plusieurs épisodes de méléna, raison pour laquelle un traitement par IPP est débuté et la double antiagrégation est mise en suspens. Une OGD retrouve trois érosions au niveau de l'antre gastrique, sans saignement actif. La reprise d'une antiagrégation simple par aspirine est possible dès le 21.01.2020. En cas de ré-extériorisation, une colonoscopie est à prévoir. L'évolution est favorable. Le patient et son épouse ne souhaitant pas de réadaptation gériatrique. Mr. Y rentre à domicile le 30.01.2020 entouré de soins à domicile. Au vu de la sténose aortique modérée, un contrôle chaque 1-2 ans par échocardiographie transthoracique est recommandé. Mr. Y est un patient de 80 ans qui est amené aux urgences pour des lombosciatalgies non déficitaires évoluant depuis 1 mois suite à un faux mouvement en déblayant la neige. Les douleurs se localisent au niveau paravertébral gauche et irradient de façon constante, sans décharge électrique, jusqu'au pied gauche. La nuit du 03.12.2019 au 04.12.2019, les douleurs s'intensifient et Mr. Y fait appel aux ambulanciers. A leur arrivée, pas de déficit neurologique ni de traumatisme, pas de fièvre associée. Mr. Y est très algique, difficilement mobilisable et reçoit 200 ug de Fentanyl et 4 mg de morphine, 75 mg de Voltaren et 1000 mg de Paracétamol ce qui permet une diminution des douleurs de 10/10 à 3/10. A son arrivée aux urgences, le patient est à nouveau inconfortable et reçoit 2 mg de morphine supplémentaire, permettant une diminution de la douleur.Sur le plan social, Mr. Y vit à domicile avec sa femme qui marche avec un rollator. Au vu des douleurs et de la situation à domicile, nous décidons d'hospitaliser le patient en gériatrie pour la suite de sa prise en charge. Pour faire suite aux douleurs lombaires, nous effectuons un CT lombaire qui montre des multiples lésions multi-étagées d'origine dégénérative. Un IRM n'a pas pu être réalisée car Mr. Y est claustrophobe. Selon l'avis du Spine Team de l'hôpital cantonal, une prise en charge chirurgicale est contre-indiquée vu les comorbidités du patient et l'absence de symptômes neurologiques. Devant ce contexte, nous privilégions une prise en charge conservatrice avec antalgie par Oxycontin et Oxynorm et physiothérapies. Sur le plan biologique, nous constatons une insuffisance rénale qui est chronique avec une baisse de la créatinine de 137 µmol/l lors de son entrée à 114 µmol/l lors de sa sortie. Nous retrouvons également une carence en vitamine D que nous substituons per os. Sur le plan cardiaque, nous constatons une discrète surcharge plutôt droite avec péjoration des œdèmes chroniques des membres inférieurs et prise pondérale d'environ 4 kg, motivant l'introduction d'un traitement diurétique par Furosemide IV. L'évolution est favorable avec diminution des œdèmes et perte pondérale, raison pour laquelle nous relayons par Torasémide et Aldactone (vu tendance pour des hypokaliémies) per os. Sur le plan médicamenteux, nous adaptons le traitement diurétique puis nous gérons l'antalgie par Oxycontin et Dafalgan d'office. L'Oxynorm est mis en réserve pour la sortie. Mr. Y est pris en charge pour une réadaptation gériatrique aiguë du 06.12.2019 au 20.12.2019. Pendant son séjour, Mr. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, son périmètre de marche à l'aide de 2 cannes est de 130 mètres et il peut gravir 18 marches. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 99/126 par rapport à 79/126 à son entrée. Le TUG n'est pas réalisé. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements, ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Au niveau nutritionnel, une évaluation est faite par l'équipe diététique. Un suivi n'est pas nécessaire à la sortie. Les tests de dépistage des troubles cognitifs reviennent négatifs comme en témoignent un MMSE à 28/30, test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Le 23.12.2019, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile 3x/semaine (2x/semaine pour le contrôle de la santé et une évaluation de la douleur puis 1x/semaine pour le semainier et le suivi du poids). Mr. Y est un patient de 80 ans qui nous est amené depuis son domicile en raison d'une modification du comportement avec somnolence importante depuis 24 heures. Pour rappel, Mr. Y a été hospitalisé du 04.12.2019 au 23.12.2019 pour un traitement antalgique de lombalgies non déficitaires. À son arrivée aux urgences, Mr. Y est somnolent et aplaintif. Il reste orienté dans l'espace mais pas dans le temps. Le statut clinique par système est dans la norme, hormis une déshydratation clinique. Le laboratoire de contrôle met en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur chronique de stade G3aA1, dans un contexte de déshydratation. Le bilan biologique à l'entrée met en évidence une créatininémie à 228 umol/l, avec une urée à 19 mmol/l. Devant ces éléments, tout traitement néphrotoxique est mis en suspens et nous instaurons une antalgie par Fentanyl et Buprénorphine. L'évolution par la suite est favorable suite à une hydratation intra-veineuse prudente. Un contrôle biologique à la sortie montre une créatinine autour des valeurs habituelles à 154 umol/l avec une urée à 11 mmol/l. Concernant l'origine de l'état confusionnel aigu hypoactif que nous constatons à l'entrée, nous retenons une intoxication à l'Oxycodone, secondaire à l'insuffisance rénale aiguë sur déshydratation. Nous constatons une résolution rapide de la confusion, suite à l'hydratation intraveineuse, qui nous permet de reprendre le traitement habituel. Concernant les lombalgies, nous constatons un meilleur effet antalgique sous un traitement par Oxycontin par rapport à la Buprénorphine ou le Fentanyl, raison pour laquelle nous décidons de le poursuivre. Nous expliquons au patient l'importance de rester bien hydraté afin d'éviter une nouvelle accumulation des opioïdes. Sur le plan thymique, nous constatons la discrète présence de troubles anxio-dépressifs avec un GDS à 5/15. Un traitement par Mirtazapine est introduit durant l'hospitalisation, que nous vous laissons le soin d'adapter, si nécessaire. Pendant son séjour, Mr. Y bénéficie de séances de physiothérapie de mobilisation. Le patient se mobilise sur une distance de 120 mètres avec l'aide de ses cannes anglaises. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 97/126 par rapport à 90/126 à son entrée. Le TUG n'est pas testé. Les tests cognitifs ont déjà été effectués le 13.12.2019 avec MMSE 28/30, test de la montre 7/7, GDS 5/15. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne avec un entraînement du positionnement, une amélioration de l'endurance sur les activités debout, ainsi qu'une rééducation sensitive du membre inférieur gauche. Le 17.01.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour le semainier, 1x/jour pour l'aide à la toilette, 1x/jour pour le contrôle de la santé et l'antalgie, ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est hospitalisé le 21.01.2020 pour la pose d'un pacemaker CRT-D dans le cadre d'une insuffisance cardiaque avec dysfonction systolique ventriculaire gauche sévère associée à un bloc de branche gauche. L'opération se déroule bien et le patient peut regagner l'étage de médecine interne. Une radiographie de contrôle ne révèle pas de complication. Le traitement médicamenteux ne change pas durant l'hospitalisation. Le patient peut rentrer à domicile le 22.01.2020 en bon état général. Mr. Y est un patient de 50 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente le 22.01.2020 aux urgences en raison de douleurs abdominales depuis le jour même. Le bilan effectué aux urgences met en évidence une cholécystite aiguë. Le patient est hospitalisé dans notre service sous antibiothérapie afin de bénéficier d'une cholécystectomie laparoscopique. L'intervention est effectuée le lendemain de l'hospitalisation et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables, permettant au patient un retour à domicile le 25.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un STEMI subaigu. Le patient de 62 ans, connu pour une AOMI multi-opéré, présente des douleurs rétrosternales typiques depuis 4-5 jours, péjorées à l'effort. Il consulte son médecin traitant le 17.01 qui retrouve un syndrome de Wellens avec une cinétique des troponines. Une échocardiographie retrouve une akinésie apicale. La coronarographie met en évidence une maladie tritronculaire avec une sténose subocclusive de l'artère interventriculaire antérieure moyenne qui est stentée avec succès, la FEVG est évaluée à 45%. Le reste des lésions sera pris en charge dans un mois par le Dr. X. Une échocardiographie transthoracique est à répéter pour suivre l'évolution de l'akinésie apicale. Nous laissons le soin à nos collègues de médecine interne d'évaluer l'indication de l'anticoagulation thérapeutique selon les résultats de ce dernier.La surveillance rythmique et hémodynamique se déroule sans particularité et le patient peut être transféré en médecine interne le 18.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 63 ans, est hospitalisé en raison d'un état de choc d'origine septique et cardiogène avec bactériémie à E. Coli. Pour rappel, le patient a été hospitalisé à l'HFR Riaz le 24.11.2019 pour une fracture pertrochantérienne qui date du 08.11.2019. Après une chute de sa hauteur à son domicile, il est resté allongé sur son canapé pendant deux semaines, en s'alimentant très peu et avec des diarrhées importantes. Il présente, lors de son admission, un état fébrile associé à une tachycardie et une hypotension. Au service des urgences, il a des besoins accrus en noradrénaline malgré un remplissage volémique agressif. Un CT thoraco-abdominal ne retrouve pas de foyer infectieux clair et une échographie abdominale exclut une cholécystite. Un traitement antibiotique empirique par Tazobac, Amikacine et Vancomycine est débuté, ainsi qu'une corticothérapie. Les hémocultures montrent une bactériémie à E. Coli dont le point de départ n'est pas connu. Une adaptation du traitement à la Ceftriaxone est effectuée avec une évolution initiale favorable. Une décompensation cardiaque évolue favorablement sous traitement diurétique. Les deux échocardiographies transthoraciques réalisées montrent une hypokinésie globale modérée avec une FEVG à 40%. Une 3ème échocardiographie transthoracique à distance montre une normalisation de la fonction cardiaque, parlant en faveur d'une cardiopathie d'origine septique. L'insuffisance rénale aiguë survenue dans le contexte septique se corrige au décours du séjour. Après stabilisation clinique, une chirurgie de réduction ouverte et ostéosynthèse par vis-plaque DHS du fémur droit est réalisée. Une marche en charge partielle du membre inférieur droit, maximum 10 kg pour 6 semaines, est préconisée. Une radiographie de contrôle post-opératoire ne montre pas de complication. Le patient présente également une dénutrition protéino-énergétique avec un syndrome de renutrition en début de séjour qui se corrige après substitution des électrolytes. La substitution alimentaire se fait par sonde nasogastrique qui peut être sevrée au cours du séjour. Un escarre de stade 2 au niveau du siège est mis en évidence, avec une évolution favorable mais nécessitant un suivi par stomatothérapie. Durant l'hospitalisation, le patient présente un état fébrile récidivant d'origine indéterminée, sans réponse malgré un traitement de Pipéracilline / Tazobactam puis Fluconazol après mise en évidence d'une candidurie. Le PET-CT ne montre pas de captation pathologique. L'évolution est spontanément favorable. L'électrophorèse des protéines montre une discrète double bande polyclonale kappa et lambda, avec un ratio kappa/lambda normal. Un avis hématologique et oncologique préconise un contrôle de l'électrophorèse des protéines et immunofixation à 6 mois. Nous proposons également un contrôle scannographique à 3 mois des adénopathies médiastinales mises en évidence au CT du 26.11.2019. Le patient présente des diarrhées persistantes pour lesquelles une recherche de Clostridium revient négative. Les analyses bactériologiques et la recherche de parasites sont négatives, ainsi que la recherche d'une coeliacique. L'évolution est finalement favorable sous traitement symptomatique. Un bilan endoscopique est à discuter en cas de récidive ou à faire dans tous les cas si le patient n'en a jamais eu jusqu'à présent. L'évolution clinique et biologique est favorable et le patient est inscrit en réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz. Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 75 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui se présente le 04.01.2020 pour une hématurie macroscopique. Une sonde 3 voies est mise en place et des rinçages vésicaux sont instaurés, ainsi qu'un bref arrêt du Xarelto du 05.01 ou 06.01 et du Plavix. Le patient montre par la suite une évolution favorable avec un retour à des urines claires, permettant un retrait de la sonde vésicale le 08.01.2020 et un retour à domicile le jour même. Nous préconisons une reprise du Plavix le 12.01.2020. En cas de récidive fréquente de l'hématurie et de multiples hospitalisations, le traitement d'anticoagulation et antiagrégation devra être rediscuté avec les angiologues. Mr. Y prendra contact avec son médecin traitant pour un contrôle clinique dans 1 semaine. Mr. Y, connu pour un diabète mellitus de type 2 insulino-requérant ainsi qu'un syndrome de dépendance à l'alcool avec multiples antécédents d'hospitalisation dans les années passées, est amené en ambulance aux urgences le 18.01.2020 en raison d'une chute sur état éthylique le 18.01.2020. A l'anamnèse, le patient décrit avoir consommé vendredi 17.01 au soir, et d'avoir eu son dernier repas il y a 3 jours. Le patient ne se rappelle pas bien des événements. Il a été retrouvé chez son cabinet par son frère le samedi matin 18.01.2020. Au statut d'entrée, on ne note pas de contusion, mais une épistaxis d'origine probablement traumatique. A l'anamnèse par système, le patient se plaint des douleurs sus-pubiennes. Le bilan biologique d'entrée montre une acidose métabolique à trou anionique augmentée (27) et le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Sur le plan biologique, nous notons aussi un syndrome inflammatoire et un urotube qui revient positif au E. Coli, raison pour laquelle une antibiothérapie est mise en place. Une échographie abdominale montre un globe vésical, le patient est sondé avec un résidu urinaire de 750 ml, raison pour laquelle la sonde sera à garder pour une durée de 4 semaines. Nous vous laissons le soin d'organiser la suite de la prise en charge urologique. Une rhabdomyolyse nous suggère que Mr. Y serait resté immobile après la chute pendant plusieurs heures. À noter des troubles électrolytiques avec une hyponatrémie très sévère, ainsi qu'une hypomagnésémie et hypophosphatémie. Nous débutons une substitution intraveineuse et orale. En raison de l'acidose, nous arrêtons le traitement avec Metformin. En raison d'un épanchement au genou gauche avec état subfébrile persistant, nous effectuons une ponction qui nous confirme le diagnostic de goutte. Une infiltration avec corticostéroïdes est effectuée avec bonne évolution. À noter qu'un bilan complet de l'anémie doit être terminé en ambulatoire (la récolte de selles a pu être effectuée qu'une fois). En raison d'une amélioration sur le plan biologique et clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 19.01.2020. Mr. Y est un patient de 84 ans, connu pour un carcinome épidermoïde peu différencié excisé une première fois en juin 2019, qui est hospitalisé pour la prise en charge élective d'une récidive de lésion cutanée de la même région anatomique du membre supérieur gauche. L'intervention chirurgicale se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, permettant une reprise d'anticoagulation par Sintrom dès le 13.01.2020 et un retour à domicile le 15.01.2020. Nous prévoyons un contrôle en consultation de chirurgie vasculaire le 12.02.2020.Mr. Y est un patient de 53 ans, hospitalisé dans notre service pour la prise en charge d'une pancréatite aiguë biliaire. Il bénéficie d'un CT abdominal qui montre la présence de calculs dans la vésicule biliaire et dans le cholédoque. Le patient bénéficie d'une ERCP le 10.01.2020 avec papillotomie et extraction de deux concréments cholédociens. L'évolution est alors favorable cliniquement et biologiquement, permettant une cholécystectomie laparoscopique le 10.01.2020 qui se passe sans complication avec des suites opératoires simples. L'évolution favorable permet un retour à domicile le 14.01.2020. Mr. Y, 74 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë d'origine multifactorielle. Le patient est retrouvé au sol par les soins à domicile ce matin après être glissé de son lit la veille. Il rapporte une prise de poids d'environ 8 kg avec une baisse de l'état général. Un CT thoracique ne permet pas d'exclure une embolie pulmonaire vu une injection sous-optimale. Un épanchement pleural bilatéral et de l'ascite sont visualisés. L'insuffisance respiratoire est mise sur le compte d'un épanchement pleural bilatéral prédominant à droite, un syndrome restrictif sur ascite et sur une composante de décompensation cardiaque chez Mr. Y avec une dysfonction cardiaque globale et une hypertension artérielle pulmonaire connue. Suite à un drainage pleural et drainage d'ascite, nous notons une nette amélioration de l'oxygénation. Une bactériémie à MSSA est mise sur le compte d'une possible endocardite de la valve aortique. Vu la possibilité de varices œsophagiennes, un ETO n'a pas pu être réalisé dans un premier temps. Lors de l'ETT, la calcification de la valve aortique avec des réverbérations évoque l'image des végétations vs des artéfacts. Sur avis infectiologique et cardiologique, une antibiothérapie ciblée à Cefazolin adaptée à la fonction rénale est donc poursuivie. Un OGD afin d'exclure des varices œsophagiennes est prévu la semaine prochaine. Suite à l'exclusion des varices, un ETO sera envisagé. La fonction rénale avec anurie transitoire s'améliore sous hydratation et Albumine i.v. Nous postulons comme cause de la péjoration de la fonction rénale le contexte septique et une composante hépato-rénale. À noter une créatinine de baseline d'environ 150 mcmol/l. L'ascite drainée ne montre pas de signe de PBS. Un traitement à Propranolol et diurétique sera à introduire par la suite. Vu des plaies diffuses chroniques sur les deux jambes, un avis diabétologique et stomatothérapeutique est demandé. Les plaies chroniques seront évaluées par le Dr. X de la chirurgie à distance. Un avis angiologique est prévu pour le 06.12.2020. Devant la stabilité hémodynamique, nous transférons Mr. Y à l'étage de médecine le 03.01.2020. Mr. Y, 74 ans, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë avec décompensation cardiaque globale. Il est retrouvé au sol par les soins à domicile le matin du 31.12.2019 après être glissé de son lit la veille. Il rapporte une prise de poids d'environ 8 kg avec une baisse de l'état général. Le bilan aux urgences montre un patient fébrile présentant des signes de surcharge avec un épanchement pleural bilatéral et une ascite en grande quantité. Une ponction pleurale et un drainage d'ascite sont réalisés. Le CT thoracique exclut l'embolie pulmonaire. Un traitement diurétique intraveineux est entamé et adapté à la fonction rénale au cours de l'hospitalisation. Un traitement d'aldactone est mis en place ainsi que des petites doses de bêta-bloquant en raison d'un patient qui reste tachycarde depuis plusieurs jours. Sur le plan infectieux, une péritonite bactérienne spontanée est exclue par analyse de l'ascite. Les hémocultures mettent en évidence un Staphylocoque doré. Au vu de l'allergie à la pénicilline, un traitement de Céfazoline intraveineux est débuté. Une échocardiographie transthoracique montre une suspicion de végétation sur la valve aortique, sous réserve d'un examen sous-optimal. La gastroscopie exclut des varices œsophagiennes. Après discussion avec les cardiologues et les infectiologues, nous renonçons à l'échocardiographie transœsophagienne qui ne changerait pas la prise en charge, qui reste non-chirurgicale chez ce patient polymorbide avec une antibiothérapie intraveineuse pour un total de 4 semaines. Durant la nuit du 09.01.2020, Mr. Y présente une péjoration de sa dyspnée avec des signes importants de surcharge au niveau pulmonaire. Le traitement diurétique est majoré, sans réponse. Malheureusement, le patient devient anurique et décède dans les heures qui suivent. Au vu des comorbidités importantes, nous renonçons à une autopsie. Mr. Y, 63 ans, connu pour une consommation d'alcool à risque, se présente aux urgences suite à une tuméfaction et une rougeur de son membre inférieur gauche. Un bilan angiologique est réalisé le 07.01.2020 et met en évidence une thrombose de la veine fémorale superficielle, de la veine fémorale commune et de l'artère iliaque externe. Une anticoagulation thérapeutique est introduite et le patient est hospitalisé en médecine interne.Un CT thoraco-abdominal met en évidence des embolies pulmonaires segmentaires bilatérales, aucune néoplasie n'est retrouvée. Une compression élastique est mise en place et l'anticoagulation est passée per os dès le 13.01.2020. Une consultation de contrôle au service d'angiologie est prévue le 08.04.2020. Concernant sa consommation d'alcool, le patient ne présente pas de syndrome de sevrage durant l'hospitalisation. Un soutien par l'équipe d'addictologie est refusé. Il est informé des risques de saignement en cas de chute avec une anticoagulation. Un défaut d'opacification de la partie postérieure du rectum distal est également mis en évidence au CT du 10.01.2020 avec des adénomégalies mésentériques et rétropéritonéales aspécifiques. Nous vous proposons d'organiser une colonoscopie en ambulatoire. Une cystite est mise en évidence durant le séjour, pour laquelle une antibiothérapie par Ciproxine est introduite. L'urotube revient positif pour un ESBL résistant à la ciproxine, motivant un relais par nitrofurantoïne. La nouvelle ordonnance est envoyée à la pharmacie du Bourg d'un commun accord téléphonique avec le patient. Mr. Y rentre à domicile le 14.01.2020. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé suite à un STEMI inférieur subaigu le 23.12.2019 avec subocclusion de la coronaire droite moyenne, qui a été traitée par un stent actif. Une double agrégation plaquettaire par Aspirine et Efient a été instaurée et le patient a été transféré à l'HFR Riaz. Par la suite, le patient présente un état fébrile ainsi que plusieurs épisodes d'hématochézie avec anémie, suite à un lavement pour une constipation. Le CT abdominal met en évidence un saignement actif au niveau du rectum, ce qui motive son transfert aux soins intensifs. La rectosigmoïdoscopie montre une proctite post-radique dans le contexte de la néoplasie prostatique, avec une angiodysplasie ainsi qu'une lésion ulcéreuse sanguinolente, possiblement provoquée par l'insertion de la sonde du lavement. L'ulcère rectal est alors traité par un clip et injection d'adrénaline. Concernant les angiodysplasies, selon le gastro-entérologue, il est fort probable que le patient saigne à bas bruit sans qu'il y ait lieu de s'alarmer dans l'immédiat. Néanmoins, si cela devait persister, il propose d'envisager une coagulation par argon en électif lorsque le patient sera sous Aspirine seulement. Une lésion du cæcum associée à des adénopathies d'origine indéterminée nécessitera une colonoscopie en ambulatoire. Malgré le STEMI récent, la baisse de l'hémoglobine a bien été tolérée, sans symptôme cardiaque. Le patient reste stable hémodynamiquement permettant le transfert en médecine. Le traitement par Efient est remplacé par le Plavix dans le contexte de saignement et l'IEC et bêtabloquant sont poursuivis. En raison de l'évolution favorable avec disparition des rectorragies et stabilisation de l'hémoglobine, le patient rentre à domicile le 01.01.2019. Mr. Y consulte en raison d'épigastralgies persistantes depuis vendredi dans un contexte de gastro-entérite virale. Nous effectuons un statut clinique montrant une douleur à la palpation profonde en épigastre sans autres particularités. Au vu de l'anamnèse de brûlures d'estomac et de vomissements récents, nous retenons le diagnostic de gastrite. Nous prescrivons un traitement d'IPP et d'Ulcar pour 1 semaine. Le patient est invité à reconsulter si persistance de la douleur ou apparition de fièvre. Nous donnons également au patient des conseils d'hydratation. Mr. Y, 78 ans, est admis aux soins intensifs en unité stroke monitorée le 27.01.2020 en raison d'un probable AIT pontique droit. Il présente le 27.01.2020, alors qu'il était en train de prendre son petit-déjeuner, un hémisyndrome brachio-crural droit avec dysarthrie d'une durée peu claire (entre quelques minutes et 20 minutes). Son amie a constaté qu'il avait de la difficulté à utiliser son membre supérieur droit (laissait traîner sa manche dans la confiture). Il est ensuite allé à la douche et décrit une faiblesse du membre inférieur droit puis des deux membres inférieurs. Il se plaint également de céphalées fronto-pariéto-occipitales droites depuis 2 à 3 jours. À son arrivée aux urgences, le statut neurologique est dans la norme. L'angio-CT cérébral réalisé en urgence ne montre pas de lésion ischémique récente. Un probable AIT pontique droit est retenu. La surveillance neurologique se déroule sans événement notable, le patient reste cliniquement et hémodynamiquement stable. L'IRM cérébrale montre des lésions ischémiques séquellaires pariétales et occipitales droites ainsi qu'un anévrysme sacculaire aux dépens de l'artère communicante antérieure et une distension du système ventriculaire pouvant faire évoquer une hydrocéphalie à pression normale. Le bilan étiologique montre une dyslipidémie et une hémoglobine glycquée élevée à 8.4%. Le patient est chargé en Aspirine puis celle-ci est poursuivie. L'Eliquis est transitoirement interrompu puis repris à demi-dose dès le soir du 28.01, en raison de la présence de micro-bleeds sur l'IRM de contrôle. L'ézétémibe est introduit vu son bilan lipidique perturbé (cholestérol LDL 3.5 mmol/L pour une cible <1.4 mmol/L). Un avis neurochirurgical est demandé concernant l'anévrysme de l'artère communicante antérieure, et sera à pister. À noter que le patient est connu pour une cardiopathie d'origine ischémique, rythmique et hypertensive, à fonction systolique diminuée (FEVG 45% au dernier contrôle). Le traitement de sa cardiopathie est arrêté au moment de son admission, pour une raison inconnue. Nous vous proposons de les réintroduire progressivement pendant le séjour (IEC, éventuellement Aldactone), en fonction de la clinique. Le patient est transféré en médecine le 28.01.2020. Mr. Y, âgé de 70 ans, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire globale sur une exacerbation de BPCO de stade III le 04.01.2020. Le patient rapporte une dyspnée en augmentation depuis 3 jours avec changement de couleur des expectorations, avec 2/3 critères d'Anthonisen remplis. Aux urgences, le patient est tachypnéique et désature à 83%, avec insuffisance respiratoire globale, nécessitant un séjour aux soins intensifs de 48 heures pour ventilation non invasive. Une corticothérapie est administrée durant 5 jours, couplée d'une antibiothérapie, non poursuivie sur absence de foyer infectieux franc radio-clinique. L'évolution clinico-biologique est favorable, permettant la reprise des traitements bronchodilatateurs habituels et sevrage progressif de l'oxygénothérapie. Nous retenons la reprise du tabac comme origine de son exacerbation de BPCO. Nous proposons un nouveau sevrage du tabac avec des entretiens motivationnels et une substitution nicotinique. Le patient ne montre pas une grande motivation pour un sevrage, mais il veut quand même essayer. À noter qu'une réadaptation respiratoire ambulatoire est refusée par le patient. Le patient rentre le 13.01.2020 à domicile. Mr. Y, 70 ans, est admis aux soins intensifs pour une exacerbation de BPCO de stade III le 04.01.2020. Le patient décrit une dyspnée en augmentation depuis 3 jours sans péjoration d'une toux, augmentation des crachats et sans état fébrile. Aux urgences, le diagnostic d'une insuffisance respiratoire globale sur exacerbation BPCO est retenu. Vu la nécessité de ventilation non invasive, Mr. Y est donc initialement admis aux soins intensifs. L'évolution est favorable suite à l'introduction de Prednisone, de bronchodilatateurs et de l'oxygénothérapie. Mr. Y bénéficie par ailleurs de la ventilation non invasive intermittente.L'antibiothérapie initialement instaurée est arrêtée le lendemain de son admission en absence de critères Anthonisen chez un Mr. Y afébrile. Les frottis de grippe + RSV sont négatifs. Des pics hypertensifs asymptomatiques nécessitent un traitement transitoire par TNT. Les tensions se normalisent rapidement suite à la majoration du traitement antihypertenseur. Vu l'évolution rapidement favorable, Mr. Y est admis à l'étage de médecine le 05.01.2020. Mr. Y présente des douleurs sur le versant trochantérien ddc qui font plutôt penser à une contusion trochantérienne ou à une bursite trochantérienne chronique. On peut également avoir une tendinopathie à l'insertion des abducteurs. Pour cela on organise donc une IRM des 2 hanches. Etant donné que le patient est porteur de prothèses à col modulaire et que ces prothèses sont connues pour créer des problèmes de métallose, on demande également un bilan par prise de sang avec mesure des taux de chrome-cobalt. On organise également un CT du bassin à la recherche de signes d'ostéolyse. On prévoit également une ponction de PTH bilatérale à la recherche d'une infection. Nous reverrons le patient le 11.02.2020 à l'issue de ces examens. Mr. Y présente donc une pathologie mixte au niveau de sa hanche G avec d'une part un conflit mixte sur asphéricité de la tête fémorale et rétroversion acétabulaire et d'un autre côté une dysplasie avec une couverture insuffisante de la tête. Malgré la présence de troubles dégénératifs déjà présents, on pourrait éventuellement améliorer la biomécanique de sa hanche pour tenter de retarder le développement d'une arthrose en procédant à une ostéotomie péri-acétabulaire ainsi qu'à une luxation chirurgicale de la hanche avec correction de l'offset et reconstruction du labrum. Nous fixons déjà une date provisoire le 27.08.2020 et reverrons le patient le 02.06.2020 pour faire signer le consentement opératoire. Mr. Y, patient de 83 ans, connu pour une BPCO stade 2 et une polymyalgie rheumatica sous Prednisone, est hospitalisé à l'HFR Riaz le 18.01.2020 en raison d'une détresse respiratoire dans un contexte de pneumonie bibasale. Pour rappel, il présente des diarrhées, nausées et vomissements d'apparition aiguë avec un état fébrile le 17.01.2020, puis une dyspnée avec toux matinale et expectorations habituelles. Le patient présente des diarrhées, nausées et vomissements d'apparition aiguë la veille, accompagnées d'un état fébrile à 39°C. Il rapporte également une dyspnée apparue la veille, avec une toux matinale accompagnée d'expectorations habituelles. Légères douleurs abdominales, pas de douleur thoracique, pas d'autre plainte. Le patient est hospitalisé en médecine et réhydraté. Une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid est débutée en raison d'une suspicion de pneumonie bibasale. Les antigénuries pneumocoques et Légionelle sont prélevées et des hémocultures sont réalisées. Le patient présente le 19.01.2020 une péjoration clinique sur le plan respiratoire avec une désaturation, une polypnée et une majoration de l'hypoxémie. Un avis est pris auprès des soins intensifs de l'HFR Fribourg qui propose un transfert aux urgences afin de pouvoir l'évaluer sur le plan clinique et de mettre en place un éventuel soutien respiratoire. Mr. Y est par conséquent immédiatement transféré à l'HFRF Fribourg le 19.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un tentamen médicamenteux le 04.01.2020. Le patient est amené par les ambulanciers suite à un tentamen médicamenteux après avoir appelé son ex-copine en détresse psychologique. Il dit avoir ingéré au total 1'500 mg de Venlafaxine et 1'000 mg de Lyrica. À son arrivée, le patient est agité et présente une mydriase bilatérale sans autre signe neurologique avec un QT normal. Le bilan laboratoire montre une alcoolémie à 2.21 pour mille. Un traitement de charbon actif est administré aux urgences. Afin d'assurer une surveillance médicale sur la nuit, un placement à des fins d'assistance médicale est nécessaire car Mr. Y refuse initialement une hospitalisation. La surveillance neurologique et rythmique reste sans particularités. Les collègues psychiatres ne retiennent pas d'indication à une hospitalisation psychiatrique car ils estiment qu'il n'y a pas de risque de récidive. Le frère et la sœur vont veiller sur le patient les prochaines 24 heures. Un suivi de crise en ambulatoire est donc prévu au centre Matrix où il est connu. Il y a la possibilité que Mr. Y sollicite lui-même les urgences RFSM au cas où son état se péjorerait et il ne pourrait pas assumer son travail. (hospitalisations facilitées prévues jusqu'au 09.01.2020 à 8h). Mr. Y rentre donc à domicile le 05.01.2020. Mr. Y consulte les urgences le 15.01.2020 suite à une chute survenue ce jour avec incapacité de se relever seul et avec station prolongée au sol pendant 2 heures. Pas de notion de traumatisme crânien. Le patient rapporte également un état fébrile à 39°C et une toux grasse. Au bilan, un syndrome inflammatoire, un frottis positif pour l'Influenza A et une culture des expectorations positive pour un Staphylocoque aureus permettent de retenir le diagnostic d'infection respiratoire par Influenza A avec probable surinfection par Staphylocoque aureus. Sous Tamiflu et antibiotique, l'évolution est tout à fait favorable au niveau respiratoire. Suite à la chute, un CT du bassin effectué met en évidence une luxation antérieure du coccyx, qui est traitée de manière conservatrice avec amélioration des douleurs sous traitement antalgique. Mr. Y peut regagner son domicile le 22.01.2020 et sera revu à votre consultation pour un contrôle. Mr. Y présente donc un conflit fémoro-acétabulaire des deux hanches, raison d'une arthrose débutante des deux hanches. Le dernier bilan par arthro-IRM datant de 2013, je propose de renouveler le bilan sur les deux hanches, étant donné qu'il est symptomatique ddc, actuellement plus à droite qu'à gauche. Un arthro-IRM ddc va être organisé (avec reconstruction dans le plan frontal, sagittal et radiaire), ainsi qu'un bilan radiologique calibré. Je revois le patient suite à ces examens afin d'envisager la suite de la prise en charge. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y, 62 ans, nous est adressé par le service d'oncologie à la suite d'un contrôle ambulatoire ce jour, en raison d'une péjoration de douleurs thoraciques connues. Le patient présente, dans le contexte oncologique, une lyse osseuse au niveau de la 8ème côte à gauche, provoquant des douleurs diffuses thoraciques de type neuropathique et ostéo-articulaire. En raison d'une acutisation des douleurs, il est hospitalisé dans notre service de médecine interne. Nous majorons le traitement antalgique par patch de Fentanyl avec une réponse insatisfaisante. Nous passons ensuite à de l'Hydromorphone en continu avec une réponse satisfaisante puis nous relayons par voie orale. Les douleurs sont par la suite relativement bien contrôlées malgré une certaine fluctuation. Un avis anesthésiologique est demandé le 13.01.2020 et une infiltration est proposée si la situation continue de se péjorer. Un rendez-vous de contrôle est prévu le 23.01.2020 à 11h. Un CT cervico-thoraco-abdominal réalisé durant l'hospitalisation révèle une péjoration de la pathologie oncologique sur de nombreux plans avec notamment un épanchement pleural gauche nouveau et l'apparition d'une lésion tissulaire ostéolytique du manubrium sternal. Une IRM cérébrale est organisée pour bilanter l'évolution de la maladie le 27.01.2020 à 13h45 en ambulatoire. Dans ce contexte, nous avons pris contact avec le Dr. X (médecine palliative) qui reverra le patient en ambulatoire.Le patient présente également lors des mouvements rapides de rotation le déclenchement de vertiges de type mixte, avec tangage et carrousel, durant quelques secondes, avec apparition de nausées, jusqu'à des vomissements. Les vertiges disparaissent spontanément en quelques jours. Concernant les nausées, nous introduisons un traitement de Ondansetron et Métoclopramide ainsi qu'Haldol en réserve. La symptomatologie est par la suite fluctuante mais relativement bien tolérée par le patient. Un épanchement pleural est découvert de manière fortuite lors du scanner du 06.01.2020. Nous décidons de ne pas ponctionner cet épanchement au vu du caractère asymptomatique et de l'origine carcinomateuse probable. L'état général de Mr. Y étant satisfaisant, il peut rentrer à domicile le 15.01.2020. Un rendez-vous de contrôle en ambulatoire à la consultation oncologique de la Dr. X pour la suite de la prise en charge est prévu le 20.01.2020 à 9h. Mr. Y, porteur d'une sonde urinaire depuis le mois de décembre 2019 en raison d'un globe urinaire récidivant sur hyperplasie prostatique, se présente aux urgences pour une obstruction de sa sonde urinaire. Il rapporte de nombreux épisodes d'obstruction de sonde à domicile malgré les rinçages effectués 3 x/semaine par les soins à domicile. Il ne présente pas de fièvre, pas de frisson ni d'autre symptomatologie associée. La sonde urinaire est changée et des rinçages effectués quotidiennement, qui seront poursuivis à domicile. Au vu d'une suspicion initiale d'infection urinaire associée, une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone est mise en place, puis stoppée dès réception de l'urotube qui ne met pas en évidence de bactérie mais uniquement une candidurie que nous considérons comme une colonisation. Une macro hématurie modérée, sans présence de caillots, est constatée lors du changement de sonde urinaire et persiste durant l'hospitalisation malgré les rinçages. Nous laissons le soin à l'urologue traitant du patient d'effectuer les investigations complémentaires nécessaires. Une insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale se corrige rapidement après le changement de la sonde urinaire. Concernant le mal perforant du pied 5ème rayon gauche, les soins de plaies sont poursuivis et un suivi de podologie est organisé. Sur le plan diabétologique, nous stoppons le Jardiance, selon le conseil des diabétologues, au vu de la plaie du pied car les inhibiteurs du SGLT 2 sont possiblement associés à l'apparition d'ulcères chez les patients vasculaires. L'insulinothérapie est adaptée avec introduction d'un schéma de correction par Insuline rapide que le patient gère correctement. Le patient sera revu en consultation ambulatoire dès sa sortie de l'hôpital. Mr. Y rentre à domicile le 13.01.2020. Mr. Y est hospitalisé pour un cycle de chimiothérapie pour leucémie lymphoïde chronique. En raison de sa cardiopathie, une administration quotidienne de diurétique est nécessaire pour éviter une surcharge hydrique. Le traitement se déroule sans complication. Les suivis biologiques sont également sans particularité. En raison d'une perte rapide de poids, nous diminuons le traitement de torasémide à la sortie. Le patient est rappelé de suivre l'apparition d'oedème ainsi que de dyspnée. Mr. Y rentre à domicile le 27.01.20 avec suivi hématologique le 31.01.20 pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 60 ans, traité pour une hypertension artérielle et une hypercholestérolémie, est adressé aux urgences par la Dr. X le 30.12.2019, en raison de douleurs au flanc gauche irradiant en ceinture dans le dos, majorées en urinant. Les symptômes ont débuté le 28.12.2019. Le patient relate plusieurs épisodes de vomissements alimentaires puis biliaires le 28.12.2019 suite à un repas, ainsi qu'un état fébrile mesuré en axillaire à 38.7° à domicile. Pas de notion de contage. Pour rappel, le patient est connu pour une néphrolithiase en 2017. À l'examen clinique effectué aux urgences, nous ne retrouvons aucune particularité mise à part une douleur à la palpation de la loge rénale à gauche. Le McBurney et le Murphy sont négatifs. Un urotube est réalisé et met en évidence un Enterococcus faecalis. Un ultrason des voies uro-génitales est effectué le 30.12.2019 mais ne révèle pas de dilatation des voies urinaires ni de calcul urinaire. On retrouve cependant une légère hypertrophie prostatique. Au vu de l'allergie à la pénicilline, le patient est placé sous Ciproxine iv du 30.12.2019 au 01.01.2020. Le 01.01.2020, le patient présente une douleur spontanée à la palpation en fosse rénale gauche, raison pour laquelle nous effectuons un CT abdominal en urgence. L'examen met en évidence une dilatation urétérale avec rehaussement pariétal de l'uretère et du pyélon extra-sinusal, associée à une infiltration péri-rénale homolatérale, en rapport avec une pyélo-urétérite, sans signe de néphrite/collection/abcès ni de dilatation pyélocalicielle. Pour la suite de la prise en charge, nous demandons un avis à la Dr. X, infectiologue, qui propose une antibiothérapie par Vancomycine iv, permettant une bonne amélioration de la symptomatique et du syndrome inflammatoire. Elle est poursuivie du 01 au 05.01.2020 avec relais par Linezolide per os du 06 au 14.01.2020. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 06.01.2020, avec un arrêt maladie du 30.12.2019 au 12.01.2020. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation durant la semaine suivant la sortie pour un contrôle clinique. Mr. Y, 79 ans, nous est adressé par son cardiologue traitant en raison d'une décompensation cardiaque. Le patient présente une toux sèche depuis 10 jours sans fièvre, une orthopnée, une prise de 10 kg en 3 semaines. Il était hospitalisé chez nous pour une décompensation cardiaque jusqu'au 15 novembre 2019. À noter que la médication par diurétique mise en place à la sortie a été modifiée par la suite (Torasemide remplacé par le Lasix car mieux supporté par le patient). Nous diagnostiquons cliniquement, radiologiquement et biologiquement une décompensation cardiaque globale. Nous supposons que la décompensation est due à un changement de la thérapie après la dernière hospitalisation ainsi qu'à une fibrillation auriculaire présente depuis novembre 2019. L'évolution est favorable sous traitement diurétique iv puis per os permettant une perte de 11 kg et un sevrage de l'oxygène. Un contrôle cardiologique est prévu au mois de février afin de discuter d'une ablation du noeud AV pour traiter la fibrillation auriculaire permanente. Un suivi du poids quotidien sera effectué par les soins à domicile avec adaptation du diurétique en cas de prise de poids. En raison d'hypoglycémie fréquente au domicile et également durant l'hospitalisation, le traitement habituel d'Insuline est adapté durant le séjour. Mr. Y est hospitalisé en mode électif le 18.12.2019 pour une colonoscopie prévue le 19.12.2019. Pour rappel, depuis environ 2 ans, le patient se plaint d'une constipation qui répond à la prise de Movicol. Il présente un abdomen souple, tympanique et indolore, sans défense ni détente. Les tests McBurney et Murphy sont négatifs. Le patient rapporte des selles rares mais de couleur normale, non méléniques. À l'admission dans notre service, le status d'entrée est sans particularité. La colonoscopie effectuée le 19.12.2019 met en évidence une diverticulose pancolique modérée et ne retrouve pas d'explication anatomique à la symptomatologie présentée par le patient. Les suites post-interventionnelles se passent sans complication et Mr. Y peut regagner son domicile le 20.12.2019.Mr. Y, âgé de 87 ans, connu pour une résection d'un adénocarcinome sténosant du côlon descendant le 20.11.2019, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une ischémie critique du membre inférieur droit sur occlusion de l'artère tibiale postérieure le 19.11.2019 ainsi que développement d'un syndrome des loges du membre inférieur droit le 20.11.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. L'auscultation cardiopulmonaire est sans particularité. A l'examen neurologique des extrémités, nous mettons en évidence une parésie des releveurs du pied ainsi que des releveurs de l'hallux bilatéralement, ces derniers récupèrent complètement tandis que la force des extenseurs du pied est présente uniquement à droite, cotée à M1. A la fin de son séjour, il a présenté une toux productive sans péjoration de la dyspnée ni pic fébrile. Nous effectuons un bilan infectieux avec une radiographie du thorax ainsi qu'une analyse biologique et une culture d'expectorations. La radiographie du thorax n'a pas mis en évidence de foyer infectieux clair. La culture bactérienne est positive pour streptocoques pneumoniae, raison pour laquelle nous débutons une antibiothérapie per os par Amoxicilline et acide Clavulanique 2 g par jour du 11.01 au 17.01.2020. De plus, le 10.01.2020, nous mettons en évidence une hyperkaliémie à 5.7 mmol/l que nous traitons avec du Resonium 15 g 2x/jour. Nous vous laissons le soin de suivre ce paramètre à distance. Sur le plan nutritionnel, lors de son séjour à l'HFR Fribourg, le bilan nutritionnel a mis en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 6/7). La mise en place d'adaptations et enrichissement de repas et la prise d'un SNO par jour ont permis de stabiliser son poids dans un premier temps, puis d'amorcer une reprise pondérale. Concernant les pertes par la colostomie, celles-ci ont pu être maîtrisées grâce à l'introduction d'un schéma d'Optifibre et Lopéramide. De plus, nous avons donné à Mr. Y et à sa femme des conseils de sortie portant notamment sur l'alimentation enrichie et l'importance du maintien pondéral. Nous avons également organisé la livraison de SNO à domicile auprès d'Axelcare. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est partiellement indépendant pour les transferts et la marche avec un rollator sur un périmètre de 120 m mais il y a toujours un risque important de chute en raison d'une rétropulsion. Il peut monter/descendre les escaliers en se tenant à la main courante et sous surveillance rapprochée. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 13.01.2020, en état général conservé. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour la suite de la prise en charge. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y, 48 ans, est transféré du CHUV le 16.12.2019 pour suite de prise en charge d'une hématémèse sur un carcinome épidermoïde du tiers supérieur de l'oesophage. Le patient est initialement hospitalisé au HRC Rennaz depuis le 27.11.2019 pour investigations d'une insuffisance rénale aiguë mise en évidence par son médecin traitant. La biopsie rénale montre un syndrome néphritique avec glomérulonéphrite membrano-proliférative avec dépôt d'IgA. Le bilan fait suspecter une origine paranéoplasique, sur un carcinome épidermoïde oesophagien, comme décrit ci-dessous. Un suivi néphrologique préconise un traitement oncologique causal. En cas d'évolution défavorable, un traitement immunosuppresseur pourrait être envisagé selon avis néphrologique. La biopsie, effectuée au HRC Rennaz est compliquée d'un hématome rétro-péritonéal nécessitant un transfert au CHUV pour une embolisation artérielle, se soldant par une perte de 40% du parenchyme rénal gauche. L'évolution de l'hémorragie est favorable durant l'hospitalisation dans notre service. L'hospitalisation au HRC Rennaz se complique de plusieurs épisodes d'hématémèses. Deux gastroscopies réalisées au CHUV montrent une masse au niveau du tiers supérieur de l'oesophage avec signes hémorragiques, et des varices oesophagiennes stade II menaçantes. Une nouvelle gastroscopie le 27.12.2019 montre des varices sans risque de saignement après majoration du traitement bétabloqueur. Sur le plan oncologique, la biopsie montre un carcinome épidermoïde du tiers supérieur de l'oesophage au minimum in situ. Une endosonographie montre un carcinome épidermoïde T2 sur une petite localisation, notamment T1. Un PET-CT effectué au CHUV ne révèle pas de lésion secondaire hypermétabolique. Le patient est présenté au Tumor Board avec décision d'une prise en charge par radio-chimiothérapie. Une nouvelle gastroscopie permet la mise en place d'un clip sur la lésion en vue de la radiothérapie, ainsi que la réalisation d'une biopsie qui provoque un saignement au niveau de la lésion et contraint à interrompre le geste. Cette nouvelle biopsie très superficielle révèle à nouveau un carcinome au minimum in situ. La situation de Mr. Y sera discutée à nouveau au Tumor Board de chirurgie viscérale le 08.01.2019. Le patient sera convoqué pour la suite de prise en charge oncologique. Sur le plan infectieux, une pneumonie diagnostiquée aux CHUV évolue favorablement après 7 jours d'antibiothérapie par Pipéracilline Tazobactam. L'évolution favorable permet un retour à domicile le 01.01.2019. Mr. Y, 75 ans, est admis pour une surveillance respiratoire suite à une chirurgie élective le 15.01.2020 avec exérèse d'une lésion de mélanome du pavillon auriculaire droit, parotidectomie totale droite, évidement cervical droit et lambeau de fermeture. Il est connu pour un mélanome nodulaire ulcéré de l'hélix droit Breslow 5,5 mm, Clark III-IV, stade pT4b pN2a M0 stade IIIC avec une chirurgie d'exérèse totale le 13.09.2019. Un port de CPAP n'est pas recommandé pendant 3 jours chez ce patient connu pour un SAOS appareillé. Une antalgie efficace avec des opiacés est introduite, sans épisodes de désaturation au cours de sa surveillance. Suite à un sondage vésical, une hématurie transitoire est détectée. La sonde urinaire est retirée le 16.01 avec reprise de diurèse spontanée. Le 16.10.2020, le patient est transféré vers le service d'ORL. Mr. Y, connu pour une schizophrénie et une démence vasculaire, actuellement hospitalisé au RFSM Marsens, est amené aux urgences en ambulance le 31.12.2019 en raison d'une perturbation du bilan biologique, avec syndrome inflammatoire, insuffisance rénale aiguë et légère perturbation des tests hépatiques. Concernant le syndrome inflammatoire, le patient ne présente aucune plainte, à l'exception de douleurs abdominales peu systématiques. L'investigation radiologique thoracique et l'US abdominal ne montrent pas de foyer infectieux clair. Au suivi biologique, le syndrome inflammatoire s'estompe sans nécessité de traitement. Au résultat du sédiment, une infection urinaire est suspectée, raison pour laquelle le patient est mis sous traitement de Rocéphine malgré le résultat négatif de l'urotube. L'insuffisance rénale aiguë est classée AKIN I avec une FeUrée de 42% ne parlant pas pour une atteinte pré-rénale. Une cause post-rénale est écartée suite au résultat normal de l'US des voies urinaires. Tenant compte du contexte, une déshydratation est retenue. Les médicaments néphrotoxiques sont mis en suspens, puis repris par la suite après normalisation de la fonction rénale suite à la réhydratation. L'évolution étant favorable, Mr. Y est réadmis au RFSM Marsens le 07.01.2019 pour la suite de la prise en charge psychiatrique. Mr. Y, patient de 79 ans en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 21.12.2019 suite à une lipothymie avec prodrome de voile noir alors qu'il marchait dans la rue, entraînant une chute avec réception sur le visage et la main droite, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Il a ensuite pu se relever seul, des passants l'ont amené aux urgences. A l'entrée, il se plaint de douleurs du pouce droit. A l'anamnèse par systèmes, pas de douleur thoracique, pas de dyspnée, pas de palpitations, pas de vertige, pas de trouble de la sensibilité, pas de paresthésie, pas de céphalée, pas de trouble de la vue, pas de trouble de l'audition, pas de nausée, pas de vomissement. A l'arrivée aux urgences, le patient est afébrile à 35,8°C, hypertendu à 210/90 mmHg, normocarde à 80/min avec une saturation en oxygène à 96% à l'air ambiant. L'examen clinique montre une probable luxation de l'IP du pouce droit ouverte avec l'extrémité distale de la phalange proximale apparente, sans trouble neurovasculaire. Le reste du bilan orthopédique et le statut neurologique sont dans la norme. Sur le plan cardiopulmonaire, les B1B2 sont bien frappés, pas de souffle cardiaque ou carotidien, pas d'œdème des membres inférieurs, pouls palpables en périphérie (radial et pédieux), l'auscultation pulmonaire est physiologique. L'abdomen est souple sans défense ni détente. Le 21.12.2019, la luxation du pouce est réduite puis le patient est hospitalisé dans notre service d'orthopédie où une antibiothérapie par céfuroxime 1.5 g iv. 4x/j est prescrite, à administrer jusqu'au 24.12.2019. Concernant le malaise présenté le 21.12.2019, Mr. Y est transféré dans le service de médecine le 22.12.2019 pour investigations. Un massage carotidien est effectué sous monitoring; nous constatons alors une baisse de fréquence cardiaque de 73/min à 59/min en sinusal. Le patient reste asymptomatique. La tension artérielle chute à 86/60 mmHg lors du massage puis remonte spontanément à 126/86 mmHg. Un test de Schellong est dans la norme. Nous demandons l'avis du Dr. X. Selon lui, le bilan réalisé (anamnèse et examen clinique cardiologique normal et ECG de repos normal) permet d'exclure raisonnablement une cardiopathie sous-jacente significative, ce qui rend peu probable une origine cardiaque à un possible épisode syncopal inaugural; une réponse anormale au massage des sinus carotidiens est très fréquente à cet âge et n'explique pas forcément l'origine de la syncope, d'autant que le patient a été asymptomatique au moment du massage. En l'absence de réponse cardio-inhibitrice documentée (pause symptomatique > 3 secondes ou pause asymptomatique > 6 secondes) lors du massage, l'indication à l'implantation d'un stimulateur cardiaque n'est pas retenue. Selon les recommandations actuelles, s'agissant d'un 1er épisode syncopal sur un cœur a priori sain, il n'y a pas d'investigations cardiologiques à proposer pour le moment. La poursuite des investigations serait indiquée en cas de récidive de lipothymie/syncope restant d'origine toujours indéterminée en pratiquant un Tilt-test à l'HFR Fribourg avec répétition du massage des sinus carotidiens, suivies d'une implantation d'un R-test sous-cutané (Reveal). Le patient est toutefois averti qu'il doit éviter la conduite automobile jusqu'au prochain contrôle à votre consultation. Mr. Y peut regagner son domicile le 24.12.2019. Mr. Y est amené ce matin à la Permanence avec l'ambulance suite à une chute sur le côté gauche ce matin. Pas de trauma crânien ou de perte de connaissance. Le patient a chuté ce matin en ouvrant le coffre de sa voiture en raison d'une importante rafale de vent. Suite à la chute, le patient a pu se relever seul, mais la marche était impossible. Le patient ne rapporte pas d'autres plaintes. Cœur: B1, B2 bien frappés, rythme irrégulier, pas de souffles auscultés. Ortho hanche gauche: pas d'hématome visualisé, douleurs à la pression axiale du bassin et à la pression latérale de la hanche gauche. Jambe raccourcie et en rotation externe. Pas de déficit sentivo-moteur en distalité. Patient de 75 ans qui chute sur le côté gauche ce matin en raison du vent. Se présente à la permanence avec une jambe gauche raccourcie et en rotation externe. Nous effectuons un bilan radiologique montrant le diagnostic susmentionné. Un bilan biologique effectué montre un TP à 87 et un INR à 1.1. Le reste du bilan biologique est aligné. Un bilan radiologique du thorax revient sans particularité. Un ECG montre un rythme de fibrillation auriculaire, tachycarde à 103 bpm, axe normal à 10°, QRS fins à 84 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R en V3, QTc à 387 ms. Nous prenons contact avec le Dr. X orthopédiste de garde qui pose l'indication opératoire et demande le transfert du patient. Le patient est à jeûn et est transféré en ambulance aux urgences de Fribourg pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, connu pour les antécédents et les comorbidités sous-mentionnés, nous est adressé le 22.01.2020 en raison d'une dyspnée d'effort en péjoration depuis le mois de décembre. Le patient décrit une dyspnée NYHA II-III depuis plusieurs semaines ainsi que plusieurs épisodes de douleurs angineuses à l'effort il y a deux semaines. A son arrivée, le patient est hémodynamiquement stable, afébrile avec une saturation à 92% à l'air ambiant. A noter qu'il suit une corticothérapie par Prednisone 10 mg par jour, depuis le 13.11.2019, pour une toux chronique. A l'auscultation aux urgences, nous retrouvons un rythme cardiaque irrégulier, des crépitants bilatéraux jusqu'à mi-plage pulmonaire, ainsi que des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux genoux, le reste du statut est sans particularité. Nous réalisons un bilan biologique qui ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire et une radiographie de thorax mettant en évidence des signes de surcharge. Nous retenons le diagnostic de décompensation cardiaque, probablement dans un contexte de passage en fibrillation auriculaire paroxystique que nous ne mettons pas en évidence durant le séjour. L'éventualité d'un cœur pulmonaire décompensé dans le cadre de la pneumopathie interstitielle connue est écartée par une échocardiographie transthoracique revenue sans particularité avec une pression artérielle pulmonaire estimée dans les normes. Nous débutons une thérapie par Lasix 40 mg iv aux urgences avec des aérosols, avec une évolution rapidement favorable. Dans le contexte de la thérapie par diurétiques, Mr. Y développe une insuffisance rénale prérénale. Nous adaptons le traitement diurétique et nous surveillons la fonction rénale, avec une évolution favorable. A sa sortie, nous adaptons le traitement par Torasemide et nous vous laissons le soin de contrôler la fonction rénale et de réévaluer l'indication à ce traitement. Le patient a été prévenu de vous contacter dans ce but. Sur le plan pulmonaire, le patient est rapidement sevré de l'oxygène le jour même de son arrivée. Nous débutons un schéma dégressif de la Prednisone qui se terminera le 23.02.2020. Au vu de la présence d'une toux sèche persistante, nous débutons un traitement d'épreuve par Symbicort. Nous prévenons le patient de prendre contact avec sa pneumologue traitante, le Dr. X, pour discuter la suite de la prise en charge et éventuellement effectuer les fonctions pulmonaires pour écarter une toux variant-asthme.L'évolution clinique étant favorable, Mr. Y rentre à domicile le 29.01.2020. Les soins à domicile sont réactivés. Mr. Y est hospitalisé pour des chutes multiples en raison de troubles de l'équilibre probablement dans le contexte d'une dépendance aux benzodiazépines. A l'admission, il rapporte avoir de plus en plus de chutes sur un problème d'équilibre connu mais en péjoration. Selon lui, le mécanisme est peu clair. Les examens biologiques complémentaires sont sans particularité. Le Schellong est négatif. L'examen neurologique ne met pas en évidence une cause nouvelle et aiguë de la péjoration des troubles de l'équilibre qui sont connus depuis plus d'une année. La composante médicamenteuse étant importante (multiples benzodiazépines, neuroleptique), nous diminuons progressivement leur administration avec bonne réponse sur l'équilibre et la marche mais ne permettant pas un retour à domicile. Au vu de la situation globale, il est discuté avec le patient et la famille d'une institutionnalisation. Mr. Y présente également des tremblements à type de sursaut qui ne correspondent pas à un effet secondaire médicamenteux ou une maladie neurologique, ces tremblements sont également fortement influencés par l'état émotionnel. Nous réévaluons le scanner cérébral effectué en octobre 2019 qui est sans particularité et ne répétons pas l'examen. Mr. Y est également connu pour des céphalées chroniques (depuis >10 ans), multi-investiguées et réfractaires à tout essai de traitement. Il existe probablement une composante psychogène importante aux céphalées avec, selon le patient, uniquement les benzodiazépines qui fonctionnent. Nous recommandons d'éviter d'instaurer un traitement régulier pour les céphalées (pas d'effet et exposition aux effets secondaires). Suite au sevrage des benzodiazépines, le patient ne se plaint pas de plus de céphalées. Mr. Y présente une chute sur l'épaule droite le 21.01.2020 en allant seul aux toilettes. Les radiographies montrent une fracture du tubercule majeur déplacée de l'épaule droite. Une indication opératoire est retenue. L'opération avec réduction ouverte et refixation par plaque et ostéosuture est effectuée le 23.01.2020, sans complication. Les suites sont simples avec peu de douleur et une mobilisation qui est reprise progressivement avec la physiothérapie. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, âgé de 80 ans, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la pose d'une PTG D sur une gonarthrose le 12.12.2019. Sur le plan social, le patient, veuf depuis 5 ans, vit seul à domicile; sa compagne vit à Genève. Il a une aide pour le ménage 1x/2 semaines. Il est à la retraite (travaillait au parc automobile à Grolley). A l'admission, le patient n'a pas de plainte particulière. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. A l'anamnèse par systèmes, le patient signale une préoccupation concernant l'apparition des apnées pendant la nuit, objectivées durant son séjour à la Clinique Générale. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme et sans signe d'inflammation. Les amplitudes articulaires du genou D montrent une flexion active à 70° et une flexion passive à 80° avec un flexum de 15° difficilement réductible en passif. La force musculaire du MID est cotée à M3 globalement avec une force diminuée au niveau du psoas à M2+. La sensibilité est conservée. Sur le plan respiratoire, une oxymétrie nocturne, réalisée le 20.12.2019, montre un IDO à 38/heure. L'échelle d'Epworth a un score de 7 points. Par conséquent, nous proposons la réalisation d'une polysomnographie nocturne en ambulatoire pour confirmer le diagnostic de SAOS. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est autonome pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge. Il peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 24.12.2019, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie pour améliorer les amplitudes articulaires et lutter contre le flexum. Les soins à domicile sont activés, les agrafes seront enlevées le 26.12.2019. Mr. Y se présente à la permanence en raison d'un cérumen obstruant diagnostiqué par otoscopie. Un rinçage à l'eau permet une rapide libération de l'oreille. Nous proposons au patient un traitement d'entretien par cérumenol, 5 gouttes une fois par semaine avec rinçage au pommeau de douche sous la douche. Le patient est invité à se représenter en cas de récidive de la symptomatologie. Mr. Y, 58 ans, est admis aux soins intensifs pour pic hypertensif avec signes de décompensation cardiaque gauche. Le patient appelle l'ambulance en raison de douleurs thoraciques gauches typiques irradiant dans le bras depuis 24 heures, associées à une dyspnée NYHA III en péjoration depuis 2 semaines. Sur site, la pression artérielle est à 200/155 mmHg traitée par nitrés et diurétiques. L'ECG est en rythme sinusal normocarde sans signe d'ischémie et sans cinétique des enzymes cardiaques. Aux soins intensifs, une échocardiographie transthoracique montre une cardiomyopathie dilatée avec FEVG 20% sur hypocinésie globale. La coronarographie objective une maladie coronarienne monotronculaire non significative (IVA prox. 50%). Sur demande cardiologique, nous complétons le bilan par ferritinémie et fonction thyroïdienne qui sont dans les limites de la norme. Le patient consomme 2 unités d'alcool par semaine et ne consomme pas de drogues. Il n'a pas de médicaments engendrant de cardiomyopathie dilatée. Aucun trouble du rythme n'est objectivé durant la surveillance aux soins intensifs. A l'anamnèse, le patient dit être hypertendu à environ TAs 180 mmHg, laissant suspecter l'hypertension chronique comme origine de la cardiomyopathie. L'élévation des troponines est à mettre sur la décompensation cardiaque. Nous majorons son traitement diurétique et instaurons un traitement d'insuffisance cardiaque par lisinopril, spironolactone et carvedilol. Un suivi échocardiographique sous ce traitement est à prévoir en ambulatoire afin de réévaluer la fonction cardiaque et, si nécessaire, discuter de l'implantation d'un défibrillateur en prophylaxie primaire. Le patient est transféré en médecine interne le 22.01.2020 pour suite de la prise en charge. Mr. Y, 58 ans, est amené aux urgences en ambulance en raison de douleurs thoraciques gauches typiques irradiant dans le bras depuis 24 heures, associées à une dyspnée NYHA III en péjoration depuis 2 semaines. Sur site, la pression artérielle est à 200/155 mmHg traitée par nitrés et diurétiques. L'ECG est en rythme sinusal normocarde sans signe d'ischémie et sans cinétique des enzymes cardiaques. Au status, on retrouve des signes de décompensation cardiaque à prédominance gauche. Une échocardiographie transthoracique montre une cardiomyopathie dilatée avec FEVG 20 % sur hypocinésie globale. L'origine de la cardiomyopathie est probablement hypertensive (à l'anamnèse, le patient dit être hypertendu à environ TAs 180 mmHg). La coronarographie objective une maladie coronarienne monotronculaire non significative (IVA prox. 50 %). Le bilan de la cardiomyopathie dilatée est complété par le dosage de ferritine et TSH, qui s'avère négatif. Il consomme 2 unités d'alcool par semaine et ne consomme pas de drogue. Il n'a pas de médicaments engendrant de cardiomyopathie dilatée. Une échographie des artères rénales est réalisée mais l'examen est non concluant en raison de la morphologie du patient. Malgré un dépistage positif pour un syndrome des apnées du sommeil, le patient ne souhaitant pas d'appareillage nocturne, nous ne réalisons pas d'investigation supplémentaire.La décompensation cardiaque évolue favorablement sous traitement diurétique, nous instaurons un traitement d'insuffisance cardiaque par Lisinopril, Spironolactone et Carvedilol. Un suivi échocardiographique sous ce traitement est à prévoir en ambulatoire afin de réévaluer la fonction cardiaque et si nécessaire discuter de l'implantation d'un défibrillateur en prophylaxie primaire. Par ailleurs, il présente une douleur du mollet gauche à caractère crampiforme d'aspect musculaire associé à la douleur arthrosique connue du genou ipsilatéral. Face à une bonne réponse à l'antalgie simple et l'absence de critère de gravité, nous proposons un contrôle clinique chez son médecin traitant. Mr. Y peut rentrer à son domicile le 27.01.2020. Mr. Y consulte la permanence en raison de douleurs costales nouvelles depuis une semaine dans le cadre d'une toux chronique. Il bénéficie d'un examen clinique et d'une radiographie du thorax. L'examen clinique suspecte une fracture costale. L'examen radiologique revient dans la norme. Nous retenons le diagnostic de douleurs costales sur toux dans un contexte d'infection virale. Le patient reçoit une thérapie symptomatique. Il doit reconsulter si apparition de fièvre ou baisse de l'état général. Mr. Y, patient de 63 ans, est admis aux soins intensifs (SIC) pour la surveillance post-opératoire suite à une craniotomie et résection d'une métastase frontale gauche. Initialement le patient suivi pour un lupus, s'est plaint de douleurs thoraciques au mois de novembre 2019. Un CT de contrôle a montré la présence d'une tumeur pulmonaire, un bilan d'extension a mis en évidence de multiples métastases dont une métastase cérébrale. Cette dernière est devenue symptomatique depuis début décembre, provoquant un hémisyndrome moteur droit. Après une hospitalisation en médecine et un traitement par corticoïdes pour réduire l'oedème cérébral, il est décidé de réséquer la lésion cérébrale. L'exérèse de la métastase cérébrale est réalisée le 23.12.2019 sans complications post-opératoires. Plusieurs épisodes de bradycardie entre 30 et 40 battements par minute spontanément résolutifs sont mis en évidence durant l'hospitalisation, raison pour laquelle un ECG et un Holter sur 24h sont effectués. Les résultats du Holter sont à pister. Au vu du bon état clinique de Mr. Y, il est transféré en unité de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Nous laissons le soin à nos collègues de prévoir un rendez-vous en ambulatoire aux urgences pour l'ablation des agrafes le 27.12.2019. Le patient sera convoqué par la radio-oncologie pour la suite du traitement et par la neurochirurgie dans 1 mois pour un suivi post-opératoire. Mr. Y, patient de 67 ans connu pour de multiples facteurs de risque cardiovasculaire, nous est transféré de l'Universitätsklinikum Freiburg pour suite de prise en charge d'un AVC ischémique sylvien gauche le 04.01.2020. Pour rappel, le patient présente le 04.01.2020 au réveil un hémisyndrome moteur droit et une aphasie globale. Au service des urgences, le NIHSS s'élève à 21 points. Le CT cérébral révèle une occlusion en tandem de l'ACI G et de l'ACM G. L'AVC étant déjà constitué, l'indication à une lyse ou à une thrombectomie n'est pas retenue et le patient est hospitalisé en neurologie pour suite de prise en charge. L'évolution du point de vue neurologique est marquée par la constitution d'une importante lésion ischémique avec apparition d'un oedème avec déplacement de la ligne médiane atteignant jusqu'à 4 mm à J5. En raison d'un bon état de vigilance, une hémicraniectomie n'est pas réalisée. L'évolution clinique est stable avec persistance d'une aphasie globale ainsi que d'une hémiparésie facio-brachio-crurale droite sévère. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une bonne fonction ventriculaire gauche avec une akinésie de la paroi septale apicale et une oreillette gauche discrètement dilatée. L'échocardiographie transoesophagienne ne montre pas de thrombus et retrouve une artériosclérose aortique avec épaisseur maximale de 3 mm au niveau de l'aorte ascendante. La surveillance rythmique ne retrouve pas de fibrillation auriculaire. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un examen neurosonologique retrouve l'occlusion de l'ACI G, des plaques au début de l'ACI et l'ACE G et un épaississement de la paroi de l'artère carotide commune. Nous concluons à une probable origine artério-embolique, avec comme diagnostic différentiel une origine cardio-embolique. Sur le plan médicamenteux, l'Aspirine introduite à Freiburg est poursuivie puis relayée par du Plavix et le traitement d'Atorvastatine est poursuivi. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). En raison d'une dysphagie sévère secondaire à l'AVC, une sonde nasogastrique avec alimentation entérale est introduite. Au vu de l'absence de progression, une GPR est posée le 24.01.2020. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée. Une consultation neurovasculaire de contrôle sera à organiser en fonction de l'évolution. L'évolution clinique est stable avec un status neurologique de sortie retrouvant une aphasie globale et un hémisyndrome moteur droit. Mr. Y est transféré dans le service de médecine interne en attente d'une neuroréhabilitation à l'HFR Meyriez. Mr. Y, un patient de 63 ans connu pour un carcinome bronchique, est hospitalisé suite à un hémisyndrome droit mis en évidence durant sa consultation en oncologie. Une IRM cérébrale met en évidence un oedème important avec effet de masse et début d'engagement sous-falcoriel. Une surveillance neurologique rapprochée est mise en place et l'évolution clinique est favorable sous dexaméthasone. Un bilan neuropsychologique montre une atteinte au niveau langagier et exécutif avec répercussions sur la mémoire. La suspicion d'un saignement de la métastase motive un arrêt transitoire de l'aspirine et une ablation chirurgicale de la lésion. Le post-opératoire se déroule sans complication, l'évolution est simple et favorable et permet un retour à domicile le 25.12.2019 de Mr. Y. Mr. Y présente une lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque interne. L'indication pour une résection partielle et suture du ménisque interne est donnée. Le patient est informé clairement du déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 6.2.2020. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour définir le type d'anesthésie. Mr. Y, patient de 72 ans, connu pour une anémie ferriprive substituée en 2019, se présente spontanément au service des urgences en raison d'hallucinations auditives et d'une hypoacousie bilatérale.Le patient, qui n'a pas de traitement habituel, décrit des hallucinations auditives avec présence de voix multiples de manière intermittente depuis environ une semaine. La voix la plus présente est masculine et bienveillante (elle lui a conseillé de consulter) mais il entend également d'autres voix qui lui voudraient du mal. Voix initialement très fortes, actuellement en légère amélioration. Le patient décrit également des périodes où il n'entend que des sons et des intervalles libres. Hallucinations prédominantes la nuit et l'empêchant de dormir. Le début des symptômes est peu clair à l'anamnèse. Le patient met ses hallucinations sur le compte d'une hypnose ou de ses voisins (télépathie). A également l'impression que quelqu'un essaie de lui mettre des pensées de force dans la tête. Il décrit également la présence de lumière forte de manière intermittente durant son sommeil uniquement, dont il se souvient au réveil. À côté des hallucinations, le patient décrit une hypoacousie bilatérale des deux côtés. Aurait chuté il y a 6 mois de manière accidentelle avec traumatisme cranien frontal, pas de perte de conscience, pas d'amnésie circonstancielle. À l'anamnèse par système, pas de céphalées, pas de vertiges, pas de troubles visuels, pas de dysarthrie, pas d'aphasie, pas de dysphonie, pas de dysphagie. Pas de trouble sensitivo-moteur des 4 membres. Pas de trouble sphinctérien. Sur le plan biologique, un bilan complet se montre sans particularités, notamment pas de troubles de la thyroïde, pas d'hypovitaminose B12 ni B9, bilan syphilis négatif. Une IRM cérébrale montre un examen globalement dans les normes, sans masse ni ischémie significative. Nous débutons un traitement nocturne avec Leponex avec légère amélioration des symptômes. En raison d'une réponse médiocre, nous arrêtons ce traitement et introduisons à la place une thérapie par Pregabaline avec bonne évolution et amélioration de la symptomatologie. Un bilan neuropsychologique met en évidence des légères difficultés exécutives et un micrographisme. Un bilan psychiatrique est demandé. Au vu de l'âge et de l'absence d'antécédents psychiatriques chez ce patient mais également de l'existence de discordance dans son discours et la description de la symptomatologie, il n'a pas été possible d'établir un diagnostic clair lors de l'entretien. Les hallucinations auditives ne sont pas critiquées, et l'origine reste indéterminée. Afin d'exclure une origine périphérique des hallucinations, avec dysfonctionnement des organes sensoriels périphériques, nous organisons un contrôle ORL en ambulatoire prévu pour le 30.10.2020. Sur le plan cardiaque, en raison d'un trouble du rythme avec fibrillation atriale de type lente, nous introduisons un traitement avec bêta-bloquant à faible dose avec régularisation du rythme. Nous vous prions de compléter le bilan avec une échocardiographie en ambulatoire et de réévaluer l'introduction d'un traitement anticoagulant. La prise en charge est terminée et Mr. Y rentre à domicile le 18.01.2020. Mr. Y consulte à la permanence en raison de symptômes de refroidissement persistants depuis une semaine. Il bénéficie d'un examen clinique ciblé avec lequel nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes supérieures. Nous proposons un traitement conservateur au patient avec Triofan, Brufen, Bexine. En raison d'une otoscopie partiellement normale, nous prescrivons également un traitement de Panotile pour 6 jours. Le patient reçoit un arrêt de travail de deux jours. Il doit reconsulter si persistance ou péjoration de la symptomatique. Mr. Y est un patient de 32 ans connu pour un diabète de type 1. Il est hospitalisé le 27.01.2020 en électif pour le réglage de sa pompe à insuline, réglage qui n'a pas été possible en ambulatoire. La récolte d'urine de 24 heures ne révèle pas d'albuminurie pathologique et l'adaptation de la pompe à insuline se fait avec succès. Le patient peut rentrer à domicile en bon état général le 31.01.2020. Mr. Y est un patient de 84 ans connu pour un cancer urothélial invasif de la vessie. Il était en séjour de reclassement dans l'attente d'une place au home de la Sarine du 14.01.2020 au 22.01.2020, date à laquelle le patient est à nouveau hospitalisé en lit aigu en raison d'états fébriles avec asthénie nouvelle. Nous supposons que les états fébriles sont d'origine tumorale. Cliniquement, anamnestiquement et biologiquement avec des hémocultures négatives à deux reprises, nous ne trouvons pas de foyer parlant pour une infection. La radiographie du thorax du 18.01.2020, effectuée lors de l'hospitalisation en reclassement, montre une nette augmentation en taille des métastases pulmonaires. Un traitement d'une semaine de Prednisone est introduit (20 mg/jour) dès le 27.01.2020, à poursuivre jusqu'au 03.02.2020 afin de contrôler les accès de fièvre. Mr. Y peut être transféré au home de la Sarine en état général conservé le 29.01.2020. Mr. Y est un patient de 85 ans qui est hospitalisé en chirurgie pour la prise en charge d'une chute mécanique avec traumatisme crânien dont le bilan met en évidence un hématome sous-dural aigu fronto-pariétal gauche avec des fines hémorragies sous-arachnoïdiennes à proximité. Il bénéficie d'un scanner de contrôle à 24 heures qui retrouve une stabilité des lésions et le patient est mis au profit d'un traitement conservateur. L'évolution clinique du syndrome post-traumatique crânien est favorable et le patient est transféré en réhabilitation à Tavel le 06.01.2020. Il sera suivi en ambulatoire à la consultation de neurochirurgie dans 4 semaines avec un scanner cérébral de contrôle. Mr. Y, patient de 94 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique cérébelleux gauche et occipital droit. Pour rappel, le patient présente le 22.01.2020 à 10h du matin des vertiges. La veille, il avait consulté les urgences en raison d'une plaie occipitale secondaire à un traumatisme crânien sur chute mécanique. Aux urgences, l'examen montre une légère ataxie aux membres supérieurs. L'angio-CT cérébral montre une hypodensité cérébelleuse gauche paramédiane s'étendant au pédoncule cérébelleux gauche évoquant un AVC ischémique constitué sans argument pour une athéromatose significative ou d'anomalie vasculaire. L'IRM retrouve la lésion cérébelleuse gauche ainsi qu'une lésion occipitale à droite. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une dose de charge d'Aspirine et d'Atorvastatine. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas d'anomalie structurelle. Un Holter de 72 heures est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. L'origine de cet AVC reste ainsi indéterminée. Nous n'avons pas d'arguments pour une cause néoplasique et ne poussons pas les investigations dans ce sens en raison de l'âge du patient. À noter toutefois des calcifications ganglionnaires médiastinales et hilaires visibles au CT pulmonaire, probablement secondaires à des infections anciennes. Vu le caractère embolique de l'AVC, nous proposons de chercher activement la fibrillation atriale par R-Test en cas de Holter non contributif. Sur le plan médicamenteux, une simple anti-agrégation est introduite par Aspirine 100 mg/j à poursuivre au long cours. Un traitement d'Atorvastatine 20 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Du point de vue neuropsychologique, l'examen n'a pas pu être terminé en raison du refus du patient. Le bilan n'est pas conclusif mais montrerait quelques dysfonctionnements exécutifs et une anosognosie.Le patient présente une macrohématurie à son arrivée motivant la pose d'une sonde vésicale 3 voies avec rinçage en continu. L'hémoglobine est stable. La sonde peut être retirée le 30.01.2020. Une cystoscopie de contrôle est prévue le 21.02.2020 chez le Dr. X. Le patient présentant une apallesthésie, le bilan est complété par le dosage de l'acide folique et de la vitamine B12 qui sont dans les limites inférieures de la norme, motivant une substitution. L'électrophorèse des protéines est en cours lors de la rédaction de cette lettre. Mr. Y ne conduit plus. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue le 07.05.2020 à 14h30. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie dans les normes. Mr. Y est transféré en Frailty Care pour suite de prise en charge. Mr. Y, 94 ans, est admis aux soins intensifs en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique cérébelleux. Ce patient en bonne santé habituelle présente depuis le 21.01 des vertiges à type de tangage, fluctuants, ayant provoqué une chute avec traumatisme crânien le 21.01 pour laquelle il avait consulté les urgences où un CT cérébral natif était sans particularité et avait pu rentrer à domicile. Le 22.01.2020 à 10h du matin, il présente à nouveau des vertiges, raison pour laquelle il consulte à nouveau les urgences. Cette fois-ci, un CT cérébral injecté et des vaisseaux précérébraux est réalisé, qui montre une hypodensité cérébelleuse gauche paramédiane s'étendant au pédoncule cérébelleux gauche évoquant un AVC ischémique constitué. L'IRM cérébrale montre des lésions bilatérales avec un AVC ischémique aigu constitué cérébelleux gauche et occipital à droite sans transformation hémorragique. Une antiagrégation par aspirine est débutée ainsi qu'un traitement de statine. L'évolution neurologique est favorable avec un NIHSS à la sortie des soins à 0. Une macrohématurie nouvelle a motivé la pose d'une sonde vésicale trois voies le 22.01 avec rinçage continu. L'hémoglobine est stable pendant la surveillance aux SI et un avis urologique est demandé. Le patient est transféré au stroke unit non monitoré le 23.01.2020 pour la suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 55 ans, connu pour des antécédents susmentionnés et anticoagulé avec du Lixiana depuis le 22.12.2019, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour une surveillance neurologique d'un saignement cortical occipital gauche dans un contexte traumatique. Les surveillances neurologiques sont sans particularité. Nous réalisons un scanner de contrôle le 13.01.2020 qui montre une diminution du saignement. Après discussions avec nos collègues oncologues, nous ne voyons pas de contre-indication à la chimiothérapie qui était déjà planifiée pour le 15.01.2020. Nous organisons un scanner de contrôle dans trois semaines en ambulatoire suivi d'un contrôle en neurochirurgie afin de décider de la reprise de l'anticoagulation thérapeutique. Au vu de l'évolution favorable sur le plan clinique et radiologique, nous laissons le patient rentrer à domicile le 15.01.2020. Mr. Y, âgé de 75 ans, connu pour un carcinome rénal à cellules claires depuis 2013, nous est adressé par l'HFR Fribourg suite à une amputation du MIG sur une métastase du MIG multi-opérée au CHUV le 16.10.2019 pour réaliser une réhabilitation musculo-squelettique et préparer l'appareillage. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (ancien employeur de service technique à Fribourg). À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans les normes. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse, le patient signale des douleurs du moignon sans signe inflammatoire au niveau de la cicatrice. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Durant son séjour, il a présenté une anémie microcytaire hypochrome avec Hb à 88 g/l le 29.10.2019 que nous traitons par un supplément en fer per os avec amélioration progressive du taux d'hémoglobine. Dans un premier temps, nous pratiquons des soins de plaie jusqu'à l'obtention d'une cicatrisation complète du MIG. Nous obtenons une bonne résorption de l'œdème distal du MIG avec des pansements compressifs. Après 4 semaines, la situation permet une mise en charge du MIG avec une prothèse provisoire avec genou articulé. Nous notons une évolution favorable et Mr. Y devient rapidement indépendant pour l'entretien de sa prothèse et est capable de marcher à l'aide d'un tintébin. Le patient se plaint de douleurs lombaires et des douleurs diffuses du MIG lors de l'essai de l'appareillage avec la prothèse définitive. Nous réalisons une radiographie de la colonne lombaire et du bassin. En comparaison à l'examen réalisé le 20.12.2018, le bassin montre à droite une nette aggravation du pincement de l'articulation coxo-fémorale en zone de charge avec importante sclérose et remaniements du toit de la cotyle ainsi que de la tête fémorale qui présente également d'importantes géodes. Il est noté aussi de discrètes lésions dégénératives gauche de l'articulation coxo-fémorale, à la limite du significatif. Il n'y a pas de remaniement significatif de la symphyse pubienne. La colonne lombaire présente une attitude scoliotique sinistro-convexe d'origine dégénérative centrée sur L4 avec pincement de l'espace L3-L4 à droite avec discopathies modérées L2-L3 également. Une adaptation de la prothèse avec des exercices en physiothérapie a permis l'amendement de la douleur. Une évaluation neuropsychologique met en évidence un très discret fléchissement exécutif (incitation, programmation). Toutes les autres fonctions testées, à savoir l'orientation, le langage oral et écrit, le traitement des nombres, les praxies constructives et idéomotrices, les gnosies visuelles discriminatives, la mémoire à court terme et antérograde verbale et visuelle et les fonctions attentionnelles, sont globalement préservées. Les troubles cognitifs, d'intensité très légère, ont vraisemblablement une étiologie vasculaire et ne devraient pas impacter les capacités d'apprentissage pour la mise en place d'une prothèse. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec la prothèse avec un tintébin ou 2 cannes sur un périmètre de 30 m. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Il porte aisément sa prothèse 2 x 3 heures par jour. Après 12 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 15.01.2020, en état général conservé. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Mr. Y est un patient de 54 ans, connu pour des antécédents d'urétérolithiase et suivi par le Dr. X, qui se présente aux urgences le 15.01.2020 suite à des coliques néphrétiques gauches depuis 5 jours et de la fièvre depuis ce jour. L'évaluation met en évidence une urétérolithiase gauche dans l'uretère proximal avec dilatation pyélocalicielle de 23 mm. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 155 ainsi qu'une légère insuffisance rénale aiguë. Le patient reçoit une dose de Ceftriaxone 2000 mg aux urgences. Nous retenons l'indication à une désobstruction urétérale par double J pour laquelle le patient est transféré au Daler. En cas d'échec de pose de double J, une pose de néphrostomie sera indiquée.Mr. Y souffre d'une limitation de la mobilité de la hanche G liée à une coxarthrose G qui est non symptomatique. Nous supposons une éventuelle compensation au niveau lombaire due à la perte de mobilité, surtout en rotation au niveau de la hanche G. Nous recommandons dans un premier temps de la physiothérapie afin de retrouver et augmenter la mobilité au niveau de la hanche G. Nous reverrons le patient le 19.05.2020 à notre consultation. En cas de persistance de la gêne, une PTH pourrait être la solution malgré l'articulation non symptomatique. Mr. Y, âgé de 81 ans, est amené aux urgences en ambulance le 04.12.2019 en raison d'un épisode de frissons solennels intenses, pendant 20 minutes, suivi d'une chute sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. À noter que le patient a consulté son médecin traitant le 20.11.2019 pour un épisode de frissons, un état fébrile et des plaintes urinaires. La prise de sang effectuée montrait un syndrome inflammatoire important avec déviation à gauche et le sédiment urinaire montrait des leucocytes et des nitrites positifs. Le diagnostic d'infection urinaire est retenu et le patient rentre à domicile avec un traitement antibiotique par Avalox pour 10 jours. L'anamnèse systématique est sans particularité. À l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable avec une bonne saturation à l'air ambiant et fébrile à 39°C. Cliniquement, l'examen systématique est normal. Suite à l'examen clinique, nous réalisons un bilan biologique qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 73 mg/l sans leucocytose. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. On observe au sédiment urinaire une flore bactérienne et des érythrocytes. Nous notons à 22H le 04.12.2019 un passage en fibrillation auriculaire rapide à 154 bpm associée à une hypotension à 75/50 mmHg. Le patient est par la suite monitoré aux urgences. Après un remplissage par NaCl 0,9%, nous constatons une amélioration des valeurs tensionnelles à 100/60 mmHg, une cardioversion spontanée de la fibrillation auriculaire et par la suite un rythme sinusal régulier à 83 bpm. Nous suspectons une origine urinaire de l'état fébrile, le patient est mis sous Pipéracilline-Tazobactam et hospitalisé dans le service de médecine interne pour suite de prise en charge. Au vu d'une évolution biologique défavorable, nous mettons en place une antibiothérapie supplémentaire par Vancomycine et Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg le 06.12.2019 pour des investigations supplémentaires. Mr. Y, connu pour une cirrhose CHILD C d'origine éthylique (biopsie en 2010), est hospitalisé dans le service de médecine interne le 10.01.2020 en raison d'une décompensation ascitique sur péritonite bactérienne spontanée à germe indéterminé, avec une encéphalopathie hépatique stade 2 à 3. Vous adressez votre patient aux urgences le 10.01.2020 en raison d'une baisse de l'état général depuis 10 jours accompagnée d'une péjoration d'un ictère et augmentation du périmètre abdominal. Le bilan met en évidence une encéphalopathie hépatique, une perturbation de la crase ainsi qu'une quantité importante d'ascite, nécessitant une ponction (6 L) et une substitution d'albumine. Le patient est ensuite hospitalisé aux soins intensifs de Fribourg du 10 au 11.01.2020. Les analyses du liquide d'ascite montrent une péritonite bactérienne spontanée. Une antibiothérapie par Ceftriaxone ainsi qu'un traitement de l'encéphalopathie hépatique par laxatifs osmotiques sont initiés. Le patient est également substitué en Thiamine, albumine et vitamine K. Des troubles électrolytiques, notamment une hypokaliémie avec retentissement ECG, sont substitués. Les contrôles subséquents montrent une normalisation du tracé ECG suite à la correction des électrolytes. Un US abdominal permet d'écarter la présence d'une thrombose de la veine porte, en revanche nous retrouvons un flux hépatofuge évocateur d'une hypertension portale. Aucune masse hépatique n'est mise en évidence, mais le foie est d'allure atrophique. Malgré une ponction d'ascite le 10.01.2020 de 6 litres, nous en retrouvons encore en grande quantité. Une insuffisance rénale aiguë AKIN II retrouvée au laboratoire est mise sur le compte de l'infection et possiblement composante de syndrome hépato-rénal type I vu l'amélioration partielle sous hydratation et arrêt du traitement diurétique. Nous retrouvons d'importants troubles de la crase avec, au laboratoire du 15.01.2020, un TP spontané à 19%, un INR à 3.1 et un facteur V à 11%. Les thrombocytes sont abaissés à 45 G/l. Le patient est connu pour des varices œsophagiennes stade I (OGD en août 2019) ; il est depuis cela sous Propranolol. Pendant le séjour dans notre service, nous poursuivons le Konakion, l'albumine et la Rocéphine. L'évolution de l'encéphalopathie hépatique avec un ralentissement psychomoteur important et un flapping tremor est lentement favorable, malgré le lactulose et des lavements avec mise en place du Xifaxan depuis le 15.01.2020. Nous prenons avis auprès du Dr. X, hépatologue à Fribourg, qui nous propose de référer le patient au centre de transplantation hépatique. À noter le soir du 15.01.2020, les infirmières signalent un saignement anal et à l'examen clinique nous ne retrouvons pas de saignement actif. En prévention d'un éventuel saignement, nous instaurons du Pantozol 40 mg iv en bolus puis 8 mg/h ainsi que Sandostatine 50 mcg iv en bolus puis 25 mcg/h. Nous transférons le patient en lit monitoré pour la nuit pour surveillance rapprochée. Le patient reste stable hémodynamiquement et sans déglobulisation lors de la surveillance. Au vu de l'insuffisance hépatique sévère, des troubles de la crase et de la persistance d'une encéphalopathie hépatique, nous transférons le patient le 16.01.2020 dans le service d'hépatologie des HUG pour évaluation d'une transplantation hépatique et pour suite de prise en charge. Mr. Y, 48 ans, est admis aux soins intensifs pour une décompensation œdémato-ascitique sur péritonite bactérienne spontanée le 10.01.2020. Le patient, connu pour une cirrhose éthylique Child C, est adressé par son médecin traitant aux urgences de Riaz en raison d'une baisse de l'état général depuis 10 jours accompagnée d'une péjoration d'un ictère et augmentation du périmètre abdominal. Le bilan met en évidence une encéphalopathie hépatique stade I-II, une perturbation de la crase ainsi qu'une quantité importante d'ascite, nécessitant une ponction (6 L) et substitution d'albumine. Les analyses montrent une péritonite bactérienne spontanée. Une antibiothérapie par Ceftriaxone ainsi qu'un traitement de l'encéphalopathie hépatique par lactulose est initiée. L'évolution aux soins intensifs est rassurante avec une encéphalopathie hépatique stable avec ralentissement psychomoteur et asterixis sans autre trouble de l'état de conscience. Le patient est mobilisé au fauteuil et s'alimente spontanément. Il ne présente aucun signe de sevrage d'alcool. Une substitution en thiamine est prescrite. Il convient de poursuivre la ceftriaxone et de pister les cultures de liquide d'ascite. Il n'y a pas d'argument pour un saignement digestif. Une thrombose porte n'est pas recherchée d'emblée. Le transit intestinal doit comporter au moins 3 selles par jour. Concernant les troubles de la crase, une substitution en vitamine K est initiée. Une insuffisance rénale aiguë AKIN II est probablement pré-rénale dans le contexte infectieux. Une volémie efficace adéquate est visée par hydratation et infusion d'albumine. La diurèse est conservée. Un suivi biologique de la créatinine doit être fait. Une hypokaliémie et une hypophosphatémie sont substituées iv et per os. Le patient est transféré en médecine interne à l'hôpital de Riaz pour suite de prise en charge.Mr. Y est un patient de 53 ans, qui est amené en ambulance aux urgences le 17.01.2020 suite à une chute de 170 cm avec réception sur l'hémithorax droit et les membres supérieurs. Le bilan effectué met en évidence un pneumothorax traumatique avec des fractures de côtes associées à droite ainsi qu'une fracture du scaphoïde de la main gauche. Le pneumothorax est drainé et le patient est hospitalisé dans notre service. La fracture du scaphoïde est immobilisée dans un plâtre. Les suites hospitalières sont simples avec une ablation du drain possible le 20.01.2020 sans pneumothorax résiduel, permettant au patient un retour à domicile le jour même. Le patient sera par la suite revu par nos collègues du service d'orthopédie afin de planifier l'opération pour la fracture du scaphoïde. Mr. Y, patient âgé de 86 ans, connu pour maladie coronarienne bitronculaire stenté, présente le 12.01.2020 une syncope avec prodromes, d'origine probablement orthostatique. Le 12.02.2020, le patient était en train de manger une raclette. Il se lève de sa chaise pour se mettre en position debout et présente de légers vertiges avec sensation d'évanouissement, accompagnés d'une faiblesse. Le patient perd connaissance pendant 2 à 3 minutes selon les témoins. A l'arrivée des secours, Mr. Y présente une bradycardie sinusale à environ 55 bpm ainsi qu'une hypotension artérielle à 110/70 mmHg. A l'arrivée aux urgences, le patient est légèrement bradycarde à 56 bpm, normotendu à 147/72 mmHg, afébrile à 35.6°C et sature à 97% à l'air ambiant. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. A l'anamnèse, le patient signale avoir récemment consulté le Dr. X, cardiologue traitant, qui a introduit du Torasémide et du Nitroderm. L'ECG effectué à son arrivée est superposable au précédent ECG réalisé en novembre 2019 et ne montre notamment pas de bloc atrio-ventriculaire ni d'anomalie du segment ST-T. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale, ainsi qu'une hypokaliémie. Le reste du laboratoire est sans particularité. La radiographie du thorax est également sans particularité. Le test de Schellong est négatif, sachant que le patient a bénéficié d'une hydratation intraveineuse juste avant la réalisation de cet examen. Nous prenons l'avis de nos collègues de la cardiologie, qui suggèrent une probable origine orthostatique du malaise (récent changement de traitement avec introduction du Torasémide et Nitroderm, prodromes à la syncope, pas de douleur rétrosternale, pas de dyspnée ou palpitation), mais au vu des antécédents importants du patient, ils proposent une surveillance rythmique sur la nuit. Durant la surveillance, nous observons une bradycardie sinusale qui selon la cardiologue traitante du patient, le Dr. X, est connue de longue date et multi-investiguée. En accord avec elle nous stoppons le Torasémide. La nouvelle réalisation d'un ECG Holter est prévue prochainement à son cabinet. Mr. Y peut regagner son domicile le 13.01.2020. Nous l'informons de prendre contact avec le Dr. X pour pose de Holter et avec vous-même pour suivi de la fonction rénale et de la kaliémie. Mr. Y est un patient de 99 ans qui présente une grosse fatigue depuis 3 semaines avec une péjoration ces 2 derniers jours. Mr. Y présente des vertiges, une toux sèche (a toussé toute la nuit). A son entrée, Mr. X présente un état fébrile à 39.1°C avec une toux devenant grasse. A son entrée en gériatrie, sur le plan pulmonaire, le bilan est complété par une radiographie du thorax et un CT scan pulmonaire nous permettant d'exclure un foyer pulmonaire. Les hémocultures reviennent négatives. Nous concluons à une bronchite asthmatiforme d'origine vraisemblablement virale. En début d'hospitalisation nous mettons Mr. Y sous oxygénothérapie et sous traitement par des aérosols. A la sortie, les valeurs de la saturation sont correctes à l'air ambiant et le patient tolère bien l'effort physique. Le bilan biologique réalisé met en évidence une anémie microcytaire hypochrome d'origine ferriprive suite à la valeur de Ferritine à 8 microg/l. Au vu de l'hémoglobine à 69 g/l le patient obtient 2 culots érythrocytaires puis bénéficie de deux injections de Ferinject et 1500 mg de fer au total. A la sortie l'hémoglobine est à 93 g/l. A noter également une carence en vitamine D, B12 et folates qui sont substituées. Une composante inflammatoire, vu le contexte de la bronchite ne peut pas être exclue. Nous constatons une insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale sur une probable déshydratation dans le contexte d'une fièvre, pour laquelle Mr. Y reçoit une perfusion NaCl de 1500 ml/24h. Au vu d'une bonne hydratation per os la perfusion est arrêtée. A sa sortie, la déshydratation est résolue. Pendant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 30.12.2019 au 06.01.2020. Mr. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche avec 2 bâtons de marche nordique est de 100 mètres et peut gravir 40 marches d'escaliers avec l'aide d'une main courante. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 104/126 par rapport à 87/126 à son entrée (MIF physio: transferts 6/7, déplacements 6/7 et escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 12 secondes avec l'aide des bâtons de marche. En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements, ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Le patient se déplace de façon sécuritaire. Sur le plan nutritionnel, il y a risque d'une malnutrition protéino-énergétique au vu des faibles apports à la maison. Mr. Y obtient des instructions diététiques et son poids reste stable. Les tests de la cognition effectués le 06.01.2020 montrent un MMSE à 23/30 et un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Le 07.01.2020, au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour les signes vitaux puis 1x/jour pour l'aide à la toilette. Mr. Y est un patient de 70 ans, connu pour un syndrome métabolique et anticoagulé par Sintrom dans le contexte d'une AOMI, qui vous consulte pour des palpitations avec dyspnée progressive. Vous mettez en évidence une fréquence cardiaque à 150 battements par minute et adressez Mr. Y au service des urgences. Suite à l'administration d'Adénosine, un flutter auriculaire est mis en évidence à l'ECG pour lequel le patient reçoit une dose de Métoprolol iv. Il est hospitalisé en médecine pour la suite de la prise en charge. Une échocardiographie transthoracique met en évidence une hypokinésie globale modérée avec une FEVG à 25% et une oreillette gauche très dilatée, probablement secondaire à une tachycardiomyopathie. Une cardiopathie ischémique sous-jacente ne peut être exclue chez un patient connu pour une artériopathie. La coronarographie sera réévaluée selon l'évolution de la fonction cardiaque lors du contrôle à 4 semaines. Concernant le flutter, nous effectuons une cardioversion électrique le 14.01.2020 au vu d'une anticoagulation déjà en cours dans le cadre de l'artériopathie périphérique. Le traitement Bêtabloquant est à majorer progressivement selon tolérance. Un traitement d'IEC est également instauré dans le cadre de la FEVG abaissée. La décompensation cardiaque légère évolue favorablement sous traitement diurétique. Mr. Y rentre à domicile le 16.01.2020. Mr. Y est un patient de 68 ans, qui se présente le 17.01.2020 aux urgences en raison d'une voussure douloureuse de la fesse droite. Le drain qui drainait l'abcès serait tombé 2 jours auparavant. Le bilan met en évidence un nouvel abcès qui est par la suite drainé au bloc opératoire. Les suites sont simples, permettant au patient un retour à domicile le 20.01.2020. Il sera par la suite revu à notre consultation ambulatoire pour un suivi de l'évolution.Mr. Y, patient de 44 ans, est hospitalisé pour un érysipèle du membre inférieur gauche. Le patient présente un état fébrile à 39°C depuis le 13.01.2020. Le 15.01.2020, le patient remarque une tuméfaction érythémateuse et douloureuse au niveau du mollet à gauche. Une antibiothérapie par Augmentin est débutée avec rajout du Xarelto pour une suspicion de thrombose veineuse profonde, qui est exclue par un ultrason au Daler le 16.01.2020. Devant une péjoration de la rougeur et de la douleur, il consulte les urgences le 16.01.2019 et le 19.01.2019. Au vu d'une mauvaise évolution clinique et biologique, le patient est hospitalisé. Nous diagnostiquons un érysipèle au membre inférieur gauche avec porte d'entrée sur la mycose interdigitale entre le 4ème et 5ème orteil gauche. Le patient est traité par antibiothérapie intraveineuse par Augmentin. Nous remarquons une nette amélioration clinique et biologique, raison pour laquelle nous relayons l'antibiotique iv pour une forme orale avec une durée de 7 jours en tout. Un rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant sera organisé par le patient la semaine prochaine. Le patient peut rentrer à domicile le 23.01.2020 en bon état général. Mr. Y, âgé de 32 ans, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 10.01.2020 en raison d'une pneumonie communautaire basale droite avec mauvaise évolution sous antibiothérapie en ambulatoire. En effet, le patient décrit une fièvre depuis une semaine, accompagnée de céphalées, de fatigue et d'une toux initialement sèche avec expectorations jaunâtres. Le patient vous consulte, vous retenez le diagnostic de pneumonie et introduisez une antibiothérapie par co-amoxicilline le 08.01.2020, sans amélioration clinique. A l'admission, le patient est stable sur le plan hémodynamique et respiratoire et présente un état fébrile, avec un état général légèrement diminué. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire et la radiographie du thorax montre un infiltrat postéro-basal droit, compatible avec un foyer pulmonaire basal droit. Une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone et Clarithromycine est administrée du 10 au 13.01.2020, avec une bonne évolution clinico-biologique, permettant un relais par co-amoxicilline per os le 13.01.2020. L'antibiothérapie est à poursuivre jusqu'au 19.01.2020 inclus. Le bilan microbiologique (frottis Influenza, hémocultures, antigène urinaires légionnelle et pneumocoques) ne permet pas d'identifier un germe pathologique. Mr. Y rentre à domicile le 14.01.2020. Nous recommandons un contrôle clinique à votre consultation. Mr. Y est hospitalisé dans notre service pour une thermo-ablation d'une lésion nodulaire du parenchyme hépatique sur les segments VI et VII. La thermo-ablation est réalisée avec succès et sans complication. Le patient récupère rapidement et ne présente que peu de douleurs, gérées efficacement par l'antalgie mise en place. Mr. Y retourne à son domicile le 01.02.2020. Mr. Y est un patient de 56 ans qui bénéficie d'une cure de hernie inguinale bilatérale transabdominale pré-péritonéale et d'une cure de hernie ombilicale le 20.01.2020. L'intervention se déroule sans complication, les suites postopératoires sont simples sur le plan abdominal. En raison d'un épistaxis postérieur en peropératoire, nos collègues du service d'oto-rhino-laryngologie effectuent un méchage en salle de réveil et le patient bénéficie d'une antibioprophylaxie par co-amoxicilline. Par la suite, Mr. Y a un épisode d'hématémèse et un jour plus tard de méléna, que nous interprétons comme suite de l'épistaxis. Nous effectuons une transfusion de deux culots érythrocytaires pour une anémie symptomatique. Par la suite, Mr. Y se remet bien de l'anémie. Il peut rentrer à domicile le 24.01.2020 dans un bon état général et sera vu en contrôle par le Dr. X le 03.03.2020 à 11h. Mr. Y est un patient de 85 ans qui était hospitalisé jusqu'au 05.12.2019 dans le service de médecine à l'Hôpital de Fribourg pour un accident vasculaire cérébral. Sur le plan social, Mr. Y vit seul à domicile. Pendant son hospitalisation dans notre service, nous n'observons pas de complications sur le plan neurologique et cardiologique. Une IRM de contrôle du neurocrâne est prévue pour janvier 2020. Sur le plan biologique, nous constatons une amélioration des valeurs de la bilirubine. Une substitution des folates et de la vitamine D est instaurée suite à une carence. Concernant son poignet gauche, selon les informations transmises oralement depuis l'HFR de Fribourg, il n'y a pas de fracture à la radiographie du poignet gauche et Mr. Y arrive dans notre service sans attelle. Dans le rapport du 09.12.2019, une fracture est notée. Après un avis orthopédique, nous refaisons une radiographie qui montre une fracture de l'extrémité (discutée avec le chef de clinique du service orthopédique de garde et avec le radiologue de garde) et nous mettons en place une attelle. Le 10.12.2019, un plâtre est mis en place et un nouveau contrôle radiologique confirme la fracture non déplacée. La charge au niveau de la main gauche est interdite jusqu'au prochain contrôle radiographique et la consultation orthopédique du 17.01.2020 à 9h00 à la Polyclinique d'Orthopédie de l'Hôpital de Riaz. Durant son séjour, Mr. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. A la sortie, son périmètre de marche est de 130 mètres avec un rollator et peut gravir 18 marches d'escaliers. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 90/126 par rapport à 73/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 4/7, escaliers 2/7). En ergothérapie, la prise en charge a pour objectif l'amélioration des transferts et des déplacements, ainsi que la réalisation des tâches quotidiennes. Au niveau médicamenteux, nous arrêtons l'Amlodypine au vu d'un profil tensionnel satisfaisant. La dose de Pantozol est diminuée, de 40 mg à 20 mg 1x/jour. Le 23.12.2019, Mr. Y quitte notre service pour un court séjour à l'EMS St-Joseph à Châtel St-Denis. Mr. Y est un patient connu pour une épilepsie traitée par Valproate et suivi en neurologie par le Dr. X, ainsi qu'une démence multifactorielle, sous curatelle, et des troubles de la personnalité. Le patient a été hospitalisé en orthopédie le 19.12.2019 pour la prise en charge d'une fracture périprothétique de la hanche et d'un traumatisme crânio-cervical sévère suite à une crise d'épilepsie. Pendant cette hospitalisation, une agitation psychomotrice a motivé un transfert à Marsens le 23.01.2020 où le patient est actuellement hospitalisé. Le 23.01.2020, le patient présente une crise tonico-clonique d'une durée indéterminée avec traumatisme crânien frontal et désaturation à l'air ambiant pendant la crise, motivant un transfert aux urgences en ambulance. À l'arrivée des ambulanciers, le GCS est évalué à 3 sur place puis à 7 dans l'ambulance pendant le transport avec une saturation correcte à l'air ambiant. A son arrivée aux urgences, le patient est toujours somnolent (GCS 10) mais stable sur le plan hémodynamique et respiratoire. À l'examen clinique, l'état neurologique reste difficilement évaluable au vu d'un patient non collaborant qui ne présente toutefois pas de latéralisation franche. Le statut cardio-vasculaire, pulmonaire et abdominal est sans particularité.Le bilan biologique montre un taux infra-thérapeutique de Dépakine à 16 mg/l, une élévation de la CRP à 33 mg/l sans leucocytose, une anémie à 112 g/l et des lactates à 3.6 mmol/l. La gazométrie initiale met en évidence une alcalose avec hypoxémie à 6.9 kPa. Au contrôle, la pO2 s'améliore à 9.0 kPa avec pH à 7.45. A la recherche d'un possible foyer infectieux, une radiographie du thorax ne montre pas de pneumonie ou de signe de broncho-aspiration. Un examen des urines est également réalisé et met en évidence une microhématurie sans leucocyturie ni nitrite, que nous vous proposons de suivre et d'investiguer en ambulatoire. Un scanner cérébral réalisé aux urgences permet d'exclure une hémorragie intracrânienne et montre des hygromes des deux hémi-convexités cérébrales, ainsi que des lésions séquellaires cortico-sous-corticales frontales bilatérales et des fractures fronto-pariétale gauche et de la marge antérieure de l'os zygomatique droit connues suite au traumatisme crânien du 19.12.2019. Le Dr. X, neurologue, consulté par téléphone, retient comme facteur déclenchant un taux infra-thérapeutique de Dépakine et il propose une majoration de la Dépakine à 1g 2x/j, un contrôle à 5 jours du taux résiduel et d'envisager la diminution des neuroleptiques (Dipiperon, Quétiapine). A noter dans ce contexte, une mal compliance médicamenteuse observée aux urgences. Le patient crache par terre les comprimés dès que le personnel soignant sort de la chambre, raison pour laquelle nous conseillons l'administration des médicaments sous surveillance et préférablement en forme d'effervette ou de sirop. Le patient est hospitalisé en lit monitoré aux urgences sur la nuit. Une agitation psychomotrice importante associée à une mise en danger, notamment avec risque de chute, motive une contention physique par ceinture abdominale et sangle aux poignets ainsi que l'administration d'une dose d'Haldol 5 mg en intra-musculaire. L'évolution est favorable par la suite. Le 24.01.2020, un nouvel examen neurologique ne révèle pas de déficit focal franc, sachant que le patient n'est pas du tout collaborant et coopératif pendant l'examen. Mr. Y est retransféré au RSFM CSH Marsens le 24.01.2020. Mr. Y, âgé de 78 ans, est hospitalisé pour insuffisance rénale anurique sur néphropathie de contraste avec composante pré-rénale le 23.12.2019. Pour rappel, le patient bénéficie d'un changement électif de sonde double J pour sténose urétérale post-radique le 19.12.2019 à la Clinique Daler, se compliquant par un iléus jéjunal mécanique sur carcinomatose péritonéale, ayant nécessité une laparotomie exploratrice, avec résection grélique et anastomose jéjuno-jéjunale latéro-latérale mécanique et jéjunostomie avec sonde d'alimentation. Dans ce contexte, une carcinose péritonéale diffuse sur récidive d'adénocarcinome de la prostate est relevée. Les suites post-opératoires sont marquées par une insuffisance rénale aiguë anurique, d'origine rénale, sur néphropathie de contraste, et pré-rénale, dans les suites opératoires. Cela motive un séjour aux soins intensifs de notre établissement de 48 heures, avec reprise progressive de la diurèse après remplissage vasculaire soutenu. Une antibiothérapie empirique par Pipéracilline-Tazobactam est de même instaurée du 27.12 au 31.12.2019 devant un syndrome inflammatoire faisant suspecter une translocation bactérienne per-opératoire, d'évolution clinico-biologique initialement favorable. L'évolution clinico-biologique est marquée par une persistance de perturbation sévère de la fonction rénale, motivant l'initiation d'une dialyse dès le 08.01.2020. Le patient présente le 10.01.2020 un sepsis d'origine urinaire avec bactériémie à Enterobacter cloacae et faecium. Une antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam est initiée, couplée à de la Vancomycine et Caspofungine sur suspicion d'infection endovasculaire. L'évolution clinico-biologique est cependant défavorable, motivant, après discussion avec la famille, le passage en soins de confort. Mr. Y décède le 18.01.2020 à 11h30. Mr. Y est un patient de 86 ans, résidant du home des fauvettes, qui se présente aux urgences de Fribourg pour une hématurie nouvelle (premier épisode) depuis le 28.11.19. Le patient consulte initialement au HIB le 28.11.19, où il lui est conseillé une cystoscopie à Fribourg le 29.11.19. Un traitement initial conservateur est débuté avec la mise en place d'une sonde 3-voies et des rinçages. Le patient montre une évolution favorable avec un retour à des urines claires puis un retrait de la sonde le 06.12.2019. Un ultrason ne montre pas de lésions suspectes. Nous organisons un rendez-vous au cabinet du Dr. X le 06.01.2019 à 09h30 pour un contrôle et organiser une cystoscopie. Dans la nuit du 01.12.2019, Mr. Y chute mécaniquement de sa hauteur avec traumatisme crânien simple qui ne montre pas de signes de gravité sur la surveillance neurologique. Il développe par la suite des douleurs dorso-lombaires en regard de D12-L1. Une radiographie lombaire met en évidence une fracture tassement vertébrale D12. Après discussion avec la garde d'orthopédie, un traitement conservateur est préconisé. Concernant la pneumonie, le patient développe une majoration de sa dyspnée et des expectorations purulentes. Suite à une auscultation pathologique et une radiographie du thorax montrant un probable foyer pulmonaire, nous débutons un traitement antibiothérapeutique associé à un traitement de Prednisone. Il montre par la suite une évolution favorable. Le patient est transféré dans le service de médecine interne le 09.12.2019 pour la suite de la prise en charge multidisciplinaire. Mr. Y, 75 ans, est admis aux soins intensifs en post-opératoire d'une prothèse de genou gauche. Le patient, connu pour une hypertension artérielle traitée, pour un diabète de type II non insulino-requérant, pour un syndrome d'apnées du sommeil en cours d'appareillage (très mal toléré), a été opéré ce jour d'une prothèse de genou gauche sous anesthésie combinée : locorégionale par bloc fémoral et générale. L'intervention s'est bien déroulée, sans problème particulier. En post-opératoire immédiat, le patient ne présente aucune plainte, il est confortable. Durant la surveillance aux soins intensifs, il reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Il n'a pas présenté d'épisode de désaturation sur la nuit et a porté sa CPAP personnelle toute la nuit. Le drain a ramené 550 ml de sang sur les 18 dernières heures, raison pour laquelle nous ne le retirons pas ce 29.01.2020, nous vous laissons le soin de le retirer à l'étage. Le contrôle de FSS le 29.01.2020 montre une hémoglobine stable. La physiothérapie est débutée ce 29.01.2020. Mr. Y, 87 ans, a été admis en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique fronto-pariétal gauche. Le patient est pensionnaire d'un EMS pour un court-séjour, faisant suite à un état d'agitation post-opératoire d'une intervention du pied droit le 10.12.2019. Le 25.12.2019 à 08h30, le patient a été retrouvé inconscient avec un score de Glasgow à 8/15 et un hémisyndrome moteur droit (NIHSS à 23 points). La dernière preuve de bonne santé remontait au 25.12.2019 à 07h45. Le scanner cérébral a mis en évidence un AVC ischémique fronto-pariétal gauche constitué avec une occlusion de l'artère cérébrale moyenne gauche dans sa portion M2 ainsi que de l'artère cérébrale antérieure gauche. Du fait de l'âge du patient, de ses comorbidités et de l'étendue de l'ischémie cérébrale, l'indication à une lyse intra-veineuse n'a pas été retenue. Le patient a été chargé en Aspirine.L'état de conscience s'est légèrement amélioré par la suite avec un GCS à 9 points, mais la persistance d'une aphasie de compréhension et de parole et de l'hémisyndrome droit. Le NIHSS reste à 23 points. A l'imagerie cérébrale de contrôle, la lésion ischémique constituée est délimitée en fronto-pariétale gauche ainsi que du bras postérieur de la capsule interne gauche sans transformation hémorragique. Une anticoagulation thérapeutique serait recommandée à partir de J12 compte tenu de l'étendue de l'AVC touchant >50% du territoire sylvien gauche. Des myoclonies répétées de l'hémicorps droit ont été attribuées à des équivalents épileptiques et traitées par valproate. L'EEG du 27.12.2019 a montré des potentiels épileptiques, motivant l'augmentation du valproate. Selon la discussion avec la famille le 27.12.2019, le projet thérapeutique est limité. A l'étage, nous constatons une amélioration modeste des capacités de déglutition ne permettant pas d'entamer une alimentation orale. Une alimentation par sonde nasogastrique n'est finalement pas retenue en accord avec la famille au vu d'une sonde nasogastrique arrachée plusieurs fois par jour et d'un projet thérapeutique très limité. Le 01.01.2020, l'état de Mr. Y se péjore fortement avec une tachypnée, des marbrures et une baisse de l'état de conscience. Une gazométrie met en évidence une acidose métabolique sans signe de trouble ventilatoire. Une radiographie du thorax ne met pas en évidence de franc foyer. Nous suspectons malgré tout une broncho-aspiration au vu de la situation clinique du patient. En accord avec la famille du patient, nous stoppons les investigations et introduisons un traitement à visée symptomatique. Le patient décède paisiblement, entouré par ses proches le 01.01.2020 à 15h38. Mr. Y, 67 ans, est hospitalisé pour un état confusionnel aigu dans le contexte d'une pneumonie para-cardiaque gauche. Le patient est connu pour une polyarthrite séro-positive sous Tocilizumab jusqu'à la fin 2019, puis changé ensuite par Galimumab (Simponi). Depuis ce changement, il présente des douleurs articulaires diffuses, raison pour laquelle il consulte Dr. X le 31.12.2019. Une pneumonie est diagnostiquée et un traitement par Co-Amoxicilline est débuté, les douleurs articulaires sont couvertes par des AINS. Il se présente au service des urgences pour une péjoration de ces douleurs, un état fébrile à 38.5° et un état confusionnel avec une dysarthrie visualisée par sa femme. De plus, il a présenté des hallucinations et un état confusionnel aigu. Un CT cérébral injecté permet d'exclure une ischémie aiguë ou une hémorragie intracérébrale. Le traitement antibiotique par Co-Amoxicilline est poursuivi jusqu'au 07.01.2020. La Clarithromycine, introduite au service des urgences, est stoppée après que les antigènes urinaires à la recherche de Legionella reviennent négatifs. Au vu de la persistance des douleurs articulaires importantes, un avis rhumatologique est demandé. Les rhumatologues retiennent une origine réactionnelle dans le contexte infectieux, raison pour laquelle un traitement de Prednisone est prescrit. Le traitement de Simponi peut être repris comme habituellement dès le 13.01.2020. La consultation rhumatologique est prévue le 03.03.2020. Il présente un état confusionnel aigu dans le contexte infectieux et inflammatoire sur la polyarthrite rhumatoïde acutisée. Après traitement des facteurs déclencheurs, nous observons une évolution rapidement favorable. Un retour à domicile au vu de l'amélioration clinique est possible le 10.01.2020. Mr. Y est un patient de 77 ans qui nous est adressé pour une réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé le 24.11.2019 en médecine à Tavel suite à une chute avec station au sol prolongée durant 4 jours, compliquée par une rhabdomyolyse. Un CT cérébral est effectué, ne mettant pas en évidence de saignement ou de fracture, mais des signes d'une hydrocéphalie à pression normale, à corréler à la clinique. Par ailleurs, une infection urinaire est diagnostiquée puis traitée par Ceftriaxone en raison de la présence au laboratoire d'un syndrome inflammatoire associé à la présence, au sédiment urinaire, de leucocytes et de nitrites. L'urotube réalisé a finalement retrouvé la présence d'Escherichia Coli à 10E5. Par la suite, Mr. Y est transféré en chirurgie, suite à un sub-iléus du côlon sur une diverticulite sigmoïdienne chronique ; diagnostic différentiel : adénocarcinome, compliqué par une diverticulite et des abcès au niveau de l'abdomen. Une stomie de décharge est mise en place et une antibiothérapie par Ipéracilline-Tazobactam est instaurée du 04.12.2019 au 16.12.2019, puis par Co-Amoxicilline dès le 17.12.2019. Sur le plan social, Mr. Y vit seul dans une maison à Ursy. A l'étage de gériatrie, le 18.12.2019, le bilan sanguin effectué retrouve une péjoration du syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 14 g/l et une CRP à 120 mg/l (59 mg/l le 13.12.2019). L'anamnèse et le statut clinique sont sans particularité hormis la présence d'un épisode d'incontinence urinaire nouvelle, des douleurs premièrement légères au genou gauche sans signe d'inflammation au statut, ainsi qu'une petite plaie au niveau de la stomie. Une rétention urinaire aiguë est écartée avec la réalisation d'un bladder-scan retrouvant un volume urinaire à 0 ml. Nous réalisons un sédiment urinaire qui revient dans les normes, des hémocultures et un urotube qui reviennent négatifs. Le bilan sanguin met en évidence une carence en acide folique et une hypovitaminose D pour lesquelles nous préconisons une substitution per os. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie de séances de physiothérapie de mobilisation. Lors du transfert, son périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 150 mètres et il peut gravir 9 marches d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 65/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 5/7, escaliers 1/7). Le TUG se réalise en 22 secondes. En ergothérapie, le patient bénéficie d'une évaluation ainsi que d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, nous mettons en évidence une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une inappétence et une longue période de jeûne démontrée par un NRS à 5/7, une perte de poids de 4.5 kg soit 6% en moins d'un mois. Le patient a reçu de la nutrition parentérale durant son séjour en chirurgie, puis a couvert ses besoins avec une alimentation enrichie et fractionnée, ainsi que la mise en place d'un SNO par jour que nous poursuivons. Au vu des antécédents abdominaux récents, nous stoppons l'antibiothérapie par Amoxicilline/acide clavulanique et nous débutons une antibiothérapie par Méropénem. Un CT abdominal est réalisé et ne retrouve pas d'image de collection abcédée décelable mais des séquelles de diverticulite sigmoïdienne avec densification de la graisse péri-sigmoïdienne, sans image de collection ou d'abcès. Les signes inflammatoires (laboratoire et fièvre) ne s'améliorent pas malgré le changement d'antibiothérapie. Au vu de la problématique actuelle abdominale et inflammatoire, le 23.12.2019, Mr. Y est transféré en gériatrie aiguë pour suite de sa prise en charge. Mr. Y, 68 ans, a été victime d'un accident en tant que cycliste, avec un choc frontal-latéral contre une voiture (20 km/h) et des lésions traumatiques essentiellement au niveau de la colonne cervico-dorsale. Il y a une fracture instable D5-D6 et des fractures des apophyses transverses droites D3-D6, nécessitant une immobilisation au lit jusqu'à la stabilisation chirurgicale prévue le 13.01.2020. Il n'y a pas de déficit moteur ni sensitif. Dr. X expliquera au patient et à sa famille l'intervention le 11.01.2020.Des fractures des apophyses épineuses C7-D2 seront traitées de manière conservatrice, avec initialement une Minerve Philadelphia suivie de 8 semaines de Minerve mousse (dès le 11.01.2020 après avis du Dr X). Un petit hématome sous-dural para-falcoriel gauche de 5 mm motive une surveillance neurologique aux soins intensifs qui s'avère sans complication. Le CT du lendemain montre déjà une légère régression. Une thromboprophylaxie est débutée le 10.01.2020 (enoxaparine 20 mg/jour). Une bursotomie traumatique du coude gauche a été rincée aux urgences par les collègues orthopédistes et une antibiothérapie est initiée. Il y a également une fracture de l'omoplate. Le team orthopédie de la main a été sollicité afin de suivre ces lésions. L'immobilisation et une antalgie simple sont suffisantes. Le traitement antihypertenseur a été repris partiellement. Une physiothérapie respiratoire est indiquée pendant l'immobilisation. Le patient a été transféré dans le service d'orthopédie le 11.01.2020. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé pour une infection urinaire haute à E. Coli multisensible le 10.01.2020. Il présente depuis quelques jours une hématurie macroscopique avec une asthénie et un état fébrile. Le bilan au service des urgences met en évidence un syndrome inflammatoire ainsi que des signes d'infection urinaire au sédiment. Les hémocultures sont négatives. L'urotube revient positif pour un E. Coli multible. Un traitement de Ceftriaxone intraveineuse est mis en place avec relais oral par Ciprofloxacine à poursuivre pour une durée totale de 14 jours. L'évolution est favorable avec un amendement rapide de l'hématurie. Mr. Y rentre à domicile après la dialyse le 14.01.2020. Mr. Y est un patient de 87 ans qui se présente pour une cholécystectomie laparoscopique élective avec cholangiographie peropératoire dans le cadre d'une cholécystolithiase symptomatique avec statut post-cholécystite en Grèce le 19.12.2019. La prise en charge chirurgicale ainsi que les suites opératoires sont simples tant sur le plan clinique que biologique, permettant le retour à domicile le 20.01.2020. Mr. Y est un patient de 59 ans, sans antécédents urologiques connus, qui se présente le 01.01.2020 avec des douleurs du flanc droit. L'évaluation met en évidence une masse hypodense d'origine indéterminée au niveau du méat de l'uretère droit avec dilatation pyélocalicielle ainsi qu'une insuffisance rénale AKIN I. Au cours de son hospitalisation, le patient montre une péjoration des douleurs motivant une cystoscopie avec biopsie et la pose de sonde double J à droite le 04.01.2020. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 06.01.2020. Mr. Y, 26 ans, est hospitalisé pour une crise vaso-occlusive dans le contexte d'une drépanocytose. Le patient de 26 ans, connu pour une drépanocytose homozygote (HbS/S) actuellement traitée par aphérèse toutes les 5 semaines à Berne (Dr X, dernière séance il y a 3 semaines par rapport à la date d'entrée), consulte les urgences en raison de douleurs intermittentes au niveau du rachis dorsal thoracique en péjoration depuis 2 semaines, similaires à des douleurs survenues durant des crises vaso-occlusives. Il signale également une toux ainsi qu'une rhinorrhée présente depuis 2 semaines. Devant des douleurs importantes non gérables par une antalgie simple, une PCA de Kétamine et morphine est mise en place avec par la suite l'apparition d'un état somnolent. L'évolution sous hydratation et antalgie est satisfaisante. Nous prenons avis de nos collègues anesthésistes pour l'adaptation et le suivi de la PCA. Au niveau biologique, on note un syndrome inflammatoire faible, et le frottis naso-pharyngé revient négatif. Un bilan hématologique avec quantification de l'HbS reste à pister au moment de l'écriture de cette lettre. En raison d'une amélioration progressive des symptômes avec interruption du traitement par la PCA, le patient rentre à domicile le 15.01.2020. Mr. Y, 26 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une crise vaso-occlusive dans le contexte d'une drépanocytose. Le patient consulte les urgences en raison de douleurs intermittentes au niveau du rachis dorsal thoracique en péjoration depuis 2 semaines, similaires à des douleurs survenues durant des crises vaso-occlusives. Devant des douleurs importantes non gérables par une antalgie simple, une PCA de Kétamine et morphine est mise en place. Mr. Y, 26 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une crise vaso-occlusive dans le contexte d'une drépanocytose. Le patient de 26 ans, connu pour une drépanocytose homozygote (HbS/S) actuellement traitée par aphérèse toutes les 5 semaines à Berne (Dr X, dernière séance il y a 3 semaines), consulte les urgences en raison de douleurs intermittentes au niveau du rachis dorsal thoracique en péjoration depuis 2 semaines, similaires à des douleurs survenues durant des crises vaso-occlusives. Il signale également une toux ainsi qu'une rhinorrhée présente depuis 2 semaines. Le patient est hospitalisé aux soins intensifs devant des douleurs importantes non gérables par une antalgie simple. Une PCA de Kétamine et morphine est mise en place avec par la suite l'apparition d'un état somnolent. L'évolution sous hydratation et antalgie est satisfaisante. Nous prenons avis de nos collègues anesthésistes pour l'adaptation et le suivi de la PCA. Le patient est transféré en médecine interne le 13.01.2020. Mr. Y présente un syndrome du tunnel carpien bilatéral prédominant à droite. En accord avec le patient, nous prévoyons une neurolyse du nerf médian et nous commencerons par la main droite. Cette intervention est prévue pour le 6.2.2020 en ambulatoire. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour définir le type d'anesthésie. Mr. Y, patient de 22 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique sylvien gauche. Pour rappel, il présente un hémisyndrome droit moteur avec une dysarthrie le 09.01.2020 à 6h30 au réveil. Dernière preuve de bonne santé à 3h50. À noter un long voyage récent en avion. Aux urgences, le NIHSS s'élève à 8. Le CT cérébral ne retrouve pas de lésion ischémique ou d'occlusion vasculaire. L'IRM cérébrale confirme deux petites lésions ischémiques aiguës dans le territoire sylvien gauche. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une lyse intraveineuse. La surveillance neurologique de 24h est sans particularité. Le CT natif de contrôle à 24h ne montre pas de transformation hémorragique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique retrouve un probable FOP ainsi qu'un mouvement paradoxal du septum interventriculaire. L'échocardiographie transoesophagienne montre une large communication interauriculaire type ostium secundum. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un bilan à la recherche d'une thrombophilie et des anticorps antiphospholipides sont envoyés et sont en cours d'analyse. Compte tenu des anomalies échocardiographiques et électrocardiographiques, d'un voyage récent en avion et d'une forte suspicion d'AVC sur embolie paradoxale, nous complétons les examens par un US des membres inférieurs qui ne retrouve pas de thrombose et par un angio-CT pulmonaire qui exclut une embolie pulmonaire. Nous retenons une origine cardio-embolique sur embolie paradoxale.Sur le plan médicamenteux, une anti-agrégation par Aspirine est introduite puis remplacée par une anticoagulation par Apixaban 5 mg 2x/j. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Du point de vue cardiologique, l'indication à une fermeture de cette communication est retenue par nos collègues cardiologues. Mr. Y partant de Suisse d'ici quelques jours pour les États-Unis pour 6 semaines puis pour la Corée du Sud, nous lui prions de prendre contact avec un cardiologue en Corée du Sud dès son retour pour organiser une fermeture endovasculaire ou chirurgicale. L'anticoagulation doit être poursuivie dans l'intervalle. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle doit être réalisée en Corée du Sud. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie dans les normes. Mr. Y peut regagner son domicile le 14.01.2020. Mr. Y, 22 ans, est admis aux soins intensifs en unité stroke monitoré pour la surveillance neurologique d'un AVC ischémique gauche le 09.01.2020. Ce patient en bonne santé habituelle est amené en ambulance en raison d'un hémisyndrome droit moteur le 09.01.2020 (6h30 min). L'angio-CT cérébral réalisé aux urgences se révèle normal. En raison d'un score de NIHSS à 8, l'indication à une thrombolyse intraveineuse est posée par les neurologues, effectuée à 4h30 de la dernière preuve de bonne santé. Après lyse, le patient présente un NIHSS à 0 qui est resté stable au long de son séjour aux soins intensifs. L'IRM cérébrale confirme deux petites lésions ischémiques aiguës dans le territoire sylvien gauche. Un CT cérébral natif à 24 heures post-lyse exclut une transformation hémorragique. Concernant le bilan étiologique, une échocardiographie transthoracique réalisée montre un foramen ovale perméable avec un shunt important, majoré au Valsalva. Une embolie paradoxale peut dans ce contexte expliquer l'AVC. Une échographie transoesophagienne est prévue pour le 13.01.2020. Devant la présence d'une désaturation, des antécédents d'un long voyage en avion, d'une image de BBD incomplet avec un mouvement paradoxal du septum interventriculaire à l'échographie, un angio-CT pulmonaire est réalisé qui infirme une embolie pulmonaire. Un US doppler des membres inférieurs écarte une thrombose veineuse. Encore dans le but d'écarter une thrombophilie et un syndrome des anticorps antiphospholipides, un bilan est demandé. Sur avis du neurologue, de l'aspirine et une anticoagulation prophylactique est introduite le 10.01.2020. Également, de l'Atorvastatine est prescrite visant un taux de LDL < 1.4 mmol/l. Le 10.01.2020, Mr. Y est transféré en lit de stroke de neurologie. Mr. Y, 82 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne dans les suites d'un STEMI inférieur le 01.01.2020, après surveillance hémodynamique aux soins intensifs. Le patient décrit des douleurs thoraciques transfixiantes depuis 5 jours, en péjoration le 01.01.2020. Au service des urgences, l'ECG montre un STEMI inférieur. La coronarographie retrouve une sténose serrée de la coronaire droite moyenne, distalement à un anévrisme, et une occlusion thrombotique de l'artère coronaire droite distale traitée par mise en place de 2 stents actifs. Cet examen met également en évidence une occlusion chronique de la première marginale ainsi qu'une lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. La fraction d'éjection est estimée à 50% avec hypokinésie sévère diaphragmatique. Une coronarographie à distance sera à effectuer, le 13.02.2020 pour une angioplastie de l'artère marginale. Une double antiagrégation par Aspirine et Efient est à poursuivre pendant 12 mois puis par Aspirine au long cours. Un traitement d'inhibiteur de l'enzyme de conversion est mis en place. Une ETT révèle une hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale, ainsi qu'une FEVG à 56 %. Le patient présente une tendance persistante à la bradycardie sinusale, asymptomatique, raison pour laquelle nous introduisons le Métoprolol à un faible dosage. Nous vous laissons adapter le traitement à votre consultation, en fonction de l'évolution clinique. Mr. Y quitte notre service le 06.01.2020 et sera convoqué à domicile pour une réhabilitation cardio-vasculaire. Mr. Y est un patient de 55 ans, qui est hospitalisé en électif le 24.01.2020 afin de bénéficier d'une cholécystectomie. L'intervention est effectuée le jour même de l'hospitalisation et se déroule sans particularité. Les suites post-opératoires sont simples permettant au patient un retour à domicile le 26.01.2020. L'antibiothérapie sera continuée pour une durée totale de 5 jours. Mr. Y a présenté une exacerbation de sa BPCO qui a nécessité une antibiothérapie par Clindamycine pendant une semaine. Lors du contrôle à votre consultation, le patient présente une insuffisance rénale aiguë avec une hyperkaliémie, raison de son hospitalisation. Au bilan, le patient présente une insuffisance rénale aiguë avec une composante pré-rénale. L'US des voies urinaires du 17.01.2020 permet d'exclure une cause post-rénale. À l'anamnèse, le patient rapporte avoir pris des diurétiques avec la posologie entière du comprimé (200 mg) par jour. Selon l'avis de l'urologue, les médicaments néphrotoxiques sont mis en suspens et une thérapie d'hydratation initiée, permettant une correction de l'insuffisance rénale avec un retour à la valeur habituelle de la créatinine. Au vu de l'indication peu claire du Torem chez ce patient déjà investigué lors de sa dernière hospitalisation à l'HFR Fribourg en octobre 2019, ce traitement diurétique n'est pas repris. En effet, l'œdème des membres inférieurs et la prise pondérale pourraient être expliqués par le lymphœdème chronique du patient et son refus envers les mesures de contention élastiques. Le patient sera recontrôlé chez notre néphrologue, le Dr. X, pour la reprise des médicaments en suspens (Aldactone, Metformine). L'hyperkaliémie se corrige suite au traitement insuline-glucose et l'hydratation et reste dans la norme lors du contrôle. Mr. Y peut regagner son domicile le 22.01.2020. Il sera revu à votre consultation pour un contrôle clinique et biologique et sera suivi par le Dr. X pour son insuffisance rénale chronique. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance neurologique d'un AVC droit hautement probable. Le patient de 55 ans, polymorbide avec obésité classe III, diabétique insulino-requérant, ACOS de degré modéré, anticoagulé par Xarelto à vie pour antécédent d'embolie pulmonaire, se déplaçant majoritairement en chaise roulante en raison des problèmes locomoteurs sus-cités, présente le 29.01.2020 à 22h30 des céphalées en coup de tonnerre associées à une dysarthrie et une asymétrie faciale (remarquée par son épouse), et une hypoesthésie facio-brachio-crurale gauche et difficulté à la mobilisation. Les symptômes régressent après 2 minutes. Le patient est adressé par les cardiologues lors de son contrôle ETT de suivi pour bilan. À son admission, le patient se présente avec un NIHSS à 3 points. Un CT scanner cérébral ne retrouve pas de lésions. Sur avis neurologique, un bilan cardiaque à compléter est demandé, ainsi qu'une IRM cérébrale.La surveillance neurologique est St neuro : GSC 15, orienté aux 3 modes. Ataxie MSG, force M3 du MIG. Hyposensibilité hémicorps gauche. St cardioresp : sp. Attitude : • Holter 48h et IRM cérébrale demandés • suspension du Xarelto, en raison d'un AntiXa suprathérapeutique. • suspension antihypertenseurs. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance neurologique d'un AVC droit hautement probable. Le patient de 55 ans, polymorbide avec obésité classe III, diabétique insulino-requérant, ACOS de degré modéré, anticoagulé par Xarelto à vie pour antécédents d'embolie pulmonaire, se déplaçant majoritairement en chaise roulante en raison des problèmes locomoteurs sus-cités, présente le 29.01.2020 à 22h30 des céphalées en coup de tonnerre associées à une dysarthrie et une asymétrie faciale (remarquée par son épouse), ainsi qu'une hypoesthésie facio-brachio-crurale gauche et des difficultés à la mobilisation. Les symptômes régressent après 2 minutes. Le patient nous est adressé par les cardiologues lors de son contrôle ETT de suivi pour bilan. A son admission, le patient se présente avec un NIHSS à 3 points. Un CT scanner cérébral ne retrouve pas de lésions. Sur avis des neurologues, le bilan cardiaque est à compléter par un Holter et une IRM cérébrale est réalisée le 31.01.2020 (le rapport reste à pister) Durant la surveillance aux soins intensifs, Mr. Y reste cliniquement et hémodynamiquement stable. L'examen neurologique retrouve le syndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural gauche ainsi qu'une hémianopsie latérale gauche. Le Xarelto est mis en suspens en raison d'un anti-Xa supra-thérapeutique qui revient à la norme ce 31.01.2020. La réintroduction d'une anticoagulation thérapeutique est à réévaluer à l'étage avec les neurologues. Mr. Y peut être transféré en unité stroke non monitorée ce 31.01.2020. Mr. Y est un patient de 71 ans connu pour une épilepsie structurelle avec env. 3 crises/an sur accident de la route en 1980, domicilié au home de Courtepin, qui nous est transféré de l'Inselspital de Berne pour la surveillance neurologique d'un syndrome de Todd prolongé après une crise tonico-clonique généralisée pour laquelle il est amené à Berne par ambulance. Pour rappel, à l'Inselspital de Berne, le patient est hémodynamiquement stable, avec cependant un GCS à 6-7. Il reçoit 10 mg de Dormicum durant son transfert puis 2 g iv de Keppra avec amélioration des symptômes neurologiques. Le scanner cérébral ne montre pas de lésion hémorragique. Le traitement habituel par Tegretol est majoré avec du Keppra 2x/500 mg. L'EEG de contrôle le 03.01.2020 est rassurant avec l'absence de foyer. L'hospitalisation est compliquée par un état confusionnel fluctuant avec des épisodes hypoactifs attribués à la majoration du traitement antiépileptique et l'administration transitoire de Quétiapine. À noter une excellente évolution suite à l'arrêt de ce dernier. Devant un profil tensionnel élevé, le traitement antihypertenseur est majoré par de l'Amlodipine avec bonne amélioration. Suite à la bonne évolution clinique et l'absence de récidive, Mr. Y regagne son foyer le 14 janvier 2020. Il sera revu en neurologie pour une consultation à 3 mois. Une prophylaxie pour l'ostéoporose est nécessaire sur traitement par Carbamazépine à long terme. De plus, nous vous prions de contrôler la formule sanguine complète ainsi que la natrémie de manière rapprochée quant à un possible effet secondaire du Tegretol. Mr. Y nous est adressé par le médecin traitant en raison d'états fébriles à 38.5°, depuis 24h, avec une péjoration de sa dyspnée habituelle (stade NYHA II) et augmentation des expectorations blanchâtres. Nous diagnostiquons une pneumonie péri-hilaire gauche à germe indéterminé pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie empirique initialement IV puis per os après 48h. Dans le contexte infectieux, Mr. Y présente une exacerbation d'une BPCO stade 2 selon GOLD, dont l'évolution est favorable après introduction transitoire d'Atrovent et Ventolin. Un test de 6 minutes montre une hypoxémie à 88% sous 4 L d'oxygène, ceci laisse suspecter un besoin d'oxygénothérapie diurne à domicile, en plus de l'oxygénothérapie nocturne déjà en place. Toutefois, la saturation en oxygène s'améliore nettement durant le séjour, une oxygénothérapie diurne n'est donc pas indiquée pour le moment. Les hémocultures effectuées restent négatives et des cultures d'expectorations montrent une flore mixte. L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable. Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état général le 07.01.2020. Mr. Y est hospitalisé pour une pneumonie communautaire basale gauche sans germe identifié. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Ceftriaxone puis Co-amoxicilline pour un total de 7 jours. A l'ECG d'entrée, nous mettons en évidence des sous-décalages transitoires du segment ST en V4-V5-V6 sans douleur rétrosternale ni cinétique des troponines. Nos collègues cardiologues ne retiennent pas d'indication à des investigations complémentaires en urgence. Ils proposent un contrôle cardiologique avec test d'effort en ambulatoire et à distance de la pneumonie. Le patient rapporte par ailleurs une perte de poids de 10 kg, une dyspnée à l'effort, une toux sèche en augmentation, une dysphagie basse et un transit accéléré depuis quelques semaines. Nous vous proposons de réaliser un CT thoracique à distance de la pneumonie. Mr. Y, 55 ans, récemment hospitalisé pour un épanchement pleural d'origine indéterminée en bonne évolution, se présente aux urgences suite à l'apparition d'un état fébrile et d'une dyspnée importante. Une pneumonie à pneumocoque lobaire inférieure gauche est diagnostiquée sur la base d'une radiographie thoracique et des antigènes urinaires positifs. Une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid est débutée dès le 17.01.2020. Les vaccins pour le pneumocoque et la grippe sont réalisés avant sa sortie en prévention. L'évolution est favorable et un relais de l'antibiothérapie per os est effectué le 22.01.2020. Concernant les douleurs neurogènes pariétales, une diminution de l'oxycontin à 5 mg le soir est effectuée le 21.01.2020. Nous vous laissons le soin de poursuivre le sevrage en ambulatoire. Mr. Y rentre à domicile le 22.01.2020. Mr. Y, 55 ans, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 04.01.2020 pour prise en charge d'un NSTEMI. Il consulte le service des urgences de l'HFR Tavel en raison de douleurs thoraciques oppressives. Le bilan met en évidence une cinétique de troponines positives avec un ECG démontrant des troubles de la repolarisation dans le territoire inférieur. Il bénéficie d'une charge d'Aspirine et est transféré aux soins intensifs pour suite de prise en charge. La surveillance clinique et hémodynamique est sans particularité. Une coronarographie effectuée le 06.01.2020 permet une angioplastie au ballon de la première diagonale et n'engendre aucune complication. Nous introduisons une statine pour un LDL cible < 1.8 mmol/l, de l'Aspirine à vie et un traitement par Efient pendant 6 mois. Le patient refuse la statine, citant un tinnitus et des myalgies sur la statine prescrite en 2009. Une récidive d'événement défavorable cardiovasculaire sur traitement médicamenteux inapproprié lui est expliqué. Bénéficiant de son entière capacité de discernement, il comprend les risques et accepte les enjeux. Mr. Y rentre à domicile le 07.01.2020 en excellent état général. Il bénéficiera d'un suivi par vos soins ainsi que chez le Dr. X. Mr. Y, 55 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un NSTEMI le 04.01.2020. Le patient, connu pour un antécédent de STEMI antérieur en 2009 et NSTEMI en 2017, consulte aux urgences de l'hôpital de Tafers en raison de douleurs thoraciques oppressives, durant 2h, accompagnées de vertiges. Le bilan met en évidence une cinétique de troponines positives avec des ondes T négatives en D3 à l'ECG.Lors de la surveillance hémodynamique, il ne présente pas de récidive de douleur ni de trouble du rythme. Les enzymes cardiaques sont cependant toujours à la hausse et il convient de les suivre. Une coronarographie sera effectuée le 06.01.2020. Du point de vue médicamenteux, le patient bénéficie d'une charge en aspirine. Nous introduisons une statine pour un LDL cible < 1.8 mmol/l. Le patient est transféré le 05.01.2020 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 70 ans, est hospitalisé pour une décompensation cardiaque probablement sur insuffisance médicamenteuse. Le patient consulte le service des urgences en raison d'une dyspnée en péjoration depuis 2 jours ainsi qu'une prise pondérale de 6 kg par rapport à son poids de forme. Il présente des signes de surcharge, confirmés à la radiographie. De la VNI est mise en place aux urgences, et un traitement diurétique est instauré avec une évolution progressivement favorable. La majoration du Torasémide sera à réévaluer en ambulatoire prochainement. Sur le plan hématologique, Mr. Y présente une pancytopénie probablement d'origine toxique sur chimiothérapie nécessitant un soutien transfusionnel par 2 culots plaquettaires et 2 culots érythrocytaires durant le séjour. Du Neupogène est administré à 4 reprises. L'évolution est favorable avec une tendance à l'augmentation des valeurs. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X est prévu le 23.01.2020. Les traitements d'Eliquis et d'Aspirine habituels sont mis en suspens et seront à reprendre lorsque les thrombocytes atteindront des valeurs > 50 G/l. L'hospitalisation est marquée par la recrudescence de douleurs mal systématisées des deux membres supérieurs. Une origine toxique sur antibiothérapie par Levofloxacine et/ou rifampicine est initialement suspectée en ambulatoire par le Dr. X, qui stoppe cette antibiothérapie le 31.12.2019 avec avis de la Dr. X, infectiologue. L'évolution est initialement favorable sous traitement antalgique important. Une diminution de l'antalgie est débutée dès le 06.01.2020, mais doit être reprise en raison de la recrudescence des douleurs. Une IRM cervicale le 14.01.2020 exclut une infiltration tumorale de la moelle, mais révèle un canal cervical étroit stable par rapport au comparatif. Sur le plan endocrinien, l'hypothyroïdie subclinique connue n'est pas encore normalisée. Nous majorons le traitement d'Euthyrox à partir du 10.01.2020. Un contrôle de la TSH est à prévoir à 4 semaines. L'évolution favorable permet à Mr. Y un retour à domicile le 17.01.2020. Mr. Y, 67 ans, est admis aux soins intensifs pour une embolie pulmonaire centrale bilatérale le 05.01.2020. Le patient, connu pour une thrombose veineuse profonde en 2014 et une opération récente (cure de HI en 12/2019), présente une dyspnée d'effort en aggravation depuis 5 jours. Aux urgences, le patient est tachycarde et tachypnéique. Un CT-thoracique retrouve une embolie pulmonaire centrale bilatérale. La présence d'une dilatation du cœur droit et de troponines positives parle en faveur d'un risque intermédiaire haut. Une ETT le 06.01 confirme l'atteinte droite avec un D-shaping, une dilatation du VD et une PAPs estimée à 50 mmHg. Dans ce contexte, le patient est admis aux soins intensifs et une anticoagulation thérapeutique par héparine est débutée. Un avis est pris auprès des angiologues pour une éventuelle thrombolyse in situ. L'indication à cette intervention n'est pas retenue par nos collègues au vu du bon état clinique et de la stabilité hémodynamique du patient, mais reste une option possible en cas de péjoration dans un deuxième temps. Au vu de la bonne évolution du patient, la thérapie par héparine en iv continu est changée pour le Rivaroxaban (dose de charge pendant 3 semaines puis dose de maintien pour minimum 6 mois - versus traitement au long cours au vu de l'antécédent de TVP en 2014) et il est transféré à l'étage de médecine interne le 07.01.2020. Mr. Y est informé des risques et bénéfices liés à une intervention de TLIF L3-L4, décompression canalaire et AMO L4-L5. Il reçoit ce jour le consentement éclairé puis nous le renverrons après réflexion et signature. À savoir que le patient présente des douleurs bilatérales mais surtout à gauche. Mr. Y, 67 ans, s'est présenté aux urgences pour une dyspnée d'effort en aggravation depuis 5 jours. Un CT-thoracique met en évidence une embolie pulmonaire centrale bilatérale et le patient est admis aux soins intensifs dans ce contexte. Une échocardiographie transthoracique montre une répercussion cardiaque avec un D-shaping, une dilatation du VD et une PAPs estimée à 50 mmHg. Une anticoagulation thérapeutique par héparine est débutée aux soins intensifs avec un relais par Xarelto dès le 07.01.2020. L'évolution est rapidement favorable sur le plan de la dyspnée. L'ultrason des membres inférieurs montre une thrombose fémoro-poplitéo-jambière droite. Nous ne retrouvons pas de facteurs de risque à l'anamnèse. Un suivi au service d'angiologie est prévu le 23.03.2020 avec le Dr. X durant lequel la durée de l'anticoagulation va être définie. Nous vous proposons d'effectuer le screening des maladies oncologiques en ambulatoire selon les recommandations actuelles pour l'âge du patient. Le port de bas de compression de classe II est recommandé. Enfin, une échocardiographie de contrôle est prévue à 3 mois pour contrôler l'hypertension artérielle pulmonaire. Le patient rentre à domicile le 08.01.2020. Mr. Y est un patient de 36 ans, connu pour un psoriasis, qui se présente aux urgences le 07.01.2020 avec une tuméfaction inflammatoire inguinale droite apparue progressivement sur les derniers jours. Il bénéficie d'une incision et drainage de l'abcès au bloc opératoire. Nous poursuivons l'antibiothérapie pour un total de cinq jours. Les suites postopératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le 08.01.2020 avec un rinçage quotidien par le patient lui-même. Il sera revu en contrôle chez son médecin traitant. Le résultat microbiologique montre un E. coli souche productrice de bêta-lactamase à spectre étendu. Nous appelons le médecin traitant pour un changement de traitement antibiotique avec proposition de mettre la ciprofloxacine, au vu de la sensibilité à l'angiogramme. Mr. Y, âgé de 75 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à un déconditionnement physique global dans le cadre d'une hospitalisation pour une bactériémie à Proteus mirabilis et E. coli sur une cholécystite lithiasique aiguë compliquée le 08.11.2019. Pendant l'hospitalisation, le patient a présenté un empyème à droite avec épanchement pleural, une insuffisance rénale aiguë, un épisode de FA transitoire et un état confusionnel aigu dans le contexte septique. Les vaccins ne sont pas à jour (le patient refuse d'être vacciné). Pour rappel, le patient présente aussi des troubles de la marche et de l'équilibre sur un TCC avec hémorragie sous-arachnoïdienne et du lobe temporal droit en 2012 avec crise d'épilepsie secondaire en 2016. Sur le plan social, le patient, marié, réside au home de Siviriez depuis août 2019. Il est à la retraite. Avant l'hospitalisation, Mr. Y marchait avec une canne. De plus, le patient présente une consommation d'alcool à risque.A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. A l'auscultation, on retrouve un hippocratisme digital ainsi que des télangiectasies sur le visage, et des lésions pétéchiales au niveau des MI. Le patient porte un drainage biliaire à droite, la voie d'entrée est propre et sans signe d'infection. Au status, le patient est désorienté et non collaborant. Il refuse de se mobiliser et nécessite une importante stimulation. Il présente une dyspnée NYHA stade IV. Pas de toux ni d'expectoration objectivé. Sur le plan neurologique, le patient montre des troubles cognitifs, de la marche et de l'équilibre séquellaires au TCC et en péjoration probable dans le contexte de l'hospitalisation récente. On retrouve une augmentation du polygone de sustentation, une marche ataxique avec un signe de Romberg positif. La force musculaire aux MI est cotée à M3-M4 et la sensibilité est conservée. Possible incontinence des deux modes, non objectivable car le patient refuse de se mobiliser pour aller aux toilettes. Sur le plan respiratoire, une gazométrie artérielle à l'air ambiant a été réalisée dans le but de compléter un bilan pulmonaire avec des épreuves fonctionnelles. Le résultat montre une alcalose respiratoire (pH 7.51, paCO2 3.13 kPa) en lien avec une hyperventilation symptomatique au moment de la réalisation de la ponction. Malheureusement, le reste du bilan n'a pas pu être réalisé en raison de la sortie anticipée du patient. Pendant son séjour, Mr. Y relate une fatigue accrue associée à des vertiges rotatoires en position debout et lors de la mobilisation. Pour cette raison, un test de Schellong a été réalisé avec un résultat positif pour le diagnostic d'hypotension orthostatique avec une variation de plus de 20 mmHg de la TAS. Lors de son hospitalisation, le patient a présenté une absence totale d'adhérence aux différents traitements et programmes de réhabilitation. Il a refusé toute évaluation des soignants ainsi que la prise de médicaments. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec rollator. A noter un important risque de chute d'origine multifactorielle. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 24.12.2019. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y est admis en Stroke unit monitorée le 01.01.2020 en raison d'un AVC ischémique pariéto-occipital gauche subaigu. Connu pour un AVC ischémique sylvien gauche sur occlusion M3 de l'artère cérébrale moyenne à gauche en 2018, il présente la veille au soir de son admission une aphasie avant d'aller se coucher. L'aphasie persistant au réveil motive une consultation aux urgences le lendemain. Le CT cérébral montre un AVC pariéto-occipital G subaigu avec une occlusion complète de V4 à G et une sténose 50% de la carotide interne gauche. Il nous est alors adressé pour suite de prise en charge. Le NIHSS d'entrée est à 3 points. Sur avis neurologique, un traitement d'Aspirine est initié, en plus du Plavix habituel. La surveillance en Stroke unit monitorée est simple, sans troubles du rythme objectivés. A noter des inversions des ondes T aux dérivations inférieures à l'ECG d'entrée chez un patient asymptomatique. Le patient est transféré en Stroke unit non-monitorée le 02.01.2019. Le bilan étiologique sera à compléter, avec ETT +/- Holter et US-Doppler carotidien notamment. Mr. Y est hospitalisé le 23.01.2020 pour la pose d'un pacemaker dans le cadre d'une cardiomyopathie dilatative possiblement éthylique. L'opération se déroule bien et le patient peut regagner l'étage de médecine interne. Une radiographie de contrôle ne révèle pas de complication. Le traitement médicamenteux ne change pas durant l'hospitalisation. Mr. Y peut rentrer à domicile le 24.01.2020 en bon état général. Mr. Y présente un NSTEMI se manifestant par une dyspnée progressive sur trois semaines et des douleurs rétrosternales oppressives accompagnées de palpitations, avec un ECG montrant l'apparition d'inversion des ondes T en III. Le tableau est dû à une sténose subtotale de la troisième marginale, traitée d'emblée sans complication. Il y a des lésions sténosantes non critiques au niveau de l'IVA qui ne nécessitent pas de traitement. La surveillance post-interventionnelle aux soins intensifs se déroule sans complication et sans signe clinique d'insuffisance cardiaque malgré une fraction d'éjection légèrement abaissée (hypokinésie sévère de la paroi antéro-latérale en phase aiguë). Le traitement antihypertenseur par inhibiteurs de l'enzyme de conversion est débuté le 28.01.2020, tout comme les bétabloquants. Ce traitement reste à adapter selon les paramètres vitaux (bradycardie bien supportée). Une réhabilitation cardiovasculaire à Billens est souhaitée, nous prions le Dr. X d'organiser la suite en ambulatoire. En ce qui concerne son diabète de type II insulino-requérant, au vu d'une Hémoglobine glyquée à 8.4% et d'un profil glycémique élevé en fin de matinée, nous majorons la dose d'insuline Lantus de 20 à 24 unités le soir. Le bilan lipidique montre des LDL élevés, raison pour laquelle nous augmentons son traitement hypolipémiant en remplaçant la Pravastatine qu'il prenait à domicile par l'Atorvastatine. Un traitement par diurétiques (Torasémide) avait été débuté deux semaines avant son hospitalisation. Au vu de l'introduction des traitements antihypertenseurs et de l'absence d'œdème, nous le mettons en suspens dès le 28.01.2020. La réintroduction sera à réévaluer par la suite. Mr. Y consulte à la permanence en raison de douleur de l'épaule droite persistante depuis samedi suite à un choc lors d'un match de hockey sur glace. Un examen clinique ne permettant pas d'exclure une atteinte osseuse, nous effectuons un bilan radiologique. La radiographie ne montre pas de fracture. Nous diagnostiquons une contusion de l'épaule. Au vu de la possible composante d'impingement en raison notamment d'un job-test positif, le patient, en plus d'un traitement conservateur par AINS, Dafalgan, reçoit une prescription de physiothérapie. Il reçoit de plus une dispense de sport pour deux semaines. Il doit consulter un médecin si persistance de la symptomatologie ou péjoration des douleurs. Mr. Y, 40 ans, a été admis aux soins intensifs pour un hématome sous-dural bilatéral chronique post-traumatique et une collection épidurale dorsale probablement secondaire à une ponction lombaire. Ce jeune patient, en bonne santé habituelle, consulte pour des céphalées pulsatiles en augmentation depuis environ quatre semaines sans autre symptôme neurologique associé. Il mentionne avoir eu exactement les mêmes symptômes en novembre 2019, suite à une chute mécanique de sa hauteur avec traumatisme crânien. L'IRM cérébrale réalisée en ambulatoire le 05.11.2019 était sans particularité, de même que la ponction lombaire qui a été effectuée aux urgences le 09.11.2019 (xantochromie négative). Après une antalgie simple durant une semaine, les céphalées avaient totalement disparu. Le scanner cérébral du 18.01.2020 a mis en évidence un hématome sous-dural pariétal bilatéral avec engagement central. Une corticothérapie par Dexaméthasone a été débutée le 18.01.2020. Une IRM de contrôle le 20.01.2020 montre un état stable des hématomes, mais des signes pour une hypotension hydrostatique du LCR. Une IRM panmédullaire est organisée le 21.01.2020 avec une demande de complément d'examen le 22.01.2020, mettant en évidence une collection liquidienne épidurale prenant le contraste au niveau thoracique (DD : LCR, hématome), sans signe évident de brèche ou de collection compressive. Il n'est toutefois pas exclu qu'une brèche de la dure-mère suite à la ponction lombaire et une hypoliquorrhée soient à l'origine de ces lésions. L'indication à l'application d'un blood patch pourrait être considérée. La stratégie pour la suite de prise en charge est en cours de discussion avec le neurochirurgien, Dr. X.Durant la surveillance aux soins intensifs, Mr. Y reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Hormis les céphalées bien contrôlées avec une antalgie de 3ème palier, il ne présente pas d'autre trouble neurologique. Un globe vésical a été attribué à la prise d'opiacés et a nécessité la mise en place d'une sonde vésicale. Mr. Y a été transféré le 22.01.2020 dans le service de chirurgie. Mr. Y est un patient de 77 ans, hospitalisé pour un NSTEMI. Il présente, le 13.01.2020, des douleurs thoraciques et épigastriques de type oppressif apparues spontanément au repos. Il mentionne également une toux sèche depuis deux jours, avec dyspnée NYHA III. L'ECG montre un sus-décalage en V4-V5 et les troponines sont augmentées. La coronarographie confirme le syndrome coronarien aigu sur occlusion aiguë de l'IVA proximale comme corrélat pour le NSTEMI antérieur. L'IVA montre une sténose longue traitée par recanalisation (aspiration, ballon) et implantation de 3 stents actifs. La CX ostiale montre aussi une sténose à 90%, traitée par la pose d'un stent. Une échographie transthoracique montre une fraction d'éjection à 53% avec une hypokinésie de la paroi septale antérieure moyenne. Une double antiagrégation par Aspirine (à vie) et Efient (12 mois) est introduite, ainsi que le traitement de l'insuffisance cardiaque avec Metoprolol, IEC et Atorvastatine. Le taux de LDL cible est à < 1.4 mmol/l. Nous vous laissons le soin de revoir le patient à 1 mois, de suivre les tests hépatiques et le bilan lipidique, ainsi que de majorer, progressivement et selon tolérance, le traitement de l'insuffisance cardiaque. Mr. Y peut être transféré en bon état général le 16.01.2020 en réadaptation cardio-vasculaire à l'HFR Billens. Mr. Y, âgé de 21 ans et opéré le 11.01.2020 par le Dr. X pour une appendicite, consulte les urgences le 17.01.2020 en raison de douleurs abdominales depuis sa sortie du service de chirurgie le 12.01.2020. A l'admission aux urgences, le patient est normotendu, tachycarde à 100/min, subfébrile à 37.5°C et sature à 98% à l'air ambiant. A l'anamnèse, le patient nous signale des douleurs en fosse iliaque droite irradiant en sus-pubien, à 6/10, de type crampiforme, survenant après les repas et accompagnées d'hématochézie. Cliniquement, l'examen abdominal met en évidence une douleur en fosse iliaque droite avec défense. Le reste de l'examen clinique est normal. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 274 mg/l et une leucocytose à 14.9 G/l. Le scanner abdominal ne montre pas de collection, d'abcès ou de complication post-opératoire. Nous contactons le Dr. X qui ne retient pas une complication chirurgicale. Nous complétons le bilan par une coproculture, mettons en place une antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole et hospitalisons le patient dans le service de médecine interne pour suite de prise en charge. La coproculture revient positive pour Campylobacter jejuni. Nous retenons le diagnostic d'entérite à Campylobacter et relayons l'antibiothérapie par de l'Azithromycine pour une durée totale de 3 jours. À signaler que le patient a présenté un hématome du périnée suite aux diarrhées. Nous demandons l'avis du Dr. X qui préconise des soins avec eau oxygénée et compresses. Nous vous laissons le soin de poursuivre le suivi. Au vu d'une bonne évolution clinico-biologique, Mr. Y peut regagner son domicile le 21.01.2020. Nous vous laissons le soin d'organiser une colonoscopie à distance. Mr. Y, patient de 86 ans connu pour un carcinome à petites cellules de primaire inconnu, métastatique au niveau hépatique, ganglionnaire, avec adénopathie nécrotique en avant de la veine cave inférieure et osseux (iliaque et grand trochanter gauche, 9ème arc costal postérieur gauche, suspicion d'une métastase ostéolytique du massif articulaire G de C2 et lésions ostéocondensantes de D10 et D11) sur chimiothérapie palliative par Carboplatine AUC2, mise en place d'un Port-A-Cath, est adressé aux urgences le 23.12.2019 par son oncologue pour une baisse de l'état général avec des douleurs lobaires et iliaques, ne peut pas faire la chimio le 23.12.2019 pour hospitalisation pour baisse de l'état général et des douleurs de la colonne entière. A l'examen clinique, nous retrouvons un patient en état général diminué, cachectique, avec des douleurs au niveau de la colonne et les crêtes iliaques. Une radiographie de la colonne vertébrale entière montre une spondylarthrose étagée avec pincements discaux étagés et ostéophytose marginale étagée. La gestion de l'antalgie est assurée par Fentanyl et Dafalgan. Le patient présente également un état dépressif avec des angoisses concernant sa maladie de base avec également des troubles du sommeil. Un avis psychiatrique est demandé et préconise l'introduction d'Imovane pour les troubles de sommeil avec une prise en charge complexe aux soins palliatifs à la demande du patient. Dans le contexte de la maladie oncologique dépassée, le patient présente un état cachectique sans un projet de renutrition mais plutôt une alimentation plaisir. Vu sa demande et l'indication claire, Mr. Y est transféré aux soins palliatifs le 30.12.2019 pour la suite de la prise en charge, gestion de l'antalgie et accompagnement dans la maladie. Mr. Y, 63 ans, est hospitalisé en raison d'une cellulite du membre inférieur gauche. Le patient présente depuis 2 jours une clinique typique de cellulite du membre inférieur gauche, associée à un syndrome inflammatoire biologique. Un status urinaire revient négatif. Des hémocultures sont négatives. Nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline IV. Une amélioration clinique et biologique est observée, permettant un relais oral de l'antibiothérapie, pour une durée totale de 7 jours. Une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale s'améliore après hydratation. Une probable crise de goutte au poignet gauche montre une évolution favorable après traitement par Colchicine et antalgie. Mr. Y rentre à domicile le 03.01.2020. Mr. Y, 34 ans, est hospitalisé en raison de douleurs mal systématisées para-vertébrales thoraco-lombaires principalement D5-8 apparues brusquement en octobre 2019, associées à des céphalées atypiques en péjoration. Le bilan ambulatoire par IRM cérébrale et de la colonne totale ne met pas en évidence d'étiologie à la symptomatologie. La sérologie pour une borréliose revient douteuse, laissant suspecter un syndrome de Bannwarth. À noter un traitement de Doxycycline du 04.11 au 18.11.2019 sans effet. Nous complétons le bilan par une nouvelle sérologie pour la borréliose, un bilan de vasculite, un dosage du facteur rhumatoïde, un bilan vitaminique et une sérologie HIV, selon avis neurologique, qui reviennent dans la norme. La carence en acide folique est substituée. La sérologie pour la borréliose revient négative. À noter que la ponction lombaire revient dans la norme, sans pléocytose, en défaveur d'une neuroborréliose. Dans ce contexte, un trouble psychosomatique est suspecté. Une évaluation psychiatrique rapide est effectuée, ne pouvant exclure ce diagnostic. Un suivi ambulatoire est proposé, que le patient refuse. Nous vous proposons de réaborder cette possibilité avec lui lors du prochain rendez-vous. Les contacts ont été donnés au patient qui en rediscutera avec sa compagne. Un traitement de Lyrica est instauré, à visée antalgique, de même qu'un anxiolytique, avec bon effet. Nous vous laissons le soin de majorer le traitement en ambulatoire selon tolérance et bénéfices.Le patient rentre à domicile le 17.01.2020. Mr. Y consulte à la Permanence en raison d'une acutisation d'épicondylite latérale droite. Mr. Y avait bénéficié d'une injection de cortisone qui ne fait actuellement plus effet depuis 4 jours. Un traitement anti-inflammatoire auto-prescrit n'aide pas. Il souhaite avec insistance une injection de cortisone. Un rendez-vous est prévu à la Permanence le 17.01.2019, dans l'intervalle il reçoit une thérapie de Prednisone 50 mg 1x/j. pendant 5 jours. Le patient a été clairement informé sur les risques encourus à ne pas observer de période de repos. Il refuse tout arrêt de travail, probablement dû à une importante pression financière. Mr. Y, 75 ans, est admis aux soins intensifs pour une hypotension artérielle après implantation de prothèse totale de la hanche droite. Le patient est connu pour des troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle avec des douleurs à la hanche droite sur une coxarthrose bilatérale. Dans ce contexte, il bénéficie d'une implantation d'une prothèse totale de la hanche droite le 22.01.2020 qui se déroule sans complication. Une antibioprophylaxie par Cefuroxime est instaurée pour une durée de 24h. Au vu d'une hypotension artérielle persistante en post-opératoire, un soutien aminergique est nécessaire. À son arrivée aux soins intensifs, la noradrénaline est rapidement sevrée avec normalisation de la pression artérielle par la suite. Le patient est transféré le 22.01.2020 dans le service d'orthopédie. Mr. Y est un patient de 34 ans qui est hospitalisé pour prise en charge chirurgicale d'une appendicite aiguë par laparoscopie. En effet, il avait consulté pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis 36h avec un syndrome inflammatoire biologique et un scanner abdominal qui confirme le diagnostic. Les suites post-opératoires sont simples tant sur le plan clinique que biologique et permettent un retour à domicile du patient le 18.01.2020. Mr. Y est un patient de 41 ans qui bénéficie le 23.12 d'une résection oncologique sigmoïdienne dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication. Les suites postopératoires immédiates sont favorables, permettant un transfert à l'hôpital de Tavel le 25.12.2019. Mr. Y est un patient de 90 ans, qui consulte les urgences le 06.12.2019 accompagné de son fils suite à un accident de la voie publique. Mr. Y était au volant de sa voiture, suivi par son fils, quand il y a eu une collision frontale avec une autre voiture au niveau du côté conducteur. Mr. Y a eu une perte de connaissance avec une amnésie circonstancielle sans traumatisme crânien. À son arrivée aux urgences, Mr. Y se plaint de douleurs au niveau de la hanche gauche et présente des plaies au niveau de la main droite et du coude gauche. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité. Au niveau social, Mr. Y vit seul à domicile. À l'examen clinique, la palpation du rachis est indolore, la palpation du trochanter majeur gauche est douloureuse. Mr. Y ne présente pas de raccourcissement ni de rotation externe du membre inférieur gauche. Le reste de la palpation tête-pied du squelette est indolore. Au niveau internistique, nous retrouvons des crépitants bibasaux ainsi que des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux genoux. Le patient est tachypnéique à 33/min et présente une saturation à 79% à l'air ambiant, sans utilisation de la musculature accessoire ni de balancement thoraco-abdominal. Le reste de l'examen clinique par système est dans la norme (mis à part un strabisme divergent gauche connu). Une radiographie de la hanche et du fémur est effectuée, ne mettant pas de fracture en évidence. Une radiographie thoracique permet de poser le diagnostic de pneumonie basale droite avec une insuffisance respiratoire hypoxémique pour laquelle un traitement par Rocéphine 2g en intraveineux du 06.12.2019 au 09.12.2019 avec un relais par Co-Amoxicilline du 10.12.2019 au 14.12.2019 est introduit. Une oxygénothérapie est également proposée avec des valeurs cibles de saturation entre 88 et 92%. Au vu des NT pro-BNP élevées à 2883 nmol/L et de la clinique typique, nous retenons également le diagnostic de décompensation cardiaque à prédominance gauche dans le contexte infectieux et nous introduisons un traitement par Lasix en intraveineux de 60 mg aux urgences suivi par Lasix en intraveineux 20 mg 3x/jour du 07.12.2019 au 10.12.2019. Le Lasix est relayé par 30 mg de Torem per os et 5 mg de Métolazone, ce qui permet une bonne amélioration clinique. Au vu du manque de compliance du patient, la réhabilitation gériatrique aiguë initialement prévue est annulée. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche seul à l'aide d'un rollator est de 130 mètres et utilise le rollator pour les grandes distances. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est de 78/126 (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG n'est pas effectué. Le 23.12.2019, au vu d'une bonne évolution clinique, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place des soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour l'évaluation de la santé, 3x/semaine pour le contrôle des signes vitaux et 1x/jour pour les médicaments. Mr. Y se présente sur conseil de son oncologue traitant pour une baisse de l'état général avec un syndrome inflammatoire et une insuffisance rénale AKIN 3 en péjoration malgré un traitement de Tavanic en ambulatoire depuis le 19.12.2020 instauré empiriquement en absence de piste clinique. À son admission, il rapporte une douleur abdominale suspubienne, puis rapidement une oligurie. Au vu de l'insuffisance rénale, nous renonçons à un scanner dans un premier temps. Un ultrason abdominal exclut une obstruction post-rénale et une cholécystite. La fonction rénale s'améliore par la suite spontanément, restant toutefois légèrement pathologique et donc à contrôler à distance. Une suspicion d'infection urinaire motive un traitement par Ceftriaxone. L'évolution est initialement favorable. Mr. Y présente toutefois des états fébriles persistants durant 10 jours alors que tous les prélèvements microbiologiques restent stériles et un CT thoraco-abdomino-pelvien ne montre pas de foyer profond. Au vu d'une élévation du taux d'éosinophiles après introduction de la Ceftriaxone, celle-ci est stoppée. L'évolution est par la suite lentement favorable. Nous concluons donc à un probable foyer urinaire traité et compliqué d'une réaction éosinophilique à l'administration de Ceftriaxone. Une perturbation des électrolytes est mise en évidence et répond favorablement à une substitution orale. Nous mettons ces troubles dans le contexte d'inappétence de longue durée durant l'état fébrile. Une perturbation des tests hépatiques reste présente lors de la sortie avec un US abdominal difficilement interprétable au niveau du parenchyme hépatique le 20.12.2020. À noter toutefois l'absence de lésion focale, de dilatation des voies biliaires et de thrombose de la veine porte. Les sérologies reviennent négatives. Nous concluons donc à un foie de stase dans le contexte du sepsis et organisons un suivi biologique une semaine après la sortie du patient.Lors du scanner, un nodule surrénalien droit de 17 mm de grand axe est mis en évidence de façon fortuite. Un dosage des catécholamines urinaires est effectué le 29.12.2019 afin d'évaluer un potentiel nodule chaud bien que la clinique reste peu évocatrice. Mr. Y rentre à domicile le 03.01.2020 avec un contrôle clinique et biologique à la consultation ambulatoire des urgences en absence du médecin traitant le 06.01.2020. La suite de la prise en charge est à assurer par le médecin traitant par la suite. Mr. Y est un patient de 56 ans, qui se présente pour un premier épisode de colique néphrétique le 01.01.2020. L'évaluation met en évidence une urétérolithiase de 7x5x9 mm à la jonction pyélo-urétérale avec dilatation pyélocalicielle de 16 mm sans signe de complication. Au vu des douleurs importantes et de la taille et localisation de la lithiase, nous retenons l'indication interventionnelle. Le patient bénéficie de la mise en place d'une sonde double J le 02.01.2020 qui se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles permettant un retour à domicile le 03.01.2020. Nous laissons le soin au patient de prendre contact avec le secrétariat du Dr. X pour un rendez-vous de contrôle à son cabinet dans 10 jours. Mr. Y se présente à la permanence en raison de douleurs au genou d'apparition subite hier soir en montant les escaliers. Nous effectuons un examen clinique ciblé qui nous permet de diagnostiquer une probable tendinite du pes anserinus gauche. Nous proposons au patient une thérapie symptomatique sans immobilisation du genou la marche étant possible. Il reçoit un traitement de Brufen, Dafalgan et Ecofenac gel ainsi qu'un arrêt de travail de deux jours. Nous lui conseillons un arrêt de sport pour un minimum de deux semaines. Il est invité à reconsulter si les symptômes persistent malgré le repos et le traitement médicamenteux. Mr. Y, 61 ans, est hospitalisé pour une exacerbation aiguë de BPCO stade IV groupe D selon GOLD. Il se présente le 25.12.2019 pour une dyspnée NYHA IV et une toux non productive. Le bilan au service des urgences montre une insuffisance respiratoire hypoxémique non hypercapnique. L'auscultation pulmonaire met en évidence des râles crépitants sur la plage pulmonaire inférieure gauche et la radiographie thoracique met en évidence des possibles infiltrats pulmonaires à gauche. Les antigènes urinaires et la culture des expectorations sont négatifs. Les D-dimères et le Pro-BNP sont négatifs. Un traitement de Pipéracilline/Tazobactam IV est initié puis rapidement relayé par Co-Amoxicilline IV. Un traitement de Prednisone est mis en place pour 4 jours, ainsi qu'une intensification du traitement bronchodilatateur et une physiothérapie respiratoire. L'évolution est favorable et une réadaptation pulmonaire à Heiligenschwendi est planifiée. Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un bloc atrio-ventriculaire de haut grade dans le cadre d'une insuffisance rénale chronique acutisée. Il s'agit d'un patient de 83 ans, qui se présente aux urgences le 12.01 pour une dyspnée NYHA III en péjoration depuis 4 jours. Il rapporte par ailleurs des douleurs angineuses liées à l'effort ces derniers jours. Le bilan met en évidence une bradycardie à 45/min avec à l'ECG un rythme d'échappement jonctionnel à 45/min associé à une élévation des troponines et une insuffisance rénale acutisée. Le status clinique retrouve un patient compensé sur le plan cardiorespiratoire et une absence de pouls pédieux bilatérale. Aux soins intensifs, un traitement d'Isoprénaline est débuté qui peut être arrêté après 30 minutes suite à la reprise d'une activité sinusale. Le Metoprolol est mis en suspens à son entrée, ainsi que ses traitements néphrotoxiques. Nous retenons une bradycardie de type BAV complet sur accumulation médicamenteuse dans le cadre de l'insuffisance rénale chronique acutisée sans cause évidente de cette aggravation hormis une possible insuffisance chronotrope. Une origine ischémique devra être éliminée par coronarographie une fois la fonction rénale stabilisée et sous néphroprotection pour éviter une néphropathie au produit de contraste. Une pose de pacemaker est à considérer en absence d'origine ischémique ou en cas de récidive d'une bradycardie symptomatique. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG conservée, sans troubles de la cinétique, mais une valvulopathie aortique et mitrale modérée. Sur avis cardiologique, une demande pour un ultrason des axes iléo-fémorales et des artères rénales est en cours. Une coronarographie est à discuter après amélioration de la fonction rénale. Le bilan biologique thyroïdien retrouve une hypothyroïdie subclinique sous traitement de Néomercazole. Un avis endocrinologique est en cours pour l'évaluation d'une adaptation de traitement. Au vu de l'absence de récidive de bradycardie sur 24 heures avec une amélioration de la fonction rénale, Mr. Y est transféré en médecine interne le 14.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé pour un bloc atrio-ventriculaire de haut grade d'origine ischémique probable. Il s'agit d'un patient de 83 ans, qui se présente aux urgences le 12.01.2020 pour une dyspnée NYHA III en péjoration depuis 4 jours. Il rapporte par ailleurs des douleurs angineuses liées à l'effort. Le bilan met en évidence un BAV du 3ème degré avec bradycardie à 45/min, associé à une élévation des troponines et une insuffisance rénale chronique acutisée. Le status clinique retrouve un patient compensé sur le plan cardiorespiratoire. Aux soins intensifs, un traitement temporaire d'Isoprénaline permet la reprise d'une activité sinusale. Le Metoprolol est mis en suspens. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG conservée, sans troubles de la cinétique, mais une valvulopathie aortique et mitrale modérée. L'insuffisance rénale est mise sur le compte d'un bas débit et d'une possible nécrose tubulaire aiguë sur la bradycardie. Elle s'améliore après hydratation et optimisation hémodynamique. Un ultrason exclut une sténose des artères rénales. La fonction rénale s'améliore après hydratation et permet la réalisation d'une coronarographie, qui montre une maladie coronarienne bi-tronculaire sur réseau gauche dominant avec sténose subocclusive de la CX moyenne et subocclusive de l'IVA ostiale et proximale avec sténose intermédiaire de l'IVA moyenne. Deux stents sont placés au niveau de la CX et de l'IVA proximale. L'aspirine est poursuivie et un traitement de Ticagrelor est mis en place pour une durée de 12 mois. Pour le suivi, nous préconisons un contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires. Une angioplastie de contrôle est à organiser dans 8 semaines, ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Nous recommandons la reprise progressive des traitements antihypertenseurs et bêtabloquants. Sur le point endocrinologique, le bilan biologique thyroïdien retrouve une hypothyroïdie subclinique sous traitement de Néomercazole. Selon un avis endocrinologique, le traitement est diminué. Un suivi de la TSH (cible entre 3-5 mU/l) est à effectuer à distance. L'évolution favorable permet le transfert de Mr. Y en réhabilitation cardiovasculaire à Billens le 29.01.2020.Mr. Y est un patient de 64 ans connu pour un carcinome épidermoïde primaire pulmonaire traité par radio-chimiothérapie concomitante du 16.07.2019 au 24.09.2019. Il est amené aux urgences de l'HFR en ambulance pour une dyspnée en aggravation avec désaturation à 75% et un état fébrile à 40.5°. La radiographie thoracique montre un foyer pulmonaire et les antigènes urinaires reviennent positifs pour le pneumocoque. Le frottis pour la grippe est négatif. Un traitement par bronchodilatateurs, Solumedrol et antibiothérapie est débuté aux urgences et le patient est transféré en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Le diagnostic de pneumonie à pneumocoques avec probable décompensation BPCO secondaire est retenu, le traitement par Rocéphine est poursuivi pour une durée totale de 7 jours. Les hémocultures prélevées aux urgences reviennent négatives et l'évolution est favorable. Les aérosols peuvent être sevrés progressivement. Une réadaptation respiratoire à Billens est organisée compte tenu du contexte pulmonaire global, et nous proposons à nos collègues de Billens d'effectuer une gazométrie à l'air ambiant pour évaluer la nécessité d'une oxygénothérapie au long cours. Mr. Y est toujours sous Prednisone dans les suites d'une probable pneumonie post-radique en novembre 2019. Une prophylaxie par Bactrim est introduite dès le 14.01.2020 et nous débutons un schéma dégressif de Prednisone durant l'hospitalisation, qui sera à poursuivre en ambulatoire à raison de 5 mg/5 jours. Un rendez-vous de suivi en oncologie avec le Dr. X est organisé le 27.01.2020 et nous lui proposons d'évaluer l'administration d'un vaccin pour le pneumocoque et pour la grippe. Le Bactrim est à stopper dès le 24.01.2020. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge aiguë par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement pour surveillance. Mr. Y, âgé de 72 ans, est hospitalisé pour une pneumonie du lobe inférieur droit dans le contexte d'une BPCO et d'une éventuelle broncho-aspiration. Le patient est adressé du Home des Martinets pour des diarrhées depuis 48 heures avec une péjoration de toux chronique et un état fébrile à 39 °C. Il présente une tachypnée avec une désaturation à l'air ambiant, se corrigeant sous oxygénothérapie et avec une hypotension. L'hypotension se corrige rapidement après administration d'une hydratation intraveineuse. Une radiographie de thorax identifie un foyer basal droit avec un syndrome inflammatoire biologique. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est remplacée par de la Co-Amoxicilline sur suspicion de broncho-aspiration dans le contexte des troubles cognitifs sévères pour une durée totale de 6 jours. Il présente le 06.01.2020 deux épisodes d'agitation avec sudation profuse et encombrement des voies aériennes supérieures d'origine indéterminée et spontanément résolutif avec un examen clinique et des constantes dans la norme et aucun changement sur l'ECG. Une aspiration est réalisée au vu du léger encombrement salivaire dans le fond de la gorge. L'évolution clinico-biologique est favorable permettant un retour au Martinet le 07.01.2020. Mr. Y, âgé de 73 ans, est hospitalisé pour pneumonie basale gauche sur probable broncho-aspiration. Le patient est adressé du Home des Martinets en raison d'une tachypnée et désaturation à 78 % à l'air ambiant. Une radiographie thorax montre un foyer nouveau basal gauche. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est débutée, couplée à un traitement de Clarithromycine jusqu'à négativisation des antigènes urinaires. La corticothérapie est de même majorée de manière transitoire. L'évolution clinico-biologique est favorable, permettant le sevrage de l'oxygénothérapie et un relais oral de l'antibiothérapie pour une durée totale de 7 jours. Enfin, au vu de troubles de la déglutition avérés, un régime mixé lisse est indiqué afin de prévenir toute récidive de broncho-aspiration. Mr. Y rentre au Home des Martinets le 24.01.2020. Mr. Y consulte les urgences le 31.12.2019 en raison d'une dyspnée, toux sèche et rhinorrhée claire, sans état fébrile, accompagnées d'une hypoventilation diffuse avec des sibilances et un expirium prolongé à l'auscultation, une hypoxémie à la gazométrie, sans foyer clair objectivé à la radiographie thoracique. Tenant compte de ses morbidités susmentionnées, nous effectuons un CT scan thoracique qui permet d'exclure une embolie pulmonaire sans mise en évidence de signe d'infection. Nous retenons le diagnostic d'exacerbation de BPCO sur probable bronchite virale raison pour laquelle des aérosols de Ventolin et Atrovent ainsi qu'une corticothérapie par Prednisone sont introduits avec une évolution favorable permettant par la suite le sevrage des aérosols. Suite à l'infection virale et à l'exacerbation de la BPCO, le patient présente aussi une décompensation cardiaque nécessitant un traitement transitoire de Furosemid iv avec relais par du Torem per os. L'INR supra-thérapeutique a pu être corrigé et maintenu dans la zone thérapeutique. Nous recommandons un contrôle à votre consultation pour contrôle de l'INR et adaptation du traitement. Mr. Y peut regagner son domicile le 08.01.2020. Mr. Y, 86 ans, connu pour une cardiopathie ischémique, est hospitalisé en raison d'une décompensation cardiaque, probablement précipitée par une infection virale des voies aériennes supérieures. Le patient présente une clinique typique de décompensation cardiaque avec dyspnée en péjoration jusqu'à une NYHA à III et une orthopnée, symptomatologie d'installation progressive sur 2 semaines avec une corrélation biologique et radiologique. L'épisode est probablement en lien avec une virose respiratoire concomitante. Le traitement diurétique est majoré et nous constatons une évolution rapidement favorable. Le poids cible de 91.5 kg n'est pas encore atteint à la sortie, raison pour laquelle nous poursuivons le traitement par Torasemide à 20 mg/jour et vous laissons le soin d'adapter les doses en fonction de l'évolution clinique. L'Amlodipine est mise en suspens et le profil tensionnel reste correct. Le patient décrit également des douleurs thoraciques atypiques depuis plusieurs semaines (tiraillement de durée < 1 minute, sans facteur déclencheur). L'ECG montre un bloc de branche gauche connu et il n'y a pas de cinétique de troponines. Durant l'hospitalisation, les symptômes ne se manifestent pas. Mr. Y rentre à domicile le 08.01.2020 avec une reprise des soins à domicile. Mr. Y souffre de tendinite des tendons d'Achille des deux côtés sur des exostoses de Haglund. Je propose dans un premier temps un traitement conservateur, le patient doit faire de la physiothérapie avec des exercices d'étirement, application d'ondes de choc. Je lui prescris également des anti-inflammatoires sous forme d'Ecofénac 75 mg Retard 2 cp/j, combinés d'une protection gastrique par Pantozole 40 mg 1 cp/j. Je reverrai le patient dans deux mois pour une réévaluation clinique. En cas de persistance des douleurs sans évolution positive avec la physiothérapie, on pourrait éventuellement envisager une infiltration loco-dolenti par cortisone. Mr. Y est hospitalisé pour une surinfection de pharyngo-laryngite virale probable. Suite à un examen par nos collègues du service ORL, nous débutons un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline. L'évolution est rapidement favorable. Durant l'hospitalisation, le patient présente une tachycardie paroxystique de type AVNRT probable. Ce patient est connu pour cela. L'évolution est rapidement favorable avec cardioversion spontanée.Au vu de l'évolution, Mr. Y rentre à domicile le 17.01.2020 avec mise en place d'un contrôle de santé 1x/semaine et suivi ambulatoire prévu en ORL. Mr. Y est un patient de 56 ans, qui se présente le 09.01.2019 aux urgences en raison de douleur abdominale. Le bilan met en évidence une cholécystolithiase symptomatique. L'évolution est favorable avec une amélioration de la perturbation des tests hépatiques parlant pour un passage de calcul. Le patient bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 14.01.2019 qui se déroule sans particularité. Au vu d'une bonne évolution post-opératoire, un retour à domicile est effectué le 15.01.2020. Mr. Y, patient de 88 ans, se présente au service des urgences de Fribourg le 25.01.2020 avec de fortes douleurs abdominales de type crampiforme, un transit diminué ainsi que des nausées et vomissement fécaloïdes. Un CT-abdominal est effectué, mettant en évidence une récidive d'iléus avec distension des anses grêles. Une sonde nasogastrique est mise en place le 25.01.2020, avec une rapide amélioration de la symptomatique et une ablation de la sonde et une reprise alimentaire le 28.01.2020. Au vu des états d'iléus récidivants depuis l'intervention en 2008 dans le cadre d'un adénocarcinome duodénal et du carcinome intra-épithélial au niveau du côlon droit, nous suggérons un rendez-vous à la consultation des Chefs de clinique, le 13.02.2020, afin de discuter d'une éventuelle intervention avec adhésiolyse. Mr. Y, âgé de 20 ans, consulte les urgences en raison d'une péjoration de la dyspnée et purulence des expectorations, avec symptômes de sevrage à l'héroïne. Le patient est hospitalisé pour surveillance clinico-biologique, sur consommation nouvelle depuis un mois et demi (0.5 - 1 g/j). Sur le plan addictologique, le sevrage à l'héroïne apparaît au premier plan. Une substitution unique en Méthadone est administrée aux urgences, avec traitement par Quétiapine et Myorelaxant en cours de séjour. Après avis psychiatrique, une hospitalisation à Marsens en mode volontaire est organisée, avec projet de mise en place de suivi addictologique en ambulatoire. Une bronchite virale est retenue chez un patient connu pour une mucoviscidose. Les cultures d'expectorations révèlent une flore mixte et les hémocultures n'identifient pas de germe à 48 heures, avec absence de foyer à la radiographie de thorax, ne motivant pas d'introduction d'antibiothérapie. Nous restons à disposition pour toute question d'ordre somatique. Mr. Y est hospitalisé pour une surinfection pulmonaire sur mucoviscidose connue. Il présente une péjoration des expectorations avec un épisode hémoptoïque sans état fébrile ni autre symptôme. L'examen clinique est non contributif. Le bilan laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. La radiographie thoracique ne met pas en évidence de foyer franc. Nous concluons à une probable surinfection virale et ne débutons pas d'antibiothérapie. Un traitement par inhalation et bronchodilatateur est administré ainsi que de la physiothérapie respiratoire et antalgie pour les douleurs thoraciques consécutives à la toux. L'évolution est progressivement favorable, ce qui permet un retour à domicile et la poursuite de la prise en charge ambulatoire le 30.01.2020. Mr. Y, âgé de 87 ans, est hospitalisé pour une pneumonie communautaire sur une bronchite asthmatiforme chronique. Le patient se présente pour une dyspnée et toux, sans changement des expectorations, mais avec état fébrile, dans un contexte de bronchite asthmatiforme chronique et antibiothérapie récente pour une infection pulmonaire. Un CT thoracique au service des urgences montre un épaississement de la trame bronchique en base droite, sans foyer franc. Il est hospitalisé pour une bronchite, traitée par corticothérapie, bronchodilatateurs et physiothérapie respiratoire. L'évolution biologique montre cependant une progression du syndrome inflammatoire, motivant une antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour une durée totale de 6 jours. Les cultures des expectorations reviennent positives pour un Pseudomonas aeruginosa résistant aux carbapénèmes. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable sous Co-Amoxicilline avec également un sevrage de l'oxygénothérapie, nous n'adaptons pas notre antibiothérapie et retenons plutôt une colonisation de l'arbre bronchique par un Pseudomonas aeruginosa. Si le patient devait présenter une nouvelle décompensation respiratoire, ces résultats microbiologiques devraient être pris en compte dans le choix de l'antibiothérapie. Mr. Y utilise une chambre d'inhalation pour ses traitements bronchodilatateurs, un nouvel enseignement est réalisé pour l'usage de cette chambre. De plus, le Pulmicort est arrêté en raison d'un traitement optimal par Vannair et Ellipta. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile avec la poursuite des soins à domicile le 07.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour surveillance post-revascularisation endovasculaire du MSG pour ischémie subaiguë le 01.01.2020. Le patient consulte le 01.01.2020 aux urgences de Riaz en raison d'apparition subite d'une gêne avec fourmillements et hypoesthésie dans la main gauche vers 02h00 du matin, puis douleurs dans l'avant-bras et la main. L'Angio-CT du membre supérieur gauche montre une occlusion de l'artère brachiale sur 4.5 cm. Après avis de la chirurgie vasculaire, il est transféré à l'HFR, où une recanalisation partielle est effectuée en salle de radiologie interventionnelle, avec opacification d'une bonne collatérale au niveau brachial à l'angiographie de contrôle (Dr. X). A l'admission aux soins intensifs, le patient n'a plus d'hypoesthésie, ni de douleurs, ni de fourmillements, avec un gradient thermique limité au niveau des doigts. Un traitement anticoagulant par Liquemine iv est commencé, avec une cible thérapeutique d'antiXa entre 0.4-0.6. Le bilan étiologique reste à faire, une échographie cardiaque est demandée. Vu la bonne évolution clinique, le patient est transféré en chirurgie le 01.01.2020. Mr. Y, âgé de 87 ans, est hospitalisé pour un AVC ischémique aigu sous-cortical profond sylvien gauche dans un contexte d'anticoagulation thérapeutique. Le patient est conduit aux urgences le 04.12.2019 en raison de troubles de la parole avec parésie du membre supérieur droit et chute avec traumatisme crânien à domicile. Aux urgences, une désorientation, une dysarthrie, une chute du membre supérieur et inférieur droit sont retrouvés avec un NIHSS estimé à 5 points. L'INR est supra-thérapeutique à 3.3. Le CT cérébral initial montre un doute sur une éventuelle dé-différenciation de la substance grise - blanche du thalamus gauche, une sténose significative du départ de l'artère vertébrale droite et de multiples sténoses significatives des artères cérébrales, avec apparition par la suite d'une hypodensité de 20 mm au niveau de la corona radiata gauche compatible avec une lésion ischémique récente. Le patient bénéficie d'une surveillance de 24h en unité monitorée neurologique, marquée par une péjoration clinique sur augmentation de l'hémisyndrome moteur droit avec NIHSS estimé à 9 points. Un CT cérébral natif ne montre pas de transformation hémorragique ni de nouvelle anomalie. Deux épisodes symptomatiques de bradycardie à 28/min, avec bloc sino-auriculaires et pauses sinusales de 3 secondes sont même objectivés, motivant la pose d'un pacemaker VVI. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique met en évidence une cardiomyopathie hypertrophique et une légère dilatation de l'oreillette gauche, avec une cause cardio-embolique non formellement exclue. Une étiologie artério-artérielle est cependant suspectée au vu des multiples sténoses artérielles intracrâniennes et en regard de l'artère vertébrale droite.Sur le plan médicamenteux, une anticoagulation prophylactique est reprise à 48 heures et thérapeutique par Clexane à 5 jours, avec majoration du traitement hypolipémiant sur origine athéromateuse suspectée. Durant le séjour en Stroke Unit, l'état clinique se complique de troubles de l'état de conscience fluctuants, finalement attribués à une pneumonie sur broncho-aspiration dans un contexte de dysphagie sévère. Sur infection urinaire initialement non exclue, une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée, remplacée par de la Pipéracilline-Tazobactam sur péjoration clinique respiratoire et biologique. Un CT thoraco-abdominal ne montre ni de foyer ni d'embolie pulmonaire. L'évolution clinique est défavorable, motivant un transfert en médecine interne le 10.12.2019 pour suite de prise en charge. Le séjour en médecine interne est marqué par des états fébriles récidivants, malgré l'antibiothérapie, avec troubles de l'état de conscience fluctuants et des déficits neurologiques post-ischémiques non régressifs. Un scanner cérébral se révèle superposable et un foyer épileptogène est exclu à l'EEG, avec signes d'encéphalopathie aspécifique. Au vu d'une évolution clinique défavorable et des multiples complications, après discussion avec la famille, il est décidé d'un passage en soins de confort dès le 01.01.2020. Mr. Y décède le 16.01.2020 à 5h00. Mr. Y est hospitalisé pour un 2ème cycle de chimiothérapie TIP pour une tumeur germinale testiculaire droite métastatique. À l'admission, le patient présente une fatigue, le reste de l'examen clinique est sans particularité. La chimiothérapie se complique par des douleurs abdominales avec diarrhées importantes et vomissements, ainsi qu'un état fébrile lors du passage en agranulocytose. Il nécessite l'administration d'antibiotiques, avec lesquels l'évolution clinico-biologique est favorable, avec disparition à la sortie des symptômes. Les tests du clostridium difficile sont négatifs. Mr. Y rentre à domicile le 24.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance post-opératoire d'une thrombectomie de l'artère fémorale gauche avec fasciotomie préventive sur ischémie aiguë du membre inférieur gauche. Le patient de 89 ans, hospitalisé à Riaz depuis le 31.12.2019 pour une décompensation cardiaque à prédominance gauche, est transféré le 03.01.2020 en raison d'une ischémie aiguë du membre inférieur gauche. Une occlusion de l'artère iliaque externe jusqu'à la fémorale est retrouvée. Sur avis angiologique (Dr. X), le patient est transféré à Fribourg pour la suite de la prise en charge. Le patient bénéficie d'une thrombectomie de l'artère fémorale superficielle et profonde avec fasciotomie préventive. L'évolution est favorable par la suite, les pouls périphériques du membre inférieur gauche sont bien perceptibles. On note peu de saignement au niveau de la fasciotomie. Le suivi des CK et de la fonction rénale est rassurant. Chez ce patient porteur d'une valve aortique biologique sous Sintrom, nous mettons en suspens son traitement anticoagulant avec un relais par Liquémine iv avec un anti-Xa cible entre 0.2 et 0.3. Au vu de la stabilité clinique, le patient est transféré en service de chirurgie pour suite de soins. Mr. Y est un patient de 50 ans, connu pour des antécédents susmentionnés, qui bénéficie le 06.01.2020 d'une hémicolectomie droite avec résection segmentaire grêle, sigmoïdectomie et anastomose colo-rectale. L'opération se déroule sans complication. En raison d'une vasoplégie post-opératoire prolongée et d'un dysfonctionnement de l'anesthésie péridurale, le patient est transféré aux soins intensifs pour gestion d'antalgie et mise en place d'un nouveau cathéter, et peut être transféré au service de chirurgie le 09.01.2020 suite à une évolution post-opératoire favorable. Une réalimentation précoce est bien tolérée, la reprise du transit est marquée par un transit très rapide avec des diarrhées importantes associées à des douleurs anales difficilement contrôlables malgré une antalgie systémique, un traitement topique et des médicaments ralentissant le transit, menant à un examen proctologique sous narcose le 23.01.2020 où une fissure anale aiguë à 6h en position gynécologique est visualisée et traitée par Rectogesic et Ialugen crème. L'évolution est par la suite favorable avec une antalgie bien contrôlée par patch de Fentanyl, permettant un retour à domicile le 28.01.2020. Sur le plan oncologique, après une discussion au colloque multidisciplinaire, nous retenons l'indication de continuer la chimiothérapie. Le patient sera convoqué par nos collègues de l'oncologie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 67 ans, est hospitalisé suite à une chute à domicile, sans notion de malaise, avec traumatisme crânien sans perte de connaissance le 18.12.2019. Il nous est adressé en ambulance après signalement de sa compagne. Il a présenté plusieurs chutes depuis sa dernière hospitalisation de fin novembre 2019 à l'HFR Riaz, où il était traité pour une dermo-hypodermite du membre inférieur gauche. Nous observons des ulcères aux membres inférieurs sur une artériopathie oblitérante des membres inférieurs. Après bilan angiologique, une angioplastie percutanée avec mise en place de 2 stents iliaques à droite et une angioplastie iliaque à gauche est réalisée. Le bilan angiologique post-revascularisation du 06.01.2020 montre une bonne évolution. Des soins de plaies quotidiens avec des drainages lymphatiques sont effectués et permettent une amélioration de la situation générale sans guérison complète. Une prise en charge ambulatoire avec des suivis par les stomatothérapeutes est organisée pour la sortie. Du point de vue dermatologique, le patient présente des lésions cutanées prurigineuses, la temporalité est compatible avec une origine médicamenteuse probablement sur le Plavix, introduit en fin novembre 2019 à l'HFR Riaz. Une biopsie cutanée permet le diagnostic de vasculite leucoplasique des petits vaisseaux avec des dépôts de IgG et C3 dans la paroi des vaisseaux. Sur avis dermatologique, nous débutons une corticothérapie systémique et topique et stoppons le Plavix. La recherche de maladie inflammatoire se révèle négative. Nous remarquons une bonne évolution clinique sous thérapie corticoïde et arrêt du Plavix, le traitement est prescrit avec un schéma dégressif dès le 02.01.2020. Un suivi en dermatologie est à prévoir en cas de mauvaise évolution. Du point de vue respiratoire, nous suspectons une bronchopneumopathie chronique obstructive, étant donné une hypoxémie chronique, un emphysème pulmonaire et un tabagisme actif. Malgré une hypoxémie à 88 % à air ambiant, le patient reste eupnéique. Nous débutons un traitement par Vannair, qui sera changé par de l'Ultibro, et effectuons des fonctions pulmonaires qui montrent une diminution du volume expiratoire maximal à 29 %, le rapport définitif ne nous est pas parvenu au moment de la sortie du patient. Un suivi ambulatoire par nos pneumologues est organisé. Dans le cadre d'un souffle aortique, nous effectuons une échocardiographie transthoracique qui montre une sténose aortique sévère nécessitant un remplacement dès que possible. Le bilan pré-TAVI est complété par un orthopantomogramme ainsi qu'une coronarographie qui montre des artères coronaires saines. Le patient sera convoqué par nos cardiologues pour discuter du remplacement valvulaire, le bilan est à compléter en ambulatoire par un CT aortique. Concernant la chute à domicile ayant motivé l'hospitalisation, le bilan radiologique écarte une hémorragie ou fracture cérébrale. Toutefois, une lésion cunéiforme L2 est visualisée à la radiographie du rachis lombaire, pouvant être compatible avec une fracture ancienne. Nous maintenons une antalgie adéquate durant l'hospitalisation, stoppons la thérapie par Lyrica pouvant aggraver les troubles de l'équilibre chronique et instaurons des séances de physiothérapie.Dans le cadre du bilan hormonal, nous mettons en évidence une hypothyroïdie nouvelle (la dernière TSH chez le médecin traitant était à 6.83 mU/I). La recherche d'auto-anticorps se révèle négative. Nous supposons que cette hypothyroïdie est due aux injections répétées de produit de contraste. Une nouvelle mesure des valeurs de TSH et T4 libre est indiquée à une distance de 4-6 semaines après la dernière injection d'iode. Étant donné que le patient doit subir un CT thoracique pour évaluer l'anévrisme aortique et compléter le bilan pré-TAVI, nous proposons au médecin traitant de contrôler les valeurs thyroïdiennes à distance du scanner. Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état général le 12.01.2020. Mr. Y, patient de 89 ans, est transféré dans le service de médecine depuis la chirurgie vasculaire le 16.01.2020 dans un contexte d'insuffisance rénale aiguë et d'hypernatrémie. Le patient est hospitalisé initialement à l'HFR Riaz dans les suites d'une décompensation cardiaque, puis transféré en service des urgences à l'HFR Fribourg en raison d'une ischémie aiguë du membre inférieur gauche. Il est pris en charge par les collègues de chirurgie vasculaire avec une thrombectomie le 03.01.2020, puis séjourne au service des soins intensifs du 03.01.2020 au 05.01.2020, avant d'être transféré à l'étage de médecine. Dans les suites opératoires, le patient développe des troubles de la déglutition, entraînant une dénutrition et une déshydratation sévères. L'évolution est défavorable au cours du séjour avec survenue d'un épisode de broncho-aspiration menant à des troubles de l'état de conscience. Des soins de confort sont prodigués en accord avec l'entourage du patient. Mr. Y décède dans la journée du 18.01.2020, entouré par sa famille. Mr. Y, 50 ans, est admis aux soins intensifs pour gestion d'antalgie en post-opératoire d'une chirurgie abdominale pour récidive oncologique sous forme de carcinose péritonéale le 07.01.2020. Ce patient présente une rechute oncologique avec carcinose péritonéale, traitée initialement par chimiothérapie palliative, puis opérée avec laparotomie exploratrice, adhésiolyse extensive, urétérolyse droite, hémicolectomie droite, résection grêle et sigmoïdectomie en bloc avec anastomose colo-rectale L-T manuelle en 2 plans le 06.01.2020. En raison d'une vasoplégie post-opératoire prolongée et d'un dysfonctionnement de l'anesthésie péridurale, le patient est transféré aux soins intensifs pour gestion d'antalgie et mise en place d'un nouveau cathéter. Le soutien vasopresseur de noradrénaline a pu être sevré rapidement. Une antalgie multimodale a été nécessaire transitoirement par l'association d'hydromorphone, kétamine, midazolam et lidocaïne iv du 07.01. au 09.01.2020. Le cathéter péridural n'a pas pu être changé immédiatement en raison d'une coagulopathie modérée avec INR à 1.4 secondaire à une carence en vitamine K dans le contexte de malnutrition. De la vitamine K a été administrée. Un nouveau cathéter péridural a pu être posé le 09.01.2020, permettant une meilleure antalgie. Des troubles électrolytiques mixtes, avec hypokaliémie, hypomagnésiémie sévère et hypocalcémie, sont d'origine mixte (manque d'apports, iléus, pertes rénales sur chimiothérapie ?). L'évolution est favorable avec une substitution iv et per os. Les électrolytes devront être contrôlés quotidiennement face au risque de syndrome de renutrition. Une alimentation orale progressive de stade I est commencée dès le 09.01.2020 avec bonne tolérance. Une substitution de thiamine est aussi administrée. Le patient a été transféré le 09.02.2020 dans le service de chirurgie. Mr. Y, 89 ans, connu pour une substitution de valve mécanique il y a 20 ans, anticoagulé par Sintrom, est amené aux urgences le 31.12.2019. Il présente depuis 2 mois une dyspnée en péjoration progressive avec apparition il y a 4 jours d'œdèmes des membres inférieurs. À son arrivée, le patient est dans un état général légèrement diminué avec une tachypnée à 20/min, saturant à 87 % à l'air ambiant. À l'auscultation pulmonaire, nous remarquons une hypoventilation basale droite et des râles crépitants bilatéraux. Au status cardiovasculaire, nous notons de légers œdèmes des membres inférieurs. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie. La radiographie de thorax met en évidence des signes de surcharge et un épanchement droit. À noter également de NT-proBNP à plus de 7000 ng/l. Nous introduisons un traitement par Lasix 40 mg et le patient est hospitalisé en médecine. Sur le plan de la décompensation cardiaque, le patient évolue rapidement de façon favorable. Le matin du 03.12.2020, le patient chute dans le contexte de douleurs de la jambe gauche apparues de manière aiguë. Cliniquement, nous observons les signes d'hypoperfusion, l'absence du pouls pédieux et poplité avec absence de mobilité au niveau des releveurs du pied gauche. Sur avis angiologique, Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg pour évaluation et intervention en urgence. Mr. Y, patient de 35 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisé pour une pneumonie basale gauche. Le patient présente depuis la veille des myalgies généralisées avec une asthénie, des frissons et une dyspnée. Nous diagnostiquons une pneumonie basale gauche à légionnelles. Nous introduisons une antibiothérapie d'abord empirique puis ciblée avec levofloxacine pour une durée de 10 jours, le patient bénéficie aussi de physiothérapie respiratoire. À l'anamnèse, on retrouve comme facteur d'exposition environnementale un voyage en avion les 21 et 28.12.2019 et un séjour à Nice dans un appartement avec présence d'une ventilation au-dessus du lit. Les suivis cliniques et biologiques montrent une nette amélioration le long de l'hospitalisation. Un rendez-vous de contrôle clinique chez le médecin traitant est organisé pour le 17.01.2020. Un retour à domicile est agencé pour le 14.01.2020. Mr. Y est un patient de 71 ans connu pour les antécédents susmentionnés, qui bénéficie d'une mise à plat d'un anévrisme de l'aorte abdominale par tube droit le 20.01.2020. Il est hospitalisé en post-opératoire aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique. L'antalgie est assurée initialement par un cathéter péridural avec un effet insatisfaisant. Une PCA est ainsi mise en place. À J1 post-opératoire, le patient présente un épisode de désaturation sur atélectasie et épanchements pleuraux motivant la mise en place d'une VNI et Lasix. L'évolution est par la suite favorable permettant un retour à J2 à l'étage. Sur le plan vasculaire, les suites sont favorables avec des pouls palpés aux niveaux pédieux et tibial postérieur des deux côtés, ainsi que des plaies clames. Mr. Y rentre à domicile le 28.01.2020 avec un contrôle chez le Dr. X dans six semaines. Nous mettons en place un traitement antiplaquettaire à continuer à vie. Mr. Y est un patient de 88 ans, que vous nous avez adressé à cause d'une diminution du flux urinaire avec une suspicion de rétention urinaire, avec un état fébrile. Pour rappel, Mr. Y est connu pour un cancer prostatique non investigué (selon ses désirs) avec une sténose urétérale nécessitant un cystofix. Sur le plan social, Mr. Y vit à l'EMS de la Glâne à Billens. Au status aux urgences, nous retrouvons sur le plan cardiaque un souffle holosystolique à 3/6 avec maximum au foyer mitral, ainsi que des crépitants pulmonaires en base droite. Sur le plan abdominal, l'abdomen est souple mais sensible à la palpation de la zone suprapubienne. L'entrée du cystofix est rougeâtre sans signe de collection. Le reste de l'examen par système est sans particularité.Au bilan biologique, nous retrouvons un syndrome inflammatoire avec une CRP à 183 mg/L, une leucocytose à 13 G/L avec neutrophilie, ainsi que de légers troubles électrolytiques, notamment une hypokaliémie et une hyponatrémie que nous suivons biologiquement. Sur le plan urinaire, un urotube est prélevé et met en évidence un Escherichia coli. Les hémocultures reviennent également positives pour une bactériémie à Escherichia coli. Nous posons le diagnostic d'urosepsis et une thérapie par Rocéphine est initiée le 18.12.2019. Au vu de l'antibiogramme présentant une résistance pour la Ceftriaxone, nous relayons l'antibiothérapie par Ertapénème du 20.12.2019 au 22.12.2019, avec un relais par Bactrim Forte 2x/j du 23.12.2019 au 28.12.2019. Un ultrason des voies urinaires de contrôle est effectué le 19.12.2019, ne mettant pas en évidence d'anomalies du système urogénital et pas de globe urinaire. La radiographie thoracique effectuée dans un contexte de toux, ainsi qu'une gazométrie avec insuffisance respiratoire partielle et légère alcalose respiratoire à pH 7.46, émet un doute sur un possible foyer pulmonaire. Nous estimons que le patient est couvert par l'antibiothérapie mise en place dans le contexte de l'urosepsis. Dans ce contexte, Mr. Y bénéficie d'une oxygénothérapie et d'aérosols de Ventolin et Atrovent. Au bilan biologique gériatrique, nous retrouvons une anémie microcytaire hypochrome hyporégénérative que nous mettons sur le compte d'un syndrome inflammatoire et d'une carence en acide folique et vitamine B12 que nous substituons oralement. Nous retrouvons également une hypovitaminose D3 qui est également supplémentée de façon orale. Au cours de son hospitalisation, Mr. Y est victime de plusieurs chutes d'origine mécanique avec traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Un CT cérébral de contrôle est effectué le 27.12.2019, ne montrant ni saignements ni fracture. Le Torem, mis en suspens à son entrée dans un contexte de tension artérielle basse, n'est pas repris à la sortie au vu d'un poids stable et d'un profil tensionnel satisfaisant. Nous vous laissons le soin de réévaluer sa réintroduction à votre consultation. Durant son séjour, Mr. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche seul et à l'aide d'un rollator est de 30 mètres. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 44/126 par rapport à 50/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 2/7, escaliers 1/7). Le risque de chute reste élevé. Au niveau nutritionnel, nous posons un diagnostic de malnutrition protéino-énergétique modérée avec une perte de poids de 15.3 kg (19%) en 6 mois et un NRS à 4/7. Un enrichissement alimentaire et la mise en place d'un SNO par jour sont proposés. Le 31.12.2019, Mr. Y quitte notre service pour rejoindre son Home. Mr. Y, 69 ans, est hospitalisé en raison d'une pneumonie basale droite avec insuffisance cardiaque globale décompensée. Le patient présente une toux grasse avec une dyspnée depuis le 03.01.2020. Il est adressé aux urgences le 06.01.2020 en raison d'une mauvaise évolution d'une pneumonie basale droite malgré 48 h de traitement par Augmentin, Pulmicort, et Dospir. Le bilan aux urgences met en évidence un foyer en base pulmonaire droite avec un épanchement pleural. Mr. Y présente également des œdèmes des membres inférieurs. Un traitement antibiotique par Co-amoxicilline et diurétique intraveineux est mis en place. Les antigènes urinaires, les cultures des expectorations et les hémocultures sont négatifs. L'évolution est favorable, permettant un retour à domicile le 10.01.2020 avec un relais per os de l'antibiothérapie pour un total de 10 jours. Après sa sortie, un contrôle du poids et une adaptation du traitement diurétique sont indiqués. Nous proposons également un contrôle radiologique pour évaluer l'évolution de l'épanchement pleural à distance de l'épisode infectieux. Mr. Y, 58 ans, est admis aux soins intensifs pour la prise en charge d'une hyponatrémie sévère chronique. Le patient décrit des céphalées récurrentes depuis le 12.01.2020 avec 5 épisodes de vomissements et une vision floue. Les céphalées motivent sa consultation aux urgences à Tavel où le bilan laboratoire révèle une hyponatrémie sévère, raison pour laquelle il est transféré aux soins intensifs. Nous constatons une hyponatrémie hypoosmolaire avec une osmolarité urinaire élevée. Par ailleurs, une hypothyroïdie centrale est observée. De ce fait, une atteinte centrale est suspectée et nous impliquons l'endocrinologie qui préconise un bilan endocrinologique, lequel retrouve un déficit thyréotrope, un déficit corticotrope, un déficit gonadotrope. Une IRM cérébrale retrouve un macro-adénome. Sur avis endocrinologique, nous introduisons un schéma de substitution par Solucortef et Euthyrox. L'hyponatrémie hypoosmolaire secondaire au déficit corticotrope se corrige progressivement avec une restriction hydrique et administration de NaCl 3%, puis relais par NaCl isotonique. Un bilan neuro-ophtalmologique est prévu le 20.01.2020. Le patient est transféré en médecine interne le 18.01.2020. Mr. Y, 58 ans, est admis pour la prise en charge d'un macro-adénome hypophysaire non sécrétant avec un déficit thyréotrope, un déficit corticotrope et un déficit gonadotrope (bilan endocrinien du 17.01.2020). Le patient décrit des céphalées récurrentes depuis le 12.01.2020 avec 5 épisodes de vomissements et une vision floue. Les céphalées motivent sa consultation aux urgences à Tavel où le bilan laboratoire révèle une hyponatrémie sévère, raison pour laquelle il est transféré aux soins intensifs de l'hôpital cantonal de Fribourg. Un macro-adénome est mis en évidence suite à une IRM cérébrale, qui montre une lésion hypophysaire en contact avec le chiasma optique. Nous effectuons un bilan endocrinien qui retrouve un LH à 0.1 U/l, 2.3 U/l, prolactine à 21.3 ; cortisol basal à jeun le 16.01.20 à 48, TSH à 0.066, T3 et T4 normales. Ces valeurs parlent en faveur d'un déficit thyréotrope, d'un déficit corticotrope et d'un déficit gonadotrope. Sur avis endocrinologique, nous introduisons un schéma de substitution par Solucortef et Euthyrox. À la sortie, nous prescrivons une substitution avec Hydrocortisone avec un schéma dégressif. L'hyponatrémie hypoosmolaire secondaire au déficit corticotrope se corrige progressivement avec une restriction hydrique et une administration de NaCl. Un bilan neuro-ophtalmologique est prévu le 23.01.2020. La conduite automobile sera interdite jusqu'au contrôle ophtalmologique. Le patient peut rentrer à la maison le 22.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour la prise en charge d'un NSTEMI. Le patient de 58 ans, tabagique actif à 60 UPA, présente des douleurs rétrosternales typiques non irradiantes, durant moins de 10 minutes. Il est amené aux urgences en ambulance. Le bilan initial retrouve une cinétique des troponines positive, sans modification de l'ECG. Sur avis des cardiologues, le patient reçoit la charge des traitements habituels. La coronarographie met en évidence une maladie coronarienne tri-tronculaire avec sténose significative de la CX moyenne et sténose serrée de la première diagonale au niveau d'une branche de bifurcation (culprit) et sténose intermédiaire de la CD distale (artère de petit calibre traitées par une angioplastie de la CX moyenne et de la bifurcation première diagonale avec mise en place de 2 stents actifs au total, avec bon résultat final sans thrombose ni dissection. La fonction ventriculaire gauche est estimée à 65%. Une échocardiographie est demandée. Nous instaurons une double antiaggrégation plaquettaire par Aspirine, à maintenir à vie, et Brilique pour une année.Le bilan lipidique révèle un LDL à 3.66 mmol/l. Une statine est introduite pour une LDL cible < 1.8 mmol/l. L'hémoglobine glyquée est à 6.2%. La surveillance clinique et rythmique est sans particularité. Le point de ponction radiale ne présente pas de complication. Nous recommandons une ergométrie dans un délai de 9 mois à 1 année. En date du 04.01.2020, Mr. Y est transféré en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance d'un NSTEMI. Le patient de 58 ans, tabagique actif à 60 UPA, présente des douleurs rétrosternales typiques non irradiantes, durant < 10 minutes. Il est amené aux urgences en ambulance. Le bilan initial retrouve une cinétique des troponines positive, sans modification de l'ECG. Sur avis des cardiologues, le patient reçoit la charge des traitements habituels. La coronarographie met en évidence Le bilan lipidique La surveillance clinique et rythmique est En date du, Mr. Y est transféré en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Status cardioresp : sp Attitude : • pister troponines H3 • lit strict, à jeûn • coronarographie le 04.01.2020 (Dr. X) Mr. Y, 72 ans, a été admis aux soins intensifs le 27.01.2020 pour administration d'une lyse in situ par rTPA pour une thrombose veineuse profonde ilio-fémorale gauche. Ce patient en bonne santé habituelle, sans antécédents de maladie thromboembolique, a présenté le 16.01.2020 une thrombose veineuse profonde ilio-fémorale gauche, traitée conservativement par Clexane 100 mg 2x/j. Un suivi ambulatoire a été effectué par nos collègues angiologues. Ceux-ci décident de réaliser une lyse intra-veineuse in situ à l'aide d'un cathéter fémoral en raison de la persistance de la symptomatologie et de la localisation de la thrombose. Une phlébographie avec lyse in situ a été réalisée du 27 au 28.01.2020, ce qui a permis la recanalisation de la veine iliaque gauche. L'étiologie étant une compression de la veine iliaque gauche par l'artère iliaque primitive droite (syndrome de May-Turner), 2 stents ont été posés dans la veine iliaque commune gauche lors de la phlébographie de contrôle le 28.01.2020. L'évolution clinique et radiologique est favorable. Nous n'avons pas observé de complication hémorragique. Sur avis angiologique, l'héparine a été remplacée par de l'enoxaparine thérapeutique le 28.01.2020, puis par du rivaroxaban (Xarelto 15 mg 2x/j du 29.01. au 19.02.2020, puis 20 mg 1x/jour pour trois mois). Le traitement sera réévalué lors d'une consultation angiologique de contrôle en ambulatoire. Le patient doit porter des bas de contention classe 2 pendant 6 mois pour la prévention d'un syndrome post-thrombotique. Le patient peut rentrer à domicile ce 29.01.2020. Un rendez-vous de contrôle est prévu chez le Dr. X le 02.03.2020. Mr. Y, 43 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une pneumonie lobaire droite à Streptococcus pneumoniae avec insuffisance respiratoire hypoxémique le 11.01.2020. Le patient consulte aux urgences de Tafers en raison d'une toux avec douleur thoracique, dyspnée et état fébrile en péjoration depuis 3 jours. Le bilan met en évidence une pneumonie lobaire droite avec insuffisance respiratoire hypoxémique, raison pour laquelle une antibiothérapie par Co-amoxicilline et Clarithromycine est débutée. Les hémocultures et les antigènes urinaires sont positifs pour un Streptococcus pneumoniae. A son arrivée aux soins intensifs, le patient est hémodynamiquement compensé. En raison d'une persistance de l'état fébrile à J4 sous antibiothérapie, nous réalisons un CT scanner qui ne montre pas signe de nécrose ou d'abcédation. Toutefois, il révèle un épanchement pleural bilatéral, sans argument radiologique pour un empyème. La ponction pleurale droite permet le retrait de 600 ml d'un exsudat, sans argument pour un empyème. La culture est en cours. Le traitement par Co-amoxicilline est poursuivi avec un relais par Amoxicilline dès le 16.01.2020. Il reste oxygéno-dépendant avec des besoins en oxygène en diminution. Les douleurs thoraciques d'origine mécanique et inflammatoire (liées à la toux et probable pleurésie) sont contrôlées avec une antalgie par opiacés. Une insuffisance rénale d'origine pré-rénale est rapidement corrigée après hydratation intraveineuse. Au vu d'une perturbation de la coagulation probablement dans le contexte septique, une substitution de vitamine K est quand même mise en place. Un contrôle de la coagulation est à prévoir. Mr. Y, 43 ans, se présente aux urgences de Tafers pour une toux depuis 3 jours accompagnée de dyspnée, d'un état fébrile et de douleurs thoraciques. Au vu d'une insuffisance respiratoire hypoxémique, le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg. Nous diagnostiquons un sepsis sur bactériémie à Streptococcus pneumoniae sur pneumonie basale droite. Une antibiothérapie empirique par Clarithromycine et Co-Amoxicilline, puis ciblée par Amoxicilline, est mise en place pour une durée totale de 10 jours. En raison d'une persistance de l'état fébrile à J4 sous antibiothérapie, nous réalisons un CT scanner qui ne montre pas de signe de nécrose ou d'abcédation. Toutefois, il révèle un épanchement pleural bilatéral, sans argument radiologique pour un empyème. La ponction pleurale droite permet le retrait de 600 ml d'exsudat, sans argument pour un empyème. Des séances de VNI intermittentes sont également effectuées ainsi que de la physiothérapie, permettant un sevrage de l'oxygénothérapie à J5 et un transfert en médecine interne. Les douleurs thoraciques d'origine mécanique et inflammatoire, liées à la toux et sur la pleurésie, sont contrôlées avec une antalgie par opiacés. Une insuffisance rénale d'origine pré-rénale est rapidement corrigée après hydratation intraveineuse. Au vu d'une perturbation de la coagulation probablement dans le contexte septique, une substitution de vitamine K est mise en place. Un retour à domicile est organisé le 21.01.2019. Mr. Y est hospitalisé pour prise en charge d'une transformation d'un syndrome myélodysplasique (SMD) de type cytopénie réfractaire en leucémie myéloïde aiguë. Le SMD était connu et suivi depuis 2012. Lors d'un bilan pré-interventionnel pour revascularisation du membre inférieur en novembre 2019, des cellules blastiques sont retrouvées à la prise de sang et les examens complémentaires effectués par la suite montrent la transformation en leucémie. Mr. Y reçoit un traitement de chimiothérapie d'induction par FLAG-IDA + mydostaurine. Le traitement se complique par 2 épisodes fébriles lors de l'agranulocytose, sans foyer retrouvé à l'examen clinique. Sous traitement antibiotique, l'évolution des 2 épisodes est favorable. La ponction biopsie de moelle à J 17 post-induction montre une rémission. La sortie d'aplasie est lentement évolutive avec une agranulocytose d'environ 1 mois. Pour les suites, le patient ne désirant pas de greffe de moelle, un traitement par Azacitidine sera discuté lors des suivis par nos collègues hématologues. Mr. Y peut rentrer à domicile en date du 14.01.2020. Mr. Y est hospitalisé pour un épisode fébrile isolé sans foyer clinique retrouvé le 20.01.2020. Les examens complémentaires mettent en évidence un syndrome inflammatoire léger, connu des contrôles précédents. À l'issue de 24 heures de surveillance en intra-hospitalier, l'évolution est spontanément favorable.Mr. Y peut rentrer à domicile le 21.01.2020. Mr. Y, institutionnalisé au foyer Clos-Fleuri, connu pour un retard mental ainsi que pour une épilepsie traitée par Lamotrigine depuis mai 2017, est amené aux urgences par son éducatrice pour une baisse de l'état général depuis 3 semaines. L'hétéroanamnèse avec l'éducatrice rapporte une rupture de contact depuis 3 semaines avec un comportement inhabituel, plusieurs épisodes de vomissements et 2 crises tonico-cloniques le 19.01.2019 d'une durée de 1 minute, traitées par Midazolam intra-nasal. De plus, il a présenté deux épisodes de vomissement ainsi qu'un état fébrile, raison pour laquelle il a été vu à votre consultation et vous mettez en évidence un taux de Lamotrigine infra-thérapeutique de 2,4 U/l. Au vu de cet état confusionnel d'étiologie indéterminée, nous réalisons un CT cérébral injecté, qui ne met pas en évidence de signe d'accident vasculaire cérébral récent, pas de thrombose des sinus et pas de masse néoplasique. Au contrôle biologique, nous constatons une rhabdomyolyse, dans un contexte de crise tonico-clonique avec une bonne évolution sous hydratation. Au vu de ces changements de comportement, nous demandons un avis psychiatrique à la Dr. X, qui retient la piste psychiatrique moins probable dans le contexte des multiples troubles somatiques et ne retient pas d'indication pour un traitement antidépresseur dans l'immédiat. Dans ce cadre, elle nous propose un EEG. À noter que le 25.01.2020, le patient présente une crise d'épilepsie tonico-clinique généralisée avec bonne réponse sous Midazolam intra-nasal. L'EEG du 27.01.2020 revient peu contributif et essentiellement superposable à l'évaluation précédente de septembre 2019. Les 3 crises généralisées s'inscrivent donc clairement dans un contexte de taux de Lamotrigine infra-thérapeutique, raison pour laquelle nous poursuivons l'augmentation du traitement à 2 x 150 mg/jour, sur avis de la Dr. X avec un contrôle du taux résiduel à prévoir le lundi 03.02.2020. Un prochain rendez-vous neurologique de contrôle est déjà agendé au 05.06.2020. L'évolution biologique et clinique est par la suite favorable et Mr. Y peut regagner son foyer le 30.01.2020 avec un traitement par Lamotrigine de 300 mg/jour. Mr. Y, patient de 82 ans connu pour une fibrillation auriculaire, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique sylvien profond droit. Pour rappel, le patient présente une parésie du membre supérieur et inférieur gauche le matin du 01.01.2020 puis une chute pendant la nuit, sans TCC. Incapable de se relever, il a été retrouvé à terre par les ambulanciers, le temps estimé au sol étant d'environ 12 h. Aux urgences, un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche et une dysarthrie sont mis en évidence. Le CT cérébral révèle une lésion ischémique subaiguë du noyau lenticulaire droit se prolongeant à la tête du noyau caudé droit et à la corona radiata, confirmé à l'IRM de suivi. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique. La surveillance neurologique aux soins intensifs est marquée par une péjoration de la parésie motivant la réalisation d'un scanner de contrôle le 05.01.2020 qui permet d'exclure une transformation hémorragique. Le patient est transféré en lit Stroke non-monitoré le 06.01.2020. Sur le plan étiologique, le patient est connu pour une fibrillation auriculaire sous traitement de Sintrom avec des valeurs d'INR très labiles, fréquemment infra et supra-thérapeutiques. À son arrivée aux urgences, l'INR s'élève à 3.7. L'INR au moment de l'apparition de la symptomatologie 24-28 h plus tôt n'est toutefois pas connu mais était possiblement infra-thérapeutique. L'échocardiographie transthoracique montre une bonne fonction contractile, une oreillette gauche très dilatée et pas de thrombus. Une étiologie cardio-embolique sur fibrillation auriculaire mal anticoagulée est retenue, en l'absence d'autres causes notamment une athéromatose carotidienne. Sur le plan médicamenteux, l'anticoagulation est initialement suspendue en raison du risque de transformation hémorragique et de l'INR supra-thérapeutique puis reprise par Eliquis 5 mg 2 x/j dès le 08.01.2020. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Mr. Y présente des troubles de la déglutition sévères secondaires à l'AVC, initialement contournés par un épaississement des liquides. Devant la récurrence de fausse route, une sonde naso-gastrique est mise en place et une nutrition entérale est débutée. Selon l'évolution, une pose de GPR/PEG sera à discuter. À noter également que le patient développe un état subfébrile et un syndrome inflammatoire biologique lors de son hospitalisation aux soins intensifs. Un foyer de broncho-aspiration est mis en évidence au scanner thoracique et un traitement par Co-Amoxicilline est instauré pour une durée de 5 jours avec bonne évolution clinique. Suite à sa chute, le patient présente des hématomes au niveau scapulaire et thoracique. Un bilan radiologique exclut des fractures récentes. La conduite de véhicule automobile est à réévaluer selon l'évolution. L'évolution clinique est stable avec un status neurologique retrouvant une parésie faciale droite mineure, une parésie du membre supérieur droit et une légère dysarthrie. Mr. Y est transféré le 13.01.2020 en neuroréhabilitation à l'HFR Meyriez pour suite de prise en charge. Mr. Y, 80 ans, connu pour un cancer pulmonaire à petites cellules limited disease depuis mars 2019, est hospitalisé sur la demande de son médecin traitant pour une baisse d'état général progressive depuis plusieurs mois, plus marquée ces 3 dernières semaines avec un épuisement de l'entourage. Dans le cadre de la baisse d'état général, nous effectuons un CT cérébro-thoraco-abdominal à la recherche d'une progression tumorale. L'examen montre une stabilité de la maladie oncologique à l'étage thoracique avec l'apparition d'une lésion suspecte de 7 mm dans la partie supérieure du lobe cérébelleux droit. L'IRM du 10.01.2020 parle en faveur d'une lésion métastatique. Un rendez-vous en radio-oncologie avec le Dr. X est organisé le 20.01.2020 afin d'organiser une radiothérapie stéréotaxique sur la lésion. Concernant le suivi du cancer, le patient sera revu à la consultation de la Dr. X. Son entourage rapporte également des troubles cognitifs à prédominance mnésique rapidement progressifs sur ces derniers mois. Un bilan neuropsychologique met en évidence des difficultés cognitives diffuses dépassant l'atteinte attribuable à la masse cérébrale. Une maladie neurodégénérative de type Alzheimer est par conséquent fortement suspectée. Un projet avec foyers de jours et accompagnement est organisé pour un retour à domicile au vu d'un épuisement de sa compagne. Le patient est également inscrit en EMS. À l'admission, le patient présente des hématochésies nouvelles sans autre symptomatologie abdominale. Le CT abdominal du 03.01.2020 montre une diverticulite sigmoïdienne non compliquée. En absence de critère clinique, nous n'instaurons pas de traitement antibiotique avec une évolution favorable des hématochésies durant l'hospitalisation. Afin d'organiser un réseau suffisant pour garantir un retour au domicile dans de bonnes conditions, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR Fribourg bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Mr. Y, 90 ans, se présente aux urgences pour une dyspnée et des oedèmes des membres inférieurs en péjoration. La radiographie met en évidence des épanchements pleuraux bilatéraux d'origine indéterminée. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire léger sans NT-ProBNP et des D-dimères élevés. Un ultrason des membres inférieurs permet d'exclure une thrombose veineuse profonde et un CT thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire. Les analyses microbiologiques du liquide de la ponction pleurale et les antigènes urinaires reviennent négatifs. L'origine de cet épanchement n'est donc pas clairement déterminée mais une origine cardiaque est la plus probable au vu de la répartition cellulaire ainsi que des critères de Light à la limite du transudat chez un patient sous diurétique. L'évolution est favorable sous diurétique, raison pour laquelle nous ne poursuivons pas les investigations. En cas de récidive de l'épanchement, un bilan plus poussé est à discuter. L'ECG effectué à son arrivée met en évidence une tachycardie sinusale avec bloc trifasciculaire sans examen comparatif à disposition. Une échographie transthoracique montre une fonction cardiaque globalement conservée. Un Holter sur 24h est effectué afin de mettre en évidence d'éventuels troubles du rythme pouvant expliquer la décompensation cardiaque. Nous vous laissons le soin de pister le résultat. Le patient rentre à domicile le 27.01.2020. Mr. Y, 74 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive, valvulaire et dysrythmique avec statut post-remplacement de la valve aortique et de la valve mitrale le 05.11.2019, par Dr. X à Berne, se présente au service des urgences pour une douleur thoracique avec irradiation dans les bras et le dos depuis 3 jours. À noter une hospitalisation récente à l'HFR cantonal pour décompensation cardiaque droite du 19.12. au 24.12.2019 avec rajout du Torasémide au traitement de sortie. Le bilan au service des urgences met en évidence un INR supra-thérapeutique à > 5.5, pas de cinétique des troponines, pas de syndrome inflammatoire. Nos collègues cardiologues effectuent un échocoeur montrant un épanchement péricardique modéré mais stable. Ils prennent contact avec l'Inselspital en chirurgie cardiaque (Dr. X) qui propose de refaire une imagerie à 3 jours. Mr. Y est mis sous Prednisone 1mg/kg et Colchicine 0.5 mg 2x/j avec évolution défavorable avec une échocardiographie à 3 jours montrant une augmentation de l'épanchement péricardique. Concernant l'INR supra-thérapeutique, le Marcoumar est mis en suspens et nous donnons 3 mg de Konakion au service des urgences. Les contrôles sanguins montrent un INR restant supérieur à > 5.5, nous donnons 10 mg de Konakion IV le 09.01.2020. Nous vous laissons recontrôler la crase avant d'effectuer un geste chirurgical. Les glycémies ont été perturbées depuis l'introduction de la Prednisone, nous mettons en place un schéma de correction d'insuline. Au vu de la mauvaise évolution de l'épanchement péricardique sous traitement, le patient est transféré à l'Inselspital à Berne le 09.02.2020 en chirurgie cardiaque pour réévaluer l'épanchement et discuter d'un potentiel drainage. L'infirmier responsable du foyer de notre dame de Fatima, Mr. Y, a été informé du transfert à Berne. Mr. Y, 80 ans, connu pour une néoplasie prostatique métastatique, consulte les urgences le 05.01.2020 en raison de douleurs osseuses. Depuis plusieurs mois, il présente des douleurs lombaires droites intenses malgré les opiacés. Les douleurs le réveillent pendant la nuit. Ce jour, les douleurs ne sont pas soulagées par l'Effentora. Nausées et vomissements, pas de selles depuis hier (selles très foncées mais pas de méléna). Incontinence fécale connue. Il n'a plus d'odorat ni de goût, peu de perte de poids. Il a des pertes urinaires par la verge, inhabituelles et malodorantes. Il s'est peu hydraté ces derniers jours, sensation de blocage alimentaire (depuis 2-3 mois, en péjoration mais notion de masse médiastinale non investiguée). PARESTHÉSIES au niveau du pied gauche et du gros orteil droit. Pas de fièvre ni frissons à domicile. À l'admission, le patient est hypertendu à 166/90 mmHg, normocarde, sub-fébrile à 37.9°C et sature à 94%. Au status digestif, l'abdomen est souple et tympanique. Notons des douleurs au niveau des quadrants inférieur et supérieur droit. Le transit est perçu, les loges rénales sont très douloureuses à la palpation et à la percussion. La palpation retrouve la masse abdominale pulsatile (anévrisme). La stomie est propre. Au status ostéo-articulaire, palpation et percussion de la colonne vertébrale indolore, douleurs à la palpation des crêtes iliaques et des sacro-iliaques, pas d'instabilité du bassin, hanches indolores. Le status cardio-pulmonaire est sans particularité. Nous administrons une antalgie par Paracétamol et Fentanyl IV aux urgences et nous majorons le Fentanyl patch de 100 mcg à 125 mcg. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire (leucocytose à 13.2 G/l et CRP 32 mg/l), une hypocalcémie à 1.86 mmol/l et une insuffisance rénale (137 µmol/l, urée 8.2 mmol/l). Le sédiment urinaire montre des urines sales avec leucocyturie et hématurie microscopique. Nous effectuons une radiographie de la colonne lombaire montrant de multiples métastases vertébrales et du bassin, sans fracture. En raison d'une suspicion clinique et anamnestique d'infection urinaire, nous entamons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g IV. Concernant l'hypocalcémie, nous effectuons une substitution IV de 180 mg de Calcium en IV continu sur 6 heures aux urgences. Nous commençons un traitement de Nystatine devant la péjoration des troubles de déglutition avec sensation de blocage alimentaire au niveau oesophagien. Nous gérons l'hypertension artérielle avec l'administration de Belok Zok 50 mg et Nifédipine 20 mg retard aux urgences. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Pendant le séjour, le patient reste hémodynamiquement stable, apyrétique et les douleurs sont bien contrôlées sous Fentanyl 125 mcg/h et Effentora 200 mcg en réserve max 6x/j (le patient gère l'analgésie en réserve lui-même). Nous avons aussi mis en place une supplémentation par calcium et phosphate. Aucun germe n'est finalement isolé à la culture urinaire, mais le patient s'améliore cliniquement après une antibiothérapie de 5 jours. Après avis auprès de Dr. X, infectiologue, le diagnostic de prostatite ou pyélonéphrite n'est pas retenu, malgré le fait que le patient a un risque augmenté de développer des infections urinaires en raison du Bricker. Mr. Y peut regagner son domicile le 10.01.2020. Nous lui recommandons un suivi à votre consultation. Mr. Y, 80 ans, consulte les urgences le 20.01.2020 en raison d'une douleur abdominale et au niveau du pli inguinal droit. Le patient est connu pour un carcinome de la prostate multimétastatique et un anévrisme de l'aorte abdominale. Pas de notion de traumatisme récent. Pas de fièvre ni frisson. Le transit est accéléré par les laxatifs. Sur le plan urinaire, le patient a un Bricker. Sur le plan social, le patient vit seul à domicile avec les soins à domicile. Au status cardio-vasculaire, B1B2 sont bien frappés. Pas de tachycardie, pas de souffle audible. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est bilatéral, sans bruit surajouté. Au status digestif, nous notons une contracture abdominale. La palpation abdominale est douloureuse au niveau de la fosse iliaque droite avec défense et détente. Les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en intensité. Présence d'une masse abdominale pulsatile correspondant à un anévrisme de l'aorte abdominale, pas de masse palpable au niveau du pli inguinal droit. Au status urologique, la loge rénale droite est sensible à la percussion. Au status ostéo-articulaire, pas de douleur à la percussion des apophyses épineuses lombaires, pas de douleur à la palpation des structures osseuses du bassin ni de la hanche droite. La force musculaire est à M4 aux 4 membres, les réflexes ostéotendineux sont vifs et symétriques.Le bilan biologique montre une leucocytose à 15,3 G/l, une CRP à 56 mg/l et une insuffisance rénale avec une créatinine à 161 mmol/l. Le sédiment urinaire revient positif pour une flore bactérienne, avec présence de nitrites et de leucocytes. En raison de la contracture abdominale, nous réalisons un scanner abdominal qui met en évidence une rupture de l'anévrisme abdominal infrarénal avec un important hémopéritoine. On constate également la présence de troubles de la perfusion des organes intra-abdominaux (foie, rate, reins - avec suspicion d'infarctus rénaux). L'antalgie est conduite par titration de Fentanyl et Kétamine initialement durant la réalisation des examens complémentaires. Le patient ne souhaitant pas d'intervention chirurgicale, des soins de confort exclusifs sont débutés aux urgences en accord avec sa fille. En effet, le patient était suivi pour un carcinome de la prostate métastatique avec des douleurs osseuses importantes et ne souhaitait pas de prise en charge chirurgicale pour cet anévrisme aortique dont l'existence était connue. Une antalgie par Morphine et Dormicum en iv continue est débutée aux urgences. Mr. Y est confortable par la suite et décède paisiblement dans notre service le 21.01.2020 à 05h17. Mr. Y, âgé de 78 ans, est hospitalisé le 27.12.2019 pour une dermo-hypodermite du membre inférieur droit dans le contexte d'une insuffisance veineuse chronique bilatérale avec ulcère veineux malléole externe. Il présente une tuméfaction importante des deux jambes avec une rougeur pré-tibiale droite. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire. Un CT scan des membres inférieurs met en évidence une infiltration sous-cutanée diffuse, sans collection. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est introduite pour une durée totale de 7 jours. Nous complétons le bilan par une IRM des jambes permettant de mettre en évidence un foyer d'ostéite au niveau de la malléole externe proche de la localisation de l'ulcère mais pas directement en regard. Nos collègues infectiologues proposent de traiter cette ostéite probablement chronique par un traitement empirique par Co-Trimoxazol pour un total de 6 semaines vu la taille réduite du foyer. En raison d'un pic hypertensif, un inhibiteur de l'enzyme de conversion est accidentellement administré le 06.01.2020, malgré son intolérance connue. Le patient développe un angio-oedème avec une dysphonie et une sensation de dyspnée légère. L'angio-oedème est confirmé suite à un examen ORL avec mise en évidence de plusieurs vésicules au niveau du pharynx ainsi qu'une phlyctène avec effet de masse au niveau de l'épiglotte. L'angio-oedème est traité par Tavegyl, du Solumédrol et du Berinert avec un bon effet clinique et une reprise de l'alimentation. La surveillance aux soins intensifs passe sans particularité. Mr. Y est connu pour une insuffisance veineuse chronique bilatérale avec ulcère veineux malléole externe suivi de manière hebdomadaire par la stomatothérapie et mensuelle par le Dr. X. En raison d'une péjoration des douleurs articulaires d'origine arthrosique au niveau des mains, des radiographies sont demandées ainsi qu'un avis rhumatologique. Nous commençons une thérapie par Paracetamol et Sportusal ainsi qu'un suivi ergothérapeutique. De plus, Mr. Y présente un contexte d'insalubrité du domicile rendant un retour à domicile actuellement difficile. Lors du colloque familial le 09.01.20, le patient accepte une réadaptation gériatrique ainsi que les aides nécessaires pour un retour à domicile. Au vu de son amélioration, Mr. Y est actuellement en attente d'une place en réadaptation gériatrique. Il reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 13.01.2020 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 78 ans, a été admis aux soins intensifs pour un angio-oedème sur inhibiteurs de l'enzyme de conversion le 06.01.2020. Le patient est hospitalisé en médecine interne depuis le 27.12.2019 pour une dermohypodermite du membre inférieur droit traité par Co-Amoxicilline du 28.12 au 04.01.2020. Suite à la découverte d'un foyer d'ostéite au niveau de la malléole externe gauche proche d'un ulcère, l'antibiothérapie est changée pour le Bactrim dès le 05.01.2020. Durant l'hospitalisation, le patient présente des pics hypertensifs pour lesquels le Lisinopril est prescrit dès le 01.01.2020. Le 06.01.2019, Mr. Y présente un angio-oedème brutal. À savoir qu'il avait déjà présenté un angio-oedème sur prise d'IEC en 2017. Il présente une tuméfaction importante de la langue accompagnée de dysphonie et d'une sensation de dyspnée légère. Le consultant ORL met en évidence un angio-oedème important au niveau de la langue avec vésicules au niveau antérieur et latéral gauche ainsi qu'une phlyctène d'origine indéterminée au niveau latéral gauche du pharynx avec petit effet de masse au niveau de l'épiglotte. Nous retenons une origine sur la prise du Lisinopril. Il reçoit donc du Tavegyl, du Solumédrol et du Berinert. L'état clinique s'améliore avec une reprise de l'alimentation qui reste sans particularité. L'hémodynamique reste stable. Le Bactrim est repris dès le 07.01.2020, sans signe de complication. Nous le transférons en médecine interne le 07.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Nous laissons le soin à nos collègues de l'étage de prévoir une consultation allergologique en ambulatoire et d'établir une carte d'allergie. Mr. Y, 28 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance neurologique dans le contexte d'une lésion expansive de la région pinéale avec hydrocéphalie. Le patient présente depuis avril 2019 des céphalées intermittentes. Depuis décembre 2019, il présente des troubles visuels notamment des taches noires, motivant la consultation chez un ophtalmologue le 14.01.2020. Au vu d'un œdème papillaire bilatéral et d'une diminution de la vision de l'œil droit, un CT cérébral est effectué le 14.01.2020 qui montre une masse intracrânienne avec hydrocéphalie interne. Sur avis neurologique et neurochirurgical, le patient est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance. Le status neurologique reste toujours dans la norme sans déficit focal. Le bilan est complété par une IRM dont le rapport définitif est en attente. La situation et les images radiologiques sont discutées avec les neurochirurgiens (Dr. X) qui après discussion avec le Dr. X (HUG) décident d'un transfert aux HUG pour la suite de la prise en charge. Les images sont envoyées aux HUG par PACS. La situation est discutée avec le patient en présence de ses parents. Les CD sont joints au dossier. Le rapport ophtalmologique du 14.01.2020 va être faxé dès que possible. Mr. Y est transféré en transport médicalisé le 15.01.2020 aux HUG pour la suite de la prise en charge.Mr. Y consulte à la permanence en raison de diarrhées et de symptômes grippaux divers. Il bénéficie d'un examen clinique ciblé rassurant. Nous retenons le diagnostic de virose avec diarrhées associées et prescrivons au patient un traitement symptomatique. Nous prescrivons un traitement de Bepanthen onguent parallèlement en raison d'épistaxis récidivantes et d'une muqueuse nasale irritée objectivée. Le patient reçoit des conseils d'hydratation. Il est invité à reconsulter en cas de péjoration de l'état général ou de persistance de la symptomatique. Mr. Y, 21 ans, hospitalisé aux soins intensifs en raison des troubles de l'état de conscience dans le contexte d'une alcoolisation aiguë (alcoolémie à 3.46 %o). Il présente un état d'agitation (tape la tête contre le mur) en boîte de nuit. Durant le transport en ambulance, le patient reçoit en raison de l'agitation de la Kétamine (200 mg) et du Midazolam (5 mg), présentant par la suite un GSC à 3. Une IOT est réalisée aux urgences. Un CT cérébral et cervical écartent une lésion traumatique. Un screening des toxiques urinaires s'avère négatif. L'évolution est favorable, le patient est extubé le 01.01.2019 dans la matinée et rentre à domicile accompagné par sa tante. Mr. Y, 61 ans, est admis aux soins intensifs pour une décompensation diabétique hyperosmolaire sur traitement antidiabétique insuffisant et diabète mal contrôlé le 05.01.2020. Ce patient est connu pour un diabète de type II non insulino-requérant diagnostiqué il y a environ 5 ans. Il était en voyage au Ghana pendant 3 semaines et est rentré en Suisse le 05.01.2020. Lors de la dernière semaine de son séjour, il s'est senti faible et déshydraté avec vertiges orthostatiques, polyurie, polydipsie et inappétence. Il avoue avoir fait une consommation modérée d'alcool pendant ses vacances. Il n'y a pas d'argument pour un état infectieux. Il consulte aux urgences de l'HFR le 05.01.2020 où une hyperglycémie à >40 mmol/l est mise en évidence. Cette décompensation diabétique hyperosmolaire nécessite un remplissage hydrique intraveineux par NaCl 0.9 % avec substitution i.v. de potassium et de phosphate per os et un traitement i.v. d'insuline. L'acidose métabolique est d'origine mixte, diabétique, sur le jeûne prolongé et l'insuffisance rénale aiguë. L'évolution est favorable avec résolution de l'état hyperosmolaire et de l'acidose, permettant un relais par insuline basale et pré-prandiale en sous-cutané. Mr. Y est sous traitement de metformine. Il ne fait jamais d'auto-contrôles de sa glycémie. Il n'a jamais eu de consultation ophtalmologique ni de recherche de microalbuminurie dans le passé. L'hémoglobine glyquée se révèle à >15 %. Un suivi diabétologique sera organisé durant le séjour en médecine interne. L'hypokaliémie et l'hypophosphatémie sont attribuées aux shifts intracellulaires liés à la correction glycémique. Une substitution électrolytique i.v. et per os est introduite. Notre diagnostic différentiel comprend un syndrome de renutrition inappropriée, nous proposons à nos collègues de médecine interne de suivre de près les électrolytes. L'insuffisance rénale aiguë d'origine fonctionnelle évolue favorablement avec le remplissage hydrique intraveineux. Mr. Y est transféré le 07.01.2020 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 61 ans, est hospitalisé pour une décompensation diabétique hyperglycémique hyperosmolaire le 05.01.2020. Le patient, connu pour un diabète de type 2 non insulino-requérant diagnostiqué il y a environ 5 ans, consulte les urgences le 05.01.2020 pour une faiblesse généralisée, avec une polyurie, une polydipsie et une inappétence depuis une semaine. Le bilan biologique montre une hyperglycémie à >40 mmol/l. Cette décompensation diabétique hyperosmolaire nécessite un remplissage hydrique iv par NaCl 0.9 %, une substitution iv de potassium et per os de phosphate, ainsi qu'un traitement iv d'insuline. L'acidose métabolique est d'origine mixte, diabétique, sur le jeûne prolongé et l'insuffisance rénale aiguë. L'évolution est favorable, avec résolution de l'état hyperosmolaire et de l'acidose, permettant un relais par insuline basale et pré-prandiale en sc qui est adaptée durant l'hospitalisation. L'hémoglobine glyquée se révèle à >15 %. L'insuffisance rénale aiguë d'origine fonctionnelle évolue favorablement avec le remplissage hydrique iv. L'évolution favorable permet un retour à domicile le 13.01.2020. Un suivi diabétologique est organisé. Nous vous rappelons l'importance du suivi des complications du diabète avec un fond d'œil à effectuer 1 x/an, un bilan lipidique et un maintien des tensions artérielles selon la cible, un suivi de la neuropathie et de l'état podologique régulier, et un dépistage de la néphropathie diabétique avec rapport albuminurie/créatininurie à distance de l'épisode aigu (3 mois). Mr. Y est un patient de 87 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui est amené aux urgences par ses filles pour un épisode d'agitation et de confusion nocturne le soir du 23.12.2019, résolu spontanément. L'épouse du patient décrit une agitation avec une difficulté à décrire son inconfort la soirée de la veille, raison pour laquelle elle téléphone aux 2 filles du patient. À leur arrivée, les filles ne constatent pas d'agitation ni de confusion, mais remarquent quelques troubles de la marche. À noter que le patient est sous traitement antibiotique par Co-amoxicilline par son médecin traitant, depuis le 20.12.2019 pour une suspicion d'infection respiratoire. Aux urgences, le patient reste orienté et collaborant et nous ne retenons pas d'argument pour un état confusionnel aigu. À l'examen clinique aux urgences, Mr. Y est en état général conservé, sans état fébrile, et les paramètres sont dans la norme. Sur le plan cardiovasculaire, nous auscultons des bruits cardiaques B1 et B2 bien frappés, sans souffle surajouté, sans signe de surcharge, et sans œdème des membres inférieurs. Sur le plan pulmonaire, l'auscultation ne montre pas de bruits pathologiques surajoutés. Au niveau neurologique, nous constatons que le GCS est à 15/15 avec champs et acuité visuelle préservée. Les pupilles sont réactives des deux côtés, l'oculomotricité est préservée sur ordre oral. Pas de trouble sensitivo-moteur de la face. L'audition est également préservée, le Halmagyi est sans particularité, le voile du palais est symétrique, sans déviation de la luette. Le sterno-cléido-mastoïdien est fonctionnel et la mobilité de la langue est préservée. Les réflexes ostéo-tendineux sont vifs et symétriques, Babinski en flexion. Nous remarquons une sensibilité grossière préservée aux 4 membres, sans perte de force aux 4 membres. Doigt-nez sans particularité, talon-genou préservé, sans disdiadococinésie et bras tendus tenus. Le bilan biologique effectué aux urgences montre une CRP à 11 mg/l, une hémoglobine à 129 g/l, des leucocytes à 5.8 G/l et une légère hyponatrémie et hypomagnésémie. L'ECG montre un rythme irrégulier à 87 battements par minute avec un bloc de branche gauche complet, des extrasystoles supraventriculaires, un bloc atrio-ventriculaire du 1er degré. Nous effectuons un Angio-CT cérébral et des vaisseaux du cou qui, hormis une arthrose cervicale, ne mettent pas en évidence de signe ischémique ou hémorragique. Une radiographie du thorax nous permet d'exclure un foyer pulmonaire. Devant une clinique rassurante, sans plaintes anamnestiques et avec un bilan biologique sans particularité, nous décidons de ne pas poursuivre le traitement antibiotique. Au vu de la présence des troubles de la marche et d'équilibre, Mr. Y est hospitalisé en gériatrie aiguë pour la suite de sa prise en charge. Le patient séjourne environ 24 h dans notre service, puis, suite à sa demande et celle de sa famille, le 25.12.2019, il quitte notre service et regagne son domicile.En raison d'un séjour raccourci dans notre service qui rend impossible de poursuivre le reste des investigations, nous proposons un contrôle clinique et biologique à votre consultation à distance. Mr. Y, âgé de 80 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à fracture supracondylienne de l'humérus distal G, le 20.12.2019. Sur le plan social, le patient, veuf, vit seul à domicile. Il est à la retraite. Il a une fille qui travaille au Congo. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Le 08.01.2020, le patient présente une agitation psychomotrice avec d'hétéro-agressivité verbale, il déambule dans les champs. Il sort du cadre hospitalier à la recherche d'un restaurant pour s'alcooliser. Mr. Y est connu pour une consommation chronique d'OH et chute souvent avec des états confusionnels ce qui le met souvent en danger. Il ne présente pas d'idées suicidaires. Mr. Y n'a pas pu bénéficier des prestations d'ergothérapie, de physiothérapie et d'évaluation nutritionnelle. Il a mis en échec ce projet suite au non-respect du planning. De plus, il s'est absenté à plusieurs reprises et a quitté le périmètre de l'hôpital sans donner d'explications. Au vu de l'impossibilité de maintenir Mr. Y dans un milieu hospitalier en raison du risque de fugues, nous sollicitons une hospitalisation au RFSM Marsens, sous PAFA, après discussions avec nos collègues psychiatres. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé suite à un épisode transitoire de balbutiements, des mouvements répétitifs de la mâchoire suivis par des troubles de la conscience durant 30 minutes. Un angio-CT réalisé permet d'exclure une origine hémorragique ou ischémique et un EEG ne met pas en évidence de foyer épileptique. Une crise épileptique focale ou un accident ischémique transitoire ne peuvent être exclus. Sur l'avis des neurologues, nous renonçons à un traitement antiagrégant compte tenu de son anticoagulation et à un traitement anti-épileptique pour le moment. Celui-ci sera réévalué dans 3 mois. Une IRM cérébrale est organisée en ambulatoire. Le patient rentre à domicile le 31.01.2020. Mr. Y, âgé de 64 ans, est hospitalisé pour une entérocolite à Campylobacter jejuni le 30.12.2019. Le patient présente des diarrhées progressives depuis 48 heures avec un état fébrile à 39°C. La PCR des selles montre un Campylobacter, identifié comme Campylobacter jejuni à la culture, motivant un traitement par Azithromycine durant 5 jours. Une composante de mucite dans les suites de la récente chimiothérapie (20.12.2019) pourrait de même participer au tableau clinique, au vu d'antécédents similaires. L'évolution clinico-biologique est favorable, permettant le retour à domicile le 03.01.2019. Le patient sera convoqué par le service d'oncologie pour établir la date du prochain cycle de chimiothérapie, à retarder dans le contexte infectieux actuel. Mr. Y est un patient de 65 ans, hospitalisé pour une décompensation ascitique sur insuffisance de traitement dans le contexte d'une cirrhose éthylique connue. Une autre cause de décompensation ascitique, telle qu'une infection ou hémorragie digestive, n'est pas retrouvée. Nous ne notons pas d'insuffisance hépato-cellulaire associée. Ce patient bénéficie d'une ponction drainant 10 litres d'ascite, soulageant ses symptômes. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale probablement sur syndrome hépato-rénal de type II et une radiographie pulmonaire met en évidence un épanchement pleural gauche. Une antibioprophylaxie de la péritonite bactérienne spontanée n'est pas nécessaire au vu du gradient ascitique d'albumine. La majoration du traitement diurétique permet une stabilisation pondérale. Le patient rapporte également une volumineuse hernie inguinale gauche, connue de longue date mais ayant progressé en taille depuis 3 mois et le gênant à la mobilisation. Une prise en charge chirurgicale avait déjà été refusée en 2018 au vu des risques élevés dans le contexte de la cirrhose. Une intervention chirurgicale est à nouveau refusée pour le même motif, à ce jour. Mr. Y rentre à domicile en bon état général le 10.01.2020. Il lui est conseillé de se peser quotidiennement et de consulter son médecin traitant en cas de prise de plus de 2-3 kilos en une semaine. Mr. Y, 59 ans, est hospitalisé en surveillance après une surrénalectomie gauche dans un contexte d'hyperaldostéronisme primaire. Ce patient, connu pour une hypertension artérielle, présente un discret épaississement des glandes surrénaliennes principalement du côté gauche. Il bénéficie de l'intervention par laparoscopie, sans complication chirurgicale ni anesthésique (anesthésie sans opiacées). Il n'y a pas saignement, à noter que le patient refuse la transfusion sanguine (témoin Jehova). Il est hospitalisé aux soins intensifs en raison d'une notion de SAOS. Cependant, à l'anamnèse, le patient dit avoir été totalement bilan té et ne nécessitant pas d'appareillage. La surveillance dans notre service se déroule sans complication. Sur le plan de l'hypertension, nous reprenons son traitement de bétabloquant à J1 post-opératoire. Le traitement habituel d'aldactone n'est pas repris. Nous vous proposons de suivre le profil tensionnel et d'adapter le traitement en conséquence. À noter également un diabète (confirmé par une hémoglobine glyquée à 6.5%) actuellement non traité. Nous introduisons un schéma correctif pré prandial par Humalog. Nous vous laissons le soin de discuter l'introduction d'un traitement per os (par exemple Metformin) à distance de l'intervention chirurgicale. Mr. Y consulte les urgences pour des douleurs au pied droit en péjoration depuis 3 jours. Le patient ne connaît pas ces douleurs malgré une goutte avec dernière crise il y a 4 mois environ. De plus, le patient rapporte une dyspnée depuis 1-2 jours et une baisse de sa mobilité en rapport avec les douleurs. Après un dosage des D-Dimères qui reviennent positifs, une embolie pulmonaire bilatérale est diagnostiquée scanographiquement et un traitement de Rivaroxaban est mis en place. Nous recommandons une anticoagulation au long cours. Le patient est informé sur les risques d'une anticoagulation. Une échocardiographie transthoracique montre des signes indirects d'augmentation de la pression du ventricule droit, sans dilatation des cavités droites. Concernant les douleurs chroniques au pied droit, nous ne trouvons pas de piste infectieuse. Nous suspectons une crise de goutte et un traitement d'épreuve de Colchicine est mis en place mais n'apporte pas de bénéfice. Nous majorons légèrement la dose de Prednisone durant le séjour avec une réponse positive. De plus, avec le risque d'ostéoporose sur un traitement de corticoïdes à long terme, nous introduisons une substitution en Calcium et vitamine D. Concernant les douleurs difficilement contrôlables, nous avons transmis le dossier de Mr. Y à notre service d'antalgie qui le convoquera par la suite. Mr. Y peut rentrer en état général préservé le 10.01.2020. Mr. Y est un patient de 81 ans, hospitalisé pour une baisse de l'état général dans le contexte d'une hémorragie digestive haute. Le patient consulte aux urgences en raison de plusieurs épisodes de méléna et parfois d'hématochézie depuis 5 jours. Il mentionne une perte pondérale de 4 kg en 4 mois. Le bilan met en évidence une anémie normochrome normocytaire qui nécessite à deux reprises un soutien transfusionnel érythrocytaire. Un traitement d'IPP à hautes doses est mis en place et le traitement d'Eliquis est mis en suspens initialement. Le patient ne souhaite pas d'investigation endoscopique car il juge ces examens trop invasifs pour son âge. Il comprend les risques liés à cette décision et à la nécessité de diminuer les doses d'anticoagulant. Nous décidons d'une surveillance clinique et de laboratoire. En accord avec un avis cardiologique, nous décidons l'arrêt de l'Aspirine et de diminuer les doses d'Eliquis à 2.5 mg 2x/jour.L'hémoglobine restant stable et le patient ne présentant pas de nouvel épisode de méléna depuis 4 jours, il rentre à domicile le 22.01.2020. Un contrôle de l'hémoglobine est indiqué dans 1 semaine. Le patient est averti qu'une gastroscopie resterait indiquée en cas de récidive et que l'arrêt de l'anticoagulation serait également nécessaire. Mr. Y est admis aux soins intensifs en stroke unit monitorée pour une surveillance neurologique d'un AVC ischémique frontal droit lysé. Le patient de 54 ans se présente en ambulance en raison de l'apparition de céphalées frontales avec troubles visuels, puis une parésie faciale gauche et du membre supérieur gauche. À son admission aux urgences, le NIHSS initial est à 3 points. Le CT scanner Time is Brain révèle un AVC ischémique aigu sylvien droit avec pénombre frontale droite mais également une petite partie constituée au centre de la pénombre. Une thrombolyse par Actilyse est administrée. Un scanner de contrôle à 24 heures de la lyse ne montre pas de saignement secondaire, mais une hypodensité frontale droite correspondant à la constitution de l'AVC du territoire sylvien. Le NIHSS à la sortie de stroke unit monitorée est coté à 2 points pour une discrète disarthrie et une parésie faciale gauche légère. On note aussi une anosognosie. Le profil lipidique est perturbé et nous instaurons une statine. L'hémoglobine glyquée est à pister. Le bilan éthiologique sera à compléter par une échocardiographie et un enregistrement Holter qui sont organisés, et un éventuel trouble de la coagulation sera à investiguer. L'hétéro-anamnèse par la femme du patient rapporte une ronchopathie importante, avec une fatiguabilité et somnolence persistante au cours de la journée, faisant suspecter un syndrome d'apnée obstructive du sommeil. Le score STOP BANG est à 5 points, signifiant un risque élevé, et pour lequel des investigations complémentaires seront à entreprendre. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIC) pour une surveillance hémodynamique d'un pré-choc hypovolémique sur un hématome post-ponction biopsie du foie le 30.01.2020. Le patient de 73 ans, connu pour une maladie de Wegener, dialysé 3x/semaine, est hospitalisé depuis le 20.01.2020 pour une encéphalopathie métabolique d'origine multifactorielle (hosp SIB du 20.01 au 22.01). Une nouvelle perturbation cholestatique ambulatoire ne retrouve pas d'étiologie infectieuse ni obstructive. Dans le contexte des investigations complémentaires, une ponction biopsie est réalisée le 30.01.2020 sous US sur une lésion hépatique découverte à l'IRM. Les suites se compliquent d'un pré-choc hypovolémique se stabilisant après remplissage. Un hématome péri-hépatique sous-capsulaire est retrouvé au CT de contrôle, ainsi que des signes d'hypertension portale et de varices œsophagiennes (nouveaux). Durant la surveillance aux Soins Intensifs, Mr. Y reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Son abdomen reste diffusément sensible, sans défense ni détente. Son antiagrégation par aspirine et son anticoagulation thérapeutique sont mises en suspens dès le 30.01.2020. Nous vous laissons le soin d'évaluer leur reprise en fonction de l'évolution clinique du patient. En ce qui concerne son insuffisance rénale terminale, Mr. Y peut bénéficier de sa dialyse ce 31.01.2020. Au sujet des signes d'hypertension portale et de varices œsophagiennes décrits au CT du 30.01.2020, la réalisation d'une œsogastroduodénoscopie sera à réévaluer à Posterior. Mr. Y peut être transféré en médecine ce 31.01.2020. Mr. Y, 73 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une encéphalopathie métabolique d'origine plurifactorielle. Ce patient est connu pour une insuffisance rénale terminale dans un contexte de maladie de Wegener. Un changement de mode d'épuration rénale a récemment été effectué (passage de l'hémodiafiltration (Teranova) à l'hémodialyse (Fx80)) avec une réduction du débit de filtration. Le bilan ambulatoire d'une nouvelle perturbation cholestatique (ultrasonographie et sérologies) n'a pas identifié d'étiologie obstructive ni infectieuse. Dans ce cadre, le traitement par Azathioprine a été stoppé récemment et relayé par de la Prednisone pour la maladie de Wegener. Le patient nous est transféré de l'Hôpital de Riaz en raison d'un trouble de l'état de conscience apparu brutalement en cours de dialyse. La famille rapporte une aggravation de l'état neurologique depuis une dizaine de jours. Le patient présente également une tendance à la constipation. Une hyperammoniémie a été découverte et est associée à la cholestase persistante depuis plusieurs jours, sans autre signe d'hépatopathie. Le CT-scan cérébral a permis d'exclure une hémorragie ou une origine ischémique. L'EEG montre un tracé compatible avec une encéphalopathie métabolique et/ou toxique sans foyer irritatif. Ainsi, nous retenons une encéphalopathie métabolique avec perturbation du cycle de l'urée d'origine plurifactorielle (insuffisance rénale et mode de dialyse, médicamenteux, constipation). L'hyperammoniémie a été traitée par du lactulose, avec une évolution neurologique rapidement favorable. En cas de récidive, l'indication d'un dosage de L-carnitine pourrait être discutée. Des lithiases vésiculaires multiples ont été visualisées par échographie, mais sans signe de cholécystite ni dilatation des voies biliaires. Une bicytopénie avec anémie macrocytaire faiblement régénérative et une thrombocytopénie modérée sont connues, mais stables. La présence de schizocytes est plutôt attribuée aux dialyses itératives, l'hématologue ne retient pas de cause auto-immune hémolytique, ni de microangiopathie thrombotique, ni de thrombopénie induite par l'héparine. Les résultats d'ADAMT-13 sont en cours. Mr. Y est transféré le 22.01.2020 dans le service de médecine interne. Mr. Y est un patient de 34 ans, hospitalisé en électif pour une appendicectomie à froid dans le cadre d'une appendicite aiguë avec péri-typhlite et abcès péri-appendiculaire le mois d'octobre 2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont simples permettant un retour à domicile le 23.01.2020. Mr. Y se présente le 09.01.2020 spontanément à l'hôpital de Marsens avec des hallucinations et un délire de persécution. Il aurait consommé ces derniers temps plus d'alcool (jusqu'à 2-3 L de vin par jour). Face à l'incapacité de discernement, un PAFA est réalisé par Marsens, le patient est adressé à l'HFR Riaz, puis transféré le lendemain aux soins intensifs en raison d'un delirium tremens avec une alternance d'état de somnolence et d'agitation. L'évolution du delirium est favorable en 48 heures sous benzodiazépines dont les doses sont stables depuis le soir du 11.01.2020. Il persiste un tremor, mais le patient ne nécessite plus de traitement IV et peut se déplacer avec de l'aide. Il est réadressé à Marsens pour la suite du sevrage alcoolique, étant actuellement demandeur et volontaire à une prise en charge en milieu psychiatrique. Un PAFA est en cours, ayant été demandé le 09.01.2020 depuis Marsens.Le patient présente une simple stéatose hépatique, avec une perturbation des tests hépatiques en amélioration, et un US sans signe de complication. Nous proposons un suivi biologique vers le 17.01.2020. Mr. Y, 57 ans, connu pour consommation éthylique chronique, est adressé aux urgences depuis le RFSM CSH Marsens le 09.01.2019 en raison d'un syndrome de sevrage avec delirium tremens. En effet, le patient aurait consommé ces derniers jours plus d'alcool en raison des fêtes de fin d'année. La quantité quotidienne varie mais peut aller jusqu'à 2 à 3 litres de vin par jour. Dernière consommation d'alcool le matin du 09.01.2020 (4 bières à 9h30). Il se présente spontanément à l'hôpital de Marsens qui l'adresse aux urgences de Riaz pour suite de prise en charge. Le dosage de l'alcoolémie à Marsens est de 1.6 pour mille. Au status, nous retrouvons un patient agité mais collaborant, anxieux. L'examen des nerfs crâniens est grossièrement dans la norme, les réflexes ostéotendineux sont normovifs et symétriques. Les épreuves cérébelleuses sont normales. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont lointains, sans souffle audible. A l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté. Le reste de l'examen est non contributif. Le score de Cushman est à 7. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire ni de trouble ionique important, mais les tests hépatiques sont perturbés. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 64/min rassurant, des QRS fins, pas de signe de trouble ischémique ni de trouble de la repolarisation. Au vu des tests hépatiques élevés, nous réalisons un US hépatique qui montre une simple stéatose sans signe de complication. Nous prenons avis auprès de Dr. X, psychiatre de garde, qui propose une prise en charge du sevrage en somatique pendant 24 à 72 h. Nous mettons en place une hydratation IV par NaCl, introduisons un traitement de Benerva/Becozyme et de Seresta d'office et de réserve. Au vu d'une forte agitation psychomotrice, le patient reçoit également 2 fois 10 mg de Valium le matin du 10.01.2020. Nous gardons le patient hospitalisé sur la nuit aux urgences en lit monitoré pour une surveillance clinique et du score de Cushman avec adaptation du traitement. Mr. Y est transféré au soins intensifs de Fribourg le 10.01.2020 pour la prise en charge du syndrome de sevrage. Mr. Y est transféré de l'Hôpital Sainte Musse à Toulon pour la suite de prise en charge d'un AVC ischémique sylvien gauche le 24.12.19. Pour rappel, il a présenté une crise d'épilepsie généralisée le 24.12.19 lors de son séjour à Toulon avec son épouse. Le CT met en évidence un AVC ischémique dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne gauche, avec un thrombus au niveau de la branche M1. Une thrombectomie est effectuée le même jour. A l'admission, une fibrillation auriculaire paroxystique nouvelle est mise en évidence. Sur le plan neurologique, il présente une hémiparésie prédominante au niveau brachial droit, une aphasie globale ainsi que des troubles de la déglutition avec un NIHSS à 19. A son arrivée à l'HFR, le score NIHSS est à 16 avec une persistance de l'aphasie, de la paralysie du membre supérieur droit et d'une hyposensibilité du membre inférieur et supérieur droits. Une demande de neuro-réhabilitation intensive est demandée d'office. Dans l'attente, une prise en charge multidisciplinaire est débutée. Un programme spécifique de communication dans l'aphasie est mis en place par nos collègues ergothérapeutes et logopédistes. Un traitement par Eliquis pour sa fibrillation auriculaire est débuté le 09.01.20, après un contrôle scanographique montrant une disparition de la composante hémorragique. Un traitement par Atorvastatine est également débuté dès le 20.01.20. Un EEG de contrôle montre un ralentissement antérieur gauche d'allure lésionnelle sans composante irritative. Le traitement par Levetiracetam est poursuivi et sera réévalué lors d'une consultation neurologique de suivi dans 3 mois. Un traitement par Remeron est introduit en raison d'une baisse de la thymie confirmée par son entourage le 20.01.20. Durant son séjour, nous constatons une légère amélioration avec un début de mobilité au niveau de l'épaule droite et l'apparition de nouveaux mots. Mr. Y peut être transféré en neuro-réadaptation intensive le 23.01.20 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 62 ans, est transféré du CHUV pour acutisation de diarrhées chroniques avec insuffisance rénale aiguë stade AKIN 2. Le patient rapporte des diarrhées aqueuses en péjoration depuis 3 jours, non sanglantes, quantifiées à 4 épisodes par heure, avec douleurs abdominales et vomissements biliaires. A noter que le patient présente depuis avril 2019 des diarrhées chroniques, avec suivi gastroentérologique au CHUV, mettant en évidence un adénocarcinome du colon transverse stade pT1aN0M0 lors d'une colonoscopie le 29.09.2019, une oesophagite de reflux de grade B avec gastrite antrale et fundique avec aspect inflammatoire et ulcéré du duodénum, d'origine peu claire, lors d'une oeso-gastro-duodénoscopie le 05.11.2019. Le patient consulte primairement au CHUV, où un CT abdominal montre une stabilité de la panniculite mésentérique connue, avec syndrome inflammatoire biologique et insuffisance rénale aiguë stade AKIN 2 d'origine pré-rénale sur déshydratation. Les cultures de selles n'identifient pas d'origine virale, avec recherche de maladie de Whipple et de parasitose en cours. L'évolution clinico-biologique est progressivement favorable par traitement symptomatique, avec normalisation du transit, permettant un retour à domicile le 14.01.2020. Une consultation pré-chirurgicale est organisée le jour même au CHUV pour discussion de l'hémicolectomie sur marges de résection de polype non analysable. Un suivi gastroentérologique est de même prévu au CHUV dans le courant du mois pour poursuite des investigations infectiologiques. Le patient reste anosognosique concernant la maladie oncologique. Mr. Y, 85 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur pneumonie communautaire à germe indéterminé avec décompensation cardiaque gauche para-infectieuse le 18.01.2020. Le patient est initialement vu par MedHome le 07.01.2020 qui retient une pneumonie avec mise en place d'un traitement d'aérosols, amoxicilline et prednisone pour une durée de 7 jours. Suite à une péjoration clinique, son médecin traitant l'envoie à Riaz. En raison d'une désaturation sous oxygénothérapie et d'une évolution défavorable, le patient est transféré aux soins intensifs le 18.01.2020. La pneumonie communautaire basale droite à germe indéterminé évolue favorablement sous traitement par ceftriaxone. La décompensation cardiaque gauche attribuée au contexte infectieux est traitée par diurétiques de l'anse et des séances de ventilation non invasives intermittentes. Une échocardiographie ciblée montre une FEVG à 55%. Il n'y a pas d'argument pour une origine ischémique ou rythmique. Nous laissons le soin aux collègues de médecine interne de prévoir une nouvelle échocardiographie avant la sortie du patient. Une anémie normocytaire hypochrome, arégénérative, d'origine mixte, ferriprive et carentielle en folates et sur probable spoliation digestive chez un patient sous pixaban pour une fibrillation auriculaire permanente motive la transfusion 1 CE le 16.01 et 1 CE le 20.01. L'Eliquis est mis en suspens le 20.01 avec un relais par héparine IV continu. Il n'y a pas d'extériorisation sanguine lors du séjour aux soins intensifs. Un avis gastroentérologue sera demandé par les collègues de médecine interne afin de discuter d'un bilan endoscopique. Du pantoprazole est introduit.Une lésion kystique, spontanément hyperdense, mesurant 35 x 28 mm, au niveau du 3ème ventricule avec dilatation secondaire des ventricules latéraux (DD kyste colloïde) est mise en évidence sur le scanner du 15.01.2020 (recherche d'hémorragie suite à une chute mécanique). La prise en charge sera discutée avec les collègues de neurochirurgie lors du séjour en médecine interne. L'évolution est favorable, le patient peut être transféré en médecine interne le 21.01.2020. Mr. Y, 65 ans connu pour un éthylisme chronique et une lésion type Cameron au niveau cardiaque à l'OGD du 30.09.2019 est hospitalisé en médecine interne pour une hémorragie digestive haute. Le patient se présente au service des urgences suite à des épisodes de méléna depuis 1 semaine et 3 épisodes d'hématémèse le 05.01.2020 avec notion de chute anamnestique le 05.01.2020. Le bilan au service des urgences met en évidence une hémoglobine à 47 g/l. Mr. Y bénéficie de 3 transfusions de culots érythrocytaires. Il est mis en parallèle sous Pantozol et Sandostatine iv continu. Une OGD effectuée le 07.01.2020 montre une gastropathie portale sévère, des varices oesophagiennes stade I à II ainsi qu'une suspicion de varices cardio-fundiques sans stigmate de saignement important récent. Un traitement par Inderal est introduit avec une bonne tolérance. Un contrôle par OGD n'est pas recommandé si absence de nouvelle hémorragie digestive haute, décompensation au niveau hépatique. Devant la sévérité de l'anémie, il est recommandé d'organiser une coloscopie de contrôle en ambulatoire que nous vous laissons le soin d'organiser. Concernant sa cirrhose stadée Child-Pugh B, nous effectuons un US abdominal montrant un foie cirrhotique stable depuis le dernier CT du 09.10.2018 sans lésion focale et sans ascite avec des signes d'hypertension portale. Une consultation d'addictologie est organisée, il en ressort que le patient ne trouve pas sa consommation d'alcool problématique et qu'il ne souhaite pas d'aide. Un suivi psychiatrique à domicile avec un infirmier spécialisé est tout de même instauré avec son accord. Pour préparer son retour à domicile dans les meilleures conditions, nous organisons une réunion avec le curateur de Mr. Y et l'infirmière de liaison. Des soins à domicile sont instaurés. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y retourne à son domicile le 15.01.2020. Mr. Y, connu pour un syndrome de la veine cave supérieur sur une compression maligne dans un contexte de cancer pulmonaire du lobe supérieur gauche de type non petite cellule, épidermoïde, est hospitalisé pour une gestion d'antalgie dans le cadre de douleurs de la paroi thoracique droite au niveau C4-C5 et initiation de radiothérapie palliative à faible dose. Pour rappel, le patient présente depuis septembre 2019 des douleurs sous forme de serrement dans la paroi thoracique droite, constantes avec une péjoration en position assise ou debout. Il présente depuis le 14.01.2019 une nette augmentation des douleurs rendant insupportable toute verticalisation. Une antalgie par patch de Fentanyl en raison d'une insuffisance rénale est instaurée avec un bon effet sur les douleurs. En parallèle, des séances de radiothérapie à visée d'analgésie sont débutées dès le 20.01.2020. Au vu de la progression de la maladie oncologique, une chimiothérapie ne sera pas reprise sur avis de nos collègues oncologues. Suite à un colloque familial ainsi qu'à une discussion avec nos collègues des soins palliatifs, nous organisons une réhabilitation palliative avec comme projet un retour à domicile. Le patient est transféré le 31.01.2020 à la Villa St-François pour une réhabilitation palliative avec en parallèle des séances de radiothérapie prévues jusqu'au 07.02.2020 avec comme projet un retour à domicile avec soins à domicile majorés. Mr. Y présente une algurie et une rétention urinaire depuis 4 jours. Il a consulté le médecin de garde (Dr. X) 4 jours auparavant et a reçu une antibiothérapie par Nopil 800 mg/160 mg (Co-Trimoxazol) pour suspicion d'infection urinaire. Le patient consulte les urgences le 30.12.2019 en raison de l'aggravation des symptômes avec réveil impérieux et dysurie à la miction, une loge rénale droite sensible à la percussion et des douleurs lors du toucher rectal. Le bilan révèle un syndrome inflammatoire, un sédiment urinaire avec présence de leucocytes et la présence de Staphylococcus aureus à l'urotube. Devant le tableau d'infection urinaire à Staphylocoque aureus, le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine avec relais par Bactrim Forte jusqu'au 11.01.2020. Au vu des sensations de rétention urinaire et d'une prostate agrandie lors du toucher rectal, un Bladder scan est effectué et révèle un résidu post-mictionnel à 140 ml qui motive l'introduction du Tamsulosine le 30.12.2020. Au bilan urologique, l'US des voies urinaires montre une masse vascularisée sur la paroi latérale gauche de la vessie. L'urologue contacté (Dr. X) ne trouve pas d'indication à une éventuelle investigation urgente. Nous vous proposons donc de contacter le cabinet du Dr. X pour la suite des investigations. Mr. Y regagne son domicile le 06.01.2020. Mr. Y est un patient de 81 ans, connu pour un adénocarcinome du moyen rectum, qui est hospitalisé en chirurgie générale pour prise en charge élective avec résection ultra basse et colostomie terminale définitive par laparoscopie le 20.01.2020. L'intervention se déroule sans complication. Les suites postopératoires sont marquées par une insuffisance rénale d'origine prérénale traitée par hydratation intraveineuse. À noter que la plaie présente un écoulement sur la partie caudale, le 25.01.2020, des rinçages sont effectués quotidiennement. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et le patient quitte notre service pour un retour à domicile le 27.01.2020. Mr. Y sera revu pour un contrôle de plaie le 03.02.2020 à la consultation des Chefs de clinique et à la consultation du Dr. X pour un contrôle postopératoire le 03.03.2020. Mr. Y, patient de 64 ans, connu pour tabagisme actif, se présente aux urgences le 30.12.2019 en raison d'une toux avec expectorations jaunâtres depuis 3 jours et sensation de chaud froid sans fièvre mesurée. À son arrivée, il est hémodynamiquement stable, subfébrile et saturant à 86% à l'air ambiant. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire. La gazométrie montre une hypoxémie partielle à 8.9 kPa et la radiographie du thorax met en évidence un foyer pulmonaire basal droit. Nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid avec des aérosols et le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Les antigènes urinaires reviennent positifs pour le Pneumocoque et le Klacid peut être arrêté. L'oxygénothérapie a pu être sevrée en 3 jours. L'évolution clinico-biologique est favorable. Le Rocéphine est relayé par Zinat pour 10 jours. Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.01.2020. Mr. Y, 87 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne en raison d'un choc septique, probablement sur pneumonie. Le patient, institutionnalisé en home, nous est adressé en raison d'une dyspnée progressant sur une semaine, avec apparition d'une toux sans expectoration et d'un état fébrile depuis un jour, associé à une orthopnée. Une clinique typique de choc septique est observée, accompagnée d'une décompensation cardiaque globale. Un syndrome inflammatoire est présent au niveau biologique, et une radiographie du thorax montre une décompensation cardiaque, sans qu'un foyer pulmonaire puisse être exclu.Après discussion avec l'épouse de Mr. Y et sa fille, et au vu de l'attitude désirée par le patient, des soins maximum à l'étage sont initiés, avec une antibiothérapie par Ceftriaxone et une hydratation qui est débutée. L'évolution est rapidement défavorable. Mr. Y décède paisiblement le soir du 13.01.2020, entouré de sa femme et de ses deux filles. Mr. Y, 91 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique en raison d'une lipothymie associée à une bradycardie sinusale le 19.01.2020. Le patient, connu pour une hypertension artérielle, était debout à un spectacle pendant 30 minutes lorsqu'il présente une lipothymie précédée de vertiges, chaleur et sudation. Aux urgences, le patient présente une bradycardie sinusale avec des ondes T négatives dans le territoire latéral. Des troponines sont légèrement augmentées. Un massage du sinus carotidien revient dans la norme. Une échocardiographie montre une FEVG abaissée avec hypokinésie apicale évoquant une maladie coronarienne sous-jacente. Au vu de l'absence d'angor chez ce patient de 90 ans, nous proposons, d'entente avec les cardiologues, un traitement conservateur avec initiation de l'Aspirine Cardio 100 mg/j et un contrôle optimal des facteurs de risque cardiovasculaires. Concernant la lipothymie précédée de prodrome, une origine vaso-vagale est la plus probable. La surveillance montre une bradycardie sinusale qui se corrige le lendemain. Le patient peut rentrer à domicile le 20.01.2020. Mr. Y est un patient de 72 ans, connu pour le diagnostic susmentionné et hospitalisé dans le service de médecine le 07.01 pour une infection urinaire à E.coli sur masse lymphomateuse fistulisant vers le caecum et la vessie. Le patient bénéficie d'une 1ère cure d'antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam intraveineuse du 02.01.2020 au 10.01.2020. Le 17.01.2020, le patient présente une nouvelle infection urinaire à E. coli (sensible à la Pipéracilline-Tazobactam) motivant une 2ème cure d'antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam intraveineuse du 17.01.2020 au 24.01.2020. Suite à la discussion au colloque onco-chirurgical du 15.01.2020, le patient bénéficie d'une transversostomie par laparoscopie et d'une cystoscopie diagnostique le 22.01.2020. En raison d'une infiltration trop importante de la paroi vésicale avec infiltration des méats, une pose de sonde double JJ n'est pas réalisable. L'évolution post-opératoire immédiate se complique par une tamponnade vésicale motivant une reprise au bloc opératoire pour une cystoscopie avec pose de sonde urinaire à 3 voies pour un rinçage en continu. L'évolution post-opératoire est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 29.01.2020. Mr. Y, patient de 21 ans, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 09.01.2010 en raison de céphalées. Après un exercice physique de pompier volontaire avec bonbonne d'air sous pression (mais sans oxygène) vers 21h30, il présente un flou visuel de l'hémichamp droit qu'il décrit comme du papier cellophane. Il rentre tout de même à son domicile en voiture, où il présente plusieurs vomissements et une céphalée qui est apparue en 2-3 minutes et évaluée à 10/10, frontale bilatérale et pulsatile. Les deux symptômes persistent jusqu'à environ 5 heures du matin le lendemain. À l'admission aux urgences, l'examen neurologique révèle une légère dysarthrie avec aphasie de compréhension. Le reste de l'examen neurologique ainsi que du statut clinique par système est sans particularité. Le patient n'a pas de pathologie psychiatrique préexistante. Il n'est pas connu pour des migraines, mais son père et sa grand-mère le sont. Un ECG est réalisé et ne montre pas de particularité. Devant les signes neurologiques atypiques, nous effectuons un CT cérébral ne mettant en évidence ni hémorragie sous-arachnoïdienne, ni thrombose des sinus, ni malformation artério-veineuse, mais une lésion hyperdense frontale droite de 8 mm. Nous prenons avis auprès du neurologue de garde (Dr. X) qui préconise la réalisation d'une PL à la recherche d'une méningite et d'une hémorragie sous-arachnoïdienne. Celle-ci se passe de façon atraumatique et l'analyse du LCR (eau-de-roche) ne montre pas d'éléments en faveur d'une hémorragie ou d'une méningite. Les céphalées s'amendent progressivement avec l'antalgie mise en place (Dafalgan et AINS) et nous gardons le patient en surveillance au lit monitoré la nuit du 09.01.2020 au 10.01.2020. La symptomatologie neurologique disparaît également totalement et le patient est transféré à l'étage de médecine. L'IRM cérébrale effectuée le 10.01.2020 est totalement normale, ne retrouvant aucunement la lésion frontale présente au CT réalisé plus tôt. Les radiologues évoquent un artéfact présent sur le CT cérébral. Nous demandons l'avis des neurologues (Dr. X) pour la suite de prise en charge. Ils nous proposent d'exclure radiologiquement un PRES ou un RCVS, ainsi qu'un kyste du 3ème ventricule ou une lésion pituitaire, ce que le Dr. X peut confirmer. Le contrôle biologique met en évidence une légère hypokaliémie à 3.3 mmol/l que nous substituons par Potassium Effervet 1x/j pendant 5 jours. Nous retrouvons également une leucocytose à 17.5 G/l sans augmentation de la CRP, avec diminution à 13.5 G/l au laboratoire de contrôle. L'examen clinique et l'anamnèse par système étant sans particularité, nous décidons d'effectuer un urotube qui revient négatif. À la sortie, un examen neurologique de contrôle est effectué. Nous retrouvons un GCS à 15/15, une orientation dans les 3 modes, des pupilles isocores isoréactives. Les nerfs crâniens sont dans la norme sans latéralisation nette, la poursuite oculaire est lisse, champ visuel sans particularité. Le langage est également testé avec une compréhension, production, lecture sans particularité. Barré tenu. La force, le tonus et la sensibilité sont symétriques aux 4 membres. Les réflexes ostéotendineux sont symétriques aux 4 membres. Épreuves cérébelleuses : doigt-nez : sans particularité, genou-tibia sans particularité. Marche, Romberg et Unterberger sans particularité. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 11.01.2020, avec proposition de contrôle à votre consultation ainsi que suite de prise en charge par un neurologue. Mr. Y, 43 ans, est hospitalisé pour une crise thyrotoxique probablement sur traitement d'Amiodarone. Il est transféré du service de cardiologie après une cardioversion élective d'un flutter auriculaire inaugural chez un patient connu pour une fibrillation auriculaire diagnostiquée en 2017 et traitée par Amiodarone jusqu'en octobre 2019. Il présente depuis 2 semaines une fatigue importante avec tremblement, agitation, intolérance à la chaleur, des diarrhées et une sensation de gêne pharyngée. Les laboratoires montrent une TSH à < 0.005 mU/l, T3 libre > 50 pmol/l et T4 libre >100 pmol/l. Les anticorps anti-TPO, anti-thyréoglobuline et anti-TRAK, effectués en ambulatoire chez son médecin traitant, sont négatifs. Un avis endocrinologique retient une thyrotoxicose sur Amiodarone de type 2 probable. Une échographie thyroïdienne effectuée par nos collègues endocrinologues montre des images compatibles avec une destruction de la glande. Le Néomercazole, introduit en ambulatoire, est alors majoré. Nous introduisons également de la Prednisone. Du Propranolol est introduit, remplaçant le Metoprolol, puis titré à la hausse en raison d'une tachycardie. Un ECG, le 19.01.2020, montre une récidive de fibrillation auriculaire. L'échocardiographie transthoracique montre une hypokinésie minime du septum basal, sans autre anomalie. Selon un avis cardiologique, une nouvelle échocardiographie transthoracique est prévue dans 1 mois. En cas de persistance de la fibrillation auriculaire à ce moment-là, une nouvelle cardioversion sera planifiée. Nous vous laissons le soin de prévoir un rendez-vous avec Dr. X dans 6 mois pour une potentielle ablation de fibrillation auriculaire.L'évolution favorable permet le retour à domicile le 24.01.2020, avec de l'Indéral 3 x 80 mg d'office et 3 x 20 mg en réserve si la fréquence cardiaque > 100 bpm (mesure de la fréquence cardiaque enseignée au patient). Il sera vu en consultation endocrinologique le 28.01.2020. • Mr. Y présente une lésion stade II du ligament collatéral interne du genou D associée à une contusion osseuse du condyle fémoral externe. Je propose un traitement conservateur. Le patient ira faire de la physiothérapie à but antalgique et pour rééducation à la marche. Le patient reste en arrêt de travail à 100% jusqu'au 16.02.2020, reprise prévue le 17.02.2020 à titre d'essai. Je reverrai le patient le 21.02.2020 pour un contrôle clinique à ma consultation. L'attelle jeans peut être enlevée. La thromboprophylaxie peut être arrêtée. • Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIC) pour un NSTEMI sur occlusion subaiguë de la première marginale. Patient de 46 ans qui présente des douleurs thoraciques oppressives irradiant dans le bras gauche et la nuque. L'ECG montre des ondes T négatives en V5 et V6, et les enzymes cardiaques sont positives. La coronarographie démontre une occlusion d'une grosse branche marginale comme corrélat à l'infarctus, une dysfonction ventriculaire gauche systolique modérée ainsi qu'une sténose intermédiaire de la circonflexe distale. Le patient bénéficie d'une recanalisation de la première marginale avec implantation d'un stent actif et avec bon résultat final. L'échocardiographie de suivi montre une FEVG à 41%, avec un anévrysme apical important, ne correspondant pas au territoire de son infarctus actuel. Concernant cet anévrysme apical, sur avis cardiologique, nous débutons une triple thérapie par Aspirine, Plavix et Xarelto pour une durée de 3 mois, avec une poursuite du Plavix et du Xarelto pour une durée totale de 12 mois. Une IRM cardiaque est en cours de demande. Nous vous laissons le soin de pister la date du rendez-vous de cet examen. Le patient sera présenté au Heart Team de l'HFR la semaine prochaine. Un suivi cardiologique au HFR est à prévoir dans 1 mois. Nous majorons la statine pour des LDL cibles à < 1.4 mmol/l. L'hémoglobine glyquée est dans la norme. La surveillance clinique et rythmique est sans particularité. En date du 08.01.2020, Mr. Y est transféré à Meyriez en unité de médecine interne pour la suite de la prise en charge. • Mr. Y, 55 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique stade V dialysé et un retard mental, consulte les urgences de Riaz le 27.12.2019 en raison de douleurs rétrosternales. Un NSTEMI est diagnostiqué et le patient est transféré à l'HFR Fribourg pour réalisation d'une coronarographie le 29.12.2019, qui met en évidence une maladie coronarienne tritronculaire avec une lésion subtotale de l'IVA moyenne, traitée par 2 stents actifs, une lésion subtotale de la première diagonale, traitée également par 2 stents actifs et une lésion intermédiaire (50-70%) de la coronaire droite moyenne, qui sera traitée lors d'une nouvelle coronarographie dans 3 mois. L'aspirine est à poursuivre à vie et l'Efient pour 6 mois. Durant le séjour, une décompensation cardiaque sur potomanie est diagnostiquée et une restriction hydrique est mise en place. Des séances de dialyse sont réalisées régulièrement avec une bonne tolérance hémodynamique. Pour l'anémie normocytaire normochrome chronique d'origine rénale, le patient bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 02.01.2020, afin d'éviter une lésion ischémique cardiaque secondaire, ainsi qu'une double dose d'érythropoïétine le 03.01.2020. L'évolution est favorable et le patient regagne son domicile le 09.01.2020. • Mr. Y, 69 ans, est admis aux soins intensifs suite à une lobectomie de totalisation du lobe inférieur droit et curage ganglionnaire en raison du nodule suspect le 16.01.2020. Un athérome du bras gauche est excisé le jour même. Pour rappel, le patient est connu pour un hématome alvéolaire du lobe pulmonaire inférieur droit réséqué en 2018. Un PET-CT effectué le 25.11.2019 montrait une hypercaptation pulmonaire postéro-basale droite, suspecte d'une origine maligne. L'anesthésie péridurale posée en post-opératoire est retirée le 17.01 en raison d'un mal-positionnement. Le traitement antalgique est substitué par une PCA morphine efficace. Deux drains thoraciques sont en place en antérieur apicale et postérieur. Le drain antérieur pourra être retiré le 18.01. Une consultation est prévue chez Dr. X à 6 semaines. Le patient est transféré en chirurgie le 17.01.2020. • Mr. Y, 89 ans, est amené aux urgences par ses voisins en raison d'une chute sur son épouse sans trauma crânien ni perte de connaissance. Une hypotension est remarquée au tri et le patient rapporte une toux avec dyspnée péjorée ces derniers jours. L'ECG réalisé aux urgences montre un rythme électro-entraîné avec des NT-ProBNP à 29000 au bilan biologique et des signes de surcharge au contrôle radiographique. Une décompensation cardiaque globale est retenue et un traitement par diurétique intra-veineux est initié aux urgences. Le patient est transféré en médecine pour la suite de la prise en charge. L'interrogation du pacemaker met en évidence une fibrillation auriculaire continue depuis le 31.12.2019 chez un patient connu pour une fibrillation auriculaire intermittente. Une anticoagulation n'avait pas été initiée au vu du risque hémorragique élevé. Le traitement médicamenteux par Cordarone et Torasémide est adapté. Une échocardiographie transthoracique de contrôle montre une fonction cardiaque globalement stable. Un syndrome inflammatoire est mis en évidence à l'entrée, sans foyer clinique ou biologique retrouvé. Il évolue favorablement de manière spontanée au décours de l'hospitalisation. L'acutisation de son insuffisance rénale chronique évolue favorablement avec une hydratation. Une protéinurie et hématurie sont retrouvées au sédiment urinaire, probablement secondaires à la mobilisation de la sonde lors de ses épisodes de confusion nocturne. Un sevrage de la sonde urinaire est effectué le 07.01.2020 avec bonne reprise mictionnelle et nous vous proposons de refaire un sédiment urinaire à une semaine pour suivre l'évolution. Durant l'hospitalisation, Mr. Y présente des épisodes d'hypotension à plusieurs reprises, probablement sur une dysautonomie secondaire à sa maladie de Parkinson. Le Schellong montre une diminution de 20 mmHg non symptomatique. Le bêta-bloquant est stoppé dans ce contexte au vu d'une mauvaise tolérance avec des vertiges et chutes tensionnelles. Une hypothyroïdie est mise en évidence durant l'hospitalisation que nous vous proposons de contrôler dans 4-6 semaines. Une situation à domicile de plus en plus précaire est relevée suite à une discussion avec Mr. Y et son épouse, hospitalisée dans le même contexte et transférée à l'HFR Tavel. Elle a comme projet de vendre sa maison et souhaite effectuer les inscriptions pour une entrée en EMS pour les 2. Ils ne souhaitent pas de soins à domicile. Nous vous proposons de réévaluer le projet avec le couple. Le patient est transféré à l'HFR Tavel en gériatrie aiguë pour la suite de la prise en charge. • Mr. Y, 78 ans, connu pour une BPCO, un diabète de type 2, une hypertension artérielle, une diverticulose sigmoïdienne et une maladie de Crohn, consulte les urgences le 24.12.2019 en raison de douleurs abdominales évoluant depuis 3 jours actuellement en péjoration. Ces douleurs sont diffuses et accompagnées par une dysphagie aux solides.Le patient ne présente pas de nausée ou de vomissement, pas de diarrhée. Le transit est conservé. Il décrit une perte d'appétit avec une diminution des apports alimentaires. Il a noté un changement du goût. Au status digestif, l'abdomen est augmenté de volume. Notons des douleurs abdominales diffuses à la palpation avec une défense diffuse prédominant au niveau des fosses iliaques droite et gauche, pas de détente. Les bruits intestinaux sont présents mais diminués en fréquence. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 12,5 G/l, une CRP à 41 mg/l, une créatinine à 192 umol/l, une urée à 28,4 mmol/l ainsi qu'une anémie avec hémoglobine à 116 g/l (connue). Le sédiment urinaire revient dans la norme. Vu la présence de 3 épisodes de selles liquides aux urgences nous réalisons une PCR des selles qui revient négative. Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, qui propose d'améliorer la fonction rénale avant de réaliser le CT abdominal. Une insuffisance rénale aiguë prérénale sur insuffisance rénale chronique est traitée par hydratation. La fonction rénale s'améliore progressivement permettant la réalisation d'un CT abdominal le 27.12.2019. Celui-ci montre la présence d'un orifice herniaire au pli inguinal droit avec argument en faveur d'un status post-réduction d'une hernie inguinale grêle, une petite collection liquidienne au sein de la graisse dans le canal inguino-scrotal ainsi qu'une diverticulose sigmoïdienne calme. Une antibiothérapie par Rocéphine 2 g et Metronidazole 500 mg iv est débutée aux urgences dans l'hypothèse d'un processus infectieux intra-abdominal, en raison de la présence d'un syndrome inflammatoire biologique et de l'absence initiale d'imagerie en raison de la fonction rénale. Une candidose oesophagienne, suspectée au vu de la dysphagie et du changement du goût, est traitée par Fluconazol 200 mg. En date du 29.12.2019 à 05h45, le patient est retrouvé par les soignants inconscient avec un Glasgow Coma Scale à 3/15, avec des pupilles aréactives. Les paramètres vitaux sont dans les normes. Nous effectuons une gazométrie et un laboratoire ainsi qu'un scanner cérébral. Ce dernier met en évidence une hémorragie cérébrale massive. Nous prenons contact avec les neurochirurgiens de l'Inselspital de Bern, qui ne posent pas d'indication à une opération neurochirurgicale vu l'étendue de l'hémorragie et les comorbidités du patient. Un contact est également pris avec les soins intensifs de l'Inselspital de Bern et de Fribourg. Ils ne retiennent pas l'indication à une hospitalisation aux soins intensifs en raison du pronostic très sombre et de l'absence de possibilité chirurgicale. Nous prenons contact avec la famille du patient et discutons de vive voix avec son épouse et ses filles afin de leur exposer la situation. Nous décidons avec leur accord de mettre en place des soins de confort exclusifs à l'étage à partir du 29.12.2019. Dans ce contexte, une antalgie par morphine et Midazolam en IV continu est débutée. Mr. Y décède le 30.12.2019, entouré de sa famille. Mr. Y, 78 ans consulte aux urgences pour douleurs abdominales évoluant depuis 3 jours actuellement en péjoration. Il est connu pour une BPCO, un diabète de type 2, une HTA, une diverticulose sigmoïdienne, une maladie de Crohn et présente des douleurs abdominales diffuses depuis plusieurs jours, accompagnées par une dysphagie aux solides. Le patient ne présente pas de nausée ou de vomissement, pas de diarrhée, transit conservé. Il décrit une perte d'appétit avec une diminution des apports alimentaires. Il a noté un changement du goût. Examen clinique : Neurologique : patient calme conscient orienté, glasgow 15, pas de déficit moteur ou sensitif aux quatre membres CV : B1B2 bien frappés, pas d'oedèmes des membres inférieurs Respiratoire : murmure vésiculaire bilatérale et symétrique, pas de bruits surajoutés Digestif : abdomen augmenté en volume, douleurs abdominales diffuses à la palpation avec une défense diffuse prédominant au niveau des fosses iliaques droite et gauche, pas de détente, bruits intestinaux présents mais diminués en fréquence Uro : loges rénales indolores à la percussion Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytes à 12,5, CRP à 41, créatinine à 192, urée à 28,4, anémie avec Hb à 116 (connue). Le sédiment urinaire revient dans la norme. Vu la présence de 3 épisodes de selles liquides aux urgences nous réalisons une PCR des selles qui revient négative. Nous prenons l'avis du Dr. X qui propose d'améliorer la fonction rénale avant de réaliser le CT abdominal. Une insuffisance rénale aiguë prérénale sur insuffisance rénale chronique est traitée par hydratation. La fonction rénale s'améliore progressivement permettant la réalisation d'un CT abdominal le 27.12.2019. Celui-ci montre la présence d'un orifice herniaire au pli inguinal droit avec argument en faveur d'un status post-réduction d'une hernie inguinale grêle. Petite collection liquidienne au sein de la graisse dans le canal inguino-scrotal. Diverticulose sigmoïdienne calme. Une antibiothérapie par Rocéphine 2 g et Metronidazole 500 mg IV a été débutée aux urgences dans l'hypothèse d'un processus infectieux intra-abdominal, en raison de la présence d'un syndrome inflammatoire biologique et de l'absence initiale d'imagerie en raison de la fonction rénale. Une candidose oesophagienne est suspectée au vu de la dysphagie, du changement du goût, elle est traitée par Fluconazol 200 mg. En date du 29.12.2019 à 5h45, le patient est retrouvé par les soignants inconscient avec Glasgow Coma Scale à 3/15, avec des pupilles aréactives. Les paramètres vitaux sont dans les normes. Nous effectuons une gazométrie et un laboratoire ainsi qu'un scanner cérébral. Ce dernier met en évidence une hémorragie cérébrale massive. Nous prenons contact avec les neurochirurgiens de l'Inselspital de Bern, qui ne posent pas d'indication à une opération neurochirurgicale vu l'étendue de l'hémorragie et les comorbidités du patient. Un contact est également pris avec les soins intensifs de l'Inselspital de Bern et de Fribourg. Ils ne retiennent pas l'indication à une hospitalisation aux soins intensifs en raison du pronostic très sombre et de l'absence de possibilité chirurgicale. Nous prenons contact avec la famille du patient et discutons de vive voix avec son épouse et les filles du patient afin de leur exposer la situation. Nous décidons en accord avec la famille de mettre en place des soins de confort exclusif à l'étage à partir du 29.12.2019. Une antalgie par morphine et midazolam en IV continu est par conséquent débutée. Le patient décède paisiblement à l'étage le 30.12.2019 entouré par sa famille. Mr. Y, âgé de 79 ans, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire et réentraînement à l'effort suite à une insuffisance respiratoire partielle persistante post-pneumonie. Le vaccin contre la grippe est à jour. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (ancien employé à la centrale de béton de SIMA à Tavel pendant 43 ans). Mr. Y fait un élevage de poules et de lapins et s'occupe des foins. À l'admission, le patient rapporte une dyspnée mMRC stade 2 avec légère toux, sans expectoration. Mr. Y a une saturation d'oxygène à 91% sous O2 1 lt/min. À l'auscultation pulmonaire, on retrouve des râles crépitants bilatéraux au niveau des lobes inférieurs.La spirométrie d'entrée n'est malheureusement pas possible à pratiquer; le patient ne comprend pas les consignes. La gazométrie d'entrée sous O2 1lt/min montre une saturation à 91% avec une hypoxémie légère sans hypercapnie, raison pour laquelle nous poursuivons une oxygénothérapie au débit de 1lt/min au repos. La radiographie du thorax réalisée le 30.12.2019 met en évidence un inspirium diminué entraînant un tassement du parenchyme pulmonaire. On retrouve, par rapport au 16.12.2019, un aspect infiltré réticulonodulaire prédominant aux 2 bases pulmonaires évoquant une pneumopathie interstitielle de type fibrose. Le CT scan thoracique, réalisé aux soins aigus en raison de l'hypoxémie persistante, démontre une pathologie interstitielle fibrosante (bronchiectasies de traction, nid d'abeilles + réticulations fines). La présence de piégeage gazeux aux sommets fait évoquer la présence d'une pneumopathie d'hypersensibilité. Par ailleurs, le patient est exposé aux poussières agricoles et aux déjections de poules. Les précipitines ne sont pas dosées. Le bilan fonctionnel ne peut malheureusement être pratiqué par le patient. La maladie et l'éviction stricte de ces antigènes sont expliquées au patient, mais ce dernier ne comprend pas les enjeux, possiblement en raison de troubles mnésiques. Ces informations sont relayées à sa famille. Nous lui proposons de reprendre contact avec le Dr X et de discuter d'une éventuelle bronchoscopie (LBA) +/- corticothérapie systémique selon l'évolution. Sur le plan nutritionnel, le patient a bénéficié d'un régime normal, il a eu une perte d'appétit durant son hospitalisation en soins aigus qu'il a reprise en réhabilitation. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 305 m à 380 m et le patient augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 20 minutes de 0.880 km (15 Watts) à 5 km (25 watts). Une oxygénothérapie au débit de 4 lt/min est nécessaire à l'effort. À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Nous réalisons des examens complémentaires spéciaux (facteurs antinucléaires, Dot Vasculite Anca, DOT connectivite ANA, Anti-ccp) qui reviennent négatifs. Le résultat HIV est négatif. Après 2 semaines et demie d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 15.01.2020, en bon état général. Mr. Y est hospitalisé pour une douleur rétrosternale de 30 secondes irradiante dans le bras gauche le 16.01.2020 et des vertiges orthostatiques depuis le 13.01. Il bénéficie d'un ECG, d'un laboratoire et d'une échocardiographie trans-thoracique montrant une cardiopathie ischémique stable et excluant un événement ischémique aigu. Concernant les vertiges d'allure orthostatique, nous réalisons un examen neurologique normal et un test de Schellong pathologique. Au vu des nombreuses extrasystoles ventriculaires parfois polymorphes avec phénomène R sur T, nous pensons que la symptomatologie peut être liée à cette arythmie (vertiges, douleur sur contraction ventriculaire sur valves fermées). Après discussion avec les cardiologues, nous proposons d'augmenter le Nebilet à 5 mg à partir du 18.01 (48h correspondante sur le holter) afin de diminuer l'incidence des extrasystoles ventriculaires. Le besoin de mettre en place un pacemaker avec défibrillateur avait été abordé à l'hôpital de Berne ; en rediscutant avec le patient, celui-ci refuse le pacemaker s'il s'avère nécessaire. Un Holter de 48h est donc mis en place à 15h le 17.01 et nous vous laissons le soin d'organiser un rendez-vous en cardiologie pour décider de la suite après interprétation de l'examen. Dans l'intervalle, nous expliquons au patient que la conduite est contre-indiquée. Au vu des examens cliniques et biologiques rassurants ainsi qu'une bonne compréhension de la situation de la part du patient et sa volonté de retour à domicile, nous le laissons sortir le 17.01.2019 avec son Holter et un rendez-vous chez son médecin traitant le lundi à 8h15. Mr. Y, connu pour une probable BPCO avec bronchiectasie surinfectée chroniquement par du P. aeruginosa et pour de multiples pneumonies entre 2018-2019 (suivi par la Dr X), se présente aux urgences le 02.01.2020 en raison d'une dyspnée au moindre effort depuis une semaine, avec toux, expectorâts jaunâtres et sibilances audibles sur les 2 plages pulmonaires. Devant un syndrome inflammatoire et une image radiologique pulmonaire suspecte de foyers bilatéraux, le patient est hospitalisé et mis sous Céfépime du 03 au 06.01.2020. Une radiographie pulmonaire de contrôle effectuée le 06.01.2020 montre la persistance d'infiltrats alvéolaires au niveau de la plage pulmonaire droite et à mi-plage pulmonaire gauche. L'évolution est plutôt favorable sous antibiothérapie avec disparition de la toux et des expectorâts. Devant cette évolution favorable et selon son souhait, Mr. Y quitte notre service le 07.01.2020. L'antibiothérapie IV est relayée par la co-amoxicilline per os. Le traitement prophylactique par Zithromax sera à reprendre dès la fin de l'antibiothérapie. Un suivi est prévu à la consultation de la Dr X à 2 semaines de la sortie. Mr. Y est un patient de 61 ans connu pour un carcinome rénal avec des métastases pulmonaires, traité par immunothérapie depuis décembre 2019. Il est hospitalisé depuis la consultation ambulatoire d'oncologie en raison d'une baisse de l'état général avec des diarrhées et des nausées. Mr. Y a reçu la 2ème séance d'immunothérapie il y a une semaine et demie et, suite à cela, il développe des diarrhées qui ne répondent pas au Lopéramide. Le status est sans particularité. Nous diagnostiquons une hépatite de grade 4 et une colite de grade 2 d'origine toxique probablement sur le Pembrolizumab, bien qu'une toxicité sur l'Axitinib soit également probable. Concernant l'atteinte hépatique, une origine virale est exclue sur la base de sérologies négatives (hépatites B, C, E, HIV). Une échographie hépatique n'a pas montré de thrombose porte, ni de dilatation des voies biliaires. L'anamnèse est négative pour la prise d'autre toxique ou automédication. Les traitements hépato-toxiques sont mis en suspens (Pravastatine). Concernant la colite, une analyse de selles exclut une origine infectieuse (PCR entéropathogènes, rotavirus, radenovirus, recherche de C. difficile négatives), la recto-sigmoïdoscopie du 16.01.2020 est normale. Le diagnostic anatomopathologique est celui de : • muqueuse colique d'architecture préservée, en partie présentant des indices de régénération épithéliale dans le contexte d'une réaction inflammatoire de composition cellulaire mixte, d'intensité faible à modérée, inactive. Un traitement de Solumédrol est débuté le 13.01.2020 avec une très bonne réponse clinique et biologique permettant un relais par Prednisone 1 mg/kg dès le 20.01.2020. La corticothérapie est à prévoir pour 4 à 6 semaines selon réponse clinique. Un suivi clinique et biologique est agendé pour le 22.01.2020 chez l'oncologue traitant, Dr X, avec adaptation du schéma de corticothérapie et planification de la suite du traitement oncologique. Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état général le 19.01.2020. Mr. Y, patient de 80 ans connu pour une maladie de Parkinson et diabète de type 2, se présente aux urgences le 23.12.2019 en raison de douleurs abdominales localisées en hypochondre gauche présentes depuis des années que le patient avait mises en relation avec une maladie de Parkinson. À noter que le patient est traité par Nitrofurantoïne depuis le 22.12.2019 pour une infection urinaire.A l'admission aux urgences, Mr. Y est en état général conservé, afébrile et hémodynamiquement stable. A l'examen clinique, nous remarquons une sensibilité au niveau de la fosse iliaque gauche sans signe de péritonisme. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et les urines sont sales. Devant cette clinique, nous demandons un CT abdominal qui montre principalement une coprostase du côlon ascendant et transverse. Il n'y a pas de dilatation pyélocalicielle. Nous prélevons un urotube et le patient est traité par Ciprofloxacine pour une infection urinaire avec prostatite. L'US abdominal montre une prostate hypertrophiée sans résiduel post-mictionnel significatif. Finalement, l'urotube est positif pour E. Coli multisensible. Le traitement antibiotique est à poursuivre pour 14 jours. Le CT abdominal met également en évidence une majoration en taille d'un nodule à contours spiculés dans le lobe moyen, mesurant 14 mm de plus grand axe contre 8 mm sur l'examen comparatif, provoquant un effet de traction sur la petite scissure, suspect d'atteinte néoplasique. Sur avis oncologique, un PET Scan est organisé pour le 09.02.2020. La coprostase est traitée avec succès par laxatifs et un lavement. Vu la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y regagne son domicile le 01.01.2020. Il est attendu à l'HFR Fribourg le 09.01.2020 pour le PET Scan. Suivant le résultat de l'examen, le cas sera discuté au Tumor board pour la suite de la prise en charge oncologique. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Mr. Y, 60 ans, est hospitalisé pour une neutropénie fébrile due à une entéro-colite à Campylobacter dans le contexte d'une chimiothérapie le 28.12.2019. Le patient présente dans les suites d'une chimiothérapie par Gemzar pour un carcinome urothélial une diarrhée associée à une baisse de l'état général. Au vu de la neutropénie, une antibiothérapie à large spectre par Cefepime et Metronidazole est débutée, avec traitement de support de Neupogène. Les examens microbiologiques identifient une infection à Campylobacter, motivant un relais par Azithromycine pour une durée totale de 7 jours. Une bactériémie à Staphylocoque hominis est de même identifiée, venant très probablement d'une contamination lors du prélèvement, en l'absence d'autant plus de clinique évocatrice. L'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un retour à domicile le 02.01.2019. Mr. Y, 77 ans, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur pneumonie multilobaire dans un contexte de BPCO stade III selon Gold. Le patient est hospitalisé à l'HFR Riaz suite à l'apparition d'une dyspnée importante, douleurs basithoraciques à gauche ainsi qu'un état fébrile associé. Le bilan met en évidence une pneumonie multilobaire avec des foyers bibasales ainsi qu'au niveau du lobe supérieur gauche au CT thoracique. Une antibiothérapie empirique par co-amoxicilline et clarithromycine i.v. est débutée puis relayée par Co-amoxicilline p.o. le 19.12.2019. Après amélioration clinico-biologique initiale, le patient présente une augmentation des besoins en oxygène dès le 20.12.2019 avec insuffisance respiratoire hypoxémique motivant son transfert aux soins intensifs à l'HFR Fribourg. L'évolution est rapidement favorable sous ventilation non invasive sans récidive de désaturation significative chez ce patient hypoxémique chronique. L'oxygénothérapie est poursuivie à 2 l/min. L'antibiothérapie n'est pas modifiée et est interrompue le 22.12.2019. Nous continuons son traitement bronchodilatateur habituel. Un suivi pneumologique est proposé en ambulatoire avec évaluation des fonctions pulmonaires en dehors de l'épisode aigu. Le patient rentre le 03.01.2020 à domicile avec intensification des soins à domicile. Mr. Y, 84 ans, est hospitalisé en raison d'une probable pneumonie communautaire avec décompensation cardiaque globale. Il est adressé au service des urgences pour une toux insomniantes depuis 24 h associée à une orthopnée. Une hypertension et des signes cliniques d'OAP sont observés, confirmés par une radiographie de thorax. Il bénéficie d'un traitement diurétique avec bonne évolution. Nous recommandons une adaptation des doses de diurétiques prochainement. Une pneumonie communautaire concomitante, retenue comme cause de la décompensation de l'insuffisance cardiaque, est traitée par antibiothérapie pour une durée totale de 7 jours. Les différentes investigations microbiologiques reviennent négatives. L'évolution est également favorable. Un état confusionnel aigu s'amende progressivement avec les traitements cardiaques et de l'infection. La bonne évolution permet le retour à domicile le 18.01.2020. Mr. Y est admis pour une nouvelle thermoablation élective au vu de récidives de fibrillation auriculaire depuis juillet 2019. On procède à une ablation de la fibrillation auriculaire par réisolation de la VPSD (retouche VPID), isolation de la veine cave supérieure (F50A cathétérisme transeptal, mapping 3D OG, mesure de la pression d'appui). Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complication et le patient bénéficie d'une surveillance à l'étage de médecine interne pendant un jour. Nous proposons de continuer le traitement anticoagulant par Lixiana pendant 3 mois. De plus, une hypercholestérolémie est diagnostiquée et un traitement de statines est introduit. Le patient quitte notre établissement le 15.01.2020 en bon état général. Mr. Y, 78 ans, est hospitalisé en raison d'une crise d'épilepsie tonico-clonique généralisée, probablement sur sevrage OH. Le patient présente plusieurs épisodes de perte de contact lors de la journée du 25.01.2020, suivis par une crise tonico-clonique généralisée d'une durée de 2-3 minutes à l'arrivée aux urgences, cédant après administration de 1,5 mg de Levetiracetam IV. Le facteur déclenchant est probablement un sevrage alcoolique, bien que le patient nie toute consommation d'alcool. En effet, l'alcoolémie à l'admission est à 0, et l'hétéro-anamnèse auprès de son épouse rapporte la reprise d'une consommation d'alcool il y a quelques semaines après plusieurs mois d'abstinence. Dans ce contexte, le patient est hospitalisé pour surveillance neurologique, avec poursuite du traitement de Levetiracetam. Selon avis neurologique, le bilan est complété par un EEG avec vidéo-EEG qui montre un tracé présentant des minimes anomalies sous forme d'un excès d'activités lentes avec douteuse focalisation fronto-centrale droite et par une imprégnation bêta de probable origine médicamenteuse. Ainsi, un traitement anti-épileptique de fond par Levetiracetam est poursuivi. L'évolution clinique est favorable, le patient ne présentant pas de récidive de crise d'épilepsie, ni de syndrome de sevrage alcoolique. A l'arrivée, le patient prend du Prasugrel, sans indication claire. Après revue de son dossier cardiologique et après discussion avec son cardiologue traitant, le traitement par Prasugrel est arrêté. Mr. Y rentre à domicile le 30.01.2020. Un contrôle neurologique avec EEG est prévu à 3 mois au Neurocentre de Fribourg, afin de réévaluer l'indication à poursuivre le traitement anti-épileptique. Mr. Y, patient de 55 ans, connu pour une récidive d'adénocarcinome sigmoïdien avec envahissement du dôme vésical, est hospitalisé en chirurgie générale pour prise en charge élective le 08.01.2020 par résection antérieure basse avec colostomie définitive terminale et cystectomie partielle avec mise en place de double-J bilatérale. L'intervention a lieu le jour même et se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par un choc septique sur infection de Port-à-Cath le 13.01.2020 avec des cultures revenues positives pour une bactériémie à Serratia marcescens. Nous procédons au retrait du PAC en urgence le 14.01.2020 et le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique de 24h. Sur avis infectiologique, nous initions une antibiothérapie par Méropénème du 14.01 au 21.01.2020 avec un relais par voie orale par bactrim forte dès le 22.01.2020 pour une durée supplémentaire de 7 jours (14 jours au total). Après un contrôle d'étanchéité par cystographie le 21.01.2020, nous effectuons un retrait de sonde vésicale le jour même. Le patient sera suivi à la consultation du Dr. X en ambulatoire pour suite de prise en charge et planification du retrait des sondes double-J. Les résultats histopathologiques mettent en évidence une infiltration transfixiante vessie-rectum avec marge de sécurité de 1-3 mm de la coupe de résection ainsi que cinq métastases ganglionnaires lymphatiques. Le cas de Mr. Y est discuté lors du colloque interdisciplinaire oncologique du 15.01.2020, où il est proposé de poursuivre par un traitement de chimiothérapie de consolidation. Le patient sera convoqué par nos collègues du service d'oncologie pour suite de prise en charge. Nous prévoyons la mise en place d'un 2e PAC dès négativisation des hémocultures post-antibiothérapie. Les hémocultures de contrôle seront prélevées le 03.02.2020 en ambulatoire. Le patient sera revu en consultation PAC le 06.02.2020 pour planification de mise en place à gauche. À noter, qu'il est impératif que les résultats d'hémocultures soient négatifs avant nouvelle implantation. Nous prévoyons un contrôle postopératoire à la consultation du Dr. X le 17.02.2020. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 22.01.2020. Mr. Y, 55 ans, a été admis aux soins intensifs en postopératoire pour surveillance hémodynamique et gestion d'antalgie après une re-résection antérieure basse avec colostomie terminale définitive, pose de double J, cystoscopie et cystectomie partielle le 08.01.2020. L'intervention chirurgicale a été effectuée pour une récidive loco-régionale de l'adénocarcinome du sigmoïde connu avec lésions au niveau de l'anastomose colo-rectale envahissant la vessie. En postopératoire, il présente une hypotension réfractaire (malgré environ 6 litres de remplissage en postopératoire) motivant l'admission aux soins intensifs. Les amines sont rapidement sevrées. La diurèse reste maintenue à 50-60 ml/heure, avec toujours présence d'une hématurie macroscopique suite à la résection partielle de la vessie, sans nécessité de rinçage après discussion avec les chirurgiens. Une reprise de boissons libres est bien tolérée dès le 09.01.2020. La sonde vésicale doit être gardée pour un minimum de 10 jours, avec une cystographie d'étanchéité à effectuer à J10. La sonde double J bilatérale doit être gardée pour 6 semaines minimum et retirée seulement après avis urologique. Vu la stabilité hémodynamique et la gestion adéquate de l'antalgie avec le cathéter péridural, le patient est transféré en chirurgie pour la suite de prise en charge. Mr. Y, 55 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc septique d'origine indéterminée. Le 13.01.2020, le patient présente un état fébrile avec épisode d'hypotension, répondant au remplissage. Une antibiothérapie empirique par Pipéracilline-Tazobactam est débutée puis relayée par Meropénem sur avis infectiologique en raison d'hémocultures positives pour Serratia marcescens. Devant une suspicion de sepsis à point de départ endovasculaire sur surinfection du Port-à-Cath à droite, l'ablation est effectuée le 14.01.2020. En peropératoire, le patient présente un état fébrile avec instabilité hémodynamique nécessitant un soutien aminergique. À l'entrée aux soins intensifs, le patient est sédaté et intubé. Une levée de sédation et l'extubation sont possibles le 15.01. et la noradrénaline est progressivement sevrée. Durant la surveillance, le patient reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Il ne présente pas de douleur et n'a pas d'autre plainte. La reprise d'alimentation, le 15.01.2020, se fait sans problème particulier. Nous retransférons Mr. Y en chirurgie ce 15.01.2020. Nous vous laissons le soin de pister l'antibiogramme à l'étage. Mr. Y est un patient de 72 ans, ancien tabagique, qui est hospitalisé pour le bilan d'une masse prostatique suspecte d'un carcinome de la prostate, associée à des douleurs non contrôlées à domicile dans un contexte de lésions osseuses nouvellement diagnostiquées. Le patient décrit des douleurs lombaires reproductibles non déficitaires en péjoration depuis 15 jours associées à des douleurs sternales respiro-dépendantes et reproductibles à la palpation. Pour rappel, il avait notamment consulté son médecin traitant à deux reprises pour ces douleurs, un CT thoraco-abdominal réalisé en ambulatoire le 13.12.2019 mettant alors en évidence des lésions hyperdenses au niveau du sternum et au niveau lombaire ainsi qu'une masse prostatique de 3 cm. Le bilan retrouve également une élévation importante de la valeur du PSA. Une électrophorèse des protéines se révèle sans particularité. Après avis urologique et oncologique, et en raison d'une suspicion importante d'un carcinome de la prostate, nous débutons d'emblée une hormonothérapie par Zoladex (Goséréline) et Casodex (Bicalutamide). Nous effectuons une biopsie osseuse le 31.12.2019 dont l'histologie pose le diagnostic de métastase osseuse d'un carcinome, l'origine de la métastase restant compatible avec une origine prostatique selon le profil immunohistochimique. La suite de la prise en charge sera réalisée en ambulatoire, notamment avec une biopsie de prostate prévue le 14.01.2020 afin de confirmer le diagnostic et à but de staging, ainsi qu'une scintigraphie osseuse puis une consultation radio-oncologique le 16.01.2020 pour la planification d'une radiothérapie de diverses lésions sur avis radio-oncologique. Les douleurs sont prises en charge avec succès par traitement d'opioïdes. Une importante perturbation des analyses de laboratoire, avec notamment une CIVD biologique, un syndrome inflammatoire afébrile et une forte élévation de la ferritine, nous fait suspecter un possible syndrome hémophagocytaire. Le diagnostic n'est pas confirmé, mais un traitement empirique par Prednisone 20 mg/jour jusqu'au 08.01.2020 sur avis oncologique permet une amélioration biologique. D'un point de vue métabolique, Mr. Y présente une dénutrition sévère avec perte de 10 kg en 1 mois. Une sonde nasogastrique de renutrition est mise en place avec succès, une surveillance régulière des électrolytes est effectuée durant son séjour. Une nutrition via la sonde nasogastrique est à poursuivre à domicile, le patient recevant les enseignements nécessaires quant à son utilisation. Un suivi ambulatoire est organisé avec nos collègues diététiciens. En raison de la stabilisation des douleurs et du syndrome inflammatoire, Mr. Y rentre à domicile le 08.01.2020. Il sera convoqué par le service d'oncologie pour la suite de prise en charge, une fois le bilan ambulatoire terminé. Mr. Y est admis aux soins intensifs (SIB) pour une surveillance respiratoire. Le patient de 57 ans, est hospitalisé à l'hôpital de Riaz depuis le 21.12.2019 pour des douleurs de la hanche gauche suite à une chute mécanique. Les examens radiographiques ont relevé une lésion ostéolytique du grand trochanter gauche et une opacité para-hilaire gauche suspecte. Différents examens para-cliniques à la recherche d'une néoplasie sont en cours dans ce contexte.Le soir du 06.01.2020, il présente un épisode d'hémoptysie isolée (<10 ml), ce qui motive la réalisation d'un scanner cérébro-cervico-thoraco-abdominal le 07.01.2020 au CIF (seul scanner possible compte tenu de son obésité morbide). Ce dernier met en évidence une lésion tumorale du lobe pulmonaire inférieur gauche avec infiltration de l'artère segmentaire basale gauche avec thrombus intra-luminal. Le traitement de Xarelto est alors stoppé (dernière prise le soir du 07.01.2020), relayé par une anticoagulation prophylactique par héparine. Au vu de la stabilité clinique, Mr. Y est transféré en unité de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Un avis oncologique est demandé avant le transfert et sera rendu le 8.1. L'anticoagulation thérapeutique sera à reprendre selon la suite des investigations. Mr. Y est un patient de 85 ans, qui se présente aux urgences pour des douleurs rétro-sternales de très brèves durées et spontanément résolutives. Pour rappel, Mr. Y a été hospitalisé en gériatrie du 07.11.2019 au 30.11.2019. Sur le plan social, Mr. Y vit dans une maison avec son épouse. À son admission à l'étage de gériatrie, Mr. Y est calme, collaborant, sans plainte et ne rapporte plus de douleur. Au status d'entrée, l'examen cardiovasculaire met en évidence un souffle holosystolique localisé au foyer aortique sans irradiation, des pouls périphériques palpables, et l'absence d'œdème des membres inférieurs. Le reste du status revient sans particularité. Le laboratoire des urgences montre une cinétique des valeurs de troponines à la hausse à 290 ug/l à H0, 291 UG/L, H2 271 ug/l. À noter également une insuffisance rénale aiguë sur chronique d'origine probablement pré-rénale. L'ECG du 04.12.2019 réalisé à l'étage montre un rythme sinusal à 95 bpm, un bloc atrio-ventriculaire du 1er degré avec PR à 260 ms, normoaxé, QRS élargi en V1 et V2 sur BBD, pas de trouble de la repolarisation, QT long selon Bazett 509 ms. Le bilan biologique réalisé met en évidence une anémie normocytaire hypochrome à 130 g/l (déjà connue) sans carence en vitamines B12, en folates ou encore de déficit en ferritine. Nous retenons un diagnostic de NSTEMI pour lequel nous demandons un avis auprès de nos collègues cardiologues qui, au vu de l'âge et des comorbidités du patient, préconisent une adaptation du traitement symptomatique. Pour rappel, Mr. Y présente un tassement de la vertèbre D12 sur une ostéoporose pour laquelle un traitement par Miacalcic a été initié. Le bilan biologique ne met pas en évidence de cause d'ostéoporose secondaire. Un consilium d'ostéoporose propose de poursuivre la substitution et de contrôler ces valeurs à distance. Au vu de l'âge et des comorbidités du patient, nous renonçons à la réalisation d'une ostéodensitométrie. Toutefois, il est préconisé d'initier un traitement anti-résorptif par Prolia 60 mg sc 2x/ans qui serait théoriquement à poursuivre à vie. Un traitement de Bisphosphonates est contre-indiqué au vu de l'insuffisance rénale. Nous vous laissons le soin d'évaluer la nécessité de ce traitement par Prolia selon l'état général de Mr. Y. Pendant son séjour, Mr. Y est pris en charge pour une réadaptation gériatrique aiguë du 05.12.2019 au 12.12.2019. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, ce dernier peut se déplacer sur une distance de 240 mètres à l'aide du rollator et peut gravir 18 marches d'escaliers à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 84/126 par rapport à 80/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 6/7). Le TUG s'effectue en 21.4 secondes avec l'aide du rollator. Sur le plan nutritionnel, les besoins sont couverts. Un suivi n'est donc pas nécessaire. En ergothérapie, Mr. Y profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Les tests de la cognition de la dernière hospitalisation montrent un MMS à 23/30, un test de l'horloge à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. Le 24.12.2019, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 27.01.2020, Mr. Y est de nouveau hospitalisé en gériatrie aiguë. Mr. Y est un patient de 22 ans, en bonne santé habituelle, se présente le 21.01.2020 avec des douleurs abdominales en fosse iliaque droite apparues le jour même. L'évaluation aux urgences avec un ultrason met en évidence une appendicite aiguë. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique qui se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le 23.01.2020. Mr. Y est un patient de 49 ans, hospitalisé en décembre pour la prise en charge chirurgicale d'une cholécystolithiase symptomatique, qui a subi en postopératoire une perforation sur hernie interne incarcérée qui avait nécessité une reprise à J2 avec résection grêle segmentaire. Il se présente le 02.01.2020 aux urgences en raison de douleur abdominale. Le bilan effectué dans ce contexte met en évidence une volumineuse collection sur toute la longueur de la cicatrice de la laparotomie. Le patient est hospitalisé dans notre service afin de bénéficier d'une révision de laparotomie. Lors de la révision, nous mettons en évidence une éviscération couverte, surtout dans la partie supérieure de la cicatrice, avec nécrose de la paroi et visibilité de l'épiplon par endroit. Nous mettons en place un pansement VAC avec du Mepitel en regard de la partie ouverte. Le pansement VAC sera refait une fois avant de procéder à une nouvelle fermeture cutanée. Mr. Y se présente aux urgences hypertendu et bradycarde à 45 bpm avec des douleurs rétrosternales oppressives au repos durant 48 heures, des nausées sans vomissement, des vertiges de type tangage décrits comme un état d'ébriété, accompagnés d'une bradycardie et un état hypertendu ainsi que des nystagmus horizontaux multicorrectionnels. Au bilan, l'ECG ne met pas en évidence d'arythmie. Le dosage des troponines et les D-dimères dans les normes permet d'exclure un syndrome coronarien aigu. Devant le tableau de vertige peu harmonieux, une IRM effectuée ne montre pas de signe d'éventuelle ischémie. Le diagnostic de vertige périphérique est retenu. Malgré les manœuvres effectuées, le patient reste symptomatique, raison de son hospitalisation. Durant son séjour, l'évolution est favorable avec disparition des vertiges et des troubles d'équilibre. Mr. Y peut regagner son domicile le 09.01.2020. Une consultation chez le Dr. X, ORL, est agendée pour le 13.01.2020. Mr. Y est aux soins intensifs le 24.01.2020 depuis les urgences de l'HFR Riaz en raison d'un état de choc d'origine indéterminée. Il appelle initialement les ambulances en raison d'une lipothymie avec notion de très courtes douleurs dans le cou précédant le malaise. Aux urgences de Riaz, le patient est hypotendu nécessitant un remplissage vasculaire (4 l de Ringer) et un soutien aminergique avec saturation à 92 % sous ventimasque. Une suspicion de choc septique d'origine pulmonaire en raison d'une toux depuis 3 semaines est évoquée avec demande de transfert aux soins intensifs de Fribourg sous noradrénaline à 0.1 mcg/kg/min.Aux soins intensifs, le patient n'a pas de douleurs thoraciques ni d'autre plainte hormis une toux depuis 3 semaines. La radiographie de thorax réalisée à Riaz ne montre pas de foyer pulmonaire et il n'y a pas de syndrome inflammatoire. L'échocardiographie de débrouillage montre une fonction ventriculaire gauche non diminuée, absence de dilatation des cavités droites et absence d'épanchement péricardique, avec une aorte dilatée. Devant des D-dimères à 7000 ng/ml à l'HFR Riaz, un CT montre une dissection aortique de type A. Le soutien aminergique est suspendu dès le CT-scan, avec maintien d'une hypotension permissive asymptomatique. L'éventualité d'une prise en charge chirurgicale est acceptée par le patient et son conjoint (Mr. Y), qui comprennent les enjeux vitaux de la pathologie actuelle. Les chirurgiens cardiovasculaires du CHUV (Dr. X) et intensiviste (Dr. X) acceptent le transfert. Le transfert est validé pour le déchoc de chirurgie au CHUV. Il n'y a pas d'ischémie aiguë à l'ECG à Fribourg (sous-décalage ST à Riaz lors d'une hypotension artérielle majeure). Le patient est transféré au CHUV par SMUR. Mr. Y est un patient de 80 ans, connu pour un adénocarcinome du haut rectum à 10 cm de la marge anale cT3 cN1 cM1 (métastases hépatiques et carcinose péritonéale) stade IV. Il présente, depuis le 05.01.2020, des douleurs à la poitrine et au niveau abdominal, sans nausée, ni vomissement avec une sensation de reflux. Le bilan biologique effectué chez son oncologue montre une cholestase avec un état fébrile à 38.8°. Le patient n'a plus d'appétit depuis quelques jours et le Dr. X l'adresse aux urgences pour investigations et suite de prise en charge. A l'examen clinique, le patient présente une baisse de l'état général, il est normocarde, normotendu avec un état fébrile à 38.3°. Le statut cardio-respiratoire est sans particularité. A l'examen de l'abdomen, les bruits sont normaux en tonalité et en fréquence, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente, Murphy négatif, pas d'hépatosplénomégalie. Le bilan biologique montre une perturbation des tests hépatiques avec une cholestase (phosphatase alcaline 146 U/l, GGT 234 U/l, bilirubine totale 120 umol/l, directe 101 umol/l). Présence d'un syndrome inflammatoire avec une CRP à 48 mg/l, sans leucocytose. L'échographie abdominale met en évidence une maladie lithiasique. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie, mis sous antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Metronidazole 3 x 500 mg/jour per os, à jeun. L'antibiothérapie est à poursuivre durant 10 jours. La cholangio-IRM du 09.01.2020 montre deux calculs dans le bas-cholédoque (environ 3 mm), quelques cholélithiases, sans franche dilatation, ni épaississement des parois de la vésicule. Au vu de l'évolution biologique, un nouvel ultrason est réalisé le 13.01.2020, non concluant sur l'évolution des calculs. Le cholédoque distal n'est pas visible. Nous organisons donc une nouvelle cholangio-IRM le 14.01.2020 qui démontre la persistance de calculs dans le cholédoque. Une ERCP est réalisée le 15.01.2020 permettant l'extraction de débris et d'un calcul. Le bilan biologique de contrôle post-ERCP est rassurant, avec une évolution à la baisse des tests hépatiques et l'absence de syndrome inflammatoire. Mr. Y a bien supporté la procédure et a pu se réalimenter sans nouvelle douleur. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique, Mr. Y peut retourner à domicile le 16.01.2020. L'antibiothérapie sera poursuivie par voie orale sous forme de Ciprofloxacine 2 x 500 mg per os/jour et Metronidazole 3 x 500 mg per os/jour du 16 au 18.01.2020 inclus. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 30.01.20 en vue d'une cholécystectomie. Mr. Y est un patient de 91 ans connu pour un adénocarcinome prostatique avec sonde à demeure hospitalisé pour obstruction de sonde sur macrohématurie le 21.01.2020. Le bilan met en évidence une insuffisance rénale aiguë probablement post-rénale. Le patient bénéficie d'une pose de sonde 3 voies avec rinçages continus et il est mis au profit d'un traitement antibiotique pour une semaine. Les rinçages itératifs permettent une disparition de la macrohématurie et une amélioration des paramètres rénaux permettant un retour à domicile le 25.01.2020. Mr. Y sera suivi par les soins à domicile pour rinçage 4 x/semaine et revu à la consultation du Dr. X. Mr. Y, connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique en 2014 non anticoagulée et de multiples facteurs de risque cardiovasculaires, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique aigu sylvien gauche. Pour rappel, le patient a présenté le 06.01.2020 vers 16h30, une dysarthrie avec un manque du mot alors qu'il était au fauteuil. Il constate également une hypoesthésie de l'hémicorps droit. Il parvient à se lever de son fauteuil sans chute et ne décrit pas de trouble moteur franc. Aux urgences, le NIHSS s'élève à 4 points. Le CT cérébral révèle une pénombre du territoire sylvien superficiel antérieur gauche sans anomalies vasculaires notables. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une lyse intraveineuse selon protocole standard. L'IRM cérébrale à 24h confirme un petit AVC constitué au niveau du cortex du gyrus long de l'insula à gauche, sans transformation hémorragique. Sur le plan étiologique, une origine cardio-embolique est suspectée en raison d'un antécédent de fibrillation auriculaire paroxystique en 2014 mis en évidence lors d'un épisode de dermohypodermite. L'indication à une anticoagulation avait été retenue mais refusée par le patient. L'échocardiographie transthoracique ne met pas en évidence de cause structurelle. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Sur le plan médicamenteux, une anticoagulation par Xarelto 20 mg/j est introduite selon l'étude ELAN et l'Aspirine est arrêtée. Le traitement d'Atorvastatine est poursuivi à 40 mg/j. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Un angio-oedème labial supérieur droit modéré est apparu après l'IRM cérébrale, probablement secondaire au produit de contraste à base de gadolinium dans un contexte d'allergies multiples. L'évolution clinique est favorable sous traitement d'antihistaminique et de corticoïdes qui sont à poursuivre pour une durée de 5 jours au total. A noter un comblement du sinus maxillaire gauche au CT compatible avec une sinusite que nous ne traitons pas en raison de l'absence de symptômes. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue le 1.04.2020 à 11h chez la PD Dr. X. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie dans les normes. Mr. Y peut regagner son domicile le 09.01.2020. Mr. Y, 61 ans, a été admis en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique sylvien gauche qui a été lysé le 06.01.2020. Ce patient a présenté le 06.01.2020 vers 16h30, alors qu'il était assis dans son canapé, une hypoesthésie brachio-crurale droite accompagnée d'une difficulté à attraper les objets, une dysarthrie et une aphasie de production. Il est parvenu à se lever de son fauteuil sans chute. Il ne signale aucun autre symptôme. Aux urgences, le NIHSS était évalué à 4 points. L'angio-scanner cérébral a mis en évidence un AVC ischémique aigu sylvien gauche. Suite à une lyse intraveineuse, les symptômes ont disparu (NIHSS à 0 point deux heures après la fin de la lyse) et l'état neurologique est resté stable sans récidive des déficits. L'IRM cérébrale a confirmé un petit AVC constitué au niveau du cortex du gyrus long de l'insula à gauche, sans transformation hémorragique.Une origine cardio-embolique de l'AVC est possible vu l'antécédent de fibrillation auriculaire paroxystique contextuelle survenue en 2014 (un seul épisode lors d'une hospitalisation pour une dermohypodermite). À l'époque, une anticoagulation orale avait été recommandée et refusée par le patient. Un enregistrement prolongé du rythme cardiaque devrait être envisagé. L'échocardiographie transthoracique n'a pas mis en évidence d'anomalie structurelle (absence de shunt intracardiaque, pas de thrombus). Une anticoagulation prophylactique par énoxaparine a été débutée le 07.01.2020. Une antiagrégation par aspirine ou l'instauration d'une anticoagulation orale devra être discutée dès le 08.01.2020. Le traitement de statine est poursuivi, en visant une cible de LDL <1.8 mmol/l. Un contrôle optimal des facteurs de risque cardiovasculaire doit être envisagé. Un angio-oedème labial supérieur droit modéré est apparu après l'IRM cérébrale, probablement secondaire au produit de contraste à base de gadolinium dans un contexte d'allergies multiples. L'oedème a régressé après administration d'un anti-histaminique et de méthylprednisolone. Un suivi rapproché du profil glycémique est nécessaire pendant 48 heures. Le patient a été transféré le 07.01.2020 en unité Stroke non-monitorée. Mr. Y est un patient de 76 ans qui s'est présenté aux urgences le 24.12.2019 pour une baisse de l'état général avec un manque d'appétit depuis quelque temps ainsi qu'une perte de 15 kg en 5 semaines. Sur le plan biologique, nous retrouvons une insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique ainsi qu'un syndrome inflammatoire. Une hydratation iv est introduite avec bonne amélioration de la fonction rénale. À l'admission aux urgences, le patient présente à l'examen clinique une douleur en fosse rénale gauche avec une dysurie à l'anamnèse, raison pour laquelle nous effectuons un sédiment urinaire évocateur d'une infection urinaire ainsi qu'un urotube, dont les résultats sont non concluants (contamination par flore cutanée). Le patient est donc mis sous Rocéphine 2 g 1/j du 24 au 31.12.2019 avec un relais par Ciproxine 2 x 500 mg du 31.12 au 08.01.2020. Au vu d'une évolution clinique peu favorable, nous effectuons une nouvelle fois une culture urinaire qui cette fois revient positive pour un Enterococcus faecium, raison pour laquelle nous modifions l'antibiothérapie par Vancomycine 2 x 1 g dès le 08.01.2020. Au niveau de la perte de poids et de la baisse de l'état général, le patient a effectué le 16.12.2019 un CT thoraco-abdominal qui ne mettait rien en évidence de particulier. En février 2019, il a également bénéficié d'une OGD qui montrait une bulbite circonférencielle sténosante, raison pour laquelle nous avions prévu de réitérer cet examen au cours de l'hospitalisation. Un avis diététique a été demandé, mais le patient s'est montré peu compliant avec les ajustements préconisés par les diététiciennes. Le soir du 08.01.2020, le patient devient septique avec marbrures, état fébrile, frissons solennels. Des hémocultures sont prélevées, la dose de Vancomycine prévue plus tard est avancée et additionnée à de la Céfépime et à de l'Amikin. L'ECG réalisé met en évidence un allongement du QT à 540 ms, raison pour laquelle nous passons également 2 g de magnésium iv. Malgré une surveillance rapprochée, le patient présente un arrêt cardiorespiratoire avec fibrillation ventriculaire; il bénéficie d'une réanimation cardiopulmonaire avec plusieurs chocs électriques ainsi que de l'Amiodarone et de l'adrénaline. Une gazométrie est effectuée et met en évidence une insuffisance respiratoire globale ainsi qu'une acidose mixte et une hyperlactatémie. Après 30 minutes d'arrêt cardiorespiratoire, il est décidé d'arrêter le massage. Mr. Y décède le 08.01.2020 à 20h34. Mr. Y, 56 ans, est admis aux soins intensifs en raison d'un STEMI antérieur le 20.01.20. Il s'agit d'un patient en bonne santé habituelle qui se présente le 20.01.20 pour un angor typique sous forme de douleurs rétro-sternales gauches oppressives apparues la veille au soir après un effort ne cédant pas au repos sur la nuit. Les premières douleurs oppressives sont apparues en automne 2019 à l'effort important avec une dyspnée associée, cédant spontanément avec le repos. Le bilan met en évidence un STEMI antérieur. La coronarographie montre une maladie bitronculaire avec une occlusion complète de l'IVA subaiguë motivant la mise en place d'un stent. Durant sa surveillance aux soins intensifs, Mr. Y ne fait pas de troubles du rythme et reste stable sur le plan hémodynamique. Le point de ponction radial à droite est sans hématome et sans souffle à l'auscultation. Mr. Y est transféré à l'étage de médecine interne le 21.01.20. Mr. Y, 56 ans, se présente au service des urgences pour un angor typique sous forme de douleurs rétrosternales gauches oppressives apparues la veille au soir après un effort ne cédant pas au repos sur la nuit. Les premières douleurs oppressives sont apparues en automne 2019 à l'effort important avec une dyspnée associée, cédant spontanément avec le repos. L'électrocardiogramme met en évidence un STEMI antérieur. La coronarographie montre une maladie bitronculaire avec une occlusion complète de l'IVA subaiguë motivant la mise en place d'un stent. Une sténose significative de la coronaire droite sera prise en charge à distance. Une échocardiographie post-interventionnelle révèle une hypokinésie sévère antéro-apicale motivant un traitement anticoagulant pour une durée de 5 jours et sera réévaluée par échocardiographie lors de la prise en charge de la coronaire droite. Une double antiagrégation par Aspirine et Efient est débutée et doit être poursuivie respectivement à vie et pour 12 mois. Un traitement de bêta-bloquant, statine, inhibiteur de l'enzyme de conversion est introduit et reste à majorer selon tolérance. Une demande de réhabilitation cardiovasculaire ambulatoire est réalisée. Le patient sera convoqué après la deuxième intervention qui aura lieu le 10.02.2020. Le patient rentre à domicile le 24.01.2020. Mr. Y, 41 ans, connu pour une anamnèse familiale de la maladie Rendu-Osler-Weber, se présente aux urgences le 02.01.2020 pour des douleurs importantes du flanc droit d'apparition brutale. Pas de notion de traumatisme hormis un match de hockey 10 jours auparavant. Le bilan met en évidence un saignement actif sous-capsulaire du rein droit, avec déglobulisation mais sans répercussion hémodynamique. De l'acide Tranéxamique est administré et une antibioprophylaxie par Ciprofloxacine est initiée. Après différents avis pluridisciplinaires, une surveillance clinique et biologique rapprochée est décidée. La surveillance hémodynamique aux soins intensifs reste sans particularité et un CT de contrôle montre l'absence de saignement actif ainsi qu'une régression de l'hématome péri-rénal. Au vu de la persistance de l'anémie avec répercussion clinique, nous procédons à une transfusion sanguine d'un culot érythrocytaire le 07.01.2020. L'évolution est par la suite favorable permettant un retour à domicile le 08.01.2020. L'origine du saignement rénal reste actuellement indéterminée. La maladie de Rendu-Osler-Weber avec suspicion de malformation artério-veineuse est évoquée au vu de l'anamnèse familiale positive. Cependant, nous ne retrouvons cliniquement pas de télangiectasies au niveau buccal ou du visage. Afin de compléter le bilan, Mr. Y sera vu en ORL le 17.01.2020 à la recherche de télangiectasies nasales ou oropharyngées. Il bénéficiera d'un IRM abdominal le 12.02.2020 pour évaluer la nature de la lésion rénale droite. Le patient sera revu au cabinet du Dr. X le 25.02.2020 pour un contrôle et un suivi urologique.Au cours de son hospitalisation, Mr. Y présente un état fébrile fluctuant avec une augmentation de la CRP jusqu'à un maximum de 195 mg/l sans leucocytose ni piste infectieuse. Nous attribuons ce syndrome inflammatoire à la résorption de l'important hématome et, en accord avec les infectiologues de l'hôpital, nous ne retenons pas d'indication à une couverture antibiotique. À sa sortie, la CRP montre une cinétique descendante avec une valeur de 146 mg/l. Le patient bénéficiera d'un contrôle laboratoire et clinique chez le médecin traitant le 13.01.2020. Mr. Y, 41 ans, est admis pour un saignement actif rénal droit sous-capsulaire. Le patient est amené en ambulance en raison de l'apparition brutale de douleurs abdominales. Il signale avoir reçu un coup dans le flanc droit lors d'un jeu de hockey sur glace 10 jours auparavant. Le bilan met en évidence un saignement actif sous-capsulaire du rein droit, avec déglobulisation mais sans répercussion hémodynamique. De l'acide tranexamique est administré et une antibioprophylaxie par Ciprofloxacine est initiée. La surveillance hémodynamique reste sans particularité et un CT abdominal de contrôle à 48 heures montre l'absence de saignement actif ainsi qu'une régression de l'hématome péri-rénal. Au vu de l'anamnèse familiale de maladie de Rendu-Osler-Weber, le bilan étiologique sera à compléter. Une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale mise sur le compte de l'hémorragie est rapidement corrigée par hydratation. Le patient est transféré à l'étage de chirurgie le 04.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 50 ans connu pour une hépatite B depuis l'enfance et une hypertension artérielle dont le traitement a été récemment arrêté, est hospitalisé dans un contexte d'AVC hémorragique pariéto-occipital D. Pour rappel, le patient présente le 19.01.2020 au réveil des céphalées frontales bilatérales accompagnées de nausées et vomissements. Aux urgences, le NIHSS est à 2 points avec mise en évidence d'une hémianopsie homonyme latérale gauche. Le CT cérébral révèle un saignement pariéto-occipital D avec un œdème péri-lésionnel et une déviation de la ligne médiane de 5 mm. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique. L'évolution clinique est stable avec un CT de contrôle à 24 h montrant une stabilité de la lésion. Concernant le bilan étiologique, l'IRM ne retrouve pas d'étiologie claire, mais est toutefois difficilement interprétable en raison de la présence de l'hémorragie. Une cause hypertensive sur arrêt du traitement est possible, mais toutefois peu probable en raison de l'absence de segment de microangiopathie hypertensive à l'IRM. Une IRM devra être réalisée à distance à 6 semaines pour caractériser l'étiologie, et si négative, une angiographie devrait être discutée à la recherche d'une malformation vasculaire. Sur le plan médicamenteux, un traitement anti-hypertenseur est introduit avec des cibles tensionnelles <130/80 mmHg. Un traitement d'Atorvastatine en prévention primaire est également introduit. Du point de vue neuropsychologique, le bilan montre une héminégligence unilatérale visuelle gauche sévère, des difficultés de mémoire à court terme et de mémoire épisodique verbale, et un dysfonctionnement exécutif d'intensité modérée à sévère, compatible avec l'AVC. Une prise en charge neuropsychologique est clairement indiquée et cette dernière sera mise en place à Meyriez. Une évaluation neuropsychologique plus exhaustive pourra également être réalisée afin de mieux évaluer notamment les gnosies visuo-spatiales ainsi que l'orientation topographique. La conduite est actuellement contre-indiquée. Cet aspect et la reprise professionnelle pourront être réévalués lors du séjour en réhabilitation. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie retrouvant une hémianopsie homonyme latérale gauche. Mr. Y est transféré en neuroréhabilitation intensive à Meyriez pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 50 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique pour un AVC hémorragique avec saignement intraparenchymateux occipito-pariétal spontané. Le patient présente depuis 1 jour des céphalées frontales bilatérales, accompagnées de nausées et vomissements, et d'une hémianopsie homolatérale (NIHSS à 2 points). Le CT cérébral le 19.01 montre un saignement intra-parenchymateux occipito-pariétal spontané, stable sur le CT de contrôle du 20.01. Un traitement anti-hypertenseur est introduit pour une cible tensionnelle de 140 mmHg. Une IRM cérébrale est demandée pour le 21.01. L'évolution neurologique pendant la surveillance aux soins intensifs est stable, avec persistance d'une hémianopsie homolatérale et un NIHSS à la sortie à 2 points. Il est transféré le 21.01.2020 en Stroke unit non monitorée pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 78 ans, est admis aux soins intensifs pour une désensibilisation à l'aspirine dans le contexte d'un NSTEMI le 01.01.2020. Ce patient a présenté des douleurs thoraciques typiques sous forme d'angor instable motivant sa consultation aux urgences de l'HFR le 01.01.2020. Le bilan biologique montre des enzymes cardiaques légèrement augmentées et l'ECG montre un bloc trifasciculaire sans modification ischémique aiguë ou chronique. Le prasugrel est poursuivi et un traitement par Fondaparinux est introduit. La désensibilisation à l'aspirine chez ce patient avec des antécédents d'anaphylaxie avec œdème de Quincke se déroule le 01.01.2020 sans complication. En présence d'une indication claire suite à la coronarographie, l'aspirine doit être poursuivie sans interruption à long terme (risque de sensibilisation en cas de cessation). Il n'y a pas d'argument critique à signaler pendant le séjour aux soins intensifs. Le patient ne présente pas de récidive des douleurs thoraciques. En accord avec le Dr. X du service de la cardiologie, Mr. Y aura une coronarographie le 03.01.2020. Mr. Y est un patient de 93 ans qui nous est adressé pour une réhabilitation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé en orthopédie pour une nécrose surinfectée interdigitale du 4ème orteil gauche à Morganella Morgani le 13.12.2019, traité par une amputation trans-métatarsienne du 4ème orteil du pied gauche et par antibiothérapie avec tout d'abord de la Co-Amoxicilline 2.2 g en intraveineux 3x/j du 13.12.2019 au 19.12.2019, avec switch avec Ertapenem 1 g 1x/j jusqu'au 15.01.2020 après réception de l'antibiogramme. Le patient, connu pour une AOMI, bénéficie également le 19.12.19 d'une angioplastie fémoro-poplitée avec la pose de stent sur l'artère fémorale superficielle, recanalisation du tronc tibio-péronier par angioplastie et pose de stent résorbable. Son séjour se complique par différents troubles électrolytiques (hyponatrémie, hypokaliémie), une insuffisance rénale aiguë, une anémie ainsi qu'une décompensation cardiaque sur arrêt de Torasémide. Sur le plan social, Mr. Y vit en maison avec sa femme, dont il s'occupe beaucoup. À son arrivée, sur le plan cardiaque, Mr. Y présente des œdèmes des membres inférieurs avec une légère hypoventilation basale gauche. Nous poursuivons le Torasémide puis nous la majorons au vu d'une prise de poids. Nous vous laissons le soin de réévaluer sa posologie en ambulatoire.Concernant la nécrose surinfectée interdigitale du 4ème orteil gauche, nous poursuivons l'antibiothérapie par Ertapenem. Concernant la plaie post-amputation, nous poursuivons les soins de base et l'évolution est favorable. Nous informons le patient que la conduite est déconseillée au vu de l'amputation récente. Nous vous proposons de la réévaluer en ambulatoire. Concernant l'insuffisance rénale aiguë, la créatinine se normalise spontanément durant le séjour. Concernant l'anémie mise en évidence en chirurgie, l'hémoglobine reste stable. Le bilan biologique retrouve une carence en vitamine D pour laquelle nous débutons une substitution par voie orale. Nous mettons également en évidence une hypokaliémie que nous mettons sur le compte de la majoration du Torasémide et pour laquelle nous introduisons une substitution per os. Nous informons le patient qu'il doit reprendre contact avec vous pour un contrôle la semaine prochaine. Nous vous laissons le soin de réévaluer la substitution per os. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 200 mètres. Mr. Y peut gravir 18 marches à l'aide d'une rampe et est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 98/126 par rapport à 90/126 à son entrée (MIF physio : transferts 5/7, déplacements 5/7, escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 18.10 secondes avec l'aide du rollator. En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation et d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Le BME retrouve dans l'ensemble une bonne capacité, un léger fléchissement de la mémorisation à court terme et une capacité de compréhension et d'apprentissage possible. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel ne met pas en évidence de malnutrition. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués montrent un MMS à 23/30 et un test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Nous restons à disposition, en cas de péjoration des troubles cognitifs ou d'altération dans les activités de la vie quotidienne, pour faire une évaluation neuropsychologique ambulatoire à la clinique de la mémoire à Riaz ou Billens. Le 17.01.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile (1x/semaine pour le contrôle des signes vitaux). Mr. Y, patient de 20 ans connu pour un trouble autistique avec plusieurs épisodes d'auto- et hétéro-agressivité avec dernière hospitalisation à Marsens en mai 2019 ainsi qu'un trouble de l'identité sexuelle avec traitement hormonal en cours pour transformation homme-femme, est amené aux urgences le 18.01.2020 après avoir ingéré plusieurs comprimés de Temesta (15-27 anamnestiquement) ainsi qu'une tasse de liquide vaisselle pur. Il réside actuellement au foyer Horizon Sud et a été amené par sa soignante à laquelle il aurait avoué son acte. Selon la soignante, il a avalé les comprimés d'une co-résidente après avoir été bouleversé par un événement plus tôt dans la journée. Pas d'idéation suicidaire selon lui ni à l'hétéro-anamnèse par sa sœur aînée présente aux urgences. Pas de notion de vomissement, patient plus somnolent qu'à son habitude, pas de douleur abdominale, pas de douleur rétrosternale, pas de perte de connaissance. Nous contactons le ToxInfo et sur leur avis, le patient est gardé en surveillance en lit d'observation aux urgences. La surveillance se passe sans complication. L'Anexate n'est pas employé durant la surveillance. Mr. Y peut regagner le foyer Horizon Sud le 19.01.2020 après évaluation psychiatrique. Mr. Y présente des symptômes respiratoires depuis le 25.12.2019, motif pour lequel il vous consulte et vous diagnostiquez un état grippal. L'état général du patient se péjore avec une toux productive et un état fébrile, raison pour laquelle il consulte les urgences le 02.01.2020. Au vu de la clinique, nous réalisons une radiographie thoracique qui confirme une consolidation du lobe inférieur droit. Une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et clarithromycine est donc débutée. Les antigènes urinaires reviennent positifs pour un pneumocoque et le frottis PCR pour la grippe revient positif pour le virus Influenza A. L'insuffisance respiratoire hypoxémique nécessite initialement une oxygenothérapie par Optiflow. L'évolution clinique est favorable avec une diminution des valeurs inflammatoires au laboratoire et une radiographie thoracique de contrôle qui ne montre pas de signe de complication. Le patient décrit une modification de son transit depuis environ une année, avec des diarrhées importantes. Il ne décrit ni nausée ni vomissement mais une inappétence survenue à peu près au même moment. Nous demandons l'avis de nos collègues diététiciennes qui diagnostiquent une malnutrition protéino-énergétique grave sur une inappétence, démontrée par une perte de 10 kg (14%) en < 1 mois, des ingestas correspondants à 0-25% de ses habitudes et un NRS à 5/7. Elles proposent l'introduction d'une substitution nutritive orale et un enrichissement de l'alimentation. Dans le contexte des plaintes digestives et au vu de l'antibiothérapie en cours, une recherche de Clostridium Difficile dans les selles est effectuée et revient négative. Le reste de la bactériologie est également négative. Au vu de l'inappétence, de la perte de poids et de la fatigue qui se sont installées progressivement sur les derniers temps, nous effectuons un CT abdominal le 13.01.2020 qui revient sans particularités. Au vu d'une baisse de la thymie, nous demandons l'avis psychiatrique de Dr. X, qui diagnostique des troubles de l'adaptation, avec une réaction dépressive brève le 02.01.2020, pour lesquels elle ne trouve pas la nécessité de mettre en place un traitement antidépresseur pour le moment. Au vu de l'amélioration clinique et biologique, Mr. Y peut regagner son domicile le 16.01.2020 avec passage des soins à domicile 1x/jour. Mr. Y est un patient de 85 ans connu pour un bloc atrio-ventriculaire de deuxième degré de type Wenckebach avec des passages en BAV de haut grade qui nous est adressé pour une surveillance post-pose de pacemaker en électif. Il a bénéficié de cette pose le 21.01.2020 par Dr. X et l'intervention s'est déroulée sans complication. La surveillance ne rapporte pas de particularité et la radiographie de thorax montre des sondes en place sans pneumothorax. Il rentre donc à domicile le 22.01.2020. Mr. Y, 69 ans, connu pour une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite, traitée par 2 stents sur l'IVA moyenne le 27.02.2019 et 2 stents sur la CD le 13.03.2019), présente depuis le matin du 30.12.2019 une douleur thoracique typique survenue au repos, sans dyspnée ni palpitation. Il consulte au service des urgences de Riaz où l'on met en évidence des modifications ECG et une élévation des troponines compatibles avec un NSTEMI. Il est chargé en Aspirine et Efient et est transféré à l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge. La coronarographie du 30.12.2019 met en évidence un thrombus partiel, non occlusif, intrastent au niveau de la coronaire droite. La fonction ventriculaire gauche est conservée. L'élévation des CK atteint un pic à 555 U/l mais avec une élévation prolongée après 24 heures, faisant suspecter une embolisation périphérique. L'Aspirine est poursuivie et l'Efient est repris pour une durée totale de 12 mois. Nous introduisons le Lisinopril et le Metoprolol. La surveillance au service des soins intensifs se déroule sans particularité notable. Une nouvelle coronarographie avec OCT sera à prévoir avant l'arrêt de l'Efient dans une année.Mr. Y rentre à domicile le 01.01.2020. Il sera convoqué directement par la cardiologie fin 2020. Mr. Y est un patient de 56 ans qui consulte les urgences le 25.01.2020 pour des douleurs abdominales sous-ombilicales en ceinture à EVA 8/10, en colique, avec un fond douloureux, survenues de manière abrupte lors d'une marche intense en peau de phoque, accompagnées de nausées, sans vomissements, sans douleur rétrosternale ni dyspnée ou état fébrile. L'origine des douleurs est attribuée à une coprostase. Un CT thoraco-abdominal exclut une dissection aortique et toute autre cause aux douleurs abdominales, notamment une ischémie mésentérique. Le patient est soulagé après l'introduction de laxatif, Moviprep et réalisation d'un grand lavement permettant une reprise du transit et de l'alimentation. Au vu d'un état fébrile transitoire, ainsi que d'un syndrome inflammatoire biologique, un nouveau CT abdominal est réalisé et ne montre pas d'élément pouvant expliquer le syndrome inflammatoire qui est spontanément à la baisse. Nous vous proposons de compléter ce bilan par une colonoscopie en ambulatoire. La gazométrie d'entrée montre une acidose métabolique avec des lactates initialement à 6.2 mmol/l dont l'origine reste indéterminée mais probablement en lien avec l'effort physique. Une ischémie est exclue au CT abdominal. Au vu d'une suspicion initiale de diabète inaugural, un traitement transitoire par insuline est mis en place puis stoppé en raison de contrôles glycémiques normaux par la suite et d'une hémoglobine glyquée à 5.3 mmol/l. L'évolution est favorable sous hydratation. Une insuffisance rénale aiguë légère, possiblement suite à l'injection de produit de contraste, est à suivre en ambulatoire. Au vu de la franche amélioration de son état général, Mr. Y peut rentrer à domicile avec un contrôle à votre consultation la semaine du 03.02.2020 au 07.02.2020. Mr. Y est un patient de 71 ans qui avait bénéficié le 09.01.2020 d'une thoracotomie avec résection du lobe inférieur droit à l'Inselspital de Bern, l'évolution post-opératoire avait été favorable par la suite. Il consulte les urgences le 27.01.2020 pour des douleurs thoraciques droites avec dyspnée avec mise en évidence radiographique d'un important pneumothorax droit et épanchement. Le patient est mis au profit d'un drain thoracique à droite et est par la suite hospitalisé en chirurgie. L'évolution est marquée par une disparition progressive du bullage du drain thoracique mais apparition d'un fébrile jusqu'à 39°C avec élévation du syndrome inflammatoire. Un CT thoracique réalisé le 28.01.2020 retrouve une persistance du pneumothorax avec épanchement pleural droit avec rehaussement pleural. Nous prenons contact avec nos collègues de l'Hôpital de Bern qui acceptent le transfert du patient le 28.01.2020 au soir. Mr. Y, 69 ans, connu pour cirrhose CHILD B sur éthylisme chronique avec des antécédents de varices oesophagiennes ligaturées, s'est présenté au service des urgences de l'HFR Fribourg suite à 3 épisodes d'hématémèse le 02.01.2020. Il est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique dans le contexte d'une hémorragie digestive haute. Une réanimation liquidienne et un traitement par IPP et Sandostatine est introduit, avec une antibioprophylaxie par Ceftriaxone pour 7 jours. La gastroscopie montre des varices oesophagiennes de stades III et une gastropathie portale hypertensive modérée sans saignement. Il est transféré en médecine pour la suite de la prise en charge. Un CT abdominal ne met pas en évidence de saignement au niveau abdominal et un traitement par Indéral est débuté. Nous vous proposons de majorer l'Inderal jusqu'à une fréquence cardiaque stable entre 55-60 battements par minute avec une bonne tolérance hémodynamique. Lorsque la fréquence cardiaque sera stabilisée à ces valeurs, nous vous proposons d'organiser une gastroscopie de contrôle à l'hôpital cantonal. Une ligature des varices sera réévaluée à ce moment-là. Dans ce contexte, un rendez-vous chez vous-même est organisé le vendredi 10.01.2020. Des benzodiazépines sont introduites en prévention d'un sevrage chez Mr. Y connu pour un éthylisme actif et important. La substitution vitaminique par Thiamine est également poursuivie. Un sevrage des benzodiazépines est débuté dès le 07.01.2020 et le patient s'engage à poursuivre le sevrage en ambulatoire. Il contactera un infirmier en psychiatrie pour un suivi à domicile. Mr. Y rentre à domicile le 09.01.2020. Mr. Y, 69 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique dans le contexte d'une hémorragie digestive haute. Ce patient connu pour cirrhose CHILD B sur éthylisme chronique avec des antécédents de varices oesophagiennes ligaturées, consulte aux urgences de l'HFR Fribourg, suite à 3 épisodes d'hématémèse le 02.01.2020. Aux urgences, il est diaphorétique mais hémodynamiquement stable. Une réanimation liquidienne est administrée et un traitement par IPP et Sandostatine est débuté aux urgences et poursuivi aux soins intensifs, avec une antibioprophylaxie par Ceftriaxone pour 5 jours. Le patient reste hémodynamiquement stable et le suivi de l'hémoglobine reste compensé. La gastroscopie montre des varices oesophagiennes de stades III et une gastropathie portale hypertensive modérée sans saignement, ainsi que de la bile foncée, dont il n'est pas clair de savoir si sa composition est partiellement sanguine. Un scanner abdominal avec angiographie du foie et pancréas est recommandé pour visualiser une éventuelle source de saignement. Le cas échéant, et devant la certitude que le saignement viendrait des varices oesophagiennes, celles-ci pourraient être ligaturées. Nous introduisons un traitement par Indéral. De l'Oxazépam est introduit en prévention d'un sevrage chez ce patient connu pour un éthylisme actif et important. La substitution vitaminique par Thiamine est également poursuivie. Le patient est transféré en médecine pour suite de soins. Mr. Y est un patient de 87 ans, qui nous est adressé depuis l'HFR de Fribourg. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de ralentissement psychomoteur et une exacerbation des troubles de la marche connus. Au vu du risque de chute et des soins impossibles à domicile, Mr. Y est hospitalisé en médecine aiguë. Le bilan effectué aux urgences de Fribourg ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire, d'infection urinaire ou de troubles électrolytiques. Une insuffisance rénale aiguë est constatée puis traitée par hydratation avec une amélioration biologique. Sur le plan social, Mr. Y vit seul dans une ferme. À son arrivée en gériatrie, les deux premiers soirs, Mr. Y présente une agitation nocturne pour laquelle nous introduisons de l'Haldol en réserve. L'agitation cesse rapidement pendant son séjour. Au vu du ralentissement psychomoteur et de cette agitation nouvelle, nous concluons à un état confusionnel aigu d'origine inconnue et nous mettons en place des mesures non médicamenteuses. L'état confusionnel aigu s'améliore rapidement. En début d'hospitalisation, le patient se plaint de douleurs lombaires. Le statut met en évidence un hématome cutané à ce niveau. Nous réalisons alors une radiographie de la colonne lombaire et du bassin qui ne retrouve pas de fracture. Un jour avant sa sortie prévue initialement, Mr. Y présente un ralentissement psychomoteur avec somnolence. Nous réalisons alors un bilan sanguin qui retrouve un syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax montre un foyer en base droite. Nous concluons donc à une pneumonie nosocomiale et nous introduisons une antibiothérapie par Ceftriaxone durant 7 jours dont l'évolution est favorable.Pendant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 18.12.2019 au 31.12.2019. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 240 mètres et il peut gravir 18 marches d'escalier à l'aide du rollator. Le patient nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 76/126 (MIF physio : transferts 5/7, déplacements 5/7, escaliers 1/7). Le TUG s'effectue en 21.15 secondes. Sur le plan diététique, un bilan nutritionnel ne met pas en évidence de malnutrition. En ergothérapie, Mr. Y profite d'une évaluation et d'une prise en charge pour l'adaptation des moyens auxiliaires et des conseils pour l'adaptation du domicile. Sur le plan cognitif, nous réalisons un bilan neuropsychologique qui retrouve une atteinte cognitive très sévère et diffuse, touchant l'ensemble des fonctions testées. Notons toutefois que des informations simples peuvent être encodées en mémoire et rappelées. Le 09.01.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 2x/jour pour la mise en route le matin et l'aide au coucher le soir, 2x/jour pour les médicaments, 1x/semaine pour le conseil santé et le semainier. Mr. Y est hospitalisé le 11.01.2020 en raison d'une probable pneumonie se manifestant par une sensation de dyspnée avec une désaturation à 89% à l'air ambiant, malgré le traitement de Céfuroxime initié en ambulatoire et malgré l'absence de foyer infectieux à la radiographie thoracique. Sous traitement de Rocéphine et de Klacid, l'évolution est rapidement favorable avec disparition de la dyspnée et un retour de saturation normale à l'air ambiant. Le patient présente en parallèle des membres inférieurs érythémateux et œdémateux, avec une suspicion d'atteinte de dermo-hypodermite. Sous traitement d'antibiotique, nous constatons une nette amélioration avec un retour à l'état normal des membres inférieurs. Lors du bilan, une fibrillation auriculaire paroxystique est mise en évidence à l'ECG. Au vu du profil pulsionnel, aucun ralentisseur n'est actuellement proposé. Suite à des complications de son TAVI, le patient est actuellement déjà sous Sintrom. Lors de son séjour, le patient est tout à fait impotent à la marche, ceci en raison de gonalgies dans un contexte dégénératif, ayant nécessité une ponction dépôt de visco-supplémentaire faite par le Dr. X le 16.01.2020. L'amélioration est progressive avec une reprise de la mobilisation qui ne reste pas optimale pour un retour à domicile, raison pour laquelle Mr. Y est transféré dans le service de réhabilitation gériatrique le 22.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 28 ans, est hospitalisé en raison d'une crise d'épilepsie tonico-clonique sur déprivation de sommeil et stress professionnel. La crise d'épilepsie est spontanément résolutive avant l'arrivée de l'ambulance. Le CT cérébral permet d'exclure une hémorragie. Sur avis neurologique du Dr. X, le traitement anti-épileptique habituel de Valproate est majoré, et de Clobazam (Urbanyl) est instauré pour une durée de 6 jours en schéma dégressif. L'évolution clinique est rapidement favorable, et le patient ne présente pas de récidive de crise d'épilepsie durant le séjour. Mr. Y rentre à domicile le 28.01.2020. Un contrôle neurologique est prévu auprès de Dr. X le 27.03.2020. Mr. Y est un patient de 90 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, qui se présente aux urgences pour une baisse de l'état général depuis 10 jours avec difficulté à uriner en progression. L'évaluation met en évidence un phimosis important avec fermeture complète du méat urinaire ainsi qu'une insuffisance urinaire importante. Le laboratoire montre une insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale. Au vu de l'impossibilité de sondage vésical, nous mettons en place un Cystofix. Les urines reviennent claires. Le patient est hospitalisé pour un suivi de l'insuffisance rénale qui montre une évolution biologique favorable. Un maintien du Cystofix est prévu jusqu'à une circoncision en ambulatoire. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y présente une péjoration de sa cardiopathie avec en premier lieu une fibrillation auriculaire rapide résistant au traitement freinateur. Par la suite, il développe le 06.01.2020 des signes de choc cardiogène avec l'absence de réponse à la Cordarone. Une échographie transthoracique des soins intensifs montre une hypokinésie sévère avec une FEVG de moins de 10%. Dans ce contexte de maladie cardiaque dépassée et après discussion avec le patient, sa famille, les soins intensifs et la garde de médecine interne, une introduction à des soins de confort est décidée. Le patient décède en présence de sa famille le 08.01.2020 à 18h45. Mr. Y est un patient âgé de 51 ans, qui est hospitalisé pour embolie pulmonaire bilatérale centrale, à haut risque. Vous nous adressez le patient en raison de syncopes à l'effort, avec dyspnée progressive depuis 3 jours et douleur au mollet droit depuis 15 jours. Le bilan d'entrée aux urgences montre des D-dimères à 11299 ng/ml avec embolie pulmonaire centrale bilatérale au scanner thoracique. Une répercussion cardiaque avec hypertension artérielle pulmonaire à 62 mmHg et dilatation des cavités droites est également mise en évidence. Une anticoagulation est débutée, avec surveillance hémodynamique de 72 heures aux soins intensifs et servage progressif de l'oxygène. L'évolution clinique est favorable, avec absence de symptômes de dyspnée ou douleur thoracique. Un bilan angiologique retrouve une thrombose veineuse profonde poplitée, péronière, tibiale postérieure et musculaire du membre inférieur droit. Une échographie transthoracique de suivi rapporte une persistance de cœur droit secondaire, avec dilatation et hypokinésie globale du ventricule droit et hypertension artérielle pulmonaire sévère. Quant au bilan étiologique, hormis les facteurs de risque cardiovasculaires connus, au vu d'une absence de facteur favorisant clair à l'état pro-coagulant, un CT-abdominal injecté est réalisé, n'identifiant pas de néoplasie suspecte. Une colonoscopie serait cependant indiquée à titre de dépistage au vu de l'âge, cependant jusqu'à présent refusée par le patient et pour laquelle une nouvelle discussion est proposée à votre consultation. Aucun nodule n'est identifié à l'examen clinique de la prostate. Enfin, la réalisation d'un bilan de thrombophilie sera à réévaluer lors du prochain suivi angiologique à 6 mois, sachant que le patient évoque la présence d'une maladie hématologique chez sa mère avec des épisodes répétés de thrombose, ainsi que des thromboses chez ses 2 sœurs. Sur le plan médicamenteux, une anticoagulation thérapeutique par Clexane est introduite, avec relais par Xarelto pour une durée totale d'au moins 6 mois, réévaluée lors du prochain contrôle angiologique. Un bas de contention de classe 2 est de même prescrit. Sur le plan endocrinologique, une décompensation diabétique de type 2 possiblement sur l'état de stress aigu actuel est relevée, traitée par Insulinothérapie en IV continu aux soins intensifs, avec relais sous cutané par insuline lente et schéma de correction. Au vu de l'obésité, un agoniste GLP-1 (Liraglutide) est introduit à la sortie, avec proposition de remplacement par une molécule de la même classe pouvant être administrée de manière hebdomadaire (p. ex. Sémaglutide), cela après exclusion d'une rétinopathie diabétique. Le traitement de metformine est aussi majoré.Mr. Y, 51 ans, est admis aux Soins Intensifs pour surveillance hémodynamique d'une embolie pulmonaire bilatérale centrale, high risk. Le patient, connu pour une obésité et un diabète de type II, est adressé aux urgences par son médecin traitant pour des syncopes lors d'efforts ce 17.01.2020. Il nous dit avoir des douleurs dans les mollets depuis 15 jours et une dyspnée à l'effort depuis 3 jours. Le dosage des D-dimères revient positif à 11299, les troponines sont à 33 et les NT-proBNP à 6058. L'échographie transthoracique des urgences met en évidence une embolie pulmonaire massive avec répercussions cardiaques de type surcharge droite et hypertension artérielle pulmonaire à 62 mmHg. Le scanner confirme l'embolie pulmonaire centrale bilatérale. Durant la surveillance aux Soins Intensifs, le patient reste tachycarde mais hémodynamiquement stable. Il peut être progressivement sevré de l'oxygène. Cliniquement, il n'a pas de plainte ni de douleur. Au vu d'une absence de facteur favorisant pour cette embolie pulmonaire, un avis angiologique est préconisé. En ce qui concerne son diabète de type 2 non insulino-requérant, nous dosons une hémoglobine glyquée qui est à 8.1%. Au vu de l'état de stress aigu actuel, les glycémies sont augmentées et nécessitent de l'insuline en intraveineux continu dans un premier temps puis des corrections par de l'Humalog en sous-cutané. Nous majorons légèrement son traitement de metformine et nous proposons de demander un avis diabétologique afin d'adapter son traitement à distance de l'événement aigu. Mr. Y, patient de 80 ans, connu pour une BPCO stade II et un antécédent d'embolie pulmonaire en 2001, consulte les urgences le 18.01.2020 en raison d'une dyspnée en péjoration depuis le 11.01.2020, avec toux et expectorations jaunâtres. Il présente également des douleurs costales droites depuis une chute sur la glace, avec traumatisme crânien sans perte de connaissance le 08.01.2020. Nous effectuons un ECG qui montre une fibrillation auriculaire normocarde à 79/min, ainsi qu'un laboratoire qui montre une CRP à 205 mg/l sans leucocytose. La radiographie du thorax montre un foyer pulmonaire gauche. Nous complétons le bilan avec un CT thoracique en raison des fractures de côtes et du traitement anticoagulant par Sintrom, afin d'exclure un hémothorax. Le CT ne montre pas d'hémothorax mais confirme un foyer pulmonaire droit. Nous introduisons un traitement par co-amoxicilline 1200 mg 4x/jour dès le 18.01.20, avec aérosols d'Atrovent et Ventolin 3x/jour, et hospitalisons le patient en médecine pour la suite de la prise en charge. L'évolution est favorable sur le plan respiratoire. L'antibiothérapie est poursuivie par co-amoxicilline pour une durée de 7 jours au total. Le traitement par Atrovent et Ventolin est arrêté et nous instaurons du Symbicort. L'ECG effectué montre une fibrillation auriculaire normocarde qui n'était pas connue. Nous poursuivons l'anticoagulation par Sintrom. Nous vous proposons d'organiser un bilan cardiologique en ambulatoire. Le bilan radiologique montre des fractures de côtes des 2-3-4-5-6 arcs postérieurs à droite et un tassement possiblement subaigu de la partie supérieure du corps vertébral de D1 avec discret bombement du mur postérieur. Après discussion avec la Spine team, un corset cervico-dorsal de Milwaukee est indiqué. Le 27.01.2020, l'équipe d'orthopédie technique Riedo à Bulle vient prendre les mesures du patient afin de confectionner le corset. Ils contacteront le patient le 30 ou le 31.01.2020 pour remettre le corset. Un repos au lit strict est préconisé mais le patient souhaite rentrer à domicile. Après la discussion avec le Dr. X nous organisons un rendez-vous à sa consultation le 04.02.2020. Le 27.01.2020, Mr. Y quitte notre service contre avis médical. Nous lui expliquons les risques de lésions neurologiques et lui conseillons un repos et une absence d'activité physique. Le patient signe un formulaire de décharge et rentre à domicile. Il est invité à reconsulter en urgence en cas d'apparition de déficit sensitif ou moteur ou tout autre symptomatologie neurologique. Mr. Y, patient de 78 ans, connu pour un cancer pulmonaire neuroendocrine diagnostiqué en août 2019, métastatique au niveau hépatique, pleural et probablement pancréatique, est amené aux urgences par sa fille ce jour pour asthénie, nausées et vomissements depuis 5 jours résistants au Primperan et au Motilium. A noter que le patient a reçu une immunothérapie en novembre 2019 qui a été mal supportée, motivant l'interruption définitive du traitement. Le patient désirant une prise en charge uniquement palliative, il est hospitalisé pour gestion des symptômes. L'évolution est favorable avec diminution des nausées et vomissements grâce à un traitement de Primpéran, dexaméthasone et ondansétron. Sur le plan social, le patient vit à domicile avec son épouse. Sa fille infirmière est très impliquée. La famille est au clair avec la prise en charge palliative et souhaite un retour à domicile, avec Voltigo que nous organisons. Suite à l'évolution symptomatique favorable et l'attitude limitée, le patient rentre à domicile le 08.01.2020. Mr. Y est un patient de 89 ans que vous nous avez adressé pour une augmentation de la circonférence abdominale avec une suspicion d'ascite. Mr. Y présente une dyspnée qui empire lorsqu'il se penche en avant et qui est présente surtout à l'effort, apparue depuis le mois de janvier 2019, qui s'est progressivement péjorée avec la nécessité d'une oxygénothérapie (1.5 L) durant la nuit ou à l'effort. Selon son épouse, le périmètre abdominal a augmenté progressivement depuis 2 mois, associé à une augmentation du poids corporel sans valeur précisée à l'entrée. Mr. Y serait suivi, selon son épouse, par l'équipe de soins à domicile Voltigo, suite à une hospitalisation en janvier 2019. L'état général du patient est conservé. Sur le plan cardiaque, le rythme est irrégulier, les pouls périphériques perçus et des œdèmes des membres inférieurs sont retrouvés des deux côtés jusqu'aux chevilles, stables selon l'épouse. Sur le plan pulmonaire, nous retrouvons une hypoventilation diffuse avec de légers râles crépitants basaux bilatéraux. Le bilan biologique et radiologique de l'entrée retient une décompensation cardiaque globale, sans ascite au CT abdominal et sans lésion focale. A l'ECG, nous n'avons pas d'arguments pour une cause ischémique récente. L'étiologie de la décompensation cardiaque est probablement due à une insuffisance du traitement diurétique. Après adaptation du traitement, l'évolution est favorable avec diminution de la dyspnée, le poids reste stable. Nous conseillons un contrôle une fois par semaine du poids et un contrôle dans 5 jours à votre consultation pour le bilan biologique de contrôle des électrolytes. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une évaluation physiothérapeutique et nutritionnelle. Le bilan gériatrique ne retrouve pas d'objectifs physiothérapeutiques ou nutritionnels. Le 06.01.2020, au vu de la stabilité clinique, Mr. Y quitte notre service et peut regagner son domicile. Mr. Y est un patient de 92 ans qui est hospitalisé dans notre service suite à votre demande, directement depuis son EMS, en raison d'une baisse de son état général. Pour rappel, Mr. Y est connu pour un carcinome du sigmoïde traité par colectomie et chimiothérapie en 2006, sous Sintrom depuis 2006 suite à un épisode d'embolie pulmonaire. Le patient est également connu pour les comorbidités susmentionnées. Au début du mois de décembre 2019, l'état général du patient s'est péjoré et depuis 2 semaines, Mr. Y présente des épisodes de désaturation et est sous oxygénothérapie avec une perte de l'appétit et des épisodes de diarrhées durant les 7-10 derniers jours.A l'examen clinique, nous retrouvons sur le plan général un patient en état général conservé, calme et collaborant, apyrétique, normotendu, normocarde, avec une tension artérielle à 122/83, une saturation à 94% sous oxygène 1.5 l/min et une température de 35.5°C. L'examen clinique cardiopulmonaire reste sans particularité, hormis une diminution du murmure vésiculaire à droite. Au niveau abdominal, nous ne retrouvons pas de sensibilité, ni défense ou détente. Nous remarquons une hernie volumineuse de la ligne blanche connue, sans signes de complications. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont indolores à la percussion. Au niveau neurologique, nous retrouvons une GCS à 15, avec un examen qui reste dans la norme. Un bilan biologique effectué à l'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 48 mg/l, sans leucocytose (9.0 g/l), ainsi qu'une créatinine à 124 mg/l. Une radiographie thoracique reste superposable à la précédente de mars 2019 et nous permet d'exclure un foyer infectieux. Devant ces éléments, nous attribuons la symptomatologie à un syndrome grippal et nous poursuivons un traitement symptomatique. Vu des diarrhées mentionnées à l'anamnèse, nous effectuons aussi une coproculture qui revient négative. L'évolution par la suite est favorable et le patient reste asymptomatique et apyrétique. L'oxygénothérapie par lunettes a pu être sevrée sans complications le 22.12.19. Un suivi biologique montre une CRP à la baisse (22 mg/l le 22.12.2019). Nous constatons également une carence en vitamine D et en folates ainsi qu'une hypomagnésémie que nous substituons oralement. Une acutisation de la fonction rénale à l'arrivée avec une créatinine à 124 umol/l a été attribuée à une déshydratation dans le contexte des diarrhées et des vomissements. Un suivi biologique montre une discrète péjoration avec une valeur à 142 umol/l à la sortie. Au vu d'une hospitalisation courte, nous n'avançons pas avec nos investigations et nous proposons une hydratation per os adéquate avec un nouveau contrôle à votre consultation dans 5-7 jours. Sur le plan médicamenteux, nous poursuivons le traitement habituel de Mr. Y, sans changements. Pendant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche avec un tintébin est de 5 mètres. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 29/126 (MIF physio : transferts 1/7, déplacements 1/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas réalisé. A la demande de la famille du patient, et au vu de sa stabilité clinique, Mr. Y quitte notre service le 24.12.2019 et retourne au Home. Mr. Y est un patient de 54 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge d'un troisième épisode de diverticulite non compliquée à la jonction du côlon descendant et du sigmoïde dans un contexte de douleurs abdominales en fosse iliaque gauche d'apparition brutale. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire et le scanner confirme le diagnostic. Nous mettons en place une antibiothérapie intraveineuse avec un relais per os pour une durée totale de deux semaines. Au vu de l'évolution favorable sur le plan clinique et biologique, nous laissons le patient rentrer à domicile le 15.01.2020. Le patient sera convoqué pour une colonoscopie dans 6 semaines puis sera revu à la consultation des chefs de clinique pour décider de la suite de la prise en charge. Mr. Y, 74 ans, est hospitalisé suite à des pics fébriles récidivants et une anémie à 66 g/l au bilan biologique des urgences. Une péjoration de la lymphocytose et de sa thrombopénie au dernier contrôle oncologique avait motivé l'introduction de Venclyxto du 12 au 17.01.2020, arrêté suite au développement d'une agranulocytose. Dans le cadre d'un état fébrile avec péjoration de la cholestase chez un patient connu pour un stent des voies biliaires posé récemment avec disparition de l'aérobilie au scanner de 01.2020, nous instaurons un traitement de Rocéphine et Flagyl pour une éventuelle cholangite. Une hémoculture sur 4 revient rapidement positive pour un Pseudomonas aeruginosa motivant un relais rapide par Tazobac avant l'administration de la Rocéphine, puis par Céfépime au vu d'une sensibilité intermédiaire à l'antibiogramme. L'évolution clinique est favorable bien que l'origine reste indéterminée, et l'antibiothérapie est finalement passée per os avec de la Ciproxine le jour de sa sortie (pour un total de 2 semaines). A noter l'absence de dilatation des voies biliaires à l'ultrason abdominal et des hémocultures prélevées le 22.01.2020 qui reviennent négatives. L'anémie mise en évidence à son arrivée est partiellement corrigée par des transfusions itératives, avec stabilisation de l'hémoglobinémie. Sur le plan oncologique, le traitement par Zelboraf est mis en suspens jusqu'à sa sortie et un suivi ambulatoire par Voltigo est organisé. Le patient sera revu en oncologie pour la suite de la prise en charge. Le patient rentre à domicile le 28.01.2020. Mr. Y est un patient de 19 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences de notre hôpital le 21.01.2020 en raison de douleurs thoraciques antérieures gauche en péjoration depuis 24h. Le patient décrit une apparition aiguë des douleurs au repos le jour précédent. Le bilan radiologique met en évidence un pneumothorax et le patient bénéficie d'une mise en place de drain thoracique le jour même. L'évolution clinique est favorable permettant un retrait du drain le 23.01.2020 avec un contrôle radiologique montrant une résolution du pneumothorax. Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 23.01.2020. Nous recommandons un contrôle auprès du médecin traitant à 1 semaine et expliquons au patient les contre-indications liées au transport aérien, à l'exercice de la plongée et du séjour en altitude supérieurs à 3000 m pour les 4 semaines à venir. Mr. Y, 63 ans, connu pour une HTA non traitée et un tabagisme actif, se présente aux urgences pour une diplopie binoculaire et des vertiges alors qu'il travaille à l'ordinateur. Une évaluation ophtalmologique met en évidence une ophtalmoplégie internucléaire pour laquelle un avis neurologique est demandé. Un angio-CT cérébral et des vaisseaux précérébraux est réalisé en urgence et ne montre pas d'hémorragie cérébrale, de masse suspecte visible, d'anévrisme ou de lésion ischémique. L'IRM cérébrale montre un AVC constitué d'allure subaiguë dans le pons. Un bilan cardiologique avec une échocardiographie transthoracique met uniquement en évidence un début de cardiopathie hypertensive. Les résultats du Holter sont toujours en cours. Nous vous laissons le soin de pister les résultats en ambulatoire. Un traitement Plavix et Atorvastatine est introduit. Nous vous proposons de viser une cible du cholestérol à < 1.8 mmol/l. Un contrôle est prévu le 05.02.2020 au service d'ophtalmologie, puis le 15.04.2020 à 14h30 à la consultation cérébro-vasculaire au service de neurologie. Une hypertension artérielle non traitée est mise en évidence à l'entrée, motivant l'introduction de 150 mg d'aprovel avec bonne réponse clinique. Un rendez-vous de contrôle chez vous-même est prévu le 24.01.2020 pour suivre l'évolution. Mr. Y rentre à domicile le 15.01.2020. Mr. Y, 64 ans, connu pour une hypertension, présente des douleurs oppressives au repos irradiant dans la mâchoire, cédant spontanément en 1 heure lorsqu'il arrive au service des urgences de l'HFR Tafers. Nous diagnostiquons un STEMI postérieur et le patient reçoit une charge d'Aspirine et d'héparine le 30.12.2019 et une charge d'Efient le 31.12.2019 avant son transfert à l'HFR Fribourg.La coronarographie effectuée le 31.12.2019 montre une occlusion de la 2ème branche marginale traitée par recanalisation et mise en place d'un stent ainsi que des sténoses significatives de l'ACD moyenne et postéro-latérale traitées par la mise en place de 2 stents. Une double antiagrégation par Aspirine et Efient est à poursuivre pendant 12 mois. La surveillance hémodynamique ne montre pas de trouble du rythme. Compte tenu d'une discrète hypokinésie diaphragmatique avec FEVG 60%, une échographie cardiaque de contrôle est réalisée le 03.01.2020 avec un résultat rassurant, permettant la sortie du patient le jour même. Mr. Y rentre à domicile le 03.01.2019. Mr. Y, 64 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique d'un STEMI postérieur le 30.12.2019. Le patient, connu pour une hypertension, présente des DRS oppressives irradiant dans la mâchoire au repos, cédant spontanément en 1 heure lorsqu'il arrive aux urgences. On diagnostique un STEMI postérieur et le patient reçoit une charge d'Aspirine, d'héparine puis une charge en Efient le 31.12.2019. La coronarographie effectuée le 31.12.2019 montre une occlusion de la 2ème branche marginale traitée par recanalisation et mise en place d'un stent ainsi que des sténoses significatives de l'ACD moyenne et postéro-latérale traitées par la mise en place de 2 stents. Une double antiagrégation par Aspirine est à poursuivre à vie et Efient pendant 12 mois. La surveillance hémodynamique ne montre pas de trouble du rythme. Pas de complication au niveau du point de ponction. Le patient est transféré en médecine interne le 01.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour des syncopes à l'emporte-pièce, avec 5 épisodes en 36 heures dont la plupart quelques minutes après le lever le matin, avec morsure de la lèvre inférieure, une perte d'urine et reprise de conscience sans état post-critique. Nous retenons comme cause la plus probable des troubles orthostatiques, en vue de l'anamnèse compatible et un test de Shellong positif. Nous n'avons pas d'argument pour une arythmie maligne chez ce patient coronarien connu (PAC en 2013), avec une surveillance rythmique de 24 heures sans aucun évènement, un ECG et une échocardiographie normaux. Le CT cérébro-thoracique ne démontre pas de cause extra-cardiaque. Un Holter de 72 heures sera encore effectué en ambulatoire, pour écarter définitivement un trouble du rythme. On découvre au CT un nodule pulmonaire spiculé de 8 mm, qui devra être investigué par un PET-CT en ambulatoire. Cet examen a été organisé pour le 10.02.2020. En cas de confirmation d'une lésion néoplasique, le bilan devra être complété. A noter également la mise en évidence au CT du 28.01. d'un épaississement de la paroi de la vésicule biliaire qui devra être corrélé à une échographie que reste à organiser en ambulatoire. Mr. Y présente une évolution favorable à 3 mois de l'opération susmentionnée. Les douleurs sont en régression, de plus il a bien repris le renforcement de son membre inférieur G. Nous l'encourageons à abandonner les cannes anglaises au fur et à mesure et à commencer à forcer le renforcement des abducteurs avec la physiothérapeute. Pour cela, nous établissons un bon de physiothérapie et nous lui prescrivons encore de la Novalgin. Nous reverrons le patient pour un contrôle à 6 mois de l'opération le 28.04.2020. Mr. Y, 86 ans, est hospitalisé pour une pneumonie communautaire du lobe moyen droit sans germe identifié. Il bénéficie d'une antibiothérapie par Co-amoxicilline IV du 29.12.2019 au 30.12.2019 puis Co-amoxicilline PO du 30.12.2019 au 03.01.2020 ainsi que de séances de physiothérapie respiratoire. Dans le contexte infectieux, nous objectivons également une décompensation cardiaque à prédominance droite nécessitant une augmentation transitoire du traitement diurétique. L'évolution clinique et biologique est favorable. Le patient présentant un déconditionnement suite au contexte infectieux avec risque de chute, nous vous laissons le soin d'organiser une réadaptation gériatrique au HIB. Mr. Y, 74 ans, est hospitalisé en raison de nausées et vomissements d'origine indéterminée, probablement post-chimiothérapie. Il présente depuis 4 jours une inappétence avec vomissement systématique après les repas. Il décrit également une péjoration d'une toux chronique. Le bilan aux urgences montre une CRP à 81 mg/l sans leucocytose. Un CT cérébral exclut une métastase cérébrale. Un traitement antiémétique est mis en place et rapidement sevré durant l'hospitalisation avec bonne évolution. D'un point de vue pneumologique, le patient est oxygéno-dépendant depuis novembre 2019 où un diagnostic de probable pneumonie atypique avec possible BPCO sous-jacente est retenu. Un CT thoraco-abdomino-pelvien exclut une embolie pulmonaire et ne montre pas de foyer. Une antibiothérapie par Levofloxacine, introduite en ambulatoire, est poursuivie pour une durée totale de 10 jours. L'oxygène est peut-être progressivement sevré durant l'hospitalisation, excepté en nocturne à 1 l/min. Un avis pneumologique ne retient pas d'indication à effectuer des fonctions pulmonaires au vu du contexte oncologique et de l'évolution pneumologique progressivement favorable. Le diagnostic différentiel évoqué comprend une pneumopathie sur immunothérapie, qui semble peu probable au vu de la chronologie de l'apparition des symptômes, ainsi qu'une lymphangite carcinomateuse, également peu suspectée au vu de l'évolution favorable des symptômes spontanément. Le CT thoraco-abdomino-pelvien montre une progression de la maladie tumorale. L'immunothérapie par Keytruda est arrêtée et une chimiothérapie par Taxotere est initiée le 23.01.2020. La suite de la prise en charge oncologique sera rediscutée par Dr. X. L'évolution est favorable. Le patient est inscrit pour une réadaptation palliative à Meyriez. Il sera vu à la consultation du Dr. Y le 10.02.2020 à 14h00. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, patient de 78 ans, est adressé par son médecin traitant en raison d'une désorientation et une baisse de son état général depuis 24h, associée à un état fébrile nouveau sans foyer anamnestique ni clinique. L'origine de l'état fébrile reste indéterminée. La radiographie thoracique est propre, le sédiment urinaire revient sans particularité et les hémocultures sont négatives à 5 jours. Le patient reste afébrile durant l'hospitalisation (sans traitement fébrifuge). Au vu d'une absence de symptomatologie neurologique, une ponction lombaire n'est pas effectuée. Après discussion avec l'hématologue traitant, Dr. X, une récidive de leucémie est peu probable. A noter une valeur de PSA pathologique en octobre 2019, nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer l'indication à effectuer une IRM prostatique à la recherche d'une néoplasie en fonction de l'état général et de l'espérance de vie supposée (si plus de 10 ans indication à rechercher et traiter une néoplasie prostatique). Au vu du bon état général et de l'absence de récidive de fièvre, Mr. Y rentre à domicile le 10.01.2020.Mr. Y, 68 ans, est adressé par le médecin de son EMS pour une dyspnée persistante en péjoration. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer. Une rétention en CO2 motive un traitement par VNI aux urgences, sans nette amélioration. Une échocardiographie trans-thoracique met en évidence une oreillette droite dilatée, un ventricule droit à la limite supérieure et une hypertension artérielle pulmonaire à 57 mmHg. Une insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique sur une décompensation BPCO, un syndrome restrictif sur obésité et avec composante de décompensation cardiaque secondaire sont retenus. Une oxygénothérapie est mise en place, associée à des aérosols et à de la Prednisone pour la BPCO ainsi qu'à son traitement diurétique pour la décompensation cardiaque. Une désaturation importante au repos persiste à l'étage. Bien que nous lui recommandons de rester à l'hôpital pour la suite de la prise en charge, Mr. Y souhaite rentrer à l'EMS. Compte tenu de son lieu de vie médicalisé et en accord avec vous-même, nous mettons en place une oxygénothérapie transitoire à l'EMS. Le traitement par aérosols devra être sevré en ambulatoire par vos soins, selon l'évolution constatée lors de votre prochain contrôle prévu le 20.01.2020. Nous vous laissons le soin de bilanter l'anémie du patient en ambulatoire à distance de l'épisode aigu. Mr. Y retourne à l'EMS le 17.01.2020. Mr. Y, 72 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne dans les suites d'un STEMI antérieur, après surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs. Le patient, tabagique actif à 55 UPA, présente le 25.12.2019 un épisode d'angor instable, avec une douleur thoracique typique le 29.12.2019. L'ECG réalisé en pré-hospitalier montre un sus-décalage en territoire antéro-latéral. La coronarographie réalisée en urgence confirme un STEMI antérieur sur occlusion de l'IVA moyenne et 1ère diagonale traité par PTCA et pose de 3 stents. Une ventriculographie n'est pas effectuée en raison de l'importante quantité de produit de contraste administré. Le patient est mis sous double anti-agrégation par Aspirine au long cours, et du Prasugrel pour une durée de 12 mois. L'échocardiographie transthoracique de contrôle montre une FEVG à 40%, associée à une akinésie apicale et une hypokinésie septale inférieure. Pour le traitement de la cardiopathie ischémique, un traitement de Lisinopril, Metoprolol et Atorvastatine est introduit, avec bonne tolérance. Une demande de réhabilitation cardiaque est faite à Heiligenschwendi; le patient sera convoqué depuis le domicile. Le patient sera vu à la consultation cardiologique d'ici 1 mois pour échocardiographie de contrôle. Le patient présente une consommation OH à risque, raison de l'introduction de Seresta dès son entrée, avec un suivi avec le score CIWA. Nous donnons une substitution de Thiamine, et rendons le patient attentif sur sa consommation. Au vu de la bonne évolution durant l'hospitalisation, un schéma dégressif de Seresta peut être effectué, et stoppé le 02.01.2020. Mr. Y étant un fumeur actif important, une consultation de tabacologie est à organiser en ambulatoire. Dans les archives radiologiques, nous retrouvons un CT thoracique réalisé en 2012 avec présence d'un emphysème centro-lobulaire. Nous réalisons une radiographie thoracique de contrôle qui se révèle dans les limites de la norme. Le patient présente une thrombopénie modérée dont le diagnostic différentiel comprend, en premier lieu, le contexte de l'éthylisme chronique, un probable hypersplénisme, une carence en folates et/ou vitamine B12, une origine autoimmune. La formule sanguine complète ne parle pas en faveur d'une origine centrale. Mr. Y rentre à domicile le 03.01.2020, sans soins à domicile. Mr. Y est un patient de 79 ans connu pour une hypertension artérielle traitée, qui nous est adressé par nos collègues de Tavel pour la prise en charge chirurgicale d'un hématome sous-dural gauche à la suite d'une chute mécanique à domicile il y a 3 semaines. Le patient bénéficie d'une craniotomie frontale gauche le 11.01.2020. Les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 14.01.2020. Nous prévoyons un rendez-vous de contrôle clinique et scannographique à 4 semaines en neurochirurgie. Mr. Y, 78 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique après trépanation d'un hématome sous-dural gauche par craniotomie le 11.01.2020. Le patient consulte les urgences de Tavel en raison de céphalées, dysgraphie droite et troubles de la marche depuis 3 jours. Il signale une chute accidentelle avec traumatisme crânien 3 semaines auparavant. Le CT cérébral met en évidence un hématome sous-dural hémisphérique gauche avec effet de masse et déviation de la ligne médiane. Une craniotomie gauche avec un trou de trépanation est effectuée le 11.01.2020 sans complications immédiates. L'évolution neurologique aux soins intensifs est favorable avec absence d'anomalie au status neurologique. Une antalgie par paracétamol et AINS en réserve est suffisante. Le drain sous-cutané placé per-opératoire est arraché accidentellement le 11.01.2020 sans nécessité de repose. Un point de suture est effectué pour refermer la peau. Il n'y a pas lieu, selon Dr. X, d'effectuer de CT de contrôle durant l'hospitalisation sauf en cas de péjoration du status neurologique. La mobilisation au fauteuil est bien tolérée dès le 12.01.2020. Des bottes anti-thrombotiques sont prescrites ainsi qu'une clexane 20 mg dès 24h post-opératoire. La cible tensionnelle TAs<160 mmHg est atteinte après reprise du traitement antihypertenseur habituel du patient. Le patient est transféré à l'étage de chirurgie le 12.01.2020. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 26.12.2019 en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique. Il est amené au service des urgences en raison d'un état confusionnel et d'une léthargie marquée survenant dans un contexte de dyspnée de stade IV en péjoration depuis quelques jours. Le bilan d'entrée met en évidence une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique modérée attribuée en premier lieu à une décompensation cardiaque à prédominance gauche. L'échographie confirme une hypokinésie globale sévère et une FEVG diminuée à 25% en relation avec une possible amyloïdose. Un CT cérébral effectué pour l'état confusionnel aigu s'avère dans les limites de la norme. Suite à cela, Mr. Y est admis aux soins intensifs pour suite de la prise en charge. En raison d'une suspicion clinique et radiologique de pneumonie basale droite, un traitement par Levofloxacine est institué. Les frottis de grippe sont négatifs et les hémocultures sont en cours. L'évolution est favorable sur traitement de Furosemide et de VNI. Suite à une apparition d'hypotension, le furosémide est initialement mis en intraveineux continu dès le 31.12.2019 puis arrêté le 02.01.2020. Concernant la suspicion d'amyloïdose cardiaque retrouvée à l'ultrason cardiaque, nous décidons de ne pas poursuivre les investigations au vu de l'âge et du status fonctionnel du patient. Le Torem est majoré et le Xarelto remplacé par de l'Eliquis. Mr. Y bénéficiera d'un suivi cardiologique de contrôle. Durant l'hospitalisation, le patient présente un érythème à la face antérieure du genou droit, indolore à la palpation et associé à une CRP élevée. Le diagnostic différentiel évoqué inclut une chondrocalcinose (connue). Un US ciblé réalisé aux soins intensifs ne permet pas de visualiser d'épanchement ponctionnable à ce niveau. L'évolution clinique est spontanément favorable sous traitement antalgique simple.Sur le plan urinaire, Dr. X bénéficie de la pose d'une sonde vésicale en début d'hospitalisation pour une rétention urinaire aiguë mise sur le compte de l'événement infectieux. Un premier essai de sevrage échoue le 30.12.2019, induisant une nouvelle pose. Suite à cela, le patient mentionne des douleurs sus-pubiennes importantes à la position assise avec hématurie macroscopique. Nos collègues urologues proposent une nouvelle tentative de sevrage après 48 heures de Tamsulosine. L'évolution est favorable sans récidive de globe urinaire. Une réadaptation est initialement prévue pour le patient mais au vu de l'évolution favorable, Dr. X rentre à domicile en bon état général le 09.01.2020. Dr. Y, 63 ans, est amené au service des urgences par sa femme en raison d'une désorientation progressive sur la dernière semaine. Au service des urgences, une clinique compatible avec une encéphalopathie hépatique dans le cadre d'une cirrhose d'origine éthylique est retenue. Le bilan ne donne pas d'argument pour une infection. Un US bedside effectué à deux reprises durant l'hospitalisation ne montre pas d'ascite. Le traitement de Lactulose est majoré associé à une hydratation. Dr. Y réagit favorablement au traitement et nous constatons une amélioration de l'état de conscience avec retour à l'état de base selon son épouse. Cette dernière nous fait part de son épuisement à domicile, lié à l'état de son mari. Dans ce contexte, nous décidons d'un commun accord d'organiser une réadaptation palliative à la Villa St-François. Dr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Dr. Y est un patient de 71 ans qui nous est transféré du service de médecine interne de l'HFR Fribourg suite à la prise en charge d'un accident ischémique transitoire cérébelleux droit d'origine indéterminée, pour une réadaptation gériatrique. Sur le plan social, Dr. Y vit seul à domicile dans un appartement situé dans une ancienne ferme. Sa nièce en est propriétaire et vit dans la même maison. Le patient n'a pas de soins à domicile et est autonome. Au bilan biologique, nous retrouvons des carences en acide folique et vitamine B12 qui sont déjà substituées depuis l'hospitalisation à Fribourg. Durant son séjour, Dr. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche seul sans moyen auxiliaire est illimité et peut gravir 36 marches d'escalier à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 103/126 à sa sortie par rapport à 93/126 à son entrée. (MIF physio : transferts 7/7, marche 7/7, escaliers 7/7). Au vu de l'autonomie du patient, celui-ci n'a pas été évalué par l'ergothérapeute. Sur le plan nutritionnel, le patient couvre ses besoins caloriques et protéiques donc il n'y a pas eu d'intervention. Au vu de la bonne évolution clinique et d'une autonomie intacte, Dr. Y quitte notre service et regagne son domicile le 31.12.2019. Dr. Y est un patient de 80 ans qui est admis en réadaptation gériatrique dans le cadre d'une malnutrition sur odynodysphagie. Pour rappel, Dr. Y était hospitalisé dans le service de médecine interne de Fribourg du 18.12.2019 au 06.01.2020 pour une pneumonie basale gauche traitée par Co-Amoxicilline du 18.12.2019 au 24.12.2019. D'un point de vue oncologique, le patient présente depuis début novembre une récidive locale d'un carcinome supraglottique diagnostiqué et traité par radio-chimiothérapie en 2018. Un avis oncologique (Dr. X) propose une chimiothérapie à visée palliative par Carboplatine et 5-FU toutes les 3 semaines, et Pembrolizumab ou Cétuximab selon accord de l'assurance. L'anémie normochrome normocytaire est mise sur le compte de l'état inflammatoire sur processus oncologique au vu d'un bilan vitaminique non carentiel. Sur demande de l'oncologue, Dr. X, Dr. Y reçoit une transfusion de 1 concentré érythrocytaire le 08.01.2020 avant de débuter la chimiothérapie palliative. La première séance de chimiothérapie a lieu le 09.01.2020 et est bien supportée par le patient. Sur le plan diététique, une malnutrition protéino-énergétique grave, en lien avec une odynophagie, une inappétence est démontrée par une perte de poids de 30% en 11 mois, un BMI à 15.4 et un NRS à 6/7. Le régime alimentaire est enrichi en protéines et une supplémentation par SNO est mise en place qui sera poursuivie à domicile. Un suivi ambulatoire en oncologie à Riaz sera effectué dès le 30.01. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 08.01.2020 montrent un MMS à 25/30 et un test de la montre à 3/7. Au cours de l'hospitalisation, nous proposons à Dr. Y des séances de physiothérapie, d'ergothérapie ainsi qu'un suivi nutritionnel. Le patient refusant quotidiennement toutes les thérapies et étant indépendant au niveau des activités de la vie quotidienne, nous décidons, avec son accord, de raccourcir son séjour. Le 15.01.2020, Dr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, 1x/semaine pour le semainier. Nous lui prescrivons également des séances de physiothérapie et d'ergothérapie en ambulatoire. Dr. Y, 76 ans, se présente aux urgences suite à une chute qui s'est produite le soir du 26.12.2019 alors qu'il s'est tourné brusquement avec perte d'équilibre. Le patient est resté couché au sol jusqu'au matin du 27.12.2019. Il ne décrit pas de prodrome, pas de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. Suite à la chute, il présente des douleurs dorsales invalidantes. Le bilan radiologique (CT colonne totale, radiographie et IRM de la colonne avec séquences STIR) montre une fracture récente de D10 avec atteinte du mur postérieur et des deux pédicules, ainsi que deux zones minimes d'œdème des plateaux vertébraux D1 et D12 pouvant correspondre à des tassements récents. En raison de douleurs mal contrôlées malgré une antalgie par Paracétamol, AINS et opiacé, l'indication à une cyphoplastie avec renforcement vertébral est posée. L'intervention a lieu le 22.01.2020 et se déroule sans complication, avec par la suite amélioration clinique. Le patient bénéficie d'une antalgie associée à une physiothérapie de mobilisation. Une réadaptation musculo-squelettique étant refusée par nos collègues, des séances de physiothérapie sont organisées en ambulatoire. Sur le plan métabolique, le patient est connu pour une consommation éthylique chronique suivi par les diététiciennes à domicile et sous substitution de Benerva et Becozyme. Nous ajoutons des suppléments nutritifs oraux étant donné un appétit diminué dû aux douleurs. Un suivi en addictologie n'est cependant pas accepté par le patient. Dans le cadre du bilan préopératoire, nous avons effectué une échocardiographie trans-thoracique en raison d'un souffle systolique, avec irradiation carotidienne. L'examen montre un rétrécissement aortique non serré, calcifié, d'origine dégénérative. Nos collègues cardiologues proposent un suivi annuel chez un cardiologue, ainsi qu'un bilan de la dilatation aortique. À noter de plus la mise en évidence de manière fortuite d'un anévrisme de l'aorte qui mesure jusqu'à 46 mm, pour lequel nous vous proposons d'organiser un CT thoracique en ambulatoire.Mr. Y rentre à domicile le 30.01.2020. Mr. Y est un patient de 82 ans connu pour un statut post-cystectomie selon Bricker de confort dans le cadre d'un carcinome de la vessie diagnostiqué en 2012 et en progression depuis 2019 avec une infiltration rétropéritonéale qui bénéficie le 13.12.2019 d'une colostomie définitive de confort pour une fistule colo-urétrale. Les suites postopératoires sont marquées par une augmentation du syndrome inflammatoire avec un état fébrile, devant la suspicion d'une pyélonéphrite, une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone et Metronidazole est initiée. Un CT abdominal de contrôle le 20.12.2019 montre une nette augmentation en taille et nombre des lésions métastatiques et des signes de pyélo-urétrite gauche. Sur avis de nos collègues infectiologues, l'antibiothérapie est changée et une thérapie par pipéracilline-tazobactam est initiée le 20.12.2019 avec ajout de Vancomycine et Fluconazole selon la culture urinaire du 17.12 et du 21.12.2019. Suite à un tableau clinique d'iléus, le patient bénéficie d'un nouveau CT abdominal le 25.12.2019 qui montre un iléus mécanique avec saut de calibre dans le petit bassin. Un traitement conservateur par sonde naso-gastrique est initié. La situation palliative est réexpliquée au patient en présence du Dr. X, oncologue traitant, et le patient est transféré au service de médecine le 27.12. pour la suite de la prise en charge palliative. Mr. Y, 17 ans, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 17.01.2020 car il présente depuis plusieurs jours, une sensation de malaise avec asthénie, inappétence et polyurie, avec également des myalgies et des arthralgies diffuses. Au laboratoire, nous retrouvons une hyperglycémie à 28.3 mmol/l, à savoir qu'il y a une notion de diabète dans l'anamnèse familiale, l'oncle serait atteint et ne se soignerait pas. Nous décidons donc de prendre l'avis de nos confrères diabétologues, pour un traitement insulinique dans ce diabète de type 1 inaugural. Ils nous proposent la mise en place d'une Lantus le matin avec 26 UI et la mise en place d'une insuline Humalog avec 10-8-8 UI par jours, ainsi qu'un schéma correcteur avec l'Humalog en cas d'hyperglycémie. Lors du séjour, Mr. Y s'est montré très anxieux. Dans ce contexte, nous avons mis en place une consultation RFSM (pédopsychiatrie) le 28 janvier à 13h30 à Fribourg et la mise en place de Redormin en cas d'anxiété. Le patient est également attendu le 28 janvier à 09h00, à l'HFR Fribourg, pour une consultation en diabétologie et en nutrition clinique. Mr. Y peut regagner son domicile le 24.01.2020. Nous recommandons un contrôle à votre consultation. Mr. Y, de retour du Sri Lanka hier suite à 11 heures de vol, se présente pour un suivi clinique suite à un érysipèle survenu le 10.01.2020. Un bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ou de CRP. Le statut clinique cependant laisse penser que l'infection n'est pas encore correctement traitée, raison pour laquelle nous reprenons un traitement antibiotique par co-amoxicilline. De plus, le statut clinique permet de suspecter une thrombo-phlébite superficielle avec possible thrombose veineuse profonde pour laquelle nous dosons des D-dimères qui reviennent à 300 ng/L raison pour laquelle nous excluons une thrombose veineuse profonde. Nous retenons le diagnostic de thrombo-phlébite superficielle de la v. saphena parva à droite. Nous prescrivons au patient un arrêt de travail et lui donnons des conseils sur l'importance de reposer et de surélever sa jambe. Le patient sera revu en contrôle clinique le 04.02.2020. Il est invité à reconsulter en urgence en cas de fièvre ou de frissons. Mr. Y est un patient de 74 ans, en vacances en Suisse, qui chute sur du verglas le 31.12.2019 avec réception sur la hanche gauche. Pas de traumatisme crânien. Mr. Y ressent des douleurs de la hanche gauche rendant la mobilisation et la marche difficiles, raison pour laquelle il se présente aux urgences de l'HFR Riaz. Le bilan radio-clinique, complété par un CT, met en évidence la fracture suscitée pour laquelle l'indication opératoire est retenue. Au statut d'entrée, il n'y a pas de déformation des membres inférieurs et supérieurs. Pas de rotation de la hanche ni de raccourcissement du membre inférieur gauche. La mobilisation est difficile en raison des douleurs, pouls périphériques palpables, pas de troubles neurovasculaires. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. L'intervention se déroule sans complication le 01.01.2020 et les suites postopératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. La cicatrice, régulièrement contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est calme et propre. Le contrôle radiologique postopératoire est en ordre et le patient bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge partielle à 15 kg sur le membre inférieur gauche. Celle-ci se déroule bien, Mr. Y acquiert rapidement une bonne autonomie à la marche. Les contrôles biologiques montrent une hémoglobine stable. Pas de trouble neuro-vasculaire en postopératoire. Monsieur étant français, nous lui proposons de trouver un orthopédiste en France pour un contrôle radio-clinique à 6 semaines de l'opération. La marche en charge partielle à 15 kg sur le membre inférieur gauche, à l'aide de cannes anglaises, est à poursuivre jusqu'à cette consultation. Par ailleurs, une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera à poursuivre durant 6 semaines postopératoires, à réévaluer en fonction du contrôle radio-clinique à ce moment et décision de poursuite de la charge partielle ou non. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y retourne à son domicile en France le 06.01.2020. Mr. Y présente une boursite post-traumatique du coude gauche depuis le mois d'octobre. Actuellement, le patient est asymptomatique. Il ne se sent pas gêné par cette boursite. J'explique au patient les différentes possibilités de traitement. Pour l'instant, le patient ne souhaite pas d'intervention. Il me recontacte s'il change d'avis. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y, connu pour des migraines, est hospitalisé dans le contexte de suspicion d'AVC/AIT ou une amnésie globale transitoire. Pour rappel, le patient présente le 19.01.2020 des céphalées inhabituelles associées à une dysarthrie et une désorientation spatiale et sur sa personne. Son épouse remarque des troubles de l'orientation. Au service des urgences, le NIHSS s'élève à 2 points avec une discrète ataxie au MID et une hyposensibilité du MSD, qui n'est ultérieurement plus retrouvée. L'angio-CT cérébral ne met pas en évidence d'occlusion vasculaire ou de lésion ischémique. Une surveillance neurologique intensive de 24h s'avère sans particularité avec un NIHSS qui reste toujours à 0. Le patient est initialement traité par Aspirine et Atorvastatine en attendant le complément du bilan par IRM cérébrale, qui ne montre aucune lésion ischémique. Le diagnostic d'amnésie globale transitoire est finalement retenu et ces traitements sont interrompus. L'évolution est favorable et le patient peut rentrer à domicile le 21.01.2020. Le patient reçoit des conseils. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique de 24h où il présente un NIHSS à 0. L'Aspirine et l'Atorvastatine sont introduites. L'évolution est rapidement favorable, avec un statut neurologique strictement dans la norme pendant tout son séjour au service des soins intensifs. À noter la persistance d'une amnésie globale pour les événements de l'après-midi du 19.01.2020. L'IRM du 21.01.2020 permet d'exclure un AVC/AIT et un diagnostic d'amnésie transitoire globale est retenu.Les traitements d'Atorvastatine et d'Aspirine sont donc stoppés. Au vue de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 21.01.20 sans contrôle neurologique nécessaire. Mr. Y, 76 ans, est admis en unité stroke monitorée pour une suspicion d'amnésie globale transitoire le 20.01.2020. Ce patient présente le 19.01.2020 des céphalées inhabituelles associées à une dysarthrie et une désorientation spatiale et à la personne. Son épouse l'amène aux urgences. Le NIHSS aux urgences est à 2 points (discrète ataxie au MID et hyposensibilité au piqué-touché du MSD). L'angio-CT cérébral ne met en évidence d'AVC ischémique constitué ni hémorragique. L'aspirine et l'atorvastatine sont introduites. L'évolution est rapidement favorable, avec un statut neurologique strictement dans la norme pendant tout son séjour aux soins intensifs (NIHSS à 0). À noter une amnésie globale pour une durée d'environ 2-3 heures de l'après-midi du 19.01.2020. Nous suspectons en accord avec les collègues neurologues donc en premier lieu une amnésie transitoire globale. Le bilan va être complété par un IRM. Vu la stabilité clinique, nous transférons Mr. Y à l'étage de médecine le 20.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y présente effectivement une arthrose très avancée de la hanche D avec un important retentissement fonctionnel. Il s'agit toutefois d'un patient à haut risque, tant cardiaque qu'infectieux. Le patient a rendez-vous dans environ 1 semaine en cardiologie pour un contrôle. À cette occasion, il serait sans doute judicieux d'effectuer également un ultrason afin d'avoir une idée de la fonction cardiaque actuelle. Nous organisons également une consultation anesthésique. Si les anesthésistes sont d'accord de prendre en charge le patient, il faudra ensuite anticiper la mise en pause du Xarelto et la prise en charge péri-opératoire du pacemaker. Mr. Y est bien au courant qu'il s'agit là d'une opération à très haut risque dans son cas, cependant il est déterminé à se faire opérer étant donné que sa qualité de vie est actuellement extrêmement amoindrie. Je serais reconnaissant envers les anesthésistes de me faire un feedback et de notre côté nous bloquons déjà le 08.04.2020 comme date opératoire. Techniquement nous prévoyons un abord latéral avec mise en place d'un anneau de Ganz et prothèse cimentée. Mr. Y est un patient de 48 ans, connu pour HTA traitée, qui est transféré en chirurgie générale depuis le service des urgences de Riaz pour prise en charge chirurgicale d'une appendicite aiguë. Pour rappel, le patient a consulté les urgences en raison de douleurs en fosse iliaque droite en péjoration depuis 12h, associées à des épisodes de vomissements. Le bilan clinique, biologique et sonographique confirme le diagnostic susmentionné et le patient est transféré en chirurgie générale à Fribourg. Le patient bénéficie d'une appendicectomie par laparoscopie en urgences le jour même. L'intervention se déroule sans complication. Les suites postopératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 27.01.2020. Mr. Y, patient de 48 ans connu pour HTA sous Votum et Lodoz présente depuis 03h00 du matin des douleurs FID avec irradiation en périombilicale. Pas de nausées, deux épisodes de vomissements alimentaires, pas de troubles de transit intestinal, pas de fièvre ni de frissons, pas de plaintes urinaires, pas de douleurs loge rénales. Pas de voyage récemment, pas de notion de contage, pas de maladies inflammatoires dans la famille. Une prise de sang et un sédiment urinaire sont faits qui ne montrent pas de syndrome inflammatoire ni d'infection urinaire. Vu la clinique et le péritonisme local, le patient est convoqué à 17h00 pour US abdominale. L'examen de jour montre un APP aigu (image de cocarde avec APP à 9 mm). Le patient est transféré à l'hôpital cantonal de Fribourg pour prise en charge chirurgicale. Status TA 136/75 mmHg FC 68 bpm Temp 37 °C Saturation 99 % à AA FR 16 TGI: sensibilité FID avec péritonisme local sans détente, psoas négatif, Rovsing négatif, les bruits abdominaux présents. URO: loge rénale souple indolore. B1 B2 bien frappées sans souffle, sans OMI, pool périphérique palpable symétrique. Pulm: auscultation pulmonaire sans râles ni crépitations, le MVS sans sibilances ni tirage. Neuro: GCS 15, pupilles symétriques, pas de signes de méningisme. Cutanée sans particularité. Ostéo-articulaire sans particularité. Mr. Y est hospitalisé pour une chimiothérapie de consolidation dans le contexte d'une leucémie myéloïde aiguë. À l'admission, il est asymptomatique et le statut sans particularité, avec disparition des œdèmes des membres inférieurs et douleur articulaire présents à la sortie de l'hospitalisation précédente. La chimiothérapie se complique par un épisode d'agranulocytose fébrile avec hémoculture positive pour E. Coli sans symptomatologie focale. Sous traitement antibiotique, l'évolution clinico-biologique est favorable. Il présente également des douleurs thoraciques et aux épaules de manière diffuse, déjà présentes lors des anciens cycles (possible effet secondaire de la midostaurine), cette fois-ci d'intensité moindre. Les examens complémentaires sont sans particularité. Les douleurs se résolvent progressivement sans prise en charge particulière. Suite à la sortie d'aplasie, le patient peut rentrer à domicile. Il est convoqué à la consultation pré-greffe des HUG le 28.01.20 afin de discuter et d'organiser la greffe de moelle. Mr. Y consulte les urgences le 26.01.2020 en raison des gonalgies bilatérales devenues insupportables et insomniantes avec impotence fonctionnelle. Le patient décrit la survenue de douleurs du genou gauche fin novembre 2019, pour lesquelles il a consulté un ostéopathe. Il ne décrit pas de notion de chute ni de faux mouvement. Les douleurs, en lancées, s'intensifient au niveau des deux genoux et irradient jusque dans les pieds et vers le haut dans la face postérieure des cuisses, en alternance entre droite et gauche. Mr. Y vous a consulté le 24.01.2020 avec une modification du traitement antalgique. Des radiographies standard sont également effectuées au Centre d'Imagerie de la Riviera, mettant en évidence un épanchement synovial et une chondropathie sans signe d'arthrose au niveau du genou droit, et une gonarthrose modérée, une arthrose débutante ainsi qu'un épanchement synovial du côté gauche. Depuis le changement d'antalgie, le patient a l'impression que les douleurs empirent et il présente des troubles du sommeil avec absence de position antalgique. L'examen clinique aux urgences montre des gonalgies bilatérales avec une impotence fonctionnelle importante, un œdème de la jambe droite avec ballant du mollet diminué. Le score de Wells indique une haute probabilité pré-test de thrombose et un dosage de D-dimères à 2334 ng/ml, motivant un avis angiologique, qui ne met pas en évidence de thrombose veineuse profonde mais plutôt un kyste synovial (kyste de Baker) de 4 x 4 cm dans la région postéro-interne péri-géniculée droite ainsi qu'au niveau sus-rotulien externe droit. Selon le caractère à bascule des gonalgies décrites, une IRM de la colonne lombaire a été effectuée et met en évidence des discopathies modérées, plus marquées en L4-L5 avec rétrécissement modéré du canal spinal. L'introduction de Lyrica pour une possible composante neurologique des douleurs a pu améliorer la symptomatologie. Un EMG serait à prévoir en cas de péjoration des douleurs ultérieurement. À noter la dysurie le 20.12.2019 et le problème du globe urinaire le 24.12.2019 qui a nécessité la pose de sonde sus-pubienne. Une nouvelle tentative de passage par l'urètre le 16.01.2020 sous péridurale a été infructueuse, entraînant la reprise au bloc le 20.01.2020 avec un succès d'une pose de sonde urinaire par la verge, permettant l'ablation de la sonde sus-pubienne.Au vu de la bonne évolution clinique et en absence d'élément aigu nécessitant une prolongation de l'hospitalisation, Mr. Y quitte notre service le 31.01.2020. Mr. Y est hospitalisé le 29.12.2019 suite à des arthralgies diffuses et une raideur matinale en péjoration. Les arthralgies sont perçues comme des brûlures, surtout au niveau des poignets, des coudes, des épaules, des hanches, des genoux et des chevilles. Au bilan biologique, une insuffisance rénale est mise en évidence, sans argument inflammatoire pour une infection. Suite au score DAS-28 élevé, une poussée de polyarthrite est retenue. Une antalgie par opiacés est introduite et permet d'améliorer les douleurs ainsi que la mobilité du patient. Nos collègues rhumatologues sont avisés et proposent le traitement de Remicade que le patient reçoit dès le 09.01.2020. Malgré cette amélioration clinique, le patient reste impotent au niveau des membres supérieurs, ce qui motive une réhabilitation musculo-squelettique à l'HFR Billens dès le 14.01.2020 pour une préparation du retour à domicile. L'insuffisance rénale s'améliore après la réhydratation et la mise en suspens des médicaments néphrotoxiques, permettant la reprise des traitements habituels. Mr. Y, 65 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour une chimio-embolisation dans le contexte d'un carcinome hépato-cellulaire. Le patient subit une chimio-embolisation par Doxorubicine le 10.01.2020. Dans l'évolution, le patient présente une péjoration de ses douleurs cervico-dorsales, améliorées par la prise de Tramadol. En raison de nausées, le patient reçoit de l'Ondansétron iv. Le patient rentre à domicile le 11.01.2020 sans soins à domicile. Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, qui est envoyé aux urgences par son médecin traitant pour des douleurs abdominales avec nausées et vomissements depuis 24 heures. Le bilan biologique et scannographique d'entrée met en évidence une pancréatite aiguë d'origine probable lithiasique aux vues des paramètres de stase élevés. A noter que le patient présente également une insuffisance respiratoire hypoxémique nécessitant un séjour aux soins intensifs pour une surveillance du 14.01 au 16.01.2020. Il bénéficie d'une oxygénothérapie et d'une ventilation non-invasive intermittente. L'évolution sur le plan respiratoire étant favorable, le patient est transféré dans le service de chirurgie générale pour la suite de la prise en charge. Nous introduisons une réalimentation progressive dès le 16.01.2020 qui est bien tolérée. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable avec une normalisation des paramètres hépato-pancréatiques. Au vu des complications pulmonaires aiguës, nous proposons d'effectuer une cholécystectomie à distance afin d'assurer une bonne récupération dans l'intervalle. Nous prévoyons de revoir Mr. Y pour un contrôle clinique le 06.02.2020 et nous réservons une date opératoire pour le 28.02.2020. Mr. Y, 76 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance dans le cadre d'une pancréatite d'origine lithiasique compliquée d'une insuffisance respiratoire hypoxémique le 14.01.2020. Le patient est envoyé aux urgences par son médecin traitant pour des douleurs abdominales, nausées et vomissements depuis le 14.01.2020. Les examens paracliniques (laboratoire, CT abdominal) mettent évidence une pancréatite aiguë d'origine probablement lithiasique (pas de dilatation des voies biliaires). Le patient présente une insuffisance respiratoire hypoxémique nécessitant une oxygénothérapie et une ventilation non-invasive intermittente. A noter des infiltrats bibasales visibles sur le CT abdominal et une image de verre dépoli bibasale présentes sur le CT abdominal de mars 2019. L'évolution clinique est favorable ainsi que sur le plan paraclinique avec des paramètres hépatiques et lipase à la baisse. Une cholécystectomie est à prévoir la semaine prochaine. Le 16.01.2020, le patient est transféré vers le service de chirurgie pour suite de prise en charge. Mr. Y, 74 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne en raison d'une suspicion initiale d'insuffisance cardiaque et d'une acutisation d'une insuffisance rénale. Le patient nous est adressé par vos soins en raison d'une asthénie et de la persistance d'une dyspnée associée à une douleur thoracique au réveil le 24.12.2019, persistante pendant plusieurs heures. L'examen clinique révèle une anasarque. La radiographie thoracique met en évidence un épanchement, et une échocardiographie de contrôle révèle un rétrécissement aortique serré au niveau de la valve aortique prothétique. Une suspicion initiale d'insuffisance cardiaque décompensée est traitée par diurétiques à haute dose, sans amélioration clinique. Des signes paracliniques d'hypovolémie font progressivement remettre en doute le diagnostic initial de décompensation cardiaque. La suite des bilans biologiques et radiologiques ne permet pas de mettre en évidence la cause de l'anasarque résistant aux diurétiques, sans argument pour une origine rénale, infectieuse ou hépatique. Des douleurs généralisées, à prédominance des membres inférieurs, d'origine indéterminée sont traitées par opiacés. Les bilans radiologiques, rhumatologiques et biologiques ne peuvent mettre en évidence une cause aux douleurs. Un traitement de Prednisone se révèle inefficace. Une anémie à 74 g/l motive la transfusion de 2 culots érythrocytaires. Une recherche de sang occulte revient positive, motivant la réalisation d'une gastroscopie et d'une colonoscopie, retrouvant des angiodysplasies dans le tractus digestif supérieur. Au vu du risque de saignement important, l'Aspirine est stoppée et l'Eliquis est mis en suspens. Le 23.01.2020, le patient développe une détresse respiratoire aiguë. Selon le désir du patient et de sa famille, une attitude symptomatique est entreprise. Mr. Y décède paisiblement le 23.01.2020, entouré de sa femme et de ses enfants. Mr. Y est un patient de 73 ans connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, qui est hospitalisé le 10.01.2020 pour le suivi de son INR en pré-opératoire et qui bénéficie d'une TEA de la carotide droite le 13.01.2020. L'intervention se déroule sans complication. En postopératoire, le patient est surveillé aux soins intensifs pour une nuit et peut être transféré à l'étage de chirurgie après une surveillance qui reste sans particularité. Après transfert à l'étage de chirurgie, les contrôles neurologiques restent dans la norme et des douleurs bien contrôlées sous antalgie de base. Le patient peut retourner à domicile le 15.01.2020. Après discussion avec le médecin traitant du patient, nous arrêtons le Sintrom et débutons un traitement par Xarelto. Mr. Y, patient de 61 ans, routier de profession, connu pour une cardiopathie ischémique stentée en 2017 et un syndrome des apnées obstructives du sommeil appareillé, est amené aux urgences en ambulance le 05.01.2020 suite à une perte de connaissance d'une durée estimée de 2 minutes avec perte d'urine mais sans mouvement tonico-clonique. Le patient était sur son canapé, a senti une sensation de mal-être généralisé, puis perd connaissance et revient à lui avec confusion post-critique. Il s'agit du premier épisode de ce type. L'hétéro-anamnèse avec son amie confirme la perte de connaissance brève d'une durée estimée à deux minutes, avec respiration bruyante, sans mouvement tonico-clonique, avec perte d'urine et reprise immédiate de connaissance sans confusion lorsque l'amie l'a secoué pour le réveiller.Le patient rapporte une gastro-entérite récente avec deux épisodes de diarrhées dans lesquelles le patient aurait vu la présence de sang frais mélangé à deux reprises. Pas d'état fébrile, pas de frisson, pas de céphalée, pas d'autre plainte. Pas de douleur rétrosternale ni de palpitation. A l'examen clinique, on retrouve un patient conscient, orienté au niveau temporo-spatial. GCS à 15/15, pas de déficit moteur ou sensitif, nerfs crâniens normaux, épreuves cérébelleuses correctement réalisées, Mingazzini tenu, Barré tenu et symétrique, oculomotricité normale, pupilles isocores et isoréactives, pas de raideur de nuque, pas de photo-phonophobie, pas de signe méningé (Kernig et Brudzinski négatifs). L'auscultation cardio-pulmonaire est normale. Nous réalisons un bilan biologique qui ne retrouve pas de syndrome inflammatoire, ni d'important trouble électrolytique. L'ECG retrouve une bradycardie sinusale à 52 bpm. Le tableau clinique et les examens para-cliniques sont en faveur d'une syncope d'origine cardiaque, pour laquelle nous conseillons à Mr. Y de consulter son cardiologue afin de réaliser un bilan complémentaire. Vu la notion de prodrome et d'état post-critique, nous demandons l'avis du Dr. X, qui conseille une imagerie cérébrale afin d'exclure une lésion ischémique au niveau du cervelet. Un CT cérébral avec les vaisseaux précérébraux ne retrouve pas de lésion hémorragique cérébrale, ni de lésion vasculaire. Vu la sensibilité plus accrue de l'IRM pour les lésions ischémiques de la fosse postérieure, nous organisons une IRM cérébrale le 10.01.2020. Mr. Y peut regagner son domicile le 06.01.2020. Nous déconseillons la conduite automobile, jusqu'à la réalisation d'un bilan complémentaire par le cardiologue. Mr. Y est un patient de 59 ans, qui se présente le 23.01.2020 aux urgences suite à une chute à ski avec réception sur l'hémithorax gauche. Le bilan effectué aux urgences met en évidence des fractures de côtes en série avec un minime pneumothorax associé ainsi qu'une contusion pulmonaire. Le patient est hospitalisé dans notre service pour une antalgie et surveillance respiratoire. La radiographie de contrôle effectuée à 48 h de l'accident ne retrouve pas de pneumothorax. L'évolution par la suite est favorable, permettant au patient un retour à domicile le 27.01.2020. Il sera par la suite revu par son médecin traitant. Mr. Y consulte les urgences le 25.12.2019 en raison d'un état fébrile, de myalgies et d'arthralgies depuis le 24.12.2019, avec une baisse d'état général accompagnée d'une légère toux et de crachats jaunâtres. Cliniquement, le patient est en état général diminué, saturant bien à l'air ambiant et présentant une hypoventilation pulmonaire généralisée. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une légère hypokaliémie et une hyperglycémie à 17 mmol/l. La radiographie du thorax montre un épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Le frottis de grippe revient positif pour la grippe A. Au vu d'un syndrome inflammatoire et de la clinique, nous suspectons également une surinfection bactérienne, raison pour laquelle nous traitons le patient par de la co-amoxicilline pour une semaine. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y peut regagner son domicile le 31.12.2019 avec un arrêt de travail jusqu'au 6 janvier 2020. Nous recommandons un contrôle à votre consultation la semaine suivant la sortie. À noter un diabète de type 2 insuffisamment traité avec HbA1c à 7,7% et dans ce contexte, nous vous proposons l'introduction d'un analogue de GLP-1. Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire avec STEMI sur occlusion aiguë de l'artère circonflexe proximale le 16.01.2020, qui est hospitalisé en raison d'un NSTEMI sur sténoses serrées de la bifurcation de deux branches diagonales. Quelques heures après son retour à domicile d'une hospitalisation pour un STEMI sur occlusion aiguë de l'artère circonflexe, le patient présente une gêne respiratoire d'une durée de 15 minutes. L'ECG est superposable au comparatif et les troponines ont une cinétique positive. Une échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 53% et un ventricule gauche avec une akinésie de la paroi postérieure et de la paroi latérale moyenne. Une nouvelle coronarographie est effectuée avec mise en place de 2 stents actifs au niveau de la bifurcation de deux branches diagonales. Le traitement de Métoprolol est majoré, et la double antiagrégation par Aspirine et Efient est poursuivie pour une durée totale de 6 mois, l'Aspirine seule étant à poursuivre au long cours. La surveillance hémodynamique aux services des soins intensifs et de médecine interne reste sans particularité. Mr. Y rentre à domicile le 27.01.2020. Il sera convoqué pour une réhabilitation cardiovasculaire ambulatoire à Billens selon son souhait. Un contrôle cardiologique auprès du Dr. X est organisé par le patient à 1 mois. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle, ablation des fils à 15 jours post-opératoires et suite de la prise en charge orthopédique. Il prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils au niveau abdominal dès le 10ème jour post-opératoire. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour jusqu'au 15.01.2020 inclus. Mr. Y, 76 ans, est admis aux soins intensifs pour un NSTEMI. Le patient est hospitalisé aux soins intensifs du 16.01 au 17.01.2020 pour un STEMI sur occlusion aiguë de l'artère circonflexe dans le contexte d'une maladie tritronculaire, avec mise en place d'un stent actif proximalement (cf. lettre précédente). Il est amené aux urgences pour une gêne respiratoire d'une durée de 15 minutes le 22.01.2020. L'ECG est superposable au comparatif, montrant un hémibloc antérieur gauche et des ondes T négatives en V1, et les troponines ont une cinétique positive. Devant une suspicion de NSTEMI, le patient bénéficie d'une échocardiographie transthoracique qui montre une FEVG à 53% et un ventricule gauche avec une akinésie de la paroi postérieure et de la paroi latérale moyenne. Après discussion avec les collègues de la cardiologie, l'indication à une nouvelle coronarographie est retenue avec angioplastie de l'artère circonflexe proximale et mise en place de 2 stents actifs au niveau de la bifurcation de deux branches diagonales. Le traitement de Métoprolol est majoré, et la double antiagrégation par Aspirine et Efient est poursuivie pour une durée totale de 6 mois, puis Aspirine seule au long cours. La surveillance hémodynamique reste sans particularité et Mr. Y est transféré en médecine interne le 25.01.2020. Une réhabilitation cardiovasculaire ambulatoire à Billens est à rediscuter. Mr. Y, connu pour un diabète de type I, est hospitalisé électivement pour mise en place d'une pompe d'insuline en raison d'un contrôle insuffisant par insuline lente et rapide. Notre service de diabétologie met en place un capteur à glucose et une pompe à insuline. Le débit d'insuline est réglé durant son séjour par l'équipe de diabétologie. Le patient est informé sur l'utilisation d'un tel matériel ainsi que de ses risques (hypoglycémie) et notamment vis-à-vis de la conduite. Le patient bénéficie aussi de l'enseignement de notre service de nutrition clinique qui lui effectue des recommandations concernant ses habitudes alimentaires. De plus, nous découvrons fortuitement dans son laboratoire une carence en vitamine D que nous substituons pour l'hiver.Mr. Y peut rentrer à domicile le 09.01.2020 en bon état général. Mr. Y est admis aux soins intensifs le 23.01.2020 en raison d'une hémorragie digestive haute. Il est initialement acheminé en ambulance aux urgences après avoir présenté plusieurs épisodes d'hématémèse, associés à du méléna et à un épisode de lipothymie. Un nouvel épisode d'hématémèse est objectivé à son admission, et une baisse significative de l'hémoglobine motive la transfusion d'un culot érythrocytaire. Il nous est alors adressé pour suite de prise en charge. Une oeso-gastro-duodénoscopie est effectuée en urgence et révèle des lésions ulcéreuses de l'oesophage moyen, sans saignement actif. À noter que le patient prenait depuis une semaine des AINS dans un contexte de lombalgies. Un traitement de pantozole iv est instauré, avec un relais per os dès le 24.01.2020. Une nouvelle gastroscopie sera organisée à distance. L'évolution est simple, sans déglobulisation nouvelle significative ni instabilité hémodynamique. Un suivi quotidien de l'hémoglobine est préconisé. Le traitement habituel par Plavix, instauré en raison de la cardiopathie ischémique, est initialement mis en suspens. Celui-ci est à reprendre au plus tard d'ici au 26.01.2020, en fonction de l'évolution clinique et biologique. Mr. Y, 75 ans, est amené aux urgences en ambulance suite à plusieurs épisodes d'hématémèses, associés à du méléna et à un épisode de lipothymie. L'oeso-gastro-duodénoscopie montre des lésions ulcéreuses de l'oesophage moyen, sans saignement actif. Un traitement de Pantozol iv est instauré, avec un relais per os dès le 24.01.2020 à maintenir à hautes doses jusqu'au prochain contrôle par OGD agendé le 27.02.2020. Une baisse significative de l'hémoglobine est objectivée à son arrivée, motivant la transfusion d'un culot érythrocytaire aux urgences. Les contrôles biologiques montrent une stabilisation de la formule sanguine et l'alimentation est reprise sans complication. Le patient rentre à domicile le 29.01.2020. Mr. Y est un patient de 38 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente le 18.01.2020 aux urgences pour des douleurs en hypochondre droit apparues le jour même. L'évaluation aux urgences met en évidence une cholécystite aiguë débutante. Le patient bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie peropératoire qui ne montre pas d'obstruction sur les voies biliaires d'anatomie normale. Les suites opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le 19.01.2020. Mr. Y est un patient de 84 ans, qui consulte les urgences en raison d'une dyspnée accompagnée d'une toux grasse avec des expectorations verdâtres sans douleur rétrosternale ou fièvre. Mr. Y nous dit avoir consulté le médecin de garde qui a diagnostiqué une bronchite et lui a prescrit une antibiothérapie par Klacid dès le 23.12.2019. Au vu de l'absence d'amélioration, Mr. Y retourne vers le médecin de garde qui nous l'adresse ce jour. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse dans une maison, gèrent ensemble les médicaments, et n'ont pas de soins à domicile. À son entrée, Mr. Y est stable sur le plan hémodynamique et afébrile mais présente une désaturation à 88%. L'examen clinique met en évidence des crépitements aux 2 bases pulmonaires, plus importants à droite qu'à gauche, et des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux péri-malléolaires. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une élévation de la CRP à 76 mg/L, une leucocytose à 12 G/l et une élévation de la BNP à 2639 ng/L. Les D-dimères reviennent négatifs. La gazométrie met en évidence une légère alcalose respiratoire. La radiographie du thorax montre une suspicion de foyer rétro-cardiaque et le CT-thoracique met en évidence un foyer à la base droite avec présence d'emphysème. Mr. Y est hospitalisé pour une pneumonie basale droite et une antibiothérapie par Tavanic est mise en place du 03.01.2020 au 07.01.2020. Les hémocultures reviennent négatives et les cultures d'expectorations montrent une bactériologie classique. Une anémie normochrome normocytaire sur carence en folates, une hypovitaminose D et une hypophosphatémie sont substituées per os. L'ECG d'entrée montre une fibrillation auriculaire rapide à 113/min non présente sur comparatif et un bloc de branche droit connu. Au vu d'une fibrillation auriculaire rapide inaugurale, Mr. Y reçoit du Métoprolol en intra-veineux puis per os, permettant de normaliser la fréquence cardiaque. Une anticoagulation est mise en place par Clexane en intra-hospitalier puis relayée per os par Xarelto à sa sortie. Une décompensation cardiaque est mise en évidence dans le contexte d'une fibrillation auriculaire inaugurale et d'infection avec une élévation de la BNP à 2639 ng/L. Un traitement de Torasémide est instauré. Son poids de sortie est de 82.6 Kg. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est de 260 mètres et il peut gravir 27 marches d'escalier à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 97/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 6/7). Le TUG n'est pas testé. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 10.01.2020 montrent un MMS à 27/30, un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Le 11.01.2020, Mr. Y quitte notre service et rejoint son domicile accompagné de son épouse. Mr. Y, patient de 82 ans, est hospitalisé pour une chimio-embolisation de l'artère hépatique par billes chargées en Doxorubicine le 27.01.2020 pour son hépatocarcinome. Pour rappel, le bilan radiologique en décembre 2019 met en évidence une progression de la lésion polylobée du segment IV A. Le geste se déroule sans complications. Les douleurs post-geste sont bien contrôlées par l'antalgie. Il rentre à domicile le jeudi 30.01.2020. Au vu de l'antécédent de sepsis sur abcès hépatique du segment II, avec bactériémie à E. Coli le 20.07.2019, un contrôle des paramètres inflammatoires chez le médecin traitant est recommandé. Un profil tensionnel élevé motive l'administration transitoire de réserve d'Adalat avec bonne évolution. Nous préconisons un contrôle à distance, avec, le cas échéant, une majoration du traitement antihypertenseur. Concernant la kaliémie, rappelons que le patient est au bénéfice de KCL retard au vu d'une hypokaliémie persistante, probablement favorisée par le Torem. Les contrôles biologiques montrent la persistance d'un taux dans la limite inférieure, nous continuons ce traitement. Mr. Y est un patient de 39 ans, qui est amené aux urgences en ambulance le 16.01.2020 suite à un accident de la voie publique après avoir été percuté en trottinette par une voiture et par la suite éjecté sur plusieurs mètres. Le bilan effectué aux urgences retrouve une fracture du sinus frontal sans pneumencéphalie ni hémorragie intracrânienne. Le patient est hospitalisé dans notre service pour une antalgie et surveillance neurologique. L'évolution est rapidement favorable, permettant au patient un retour à domicile le 20.01.2020. Il sera par la suite convoqué par le service de chirurgie maxillo-faciale pour le suivi. Mr. Y est un patient de 68 ans présentant un statut après implantation d'une prothèse totale de la hanche droite en 2018 pour une coxarthrose. Il se plaint de la même symptomatologie à gauche et, après bilan radio-clinique, le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, avec bonne gestion de la douleur par l'antalgie standard. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs et sous protection de deux cannes anglaises, est entreprise dès le premier jour post-opératoire. La cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires.Au vu de cette évolution clinique favorable et de la bonne autonomie, Mr. Y peut retourner à domicile le 18.01.2020. Mr. Y, 80 ans, a été admis aux soins intensifs pour un stridor inspiratoire secondaire à une compression trachéale extrinsèque par un processus tumoral avec de multiples métastases pulmonaires. Le patient est connu pour un carcinome épidermoïde maxillaire, traité par chirurgie, radio- et immunothérapie, ainsi que pour un adénocarcinome de la prostate. Depuis décembre 2019, il présente une dyspnée avec stridor inspiratoire, dysphonie, encombrement bronchique et dysphagie. En l'absence d'amélioration sous co-amoxicilline, il a été adressé aux urgences de l'HFR Riaz le 22.01.2020. Une tumeur cervicale droite nécrosante avec de multiples métastases pulmonaires a été identifiée au CT cervico-thoraco-abdomino-pelvien. Le bilan ORL a confirmé une compression extrinsèque de la filière laryngée. L'étiologie pourrait être un carcinome thyroïdien anaplasique métastatique. Un traitement de méthylprednisolone et d'inhalations d'adrénaline a été aussitôt débuté. Une trachéotomie chirurgicale et une cytoponction de la lésion cervicale droite ont été effectuées le 23.01.2020. La cytologie est en cours. Si l'étiologie suspectée est retenue, les options à discuter seront une réduction chirurgicale et radiothérapie palliatives ou un traitement conservateur. Une malnutrition protéino-énergétique est secondaire au processus tumoral obstructif. Une nutrition entérale progressive par sonde naso-gastrique a été débutée. Vu le risque de syndrome de renutrition, un contrôle régulier des électrolytes sera nécessaire. Une hyponatrémie modérée secondaire à une sécrétion inappropriée d'ADH d'origine tumorale s'est progressivement corrigée. Quelques salves de tachycardie ventriculaire paroxystique, survenues dans le contexte des troubles électrolytiques, ont été contrôlées par du magnésium iv. Le patient a été transféré le 25.01.2020 dans le service d'ORL. La prise en charge générale sera palliative. Lors de son séjour dans le service d'ORL, le patient présente une bonne évolution du point de vue respiratoire malgré des problèmes de canule. Nous tentons de réaliser une transcanulation sans succès en raison de la taille de la canule. Nous effectuons un suivi quotidien de la trachée en raison de la position de la canule. Une transcanulation est réalisée le 31.01.2020. Au cours de son séjour, le patient montre une hausse de son syndrome inflammatoire d'origine indéterminée. Un bilan infectieux ne révélant pas de foyer, nous décidons sur avis médical de réaliser une fenêtre thérapeutique en stoppant la Rocéphine et la corticothérapie. Le suivi est sans particularité. En raison des problèmes multi-organiques présentés par le patient, il est transféré en Médecine pour la suite de prise en charge. Mr. Y, 56 ans, est admis aux soins intensifs le 27.01.2020 pour suite de prise en charge après craniotomie élective et exérèse d'une masse temporale droite. Le patient est hospitalisé en médecine interne depuis le 16.01.2020 suite à la découverte d'une masse cérébrale dans le contexte d'un bilan d'hypertension artérielle avec paresthésies, céphalées de l'hémicrâne droite ainsi que des troubles du comportement (nervosité et impulsivité). Le bilan montre des troubles de mémoire antérograde visuelle ainsi qu'une hémianopsie homonyme gauche en lien avec compression rétro-chiasmatique. Devant une suspicion de glioblastome, le patient bénéficie d'une exérèse de la masse temporale droite le 27.01.2020. L'intervention se déroule sans complication chirurgicale ni anesthésique. Au vu d'une hypertension artérielle post-opératoire, un traitement par TNT en i.v. continu est instauré jusqu'au 28.01 où la reprise de son traitement habituel a permis le contrôle optimal de la pression artérielle. Le thiazidique est en suspens au vu d'une discrète hyponatrémie. La diurèse est dans la norme. Une IRM de contrôle à 24 heures montre l'apparition d'une zone de restriction en diffusion pariéto-temporal à droite avec un aspect légèrement en hypersignal T2, sans transformation hémorragique. Le résultat de l'histologie est à pister. Un nouveau bilan neuropsychologique et ophtalmique est à organiser. La surveillance neurologique reste sans particularité, hormis la persistance de l'hémianopsie homonyme gauche déjà connue, permettant un transfert en chirurgie le 28.01. Une antibioprophylaxie est poursuivie pour 24 heures et la dexaméthasone pour 72 heures. Mr. Y, 49 ans, est adressé aux urgences par Medhome pour une dyspnée et des crachats jaunâtres associés à une douleur basi-thoracique gauche après avoir soulevé un meuble. Le bilan aux urgences nous permet de poser le diagnostic de pneumonie basale gauche. L'évolution est rapidement favorable sous antibiothérapie. Aucun germe n'est retrouvé. Concernant l'hyponatrémie d'allure chronique (natrémie 128 mmol/l en septembre 2019), nous suspectons une composante médicamenteuse (Cymbalta, Trittico) et un SIADH. Durant le séjour hospitalier, la natrémie se normalise. Concernant l'anémie microcytaire chronique associée à deux épisodes de mélæna anamnestiques, nous vous proposons d'organiser en ambulatoire une oesogastroduodénoscopie et une colonoscopie. Mr. Y regagne son domicile le 31.01.2020, en bon état général, sans modification de sa médication et sans ordonnance. Il continuera de recevoir ses médicaments via sa structure d'accueil, l'association les Traversées.Mr. Y nous est adressé des urgences de l'HFR Fribourg le 23.01.2020 pour suite de prise en charge d'une lipothymie avec des vertiges d'apparition nouvelle. Mr. Y est connu pour un carcinome urothélial de la vessie, avec des métastases au niveau pulmonaire, cérébral et une nouvelle métastase cutanée au niveau glutéal gauche. A son arrivée, le patient n'a pas de trouble neurologique focal, il se plaint uniquement d'une sensation de pression bilatérale au niveau du crâne. Nous poursuivons le traitement antalgique et par Dexaméthasone. Nous apprenons qu'une radiothérapie est proposée à Fribourg centrée sur les métastases cérébrales et dans ce contexte, Mr. Y est réadressé à l'HFR Fribourg le 27.01.2020 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 68 ans, est connu pour un carcinome urothélial stade IV, suivi en oncologie à Riaz. Il est opéré le 30.12.2019 par craniotomie occipitale ciblée et évacuation d'une lésion kystique le 30.12.2019 avec résection partielle, sans complication immédiate. Le patient bénéficie d'une surveillance post-opératoire aux soins intensifs qui est de bonne évolution clinique. De la dexaméthasone est également introduite en post-opératoire. L'IRM cérébrale post-opératoire montre la résection partielle de la plus volumineuse lésion kystique pariéto-occipitale droite, une diminution de l'effet de masse et une stabilité des autres lésions dont certaines présentent une composante hémorragique, ainsi qu'une collection sous durale droite, probablement post-opératoire. L'évolution clinique est par la suite satisfaisante et le patient retourne à domicile le 02.01.2020. Il sera suivi à la consultation de neurochirurgie dans 4 semaines et présenté au TumorBoard multidisciplinaire le 08.01.2020. Mr. Y est un patient de 44 ans connu pour trois épisodes de coliques néphrétiques (2012 et 2 épisodes en 2019). Le bilan met en évidence 1 urétéro-lithiase de 5 mm de grand axe proche de la jonction urétéro-vésicale à droite. Le patient ne présente pas de syndrome inflammatoire mais des urines infectées. Il est hospitalisé pour antalgie et mis sous antibiothérapie. L'évolution est favorable avec disparition des douleurs permettant un retour à domicile le 24.01.2020. Le patient sera revu en contrôle chez le Dr. X le 29.01.2020. Mr. Y nous est transféré de l'Inselspital pour suite de prise en charge d'un AVC ischémique sylvien gauche le 10.01.2020 et d'un AVC ischémique sylvien droit le 11.01.2020. Le patient a été retrouvé par les soins à domicile le 10.01.2020 à 10h30 au sol avec un hémisyndrome droit. Dernière preuve de bonne santé habituelle la veille à 17h00. Au service des urgences, le NIHSS est à 18 points avec un hémisyndrome droit, une aphasie et une dysarthrie. Le CT cérébral retrouve une occlusion du segment M1 de l'artère cérébrale moyenne gauche, avec une large région fronto-temporo-pariétale de pénombre, et une petite zone temporale déjà constituée. En raison du délai peu clair, l'indication à une lyse n'est pas retenue et le patient est transféré à l'Inselspital Berne pour évaluation d'un geste endovasculaire, qui est réalisé avec succès avec une recanalisation TICI2b avec occlusion résiduelle M3. L'évolution neurologique à l'Inselspital est marquée par l'apparition d'un hémisyndrome moteur gauche le 11.01.2020. L'IRM retrouve une occlusion M2 à droite. Une intervention endovasculaire est à nouveau réalisée avec une recanalisation TICI 2b. L'IRM de contrôle à 24h montre une démarcation ischémique bihémisphérique sans nouvelle transformation hémorragique. Le patient nous est transféré le 14.01.2020 pour suite de prise en charge. A son arrivée dans notre service, le patient présente un hémisyndrome droit léger, une aphasie motrice, une dysarthrie et une dysphagie. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne retrouve pas d'anomalie structurelle. Une fibrillation auriculaire normocarde est découverte à l'ECG d'entrée. Nous suspectons une étiologie cardio-embolique sur fibrillation auriculaire inaugurale. Une anticoagulation par Xarelto est initiée avec arrêt de l'Aspirine. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Le patient présente d'importants troubles de la déglutition secondaires à l'AVC pour lesquels une alimentation entérale par sonde naso-gastrique est débutée. L'évolution est favorable, permettant la reprise progressive d'une alimentation. Sur le séjour, le patient présente des épisodes d'agitation suite à quoi il arrache sa sonde vésicale et présente une hématurie importante. Une pose de sonde 3 voies est nécessaire avec rinçage en continu et l'anticoagulation thérapeutique est suspendue. Dans ce contexte, une contention mécanique est transitoirement nécessaire. La sonde est ablatée le 24.01.2020 et l'anticoagulation par Xarelto est réintroduite. Sur avis urologique, une cystoscopie serait indiquée à 3 semaines, si jugé nécessaire au vu de l'état général et des comorbidités du patient. Du point de vue social, Mr. Y habite seul à domicile avec les soins à domicile. Un retour à domicile semble actuellement compromis. Dans ce contexte, des inscriptions en home sont déjà réalisées par la famille. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée et sera à réévaluer dans un second temps. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable. Mr. Y est transféré en médecine interne en attente d'une place en neuroréhabilitation non intensive. Mr. Y présente donc des douleurs résiduelles qui pourraient s'expliquer d'une part par une inflammation des abducteurs de hanche en raison de la dysplasie borderline et d'autre part par des lésions cartilagineuses ou labrales. On organise donc une arthro-IRM sous traction de la hanche G et nous reverrons le patient le 03.03.2020. Mr. Y nous est transféré le 09.10.2019 par le service de médecine interne de l'HFR Fribourg pour des troubles cognitifs en péjoration (désorientation temporelle, anosognosie, mémoire à court terme), troubles comportementaux (conflit avec sa fille et agression pour laquelle la fille a porté plainte) et de soins impossibles à domicile. Le patient est anosognosique et rapporte uniquement une douleur tibiale gauche à la marche de type claudication intermittente. Le bilan radiologique par CT cérébral montre une atrophie cérébrale et des séquelles ischémiques pouvant expliquer en partie les troubles cognitifs. Le bilan neuropsychologique confirme des troubles au niveau cognitif et exécutif. Par la suite, il est reclassé le 31.10.2019, en attente d'une place en EMS. Une évaluation psychogériatrique par Dr. X est effectuée, qui met en constatation un syndrome démentiel de stade intermédiaire et un retour à domicile n'est plus envisageable, consilium gérontopsychiatrique 11/2019. Sur le plan social et pour rappel, le patient a une fille avec laquelle il est en conflit suite à une agression pour laquelle la fille a porté plainte. Il vit seul à domicile. Son médecin traitant considère que le patient se met en danger et ne peut plus rester à domicile en raison du risque de chute et de la démence prononcée jamais bilanée. Il rapporte que le patient est allé porter plainte à maintes reprises auprès de la police pour des vols n'ayant pas eu lieu. La police a par ailleurs signalé la situation à la justice de paix. Suite à cette situation précaire, le médecin traitant a profité de cette situation pour nous adresser le patient avec projet de curatelle et placement. A noter que le patient aurait déjà refusé un placement en Espagne par le passé. Notre service de liaison signale l'hospitalisation à la justice de paix. Une séance est réalisée le 14.11.2019 à 9h30, dans laquelle une curatelle de portée générale et le placement sont décidés.Durant son séjour, une découverte fortuite d'une tumeur urétérale distale suite à des hématuries persistantes (12/2019) et réalisée, patient sous anticoagulation (avant par Xarelto). L'anticoagulant est changé à Clexane en raison de la fibrillation auriculaire et tester la tolérance à la molécule. En raison de son diagnostic actuel, il a besoin d'un suivi constant en Urologie en ambulatoire. C'est urgent et important de trouver une place idéale pour Mr. Y, pour le suivi urologique et pour éviter le stress de l'extérieur, qui peut décompenser son état avec des idées de persécution liées à la démence, connue. Le patient est mobile actuellement sans aides techniques, toutefois il a besoin d'une surveillance et guidance permanente et de l'aide et stimulation à l'habillage et soins personnels. C'est un patient hispanophone, ayant un français basique, toutefois comprend ce que l'on lui dit en français. La mise en place d'une curatelle est en cours, la responsabilité est en mains du Juge, pour le moment et il a donné le feu vert pour le placement en institution médicalisée, jusqu'à ce qu'une curatelle soit instaurée. Compte tenu du bon état général présenté et le suivi ambulatoire organisé, nous organisons la sortie pour le 21.01.2020 avec un placement en EMS. Mr. Y, âgé de 70 ans, est hospitalisé pour une grippe à Influenza A avec insuffisance respiratoire hypoxémique. Le patient est conduit en ambulance en raison de troubles de l'état de conscience et état fébrile objectivé à domicile, avec notion de dyspnée et toux expectorante grisâtre depuis quelques jours. À noter une chute mécanique sur perte d'équilibre 48 heures auparavant. Le bilan d'entrée constate une insuffisance respiratoire hypoxémique avec syndrome inflammatoire et leucopénie. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer franc mais l'auscultation pulmonaire est suggestive d'un foyer infectieux basal gauche. Un frottis de grippe revient positif pour une Influenza A. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline et Clarithromycine est débutée en raison d'une suspicion de surinfection bactérienne. Au vu des troubles de l'état de conscience avec chute anamnestique, un scanner cérébral natif est effectué, n'identifiant pas d'hémorragie intra-crânienne. L'évolution clinico-biologique est favorable, avec sevrage progressif de l'oxygène et arrêt de l'antibiothérapie au 7ème jour. Sur le plan ostéoarticulaire, une acutisation d'une ancienne rupture de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche sur la chute est constatée, avec absence de lésion osseuse radiologique. Selon avis orthopédique, une immobilisation antalgique est proposée, mais refusée par le patient à plusieurs reprises. De plus, la confection d'une nouvelle botte plâtrée pour pieds de Charcot est réalisée du côté gauche, avec suivi orthopédique prévu prochainement. Selon avis ergothérapeutique, aucune adaptation du domicile n'est indiquée au vu de l'absence de changement par rapport à la dernière évaluation en 2017. Sur le plan hématologique, une pancytopénie est relevée, avec notamment anémie hypochrome normocytaire à 88 g/l arégénérative sur carence ferriprive, vitaminique et inflammatoire. Le patient bénéficie de la substitution de 500 mg de fer, avec supplémentation en vitamine B9 et B12 dans un contexte de prise de Metformine. Un suivi biologique est indiqué après supplémentation. Au vu de l'état infectieux récent et des multiples comorbidités, notamment ostéoarticulaires, et d'un isolement social, un transfert en réadaptation gériatrique à Riaz a lieu le 28.01.2020. Mr. Y, 63 ans, connu pour un adénocarcinome gastrique et de l'antre métastatique est admis pour une récidive d'hémorragie digestive haute sur la masse tumorale. Le patient nécessite une réversion de la crase avec une oesogastroduodénoscopie effectuée en urgence le 08.01.2020, qui ne montre plus de saignement actif mais un ulcère tumoral gastrique. Une pose de 3 clips est effectuée au niveau du moignon vasculaire de l'ulcère, avec une injection d'Adrénaline. Il ne présente pas de récidive d'hématémèse durant l'hospitalisation, avec une stabilité de l'hémoglobine. Un traitement d'IPP à haute dose est instauré, à poursuivre à vie. En cas de récidive, une embolisation est à prévoir. À noter qu'il s'agit du 2ème épisode d'hémorragie digestive sous anticoagulation thérapeutique pour une embolie pulmonaire sous-segmentaire droite et des thromboses veineuses profondes des deux membres inférieurs. Nous stoppons donc le traitement d'Arixtra. Un filtre de la veine cave inférieure est posé le 08.01.2020, avec un changement de ce dernier à prévoir en cas d'obstruction. Nous n'organisons pas le changement d'office à 3 mois au vu de la situation palliative. Une anticoagulation n'est pas reprise, en accord avec le patient, au vu du risque de récidive d'hématémèse majeure et d'un inconfort pour le patient. Un suivi par Voltigo est instauré. Un contrôle angiologique est prévu le 23.03.2020 à l'HFR Riaz. Concernant l'adénocarcinome du corps gastrique, le patient sera revu à la consultation de Dr. X le 16.01.2020, avec un contrôle de l'hémoglobine. Nous vous proposons un suivi régulier de l'hématocrite, avec des transfusions itératives. Mr. Y rentre à domicile le 13.01.2020. Mr. Y se présente en raison de douleurs du gros orteil droit depuis hier. Nous retenons le diagnostic de crise de goutte. Un bilan radiologique ne montre pas d'atteinte osseuse. Un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 16 mg/L et une leucocytose à 15,8 G/L. On note également un acide urique augmenté à 469 umol/L. Nous prescrivons au patient une thérapie par AINS et Dafalgan. Il reçoit également un traitement de Prednison 40 mg pour 3 jours. Le patient travaillant chez Micarna reçoit un arrêt de travail d'une semaine. Il est invité à se représenter si apparitions de fièvre ou baisse de l'état général. Mr. Y, 83 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique dans le contexte d'un AVC hémorragique le 19.01.2020. Ce patient est retrouvé par sa famille au sol de sa salle de bain le 19.01.2020, avec perte des urines et des selles et une amnésie circonstancielle. Dernière preuve de bonne santé le 17.01.2020. À l'arrivée aux urgences, il présente un état confusionnel caractérisé par une agitation et une désorientation spatiale, un GCS 15/15, ainsi que 2 épisodes de vomissements. Le CT cérébral montre une hémorragie intraparenchymateuse dans les noyaux gris centraux à droite, le patient est par la suite transféré aux soins intensifs. Où il présente un état confusionnel aigu hyperactif motivant l'introduction de l'Haldol. Le 20.01, présence d'une péjoration neurologique notamment avec une somnolence. Le CT cérébral de contrôle est stable, l'EEG montre un ralentissement aspécifique. L'évolution neurologique est rapidement favorable. À noter une légère ataxie du membre inférieur gauche et une discrète faiblesse de la main gauche sans autre déficit neurologique. L'origine de la somnolence est probablement due au fait de l'atteinte cérébrale et de l'introduction de l'Haldol. Nous suspectons une pneumonie par broncho-aspiration ce que nous traitons par Co-Amoxicilline. Une hypoxémie persistante motive un CT thoracique qui révèle des embolies pulmonaires segmentaires gauche. Vu l'hémorragie cérébrale, une anticoagulation n'est pas faisable motivant la pose d'un filtre cave le jour même. Prévoir ablation du filtre cave dès que possibilité d'anticoagulation thérapeutique. L'hypoxémie persistante est en partie liée à cette embolie pulmonaire et possiblement à une maladie thromboembolique chronique dans le contexte de néoplasie.Le Labétalol initialement donné systématiquement peut être sevré le 20.01.2020 avec des tensions normotendues. Le 21.01.2020, le profil tensionnel à la hausse motive l'introduction des antihypertenseurs. Vu l'évolution favorable, Mr. Y est transféré à l'étage de médecine le 21.01.2020. Mr. Y souffre depuis longtemps d'un ongle incarné sur le bord médial de l'hallux D. Je propose une cure d'ongle incarné selon Kocher, sous anesthésie locale. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention prévue le 27.01.2020. En tant que fromager, il faut compter un arrêt de travail d'environ 2 à 3 semaines. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique et rythmique dans le cadre d'un STEMI subaigu. Patient qui présente une douleur thoracique irradiant dans la mâchoire et le membre supérieur gauche qui a commencé le 11.01.2020. Le bilan initial montre un sus-décalage en territoire inférieur et des troponines positives à 1208 ng/L. Une charge en Aspirine, Efient et de l'héparine thérapeutique sont instituées. La coronarographie du 13.01.2020 confirme une maladie coronarienne bitronculaire avec une occlusion thrombotique de l'artère coronaire droite proximale et une lésion de l'IVA moyenne à 50-70%. Traitement de l'ACD par PTCA et pose de 3 stents. Une double anti-agrégation est à poursuivre pour 12 mois, puis Aspirine au long cours. Du Metoprolol, du Lisinopril et de l'Atorvastatine (taux de LDL cible < 1.4 mmol/l) sont introduits. Pour le contrôle des FRCV, l'arrêt de fumer est conseillé. Une nouvelle coronarographie est prévue dans 6 à 8 mois pour PCI de l'IVA. L'évolution est favorable sans troubles du rythme cardiaque. L'échocardiographie met en évidence une akinésie postéro-basale avec dysfonction systolique droite et insuffisance tricuspidienne secondaire importante. Nous introduisons donc prudemment le Lasix à 10 mg intraveineux avec bonne tolérance hémodynamique. Mr. Y présente une toux irritative sans état fébrile ni foyer pulmonaire clinique. Nous n'introduisons pas de traitement antibiotique et suivons l'évolution clinique qui est favorable. Nous proposons une réévaluation échocardiographique dans un mois. Le 14.01.2020, Mr. Y est transféré à l'étage de médecine à Riaz. Une réhabilitation cardiaque est à prévoir. Mr. Y, 82 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne en raison de douleurs angineuses le 08.01.2020. Le patient présente durant la nuit du 07.01 au 08.01.2020 des douleurs thoraciques progressives insomniantes, avec régression spontanée, sans prise médicamenteuse. Mr. Y se présente à sa consultation ambulatoire en cardiologie, avec décision d'hospitaliser le patient pour surveillance clinique. Dans l'évolution, il ne représente pas de douleur thoracique. Après discussion avec nos collègues cardiologues, les douleurs du 08.01.2020 pourraient être expliquées dans le contexte de l'hernie graisseuse de Bochdalek. De plus, ils proposent d'introduire de l'Amlodipine en plus de son traitement habituel. Avant de rentrer à domicile, une pose de Holter est organisée ce jour. Également en raison d'un syndrome inflammatoire à l'entrée, le patient est hospitalisé pour investigations. Le patient décrit une péjoration de sa toux habituelle depuis environ 5 jours, accompagnée d'une augmentation de la quantité des crachats. Une radiographie thoracique revient normale. La recherche d'antigènes de Légionelle revient négative. Le syndrome inflammatoire est spontanément régressif et un dosage de la Procalcitonine n'oriente pas franchement vers une origine bactérienne. Le patient rentre à domicile, avec un traitement symptomatique dans le contexte d'un probable syndrome grippal. Mr. Y rentre à domicile le 10.01.2020, sans soins à domicile. Mr. Y, 85 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance rénale aiguë KDIGO III d'origine mixte, post-rénale sur compression néoplasique et sur syndrome cardio-rénal le 13.01.2020. Ce patient se présente aux urgences de Riaz pour une dyspnée avec orthopnée en péjoration associées à des œdèmes des membres inférieurs importants en évolution depuis 2 à 3 mois selon lui. Le bilan d'admission met en évidence une insuffisance rénale sévère avec hyperkaliémie, acidose métabolique et surcharge volémique ainsi qu'une désaturation à 84% à l'air ambiant dans le cadre de la surcharge ainsi que d'un épanchement pleural D important. Il est également en fibrillation auriculaire (FA) rapide chez un patient connu pour une FA permanente anticoagulée par Sintrom. Il reçoit de l'insuline/glucose ainsi que du Resonium, puis est adressé aux soins intensifs pour la suite de la prise en charge. L'insuffisance rénale est bilantée par CT qui met en évidence une origine post-rénale sur cancer prostatique métastatique et le syndrome cardio-rénal dans le contexte de la décompensation cardiaque. L'hyperkaliémie est contrôlée avec l'administration des schémas d'insuline/glucose. Une reprise de diurèse est permise par levée d'obstacle et pose de SV. Le patient présente une acidose mixte, métabolique et respiratoire. La composante respiratoire est attribuée à paralysie diaphragmatique sur infiltration du nerf phrénique par tumeur, dénutrition et surcharge volémique, le patient refuse catégoriquement un traitement par dialyse et une ventilation non invasive en raison de claustrophobie. La décompensation cardiaque globale est attribuée à la fibrillation auriculaire permanente accélérée et l'insuffisance tricuspidienne et mitrale importantes. Un US cardiaque met en évidence une cardiopathie hypertrophique avec une FEVG à 30%. La furosémide permet un bon contrôle de la volémie. Une anticoagulation est à discuter en fonction de l'évolution. Le diagnostic de cancer prostatique métastatique au niveau osseux et pulmonaire est retenu chez ce patient présentant au scanner de volumineuses adénopathies pelviennes bilatérales et médiastinales ainsi qu'une lésion ostéocondensante dans l'arc latéral de la 7ème côte gauche et des épanchements pleuraux bilatéraux. Un dosage de PSA révèle des taux très élevés à 738,2 ng/l. Une ponction pleurale à but diagnostique est réalisée le 14.01.2020 qui permet le retrait de 2L d'un transsudat dont la cytologie montre des cellules néoplasiques d'origine prostatique. L'attitude oncologique est discutée au tumorboard du 15.01. Au vu de l'évolution de la situation globale, une attitude conservatrice avec soins de confort sera prodiguée. La situation est expliquée à la famille qui est d'accord avec la prise en charge. Mr. Y, 80 ans, est hospitalisé pour un état confusionnel aigu d'origine indéterminée. L'anamnèse est non contributive au vu d'un Syndrome de Korsakoff connu avec amnésie antérograde. L'hétéroanamnèse révèle un patient avec une vigilance fluctuante et des hallucinations visuelles depuis 3 jours. Le laboratoire ne montre pas d'anomalie. Le statut urinaire est sans particularité. Le CT cérébral ne révèle pas d'ischémie ni de saignement. À son arrivée à l'étage de médecine, le patient est calme et montre une vigilance conservée. La famille confirme que le patient est comme d'habitude. Selon un avis neurologique, un EEG ne montre pas de foyer épileptique, et un tracé modérément anormal par une activité de base ralentie, compatible avec une encéphalopathie de degré modéré. L'évolution clinique favorable permet le retour à domicile le 04.01.2020.Mr. Y a consulté les urgences le 17.01.2020 en raison de douleurs épigastriques. Du sang occulte a été mis en évidence dans les selles. Le patient est rentré à domicile avec un traitement d'IPP et un contrôle à la FUA a été agendé pour le 20.01.2020. Lors du contrôle du 20.01.2020, le patient est hémodynamiquement stable. A l'examen abdominal, nous notons une sensibilité épigastrique et des traces de selles noires au toucher rectal. Au laboratoire, nous remarquons une déglobulisation avec baisse de l'hémoglobine de 128 à 92 g/l en 3 jours. Le patient est hospitalisé pour une surveillance clinico-biologique et mise sous pompe de Pantoprazole. Lors de son séjour en médecine, il ne présente plus d'épisode de méléna. L'hémoglobine reste stable et un bilan de l'anémie montre une hypovitaminose B9 qui est substituée pour un mois et une ferritine à la limite inférieure que nous substituons par l'injection de 500 mg de Ferrinject. Un ultrason abdominal revient sans particularité. Selon nos collègues gastroentérologues, le patient n'a pas de critère pour une OGD en urgence et vu la stabilité clinico-biologique, Mr. Y peut regagner son domicile le 23.01.2020 avec un traitement de Pantoprazole 2x/jour jusqu'à l'OGD prévue à l'HFR Riaz pour le 03.02.2020. Le traitement sera réévalué par le gastroentérologue. Nous informons le patient de consulter les urgences en cas de récidive de méléna. Mr. Y, 27 ans, est hospitalisé en médecine pour des céphalées fronto-occipitales depuis une semaine avec un état fébrile associé à 40°C avec frissons solennels, une photophobie et des douleurs dorso-lombaires. Pour rappel, il avait déjà consulté le service des urgences sur conseil de son médecin traitant le 08.01.2020 avec une ponction lombaire qui était dans la norme. Au vu d'une non-amélioration de la symptomatologie, le patient revient au service des urgences le 09.01.2020. Une ponction lombaire est à nouveau effectuée, elle est également dans la norme. Le reste du bilan retrouve un syndrome inflammatoire peu important qui se normalise spontanément par la suite. Sur avis de nos collègues neurologues, nous complétons le bilan avec un CT cérébral et sinus permettant d'exclure une thrombose et une sinusite. Au vu de ses douleurs dorso-lombaires et de l'état fébrile associé, nous organisons une IRM lombaire pour une suspicion de spondylodiscite, qui elle aussi revient dans la norme. Une origine virale est finalement retenue pour l'ensemble de la symptomatologie, la situation s'améliore spontanément. Finalement, l'évolution clinique du patient s'avère spontanément favorable. Mr. Y peut rentrer à domicile le 15.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un NSTEMI subaigu. Le patient de 72 ans, connu pour des facteurs de risque cardiovasculaire et un carcinome urothélial, est adressé aux urgences par l'oncologie pour des douleurs thoraciques typiques apparues brutalement dans la nuit du 23.01 au 24.01.2020. Il rapporte des douleurs similaires le 13.01.2020, cédant spontanément après 1h. Le bilan initial retrouve un NSTEMI avec une importante dysfonction ventriculaire gauche. La coronarographie révèle une maladie coronarienne bitronculaire, avec une occlusion subaiguë de l'IVA moyenne qui est traitée par un stent actif. Une coronarographie est à prévoir dans 1 mois pour le traitement de la sténose serrée de la coronaire droite ostio-proximale. La surveillance dans notre unité est sans complications. Les traitements cardiovasculaires sont introduits avec une bonne tolérance. Nous laissons le soin à nos collègues de l'étage de prévoir une échocardiographie transthoracique de suivi. Mr. Y est transféré en unité de médecine interne le 25.01.2020. Mr. Y, 72 ans, est hospitalisé en raison d'un NSTEMI subaigu sur occlusion de l'IVA moyenne. Le patient est adressé aux urgences par le service d'oncologie pour des douleurs thoraciques typiques apparues brutalement dans la nuit du 23.01 au 24.01.2020. Il rapporte des douleurs similaires le 13.01.2020, cédant spontanément après 1h. Le bilan initial retrouve un syndrome coronarien aigu de type NSTEMI avec une importante dysfonction ventriculaire gauche. La coronarographie met en évidence une maladie coronarienne bitronculaire, avec une occlusion subaiguë de l'IVA moyenne qui est traitée par un stent actif. Un traitement cardio-protecteur est introduit avec une bonne tolérance. L'évolution clinique est rapidement favorable et le patient ne présente pas de récidive de douleurs thoraciques durant le séjour. Une échocardiographie transthoracique de contrôle montre une amélioration de la fraction d'éjection passant de 30% à 50%, permettant l'arrêt de l'Aldactone. Sur le plan oncologique, le 2ème cycle de chimiothérapie néo-adjuvante prévu initialement le 27.01.2020 est repoussé au vu de la fonction cardiaque abaissée. L'amélioration mise en évidence par la suite permet la reprise du traitement qui est prévue le 05.02.2020. Mr. Y rentre à domicile le 29.01.2020. Une coronarographie est à prévoir dans 1 mois pour le traitement de la sténose serrée de la coronaire droite ostio-proximale. Mr. Y est un patient de 40 ans, qui nous est adressé des urgences pour une suspicion d'appendicite aiguë. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec des leucos à 13 G/l sans CRP. Le diagnostic est confirmé par échographie. Le patient bénéficie le 15.01.2020 d'une appendicectomie laparoscopique, qui se déroule sans complication. Les suites postopératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 16.01.2020 avec un rendez-vous de contrôle dans 6 semaines. Mr. Y, 85 ans, connu pour un syndrome de dépendance à l'alcool et de multiples facteurs de risque cardiovasculaire, est amené en ambulance aux urgences suite à un appel de son épouse en raison d'une agitation psychomotrice avec hallucinations. Selon elle, son mari consommerait de l'alcool et des somnifères avec excès depuis environ deux semaines. Aux urgences, l'agitation et la confusion sont au premier plan. Un CT cérébral natif en raison d'une insuffisance rénale aiguë est réalisé, permettant d'exclure une hémorragie. Les causes de l'état confusionnel aigu sont investiguées et le diagnostic de sevrage alcoolique est finalement retenu. L'agitation évolue favorablement après substitution vitaminique et Seresta que nous sevrons progressivement. L'hospitalisation est marquée le 08.01.2020 par la mise en évidence d'un hémisyndrome gauche partiel. Un angio-CT est réalisé, qui ne montre pas d'hémorragie ni de signe ischémique aigu. L'anamnèse est reprise auprès de l'épouse qui signale que son mari présentait une parésie du membre supérieur gauche nouvelle le 03.01.2020 en plus de sa confusion, qui s'est rapidement aggravée par la suite avec agitation. Nous retenons donc comme diagnostic principal un AVC ischémique avec sevrage alcoolique secondaire au déficit neurologique. Un avis neurologique est demandé et le traitement habituel par Aspirine cardio est remplacé par du Plavix dès le 11.01.2020. L'IRM cérébrale confirme la lésion ischémique et le CT des vaisseaux pré-cérébraux indique comme cause possible une origine artério-artérielle sur sténose de la carotide droite. Le patient bénéficie également d'un US doppler des troncs supra-aortiques, qui montre une athéromatose carotido-vertébrale pré-cérébrale discrète à modérée avec présence de plaques d'athérome au départ de la carotide interne bilatérale, situées au mur postérieur, non sténosantes. Afin d'exclure une cause cardio-embolique, nous proposons de compléter le bilan avec un holter, à réaliser à Meyriez. A noter également un bilan neuro-psychologique réalisé le 16.01.2020 dont le rapport vous parviendra par courrier séparé.Le 16.01.2020, Mr. Y insiste pour un transfert à Meyriez. Dans l'attente d'une neuro-réadaptation à l'HFR Meyriez, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 85 ans, qui nous est adressé par le service de chirurgie dans les suites d'une chute survenue le 07.12.2019 avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. Pour rappel, Mr. Y est connu pour les comorbidités susmentionnées. Le scanner cérébral d'entrée effectué suite à sa chute montre un hématome épidural de 11 mm d'épaisseur, des petites hémorragies sous-arachnoïdiennes au niveau temporal à gauche ainsi qu'une fracture peu déplacée en Y de l'os pariétal et temporal gauche. Après avis des neurochirurgiens, une prise en charge conservatrice est préconisée avec un rendez-vous de contrôle à 1 mois à sa consultation du 07.01.2020. À son entrée en gériatrie, Mr. Y est calme, collaborant et apathique. À son status, l'examen neurologique ne révèle pas de signe net de latéralisation hormis cette lésion en regard de l'os pariétal gauche. Le reste de l'examen est sans particularité. Le bilan biologique d'entrée met en évidence une anémie normocytaire normochrome à 105 g/l pour laquelle nous retenons une origine carentielle en acide folique raison et que nous substituons. Une hyponatrémie à 132 mmol/l hyper-osmolaire à 299 mosm/kg dont l'origine reste indéterminée et pour laquelle nous vous proposons de procéder à un contrôle à distance. Pendant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. Le patient peut se déplacer sur une distance de 140 mètres à l'aide du rollator, et peut gravir 10 marches thérapeutiques à l'aide d'une rampe d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 78/126 par rapport à 68/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 2/7). Le TUG se réalise en 13.45 secondes à l'aide d'un rollator. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 19.12.2019 montrent un MMSE à 18/38 (certains items sont refusés par le patient) et le test de l'horloge est à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Un bilan neuropsychologique pourrait être effectué en ambulatoire. Le séjour se complique d'une infection urinaire basse à germe indéterminé que nous traitons par une antibiothérapie sous Rocéphine relayée par Bactrim pour une durée de 6 jours du 18.12.2019 au 24.12.2019. Nous mettons en évidence une insuffisance rénale d'origine pré-rénale probablement dans le contexte d'une déshydratation qui évolue favorablement par la suite. Le 31.12.2019, Mr. Y quitte notre service avec un suivi régulier à votre consultation et la mise en place de soins à domicile comme suit : • 2x/semaine pour le contrôle des signes vitaux • 1x/semaine pour le semainier • 2x/jour pour les soins de base • 2x/jour pour les bas de contention Mr. Y est un patient de 54 ans qui est hospitalisé pour prise en charge après un accident de la voie publique à vélo contre un bus à cinétique moyenne dont le bilan par total body scanner retrouve un pneumothorax traumatique gauche avec fractures costales sans volet associé, ainsi qu'une fracture complète de la scapula gauche, une suspicion de lésions ligamentaires spinale C1-C2 et une fracture du processus transverse de C4. La mise en place d'un drain thoracique du 16.12 au 18.12 permet un traitement efficace du pneumothorax traumatique et le patient est transféré dans l'unité d'orthopédie pour la suite de la prise en charge de ses fractures et la suspicion d'atteinte ligamentaire spinale, pour laquelle il bénéficiera d'une IRM par la suite, organisée par nos soins. Le patient est transféré dans le service d'orthopédie le 18.12.2019. Mr. Y est un patient de 60 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui consulte le service des urgences pour des douleurs abdominales depuis 2 jours. Un bilan biologique et par CT scan abdominal met en évidence une pancréatite sur migration lithiasique avec cholécystite débutante. Une antibiothérapie intraveineuse est débutée avec une évolution clinique et biologique favorable. En raison de la pancréatite Balthazar C, nous décidons d'effectuer une cholécystectomie à froid et le patient peut retourner à domicile le 27.01.2020. Mr. Y est un patient de 63 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, qui a présenté un hématome avec déhiscence de la plaie inguinale gauche le 27.12.2019 dans le cadre d'un status post-TEA du carrefour fémoral gauche avec plastie d'élargissement par patch de Xénopéricarde le 09.12.2019. Le patient a bénéficié de révisions itératives de la plaie inguinale gauche deux fois par semaine du 28.12.2019 au 03.01.2020 puis fermeture de la plaie le 03.01.2020. Mr. Y se présente le 13 janvier 2020 à la consultation de chirurgie du Dr. X pour le suivi. Au vu d'une nouvelle déhiscence de la plaie, le patient bénéficie d'une pose de VAC instillation le 14.01.2020, suivi d'un changement itératif de VAC du 17.01.2020 au 23.01.2020. L'évolution de la plaie est favorable et le patient rentre à domicile avec mise en place d'un VAC Via le jeudi 23.01.2020. Le patient sera revu à la consultation de stomathérapie le 27.01.2019 pour changement de VAC Via. En cas de péjoration des symptômes dans l'intervalle, le patient est prié de prendre directement contact avec nous. Mr. Y est un patient de 63 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, qui présente un hématome avec une déhiscence de la plaie inguinale gauche le 27.12.2019 dans le cadre d'un status post-TEA du carrefour fémoral gauche avec plastie d'élargissement. Le patient bénéficie de révisions itératives de la plaie inguinale gauche deux fois par semaine du 28.12.2019 au 03.01.2020. Suite à l'évolution favorable et l'absence de germe dans la plaie inguinale, nous refermons la plaie le 03.01.2019 et Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.01.2020. Nous reverrons Mr. Y le vendredi 10 janvier 2020 à la consultation de chirurgie du Dr. X à 8h00 pour le suivi de la plaie. Mr. Y, patient de 81 ans connu pour un carcinome du rectum et carcinome urothélial de la vessie opérés en 2012 et 2014 ainsi que pour des épisodes d'iléus mécaniques récidivants, est adressé aux urgences de notre hôpital par le service de Medhome en raison de douleurs abdominales diffuses associées à des vomissements biliaires et à un arrêt de transit depuis 24h. Le bilan scannographique met en évidence un iléus grêle d'origine indéterminée et le patient est hospitalisé en chirurgie générale pour suite de prise en charge. Nous préconisons un traitement conservateur par mise à jeun et pose de sonde naso-gastrique. L'évolution est rapidement favorable avec une reprise du transit le 16.01 et une réalimentation bien tolérée dès le 17.01.2020. À noter la mise en évidence dans le bilan biologique d'entrée, d'une IRA probable sur déshydratation. Nous administrons une hydratation intraveineuse. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 18.01.2020. Mr. Y est un patient de 75 ans qui nous est adressé par le service de médecine où il était hospitalisé afin de bénéficier d'une réadaptation dans le contexte d'une maladie thrombo-embolique. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une cardiomyopathie valvulaire rythmique hypertensive. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse, dans une maison. À son admission, Mr. Y présente une dyspnée d'effort de stade NYHA II sans autre symptôme associé. Au status effectué à l'étage, l'examen cardiovasculaire révèle des B1B2 lointains, sans souffle, l'auscultation pulmonaire révèle un murmure vésiculaire diminué des deux côtés avec quelques râles crépitants aux bases. L'examen cardiovasculaire montre des bruits b1 et b2 lointains sans souffle surajouté, sans œdèmes des membres inférieurs. Le bilan biologique effectué en médecine révèle une détérioration de la fonction rénale avec une créatinine à 174 µmol/l et une urémie à 20.2 mmol/l. Nous retenons une insuffisance rénale chronique qui s'est acutisée après l'injection de produits de contraste le 09.12.2019 et dans le contexte de l'insuffisance cardiaque avec une fraction d'éjection ventriculaire gauche à 20%. Au vu de la bonne évolution biologique, nous reprenons le traitement sous Torem 10 mg et Spironolactone 50 mg puis nous vous laissons le soin de procéder à un contrôle biologique à votre consultation. La créatinine à la sortie est à 156 µmol/l (valeur habituelle entre 140-150 µmol/l). Concernant le traitement cardiaque, nous vous proposons une optimisation avec introduction d'un bétabloquant, dès que sa fréquence cardiaque le permet (FC 60-70 bpm à la sortie). Le reste du bilan met en évidence une hyponatrémie à 133 mmol/l hyperosmolaire attribuée au contexte de l'insuffisance cardiaque et au contexte de l'hyperglycémie ainsi qu'une hyperkaliémie à 5.5 mmol/l traitée par Résonium. Par ailleurs, nous mettons en évidence une carence en vitamine D à 56 nmol/l ainsi qu'une carence en vitamine B12 à 176 pg/ml pour lesquels nous procédons à une substitution. Mr. Y bénéficie de séances de physiothérapie à but de renforcement sur le plan musculo-squelettique et cardiorespiratoire. Le patient se mobilise sur une distance de 260 mètres et peut monter 27 marches d'escaliers à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 102/126 par rapport à 94/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 6/7). Le TUG n'est pas réalisé. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage du 18.12.2019 montrent un MMSE à 29/30, un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Une évaluation par l'ergothérapeute pendant le séjour met en évidence une autonomie pour les activités quotidiennes. Le 23.12.2019, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile (1x/15 jours pour le contrôle de la santé et 1x/15 jours pour superviser les médicaments), ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y, 75 ans, consulte le service des urgences en raison d'une dyspnée en péjoration associée à une toux expectorative depuis 2 jours. La radiographie parle en faveur d'une pneumonie lobaire droite et une antibiothérapie empirique par Co-Amoxicilline et clarithromycine, puis par pipéracilline-Tazobac est débutée. Après un passage transitoire aux soins intensifs en raison d'une hypotension, le patient nous est transféré pour la suite de la prise en charge. En absence de critères pour un Pseudomonas, nous réduisons le spectre antibiotique à de la Co-Amoxicilline avec une évolution clinique et biologique favorable. Les vaccins pour la grippe et pour le pneumocoque sont administrés au patient avant la sortie. Une acutisation de son insuffisance rénale chronique est également mise en évidence au bilan biologique avec une hyperkaliémie. Les traitements néphrotoxiques sont mis en suspens et un traitement par insuline et glucose est donné aux urgences. L'évolution est favorable avec une hydratation. En raison d'une cardiopathie à FEVG diminuée avancée, nous reprenons progressivement son traitement d'insuffisance cardiaque que nous vous laissons le soin d'adapter en ambulatoire. Nous proposons une majoration progressive du traitement de bêtabloquant jusqu'à la dose maximale tolérée et un suivi du poids régulier avec adaptation du traitement diurétique. Un suivi ambulatoire spécialisé de l'insuffisance cardiaque est organisé. Nous vous proposons de contrôler la kaliémie lors du rendez-vous du 17.01.2020 et de réévaluer le traitement par Aldactone. Mr. Y rentre à domicile le 15.01.2020. Mr. Y, 75 ans, est hospitalisé aux soins intensifs en raison d'une pneumonie lobaire moyenne droite. Le patient, connu pour une cardiopathie dilatée avec FEVG à 15%, consulte aux Urgences en raison d'une dyspnée en péjoration associée à une toux expectorative depuis 2 jours. Le bilan met en évidence un syndrome inflammatoire avec un foyer pulmonaire lobaire moyen droit. Une hypotension artérielle à TAs 70/49 mmHg avec lactatémie à 2.5 mmol/l et une tachypnée motivent son transfert. L'évolution aux soins intensifs sous antibiothérapie par pipéracilline-tazobactam (hospitalisation du 09.12. au 23.12.2019) et clarithromycine est favorable avec une oxygénothérapie à 2l/min aux lunettes sans nécessité de ventilation. Le profil hémodynamique est satisfaisant sans soutien aminergique et après arrêt du traitement anti-hypertenseur chez un patient connu pour des valeurs tensionnelles basses du fait de sa cardiopathie. Une insuffisance rénale aigüe sur chronique d'origine pré-rénale suspectée est mise sur le compte de l'état infectieux actuel. Une hydratation permet une amélioration de la valeur de créatinine chez un patient avec diurèse conservée. Une hyperkaliémie secondaire à l'insuffisance rénale et médicamenteuse (spironolactone/IECA) reste à suivre sous résine échangeuse d'ion. L'insuffisance rénale entraîne une accumulation de l'Eliquis prescrit pour l'embolie pulmonaire centrale récente. Une anticoagulation thérapeutique est à reprendre dès retour de l'anti-Xa dans des valeurs cibles (actuellement à 2.9 d'activité anti-Xa). Le patient est transféré en médecine interne pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 54 ans, transféré pour la suite de la prise en charge d'un hémothorax traumatique sur fractures de côtes 7 à 9 à gauche suite à une chute à ski le 14.12.2019. En effet, le patient a bénéficié d'un drainage pleural d'environ 2.5 litres de liquide séro-sanguinolant avec une antibiothérapie prophylactique. Au vu de l'évolution défavorable, le patient nous a été transféré. Le patient bénéficia d'un drainage et nous mettons en place une antibiothérapie intraveineuse. L'opération s'est déroulée sans complication. Nous effectuons une ablation du drain avec une radiographie de contrôle sans complication. Au vu de l'évolution favorable sur le plan clinique et paraclinique, nous laissons le patient rentrer à domicile. Mr. Y, 83 ans, connu pour une cardiopathie ischémique avec maladie tri-tronculaire, se présente aux urgences pour une dyspnée avec un état fébrile. Il est hospitalisé aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique sur pneumonie à RSV surinfectée avec décompensation cardiaque secondaire, traité par Co-amoxicilline i.v. et de l'Optiflow, puis de la ventilation non invasive intermittente avec bonne évolution clinique. Une décompensation cardiaque à prédominance gauche probablement secondaire à l'état infectieux est traitée par diurétiques i.v. Une insuffisance rénale se normalise rapidement avec les diurétiques, laissant suspecter une composante cardio-rénale.Concernant la décompensation cardiaque gauche, le sevrage de l'oxygénothérapie et des traitements aérosols est bien toléré par le patient. Nous vous proposons de suivre le poids et les signes de surcharge et d'adapter le traitement médicamenteux en ambulatoire. Compte tenu des passages en fibrillation auriculaire rapide aux soins intensifs, attribués au contexte infectieux, l'introduction d'une anticoagulation orale (CHA2DS2-VASc à 4, HAS-BLED 1) est à réévaluer. Nous vous proposons d'effectuer un holter en ambulatoire. Le patient est en rythme sinusal à la sortie d'hospitalisation. Mr. Y rentre à domicile le 09.01.2020. Mr. Y, patient de 67 ans, est référé aux urgences de Tafers par son médecin traitant pour une dyspnée et une toux grasse avec expectoration en péjoration depuis 3 jours. Au vu d'une dyspnée importante NYHA III et d'une hypercapnie, le patient est transféré au HFR Fribourg pour suite de prise en charge. Une exacerbation de BPCO est diagnostiquée chez ce patient qui n'a jamais eu d'investigation pneumologique mais qui est au bénéfice d'un traitement de fond pour une BPCO. Le patient est mis au bénéfice de bronchodilatateurs avec un effet progressivement satisfaisant. L'oxygénothérapie est rapidement sevrée ainsi que les aérosols. Concernant sa probable BPCO, une première consultation était prévue chez le Dr. X mais est annulée au vu de l'hospitalisation. Nous proposons que le patient la réorganise 6 semaines après sa sortie pour la réalisation de fonctions pulmonaires à distance de l'épisode aigu et la réévaluation de son traitement de fond. Nous proposons par ailleurs une vaccination contre les pneumocoques à réaliser au cabinet du médecin traitant si ce n'est pas déjà fait. Le patient rentre à domicile le 30.01.2020. Mr. Y, patient de 72 ans, est hospitalisé pour la mise en place d'un défibrillateur en raison d'un flutter auriculaire à conduction 2:1. Le geste se déroule sans complications et les douleurs sont soulagées par une antalgie simple. La radiographie de contrôle est sans particularité. Le patient rentre à domicile le 31.01.2020. Mr. Y, 89 ans, connu pour une substitution de valve mécanique il y a 20 ans anticoagulé par sintrom, présente depuis 2 mois une dyspnée en péjoration progressive. Depuis 4 jours, péjoration de plus en plus importante, il ne dort pas depuis 2 nuits, toux sans expectoration. Douleur depuis 2 mois hémithorax G, il perd de l'équilibre, inappétence. Il présente une baisse pondérale rapportée par l'entourage, s'assoit pour dormir. Il présente des œdèmes aux membres inférieurs dans la journée. À l'examen clinique aux Urgences, nous retrouvons : Sur le plan général, un patient en bon état général, calme et collaborant, apyrétique, normotendu, normocarde. Sur le plan cardiovasculaire, des bruits cardiaques B1 et B2 avec clic de valve mécanique et souffle pansystolique, pas de signes de surcharge, pas d'œdème des membres inférieurs, pas de douleur aux mollets. Sur le plan pulmonaire, nous auscultons des murmures vésiculaires diminués bibasales avec des bruits humides G>D. Sur le plan abdominal, l'abdomen est souple et indolore à la palpation, pas de défense, pas de détente, en fréquence et en tonalité, sensibilité en sus-pubien. Sur le plan uro-génital, les loges rénales sont indolores à la percussion. Sur le plan neurologique, le score de GCS est à 15/15, orienté dans les 3 modes, pupilles iso-cores, marche stable. Sur le plan ostéo-articulaire, nous ne retrouvons pas de déformation des membres inférieurs et supérieurs. Sur le plan cutané, nous ne notons pas de lésions cutanées, pas de rougeur, pas de chaleur. Au vu du laboratoire, nous pouvons exclure une ischémie myocardique. Nous mettons en évidence des signes de surcharge cliniques et à la radiologie et, avec la confirmation d'un NT-proBNP, nous retenons une décompensation cardiaque G le 31.12.2019. Nous introduisons un traitement avec du lasix 40 mg. La radiographie face-profil montre un épanchement pleural droit. Nous mettons en évidence aussi un INR supra-thérapeutique > 5.5, raison pour laquelle nous administrons Konakion 10 mg et mettons le Sintrom en pause. Suivi avec labo prévu le 02.01.2020. Le labo du 02.01.2020 montre une péjoration de la CRP à 56 mg/l avec un état physique d'évolution favorable. Mr. Y, Suite à votre demande, je me permets de vous répondre comme suit : • 15.12.2017. • Maladie. • Conflit sous-acromial épaule gauche avec tendinopathie du LCB. Status post décompression sous-acromiale, ténotomie et ténodèse du LCB épaule gauche le 20.8.2019. • Non. • Voir dessus. • Traitement physiothérapeutique. • Non, la patiente vient d'être opérée en août 2019. • Non. • Oui. • Oui, un travail léger sans travaux au-dessus de l'horizontal est indiqué. • 100 % d'incapacité de travail du 20.8.2019 jusqu'au 5.1.2020. Reprise à 50 % dès le 6.1.2020. Reprise à 60 % dès le 1.2.2020. Reprise à 80 % dès le 1.3.2020 et à 100 % dès le 1.4.2020. • 15.3.2019. 27.3.2019. 27.5.2019. 26.9.2019. 7.11.2019. 19.12.2019. 29.1.2020. • Non. En espérant que ces renseignements vous seront utiles, je vous prie d'agréer, cher Mr. Y, mes meilleures salutations. Monuril dose unique le 07.01.2020. Monuril en ordre unique le 22.01.2020. Moral effondré. Morbus Bechterew Artérielle Hypertonie Lumboischialgie Morbus de Dupuytren Vème rayon de la main G stade 2 à 3 Morbus Dupuytren IVème rayon de la main G stade 1 Infiltration de Xiapex Dig V main G le 30.10.2019. Morbus pertes bilatérales avec : • hanche D coxalgie chronique résiduelle • status post-luxation chirurgicale de hanche, correction de l'offset, élongation relative du col fémoral, distalisation du trochanter avec couvert d'un bout des tissus mous rétinaculaire, suture matracée du labrum le 01.03.2018 par le Prof. X. • Luxation chirurgicale de hanche au Portugal en 1990. • Hanche D : status post-luxation chirurgicale de hanche, élongation relative du col du fémur avec correction de l'offset le 13.06.2017. • Status post-ostéotomie du bassin vraisemblablement selon la méthode de Salter en 2000 au Portugal. • hanche G dysplasie persistante avec instabilité chronique de la tête fémorale et rétroversion cotyloïdienne sur morbus Perthès. Morbus Scheuermann. Morbus Sever des pieds des deux côtés avec léger genu valgum. Morbus Sever pied gauche et Morbus Osgood-Schlatter genou droit sur surcharge sportive. Morbus sévère bilatéral. Morbus sévère des deux pieds. Morphine en réserve. Morphine IV. Morphine IVC Furosémide IV Ponction d'ascite Prise en charge interdisciplinaire. Morphine PO puis SC Ponction d'ascite Traitements diurétiques. Morphine PO Après discussion avec le Dr. X, le patient rentre à domicile. Morphine 2 mg IV 6x par jour avec réserve équivalente. Morphine 5 mg IV 4x par jour avec réserve équivalente. Morphine 10 mg IV 4x par jour avec réserve équivalente. Rotation de la Morphine par du Fentanyl patch 50 mcg/h avec maintien des réserves de Morphine IV. Majoration du Fentanyl à 75 mcg/h. Relais par Morphine IV à 7.5 mg aux 4H avec réserve équivalente. Diminution de la Morphine IV à 5 mg aux 4H avec réserve équivalente. Diminution de la Morphine IV à 3 mg aux 6H avec réserve équivalente. Augmentation de la Morphine IV à 5 mg aux 6H avec réserve équivalente. Discussion avec Dr. X, qui préconise l'introduction de 2 x 75 mg d'Ecofenac en IV et 3 x 1 g de Novalgine en IV, si insuffisant : pompe à morphine avec un débit de 3 mg/h + 1 mg en bolus possible toutes les 15 minutes.Morphine Dexaméthasone 8 mg po du 19.12.2019 au 24.12.2019 Ponction d'ascite le 19.12.2019 puis le 23.12.2019 Traitements diurétiques Morphologie péri-anale particulière connue depuis la naissance. Pleurs du nourrisson, DD : sur gaz avec coprostase, coliques, invagination spontanément réduite le 09.05.2016. Morsure. Morsure de chat. Morsure de chat à la main droite. Morsure de chat au niveau de la paume de la main droite le 18.01.2020. Morsure de chat avant-bras droit. Morsure de chat face dorsale de la main droite. Morsure de chat le 07.01.2020. Morsure de chat main droite en regard du 3ème et 4ème extenseurs, le 13.01.2020. Morsure de chat main droite, face dorsale, le 21.01.2020. Morsure de chat multiples: • Base du pouce gauche palmaire et dorsale • Entre doigt 2 et 3 main droite Débridement des plaies Rinçage abondant avec 500 ml de Nacl pour chaque plaie Morsure de chien. Morsure de chien au visage avec: • plaie de la lèvre inférieure d'env. 1 cm à cheval entre le vermillon et la transition cutanée • dermabrasion de la joue Morsure de chien avec: • plaie superficielle aile du nez à gauche Morsure de chien avec une plaie de 0.5 cm en regard de la face cubitale de la 1ère phalange du 5ème doigt de la main gauche. Morsure de chien (Berger allemand) avec une plaie, perte de substance de 2.5 cm de la face antérieure du bras et perte de substance de 0.5 cm de la face postérieure + dermabrasion du bras gauche, pas de saignement actif. Morsure de chien, consultation programmée à la filière des urgences ambulatoires. Morsure de chien de 4 cm de longueur, à la jonction entre l'hélix de l'oreille gauche et le scalp temporal le 16.09.2018. Hématome sous-unguéal de l'hallux du pied gauche. Morsure de chien le 16.09.2014 avec: • Status post révision de plaies, suture d'une lésion isolée du fléchisseur profond D4, contusion du nerf ulnaire, contusion de la branche superficielle du nerf radial avant-bras D. • Status après début de Morbus Sudeck en regard du poignet D. • Cervicalgies chroniques. • Probable état de stress post-traumatique. Morsure de chien. Morsure de puces de lit. Morsure de tique dans la région sus-pubienne. Morsure d'humain avec: • plaie d'env. 1 cm de longueur, 2 mm de profondeur. Morsure du chat avec surinfection superficielle. Morsure et griffures de chat. Morsure humaine poignet gauche le 07.01.2020. Morsure octodon avec probable surinfection le 10.01.2020. Morsures. Morsures de chien, aux membres supérieur et inférieur à gauche, le 08.01.2020. Motilium 10 mg aux urgences. Nette amélioration des symptômes et disparition des douleurs. Motte de beurre radiale gauche. Motte de beurre radius distale avec atteinte de la corticale postérieure à droite. Mouvement anormaux. Mouvement involontaire en cours d'investigation DD. origine métabolique?, fonctionnel? Mouvements anormaux de la tête et du corps. Movicol. Movicol. Movicol. Contrôle clinique chez le pédiatre traitant en début de semaine. Movicol en réserve. Movicol en réverse. Movicol Freka clyss x 1 Antalgiques en réserve. Movicol 1x/j dès le 19.12.2019. Movicol 2 sachets pour 3 jours à réévaluer. Movicol 2 sachets pour 3 jours à réévaluer. Contrôle pansement à 48h. Movicol Laxoberon Extraction manuelle de fécalome. Movicol. Laxoberon. Lavement. Mr. Y est un patient de 67 ans connu du service pour des antécédents susmentionnés hospitalisé dans notre service de chirurgie pour des douleurs épigastriques d'origine peu claire dans un contexte d'oesophagectomie selon Merendino le 28.06.2019. A noter une hospitalisation à plusieurs reprises avec un scanner qui montre un engorgement du mésentère avec infiltration de la graisse mésentérique et lamination artérielle sans signe de nécrose. Au vue du contexte post-oesophagectomie, nous réalisons un transit de l'estomac qui montre une absence de sténose ou d'anomalie visible de la procédure chirurgicale selon Merendino. Au vue de l'évolution favorable sur le plan clinique et biologique, nous laissons le patient rentrer à domicile le 15.01.2020 avec un rendez-vous de contrôle en consultation du Dr. X le 20.01.2020 à 9h 30 mn. Mr. Y se présente aux urgences en raison d'une dyspnée en péjoration depuis 5 jours sans autre symptômes associés. Au status, on retrouve une spasticité auscultatoire. Une crise d'asthme modérée est diagnostiquée avec une Peakflow mesuré à 150 l/min. Un traitement d'aérosols, une corticothérapie systémique et une majoration transitoire d'un traitement de Vannair est mis en place. L'évolution est lentement favorable permettant de revenir à un traitement de fond par Vannair et Ventolin à la demande. En raison de brûlures épigastriques avec épisode de reflux, un traitement d'épreuve par Pantozol est mis en place pour une durée de 4 semaines. Un suivi est à prévoir chez le médecin traitant avec réévaluation de l'indication à une OGD. Sur le plan urologique, une prostatite aiguë à E. Coli est diagnostiquée. Un traitement empirique de ciprofloxacine est remplacé par de la co-amoxicilline dès réception de l'antibiogramme. Le traitement est à poursuivre pour une durée totale de 3 semaines. Un résidu post-mictionnel de 230 ml est confirmé à l'échographie et le volume prostatique mesuré reste stable. Le patient ne souhaite pas la mise en place d'une sonde en attendant le rendez-vous urologique. Nous remplaçons le traitement de Vesicare par du finastéride et organisons un contrôle urologique chez le Dr. X pour réévaluation de la situation sur le plan prostatique. Par ailleurs, le patient décrit un prolapsus rectal, réductible par lui-même. Nous proposons une consultation proctologique ambulatoire. De plus, ce patient confirme ne pas avoir bénéficié de colonoscopie de dépistage, que nous suggérons de réaliser après l'hospitalisation. Le patient rentre à domicile le 15.01.2020. Mr. Y, patient de 81 ans, connu pour un diabète mellitus de type II traité, hypertension artérielle traitée, goutte ainsi qu'une cardiopathie d'origine non spécifiée qui est adressé par son médecin traitant Dr. X en raison d'une tuméfaction au niveau du membre supérieur gauche, d'origine indéterminée. Selon le patient, l'enduration s'est développée 24h après une injection de Vitamin B12 faite le 16.01.2020.A savoir une asthénie depuis 2 semaines avec probable bronchite associée (toux grasse et expectoration depuis 2 semaines, traitée par Co-Amoxicilline et Tavanic jusqu'au 21.01.2020). A l'entrée, Mr. Y se plaint d'une douleur au niveau de l'avant-bras ainsi qu'au niveau du deltoïde, en léger amélioration depuis 24h. Mr. Y se plaint aussi d'une pollakiurie nouvelle. Pas d'autres plaintes. Notamment pas de plaintes cardio-respiratoires ni digestives. Pas de symptômes B. Un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire et le diagnostic de cellulite est posé. Une antibiothérapie avec Co-Amoxicilline est deboutée. Une radiographie de l'avant-bras ainsi que de la main ne montre pas de fracture. On note à l'imagerie la présence d'un éperon osseux au niveau de l'olécrâne sans autres signes pathologiques. Afin d'exclure une dermo-polymyosite, nous effectuons un bilan avec CK et facteurs anti-nucléaires qui se montrent dans la norme. Pour des raisons d'une baisse de l'état général d'origine multifactorielle, nous effectuons plusieurs examens pour exclure d'autres foyers infectieux. Un sédiment urinaire ainsi qu'un urotube est sans particulier. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux. Nous observons durant le séjour à l'étage des érythèmes squameux de nouvelle apparition au niveau du cuir chevelu. Mr. Y décrit avoir déjà eu les mêmes érythèmes au niveau du coude gauche, où on note actuellement des croûtes. Mr. Y présente aussi des démangeaisons transitoires au niveau du dos d'origine indéterminée. Nous posons la suspicion de psoriasis chez un patient pas connu pour des maladies auto-immunitaires et nous vous laissons le soin d'organiser une consultation dermatologique si apparition de nouveaux signes cliniques. L'origine de la cellulite reste indéterminée, mais nous suspectons une infection développée sur porte d'entrée des lésions cutanées probablement dans le contexte d'un psoriasis. L'évolution est favorable sur le plan clinique ainsi que biologique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 29.01.2020. Mr. Y, connu pour adénocarcinome œsophagien avec métastases hépatiques et ganglionnaires sous immunothérapie, se présente aux urgences en raison d'une asthénie progressive avec vomissements depuis 5 jours. À noter que Mr. Y a reçu sa dernière dose de traitement il y a 10 jours, et qu'en raison d'un état ictérique noté par le Dr. X, il a bénéficié d'une ERCP le 23.12.2019 par le Dr. X pour compression des voies biliaires. Il rapporte également des céphalées intermittentes, à prédominance nocturne. Mis à part une décoloration des selles et des urines foncées, Mr. Y ne rapporte pas d'autre plainte. Le bilan d'entrée montre une amélioration des tests hépatiques mais une augmentation de la CRP sans foyer clinique sauf les nausées. Il est ensuite hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Nous retenons comme diagnostic différentiel des nausées, l'immunothérapie, le processus oncologique, de nouvelles métastases cérébrales ou encore l'ERCP. En raison de l'apparition lors de la mobilisation, nous demandons un avis ORL qui se montre sans particulier (origine périphérique des nausées improbable). Les nausées sont finalement améliorées avec traitement d'Itinerol (avec du primpéran, ondansétron, méclozine et prednisone). Nous avertissons le Dr. X de la situation et nous envisageons la réalisation d'une IRM cérébrale à la recherche d'une progression de la maladie oncologique. L'imagerie montre des métastases au niveau cérébral ainsi que dans l'hémisphère cérébelleux, dont une de 6 cm. Après avis du Dr. X, nous contactons le Dr. X, le radio-oncologue, pour une évaluation de la suite de la prise en charge ainsi que la proposition d'une radiothérapie. Selon son avis, un traitement avec Dexaméthasone est introduit. L'état général de Mr. Y se dégrade de manière très rapide malgré l'adaptation du traitement. Selon l'avis du Dr. X, un traitement radiothérapeutique n'est pas indiqué en raison de son état général trop faible. Une attitude palliative est deboutée en discussion avec la famille dès le 15.01.2020. Mr. Y décède le 16.01.2020. Mucite intestinale suite au premier cycle de chimiothérapie adjuvante en juin 2019. Mucite buccale le 30.08.2019. État fébrile probablement réactionnel à la chimiothérapie le 28.08.2019. État confusionnel aigu puis coma sur neuro-toxicité post-chimiothérapie le plus probablement sur 5-FU le 20.06.2019. PTH gauche en 2000 et droite en 2010. Extrasystoles ventriculaires monomorphes le 20.06.2019. Thrombose du membre supérieur de la veine basilique du bras gauche le 11.07.2019. Pneumonie nosocomiale le 16.10.2019. Mucoviscidose delta-F508 homozygote : • colonisation par Escherichia coli ESBL et Staphylococcus aureus méthiciline sensible • multiples surinfections pulmonaires virales et bactériennes • hémoptysie dans un contexte de mucoviscidose • sans suivi pneumologique Malnutrition chronique dans le contexte de mucoviscidose : • bouton de gastrostomie, oesophago-gastroscopie et mise en place de PEG utilisée du 14.10.14 à fin 10/18 • BMI 19 Kg/m2 le 01.12.2018 • ostéopénie et sarcopénie • insuffisance pancréatique exocrine substituée • diabète sur insuffisance pancréatique • carence en vitamine D • atteinte intestinale Hépatopathie associée à la mucoviscidose. Anémie hypochrome normocytaire ferriprive sur malabsorption : • injections de Venofer 05/2018 avec préparation. Asthme allergique aux acariens. Trouble mixte de la personnalité avec traits borderline, hypochondriaques et immatures. Aspergillose bronchopulmonaire allergique.• injections de Venofer 05/2018 (Inselspital) avec préparation (solumedrol 125 mg et Tavegyl 2 mg) Hépatopathie associée à la mucoviscidose Asthme allergique aux acariens Trouble mixte de la personnalité avec traits borderline, hypochondriaques et immatures Aspergillose bronchopulmonaire allergique Mucoviscidose delta-F508 homozygote : • colonisation par Escherichia coli ESBL et Staphylococcus aureus sensible à la méthicilline • multiples surinfections pulmonaires virales et bactériennes • hémoptysie dans un contexte de mucoviscidose. Malnutrition chronique dans un contexte de mucoviscidose • bouton de gastrostomie, oesophagogastroscopie (Dr. X) et mise en place de PEG (Dr. X) utilisée du 14.10.14 à fin 10/18 • BMI 19 kg/m2 le 01.12.2018 • ostéopénie et sarcopénie • insuffisance pancréatique exocrine substituée • diabète sur insuffisance pancréatique • carence en vitamine D • atteinte intestinale. Diabète sur insuffisance pancréatique endocrine • insuline selon valeur si besoin. Anémie hypochrome normocytaire ferriprive sur malabsorption : • injections de Venofer 05/2018 (Inselspital) avec préparation (solumedrol 125 mg et Tavegyl 2 mg). Hépatopathie associée à la mucoviscidose. Asthme allergique aux acariens. Trouble mixte de la personnalité avec traits borderline, hypochondriaques et immatures. Aspergillose bronchopulmonaire allergique. Muguet buccal et mycose des plis inguinaux Multiparité Multiparité et travail rapide Multiple électrolytes : • hyperkaliémie (5.5 mmol/l) • hypokaliémie (0.97 mmol/l - ionisé) • hypophosphatémie Multiple récidive d'abcès axillaire droit le 31.01.2020. Multiple sclérose • Erstsymptomatik schwierig eruierbar, möglicherweise bereits 1992 mit zunehmender Geheinschräkung über die Jahre mit Akzentuierung 2012 • 02.203 Verdachtsdiagnose MS • 04.2019 IRM de l'ensemble de l'axe CNS : légère augmentation de la charge lésionnelle cérébrale par rapport à 04.2013 ; charge lésionnelle stationnaire au niveau de la moelle épinière par rapport à 01.2013, nouvelle cependant avec preuve d'activité, 4 lésions au niveau de la moelle thoracique Rektozele Grad I Zystozele Grad II Monoclonale gammapathie indéterminée de signification de type IgG Kappa Multiples accidents vasculaires cérébraux (AVC) ischémiques aigus et récidivants d'origine paranéoplasique probable (état pro-coagulant) • bilatéraux sylviens et postérieurs le 27.12.2019 (IRM cérébrale Dr. X) avec parésie ataxiante hémicorps G • récidive antérieure gauche le 31.12.2019 avec majoration des lésions connues au niveau fronto-pariétal gauche, de la corona radiata des deux côtés, avec parésie mineure du membre inférieur droit • NIHSS initial 2 pts ; NIHSS à 24h à 2 pts ; NIHSS à la sortie à 4 points • MIF 44 points Multiples adénopathies médiastinales et hilaires probablement réactionnelles le 21.01.2020 Multiples angines (< 4/an) Multiples arthroscopies des genoux. Opération de l'épaule gauche. Méningite lymphocytaire de type Lyme le 17.05.2013. Céphalées post-ponction lombaire du 17.05.2014. Diverticulose sigmoïdienne traitée par sigmoïdectomie laparoscopique le 07.09.2016, avec : • s/p diverticulite perforée Hansen-Stock IIc le 23.04.2016. • s/p diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIb le 13.10.2015. Syndrome tunnel carpien ddc opéré. Multiples AVC ischémiques punctiformes de l'hémisphère gauche (frontal, sous-cortical et occipital gauche) d'âges différents, d'origine probablement cardio-embolique le 29.10.2019 : • dans un contexte de valvulopathie aortique mécanique sous anticoagulation infra-thérapeutique • symptomatologie : confusion, parésie faciale droite, NIHSS initial : 2 points le 29.10.2019, 0 points le 30.10.2019 • angio-CT cérébral le 14.10.2019, IRM cérébrale le 29.10.2019, ETT chez Dr. X le 22.10.2019, ETT le 30.10.2019, Holter 72h posé le 31.10.2019, bilan neuropsychologique le 31.10.2019 Occlusion de l'artère centrale de la rétine à gauche le 24.10.19 : • d'origine cardio-embolique le 24.10.2019 • symptomatologie : scotome quadrant supérieur droit de l'œil gauche Pic hypertensif symptomatique le 24.10.2019 Arythmie symptomatique (extrasystolie/fibrillation auriculaire) chez une patiente anticoagulée par Sintrom Multiples AVC séquellaires avec NIHSS à 17/42 Multiples bronchites spastiques dont 2 nécessitant une hospitalisation Laryngo-malacie Naissance à 41 semaines avec un poids 3025 g (P5), taille 47,5 cm (P < 3 cm), PC 34 cm (P3) Multiples calculs rénaux bilatéraux depuis 2007 (8 épisodes). Colique néphrétique droite. Multiples carences sur malabsorption chronique chez une patiente avec un bypass iléo-jéjunal dans les années 1990 : • déficit en vitamine D • déficit en zinc • déficit en vitamine A • déficit léger en sélénium Multiples contusions de la genèse multifactorielle : consommation d'alcool, violence domestique, en septembre 2016. Lésion cérébrale traumatique le 14.06.2016 après une chute : • fracture occipitale droite, non luxée, atteignant le foramen magnum • hémorragie intraparenchymateuse gauche après contusion frontale des deux côtés • hématome sous-dural gauche au niveau de la faux, frontal gauche à temporal gauche • hématome sous-arachnoïdien au niveau de la faux, frontal gauche et Cisterna ambiens gauche. Traumatisme crânien en janvier 2015. Hépatite auto-immune 2001 dans le cadre de la grossesse. Ostéosynthèse avec fracture de la clavicule à droite le 20.02.2013. Fracture du nez en 2003. Fracture de la mâchoire en 1997. Ligature des trompes. Sevrage alcoolique compliqué par 2 crises d'épilepsie spontanément résolutives, dans le contexte d'arrêt des benzodiazépines, le 20.06.2019. Alcoolisation aiguë dans un contexte de dépendance OH le XX.XX.XXXX avec : • spasmes musculaires d'origine somatoforme. Multiples décompensations diabétiques acido-cétosiques, dernière en octobre 2019 Tentamen par insuline en 2009 et 2013 appendicectomie Lithiase rénale en 2014 Épididymite gauche à Chlamydia trachomatis en juin 2019 Multiples échecs de sevrage de sonde vésicale le 15.01.2020 Écoulement purulent de la sonde, changement de cette dernière Antibiothérapie par Rocéphine Multiples entretiens de famille Adaptation du réseau ambulatoire Inscription à l'accueil de jour de la Villa St-François Multiples épisodes de décompensation de lombo-sciatalgies G chroniques sur statut post • décompression foraminale L4-L5 G par arthrectomie G, mise en place d'une cage TLIF Juliet (Spineart) 4/10 + BGel et spondylodèse L4-L5 par système Romeo (Spineart) 6.0/50 le 01.06.2015. • réfractaires au traitement antalgique Spondylodèse D6-L2 en 2003 (Professeur X - Inselspital) pour une cyphose. AS genou D. Contusion thoracique droite sur chute le 20.10.2019 Globe urinaire d'origine médicamenteuse Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine multifactorielle le 23.10.2019 sur • SAOS non appareillé • administration d'opiacés • probable syndrome obésité-hypoventilation Syndrome du segment adjacent au niveau L3-L4 dans un contexte de fixation D6 L1 sur Scheuermann et L4-L5 sur ancienne discopathie, avec douleurs chroniques sur : • décompression foraminale L4-L5 G par arthrectomie G, mise en place d'une cage TLIF Juliet (Spineart) 4°/10 + BGel et spondylodèse L4-L5 par système Romeo (Spineart) 6.0/50 le 01.06.2015. • Spondylodèse D6-L2 en 2003 (Professeur X - Inselspital) pour une cyphose. Neuromonitoring pré-opératoire, intra-opératoire et avec dernier contrôle postopératoire.Reprise plaie lombaire et ablation moyen de synthèse en L4-L5. Vis L3-L4-L5-S1 et iliaque bilatérale (vis 6x50 au niveau L2-L3, L4-L5 et vis 8x80 au niveau iliaque). TLIF par abord gauche au niveau L3-L4 et L5-S1 avec cages à expansion Nuvasive 10x31 mm avec expension à 20° pour chaque cage. Connexion par système offset de la spondylodèse dorsale avec la fixation et spondylodèse lombo-sacro-iliaque par 2 systèmes offset au niveau de L2 et 2 tiges de 300 mm fixées par boulons dynamométriques. Neuromonitoring préopératoire, intra-opératoire et avec dernier contrôle postopératoire (OP le 23.10.2019) S/p appendicite Multiples épisodes d'iléus grêle avec : • Status post sub-iléus le 11.12.2015 • Status post iléus grêle sur probable status adhérentiel le 28.09.16 • Status post iléus grêle le 12.10.2016 • Status post iléus mécanique récidivant le 05.04.2018 • Status post iléus grêle mécanique le 13.10.2018 • Status post Iléus grêle le 31.07.2019 Status post-ERCP avec sphinctérotomie biliaire le 07.11.2014 (implantation d'un stent plastique 10 French/12 cm) : • Cholécystectomie non datée Mucite post-chimiothérapie Troubles de la crase avec TP 39% 12/2019 Multiples foyers d'AVC ischémiques gauche le 19.12.2019 • Hémisyndrome moteur droit le 19.12.2019 • NIHSS à 4 points à l'arrivée aux urgences ; 2 points à l'admission aux soins intensifs ; 3 points à la sortie des soins intensifs Multiples fractures dans le contexte de l'ostéogénèse imparfaite : • plusieurs opérations fémur proximal D après fracture de fatigue col fémur en 2012 • OS et ostéotomie de valgisation d'une refracture du fémur proximal G en 2012 • bursite trochantérienne G • OST et ré-OS par plaque d'une re-fracture sous-trochantérienne fémur D en 2015 • réduction, OS par plaque fracture diaphyse radius D en 2015 • fracture pathologique diaphyso-métaphysaire proximale du fémur D avec AMO plaque LCP 4.5 et OST de correction du fémur et ré-OS par PFN-A long le 20.06.2016 • fracture du corps de l'omoplate G du 16.10.2017, traitée conservativement Rupture partielle de l'insertion proximale du muscle quadriceps femoris et du muscle iliopsoas hanche G après traumatisme, le 04.11.2014, traitée conservativement Multiples fractures cervicales, non déplacées : • Fracture processus transverse G de C1 passant par le foramen transverse • Fracture facette articulaire supérieure G de C2 se prolongeant dans le foramen transverse • Fracture lame de C2, C3 et C4 à D Fractures de côtes d'allure récente : • Arc latéral des 4ème, 5ème, 6ème et 7ème côtes à D, arc antérieur 6ème côte à G • OS par clou centro-médullaire le 13.05.2018 Fracture type Weber A malléole externe cheville D Stabilité du tassement en galette de la vertèbre D5 par rapport à l'IRM de mai 2016, ainsi que des tassements des vertèbres D7 à D10 Échec d'ostéotomie de valgisation du fémur proximal G le 27.10.2012 sur ostéogenèse imparfaite et status post multiples opérations en regard du fémur ddc Ablation partielle du matériel d'OS fémur proximal et implantation d'une prothèse céphalique et OST du grand trochanter, hanche G (OP le 14.06.2018) Ostéosynthèse d'une fracture transverse tiers intermédiaire diaphysaire humérus D le 13.05.2018 Fracture de l'humérus distal non déplacée en regard de l'extrémité du clou centromédullaire, traité conservativement le 23.11.18 Multiples fractures (poignets, chevilles, côtes) dans la pratique du football. Symptômes multiples mal systématisés dans un contexte probablement anxieux (paresthésies MSG, vertiges, palpitations, nausées/vomissements). Réassurance. Temesta 1 mg expidet donné au Mr. Y en cas d'anxiété / insomnie. Multiples hémorragies sous-durales et rétro-cliviales sur traumatisme crânien le 26.12.2019. Multiples hémorragies sous-durales et rétro-cliviales sur traumatisme crânien le 26.12.2019. Multiples infections des voies respiratoires basses : • contexte IVRS en avril 2010 et 2015 • contexte influenza A et surinfection bactérienne à pneumocoques en 02/2019 • contexte de pneumonie en 05/2019 Globe vésical avec dilatation pyélocalicielle transitoire Distorsion testiculaire en 2008 Échec de pose élective de PEG le 02.12.2019 dans un contexte de dénutrition sévère sur difficultés alimentaires : Multiples lésions ulcéreuses dans la vessie (depuis 22.02.2019) avec épisodes récurrents d'hématurie macroscopique avec : • Lésion vésicale 2.2 cm hyperéchogène et hypervascularisée (US du 22.02.2019) : de la vessie de hyper vasculaire • Multiples ulcères dans la vessie sans masse (Cystoscopie de la vessie le 22.02.2019) • Schistosome négatif dans les urines (le 23.04.2019) • CT-thoraco-abdominal (le 06.03.2019) : pas de masse primaire ni secondaire • Uriculture négative (le 20.03.2019) Multiples luxations épaule droite. Chute mécanique de 10 mètres avec réduction calcanéus droit et luxation postérieure de l'épaule droite avec réduction fermée. Multiples métastases cérébrales progressives avec nette majoration de l'oedème hémisphérique droit le 25.12.2019 • effet de masse sur le ventricule latéral droit ainsi que sur le 3ème ventricule • héminégligence gauche nouvelle Multiples Myélome Stadium II (IgG Kappa) • Diagnose am 14.11.2019 - Onkologe : Dr. X • Histologie (Knochenmarkbiopsie) : Myelom mit unreifen Plasmozyten, interstitielle und noduläre Infiltration. • Zytogenetik : chromosomale Deletion 1p, assoziiert mit einer schlechten Prognose • MRI : kleine Osteolyse an den Wirbeln und Rippen, mit St.n. Wirbel- und Rippenfrakturen. Multiples nodules pulmonaires gauches en cours d'investigation • PET CT 05/19 : Multiples nodules du poumon gauche, notamment dans la lingula et dans le lobe supérieur • S/p Bronchoscopie 04/19, sans permettre de caractériser la nature des lésions • lobectomie de la Lingula du lobe supérieur gauche prévue au CHUV le 18.02.2020 (Dr. X) Athéromatose des membres inférieurs et de l'aorte • ETT 08.01.2020 : FEVG à 65%, insuffisance aortique légère. Régurgitation mitrale légère. Athéromatose de l'aorte abdominale. Dimension et fonction ventricule droit normales. Absence d'hypertension pulmonaire. • coronarographie 10.01.2020 : VG normal, sclérose coronarienne Multiples nodules pulmonaires partiellement spiculés du lobe supérieur droit le 06.01.2020 DD comblements alvéolaires infectieux, néoplasie Multiples opérations genou gauche. Contusion thoracique le 20.06.2016. Multiples réactions anaphylactiques Dorsalgie D10-D12 non-déficitaire, le 25.03.2019 Douleur abdominale épigastrique transfixiante d'origine indéterminée, le 25.03.2019 Infection urinaire basse le 25.03.2019 Multiples Troubles électrolytiques. Multiples troubles somatoformes. Murmure systolique DD Sténose aortique Musculoskeletaler Schmerz im Thorax anterior links Muskuläre oder Sehnenstrukturschmerzen am Bizeps und Musculus pectoralis links Mutation génitale féminine de type 2 Gastrite chronique. Hépatite B chronique. Mutilation génitale de type II. Mutisme d'origine indéterminée le 30.01.2019 • DD dépression DD décompensation d'une démence vasculaire (Fazekas III) Mutisme et troubles de l'équilibre somatoformes dans contexte de • s/p hémisyndrome brachiocrural gauche et aphasie non-fluente en 2014 : multi-investigués à l'hôpital de l'île à Berne sans cause somatique retrouvée • Syndrome douloureux chronique de l'hémicorps gauche d'origine psycho-somatique ; prise en charge ambulatoire multidisciplinaire (Dr. X, Dr. X, Dr. X) Mutisme post-opératoire le 17.01.2020 • DD : trouble dissociatif d'ordre psychiatrique, oedème post-opératoire Myalgie d'origine indéterminée au niveau du mollet à droite (DD contusion) le 30.01.2020. Myalgie post-traumatique du triceps, de la coiffe des rotateurs et des muscles érecteurs du rachis à droite, le 28.01.2020. Myalgies. Myalgies diffuses. Myalgies diffuses avec état subfébrile et rhinite, faisant penser à un état grippal plutôt qu'à une pyélonéphrite. Indications données pour reconsulter en cas de symptômes fébriles, nausées/vomissements ou douleurs majorées. Myalgies du muscle dorsal latéral et des muscles intercostaux VIII-X à droite : • sur mouvements répétitifs Myalgies et contractures musculaires à la suite d'une chute à ski, le 11.01.2020. • paravertébral dorso-lombaire gauche, • trapèze droit > gauche. Myalgies généralisées. Myastenia Gravis oculaire avec diplopie et ptose palpébrale droite. Myastenia Gravis oculaire avec diplopie et ptose palpébrale droite, hypothyroïdie substituée. Mycose aux aines. Mycose buccale. Mycose buccale d'origine médicamenteuse chez une patiente asthmatique qui utilise de Symbicort. Mycose buccale le 25.11.2019. Mycose buccale post-antibiothérapie et corticothérapie. Mycose cutanée. Mycose cutanée aux plis inguinaux. Mycose cutanée (intertrigo) le 22.10.2017. Rhumatisme psoriasique • Suivi en rhumatologie (Dr. X) Phlegmon mentonnier sur abcès dentaire 32 le 10.10.2018 traité par clindamycine. Mycose cutanée le 26.12.2019. Mycose des plis inguinaux bilatérale le 09.01.2019. Mycose du cuir chevelu. Mycose du siège. Mycose génitale le 02.01.2020. Mycoses inguinales bilatérales. Mycose interdigitale du pied gauche. Mycose intrabuccale. Mycose ombilicale le 10.01.2019. Ponction vertébrale D10 le 20.03.2019 (Dr. X). Spondylarthropathie axiale dans un contexte de Crohn HLA-B27 le 18.03.2019. Carence en acide folique le 27.03.2019. Mycose orale. Mycose orale au décours. Mycose orale le 22.01.2020. Mycose orale le 24.01.2020. Mycose oro-pharyngienne le 09.01.2020. Mycose périombilicale. Mycose pied. Mycose sous-mammaire gauche le 21.01.2020. Mycose testiculaire. Mycose testiculaire, Mycoster jusqu'au 07.01.2020. Rétention aiguë d'urine d'origine probablement mécanique. Anémie normocytaire normochrome d'origine mixte. Méningite dans l'enfance (anamnestique). Adénocarcinome du côlon transverse (pT4 N1 M0) avec : • colectomie subtotale droite et transverse (11.04.2006) • chimiothérapie adjuvante • thrombose veine sous-clavière droite sur PAC Pancréatite biologique le 07.06.2015. Iléus sur opiacés en juin 2015. Epistaxis d'origine traumatique vs spontané sur anticoagulation le 19.06.2015, avec électrocoagulation de la tache vasculaire droite. Greffe cutanée le 23.07.2015 sur hématome de la face dorsale de la main droite post-traumatique le 21.06.2015. Neuronite vestibulaire droite le 19.04.2015. Troubles de l'adaptation avec réaction mixte, anxieuse et dépressive. Endocardite de la valve mitrale (végétation de 10 x 10 mm) et possiblement aortique à Enterococcus faecalis, le 02.06.2015, avec bactériémie mixte à E. Coli, le 03.06.2015, avec embole septique du muscle pectinée et grand adducteur. Embolie pulmonaire segmentaire et thrombose iliaque externe droite avec atteinte fémoro-poplitée le 02.06.2015. Anémie ferriprive, d'origine spoliative probable, favorisée par un double traitement antiagrégant plaquettaire et anticoagulant le 19.08.2015. Décompensation cardiaque globale légère le 07.10.2016 sur infection des voies respiratoires supérieures. Syncope convulsive probablement sur bas débit dans le cadre d'une sténose aortique sévère le 24.07.2016. Mycose vaginale. Mycose vaginale le 13.01.2020. Mycoses des plis abdominaux et des plis inguinaux. Hypovitaminose D. Troubles de la déglutition avec adaptation du régime à haché-fin. Status après cholécystectomie. Status après amygdalectomie. Pneumonie basale gauche sur broncho-aspiration le 07.02.2019. Coxalgies chroniques. Tests cognitifs du 11.02.2019 : MMSE 19/30 et test de la montre 0/7 ; GDS à 2/15. Mycostatine. Mycostatine dès le 22.01.2020. Durée de traitement à définir selon évolution clinique. Mycostatine du 19.01.2020 au ___. Mycostatine du 22.01 au 06.02.2020. Mycostatine du 25.01 au 29.01.2020. Mycostatine pour prophylaxie candidose buccale 14 au 17.01.2020. Mycostatine 1 ml - 4 x/jour du 09.01 au 16.01.2020. Mycostatine 1 ml Daktarin gel. Mycostatine 1 ml 4 x/j du 09 au 10.01.2020. Mycostatine 3-4 x/j. Mycoster jusqu'au 07.01.2020. Myélite transverse connue depuis 27 ans. Hypothyroïdie substituée. Myélo-CT cervical au CIMF le 18.02.2020. Prochain contrôle le 03.03.2020. Myélo-CT du 13.11.2019 (CIMF) : discopathie multi-étagée lombaire, antélisthésis L4-L5 grade I avec sténose canalaire à ce niveau, examen superposable au dernier de 2015. Myélo-CT le 26.02.2020. Prochain contrôle le 05.03.2020. Myélome multiple à chaînes légères Lambda stade IIIB selon Durie-Salmon • date du diagnostic : 10.08.2017 • biopsie ostéo-médullaire (épine iliaque postérieure supérieure gauche, Promed P8897.17) : myélome plasmocytaire (OMS 2008 ; en partie plasmocytes immatures, immunophénotype : IgD et probablement Lambda, positif pour cycline D1) avec infiltration diffuse (environ 90%) du tissu hématopoïétique, pas d'évidence de dépôt d'amyloïde • cytogénétique (CHUV Lausanne 1578/17) : le gain en 1q et réarrangement en IGH, translocations ; 14, associés au pronostic défavorable • présentation initiale avec insuffisance rénale nécessitant une dialyse passagère, multiples ostéolyses lytiques, hypercalcémie, pancytopénie et chaînes légères lambda à 37 490 mg/ml et une immunofixation urinaire positive. • status post-dialyse du 11.08.2017 au 21.08.2017 • status post-4 cures d'une thérapie d'induction par Revlimid, Velcade et Dexaméthasone du 11.08.2017 au 27.10.2017 (très bonne réponse partielle avec nette diminution des chaînes légères et normalisation de la fonction rénale • status post-chimiothérapie de mobilisation avec Navelbine et G-CSF le 08.11.2017 suivie d'une récolte de cellules souches autologues le 15.11.2017 • status post-chimiothérapie à haut dosage par Bendamustine et Melphalan du 20-23.11.2017 suivie d'une transplantation de cellules souches autologues le 24.11.2017 • PBM du 07.12.2017: rémission complète morphologique, MDR négatif • sous traitement par Zometa depuis 2017 • status post traitement de maintien par Revlimid du 08.01.2018 à mi-septembre 2018 • septembre 2018 : progression tumorale avec augmentation des chaînes légères et désordre électrolytique • status post traitement de 2ème ligne par Kyprolis et Dexaméthasone du 05.10.2018 à janvier 2019 en raison d'une progression tumorale (normalisation des chaînes légères Lambda et nette amélioration de la pancytopénie en décembre 2018) • sous traitement par Imnovid, Endoxan et Dexaméthasone depuis le 23.01.2019 au vu d'une nouvelle progression avec réaugmentation des chaînes légères Lambda et apparition de lésions sous-cutanées histologiquement compatibles avec des plasmocytomes • sous traitement par daratumumab, Velcade et Dexaméthasone depuis le 20.08.2019 au vu d'une nouvelle progression tumorale sous forme d'une réaugmentation des chaînes légères et des lésions sous-cutanées de plasmocytomes • actuellement : échec à la thérapie par daratumumab, Velcade et Dexaméthasone avec réaugmentation des chaînes légères, bicytopénie, insuffisance rénale modérée et apparition de nouvelles lésions sous-cutanées, radiothérapie antalgique et palliative au niveau de la cuisse gauche et au niveau axillaire gauche et attitude palliative • suivi par le Dr. X • Myélome multiple à IgA Lambda stade ISS III avec multiples lésions osseuses • date du diagnostic : 16.05.2019 ; suivi Dr. X • histologie (biopsie lésion ostéolytique L2) : néoplasie à plasmocytes principalement immatures, compatible avec un myélome plasmocytaire IgA Lambda • PET-CT du 09.05.2019 : lésions osseuses au niveau de L2, C1, certaines vertèbres dorso-lombo-sacrées et 6ème côte • status post biopsie de la lésion osseuse L2 le 14.05.2019 • laboratoire du 08.05.2019 : créatinine à 140 µmol/l, calcémie normale, hémoglobine normale • ponction-biopsie de moelle osseuse du 14.05.2019 : myélome plasmocytaire IgA Lambda avec index de prolifération élevé en faveur d'un comportement agressif • cytogénétique : mutation et délétion du gène TP 53 • chimiothérapie d'induction par Velcade, Revlimid et Dexaméthasone du 20.05.2019 au 15.08.2019 (3 cycles) • rémission partielle le 24.07.2019 après 2 cycles • status post-traitement de mobilisation le 21.08.2019 • status post-aphérèse des cellules souches le 28.08.2019 • status post-chimiothérapie à haute dose suivie d'une transplantation autologue des cellules souches le 02.09.2019 • ponction-biopsie de moelle du 19.09.2019 : rémission morphologique complète, pas de plasmocytes clonales à l'immuno-phénotypisation (MRD négative < 106 %) • actuellement : rémission complète, traitement de Revlimid de maintenance (dont l'introduction est prévue prochainement) • Cardiopathie ischémique avec : • maladie coronarienne de 2 vaisseaux (CD et CX) • PCI/4 DES artère coronaire droite et PCI/1 DES artère circonflexe distale le 01.07.2011 • fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE 81%) • Syndrome des jambes sans repos • Lombalgies persistantes sur une lésion focale du corps vertébral L2 avec fracture pathologique mise en évidence à l'IRM du 30.04.2019 • Hypertension artérielle • Douleurs neuropathiques des membres inférieurs DD : sur carence vitaminique, post-chimiothérapie en investigation par MT • Myélome multiple, immunophénotype Lambda de l'aile iliaque droite • date du diagnostic : 08.04.2019 • ponction biopsie de la lésion de l'aile iliaque droite : néoplasie plasmocytaire aplasmocyte à prédominance mature, immunophénotype Lambda positif pour Cycline D1 parlant en faveur d'une translocation t (11; 14) (q13; q32) • pancytopénie, sans hypercalcémie, insuffisance rénale, immunofixation positive Lambda • dosage sérique Lambda libre : 48.7 mg/l • Mr. Y refuse une ponction de moelle osseuse • status post radiothérapie palliative de l'aile iliaque droite du 01.05 au 22.05.2019 • consilium oncologique du 11.09.2019 : progression tumorale, nette péjoration de la pancytopénie. Proposition de débuter un traitement de chimiothérapie de type RVD. Demande de prise en charge par le médecin conseil de la caisse maladie d'un traitement par Revlimid, Velcade, Dexaméthasone pour les traitements d'induction en association avec la chimiothérapie standard avant la greffe de cellules souches chez un patient adulte souffrant d'un myélome multiple • Myélome multiple stade II à IgG Kappa • diagnostic le 14.11.2019 - Oncologue : Dr. X • Histologie (biopsie de moelle) : myélome à plasmocyte immatures avec infiltration interstitielle et nodulaire, 40-50% avec éviction des cellules de l'hématopoïèse en maturation • Cytogénétique : délétion chromosomale 1p associée à un pronostic défavorable • IRM : petites ostéolyses au niveau des vertèbres et des côtes avec status post fracture vertébrale et costale • actuellement : • début d'une chimiothérapie par Revlimid, Velcade et Dexaméthasone le 16.12.2019 • mise en pause du Revlimid • Myélopathie cervicale radiologique et électrophysiologique avec compression au niveau C5-C6 et C6-C7. • Sténose cervicale avec myélopathie clinique, radiologique et électrophysiologique en progression apparente au niveau C3-C4 et C6-C7 ainsi qu'inversion de la courbure physiologique d'allure dégénérative • Lombosciatalgies L5 droites chroniques avec composante irritative toujours présente sur sténose canalaire L4-L5 sévère ainsi que sténose modérée en L1-L2 • Hernie discale D7-D8 avec empreinte médullaire mais sans compression • Myoclonies • Myoclonies arythmiques, non-stéréotypées, des membres supérieurs et de la tête le 26.11.2019, avec : • DD : origine métabolique / médicamenteuse sur Céfépime (taux du 25.11.2019 : 5.4 mcg/ml) • Myoclonies arythmiques, non-stéréotypées, des membres supérieurs et de la tête le 26.11.2019, avec : • DD : origine métabolique / médicamenteuse (céfépime) • Myomes utérins opérés. • Myopie très forte. • Myosite aiguë d'origine probablement para-infectieuse (DD : para-néoplasique) avec • tétra-parésie proximale et axiale, légèrement asymétrique gauche > droite, sans aréflexie • rhabdomyolyse associée • Myosite aiguë d'origine probablement para-infectieuse (DD : para-néoplasique) avec • tétra-parésie proximale et axiale, légèrement asymétrique G>D, sans aréflexie • Myosite avec fonction rénale conservée. • Myosite dans le contexte de syndrome grippal • Myosite post-syndrome grippal • Myosite sans atteinte rénale • Myosite virale avec : • rhabdomyolyse • sans atteinte de la fonction rénale • Myringite bulleuse • Myringite vs OMA droite débutante • N à terme par accouchement par voie basse, pas de risque infectieux. PN : 3555 g • s/p pyélonéphrite • s/p otites à répétition, avec pose de drain transtympanique, en place actuellement • N'a pas encore reçu son injection aujourd'hui • Injection à faire dès son retour à domicile, effectuée par Mr. Y. • A contrôler chez le médecin traitant • N'a plus de céphalées aux urgences. Ne présente pas de vomissements, malgré la persistance de nausées. Bonne tolérance d'une prise per os de sirop. Retour à domicile avec consignes de surveillance et traitement symptomatique par Dafalgan cp 500mg max 4x/j et Ibuprofène cp 400mg max 3x/j si céphalées/douleurs/fièvre. RDV chez pédiatre prévu le 28.01.2020 pour discuter des céphalées. Na 132 mmol/l NaBic le 28.12.2019 Glucose dès le 28.12.2019 Insuline iv du 28.12.2019 au 01.01.2019 Thiamine dès le 28.12.2019 Nutrition parentérale du 28.12.2019 au 31.12.2019 NaBic N-acétylcystéine Cathéter artériel fémorale droite le 16.01 au 18.01 (tentatives infructueuses sous US au niveau radial droite et gauche) CT-thoracique injecté le 16.01: mauvaise qualité, pas d'embolie pulmonaire Dosage acide pyroglutamique le 17.01 (CHUV) : à pister Eviter prescription de Paracétamol! Nalador i.v. selon schéma. Naloxone i.v. Nanisme hypophysaire Retard de croissance avec retard global du développement Déficit en hormone de croissance sans lésion hypophysaire à l'IRM Sous L-thyroxine 75mg 1x/j Nasofibroscopie : pas de corps étranger Oesogastroscopie sous anesthésie générale le 02.01.2019 : retrait d'un os de poulet Rx de contrôle le 03.01.2020 : pas de signe de complication. Nasonex spray 1x/jour pendant 1 mois Réévaluation clinique Nasonex 1 push dans chaque narine 1x/j Mr. Y est hospitalisé pour une gastro-entérite virale. La gazométrie réalisée à l'entrée ne montre pas d'alcalose métabolique. Il reçoit initialement un traitement anti-émétique par ondansetron 0.2 mg/kg/dose, avec une tentative d'hydratation per os avec échec. Une sonde nasogastrique est posée le 04.01 avec une réhydratation initiale de 50 ml/kg/4h, puis une hydratation avec ses besoins d'entretien. Il présente uniquement encore un épisode de vomissement et un épisode de diarrhée durant l'hospitalisation. Le 06.01 nous objectivons l'apparition d'œdèmes palpébraux bilatéraux et un enfant restant très fatigué malgré une hydratation appropriée. Dans ce contexte un nouveau bilan biologique est réalisé montrant une alcalose métabolique sans compensation respiratoire, pas de troubles électrolytiques, une hémoglobine 118 g/l. Dès le 06.01 les besoins par la sonde nasogastrique sont diminués à 50% et dès le 07.01 l'hydratation par la sonde nasogastrique est arrêtée, Mr. Y reprend ses habitudes alimentaires et hydriques. Sur le plan infectiologique, l'antibiothérapie par Co-amoxicilline 50 mg/kg/jour 3x/jour débutée le 02.01 par le pédiatre est poursuivie durant l'hospitalisation. Mr. Y reste afébrile. Nous préconisons de poursuivre l'antibiothérapie durant 10 jours au total. Sur le plan alimentaire, la mère décrit des difficultés alimentaires chroniques de longue date chez Mr. Y, ce dernier étant très sélectif au niveau alimentaire. Dans ce contexte, nous profitons de réaliser un bilan biologique qui montre uniquement une discrète diminution des protéines totales à 54 g/l, sans hypoalbuminémie. Nous proposons un suivi diététique à distance de l'hospitalisation, la mère est partante et se charge de fixer le RDV. L'évolution est favorable et Mr. Y rentre à domicile le 07.01, il sera revu pour un contrôle clinique dans 48 heures chez le pédiatre. Nausée et vomissements dans un contexte oncologique palliatif le 28.12.19 • Masse hépatique suspecte de métastase • Ascite probablement sur carcinose péritonéale • Lésions kystiques pancréatiques Nausées et vomissements d'origine indéterminée Nausées et vomissements Nausées et vomissements Nausées et vomissements Nausées et vomissements Nausées et vomissements Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées d'origine indéterminée. Nausées en péjoration depuis une semaine le 06.01.2020 avec : • vertiges de type mixtes (tangage et carrousel) • manœuvre de Halmagyi négative, pas de nystagmus au regard spontané ni à la poursuite oculaire Nausées et diarrhées. Nausées et douleurs abdominales d'origine indéterminée. • dans contexte de diminution du transit. Nausées et vomissements d'origine multifactorielle le 30.12.2019 • Sur progression métastatique de la maladie oncologique Nausées et vomissements importants à prédominance sur métastase cérébrale et carcinose méningée Nausées et vomissements sur majoration de nutrition entérale le 08.01.2020 Nausées gravidiques, le 24.01.2020 avec : • BHCG à 112'374 • Avis gynécologique : grossesse évolutive intra-utérine estimée à 11 SA.Nausées persistantes et vomissements post-prandiaux, avec: • perte de poids de 20 kg en 2 mois • troubles électrolytiques • troubles de la crase sur déficit en vitamine K Nausées post-prandiales (repas gras). Nausées, vomissements Nausées, vomissements. Nausées vomissements Nausées, vomissements, diarrhées. Nausées/Vomissements depuis 3 jours Maux de tête depuis 3 jours Douleur au bas-ventre irradiant au dos depuis 3 jours Nausées/vomissements. Mr. Y est hospitalisé pour antibiothérapie intraveineuse dans un contexte d'une lymphadénite bilatérale à Epstein Barr Virus avec abcès débutant à droite. Lors de son contrôle du 29.01, le bilan sanguin montre une augmentation des paramètres inflammatoires et l'ultrason met en évidence un abcès débutant à droite. Une splénomégalie de 13.9 cm est également mise en évidence à l'ultrason. Une antibiothérapie intraveineuse par Co-amoxicilline est débutée le 29.01. Elle est changée pour de la Clindamycine dès le 30.01 en raison du risque de rash à l'Amoxicilline dans le contexte d'EBV. Il reçoit au total une antibiothérapie intraveineuse pendant 48 heures, puis un relais per os par du Clindamycine est effectué. Mr. Y reste afébrile durant son hospitalisation. L'évolution clinique est vite favorable avec une diminution de taille des adénopathies. Mr. Y peut donc rentrer à domicile le 31.01.2020. NC NC NC NC NC NC NC 2ème avis né à terme né à terme Né à terme à 39 4/7 SG (Daler), PN 2580 (p <3) avec un RCIU harmonieux probablement sur tabagisme maternel Hospitalisé en néonatologie HFR pour une infection néonatale clinique, traitée par Amoxi et Gentamycine (7 jrs) Né à terme, par césarienne élective né à terme, poids de naissance 2.970 kg Né à terme, poids de naissance 3.880 kg né à terme BSH dysplasie des hanches traitée Né à 37 4/7 SA, par césarienne au Daler pour un placenta calcifié, Apgar 9, 10, 10, pH artériel à 7,34, pH veineux à 7,38. Troubles de l'adaptation pendant 24 heures, puis il s'est bien adapté par la suite. PN 2890 g, TN 45 cm, PC 34 cm. Bonne santé habituelle, pas de traitement au long cours. N'a pas été malade ces derniers jours, pas d'état fébrile. • né à 37 5/7ème, poids de naissance 2300 g ( sp Radiographie du thorax: sp Bilan biologique Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil.Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Angine bactérienne. Anémie ferriprive sous fer per os. Nihil. Bronchites spastiques à répétition Traitement de fond avec Vannair (donné par les parents). Nihil. Eczéma de contact allergique avec dissémination : • possible surinfection Consilium angiologique du 14.05.2013 (Dr. X) : exclusion de TVP Co-Amoxicilline 2.2 g 4x/j i.v. du 15 au 16.05.2013 puis 1 g 2x/j per os du 17 au 21.05.2013 Consilium dermatologique le 14.05.2013 et le 21.05.2013 (Dr. X) Elocom 20 g/j du 17 au 21.05.2013 puis 20 g chaque 2 jours du 22 au 29.05.2013 puis 20 g 2x/sem du 30.05 au 06.06.2013 Procoutol dès le 20.05.2013 Eau d'Alibour dès le 22.05.2013 Excipial U-Lipolotion dès le 22.05.2013 Contention élastique des membres inférieurs dès le 18.05.2013. Nihil. Probable migraine avec aura le 29.08.2016 avec : • vision floue • paresthésie des 4 membres Antalgie par Dafalgan, AINS. Laboratoire : pas syndrome inflammatoire IRM cérébrale : dans la norme, pas saignement, pas masse, pas thrombose, pas malformation. Si récidive, Mr. Y prendra contact avec son médecin traitant et nous recommandons un avis neurologique. NIHSS à 11 CT Time is brain : Occlusion de M2 proximal D. Pénombre aux cartes de perfusion. Contre-indication à la lyse en raison du carcinome sigmoïdien actif. Transfert à Berne pour suite de prise en charge +/- thrombectomie. NIHSS à 11. Laboratoire. CT Time is Brain : occlusion de M2 proximal D. Pénombre aux cartes de perfusion. ECG : rythme sinusal. Pas de trouble de la repolarisation. Consilium neurologique Dr. X/Dr. X. Contre-indication à la lyse en raison du carcinome sigmoïdien actif. Transfert à l'Inselspital de Berne pour suite de prise en charge +/- thrombectomie. NIHSS initial à 18 Avis neurologie Angio CT cérébral : occlusion portion M1 ACM, avec pénombre sur territoire correspondant. Attitude : Trandate 10 mg Thrombolyse standard au HFR à 16h39 (1h04 post symptôme), patiente de 100 kg. Transfert à Berne pour thrombectomie (transmis au Dr. X et Dr. X). NIHSS initial à 18 Avis neurologie.Angio CT cérébral : occlusion portion M1 ACM, avec pénombre sur territoire correspondant Attitude : • Trandate 10 mg • Thrombolyse standard au HFR à 16h39 (1h04 post symptôme), patient de 100 kg • Transfert à Berne pour thrombectomie (transmis au Dr. X et Dr. X) Niihil Nikotinkonsum (20 PY) Nil Nil Mme. Y avait bénéficié en décembre 2019 d'un US des voies urinaires non pathologique. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication pour d'autres évaluations. Nitrofuradantin pendant 5 jours dès le 06.01.2020 Nitrofurantoïne du 29.01 au 30.01.2020 • Rocéphine 2 g IV dès le 30.01.2020 • Nitrofurantoïne dès le 31.01.2020 (pour 5 jours au total) Sonde vésicale dès le 30.01.2020 Stix / sédiment urinaire les 28.01 et 30.01.2020 Urotube le 30.01.2020 : à pister Nitrofurantoïne en pause vue indication peu claire urotube demandé Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pour 5 jours Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour pour 5 jours Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour pour 5 jours Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour durant 5 jours NK beim Hausartzt NN 37 2/7 SG (Daler), PN 2650 gr, TN 44 cm, PCN 33 cm. APGAR 9/10/10, pH 7.21/7.31. Accouchement par voie basse. S/p probale malaise vagal dans le contexte d'une régurgitation S/p souffle systolique 2/6 aigu maximum en parasternal G non irradiant avec US cardiaque normal NN 39 2/7 SA avec PN 3150 g, accouchement par voie basse, bonne adaptation néonatale, pas de risque infectieux, mère DGNID, contrôle en ordre à la naissance. NNT NNT bonne adaptation néonatale • foramen ovale perméable puis fermeture spontanée (qques semaines de vie) suivi par le cardiologue • longue période comprenant problèmes alimentaires entre naissance et 4-5 mois (bilan allergie pas d'intolérance lactose, gluten, pas d'allergie aux protéines de lait) / actuellement résolu, prend déjà alimentation diversifiée avec lait de 2ème âge. Sp hypoglycémie à 1mmol/l dans un contexte de GEA le 31.03, bilan endocrinologique et métabolique en cours NNT, par voie basse avec bonne adaptation néonatale Testicule gauche oscillant NNT 40+3, provocation pour oligoamnios, AVB sans complication, bonne adaptation. no Impfstatus St.n. 2x Supinationstrauma li OSG SA : Pat est Sanitär von Beruf Nodule dans lobe thyroïdien D découvert fortuitement. Nodule de l'apex pulmonaire gauche e 16.08.2019 : • DD aspergillose bronchopulmonaire allergique, impaction mucoïde, lésion néoplasique Nodule dominant du lobe gauche de 1,6 x 1,3 x 1,2 cm de cytologie à cellules de Hürthle (classification selon Bethesda IV avec une fonction euthyroïdienne Nodule du lobe inférieur droit • s/p résection extra-anatomique lobe moyen et lobe inférieur droit, résection segment 10, complément de résection pyramide basale, lymphadénectomie le 08.02.2018 • PET-CT le 25.11.2019 : mise en évidence d'une intense hypercaptation pulmonaire postéro-basale droite suspecte • Tumorboard thoracique 27.11.2019 Nodule et kyste thyroïdien (hypothyroïdie substituée par Euthyrox) HTA traitée par Co-Valsartan Nodule hétérogène du lobe thyroïdien gauche mesurant 20 x 18 mm le 05.01.2020 Nodule lobe droit avec atypie cellulaire d'origine indéterminée le 14.03.2019 et 17.06.2019 (Bethesda III) Fonction euthyroïdienne Thyroïdectomie totale droite le 22.01.2020 (Prof. X) Histologie Promed P2020.840 : carcinome folliculaire (diamètre maximal 3.6cm) oncocytaire minimalement invasif du parenchyme thyroïdien pT2 L0 V1 pN0 M0 R0 Tumor board du 29.01.2020 : prise en charge chirurgicale Nodule pulmonaire base poumon droit de découverte fortuite en mai 2017, sans suivi nécessaire. Status post appendicectomie en 2009 Nodule pulmonaire de 5 mm dans le lobe inférieur droit • découvert au scanner thoracique du 17.01.2020 • ancien tabagisme, stoppé il y a 25 ans Nodule pulmonaire de 6 mm dans le lobe inférieur D, de nature indéterminée : • suivi par CT-Scan thoracique sous 3 mois. Diverticulites (3 épisodes) Hémorroïdes (3x ligatures) Lymphangites multiples : • 2x MIG face externe • 1x MID face interne Acouphènes bilatéraux (D>G) Migraines, céphalées de tension, crises de migraine ophtalmique Rétinite maculaire séreuse D DMLA débutante para-maculaire G Cervicalgies et lombalgies pluri-étagées parfois associées à des paresthésies/névralgies : • IRM colonne lombaire (03.2018) : canal lombaire étroit • cruralgie L1-L2 D (2017) • hernie discale L5 G (07.2012) Status post chirurgie du ménisque interne discoïde D (06.2019) Status post chirurgie du ménisque interne discoïde G (07.2011) Status post chirurgie pour tunnel carpien (2005) Cure de hernie inguinale G (1977) Cure d'hydrocèle (1976) Nodule pulmonaire du lobe moyen de 14 mm (progression de 6 mm en 14 mois). Nodule pulmonaire en base G d'origine indéterminée le 17.12.2019 • D-dimères à 8363 mcg/l • CT thoracique le 20.12.2019 : granulome calcifié bénin. Nodule pulmonaire inférieur gauche en augmentation le 19.01.2020 Nodule pulmonaire postéro-basal droit CT thoracique de contrôle dans 3 mois Embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires au niveau de la lingula Xarelto 15 mg 2x/j pendant 3 semaines puis 1x/j pendant 3 mois Suivi régulier de la formule sanguine à la consultation d'hématologie. Traitement à stopper si thrombocytes < 50 G/L Nodule spiculé de 8 mm lingulaire gauche Nodule surrénalien droit de 17 mm le 27.12.2019 Nodule surrénalien gauche prenant le contraste et mesurant environ 20 mm de diamètre le 05.01.2020 Nodule thyroïdien droit. Nodule thyroïdien gauche hypodense infra-centimétrique de découverte fortuite au CT du 28.01.2020 Nodule thyroïdien gauche non caractérisable Nodules pulmonaires épars au CT du 10.01 de valeur pathologique incertaine • notion de nodules déjà décrits au CT thoracique du 30.05.2014 Nodules surrénaliens gauche (suspect de phéochromocytome) et droit (non sécrétant) (découvert le 10.12.2018) DD phéochromocytome : • dosage métanéphrines partiellement pathologique (résultat sur Synedra) • cortisol basal 302 nmol/l le 03.01.2019 normal • test de freinage à la Dexaméthasone : cortisol après dexaméthasone 19 nmol/l le 03.01.2019, normal • scintigraphie à l'MIBG, le 22.-23-24.01.2019, avec prise de iodure de potassium du 20 au 24.01.2019 : hypercaptation précoce et tardive surrénalienne G, suspecte de traduire un phéochromocytome. La lésion nodulaire surrénalienne D ne capte pas le radiotraceur de manière pathologique, en défaveur d'un phéochromocytome. Nodules thyroïdiens depuis 1993 Polyarthrose Nodule surrénalien gauche 1 cm depuis 2006 Kystes rénaux depuis 2016 Incontinence urinaire d'effort HTA traitée Nombreuses extrasystoles ventriculaires Nombreuses métastases pulmonaires. • Patient connu pour plusieurs carcinomes de la sphère ORL + adénocarcinome de la prostate opéré en 2012. Non bilantée cf. dg.1 Non fait ce jour. Non suturées Non union humérus D sur • status post traitement conservateur d'une fracture oblique 1/3 moyen diaphyse humérus D le 22.08.2013 • curetage du foyer de fracturaire, mise en compression de la fracture et OS par plaque de neutralisation 4.5 3.5 métaphysaire, humérus D (OP le 29.11.2013) Non union humérus D sur : • status post-traitement conservateur d'une fracture oblique 1/3 moyen diaphyse humérus D le 22.08.2013 • Curetage du foyer de fracture, mise en compression de la fracture et OS par plaque de neutralisation 4.5 3.5 métaphysaire, humérus D (OP le 29.11.2013) Non vacciné. Mr. Y présente une scoliose idiopathique de l'adolescent avec courbe Cobb en accentuation. Il s'agit d'une scoliose thoracique à double courbure avec un angle de Cobb proximal de 19°, distal de 22°. Le stade Risser est à 4, voire 5, donc la croissance est en phase terminale chez cette fille de 15 ans. Les scolioses avec une courbure inférieure à 25° ne nécessitent généralement pas de traitement, surtout pas après la fin de la croissance, ce qui est le cas chez Mr. Y. Concernant les courbatures que présente Mr. Y, je propose des traitements manuels sous forme de physiothérapie ou d'ostéopathie. Il n'y a pas d'indication opératoire ni d'indication pour le port de corset. Je propose un suivi chez son pédiatre. Un nouveau contrôle à ma consultation n'est pas nécessaire. Noradrénaline à haute dose (jusqu'à 0.9 mcg/kg/min) du 26.11 au 30.11.2019 Hydratation i.v. Supports organiques et antibiothérapie cf. problèmes spécifiques Noradrénaline du 26.01 au 27.01.2020 • 6 CE, 1 CP, 5 PFC le 26.01.2020 • Fibrinogène 4 g le 26.01.2020 • Acide tranexamique 1 g le 26.01.2020 • Gluconate de Calcium le 26.01.2020 • Pantozol bolus + IV continu le 26.01.2020 • Cathéter artériel fémorale droite dès le 26.01.2020 • Angiographie et embolisation le 26.01.2020 (Dr. X) Noradrénaline du 29.01 au 31.01.2020 PICCO du 29.01 au 31.01.2020 Noradrénaline le 31.12.2019 • Drainage d'ascite le 31.12. • Albumine 20 g i.v. 31.12.2019-02.01.2020 • Thiamine • Seresta en R Noradrénaline le 31.12.2019 • Drainage d'ascite le 31.12. • Drainage pleurale droite 31.12.2019-02.01.2020 • Albumine 20 g i.v. 31.12.2019-02.01.2020 • Thiamine • Seresta en R Normolytoral Normolytoral Normolytoral Normolytoral au besoin pour soutien de l'hydratation Reconsultation si reprise des pertes, échec d'hydratation per os ou péjoration de l'état général Normolytoral • Antalgie en réserve • Consigne d'hydratation fractionnée • Consigne de reconsulter si signe de déshydratation Normolytoral • Consigne d'hydratation fractionnée • Consigne de reconsulter si signe de déshydratation Normolytoral • Consigne d'hydratation fractionnée • Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures • Consigne de reconsulter si signe de déshydratation Normolytoral en réserve • Antalgiques en réserve • Consignes de réhydratation Normolytoral en réserve • Consignes de réhydratation • Antipyrétiques en réserve • Consignes alimentaires Normolytoral en réserve • Consignes de réhydratation • Antipyrétiques en réserve • Consignes alimentaires • Signes d'alerte bien expliqués Normolytoral en réserve • Consignes de réhydratation en détails Normolytoral et Algifor/ Dafalgan en alternance Normolytoral 1 sachet dans 200 ml d'eau 4x/j. Dafalgan supp. 150 mg 3x/j en alternance aux 4 heures avec Algifor sirop enf. 3,9 ml 3x/j. Consulte le pédiatre ou revient aux urgences si échec de réhydratation ou si diminution de l'état général. Normolytoral 1 sachet dans 200 ml d'eau 4x/j. Dafalgan supp. 300 mg max 3x/jour si fièvre. Consulte chez le pédiatre ou revient aux urgences si échec de réhydratation et/ou si diminution de l'état général. Normolytoral 1 sachet dans 200 ml 4x/jour • Itinérol B6 1x/j • Dafalgan au besoin, si fièvre Consulte le pédiatre ou revient aux urgences si échec de réhydratation et/ou diminution de l'état général Normolytoral 1 sachet dans 200 ml 4x/jour. Algifor et Dafalgan en alternance au besoin. Proposition de faire part de leur détresse au pédiatre traitant et de rediscuter avec lui/elle de leur demande d'investigations plus poussées quant aux coliques de Mr. Y auxquelles il/elle sera probablement plus apte que le service des urgences à répondre et d'organiser un suivi sur le long terme. Normolytoral 1 sachet dans 200 ml. Consulte le pédiatre ou revient aux urgences si échec de réhydratation et/ou diminution de l'état général. Normolytoral 1 sachet par jour dans 200 ml d'eau 4x/jour. Algifor et Dafalgan en alternance aux 4 heures si état fébrile. Ventolin au besoin Consulte le pédiatre ou revient aux urgences si échec de réhydratation et/ou si diminution de l'état général. Normolytoral 1 sachet 4x/j. Dafalgan et Algifor en alternance au besoin. Contrôle chez le pédiatre demain dans la journée. Entre-temps revient aux urgences si persistance de l'état fébrile ou si échec de réhydratation. Normolytoral • Antalgie en réserve Normolytoral • Antalgiques en réserve Normolytoral • Bioflorin Normolytoral • Dafalgan si fièvre Normolytoral DD Coliques : prise en charge par le pédiatre traitant. Normolytoral • Itinérol B6 • Dafalgan si fièvre Normolytoral. Zofran donné aux urgences Revient si hydratation per os impossible et/ou si diminution de l'état général. Notfallmässige Vorstellung mit der Ambulanz nach einem Sturz. 81 annuelle, plein orientation (Temps/Lieu/Situation/Personne), légèrement réduit à l'état général. Blood pressure (non invasif) 165/74 mmHg, heart rate 74/min, temperature 35.6°C, peripheral oxygen saturation in room air 98% Cardio : heart sounds rhythmic, systolic murmur radiating to the carotids, radial artery weakly palpable bilaterally, dorsalis pedis artery bilaterally with Doppler signal, no pretibial edema Pulmo : (auscultated anteriorly) vesicular breath sounds over all lung fields Abdomen : soft, active bowel sounds, no tenderness Head : monocle hematoma with severe swelling right, hematoma inner eye angle left, about 3x3 cm large hematoma frontal right, no tenderness of bony structures, cervical spine indolent Lower leg right : hard, tender calf, circumference difference Neurology : pupils medium wide, isocoric, direct and indirect light reaction prompt. No meningismus. Cranial nerves grossly unremarkable, sensitivity unremarkable, muscle tone and trophism normal, strength grade 5 all around. No drop in arm hold attempt, coordination unremarkable. ad main diagnosis and secondary diagnosis 1/11: At the fall with head impact, a CT of the skull was performed, which showed a subgaleal hematoma frontal, an intracerebral hemorrhage and bony lesions could be excluded. With right swollen lower leg, elevated D-dimers and initially unclear compression ultrasound, we suspected a deep vein thrombosis and began anticoagulation with Xarelto. In the CT thorax, a pulmonary embolism was excluded. Subsequently, the compression ultrasound was repeated and the veins in the right lower leg could be easily compressed, which excluded DVT and anticoagulation was stopped. Sonographically, there was a subcutaneous fluid accumulation in the area of the entire lower leg, which we interpret as a hematoma as part of the fall event. With painful right knee joint, an X-ray was performed and a patellar fracture was found. In consultation with the orthopedists, conservative treatment was indicated with a splint for 6 weeks, stock relief with partial load (approx. 15 kg).Le sturz ist vermutlich im Rahmen der vorbekannten multifaktoriellen Gang- und Gleichgewichtsstörung zu sehen. ad Nebendiagnose 2: Zu Beginn der Hospitalisation war Mme. Y zunehmend verwirrt und vor allem nachts unruhig. Wir gingen am ehesten von einem Delir aus. Mit Hilfe des Ehemanns, welcher mehrmals in der Nacht zur Beruhigung der Patientin ins Spital kam, und unter Therapie mit Quetiapin sowie Haldol besserte sich der Zustand im Verlauf. ad Nebendiagnosen 3-10: Es ergaben sich keine neuen Aspekte. Wir verlegten Mme. Y am 06.01.2020 in gutem Allgemeinzustand in die geriatrische Rehabilitation im Hause. Notion anamnestique d'AVC droite (non datée) Cyphoplastie L1 bipédiculaire par système SpineJack et cimentage avec Cohésion 7 cc (OP le 14.04.2014) Opération de la cataracte ddc Plusieurs opérations intestinales avec hosp pendent 1 année (avec perforation d'ulcère gastrique) • Sous Pantozol 20 mg Trauma crânienne sans signe de gravité le 19.07.2018 Notion anamnestique de foramen ovale ouvert. Notion d'angine de poitrine avec coronarographie blanche en 98. Notion d'asthme dans l'enfance. Notion de dégénérescence maculaire liée à l'âge Carcinome canalaire invasif du quadrant supéro-externe du sein gauche pT1 Pn0 c M0 traité en 2007 avec récidive multi-métastatique le 18.02.2019 (hépatique, ganglionnaire, carcinose péritonéale et métastases osseuses), suivi par le Dr. X Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G3a acutisée AKIN I (fraction du sodium à 1.8%) le 16.12.2019 Malnutrition protéino-énergétique légère avec NRS à 3/7, sur diarrhées (clostridium) et manque d'appétit Leucocytopénie avec neutropénie légère le 02.12.2019 d'origine inflammatoire et médicamenteuse (antibiothérapie) Démence probablement sénile Tests de la cognition du 16.12.2019 : MMSE à 17/30, test de la montre à 1/7 Incontinence urinaire d'urgence Hyper-ferritinémie 1491µ/l et hypervitaminose B12 à 1064 pg/ml le 02.12.2019 dans le contexte oncologique (métastases hépatiques) Notion de Fibrillation auriculaire nouvelle le 02.01.2018 Adénocarcinome recto-sigmoïdien non-invasif, stade pTis N0 (0/34) Mx G1 R0 avec : • status post-résection antérieure basse et iléostomie de décharge, le 19.11.2008 • fermeture de l'iléostomie, le 11.03.2009. • coloscopie de contrôle en 09.2010 avec exérèse de 3 polypes Cardiopathie hypertensive et valvulaire avec : • sténose aortique en progression (gradient de pression stable, surface aortique en diminution) • échocardiographie le 13.09.2016 (Dr. X) : cardiopathie hypertensive et valvulaire avec sténose aortique modérée à sévère. • gradient de pression stable à 19 mmHg, surface aortique en diminution depuis 2013 (de 1.77 cm2 à 1.1 cm2) • HASBLE D: 2%, CHADSVASC : 4, pas d'anticoagulation car risque de saignement intestinal Troubles anxiodépressifs Tremor de repos et intentionnel Incontinence urinaire d'effort Infections urinaires à répétition Douleurs thoraciques gauches d'origine musculo-squelettiques Déconditionnement global avec troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Notion de migraine Notion de mucoviscidose asymptomatique. Lombalgies droites non déficitaires le 12.03.2015. Notion de pneumopathie post radique le 10.01.2020 Notion de reflux gastro-oesophagien • actuellement aucun traitement, asymptomatique Episodes dépressifs récidivants • pas retrouvé à l'anamnèse • actuellement sous Mirtazapine 15 mg Lingua nigritis Dermite de stase bulleuse 08/2019 sur oedèmes des MI • Insuffisance veineuse chronique Notion d'épilepsie sous Depakine. Notion d'hépatite et pancréatite chronique Stéatose hépatique BPCO avancée avec oxygénothérapie à domicile SAOS sévère, non appareillé après échec appareillage en 2015 Troubles anxio-dépressifs, patient suivi initialement chez le Dr. X, interrompu il y a plusieurs années Syndrome de dépendance aux benzodiazépines Cholangiocarcinome intra-hépatique moyennement différencié, pT1a pN1 (1/3) V0 L0 Pn en rémission Notion d'une dyspnée en ambulatoire. Notre bilan actuellement est insatisfaisant, raison pour laquelle nous souhaitons effectuer une myélo-CT à la recherche d'une maladie du segment adjacent, ainsi qu'une recherche de sténose résiduelle éventuelle au niveau L5-S1. Nous recherchons également une fusion osseuse afin de décider si le matériel d'ostéosynthèse peut être retiré. Nous reverrons la patiente dans les suites. Notre patiente s'est refait une entorse bénigne sur une instabilité chronique suite à une 2ème rupture de LCA du mois de novembre 2019. A l'examen clinique nous n'avons pas de suspicion de blocage mécanique et les tests méniscaux sont négatifs. Dans ce contexte, après discussion avec la patiente, nous allons poursuivre le traitement conservateur. De son côté, la patiente bilantera cette instabilité dans son quotidien et lors du prochain contrôle clinique en mars, nous referons le point sur la situation avec en plus un scanner du genou afin de bilanter les tunnels osseux. Nourrisson qui a présenté un seul pic fébrile avec, à l'examen clinique un foyer d'angine et IVRS virales, avec une fontanelle encore bombée, mais un examen neurologique et un état général très rassurants. Pas de ponction lombaire effectuée ni d'autres examens. RDV de contrôle clinique donné pour le lendemain matin à 11h ici (pédiatre ne travaille pas). Signes cliniques qui devraient alerter les parents et reconsulter plus tôt (vomissements itératifs, convulsions, EF récurrent malgré Ben-U-Ron, pétéchies, changement de comportement) bien expliqués. Nous ablatons les fils proximaux qui ne tenaient plus la plaie fermée. Nous désinfectons et mettons un pansement bétadiné onguent. Le patient douchera la plaie 1x par jour avec un pansement bétadiné onguent. Il a rendez-vous avec le Dr. X le 30.01.2020. Nous adaptons le traitement antalgique de la patiente et lui proposons de faire des bains de bouche. Elle sera revue par son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle clinique. Nous adaptons le traitement antalgique et le patient peut regagner son domicile avec Dafalgan, Voltarène et Sirdalud. Un bilan phosphocalcique à la recherche d'une ostéoporose est à organiser en ambulatoire. Mr. Y présente moins de douleurs ce jour, on ne note pas de signe de complication. Nous proposons au patient de continuer le traitement antalgique et de consulter son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. S'il y a une péjoration des douleurs, le patient reconsultera les urgences. Nous adaptons le traitement antalgiques avec une proposition d'un schéma avec Tramal 50 mg, deux capsules deux fois par jour. Nous proposons au patient de voir son médecin traitant la semaine prochaine pour adaptation antalgique dans le contexte de l'insuffisance rénale nouvellement diagnostiquée. Nous admettons le patient en surveillance clinique qui se révèle sans particularité. Devant ce tableau, nous laissons le patient regagner son domicile avec un contrôle chez son médecin traitant sous Xyzal. Nous admettons le patient en surveillance clinique qui se révèle sans particularité. Devant ce tableau, nous laissons le patient regagner son domicile avec un contrôle chez son médecin traitant sous Xyzal. Compte tenu des interactions médicamenteuses des médicaments que le patient prend avec le Xyzal, nous proposons de garder le Xyzal en réserve et si le patient présente une réaction allergique, il le prend et se présente aux urgences. Nous administrons du Nexium 40 mg iv, ce qui soulage la patiente. Nous complétons le bilan avec un laboratoire qui ne met aucun syndrome inflammatoire en évidence. Le sédiment urinaire est propre et le test de grossesse négatif.Nous prévoyons un retour à domicile avec un arrêt de travail pour le 15.11.2019, du Nexium 40 mg 2x/jour pendant 2 jours puis 1x/jour pendant 10 jours. Nous proposons d'effectuer un dépistage d'Hélicobacter en cas de persistance sous Nexium ou récidive après l'arrêt du Nexium et de reconsulter les urgences si péjoration de l'état clinique. Nous administrons du Tavegyl qui stoppe la réaction allergique et les lésions cutanées disparaissent. Nous proposons un traitement par Xyzal et Atarax en traitement ambulatoire avec un suivi chez un allergologue dans 6 semaines. Nous administrons du Tavegyl 2 mg et du Solumedrol en IV, ce qui permet l'amélioration clinique de Mr. Y. Nous prescrivons un traitement par Prednisone en schéma dégressif, avec de l'Atarax et de la Lévocétirizine pour une durée d'une semaine. Nous conseillons à Mr. Y d'organiser un rendez-vous allergologique dans 6 semaines. Nous administrons du Tramadol et du Sirdalud à Mme. Y et, environ 30 à 45 minutes après, Mme. Y se sent déjà soulagée avec des symptômes qui commencent à disparaître et récupération de la mobilisation de l'épaule avec une palpation moins douloureuse. Au vu de la bonne évolution avec la prise d'antalgie, nous lui prescrivons une antalgie avec repos pour 2-3 jours et suite chez le médecin traitant. Si persistance des symptômes avec syndrome neurologique se développant tels que perte de force ou de sensibilité dans le membre supérieur, nous ferons des investigations à la recherche d'une hernie. Si elle développe de la fièvre, rougeur ou chaleur au niveau des articulations, elle reviendra aussi pour consulter. Nous administrons du Xyzal et Adrénaline et mettons Mr. Y en surveillance sur un lit monitoré qui se déroule sans particularité. Nous discutons avec Dr. X et préconisons un traitement par Xyzal 5 mg 1x/jour pour 7 jours et proposons de reconsulter les urgences en cas de péjoration ou d'apparition de problème respiratoire. Nous administrons une antalgie par Dafalgan 1g, Brufen 400mg, Tramal 50mg et Sirdalud 4mg avec un bon effet. En raison de l'examen clinique rassurant, Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie et un arrêt de travail. Nous administrons une antalgie par Dafalgan/Brufen et réalisons un laboratoire qui revient dans la norme, ainsi qu'un CT-scan ne mettant pas d'anomalie en évidence et notamment pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne. Mr. Y rentre à domicile, sans douleur, avec une antalgie simple et il consultera le neurologue à distance. Nous administrons une antalgie, un lavement par Practomil 1L avec évacuation d'une grosse quantité de selles et disparition des douleurs. Mr. Y reçoit également un Temesta 1mg pour une anxiété importante. Retour à domicile avec majoration du traitement laxatif et consultation chez Dr. X le 14.01 comme prévu. Nous administrons une dose de Zofran et introduisons une hydratation IV par NaCl puis Glucosalin, avec rapide amélioration de l'état clinique. Concernant l'otite moyenne aiguë bilatérale, nous administrons une dose de Ceftriaxone IV. Aux urgences, Mr. Y arrive à s'alimenter et à s'hydrater sans vomissement. Nous administrons 2g IV de Rocéphine aux urgences. Nous effectuons un sédiment urinaire, un ECG et une gazométrie. Nous discutons du cas avec Dr. X. Nous changeons l'antibiothérapie pour Cirpofloxacine 500 mg 2x/j durant 7 jours. Mme. Y reconsult pourra en cas de péjoration des symptômes. Nous adressons Mr. Y en consultation dentaire pour une consultation dans la journée (numéros dentistes acceptant des urgences donnés). Nous adressons Mr. Y à notre consultation de dermatologie pédiatrique. Bains de Dakin 2-3x/jour. Reconsultation si signes de surinfection, état fébrile, progression des symptômes ou apparition de nouveaux symptômes. Nous adressons Mme. Y en consilium ophtalmologique qui met en évidence une érosion de la cornée et traite par pansement compressif avec vitamine A et Floxal, puis Floxal collyre pour 3 jours. Reconsultation en ophtalmologie si persistance des symptômes malgré la bonne conduite du traitement. Nous adressons Mme. Y en consultation ORL pour suite de prise en charge. La mère contacte le service d'ORL le 23.01.20 pour un rendez-vous. Nous aimerions donc confirmer notre suspicion de lésion intra-canalaire afin de prévoir au mieux la chirurgie chez un patient avec un morphotype compliqué. Nous souhaitons réaliser une IRM au CIF et recommandons donc d'effectuer les séquences les plus courtes possibles avec un patient apte à tenir 20 minutes sur le dos. Nous reverrons Mr. Y dans les suites. Nous ajoutons la Novalgine 500mg 4x/j fixe et proposons de stopper le Tramal et le Sirdalud. En cas de persistance des douleurs, reconsultation aux urgences. Nous allons encore organiser le scanner pour contrôler la fusion vertébrale des 3 mois, nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique à 6 mois de l'opération. Nous allons exclure ou confirmer le syndrome de la sacro-iliaque avec infiltration à gauche et nous reverrons Mme. Y 2 semaines après. Si pas d'amélioration, les douleurs pourraient être dues au listhésis L5-S1 connu avec lyse isthmique. Nous allons initialement appareiller Mr. Y avec une semelle, à appui de l'avant-pied pyramidal et d'une attelle de positionnement nocturne. On refait le point cliniquement dans 3 mois. En cas d'absence d'évolution favorable, il s'agira d'envisager une opération chirurgicale par allongement des tendons d'Achille. Nous allons organiser une IRM sous sédation pour évaluer l'état de tous les disques de la colonne lombaire. Nous allons demander au service de radiologie d'effectuer une cartographie sur la scintigraphie déjà effectuée pour évaluer s'il y a une prise de contraste au niveau des facettes articulaires au vu de l'importante arthrose retrouvée au scanner et nous reverrons Mme. Y par la suite. Nous discutons déjà avec elle d'une prise en charge chirurgicale avec mise en place cage et fixation au moins d'un niveau L3-L4. Nous allons organiser une nouvelle IRM car la dernière est trop ancienne. Nous lui donnons une ordonnance pour du Co-Dafalgan pour la situation aiguë et nous la reverrons par la suite. Nous allons organiser une visite au neurocentre pour POS/POM ENMG et également un myélo-CT fonctionnel à la recherche d'une compression radiculaire et nous reverrons Mme. Y par la suite. Nous allons tenter un traitement conservateur, même si je ne garantis pas une fonction du doigt tout à fait optimale. Pour Mr. Y, la situation est acceptable et dit ne pas être gêné par un doigt légèrement courbe. Suivi en ergothérapie pour les instructions quant à l'attelle Stack. Un prochain contrôle est prévu à ma consultation le 02.03.2020. Nous anesthésions la plaie avec de l'Emla puis la désinfectons et rinçons avant de réaliser une suture simple avec Ethilons 5-0. Mme. Y ira pour contrôle de plaie et ablation des fils chez son pédiatre. Nous donnons aux parents les consignes de surveillance neurologique pour 24h. Nous attendons que les images du CT faites à Genève soient dans notre système afin de pouvoir mieux analyser la fracture. Pour le moment, nous laissons le Schlupfgips et le reverrons dans 1 semaine pour un contrôle. Si la situation reste telle quelle, nous poursuivrons avec le traitement conservateur par plâtre pour 6-8 semaines. Nous autorisons Mme. Y à reprendre ses activités de la vie quotidienne et sportives. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous avions donc proposé un diagnostic séquentiel par infiltration facettaire L3-L4, puis L4-L5 afin de diagnostiquer le niveau douloureux. Nous allons donc organiser une infiltration facettaire L4-L5 au vu de l'absence d'amélioration au niveau L3-L4 et reverrons Mme. Y dans les suites. Entre-temps, nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions.Nous avions exposé durant l'hospitalisation les différentes options thérapeutiques à notre patiente, à savoir un suivi conservateur ces prochaines années et la poursuite du traitement de Keppra jusqu'à l'avis de nos collègues neurologues ou alors une prise en charge chirurgicale. Au vu de comorbidités mineures chez cette patiente, les deux options restent de rigueur. Nous lui expliquons encore une fois la chirurgie par abord ptérionale et le but de la chirurgie ce jour avec les risques qui sont l'infection, l'hémorragie, l'hématome, le pseudo-méningocèle, les déficits neurologiques sous forme d'aphasie, déficits moteurs ou sensitifs, le coma ou le décès. Nous terminons l'entretien avec ses filles en leur remettant le consentement et restons à disposition selon sa décision. Nous avons ainsi procédé à l'ablation de la broche ce jour. Nous lui avons prescrit de la physiothérapie pour remobiliser le 2ème orteil et le mettre encore en meilleure position en dorsale. Nous avons adressé le patient en stomatothérapie pour le soin des pieds. En ce qui concerne les lésions kystiques, nous allons contrôler dans 3 semaines et discuter avec le patient de l'utilité d'un geste chirurgical ou pas. Nous avons appelé l'ORL de garde, le Dr X, qui préconise le fait de nous envoyer le patient pour cautériser l'ulcération nasale, il l'attend aujourd'hui à son cabinet à Bulle. Nous avons changé le pansement au niveau de la broche. Remise en place d'un plâtre AB fendu. Des soins réguliers 1 x/semaine du point d'entrée de la broche doivent être effectués à votre cabinet. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre avec ablation des broches le 12.02.2020. Nous avons circularisé le plâtre ce jour et l'immobilisation doit être poursuivie pour encore 4 semaines. Prochain contrôle radio-clinique après ablation du plâtre le 12.02.2020. Nous avons confectionné une nouvelle attelle ce jour. L'immobilisation doit être poursuivie pour encore 3 semaines. Prochain contrôle le 05.02.2020. Nous avons contacté la pédopsychiatre de garde, la Dr X, qui recevra Mr. Y et sa maman cet après-midi pour une évaluation directement au centre de pédopsychiatrie (CPP). Mr. Y et sa maman sont d'accord avec cette prise en charge. Nous avons demandé au patient et à son papa que des exercices de stretching soient réalisés de façon quotidienne. Une ordonnance de physiothérapie a été à nouveau remise. Les semelles pyramidales doivent être confectionnées et portées ce que nous avons aussi rappelé au patient et à son papa. Prochain contrôle clinique le 27.05.2020. Nous avons demandé un avis chirurgical au Dr X qui retient une induration sous-cutanée au niveau des flans gauche et droit ainsi qu'en région péri-ombilicale. Selon son avis, la patiente peut rentrer à son domicile suite à l'administration d'une dose de Co-Amoxicilline 2.2 g IV en OU. La patiente bénéficie aussi d'un traitement antalgique à base de Dafalgan et Brufen avec bonne réponse sur les douleurs. En absence d'éléments aigus nécessitant une hospitalisation, la patiente rentre à l'hôpital de Marsens. Elle reconsultera en filière des urgences ambulatoires le 18.01 à 09h00 pour un bilan clinico-biologique. Le médecin de garde de Marsens est mis au courant. Nous avons discuté avec la patiente d'une prise en charge chirurgicale par ostéotomie de type Akin un peu plus distale avec une dérotation en supination ou de la poursuite d'un traitement conservateur. L'option à choisir dépend de la symptomatologie et de la gêne occasionnée dans la vie quotidienne. Mme. Y va réfléchir aux options proposées et nous la reverrons le 04.03.2020. Nous avons discuté avec la patiente en soulignant la nécessité d'effectuer au plus vite une chirurgie de résection complète de la lésion avec la possibilité de faire un examen histopathologique pour pouvoir s'exprimer au sujet d'une éventuelle radio/chimiothérapie adjuvante. Pourtant, bien que l'on avait discuté tout au début de pré-réserver une date opératoire le 28 février, on considère nécessaire d'anticiper la date et on a donc discuté pour effectuer l'opération au 7 février. La technique chirurgicale prévoira l'utilisation de la neuro-navigation intra-opératoire pour cibler l'opération sur la lésion, les microscopes intra-opératoires avec fluorescence réactive au produit de contraste métabolique 5-ALA, que l'on donnera à la patiente le jour même de l'opération. La patiente a posé des questions au sujet de la nécessité d'effectuer une réadaptation, de l'activité professionnelle et des gestes à faire attention, elle a reçu des informations complémentaires que l'on donne d'un cadre général de la situation et elle accepte de signer le consentement éclairé. La patiente sera hospitalisée le 06.02.2020. Nous laissons les collègues de l'oncologie de contacter la patiente pour discuter au sujet de la masse médiastinique diagnostiquée au scanner thoraco-abdominal effectué lors de la dernière hospitalisation, et on les prie de nous tenir informés au sujet de leur considération. Nous avons discuté avec le patient de la nécessité d'effectuer, de notre point de vue, une opération de décompression par voie antérieure, à discuter si par double ACDF voire copectomie de C6 selon le résultat d'un CT-scan que l'on organise. On a bien souligné qu'il est impossible de pouvoir s'exprimer au sujet de la récupération neurologique et la disparition des douleurs d'allure neuropathique que le patient présente, au vu d'un cadre déjà documenté comme constitué de myélopathie cervicale. L'indication opératoire est plutôt d'arrêter le processus de dégénérescence et éviter une évolution encore plus défavorable avec une aggravation de la parésie. Le patient prend un temps de réflexion d'une semaine et mardi prochain il reviendra pour discuter de l'opération. Une date pré-opératoire a été pré-réservée pour le 10.02.2020. Nous avons expliqué à cette patiente qu'elle présente une antétorsion fémorale augmentée des deux côtés pour laquelle il existe une possibilité d'amélioration avec la croissance au vu de son âge. Dès lors, nous avons proposé un prochain contrôle clinique dans une année. Nous avons expliqué à la patiente que le nerf médian était déjà comprimé depuis longtemps. C'est pour cela qu'une récupération complète n'est pas attendue mais c'est déjà une évolution favorable et il y a encore la possibilité de l'améliorer pendant les 6 prochains mois. Elle nous recontactera au besoin. Nous avons fait faire une radiographie du genou droit qui ne montre pas de fracture. La patiente rentre à domicile avec un traitement antalgique en réserve. Elle se rendra chez son médecin traitant pour le suivi. Nous avons mis fin à l'immobilisation et Mr. Y peut se mobiliser selon douleurs. Pas de sport durant encore 3 semaines. Merci de bien vouloir prévoir un contrôle à votre cabinet dans 3 semaines. Nous avons mis fin à l'immobilisation et Mr. Y peut se mobiliser selon douleurs. Un prochain contrôle aura lieu à ma consultation le 06.03.2020. Nous avons mis fin à l'immobilisation et Mme. Y peut mobiliser son poignet sans charge. Pas de sport pendant encore 4 semaines. Contrôle clinique dans 3 semaines chez le médecin pédiatre. Nous avons mis fin à l'immobilisation et Mme. Y peut mobiliser son poignet selon douleurs mais sans charge pendant encore trois semaines. Je propose un contrôle radio-clinique à une année post-traumatisme.Nous avons organisé une IRM du genou droit afin de bilanter si des sites d'inflammation aigus sont présents comme par exemple une ostéomyélite. À l'heure actuelle, les examens microbiologiques parlent contre un processus d'arthrite septique. Une prise de sang a aussi été organisée pour un bilan rhumatologique avec aussi une consultation ambulatoire en pédiatrie. Une infiltration du genou droit aura lieu le 23.12.2019. Nous avons planifié une ablation du clou de Prévôt avec dans le même temps une exploration du tendon de l'EPL et une reconstruction du tendon de l'EPL par tendon du palmaris longus ipsi-latéral. La maman a signé le formulaire de consentement éclairé lors de la consultation. Cette intervention aura lieu le Lundi 03.02.2020 et sera pratiquée par le Dr. X qui était présent lors de la consultation et moi-même. Nous avons prélevé le frottis de conjonctive pour bactériologie. Vu l'absence de baisse de l'acuité visuelle et l'absence d'écoulement, nous donnons le traitement local antihistaminique avec des gouttes d'antibiotique en réserve. Les résultats de la microbiologie seront à récupérer auprès du médecin traitant. Nous avons procédé à la fermeture du plâtre et Mr. Y doit être immobilisé durant 4 semaines dans le plâtre cruro-pédieux. Prochain contrôle le 19.02.2020. Nous avons réalisé un bilan biologique qui revient dans la norme hormis une CRP à 22 mg/l. Sur le plan thérapeutique, nous avons prescrit un traitement antipyrétique à base de Dafalgan 3x/jour avec Brufen 600 mg en réserve. Au vu de l'absence d'élément aigu nécessitant une hospitalisation, le patient peut rentrer à domicile. Nous avons réalisé une radiographie de l'épaule droite qui revient dans la norme. Nous prescrivons un traitement antalgique à base de Dafalgan 1g 3x/jour plus Brufen 600 mg 3x/jour pour une durée de 7 jours. Une écharpe pendant 3 jours est aussi prescrite. Le patient a rendez-vous le 22.01.2020 à la consultation du Dr. X pour un contrôle et pour envisager une IRM en cas de persistance des douleurs. Au vu de l'absence d'éléments aigus nécessitant une hospitalisation, le patient rentre à son domicile. Nous avons réalisé une radiographie du bras gauche décrite ci-dessus. Mme. Y est vue par l'orthopédiste de garde le Dr. X. Nous lui mettons un plâtre Sarmiento fendu antérieurement ainsi qu'un gilet orthopédique. Mme. Y rentre au home mais ne souhaite pas plus d'antalgie que du Dafalgan qu'elle prend déjà 3g/jour comme traitement habituel. Elle reviendra dans 7 jours en policlinique pour un contrôle. Nous changeons le pansement du patient. Nous lui conseillons de le changer lui-même tous les deux jours. Le patient ira chez son médecin traitant dans 10 jours pour l'ablation des fils. Nous communiquons le diagnostic d'un arrachement osseux de la plaque palmaire à l'annulaire D. On conseille une ergothérapie à l'Ergoteam à Morat ; un bon est envoyé à Mme. Y. Nous prévoyons un contrôle clinique dans 6 semaines. Nous complétons le bilan avec les examens sus-mentionnés et retenons le diagnostic de pyélonéphrite obstructive gauche. Nous prenons contact avec le Dr. X, urologue, qui préconise une hospitalisation au Daler ce jour, en vue d'une pose d'une sonde double J en raison du risque d'urosepsis. Nous concluons à des lombosciatalgies gauches non déficitaires. Nous mettons en place une antalgie qui permet de soulager les douleurs. Le patient rentre à domicile le 23.01.2020 avec un traitement antalgique et un arrêt de travail. Nous concluons à une névralgie costale sans red flags. Nous prescrivons un traitement conservateur et invitons le patient à consulter un ostéopathe en cas de persistance des symptômes. Nous confectionnons un plâtre fermé ce jour. Nous lui conseillons de seulement dérouler le pas sans charger. Nous laissons le plâtre pour encore 3 semaines. Nous le reverrons dans 3 semaines pour un contrôle radioclinique hors plâtre et voir si une prolongation de l'immobilisation est nécessaire. Nous confirmons donc l'intervention pour le 21.01.2020 avec désinsertion du tendon d'Achille, ablation calcification et exostose de Haglund, réinsertion par ancre speed bridge. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous confirmons l'attitude conservatrice du traitement de ces fractures, mise en place d'un AB circulaire en softcast à garder pour un total de 6 semaines. Pour la fracture du sacrum et des 2 branches ilio-pubiennes, un contrôle à 4 semaines est conseillé avec RX bassin face et inlet et outlet. Nous reverrons donc le patient pour un contrôle radioclinique le 07.01.2020. Nous donnons au patient une incapacité de travail à 100% jusqu'au 02.02.2020. Nous lui donnons une ordonnance pour la Clexane 40 mg à faire 1x/j pour 6 semaines. Le patient marchera en charge selon douleurs à l'aide de 2 cannes anglaises axillaires pour 6 semaines. Nous confirmons le diagnostic susmentionné pour lequel nous préconisons un traitement conservateur par immobilisation plâtrée et décharge stricte pendant 8 semaines au total. Nous lui prescrivons du Dafalgan et du Tramal en réserve, Clexane 1 fois par jour pendant 5 semaines. Arrêt de travail prolongé pour 5 semaines. Nous circularisons le plâtre ce jour. Prochain contrôle radioclinique hors plâtre dans 5 semaines soit après 8 semaines d'immobilisation. Nous conseillons à Mme. Y d'effectuer les exercices de renforcement musculaire à la maison avec les élastiques que la physiothérapeute lui a donnés. Nous lui conseillons d'éviter la force à bout de bras et de travailler plutôt à l'horizontale avec ses bras. Prochain contrôle clinique dans 6 mois que la patiente pourra annuler si tout va bien. Nous conseillons à Mme. Y une prise en charge en chiropractie pour des manœuvres au niveau de sa sacro-iliaque droite. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Si les douleurs ne devaient pas s'être améliorées, nous pourrons organiser une éventuelle infiltration à ce niveau. Nous conseillons à Mme. Y de continuer ses exercices de posture et d'école du dos qu'elle fait depuis son âge afin de maintenir la musculature para-vertébrale. Nous conseillons au patient pour ses sacro-iliaques de faire des séances de chiropractie sur une durée de 6 mois et lui prescrivons de la physiothérapie pour sa nuque. Prochain contrôle dans 6 mois avec une IRM cérébro-cervicale injectée afin de mieux bilanter cette syringomyélie de découverte fortuite et nous souhaitons également adresser le patient au Neurocentre pour des PES/PEM et ENMG. Nous conseillons à Mme. Y d'adapter son antalgie avec du Sirdalud 2 mg plutôt que 4 mg. Elle ne présente pas de cervicalgies très importantes et ne veut pas de collier mousse. Mme. Y accepte finalement un arrêt de travail. Elle rentre à domicile avec pour consigne de reconsulter en cas de signes d'aggravation. Nous conseillons la poursuite de la physiothérapie. La rotation externe est en train de s'améliorer gentiment. L'aspect positif est l'absence de douleurs. Nous conseillons également de bouger en piscine en physiothérapie mais elle nous avoue avoir un peu peur de l'eau. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous considérons absolument nécessaire un bilan neurologique qui puisse confirmer ou exclure la pathologie susmentionnée avant d'envisager un autre traitement spécifique d'un point de vue neurochirurgical. On confirme également l'indication à un bilan angiologique que la patiente a organisé pour février, éventuellement à compléter avec un examen de doppler des vaisseaux pré-cérébraux si les collègues de la neurologie le considèrent indiqué. On laisse donc aux collègues l'organisation de l'examen et on les prie de nous tenir au courant des résultats.On reverra la patiente dans 3 mois. • Nous considérons de poursuivre pour encore 4 semaines de traitement par minerve rigide et à suivre 4 semaines de traitement par minerve mousse, à but antalgique. On reverra Mr. Y en février pour le suivi thérapeutique. À considérer que dès que le traitement sera terminé, une reprise à 100% dans le domaine professionnel habituel sera réalisable. • Nous considérons nécessaire de poursuivre le traitement comme jusqu'à présent et on prévoit un prochain contrôle dans 3 mois. Une éventuelle demande d'augmentation de l'AI, actuellement à 80% pour les problèmes des yeux jusqu'à 100%, est tout à fait raisonnable de notre point de vue du fait que la pathologie dorso-lombaire pourra être améliorée, mais n'est pas dans la condition de pouvoir être complètement traitée par abord chirurgical ou conservateur. • Nous continuons le traitement conservateur avec immobilisation dans un Schlupfgips. Mr. Y sera recontrôlé cliniquement dans 4 semaines avec ablation du plâtre. • Nous décidons dans un premier temps de prélever les urines au sachets. Après 1-2 h d'essai, nous n'obtenons toujours pas d'urines. Au vu de l'excellent état général de Mr. Y et de la visualisation d'un fond de gorge érythémateux au status clinique, nous décidons de ne pas faire le sondage urinaire et nous prévoyons un contrôle clinique aux urgences le 4.1. Reconsulter avant si péjoration de l'état clinique. • Nous décidons de prescrire une attelle Jeans 20° à Mr. Y, avec du Brufen 3x600 mg par jours, ainsi que du Dafalgan en réserve en cas de douleurs, nous avons également demandé à Mr. Y de se présenter le 22.11.2019 à la policlinique d'orthopédie pour un contrôle. Nous faisons également un arrêt de travail pour Mr. Y jusqu'au 18.11.2019. • Nous décidons d'hospitaliser la patiente, de réaliser une IRM de la colonne dorso-lombaire afin de juger de l'intégrité du ligament longitudinal postérieur et de la position du cône par rapport à la fracture et selon de déplacement du mur postérieur, nous pourrons envisager soit un traitement conservateur avec un corset 3 points soit un traitement chirurgical par SpineJack. • Nous décidons d'un traitement conservateur avec immobilisation dans une botte plâtrée d'abord fendue, puis circularisée dès détuméfaction, pour une durée totale d'immobilisation de 6 semaines. • Nous déconseillons les activités sportives jusqu'au prochain contrôle. Arrêt de travail à 50% sans déplacement en voiture pour les 3 prochaines semaines. Nous organisons un CT scan coupes fines de la vertèbre L4 avec reconstruction sur les trois plans jusqu'aux pédicules au vu de l'œdème visualisé sur l'IRM afin d'écarter l'éventualité d'une fracture instable. Prochain contrôle après cet examen. • Nous demandons à Mr. Y s'il souhaite poursuivre son suivi chez le Dr. X, Mr. Y désire une prise en charge de suite, raison pour laquelle nous organisons ainsi une IRM afin de bilanter la lésion, puis un rendez-vous à la consultation orthopédique team pied pour suite de prise en charge. Dans l'intervalle, prescription d'anti-douleurs, semelle rigide, arrêt de travail pour une semaine et du Lyrica 25 mg. • Nous demandons l'avis au Dr. X, qui propose de faire une exploration de plaie avec une aiguille boutonnée qui ne montre pas de signe de perforation. L'examen clinique montre deux plaies de 2 cm de longueur, avec exposition du plan sous-cutané, sans exposition des tendons, pas d'hypo-paresthésie au niveau des doigts ni autour de la plaie ni déficit de la flexion ni de l'extension. L'examen radiologique ne montre pas d'anomalie. Nous effectuons un rinçage avec 1 litre de NaCl et par la suite une désinfection par Bétadine et nous fermons les plaies avec 2 points de suture en utilisant des fils de 4.0, et nous mettons 2 pansements pour chaque plaie avec l'application de Bétadine tulle. Nous effectuons également un rappel antitétanique. Un contrôle à la filière des urgences ambulatoires est prévu dans 48 heures. • Nous demandons un avis au Dr. X, chef de clinique en orthopédie, qui pose le diagnostic de fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Un gilet orthopédique est prescrit pour une durée de 6 semaines. La patiente sera vue en contrôle à la policlinique d'orthopédie le 27.01.2020. Sur le plan thérapeutique, nous prescrivons un traitement antalgique à base de Dafalgan, Brufen, IPP et Tramal en réserve. Au vu de l'absence d'éléments aigus nécessitant une hospitalisation, la patiente peut rejoindre son domicile. • Nous demandons un avis orthopédique auprès du Dr. X qui propose de mettre en place une attelle Edimbourg. Mr. Y a un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X en policlinique le 05.02.2020. Nous prescrivons à Mr. Y une antalgie par palier. Mr. Y refuse un arrêt de travail. • Nous désinfectons avec Bétadine et champage. Une anesthésie en bague à la Rapidocaïne 1%. Mise en place d'un garrot digital. Nous explorons la plaie : tendon visualisé, intègre. Suture à l'Ethilon 5-0. Pansement Jelonet. Mr. Y peut rentrer à domicile. Mr. Y se rendra chez son médecin traitant dans 10 jours pour ablation des fils. • Nous désinfectons à l'Hibidil et refaisons le pansement avec du Nu-Gel, Adaptic et une compresse. La patiente a rendez-vous le 13.01.2020 en policlinique pour un contrôle. • Nous désinfectons la plaie à l'Hibidil et réalisons une suture avec 3 points de suture Ethilon 4.0. La patiente reviendra dans 48 h pour un premier pansement à la filière des urgences ambulatoires puis ira dans 7-10 jours chez son médecin traitant pour l'ablation des fils. Nous lui faisons aux urgences le vaccin du tétanos ainsi qu'un arrêt de travail jusqu'à l'ablation des points de suture. La patiente rentre à domicile. • Nous désinfectons la plaie avec de la Bétadine et l'anesthésions. La plaie est explorée et nous visualisons le tendon extenseur de la première phalange du 5ème doigt droit sans lésion. Nous réalisons 3 points de suture avec du fil Ethilon 5-0 non résorbable. Nous lui faisons un pansement et Mr. Y ira dans 48 h chez son médecin traitant pour un contrôle. Il enlèvera les fils dans 14 jours chez son médecin traitant. • Nous désinfectons la plaie, et effectuons 4 points de suture avec 4.0 Ethilon. Nous protégeons avec un pansement et effectuons un rappel de tétanos. Mr. Y n'ayant pas de médecin traitant, nous prévoyons un rendez-vous en policlinique de chirurgie pour l'ablation des fils à J10. Nous conseillons à Mr. Y de désinfecter la plaie 1x/jour avec des bains de Bétadine et de protéger avec un pansement. Mr. Y rentre à domicile le 22.01.20. • Nous désinfectons la plaie et mettons en place des Steristrip avec une compresse et une bande Cofix. Mr. Y enlèvera le pansement dans 48 h. Il ira chez son médecin traitant dans 4 jours pour un contrôle de la plaie. Mr. Y rentre à domicile avec un arrêt de travail. • Nous désinfectons la plaie et mettons un Comfeel plus. Le suivi se fera chez son médecin traitant avec un contrôle en début de semaine. • Nous désinfectons la plaie. Le vaccin tétanos est à jour. Nous réassurons la maman et Mr. Y peut rentrer à domicile. • Nous désinfectons la plaie, refaisons le pansement avec Adaptic. La patiente rentre à domicile avec un contrôle à la policlinique d'orthopédie à 48 h (déjà prévu), le 13.01.2020. • Nous désinfectons les plaies et suturons avec du fil 4.0 non résorbable après anesthésie locale à la Rapidocaïne. Nous proposons une antalgie avec Dafalgan et Brufen. La patiente contactera son médecin traitant pour l'ablation des fils et pansement.Nous diagnostiquons des troubles paniques chez ce patient. Comme il a déjà consulté les urgences par le passé et n'ayant pas donné suite aux conseils d'un suivi psychiatrique, nous donnons au patient un rendez-vous le 03.02 à 13h30 au CSSM de Bulle avec le Dr. X. Nous lui donnons également 3 Temesta à prendre en cas de crise. Nous diagnostiquons une entorse de la cheville droite. Nous proposons un traitement conservateur par air-cast et suite chez le médecin traitant. Nous diagnostiquons une otite moyenne aigüe de l'oreille gauche et prescrivons un traitement anti-inflammatoire simple par Algifor 10 mg/kg/dose toutes les 8h. Indication de reconsultation si pas d'amélioration en 24h. De plus, nous mettons en évidence un eczéma à traiter avec bain 1x/j avec Excipial Balmandol, Dexeryl crème 2x/j et contrôle chez le pédiatre si absence d'amélioration malgré traitement bien conduit. Nous discutons avec la patiente afin d'envisager de retirer les plaques, ce qui améliorerait la gêne occasionnée lors de la marche, surtout au niveau de la friction du tendon de l'extenseur de l'hallux sur la plaque dorsale. Nous lui expliquons aussi que cette situation ne nécessite pas d'urgence. Elle va en discuter à son travail afin de planifier une date qui lui convienne et reprendra contact avec nous afin de discuter de l'ablation des plaques. Nous discutons avec la patiente de la gêne qu'elle ressent pour trouver une solution. La 1ère option est de terminer les séances de physiothérapie et d'évaluer si cette gêne est supportable dans sa vie quotidienne. La 2ème option est d'essayer d'améliorer la situation avec une infiltration sous-acromiale. Pour finir, la 3ème et dernière option est l'AMO. Pour l'instant, la patiente souhaite un temps de réfection. Elle reprendra contact avec nous au besoin. Nous discutons avec la patiente des différentes options thérapeutiques, c'est-à-dire une infiltration avec un bénéfice d'environ 50 % des cas versus une intervention chirurgicale. La patiente souhaite réaliser une cure chirurgicale de doigt à ressaut. Nous lui expliquons donc les bénéfices et les risques de l'intervention, qu'elle comprend et accepte en signant le consentement. L'opération est planifiée le 24.01.2020 en ambulatoire à Fribourg. Nous discutons avec la patiente des différentes options thérapeutiques, c'est-à-dire une infiltration (qui avait déjà été faite il y a une année sans résultat), une nouvelle herniectomie L5-S1 droite par ailleurs ou une ALIF L5-S1 avec mise en place d'une cage. Nous expliquons les risques et bénéfices de chaque option et la patiente se décide pour une ALIF. L'intervention est agendée pour le 13.01.2020. Le consentement éclairé lui est remis ce jour pour réflexion et signature. Nous discutons avec la patiente des options thérapeutiques pour le poignet droit : refaire une infiltration avec une chance que les douleurs récidivent, l'alternative serait une ablation de ce kyste. Même si nous ne pouvons pas garantir à la patiente d'être absolument asymptomatique en post-opératoire, cette opération somme toute banale offre de bons résultats. Elle se décide ainsi pour une opération du côté droit, vu que c'est le côté sur lequel l'infiltration a été la plus efficace. L'opération est planifiée en ambulatoire le 06.03.2020. Nous discutons avec la patiente et sa maman de la prise en charge chirurgicale avec une ablation de cette exostose qui va être envoyée en histologie. L'opération est prévue pour le 28.01.2020 avec hospitalisation pendant 1 à 2 nuits. Le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices, sont expliqués à la patiente et sa maman et elles acceptent en signant le formulaire de consentement éclairé. Nous discutons avec la patiente et soulignons qu'il y a une composante mécanique à l'origine des douleurs sacro-iliaques droites, mais à gauche, une composante inflammatoire était probablement à l'origine. Nous préconisons un traitement de 3 infiltrations avec de l'acide hyaluronique au niveau de l'articulation sacro-iliaque droite, mais puisque la patiente n'a des douleurs que depuis 4 jours, nous instaurons un traitement conservateur pour 6 semaines. Nous prescrivons des patchs chauffants à appliquer au niveau lombaire et lui conseillons de faire des séances de chiropractie ou d'ostéopathie. Prochain contrôle dans 6 semaines. En cas de persistance des douleurs, le traitement par Curavisc pourra être organisé. Nous discutons avec le patient concernant les alternatives thérapeutiques. Compte tenu du contexte et de l'activité du patient (assembleur soudeur), nous prévoyons de compléter le bilan par une infiltration par une anesthésie locale et cortisone sous radioscopie et par un CT scanner de la cheville D. Un nouveau contrôle est programmé chez nous après ces deux examens afin de discuter de la suite, notamment la pose de l'indication opératoire pour une éventuelle arthrodèse de la cheville D plutôt qu'une prothèse. Nous discutons avec le patient d'augmenter son taux de travail à 100 % dès le 01.02.2020. Prochain contrôle au printemps 2020. Nous discutons avec le patient de la nécessité d'une opération, un traitement conservateur n'a aucune chance d'avoir un bon résultat fonctionnel. Le patient est d'accord avec le procédé. De manière provisoire, nous avions réservé une plage opératoire aujourd'hui même. Nous discutons avec le patient de la possibilité d'une plastie ligamentaire afin d'améliorer la stabilité de la cheville. Si le patient se décide à une telle opération, nous souhaiterions réaliser un arthro-CT afin de mettre en évidence d'éventuelles lésions cartilagineuses. Le patient nous contactera en fonction de sa décision. Nous discutons avec le patient de l'évolution avec l'instabilité du tendon du biceps. Nous pensons qu'il est important d'effectuer une ténotomie/ténodèse du tendon du biceps pour éviter une lésion complète avec atrophie du sous-scapulaire. Nous lui proposons donc une prise en charge chirurgicale. Le patient est informé des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. Une date opératoire est agendée pour le 10.02.20. Nous discutons avec le patient des différentes options thérapeutiques, mais vu le défaut osseux au niveau de la glène avec une lésion de Hill Sachs présente et une instabilité importante chez un patient qui travaille manuellement (entreprise familiale de construction), nous lui proposons plutôt une procédure de stabilisation par butée osseuse selon Latarjet. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices de cette intervention et il donne son accord en signant un consentement éclairé. L'intervention est agendée au 23.01.2020. Poursuite de l'arrêt de travail à 95 %. Le patient est également informé qu'en post-opératoire, il faut compter minimum 3 mois d'incapacité de travail et même 6 mois pour les travaux manuels. Nous discutons avec le patient des possibles prises en charge chirurgicales. Pour l'instant, ce qu'il demande est l'ablation du matériel d'OS, car à la palpation en regard de la tête des vis, il ressent une claire gêne. Le patient n'est pas gêné dans son manque de mobilité, il préfère ne pas libérer cette articulation, car comme nous lui avons expliqué, il y a de l'arthrose à ce niveau et cela pourrait amener à une augmentation des douleurs. Nous lui expliquons les risques et bénéfices de cette intervention et il nous donne son accord en signant le consentement éclairé. Nous discutons avec le patient d'une ablation du matériel d'ostéosynthèse, discutons des risques et bénéfices, il donne son accord oral et amène à domicile le consentement éclairé qu'il nous renverra par la poste. Nous discutons avec le patient d'une éventuelle prise en charge chirurgicale, mais la réalisation d'une nouvelle IRM de la colonne cervicale est nécessaire afin de juger de l'évolution de la pathologie.Actuellement le patient souhaite se concentrer sur son genou, ce pourquoi nous le reverrons dans 6 mois. Nous discutons avec le patient d'une prise en charge chirurgicale avec fixation de T10 aux ailes iliaques. Nous lui donnons déjà le consentement éclairé pour qu'il puisse réfléchir et nous le reconvoquons d'ici 2-3 semaines avec un orthoradiogramme de la colonne totale au vu de la scoliose connue chez ce patient. Nous pré-réservons une date pour le 17.02.2020 de cette année. Nous discutons avec le patient en lui expliquant qu'avant tout, au vu de la modification de la symptomatologie, il faut une nouvelle IRM avec produit de contraste pour exclure une récidive d'hernie discale. On reverrons le patient dès que l'on aura les résultats de l'examen. Nous discutons avec le patient et sa femme de l'indication opératoire. Les risques et bénéfices liés à cette intervention sont expliqués, ainsi que les risques liés en cas d'abstinence thérapeutique. Actuellement le patient nous rapporte ne pas être prêt pour accepter une intervention et souhaite discuter avec son médecin de famille et surtout, avec son cardiologue. Nous soulignons qu'il faudrait stopper soit le traitement anti-coagulant soit anti-agrégant pour au moins 4 semaines et cela l'inquiète beaucoup au vu de ses antécédents cardiologiques. La femme du patient mentionne l'hypothèse de se faire opérer à Berne, nous n'y voyons pas de contre-indication et si le patient souhaiterait être suivi par la neurochirurgie de l'hôpital de l'Ile, cela est tout à fait possible. Un CD avec les images récentes a été donné au patient ce jour. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 10 jours, où nous aurons les résultats du contrôle fait par son médecin traitant et par son cardiologue. Nous pourrons discuter à ce moment-là d'une éventuelle prise en charge chirurgicale. Nous discutons avec le patient par rapport à notre proposition de prise en charge chirurgicale pour une cure d'ongles incarnés selon Kocher. Le patient accepte l'intervention et signe le consentement éclairé, l'opération est agendée pour le 4 février prochain sous anesthésie locale. Nous discutons avec le patient sur la base de l'examen du jour et nous lui proposons une prise en charge chirurgicale avec une cure de pseudarthrose par ravivement du foyer de pseudarthrose et prise de greffe au niveau de la crête iliaque puis re-ostéosynthèse par plaque et vis. Compte tenu de la situation délicate au travail, le patient souhaite réfléchir et c'est la raison pour laquelle nous le reverrons d'ici 1 semaine afin éventuellement d'agender une opération au cours du mois de février. Nous discutons ce jour avec le Dr. X également de la prise en charge globale chez cette patiente avec une ostéogenèse imparfaite. Nous souhaitons la réalisation des examens électrophysiologiques, notamment PES/PEM pour rechercher une atteinte infra-clinique sous forme de myélopathie. Un examen de vestibulo-nystagmogramme et des PEA pourra également s'envisager. Nous reverrons la patiente à l'issue de ces examens afin de discuter de la prise en charge définitive et une éventuelle chirurgie. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous discutons des alternatives thérapeutiques. Nous prévoyons tout d'abord une reprise de la physiothérapie, qui avait été mise en suspens pour les infiltrations, pour stretching et relâchement de la chaîne postérieure afin de lutter contre une fasciite plantaire débutante. Nous préconisons également un arrêt de la cigarette en vue d'une éventuelle intervention chirurgicale. Nous le reverrons dans 6 semaines pour discuter de la suite. Nous discutons le cas avec le Dr. X qui examine également la patiente. Actuellement, aucune indication pour un geste chirurgical vu cette seule lésion dégénérative du ménisque interne. Nous proposons donc un traitement conservateur par physiothérapie pour renforcement musculaire et stretching ainsi que de l'exercice régulier comme de la natation ou du vélo en évitant les extrêmes pour mettre le genou en mouvement. Pas de prochain contrôle, elle nous recontactera si réapparition des douleurs. Nous discutons longtemps avec ce patient, une opération de discectomie, mise en place cage et fixation postérieure pourrait être envisagée aux niveaux L4-L5 et L5-S1 mais nous lui conseillons d'abord de prendre contact avec son chef afin de discuter d'une reconversion professionnelle à l'intérieur de son entreprise car suite à l'intervention, le travail de chantier ne sera pas idéal. Le patient a un permis de conduire pour les camions et souhaiterait obtenir une reconversion comme chauffeur poids lourds, nous le soutenons dans ce projet. Le patient nous recontactera afin de fixer un nouveau rendez-vous pour planifier cette intervention. Nous discutons longuement avec la patiente. Bien que l'échec des infiltrations ne puisse nous assurer une estimation du degré de réussite d'une intervention, le cadre morphologique très clair avec perte de lordose lombaire sur double discopathie isolée sans autre atteinte discale, les signes de Modic avancés et les douleurs lombaires de plus en plus gênantes nous font penser qu'une intervention d'ALIF L4-L5 L5-S1 avec correction de la lordose lombaire pourrait être une solution pour au moins améliorer partiellement les douleurs. La patiente est informée qu'il est possible que les douleurs ne s'améliorent que partiellement et qu'une éventuelle reprise chirurgicale par abord postérieur et fixation par vis percutanée pourrait être nécessaire en cas d'échec de l'abord antérieur. Nous l'informons également que 6 mois de séances de physiothérapie seront nécessaires après cette intervention. La patiente est très motivée et accepte l'indication opératoire. Une IRM pré-opératoire sera réalisée afin d'avoir un bilan morphologique récent. La patiente n'a jamais été opérée par un abord antérieur au niveau ventral. Nous discutons longuement avec la patiente et sa fille de la prise en charge chirurgicale pour mise en place d'une prothèse totale du genou gauche. Le déroulement opératoire, ainsi que les risques et bénéfices leur ont été expliqués et la patiente accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. Elle va être informée du déroulement peropératoire par ERAOS. Nous discutons longuement avec le patient des différentes options thérapeutiques : soit effectuer une révision avec, le cas échéant, une neurorraphie (suture du nerf), l'alternative serait de continuer l'ergothérapie. De manière générale, une suture de nerf à ce niveau n'offre pas de résultat constant, certains patients ne retrouvent jamais de sensibilité. Ainsi, certains chirurgiens de la main renoncent carrément à faire une suture de nerf à ce niveau. L'indication opératoire est ainsi toute relative vu que les fonctions des tendons FDS et FDP semblent être présentes. L'indication opératoire serait uniquement pour faire une neurorraphie du nerf digital ulnaire. À 4 semaines après le traumatisme, le résultat serait comparable si nous faisions une révision chirurgicale dans 3 semaines. Ceci laisserait le temps au patient de réfléchir quant à la nécessité de se faire opérer, nous laisserions également plus de temps au nerf pour récupérer s'il n'a dû subir qu'une neurapraxie. Nous reverrons le patient dans 3 semaines, nous préservons également une date opératoire. Nous donnons à la patiente du Tavegyl 2 mg iv, Solu-Medrol 125 mg iv, Ventolin 5 mg aérosol. La patiente reste aux urgences pour une surveillance puis rentre à domicile. Nous lui prescrivons du Cétirizine et du Prednisone pour 6 jours avec schéma dégressif. Nous lui recommandons de reconsulter en cas de récidive des symptômes.Nous donnons au patient une antalgie et du Primpéran. Nous lui donnons des conseils hygiéno-diététiques et lui conseillons de trouver un médecin traitant pour terminer le suivi auprès de celui-ci. Nous donnons au patient une thérapie antalgique/anti-inflammatoire, bretelle pour quelques jours. Arrêt de sport pendant les prochains 3 à 4 jours. Nous donnons les consignes de surveillance de la plaie au patient. Il ira chez son médecin traitant dans 14 jours pour l'ablation des fils. Le patient rentre à domicile. Nous effectuons alors une ponction lombaire et des sérologies à la recherche d'une maladie de Lyme qui revient dans la norme, notamment sans pléocytose ni protéinorachie. Des sérologies sur le liquide céphalo-rachidien et sanguin sont toutefois envoyées, en cours actuellement. Selon l'avis de Dr. X, infectiologue pédiatre, si les sérologies sont négatives, il n'est pas nécessaire que Mr. Y soit revu en infectiologie, si les sérologies se positivent, il faudra alors traiter le patient pour la maladie de Lyme qui sera alors revu en infectiologie. Un avis ORL est demandé et ils proposent de traiter comme une paralysie faciale périphérique idiopathique avec de la Prednisone 2 mg/kg pendant 5 jours, puis un schéma dégressif, et la patiente sera ensuite revue en consultation à la fin du traitement. De plus, nous mettons en évidence une anémie microcytaire hypochrome que nous n'investiguons pas aux urgences, nous vous laissons le soin de prévoir la suite des investigations si vous le jugez nécessaire. Nous effectuons des examens cliniques, biologiques et radiologiques qui reviennent dans la norme. Nous retrouvons une hypocalcémie avec un Ca corrigé à 2.04, patiente déjà sous Calcimagon traitement prescrit par le médecin traitant. Nous laissons la patiente rentrer au foyer, elle a déjà un traitement antalgique. Nous effectuons des examens cliniques et radiologiques pour la cheville gauche, le pied droit et la cheville droite qui ne montre de fracture. Nous retenons un diagnostic d'entorse de la cheville droite stade 2 pour laquelle nous prescrivons une attelle Aircast, de l'antalgie ainsi que de la glace. Concernant la cheville gauche, nous mettons en place une contention et une bande élastique. Nous donnons au patient un arrêt de sport et il se rendra en contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. Nous effectuons des radiographies au vu de l'hématome présent. Nous ne retenons pas de fracture sur la radiographie. Nous proposons à la maman de la patiente de l'antalgie et la suite chez le pédiatre pour suivi de l'évolution clinique. Nous effectuons des radiographies de la clavicule droite qui mettent en évidence une fracture du tiers moyen de la clavicule droite. Nous instaurons un traitement conservateur avec mise en place d'un rucksack, à resserrer tous les jours, et une antalgie par Dafalgan et Algifor. Le patient reviendra la semaine prochaine en policlinique d'orthopédie pour un contrôle radio-clinique. Nous effectuons des radiographies du genou droit et de la cheville droite, qui ne montrent pas de fracture. La radiographie du rachis lombaire montre une lésion suspecte au niveau de L1 compatible soit avec une lésion dégénérative soit une lésion fracturaire. Le Grind test est positif. Nous prenons contact avec Dr. X, orthopédiste, qui propose de compléter le bilan avec un CT-scanner du rachis lombaire en ambulatoire, ainsi la mise en place d'une attelle jean 20°, avec une Clexane prophylactique, une antalgie et un contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine afin qu'il organise le bilan radiologique. Le patient habitant près de Moudon, il préfère être suivi sur le canton de Vaud. Il rentre à domicile le 21.01 avec un arrêt de travail d'une semaine. Nous effectuons des radiographies qui montrent une fracture supracondylienne du coude gauche. Nous effectuons un scanner qui montre. Nous mettons en place une immobilisation par une attelle plâtrée postérieure. Nous effectuons des rinçages au niveau des incisions, le liquide revient rapidement clair. Mr. Y présente moins de douleurs et pas de fièvre. Après discussion avec Dr. X, nous proposons au patient de revenir demain en FUA, et jeudi et vendredi en policlinique pour la suite de la prise en charge. Mr. Y revient demain pour rinçage, puis suite en policlinique de chirurgie. Nous effectuons sous sédation ou réduction fermée de la fracture et une immobilisation par plâtre. Rx de contrôle du poignet : alignement de la fracture. Radiographie confronte avec le diagnostic. Arrêt de travail. Thérapie antalgique. Discussion du cas pour la suite de prise en charge au colloque du 03.01.2020 ensuite nous prendrons contact avec la patiente pour l'informer. Explications par le médecin avant : Nous posons un plâtre AB fendu. Après les gestes de réductions, la patiente ne rapporte pas de paresthésie. Pas de trouble de la motricité dans le territoire des 3 nerfs. Temps de recapillarisation dans la norme. Nous effectuons un bilan biologique de contrôle montrant une légère leucocytose à 10.7 G/L sans CRP. Pas de trouble des fonctions hépato-rénales. Nous retenons le diagnostic de gastro-entérite. Le patient bénéficie d'un traitement symptomatique par Buscopan et NaCl 0.9% 1000 ml à la Permanence. Nous prescrivons une thérapie symptomatique pour le domicile à l'aide de Buscopan, Primpéran et Novalgine. Nous lui donnons également des conseils d'hydratation. Il est invité à se représenter si apparition de fièvre ou persistance des symptômes. Nous effectuons un bilan biologique qui montre une absence de syndrome inflammatoire et acide urique dans la norme. La radiographie du genou droit ne montre pas de fracture. Au vu de l'examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Elle se rendra en contrôle clinique chez son médecin traitant dans 5-7 jours. Nous effectuons un bilan biologique qui montre une leucocytose à 12 G/l ainsi qu'une thrombopénie à 77 g/l. Nous faisons également un test de la Malaria qui revient négatif. La radiographie du thorax ne montre rien de particulier. Le patient rentre à domicile avec une ordonnance pour Nasonex, antalgie et AINS. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 17.01.2020. Nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, fonction hépatique et rénale sans particularité. Nous effectuons un sédiment urinaire, qui ne montre pas de sang ni de leuco ni de nitrate. Nous effectuons un test de grossesse qui revient négatif. Nous retenons le diagnostic d'une gastro-entérite probable d'origine virale pour laquelle nous prescrivons un traitement symptomatique. Concernant les douleurs abdominales chroniques, nous laissons le soin au médecin traitant de faire une recherche de maladie coeliaque, les recherches d'Helicobacter pylori ou d'une intolérance alimentaire qui peut expliquer les symptômes chroniques. Nous effectuons un bilan biologique qui revient dans la norme hormis une leucocytose à 12 G/l mais sans CRP chez un patient qui n'a pas de plainte somatique. Nous contactons le psychiatre de garde qui propose une hospitalisation à Marsens. Mr. Y accepte cette hospitalisation et il est transféré en ambulance au RFSM Marsens. Nous effectuons un bilan biologique qui revient dans la norme. Nous demandons l'avis du psychiatre de garde qui propose de laisser du temps à la patiente pour s'adapter aux changements de traitement avec la possibilité d'ajouter du Imovane 7.5 mg à la place du Dalmadorm. La patiente rentre à domicile avec un rendez-vous chez son psychiatre traitant à prendre la semaine prochaine. Elle est informée de reconsulter ou d'appeler le service d'urgence à Fribourg en cas de péjoration de symptômes (ex : troubles de l'humeur, baisse de morale, anxiété, idées suicidaires). La patiente est informée de la nécessité d'utiliser ces réserves de Laxoberon pour la constipation.Nous effectuons un bilan biologique qui revient dans la norme. Nous effectuons un CT cervical et cérébral injecté décrits ci-dessus. Sur le scanner, nous notons également la présence de lésion nodulaire au niveau apicale pulmonaire gauche de 2 composants, une à 25 mm de diamètre et l'autre au niveau postérieur de 6 mm. Nous organisons un rendez-vous pour un IRM cervical le mercredi 15.01.2020 à 10h45, à la recherche d'une hernie discale cervicale. Nous organisons également un rendez-vous pour un CT thoracique le jeudi 09.04.2020 à 9h45 pour contrôler la lésion pulmonaire. Le patient rentre à domicile. Nous effectuons un bilan sanguin qui est aligné. Nous effectuons un ECG qui montre rythme régulier, sinusal, fréquence à 57/minute. Axe normal. Pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. Au vu des vertiges permanents et un nystagmus multidirectionnel, Head impulse test positif, nous suspectons une origine centrale et demandons une IRM en urgence. Au vu de l'impossibilité d'avoir un IRM en urgence, nous effectuons un Angio-CT cérébral et des gros vaisseaux afin d'exclure un AVC ; pas d'hémorragie. Les gros vaisseaux sont perméables. IRM cérébrale et de gros vaisseaux : pas de lésions ischémiques. Au vu des vertiges permanents, et le patient ne pouvant pas marcher, en accord avec nos collègues de l'ORL de Fribourg, nous décidons de transférer le patient pour hospitalisation en ORL à Fribourg. Nous effectuons un bilan sanguin qui montre les valeurs ci-dessus. Nous effectuons un test de grossesse qui revient négatif. Nous retenons un diagnostic de douleurs abdominales chroniques avec un diagnostic différentiel de côlon irritable, intolérance alimentaire, syndrome de malabsorption. Nous effectuons un sédiment urinaire qui montre 1 croix de leucocytes, pas de nitrate ni de sang avec flore bactérienne, nous posons le diagnostic de bactérie asymptomatique que nous décidons de traiter au vu de la possibilité d'avoir un lien avec les autres symptômes que la patiente décrit. En cas de péjoration des symptômes, nous expliquons à la patiente de reconsulter les urgences ou de revoir son médecin traitant. Nous laissons le soin au médecin traitant de faire la recherche pour une intolérance alimentaire, syndrome de malabsorption en cas de persistance des symptômes. Nous effectuons un bilan sanguin qui revient dans la limite de la norme (urée 4.3 mmol/l, créatinine 64 umol/l, Na 136 mmol/l, K 3.8 mmol/l, ASAT 25 U/l, ALAT 46 U/l, phosphatase alcaline 54 U/l, GGT 98 U/l, bilirubine totale 12 umol/l, Lipase 20 U/l, amylase 47 U/l, CRP <5 mg/ml, leucocytes 10 G/l). Au vu d'un examen clinique et biologique plutôt rassurant, nous laissons le patient rentrer à domicile avec traitement symptomatique. Le patient va prendre un rendez-vous chez son médecin traitant pour organiser une colonoscopie de contrôle et effectuer des tests d'intolérance alimentaire. Nous effectuons un bilan sanguin qui revient dans la norme. Un ECG qui revient dans la norme. Notre examen clinique est normal. Nous demandons l'avis du psychiatre de garde qui confirme la possibilité d'un retour à domicile avec un contrôle chez son psychiatre demain. La sœur va s'occuper de la patiente et elle va l'emmener chez elle pour contacter le psychiatre traitant demain. Nous prescrivons du Temesta en R 1 mg max 2x/jour en cas de crise d'angoisse. Nous effectuons un changement de pansement (Prontosan, Aquacel argent et pansement stérile). À noter une nette amélioration de la plaie au niveau local. Un rendez-vous en policlinique d'orthopédie est organisé pour le 20.01.2020, pour réfection de pansement et suite de traitement. Nous effectuons un constat de coups et blessures. Nous effectuons un CT-scan cervico-crânio-cérébral qui ne montre pas de signe de saignement ou de fracture. Le laboratoire met en évidence une importante alcoolémie à 2.23 %. Nous gardons la patiente en surveillance neurologique, qui ne montre pas de nouvelle symptomatologie. Nous effectuons un rappel anti-tétanique. Pendant l'examen aux urgences, Mme Y exprime une hétéroagressivité envers sa connaissance féminine et dit qu'elle ira chez elle ce soir pour "la planter". Nous demandons alors un avis psychiatrique, qui propose une hospitalisation pour mise à l'abri d'un geste hétéroagressif. La patiente n'étant pas domiciliée dans le canton de Fribourg, nous contactons l'hôpital psychiatrique d'Yverdon-les-Bains, qui ne voit pas d'indication à une hospitalisation mais propose de l'évaluer. Le père de la patiente et la patiente étant d'accord d'aller à Yverdon, mais refusant d'y aller en ambulance, nous leur accordons de se rendre à l'hôpital psychiatrique, avec un appel du personnel de l'Hôpital d'Yverdon pour confirmer l'arrivée. Le cas échéant, une recherche de police sera lancée. La patiente part avec son père en voiture et nous recevons l'appel d'Yverdon 2 heures après son départ qui nous confirme l'arrivée de la patiente. Nous effectuons un curetage à la curette Stiefel avec le Dr. X, le lit du mal perforant saigne bien. Nous mettons un pansement avec tulle bétadiné et nous contrôlerons le patient dans une semaine. Nous effectuons un ECG : rythme régulier, sinusal, fréquence à 95/minute. Axe normal. Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. Voir tracé annexé. Nous effectuons un ECG : rythme régulier, sinusal, fréquence à 95/minute. Axe normal. Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. Voir tracé annexé. Nous effectuons un ECG qui est normal. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre rien de particulier. Nous concluons à une crise d'angoisse liée à la consommation de cocaïne. Nous rassurons le patient, recommandons de continuer le suivi en addictologie afin d'éviter des consommations ultérieures. Le patient rentre à domicile le 04.01.20. Nous effectuons un ECG qui était dans la norme, nous effectuons un contrôle capillaire d'hémoglobine qui permet d'exclure une anémie avec un Hb à 148 g/l. Le patient est informé de la nécessité de consulter son médecin traitant pour un contrôle clinique et biologique en cas de récidive. Nous retenons une crise d'angoisse d'origine émotionnelle pour laquelle nous prescrivons du Temesta en réserve. Nous effectuons un ECG qui met en évidence un STEMI du territoire inférolatéral. Nous administrons de la morphine, 500 mg d'aspirine, 5000 UI de liquémine, 60 mg d'Efient ainsi que de la morphine. Nous contactons les cardiologues et transférons le patient à Fribourg en salle de cathétérisme. Nous effectuons un ECG qui met en évidence une arythmie respiratoire normocarde et faisons un laboratoire qui est aligné. Le test de Schellong est négatif. Nous concluons à un malaise d'origine lipothymique et rassurons la patiente qui rentre à domicile le 21.01.2020. Nous effectuons un ECG qui montre rythme régulier, sinusal, fréquence à 87/minute. Axe normal. Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction ni de repolarisation. Voir tracé annexé. Bilan biologique. Nous effectuons un ECG qui montre un BAV I avec une QTc allongée à 496 ms. Nous effectuons un test de Schellong qui est positif. Nous concluons à un malaise orthostatique, et mettons en place des bas compressifs, ainsi qu'un contrôle rapproché chez le médecin traitant pour évaluer les traitements habituels pouvant allonger le QT. Nous effectuons un ECG qui montre un rythme régulier, sinusal, fréquence à 68/minute. Axe normal. QRS à 98 ms. Ondes T biphasiques au V2-V6. Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. Voir tracé annexé.ASP : pas de signe de pneumo-péritonite. Prise de sang qui montre urée 5.2, creat 5.3, Na 142, K 4.4, ASAT 26, ALAT 42, ph alkaline 59, GGT 49, amylase 136, lipase 87, CRP < 5, leuco 10.7, troponine 0H < 3. Nous effectuons un ECG qui montre un rythme régulier, sinusal, fréquence à 79/minute. Axe normal. QRS à 80, QTC 423. Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction, pas de troubles de la repolarisation. Au vu du résultat des troponines faites au centre des urgences à Bulle qui était à 400, nous donnons à l'entrée 500 mg d'aspirine. Pendant le séjour aux urgences, la patiente se plaint d'une péjoration des douleurs thoraciques. Nous effectuons un ECG de contrôle qui ne montre pas de changement par rapport au comparatif de l'entrée. Nous faisons un contrôle de la troponine à 0h qui était à 4 ng/l et un autre contrôle à 1h est effectué, montrant des troponines à 5 ng/l. Nous effectuons la recherche des D-dimères qui étaient à < 190 ng/ml. Nous effectuons une radiographie du thorax qui revient dans la norme. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. La patiente va prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous effectuons un ECG qui ne met pas en évidence d'anomalie. Nous effectuons une radiographie qui est sans particularité. Nous effectuons un test de Schellong qui revient négatif. En raison des examens cliniques et paracliniques rassurants, nous rassurons le patient et lui donnons 3 comprimés de Temesta en réserve en cas d'angoisse, avec comme instruction de revoir le médecin traitant pour évaluer la nécessité d'introduire un traitement antidépresseur ou anxiolytique. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 15.01.2020. Nous effectuons un ECG qui ne montre pas d'anomalie et une radiographie du thorax décrite ci-dessous. Nous effectuons un examen clinique et nous retenons un diagnostic de douleurs au niveau du bord costal droit d'origine musculo-squelettique pour lequel nous prescrivons un traitement antalgique. Le patient est informé de reconsulter les douleurs en cas de récidive. Un contrôle s'effectuera chez son médecin traitant en cas de besoin. Nous effectuons un ECG qui ne montre pas d'anomalie. Le laboratoire montre des D-Dimères à 2296 ng/ml. Le premier train de troponines est à 6 ng/l, nous effectuons alors un 2ème train qui revient à 6 ng/l. La radiographie du thorax ne montre pas d'anomalie. Nous complétons le bilan avec un CT-scanner thoracique qui permet d'écarter une embolie pulmonaire. Nous concluons à une contusion costale suite à l'altercation avec le beau-fils. Le patient rentre alors à domicile avec une antalgie. Nous effectuons un ECG qui ne montre pas de changement par rapport au comparatif de 2019, ni de signe de repolarisation. Nous mesurons la TA qui était à 134/92 mmHg à gauche et 137/95 mmHg à droite. Nous effectuons un bilan biologique qui montre des troponines 0 à 10. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas d'anomalie. Nous demandons l'avis du cardiologue du patient qui propose de garder son rendez-vous qui est prévu pour le 13.02.2020 à 8h pour un test d'effort et une échocardiographie. Au vu d'un pic hypertensif à l'entrée aux urgences à 162/107 mmHg, nous prescrivons du Lisinopril 10 mg (selon avis Dr. X). Nous effectuons un ECG qui ne montre pas de signe ischémique ainsi qu'une radiographie du thorax décrite ci-dessus. Nous retenons un diagnostic d'une hyperactivité bronchique dans un contexte de rhinite débutante avec un diagnostic différentiel d'une exposition itérative à des solvants irritatifs. Nous laissons la patiente rentrer à domicile et nous lui expliquons la nécessité de reconsulter chez nous en cas de péjoration des symptômes. Nous effectuons un ECG qui ne montre pas d'élément inquiétant, une radiographie du thorax qui revient sans particularité et un laboratoire qui révèle des troponines de 8 ng/ml. Nous effectuons un 2ème train de troponines qui revient à 4 ng/ml. Nous concluons alors à des douleurs d'origine musculo-squelettiques et prescrivons un traitement antalgique en réserve, ainsi qu'un arrêt de travail. Le patient rentre à domicile. Nous effectuons un ECG qui revient dans la norme, un bilan biologique qui est dans la norme et une radiographie du thorax qui ne montre pas d'anomalie. Nous lui donnons un traitement antalgique aux urgences. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un contrôle chez le médecin traitant. Nous expliquons à la patiente la nécessité de reconsulter en cas de péjoration des douleurs. Nous effectuons un examen clinique et nous retenons le diagnostic d'une fissure anale antérieure de 0.5 cm. À l'entrée aux urgences, le patient présente des paramètres dans la norme, avec une température à 37.2° Nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas de CRP mais des leucocytes à 11 g/l. Nous ne prescrivons pas de crème AL, le patient utilisant un traitement local prescrit par son chirurgien traitant. Nous lui conseillons un régime riche en fibres. Le cas est discuté au colloque de chir-ortho. Il n'en ressort pas le besoin d'un contrôle dans 48h à la policlinique. Nous appelons le patient qui ne répond pas et nous laissons un message sur sa boîte vocale pour qu'il prévoie un contrôle chez son chirurgien traitant. Nous effectuons un examen clinique et nous retenons un diagnostic d'ongle incarné au niveau latéral du gros orteil du pied gauche avec une petite plaie de moins de 0.5 cm. Nous effectuons une désinfection et nous prescrivons des bains de Dakin et de Fucidine pommade pour 7 jours. L'exploration de la plaie montre qu'une plaie reste sur le plan du tissu sous-cutané. Tétanos à jour. Nous effectuons un examen clinique qui montre une glycémie à 26.0, urée 6.7 mmol/l, créatinine 86 µmol/L, Na 131 mmol/L, K 4.8 mmol/l, leucocytes 11.0 g/l, Hb 132 g/l. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Au vu de l'hyperglycémie à 26.0, nous donnons un traitement par Insuline rapide avec une hydratation par NaCl, un dernier contrôle de glycémie était à 9.5. Nous arrivons à avoir le traitement habituel de la patiente en prenant contact avec son voisin qui a une relation familiale avec sa sœur (numéro de téléphone : 076 331 38 99). Nous notons que la patiente est sous traitement Euthyrox (dose inconnue) et nous laissons le soin au médecin traitant de faire un contrôle de la TSH et de vérifier les doses de traitement habituel. Nous prenons contact avec le psychiatre de garde, le Dr. X, qui propose une hospitalisation à Marsens sous PAFA, dans un contexte de soins impossibles à domicile à cause d'une agitation psychomotrice, d'une hallucination visuelle et d'une absence de la capacité de discernement. Nous effectuons un examen clinique qui émet la possibilité d'une crise de goutte, raison pour laquelle nous effectuons une prise de sang qui montre un acide urique à 390, légèrement en péjoration depuis la consultation du 03.01.2020 et une CRP à la baisse à 59. Nous discutons du cas avec le Chef de clinique des urgences Dr. X qui pose un diagnostic de crise de goutte et nous prescrivons le traitement par Colchicine 0.5 mg 2x/jour pendant 3 jours et puis 1x/jour pendant 7 jours et nous indiquons le traitement par Allopurinol à commencer à partir du 15.01.2020. Nous prescrivons également un traitement antalgique en cas de douleurs. Le patient fera un contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Nous effectuons un examen clinique qui met en évidence la présence d'un hématome péri-orbital droit avec une dermabrasion au niveau du sourcil droit de 0.5 cm. La palpation faciale était indolore. Nous effectuons un constat de coup. Nous laissons le patient rentrer à domicile. Nous effectuons un examen clinique qui met en évidence un possible traumatisme oculaire gauche avec hyphéma et possible ulcère cornéal à l'examen avec les gouttes fluorescéine.Nous effectuons un rinçage avec 100 ml de Nacl. Nous contactons l'ophtalmologue de garde à l'hôpital ophtalmique d'urgence à Lausanne qui propose un transfert pour une suite de prise en charge. Nous effectuons un examen clinique qui met en évidence une suspicion d'entorse de Lisfranc à gauche pour laquelle nous prescrivons une chaussure Darco. Au vu d'une suspicion de fracture Lisfranc, nous demandons à Mr. Y de prendre un rendez-vous en policlinique le lendemain. Nous lui donnons un arrêt maladie jusqu'à la fin de la semaine compte tenu de son travail. Nous effectuons un examen clinique qui ne peut pas exclure une suspicion de torsion testiculaire. Nous contactons le Dr. X, urologue de garde, qui propose un transfert aux urgences de l'HFR Fribourg pour une prise en charge au bloc opératoire. Nous effectuons un bilan biologique. Mr. Y est transféré en ambulance à l'HFR Fribourg vers 04h30. Nous effectuons un examen clinique qui revient dans la norme. Nous effectuons un test grippal et nous laissons le soin au médecin traitant de pister le résultat. Nous laissons Mme. Y rentrer avec un traitement symptomatique. Mme. Y est informée qu'elle doit reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Nous effectuons un examen clinique qui revient dans la norme. Nous retenons comme diagnostic un trouble somatoforme et nous laissons Mr. Y rentrer à domicile. En cas de péjoration des symptômes, Mr. Y reconsultera. Nous effectuons un examen de laboratoire qui montre un acide urique à 493 umol/l, avec une CRP à 6 mg/l et des leucocytes à 10.1 g/l, et avec un spot urinaire en cours. La radiographie de l'orteil gauche ne montre pas de fracture, d'épanchement ou de calcification. Nous concluons donc à une crise de goutte et prescrivons un traitement de Voltarène 50 mg pendant 2 semaines, Dafalgan 1g et localement poche à glace, ainsi que du repos. Un contrôle chez le médecin traitant est prévu à 48h, avec indication de se représenter aux urgences si un état fébrile devait apparaître. Nous lui conseillons également de diminuer sa consommation de bière. Nous effectuons un examen radiologique du colon lombaire qui ne montre pas de changement en comparaison avec le dernier contrôle de 2017. Nous donnons 50 mg de Tramal à Mr. Y qui avait un bon effet. Au vu de la bonne évolution avec le traitement antalgique, Mr. Y rentre à domicile avec prescription de Dafalgan et Tramal d'office et en plus de Tramal forme rapide en réserve en cas de besoin. Un contrôle chez l'opérateur Dr. X est prévu pour le 11.11.2019. Nous effectuons un examen radiologique du thorax ci-dessus et un bilan biologique mis en annexes. Au vu du syndrome inflammatoire et de l'état clinique que Mme. Y présente avec de la toux et un état fébrile (mesuré par Mme. Y à domicile à 38.5°), l'auscultation respiratoire qui montre des râles crépitants au niveau du lobe moyen et basal droit, nous posons le diagnostic d'une pneumonie du lobe moyen et basal droit et nous mettons en place un traitement par Co-Amoxicilline 1g 2 fois par jour pour une durée totale de 7 jours et nous laissons Mme. Y rentrer à domicile. Mme. Y est informée de la nécessité de reconsulter en cas d'état fébrile après 48 heures. Contrôle chez le médecin traitant en cas de besoin. Nous effectuons un examen radiologique qui ne montre pas d'anomalie. Nous effectuons une exploration de la plaie qui montre que la plaie reste sur le plan du tissu sous-cutané, sans exposition ni atteinte des tendons ni atteinte capsulaire. Nous effectuons une désinfection par Bétadine et par la suite nous fermons la plaie avec 8 points de suture en utilisant un fil de 4.0. Nous expliquons à Mr. Y les suites, nous préconisons un traitement antalgique de Dafalgan et d'Irfen qu'il avait déjà chez lui en cas de douleur. Nous effectuons également un rappel antitétanique. Vu qu'il habite à Genève, Mr. Y est informé de la nécessité de faire un contrôle aux HUG dans 48h. Une ablation des fils est à faire dans 7 jours chez le médecin traitant. Étant donné son travail, nous donnons un arrêt de travail pour une semaine. Nous effectuons un examen radiologique qui permet d'exclure la présence d'une fracture. Nous effectuons un examen clinique et nous retenons la possibilité d'une entorse du ligament latéro-interne du genou gauche pour laquelle nous prescrivons un antalgique, attelle Jeans 20° et un arrêt physique pendant une semaine avec un contrôle à la policlinique dans une semaine. Nous effectuons un laboratoire qui est aligné, une gazométrie qui met en évidence une hypoxémie à 8.7 avec des lactates à 4. Le test de Schellong est négatif et le massage des sinus est négatif. Nous attribuons l'augmentation des lactates à une consommation OH chronique. Nous discutons avec Mr. Y sur un suivi cardiologique en ambulatoire, ainsi que la mise en place d'un suivi psychiatrique. Nous effectuons un laboratoire qui montre un léger syndrome inflammatoire. Nous prenons contact avec les gynécologues de Fribourg qui proposent un transfert à Fribourg afin qu'ils l'évaluent. Mme. Y se rend aux urgences de Fribourg en compagnie de son mari le 23.01.2020. Nous effectuons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 10 mg/l et une leucocytose à 15.6 g/l ainsi qu'un stix/sédiment qui ne montre pas de signe d'infection. Nous concluons à une gastroentérite virale. Nous conseillons à Mme. Y de s'hydrater, prescrivons un traitement symptomatique, et conseillons à Mme. Y de revoir son médecin traitant à 72h, pour évaluer la nécessité de faire une PCR des selles. Mme. Y rentre à domicile le 22.01.20. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas d'éléments inquiétants. Nous complétons le bilan avec un angio-CT cérébral qui ne montre rien de particulier. Nous prenons un avis auprès du Dr. X, neurologue, qui voit plutôt une origine vestibulaire, et propose de continuer le Betaserc, de faire de la physiothérapie vestibulaire et d'effectuer un bilan ORL en ambulatoire si les vertiges persistent. Nous expliquons cela à Mme. Y, et lui expliquons comment faire les manœuvres libératrices de Semont chez elle si les vertiges apparaissent. Mme. Y rentre à domicile le 23.01.2020. Nous effectuons un laboratoire qui revient aligné et effectuons une radiographie du thorax qui ne montre rien de particulier. Mr. Y rentre à domicile avec un traitement de Bepanthen Onguents nasal et avec instruction d'humidifier l'environnement, avec un contrôle chez le médecin traitant, qui évaluera la nécessité d'organiser un bilan ORL si nécessaire, s'il y a une récidive. Mr. Y rentre à domicile le 05.01.2020. Nous effectuons un laboratoire sanguin qui est aligné. Suite à la discussion avec le Dr. X, Mme. Y peut rentrer à son domicile avec un traitement par Perenterol encore pendant une durée de 5 jours et ensuite en réserve selon l'évolution. Mme. Y prendra contact avec son neveu médecin traitant, si l'évolution clinique n'est pas favorable. Également, il sera effectué une culture des selles. Nous effectuons un laboratoire, un sédiment urinaire et un ultrason des voies urinaires qui ne montre pas de caillot dans la vessie, et une prostate légèrement augmentée. Nous recommandons l'éviction des AINS et demandons à Mr. Y de se rendre à la consultation du Dr. X en début de semaine pour la suite de la prise en charge. Nous effectuons un nouveau pansement en regard de la plaie encore ouverte avec Prontosan et du Prontosan gel. Nous allons fixer un nouveau rendez-vous de contrôle et espacer à 3 jours (18.01.2020). Nous effectuons une prise de sang qui revient totalement dans la norme, pas de CRP, pas d'anémie, fonctions rénales et hépatiques dans la norme.Nous effectuons un ECG qui montre rythme régulier, sinusal, fréquence à 87/minute. Axe normal. Pas d'ondes Q. Pas de troubles de la conduction ni de repolarisation. Nous demandons l'avis du psychiatre de garde qui passe voir Mme. Y et qui ne voit pas d'indication pour une hospitalisation à Marsens. Il propose une majoration de l'Escitalopram à 10 mg par jour et le Distraneurine à 3 cpr d'office par jour. Nous proposons au médecin traitant de faire un test cognitif pour exclure des troubles cognitifs débutants qui pourraient expliquer ces troubles dépressifs. Un contrôle chez le psychiatre traitant est prévu lundi. Nous effectuons une radiographie du pied droit qui ne montre pas de fracture visible, nous retenons le diagnostic d'une entorse bénigne de la cheville pour laquelle nous mettons une attelle Aircast pendant une semaine. Contrôle en policlinique dans 48 heures. Nous effectuons un spot urinaire et nous retrouvons une FENa à 1.6 % qui parle plutôt d'une insuffisance rénale d'origine rénale. Nous réalisons un laboratoire mis en annexes. Nous demandons l'avis du Dr. X qui propose de ne pas faire d'imagerie de contrôle et propose un traitement par Tamsulosine pour une durée totale de 5 jours avec un contrôle prévu pour le patient chez le Dr. X à l'hôpital de Fribourg demain à 16h00. Nous effectuons un test de grossesse qui revient négatif et un sédiment urinaire qui montre une leucocyturie et des corps cétoniques. En raison de l'absence de symptomatologie, nous ne traitons pas la leucocyturie, mais expliquons à Mme. Y de consulter le médecin traitant en cas d'algurie. Nous administrons du Zofran 4 mg sublingual, qui ne soulage pas Mme. Y. Nous l'administrons alors en IV avec du Nexium 40 mg et hydratons Mme. Y. La symptomatologie de Mme. Y s'améliore après l'administration des médicaments IV. Mme. Y rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 19.01 et une antalgie. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de péjoration des symptômes. Nous effectuons un test de Schellong qui revient négatif. Nous prenons contact avec le neurologue de garde qui propose de commencer un traitement de Keppra 500 mg 2/j et de prendre un rendez-vous de contrôle chez son neurologue pour faire un EEG. Le patient est avisé d'une interdiction de conduite automobile jusqu'à une évaluation neurologique. Nous effectuons un ultrason des tissus mous qui met en évidence la présence d'une collection liquidienne des tissus cutanés de 10 x 4.6 mm. L'examen clinique est rassurant. Nous discutons du cas avec le Dr. X qui propose un retour à domicile et de prendre un rendez-vous de contrôle chez le chirurgien, de Froment demain. Nous effectuons une désinfection avec Hibidil, une anesthésie locale par Lidocaïne et par la suite, nous fermons la plaie avec 3 points de suture avec 5-0 Ethilon. Nous effectuons un rappel antitétanique aux urgences. Mme. Y ira enlever les fils chez son médecin traitant dans une semaine. Nous effectuons une désinfection de la plaie avec Bétadine solution, Bétadine tulle et un pansement stérile. Mme. Y vérifiera si elle est à jour concernant la vaccination contre le tétanos chez son médecin traitant. Nous observons régulièrement les valeurs de la tension artérielle et constatons une stabilisation spontanée des valeurs. Mme. Y peut rentrer à domicile. Nous effectuons une désinfection de la plaie et mettons des Stéristrips. Le suivi se fera chez le médecin traitant. Nous effectuons un examen clinique qui met en évidence la présence de nystagmus horizontal gauche et un nystagmus vertical vers le haut, nous effectuons le HINTS test qui était négatif et nous effectuons la manœuvre de Dix qui revient positive. Nous effectuons un bilan sanguin mis en annexes ainsi qu'un ECG. Nous effectuons un CT injecté cérébral et des vaisseaux précérébraux qui ne montrent pas de signe hémorragique ni ischémique, nous organisons un IRM cérébral injecté prévu pour le vendredi 31.01.2020 à 11:30. Nous prescrivons un traitement par Betaserc 8 mg 3/j, Motilium 10 mg. Nous effectuons un test de Schellong qui revient négatif et nous objectivons des pics hypertensifs à 190/119 pour lesquels nous prescrivons de la Nifédipine 20 mg en ordre unique et nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer la nécessité d'introduire un traitement antihypertenseur. En cas d'IRM négatif, le patient sera adressé vers un ORL. Nous effectuons une glycémie capillaire qui s'élève à 9 mmol/l (à noter 30 minutes après le repas) afin d'exclure un diabète inaugural au vu des vomissements et douleurs abdominales ainsi que la notion d'hydratation augmentée selon le papa. 1) Virose: • stimulation de l'hydratation et surveillance • fébrifuges au besoin • reconsulter si péjoration de l'état clinique Cas discuté avec Dr. X. Nous effectuons une injection intramusculaire de Voltaren 75 mg avec un bon effet, nous n'effectuons pas d'examen radiologique et nous retenons un diagnostic de lombalgies aiguës sur chroniques avec possible composante musculaire. Nous avons proposé plusieurs types de traitements antalgiques que Mme. Y a refusés en raison des diarrhées qu'elle a comme effet secondaire pour tous les types d'antalgie. Mme. Y reconsultera en cas de péjoration des douleurs pour organiser un examen radiologique. Nous effectuons une prise de sang qui montre : urée 5.2, créat 5.3, Na 142, K 4.4, ASAT 26, ALAT 42, pH alcalin 59, GGT 49, amylase 136, lipase 87, CRP<5, leuco 10.7, troponine 0H <3. Nous effectuons aussi un ECG qui montre un rythme régulier. Nous effectuons un ASP qui ne montre pas de signe de pneumo-péritonite. Pendant la surveillance à l'hôpital, Mme. Y a eu un épisode de vomissements verdâtres. Mme. Y reçoit du Nexium 40 mg avec un très bon effet. Nous discutons du cas avec le Dr. X qui propose de garder Mme. Y avec prescription de traitement antalgique et d'organiser un U/S abdominale demain. Vers 3:30, Mme. Y n'a plus de douleurs et demande un retour à domicile, nous organisons un rendez-vous pour un U/S abdominal pour demain matin à 8h et nous laissons Mme. Y rentrer (attitude confirmée avec Dr. X). Nous effectuons une radiographie de la cheville gauche qui ne révèle pas de fracture. Nous mettons en place une immobilisation par attelle Aircast ainsi qu'application de glace. Nous faisons un arrêt de sport de 2 semaines, et Mme. Y fera de la physiothérapie en ambulatoire. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile. Le suivi sera effectué chez le médecin traitant. Nous effectuons une radiographie de la cheville qui ne montre pas de fracture. Nous demandons l'avis de l'orthopédiste de garde qui préconise la mise en place d'une attelle Aircast, marche avec béquilles à but antalgique, antalgie simple ainsi que de la physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y prendra rendez-vous pour un contrôle dans 2 semaines chez son médecin traitant. Nous effectuons une radiographie de l'index droit qui ne montre pas de fracture. Nous effectuons la désinfection de la plaie, nous procédons à l'ablation du bout de l'ongle qui a été arraché et nous suturons le lit de l'ongle avec du Vicryl et mise en place de 3 points à l'Ethilon 4.0 au niveau de la pulpe. Le patient ne pensant pas être à jour concernant la vaccination contre le tétanos, nous effectuons un rappel ce jour. Le patient se présentera à la policlinique d'orthopédie dans 48 heures pour un contrôle de la plaie. Nous effectuons une radiographie du calcanéus droit qui ne montre pas d'atteinte osseuse. Nous nettoyons, désinfectons la plaie, anesthésions localement et explorons la plaie. Nous ne visualisons pas de corps étranger, ni de lésion de structures nobles. Nous effectuons 9 points de suture avec de l'Ethilon 4.0. Nous désinfectons la plaie et couvrons avec un pansement. Nous administrons une dose unique de céfuroxime 125 mg IV. Nous effectuons un rappel anti-tétanique. Après l'avis auprès du Dr. X, orthopédiste, nous mettons le patient en décharge complète avec une mise en place d'un Splint pod. Nous prescrivons une prophylaxie antithrombotique par Clexane. Nous prévoyons un contrôle clinique le 27.01.2020 en policlinique d'orthopédie, ainsi qu'une ablation des fils à J10 chez le médecin traitant. Le patient rentre à domicile le 23.01.20 avec un arrêt de travail.Nous effectuons une radiographie du coccyx qui ne montre pas de signe de fracture. Nous n'effectuons pas de suture de la plaie qui est superficielle. Nous prescrivons alors un traitement antalgique avec un arrêt de travail jusqu'au 26.01. Nous effectuons une radiographie du coude gauche qui montre une importante dégénérescence arthrosique. Nous prescrivons alors une antalgie avec du Dafalgan et des AINS, avec un arrêt de travail, et nous prévoyons un contrôle clinique en policlinique d'orthopédie pour le 22.01.2020. Le patient rentre à domicile le 15.01.2020. Nous effectuons une radiographie du doigt qui ne montre pas de fracture. Nous prenons l'avis orthopédique du Dr X, qui propose de mettre en place une attelle Alu en hyperextension, en attendant la mise en place d'une attelle Stax par un ergothérapeute ainsi qu'un suivi par un ergothérapeute. Nous prévoyons un contrôle en policlinique d'orthopédie à 6 semaines. Nous prescrivons un traitement antalgique ainsi qu'un arrêt de travail de 2 semaines. Le patient rentre à domicile le 24.01.2020. Nous effectuons une radiographie du genou droit qui montre une suspicion de fracture au niveau de la tête radiale. Nous demandons un avis orthopédique auprès du Dr X, qui propose de compléter le bilan avec un CT-scan qui ne montre pas de fracture. Nous mettons en place une attelle Jeans de 20° d'extension avec Clexane prophylactique, avec un contrôle dans 2 semaines à sa consultation. La patiente rentre à domicile le 18.01.2200 avec un arrêt de travail. Nous effectuons une radiographie du gros orteil qui ne montre pas de lésion osseuse récente. Nous demandons un avis ortho qui préconise un retour à domicile avec antalgie et glace. Le suivi se fera chez le médecin traitant. Nous effectuons une radiographie du poignet qui ne met pas en évidence de fracture ou de luxation. Nous demandons un avis orthopédique et effectuons une réduction en flexion-supination du coude, avec indication de faire un contrôle chez le pédiatre dans 5 jours. La patiente rentre à domicile le 05.01.2020. Nous effectuons une radiographie du thorax qui est normale. Nous réalisons une PCR grippe à pister, qu'il faudra adresser au médecin traitant. Nous expliquons l'évolution probable des symptômes au patient qui peut regagner son domicile avec un arrêt de travail et des antalgiques, antipyrétiques et vasoconstricteur nasal. Nous effectuons une radiographie qui montre une fracture de l'extrémité distale du radius gauche. Nous mettons en place un plâtre AB (sans l'inciser étant donné une fracture datant de 3 jours). Le patient peut rentrer à domicile et se rendra en contrôle à la policlinique d'orthopédie dans une semaine. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous donnons de l'antalgie à la patiente qui peut rentrer à domicile et se rendra en contrôle chez son pédiatre si persistance des douleurs. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de lésion, une échographie est réalisée et ne montre pas de rupture complète des tendons fléchisseurs ou extenseurs des doigts au niveau du 5ème rayon. Une atteinte localisée ne peut toutefois pas être exclue par l'échographie. La patiente a bénéficié d'une antibiothérapie par Co-amoxicilline 2,2 g en dose unique aux urgences puis 1 g 3x/jour pendant une durée totale de 7 jours. Nous réalisons un rinçage avec du NaCl et de la Bétadine, débridement de la plaie. Nous immobilisons et mettons un pansement sec. La patiente rentre à domicile avec une antalgie et des AINS. Elle ira dans 48h à la policlinique d'orthopédie pour un contrôle. Nous effectuons une radiographie du pouce qui ne montre pas de fracture. En raison de l'instabilité du pouce, et après avis orthopédique auprès du Dr X, nous mettons en place un gantelet, et prévoyons une IRM du pouce le 30.01.20, avec un contrôle en policlinique d'orthopédie après l'examen radiologique. La patiente rentre à domicile le 24.01.2020 avec un traitement antalgique et un arrêt de travail. Nous effectuons une réduction sous Fentanyl et Dormicum avec bonne efficacité. Nous immobilisons l'épaule de la patiente dans un gilet orthopédique et proposons de compléter le bilan par un CT-scan que nous organisons pour le 13.01.2020 avec contrôle clinique le même jour et il faudra pister le résultat. Nous effectuons une réfection du pansement avec Bétadine gel et tulle gras. Au vu de la bonne évolution, les suites seront organisées avec le médecin traitant. Nous effectuons une sédimentation urinaire qui montre des leucocytes, des nitrates et du sang. Un bilan biologique a été fait par l'oncologue le 07.01.2020 : pas de CRP mais leucocytes à 11.5 G/l, Hb 125 g/l. Au vu des symptômes et du résultat de la sédimentation, nous retenons le diagnostic d'une cystite simple et prescrivons un traitement antibiotique par Ciprofloxacine 500 mg 2/j durant 7 jours. Nous envoyons l'uricult. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un contrôle chez le médecin traitant en cas de besoin. Nous effectuons une suture, avec désinfection à l'Hibidil et champagne, anesthésie locale à la Rapidocaine 1%, hémostase par ligature et points en croix des artérioles au Vicryl 4.0. Rinçage abondant, fermeture cutanée par points simples d'Ethilon 4.0. Pansement. Lors de l'exploration de la plaie frontale droite, une marque au niveau de l'os frontal fait suspecter une fracture. Nous réalisons donc un CT-scan qui permet d'infirmer cette hypothèse et d'exclure un saignement au niveau cérébral. Le patient reste en surveillance 12h aux urgences avant un retour à domicile en compagnie d'un ami. Consignes de surveillance neurologique données et expliquées. Nous effectuons une suture avec Ethilon 4-0 de la plaie superficielle du dos du pied droit au niveau de l'os naviculaire avec pose de Stéristrip. La patiente consultera son médecin traitant dans 2 jours pour contrôle de la plaie et ablation des fils à J7. Nous effectuons une suture de la plaie de la pulpe du 4ème doigt droit avec Ethilon 4-0 après anesthésie locale par Rapidocaïne et Bicarbonate. Le rappel antitétanique est effectué ce jour. Le patient rentre à domicile avec antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours au total et contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 48 heures. Il se rendra chez son médecin traitant dans 14 jours pour l'ablation des fils. Nous effectuons une U/S abdominale qui montre la présence de multiples cholécystolithiases, un bilan sanguin qui .. Nous prenons l'avis du Dr X. Nous encourageons la patiente à s'appareiller de chaussures orthopédiques sur mesure et nous la reverrons à 1 an post-opératoire pour un contrôle radioclinique. Nous encourageons l'hydratation orale et un contrôle chez le pédiatre ou aux urgences s'il n'y a pas d'amélioration d'ici 48h. En raison de l'état dentaire et des douleurs, nous proposons aussi un contrôle dentaire. La maman reçoit plusieurs adresses à Fribourg.Nous enlevons ce jour le plâtre. Nous lui conseillons une marche en charge selon douleurs avec le soutien d'une semelle rigide. S'il n'a pas de chaussure avec une semelle rigide, nous lui prescrivons une semelle en carbone à porter pour les prochains mois. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie pour rééducation à la marche en charge et assouplissement de la musculature du membre inférieur D. Il est encore à l'arrêt de travail jusqu'au 16.02.2020 (machiniste). Il va réévaluer à la fin de l'arrêt s'il est possible de reprendre le travail. Prochain contrôle dans 2 mois. Nous enlevons le plâtre ce jour et l'autorisons à marcher en charge totale selon douleurs. Mobilisation libre en physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous essayons d'administrer une dose de Zinat per os aux urgences qu'elle rejette par la suite. Nous proposons alors à la maman de reprendre l'antibiotique par amoxicilline et nous préconisons un contrôle clinique au fast track le 5.1. Reconsulter avant si péjoration de l'état clinique. Nous évaluons la patiente qui est sous implant et qui présente des métrorragies douloureuses depuis lundi 30.12.2019. La patiente a ses règles depuis le 28.12.2019. Nous réalisons un bilan qui retrouve : test de grossesse : négatif, Hb: 108, sédiment urinaire : présence de sang. Nous proposons à la patiente de continuer avec le fer prescrit par sa doctoresse et contacter son gynécologue afin de réévaluer l'implant. Nous évaluons Mr. Y aux urgences et contactons la pédopsychiatre de garde (Dr. X). Suite à la discussion avec Mr. Y et sa maman, Dr. X propose: • orientation psycho-relationnelle: instauration d'un contact téléphonique ou écrit avec le papa. Instauration d'un rituel du soir avec bain chaud/douche à l'huile essentielle de lavande pour la détente musculaire et massage des pieds par la maman avant le coucher. • introduction d'un traitement par antihistaminique (Atarax 12.5mg) pour favoriser l'endormissement. Réévaluation de l'indication au prochain rendez-vous avec Dr. X. • premier rendez-vous avec Dr. X au CPP puis trois autres rendez-vous organisés à Bulle pour évaluer l'indication d'un suivi à long terme (investigation du possible harcèlement scolaire et de la dynamique familiale). Nous évoquons chez ce patient des multiples contusions liées à sa chute avec un bilan radiologique sans particularité. Nous administrons un traitement antalgique au patient qui le soulage partiellement. Le patient peut regagner son domicile avec un arrêt de travail de 3 jours. Nous rappelons le patient car nous n'avons pas réalisé de radiographie lombaire. Le patient nous dit avoir moins de douleurs dans le dos et qu'en cas de persistance de douleurs, il consultera son médecin traitant pour la réalisation d'une imagerie. Nous examinons la patiente et l'adressons aux urgences gynécologiques de Fribourg pour la prise en charge. Nous examinons la patiente pour un traumatisme crânien simple du 25.12.2019 avec une persistance de vertiges et des troubles visuels aspécifiques. Le CT cervico-cérébrale ne montre pas de lésion post-traumatique, pas d'hémorragie cérébrale. La présence de lésions dégénératives chroniques du rachis cervical est notée. Au vu du laboratoire rassurant et du test de Schellong négatif, nous avons discuté avec Dr. X et préconisons un retour à domicile et un rendez-vous avec son médecin traitant pour discuter d'une potentielle IRM en cas de persistance de symptômes. Pour ce qui concerne la leucocyturie asymptomatique au sédiment urinaire, aucun traitement n'est indiqué. Nous examinons le patient et il nous dit ne plus avoir de vertiges. Il présente un examen neurologique normal. Nous proposons un traitement par Primpéran et conseillons au patient de consulter un ORL en cas de persistance des symptômes. Le patient rentre à domicile. Nous excluons une origine cardiaque aiguë, des douleurs rétrosternales et de la dyspnée pas présentes aux urgences. L'ensemble des symptômes neurologiques présentés sont d'allure fonctionnelle et déjà connus chez le patient et dans les documents disponibles à notre consultation. Au vu de l'examen neurologique rassurant, nous prenons l'avis de Dr. X qui ne préconise pas d'IRM/CT aux urgences car il n'y a pas de suspicion de AIT. Le patient consultera son médecin traitant ainsi que le Prof. X (neurologue au CHUV qui a déjà suivi le patient) pour une suite de prise en charge. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail et une interdiction de conduire. Nous expliquons à la maman et à une amie qui fait la traduction que Mr. Y présente un probable excès d'antétorsion fémorale des deux côtés qui reste physiologique pour son âge et qui devrait se corriger spontanément dans les années à venir. En cas de symptômes toujours présents dans deux ans, ce patient sera revu à notre consultation. Nous expliquons à la patiente l'absence de critères faisant suspecter une pneumonie au vu de l'évolution clinique et du statut. Au vu également de l'attente à la Permanence, elle renonce à des investigations diagnostiques supplémentaires. Nous expliquons à la patiente l'importance d'effectuer une imagerie pour compléter le bilan et déterminer avec certitude si cette fracture est fraîche ou ancienne. Nous organisons donc un CT-scanner de la vertèbre D12 coupe fine. Pour l'instant, la patiente ne veut pas effectuer d'IRM. Nous la reverrons suite à cet examen pour la suite de la prise en charge. Nous l'informons déjà que si la fracture est identifiée comme fraîche, elle ne pourra pas faire de sport pendant 2 mois. Nous expliquons à la patiente qu'actuellement nous ne pouvons rien faire de plus en aigu, vu qu'elle a déjà un arthro-CT organisé pour la cheville et un rendez-vous agendé chez le spécialiste du team pied. Nous lui prescrivons une antalgie et la poursuite de la physiothérapie jusqu'à l'arthro-CT et le prochain contrôle au team pied comme prévu. Nous expliquons à la patiente qu'au vu de la nette amélioration des douleurs au niveau sacro-iliaque, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de récidive. Nous expliquons à la patiente que, comme première étape, nous allons organiser un bilan isocinétique en physiothérapie. Ensuite, selon la symptomatologie, nous allons discuter d'une éventuelle chirurgie de révision avec une reconstruction du MPFL avec soit le gracilis du même côté vu que le semi-tendineux a été utilisé lors de la première opération, soit le gracilis de l'autre côté ou encore une greffe tendineuse selon la volonté de la patiente. Nous allons la revoir après le bilan isocinétique pour discuter de la procédure. Nous expliquons à la patiente que la présence de cet œdème est une complication fréquente par la méthode mini-invasive qu'elle a eu lors de cette chirurgie. Nous prescrivons du drainage lymphatique et nous reverrons la patiente en février. Nous expliquons à la patiente que la seule option thérapeutique reste l'implantation d'une prothèse de hanche gauche par une voie d'abord latérale avec une reconstruction du bassin. Nous lui expliquons également le déroulement, les risques ainsi que les bénéfices de cette intervention et elle nous donne son accord en signant le formulaire de consentement éclairé. Nous expliquons à la patiente que les douleurs sont en partie présentes à cause de son surpoids. Elle nous rapporte avoir déjà été vue par une diététicienne et avoir essayé de prendre des médicaments pour perdre du poids. Nous lui conseillons donc de reprendre le suivi par sa diététicienne et demandons à son médecin traitant d'évaluer si elle n'est pas candidate pour un bypass gastrique. Prescription de fitness médical et de physiothérapie. Nous lui conseillons de commencer un sport afin d'aider à la perte de poids.Prochain contrôle clinique dans 6 mois Nous expliquons à Mme. Y que nous devons d'abord régler les douleurs de la fasciite plantaire avant de lui proposer une cure chirurgicale d'hallux valgus. Mme. Y va donc se rendre en physiothérapie pour ondes de chocs. Nous la reverrons dans 6 semaines. En cas d'évolution favorable de la fasciite plantaire, nous planifierons alors une cure d'hallux valgus mini invasive et lui ferons signer le consentement éclairé. Nous expliquons à Mme. Y que ses douleurs au niveau du bas du dos sont présentes en raison d'une atrophie importante associée à une discopathie et à une hypotrophie musculaire importante. Prescription de physiothérapie pour renforcement de la musculature et afin d'améliorer sa posture. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition si besoin. Nous expliquons à Mme. Y qu'il n'y a pas de nouveau traumatisme, que la fracture est déjà guérie, qu'elle a déjà été investiguée avec IRM et n'a pas montré de lésion spécifique en décembre au team pied. Par contre, Mme. Y a des douleurs autour du tunnel tarsien et notons aussi que Mme. Y a des pieds plats dont elle a déjà des semelles prescrites par le team pied avec une claire insuffisance au niveau tibialis postérieur. Nous proposons à Mme. Y qu'à son retour de voyage de prendre contact avec le team pied pour possiblement faire une investigation pour un syndrome du tunnel tarsien. Sinon, nous ne pouvons rien proposer de plus aux urgences. Nous expliquons alors à nouveau l'intervention qui consistera à une TLIF L4-L5 avec mise en place d'une cage. Les risques et bénéfices de l'intervention sont expliqués à Mme. Y qui signe le consentement et la date opératoire est confirmée. Nous expliquons à Mr. Y, à sa maman et à son frère, les risques et les bénéfices de l'intervention à l'aide d'un formulaire de consentement que la maman signe. L'intervention est prévue avec une hospitalisation de 2 jours mais peut être convertie en ambulatoire, à réévaluer en post-opératoire. Nous expliquons à Mr. Y que les douleurs présentes au niveau lombaire proviennent de sa pathologie discale. Une infiltration au niveau des foramens ne peut pas réduire ces douleurs puisqu'il ne présente pas de compression radiculaire. Prescription de 9 séances pour école du dos et balancement postural au vu de la statique de Mr. Y. Nous ne pouvons que soutenir Mr. Y dans sa demande AI de reconversion professionnelle en tant qu'employé de commerce. Nous le reverrons pour discuter d'une éventuelle prise en charge chirurgicale avec ALIF L5-S1 dans 6 mois. Nous expliquons à Mr. Y qu'il existe une possible déchirure intra-musculaire du muscle gastrocnémien sur son versant médial. Étant donné que Mr. Y travaille dans la sécurité, nous lui remettons un arrêt de travail pour 2 semaines. Nous organisons un US pour bilancer si il y a effectivement une déchirure ou juste un étirement ou un claquage musculaire. Nous le reverrons dans 2 semaines suite à l'examen. Si la déchirure se confirme, il serait nécessaire de lui prescrire des massages et de la physiothérapie et lui prolonger l'arrêt de travail selon évolution. Nous expliquons à Mr. Y qu'il faut juste un temps de repos avec des anti-douleurs et anti-inflammatoires qu'on lui prescrit et lui donnons un arrêt de travail jusqu'en fin de semaine avec réévaluation par son médecin traitant pour la reprise et pour le suivi. Nous expliquons les douleurs de la 4ème MTP probablement par la marche, Mr. Y évite de dérouler le pas afin de ne pas appuyer sur les zones hyperkératoses, ce qui sollicite probablement les extenseurs des orteils notamment le 4ème. Nous proposons à Mr. Y une infiltration au niveau de la zone douloureuse à organiser dans environ 2 à 3 semaines. Quant aux zones d'hyperkératoses probablement des verrues plantaires, nous proposons au médecin traitant d'organiser une consultation en dermatologie. Nous exposons la situation à Mr. Y, à savoir qu'il est nécessaire de faire une amputation du 3ème rayon, probablement au niveau de P1. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous extrayons la thrombose hémorroïdaire de Mr. Y. Nous lui proposons également de consulter un proctologue en ambulatoire et lui remettons la carte du Dr. X. Nous lui proposons un traitement antalgique avec Dafalgan et Brufen. Mr. Y peut rentrer à domicile. Nous faisons faire une radiographie qui ne montre pas d'atteinte osseuse. On installe un traitement conservateur par AINS et physiothérapie. Le suivi sera fait par le médecin traitant. Nous faisons un bilan biologique, un sédiment urinaire et un ECG. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien de garde. Nous faisons un ultrason abdominal qui montre un remaniement cicatriciel calme, pas de hernie visualisée. Mme. Y rentre à domicile avec un traitement antalgique. Nous lui conseillons de reconsulter son chirurgien. Nous faisons un ECG, un bilan biologique et une radiographie du thorax. Aux urgences, Mme. Y a reçu du Temesta 1 mg avec un effet favorable (absence de douleurs et de paresthésie). Mme. Y rentre à domicile avec un traitement en réserve par Temesta. Nous proposons à Mme. Y un suivi psychiatrique si les symptômes reviennent régulièrement. Nous faisons un laboratoire et un sédiment urinaire qui sont en annexes. Nous faisons également un CT-scanner abdominal. Nous retenons un diagnostic de colique néphrétique droite. Il rentre à domicile avec une antalgie, AINS et Pradif. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 21.01.2020. Il filtrera ses urines. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans le courant de la semaine prochaine et son médecin traitant prévoira un rendez-vous chez un urologue à distance. Nous faisons un pansement à Mr. Y qu'il ira changer dans 48h chez son médecin traitant. Mr. Y rentre à domicile et ira dans une semaine, pour un contrôle, en policlinique. Nous faisons une désinfection à la Bétadine et refaisons le pansement. Il a déjà un rendez-vous prévu en policlinique d'orthopédie le 14.01.2020. Nous faisons une désinfection avec Bétadine et rinçage au NaCl. Nous mettons en place un pansement occlusif par tulle bétadinée, compresse et bande Cofix. Nous faisons un rappel anti-tétanique aux urgences. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 26.01.2020. Mr. Y reviendra en filière des urgences ambulatoires le 19.01 à 10h00 pour un contrôle de plaie. Nous faisons une désinfection, une anesthésie locale par Rapidocaïne et une suture par 6 points à l'Ethilon 5-0. Mme. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J7. Nous faisons une radiographie de la cheville droite qui ne montre pas de fracture. Nous instaurons un traitement par Protonsan gel, Aquacel plus, compresses. Mme. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant le 15.01 puis le 16.01 en policlinique d'orthopédie. Un Echo-doppler des membres inférieurs est prévu le 29.01.2020 à 11h45. Nous faisons une radiographie de la main qui ne montre pas de fracture. Au vu du tableau clinique, nous mettons en évidence une entorse de ligament collatéral radial interphalangien proximal du 2ème doigt gauche, pour laquelle nous mettons en place une syndactylie pour une semaine. Contrôle chez le médecin traitant en cas de besoin. Nous faisons une radiographie de l'épaule droite et retenons le diagnostic de capsulite rétractile de l'épaule droite. Au vu de l'amélioration des douleurs après administration d'antalgie par Morphine, Mr. Y peut donc regagner son domicile avec une intensification de l'antalgie par Oxycontin 5 mg 2x/jour et suivi chez son médecin traitant le 27.01.2020 pour suite de prise en charge.Nous faisons une radiographie décrite ci-dessous. Sous anesthésie locale par Rapidocaïne et Bicarbonate nous mettons en place 2 points de sutures, une tulle bétadinée et un pansement stérile. Son vaccin du tétanos est à jour nous laissons donc rentrer la patiente à domicile. Elle ira faire contrôler ses plaies chez son pédiatre dans 48h et ira enlever les fils chez celui-ci après 14 jours. Nous faisons une radiographie du genou gauche qui ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic d'entorse du genou gauche que nous immobilisons par une attelle Jeans à 20°. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve par Dafalgan et Brufen ainsi que de la Clexane prophylactique. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant en Thaïlande (où elle rentrera à domicile le 13.01) pour un contrôle clinique dans une semaine. Nous faisons une réduction par manoeuvre externe sous Fentanyl 50 mcg IV. Il n'y a pas de trouble neurologique post-réduction. La coiffe est compétente en post-réduction. Nous immobilisons dans un gilet orthopédique. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 16.01.2020, avec des conseils de repos et de glaçage. Nous lui donnons un traitement par antalgie et AINS. Il sera convoqué pour un contrôle à 1 semaine à la consultation du Dr X. Nous fixons un nouveau rendez-vous de contrôle pour le 15.01 pour réévaluer le patient à distance de l'arrêt des antibiotiques. A ce moment-là sera rediscutée la nécessité d'une prise en charge chirurgicale pour l'ablation de l'ostéophyte cassé en regard de l'olécrâne. Nous gardons Blaise en observation et mettons en évidence plusieurs épisodes, tant isolés que par 2 ou 3 épisodes rapidement enchaînés en l'espace de <5 sec où nous décrivons une association de: • Secousse avec extension du coude et pronation • Secousse avec contraction musculaire de la partie inférieure du visage Avec entre les épisodes un comportement normal sans impression d'inconfort ou d'état post-critique. Nous gardons Céleste en surveillance durant 6 heures. Un bilan inflammatoire, électrolytique et de glycémie se montre dans la norme. Il est fébrile à max 39.2° avec un foyer de virose débutante sans arguments pour une infection bactérienne occulte. A noter un souffle cardiaque doux, probablement dans le contexte fébrile et vu l'anamnèse, nous ne retenons pas une origine cardiaque (dans une phase de sommeil, pas de malaise par le passé, paramètres vitaux dans la norme). Pour une convulsion fébrile, la présentation est atypique (pas de phases post-critique, âge, pas d'antécédents) et au vu d'un examen neurologique dans la norme sans méningisme, nous ne faisons pas plus d'investigations. Nous proposons une hospitalisation mais au vu de la surveillance rassurante, le père souhaite rentrer. Nous donnons les consignes de reconsultation en cas de péjoration ou de récidive des symptômes. Nous hospitalisons Roméo pour gérer son antalgie sur des douleurs abdominales intenses dans un contexte de reflux gastro-oesophagien et d'un probable épisode de gastroentérite présumée virale. L'antalgie est assumée par du Fentanyl à 1 mcg/kg, une dose de Tramal 50 mg et Paracétamol 15 mg/kg/dose IV. Nous mettons en place un traitement par Pantoprazole 40 mg/kg/jour IV ainsi qu'une hydratation par Glucosalin 2:1. Roméo présente une amélioration clinique rapide avec le 11.01 amendement des douleurs abdominales et des selles liquides. Il n'y a pas eu de vomissement durant son hospitalisation. En raison de l'amendement des symptômes, nous ne procédons finalement pas à d'endoscopie en urgence et laissons Roméo rentrer à domicile le 12.01.20. Nous indiquons à la patiente de revenir le dimanche 05.01.2020 pour faire un dernier contrôle et suite de prise en charge chez le médecin traitant. Nous proposons à la patiente de reprendre le travail lundi avec limitation du port de charge. Nous informons la maman de la surveillance après un traumatisme crânien et quand reconsulter en urgence. L'ablation des agrafes se fera dans cinq jours chez le pédiatre traitant. Nous informons la patiente qu'elle est en droit d'effectuer un constat de coup. Après discussion, cette dernière refuse et mentionne qu'il s'agit du premier et unique épisode. La patiente se sent en sécurité de rentrer avec son conjoint, elle est informée des possibilités ainsi que des numéros d'urgence à contacter en cas de nécessité. Nous informons le patient de l'importance de reconsulter son médecin traitant ou les urgences en cas d'apparition de baisse de l'état général avec une sensation de fièvre, des céphalées importantes, une rougeur ou une péjoration importante de l'oedème. Nous informons Yassine et sa maman d'éviter le contact avec l'eau au niveau de la plaie pendant cinq jours. Attestation pour la piscine donnée. Reconsulter si rougeur, chaleur, douleur, écoulement ou fièvre. Explications et feuille d'information de reconsultation en raison du traumatisme crânien données à la maman. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une gastroentérite débutante et proposons un traitement symptomatique. Nous invitons la patiente à reconsulter si les symptômes persistent ou si elle vient à présenter des red flags. Nous interprétons les symptômes dans le contexte d'une angine virale que nous traitons symptomatiquement. Nous invitons le patient à reconsulter en cas de persistance après 48h ou péjoration de la symptomatologie. Nous interprétons les symptômes dans le contexte d'une infection virale des voies aériennes supérieures sans red flags. Nous traitons la patiente symptomatiquement et adressons les conseils hygiéniques et diététiques. Nous proposons à la famille de reconsulter en cas de péjoration des symptômes malgré le traitement conservateur. Nous jugeons indiqué d'effectuer un prochain contrôle radiologique dans 4 semaines pour confirmer l'évolution favorable. Si à ce moment-là la collection est de la même taille voire en diminution, on pourra arrêter les suivis. On laisse le soin à Mme X de faire le suivi et les prises de décisions pour la tumeur. Nous la convoquerons en consultation afin de prévoir ce geste sous sédation au bloc opératoire. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec des douleurs abdominales d'origine peu claire (DD début de gastro-entérite, APP débutante). Au vu du laboratoire rassurant, nous proposons un traitement antalgique et consigne de reconsulter si absence d'amélioration ou nouveau symptôme. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec Cetallerg 2 cpr/jour pendant 48 heures, puis 1 cpr/jour pendant encore 2 jours. Contrôle à votre consultation le 30.01.2020. Envoi du résultat de la tryptase au médecin traitant. La tryptase est dans la norme à 2,87 ug/l (<13,5 ug/l). Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un diagnostic de dorsalgie sans déficit avec antalgie, physiothérapie et arrêt de sport. Nous laissons la patiente rentrer avec proposition de discuter d'un changement de traitement avec son dentiste au vu des effets secondaires. Nous laissons la patiente rentrer avec traitement symptomatique pour IVRS, consigne de reconsulter si pas d'amélioration. Nous laissons la patiente rentrer avec un diagnostic d'IVRS et un traitement symptomatique. Nous laissons le patient rentrer à domicile après suture de la plaie avec antibiotique prophylactique. Contrôle prévu à la permanence le 18.01.2020. Nous laissons le patient rentrer avec traitement symptomatique pour une angine virale. Nous laissons le soin au médecin traitant d'investiguer les douleurs en cas de persistance.Nous l'autorisons à marcher en charge selon douleurs avec mobilisation libre de la cheville. Prolongation de l'arrêt de travail pour 3 semaines. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. Nous le reverrons dans 1 semaine pour l'ablation de la broche. Nous l'adressons également en stomathérapie pour les soins de la plaie. Nous l'informons des différents problèmes et risques liés à une intervention chirurgicale d'un côté qui risqueraient de surcharger le côté opposé avec une exacerbation des douleurs. Nous préconisons pour le moment un traitement conservateur avec prescription d'une semelle rigide avec appui rétro-capital, notamment à G, afin de décharger les MTP et soulager les douleurs. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique et refaire le point. Nous lui avons donné un traitement par Emla pour 7 jours et on la reverra à 7 jours de l'arrêt du traitement pour avoir une confirmation. En même temps, nous soulignons que la composante musculaire, dans le contexte de la spondylodèse effectuée, peut toujours être déclenchée par les changements de température et donc on a tout de même donné une ceinture élastique pour soulager. Au vu des altérations aux membres inférieurs avec surtout perception de lourdeur et d'engourdissement du membre inférieur droit, on ne peut pas exclure une éventuelle thrombose veineuse et on prie les collègues du service d'angiologie de convoquer la patiente pour effectuer une sonographie veineuse des membres inférieurs. Nous lui conseillons de poursuivre le port des semelles sur mesure. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lui effectuons une suture : • Désinfection Hibidil et champage. • Rinçage de la plaie. • Suture par 1 point à l'Ethilon 5-0 à la jonction lèvre rouge-blanche. • Stéristrip. La patiente rentre à domicile et consultera son médecin traitant à 5-7 jours pour l'ablation des fils. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices d'une intervention chirurgicale. Finalement, le patient ne souhaite pas d'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Il est conscient qu'il peut se réadresser à nous. Fin du suivi pour le moment. Nous lui expliquons que nous pouvons faire une intervention chirurgicale avec ablation de cet ongle. Toutefois, nous demandons d'abord à nos collègues d'angiologie de faire un bilan de perfusion. Nous la reverrons suite à ce bilan pour organiser l'intervention. La patiente souhaite se faire opérer par le Dr X. À noter qu'elle est sous antibiothérapie par Bactrim pour la hanche jusqu'au 09.03.2020. Nous lui expliquons qu'il est possible qu'il y ait un conflit mécanique. Nous lui proposons donc de faire une chéilectomie mais sans aucune garantie que cela le soulagera au niveau des douleurs ou améliorera la dorsiflexion. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. À noter qu'il souhaite également enlever la plaque au niveau de la fibula. Nous prévoyons donc une chéilectomie de ce bec ostéophytaire et une AMO de la fibula. Nous lui prescrivons des semelles avec coin valgisant pour lutter contre le varus de l'arrière-pied et à but de soulager le compartiment externe. Nous décidons également de faire une infiltration dans le soft point de la cheville G. Nous le reverrons suite à ce geste. Nous lui prescrivons encore de la physiothérapie à but antalgique et pour la proprioception. Charge selon tolérance. Les activités sportives sollicitant le pied sont encore à éviter. Nous lui prescrivons également des semelles orthopédiques avec soutien longitudinal de l'arche médiale. Arrêt de travail à 100 % prolongé pour 6 semaines. Prochain contrôle dans 6 semaines. Nous maintenons l'intervention au niveau du poignet qui est fixée au 9 janvier 2020. La patiente a déjà été prévenue des risques péri et post opératoires qu'elle a acceptés en signant le consentement. Nous mettons au patient une attelle Aircast, avec une marche en charge selon les douleurs avec des cannes anglaises. Nous lui prescrivons une thromboprophylaxie par Clexane et une antalgie per os. Le patient reviendra dans une semaine à la policlinique d'orthopédie pour un contrôle. Nous mettons en annexes les résultats du laboratoire réalisés. Nous faisons une radiographie décrite ci-dessus. La patiente rentre à domicile avec une antalgie simple par Paracétamol et AINS pour 5 jours. Elle organisera un contrôle clinique chez son médecin traitant en cas de persistance des douleurs à > 10 jours pour un CT du bassin et de la hanche afin d'exclure une nécrose aseptique de la hanche droite. Pour ce qui est de la suspicion d'une hernie inguinale droite, nous organiserons un US ou un CT en ambulatoire avec une consultation chez le Dr X en cas d'hernie inguinale. Nous mettons en évidence aux urgences un pic fébrile à 38.2 °C qui pourrait expliquer l'inconfort de cette nuit. Au vu de l'excellent état général de Mr. Y et de l'absence de signes de gravité, nous le laissons rentrer à domicile avec consigne de reconsulter si persistance de l'état fébrile après 24 h ou de suite si péjoration de l'état clinique. Nous mettons en évidence des adénopathies latéro-trachéales droites de 1-2 cm sur angine virale avec CENTOR score 1. Au vu d'une clinique et d'un laboratoire rassurants, nous discutons avec le Dr X et préconisons un traitement symptomatique pour une angine. La patiente rentre à domicile et est prévenue de consulter son médecin traitant en cas de persistance des adénopathies pendant plus de 1-2 semaines. Pour ce qui concerne la suspicion d'hypothyroïdie subclinique avec TSH 0.145, nous proposons la poursuite des investigations chez son médecin traitant. Nous mettons en évidence des céphalées en grappes avec gestion de la douleur difficile chez une patiente connue pour céphalées en grappes et pour sclérose en plaques. La patiente est suivie en Valais en neurologie à Sion et par le centre de la douleur à Martigny (avec intervention prévue en janvier). Au vu d'une patiente hors canton, nous discutons avec la Dr. X et le Dr. X et préconisons un transfert à l'Hôpital de Martigny pour suite de prise en charge. Les urgences de Martigny sont prévenues. Départ en ambulance. Nous mettons en évidence des douleurs abdominales d'origine indéterminée (DD: torsion annexe à droite). Le laboratoire montre des leucocytes 23.3 G/l avec neutrophilie, reste de FSS, fonction rénale, électrolytes, test hépato-pancréatiques sans particularité, pas de syndrome inflammatoire, crase sans particularité. Le sédiment urinaire est propre. Un CT-scanner abdominal ne montre pas d'argument pour une appendicite, pas de liquide libre intra-abdominal mais une tuméfaction marquée de l'ovaire droit. Nous effectuons la gestion de l'antalgie aux urgences: Morphine, Paracétamol, Primpéran et Ecofenac. Au vu de la suspicion de torsion de l'annexe droite, nous discutons avec le Dr X et prenons l'avis du gynécologue de garde de l'HFR Fribourg et préconisons un transfert pour suite de prise en charge gynécologique. La patiente est amenée par la famille en voiture à cause de l'attente de 1 h prévue pour l'ambulance. Nous mettons en évidence des hémorroïdes internes stade II-III sans signe clinique de cirrhose hépatique, le laboratoire et l'examen clinique sont rassurants, donc nous discutons avec le Dr X et préconisons un retour à domicile avec traitement des hémorroïdes. Suivi chez le médecin traitant à prendre par le patient, il lui est donné la carte du Dr X sur sa demande. Nous conseillons un suivi chez un proctologue et une colonoscopie (indiquée si jamais faite ou faite il y a plus de 5 ans). Nous mettons en évidence un pic hypertensif à 200 mmHg systolique symptomatique chez une patiente connue pour hypertension artérielle. L'examen clinique est rassurant. Le laboratoire montre une FSS, fonction rénale, électrolytes sp. Pas de syndrome inflammatoire. L'ECG a un rythme sinusal avec 75 bpm sans d'altération significative de la repolarisation. Le sédiment urinaire est sp.Nous administrons de l'Adalat 20 mg aux urgences avec descente de la tension artérielle à une valeur normale et disparition des symptômes. Nous discutons avec le Dr. X et préconisons un retour à domicile avec un suivi chez le médecin traitant pour Holter tensionnel 24h et adaptation du traitement anti-hypertenseur. Nous prescrivons un Adalat en réserve. Nous mettons en évidence une fracture ouverte de la phalange distale du 2ème doigt avec une plaie circulaire d'environ 1 mm au centre de l'ongle du 2ème doigt de la main droite transperçant l'ongle provoqué par une visseuse. Nous discutons avec le Dr. X et administrons un traitement par Zinacef 1.5g iv en dose unique aux urgences. Nous lui prescrivons 3 jours de Cefuroxime 500 mg 2x/jour. Nous effectuons une AL, un rinçage profus avec aiguille boutonnée, un pansement tulle betadiné et une compresse avec un gros bandage aux urgences. Nous lui donnons 2 semaines d'arrêt de travail et lui préconisons un contrôle en policlinique après 2 jours. Nous mettons en place un protocole pansement par Nugel après débridement de la fibrine. La patiente reviendra en contrôle en filière des urgences ambulatoires le 11.01 et prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle le 13.01. Nous mettons en place un traitement par Aircast à garder au minimum durant 3 semaines. À ce moment-là, le patient se rendra chez son médecin traitant pour réévaluation clinique et si nécessaire, on prolongera l'immobilisation par Aircast pour les trois semaines suivantes. Avec l'Aircast, le patient marche bien, donc il n'est pas nécessaire de faire une prophylaxie antithrombotique. Nous conseillons la surélévation de la jambe et la pose de glace avec thérapie antalgique et anti-inflammatoire. Le patient étant en apprentissage, nous lui donnons un arrêt de travail pour les prochaines 3 semaines, à réévaluer selon l'évolution clinique. Nous mettons fin à l'immobilisation et le patient peut se mobiliser de façon libre selon les douleurs. Pas de sport, en particulier pas de trampoline et ni de ski durant encore 3 semaines. Contrôle clinique de la mobilité dans 4 semaines à votre cabinet. Nous montrons au patient les images que nous avons à disposition (IRM lombaire) qui mettent en évidence une claire discopathie L5-S1 avec signe de Modic liée à une dégénérescence lombaire qui était clairement déjà présente avant la chute. Ceci peut être la source du problème qui a fait se développer une composante mécanique au niveau de la sacro-iliaque gauche, qui est actuellement l'épiphénomène symptomatique de cette pathologie. Nous pensons qu'il est nécessaire de traiter les douleurs par des séances de chiropractie pour les deux prochains mois. En cas d'amélioration lors du prochain contrôle, nous pourrons mettre un terme au suivi, mais en cas d'absence d'amélioration dans deux mois, nous pourrons réaliser une infiltration sacro-iliaque gauche à but diagnostic et thérapeutique. Arrêt de travail à 100% pour les deux prochains mois, moment où nous reverrons la patiente. Nous montrons les images au patient et à son mari et leur expliquons la pathologie ainsi que l'indication opératoire de manière détaillée. Bien que la patiente soit asymptomatique, une collection de plus de 10 mm avec un clair effet de masse sur l'imagerie et avec la disparition des espaces liquoreux sub-arachnoïdiens au niveau des sillons superficiels gauches, une déviation de la ligne médiane de 3 mm de la gauche vers la droite sont des motifs à une intervention de trépanation et évacuation de la collection afin de prévenir une aggravation symptomatique. Selon la littérature, une collection dépassant les 10 mm a très peu de chances de se résorber spontanément. La patiente est donc informée des risques liés à l'intervention ainsi que des risques liés à une abstinence thérapeutique éventuelle si elle choisit de ne pas se faire opérer. Le consentement éclairé lui est remis. Nous n'arrivons pas à expliquer les douleurs et la gêne décrites par la patiente. Nous proposons un traitement d'anti-inflammatoires accompagnés d'une protection gastrique pour 7 jours. Nous prescrivons également de la physiothérapie avec des ondes de choc. Nous lui donnons également un arrêt de sport pour 1 semaine. Nous la reverrons dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Nous n'avons aucune image, aucune IRM qui nous démontre la présence de ce kyste, tant du côté gauche que du côté droit. La patiente a déjà eu une IRM de son poignet en janvier 2019. Les images ne sont pas à disposition. Nous les avions vues à l'époque et nous n'avions pas pu voir de manière sûre un ganglion. Nous demandons ainsi une nouvelle IRM des deux côtés pour confirmer la présence d'un ganglion des deux côtés. Nous verrons la patiente par la suite et, le cas échéant, nous planifierons une excision de ce ganglion. Nous n'avons ce jour pas de signes pour une sur-infection/inflammation des mamelons. En l'absence de signes de gravité, nous préconisons un contrôle clinique chez le pédiatre (déjà prévu le 13.01) avec une éventuelle consultation en dermatologie +/- endocrinologie à prévoir par la suite si symptomatologie persiste. Si péjoration de la clinique (tuméfaction, rougeur, écoulement) et/ou apparition d'un état fébrile, reconsulter de suite. Nous n'avons pas de lit disponible à l'étage de pédiatrie pour hospitalisation pour antalgie intraveineuse, et nous effectuons un US abdominal qui permet d'exclure une invagination. Dans ce contexte, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile avec un contrôle en gastroentérologie la semaine prochaine chez le Dr. X et consigne de reconsulter si péjoration clinique. Nous n'avons pas pu examiner le patient, il est reparti sans consultation. Une feuille de décharge a été signée, la copie est donnée au patient. Nous ne faisons aucun examen complémentaire vu l'absence de plainte de la part du patient. Nous retenons un état dépressif avec idéations suicidaires. Nous demandons un avis au Dr. X, psychiatre de garde, qui recommande une hospitalisation. Nous téléphonons au triage du RFSM Marsens et le patient est transféré dans l'unité Vénus. Nous ne posons pas de contre-indication spécifique à la reprise de l'Aspirine cardio à 2 semaines de ce jour. Il n'y a pas d'indication à revoir le patient, hormis s'il y a une aggravation clinique. Nous ne répétons ni laboratoire ni urines au vu des examens de ce matin et de dimanche à Riaz. US abdominal: appendice non visualisée, mais pas de signe indirect pour une APP, iléon légèrement épaissi, reste s.p. Laboratoire: aligné. Au vu de l'absence de cinétique, APP très peu probable. Proposition d'effectuer une calprotectine fécale et de tenter une éviction du gluten pour un éventuel début de coeliaquie. Contrôle à 48h chez le médecin traitant et suivi des résultats de calprotectine à J7 environ. Nous ne retenons pas le diagnostic de douleurs thoraciques pariétales, il n'y a pas d'argument pour une cause cardiaque, pulmonaire ou traumatique. Nous ne retenons pas d'argument pour un abdomen chirurgical ni pour une cause infectieuse ou inflammatoire. Nous proposons une antalgie simple par Dafalgan et Algifor, ainsi qu'un traitement laxatif avec Movicol 1 sachet/j puis à adapter selon la consistance des selles. Nous ne retenons pas d'argument pour un abdomen chirurgical ni pour une infection urinaire. Nous prescrivons une antalgie simple. Indication de reconsulter si péjoration des douleurs abdominales, récidive d'état fébrile ou péjoration clinique.Nous ne retenons pas d'argument pour une consultation ORL en urgence. Nous proposons un rendez-vous à votre consultation afin d'organiser un contrôle ORL au besoin. Nous ne retrouvons pas d'arguments en faveur de signes d'infarctus du myocarde. Nous prescrivons un traitement antalgique et conseillons à Mr. Y de prendre rendez-vous avec son cardiologue traitant afin de compléter le bilan. Nous invitons Mr. Y à reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie ou d'apparition de nouveaux symptômes cardiaques. Nous ne retrouvons pas d'arguments en faveur d'une ischémie myocardique. Nous interprétons les symptômes probablement dans le contexte d'un état anxieux et informons Mr. Y sur la bénignité des symptômes ressentis. Nous administrons 2 comprimés de Temesta en réserve et invitons Mr. Y à reconsulter sa médecin traitante en cas de persistance des symptômes ou de péjoration de la symptomatologie. Nous ne retrouvons pas d'arguments en faveur d'une pathologie cardiaque. Nous rassurons Mr. Y et lui proposons de s'annoncer auprès d'un cardiologue en cas de persistance des symptômes ou d'apparition de nouveaux symptômes cardiaques (dyspnée d'effort, syncope, palpitations, ...) Nous ne retrouvons pas de signes de gravité à l'anamnèse ni à l'examen physique. Au vu du bon état général et de la notion d'épidémie de grippe actuellement, nous concluons à un syndrome grippal. Mr. Y reconsulte le 6.1 si persistance de l'état fébrile ou avant si péjoration de la clinique (les signes de gravité sont expliqués à la maman). Nous ne sommes pas certains du diagnostic de zona vu la présence de cette lésion depuis plus d'un an et son caractère indolore. Nous laissons les collègues de rhumatologie réévaluer l'indication à un traitement antiviral (qu'ils ont initié) en fonction des informations en leur possession. Nous proposons par ailleurs une consultation dermatologique si aucune autre investigation n'a été demandée dans le passé. Nous nettoyons la plaie avec du NaCl, désinfectons et explorons la plaie avec le Dr. X, orthopédiste. Nous ne constatons ni corps étrangers ni lésions de structures nobles. Nous désinfectons la plaie et suturons avec 4 points de l'Ethilon 4.0. Nous mettons en place un pansement. Nous effectuons un rappel anti-tétanique. Nous conseillons à Mr. Y de prendre un rendez-vous chez son médecin traitant dans 48h, ainsi qu'un rendez-vous pour ablation des fils à 10 jours. Mr. Y rentre à domicile le 22.01.20 avec un arrêt de travail. Nous notons des tests hépatiques en amélioration. Nous réalisons un IRM décrit ci-dessus. Mr. Y n'a aucune plainte. Nous contactons le Prof. X pour un CMV qui revient négatif, la recherche pour HEV est en cours au CHUV. Nous agendons un rendez-vous de contrôle à la filière des urgences ambulatoires pour un examen clinique et les résultats HEV le 14.01.2020. Mr. Y rentre à domicile. Nous notons une bonne évolution de la plaie. Nous conseillons de changer le pansement tous les 2 jours. Ablation du fil à J10 selon évolution de cicatrice chez le médecin traitant de la fille de Mme. Y (patiente en vacances en Suisse). La rougeur autour de l'endroit du vaccin antitétanique est délimitée et nous conseillons à Mme. Y de revenir aux urgences en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. Nous notons une disparition des douleurs des genoux liées à Osgood Schlatter grâce à la physiothérapie. Actuellement, il persiste des douleurs du côté médial du genou D qui peuvent être liées à des douleurs fonctionnelles durant la croissance. Afin d'exclure une lésion ostéochondrale ou une plica médio-patellaire symptomatique, nous organisons une IRM. Nous la reverrons suite à cet examen. Poursuite des exercices appris en physiothérapie. Nous nous retrouvons donc face à un jeune patient actif avec une suspicion d'oedème bipédiculaire. Le diagnostic différentiel reste ouvert, raison pour laquelle nous souhaitons réaliser un CT-scanner lombaire à la recherche d'une fracture ou alors d'une autre origine à ces douleurs. Les douleurs sont d'allure mécanique, peu inflammatoire. Nous recommandons à Mr. Y de n'effectuer aucune activité traumatique (foot, course ou autre). Nous reverrons Mr. Y à l'issue de ces examens. Nous nous retrouvons face à une imagerie impressionnante, mais avec une symptomatologie très peu floride. Nous expliquons à Mme. Y les options thérapeutiques que sont la chirurgie ou le traitement conservateur, et nous optons pour la 2ème option en laissant le soin à Mme. Y de nous recontacter en cas de nouveau déficit neurologique ou nouvelle symptomatologie plus accentuée. Nous nous retrouvons face à une patiente de 82 ans en bonne santé habituelle, mais présentant des troubles dégénératifs importants du rachis avec répercussion clinique modérée. En effet, une antalgie par Dafalgan et Tramal est suffisante à juguler les douleurs de Mme. Y, et le tout est compatible avec des activités de la vie quotidienne. Nous lui expliquons la nature de sa pathologie, souhaitant un suivi radioclinique dans 6 mois. En cas d'apparition de douleurs irradiantes ou de douleurs lombaires plus sévères, une IRM sera réalisée, et en fonction, un traitement sera adapté. Nous nous retrouvons face à une patiente présentant des douleurs lombaires avec irradiation majeure aux membres inférieurs dans un contexte de discopathie sévère. Nous recommendons la réalisation d'une IRM lombaire avec séquence vasculaire sur les disques afin d'évaluer l'ensemble des structures anatomiques ainsi que la réalisation de radiographies debout face, profil, ainsi qu'en flexion/extension. Nous prescrivons du Co-Dafalgan à Mme. Y qui ne présente pas d'allergie comme antalgique, et nous la reverrons à l'issue de l'ensemble des examens pour discuter d'une prise en charge chirurgicale par fixation/fusion L4-L5 si les autres segments sont en bon état. Entre-temps, nous restons à disposition. Nous nous retrouvons face à un patient asymptomatique, actuellement sous Eliquis pour une fibrillation auriculaire. Lors de la première angio-IRM, nous avions un doute sur un départ fusiforme de la PCA gauche. Dans ce contexte, un contrôle est effectué et nous retrouvons une stabilité des lésions sans dilatation ou anévrisme. Nous proposons tout de même un suivi à 1 an afin de confirmer ou d'infirmer le diagnostic, et nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions dans l'intervalle. Nous nous retrouvons face à un patient présentant au premier plan une cervicobrachialgie C6 droite. Dans ce contexte, nous organisons une infiltration péri-radiculaire C6 droite à visée thérapeutique et diagnostique au vu de la distribution des dermatomes. Une composante douloureuse au niveau C7 ne peut être exclue, mais nous procéderons par étapes. Nous reverrons Mr. Y 3 semaines après l'infiltration. Nous nous retrouvons face à un patient présentant des douleurs en accentuation et proposons une infiltration uniquement d'anesthésiant local à but diagnostic loco-dolenti en salle des plâtres. En fonction des résultats, nous déciderons de la suite de la prise en charge. Nous nous retrouvons face à une patiente qui, dans ses antécédents, malheureusement, présente un carcinome mammaire, raison pour laquelle nous souhaitons pousser les investigations un peu plus loin. En effet, l'hypersignal STIR sur l'IRM est disproportionné par rapport au type de fracture. Nous avons l'impression de voir 2 lésions arrondies au sein de la fracture. Nous organisons donc un PET-CT thoraco-abdominal à la recherche d'une tumeur dans une autre localisation et demandons à nos collègues radiologues de caractériser cette lésion, à savoir un tassement ou alors une lésion sous-jacente tumorale.Entre temps nous demandons également au médecin traitant de compléter le bilan d'ostéoporose avec notamment une ostéodensitométrie si nécessaire, un complément en cas de besoin et éventuellement une électrophorèse des protéines. Nous réadressons également Mme. Y au Professeur X qui la suivait dans le contexte du carcinome pour un éventuel bilan plus extensif. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% sans déplacement en voiture et ce pour le prochain mois. Nous observons une évolution assez favorable de cette patiente après ce lourd traumatisme. Nous conseillons à Mme. Y de poursuivre ces séances de gymnastique aquatique et lui proposons un nouveau contrôle radioclinique d'ici 3-4 ans. Concernant les fractures traitées par ostéosynthèse du membre supérieur D, Mme. Y souhaite un contrôle chez nos collègues du team membres supérieurs. Mme. Y sera donc convoquée. Nous restons bien sûr à disposition en cas d'éventuels problèmes. Nous organisons de la physiothérapie avec US à but antalgique. Nous organisons également une infiltration sous US en radiologie au niveau des tendons des péroniers. Nous la reverrons à 6 semaines après ce geste. Nous organisons donc l'ablation du clou. Les risques et les bénéfices sont expliqués à Mme. Y et à ses parents à l'aide d'un formulaire de consentement qu'ils signent. Nous organisons un contrôle à 48 heures. Nous organisons un CT centré sur l'hallux pour mieux évaluer la consolidation osseuse. Au vu du contexte de la fracture et des comorbidités avec pancréatite chronique sur OH, tabagisme actif, diabète peu contrôlé, nous n'allons probablement pas faire de geste chirurgical. Nous le reverrons suite au CT. Nous pensons toujours qu'il présente une allodynie et qu'il devra être suivi en ergothérapie et en rhumatologie pour ceci. Nous prions également nos collègues d'antalgie de convoquer Mr. Y pour prendre en charge ses douleurs. Nous organisons un CT du pied D et le reverrons pour discuter de la suite de la prise en charge. Nous évoquons déjà la possibilité d'une nouvelle cure de pseudarthrose avec arthrodèse. Nous organisons une infiltration au niveau de la zone douloureuse dans le trajet du tendon d'Achille. Nous le reverrons 3 semaines après ce geste. Nous organisons une IRM de la colonne lombaire et Mme. Y sera convoquée par le team Spine. Par rapport à la hanche, Dr. X va discuter avec Prof. X sur éventuelle ablation du matériel d'ostéosynthèse, soit dans sa totalité, soit seulement les vis antirotatoire. Prochain contrôle dans 3 mois pour discuter de la suite de la prise en charge. Nous organisons une IRM lombaire avec produit de contraste pour exclure cela, associé au traitement physiothérapeutique susmentionné. On reverra Mr. Y dès que l'IRM sera disponible pour exclure une composante mécanique ou dégénérative au niveau de la colonne lombaire et éventuellement envisager un traitement plus ciblé. Mr. Y nous informe avoir reçu un rendez-vous auprès du team genou pour les problèmes spécifiquement liés au genou droit et on attend les résultats de cette évaluation. Nous organisons une nouvelle IRM de la colonne lombaire et selon les résultats, également une infiltration péridurale L4-L5 à la consultation de Dr. X. Nous reverrons Mme. Y suite à l'IRM. Nous pensons que la douleur au niveau du 2ème orteil est d'origine tendineuse, expliquée par la marche d'évitement qui sollicite beaucoup le 2ème orteil. Nous prescrivons de la physiothérapie et nous reverrons Mr. Y à 3 mois pour un contrôle radio-clinique. Nous pensons que la douleur est plutôt due à une cause musculaire vu que Mr. Y a repris tout de suite la mobilité et a forcé les poignets. Nous lui proposons de commencer à faire des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire. Contrôle radioclinique dans 2 mois. S'il y a encore une persistance des douleurs, nous organiserons une arthro-IRM. Nous pensons que la douleur vient de l'accentuation de l'arthrose de STT avec éventuelle irritation du FCR. On organise un ultrason pour évaluer le kyste arthro-synovial et des tendons FCU/FCR avec notre présence. Nous reverrons Mme. Y après US pour discuter des résultats. Nous pensons qu'il est nécessaire de revoir Mme. Y dans 6 semaines afin d'exclure une aggravation secondaire de la symptomatologie. Nous pensons qu'il est nécessaire d'effectuer un bilan neuropsychologique dans sa langue maternelle et prions donc nos collègues de la neuropsychologie d'organiser une prise en charge dans sa langue maternelle à l'aide de l'interprète présente ce jour. Au vu de la stabilité de la taille des ventricules, de l'absence de signe d'infection, de l'absence de mauvais fonctionnement de la dérivation et de l'absence de signe aigü de saignement au niveau intra-crânien, nous ne pensons pas qu'il est nécessaire de suivre de façon très rapprochée Mr. Y. Nous attendons les résultats de la neuropsychologie et l'éventuelle réhabilitation que Mr. Y devra faire. Nous laissons le soin au médecin de famille de réorganiser si nécessaire une nouvelle consultation chez nous. Nous pensons qu'il est nécessaire d'effectuer un 2ème test d'infiltration au niveau L3-L4 avant d'envisager une éventuelle dénervation afin de pouvoir mieux cibler le niveau. En cas d'échec du traitement par infiltrations, un bilan rhumatologique sera à envisager au vu de l'anamnèse familiale concernant les maladies rhumatologiques. Nous pensons qu'il est possible qu'avec le port des semelles qui corrigent en externe le pied, que Mme. Y a décompensé avec des douleurs dans le pied. Nous proposons alors de faire une analyse de la marche chez Orthoteam. Nous la reverrons suite à cela. Nous pensons qu'il s'agit plutôt d'une lésion au niveau de la capsule postérieure. L'appareil ligamentaire surtout les croisés sont stables à l'examen clinique. Pour mieux bilanter et exclure une atteinte du cartilage et des ménisques, nous discutons avec Mme. Y pour faire une IRM. Nous allons la revoir après cet examen. Activité sportive selon douleurs. Nous pensons qu'il s'agit plutôt d'une tendinite de l'origine du ligament rotulien et d'autre part d'une fasciite plantaire. Nous prescrivons des séances de physiothérapie pour le relâchement des chaînes postérieures et antérieures ainsi que pour des ultrasons. Prescription également de Flector Patchs pour application locale. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si besoin. Nous planifions l'ablation du matériel d'ostéosynthèse pour le 11.02.2020. Les bénéfices et les risques de l'intervention sont expliqués à Mr. Y qui les accepte, nous lui expliquons également que les 2 vis rompues, les plus proximales seront laissées en place dans l'os. Nous posons donc l'indication opératoire à une correction de l'hallux valgus selon Scarf et Akin, DMMO des orteils 2 à 4, plus ou moins correction du 2ème orteil en griffe. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. En post-opératoire, elle aura besoin d'une chaussure Darco et d'une prophylaxie antithrombotique durant 7-10 jours. Nous posons le diagnostic de contracture paravertébrale cervicale gauche post-traumatique. Au vu d'un examen clinique rassurant, nous instaurons un traitement antalgique, anti-inflammatoire et myorelaxant et autorisons Mr. Y à regagner son domicile. Nous lui conseillons du repos et de reconsulter en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. Nous posons le diagnostic de mycose interdigitale du pied gauche et prescrivons un traitement de Pevaryl poudre, à appliquer 2 x/jour durant un minimum de 2 semaines.Le patient se présentera chez son médecin traitant pour un contrôle d'ici 2 semaines, et suite à la prise en charge. Au vu d'une onychomycose du pied gauche, nous recommandons une analyse unguéale et un traitement antifongique oral. Nous posons le diagnostic de virose respiratoire et instaurons un traitement symptomatique. La patiente se présentera chez son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle. Nous posons le diagnostic d'infection urinaire simple que nous décidons de traiter par Furadantine 100 mg • 2 x/jour pendant 7 jours. En ce qui concerne la douleur en fosse iliaque droite, nous voulons exclure une origine gynécologique, raison pour laquelle nous demandons à la patiente de se présenter à la filière des urgences ambulatoire le 20.01.2020 pour un contrôle clinique, biologique et échographique. Une antalgie simple est prescrite pour la nuit. Nous posons la suspicion de gangrène de Fournier, avec un Quick SOFA 1/3 et un SOFA score 4. Le CT abdomino-pelvien montre des infiltrations des tissus mous avec présence d'air sous-cutané, pas d'abcès ni masse, pas de masse du petit bassin. Lésion ovarienne G 3.5 cm (possiblement un kyste). Diverticulose sans diverticulite, cholécystolithiase sans cholécystite. Nous administrons un traitement par Rocéphine 2g + Klacid 500 mg en 1 h aux Urgences. Nous discutons avec Mme. Y et avec Dr. X et Dr. X et préconisons un transfert sur Fribourg gynécologie pour prise en charge chirurgicale. Pour ce qui concerne la décompensation cardiaque globale avec décompensation respiratoire hypoxémique normocapnique (DD suspicion de ARDS), nous administrons Atrovent + Ventolin aux Urgences et l'examen clinique à 15h30 ne montre pas de sibilances, diminution de râles crépitants. Nous mettons en évidence aussi un INR supra-thérapeutique > 5.5 donc nous administrons du Konakion 5 mg IV aux Urgences, et une insuffisance rénale aiguë sur chronique avec Creat 294 mmol/l et eGFR CKD EPI 12. Nous poursuivons les séances d'ergothérapie pour massage cicatriciel et reverrons le patient pour un prochain contrôle dans 6 semaines. Nous prolongeons l'arrêt de travail du patient pour 2 semaines supplémentaires. Nous poursuivons l'immobilisation par attelle plâtrée postérieure, ainsi que la prophylaxie thromboembolique par Clexane. Un prochain contrôle à la policlinique d'orthopédie est prévu pour le 31.01.2020. Nous pouvons donc proposer à notre patiente une infiltration sacro-iliaque bilatérale par Curavisc en salle de plâtre. La patiente est d'accord avec l'attitude. Au vu des antécédents infectieux, l'alternative serait une dénervation des sacro-iliaques. La patiente souhaite tenter les infiltrations en premier lieu. Nous pouvons exclure une origine cardiaque des douleurs rétrosternales et un traitement pour la toux est déjà en place (l'auscultation pulmonaire est propre et le laboratoire est rassurant : pas d'autre investigation à faire). Pour ce qui concerne le syndrome dépressif avec des idées suicidaires, nous prenons l'avis de Dr. X et préconisons une hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Nous pouvons raisonnablement poser l'indication de l'implantation d'une PTH du côté D. Une opération qui pourra se faire par une voie antérieure. En raison de la dysplasie, nous demandons encore un CT du membre inférieur pour mesurer les torsions. Nous pratiquons un examen clinique qui se veut rassurant. Le laboratoire sanguin est sans particularité, le stix urinaire est négatif et la radiographie du thorax est sans particularité. Le patient rentre à domicile avec un Temesta 1 mg en réserve. Une IRM cérébrale le 20.01 a été organisée par son médecin traitant pour des symptômes neuro-chroniques. Il a un rendez-vous chez un gastroentérologue, le 24.01, pour investigation d'hématochézies chroniques avec perte pondérale. Nous pratiquons un examen clinique qui est rassurant. La radiographie du pied ne montre pas de lésion osseuse récente. Le laboratoire démontre des leuco-cytes à 6.2 G/l, une CRP à 11 mg/l et des D-dimères à 384 ng/ml. Pas de trouble de la crase. Pas de troubles des électrolytes. Nous concluons à des douleurs chroniques et prescrivons un traitement avec antalgie simple. Le suivi sera fait par le médecin traitant. Nous pratiquons un examen clinique qui est rassurant. Le bilan biologique démontre une cholestase mais sans syndrome inflammatoire. Nous demandons au patient de se rendre chez son médecin traitant dans 48 heures pour un contrôle clinique biologique et nous lui conseillons un contrôle chirurgical pour rediscuter d'une cholécystectomie. Nous pratiquons un examen clinique qui est rassurant, le streptotest revient négatif. Le patient peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Nous pratiquons un sédiment urinaire qui montre des érythrocytes, des leucocytes et l'absence de nitrites. Nous instaurons un traitement de Furadantine 100 mg 2 x/jour pendant 7 jours. La patiente rentre à domicile, nous lui recommandons un contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Nous pratiquons une radiographie du coude gauche qui ne montre pas de lésion traumatique ostéo-articulaire. La patiente bénéficie d'une bretelle antalgique et d'un traitement d'Ibuprofène pour 3 jours, puis en réserve. Nous conseillons à la patiente de reconsulter en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. Nous pratiquons une radiographie du genou gauche qui ne montre pas de fracture. Vu que le patient est très algique, nous immobilisons le genou gauche par une attelle jeans à 20°. Le patient rentre à domicile avec un traitement prophylactique par Clexane et des antalgiques en réserve. Le patient se rendra à la consultation du chef de clinique pour un contrôle clinique dans 1 semaine. Nous préconisons au patient du repos et de la glace. Nous lui conseillons l'utilisation d'une bouée pour s'asseoir ainsi qu'une antalgie et AINS. La patiente ira chez son médecin traitant pour la suite. Elle rentre à domicile. Nous préférons que le patient fasse de la physiothérapie pour le renforcement musculaire et pour des exercices de proprioception. Prochain contrôle clinique le 04.03.2020. Arrêt de sport jusqu'à cette date. Nous prélevons des urines au sachet au vu de la présence de vomissements sans diarrhée qui permet d'exclure une infection urinaire. Au vu de la notion de gastro-entérite à la crèche, nous concluons qu'il s'agit très probablement d'une gastro-entérite. Aux urgences, le patient boit 200 ml de Normolytoral en fractionné sans récidives de vomissement. Son état est rassurant. Nous le laissons rentrer à domicile. Attitude: • surveillance, fractionnement et stimulation de l'hydratation • Normolytoral pour compensation des pertes • Reconsulter si apparition de signes de déshydratation et/ou péjoration de l'état clinique Nous prenons avis auprès de Dr. X pour abcès dentaire. Le patient sera pris en charge sous anesthésie générale pour les soins dentaires le 23.01.2020. Profitant de l'anesthésie générale, le médecin ORL fera également une cautérisation. Nous prenons avis auprès de l'orthopédiste de garde, Dr. X, et nous effectuons une lamellectomie interne de 10% sous anesthésie locale qui permet d'évacuer du pus. Nous rinçons abondamment au NaCl puis faisons un pansement avec de la Bétadine onguent, Adaptic et une compresse. Nous envoyons le prélèvement unguéal en analyse à la recherche d'une onychomycose. L'examen direct confirme la présence d'éléments fongiques. Le patient ira dans 48h, le 13.01.2020, pour un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires (si besoin, il peut appeler Dr. X), le 13.01.2020. Nous prenons avis auprès du chirurgien de garde.Désinfection, anesthésie locale et ablation d'une agrafe avec une laissée en place sur avis du Dr. X (crâniotomie?). Pansement Opsite spray. Couverture par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 3 jours. Contrôle de la plaie à 72h en policlinique chirurgicale et ablation des fils à J7 (médecin traitant non disponible). Nous prenons avis auprès du Dr. X, chirurgien de garde, et introduisons un traitement de Dalacin 300 mg pendant 5 jours. Il prendra rendez-vous chez un ORL pour un contrôle dans 4 jours. Nous faisons des photos aux urgences. Nous prenons avis auprès du Dr. X (CDC des Urgences). Nous nettoyons la plaie au Prontosan, Aquacell Argent et réfection du pansement. La patiente peut rentrer à domicile et reviendra en contrôle à la policlinique d'orthopédie le lendemain pour réfection du pansement et organisation du suivi stomato. Nous prenons avis auprès du proctologue de garde, le Dr. X, et la patiente rentre à domicile avec une antalgie, Emla crème et du Daflon 500 mg. Nous lui faisons un arrêt de travail et elle fera une tentative de réduction lors du passage à la douche et aux toilettes. Elle reviendra le 08.01.2020 à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle. Nous prenons contact avec le Dr. X, pédiatre de Fribourg, qui nous propose une surveillance neurologique de 6h et de donner du paracétamol 15 mg/kg. Le patient pesant 35 kg, nous administrons 500 mg de paracétamol. Le patient reste stable et ne présente pas de nouvelle symptomatologie. À son arrivée aux urgences, nous mettons en place une minerve. Nous effectuons des radiographies de la colonne cervicale. En raison d'un doute sur une fracture, nous demandons un avis auprès du Dr. X, et complétons le bilan avec un CT des cervicales qui montre une entorse du ligament longitudinal antérieur de C6-C7. Nous mettons en place une minerve rigide et prévoyons une IRM cervicale à la recherche d'une atteinte ligamentaire antérieure et postérieure entre C5-C6. Nous demandons une convocation par e-mail à la team Spine pour la semaine prochaine après l'IRM. Le patient rentre à domicile avec une antalgie à 24.01.2020. Nous prenons contact avec le Dr. X, neurologue de garde, qui préconise un transfert à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, en Stroke Unit, pour la suite de la prise en charge. Tous les examens complémentaires sont lancés chez nous. Nous prenons contact avec les orthopédistes qui ne voient pas d'indication à une immobilisation au vu de la fracture minime et non déplacée. Si les douleurs persistent à une semaine malgré l'antalgie, une IRM serait à organiser en ambulatoire. Nous prenons contact avec les psychiatres de Marsens, qui proposent une hospitalisation à Marsens. Nous transférons le patient à Marsens en taxi, avec l'indication que Marsens nous appelle à son arrivée et le cas échéant une recherche par la police sera faite. Nous recevons la confirmation de l'arrivée du patient à Marsens. Nous prenons contact avec un collègue ORL de Fribourg qui nous propose d'envoyer la patiente à Fribourg pour un examen ORL spécialisé. La patiente part en direction de l'hôpital cantonal accompagnée par sa fille. Nous prenons un avis auprès de la Dr. X au HUG, qui propose de faire un ASP pour exclure un iléus. Pour le radiologue qui a fait l'ultrason abdominal (Dr. X), il n'y a pas de signe d'iléus, donc il n'y a pas d'indication à faire un abdomen sans préparation. Nous prenons un avis auprès du Dr. X, chirurgien de garde, qui vient inciser et extraire la thrombose sous anesthésie locale. Le patient est mis sous anti-inflammatoire et sera revu la semaine prochaine par son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Nous prenons un avis auprès du psychiatre de garde qui propose de contacter le numéro d'Urgence demain matin pour organiser le suivi ou contacter sa psychiatre pour être reçu plus vite. Le patient est d'accord avec cette proposition et préfère contacter sa psychiatre demain (qu'il devait déjà voir ce vendredi). Il prendra ses réserves de Quétiapine ce soir si nécessaire. Nous prescrivons au patient une antalgie et des AINS. Il ira la semaine prochaine pour un contrôle chez son médecin traitant. Nous le prévenons de reconsulter en cas de péjoration/déficit moteur. Il rentre à domicile avec un arrêt de travail. Nous prescrivons de la vitamine A en pommade et des gouttes de Tobramycine pour cinq jours, avec contrôle si pas d'amélioration dans 48h. Nous prescrivons donc à la patiente des séances de physiothérapie pour MTT et aqua-biking. Nous lui expliquons qu'en cas de recrudescence des douleurs une nouvelle infiltration pourrait être envisagée étant donné qu'elle avait eu un bon effet antalgique. Nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. Nous prescrivons du Normolytoral à prendre en fractionné sur la journée. Nous prescrivons du Xyzal 5 mg pour une semaine. Le patient rentre à domicile. Nous prescrivons un traitement antibiotique pour 3 jours. Le patient est invité à reconsulter en cas d'apparition de pus, d'érythème, de douleurs ou d'autres symptômes infectieux. Nous prescrivons une antalgie simple, du Tramal et du Motilium en réserve, et conseillons à la patiente de consulter son médecin traitant dans le courant de la semaine. Nous prescrivons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g - 2 x/jour pour 7 jours et demandons à la patiente de se rendre chez son médecin traitant le 03.02.2020 pour contrôle. Nous prévoyons avec la patiente de procéder à l'AMO des vis au niveau du grand trochanter en raison de douleurs qui la gênent. Nous prévoyons donc cette opération pour le 13.02.2020 et nous réalisons déjà le consentement. Concernant la fonction articulaire, nous expliquons à la patiente que l'ostéotomie de dérotation change les bras de levier des muscles, pouvant encore provoquer des douleurs et un sentiment d'inconfort au début. La patiente peut faire l'activité physique selon les douleurs. Nous lui prescrivons encore un nouveau bon de physiothérapie pour encore améliorer le renforcement des abducteurs et du quadriceps. Nous prévoyons un prochain contrôle clinique 3 semaines après la fin du traitement antibiotique avec un laboratoire pour FSS, CRP et VS. Prochain contrôle à la fin du mois de mars. Nous prions le Dr. X du service d'angiologie de bien vouloir convoquer Mme. Y pour un contrôle. Nous prions le médecin traitant d'effectuer le laboratoire 3 semaines après la fin de la prise d'antibiotiques et de nous faire parvenir une copie des résultats par fax. Nous prévoyons un prochain contrôle dans une année afin d'avoir un suivi mais laissons actuellement le soin au Professeur X de prendre en charge la patiente selon leur décision thérapeutique. Nous prévoyons un prochain contrôle dans une année avec une IRM cérébrale de suivi. La patiente reprendra contact plus rapidement en cas d'aggravation de la symptomatologie. Nous prions la Dr. X d'organiser une consultation en centre de la douleur, en vue de la difficulté de la prise en charge aux urgences. Nouvelles présentations si douleurs récidivantes, fièvre ou dysurie. Nous prions le service d'angiologie et le service de neurologie (Prof. X) de pouvoir convoquer au plus vite le patient pour effectuer les bilans spécifiques. De notre côté, nous organisons une infiltration foraminale L4-L5 G pour dépister la souffrance radiculaire. Si le résultat est positif, une chirurgie de révision de la fixation devra être envisagée. Le patient avait une intervention pour le tunnel carpien le 10 janvier par le Dr. X, médecin cadre de la chirurgie de la main auprès du service de l'orthopédie de l'HFR. Le patient nous prie d'informer les collègues qu'au vu de la douleur au niveau du dos, il n'est pas en condition pour pouvoir soutenir l'opération du tunnel carpien et il rappellera pour une prochaine réévaluation. On a donc informé le secrétariat de la chirurgie de la main pour annuler l'intervention.Nous procédons ce jour à une ablation des fils. Mr. Y est autorisé à marcher en charge complète. Il n'a pas besoin de physiothérapie. Nous le reverrons à 6 semaines post-opératoires. Nous procédons à la suture de la plaie après désinfection par Bétadine et champagne, anesthésie locale avec Rapidocaïne 1%, exploration de la plaie et suture par Ethilon 5-0 (4 points) puis pansement Adaptic. Mme. Y sera revue par son médecin traitant dans 48 heures pour contrôle de la plaie et ablation des fils à J14. Nous procédons à l'ablation de l'attelle. Mobilisation libre en ergothérapie et physiothérapie. Nous organisons un prochain contrôle clinique dans 6 à 8 semaines. Nous procédons à l'ablation des broches ce jour sous Meopa. Nous mettons en place un plâtre AB que Mme. Y devra conserver pendant 2 semaines. Prochain contrôle le 05.02.2020. Nous procédons à l'ablation du plâtre et elle est vue par l'orthopédiste de garde. Réfection du plâtre ensuite et radiographie de contrôle. Pas de point d'appui. Retour à domicile avec antalgie simple et Mme. Y sera revue à la policlinique d'orthopédie dans une semaine. Nous procédons à une désinfection de la plaie, mise en place de stéristrips afin de fixer le flap cutané et pansement simple. Nous procédons à une extraction du fermoir et à une désinfection locale. Nous proposons une réfection du pansement 2 x/jour, les consignes de surveillance de la plaie ont été expliquées. Nous procédons à une fin de suivi en policlinique. En cas de récidive, Mr. Y contactera son médecin traitant. Nous procédons à une hémostase partielle par bistouri électrique, mise Hemostop avec arrêt de saignement. Le tétanos est à jour. Mr. Y rentre à domicile, le suivi s'effectuera chez son médecin traitant. Nous procédons à une réfection de plâtre. Le bilan radiographique ne retrouvant pas de déplacement secondaire, nous proposons une poursuite du traitement conservateur et reverrons Mr. Y à 4 semaines d'immobilisation pour un contrôle radio-clinique. Nous procédons ce jour à l'ablation du gilet orthopédique, à 6 semaines postopératoires. Prescription de séances de physiothérapie avec mobilisation en actif et passif libre, sans limitation, avec charge progressive. Mme. Y possède des traitements antalgiques à domicile et ne souhaite pas de renouvellement d'ordonnance d'antalgie. Prochain contrôle radioclinique. Nous proposons à la médecin traitante d'organiser une colonoscopie en ambulatoire afin d'investiguer les hématochésies de Mme. Y. Nous proposons à Mme. Y à ce jour de faire une prise de sang à la recherche d'un syndrome inflammatoire. Le 03.02.2020, une ponction de hanche sous anesthésie locale à D sera organisée avec une mise en culture et examen bactériologique. Mme. Y sera revue à nouveau le 03.03.2020 pour discuter des résultats des prélèvements bactériologiques et de la prise en charge. Nous proposons à Mme. Y de garder encore l'attelle Stack pour les prochaines deux semaines. Nous lui donnons déjà un bon d'ergothérapie pour effectuer une mobilisation de l'IP à partir d'aujourd'hui. Nous fixons un nouveau rendez-vous de contrôle dans deux semaines pour voir l'évolution radioclinique. À ce moment-là, nous pourrons enlever l'attelle et continuer l'ergothérapie de mobilisation. Nous proposons à Mme. Y de prendre rendez-vous auprès de sa neurologue traitante afin de rediscuter de la suite de la prise en charge. Conseil de reconsulter si péjoration des symptômes actuels. Nous proposons à Mme. Y de réaliser tout d'abord une IRM cervicale avec produit de contraste de contrôle afin d'avoir un comparatif et afin de pouvoir confirmer la sténose foraminale. Nous envisageons tout de même déjà une prise en charge chirurgicale pour fixation C5 sur C6. Prochain contrôle après l'IRM. Nous proposons à Mme. Y de reconsulter si elle remarque une apparition de fièvre, une persistance ou une majoration des douleurs. Nous proposons à Mme. Y un traitement par Curavisc avec 3 infiltrations au bloc opératoire. Nous informons Mme. Y que les assurances ne pourraient ne pas prendre en charge le geste et qu'elle devra sûrement payer le produit. Mme. Y et sa fille préfèrent d'abord prendre contact avec l'assurance afin de bien se renseigner sur la prise en charge ou non du Curavisc. Mme. Y nous recontactera pour nous faire part de sa décision. Nous proposons à Mme. Y une arthrodèse de la MTP1 après AMO de plaque et vis. Nous proposons à Mme. Y une nouvelle infiltration prévue le 05.02.2020. Nous proposons au gynécologue de faire un stix urinaire dans la semaine afin d'évaluer la persistance de l'hématurie microscopique. Nous proposons au médecin traitant de réévaluer la thérapie antihypertensive au besoin. Nous proposons au médecin traitant de réévaluer l'antalgie si nécessaire. Nous vous proposons également d'évaluer l'indication à un dépistage de l'ostéoporose. Nous proposons au médecin traitant de réévaluer l'indication à la recherche d'H. Pylori et d'autres examens au besoin. Nous proposons au médecin traitant d'évaluer l'indication à une MAPA et éventuellement une thérapie antihypertensive. La thérapie par IPP peut être réévaluée en ambulatoire. Nous proposons à Mr. Y d'arrêter les antibiotiques et vu la bonne évolution et la nécessité de laisser quelques semaines avant une possible prise en charge chirurgicale, nous agendons un rendez-vous de contrôle à 4-6 semaines pour une planification opératoire à la consultation du Team membre supérieur après discussion avec le Dr. X. En cas de réapparition de rougeur, écoulement ou de signes infectieux, Mr. Y reconsultera en Filière 34. Nous proposons à Mr. Y de porter une attelle Aircast pendant 2 semaines avec un traitement anti-inflammatoire en réserve. Nous proposons à Mr. Y un arrêt de travail pendant cette période avec la possibilité de fréquenter les cours d'apprentissage. Arrêt de sport pour la même période. Dans 2 semaines, Mr. Y se rendra chez son médecin traitant pour décider si l'attelle peut être enlevée. En cas de besoin, Mr. Y pourra nous recontacter. Nous proposons à Mr. Y de reprendre une activité sportive normale. Fin de traitement. Il nous consultera si nécessaire. Nous proposons à Mr. Y de s'adresser à son médecin traitant pour un contrôle dans 1 semaine et recommandons à Mr. Y de suivre son hématome. S'il devait dépasser la délimitation, Mr. Y adressera directement aux urgences. Nous proposons à Mr. Y d'effectuer un CT-scanner de la région lombaire et de revenir à notre consultation pour discuter d'une éventuelle AMO car en partie les douleurs peuvent être liées à une gêne du matériel. Nous proposons à Mr. Y différentes possibilités de prise en charge de cette douleur. Notamment la possibilité d'effectuer des supports plantaires avec un coin valgisant de l'arrière-pied pour corriger l'axe des jambes. Comme 2ème possibilité, nous pourrons toujours effectuer une infiltration du genou par acide hyaluronique. D'autres possibilités plus invasives (ostéotomie, PUC) semblent encore trop agressives. Nous lui proposons aussi de corriger la posture et d'adapter les activités. Éventuellement une IRM sera envisageable pour voir l'état du cartilage, mais pour l'instant nous décidons plutôt de mettre en place les supports plantaires. Nous allons fixer un nouveau rendez-vous de contrôle pour juin 2020 pour voir l'évolution clinique.Nous proposons au patient tout d'abord une prise en charge conservatrice avec deux infiltrations, une au niveau du foramen C6-C7 à droite et l'autre à un mois de la première au niveau L5-S1 droit au CIMF chez le Dr. X. Nous le reverrons par la suite pour juger de l'évolution. Prescription de séances pour école dos et balancement postural. Nous proposons au patient un dernier essai de traitement conservateur avec 3 infiltrations sous-acromiales espacées toutes les 3 semaines avec contrôle à la suite de ces infiltrations. Les infiltrations seront accompagnées de physiothérapie intensive 2 fois par semaine. Arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle fin mai 2020. Si fin mai la situation est la même, nous discuterons d'une prise en charge chirurgicale avec une reconstruction du sus-épineux. Nous proposons au patient un nouveau protocole de pansement avec désinfection par Bétadine, mise en place de tulle bétadiné, compresses stériles et sparadrap en papier, que nous effectuons ce jour avec le Dr. X. Nous lui donnons une prescription pour la réfection quotidienne de ce pansement et fixons un nouveau rendez-vous de contrôle le lundi 13.01.2010 à la consultation du team pied, pour réévaluer aussi la chaussure afin d'éviter l'hyper-appui en regard de ce mal perforant et voir si elle est toujours adaptée au pied du patient. Nous proposons au patient un traitement chirurgical avec un allongement du tendon d'Achille à D. Opération agendée. Nous proposons au patient un traitement par immobilisation par botte de décharge pour 3 semaines, puis botte de marche pour 3 semaines supplémentaires. Le patient refuse cette immobilisation. Nous lui prescrivons des semelles carbone pour immobilisation de l'articulation du Chopard dans ses chaussures de sécurité, car le patient souhaite reprendre son travail. La suite de la prise en charge sera faite par le médecin traitant. Nous restons à disposition au besoin. Nous proposons au patient une évaluation de son genou par IRM après discussion avec le Dr. X. Rendez-vous au Team genou par la suite dans un délai de deux semaines. Arrêt de sport durant cette période, ainsi qu'une thérapie antalgique et anti-inflammatoire. Bon de physiothérapie. Nous proposons au patient une infiltration sous CT-scanner guidé au niveau du hiatus L5-S1 gauche, dans son cas un traitement par Dexaméthasone est déconseillé, nous lui donnons une ordonnance pour du Co-Dafalgan et Voltarène et protection gastrique par Pantozol. Nous le reverrons pour un contrôle suite à l'infiltration. Nous pré-réservons une date opératoire pour la semaine prochaine en cas d'évolution défavorable. Le patient est mis au courant des symptômes de la queue de cheval, il se représentera en urgence au besoin. Nous proposons au patient une plastie du LUCL avec autogreffe du palmaris longus prélevé du côté G avec des ancres, cure d'arthrose avec nano-fracture. Plus ou moins, selon décision intra-opératoire, emplacement de la tête radiale avec une prothèse et anteposition sous-cutanée du nerf ulnaire au coude. Le patient est informé des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant un consentement éclairé. Nous lui prolongeons son arrêt de travail à 100% jusqu'à la date de l'intervention. Nous organisons une nouvelle IRM du coude avant l'intervention. Nous proposons au patient une prise en charge chirurgicale avec AS de l'épaule, réinsertion du sus-épineux avec l'utilisation au besoin, s'il manque de l'élasticité du tendon, d'une bio membrane. Le sous-scapulaire sera évalué en intra-opératoire. Le patient est informé des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. Pour éviter la mise en place d'une anesthésie générale, nous proposons la mise en place d'un cathéter intra-scalénique avec sédation. Par la suite, il aura un arrêt de travail à 100% pour 6 semaines. Nous proposons au patient d'effectuer un nouveau contrôle à 48h pour contrôler l'évolution clinique de cette douleur. Nous proposons aux parents de poursuivre le traitement par voie locale au vu de l'absence de péjoration sous traitement local et durée du traitement < 24h. Nous disons aux parents de reconsulter de suite si péjoration de la lésion malgré le traitement local et/ou apparition d'un état fébrile. Nous débutons également un traitement par mycostatine au vu d'un probable muguet buccal. Un contrôle est prévu chez le pédiatre le 6.1. Nous proposons de majorer le traitement antibiotique et de contrôler l'évolution clinique à 48 heures, particulièrement afin d'exclure l'apparition d'un phlegmon. Nous proposons de poursuivre le traitement conservateur avec une botte plâtrée fermée pour encore 6 semaines. Mise en place d'une prophylaxie antithrombotique. Actuellement, elle ne présente pas de signe pour une thrombose veineuse profonde. Nous l'autorisons à dérouler le pas lors de la marche. Prochain contrôle radioclinique hors plâtre dans 6 semaines. Nous proposons de poursuivre pour encore 2 semaines d'immobilisation dans les bottes plâtrées. Elle reviendra dans 2 semaines pour ablation des plâtres et contrôle clinique. Puis on fera un traitement avec les semelles pyramidales et éventuellement physiothérapie pour stretching. Nous proposons de refaire une infiltration talo-naviculaire à D pour confirmer la problématique douloureuse. Si l'infiltration arrive à soulager les douleurs, nous pourrons envisager une arthrodèse. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% jusqu'à fin février (Richemont). Nous la reverrons suite à ce geste. Nous proposons de refaire une semelle sur mesure pour le pied D. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie pour assouplir les orteils et gagner de la mobilité. Marche en charge selon douleurs. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous proposons d'effectuer une IRM pour voir s'il y a une inflammation en regard du Lisfranc, une ténosynovite du tendon tibial postérieur et une possible fasciite plantaire. Nous lui conseillons de poursuivre la physiothérapie. Nous la reverrons suite à l'examen. Nous proposons des séances de physiothérapie à la patiente. La patiente sera revue pour un contrôle clinique dans 3 mois pour évaluation et envisager une infiltration diagnostique et thérapeutique au niveau de la hanche droite. Nous restons à disposition si besoin. Nous proposons donc à Mme. Y d'effectuer un bilan actuel avec notamment une nouvelle IRM et une spectroscopie un peu plus complète et la reverrons dans les suites. Nous souhaitons également un consilium oncologique pour éclaircir la lésion médiastinale et allons d'ores et déjà fixer une date opératoire que nous ne tarderons de communiquer à notre patiente. Nous lui expliquons les modalités de la chirurgie par crâniotomie ciblée sur la lésion à l'aide de la neuronavigation et du microscope et les risques chirurgicaux, notamment (infection, hématome, hémorragie, déficit neurologique moteur ou sensitif, aphasie, coma, décès, pseudo-méningocèle), mais la nécessité d'effectuer une chirurgie au vu d'une croissance possible de cette lésion et afin d'obtenir un diagnostic définitif. Nous lui fournissons également le consentement ce jour la laissant réfléchir et noter l'ensemble de ses questions et la reverrons la semaine prochaine pour finaliser le tout. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous proposons donc au vu des douleurs persistantes en regard des têtes des vis d'effectuer une infiltration loco-dolenti en salle des plâtres. L'ablation du matériel d'ostéosynthèse est probablement trop précoce en raison d'une chirurgie récente d'un an chez une patiente aux antécédents rachidiens compliqués. Nous recommandons également une consultation auprès de la team genou pour son genou gauche afin de discuter d'une éventuelle prise en charge.Nous proposons la poursuite du traitement conservateur pour ces fractures. Elle débutera des séances de physiothérapie pour école du dos dès demain. Prochain contrôle radioclinique dans un mois. Nous proposons la réalisation d'une nouvelle IRM et de revoir ensuite Mr. Y afin de discuter des différentes options thérapeutiques. Nous proposons un contrôle clinique dans 48h à votre consultation. Nous proposons un rendez-vous à 1 année pour être sûr qu'il n'y ait pas de trouble de croissance au niveau de ce coude. Nous sommes à disposition si persistance, récidive des douleurs ou impotence fonctionnelle. Nous proposons un suivi dans 6 mois avec des radiographies de contrôle. Entre-temps, nous restons à disposition. Nous proposons un suivi en dermatologie pédiatrique à l'HFR, Mr. Y sera convoqué à la consultation dans deux à quatre semaines. Nous proposons un traitement antalgique à Mr. Y et l'adressons chez un dentiste pour la suite de la prise en charge. Nous proposons un traitement initialement conservateur avec stimulation de l'hydratation (minimum 2 litres par jour) et Ibuprofène 10 mg/kg/dose d'office 3x/jour. Nous pisterons les cultures urinaires qui sont en cours et nous revoyons Mme. Y en contrôle clinique le 3.1.2020 à 10h30. Si apparition d'un état fébrile et/ou péjoration de l'état clinique, reconsulter de suite. Cas discuté avec MC Dr. X. Nous proposons un traitement symptomatique avec du Normolytoral. Reconsultation si péjoration des vomissements, en particulier le matin au lever, apparition de céphalées ou si changement du comportement. Nous proposons une éventuelle ablation du matériel d'OS à Mr. Y associée à une adhésiolyse pour tenter d'améliorer la mobilité au niveau de l'IPP, mais Mr. Y n'est pas motivé pour l'instant car il s'est habitué à la situation. Mr. Y reprendra contact avec nous si besoin ou si la situation devient gênante pour lui. Nous proposons une fin de traitement en policlinique avec poursuite de l'arrêt de sport pour encore 1 mois. Nous proposons une fin de traitement en policlinique. Mme. Y nous recontacte si péjoration de son état dans les semaines à venir. Nous proposons une infiltration du sinus du tarse G afin d'essayer de calmer les douleurs. Nous le reverrons suite à ce geste. Nous proposons une prise en charge chirurgicale avec ostéotomie des varisations du calcanéum (avec step plate arthrex). Plastie du spring ligament (internal brace). Révision du tendon tibial postérieur et greffe du FDL. Ostéotomie du cunéforme (selon cotton). Rallongement du tendon d'Achille (selon Strayer). Mr. Y a été renseigné des risques et des bénéfices d'une telle procédure, Mr. Y accepte l'indication chirurgicale et signe la feuille de consentement éclairé. La date opératoire est prévue le 03.03.2020. Nous proposons une réévaluation de la douleur et de l'indication d'une syndactylie lors du contrôle de la fracture à la consultation d'orthopédie. Nous proposons une réfection de pansement avec Bepanthen et Mépilex lite et reverrons Mr. Y dans une semaine pour un contrôle clinique. Nous proposons une réhydratation par Normolytoral aux urgences, avec bonne prise hydrique mais suivi d'un vomissement. Il présente un bon état général, avec des crises de douleurs qui ne montrent rien de particulier à l'examen clinique abdominal durant la crise. Le père refuse une hospitalisation de surveillance sur la nuit mais sera vu en contrôle aux urgences dans < 24 heures. Nous rappelle pour confirmer l'OP réservée pour le 12.02.2020 et fixer une nouvelle consultation pour effectuer le consentement éclairé. Nous rassurons Mme. Y et lui donnons quelques conseils alimentaires. Nous rassurons Mme. Y que l'ongle est plutôt en bonne position et renonçons à l'arracher et le laissons comme pansement biologique. Nous disons qu'il faut lui donner le temps de repousser et lui mettons une attelle Stack pour protéger l'ongle à de nouveaux traumatismes, afin qu'il ne s'arrache pas complètement. Nous restons à disposition en cas de péjoration de la situation ou si des signes infectieux se développent. Nous rassurons Mme. Y sur les symptômes ressentis. Nous lui proposons de ne pas pratiquer d'activité physique trop importante lors de l'apparition de symptômes et de se reposer. Le profil tensionnel n'est pas encore optimal en raison de la nouvelle introduction du traitement et nous lui proposons d'en discuter avec son MT lors du prochain contrôle si persistance des symptômes. En cas d'apparition de red flags, nous invitons Mme. Y à reconsulter. Nous rassurons Mr. Y et lui proposons de voir son ORL si re-saignement. Nous rassurons Mr. Y quant à l'évolution de cette lésion cavernomateuse qui évolue plutôt avec une évolution actuellement bénigne. S'il venait à présenter un saignement ou alors une symptomatologie aiguë, une prise en charge chirurgicale se discuterait à ce moment-là. Entre-temps, nous souhaitons le revoir dans 1 an avec une IRM cérébrale de contrôle. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous ravivons la plaie et suturons la plaie avec 3 points séparés selon Blair-Donati. Mr. Y se rendra chez son médecin traitant pour contrôle de la plaie ainsi que pour l'ablation des fils à j14. Nous réalisons un bilan somatique rassurant et demandons un avis auprès du Psychiatre de garde (Dr. X) qui préconise une hospitalisation à Marsens pour suite de prise en charge. Mr. Y est transféré à l'Hôpital de Marsens ce 10.01.2020 en ambulance. Nous réalisons la gazométrie artérielle à l'artère radiale gauche, sans complication immédiate. Les résultats seront transférés au médecin traitant et au pneumologue traitant. Mr. Y rentre à domicile. Nous réalisons le score de Centor à 4 points ainsi qu'un test streptocoque qui revient positif. Nous lui prescrivons de l'Amoxicilline 1 g 2x/jour pour 6 jours et une antalgie par Dafalgan et Irfen. Nous lui faisons un arrêt de travail jusqu'au 17.01.2020. Mme. Y ira pour une réévaluation chez son médecin traitant en début de la semaine prochaine. Nous réalisons l'IRM cérébrale prévue qui n'objective pas de masse ou de collection hémorragique sous-durale ou extra-durale. Il ne met pas en évidence une hémorragie sub-arachnoïdienne. Mme. Y peut regagner son domicile avec un état général conservé. Nous réalisons un bilan biologique qui est normal. Nous rassurons Mme. Y et sa fille qui peuvent regagner leur domicile. Nous réalisons un bilan biologique qui ne retrouve pas de syndrome inflammatoire et une amélioration de la fonction rénale. Au vu de l'absence de symptomatologie, nous ne voyons pas d'indication à répéter un Uro-CT ce jour. Au cas où les douleurs recommenceraient, nous encourageons Mr. Y à se présenter aux urgences. Nous réalisons un bilan biologique, une gazométrie artérielle ainsi qu'un ECG mis en annexes. La radiographie du thorax réalisée ne montre pas de foyer pulmonaire ni de signe de pneumothorax. Aux urgences, Mme. Y a reçu une antalgie par Dafalgan et Brufen avec un effet favorable sur les douleurs. Vu l'examen clinique et radiologique rassurant avec une nette amélioration des douleurs après du Dafalgan et du Brufen, Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan et Brufen. Nous lui conseillons une consultation cardiologique en ambulatoire. Nous réalisons un changement de l'immobilisation par une attelle plâtrée postérieure. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie, Clexane 40 mg en prophylaxie anti-thrombotique. Elle ira dans une semaine en policlinique pour un contrôle.Nous réalisons un ECG ainsi qu'un bilan biologique et urinaire qui reviennent sans particularité, nous réalisons un test de Schellong qui revient lui aussi négatif. Suite à l'exposition potentielle du patient il y a 3 mois un test de dépistage VIH est envoyé à l'extérieur et les résultats seront envoyés chez le médecin traitant. Au vu d'un patient asymptomatique, rassurant cliniquement et biologiquement ayant eu un seul épisode de malaise s'étant résolu spontanément, nous laissons rentrer le patient à domicile et celui-ci consultera auprès de son médecin traitant afin de pister les résultats du test de dépistage. Nous réalisons un ECG et une radiographie du thorax qui se montrent rassurants. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique et un arrêt de travail. Nous réalisons un ECG et une radiographie du thorax qui se révèlent normaux. Vu l'examen clinique rassurant et les investigations déjà débutées par le médecin traitant, nous laissons rentrer la patiente à domicile avec un traitement symptomatique. Elle le reconsultera dans les prochains jours. La patiente quitte le service, sans aucune douleur thoracique, accompagnée de sa mère. Nous réalisons un ECG qui ne retrouve pas d'anomalie particulière. Nous prenons également un avis psychiatrique qui indique l'hospitalisation sous PAFA à Marsens. Le patient est transféré à Marsens le 24.01.2020. Nous réalisons un ECG rassurant et un laboratoire qui revient normal. La Rx du thorax est normale. Nous administrons une antalgie par Paracétamol et Voltaren IV qui soulage partiellement les douleurs. Face à un bilan rassurant, le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique et sera revu en contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Nous réalisons un ECG rassurant et un laboratoire revenant normal. Nous hydratons la patiente avec du NaCl 2L IV, ce qui améliore l'état général de la patiente. Nous laissons rentrer la patiente avec un traitement symptomatique et un arrêt de travail. Nous réalisons un ECG rassurant, un laboratoire mettant en évidence un léger syndrome inflammatoire (CRP 17 mg/L avec leucocytose à 13.3 G/L). La radiographie du thorax revient normale. Retour à domicile avec traitement anti-inflammatoire et réévaluation chez le médecin traitant la semaine prochaine au besoin. Nous réalisons un examen clinique qui se montre rassurant. Nous conseillons au patient un suivi psychologique à voir avec son médecin traitant. Le patient rentre à domicile. Nous réalisons un laboratoire ainsi qu'un ECG annexés. Le test de Schellong revient négatif. Nous possédons à une hydratation iv et per os. La patiente rentre à domicile. Concernant la probable gastro-entérite virale nous lui proposons un traitement symptomatique ainsi que de manger des bananes (constipant + riche en K). Nous réalisons un laboratoire annexé et une radiographie décrite ci-dessus. Nous lui faisons le rappel anti-tétanique aux urgences. Nous mettons en place un pansement avec Prontosan et Aquacel et une compresse stérile. La patiente ira à la filière des urgences ambulatoires le 09.01.2020 à 8h00 pour un contrôle. Nous réalisons un laboratoire ci-joint. Nous demandons l'avis du Dr X et du Dr X. Nous réalisons un US et un CT abdominal décrits ci-dessus. Nous proposons à la patiente une hospitalisation pour une antibiothérapie qu'elle refuse. La patiente rentre donc à domicile avec une antalgie et une antibiothérapie par Ciproxine-Flagyl per os. Elle consultera son médecin traitant la semaine prochaine pour discuter d'une future colonoscopie dans 6 semaines. Nous donnons à la patiente un tube de récolte de selles et lui prions de nous les amener. Nous lui faisons un arrêt de travail jusqu'au 8.01.2020. Nous réalisons un laboratoire en urgence avec recherche des anticorps irréguliers (qui se révèle normal par la suite, Hb à 106g/L). L'Hémo-cue est à 98 g/L. Nous administrons du Nexium 80mg IV puis sous PSE 8mg/h et du Beriplex 1000UI sous pompe. Nous contactons le Gastro-entérologue de garde (Dr X) et transférons le patient aux Urgences de Fribourg pour suite de prise en charge. Au départ de notre Service, un CE de O- est mis en place. Nous réalisons un laboratoire et un ECG mis en annexes. Nous contactons le RFSM Marsens qui propose un transfert pour une hospitalisation. La patiente est amenée en ambulance à Marsens le 15.01.2020. Nous réalisons un laboratoire et un sédiment urinaire mis en annexes. Nous demandons un urotube mais la patiente dit qu'elle le fera chez son médecin traitant. Nous prenons l'avis du Dr X qui préconise une hospitalisation pour une suite de prise en charge que la patiente refuse. Nous l'informons des risques et des conséquences vitales que pourraient engendrer sa décision. La patiente rentre à domicile après avoir signé la décharge de responsabilité en cas d'un refus d'hospitalisation à l'HFR de Riaz. Nous réalisons un laboratoire et un sédiment urinaire. Nous n'avons pas d'argument pour retenir une origine épileptique d'un point de vue clinique (pas de convulsion devant témoin), probable origine sur stase au sol. Le patient est retransféré à l'hôpital psychiatrique de Marsens. Nous réalisons un laboratoire mettant en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 25 mg/L sans leucocytose, et un sédiment urinaire qui revient propre. Nous administrons une antalgie par Paracétamol 1g IV qui calme les douleurs et une hydratation IV par NaCl 500cc. Vu la bonne évolution, le patient rentre à domicile avec traitement symptomatique. Nous réalisons un laboratoire mettant en évidence un syndrome inflammatoire (leucocytose 11.8 G/L et CRP 134 mg/L), une légère hypokaliémie à 3.3 mmol/L, une hypomagnésémie à 0.62 mmol/L, une perturbation des tests hépatiques. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie importante. La RX thorax est normale. Nous administrons de la Rocéphine 2g IV et hospitalisons Mme. Y en médecine pour suite de prise en charge. Par manque de place à l'Hôpital de Riaz, nous transférons la patiente à l'Hôpital de Tavel, en ambulance. Nous réalisons un laboratoire mettant en évidence une créatinine augmentée à 114µmol/l (dans un contexte de déshydratation). Vu le bilan biologique et clinique rassurant, nous laissons rentrer le patient à domicile en l'encourageant à une meilleure hydratation. Nous réalisons un laboratoire mettant en évidence une légère hypokaliémie à 3.2 mmol/L mais pas de syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire montre une légère hématurie sans leucocyturie. Nous administrons une antalgie par Brufen 600mg qui calme les douleurs. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Elle sera revue en contrôle chez le médecin traitant dans 48-72h au besoin. Nous réalisons un laboratoire mettant en évidence une leucocytose à 19.5 g/l (avec neutrophilie à 17.28 g/l) avec CRP 6 mg/l et des LDH à 2115 u/l. Nous hydratons la patiente avec du NaCl 1l i.v. et administrons des anti-émétiques avec un effet positif. Nous remettons à la patiente une demande de coproculture qu'elle apportera au laboratoire. Elle rentre à domicile avec un traitement symptomatique et sera revue en contrôle à la FUA le 08.01.2020. Nous réalisons un laboratoire mis en annexes ainsi qu'un sédiment urinaire et un frottis cutané. Nous demandons l'avis du Dr X qui préconise un rinçage de la plaie avec une désinfection. Nous refaisons au patient un pansement. Le patient rentre à domicile avec un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 05.01.2020. Nous réalisons un laboratoire mis en annexes ainsi qu'un test de grossesse revenant négatif. Nous prenons avis auprès de Dr X et du Dr X (neurologues à l'HFR de Fribourg) et réalisons un IRM cérébral décrit ci-dessus. Nous posons comme diagnostic une probable aura migraineuse. Nous lui proposons de faire un contrôle chez son médecin traitant. Celui-ci pourra prévoir un rendez-vous chez un neurologue en cas de besoin. La patiente rentre à domicile.Nous réalisons un laboratoire mis en annexes ainsi qu'une radiographie de la cheville gauche décrite ci-dessus. Nous donnons au patient 1 g de Dafalgan aux urgences qui note une bonne amélioration. Nous demandons l'avis du Dr. X, l'orthopédiste de garde qui pose comme diagnostic une probable arthrite microcristalline de la cheville gauche. Le patient ne veut pas attendre plus longtemps, il part du box et signe la décharge. Nous donnons au patient une ordonnance pour du Dafalgan 1 g. Le patient reviendra dans 48 h à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinico-biologique. Le patient rentre à domicile et nous l'avertissons de reconsulter au plus vite en cas de fièvre ou de frissons. Nous réalisons un laboratoire mis en annexes ainsi qu'une radiographie du genou droit expliqué ci-dessus. Nous demandons un avis orthopédique et prescrivons au patient une antalgie. Le suivi se fera chez son médecin traitant. Le patient est avisé qu'en cas de persistance des douleurs ou l'apparition d'une fièvre il devra reconsulter les urgences. Nous réalisons un laboratoire mis en annexes. La patiente rentre à domicile mais reviendra demain pour un contrôle clinico-biologique et US abdominal à la filière des urgences ambulatoires. Nous réalisons un laboratoire mis en annexes. Nous faisons une radiographie ainsi qu'un angio-CT thoracique décrit ci-dessus. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique par antalgie simple, AINS et Toplexil. Elle ira contrôler chez un médecin traitant de son choix dans le courant de la semaine prochaine. Nous réalisons un laboratoire montrant un léger syndrome inflammatoire (CRP 10 mg/L sans leucocytose) et un sédiment urinaire qui revient propre. Nous conseillons au patient de consulter son médecin traitant pour effectuer des investigations complémentaires en ambulatoire. Le patient quitte le service sans douleurs. Nous réalisons un laboratoire montrant un léger syndrome inflammatoire (CRP 10 mg/L sans leucocytose) et une fonction rénale conservée. Le sédiment urinaire met en évidence une pyurie importante avec une hématurie. Nous effectuons un uro-scanner mettant en évidence un calcul de 7 mm placé à 5 cm du pyélon gauche. Nous prenons avis auprès de l'urologue de garde (le Dr. X) qui nous propose deux solutions : une hospitalisation pour antalgie et discussion de la mise en place d'une sonde JJ demain matin ou un retour à domicile avec traitement symptomatique et reconsultation en cas de péjoration. Après discussion avec la patiente, celle-ci choisit la deuxième option et rentre à domicile avec un traitement de Tamsulosine et d'antalgiques. Elle filtrera ses urines jusqu'à l'expulsion du calcul. La patiente rappellera demain l'hôpital du Daler en cas de fièvre ou de douleurs insupportables pour programmer une prise en charge chirurgicale. Nous réalisons un laboratoire montrant un syndrome inflammatoire important (CRP 75 mg/L sans leucocytose). Le sédiment urinaire revient propre. La radiographie du thorax ne met pas de foyer en évidence mais une surcharge bronchique à droite. En raison d'un doute sur une surinfection bronchique/pulmonaire, nous mettons en place une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant 7 jours. La patiente sera revue en contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires dans 48 h. Nous réalisons un laboratoire montrant une leucocytose à 11 G/L sans CRP. Le patient reçoit une antalgie Nexium 40 mg / Buscopan 20 mg IV / Ulcar qui le soulagent. Nous laissons rentrer le patient avec un traitement d'épreuve par Nexium pendant 7-10 jours et il reverra son médecin traitant en contrôle pour envisager une gastroscopie en ambulatoire si absence d'amélioration. Nous réalisons un laboratoire montrant une régression de la leucocytose. Le frottis cutané est toujours en cours d'analyse. Rinçage et désinfection Hibidil puis pansement avec Adaptic. Réfection du pansement 1x/jour par l'infirmière à domicile et contrôle chez le médecin traitant conseillé en fin de semaine prochaine. Le patient bénéficie d'un certificat médical du 05.01.2020 au 08.01.2020. Nous réalisons un laboratoire ne montrant pas d'anomalie relevante. Nous prenons avis auprès du neurologue de garde (Dr. X) qui conseille de prendre avis auprès de l'ophtalmologue de garde (Dr. X) pour exclure décollement rétine avant d'envisager un angio-CT et une lyse. Transfert à Fribourg pour la suite de la prise en charge. Nous réalisons un laboratoire ne montrant pas de syndrome inflammatoire et une radiographie du coude gauche ne montrant pas de signe d'ostéite. Nous prenons avis auprès du Dr. X, orthopédiste de garde, qui conseille une immobilisation et un contrôle clinico-biologique le 13.01. La patiente refuse l'immobilisation et exige une antibiothérapie orale. Elle a été prévenue que cette prise en charge n'est pas standard et que la prise d'antibiotiques risque de fausser les résultats biologiques et cliniques. Nous introduisons alors une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour et AINS et nous délimitons l'érythème. La patiente rentre à domicile avec une antalgie et contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 13.01. Nous réalisons un laboratoire ne montrant pas de syndrome inflammatoire. La gazométrie met en évidence une hypoxémie à 8.9 kPa sans hypercapnie. La radiographie du thorax est normale. Nous administrons un traitement par Paracétamol/Novalgine et un aérosol de Ventolin/Atrovent et la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous réalisons un laboratoire ne montrant pas de syndrome inflammatoire. Nous prenons avis auprès de l'orthopédiste (Dr. X) qui conseille une immobilisation par attelle BAB postérieure plâtrée et la poursuite des antibiotiques. Prise en charge chirurgicale prévue le 14.01.2020. Nous réalisons un laboratoire qui est dans la norme. Nous administrons du Pantoprazole 40 mg IV du fait de la présence de sang dans le vomi et libérons le patient avec pour consigne de bien s'hydrater et de reconsulter en cas de persistance. Nous réalisons un laboratoire qui montre une hypokaliémie à 3.1 mmol/L mais sans syndrome inflammatoire. Nous administrons Dafalgan 225 mg - Algifor 7.5 mL PO aux urgences et appliquons des poches de glace. Après discussion avec le pédiatre de garde (Dr. X), la patiente est transférée par ses propres moyens en pédiatrie à Fribourg. Nous réalisons un laboratoire qui montre une légère augmentation de la CRP à 28 mg/L avec les leucocytes à 4 G/L. Pour compléter le laboratoire, nous effectuons une échographie abdominale en recherche d'une appendicite non visualisée que nous ne pouvons pas exclure. Après une discussion avec le Dr. X, le chirurgien de garde, la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique et contrôle clinico-biologique selon l'évolution le 08.01.2020. Nous réalisons un laboratoire qui montre une régression du léger syndrome inflammatoire. En raison de l'absence de complications locales, la patiente rentre à domicile. Elle poursuivra son suivi orthopédique comme prévu. Nous lui conseillons de garder la jambe surélevée lorsqu'elle est au repos. Nous réalisons un laboratoire qui ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire, les D-Dimères et les troponines reviennent négatives. Nous concluons alors à une origine pariétale et prescrivons du Dafalgan, et conseillons d'organiser rapidement un rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant. Le patient rentre à domicile le 07.01.2020.Nous réalisons un laboratoire qui retrouve une discrète hyponatrémie et hypokaliémie. Nous faisons au patient un ECG qui retrouve la tachycardie à QRS fin. Nous administrons au total 40 mg de Diltiazem qui réduit le rythme cardiaque. Nous conseillons au patient de consulter son médecin traitant le plus vite possible. Le patient rentre à domicile. Nous réalisons un laboratoire qui retrouve une hémoglobine à 153 g/l, eGFR à 69, INR à 2.4, aPTT: 41. Nous rassurons le patient et le laissons regagner son domicile. Nous réalisons un laboratoire qui revient aligné et les D-dimères sont négatifs. Le patient peut rentrer à domicile avec antalgie et il reconsultera son médecin traitant si pas d'amélioration (US à organiser?). Nous réalisons un laboratoire qui revient aligné et une radiographie de la cheville gauche montrant une fracture de cheville gauche Weber B instable. Nous prenons avis auprès de l'Orthopédiste de garde (Dr X) et mettons en place une immobilisation par une botte plâtrée fendue. Mme. Y rentre à domicile avec des cannes et Clexane 40 mg, repos avec jambe surélevée et antalgie. Elle sera revue en rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr X, le 08.01.2020 afin de programmer une prise en charge chirurgicale pour le 09.01.2019. Nous réalisons un laboratoire qui revient rassurant. La patiente reçoit une antalgie par Buscopan et Paracétamol assez efficace. Nous administrons également une dose unique de Laxoberon 7.5 mg aux urgences. Au vu du bilan rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement laxatif de fond. Il a été expliqué à la patiente et à son mari, à plusieurs reprises, l'importance de poursuivre un traitement de fond afin d'harmoniser le transit sachant qu'elle avait déjà consulté il y a quelques jours pour la même raison. Nous réalisons un laboratoire, un ECG ainsi qu'une gazométrie artérielle mis en annexes. Nous demandons l'avis du psychiatre de garde qui nous préconise une hospitalisation au RFSM de Marsens pour l'adaptation du traitement médicamenteux. Le patient est transféré sous PAFA à Marsens par ambulance. Nous réalisons un laboratoire, un sédiment urinaire, un test de grossesse ainsi qu'un ECG mis en annexes. Nous donnons à la patiente aux urgences une antalgie par Morphine 6g avec un soulagement des douleurs selon la patiente. Elle rentre à domicile avec du Pantozol 40 mg 2x/jour et Alucol. Elle ira la semaine prochaine chez son médecin traitant pour un contrôle clinico-biologique. Nous réalisons un rinçage abondant avec NaCl 4 L avec un effet favorable sur les symptômes (douleurs et sensation de picotements). Nous prenons l'avis de l'ophtalmologue de garde. Le patient rentre à domicile avec du Tobradex en gouttes 2 fois par jour pendant 3 jours. Il ira, en cas de persistance des symptômes, après 3 jours, chez un ophtalmologue pour un contrôle. Nous réalisons un sédiment urinaire présentant une leucocyturie sans nitrite sans hématurie ainsi qu'un urotube en cours. Devant le tableau de pyélonéphrite aiguë droite non compliquée, nous décidons d'instaurer un traitement par Ciprofloxacine pendant 7 jours. À noter que devant l'incapacité géographique à reconsulter son médecin de famille ou en filière des urgences ambulatoires, la patiente contactera le laboratoire à 72h pour récupérer l'antibiogramme +/− consulter un autre médecin pour adaptation de l'antibiothérapie. Nous réalisons un sédiment urinaire, un laboratoire et un ECG mis en annexes. Nous effectuons une radiographie du thorax et un US abdominal décrits ci-dessus. Nous prenons l'avis du Dr X. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 31.01.2020. Nous lui prescrivons une antalgie de palier I. Il ira dans 1 semaine chez son médecin traitant pour un contrôle clinique. Nous réalisons un streptotest qui est négatif et nous administrons 400 mg de Brufen et 1 g de Dafalgan à la patiente. Cette dernière peut regagner son domicile. Elle consultera son médecin traitant pour un contrôle en cas de persistance des symptômes dans une semaine. Nous réalisons un streptotest qui revient négatif. Vu l'examen clinique rassurant la patiente rentre à domicile avec le traitement symptomatique. Elle ira pour un contrôle chez son médecin traitant dans 3 jours. Nous réalisons un Streptotest qui se montre négatif. La patiente poursuivra son traitement symptomatique et est prévenue de reconsulter en cas de péjoration. Elle envisagera une consultation chez un ORL pour discuter des angines à répétition. Nous réalisons un test avec du Fluorescéine qui ne montre pas de corps étrangers, pas d'érosion. Nous rinçons abondamment l'œil avec de l'eau stérile. Le patient rentre à domicile avec un traitement par Tobradex 2 fois par jour pendant 3 jours. En cas de persistance des symptômes, le patient ira chez un ophtalmologue pour un contrôle. Nous réalisons un ultrason abdominal ciblé aux urgences qui retrouve un péritoine sec sans signe de globe vésicale et la présence d'une dilatation des voies pyélocalicielles de grade 2/3 à droite sans calcul visible. Devant le premier épisode de colique néphrétique, nous décidons de réaliser un Uro-CT qui objective une lithiase de 4 x 4 mm au niveau de la jonction urétéro-vésicale avec une dilatation pyélocalicielle de 21 mm. Nous réalisons également un laboratoire qui retrouve une fonction rénale préservée sans trouble hydro électrolytique. On note un syndrome inflammatoire biologique avec leucocytose à 12.2 G/l et une CRP à 22 mg/l. Le sédiment urinaire objective une hématurie. Devant le bilan clinico-biologique rassurant, nous décidons d'un retour à domicile sous couvert d'une antalgie et de filtration des urines. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 06.01.2020. Nous lui conseillons de consulter en ambulatoire un urologue afin de faire le bilan de la colique néphrétique. Nous réalisons une radiographie ci-dessus. Nous mettons en place une attelle à but antalgique ainsi qu'une antalgie simple par Dafalgan et Algifor. Nous lui faisons un arrêt de sport jusqu'en début de semaine prochaine à réévaluer avec son médecin traitant. Nous réalisons une radiographie, ci-dessus, qui ne montre pas de fracture. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie de 1er palier et un arrêt de travail pour ce jour. Nous réalisons une radiographie de la cheville gauche, décrite ci-dessous, et nous proposons à la patiente une attelle Aircast pour 1 à 2 semaines en fonction des douleurs. Nous lui faisons un arrêt de sport jusqu'au 24.01.2020. La patiente ira chez son médecin traitant pour une réévaluation. Elle rentre à domicile. Nous réalisons une radiographie de la cheville gauche ne montrant pas de fracture. Vu la mise en charge difficile et la malposition du pied, nous mettons en place une immobilisation par attelle Aircast pendant 4-6 semaines. Retour à domicile avec antalgie et contrôle chez le pédiatre. Nous réalisons une radiographie de la colonne cervicale ne mettant pas de fracture en évidence. La patiente rentre à domicile avec un arrêt de travail pour une semaine et un traitement symptomatique. Elle reverra son médecin traitant pour un contrôle la semaine prochaine. Après le colloque, nous recontactons la patiente pour organiser un CT du rachis cervical. La patiente habitant Genève, elle décide de faire le scanner sur place et d'y continuer la prise en charge. Nous réalisons une radiographie de la main droite ne montrant ni fracture ni corps étranger. Nous prenons avis auprès de l'orthopédiste de garde (Dr X). Désinfection, exploration de la plaie sous anesthésie locale, rinçage au NaCl et suture par 3 points d'Ethylon 4.0 pour la plaie profonde et 1 point pour le flap cutané superficiel.Antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pendant 3 jours, immobilisation par attelle Edimbourg pour 7-10 jours. Contrôle à 48h à la policlinique orthopédique puis ablation des fils à J10 chez le médecin traitant. • Nous réalisons une radiographie de la main gauche décrite ci-dessus. Nous mettons en place une syndactylie des doigts 3 et 4 ainsi qu'une attelle Edimbourg. Nous prescrivons à Mr. Y une antalgie par Dafalgan et Algifor. Mr. Y reviendra demain, le 17.12.2020, en policlinique d'orthopédie pour une réévaluation du déficit de rotation du 4ème doigt. • Nous réalisons une radiographie de la main qui ne retrouve pas de fracture et proposons application de glace et une antalgie simple. Mme. Y consultera son médecin traitant pour un contrôle clinique dans 1 semaine. • Nous réalisons une radiographie de l'auriculaire gauche qui ne retrouve pas de fracture. Nous demandons un avis du Dr. X, orthopédiste de garde, qui propose de mettre en place une attelle Edimbourg. Mr. Y sera revu en contrôle clinique le 21.01.2020 en policlinique d'orthopédie. Il rentre à domicile avec des antalgiques. • Nous réalisons une radiographie de l'avant-bras droit décrite ci-dessus. Nous prenons l'avis du Dr. X et mettons en place une bretelle antalgique avec une antalgie par Irfen et Dafalgan. Mr. Y mettra de la glace 3 à 4 fois par jour. Nous lui faisons un arrêt de travail jusqu'au 27.01.2020. Mr. Y ira chez son médecin traitant le 27.01.2020 pour une consultation. • Nous réalisons une radiographie de l'épaule droite qui est décrite ci-dessus. Nous l'immobilisons dans un gilet orthopédique pour 4 semaines avec un arrêt de sport pour 6 semaines. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Mme. Y ira en policlinique dans 1 et 4 semaines pour un contrôle. • Nous réalisons une radiographie de l'épaule droite qui retrouve une fracture déplacée du tiers moyen de la clavicule droite. Dans ce contexte, nous prenons un avis auprès de l'orthopédiste de garde, le Dr. X, qui propose un traitement conservateur avec immobilisation par gilet orthopédique droit, un traitement symptomatique et une réévaluation clinico-radiologique en policlinique d'orthopédie à J7. • Nous réalisons une radiographie de l'épaule et du bras droit faisant suspecter une fracture non-déplacée du trochiter droit. Nous prenons l'avis de l'orthopédiste de garde le Dr. X et complétons le bilan radiologique par un CT qui confirme le diagnostic. Nous prescrivons à Mr. Y un traitement conservateur par gilet orthopédique. Mr. Y rentre à domicile avec une antalgie et de la physiothérapie de mobilisation passive. Il ira dans une semaine en policlinique pour un contrôle clinique et radiologique. Nous lui faisons un arrêt de travail. • Nous réalisons une radiographie de l'épaule gauche décrite ci-dessus. Nous mettons en place une immobilisation dans un gilet orthopédique pour 2 à 3 semaines et lui prescrivons de la physiothérapie. Mme. Y ira chez le Dr. X le 07.02.2020. • Nous réalisons une radiographie de l'épaule gauche ne mettant pas de fracture en évidence. Retour à domicile avec antalgie et réévaluation par le médecin traitant dans 4-5 jours, prévoir IRM cervicale en ambulatoire si absence d'évolution favorable. • Nous réalisons une radiographie décrite ci-dessus. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie simple par Dafalgan et Ibuprofen et une bande élastique antalgique. Nous lui faisons un arrêt de travail pour 10 jours. Un contrôle chez le médecin traitant se fera à 1 semaine, si le médecin traitant n'est pas disponible, un contrôle en policlinique d'orthopédie est envisageable (le numéro est transmis à Mme. Y). • Nous réalisons une radiographie décrite ci-dessus. Mme. Y voit le Dr. X qui diagnostique une entorse stade II du ligament collatéral externe de la cheville droite. Nous lui préconisons une attelle Aircast pour 4 semaines avec un rendez-vous chez le Dr. X pour un contrôle dans 4 semaines également. Nous lui donnons une antalgie simple et lui ordonnons de la physiothérapie en ambulatoire. Nous lui faisons un arrêt de 4 semaines pour le sport. Mme. Y rentre à domicile. • Nous réalisons une radiographie décrite ci-dessus. Nous mettons à Mme. Y une attelle Jeans 20° avec des cannes anglaises. Nous lui prescrivons une antalgie per os. Mme. Y rentre à domicile avec un contrôle à la consultation du Dr. X dans une semaine. • Nous réalisons une radiographie du coude gauche et mettons en place un plâtre BAB pour 3 semaines. Nous donnons rendez-vous à Mr. Y dans une semaine en policlinique pour refaire le plâtre et une radiographie de contrôle. Après le colloque d'orthopédie du 28.01.2020, le Dr. X reconvoque Mr. Y pour refaire le plâtre et pour la mise en place d'un gilet orthopédique. • Nous réalisons une radiographie du genou décrite ci-dessus. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie et un arrêt de sport pour 5 jours. Nous lui conseillons de consulter chez son pédiatre traitant en cas de besoin. • Nous réalisons une radiographie du genou droit montrant une péjoration de la gonarthrose tricompartimentale. Mr. Y n'ayant aucune douleur et une consultation étant déjà prévue chez le Dr. X, orthopédiste le 15.01.2020, Mr. Y rentre à domicile avec un rendez-vous de contrôle à la filière des urgences ambulatoires pour le lendemain avec avis orthopédique. • Nous réalisons une radiographie du genou droit ne montrant pas de fracture. Nous mettons en place une attelle Jeans 20° avec cannes et Clexane ainsi qu'une antalgie. Nous donnons un arrêt de travail jusqu'au 20.01. Il prendra rendez-vous chez le Dr. X pour une réévaluation dans +/- 7 jours pour éventuellement prévoir une IRM en ambulatoire. • Nous réalisons une radiographie du genou droit ne montrant pas de fracture. Vu la boiterie, nous mettons en place une bande élastique et une antalgie. Mme. Y refuse l'arrêt de travail et ira en contrôle chez le médecin traitant dans quelques jours. En cas de péjoration/persistance des douleurs, elle viendra en consultation d'orthopédie pour évaluer l'indication à une IRM du genou à la recherche d'une pathologie du ménisque. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie. • Nous réalisons une radiographie du genou droit qui ne montre pas de fracture. Nous prenons avis auprès du Dr. X, orthopédiste de garde. Nous mettons en place une attelle Jeans 20° pendant 1 semaine avec cannes et Clexane. Mme. Y reçoit un bon afin de commencer de la physiothérapie. Elle sera revue en contrôle chez le médecin traitant à 10-15 jours si besoin pour évaluer l'intérêt d'une IRM en ambulatoire à la recherche d'une lésion du ménisque interne. • Nous réalisons une radiographie du majeur droit ne montrant pas de fracture. Nous effectuons un rappel Tétanos. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie et conseils de glaçage 3-4x par jour pendant 48h. Elle reconsultera en cas de non-amélioration. • Nous réalisons une radiographie du pied droit expliquée ci-dessus. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie simple. Elle ira chez son médecin traitant pour le suivi, nous lui conseillons d'éviter les hauts talons. • Nous réalisons une radiographie du pied droit qui ne retrouve pas de lésion osseuse ou d'épine calcanéenne. Au vu du bilan clinique rassurant, nous décidons d'un retour à domicile sous couvert d'une antalgie par palier 1 et AINS et aussi sous anticoagulation prophylactique face à l'incapacité à charger totalement au niveau du talon, ceci jusqu'à la reprise de la marche. Nous lui conseillons également de réévaluer la situation avec le médecin de famille en cas de persistance de douleurs malgré l'antalgie.Nous réalisons une radiographie du pied et de la cheville gauche décrite ci-dessus. Nous immobilisons sa cheville par une attelle Aircast pendant 6 semaines. La patiente prévoira un contrôle clinique chez son médecin traitant dans 1 semaine. Nous réalisons une radiographie du pied gauche et mettons en place une attelle plâtrée en décharge. Le patient suivra le protocole repos, glace, surélévation. Il rentrera à domicile avec une antalgie et des AINS. Nous lui donnons un rendez-vous en policlinique dans 1 semaine pour la mise en place d'une semelle rigide. Nous réalisons une radiographie du pied gauche mettant en évidence une fracture de la base de M1 à M4 (fracture du Lisfranc) et prenons avis auprès du Dr X, orthopédiste de garde. Nous mettons en place une immobilisation par attelle plâtrée jambière postérieure et cannes. Un complément d'avis à l'orthopédiste pédiatrique sera pris demain. Le patient sera revu pour un contrôle en policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Nous réalisons une radiographie du pied gauche ne montrant pas de fracture. En raison de l'impossibilité de mise en charge de l'avant-pied, nous mettons en place une immobilisation par attelle plâtrée postérieure avec cannes et Clexane. Nous organisons un complément radiologique par CT-scanner le 26.01.2020 à la filière des urgences ambulatoires à la recherche d'une éventuelle fracture passée inaperçue à la radiographie. Nous réalisons une radiographie du pied gauche ne montrant pas de fracture. Nous prenons avis auprès de l'orthopédiste de garde (Dr X). En raison d'un doute sur une entorse bénigne du Lisfranc, nous mettons en place une immobilisation par Splintpod, cannes et Clexane pour une semaine. La patiente peut rentrer à domicile. Prescription de repos avec jambe surélevée, glaçage. Contrôle en policlinique orthopédique dans 1 semaine. Nous réalisons une radiographie du poignet droit décrite ci-dessus. La patiente rentre à domicile avec une antalgie simple par Dafalgan et Algifor. Nous réalisons une radiographie du poignet droit n'objectivant pas de fracture. Nous prenons avis auprès du Dr X, orthopédiste de garde, et immobilisons le patient par un plâtre AB fendu avec pouce compris en raison de la suspicion clinique d'une fracture du scaphoïde. Le patient rentre à domicile avec une antalgie et prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle à J10. Nous réalisons une radiographie du poignet droit qui retrouve une fracture de Pouteau-Colles à droite que nous décidons de réduire et d'immobiliser par pose d'une manchette plâtrée. Nous prenons un avis auprès du Dr X, orthopédiste, qui indique le traitement conservateur et décide d'un retour à domicile avec instauration d'aides à domicile. La patiente rentre à domicile avec une antalgie. Elle prendra rendez-vous pour une réévaluation clinico-radiologique à J7 chez le Dr X. Nous réalisons une radiographie du poignet gauche ainsi qu'un CT (décrit ci-dessus) qui nous montre une fracture intra-articulaire du radius distal gauche, pas de fracture du scaphoïde. Nous immobilisons son bras par un plâtre fendu en bretelle. Le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve et un arrêt de travail. Il ira dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour un contrôle. Nous réalisons une radiographie du poignet gauche décrite ci-dessus. Nous réalisons une immobilisation dans une attelle plâtrée AB dorso-radiale. La patiente suivra le protocole repos, glace, surélévation. La patiente rentre à domicile avec un rendez-vous en policlinique après une semaine pour une circularisation et une radiographie, elle reviendra également dans 4 semaines. Après le colloque du matin, le 28.01.2020, nous rappelons la patiente qui reviendra ce jour pour changer son plâtre. Nous réalisons une radiographie du poignet gauche ne mettant pas de fracture en évidence. Nous prenons avis auprès du Dr X, orthopédiste de garde. Le patient rentre à domicile avec une attelle à visée antalgique et un traitement symptomatique. Nous lui donnons également un arrêt de travail jusqu'au 15.01.2020. Nous réalisons une radiographie du pouce droit et poignet, qui ne montre pas de fracture. Mise en place d'une immobilisation par gantelet plâtré. Le patient rentre à domicile avec une antalgie. Il se rendra en contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Nous réalisons une radiographie du pouce gauche ne mettant pas de fracture en évidence. Le patient rentre à domicile avec une antalgie. Nous réalisons une radiographie du thorax à la demande du patient, décrite ci-dessus. Nous proposons un traitement symptomatique et le patient rentre à domicile. Nous réalisons une radiographie du thorax ne montrant pas de fracture de côte ni pneumothorax. Le patient rentre à domicile avec une antalgie et sera revu par son médecin traitant début de semaine au besoin. Nous réalisons une radiographie du 4ème doigt gauche ne montrant pas de fracture. Nous retenons le diagnostic de contusion. La patiente rentre à domicile avec antalgie et nous mettons en place une attelle alu pour 2 jours à la demande de la maman. Nous réalisons une radiographie du 5ème doigt droit expliquée ci-dessus. Nous immobilisons le doigt par une syndactylie des doigts 4 et 5 aux urgences. Nous lui mettons une attelle en 8 en ergothérapie. La patiente viendra dans une semaine en policlinique pour réévaluer l'immobilisation. Elle rentre à domicile. Nous réalisons une radiographie du 5ème doigt gauche ne mettant pas de corps étranger en évidence. Nous désinfectons et explorons la plaie puis la rinçons. Le patient rentre à domicile. Nous réalisons une radiographie qui ne retrouve pas de lésion osseuse. Nous prenons un avis auprès de l'orthopédiste Dr X qui indique une immobilisation par une manchette plâtrée avec colonne de pouce et demande un CT de la main droite avec une réévaluation clinique le 27.01.2020 à la consultation du Dr X. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail. Nous réalisons une radiographie de cheville gauche mettant en évidence une fracture horizontale de la malléole interne gauche. Nous prenons avis auprès de l'orthopédiste de garde (Dr X) et complétons le bilan radiologique par un CT-scanner montrant une fracture de la marche antéro-supérieure du calcanénum ancienne, une fracture malléole externe ancienne, une fracture malléole interne récente. Immobilisation par botte plâtrée fendue, cannes et Clexane. Contrôle policlinique ortho dans 1 semaine. Nous réalisons une radiographie du coude gauche qui revient normale et un laboratoire ne montrant pas de syndrome inflammatoire. Nous mettons en place un bandage écossais et le patient sera revu à la filière des urgences ambulatoires pour un avis orthopédique et la suite de la prise en charge. Nous réalisons une radiographie montrant l'ostéosynthèse sans déplacement objectivé (mais pas de comparatif disponible). Nous administrons une antalgie par Morphine titrée puis prenons l'avis de l'orthopédiste de garde. Le patient est transféré vers le service de chirurgie de la main du CHUV par ses propres moyens, avec sa femme. Nous réassurons la maman. Le patient peut rentrer à domicile avec un traitement antalgie. Il reconsultera en cas d'absence d'amélioration. Après le colloque du matin le 26.01.2020, le patient a été appelé plusieurs fois par Dr. X pour une demande de retour aux urgences et réalisation d'une radiographie de l'épaule étant donné que cela n'a pas été fait lors du premier contrôle, mais le patient ne répond pas. Nous recevons une demande de sevrage chez un patient connu pour plusieurs tentatives de sevrage. Il présente un score de Cushman à 2 et n'a aucune plainte somatique. Nous prenons l'avis du psychiatre de garde (Dr. X) qui ne rapporte pas de possibilité d'hospitalisation ce soir pour cause de manque de place. Nous informons le psychiatre que le patient a présenté de l'agressivité, il est énervé par le temps d'attente des réponses, mais comprend la situation et s'excuse. Vu que le patient s'est présenté en volontaire et ne présente pas de syndrome de sevrage, le psychiatre décide de convoquer le patient pour une hospitalisation en électif. Le RFSM convoquera le patient. Le patient ayant déjà en réserve le Seresta, nous ne lui en prescrivons pas.Nous recommandons la poursuite du traitement conservateur et insistons sur la nécessité de respecter les prescriptions d'immobilisation plâtrée et de décharge. Il dit ne pas pouvoir décharger complètement le membre inférieur D compte tenu de la faiblesse du membre inférieur G. Nous lui recommandons donc de charger au minimum le membre inférieur D. Nous l'envoyons chez le plâtrier pour confectionner un plâtre fermé. Poursuite de la Clexane 40 mg pour encore 4 semaines. Arrêt de travail à 100% prolongé jusqu'au 01.03.2020. Prochain contrôle radioclinique, hors plâtre et en charge, dans 4 semaines. Nous recommandons une polysomnographie. Nous recontacte pour l'AMO. Nous reconvoquons le patient suite au colloque de chirurgie orthopédique pour faire un examen radiologique. Nous rediscutons de la situation en présence de son petit-cousin, Mr. Y. J'explique que, du point de vue chirurgical, je n'ai pas de proposition thérapeutique. Il y a clairement une discrépance entre ce que le patient décrit comme douleurs et les pathologies visibles sur l'IRM. Il y a certainement une forte composante psychologique qui influence l'évolution défavorablement. L'évolution du genou droit suite à l'implantation de la prothèse totale est bonne, avec un résultat satisfaisant. Pas de nouveau contrôle pour le moment. Je reste bien évidemment à disposition en cas de besoin. À 2 ans de la retraite, il serait souhaitable de trouver à Mr. Y une solution qui lui permette de travailler à 100% avec un travail adapté. Nous rediscutons le diagnostic de Jumper's Knee et j'explique au patient qu'il n'existe pas beaucoup d'options de traitement et que le seul traitement efficace sur le long terme est la physiothérapie. Je lui propose de continuer de faire les exercices qu'il a appris en physiothérapie pour les étirements et tonification du quadriceps. On peut espérer, une fois la croissance terminée, que les symptômes s'amélioreront. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Le patient me recontactera en cas de besoin. Autrement, fin de traitement. Nous rediscutons les différentes possibilités de traitement. J'explique les risques et les bénéfices d'une prothèse de genou. Vu qu'actuellement le patient peut marcher encore facilement durant 1 h, l'indication opératoire n'est pas donnée. J'ai donc proposé au patient un rendez-vous d'ici 3 mois pour une réévaluation clinique et pour discuter de la suite du traitement. Prochain rendez-vous le 17.04.2020. Nous réexpliquons au patient comment gérer sa symptomatologie avec une adaptation de l'activité sportive et des exercices d'étirements en cas de début de récidive. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si besoin. Nous refaisons un plâtre en combi-cast fendu en positionnement et de confection adéquate. Prochain contrôle dans une semaine radio-clinique avec confection d'un nouveau plâtre circularisé sauf déplacement secondaire. Nous remercions le secrétariat du Dr. X de bien vouloir convoquer la patiente pour une échocardiographie et un holter. Nous remplissons un formulaire de constat médical de coups que nous remettons au patient. Il rentre à domicile. Nous reprenons une formule sanguine, CRP et VS ainsi qu'hémocultures. Le patient rentre à domicile. Si les hémocultures reviennent de nouveau positives, il revient aux urgences pour débuter l'antibiothérapie IV. Sinon, contrôle clinique chez nous le 20.01 à 9h avec +/- avis chez Dr. X. Cas discuté avec CDC Dr. X. Nous retenons ainsi le diagnostic d'une entorse de LLE de stade I, raison pour laquelle nous l'immobilisons dans une Aircast avec certificat pour 1 semaine et contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Ainsi que d'une contusion au niveau du pied droit. Nous retenons des contractures musculaires paravertébrales cervicales. Nous faisons une radiographie du rachis cervical et un CT-scanner du rachis cervical qui reviennent dans la norme. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde, qui propose de mettre en place une minerve mousse à but antalgique pour 3 jours et qui ne voit pas d'indication à une IRM au vu d'une clinique rassurante après testing de la mobilisation de la nuque après ablation de la minerve rigide. Nous remplissons avec le patient le document Whiplash. Le patient rentre à domicile avec une prescription pour Sirdalud et une antalgie de 1er palier. Nous lui donnons un certificat médical pour le 17.01.2020. Nous retenons des douleurs abdominales d'origine indéterminée, probablement sur coprostase. Le laboratoire revient rassurant. Le sédiment urinaire est propre. Nous discutons avec Dr. X et préconisons une antalgie et laxatif en visant des selles molles et recommandons de reconsulter les urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes ou de péjoration. En ce qui concerne l'hyponatrémie à 129 mmol/l, nous proposons une substitution per os. Nous retenons des douleurs en fosse iliaque droite. Nous faisons un bilan biologique et un stix urinaire qui reviennent normaux. Le patient rentre à domicile et il reviendra le jour même pour un ultrason abdominal à 17h00. Nous retenons des douleurs musculaires d'origine indéterminée du mollet droit. L'examen clinique est rassurant et le laboratoire mis en annexes nous permet d'écarter une récidive de thrombose veineuse profonde. Nous préconisons une antalgie, pas de sport pour 1 semaine et un retour à domicile. Le suivi se fera chez son médecin traitant en cas de besoin. Nous retenons des DRS d'origine indéterminée le 02.01.2020, DD troubles anxieux. Les troponines reviennent négatives et nous pouvons exclure des spasmes coronariens. Le reste du laboratoire et l'ECG sont sp. Nous retenons des palpitations d'origine X avec un DD de consommation élevée de café ou anxiété. Les palpitations ont déjà disparu à l'arrivée de la patiente aux urgences. L'ECG montre un rythme sinusal, régulier avec rythme cardiaque à 98 bpm, pas de signe d'ischémie et nous mettons en évidence une hypokaliémie à 3.0 mmol/l au laboratoire, pour laquelle nous effectuons une substitution IV aux urgences et préconisons un traitement par K per os 3 jours. En ce qui concerne l'hypertension artérielle mal contrôlée, la patiente a pris de l'Amlodipine à la maison et nous mettons en évidence une tension artérielle normale aux urgences pour toute la surveillance. Nous proposons un retour à domicile et de rediscuter le traitement pour l'hypertension artérielle avec son médecin traitant (elle rapporte avoir un traitement avec 2 anti-calciques avec prise irrégulière). Nous retenons effectivement la présence d'un corps étranger qui correspond à un fil de suture non résorbable en sous-cutané. Au vu d'une gêne importante, nous retenons l'ablation de celui-ci mais organisons tout d'abord un ultrason de cette structure avec un marquage par le radiologue puis reverrons le patient par la suite à notre consultation afin de faire une photo du marquage et ainsi bilanter exactement la localisation de ce corps étranger. Nous pré-réservons une date le 29.01.2020 afin d'enlever ce corps étranger en ambulatoire sous anesthésie locale avec une légère sédation. Le formulaire de consentement devra également être rempli lors de la prochaine consultation.Nous retenons le diagnostic clinique de pneumonie, probable surinfection dans le contexte d'IVRS et bronchiolite, ainsi qu'une otite moyenne aigüe perforée à gauche. Nous instaurons un traitement par Amoxicilline 40 mg/kg/dose 2x/j pendant 7 jours avec contrôle à votre consultation à 48 h. Nous retenons le diagnostic d'angine virale, à traiter avec une antalgie et un traitement antipyrétique simple. Indication de reconsultation données à Mme. Y : si péjoration de l'état général, si torticolis ou trismus et si persistance de la fièvre à 48 h. Nous retenons le diagnostic de céphalées d'origine indéterminée sans critère de gravité, nous organisons un rendez-vous pour une IRM cérébrale à la recherche d'origine de cette céphalée le 14.01.2020 à 07 h 15 dans notre service de radiologie avec un rendez-vous en filière des urgences ambulatoires ensuite. Mr. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous expliquons à Mr. Y la nécessité de reconsultation en cas de péjoration ou d'apparition de signe de red flag (expliqué à Mr. Y et son épouse). Nous retenons le diagnostic de coliques rénales gauche irradiantes au bas-ventre d'origine indéterminée (DD : suspicion de colique néphrétique dans contexte de passage de calcul ?). Nous faisons un bilan biologique et un sédiment urinaire. Mme. Y a reçu du Dafalgan, Brufen et Buscopan aux urgences avec amélioration des douleurs. Nous discutons avec le Dr. X, chirurgien de garde, qui propose de compléter le bilan par un uro-CT (DD : colique néphrotique). Le CT-scanner revient dans la limite de la norme. Mme. Y regagne son domicile avec un traitement antalgique et spasmolytique réserve, avec contrôle chez son médecin traitant au début de semaine prochaine. Nous avons avisé Mme. Y de consulter son médecin traitant afin d'organiser une colonoscopie en cas de persistance de l'hématochésie. Nous retenons le diagnostic de constipation dans le contexte de coprostase et de rectorragies anamnestiques probablement dans le contexte d'hémorroïdes internes. Nous introduisons un traitement laxatif. Mme. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour organiser un contrôle en ambulatoire. Nous retenons le diagnostic de coprostase. Nous faisons un grand lavement aux urgences qui donne peu de selles. Nous faisons un bilan biologique, une radiographie de l'abdomen et un CT-scanner abdominal. Mr. Y rentre à domicile avec une majoration du traitement laxatif. Le suivi se fera chez le médecin traitant à qui nous laissons le soin d'organiser une coloscopie en ambulatoire. Nous retenons le diagnostic de diverticulite sigmoïdienne aiguë récidivante Hansen & Stock 2a. Nous faisons un bilan biologique et un CT-scanner abdominal. Mme. Y rentre à domicile avec une antibiothérapie per os par Ciproxine 500 mg 2x/jour et Metronidazole 500 mg 3x/jour pendant 10 jours. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 26.01. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle la semaine prochaine. Nous retenons le diagnostic de douleurs thoraciques pariétales sur toux d'origine virale. Il n'y a pas d'argument pour une cause cardiaque ou pulmonaire. Nous prescrivons un traitement anti-toussif par Calmerphan-L sirop, antalgie et antipyrétique simple par Dafalgan 500 mg 4x/j et Ibuprofène 400 mg 3x/j. Nous retenons le diagnostic de fracture de Pouteau-Colles droite, pour laquelle Mme. Y bénéficie d'une réduction avec plâtre. Mme. Y sera revue par un ami orthopédiste pour la suite de la prise en charge. Nous retenons le diagnostic de gastrite virale. Il n'y a pas d'argument en faveur d'une hypertension intracrânienne ou d'une obstruction du drain ventriculo-péritonéal. Nous retenons le diagnostic de gastro-entérite. Nous réhydratons Mme. Y avec 1000 mL de NaCl. Le bilan biologique réalisé est en ordre sans syndrome inflammatoire. Nous proposons une réhydratation orale à Mme. Y avec du Buscopan au besoin. Nous retenons le diagnostic de lombalgies aiguës non déficitaires. Mme. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie et une prescription de physiothérapie. Elle reconsultera les urgences en cas de péjoration des douleurs ou d'apparition de déficit neurologique. Nous retenons le diagnostic de myosite virale avec rhabdomyolyse au laboratoire, sans atteinte rénale. Nous téléphonons à la pédiatre (assistante) qui nous transmet que le suivi peut être effectué chez elle. Nous retenons le diagnostic de suspicion de syndrome d'apnée obstructive du sommeil. Mr. Y rentre à domicile avec des consignes de normes d'hygiène de vie. Nous ne lui donnons pas de somnifère. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 10.01. Il prendra rendez-vous avec un pneumologue pour polysomnographie à prévoir le 03.01 ou 06.01. Nous retenons le diagnostic de syndrome grippal. Le streptotest test revient négatif et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Le laboratoire montre un syndrome légèrement inflammatoire avec des leucocytes à 7.4 G/l et une CRP à 15 mg/l, probablement d'origine virale. Nous introduisons un traitement symptomatique avec stimulation de l'hydratation. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 21.01. Le suivi se fera chez le médecin traitant. Nous retenons le diagnostic de tachycardie sinusale avec palpitations d'origine x. Nous faisons un bilan biologique, un ECG et une radiographie du thorax qui revient dans la norme. Nous demandons l'avis du Dr. X, de médecine interne. Mme. Y rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 03.01 et une antalgie standard si douleurs. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en début de semaine prochaine avec TSH à pister. Nous retenons le diagnostic de vulvite, sans argument pour une infection urinaire, le stix montrant une flore bactérienne importante et une leucocytose étant également compatible avec une vulvite (stix réalisé par infirmière sans demande médicale). Néanmoins, nous avons mis l'urine en culture et contacterons les parents si elle revient positive pour un germe pour introduire dans ce cas un traitement antibiotique. Nous retenons le diagnostic d'hypotension orthostatique avec vertiges. Nous faisons un bilan biologique (décrit ci-dessus), un sédiment urinaire qui revient propre, un ECG qui est dans la norme et un Schellong qui est positif. Nous faisons une manœuvre Hallpike négative sans symptôme déclenché et une manœuvre Halmagyi avec lunettes de Frenzel négative sans symptôme déclenché également. Mme. Y rentre à domicile avec une prescription de bas de contention de classe 2 et des conseils d'hydratation. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant en début de semaine prochaine pour un contrôle clinique. Nous diagnostiquons également une sciatalgie gauche non déficitaire. Mme. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle avec investigations. Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes supérieures le 14.01.2020. Mme. Y peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies respiratoires supérieures et proposons de continuer avec les rinçages nasaux avec du sérum physiologique. Nous retenons le diagnostic d'otite aiguë moyenne bilatérale et introduisons un traitement antibiotique par Amoxicilline adapté au poids pour un total de 5 jours. Nous retenons le diagnostic d'otite virale et introduisons un traitement par antalgie et antipyrétiques simples (Dafalgan 15 mg/kg/dose soit 150 mg 3x/j et Algifor 10 mg/kg/dose soit 4.7 ml 3x/j). Reconsultation si persistance de l'état fébrile à 48 h.Nous retenons le diagnostic d'une anémie microcytaire hypochrome à 71 g/l symptomatique (malaise, palpitations, pâleur), après discussion avec l'hématologue il est préconisé d'éviter une transfusion et de débuter un traitement par substitution de fer (et acide folique) même si la carence n'est pas majeure (cible ferritine 30; coef saturation quasi normale) Un contrôle clinique et biologique sera réalisé dans 48 h par l'hématologue Dr. X aux urgences. Consignes données aux parents de reconsulter avant si péjoration clinique. Actuellement l'origine de l'anémie reste indéterminée, probablement sur règles, probablement composante ferriprive et une origine virale est en cours de recherche. Pas d'argument pour d'autres signes d'extériorisation. Nous retenons le diagnostic d'urticaire para-viral et proposons un traitement symptomatique par Xyzal 5 gouttes 2x/j jusqu'à résolution des démangeaisons. Nous retenons le diagnostic de commotion cérébrale simple, sans déficit neurologique. Antalgie simple par Dafalgan 15 mg/Kg/dose 4x/j en sachet. Nous proposons un arrêt de sport d'une semaine (avec attestation), avec réévaluation clinique à votre consultation le 31.01 en raison du camp de ski qui doit avoir lieu la semaine du 3-7 février. Concernant le hockey sur glace, nous proposons un arrêt de trois semaines. De plus, nous déconseillons une stimulation par les écrans pour les prochaines semaines. Nous retenons le diagnostic de contusion des orteils 2 et 3 du pied gauche, sans fracture cliniquement. En raison du plâtre déjà présent nous n'immobilisons pas les orteils par une syndactylie. Nous retenons le diagnostic de probable élongation du nerf ulnaire lors du mouvement de rotation. Nous proposons un arrêt de sport pour un jour. Contrôle chez le pédiatre si persistance des douleurs. Nous retenons le diagnostic de pyélonéphrite et introduisons une antibiothérapie empirique par Co-Amoxiciline 750 mg d'amoxiciline 2x/j pendant 10 jours. Nous contacterons les parents si les résultats des cultures urinaires nécessitent une adaptation de l'antibiothérapie. Nous retenons le diagnostic de rhume de hanche à droite. Les hémocultures du 18.01.2020 sont stériles ce jour. Aucun signe d'infection cliniquement. Nous retenons le diagnostic d'hémangiomes thrombosés. Nous mettons en évidence une légère anémie hypocytaire hypochrome normale pour l'âge. Nous retenons le diagnostic d'infection aiguë à Ebstein Barr Virus avec adénopathie cervicale. Nous organisons un contrôle aux urgences pédiatriques dans 48 h pour évaluation clinique +/- bilan sanguin +/ Echographie abdominale +/ contrôle hépatique en fonction du contrôle clinique. Traitement anti-inflammatoire simple par Algifor 10 mg/Kg/dose d'office 3x/j. Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes supérieures et prescrivons un traitement par gouttes nasales de Triofan. Nous demandons aussi une culture de selles en raison des diarrhées présentes depuis deux semaines, afin d'exclure une cause bactérienne. Nous retenons l'indication opératoire à une cure d'ongle incarné selon Kocher du bord médial et du bord latéral de l'hallux G. Cette intervention se fera en anesthésie locale. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous retenons un abcès axillaire gauche de +/- 1.5 cm. Nous faisons une anesthésie locale par cryoanesthésie, une incision avec évacuation de pus, un rinçage au NaCl 100 mL puis la mise en place d'une mèche. La patiente rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 26.01.2020 et une antalgie. Elle reviendra en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle à 24 h. Nous retenons un diagnostic d'angine érythémato-pultacée avec un streptotest négatif. Nous proposons à la patiente un traitement symptomatique avec Dafalgan et Brufen. En cas de persistance des symptômes, la patiente devra consulter son médecin traitant ou se présenter aux urgences pour introduction d'un traitement antibiotique. Nous retenons un diagnostic de douleurs abdominales d'origine indéterminée. Nous réalisons un laboratoire qui est tout à fait normal avec un test de grossesse négatif. Dans ce contexte, nous proposons un traitement symptomatique et conseillons à la patiente de se faire voir par son gynécologue. Nous retenons un diagnostic d'otite externe avec traitement goutte de Panotile et antalgie. Nous retenons un état grippal et instaurons un traitement symptomatique. Mr. Y regagne son domicile après la consultation. Nous lui conseillons de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie. Nous retenons un otite moyenne aiguë pour laquelle nous conseillons un traitement antibiotique et un contrôle chez le médecin traitant. Nous retenons un premier diagnostic de douleurs abdominales d'origine indéterminée pour lesquelles nous faisons des examens de laboratoire, sédiment urinaire, ECG et ultrason abdominal. Nous retenons également une insuffisance rénale chronique IIIb avec clairance de la créatinine à 40 ml/min selon CKD EPI. Aux urgences, nous administrons une antalgie par Paracétamol 1 g IV avec bon effet sur les douleurs. La patiente peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas de recrudescence des symptômes +/- organisation d'une colonoscopie si persistance des symptômes. Nous retenons un syndrome grippal avec douleurs thoraciques d'origine pariétale. Le laboratoire montre une fonction rénale, électrolytes sans particularité. L'ECG est sans particularité. La Rx du thorax ne montre pas de foyer, pas d'épanchement pleural, pas de fracture des côtes, pas d'altération trachée et esophage. Nous discutons du cas avec le Dr. X et préconisons un traitement par AINS et Dafalgan + Fluimucil, hydratation per os. La patiente peut ensuite rentrer à domicile. Dans le sédiment urinaire nous mettons en évidence une leucocyturie asymptomatique qui ne pose pas d'indication à un traitement. Nous retenons un syndrome grippal avec une pharyngite virale. La patiente rentre à domicile avec une antalgie et un traitement symptomatique. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 16.01.2020. Nous retenons un syndrome grippal. Le patient rentre à domicile avec une antibiothérapie par Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant 5 jours, une antalgie, un Nasivin spray et du Neo-angin spray. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 15.01. Nous retenons un syndrome grippal le 16.01.2020. L'examen clinique est rassurant. Nous administrons à la patiente du Dafalgan 1 g et du Brufen aux urgences avec baisse de la température et une bonne amélioration des symptômes. Nous discutons avec le Dr. X et préconisons un traitement avec AINS, Dafalgan, repos, hydratation. Nous restons à disposition en cas de péjoration ou de nouveaux symptômes. Nous retenons un traitement conservateur de ce premier épisode de luxation traumatique de la patella D. L'IRM exclut une indication chirurgicale. Prescription de physiothérapie et de rééducation dans l'axe. Incapacité de sport pour 6 semaines. On refait le point cliniquement dans 3 mois. Nous retenons une angine bactérienne avec streptotest positif, au vu de la baisse d'état général nous laissons la patiente rentrer à domicile avec antibiotique et traitement symptomatique. Nous retenons une angine virale avec retour à domicile avec traitement symptomatique. Nous retenons une angine virale avec un retour à domicile avec traitement symptomatique. Nous retenons une contusion de la main gauche. La radiographie de la main gauche montre une suspicion de fracture du capitatum. Le CT-scanner ne montre pas de fracture. Nous mettons en place une attelle du poignet à but antalgique. La patiente rentre à domicile avec une antalgie. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous retenons une contusion du genou avec traitement symptomatique et arrêt de sport, contrôle chez le pédiatre si pas d'amélioration. Nous retenons une contusion du 3 et 4ème orteil gauche avec traitement par syndactylie et semelle rigide 1 semaine, arrêt de travail et antalgie. Nous retenons une contusion para-lombaire. Nous faisons un bilan biologique qui revient dans la norme, un sédiment urinaire sans particularité et des radiographies du bassin et colonne lombaire qui ne montrent pas de fracture. Nous demandons l'avis du Dr. X, de médecine interne. Le patient rentre à domicile avec une antalgie. Il reconsultera en cas de péjoration des symptômes ou d'apparition de nouveaux symptômes. Nous retenons une crise hypertensive symptomatique avec douleurs thoraciques et des céphalées. Nous faisons un ECG qui revient sans particularité et un bilan biologique qui montre des troponines à 6 ng/L aux deux trains, permettant l'exclusion d'un syndrome coronarien aigu. La patiente reçoit un traitement par Nifédipine 20 mg cpr ret aux urgences permettant la diminution des symptômes et de la tension artérielle. Elle rentre à domicile avec une prescription pour Amlodipine en réserve et une antalgie de 1er palier. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique et l'adaptation des antihypertenseurs. Nous retenons une décompensation diabétique avec hyperglycémie réactionnelle sur traitement par corticoïde. Nous faisons un laboratoire et un sédiment urinaire. Aux urgences, la patiente reçoit une hydratation IV par NaCl 1000ml/3h et Novorapid 3 U. Nous faisons une surveillance aux urgences avec glycémie capillaire 1x/h. Elle rentre à domicile avec reprise de son traitement habituel par Janumet. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle avec réévaluation du traitement antidiabétique. Nous retenons une douleur abdominale dans un contexte de constipation. Nous proposons un traitement avec Movicol poudre et changement de l'alimentation. Consigne de reconsulter si péjoration ou nouveau symptôme. Nous retenons une douleur pectorale d'origine musculaire avec retour à domicile avec traitement symptomatique. Nous retenons une dyspnée dans un contexte de BPCO avec bulle d'emphysème apicale droite le 17.01.2020 (DD: anxiogène). Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire avec BNP négatif. La gazométrie artérielle montre une hypoxémie à 9.1 kPa sous air ambiant, pas de rétention de CO2 ni de trouble acido-basique. L'ECG montre un rythme sinusal normocarde à 76/min, pas de troubles de conduction, ST iso-électrique, pas de trouble de la repolarisation. La radiographie thoracique montre des coupoles diaphragmatiques aplaties, suspicion de pneumothorax. Nous réassurons le patient qui peut rentrer à domicile. Il prendra rendez-vous chez son pneumologue pour une consultation en ambulatoire pour la suite de la prise en charge. Nous retenons une entorse de cheville avec retour à domicile avec attelle et antalgie. Nous retenons une entorse de cheville gauche de stade II avec immobilisation par Aircast pour 6 semaines, jour et nuit. Arrêt médical à réévaluer avec le médecin traitant. Nous retenons une entorse du ligament latéral interne du genou droit. La radiographie ne montre pas de fracture. Nous demandons l'avis du Dr. X. Nous mettons en place une attelle jeans 20° avec marche en charge. Nous informons la patiente qu'elle n'a pas le droit de conduire. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 09.01, de la Clexane et un traitement antalgique. Nous lui recommandons d'appliquer de la glace. Elle prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle à J7. Nous retenons une entorse du ligament latéral interne du genou gauche suite à une chute à ski. La radiographie du genou gauche ne montre pas de fracture. Nous mettons en place une attelle jeans 20° avec une antalgie par Paracétamol et Irfen. Une consultation à 7 jours chez le pédiatre sera à organiser. Nous retenons une entorse stade 1-2 avec retour à domicile avec attelle et traitement conservateur. Nous retenons une exacerbation sur probablement une surinfection bronchique d'une BPCO stade IV D selon GOLD 2018 avec critère d'Anthonisen 3/3. Nous effectuons un examen de laboratoire qui montre une FSS, fonction rénale, électrolytes, sp. CRP 6, leucocytes 11.3. Crase sp; L'ECG est sinusale avec des ESSV. L'Rx thorax ne montre pas de foyer clair, pas d'épanchement. Une gazométrie à l'entrée montre pH 7.39, pO2 8, pCO2 6.6, bic 30; nous répétons une gazométrie de 21h pour la présence d'une désaturation et d'une péjoration des symptômes avec utilisation des muscles accessoires plus importante. L'examen montre pH 7.35, pO2 8.8, pCO2 7.3, bic 30. Nous mettons donc en place une VNI aux urgences. Nous discutons avec le Dr. X et préconisons un TTT par Co-Amoxi 2.2 g 3xJ avec Atrovent/Ventolin en réserve. Au vu de l'insuffisance respiratoire hypercapnique malgré 1 séance de VNI, nous discutons avec Mme. Y et le Dr. X: REA OUI, TUBE OUI. Nous prenons l'avis des SI: deuxième session VNI et ok pour transfert avec ambulance et SMUR aux SIB, HFR Fribourg. Mr. Y informé. Nous retenons une fracture du col du fémur Garden 1 à gauche. Aux urgences, le patient reçoit une antalgie aux urgences par 50 mcg de Fentanyl, 1 g de Dafalgan et 75 mg de Voltaren. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Le patient est à jeun depuis 07h30. La suite de la prise en charge se fait au bloc opératoire. Nous retenons une gastro-entérite débutante, sans red flags, nous laissons le patient rentrer à domicile avec traitement symptomatique, conseil d'hydratation et arrêt de travail. Nous lui conseillons de revenir s'il ne présente pas d'amélioration ou un nouveau symptôme inquiétant. Nous retenons une lombalgie et dorsalgie non déficitaire avec retour à domicile avec quelques séances de physiothérapie et antalgie. Nous retenons une mycose vaginale et des céphalées de tension dans un contexte de stress, nous laissons la patiente renter avec traitement symptomatique et arrêt de travail. Nous retenons une otite externe avec traitement symptomatique et retour à domicile. Nous retenons une otite externe gauche avec traitement Panotile goutte et antalgie. Nous retenons une probable pyélonéphrite gauche. Nous réalisons un laboratoire qui retrouve un glucose dans la norme, urée et créatinine dans la norme, pas de trouble électrolytique, syndrome inflammatoire avec leucocytes à 14.6 G/l et CRP à 29 mg/l. Les tests pancréatico-hépatiques sont dans la norme. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g en ordre unique avec un relais par Ciproxine pour 7 jours. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 08.01. La patiente sera revue en contrôle et pour résultats de l'urotube en filière des urgences ambulatoires à 72h. Nous retenons une pyélonéphrite droite chez une patiente avec symptôme d'infection urinaire depuis le 16.01.20, sous traitement de nitrofurantoïne depuis 3 jours. Nous effectuons un sédiment et culture d'urine avec remise du résultat lors du contrôle le 22.01.20. Conseil de revenir si EF ou pas d'amélioration des symptômes. Nous retenons une pyélonéphrite gauche. Nous faisons un laboratoire et un sédiment urinaire. Nous discutons avec le Dr. X et préconisons de la Rocéphine 2 g aux urgences et un traitement par Ciproxine 500 mg 2x/jour pour 7 jours. Nous lui prescrivons une antalgie en réserve et lui donnons un rendez-vous en filière des urgences ambulatoires le 02.01.2020 pour un contrôle et les résultats de l'urotube.Nous retenons une rhino-sinusite aiguë à l'origine des céphalées de la patiente. Un traitement symptomatique est débuté. Nous retenons une sclérite de l'œil droit. Nous réalisons un test à la Neo-Synéphrine qui est négatif. Nous prenons un avis auprès de l'ophtalmologue de garde qui propose un traitement à base de Tobradex, Brufen et Irfen. Le patient sera revu en ophtalmologie la semaine prochaine. Nous retenons une suralimentation et conseillons à la maman de diminuer les apports (120-130 ml/kg/j). Nous retenons une suspicion d'appendicite avec DD: gastro-entérite. Nous faisons un bilan biologique. Nous demandons l'avis du Dr X, chirurgien de garde. Nous demandons l'avis du pédiatre de garde de l'HFR Fribourg. Nous transférons le patient en pédiatrie à l'HFR Fribourg pour une échographie abdominale et la suite de la prise en charge. Nous retenons une syncope sur hypotension orthostatique. Aux urgences, nous faisons un ECG qui revient normal ainsi qu'un test de Schellong qui est positif. Nous lui donnons une hydratation PO. Elle peut rentrer à domicile avec une prescription pour des bas de contention. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous retirons le piercing et désinfectons l'endroit avec Hibidil. Traitement antibiotique par Co-Amoxicilline 1 g ex/j pour 5 jours. Nous retirons le plâtre ce jour. L'évaluation clinique est globalement favorable avec une disparition de la tuméfaction mais une persistance des douleurs, toutefois en diminution. Le patient est autorisé à débuter l'ergothérapie pour mobilisation libre selon les douleurs. Nous reverrons le patient dans 6 semaines pour un contrôle clinique et une réévaluation quant à la reprise de son activité professionnelle. Nous retrouvons un arrachement distal de la fibula radiologiquement. Nous proposons donc une attelle Mc David pour 4 semaines avec charge selon douleurs et un contrôle clinique à une semaine. Nous retrouvons un déplacement de la fracture basi-pédiculaire G L5 ainsi qu'une persistance des douleurs radiculaires L5 du membre inférieur G. Nous proposons donc de compléter le bilan par une IRM lombo-sacrée et nous reverrons le patient par la suite le 28.01.2020. Nous retrouvons une exostose osseuse calcanéenne inférieure sans fracture que nous traitons conservativement avec une antalgie simple, des talonnettes orthopédiques et conseillons de reprendre contact avec son orthopédiste en cas de persistance des symptômes. Nous conseillons d'éviter la marche et la station debout. Nous retrouvons une fracture de base de la 2ème phalange du 4ème doigt à gauche. Nous mettons en place un traitement avec attelle 4 semaines, ergothérapie, antalgie et arrêt de sport. Nous retrouvons une fracture de la vertèbre T10 sur traumatisme le 11.01.2020. Après discussion avec l'équipe Spine, nous transférons la patiente aux urgences HFR pour compléter le bilan avec une IRM à la recherche de lésion ligamentaire, suite de prise en charge selon résultat. Nous retrouvons une patiente qui est pauci-symptomatique suite à la prise de Naproxène malgré une IRM qui montre une sténose sévère du canal en L4-L5. La patiente peut marcher plusieurs kilomètres sans douleur, nous proposons un suivi clinique dans 2 mois ou au plus vite si les douleurs devaient s'aggraver lors de la marche ou au niveau sphinctérien. Nous reverrons la patiente dans 6 semaines pour un contrôle radio-clinique. Nous revoyons ce jour M. Y qui semble stable d'un point de vue évolution. Malgré tout, nous aurions souhaité la réalisation d'un CT-scanner afin d'envisager la reprise de l'Aspirine, raison pour laquelle nous prescrivons celui-ci et allons l'organiser. Nous reverrons le patient dans les suites. Nous revoyons donc M. Y une fois le bilan cérébral terminé afin d'évaluer l'évolution au niveau de la dénervation facettaire. Nous restons à disposition en cas de trouvaille. Nous rinçons l'œil au NaCl, AL avec de l'oxybuprocaïne et nous tentons d'extraire le corps étranger sans succès. Nous réalisons un test à la fluorescéine, légères douleurs au pourtour du corps étranger. Nous prenons avis auprès de l'ophtalmologue de garde, le Dr X, et nous transférons le patient à son cabinet pour la suite de la prise en charge. Nous scions les trois anneaux de la bague avec une scie. Tuméfaction de l'articulation diminuée. Doigt bien coloré, bonne sensibilité, force conservée, gêne à plier le doigt. Patient vu au tri par le Dr X avant son retour à domicile. Nous sommes devant un patient avec plusieurs plaintes. Concernant les douleurs de l'articulation AC, nous organisons une IRM afin de mettre en évidence une possible inflammation de cette articulation et d'éliminer de manière définitive toute lésion dégénérative de la coiffe, ainsi que du ligament transverse de l'humérus. Concernant les douleurs de type nerveux avec suspicion de syndrome du nerf cubital ainsi que de compression du nerf radial au niveau de l'arcade de Frohse, nous organisons un ENMG (au neurocentre). Nous reverrons le patient à la suite de ces examens pour une éventuelle infiltration de l'AC, en fonction des résultats de l'IRM. Nous sommes devant une situation de fistule chronique stable avec un écoulement persistant. Il existe actuellement 2 options. La première option est de laisser la situation telle quelle tant que la fistule permet un écoulement. La deuxième solution serait un changement de prothèse en 2 temps. Les différentes options thérapeutiques sont expliquées à la patiente. La patiente souhaite actuellement, en l'absence de garantie à 100%, continuer à changer le pansement de manière journalière et ne pas réaliser de changement de prothèse. La patiente nous contactera en cas de changement. Prochaine consultation de contrôle avec RX le 19.01.2021. Nous sommes face à un problème esthétique, ceci étant donné que le développement est normal et que le patient n'est pas gêné par cette malformation. Les parents ne sont pas demandeurs d'une opération pour le moment. Une éventuelle opération sera plus aisée dans quelques années. Nous avons expliqué les risques et les bénéfices de cette intervention notamment en discutant des risques d'infection, des problèmes de guérison de la peau, de l'éventuel besoin de greffe et d'une dysesthésie. En effet, c'est seulement en per-opératoire que nous pourrons évaluer l'état des artères et des nerfs. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais nous restons à disposition au besoin. Nous sommes face à une pseudarthrose de la malléole médiale qui est pour l'instant peu symptomatique. Nous décidons donc de suivre l'évolution. En cas de rupture du matériel et d'instabilité secondaire de la cheville, nous envisagerons une arthrodèse de la cheville. Nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique à 1 année post-opératoire. Nous souhaitons réaliser une IRM pour mieux évaluer l'anatomie discale. Un traitement optionnel chirurgical a été proposé à la patiente avec une ouverture de l'articulation L3-L4 à droite afin de tenter d'enlever ce fragment sans fixation si les disques étaient bons à l'IRM. Les garanties de résultat ne sont pas à 100%. Nous reverrons la patiente après cet examen. Nous soulageons les symptômes de la patiente aux urgences puis lui proposons un traitement conservateur avec physiothérapie. Nous invitons la patiente à reconsulter en cas de persistance des douleurs malgré le traitement antalgique prescrit et l'informons sur les mesures non médicamenteuses à effectuer. Nous soulignons au patient que l'hyposensibilité présente au niveau de son pied va probablement rester. Nous lui expliquons l'importance d'avoir une bonne hygiène posturale, pour cela, prescription de physiothérapie et de fitness médical.Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si besoin. Nous soutenons favorablement l'adaptation du poste de travail de Mr. Y. Afin d'augmenter la récupération à la marche nous demandons au patient d'arrêter de marcher avec une canne anglaise, pour le faire nous lui prescrivons une 3ème série de physiothérapie. Nous prescrivons un arrêt de travail prolongeant celui du médecin traitant du 05.02.2020 au 29.02.2020. Nous reverrons le patient pour un contrôle à 1 an post-opératoire. Nous suspectons une lésion du ménisque externe du genou ainsi que du LCA suite à un faux-mouvement, nous organisons une IRM en ambulatoire et un suivi au team genou. Nous suspectons dans un premier temps une possible myolyse dans un contexte d'infection grippale récente. Un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 22 mg/L sans leucocytose. Les CK reviennent dans la norme ainsi que la fonction rénale. Un stix urinaire montre la présence de sang dans les urines, confirmée par le sédiment urinaire. Selon la patiente l'hématurie est présente depuis plusieurs années, une cystoscopie n'a pas montré d'origine possible. L'origine des douleurs étant peu claire, afin d'exclure une thrombose veineuse, nous organisons un ultrason le 27.01.2019 à la permanence et anticoagulons la patiente avec Clexane 100 mg dans l'intervalle. Nous suspectons le passage d'un calcul le 03.01.2020. L'uro-CT ne montre pas de calcul ni de dilatation des voies urinaires, pas de signe de pyélonéphrite. Au vu du sédiment urinaire qui ne montre pas d'infection nous ne mettons pas d'ATB et proposons un traitement antalgique avec un suivi en cas de persistance ou de péjoration des douleurs. Nous suspectons une entorse légère des genoux suite au traumatisme avec possible lésion du ménisque interne et/ou LLI du genou droit. Nous proposons un traitement symptomatique et un arrêt de sport, consultation chez le MT si pas d'amélioration. Nous suspectons une fracture de la 2ème côte antérieure. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien de garde. Le patient reviendra le soir même pour effectuer un ultrason abdominal. Nous suspectons une infection virale, DD grippe et laissons le patient rentrer avec traitement symptomatique et certificat médical. Nous suspectons une lésion du ligament croisé plus ou moins une entorse du collatéral externe, raison pour laquelle nous organisons une IRM à la patiente et nous l'envoyons pour une consultation spécialisée au team genou suite à l'IRM. Nous suspectons une lésion du ligament interne et croisé, raison pour laquelle nous organisons une IRM et nous adressons la patiente à la consultation orthopédique team genou pour suite de prise en charge. Nous suspectons une nouvelle lésion de la coiffe, raison pour laquelle la patiente bénéficie d'une immobilisation temporaire par gilet orthopédique pour antalgie. IRM en ambulatoire avec suivi en orthopédie team membre supérieur. Nous suspectons une ostéomyélite de P3. Comme la patiente est sous Xarelto 20 pour une thrombose, et comme elle est connue pour une maladie de Raynaud, nous renonçons à faire un geste avec anesthésie locale aux urgences, et nous discutons avec le chirurgien de la main pour une prise en charge au bloc opératoire. Nous demandons également au médecin traitant de la patiente aux soins palliatifs de changer le Xarelto pour Héparine en envisageant une intervention pour ce doigt. Nous suspectons une probable gêne du matériel d'ostéosynthèse ainsi qu'une gêne des tendons en relation avec les plaques. Nous organisons donc un CT pour évaluer l'état de consolidation de l'arthrodèse afin de procéder à une AMO pour voir si cela améliore la situation. Arrêt de travail à 50% pour 1 mois. A réévaluer selon la décision du prochain contrôle. Nous suturons à l'Ethilon 5-0 sous antalgie locale. L'ablation du fil et un contrôle se feront à 5 jours chez le pédiatre traitant. Nous suturons la plaie à l'Ethilon 4-0. Nous faisons le rappel du vaccin contre le tétanos. Il viendra dans 48h en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle et prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils le 10.01.2020. Nous traitons le patient par antibiothérapie pendant 5 jours et lui proposons une attelle que celui-ci refuse. Nous invitons le patient à reconsulter en cas d'apparition de fièvre, douleurs, pus ou autres symptômes infectieux. Nous vous laissons le soin de faire un contrôle de l'anémie à distance et l'adaptation du traitement de la douleur et contrôle de symptomatologie urinaire. Nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité du traitement par Lercanidipin en fonction du profil tensionnel. Le patient sera convoqué pour une ETT de contrôle en cardiologie. Une ergométrie sera à prévoir dans 6 mois. Nous vous laissons le soin de la poursuite de la physiothérapie. Contrôle cardiologique recommandé à 6 mois. Nous vous prions de nous excuser du retard pris pour l'envoi de ce courrier. En effet, notre service administratif manque de personnel et ne peut ainsi assurer l'envoi dans un délai convenable. Nous vous proposons de prendre un rendez-vous chez le Dr. X, urologue, pour la poursuite des investigations (cystoscopie). Nous vous proposons de rediscuter l'indication à un traitement anti-coagulant ou anti-aggrégant plaquettaire. Nous vous proposons de rediscuter l'indication à une consultation ambulatoire chez un oto-rhino-laryngologue afin d'investiguer la présence d'une possible perforation au tympan gauche. Nous vous proposons d'effectuer un bilan neuropsychologique à distance. Nous vous proposons d'organiser une coloscopie en ambulatoire. Le patient sera convoqué en gastroentérologie pour le suivi de sa cirrhose. Cystoscopie de contrôle chez le Dr. X le 16.03.2020 à 11h00. Contrôle biannuel avec échographie et dosage de l'alpha-foetoprotéine à prévoir dans 6 mois. Nous vous proposons, en cas de persistance des douleurs, la considération d'un ultrason à la recherche d'un possible kyste de Baker. Nous voyons cette patiente avec une diverticulite sigmoidienne. Nous réalisons un labo qui retrouve un syndrome inflammatoire biologique avec CRP à 75, et leucocytose à 10.1. Nous complétons le bilan par un scanner abdominal qui retrouve une diverticulite. Compte tenu du fait que la patiente réside à Moudon, nous l'adressons au service de chirurgie de l'hôpital intercantonal de la Broye pour prise en charge thérapeutique. Nous voyons cette patiente avec une probable fracture de la scaphoïde gauche post-chute. Nous réalisons une radiographie de la main et du poignet gauche qui évoque une fracture du pouce. Nous prenons un avis orthopédique qui propose de poser un plâtre antébrachial. La patiente sera revue en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Nous voyons cette patiente pour une cystite et nous débutons un traitement empirique par Ciproxine 500 mg 2x/jour et la patiente devra être contactée pour recevoir les résultats de l'urotube car elle quittera la Suisse pour 1 mois. Nous voyons cette patiente qui présente une baisse de l'état général dans un contexte d'exacerbation de BPCO. Nous réalisons un labo qui retrouve un discret syndrome inflammatoire CRP: 14, leucocytes: 4.85, hyponatrémie: 133, anémie modérée normocytaire: 108, créat: 72, eGFR: 62, sédiment urinaire en attente, gazométrie: normale. Nous débutons une oxygénothérapie à 1L au lunettes qui améliore la saturation de 87 % à l'entrée à 96%. Nous hospitalisons la patiente en gériatrie pour suite de prise en charge. Nous voyons Mme. Y une première fois en consultation le matin, qui revient l'après-midi pour récidive de l'épistaxis (trois épisodes sur la journée). Nous décidons d'une consultation spécialisée par les ORL qui cautérisent le saignement, avec interruption rapide de l'épistaxis et bonne évolution de l'état clinique.Nous voyons un patient en cours de traitement d'un syndrome grippal. Nous lui proposons un traitement avec Dafalgan en plus du Brufen et de revoir son médecin traitant en contrôle clinique. Nous voyons une patiente au décours d'un traitement par Azithromycine pour sinusite. La patiente présente un syndrome grippal avec une otite virale externe. Nous réalisons un test à streptocoques compte tenu de la présence d'une odynophagie qui revient négatif. Nous proposons un traitement antalgique et antipyrétique et la patiente devra voir son médecin traitant pour suite de prise en charge. Nous voyons votre patiente lors de son contrôle annuel de son traitement par VNI et son oxygénothérapie pour l'insuffisance respiratoire globale chronique sus-citée. Sur le plan anamnestique, la patiente décrit une dyspnée stade mMRC IV en péjoration ces dernières 2-3 semaines. Toux avec expectoration jaunâtre matinale habituelle. Pas de douleur thoracique. Pas de plainte ORL ni RGO symptomatique. Absence de symptôme B notamment pas de fièvre. Sur le plan du sommeil, temps d'endormissement d'environ 1 h sur rumination (problèmes familiaux) avec un réveil 1x/nuit vers 02 h00 pour uriner. Réendormissement rapide. Fatigue et perte de tonus diurne connues. Sommeil décrit comme réparateur sans somnolence diurne importante (ESS 2/24). Concernant le masque, elle le supporte bien mais remarque quelques fuites et une légère sécheresse buccale. En 05/2019, la patiente a été hospitalisée à Tafers suite à une péjoration de sa dyspnée sans étiologie claire. Son état s'est rapidement amélioré en quelques jours (cf. rapport Tafers). À la lecture rétrospective, nous retrouvons une bonne compliance. Les fuites sont non négligeables mais bien abaissées lorsque l'on prend soin de bien installer le masque. La polygraphie met en évidence l'efficacité du traitement sur son SAOS avec un IAH à 8.3/h. La capnographie montre une normocapnie avec une SpO2 moyenne suffisante à 90 %. La gazométrie artérielle au réveil est à la limite de l'acidose respiratoire (pH 7.37) avec des bicarbonates élevés (29 mmol/l), signe d'une discrète hypercapnie chronique. Une augmentation de la ventilation alvéolaire totale pourrait être envisagée afin d'améliorer ce point mais très difficile à mettre en pratique au vu de l'inconfort que cela pourrait engendrer pour la patiente avec un risque de perdre en compliance. Des fonctions pulmonaires simples sont également faites mais de qualité très médiocre. L'examen est superposable au dernier contrôle de 01/2019. Au vu de ces éléments, nous objectivons une stabilité des valeurs par rapport à 2019. Nous maintenons donc les paramètres ventilatoires et l'oxygénothérapie actuelle et nous la verrons dans 12 mois pour un prochain contrôle. En cas de majoration progressive de sa dyspnée, un séjour en réadaptation pulmonaire pourrait être bénéfique et envisagé. Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas. Nouveau né à terme 41 1/7 avec poids de naissance de 3300 g (P10-25), taille de naissance 52 cm (P25-50) et périmètre crânien 34 cm (P5-10), naissance par AVB et ventouse Kiwi pour non progression. Sepsis néonatal précoce: hospitalisé dans notre néonatologie de J1 à J5 de vie Gastroentérite aiguë à Rotavirus avec risque de déshydratation. Nouveau né de 5 jours de vie, hospitalisé à la naissance pour une détresse respiratoire dans le contexte de troubles d'adaptation primaire et prématurité. Il montre une bonne évolution clinique à partir de J2-J3 avec péjoration secondaire au niveau respiratoire (insuffisance respiratoire globale) à J4 de vie, nécessitant le High Flow à partir de J5 de vie avec une hypercapnie progressive et hypoventilation. Nous effectuons une Rx de thorax qui montre un possible pneumothorax basal gauche et des signes d'aspiration avec des areas hyperinflated et des infiltras. Au niveau infectieux, le bilan effectué à plusieurs reprises ne montre pas de syndrome inflammatoire. Notion de contage avec une virose chez la maman avec début de toux sèche le 06.01 chez John. Cette combinaison d'insuffisance respiratoire avec signes d'hyperinflations sévères et possible infection nous motive à transférer ce patient à Berne. Il présente également une hyperbilirubinémie avec incompatibilité ABO et Rh, à Coombs positif. Le dernier contrôle effectué avant le transfert est à 246 umol/l. Nouveau né de 8 jours de vie qui est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire dans un contexte de bronchiolite à RSV négatif. Il présente une péjoration clinique au niveau respiratoire avec augmentation progressive des besoins en oxygénothérapie. Il bénéficie du High Flow, maximum à 6 L et 40 % d'oxygène, raison pour laquelle nous installons l'aide respiratoire avec CPAP le 14.01, maximum à 30 % et PEEP à 7. Par la suite, nous remettons High Flow à 7 L 30 % avec meilleure tolérance et amélioration de la gazométrie - correction de l'acidose respiratoire. Sur le plan alimentaire, il garde une bonne prise alimentaire de 100 ml/kg/j soit 8 x 50 ml. Vu la mise en place de CPAP, il bénéficie d'une sonde naso-gastrique du 14.01 au 21.01, jour où il reprend l'alimentation par voie orale. Dans le cadre de notre approche thérapeutique intégrative, le patient a également bénéficié de thérapies complémentaires de médecine anthroposophique, dont des applications externes, les inhalations et les médicaments oraux. Ceci a contribué à la stabilisation des symptômes. Nouveau né garçon né à terme 39 0/7 SA (7.01.20 à 13h18), poids de naissance à 3.445 kg (P25-P50), taille de naissance 49 cm (P10), périmètre crânien 33 cm (P3-P5). Nouveau né prématuré à 36 2/7 semaines d'aménorrhée. Poids de naissance 2.385 kg (P5-10), taille de naissance 46 cm (P5-10), périmètre crânien de naissance 33 cm (P3-5). Nouveau né prématuré à 36 2/7 semaines d'aménorrhée. Poids de naissance 2.385 kg (P5-10), taille de naissance 46 cm (P5-10), périmètre crânien de naissance 33 cm (P3-5). Syndrome de détresse respiratoire sur wet lung DD maladies des membranes hyalines et insuffisance respiratoire globale 2 jours après la naissance. Canal artériel perméable avec dernière échographie dans la norme. Nouveau né sain. Nouveau traumatisme cheville gauche. Nouveau-né à terme, poids de naissance 3590 g, taille 49 cm, périmètre crânien 35 cm Naissance par césarienne, Apgar 9/10/10. Nouveau-né à terme à 38 semaines d'aménorrhée, accouchement par voie basse sans complication, poids de naissance 2835 g. Nouveau-né à terme à 40 2/7 SA, poids de naissance 3195 g, taille 48 cm, périmètre crânien 33 cm. Nouveau-né à terme, accouchement par voie basse sans complication, bonne adaptation.Bronchiolite non oxygénodépendante sans difficultés alimentaires (25.12.18) Nouveau-né à terme (pas de carnet de santé disponible) Nouveau-né à terme 38 1/7e SG, PN 3480 g (P 50-75), taille 50 cm (P 25-50), PC 33,5 cm (P 10-25) Nouveau-né de 34 0/7e SG, PN 2550 g (> P 90), adaptation néonatale moyenne avec • SDR initial probablement sur wet lung • Hyperbilirubinémie indirecte • PC à la limite supérieure Nouveau-né: garçon de 1950 g (p1), APGAR 9/9/10, pHa 7.31, pHv 7.34, transfert en néonatologie pour retard de croissance, hypoglycémie et hypothermie Suite de couches. Nouveau-né prématuré 30 3/7, PN 1095 g (P 5-10), T 36 cm (P 5-10), PC 28 cm (P 25-50) avec RCIU asymétrique sur origine placentaire Nouveau-né prématuré 33 4/7 semaine d'aménorrhée jumeau 2 sur fécondation in vitro, poids de naissance 1440 g (P3), taille de naissance 41 cm (P3-5), périmètre crânien de naissance 28.5 cm (P3) s/p suspicion d'ALTE sur over-feeding (240 ml/kg/j) Nouveau-né 35 0/7 SG, PN 2190 g (P 10-25), TN 43 cm (P 3-5), PCN 31.5 cm (P 10-25) Syndrome de détresse respiratoire sur wet lung traités par CPAP et oxygénothérapie Nouveau-née à terme à 41 SA Naissance par césarienne itérative Nouveau-née à 40 3/7 SA Nouveau-née qui est hospitalisée post-traumatisme crânien lors de son séjour à la maternité. Lors de son hospitalisation pendant 72 heures, nous effectuons un US cérébrale qui montre une minime fracture sous hématome sans atteinte cérébrale. Surveillance clinique revient dans la norme et Mme. Y peut rejoindre sa mère à la maternité le 8.01. Sur le plan social, la situation familiale reste complexe. Il s'agit d'une maman psychiquement fragile, qui bénéficie d'un suivi psychiatrique lors de son séjour à la maternité qui sera poursuivi en ambulatoire. Les suites post-partales de la mère sont marquées par un état anxio-dépressif qui est évalué par les psychiatres qui retiennent comme diagnostic une réaction aiguë au stress et proposent un suivi ambulatoire. Concernant la situation psychosociale (notion de violence conjugale, père biologique différent), la patiente est vue à plusieurs reprises par notre sage-femme conseil, qui propose un séjour à l'institution Aux Étangs, refusé catégoriquement par la patiente, qui souhaite tout de même rentrer à domicile. La justice de paix en est informée et propose un RDV le 15.01.2020 avec la patiente, le conjoint et le père biologique. Finalement, Mme. Y rentre à domicile avec le conjoint de la mère le 11.01.2020. Nouveaux pansements avec Adaptic et compresses. Laboratoire : CRP 14, leuco dans la norme. Rendez-vous de contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 3 jours de l'accident. Antibiotiques à poursuivre pendant 10 jours. Nouvelle botte plâtrée au pied gauche dès le 22.01.2020 (ablation de la botte à droite) Physiothérapie Ergothérapie Nouvelle consultation aux urgences. Nouvelle consultation si péjoration de la symptomatologie. Nouvelle fracture médio-diaphysaire comminutive de la clavicule gauche sur AVP le 26.12.2019. Status post-ostéosynthèse de la clavicule gauche le 13.10.2019. Nouvelle présentation si apparition d'otalgie, ou fièvre. Nouvelle présentation si dyspnée ou atteinte ORL. Protection canal auditif externe. Nouvelle présentation si dyspnée, DRS ou fièvre. Nouvelle présentation si état fébrile avec frissons/sudations nocturnes ou péjoration de l'état général. Nouvelle présentation si fièvre ou péjoration des douleurs. Nouvelle présentation si réaction cutanée nouvelle, hypoacousie, atteinte musculaire ou agrandissement des zones altérées. Contrôle chez Dr. X en rhumatologie le 29.01.2020. Nouvelle présentation si rougeur, fièvre ou douleurs en péjorations. Contrôle en FTO/ consult main selon convocation. Co-Amoxicillin 5 jours. Novalgine Aérosol (Atrovent/ Ventolin) Atrovent Makatussin Gelodurat Novalgine Sirdalud Novalgine 20 gouttes 4x/j max si douleur. Reviennent aux urgences si troubles neurovasculaires. Novalgine 40 gouttes Sédiment urinaire Test de grossesse Laboratoire Nozinan 25 mg dès le 17.01.2020 puis 12.5 mg le 22.01.2020 Distraneurin 0-1-0 (17.01.2020) Brintellix 5 mg 1-0-0 (22.01.2020) Consilium téléphonique psychiatre traitant Dr. X (17.01.2020) NRS à 3 Suivi diététique NRS 3/7, avec une perte pondérale de 20 kg (17%) en x-temps • substitution • évaluation diététique • soins nutritifs oraux dès le 11.01.2020 NRS 5/7 BMI 19 kg/m2 SNO 1x/24h NSCLC de type adénocarcinome à droite, de stade IVB • diagnostic le 19.12.2019 • KRAS : positif et EGFR, BRAF et HER2 : négatifs • adénopathies hilaires droites, métastases cutanées crâniennes et lésions lytiques costales bilatérales, dans les corps vertébraux de D2 et D10, et pédicule droit du D3 au CT-thoracique du 14.12.2019 • anciennement suivi par le Dr. X (Hôpital Daler) et suite de la prise en charge par l'oncologie de l'HFR Fribourg NSTEMI NSTEMI antérieur sur sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale le 09.10.2012 : • Coronarographie le 10.10.2012 : altération de la fraction d'éjection globale du ventricule gauche (45%). La ventriculographie gauche montre une akinésie apicale et une hypokinésie modérée antéro-latérale. Lésions bitronculaires. Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Sténose significative de l'ostium de la première diagonale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Lésion intermédiaire de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale. Succès primaire d'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale avec implantation d'un stent actif. Occlusion de la branche diagonale en fin de procédure malgré une dilatation préalable. Impossibilité de repasser le guide. Rétention urinaire aiguë post-coronarographie le 05.12.2019. Sonde vésicale du 05.12.2019 au 12.12.2019. Chirurgie cataracte œil droit le 02.10.2012. Chirurgie cataracte œil gauche le 21.08.2012. Rupture du quadriceps gauche et suture en 2007. Fracture de la tête humérale droite en 1990 environ. Entorse de la cheville gauche avec déchirure dans les années 80. Hypertension artérielle gravidique lors de sa 2ème grossesse dans les années 50. NSTEMI dans contexte de BPCO le 30.01.2020 NSTEMI d'origine indéterminée (DD : NSTEMI type II sur vasospasme coronarien ?) le 24.01.2020 dans contexte de cardiopathie ischémique : • NSTEMI inférieur en mars 2018. • ETT du 06.03.2018 : Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 50-55 %. Fonction diastolique normale.• coronarographie du 07.03.2018 : Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (CD et IVA), avec comme culprit lesion une double sténose de 70-90% de l’artère coronaire droite proximale, traitée par PCI/ 1 long DES avec un bon résultat final. Ventriculographie : Hypokinésie apicale, avec une fonction systolique globale du ventricule gauche conservée. • coronarographie du 11.04.2018 : Bon résultat à court terme de la PCI de l’artère coronaire droite. Stenting direct d’une longue sténose de l’IVA proximale (1 DES) avec un bon résultat final. Ventriculographie : Même hypokinésie apicale que lors de la coronarographie du 07.03.2018, avec une fonction systolique globale du ventricule gauche conservée. • coronarographie du 28.01.2020 : Sclérose coronarienne sans nouvelle lésion de novo. Stents de la coronaire droite et de l’IVA perméables sans resténose. Fonction systolique VG normale à 65% avec une discrète dyskinésie apicale connue. Aortographie normale. • ETT du 28.01.2020 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Dysfonction diastolique minime (grade I). • cardiologue traitant : Dr. X. • NSTEMI du 07.01.2020 • NSTEMI du 27.01.2020 • NSTEMI le 01.01.2020, avec : • Grace score 125 (risque intermédiaire) • NSTEMI le 02.12.2019. • NSTEMI le 03.01.2020 • NSTEMI le 03.01.2020 sur sténose de la première diagonale • NSTEMI le 03.01.2020 sur sténose significative 70-90 de la première diagonale au niveau d’un branche de bifurcation • NSTEMI le 04.01.2020 • NSTEMI le 04.01.2020 • NSTEMI le 04.01.2020 • STEMI antérieur sur occlusion de l'IVA proximal (stenté), compliqué d'un choc cardiogène le 09.01.2009 • NSTEMI à coronaires saines le 10.12.2017 sur probable spasme coronarien de la coronaire droite, sans consommation de drogue • ETT le 11.12.2017 : FEVG à 65% • NSTEMI le 04.01.2020 sur sténose subocclusive de la première diagonale • NSTEMI le 05.01.2019 • NSTEMI le 06.01.2020 • NSTEMI le 09.06.2016 : maladie bitronculaire de la circonflexe et de la CD avec pose de 2 stents actifs. Hypertension artérielle traitée depuis 1995. Tabagisme actif à 60 UPA. BPCO sévère stade GOLD III. Goitre thyroïdien, TSH, T3 libre, T4 libre dans la norme le 06.02.2015. Anémie normochrome normocytaire. Discopathie multi-étagée 07.2014 : IRM lombaire : hernie étagée L2-L3, L3-L4, L4-L5, pas de conflit radiculaire, arthrose facettaire post, ostéophyte antérieur. Hémorroïdes. • NSTEMI le 12.01.2020 • NSTEMI le 13.01.2020 • NSTEMI le 16.01.2020 • Bloc de branche gauche transitoire sur ECG du 16.01.2020 • NSTEMI le 23.01.2020 sur : • occlusion aiguë de l'artère circonflexe proximale • sténoses serrées de la bifurcation de deux branches diagonales • sténose intermédiaire de la coronaire droite distale et lit d'aval très infiltré sur l'IVP et RVG • Fonction systolique VG normale (FEVG 55%), hypokinésie diaphragmatique • NSTEMI le 23.01.2020 sur : • sténoses serrées de la bifurcation de deux branches diagonales • NSTEMI le 23.01.2020 sur Maladie coronarienne tri-tronculaire le 16.01.2020 • NSTEMI sans modifications ECG • chez un patient connu pour une cardiopathie ischémique avec : • NSTEMI inférieur sur occlusion de la CD proximale en 03/2018 avec hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne, FEVG à 50-55 %, traitée par PCI. • Stent de l'IVA proximale en 04/2018 électivement • FEVG 64% en 04/2018 à la coronarographie • Cardiologue ttt : Dr. X • NSTEMI secondaire à anémie le 20.12.2019 avec : • Hb à 62 g/l • dernière coronarographie le 28.08.2019 • NSTEMI secondaire à la bradycardie • NSTEMI secondaire dans le cadre de l'anémie le 18.01.2020 • Troponines : Pic à 1900 ng/l le 19.01, puis fluctuation • NSTEMI secondaire dans le contexte infectieux • NSTEMI secondaire le 12.01.2020 • NSTEMI secondaire le 18.01.2020 • Hospitalisation aux soins intensifs de l'HRC Rennaz du 18.01 au 21.01.2020 • ETT le 21.01.2020 (HRC Rennaz) : VG non dilaté, non hypertrophié, FEVG conservée (55%), akinésie inférieure (connue) • NSTEMI, status post-pose de PTH le 08.01.2020 • NSTEMI subaigu le 24.01.2020 avec : • Occlusion subaiguë de l'IVA moyenne • Dysfonction VG sévère (FEVG 30%) • NSTEMI sur maladie coronarienne bitronculaire le 14.01.2016 : • sténose subocclusive de l'artère circonflexe moyenne • sténose subocclusive de l'artère coronaire droite proximale • NSTEMI sur maladie coronarienne mono-tronculaire et sténose aortique sévère le 27.12.2019, avec : • sténose sévère de l'ostium de l'artère coronaire droite ostiale • lésion non significative du tronc commun • lésion non significative de l'artère circonflexe moyenne • fraction d’éjection ventriculaire gauche normale (FEVG à 47%) • coronarographie et cathétérisme cardiaque gauche/droit le 28.12.2019 • Plavix dès le 27.12.2019, pour une durée totale de 6 mois • Poursuite du Sintrom • Atorvastatine dès le 27.12.2019 • Sténose aortique sévère (surface 0.65 cm²) le 27.12.2019. Hypertension artérielle sous Metoprolol, Lisinopril, Torasémide. Hypercholestérolémie, sous Atorvastatine. • Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec : • pontage aorto-bifémoral en 1996, avec mise en place d'une prothèse en Dacron • révision du carrefour fémoral gauche avec pontage veineux en 2003 (Payerne), sous Sintrom au long cours • Lésion kystique de la tête du pancréas mesurant 13 x 9 mm • probablement une IPMN, absence de critère de malignité (IRM abdominale du 14.01.2020) • Polyarthrose. Troubles du sommeil. DMLA avec cécité de l'œil droit et malvoyance de l'œil gauche. • NSTEMI sur maladie coronarienne tri-tronculaire le 15.12.2019 • Sténose subtotale du tronc commun et significative de la circonflexe proximale • Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale • FEVG 65%. • NSTEMI sur maladie coronarienne tritronculaire le 28.12.2019 • bifurcation IVA/1.DA : 70% : PTCA/2xDES • 1ère Diagonale : 90% : PTCA/1xDES • IVA moyenne 90% : PTCA/1xDES • FEVG 25%. • NSTEMI sur occlusion aiguë de la CD proximale le 01.01.2020. • NSTEMI sur occlusion subaiguë de la première marginale le 06.01.2020.Bon résultat à long terme après stenting de la coronaire droite distale (avec thrombus partiel, non occlusif) et de la PLA/ACD le 13.03.2019 • Légère hypokinésie postéro-basale, diaphragmale, FEVG 50% NSTEMI sur sténose de l'IVA proximale le 05.04.2017 • coronarographie le 06.04.2017 (Dr. X) : angioplastie avec implantation de 1 stent actif sur la bissectrice. Status post AVP en 1988 • OS postérieure acétabulum D • OS grand trochanter et OS par cerclage à D Descellement prothèse totale épaule D implantée en 1992 sur nécrose tête humérale post fracture tête humérale 4 parts en 1988 Fracture péri-prothétique humérus D en 2011 traitée par ostéosynthèse Changement prothèse totale épaule D, conversion en hémi-prothèse et greffe osseuse au niveau de la glène (OP le 30.04.2018) NSTEMI sur sténose serrée de la circonflexe distale le 27.01.2020 NSTEMI sur sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale le 13.01.2020 • Pose de stent : 3x DES IVA proximale, 1x DES ostium CX • Pic de CK à 1'222 le 14.01.2020 NT proBNP à 9133 ng/l Électrocardiogramme 22.01.2020 Radiographie du thorax 22.01.2020 Echocardiographie 23.01.2020 Coronarographie 27.01.2020 Avis cardiologique 27.01.2020 Traitement diurétique Physiothérapie NT-proBNP : 3'398 ng/l ETT le 20.08.2019 : FEVG à 40-45%, examen globalement inchangé avec une fonction globale du VG abaissée ECG le 22.08.2019 Lasix 40 mg du 20.08 au 23.08.2019, puis Torem 20 mg/j NT-proBNP : 7228 ng/l ECG RX thorax du 31.12.19 : épanchement pleural droit Lasix iv du 31.12.2019 au 02.01.2020 Ntprobnp 5000ng/L Attitude : Téléphone MT pour évolution clinique après l'hospitalisation septembre 2019 NT-proBNP Augmentation transitoire des diurétiques ECG NT-ProNBP 1926 Radiographie thoracique le 23.12.2019 Majoration des diurétiques Nucalgie Nucalgie. Nucalgie chronique en péjoration. • Origine probablement musculaire avec aggravation somatoforme. Nutrition clinique Test de déglutition Sonde naso-gastrique le 09.12.2019 Alimentation entérale du 10.12 au 19.12.2019 Correction électrolytique Substitution vitaminique Nutrition entérale dans le contexte d'apports oraux insuffisants • nutrition diurne en raison des risques de bronchoaspiration majeur Nutrition entérale du 01.01. au 04.01.2020, puis du 07.01 au 10.01.2020 Nutrition parentérale par Omegaflex dès le 14.01.2020 avec suivi électrolytiques Pose de Picc-line le 13.01.2020 Suivi nutritionnel et glycémies Nutrition entérale par jéjunostomie d'alimentation Substitution électrolytes et complexes vitaminiques Calorimétrie indirecte du 23.12.2019 : cible actuelle 1700 kcal OAP OAP cardiogénique récurrents dès le 29.12.2019 • DD : sur pic hypertensif, occlusion de l'a. rénale droite OAP le 15.01.2020 avec insuffisance respiratoire globale sur pic hypertensif dans un contexte de transfusion de culot érythrocytaire Obésité Obésité avec BMI 41 kg/m2. Obésité avec bypass en 2014 HTA Obésité (BMI 30 kg/m2) Obésité BMI 30 kg/m2 Fumeur à 50 UPA HTA Hypercholestérolémie Epanchement pleural bilatéral prédominant à gauche et atélectasie pulmonaire basale gauche le 22.10.2019 Obésité (BMI 31,3 kg/m2) Obésité (BMI 33 Kg/m2) Obésité (BMI 34 kg/m2) SAOS probable Obésité BMI 35 Prolapsus génital C2R2 avec incontinence urinaire mixte, et antécédent d'ASC-US chez Mme. Y (8G5P de 45 ans, s/p hystérectomie subtotale) Obésité (BMI 37 kg/m2) Obésité classe II (BMI à 38). Obésité de classe II. Obésité de stade I (BMI 34.4 kg/m2) Hypercholestérolémie Hyperuricémie Intolérance au glucose Hypertension artérielle Hypothyroïdie substituée Obésité de stade III (BMI 68.6kg/m^2) Obésité grade II. Obésité. Hypertension artérielle traitée. Obésité modérée classe I selon OMS BMI 30.9Kg/m2 Dépression Tabagisme actif à 35 UPA Obésité morbide avec un BMI de 52.1 kg/m2 (poids 160kg, taille 175cm). Diabète de type II insulino-requérant Insuffisance cardiaque avec FEVG diminuée à 30%, mais stable (dernier contrôle il y a plusieurs années, Dr. X). Obésité morbide avec un BMI de 52.1 kg/m2 (poids 160kg, taille 175cm). Diabète de type II insulino-requérant Insuffisance cardiaque avec FEVG diminuée à 30%, mais stable (dernier contrôle il y a plusieurs années, Dr. X). Obésité morbide BMI 39 kg/m2 Asthme traité Insuffisance rénale chronique • Acutisation d'une insuffisance rénale chronique avec Créat à 303 umol/le 08.10.2016 HTA traitée SAOS appareillé (CPAP nocturne) Obésité morbide (BMI 45.9 kg/m2) HTA non traitée Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 42kg/m2 (112kg ; 164cm) • poids pré-opératoire (novembre 2019) : 115kg Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 50,2 kg/m2 (135 kg ; 164 cm) • poids janvier 2019 : 138 kg • poids actuel (novembre 2019) : 137 kg Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 54,1 kg/m2 (149 kg, 166 cm). Bypass gastrique proximal le 11.06.2018 Dr. X. Otalgie gauche de mauvaise évolution sous ATB p.o le 07.08.2018. Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 46,8kg/m2 Obésité morbide de II classe (BMI 35 Kg/m2). Obésité morbide de type III avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • thrombose veineuse profonde en 2001. • suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013 • suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017 • insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche, patiente sous Xarelto 20mg. Psychiatrique : • trouble de la personnalité type borderline • retard mental léger avec troubles du comportement • ancien syndrome de dépendance à l'alcool. • tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. • Surdité de 50% bilatérale. • Myopie appareillée. • Gonarthrose bilatérale. • Dermohypodermite des deux jambes, avec lésions de grattage sur la partie antérieure du tiers distal des deux jambes, de 1 cm2 à droite et de 2x3 cm à gauche. • Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour, puis relais per-os à raison de 2 x 1 g/jour jusqu'au 08.08.2019 inclus. • Obésité morbide (47.8 kg/m2) • Diabète de type 2 non insulino-requérant • Ancien tabagisme sevré dans les années 90 • Maladie variqueuse du membre inférieur droit avec : • grande veine saphène incontinente dans son tiers proximal, à l'origine d'importantes branches variqueuses tortueuses et ramifiées alimentant la région interne de la cuisse, ainsi que de la jambe, au site d'une dermite de stase importante (bilan angiologique novembre 2015) • absence d'artériopathie significative au membre inférieur droit • traitement conservateur • Arthrose • Greffe MIG suite à un accident de voiture • Obésité morbide • Diabète IR (maladie connue depuis 2002) • Hypertension artérielle • Insuffisance veineuse des membres inférieurs • Maladie thromboembolique veineuse (ACO) • Arthrose lombaire et discopathies • Sciatalgies S1 droite • Gonarthrose sévère à gauche avec atteinte méniscale • Platypodie • Dermite ocre • Neuropathie des membres inférieurs probable • Tabagisme actif chronique • Éventration avec plaie cutanée abdominale para-ombilicale gauche de décubitus le 19.04.2017 • Greffe de peau (Thiersch) le 23.05.2017 (Dr. X) • Obésité morbide. • Pacemaker pour troubles du rythme (BAV 2ème degré type Mobitz II à conduction 3:1) en 2005. • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 39,8 kg/m2 (100 kg ; 158,5 cm) • trouble non spécifique du comportement alimentaire • poids préopératoire (novembre 2019) : 96 kg • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 39,1 kg/m2 (113 kg ; 170 cm) avec : • Syndrome métabolique : hypertension artérielle, diabète de type 2, dyslipidémie et hépatopathie stéatosique • Obésité sévère de grade III selon l'OMS avec BMI à 39,3 kg/m2 (123 kg ; 177 cm). • Bypass gastrique proximal par laparoscopie le 05.06.2019. • Obésité stade I avec un BMI à 31 kg/m2. • Douleurs neurogènes de l'hypochondre gauche le 13.08.2019 dans un contexte de : • Status post-cure de hernie supra-ombilicale sans filet le 10.05.2016 • Status post-cure d'hernie selon Rives avec mise en place d'un filet ProGrip (30/15) le 06.02.2018 • Status post-déhiscence de plaie abdominale le 10.04.2019 avec révision chirurgicale et neurolyse branche antérieure du nerf intercostal gauche (thoracique 7,8, 9, 10) le 29.03.2019. • Obésité stade I. • Ulcère veineux évoluant depuis plusieurs semaines. • Diabète de type 2 insulino-requérant. • Obésité stade 2 (IMC 39) • Notion d'adénome surrénalien suivi par le Dr. X • Maladie coronarienne tritronculaire (CD, CX, IVA) le 06.06.2018 • Echocardiographie le 08.06.2018 : VG non dilaté avec hypokinésie sévère paroi inféro-basale. FEVG estimée à 60%. Absence d'épanchement péricardique. • STEMI inférieur sur occlusion de la CD proximale le 06.06.2018 avec coronarographie le 06.06.2018 (Dr. X) : dilatation et stent de la CD proximale • HTA et obésité de classe III (BMI 41,5 kg/m2) • sous Aspirine et Plavix • Fibrillation auriculaire diagnostiquée le 27.03.2018 anticoagulée par Xarelto 20 mg • Maladie de Crohn (stable depuis 2004) • Anévrisme partiellement thrombosé de la partie proximale de l'artère iliaque interne G (24 mm) • Stéatose hépatique • Probable hyperaldostéronisme secondaire avec : • Hypertension asymptomatique (aux alentours de 170/100-180/120 mmHg) malgré trithérapie • Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 19.11.2018 • Substitution de l'hypokaliémie p.o. et i.v. • Avis endocrinologie du 20.11.2018 : • Pas de nouvelles mesures; Aldostérone/Rénine en phase aiguë. Un rendez-vous est agendé au 18.01.2019 où les tests seront réalisés. • Concernant l'hypertension artérielle déjà sous trithérapie : nous sommes encore en attente de l'avis du Dr. X pour l'introduction d'une quatrième molécule. En effet, le bêta-bloquant ne peut pas être augmenté en raison d'une Fc limite, l'anticalcique (Adalat) et le Sartan (Aprovel) sont déjà à des doses maximales. Le physiotens est relativement contre-indiqué (événement coronaire récent, tendance à potentialiser l'effet bradycardisant des bêta-bloquants, risque de BAV) ; les diurétiques de l'anse et thiazides sont également relativement contre-indiqués (aggravation de l'hypokaliémie). La Spironolactone pourrait être une bonne option mais elle fausserait les dosages du mois de janvier, raison pour laquelle ceci est actuellement en cours d'évaluation avec l'endocrinologue. • Obésité stade 2 (IMC 39) • Notion d'adénome surrénalien suivi par le Dr. X • Maladie coronarienne tritronculaire (CD, CX, IVA) le 06.06.2018 • Echocardiographie le 08.06.2018 : VG non dilaté avec hypokinésie sévère paroi inféro-basale. FEVG estimée à 60%. Absence d'épanchement péricardique. • STEMI inférieur sur occlusion de la CD proximale le 06.06.2018 avec coronarographie le 06.06.2018 (Dr. X) : dilatation et stent de la CD proximale • HTA et obésité de classe III (BMI 41,5 kg/m2) • sous Aspirine et Plavix • Fibrillation auriculaire diagnostiquée le 27.03.2018 anticoagulée par Xarelto 20 mg • Maladie de Crohn (stable depuis 2004) • Anévrisme partiellement thrombosé de la partie proximale de l'artère iliaque interne G (24 mm) • Stéatose hépatique • Probable hyperaldostéronisme secondaire avec : • Hypertension asymptomatique (aux alentours de 170/100-180/120 mmHg) malgré trithérapie • Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 19.11.2018 • Substitution de l'hypokaliémie p.o. et i.v. • Avis endocrinologie du 20.11.2018 : • Pas de nouvelles mesures; Aldostérone/Rénine en phase aiguë. Un rendez-vous est agendé au 18.01.2019 où les tests seront réalisés. • Concernant l'HTA déjà sous trithérapie : nous sommes encore en attente de l'avis du Dr. X pour l'introduction d'une quatrième molécule. En effet, le bêta-bloquant ne peut pas être augmenté en raison d'une Fc limite, l'anticalcique (Adalat) et le Sartan (Aprovel) sont déjà à des doses maximales. Le physiotens est relativement contre-indiqué (événement coronaire récent, tendance à potentialiser l'effet bradycardisant des bêta-bloquants, risque de BAV) ; les diurétiques de l'anse et thiazides sont également relativement contre-indiqués (aggravation de l'hypokaliémie). La Spironolactone pourrait être une bonne option mais elle fausserait les dosages du mois de janvier, raison pour laquelle ceci est actuellement en cours d'évaluation avec l'endocrinologue.Obésité Cardiopathie hypertensive Diabète de type 2 non insulino-requérant HTA traitée Surinfection d'une nécrose cutanée du mollet G et d'un ulcère veineux de la malléole externe gauche : • crossectomie et stripping de la grande veine saphène le 21.02.2019 • débridement ulcères membre inférieur gauche et pose d'un pansement à pression négative le 21.02.2019 • greffe de Thiersch malléoles interne et externe MIG le 28.02.2019 et 26.03.2019 • excision nécrose cutanée face médiane du mollet G, débridement d'un ulcère veineux malléole externe et pose d'un pansement à pression négative du 26.03.19 au 26.04.2019 • greffe de Thiersch ulcère veineux malléole externe le 05.04.2019 • greffe de Thiersch plaie médiane du mollet G le 26.04.2019 Obésité Diabète de type II insulino-requérant Hypertension artérielle traitée NASH Hyperparathyroïdisme primaire Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs Ulcère du membre inférieur gauche : • contexte d'insuffisance veineuse des membres inférieurs • diabète Tassement vertébral L1 sur traumatisme le 31.01.19 DD : tassement ancien • muscle induré para-lombaire droit Ulcère du membre inférieur gauche : • contexte d'insuffisance veineuse des membres inférieurs et DM type II Probable calcification du falx cerebri découverte au CT Obésité Diabète de type 2 Obésité Diabète de type 2 non insulino-requérant Ancien tabagisme sevré dans les années 90 Thrombose veineuse chronique du MID suivie au HFR hôpital cantonal Obésité Diabète type II non insulino-requérant depuis 2010 CPAP depuis 2006 HTA traitée depuis 2003 Prostatite chronique Obésité F60.9 Trouble de la personnalité, sans précision, dyslexie F32.9 Épisode dépressif, sans précision Obésité Hypertension artérielle traitée Obésité Hypertension artérielle traitée Lymphome cutané B de bas grade stable (status post-biopsie du coude droit en 2005) Trouble anxio-dépressif Diverticulose sigmoïdienne sévère (colonoscopie en 2005) Gonalgies droites sur troubles dégénératifs Fibrillation auriculaire persistante (sous Eliquis) Obésité Hypertension artérielle Épisodes dépressifs à répétition • Escitalopram Dyslipidémie Obésité Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Récidive de hernie de la ligne médiane non incarcérée et asymptomatique Observation aux urgences Observation aux urgences pédiatriques durant les 6 heures post-chute sans particularité ce qui permet un retour à domicile avec consigne de reconsulter si apparition de vomissements, troubles neurologiques ou inquiétude parentale Observation aux urgences pédiatriques durant 6 heures post chute Observation aux urgences pédiatriques pour la nuit, avec contrôles neurologiques aux 2 heures Observation aux urgences pendant 6 heures Observation clinique Observation Adaptation du traitement Obstétricaux : 2004 accouchement par voie basse 2006 Césarienne pour placenta praevia Obstétricaux : 2004 accouchement par voie basse 2006 Césarienne pour placenta praevia Obstétricaux : Date : 13.05.2015 Status post accouchement par voie basse après provocation pour diminution des mouvements fœtaux, instrumenté par forceps et épisiotomie médio-latérale droit sous anesthésie péridurale compliqué par une délivrance artificielle avec révision de la cavité utérine Lieu : Daler, sexe : M, Prénom : Aymeric, SA : 40.3, poids (g) : 3920, allaitement (mois) : 3 Obstétricaux : s/p : césarienne pour pré-éclampsie sévère, naissance d'un garçon de 2570 g à 32+4/7SA en 2016 Obstétricaux : s/p Accouchement par voie basse Gynécologiques : s/p Cure de rétroversion utérine par laparotomie s/p Myomectomie s/p Ligature tubaire Chirurgicaux : s/p Cholecystectomie par laparoscopie s/p Amygdalectomie Obstétricaux : s/p AVB en 2008 à 40 6/7 SA à l'HFR Fribourg d'un garçon pesant 3560 g. Périnée intact, déchirure des petites lèvres s/p AVB en 2013 de Lorena 2950 g à 40 3/7 SA, périnée intact, allaitement maternel pendant 5 mois Obstétricaux : s/p 2x césarienne Gynécologiques : 09.12.2019 LSC hystérectomie avec salpingectomie bilatérale (Dr. X, Daler) Chirurgicaux : Status post cholécystectomie par laparoscopie le 08.08.2011 pour cholécystolithiase symptomatique avec passage de calcul Médicaux : Hépatite B ancienne (antiHbs+, anti-Hbc+, Ag HBs nég en 2011) Ancienne hépatite A Hépatite médicamenteuse sur paracétamol en 2011 Hépatite sur passage de calcul en 2011 Ictère cholestatique sur probable hépatite médicamenteuse 2015 Obstétricaux : s/p 3x césarienne en 2003, 2005, 2012 Antécédents familiaux : Carcinome de la prostate chez le père Leucémie chez l'oncle paternel Cancer généralisé d'origine indéterminée chez la tante maternelle Cancer du sein chez une cousine paternelle Cancer du poumon chez une cousine paternelle, tabagique Obstétricaux : voie d'accouchement : AVB, lésion génitale : Déchirure vaginale, délivrance : Nle complète, Date : 2014, anesthésie : Péridurale, lieu : HFR Fribourg, sexe : M, Prénom : Nathan, SA : 39 1/7, poids (g) : 2840, allaitement (mois) : 6, particularités : Provocation pour HTA gravidique, RCIU 2840 g p10 ; p.p. e.o. ; enfant BSH voie d'accouchement : AVB, lésion génitale : Déchirure II, délivrance : Nle complète, Date : 12.01.2018, anesthésie : Péridurale, lieu : HFR Fribourg, sexe : F, Prénom : Nathalia, SA : 40 1/7, poids (g) : 3980, allaitement (mois) : 9, particularités : provoc par Propess pour désir maternel ; p.p. : céphalées post suspicion brèche PDA, Enfant BSH Familial : Mère a eu une pré-éclampsie pour ses deux grossesses (césariennes d'urgence) Obstétricaux : voie d'accouchement : AVB, lésion génitale : EMLD, délivrance : Nle complète, Date : 13.12.2017, lieu : Kosovo, sexe : M, Prénom : Ema, SA : 37, poids (g) : 2730, allaitement (mois) : 12, particularités : p.p. e.o. enfant BSH Obstétricaux : 2001, 2004, 2008, 2010 4x césariennes Chirurgicaux : 2016 cholecystectomie par laparoscopie Utérus myomateux symptomatique chez une patiente 4G 4P de 38 ans Laparoscopie avec hystérectomie totale et salpingectomie bilatérale avec adhésiolyse le 09.05.2019 sous anesthésie générale Obstétricaux : 2001, 2004, 2008, 2010 4x césariennes Chirurgicaux : 2016 Cholecystectomie par laparoscopie Utérus myomateux symptomatique chez une patiente 4G 4P de 38 ans Laparoscopie avec hystérectomie totale et salpingectomie bilatérale avec adhésiolyse le 09.05.2019 sous anesthésie générale Obstétricaux : 2004 Accouchement par voie basse, terme, F, 2700 g 2006 Accouchement par voie basse à 36 SA, M, 2200 g Gynécologiques : 2005 fausse couche, curetage Obstétricaux : 2012 Accouchement par césarienne pour siège 2014 Accouchement par césarienne élective itérative Gynécologiques : 09/2019 hystéroscopie avec résection de polypes (Drs X-X) Chirurgicaux : 2004 Pneumothorax spontané gauche 2010 Pneumothorax spontané droit 2x avec talcage Obstétricaux : 2012 : Accouchement par ventouse, garçon, 3960 g, retard de développement mental 2016 : Accouchement par voie basse, garçon, 4560 g Chirurgicaux : hallux valgus Obstétricaux : 2.6.2014, AVB, délivrance : Révision utérine, HFR Fribourg, sexe : M, Prénom : Jon, SA : 33 2/7, poids (g) : 2070, allaitement (mois) : 4, particularités : AVB Préma provoc pour PE sévère ; enfant BSH 10.12.2015 AVB, délivrance : Artificielle + rév. utérine, Morges, Prénom : duar, SA : 40, poids (g) : 3500, allaitement (mois) : 24, particularités : p.p. e.o., Enfant BSH Obstétrique: • 2015: accouchement par voie basse à 38 4/7 semaines d'aménorrhée, Déch II, Garçon 3450 g Chirurgicaux non gynécologiques: • Opération pour strabisme, œil droit, à l'âge de 4 ans. Familiaux: • Grand-mère paternelle a eu un cancer du sein à l'âge de 70 ans. • Hypertension artérielle chez le père. Obstipation Obstruction de sonde urinaire sur macrohématurie le 21.01.2020 • chez un patient connu pour un adénocarcinome prostatique avec sonde à demeure suivi par le Dr X, sous Bicalutamid • avec notion d'infection urinaire la semaine dernière chez le médecin traitant traité par dose unique d'un ATB en sachet Obstruction de sonde vésicale le 17.01.2020 avec: • DD : sur infection urinaire, sur caillot de sang. • IRC. • Hyperplasie de la prostate. • Résection transurétrale de la prostate en 1993. • Sonde à demeure depuis le 15.09.2016 (suivi Dr. X). Obstruction des trompes d'Eustaches suite à IVRS avec traitement par Irfen. Patiente invitée à reconsulter en cas de non-amélioration clinique. Obstruction nasale sur déviation septale droite et hypertrophie turbinale inférieure bilatérale • septoplastie, turbinectomie inférieure bilatérale le 26.01.2017. Obstruction rénale D le 30.01.2020 Occlusion artérielle de la jambe gauche 31.12.2019 • US artérielle de la jambe gauche: occlusion de l'artère tibiale postérieure et dorsale du pied à partir de l'artère poplitée, avec circulation collatérale Occlusion chronique de la carotide interne droite, le 30.12.2010 Occlusion complète de l'artère iliaque gauche avec reprise de la circulation par l'artère épigastrique et occlusion également au niveau de l'artère iliaque externe droite avec reprise de la circulation par l'artère épigastrique, le 28.11.2019: • intervention angiologique à l'HFR Fribourg le 28.11.2019, Dr. X : mise en place de deux stents après dilatation au niveau de l'axe iliaque gauche • double antiagrégation par Aspirine Cardio et Plavix 75 mg pour 1 mois, puis Aspirine Cardio seule, à vie Suspicion de sinusite bilatérale à prédominance droite le 19.12.2019 Tabagisme actif Occlusion à l'origine de l'artère rénale droite avec atrophie rénale droite secondaire, avec sténose de l'artère rénale gauche Occlusion de boucle Omniflow avant-bras gauche le 15.01.2020 Occlusion de la fistule le 22.01.20 Occlusion intestinale en 2009. • Résection de polype en 2009. • Diverticulite sigmoïdienne non compliquée. • Douleur abdominale d'étiologie non déterminée le 12/08/19 (DD: diverticulite débutante, coprostase). Occlusion intra-stent iliaque commune et gauche le 16.07.2018 chez un patient connu pour: • occlusion complète des artères iliaques commune, externe et interne gauche le 06.07.2018 avec thrombo-aspiration et pose de stent le 08.07.2018 • volumineux anévrisme sacculaire de l'aorte thoracique descendante. • volumineux anévrisme fusiforme de l'aorte abdominale infra-rénale. • Cholécystite lithiasique le 09.07.2018. • Iléus en juin 2015. • Polyneuropathie périphérique d'origine indéterminée le 20.09.2012. • Vertiges avec troubles de l'équilibre le 20.09.2012 d'origine probablement périphérique. • Déshydratation sur diarrhées sur rectite post-actinique le 20.09.2012. • Résection du sigmoïde et du haut rectum avec anastomose colo-rectale à 7 cm de la marge anale en 2007. • Status post-chirurgie de Bricker, patient avec hydronéphrose bilatérale (pas d'information chirurgicale, information dans CT scanner le 06.07.19) • Embolie pulmonaire en 2005. • Globe vésical sur status post-radiothérapie d'un carcinome de la prostate en 1997. • Insuffisance rénale aiguë sur chronique avec créatinine à 203 umol/l. • Anémie hypochrome normocytaire avec hémoglobine à 112 g/l le 31.07.2019. • Malnutrition protéino-énergétique modérée avec perte de poids de 5 kg en 18 jours. • Candidose buccale le 30.07.2019. Occlusion totale de la carotide commune gauche et carotide interne droite. • Fibrillation auriculaire sous Eliquis • Hypertension artérielle traitée • Bloc de branche droit • Probable BPCO non-stadée Occlusion urètre suite à prostatectomie radicale: • pose de sonde sus-pubienne le 24.12.2019 • opération avec sondage antéro- et rétrograde permettant la mise en place d'une sonde vésicale standard et le retrait de la sonde sus-pubienne le 20.01.2020 Sonde vésicale en place (vidange toutes les 2h environ par le patient lui-même). Adénocarcinome de la prostate cT2 cN0 cM0, Gleason 4 + 4 = 8 et 3 + 3 = 6, iPSA 12.35 µg/l, haut risque: • date du diagnostic : 23.07.2019 • histologie (Promed P2019.8289): adénocarcinome acinaire de la prostate, de groupe IV, Gleason score 4 + 4 = 8 et de groupe I, score de Gleason 3 + 3 = 6 dans les biopsies à droite, respectivement 3 + 3 = 6 dans les biopsies à gauche. 20.44 % de la lame atteinte • iPSA du 29.04.2019 : 12.35 µg/l • IRM prostatique du 11.07.2019 : une lésion dans la zone périphérique de la base moyenne latérale droite, avec extension dans la zone de transition, mesurant 1.5 x 1.1 cm, sans nette effraction capsulaire, classée PIRADS 5. 2ème lésion de la zone périphérique de la base moyenne latéro-postérieure droite, de 1.12 x 0,56 cm, sans effraction capsulaire, classée PIRADS 4. Séquelles de prostatite de la zone périphérique prédominante à gauche. Pas d'adénopathie ni de lésion osseuse visibles. • CT thoraco-abdominal du 16.08.2019 : ganglions agrandis au niveau médiastinal et hilaire bilatéral. Stéatose hépatique diffuse, homogène, modérée, pas d'adénopathie rétropéritonéale, pelvienne ou mésentérique de taille significative. Quelques ganglions infra-centimétriques inter-aortico-caves et latéro-aortico gauches. • Scintigraphie osseuse du 19.08.2019 : pas d'image scintigraphique nette en faveur de métastases osseuses • TB urologie du 22.08.2019 : proposition d'un traitement à visée curative soit par prostatectomie ou radiothérapie combinée à un traitement antihormonal de longue durée. • prostatectomie radicale le 07.10.2019 (Hôpital Daler, Dr. X). Occulac 1 g 4 x/j dès le 19.12.2019 OCD du condyle latéro dorsal actuellement asymptomatique Odynodysphagie Odynodysphagie Odynodysphagie avec état fébrile. Odynodysphagie d'origine peu claire probablement virale. Odynodysphagie et dysphonie dès le 16.01.2020 DD : sur possible reflux gastro-oesophagien, connectivite Odynodysphagie et otalgie Odynodysphagie et sensation de fièvre. Odynodysphagie liée à la mononucléose infectieuse. Odynodysphagie 10:05 Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie Odynophagie Odynophagie et douleurs abdominales Odynophagies. Oedème. Oedème aigu du poumon Oedème aigu du poumon le 06.01.2019 dans un contexte infectieux Oedème aigu du poumon sur décompensation cardiaque aiguë NYHA III-IV avec dysfonction systolique et crise hypertensive le 27.12.2019 Oedème aigu du poumon sur décompensation cardiaque gauche NYHA III-IV, surcharge volémique et crise hypertensive le 27.12.2019 Oedème bilatéral des membres inférieurs le 26.12.2019 avec : • dyspnée nouvelle • prise pondérale de 5 kg anamnestique sur 3-4 semaines • FRCV : diabète, hypertension artérielle, tabagisme ancien 60-80 UPA, sédentarité • syndrome des apnées obstructives du sommeil appareillé • obésité Oedème bipédiculaire L5 sur les séquences STIR. Suspicion de lyse isthmique. Oedème bras droit. Oedème de la face. Oedème de la face et des membres inférieurs d'origine indéterminée du 10.01.2020 - DD sur prise médicamenteuse (Arcoxia), rosacée érythèmato-télangiectasique Oedème de la luette d'origine indéterminée. DD allergique, uvulite virale. Oedème de la main gauche le 10.01.2020 • possiblement dans un contexte d'infiltration lymphatique • absence d'argument pour dermo-hypodermite Oedème de Quincke d'origine indéterminée il y a environ 30 ans. PTG bilatérale en 2008. PTH D en janvier 2008 • OST ddc en 2006, AMO plaques Tomofix ddc en 2007. TCC avec plaie profonde fronto-temporale G de 7 cm le 13.03.2016. Contusion genou D et G le 13.03.2016. Infection urinaire le 16.03.2016. Oedème des membres inférieurs Oedème des membres inférieurs bilatéraux, d'origine indéterminée. Oedème des parties génitales. Sur apport liquidien excessif. Oedème du membre inférieur droit sur déchirure musculaire. Oedème du membre inférieur droit sur volumineux kyste de Baker partiellement rompu. Oedème du visage post prise de Tilur. Oedème et rougeur du pied G d'origine indéterminée. DD : vasculaire, infectieux. Oedème généralisé sur cardioplégie septique (hosp du 21.12.18 au 08.01.19) Dermite irritative du siège sur diarrhée aiguë (hosp du 21.12.18 au 08.01.19) Vertige bénin positionnel paroxystique le 18/10/18 Déconditionnement aigu dans un contexte de status post choc septique par E.coli multisensible sur cholangite obstructive le 22.12.2018, avec : • CT abdominal le 22.12.2018 • ERCP le 23.12.2018 échec, puis pose de drain dans la vésicule biliaire le 23.12.2018 • Cholécystographie transhépatique le 26.12.2018 • Tazobac du 22.12.2018 au 24.12.2018 et Ceftriaxone du 24.12.2018 au 04.01.2019 • Insuffisance rénale oligo-anurique • Cardioplégie septique • Cholécystographie transhépatique le 22.01.2019 et contrôle le 28.01.2019 Hernie inguinale droite en 2005 Appendicectomie à l'âge de 25 ans Cholédocholithiase avec cholangite le 20.08.2019 Pancréatite post-ERCP le 23.08.2019 Oedème genou gauche spontané atraumatique. Oedème idiopathique. Oedème main droite sur status après cure tunnel carpien droit avec neurolyse nerf médian le 06.01.2020. Oedème membre. Oedème membre inférieur gauche. Oedème membre inférieur gauche sur status post LCA le 22.01.2020 à l'hôpital Daler. Oedème palpébral droit avec écoulement purulent de l'œil Oedème palpébral et des joues d'origine indéterminée oedeme papille Oedeme papille Oedeme periorbital ddc Oedème périorbital ddc Oedème pied G. Oedème pulmonaire aigu (OAP) récidivant pic hypertensif le 20.01.2020 Oedème pulmonaire aigu sur probable pic hypertensif post coronarographie le 07.01.2020 Oedèmes bilatéraux sévères progressifs des membres inférieurs sur hypoalbuminémie Oedèmes chroniques prenant le godet des membres inférieurs d'origine indéterminée Oedèmes de la testicule gauche. Oedèmes de la testicule gauche d'origine indéterminée. DD : hydrocèle. Oedèmes des membres inférieurs. Oedèmes des membres inférieurs Oedèmes des membres inférieurs dans le contexte d'hypoalbuminémie Oedèmes des membres inférieurs d'origine indéterminée du 10.01.2020 DD : sur prise médicamenteuse, arcoxia ? Oedèmes des membres inférieurs d'origine mixte, mécanique sur compressions tumorales et sur insuffisance cardiaque d'origine para-infectieuse le 20.01.2020, traités par Torasémide à domicile Oedèmes des membres inférieurs sur remplissage et corticoïdes à haute dose dans le contexte de la chimiothérapie Oedèmes des membres inférieurs sur remplissage et corticoïdes à haute dose dans le contexte de la chimiothérapie Oedèmes des membres inférieurs sur une probable rétention hydro-sodée dans un contexte de traitement de cortisone à haute dose DD : TVP MI G Oedèmes des MI. Oedèmes des MI d'origine indéterminée le 18.01.2020. • Echocardiographie mai 2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale hormis une dyskinésie apicale sur BBG. FEVG à 55 %. DD : insuffisance cardiaque, stase veineuse. Oedèmes frontal et nucal péri-greffe capillaire • à J2 d'une transplantation capillaire faite en Turquie • effet secondaire attendu des greffes capillaires. Oedèmes pluri-étagés Oeil droit rouge. Oeil droit rouge et gonflé Oeil gauche : accident agricole avec atteinte de l'iris et perte d'accommodation depuis 1956. PTH droite il y a 20 ans. Diplopie temporaire : DD AIT central. Cure de cataracte de OG en 2015. Trouble de la vision d'origine indéterminée en 2005, sous Aspirine cardio depuis lors. Hémorragie digestive haute sur 2 ulcères oesophagiens le 29.04.2017, oesophage de Barrett : • contexte de hernie hiatale • OGD le 29.04.2017 (Dr. X) : 2 ulcères oesophagiens, possiblement source de l'hémorragie, traité par injection d'adrénaline. fundus peu visualisable • OGD le 03.10.2019 (Dr. X) : absence d'ulcère. Infarctus secondaire sur anémie sévère et hypotension. Thrombophlébite du bras droit. Rash cutané sur administration rapide d'acide tranéxamique le 29.04.2017. Oeil gauche rouge. Oeil gauche rouge Oeil normal. DD : conjonctivite. Oeil normal. DD : conjonctivite. Oeil rouge Oeil rouge. Oeil rouge. Oeil rouge. Oesogastroduodénoscopie avec biopsie (CHUV) le 13.12.2019 PET-CT pour bilan d'extension le 12.12.2019 (Rennaz) : pas de lésion hypermétabolique Endosonographie le 27.12.2019 Gastroscopie le 31.12.2019 avec biopsie et mise en place d'un clip en vue de la radiothérapie CT cervico-thoraco-abdominal le 31.12.2019 Avis oncologique Tumor Board de chirurgie viscérale le 18.12.2019 : proposition d'une radio-chimiothérapie +/- ligature varices +/- TIPS Suivi radio-oncologique (Dr. X) Sera présenté au Tumor Board de chirurgie viscérale le 08.01.2020 Oesogastroduodénoscopie de contrôle le 27.02.2020 à 11h30 Contrôle ECG chez le médecin traitant à 1 mois Suivi de la formule sanguine le 04.02.2020 chez le médecin traitant Oesogastroduodénoscopie le 03.01.2020 : varices oesophagiennes de stades III avec taches rouges sans signes de saignement. Gastropathie portale hypertensive modérée, sans signe de saignement. Présence de bile foncée, il n'est pas clair de savoir si la composition est partiellement du sang. CT abdominal le 04.01.2020 : foie cirrhotique associé à une ascite modérée et signes d'hypertension portale. Pas d'argument en faveur d'une hémorragie active au moment de l'examen. Oesogastroduodénoscopie le 03.01.2020 : varices oesophagiennes de stades III avec taches rouges sans signes de saignement. Gastropathie portale hypertensive modérée, sans signe de saignement. Présence de bile foncée, il n'est pas clair de savoir si la composition est partiellement du sang. Oeso-gastro-duodénoscopie le 20.01.2020 (Dr. X) : varices oesophagiennes de stade I mais absence de signe d'une hypertension portale dans l'estomac et le duodénum. Colonoscopie le 20.01.2020 (Dr. X) : multiples vaisseaux capillaires dans le rectum, compatibles avec une atteinte post-radique. Echo-endoscopie radiale 20.01.2020 (Dr. X) : pas d'évidence pour du tissu carcinomateux résiduel ni pour des adénopathies péri-rectales. Oesogastroduodénoscopie le 27.12.2019 : varices de stade I, sans signe rouge. Sans nécessité de ligature. Poursuite IPP. Majoration Propranolol. 1 CE le 26.12.2019. Oesogastroduodénoscopie sous AG le 23.01.2020. Plavix en suspend du 23 au 26.01.2020. Pantoprazol 80 mg IV, puis 8 mg/h PSE le 23.01.2020. Pantoprazol 40 mg 2x/j par voie orale du 24.01.2020 au 27.02.2020. 1 culot érythrocytaire le 23.01.2020. 1 culot érythrocytaire le 24.01.2020. OGD de contrôle le 27.02.2020. Oeso-gastro-duodénoscopie 07.01.2020 : gastro-bulbite non spécifique. Aspect diffusément érythémateux et oedémacié de la muqueuse gastrique. Aspect irrégulier et parfois érythémateux de la muqueuse au niveau du bulbe duodénal. Aspect normal de la muqueuse duodénale par ailleurs. Commentaire : Pister les biopsies et éradication des Helicobacter pylori en cas de positivité. Oesophago-gastro-duodénoscopie le 20.01.2020 (Dr. X) : Arrêt clopidogrel le 18.01, mise en suspens aspirine du 18.01 au 21.01.2020. Transfusions : 1 CE le 19.01, 2 CE le 18.01. Pantozol IV le 18.01 au 20.01.2020. Pantozol par voie orale dès le 21.01.2020. Oesophago-gastro-duodénoscopie le 22.01.2020 : examen normal. Colonoscopie le 24.01.2020 (Dr. X) : diverticulose du colon, aucune source de saignement visualisée. Echocardiographie transthoracique de stress le 28.01.2020 : AU REPOS : VG non dilaté, hypertrophie modérée concentrique avec une akinésie de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale, une hypokinésie sévère de la paroi postéro-basale et une hypokinésie modérée de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 60 %. Fonction diastolique de type I avec pressions de remplissage basses. Sclérose aortique avec surface aortique à 1,83 cm² (0,91 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 12 mmHg au repos. Insuffisance aortique modérée (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). OG dilatée. Pas de dilatation des cavités droites. Pas d'IT. SOUS DOBU : test négatif cliniquement, sur le plan électrique sous décalage horizontal de 1,5 mm D1 aVL, mais échocardiographiquement négatif. Persistance d'akinésie inféro-basale et inféro-moyen, hypocontractilité postéro-basale qui s'améliore à l'effort. Profil tensionnel dans les limites de la normale. Quelques ESV et ESA isolées. Sténose aortique lâche au pic avec Vmax 2,7 m/s, grad max 28 mmHg et moyen 18 mmHg. Oesophago-gastro-duodénoscopie le 22.01.2020 (Dr. X) : Colonoscopie le 24.01.2020 (Dr. X) : Pantoprazol du 21.01 au 27.01.2020. Ferinject 500 mg le 28.01.2020. IRM de l'intestin grêle organisé le 03.02.2020 en ambulatoire. OGD avec biopsie le 16.07.2009 : - Légère gastrite chronique inactive, pas d'ulcère ou érosion, pas d'H. Pylori. - Biopsie : gastropathie réactionnelle avec métaplasie intestinale sans dysplasie ou tissu néoplasique malin (compatibles avec IPP). OGD avec pose de clip le 07.01.2020. OGD, colonoscopie et écho-endoscopie radiale le 20.01.2020 (Dr. X). Avis gastro-entérologique (Dr. X) : éviter la constipation et administrer du fer et des transfusions de temps à autre, car brûler l'ensemble du rectum avec le laser argon est illusoire. Un TIPS est à rediscuter si les saignements sont fréquents afin de décharger la pression dans la varice rectale. 1 CE le 20.01.2020. 1 CE le 21.01.2020. Poursuite du Salofalk 1 g 1x/jour (débuté initialement le 03.12.2019). Poursuite du Carvedilol 2x/jour (débuté dès le 05.12.2019). Poursuite de la substitution en fer habituelle par Recormon. Konakion du 20.01 au 23.01.2020. PAS de Clexane prophylactique. Contrôle biologique et clinique chez médecin traitant le 04.02.2020 à 11 h. OGD le 09.03.2018, Dr. X : ulcère gastrique mécanique, sans saignement actif, sur une hernie hiatale. Pantozol 40 mg, 2 cpr/jour pendant 6 semaines. Rendez-vous en chirurgie digestive de l'HFR Fribourg le 10.04.2018. OGD en 2008 qui a conduit à un traitement d'épreuve contre H. Pylori. OGD en novembre 2010 : pas de pathologie. Status post probable gastrite traitée par Pantozol 40 mg par voie orale. Status post hystérectomie en raison de polypes utérins. Cystite non compliquée le 08.10.2015. Traumatisme oculaire sur gaz poivre non daté. OGD et colonoscopie (22.02.2018) : - OGD : gastrite antrale. - Colonoscopie : polype de 5 mm dans le colon ascendant réséqué ; lésion polypoïde d'environ 3-4 cm à 80 cm de la marge anale dans le colon transverse proximal, pas réséqué. Adénocarcinome endométrioïde avec hystérectomie en 2001. Périarthrite scapulo-humérale droite en 2008. Cholécystectomie en 2000. Polypes colorectaux. - Traitements - Contrôle endoscopique après 2 colonoscopies en 2018. Préparation avec 4 litres de Moviprep le 03.06.2019. Colonoscopie avec polypectomie le 04.06.2018. OGD le 07.01.2019 (Dr. X) : hypertension portale sur cirrhose éthylique avec une gastropathie portale sévère, des varices oesophagiennes stade I à II, suspicion de varices cardio-fundiques. - transfusion 2 CE le 06.01 et 1 CE le 07.01.2020. - Sandostatine. - Pantozol 80 mg IV puis 8 mg/h et relais par voie orale le 08.01.2020 par 40 mg pour 1 mois. - Indéral 20 mg 3x/j pour fréquence cardiaque cible 55-60 bpm. - recherche H. Pylori par sérologie : négative. Attitude à la sortie : - colonoscopie à prévoir en ambulatoire. - pas de suivi de varices nécessaire si poursuite d'Indéral avec fréquence cardiaque dans les cibles et absence de décompensation au niveau hépatique ou suspicion de récidive d'hémorragie digestive haute. OGD le 17.01.2020 (Dr. X). Biopsie (P2020.697) le 17.01.2020 ; CMV et HSV négatifs. Examen immunohistochimique complémentaire pour H. Pylori le 17.01.2020 : quelques rares éléments cocoïdes positifs pour H. pylori pour cet examen. OGD le 18.01 sous anesthésie générale et retrait du corps étranger. Pantoprazol pendant une semaine. OGD le 29.11.2019 en annexe. Biopsie rénale le 03.01.2020 en annexe. OH chronique. OH chronique. OH chronique. Ancien tabagisme. Douleurs neuropathiques des membres inférieurs. - suivi à l'Hôpital de l'Ile, Berne. Diabète de type 2 secondaire à une pancréatectomie céphalique.Ectasie de l'aorte ascendante et sténose aortique lâche Oesophagite distale érosive de type I selon Savary HTA traitée OH 1.9 au ballon par la police. Status rassurant. Retour à Marsens avec accord du patient. Oligoarthrite goutteuse cheville gauche le 10.01.2020 Oligoarthrite goutteuse cheville gauche le 10.1.2020 avec : • Arthrite cheville droite d'origine indéterminée le 22.12.2019. • US cheville le 22.12.2019 : épanchement articulaire au niveau talofibulaire inférieur de 4 mm et épaississement de tous les tissus mous de l'articulation. Oligoménorrhée : Suspicion de SOPK Oligurie post-opératoire d'origine prérénale le 11.01.2019 Mr. Y est hospitalisé pour surveillance clinique et alimentaire dans le contexte d'une IVRS avec un malaise sur vomissement. Sur le plan infectieux, Mr. Y est afébrile durant l'hospitalisation. Il présente encore deux épisodes de vomissements durant l'hospitalisation sans présenter de malaise. La surveillance clinique durant l'hospitalisation est sans particularité. Sur le plan alimentaire, les double pesées avant et après l'allaitement démontrent une prise alimentaire adéquate pour l'âge de Mr. Y. Au vu de l'évolution favorable, il peut rentrer à domicile le 04.11.2019 avec un contrôle chez vous dans 48h. OMA à droite et OMA gauche myringite OMA à gauche. OMA à gauche avec perforation. OMA bactérienne bilatérale OMA bactérienne droite OMA bilatérale OMA bilatérale bactérienne OMA bilatérale non perforée OMA droite avec réaction mastoïdienne sans mastoïdite 05.2015 OMA droite avec reflet conservé OMA droite débutante OMA droite perforée : • Add antibiothérapie par amoxicilline 25 mg/kg/dose soit 250 mg d'amoxicilline 2x/jour pendant 10 jours • Contrôle chez le pédiatre en fin de semaine • Reconsulter de suite si apparition de complications (signes expliqués aux parents) OMA gauche débutante OMA gauche perforé Omalgie chronique Omalgie droite. • DD lésion de la coiffe des rotateurs. Omalgie droite sur contusion dans le contexte d'une omarthrose, le 27.12.2019 Omalgie droite sur probable lésion de la coiffe des rotateurs avec arthrose acromio-claviculaire Omalgie gauche, avec s/p chute (CT 2015 : déchirure partielle transfixiante sus-épineux, légère arthrose AC) Gonarthrose D Syndrome lombo-spondylogène avec ostéochondrose L5-S1 Suspicion de polyneuropathie probablement à cause d'une maladie de Waldenström (DD manque de Vit B1 et B12) Prolapsus mitral/insuffisance mitrale Baisse de la vision de l'œil droit secondaire à une vasculopathie sténosante et à la maladie de Waldenström Polyneuropathie liée à un Ac anti-MAG Artériopathie oblitérante des membres inférieurs traitée par geste X Syndrome provoqué par l'absence d'anticorps avec : • hypogammaglobulinémie sévère à 8.2% le 11.03.2016, IgG à 3.21 g/l • infections à répétition avec : otite moyenne gauche en 12.2015, pneumonie du LSG le 10.03.2016 Maladie de Waldenström : • date du diagnostic : 2010 • traitement par Mabthera et Fludarabine donnée du 31.05.2010 au 21.10.2010 • suivi par Dr. X (Clinique Générale) • actuellement en rémission partielle Omalgie gauche depuis décembre 2017 Arthrose Hypercholestérolémie traitée Omalgies à gauche sur hyperextension sans traumatisme direct. Omalgies gauche d'origine indéterminée (début de tendinite ?). Omalgies gauches sur probable tendinopathie du sus-épineux sur statut post traitement conservateur d'une fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Gonarthrose symptomatique bilatérale à prédominence droite. Status post infiltration du genou droit le 4.7.2018. Epicondylite humérus radial gauche. Lombo-sciatalgies chroniques prédominantes à droite sur spondylarthrose multi-étagée et déformation scoliotique sinistro-convexe de la colonne lombaire. Status post infiltration de l'épaule et de l'épicondyle huméral radial gauche le 10.07.2019 sous scopie et repérage sur l'articulation acromio-claviculaire. Omalgies post-traumatiques G sans lésion structurelle. Omarthrose droite. Arthrose acromio-claviculaire droite. Omarthrose sur une rupture massive de la coiffe des rotateurs épaule D et lésion kystique sous-chondrale de l'humérus D. Omarthrose concentrique épaule droite après stabilisation par Bankart arthroscopique le 13.5.2013. Omarthrose D exacerbée (radiographie du 25.03.2019) Omarthrose droite, traitée par prothèse totale de l'épaule droite (04/2018) • Fracture de la tête radial droite avec traitement conservateur (10/2016) • Fracture compressive L2 (10/2012) • Distraction inter-spinale percutanée L4/L5 pour canal lombaire étroit L4/L5 (11/2008) • Cure hallux valgus gauche (02/2007) Thrombose veineuse profonde membre inférieur gauche en 2003 Omarthrose G débutante avec lésion partielle non transfixiante du tendon du sus-épineux épaule G. Omarthrose primaire épaule G. OMI Omphalite (ombilic suintant et malodorant, pas d'érythème ni d'écoulement purulent. État fébrile et syndrome inflammatoire). Dilatation pyélocalicielle de 7 mm bilatérale. On a adapté le traitement en ajoutant des applications sur la peau de l'huile de genièvre avec une concentration de 20% 1-2x par jour. On reverra la patiente dans 3 mois pour contrôle radio-clinique (RX debout) et pour évaluer l'évolution avec le traitement susmentionné. À rediscuter de l'intervention. On a bien expliqué à la patiente que le cadre actuel est raisonnablement lié aux séquelles traumatologiques au niveau musculaire, ce qui justifie une prise en charge conservatrice par physiothérapie. Nous avons donné des indications au sujet de la position à tenir lors des activités professionnelles. En plus, dans le cadre psychologique post-traumatique, on prie notre collègue Dr. X de convoquer la patiente pour un bilan spécifique. On reverra la patiente dans 4 semaines. Arrêt de travail à 50%. On a débridé les berges du mal perforant avec le Dr. X. Nous avons remis un pansement avec du Tulle bétadiné que l'on doit continuer encore à domicile. Nous allons réadapter aujourd'hui la semelle qu'elle porte avec un point de décharge en regard du mal perforant. La patiente sera revue dans une semaine pour un contrôle clinique. On a discuté avec le patient des risques péri-opératoires au niveau cardiaque, ainsi qu'au niveau pulmonaire. Il est très conscient de cela. Il a donc signé le consentement pour effectuer une implantation de prothèse totale de la hanche droite par voie d'abord latérale, système Pinnacle Corail de Depuy et on va programmer cette intervention lorsque l'on aura la disponibilité. On effectuera également une évaluation pré-opératoire anesthésiologique et on devra prévoir une réadaptation. On a discuté des différentes possibilités avec le patient, soit poursuivre le traitement conservateur, soit un traitement chirurgical avec ostéosynthèse. On lui explique que cette position en flexion palmaire de la tête métacarpien peut le gêner comme travailleur manuel et qu'il y a encore le risque d'un déplacement secondaire. Vu le désir du patient de ne pas se faire opérer, on organise un prochain contrôle radio-clinique pour évaluer la progression de la fracture. On a discuté d'une indication opératoire et la patiente souhaite l'intervention avec une arthrodèse au niveau de l'IPD versus ténotomie du tendon fléchisseur versus transfert selon Girdlestone. La maman a signé le consentement éclairé. On a donc indiqué comme nécessaire un bilan de contrôle postopératoire avec IRM lombaire avec produit de contraste et bilan neurophysiologique afin de dépister éventuellement une dénervation chronique, voire aiguë. On reverra la patiente par la suite. On a donc rediscuté avec la patiente en soulignant que chaque geste chirurgical ou invasif a potentiellement des risques, mais également dans le cadre documenté, il y a le risque d'avoir une aggravation clinique. En effet, l'examen clinique de ce jour montre une aggravation du déficit au niveau du releveur du pied à droite que l'on considère actuellement à M2, avec une claire boiterie, chose dont la patiente ne nous avait pas informés. La patiente n'avait pas non plus remarqué cette aggravation. Au vu de cela, nous lui avons rappelé l'importance d'effectuer au plus vite un geste chirurgical de décompression du nerf pour pouvoir profiter de la réadaptation physiothérapeutique après. L'éventualité de laisser le cadre actuel, l'évolution sera défavorable avec parésie persistante et irréversible au niveau du membre inférieur droit. Bien que cela, la patiente nous a souligné encore une fois qu'elle ne se sent pas prête actuellement à accepter un geste chirurgical, bien consciente des risques associés. On a donc envisagé un traitement conservateur pour maximiser la possibilité de récupération avec physiothérapie, application de compex et une attelle Heidelberg pour limiter les risques de chute. De notre point de vue, on ne peut pas proposer un arrêt de travail vu le fait que la patiente refuse l'indication thérapeutique qu'on lui a proposé et qui était à la base du traitement de la pathologie pour laquelle elle n'arrive actuellement pas à travailler. À côté de cela, nous considérons nécessaire de rediscuter de l'indication du cadre clinique dans 3 mois, pour assurer un suivi à la patiente au moment où elle change d'avis sur sa condition de santé. On prie le médecin de famille de pouvoir suivre la patiente du point de vue de la condition professionnelle, s'il y a d'autres pathologies et de pouvoir lui proposer un soutien psychologique dont la patiente nous a demandé d'organiser. On a la suspicion d'une arthrose débutante des MCP II et III à droite. Comme Mme. Y a fait une cure d'anti-inflammatoires, l'inflammation et les douleurs ont disparu lors de la consultation. On conseille un contrôle en cas de récidive des douleurs avec une radiographie conventionnelle. Par la suite, un bilan rhumatologique pourrait être indiqué. Pour l'instant, nous ne prévoyons pas de rendez-vous, mais restons à disposition en cas de besoin. On a la suspicion d'une lésion partielle du ligament SL causée par l'accident en 2017, qui, par conséquence, cause un kyste arthro-synoviale. Également dans le bilan clinique, on note une tendovaginite de Quervain. On demande une ultrasonographie pour visualiser une inflammation du Ier compartiment ou bien un kyste arthrosynovial à hauteur du SL. Si le kyste se confirme, on va injecter de la DépoMedrol 40 mg. Pour la tendovaginite, nous commençons un traitement conservateur avec une ergothérapie et application de Flectoparin patch. On prévoit un prochain contrôle en début mars 2020. On a la suspicion d'une tenovaginite sténosante de la poulie A1 post-traumatique. On propose à Mme. Y de continuer ses séances de physiothérapie et on fait une ultrasonographie pour visualiser un élargissement de la poulie ou bien une inflammation. Une semaine plus tard, on réserve une plage en salle des plâtres pour une éventuelle infiltration. On ne change rien à l'arrêt de travail. On a proposé à la patiente de commencer par une infiltration, mais vu qu'elle n'est pas très embêtée pour le moment, elle préfère attendre. Nous lui avons prescrit une attelle pour rhizarthrose à utiliser pendant les phases aigües et pendant la nuit. On lui a aussi prescrit des séances d'ergothérapie pour apprendre l'utilisation de ses mains dans la vie habituelle. Elle nous recontacte en cas de besoin pour faire directement une infiltration de CMC I. On a souligné l'importance d'associer un traitement physiothérapeutique, voire une activité dynamique symétrique pour compenser cela. La patiente va faire de la physiothérapie à Courtepin. Nous la reverrons dans 1 an. On a très ouvertement discuté avec le patient en soulignant qu'en raison du cadre radiologique et symptomatologique, une éventuelle solution chirurgicale pourrait signifier une spondylodèse avec fixation de L2-S1 et 4 niveaux de fusion intervertébrale. Afin d'épargner une éventuelle opération, potentiellement invalidante, on envisage avant tout une dénervation facettaire sur les 4 niveaux, à la lumière de la réponse positive aux infiltrations test. En cas d'amélioration de la douleur après la dénervation, on pourra poursuivre le traitement conservateur. On a donc prié notre collègue Dr. X de bien vouloir convoquer le patient pour effectuer, au moins dans 2 tranches, une dénervation en L2-L3, L3-L4, L4-L5 et L5-S1. On reverra le patient par la suite. Pour l'instant, il est clair que le patient est à l'arrêt de travail et dans l'impossibilité de prévoir une reprise du travail comme maçon dans le futur. De notre point de vue, il serait plutôt envisageable une reconversion professionnelle comme concierge ou livreur pour de petites charges.On a une suspicion d'une surinfection de granulome de fil à la cicatrice cutanée. Nous prévoyons une révision avec des prélèvements pour une histologie et une bactériologie le 14.01.2020 à Tavel. D'ici le lendemain, les antibiotiques sont arrêtés. La patiente reprendra l'antibiothérapie post-opératoire pour en tout cas 2 semaines. On change l'attelle par une attelle Edimbourg pour l'immobilisation des Dig III à V. Elle portera l'attelle pour encore 3 semaines, puis on reverra la patiente à notre consultation. On confirme l'indication pour une évaluation de la plaie profonde le lendemain. Le jour de la consultation, il doit s'injecter que la demi-dose et le Metformine peut être pris comme à son habitude. On conseille à la patiente d'éviter d'utiliser l'attelle qui tient les doigts en flexion durant la nuit. On va organiser un nouvel ENMG pour évaluer un syndrome de compression au niveau de la loge de Guyon. On demande également à nos collègues du traitement de la douleur de convoquer la patiente. Prescription de nouvelles séances d'ergothérapie. Prochain contrôle dans 2 mois pour discuter des résultats de l'ENMG. On conseille la patiente de mettre des chaussures confortables. Contrôle dans 2 mois. On constate les lésions susmentionnées qui ne nécessitent actuellement aucune chirurgie. On commence avec un traitement d'anti-inflammatoires oraux et la physiothérapie pour stretching des abducteurs. Quand la patiente nous mentionne qu'elle était positive pour le HLA de 25 en index rhumatologique, à la fin de notre consultation on prie nos collègues de rhumatologie de convoquer la patiente le plus vite possible pour un bilan rhumatologique. Pas d'autre contrôle d'emblée, elle nous recontactera en cas de persistance des douleurs. On constate que la prise en charge récente en physiothérapie a permis une amélioration de l'amplitude en flexion. Toutefois, le patient est toujours gêné par de vives douleurs externes à caractère neuropathique. Dans le passé, il avait déjà bénéficié de 2 infiltrations du nerf sural, ce qui avait permis une nette amélioration transitoire. C'est pourquoi nous proposons de répéter ce geste, ce à quoi le patient se montre ouvert. Nous prions nos collègues du service de la douleur en anesthésie de convoquer le patient en vue d'une infiltration du nerf sural G. Par la suite, ils pourront nous réadresser le patient à 1 mois de ce geste à notre consultation pour un contrôle radio-clinique. On continue le traitement antibiotique jusqu'en mars 2020. Prochain contrôle clinique et avec une prise de sang pour voir la CRP et les leucocytes le 03.03.2020. Physiothérapie pour reprendre la mobilité de la hanche. Vu la suspicion d'un ongle incarné au niveau de l'hallux D pour lequel elle est suivie par le team pied, on fait un bilan angiologique. Nous proposons au team pied d'attendre d'être à distance de l'infection de PTH avant d'envisager une opération au niveau du pied. On continue le traitement conservateur. Si le patient reste symptomatique à long terme, une arthroscopie diagnostique avec une éventuelle refixation du TFCC doit être évaluée. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 10 semaines. On demande au Dr. X de bien vouloir recevoir Mr. Y car après l'intervention, la symptomatologie au niveau du nerf cubital s'est aggravée. Les douleurs sont déclenchées à la palpation au niveau du nerf cubital où le garrot avait été mis en place. On envoie également une demande d'évaluation à neurocentre pour bilanter cette problématique. Le patient mentionne des douleurs au niveau cervical, raison pour laquelle nous organisons une IRM du rachis cervical. Nous reverrons le patient une fois tous ces examens effectués. On discute avec la patiente en soulignant qu'on peut considérer l'évolution actuelle satisfaisante, bien qu'il faudra évaluer sur une longue période. Pour l'instant, on a donc confirmé l'arrêt de travail à 100% et on reverra la patiente dans 4 semaines pour rediscuter de la possibilité d'une éventuelle reprise à 50%. On discute avec la patiente. Pour l'instant, on essaie d'effectuer une rééquilibration de la musculature au niveau de la hanche D. On reverra la patiente le 17.03.2020 après une série complète de séances de physiothérapie et avec le CD de l'IRM effectué à Zoug. On discute avec le patient d'une prise en charge chirurgicale, vu le haut risque d'une autre luxation. Le patient accepte la prise en charge chirurgicale par AS avec stabilisation de l'épaule par Bankart et éventuellement Latarjet, +/- ténotomie/ténodèse du LCB. Le patient doit discuter avec son chef pour planifier une date opératoire, on le revoit pour en rediscuter mi-février et signer le consentement à ce moment-là. On discute avec le patient qu'étant donné la lésion très avancée au niveau du cartilage, on n'a plus la possibilité de faire une correction de l'offset et du labrum et que l'unique solution sera, dans les prochaines années, l'implantation d'une PTH. Vu la présence d'une ostéophyte au niveau du col médial du fémur qui peut expliquer un composant extra-articulaire on organise un scanner dans 1 an lorsqu'il reviendra pour un contrôle radio-clinique pour l'étude de la portion fémoro-tibiale. Le patient nous rappelle quelques mois avant pour prendre les rendez-vous. Pour l'instant, on n'a pas d'indication pour une implantation de PTH immédiate vu la clinique peu importante. On suit donc le patient cliniquement. On discute avec Mr. Y et sa maman des possibilités d'attelle qu'on pourrait mettre en place. On se décide pour une attelle LUCA avec une syndactylie pour 3 semaines. Après les trois semaines, l'attelle va être sevrée en ergothérapie et les exercices sans charge seront continués. Un contrôle radio-clinique est prévu le 17.02.2020. Pour le sport, on interdit tous les contacts, l'endurance et jouer avec un ballon sans contact est permis. On discute avec Mme. Y de l'origine de son kyste, c'est-à-dire l'arthrose Heberden débutante. Pendant l'opération de Dr. X, uniquement le kyste a été enlevé. Par contre, aucune ostéophytectomie n'a été effectuée. On propose une reprise avec ablation des ostéophytes et, éventuellement, un lambeau cutané rotatoire. Nous prévoyons l'opération début février. La patiente va nous communiquer les dates d'opération qui lui conviennent. Nous prévoyons déjà un contrôle post-opératoire à Fribourg fin mars. Arrêt de travail 1 à 2 semaines. On discute des différentes options de traitement de cette pathologie. En chirurgie, il s'agirait d'une luxation chirurgicale avec correction de l'offset et suture du labrum et surtout pas arthroscopique à cause de la localisation de la déformation cam très proche des vaisseaux rétinaculaires. L'autre option serait une attitude observatrice si les douleurs sont encore tolérables, une adaptation de l'activité sportive en évitant les rotations internes forcées, notamment pendant le volleyball. Le patient se décide pour la 2e option actuellement, on revoit le patient dans 6 mois pour un contrôle clinique le 07.07.2020. On discute des différentes options de traitement, il y a l'option du traitement conservateur et attitude observatrice avec contrôle dans 4 mois en espérant que les ostéotomies seront consolidées. La 2e option est une chirurgie avec une réduction ouverte et ostéosynthèse de la branche ilio-pubienne, et la 3e option est une chirurgie avec une réduction ouverte et ostéosynthèse de la branche ilio-pubienne et de la colonne postérieure. On explique tous les risques et bénéfices de chaque option et la patiente décide pour la 3e option avec une stabilisation des 2 colons. Consentement éclairé et signé et on réserve le 30.04.2020 comme date opératoire.On discute longuement avec la patiente. Au vu de la persistance de la discoloration de la peau, on ne peut pas exclure à 100% d'un syndrome de défilé thoracique avec trouble de retour veineux. On organise un angio CT pour évaluer le syndrome de défilé. On demande également à nos collègues anesthésistes, spécialistes de US sonographie, d'évaluer s'il y a une compression des nerfs ou des vaisseaux au niveau du plexus. Le cas a été discuté avec les collègues de l'équipe du Spine (Dr. X), qui ne pense pas qu'une radiculopathie puisse expliquer tous les symptômes de la patiente. Les symptômes qui peuvent être attribués à une radiculopathie sont limités, cependant, selon l'évolution, il est possible dans le futur d'envisager une infiltration foraminale. À notre avis, même si une partie des symptômes peut être expliquée par l'hernie, on n'arrive pas à expliquer les discolorations présentes depuis plusieurs années. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 23.02.2020. On effectue une incision de 15 mm, drainage et rinçage avec Octenisept, mise de seton (mesh) et prélèvement de liquide de l'abcès pour bactériologie classique et recherche MRSA. On envisage une prise en charge physiothérapeutique pour 6 semaines et on reverra le patient dans 2 mois pour un bilan final du traitement. Si à ce moment-là il présente une recrudescence de la douleur, une éventuelle opération pourrait être discutée. On est donc face à une situation un peu désespérée. Finalement objectivement, je trouve assez peu de pathologie expliquant les différentes plaintes du patient. Dans ce contexte, je ne peux pas proposer un traitement chirurgical. Initiation d'un traitement physiothérapeutique pour renforcer la musculature des épaules. Prochain contrôle chez moi dans 3 mois le 16.04.2020. On est toujours en face d'une raideur articulaire assez marquée. Poursuite du traitement physiothérapeutique. Prochain contrôle dans 3 mois. En cas de persistance des symptômes, je devrais même discuter d'une arthrolyse arthroscopique pour essayer d'améliorer les amplitudes articulaires de la patiente. On explique à la patiente que c'est une fracture qui a besoin de plus de temps pour la guérison, environ 3-4 mois, et il faut rester un peu tranquille et marcher avec une charge selon les douleurs. Prochain contrôle radioclinique le 06.03.2020. On explique à la patiente que la pathologie qu'elle a nécessite beaucoup de temps pour se remettre vu qu'elle est revenue aussi sur les années. On lui conseille d'avoir de la patience et de poursuivre une physiothérapie avec des exercices quotidiens à domicile après les avoir appris en physiothérapie. La patiente paraît très motivée à entreprendre cette physiothérapie. On lui conseille également de faire un calendrier des douleurs et des médicaments qu'elle prend pour objectiver des améliorations et ainsi regagner de la motivation. La patiente, en plus du petit changement de médication par l'introduction d'Irfen Retard au lieu d'Irfen normal sous protection gastrique qu'elle prendra de manière fixe pendant les 3 prochains mois, va poursuivre des massages dans la région et une application de pommade. Nous lui prescrivons également un bandage compressif de l'épicondyle. Réévaluation de la situation dans 3 mois. On explique à la patiente que les douleurs sont dues à une tendinite des extenseurs et à l'arthrose. On explique également qu'il est important de suivre les séances d'ergothérapie dans le but de reprendre la mobilité et d'utiliser un anti-inflammatoire. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. On explique à la patiente que les douleurs sont probablement à cause de la fracture de fatigue. On lui prescrit la physiothérapie pour reprise de la marche progressive. On demande aussi une densitométrie osseuse. On demande à nos collègues de la rhumatologie de convoquer la patiente. On la reverra pour un contrôle radioclinique le 31.03.2020. On explique à la patiente que les séances de physiothérapie et d'ergothérapie sont nécessaires sur du long terme pour avoir un résultat. La patiente n'est pas compliante, elle ne veut pas faire les séances vu qu'elle n'a pas une amélioration rapide. On lui conseille également d'utiliser des moyens ergonomiques pour le travail, comme une souris ergonomique. Comme autre option, nous pouvons éventuellement organiser une infiltration, mais avant nous allons l'envoyer chez le Dr. X, spécialiste de la main, pour un 2ème avis. On explique à la patiente que vu les torsions fémorales très augmentées, en plus des angles de LCE d'environ 19°, on pose l'indication pour une correction au niveau acétabulaire et au niveau fémoral avec une ostéotomie péri-acétabulaire et une luxation chirurgicale avec dérotation fémorale. On lui explique les bénéfices et les risques de l'opération. Elle est d'accord et sa maman a donné le consentement oral et écrit. Vu qu'elle est actuellement symptomatique au niveau du côté D, on commence avec ceci dans les prochains mois. On explique à la patiente qu'elle peut marcher avec une charge selon les douleurs avec l'aide de la physiothérapeute. Prochain contrôle radioclinique à 1 an post-opératoire le 20.10.2020. On explique au patient les différentes possibilités : soit un traitement conservateur symptomatique en sachant qu'il y a une possibilité d'évolution de la maladie, soit un traitement chirurgical s'il est très gêné par les douleurs. Le traitement chirurgical éventuellement sera soit avec une proximal row carpectomy, soit une prothèse qui lui permettrait de gagner un peu plus de mobilité, surtout en extension. Vu qu'il n'est actuellement pas gêné par les douleurs, on lui propose de mettre une attelle en faisant de la force manuelle. Il va nous contacter en cas de besoin pour effectuer une infiltration ou pour rediscuter d'une prise en charge chirurgicale. On explique au patient que la perte de la force et de la mobilité de son genou est due à l'immobilisation. En effet, on aurait pu espérer que le patient ait pu rapidement bénéficier d'une prise en charge en physiothérapie afin de conserver la mobilité. Malheureusement, ceci n'a pu se dérouler en raison de l'indisponibilité des physiothérapeutes d'après le patient. Il reçoit une nouvelle prescription pour 9 séances de physiothérapie à but de rééducation à la marche et récupération des amplitudes dans un premier temps, puis de récupération progressive de la force au niveau du quadriceps. Il reçoit aussi un enseignement pour des exercices de mobilisation et de lutte anti-flexum à effectuer quotidiennement par lui-même. L'attelle est retirée définitivement lors de la consultation. À noter qu'à ce moment-là, le patient est tout à fait capable de marcher en charge complète avec les cannes avec un flexum résiduel d'environ 10°. Il reçoit des instructions en vue de l'accomplissement par lui-même d'exercices de mobilisation et de lutte anti-flexum. Du moment que le patient peut charger complètement, il est informé qu'il peut interrompre la prophylaxie anti-thrombo-embolique. Il reçoit aussi une prescription pour du Tramal Retard en réserve. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'au prochain contrôle prévu le 27.01.2020. On explique au patient que le blocage qu'il ressent est dû à un manque de mouvements. Par conséquent, nous demandons au patient, ainsi qu'au physiothérapeute, de travailler les mouvements de l'épaule au-dessus de l'horizontale. Afin d'aider lors des séances de physiothérapie, nous prescrivons de la Novalgine 500 mg à prendre 1 h avant les séances. Nous demandons au patient de réaliser 2 séances de physiothérapie par semaine ainsi qu'une séance supplémentaire en piscine. Le patient reçoit les ordonnances dans ce but. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines.On explique au patient que les douleurs sont probablement liées à son synostose talo-calcanéenne. Il est évident que le travail sur terrain régulier n'aide pas dans cette situation. Dans un premier temps, on lui conseille de voir s'il est possible d'adapter son travail pour travailler plus tôt sur du terrain plat. Actuellement, il est peu symptomatique donc on ne propose pas plus de prise en charge thérapeutique. Le patient nous recontactera s'il présente des douleurs récidivantes et on fera à ce moment-là une infiltration au niveau de la synostose. Pas de contrôle systématique. On explique au patient que ses fractures sont toujours très algiques et ceci peut durer jusqu'à 6 mois après le traumatisme. Il doit effectuer de la physiothérapie anti-inflammatoire et pour renforcer la musculature afin de reprendre la mobilité du poignet D. Prochain contrôle clinique le 03.03.2020. On explique au patient qu'il a subi une nouvelle intervention sur une cheville multiopérée et il n'est normal qu'il présente des douleurs actuellement. D'autre part, on lui conseille de calmer un peu ses activités, il peut faire du stretching mais par ailleurs, il doit rester le plus calme possible afin que la situation post-opératoire, et notamment la tuméfaction, diminue au plus vite. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 2 semaines pour l'ablation des fils. On explique au patient qu'il faut encore travailler sur la mobilité. On peut enlever l'attelle pendant la journée et la garder pendant la nuit ou dans les moments où il aurait un potentiel traumatisme au niveau de la main pour le protéger. Il doit continuer l'ergothérapie surtout avec les exercices devant le miroir pour améliorer la proprioception et la coordination. Nous organisons un prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Arrêt de travail à 100 % jusqu'au prochain rendez-vous. On lui propose une implantation de PTH avec une tige cimentée. On lui explique qu'avec les immuno-suppresseurs, le risque de complications péri-opératoire est plus élevé. On lui explique aussi les risques et bénéfices de l'opération, il a donné son accord oral et écrit. On planifie son intervention le 26.02.2020 et on demande une évaluation à l'anesthésie vu ses comorbidités. On note effectivement une évolution stagnante. La patiente est demandeuse pour une solution radicale. On lui explique qu'on envisage une plastie selon Strayer. Toutefois, on informe bien la patiente que tout geste chirurgical n'est pas exempt de complications, en particulier sous forme de problèmes de cicatrisation ou d'infection dans cette localisation. De plus, on explique que la plastie ne garantit pas de supprimer ou de diminuer les douleurs. La patiente reçoit une explication détaillée de l'opération et des suites à travers le remplissage du formulaire de consentement éclairé qu'elle signe. L'intervention est prévue pour le 31.01.2020 avec une hospitalisation de 3 à 4 jours. La patiente est adressée au service d'Anesthésiologie pour consultation pré-anesthésique. On note une très bonne évolution à 3 mois. Le patient va poursuivre la physiothérapie et des exercices à domicile. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Entre-temps, poursuite de l'arrêt de travail à 100 %. Le patient va discuter d'une reprise des travaux moins lourds avec son employeur et nous en discuterons à la prochaine consultation. On note une très bonne évolution à 3 mois postopératoires. Le patient, ayant un travail physique, nous prolongeons l'incapacité de travail à 50 % jusqu'au 31.01.20. Par la suite, le patient sera à 40 % à partir du 01.02.20 au 29.02.20, puis à 20 % d'incapacité de travail du 01.03.20 au 04.03.20. Prochain contrôle dans 6 semaines. On note une tuméfaction au niveau de l'ulna proximal, pas de douleurs à la mobilisation et pas de trouble neurovasculaire. La radiographie ne met pas en évidence de fracture. Nous mettons en place un bandage élastique et proposons à la maman de mettre de la glace et de mettre en place une antalgie. La maman retournera voir le pédiatre pour le suivi de la bonne évolution clinique. On observe une syncope vaso-vagale dans la salle d'attente. La patiente est observée pendant 3 heures au lit monitoré. On remarque 2 épisodes d'hyperventilation, résolus après réassurance de la patiente. Examen clinique et biologique est dans la norme hormis une hypotension connue. On retient le diagnostic de l'asthénie sur statut post-grippal, on prescrit donc un arrêt de travail. On organise une IRM du bassin natif pour exclure une nécrose au niveau de la tête fémorale. On le revoit après l'examen le 11.02.2020 pour discuter de la procédure possible. On peut clairement poser l'indication à une PTH D. On prévoit une voie d'abord antérieure avec implantation d'une prothèse type Corail Pinnacle. On pose donc l'indication à la mise en place d'une PTH G. On prévoit une voie d'abord latérale avec mise en place d'une tige cimentée. On pose le diagnostic d'érythème noueux d'origine indéterminée. Nous instaurons un traitement symptomatique et dirigeons la patiente vers un médecin traitant pour le diagnostic étiologique. On pose l'indication à l'implantation d'une prothèse totale de hanche du côté gauche par voie d'abord antérieure avec la mise en place d'implants de type Pinnacle Corail. Nous expliquons au patient le déroulement de l'intervention, les risques ainsi que les bénéfices liés à celle-ci et il nous donne son accord en signant le formulaire de consentement éclairé. Une date opératoire est déjà agendée pour le 01.04.2020. D'ici là, le patient ira encore en consultation anesthésique. On poursuit la physiothérapie avec un travail centré sur le relâchement des chaînes musculaires postérieures. D'un point de vue professionnel, reprise de l'activité à 50 % pour tout le mois de janvier et reprise à 100 % dès le 03.02.2020. Prochain contrôle radio-clinique à 6 mois post-opératoires. On procède ce jour à une infiltration test de l'articulation coxo-fémorale G sous contrôle scopique. Repérage de l'articulation à la scopie, confirmation de la position intra-articulaire de l'aiguille par infiltration de Iopamiro puis injection d'un mélange de Dépo-Médrol et Ropivacaïne. Prochain contrôle le 18.02.2020. On prolonge l'immobilisation dans un plâtre circularisé pendant 3 à 4 semaines. Après, le plâtre va être enlevé et remplacé par une attelle poignet Velcro. Nous prévoyons un prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'arrêt de travail est attesté à 80 %, des travaux intellectuels/bureaux/commandes et autres comme apprenti à la vente chez Denner est donné au patient. On propose à la patiente de porter une écharpe au lieu du gilet ortho et ceci pour 4 semaines. Elle va commencer la physiothérapie pour mobilisation passive/active assistée. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. On propose de revoir le patient dans 6 mois, au début juin, pour documenter l'évolution clinique. On rediscute avec Mr. Y l'origine de ses douleurs. Au point de vue ultrasonographie, on a pu clairement voir une compression du nerf qui peut aggraver les douleurs/allodynie des Dig I et II. C'est pour cela que nous lui conseillons une cure de tunnel carpien par voie mini-open. On lui dit que l'allodynie ne va probablement pas s'améliorer, par contre les douleurs nocturnes devraient nettement diminuer. Il est d'accord pour se faire opérer pour ce syndrome de tunnel carpien planifié le 16.04.2020 à Tavel. Un contrôle postopératoire est prévu pour le 29.05.2020 à Fribourg. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'à l'opération à 100 %. On remarque une évolution globalement favorable à distance de la chirurgie présentant néanmoins des signes de souffrance débutante sur hyper-appui des 2ème et 4ème rayons. Une sensibilité marquée au niveau cutané du 2ème rayon. À ce propos, nous proposons une ergothérapie pour désensibilisation ainsi que la confection de semelles orthopédiques avec appui rétrocapital afin de décharger les points d'hyper-appui au niveau des MTP 2 et 4. Nous reverrons la patiente dans 2 mois pour un nouveau bilan clinique.On retient une avulsion du ligament collatéral ulnaire du pouce droit non dominant. Elle a une franche laxité à l'examen clinique et une image radiologique va dans ce sens. Après discussion avec le chef de garde du team main, on retient l'indication chirurgicale qui serait effectuée en ambulatoire le 07.02.2020. Dans l'intervalle, la patiente sera convoquée pour le bilan pré-anesthésique. On remplit ce jour le formulaire de consentement chirurgical après avoir reçu les informations risques et bénéfices que la patiente signe en présence de sa mère. On retrouve une ostéolyse de la phalange distale. Jusqu'à la preuve du contraire d'une ostéomyélite chronique liée à l'embrochage. On discute avec Mr. Y les possibilités thérapeutiques. Vu le petit bone stock, une révision de l'infection avec une arthrodèse devrait être compliquée, le résultat esthétique serait moyen aussi. Raison pour laquelle on discute avec le patient d'une amputation à travers distal de la phalange moyenne. Comme cela, une cure définitive de l'ostéomyélite peut être garantie, une réséction dans le tissu sain est indispensable. En post-opératoire, on va commencer un traitement antibiotique jusqu'à recevoir les résultats des analyses histologiques et bactériologiques. L'opération est planifiée pour le 07.02.2020. On reverra le patient dans 6 mois pour le dernier contrôle de suivi. On se décide pour une attitude conservatrice. Prochain contrôle dans 6 semaines que le patient pourra annuler en cas d'absence de péjoration de la symptomatologie. On se trouve en face d'une situation difficile du point de vue social ainsi que psychosocial et professionnel. J'aurais une tendance à proposer une arthroscopie avec un débridement sous-acromial d'une boursite en essayant d'enlever les adhérences sous-acromiales et sous-deltoïdiennes. Avant de faire un tel geste, j'aimerais adresser le patient pour un deuxième avis auprès du Dr. X à la Clinique Générale. Poursuite de l'arrêt de travail. Prochain contrôle chez le 02.03.2020. On souligne encore l'importance d'effectuer des séances de réadaptation gériatrique à Tafers et on laisse à nos collègues la décision au sujet d'un retour à domicile (patient qui vit seul avec des escaliers à domicile). On ne prévoit pas d'ultérieur contrôle. On va bilanter la situation avec un arthro-CT et une IRM (probablement limitée par les artéfacts) du poignet D. Il existe une suspicion d'instabilité radio-ulnaire. Il ne faut pas exclure la possibilité d'une gêne par le matériel d'ostéosynthèse. On revoit le patient après les examens effectués. On va effectuer un nouveau bilan d'imagerie par IRM et radiographie lombaire en flexion/extension afin de dépister une éventuelle lise isthmique bilatérale avec instabilité qui pourrait être la base des douleurs. Au cas où il n'y a pas d'altération morphologique pathologique, un programme de réadaptation avec physiothérapie ambulatoire sur 4/6 mois sera à évoquer. On a souligné au patient qu'il faudra absolument qu'il s'occupe d'évaluer une activité professionnelle dans son intérêt pour recommencer au plus vite le travail au moment où l'on pourra écarter des altérations qui peuvent justifier l'arrêt. Ondansetron en réserve. Sonographie le 19.11.2019 : cholécystolithiase non irritante (DD polypes de la vésicule biliaire). Ondansetron 2mg. Hydratation fractionnée par Normolytoral (200mL bu) aux urgences sans vomissements. Ondansetron 2mg sublingual puis hydratation per os progressive à la Permanence avec bonne tolérance. Attitude : 2mg d'Ondansetron est remis à la patiente pour demain matin. Recommandations d'hydratation per os progressive. Ondansetron 2mg sublingual puis hydratation per os progressive à la Permanence avec bonne tolérance. Attitude : 2mg d'Ondansetron est remis à la patiente pour demain matin. Recommandations d'hydratation per os progressive. Ondansetron 2.2mg. Réhydratation par 190ml lait artificiel. Ondansetron 3mg. Normolytoral 100ml, pas de récidive des vomissements. Poursuivre l'hydratation fractionnée. Ondansetron 4mg. Ondansetron 4mg. Normolytoral 100ml sans récidive des vomissements. Poursuivre l'hydratation fractionnée. Ondansetron. Stop alimentation par SNG. Alimentation plaisir. Ondes T négative le 30.01.2020 en V2V3. Ongle incarné. Ongle incarné au rebord médial de l'hallux gauche depuis le 21.10.2019. Ongle incarné au niveau de l'hallux gauche le 26.01.2020. - chez une patiente diabétique. Ongle incarné au niveau latéral du gros orteil du pied gauche. Ongle incarné, bord médial, O1 pied D. Ongle incarné de l'hallux droit stade 3 avec collection. Ongle incarné de l'hallux gauche le 29.12.2019. Ongle incarné de l'hallux gauche le 29.12.2019. Contrôle à la FUA le 31.12.2019 avec amélioration clinique selon la patiente. Eczéma de la face antérieure des avant-bras depuis le 24.12.2019. Ongle incarné débutant au niveau de l'hallux droit, - status post-traumatisme de la phalange distale. Ongle incarné du bord latéral de l'hallux G. Ongle incarné du 1er orteil droit avec paronychie, le 11.01.2020. Ongle incarné hallux droit stade inflammatoire. Ongle incarné hallux droite. Ongle incarné symptomatique et chroniquement infecté du bord médial hallux G et récidive d'ongle incarné du bord latéral sur status post cure d'ongle incarné en août 2019 à l'HFR Tavel. Ongles incarnés. Ongles incarnés aux gros orteils D>G. Ongles incarnés des deux hallux - à droite plus douloureux qu'à gauche. Onycholyse. DD Troubles de l'ongle sur psoriasis, post infection à Entérovirus. Onychomycose de l'hallux D sur status post 3 cures d'ongle incarné, la dernière fois à Tavel en août 2019. Onychomycose du pied gauche. OP à Tavel. OP à Tavel le 17.04.2020. Prochain contrôle le 29.05.2020 à Fribourg. OP au niveau des ménisques ddc il y a plus de 20 ans. OP du 08.01.2020 annulée. Prochain contrôle clinique le 04.02.2020. OP du 19.12.2019 annulée car amélioration. Prochain contrôle le 05.02.2020. OP le 01.11.2019 : 1) Poignet G : réduction ouverte, ostéosynthèse du radius par plaque Aptus Adaptive 2 et refixation du TFCC. 2) Poignet D : réduction fermée, ostéosynthèse du radius par plaque Aptus Adaptive 2. OP le 02.04.2020. OP le 03.03.2020. OP le 04.02.2020. OP le 06.02.2020. OP le 08.04.2020. OP le 09.01.2019. OP le 13.05.2020. OP le 13.05.2020. OP le 14.05.2020.OP le 18.02.2020 (ERAOS) avec entrée le 17.02.2020. OP le 21.01.2020. OP le 22.01.2020. OP le 23.04.2020. OP le 26.02.2020. OP le 26.03.2020. OP le 29.01.2020. OP le 30.04.2020. Op pré-réservée pour le 10.02.2020. OP testiculaire gauche suite à un traumatisme. Bronchite virale : • dans un contexte de maladie de Crohn avec prise d'immunosuppression par Remicade (infliximab). OP varices à 48 ans. Lobectomie G. Fracture sous-capitale humérus D, le 28.04.2018. Traitement conservateur. Infection urinaire. Monuril 3 g monodose le 01.05.2018. Pneumonie débutante le 02.05.2018. Avis de médecine interne. Rocéphine 2 g i.v. du 02.05. au 08.05.2018. Hypocalcémie à 2,15 mmol/l le 04.05.2018. Calcimagon pour 3 semaines. Insuffisance rénale semblant chronique avec • Clearance selon Cockcroft à 34 ml/min, stade G3 selon KDIGO. • FE urée : 24.3% d'origine pré-rénale. Suivi laboratoire. Stimuler à boire. OP 13.02.2020. Opacité en base pulmonaire droite d'origine indéterminée : diagnostic différentiel : insuffisance diaphragmatique avec une herniation partielle du foie et de l'estomac (visualisé au CT thoraco-abdominal 2017). Énorme hernie de la ligne blanche. Diabète type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle. Bronchopneumopathie chronique obstructive non stadée avec traitement par Spiriva. Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien. État dépressif. Ostéoporose fracturaire. Maladie thrombo-embolique avec : • Embolies pulmonaires multiples périphériques bilatérales le 07.02.2006 en post-opératoire. • Pose de filtre cave en février 2006, permanent. • Anticoagulation par Sintrom avec maintien permanent du filtre cave décidé en raison du matériel thrombotique flottant persistant. Opération à agender. Opération à planifier. Opération agendée le 04.02.2020. Opération agendée le 18.02.2020. Opération au cerveau il y a 4 ans (tumorectomie ?) - sans précision. Auto- et hétéro-agressivité le XX.XX.XXXX avec : • intoxication alcoolique aiguë. • affirmation de consommation de 18 comprimés de Rivotril 2 mg (peu d'argument clinique pour croire le patient). • lacérations thoraciques multiples faites dans le foyer. • multiples lacérations des membres inférieurs faites aux urgences. Opération au pied. 3 césariennes. Opération cataracte gauche en avril 2018. Hémoptysie sur saignement bronche segment postérieur lobe supérieur droit 29.10.2018. Opération de la cataracte aux deux yeux en 2016. Réhabilitation gériatrique en juillet 2018 pour trouble de la marche sévère avec déconditionnement avec : • coxarthrose des deux côtés. Implantation PTH à droite le 27.06.18. Anémie normochrome normocytaire le 04.07.2018 avec Hb 106 g/l. • Ferritin 156 ug/l (normal), Vitamine B12 263 pg/ml (normal), acide folique 4.2 ng/ml (normal). Céphalées occipitales droite, depuis 2 jours. • Type intermittent, poignant, de 10 secondes de durée. • Pas de Red Flags. Opération de la cataracte à droite. Appendicectomie dans sa jeunesse. Opération de la cataracte à gauche 01/2017. Opération de la cataracte à droite 09/2016. Amaurose droite sur sténose de l'artère carotidienne interne droite à 50-60% avec : • occlusion de l'artère centrale de la rétine droite d'origine artério-embolique le 22.03.2017. Prise en charge complexe de l'AVC ischémique aigu en stroke unit monitorée du 22.03 au 23.03.2017 et du 30.03 au 01.04.2017. Thrombendartériectomie de l'artère carotide interne droite avec plastie d'élargissement du carrefour carotidien, le 30.03.2017. AVC ischémique multiple dans le territoire de l'artère sylvienne droite d'origine artério-artérielle sur sténose carotidienne droite le 30.03.2017 (préopératoire et peropératoires) avec : • parésie du bras gauche. IRM cérébrale du 30.03.2017. Duplex des vaisseaux pré-cérébraux le 04.04.2017 : flux normal mais visibilité limite au niveau de l'artère carotidienne droite sur statut post-opératoire. Opération de la cataracte bilatérale non datée. Bursite du coude gauche, avec le 27.12.2012 : bursectomie large, drainage, fermeture per primam et antibiothérapie intraveineuse au Dalacin C. Orchiépididymite et prostatite sur infection urinaire à Enterococcus sp le 10.03.2013, avec thrombose au niveau du plexus pampiniforme et des cordons spermatiques le 12.03.2013. Décompensation cardiaque droite le 10.03.2013. Décompensation métabolique le 10.03.2013 chez un patient diabétique non traité. Introduction Insulatard et schéma d'Humalog. Opération de la cloison nasale il y a 10 ans. Cure hallux valgus bilatéral. Ablation masse bénigne mandibule D en 1999. OS par plaque 1/3 tube dorsomédiale, dorsolatérale malléole externe + cerclage-haubanage malléole interne sur fracture-luxation trimalléolaire cheville G le 23.02.12. AMO cheville G (OP le 11.01.2013). AIT sylvien gauche superficiel d'origine indéterminée avec aphasie motrice transitoire. • score ABCD2 3 pts, score de RoPE 7 pts. DD : migraine avec aura atypique. CT cérébral Time is brain le 11.10.2016. Charge en ASS 250 mg IV. Introduction d'Aspirine 100 mg, Atorvastatine 40 mg. IRM cérébrale le 12.10.2016. Échocardiographie le 12.10.2016. Holter sur 3 jours le 13.10.2016. Bilan thrombophilie le 12.10.2016 : Antithrombine III 95%, Facteur V 138%, anticorps antiphospholipidiques en cours. Prise en charge en Stroke Unit non monitorée. Opération de la mâchoire en raison d'une maladie orpheline, selon le patient. Opération du genou droit. Contusion du IIe métacarpien gauche, le 14.11.2014. Lombalgies non déficitaires le 08.10.2017. Passage lithiase rénale droite avec suspicion de rupture du fornix le 18.07.2018. Opération de l'épaule droite. Colique néphrétique en 2013. Arthroscopie du genou gauche en 1982. Appendicectomie dans l'enfance. STEMI antérieur aigu sur maladie coronarienne monotronculaire le 15.03.2019. • pose de 2 stents actifs sur l'IVA ostiale et moyenne. Coronarographie du 15.03.2019. Opération de l'épaule gauche non datée. Opération de l'hernie inguinale gauche. Opération du ménisque gauche. Lombalgie. AIT en juillet 2019. Probable passage de lithiase urinaire. Opération de l'œil D suite à la réception d'une vis dans l'œil (1991) (visus 10 %). Amputation du majeur D suite à un accident avec une arme à feu (1959). Fracture de la clavicule G dans l'enfance traitée conservativement. Opération de l'œil gauche le 28.11.2019 (à confirmer au 026 306 16 06). Rendez-vous d'ophtalmologie chez Dr. X (HFR Fribourg) : le 24.01.2020 à 14h40 ; le 21.02.2020 à 14h10 ; le 20.03.2020 à 11h. Opération de Spina Bifida à l'âge de 5 ans. OST et OS tibia gauche à l'âge de 14 ans. Multiples épisodes d'érysipèle du membre inférieur gauche, le dernier en mars 2013. Escarre sacrée en mars 2013. Reconstruction d'un lambeau IGAP fesse gauche avec excision profonde et superficielle de la peau le 15.11.2015 sur • ulcère de décubitus (grade 5) fesse gauche avec ostéomyélite chronique os ischiatique. Décompensation cardiaque globale le 16.01.2018. • œdème des membres inférieurs d'apparition progressive depuis plusieurs années. • dyspnée NYHA III. • NT Pro-BNP à 6727 ng/l le 17.01.2018. Escarre sacrée infectée à Proteus mirabilis le 09.07.2019. • avec abcès en regard du coccyx. • dans un contexte de paraplégie et insuffisance musculaire du tronc sur Spina Bifida. Débridement avec Stiefel et aquacel Ag d'un abcès en regard du coccyx de manière itérative dès le 11.07.2019. Confection d'une transverso-stomie à double-canon le 12.07.2019. Co-amoxicilline 2.2 g intraveineuse 3x/jour du 11.07.2019 au 18.07.2019.Antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g per os 3x/jour dès le 18.07.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë post-opératoire avec composante chronique plurifactorielle le 12.07.2019 • interférence diaphragmatique et atélectasies transitoires • syndrome obésité-hypoventilation (oxygénothérapie nocturne 3 l/min) • syndrome d'apnée/hypopnée obstructif du sommeil de degré modéré appareillé • syndrome restrictif léger (fonction pulmonaire mars 2019) • coeur pulmonaire avec hypertension artérielle pulmonaire importante Oxygénothérapie et physiothérapie respiratoire Soutien respiratoire par CPAP personnelle ETT le 11.07.2019 : FEVG à 55 %. Dilatation importante du ventricule droit avec dysfonction modérée. Hypertension artérielle pulmonaire importante (PAPs à 76 mmHg). Opération de Spina Bifida à l'âge de 5 ans. OST et OS tibia gauche à l'âge de 14 ans. Multiples épisodes d'érysipèle du membre inférieur gauche, le dernier en mars 2013. Escarre sacrée en mars 2013. Reconstruction d'un lambeau IGAP fesse gauche avec excision profonde et superficielle de la peau le 15.11.2015 sur • ulcère de décubitus (grade 5) fesse gauche avec ostéomyélite chronique os ischiatique. Décompensation cardiaque globale le 16.01.2018 • Oedème des membres inférieurs d'apparition progressive depuis plusieurs années. • Dyspnée NYHA III. • NT Pro-BNP à 6727 ng/l le 17.01.2018. Escarre sacrée infectée à Proteus mirabilis le 09.07.2019 • avec abcès en regard du coccyx. • dans un contexte de paraplégie et insuffisance musculaire du tronc sur Spina Bifida. Débridement avec Stiefel et aquacel Ag d'un abcès en regard du coccyx de manière itérative dès le 11.07.2019. Confection d'une transversostomie à double-canon le 12.07.2019. Co-amoxicilline 2.2 g intraveineuse 3x/jour du 11.07.2019 au 18.07.2019. Antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g per os 3x/jour dès le 18.07.2019. Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë post-opératoire avec composante chronique plurifactorielle le 12.07.2019 • interférence diaphragmatique et atélectasies transitoires • syndrome obésité-hypoventilation (oxygénothérapie nocturne 3 l/min) • syndrome d'apnée/hypopnée obstructif du sommeil de degré modéré appareillé • syndrome restrictif léger (fonction pulmonaire mars 2019) • coeur pulmonaire avec hypertension artérielle pulmonaire importante Oxygénothérapie et physiothérapie respiratoire Soutien respiratoire par CPAP personnelle ETT le 11.07.2019 : FEVG à 55 %. Dilatation importante du ventricule droit avec dysfonction modérée. Hypertension artérielle pulmonaire importante (PAPs à 76 mmHg). Opération des amygdales il y a 20 jours. Opération des deux poignets pour fractures en 2007 et 2008. Opération de l'épaule gauche en 2005. Retrait de calcul urinaire droit il y a 30 ans. Cure de hernie discale L5-S1 G + discectomie le 14.05.2018. Révision L5-S1 gauche avec ablation du fragment discal et de l'hématome le 23.05.2018. Cure de hernie ombilicale et amygdalectomie en bas âge. Exacerbation de douleurs abdominales chroniques plurifactorielles viscérales dans le contexte de : • syndrome du côlon irritable • contexte de laparotomie médiane infra- et supra-ombilicale le 02.10.2016 • carcinose péritonéale Carcinome baso-cellulaire face externe jambe gauche réséqué, avril 2014. Rupture de la coiffe des rotateurs gauches. Fracture claviculaire droite. Amygdalectomie. Cure de lithiase rénale gauche. Opération des testicules dans l'enfance. Opération des varices en 2018. Opération des végétations à l'âge de 2 ans. Status post-pulpite. Status post-traumatisme crânien avec brève perte de connaissance. Status post-appendicectomie laparoscopique le 03.01.2018. Épisode de dyspnée avec sensation de douleurs laryngées à répétition. Opération du genou droit. Opération du genou gauche. Opération du glaucome ddc. Opération du ménisque D en décembre 2017 avec rupture d'un kyste de Baker et écoulement dans le mollet. TVP de découverte fortuite en 2009. Opération du ménisque G avec kyste de Baker en 2003. Rupture tendon d'Achille en 1995. Embolie pulmonaire centrale bilatérale le 01.02.2018. Opération du ménisque ddc il y a plus de 20 ans. Opération du ménisque externe, interne et du ligament croisé antérieur droit par arthroscopie il y a 10 jours (sous Xarelto depuis, prévu jusqu'à aujourd'hui). Status post-abcès de la paroi du gosier en 1999. Status post-fracture du nez opérée. Saignement post-tonsillectomie. Hémostase et suture de la loge amygdalienne droite en anesthésie générale. Opération du pied en 1995. Opération d'un genou. Traumatisme crânien simple le 13.08.2016. • Laboratoire : INR thérapeutique à 2.3. • CT cérébral natif : Pas de lésion traumatique au niveau cérébral, confirmation d'une fracture des os propres du nez. Fracture des os propres du nez le 13.08.2016. • contrôle clinique en ORL le 17.08.2016 plus ou moins réduction sous AL. Susp. hernie inguinale droite le 04.01.2018. Décompensation cardiaque à prédominance droite probablement sur FA rapide. • Metozerok depuis 4 jours à cause d'une FA rapide. • NTproBNP 3000 ng/L. Opération d'un kyste du pied droit. Opération d'un kyste du pied droit. Hernie inguinale bilatérale symptomatique à droite, de type indirecte. Cure de hernie bilatérale par scopie avec pose de filet Parietex 10x5 cm, ADP2 L+R (Opération le 24.03.2014). Opération d'un kyste du pied gauche. Opération d'un kyste du majeur gauche. Fracture distale du radius droit. Fracture de la phalange distale du pouce gauche le 15.10.2017. Opération d'un papillome du sein sans chimiothérapie ni radiothérapie. Plusieurs opérations pour problèmes oculaires lors de l'enfance, avec autogreffe.Opération d'une bursite au genou gauche Opération pour occlusion intestinale en 2007 Opération ERAOS le 21.04.2020 Opération hanche droite pour fracture du col du fémur en 2004 Réduction sanglante et ostéosynthèse par plaque Philos humérus proximal droit pour fracture sous-capitale en 4 parties impactée avec ostéosuture tubercule mineur en 2010 Rigidité au niveau de l'articulation tibio-astragalienne à gauche sur status post Sudeck en 2006 Fracture spiroïde de la diaphyse fémorale D le 27.07.2017 traitée par ostéosynthèse par plaque LISS le 28.07.2017 • Status post ostéosynthèse par DHS fémur D en 2004 Etat confusionnel aigu hypoactif dans un contexte postopératoire le 31.07.2017 Traumatisme ancien de l'épaule D avec impotence fonctionnelle (patiente ne souhaite pas d'opération) Contusion de la hanche droite le 13.02.2018 Extrasystoles ventriculaires asymptomatiques le 07.10.2019 Pic hypertensif asymptomatique le 07.10.2019 Infection urinaire basse simple au décours le 07.10.2019 avec: Opération hernie ombilicale. Status post-opération varicocèle. Status post-AVP en 2003 avec coupure lèvre. Opération le 30.03.20 Contrôle postopératoire le 15.05.20 Opération MCP 1er rayon le 25.09.2018 à la Clinique Générale sur arthrose : • Arrêt du Sintrom pendant 1 semaine, reprise le 01.10.2018 Syncope d'origine indéterminée le 23.07.2019 DD : origine cardiaque, épilepsie atypique Hypoacousie sur bouchon le 25.05.2018 Chutes à répétitions et troubles de l'équilibre/ataxie : • anamnèse évoquant actuellement des drop-attacks, notion déjà mentionnée en 1995 dans les antécédents • dans un contexte de douleurs chroniques et tremblements essentiels • déconditionnement sur inactivité physique Méniscectomie externe partielle genou D par arthroscopie le 21.09.2016 pour luxation en anse de seau du ménisque Lombo-sciatalgies D aiguës non déficitaires le 25.05.2016 • importante discarthrose lombaire basse connue • irritation sciatique avec Lasègue positif à 30° et rétro-lasègue à 80° Opération de cataracte bilatérale en janvier et février 2012 Arthroscopie diagnostique épaule G avec mini-arthrotomie, bursectomie sous-acromiale, suture latéro-latérale partie antérieure du sus-épineux d'une rupture de la coiffe des rotateurs en 2000 Syncopes vagales secondaires au traumatisme crânien cervical favorisées par surconsommation médicamenteuse (Calcort, MST ponstan 500) en 1998 Probable drop-attacks vs perte de tonus due au valium en 1995 Spondylodèse C3-C4 par voie antérieure (prise de greffe de la crête iliaque, plaque Orozco) en 1992 sur lésion dégénérative du segment C3-C4; AMO en 1993 Trauma crânien et cervical en 1985 Opération ménisque genou gauche non datée Appendicectomie non datée Opération pour lithiase rénale non datée Hernie inguinale directe gauche incarcérée avec réduction aux urgences le 02.10.2018 Opération méniscale genou droit pour plica en 2005. Amygdalectomie. Décompensation asthmatique le 30.11.2018 : • d'origine probablement virale. • Asthme bronchique à prédominance d'origine allergène (diagnostiqué en 2013 par médecin traitant). Rhino-sinusite chronique. Reflux gastro-oesophagien. Furoncle suspubien. Opération ménisque. Suspicion lésion tendon d'Achille à gauche le 14.09.2016. Opération oeil gauche pour strabisme en 1966 AVC subaigu ischémique occipital gauche d'origine embolique probable le 23.12.2019 avec : • NIHSS 1 point (amputation du champ visuel droit) • Sous anticoagulation thérapeutique dès le 18.12.2019 pour thrombose du membre supérieur droit Opération pied droit. Opération du ménisque gauche en juin 2011. Opération de la prostate 2012, Dr. X. Opération pour double scoliose en 2014 Opération pour strabisme en 2015. Opération prévue le 16.04.20 Opération prévue le 03.03.2020. Opération prévue le 04.02.2020. Opération prévue le 05.03.20 Contrôle post-op le 03.04.20 Opération prévue le 06.02.20 Contrôle postopératoire le 27.03.20 Opération prévue le 06.03.2020. Opération prévue le 07.01.2020. Opération prévue le 07.02.2020. Opération prévue le 09.03.20 Contrôle postopératoire le 24.04.20 Opération prévue le 10.01.2020 Opération prévue le 10.02.20 Contrôle post-op le 27.03.20 Opération prévue le 10.03.2020. Opération prévue le 11.02.2020. Opération prévue le 12.02.2020. Opération prévue le 12.03.20 Contrôle postopératoire le 24.04.20 Opération prévue le 13.02.20 Contrôle post-op le 27.03.20 Opération prévue le 14.02.2020. Opération prévue le 17.03.2020 Opération prévue le 20.01.20 Contrôle post-op le 06.03.20 Opération prévue le 20.02.20 Contrôle post-op le 03.04.20 Opération prévue le 20.04.20 Contrôle post-op le 05.06.20 Opération prévue le 21.01.2020. Opération prévue le 22.01.2020. Opération prévue le 23.01.2020. Opération prévue le 25.02.2020 Opération prévue le 27.02.20 Contrôle postopératoire le 08.04.20 Opération prévue le 28.01.2020. Opération prévue le 29.01.2020. Opération prévue le 30.01.2020 Opération prévue le 31.01.20 Contrôle post-op le 13.03 Opération prévue le 31.01.2020. Opération prévue pour AMO le 21.02.2020. Opération prévue pour le 10.02.20 Contrôle post-op le 27.03.20 Opération prévue pour le 13.02.20 Contrôle post-op le 27.03.20 Opération prévue pour le 20.02.20 Contrôle post-op le 06.03.20 Opération prévue pour le 30.01.2020 Opération X de l'oeil droit pour cécité depuis l'enfance. Problème ophtalmologique X de l'oeil gauche en attente d'une opération X. Cancer du col de l'utérus Infection urinaire haute à E. coli multisensible. Fracture et tassement de mur ant. de L3 • CT colonne vertébrale : tassement de plateau supérieur de L3 sans recul postérieur. • Avis Team spine (Dr. X) : traitement conservateur par antalgie, contrôle radio-clinique prévu dans 3 semaines chez Team spine. Opération 3x pour luxation épaule G 2 morsures de chien à la face interne proximale de la jambe gauche Opérations : • St.p. exploration de plaie, neurorrhaphie épineurale N. digitopalmaire ulnaire Dig IV, digitopalmaire radiale et ulnaire Dig V, suture FDS IV, suture FDS V, suture FDP V le 29.11.2019 • Suture d'artères digitales communes Dig IV/V le 30.11.2019 Prochain rendez-vous le 24.02.2020 Opérations des genoux des deux côtés suite à un accident de ski en 1981 Dermo-hypodermite du membre inférieur gauche sur mycose interdigitale en 2011 Traumatisme crânien le 10.09.2014 avec plaie superficielle temporale gauche Probable candidose cutanée Otite externe bilatérale Opérations ORL au Portugal dans l'enfance (tympanoplastie). Alcoolisation aiguë le 16.11.2013. Entorse de la cheville gauche de stade 2 le 05.04.2015. Tentamen médicamenteux le 10.04.2016 Opérations pour hernie ombilicale. Oppression respiratoire Oppression thoracique Oppression thoracique. Oppression thoracique avec sensation de dyspnée d'origine indéterminée DD bronchite DD angoisses DD autre • D-Dimères < 100 • pas de syndrome inflammatoire • saturation 98% à l'air ambiant, auscultation pulmonaire sp Oppression thoracique d'origine inconnue. Oppression thoracique d'origine indéterminée le 12.01.2020 DD • anxiété • sevrage OH Oppression thoracique gauche. Oppression thoracique probablement dans contexte de crise d'angoisse. Oppression thoracique sur pic hypertensif probable du 26.01.202. Oppressions sur crise d'hypertension artérielle. Crise d'angoisse le 23.08.2019. Status post-appendicectomie à l'âge de 15 ans. Status post-amygdalectomie et ablation de végétations. Status post-cure de doigts à ressaut, 3 et 4, de la main droite en juin 2019. Status après pancréatite aiguë biliaire. Le 09.09.2019, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. Oppressions thoraciques d'origine probablement anxieuse. Optiflow du 02.01. - 03.01.2020 Ventilation non-invasive intermittente 03.01.-04.01.2020 Oxygénothérapie. Optiflow du 02.01 au 03.01.2020 Ventilation non-invasive intermittente du 03.01 au 04.01.2020 Oxygénothérapie Diurétiques Bronchodilatateurs. Optiflow et Salbutamol en continu le 02.01.2020. Optiflow et Salbutamol en continu le 02.01.2020 Suivi clinique Poursuite du traitement par Seretide habituel. Optiflow le 03.01.2020 Ventilation non-invasive intermittente 03.02.-04.01.2020 Ceftriaxone du 02.01- (7j prévu) Clarithromycine du 02.01 au 03.01.2020 Cath. artériel radial D 03.01.- 04.01.2020. Optimisation du traitement. Surveillance clinique. Laboratoire du 16.01.2020 : créatininémie à 111 micromol/l. Optimisation thérapeutique avec augmentation du traitement diurétique avec Torasemid 15 mg. Poids le 17.12.2019 à 111.7 kg. Poursuite du traitement diurétique et suivi poids chez le médecin traitant. Orage rythmique avec multiples épisodes de tachycardie ventriculaire monomorphe les 27 et 28.12.2019, avec : • traitement adéquat (ATP et 3x chocs le 28.12.2019) par ICD Tachycardie ventriculaire le 25.10.2016 avec défibrillation par défibrillateur interne (AAI-DDD installé en 2009, Dr. X) • 1 épisode de TV le 17/10/16 asymptomatique • 2 épisodes de TV le 25/10/2016 avec morphologies différentes Implantation PTG G en janvier 2016 pour gonarthrose tricompartimentale G. Hyperthyroïdie sous Cordarone 2012. Herpès Zoster dermatome D9 G en 2012. Prothèse inversée épaule D et ténodèse LCB le 21.05.2012. PTG D en septembre 2008 • TVP en postopératoire. Polytraumatismes sur AVP en 1962 et 1974 avec fractures ouvertes du crâne, des MS et MI avec parésie de la jambe D résiduelle • arthrodèse cheville D post-traumatisme en 1974. Splénectomie en 1958 post-traumatisme. Orchido-épididymite d'origine indéterminée. Orchido-épididymite. Diagnostic différentiel : varicocèle, hydrocèle. Orchi-épididymite droite le 31.01.2020. Orchite du testicule droit. Orchite du testicule droit en janvier 2020. Orchite du testicule droit (15.12.2019, récidive 28.12.2019). Ordonnance. Oreille bouchée depuis 7 jours. Organisation de soins à domicile Ergothérapie ambulatoire • Adaptation du domicile et des moyens auxiliaires. Organisation d'un PET CT pour le 20.01.2020 à 11h30 et de la bronchoscopie le 21.01.2020. Le patient sera réhospitalisé le 20.01.2020 pour bénéficier de ces diverses investigations. Organisation sevrage OH. Organiser IRM en ambulatoire puis contrôle en Neurochirurgie à Fribourg. Organiser une consultation pneumologique et cardiologique en ambulatoire. Organiser une IRM cardiaque fonctionnelle suivie d'un contrôle chez son cardiologue traitant (Dr. X). Orgelet le 30.01.2020. Orgelet œil gauche (paupière inférieure) le 07.09.2012. Abcès sous sein droit de 1.5 cm de diamètre, profondeur 4 mm le 15.07.2016. Césarienne 2x. Appendectomie. Orgelet paupière supérieure de l'œil droit. ORIF fracture-luxation tri-malléolaire D le 13.11.2019. ORIF par HCS 2,4 2x (OP le 20.01.2020). ORIF plaque Stryker Variax clavicule droite supérieure le 14.03.2019 sur réfracture clavicule droite tiers-moyen le 03.03.2019 avec déplacement secondaire. Status post ostéosynthèse fracture droite en août 2015 à l'Hôpital de Thun avec AMO en mars 2017 Hôpital de Thun. Orteil en griffe du 3ème orteil pied D. Orteils en griffe débutant O2 pied D et de moindre importance O2 pied G sur configuration de pes transverso-planus ddc, plus prononcé à D qu'à G. Orteils en griffe pied gauche avec hyper appui plantaire premier rayon. Ortho-gilet pour 2 semaines. Physio dès 2 semaines. Contrôle chez médecin traitant 4 semaines, si besoin ad IRM. Antalgie selon besoin. Orthopnée, majoration des OMI, épanchement pleural. ATT : Lasix 20 et suivi diurèse (Urines 1290 post Lasix). Lasix 20 mg 4x/j. Orthoradiogramme colonne totale du jour (PACS) : nous retrouvons la scoliose avec un angle de Cobb à 20° qui est inchangé comparé à la dernière consultation avec un stade Risser IV. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance neurologique en raison de la présence de vomissements une semaine après un traumatisme crânio-cérébral survenu le 29.12.2019. Le status neurologique est rassurant, mais avec persistance d'une tuméfaction en pariétale gauche fluctuante s'étalant sur environ 5 cm. Dans ce contexte, nous réalisons un ultrason du crâne qui montre un hématome sous-galéal fronto-pariétale gauche avec une extension au moins de 4 cm de long axe. La fracture de l'os pariétal gauche est bifocale avec un déplacement de 2 mm. Nous complétons l'examen par un CT-scan cérébral qui met en évidence un hématome sous-galéal et une fracture fronto-pariétale gauche associés à un hématome extra-dural en regard (épaisseur maximale de 2 cm), engendrant un effet de masse sur le ventricule latéral gauche et un début d'engagement sous-falcoriel avec déviation de la ligne médiane de 0.7 cm vers la droite. Nous prenons avis auprès des neurochirurgiens de l'Inselspital qui proposent une prise en charge chirurgicale, raison pour laquelle il est transféré à l'Inselspital le 04.01.2020. Os de poulet impacté au niveau de l'oesophage. Os naviculaire accessoire symptomatique du pied droit. OS radius distal D et cure tunnel carpien post-traumatique en 2017 APP dans l'enfance. Oseltamivir, Ceftriaxone et Clarithromycine le 19.01.2020 Co-amoxicilline dès le 19.01 (pour 5 jours au total). Isolement gouttelettes le 19.01. Oseltamivir, Ceftriaxone et Clarithromycine le 19.01.2020. Co-amoxicilline dès le 19.01.2020. Isolement gouttelettes dès le 19.01.2020. OSG-Distorsion. Osmolalité sang inférieure à la norme + urine dans la norme. Dès le 08.01.2020 : restriction hydrique 1000/24h. Avis internistique le 08.01.2020 : pas de suivi hospitalier nécessaire, boire raisonnablement, contrôle biologique chez le médecin traitant. Natrémie le 10.01.2020 à 133 mmol/l. Osmolalité sérique. Spot urinaire. Attitude : Restriction hydrique 1L/24h. Osmolarité sérique. Spot urinaire. Ossicule de la tubérosité tibiale antérieure du genou gauche sur status post maladie d'Osgood Schlatter en 2016. Morbus Sever du calcanéum plus prononcé à gauche qu'à droite. Ossifications hétérotopiques Brooker stade 4, hanche D avec • Infection de PTH D à bas bruit à Staph. epidermidis • Status post implantation prothèse bipolaire pour du col fémur D type Garden IV le 02.11.2018 (Dr. X). Ossifications péri-prothétiques Brocker IV de la hanche D après PTH sur coxarthrose le 26.08.2019 par Dr. X à Clarens. Ostéochondrome de l'épine iliaque postéro-supérieure, stable par rapport au CT de 2013, asymptomatique. Ostéochondrome face médiale du plateau tibial gauche. Ostéomalacie Ostéomyélite chronique à Staph. lugdunensis du fémur G avec bris de la plaque d'ostéosynthèse et fracture spontanée du fémur G le 17.11.2019 sur : • Status post fracture du fémur G traitée par enclouage centro-médullaire suite à un AVP en 1966 • Status post reprise d'ostéosynthèse du fémur G pour rupture du clou centro-médullaire en 1968 • Status post AMO de clou fémur G en 1997 • Status post résection large d'un léiomyosarcome pléomorphe musculaire de la cuisse G en 1998 avec radiothérapie locale • Status post ostéosynthèse d'une fracture pathologique du fémur G post radique en 2001 • Status post nouvelle fracture pathologique du fémur G traitée par AMO, ablation de ciment, rinçage, ostéotomie du fémur avec résection de 2 cm de l'os nécrotique, ré-ostéosynthèse par plaque LCP 4.5 17 trous le 26.02.2002 • Status post décortication et plastie spongieuse (crête iliaque G) fémur G le 19.04.2002 • Status post rupture de plaque LCP 4.5 fémur G en janvier 2007 Ostéomyélite chronique avec poussée aiguë tibia G sur s/p accident il y a 30 ans, anamnestique. Ostéomyélite chronique diffuse à Staph. aureus du tibia G (stade IV A selon Cierny-Mader) sur status post accident il y a 30 ans (anamnestique). Ostéomyélite chronique du 5ème métatarsien du pied G sur ulcère chronique en regard de la tête du 5ème métatarsien. Hyper-appui des têtes métatarsiennes 2-3-4 sur luxation et destruction MTP 2 à 4 pied G Arthrose avancée au niveau MTP 1 et 5 pieds ddc. Ostéomyélite de la malléole externe gauche Ostéomyélite de la malléole externe gauche dans le contexte d'ulcère veineux sur insuffisance veineuse chronique • ulcères veineux sur incontinence veineuse poplitée et d'une tributaire allant irriguer l'ulcère à partir d'une perforante incontinente et par insuffisance de la pompe musculaire et articulaire et atteinte cutanée avec lipo-dermato-sclérose sévère Ostéomyélite de l'hallux droit. Ostéomyélite de l'hallux droit le 26.11.2019 Ostéomyélite de l'hallux droit possiblement chronique le 26.11.2019 Ostéomyélite de l'hallux droit possiblement chronique le 26.11.2019. Ostéomyélite de P2 et de la tête de P1 hallux pied G • Germe en cause (12.04.2019) : Finegoldia magna • Angiographie MIG, angioplastie de plusieurs sub-occlusions le 19.02.2019 (Dr. X) Amputation trans P1 hallux G, prise de biopsies, rinçage au Lavasept (OP le 12.04.2019) Amputation par exarticulation de la MTP 1 pied G (OP le 22.04.2019) Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 12.04. au 15.04.2019 • Co-amoxicilline 1,2 g 2x/j i.v. du 16.04. au 02.05.2019 • Co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 03.05.2019 et jusqu'au 28.05.2019 compris Décompensation diabétique sur gastro-entérite virale le 26.01.2016 Décompensation diabétique sur sepsis avec pseudohyponatrémie en mars 2014 • Compliance médicamenteuse et diététique difficile Amputation épibasale de la phalange proximale du 4ème orteil pied G, le 06.11.2015 sur ulcère, nécrose et atteinte articulaire de l'IPP 4ème orteil pied G, à Staph. aureus multi-sensible Amputation 5ème orteil pied G le 11.03.2014 sur sepsis à Staph. aureus sur ostéomyélite Crachats hémoptoïques le 08.03.2014, suite à un épistaxis Colique néphrétique G lombaire de 4 mm de diamètre le 04.08.2018 Anémie aiguë postopératoire asymptomatique avec Hb 83 g/l le 20.04.2019 Suivi biologique : Hb 101 g/l le 06.05.2019 Ostéomyélite phalange distal Dig II à G • St. p. fracture ouverte avec arrachement du tendon extenseur et embrochage le 25.03.2019 (fecit Dr. X) Ostéomyélite phalange distale base ulnaire Dig IV à G Sclérodermie systémique limitée avec syndrome de CREST • Syndrome de Raynaud • Iloprost du 23.12.2019 jusqu'au 02.01.2020 • Sidénafil 25 mg dès le 03.01.2020 • Nifédipine 20 mg 3x/jour • St. p. amputation Burgess à D en 2019 Thrombose veineuse profonde axillaire et subclavière droite secondaire à Picc-line le 31.12.2019 • avec thrombose veineuse superficielle basilique Douleurs neuropathiques chroniques Allergie : Pénicilline Ostéopénie Hyperplasie bénigne de la prostate : • Status après opération de la prostate en 2010 • Globe urinaire 5.12 iatrogène (arrêt médicaments) Test de dépistage cognitif et dépressif effectué le 20.12.2019 : MMS à 25/30, test de l'horloge à 7/7, GDS à 4/15 Ostéophyte face palmaire IPD et gêne du matériel d'ostéosynthèse P2 Dig V gauche sur status post-arthrodèse temporaire de l'IPD. P2 D5 par 2 vis sur fracture ouverte Gustilo II longitudinale et intra-articulaire au niveau de l'IPP et de l'IPD de la 2ème phalange D5 main gauche avec lésion du tendon extenseur sur scie circulaire le 14.03.2019. Ostéoporose Ostéoporose. Ostéoporose. Ostéoporose : • Ibandronate (Bonviva) 1x/3mois depuis avril 2012, dernière injection en septembre 2016 • DXA 2012 : Lomb. -2.6, F -2.6 • DXA janvier 2015 : L -1.7, H -3.1 Myélopathie cervicale haute : • atteinte sensitivo-motrice asymétrique bilatérale des 4 extrémités • status post-spondylodèse C1-C7 Polyarthrite rhumatoïde séropositive, CCP-pos., érosive : • status post-Méthotrexate, Leflunomide en raison d'intolérances • status post-hydroxychloroquine • Abatacept 1x/sem depuis juillet 2012 Troubles de la marche et de l'équilibre sur troubles dégénératifs et statiques très sévères du rachis lombaire Malnutrition protéino-énergétique grave Troubles cognitifs légers (MMS 22/28 le 23.01.2020) Réaction émotionnelle à un facteur de stress important (hospitalisation et perte d'autonomie chez une personne très indépendante) - F43.8 Ostéoporose bilantée (hôpital Daler) • 17.05.2017 : T-Score Fémur proximal gauche (Col, -1.9 DS, Hanche totale -1.7 DS) • sous Calcimagon et Bonviva iv 3mg/3mois • prochain contrôle prévu le 15.01.2019 Ostéoporose cortico-induite Maladie de Crohn diagnostiquée il y a plus d'une vingtaine d'années, traitée par Asacol pendant 20 ans, relais par Imurek fin novembre 2015 Dépression psychotique avec plusieurs épisodes dépressifs sévères avec plusieurs hospitalisations à Marsens Parésie diaphragmatique gauche Troubles cognitifs avec MMSE à 22/30 Anémie microchrome microcytaire avec hémoglobine à 114 g/l Suivi biologique Ostéoporose • CT 27.11.2019 : Fracture tassement d'allure ancienne de D12 et L2 - L3 Ostéoporose C5-6. Ostéoporose densitométrique sévère • Facteurs de risque d'ostéoporose : tabagisme actif, ménopause précoce chirurgicale à l'âge de 31 ans substituée, consommation d'OH à risque, fracture de hanche chez la mère, malabsorption sur status post bypass gastrique en 2005. • Fractures : multiples et traumatiques de l'avant-bras droit/gauche en 2003/2005, 3 côtes en 2015, coude gauche en 2017, cheville gauche en 2018. • Densitométrie osseuse du 13.06.2018 : TBS à 1.157, colonne lombaire à -4,1 DS, col du fémur à -2,5 DS, hanche totale -2,6 DS • Aclasta chez médecin traitant le 22.02.2019 (1ère injection) Trouble de personnalité Borderline : • plusieurs antécédents d'abus médicamenteux (2x en 2015, 2012) • plusieurs hospitalisations à Marsens. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance, utilisation continue (F10.25) : • actuellement sous Selincro • avec plusieurs passages aux Urgences pour intoxication aiguë (en 2018, 2016, 2015). Trouble dépressif récurrent. Poly-allergie (suivie par le Dr. X). Trouble de stress post-traumatique. Migraine sans aura. Hypovitaminose B12 et vitamine D.Oedèmes des membres inférieurs intermittents d'origine indéterminée. Nodule sous cutané d'origine indéterminée. Tendinite de De Quervain droite Herpes vulvaire récidivant 1x/mois • frottis lésion para-anale le 26.02.2019 pour recherche HSV par PCR : positive pour HSV2 • valtrex pendant 5 jours (02-03/2019) • avis infectiologique le 01.03.2019 (Dr. X et Erard) : traitement de fond indiqué, valtrex 500 mg 1x/j, en général pour 6-8 mois, puis essai d'arrêt Polyneuropathie sensitive débutante possible • composante des allodynies • peau sèche • diminution des ROT achiléens Ostéoporose et spondylarthrose HTA Phlébites à répétition MID (sous Sintrom, actuellement en suspens) Ostéoporose fracturaire : • Tassement de la vertèbre L5 Ostéoporose fracturaire avec : • fractures côtes à D et vertébrales multi-étagées, non datée D11, L2, L3, L4 • FRCV : tabagisme >40 UPA, SSRI, IPP, sédentarité, apports calciques à réévaluer • Aclasta 5 mg iv OU le 19.12.2019 Ostéoporose fracturaire avec : • fracture cunéiforme de D8 visualisée à la densitométrie osseuse du 23.01.2020 Ostéoporose fracturaire avec • fracture du col fémoral D en 2016, des côtes à D et des vertèbres D11, L2, L3, L4. Fracture par insuffisance du sacrum, des branches ilio- et ischio-pubiennes décembre 2019 • Facteurs de risque : post-ménopause, tabagisme 51 UPA, SSRI, IPP, sédentarité • densitométrie osseuse le 5.10.2016 : T-score du tiers distal de l'avant-bras G à -0.8, col fémur -2.2, colonne lombaire L3-L4 à -1.1. • N'a jamais eu de traitement Ostéoporose fracturaire avec : • Fracture-tassement T12 post-traumatique le 20.12.2019 • Status après multiples vertébroplasties L1-L5 Ostéoporose fracturaire avec multiples tassements : • vertébroplastie les 27.11.2012 et 08.01.2013 • Bonviva trimestriel Calcium, Vitamine D Ostéoporose fracturaire avec : Tassement sur la vertèbre D12 Ostéoporose fracturaire avec tassements anciens au niveau T6-T8-T12-L1 et un nouveau au niveau du L3 (le 10.12.2019) sans recul du mur postérieur Démence de type Alzheimer avec : • Evaluation neuropsychologique en 08.2016 : troubles amnésiques légers à moyens, atteinte moyenne des fonctions cognitives • Test de la cognition du 26.12.19 : MMSE à 11/30, test de l'horloge à 0/7 ; GDS à 5/15 Cardiopathie hypertensive, dysrythmique avec BAV de 3ème degré avec Pacemaker et valvulaire. • ETT du 23.10 : FEVG à 50 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Minime obstruction dynamique intraVG au repos sans SAM (systolic anterior movement). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Elévation franche des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/3) dégénérative. HTAP minime (PAPs à 42 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Reflux gastro-oesophagien sur hernie hiatale (sous IPP) Ostéoporose fracturaire avec multiples fractures notamment bassin droite en 2016, fracture ancienne T6-T8-T12-L1 Dyslipidémie Hypothyroïdie substituée Cholestase d'origine indéterminée Ultrason abdominal à jeun le 12.12.2019 : hydropse de la vésicule biliaire sans calcul visualisé. Suspicion de cholestase extra-hépatique modérée. Laboratoire du 14.12.2019 : Gamma-GT 422 U/L, Bilirubine direct 4.8 umol/l Laboratoire du 20.12.2019 : Gamma-GT 417 U/L Ostéoporose fracturaire clinique • dans un contexte de traumatisme à basse cinétique • hypovitaminose D légère à 68 nmol/l Ostéoporose fracturaire clinique • dans un contexte de traumatisme mineur à basse cinétique • hypovitaminose D légère à 68 nmol/l Ostéoporose fracturaire le 30.10.2018 • Fracture quatre parts déplacée de l'humérus proximal droit traitée par mise en place d'une prothèse totale inversée de l'humérus proximal droit le 02.11.2018. Éventration sous-ombilicale droite symptomatique sur statut post-laparotomie et extirpation d'une lithiase par entérostomie le 04.12.2009 pour iléus biliaire Cure d'éventration médiane sous-ombilicale selon Rives avec filet rétro-musculaire en 2010 Césarienne en 1971 Phakectomie bilatérale il y a 12 ans Dépression en 2005 (sous Citalopram) Ostéoporose fracturaire • vertébroplastie avec expansion de L1 (Vertécem 4.6 ml, système Tektona) et vertébroplastie prophylactique de D12 et L2 (Vertécem 3 ml) en raison d'un tassement de L1 dans le contexte d'une ostéoporose fracturaire le 19.03.2018 • fracture/tassement de L5 le 13.01.2018 avec vertébroplastie le 17.01.2018 • implantation de prothèse totale de hanche bilatérale gauche (02/2018), droite sur fracture Garden III en (09/2017) • contusion côtes gauches non datée • fracture aile iliaque G 2014 • périarthropathie calcifiée de l'épaule G suivie d'une résection ouverte de la calcification, compliquée par une arthrite septique à S. aureus 1995 Epigastralgies chroniques dans le contexte d'hernie hiatale et RGO, probablement d'origine fonctionnelle Gastrite antrale 06/2015 Anémie normocytaire normocytaire (06/2019) sur carence martiale, en acide folique, vitamine B12, en cours de substitution Maladie de Parkinson le 02.12.2019, avec : • diagnostic en 1996 • décompensation de la maladie de Parkinson en 04/19 (cf. hosp. HFR Meyriez) • atteinte motrice : syndrome akinéto-rigide, trémulant axioappendiculaire plus accentué au membre supérieur G et inférieur D • atteinte cognitive : MMSE 24/30, et Clock test 3/7 (04.2019) • atteinte autonome : dysautonomie tensionnelle avec des lipothymies à répétition dans le cadre de la maladie de Parkinson, Dyspepsie fonctionnelle avec dysmotilité oesophagienne Diminution du Neupropatch de 4 à 2 mg/24h le 05.12.2019 pour hallucinations Trouble anxio-dépressif probablement dans le cadre de la maladie de Parkinson • sous Mirtazapine 30 mg (Remeron) Insuffisance rénale chronique Stade G3b KDIGO Créatinine 126 umol/l, DFG d'après CKD-EPI : 36 ml/min/1.73 m² (02.12.2019) Ostéoporose fracturaire. Etat anxio-dépressif. Souffle systolique des artères iliaque et fémorale droites de découverte fortuite le 07.01.2019. Etat anxieux sur troubles anxio-dépressifs. Hypertension artérielle. Ostéoporose : • Ibandronate (Bonviva) 1x/3mois depuis avril 2012, dernière injection en septembre 2016 • DXA 2012 : Lomb. - 2.6, F -2.6 • DXA janvier 2015 : L -1.7, H - 3.1 Myélopathie cervicale haute : • Atteinte sensitivo-motrice asymétrique bilatérale des 4 extrémités • Status post spondylodèse C1-C7 Suspicion AIT le 26.10.2016 au réveil le matin (dysarthrie avec perte de force dans le bras droit, parésie faciale droite ayant duré 15 min) Polyarthrite rhumatoïde séropositive, CCP-pos., érosive : • Status post Méthotrexate, Leflunomide en raison d'intolérances • Status post hydroxychloroquine • Abatacept 1x/semaine depuis juillet 2012 Malnutrition protéino-énergétique grave Troubles cognitifs modérés Réaction émotionnelle à un facteur de stress important (hospitalisation et perte d'autonomie chez une personne très indépendante) - F43.8 Troubles de la marche et de l'équilibre sur troubles dégénératifs et statiques très sévères du rachis lombaire Ostéoporose manifeste avec deux tassements BWS Th 11 et 12 GERD Dyslipidémie Etat dépressif sur contexte d'isolation sociale Mild Cognitive Impairment Vertige positionnel paroxystique bénin Diverticulite avec suspicion de perforation couverte le 04/2015 Ostéoporose pas bilanée • Pas traitée Ostéoporose sévère dans un contexte de corticothérapie au long cours avec fracture/tassement multi-étagé, notamment D5-D6 Ostéoporose sévère, traitée par biphosphonate Dialyse Fracture ostéoporotique traumatique du bassin avec fixation en mars 2019 Ostéoporose Status post tuberculose traitée dans l'adolescence Etat anxio-dépressif Ostéoporose traitée par Prolia Status post tuberculose traitée dans l'adolescence Etat anxio-dépressif Ostéoporose. • traitement par ibandronate 1x/mois depuis environ 40 ans • dernière densitométrie osseuse en mai 2019 BPCO stade II • Ancien tabagisme à 35 UPA Notion anamnestique d'asthme Ostéoporose. Diverticulose. Hypertension artérielle. Ostéoporose Diverticulose Hypertension artérielle traitée Ostéoporose. Etat dépressif. Ostéoporose. Flutter auriculaire atypique à conduction variable d'origine indéterminée. Ostéosynthèse col du fémur D, puis AMO en 2002. Opération du 4ème doigt main G phalange distale suite à un écrasement en 1996. Contusion costale latérale 8-9-10 D 04.03.18. Ostéosynthèse de correction bilatérale 2000 pour arthrose de hanche bilatérale. Ostéosynthèse de la cheville gauche dans l'adolescence. Plastie du ligament croisé antérieur en 1990. Appendicectomie non datée Dermo-hypodermite du membre supérieur droit, suite à une piqûre de frelon, le 25.08.2013. Entorse du ligament latéral externe droit, de stade III, le 30.12.2016. Ostéosynthèse de la mandibule (OP le 06.12.2019, Dr. X) Antibioprophylaxie par co-amoxicilline du 06 au 11.12.2019 Rinçages de la bouche par Dentohexine solution jusqu'au 16.12.2019 Régime mou pour 6 semaines Contrôle au cabinet du Dr. X le 16.12.2019 Ostéosynthèse du genou droit en 2013 suite à un accident de la voie publique Ostéosynthèse d'une fracture de la malléole interne G en 1993 environ Ostéosynthèse d'une fracture quatre parts de l'humérus proximal gauche en juin 2013. Bradycardie sinusale (47/min) spontanée diurne au repos le 14.07.2019. Introduction d'un bétabloqueur selon fréquence cardiaque en ambulatoire. Ostéosynthèse le 12 avril 2017 pour une fracture de type II Fracture du nez le 04.04.2017 Prothèse totale de hanche gauche en 2014 Prothèse totale de hanche droite en 2017 Fracture scapulaire gauche en 2016 Contusion crânienne le 28 septembre 2018 avec fracture multifragmentaire du nez et multiples dermabrasions du menton, du front et du nez Hernie inguinale incarcérée à droite, 29.03.2019 Ostéosynthèse le 18.05.2016 pour fracture pertrochantérienne Hystérectomie Surdosage en opiacés avec confusion Ostéosynthèse par vis-plaque d'une fracture de l'extrémité distale du fémur droit il y a 7 ans. Fracture du coccyx il y a plusieurs années. Fracture de la diaphyse fémorale gauche post ostéosynthèse par DHS 2 trous, le 18.09.2014 avec ablation du matériel d'ostéosynthèse et réduction ouverte, réostéosynthèse par une plaque DHS 10 trous du fémur droit, le 30.11.2014. Infection urinaire basse à E. coli le 31.12.2018. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle le 30.12.2018. Ostéosynthèse 5ème doigt droit dans l'enfance Contusion main et poignet à droite avec plaie superficielle de 0.8 cm pulpe phalange distale index droit Accident de la voie publique le 04.12.2018 avec traumatisme cervical whiplash injury (consultation le 05.12.2018) Ostéosynthèse 5ème métacarpe par 3 vis (OP le 22.05.2019) Ostéotomie péri-acétabulaire à D avec : • Correction de l'offset • Autogreffe de l'épine iliaque antéro-supérieure dans l'ostéotomie supra-acétabulaire (OP le 20.11.2019) Antalgie par PCA du 21.11. au 23.11.2019 Ostéotomie péri-acétabulaire d'antéversion avec autogreffe osseuse prise à l'épine iliaque antéro-supérieure, hanche G le 12.12.2019 sur conflit fémoral-acétabulaire type pincer avec rétroversion cotyloïdienne hanche G. Ostéotomie péri-acétabulaire d'antéversion avec autogreffe osseuse prise à l'épine iliaque antéro-supérieure, hanche G (OP le 12.12.2019) Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. otalgie otalgie Otalgie. Otalgie. Otalgie Otalgie. otalgie Otalgie à droite. Otalgie à droite. otalgie bilatérale otalgie bilatérale Otalgie bilatérale d'origine indéterminée DD début d'otite Otalgie bilatérale et EF Otalgie D Otalgie des deux côtés Otalgie Droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. otalgie droite Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite otalgie droite otalgie droite Otalgie droite avec hypoacousie. Otalgie droite et douleurs abdominales et état fébrile Otalgie droite sur infection virale des voies aériennes supérieures Otalgie et surdité gauches traumatiques le 26.01.2020. DD : traumatisme du conduit auditif externe, perforation du tympan. Otalgie, état fébrile Otalgie G Otalgie G. Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. otalgie gauche otalgie gauche Otalgie gauche d'origine peu claire, le 18.03.2018. Probable granulome apical dent 22 le 10.03.2016 Otalgie gauche d'origine peu claire, le 18.03.2018. Probable granulome apical dent 22 le 10.03.2016 Status post AVP, 01.2007 Status post gastrite, gastroscopie 01.2007 Status post sigmoïdectomie avec anastomose colo-rectale termino-terminale et surrénalectomie droite pour Incidentalome en 2006 Douleur au niveau du pied G avec tuméfaction localisée en 2014 Plaques érythémateuses prurigineuses migrantes d'origine indéterminée DD: Urticaire multiforme, érythème annulaire Algiurie et pollakiurie récidivantes Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 09.12.2018 • avec vomissements concomitants depuis 3 semaines DD gastrite avec RGO CT-scan abdominal: multiples calculs au niveau de la vésicule biliaire sans dilatation des voies intra et extra-hépatiques, avec découverte fortuite d'une lésion du rein G d'allure tumorale otalgie gauche et EF Otalgie gauche et odynodysphagie. Otalgie sur obstruction trompe d'eustache dans contexte d'IVRS Otalgie sur otite moyenne aigue gauche. Otalgie, toux et état fébrile. Otalgie • tympans obstrués • IVRS, pas d'état fébrile Otalgie. DD: IVRS au décours, phlycténulaire. Otalgie Maux de gorge Toux Fièvre Rhume Otalgies Otalgies. Otalgies. Otalgies bilatérales Otalgies bilatérales. Otalgies bilatérales. otalgies droites Otalgies droites dans contexte de dysfonction tubaire connue Otalgies et état fébrile. Otalgies gauche. Otite à fin février 2013. Otite aigue moyenne à droite Otite aiguë moyenne bilatérale Otite aiguë moyenne bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale évoluant défavorablement sous amoxicilline Otite bilatérale sous antibiothérapie du 20.12. au 30.12. Autrement bonne santé habituelle, pas de traitement à long terme. Otite bilatérale sous antibiothérapie durant 10 jours dès le 27.12.2019. Bonne santé habituelle, pas de traitement à long court. Otite D débutante Otite droite avec mastoidite, 16.01.2012. Contusion poignet droit. Otite droite moyenne Otite et vomissements Otite externe. Otite externe à gauche le 12.01.2017. Tentamen en mars 2018, hospitalisation à Marsens. Décompensation psychotique avec agitation et hétéro-agressivité. Otite externe aiguë à gauche. Otite externe aiguë à gauche le 26.01.2020. Otite externe aiguë bilatérale Otite externe D Otite externe débutante gauche, 10.01.2020. DD catarrhe tubaire G. Otite externe droite Otite externe droite. Otite externe gauche Otite externe gauche - avec douleur type lancée au niveau pariétale gauche Otite externe gauche Probable goutte pied gauche le 16.08.2019 Otite gauche débutante Otite gauche d'origine probablement virale le 11.01.20. Otite MA droite. Otite média bilatérale sur vasculite à ANCA (anti-MPO) avec: Hypertension artérielle traitée Oesophagite de reflux de stade B selon Los Angeles le 23.02.2018 traitée par Pantozol + Motilium/Primpéran. Otite moyen aigue congestive Otite moyen aigue congestive droite le 21.01.2020. Otite moyenne aigue. Otite moyenne aigue. Otite moyenne aiguë. Otite moyenne aigue à droite Otite moyenne aigue à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite. Otite moyenne aiguë à droite en février 2011. Otite moyenne aiguë à droite le 01.01.2020 et bouchon de cérumen. Otite moyenne aiguë à droite (tympan gauche non vu) avec: - otitis prone child Otite moyenne aigue à G Otite moyenne aigue à gauche Otite moyenne aiguë à gauche avec: - otites à répétition - dernière OMA à < 4 semaines Otite moyenne aiguë avec tympan perforé. Otite moyenne aiguë bactérienne bilatérale. Sinusite frontale bilatérale. Otite moyenne aigue bactérienne droite Otite moyenne aigue bilatérale Otite moyenne aigue bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale. Otite moyenne aiguë bilatérale: - sans réponse à 5 jours d'antibiothérapie Otite moyenne aiguë bilatérale avec: - Perforation du tympan à gauche. - Pharyngite probablement d'origine virale associée. Otite moyenne aiguë bilatérale avec perforation droite Otite moyenne aiguë bilatérale débutante ? Otite moyenne aigue bilatérale diagnostiquée par vos soins Otite moyenne aigue bilatérale et angine virale Otite moyenne aigue bilatérale le 02.01.2020. Otite moyenne aigüe congestive. Otite moyenne aigue congestive gauche Otite moyenne aiguë d'allure virale le 04.01.2020. Otite moyenne aigue débutante à G Otite moyenne aigue débutante droite Otite moyenne aiguë, d'origine bactérienne possible, le 04.01.2020 - traitement conservateur préalable inefficace. Otite moyenne aiguë d'origine probablement virale. Infection urinaire asymptomatique, le 17.09.2019, chez une patiente enceinte de 17 semaines. Gastrite le 17.09.2019. Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aigue droite débutante Otite moyenne aigue droite et angine virale Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche associée à une otorrhée purulente Otite moyenne aiguë gauche le 06.01.2020. Otite moyenne aiguë gauche le 17.01.20. Otite moyenne aiguë gauche le 23.01.2020 Otite moyenne aiguë gauche le 31.12.2019. Otite moyenne aiguë le 29.01.2020. Otite moyenne aiguë perforée à gauche Otite moyenne aigüe perforée à gauche Otite moyenne aigue perforée bilatérale Otite moyenne aigue probablement perforée à gauche - non répondante à 10 jours d'antibiothérapie par Amoxicilline Otite moyenne aiguë - sans critère de gravité. Otite moyenne aigue virale à droite Otite moyenne bactérienne débutante gauche. Otite moyenne bilatérale Otite moyenne droite. Otite moyenne droite aigue le 04.04.2019. Otite moyenne droite débutante et angine virale Otite moyenne droite évoluant défavorablement sous amoxicilline Otite moyenne droite, le 05.01.2019. Otite moyenne externe droite avec cellulite pré-auriculaire droite, le 12.01.2020. - deuxième récidive, DD: immunosuppression, HIV? Otite moyenne gauche aiguë le 01.01.2020. Otite moyenne gauche aiguë, toux, dysphagie, frissons. Otite moyenne gauche avec traitement par amoxicilline 1 g aux 12 heures pour 5 jours et antalgie par dafalgan et poursuite algifor. Recommandation de reconsulter en cas de non amélioration ou péjoration clinique. Recommandation de contacter le Dr. X pour consultation d'ici 1 à 2 semaines. Otite moyenne gauche. Probable pneumonie le 18.05.2016 traitée par Co-Amoxicilline 1 g pour 7 jours. Opération ligamentaire cheville D 03.2016. Avortement par curetage 02.2017. Otite perforée à droite le 30.01.2020 Otite perforée avec écoulement sanguinolant Otite perforée D Otite séreuse D Otite virale à gauche Otite virale D et IVRS Otite virale droite probable le 15.01.2020. Otite virale externe droite sur syndrome grippal. Otite virale externe droite sur syndrome grippal le 03.01.2020. Probable crise hystérique le 15.09.2017. Status après laparoscopie pour endométriose avec résection de nodules endométriosiques en décembre 2013. Status post-endométrite avec suspicion d'annexite à Gardnerella + BGN, traitée. Status après décompression du nerf ulnaire gauche en 2015. Status après cure d'hémorroïdes et de marisque, non datée. Status post-opération du coude. Opération genou G pour excroissance G en 2008. Opération genou D pour Plica par Arthroscopie en 2012. Ablation d'un nodule du genou D en 2009. Hématome du périnée à 3h avec incision/rinçage le 22.01.2017. Suspicion de lésion de LLI G. Entorse coude gauche le 11/01/18. Pelvic inflammatoire disease avec pyomètre après retrait stérilet Mona Lisa chez Mme. Y de 27 ans. Crise hystérique avec des idées suicidaires, le 27.02.2018. Césarienne en urgence pour détresse maternelle après provocation pour désir maternel à 37 4/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y de 28 ans, primigeste devenue primipare le 20.01.2019. Sevrage primaire de l'allaitement sans Dostinex. Métrorragie et douleur abdominale d'origine X. Douleurs abdominales d'origine indéterminée dans un contexte de sp césarienne en 01.2019. Idées suicidaires. Douleurs thoraciques d'origine ostéo-musculaire. • Otites à répétition • Otites à répétition • Otites à répétition • Otites à répétition • Otites à répétition • Otites à répétition • Otites à répétition • Otites à répétition • Otites à répétition • Otites à répétition depuis l'entrée à la crèche • Cassure de la courbe pondérale isolée • Hospitalisé en décembre 2019 pour cassure de la courbe pondérale et pleurs nocturnes, bilan complet dont métabolique dans la norme. • Otites à répétition 29.04.16: drains tympaniques bilatéralement • Otites débutantes bilatérales • Otites externes bilatérales • Otites externes des deux côtés et moyenne à droite 10.2012. Angine à Streptocoque le 28.01.2014. • Otites moyennes aiguës bilatérale non perforées • Otites moyennes aiguës bilatérales • Otites moyennes aigües bilatérales • Otites moyennes aiguës et angines récidivantes. s/p adénoïdectomie, amygdalectomie et paracentèse avec mise en place de drains trans-tympaniques des deux côtés (Dr. X) le 10.05.17. • Otitis media perforata droite. • Otoplastie bilatérale le 15.10.2015. Tentative de suicide en mai 2015 (intoxication aiguë au Benocten avec QT prolongé). Crise d'angoisse dans un probable trouble mixte de la personnalité et autre trouble de la personnalité le 28.02.2019. Intoxication aux benzodiazépines (Temesta 1 mg 10-20 cpr) DD Tentamen le 14.03.2019. Auto mutilation profonde 2 cm de long et excoriations multiples au regard de l'avant-bras gauche antérieur distal le 31.05.2019. • Otorrhée. • Otorrhée • otorrhée droite • Otorrhée droite • Otorrhée droite : probablement résiduelle à un status post OMA droite avec otorrhée traitée par antibiotique jusqu'au 18.05.2017. • Otorrhée gauche • otorrhée gauche et otalgie gauche +++ fébrile accompagnée par maman et marraine • Otoscopie. Rinçage conduit auditif. Amoxicilline 5 jours. Budésonide spray. Cerumenol prophylactique. Antalgie. • Ovaires polykystiques. Hyper-insulinémie. Migraine sans traitement de fond. • Ovaires polykystiques. Hyperinsulinémie Migraine sans traitement de fond • Ovariectomie gauche avec fibrothécome de type fibreux de l'ovaire kyste folliculaire Insuffisance rénale AKIN 3 d'origine mixte le 16.10.2019. Fracture ouverte déplacée PD D3 main gauche. Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine multifactorielle le 15.10.2019 sur: • Pneumonie nosocomiale d'inhalation bilatérale le 11.10.2019 • Atélectasies postopératoires Choc septique sur lâchage anastomotique avec péritonite stercorale des 4 quadrants le 15.10.2019: • Status post rectoscopie, laparotomie exploratrice, colostomie terminale et fermeture du moignon rectal, lavage abdominal, VAC sous-cutané (Dr. X) le 15.10.2019 • Status post réfection de VAC le 17 et 21.10.2019 • Status post iléus postopératoire le 11.10.2019 • Status post résection antérieure haute du rectum, anastomose colo-rectale et trans-suturaire et iléostomie de décharge à double canon en FID le 8.10.2019 (Dr. X) • E. faecium +, E. Coli ++ dans le liquide abdominal • Colostomie terminale et fermeture du moignon rectal, lavage abdominal, VAC sous-cutané (Dr. X) le 15.10.2019 • Éventuel rétablissement de continuité dès 3 mois postopératoires • Ovariectomie gauche et adhésiolyse (2016). Accident ischémique transitoire (2009). Appendicectomie (1957). Hystérectomie et ligature des trompes (non daté). Etat confusionnel aigu hyperactif d'origine indéterminée, le 15.11.2019 : • dans un contexte de rétention urinaire aiguë Investigations : • angio-CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux 15.11.2019 : pas d'AVC, arthrose cervicale • US ciblé aux urgences : rétention urinaire (600 ml) • laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas d'infection urinaire. Céphalées avec disparition spontanée le 03.12.2019. • Ovariectomie gauche et adhésiolyse (2016) Accident ischémique transitoire (2009) Appendicectomie (1957) Hystérectomie et ligature des trompes (non daté) Etat confusionnel aigu hyperactif d'origine indéterminée, le 15.11.2019 : • dans un contexte de rétention urinaire aiguë Investigations : • Angio-CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux 15.11.19 : pas d'AVC, arthrose cervicale • US ciblé aux urgences : rétention urinaire (600 ml) • laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas d'infection urinaire Céphalées avec disparition spontanée le 03.12.2019 • Oxazépam • Oxazépam à hautes doses (50 mg 4x/j d'office nécessaire) Substitution Thiamine • Oxazépam du 29.12.2019 au 01.01.2020, en schéma dégressif Thiamine du 29.12 au 30.12.2019 • Oxazépam en réserve selon CIWA Thiamine 300 mg du 17.01.2020 au 19.01.2020 • Oxazépam en réserve Thiamine • Oxazépam per os Substitution vitaminique : Supradyn, Thiamine • Oxazépam 30 mg donné aux urgences. Mme. Y partie contre avis médical avant réévaluation médicale. • Oxybuprocaïne + vit A + floxal + pansement occlusif. • Oxybuprocaïne, exploration œil, pas de trouble visuel, pas de corps étranger visible. Vitamines A et pansement occlusif. Le patient repart sans consultation médicale. • Oxybuprocaïne, exploration, pas de corps étranger visible ni de lésion évidente de la cornée. Vitamine A + pansement occlusif. Consultera demain le service d'ophtalmologie si persistance des douleurs. • Oxybuprocaïne goutte sur ordre médical MRT, Vitamine A et pansement ophtalmique. Informé qu'il doit revenir en consultation ophtalmologique à 17h00. • Oxybuprocaïne, pas de lésion de la cornée visible. Pansement occlusif avec vitamines A et consultation en ophtalmologie demain si persistance des douleurs au réveil. Le patient part sans consultation médicale. • Oxybuprocaïne, vitamine A et pansement oculaire au tri. Patient reparti sans consultation médicale. • Oxybuprocaïne, Vitamine A, Floxal, pansement occlusif. RDV demain en ophtalmologie. Patient reparti sans consultation médicale. • Oxybuprocaïne, Vitamine A, pansement occlusif au tri. Patient reparti sans consultation médicale. • Oxybuprocaïne 0.4% 1 goutte et vitamine A, pansement occlusif. Consultation ophtalmologique demain (Dr. X au courant). • Oxybuprocaïne 1 goutte, Vitamine A et pansement occlusif sur ordre du Dr. X. Le patient se rendra demain en ophtalmologie. • Oxycontin en suspens dès le 05.12.2019 Primpéran • Oxycontin/Oxynorm jusqu'à l'intervention le 16.01.2020 • Oxygène au masque selon besoin Ceftriaxone 01.12 - prévu jusqu'au 12.12.2019 • Oxygène durant 1 heure, puis sevrage • Oxygénodépendance • Oxygénodépendance à 1-3 L pour saturation cible à 90% et plus Rx thorax (couchée) le 11.12.2019 : 2 lames d'atélectasie Avis internistique les 10 et 11.12.2019 : • Instauration traitement par Atrovent et Ventolin depuis le 11.12.2019 • Proposition d'effectuer des fonctions pulmonaires dans 6 semaines, soit fin janv/février 2020 Oxygénothérapie Oxygénothérapie à domicile max 2L/min Prochain RDV de pneumologie le 17.02.2020 à 14h, Dr. X Réévaluer reprise Xanax et Quétiapine du matin pour somnolence diurne (28.01.2020) Oxygénothérapie au niveau de la trachéotomie pour une cible à 92% Aérosols Fluimucil, Bepanthen Physiothérapie respiratoire Morphine d'office et en réserve Oxygénothérapie aux lunettes Lasix 40 mg iv, métolazone 5 mg po Oxygénothérapie avec masque du 06.01.2020 avec désaturation jusqu'à 70% malgré un masque à haute concentration 12-15L. Transfert au lit monitoré le 06.01.2020 Traitement par Lasix en intra-veineux en continu et ventilation non invasive Introduction d'un traitement par des nitrés Gazométrie du 06.01.2020 : pH 7.21, pCO2 8.3 kPa, pO2 9.6 kPa, Bicarbonate 24 mmol/l, Excès de base -3.1 mmol/l, Saturation 91%, FiO2 92%, O2 4 L/min, CO2 25.7 total mmol/l Gazométrie du 07.01.2020 : pH 7.34, pCO2 7.2 kPa, pO2 7.9 kPa, Bicarbonate 28 mmol/l, Excès de base 2.7 mmol/l, Saturation 88%, FiO2 100%, O2 15 L/min Surveillance clinique avec passages en bradycardie sinusale à 31/min traités par des bolus d'Atropine 0,5 mg Dégradation de l'état du patient. Suite à l'attitude discutée avec le patient et la famille : transfert le 07.01.2020 en étage de Gériatrie pour soins de confort. Oxygénothérapie du 02 au 05.01.2020. Optiflow le 03.01.2020. Ventilation non-invasive intermittente du 03 au 04.01.2020. Cathéter artériel radial droit du 03 au 04.01.2020. Ceftriaxone du 02 au 10.01.2020. Clarithromycine du 02 au 03.01.2020. Radiographie thoracique le 02.01.2020 : foyer en base droite. Radiographie thoracique le 08.01.2020 : sans particularité. CT abdominal le 13.01.2020 : sans particularités. Oxygénothérapie du 04.01 au 05.01 Frottis RSV le 04.01 : douteux Frottis grippe A et RSV le 07.01 : positifs Isolement contact Oxygénothérapie du 04.01 au 06.01 matin Amoxicilline 80 mg/kg/jour en 2 doses dès le 02.01 au 07.01 Azithromycine 10 mg/kg/j en 2 doses du 07.01 au 10.01 Frottis mycoplasme le 04.01 Oxygénothérapie du 05.01 au 06.01.2020 Échec de ventilation non invasive le 05 et 06.01.2020 Intubation orotrachéale et ventilation mécanique dès le 06.01.2020 Oxygénothérapie du 13.01 au 22.01. HF max à 6 L 40 % le 14.01., remise en place le 15.01. avec 7 L 30% - jusqu'au 21.01. CPAP à 30% PEEP à 7 du 14.01. au 15.01. Oxygénothérapie aux lunettes du 21.01. au 22.01. Gazométrie : acidose respiratoire compensée en péjoration le 14.01. à 14 heures avec pH à 7.31, pCO2 8.3 - en correction le 15.01. Radiographie thorax à deux reprises : pas de foyer, ni atélectasie Médecine anthroposophique Oxygénothérapie du 22.01 au 24.01 Sonde nasogastrique du 20.01 au 23.01 Au CHUV : VNI du 20.01 au 22.01 Radiographie du thorax le 20.01 et le 22.01 Antibiothérapie du 20.01 au 22.01 Oxygénothérapie du 26.01 au 28.01. Bilan hydrique et diurèse Traitements complexes de médecine complémentaire (médecine anthroposophique) Oxygénothérapie du 30.12 au 01.01.2020 Traitements complexes de médecine complémentaire (médecine anthroposophique) Oxygénothérapie nocturne au long cours à 1L/min Oxygénothérapie nocturne au long cours à 1L/min Oxygénothérapie poursuivie Oxygénothérapie, saturation cible 90-92% Physiothérapie respiratoire Poursuite du traitement par Seretide et Atrovent Oxygénothérapie supplémentaire du 21.01 à 22.01 Oxygénothérapie Contrôle et suivi biologique et clinique Rx thorax : suspicion de foyer rétrocardiaque gauche Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 22 et leuco 13.3 Gazométrie (probablement veineuse) : pH dans la norme, PCO2 et Bic dans la norme, PO2 abaissé à 4.9, Saturation à 72% Traitement par Ceftriaxone 2g en intra-veineux pour un total de 7 jours (28.11.19-04.12.2019) Traitement par des aérosols Physio respiratoire Prednisone 50 mg 1x/j pour 5 jours Ag urinaires : négatives Oxygénothérapie Nifedipine retard 20 mg depuis le 27.01.2020 Echocardiographie transoesophagienne le 28.01.2020 Echocardiographie transthoracique de contrôle dans 3 mois Oxygénothérapie Surveillance cardio-respiratoire Gazométrie : acidose métabolique compensée Bilan inflammatoire : CRP 12, pas de leucocytoses Hyperglycémie de stress 8 mmol/L Perfusion de NaCl 100 cc/kg/24h Dafalgan suppositoire 150 mg à 11h 45 Diazepam 5 mg IR à 12h00 Oxygénothérapie Ventilation non-invasive intermittente du 14.01 au 16.01.2020 Oxygénothérapie Ventilation non-invasive intermittente du 14.01 au 19.01.2020 Oxymétrie nocturne à prévoir Oxyures Oxyures ? Parasitose ? O2 devant sat 90% aux urgences Toilette nasale NaCl 0,9% : 30 min avant les biberons Surveillance prise alimentaire avec double pesée Surveillance diurèse Pacemaker DDDR - SM (Dr. X) sur bloc AV 2°, 2010 Embolie pulmonaire basal G 02.03.2014 avec pneumonie d'infarctus Embolie pulmonaire basal sur arrêt du Xarelto, 26.10.2014 Pyélonéphrite le 01.2018 Décompensation cardiaque le 01.2018, le 23.04.2019 Sur Salve de Tachycardie ventriculaire monomorphe dans un contexte d'ischémie probable Bactériurie asymptomatique le 25.04.2019 Pacemaker-défibrillateur en cours d'organisation dès que possible Adaptation du traitement de l'insuffisance cardiaque IRM myocardique de viabilité et de stress à distance Contrôle dans 1 mois chez Dr. X Ergométrie dans 1 an Bilan pneumologique avec fonctions pulmonaires, polysomnographie Paie superficielle du pouce et de l'index de la main gauche. Palladon PO dès le 10.01.2020 Prise en charge interdisciplinaire avec massages Palladon PO Prise en charge interdisciplinaire Physiothérapie respiratoire Pallesthésie à 0 aux membres inférieurs Physiothérapie Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 5/10 douleurs bilatérales au niveau de la crête iliaque postérieure à prédominance droite ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 5/10 depuis quelques semaines ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 6/10 mange 1/4 d'une assiette normale, perte de 14 kg en un an ; Anxiété 6/10 Anxiété de fond importante, qu'il a du mal à expliquer (probable trouble cognitif, barrière de la langue). Peur quant à l'avenir ; Dépression 0/10 , Mal-être 9/10 : sentiment d'injustice face à sa maladie oncologique Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Originaire d'Angleterre, a été adopté à l'âge de 4 mois, vit en Suisse depuis 1988, a un fils de sa première union. Sa famille avait une usine de chaussures ; Projet du patient / des proches : Mieux gérer l'anxiété Ne pas souffrir physiquement et mentalement Mr. Y nous est transféré depuis le HFR Riaz pour une gestion de l'analgie, des troubles de la marche avec soins impossibles à domicile et une importante anxiété. Au premier plan, Mr. Y présente des douleurs sur métastases osseuses améliorées par une antalgie par morphine intraveineuse. On constate d'importants troubles cognitifs non bilantés qui compliquent la prise en soins, en plus de la barrière linguistique. Mr. Y bénéficie malgré cela d'un accompagnement interdisciplinaire pour ses troubles de la marche, ses angoisses liées à la mort et ses troubles cognitifs, avec notamment un accompagnement spirituel et psychologique. Durant son hospitalisation, Mr. Y développe un état confusionnel hyperactif initialement mis sur le compte d'un globe vésical motivant la mise en place d'une sonde urinaire et l'introduction de neuroleptiques, ayant peu d'effet. Au vu de la symptomatologie réfractaire, une sédation palliative est débutée avec un bon effet. À noter qu'une imagerie cérébrale avait initialement été prévue, mais qu'il a été par la suite décidé d'y renoncer au vu de la dégradation rapide de l'état général. Mr. Y a pu profiter de la visite régulière de son amie Mme. Y qui est une ressource importante ainsi que des appels téléphoniques de son fils, qui vit en Angleterre. Plusieurs entretiens peuvent avoir lieu avec son amie afin de l'accompagner dans son vécu de la maladie. Malheureusement, Mr. Y décède le 14.01.2020 avant que son fils ait pu lui rendre visite. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 6/10 Douleurs généralisées décrites comme supportables, se déplacent à différents endroits, parfois douleurs au coude G (s/p fracture coude en août 2019), d'allure neuropathique avec hypoesthésie doigts 4 et 5 ; Dyspnée 6/10 Absente actuellement, présente en mangeant et au moindre effort et pas à la parole, a des crises paroxystiques où elle prend de la morphine PO, soulagement après 45 min env, Fentanyl IN plus rapidement efficace mais n'arrive plus à se le faire elle-même ; Nausées 4/10 Occasionnelles, parfois vomissements selon aliments consommés, de 0 à 2x/semaine. ; Fatigue 8/10 Asthénie généralisée progressive, plus importante depuis 1 mois environ, hospitalisations fréquentes avec parfois chutes à domicile ; Somnolence 4/10 Parfois la journée. ; Inappétence 2/10 Souhaite une portion entière, mange volontiers mais trop peu de force pour cuisiner ; Anxiété 8/10 Mentionne spontanément sa peur de mourir étouffée, y pense souvent, à chaque épisode de dyspnée aiguë ; Dépression 4/10 Moments de tristesse occasionnels. ; Sensation de mal-être 5/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 30 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : A un fils très présent qui est venu l'amener, souhaite être contacté H24 si péjoration, mentionne l'importance pour lui d'être présent et d'accompagner sa maman si celle-ci décède. Fait une formation d'hypnose. A une fille qui est hospitalisée en ce moment et ne serait pas en état d'être contactée sans plus de précision, d'après les dires du fils, mentionne un contexte familial compliqué. ; Projet du patient / des proches : • Reprendre des forces • Définir un projet, consciente que vivre à domicile est peut-être trop difficile pour elle, ne veut pas aller en home (une entrée en home avait été prévue puis annulée après un des nombreux séjours hospitaliers) ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : D'accord qu'on tienne son fils informé. Mme. Y est hospitalisée dans un but de réhabilitation palliative sur conseil de son oncologue le Dr. X. Nous rencontrons une patiente présentant une cachexie et asthénie importantes, une peau violacée dans le cadre d'une toxidermie médicamenteuse sur immunothérapie. Mme. Y se plaint principalement d'une baisse d'état général rapidement progressive sur les dernières semaines avec une dyspnée et des douleurs diffuses. Elle nous confie ressentir une anxiété importante avec également une angoisse de mort. Concernant l'asthénie, nous proposons à Mme. Y une baisse progressive de son traitement de benzodiazépine, ce traitement pouvant contribuer au symptôme de fatigue. Afin de soulager les douleurs et la dyspnée, nous introduisons un traitement de morphine d'office. Durant le séjour, Mme. Y présente des épisodes d'absence évocatrice d'épilepsie. Nous introduisons donc un traitement antiépileptique. Elle ne désire pas réaliser d'imagerie cérébrale. Le 17.01.2020, Mme. Y présente une perte de conscience avec une désaturation à 55% sans dyspnée ni autre symptôme associé. Nous changeons son traitement de Keppra pour de la phénytoïne pour diminuer un éventuel effet sédatif. L'état de Mme. Y ne fait que se péjorer par la suite. Finalement, Mme. Y décède le 19.01.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 5/10 : Asthénie en péjoration depuis hospitalisation ; Somnolence 5/10 : Somnolence accrue depuis l'hospitalisation aux soins intensifs ; Inappétence 5/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 5/10 : Mutisme et trouble de la marche en lien avec maladie neurologique avancée. Troubles cognitifs avancés associés Barthel limitation fonctionnelle motrice : 0 points Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Patient vivant à domicile avec son épouse, soins à domicile 1x/jour avec accueil de jour 3x/par semaine ; Projet du patient / des proches : Projet de retour à domicile avec majoration de l'aide à domicile ; Souhait : ablation de la sonde naso-gastrique ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? Mr. Y ne s'exprime quasiment pas, son épouse est de longue date sa proche aidante principale. Mr. Y nous est transféré depuis le HFR Fribourg pour une fin de vie. Pour rappel, il s'agit d'un patient connu pour un syndrome parkinsonien atypique ayant fait une insuffisance respiratoire sévère nécessitant une intubation, compliquée d'une crise akinéto-rigide aux soins intensifs. Malgré une amélioration sur le plan respiratoire permettant une extubation et un sevrage de l'oxygénothérapie, Mr. Y reste très limité sur le plan neurologique. Mr. Y présente des troubles de la déglutition nécessitant une alimentation par SNG qu'il arrache lors de son hospitalisation. En accord avec son entourage, et au vu de contexte global, l'alimentation entérale par sonde est stoppée avec poursuite d'une alimentation plaisir par yaourts principalement. Le patient bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire pour son asthénie post-hospitalisation. Durant son séjour, la famille de Mr. Y est très présente. Lors de plusieurs entretiens de famille, son épouse peut exprimer l'importance pour elle et sa famille d'une fin de vie à domicile. Nous lui faisons part des difficultés logistiques et de soins qu'une telle prise en charge nécessiterait au vu de l'état clinique du patient, mais Mme. Y reste très investie à l'idée de voir son mari rentrer à domicile. En conséquence, nous organisons le réseau et le matériel nécessaire pour un retour à domicile prévu le 06.01.2020. Malgré un projet de fin de vie à domicile, l'état clinique se dégrade et Mr. Y décède le 03.01.2020 en présence de ses proches. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 6/10: au repos 4, à l'effort 6 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 7/10: dort très peu la nuit, beaucoup la journée, multiples siestes, inversion du rythme depuis l'hospitalisation ; Somnolence 7/10 ; Inappétence 6/10: mange 1/4 de portion ; Anxiété 4/10: anxiété face à la péjoration de sa situation ; Dépression 2/10: dit ressentir une légère tristesse de fond garde bon espoir Barthel limitation fonctionnelle motrice : 30 points Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Ancien électricien, est marié avec Mme. Y officiellement mais vivent séparés depuis 20 ans, A 2 filles et une fille de cœur (Fille de Mme. Y). Vit avec sa fille Nathalie. A un frère jumeau, Bernard, dont il est très proche ; Projet du patient / des proches : Retourner en montagne, marcher mieux et surtout plus Mr. Y est transféré depuis l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une suite de prise en charge palliative le 24.12.2019. A son arrivée, il se plaint principalement d'une dyspnée importante au repos et extrême à l'effort répondant bien à un traitement de Palladon que Mr. Y finit par accepter (nourrissait initialement des craintes quant aux opiacés). De plus, le patient est cliniquement en anasarque, motivant un relais iv de son traitement diurétique par du Lasix furosémide 40 mg en complément de la métolazone 5 mg po avec un très bon effet. Devant l'impossibilité de reposer une voie veineuse périphérique et l'inefficacité du traitement po, un PICC line est mis en place le 31.12.2019. Le traitement diurétique agit également favorablement sur la fonction rénale qui s'améliore. Les troubles du sommeil s'améliorent également, ce que Mr. Y met en lien avec le fait de se sentir à l'aise dans l'unité. Il peut en effet s'ouvrir de plus en plus avec l'équipe pour des moments d'échange et de partage. Plusieurs entretiens peuvent également avoir lieu avec Mr. Y et ses proches afin de les accompagner dans leur cheminement face à la maladie. L'évolution clinique est initialement satisfaisante, mais il présente subitement un malaise d'origine indéterminée et décède brusquement le 03.01.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 : pas de douleur ; Dyspnée 0/10 : Pas de dyspnée ; Nausée 5/10 : Quasi quotidienne, surtout après les repas avec un des épisodes de vomissements alimentaires. Tendance à la hausse ; Fatigue 8/10 : Très importante, en augmentation depuis décembre. Bonne nuit ; Somnolence 6/10 : Fait plusieurs siestes par jour ; Inappétence 6/10 : Mange moins 1/4 de son assiette. A perdu près de 40 kg depuis le début de sa maladie ; Anxiété 6/10 : Surtout par rapport au devenir de ses enfants ; Dépression 6/10 : Ressent une certaine tristesse en lien avec la situation de ses enfants ; Sensation de mal-être 6/10 : En lien avec la situation de ses enfants ; Autre : Perte de mémoire importante, suspicion de dysphagie, importante perte d'élan vital et d'initiative. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 35 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est mariée avec Yvan, ils ont deux enfants Lucas 13 ans et Roxanne 11 ans. Ancienne vendeuse à la Coop, a arrêté de travailler depuis 2015 et est actuellement à l'AI. A quatre frères et une sœur qui vit dans le même village et qui est très présente, (s'occupe beaucoup des enfants, est mariée au frère du mari de Mme. Y) ; Projet du patient / des proches : Passer du temps avec ses enfants ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Situation complexe, entretien à prévoir. Mme. Y est hospitalisée depuis le domicile pour une prise en charge palliative. A son arrivée, elle se plaint principalement d'une asthénie très importante et de nausées et vomissements alimentaires surtout en postprandial. Son traitement de dexaméthasone est majoré avec un effet modéré sur la symptomatologie. Un traitement symptomatique des nausées et vomissements dans le contexte de métastases cérébrales et de carcinose cérébrale est moyennement efficace. De plus, Mme. Y mentionne une situation familiale complexe avec deux enfants mineurs, Lucas 14 ans et Roxane 11 ans. Des entretiens de famille multiples sont organisés pour les accompagner au mieux dans leur processus de deuil et renforcer le réseau et les ressources ambulatoires (soins à domicile, Voltigo, éducateurs du SEJ). Malgré une situation fragile, il est convenu après un entretien de famille et de réseau de tenter un retour à domicile conformément au souhait de Mme. Y pour être auprès de ses enfants. En effet, au vu du manque d'initiative très important de la patiente, il est nécessaire d'organiser des passages très réguliers. En plus des soins à domicile deux fois par jour, il y aura une présence régulière de sa sœur dont elle est très proche. Mme. Y peut rentrer à domicile le 30.01.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 10/10 : douleurs position dépendante, décrit comme un tiraillement au niveau thoracique gauche en lien avec plaies sur infiltration tumorale. Douleurs de l'omoplate gauche sur bourgeon position dépendante, péjorées lors du décubitus dorsal, calmées par la position en décubitus latéral droit et la prise de réserve de morphine ; Dyspnée 0/10 ; Fatigue 5/10 : fatigue diurne en péjoration depuis plusieurs semaines ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 5/10 : Anxiété chronique sous citalopram 10 mg. Angoisse de mort ; Dépression 5/10 : Tristesse et frustration liées à sa relation avec son mari. Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 0/10. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 70 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit à domicile avec mari. Proche rapporte que le maintien à domicile n'est plus possible au vu de la progression tumorale et l'asthénie associée ; Projet du patient / des proches : Gestion de la douleur et de l'asthénie. Mme. Y nous est adressée depuis le domicile le 21.11.2019 pour un état fébrile avec un maintien impossible à domicile. En effet, la patiente avait été hospitalisée dans notre service dans le contexte d'une chute avec maintien impossible à domicile jusqu'au 18.11.2019. La patiente présente une péjoration de ses plaies avec des signes de surinfections ne répondant pas à l'antibiothérapie initiée lors de la précédente hospitalisation. Nous débutons un traitement intraveineux par pipéracilline avec bonne évolution. Elle mentionne également des douleurs mixtes nociceptives somatiques et neuropathiques qui répondent favorablement à une adaptation de son antalgie. En parallèle, la patiente a bénéficié d'un accompagnement interdisciplinaire pour l'aider dans le vécu de sa maladie oncologique à un stade avancé. Un entretien de famille avec son entourage est organisé pour définir le projet. De nombreux points sont soulevés, notamment l'épuisement du réseau et la crainte de la patiente et de son entourage qu'un retour à domicile soit remis en échec. Sur preuve de l'échec du retour à domicile, et au vu de la complexité des soins nécessitant un encadrement spécialisé, en accord avec son entourage, Mme. Y est reclassée en résidence palliative le 11.12.2019.En parallèle, la patiente a bénéficié d'un accompagnement interdisciplinaire pour l'aider dans le vécu de sa maladie oncologique à un stade avancé. Un entretien de famille avec son entourage est organisé pour définir le projet. De nombreux points sont soulevés, notamment l'épuisement du réseau et la crainte de la patiente et de son entourage qu'un retour à domicile soit remis en échec. Sur preuve de l'échec du retour à domicile, et au vu de la complexité des soins nécessitant un encadrement spécialisé, en accord avec son entourage, Mme. Y est reclassée en résidence palliative le 11.12.2019. Mme. Y décède le 25.01.2020 entourée de sa famille. Palliative Basic Assessment d'entrée : • ESAS : Douleurs 2/10 : Fond légèrement douloureux au dos à droite (basithoracique, en regard de la métastase costale). Pas de douleur actuellement au niveau de la hanche gauche (métastase iliaque) ; • Dyspnée 8/10 : Crise de dyspnée surtout le matin (contexte de toux au réveil avec encombrement) et également lors d'épisodes d'angoisse. Dyspnée d'effort non chiffrée également présente depuis 3-4 semaines ; • Nausée 0/10 ; • Fatigue 6/10 : Fluctuante, plusieurs réveils nocturnes (sans dyspnée), plutôt des angoisses nocturnes, se rendort rapidement, depuis 3-4 semaines ; • Somnolence : Fatigabilité relativement rapide lorsqu'il est au lit et lit/consulte son téléphone ; • Inappétence : Baisse de l'appétit depuis environ 1-2 semaines, parfois mange <50% de l'assiette ; • Anxiété 7/10 : Peur de manquer de souffle/ d'étouffer lors du sommeil. Également peur pour son fils (arrêt de l'apprentissage, est souvent avec lui) ; • Dépression : Se sent triste ; • Autre : Beaucoup de colère et de rage par rapport à sa situation (dégradation importante de l'état général depuis 1 mois) et sentiment important d'injustice (par rapport à son âge). Barthel limitation fonctionnelle motrice : 60 points Palliative Performance Scale : 40 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Venu du Portugal en 2003, travaillait comme menuisier, il a travaillé dans une usine de PVC, arrêt du travail il y a 7 ans. 2 enfants : Marcello 17 ans qui vit avec lui, est très présent pour aider son père / dort à l'hôpital pour aider à diminuer les angoisses de son père. Était en apprentissage de peintre en bâtiment, a arrêté pour s'occuper de son père. A une chienne (Luna). Fille : Patricia 23 ans, qui a une fille de 2 ans 1/2 : Bianca, se sont disputées lors de l'annonce de l'enfant en bas âge, relation un peu plus distante (a sa vie), vient le voir régulièrement. Séparée de sa femme (non divorcé) : contact gardé, 5 soeurs et 3 frères en tout, tous au Portugal sauf 2 frères en France qui devraient venir lui rendre visite. Peu d'amis ou d'anciens collègues en Suisse. Aimait faire du vélo/sport mais plus possible depuis 1 mois, aime cuisiner ; Projet du patient / des proches : But pour lui : stabiliser les symptômes et aimerait rentrer à domicile. Mr. Y est transféré depuis l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une prise en charge palliative dès le 13.12.2019. À son arrivée, il se plaint principalement d'une dyspnée très importante au repos surtout pendant la nuit et le matin au réveil. Une pompe de morphine iv agit très favorablement sur celle-ci. Elle a un bon effet également sur des douleurs costales droites dans un contexte de métastases osseuses. De plus, il mentionne des angoisses de mort très importantes de manière presque permanente mais plus marquées la nuit. Elles sont tellement prenantes qu'il lui est impossible de rester seul, l'équipe médico-soignante se relaye à son chevet avec son fils pour l'aider au mieux dans cette situation. Très vite devant le caractère réfractaire des angoisses et malgré plusieurs approches, une sédation nocturne est instaurée avec une pompe de Dormicum en iv continu avec un très bon effet. La journée, il bénéficie également de doses anxiolytiques de Dormicum en iv continu. Mr. Y a également une situation sociale complexe avec un fils mineur, Marcelo. Ils ont été mis en contact avec une assistante sociale de la ligue contre le cancer. Un premier contact se fait durant son hospitalisation. La suite est agendée pour le 14.10.2019. De multiples entretiens de famille sont organisés pour aider les proches dans leur processus de deuil. L'état clinique de Mr. Y se dégrade rapidement et décède le 03.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : • ESAS : Douleurs 3/10 : Douleurs lombaires droites, non-déficitaires ; • Dyspnée 5/10 : Dyspnée à l'effort minime, NYHA III ; • Nausée 0/10 ; • Fatigue 5/10 : Asthénie en péjoration depuis 10 jours ; • Somnolence 5/10 : Somnolence diurne associée à la prise de morphine, en péjoration depuis 10 jours ; • Inappétence 0/10 ; • Anxiété 0/10 ; • Dépression 0/10 ; • Sensation de mal-être 5/10 : Sensation de mal-être associée à la confusion ; • Autre 10/10 : Confusion : Désorientation spatio-temporelle avec 1 chute à domicile et péjoration de l'état clinique depuis. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 55 points Palliative Performance Scale : 50 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vie avec sa femme à domicile. Aide à domicile 1x/ par semaine et 1 visite par semaine à un accueil de jour ; Projet du patient / des proches : Gestion de la confusion. Suite de projet à redéfinir selon évolution. Mr. Y nous est adressé depuis le domicile par Voltigo le 23.12.2019 pour une gestion d'un état confusionnel et épuisement du réseau. Il s'agit d'un patient connu de notre service, récemment hospitalisé en date du 18.11.2019 pour des céphalées atypiques, à la fois séquellaires d'opération de méningiome et secondaires à une encéphalite toxique. À son arrivée, le patient présente un état confusionnel hypoactif d'origine multiple. D'une part sur un globe urinaire, avec mise en place d'une sonde vésicale et l'introduction d'un traitement par tamsulosine et d'autre part d'origine médicamenteuse probable motivant l'adaptation de ses traitements psychotropes et antalgiques, le tout avec une très bonne évolution. Cela est remarqué tant par le patient que par son épouse, l'élan vital étant plus grand. Mr. Y se plaint aussi d'une dyspnée en péjoration depuis sa dernière hospitalisation, associée à des œdèmes des membres inférieurs qui contribuent à des troubles de la marche. Nous adaptons son traitement diurétique et le patient bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire avec un bon effet sur la symptomatologie. En accord avec le couple, nous mettons en place un renforcement du réseau de santé avec l'introduction d'une infirmière privée deux fois par semaine pour permettre un accompagnement personnalisé en plus du suivi par Voltigo et de l'accueil de jour de la Famille au Jardin. Mr. Y fait un congé à domicile pour Noël avec succès et rentre à domicile le 09.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : • ESAS : Douleurs 4/10 : Fond douloureux au niveau des hypocondres surtout à D, également au niveau du bas ventre ; • Dyspnée 0/10 ; • Nausée 0/10 ; • Fatigue 4/10 : Est présente depuis plusieurs mois, dort plus la journée notamment ; • Somnolence 4/10 : S'endort pendant l'entretien ; • Inappétence 6/10 : A perdu 15 kg en 6 mois, mange environ 1/4 de portion ; • Anxiété 0/10 : Pas d'anxiété décrite ; • Dépression 0/10 : Pas de thymie triste décrite par la fille, frustration importante à cause des problèmes de communication ; • Autre : Anamnèse avec sa fille, aphasie de production et de compréhension. Notion de fausse route aux solides et aux liquides. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 0 points Palliative Performance Scale : 30 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est veuf depuis 2 1/2 ans, a une amie vivant en Thaïlande, 1 fils et une fille. 1 frère et une soeur au Canada, où il a vécu 20 ans. Rénovait des maisons pour les revendre. Vit actuellement chez sa fille, avait le projet de s'installer en Thaïlande ; Projet du patient / des proches : Ne pas souffrir. Aime manger des desserts.Mr. Y est transféré depuis le HFR Fribourg-Hôpital Cantonal le 31.12.2019 pour une fin de vie. Pour rappel, il s'agit d'un patient connu pour un mélanome métastatique ayant fait une hémorragie cérébrale étendue avec une aphasie séquellaire. Au premier plan, le patient présente des douleurs abdominales sur carcinose péritonéale qui répondent bien à une antalgie par hydromorphone en continu et l'adjonction de Rivotril, ainsi qu'un état général très diminué et d'importants troubles phasiques. Mr. Y bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire pour son asthénie et ses troubles aphasiques. De plus, le patient profite de moments de qualité avec ses enfants, qui sont très présents durant l’hospitalisation. Lors d'entretiens de famille, ces derniers ont pu exprimer beaucoup d'émotions quant à la dégradation rapide de l'état clinique de leur père. Mr. Y décède le 11.01.2020 en présence de ses proches. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : Abdominales surtout au flanc D, actuellement décrites comme supportables, a eu d'intenses en coup de couteau lors d'une hémorragie du muscle grand D ; Dyspnée 3/10 : Sensation de pression au niveau de la trachéotomie le gênant souvent ; Nausée 0/10 : Pas de nausée ; Fatigue 9/10 : Asthénie généralisée, allait encore quelques fois au fauteuil au cantonal ; Somnolence 7/10 : Dit avoir tout le temps envie de dormir ; Inappétence 5/10 : Ne mange plus rien par la bouche car c'était très pénible pour lui, dit ne pas avoir faim ; Anxiété 7/10 : Ne se dit pas inquiet de la suite, mais notion d'anxiété lors de bouchon au niveau de la trachéotomie ; Dépression 10/10 : Semble très déprimé, dit en avoir marre, vouloir mourir aussi vite que possible ; Sensation de mal-être 8/10 : En lien avec la symptomatologie décrite ; Autre 0/10 : RAS Barthel limitation fonctionnelle motrice : 5 points Palliative Performance Scale : 30 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Fille infirmière en chirurgie, très impliquée (ancienne infirmière à la Villa St-François), a en tout 4 enfants et plusieurs petits-enfants. Fille se dit sur la même longueur d'onde que Mr. Y mais est quand même émue de la situation ; Projet du patient / des proches : Fin de vie ici, ne mentionne pas d'autre projet. Dit que ce n'est pas possible qu'il retourne au home ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Enfants à impliquer selon désir du patient. Mr. Y est transféré de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal en vue d'une fin de vie. A son arrivée, le patient présente un état général très diminué, exprimant clairement sa lassitude et son envie de mourir. Il présente également des douleurs abdominales, principalement au flan droit, qu'il ressent comme des coups de couteau, après un antécédent d'hémorragie du muscle grand droit. De plus, il se plaint de troubles de la communication importants avec une aphonie progressive pour laquelle une valve phonatoire est indiquée selon avis ORL. En parallèle, d'autres moyens de communication sont mis en place. Considérant le contexte global et la volonté du patient, nous décidons avec lui d'un arrêt de l'alimentation par la gastrostomie. A noter une réticence de Mr. Y dans un premier temps afin de préserver ses proches. Leur vécu peut par la suite être exploré lors de plusieurs rencontres, permettant à chacun de s'exprimer et de s'accorder sur le projet commun de fin de vie. Au niveau de l'antalgie, nous majorons la morphine déjà en cours. Durant son hospitalisation, le patient présente un iléus. Mr. Y décède le 27.01.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : Douleurs constantes en regard des malléoles ddc de type brûlure, péjorées par le mouvement ; Dyspnée 0/10 : Dyspnée lors des mobilisations ; Nausées 9/10 : constantes avec pic post-prandial ; Fatigue 9/10 : importante ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 9/10 : en lien avec les nausées ; Anxiété 9/10 : angoisse de mort et de la suite ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 9/10 : Diarrhées sans douleur abdominale depuis l'introduction de l'alimentation par SNG Barthel limitation fonctionnelle motrice : 10 points Palliative Performance Scale : 20 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Amis proches à Fribourg, Vit à Zurich ; Projet du patient / des proches : mobilisation et recherche d'autonomie Mr. Y nous est transféré de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une fin de vie. Pour rappel, il s'agit d'un patient connu pour un adénocarcinome prostatique multi-métastatique porteur d'un rein unique avec stent oncologique et une sonde double J. Au premier plan, le patient se plaint de douleurs incidentes de type neuropathique périphérique et nociceptif somatique au niveau des membres inférieurs. Nous introduisons de la méthadone, une antalgie par fentanyl IV continu et des sédations pour les mobilisations avec bon effet sur les douleurs. Mr. Y rapporte une asthénie importante d'origine multiple, en raison d'une anémie en progression, du contexte de la maladie oncologique avancée et un syndrome cachexie-anorexique avec des diarrhées associées. Nous adaptons la corticothérapie qui a peu d'effet sur l'asthénie et stoppons la nutrition par SNG avec tarissement des diarrhées. Mr. Y bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire pour l'aider dans le vécu de sa maladie oncologique avancée. Le patient passe du temps de qualité avec ses amis qui sont très présents durant l'hospitalisation. Lors d'un entretien avec ses proches, ces derniers peuvent exprimer leurs émotions concernant la dégradation de l'état clinique du patient ainsi que leurs inquiétudes de ne pas savoir comment accompagner Mr. Y dans la fin de vie. Mr. Y peut verbaliser l'importance d'être perçu comme combatif aux yeux de ses proches. Cependant, il peut aussi exprimer qu'il est conscient qu'une fin de vie approche. Mr. Y décède le 21.01.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 7/10 : Douleurs costales D, lors des mobilisations ; Dyspnée 10/10 : Dyspnée importante NYHA IV, oxygénodépendante. Mobilisation très difficile ; Nausée 0/10 ; Fatigue 7/10 : Asthénie diurne importante ; Somnolence 5/10 : Somnolence diurne ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 5/10 : Angoisses liées à la dyspnée et à la souffrance lors de la mort ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 5/10 : Polymédication Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points Palliative Performance Scale : 50 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : A un fils Ismail. Catholique, non pratiquante ; Projet du patient / des proches : Se focaliser sur sa qualité de vie, ne pas souffrir, gestion de la dyspnée. Mme. Y est transférée de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal le 09.01.2020 pour une fin de vie. Au premier plan, la patiente se plaint d'une dyspnée avec une orthopnée importante. Mme. Y présente également des douleurs thoraciques en lien avec la progression tumorale ainsi que la présence d'un drain thoracique qui ne fonctionne pas, motivant son ablation sous sédation. Initialement, la douleur et la dyspnée sont bien contrôlées par une pompe de morphine en IV continu. Cependant, suite à des troubles de l'état de conscience nécessitant l'administration de naloxone, une rotation d'opiacés est effectuée avec un bon effet.La patiente bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire pour son asthénie en lien avec une progression rapide de sa maladie oncologique et une hospitalisation qu'elle a vécue comme difficile. Mme. Y nous formule de manière claire son refus de futurs traitements lourds, et peut verbaliser l'importance d'une prise en charge en accord avec ses valeurs, son rythme et qui se focalise sur sa qualité de vie. Elle apprécie en outre de pouvoir gérer elle-même les réserves de clonazépam et de profiter ainsi de ses proches. Mr. Y, le fils de la patiente, est très présent durant l'hospitalisation. Ayant été témoin des troubles de l'état de conscience de la patiente, Mr. Y nous fait part de beaucoup d'émotions et d'étonnement suite à la dégradation rapide de l'état général de sa maman. Néanmoins, lors d'un entretien de famille, ce dernier se dit prêt à l'idée d'une fin de vie proche et en accord avec les souhaits de la patiente. Mme. Y décède le 15.01.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 8/10 : Douleurs au dos du pied gauche, plus que droite, difficilement caractérisables ; Dyspnée 5/10 actuellement pas au repos, à l'effort ; Nausée 0/10 ; Fatigue 7/10 : anxiété Barthel limitation fonctionnelle motrice : 0 points Palliative Performance Scale : 10 % Advanced Care Planning : Avoir moins de douleurs, retrouver l'appétit, reprendre la marche Mr. Y nous est transféré depuis le HFR Fribourg pour une fin de vie. Au premier plan, le patient se plaint de douleurs en regard de son pied gauche qui répond bien à une antalgie par opiacés en IV continu. De plus, le patient bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire pour son asthénie. Nous éprouvons des difficultés de prise en charge liées à la barrière linguistique, culturelle, et les troubles cognitifs du patient. En effet, Mr. Y étant allophone et originaire de l'Éthiopie, nous faisons recours à ses proches pour traduire. Ces derniers sont très présents durant son hospitalisation et peuvent verbaliser leur inquiétude face à la dégradation rapide de l'état clinique du patient, lors d'un entretien de famille. Mr. Y développe des saignements mis sur le compte de sa pancytopénie d'origine indéterminée. Il devient rapidement stuporeux et décède le 27.12.2019 entouré de ses proches. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 9/10 : douleurs paroxystiques durant 20-30 minutes sous forme de serrement au niveau abdominal péjorées à la mobilisation ; Dyspnée 6/10 : dégradation progressive avec augmentation du périmètre abdominal ; Nausée 4/10 : intermittente ; Fatigue 6/10 : en augmentation depuis quelques semaines, plus il y a d'ascite, plus Mme. Y se sent fatiguée, se manifeste par des siestes plus longues et fréquentes ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 6/10 : ne mange presque rien quand elle a beaucoup d'ascite ; Anxiété 4/10 : anxiété présente mais Mme. Y ne souhaite pas en parler ; Dépression 4/10 : dit que cela affecte son moral sans vouloir donner plus de précision. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 45 points Palliative Performance Scale : 20 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit dans une caravane de la taille d'un grand studio. A une fille et un compagnon mais ne vivent pas ensemble ; Projet du patient / des proches : Évacuer le plus possible de liquide de l'abdomen, mieux respirer ; aime qu'on la laisse tranquille. Mme. Y est hospitalisée depuis le domicile pour une prise en charge palliative le 19.12.2019. À son arrivée, elle se plaint principalement de dyspnée en majoration depuis quelques semaines, concomitante avec l'augmentation de son périmètre abdominal. Elle mentionne également des douleurs abdominales très intenses apparues progressivement en parallèle de sa dyspnée. Plusieurs ponctions abdominales d'ascite sont effectuées durant son hospitalisation, la soulageant grandement pour ces deux problèmes. En outre, un traitement par morphine est instauré avec un bon effet sur les symptômes. De plus, un entretien de famille est effectué pour trouver le lieu de vie le plus adéquat pour Mme. Y, dont le retour à domicile de son propre aveu semble trop précaire dans le contexte d'une nette baisse de l'état général. En effet, elle vit dans un mobilhome compliquant davantage encore le retour à domicile. Après un entretien de famille, il est convenu de faire les démarches pour un home. Dans l'intervalle, l'état clinique de Mme. Y se péjore rapidement. Elle présente dans ce contexte une exacerbation d'une anxiété de fond qui répond favorablement à un traitement de Seresta. Mme. Y décède le 02.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 2/10 : Avait initialement des douleurs abdominales, actuellement bien couvertes par l'antalgie en place. Mentionne des douleurs occasionnelles au niveau des jambes, en lien avec des OMI ; Dyspnée 4/10 : Dyspnée au moindre effort avec tachypnée, limitant sa mobilité, pas d'orthopnée ; Nausées 0/10 : absentes actuellement, en a eues en lien avec les chimiothérapies. Transit régulier 1x/jour ; Fatigue 8/10 : Plainte principale, se sent très faible malgré un bon sommeil et des siestes fréquentes ; Somnolence 7/10 : Se dit souvent somnolent, ralenti mais bien éveillé dans la discussion ; Inappétence 4/10 : Mange environ 1/4 de portion, mentionne des douleurs dentaires depuis les chimiothérapies, en lien avec des pivots ; Anxiété 0/10 : Ne se dit pas anxieux, ni actuellement ni pour la suite ; Dépression 2/10 : Baisse de moral à l'hôpital en lien notamment avec l'agitation et les voisins de chambre, moral meilleur à la Villa St-François. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points Palliative Performance Scale : 30 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est marié avec une épouse très présente et impliquée, a deux enfants, une fille et un garçon de 20-25 ans. A 4 frères et soeurs ; Projet du patient / des proches : Regagner de la force et de la mobilité pour rentrer à domicile - De la tranquillité - Retrouver plus de voix. Mr. Y, patient de 63 ans, connu pour un cholangiocarcinome diagnostiqué en août 2019 d'emblée métastatique au niveau pulmonaire, osseux et surrénalien, nous est transféré de l'Hôpital Cantonal de Fribourg en vue d'une réadaptation palliative. À son arrivée, nous rencontrons Mr. Y en très mauvais état général avec une forte asthénie, une importante dyspnée au moindre effort, une cachexie et un ictère généralisé. Le pronostic semble très engagé à court terme. Mr. Y nous transmet qu'il aspire à la tranquillité et se sent rapidement serein en étant à la Villa St-François. Il est très entouré par ses proches. Ses symptômes et les signes à l'entrée s'aggravent (dont notamment l'asthénie, l'ictère) si bien qu'il décède le 05.01.2020 en présence de son épouse. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 4/10 : Douleurs au niveau du milieu du dos depuis environ 1 an, décrites comme sourdes, irradiant en ceinture et dans le ventre, avec nausées et diarrhées associées, fluctuantes au cours de la journée, soulagées par positions et médicaments, intensité actuelle décrite comme supportable ; Dyspnée 0/10 ; Nausées 7/10 : Nausées fréquentes y compris ce matin, n'a pas pu manger, a eu des vomissements mais plus maintenant ; Fatigue 7/10 : Se dit faible et fatiguée ; Somnolence 5/10 : Dort parfois la journée ; Inappétence 5/10 : Mange environ 1/2 portion ; Anxiété 8/10 : Se dit angoissée sans pouvoir préciser la raison, déjà depuis plusieurs années avant sa maladie ; Dépression 8/10 : Semble triste et pleure pendant l'entretien ; Sensation de mal-être 8/10. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 60 points Palliative Performance Scale : 50 %Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : D'origine portugaise, en Suisse depuis l'âge de 18 ans pour travailler, est veuve depuis plusieurs années, a une fille chez qui il est prévu qu'elle habite après son hospitalisation et a deux petits-enfants. Habitait seule jusqu'ici en appartement mais bail résilié ; Projet du patient / des proches : Reprendre des forces pour rentrer chez elle ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Principal entourage est sa fille qui semble impliquée dans la situation. Mme. Y est transférée de l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal en vue de réhabilitation palliative. La patiente présente à son arrivée un état général diminué avec un teint ictérique. Elle se plaint principalement d'une grande anxiété ainsi que des douleurs abdominales et dorsales en ceinture. Nous majorons l'antalgie par morphine en cours avec un meilleur contrôle des douleurs par la suite. Une thérapie médicamenteuse avec des adaptations régulières et la présence de sa famille, de l'équipe médico-soignante et des bénévoles semble soulager en partie, du moins son anxiété. Afin de soutenir Mme. Y dans son vécu difficile de la maladie, nous nous entretenons à plusieurs reprises avec elle et son entourage, notamment avec sa fille et sa petite-fille de 15 ans très proches de Mme. Y. Sur le plan infectieux, la patiente est traitée par de l'imipénème en raison d'une infection urinaire à ESBL, ce afin de traiter un éventuel foyer abdominal concomitant. En raison d'un accès veineux difficile, une pose de PICC line est réalisée afin de poursuivre cette antibiothérapie, en tenant compte du désir de Mme. Y. L'hospitalisation de Mme. Y se complique d'un iléus dans le contexte oncologique, nécessitant un changement de projet. Le retour à domicile avait en effet été organisé avec encadrement, mais la dégradation de l'état général nécessite par la suite une fin de vie en milieu spécialisé hospitalier. Mme. Y décède le 28.01.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : comme si on griffait depuis l'intérieur du ventre ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 : initialement oui mais plus depuis l'hospitalisation ; Fatigue 8/10 : très importante, ressent une faiblesse généralisée ; Inappétence : ne mange presque plus rien, alimentation plaisir ; Anxiété très importante la nuit. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points. Palliative Performance Scale : 40 %. Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est veuve depuis 10 ans, pas d'enfant, assez isolée ; A 2 petites nièces ; A été cuisinière pour les CFF, a eu son propre restaurant sur Pérolles, a été paysanne dans le domaine familial dans sa jeunesse ; Projet du patient / des proches : veut en finir le plus rapidement possible. Que l'on fasse quelque chose pour la fatigue et les angoisses ; Aime les croisières, en a déjà fait plusieurs. Mme. Y est transférée depuis l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour une suite de prise en charge palliative complexe. A son arrivée, elle se plaint principalement d'angoisses modérées à prédominance nocturne dans le contexte du nouveau diagnostic oncologique. Elles répondent favorablement à l'instauration d'anxiolytiques. La présence régulière de l'équipe médico-soignante aide également à les soulager, ainsi que l'accompagnement spirituel fourni par l'aumônier. Elle mentionne également des douleurs viscérales de fond d'intensité faible à modérée qu'elle a du mal à caractériser, ainsi qu'un problème de constipation dans le contexte d'une carcinose péritonéale qui répondent favorablement à l'adaptation de l'antalgie et un traitement laxatif de fond. L'état clinique de Mme. Y diminue dans un premier temps jusqu'à arriver à une relative stabilité, motivant un reclassement en résidence palliative. Mme. Y décède le 14.01.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : Douleurs principalement au niveau de la colonne dorsale, migrent parfois au niveau des hanches, des genoux, des cuisses. Présentes depuis longtemps. Arrivent vers 19h00, à prédominance nocturne, insomniantes avec déambulation nocturne ces dernières nuits ; Dyspnée 7/10 : Au moindre effort, légèrement à la parole, nouvelle depuis 2 semaines environ. Impression de ne pas pouvoir inspirer correctement ; Nausées 0/10 : Absentes actuellement, en a eu avec vomissements après avoir pris du MST 10 mg ; Fatigue 8/10 : Asthénie généralisée avec faiblesse des membres inférieurs, pas de chute à la maison, se déplace uniquement à l'intérieur de chez lui ; Somnolence 4/10 ; Inappétence 8/10 : Marquée, mange peu, dit ne pas avoir faim, depuis longtemps mais plus ces dernières semaines, ce qui inquiète son épouse ; Anxiété 4/10 : Se dit anxieux comme personne mais moins que sa femme. Est lucide sur le fait qu'un retour à domicile ne sera peut-être pas possible car il est très faible, dit qu'il faut bien mourir un jour ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 4/10 ; Autre 5/10 : Accélération du transit avec environ 3-4 selles molles par jour, possible incontinence fécale partielle, dit ne pas pouvoir totalement contrôler sa défécation. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 60 points. Palliative Performance Scale : 50 %. Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est marié depuis 56 ans avec son épouse avec qui il habite depuis, très proches, n'ont pas d'enfant, peu, voire pas de famille et amis proches. Mme. se fait du souci d'être séparée de Mr. Y, sur la suite, mais se dit épuisée et plus capable de tout gérer seule à la maison avec beaucoup d'aides sollicitées par Mr. Y. S'inquiète également de gérer l'administratif que Mr. Y gérait jusqu'ici ; Projet du patient / des proches : Dit être partagé à 50/50 entre désir de reprendre des forces pour rentrer à la maison et le fait de se rendre compte que cela ne sera sûrement pas possible car il est trop faible, dit que c'est trop tôt pour décider ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Nous mentionne que son épouse est très anxieuse et très affectée par la situation, qu'elle vivrait mal qu'on lui parle de manière aussi directe qu'avec lui. Mr. Y nous est adressé du domicile par l'équipe Voltigo dans un contexte d'épuisement de son épouse, proche aidante principale. Nous rencontrons un patient en état général diminué avec une cachexie et une sarcopénie importantes. Mr. Y se plaint principalement d'une faiblesse généralisée et progressive avec inappétence, de douleurs dorsales partiellement insomniantes, d'une dyspnée d'effort nouvelle. Nous notons une composante anxieuse associée quoique non reconnue par le patient. Une pancytopénie avec thrombocytopénie sévère motive la mise en place d'un protocole d'urgence en raison du risque hémorragique. En raison des douleurs dorsales et de la dyspnée, nous majorons l'antalgie avec introduction de Palladon avec pour effet un bon contrôle des douleurs. Nous réalisons plusieurs entretiens avec Mr. Y afin de le soutenir dans son vécu difficile de la maladie et perte d'autonomie. Son mal-être, initialement mal systématisé avec de multiples plaintes fluctuantes, s'avère par la suite en grande partie d'origine anxieuse, avec une amélioration sous traitement anxiolytique. Après une rapide dégradation de son état général, Mr. Y décède le 16.01.2020 sans que nous ayons pu réaliser l'entretien de couple prévu afin d'accompagner son épouse dans son processus de deuil. Palliative Basic Assessment : ESAS : Douleurs 6/10 Abdominales surtout au flanc D, actuellement décrites comme supportables, a eu d'intenses douleurs en coup de couteau lors d'une hémorragie du muscle grand D ; Dyspnée 3/10 Sensation de pression au niveau de la trachéotomie le gênant souvent ; Nausée 0/10 Pas de nausée ; Fatigue 9/10 Asthénie généralisée, allait encore quelques fois au fauteuil au cantonal ; Somnolence 7/10 Dit avoir tout le temps envie de dormir ; Inappétence 5/10 Ne mange plus rien par la bouche car c'était très pénible pour lui, dit ne pas avoir faim ; Anxiété 7/10 Ne se dit pas inquiet de la suite, mais notion d'anxiété lors de bouchon au niveau de la trachée ; Dépression 10/10 Semble très déprimé, dit en avoir marre, vouloir mourir aussi vite que possible ; Sensation de mal-être 8/10 En lien avec la symptomatologie décrite ; Autre 0/10 RAS.Barthel Index : 5 points Palliative Performance Scale : Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Fille infirmière en chirurgie très impliquée (ancienne infirmière à la VSF), a en tout 4 enfants et plusieurs petits-enfants. Fille se dit sur la même longueur d'onde que Mr. Y mais est quand même émue de la situation. • Projet du patient / des proches : Fin de vie ici, ne mentionne pas d'autres projets. Dit que ce n'est pas possible qu'il retourne au home. • Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Enfants à impliquer selon désir du patient. Mr. Y est transféré de l'HFR Fribourg en vue d'une fin de vie. À son arrivée, le patient présente un état général très diminué, exprimant clairement son ras-le-bol et son envie de mourir. Il présente également des douleurs abdominales, principalement au flanc droit qu'il ressent comme des coups de couteau, après un antécédent d'hémorragie du muscle grand droit. De plus, il se plaint de troubles de la communication importants avec une aphonie progressive pour laquelle une valve phonatoire est indiquée selon avis ORL. En parallèle, d'autres moyens de communication sont mis en place. Considérant le contexte global et la volonté du patient, nous décidons avec lui d'un arrêt de l'alimentation par la gastrostomie. À noter une réticence de Mr. Y dans un premier temps afin de préserver ses proches. Au niveau de l'antalgie, nous majorons la morphine déjà en cours. Durant son hospitalisation, le patient présente un iléus (cf. tips). Mr. Y bénéficie également d'entretien avec lui et sa famille afin de le soutenir dans cette étape terminale de la maladie. Mr. Y décède le 27.01.2020. Palliative Basic Assessment ESAS : Douleurs 6/10 Douleurs généralisées décrites comme supportables, se déplacent à différents endroits, parfois douleurs au coude G (s/p fracture coude en août 2019), d'allure neuropathique avec hypoesthésie doigts 4 et 5 ; Dyspnée 6/10 Absente actuellement, présente en mangeant et au moindre effort et pas à la parole, a des crises paroxystiques où elle prend de la morphine PO, soulagement après 45 min environ, Fentanyl IN plus rapidement efficace mais n'arrive plus à se le faire elle-même ; Nausée 4/10 Occasionnelles, parfois vomissements selon aliment consommé, de 0 à 2x/semaine. ; Fatigue 8/10 Asthénie généralisée progressive, plus importante depuis 1 mois environ, hospitalisations fréquentes avec parfois chute à domicile ; Somnolence 4/10 Parfois la journée. ; Inappétence 2/10 Souhaite une portion entière, mange volontiers mais trop peu de force pour cuisiner ; Anxiété 8/10 Mentionne spontanément sa peur de mourir étouffée, y pense souvent, à chaque épisode de dyspnée aiguë ; Dépression 4/10 Moments de tristesse occasionnels. ; Sensation de mal-être 5/10 Barthel Index : 40 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : A un fils très présent qui est venu l'amener, souhaite être contacté H24 si péjoration, mentionne l'importance pour lui d'être présent et d'accompagner sa maman si celle-ci décède. Fait une formation d'hypnose. A une fille qui est hospitalisée en ce moment et ne serait pas en état d'être contactée sans plus de précisions, d'après les dires du fils, mentionne un contexte familial compliqué. • Projet du patient / des proches : • Reprendre des forces • Définir un projet, consciente que vivre à domicile est peut-être trop difficile pour elle, ne veut pas aller en home (une entrée en home avait été prévue puis annulée après un des nombreux séjours hospitaliers) • Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : D'accord qu'on tienne son fils informé. Mme. Y est une patiente de 63 ans, connue notamment pour un adénocarcinome pulmonaire métastatique depuis mai 2019, une BPCO sévère, un syndrome de dépendance à l'alcool et un trouble anxio-dépressif, est hospitalisée dans un but de réhabilitation palliative sur conseil de son oncologue le Dr. X. Nous rencontrons une patiente présentant une cachexie et asthénie importantes, une peau violacée dans le cadre d'une toxidermie médicamenteuse sur immunothérapie. Mme. Y se plaint principalement d'une baisse d'état général rapidement progressive sur les dernières semaines avec une dyspnée et des douleurs diffuses. Elle nous confie ressentir une anxiété importante avec également une angoisse de mort. Concernant l'asthénie, nous proposons à Mme. Y une baisse progressive de son traitement de benzodiazépine. Afin de soulager les douleurs et la dyspnée, nous introduisons un traitement de morphine d'office. Durant le séjour, Mme. Y présente des épisodes d'absence évocatrice d'épilepsie. Nous introduisons donc un traitement antiépileptique. Elle ne désire pas réaliser d'imagerie cérébrale. Le 17.01.2020, Mme. Y présente un état de somnolence important avec une désaturation à 55% sans dyspnée ni autre symptôme associé. Nous changeons son traitement de Keppra pour de la phénytoïne pour diminuer un éventuel effet sédatif. L'origine de cet état reste peu claire. Ses enfants sont avertis par téléphone de cet événement. Palliative complexe : Physiothérapie, Ergothérapie, Art-thérapie, Psycho-oncologie, Seelsorge, Familiengespräch, colloque interdisciplinaire hebdomadaire • Facteurs de performance (06.01.2020) : ECOG 4, PPS 30% • Évaluation selon SENSE/ESAS (06.01.2020) : Fatigue, Somnolence et Douleurs • FIM (06.01.2020) : 39 • NRS (06.01.2020) : dû à la thérapie de confort non faite Palpitations et vertiges. Palpitation d'origine indéterminée le 28.01.20. DD : trouble du rythme paroxystique, premier épisode le 29.12.2019. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations cardiaques liées à une charge émotionnelle importante. Palpitations dans un contexte d'infection dentaire et prise d'antibiotiques.Palpitations dans le contexte d'infection dentaire et prise d'antibiotiques. Nous libérons la patiente afin qu'elle puisse se rendre chez le dentiste dans les temps pour la suite de son traitement. Patiente invitée à reconsulter en urgence en cas de péjoration clinique. En cas de persistance des symptômes, proposition de réaliser un Holter à distance par le médecin traitant pour bilan de possible trouble du rythme. Palpitations dans un contexte d'angoisse le 12.08.2013. PC sur probable consommation d'alcool avec idéation suicidaire (pendaison) le 14.08.2015. Décollement du corps vitré ddc. Sigmoidoscopie en 02/2011 (Dr. X): polypectomie de deux polypes hyperplasiques. Palpitations dans un contexte de deuil et d'insomnie le 27.08.2018. - ECG: rythme sinusal régulier, pas de trouble du rythme. - Laboratoire: pas de troubles électrolytiques. Palpitations. - DD: extrasystoles, arythmie autre (FA, TSV): peu probable car régulier et non rapide. Palpitations d'origine indéterminée. Palpitations d'origine indéterminée le 14.01.2020. - DD: spasmes musculaires, psychogène. Palpitations d'origine indéterminée (probable origine anxieuse) le 27.01.2020. Palpitations d'origine indéterminée. DD extrasystoles symptomatiques. Palpitations d'origine X (DD: café, anxiété?). Palpitations et douleurs thoraciques d'origine indéterminée, le 24.01.2020. DD: sur anxiété, sur tachycardie supraventriculaire. Palpitations et hypertension artérielle. Palpitations et symptômes lipothymiques. Palpitations investiguées par cardiologue -> pas de traitement. Dissection traumatique de l'artère vertébrale D (V2-V3) avec lésion ischémique cérébelleuse homolatérale en 01/2012. Sinusite maxillaire aiguë D 01/2012. Syncope avec contusion du crâne 12/2011. Palpitations le 07.01.2020. Palpitations le 24.01.2020. DD: trouble du rythme paroxystique. Palpitations possiblement dans le cadre de troubles électrolytiques (hypokaliémie et hypomagnésémie). Palpitations récidivantes le 30.01.2020 avec : - symptômes lipothymiques associés sans perte de connaissance. - ECG avec rythme sinusal superposable au comparatif. - pas de trouble électrolytique. Palpitations sur tachycardie sinusale d'origine indéterminée le 21.07.2016. Douleur thoracique d'origine indéterminée le 08.09.2017. Palpitations, tachycardie. Palpitations, tachycardie. Panari D2 gauche. Panaris au pouce droit. Panaris base D1 main gauche. Panaris de D3 gauche après manucure le 14.01.2020. Panaris du gros orteil droit. Le patient étant sous Marcoumar, nous donnons un traitement local (Ichtyolan et Dakin), proposons au patient de prendre rendez-vous chez un podologue par la suite. Panaris du gros orteil droit. Panaris du pouce droit. Panaris du 3ème doigt de la main gauche. Panaris D4 main droite le 28.12.2019. Panaris hallux droit stade inflammatoire. Panaris péri-unguéal 3ème doigt gauche le 15.05.2013. Traumatisme colonne cervicale le 10.09.2015. Contusion musculaire de la face externe du mollet droit. Pharyngite d'origine virale le 20.06.2018. Douleurs latéro-thoraciques gauche d'origine pariétale. Panaris phalange distale dig. III à droite le 04.01.2020. Panaritium. Panaritium Dig III bord radial main gauche dominante. Panaritium phalange distale dig. III à droite le 04.01.2020. Pancolite probablement d'origine infectieuse le 19.01.2020. Pancréatite aiguë d'origine indéterminée le 03.07.15. Pancréatite aiguë avec suspicion d'abus d'alcool, score de Ranson 2 à l'admission le 06.10.2015. Décompensation diabétique dans le cadre de la pancréatite le 06.10.2015. Hépatite A suite à un voyage au Liban il y a 10 ans. Pneumonie en 2016. Probable surinfection d'une bronchiolite respiratoire sur tabagisme actif en 2017. - DD: sarcoïdose. DD: lymphome. DD: tumeur à départ pulmonaire (moins probable). - aspect en "verre dépoli" hilaire-sous-hilaire gauche. - oedème et élastose modérée, associée à une inflammation chronique minime. - multiples adénopathies et ganglions médiastinaux avec épaississements spiculées par endroits au niveau bronchique gauche. - syndrome mixte discret (VEMS 75%, Tiffeneau 73%, CVF 80%). Hyponatrémie à 132 mmol/l le 18.09.2017. Pancréatite aiguë Balthazar A sur probable migration lithiasique le 31.12.2019. - status post-cholécystectomie le 20.08.2019 pour migration lithiasique le 16.08.2019 avec pancréatite biliaire. Pancréatite aiguë Balthazar B d'origine probablement toxique le 08.01.2020. - score de Ranson à l'admission: 1 point. Pancréatite aiguë Balthazar C sur migration lithiasique avec cholécystite débutante. Pancréatite aiguë biliaire le 10.01.2020. Pancréatite aiguë d'allure biliaire le 21.01.20. - Critères RANSON à l'admission: 2 points. Pancréatite aiguë d'origine indéterminée le 25.01.2020. - DD médicamenteuse sur Atorvastatine. Pancréatite aiguë d'origine lithiasique, Balthazar B, le 20.09.2016. - ERCP avec papillotomie et extraction de 4 concréments le 29.06.2017. - Cholécystectomie avec cholangiographie peropératoire le 06.11.2017. Réduction ouverte, os radius distal par plaque Aptus pour fracture intra-articulaire avec impaction et bascule palmaire radius distal et fracture styloïde cubitale type AO 23-C3 gauche le 09.09.2016. Contusion 3ème orteil droit. Fracture tête extrémité radiale du radius D avec bascule postérieure. Pancréatite aiguë d'origine médicamenteuse probable (Atorvastatine). Pancréatite aiguë d'origine probablement alcoolique le 08.01.2020, avec: - score de Ranson à l'admission: 1 point. Pancréatite aiguë d'origine probablement biliaire chez une patiente connue pour de multiples épisodes de pancréatites. Pancréatite aiguë probablement d'origine alcoolique le 07.05.2012. Deux épisodes de pancréatite en 2011. Thrombose veineuse profonde en 2010. PTG à droite non datée. Tunnel carpien non datée. Pancréatite aiguë sur migration lithiasique. Pancréatite alcoolique en 08.2018. S/p appendicectomie. Multiples chirurgies du pouce G (reconstruction à partir d'un fragment de crête illiaque). Tuberculose dans l'enfance. Maladie de Lyme. Pancréatite avec possible cholangite le 31.12.19. - possiblement sur migration lithiasique. - s/p cholécystectomie le 20.08.2019 pour migration lithiasique le 16.08.2019 avec pancréatite biliaire. Pancréatite biologique. - Lipase 367 U/l, Bilirubine directe 5.1 mcmol/l, LDH 477 U/l. Pancréatite le 29.01.20. - DD biliaire, Escitalopram. - score Balthazar D, CT-SI 9/10. Pancréatite oedémateuse intermédiaire (Balthazar C) d'origine lithiasique le 14.01.2020. - Dysfonction d'organes: respiratoire. - APACHE 2 score : 2 pts. Pancréatite oedémateuse intermédiaire Balthazar C d'origine lithiasique le 14.01.2020. - Dysfonction d'organes: respiratoire. - APACHE 2 score : 2 pts. Pancréatite oedémateuse probablement lithiasique le 14.01.2020. Pancréatite probablement alcoolique au décours le 07.01.2020. - Balthazar C, CTSI 2. Pancytopénie avec : - anémie normochrome normocytaire. - thrombocytopénie à 92 G/l le 25.01.2020 probablement dans un contexte d'hypersplénisme. - leucopénie. • leucopénie avec nadir à 3.2 le 24.09.2019 • anémie normocytaire normochrome avec nadir à 107 le 23.09.2019 • thrombocytopénie avec nadir à 84 le 23.09.2019. Probable virose le 22.09.2019. Appendicite aiguë. Bilan biologique et CT. Le 28.12.2019, Dr. X : appendicectomie laparoscopique. • DAP : Ablation des fils dès le 10ème jour post-opératoire à votre consultation. Pancytopénie avec : • Anémie normocytaire hypochrome à 79 g/l le 14.11.2019 avec ferritine dans la norme • Leucocytopénie (2.5 G/l le 20.11.2019) • dans le contexte inflammatoire • sur hémorragie intra-opératoire • déficit en acide folique • reste du bilan vitaminique dans la norme Pancytopénie avec : • Anémie sur chimiothérapie, inflammation/infection • Thrombopénie sur chimiothérapie • Leucopénie sur chimiothérapie Pancytopénie chez un patient autogreffé • protocole d'irradiation des culots en place • seuil plaquette : 20 G/l vu EF persistant • seuil Hb : 80 g/l vu cardiopathie Pancytopénie chronique, le 24.01.2020 Pancytopénie d'origine indéterminée • Anémie hypochrome, normocytaire, arégénérative (Hb 80 g/l) • Leucopénie (2.7 G/l) • Thrombopénie (120 G/l) DD : dans le contexte infectieux / déficit en B12 / syndrome myélodysplasique Pancytopénie d'origine indéterminée le 10.12.2019 • Thrombocytes à 9 G/l le 17.12.2019 • US abdominal le 11.12.2019 : rate de taille normale • Avis hématologique (Dr. X) • Mise en suspens de l'Allopurinol le 11.12.2019 • Transfusion de 1 concentré plaquettaire le 17.12.2019 Pancytopénie d'origine indéterminée le 21.01.2020 • Lc 0.8 G/l • Hb 71 g/l • Tbc 55 G/l • Érythroblastes 8 % DD syndrome myélodysplasique, origine oncologique, médicamenteuse Pancytopénie d'origine multifactorielle avec : • anémie normochrome normocytaire hyporégénérative post-opératoire -- Hb : 89 g/l, VGM : 98 fl, CMH : 32 pg (22.06.2019) -- Hb : 105 g/l, VGM : 90 fl, CMH : 30 pg (24.07.2019) • thrombopénie inflammatoire -- thrombocytes 128 G/l puis 225 G/l (24.07.2019) • leucopénie -- leucocytes : 2.2 G/l (24.07.2019) Pancytopénie d'origine multifactorielle (chimiothérapie, opération) le 16.01.2020 DD HIT • Tc 78 G/l, Lc 3.7 G/l, Hb 94 g/l • Score 4T : 3 points (probabilité clinique faible) Pancytopénie le 14.01.2020 avec : • leucopénie à 1.8 G/l • anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 84 g/l • thrombocytopénie à 24 G/l. Pancytopénie le 14.11.2019 probablement sur carence en vitamine B12 et folates Pancytopénie le 22.01.20 Pancytopénie le 22.12.2019 sur sp chimiothérapie (Gemzar et Abraxane) le 20.12.2019 avec : • agranulocytose 0.49 G/L le 24.12.2019 • anémie hypochrome microcytaire (nadir 74 g/l le 23.12.2019) • thrombocytopénie (nadir : 44 G/L le 26.12.2019) Pancytopénie post-chimiothérapie le 02.01.2020 Pancytopénie post-chimiothérapie le 20.11.2019 avec : • leucopénie à 1.9 • anémie à 105 g/l • thrombopénie à 135 Pancytopénie probablement d'origine toxique sur chimiothérapie par Paraplatin et Navelbin (le 24.12.2019) : • DD : aplasie médullaire, infiltration médullaire, myélodysplasie, fibrose médullaire, carence en B12/folates • Agranulocytose le 15.01.2020 Pancytopénie (résolue) sur : • Anémie normocytaire hypochrome à 72 g/l d'origine mixte, post-opératoire, rénale et inflammatoire le 27.12.19 • Thrombocytopénie à 122 G/L le 24.12.2019 • Leucopénie à 3 G/L le 23.12.2019 Pancytopénie sur : • Anémie hypochrome normocytaire à 88 g/l arégénérative d'origine mixte, sur carence ferriprive (déficit en fer : 994 mg), vitaminique et inflammatoire • Leucopénie à 2.9 G/L • Thrombocytopénie à 123 G/L Pancytopénie sur chimiothérapie par Cisplatine et Vinorelbine pour un carcinome épidermoïde pulmonaire à visée curative le 06.09.2019 : • pneumonie basale à gauche le 12.09.2019 • oesophagite d'origine radique le 06.09.2019 DD candidose oesophagienne, mucite • malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une aphagie quasi totale sur odynodysphagie aux solides et aux liquides depuis le 04.09.2019 Pancytopénie 12.01.2019 Pancytopénie, 28.10.2019 • Anémie macrocytaire normochrome à 116 g/l, 28.10.2019 • Thrombocytopénie à 100 G/l • Leucopénie 4.0 G/l Pancytopénie. Probable virose le 22.09.2019. Appendicite aiguë. Le 28.12.2019, Dr. X : appendicectomie laparoscopique. • DAP : Ablation des fils dès le 10ème jour post-opératoire à votre consultation. Panique Panotile gouttes AINS pendant 48 heures Panotile gouttes pour 7 jours Panotile gouttes. Antalgie. En cas de péjoration ou persistance de la symptomatologie, le patient prendra directement contact avec le service d'ORL. Panotile gouttes. Triofan. Rinçages avec eau salée. Exercices de Valsalva. Pansement avec Adaptic. Mercredi prochain réfection de pansement chez le médecin traitant. Irfen en réserve si douleurs. Mobilisation libre. Pansement avec Ialugen, Adaptic et compresse Contrôle dans 48 h aux urgences Pansement avec Ialugen. Antalgie. Bépanthène plus. Contrôle chez le médecin traitant le 27.01.2020. Pansement avec pommade antibiotique (Fucithalmic) avec paupière fermée Contrôle ophtalmologique chez le Dr. X demain à 10h30 Pansement bétadiné, attelle Edimbourg. Poursuite de l'antibiothérapie prophylactique. Contrôle clinique dans 48 heures en policlinique. Formulaire d'annonce de morsure de chien rempli. Pansement compressif à l'endroit amputation, à garder 48 heures Pansement compressif pour 7 jours. Ablation du drainage à J2. Pister la bactériologie. Poursuite de la Clindamycine endoveineuse jusqu'au nouvel avis infectiologique. Ablation des points de Donati à J14. Contrôle à 6 semaines à la consultation du team Spine. Pansement et désinfection par merfen Nouvelle consultation en cas de péjoration clinique Pansement ialugen, mepilex, compresse. Pansement lalugel plus et adaptic Contrôle aux urgences dans 72 heures (refus de la maman de venir dans 48 h car indisponible le 13.01) si phlyctènes non rompues, à débrider + ajout aquacel (à faire sous MEOPA ++) Pansement occlusif, puis par tulle bétadiné, compresse, bande Cofix. Pansement plaie Pansement protecteur, rinçage 2x/jour, antalgie selon besoin. Nouvelle présentation selon besoin (si état fébrile, péjoration des douleurs, écoulement). Pansement simple Pansements Pansinusite connue avec suspicion de surinfection fongique. • pas d'écoulement nasal, pas de signes cliniques le 04.01.2020. Pantoprazol 1 mois Pantoprazol 40 mg. Organisation d'une gastroscopie en ambulatoire. Pantoprazole dès le 22.01 Coprocultures/recherche de sang dans les selles Endoscopie à évaluer CT thoraco-abdominal à évaluer Pas d'isolement, pas d'argument pour un norovirus (confirmé avec UPCI) le 23.01 Pantoprazole per os 40 mg/kg 1x/jour jusqu'à consultation de contrôle chez vous Antalgie par Paracétamol 15 mg/kg/dose max 4x/jour Consultation en gastro-entérologie pédiatrique (Dr. X, le patient sera convoqué) Contrôle clinique à votre consultation prévu le 16.01 avec éventuelle adaptation du traitement Pantoprazol. Instruction des symptômes nécessitant une nouvelle consultation en urgences. Pantozol dès le 10.12.2019 et Alucol en réserve Antigènes fécaux pour H. pylori le 17.12.2019 : négatif Colonoscopie à organiser en ambulatoire Pantozol iv continu du 06.01.2020 au 07.01.2020 Pantozol 80 mg / j dès le 07.01 Transfusion de 2 CE le 06.01.2020 Oesogastroduodénoscopie le 06.01.2020 : Minuscules vaisseaux capillaires, fragiles, ayant pu saigner dans l'estomac. Pas de source franche de saignement. Electrofulguration de quelques minuscules vaisseaux un peu plus visibles dans l'estomac avec le laser Argon. Colonoscopie à prévoir à distance. Pantozol iv du 20.01 au 23.01.2020 1 concentré érythrocytaire le 21.01.2020 Arrêt de la Prednisone le 20.01.2020 Recherche de sang occulte dès le 20.01.2020 : positive • absence d'investigation endoscopique selon le souhait de la patiente Pantozol iv. 80 mg Surveillance neurologique Consilium psychiatrique le 05.01 Pantozol 20 mg dès le 29.01.2020 Alucol Gel en réserve Suivi clinique et réévaluation du traitement Pantozol 20 mg PO. Alucol 15 ml PO. Le patient est informé des risques liés à une consommation excessive de Redbull. RAD avec Pantozol 40 mg. Pantozol 20 mg pendant 4 semaines dès le 08.01.2020 Réévaluation chez le médecin traitant à 2 semaines après arrêt du traitement d'épreuve Pantozol 40 mg dès le 27.01.2020 Suivi clinique Pantozol 40 mg, 2 semaines Numéro de téléphone donné pour le RFSM pour suivi ambulatoire. Attitude Retour à domicile, reconsulter si besoin. Pantozol 40 mg, Primperan fixe Arrêt Oxycontin (26.12.2019) Pantozol 80 mg IV 2x/j avec relais per os 40 mg 2x/j Pantozol 80 mg IV 2x/j avec relais per os 40 mg 2x/j PAP en cours Papule érythémato-squameuse au niveau de l'occiput droit. Papules avec œdème de la lèvre supérieure sur piqûre d'insecte, sans signe de gravité le 18.04.2019. Papules prurigineuses d'origines X le 31.01.2020. DD : médicamenteux, allergique. Par la suite, la maman nous informe d'un vomissement alimentaire lors de l'attente en salle d'attente. Ilaina se plaint aussi de légères douleurs abdominales, pas de diarrhées. Le comportement est habituel selon la maman. Par rapport à la gravité de l'accident, l'évolution est favorable. Il reste une claire limitation à la mobilisation, surtout à la rotation interne. La patiente est suivie en physiothérapie avec une amélioration de la mobilisation, raison pour laquelle nous prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie avec pour but d'améliorer la rotation interne. Vu la gravité de l'accident et la persistance des douleurs, surtout la nuit, nous organisons une IRM pour bilanter l'état du cartilage et de la coiffe des rotateurs. Prochain contrôle dans 2 mois. PAR suivi non traité. Paracentèse bilatérale, amygdalectomie et adénoïdectomie en 2010(?) Paracétamol. Paracétamol 1 g effervescent. Patiente repartie sans consultation médicale. Paracétamol 1 g pos. Voltarène 50 mg pos. Paracétamol 1 g, Voltarène 50 mg, Tramal 20 mg. Patiente repartie sans consultation médicale. Paracétamol 1 g effervescent. Voltarène 50 mg. Patient reparti sans consultation médicale. Paracétamol 1 g iv Novalgin 500 mg iv Hydratation NaCl 500 ml Paracétamol 1 g per os, Voltarène 50 mg per os au tri. Patient reparti sans consultation médicale. Paracétamol 15 mg/kg/dose max q6h en réserve si température >38.5 °C, médecine anthroposophique Surveiller et stimuler l'hydratation Contrôle chez le pédiatre si apparition de nouveaux symptômes, état fébrile à 5 jours Reconsultation aux urgences si péjoration de l'état général, détresse respiratoire (signes expliqués à la maman) Paracétamol 150 mg intra-rectal avec résolution des céphalées et amélioration de l'état général Attitude: Réassurance. Poursuite du traitement symptomatique à domicile. Parents informés de consulter en pédiatrie si persistance d'état fébrile >48h Paracétamolémie : négative Paracétamol. Laboratoire. Oxygène avec bon effet. Parage de la plaie par le Dr. X : désinfection locale, champage, 1 point de suture au fil 6-0, pas de complication post geste. Surveillance neurologique aux urgences. Retour à domicile. Suivi de plaie le 03.01 chez le pédiatre traitant. Ablation du point de suture à J5 par le pédiatre traitant. Paralysie Paralysie Paralysie Paralysie de Bell, 12.01.2020. DD: paralysie à frigore, virale, neurinome de l'acoustique. Paralysie du releveur du pied gauche. Paralysie faciale périphérique droite vraisemblablement idiopathique le 18.01.2020. Paralysie faciale Paralysie faciale. Paralysie faciale. Paralysie faciale. Paralysie faciale Paralysie faciale droite périphérique à frigore le 07.01.2020, grade IV selon House-Brackmann. Paralysie faciale périphérique à frigore sur probable origine herpétique Paralysie faciale périphérique gauche Paralysie faciale périphérique gauche le 04.01.2020. Paralysie faciale périphérique isolée à gauche. Plaie superficielle du 3ème doigt de la main droite. Paralysie pharyngée gauche avec CV en position médiane le 07.01.2020 Paralysie récurrentielle bilatérale post-intubation endotrachéale avec : • Stridor post-extubation le 30.12.2019 Paralysie récurrentielle bilatérale post-intubation endotrachéale avec: • stridor post-extubation le 30.12.2019 • odynophagie et dysphagie avec troubles de la déglutition Paramètres ventilatoires à l'entrée : Lumis VPAP 150 ST-A, EPAP 8 cmH2O, IPAP 16 cmH2O, Ti min/max 0.7/1.5; masque facial Amara View M Contrôle statistique (ResScan) le 20.01.2020 Polygraphie respiratoire sous VNI du 20.01 au 21.01.2020 sous VNI (8-16 cmH2O) Capnographie transcutanée sous VNI du 20.01 au 21.01.2020 Gazométrie artérielle au réveil, sous VNI, le 21.01.2020 Fonctions pulmonaires complètes le 21.01.2020 Paranoïa. Paranoïa Paranoïa Paraparésie bilatérale subaiguë le 20.01.2020 Paraphimosis. Paraphimosis. Paraplégie post-traumatique incomplète à la hauteur L4-S1 par contusion médulaire et fracture D12 après un accident en 1998 Paraplégie sensitivo-motrice sur D10 • Status après fracture de la vertèbre D12 en 1969 sur chute • Status post laminectomie D11 à L1 • Dysfonction autonome avec incontinence vésicale, fécale et dysfonction érectile Cardiopathie rythmique (maladie atriale), ischémique avec maladie bitronculaire et sténose aortique sévère (low flow low gradient) • mise en place de 3 stents actifs entre le 03 et le 06.08.18 • Status post-traitement par Amiodarone (du 05 au 06.08.18) • Indication pour un TAVI • ETT 11.04.2018 : fonction systolique fortement diminuée FEVG 30-35 % avec hypokinésie diffuse. Sténose aortique sévère (Low flow Low Gradient), insuffisance mitrale légère à modérée. Hypertension pulmonaire légère. Fonction ventriculaire droite normale et dimensions normales. Pas d'épanchement péricardique. • Echocardiographie transœsophagienne 16.07.2018 : bilan de la sténose aortique : ventricule G non dilaté avec hypokinésie globale modérée (FEVG 35 % optique). Aorte modérément calcifiée, non dilatée (Plaques < 4 mm d'épaisseur sur l'aorte ascendante). Sténose aortique modérée. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Valve mitrale normale, pas de sténose mitrale, insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Atrium gauche discrètement dilaté sans signe de thrombus. Pas de signe de thrombus à l'auricule G. Oreillette droite normale. Ventricule droite normal. Insuffisance tricuspidienne minime (grade 1/4), pas d'épanchement péricardique.• Coronarographie du 03.08.2018: angioplastie avec 4 stents actifs (4ème génération) au niveau de l'IVA proximale. • Coronarographie du 06.08.2018: lésions bitronculaires. Pas de lésion significative du tronc commun de la coronaire G. Pas de resténose de l'IVA proximale au niveau de l'implantation des stents y compris à l'origine de la première diagonale. Lésion modérée des moyennes de l'artère interventriculaire. Sténose significative de la première diagonale. Pas de sténose significative de la première marginale. Sténose significative de la coronaire droite proximale. Sténose significative de la coronaire droite moyenne. Angioplastie de la coronaire droite moyenne avec implantation d'un stent actif. Angioplastie de la coronaire droite proximale avec implantation d'un stent actif. • Holter 04.09.2018: rythme sinusal de base (en moyenne 81/mn; Max. 157/mn, Min. 31/mn). AV-Block Grad I (Max PQ 330 ms). De multiples passages en BAV 2e degré Mobitz 2. Un complexe d'extrasystoles ventriculaires (doublettes, 3-a complexes, bi-trigeminisme). Une extrasystole supraventriculaire simple. • NT-proBNP > 35000 le 22.09.2018 • Aspirine cardio à vie, Aldactone, Enalapril, Beloc Zok, Rosuvastatine. Artériopathie stade IV des MI (à D dès septembre 2013, à G dès mars 2017) • Status post-recanalisation de l'artère fémorale superficielle G par angioplastie et pose de stent, recanalisation de l'artère poplitée par angioplastie au ballon impacté, recanalisation d'une occlusion courte du tronc tibio-péronier par angioplastie et thrombo-aspiration et recanalisation de l'artère fibulaire par multiples angioplasties à G le 23.03.2017. • Status post-angioplastie à D de l'artère fémorale superficielle, poplitée et péronière le 05.12.2011. Syndrome du tunnel carpien bilatéral • Troubles de la sensibilité ddc. • Décompression à G. Kératose actinique. Omarthrose D avec rupture complète de la coiffe des rotateurs. Paraplégie sur résection d'épendymome de la moelle épinière au niveau D1-D2 (depuis 2002), avec : • Infections urinaires récidivantes (traitement par rotation d'Augmentin, Cip-Eco et Uvamine) • Dernière antibiothérapie par Uvamine durant 3 semaines en décembre 2018, Amoxicilline en novembre 2018 (E. faecalis) • Auto-sondage urinaire 5x/jour • Vessie neurogène • Cystofix à demeure et suivi par le Dr. X. Hernie hiatale non opérable. Parasitémie le 16.01: 1%. Laboratoire, gazométrie le 16.01. Riamet 20 mg/120 mg 1 cpr 2x/jour du 16.01 au 19.01 compris. Consilium infectiologue pédiatre du CHUV : traitement par Riamet, 6 doses au total. Déclaration au médecin cantonal faite. Parasitémie le 20.01 : malaria indétectable. Parasitose à Blastocystis hominis chez Mme. Y connue pour un épisode de diarrhées et vomissements récidivants. • Blastocystis hominis découvert par MT dans les selles (octobre 2019). • E. Coli multirésistant connu depuis 2018 (UPCI). Syndrome métabolique avec : • Diabète de type 2 insulino-requérant, • Hypertension artérielle, • Obésité, • Dyslipidémie. Malnutrition protéino-énergiétique modérée, avec perte d'appétit. Bradycardie sinusale depuis 2012 avec extrasystoles supraventriculaires. Polyalgies avec : • Omarthrose droite sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite. • Lombalgies chroniques sur hernie discale L4/L5 avec status post-cure de hernie. • Syndrome modéré du tunnel carpien. Processus d'apparence invasive du sinus sphénoïdal et empty sella sign (probable sinusite fongique invasive chronique) : • Céphalées, vertiges et trouble de la parole depuis le 02.05.2013. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Bactériurie à ESBL multi-résistant asymptomatique. Possible syndrome des jambes sans repos. Hyperparathyroïdisme secondaire le 02.11.2019 • PTH à 287 ng/L, calcémie normale, vit D3 30 nmol/L • Substitution de vitamine D3. Parathyroïdectomie inférieure droite avec neuromonitoring (OP le 15.01.2020). Histopathologie : à pister. Contrôle ORL le 16.01.2020. Parésie à M0 de la flexion dorsale de l'hallux et de la cheville en postopératoire avec • Déficit moteur à M0 (hallux, cheville) et M4 (extenseur des orteils) du MID. Parésie de Bell à droite le 23.12.2019. Parésie de plexus brachial G (au niveau proximal: ABD/fléchisseurs de l'épaule) suite à un accouchement traumatique. Parésie de plexus brachial G (au niveau proximal) du nouveau-né. Parésie des membres inférieurs. Parésie des membres inférieurs sur : • Lombosciatalgies droites sans atteinte de la moelle ou des racines nerveuses à l'IRM. • Déconditionnement post gastro-entérite le 24.12.2019. Parésie du membre inférieur droit. Parésie du membre inférieur droit • Status post ablation d'un kyste synovial L4-L5 en 2019. Parésie d'un membre. Parésie faciale périphérique D idiopathique DD : maladie de Lyme, paralysie de Bell. Parésie faciale totale à droite idiopathique avec dysfonctionnement sévère février 2017. Angine bilatérale avec • Score de Centor à 3/4. Parésie fluctuante du membre inférieur droit avec troubles de l'équilibre depuis 08/2019, d'origine probable lombaire, DD polymédication DD polyneuropathie OH. • Status post opération lombaire L4L5 en 2019 Dr. X. Parésie hémicorps G sur status post rupture d'anévrisme cérébral il y a 7 ans. Parésie MID > MIG d'origine indéterminée le 5.1.2020 avec : • DD : syndrome radiculaire, sténose du canal lombaire, syndrome de Guillain-Barré. • Post diarrhée gastro-entérite 27.12.2019. • Force quadriceps D M3-M4, G M4-M5, pallesthésie cheville ddc 0/8, réflexes achilléens préservés, sensibilité symétrique. Parésie phrénique idiopathique bilatérale. Hypertension artérielle traitée. Hernie hiatale. Tabagisme ancien (arrêté en 2010, 20 UPA). Parésie proximale des membres inférieurs sur compression médullaire d'origine vasculaire (thrombose veineuse traumatique avec hématome en regard de la vertèbre L1) le 08.01.2020. Parésies M3/5 releveur du pied G et 2/5 releveur de l'hallux et M3/5 péronier latéral G, sans radiculopathie, dans le contexte d'une hernie discale extra-foraminale L5-S1 G. Paresthésie de l'hémiface droite. Paresthésie de tout le corps d'origine indéterminée le 28.01.2020. Paresthésie interdigitales II à III du pédieux au niveau bilatéral. Un lupus érythémateux cutané diagnostiqué en 2003. Paresthésies. Paresthésies des extrémités probablement post-chimiothérapie. Tension artérielle basse connue asymptomatique. Souffle fonctionnel et tachycardie sinusale sur anémie chronique. Douleurs thoraciques gauches probablement liées à la progression du myélome le 11.11.2019. Pancytopénie le 10.11.2019 avec : • Dans le cadre de sa dernière chimiothérapie et de l'évolution du myélôme multiple. État fébrile fluctuant d'origine indéterminée probablement dans le contexte oncologique, DD infectieux. Insuffisance rénale aiguë sur chronique stade KDIGO G3bA2 sur myélome multiple à chaînes légères lambda • Sous traitement de Nephrotrans depuis le 03.11.2019. Tachycardie, sous bêtabloquant depuis décembre 2017. Paresthésies des membres supérieur gauche et inférieur gauche en position dépendante, avec crainte d'AVC. Paresthésies d'origine indéterminée. Paresthésies d'origine indéterminée le 01.01.2020 DD troubles somatoformes. Paresthésies du membre inférieur D sur un territoire plutôt L5 distalement à partir du genou DD : radiculopathie VS sciatique poplité externe.Paresthésies du membre inférieur droit. Paresthésies du membre supérieur droit probablement dans le cadre de la contracture. Nous proposons au médecin traitant, en cas de persistance en dehors de l'épisode aigu de cette paresthésie, d'effectuer une IRM en ambulatoire. Actuellement, il n'y a pas de critère de gravité nécessitant une imagerie aux urgences. Paresthésies du membre supérieur gauche le 06.01.2020 • d'allure mécanique, décompensées sur port de charges lourdes • depuis un an DD : hernie cervicale, coiffe des rotateurs Paresthésies hémi-céphaliques droites sur probable état anxieux le 03.02.2020 • tachycardie sinusale sur probable état anxieux induit par THC le 01.01.2020 Parkinson Insuffisance rénale chronique HTA Paronychie aiguë de l'hallux du pied gauche chez Mme. Y sous méthotrexate le 16.06.2015 Pelvi-péritonite sur abcès appendiculaire en août 2008 • Avec status post annexectomie gauche Parotidectomie superficielle gauche Parotidectomie totale gauche et évidement ganglionnaire cervical gauche le 14.01.2020 Parotidite à droite Parotidite bactérienne droite à Streptococcus parasanguinis, Staphylococcus epidermidis, Streptococcus mitis, mars 2019 Infection urinaire basse sur prostatite chronique le 03.04.2015 avec : • TURP par Dr. X le 05.03.2015 pour hypertrophie bénigne prostatique obstructive, confirmée à l'histologie, favorisant des récidives infectieuses sur stagnation d'urine. Ostéomyélite de la tête humérale droite à staphylocoques aureus, avec : • Résection de la tête humérale, 03/2015 S/p 3 opérations abdominales Cystite hémorragique le 21.07.2019 Status post syphilis 3° grade, 08/2015 • 8/15, IRM cérébrale : pas de signe d'une neurosyphilis • 8/15, LCR : Rapport TPHA LCR/Serum <2.0 • Pénicilline i.m. 3x (9/15) Parotidite bactérienne droite à Streptococcus parasanguinis, Staphylococcus epidermidis, Streptococcus mitis, mars 2019 Infection urinaire basse sur prostatite chronique le 03.04.2015 Ostéomyélite de la tête humérale droite à staphylocoques aureus, avec : • Résection de la tête humérale, 03/2015 Cystite hémorragique le 21.07.2019 Syphilis 3° grade, 08.2015 Parotidite gauche, le 06.01.2020 Parti sans consultation. Pas d'ablation des fils (résorbables) Ultrason testiculaire de contrôle dans 6 mois en ambulatoire Pas d'ablation des fils Consultation postopératoire chez Dr. X le 10.02.2020 à 13.30h Premier rendez-vous en radiothérapie le 22.01.2020 à 10h Mme. Y sera convoquée par le service d'oncologie pour la suite de la prise en charge Pas d'allergie connue, vaccinations à jour Pas d'antécédent pathologique Gastro-entérite bactérienne à Clostridium difficile (16.07.18) Pas d'antécédents pathologiques Gastro-entérite bactérienne à Clostridium difficile (16.07.18) Pas d'anticoagulation actuellement au vu du risque de saignement Pas d'anticoagulation dans le cadre du diagnostic supplémentaire 4 et des comorbidités de Mme. Y Surveillance hémodynamique Pas d'argument pour une surinfection. Poursuite des rinçages des fosses nasales Pas d'argument clinique pour réaliser streptotest Traitement symptomatique par dafalgan et 2 doses d'algifor maximum durant 3 jours. Pas d'argument pour abdomen chirurgical, pas de signe d'infection urinaire stix/sédiment urinaire : leuco 6-10, nitrites 0 traitement symptomatique Pas d'argument pour un abdomen chirurgical, retour à domicile avec antalgie. Pas d'argument pour un Kawasaki : ADP cervicale < 1,5 cm, pas de glossite ni chéilite ni lèvres rouges et fissurées, pas de conjonctivite non suppurative, pas de rougeur ou œdème induré ou desquamation des doigts, pas d'exanthème morbiliforme Pas d'argument pour un NSTEMI ou embolie pulmonaire. Hormis créatinine à 106, laboratoire aligné. Contrôle chez le médecin traitant à 5 jours. Reconsulter si persistance des symptômes ou apparition de nouveaux symptômes. Pas d'argument pour un pneumothorax Stix urinaire : pas de microhématurie Antalgie en réserve Consigne de reconsulter si péjoration clinique (dyspnée, macro-hématurie) Pas d'argument pour une pancréatite au CT. Contrôle clinico-biologique à la filière 34 le 05.01.2020. Pas d'argument pour une pancréatite au CT du 03.01.2020. Attitude : Nouveau contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Organisation du sevrage en ambulatoire. Consigne de reconsulter si douleurs abdominales nouvelles. Pas d'atteinte rénale. Retour à domicile avec consignes de surveillance, stimuler hydratation et traitement symptomatique en réserve par Dafalgan sirop 30 mg/ml à 15 mg/kg/dose soit 9.5 ml max. 4x/j en première ligne et Algifor sirop 20 mg/ml à 10 mg/kg/dose soit 9.5 ml max. 3x/j (à éviter si possible pour préserver les reins) si fièvre/douleurs. Contrôle clinique chez le pédiatre le 31.01. Pas de certificat pour l'école ni pour la piscine. Mme. Y accepte de retourner à la piscine ce vendredi et de dire tout de suite à son maître si elle a peur de faire certaines activités dans l'eau. Maintien de la consultation avec le psychologue de l'école le 17.01. Pas de jeux vidéo ni de films d'ici-là. Pas de cloisement à l'US Bedside (Dr. X) Suivi clinique Pas de contre-indications au Madopar et pas de suivi plus rapproché nécessaire (discuté avec son ophtalmologue Dr. X) Prochain contrôle en 05.2019 Pas de contrôle prévu d'emblée à ma consultation. Je prie son médecin traitant de bien vouloir suivre Mme. Y. Je reste bien évidemment à disposition en cas d'évolution défavorable. Vu l'âge de Mme. Y et la maladie de Parkinson en combinaison à des troubles cognitifs débutants, je ne prévois pas d'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Pas de corps étranger visualisé. Examen à la fluorescéine. Avis Dr. X (ophtalmologue) : consultation à 14.00 h le 04.01.2020 pour évaluation ophtalmologique spécialisée. Pas de couverture antibiotique en l'absence de fièvre et de syndrome inflammatoire biologique. Nous laissons le soin à nos collègues angiologues d'évaluer la nécessité d'un traitement anticoagulant. Pas de critère de gravité, sans syndrome inflammatoire biologique avec un état général conservé et pas de signe de méningite, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile avec antalgie simple et contrôle clinique dans 24 heures aux urgences pédiatriques. Pas de critère d'hospitalisation. Ad prise en charge pédopsychiatrique. Pas de critères pour des radiographies immédiates. Avis orthopédique Dr. X. Attitude : • En accord avec Mr. Y, traitement symptomatique Dafalgan/Irfen pour quelques jours avec arrêt de travail du 19.01 au 23.01.2020 inclus. Si persistance de la symptomatologie, doit reconsulter son médecin traitant pour réévaluation d'examens complémentaires ou si péjoration de la symptomatologie. Pas de critères spécifiques pour une appendicite (cliniques, biologiques ou sonographiques). Proposition d'une hospitalisation pour surveillance. Cependant, les parents préfèrent rentrer à domicile avec les consignes de surveillance, une antalgie en réserve et revenir pour un contrôle clinique et biologique +/- sonographique aux urgences le 23.01 à 8h30 (contacter les chirurgiens!). Reconsulte si douleurs incoercibles sur la nuit. Pas de déficit neurologique. Réassurance, traitement symptomatologique, physiothérapie. Pas de déficit neurologique. Traitement symptomatique. Pas de déplacement et présence de consolidation. Pas de déviation nasale, pas d'hématome cloison nasale. Traitement antalgique et anti-inflammatoire en réserve. Pas de fragment objectivable à la radiographie du 21.01.2020. Afin d'éviter une raideur de l'articulation, nous autorisons le patient à se mobiliser passivement de lui-même. Fin du port de l'attelle Stack. Contrôle de plaie chez le MT avec ablation des fils comme prévu. Le patient effectuera les changements de pansements à domicile (matériel et instructions donnés). Le patient est averti des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Arrêt de travail à 100% jusqu'à l'ablation des fils chez le MT. Pas de franche amélioration clinique après 6 push de ventolin. Pas de médicament à la sortie. Pas de médication administrée aux urgences. Avis psychiatre de garde Dr. X : • attaque de panique dans le cadre d'un changement d'antidépresseur (DD troubles dissociatifs). • retour à domicile avec intensification du traitement de réserve par Temesta 2.5 mg au lieu de 1 mg. Un rendez-vous chez le psychiatre-traitant est à organiser pour le lendemain. Pas de mesure particulière de ma part. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition. Pas de nécessité à une suite en ambulatoire, suite de prise en charge au Team Membre Supérieur à 6 semaines post-OP de la clavicule. Séances de physiothérapie à domicile, selon les limitations post-OP et prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Pas de nécessité de transfusion. Pas de nouveau rendez-vous. Pas de nouvelle lésion significative, pas de pose de stent ni administration d'anti coagulant ni anti agrégant. Point de ponction fémoral D. Pas de prochain contrôle clinique. Pas de prochain contrôle prévu. Fin de traitement. Pas de REDFLAG. Attitude : Antalgie. Selon avis ortho, IRM demandée avant la consultation du Dr. X le 23.01. Pas de saignements anormaux, pas de maladie du sang dans la famille. Varicelle 2014. Pas de sang au toucher rectal. Contrôle à 48 heures. Pas de scanner cérébral au vu de la situation globale et de l'absence de déficit neurologique focal. Pas de signe biologique en faveur d'hémolyse. 20.12.2019 : pas d'hématurie. 21.12.2019 : B12, B9 : dans la norme. 24.12.2019 : bilan ferrique : sérique : 3.0 mcmol/l, sat transferrine 4%, ferritine 40 mcg/l (déficit en fer 900 mg). Recherche de sang occulte : positive. Soutien transfusionnel : CE : 2x le 20.12.2019, 1x le 22.12.2019, 1x le 06.01.2020, 1x le 13.01.2020. Ferinject 1000 mg le 03.01.2020. OGD 09.01.2020 : lésion polypoïde d'environ 1 cm dans le 3ème duodénum (biopsié), hernie axiale hiatale de 36 à 42 cm des arcades dentaires avec importante béance du cardia en rétroversion. Conclusion : l'hernie pourrait saigner en raison de son importante béance et sous double antiagrégation et anticoagulation. Recommandation de traitement par IPP. Colonoscopie 09.01.2020 : préparation insuffisante pour exclure saignement, pas de lésion sténosante jusqu'à l'iléon terminal. ATT : • biopsie lésion polypoïde en cours (Promed contacté, Dr. X mis en copie). • traitement par Pantoprazol 2x40 mg pendant 2 mois puis 1x40 mg/j. • colonoscopie avec préparation adéquate à répéter si persistance du saignement. • suivi de l'hémoglobine environ 1x/semaine. • transfusion si Hb <80G/L. Pas de signe de gravité au moment de la consultation. Traitement anti-histaminique pendant 3 jours, arrêt de la Spasmo-Urgénine. Reconsulter en cas de réapparition de symptôme allergique. Pas de signe infectieux, plaie fermée, fils retirés sans perte de matériel. Pas de signe pour une infection urinaire haute. Attitude : Retour à domicile avec traitement par nitrofurantoïne. Reconsulter en cas de fièvre ou de douleur lombaire. Pas de signe pour une lombo-sciatalgie compliquée. Retour à domicile avec antalgie simple. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Pas de signes cliniques pour une otite moyenne aiguë ou une mastoïdite, ce qui est difficilement compréhensible aux parents. Douleur pouvant être mise sur le compte des ganglions ou une otite moyenne aiguë débutante. Confirmation de la bronchite spastique légère avec conseil de poursuivre le traitement de Ventolin prescrit par le pédiatre. Enseignement thérapeutique quant aux infections virales et leur prise en charge. Importance d'une bonne compliance médicamenteuse soulignée. • Pas de sport, pas d'examen, sauf sur ordinateur. • Pas de suivi nécessaire • Pas de suivi psychiatrique : la patiente prendra contact avec le CPF lundi (CPF prévenu). Mme. Y a déjà un traitement de Lexotanil en R, le prendra si nécessaire. RAD avec consigne de reconsulter si péjoration des crises. • Pas de suture nécessaire. Réassurance. • Pas de symptômes somatiques nécessitant un laboratoire de contrôle. Avis psychiatrique : hospitalisation à Marsens pour idées suicidaires scénarisées avec comportement auto-dommageable en nette péjoration sur les dernières 48h avec épuisement familial. Hospitalisation à Marsens en PAFA. • Pas de syndrome inflammatoire biologique le 6.01 : CRP < 5ml/l, Lc 4.4 G/l • Pas de syndrome inflammatoire : CRP <5, Lc 12.2, Hb 148 Radiographie de thorax : pas de foyer mis en évidence. Frottis mycoplasme en cours. Antibiothérapie par Clarithromycine 7.5 mg/kg q12h p.o. pour 10 jours. • Pas de traitement • Pas de traitement. • Pas de traitement indiqué. • Pas de traumatisme, TP 56%, Thrombocytes normaux • Pas de trouble ionique. • Pas de visualisation de trait de fracture au bilan radiologique. • Pas de vol de <1 h pendant 3 semaines. Pas de vol de >1 h pendant 6 semaines. Contrôle rx-clinique omoplate à une semaine (24/25.12.2019) à la filière 34 des urgences, évaluation d'une intervention chirurgicale selon l'évolution rx (prise de contact avec le chef de clinique de garde). Changement de pansement de la plaie du drain thoracique chez un médecin aux 3 jours, ablation des fils dès le 26.12.2019. • Pas de vomissements aux urgences 2ème consultation : L'enfant ne présente aucun signe de déshydratation, avec un bon état général, souriant par moment et avec une bonne interaction et un bon suivi du regard. La diurèse est conservée et il ne présente pas de diarrhée. Au vu de l'excellent état général, nous proposons à la maman de garder l'enfant en surveillance aux urgences afin d'objectiver la bonne prise de l'hydratation. Après 1 heure d'observation, Maé arrive à garder l'hydratation per os et nous décidons d'un retour à domicile avec poursuite de la réhydratation par Normolytoral. • Pas d'épaississement des liquides Régime 1-C Physiothérapie • Pas d'investigations supplémentaires car absence de clinique ni laboratoire • Pas d'évidence clinique pour retenir une dermohypodermite ni thrombose, pas d'évidences de fracture à la radiographie. Si persistance de la symptomatologie, recommandation de reconsulter pour évaluer la nécessité d'un CT pour exclure une fracture de fatigue. • Pas d'examen de ce jour. • Pas d'incision possible (petite taille et localisée exactement sur le pli interfessier). Ichtolan 50%. Antalgie. Contrôle à 48h au secteur ambulatoire des urgences pour réévaluation clinique +/- incision et avis chirurgical. • Pas d'incompatibilité connue lévétiracetam et temodal. Suivi-propositions : • rendez-vous à la consultation du Dr. X le 11.02.20 • en raison de la diminution des lignées sanguines déjà observées pendant l'hospitalisation, nous proposons d'effectuer une formule sanguine lors de la consultation chez le médecin traitant prévue le 28.01.20 (suivi du nadir du temodal) • Pas d'indication à effectuer des examens complémentaires. Retour à domicile avec consignes de surveillance. Reconsulte si récidive ou nouvelle symptomatologie. • Pas d'indication à effectuer une radiographie de cheville selon les critères d'Ottawa. Attitude : Antalgie. Repos. Immobilisation à but antalgique dans une attelle aircast pendant 2 semaines ou jusqu'à résolution des douleurs. • Pas d'insuffisance valvulaire décrite sur l'ETT de 2015. Echocardiographie (Dr. X). • Pas d'investigation endoscopique souhaitée par le patient. Soutien transfusionnel : • CE : 1x le 11.01.2020 • CE : 1x le 14.01.2020 Beriplex 25UI/kg iv le 11.01.2020. Konakion 10mg iv le 11.01.2020. Pantozol à hautes doses puis relais oral dès le 14.01.2020. Stop Aspirine Cardio dès le 15.01.2020 (accord sur avis cardiologique). Eliquis en suspens dès le 12.01.2020 puis repris à demi-dose dès le 21.01.2020. Clexane thérapeutique du 16.01.2020 au 20.01.2020. • Pas d'investigations supplémentaires au vu d'un examen clinique rassurant. Poursuite Paracétamol 500mg (max 4x/j) à domicile. • Pas d'investigations supplémentaires d'emblée. Poursuite traitement symptomatique à domicile (Paracétamol, Ibuprofène). • Pas d'isolement, pas d'argument pour un norovirus (confirmé avec UPCI). Coprocultures/recherche de sang dans les selles demandées. Endoscopie à évaluer. CT thoraco-abdominal à évaluer. Suivi nutritionnel à évaluer. • Pas d'urine suffisante obtenue aux urgences. Stix sommaire montre leucocytes et protéinurie. Matériel donné au père qui amènera les urines une fois obtenues car ne souhaite pas de sondage urinaire. Consultation si péjoration de l'état général ou état fébrile. • Pas effectué ce jour. • Pas faits aujourd'hui. • Passage à la co-amoxicilline 25 mg/kg/dose 2x/j pendant 10 jours. Consultation si persistance de l'état fébrile après 48h de traitement, péjoration de l'état général, difficulté d'hydratation. • Passage de calcul vésiculaire vs cholécystite chronique. • Passage en soins de confort en accord avec la famille. Décès le 18.01.2020. • Passages transitoires non soutenus en tachycardie supraventriculaire jusqu'à 205/min le 29.04.2019, probable fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide intermittente. Plaie longitudinale 1cm face palmaire main droite le 20.04.2019. Pneumonie du lobe moyen gauche avec épanchement pleural parapneumonique gauche drainé en 03.2019. Lithiase rénale gauche de 6 mm au niveau du méat, avec dilatation de 8 mm de l'uretère et 17 mm du pyélon, en 2013. Pneumothorax et fractures costales post-traumatiques le 06.11.1993. Fracture d'humérus bilatérale ostéosynthésée en 1993. Douleur rétro-sternale d'origine non angineuse, non datée. Diverticulite non datée. Suspicion d'une lésion du ménisque interne gauche. • Patch de Fentanyl 25 ug avec majoration à 50 ug dès le 27.01.2020. Effentora en réserve. Radiothérapie antalgique dès le 20.01.2020. Le patient rentre à domicile en poursuivant le traitement laxatif et, nous vous laissons le soin d'organiser une consultation urologique en ambulatoire. • Patient admis pour douleurs basi-thoraciques d'origine anxiogène, qui bénéficie d'un ECG à l'admission qui ne retrouve pas de signe d'ischémie avec un rythme sinusal. Nous réalisons une radiographie du thorax qui est dans la norme. Nous proposons un traitement par antalgique et le patient devra consulter son médecin traitant dans 1 semaine pour réévaluation si persistance des symptômes. • Patient admis pour un sepsis d'origine pulmonaire compliqué d'insuffisance rénale aiguë avec péjoration de la créatinine plasmatique. Nous réalisons un ECG à l'admission qui est sinusal avec fréquence cardiaque à 68 bpm, sans signes d'ischémie. Nous débutons une oxygénothérapie à 2 L. Le patient reste stable sur le plan hémodynamique mais dans le versant hypotension. Nous réalisons une radiographie du thorax qui retrouve des infiltrats bi-basaux. Un avis auprès du service des soins intensifs qui accepte de prendre la patiente pour la suite de la prise en charge. • Patient admis pour une coronarographie élective dans un contexte d'angor d'effort sans modifications électrocardiographiques ni cinétique des troponines. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne tri-tronculaire avec sténose significative et d'aspect hétérogène de la CD proximale et des sténoses intermédiaires de la CX moyenne et de l'IVA moyenne et distale. La ventriculographie montre une FEVG conservée sans trouble de la cinétique segmentaire. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de la CD proximale avec mise en place d'un stent actif Resolute Onyx 3.5 x 30 mm. Les sténoses IVA et CX sont évaluées par FFR et s'avèrent être non significatives FFR IVA = 0,83 (0,91 au repos) et FFR CX = 0,91 (0,98 au repos) avec bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé, Contrôle des FRCV avec statine pour LDL < 1,8 mmol/l et TA < 130/80 mmHg. Contrôle dans 1 mois chez le Dr. X. Ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 04.01.2020 en bon état général. • Patient admis pour une coronarographie élective dans un contexte d'angor occasionnel, avec une échographie de stress positive. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne bi-tronculaire avec une sténose serrée de l'IVA moyenne et une sténose significative de la coronaire droite proximale. La fonction systolique VG est normale (FEVG 65%). Après discussion avec le patient, une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation d'1 stent actif est effectuée. Aspirine 100 mg 1-0-0 et statine à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Re-coronarographie fin mars pour angioplastie de la coronaire droite. Suite de prise en charge cardiologique par le Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 29.01.2020 en bon état général. • Patient admis pour une coronarographie élective pour un bilan de sténose aortique sévère. L'examen invasif du jour confirme la présence d'une sténose aortique sévère et en plus met en évidence une sténose complexe de la bifurcation de l'IVA avec la branche diagonale. Nous avons procédé à une dilatation de la bifurcation avec mise en place d'un stent actif IVA proximale/moyenne et fénestration de l'ostium de la diagonale. Nous proposons un traitement avec Aspirine 100 mg/d pour 10 jours, Plavix 75 mg/d pour la durée de 6 mois et le Sintrom (FA) à vie. Le bilan a été complété par un Duplex des carotides et un OPG. Un angio-CT aortique protocole TAVI a été agendé pour le 28.01.2020. Le cas de Mr. Y sera discuté lors du prochain Heart Team. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 18.01.2020 en bon état général. • Patient admis pour une coronarographie élective pour un bilan pré-opératoire de thymome. Lors du bilan cardiologique ambulatoire, une épreuve d'effort s'avère positive. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne tri-tronculaire avec des sténoses focales significatives de la CD moyenne, de la CX proximale et plaque non significative du TC ostial avec sténose hémodynamiquement significative de l'IVA moyenne. FFR = 0,77 (0,91 au repos). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à EF 65%. Les sténoses n'étant pas critiques, opération du thymome comme prévu le 23.01 sous traitement d'Aspirine 100 mg 1-0-0, Atorvastatine 40 mg 1-0-0 et Beloczok 50 mg 1-0-0. Angioplastie de la CX et de la CD après l'intervention. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 17.01.2020 en bon état général. • Patient admis pour une coronarographie élective suite à la mise en évidence d'un dysfonctionnement systolique sévère à l'électrocardiographie effectuée lors de la dernière hospitalisation pour décompensation cardiaque. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne tri-tronculaire avec une sténose serrée de l'IVA ostio-proximale suivie d'une sténose intermédiaire de l'IVA moyenne en bifurcation avec la première diagonale. Il y a une sténose intermédiaire de la circonflexe et une sténose significative de l'IVP distale. Dysfonction systolique VG sévère sans élévation significative des pressions de remplissage. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'IVA ostio-proximale avec deux stents actifs jointifs. Nous proposons un traitement médicamenteux des lésions restantes. Aspirine 100 mg 1-0-0 pour 10 jours, Clopidogrel 75 mg 1-0-0 pour 6 mois, reprise du Sintrom demain. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 08.01.2020 en bon état général. • Patient admis pour une poussée hypertensive avec ECG initial sinusal et régulier. Nous réalisons un laboratoire et un ECG que nous mettons en annexes. Nous administrons 20 mg d'Adalat qui arrive à baisser la pression artérielle de 194/79 à 136/69. Nous surveillons le patient et il peut regagner son domicile avec un contrôle chez son médecin traitant demain. • Patient adressé aux ORL de Fribourg pour retrait du corps étranger. Corps étranger retiré avec succès. • Patient adressé par son médecin traitant pour une acidocétose diabétique. Le patient a reçu le matin même un employé de la ligue pulmonaire pour réglage de la CPAP. Une mesure de la saturation à l'air ambiant du patient était très basse, raison pour laquelle le représentant de la ligue pulmonaire a recommandé à Mr. Y d'aller voir immédiatement son médecin. Celui-ci s'est rendu au cabinet où le généraliste a réalisé un labo, un ECG et une radio thoracique. Les examens ont mis en évidence une acidose métabolique compensée respiratoirement, une glycémie à 17 mmol/l et un bigéminisme nouveau. Le médecin nous adresse le patient pour suite de prise en charge. A l'entrée, le patient se sent très bien et ne souhaite pas rester à l'hôpital. Il n'a aucun symptôme infectieux récent. L'anamnèse par système ne révèle rien si ce n'est des arthralgies des membres supérieurs le 10 janvier au soir. Elles ont cédé après la prise de Dafalgan. Le patient prend ses glycémies quotidiennement et dit être toujours entre 6 et 9 mmol/l. Il n'a pas changé son alimentation ni pris de nouveau médicament ces derniers jours. Il a bu plus d'alcool le jour précédent car il aurait reçu deux visites et partagé une bouteille de vin entière pour cette raison.Au status, on relève des légers oedèmes des membres inférieurs et des râles crépitants aux deux bases. Le poids est stable par rapport aux valeurs à domicile. Le reste du status est sans particularité. La radiographie thoracique permet d'exclure un foyer. Nous complétons le bilan par un dosage de NT-proBNP qui revient élevé. Nous retenons le diagnostic de décompensation cardiaque globale et augmentons le traitement de torasémide à 15 mg/j. Nous ne retrouvons pas de cause ischémique ou infectieuse pouvant expliquer cette décompensation cardiaque. Nous mettons l'acutisation de l'insuffisance rénale et la décompensation diabétique sur le compte de la décompensation cardiaque. L'ECG réalisé le 16.01 montre une disparition du bigéminisme. En raison de l'insuffisance rénale, nous diminuons le Januvia à 25 mg 1x/j et introduisons transitoirement une injection de lantus 14 UI pour compenser les glycémies. Mr. Y se sentant parfaitement bien et désirant rentrer à domicile, nous organisons son retour à domicile avec l'aide de Spitex pour faire les injections dès le 17.01. Mr. Y a rdv chez sa généraliste le 20.01. Nous recommandons de refaire une prise de sang afin de suivre la fonction rénale, de vérifier le poids et adapter le torasémide selon besoin. Nous avons demandé à Mr. Y de prendre ses glycémies 3x/j et de les amener au rdv afin de vérifier si la lantus doit être poursuivie ou non. Mr. Y est connu pour une consommation d'alcool à risque. Il n'a montré aucun signe de sevrage pendant le séjour et n'a pas eu besoin de médication dans ce contexte. Par ailleurs, nous notons que Mr. Y continue de prendre l'Euthyrox 25 mg 1x/j malgré notre recommandation de l'augmenter à 50 mcg lors de la dernière hospitalisation. Nous dosons une nouvelle fois la TSH qui confirme une hypothyroïdie insuffisamment traitée. Nous augmentons une nouvelle fois le traitement à 50 mcg/j. Mr. Y rentre à domicile le 17.01.20. Mr. Y est adressé au secteur ambulatoire des urgences pour ablation plâtre après IRM. Mr. Y avec maladie coronarienne bitronculaire connue, admis pour une nouvelle coronarographie élective, planifiée suite à celle du 09.01 pour dilatation de la sténose de l'IVA moyenne. L'examen invasif du jour montre un excellent résultat après angioplastie de l'IVA moyenne et implantation d'1 stent actif. Durant le geste, on constate une occlusion d'une artère diagonale qui ne peut pas être résolue. Dans ce contexte, Mr. Y présente après le geste des douleurs thoraciques, soulagées par administration de Morphine et de Dafalgan. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularités. Les douleurs diminuent progressivement. Pour la suite de prise en charge, il est proposé de réaliser un test d'effort dans 6 mois et d'envisager une dilatation de la circonflexe distale s'il est positif. L'anticoagulation par Xarelto est poursuivie, avec durant 1 mois double anti aggrégation par Plavix et Aspirine, puis Plavix seul pour un total de 6 mois. Mr. Y regagne son domicile le 31.01.2020. Mr. Y avec un traumatisme non pénétrant de l'œil gauche avec une particule de pierre. Nous lavons au sérum physiologique (NaCl) et réalisons un test à la Fluorescéine qui retrouve une petite lésion de 1 mm en médial. Nous proposons un traitement par Lacrinorm et Mr. Y consultera un ophtalmologue si persistance des symptômes. Mr. Y avec une fracture ouverte GA 2 de jambe droite qui bénéficie d'une radiographie de cheville qui retrouve une fracture des 2 os de jambe droite. Nous administrons 1.5 g de Zinacef et soulageons Mr. Y avec une titration de morphine au 2 mg et 50 µg de Fentanyl, et 75 mg de Voltarène et réduisons la fracture avant de l'immobiliser. Nous administrons le vaccin antitétanique et adressons Mr. Y aux urgences de Fribourg pour suite de prise en charge. Pas de troubles sensitivo-moteurs, pouls pédieux palpé à l'arrivée aux urgences de Fribourg. Nous complétons par une Rx du calcanéum au vu d'une broche qui devra être implémentée dans ce dernier. Mr. Y est consenti et marqué pour le bloc opératoire et se rend au bloc depuis les urgences. Mr. Y avec une fracture ouverte Guistillo-Anderson 2 de jambe droite qui bénéficie d'une radiographie de la cheville retrouvant une fracture des deux os de la jambe droite. Nous administrons 1.5 g iv de Zinacef et soulageons Mr. Y avec une titration de morphine 2 mg, 50 µg de Fentanyl et 75 mg de Voltarène. La fracture est réduite puis immobilisée. Mr. Y reçoit le vaccin antitétanique et est transféré aux urgences de l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge orthopédique. Mr. Y, avec une large plaie sur la face antérieure de la jambe gauche que nous désinfectons abondamment avec de la bétadine et du NaCl. Nous suturons le sous-cutané par Vicryl Rapid 3.0, sous anesthésie locale et fermons avec 6 points séparés de fil 3.0 non-résorbables. La radiographie de la jambe ne retrouve pas de fracture. Du fait du décollement périosté, nous proposons un traitement antibiotique pour 5 jours à base de Co-Amoxi. Mr. Y ayant porté son corset 24h/24 et ce depuis 3 semaines. Maintien du corset 2 mois uniquement la journée lors de la mobilisation. Il peut dormir sans le corset. Il peut se doucher sans corset. Prochain contrôle dans 2 mois avec des radiographies dorsales face et profil afin de retirer définitivement ce corset si l'ensemble des lésions sont stables. Entre-temps, nous restons à disposition. Mr. Y cardiopathe ischémique connu, admis pour une coronarographie élective dans un contexte d'angor récidivant. L'examen invasif du jour montre un excellent résultat après angioplastie de l'IVA et de la Circonflexe distale le 22.11.2019. Il persiste une sténose de la première marginale qui est très infiltrée et de petit calibre pour laquelle nous proposons un traitement médicamenteux. Il y a une sténose angiographiquement significative de la coronaire droite moyenne. Le lit d'aval de l'IVP est très infiltré. La fonction systolique VG est conservée. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de la coronaire droite moyenne avec deux stents actifs jointifs avec excellent résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 et statine à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y quitte notre établissement le 22.01.2020 en bon état général. Mr. Y cardiopathe ischémique connu admis pour une coronarographie élective dans un contexte d'angor typique. L'examen invasif du jour démontre une bonne perméabilité des pontages AMIG-IVA et saphène-1ère diagonale. Le pontage AMID-2ème marginale est perméable mais grêle et perfuse un très petit lit d'aval. Au niveau du réseau natif, on retrouve une occlusion de l'IVA proximale, une sténose significative de la circonflexe proximo-moyenne dans un contexte de dominance gauche. Le réseau circonflexe n'est donc pas entièrement pris en charge par la mammaire droite et, après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une revascularisation percutanée de la circonflexe proximo-moyenne avec un stent actif. La fonction systolique VG est par ailleurs normale (FEVG 65%).Aspirine 100 mg • 1-0-0 et statine à vie, Efient 10 mg • 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 25.01.2020 en bon état général. Patient cardiopathe ischémique connu admis pour une coronarographie élective. L'examen invasif du jour montre une progression de la maladie coronarienne avec une récidive de in stent resténose de la branche diagonale et une de novo sténose de la bifurcation de l'IVA/DA avec une longue sténose de l'IVA. En plus, il existe une nouvelle sténose de la coronaire droite moyenne. Après discussion avec Dr. X sur les possibilités thérapeutiques (ACBP vs PCI), décision de procéder à une PCI en deux étapes avec PCI complexe ce jour de la bifurcation IVA/DA et mise en place de deux stents actifs et une recoro dans 1 mois pour traitement ACD. Aspirine à vie, Efient 10 mg/d pour 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 18.01.2020 en bon état général. Patient cardiopathe ischémique connu, admis pour une PCI élective d'une sténose de 50-70 % de l'artère coronaire droite distale et sténose de 70-90 % de l'artère coronaire droite moyenne. Cet examen montre un bon résultat à moyen terme des précédentes PCI (IVA, diagonale, CX). Nous avons complété la revascularisation avec un stenting direct de l'artère coronaire droite distale et un stenting direct de l'artère coronaire droite moyenne avec un bon résultat. Aspirine 100 mg • 1-0-0 à vie, Efient 10 mg • 1-0-0 pour 6 mois, Beloc Zok 25 mg, reste du traitement inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 09.01.2020 en bon état général. Patient cardiopathe qui consulte pour une oppression thoracique sans douleur rétro-sternale. Le laboratoire et l'ECG sont sans particularités. Nous laissons le patient retourner à domicile avec du Temesta en réserve. Le patient rapportant une tachycardie, nous proposons au médecin traitant une investigation pour une fibrillation auriculaire. Patient cardiopathie ischémique connu, admis pour une coronarographie élective dans un contexte de dyspnée en augmentation. L'examen invasif du jour montre un excellent résultat après angioplastie au niveau du pontage saphène en 2 endroits. Le patient peut reprendre le Sintrom dès le lendemain de l'intervention, avec ajout du Plavix au traitement habituel pour 1 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complication. Mr. Y regagne son domicile le 31.01.2020, après sa dialyse habituelle. Patient connu pour maladie coronarienne bitronculaire, avec s/p STEMI antérieur subaigu le 20.01.2020. Recoronarographie prévue le 10.02 pour traiter une lésion résiduelle de l'artère rétro-ventriculaire postérieure, mais le patient se présente aux urgences en raison de l'apparition de douleurs thoraciques. Il est pris en coronarographie le jour même après discussion avec Dr. X. L'examen invasif du jour démontre un bon résultat après angioplastie de l'IVA pour STEMI antérieur subaigu le 20.01.2020. Il persiste des sténoses de la branche RVG de la coronaire droite. Après discussion avec Mr. Y, on procède à une angioplastie de la RVG avec un stent actif. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 48 % avec une dyskinésie apicale. Aspirine 100 mg • 1-0-0 et statine à vie, Efient 10 mg • 1-0-0 pour 11 mois, augmentation du traitement de l'insuffisance cardiaque (Lisinopril à 10 mg • 1-0-0 et Beloc Zok à 50 mg • 1-0-0), reste du traitement inchangé. Contrôle dans 2 semaines chez Dr. X. Patient consulte à la suite d'une chute de 1m50. La radiographie du bassin, de la hanche droite, du genou droit et de la cheville droite ne montre pas de fracture. Immobilisation de la cheville par Air Cast pendant 6 semaines. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Le patient rentre à domicile avec un arrêt du travail. Antalgies en réserve. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 1 semaine. Patient consulte suite à un traumatisme de la cheville droite en inversion. La radiographie de la cheville droite ne montre pas de fracture. Immobilisation de la cheville par Air Cast pendant 6 semaines. Le patient rentre à domicile avec des antalgies en réserve et contrôle clinique chez son médecin traitant dans 1 semaine. Patient convoqué à nouveau afin d'effectuer une radiographie du bassin à la suite du colloque de chirurgie orthopédique. Retour à domicile avec augmentation de l'antalgie à 2 fois 10 mg d'Oxycontin. Contrôle chez le médecin traitant prévu pour la semaine prochaine. Patient de Dr. X, traité par Sabril 500 mg 2x/jour. Dernier contrôle le 27.01 avec augmentation de la dose de Sabril (vinblastine). Patient de 10 ans, amené par son père (qui consulte par ailleurs pour un état grippal et des douleurs thoraciques d'allure anxiogène) à la Permanence pour des céphalées depuis 2 semaines, un épisode de vomissements isolé ce jour, des douleurs abdominales depuis quelques jours, ainsi qu'une toux sèche associée à une sensation fébrile la veille. Au statut, le patient est afébrile et présente un bon état général. L'examen physique est sans particularités. Un état grippal est suspecté, pour lequel nous recommandons de poursuivre un traitement symptomatique à base de Paracétamol et de reconsulter si non amélioration. Patient de 13 ans, en bonne santé habituelle qui présente une probable infection virale des voies aériennes supérieures que nous traitons symptomatiquement. Patient de 13 ans, qui consulte pour des symptômes d'IVRS depuis 24h, pour lequel nous instaurons un traitement symptomatique. Patient de 14 ans consultant aux urgences suite à une chute à snow ce jour. Il aurait chuté en arrière avec réception sur le poignet D en hyperflexion. Douleur et impotence fonctionnelle immédiate. A l'examen clinique, le patient présente une déformation du poignet D avec douleur à la palpation du radius distal. Pas de TNV. À la radio : fracture du radius distal légèrement déplacée extra-articulaire. Nous immobilisons le patient dans un AB fendu. Le patient sera revu en consultation de contrôle radioclinique en poli ortho dans 7-10 jours. Patient de 15 ans consulte les Urgences de Riaz le 24.01.2020 à la suite d'un choc direct de la main droite contre un mur. Il mentionne le fait d'avoir donné volontairement un coup de poing dans le mur en début d'après-midi. Il se plaint d'une douleur jugée 6/10 selon EVA localisée au niveau du corps latéral du 5ème métacarpe droit. L'examen clinique objective la présence de dermabrasions au niveau des têtes métacarpiennes de la main droite sans douleurs associées à la palpation. Par ailleurs, on note la présence d'un érythème au niveau de la partie latérale de la main droite sans œdème ni hématome associé. La sensibilité est conservée et la force musculaire de la main droite est côtée à M4. On n'objective pas d'atteinte des tendons du 5ème doigt de la main droite. La radiographie de la main/poignet droit n'objective pas la présence de fracture. Dans ce contexte clinico-radiologique et selon l'avis orthopédique, le patient peut rejoindre son domicile le 24.01.2020 avec un traitement antalgique de pallier 1.Patient de 16 ans, en BSH, consulte pour la 3ème fois en une semaine, pour des douleurs abdominales diffuses crampiformes en région basse abdominale. Mr. Y avait consulté le 15.01, où on avait conclu à une adénite mésentérique et avait prescrit un traitement symptomatique. Les douleurs étaient initialement en amélioration. Il a consulté le médecin traitant hier, qui a mis en évidence une CRP à 206 mg/l et l'a mis sous co-amox 1g 3x/jour. Mr. Y présente par la suite, un EF cette nuit, avec une augmentation des douleurs, avec 3 épisodes de selles liquides, sans sang, dernières selles molles ce matin. 2 épisodes de vomissements biliaires. Pas d'algurie, mais dit avoir des douleurs sus-pubiennes au bas ventre. Sa soeur a des maux de ventre aussi avec fièvre selon le patient. Général : normocarde, normotendu, fébrile à 38.1° CV : B1B2 bien frappés, régulier, pas de souffle audible ABdo : abdomen souple, palpation abdominale douloureuse au niveau FIG, FID + HG, pas de défense ni détente. LRSI. Bruits diminués en tonalité et fréquence. Murphy négatif. TR : prostate normale en volume, indolore à la palpation, pas de sang ni selles sur le doigtier. Nous effectuons un laboratoire qui montre une CRP à 177 mg/l. Nous effectuons également une PCR multiplex, ainsi qu'une calprotectine fécale. Nous effectuons une US de l'abdomen qui montre une suspicion d'appendicite compliquée avec un abcès en FIG. Nous complétons alors l'examen avec un CT abdominal qui montre des anses intestinales dilatées, avec des stercolithes appendiculaires. Nous transférons le patient en chirurgie à Fribourg. Patient de 16 ans qui consulte pour une odynodysphagie. Une angine à Streptocoque est exclue. Nous retenons une origine virale et le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Patient de 19 ans, amené par l'ambulance à la suite d'une agression physique. Il était dans un bar avec des amis et puis se fait agressé dans les toilettes et aurait été projeté sur un muret. Il a présenté un TC avec PC et AC de durée indéterminée. Il se plaint d'une cervicalgie et d'une douleur fronto-pariétale. Pas de déficit neurologique. Il a consommé 5 verres de rhum et 2 bières selon lui et du cannabis. À l'arrivée des ambulances, les paramètres vitaux sont dans la norme et le GCS à 15/15. Au status, nous retrouvons : • Cardio : B1B2 purs et réguliers, pas de souffle audible • Abdominal : souple, tympanique et indolore, transit perçu, pas de défense ni détente, loges rénales souples et indolores • Neuro : conscient, orienté temporo-spatialement, GCS 15/15, pas de déficit moteur ou sensitif, nerfs crâniens normaux, épreuves cérébelleuses correctement réalisées, Baré tenu et symétrique, oculomotricité normale, pupilles ICIR • Dermato : dermabrasion multiple au niveau de la face dorsale des mains, plaie frontale supérieure gauche de 6 cm avec léger saignement actif • OA : palpation colonne cervicale douloureuse, para-cervicale douloureuse également, colonne dorso-lombaire indolore à la palpation, palpation des membres indolore, palpation thoracique indolore Nous réalisons un laboratoire revenant aligné et une alcoolémie à 0.44 pour mille. Nous effectuons une Rx de la colonne cervicale ne montrant pas de fracture (sous réserve d'un cliché sous-optimal, pas de meilleur dégagement de l'odontoïde possible). Nous prenons avis auprès du chirurgien de garde (Dr. X) qui préconise une surveillance neurologique au MEDU jusqu'à 14h00 (soit pendant un total de 12h). Le patient est donc hospitalisé au MEDU pour surveillance neurologique. Nous effectuons un complément radiologique un CT cérébral et cervical montrant un hématome sous-galléal sans fractures. Dans ce contexte, nous laissons le patient regagner son domicile avec la fiche de surveillance. Patient de 19 ans hospitalisé le matin du 01.11.2019 pour l'intervention chirurgicale susmentionnée. Pour rappel, le 31.10.2019, il fait une chute de 2,5 m environ d'un balcon en construction dans le cadre de son travail. Il est amené aux urgences où les investigations mettent en évidence les fractures susmentionnées. Pas de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. À gauche, réduction fermée et immobilisation par attelle plâtrée. À droite, immobilisation par attelle plâtrée. L'indication à une prise en charge au bloc opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 01.11.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Immobilisation par attelle velcro ddc. Absence de déficit sensitivo-moteur. Antalgie suffisante pendant le séjour. À noter une réaction cutanée de degré léger suite à l'administration i.v. de Kétamine aux urgences le 31.10.2019; administration de Tavegyl en OU avec bonne réponse. Retour à domicile le 03.11.2019. Patient de 2 ans et 8 mois amené aux urgences par son père suite à une brûlure avec du thé chaud sur la cuisse droite. Le patient présente une brûlure de 8% de surface corporelle non circulaire de troisième degré profond. À son arrivée aux urgences, l'enfant est stable et nous refroidissons la plaie avec des compresses stériles avec NaCl froid. Le patient reçoit 50 micrg de Fentanyl intranasal et 5 ml d'Algifor. Nous prenons avis auprès des pédiatres de garde de Fribourg pour adresser le patient. Patient de 22 ans, en bonne santé habituelle qui s'est coupé la dernière phalange du 4ème rayon de la main gauche avec une ponceuse au travail vers 16h. Général : normocarde, normotendu, afébrile. Doigt : amputation totale de la phalange distale du 4ème rayon gauche, avec phalange distale avec ongle emballé dans un mouchoir mouillé. Nous contactons les orthopédistes, qui demandent une radiographie du doigt, et effectuent une suture de la pulpe aux urgences. Nous prescrivons du Cefuroxime 1.5g en ordre unique et mettons en place une attelle alu. Le patient rentre à domicile le 21.01.2020 avec une antalgie et un arrêt de travail. Le patient sera revu à 48h en policlinique d'orthopédie. Patient de 22 ans qui consulte à la permanence en raison d'un symptôme grippal depuis 5 jours. Le patient se présente avec un état fébrile à 38.9° mais en excellent état général. Il bénéficie d'un status clinique ciblé rassurant. Nous retenons le diagnostic de syndrome grippal actuellement en nette amélioration selon le patient. Nous prescrivons une thérapie symptomatique par Brufen, Dafalgan et Triomer spray. Le patient reçoit également un arrêt de travail et des conseils d'hydratation. Il doit reconsulter en cas de persistance prolongée des symptômes ou de baisse de l'état général. Patient de 25 ans, consulte les Urgences pour une douleur en fosse iliaque droite. Nous réalisons un laboratoire mettant en évidence un syndrome inflammatoire (CRP 30 mg/l, sans leucocytose). Nous prenons avis auprès du chirurgien de garde (Dr. X) qui préconise la réalisation d'un CT abdominal, qui ne révèle pas d'infiltration de l'appendice ou complication locale mais plaide plutôt pour une adénite mésentérique. Le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique et sera revu en contrôle chez le médecin traitant dans 3 jours. Patient de 25 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour la surveillance hémodynamique et clinique dans le cadre d'une hémorragie digestive haute. Patient opéré du genou droit le 07.01.2020, sous Clexane prophylactique et qui a pris du Brufen jusqu'il y a une semaine en arrière, qui présente amené en ambulance après une syncope et plusieurs épisodes d'hématémèse et de méléna. Le patient est stabilisé du point de vue hémodynamique après remplissage et la transfusion d'un culot érythrocytaire. L'oeso-gastro-duodénoscopie est normale en particulier, on ne retrouve notamment aucune preuve d'une source hémorragique. Un traitement par Pantozol est initialement administré en intraveineux. Au vu du résultat de l'examen, nos collègues de gastro-entérologie ne retiennent pas l'indication de poursuivre un traitement par IPP, mais par principe de précaution, nous le maintenons le temps du bilan. Pour exclure une source hémorragique au niveau du tube gastro-intestinal bas, une colonoscopie est demandée pour le 31.01.20. Si cet examen s'avère négatif, une exploration grêle est à discuter (capsule, entéro-CT ou autre).Ayant récemment bénéficié d'une arthroscopie du genou droit, Mr. Y était sous anticoagulation prophylactique, que nous avons mise en suspens. Nos collègues d'orthopédie ont été informés des événements sus-mentionnés, validant l'arrêt définitif de l'anticoagulation pour autant que Mr. Y se mobilise. L'évolution est favorable, Mr. Y ne présente plus de signe d'extériorisation depuis 24 heures avec une hémoglobine stable. Il est transféré en médecine interne pour suite de prise en charge. Mr. Y, 26 ans, connu pour schizophrénie, est actuellement hospitalisé à Marsens pour une décompensation psychotique. Il est amené aux urgences par les ambulanciers en raison d'une dyspnée et tachycardie associées avec un état confusionnel depuis 10 h du matin. Changement du traitement récent : Valium, Risperidon et Clopixol. Examen clinique à l'entrée aux urgences est rassurant. Mr. Y ne se plaint pas. Nous concluons une dyspnée d'origine indéterminée : diagnostic différentiel embolie pulmonaire exclu par des D-Dimères négatifs. Gazométrie ne montre pas d'hypoxie. Le pH est neutre. Durant le passage aux urgences, Mr. Y est resté hémodynamiquement stable. En accord avec nos collègues de Marsens, nous retransferons Mr. Y à Marsens pour suite de prise en charge et poursuite de son hospitalisation. Poursuite du traitement habituel. Mr. Y, 27 ans, étudiant en HEC et parallèlement conseiller financier indépendant depuis plusieurs années, consulte initialement le 11.11 en raison d'une fatigue importante et de troubles de la concentration évoluant depuis plusieurs mois et en lien avec un surmenage professionnel (indépendant, études très exigeantes à mener en parallèle, soucis financiers). Augmentation de la consommation de tabac, alimentation conservée, pas de consommation d'alcool ou autres drogues. Pas de troubles du sommeil. Pas d'idées noires ou idéation suicidaire. Mr. Y vit seul, trouve du soutien auprès de sa famille et de ses amis. En raison des symptômes compatibles avec un épuisement professionnel, une incapacité de travail a été discutée avec Mr. Y et débutée dès le 11.11.2019. Le suivi lors des consultations ultérieures montre une amélioration lentement favorable des symptômes avec amélioration notamment de la fatigue et des troubles de la concentration. Il persiste des épisodes d'angoisse, toutefois en nette amélioration. À noter qu'un bilan biologique réalisé le 03.01 revient normal. Dans ce contexte, il est décidé d'une reprise progressive de l'activité professionnelle à 50 % dès le 29.01.2020. Un prochain contrôle est prévu le 11.02.2020 afin d'évaluer la suite de la reprise du travail. Mr. Y, 27 ans, consulte à la permanence en raison de maux de gorge associés à une odynodysphagie depuis 3 semaines sans amélioration. Un examen clinique ciblé n'a pas montré d'origine à la symptomatologie. Nous prescrivons à Mr. Y un traitement symptomatique à base d'AINS et de Dafalgan. Nous lui expliquons la possible prolongation de symptômes grippaux en raison de la consommation de tabac. Il est invité à consulter un ORL dans 3 jours si absence d'amélioration de la symptomatologie. Il doit reconsulter en cas de fièvre ou de difficultés respiratoires nouvelles. Mr. Y, 29 ans, présente une toux émétisante dans les suites d'une pneumonie traitée par 2 semaines d'antibiothérapie. Mr. Y est afébrile et la radiographie du thorax permet d'exclure un foyer résiduel ainsi qu'une complication de pneumonie. Une coqueluche nous paraît peu probable (son fils étant né il y a 2 ans en Suisse, il aurait dû être vacciné à ce moment-là). Nous retenons une toux au décours de la pneumonie que nous traitons symptomatiquement avec poursuite du Makatussin et adjonction de Motilium pour les vomissements. Mr. Y, 35 ans, présente depuis 1 an des douleurs thoraciques avec un bilan cardiaque et gastro-entérologique rassurant. Il présente une exacerbation de ses douleurs connues depuis 2 semaines probablement en lien avec un état grippal, avec par ailleurs des symptômes anxieux francs associés. Nous effectuons un ECG qui est sans particularités. Nous rassurons Mr. Y et introduisons un traitement de Relaxane en réserve. Nous lui recommandons de poursuivre un suivi ambulatoire. Mr. Y, 36 ans, en bonne santé habituellement, présente un œdème du testicule gauche depuis 1 mois en péjoration depuis 2 semaines. Le bilan biologique montre pas de syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, Mr. Y rentre à domicile. Un ultrason des testicules est prévu le 09.01.2020 à 11 h 50, puis suivi à FUA. Mr. Y, 37 ans, consulte à la permanence pour un syndrome grippal et des vertiges d'allure orthostatique. Le laboratoire et la radiographie du thorax permettent d'exclure une surinfection bactérienne. Mr. Y bénéficie d'une hydratation intraveineuse et rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous avons proposé une hospitalisation, qu'il a déclinée. Mr. Y, 37 ans, se présente pour un 1er épisode de colique néphrétique gauche avec mise en évidence d'un calcul de 4 mm à la jonction urétéro-vésicale. Le sédiment urinaire ne parle pas en faveur d'une infection et il n'a pas d'insuffisance rénale au laboratoire. Mr. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique et est informé des red flags devant le faire reconsulter. Mr. Y, 38 ans, en bonne santé habituellement, vient ce jour aux urgences suite au retour de vacances à Chypre du 19.01.2019 au 26.10.2019. Mr. Y n'a pas dormi depuis 24 h, se sent très fatigué, aimerait être rassuré par rapport aux maladies sexuellement transmissibles vu plusieurs contacts sexuels mais protégés en vacances. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Vu l'examen clinique rassurant et les résultats du sédiment urinaire, nous rassurons Mr. Y. Mr. Y, 38 ans, présente une commotion cérébrale suite à une chute de sa hauteur. Il est gardé en observation aux urgences, avec des contrôles neurologiques qui se révèlent dans la norme. Pour le retour à domicile, accompagné de son amie, Mr. Y reçoit une feuille de surveillance neurologique. Mr. Y, 42 ans, résidant dans un appartement protégé, se plaint d'une rougeur, chaleur, tuméfaction et douleur du pied droit présentes depuis plusieurs jours. Il y a quatre jours, il a consulté le médecin de garde qui le met sous Co-amoxicilline 625 mg 3x/j per os. Ce jour, contrôle chez le médecin traitant, qui nous l'adresse au vu d'une mauvaise évolution clinique et biologique malgré l'antibiothérapie. À noter que Mr. Y a eu une séance de pédicure le 30.11.2019. À l'entrée, Mr. Y est subfébrile à 37,7 °C, hypertendu grade 1 à 150/80 mmHg, normocarde à 82/min avec une saturation en oxygène à 94 % à l'air ambiant. Au statut cardiovasculaire, les B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle audible. Sur le plan dermatologique, on constate un phlyctène avec orifice de 2 cm de diamètre sur la cheville droite avec écoulement d'apparence séreuse, associé à un érythème s'étendant de la cheville droite jusqu'au tiers distal du tibia avec lymphangite remontant le long de la face latérale interne de la jambe et la cuisse droite, avec œdème de la jambe droite sans signe de Godet. La cuisse antéro-latérale interne droite est indurée. Importante tuméfaction péri-malléolaire bilatérale. Un écho-doppler de débrouillage montre un flux de l'artère tibialis postérieure conservé; la pédieuse n'est pas testée en raison de la phlyctène. L'état d'hygiène du pied est sous-optimal.Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 249 mg/l et une leucocytose à 17,5 G/l à prédominance neutrophilique, associée à une rhabdomyolyse avec des CK à 1979 U/l, motivant un avis orthopédique demandé auprès du Dr. X, qui souhaite un angio-CT du membre inférieur droit et un contrôle régulier par les orthopédistes aux 48h. L'angio-CT du membre inférieur droit montre des artères et veines du membre inférieur droit perméables; on constate toutefois une infiltration diffuse des tissus mous sous-cutanés de la racine de la cuisse, mais surtout de la jambe et du pied droit, sans argument pour une fasciite nécrosante, sans collection. On note un agrandissement des ganglions inguinaux à droite avec altération de la graisse alentour (inflammatoire) et petites adénopathies rétropéritonéales en regard du promontoire sacré probablement réactionnelles également. Deux paires d'hémocultures sont prélevées et reviendront négatives, un frottis de plaie est effectué qui montre quelques Corynebacterium afermentans. Une double antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2 g iv 4x/j et Clindamycine 600 mg iv 3x/jour est débutée puis le patient est hospitalisé en service de médecine. L'évolution clinico-biologique de la dermahypodermite est favorable sous antibiothérapie. Le 20.12.2019, le patient développe une éruption cutanée érythémateuse et prurigineuse dans le triangle sous-mentonnier, une probable dermatite séborrhéique pour laquelle une corticothérapie topique et une crème antifongique sont débutées, avec bonne réponse clinique. Le patient rentre le 24.12.2019 à domicile. Concernant la plaie du phlyctène, le pansement est à refaire trois fois par semaine, la demande de soins de plaie a été envoyée à son infirmière indépendante, un premier passage sera effectué le 27.12.2019. Nous recommandons également un suivi rapproché chez le médecin traitant. Mr. Y, patient de 45 ans en bonne santé habituelle, est transféré de l'hôpital de Payerne pour une coronarographie en semi-urgence. Pour rappel, le 13.01.2020, suite à une descente en ski, il a présenté une douleur rétro-sternale oppressive spontanément résolutive après 30 minutes, associée à une dyspnée et une tachycardie à 130 bpm mise en évidence sur sa montre connectée. Il consulte donc aux urgences de Payerne. L'ECG montre une tachycardie sinusale à 130 bpm et des ondes T négatives en III. On note une cinétique des troponines positive (23, 48,3, 60). Une échocardiographie transthoracique permet de déceler une dyskinésie septo-apicale et une image de fausse lumière de l'aorte proximale. Un CT-scanner exclut une dissection aortique. Suite à un avis cardiologique, le patient est chargé en Aspirine et Plavix et une anticoagulation par Arixtra est débutée. Il est donc admis pour surveillance aux soins continus où il ne présente pas de récidive de douleurs. La surveillance rythmique et hémodynamique est sans particularités. Il est transféré le 14.01.2020 à Fribourg pour une coronarographie. L'examen invasif du jour montre des artères coronaires saines. Le cathétérisme cardiaque est dans les limites de la norme. On signale un épisode de fibrillation auriculaire et un bloc de branche droit péri-procédural. Le patient bénéficie d'une échocardiographie transthoracique avec contraste qui montre un foramen ovale perméable lors du test de bulle uniquement après manœuvres de Valsalva avec un shunt modéré. On interprète donc le NSTEMI comme étant secondaire à une embolie paradoxale ou à un vasospasme, sans maladie coronarienne sous-jacente. On introduit un traitement d'anticalcique et on propose au patient une anticoagulation prophylactique lors de longs voyages. Le patient sera suivi à la consultation de la Dre X dans 2-3 semaines. On ne propose pas d'emblée de fermeture du foramen ovale, mais cette option pourra être discutée dans le futur en fonction de l'évolution. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le bloc de branche droit est spontanément résolutif. Le patient quitte notre établissement le 15.01.2020 en bon état général. Mr. Y, patient de 46 ans, connu pour AVC avec hémiparésie résiduelle à gauche, ainsi qu'un épisode d'épilepsie en 2017, est transféré le 08.01.2020 depuis les soins intensifs de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge après NSTEMI et anévrysme apical le 06.01.2020. Le patient explique avoir ressenti des douleurs thoraciques oppressantes, irradiant dans le bras droit, la mâchoire et la nuque, ainsi que de la dyspnée et des sueurs froides la nuit du 06.01.2020. Il s'est ensuite rendu aux urgences, où un bilan clinique, biologique et radiologique a permis de poser le diagnostic de NSTEMI. Un stent actif a été posé dans la première artère marginale. Un triple traitement par Aspirine, Clopidogrel et Rivaroxaban a été introduit. De plus, l'Atorvastatine a été majorée de 40 à 80 mg. À l'entrée à l'HFR Meyriez, Mr. Y ne présente pas de plainte, notamment pas de douleur thoracique, dyspnée ou palpitations. Le patient présente une hyposensibilité ainsi qu'une spasticité au niveau des deux extrémités de l'hémicorps gauche, suite à 3 AVC. Du point de vue des facteurs de risque cardiovasculaires, le patient est fumeur depuis 20 ans (environ 10-20 pack years), présente une hypercholestérolémie et ne pratique pas d'activité sportive. L'anamnèse familiale est positive pour l'hypercholestérolémie, mais il n'y a pas eu d'événement cardiovasculaire dans la famille. Anamnestiquement, le patient ne présente pas d'hypertension artérielle, ni de diabète, ni d'obésité. À l'examen clinique, le patient est stable au niveau cardio-pulmonaire. Les battements cardiaques sont bien frappés et réguliers, sans souffle. Au niveau neurologique, on note une hémiparésie résiduelle à gauche, notamment au niveau de la main gauche. L'examen pulmonaire et abdominal est sans particularité. Mr. Y habite avec sa femme et ses deux enfants dans une maison. Il est autonome et travaille comme ingénieur. Concernant le diagnostic principal et l'anévrisme apical, un triple traitement par Aspirine, Clopidogrel et Rivaroxaban a été introduit aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. L'Aspirine est à poursuivre pendant 3 mois, le Rivaroxaban pour une durée totale d'une année et le Clopidogrel à vie. Le patient bénéficiera d'un rendez-vous de contrôle dans 1 mois à la consultation du Dr. X, pour lequel il recevra une convocation. De même, il sera convoqué pour effectuer une IRM cardiaque et une ergométrie à 6 mois. Par rapport à l'hyperlipidémie, le traitement par Atorvastatine a été majoré de 40 mg à 80 mg aux soins intensifs de l'HFR, avec une cible LDL à < 1.4 mmol/l. Nous vous prions de suivre le profil lipidique de votre patient à votre consultation. Concernant les antécédents d'épilepsie en 2017, Mr. Y nous indique sa difficulté à prendre régulièrement son traitement de Keppra en raison de la fatigue importante que celui-ci lui provoque. Selon l'avis neurologique de Dr. X, nous proposons un arrêt du Keppra, avec remplacement par de la Lamotrignine 25 mg en schéma progressif. L'évolution du patient est bonne pendant l'hospitalisation. Il bénéficie de physiothérapie selon les stades post-infarctus qui se déroule sans complication. Mr. Y peut quitter notre service pour son domicile le 10.01.2020. • Patient de 47 ans avec une lombosciatique algique et ce depuis plus de deux mois et demi. Dans ce contexte, une prise en charge chirurgicale pourrait être indiquée mais au vu du statut lombaire du patient, celle-ci est compliquée. Les deux options chirurgicales qui s'offrent à nous seraient une décompression canalaire par abord médian bilatéral, récessal et foraminal ou alors une fixation unilatérale avec résection de l'articulaire in toto. Nous souhaitons réaliser un scanner lombaire et une nouvelle consultation pour en rediscuter. • Patient de 47 ans, qui consulte à la Permanence en raison d'une toux chronique, associée occasionnellement à des sifflements respiratoires. Le statut est sans particularités. La radiographie thoracique permet d'exclure un foyer ainsi qu'une masse chez cet ancien tabagique. Une origine médicamenteuse sur prise d'IEC et un possible asthme sont évoqués en premier lieu. Nous remplaçons son IEC par un sartan et introduisons un traitement empirique de Symbicort. Devant l'anamnèse en défaveur, nous ne traitons pas d'emblée empiriquement un écoulement nasal postérieur ni un reflux gastro-oesophagien. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution de cette toux et d'évaluer l'indication à une évaluation par un pneumologue. Nous proposons un premier contrôle clinique et biologique à 1 semaine à votre consultation pour s'assurer d'un profil tensionnel adéquat et de la bonne tolérance rénale avec le changement d'antihypertenseur effectué. • Patient de 49 ans, admis aux soins intensifs le 01.01.2020 en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë secondaire à une pneumonie communautaire à pathogène indéterminé. Mr. Y présente une toux sèche depuis 1 mois, motif pour lequel il a consulté les urgences le 28 décembre. Devant une aggravation des symptômes sous traitement symptomatique, il consulte le médecin de garde qui constate une désaturation à 80% à l'AA, une tachypnée à 30 bpm et un syndrome inflammatoire au laboratoire. Il adresse alors le patient aux urgences pour suite de prise en charge. La radiographie du thorax d'entrée montre des condensations pulmonaires bilatérales. Les prélèvements virologiques et bactériologiques reviennent négatifs, de même que le GeneXpert et le test de dépistage HIV. À l'anamnèse dirigée, nous ne retrouvons pas de facteur prédisposant (en Suisse depuis plus de 10 ans, veuf depuis 15 ans; absence d'asthme connu ou de consommation active de tabac, travaille dans le bâtiment sans exposition particulière relevée pour une éventuelle Légionella). Les LDH sont légèrement élevées. Après avis de nos collègues infectiologues (Dr. X), une tuberculose de même qu'une infection à PCP paraissent à ce stade peu probables au vu de l'anamnèse, de l'évolution clinique et du bilan radiologique et biologique. Un traitement empirique par Ceftriaxone et Clarithromycine est introduit, avec une réponse clinique rapidement favorable. À relever que le patient ne tolère ni la VNI ni l'Optiflow. Le patient est transféré vers le service de médecine le 02.01.2020. En cas d'évolution défavorable, un avis pneumologique et infectiologique est préconisé. • Patient de 49 ans qui consulte pour une oppression thoracique d'origine indéterminée. Le bilan radiologique et biologique réalisé est sans particularité. Nous rassurons le patient qui peut regagner son domicile. Le patient consultera son médecin traitant pour un contrôle tensionnel. • Patient de 49 ans, connu pour des douleurs post-zostériennes faciales (territoire V1 gauche) suite à un épisode de zona en 2010, qui consulte à la permanence le 22.01.2020 en raison d'une recrudescence de ses douleurs neuropathiques invalidantes depuis la veille, associées à des vomissements et diarrhées depuis la nuit. Le statut clinique abdominal est rassurant. Au niveau facial, il n'y a pas de lésions cutanées visualisées. Le laboratoire est aligné hormis un discret syndrome inflammatoire. Nous retenons une probable réactivation d'un zona facial dans le territoire V1 gauche favorisée par une possible gastro-entérite virale. L'évolution est favorable lors de la surveillance à la Permanence avec une antalgie simple et l'introduction du Valtrex que nous préconisons de poursuivre pendant 7 jours. • Patient de 50 ans, qui se présente aux urgences de Fribourg le 05.01.2020 pour des douleurs abdominales de la fosse iliaque gauche depuis 72h, associées à des diarrhées et des frissons. Au statut, le patient est subfébrile. L'abdomen est douloureux en fosse iliaque gauche avec une défense localisée. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire biologique. Un CT abdominal est réalisé qui met en évidence une diverticulite Hansen-Stock IIa. À noter qu'il s'agit d'un deuxième épisode et qu'une colonoscopie réalisée en 2018 avait pu exclure une lésion tumorale sous-jacente. Selon avis chirurgical, un traitement conservateur est préconisé. Une antibiothérapie par ceftriaxone-métronidazole est débutée et le patient hospitalisé en médecine interne à Meyriez en raison d'un manque de place. L'évolution tant clinique que biologique est favorable, permettant un relais per os par Ciprofloxacine-métronidazole dès le 08.01.2020 pour une durée totale de 10 jours. À noter également la mise en évidence d'une perturbation des tests hépatiques nouvelles sur le laboratoire d'entrée (par rapport au comparatif de 02.2019) chez ce patient par ailleurs obèse et avec un ancien éthylisme à risque. Le CT abdominal est évocateur de plages de stéatose focale. Afin de compléter le bilan, une échographie abdominale est organisée en ambulatoire et nous recommandons un contrôle des tests hépatiques à distance de l'épisode infectieux. Le sédiment urinaire est par ailleurs également pathologique avec la mise en évidence d'une érythrocyturie non caractérisée et d'une discrète protéinurie, pour laquelle nous proposons un contrôle rapproché. La fonction rénale est conservée et l'HbA1c normale. Au vu de son bon état général, le patient rentre à domicile le 07.01.2020 à la fin de son antibiothérapie intraveineuse. • Patient de 52 ans, qui consulte les Urgences pour un malaise. Ce soir pendant l'entraînement de sport vers 20h15 (était en train de courir, avant séance de badminton), il ressent une chaleur au niveau du thorax et membre supérieur gauche et perd connaissance (quelques secondes selon témoins +/- 20 sec) sans voile noir au niveau des yeux, mais en se sentant partir. Il chute en arrière de sa hauteur avec traumatisme crânien. N'a pas eu l'impression de percevoir son environnement pendant la perte de connaissance. Pas d'arrêt cardiaque, pas de douleur rétrosternale, pas de palpitation, pas de dyspnée. Pas de fièvre, pas de nausée ni vertige. Il n'a pas de douleur. Nous réalisons un ECG montrant une négativation des ondes T en D3 et AVF, RSR 62/min. Le laboratoire met en évidence une hypokaliémie à 2.8 mmol/L, les troponines ne montrent pas de cinétique. La radiographie thoracique est normale ainsi qu'un test de Schellong. Le patient rentre à domicile avec une supplémentation potassique et consultera son médecin traitant le lendemain. • Patient de 54 ans, ancien toxicomane sous traitement de substitution par Méthadone, qui présente un état fébrile depuis 3 semaines, ainsi qu'une dyspnée avec toux et crachats verdâtres depuis 2 semaines. Mr. Y ne consomme plus de drogues illicites depuis 5 ans. Au statut, on retrouve un patient fébrile à 38.8°C, tachycarde à 103 bpm, cachectique avec importante sarcopénie. L'auscultation cardiaque est lointaine, sans souffle audible. L'auscultation pulmonaire ne met pas en évidence de signes de détresse et une hypoventilation bibasale à prédominance droite. L'examen abdominal est sans particularité.Nous effectuons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 92 mg/l et leucocytose à 12.8 G/l, une hypokaliémie à 2.5 mmol/l et une anémie normocytaire hypochrome à 124 g/l. La gazométrie montre une alcalose respiratoire avec pH à 7.50 et hypoxémie à 9.6 kPa avec hypocapnie à 4.9 kPa. Nous prélevons des urines qui reviennent propres. Nous effectuons 4 paires d'hémoculture qui sont en cours ainsi qu'une recherche d'antigène urinaire de légionelle et pneumocoque qui est en cours. La radiographie du thorax montre une condensation baso-postérieure droite avec une cavitation d'environ 26 mm et un niveau hydroaérique. Nous complétons le bilan avec un CT thoracique qui montre un abcès du lobe inférieur droit de 5x4x3 cm avec condensation dans le lobe inférieur droit, plage de condensation au niveau du lobe gauche et dilatation pyélocalicielle droite. Après discussion avec le chirurgien de garde Dr. X, et discussion de ce dernier avec les collègues du HFR Fribourg, le patient est transféré en ambulance aux urgences du HFR Fribourg pour suite de prise en charge et probable opération par les chirurgiens thoraciques le 25.01.2020. Mr. Y, 54 ans, au décours d'un état grippal, présente un probable furoncle abcédé sous son oreille gauche. Celui-ci est incisé permettant l'évacuation de pus et le soulagement du patient. La cavité est rincée et une mèche est laissée en place. Au vu de la localisation, nous débutons une antibiothérapie empirique par Co-amoxicilline. Un rendez-vous clinique de suivi est agendé à 48 heures. Mr. Y, 54 ans, avec un état grippal depuis ce jour, sans point d'appel pour une origine bactérienne au status. Nous instaurons un traitement symptomatique et recommandons au patient de consulter son médecin traitant en cas de péjoration. Mr. Y, 55 ans, est hospitalisé pour la surveillance respiratoire et hémodynamique dans le contexte d'une embolie pulmonaire centrale bilatérale à risque modéré. Mr. Y présente une dyspnée à l'effort depuis hier et une douleur au niveau du membre inférieur gauche depuis le mois de septembre 2019. À noter qu'un premier traitement de Xarelto a été introduit le 20.09.2019 pour une durée de 10 jours pour une suspicion de thrombophlébite et qu'en raison d'une recrudescence des symptômes, l'anticoagulation avait été réintroduite pour 10 jours jusqu'au 20.10.2019. L'angio-CT pulmonaire confirme une embolie pulmonaire centrale bilatérale avec subocclusion du côté droit, s'étendant dans tous les lobes pulmonaires des deux côtés. En absence d'instabilité hémodynamique, une thrombolyse n'est pas effectuée. Une anticoagulation thérapeutique par héparine est introduite. Nous n'identifions pas de facteurs de risque pour cet événement thromboembolique, autre que l'obésité. Un suivi ambulatoire en angiologie sera à organiser. Mr. Y, 56 ans, en bonne santé habituelle, adressé par MedHome, est hospitalisé en raison d'une embolie pulmonaire segmentaire et sous-segmentaire bilatérale. Le patient présente des douleurs basithoraciques bilatérales respiro-dépendantes sans hémoptysie, ni douleur aux mollets, sans facteur déclenchant ni symptôme B présents à l'anamnèse. Il rapporte une dyspnée d'effort en progression depuis cet été. Dans les facteurs de risque, on relève un tabagisme ancien sevré depuis 27 ans et une anamnèse familiale positive pour MTEV. Un score de Genève révisé montrant un risque intermédiaire et des D-dimères élevés motivent un scanner thoracique qui met en évidence une embolie pulmonaire bilatérale, sans signe de répercussion cardiaque droite. Un ECG revient sans particularité. Une anticoagulation par Xarelto est initiée pour une durée totale de 6 mois. Un avis des hématologues ne recommande pas de bilan de thrombophilie particulier, sauf le dosage des anticorps anti-phospholipides que nous vous prions de pister. Nous recommandons par la suite une anticoagulation prophylactique au besoin lors de longs voyages. Le patient se plaint d'une dyspnée datant de l'été dernier, sans autres symptômes cardiaques ou pulmonaires. Merci d'évaluer si un bilan par fonctions pulmonaires ou un nouveau bilan cardiaque est nécessaire en ambulatoire. Au scanner thoracique, on met en évidence un nodule pulmonaire infracentimétrique dans le lobe inférieur droit, qui sera à recontrôler par scanner thoracique à 12 mois, ainsi qu'une lésion du pôle antérieur du rein gauche, à caractériser par un bilan échographique. Mr. Y rentre à domicile le 21.01.2020. Mr. Y, 57 ans, avec obésité morbide, est amené en ambulance aux urgences de l'HFR Riaz pour des douleurs de la hanche gauche suite à une chute mécanique de son lit avec réception sur le côté gauche sans notion de traumatisme crânien. À noter qu'il décrit des douleurs de sa hanche gauche depuis quelques semaines en péjoration depuis sa chute. À l'examen clinique, on note une douleur à la palpation du grand trochanter, raison pour laquelle une radiographie bassin et hanche est réalisée et montre une lésion ostéolytique du grand trochanter gauche. Une radiographie de thorax montre une opacité para-hilaire gauche suspecte. Le patient est alors hospitalisé en orthopédie pour suite de prise en charge. Un bilan biologique complet à la recherche d'évidences néoplasiques ne montre pas de perturbations des tests hépatiques ni pancréatiques, avec une calcémie dans la norme. Les LDH sont à 581 U/l avec un PSA négative mais un CEA augmenté à 22.6 ng/ml. Une électrophorèse des protéines est également réalisée qui montre une augmentation des chaînes Kappa et Lambda pour un rapport de 2.06. Mr. Y bénéficie d'un bilan d'extension par scanner cérébro-cervico-thoraco-abdominal le 07.01.2020, et ce dernier met en évidence une lésion tumorale du lobe pulmonaire inférieur gauche avec infiltration de l'artère segmentaire basale gauche avec thrombus intra-luminal. À noter que le patient a présenté un épisode d'hémoptysie ayant motivé le dosage des D-dimères qui revient positif, ainsi qu'une gazométrie qui met en évidence une hypoxémie à 8.3 kPa sous air ambiant. Le traitement par Xarelto est alors stoppé. Au vu de la nécessité d'une anticoagulation mais du risque de saignement intra-alvéolaire, nous transférons le patient aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 07.01.2020 pour surveillance respiratoire et initiation d'un relais d'anticoagulation thérapeutique. Nous laissons le soin à nos collègues de reprendre contact avec les oncologues pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 57 ans, connu pour consommation éthylique chronique, est adressé aux Urgences de Riaz pour suite de prise en charge d'une alcoolisation aiguë. En effet, le patient aurait consommé ces derniers jours plus d'alcool lié avec les fêtes de fin d'année. La quantité est différente mais peut aller jusqu'à 2-3 L de vin par jour. Dernière consommation d'alcool le matin du 09.01.2020. Il se présente spontanément à l'hôpital de Marsens qui l'adresse aux urgences de Riaz pour suite de prise en charge. Le dosage de l'alcoolémie à Marsens est de 1.6 pour mille. Au status, nous retrouvons un patient agité mais collaborant, anxieux. L'examen des nerfs crâniens grossièrement dans la norme, les réflexes ostéotendineux sont normovifs et symétriques. Les épreuves cérébelleuses sont normales.CV : B1B2 lointains, pas de souffle audible. Pulmo : MVS, pas de bruits surajoutés. Le reste de l'examen est non contributif. Le score de Cushman est à 7 Nous réalisons un laboratoire ne montrant pas de syndrome inflammatoire ni de troubles ioniques importants, mais les tests hépatiques sont perturbés. L'ECG montre un RSR à 64/min rassurant, des QRS fins, pas de signes de troubles ischémiques ni de troubles de la repolarisation. Au vu des tests hépatiques élevés, nous réalisons une US hépatique qui montre une simple stéatose sans signes de complication. Nous prenons avis auprès de la psychiatre (Dr. X) qui propose une prise en charge du sevrage en somatique pendant 24 à 72 h. Nous mettons en place une hydratation IV par NaCl, introduisons un traitement de Benerva/Becozyme et de Seresta d'office et de réserve. Au vu d'une forte agitation psychomotrice, le patient reçoit également 2x 10 mg de Valium le matin du 10.01.2020. Nous gardons le patient hospitalisé sur la nuit aux urgences en lit monitoré pour une surveillance clinique et du score Cushman avec adaptation du traitement. Le patient est transféré aux SIC de Fribourg le 10.01.2020 pour prise en charge du Delirium Tremens. Patient de 58 ans, adressé par son médecin traitant électivement pour un sevrage d'alcool intra-hospitalier. Le patient explique avoir une consommation abusive d'alcool depuis des années. Il a une consommation habituelle quotidienne d'environ 7 U d'alcool, mais peut augmenter jusqu'à 15 U dans certaines circonstances. Il explique consommer en raison de l'effet anxiolytique que l'alcool a sur lui. En outre, il aime aussi en consommer dans un cadre festif. Mr. Y est suivi depuis quelques mois au Torry par Mme. Y, qui a permis de diminuer sa consommation d'alcool hebdomadaire moyenne de 80 U à 50 U d'alcool. Il dit avoir déjà effectué des sevrages à domicile, pendant lesquels il n'avait pas eu de symptômes de sevrage. Il souhaite profiter de ses vacances pour faire un sevrage en hospitalier. Son but est d'arrêter complètement la consommation d'alcool pendant un certain temps, surtout pour voir les bénéfices sur la santé et pour perdre du poids. Il ne sait pas encore s'il voudra recommencer à consommer de l'alcool par la suite ou pas. Mr. Y est marié et a 2 enfants de 24 et 21 ans. Il travaille comme ingénieur. A l'examen clinique, les paramètres vitaux sont stables. L'examen cardiologique, pulmonaire, abdominal et neurologique est sans particularité. En raison des antécédents de sevrage dans le contexte de vacances, sans symptômes, un traitement par Seresta est mis en réserve et non pas d'office. Le patient est suivi cliniquement par un test CIWA aux 4 heures. Lors du sevrage, le patient note une sensation d'anxiété qu'il décrit comme une boule au ventre et un léger tremblement au repos. Hormis ceci, le patient ne présente pas de symptômes de sevrage. Le patient va bénéficier d'un rendez-vous chez Dr. X, psychiatre spécialisé en thérapie d'addiction le 14.01.2020. De plus, Mr. Y va organiser un rendez-vous de contrôle chez son généraliste et chez Mme. Y à la sortie. Mr. Y quitte notre service pour son domicile en bon état général le 08.01.2020. Patient de 58 ans, hospitalisé en lit de stroke pour une surveillance neurologique dans le cadre d'une suspicion d'AVC ischémique aigu pontique gauche avec ophtalmoplégie internucléaire gauche et hypoesthésie V2-3. Aux FRCV d'une HTA et tabagisme actif à 40 UPA, connu depuis septembre 2019 pour une polyneuropathie des membres inférieurs d'origine indéterminée, qui présente depuis le 10.01.2020 (22h) une diplopie monoculaire gauche et une vision floue associée à des déséquilibres. NIHSS à l'admission aux urgences est à 0. Au status neurologique aux soins intensifs, présence d'une ophtalmoplégie internucléaire gauche et hypoesthésie V2-3 gauche (NIHSS à 1), pallesthésie à 2/8 au niveau du pied gauche et Babinski bilatérale (déjà connu). L'angio-CT cérébrale montre plusieurs lésions de la substance blanche pouvant parler soit en faveur de lacunes soit pour une leuco-araïose, sans arguments pour un AVC. Un IRM cérébrale est prévue. Selon avis du neurologue, une antiagrégation par aspirine est introduite ainsi que de l'Atorvastatine visant un taux de LDL-cholestérol < 1.4 mmol/l. Un contrôle des FRCV est recommandé avec une adaptation du traitement antihypertenseur et une consultation de cessation tabagique à proposer. Concernant l'atteinte des membres inférieurs, une origine centrale est probable au vu de la présence d'un Babinski. Un bilan d'investigation est proposé par le neurologue. Patient de 59 ans hospitalisé aux soins intensifs de manière élective pour sa cure mensuelle de plasmaphérèse. Ce traitement a été initié au CHUV en 2011 pour une neuropathie chronique ataxique invalidante (syndrome de CANOMAD). Les séances de plasmaphérèse se déroulent les 07.01 et 08.01.2020 avec une prémédication de Tavegyl et Solumedrol. Les volumes échangés pour la première des séances sont de 4000 ml avec restitution de 3470 ml d'albumine et 3 PFC (530 ml) à débit maximal de 1500 ml/h de réinjection. Une ampoule de calcium gluconate est administrée par litre d'albumine réinjecté. Le contrôle biologique du lendemain montre un fibrinogène à 1.3 g/L motivant une deuxième séance de plasmaphérèse avec restitution de 3520 ml d'albumine et 3 PFC (480 ml). Les contrôles biologiques post-plasmaphérèse montrent un fibrinogène à 0.9 g/L. Il présente quelques troubles électrolytiques à J2 de plasmaphérèse qui sont substitués per os. Le traitement habituel du patient est modifié les jours de plasmaphérèse à savoir : Indéral à dose réduite 40 mg 2h post plasmaphérèse (dose habituelle : 160 mg retard motivé par un tremor). Le Dabigatran n'est pas administré pendant les deux jours de traitement mais peut être repris dès le 09.01.2020. La prochaine séance de plasmaphérèse sera déterminée par le neurologue du patient, qui sera directement convoqué. Merci de prendre contact avec le médecin de garde des soins intensifs 48 H auparavant afin d'organiser au mieux cette séance. Le patient est transféré au home de la Sarine le 08.01.2020. Patient de 59 ans hospitalisé aux soins intensifs de manière élective pour sa cure mensuelle de plasmaphérèse. Ce traitement a été initié au CHUV en 2011 pour une neuropathie chronique ataxique invalidante (syndrome de CANOMAD). Les séances de plasmaphérèse se déroulent les 21.01 et 23.01.2020 suite à la découverte le 22.01 d'une occlusion de la fistule qui a nécessité une thrombectomie en urgence. La séance du 23.01 s'est déroulée sans problème. A la fin de la séance, nous avons substitué le patient en magnésium et phosphate à garder jusqu'au 24.01.2020 inclus. Le contrôle angiologique post séance montre une sténose résiduelle connue avec un bon débit. Au vu de cette récidive d'occlusion, il est décidé dorénavant de ne plus stopper le Dabigatran (Pradaxa) et de prendre certaines précautions sur l'anticoagulation lors de la séance. La prochaine séance de plasmaphérèse sera prévue le 04 et 05 février 2020. Le patient est transféré au home de la Sarine le 23.01.2020. Patient de 6 ans amené aux urgences par sa maman pour une dyspnée avec toux aboyante survenue dans l'après-midi. A l'arrivée aux urgences, l'enfant est polypnéique et présente une toux aboyante. Le fond de gorge est érythémateux et nous palpons des adénopathies cervicales douloureuses. Après l'administration d'une nébulisation d'Adrénaline 4 mg, nous observons une amélioration clinique avec une diminution de la toux et un patient qui devient progressivement eupnéique. Sur conseil du pédiatre de garde, nous administrons 6.5 mg de Betnésol per os. Le patient est ensuite transféré aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg • Hôpital cantonal pour suite de prise en charge. Patient de 61 ans, qui consulte les Urgences pour des douleurs abdominales. Pour rappel, il avait déjà consulté le 23.01.2020 pour le même motif. Les bilans réalisés étaient plutôt rassurants et le patient est rentré à domicile avec une antalgie. Cette nuit (25.01.2020), il revient car les douleurs ont recommencé vers 10h le matin. Il a pris Irfen, Dafalgan et Buscopan pendant toute la journée mais pas d'amélioration. Dernière selle vendredi matin, dures et petite quantité. Nausée sans vomissement, pas de diarrhée, pas de fièvre. Il se tortille dans tous les sens de douleur et n'arrive pas à trouver une position antalgique. Nous réalisons un laboratoire montrant toujours un léger syndrome inflammatoire (CRP 7 mg/L avec leucocytose à 13.3G/L) et prenons avis auprès du Chirurgien de garde (Dr. X) qui préconise la réalisation d'un CT-abdominal avec phase artérielle vu la présence d'un anévrysme aortique. Le CT abdominal met en évidence la présence de 2 urolithiases calicielles dont une enclavée à la jonction pyélo-urétérale gauche de 5 mm et une située au niveau du pyélon gauche de 9 mm avec une dilatation d'amont, sans infiltration de la graisse péri-rénale et avec léger rehaussement de la paroi rénale pouvant correspondre à une pyélonéphrite débutante. Nous prenons ensuite avis auprès de l'Urologue de garde (Dr. X) qui pose l'indication à la pose d'une sonde JJ. Nous transférons le patient à l'Hôpital Daler pour suite de prise en charge. Patient de 62, hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique et rythmique dans le cadre d'un STEMI subaiguë le 20.01.2020. Aux FRCV d'un syndrome métabolique et d'un tabagisme actif à 100 UPA, M. Y présente des douleurs rétrosternales oppressives avec irradiation pour le dos et membres supérieurs depuis 3 jours avant son admission. L'ECG montre une FA rapide à 150 bpm avec des sus-décalages en V2-V5 et des troponines élevées. La coronarographie confirme un STEMI subaiguë le 20.01.2020 sur maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion de l'IVA moyenne thrombotique traitée par dilatation/stenting (1x stent actif) et aspiration. L'échographie transthoracique montre une FEVG diminué à 20 %, large akinésie apicale et antérieure étendue avec une hypokinésie modérée de la paroi inférieure moyenne, une hypokinésie minime du septum basal, de la paroi inféro-basale et de la paroi septale antérieure basale. Une triple thérapie est instituée pour 1 mois (ASA, Plavix, Xarelto 15mg/j) puis 11 mois Plavix et Xarelto 20mg/j puis anticoagulation seule en raison de l'hypokinésie importante avec risque de formation des thrombus. Un traitement de Metoprolol, Lisinopril et Atorvastatine (visant taux de LDL < 1.4 mmol/l) est prescrit. La fibrillation auriculaire avec réponse ventriculaire rapide est contrôlée (rate control) par une dose unique de digoxine puis par métoprolol. Un arrêt du tabac ainsi qu'une réadaptation cardiovasculaire est recommandée. La coronarographie se complique par un saignement au niveau du point de ponction objectivé par angio-CT. Un stent couvert est mis en place au niveau de l'artère fémorale droite par abord gauche avec bon résultat final. Durant le séjour, le patient présente un sevrage à l'alcool nécessitant de l'administration de benzodiazépines initialement intraveineuses puis per os. Le score de Cushmann est satisfaisant mais des troubles du comportement persistent avec une agressivité verbale nécessitant plusieurs rappels des règles à respecter en intra-hospitalier. La présence de son épouse lors de ces épisodes permet au patient un retour au calme. Une légère perturbation des tests hépatiques est mise sur la consommation d'alcool avec un bilan par US à prévoir. Une péjoration de la fonction rénale est à mettre en relation avec le bas débit cardiaque (FEVG 20 % et troubles rythmiques) et l'administration de produit de contraste. L'évolution biologique est favorable. Le 23.01.2020, M. Y est transféré en médecine interne pour suite de prise en charge. Patient de 63 ans, avec plusieurs antécédents de pancréatite, est envoyé par son médecin traitant pour une suspicion de diabète inaugural. M. Y présente depuis 3 semaines une polydipsie avec une consommation en eau de 3 à 4 l/jour avec une polyurie associée (5 à 6x/jour), avec perte de poids de 5 kg en 2 mois. Pas de dysurie, pas d'algurie, pas d'hématurie. À l'anamnèse par systèmes, le patient se plaint encore d'une apparition de 4 à 5 épisodes de douleurs transitoires brèves, en barre au niveau des épaules irradiant dans la mâchoire, oppressives, d'une durée de 3-5 min, avec résolution spontanée. Pas de dyspnée, pas de palpitations. Pas de douleurs abdominales, pas de trouble du transit, pas de nausées ni vomissements. Fourmillement au niveau du pouce gauche depuis 3-4 jours. Le patient a été opéré d'un tunnel carpien quelques années auparavant. À l'arrivée aux Urgences, le patient est afébrile, normotendu à 115/75 mmHg, normocarde à 77/min, eupnéique avec une saturation en oxygène à 96% à l'air ambiant. Le statut cardiovasculaire, pulmonaire, abdominal et neurologique est dans la norme. L'ECG montre l'image d'un bloc de branche droit complet déjà connu. Le bilan biologique montre une hyperglycémie à 17.4 mmol/l et une hémoglobine glyquée à 11,2 %. Le stix urinaire montre une glucosurie sans corps cétoniques, le spot urinaire ne montre pas de protéinurie significative, l'albuminurie s'élève à 33 mg/l. La gazométrie ne montre pas de lactatémie significative. Nous retenons un diabète de type 2 inaugural décompensé. Le patient est hydraté avec 1 l de NaCl 0.9 %, nous administrons 6 U de Novorapid aux urgences, un traitement antidiabétique par metformine 1 g/jour est introduit puis le patient est hospitalisé en service de médecine avec mise en place dans un premier temps d'une insulinothérapie basal-bolus après discussion avec les diabétologues de Fribourg, avec Lantus 16 U/jour et un schéma correctif par Novorapid. Nous demandons également un consilium par les infirmières en diabétologie pour l'enseignement diabétique. L'hospitalisation s'est déroulée sans incidents, le patient apprend la manipulation de son glucomètre, les symptômes d'hypoglycémie et comment la traiter et bénéficie également de conseils alimentaires pour son régime diabétique. Le traitement antidiabétique est ensuite adapté, nous augmentons la Lantus à 20 U le soir et gardons la Metformine à 500 mg 2x/jour per os, en accord avec l'avis de la Diabétologie. Au vu d'un bon profil glycémique ne nécessitant pas d'administration d'insuline rapide, cette dernière est stoppée. M. Y rentre à domicile le 23.12.2019. Il rappellera le service de diabétologie le 06.01.2020 pour un rendez-vous de contrôle. Patient de 63 ans, cardiopathe ischémique connu, admis pour une coronarographie élective dans un contexte d'angor instable. Cet examen montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux, dont une sténose de 90-95 % de la 3ème branche marginale de l'artère circonflexe, qui constitue le vaisseau dominant de ce territoire, traitée par PCI/ 1 DES avec un bon résultat final, et une double sténose de 70-90 % de l'IVA moyenne, traitée par PCI/ 1 long DES avec un bon résultat final. Au niveau de l'artère coronaire droite, on retrouve la même sténose de 70-90 % de la RVP, avec à la ventriculographie une akinésie postéro-basale correspondante et séquellaire de l'infarctus de 1993, la fonction systolique globale du ventricule gauche étant conservée (FE : 54 %). Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pendant 6 mois, diminution du Bilol à 5 mg/j vu la bradycardie sinusale observée, reste du traitement inchangé.Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 10.01.2020 en bon état général. • Patient de 63 ans connu pour un adénocarcinome du corps gastrique et de l'antre de stade IV (métastases hépatiques) actuellement en rémission partielle (oncologue Dr. X), embolie septique pulmonaire basal droit en juillet 2019 nécessitant une anticoagulation par Xarelto avec comme complication une hémorragie digestive haute en décembre 2019 motivant un changement du Xarelto en Arixtra au vu de la présence des TVP bilatérales (bilan angiologique par Dr. X). Mr. Y se présente aux urgences de l'HFR Riaz le 07.01.2021 vers 20h45 suite à une hémorragie digestive haute avec une perte d'environ 1 litre de sang frais et de caillots. Au vu de l'instabilité hémodynamique et selon l'avis du gastroentérologue de garde, il est transféré le soir même aux urgences de l'HFR Fribourg pour une OGD en urgence. L'examen n'a pas objectivé de source de saignement actif; une pose de clip a été néanmoins effectuée. Le patient est retransféré en lit monitoré à l'HFR Riaz le 08.01.2020 à 03h00 du matin en raison d'un manque de place aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Durant la surveillance, le patient reste stable, sans récidive d'hémorragie, avec une hémoglobine de contrôle stabilisée à 88 g/l. Devant la complexité d'événements thrombo-emboliques dans un contexte néoplasique et les complications hémorragiques digestives récidivantes, une pose de filtre cave a été discutée avec le Dr. X (radiologue interventionnel). Dans ce contexte, Mr. Y est retransféré à l'HFR Fribourg le 08.01.2020 à 17h30 pour surveillance, pose de filtre cave et avis angiologique pour l'indication d'anticoagulation. • Patient de 64 ans, connu pour une pneumopathie interstitielle sous Azarek et Prednison, un syndrome métabolique ainsi qu'une hépatite B traitée, qui consulte les urgences le 12.01.2020 pour une dyspnée progressive depuis 5-6 jours, avec toux grasse augmentée avec expectoration jaune-vert en quantité augmentée (mais aspect habituel selon lui). Pas de DRS. Pas de fièvre ni frissons selon le patient. Oedème des membres inférieurs et ballonnement abdominal depuis 20 jours. Sous diurétique (Torasemid 20 mg) mais pas beaucoup d'amélioration. A noter que le patient a reçu le vaccin Fluarix Tetra le 05.11.2019. Il est traité habituellement sous 1L/h et dort assis. L'oxygène portable est vide à l'admission aux urgences. Nous réalisons un ECG rassurant et un laboratoire mettant en évidence un léger syndrome inflammatoire (CRP 26 mg/L sans leucocytose), des troubles électrolytiques, une perturbation des tests hépatiques (ASAT 163U/L, ALAT 88U/L, GGT 129U/L, LDH 756U/L, PhAlc 115U/L), NT-pro BNP à 13.257 ng/L, trouble de la crase INR spontané à 1.9. La gazométrie montre une alcalose et une hypoxémie, sans hypercapnie. La Rx thorax montre des épanchements pleuraux bilatéraux sans signe de foyer. Vu l'état fébrile constaté aux urgences, nous envoyons deux paires d'hémocultures en analyse et un frottis de grippe. Le frottis redevient positif au virus de l'Influenza A H1N1 le 13.01.2020 et le patient est isolé dans une chambre simple. Après avis infectiologie, en raison d'un état immunodéprimé, nous introduisons un traitement pour la grippe (Tamiflu). Sur le plan thérapeutique, nous administrons du Lasix 40mg IV, du Magnésium 2g IV et 2 cpr de Potassium effervescent PO. Le 14.01.2020 en présence de sa famille, le patient présente un arrêt cardio-respiratoire. Avec l'équipe des anesthésistes ainsi que des collègues de soins intensifs, un massage cardiaque est poursuivi pour une durée totale de 30 minutes, sans succès. Le patient décède à 12h00 le 14.01.2020. Nous suspectons la survenue d'une hémorragie pulmonaire causée par l'influenza A chez un patient immunosupprimé avec pneumopathie interstitielle. • Patient de 64 ans, qui consulte les urgences pour une dyspnée. Anamnèse compliquée. Depuis 24h, péjoration progressive de la respiration avec tachypnée. Pas de fièvre ni frissons selon le patient. Présence d'une toux grasse augmentée avec expectoration jaune-vert en quantité augmentée (mais aspect habituel selon lui), pas de DRS. Oedème des membres inférieurs et ballonnement abdominal. Sous diurétique mais pas beaucoup d'amélioration. Il est traité habituellement sous 1L/h et dort assis. L'oxygène portable est vide à l'admission aux urgences. Au statut, nous retrouvons : • Cardio : B1B2 purs et réguliers, pas de souffle audible, OMI bilatéral, mollets souples et indolores, Homans négatif. • Pulmonaire : Hypoventilation globale, légères sibilances aux apex, râles bi-basaux, crépitants base gauche. Nous réalisons un ECG rassurant et un laboratoire mettant en évidence un léger syndrome inflammatoire (CRP 26 mg/L sans leucocytose), des troubles électrolytiques, une perturbation des tests hépatiques (ASAT 163U/L, ALAT 88U/L, GGT 129U/L, LDH 756U/L, PhAlc 115U/L), NT-pro BNP à 13.257 ng/L, trouble de la crase INR spontané à 1.9. La gazométrie montre une alcalose et une hypoxémie, sans hypercapnie. La Rx thorax montre des épanchements pleuraux bilatéraux sans signe de foyer. Vu l'état fébrile constaté aux urgences, nous envoyons deux paires d'hémocultures en analyse et un frottis de grippe. Nous administrons du Lasix 40mg IV, du Magnésium 2g IV et 2 cpr de Potassium effervescent PO. Nous transférons le patient à l'HFR Fribourg pour hospitalisation en Médecine. • Patient de 65 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui se présente au service des urgences pour une majoration d'oedèmes des membres inférieurs. Après un retour à domicile de 48h durant les fêtes sous un traitement de diurétique, Mr. Y est hospitalisé en médecine interne. Durant le séjour, nous adaptons le traitement diurétique et introduisons de l'Aldactone. L'évolution de la surcharge hydrique est favorable. Nous vous proposons de suivre l'état volémique du patient et d'adapter le traitement diurétique en ambulatoire. Durant le séjour, une anémie est mise en évidence au bilan biologique. Nous retenons une origine inflammatoire probablement dans le contexte tumoral. Un concentré érythrocytaire est transfusé le 27.12.2019 avec un bon effet. Nous vous proposons de recontrôler l'hémoglobine à distance de l'hospitalisation. Un suivi en ambulatoire par l'équipe de Voltigo est mis en place en accord avec la volonté du patient. Mr. Y rentre à domicile le 06.01.2020. • Patient de 65 ans souffrant de VIH avec virémie indétectable qui présente depuis 2 semaines une toux productive avec des expectorations jaunâtres et une dyspnée à l'effort. Mr. Y relate des épisodes de fièvre avec frissons, ainsi qu'une perte d'appétit depuis quelques jours. A l'admission aux urgences, le patient est afébrile et eupnéique, saturant bien à l'air ambiant. A l'examen clinique, nous retrouvons des râles crépitants bi-basaux. Au bilan biologique, nous remarquons un syndrome inflammatoire. Mr. Y est connu pour une insuffisance rénale chronique avec une légère péjoration de la fonction rénale dans le contexte infectieux et une créatinine à 141 umol/l à l'arrivée. Devant une clinique de pneumonie, toutefois sans foyer constitué à la radiographie, il est traité par Rocéphine 2 g en IV puis relayé par de la Céfuroxime per os pour un total de 7 jours. L'évolution clinique et biologique est favorable avec une fonction rénale qui revient à ses valeurs habituelles avec une kaliémie à 5.1 mmol/l qui reste à recontrôler à une semaine. Mr. Y regagne son domicile le 31.12.2019 avec un rendez-vous à votre consultation le 07.02.2020.Patient de 67 ans, admis en Stroke unit monitorée le 24.01.2019 en raison d'un AVC ischémique pariéto-occipital droit. Il présente initialement le 24.01.2020 vers 13 heures une diminution de la vision périphérique gauche suivie de céphalées persistantes et motivant son admission aux urgences à 18 heures. A l'entrée, le NIHSS est à 4 points, avec une hémianopsie homonyme à gauche et une ptose labiale à gauche. Le CT cérébral montre un AVC ischémique aigu constitué occipito-pariétale droite, sans asymétrie des cartes de perfusion ni occlusion du polygone de Willis. Durant la période de surveillance, nous n'observons pas de troubles du rythme cardiaque. Le NIHSS est évalué à 3 tout au long du séjour (ptose labiale droite, hémianopsie homonyme gauche). Sur avis neurologique, le traitement par aspirine est maintenu sans adjonction de Plavix et le Simcor est changé pour de l'Atorvastatine (taux de LDL cible: < 1.4 mmol/l). L'HgA1C est normale. Dans le cadre du bilan étiologique, une IRM du neurocrâne, une échographie transthoracique et un holter sont demandés et restent à suivre. Le 26.01.2020, Mr. Y est transféré vers le service de médecine interne pour suite de prise en charge. Patient de 67 ans, connu pour une insuffisance cardiaque gauche excentrique sévère, hospitalisé en électif pour une pose de Pacemaker. Mr. Y bénéficie de la pose d'un Pacemaker CRT-P. L'intervention se déroule sans complication. Une radiographie de thorax confirme le bon positionnement des sondes et exclut un pneumothorax. Le contrôle initial du pacemaker est sans particularité. Le séjour à l'étage se déroule favorablement, le patient restant confortable et ne présentant pas de plaintes. Il sera revu par son médecin traitant pour un contrôle de plaie puis par le Dr. X à un mois. Mr. Y rentre à domicile le 15.01.2020. Patient de 68 ans, connu pour adénocarcinome pulmonaire D en traitement par Keytruda et Alimta, qui depuis hier soir relate un BEG avec épisodes de frissons et fièvre. Toux avec crachats blanchâtres et céphalées. Perte d'appétit depuis plusieurs jours. Brûlures mictionnelles depuis début traitement chimio. Vacciné pour la grippe (en début novembre). La Dr. X lui a prescrit des antibiotiques vendredi (il ne se rappelle pas lequel; pas de données dans le système). A son arrivée, EF à 38.5. Au status effectué aux urgences: bien orienté dans le temps et l'espace. GCS 15/15 CV: B1B2 bien frappés sans souffle audible. Pas d'OMI. Resp: Hypoventilation base D. Pas d'autres bruits surajoutés. Abdo: souple et indolore, sans défense ni détente. Nous réalisons un bilan biologique qui met en évidence une CRP à 111, leuco 5.6. Un sédiment urinaire revient négatif. Une insuffisance rénale aiguë sur probable déshydratation (créatinine à 122) a aussi été mise en évidence. Nous administrons une perfusion de NaCl 1000 mL/24h. Nous débutons une antibiothérapie à base de Rocephin 2g iv et Klacid 500 mg 2x/j dans la suspicion de pneumonie. Le patient est hospitalisé en médecine à l'hôpital de Meyriez. Patient de 68 ans, connu pour diabète, hypertension artérielle et schizophrénie, vivant à Horizon Sud, chute à 17h45 en avant avec traumatisme crânien avec perte de conscience. A l'hétéroanamnèse avec l'éducatrice, nous apprenons que celle-ci a été alertée par un bruit, se trouvait à environ 2m de la patiente. A son arrivée, la patiente se trouve en décubitus latéral, les yeux ouverts. Épisode d'aphasie avec perte de contact durant environ 1 minute. Pas de mouvement tonico-clonique, pas de grognement ou comportement étrange. La patiente aurait parlé d'un parapluie puis aurait spontanément dit qu'il s'agissait d'une blague. La patiente se plaint de douleurs aux jambes, à la tête et se plaint de remontées acides depuis. Anamnèse difficile, pas de notion de perte d'urine, pas de douleur rétrosternale, pas de dyspnée, pas de palpitations. Pas de vertiges. Pas de perte d'équilibre. Pas de trouble de la vue. Chute il y a 5 jours également, sans témoin, présence d'hématome au genou G ainsi qu'une égratignure à la joue (infirmière alertée par les cris de la patiente, glycémie mesurée dans la norme). Il s'agissait du premier épisode de chute. Douleurs au genou gauche et à la tête dans la région occipitale droite. Ralentie selon l'éducatrice, mais pas inquiétante selon elle. Est dépressive ces jours selon l'éducatrice. Général: normocarde, normotendu, afébrile. Cardio: B1B2 bien frappés, pas de souffle. Pas d'OMI. Pouls périphérique palpable. Pulm: MVS, pas de bruits surajoutés. Neuro: GCS 15/15, désorienté en espace, en temps. Pupille isocore isoréactive, NC III à XII grossièrement dans la norme. Pas de déficit sensitivo-moteur. ROT symétriques et normovifs. Crâne: œdème au niveau occipital droit, pas de chaleur, pas de rougeur, pas de plaie, douleur à la palpation occipital droit. Genou: œdème au genou gauche, pas de rougeur, pas de chaleur. Douleurs à la palpation du condyle interne. Limitation de la mobilité. Douleurs à la flexion du genou. Pas d'hyperlaxité. Pas de boiterie. Rachis: pas de cervicalgies, pas de douleurs à la palpation du rachis, pas de douleurs à la percussion. Pas de contracture paravertébrale. Pas de limitation de la mobilité. L'ECG ne met pas en évidence d'anomalie, le laboratoire est aligné. La gazométrie montre des lactates à 4.2 ainsi qu'une hyperglycémie. Nous demandons un avis chirurgical auprès du Dr. X, qui propose de compléter le bilan par un CT scan cérébral et d'hospitaliser la patiente en chirurgie pour surveillance neurologique. Nous revoyons cette indication avec le Dr. X au vu des lactates à 4.1, nous hospitalisons la patiente au MedU, avec surveillance neurologique toutes les 3 heures. En raison des douleurs au genou gauche, nous effectuons une radiographie du genou qui ne montre pas de signe de fracture, mais une importante dégénérescence arthrosique. Nous contactons le Dr. X, orthopédiste, qui propose un recontrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Nous réévaluons la patiente le matin du 16.01. L'anamnèse reste compliquée en raison des comorbidités de la patiente. Celle-ci relate néanmoins qu'elle n'a pas de symptômes. La patiente peut marcher librement et a pu manger. Nous appelons son foyer pour compléments d'informations (rajoutées directement dans la synthèse). L'examen neurologique se retrouve dans la norme, hormis hyporéflexie membre inférieur gauche (rotulien, achiléen) avec Babinski négatif et légère amyotrophie également du membre inférieur gauche. Nous demandons un avis auprès des neurologues qui préconisent la réalisation d'un EEG ce jour à l'HFR cantonal à 14h et répétition des CK, Lactates (à pister). Nous informons Horizon Sud de la situation. Son retour sera réévalué par les neurologues selon les résultats de l'EEG. Patient de 68 ans qui nous est transféré de l'HFR Fribourg pour prise en charge d'une pneumonie aiguë communautaire lobaire inférieure droite le 20.01.2020. A l'anamnèse, le patient rapporte depuis quatre jours une fièvre, des frissons ainsi qu'une toux avec expectorations blanchâtres. Il aurait été mis sous Tavanic par son oncologue, le Dr. X, depuis le 17.01.2020 mais sans amélioration clinique, d'où sa consultation aux urgences de Fribourg. Au status, le patient est asthénique, fébrile à 38.5°C, polypnéique mais saturant à 93% à l'air ambiant, TA 110/60 mmHg et FC à 88 bpm. A l'auscultation pulmonaire, on retrouvait une hypoventilation basale droite mais le reste était sans particularité. La radiographie du thorax est compatible avec une pneumonie et le laboratoire montre une CRP à 111 mg/l. Nous mettons alors en place une antibiothérapie par Rocéphine i.v pendant 7 jours (la clarythromycine ayant été arrêtée devant les antigènes urinaires négatifs et la localisation lobaire du foyer infectieux) avec bonne évolution respiratoire puis infectieuse. Le patient étant allergique à la pénicilline et la lévofloxacine n'ayant pas apporté d'amélioration, nous n'avons pas relayé la Rocéphine.Le bilan biologique a montré une acutisation AKIN 1 de son insuffisance rénale chronique pour laquelle nous avons mis en place une hydratation i.v. Un contrôle à distance de la fonction rénale est recommandé. Devant une bonne évolution clinique, Mr. Y peut retrouver son domicile le 27.01.2020 et prendra lui-même contact avec le Dr. X pour l'organisation de la prochaine immunothérapie (la Dr. X étant injoignable au moment de la sortie du patient). Patient de 69 ans amené en ambulance, connu pour une HTA traitée par Meto Zerok 50 mg et Remzek 8/12 mg et une pancréatite, présente ce jour un épisode de malaise vers 10 h ce matin, sans PC, d'une durée de 15 min. Pas de PC, avec une gêne dans la gorge, qui est arrivé au repos soudainement. Mr. Y se sentait fatigué depuis 2 semaines. Toux depuis 3 semaines, avec crachats mucus, pas de sang. Pas de dyspnée, pas de DRS. Pas de fièvre, mais frissons. Scintillement dans les yeux quelques semaines d'une durée de 10-15 min. Pas de trauma, pas de PC. A : Voies aériennes libres B : FR à 14 /min, SaO2 à 89% à AA, SaO2 à 93 % avec O2 3L. C : TC à 63/min, régulier et TA à gauche 76/49, TA à droite 77/67 - température à 35.9°, marbrure, tremblant D : GCS 15/15, Cincinnatti à 2, myosis bilatérale, pupille isoréactive ddc. Pas de déficit sensitivo-moteur, E : EVA 2/10, glycémie 6, T° 35.9 A son arrivée, le patient présente une importante hypotension ne répondant pas au remplissage. Le patient est scopé et 3 VVP sont rapidement posées. L'ECG ne montre pas de trouble de la repolarisation, ni de trouble du rythme. Nous effectuons une gazométrie qui montre une hypocapnie à 3.9, une hypoxémie à 7.7, des bicarbonates à 19 et lactates à 4.5. Nous prélevons un laboratoire et des hémocultures. En raison de l'absence de réponse au remplissage, un soutien par noradrénaline est débuté. Le patient présente une bradycardie à 37 suivi d'une asystolie, nous administrons immédiatement 0.5 mg d'atropine et de l'éphédrine ce qui permet de rétablir une tension artérielle et un pouls. Le patient présente par la suite une tachycardie et la noradrénaline peut être rapidement sevrée. Une tentative de monitorage invasif par cathéter artériel est réalisée mais sans succès. En raison de l'hypoxémie et de la notion de toux, un choc septique d'origine pulmonaire est suspecté. Les D-Dimères revenant positives par la suite, une embolie pulmonaire est alors également envisagée mais le patient est alors trop instable et ne peut bénéficier dans l'immédiat d'un scanner thoracique. Nous mettons en place une sonde urinaire et prélevons des urines pour des antigènes légionnelles et pneumocoques. Nous administrons également 2 g de Rocéphine IV. Au vu de l'instabilité hémodynamique, le patient est rapidement transféré aux soins intensifs de Fribourg via le SMUR pour la suite de la prise en charge. Patient de 70 ans qui nous est adressé par les urgences de l'HFR Fribourg pour une hypoglycémie. Le patient est amené en ambulance à Fribourg pour une syncope avec perte de connaissance de temps indéterminé. Il a été retrouvé au sol à domicile par son frère. Sur site, la glycémie est à 1,8 mmol/l et le patient est confus. Les ambulanciers donnent du glucose per os et intraveineux. Par la suite, Mr. Y ne décrit aucun prodrome mais présente une amnésie circonstancielle. Au status d'entrée dans notre unité, le patient est conscient et éveillé. Les paramètres vitaux sont dans la norme. L'auscultation cardio-pulmonaire est sans anomalie. On note des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux. L'abdomen est souple, dépressible et indolore. Après discussions avec nos collègues de la diabétologie de Fribourg, nous adaptons l'insulinothérapie jusqu'à atteindre un profil glycémique stable sous Levemir 10-0-3 UI. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y n'a pas présenté de récidive d'hypoglycémie, et l'instabilité initiale de son profil serait expliquée par le changement nutritionnel (selon la diabétologie de Fribourg). Mr. Y a présenté un profil tensionnel plutôt bas raison pour laquelle l'Aprovel a été mis en suspens. Pour une raison inconnue, le beloc zok avait été doublé aux Urgences de Fribourg. Nous reprenons le dosage habituel. Nous vous proposons la poursuite de la surveillance des tensions et d'adapter le traitement en fonction. Un holter rythmique ainsi qu'un contrôle de son pacemaker avaient été proposés à Fribourg, que nous vous laissons le soin d'organiser. Des troubles électrolytiques multiples ont été oralement substitués. L'anémie normochrome normocytaire connue semble actuellement en amélioration. Devant des propos incohérents, un discours logorrhéique, une désinhibition et un doute sur la gestion de son diabète, des tests cognitifs ont été répétés révélant un MMS et test de l'horloge combinés à 6/9, faisant penser à des troubles exécutifs en premier lieu. Nous recommandons fortement une imagerie cérébrale à la recherche d'une étiologie expliquant ces troubles cognitifs nouveaux. Le 13.01.2020, nous transférons Mr. Y pour la suite de la prise en charge en réhabilitation à l'HFR Riaz. Patient de 71 ans cardiopathe ischémique connu avec un s/p triple pontage en mars 2015, admis pour une coronarographie élective dans un contexte de dyspnée, avec une IRM de stress positive pour ischémie. L'examen démontre une occlusion des trois pontages. Il existe deux occlusions chroniques de la CD et de la circonflexe ainsi qu'une sténose serrée de l'IVA proximale. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'IVA proximale avec un stent actif et excellent résultat final. La fonction VG est modérément altérée avec une FEVG à 40 %. Aspirine 100 mg 1-0-0 et statine à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 22.01.2020 en bon état général. Patient de 71 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour la surveillance hémodynamique suite à une chirurgie de mise à plat d'un anévrisme de l'aorte abdominale par tube droit et adhésiolyse. La chirurgie s'est déroulée sans complications. L'antalgie est assurée initialement par un cathéter péridural avec un effet insatisfaisant. Une PCA est ainsi mise en place. Le patient reste hémodynamiquement stable. Les pouls des membres inférieurs sont bien perçus. Une anticoagulation prophylactique par clexane est instituée. Des douleurs au mollet droit le 22.01.2020 motivent un US doppler à la recherche d'une TVP qui l'exclut. Un épisode de désaturation sur atélectase et épanchement pleuraux le 22.01 motivant VNI et Lasix, après exclusion d'une embolie pulmonaire par CT thoracique. L'évolution par la suite est favorable de ce point de vue. Une physiothérapie respiratoire et VNI x2 par jour est à continuer à l'étage. Le 23.01.2020, Mr. Y est transféré vers le service de chirurgie pour la suite de prise en charge. Patient de 71 ans, diabétique, adressé par sa médecin traitant à la permanence de Meyriez le 13.01.2020 en raison de la persistance d'une dyspnée depuis 1 semaine, sans amélioration malgré une antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g 2x/j du 06 au 12.01.20 avec par ailleurs un important syndrome inflammatoire biologique. À noter que le patient décrit à son arrivée une douleur thoracique rétrosternale oppressive irradiant vers la gauche, transfixiante apparue brutalement lundi 06.01.20 au repos. Douleurs persistantes depuis, actuellement à 9/10 associées depuis lors à une dyspnée au repos, aggravées en décubitus latéral. Symptômes décrits comme stables depuis lors. Il ne décrit ni état fébrile ni toux ni expectorations.Un syndrome coronarien est exclu. Au vu de l'anamnèse, nous effectuons un CT thoracique afin d'exclure une embolie pulmonaire et une dissection aortique. Un volumineux épanchement péricardique (circonférentiel de 2,3 cm) est mis en évidence. Nous adressons en urgence le patient pour évaluation cardiologique et échocardiographique à Fribourg pour la suite de la prise en charge. Patient de 72 ans, connu pour myélome multiple en rémission post-autogreffe et une pneumonie à pneumocoques en novembre 2019, qui se présente au service des urgences pour un état fébrile supérieur à 40 degrés depuis 7 jours. Un traitement par Tazobactam est instauré pour une suspicion de foyer pulmonaire visualisé à la radiographie. Il est hospitalisé en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Malgré une antibiothérapie par Tazobactam, le patient reste fébrile à > 40° à 48 h, motivant l'ajout du Klacid sans amélioration. Les résultats des expectorations, des antigènes urinaires et des hémocultures prélevées initialement reviennent négatifs. Le CT thoracique montre des nodules centro-lobulaires en verre dépoli et quelques condensations de taille péri-centimétrique. Nous suspectons une étiologie médicamenteuse au vu d'une éosinophilie en augmentation motivant l'arrêt des traitements antibiotiques, permettant une résolution de l'état fébrile ainsi qu'une résolution progressive de l'éosinophilie. Au vu d'une chronologie atypique avec des états fébriles malgré l'absence d'antibiothérapie à domicile, une bronchoscopie est effectuée avec un lavage broncho-alvéolaire qui ne retrouve pas de PCP, et la cytologie montre une alvéolite mixte avec une éosinophilie marquée. Les Beta-D glucane et galactomannanes reviennent négatifs. Après discussion avec les infectiologues, nous élargissons le bilan avec des sérologies pour la toxoplasmose, CMV, EBV et HIV qui reviennent négatives. Une étiologie infectieuse ayant été raisonnablement écartée, un traitement de stéroïdes est instauré pour couvrir une possible étiologie immuno-allergique ou une GvH autologue post-autogreffe atypique. Au vu de la persistance de sudations nocturnes importantes malgré l'absence d'état fébrile, nous effectuons une électrophorèse des protéines qui ne montre pas de récidive de myélome; à noter l'absence de blastes au frottis sanguin. Un CT abdominal ne met pas en évidence d'éléments parlant pour une nouvelle néoplasie. Un rendez-vous de suivi en oncologie avec Dr. X est planifié le 14.01.2020 avec un contrôle de la formule sanguine. À noter une pancytopénie en péjoration dans le contexte de l'état fébrile nécessitant un soutien transfusionnel. Au vu d'une immunosuppression probable post-autogreffe, nous effectuons un dosage des CD4 qui reviennent abaissés à 114/mm3 motivant l'introduction d'une prophylaxie par aérosols de Pentamidine à poursuivre jusqu'à un taux de CD4 supérieur à 200/mm3. Une prophylaxie par Valtrex à vie est instaurée au vu d'un antécédent de Zona sur avis infectiologique. Durant l'hospitalisation, un culot érythrocytaire non irradié est transfusé au patient alors qu'il est connu pour une greffe de moelle autologue en septembre 2019. Une réaction de type greffe versus hôte transfusionnelle n'est pas constatée durant le séjour. Les mesures nécessaires sont mises en place pour irradier les futurs culots du patient. Mr. Y rentre à domicile le 09.01.2020. Patient de 73 ans, connu pour une cardiomyopathie dilatée hypertensive et rythmique avec une FEVG estimée à 20-30 %, hospitalisé jusqu'au 07.01.2020 aux soins palliatifs de Meyriez pour une probable colite débutante du cæcum. Pendant ce séjour-là, les traitements diurétiques avaient dû être suspendus en raison d'une insuffisance rénale. À sa sortie, les traitements avaient été repris hormis le torasémide en raison d'un profil tensionnel limite inférieure et d'un état volémique superposable à son entrée. Nous avions recommandé un suivi rapproché chez son médecin traitant. Le 08.01.2020 au soir, Mr. Y développe une dyspnée brutale en montant les escaliers. Il décrit également une orthopnée d'installation progressive depuis plusieurs jours et une prise pondérale de 5 kg. Celle-ci n'avait pas été transmise au médecin responsable le jour du départ du patient. Au status, le patient présente des râles crépitants diffus bilatéraux prédominants aux 1/3 inférieurs, sans sibilance, ainsi que des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet bilatéralement. Le laboratoire montre des NTpro-BNP élevés, une fonction rénale stable et une CRP à la baisse depuis la sortie. La radiographie du thorax confirme la suspicion de décompensation cardiaque. Un traitement par Lasix et Metolazone est introduit. Le patient est réhospitalisé aux soins palliatifs de Meyriez et bénéficie d'une réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physiothérapie, ergothérapie, art-thérapie, psycho-oncologie, aumônerie, service de liaison et colloque interdisciplinaire hebdomadaire. Sur le plan cardiaque, nous retenons que la décompensation est secondaire à un traitement médicamenteux insuffisant avec la mise en suspens du Torasémide. Nous n'effectuons pas d'investigations supplémentaires. La dyspnée évolue favorablement avec le traitement diurétique, tout comme le poids qui se stabilise à 50 kg. Un traitement de fond à base de 40 mg/j de Torasémide est repris. Nous vous prions d'évaluer prochainement l'adaptation du traitement diurétique à votre consultation. En conséquence du traitement, la fonction rénale de Mr. Y s'est dégradée avec un débit de filtration glomérulaire estimé à 38 ml/min/1,73 m2 le 17.01.2020. Nous vous prions de suivre la fonction rénale et le poids prochainement à votre consultation. Mr. Y peut quitter notre service pour son domicile le 20.01.2020. Patient de 73 ans, qui consulte à la Permanence le 01.01.2020 pour des douleurs en fosse iliaque droite évoluant depuis 36 h en aggravation progressive sans autres symptômes digestifs associés. Au status, le patient est afébrile, l'abdomen est douloureux en fosse iliaque droite avec une défense et détente localisée. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire biologique et une insuffisance rénale aiguë. Un CT abdominal natif est réalisé permettant d'exclure une appendicite et une diverticulite, avec cependant mise en évidence d'un épaississement aspécifique du cæcum. Une colite débutante est suspectée et une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone débutée. Le patient bénéficie d'une réhabilitation palliative complexe multidisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie, art-thérapie, psycho-oncologie, aumônerie et service de liaison. Sur le plan infectieux, un relais par Co-amoxicilline adaptée à la fonction rénale est réalisé dès le 02.01.2020, initialement iv puis per os dès le 06.01.20 pour une durée totale de 7 jours. Le patient demeure afébrile et ses douleurs se résolvent progressivement avec ce traitement. Sur le plan rénal, le patient est hydraté, avec à sa sortie un retour à sa créatinémie habituelle. Devant l'insuffisance rénale aiguë prérénale initiale, puis d'un profil tensionnel plutôt bas et l'absence de signes de surcharge cardiaque, le traitement diurétique de Torasémide est suspendu. Nous préconisons un suivi rapproché chez son médecin traitant pour déterminer quand réintroduire le diurétique de l'anse. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 07.01.2020. Patient de 74 ans, connu pour troubles de la personnalité à trait dépendant, probable démence débutante avec suspicion d'épilepsie, qui chute le 19.12.2019 avec réception du cou sur un radiateur engendrant une large plaie au niveau du menton. Le patient rapporte une perte de connaissance ainsi qu'une amnésie rétrograde; pas de morsure de langue ni de perte d'urine, sans état post-critique.Aux urgences, nous mettons en évidence une lésion cutanée de 10 X 10 cm en lambeau avec atteinte des tissus profonds au niveau mentonnier. Il n'y a pas de plaie du scalp ni de douleurs du massif facial ou des cervicales. L'examen neurologique revient dans la norme. Un CT cervico-cérébral natif est réalisé au vu du traumatisme cervical et de la perte de connaissance, ne pouvant exclure un traumatisme crânien. L'examen ne rapporte ni saignement intracrânien ni lésions cervicales, mais une fracture des os propres du nez non déplacée, sans autres fractures visualisées au niveau du massif facial. Un avis est pris auprès du Dr. X, qui propose une réfection de plaie au bloc opératoire sous anesthésie générale. Un rappel antitétanique a été effectué. Après sa prise en charge chirurgicale, le patient rentre à son foyer dans l'après-midi du 19.12.2019. Malheureusement, il revient dans la soirée, après une nouvelle chute, dont le contexte est à nouveau peu clair. Le patient se plaint de douleurs de la hanche droite avec impotence fonctionnelle ainsi que d'une douleur du mollet droit. Aux urgences, nous mettons en évidence un membre inférieur droit en rotation externe et adduction avec douleurs à la palpation de la hanche droite. On note une morsure de langue latérale gauche et au bilan biologique, on note des lactates à 2.5 mmol/l. A noter également des D-dimères à 17000, dosées dans le contexte de douleurs du mollet droit. Des radiographies bassin et hanche droite montrent une fracture périprothétique Vancouver B. Concernant le traumatisme crânio-cervical, un contrôle de la plaie est à poursuivre. Pour la fracture des os propres du nez, une antibiothérapie par Co-Amoxicilline a été débutée en raison de la présence concomitante de la plaie sous-mandibulaire. Concernant la fracture péri-prothétique Vancouver B, nous complétons le bilan par un scanner et transférons le patient à l'HFR Fribourg en raison d'une incapacité à procéder rapidement à l'intervention chirurgicale. Concernant la suspicion de TVP (douleur mollet droit, D-dimères positifs), un ultrason infirme le diagnostic, avec des douleurs à mettre dans le contexte de fracture de hanche et des D-dimères expliquées par ladite fracture. Concernant la notion d'épilepsie, nous réalisons un dosage du Valproate, que nous proposons à nos collègues de Fribourg de pister et d'adapter le traitement selon résultat. Dans la nuit du 19 au 20.12.2019, le patient présente un trouble de l'état de conscience avec un GCS à 8/15 ; à noter l'administration d'Oxycontin pour l'antalgie ainsi qu'une notion d'épilepsie. Une gazométrie rapporte une discrète acidose métabolique avec pH à 7.36, bicarbonates à 20 mmol et lactates à 5.7 mmol/l. A noter également une hypoxémie à 8.7 kPa. Dans la suspicion d'une intoxication aux opiacés, nous administrons la Naloxone qui permet de recouvrer un état de conscience habituel. Au vu de l'aspect transitoire de ce trouble de l'état de conscience avec des lactates augmentés, nous gardons également comme diagnostic différentiel une crise d'épilepsie avec état post-critique. Mr. Y, patient de 74 ans, connu pour un carcinome urothélial du bassinet et de l'uretère proximal gauche, qui nous est adressé pour réadaptation palliative suite à une probable pneumonie atypique. En effet, Mr. Y est hospitalisé dans le service de médecine interne depuis le 27.11.19 car il présente depuis un mois une dyspnée en aggravation progressive, alors NYHA IV, associée à une toux avec l'apparition d'un état fébrile. Une pneumonie atypique est suspectée au vu des images radiologiques et de l'évolution non favorable sous Ceftriaxone seule. Malgré une résolution de l'état fébrile après le relai d'antibiothérapie par Levofloxacine, la dyspnée persiste et le périmètre de marche est insuffisant pour permettre un retour à domicile, motivant son transfert chez nous. A l'évaluation d'entrée, Mr. Y décrit principalement une dyspnée NYHA IV, une asthénie et une inappétence. Au status, l'auscultation pulmonaire est lointaine avec des discrets râles base droite. Mme. Y bénéficie d'une réhabilitation palliative complexe multidisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie, art-thérapie, psycho-oncologie, aumônerie et service de liaison. Sur le plan pulmonaire, au vu de la persistance d'une dyspnée invalidante et d'une oxygéno-dépendance malgré un traitement antibiotique adéquat pour traiter la pneumonie atypique, nous poursuivons les investigations étiologiques. Une bronchoscopie est réalisée le 12.12.19 qui objective des sécrétions jaunes troubles, obstruant le lobe inférieur gauche, confirmant la composante infectieuse à son tableau clinique. Un lavage broncho-alvéolaire est réalisé. A noter par ailleurs l'absence de tumeur endobronchique, d'un LBA sans cellules tumorales et d'un CT sans suspicion pour une atteinte tumorale pulmonaire. En effet, un scanner a été réalisé sur conseil des infectiologues afin d'exclure un abcès pulmonaire. Une probable BPCO sous-jacente est également suspectée (ancien tabagique à 80 UPA, emphysème au scanner thoracique et atteinte obstructive des petites voies aériennes suspectée lors des fonctions pulmonaires en 08.2017) motivant l'introduction empirique d'un traitement de fond d'aérosols. Des fonctions pulmonaires seront réalisées à distance de l'épisode infectieux. L'évolution n'étant que lentement favorable, nous introduisons selon avis pneumologique une corticothérapie par Prednisone 50mg/j le 20.12.19 pour 7 jours au vu de la mise en évidence d'une alvéolite lymphocytaire au LBA. L'évolution est finalement favorable avec un patient moins dyspnéique et nécessitant seulement 1L/min d'oxygène. Une pneumopathie induite par l'immunothérapie nous semble peu probable au vu de la chronologie des symptômes. Sur le plan oncologique, une première dose d'immunothérapie par Keytruda comme traitement de 2ème ligne a été débutée le 26.11.19. Au vu de l'état général, du contexte infectieux et de l'origine incertaine de la pathologie pulmonaire, nous repoussons la seconde dose (initialement prévue le 17.12.2019) au 03.01.2020. La dose suivante est prévue le 23.01.2020. Au vu de l'évolution, le patient rentre à domicile le 04.01.2020 avec de l'oxygène et des soins à domicile 3x/semaine. Un suivi par Voltigo est également instauré. Mr. Y, patient de 74 ans, qui consulte à la permanence pour une infection virale des voies respiratoires supérieures pour laquelle nous retenons une origine virale, au vu de l'absence d'état fébrile, d'un score de Centor négatif et d'une radiographie thoracique sans foyer. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Mr. Y, patient de 75 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique dialysé et une maladie coronarienne avec dysfonction systolique sévère, est admis pour une coronarographie élective. L'examen invasif du jour permet d'exclure une sténose significative du tronc commun à l'aide de l'imagerie intracoronaire (IVUS). On retrouve l'occlusion chronique de la deuxième marginale de petit calibre. La coronaire droite est petite et dominée avec une sténose significative de la portion moyenne. Le cathéterisme cardiaque G-Dt démontre une sténose aortique modérée qui concorde avec l'ETT et l'échocardiographie de stress. Il y a une hypertension pulmonaire légère. La fonction systolique VG est sévèrement abaissée. Les axes vasculaires ilio-fémoraux sont très calcifiés et tortueux. La dysfonction VG n'est pas expliquée par une atteinte coronarienne ni par la conséquence d'une sténose aortique sévère. Un remplacement vasculaire percutané (TAVI) n'est pas indiqué.Poursuite du traitement habituel. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 25.01.2020 en bon état général. • Patient de 75 ans qui consulte suite à une morsure de chat survenue la veille. Un examen clinique ciblé montre notamment une importante tuméfaction de la face dorsale de la main droite en regard de la morsure. Un bilan biologique montre un très léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 7 mg/L ainsi qu'une leucocytose à 10.0 G/L. Le reste du bilan biologique est aligné. Au vu de la constellation clinique, nous administrons une dose d'antibiotique de charge de co-amoxicilline 2.2 g i.v. avant un relais per os 1g 3x/j. pour 7 jours. Nous mettons en place une immobilisation à l'aide d'une attelle Edimbourg. Le patient sera vu pour un contrôle clinico-radiologique dans 48 heures à la Permanence. Dans l'intervalle, il doit reconsulter en urgence si péjoration de la tuméfaction, péjoration de la présentation clinique de la morsure ou apparition de fièvre. • Patient de 75 ans qui était hospitalisé dans notre unité en lit d'attente d'EMS et qui nous est transféré en médecine interne aiguë le 17.01.2020 pour un épisode de décompensation cardiaque. En effet Mr. Y nous avait été transféré de Fribourg en attente d'un placement en EMS. Durant son séjour de reclassement, il avait présenté une bronchite d'allure virale, traitée symptomatiquement. Puis le 17.01 au matin, le patient a présenté un épisode de dyspnée aiguë avec une FA rapide à 150 bpm. La biologie montrait une franche élévation des NT-ProBNP à 8 065 ng/l ainsi qu'une CRP à 157 mg/l. Nous posons alors le diagnostic de décompensation cardiaque sur surinfection bronchique et FA rapide. Nous mettons alors en place un traitement par Lasix i.v et digoxine et augmentons les doses de Belock Zok. La fréquence cardiaque se stabilise rapidement autour de 65 bpm. L'infection nosocomiale est traitée par Cefepime i.v pendant 5 jours. Nous obtenons par la suite une nette amélioration clinique et reprenons, de ce fait, le traitement par Torasémid oral. Mr. Y est suivi par un psychiatre, le Dr. X, pour un trouble de la personnalité de type dépendante avec notion de dépendance aux benzodiazépines et aux opiacées qui avaient été totalement arrêtés au cours de son hospitalisation à Fribourg en novembre 2019. Au cours de son séjour de reclassement, nous avions discuté avec le Dr. X qui concluait au diagnostic de trouble cyclique actuellement en phase dépressive. Nous avons donc repris un traitement par Nozinan et Brintellix, avec une très bonne évolution des symptômes. Le laboratoire a montré une bicytopénie dont nous n'avons pas retrouvé d'origine claire. Un contrôle à distance de l'épisode infectieux est recommandé. Le 23.01.2020, le patient a présenté un intertrigo du scrotum. Nous avons introduit un traitement antimycotique qui n'a pas amélioré les lésions. Sur avis dermatologique, nous introduisons un traitement de Sicorten avec bonne évolution. Face à un état clinique stable, le 27.01.2020, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patient de 76 ans, connu pour un carcinome de la vessie métastatique, qui est hospitalisé par la Permanence de l'HFR Meyriez pour prise en charge d'une infection d'origine indéterminée, ainsi qu'une insuffisance rénale. À l'entrée, le patient rapporte une pollakiurie et macrohématurie habituelle ou légèrement augmentée. Il rapporte également une douleur sus-pubienne due au cancer et stable. En revanche, depuis 1 semaine, il présente une asthénie et depuis 2 jours des frissons sans fièvre mesurée. À l'hétéroanamnèse, la femme rapporte une confusion nouvelle depuis une semaine. L'anamnèse systématique est sans particularité, sans piste d'infection pulmonaire, neurologique ou dermatologique. À l'examen clinique, le patient présente une douleur à la palpation sus-pubienne, avec un abdomen souple, sans défense ou détente. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Il ne se trouve pas de signes cliniques pour une infection pulmonaire, cardiaque, neurologique ou dermatologique. Le patient vit avec son épouse, est indépendant et se déplace sans moyens auxiliaires. Dans le contexte du diagnostic principal, ainsi qu'un patient refusant des investigations supplémentaires, nous débutons une antibiothérapie empirique par Rocéphine. Le diagnostic reste incertain, nous suspectons cependant une infection dans le contexte du carcinome urothélial. Par la suite, l'évolution clinique et biologique est favorable, et nous effectuons un relais par Ciproxine 500 mg le 02.01.2020. L'antibiothérapie est à poursuivre jusqu'au 04.01.2020. Par rapport à l'insuffisance rénale, le traitement par Janumet, Ecofenac ainsi que l'Hydrochlorothiazide est mis en suspens dès le 31.12.2020. Le contrôle biologique du 02.01.2020 ne montre pas d'amélioration. Cependant, la filtration glomérulaire reste au-dessus de 30 ml/min/1.73 m², le traitement par Hydrochlorothiazide est donc réintroduit. Les glycémies étant stables entre 6 et 10 mmol/l lors de l'hospitalisation, nous ne réintroduisons pas de traitement antidiabétique et vous prions de réévaluer cela à votre prochaine consultation. Concernant le diagnostic principal, nous mettons le patient en contact avec l'équipe Voltigo afin d'assurer des soins palliatifs à domicile. Il devrait avoir un premier rendez-vous avec un soignant dans la semaine du 6 janvier. Mr. Y quitte notre service pour son domicile le 03.01.2020. • Patient de 76 ans connu pour une cardiopathie hypertensive et ischémique admis pour une thermoablation de fibrillation auriculaire et flutter auriculaire intermittent et persistant, récidivant, réfractaire à l'amiodarone. L'intervention du 20.01.2020 s'est déroulée sous anesthésie générale. Cathétérisme transseptal, thermoablation de la fibrillation auriculaire par isolation électrique des veines pulmonaires. Retour en RS lors de l'ablation de la 1ère veine pulm (SG). Ablation de l'isthme du flutter avec bloc de conduction transisthmique bidirectionnel. On propose une reprise du Xarelto 20 mg dès le lendemain de l'intervention. Bien que la clearance à la créatinine soit légèrement inférieure à 50 ml/min, il est préférable de continuer la dose de Xarelto de 20 mg pendant 2 mois, car le patient est à très haut risque thromboembolique dans la période post-op et compte tenu de la constellation clinique (et il a bien supporté cette dose jusqu'à présent). Arrêt de la Cordarone et du Dilzem. Considérer baisse du Xarelto à 15 mg/j après contrôle eGFR dans 2 mois. À noter à l'entrée une insuffisance rénale aiguë sur chronique probablement d'origine pré-rénale sur déshydratation associée à une hyperkaliémie, qui se corrigent pendant le séjour. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 22.01.2020 en bon état général. • Patient de 76 ans, polymorbide qui consulte les Urgences de Riaz le 27.12.2019 pour une baisse d'état général avec dyspnée en péjoration depuis quelques jours. Une décompensation cardiaque globale avec insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë secondaire dans le contexte d'une pneumonie droite hypoxémiante et d'une dermohypodermite du membre inférieur gauche sont diagnostiquées et le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg. Il bénéficie d'un traitement par ventilation non invasive, Furosemid et Cefepime, pour la couverture d'un ancien Pseudomonas chez un patient BPCO Stade IV. Le patient est transféré dans le service de médecine interne de HFR Fribourg le 28.12. Les antigènes urinaires et les hémocultures reviennent négatives, raison pour laquelle l'antibiothérapie est relayée par de la Levofloxacine le 30.12. Le patient reçoit 3 jours de corticothérapie. En raison de troponines positives et de modifications à l'ECG avec sous-décalage latéral sans angor associé, une coronarographie reste à discuter à distance de l'épisode infectieux aigu. À noter que durant le séjour, le patient présente à plusieurs reprises de courts épisodes de TSV, raison pour laquelle un traitement bêtabloquant est introduit. Le laboratoire montre une acutisation de son insuffisance rénale chronique, d'origine possiblement cardio-rénale. La recherche d'une thrombose au membre inférieur gauche est négative. Ce 06.01.2020, apparition d'une dyspnée avec désaturation à 87% sous 2L et hypotension à 80mmHg. L'ECG montre alors une TSV instable à 150/min et le patient est descendu aux Urgences pour suite de prise en charge, après l'échec de manœuvres vagales. Nous administrons 1 bolus de 150 mg Cordarone, 1er choc à 120J puis 2ème choc à 170J (retour en RSR puis récidive de TSV après 10 minutes). Nous n'utilisons pas d'adénosine en raison d'une BPCO et HTAP. En raison de la récidive du trouble du rythme et du caractère instable de la situation, nous transférons le patient vers les Soins intensifs de Fribourg le 07.01.2020. Patient de 77 ans hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique et rythmique dans le cadre d'un NSTEMI. Mr. Y présente le 13.01.2020 des douleurs thoraciques et épigastriques de type oppressif apparues spontanément au repos. Toux sèche depuis deux jours, avec dyspnée NYHA III. L'ECG montre un sus-décalage en V3-V5 et les troponines sont augmentées. La coronarographie confirme le syndrome coronarien aigu sur occlusion de l'ostium de l'artère circonflexe proximale traitée par PTCA et pose de 1 stent. Une double antiagrégation par Aspirine et Efient est introduite. Encore la coronarographie montre une maladie coronarienne avec lésions tritronculaires avec occlusion probablement chronique de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale traité par angioplastie et pose de 3 stents ainsi qu'une sténose significative de l'artère bissectrice et de l'artère interventriculaire postérieure. Un traitement de Metoprolol, IEC et Atorvastatine (taux de LDL cible < 1.4 mmol/l) est introduit. Une échographie transthoracique montre une fraction d'éjection conservée. L'évolution est favorable. Mr. Y ne présente pas de troubles de rythme ni de récidive de douleurs thoraciques. Le site de ponction (abord radiale) présente un discret hématome sans évolution, indolore sans bruit ausculté. Le 13.01.2020, Mr. Y est transféré vers le service de médecine. Une réhabilitation cardiaque ambulatoire reste à organiser. Patient de 77 ans qui a bénéficié d'un défibrillateur AAI-DDD en août 2009 dans le cadre d'une prophylaxie secondaire à sa maladie coronarienne. Pour rappel, en 2009 et en 2016, il a déjà présenté des épisodes de tachycardies ventriculaires traités adéquatement par son défibrillateur. Il a présenté un orage rythmique avec multiples épisodes de tachycardie ventriculaire monomorphe les 27 et 28.12.2019 qui ont nécessité 3 chocs par son défibrillateur et une augmentation de son traitement de Sotalol. Suite à cela, une ablation de la tachycardie ventriculaire par rentrée a été organisée pour le 13.01.2020. Lors de l'intervention, nous avons procédé à une induction de 3 TV avec un exit en bordure apicale d'une large zone cicatricielle inférieure. Thermoablation de cette zone avec extension en septal et latéral autour de la cicatrice. Pour ce qui concerne le traitement, nous proposons une diminution du Sotalol de 2x 160mg à 2x80mg/j. On propose de ne pas introduire de traitement anticoagulant au vu de la clearance < 30ml/min et du risque hémorragique. Poursuite de l'aspirine. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 14.01.2020 en bon état général. Patient de 79 ans connu pour un adénocarcinome de foyer primaire incertain, de type intestinal, avec atteinte digestive et pancréatique (2017), transféré des urgences de l'HFR Fribourg pour une fièvre aiguë. Le patient rapporte que le matin de sa consultation, il aurait eu un épisode de frisson, avec une grande faiblesse puis une chute. Hormis une toux grasse, il ne rapporte pas d'autre symptôme. Au status d'entrée, bon état général, fébrile à 39.3, bon état hémodynamique, eupnéique avec saturation à l'AA à 93%. À l'auscultation pulmonaire, fins crépitants aux 2 bases. Le status abdominal est sans particularité, les loges rénales sont indolores. Les cultures d'urines revenant positives pour des leucocytes et des bactéries avec un syndrome inflammatoire important, nous concluons au diagnostic d'infection urinaire. En outre, les cultures d'urine se positivent. Nous mettons en place une antibiothérapie probabiliste par rocéphine i.v. relayée par co-amoxicilline per os par la suite. Toutefois, les cultures révèlent finalement des germes atypiques pour une infection et remettent donc en question notre diagnostic initial. Après avis infectiologique, nous ne retenons pas ce diagnostic. Ayant exclu une origine pulmonaire et sans autre piste clinique, nous ignorons donc où était le foyer infectieux. Toutefois, l'évolution est favorable avec une amélioration clinique, une disparition de la fièvre et une nette diminution de la CRP (52 mg/l le 17.01). Une fièvre sur immunothérapie pourrait aussi être une possible étiologie. Au laboratoire, nous notons une thrombopénie à 89 G/l, qui remonte spontanément à 101 G/l dès le 17.01. L'immunothérapie planifiée pour le 14.01 a été repoussée au 28.01. Mr. Y peut retrouver son domicile le 17.01.2020. Patient de 80 ans connu pour un trouble bipolaire sous traitement de Lithium, actuellement hospitalisé à Marsens pour un épisode dépressif. Lors du séjour, le patient s'est plaint de douleurs thoraciques. Un ECG a montré des ondes Q en antérieur, suite à un avis cardiologique de la part du Dr. X, l'indication à une coronarographie est posée. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne bi-tronculaire avec courte occlusion de l'IVA proximale (avec moignon) reprise par des collatérales issues du réseau gauche et une occlusion de la CD moyenne (sans moignon proximal) reprise également par des collatérales issues du réseau gauche. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à EF 45% avec akinésie apicale et hypokinésie antérieure moyenne et possible thrombus apical. Lors du séjour, une échocardiographie transthoracique a montré une large akinésie apicale avec une importante stase du produit de contraste et forte suspicion de thrombus, raison pour laquelle une anticoagulation avec Xarelto 20 mg x1/j a été introduite. Un bilan angiologique avec duplex des carotides et mapping veineux a été aussi effectué en prévision d'un possible pontage aorto-coronarien. On propose d'organiser une discussion multidisciplinaire pour déterminer la meilleure stratégie de revascularisation (chirurgicale vs percutanée). À noter qu'une CTO de l'IVA serait réalisable avec un pourcentage de succès élevé, par contre une CTO de la CD serait plus difficile au vu de la bifurcation avec la branche marginale et du manque de moignon proximal.Le patient serait convoqué pour une IRM cardiaque de viabilité et pour suivi du thrombus apical par nos collègues du Tiefenau Spital à Bern, qui nous lisent en copie. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 18.01.2020 en bon état général. Patient de 81 ans connu pour un bloc AV du 3ème degré avec dans contexte pose de pacemaker en 2017, HTA, hypothyroïdie substituée, qui présente depuis mardi une toux avec état fébrile et frissons, dyspnée depuis ce jour raison pour laquelle le patient est amené en ambulance. Présence d'expectoration jaunâtres. Pas de nausées, pas de vomissements, pas de douleurs abdominales, pas de symptômes urinaires. Une radiographie du thorax nous confirme le diagnostic de pneumonie communautaire basale gauche, avec présence d'épanchement pleural gauche. Un traitement avec Co-Amoxicilline est débouté. Le traitement avec Clarithromycine est introduit pour une durée de 3 jours. Les hémocultures se montrent négatives à 5 jours. Sur le plan biologique, on note une cholestase d'origine indéterminée. Un US abdominal ne montre pas une résolution optimale, et une dilatation des voies biliaires n'est peut-être pas exclue. En raison d'une amélioration sur le plan biologique, ainsi que d'une absence de symptomatologie spécifique, nous n'effectuons pas d'investigations supplémentaires. Nous vous prions de contrôler les valeurs hépatiques ainsi que de cholestase dans 1 mois avec réévaluation du traitement avec statine. Un traitement diurétique est adapté selon clinique en raison d'une augmentation des œdèmes des membres inférieurs pendant l'hospitalisation avec bon effet. Le bilan biologique montre une évolution favorable durant l'hospitalisation. En raison d'une évolution favorable sur le plan clinique ainsi que biologique le patient rentre à domicile le 18.01.2020. Patient de 81 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique, syndrome akinétique et démence, qui nous est transféré depuis la Permanence de l'HFR Meyriez pour suite de prise en charge après désaturation et agitation d'origine indéterminée. Mr. Y avait quitté notre service de médecine interne 2 jours plus tôt, où il avait été hospitalisé en raison d'une pneumonie basale gauche traitée par Co-Amoxicilline. À l'entrée, le patient se présente agité, confus et apathique. L'anamnèse est impossible à réaliser. À l'examen clinique, le patient présente une désaturation jusqu'à 80% avec normalisation sous 2 litres d'oxygène. Par la suite, la saturation se normalise sans oxygène. On note des râles pulmonaires aux deux bases. L'examen cardiovasculaire et abdominal est dans la norme. Au laboratoire, le patient présente une hyperleucocytose à 30 G/l, ainsi qu'une CRP à 19 mg/l. La radiographie montre une diminution de l'infiltrat en base gauche par rapport au comparatif. En raison de la clinique ainsi que du syndrome inflammatoire au laboratoire, une pneumonie insuffisamment traitée lors du précédent séjour est suspectée. Nous élargissons le spectre antimicrobien par un traitement de Cefepime. L'évolution clinique et biologique est bonne, avec une baisse importante des paramètres inflammatoires au laboratoire du 15.01.2020. La fonction rénale, en revanche, stagne à des valeurs de créatinine de 150 mcmol/l. L'antibiothérapie est poursuivie pendant 7 jours jusqu'au 16.01.2020. Par la suite, Mr. Y reste en observation médicale jusqu'au lundi 20.01.2020. Il ne présente pas de nouvelle désaturation ou d'autres signes d'infection. Un sevrage de la sonde vésicale est tenté le 15.01.2020 sans succès. Le 10.01.2020, le sevrage avait déjà été infructueux. Dans ce contexte, et avec un patient qui tolère bien la sonde, nous ne tentons pas de nouveau sevrage. Nous vous prions d'évaluer l'indication à un nouvel essai. Le 19.01.2020, Mr. Y bénéficie d'une injection par Nplate, traitement qu'il reçoit tous les 19 jours pour une thrombocytopénie immune primaire. Mr. Y peut retourner au Home le 20.01.2020. Patient de 81 ans, hospitalisé aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire globale dans le cadre d'une pneumonie bilatérale. À noter une hospitalisation récente en médecine interne du 02.01.2020 au 07.02.2020 pour une pneumonie bilatérale traitée par Céfépime relayé par Co-Amoxicilline (interrompue en raison des effets secondaires gastro-intestineaux après 5 jours). Mr. Y se plaint d'une dyspnée subite depuis le 12.01.2020 (le matin) avec une désaturation à 66 % aux urgences. Un CT thoracique montre des infiltrats pan-lobaires, sans signe d'abcès ou empyème visualisé. Une infection virale à Influenza est exclue. Une antibiothérapie par Céfépime est débutée avec une bonne évolution clinique. Vu la dyspnée subite et un BBD incomplet à l'ECG, un angio-CT thoracique est réalisé et écarte une embolie pulmonaire. Nous suspectons un NSTEMI secondaire en raison d'un sus-décalage en territoire inférieur à l'ECG et d'une cinétique des troponines à la hausse. Une double antiagrégation est donnée. L'échographie transthoracique montre une FEVG à 60% et un petit anévrysme de la paroi inféro-apicale, une hypokinésie modérée de la paroi inférieure moyenne et une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale. Une coronarographie sera à réaliser après diminution du syndrome inflammatoire. Les broncho-aspirations sur des troubles de la déglutition sont à l'origine des infections pulmonaires itératives. Reste à discuter avec le patient une stratégie thérapeutique (nouveau suivi en logopédie). Patient de 81 ans hospitalisé aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique. Il présente des symptômes respiratoires depuis le 25.12, motif pour lequel il consulte son médecin traitant qui lui diagnostique un état grippal. Son état général se péjore depuis le 31.12.2019 avec une toux productive et un état fébrile raison pour la consultation aux urgences. La radiographie confirme une consolidation du lobe inférieur droit. Une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Clarithromycine sont introduites. Les antigènes urinaires positifs pour des pneumocoques, l'antibiothérapie à Ceftriaxone seul est poursuivie. Le frottis de grippe revient positif. Un isolement n'est pas nécessaire vu le début des symptômes plus de 5 jours. Une insuffisance respiratoire hypoxémique nécessite initialement un traitement Optiflow puis de la ventilation non-invasive intermittente. Au vu des rapports d'oxygénation en amélioration, nous arrêtons la ventilation non-invasive. Mr. Y reste par la suite eupnéique à 2l d'oxygène aux lunettes avec une hypoxémie persistante. Vu la bonne évolution respiratoire, nous pouvons transférer Mr. Y à l'étage de médecine à Riaz le 04.01.2020. Patient de 81 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance neurologique dans le cadre d'un AVC sylvien gauche régressif. Patient connu pour une maladie de Parkinson, autonome, qui présente une parésie du MSD au réveil le 12.01.2020 (à 6h) avec trouble sensitif. Le CT cérébral montre un défaut d'opacification de l'artère vertébrale gauche débutant à hauteur de C3 et s'étendant jusqu'à son arrivée au tronc basilaire. Nos collègues neurologues considèrent la sténose vertébrale comme symptomatique, raison pour laquelle un traitement avec double antiagrégation plaquettaire ainsi qu'une statine à haute dose est introduit le 13.01.2020 en attendant l'IRM cérébrale pour localiser la région ischémique. Le patient est resté neurologiquement stable pendant son séjour aux soins continus, avec une bonne mobilisation et reprise de l'alimentation selon protocole. Une parésie résiduelle est limitée au niveau de la main droite avec un NIHSS à la sortie à 0.L'atteinte clinique d'une parésie du nerf radiale n'est pas pour l'instant exclue. Vu la bonne évolution clinique, le patient est transféré en médecine le 13.01.2020 pour la suite de prise en charge. • Patient de 81 ans, hospitalisé pour une infection urinaire haute. Pour rappel, il a bénéficié d'une cystoscopie chez son urologue traitant, le Dr. X, il y a environ une semaine, pour une indication inconnue suite à laquelle il développe une pollakiurie et une incontinence urinaire avec un état fébrile à 38.5° et des frissons. Le patient rapporte une chute à domicile d'origine mécanique, dans le contexte. Un urotube revient positif pour un Klebsiella multisensible et le patient évolue favorablement sous antibiothérapie par Rocéphine, qui peut être relayée per os par Ciprofloxacin, pour permettre un retour à domicile. Dans le contexte de chute, une imagerie par radiographie thoracique et vertébrale ne montre pas de fracture. Une hypokaliémie légère est substituée per os. Mr. Y rentre à domicile le 21.01.2020. • Patient de 82 ans, connu pour cardiopathie ischémique et rythmique avec FA sous Sintrom, porteur d'un pacemaker depuis 2016 pour bradycardie symptomatique, ainsi que pour une épilepsie traitée et un tremblement essentiel, adressé par son médecin traitant en raison d'une baisse de l'état général depuis 1 semaine. A l'anamnèse, le patient se plaint de céphalées chroniques qui sont devenues plus importantes depuis 2 semaines, avec des cervicalgies ainsi qu'une lombocruralgie à gauche qui lui limite la mobilité. Un bilan biologique revient dans la norme. Une radiographie du bassin montre un impingement fémoro-acétabulaire qui explique la symptomatologie du patient : par rapport à l'examen de 2016, on note une progression de l'arthrose au niveau de la même articulation. Une IRM cérébrale à la recherche de signes d'hydrocéphalie est faite. L'image se montre dans la norme. Une IRM de la colonne cervicale montre une discarthrose multi-étagée sévère de C2 jusqu'à C7, avec signes d'inflammation en particulier au niveau de l'articulation C1-C2, qui pourraient expliquer les céphalées ainsi que les cervicalgies. Nous débutons un traitement avec Prednison 20 mg 1x/jour sur une durée de 4 jours sans effet. Nous organisons un colloque de famille et, comme discuté, nous organisons un séjour réhabilitation qui est refusé par l'assurance maladie. Comme discuté au colloque, nous envisagions comme projet un transfert à l'UATO pour une durée à réévaluer et avec projet double. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 27.01.2020 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patient de 82 ans transféré de notre Permanence de Meyriez pour pneumonie acquise en communauté. Il aurait consulté la veille son médecin traitant en raison d'une toux depuis une semaine. Une radiographie des poumons aurait montré une pneumonie et un traitement par co-amoxicilline 1g 3x/j avait été instauré. Puis, le soir, 2 heures après la prise de l'antibiotique, Mr. Y a présenté plusieurs épisodes de vomissements. Après son injection de Lantus vespérale, il a présenté un épisode de flou visuel avec perte de connaissance d'une durée indéterminée. A noter que le patient ne se rappelle pas clairement des événements. Le patient rapporte en outre une rougeur douloureuse de l'œil gauche depuis quelques jours. Au status d'entrée, le patient est afébrile, hypertendu à 173/87 mmHg, avec une saturation normale à l'air ambiant. A l'auscultation cardio-pulmonaire, on retrouve une diminution des murmures vésiculaires et des râles crépitants bi-basaux plus prononcés à droite. L'œil gauche montre un strabisme divergent (ancien) et une rougeur conjonctivale. Devant une forte suspicion de foyer pulmonaire à la radiographie du thorax, nous entamons une antibiothérapie empirique d'abord par Rocéphine et Klacid i.v puis par co-amoxicilline per os pour un total de 7 jours. L'œil gauche rouge et douloureux à type de pression, sans notion de sensation de grain de sable ni d'excrétion matinale, nous a fait évoquer en premier lieu un glaucome. Après discussion avec son ophtalmologue, le Dr. X, nous entamons un traitement par Diamox, avec réponse rapidement favorable. Le patient sera vu le jour de sa sortie par le Dr. X. Concernant le diabète, les glycémies étant basses (le patient ne mangeant pratiquement pas durant l'hospitalisation), nous mettons en suspens la Lantus du soir que nous reprenons par la suite à 9U. Nous recommandons vivement un suivi rapproché et une adaptation de l'insulinothérapie par le médecin traitant. La médecin traitante signale que Mr. Y est connu pour un effet blouse blanche. Nous recommandons tout de même une nouvelle mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) si la précédente n'était pas récente. Puis, devant une bonne évolution clinique, Mr. Y peut retrouver son domicile le 17.01.2020. Mr. Y ne souhaitait pas recevoir de soins à domicile. • Patient de 83 ans, hospitalisé aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique. Mr. Y présente depuis 3 jours une dyspnée, toux avec expectoration et un état fébrile depuis 2 jours. Le bilan met en évidence une insuffisance respiratoire hypoxémique avec suspicion d'une pneumonie. Un traitement antibiotique est donc instauré. Le bilan microbiologique met en évidence uniquement le RSV. Nous poursuivons l'antibiothérapie pour 4 jours vu le tableau clinique et la suspicion d'une surinfection bactérienne. Une décompensation cardiaque à prédominance gauche dans le contexte infectieux est traitée par des diurétiques. A noter un poids d'entrée à 79 kg (poids habituel 75 kg). Sous traitement diurétique, le poids habituel est atteint puis le traitement habituel de Torem est poursuivi. L'évolution respiratoire est favorable sous le traitement susmentionné, des aérosols, de l'Optiflow et puis de la ventilation non-invasive intermittente. Vu des passages en fibrillation auriculaire rapide, le traitement bêtabloquant est majoré avec un bon effet. Une insuffisance rénale KDIGO I d'origine pré-rénale est présente à l'entrée. Vu la normalisation rapide de la fonction rénale sous Lasix, une composante cardio-rénale nous semble probable. L'évolution étant favorable, Mr. Y est transféré le 06.01.2020 vers le service de médecine. • Patient de 83 ans qui est adressé à la Permanence de Meyriez le 11.01.2020 par son médecin traitant, le Dr. X, en raison d'une toux associée à des expectorations grisâtres, une dyspnée et à une impression de fièvre présentes depuis 14 jours. Il décrit de légères douleurs thoraciques déjà connues et aggravées à la toux ainsi que des palpitations. Au status, le patient est eupnéique, afébrile à 36.6°C, TA 169/83 mmHg, FC 72/min, sat. 92 % à l'air ambiant. A l'auscultation pulmonaire, on retrouvait des râles ronflants, des sibilants expiratoires et des crépitants sur l'ensemble des plages pulmonaires. A l'auscultation cardiaque, le rythme est irrégulier. Présence d'œdèmes des membres inférieurs prenant le godet G>D. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Devant la présence de bacilles gram positifs sur les expectorations et d'un frottis de grippe positif, nous posons le diagnostic de pneumonie aiguë communautaire sur probable surinfection de grippe. Nous mettons en route une antibiothérapie par Rocéphine 2g i.v pour cinq jours. L'évolution clinique est favorable.L'hypertension artérielle étant mal contrôlée, nous augmentons les doses de Bilol. Nous proposons de recontrôler les tensios artérielles afin de déterminer si le traitement doit être adapté une nouvelle fois. Mr. Y peut retrouver son domicile le 27.01.2020. Patient de 84 ans admis pour une coronarographie élective pour bilan d'une sténose aortique mise en évidence en novembre 2018. Une échocardiographie trans-oesophagienne montre un rétrécissement aortique modéré sur valve dégénérative calcifiée avec une surface aortique à 1,27 cm² (0,58 cm²/m²). L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne monotronculaire de l'IVA avec sténose significative au segment moyen et une sténose aortique sévère avec un gradient transvalvulaire moyen de 39 mmHg, avec une surface calculée par Gorlin à 0.98 cm² (indexée à 0.45 cm²/m²). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est conservée et les accès fémoraux sont tortueux mais de diamètre compatible avec un TAVI. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'IVA avec mise en place d'un stent actif avec bon résultat sans thrombose ni dissection. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg pendant 6 mois (Plavix 600 mg p.os à 16:06 le 22.01), poursuite du traitement habituel. Au vu de la discrépance avec l'ETT et l'ETO, le patient sera revu en ambulatoire avec nouvel ETT et test d'effort dans 3 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 23.01.2020 en bon état général. Patient de 84 ans qui se présente aux urgences pour une rougeur au niveau de la cuisse gauche en péjoration avec frissons et sudations. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline a été initiée à votre consultation, nous la poursuivons avec un relais en intraveineux, avec une évolution rapidement favorable. De nombreux ulcères surinfectés des membres inférieurs sont objectivés à l'admission. Un nouveau protocole de plaie est mis en place avec organisation de soins à domicile une fois par jour pour le suivi. Un bilan angiologique permet d'exclure une composante vasculaire aux ulcères. Nous poursuivons le schéma de la corticothérapie pour son syndrome de morphée. De l'Alendronate est introduit en prévention d'une ostéoporose ainsi qu'une prophylaxie bactérienne par Bactrim 3x/semaine au vu d'une double immunosuppression par Méthotrexate et Prednisone à hautes doses. Mr. Y sera convoqué pour une densitométrie en ambulatoire. Le patient rentre à domicile le 29.01.2020. Patient de 85 ans, connu pour des AVC répétés d'origine artério-artériel (occlusion et sténose respectivement des artères vertébrales droite et gauche), amené aux urgences de Fribourg suite à une chute sur une perte d'équilibre le 04.01.2020, sans perte de connaissance. Depuis lors, il décrit une aggravation de ses troubles de l'équilibre et de sa dysarthrie habituelle. Au status, le patient présente une dysarthrie sévère et un trouble de l'équilibre important l'empêchant de tenir assis. Le reste du status neurologique est superposable à celui de sa sortie d'hospitalisation du mois de juillet. À noter également une plaie du coude gauche, qui est suturée. Une radiographie permet d'exclure une fracture sous-jacente. Le CT cérébral time-is-brain ne met pas en évidence de nouvelle lésion ischémique, ni de lésion post-traumatique. Le laboratoire montre une insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN. Le reste du bilan est aligné. À noter un LDL dans la cible lors du dernier bilan lipidique en ambulatoire (LDL à 1.48 mmol/L en septembre sous Atorvastatine 40 mg/j). Le patient est hospitalisé en médecine interne à l'hôpital de Meyriez pour suite de prise en charge. Au vu des nombreux antécédents d'AVC du patient et de l'aggravation de sa symptomatologie neurologique, un AVC reste suspecté. Une IRM cérébrale est alors réalisée, confirmant l'apparition de deux nouvelles lésions d'allure ischémiques (une lésion de 10 mm au niveau du pédoncule cérébelleux supérieur gauche et une lésion corticale punctiforme de 4 mm au niveau temporo-occipital gauche). Un avis est pris auprès de son neurologue, le Dr. X, qui ne recommande pas d'investigations supplémentaires au vu de l'atteinte des artères vertébrales connue, sans possibilité de revascularisation. Une origine cardioembolique semble peu probable au vu de l'absence de mise en évidence de passage en fibrillation auriculaire sur les multiples interrogations du Reveal. Il préconise une majoration du traitement antiagrégant (aspirine cardio augmentée à 300 mg/j et poursuite de Brilique 2x90 mg) et une réaugmentation de l'atorvastatine à 80 mg/j au long cours si la tolérance le permet. Sur le plan cutané, l'évolution de la plaie du coude est favorable. Un retrait des fils est à prévoir à 7-10 jours selon l'évolution locale. En accord avec le patient, nous faisons une demande pour une neuro-réadaptation. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement, et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patient de 86 ans, hospitalisé en médecine interne le 14.10.2019 en raison d'un nouvel épisode d'exacerbation de diarrhées chroniques chez un patient multi-investigué avec suspicion de colite microscopique. Les diarrhées s'amendent avec du Budenofalk et un traitement symptomatique. Cependant, la famille rapporte des soins impossibles à domicile chez un patient par ailleurs sévèrement déconditionné et dénutri. Dans ce contexte, les démarches en faveur d'un placement en home sont réalisées. Le patient est reclassé en attendant une place. Lors de ce séjour, le patient développe initialement une constipation asymptomatique, motivant l'adaptation des traitements régulateurs du transit. Le 13.11.2019, le patient présente un épisode de vomissement biliaire dans la matinée. Il dit avoir des douleurs abdominales légères mais refuse un médicament contre la douleur. Les paramètres vitaux sont stables et dans la norme. À l'examen clinique, les bruits abdominaux sont normaux, il n'y a pas de défense ni de détente à la palpation. Nous suspectons un possible iléus. Un lavement est réalisé suite auquel le patient a un passage modéré de selles vers midi. Selon le souhait du patient, nous ne posons pas de sonde nasogastrique et renonçons à une imagerie à la recherche d'une cause mécanique. Nous prévoyons un second lavement plus important mais n'avons pas le temps de le mettre en œuvre car le patient décède subitement à 15h45 en présence du personnel soignant. Patient de 87 ans en bonne santé habituelle qui nous est adressé pour pose de pacemaker élective dans un contexte de bradycardie sinusale avec des épisodes de pauses. Il a présenté une péjoration de son état ces derniers mois avec une dyspnée et une asthénie en péjoration, motivant la pose d'un pacemaker. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie ne met pas en évidence de pneumothorax secondaire et le contrôle du pacemaker est dans la norme. En raison de quelques salves de TV mises en évidence sur un examen holter, un traitement par Bisoprolol 2,5 mg est introduit. Le patient rentre à domicile le 31.01.2020. Patient de 88 ans, connu pour un adénocarcinome du côlon, suivi par Dr. X, qui lors de la consultation de contrôle se plaint d'une absence de transit (gaz conservés) avec douleurs abdominales crampiformes et inappétence depuis 5 jours. Le reste de l'anamnèse est sans particularité. L'auscultation abdominale montre des bruits submétalliques rares et une palpation douloureuse dans le cadran droit.Une imagerie par CT thoraco-abdominal met en évidence un iléus mécanique au niveau du côlon sigmoïde sur effet sténosant de la tumeur. Une transversostomie de décharge est réalisée le 14.01.2020 et se déroule sans complication. L'alimentation est rapidement reprise avec bonne tolérance et reprise du transit. Un suivi stomathérapeutique permet une approche d'apprentissage au patient et à son épouse en vue de la prise en charge à domicile. Du point de vue oncologique, pas de traitement actuellement prévu. Le patient sera vu en ambulatoire à la consultation d'oncologie pour discuter de la situation tumorale. Mr. Y rentre à domicile le 22.01.2020. Patient de 90 ans, qui a déjà consulté les Urgences de Riaz ce 05.01.2020 en raison d'un globe urinaire et de constipation. Il a eu une pose transitoire de SV avec lavement puis RAD avec Ciproxine et Tamsulosine. Il revient ce soir en raison de dorsalgies (non traumatiques) et d'anurie depuis midi. Il a été à selles ce matin en bonne quantité. Selon le fils, il boit assez peu et se focalise un peu sur cela, très anxieux. Le bladder à l'admission est de 220 mL. Au status, nous retrouvons : • Pulmonaire : MV pur et symétrique, sans BSA • Abdominal : souple, tympanique et sensible en sus-pubien, transit perçu, pas de défense ni détente, loges rénales indolores à la percussion mais douleur lombaire basses à droite, pas de matité sus-pubienne • OA : colonne vertébrale indolore Nous réalisons un bladderscan montrant 200 mL et décidons de placer une hydratation IV et de surveiller le patient. Au contrôle du bladderscan, nous retrouvons un résidu à 450 mL avec toujours présence d'une anurie. Nous mettons alors en place une sonde vésicale à demeure. Après discussion avec le fils, qui envisage d'ailleurs un placement, nous hospitalisons le patient pour soins impossibles à domicile. Par manque de place au sein de notre institution, nous transférons notre patient à Meyriez. Patient de 91 ans qui nous est adressée par l'HFR Fribourg en raison de lombalgies non déficitaires entraînant des soins impossibles à domicile. Mme. Y consulte les Urgences de Fribourg pour des sciatalgies droites avec irradiation jusqu'au pied de type coup de couteau avec légers fourmillements, évoluant depuis 3 jours, sans traumatisme ni autre facteur déclencheur. Elle ne rapporte pas d'autre plainte. Un bilan radiologique du bassin et de la colonne lombaire ne montre pas d'atteinte osseuse nouvelle et Mme. Y est hospitalisée pour antalgie. À son arrivée à Meyriez, elle ne rapporte pas de douleurs, se dit confortable avec l'antalgie mise en place. Elle ne rapporte pas de dyspnée, pas de plaintes somatiques de manière générale. Elle est en bon état général, orientée et collaborante. Au status, la patiente présente une douleur paralombaire droite à la percussion et à la palpation sur le trajet du n. sciatique. Le Lasègue est négatif. Elle n'a pas de troubles sensitivo-moteurs et un tonus sphinctérien conservé. Une antalgie à base de dafalgan, novalgine, oxycontin/oxynorm est débutée et la patiente bénéficie de physiothérapie. Devant une bonne gestion des douleurs, Mme. Y peut retrouver son domicile habituel le 13.01.2020 avec physiothérapie ambulatoire, reprise des soins à domicile 2x/j et participation au foyer de jour de Salavaux 3x/semaine. Patient de 92 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour la surveillance post-opératoire d'une ischémie aigue du membre inférieur gauche. Pour rappel, patient hospitalisé en médecine interne le 19.12.2019 en raison des troubles de la marche avec chutes à domicile d'origine multifactorielle : infection urinaire (traitée par ciprofloxacine), décompensation cardiaque associée à un bloc AV 2ème degré dont le patient refuse la pose d'un PaceMaker. Également, il est connu pour un anévrysme de l'aorte abdominale avec une indication opératoire, mais refusée par le patient. Lors de son admission en réhabilitation gériatrique, le patient présente de fortes douleurs du MIG, jambe froide et absence de pouls. L'angio-CT du MIG confirme une occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche débutant au tiers distal du fémur et s'étendant à l'artère poplitée, tibiale postérieure et fibulaire. Une reperméabilisation de l'artère poplitée et tibiale antérieure est réalisée le 31.12.2019 (Dr. X) avec des fasciotomies des 4 loges du MIG par la suite (Dr. X). L'évolution est par la suite favorable avec un bon signal doppler au niveau du MIG, sans déficit neurologique en postopératoire. Une première révision des fasciotomies est prévue pour le 03.01.2020. L'introducteur fémoral G, mis pendant l'intervention endovasculaire du 31.01.2020 est enlevé le 02.01.2020 sans complication. La diurèse reste limitée à 30-40 mL/h, malgré le remplissage avec diminution des CK. Une anémie post-opératoire motive la transfusion de 1 CE le 02.01.2020. Vu l'évolution clinique et les limitations thérapeutiques du patient, il est transféré le 02.01.2020 en chirurgie pour la suite de prise en charge. Patient de 93 ans qui nous est transféré le 06.01.2020 en médecine interne à l'hôpital de Meyriez depuis Fribourg, en attendant une place de neuro-réadaptation dans notre centre, dans les suites d'un AVC ischémique sylvien gauche le 28.12.2019. Mr. Y a présenté le 28.12 des troubles de la parole avec une parésie du visage à droite. Il consulte les urgences le lendemain matin. L'angio-CT cérébral montre un AVC ischémique constitué sylvien gauche. Un traitement d'aspirine est débuté. La surveillance neurologique en Stroke Unit monitorée puis non monitorée montre une légère amélioration de la symptomatologie avec un NIHSS à la sortie de 2 points. Sur le plan étiologique, une origine cardio-embolique est retenue, le contrôle du pacemaker mettant en évidence une FA permanente. L'échocardiographie transthoracique montre une dysfonction légère globale du VG, avec une FEVG à 45%, une sténose aortique légère (grade 1/3) d'origine dégénérative, une fonction du VD conservée et une dilatation biauriculaire importante. Après discussion avec la famille, une anticoagulation est débutée dès le 02.01.2019. Le traitement d'aspirine débuté à l'entrée est donc arrêté. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Il est proposé d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Concernant les autres facteurs de risque, l'hémoglobine glyquée est à la limite supérieure de la norme, sans nécessité de traitement. Une structure d'allure vasculaire, fusiforme en regard de la face médiale de globe oculaire à droite, est mise en évidence lors du CT cérébral à l'entrée, pouvant correspondre à un anévrisme fusiforme. Le patient étant asymptomatique, une surveillance clinique simple est préconisée. Si nécessaire, un suivi ophtalmologique pourrait être proposé. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée et sera à réévaluer lors du séjour en neuroréadaptation. Une consultation neurovasculaire de contrôle est à prévoir à trois mois. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Patient déjà sous anticoagulation par sintrom. Prévoir un bilan cardiologique en ambulatoire, à organiser avec le médecin traitant. Patient également examiné par le Dr. X. Evolution favorable à 5 semaines post-opératoires. Poursuite de la physiothérapie pour améliorer les amplitudes et renforcer le muscle quadriceps. Chondrosulf 800 mg 1x/j pendant 3 mois. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Patient également examiné par le Dr. X. Evolution tout à fait favorable à 6 semaines post-opératoires. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% pour encore 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie pour charge totale progressive et renforcement musculaire du quadriceps. Prochain contrôle dans 6 semaines. Patient également examiné par le Dr. X. Evolution tout à fait favorable. Les douleurs après le nouvel accident ne sont pas dues à une lésion structurelle du genou G mais il s'agit plutôt d'un frein à la réhabilitation, raison pour laquelle nous proposons de poursuivre la physiothérapie et prolongeons l'arrêt de travail à 100% comme agent de sécurité jusqu'à fin janvier, reprise du travail à 50% dès le 01.02.2020. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Patient également examiné par le Dr. X. Evolution tout à fait favorable. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire. Arrêt de travail à 100% jusqu'à la fin janvier et reprise du travail à 100% dès le 01.02.2020. Patient également examiné par le Dr. X. Evolution favorable à 3 mois post-opératoires. Il y a des signes de bursite sous-acromiale, raison pour laquelle nous lui prescrivons une ordonnance pour du Voltaren anti-inflammatoire pour une semaine. Poursuite de la physiothérapie pour mobilisation progressive. Arrêt de travail à 40% pour le mois de janvier, puis 20% pour le mois de février et nous referons le point dans 8 semaines à notre consultation. Patient envoyé par son médecin traitant pour abcès inguinal droit. Patient est capable d'uriner après retrait de la sonde urinaire avec des urines rosées. Patient évalué par la pédopsychiatre de garde Dr. X. Transfert à Marsens en ambulance sécurisée pour suite de prise en charge. Hospitalisation pour mise à l'abri des idées suicidaires. Patient évoluant bien d'un point de vue clinique et radiologique à près de 1 an et demi de la chirurgie. Nous proposons d'espacer les suivis neuro-chirurgicaux à 1 an avec une IRM injectée à chaque fois. En ce qui concerne la région temporale, nous proposons un suivi par le Dr. X de chirurgie plastique et reconstructrice pour un éventuel lipofilling pour ce muscle temporal. Nous appuyons cette demande au vu de l'asymétrie faciale. En ce qui concerne la conduite, nous laissons le soin au Dr. X d'évaluer celle-ci chez un patient n'ayant plus fait de crise d'épilepsie depuis plus de 1 an. Patient évoluant bien d'un point de vue symptomatologique avec amélioration des douleurs dans un contexte rachidien compliqué au vu du gabarit du patient. Il a déjà perdu 10 kg avec des efforts de physiothérapie et de fitness, ce qui est plutôt encourageant. Nous le stimulons à poursuivre dans cette direction. Nous recommandons également de poursuivre l'activité physique avec notamment la physiothérapie, le fitness et la natation. En ce qui concerne une éventuelle chirurgie, si celle-ci devait être réalisée (si les symptômes revenaient) il faudrait réaliser un nouveau scanner récent et effectuer cette chirurgie avec surface matching. Entre-temps, nous restons à disposition. Patient évoluant de manière stable voire favorable avec absence de cyphotisation segmentaire au niveau radiologique et ne présentant que très peu de douleurs. Nous décidons d'enlever la minerve rigide ce jour et mettons en place une minerve mousse à porter durant 24h hormis lors de la douche et des repas mais d'une courte durée. Nous reverrons le patient dans 4 semaines avec des radiographies cervicales f/p et en f/e. Nous prescrivons également de la physiothérapie mais uniquement pour des massages sans mobilisation active. Patient examiné avec le Dr. X. Evolution tout à fait favorable. Mobilisation libre en évitant le sport jusqu'à fin février. Attestation d'arrêt de sport donnée au patient. Patient gardé en surveillance aux urgences avec monitoring de la saturation. Il garde de bonne saturation également durant le sommeil. Changement d'antibiotique pour traiter la pneumonie D ainsi que les otites moyennes aigües bilatérales. Patient gardé en surveillance jusqu'à 3h post-réaction. Contrôles cliniques et des paramètres vitaux toujours dans la norme. Pas de nouvelle symptomatologie. Patient gardé en surveillance jusqu'à 6h post-chute. Contrôles cliniques neurologiques et des paramètres vitaux toujours dans la norme. Pas de nouvelle symptomatologie. Patient hospitalisé aux soins intensifs en lit de stroke pour une surveillance hémodynamique dans le cadre d'un AVC ischémique. Le patient rapporte une parésie du membre supérieur et inférieur gauche le matin du 01.01.2020 et une chute dans la nuit, sans TCC. Il a été retrouvé à terre par les ambulanciers, le temps estimé au sol étant d'environ 12h. Le CT cérébral montre une hypodensité focale du noyau lenticulaire droit se prolongeant à la tête du noyau caudé droit et à la corona radiata, pouvant correspondre à une lésion ischémique constituée, difficilement datable avec une hypodensité séquellaire plus marquée et focale infracentimétrique dans la corona radiata gauche. L'IRM du neurocrâne montre l'AVC ischémique constitué récent. Du point de vue neurologique, il persiste un NIHSS entre 6-7, avec principalement une faiblesse à M1 du bras gauche, à M4 du membre inférieur gauche, une parésie faciale et discrète dysarthrie. Cette symptomatologie s'étant partiellement péjorée au cours des premiers jours, nous effectuons un scanner de contrôle le 05.01 qui permet d'exclure une transformation hémorragique. Un traitement d'atorvastatine est introduit visant un taux de LDL < 1.4 mmol/l. On découvre un INR supra thérapeutique lors de son entrée, à 24-48h du début des symptômes, chez un patient dont les valeurs de contrôle sont fortement fluctuantes, ne permettant pas d'évaluer la valeur au moment précis de l'AVC. Une origine cardio-embolique reste donc probable. Le Sintrom est arrêté devant le risque de transformation hémorragique, cette dernière étant infirmée sur un scanner de contrôle, et l'anticoagulation sera reprise dès le 07.01 par Xarelto. Une échocardiographie est demandée. Il présente des troubles de la déglutition secondaires à l'AVC, initialement contournés par un épaississement des liquides. Devant la récurrence de fausse-route, une sonde naso-gastrique est mise en place. Le patient développe un état subfébrile et un syndrome inflammatoire biologique. L'auscultation est suspecte en base droite. Un foyer de broncho-aspiration est découvert au scanner thoracique et nous instaurons un traitement par Co-Amoxicilline pour cinq jours. Suite à sa chute, le patient présente des hématomes au niveau scapulaire et thoracique. Un bilan radiologique exclut des fractures récentes. Le patient est transféré le 06.01. en stroke unit pour suite de prise en charge. Patient hypertendu connu, se dit stressé aujourd'hui. Pas de symptôme parlant pour complication de la tension. Traitement du patient donné le soir, avec très légère amélioration du profil tensionnel. Attitude: • Retour à domicile, le patient doit bien prendre son traitement et surveiller ses tensions artérielles ces prochains jours. Nous l'invitons à consulter son médecin traitant dans tous les cas pour évaluer une majoration du traitement anti-HTA éventuellement. Le patient est informé des signes de gravité qui doivent l'inciter à reconsulter aux urgences auparavant.Patient informé des signes à surveiller pour l'apparition d'un syndrome des loges; reconsulte aux urgences le cas échéant. RAD avec traitement antalgique. Patient invité à reconsulter en cas de péjoration clinique. Patient monte en coronarographie avant que le bilan initial ait pu être terminé. En cas d'absence de cause cardiaque, les douleurs thoraciques restent d'origine indéterminée et nous laissons aux soins intensifs le soin d'évaluer l'origine des symptômes. Patient né à terme dans un contexte de chorio-amniotite chez la maman, avec excellente adaptation néonatale. À une heure de vie, transfert en néonatologie pour tachycardie supraventriculaire avec bonne perfusion. Multiples essais de pose de voie veineuse périphérique sans succès, ce qui motive la pose d'un cathéter ombilical. La pose se fait sans difficulté avec prise d'hémoculture et premières doses d'antibiotiques données. Durant les essais de pose de voies veineuses ainsi que du cathéter ombilical, l'enfant fait de multiples récidives de TSV entre 250-285 bat/min avec toujours une bonne perfusion périphérique puis reconversion spontanée en rythme sinusal. Un transfert à l'hôpital de l'Ile est organisé pour suite de prise en charge. Patient parti sans consultation médicale. Patient pas vu aux urgences, prise en charge par ORL de garde après demande de CT pour exclusion du thrombus caverneux. Patient présentant au premier plan une symptomatologie lombaire avec une impression d'irradiation pseudo-radiculaire, nous souhaitons effectuer une infiltration facettaire L4-L5 bilatérale sous scanner à but thérapeutique et diagnostique. Nous reverrons le patient 2 semaines après l'infiltration afin d'envisager la suite. Si les douleurs persistaient, il faudrait envisager une infiltration au niveau L3-L4 à rediscuter. Nous recommandons également de réadapter le travail de M. Y qui travaille dans le froid, en effet ceci contribue en partie aux douleurs. Il présente également des douleurs mécaniques au niveau des genoux, raison pour laquelle nous souhaitons que le patient soit convoqué par le team genou dans notre établissement. Patient que l'on connaît donc pour un canal lombaire étroit sur 2 étages avec une symptomatologie se péjorant limitant son périmètre de marche à une centaine de mètres. Une infiltration a été positive durant 2h (infiltration épidurale L4-L5). Nous évoquons avec le patient une éventuelle prise en charge comme intervention à but antalgique, celui-ci souhaite obtenir un 2ème avis. Nous l'encourageons dans ce sens et il nous recontactera en fonction. Nous lui expliquons les signes et symptômes devant l'amener à consulter et à savoir un déficit moteur, un déficit sphinctérien avec notamment perte des urines ou des selles ou l'hypoesthésie. Il comprend le tout et nous recontacte en fonction. Patient que l'on suit donc à 3 mois de cette chirurgie cervicale étendue avec amélioration progressive de la symptomatologie. Notre patient est actuellement à 40% à l'AI. Nous estimons son aptitude professionnelle à 30% et ce dès avril et recommandons une reconversion professionnelle éventuelle. En effet, au vu de la symptomatologie cervicale, nous imaginons difficilement une reprise du travail plus importante. Patient qui bénéficie de nébulisation de Ventolin-Atrovent en continu sur 1 heure, avec excellente réponse clinique, avec amélioration de l'entrée d'air, diminution des sibilances et des tirages. Nous redonnons du Ventolin 1 heure plus tard, puis les surveillances respiratoires durant les 3 heures suivantes sont normales, sans récidive de sibilances ou détresse respiratoire. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y rentre à domicile avec consigne de donner le Ventolin toutes les 4 heures, poursuivre le Betnesol encore 2 jours, et contrôle clinique chez vous dans 24 heures. Patient qui consulte pour une poussée hypertensive. Nous réalisons un laboratoire qui montre une eGFR à 85 mais le reste du laboratoire est dans la norme. L'ECG réalisé ne retrouve pas de signe d'ischémie. Nous administrons 20 mg d'Adalat qui baisse peu la pression artérielle (de 209 mmHg de TAS à 195 mmHg). Nous procédons par la suite à une titration de Trandate avec 10 mg qui baisse considérablement la pression à 147 mmHg de TAS après 20 mg de Trandate. Nous proposons un traitement par Adalat 20 mg et le patient verra son médecin traitant mardi prochain le 14.01.2020. Patient qui présente aux urgences avec un syndrome coronarien aigu probablement NSTEMI évoluant depuis >24h chez un patient hémodynamiquement stable sans difficulté respiratoire. Nous débutons une antalgie avec 2 pulvérisations de dérivés nitrés et 500 mg d'Aspirine IV. Nous réalisons un labo qui retrouve une des troponines à 1208 et les CK-MB à 365. Dans ce contexte, nous prenons un avis auprès du Dr. X qui propose de transférer le patient aux soins intensifs de Fribourg en attente d'une coronarographie. Les soins intensifs de Fribourg sont contactés qui acceptent le transfert en unité C. Patient qui présente des difficultés à uriner. Nous mettons en place une sonde urinaire, qui est mal tolérée par le patient et qui motive l'extraction de celle-ci. Le laboratoire montre une insuffisance rénale connue chez le patient, un syndrome inflammatoire avec une CRP à 47 mg/l sans leucocytose. Le stix/sédiment ne met pas en évidence d'infection urinaire et le spot urinaire met en évidence une protéinurie à 1.15 g/l. Nous effectuons un lavement qui ne permet pas l'extraction du fécalome et faisons alors une extraction manuelle qui permet de l'évacuer. Nous introduisons du Tamsulosine et conseillons au patient de revoir son urologue prochainement. De plus, nous introduisons une antibiothérapie par Ciprofloxacine 250 mg 2 fois/jour pour une durée totale de 14 jours, avec un contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Le patient rentre à domicile le 05.01.2020. Patient qui présente donc des douleurs d'allure mécanique accompagnées récemment d'une sciatique continue. Cette sciatique semble être expliquée par la sténose foraminale bilatérale via la lyse isthmique. Nous expliquons les options thérapeutiques à notre patient ainsi que les modalités radiologiques. Nous souhaitons effectuer un scanner et des radiographies debout afin de compléter notre bilan et d'évaluer une prise en charge chirurgicale. En effet, lorsque la symptomatologie de ces antélisthésis devient handicapante avec une sciatique continue et des douleurs mécaniques, il est possible de réaliser un acte chirurgical par fixation et fusion de L5-S1. L'abord chirurgical sera décidé en fonction du scanner. Il souhaite réfléchir et nous le reverrons après ces examens début février. Patient qui présente donc une évolution clinique et radiologique favorable avec persistance d'une fatigabilité et troubles de la concentration. Dans ce contexte, nous souhaiterions un bilan neuropsychologique réalisé par nos collègues intrahospitaliers et reverrons le patient dans 2 mois dans ce contexte. Nous prolongeons l'arrêt de travail de 50% jusqu'au 6 mars. Patient qui présente donc un syndrome vertébral avec irradiation pseudo-radiculaire. Nous proposons une infiltration facettaire L4-L5 bilatérale. Nous reverrons le patient après l'infiltration dans 2-3 semaines. Patient qui présente donc une symptomatologie atypique, raison pour laquelle nous souhaitons compléter le bilan par une IRM lombaire, ainsi que des radiographies en flexion/extension et pour finir un ENMG des membres inférieurs chez un patient OH. Nous reverrons le patient dans les suites pour finir le bilan. Patient qui présente une contusion basithoracique gauche. La radiographie du thorax ne retrouve pas de fracture costale. Nous proposons un traitement antalgique au patient et lui expliquons la bénignité d'une éventuelle fracture de côte non compliquée. • Patient qui présente une hémato-boursite du coude gauche. Nous réalisons une radiographie du coude qui retrouve un fat-Pad physiologique. Nous soulageons le patient avec une antalgie simple avec Dafalgan. Nous prenons un avis orthopédique qui propose une bande + watt et attelle du coude à 90° avec un contrôle en policlinique le lundi 20.01.2020. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient sera discuté au matin en orthopédie pour évaluer l'indication à une prise en charge opératoire ou non. Le Dr. X demande que le patient soit revu le 3.02. en orthopédie team pied. • Patient sourd-muet. Psoriasis. • Patient stable hémodynamiquement. Retour en ambulance à Marsens pour suite de prise en charge. • Patient troué dans un trou de 4 m de profondeur. • Patient va être amené aux urgences par les ambulanciers vu les symptômes de la crise d'angoisse. ECG ne montre pas de signes d'ischémie active. Aux urgences, le patient a reçu Temesta 2,5 mg avec un effet favorable. Patient rentre à domicile. Contrôle chez Dr. X, si persistance des symptômes nous proposons d'organiser un suivi psychiatrique. • Patient venu pour un CT scan de l'épaule gauche. • Patient vu au tri par Dr. X. • Patient vu avec Dr. X et par l'ophtalmologue de garde. • Patient vu ce jour avec Dr. X, évolution nettement favorable, laboratoire montrant une CRP en diminution, pas de prochain contrôle nécessaire. En raison de cet épanchement intra-articulaire épaule gauche et au sein de la bourse sous-acromio-deltoïdienne post-traumatique, nous déconseillons de réaliser le vaccin du 24.01 sur le membre supérieur gauche. Indication de reconsulter si récidive des douleurs, diminution mobilité épaule gauche. • Patient vu et cas discuté avec Dr. X médecin cadre de garde. • Patient vu, examiné et discuté avec Dr. X. • Patient vu par la pédopsychiatre de liaison qui a mis en réserve du Risperdal 0.5 mg en cas d'agitation importante. Conseils éducatifs donnés. Propose aux parents de permettre à leur fils d'exprimer autrement son agressivité. Pas d'indication à une hospitalisation. La suite de la prise en charge se fera par la psychiatre qui le suit. La psy de liaison fait les démarches pour la suite. Un retour à domicile est possible avec l'accord des parents. • Patient vu par Dr. X au tri: retour à domicile. • Patiente admise pour une coronarographie élective dans un contexte d'angor stable. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion de l'artère circonflexe moyenne englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec Dr. X, nous avons procédé à une angioplastie avec mise en place de 2 stents actifs selon la technique du TAP avec bon résultat final sans thrombose ni dissection. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pendant 12 mois (bifurcation avec 2 stents), Crestor 20 mg 1-0-0 pour LDL< 1.8 mmol/l, reste du traitement inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente quitte notre établissement le 17.01.2020 en bon état général. • Patiente admise pour une coronarographie élective dans un contexte de dyspnée. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne tri-tronculaire sur des artères calcifiées et très tortueuses avec sténose critique de l'IVA moyenne à distale, sténose critique de la CX moyenne et sténose serrée de la CD moyenne à distale. Après discussion avec Dr. X, nous avons procédé à une angioplastie de l'IVA moyenne avec mise en place de 2 stents actifs avec bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pendant 12 mois, reste du traitement inchangé. Contrôle strict des FRCV. Angioplastie de la CX +/- CD dans 3-4 semaines. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente quitte notre établissement le 17.01.2020 en bon état général. • Patiente admise pour une coronarographie élective pour une revascularisation prévue de l'artère circonflexe. L'examen invasif du jour montre un bon résultat après PTCA de l'IVA sans resténose. Comme prévu, nous avons procédé à une dilatation de l'artère circonflexe (plusieurs dilatations au ballon à cause des calcifications importantes). Par la suite, mise en place de deux stents au niveau de la longue sténose de haut grade des segments proximaux et distaux. La marginale et la périphérie de la circonflexe n'ont pas été traitées à cause de l'anatomie (artères de petit calibre, longues sténoses) et de l'insuffisance rénale. Aspirine 100 mg 1-0-0 pour 2 semaines, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois, Xarelto 10 mg pour 2 semaines et par la suite à nouveau 15 mg/j. Pantoprazol pour un minimum de 2 semaines. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 17.01.2020 en bon état général. • Patiente admise pour une intervention planifiée après avoir discuté des options de revascularisation. Comme planifié, nous avons effectué une angioplastie du réseau gauche avec implantation de 4 stents actifs et excellent résultat immédiat. À noter que la patiente a été chargée en Aspirine et Efient le jour de la coronarographie. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente quitte notre établissement le 25.01.2020 en bon état général. • Patiente adressée suite à une IRM cardiaque montrant des signes d'atteinte ischémique. L'examen invasif du jour démontre une sténose subocclusive de la circonflexe et une occlusion chronique de la coronaire droite proximale avec bonne colatéralisation depuis la coronaire gauche. Akinésie diaphragmatique, FEVG 55%. Nous procédons à une dilatation avec mise en place de deux stents actifs RCX proximale. Échec de recanalisation de la coronaire droite. À noter que durant le geste, la coronaire droite est lésée. Nous réalisons une échographie cardiaque dans les heures qui suivent, qui montre un minime épanchement péricardique limité au niveau du VD. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 12 mois, reste du traitement inchangé. Ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente quitte notre établissement le 29.01.2020 en bon état général. • Patiente agitée refusant tous les soins et examens complémentaires. Mise sous contention. Haldol 2 x 2.5 mg. • Patiente avec probable réaction allergique, chez qui nous administrons 5 mg de Xyzal qui améliore les symptômes. Nous proposons ce traitement en réserve et la patiente peut regagner son domicile.Patiente avec une symptomatologie en amélioration sans franc déficit moteur ni sensitif nouveau. Nous recommandons la poursuite de l'antalgie et de la physiothérapie et la patiente nous recontactera en cas de persistance des douleurs. Patiente bradycarde à 30/min, aréactive avec Glasgow score à 7/15. Pouls périphériques non perçus. Arrêt respiratoire à son entrée dans le box. Monitoring montrant une asystolie, heure de décès déclaré à 12h15. Patiente connue pour épilepsie. Patiente connue pour une hypoesthésie dans le territoire du nerf péronier superficiel suite à la mise en place d'une PUC à G en 2017. Patiente de 10 ans, qui a chuté à cheval le 22.01.20 avec réception sur le dos. Traumatisme crânien simple asymptomatique et sans déficit neurologique. La patiente présente actuellement uniquement des douleurs en regard des doigts 2 et 3 de sa main gauche. Une fracture est exclue à la radiographie. Pas d'autres lésions traumatiques identifiées. La patiente regagne donc son domicile avec un traitement antalgique et est informée des red flags devant la faire reconsulter. Patiente de 12 ans qui consulte suite à un traumatisme de l'avant-pied droit la veille au soir. Elle décrit une impotence fonctionnelle totale avec impossibilité de marcher suite au traumatisme. Elle se rend en consultation à l'aide de béquille. Cliniquement, la patiente présente une douleur centrée sur le 3ème rayon. A la RX, nous ne visualisons pas de fracture. Patiente de 12 ans qui consulte pour des douleurs abdominales crampiformes post-prandiales associées à un épisode de selles molles et de nausées. Devant une patiente afébrile, un abdomen rassurant et une patiente en bon état général, nous n'effectuons pas d'investigations supplémentaires d'emblée. Une gastro-entérite débutante est possible. Un traitement symptomatique est introduit et la patiente est informée de reconsulter si péjoration des symptômes. Patiente de 12 ans qui consulte pour un probable IVRS. Un traitement symptomatique est introduit. Patiente de 17 ans, 1G0 P à 41 3/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour dépassement de terme. Elle bénéficie de Misoprostol le 14.01.2020 à 16h45. La patiente donne naissance à une fille pesant 3230 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. Sur désir de la patiente, nous effectuons un sevrage primaire par Dostinex. La contraception future sera discutée au contrôle post-partum ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.01.2020, en bon état général. Patiente de 18 ans avec une probable grippe que nous traitons symptomatiquement. Patiente de 19 ans, en bonne santé habituelle hormis des épigastralgies provoquées par des boissons gazeuses, sous contraception orale, qui consulte en raison de céphalées, type serrement en casque, aggravées par les mouvements et en position debout, évaluées à 8/10. Elle décrit des douleurs d'apparition progressive il y a 3 jours, accompagnées de vertiges, d'un épisode de nausées et de frissons ainsi que de maux de gorge, ayant cédé le même jour après la prise de 2 cpr de Dafalgan. Pas de raideur de nuque, légère photophobie. Le 20.01.2020, réapparition des douleurs motivant la consultation aux urgences. A l'anamnèse, pas de signe de contage, pas de voyage récent, pas de traumatisme. Céphalées connues dans le passé, mais rarement, à type de pression au niveau temporal droit. A l'admission aux urgences, nous retrouvons une patiente en état général conservé, calme et collaborante, subfébrile à 37.9°C, normotendue et tachycarde à 102/min. L'examen clinique neurologique est tout à fait dans la norme ; l'examen par systèmes également, mis à part une rougeur dans le fond de gorge, sans exsudat, et une adénopathie cervicale minime bilatérale. Nous ne retrouvons aucun signe de méningisme ; la manoeuvre de Dix-Hallpike est effectuée et ne met pas en évidence de nystagmus. Une ponction lombaire est effectuée et ne met pas en évidence de signe de méningite ou de saignement. Un CT cérébral est également pratiqué et revient totalement dans la norme. La patiente est hospitalisée en lit monitoré durant la nuit du 20.01 au 21.01.2020 pour surveillance clinique et neurologique. Au vu d'un syndrome inflammatoire retrouvé au laboratoire, nous effectuons un sédiment urinaire ainsi qu'une radiographie thoracique, tous les deux sans particularité. Un avis est demandé à nos collègues ORL, qui ne confirment pas de sphénoïdite. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente peut regagner son domicile le 21.01.2020. Elle sera revue à la FUA le 22.01.2020 pour un contrôle clinique et biologique. Patiente de 19 ans présentant une crise d'angoisse sur stress académique, hémodynamiquement stable à l'admission aux urgences. Elle bénéficie de l'administration de 1 mg de Temesta, avec bonne réponse. Nous proposons un suivi psychologique ambulatoire, qui sera organisé avec le médecin traitant. Patiente de 19 ans, 2G 0P à 16 0/7 semaines d'aménorrhée, en bonne santé habituelle, adressée par ambulance ce jour pour une altercation avec son compagnon, à domicile vers 21h00. Elle dit avoir reçu un coup de poing au niveau du visage (zygomatique gauche), pas de coup au niveau du ventre. Elle a été poussée et est tombée à 3 reprises sur les fesses. Pas de réception au niveau du ventre. Pas de perte de connaissance. Elle dit avoir fait une crise d'angoisse (panique, souffle coupé), associée à une douleur crampiforme au niveau du bas du ventre. En box de consultation, douleurs présentes mais d'intensité légère. Il s'agit de la première querelle avec violence physique. Médicament : Elevit cp 2018 FCS Allergies : venin d'abeilles Status : Constantes dans la norme. Abdomen : pas de lésion cutanée, sensible en suspubien sans défense ni détente. Loges rénales souples et indolores. Speculum : col nullipare, pas de sang ni écoulement au niveau vaginal. Examen complémentaire : GS : O Rhésus positif, Hb fœtale : négative. Une échographie abdominale est effectuée et retrouve une grossesse évolutive, avec un battement cardiaque fœtal mesuré à 154/min, BIP : 3.2 cm soit 16 0/7 SA, placenta d'aspect normal, liquide amniotique en quantité suffisante avec grande citerne mesurée à 4.3 cm. Attitude : Hospitalisation en gynécologie pour détresse maternelle et surveillance sur la nuit. Proposition de se rendre aux urgences le 01.01.2020 au matin pour remplir le constat de coups. Le 01.01.2020 au matin, la patiente insiste pour que son compagnon vienne la chercher et elle est rentrée à domicile accompagnée par ce dernier. Patiente de 19 ans chez qui nous suspectons une fracture du coccyx que nous traitons symptomatiquement. Patiente de 21 ans qui est en bonne santé habituelle présente des douleurs hémicrâniennes gauche depuis une semaine, les douleurs de type de pression, intermittentes. Examen clinique est dans la norme. Antalgie par Dafalgan et Brufen aux urgences avec un effet favorable sur les douleurs. Patiente rentre à domicile avec le traitement symptomatique. Contrôle chez MT dans 2-3 jours. Patiente de 22 ans, 4G 1P à 34 5/7 SA, admise en salle d'accouchement le 08.01.2020 en vue d'une provocation pour grossesse gémellaire monochoriale biamniotique avec RCIU de J1 par Propess, ballonnet et Syntocinon. Le travail et la dilatation se déroulent ensuite harmonieusement. Elle donne naissance à deux filles, la première pesant 1740 g (p3), de bonne adaptation néonatale. La seconde naît par le siège après une grande extraction, pesant 1835 g et nécessitant initialement un soutien par oxygène et CPAP.Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la rubéole sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 12 janvier 2020, en bon état général. Patiente de 23 ans, primigeste à 40 4/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 04.01.2020. Le travail est harmonieux et elle donne naissance à un garçon pesant 3230 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 06.01.2020, en bon état général. Patiente de 23 ans, 2G-1P à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d’une césarienne élective pour disproportion fœto-maternelle. L'intervention se déroule sans complication, mise à part une atonie utérine résolue avec perfusion de Nalador avec des pertes estimées totales à 700 cc. Elle donne naissance à une fille pesant 3110 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente bénéficie d'une prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg SC 1x/jour. La contraception future se fera par Depo-Provera ou stérilet à rediscuter lors du contrôle du post-partum, dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 28.01.2020, en bon état général. Patiente de 23 ans, 3G 0P à 39 0/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané le 06.01.2020. Le travail est soutenu par Syntocinon et elle donne naissance à une fille pesant 3630 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et elle reste afébrile. L'allaitement maternel est sevré pour désir maternel. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 09.01.2020, en bon état général. Patiente de 24 ans, 1G 0P à 39 4/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour un oligoamnios avec une grande citerne à 2 cm. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 11.01.20 dans la nuit. La patiente se met ensuite en travail et le Propess est retiré. Elle donne naissance à une fille pesant 3450 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la pilule progestative, dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 15.01.2020, en bon état général. Patiente de 24 ans, 1G0P à 38 4/7 sem, admise en salle d'accouchement le 03.01.2020 en vue d'une provocation pour suspicion de macrosomie avec un PFE à l'échographie à 3730 g (p90). Après un déclenchement par Misoprostol, elle donne naissance à un garçon pesant 3380 g (p50), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples hormis la mise en évidence d'une infection urinaire basse à germe indéterminé le 07.01.2019 (symptomatologie urinaire et stix urinaire), pour laquelle elle reçoit du Monuril 3 g en dose unique. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 07.01.2019, en bon état général. Patiente de 24 ans, 1G0P à 41 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 01.01.2020 pour mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance à un garçon pesant 4260 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par le stérilet, dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 04.01.2020, en bon état général. Patiente de 24 ans, 2G 1P à 38 2/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d’une césarienne élective itérative. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3120 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. Elle bénéficie d'une thromboprophylaxie par Clexane 40 mg SC 1x/jour. Sur désir, nous effectuons un sevrage primaire par Dostinex. La contraception future sera discutée à votre consultation, dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 13.01.2020, en bon état général. Patiente de 25 ans, 1G 0P à 40 5/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 08.01.2020. Elle donne naissance à un garçon pesant 3620 g, de bonne adaptation néonatale. Au vu d'une atonie utérine non hémorragique, une révision des 3 étages est effectuée en salle d'accouchement, permettant de ramener un reste de cotylédon placentaire. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par le préservatif. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 14.01.2020, en bon état général. Patiente de 26 ans, primigeste admise en salle d'accouchement le 30.12.2019 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 30.12.2019 à 19h00. Elle donne naissance à une fille, par ventouse pour non-progression de la présentation et fatigue maternelle. Elle présente une hémorragie de la délivrance estimée à 500 ml sur une probable atonie utérine, résolue après 20 UI de Syntocinon. La révision des 3 étages est en ordre. Les suites post-partales sont simples et elle reste afébrile durant son séjour. Nous prescrivons une substitution martiale par Maltofer en raison d'une anémie spoliative à 83 g/L. Au vu de la constellation Rhésus, elle bénéficie d'une dose de Rhophylac IV le 02.01.2020. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation, dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 03.01.2020, en bon état général. Patiente de 27 ans, 1G 0P à 38 4/7 SA, admise en salle d'accouchement le 17.01.2020 pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance à une fille pesant 3090 g, avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Elle a bénéficié d'un entretien avec le psychologue à J1 de l'accouchement, qui constate une bonne relation entre la mère et le bébé. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 21.01.2020, en bon état général. Patiente de 27 ans, 2G 1P à 39 5/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. À son arrivée, la dilatation est complète et l'accouchement est rapide.La patiente donne naissance à une fille pesant 3620 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.01.2020, en bon état général. Mme. Y, 27 ans, 2G-1P à 40 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. A son arrivée, suspicion de RPM, mais la patiente refuse test ActimProm pour confirmation. Par la suite, la dilatation est harmonieuse. Elle donne naissance à un garçon pesant 3510 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.01.2020, en bon état général. Contrôle post-partum dans 6 semaines, à votre consultation. Mme. Y, 27 ans, 3G 2P à 39 6/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Le travail est harmonieux sous anesthésie péridurale et la patiente donne naissance à une fille pesant 3230 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée en post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.01.2020, en bon état général. Mme. Y, 28 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement le 28.01.2020 pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3790 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.01.2020, en bon état général. Mme. Y, 28 ans, aux antécédents de douleurs abdominales chroniques multi-investiguées, sans étiologie claire, qui se présente aux urgences pour un nouvel épisode de douleurs abdominales crampiformes persistantes depuis 5 jours, sans trouble du transit, sans nausée ni vomissement, sans trouble fonctionnel urinaire. Pas de fièvre, ni de frisson. A l'arrivée aux urgences, la patiente est apyrétique, hémodynamiquement stable. Au status abdominal, présence d'une sensibilité au niveau de l'hypocondre gauche, au niveau épigastrique et en péri-ombilical, sans défense ni détente. La patiente ne décrit pas de symptôme urinaire, ni d'écoulement gynécologique. Nous réalisons un laboratoire qui montre une fonction rénale préservée. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble hydro-électrolytique. Le bilan hépatique est sans particularité. Le sédiment urinaire retrouve une hématurie, avec leucocyturie et flore bactérienne, sans nitrite. Nous réalisons un ultrason abdominal qui ne retrouve pas de dilatation pyélocalicielle, pas de liquide libre intra-abdominal, une vésicule biliaire légèrement épaissie, sans sludge et sans calcul vésiculaire. Au vu d'un bilan clinique, biologique et radiologique rassurant, nous décidons d'un retour à domicile, avec prescription d'une antalgie, d'un antispasmodique et d'une antibiothérapie empirique par Nitrofurantoïne pour 5 jours. Si persistance des symptômes malgré le traitement antibiotique à J5, nous recommandons à la patiente un contrôle gynécologique. Mme. Y, 28 ans, enceinte de 14 semaines, qui présente des céphalées en casque depuis environ 3 jours pendant la nuit mais non pendant la journée. Cette nuit, elle consulte aux Urgences ayant peur d'avoir de l'hypertension artérielle. L'examen clinique à l'admission est rassurant. Les paramètres vitaux sont normaux. Laboratoire : cf annexes. La patiente a reçu 500 mg de Dafalgan avec disparition des douleurs. Nous laissons la patiente regagner son domicile avec suivi par la suite par son médecin traitant et son gynécologue. Nous recommandons à la patiente de reconsulter les Urgences en cas de réapparition de douleurs ou péjoration de son état clinique. Mme. Y, 28 ans, primigeste, transférée de la Maison de naissance Le Petit Prince le 30.12.2019 en raison d'une non-progression de la présentation à dilatation complète. A son arrivée, nous objectivons la dilatation complète et une présentation céphalique haute. Le travail est soutenu par Syntocinon et la patiente accouche spontanément 30 minutes après son arrivée dans notre service. Déroulement de l'accouchement: Mère: 28 ans, 1G-0P, 39 5/7 semaines d'aménorrhées Mise en travail: Spontanée, 30.12.2019 Type de travail: Dystocique Antalgie: Aucune Rupture des membranes: Artificielle Liquide amniotique: Clair, Quantité: Normale Pertes sanguines estimées: 300 ml Lésion génitale: Déchirure périnéale du 2ème degré et paraclitoridienne (suture: Oui, analgésie: Locale) Type de délivrance: Complète, Poids du placenta: 500 g Nouveau-né: Né le 30.12.2019 11:31, Sexe: Garçon Position: OIDA, Apgar: 7/10/10 pH artériel du cordon: 7.24, pH veineux: 7.38 Poids: 2990 g Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile durant son séjour ambulatoire chez nous. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. Au vu de la bonne évolution, la patiente retourne à la Maison de naissance Le Petit Prince le même jour avec son bébé pour les suites post-partales. Mme. Y, 28 ans, 1G à 40 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 21.01.2020 pour mise en travail spontanée. Le travail est harmonieux sous anesthésie péridurale. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3780 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont compliquées par une céphalée compatible avec brèche de la dure mère qui a bénéficié d'une prise en charge par le service d'anesthésie avec d'abord hydratation, AINS et caféine, et ensuite d'une procédure invasive par technique transfémorale. Sevrage primaire pour incompatibilité à l'allaitement pour traitement avec Keppra. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.01.2020, en bon état général. Mme. Y, 28 ans, 1G 0P à 40 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 28.12.19 en vue d'une provocation par Misoprostol pour terme dépassé et suspicion de macrosomie foetale. En raison d'un CTG pathologique à 2 cm de dilatation, nous prenons la décision d'une césarienne en urgence 30 min, qui se déroule le 29.12.19 sans complication. La patiente donne naissance à un garçon pesant 4040 g (p75), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatifs, dans l'attente d'en rediscuter avec son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.01.2020, en bon état général. Mme. Y, 28 ans, 1G 1P à 38 5/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. En raison de non-progression de la présentation, l'indication à un forceps aux épines +1 est posée. Après 2 tractions, la patiente donne naissance à une fille pesant 3290 g, de bonne adaptation néonatale.A noter que la patiente présente, à l'entrée, des TA labiles à >140/90 mmHg à plusieurs reprises, raison pour laquelle un bilan de gestose a été effectué, montrant un spot urinaire positif à 156 mg. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile, elle ne présente aucune plainte de pré-éclampsie et les tensions se normalisent spontanément. La contraception future sera discutée à votre consultation, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Sur désir de la patiente, nous effectuons un sevrage primaire par Dostinex. La pré-éclampsie étant non sévère, nous ne préconisons pas de suivi particulier, hormis une consultation spécialisée à distance avec explication des moyens de prévention pour une prochaine grossesse. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.01.2020, en bon état général. • Patiente de 28 ans 1G0P à 38 5/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané le 07.01.2019. Elle donne naissance à une fille pesant 3090 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 11.01.2020, en bon état général. • Patiente de 28 ans, 2G-1P à 40 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance à un garçon pesant 3920 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2020, en bon état général. • Patiente de 28 ans, 4G 1P à 39 1/7 SA, admise en salle d'accouchement le 25.01.2020 à 03h10 du matin, pour mise en travail spontanée. La patiente ne souhaite pas de péridurale. Accouchement dans le bain. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3470 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum à votre consultation, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.01.2020, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 1G à 10 5/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse intra-utérine désirée, spontanée et arrêtée à 6 semaines d'aménorrhée. Un curetage est prévu le 30.01.2020 mais elle se présente en urgence pour des métrorragies abondantes et des douleurs. L'examen au spéculum met en évidence un sac gestationnel en voie d'expulsion; ce dernier est retiré et envoyé pour une analyse anatomopathologique. La patiente présente un léger saignement actif. Nous décidons de l'hospitaliser pour une surveillance des saignements et un traitement par Cytotec. Le lendemain, elle présente des saignements type spotting, sans douleur abdominale. Un US est réalisé montrant un endomètre à 11 mm sans image de restes trophoblastiques justifiant un curetage. La patiente rentre à domicile avec des conseils d'usage. • Patiente de 29 ans, 1G à 39 1/7 SA, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes. Elle bénéficie de l'administration de Misoprostol le 14.01.2020 et le travail est soutenu par Syntocinon. Au vu d'un CTG pathologique à 9 cm et échec de PH au scalp, l'indication à une césarienne en urgence est posée. L'intervention se déroule sans complication. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3730 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.01.2020, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 1G 0P à 34 2/7 SA, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes. Une attitude expectative est décidée, mais la patiente se met spontanément en travail. Elle donne naissance à un garçon pesant 2120 g, avec bonne adaptation néonatale, mais par la suite, le nouveau-né est transféré en néonatologie pour prématurité. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 22.01.2020, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 1G 0P à 41 4/7 SA, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes et mise en travail spontanée. En raison d'un CTG suspect, une disproportion fœto-pelvienne et non progression de la dilatation, une indication pour césarienne a été posée et acceptée par la patiente. Naissance d'une fille pesant 2660 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.01.2020, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 2G-1P à 40 SA 4/7, admise en salle d'accouchement le 25.01.2020 pour provocation pour cassure de la courbe P40 à 34 semaines d'aménorrhée et P15 à 40 2/7 semaines d'aménorrhée. Elle bénéficie de la mise en place d'un Ballonnet le 25.01.2010, puis ensuite d'une rupture artificielle des membranes en date du 26.01.2020. Par la suite, nous avons débuté le Syntocinon iv. En raison d'un CTG suspect, d'une absence de dilatation et désir maternel, une césarienne en urgence 1 est effectuée. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.01.2020, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 3G 2P à 39 4/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. En raison d'une stagnation à 8 cm, l'accouchement est soutenu par Syntocinon. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3850 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la pilule, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 16.01.2020, en bon état général. • Patiente de 30 ans, primigeste à 32 4/7 semaines d'aménorrhée, consulte le 03.01.2020 pour des contractions utérines. Le CTG d'entrée est réactif non pathologique. L'US transvaginal réalisé à l'entrée, met en évidence un col raccourci à 19 mm avec la présence de funneling d'environ 1 cm. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance, tocolyse et maturation pulmonaire fœtale. Régression des contractions utérines après administration de Nifédipine 10 mg aux 15 minutes durant 1 heure. Une cure de maturation pulmonaire est débutée, avec l'administration de 2 doses de Celestone 12 mg le 03.01.2020 et 04.01.2020. Le contrôle clinique est stable, le CTG est réactif non pathologique et ne met pas en évidence des contractions utérines pendant tout le séjour. La patiente peut donc gagner son domicile le 05.01.2020.Patiente de 30 ans, 1G 0P à 36 4/7 SA, admise en salle d'accouchement le 19.12.2019 pour des contractions utérines et une diminution des mouvements fœtaux. Le CTG montre une décélération prolongée non expliquée avec un Manning à 8/8 et des dopplers dans la norme. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une hospitalisation avec surveillance CTG +/- une provocation selon l'évolution. Les autres CTG réalisés lors de son hospitalisation ne montrent plus de décélérations et restent réactifs. La patiente dit ne plus ressentir de contractions et sent à nouveau bien son bébé bouger. Une échographie de contrôle réalisée le 20.12.2019 par le Dr. X ne met en évidence aucune anomalie, et notamment pas de procidence du cordon ni d'enroulement autour de la tête du bébé. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 20.12.19, en bon état général. Patiente de 30 ans, 1G 0P à 39 2/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané le 07.01.2020. Le travail est harmonieux sous anesthésie péridurale. Le fœtus présente une bradycardie à dilatation complète aux épines pour laquelle nous posons l'indication à une extraction instrumentée par forceps après échec de ventouse. Elle donne naissance à un garçon pesant 3020 g, de mauvaise adaptation néonatale immédiate. Par la suite, le nouveau-né présente une bonne récupération et il reste en maternité avec la patiente. Mise en évidence d'une parésie de plexus brachial G (au niveau proximal) du nouveau-né, évaluée par la physiothérapie qui poursuivra un suivi en ambulatoire. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Un régime avec alimentation riche en fibres avec huile de paraffine et sirop de figue est débuté. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 10.01.2020, en bon état général. Patiente de 30 ans, 1G 0P à 39 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané au Petit Prince et transférée dans notre service pour la pose d'une péridurale à 5 cm de dilatation. Par la suite, le travail est harmonieux. Elle donne naissance à un garçon pesant 3630 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. Sevrage primaire avec Dostinex 1 mg po pour désir de la patiente. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. La patiente désire retourner à la Maison de naissance Petit Prince pour la suite du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente est transférée avec son bébé à la maison de naissance susnommée le 28.01.2020, en bon état général. Patiente de 30 ans, 1G 0P à 40 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 25.01.2020 pour rupture prématurée des membranes et mise en travail spontanée. Le travail est soutenu par Syntocinon. En raison d'un CTG pathologique et d'une non-progression de la dilatation à 3-4 cm, une césarienne en urgence de 30 minutes est décidée. À la naissance, le bébé présente une température de 38.1 degrés Celsius sans température maternelle retrouvée durant le travail. Afin de documenter une chorio-amniotite, le placenta est envoyé en anatomo-pathologie. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2020, en bon état général. Patiente de 30 ans, 2G 0P à 39 4/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Le travail est harmonieux dans la baignoire et elle donne naissance à un garçon pesant 3710 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. Une prophylaxie avec Clexane 40 mg sc 1 fois par jour a été débutée. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.01.2020, en bon état général. Patiente de 30 ans, 2G 1P à 37 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 30.12.19 pour une provocation pour une grossesse gémellaire bichoriale biamniotique. La patiente bénéficie d'une provocation par Misoprostol le 30.12.2019 et ensuite le travail est soutenu par Syntocinon le 31.12.19. Elle donne naissance à deux garçons, J1 pesant 3000 g, et J2 pesant 2820 g, avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel est sevré par Dostinex au premier jour post-accouchement. La contraception future se fera par la pilule progestative. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec ses bébés le 02.01.2020, en bon état général. Patiente de 30 ans, 2G-1P à 38 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie d'une provocation par Misoprostol le 26.01.20 puis Propess et pose d'un ballonnet le 27.01.2020. Elle donne naissance à une fille pesant 3360 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2020, en bon état général. Patiente de 30 ans, 2G 1P à 39 2/7 SA, admise en salle d'accouchement le 16.01.2020 pour rupture prématurée des membranes. Une provocation est débutée par Misoprostol après une attitude expectative de 24h. La patiente donne naissance à une fille pesant 3430 g, avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 20.01.2020, en bon état général. Patiente de 30 ans, 3G 0P à 41 0/7 SA, admise en salle d'accouchement le 04.01.2020 pour rupture des membranes. En l'absence de mise en travail après 12h d'expectative, l'accouchement est induit par Syntocinon et une antibioprophylaxie concomitante par Clamoxyl selon le protocole est débutée. Elle donne naissance à un garçon pesant 3530 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. La vaccination rubéole sera à proposer dans le post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 08.01.2020, en bon état général. Patiente de 30 ans, 5G 3P à 39 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 04.01.2020 en vue d'une provocation pour fatigue maternelle. La grossesse est marquée par deux antécédents de macrosomie fœtale avec dystocie des épaules. Elle bénéficie d'une rupture artificielle des membranes et de la perfusion de Syntocinon; elle donne naissance à un garçon pesant 4190 g (p94), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication.La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination chez le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 06.01.2020, en bon état général. • Mr. Y, 30 ans, en bonne santé habituelle, amené à la Permanence par son mari pour l'apparition d'un changement de comportement depuis 2-3 jours accentué ce jour, parallèlement à la démission de son emploi. Au premier plan symptômes de paranoïa, d'anxiété et de labilité de l'humeur. Le bilan somatique met uniquement en évidence une carence en vitamine D que nous substituons et nous proposons un suivi au RFSM avec traducteur en accord avec le psychiatre de garde. Un traitement de Temesta en réserve contre l'anxiété est prescrit. • Mr. Y, 30 ans, qui consulte à la Permanence le 15.01.2020 pour une baisse de l'état général et une perte pondérale involontaire importante depuis plusieurs mois. Il décrit une inappétence avec prise alimentaire insuffisante, une dysthymie ainsi que des douleurs épigastriques et des céphalées. Le statut est sans particularités. Le laboratoire permet d'exclure une anémie, une dysthyroïdie ainsi que des troubles importants de la fonction rénale et hépatique. Une carence en folate est mise en évidence que nous substituons. La perte pondérale est probablement multifactorielle. Nous suspectons une composante liée à un trouble dépressif sous-jacent pour laquelle nous encourageons un suivi par le RFSM. Une origine somatique surajoutée doit encore être exclue. Nous encourageons Mr. Y à effectuer la gastroscopie déjà agendée au 08.02.20. D'ici là, nous introduisons un traitement empirique par IPP pour 3 semaines afin de soulager ses épigastralgies. Concernant les céphalées, nous préconisons du repos, une bonne hydratation et un arrêt du Paracétamol d'office. Nous encourageons Mr. Y à trouver un généraliste pour la suite des investigations de cette perte pondérale après ce premier bilan et de ses céphalées si elles persistent malgré nos mesures. • Mr. Y, 31 ans, 1G 0P à 38 SA, admis en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. Mr. Y donne naissance à un garçon pesant 3180 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée au contrôle post-partum ; dans l'attente, Mr. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile avec son bébé le 22.01.2020, en bon état général. • Mr. Y, 31 ans, 1G 0P à 41 0/7 SA, admis en salle d'accouchement le 02.01.2020 pour une provocation pour terme dépassé et épuisement maternel. Il bénéficie de la pose d'un ballonnet intra-cervical le 02.01.2020 puis nous poursuivons la provocation par Misoprostol. Il bénéficie d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl selon protocole en raison d'un portage génital de Streptocoques du groupe B. Il donne naissance à une fille pesant 3010 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination chez le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile avec son bébé le 06.01.2019, en bon état général. • Mr. Y, 31 ans, 1G 0P à 41 3/7 semaines d'aménorrhée, admis en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour terme dépassé. Il bénéficie de perfusion de Syntocinon. Le travail et la dilatation se déroulent harmonieusement. Néanmoins, au vu d'une non-progression de la présentation après 3 h de dilatation complète et d'un CTG devenu pathologique, nous posons l'indication à une instrumentation par ventouse Kiwi. Il donne naissance à un garçon pesant 3570 g, nécessitant une aide respiratoire par CPAP et transféré en néonatologie. Après la délivrance, suspicion de matériel résiduel pour laquelle une révision utérine a été effectuée et est revenue positive pour cotylédon. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum ; dans l'attente, Mr. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2020, en bon état général. • Mr. Y, 31 ans, 2G 1P à 37 SA, admis en salle d'accouchement le 17.01.2020 en vue d'une provocation pour RCIU avec des dopplers pathologiques. Il bénéficie de la mise en place d'un Propess en fin de journée. Au vu d'un CTG intermédiaire, le Propess est retiré. Par la suite, un ballonnet est posé le 18.01.2020 au matin et Mr. Y se met en travail de manière harmonieuse. Mr. Y donne naissance à un garçon pesant 2010 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation ; dans l'attente, Mr. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile avec son bébé le 21.01.2020, en bon état général. • Mr. Y, 31 ans, 2G 1P à 40 4/7 semaines d'aménorrhée, admis en salle d'accouchement le 31.12.2019 pour mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et il donne naissance à une fille pesant 3420 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation lors du contrôle post-partum. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile avec son bébé le 03.01.2020, en bon état général. • Mr. Y, 31 ans, 3G 0P à 41 1/7 SA, admis en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Il donne naissance à une fille pesant 3590 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par les préservatifs. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile avec son bébé le 14.01.2020, en bon état général. • Mr. Y, 31 ans, 3G 2P à 39 1/7 SA, admis en salle d'accouchement pour rupture spontanée des membranes. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. Il donne naissance à une fille pesant 2950 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se discutera en post-partum ; dans l'attente, Mr. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile avec son bébé le 25.01.2020, en bon état général. • Mr. Y, 31 ans, 3G 2P à 41 SA, admis en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes. Il donne naissance à une fille pesant 4400 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mr. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par le préservatif. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile avec son bébé le 17.01.2020, en bon état général. • Mme. Y, 32 ans qui est en bonne santé habituellement présente depuis lundi des lésions cutanées de type urticaire prurigineuse sur tout le corps.Vu l'examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile avec le traitement par Zyrtec 10 mg per os 1 fois par jour pendant 5 jours. Si l'absence d'amélioration des symptômes contrôle chez Mr. Y dans 5 jours. • Patiente de 32 ans, 1G à 38 6/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané. Le travail est harmonieux et la patiente donne naissance à une fille pesant 3210 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.01.2020, en bon état général. • Patiente de 32 ans, 1G 0P à 41 3/7 SA, admise en salle d'accouchement le 18.01.2020 en vue d'une provocation pour terme dépassé par Misoprostol. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent par la suite de manière harmonieuse. Au vu d'un CTG suspect et d'une non-progression de la présentation, l'indication est posée à une instrumentation par ventouse Kiwi. La patiente donne naissance à une fille pesant 3560 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée à votre consultation, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.01.2020, en bon état général. • Patiente de 32 ans, 2G 0P à 38 1/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané. Au vu d'un CTG pathologique, l'accouchement a été instrumenté par ventouse. L'intervention se déroule sans complication. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3390 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.01.2020 en bon état général. • Patiente de 32 ans, 2G 1P à 37 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 28.12.2019 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant et suspicion de macrosomie. Elle bénéficie d'une provocation par Misoprostol le 28.12.2019 puis par Syntocinon le 29.12.2019. Le travail est soutenu par Syntocinon et elle accouche le 29.12.2019. La patiente donne naissance à une fille pesant 4260 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Sur désir de la patiente, nous effectuons un sevrage primaire par Dostinex. La contraception future se fera par le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.12.2019, en bon état général. • Patiente de 32 ans, 2G 1P à 39 0/7 SA, admise en salle d'accouchement le 10.01.2020 pour mise en travail spontané. Le travail est harmonieux et la patiente donne naissance à une fille pesant 3060 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la pilule, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 13.01.2020, en bon état général. • Patiente de 32 ans, 3G 0P à 9 5/7 SA d'une grossesse sur transfert d'embryon congelé à J5 en Espagne le 05.12.2019. La patiente nous est adressée par votre cabinet suite à la découverte d'une grossesse non évolutive, arrêtée à 8 2/7 SA, avec CRL 18 mm, activité cardiaque négative. Dans ce contexte, la patiente opte pour un curetage évacuateur. L'intervention se déroule sans complications le 24.01.2020. Le matériel est envoyé en analyse. La patiente regagne son domicile le jour même de l'opération et sera revue à votre consultation dans 4-6 semaines post-opératoires. • Patiente de 32 ans, 5G 2P à 39 2/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour RCIU le 31.12.2019. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 31.12.2019 dans la nuit. La patiente donne naissance à une fille pesant 2620 g, de bonne adaptation néonatale. Durant la nuit du 04.01.2020 au 05.01.2020, l'enfant chute en chambre et nécessite un séjour en pédiatrie avec surveillance neurologique, mise en évidence d'un traumatisme crânien modéré avec une fracture pariétale sous-galéale gauche sans complication décelable, et un hématome sous-galéal pariétal (US 06.01.2020). Les suites post-partales sont marquées par un état anxio-dépressif qui est évalué par les psychiatres qui retiennent comme diagnostic une réaction aigüe au stress et proposent un suivi ambulatoire. Concernant la situation psychosociale (notion de violence conjugale, père biologique différent), la patiente est vue à plusieurs reprises par notre sage-femme conseil, qui propose un séjour à l'institution Aux Etang, refusé catégoriquement par la patiente, qui souhaite tout de même rentrer à domicile. La justice de paix en est informée et propose un RDV le 15.01.2020 avec la patiente, le conjoint et le père biologique. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Concernant la vaccination coqueluche, le statut sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec le 11.01.2020, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 2G 0P à 38 1/7 SA, admise en salle d'accouchement le 17.01.2020 en vue d'une provocation pour macrosomie fœtale. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess qui est retiré 24 h plus tard. Le travail est ensuite soutenu par Syntocinon et la dilatation se déroule de manière harmonieuse. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3800 g, de bonne adaptation néonatale, qui par la suite développe un syndrome de détresse respiratoire pour lequel une prise en charge dans le service de néonatologie est nécessaire. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée à votre consultation, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.01.2020, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 3G 2P à 39 3/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané le 07.01.2019. Elle donne naissance à un garçon pesant 3480 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel sevré par Dostinex sur demande de la patiente. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 09.01.2020, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 4G 2P à 39 1/7 SA, admise en salle d'accouchement le 18.01.2020 pour mise en travail spontané. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. La patiente donne naissance à une fille pesant 3410 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.01.2020, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 7G 3P à 38 3/7 SA, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes. Le travail est soutenu par Syntocinon. En raison d'un saignement vaginal pendant le travail, d'une échographie avec suspicion de décollement placentaire et un CTG suspect, nous administrons du Gynépral pour Tocolyse et nous procédons à une césarienne en urgence 30 minutes. L'intervention est marquée par une hémorragie peropératoire avec pertes sanguines estimées à 1300 cc raison pour laquelle la patiente reçoit 2 CE, 2 g de Fibrinogène et 1 g de Cyclocapron. Elle donne naissance à une fille pesant 3350 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une anémie minimale à 88 g/L bien tolérée, nous commençons donc une substitution par du Maltofer 1x/j pendant 2 mois. Sur désir de la patiente, nous effectuons un sevrage primaire par Dostinex. La contraception future se fera par la pilule progestative, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.01.2020, en bon état général. Mr. Y de 34 ans, 1G à 40+6/7 SA, admis en salle d'accouchement pour un pré-travail persistant. Il bénéficie de la pose d'une péridurale et d'une provocation pour rupture artificielle des membranes. Le travail est soutenu par Syntocinon et après 2 heures de dilatation complète et 25 minutes de poussées actives, devant un CTG pathologique nous posons une ventouse Kiwi aux épines + 2. La patiente donne naissance à une fille pesant 3340 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.01.2020. Mr. Y de 34 ans, 2G 1P à 39 6/7 SA, admis en salle d'accouchement le 19.01.2020 pour mise en travail spontanée. Le travail et la dilatation se déroulent rapidement et de manière harmonieuse. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3370 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.01.2020, en bon état général. Mr. Y de 34 ans, 4G 2P à 37 3/7 SA, admis en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective pour macrosomie foetale et utérus bi-cicatriciel. L'intervention se déroule sans complication. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3650 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. La patiente bénéficie d'une thromboprophylaxie par Clexane 40 mg SC 1x/jour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.01.2020, en bon état général. Mr. Y de 35 ans, 1G 0P à 38 0/7 SA, admis en salle d'accouchement pour une provocation pour cassure de la courbe de croissance et RCIU au P3. Il bénéficie de la mise en place d'un Propess. Par la suite, le travail est soutenu par Syntocinon. En raison d'un état fébrile et d'une suspicion de chorioamnionite durant le travail, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl et Gentamicine. Il donne naissance à un garçon pesant 2450 g (RCIU), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Elle a reçu encore 1 dose d'antibiotique dans le post-partum. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatifs, dans l'attente d'en rediscuter avec son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.01.2020, en bon état général. Mr. Y de 35 ans, 1G 0P à 39 5/7 SA, admis en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. En raison de contractions douloureuses, une antalgie par péridurale est mise en place à 20h le 24.01.2020. En raison d'une non-progression à épine +1, une extraction par ventouse ainsi qu'une épisiotomie sont pratiquées. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3360 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatifs dans l'attente d'en rediscuter au contrôle post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.01.2020, en bon état général. Mr. Y de 35 ans, 1G 0P à 40 2/7 SA, admis en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 09.01.2020. L'accouchement est instrumenté par une ventouse Kiwi aux épines +1 pour un CTG intermédiaire. Il donne naissance à un garçon pesant 2540 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 14.01.2020, en bon état général. Mr. Y de 35 ans, 2G 1P à 40 0/7 SA, admis en salle d'accouchement pour contractions utérines et douleurs à la cicatrice de l'ancienne césarienne. Dans ce contexte, nous posons l'indication à une césarienne en urgence pour suspicion de rupture utérine, infirmée en per-opératoire. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3330 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement est sevré sur sa demande. La contraception future se fera par préservatif dans un premier temps, puis en discutera au contrôle post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 10.01.2020, en bon état général. Mr. Y de 35 ans, qui consulte à la permanence de Meyriez le 13.01.2020 suite à un traumatisme du pied gauche la veille. Alors qu'il descendait les escaliers, il s'est bloqué le pied gauche dans la barrière de protection (pour bambins). Mouvement de torsion du pied gauche avec douleur vive ressentie et apparition progressive d'une tuméfaction et d'un hématome de la face latérale du dos du pied gauche avec charge difficile. La radiographie permet d'exclure une fracture sous-jacente. Une chaussure à semelle rigide est remise à la patiente ainsi qu'un traitement antalgique et un arrêt de travail pour 1 semaine. Mr. Y de 35 ans qui présente une probable contracture du trapèze gauche suite à un faux mouvement. Nous débutons un traitement symptomatique. Mr. Y de 36 ans, 2 gestes 2 pares, connu pour une fibromyalgie, qui se présente aux urgences pour des douleurs en augmentation en fosse iliaque droite. Douleurs abdominales initialement diffuses, apparues une semaine auparavant, pour lesquelles un médecin à domicile a diagnostiqué une pyélonéphrite et lui a prescrit un traitement par Ciprofloxacine le 21.01.2020. Épisode unique de vomissement. Pas de trouble du transit. Il se plaint de pollakiurie et algurie depuis une semaine. Contraception sous Miranova depuis 2016, règles douloureuses, durant 7 jours. Au status, la patiente est fébrile à 38.4°C, stable hémodynamiquement. L'abdomen présente une défense avec légère détente, avec une douleur provoquée à la palpation vaginale bi-manuelle dans l'espace de Douglas. L'échographie montre un utérus rétroversé de taille normale et des ovaires d'aspect normal avec une image d'un hydro-pyo salpinx dans la région annexielle droite, de 9x4 cm, avec multiples septas. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 128 mg/L. Dans ce contexte, nous évoquons une suspicion d'abcès tubo-ovarien et hospitalisons la patiente pour une antibiothérapie intraveineuse.L'évolution clinique et biologique est favorable. L'échographie de contrôle le 28.01.2020 montre une masse en diminution de taille. La patiente regagne son domicile le 29.01.2020 avec un relais antibiotique per os, et sera vue à la consultation du Dr. X pour un contrôle dans 2-4 semaines. Patiente de 36 ans, 2G 1P, que vous nous adressez pour métrorragies depuis 7 jours, avec changement de serviette 4x/j sans perte de caillots ni douleurs abdominales. À noter que la patiente a été traitée par embolisation des artères utérines et MTX le 13.12.2019 pour grossesse débutante avec insertion dans la cicatrice de la césarienne. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable. Le statut gynécologique ne montre pas de saignement actif et l'échographie montre une collection hétérogène de 36x58mm au niveau de l'isthme latéral droit avec affinement du myomètre en regard, correspondant à des caillots de sang. L'hémoglobine à l'entrée est à 85 g/L. La patiente a bénéficié d'un Ferinject 1000mg iv le 14.01.2020. Nous discutons avec la patiente les différentes modalités de traitement (nouvelle embolisation des artères utérines seule VS embolisation et aspiration endo-utérin VS laparoscopie avec réfection de la paroi d'isthmocèle). La patiente opte pour une prise en charge par embolisation des artères utérines seule, qui est agendée au 16.01.2020. L'intervention se déroule sans complication. Une antalgie par PCA est mise en place jusqu'au lendemain. L'hémoglobine est stable au contrôle du 16.01.2020. Nous débutons Ologyn micro en continu. La patiente regagne son domicile en date du 17.01.2020 en bon état général. Patiente de 37 ans, 2G 1P à 33+6/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective pour HTA mal contrôlée avec la thérapie par Trandate et RCIU et état après une prééclampsie sévère. L'intervention se déroule sans complication et la patiente donne naissance à une fille pesant 1540 g, qui est prise en charge en néonatologie pour prématurité. La patiente, dans l'immédiat du post-partum, développe une prééclampsie sévère pour laquelle elle est mise sous MgSo iv et Trandate iv avec, pour la suite, normalisation de la tension artérielle et disparition des symptômes de prééclampsie. Après 18h00, interruption de traitement iv et mise en place de traitement po avec Trandate 200 mg cpr 3 fois par jour. Les bilans de prééclampsie pour la suite étaient en amélioration avec réduction de l'LDH. Pour la persistance de TA labiles augmentation du traitement à Trandate 400-200-200 mg. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.01.2020, en bon état général. Patiente de 37 ans, 2G 1P à 37+5/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective itérative pour suspicion de macrosomie fœtale. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 3420 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Sevrage primaire pour désir de la patiente. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.01.2020, en bon état général. Patiente de 37 ans, 2G 1P à 40+5/7 SA, admise en salle d'accouchement pour rupture spontanée des membranes avec un liquide méconial. Par la suite, le travail est rapide et la patiente donne naissance à une fille pesant 3860 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatifs, dans l'attente d'en rediscuter lors de votre consultation. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.01.2020, en bon état général. Patiente de 37 ans, 5G 1P à 40+0/7 SA, admise en salle d'accouchement le 21.01.2020 en vue d'une provocation pour inversion de l'index cérébro-placentaire avec IP de l'artère ombilicale > p95, Doppler de l'artère cérébrale moyenne en ordre et un PFE au p15. Elle bénéficie de la pose d'un Propess avec par la suite mise en travail. La patiente donne naissance à une fille pesant 2930 g, de bonne adaptation néonatale. L'accouchement est compliqué d'une hémorragie du post-partum, raison pour laquelle nous décidons d'une révision utérine. Celle-ci ramène des restes placentaires et membranaires et elle reçoit 20 UI de Syntocinon et 1 g de fibrinogène. Les pertes totales sont estimées à 1300 cc. Hb du post-partum à 96 g/L. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.01.2020, en bon état général. Patiente de 37 ans, 5G 1P à 37+5/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire bichoriale biamniotique, admise en salle d'accouchement le 03.01.2020 en vue d'une césarienne élective. L'intervention se déroule sans complication. La stérilisation tubaire est effectuée par salpingectomie gauche. Elle donne naissance à un garçon pesant 2790 g et à une fille pesant 2490 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel sevré par le Dostinex sur demande de la patiente. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 08.01.2020, en bon état général. Patiente de 37 ans, connue pour des infections urinaires répétées, qui présente depuis ce matin des brûlures mictionnelles et une pollakiurie, associées à des douleurs sus-pubiennes irradiant jusque dans la loge rénale, une sensation fébrile et un épisode de vomissements. La clinique et le laboratoire parlent en faveur d'une pyélonéphrite droite. Nous débutons une antibiothérapie par Ceftriaxone 2 g iv puis relai per os par Ciprofloxacine pour 7 jours. Un contrôle clinique et pour les résultats de microbiologie est prévu le 28.01.2020. Patiente de 37 ans en bonne santé habituelle qui consulte pour un état grippal. L'examen clinique ne parle en faveur d'une surinfection bactérienne. Nous recommandons à la patiente de prendre le traitement symptomatique prescrit lors de sa précédente consultation et ajoutons un IPP au vu de ses épigastralgies sous AINS. Patiente de 38 ans, vivant à Madère et en vacances en Suisse, qui consulte pour une inflammation péri-unguéale de l'hallux gauche depuis le 29.12.2019 avec douleurs à la charge. La patiente décrit une douleur péri-unguéale ainsi que sous la pulpe de l'hallux, sans écoulement ni zone blanchâtre. Pas de fièvre ni de frissons, pas de limitation de mouvement de l'hallux. Le contrôle après 48 heures de traitement antalgique et bains d'Amukina et pansement avec Bétadine onguent montre une amélioration clinique selon la patiente avec soulagement de la douleur et diminution de l'œdème. Au statut, on retrouve une rougeur et un œdème péri-unguéal avec chaleur locale, sans collection palpable ni écoulement. Légère lame jaunâtre d'1 mm le long du bord externe de l'ongle et accumulation de liquide clair d'1 mm à l'extérieur. Par ailleurs, la patiente signale éruption cutanée avec sécheresse cutanée et prurit au niveau des avant-bras depuis son arrivée en Suisse.Nous proposons de continuer le traitement local au hallux et reconsulter en cas de péjoration. Soins humidifiants et produit de beauté hypoallergénique pour eczéma. Mme. Y, 38 ans, 3G-2P à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective bi-itérative ainsi qu'une stérilisation tubaire. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3350 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Elle bénéficie d'une prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg SC 1x/jour. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 28.01.2020, en bon état général. Mme. Y, 39 ans, connue pour une chirurgie rénale dans l'enfance, consulte à la Permanence le 03.01.2020 pour des brûlures mictionnelles. Devant un sédiment urinaire évocateur, une cystite est diagnostiquée et un traitement ambulatoire de Nitrofurantoïne introduit. Le lendemain, suite à l'apparition d'un état fébrile et de douleurs de la loge rénale gauche, Mme. Y reconsulte à la Permanence. Au status, la loge rénale gauche est effectivement douloureuse à la palpation et percussion. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire biologique. Une pyélonéphrite gauche est confirmée au CT abdominal sans mise en évidence de signes de complications. Une antibiothérapie par ceftriaxone est débutée et Mme. Y hospitalisée. La culture d'urine met en évidence un E. Coli multisensible. Un relais per os par ciprofloxacine est effectué le 06.01.2020 pour une durée totale de 14 jours au vu de l'antécédent chirurgical rénal. Selon le souhait de Mme. Y, elle rentre à domicile le 06.01.2020. Mme. Y, 39 ans, 1G-0P, admise en salle d'accouchement le 25.01.2020 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie de la mise en place de Misoprostol le 25.01.2020 à 15h30 sur un col postérieur, long de 2 cm et perméable à 2 doigts. Elle reçoit au total 4 comprimés, et le travail est par la suite soutenu par du Syntocinon. La dilatation se déroule lentement, et Mme. Y donne naissance par voie basse à une fille pesant 4130 g, de bonne adaptation néonatale. La délivrance est compliquée d'une rétention partielle de placenta, nécessitant une révision des 3 étages. Les pertes sont estimées au total à 900 ml. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Le contrôle du post-partum de l'hémoglobine met en évidence une anémie sévère traitée avec transfusion d'un culot érythrocytaire. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée au contrôle du post-partum, dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y désire poursuivre le post-partum à la maison de naissance "Le Petit Prince", donc elle est transférée avec son bébé le 27.01.2020, en bon état général. Mme. Y, 39 ans, 2G-0P à 39 1/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 06.01.2019. En raison d'une non-progression de la présentation et d'un CTG suspect, l'indication à une instrumentation par ventouse métallique à épines est posée. Elle donne naissance à un garçon pesant 2930 g, qui séjourne en néonatologie pour surveillance avec diagnostic de céphalhématome sans autre complication (US cérébral le 08.01.2020). Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Un hématome souple de l'EMLD est mis en évidence, pour lequel nous préconisons la poursuite de l'antalgie simple, application de glace et la prise de Bromelain. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 10.01.2020, en bon état général. Mme. Y, 39 ans, 3G-2P à 32 SA 2/7, consulte le 24.01.2020 aux urgences pour apparition de contractions utérines. Lors de la consultation, mise en évidence d'un col raccourci à 12 mm (il y a 5 jours chez le gynécologue traitant, col raccourci à 20 mm), fœtus en présentation céphalique dos à droite, placenta fundique, Manning 8/8, PFE 2025 g, AFI eo à 13.5 cm, Doppler eo, avec proposition d'hospitalisation pour maturation pulmonaire. Mme. Y refuse la prise en charge médicale mais accepte de rester hospitalisée pour surveillance dans le contexte de menace d'accouchement prématuré. Au moment de l'hospitalisation, Mme. Y refuse la pose de voie veineuse et la prise de sang pour contrôle des paramètres inflammatoires. Durant l'hospitalisation, Mme. Y a bénéficié plusieurs fois de discussions sur la prise en charge avec maturation pulmonaire pour le fœtus, mais elle a toujours refusé en connaissance des risques pour le bébé. Le 27.01.2020 à 08h30, Mme. Y signale des pertes de liquides avec confirmation de rupture prématurée de membranes avec liquide amniotique clair. Au monitoring, contractions régulières toutes les 3 minutes non ressenties comme douloureuses. Au toucher vaginal, un col centré, souple, 1 cm de long, 2 doigts larges. Mme. Y refuse encore une fois la maturation pulmonaire et ainsi l'administration d'antibiotiques vu la rupture prématurée des membranes. Après discussion avec le service de néonatologie pour une question logistique d'absence de disponibilité des lits en néonatologie, organisation du transfert de Mme. Y à l'Hôpital de Berne. Mme. Y refuse la tocolyse pour le transfert. Mme. Y, 4 ans, en BSH, consulte aux urgences pour une douleur au genou droit débutée hier à 13h30, avec notion de trauma. Mlle est timide mais explique être tombée en avant et avoir entendu "crac". Dès 4h du matin ce jour, les parents mentionnent une perte de mobilité du membre inférieur droit. Notion de fièvre à 39°. Pas de IVRS ou maladie récente. Pas de notion de contagion. Vaccin à jour. Bon état général, fébrile à 38.4°, normocarde, normotendue. Boiterie, poids transféré sur le membre gauche à la station debout. Genou : pas de chaleur, pas de rougeur, pas d'œdème. Pas de douleur à la palpation, pas de douleurs ni limitation de la mobilité ddc. Hanche : pas de rougeur, pas de chaleur, pas d'œdème ddc. Douleur à la mobilisation de la hanche droite en RE et RI. Pas de limitation de la mobilité. Nous effectuons une prise de sang qui ne montre pas de syndrome inflammatoire avec une radiographie de la hanche droite qui ne montre pas de signe de fracture, ni d'éphiphysiolyse. Nous contactons les pédiatres de Fribourg, qui proposent de compléter le bilan avec un ultrason de la hanche et une ponction articulaire. Nous transférons alors Mme. Y en pédiatrie à Fribourg pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, 40 ans, consulte le 04.01.2020 pour des douleurs de la main gauche en regard du 5ème métacarpe de la main gauche. Mme. Y a été opérée au CHUV d'un embrochage rétrograde de 5ème métacarpe le 04.12.2019 au CHUV au centre de la main et aurait déjà débuté l'ergothérapie. Elle revient ce jour pour un contrôle échographique de la main gauche qui ne montre pas de collection profonde. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec un traitement antalgique et elle recontactera le Service de Chirurgie de la main du CHUV le 06.01.2020 pour suite de la prise en charge. Mme. Y, 40 ans, suivie pour une infertilité secondaire d'origine tubaire, est adressée pour une stimulation ovarienne et ponction ovarienne écho-guidée en vue d'une fécondation in-vitro +/- ICSI. Mme. Y bénéficie le 27.01.2020 d'une ponction ovocytaire écho-guidée avec prélèvement de 13 ovocytes, sous anesthésie générale, au bloc opératoire.Pas de complication per-opératoire. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre au domicile le jour même. Un transfert d'embryon est prévu pour le vendredi 31.01.2020. • Patiente de 41 ans, 2G 1P à 39 4/7 SA, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes le 17.01.2020. Le 18.01.2020, introduction d'une antibiothérapie par Clamoxyl pour rupture prolongée des membranes. La patiente donne naissance à une fille pesant 2980 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.01.2020, en bon état général. • Patiente de 41 ans, 2G 1P à 40 3/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance à une fille pesant 3000 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 13.01.2020, en bon état général. • Patiente de 41 ans, 2G 2P, adressée par les urgences de Riaz pour des métrorragies une heure après un rapport sexuel. À l'entrée, la patiente est hémodynamiquement stable et l'hémoglobine est à 133 g/L. Le test de grossesse est négatif. Au spéculum, une déchirure vaginale profonde dans le cul-de-sac latéral droit avec saignement actif est mise en évidence. Nous tentons de coaguler par nitrate d'argent et compression sans succès. Dans ce contexte, nous proposons une suture au bloc opératoire sous anesthésie générale, ce que la patiente accepte. L'intervention se déroule sans complications et la patiente regagne son domicile le même jour. • Patiente de 42 ans, 2G 1P à 39 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. À son arrivée, la patiente est à dilatation complète et elle donne rapidement naissance à un garçon pesant 3850 g, avec une bonne adaptation néonatale. L'accouchement se complique d'une hémorragie du post-partum. La patiente est transférée au bloc opératoire pour une révision des 3 étages. La révision manuelle de la cavité utérine ne ramène pas de fragments placentaires. La révision du col utérin met en évidence une déchirure cervicale à droite suturée par un point en x de Vicryl 1/0. Une déchirure périnéale de degré 2 est suturée. Les pertes totales estimées sont à 1500 ml. La patiente reçoit un concentré érythrocytaire au bloc opératoire. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à votre consultation, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.01.2020, en bon état général. • Patiente de 43 ans connue pour hypothyroïdie substituée suite à ablation thyroïdienne sur cancer. Elle décrit un épisode de palpitations dans le train entre Paris et Bulle où elle se trouvait ce soir et rapporte des vertiges rotatoires et des nausées lors de la verticalisation cette nuit, avec sensation de faiblesse des mains. Aucune douleur rétrosternale ni dyspnée ne sont ressenties par la patiente. À l'arrivée aux urgences, la patiente est asymptomatique. À l'examen clinique, l'examen cardiopulmonaire est dans la norme. Les mollets sont souples et indolores. L'ECG à l'arrivée est sinusal régulier sans trouble de la conduction ni repolarisation. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de perturbation des électrolytes. Le test de Schellong est négatif. Devant ce tableau rassurant, nous laissons partir la patiente à domicile avec un contrôle chez son médecin traitant dès son retour à Paris. • Patiente de 43 ans qui arrive en ambulance aux urgences après s'être réveillée vers 4 heures du matin dyspnéique et tachycarde à 138/min. Elle ne présente pas de douleurs thoraciques, pas de plaintes. Fourmillement autour de la bouche et dans les doigts, elle prend un Temesta expidet, son mari appelle l'ambulance. Hyperventilation à l'arrivée des ambulanciers. Pas de fièvre ni frissons. La patiente dit être dans une période de stress en ce moment, elle est en burn-out depuis 3 mois, Mme. Y était assistante de direction dans une grande entreprise. Elle a démissionné il y a 15 jours. À noter que la patiente est déjà venue à l'hôpital le 07.12.2019 dans un contexte de syndrome inflammatoire persistant inexpliqué, il avait été mentionné le diagnostic de spondylarthrite DD mastocytose DD infection pulmonaire débutante. Elle est suivie en rhumatologie, la dernière consultation rhumatologique date du 18.12.2019 (avec le bilan biologique envoyé au CHUV). À l'admission, la patiente est afébrile à 36,5°C, normotendue à 115/71 mmHg, tachycarde à 112/min, tachypnéique à 22/min avec une saturation en oxygène à l'air ambiant de 93%. L'examen clinique montre des B1B2 bien frappés sans souffle audible, pas de souffle carotidien, des mollets souples et indolores, pouls périphériques palpables, pas d'œdèmes des membres inférieurs, présence de râles pulmonaires bibasales. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente, avec des bruits normaux en tonalité et en fréquence, les loges rénales sont indolores à la percussion. L'ECG montre une tachycardie sinusale régulière à 110/min. La radiographie thoracique ne montre ni de foyer ni de signes et est superposable à la radiographie faite le 07.12.2019. Le bilan est complété par un CT scan thoracique injecté qui exclut une éventuelle embolie pulmonaire. On constate un épaississement septal interlobulaire et des discrets comblements alvéolaires non spécifiques, l'image correspond en premier lieu à une atteinte infectieuse atypique ou à une surcharge. Dans le diagnostic différentiel, on peut évoquer une pneumopathie interstitielle ou un lymphome. Au laboratoire, on note un état inflammatoire avec une CRP à 37 mg/l et des leucocytes à 25,8 G/l. Vu le statut clinique, les résultats du bilan biologique et radiologique, une antibiothérapie par Tavanic 500 mg iv 2 fois par jour est débutée et la patiente reste hospitalisée en service de médecine interne. Une oxygénothérapie débutée aux urgences est rapidement sevrée. Nous demandons un avis pneumologique auprès du Dr. X. Il estime que les images du CT scan thoracique sont superposables au CT de 2016, la patiente avait présenté une clinique similaire à l'époque. Elle est déjà suivie pour un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée (probable maladie auto-inflammatoire) chez son rhumatologue. Durant le séjour hospitalier, la patiente est restée asymptomatique, apyrétique, n'est pas dyspnéique, avec de bonnes saturations en oxygène à l'air ambiant. Le cas est discuté avec le Dr. X qui ne retient pas d'indication à une antibiothérapie. Le Tavanic est stoppé le soir du 23.02.2019 après administration de trois doses. La patiente n'ayant pas besoin d'autres soins dans l'immédiat, nous autorisons son retour à domicile. • Patiente de 45 ans en bonne santé habituelle qui nous est adressée des urgences de l'HFR Fribourg pour prise en charge d'une fièvre d'origine indéterminée. Mme. Y se présente le 07.01.2020 aux urgences en raison d'une fièvre persistante depuis 4 jours (03.01.2020), des céphalées depuis 3 jours (04.01.2020) et une importante baisse de l'état général. Elle rapporte également une dyspnée mais pas d'autre symptôme. Aux urgences, la patiente est fébrile à 40,7°C, tachycarde à 110/min avec une raideur de la nuque. Le reste de l'examen clinique est strictement négatif. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 143 mg/l (sans leucocytose). Radiographie du thorax, sédiment urinaire, liquide céphalo-rachidien et frottis de grippe sont sans anomalie.A son arrivée dans notre unité, la patiente décrit une fièvre nocturne avec sueurs froides profuses, une légère dyspnée mais pas de toux, pas d'expectoration, pas de rinorrhée, pas d'otalgie, pas d'odynophagie, pas de diarrhées, pas de symptômes urinaires ni de douleurs abdominales, pas d'arthalgie. Notion de voyage récent en Turquie (10/2019). Pas de contact avec des animaux. Pas de comportement sexuel à risque. Par d'arguent pour une connectivite : pas d'ulcères, pas de lésions dermatologiques, pas d'inflammation oculaire. Au status, la patiente est pâle, asthénique, l'auscultation cardio-pulmonaire montre un souffle cardiaque d'allure fonctionnelle, l'abdomen est souple et indolore, la gorge propre, les tympans sans particularité, la nuque est souple, l'examen de la peau est sans particularité, pas d'adénopathie. Au cours de l'hospitalisation, nous poursuivons de multiples investigations qui ne révèlent pas d'étiologie pouvant expliquer la fièvre nocturne. A la relecture de la radiographie, nous notons uniquement un discret épaississement bronchique compatible avec une bronchopneumopathie. Au bout de 3 jours d'hospitalisation, l'état général s'améliore mais les pics fébriles nocturnes persistent. La patiente a également 2 ou 3 épisodes de diarrhées liquidiennes. Après discussion avec nos confrères de l'infectiologie, Mme. Y est attendue en consultation d'infectiologie à l'HFR Fribourg le 17.01.2020. Le laboratoire avait aussi révélé une importante anémie hypochrome microcytaire probablement multifactorielle notamment due à une carence ferriprive et vitaminique (la patiente ayant eu une opération de Bypass et n'ayant pas eu de supplémentation par la suite). Mme. Y recevra un total de 3 transfusions de CE ainsi qu'une transfusion de fer et des injections de vitamines B12. L'oesogastroscopie faite afin d'éliminer un saignement digestif expliquant l'anémie avait révélé une candidose oesophagienne que nous traitons par Fluconazole. Nous avons exclu une immunosuppression. Le laboratoire montrait aussi une hypokaliémie qui a été substituée oralement ainsi qu'une thrombocytose probablement inflammatoire à recontrôler. Devant un état clinique stable, Mme. Y peut retrouver son domicile le 17.01.2020 avec la poursuite des investigations en ambulatoire par le Dr. X. Patiente de 45 ans qui présente un traumatisme crânio-facial, une agitation et un manque de compliance dans un contexte d'éthylisation aiguë. Nous effectuons un CT cérébral qui ne montre pas d'hémorragie, ni de fracture. La plaie frontale est suturée par 3 points séparés de fil 4.0 non résorbable. Un rappel antitétanique est fait. Du fait de l'agitation, la patiente bénéficie d'une contention et de l'administration de Dormicum. Au vu de l'intoxication alcoolique aiguë, nous initions une réhydratation par NaCl 2000 ml. Une évaluation psychiatrique est demandée, la patiente exprimant des idées suicidaires. Le Dr. X recommande une prise en charge psychiatrique, raison pour laquelle la patiente est transférée au RFSM-CSH Marsens, sous PAFA, par ambulance. Patiente de 46 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte ce jour aux urgences en raison d'un lumbago aigu non déficitaire. La patiente a fait un faux mouvement hier au travail, sans douleur de suite. Ce matin, elle décrit une douleur paravertébrale dans la région L1-L2, constante. Pas de déficit sensitivo-moteur, pas d'autre plainte. L'examen clinique à l'entrée aux urgences met en évidence une douleur dans la région paravertébrale L1-L2. Le reste de l'examen est normal. La patiente reçoit aux urgences un traitement de Dafalgan 1g et Tramadol 50mg po avec bon effet et disparition des douleurs. Nous laissons la patiente regagner son domicile avec un traitement antalgique et myorelaxant. Suivi par son médecin traitant. Patiente de 48 ans connue pour un Bypass gastrique réalisé en juin 2019 à l'hôpital cantonal qui consulte pour des épisodes de douleurs crampiformes épigastriques depuis cet après-midi. Elle rapporte avoir eu des diarrhées avec des nausées depuis 7 jours. Devant ce tableau, nous prenons contact avec le Dr. X et le diagnostic d'une gastroentérite d'origine virale est évoqué. Nous laissons repartir la patiente à domicile avec un traitement symptomatique et une consultation de contrôle chez son médecin traitant en début de semaine prochaine. Nous lui faisons un arrêt de travail jusqu'au 05.01.2020. Patiente de 48 ans, consultant pour une dyspnée à l'effort dans le contexte d'une virose avec à l'auscultation des sibilances. Le peakflow ne parle pas en faveur d'une crise d'asthme significative. Nous retenons une hyperréactivité bronchique dans le cadre d'une probable infection virale sous-jacente que nous traitons par du Ventolin au besoin. Patiente de 5 ans amenée pour un état fébrile dans un contexte d'une probable infection virale. A noter des céphalées qui répondent bien au traitement de paracétamol reçu à la permanence. Etat général conservé et status sans particularités. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique et les parents sont informés de reconsulter si péjoration de l'état général ou état fébrile persistant à 48h. Patiente de 5 ans, qui consulte dans le cadre d'une probable gastroentérite virale avec vomissements répétés depuis 12h sans douleurs abdominales ni état fébrile. Avec l'administration d'un antiémétique, la situation s'améliore et permet une hydratation per os lors de la surveillance à la permanence. La patiente regagne donc son domicile. Patiente de 50 ans, qui se coupe au travail avec un cutter en regard de l'articulation MCPI de sa main gauche. Pas de troubles neurovasculaires. Pas de visualisation de structure noble à l'exploration. Radiographie sans particularités. La plaie est rincée et suturée, et la patiente bénéficie d'un rappel anti-tétanique. La patiente prendra rendez-vous à 7 jours chez son médecin traitant pour retrait des fils. Patiente de 51 ans, connue pour une HTA traitée, présente depuis 2 semaines des fourmillements fluctuants dans le MS gauche, initialement à la main puis montant au niveau du coude, qui sont constants depuis ce matin, sans parésie. Elle était au téléphone et avait des difficultés à parler, savait ce qu'elle voulait dire, mais ne pouvait pas dire les mots vers 9h30, épisode qui a duré 3-5 min selon la patiente. Pas de trouble de la vue, pas de vertiges, pas de céphalées. Pas de perte de conscience, pas de malaise. Pas de nausées/vomissements, pas de raideur de nuque. Douleurs au niveau de l'épaule gauche depuis 2 semaines. Pas de trauma. Pas de douleur thoracique, pas de dyspnée, pas de toux. Pas de fièvre, pas de frissons. A consulté un médecin qui a prescrit une séance de physiothérapie. Épisode similaire en 2003, mais rien n'a été trouvé. Hétéroanamnèse avec une amie de la patiente : elle ne comprenait pas ce que la patiente disait, n'articulait pas (comme si elle mordait sa langue). Général : hypertendu à 161/91 à droite et 147/84 à gauche, normocarde, afébrile. NIHSS à 0. Neuro : GCS 15/15, orienté aux 3 modes, pupilles isocores isoréactives, nystagmus horizontal à la poursuite oculaire épuisable, pas d'amputation du champ visuel, reste des NC grossièrement dans la norme. Tests cérébelleux dans la norme, pas de trouble de la marche, Romberg négatif. Pas de signe de méningisme. Pas de déficit sensitivo-moteur aux 4 membres. ROT normovifs et symétriques.Test de Tinel positif, Phalen négatif. Vasculaire : pouls périphériques palpables aux 4 membres. pouls carotidien palpitant. Nous demandons un avis neurologique, qui propose de compléter le bilan par un angio-CT, qui ne montre pas de signe d'ischémie ou de sténose des vaisseaux précérébraux, mais montre une petite dilatation anévrismale de l'artère vertébrale D dans sa partie V3. Nous recontactons les neurologues qui proposent de charger la patiente avec 250 mg d'aspirine IV, de donner de l'atorvastatine 40 mg, et de transférer la patiente aux soins intensifs de Fribourg pour surveillance neurologique et pour compléter le bilan avec une IRM cérébrale. La patiente est alors transférée à Fribourg. Mme. Y, 51 ans, se présentant en raison de palpitations et de douleurs thoraciques parasternales gauches punctiformes. L'ECG et les enzymes cardiaques reviennent dans la norme. Nous objectivons une hypokaliémie et hypomagnésémie pouvant expliquer les palpitations, et substituons par voie orale. Au contrôle à 72h, les symptômes ont régressé. À noter par ailleurs que le reste du bilan biologique est dans la norme. Mme. Y, 52 ans, cirrhotique, qui consulte à la permanence le 31.01.20 pour 4 épisodes d'épistaxis récidivants. Le saignement est actuellement tari. Le laboratoire permet d'exclure une anémie ainsi qu'une péjoration de la fonction hépatique. La patiente présente une thrombopénie connue, à 57 G/L, stable. En cas de récidive d'épistaxis, nous proposons une cautérisation par un ORL. À noter que la patiente présente également des céphalées associées aux épisodes d'épistaxis pouvant faire évoquer une poussée hypertensive sous-jacente pour laquelle nous recommandons à la patiente de mesurer sa tension artérielle les prochaines fois et prescrivons de l'Adalat en réserve. Mme. Y, 54 ans, péri-ménopausée (dernières règles en février 2019), que vous nous adressez pour la prise en charge d'une masse annexielle gauche de 11 cm. Patiente asymptomatique, qui vous avait consulté le 27.11.2019 dans l'optique d'un éventuel traitement de PMA (nouveau conjoint). Patiente informée que cette solution n'est pas envisageable. Lors de cette consultation, découverte d'une masse latéro-utérine solido-kystique motivant une IRM pelvienne. Pas de douleur abdominale, pas de perte pondérale, pas de symptôme uro-génital ni trouble du transit. La patiente n'avait plus eu de contrôle gynécologique depuis 2015 (fait au Brésil). À noter qu'elle est connue pour un utérus myomateux. Les images radiologiques parlent en faveur d'une lésion suspecte pour un cystadénocarcinome. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une laparotomie médiane avec annexectomie bilatérale, washing péritonéal et hystérectomie totale. L'intervention se déroule le 22.01.2020 sans complication. Le statut per-opératoire montre une masse pédiculée provenant de la corne utérine gauche. Les suites sont marquées par une décompensation de son diabète déjà connu et suivi par le service de diabétologie. Nous réinstaurons son traitement antihypertenseur par Sartan vu qu'elle présente des pics hypertensifs au deuxième jour post-opératoire. La patiente quitte notre service pour un retour à domicile le 26.01.2020 et sera vue à la consultation du Dr. X le jeudi 30.01.2020 pour un contrôle. Mme. Y, 55 ans, connue pour une maladie de la jonction pyélo-urétérale bilatérale et hypotonie vésicale depuis 2014 (pose de double J bilatérale) avec infections urinaires à répétitions, hospitalisée le 23.01.2020 pour un changement de ses deux sondes double J ainsi qu'un changement de sa sonde vésicale. L'intervention se déroule le 24.01.2020 sans complication permettant un retour à domicile le jour même. Mme. Y, 59 ans, se présentant aux urgences accompagnée par sa belle-sœur dans un contexte de sevrage éthylique depuis le 10.10.2019. Elle aurait une consommation éthylique chronique et il s'agirait de sa première tentative de sevrage. Elle aurait consulté son médecin traitant le Dr. X il y a 48h et ce dernier aurait réalisé un bilan biologique retrouvant une perturbation des tests hépatiques raison pour laquelle il avait fait une demande de bilan en gastro-entérologie au CHUV qui était en attente. Ce jour au labo, nous retrouvons une cholestase, une augmentation des enzymes hépatiques, une lipasémie augmentée ainsi qu'une perturbation modérée du TP. Un US abdominal est réalisé dans ce contexte retrouvant les lésions sus décrites. Devant ce contexte et en prenant en compte le lieu de résidence de la patiente, un transfert est décidé aux urgences du CHUV avec accord du Pr. X. Mme. Y, 60 ans, connue pour une hypertension artérielle traitée et une hypercholestérolémie traitée adressée par sa généraliste en raison d'une suspicion de syndrome coronarien aigu. Elle décrit une douleur crampiforme au niveau de la mandibule gauche et du membre supérieur gauche à l'effort sans douleurs rétro-sternales ni de symptomatologie au repos. Elle décrit aussi une dyspnée à l'effort soutenu, pas d'autres symptômes cardiaques. Le bilan électrocardiographique aux urgences ne montre pas de sous ou sus-décalage mais un aspect dynamique des ondes T. Les troponines sont élevées à 20 ng/l. L'indication à une coronarographie est donc posée. L'examen invasif du jour démontre une maladie bitronculaire avec des lésions très serrées de l'IVA proximo-moyenne en bifurcation avec la première diagonale de bon calibre (Medina 1-1-1) suivi d'une sténose significative de l'IVA distale. La circonflexe présente une sténose serrée de la circonflexe moyenne. La coronaire droite présente une lésion non significative de la partie moyenne. L'artère mammaire interne gauche est perméable. La fonction systolique VG est normale à 65%. Nous proposons une prise en charge chirurgicale par pontage chez notre collègue le Dr. X. Poursuite d'aspirine et de statine. Héparinothérapie IV continue et nitrés IV continu. IEC et BB. Bilan pré-pontage axes vasculaires, ETT. La patiente est transférée à la clinique X pour revascularisation chirurgicale le 07.01.2020 en conditions stables. Mme. Y, 60 ans, 2G 2P, ménopausée, suivie pour apparition de saignement semblable à des règles sous HRT avec Oestrogel et Utrogestan pour la ménopause précoce. Nous proposons une hystéroscopie diagnostique avec curetage en raison d'une suspicion de polype endocavitaire utérin. Dans ce contexte, l'intervention susmentionnée est proposée à la patiente, qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication et la patiente peut regagner son domicile le même jour. Le produit de curetage est envoyé en anatomo-pathologie. Mme. Y, 61 ans en bonne santé habituelle, consulte à la permanence en raison d'un pic fébrile ce matin à 39,9°C suivant une importante toux avec crachats la veille. Un examen clinique ciblé montre la présence de discrets râles crépitants en base gauche. Un bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 14 mg/L sans leucocytose mais avec tout de même la présence de 8,24 G/L de neutrophiles à la répartition. Une radiographie montre un possible infiltrat en base gauche avec émoussement du sinus costo-diaphragmatique. Au vu de la constellation clinique, nous retenons le diagnostic de pneumonie basale gauche débutante et instaurons un traitement par Avalox 400 mg pour 10 jours chez une patiente rapportant une allergie à la co-amoxicilline. Elle est invitée à prendre rendez-vous rapidement chez son médecin traitant pour un suivi rapproché. Elle doit reconsulter en cas de péjoration de l'état général, de dyspnée ou de persistance de la symptomatologie. Mme. Y, 62 ans, connue pour un adénocarcinome appendiculaire métastatique se présente aux urgences pour baisse de l'état général avec douleurs abdominales, inappétence, asthénie majeure et douleurs abdominales diffuses légères évoluant depuis plusieurs jours.La patiente présente de multiples symptômes en lien avec le contexte oncologique : asthénie généralisée sévère, anorexie, cachexie avec dysgueusie, malnutrition protéino-énergétique modérée et probable trouble de l'adaptation. Des séances de physiothérapie ainsi qu'un suivi nutritionnel sont instaurés. Un transfert est organisé à la Villa St-François pour prise en charge pluridisciplinaire. Les douleurs abdominales sont mises sur le compte d'une ascite importante. Une ponction évacuatrice est refusée par la patiente. Le traitement d’aldactone est majoré. La patiente y est transférée le 09.01.2020. Patiente de 64 ans, connue pour un carcinome bronchique du lobe supérieur avec métastases cérébrales, hospitalisée jusqu'au 04.12.19 aux soins palliatifs en raison d'une péjoration de l'état général et d'un épuisement des proches. Elle est ensuite reclassée en attendant une place en EMS. L'évolution est lentement défavorable avec une majoration progressive de son asthénie et l'apparition d'une somnolence. Les traitements oraux sont arrêtés hormis la morphine qui est relayée par sa forme intraveineuse. La patiente décède le 20.12.19 entourée de ses proches. Patiente de 65 ans, porteuse d'une trachéotomie depuis 2004 suite à un cancer épidermoïde de la région sus-glottique, hospitalisée le 25.12.2019 à l'HFR en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë sur un bouchon trachéal. Mme. Y rapporte une dyspnée d'apparition aiguë le 21.12.2019 associée à des hémoptysies. Au service des urgences, elle est tachypnéique et hypoxémique sous oxygénothérapie. Un angio-CT thoracique ne retrouve pas d'embolie pulmonaire mais met en évidence un important bouchon en distalité du laryngostome. Le médecin ORL met en évidence une trachéite croûteuse et lève l'obstruction. En raison de cette trachéite croûteuse et des sécrétions épaisses, des aérosols de Fluimicil et Bepanthen sont institués avec une évolution lentement favorable. De nouveaux contrôles ORL effectués le 26.12 et le 30.12.2019 ne montrent pas de nouvelle obstruction avec une trachée calme. Nous retrouvons également une pneumonie basale gauche à H. influenzae résistant aux B-lactames et l'antibiothérapie initiale par Co-Amoxicilline est changée au profit de la Levofloxacine le 28.12.2019. Mme. Y est transférée en médecine interne le 30.12.2019. L'évolution tant clinique que biologique est favorable sous aérosols de Bépanthène et de Fluimucil associés à de la physiothérapie respiratoire. La patiente est progressivement sevrée de l'oxygénothérapie, désormais utilisée uniquement en réserve. Le contrôle ORL confirme l'évolution favorable. Il n'y a pas de récidive de dyspnée. L'angio-CT thoracique du service des urgences met également en évidence un nodule pulmonaire spiculé du lobe supérieur droit, de petite taille. Un avis pneumologique lors de la relecture du scanner révèle également une masse ganglionnaire hilaire gauche, non décrite sur le rapport original du scanner, d'allure potentiellement néoplasique. La patiente est au courant de ses lésions et bénéficiera d'un contrôle scannographique à distance de l'événement aigu à 3 mois, suivi d'une discussion des résultats en pneumologie, pour laquelle elle sera convoquée. Une éruption érythémateuse maculaire au niveau des membres inférieurs, non prurigineuse et indolore survenue le 08.01.2020 s'avère être un eczéma craquelé, pour lequel la patiente bénéficie de crème corticoïde et d'hydratation topique intense. Mme. Y est transférée en réhabilitation pulmonaire à l'HFR Billens le 09.01.2020. Nous vous laissons le soin de sevrer les aérosols. À noter également que la patiente vit seule à domicile sans soins à domicile. Patiente de 65 ans qui était hospitalisée à l'HFR Fribourg du 06 au 11.01 pour un 2ème cycle de chimiothérapie de rattrapage dans le contexte d'un lymphome folliculaire transformé en lymphome B diffus à grandes cellules. La chimiothérapie s'était déroulée sans complication clinique ni biologique. Une prise de sang de contrôle était prévue à Meyriez le 15.01.2020. Ce jour-là, la patiente rapporte des lombalgies bilatérales depuis 03h du matin, d'importants frissons, une nycturie en aggravation depuis le début de la chimiothérapie à Fribourg et des envies impérieuses. Au status d'entrée, bon état général, température à 39°C, état hémodynamique stable. L'auscultation cardio-pulmonaire est libre. Le status abdominal est sans particularité, les loges rénales sont sensibles des deux côtés. Les cultures d'urines revenant positives, nous concluons au diagnostic de pyélonéphrite aiguë. Nous mettons en place une antibiothérapie probabiliste par rocéphine i.v relayée par Bactrim forte per os par la suite. Puis devant une nette amélioration de son état clinique, Mme. Y est rentrée à domicile le 17.01.2020. Nous avons reçu le résultat d'antibiogramme le 20.01 qui montrait malheureusement un E. coli sensible à la rocéphine mais résistant au Bactrim. Nous avons recontacté la patiente par téléphone. Mme. Y nous a informé qu'elle ressentait à nouveau des brûlures urinaires. Nous avons donc envoyé une ordonnance de co-amoxicilline à sa pharmacie afin qu'elle poursuive le traitement du 20 au 25.01. Nous n'avons pas prescrit de ciprofloxacine en raison des interactions avec le sotalol. La patiente a été informée d'aller chercher ses antibiotiques au plus vite et de poursuivre le traitement pour 5 jours. Patiente de 67 ans, connue pour une cardiopathie hypertensive (dernier ETT avec FEVG conservé en 2016) et maladie coronarienne bitronculaire stentée en mars 2019, hospitalisée pour une décompensation cardiaque globale. La patiente se présente aux urgences de Fribourg le 07.01.20 pour une dyspnée et des œdèmes des membres inférieurs d'apparition progressive depuis une semaine. Elle décrit également une toux sèche sans état fébrile. Elle n'a pas présenté de douleur thoracique ni de palpitation. Pas d'autres plaintes. Au status, la patiente désature à l'air ambiant. Elle présente des râles crépitants bi-basaux et des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'à mi-jambes. L'auscultation cardiaque tout comme le reste du status est sans particularité. L'ECG est sinusal et ne montre pas de trouble de la repolarisation. Le laboratoire montre une NT-proBNP augmentée et deux trains de troponines stables. La radiographie thoracique confirme la décompensation cardiaque et ne montre pas de franc foyer. Un traitement par Lasix i.v est débuté. L'évolution est favorable avec une correction de la dyspnée, un sevrage de l'oxygène et une stabilisation du poids autour des 70 kg. Nous relayons le Furosemide i.v par du Torasémide per os le 12.01.2020 que nous poursuivons au long cours. Une échocardiographie trans-thoracique est réalisée le 10.01.2020 qui montre une FEVG conservée, une dysfonction diastolique de stade I et une absence de valvulopathie significative. Concernant l'étiologie de la décompensation cardiaque, nous retenons un possible pic hypertensif, au vu d'un profil tensionnel sub-optimal à domicile. Face à des tensions artérielles élevées malgré une quadrithérapie, nous sollicitons un avis de nos confrères néphrologues de l'HFR Fribourg pour suspicion d'HTA secondaire. Ceux-ci concluent que le profil tensionnel est plutôt satisfaisant et que la différentielle élargie serait probablement due à une calcification artérielle. Ils suggèrent un régime modéré sans sel, l'introduction de l'aldactone et le remplacement de l'hydrochlorothiazide par le Torasemid. La patiente sera également convoquée par Dr. X de la néphrologie de Fribourg à un mois.Sur le plan métabolique, la patiente présente des hypoglycémies matinales motivant la diminution de sa Lantus basale pendant son hospitalisation, puis au vu de la stabilisation des glycémies, nous reprenons le traitement avec les doses habituelles. Devant une évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 14.01.2020 avec réactivation des soins à domicile, augmentés à 2x/semaine. Patiente de 67 ans, connue pour une leucémie lymphoïde chronique sous Méthotrexate, est hospitalisée pour une neuronite vestibulaire gauche. La patiente est hospitalisée pour une suspicion initiale d'AIT/AVC le 21.01.2020. Elle présente le 20.01.2020 des vertiges de type tangage avec instabilité à la marche, nausées et vomissements déclenchés au moindre mouvement, avec sensation de serrement autour de la tête. La prise de tension artérielle révèle une TAS à 190 mmHg. L'angio-CT cérébral ne met pas en évidence de lésion ischémique. Au vu d'une anamnèse de vertiges d'origine plutôt périphérique, une consultation ORL est réalisée le 21.01.2020 qui conclut à une neuronite vestibulaire gauche. Un traitement de Prednisone pour une durée totale de deux semaines serait bénéfique sur avis des spécialistes, mais Mme. Y préfère continuer sa dose de base (5 mg/jour). La patiente sera convoquée pour un rendez-vous de contrôle ORL dans deux semaines. Selon avis neurologique, une IRM n'est pas nécessaire. Sur le plan oncologique, le traitement de méthotrexate est repoussé selon avis du Dr. X. La patiente retournera en contrôle le 28.01.2020 pour la suite du traitement. Une ordonnance pour de la physiothérapie vestibulaire est remise à Mme. Y avant son retour à domicile le 23.01.2020. Patiente de 67 ans, qui consulte aux urgences le 06.01.2020 pour une asthénie importante avec une faiblesse diffuse présente depuis 3 semaines dans le cadre d'une IVRS avec une lourdeur de la tête, un écoulement postérieur et une toux. A noter qu'elle présentait initialement une otalgie, prédominante à droite, avec mise en évidence d'une otite bilatérale traitée par une semaine de co-amoxicilline jusqu'au 01.01.2020 avec actuellement persistance d'un tinnitus invalidant à droite. Pas d'état fébrile. Au status, la patiente est afébrile. La percussion des sinus frontaux est bilatéralement indolore. Présence d'un écoulement nasal postérieur. Fond de gorge et otoscopie sans particularités. L'auscultation pulmonaire est sans particularités tout comme le reste du status. Le laboratoire met en évidence une hypokaliémie à 2,6 mmol/l sans répercussion ECG. Le reste est aligné avec notamment l'absence de syndrome inflammatoire, d'anémie significative ni d'insuffisance rénale. La radiographie thoracique ne montre pas de franc foyer. La patiente est hospitalisée dans le service de médecine interne à Meyriez pour suite de prise en charge. Sur le plan métabolique, la kaliémie se corrige avec une substitution intraveineuse puis per os. Sur le plan digestif, la patiente développe des diarrhées aqueuses probablement secondaires à l'antibiothérapie reçue préalablement. Des coprocultures reviennent négatives et permettent d'exclure un Clostridium Difficile. Un traitement symptomatique est introduit. Sur le plan général, la patiente demeure très affaiblie dans les suites de sa sinusite. Nous intensifions le traitement symptomatique et la patiente bénéficie de physiothérapie lors de son séjour. Au vu de l'évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 10.01.2020. Patiente de 7 ans avec un syndrome grippal avec actuellement au premier plan une odynodysphagie. Au status, elle présente des amygdales agrandies tuméfiées avec des dépôts blanchâtres et une probable adénopathie réactionnelle. Le streptest revient négatif. La patiente rentre à domicile avec poursuite d'un traitement symptomatique. Patiente de 7 ans, qui consulte dans le cadre d'une probable gastroentérite virale avec vomissements répétés depuis 12h sans douleurs abdominales ni état fébrile. Avec l'administration d'un antiémétique, la situation s'améliore et permet une hydratation per os lors de la surveillance à la Permanence. La patiente regagne donc son domicile. Patiente de 72 ans, qui consulte pour un gonflement au niveau de la joue gauche. Vers 4h, elle sent une douleur au niveau de la parotide gauche qui s'est mise à gonfler progressivement avec une douleur en majoration progressive surtout le soir. Déjà pas bien hier, mal aux yeux, bouche sèche. Subfébrile cet après-midi, pas d'arthralgie/myalgie. Pour elle, ce sont les mêmes douleurs et la même présentation qu'en novembre, moment où elle a fait une parotidite. Pas de dysphagie, quelques difficultés à la mastication et à l'ouverture de la bouche. À l'admission, la patiente est fébrile à 39,2°C, désaturée à 84% à l'air ambiant, hypertendue à 200/90 mmHg. Au status, nous retrouvons : • Cardio : B1B2 purs et réguliers, souffle systolique audible à tous les foyers. • Pulmonaire : MV symétrique, crépitant bi-basaux. • ORL : œdème parotidien, glande douloureuse à la palpation avec expression de pus dans la cavité buccale. Nous prélevons des hémocultures (2 paires) et nous prenons avis auprès de l'Infectiologue de garde (Dr. X) et de l'ORL de garde (Dr. X). Nous entamons un traitement par une dose de charge de Co-Amoxi 2,2 g aux Urgences puis 1,2 g IV 3x/j et hydratons la patiente avec NaCl 1L IV. Concernant la crise hypertensive, nous administrons 2 cpr de Nifédipine 20 mg PO et du Lisinopril 10 mg PO. La patiente désaturant à l'air ambiant, nous mettons en place une oxygénothérapie à 2L/min. Par manque de place au sein de notre institution, nous transférons la patiente à l'Hôpital de Rennaz pour suite de prise en charge. La patiente devra être revue en contrôle chez l'ORL dans 1-2 semaines. Le 09.01.2020, Mme. Y a une consultation de contrôle chez son hémato-oncologue. Dans l'intervalle, nous mettons sa chimiothérapie orale en suspens. Patiente de 73 ans, admise en Stroke unit monitorée le 26.01.2020 pour une surveillance neurologique dans le contexte d'une hémorragie sous-arachnoïdienne atraumatique sous Xarelto. Le 26.01, elle présente initialement des paresthésies du bras gauche d'apparition soudaine motivant sa consultation aux urgences. À son arrivée, elle ne présente aucun déficit neurologique. Le CT cérébral met en évidence une hémorragie sous-arachnoïdienne. La patiente étant sous Xarelto prophylactique (10 mg 1x/j), du Beriplex est administré et elle nous est adressée pour suite de prise en charge. L'évolution est favorable avec un NIHSS à 0 pendant toute l'hospitalisation. L'IRM cérébrale du 27.01.2020 confirme des hémorragies sous-arachnoïdiennes fronto-pariéto-occipitales à droite stables. Une anticoagulation avec Clexane 20 mg x 1/j est reprise le 28.01.2020 après avis neurochirurgical. Un consilium angiologique est demandé pour réévaluer l'indication pour une anticoagulation à long cours, à distance de l'épisode hémorragique aigu actuel. Un CT cérébral de contrôle doit être réalisé dans la semaine et avant la sortie. Nous vous laissons également le soin d'organiser un bilan neuro-psychologique, sur proposition de nos collègues neurologues. La patiente est transférée en médecine le 28.01.2020. Patiente de 73 ans, en vacances en Suisse, qui consulte à la Permanence le 22.01.20 en raison de l'apparition depuis le réveil ce matin d'une vision floue binoculaire, d'un tangage à la marche et d'une faiblesse générale sans céphalées, état fébrile, perte de connaissance ni autres symptômes neurologiques. À noter que la patiente a pris un cp de bromazepam en raison d'une anxiété durant la nuit et qu'elle a déjà présenté des symptômes similaires après la prise de ce traitement. Actuellement, la patiente n'est plus symptomatique.Devant la résolution progressive de la symptomatologie et d'épisodes similaires antérieurs, nous retenons en premier lieu une origine médicamenteuse sur la prise de bromazépam. Nous lui recommandons de ne pas reprendre son traitement et de rediscuter avec son médecin traitant de son traitement antidépresseur de fond. Un accident vasculaire ischémique n'est pas formellement exclu mais nous semble peu probable chez Mme. Y sans facteurs de risque cardiovasculaire, avec actuellement un statut neurologique sans particularités, par ailleurs déjà au bénéfice d'une anti-agrégation et anticoagulation. Nous n'effectuons donc pas d'imagerie cérébrale d'emblée. Nous informons cependant Mme. Y de reconsulter en urgence si apparition d'un déficit neurologique et de consulter son médecin traitant dès son retour au pays. Mme. Y, 74 ans, connue pour un adénocarcinome ovarien FIGO IIIc progressant malgré traitement chirurgical et chimiothérapie adjuvante, motivant un arrêt des traitements et des soins de confort depuis l'été 2019, est adressée par Voltigo pour transfusion. En effet, elle décrit depuis deux semaines des selles méléniques associées à une aggravation progressive de son asthénie, sans extériorisation de sang frais. Une anémie pouvant contribuer à l'asthénie est suspectée, motivant son transfert chez nous pour confirmation et transfusion. À noter que depuis 3 jours, elle décrit également des douleurs abdominales diffuses importantes, motivant l'introduction de morphine, avec également apparition de nausées et de vomissements à la mobilisation. À noter depuis 24h une absence de gaz. Pas d'état fébrile ni d'autres plaintes. Au statut, Mme. Y est pâle et a un état général diminué. L'abdomen est distendu, souple, diffusément douloureux à la palpation sans péritonisme. Les bruits sont augmentés en tonalité. Le reste du statut est sans particularités. Elle ne souhaite pas d'investigations supplémentaires et désire uniquement des traitements à visée de confort. Elle vit à domicile avec son mari, qui l'assiste pour la mobilisation et la prise médicamenteuse, et elle bénéficie d'un suivi rapproché par l'équipe mobile de Voltigo. Sur le plan hématologique, le laboratoire confirme une anémie à 63 g/L, motivant la transfusion de 2 culots érythrocytaires. Sur le plan digestif, Mme. Y présente une clinique de (sub)iléus. En accord avec ses souhaits, nous n'effectuons pas d'imagerie abdominale et introduisons uniquement un traitement symptomatique. Selon le désir de Mme. Y et en accord avec l'équipe de soins palliatifs mobile, elle regagne son domicile le 10.01.2020. Un protocole d'urgence est mis en place en cas d'apparition de vomissements fécaloïdes. Mme. Y, 75 ans, cardiopathe ischémique connue, est admise pour une coronarographie élective pour une revascularisation programmée. L'examen invasif du jour démontre un excellent résultat à moyen terme après stenting de l'IVA moyenne. Nous avons procédé comme prévu à la dilatation de la circonflexe proximale, de la marginale et de la coronaire droite moyenne avec mise en place de trois stents actifs. Nous proposons de continuer avec la médication instaurée (Aspirine à vie/Plavix 75 pour la durée de 6 mois). Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Mme. Y quitte notre établissement le 18.01.2020 en bon état général. Mme. Y, 75 ans, connue pour un carcinome du sein avec dernière cure de chimio le 31 décembre 2019, présente une importante hématurie avec pollakiurie sans algurie depuis 2 semaines, en péjoration. Elle avait consulté les urgences il y a 2 semaines pour la même raison, qui avait conclu à une cystite et avait été mise sous ciprofloxacine. Cependant, elle dit avoir ces saignements constamment et pas uniquement à la miction. Elle doit en effet porter des protections. Elle décrit du sang rouge vif, avec des caillots. Pas de douleurs abdominales, mais sensation de lourdeur. Pas de trouble du transit, pas de sang dans les selles. Pas de nausées/vomissements. Pas d'incontinence urinaire ou fécale. Pas de fièvre, pas de frissons. Plus de rapports sexuels avec son mari. Dernier contrôle gynécologique bas inconnu, elle dit ne pas avoir eu d'échographie de contrôle depuis longtemps. Perte de poids de 20 kg en 6 mois. A eu 2 enfants par voie basse. Général: normocarde, normotendu, afébrile Abdo: cicatrice en FID, ASI, pas de défense, pas de détente. Cardio: B1B2 bien frappés, pas de souffle. Pas de TJ, pas de RHJ. Œdème prenant le godet ddc jusqu'à mi-mollet. Pouls périphériques palpables aux 4 membres. Pulm: MVS, pas de bruits surajoutés. TV: sang frais au niveau de la vulve, TV douloureux à 12h avec palpation d'une masse suspubienne. Palpation bimanuelle douloureuse en suspubien. Nous effectuons un laboratoire qui montre une pancytopénie avec une Hb à 83 g/l, leucocytes à 3.2 g/l, thrombocytes à 32 g/l, ainsi qu'une hypokaliémie à 2.7 mmol/l, et une hypocalcémie à 2.01 mmol/l, ainsi qu'un stix/sédiment qui montre une hématurie avec une protéinurie à 29.4 g/l. Nous substituons les troubles électrolytiques avec KCL 40 mmol/2h dans 1000 ml de NaCl 0.9%, du sulfate de magnésium 8 mmol/30 min et du gluconate de calcium 1 amp/20 min. Nous complétons le bilan avec un angio-CT abdomino-pelvien qui montre un saignement vésical actif avec présence d'un caillot intravésical et hématome de paroi en regard. Nous prenons contact avec Dr. X, urologue, qui demande une stabilisation hématologique avec un contrôle de la crase après 3h post-transfusion pour évaluer la potentielle prise en charge chirurgicale, et de poser une sonde urinaire à 3 voies avec rinçage pour décaillotage. Nous rinçons avec 12000 ml avec persistance de l'hématurie. Nous administrons 500 ml de Beriplex IV et d'acide tranexamique 1g. Nous transfusons 2 culots érythrocytaires et 2 culots plaquettaires. Le laboratoire de contrôle ne montre pas de nette amélioration, nous recontactons Dr. X et les chirurgiens de Fribourg, et transférons Mme. Y à Fribourg pour une prise en charge chirurgicale. À son arrivée aux Urgences de Fribourg, elle doit recevoir un concentré plaquettaire, être annoncée au bloc opératoire, et l'anesthésiste doit contacter Dr. X 30 min avant l'intervention. Mme. Y, 75 ans, connue pour une cardiopathie sous Clopidogrel, consulte les urgences de Riaz le 23.10.2019 en raison d'une toux péjorée depuis hier. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui est aligné. Elle reçoit des aérosols de Ventolin, Atrovent et Pulmicort avec bonne évolution. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer de pneumonie. Le sédiment urinaire est contaminé et montre uniquement 3-5 leucocytes sans nitrites. Dans ce contexte, Mme. Y est hospitalisée à Fribourg pour manque de place pour adaptation du traitement d'aérosols avec enseignement thérapeutique et physiothérapie respiratoire. Le traitement de Serevent de la patiente est mis en pause et sera à réévaluer pour la sortie, avec nouvel enseignement. Transfert à Fribourg en médecine pour manque de place. Départ en ambulance. Mme. Y, 75 ans, connue pour une polyarthrite rhumatoïde et un antécédent d'embolie pulmonaire en septembre 2018, est anticoagulée par Xarelto. Elle présente une dyspnée en progression depuis une année, actuellement au stade NYHA III. Elle a bénéficié d'un CT-coronarien qui n'a pas montré de maladie coronarienne, mais au vu de la progression de la dyspnée, l'indication à une coronarographie est posée.L'examen invasif du jour démontre des coronaires normales avec une fonction systolique du VG normale. Une ischémie relevant est exclue. Les pressions télédiastoliques du VG sont élevées (cardiopathie hypertensive ?). L'aortographie montre une valve aortique tricuspide sans insuffisance, les dimensions sont dans la norme. On complète le bilan avec une échocardiographie transthoracique qui ne montre pas de valvulopathie ni d'élévation des pressions pulmonaires. Du point de vue biologique, on note un NT-ProBNP dans la norme. Une cause cardiaque de la dyspnée peut donc être raisonnablement exclue, on propose donc d'investiguer une origine pulmonaire en effectuant des fonctions pulmonaires. La patiente quitte notre établissement le 13.01.2020 en bon état général. Mme. Y, 75 ans, nous est adressée par l'hôpital de Fribourg pour une baisse de l'état général. La patiente mentionne une baisse de l'état général depuis un mois environ et une dyspnée en aggravation depuis trois jours. En revanche, pas de modification de la toux sèche habituelle ni de fièvre. Pas de douleurs thoraciques, pas de plaintes abdominales, pas de plaintes urinaires ou d'autres plaintes systémiques. On retrouve une patiente asthénique, saturant à 88 % sous 1,5 litres d'oxygène, afébrile à 35,8 °C, TA à 131/61 mmHg, 84 bpm, tachypnéique à 20/min, avec extrémités cyanosées, tirage sus-sternale et intercostal. À l'auscultation pulmonaire, les murmures vésiculaires sont diminués sur les deux plages pulmonaires. L'auscultation cardiaque est sans particularité. La radiographie du thorax ainsi que le bilan biologique n'ont pas montré de signe de surinfection pulmonaire. La gazométrie artérielle montre une acidose respiratoire chronique avec compensation métabolique et pO2 à 8,5 kPa. La patiente révèle à l'anamnèse des oublis fréquents de prise de traitement. Dans ce contexte, nous concluons à une exacerbation de BPCO sur mauvaise compliance médicamenteuse. Nous mettons en place un traitement d'exacerbation par oxygénothérapie à 2 L/min, inhalation d'Atrovent et Ventolin 4x/j et prednisone 40 mg pour 5 jours. L'évolution est excellente. Nous réalisons un enseignement des techniques inhalatoires avec ses médicaments habituels afin de consolider l'efficacité thérapeutique et reprenons le traitement de fond habituel à la sortie. En outre, nous organisons la mise en place d'une oxygénothérapie à domicile. Mme. Y sera revue en contrôle par le Dr. X le 17.02.2020. Par ailleurs, Mme. Y était particulièrement somnolente tout au long de la journée, raison pour laquelle nous avons arrêté le Xanax et la quétiapine du matin. Nous recommandons de réévaluer si ce changement est bien toléré. Le bilan biologique montrait également une polycythémie avec une hémoglobine à 187 g/l déjà connue depuis 2015, que nous mettons sur le compte de l'hypoxie chronique. Le matin de sa sortie à 05 h, Mme. Y a fait une chute mécanique dans les toilettes, sans notion de perte de connaissance ni de traumatisme crânien. Le statut étant sans particularité et la patiente étant apte, une imagerie n'a pas été jugée nécessaire. Mme. Y peut retrouver son domicile le 28.01.2020 avec augmentation du passage des soins à domicile 2x/semaine pour la douche et 1x/semaine pour contrôle de santé et médicaments. Mme. Y, 79 ans, souffrant d'une HTA, non fumeuse, sans antécédent d'HSA dans la famille avec un score PHASES à 4. Nous retrouvons un faible risque de rupture au vu de la localisation de l'anévrisme et de sa taille s'il devait exister. Nous souhaitons espacer le suivi à un an. La patiente nous recontactera pour fixer ce nouveau rendez-vous. Mme. Y, 81 ans, connue pour des épisodes d'épistaxis dont le dernier épisode remonte à 2015 avec statut post-coagulation de l'étage vasculaire postérieur, consulte ce jour en raison d'épisodes d'épistaxis. À chaque fois d'environ 10-15 minutes. Aux admissions des Urgences, elle ne présente plus de saignement actif. Statut ORL met en évidence la présence de traces de sang au niveau des narines des deux côtés et l'étage postérieur de nasopharynx mais sans saignement actif. Laboratoire : Hb à 151 g/l, leucocytes à 8,1 G/l. Pas de trouble de la crase. Durant le passage aux Urgences, la patiente n'a plus présenté de saignement. En accord avec le médecin traitant, nous avons stoppé l'Aspirine (au vu des indications pas claires), et si la patiente présente à nouveau des épisodes de saignement malgré l'arrêt de l'Aspirine, le médecin traitant organisera une consultation ORL. La patiente est avisée qu'en cas de saignements actifs, elle doit reconsulter les Urgences de Riaz. Mme. Y, 82 ans, consulte les urgences pour des douleurs abdominales péri-ombilicales crampiformes depuis le 23.12.2019. La patiente est connue pour une diverticulose pancolique non compliquée et une lésion para-rectale droite de 28 x 25 mm en contact avec la paroi du bas-rectum, stable, pouvant évoquer un GIST. Nous effectuons un laboratoire qui est aligné et un stix/sédiment qui met en évidence une leucocyturie. En raison de l'absence de symptomatologie urinaire, nous décidons de ne pas traiter la leucocyturie et de surveiller avec un contrôle chez le médecin traitant. Concernant les douleurs abdominales, nous prescrivons du Flatulex et du Perenterol avec un contrôle chez le médecin traitant en cas d'absence d'amélioration des symptômes. La patiente rentre à domicile le 05.01.2020. Mme. Y, 84 ans, connue pour un carcinome rénal gauche à cellules claires nouvellement diagnostiqué, suivie par le Dr. X qui nous l'adresse de façon élective pour une embolisation de la tumeur par le Dr. Y. L'intervention se passe sans complication. Un CT abdominal natif est organisé en ambulatoire le 21.02.2020 afin de réévaluer le volume tumoral. Cet examen sera suivi par le Dr. Y en accord avec lui. La surveillance post-intervention se déroule sans complication. Mme. Y peut regagner son domicile le 11.01.2020. Mme. Y, 85 ans, connue pour une fibrillation auriculaire, nous est adressée par la permanence de Meyriez le 31.12.2019 pour suite à la prise en charge d'une hyperkaliémie et insuffisance rénale. La patiente se présente ce jour en contrôle à la permanence suite à un érysipèle de la jambe droite depuis le 28.12.2019 pour lequel elle a bénéficié d'un traitement par Dalacin 300 mg 2x/j. Au contrôle laboratoire effectué le 31.12.2019, une hyperkaliémie asymptomatique à 6,5 mmol/l et une créatinine augmentée à 170 umol/l sont notées, raison pour laquelle la patiente est hospitalisée. À l'anamnèse, la patiente décrit une amélioration de l'érysipèle de la jambe droite. Elle décrit une dyspnée d'effort connue de longue date. Le reste de l'anamnèse systémique est sans particularité. Mme. Y habite seule à domicile avec 14 marches d'escaliers. Elle se déplace en rollator et ne sort jamais sans accompagnement. Elle bénéficie de soins à domicile par Spitex 2x/semaine et reçoit les repas à domicile. Sa fille est très présente. À l'examen clinique, on note un placard érythémateux et des pétéchies au décours sur quasi l'ensemble de la jambe antérieure et postérieure. L'auscultation cardiopulmonaire révèle des râles crépitants bilatéraux et un rythme irrégulièrement irrégulier avec un souffle systolique connu. Concernant l'hyperkaliémie, nous la mettons sur le compte de la détérioration de la fonction rénale dans le contexte infectieux et de la prise de Dalacine, ainsi que sur l'utilisation d'Aldactone. Partant, nous mettons en suspens ce médicament et un traitement par insuline et glucose est introduit à la permanence avec diminution de la kaliémie à 5,5 mmol/l. Par la suite, un traitement par Resonium et Nephrotrans est introduit à l'étage avec normalisation de la kaliémie à 4,0 mmol/l le 02.01.2020. Le traitement diurétique par Aldactone étant en suspens, nous augmentons le Torasemide de 10 à 15 mg par jour. Nous vous prions d'évaluer la réintroduction de l'Aldactone à votre consultation et d'adapter le traitement par Torasemide.Par rapport à l'insuffisance rénale pré-rénale, une hydratation prudente est débutée, prenant en considération les antécédents de décompensation cardiaque de Mme. Y. Dans ce contexte, le traitement par Metformine est mis en pause dès le 31.12.2019. Le contrôle biologique montre une amélioration des valeurs par la suite. La filtration glomérulaire restant cependant toujours en dessous de 30 ml/min/1,73 m², nous remplaçons la Metformine par du Trajenta qui ne doit pas être adapté à la fonction rénale. Nous vous prions de suivre la fonction rénale et les glycémies de Mme. Y à votre prochaine consultation le 09.01.2020. L'INR est normalisé au contrôle biologique du 31.12.2019. La patiente bénéficie d'un rendez-vous le 09.01.2020 chez son médecin traitant où l'INR sera contrôlé à nouveau. Concernant l'érysipèle, l'évolution est favorable. Le traitement par Dalacine est à poursuivre jusqu'au 04.01.2020. Le 01.01.2020, Mme. Y développe des diarrhées aqueuses sans sang et mucus. À l'examen clinique, les bruits hydro-aériques sont augmentés et l'abdomen est souple. Un prélèvement de selles à la recherche de Clostridium est effectué et un traitement par Perenterol est débuté, sous lequel les diarrhées cessent rapidement. La recherche de C. difficile dans les selles revient négative. Mme. Y peut quitter notre service pour son domicile le 03.01.2020. Patiente de 86 ans, qui consulte aux urgences le 05.01.2020 pour deux syncopes sans prodromes survenues le jour même. À noter l'introduction d'un traitement d'Esidrex depuis 1 mois, avec également depuis lors l'apparition progressive d'hallucinations visuelles. À noter l'absence de douleurs thoraciques et de palpitations. Au status, la patiente est hémodynamiquement stable. L'examen physique est sans particularités. L'ECG ne met pas en évidence de trouble du rythme sous-jacent. Le laboratoire met en évidence une hyponatrémie modérée ainsi qu'une discrète hypokaliémie. La troponine est normale. Les d-dimères sont augmentées, motivant la réalisation d'un CT thoracique qui permet d'exclure une embolie pulmonaire. Un CT cérébral permet d'exclure une complication post-traumatique significative. La patiente est hospitalisée en médecine interne à Meyriez pour surveillance et suite des investigations. Nous retenons que la syncope est probablement secondaire à l'hyponatrémie, tout comme les hallucinations visuelles décrites. Une origine orthostatique est exclue avec un Shellong négatif et une anamnèse non évocatrice. Une origine cardiaque demeure possible, raison pour laquelle la patiente sera convoquée en ambulatoire pour une échocardiographie et un Holter. Sur le plan métabolique, la natrémie s'améliore avec une restriction hydrique, des capsules de sel et l'arrêt du thiazide. La patiente n'ayant pas présenté de récidive de symptômes d'hyponatrémie lors de son séjour, du trend biologique favorable et d'une bonne compréhension du traitement, nous lui laissons regagner son domicile le 07.01.2020 avec un contrôle ambulatoire rapproché. À noter que nous instaurons également des soins à domicile 1x/semaine pour un contrôle de santé. Patiente de 88 ans, connue pour lymphome non hodgkinien diagnostiqué en 1999, avec status après plusieurs récidives et s/p AVC en 2014, non séquellaire. Qui consulte aux urgences en raison d'une dyspnée en péjoration depuis 2 jours. Le laboratoire d'entrée montre une hémoglobine à 144, leucocytes à 11,1, CRP à 49, créat à 79 (CLERENCE CROCKROFT à 36,2), albumine à 44,1, Na à 137, K à 4,3, Ca corrigé à 2,22, phosphates à 1,05, Mg à 0,77. Troponines T0 à 36, D-dimères à 2930. Troponine à T1 à 36. ECG : FA, Fc à 93. Gazométrie : pH à 7,47, pCO2 à 3,9, pO2 à 10,2, bicarbonate 21, excès de base à -2,4, lactate 1,2. La patiente reçoit aux urgences Atrovent 250. Rx thorax face : pas de foyer visible. Devant une forte suspicion d'embolie pulmonaire, nous réalisons un CT scan thoracique qui confirme une embolie pulmonaire centrale segmentaire et sub-segmentaire lobe supérieur et moyen droit et sub-segmentaire gauche. Nous introduisons Clexane 60 mg o.u. le 31.01.2020, puis Eliquis 10 mg x2/j jusqu'au 07.02.2020, puis 2x 5 mg dès le 08.02.2020. En accord avec le médecin de garde de soins intensifs Fribourg, la patiente est transférée aux soins intensifs. Patiente de 88 ans aux antécédents sus-mentionnés qui se présente aux urgences pour baisse de l'état général accompagnée de toux et d'expectorations. Lors de son passage aux urgences, une fibrillation auriculaire rapide est diagnostiquée. Un traitement cardio-freinateur est initié, associé à un traitement diurétique. Mme. Y évolue lentement favorablement mais reste toutefois en fibrillation auriculaire. Une anticoagulation thérapeutique par Sintrom est débutée. À l'entrée, la patiente présente une acutisation de sa fonction rénale habituelle d'origine le plus probablement mixte, d'origine pré-rénale dans le contexte de la décompensation cardiaque et post-rénale sur une rétention urinaire aiguë. Elle est mise au bénéfice d'une sonde urinaire du 30.12.2019 au 03.01.2020. La fonction rénale retrouve ses valeurs habituelles en cours d'hospitalisation. Mme. Y rentre à son domicile (qu'elle partage avec son fils) le 10.01.2020 avec réactivation des soins à domicile. Un contrôle de l'INR est organisé en ambulatoire le 13.01.2020. Patiente de 89 ans qui nous est transférée depuis la Permanence de l'HFR Meyriez suite à une chute ayant occasionné une fracture du radius distal gauche. La patiente est amenée en ambulance suite à une chute alors qu'elle voulait s'asseoir sur une chaise qui a glissé spontanément vers l'avant. La patiente se serait rattrapée sur les mains et se serait tapé le front à gauche. Un CT cérébral natif permet d'exclure un saignement et une fracture cérébrale. Une radiographie du poignet gauche met en évidence une fracture du radius distal qui est traitée conservativement avec un plâtre fendu initialement puis circulaire après contrôle radiologique satisfaisant à une semaine. Un contrôle radio-clinique à 4 semaines est organisé dans notre permanence. Le bilan biologique montre une anémie en amélioration, une insuffisance rénale chronique stable, ainsi qu'une hypercalcémie probablement d'apport, raison pour laquelle nous avons arrêté tout apport en calcium et en vitamine D. Un contrôle biologique est prévu à deux semaines. La reprise du traitement pourra alors être réévaluée. Un syndrome parkinsonien avait été suspecté chez Mme. Y en octobre 2019, raison pour laquelle un traitement par Madopar avait été entamé. Le Dr. X, notre neurologue, est consulté. Il ne peut pas confirmer la maladie de Parkinson sur la base de la clinique actuelle. En effet, les symptômes pourraient être expliqués par l'atrophie corticale. Malgré tout, il recommande de maintenir les doses habituelles de Madopar. Face à une stabilisation clinique le 13.01.2020, nous reclassons la patiente en lit d'attente de réhabilitation gériatrique à Tavel. Ceci signifie que la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Patiente de 91 ans qui se présente sur conseil de Medhome pour baisse de l'état général, toux grasse et dyspnée depuis 48h. Face à une clinique évocatrice d'une pneumonie, un traitement empirique de Co-Amoxicilline est débuté. Mme. Y évolue favorablement sur le plan clinique et biologique. A noter toutefois l'absence de pneumonie à la radiographie. A l'admission, la patiente présente une décompensation cardiaque associée motivant un traitement diurétique et une échocardiographie. Cette dernière révèle une végétation tricuspidienne suspecte d'endocardite. Cependant, au vu de l'absence de clinique, d'hémocultures quotidiennes toutes négatives et après avis infectiologique, nous décidons de ne pas poursuivre les investigations de cette végétation. A l'entrée, Mme. Y présente une acutisation de son insuffisance rénale chronique connue d'origine probablement pré-rénale sur syndrome cardio-rénal avec une hyperkaliémie associée. Les traitements de Xenalon et d'Irbesartan sont mis en suspens et la créatinine retrouve ses valeurs habituelles sous traitement diurétique. En raison d'une nouvelle péjoration de la créatinine le 07.01.2020 d'origine le plus probablement pré-rénale, nous diminuons le dosage du diurétique habituel de la patiente pour la sortie, et gardons le Xenalon et l'Irbesartan en suspens. Nous arrêtons également le traitement antalgique habituel de Novalgine que nous proposons de remplacer par du Dafalgan en cas de douleurs. Un rendez-vous de contrôle clinique et biologique est organisé à votre consultation après la sortie. Mme. Y demande un constat de coup. Mme. Y également examinée par Dr. X. Evolution tout à fait favorable à 1 an post-opératoire. La semaine prochaine, la patiente sera opérée par le Team Hanche pour un changement de composante acétabulaire de la PTH D. Prochain contrôle au Team Genou dans 1 an pour le contrôle à 2 ans post-opératoires. Mme. Y également examinée par Dr. X. Evolution tout à fait favorable à 3 mois postopératoires. Reprise du travail à 100% dès le 13.01.2020. On reverra la patiente dans 6 semaines pour un contrôle radio-clinique. Mme. Y également examinée par Dr. X. Evolution tout à fait favorable. Poursuite de la physiothérapie. On autorise le ski. La patiente nous recontactera au besoin. Mme. Y également examinée par Dr. X. Nous optons pour un traitement conservateur. A l'ablation de l'attelle, la patiente est informée qu'elle doit éviter les mouvements rotatoires. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire et amélioration de la mobilité avec des exercices dans l'axe. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Prescription de Clexane donnée pour encore 3 semaines. Arrêt de travail à 100% jusqu'à fin janvier. Mme. Y également examinée par Dr. X. Afin de mieux bilanter la situation, on organise une IRM de la colonne cervicale à la recherche d'une discopathie dégénérative. Nous prenons contact avec le neurologue afin d'obtenir le résultat de l'ENMG qu'elle a effectué il y a quelques semaines. Prochain contrôle le 22.01.2020 afin de refaire le point. Dans l'intervalle, physiothérapie pour détente avec massage cervical des deux MS en évitant les extrémités. Mme. Y également examinée par Dr. X. Il y a un impingement de type mixte du côté gauche et une rétroversion acétabulaire. Il y a également une différence de torsion fémorale d'environ 10°, 30° à gauche et 40° à droite. La lésion du labrum est un effet secondaire de cette morphologie anatomique. On discute avec la patiente des différentes options thérapeutiques et elle nous rapporte qu'elle a essayé un traitement conservateur avec physiothérapie et ostéopathie sans grand succès. On propose un traitement chirurgical avec une luxation chirurgicale par voie trochanter flip pour accéder mieux au col fémoral et corriger l'offset, effectuer une Trimming du mur antérieur pour diminuer la couverture de la tête fémorale, ainsi que la rétroversion acétabulaire, ainsi que pour fixer la lésion du labrum. L'option de réaliser cela par voie arthroscopique est exclue étant donné la localisation de la déformité CAM à proximité des vaisseaux de la tête fémorale. On explique tous les risques et les bénéfices de ce geste chirurgical et la patiente est d'accord en signant le consentement éclairé. Elle va partir en Australie pour le travail, elle revient fin mars. Le patient est complété en fin de consultation par un CT-scanner 3D. Mme. Y en reclassement suite à l'hospitalisation du 04.07. au 06.09.2019 qui est actuellement ré-hospitalisée en séjour aigu en raison d'un état fébrile à 39,4°C asymptomatique sans symptômes respiratoires, urinaires ou abdominaux mais avec une péjoration des douleurs de la hanche D avec apparition d'une fistule de la plaie chirurgicale. A noter que la patiente était sous Bactrim forte depuis le 04.09. et jusqu'au 14.09.2019. Dès le 15.09.2019, une antibiothérapie empirique par Céfépime et Cubicine est introduite. L'indication opératoire à un débridement chirurgical est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 17.09.2019. Poursuite de l'antibiothérapie prescrite. La microbiologie peropératoire revient positive pour une colonie de E. faecalis. Selon les infectiologues, ce germe est considéré comme contaminant : la double antibiothérapie de Cefepime et Cubicine est stoppée le 20.09.2019 et le Bactrim forte est réintroduit du 20.09. au 01.10.2019. L'évolution locale étant défavorable, une reprise au bloc opératoire est réalisée le 11.10.2019 avec changement du spacer et fermeture de la plaie avec une couverture par lambeau musculo-cutané du vaste externe ipsi-latéral, greffe de Thiersch et confection d'un VAC. En peropératoire, la patiente présente un choc hémorragique nécessitant la transfusion de plusieurs CE et 2 PFC, ainsi que d'un soutien aminergique. Elle est admise aux soins intensifs où le suivi hémodynamique reste stable. Le 13.10. ainsi que le 15.10.2019, la patiente reçoit encore la transfusion de 2 CE au vu d'une baisse de l'hémoglobine. Le suivi doppler du lambeau musculo-cutané montre une bonne perfusion. L'antalgie est assurée par PCA de morphine et Oxycodone retard avec une efficacité satisfaisante. Antibiothérapie par Bactrim forte reprise le 11.10.2019. A noter que les prélèvements peropératoires du 11.10.2019 reviennent positifs pour un Propionibacterium acnes à J5 (probable contamination), la culture sera négative à J14. En accord avec les infectiologues et Dr. X, arrêt de l'antibiothérapie par Bactrim forte le 06.11.2019. A noter un état confusionnel hyperactif avec hétéro-agressivité postopératoire et délire de persécution, nécessitant un traitement de Dormicum + Haldol. L'évolution est progressivement favorable. Au vu de la récurrence des épisodes similaires postopératoires, nous suspectons une intolérance à la Kétamine comme source possible de ces troubles. Les suites à l'étage sont simples. Ablation du pansement VAC à J4 avec visualisation d'une bonne prise de greffe et des plaies calmes et sèches sans signes d'infection. Le syndrome inflammatoire reste à la baisse avec une CRP <5 le 13.11.2019. Sur le plan nutritionnel, la patiente est suivie par les diététiciennes et bénéficie de suppléments nutritionnels. Les carences électrolytiques sont substituées. Nous vous laissons le soin de recontrôler les valeurs à distance. L'évolution de la plaie est lentement favorable avec une voussure importante en regard de la plaie proximale. Un scanner injecté du 05.11.2019 met en évidence une collection importante (26x6x10 cm), parlant pour un sérome dans la cavité de la prise du greffe.L'évolution de la plaie est favorable et la patiente peut regagner son domicile avec les soins à domicile dans l'attente de la réimplantation de la PTH D qui sera à agender au début de l'année 2020. • Patiente et famille ne souhaitent pas de bilan (discuté le 11.01.2020 avec Dr. X) • Patiente examinée avec Dr. X et cas discuté avec Dr. X • Patiente hautement algique avec un état clinique ne permettant pas d'effectuer des activités de la vie quotidienne. Nous arrêtons la patiente pour 6 semaines. Nous prévoyons une infiltration péri-radiculaire L4 droite à but antalgique. Nous bloquons d'ores et déjà une date opératoire le 03.02.2020. Si une amélioration venait à se produire après l'infiltration, nous réenvisagerons notre indication opératoire. En cas d'absence d'amélioration, la chirurgie sera réalisée. • Patiente hospitalisée en chirurgie orthopédique pour prise en charge OP. • Patiente hospitalisée pour gestion d'antalgie au vu des douleurs généralisées EVA 10/10, raison pour laquelle la patiente a été descendue rapidement en salle de réveil le jour même de son hospitalisation, où un traitement de morphine et kétamine a été introduit et titré en fonction des douleurs. Par la suite, la patiente garde une PCA de morphine en concomitance avec un traitement de Voltaren 50 mg 3x/j et Dafalgan 1 g 4x/j du 28.11 au 29.11.2019, puis le Voltaren est remplacé par de la Novalgine 1 g/j le 29.11.2019 au vu de la présence d'épigastralgies, et dès le 03.12.2019, nous devons ajouter encore un traitement par Tramadol 100 mg ret 2x/j. Le 03.12.2019, la patiente développe une réaction allergique à la morphine qui se caractérise par un rash maculo-papulaire très prurigineux et une dyspnée sans signes pour une désaturation, asthme ou angiodème. La patiente reçoit 250 mg de Solumedrol iv et du Tavegyl 2 mg iv, ce qui permet la résolution de la symptomatologie respiratoire et la quasi-disparition des manifestations cutanées. Le Xyzal 5 mg 1x/j est ensuite instauré jusqu'à la disparition complète du rash cutané. Au vu de l'arrêt de la morphine le 03.12.2019, les douleurs réaugmentent d'intensité par la suite et le 06.12.2019, la patiente bénéficie d'une perfusion de lidocaïne qui permet une amélioration de la symptomatologie suffisante pour organiser le retour à domicile. Le jour de sortie, nous ajoutons un traitement par gabapentine qui est à augmenter en fonction de la tolérance par la suite. Vu le caractère résistant des douleurs qui s'avèrent d'origine multifactorielle (secondaires à la spondylarthrite avec une composante psychosomatique et neuropathique probables), nous demandons une consultation ambulatoire au Centre de la Douleur. À noter également que la patiente a bénéficié d'un suivi physiothérapeutique tout au long du séjour à but antalgique qui l'a aidée significativement. Sur le plan laboratoire, la patiente n'a jamais présenté de syndrome inflammatoire. Une hypocalcémie (ionisé) à 1.08 mmol/l le 28.11.2019, sans répercussion à l'ECG, sur probable hypovitaminose D à 63 nmol/l le 04.11.2019 a pu être mise en évidence, raison pour laquelle son traitement de calcimagon a été majoré à 3x/j, puis redescendu à 1x/j dès sa sortie. Sur le plan digestif, la patiente a présenté une tendance à la constipation qui a été aggravée par le traitement opiacé, raison pour laquelle un traitement laxatif par Movicol jusqu'à 3x/j et Laxoberon jusqu'à 5 mg 2x/j ont dû être ajoutés avec résolution de la symptomatologie. Sur le plan psychiatrique, la patiente arrive non alcoolisée et ne présente pas de signes de sevrage, raison pour laquelle nous stoppons le Seresta 15 mg 1x/j dès le 01.12.2019. Ainsi, la patiente rentre à domicile avec un suivi au Centre de la Douleur et à notre consultation de Rhumatologie, avec poursuite de la physiothérapie débutée tout au long du séjour. • Patiente informée quant à l'importance de mesurer la tension artérielle à domicile plusieurs fois par jour (matin, midi, soir) et de noter dans un carnet les valeurs. Adalat retard 20 mg en cas de TAS >170 mmHg. Suite : Contrôle chez le médecin traitant avec les valeurs des tensions artérielles afin d'adapter le traitement. • Patiente ménopausée depuis l'âge de 46 ans, sous substitution hormonale (Angélique 4 jours sur 6). Hypertension artérielle, traitée. Asthme sous traitement par Relvar Ellipta. • Patiente nulligeste de 40 ans, suivie à notre consultation PMA pour un utérus polymyomateux avec un désir de grossesse. Nous proposons à la patiente une polymyomectomie par laparotomie, en expliquant la nécessité de cette intervention à cause de la probable distension urétérale (ectasie modérée) et des risques futurs sur la fonction rénale. La patiente n'étant pas encore consentante pour une telle prise en charge chirurgicale, nous lui proposons un traitement médicamenteux par Esmya suivi d'une embolisation des artères utérines. La patiente comprend les avantages et les risques de cette option, notamment la nécrose possible de ce myome pédiculé en regard du col utérin. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 19.12.2019, sans complication. Les suites sont simples avec une bonne gestion de la douleur. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 21.12.2019 avec un contrôle clinique dans 4 semaines à notre consultation PMA. • Patiente nulligeste ménopausée de 56 ans qui nous est envoyée par son gynécologue traitant pour hystéroscopie et curetage en raison d'une suspicion de polype endocavitaire utérin. La patiente, ménopausée depuis 6 ans, présente un spotting depuis septembre 2019. Après un traitement par Primolut, à l'ultrason, une image pédiculée polypoïde ainsi qu'un endomètre épaissi est mis en évidence par Dr. X. Dans ce contexte, l'intervention susmentionnée est proposée à la patiente, qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut regagner son domicile le même jour. Le produit de curetage est envoyé en anatomo-pathologie. • Patiente présentant donc des troubles de la concentration post-traumatique. Dans ce contexte, nous souhaitons la réalisation d'une IRM cérébrale et reverrons la patiente par la suite. Entre temps, nous demandons également à nos collègues du service de neuropsychologie de bien vouloir convoquer la patiente pour un bilan large. Nous demandons également à nos collègues ophtalmologiques de bien vouloir la convoquer pour un bilan ophtalmologique au vu des myodésopsies décrites. • Patiente présentant donc une amélioration de la symptomatologie concernant les fractures-tassements, nous ne retrouvons pas à l'IRM de signe inquiétant. En parallèle à ceci, il est noté lors de l'examen clinique une hyperréflexie pouvant être en lien avec une myélopathie infra-clinique non décelée. Au vu du canal cervical étroit à l'IRM, nous recommandons la réalisation de PES/PEM et une reconsultation dans notre service. En fonction, une attitude devra être discutée. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. • Patiente présentant une douleur bien localisée au niveau de la sacro-iliaque à droite. L'infiltration n'a apporté que peu d'amélioration. Au vu des possibilités thérapeutiques limitées chez une patiente bipolaire avec une polymédication et une insuffisance rénale, nous privilégions l'avis de nos collègues de l'antalgie, notamment de Dr. X, pour une adaptation médicamenteuse. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. • Patiente présentant une épicondylite douloureuse du coude gauche entraînant une difficulté pour ses activités de la vie quotidienne. Elle est adressée par son médecin traitant pour soins impossibles à domicile et gestion de l'antalgie.Au vu de veines trop fragiles, nous ne pouvons effectuer de laboratoire aux urgences. La radiographie du coude gauche ne retrouve pas d'épanchement intra-articulaire. Du fait de l'absence de place à l'HFR, la patiente est transférée au HIB à Payerne pour suite de prise en charge. • Patiente présentant une évolution favorable, au vu d'une trouvaille radiologique sur l'IRM de l'épaule sous forme de tendinopathie du sus-épineux et du sous-scapulaire, nous recommandons une consultation à la team MS. Concernant les cervicalgies, nous ne voyons pas de contre-indication à une reprise des activités de la vie quotidienne. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • Patiente présentant une évolution plutôt favorable à 2 mois de notre précédente consultation. Nous lui prescrivons du Sirdalud pour les douleurs cervicales et la reverrons dans trois mois pour un contrôle clinique. Si des douleurs lombaires venaient à réapparaître, il y aurait toujours la possibilité de réaliser une infiltration facettaire chez une patiente présentant d'importants épanchements facettaires L3-L4 et L4-L5 bilatéraux. • Patiente qui consulte pour des dorsalgies présentes depuis le matin même. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 78/min, un axe normal, un PR à 146 ms, un QRS à 80 ms, un QTc à 409 ms ; il n'y a pas de signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. Au vu d'un examen clinique rassurant, la patiente est autorisée à regagner son domicile, au bénéfice d'un traitement par Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal, ainsi que d'un arrêt de travail. Nous lui recommandons de consulter son médecin traitant dans 3-4 jours. • Patiente qui consulte pour des douleurs au niveau du médio-pied de la cheville, plus importantes au niveau de la cheville face antéro-externe, douleurs présentes à la palpation au niveau de la syndesmose. La patiente nous confie qu'elle a eu un accident, chute d'un train à l'âge de 17 ans avec traumatisme de la cheville à D et immobilisation plâtrée. Nous pensons, au vu des données scannographiques, que la patiente a eu une fracture de la malléole interne avec lésion de la syndesmose lors de l'accident à l'âge de 17 ans. • Patiente qui consulte suite à une plaie au niveau de l'oreille droite. Au vu de l'examen clinique rassurant, nous réalisons une désinfection avec Hibidil solution et mettons en place des stéristrips. Contrôle clinique de la plaie chez son pédiatre dans 48h. • Patiente qui est à près de 21 jours d'antibiothérapie sans franche amélioration. Nous recommandons donc la réalisation d'une IRM déjà prévue par notre collègue le jeudi à 10h45 à Riaz. Nous expliquons à la patiente les options thérapeutiques que sont une biopsie ou alors une résection de ces 2 lésions avec des risques d'infection, d'hémorragie, de déficit neurologique sous forme d'atteinte motrice essentiellement du côté contro-latéral aux lésions, ainsi que le coma et le décès. Elle comprend les risques et bénéfices de la chirurgie et souhaite qu'elle soit réalisée au plus vite. Nous bloquons une date opératoire pour le 31 janvier, nous ferons voir la patiente entre-temps par les anesthésistes et compléterons notre bilan d'ici là à l'aide de l'IRM. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. • Patiente qui est amenée en ambulance pour une baisse de l'état général, retrouvée couchée au sol par sa sœur. Nous effectuons un ECG qui montre un discret sus-décalage de maximum 2 mm en antérieur V2, V3, V4, et un laboratoire qui met en évidence des à 293 ng/l. La créatinine est à 76 umol/l, l'eGFR à 64 ml/min. La patiente bénéficie de 500 mg d'Aspirine iv, de 5000 UI de Liquémine et de 60 mg d'Efiente. Du fait des douleurs du rachis, nous réalisons des radiographies de la colonne cervicale, de la colonne dorsale et du bassin qui ne montrent pas de fracture. La radiographie du thorax évoque une infiltration péri-hillaire droite. La CRP est à 141 mg/l et les leucocytes à 10.9 G/l. Sur avis cardiologique, la patiente est transférée à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une coronarographie et suite de prise en charge. • Patiente qui est vue ce jour pour une gastrite aiguë que nous arrivons à soulager avec de la Péthidine et Nexium. Nous réalisons un laboratoire qui retrouve une créatinine et une urée dans la norme, pas de troubles électrolytiques, ASAT / ALAT augmentés (80,43), le reste des examens hépato-pancréatiques ne sont pas perturbés, pas de syndrome inflammatoire, hémoglobine dans la norme avec une amylase normale. Nous proposons un traitement avec Nexium et prévoyons de revoir la patiente demain avec un contrôle clinico-biologique à la FUA. • Patiente qui ne présente donc aucune douleur au niveau lombaire mais une sciatique, raison pour laquelle nous souhaitons effectuer une infiltration péri-radiculaire L5 gauche puis reverrons la patiente par la suite. Il faudra envisager par la suite, si la réponse à l'infiltration est favorable, une hygiène du dos intensive et une rééducation à la statique. • Patiente qui présente, au niveau du pied gauche, un hallux valgus avec une bunionette, ainsi qu'un hallux valgus du pied droit. Le Dr. X retient l'indication opératoire des deux côtés, interventions qui se déroulent sans complication le 20.01.2020. Les suites post-opératoires sont simples, le contrôle radiologique post-opératoire est satisfaisant. Le retour à la marche se fait en charge selon douleurs, sous la supervision des physiothérapeutes et la protection de chaussures Barouk dès le premier jour post-opératoire. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est mise en place pour la durée du séjour. La réfection des pansements à 48 heures montre des cicatrices propres et calmes. Mme. Y peut retourner à domicile le 23.01.2020. • Patiente qui présente donc au premier plan des cervicalgies d'allure musculaire. Nous recommandons la poursuite de la physiothérapie, mais au vu d'une irradiation C8 intermittente, nous souhaitons tout de même la réalisation d'une IRM afin d'exclure une pathologie sous-jacente. Nous reverrons la patiente une fois cet examen réalisé et restons à disposition. • Patiente qui présente donc des cervicalgies avec des douleurs d'allure plutôt C4 bilatéral. L'ENMG, ainsi que l'infiltration péri-radiculaire n'avaient pas franchement amélioré notre patiente qui présente une amélioration tardive actuellement. Les douleurs sont jugulées par une antalgie de palier I et dans le contexte, au vu de l'absence de franc déficit, il est décidé une attitude expectative et ce encore pour 2 à 3 mois afin de suivre notre patiente. En cas de crise douloureuse aiguë, une prise en charge chirurgicale pourrait s'envisager sans pouvoir garantir une amélioration à 100 % de la symptomatologie. Nous lui expliquons les risques et bénéfices et elle consent à notre attitude. Nous la reverrons dans 3 mois. • Patiente qui présente donc des troubles dégénératifs multi-étagés au niveau cervical et lombaire. Dans ce contexte, il persiste des cervicalgies chroniques. Nous recommandons la réalisation de physiothérapie. La patiente souhaite réaliser de la chiropraxie. Nous lui expliquons les gestes à éviter, notamment les gestes brusques et sévères. Elle consultera dans ce sens. Nous ne prévoyons pas de suivi, elle sera revue par nos collègues du membre supérieur la semaine prochaine. • Patiente qui présente donc une symptomatologie clinique mixte, notamment avec une radiculalgie et un rétro-Lasègue positif plutôt sur un territoire L4, accompagnée de syndrome sacro-iliaque gauche. Nous proposons donc de compléter le bilan, vu l'ancienneté de l'IRM et la symptomatologie récente de notre patiente et l'absence de déficit, par une IRM récente, ainsi qu'une infiltration sacro-iliaque G en salle de plâtre afin de faire la part des choses. Entre-temps, nous restons à disposition pour toute éventuelle question.• Patiente qui présente donc une symptomatologie handicapante sans corrélat neuromyographique et une infiltration ne l'ayant aidée que transitoirement quelques minutes, voire pas du tout, et péjoration par la suite. Nous nous retrouvons face à une IRM du mois d'août avec une sténose foraminale sévère sur discopathie C3-C4. Dans ce contexte, nous proposons de réaliser à nouveau une nouvelle IRM avec des séquences fonctionnelles en flexion/extension et des coupes centrées sur les foramens, des coupes obliques. Nous prescrivons également une minerve mousse à notre patiente et nous lui recommandons de la mettre transitoirement et d'évaluer l'amélioration des douleurs avec la minerve. Nous lui fournissons une feuille d'évaluation de douleurs dans le contexte. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions et reverrons la patiente dans les suites. • Patiente qui présente donc une symptomatologie rachidienne compliquée avec notamment une scoliose dégénérative et une sténose canalaire étendue. Au vu de la symptomatologie de la patiente essentiellement sur un territoire L4-L5 et la concordance ENMG avec une dénervation plutôt L4-L5 bilatérale, une prise en charge chirurgicale à minima par décompression canalaire unilatérale et undercutting contre-latéral est à envisager. Nous proposons donc une décompression canal L3-L4, L4-L5 par abord droit au vu de la prédominance des symptômes (hémilaminectomie) et undercutting vers la gauche. La patiente comprend les risques et bénéfices et nous lui fournissons le consentement qu'elle nous retournera. Nous lui recommandons d'arrêter l'Aspirine 7 jours avant la chirurgie et la reverrons pour le bloc opératoire. Entre-temps nous restons à disposition. • Patiente qui présente une chute à haute cinétique et qui est amenée en ambulance. À son arrivée, elle présente une douleur diffuse à la palpation des épineuses cervicales C2-C6 ainsi que des céphalées frontales, raison pour laquelle elle bénéficie d'un CT scan cérébral et cervical qui ne montre pas de fracture ni saignement. Dans ce contexte, nous retenons le diagnostic de TCC mineur et expliquons à la patiente l'importance du repos cognitif et physique, avec une reprise progressive des activités scolaires puis sportives, selon tolérance. Nous effectuons également un bilan qui ne montre pas d'argument pour une lésion intra-abdominale avec un status abdominal dans la norme, raison pour laquelle nous n'effectuons pas d'US FAST. Au niveau orthopédique, elle est vue par la garde d'orthopédie qui ne décrit pas de lésion ligamentaire du genou, une radiographie genou G étendue au fémur exclut une fracture. Nous la gardons en surveillance aux urgences jusqu'à 6 heures post-chute, avec une bonne évolution, diminution des céphalées et marche possible sans instabilité et sans douleurs. • Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec consigne de reconsulter en cas de péjoration des symptômes. • Patiente qui présente une infection à virus respiratoire syncytial dans un contexte d'immunosuppression cortico-induite et Imbruvica. La patiente bénéficie d'un laboratoire qui retrouve un syndrome inflammatoire avec CRP à 34. La radiographie du thorax est sans particularité. Nous réalisons une PCR des sécrétions du nasopharynx à la recherche d'influenza, mais nous retrouvons le virus respiratoire syncytial (RSV). Nous baissons la température avec de la Novalgine et la patiente peut regagner son domicile avec un contrôle à la filière des urgences ambulatoires demain. • Patiente qui présente une pneumonie à mycoplasme DD virale, traitée dès le 22.01 par Clarithromycine per os, et qui présente une insuffisance respiratoire oxygénodépendante. Nous la transférons à l'hôpital de Payerne en raison d'un manque de place à l'étage de pédiatrie de Fribourg. • Patiente qui présente une probable récidive de syndrome sacro-iliaque associée à un syndrome probablement facettaire ou de douleurs lombaires sur discopathie. Afin d'éclaircir la situation, nous organisons une IRM lombaire puis reverrons notre patiente par la suite. Une infiltration sacro-iliaque droite sera probablement nécessaire afin de soulager notre patiente, mais nous l'envisagerons après l'IRM. Entre-temps, nous demandons à nos collègues de la team hanche de bien vouloir convoquer la patiente en raison de cette dysplasie de hanche. • Patiente qui se coupe l'index de la main droite sur la face palmaire en regard de l'IPD. Nous désinfectons la plaie et réalisons une suture avec du fil non résorbable. La patiente peut regagner son domicile avec un antalgique et suite chez le médecin traitant. • Patiente qui se présente en raison de douleurs persistantes suite à une entorse de cheville. Un examen clinique ne permet pas d'exclure une fracture. Un bilan radiologique exclut une atteinte osseuse. Nous traitons la patiente pour une entorse de cheville de stade II avec une attelle McDavid à porter nuit et jour pour 2 semaines, puis uniquement le jour pour 2 semaines. Nous prescrivons également une antalgie à base de Brufen et Dafalgan. Arrêt de sport conseillé pour 6 semaines. Suivi médecin traitant. Elle est invitée à consulter si persistance de la symptomatologie malgré le traitement. • Patiente reconsultera le médecin traitant si persistance des symptômes. • Patiente repartie sans consultation médicale. • Patiente sera convoquée par le cardio-pédiatre, Dr. X pour un contrôle et US cardiaque à 1 mois de vie. • Patiente sous Xarelto 15 mg/jour pour FA. Attitude : konakion IV pendant 3 jours. • Patiente stable hémodynamiquement. Retour en ambulance à Marsens pour suite de prise en charge. • Patiente traitée par Euthyrox de 1993-2001 pour une hypothyroïdie d'étiologie inconnue. • Patiente va à Marsens par ses propres moyens pour suite de prise en charge. • Patiente vient ce jour pour un contrôle clinique et biologique. Le bilan biologique montre une amélioration du syndrome inflammatoire (CRP à 162, en comparant avec 281 le 08.01.2020), pas de leucocytose. La patiente a reçu un traitement de Rocéphine 2g iv (3ème dose) aux urgences. Face à l'examen clinique et biologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement de Ciprofloxacine 500 mg per os 2 fois par jour jusqu'au 12.01.2020 inclus. Un contrôle clinique et biologique sera effectué chez son médecin traitant, le 13.01.2020. • Patiente vient pour réaction allergique cutanée suite à la prise du jus de pomme. La patiente reçoit Xyzal 5 mg aux urgences avec un effet favorable. Après la surveillance clinique aux urgences HFR Riaz pendant 1 heure, nous observons une amélioration des symptômes. La patiente part aux urgences pédiatriques HFR Fribourg accompagnée par ses parents par ses propres moyens. • Patiente vient pour un contrôle clinique et radiologique. L'examen clinique est rassurant. Le transit œsogastroduodénal ne montre pas de masse, pas de sténose, passage du produit de contraste sans particularité. La patiente rentre à domicile avec du Temesta en réserve. Nous proposons à la patiente un traitement par Temesta à prendre pendant les crises. Si l'effet est positif, nous proposons d'organiser des suivis psychiatriques en ambulatoire. • Patiente vierge de 14 ans, adressée par la pédiatrie en raison des douleurs abdominales au niveau de la FIG depuis la veille, avec péjoration des symptômes à 09h00 ce matin et l'apparition de 3 épisodes de vomissements alimentaires, sans troubles du transit ni symptômes urinaires.A l'entrée, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. L'abdomen est diffusément douloureux avec défense et détente généralisée. A l'échographie, nous mettons en évidence une masse hétérogène de 7 cm au niveau de l'ovaire gauche avec une lame de liquide libre dans le Douglas. Dans ce contexte d'une suspicion forte de torsion annexielle gauche, nous proposons à la patiente une laparoscopie exploratrice en urgence, ce qu'elle et ses parents acceptent. L'intervention se déroule sans complication le 21.01.2020, confirmant le diagnostic. Nous procédons à une détorsion, avec une biopsie du kyste et une ovariopexie. Nous effectuons également l'ablation de deux kystes para tubaires gauche (hydatides). Les suites de l'hospitalisation sont simples et la patiente reste afébrile. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 22.01.2020 et sera vue pour contrôle clinique et ablation des fils à 10 jours post opératoires. • Patiente vue au tri par Dr. X. • Morphine donnée. • Retour à domicile. • Selon protocole antalgie, a reçu Paracétamol 1 g per os. • Patiente vue au triage par orthopédiste. • Patiente vue par Dr. X, de médecin interne. • Antalgie par Paracétamol 1 g IV dans l'ambulance. • Antalgie par Voltarène 75 mg IV, Aspegic 500 mg IV aux urgences. • Nexium 40 mg IV. • NaCl 500 ml IV puis Ringer Lactate 500 ml sur 2 h. • Shellong négatif. • Surveillance neurologique. • Retour à domicile. • Antalgie et conseils d'usage. • Patiente vue par nos collègues de l'antalgie ayant préconisé une perfusion de Lidocaïne afin de moduler la radiculalgie. Elle sera revue le 24.11, dans le contexte nous souhaitons maintenir un seul et unique suivi. Nous expliquons à la patiente les signes et symptômes devant l'amener à consulter et nous restons à disposition. • Patiente 1G 1P de 28 ans, status post accouchement voie basse instrumenté par ventouse Kiwi et compliquée d'une hémorragie à 1000 ml, qui se présente à notre service en urgence le 19.01.2020 pour une douleur abdominale avec état fébrile. Au status d'entrée, elle est tachycarde à 145 bpm et fébrile à 40°C, avec un abdomen sensible à la palpation sans défense ni détente. Les lochies sont malodorantes et, à l'échographie, nous mettons en évidence une image de rétention endocavitaire d'environ 5 cm. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec une CRP à 286 mg/l sans leucocytose. Nous évoquons une endométrite aigüe et hospitalisons la patiente pour une antibiothérapie intraveineuse et une prise en charge chirurgicale. Elle bénéficie d'un curetage évacuateur sous anesthésie générale le 20.01.2020, qui confirme la présence d'un cotylédon. Les pertes sont estimées à 500 ml et, devant une hémoglobine post-opératoire à 69 g/L, la patiente reçoit 2 culots érythrocytaires. L'antibiothérapie est débutée le 19.01.2020 par Co-amoxicilline 2,2 g IV, qui est ensuite remplacé par Méropenème 1 g x 3/jour IV le 21.01.2020 devant des hémocultures positives à E.coli ESBL. L'évolution clinique est favorable et la biologique est favorable. La patiente regagne son domicile le 23.01.2020 avec un contrôle prévu le 07.02.2020. Un relais antibiotique per os est instauré sur avis de l'infectiologie. • Patiente 2G 2P de 44 ans, status post 2 laparoscopies pour kystes ovariens et 2 césariennes, et status post by-pass gastrique, qui présente des ménométrorragies réfractaires au traitement hormonal, ainsi que des douleurs abdominales chroniques. Au status, nous retrouvons à l'échographie un isthmocèle et des signes d'adénomyose. A noter un antécédent familial de cancer de l'ovaire chez la mère de la patiente. L'examen urodynamique montre un léger prolapsus génital ainsi qu'une instabilité vésicale, traitée par Betmiga. La patiente bénéficie également d'une consultation avec la chirurgie générale en raison d'une hernie ombilicale douloureuse. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une laparoscopie pour hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale, suivie d'une cure d'éventration aussi par laparoscopie par Dr. X. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 23.01.2020 sans complication, malgré un status adhérentiel sous-hépatique important. Les suites sont simples après bonne gestion de l'antalgie au post opératoire immédiat. La patiente regagne son domicile le 27.01.2020 avec un contrôle prévu à 10 jours pour ablation des fils, puis dans 4-6 semaines pour contrôle post opératoire. • Patiente 2G 2P de 53 ans, qui consulte en urgence pour une tuméfaction douloureuse de la grande lèvre gauche, en évolution depuis 1 semaine. Pas d'état fébrile ni autre symptôme associé. La patiente est stable hémodynamiquement et afébrile lors de son admission dans notre service. L'examen clinique confirme une bartholinite gauche mesurant environ 4 cm x 3 cm, douloureuse et sous tension. Dans ce contexte, nous lui proposons une incision et marsupialisation en urgence sous anesthésie générale, ce qu'elle accepte. L'intervention se déroule sans complications le 02.01.2020 et la patiente regagne son domicile le jour même de l'intervention, avec un contrôle prévu à 24 heures pour ablation de la mèche. • Patiente 3G 2P de 40 ans, que vous nous adressez pour la prise en charge d'une métrorragie anémiante, durant plus de 8 jours, depuis plus d'une année. Les examens complémentaires, notamment le frottis PAP et la biopsie de l'endomètre à la pipelle de Cornier, n'ont pas mis en évidence des signes de malignité. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une hystéroscopie diagnostique avec ablation endométriale. Elle accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications le 21.01.2020, permettant un retour à domicile le jour même. La patiente sera vue à notre consultation, pour un contrôle et discussion des résultats, dans 4 semaines post opératoires. • Patiente 3G-1P de 35 ans, à qui nous posons l'indication à une conisation LEEP en raison d'une biopsie du col positive pour un CIN2/HSIL. La patiente accepte et signe le consentement éclairé. A noter que la patiente est connue pour plusieurs accidents cérébraux, qui ont nécessité une longue anti-coagulation par Plavix avec Aspirine Cardio, raison pour laquelle l'opération a été programmée pour le mois de janvier. L'intervention se déroule le 29.01.2020 sans complication, permettant un retour à domicile le soir même. Elle sera vue à notre consultation pour un contrôle et la discussion des résultats à 4 semaines post-opératoires. • Patiente 3G-2P à 10 1/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse intra-utérine désirée, qui a consulté sa gynécologue traitante hier en raison de métrorragies importantes, avec des caillots et des douleurs abdominales type règles en augmentation et mise en évidence d'une fausse couche spontanée et décision de prise en charge expectative. Ce jour, elle se sent très faible avec des vertiges sans perte de connaissance, raison pour laquelle elle consulte aux urgences. Elle décrit des saignements avec des caillots et des douleurs pelviennes persistantes en continu depuis ce matin, partiellement soulagée par Dafalgan. A l'entrée, elle est tachycarde à 113 bpm et légèrement hypotendue à 103/74 mmHg. L'examen au spéculum met en évidence du matériel en voie d'expulsion et un léger saignement actif. L'indication à une prise en charge chirurgicale en urgence est retenue et la patiente bénéficie d'un curetage hémostatique au bloc opératoire sous anesthésie générale. L'intervention se déroule sans complications. L'US de contrôle montre un endomètre à 3 mm sans image de restes trophoblastiques. Les suites d'hospitalisation sont simples et la patiente reste afébrile. La patiente rentre à domicile avec des conseils d'usage.Patiente 3G-2P de 30 ans, que vous nous adressez pour la prise en charge d'une hyperémèse gravidique avec impossibilité de s'alimenter, de s'hydrater et perte de 6 kg depuis le début de la grossesse. Elle mentionne plusieurs épisodes de vomissements par jour, sans autre plainte. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable. Le statut est normal avec un contrôle obstétrical en ordre. Le stix ne montre pas de corps cétonique (mais présence de protéines) et le laboratoire est aligné hormis un potassium légèrement diminué à 3.6 mmol/l. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une hospitalisation avec mise à jeun, hydratation IV et traitement anti-émétique IV. Après 24h, la patiente débute une réalimentation progressive, qui se déroule sans complication. Elle rentre à domicile le 29.01.2019, en bon état général. Prochain contrôle obstétrical à votre consultation le 11.02.2020. Patiente 3G-3P de 41 ans, qui nous consulte pour une demande de stérilisation tubaire. La patiente aurait discuté avec son gynécologue traitant et souhaite une salpingectomie bilatérale. Nous lui proposons une salpingectomie bilatérale par laparoscopie, qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication le 30.01.2020, permettant un retour à domicile le jour même. Elle reviendra pour l'ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Patiente 4G-2P de 28 ans, qui bénéficie d'une IVG médicamenteuse en décembre, sans expulsion objectivée pendant l'hospitalisation. Lors de l'échographie de contrôle après 2 semaines, nous lui prescrivons une deuxième cure de Cytotec devant la suspicion de rétention de matériel. Cette même suspicion est retenue au contrôle ultérieur, avec un endomètre hétérogène de 16 mm à l'échographie endovaginale le 21.01.2020. Nous expliquons à la patiente les options thérapeutiques pour la suite. Elle opte pour une hystéroscopie avec curetage évacuateur. L'intervention est effectuée le 29.01.2020 et se déroule sans complication, permettant un retour à domicile le jour même de l'intervention. Le matériel est envoyé en analyse. Mme. Y souhaite être vue à votre consultation pour un contrôle avec discussion des résultats à 4 semaines post-opératoires. La contraception future se fera par Azalia. Patiente 60 ans qui présente le diagnostic susmentionné suite à une glissade avec torsion de la cheville droite. Une prise en charge chirurgicale en urgence par réduction ferme et mise en place par fixateur externe a eu lieu le 22.11.2019. La patiente est hospitalisée dans le service d'orthopédie et traumatologie. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Les radiographies post-opératoires sont satisfaisantes. Les contrôles de plaie sont en ordre. L'état cutané est en amélioration avec une persistance d'une enflure de la cheville. La patiente souhaite une suite de la prise en charge à la clinique Hirslanden de Genève, raison pour laquelle la patiente est transférée le 26.11.2019. Mr. Y, 1 an et 5 mois, est hospitalisé pour prise en charge d'une insuffisance respiratoire et surveillance alimentaire dans le cadre d'une bronchite spastique péri-infectieuse à RSV. En raison de désaturations, il est hospitalisé pour oxygénothérapie du 26.01 au 30.01. Il bénéficie d'un traitement par Ventolin et Betnesol. Le Ventolin a pu être espacé progressivement, le Betnesol a été donné durant 3 jours. La symptomatologie respiratoire s'améliore durant l'hospitalisation. Sur le plan alimentaire, il prend ses apports per os sans nécessité de sonde nasogastrique. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 30.01.2020 avec un contrôle chez vous dans 24h. PCR dans les selles le 11.01.2020 Rocéphine du 11.01 au 12.01.2020 Metronidazole du 12.01 au 15.01.2020 Vancomycine 125 mg po du 15.01 au 18.01.2020 Arrêt du Tagrisso dès le 18.01.2020 Isolement de contact du 12.01 au 20.01.2020 PCR des selles le 27.11.2019 : négatif pour bactéries pathogènes, Clostridium négatif Hémocultures le 29.11.2019 : négatives Avis stomathérapie Ralentissement du transit : Pantoprazol 40 mg 2 fois/j, Imodium 20 mg/j, pas d'opiacé (car intolérance), Buscopan 3 fois/j Sonde naso-gastrique (Dresse Ruetsch par OGD) du 12.12.2019 au 16.12.2019 avec échec de nutrition entérale (Novasource GI control) VVC jugulaire droite du 28.11.2019 au 25.12.2019 avec nutrition parentérale (infection du cathéter écartée) Pose de Picc line le 27.12.2019 pour reprise hydratation iv Hydratation iv Substitution électrolytes iv, substitution albumine Arrêt de la nutrition parentérale à la demande de la patiente le 27.12.2019 PCR Entéro-virus, PCR HHV6, PCR herpès dans l'LCR - encore en cours Reconsulter si nouvelle péjoration de son état général avec la fièvre. PCR influenza A/B : négative Lavage nasal, Triofan, antalgie PCR Influenza le 25.01.2020 : positif pour Influenza A Radiographie du thorax le 24.01.2020 : absence de foyer visualisé Inhalations de Salbutamol et Ipratropium du 24.01 au 30.01.2020 Inhalations de Budésonide du 24.01 au 30.01.2020 Solumedrol iv. le 24.01.2020, puis Prednisone du 25.01 au 29.01.2020 Oseltamivir du 24.01 au 29.01.2020 Physiothérapie respiratoire Oxygénothérapie du 24.01 au 29.01.2020 PCR Multiplex Influenza nég, RSV pos PCR selles négatif. Hydratation. Supplémentation K per os. PCR selles 11.01.2020 : négatif pour bactéries pathogènes. Calprotectine 67 µg/g (douteux mais coloscopie déjà réalisée). Flatulex, Perenterol. PE 500 cc 20 UI Syntocinon Peak Flow. Aérosol de Ventolin. Attitude : Proposition de débuter un traitement de fond par Symbicort 2x/j d'office pour 10 jours. Nouvelle consultation chez le médecin traitant, +/- chez un pneumologue pour spirométrie afin de poser un diagnostic formel. Peak Flow RX thorax du 09.01.2020 : épaississement de la trame bronchovasculaire, plus marqué à droite avec présence de quelques petites opacités alvéolaires basales droites DD bronchopneumonie débutante. Pas de foyer ni d'épanchement pleural. Silhouette cardiovasculaire dans les limites de la norme. Atrovent /Ventolin aérosol Prednisone 50 g cp per os 1 x j, du 09.01 au 13.01.2020 Co-amoxicilline 1.2 g 3x/j, iv, du 09.01 au 13.01.2020 Co-amoxicilline 1 g 3x/j, per os, du 13.01 au 17.01.2020 Physiothérapie respiratoire Peak-flow à 200 (50 % du prédit). Aérosol Ventolin/Atrovent aux urgences avec bonne évolution. Reprise du Pulmicort habituel. Ventolin en réserve. Contrôle chez le médecin traitant si persistance, sinon réévaluation à 4 semaines. Peakflow à 390 (80% du prédit) Traitement symptomatique par Ventolin aérosol-doseur 100 mcg au besoin (remis au patient avec instructions d'utilisation) Peak-flow 300 ml (68 % du prédit). Atrovent/Ventolin aux urgences. Symbicort 200/6 2x/jour. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant. Peau sèche. DDx : eczéma. PEC : ablation clou, ostéotomie fémorale de dérotation (par voie transvastus + décortication selon Judet) prise de prélèvements, réimplantation de nouveau clou LFN 12 (+ 2 vis proximales (1 dynamique) et 2 vis distales). Pédicure avec débridement de la kératose locale. Pose de compresse pour distancier les orteils. Attitude : Conseils de pansement local. Motifs de reconsultation aux urgences ou chez le médecin traitant. Péjoration aiguë de la fonction rénale à 105 umol/l le 17.01.2020.Péjoration aigüe de la fonction rénale avec : • créatinine à 109 umol/l. Péjoration aiguë de la fonction rénale avec : • créatinine à 97 umol/l • créatinine à 65 umol/l au contrôle du 15.01.2020. Péjoration aiguë de la fonction rénale d'origine pré-rénale dans un contexte para-infectieux le 13.12.2019 avec : • créatinine à 107 umol/l (clairance à 42 ml/min). Péjoration d'ancienne rupture de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche le 15.01.2020. Péjoration de la fonction rénale avec créatinine à 144 µmol/l possible sur hydronéphrose déjà connue sur le scanner du 25.01.2020. Péjoration de la fonction rénale avec créatinine à 151 micromol/l possible sur hydronéphrose déjà connue sur le scanner du 25.01.2020. Péjoration de l'état général. Péjoration de l'état général d'origine peu claire avec famille surchargée. Péjoration de l'insuffisance rénale avec : • Insuffisance rénale aiguë (créatinine 486 umol/l), eGFR 10 ml/min • FeNa : 1.9%. Péjoration de troubles neurodégénératifs d'origine mixte avec : • composante hydrocéphalie à pression normale. Péjoration des douleurs articulaires type arthrosique connues au niveau des mains. Péjoration des symptômes. Péjoration des troubles cognitifs. Péjoration d'une anémie hypochrome microcytaire chronique d'origine mixte sur : • déficit carentiel (Fe) • toxique (chimiothérapie) et • spoliative (Mayer +). Pelade d'origine indéterminée. Pelvipéritonite sur abcès appendiculaire en août 2008 avec : • s/p annexectomie gauche. Paronychie aiguë de l'hallux du pied gauche chez Mme. Y sous méthotrexate le 16.06.2015. 02.10.2019 : fibrillation atriale. 03.10.2019 : pancytopénie avec agranulocytose sur chimiothérapie. 03.10.2019 : insuffisance anastomotique colo-rectale. 03.10.2019 : épanchement pleural droit drainé chirurgicalement. 03.10.2019 : pneumothorax gauche persistant sur défaut de réexpansion pulmonaire (atélectasie bibasale). 15.10.2019 : insuffisance anastomotique du moignon rectal avec abcès pelvien. 16.10.2019 : fibrillation auriculaire tachycarde paroxystique. 17.10.2019 : hémorragie maculaire. 28.10.2019 : tumor-stents bilatéraux sur IRA post-rénale. 03.11.2019 : pneumonie de broncho-aspiration. Pembrolizumab et Axitinibs en suspens. Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X le 22.01.2020 à 14h30. Laboratoire de contrôle le 22.01.2020 à 13h45. Pemphigoïde bulleuse (suivi par Dr. X). Insuffisance rénale chronique stade 3a. Hypothyroïdisme. Surdité bilatérale, prédominant à droite. Lombalgies chroniques. Douleurs chroniques au niveau des plis inguinaux, d'origine indéterminée. Troubles anxieux, diagnostic différentiel : début d'état démentiel. Pemphigoïde bulleux. Pancolite inflammatoire en 2000. Otosclérose avec implant auditif 2009/2010 (IRM-compatible). Hypertension intracrânienne bénigne le 16.06.2018 avec : • céphalée occipitale gauche irradiant dans l'hémicrâne associée à des nausées et une photophobie • pression d'ouverture du LCR à 29 cm H2O le 20.06.2018. Dysesthésie et paresthésie facio-brachio-crurale avec dysgeusie et dysosmie nouvelle et ataxie cinétique. Pendant la surveillance aux urgences, Mme. Y était dans un état de délirium, confusion et agitation, elle a refusé la prise de sang. Nous demandons l'avis de médecin psychiatre de garde qui propose une hospitalisation à Marsens sous PAFA. Mme. Y a présenté une agressivité orale et physique (elle a frappé une infirmière). Nous demandons l'aide de la police et nous donnons 5 mg de Haldol à Mme. Y. Père de Mr. Y informé des symptômes devant le faire reconsulter. Père HTA. 2010 : césarienne en semi-urgence à 40 3/7 SA pour siège à 4 cm à l'HFR Fribourg, sexe : F, poids : 3750 g, allaitement : 10 mois. 2012 : AVB sous péridurale 38 2/7 SA à l'HFR Fribourg, délivrance : normale et complète, poids 2990 g, particularités : allaitement depuis. 2014 : Accouchement spontané par voie basse en ambulatoire sous anesthésie péridurale à 39 5/7 SA chez une patiente 3G devenue 3P sp AVP avec coup du lapin en 1999. Perenterol. Perenterol jusqu'au 23.01.2020. Pérentérol 250 mg 1x/j dès le 06.01. Perenterol. Culture de selle : C. difficile négatif. Perforation d'ulcère gastrique le 07.09.2017, DD : lithiase cholédocienne résiduelle intra-pancréatique infectée. Hématochézie en mai 2017. Cholangite en août 2013. Cholangite en octobre 2010. Hématochézie sur maladie diverticulaire étendue en janvier 2005 et cautérisation de micro-polypes coliques en juin 2010. Laparotomie, anastomose cholédoco-duodénale termino-latérale pour lithiases cholédociennes avec statut post-ERCP et sphinctérotomie pour calcul cholédocien (calcul de 1 cm non extractable) en décembre 2006. Statut après choc septique sur septicémie à entérocoques en février 2005. Statut après gastro-entérite virale le 04.02.2019. Statut après ictus aséquellaire en 2002. Statut après cure de tunnel carpien des deux côtés en 1986. Statut après cure de hernie hiatale en 1970. Statut après cure de hernie ombilicale. Statut après ablation de fibrome utérin. Statut après fracture ouverte stade 1 épiphysaire distale intra-articulaire non déplacée de P2D5 de la main gauche. Statut après appendicectomie dans l'enfance. Perforation duodénale antérieure D2 probablement sur prise d'AINS le 10.01.2020. Perforation gastro-duodénale sur prise d'AINS du 10.01.2020. Perforation iatrogène tympan droit. Perforation intestinale sur hernie interne incarcérée le 17.12.19 • statut post-sigmoïdectomie laparoscopique en 2013 pour diverticulite à répétition (juin 2012, février 2013, avril 2013). Perforation tympanique de l'oreille droite • hypoacousie de transmission • probablement secondaire à des otites à répétition. Perforation tympanique droite d'origine probablement iatrogénique. Perforation vésicale sur statut après diverticulite abcédée et drainée en percutané (depuis le 29.11.2019) le 08.01.2020 avec : • fistule entre la vessie et la cavité abcédée de la fosse iliaque gauche (fistule sigmoïdo-vésicale). Perfusion de G10% du 07.01 au 10.01. Sonde oro-gastrique du 07.01 au 21.01. Perfusion de G10% du 18.12 au 23.12. Perfusion de Remsima 200 mg i.v (2ème injection).Perfusion de 20 UI de Syntocinon Perfusion de 20 UI de Syntocinon Perfusion du 17.01 au 18.01 Perfusion du 22.01 au 25.01 Perfusion NaCl 0.9%, 500 ml aux urgences. Primpéran en réserve. Stimulation à la boisson. Péri tendinite discale épaule D Perianalvenenthrombose Otite externe aiguë le 23.10.2019 Péricardite aiguë le 21.01.2012 avec : • coronarographie du 21.01.2012 (Dr. X) : coronaires saines, ventriculographie normale • échocardiographie transthoracique du 21.01.2012 (Dr. X) : bonne FEVG, pas de dilatation des cavités D, pas de valvulopathie, pas d'épanchement péricardique. Pneumonie du lobe moyen gauche en 2008. Péricardite aiguë le 30.08.2017. Crise de panique le 21.07.2018. Idées suicidaires chez patiente connue pour des troubles anxio-dépressifs le 08.07.18. Péricardite aiguë probablement virale le 13.01.2020 • épanchement pleural bilatéral et péricardique circonférentiel • Co-Amoxicilline 1 g x2/j du 06.01 au 12.01.2020 Péricardite chronique le 06.01.2020 DD syndrome de Dressler Péricardite d'origine indéterminée le 7.2.2020 avec : • antécédents de péricardite en 2018 Péricardite en rémission. Péricardite en 2018. Péricardite récidivante du 31.01.2020 • chez patiente connue pour péricardite chronique. Péricardite urémique dans le contexte d'une insuffisance rénale terminale le 29.04.2019 Infection urinaire haute à germe indéterminé le 22.04.2019 : • microbiologie (urinaire et hémocultures) négatives chez un patient sous Ciprofloxacine • hospitalisation à l'Hôpital Daler du 22.04 au 29.04.2019 • Imipénème-Cilastatine du 22.04 au 03.05.2019 (3 semaines de Ciprofloxacine au préalable) Prostatectomie radicale en 2014 pour cancer de la prostate pT2 N0 G2 réséqué en R0 avec score de Gleason à 6 et iPSA à 9,1 ng/ml Lymphadénectomie pelvienne : excision de tous les ganglions lymphatiques des vaisseaux iliaques externes et au triangle obturatoire Embolies pulmonaires sous-segmentaires idiopathiques le 20.08.2012 • anticoagulation 2012 - 2016 • stop Marcoumar le 29.09.2016 vu l'âge et les multiples comorbidités Parésie faciale périphérique gauche le 01.09.2016 d'origine virale probable Prothèse totale du genou droit en mai 2014 Polypose nasale à prédominance gauche : • Status post-polypectomie bilatérale Périchondrite de l'oreille G. Périchondrite de l'oreille G le 06.01.20 • sous Co-Amoxicilline pendant 7 jours. Périchondrite oreille gauche. Péri-myocardite dans un contexte de gastro-entérite le 30.01.2014. Myocardite le 28.06.2017, diagnostic différentiel : virale, sarcoïdose. • ETT (Dr. X) : VG non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 58 % Contusion doigt IV pied droit. Périonyxis de D3, main droite. Lésion ligament latéral externe stade I genou droit, le 01.06.2017. Périonyxis du 4ème doigt de la main gauche avec suspicion d'ostéomyélite de P3 D4 main gauche. Péritonite des 4 quadrants sur perforation grêle traumatique le 04.01.2019 Péritonite diffuse sur perforation iléale distale le 14.10.2019 : • perforation (à environ 15 cm de la valvule iléo-caecale) par un couteau de 20 cm de long et une cuillère de 13 cm ingérés le 08.10.2019 : multiples laparotomies, résection de 20 cm l'iléon. Plaies à répétition sur auto-mutilation. Intoxication médicamenteuse au Paracétamol (20 g) le 29.03.2019. Bypass gastrique en 2016 (Clinique Lindenhof, Berne, Dr. X). Ingestion de deux couteaux à beurre le 14.12.2019. Péritonite localisée avec appendicite aiguë nécrotique et perforation. Péritonite localisée dans l'hypocondre droit sur importante cholécystite lithiasique : • cholécystectomie, lavage et drainage péritonéaux par laparoscopie le 09.10.2016. Infection à Coxsackie virus 17.07.2018 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur possible broncho-aspiration. 17.07.2018 Suspicion AIT avec mise en évidence au CT du 18.01.2019 d'une sténose significative de l'artère vertébrale gauche (DD : poussée maladie de Horton). Sténose significative au départ de l'artère vertébrale gauche avec plaque athéromateuse calcifiée. Sac anévrismal sous-clavière droit. Perlèche. Perlèche bilatérale. DD : xérose cutanée, infection mycotique locale. Permanence : anesthésie locale avec lidocaïne rapide, rinçage et nettoyage de la plaie avec octenisept et NaCl 0.9%, fermeture avec 3 points vicryl 4.0 Rappel tétanos. ATT : • RAD avec AB prophylaxie, antalgie, retrait des points chez le MT à 10 jours • consigne de revenir s'il présente un signe d'infection Permanence : désinfection avec octenisept, pas d'anesthésie locale selon la volonté du patient, 3 points avec vicryl 5.0, pansement Attitude : • retour à domicile avec antalgie en réserve et antibiotique en prophylaxie 5 jours, contrôle à la permanence le 18.01.2020 • retrait des points chez le MT à J5 le 21.01.19 Permanence : désinfection octenisept, 1 point avec vicryl 4.0 ATT : • RAD avec arrêt de travail et antalgie • ablation du fil à 7 jours à la permanence, consigne de revenir si signe d'infection Persistance colite à clostridium Persistance de diarrhées d'origine indéterminée depuis novembre 2019 : • culture de selles négatives le 14.01.2020. culture de selles à la recherche de Giardia Lamblia en cours le 17.01.2020. Persistance de douleurs au niveau du MSD dans le dermatome C6 sur : • Status post ACDF C5-C6 et ACDF C6-C7 par abord G avec mise en place de cages MT ortho 14x16x6 mm sur les 2 niveaux, Manovac le 02.12.2019 sur discopathie double C5-C6 et C6-C7 avec hernie discale C5-C6 et C6-C7 à droite avec radiculopathie sensitive essentiellement C6 et C7 à droite. Persistance de fuite sur les bords de la sonde vésicale le 31.01.2020. • sonde urinaire mise en place le 25.01.2020 pour rétention aiguë d'urine sur HBP. • fuite sur les bords de la sonde avec changement de sonde vésicale pour une 14CH latex à Riaz le 30.01.2020. Persistance de la fièvre. Persistance de multiples collections intra-abdominales sur péritonite bactérienne secondaire (lâchage du moignon rectal) à E.Coli, E.faecalis et E.faecium le 15.10.2019. • Status post prise en charge chirurgicale d'un pseudomyxome péritonéal. • 16.10.2019 : drainage d'abcès pelvien pré-sacré sur lâchage du moignon rectal par rectoscopie; colonisation à Enterococcus faecium du point de ponction du drain abdominal gauche. • 2 collections pré-sacrées : postérieure de 6x7 cm avec drain en place, antérieur non drainée. Persistance de troubles neurologiques. Persistance des douleurs. Persistance des douleurs au niveau inguinal du côté G après une arthroscopie de la hanche G le 29.05.2019 pour conflit fémoro-acétabulaire de type cam avec correction de l'offset, dénervation du labrum et fermeture de la capsule. Persistance des douleurs bras gauche. Persistance d'infection de hanche D avec fistule cutanée le 15.09.2019 sur status post infection précoce de la prothèse de révision hanche D le 20.07.2019 à Staph. aureus R pénicilline avec : • Antibiothérapie par Bactrim forte 3x1/j p.o. du 04.09. au 14.09.2019. • Status post ablation de PTH de révision hanche D, neurolyse du nerf sciatique, débridement extensif, mise en place d'un spacer armé aux antibiotiques le 16.08.2019. • Status post débridement, rinçage articulaire, prélèvements pour bactériologie hanche D, changement d'un câble Dall-Miles le 22.07.2019. • Status post ablation de la lame plaque fémur proximal D, débridement extensif, prélèvements pour bactériologie puis mise en place d'une prothèse de révision, OS du grand trochanter par cerclages Dall-Miles, suite à un démontage de la lame plaque le 05.07.2019 et cut out de la lame plaque fémur proximal. • Status post OS par lame plaque et 4 câbles Dall-Miles d'une fracture sous-trochantérienne multifragmentaire à D, le 18.05.2019, suite à une tentative infructueuse d'OS par clou; accident le 16.05.2019, avec microbiologie négative. • Hypoesthésie séquellaire jambe D stable post AVP en 1977 avec status post OS fracture du fémur D; AMO faite. Persistance d'un fil sous-cutané dérangeant en proximal de la cicatrice. Syndrome des loges jambe G sur contusion le 22.03.2019 avec : • status post-fasciotomie le 22.03.2019 (HIB) avec reprise le 23.03.2019. • status post-embolisation de la branche de l'artère fémorale profonde G le 24.03.2019. Persistance EF. Persistance état fébrile. Persistante de diarrhées depuis novembre 2019. DD Gastro-entérite aiguë probable le 10.10.2020 avec : • Douleurs abdominales chroniques (cf rapports précédents). • DD : intolérance lactose, intolérance gluten, côlon irritable, MICI. • En l'absence de red flags et des diarrhées depuis uniquement 48h, nous n'entamons pas d'investigations supplémentaires. Nous reconvoquons le patient à 48h en F34. Si non amélioration des symptômes ou apparition d'état fébrile, effectuer les démarches diagnostiques supplémentaires : laboratoire, culture des selles, recherche des intolérances ? • Éducation hygiène patient. Perte de cheveux. Perte de connaissance. Perte de connaissance brève d'origine indéterminée : DD Vaso-vagale, syncope sur trouble du rythme. Perte de connaissance brève d'origine vasovagale probable DD : Absence. Perte de connaissance brève sur hyperventilation dans le contexte d'angoisses. Perte de connaissance le 26.01.20. DD : vagale, contexte de migraines. Perte de connaissance probablement sur malaise hypotensif ou vaso-vagal en lien avec les douleurs et les saignements. Perte de connaissance sur alcoolisation aiguë +/- traumatisme crânien. Perte de connaissance tachycardique ventriculaire avec choc approprié par le défibrillateur implanté le 01.02.2017. • malaise avec perte de connaissance sans traumatisme crânien. • amnésie complète post-évènement (1 min). Malaise sans perte de connaissance sur probable tachycardie ventriculaire soutenue les 10.07 et 12.07.2016. Adénocarcinome du côlon droit moyennement différencié invasif, stade pT3 N0 M0. • colectomie droite avec splitstomie en fosse iliaque droite, le 07.11.2008. NSTEMI le 28.03.2019. • Troponines : H0 36 ng/l, H1 53 ng/l, H3 51 ng/l, D-Dimères à 1'700 ng/ml, NT-proBNP à 3900 ng/l. • dans un contexte de cardiopathie hypertensive, valvulaire, dysrythmique et ischémique connue (FEVG à 25 % le 29.03.2019). • Avis cardiologique le 29.03.2019 : pas d'urgence pour une coronarographie. • Mise en place oxygénothérapie à domicile. Gastro-entérite de probable origine virale le 28.03.2019. Perte de connaissance tachycardique ventriculaire avec choc approprié par le défibrillateur implanté le 01.02.2017. • malaise avec perte de connaissance sans traumatisme crânien. • amnésie complète post-évènement (1 min). Malaise sans perte de connaissance sur probable tachycardie ventriculaire soutenue les 10.07 et 12.07.2016.Adénocarcinome du côlon droit moyennement différencié invasif, stade pT3 N0 M0 • colectomie droite avec splitstomie en fosse iliaque droite, le 07.11.2008 NSTEMI le 28.03.2019 • Troponines : H0 36 ng/l, H1 53 ng/l, H3 51 ng/l • D-Dimères à 1'700 ng/ml, NT-proBNP à 3900 ng/l • dans un contexte de cardiopathie hypertensive, valvulaire, dysrythmique et ischémique connue (FEVG à 25% le 29.03.2019) Avis cardiologique le 29.03.2019 : pas d'urgence pour une coronarographie. Mise en place d'oxygénothérapie à domicile Gastroentérite de probable origine virale le 28.03.2019 • Perte de mobilité sur oedème des membres inférieurs important • Perte de poids de 10 kg, dyspnée à l'effort, toux sèche en augmentation, dysphagie basse, transit accéléré depuis quelques semaines. Tabagisme actif depuis ses 17 ans Attitude : • proposition de réaliser un CT thoracique à distance de la pneumonie +/- coloscopie • Perte de poids d'origine indéterminée le 08.12.2019 • DD trouble du comportement alimentaire atypique, épisode dépressif avec somatisation. • Critère d'hospitalisation : lipothymies sur perte de poids et BMI < 14 • situation sociale complexe 2 antécédents d'hospitalisation en raison d'une dénutrition protéino-énergétique, avec sondage naso-gastrique • Lipothymies chroniques, mentionnées aussi lors des précédentes hospitalisations, sans étiologie identifiée • Pas de suivi psychiatrique en ambulatoire (pédo-psy ou psy adulte), depuis au moins 1 an • Pas de véritable suivi par son médecin traitant, la patiente refusant les consultations de suivi • Perte de substance au niveau de la pulpe de D4 main gauche • Perte de substance au niveau de la pulpe de l'annulaire gauche. • Perte de 10 kg en 3 mois d'origine indéterminée, 21.10.2019 • Patient connu pour un VIH Arthropathie de l'épaule gauche post-rupture massive de la coiffe des rotateurs avec arthrose excentrée • Suivi par le Dr X (06.08.2019) : si douleurs persistantes, ad pose de prothèse inversée • IRM 20.05.2019 : arthropathie avancée Hypertrophie de la prostate, avec : • prostatite chronique • St. post-TURP, 03/2015 • Suivi par le Dr X Goutte Bronchite chronique et asthme • Therapie avec Symbicort 2-0-2 et Ventolin au besoin • Switch Symbicort pour Qvar Autohaler (Beclomethasone) 100 ug 2-0-2-0 et Serevent Spray Aer. Dos. 25 ug 2-0-2-0 (en raison de l'interaction possible avec Genvoya-Serevent : cardiotoxicité du Serevent) : début avec 1-0-1-0 • Ventolin en réserve Rein unique en fer à cheval droite • 01.02.17, US abdominal (Inselspital) : Nur eine Niere im rechten Unterbauch mit 10.9 x 5 cm. Am Oberpol Parenchymbalken, Pyelon nur in den unteren 2/3 sichtbar, somit a.e. Hufeisenniere. Cervicalgies et dorsalgies non déficitaires depuis 2017 Troubles cognitifs • MMSE à 23/30, test de la montre 6/7 • perte pondérale et anorexie • Pertes estimées à 1500 cc. Délivrance artificielle, révision utérine et curetage au bloc opératoire. • Placenta envoyé en anatomo-pathologie. • Syntocinon 30 IU. • Transfusion d'un culot érythrocytaire, 1 PFC, 1 gr d'acide tranéxamique Pertes sanguines peropératoires le 20.11.2019 • Anémie postopératoire avec Hb à 94 g/l le 21.11.2019 et 79 g/l le 29.11.2019 Pertes vaginales malodorantes depuis le 04.01.2020 et diarrhée depuis 3 jours • Pertuis à l'entrée du CAE des deux côtés --> suivi au CHUV • Perturbation chroniques des valeurs de cholestase • DD sur métastase hépatique • Perturbation de la crase • dans un contexte de malnutrition. • Perturbation de la crase • dans un contexte de malnutrition. Perturbation des tests hépatiques sur origine para-infectieuse et médicamenteuse le 19.11.2019: Pneumonie bilobaire d'évolution lente avec alvéolite neutrophilique et bronchiolite respiratoire dans un contexte de : • IVRS en 10.2019 • Probable pneumonie le 20.10.2019 • Pneumonie lobaire inférieure gauche à pneumocoque le 12.11.2019 • Au préalable (Hôpital de Rennaz): 1) Microbiologie: 2) Imageries (Hôpital de Rennaz): 3) Traitements: Pneumonie bilobaire d'évolution lente avec alvéolite neutrophilique et bronchiolite respiratoire • s/p IVRS début 10/2019, probable pneumonie le 20.10.2019, pneumonie lobaire inférieure gauche à pneumocoques le 12.11.2019 Avis pneumologique (Dr X / Dr X) Avis infectiologique (Dr X / Dr X) CT thoracique natif low dose le 19.12.2019 Hémocultures le 12.12.2019 : négatives à 5 jours Sérologie Tularémie le 16.12.2019 : négative Expectorations le 12.12.2019 • Microbiologie HFR : BAAR 0, PCR GenXpert négative. Mycobactéries : en attente Dosage immunoglobulines, C3-C4 : dans la norme, sous-classes IgG en atteinte Bronchoscopie le 17.12.2019 : • Chimie HFR : (LBA, différentiation) : neutrophiles 88%, mono/macrophages 5%, éosinophiles 1%, lymphocytes 6% (trop peu de • Microbiologie HFR : (aspiration bronchique) : flore buccopharyngée quelques, CALCO -, BAAR -, culture de champignons filamenteux et de mycobactéries en attente ; (LBA) : bactériologie classique - à 2 jours, CALCO -, BAAR -, culture de champignons filamenteux et de mycobactéries en attente • Cytologie (Promed C2019.1600) : (LBA LID) forte neutrophilie et discrète lymphocytose alvéolaire, matériel sans micro-organisme identifié et sans cellule tumorale maligne (macrophages 23%, dont 8% d'hémosidérophages, neutrophiles 50%, lymphocytes 26%) ; (brossage LIG) inflammation neutrophilique ; (brossage LID) : inflammation neutrophilique marquée, possiblement nécrosante ; (aspiration pré-biospie) matériel essentiellement muqueux, peu cellulaire et peu inflammatoire ; (aspiration) matériel en partie muqueux, peu inflammatoire [Commentaire : dans la plupart des localisations, présence d'une substance muqueuse et d'une inflammation à prédominance neutrophilique, toutefois sans micro-organisme identifié en colorations spéciales] • Histopathologie (Promed P2019.14301) : (BTB segment latéro-basal LID, BTB segment postéro-basal LIG) : bronchiolite respiratoire jusqu'à modérée et inflammation chronique légère de la muqueuse respiratoire et du tissu péri-bronchiolaire [Commentaire : pas de nécrose, de granulome, d'inflammation aiguë, de corps de Masson, d'éosinophilie, de vascularite aiguë, de tissu dysplasique ou de tissu néoplasique malin mis en évidence] Physiothérapie respiratoire Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 02.01.2020 Perturbation des tests hépatico-pancréatiques, 04.01.2020 • dans un contexte d'alcoolisme chronique : 2 Perturbation des tests hépatiques sur adénocarcinome colorectal avec métastase hépatique Perturbation des tests hépatiques Perturbation des tests hépatiques. Perturbation des tests hépatiques à prédominance cholestatique et coagulopathie (TP abaissé), multifactorielle avec : • foie de stase • cirrhose dans contexte d'ancienne consommation d'alcool et ancienne hépatite B (biopsie juillet 2012) Xarelto en suspens depuis le 14.11.2017 Hypothyroïdite latente Tabagisme actif à 5 cigarettes/jour Troubles de l'adaptation avec réactions mixtes, anxieuses et dépressives Probable trouble cognitif d'origine mixte (ancien alcool, s/p ACR hypoperfusion chronique) • MMS à 16/30 le 12.12.2017 • Bilan neuropsychologique le 11.12.2017 capacité de discernement est difficilement jugeable mais possiblement altérée Insuffisance rénale chronique de stade 3 sur syndrome cardio-rénal de type 2 avec clairance à la créatinine selon CKD-EPI autour des 50 ml/min VIH diagnostiqué en 1996, stable sous trithérapie sous Truvada et Intelence • Virémie indétectable en février 2019 Perturbation des tests hépatiques avec ASAT 1704, ALAT 452, PA 822, thrombocytose 794 d'origine indéterminée Perturbation des tests hépatiques avec cholestase, cytolyse et TP abaissé le 15.12.2019, d'origine indéterminée Perturbation des tests hépatiques chronique. • chez patient asymptomatique. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée connue depuis quelques années, en amélioration Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 02.01.2020 Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 02.01.2020 : • Médicamenteux, oncologique Perturbation des tests hépatiques d'origine probablement médicamenteuse (Co-Amoxicilline), DD : para-infectieux, Quétiapine Perturbation des tests hépatiques d'origine probablement médicamenteuse DD : para-infectieux Perturbation des tests hépatiques et lipase augmentée avec amélioration spontanée Perturbation des tests hépatiques le 02.01.2019 • Sevrage par la patiente depuis 3 mois • investigations cf ci-dessus Perturbation des tests hépatiques le 13.01.2020 Perturbation des tests hépatiques le 19.01.2020. Perturbation des tests hépatiques, 02.01.2019 • Sevrage par la patiente depuis 6 semaines DD cholécystite, contexte de dépendance OH Ultrason abdominal le 17.12.2019 CT abdominal le 18.12.2019 Sérologies hépatites A, B et C du 18.12.2019 : négatives Avis chirurgical (Dr. X) le 19.12.2019 : suspicion de gastrite, pas de problème chirurgical Seresta Benerva 300 mg iv et Becozym Ultrason abdominal de contrôle le 05.03.2019 Perturbation des tests hépatiques DD para-infectieux. Perturbation des transaminases d'origine indéterminée le 13.01.2020 • DD foie de choc dans le contexte de l'hypotension artérielle DD autre. Perturbation des transaminases le 06.11.2015 (DD : médicamenteux, viral) Status post-cure de hernie inguinale Appendicectomie laparoscopique (opération le 30.07.2014) Méningite lympho-monocytaire d'origine probablement virale le 04.11.2015, avec exanthème papulaire du tronc et des membres Perturbation du bilan biologique Perturbation du bilan hépatique sur consommation chronique OH. Perturbation légère des tests hépatiques Perturbation modérée des tests hépatiques le 31.01.2020. • contexte susmentionné. Perturbation nouvelle des tests hépatiques Perturbation sévère des tests hépatiques d'origine indéterminée. Perturbation des tests hépatiques • cytolyse et cholestase • crase en ordre Perturbations des tests hépatiques et lipase. • DD : consommation d'alcool à risque. Perturbations des tests hépatiques et pancréatiques avec : • Discrète cytolyse. • GGT augmentée, sans cholestase. • Pancréatite biologique débutante sans corrélat clinique. DD : consommation d'alcool 3 L de bière/jour. Pes adductus à D, réductible Pes plano valgus bilatéral Pes transverso planus et plano valgus G compliqué par un hallux valgus à gauche. PES/PEM au Neurocentre (à convoquer). Contrôle de suivi. Pessar vaginal (à nettoyer 1x/semaine) PET CT le 20.01.2020 Bronchoscopie le 21.01.2020 par Dr. X IRM cérébrale en ambulatoire à Riaz le 28.01, puis rdvs à la consultation de Dr. Y le 30.01.2020 PET Scan le 07.01.2020 Colonoscopie à prévoir en ambulatoire PET-CT thoraco-abdominal à la recherche d'une lésion autre et de caractérisation de cette lésion (tumeur VS tassement bénin) le 06.02.2020 Bilan d'ostéoporose auprès du médecin traitant Éventuelle recherche par électrophorèse ou autre pour une lésion secondaire Prochain contrôle le 11.02.2020 PET-CT (22.01.20) Biopsie osseuse le 30.01.2020 : à pister Consultation oncologique Dr. Y déjà faite : à discuter pour prise en charge de la masse cérébrale, PL à la recherche de carcinose méningée ? Pétéchies de l'ensemble du corps d'origine indéterminée Petit éperon osseux du radius distal aspécifique. Petit saignement du site opératoire gauche sur probable décollement fibrineux, sur status post tonsillectomie bilatérale le 16.01.20 Petite CIV apicale bilantée à 2 mois de vie par Dr. X, sans retentissement HD : PC à 8 mois de vie Peu d'arguments pour un pneumothorax au vu de l'excellent état général, du status pulmonaire normal et de la douleur reproductible à la palpation. Retour à domicile avec consignes de surveillance et traitement symptomatique en réserve par Dafalgan cp 1 g max. 4x/j et Ibuprofène cp 400 mg max. 3x/j si fièvre/douleurs. Reconsulte si signes de détresse respiratoire, nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Ad Rx Thorax pour exclure pneumothorax. Pevaryl crème et soins topiques Pevaryl crème 1x/j pour 7 jours Pévaryl dès le 06.01.2020, jusqu'au 27.01.2020 Pevaryl poudre pH 7,54 CO2 3,8 kPa Ponction ascite à discuter Phacoémulsification gauche récente (date inconnue) : gouttes oculaires Tobradex 4x/jour Fractures du calcanéum bilatéral, avec os gauche en 1986 Phakectomie bilatérale en 1984. Cure de tunnel carpien. Cure d'hallux valgus bilatéral en 2000. Cure de varices des membres inférieurs en 2003. Cholécystectomie. Ablation de l'ongle du gros orteil et arthrodèse du deuxième orteil, pied gauche, en 2013. Phakectomie gauche en 2020. AIT le 22.03.2018 (CHUV). Embolie pulmonaire pluri-segmentaire sans signe de gravité le 29.03.2018. Sclérose du feuillet non-coronarien de la valve aortique sans sténose significative le 29.03.2018. Thrombocytose modérée le 29.03.2018. Légère cholestase le 29.03.2018. Pharyngite Pharyngite à streptocoque du 05.10.2019. Pharyngite à Streptocoque, le 05.01.2019. Pharyngite aiguë streptococcique. Pharyngite aiguë virale le 12.01.2020. Pharyngite d'origine probablement virale. Pharyngite et probable sinusite à répétition. Rhinorrhée chronique. Pharyngite probablement d'origine virale le 26.01.2020. Pharyngite, toux non productive, diminution de l'alimentation Exclusion d'une méningite 21.01.2020 Ceftriaxone i.v. 100 mg/kg/dose 1x 21.01.2020 Frottis nasal 21.01.2020 : Influenza A positive Pharyngite virale Pharyngite virale probable. Pharyngo-amygdalite le 02.09.2012. 3 OMA gauche, OMA droite en décembre 2012. Bronchite spastique étant bébé 12.2013 Bronchite asthmatique obstructive chronique sévère Asthme allergique (RAST positive pour acariens) Pharyngo-laryngite virale surinfectée le 14.01.2020 Pharyngo-tonsillite Phénomène de Todd prolongé sur crise d'épilepsie tonico-clonique généralisée le 30.12.2019 hospitalisation à Berne du 30.12 au 31.12.2019 • CT cérébral natif le 31.12.2019 : pas de saignement, pas de nouvelle lésion • majoration traitement antiépileptique par Levetiracétam 2 x 500 mg • hémisyndrome gauche résiduel résolutif sur 24h • maladie épileptique structurelle suivie par le Dr. X en ambulatoire Phimosis causé par lichen scléreux traité par circoncision (06/2019) Phimosis très serré Phimosis 04.01.2020. Phlébectomie MIG pour varices en novembre 2019 PTH G en 2017 Fracture non déplacée intra-articulaire de moins d'un tiers de la surface articulaire de la base du 5ème métatarsien gauche novembre 2019, traitée conservativement Gastrite sur AINS le 30.10.2016 Gastroentérite le 19.12.2019 Phlébectomie 2009 Tumeur de Merkel du sourcil droit 2007 Canal carpien droit 2009 AIT en juillet 2019 Phlébite superficielle. Phlébite superficielle de la jambe droite post-opératoire en septembre 2014. Opération genou droit en septembre 2014 : ablation ménisque + ostéotomie. Incapacité à gérer le stress dans un contexte de trouble bipolaire le 31.05.2015 sur : • consommation excessive de caféine • déménagement et opération prochaine. Thrombose veineuse profonde il y a 15 ans. Phlébites à répétitions. Syndrome grippal le 17.07.2015. Brûlures 1er et 2ème degré superficiel le 09.08.2015 Toux et irritation trachéale le 21.08.2015 Tuméfaction jambe droite d'origine indéterminée le 20.06.2019 DD kystique, musculaire Phlébographie et lyse in situ par rTPA pour TVP ilio-fémorale gauche par cathéter du 27 au 28.01.2020 (Dr. X) Phlébographie et pose de 2 stents dans la veine iliaque commune gauche le 28.01.2020 (Dr. X) Héparine thérapeutique du 27.01 au 28.01.2020 Énoxaparine thérapeutique le 28.01.2020 Xarelto 15 mg 2x/j dès le 29.01.2020 Bas de contention jusqu'à la cuisse Echographie du membre inférieur gauche le 27.01.2020 Echographie de contrôle le 29.01.2020 Contrôle en angiologie le 02.03.2020 (Dr. X) Bilan à la recherche d'une thrombophilie ou syndrome para-néoplasique à discuter Phlegmon abcédé pouce G avec ostéite de contact de P2 sur fracture fermée avec perte de substance du côté radial de la base de P2. Germe en cause : Staph. aureus S à l'Augmentin. 03.12.2018, Dr. X, Dr. X : parage de plaie, ouverture en Y de la peau, drainage d'un abcès sous-cutané. Plaie profonde face dorsale de l'IP du pouce G avec arthrotomie traumatique et lésion partielle de l'EPL, le 08.02.2019 Phlegmon basi-lingual G sur probable traumatisme alimentaire mineur. Phlegmon de la main • 1 cm lange Schnittwunde D5 PIP palmar vom 13.01.2020 • Schwellung und Rötung gesamte Hand palmar bis distaler Unterarm • Kein Fieber, kein Schüttelfrost Phlegmon odontogène (dent 44). Rhinosinusite maxillaire droite au décours. Phlegmon testiculaire droit le 27.01.2020. Phlyctène sur le site cicatriciel le 30.01.2020. Phlyctène, sur site cicatriciel post prothèse totale de la hanche gauche, le 30.01.2020. Phlyctène tibia G Phlyctène 3 cm de diamètre avec nécrose membre inférieur droit. Phlycténulose Phobie scolaire probable Phosphate Sandoz du 23.12.2019 au 06.01.2020 Kalium-phosphate 20 mmol/24h du 28 au 06.01.2020 Phosphate sandoz, 1 comprimé aux urgences. Alimentation riche en potassium et phosphate. Contrôle biologique lors du rendez-vous du 05.01.2020. Photos documentées dans DPI. Stop Co-Amoxicilline et Euthyrox. Contrôle clinico-biologique en FR34. Consilium dermatologique demandé. Photothérapie du 11.01. 17h00 au 12.01. 11h00 Groupe sanguin A Rhésus positif, Coombs négatif photothérapie : 21.12 10h30 au 22.12 5h30 Photothérapie 21.12 10h45 au 22.12 11h45 Phyelonephritis E. Coli multisensible avec Harnverhalten (Ciprofloxacin) 05/2014 Rezidivierende vasovagale Synkopen ohne Bewusstlosigkeit (postprandial) Diarrhée, Nausea und abdominale Beschwerden unklarer Ursache 05/2012 (Koloskopie, Hämoccult, Sono- sowie CT-Abdomen négatif) Eosinophilie 05/2012 Hysterectomie 1964 Excision Ovarialzysten 1947 Katarakt-Op rechts Subakuter, ischémique CVI temporo-occipital re, am ehestens kardio-embolisch 12.05.14 • Hemianopsie gauche • Paroxysme Vorhofflimmern ED 2012 • Angio-CT Schädel + Halsgefäße 17.05.14 : Subakute Läsion temporo-occipital D, Halsgefäße unauffällig. • MRI-Gehirn 20.05.14 : Ischämische Läsion im Bereich A. cerebralis posterior re bei Stenose. Vaskuläre periventrikuläre Leukoenzephalopathie. • Holter-EKG : kein Vorhofflimmern • Echo transthorakal 17.5.14 : Minime Aorteninsuffizienz, Dilatation li Vorhof, hypertensive Kardiopathie. Symptomatique nosocomial nitritpositiver Harnwegsinfekt (03.06.14) Vaginalmykose n. antibiotischer Behandlung incertaine syncope 27.06. • DD erneuter HWI • EKG : NkSR 64/Min, monomorphe VES, keine Repolarisationsstörungen. • Rx BWS-LWS 27.06.14 : Keine frische ossäre Läsion. • Urinstatus 27.06.14 : nitritpositiver HWI, E. coli (pour tous les Antibiotika sensibel) + Enterococcus (99% sensibel zu Ampicillin, Co-Amoxicillin, Piperacillin Vancomycin 98% gegen Imipenem). Physio- et ergothérapie CT cranio-cérébral de contrôle le 08.01.2020 : pas de fracture, pas de saignement. Physiothérapie à but d'élongation abdominale, hygiène du dos, massages Prochain contrôle le 21.04.2020 Physiothérapie à but d'élongation musculaire et hygiène du dos. Prochain contrôle le 06.02.2020. Physiothérapie à domicile. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. Physiothérapie Antalgie Physiothérapie avec ondes de choc, anti-inflammatoires au besoin. La patiente peut nous recontacter si elle désire à nouveau une infiltration trochantérienne en cas de fortes douleurs. Physiothérapie de mobilisation Physiothérapie de mobilisation et stimulation musculaire Ergothérapie Poursuite du traitement par Oxycontin et Oxynorm avec adaptation posologique selon douleurs Poursuite Prégabaline Examens durant l'ancienne hospitalisation : • Radiographie de la colonne lombaire du 04.12.2019 : pas de tassement, troubles dégénératifs • CT de la colonne lombaire du 09.12.2019 avec pseudo-antélisthésis de L4/L5 connu et inchangé. Le canal spinal est modérément rétréci à ce niveau en raison d'une arthrose facettaire relativement évoluée. Les neuro foramens sont modérément rétrécis de façon multi-étagée, un peu plus en L5-S1 des deux côtés et en L3-L4 et L4-L5 à droite. • IRM non réalisée car le patient dit qu'il est claustrophobe et ne peut pas la faire. Physiothérapie de mobilisation et stimulation musculaire Ergothérapie Bilan électrolytique (bilan vitaminique déjà effectué pendant sa dernière hospitalisation, il y a 1 mois) Schellong positif Mise des bas de contention Contrôle antalgique Physiothérapie de mobilisation Ergothérapie Bilan nutritionnel Physiothérapie de mobilisation Ergothérapie Bilan nutritionnel Physiothérapie de mobilisation Ergothérapie Bilan vitaminique Antalgie Dépistage des fonctions cognitives avec MMS à 18/30, test de l'horloge refuséPhysiothérapie du dos avec but d'hygiène du dos, gainage et élongation abdominale. Infiltration facettaire L4-L5 bilatérale le 11.02.2020. Prochain contrôle le 03.03.2020. Physiothérapie en ambulatoire Dafalgan 1 g Irfen 400 mg Novalgine 500 mg Physiothérapie en réadaptation gériatrique Antalgie Physiothérapie, ergothérapie Physiothérapie. Ergothérapie. Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie. Ergothérapie. Bilan biologique. Antalgie. Physiothérapie, ergothérapie et bilan biologique • non-effectués suite à la demande de retour à domicile de Mr. Y et de sa famille. Physiothérapie. Ergothérapie. Suivi nutritionnel. Test de Schellong négatif. Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Dépistage de troubles cognitifs le 13.12.2019 : MMS à 28/30, test de la montre à 4/7. GDS à 3/15 Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Tests de dépistage des troubles cognitifs le 16.12.2019 : MMS à 29/30, test de la montre à 4/7, GDS à 2/15 Physiothérapie et ergothérapie • Contrôle radio-clinique du bassin + hanche droite le 18.11.2019 après le d’accord de Dr. X Physiothérapie et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Physiothérapie et ergothérapie Mobilisation : attelle antistep la nuit, mobilisation libre Adaptation de l'antalgie Physiothérapie et ergothérapie Mobilisation : attelle JACK sur la journée et toujours pendant la physiothérapie jusqu'au contrôle à 6 semaines. Flexion jusqu'à 90°. • Consultation orthopédique (Dr. X) le 13.12.2019 : charge totale et amplitudes articulaires libres Adaptation de l'antalgie Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour jusqu'au 10.01.2020 Physiothérapie et ergothérapie Mobilisation libre Adaptation de l'antalgie Physiothérapie locomotrice Suivi diététique Physiothérapie mobilité Discuter un placement au cours de l'hospitalisation Physiothérapie pour diminuer les mécanismes compensatoires et renforcer la musculature. Poursuite de l'ergothérapie et contrôle dans 6 semaines. Physiothérapie pour hygiène du dos, élongation abdominale et gainage Prochain contrôle le 23.04.2020 Physiothérapie pour rééduquer l'épaule, reprise du travail dès le 07.02.2020. Fin du traitement chez moi. Physiothérapie pour stretching des chaînes musculaires postérieures Pas de prochain contrôle clinique Physiothérapie poursuite Mydocalm et Temesta Tentative d'arrêt Irfen Physiothérapie prévue dès la semaine prochaine pour troubles de la marche et douleurs canal lombaire étroit. Physiothérapie. Prochain contrôle dans 3 mois. Physiothérapie. Réadaptation gériatrique aiguë du 06.12.2019 au 20.12.2019. Physiothérapie respiratoire au HFR Fribourg en ambulatoire 3x/semaine puis relai par réhabilitation pulmonaire à l'HFR Billens dès que possible (délai probable 2-3 semaines). Suivi chez le pneumologue traitant. Physiothérapie respiratoire Poursuite Spiriva et Pulmicort Adaptation du traitement Atrovent et Ventolin en réserve Une spirométrie ambulatoire Physiothérapie respiratoire Aérosols Atrovent-Ventolin Zithromax en prévention à reprendre après le 09.01.2020 Physiothérapie respiratoire Antalgie Physiothérapie respiratoire Poursuite de la BPAP Physiothérapie vestibulaire ambulatoire Rendez-vous chez le Prof. X le 28.01.2020 à 16h avec prise de sang pour administration Methotrexate Physiothérapie Antalgie Contrôle biologique Bilan fait lors de l'hospitalisation précédente Physiothérapie Antalgie Ergothérapie Bilan biologique bilan nutrition Substitution des carences Calcimagon D3 en prévention secondaire des chutes Physiothérapie Attelle pour aide à la marche Physiothérapie Bilan biologique Physiothérapie Bilan biologique fait pendant la dernière hospitalisation Physiothérapie Bilan biologique Adaptation des moyens axillaires Poursuite Calcimagon en prévention secondaire des chutes Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Attitude : • reclassement en attente de réhabilitation neurologique intensive à Meyriez • contrôle clinique et ENMG le 25.02.2020 à 10h30 à la consultation du Dr. X à Fribourg Physiothérapie Ergothérapie Bilan biologique le 10.01.2020 Tests cognitifs avec MMS à 26/30 et un test de la montre à 6/7. GDS à 3/15. Suivi nutrition clinique Physiothérapie Ergothérapie Bilan biologique Substitution de la vitamine D per os Physiothérapie Ergothérapie Bilan biologique Substitution per os de la vitamine D Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Radiographie thoracique le 17.12.2019 Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Bilan biologique Substitution de la vitamine D Substitution d'acide folique car la valeur est dans la limite Tests de la cognition du 26.12.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 1/15 Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Tests de la cognition le 26.12.2019 : MMSE à 29/30, TM à 6/7, GDS à 2/15 Traitement antalgique Physiothérapie Ergothérapie Evaluation de l'état nutritionnel Physiothérapie Ergothérapie Evaluation nutrition clinique Physiothérapie Ergothérapie Manoeuvre de Hallpike négative Physiothérapie Ergothérapie Schellong Test de dépistage de la cognition du 26.12.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 6/7 et GDS à 4/15 Physiothérapie Ergothérapie Suivi nutrition clinique Substitution carences per os Dépistage troubles cognitifs le 09.01.2020 avec : MMSE à 17/30 et test de l'horloge à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15 Physiothérapie. Ergothérapie. Tests cognitifs non réalisables en raison du manque de collaboration. Tests cognitifs le 27.11.2019 : MMSE à 12/30, test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 4/15. Physiothérapie Ergothérapie Test de dépistage de la cognition du 07.01.2020 : MMSE à 26/30, test de l'horloge à 3/7, score GDS à 4/15 Physiothérapie Ergothérapie Test de Schellong : positif Bas de contention jusqu'aux cuisses Physiothérapie Evaluation nutritionnelle Physiothérapie ambulatoire au foyer CT cérébral du 27.12.2019 : (post-chute avec traumatisme crânien mais sans perte de connaissance ni AC) : pas de signe d'hémorragie cérébrale avec leucopathie vasculaire. Signes d'atrophie cortico-sous-corticale. Physiothérapie Majoration de Torasémide Physiothérapie Prise en charge nutritionnelle Bilan vitaminique et bilan d'anémie à faire en ambulatoire Placement en institution pour soins impossibles à domicile Physiothérapie Prochain contrôle clinique avec IRM de la hanche le 19.02.2020 Physiothérapie Prochain contrôle clinique le 13.05.2020 Physiothérapie. Prochain contrôle le 06.04.2020 Physiothérapie Prochain contrôle le 13.05.2020 Physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique le 10.03.2020. Physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique le 18.02.2020. Physiothérapie Réadaptation indiquée, investigations au besoin. Physiothérapie Réadaptation pour investigations complémentaires Physiothérapie Suivi biologique Adaptation du traitement avec arrêt du HCT Evaluation ergothérapie Evaluation diététique Dépistage des troubles cognitifs Physiothérapie Test de déglutition régulier Consilium ORL 24.12.2019 et 30.12.2019 avec fibroscopieProchain contrôle ORL et phoniatre fin janvier: à prévoir • Pic d'hypertension. • Pic HTA • Pic hypertensif. • Pic hypertensif. • Pic hypertensif. • Pic hypertensif • Pic hypertensif à l'entrée aux urgences à 162/107 mmHg. • Pic hypertensif à 180/115 mmHg le 22.01.2020. • Pic hypertensif à 200 mmHg systolique, symptomatique. • Pic hypertensif à >200/100 mmHg chez hypertendu connu. • Pic hypertensif à 220 mmHg le 20.01.2020 • Pic hypertensif avec TA à 203/115 mmHg et FC 91/min chez une patiente traitée pour hypertension artérielle: • sous stimulus douloureux. • Pic hypertensif chez hypertendu connu dans un contexte anxieux. • Pic hypertensif. • chez une patiente débutant un traitement anti HTA et présentant un probable SAOS. • Pic hypertensif dans le contexte d'une hypertension artérielle mal réglée le 05.01.2020 • Pic hypertensif le 12.01.2020. • Pic hypertensif, le 19.01.2020. • Pic hypertensif le 19.01.2020. • Pic hypertensif le 31.01.2020. • Pic hypertensif non symptomatique • Pic hypertensif sur hypertension artérielle 05.01.2020 • Pic hypertensif symptomatique. • Pic hypertensif symptomatique, le 25.01.2020. • Pics hypertensifs symptomatiques sur non-compliance médicamenteuse au traitement antihypertenseur le 30.01.2020. DD : angor. Pas d'argument pour NSTEMI, embolie pulmonaire, dissection aortique. • PID avec suspicion d'un abcès tubo-ovarien le 27.01.20. • Pied bot à droite avec actuellement une tendance aux pieds plats bilatéraux • Pied bot à gauche type 3 actuellement avec une tendance aux pieds plats Status post ténotomie du tendon d'Achille le 20.12.2011 • Pied bot varus équin bilatéral op en 1991 et 1997. Fracture clavicule en 1998. Fracture poignet en 2005 Pneumonie éosinophilique avec intubation du 06.01. au 09.01.2009. Douleurs d'origine musculo-squelettique le 16.01.2013. • Pied creux à D. Légers signes dégénératifs au niveau des articulations TMT du pied G. • Pied D : cure d'hallux valgus en mini invasif prévue le 04.02.2020. • Pied de Charcot début à G avec un ulcère de décubitus au niveau du bord médial du calcanéum datant de décembre 2019 Pied de Charcot D avec destruction osseuse articulaire et atteinte du Lisfranc, essentiellement de l'articulation tarso-métatarsienne du 1er rayon, tassement de la partie antérieure du naviculaire, affaissement de la voûte plantaire, subluxation articulaire des métatarsiens 1-2 et de l'articulation du Chopart pied D. • Pied diabétique avec mal perforant plantaire pied gauche Stade 1 selon Wagner le 22.07.2016 • PIED ENTIER DROIT : par rapport au comparatif du 17.12.2019, on constate l'apparition d'un cal osseux au niveau de la fracture du 2ème MT, non déplacée. • PIED ENTIER DROIT : remaniements de la partie distale du 1er métatarsien et de la partie basale de P1 O1 connus et inchangés, à corréler aux antécédents de la patiente. Ces remaniements doivent rentrer dans le cadre d'un st/p cure de hallux valgus. Fracture de la tête du 2ème métatarsien déplacée. Plusieurs petits fragments calciques dans l'espace entre le 2ème et le 3ème orteil. Ces derniers sont repoussés l'un de l'autre par l'abcès des tissus mous connus. Pas de fracture des métatarses III à V ni des orteils III à V. • DOPPLER VEINE JAMBE DROIT (THROMBUS) : perméabilité conservée de l'axe fémoro-poplité à l'examen écho-Doppler et par compression veineuse. Pas de signe de thrombose au niveau des veines de la jambe droite en distalité. CONCLUSION : pas d'argument en faveur d'une thrombose veineuse de l'axe fémoro-poplité. • PIED ENTIER DROIT : trame osseuse sans particularité. Respect des axes anatomiques et des interlignes articulaires. Absence de trait de fracture visible. Os péroneum. Tissus mous sans particularité. • PIED ENTIER GAUCHE F/O : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. • Pied G le 17.01.2020 avec : • Fracture du Lisfranc avec arrachement de l'interligne articulaire métatarso-cunéiforme du 2ème rayon sur le versant plantaire. • Fracture/arrachement du versant dorsal externe du cunéiforme latéral avec une composante intra-articulaire métatarso-cunéiforme. • Fracture non déplacée de la base du 4ème métatarse avec une composante intra-articulaire cubo-métatarsienne. • Fracture/arrachement de la face dorsale du cuboïde. • Pied gauche : hallux valgus, bunionette. • Pied droit : hallux valgus. • Pied gauche : sésamoïdite bilatérale sur traumatisme par écrasement le 07.10.2019. • Pied plano-valgus bilatéral • Pied plat bilatéral • Pied plat bilatéral plus marqué à droite qu'à gauche Morphologie en genu-valgum bilatéral • Pied plat bilatéral réductible • Pied plat des deux côtés plus à gauche qu'à droite avec arrière-pied en valgus bien réductible • Pied plat en valgus des deux côtés • Pied plat plano-valgus à D avec une arthrose avancée du Lisfranc. • Pied plat valgus post-traumatique à G avec : rupture des ligaments du sinus du tarse, raccourcissement du gastrocnémien. • Pied-main-bouche avec : • difficultés d'hydratation • Pieds creux bilatéraux avec raccourcissement gastrocnémien ddc et fasciite plantaire ddc. • Pieds de Charcot bilatéraux : • destruction osseuse articulaire essentiellement métatarso-métatarsienne du 1er rayon • ulcère à la face interne du talon gauche • suivi Dr. X • Pieds plats. • Pieds plats bilatéraux, plus marqué à G qu'à D. Orteils 2-3 en griffe pied D. Hallux rigidus à D. Status post arthrodèse TMT 2-3 pied G en octobre 2016 pour arthrose naviculo-cunéiforme et tarso-métatarsienne sur pied plano-valgus avec infection du matériel et AMO en janvier 2017. • Pieds plats bilatéraux réductibles. Antéversion fémorale à D. • Pieds plats bilatéraux sur faiblesse M. tibialis postérieur • Pilule contraceptive. • PIP Dig III à G (dominant) : Contracture de la plaque palmaire PIP post-traumatisme du 14.09.2019 • Piperacillin Tazobactam du 28.12.2019 au 09.01.2020 Meropenem dès le 09.01.2020 Fluconazole prophylactique dès le 10.01.2020 Ventilation non invasive intermittente le 10.01.2020 Intubation oro-trachéale (CK1, Dr. X) et ventilation mécanique le 10.01.2020 Bronchoscopie le 10.01.2020 (Dr. X) Consilium ORL le 11.01.2020 Physiothérapie respiratoire CT abdominal du 08.01.2020 Avis infectiologique (Dresse X) Avis ORL le 11.01.2020 Test déglutition par physiothérapeutes le 11.01.2020 : pas de trouble de la déglutition • Pipéracilline/tazobactam du 24.12 au 31.12.2019 • Pipéracilline-Tazobactam intraveineux dès le 28.12.2019 au 02.01.2020 Fluconazole intraveineux du 28.12.2019 au 02.01.2020 Rocéphine et Metronidazole intraveineux du 02.01.2020 au 06.01.2020 Ciprofloxacine et Metronidazole per os du 06.01.2020 au 13.01.2020 Laparoscopie exploratrice avec évacuation hématome hypochondre gauche le 28.12.2019 (Dr. X) • Pique hypertensive à 190/119 aux urgences (dans plusieurs reprises) dans un contexte de vertiges. • Piqûre d'insecte • Piqûres de tique le 08.06.2014 • Piqûres d'insecte au front. • Piqûres d'insecte au niveau du visage. Pister bactériologie, adapter antibiothérapie Réfection du pansement par les orthopédistes le 26.01.2020 Discuter avec les orthopédistes le 26.01 de la reprise du Xarelto (pour FA) Pister laboratoire pré-opératoire Contacter le Dr. X pour discuter de la suite de la prise en charge concernant le canal lombaire et cervical étroit. Réévaluer la reprise de l'Aspirine cardio Pister laboratoire 12.01 Réévaluer si nécessité CT abdominal. • Réévaluer si nécessité d'une radiographie de thorax à l'étage (minimes râles crépitants basaux droite) • Pister les résultats de polycythémie vera et dosage érythropoïétine • Pister les résultats du Holter de 24h • Chimiothérapie suspendue, à reprendre dès que possible • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • HbA1c tous les 3-6 mois chez le médecin traitant • Aptitude à la conduite à réévaluer • Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois (patient sera convoqué) • Pister les résultats du Holter de 72h et pose d'un Reveal si résultat négatif • Pister les anticorps anti-phospholipides • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Pas de conduite jusqu'à la prochaine évaluation neuropsychologique • Consultation neurovasculaire de contrôle le 16.04.2020 • Consultation de suivi neuropsychologie à 1 mois (patient sera convoqué) • Polysomnographie à 3 mois (patient sera convoqué) • Dépistage annuel du diabète • Pister les résultats du Holter de 72h • Pister les résultats de l'électrophorèse des protéines • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Consultation neurovasculaire de contrôle le 07.05.2020 à 14h30 • Pister les résultats du Holter de 72h. • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). • Pas de conduite, à réévaluer. • Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois chez le Dr. X (patient sera convoqué). • Adaptation des diurétiques. • Résultats de l'électrophorèse des protéines à pister. • IRM cardiaque à organiser en ambulatoire. • Adresser le patient à la consultation du Dr. X après l'hospitalisation. • Formule sanguine et B12 à contrôler à distance +/- poursuite du bilan. • Consultation en pneumologie à 3 mois (patient sera convoqué). • Suivi clinique de la dyspepsie suite à introduction de Pantozol. • Pister les résultats du Holter de 72h. • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). • Pas de conduite. • Consultation neurovasculaire de contrôle à prévoir selon évolution à l'HFR Meyriez. • Pister les résultats du Holter de 72h • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Bilan de thrombophilie et anticorps antiphospholipides le 10.01.2020: à pister • Pas de conduite pendant 2 semaines • Consultation neurovasculaire de contrôle à effectuer en Corée • Indication à une fermeture (endovasculaire ou chirurgicale) à effectuer en Corée • Pister les résultats du Holter de 72h • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Bilan des complications liées au diabète à faire en ambulatoire (fond d'œil, dépistage de la néphropathie diabétique par rapport à microalbuminurie/créatininurie, podologie) • Adaptation de l'alimentation entérale • Adaptation de l'insulinothérapie et éducation thérapeutique • Traitement de Mycostatine à réévaluer selon évolution • Conduite à réévaluer • Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois chez le Dr. X avec examen neurosonologique • Pister les résultats du Holter de 72h • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Conduite à réévaluer • Pose de GPR/PEG à réévaluer selon l'évolution • Dépistage annuel du diabète chez le médecin traitant • Contrôle ferritine à distance • US à prévoir selon évolution de l'hématome du membre supérieur • Pister les résultats du Holter de 72h • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Conduite contre-indiquée (patient et épouse informés le 31.12.2019) • Consultation neurovasculaire de contrôle le 12.03.2020 à 14h30 • IRM cardiaque de contrôle 1 mois après anticoagulation curative le 13.02.2020 • Consultation de suivi en cardiologie le 27.02.2020 • PCI de l'IVA le 13.01.2020 selon évolution de la fonction rénale + suivi de la fonction rénale • Durée de la double anti-agrégation et anticoagulation à définir avec les cardiologues (maximum 3 mois) • Pister les biopsies et éradication d'H. Pylori en cas de positivité • Rediscuter l'endosonographie après les résultats de la biopsie +/- revoir les images avec radiologue • Colonoscopie à prévoir en ambulatoire • Suivi ophtalmologique dans 3-4 mois pour champs visuels et suivi de la suspicion de glaucome • Suivi des glycémies et reprise des ADO dès que possible • Pister les résultats du Holter de 72h • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois chez la Dr. X (patient sera convoqué) • Consultation de neuropsychologie à 4-6 semaines (patient sera convoqué) • Pas de conduite ni de reprise professionnelle jusqu'au prochain contrôle neuropsychologique • Bilan hématologique (anticorps anti-phospholipides, anti-cardiolipines, beta-2-glyco protéine, homocystéine) à pister • Si pathologique, à répéter à distance après 6 semaines pour confirmation • US thyroïdien +/- biopsie à l'aiguille fine le 10.02.2020 à 15h30 en endocrinologie • Contrôle des douleurs articulaires chez le médecin traitant et rhumatologue • Pister les résultats du Holter de 72h • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Pas de conduite pendant 2 semaines • Consultation neurovasculaire de contrôle le 6.05.2020 à 14h30 • Pister les résultats du Holter de 72h • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Pas de conduite pendant 2 semaines • Consultation neurovasculaire de contrôle le 1.04.2020 à 11h chez la Dr. X • Pister les résultats du Holter de 72h • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Conduite contre-indiquée, à réévaluer à Meyriez • Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois (patiente sera convoquée) • Reprise Lisinopril et Hydrochlorothiazide à réévaluer • Reprise Vimovo à réévaluerSuivi Hémoglobine +/- bilan anémie • Pister les résultats du Holter de 72h • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80mmHg. • Pas de conduite pendant _________ • Consultation neurovasculaire de contrôle le ________ • Reprise Lisinopril et Hydrochlorothiazide à réévaluer • Reprise Vimovo à réévaluer • Suivi Hémoglobine +/- bilan anémie • Pister moral • Pister labo 12.01 • Pister évolution de l'infection urinaire • Pister protocole opératoire de la thoracoscopie • Rediscuter du traitement de Prednisone 1mg/kg pendant 10 jours si persistance de la dysphonie avec les néphrologues. • Pister résultats des analyses • Pister résultats des antigènes urinaires. • Pister spot urinaire et adaptation de l'hydratation • Pister symptômes de sevrage d'alcool, cannabis, autres médicaments ?. • Projet: aller à La Métairie (séjour en 2017 et 2018). • PL : 500 éléments, selon infectiologue, PL traumatique ne parlant pas pour une méningite bactérienne • Radiographie du thorax • Consilium infectiologique (Dr. X) • CT scan des sinus le 08.01.2020 • Traitement • Ceftriaxone 2 g i.v du 07.01 au 13.01.2020 • Aciclovir 550 mg iv 3x/j du 07.01 au 08.01.2020 • PL : désinfection 3x avec chlorexidine, champage, AL avec lidocaïne 1%; ponction avec aiguille Pencil point par Dr. X; écoulement de liquide séro-sanguin sans reflux suffisant. Retrait de l'aiguille. Ponction avec aiguille Pencil point par Dr. X, pas de reflux de LCR • Appel garde anesth Dr. X : ponction lombaire, récolte de 5 tubes • LCR : pas d'anomalie de la chimie -> pas de Gram en urgence. • Labo : syndrome inflammatoire • Urines : pas d'infection urinaire • Frottis grippe : à pister • Attitude : isolement respiratoire, hospitalisation à Meyriez (refus d'hospitalisation par Mr. Y) • Placement à des fins d'assistance (PAFA) • Charbon actif • Hydratation • Placement au foyer Bonnefontaines (précédemment Transit): • St/p négligence, maltraitance physique et psychique, abus sexuel • Placenta envoyé • Placenta envoyé en pathologie • Placenta marginal mesuré à 1.3 cm de l'orifice interne • Placenta postérieur bas inséré à 17 mm de l'OI. • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • plaie • plaie • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie. • plaie • Plaie < 1 cm au niveau de la tête de 4-ème métacarpe région palmaire main G. • Plaie < 1 cm paume de la main G • Plaie abdominale accidentelle. • Plaie abdominale par couteau superficielle. • Plaie abdominale superficielle et accidentelle au cutter, dans un contexte de confusion aiguë. • DD : malaise vagal ? Trouble fonctionnel ? • Plaie aile du nez gauche + vestibule gauche + cloison nasale avec cartilage apparent le 07.07.2015. • Plaie arcade droite 5cm longitudinale, 0.5cm de profondeur • Plaie arcade sourcilière D • Plaie arcade sourcilière droite. • Plaie arcade sourcilière droite < 1 cm. • Plaie arcade sourcilière droite < 1 cm. • Plaie arcade sourcilière gauche. • Plaie arcade sourcilière gauche • Plaie arcade sourcilière latérale gauche d'environ 5mm de longueur • Plaie arciforme de 2 cm du scalp le 25.01.2020. • Plaie au menton • Plaie au niveau de face palmaire de la main gauche du 22.01.2020. • Plaie au niveau de la fesse : propre, sans écoulement actif, hématome important, croûte en place, pas de signe inflammatoire. • Plaie au niveau de l'articulation du genou gauche : persistance d'un écoulement séreux, plaie pas encore fermée, pas de signe inflammatoire, rinçage à l'aiguille boutonnée, rinçage propre. Plaie d'environ 1 cm x 0,5 x 0,3. • Le patient dit avoir des cauchemars suite à l'accident. Nous proposons un suivi psychologique à organiser par le médecin traitant. • Mise en place d'une attelle Jeans pour immobilisation de la plaie au niveau du genou jusqu'à fermeture de la plaie. • Contrôle clinique secteur ambulatoire des urgences à 48h. • Plaie au niveau de la malléole interne droite. • Plaie au niveau de la pommette gauche. • Plaie au niveau de la pulpe du 2ème doigt de la main gauche le 28.12.2019 • Plaie au niveau de la région dorsale de la première phalange du 5ème doigt droit le 27.01.2020. • Plaie au niveau de la surface dorsale du pied droit. • Plaie au niveau du doigt 1-2-3 de la main droite sur morsure de chien datant du 30.12.19. • Plaie au niveau du front de 1.5 cm • Plaie au niveau du majeur de la main droite. • Plaie au niveau du pied gauche • Plaie au niveau du processus frontal de l'os zygomatique gauche d'environ 3 cm, hématome sous-galéal temporal gauche. • Plaie au niveau du sourcil gauche. • Plaie au niveau du visage • 2 cm joue gauche • 1 cm arcade gauche • Plaie au niveau malléolaire interne de la cheville droite suite à une chute en scooter le 31.12.2019. • plaie au tibia droit • Plaie avant bras gauche sub-aiguë sur chute anamnestique le 05.01.2020 • Plaie avant-bras distal face dorsale gauche de 5cm. • Tétanos à jour (il y a deux semaines). • Plaie avec écoulement purulent modéré, remplacement de mèche, prochain contrôle à 48h chez nous. • Plaie avec perte de l'épiderme et du derme du majeur gauche. • Plaie avec perte de substance pouce droit. • Mycose péri-anale et du sillon interfessier surinfectée. • Plaie calme. Nettoyage, désinfection, pansement. • Poursuite antibiotique jusqu'au 02.02.20. • Ablation des fils entre J7 et J10. • Plaie calme, pas de plainte. Retrait des points dans 3 jours aux ambulatoires des urgences. • Plaie chronique malléole externe gauche avec : • Status après transplantation de peau selon Tiersch • Artériopathie importante connue • Plaie chronique membre inférieur droit. • sur déhiscence de plaie avec prélèvement de la veine saphène droite pour pontage coronarien en novembre 2019. • Plaie circulaire peu profonde sous le sein G • Plaie complexe de la main gauche avec : • Section complète extenseur D3, suspicion de lésion de l'extenseur de D4 • Suspicion de lésions nerveuses, vasculaires et tendineuses fléchisseurs. • Fractures Gustilo 3 (probablement C) : • Fracture comminutive déplacée de P1D3 • Fracture plurifragmentaire déplacée de P1D4 • Antalgie par Paracétamol 1g IV, Fentanyl 100mcg IV, Morphine IV titrée jusqu'à 7 mg • Co-Amoxicilline 2.2g IV aux urgences. • Rappel tétanos • RX Main G • Labo : Hb 147, GB 10.2, Creat 70, INR 1, PTT 26 • Transfert au CHUV pour suite de prise en charge • Plaie contondante. • Plaie contondante de la face dorsale de la main gauche le 18.01.2020. • Plaie contondante dig I et II à gauche le 31.12.2019, avec • perte de substance phalange distale dig I gauche • 3 PDS dig II gauche • Plaie contondante face dorsale main gauche le 18.01.2020. • Plaie contondante superficielle coude droit le 11.01.2020.Plaie contondante superficielle main droite, le 03.01.2020. Plaie contuse de la lèvre inférieure droite. Plaie coude gauche le 29.01.2020. Plaie cuir chevelu avec 3 points de suture au prolène 5-0. Ablation des fils à 7 jours. Patient invité à reconsulter en cas de péjoration clinique. Plaie cuir chevelu occiput D de 0.7mm Plaie cutané au dos de la main gauche. Plaie cutanée Dig I main droite dominante le 13.01.2020 Plaie cutanée du thénar D main dominante le 23.12.2019 Plaie cutanée en regard de la malléole externe droite, le 25.12.2019. Plaie cutanée et sous-cutanée de 2 cm en V du thénar gauche adominant. Plaie dans la face intérieure de la lèvre supérieure à gauche. Plaie de la clavicule gauche. Plaie de la face dorsale de l'hallux droit avec section à 80 % du flexor hallucis longus. Plaie de la jambe gauche, face antérieure du tibia. Plaie de la main droite. Plaie de la main gauche. Plaie de la pulpe de l'index droit avec plaie au niveau du lit de l'ongle et arrachement de la partie distale de l'ongle du côté radial. Plaie de la pulpe du D3 de la main gauche le 08.01.20. Plaie de la pulpe du pouce droit au niveau palmo-ulnaire de 1.5 cm le 22.01.2020 : • avec petite arrachement partiel de l'angle interne de l'ongle et plaie de 3 mm du lit de l'ongle. • suspicion de fracture de la phalange distale. Plaie de l'arcade droite de 5 cm longitudinale, 0.5 cm de profondeur le 08.01.2020 Plaie de l'arcade sourcilière à droite. Plaie de l'arcade sourcilière droite de 1.5 cm de long superficielle le 24.06.2019. Plaie de l'arcade sourcilière gauche le 15.01.2020. Plaie de l'avant-bras gauche, le 24.01.2020. Plaie de l'index à droite Plaie de l'index gauche. Plaie de l'oreille droite. Plaie de l'oreille gauche en regard de l'anthélix sans trouble auditif. Plaie de P1D2 par écrasement, avec : • Plaie de 3 cm, avec tendon extenseur exposé, en face dorsale de P1. • Plaie 2 cm, avec gaine des fléchisseurs intacte, en face palmaire de P1. Plaie de P3 D5 à gauche avec fracture de la houppe. Plaie de quelques mm, saignante, au niveau du palais et de la base des incisives supérieures. Plaie de 0.5 cm au niveau de la pulpe du D2 de la main droite. Plaie de 0.5 cm en regard de la face interne de la cuisse gauche. Plaie de 0.5 cm au niveau du front à droite. Plaie de 0.5 cm en regard de la face unlaire de P1 D5 de la main gauche suite à une morsure de chien. Plaie de 0.7 mm en regard de l'éminence thénar gauche. Plaie de 1 cm à la base de l'index de la main droite face palmaire. Plaie de 1 cm en projection sur MTP V main D 1 cm. Plaie de 1 cm de long et 4 cm de profondeur à la face antéro-interne de la cuisse droite à 5 cm au-dessus du genou droit le 13.06.2014. Plaie de 1.5 cm au niveau de la main gauche en regard de l'éminence thénar le 13.01.2020. Plaie de 1.5 cm au niveau de l'arcade sourcilière gauche. Plaie de 1.5 cm de longueur à l'arcade sourcilière gauche. Plaie de 1.5 cm de longueur au niveau de la surface palmaire 2ème phalange index gauche suite à morsure de chien. Plaie de 1.5 cm rectiligne sous l'arcade sourcilière gauche. Plaie de 2 cm au niveau de l'éminence thénar droit. Plaie de 2 cm à l'extrémité distale du 3ème doigt de la main gauche le 06.01.2020. Plaie de 2 cm au niveau du tiers distal de la face médiale de la cuisse gauche le 27.01.2012. Rappel TETANOS fait. Lésion sous-cutanée nodulaire de l'arcade sourcilière droite. Exérèse de la lésion sous-cutanée de l'arcade sourcilière droite. Plaie de 2 cm en regard de l'articulation métacarpo-phalangienne I de la main gauche. Plaie de 2 cm menton collée. Plaie de 2 cm sur l'arcade sourcilière gauche le 10.12.2015. Plaie de 3 cm bord latéral de l'éminence thénar main droite. Plaie de 3 cm de l'arcade sourcilière gauche. Plaie de 3 cm de longueur en U au niveau de la pulpe de P2D1 gauche. Plaie de 4 cm au niveau du menton du 21.01.2020. Plaie de 4 cm en regard de l'éminence du thénar gauche. • Tétanos à jour (<10 ans). Plaie de 4 cm arcade sourcilière droite suturée. Plaie de 4.5 cm sur l'avant-bras gauche sur face interne, tiers proximal. Suspicion de corps étranger de l'œil droit en 2014. Plaie de 6 cm linéaire sur la face antérieure de la jambe gauche avec décollement partiel du périoste. Plaie de 6 cm transversale au niveau de la face dorsale du bras gauche. Plaie incise et superficielle de 2 cm sur la face dorsale de la base du doigt 2. Plaie de 7 mm au menton le 01.01.2020. Plaie de 8 mm sur la face ventrale proximal de l'avant-bras droit. Plaie de 9 cm du métatarse et Dig IV du pied droit, profonde, sans atteinte du tendon fléchisseur le 29.12.2019. Plaie délabrée du membre inférieur droit le 17.10.2019 compliquée par un hématome sous-cutané. Plaie d'environ 1 cm face dorsale gros orteil gauche. Opération hanche droite en mai 2017 : labrum et tête du fémur. Plaie d'environ 1.5 cm du doigt 1 de la main droite. Lombalgie. Plaie dermique superficielle de 2 cm de longueur au front. Plaie distale du nez avec lambeau de 1x1x1 cm avec bord latéral droit attaché. Traumatisme avec pied de biche au travail. Plaie du coude gauche. Plaie du front. Plaie du genou droit. Plaie du majeur à gauche. Plaie du majeur droit avec lésion de l'ongle du 27.12.2019. Plaie du membre inférieur gauche. Plaie du menton d'environ 2 cm. Plaie du menton 2 cm. Plaie du menton 4 cm. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce droit le 28.01.2020. Plaie du pouce gauche. Plaie du scalp. Plaie du thénar gauche. Plaie du troisième doigt de la main gauche. Plaie D2 main gauche en octobre 2013. Luxation traumatique de l'épaule gauche, 1er épisode le 29.06.2016 avec Bankart osseux. AS épaule gauche, refixation arthroscopique d'un Bankart osseux (OP le 28.07.2016). Plaie D3 main gauche. Plaie D3 main gauche par écrasement avec • plaie de 3 cm avec tendon extenseur exposé face dorsale P2 • plaie de 2 cm, avec gaine fléchisseur intacte, face palmaire P1 • tuméfaction face dorsale et palmaire P3 Plaie D3 main gauche par écrasement le 09.01.2020. • face dorsale P2 plaie de 3 cm avec tendon extenseur exposé. • face palmaire P1 plaie de 2 cm, gaine fléchisseur intacte. Plaie en bonne voie de guérison, pas d'arguments pour surinfection de l'os. Plaie en étoile au dos du nez. Plaie en région sous-mentonnière de 2 cm. Plaie en V D1 main gauche avec hyposensibilité du lambeau. Plaie en V du thénar de la main droite. Plaie entre sourcils. Plaie face dorsale avant-bras droit. Plaie face dorsale du pouce gauche. Plaie face dorsale du 2ème orteil, pied droit le 26.12.2019 • chez Mr. Y diabétique. Plaie face dorsale hallux pied droit avec section à 80% du flexor hallucis longus (rapport du 24.12.2019 manquant). Plaie face palmaire P1 D2 le 29.01.2020. Plaie faciale. Plaie frontale du 13.01.2020. Plaie frontale. Plaie frontale à droite suturée. Plaie frontale de l'os zygomatique gauche suite à un traumatisme. Plaie frontale de 3 cm sur chute mécanique du 25.01.2020. Plaie frontale droite. Plaie frontale droite de 1,5 cm de diamètre. Plaie frontale et du sourcil droit suturée. Plaie frontale gauche d'environ 3 cm de longueur et 2 cm de largeur, superficielle. Plaie frontale superficielle à droite de 1 cm le 02.01.2020. Plaie frontale supérieure gauche de 6 cm, le 25.01.2020. Plaie fronto-pariétale gauche et contusion faciale multiple sur perte d'équilibre dans un contexte de vertiges chroniques: Traumatisme crânien sans perte de connaissance. CT-Scan cérébro-cervical: Pas de fracture, pas d'hémorragie, petite calcification postérieurement au processus épineux de C7 et hématome sous-galéal frontal gauche. Contusion rotulienne à gauche. DD: boursite traumatique. Radiographie: genou gauche et droit: pas de fracture. Vertiges de type tangage chronique depuis 3-4 ans. DD: VPPM, maladie de Ménière. Plaie fronto-temporale gauche de 7 x 3 cm, le 25.12.19. Plaie genou droit. Plaie gros orteil gauche. Plaie hypothénar main droite. Plaie interdigitale D3-D4 pied gauche. Plaie IPP D3 main gauche le 03.01.20, avec: • Pas d'atteinte articulaire. • Pas de lésion nerveuse visualisée. • Lésion de la gaine du tendon fléchisseur. Plaie jambe droite. Plaie labiale D guérie. Plaie laparotomie médiane pour un statut post-hémicolectomie droite par laparotomie avec CME en raison d'un adénocarcinome du côlon transverse droit en mai 2019. Plaie latérale paume main gauche accidentelle (couteau de cuisine) le 29.10.2016. Plaie lèvre. Plaie lèvre G. Plaie lèvre inférieure transfixiante. Plaie linéaire de 12 cm du tibia antérieur droit suturée. Plaie linéaire du menton. Plaie linéaire pouce D. Plaie linéaire 1 cm arcade sourcilière G. Plaie linéaire 4 cm frontale G. Plaie longitudinale 5 cm face latérale externe distale jambe droite le 22.12.2019. Plaie main D. Plaie main droite. Plaie main gauche. Plaie médiane au niveau de la pulpe P2 D1 main droite. Plaie membre inférieur droit. Plaie membre inférieur gauche. Plaie membre supérieur gauche. Plaie menton. Plaie MID. Plaie muqueuse buccale joue G. Plaie musculo-cutanée en face antérieure de la cuisse droite, révision opératoire le 04.01.2013. Opération méniscale du genou droit. Hématome gastrocnémien gauche, traumatique, le 23.06.2014. Status post correction d'une hernie hiatale en 2001. Colique néphrétique 19.05.2019: • CT abdominal: multiple calculs rénaux avec urolithiase droit et gauche. Plaie nécrosée tibia antérieur gauche le 15.01.2020 avec: • dermohypodermite le 24.12.2019, hospitalisé jusqu'au 31.12.2019, sous Ciproxine jusqu'au 4.1.2020. • soins de plaies à domicile aux 2-3 jours. Plaie nez. Plaie occipitale. Plaie occipitale G de 2.5 cm sur Dg principal le 05.01.2020. Plaie occipitale gauche de 2.5 cm secondaire à la chute du 05.01.2020. Plaie oreille G à la face inférieure du pavillon et une à la proximité du tragus. Fracture 1er phalange pouce D. Traumatisme crânien simple. Sp angioplastie avec pose de stent pour occlusion artérielle chronique membre inférieur droit. Plaie ouverte au menton de 1 cm. Plaie palmaire de 1.5 cm au niveau de l'IPP du 4ème doigt main droite le 30.01.20. Plaie palmaire main gauche. Plaie par déchirure du mollet gauche côté médial le 07.05.2013, avec suture par 3 points avec Prolène 5.0 le 07.05.2013. Plaie par écrasement D1 main droite avec arrachement de l'ongle le 18.03.2019. Plaie par morsure/griffure de chien de 2 cm non transfixiante sous la lèvre inférieure à gauche avec fermeture primaire. Plaie pénétrante de la fesse gauche, de 2 cm, le 18.01.2020. Plaie péri-orbitale gauche de 1.5 cm sur syncope le 13.01.2020. Plaie peu profonde palmaire en regard de la 1ère phalange du 5e doigt de la main G. Status post Plaie 2 cm x 2 cm sur phlyctène en regard du pied gauche, le 18.10.2018. Plaie post-laparotomie calme le 25.01.2020 avec: • un épisode d'écoulement séro-sanguinolant au domicile de Mme. Y le 25.01.2020. Plaie post-laparotomie suintante depuis le 25.01.2020 avec: • écoulement séro-sanguinolant au domicile de Mme. Y. Plaie pré-tibiale gauche. Plaie profonde. Plaie profonde à la base du pouce et du dig II à droite. Plaie profonde au niveau de la face dorsale de la main droite avec lacération musculaire, sans atteinte tendineuse. Plaie profonde au niveau de la lèvre supérieure droite en Y. Plaie profonde au niveau de l'ongle du doigt III D avec ablation de l'ongle et mise à l'air de l'os de la phalange distale en 2011. Plaie profonde au niveau tibial (tiers inférieur) D en juin 2015. Opération de la cataracte. Hyponatrémie hypoosmolaire le 14.10.2016. Plaie profonde au niveau tibial (tiers inférieur) D en juin 2015. Opération de la cataracte. Hyponatrémie hypoosmolaire le 14.10.2016. Suspicion AIT le 26.10.2016 au réveil le matin (dysarthrie avec perte de force dans le bras droit, parésie faciale droite ayant duré 15 min) avec introduction aspirine 100 mg/j. Réaction émotionnelle à un facteur de stress important (hospitalisation et perte d'autonomie chez une personne très indépendante) - F43.8 en 2016. Plaie profonde avant-bras à G, face radio-palmaire, avec lésion superficielle longitudinale du fascia, le 15.01.2020. Plaie profonde but du pouce gauche (environ 1 cm de longueur, 2 mm profondeur maximale). Plaie profonde de la cuisse droite (face latérale) le 02.08.2018. Plaques pleurales postéro-basales à gauche (cf. histologie) avec : • PET-Scan en avril 2012 : légère augmentation de la captation pleurale gauche antéro-latérale (SUV à 3). • Status post-thoracoscopie convertie en mini-thoracotomie gauche avec biopsie pleurale en juillet 2009. • Thoracotomie avec costotomie de la 4ème côte, adhésiolyse, biopsie pleurale, biopsie du ganglion scissural, résection Wedge du lobe supérieur gauche à cheval sur les segments lingulaire et culminal (par le Prof. X) le 26.07.2012. Status post-cure de hernie inguinale gauche en 2005. Status post-cure de hernie discale en 2004. Plaie profonde de la région frontale droite. Plaie profonde de l'avant-bras G, face palmaire, à la jonction 1/3 proximal 1/3 moyen, avec atteinte partielle du muscle flexor carpi ulnaris, le 16.03.2019. Plaie profonde de l'avant-bras gauche le 15.01.19. Plaie profonde de l'extrémité des doigts II III IV et V main gauche. Plaie profonde de 1.5 cm au niveau de la face dorsale de la main droite (en regard de M5), le 13.01.2020 avec lacération musculaire, exposition du tendon extenseur sans atteinte. Plaie profonde du talon droit le 13.11.2018. Plaie profonde du 5ème doigt de la main droite. Plaie profonde D3 et 4 main gauche le 11.03.2017 avec : • section oblique du tendon extenseur P2 D3. • arthrotomie IPD D4 et section partielle du tendon extenseur D4 en regard de l'IPD. Suture du tendon extenseur D3 et D4, lavage IPD D4, main gauche (OP le 11.03.2017). Status post-fracture de la tête du 5ème métacarpien de la main gauche le 22.10.2017. Suspicion de fracture du scaphoïde main droite. Plaie profonde en étoile de la face palmaire de la main gauche au niveau de la tête de MCP 5, le 13.01.2020, avec lésion de la branche digitale du nerf palmo-radial. Plaie profonde en regard de la face palmaire de la main droite au niveau du 5ème rayon avec : • lésion musculaire du muscle court fléchisseur et adducteur du petit doigt. • probable lésion de la branche ulnaire du nerf collatéral du 5ème doigt. Plaie profonde face palmaire IPP Dig II main G avec lésion du nerf collatéral radial et lésion partielle de la capsule articulaire, le 23.11.2018. Epanchement pleural bilatéral d'origine indéterminée avec : • DD : auto-immune, parapneumonique, spondylarthrite ankylosante, paranéoplasique. • CT du 12.11.2019 : volumineux épanchement pleural gauche cloisonné, avec faible rehaussement pleural antérieur, et associé à des atélectasies du parenchyme pulmonaire au contact. • cytologie pleurale du 14.11.2019 : amas dense de lymphocytes matures. Absence de BAAR. Quelques granulocytes neutrophiles, et rares granulocytes éosinophiles. Quelques cellules mésothéliales d'aspect réactif. • histologie pleurale du 28.11.2019 : poussée exsudative fibrinoleucocytaire d'une pleurite chronique lymphofolliculaire jusqu'à sévère de la plèvre pariétale (biopsie, plèvre pariétale). Sur ce matériel, pas de nécrose, pas de granulome, pas de tissu dysplasique, pas de tissu néoplasique malin mis en évidence. Hyper-éosinophilie d'origine indéterminée le 14.11.2019. • DD : syndrome d'hyperéosinophilie idiopathique, infection parasitaire, néoplasie, idiopathique. Probable néphropathie débutante d'origine diabétique avec : • protéinurie et albuminurie (37%). Gastrite infectieuse à H. pylori. Plaie profonde, face palmaire P3 du pouce gauche (environ 1 cm de longueur sur 2 mm de profondeur maximale). Plaie profonde interdigitale II-III main D avec lésion complète du ligament inter-métacarpien, arrachement plaque palmaire Dig II et lésion complète artère digitale ; le 16.03.2018. Exploration plaie interdigitale II-III main D avec refixation ligament inter-métacarpien, suture plaque palmaire Dig II, suture artère digitale (OP le 17.03.2018). Contusion épaule G le 16.03.2018. Plaie profonde main droite. Plaie profonde main gauche du 28.11.2019 en hauteur du pli fléchisseur distal avec : • lésion 5% N. digitopalmaire ulnaire Dig IV. • lésion 100% N. digitopalmaire radiale et ulnaire Dig V. • lésion 90% FDS IV zone 3. • lésion 100% FDS + FDP V zone 3. • lésion 70% A. interdigitale IV/V. • lésion 100% A. digitopalmaire ulnaire Dig V. Plaie profonde occipitale G en croissant de lune de 6 cm de longueur. Plaie profonde PD 4D main G le 12.12.205. Plaie profonde phalange distale D2 main gauche. Plaie profonde pouce G région de la pulpe phalange distale (23.02.2016). Nodule de 10 mm en arrière du lobe thyroïdien droit, suivi. NSTEMI d'origine embolique asymptomatique le 12.12.16. Fibrillation auriculaire paroxystique de datation inconnue, anticoagulation thérapeutique par Xarelto 20 mg puis contrôle du rythme par cordarone. Thromboses artérielles multiples probablement d'origine cardio-embolique sur fibrillation auriculaire paroxystique le 12.12.2016 avec : • Sténose résiduelle de l'artère iliaque commune droite sur embole recanalisé (DD dissection). • Thrombus artère iliaque interne droite. • Thrombus partiellement occlusif au niveau de l'artère poplitée et au tronc tibio-poplité (TTP). • Nécrose pôle inférieur du rein G. • Thrombus flottant de 7 mm de diamètre dans la crosse de l'aorte. Plaie profonde rectiligne de 5 cm et 1.5 cm de profondeur en regard du calcanéum droit le 23.01.2020. Plaie profonde talon D le 13.11.2018. Plaie profonde 1/3 distal jambe G le 06.12.2019 avec : • section totale du tendon tibialis anterior. • section totale du tendon extensor digitorum longus. • section totale du nerf fibulaire superficiel. Plaie profonde 7 cm avant-bras ventral D dominant sur coupure de verre accidentelle le 19.01.2020. Plaie propre, pas d'écoulement actif. Pansement propre. Réfection du pansement, ablation de l'attelle. Dernière consultation le 24.01.2020 pour l'ablation des fils. Plaie propre, pas d'écoulement actif. Petite tache dans le pansement. Réfection du pansement. Port d'attelle pour 10 jours au total afin de protéger la plaie, puis début de mobilisation. Mme. Y vient en consultation aux urgences car son médecin traitant était inquiet pour la plaie et préfère un suivi chez nous. Elle reviendra en contrôle le 21.01.2020, puis pour l'ablation des fils le 24.01. Arrêt de travail jusqu'au 21.01 car port d'attelle l'empêchant de conduire. Plaie punctiforme chronique du 3ème orteil du pied gauche le 17.12.2019.• chez un patient diabétique avec pieds à haut risque • Plaie punctiforme chronique du 3ème orteil du pied gauche le 17.12.2019 • Plaie punctiforme profonde avec atteinte de la tête du 2ème métatarse pied droit. • Plaie punctiforme sur la surface palmaire de P3 D4 gauche • Plaie P1 D3 main G le 7.9.2016 • sans atteinte neuro-vasculaire/tendon • Plaie rétro-auriculaire. • Plaie sans nécessité de suture, mise en place d'un simple pansement. Examen rassurant sans aucune impotence fonctionnelle ne nécessitant pas d'imagerie actuellement. Attitude: Retour à domicile avec traitement antalgique Dafalgan/Irfen. Mr. Y et père informés des signes de gravité qui devraient motiver un contrôle chez le pédiatre la semaine prochaine pour évaluation d'une imagerie dans un second temps (douleurs persistantes, impotence fonctionnelle...) • Plaie semi-circulaire de 3 cm au niveau de la joue droite suturée • Plaie semi-profonde interdigitale D1-D2 main gauche, le 01.10.2019. • Plaie simple du 4ème doigt phalange distale de la main gauche. • Plaie sous l'arcade sourcilière gauche • Plaie sous-mandibulaire profonde et complexe (en lambeaux) de 10 x 10 cm. • Plaie sous-unguéal distale de 2 mm du D3 de la main gauche avec probable surinfection le 06.01.20. • Plaie superficielle. • Plaie superficielle. • Plaie superficielle. • Plaie superficielle à la pulpe du pouce et de l'index d'environ 2,5 cm. • Plaie superficielle arcade sourcilière gauche. • Plaie superficielle arête du nez. • Plaie superficielle au niveau de la face dorsale de la main gauche. • Plaie superficielle au niveau de la face dorsale de la phalange de l'index gauche le 02.08.2011. Opération cardiaque x dans l'enfance. Infection urinaire compliquée de prostatite aiguë. Hémorroïdes externes, symptomatiques. Entorse LLE distale gauche le 14.10.2018 • Plaie superficielle au niveau de la face radiale de P3 D5 à droite. • Plaie superficielle au niveau de la tempe gauche. Traumatisme costal gauche avec fracture des arcs moyens des côtes 7 et 9. • Plaie superficielle au niveau du dos de la base du pouce de la main gauche le 31.12.2019. • Plaie superficielle au niveau du menton • Plaie superficielle au niveau du pouce droit. • Plaie superficielle au niveau infra-labial. • Plaie superficielle au thénar gauche le 01.01.2020. • Plaie superficielle avec défaut de substance sur la face médiale du pouce droit sur 1 x 0.5 cm • Plaie superficielle compliquée de la joue droite • Plaie superficielle coude gauche le 04.01 • Plaie superficielle de la base de la 2ème phalange de la main gauche. • Plaie superficielle de la base de l'articulation de la première métacarpophalangienne du premier doigt de la main droite. Coupure superficielle au niveau de l'espace interdigital du 4ème et du 5ème doigt de la main droite également. • Plaie superficielle de la cheville gauche. • Plaie superficielle de la région glutéale gauche. • Plaie superficielle de la face dorsale de la main droite en regard de M4. • Plaie superficielle de la face dorsale du pouce droit. • Plaie superficielle de la face palmaire de P3D3 à gauche avec hémorragies sous-unguéales du même doigt et du pouce gauche. • Plaie superficielle de la face plantaire du 3ème orteil droit le 05.08.2015. Contusion du genou droit. • Plaie superficielle de la paupière droite. • Plaie superficielle de la 3ème phalange de l'index de la main gauche d'environ 1.5 cm (radial). • Plaie superficielle de l'aile du nez gauche • Plaie superficielle de l'arcade sourcilière gauche de 3 cm le 24/11/19. Parage de la plaie : Dr. X, désinfection locale, champtage, ALR par Lidocaïne 1%, pose de 3 points de suture 6/0 Prolène. Pas de complication post geste. • Plaie superficielle de l'avant-bras droit. • Plaie superficielle de l'ongle de l'index gauche le 29.01.2020. • Plaie superficielle de pulpe de la phalange distale de l'index droit. -pas de suture nécessaire. • Plaie superficielle de 0.5 cm au niveau de la pommette gauche. • Plaie superficielle de 0.5 cm de longueur au niveau de l'hélix de l'oreille droite ne nécessitant pas de suture. • Plaie superficielle de 0.5 cm de longueur avec des berges nettes au niveau de la pulpe distale du gros orteil à gauche • Plaie superficielle de 0.5 cm de longueur avec les berges nettes au niveau de la pulpe distale du 1er orteil droit ne nécessite pas de suture le 26.01.2020. • Plaie superficielle de 0.5 cm en regard de la surface palmaire au niveau de la phalange distale du D1 G. • Plaie superficielle de 1 cm au niveau occipital. • Plaie superficielle de 1 cm de diamètre au niveau du tibia moyen gauche suite à une chute d'un scooter le 31.12.2019. • Plaie superficielle de 1 cm de longueur au niveau de la surface dorsale du pied droit (projection de 3-4 métatarses droite). • Plaie superficielle de 1 cm sur la face palmaire de la deuxième phalange de l'index de la main gauche le 18.01.2020. • Plaie superficielle de 1 cm au niveau de la pulpe du pouce droit le 25.01.2020. • Plaie superficielle de 1.2 cm au niveau de la face cubitale du pouce gauche. • Plaie superficielle de 1.5 cm au niveau de l'index de la main D le 08.01.20. • Plaie superficielle de 1.5 cm sur la face latérale du pouce gauche. • Plaie superficielle de 2 cm au niveau du menton. • Plaie superficielle de 2 cm de long de l'avant-bras gauche. • Plaie superficielle de 2 cm palmaire gauche avec : -hématome en regard -début d'infection cutanée • Plaie superficielle de 2 cm sur la face palmaire de D2 de la main droite en regard de l'interphalangienne distale • Plaie superficielle de 2,5 cm de longueur au niveau de la face dorsale de la main droite (au milieu de 2-4 métacarpes). • Plaie superficielle de 2.5 cm face dorsale 2ème rayon en regard de la phalange moyenne de la main gauche le 22.01.20. • Plaie superficielle de 3 cm sur le dos de la main droite. • Plaie superficielle de 3 cm sur la pulpe du majeur à G. Désinfection et suture de 5 points. Retrait des fils dans 10 jours chez le médecin traitant. Contrôle clinique en filière 34 à 48 h pour évolution de l'hypoesthésie. • Plaie superficielle de 4 x 2 cm du thénar droit. • Plaie superficielle de 4 cm occipital droite sur chute de sa hauteur, 05.01.2020 - Suture à Tavel - Vaccin antitétanique à jour • Plaie superficielle d'environ 2 cm en regard de P2 pouce gauche le 05.10.2015. • Plaie superficielle Dig I main gauche le 25.12.2019. • Plaie superficielle Dig II main droite. • Plaie superficielle dorsale de la main gauche. • Plaie superficielle du crâne. • Plaie superficielle du doigt V de la main gauche le 07.01.2020. Plaie superficielle du menton d'une longueur de 1.5 cm. Plaie superficielle du pouce de la main gauche en regard de la phalange proximale, face palmaire. Plaie superficielle du pouce droit le 19.01.2020. Plaie superficielle du 3e rayon de la main gauche le 23.03.2105. Épisode d'épilepsie tonico-clonique le 25.03.2015. Plaie superficielle du 5ème doigt. Plaie superficielle du 5ème doigt de la main droite le 06.01.2020. Plaie superficielle du 5ème doigt main gauche le 11.01.20. Plaie superficielle D2 main droite le 22.12.2019. Plaie superficielle D5 main gauche. Plaie superficielle en arc de cercle de 1 cm au niveau de la pulpe du 2ème doigt de la main gauche, le 26.01.2020. Plaie superficielle en regard de la face dorsale de la 2ème phalange de l'index de la main droite le 09.01.2020. Plaie superficielle en regard de l'articulation inter-phalangienne proximale Dig 4 à droite. Plaie superficielle en région pariétale droite de 2 cm. Plaie superficielle face palmaire P1D1 gauche. Plaie superficielle face plantaire O3 pied droit le 05.08.2015. Contusion genou droit. Plaie superficielle front du 13.01.2020. Plaie superficielle frontale. Plaie superficielle fronto-pariétale droite le 22.01.2020. Plaie superficielle genou droit le 29.01.2020. Plaie superficielle index droit. Plaie superficielle index gauche sur écrasement, avec suspicion d'un petit arrachement osseux côté radial, base IPD, à distance de la plaie. Plaie superficielle infra-centimétrique sur la face interne de la lèvre supérieure en regard de l'incisive centrale droite (dent 51 selon dentition pédiatrique). Plaie superficielle infra-centimétrique sur la grande lèvre droite. Plaie superficielle interdigitale D1 et D2 main gauche le 29.01.2020. Plaie superficielle intra-buccale au niveau de la lèvre supérieure. Plaie superficielle main droite (26.05.17). Monoarthrite genou gauche d'origine indéterminée en octobre 2017. Nucalgies et douleur MSG d'origine musculo-squelettique. Sinusite virale le 22.10.2019. Plaie superficielle membre inférieur gauche. Plaie superficielle MID. Plaie superficielle non transfixiante de 0,5 cm de longueur au niveau infra-labial, ne nécessitant pas de suture. Plaie superficielle occipitale 2 x 1 x 0,5 cm le 01.01.2020. Plaie superficielle pied droit. Plaie superficielle propre de 12 mm à la pulpe de l'index gauche avec saignement moyen. Plaie superficielle P2 D2 main gauche le 16.10.2017. Plaie superficielle rectiligne de 0.5 cm sur la pulpe du 5ème doigt gauche, le 07.01.2020. Plaie superficielle rectiligne de 1 cm de longueur sur la face dorsale de la 2ème phalange du 1er doigt de la main gauche. Plaie superficielle rectiligne de 2.5 cm sous le sourcil gauche le 25.01.2020. Plaie superficielle rectiligne sur le rebord ulnaire de la 2ème phalange du pouce droit. Plaie superficielle sans atteinte des structures nobles IPD 3e rayon main D. Contusions multiples dans le cadre d'une chute dans les escaliers avec: • contusion genou G • contusion para-vertébrale D • contusion IPP 4e rayon main D. Plaie superficielle sans atteinte des structures nobles IPD 3ème rayon main droite. Contusions multiples dans le cadre d'une chute dans les escaliers avec: • contusion genou gauche • contusion para-vertébrale droite • contusion IPP 4ème rayon main droite. Plaie superficielle sous-mentonnière. Plaie superficielle sous-mentonnière de 3 cm de long. Plaie superficielle sur coupure avec verre cassé au niveau du poignet droit, sur le côté ulnaire et volet palmaire. Plaie superficielle sur la face dorsale de l'articulation interphalangienne proximale du 3ème doigt de la main gauche le 14.01.2020. Plaie superficielle sur le côté ulnaire de la pulpe du 3ème doigt de la main gauche faite avec une spatule métallique le 02.01.2020. Plaie superficielle 1 cm horizontale infrarotulienne G. Traumatisme abdominal simple le 03.03.2013. Plaie superficielle 1.5 cm sur le dos du pied droit le 20.01.2020. Plaie superficielle 2ème doigt de la main droite. Plaie superficielle 2ème doigt de la main droite le 20.01.2020. Plaie superficielle 4 cm occipital droite, 05.01.2020. • Suture à Tavel. Plaie superficielle. Suite gastro-entérite. Plaie sur l'articulation de l'interphangienne gauche de 1 cm. Plaie sur nécrose cutanée au niveau de la malléole externe cheville G. Status post réduction ouverte, fixation de la syndesmose par 2 Tight Rope cheville G le 03.10.2019 sur une fracture de Maisonneuve cheville à G le 21.09.2019 avec: • instabilité sur lésion associée du ligament deltoïde, de la syndesmose et de la membrane inter-osseuse • fracture du Volkmann tibia postérieur. Plaie suturée avec 5 points de Vicryl que nous enlevons ce jour. Antalgie et stop antibiothérapie. Plaie tibiale antérieure du 1/3 distale à G. Plaie transférase 4 cm de la face dorsale radiale de l'avant-bras droit (25.01.2020). • En regard de rétinaculum des extenseurs. Plaie transfixiante au niveau de la main gauche entre le premier et le 2ème métacarpe le 31.12.2019 avec un couteau à huître. Plaie transfixiante par mèche du 2ème doigt de la main gauche. Opération de l'œil gauche pour cataracte et glaucome. Thermoablation pour une arythmie. Plaie transperçant de l'ongle du deuxième doigt de la main droite. Plaie transverse de la face dorso-ulnaire de l'avant-bras distal droit avec section partielle du fléchisseur ulnaire du carpe à la jonction myotendineuse. Plaie transverse de 4 cm de la face dorsale radiale distale de l'avant-bras droit. Plaie transverse première commissure de la main gauche. Amputation Aellen 1 pouce gauche. Plaie traumatique linéaire de la jambe gauche avec débridement - Dr. X - en 2013. Appendicectomie en 2013. Ablation d'un kyste testiculaire en 1999. Ulcère gastrique anamnestique en 1998. Cure d'hernie discale en 1988. Pneumonie basale droite abcédante avec épanchement pleural droit, perturbation réactive des transaminases. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1. Candidose orale iatrogène. Pneumothorax droit post-pleurocentèse. Plaie vertex 7 cm, 20.01.2020. Plaie visage le 23.05.2011. Plaie 2 cm face latérale radiale de la phalange proximale de DII à droite. Plaies. Plaies chroniques des deux jambes d'origine multifactorielle. • Insuffisance artérielle et veineux des deux jambes. • Probable polyneuropathie périphérique. Plaies chroniques face dorsale main D en zone 6. Plaies chroniques 1er, 2ème et 3ème orteils du pied droit. Plaies de la main droite et avant-bras droit (face dorsale) et avant-bras gauche (face dorsale) avec hématome du coude gauche le 06.12.2019. Plaies des membres inférieurs.Plaies du cuir chevelu occipital de 6 cm et pariétal de 6 cm le 02.01.2020. Plaies en regard de la première commissure main droite le 19.12.2019 avec : • plaie d'environ 3 cm de longueur avec lésion du fascia musculaire et partiellement du ventre musculaire • une deuxième jusqu'au sous-cutané d'environ 1 cm de longueur. Plaies : frontale et nasale le 24.01.2020 avec : • sutures par médecin à domicile effectuées ce jour • saignement actif de l'extrémité droite de la plaie frontale à l'arrivée aux urgences. Plaies frontales de 4 cm de longueur. Plaies frontales droite et gauche avec saignement artériel. Plaies mains ddc sur morsure de chien. Révision de plaies main gauche. Plaies multiples • plaie pariétale droite et main droite. Plaies multiples • plaie pariétale droite et main droite Paresthésies hémi-céphaliques droite sur probable état anxieux le 3.2.2020 • Tachycardie sinusale sur probable état anxieux induit par THC le 01.01.2020 • Examen clinique • Evaluation psychiatrique : RAD avec suivi psychiatrique en ambulatoire • Major dépression index : dépression modérée • Pas d'examens complémentaires en raison d'une clinique normale et des investigations sans particularités aux dernières consultations. Plaies oreille gauche à la face inférieure du pavillon et à proximité du tragus. Fracture 1ère phalange pouce droit. Traumatisme crânien simple. Status post-angioplastie avec pose de stent pour occlusion artérielle chronique membre inférieur droit en 2019. Plaies profondes des faces dorsales des 3ème et 5ème articulations MCP de la main gauche en juin 2017 avec : • section complète du tendon extenseur en zone V, 3ème rayon. • arthrotomie traumatique de la 3ème articulation MCP. • section complète de l'appareil extenseur en zone V, 5ème rayon. Corps étranger en bois de l'avant-bras droit radio-dorsal en 2012. Hypotension intracrânienne d'origine indéterminée le 14.12.2017 sur probable brèche durale. • parésie de l'abducens gauche le 15.12.2017. IRM neurocrâne le 14.12.2017 : épaississement méningé diffus. • PL (Dr. X / Dr. X) : décubitus latéral G, 2 essais infructueux d'abord médian L3-L4 sans passage trouvé, pas d'écoulement de LCR ; 1 essai d'abord médian L4-L5 : LCR rosé (prob traumatique) Pression d'ouverture : 2,5 cm H2O, pas d'écoulement spontané du LCR avec nécessité de prendre les tubes en aspirant lentement 5 ml avec une seringue. Pas de complications, pas de décharges électriques ressenties. Anesthésie totale utilisée : 7 ml Lidocaïne. Altération LCR avec protéines à 1,05 g/l. Plaies superficielles avant-bras droit par veinosection du 30.01.2020. Plaies superficielles mollet gauche, en voie de cicatrisation, le 10.01.2020. Plaies sur morsure de chien le 15.06.2015 avec : • Fracture de la base Os Metacarpi 3 droite, • Sciatalgie D non déficitaire. Plaintes post-ménopausiques • sous Cimifemin. Plaintes urinaires. Planification familiale terminée. Planification pré-opératoire. Plaque athéromateuse ulcérée de l'aorte descendante. Plaque DSH en 2002 pour une fracture de la hanche gauche au Portugal. Cholécystectomie en 2004 pour cholécystite chronique lithiasique. Cure de cataracte droite en 2004. Diverticulose colique gauche en 2012. Hernie discale L3 gauche en mars 2012. Pancréatite aiguë d'origine indéterminée le 20.03.2012. Candidose œsophagienne le 29.05.2013. Gonalgie gauche invalidante dans le contexte de gonarthrose et d'un kyste de Baker. Tests de la cognition (MMS et test de l'horloge) et GDS : non réalisés, car Mr. Y ne parle que le portugais, a une hypoacousie importante et des troubles visuels. Hémoptysies le 28.11.2019 d'origine infectieuse dans le contexte d'un sepsis à pneumocoque avec : • condensation pulmonaire touchant les segments postéro-basal et latéro-basal du lobe inférieur gauche compatible avec un foyer infectieux, associée à une fine lame d'épanchement pleural en regard. Bulle de 6 cm de diamètre dans le lobe moyen, aspécifique (diagnostic différentiel : pneumatocèle ? Bulle d'emphysème isolée ? Kyste isolé ?) • dilatation du tronc pulmonaire et des artères pulmonaires, sans mise en évidence d'embolie pulmonaire. Plaques d'origine inconnue. DD : médicamenteuse. Plasmaphérèse le 07.01 (3 PFC + Albumine) et 08.01.2020 (3 PFC + Albumine) aux soins intensifs. Plasmaphérèse le 21.01.20 (3 PFC + Albumine) et 23.01.2020 (3 PFC + Albumine) aux soins intensifs. Plastie artérielle X membre inférieur par ballonet. Plastie du ligament croisé antérieur du genou droit selon Kenneth Jones et méniscectomie arthroscopique de la corne postérieure du ménisque externe en juillet 2013. Traumatisme crânien simple avec : • éthylisation aiguë à 3,27 pour mille. • contusion cervicale. Colique néphrétique gauche le 24.01.2016. Abcès péri-anal sillon interfessier droit le 03.12.2019. Plastie mammaire des deux côtés en 1992. Ablation des prothèses mammaires le 07.10.2014 sur ulcération dans le cadran inféro-médian du sein droit. Vertiges paroxystiques "mixtes" vestibulaires et non vestibulaires • VPPB DD hypotension DD psychogènes. • Exécution manoeuvres pour mettre en évidence VPPB : pas de déclenchement des vertiges, pas de nystagmus.Perturbations des tests hépatiques d'origine indéterminée, DD : médicamenteux, tumoral : • CT 31.10.2019 retrouve un épaississement circonférentiel rehaussant de l'infundibulum de la vésicule biliaire qui semble être sténosant (DD : adénomyomatose, inflammatoire, cicatriciel, tumoral). Syndrome de Tako-Tsubo le 24.10.2019 : pas d'indication à un beta-bloquant Troubles de l'adaptation, réaction anxieuse Plâtre AB durant 4 semaines. Retrait du plâtre dans 4 semaines chez le pédiatre. Arrêt de sport durant 8 semaines. Antalgie au besoin. Plâtre AB fendu. RX post-plâtre : léger déplacement de la fracture. Retour à domicile. Mme. Y a déjà un rendez-vous de contrôle orthopédique team membre supérieur (06.01.2020) pour discussion de l'intervention (09.01.2020). Conseil de reconsulter si nécessaire dans l'intervalle. Plâtre Antebrachial position neutre pour minimum 4 semaines Contrôle clinique et radiologique à 5 jours (le 17.01) Avis orthopédique en attente : rappel par Dr. X le 13.01 pour confirmer la prise en charge Pleur Pleurésie non tuberculeuse durant l'enfance Prostatectomie 2000 Opération de l'uvula 2003 Cure d'hernie inguinale Décompensation diabétique dans le cadre de la corticothérapie sur diabète connu non traité : • HbA1c à 8.4% le 08.06.2018, 6.7% en janvier 2018 OAP débutant le 29.03.2018 sur probable pic hypertensif Symptômes neurologiques polymorphes le 07.04.2018 Décompensation cardiaque globale NYHA III le 07.06.2018 Tabagisme ancien de 8 UPA Pleurésie tuberculeuse en 2006, traitée pendant 6 mois Pyrosis depuis 10 ans Pleurs Pleurs avec douleurs à l'œil droit Pleurs d'origine indéterminée sans signes de gravité Pleurs du nourrisson d'origine indéterminée sans signes de gravité Pleurs et hypotonie Pleurs et otalgie PleurX à pauser en ambulatoire en cas de récidive d'épanchement pleural droit symptomatique Sera convoqué pour un rendez-vous en oncologie pour discuter de la suite de la prise en charge Plica synovial médial symptomatique post-traumatisme du 10.05.2012. Chondropathie patellaire grade III post-traumatique du 10.05.2012. Plusieurs abcès dans le cadre de la maladie de Verneuil avec : • s/p multiples incisions au niveau sacro-coccygien. Tendinite tibiale postérieure le 11.04.2019. Plusieurs épisodes de bronchite spastique traités par Ventolin et Axotide, jamais hospitalisé. Plusieurs épisodes de céphalées en grappes avec gestion de la douleur difficile, chez une patiente connue pour céphalées en grappes et pour sclérose en plaques. • Patiente suivie en Valais en neurologie à Sion et par le centre de la douleur à Martigny (avec intervention prévue en janvier). Plusieurs épisodes de faux croup Plusieurs épisodes de sinusites. Amygdalectomie à 16 ans. Plusieurs épisodes de tachycardie ventriculaire non soutenues en post-opératoire en octobre 2019 Fibrillation auriculaire paroxystique post-opératoire Kyste hépatique Diverticulose Épanchement pleural bilatéral prédominant à gauche et atélectasie pulmonaire basale gauche le 22.10.2019 Plusieurs plaies de type arrachement de la peau au niveau de la surface dorsale de l'avant-bras gauche et du coude gauche. Plusieurs plaies superficielles en regard de la face dorsale de l'avant-bras gauche. extrémité distale PMA, grossesse sur FIV Pneumoniae débutante D DD grippe Pneumonie Pneumonie Pneumonie Pneumonie. Pneumonie. Pneumonie ( état fébrile et critère de Anthonissen 2/3 avec dégradation de dyspnée et de l'expectoration) • Insuffisance respiratoire • Acidose Pneumonie à foyers multiples. Pneumonie à germe atypique probable le 26.11.2019 : • avec alvéolite lymphocytaire d'origine probablement para-infectieuse associée • dans un contexte de pneumopathie sous-jacente (suspicion de BPCO) • hémocultures et antigènes urinaires (27.11.2019) : négatifs DD : • pneumopathie induite par l'immunothérapie non exclue (peu probable au vu de la chronologie des symptômes) • absence d'argument pour une atteinte tumorale pulmonaire Pneumonie à mycoplasme pneumoniae Pneumonie à PCP Pneumonie à Pneumocoque le 07.01.2020 : • avec état fébrile persistant malgré l'antibiothérapie jusqu'au 12.01.2020 • avec dyspnée persistante et apparition d'une toux sèche le 11.01.2020 ---- foyer basal droit d'origine infectieuse le plus probable Pneumonie à pneumocoques lobaire inférieure gauche le 17.01.2020 CURB-65 : 2 points FINE Score : 95 points Pneumonie à RSV avec suspicion de surinfection bactérienne basale gauche le 01.01.2020 Pneumonie acquise en communauté au décours • sous Co-Amoxicilline depuis le domicile Pneumonie acquise en communauté gauche le 11.01.2020 Pneumonie acquise sous ventilateur à E. Coli le 17.08.2019 : • bronchoscopie et LBA le 18.08.2019 : présence d'E. Coli • culture d'aspiration bronchique le 18.08.2019 : E. Coli et Acinetobacter baumanii • Pipéracilline-tazobactam du 17.08 au 21.08.2019, Rifampicine du 12.08 au 22.08.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 28.09.2019, DD : néphropathie associée au produit de contraste Mycose buccale 09.09.2019 Choc septique sur bactériémie soutenue à Staphylococcus aureus (MSSA) sur infection du PAC le 06.08.2019 avec : • ETO le 07.08.2019, 17.08.2019, 29.08.2019 : pas d'évidence d'endocardite • Ponction de l'épaule gauche le 10.08.2019 : culture négative Arthrite septique de la hanche gauche native à MSSA le 06.08.2019 avec ostéonécrose de la tête fémorale • 06.08.2019 : arthrotomie par voie antérieure hanche gauche, lavage • 10.08.2019 : résection tête et col fémoral, mise en place d'un Spacer StageOne armé à la Vancomycine et 1 cerclage Dall Miles 1.6, de la hanche gauche • 22.10.2019 Ablation de spacer, débridement étendu, changement de cerclage, lavage, implantation de PTH gauche (Prof. X) Phlegmon sous-cutané en regard de D12 le 13.08.2019 Colonisation urinaire à Pseudomonas aeruginosa le 06.09.2019 Bicytopénie d'origine mixte (anémie et leucopénie) • DD : chimiothérapie, sepsis, inflammation chronique Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 06.08.2019 Escarre sacrée stade II le 23.08.2019 Déconditionnement d'origine multifactorielle le 07.11.2019 (arthrite septique, carcinome épidermoïde pulmonaire, insuffisance cardiaque) Épanchements pleuraux bilatéraux G>D d'origine mixte le 12.08.2019 • DD : para-infectieux, décompensation cardiaque, tumoral • PleurX gauche le 11.10.2019 (Dr. X) : 500 ml liquide séro-sanguinolent avec retrait du drain le 11.11.2019 Hypovitaminose multiple • Acidum Folicum 3,2 ng/l • Vitamine D 49 nmol/l Dénutrition protéino-énergétique modérée SNG du 06.08 au 19.09.2019Bronchoscopie et LBA le 18.08.2019 : présence d'E. Coli • Culture d'aspiration bronchique le 18.08.2019 : E. Coli et Acinetobacter baumanii • Pipéracilline-tazobactam du 17.08 au 21.08.2019, Rifampicine du 12.08 au 22.08.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 28.09.2019, DD : néphropathie associée au produit de contraste Mycose buccale 09.19.2019 Choc septique sur bactériémie soutenue à Staphylococcus aureus (MSSA) sur infection du PAC le 06.08.2019 avec : • ETO le 07.08.2019, 17.08.2019, 29.08.2019 : pas d'évidence d'endocardite • Ponction de l'épaule gauche le 10.08.2019 : culture négative Arthrite septique de la hanche gauche native à MSSA le 06.08.2019 avec ostéonécrose de la tête fémorale • 06.08.2019 : Arthrotomie par voie antérieure hanche gauche, lavage • 10.08.2019 : Résection tête et col fémoral, mise en place d'un Spacer StageOne armé à la Vancomycine et 1 cerclage Dall Miles 1.6, de la hanche gauche • 22.10.2019 Ablation de spacer, débridement étendu, changement de cerclage, lavage, implantation de PTH gauche (Dr. X) Phlegmon sous-cutané en regard de D12 le 13.08.2019 Colonisation urinaire à Pseudomonas aeruginosa le 06.09.2019 Bicytopénie d'origine mixte (anémie et leucopénie) • DD : chimiothérapie, sepsis, inflammation chronique Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 06.08.2019 Escarre sacrée stade II le 23.08.2019 Déconditionnement d'origine multifactorielle le 07.11.2019 (arthrite septique, carcinome épidermoïde pulmonaire, insuffisance cardiaque) Epanchements pleuraux bilatéraux G>D d'origine mixte le 12.08.2019 • DD : para-infectieux, décompensation cardiaque, tumoral • PleurX gauche le 11.10.2019 (Dr. X) : 500 ml liquide séro-sanguinolent avec retrait du drain le 11.11.2019 Hypovitaminose multiple • Acidum Folicum 3,2 ng/l • Vitamin D 49 nmol/l Dénutrition protéino-énergétique modérée SNG du 06.08 au 19.09.2019 avec nutrition entérale Pneumonie aiguë communautaire le 22.01.2020 • DD infiltrats alvéolaires chroniques, fibrose parenchymateuse Pneumonie aiguë communautaire lobaire inférieure droite le 20.01.2020 : • Suivi pour adénocarcinome pulmonaire sous chimiothérapie et immunothérapie • Pneumonie aiguë communautaire en 07.2019 Pneumonie acquise en communauté avec foyer basal droite (27.11.2019) : • Score CURB-65 : 3 points • Embolie pulmonaire au niveau du foyer de pneumonie non exclue à la scintigraphie. Troubles de l'adaptation, réaction mixte, anxieuse et dépressive avec Escitalopram dès le 18.02.2015. Tumeur des tissus mous de la face antérieure du coude gauche. Cataracte à droite. Hypoacousie à droite, non appareillée. Hématurie macroscopique chronique d'origine indéterminée et multi-investiguées, suivi Dr. X. Pneumonie acquise en communauté insuffisamment traitée • DD embolie pulmonaire : diagnostic peu probable en raison d'une normalisation spontanée de la saturation Pneumonie atypique Pneumonie atypique vs virale Pneumonie avec traitement par Augmentin 1g aux 8 heures pour 5 jours. Contrôle radioclinique à la permanence le 10.01.2020. Mr. Y invité à reconsulter en urgences en cas de péjoration clinique. Pneumonie basale gauche communautaire Pneumonie basale gauche 01/2020 traitée par Co-Amoxicilline jusqu'au 07.01.20 Labo 10.01 : Leucocytes 30.2 G/l, CRP 19 mg/l Antigène urines (Légionelle/pneumocoques) : négatifs ECG : comparable au précédent, pas de fibrillation auriculaire, rythme pacemaker-induit Radiographie du thorax : suspicion infiltrat gauche, pas de signe de décompensation cardiaque Liquemine prophylactique par 2x 5000 UI/jour Hydratation iv Perfalgan iv Céfépime 1g/24h du 10.01.2020 au 16.01.2020 Physiothérapie respiratoire Labo 15.01.2020 : Leucocytes 10.2 G/l, CRP 10 mg/l Pneumonie basale D Pneumonie basale D sans contexte de BPCO non stade le 02.01.2019 Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite à germe indéterminé chez un patient avec une probable bronchopneumopathie chronique obstructive Pneumonie basale droite à Legionelle le 01.09.2018. Pneumonie basale droite à Légionelle le 01.09.2018. Pneumonie basale droite à pneumocoque le 30.12.2019. Pneumonie basale droite avec : • Exacerbation de BPCO stade 4 selon Gold le 10.12.2019 (oxygène à domicile 1l/12h) • Critères Anthonisen : 1/3 (dyspnée) Pneumonie basale droite avec épanchement pleural le 06.01.2020 Pneumonie basale droite avec insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë le 27.12.2019 • Dans le contexte d'une BPCO stade IV D, connu pour une obstruction complète de la bronche lobaire moyenne d'origine indéterminée • Ancien porteur de Pseudomonas aeruginosa Pneumonie basale droite avec insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë le 27.12.2019 • Dans le contexte d'une BPCO stade IV D, connu pour une obstruction complète de la bronche lobaire moyenne d'origine indéterminée • Ancien porteur de Pseudomonas aeruginosa Pneumonie basale droite avec probable surinfection de bronchiectasie en février 2016, traitée par antibiothérapie Surinfection de BPCO le 14.06.2016 Status post-crossectomie pour varices de la jambe gauche en 2013 Status post-circoncision avec plastie du frein en 2012 pour balanite chronique avec adhérence balano-prépuciale Status post-PTG gauche en 2010 Status post-cure de hernie inguinale bilatérale par filet il y a 20 ans Status post-segmentectomie pulmonaire du lobe inférieur gauche en 1989 (bronchiectasies) Hyperplasie de la prostate grade 2 • 12.09.2018, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. • DAP : hyperplasie prostatique bénigne et foyers de prostatite chronique peu active. Revêtement urothélial de l'urètre prostatique sans lésion • Antibiothérapie prophylactique per-os par Céfuroxime 500 mg/jour du 12 au 16.09.2018 inclus AIT il y a environ 10 ans Pneumonie basale droite clinique à germe indéterminée le 26.12.2019 Pneumonie basale droite communautaire Pneumonie basale droite d'aspiration • CURB-65 à 2 points Pneumonie basale droite découverte au CT scan du 05.01.20 cf dg 1. Pneumonie basale droite le 06.01.2020 • Avec épanchement pleural droit probablement dans le contexte d'une décompensation cardiaque DD : parapneumonique • qSOFA : 0, CURB-65 2 pts Pneumonie basale droite le 08.01.2020. Pneumonie basale droite, le 10.01.2020 Pneumonie basale droite, le 10.01.2020 • Dans un contexte de bronchite virale et IVRS depuis le 01.01.2020 • Traitée empiriquement en ambulatoire par Amoxicilline depuis le 07.01.2020 Pneumonie basale droite, le 14.01.2020 Pneumonie basale droite le 22.12.2019 BPCO stade II D selon Gold • Emphysème bulleux associé à quelques bronchiectasies (CT 2019) prédominant aux bases pulmonaires, au lobe moyen et dans le segment antérieur du lobe supérieur gauche Contre-indication à la BIPAP en raison de 2 pneumothorax D Tabagisme ancien (25 UPA) stoppé en 2012 Hypertension artérielle Hypercholestérolémie AOMI Anémie macrocytaire hypochrome avec Hb à 86 g/l le 13.06.2019 d'origine mixte • Sur déficit en acide folique 2.8 ng/ml • Origine spoliative avec présence de sang occulte : 1/3 positif • Transfusion de 2 CE le 13.06.2019 Pneumonie basale droite le 25.01.2020 Pneumonie basale droite le 25.01.2020 Attitude : Retour à domicile Poursuite de l'antibiothérapie et d'antalgie prescrite Contrôle à votre cabinet si péjoration des symptômes RED Flags enseignés à la patiente. Pneumonie basale droite 30.03.2017 Polytraumatisme sur chute de sa hauteur 21.04.2017 • pneumothorax D avec pose de drain thoracique • fractures costales 1-4 D • fracture du bord antéro-médial du condyle occipital • opération épaule D 10/2018 et 01/2019 Pneumonie basale droite. Pyélonéphrite droite. Pneumonie basale gauche Pneumonie basale gauche Pneumonie basale gauche Pneumonie basale gauche. Pneumonie basale gauche. Pneumonie basale gauche. Pneumonie basale gauche à germe indéterminé • O2 2 l/min à domicile depuis novembre 2019 Pneumonie basale gauche à H. influenzae le 25.12.2019 Pneumonie basale gauche avec épanchement pleural parapneumonique le 10.01.2020 Pneumonie basale gauche communautaire Pneumonie basale gauche communautaire Pneumonie basale gauche communautaire à légionelle le 11.01.2020 • CURB 65 : 0 point Pneumonie basale gauche communautaire le 26.01.2020 Pneumonie basale gauche débutante Pneumonie basale gauche du 21.01.2020 • avec dernière hospitalisation en 01.2020 pour sepsis sur pneumonie communautaire DD : bronchoaspiration Pneumonie basale gauche en février 2013. Pneumonie lobaire inférieure gauche sur broncho-aspiration le 20.10.2012. Iléus grêle sur adhérence massive et éventration sus-ombilicale le 20.10.2012. Iléus grêle sur adhérence en juillet 2011 traité conservativement. Sigmoïdectomie pour diverticulite perforée couverte en 2008. Diverticulose colique. Cholécystectomie pour cholécystite gangréneuse en 1991. Appendicectomie. Cure d'hernie inguinale bilatérale. Prothèse totale de hanche gauche avec iléus paralytique post-opératoire en 2009 Prothèse totale de hanche droite avec iléus paralytique post-opératoire en 2007 Prothèse totale des genoux en 2005 Acidose métabolique secondaire à l'insuffisance rénale chronique (sous Néphrotrans). Hyperparathyroïdisme secondaire modéré (sous Rocaltrol). Occlusion de la veine centrale de la rétine à gauche 2009. Cure de cataracte bilatérale en septembre 2003. Pneumonie basale gauche le 02.01.2020, DD broncho-aspiration. Pneumonie basale gauche le 06.01.2020 • toux productive, fièvre et pleurésie Pneumonie basale gauche le 09.01.2020 Pneumonie basale gauche le 09.04.2015 avec : • hémoptysie légère avec INR thérapeutique à 3.1 le 10.04.2015 • persistance de l'état fébrile et syndrome inflammatoire à J9 sous bêta-lactamines AVP (il y a plus de 10 ans) avec fractures des côtes en série gauche et rupture du diaphragme gauche, opéré à Paris Opération flanc droit, anamnestiquement selon l'épouse, hernie péritoine Prothèse totale de hanche droite OP genou gauche Pneumonie basale droite le 23.12.2013 avec état confusionnel Gonalgie droite avec épanchement le 23.12.2013 • arthrite septique exclue par ponction le 23.12.13 • s/p PTG le 13.12.2013 • Sous-décalage ST en V3 V4 V5 probablement ancien en 12/2013 Ancienne consommation d'alcool à risque Implantation d'un pacemaker VVI Sorin le 08.10.2018 • indication : bradycardie nocturne Rendez-vous de contrôle du pacemaker le 06.11.2018 chez le Dr. X Pneumonie basale gauche le 18.01.2020 Pneumonie basale gauche le 19.02.2019 dans le contexte de grippe Influenza A traitée par Rocephin, Klacid Intoxication à la digoxine le 02.07.2019 Prothèse de genou gauche et droit Appendicectomie Cure tunnel carpien droit Pneumonie basale gauche le 22.01.2020 : • DD grippe, décompensation BPCO GOLD2 Pneumonie basale gauche le 26.01.2020 • chez patient connu pour une pneumopathie obstructive modérée dans le cadre d'un asthme allergique et d'un tabagisme chronique Pneumonie basale gauche sur probable broncho-aspiration le 21.01.2020 Pneumonie basale gauche 2011. Pneumonie basale sur hypoventilation suite aux fractures de côtes à droite en novembre 2017 Candidose oro-pharyngée en novembre 2017 Fracture-tassement bénigne de D9 en 2014 Probable accident ischémique transitoire en 2006 Bloc atrioventriculaire du 3ème degré d'étiologie inconnue : • Radiographie du thorax du 18.09.2018 • Mise en place pacemaker DDD double chambre à gauche le 17.12.2018, Dr. X Hydro-pneumothorax gauche iatrogène après pose de pacemaker : • Radiographie du thorax • Avis chirurgical (Dr. X, Dr. X) • Oxygénothérapie au besoin • Pose de drain thoracique du 17.12.2018 au 19.12.2018 • Pansement occlusif par Varihésive du 19.12.2018 au 22.12.2018 • Ablation des fils le 27.12.2018 Troubles d'élocution transitoires et perte de force des membres supérieurs des deux côtés, aspécifique : • Diagnostic différentiel : accident ischémique transitoire Examen neurologique Laboratoire Ad Aspirine Cardio IRM cérébrale et des carotides : pas de lésion ischémique décelable ; leucopathie vasculaire Fazekas 4 ; Microbleed isolé cérébelleux gauche Interrogation du pacemaker : sans arythmie significative détectée depuis le dernier contrôle (très brèves salves de tachycardie auriculaire) Déficit en vitamine B9 à 2.6 ng/ml Substitution Carence sévère en vitamine D à 20 nmol/l Substitution Pneumonie basale sur hypoventilation suite aux fractures de côtes à droite en novembre 2017 Fracture-tassement bénigne de D9 en 2014 Probable accident ischémique transitoire en 2006 Bloc atrioventriculaire du 3ème degré d'étiologie inconnue : • Radiographie du thorax du 18.09.2018 • Mise en place pacemaker DDD le 17.12.2018, Dr. X Hydro-pneumothorax gauche iatrogène après pose de pacemaker Troubles d'élocution transitoires et perte de force des membres supérieurs des deux côtés, aspécifique : • Diagnostic différentiel : accident ischémique transitoire Déficit en vitamine B9 à 2.6 ng/ml Carence sévère en vitamine D à 20 nmol/l Pneumonie bibasale à Acinetobacter en 2016 Pneumonie basale droite en 2011 Diverticulite perforée couverte 2007 Colite à C. difficile, non datée Cholecystectomie, non datée Parotidite gauche sur syndrome de Sjögren le 18.11.2019 et le 06.01.2020 Crise hypertensive à 220/90 mmHg, le 06.01.2020 Pneumonie bibasale à Pneumocoques le 10.01.2018 avec état fébrile à 38.1°C, Urosepsis le 21.02.2016 compliqué d'un état confusionnel Exanthème maculeux bilatéral du visage d'origine indéterminée le 10.07.2013, Delirium aigu le 12.07.2013, Opération intestinale en 1985. Pneumonie bibasale avec insuffisance respiratoire hypoxémique le 17.01.2020. Pneumonie bibasale avec insuffisance respiratoire hypoxémique le 17.01.2020. Examen clinique. Laboratoire du 17.01.2020 : CRP 278 mg/l, leucocytose à 18.7 G/l Gazométrie artérielle du 17.01.2020 : hypoxémie à 7.9 kPa, pH à 7.48, PCOE 4.9 kPa, Bic à 27 mmol/l, lactates à 1.4 mmol/l ECG Radiographie de thorax : opacité basale D et rétrocardiaque ATTITUDE • séance de VNI avec saturation persistante à 89% de saturation, tachypnée à 45/min avec incapacité de sevrage de VNI, raison pour laquelle nous décidons d'un transfert aux soins intensifs pour surveillance respiratoire et poursuite de la VNI • antibiothérapie par Rocéphine 2g iv 1x/j • pister résultats PCR grippe Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 17.01.2020 40 mmol de KCl sur 4h Pneumonie bibasale communitaire à germe indéterminé le 22.01.2020 Pneumonie bibasale en avril 2016 Zona ophtalmique gauche PTH droite et PTG gauche mai 2013 Pneumonie bilatérale le 12.01.2020 avec: • Broncho-aspiration sur trouble de la déglutition avec abaissement inadéquat de l'épiglotte et status post-trachéotomie (~15 épisodes de bronchopneumonies d'aspiration en 2018) • Broncho pneumopathie liée au tabac avec trouble de la diffusion modéré (ancien tabagisme à 100 UPA) • Bronchectasies bibasales avec colonisation transitoire à Pseudomonas (ancien) Pneumonie bilatérale acquise en communauté le 01.01.2020, avec: • Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique • Pathogène indéterminé Pneumonie bilatérale le 02.01.2020 : • Chez patient connu pour pneumonie à répétition • Broncho-aspiration sur trouble de déglutition Pneumonie bilatérale le 11.11.2009 (Ag urinaire légionellose négatif) Pneumonie bilatérale le 17.11.19 Pneumonie bilatérale le 18.01.20 • Hospitalisation à Riaz le 18.01.2020: -- Laboratoire: CRP 10, pas de leucocytose -- Rx thorax -- Gazométrie: pH 7.37, pCO2 4.2, pO2 9.3 kPa, bic 18, pas de lactates -- Hémocultures 2 paires: en cours -- Antigènes urinaires Legionella, pneumocoque: en cours -- Frottis nasopharynx PCR Influenza A/B + RSV: en cours -- Rocéphine 2000 mg iv et Klacid 500 mg Pneumonie bilatérale sur broncho-aspiration le 12.01.2020 avec : • Insuffisance respiratoire hypoxémique • Broncho-aspiration sur trouble de la déglutition avec abaissement inadéquat de l'épiglotte et status post-trachéotomie • Broncho-pneumopathie liée au tabac avec trouble de la diffusion modéré (ancien tabagisme à 100 UPA) • 15 épisodes de bronchopneumonies d'aspiration en 2018 • Bronchectasies bibasales avec colonisation transitoire à Pseudomonas (ancien) Pneumonie bilatérale sur bronchoaspiration le 28.12.2019 Pneumonie bilatérale, 02.01.2019 • CRP 65, Lc 7.2 • Clinique: toux productive, état fébrile Pneumonie bilatérale. Cure chirurgicale de canal carpien. Calculs rénaux. Salpingite il y a 15 ans. Status après cure de hernie ombilicale en 2015. Status après laparoscopie exploratrice en 2002. Pneumonie bi-lobaire droite le 20.01.2020. Pneumonie communautaire Pneumonie communautaire à pneumocoques du lobe moyen droit le 04.01.2020 Pneumonie communautaire à germe indéterminé le 31.05.2017. Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle le 03.04.2016 : • Composante infectieuse sur pneumonie bilatérale d'origine virale • Composante spastique (syndrome obstructif post-infectieux) • Composante cardiaque (BNP peu élevé, peu de signes cliniques et radiologiques). Décompensation cardiaque globale légère le 04.04.2016 SIADH d'origine indéterminée en 2013. Globe urinaire il y a 2-3 ans sur hyperplasie de la prostate, incontinence urinaire depuis. Péritonite il y a quelques années. Pleurésie droite pendant son adolescence. Cure d'hernie inguinale droite dans sa jeunesse. Anémie hypochrome macrocytaire avec une hémoglobine à 109 g/l le 22.06.2017 : • Sur déficit en vitamine B12 (possible composante d'insuffisance rénale chronique). Pneumonie communautaire à germe indéterminée le 30.12.2019 sur bronchite asthmatiforme chronique • Probable colonisation à Pseudomonas aeruginosa résistant aux carbapénèmes Pneumonie communautaire au décours. Pneumonie communautaire basale D en 2016. Pneumonie communautaire basale droite à Staphylocoque doré le 16.12.2019 Pneumonie communautaire basale droite avec hémoptysies le 04.01.2020 • Anticoagulation orale suprathérapeutique • Insuffisance respiratoire partielle • CRP 413 mg/l, déviation gauche Pneumonie communautaire basale droite débutante. Pneumonie communautaire basale droite le 01.01.2019 > CRB65 0 point Pneumonie communautaire basale droite le 06.12.2019 : • Avec insuffisance respiratoire hypoxémique • Exacerbation d'une probable bronchopneumopathie chronique obstructive (tabagisme depuis 50 ans, 4 pipes par jour) Pneumonie communautaire basale droite le 10.01.2020. Pneumonie communautaire basale droite, le 14.01.2020 Pneumonie communautaire basale droite le 24.12.2019 • CURB 65 2-3pts Pneumonie communautaire basale droite le 28.10.20, avec • PSI score: 117 points classe IV • CURB-65: 3 points • Exacerbation BPCO (critères d'Anthonissen 3/3) Pneumonie communautaire basale droite sans germe identifié le 23.12.2019 Pneumonie communautaire basale droite 13.01.2020 • Antigènes urinaires négatifs, frottis de grippe négatif Pneumonie communautaire basale gauche à germe indéterminé le 15.01.2020 • DD : bronchite • CURB-65 : 2 points (6.8% de mortalité à 30 jours) Pneumonie communautaire basale gauche le 09.12.2019 à germe indéterminée • Symptomatologie débutée depuis 10 jours Examen clinique Laboratoire du 09.12.2019: CRP 105 sans leucocytose Gazométrie du 09.12.2019 Radiographie thoracique du 09.12.2019 Hémocultures du 09.12.2019 : négatives Urines stix et légionelle le 09.12.2019: négatif Oxygénothérapie Rocéphine 2g iv dès le 09.12.2019 jusqu'au 16.12.2019 y.c. Klacid 500 per os dès le 09.12.2019 jusqu'au 11.12.2019 Macrocitose isolée chronique d'origine indéterminée le 09.12.2019 • DD carence vitaminique Vitamine B12 et acide folique à contrôler en ambulatoire Pneumonie communautaire basale gauche le 09.12.2019 à germe indéterminée Macrocitose isolée chronique d'origine indéterminée le 09.12.2019 • DD carence vitaminique Vitamine B12 et acide folique à contrôler en ambulatoire Pneumonie communautaire basale gauche le 09.12.2019 à germe indéterminé Macrocytose isolée chronique d'origine indéterminée le 09.12.2019 • DD carence vitaminique Prothèse de hanche droite non datée Pneumonie communautaire basale gauche le 28.01.2020 avec : • CURB-65 : 2 points. • Score Genève modifié : 1 point. Pneumonie communautaire basale gauche le 28.01.2020 avec : • CURB-65 : 2 points. Diagnostic différentiel : bronchite asthmatiforme Pneumonie communautaire basale gauche sans germe identifié le 22.01.2020 Pneumonie communautaire bibasale à germe indéterminé le 15.12.2019 avec récidive au milieu hospitalier le 06.01.2019 accompagnée d'une insuffisance respiratoire mixte sévère Pneumonie communautaire bibasale à germe indéterminé le 29.12.2019. Pneumonie communautaire bibasale le 08.01.2020 • CURB 65 : 1 point Pneumonie communautaire bilatérale à germe indéterminé le 16.01.2020 Pneumonie communautaire • Diagnostique et thérapie initiées au home. • Traitée par Clarithromycine 500 mg 2x/J Pneumonie communautaire diagnostiquée au home le 10.01.2020 avec introduction d'une antibiothérapie par Clarithromycine 500 mg 2x/j p.o. depuis le 11.01.2020 Pneumonie communautaire droite Pneumonie communautaire du lobe moyen D le 22.04.2017 Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa et Staph. aureus le 18.07.2017 Pneumonie nécrosante bilobaire G avec choc septique et bactériémie à Pseudomonas aeruginosa et Staph. aureus le 28.07.2017 • Trachéotomie du 11.08 au 16.09.2017 Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa LID le 18.10.2017 Pneumonie lingula G le 26.11.2018 Décompensation cardiaque G le 24.11.2018 Exacerbation BPCO sur pneumonie à Stenotrophomonas Maltophilia le 09.05.2019 Dyspnée aiguë avec pic hypertensif le 14.05.2019, DD bronchite spastique, hypertension pulmonaire Pneumonie communautaire du lobe moyen D le 22.04.2017 Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa et Staph. aureus le 18.07.2017 Pneumonie nécrosante bilobaire G avec choc septique et bactériémie à Pseudomonas aeruginosa et Staph. aureus le 28.07.2017 • Trachéotomie du 11.08 au 16.09.2017 Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa LID le 18.10.2017 Pneumonie lingula G le 26.11.2018 Décompensation cardiaque G le 24.11.2018 Exacerbation BPCO sur pneumonie à Stenotrophomonas Maltophilia le 09.05.2019 Dyspnée aiguë avec pic hypertensif le 14.05.2019, DD bronchite spastique, hypertension pulmonaire • Status post-vertébroplastie D9 par 5 cc de Vertécem le 16.09.2019 sur fracture-tassement D9 d'allure récente, d'origine traumatique avec composante ostéoporotique type Genant III Wedge • Hypercyphose dorsale sur fractures-tassement D7, D8 et D10 d'allure ancienne Pneumonie communautaire du lobe moyen droit sans germe identifié le 29.12.2019 Pneumonie communautaire du lobe supérieur droit à germe indéterminé le 09.01.2019 Pneumonie communautaire le 27.01.2020 Pneumonie communautaire lobaire inférieure gauche à germe indéterminé le 20.01.2020 • DD : pyélonéphrite droite Pneumonie communautaire non sévère au lobe moyen et basal droit. Pneumonie communautaire non sévère, du lobe inférieur gauche le 31.01.2020 avec : • qSOFA score : 0 Pneumonie communautaire probable le 30.12.2019 Pneumonie D à mycoplasme DD : virale • oxygénodépendante Pneumonie d'acquisition communautaire droite Pneumonie d'acquisition communautaire le 26.12.2019 Pneumonie d'aspiration avec foyer lobaire inférieur gauche le 24.01.2016 • Moraxella catarrhalis dans les aspirations bronchiques (frottis grippe négatif) Crise d'épilepsie récidivantes le 23.03.2016 : • contexte de déshydratation • suspicion de foyer pulmonaire en base gauche Cholécystectomie par laparoscopie le 16.01.2016 Pneumonie d'aspiration le 04.01.2020 Pneumonie d'aspiration le 16.12.2019 • CT Angio thoracique 16.12.2019 : troubles ventilatoires dorso-basaux des deux côtés avec sécrétions dans la trachée, compatible avec une aspiration Co-Amoxicilline 1.2 g 3x/J iv avec relais à Co-Amoxicilline 1 g 3x/J p.o. du 16.12 au 22.12.2019 • Rx thoracique le 06.01.2020 pas épanchement pleural ni foyer pulmonaire Pneumonie d'aspiration probable le 05.01.2020 Pneumonie de broncho-aspiration le 27.01.2020 Pneumonie de broncho-aspiration le 28.01.2020 Pneumonie de mauvaise évolution Pneumonie droite Pneumonie droite du 26.01.2020. Pneumonie droite le 13.01.2020 • Antigènes urinaires négatifs • Frottis de grippe négatif Pneumonie droite probable. Pneumonie du lobe inférieur droit en septembre 2018 Bursectomie olécrânienne du coude gauche le 02.01.2018 Fracture péri-prothétique ouverte fémoro-tibiale droite au niveau du moignon d'amputation sous-géniculée droit Ablation d'un neurostimulateur le 07.07.2017 pour une surinfection à Staphylocoque epidermidis le 05.07.2017 (neurostimulateur mis en place en juin 2016) Prothèse totale du genou droit en 2015 Saignements digestifs bas depuis le 20.07.2015 sur télangiectasies rectales Zona lombaire droit en avril 2012 Bursite du coude droit sur exostose olécranienne (opérée en 2012) Fracture de la clavicule gauche avec résection de la clavicule distale et acromioplastie en 2010 Cure de hallux valgus Cholécystectomie Appendicectomie Pneumonie du lobe inférieur droit Appendicectomie par laparoscopie pour appendicite aiguë phlegmoneuse non compliquée le 23.04.2014 Status post entorse de la cheville gauche stade III le 17.01.2019 Pneumonie du lobe inférieur gauche avec épanchement parapneumonique le 17.12.2019 Pneumonie du lobe moyen droit Pneumonie du lobe supérieur droit Pneumonie du lobe supérieur droit le 04.05.2013 Pneumonie basale droite à germe indéterminé en mars 2013 Cholécystectomie et cholangiographie par laparoscopie en août 2012 Spasmes musculaires sur prise de Fentanyl en mai 2012 Mononucléose infectieuse en novembre 1995 Rapport sexuel non protégé à bas risque le 03.03.2019 Pneumonie du lobe supérieur gauche à germe indéterminé le 14.01.2020 Pneumonie du lobe supérieur gauche avec épanchement parapneumonique et insuffisance respiratoire partielle le 14.08.2009 Lésions kystiques de l'ovaire droit avec compression urétérale et dilatation pyélo-calicielle < de 2 cm droit le 17.08.2009 IRA AKIN II d'origine pré-rénale avec FE urée 26 % Pneumonie en 1987 et 1998 Gastrite en 1997 Pneumonie en juillet 2016 Surdité brusque en 2006 traitée par prédnisone avec récupération progressive de l'ouïe Appendicectomie dans l'enfance Syndrome inflammatoire récurrent depuis novembre 2016 d'origine indéterminée le 31.01.2017 • investigations à l'Inselspital de Bern du 27 au 30.11.2016 y compris ETO (normale selon la patiente) • Suivi chez Rhumatologue (investigations : fièvre Méditerranée, spondylarthrite, mastocytose) • dyspnée et diminution de la capacité à l'effort NYHA II depuis novembre 2016 Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée probablement dans le contexte d'une maladie auto-inflammatoire connue Pneumonie en juillet 2016. Surdité brusque en 2006 traitée par Prédnisone avec récupération progressive de l'ouïe. Appendicectomie dans l'enfance. Syndrome inflammatoire récurrent depuis novembre 2016 d'origine indéterminée le 31.01.2017 • investigations à l'Inselspital de Bern du 27 au 30.11.2016 y compris ETO (normale selon la patiente) • Suivi chez Rhumatologue (investigations : fièvre Méditerranée, spondylarthrite, mastocytose) • dyspnée et diminution de la capacité à l'effort NYHA II depuis novembre 2016 Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée probablement dans le contexte d'une maladie auto-inflammatoire connue • Examen cliniqueBilan biologique avec syndrome inflammatoire • Sédiment urinaire normal • RX thorax 22.12.2019: pas en évidence de foyer et est superposable à la radiographie faite le 07.12.2019 • ECG: montre rythme sinusal régulier à 110/min, axe normal, PR à 172 ms, QRS à 84 ms, QTc à 433 ms. • CT thoracique injecté 22.12.2019: Épaississement septal interlobulaires et discrets comblements alvéolaires non spécifiques. L'image correspond en premier lieu à une atteinte infectieuse atypique ou à une surcharge. Dans le diagnostic différentiel, on peut évoquer une pneumopathie interstitielle ou un lymphome. • Avis Pneumologue: CT scanner superposable au CT scanner de 2016, si le patient reste asymptomatique, il n'a pas besoin d'autres soins. Crises d'angoisse. Pneumonie en juillet 2016 Surdité brusque en 2006 traitée par Prédnisone avec récupération progressive de l'ouïe Appendicectomie dans l'enfance Pneumonie en 1950, 2009 et 2010 Césarienne Pneumonie G en 09.2011. Idées suicidaires dans le contexte de : • Suspicion d'épisode dépressif moyen • Trouble d'adaptation avec réaction dépressive • Perturbation des relations intra-familiales • Consilium pédopsychiatrique demandé • Hospitalisation volontaire au CSH Marsens- La Chrysalide, acceptée par la patiente et sa famille. Pyélonéphrite gauche en 09.2019 et 11.2019. Pneumonie gauche Pneumonie gauche à germe indéterminé d'acquisition communautaire. Pneumonie gauche nosocomiale à germe indéterminé le 17.11.2019 Pneumonie il y a 4 ans Pneumonie inférieure droite sur broncho-aspiration Pneumonie le 21.01.2020 Pneumonie lobaire Pneumonie lobaire basale droite à germe indéterminé Pneumonie lobaire droite le 09.01.2020 Pneumonie lobaire droite le 25.01.2020: Pneumonie lobaire gauche Pneumonie lobaire inférieure D d'acquisition communautaire, le 19.11.2019 Pneumonie lobaire inférieure droite à Pneumocoque le 10.01.2020 • Insuffisance respiratoire partielle • Exacerbation de BPCO (2/3 des critères d'Anthonisen) Pneumonie lobaire inférieure gauche à Serratia marcescens le 22.12.2019 • Sur broncho-aspiration • Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë Hypovitaminose D à 48 nM le 01.01.2020 Macrohématurie sur ablation accidentelle d'une sonde vésicale le 21.12.2019 Cure d'hémorroïdes Cure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein en 2011 Arthroplastie totale de la hanche droite par voie minimalement invasive le 27.07.2012 PTH gauche le 07.09.2012 Bulbite sur probable H. Pylori diagnostiquée par gastroscopie le 17.12.2012 Pneumonie lobaire inférieure gauche à Serratia marcescens le 22.12.2019. Cure d'hémorroïdes. Cure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein en 2011. Arthroplastie totale de la hanche droite par voie minimalement invasive le 27.07.2012. PTH gauche le 07.09.2012. Bulbite sur probable H. Pylori diagnostiquée par gastroscopie le 17.12.2012. Pneumonie lobaire moyenne droite le 09.01.2020 à germe indéterminé Pneumonie lobaire supérieure gauche Pneumonie lobe moyen D Pneumonie lobe moyen D le 29.10.2015 Lithiase rénale avec excrétion le 29.10.2015 aux urgences Hernie discale cervicale Pneumonie nécrosante droite communautaire à S. pneumonie compliquée d'un épanchement bilobaire droit St. post pneumothorax Pneumonie nosocomiale basale droite à germe indéterminé Pneumonie nosocomiale basale gauche sans germe identifié le 21.01.2020 Pneumonie nosocomiale • Épanchement pleural gauche Pneumonie péri-hilaire gauche communautaire le 30.12.2019 Pneumonie rétro cardiaque Pneumonie rétro-cardiaque gauche Pneumonie sur aspiration le 05.10.2017. Pneumonie sur broncho-aspiration le 25.12.19 avec expulsion spontanée du corps étranger Pneumonie virale Pneumonie virale à RSV Pneumonie virale avec grippe influenza A et RSV positifs Pneumonie vs IUB résistante à l'antibiothérapie. Pneumonies à répétition, dont pneumonie atypique: • Pneumonie de broncho-aspiration, le 21.12.2018 • Co-Amoxicilline 2.2g IV 3x/J du 21.12 au 24.12.2018 puis Co-Amoxicilline 1g 2x/J du 25.12 au 27.12.18 Colite le 21.12.2018: • Diarrhée post-antibiothérapie • Culture de selles à la recherche de Clostridium, le 21.12.2018: négatif Suspicion d'ostéomyélite en août 2011, traitée par Augmentin IV du 26 au 31.08.2011 Status post-circoncision Status post-opération selon Niessen et pose de PEG Insuffisance respiratoire sur probable pneumonie en mars 2017 Pneumonies bibasales récidivantes sur bronchoaspiration le 15.03. et 03.05.2019 Progression d'une probable maladie de Steele-Richardson-Olszewski (paralysie supranucléaire progressive) avec un syndrome parkinsonien atypique, avec: • Décompensation dans le cadre du diagnostic principal • Sous Madopar depuis environ 20 ans selon hétéroanamnèse par la famille • Pas de suivi neurologique jusqu'à présent Dysphagie modérée de la phase orale et pharyngée dans le cadre du diagnostic supplémentaire 1, avec: • Risque de bronchoaspiration très élevé • Malnutrition protéino-énergétique grave Hypovitaminose D 53 nmol/l et B9 1.9 ng/ml le 27.03.2019 AVC de l'artère choroïdienne antérieure droite en 2011, avec: • Hémisyndrome gauche séquellaire spastique Suspicion de reflux gastro-œsophagien Syndrome inflammatoire biologique d'origine probablement multiple le 26.04.2019 sur pneumonie d'aspiration récidivante, rectite de contact et décubitus fessier Fécalome avec probable rectite de contact le 26.04.2019 Décubitus fessier droit II° le 23.04.2019 S/p occlusion de l'artère centrale de la rétine droite en 1996 S/p cure chirurgicale de la cataracte gauche en 2014 Pneumopathie d'origine indéterminée en cours d'investigations Pneumopathie interstitielle Pneumopathie interstitielle d'étiologie indéterminée (non datée) • Sous Imurek et Prednisone (suspicion de sarcoïdose) • BPCO stade GOLD II (suivi par Dr. X, VEMS 58% le 03.07.2019) sur ancien tabagisme (160 UPA) stoppé vers 2013 • ETT (Dr. X) le 27.08.2019: hypertension pulmonaire sévère (PAPs > 70 mmHg) • ETT de contrôle le 06.09.2019 : hypertension artérielle pulmonaire importante (PAPs à 91 mmHg, gradient VD-OD 86 mmHg ± 0-5 mmHg) • CT thoracique le 29.08.2019 : pas d'embolie pulmonaire. Condensation, fibrose, emphysème important, bronchiectasies, pas de nodule suspect de néoplasie • Avis Dr. X le 09.09.2019 : pneumopathie interstitielle avec fibrose pulmonaire sévère sur probable sarcoïdose selon la présentation radiologique depuis 2014. Lésion du lobe supérieur gauche d'origine indéterminée. Pas de changement du traitement nécessaire actuellement. Pas d'indication à confirmer le sarcoïdose (biopsie). Indication à l'oxygène la nuit et à l'effort Pneumopathie le 22.01.2020 DD pneumonie débutante, bronchite Pneumopathie obstructive modérée dans le cadre d'un asthme allergique et d'un tabagisme chronique Trouble de la personnalité type borderline Ancienne toxicomanie à l'héroïne jusqu'en 1998, actuellement sous substitution par Subutex Pneumothorax antérieur basal traumatique avec: • fractures côtes 4, 8 et 9 G • emphysème cutané important Pneumothorax apical gauche traumatique dans un contexte d'accident de la voie publique à cinétique moyenne le 16.12.2019 Pneumothorax droit le 20.03.2014. Status post-cure d'hémorroïdes. Pneumothorax en 2013 • mis en place de drains • Pneumectomie des segments V et VI avec matériel chirurgical oublié en place Pneumothorax et épanchement pleural post-opératoire d'origine indéterminée • Status post-lobectomie inférieure droite le 09.01.2020 à Bern (Dr. X) Pneumothorax gauche iatrogène sur changement de pacemaker Pneumonie post-sténotique le 15.12.2015 Pneumonie basale droite le 20.12.2016 Douleurs abdominales de la fosse iliaque droite d'origine indéterminées avec • Épaississement du caecum aspécifique au CT • Syndrome inflammatoire biologique (leucocytes 39.1 G/l, CRP 78 mg/l) DD: probable colite débutante Réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physiothérapie, ergothérapie, art-thérapie, psycho-oncologie, aumônerie, service de liaison et colloque interdisciplinaire hebdomadaire: • Facteur de performance (01.01.2020): ECOG 2, PPS 70% • FIM (01.01.2020): 80 points • NRS (01.01.2020): 4/7 • Problématique principale (selon SENSE/ESAS): Fatigue, douleur et dyspnée (cf. DPI pour ESAS) ECG (01.01.2020): Rythme électro-entraîné, 74/min, axe du cœur normoaxé, QRS élargis Laboratoire (01.01.2020): leucocytose à 39.1 G/l, CRP 78 mg/l, créatininémie à 300 µmol/l, hémoglobine à 134 g/l, Na+ à 128 mmol/l, K+ à 5.5 mmol/l Sédiment urinaire (03.01.2020): propre Rx thorax (01.01.2020): Pas de foyer ni de signe de décompensation cardiaque visualisé CT abdominal natif (01.01.2020): • Épaississement sous-muqueux du caecum, non clairement caractérisable. Pas de signe d'appendicite, ni diverticulite. • Condensations basales droite stables avec possible broncho-pneumopathie d'aspiration surajoutée. Antibiothérapie: • Ceftriaxone 2g iv le 01.01.2020 • Co-amoxicilline iv du 02.01.2020 au 05.01.2020 puis p.o. du 06.01.2020 au 07.01.2020 adaptée à la fonction rénale Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN II d'origine pré-rénale • avec hyperkaliémie associée Hyponatrémie hypertonique à 128 mmol/L Suspicion de colite du caecum débutante le 01.01.2020 traité par antibiothérapie Pneumothorax spontané apical, latéral et antérieur paracardiaque gauche Pneumothorax spontané en avril 2014. Pneumothorax spontané gauche, 2ème épisode le 10.12.2014. Thoracoscopie gauche avec résection Wedge de l'apex gauche + pleurodèse par abrasion le 08.01.2015. Pneumothorax récidivant secondaire à gauche le 10.05.2016. Récidive de pneumothorax apical gauche le 13.02.2017. Thoracoscopie gauche, wedge apical et talcage le 23.02.2017. Globe vésical le 23.02.2017. Lésion plaque palmaire IP D1 Main D sur chute le 30.07.2019. Pneumothorax spontané gauche le 21.01.2020 Pneumothorax traumatique associé à fractures de côtes en série du côté gauche le 17.01.2020 Pneumothorax traumatique avec fracture des côtes 4, 8 et 9 gauche et emphysème subcutané important. Patient actuellement hémodynamiquement stable. Il a reçu Ponstan 500 mg, AINS, Novalgin 20 gttes et Morphine 2.5 mg iv. Après discussion avec le chef de clinique de garde de chirurgie HFR, il est décidé de transférer le patient en ambulance à Fribourg pour suite de prise en charge (drainage et hospitalisation pour suivi). AA chir au courant. Pneumothorax traumatique droit le 17.01.2020 sur chute de 1.7 m Pneumothorax traumatique droit le 19.01.2020 • Fracture côtes en série 5-9 sans volet costal • contexte de syncope avec prodrome probablement d'origine orthostatique Pneumothorax traumatique droit sur accident de la voie publique à moto le 03.01.2020 Podalgies bilatérales sur configuration de pied plat et présence d'une arthrose talo-naviculaire bilatérale. Obésité. Podalgies gauches d'origine indéterminée dd : entorse articulation Chopart Poids à la naissance de 1740 g (p3) Poids de naissance à 2620 ( p99 Poids de naissance 1640 g ( motrice. Vu bilan biologique dans la norme (compléter avec CK) ad IRM lombaire, pas d'autres investigations nécessaires, le patient sera revu en consultation ambulatoire dans 2-3 semaines Bilan biologique dans la norme (inclus glucose, Vit. B12, acide folique, TSH, CK, CRP, électrophorèse des protéines avec immunofixation) Sérologie Lyme du 06.09.2019 : négative Dépistage HIV et Syphilis : négatifs ENMG du 05.09.2019 : pas de signe d'une myasthénie, polyneuropathie sensitivo-motrice mixte, myélinique et axonale, cet examen clinique et cet ENMG ne sont pas typiques d'un Guillain-Barré. PL du 06.09.2019 : eau de roche, 1 élément, protéinorachie minime à 0.61 g/L. Absence de bandes oligoclonales. IRM lombaire 06.09.2019 : débords discaux pluri-étagés du rachis lombaire, prédominant en L5-S1 où l'on note un rétrécissement des neuro-foramens mais avec persistance de liseré graisseux au pourtour des racines nerveuses. Arthrose inter-facettaire L3-L4 bilatérale prédominant du côté gauche. Pas de lésion décelée au sein du cône médullaire ni prise de contraste suspecte au pourtour du cône médullaire ni sur le cours des racines nerveuses. Attitude : • ad réhabilitation neurologique à l'HFR Meyriez • suivi neurologique chez Dr. X après la réhabilitation à organiser si nécessaire Canal carpien à gauche le 04.09.2019 • non bilanté • Polyneuropathie héréditaire de type Charcot-Marie-Tooth (type I) • Investiguer par Dr. X en 2012 • Polyarthrite rhumatoïde séropositive (antic CCP +) diagnostiquée en 2017 • Sous Actemra et MTX 12.5 1x/semaine • Avis rhumatologie : reprise du Méthotrexate 15 mg s.c. 1x/semaine avec acide folique 5 mg 2x/semaine dès le 12.11.2019 • Contrôle test hépatique et syndrome inflammatoire, formule sanguine 1x/semaine • Polyneuropathie périphérique secondaire au traitement d'Oxaliplatine, actuellement résolue. • Status post état confusionnel sur Lorazépam (Temesta). • Hématochésie sur double anti-agrégation (Aspirine et Efient) le 28.07.2014. • Contusion para-sternale gauche en mai 2013. • Prothèse du genou droit. • Rhino-sinusite bactérienne en 1996, 1997, 1999 et 2000. • Pneumonie en 1999. • Deux curetages pour hémorragie, suivis d'une hystérectomie en 1995. • Cure de varices en 1994. • Polyneuropathie périphérique sur traitement de sels de platine le 21.01.2020 • Polyneuropathie sensitivomotrice à prédominance axonale sur chimiothérapie par Taxotere : prise en charge symptomatique • Carence en vitamine B12 • Arthrose cervicale avec névralgies • Appendicite perforée en 2005 • Polyneuropathie sur chimiothérapie avec troubles de l'équilibre • Polyneuropathie traitée par Prégabaline. • Déconditionnement le 29.10.2019 après choc septique sur-péritonite avec iléus grêle mécanique dans le contexte d'un status adhérentiel le 13.09.2019. • Laparotomie exploratrice avec adhésiolyse, résection grêle en 2 points de 1 m au total, anastomose jéjuno-jéjunale et iléo-iléale, perforation colique avec suture directe, VAC sous cutané le 14.09.2019 (Prof. X, Dr. X). • Re-laparotomie exploratrice, lavage de 12 L, ponction d'une collection abdominale. • Antibiothérapie par : • Pipéracilline-tazobactam du 14.09 au 24.09.2019 et du 25.09 au 14.10.2019 • Ciprofloxacine et Metronidazole le 24.09.2019 • Fluconazole du 14.09 au 25.09.2019 • Cancidas du 25.09.2019 au 10.10.2019. • Traitement complexe de rééducation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie. • Polyneuropathie du membre inférieur droit • Sous Pregabaline. • Polype sessile de 5 mm au niveau du transverse le 22.01.2020 • Polypectomie. • Dépression majeure en 2013 avec tentamen médicamenteux. • Polypes coliques • Polypes nasaux sous Avamys • Polypnée chronique • DD origine centrale, origine médicamenteuse • Polypose naso-sinusienne. • Entorse de chopart pied gauche. • Hypotension orthostatique. • Bronchite virale. • Double cancer du sein de stade pT1c pN0 cMx « luminal B » HER2 positif à gauche et pT1b pN0 cMx « luminal A » à droite, traités par t-tumorectomie chimiothérapie Herceptin/Taxol, radiothérapie externe adjuvante, Herceptin depuis le 01.04.2019 et Letrozole depuis 09.2019. • Métastase ganglionnaire cervical. • Polyradiculonévrite dans le contexte d'un myélome multiple à IgG monoclonales +/- composante toxique (Velcade) • clinique : atteinte sensitive superficielle (y compris douleurs) et profonde, discrète atteinte motrice MI > MS stables ; atteinte dysautonomique régressive • Polysomnographie à 3 mois (patient sera convoqué) • Polytoxicomanie (héroïne, cocaïne, cannabis) • Polytoxicomanie le 11.03.2017 avec : • consommation quotidienne de cocaïne • consommation quotidienne de cannabis • Polytoxicomanie sevrée depuis un an (cocaïne, amphétamines, Tramal, Dormicum, cannabis). • Polytoxicomanie, sous Méthadone. • Traumatisme cérébral le 24.10.2010 avec séquelles neuropsychologiques (syndrome frontal, état confusionnel persistant, pas de syndrome sensitivo-moteur). • hématome épidural temporal droit. • contusion hémorragique frontale gauche. • hémorragies méningées diffuses. • oedème cérébral important, fracture de la voûte au niveau occipital droit. • Cytolyse d'étiologie indéterminée le 22.08.2014 avec hyperammoniémie et hyperbilirubinémie. • Syndrome extrapyramidal, désorientation spatio-temporelle, apathie, ralentissement psychomoteur. • Décompensation de BPCO d'origine indéterminée le 22.11.2019. • DD : surinfection bronchique. • Polytoxicomanie substituée, non sevrée : • héroïne • cocaïne • cannabis. • Polytoxicomanie, suivi par Dr. X au centre psycho-somatique de Fribourg. • Tabagisme actif (22 UPA). • Maladie de Scheuermann, discopathie cervicale, scoliose. • Trouble déficitaire de l'attention / hyperactivité. • Hépatite C chronique. • Polytrauma dans un accident de la voie publique à haute cinétique le 17.08.2019 avec : • Fracture du sternum oblique longitudinale non-disloquée à la jonction entre le tiers proximal et médian • Fracture tassement de L1 type A1 selon l'AO • Fracture sous-capitale MT 2-3-4 et fracture oblique P1O1, pied D • Polytrauma le 01.01.2020 avec • TCC léger avec fracture non déplacée de la lame papyracée à D et pneumorbite, • fracture de compression type I bassin selon Young boureges • fracture du tiers latéral multifragmentaire de la clavicule D dominante • fracture du manubrium sternal D • plaie frontale 3 cm (2 points simples le 01.01.2018) • plaie orbitale 1 cm (1 points simples le 01.01.2018) • Polytrauma sur accident de la voie publique le 03.01.2020 avec :Fracture multifragmentaire clavicule gauche Polytrauma sur AVP le 03.01.2020 avec : • Fracture multifragmentaire clavicule G • Contusion abdomino-pelvienne Polytraumatisé avec • fracture ouverte de l'os frontal et l'orbite, pas déplacée Polytraumatisé dans le cadre d'un accident de la voie publique le 05.03.2016 avec : • Traumatisme crânio-cérébral avec amnésie circonstancielle • Suspicion de lésion ligamentaire de C2 • Traumatisme facial fracture de l'os propre du nez et multiples plaies • Contusion cardiaque • Fracture du sternum • Micro-pneumothorax apical droit Traumatisme thoracique le 05.03.2016 avec : • Fracture du sternum • Contusion cardiaque Suspicion de lésion ligamentaire de C2 le 05.03.2016 IRM cervicale : pas de lésion : Pas d'argument, sur cet examen, en faveur d'une lésion ligamentaire du ligament longitudinal antérieur et postérieur. Discrètes altérations compatibles avec une distorsion des structures musculaires et/ou ligamentaires entre les apophyses épineuses de C2-C3 et C3-C4. Traumatisme facial avec : • Fracture ouverte de l'os propre du nez • plaie de la région frontale, nez, fente labiale, menton Cytolyse hépatique et rhabdomyolyse modérées Polytraumatisé le 09.11.19 avec TC et PC. Fracture du processus transverse D1. Fracture costale G D2-D4. Fracture de l'omoplate G, s'étendant dans la glène non déplacée. Polytraumatisé suite à un accident de la voie publique avec : • fracture ouverte de l'os frontal et l'orbite, pas déplacée Polytraumatisme > TCC mineur > fracture foramen sacré S1 gauche > fracture branche iliopubienne qui s'étend à la symphyse, peu déplacée + ischiopubienne gauche > petit hématome extrapéritonéal paravésical > hématomes des muscles obturateurs internes et externes > Infiltrats en verres dépolits, compatibles avec des contusions pulmonaires (à confirmer par radiologue) Polytraumatisme à moto le 20.06.2016 avec : • fracture non déplacée de la branche ischio-pubienne G. • fracture non déplacée de l'aile iliaque D. • fracture instable de L4 de compression et de distraction • fractures sous-capitales des métatarses 2-3-5 G. • fracture comminutive intra-articulaire non déplacée de l'os naviculaire G. • fracture non déplacée de la partie postérieure de l'os cunéiforme latéral G. • fracture longitudinale de la rotule D. Corps étranger (bois) pouce D face palmaire niveau P2 en 2012 Polytraumatisme avec : Corps étranger (bois) pouce D face palmaire niveau P2 en 2012 Fracture instable L4 de compression et de distraction (composante split A2 et distraction B1) ; le 20.06.2016 Mobilisation en bloc du 20 au 24.06.2016. Cyphoplastie bipédiculaire de L4 par système SpineJack 5, et cimentage par Cohésion 3.4 cc. Spondylodèse parcutanée L3-L5 par système Viper (vis 6.0/50) Fracture splénique de grade III le 20.06.2016 Fractures des têtes des métatarsiens II, III et V G. Fracture comminutive intra-articulaire non déplacée de l'os naviculaire G. Fracture non déplacée de la partie postérieure de l'os cunéiforme latéral G ; le 20.06.2016 Fracture longitudinale de la rotule genou D type AO 34-B1.1 Pneumothorax bilatéral post-traumatique le 20.06.2016 Contusion du pôle supérieur du rein G ; le 20.06.2016 Polytraumatisme avec chute d'environ 3m le 10.05.2019 avec : • Fractures-tassement L1 et L2 type A1 • Fracture non déplacée de la lame de S4 à D Polytraumatisme suite à une chute de 26 m le 19.04.18 avec : • Fracture oblique diaphyse proximale de la fibula G • Déchirure sévère partielle du ligament croisé antérieur G • Hématome du muscle sural G • Fracture côtes D 9, 10, 11 à G • Hémothorax G • Pneumothorax G • Fracture des processus transverses L2-L3 ddc L4 G • Syndrome de Morel-Lavallée lombaire, drainé • Lacération rate grade III-IV • Lésions multifocales du parenchyme rénal gauche • TCC léger Colique néphrétique mai 2018 Syndrome lombo-vertébral persistant mars 2013 • post-traumatique (chute dans les escaliers décembre 2012) • Oswestry 52 % le 26.03.2013 Troubles somatoformes post-polytraumatisme le 19.04.18 avec : • troubles fonctionnels moteurs (trouble dissociatif moteur et de la marche) • trouble algique (lombaire, costal G) • trouble du sommeil • trouble neurocognitif (mémoire, attention, fonctions exécutives) probablement fonctionnel (bilan neuropsychologique 15.10.18, HFR, 2ème évaluation, IRM cérébral 30.05.18) • présence de signes positifs : signe d'incohérence, trouble de la marche avec marche non économique et fluctuation, déséquilibre non systématisé et fluctuant. • distractibilité • auto-limitation Questionnaire PACT le 29.11.18 : 57 pts, dissociation 4 pts : auto-limitation, incohérence interne Ergothérapie Physiothérapie : • Test Shirado + Sorensen 27.11.18 : non réalisable (douleur) • Test Shirado + Sorensen 28.11.18 : 15 secondes. Sevrage des opiacés Poursuite physiothérapie en ambulatoire Suivi psychiatrique et psychologique adapté au trouble fonctionnel à prévoir en ambulatoire Syndrome post-contusion labyrinthique le 19.04.18 • avec vertiges positionnels intermittents Diagnostic différentiel : origine fonctionnelle (cf diagnostic principal), origine médicamenteuse (opiacé) Suivi ORL à Berne le 04.12.18 Déchirure sévère partielle du ligament croisé antérieur suite à polytraumatisme le 19.04.18 • avec phénomène de lâchage, non invalidant • IRM 12.06.18 Suivi orthopédique à Berne Reflux gastro-œsophagien 26.11.18 Pantoprazole 20 mg dès le 26.11.18 Polytraumatisme suite à une chute de 26 m le 19.04.2018 avec : • fracture oblique diaphyse proximale de la fibula G.• déchirure sévère partielle du lig croisée antérieur G. • hématome du muscle sural G. • fracture côtes D 9, 10, 11 à G. • hémothorax G. • pneumothorax G. • fracture des processus transverses L2-L3 ddc L4 G. • syndrome de Morel-Lavallée lombaire, drainé. • lacération rate grade III-IV. • lésions multifocales du parenchyme rénal gauche. • TCC léger. Colique néphrétique mai 2018. Syndrome lombo-vertébral persistant mars 2013. • post-traumatique (chute dans les escaliers décembre 2012). • Oswestry 52 % le 26.03.2013. Troubles somatoformes post-polytraumatisme le 19.04.18 (cf antécédent) avec : • troubles fonctionnels moteurs (trouble dissociatif moteur et de la marche). • trouble algique (lombaire, costal G). • trouble du sommeil. • trouble neurocognitif (mémoire, attention, fonctions exécutives) probablement fonctionnel (bilan neuropsychologique 15.10.18, HFR, 2ème évaluation, IRM cérébral 30.05.18). • présence de signe positif : signe d'incohérence, trouble de la marche avec marche non économique et fluctuation, déséquilibre non systématisé et fluctuant. • distractibilité. • auto-limitation. Questionnaire PACT le 29.11.18 : 57 pts, dissociation 4 pts : auto-limitation, incohérence interne. Ergothérapie. Physiothérapie : • Test Shirado + Sorensen 27.11.18 : non réalisable (douleur). • Test Shirado + Sorensen 28.11.18 : 15 secondes. Sevrage des opiacés. Poursuite physiothérapie en ambulatoire. Suivi psychiatrique et psychologique adapté au trouble fonctionnel à prévoir en ambulatoire. Syndrome post-contusion labyrinthique le 19.04.18. • avec vertige positionnels intermittents. Diagnostic différentiel : origine fonctionnelle (cf diagnostic principal), origine médicamenteuse (opiacé). Suivi ORL à Berne le 04.12.18. Déchirure sévère partielle du lig croisée antérieur suite à polytraumatisme le 19.04.18. • avec phénomène de lâchage, non invalidant. • IRM 12.06.18 (St Thérèse). Suivi orthopédique à Berne. Reflux gastro-oesophagien 26.11.18. Pantoprazol 20 mg dès le 26.11.18. Polytraumatisme sur accident de la voie publique (cycliste contre voiture, 20 km/h) le 09.01.2020 • hématome sous-dural para-falcoriel gauche de 5 mm • fractures cervico-dorsales cf. point spécifique Polytraumatisme sur accident de la voie publique de basse cinétique en 2015 : • fractures des arcs antérieurs des côtes I-II-III-IV-V à droite, non déplacées • fractures des arcs antérieurs des côtes I-II à gauche, non déplacées • pneumothorax bilatéral • emphysème sous-cutané antérieur bilatéral, prédominant à droite • fracture branche ischio-pubienne droite Dermohypodermite maxillaire gauche d'origine probablement dentaire, le 06.08.2019 Tensions artérielles mal contrôlées le 06.08.2019 avec diminution spontanée des dosages de Ramipril dès le 31.07.2019, introduction d'Amlodipine 5 mg 1x/j Polytraumatisme sur AVP à haute vélocité, le 13.12.2019 avec : 1) fracture-luxation tri-malléolaire ouverte Gustilo 2 cheville D 2) fracture non déplacée du processus antérieur du calcanéum D 3) impaction du dôme de l'astragale D 4) fracture du processus transverse de la vertèbre L1 à D et des vertèbres L2-L4 ddc 5) coup du lapin avec cervicalgies C7-D1 Polytraumatisme sur AVP le 05.12.2019 avec : 1) fracture diaphysaire déplacée avec wedge fémur D 2) fracture du bassin type LC2 selon Young & Burgess 3) fracture 4 parts de l'humérus proximal D, plurifragmentaire 4) décollement pleural au niveau apical et para-vertébral D de <3 mm, contusion pulmonaire D 5) traumatisme crânien simple avec plaie pariéto-occipitale à G 6) lésion du compartiment externe du genou G Polytraumatisme sur AVP le 16.12.2019 avec : 1) fracture multifragmentaire déplacée du corps de l'omoplate à G 2) entorse colonne cervicale 3) pneumothorax apical G 4) fractures costales multiples à G : fracture déplacée arc antérieur de la 3ème côte, fracture discrètement déplacée de l'arc latéral de la 4ème côte, fracture de l'arc postérieur des 5ème, 7ème et 8ème côtes Polytraumatisme sur AVP le 18.05.2018 avec : 1. fracture du col chirurgical de l'humérus droit 2. fracture plurifragmentaire du plateau tibial gauche s'étendant aux éminences intercondyliennes et à la métaphyse, faiblement déplacée. Fracture plurifragmentaire de la tête et col fibulaire non déplacée. 3. traumatisme thoracique avec fracture scapula droite et fracture arc costal 11ème côte droite 4. fracture sacrum + branche ischio-pubienne gauche (compression latérale G) 5. hémorragie sous-arachnoïdienne droite 6. contusion myocardique 7. contusion hépatique 8. plaie du coude gauche Interventions : 1. fracture du col chirurgical de l'humérus droit : réduction ouverte et ostéosynthèse humérus proximal D par plaque Philos le 22.05.2018 2. fracture du plateau tibial G : réduction fermée et mise en place d'un fixateur externe (Tenxor et Hoffman II) le 01.06.2018. Ablation du fixateur externe jambe G le 06.09.2018. 3.-8. traitement conservateur et surveillance Polytraumatisme sur AVP le 18.12.2019 avec : 1) décollement pleural apical G et antérieur en regard du lobe moyen à D, minime lame d'épanchement pleural à D 2) dissociation spino-pelvienne avec fracture des ailerons latéraux, type Denis I à D et Denis II à G, fracture transverse (S2) du sacrum 3) fracture du processus transverse de L5 bilatérale, fracture du plateau supérieur de D9 sans perte de hauteur significative, sans recul du mur postérieur, fracture du plateau supérieur de L1, sans perte de hauteur significative, sans recul du mur postérieur 4) fracture du sternum 5) fracture de l'arc antérieur et latéral 2ème côte à D, fracture de l'arc antérieur des côtes 3 à 7 à D, fracture de l'arc antérieur des côtes 5 à 7 à G 6) fracture de l'humérus proximal D, multifragmentaire, impactée en varus Polytraumatisme sur AVP le 18.12.2019 avec : 1) décollement pleural apical G et antérieur en regard du lobe moyen à D, minime lame d'épanchement pleural à D 2) dissociation spino-pelvienne avec fracture des ailerons latéraux, type Denis I à D et Denis II à G, fracture transverse (S2) du sacrum 3) fracture du processus transverse de L5 bilatérale, fracture du plateau supérieur de D9 sans perte de hauteur significative, sans recul du mur postérieur, fracture du plateau supérieur de L1, sans perte de hauteur significative, sans recul du mur postérieur 4) fracture du sternum 5) fracture de l'arc antérieur et latéral 2ème côte à D, fracture de l'arc antérieur des côtes 3 à 7 à D, fracture de l'arc antérieur des côtes 5 à 7 à G 6) fracture de l'humérus proximal D, multifragmentaire, impactée en varus Polytraumatisme sur chute à vélo le 31.08.2019 avec : 1) traumatisme crânio-cérébral compliqué avec : • HSA frontale D millimétrique • fracture pariétale D • fracture du rocher D longitudinale, limitée à l'os mastoïde (sans atteinte du labyrinthe ni des osselets) • comblement du sinus sphénoïdal 2) traumatisme thoracique avec : • fractures costales 5 à 7 sans volet costal • pneumothorax à D de 14 mm (secondaire à l'embarrure de la 7ème côte) avec contusion pulmonaire en regard 3) fracture du tiers moyen, plurifragmentaire, clavicule D 4) fracture de l'aile de l'omoplate D Polytraumatisme sur chute de 3 m sous OH le 01.01.2020 avec : 1) fracture tête radiale G type Mason I 2) fracture intra-articulaire, peu déplacée, de l'os pisiforme main G 3) Fracture non déplacée du foramen sacré S1 G 4) Fracture peu déplacée branche ilio-pubienne s'étendant à la symphyse et fracture branche ischio-pubienne G 5) Contusion avec hématome extra-péritonéal para-vésical 6) Contusion avec hématome des muscles obturateurs interne et externe 7) Contusions pulmonaires Polytraumatisme sur chute d'environ 3 m avec: • TCC mineur • suspicion de fracture Mason I de la tête radiale • fracture intra-articulaire peu déplacée de l'os pisiforme main gauche • fracture pas déplacée foramen sacré S1 gauche • fracture branche ilio-pubienne qui s'étend à la symphyse, peu déplacée et ischio-pubienne gauche • petit hématome extra-péritonéal para-vésical • hématomes des muscles obturateurs internes et externes • Infiltrats en verres dépolis, compatibles avec des contusions pulmonaires. Polytraumatisme sur chute d'environ 3 m avec: • traumatisme crânien mineur • fracture Mason I de la tête radiale coude gauche • fracture intra-articulaire peu déplacée de l'os pisiforme main gauche • fracture pas déplacée foramen sacré S1 à gauche • fracture branche ilio-pubienne qui s'étend à la symphyse, peu déplacée et ischio-pubienne gauche • petit hématome extra-péritonéal paravésical • hématomes des muscles obturateurs internes et externes • Infiltrats en verres dépoli compatibles avec des contusions pulmonaires. Polytraumatisme sur chute le 07.12.2019 avec: 1) Fracture péri-prothétique type Vancouver fémur à G • Implantation PTH G le 16.04.2015 pour une fracture du col fémur 2) Fracture sous-capitale de l'humérus proximal à G 3) Fracture multifragmentaire de l'ulna distal, ouverte Gustilo 2 à G 4) Fracture masse sacrale antéro-supérieure, non déplacée, à D 5) Traumatisme crânien simple 6) Contusion du thorax Polytraumatisme sur chute le 25.05.2018 avec: • traumatisme thoracique avec pneumothorax • traumatisme crânien, sans perte de connaissance, avec hématome sous-galéal pariéto-occipital G • plaie profonde pré-tibiale G • plaie occipitale • contusions multiples tibia ddc, 1er rayon pied G • trouble dépressif récurrent, épisode actuel léger en juin 2018 • idées suicidaires en avril 2018 avec hospitalisation en mode volontaire à Marsens • plaie profonde Dig I main G en juin 2015 Polyurie d'origine indéterminée le 28.10.2018 DD: cerebral salt wasting syndrome, diabète insipide, sonde urinaire transitoirement coudée Traumatisme crânio-cérébral sévère le 24.10.2018 avec: • HSA fronto-pariétale droite • Hémorragie intraparenchymateuse occipito-cérébelleuse droite • Thrombose du sinus transverse droit • Fracture de la base du crâne à droite, occipitale droite, passant par le tubercule jugulaire et s'étendant dans le condyle occipital, se prolongeant possiblement à travers le canal de l'hypoglosse à droite • Possible activité épileptique sur foyer irritatif temporale gauche • Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation: ralentissement psychomoteur, labilité émotionnelle, légère aphasie motrice, légers troubles attentionnels, nystagmus horizontal droite (syndrome cérébelleux oculaire droite). Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie et logopédie Nouvelle hémorragie temporale gauche avec engagement minime sous tentorielle et majoration d'une hémorragie intraparenchymateuse frontobasale gauche le 28.10.2018 Crise d'épilepsie sur foyer irritatif temporo-frontal gauche le 28.10.2018 Thrombose du sinus transverse à droite en regard de la fracture Contrôle ophtalmologique en ambulatoire HFR Cantonal le 18.12.18: Résolution clinique, stop traitement. (rapport à pister pour détails) Aphasie nouvelle secondaire à une épilepsie temporale frontale le 28.10.2018 Fractures du massif facial avec: • fracture déplacée du toit de l'orbite droite et non déplacée du plancher • fracture du toit de l'orbite gauche • fracture transverse de l'épine de l'os sphénoïdal droit • hématome rétro-orbital droite Fractures du bassin: • fracture branche ischio-pubienne droite multi-fragmentaire • fracture branche ilio-pubienne droite non déplacée • fracture aileron sacré droit Syndrome de renutrition le 28.10.2018 Polyurie d'origine indéterminée le 28.10.2018. Traumatisme crânio-cérébral sévère le 24.10.2018. Nouvelle hémorragie temporale gauche avec engagement minime sous tentorielle et majoration d'une hémorragie intraparenchymateuse fronto-basale gauche le 28.10.2018. Crise d'épilepsie sur foyer irritatif temporo-frontal gauche le 28.10.2018. Thrombose du sinus transverse à droite en regard de la fracture. Aphasie nouvelle secondaire à une épilepsie temporale frontale le 28.10.2018. Fractures massif facial avec: • fracture déplacée du toit de l'orbite droit et non déplacée du plancher • fracture du toit de l'orbite gauche • fracture transverse de l'épine de l'os sphénoïdal droit • hématome rétro-orbital droit. Fractures du bassin avec: • fracture branche ischio-pubienne droite multi-fragmentaire • fracture branche ilio-pubienne droite non déplacée • fracture aileron sacré droit. Syndrome de renutrition le 28.10.2018. Polyurie, polydipsie Polyurie post levée d'obstacle le 26.12.2019 Pompe de morphine en iv continu Clexane thérapeutique 60 mg 2x/jour Pompe de morphine puis fentanyl iv continu Ablation de drain thoracique sous sédation Ponction articulaire du genou G le 30.12.2019 Révision de PTG à G avec débridement, synovectomie, lavage articulaire et changement du polyéthylène. (OP le 31.12.2019) Ponction articulaire épaule G, le 15.11.2019: liquide trouble, beige avec 70'350 éléments, 97% PNN, 5000 érythrocytes. Rinçage arthroscopique, prélèvements épaule G (OP le 16.11.2019) Microbiologie: Hémocultures du 15.11.2019: nég. Culture des prélèvements peropératoires épaule G: nég. à J2 Incubation prolongée: nég. à J5 PCR eubactérienne liquide intra-articulaire (CHUV): négative Consilium d'infectiologie du 18.11.2019 + suivi (en annexe) Antibiothérapie: • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 16 au 18.11.2019 • Clindamycine 600 mg 3x/j p.o. et Ciproxine 500 mg 2x/j p.o. dès le 19.11.2019, jusqu'au 19.12.2019 Risque d'allongement du QT et de tendinopathie sous Ciprofloxacine Ponction articulaire le 13.01.2020 Lavage, rinçage et débridement avec changement polyéthylène PTG G (OP le 12.01.2020, Dr. X) Culture Redon (bout du drain/ liquide): à effectuer lors de l'ablation Noradrénaline du 12.01.2020 au 13.01.2020 Co-Amoxicilline du 12.01 au 13.01.2020 Ceftriaxone dès le 13.01.2020 Cathéter artériel radial D du 12.01 au 14.01.2020 Ponction d'ascite (Dr. X): Evacuation de 6000 mL de liquide citrin Supplémentation Albumine 60 mg Cytologie: en cours Bactériologie Chimie Antibioprophylaxie par Ceftriaxone 2g IV Ponction d'ascite le 10.01.2020 Supplémentation Albumine 60 mg Rocéphine i.v. dès le 10.01.2020, prévu jusqu'au 15.01.2020 Ponction d'ascite le 23.01.20 Drain abdominal du 23.01 au 28.01.20: 13 L Albumine 100 g le 23.01.20 Cytologie (Promed C2020.88) 23.01.2020: localisation péritonéale (carcinose) d'un carcinome séreux de haut grade PerEp4+, WT+, Pax8+, P53+ (liquide d'ascite) Marqueurs tumoraux le 25.01.20: CA 125 4390 U/ml, CA 19-9 négatif, CA 15-3 45.6 U/ml, alpha-foetoprotéine négative, beta HCG négatif CT thoraco-abdominal le 24.01.20 Consilium gynécologie le 27.01 et le 28.01.20 Tumor Board le 28.01.20: proposition d'une chimiothérapie néo-adjuvante, évaluation d'un debulking chirurgical à la suite et demande d'avis onco génétique à la recherche des mutations associées Sérologies HAV, HBV, HCV et VIH le 23.01.2020: négatives Sérologies EVB, CMV 24.01.20: CMV négatif, EBV ancienne infection Consultation oncologique ambulatoire: Dr. X le 06.02.2020 à 11h30 pour discuter et débuter la chimiothérapie néo-adjuvante Ponction diagnostique genou G (OP le 21.11.2019) Antibiothérapie : • Rocéphin 2 g du 18.11. au 21.11.2019 • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 21.11. au 22.11.2019 • Floxapen 2 g 4x/j i.v. du 21.11. au 22.11.2019 puis stop Pas de prise en charge opératoire selon souhait de la famille de Mme. Y avec arrêt de l'antibiothérapie ; retransfert à Tafers le 22.11.2019 pour soins de confort en accord avec Dr. X de la médecine interne de Tafers. Ponction drainage ou diurétique selon évolution Ponction drainage pleural selon évolution Ponction environ 10 ml de liquide clair par orthopédiste. Liquide trouble, éléments 7997/mm3, érythrocytes 56000/mm3, PMN 70%, monocytes 14%, lymphocytes 16%, cristaux introuvables. GRAM négatif. Culture liquide articulaire en cours. Dr. X informée des résultats ce jour le 03.01 - organise la suite de la prise en charge. Ponction évacuatrice en condition stérile (90 cc de sang). Mise en place d'un pansement stérile. Réfection des pansements des cicatrices. Ponction évacuatrice et diagnostic aux services des urgences (2 litres), pathologie Promed le 03.01.2020 : absence de cellule suspecte de malignité. Radiographie du thorax le 03.01.2020 : pas de pneumothorax. Radiographie du thorax le 04.01.2020 : persistance de l'épanchement pleural droit au 2/3 de la plage pulmonaire. Antigène urinaire Légionelle et Pneumocoques le 04.01.2019 : négatifs. 2 paires d'hémocultures le 03.01.2020 : négatives à J3. Co-Amoxicilline IV du 03.01 au 08.01.2020 Ponction hanche D (OP le 08.01.2020) Liquide de ponction hanche D d'aspect trouble, citrin avec 6735 éléments, 9% PMN, cristaux introuvables. Microbiologie du liquide de ponction hanche D négatif. Hémocultures du 07.01.2010 négatives. Ponction hanche D sous an. locale (OP le 29.11.2019). Ponction hanche D sous an. générale (OP le 03.12.2019). Révision de la PTH D par débridement extensif, changement des pièces mobiles, prise de prélèvements, rinçage hanche D (OP le 10.12.2019). PCA du 10.12. au 15.12.2019 Microbiologie • Hémocultures 29.11.2019: négatives. • Ponction PTH D 29.11.2019 : négative. • Ponction PTH D 03.12.2019 : positive à Staph. epidermidis (1 colonie). • Biopsies hanche D 10.12.2019 : négatives. PCR du 03.12.2019 : négative. Consilium d'infectiologie du 03.12.2019 + suivi. Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 29.11. au 13.12.2019 • Co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. du 13.12. au 16.12.2019 • Bactrim forte 3x1/j p.o. dès le 16.12.2019, jusqu'au 09.03.2020 Diagnostic anatomopathologique (prélèvements hanche D du 11.12.2019) - Rapport Promed du 16.12.2019 en annexe. Ponction le 20.01.2020 Prochaine consultation le 04.02.2020. Ponction pleurale droite le 15.01.2020 • exsudat 600 ml • culture : négative à 2 jours Ponction pleurale droite le 15.01.2020 : retrait de 600 ml (exsudat). Culture en cours. Ponction PTH G sous contrôle scopique. Repérage de l'articulation à la scopie puis ponction intra-articulaire. Retrait de 1 ml de liquide séreux-sanguinolent envoyé en sérologie. Injection de 6 ml de NaCl dans l'articulation puis retrait d'environ 4 ml qui sont envoyés en microbiologie. Retrait de l'aiguille et pansement stérile. Discussion des résultats le 04.02.2020. Ponstan supp 125 mg 4x/jour et dafalgan supp 300 mg en réserve. Poursuite de l'amoxicilline. Consigne d'hydratation fractionnée. Consigne de reconsulter en cas de péjoration clinique. Pontage aorto-fémoral à droite en 1990 à Lausanne. Thrombectomie du membre inférieur droit en 1996. Reconstruction du carrefour fémoral droit par une interposition d'un pontage prothétique court après une thrombectomie du jambage et de la fémorale profonde ; protection de l'axe ilio-fémoral droit par un cathéter de Fogarty à gauche le 24.09.2009, sous Aspirine cardio. Fibrillation auriculaire tachycarde jusqu'à 155/min au moindre effort. Probable décompensation cardiaque le 11.03.2018. Décompensation cardiaque sur extrasystolie ventriculaire de haute incidence dans le contexte d'une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire normale le 11.06.2018. Pontage fémoro-poplité droit. Pontage fémoro-poplité sus-géniculé droit par grande veine saphène ipsilatérale inversée, le 16.01.2020 (Dr. X). Pontage fémoro-poplitée droite avril 2019. S/p infarctus du myocarde avec pose de 2 stents en octobre 2008. Porencéphalie dans l'enfance avec : • lobectomie et trépanation à Zurich avec épilepsie sous trithérapie. Epilepsie. Arthrose. Porphyrie cutanée. Hémochromatose. Polyneuropathie diabétique. Sténose de l'urètre. AOMI stade 1. Insuffisance veineuse stade 3. HTA traitée. SAOS non traitée. Port de bas à varices pendant 6 semaines. Rendez-vous en policlinique le 23.01.2020 à 14h30 pour réfection des pansements. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Port d'un pacemaker DDDR probablement pour insuffisance chronotrope, implanté initialement en 1997, remplacé le 08.06.2015 (dernier contrôle le 28.11.2017 - Dr. X). HTA. Hypercholestérolémie. Polyarthrite rhumatoïde. Discarthrose multi-étagée avec spondylolisthésis L4-L5 avec sténose foraminale. Suspicion syndrome articulation sacro-iliaque D. Trochantérite D. Syndrome sacro-iliaque D en status post-infiltration le 28.02.2017. Déficit en acide folique. Trouble dépressif. Portage anovaginal du Streptocoque du groupe B. Portage cervical de C.trachomatis sur frottis cervical du 13.01.2020. Portage génital de Streptocoque du groupe B. Portage streptocoque B positif au niveau ano-vaginal. Portage streptocoques du groupe B. Portage VRE positif (hospitalisé en 01.2020 en Allemagne). Porteur E. Coli ESBL au niveau anal (frottis anal du 16.03.2017 - HUG). Lymphome hodgkinien non classique à prédominance lymphocytaire et nodulaire stade IIIa, diagnostiqué le 16.11.2010, actuellement sans évidence scannographique de récidive du lymphome. Porteur MRSA. Pose de PTG avec ostéotomie de la TTA genou D (OP le 10.12.2019). Pose de bandelette TOT sous anesthésie générale le 30.01.2020. Pose de cathéter de dialyse jugulaire interne droit sous échoguidage le 28.01.2020. 5 séances de plasmaphérèse : • 1ère séance le 28.01.2020 : volume d'échange 2600 ml, 6 flacons d'albumine 5%.• 2ème séance le 29.01.2020 : volume d'échange 2500 ml, 6 flacons d'albumine 5% • 3ème séance le 30.01.2020 : volume d'échange 2500 ml, 5 flacons d'albumine 5% et 2 PFC Contrôle de la coagulation 4 heures après la fin de la plasmaphérèse Prophylaxie antithrombotique par enoxaparine 20 mg 1x/jour le soir si fibrinogène >= à 1.0 mmol/l Contrôle des immunoglobulines avant la dernière séance IRM cérébrale le 30.01.2020 à 15h30 : Ac anti-Aquaporine 4 et anti NMO négatifs Pose de cathéter de dialyse jugulaire interne droit sous échoguidage le 28.01.2020 5 séances de plasmaphérèse : • 1ère séance le 28.01.2020 : volume d'échange 2600 ml, 6 flacons d'albumine 5% • 2ème séance le 29.01.2020 : volume d'échange 2500 ml, 6 flacons d'albumine 5% Contrôle de la coagulation 4 heures après la fin de la plasmaphérèse Prophylaxie antithrombotique par enoxaparine 20 mg 1x/jour le soir si fibrinogène >= à 1.0 mmol/l Contrôle des immunoglobulines avant la dernière séance IRM cérébrale le 30.01.2020 à 15h30 : Ab anti-Aquaporin4 et anti NMO négatifs Pose de cathéter de dialyse jugulaire interne droit sous échoguidage le 28.01.20 5 séances de plasmaphérèse : • 1ère séance le 28.01.2020 : volume de réinjection 2700 ml, 6 flacons d'albumine. Contrôle de la coagulation le 28.01.2020 à 20h00 Contrôle des immunoglobulines avant la dernière séance Prophylaxie antithrombotique par enoxaparine 20 mg 1x/jour le soir si fibrinogène >= à 1.0 mmol/l IRM cérébrale à organiser au cours du séjour ! Pose de cystofix le 30.12.2019 Sédiment du 30.12.2019 Maintien du cystofix jusqu'à circoncision à prévoir en ambulatoire Pose de filets pour hernies anamnestiques Pose de GPR le 24.01.2020 Alimentation entérale Suivi diététique Pose de pacemaker Pose de pacemaker AAI DDD le 23.01.2020 (Dr. X) • compatibilité IRM à 3 T corps entier Radiographie thoracique le 23.01.2020 Pose de pacemaker AAI-DDD IRM-compatible le 05.12.2019 (Dr. X) Contrôle de pacemaker le 05.12.2019 Pose de pacemaker bicaméral le 30.01.2020 Radiographie de thorax le 30.01.2020 Contrôle de pacemaker le 30.01.2020 et le 31.01.2020 Avis cardiologique (Dr. X) : au vu des salves de TV au holter, propose du Bisoprolol 2,5 mg. Pose de pacemaker CRT-D (Dr. X) le 21.01.2020 Pose de pacemaker CRT-D le 16.01.2020 (Dr. X) : Stimulation DDD, IRM compatible, No. de série RPB616367S Contrôle post-opératoire du pacemaker le 16.01.2020 Radiographie thoracique de contrôle le 16.01.2020 Apixaban mis en pause du 13.01 au 16.01.2020, puis reprise à partir du 17.01.2020 Pose de pacemaker CRT-D par Dr. X (HFR Fribourg) et Dr. X, Payerne (Tel : 0263062080) : 23.01.2020 Radiographie du 23.01.2020 Pose de pacemaker en 2010 pour bradycardie Thermoablation pour flutter en 2014 TVP 2016, non provoquée, sous Xarelto à long terme Pose de pacemaker en 2010 pour bradycardie Thermoablation pour flutter en 2014 TVP 2016, non provoquée, sous Xarelto à long terme Pose de pacemaker en 2010 pour bradycardie Thermoablation pour flutter 2014 TVP 2016 Pose de pacemaker le 28.01.2019 en mode VVI Poursuite du traitement habituel par Diltiazem Rx thorax Attitude : • contrôle en cardiologie le 03.03.2020 • Mr. Y prendra RDV dans une semaine chez son médecin traitant Pose de pacemaker unicaméral le 09.01.2020, Dr. X Rx de thorax le 09.01.2020 Contrôle de pacemaker le 09.01.2020 Pose de pacemaker VVI le 28.02.2020 : • indication : bradycardie et fibrillo-flutter auriculaire • compatibilité à une IRM 3 Tesla corps entier Pose de PEG Pose de permacath jugulaire D en 02/2019 PTH de hanche D non datée Cholécystectomie non datée Appendicectomie non datée Ulcère gastrique non daté AVC ischémique il y a 20 ans (Sonnenhof / Inselspital) Pneumonie lobaire moyenne droite le 07.10.2019 Pose de permacath jugulaire D en 02/2019 PTH de hanche D non datée Cholécystectomie non datée Appendicectomie non datée Ulcère gastrique non daté AVC ischémique il y a 20 ans (Sonnenhof / Inselspital) Pneumonie lobaire moyenne droite le 07.10.2019 Pose de plaque DHS pour fracture hanche gauche Pose de prothèse de hanche droite Cholécystectomie Fracture péri-prothétique spiroïde du fémur droit Vancouver B, traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque et cerclages, le 11.09.2015 Sciatalgie droite (contexte de prothèse totale de hanche) le 28.08.2017 : • Canal lombaire étroit L4-L5 sur protrusion discale postérieure et hypertrophie des ligaments jaunes • Spondylarthrose • IRM lombaire : discopathies pluri-étagées avec protrusion discale et canal lombaire étroit Infection urinaire basse à E. faecalis le 31.08.2016 Insuffisance rénale AKIN 2 avec une créatinine à 193µmol/l le 29.09.2017 Troubles de la marche et de l'équilibre Volumineuse éventration ombilicale et deux petites éventrations épigastriques symptomatiques Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 08.06.2018 Chute de sa hauteur le 04.09.2019 avec : • Fracture transverse sus-acétabulaire légèrement déplacée à gauche, sans atteinte intra-articulaire visible (probable AO B1-3). • Fractures non déplacées des branches ilio- et ischio-pubiennes à droite. Infection urinaire basse le 05.09.2019 État confusionnel aigu hypoactif le 06.09 Insuffisance rénale aiguë d'origine mixte le 01.08.2019, Décompensation cardiaque globale sur sténose aortique serrée (0.65 cm2, gradient moyen 51 mmHg) QTc long à 508 ms (manuellement, Bazet) • Bradycardie Bradycardie sinusale à 53/min d'origine encore indéterminée avec • bloc AV 1er degré • DD maladie du sinus Bilan cardio Maladie coronarienne avec lésions bitronculaires en 09.2019 • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Occlusion de l'artère coronaire droite proximale. • Succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale sans stent. • Fraction d'éjection VG 60%. Pose de PM-Défibrillateur ICD préventif en 2009 • Changement de boîtier le 14.05.2018 • Infection du boîtier à Staphylococcus coagulase négative en juin 2018 (traitée par Co-Amoxicilline pendant 1 mois) • Ablation du boîtier le 25.06.2018 (actuellement : pas de pacemaker défibrillateur) • Occlusion embolique post-interventionnelle de l'artère fémorale gauche supérieure gauche avec revascularisation chirurgicale et patch-plastie le 25.06.2018 BPCO Gold stade II avec composante emphysémateuse • exposition à l'amiante • tabagisme actif à 1 paquet/j (50 UPA) • fonctions pulmonaires de 2019 : VEMS : 1.45 l (54%), DLCOc 26%, VO2 max. 14 ml/min/Kg • suivi par Dr. X Insuffisance cardiaque dilatée sur maladie coronarienne tritronculaire sévère • 1995 : Infarctus du myocarde antéroseptal lysé, Triple pontage aorto-coronarien (LIMA-RIVA, RCA veineuse, RCX veineuse) • 2003 : PTCA du pontage veineux thrombosé de manière sous-totale RCA. V-RCX : sténose à 25%; LIMA-RIVA Greffe non remarquable. Navires indigènes : fermeture prox. RIVA, circumflexa à fermeture distale sous-totale et occlusion proximale de RCA, FEVG 30-35% • 13.10.2009 : PTCA RCX, FEVG 20% • 21.06.2018 : Angiographie coronarienne : prox d'occlusion chronique. RIVA et prox. RCA ; LIMA-RIVA Greffe ouverte ; Veine RCA Sténose sténotique à 50% (endoprothèse), veine RCX : fermée ; sténose RCX distale significative (approximativement exempte de sténose de stent RCX) ; FEVG : 15-20% • IRM du 10.07.2018 : sténose pertinente du RCA. Myocarde viable dans la région de RCX et RCA, EF 25%. Sténose modérée de la valve aortique • 03.09.2018 : Angiographie coronaire avec angioplastie : veine de resténose des instants RCA (1xDES), sténose proximale du RIVPO (PTCA / 1xDES), resténose des instants RCX proximale (PTCA / 1xDES), occlusion du milieu RCX (recanalisation, PTCA / 1x), sténose bifurcation sévère RCX (PCI complexe avec PTCA / 1xDES), sténose proximale sous-totale de la 1ère branche marginale proximale (PCI complexe avec PTCA / 1xDES) ETO du 29.08.2019 : FEVG à 35 %, hypokinésie globale sévère Troubles du rythme multiples • salves de tachycardie ventriculaire monomorphe non soutenues le 11.08.2019 • tachycardies supraventriculaires récidivantes (14.08 au 16.08.2019) • FA paroxystique dans un contexte d'hypovolémie le 19.08.2019 • décompensation cardiaque sur passage en TSV le 07.09.2019 • récidive le 08.09.2019 Affections vasculaires multiples: • Thrombus flottant de l'oreillette droite découvert le 17.08.2019 • Thrombus de la veine jugulaire gauche le 17.08.2019 • Subocclusion du tiers distal de la carotide commune gauche sur plaque coralliforme (CT cervical du 08.08.2019) Clexane thérapeutique du 17.08 au 20.09.2019 Bridging peropératoire par Héparine IVC du 19.10 au 29.10.2019 Eliquis 5 mg bid dès le 21.09.2019 Contrôle angiologique le 3.12.2019 à 16h (HFR Fribourg) Anémie ferriprive avec Ferrum 7,6 µmol/l (le 18.11.2019) Laboratoire le 18.11.2019 : carence à fer Start avec Maltofer 100 mg dès le 19.11.2019 Dénutrition protéino-énergétique modérée SNG du 06.08 au 19.09.2019 avec nutrition entérale Reprise alimentation PO dès le 27.08.2019 Suivi nutritionnel Hypothyroïdie subclinique le 02.10.2019 T3 libre normal, T4 libre abaissé Contrôle biologique (le 18.11.2019) : TSH - 25,46 mU/l ; T3 - 3,07 pmol/l ; T4 - 8 pmol/l Sonographie thyroid (le 19.11.2019) : sans particularités Start avec Euthyrox 12,5 mg dès le 19.11.2019 Hypovitaminose multiple • Acidum Folicum 3,2 ng/l • Vitamin D 49 nmol/l Supplémentation de vitamines du groupe B Substitution Vitamin D Pose de port-à-cath le 17.01.2020 Chimiothérapie palliative du 28 au 30.01.2020 : (Perjeta, Herceptin, Taxotere, Dexaméthasone) Pose de sonde naso-gastrique Gazométrie Consilium chirurgical Pose de sonde vésicale le 02.12.2019 Sonde vésicale changé le 04.02.2020 Pose de sonde vésicale avec 1500 mL d'urines claires Pose de sonde vésicale en octobre 2019 pour rétention urinaire. Status post-cystoprostatite. Troubles mictionnels irritatifs sur cure de hernie discale L2-L3 gauche 2009 (Sonnenhof Berne). Décollement de la rétine gauche en 2003 et droite en 1998. Status post-cure de hernie inguinale bilatérale. Pose de sonde vésicale le 08.01.2020 avec 1500 mL d'urines claires Pose de sonde vésicale le 27.12 avec échec de sevrage le 30.12.2019 Retrait de la deuxième sonde le 02.01.2020 Pose de sonde 3 voies : ___ L d'urine sanguinolante Sédiment et culture d'urine US aux urgences (Dr. X) : dilatation pyélocalicielle à droite Consilium urologique (Dr. X) : couverture par rocephine (2 g aux urgences), cyclokapron, rinçages, suite avec le Dr. X Hospitalisation en chirurgie avec suivi urologique Revoir la thérapie actuelle avec Dr. X +/- CT selon avis Labo mercredi Pose de sonde 3 voies avec rinçages le 16.01.2020 jusqu'au 24.01.2020 Avis urologique Cystoscopie à prévoir à 3 semaines, si jugé nécessaire compte tenu de l'âge et des comorbidités de Mr. Y Reprise du Xarelto dès le 24.01.2020 Pose de sonde 3 voies Ceftriaxone le 21.01.2020 Cyklokapron 21.01.2020 - 23.01.2020 Rinçages vésicaux Pose de sonde 3V le 16.01.2020 Anticoagulation thérapeutique en suspens Avis urologique Cystoscopie à prévoir à 3 semaines Pose de TOT à prévoir dans un deuxième temps Pose de voie veineuse Bilan sanguin : pas de leucocytose, CRP 175 mg/l, pH 7.31, Bic 16, excès de base - 8,2 Bilan urinaire : corps cétoniques ++++ Réhydratation par NaCl 600 ml sur 1 heure Besoins d'entretien par Glucosalin Prise hydrique d'au moins 500 ml durant l'observation clinique sans vomissement ni diarrhée Retour à domicile avec hydratation fractionnée et contrôle dans 24 h aux urgences pédiatriques Consultation en urgence si péjoration de l'état général ou difficulté d'hydratation Pose de VS avec retrait de 1100 ml d'urines claires. Grand lavement Practomil avec quantités importantes de selles exonérées par la suite. Stix et sédiment urinaire : propres, cf. annexes. US des voies urinaires et résidu post-mictionnel prévu le 25.01.2020 à 9h suivi d'un contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Pose d'endoprothèse pour anévrisme infra-rénal de l'aorte (2014) Empyème droit à Fusobacterium nucleatum • Contexte de pneumothorax spontané sous tension drainé le 26.07.2019 • BPCO Gold 2 avec principale composante emphysémateuse Pneumothorax spontané sous tension dans un contexte de BPCO stade GOLD2 le 26.07.2019 : Pose d'une agrafe après désinfection au Hibidil, spray Opsite. Ablation de l'agrafe à J5 chez le pédiatre. Pose d'une prothèse totale de la hanche en 2011. Status post-appendicectomie. Status post-amygdalectomie. Épisode de rétention urinaire aiguë en 2013-2014. Hypokaliémie le 09.01.2017. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • STEMI antérieur sur subocclusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne le 09.01.2017 avec syncope sur TV/FV nécessitant 1 CEE en pré-hospitalier ; avec thrombectomie, angioplastie de l'IVA moyenne et implantation de 1 stent actif, le 09.01.2017 (Dr. X). • coronarographie le 09.01.2017 (Dr. X) : cardiopathie ischémique bitronculaire : sténose significative de l'IVA moyenne d'aspect thrombotique : thrombectomie, implantation d'un stent actif. Bon résultat, lésion intermédiaire de la partie proximale et de la partie moyenne de l'artère coronaire droite proximale. FEVG à 42 % • échocardiographie transthoracique le 11.01.2017 : FEVG à 48 %, akinésie apicale et hypokinésie antéro-septale. Pas de valvulopathie. Dysfonction diastolique légère. • coronarographie le 19.11.2019 (Dr. X) : bon résultat à long terme après PCI de l'IVA moyenne, sténose 80 % de l'IVA distale : PTCA/1 x DES : bon, bon résultat à long terme après PCI de l'ACD proximale, Fraction d'éjection VG 65 %. Pose d'une sonde urinaire Pose d'une sonde urinaire le 04.01.2020 Pose d'une sonde urinaire : retour de ____ mL d'urine. Stix et sédiment urinaire Pose d'une sonde vésicale le 20.01.2020. Avis urologique à reprendre. Pose d'une sonde vésicale le 29.12.2019 Pose d'une sonde vésicale Suivi clinique Pose d'une sonde 3 voies le 13.01.2020 par Dr. X, médecin-assistant d'urologie, avec rinçage en continu jusqu'au 16.01.2020, puis rinçages manuels en réserve. Cyclokapron le 15.01.2020 Pas d'investigations urologiques invasives après discussion avec Mr. Y et son fils le 13.01.2020 Proposition pour le retour à l'EMS : • sonde 3 voies laissée en place avec rinçages manuels en réserve si récidive • changer la sonde pour une sonde classique à 6 semaines • réévaluer la nécessité d'une intervention urologique si récidive d'une hématurie importante Pose élective de pacemaker Pose pacemaker VVI par Dr. X le 16.01.2020 pose sonde naso-gastrique Métoclopramide Possibilité d'effectuer une oxymétrie nocturne en ambulatoire Possible allergie au soleil Possible AVC ischémique mineur thalamique droit d'origine indéterminée avec paresthésies brachio-crurales gauches le 07.10.2015 Anévrisme sacciforme asymptomatique de l'artère communicante antérieure de 5 x 4 mm • s/p intervention Coiling au HUG 04/2016 Cardiopathie ischémique avec : • coronarographie en juin 2014 : sténose subtotale de la circonflexe distale avec pose d'un stent actif. L'IVA et la coronaire droite montrent un excellent résultat à long terme (Dr. X) • coronarographie en février 2012 : occlusion de la CD proximale, pose d'un stent (Dr. X) • coronarographie en 2006 : sténose non significative, 30-50 % au niveau de l'artère coronaire droite, fraction d'éjection 65% • status post-syndrome coronarien aigu type STEMI compliqué d'un choc cardiogène en 2004 • coronarographie en juillet 2004 : maladie tri-tronculaire, recanalisation et pose de stent au niveau de l'IVA proximale et moyenne et au niveau de la coronaire droite proximale Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Parathyroïdectomie avec diabète phosphaté Possible bronchite. Au vu de l'état général diminué, de la durée des symptômes, de l'absence d'amélioration et de la prise d'antibiotiques, contact avec la pédiatre de garde de Fribourg pour un transfert aux urgences pédiatriques pour évaluation par pédiatres. Possible broncho-aspiration Possible côlon irritable. HTA inaugurale en décembre 2017. BPCO Gold II. Exacerbation de BPCO d'origine infectieuse le 22.12.2017. Status post-rupture chronique partielle du tendon d'Achille à droite (réaction au Tavanic). Tendinopathie du tendon d'Achille gauche (réaction au Tavanic). Status post-thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 2009. Status post zona en 2007. Douleurs dorsales sur fractures de tassement. Douleur SCM gauche/art. sterno-claviculaire gauche suite à faux-mouvement. Possible côlon irritable. HTA inaugurale en décembre 2017. BPCO Gold II. Exacerbation de BPCO d'origine infectieuse le 22.12.2017. Tabagisme actif (50 UPA). Status post-rupture chronique partielle du tendon d'Achille à droite (réaction au Tavanic). Tendinopathie du tendon d'Achille gauche (réaction au Tavanic). Status post-thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 2009. Status post zona en 2007. Douleurs dorsales sur fractures de tassement. Douleur SCM gauche/art. sterno-claviculaire gauche suite à faux-mouvement. Rx thorax/clavicule G (Dr. X) : pas de fracture, pas de lésion osseuse. Antalgie. Physiothérapie. Possible côlon irritable HTA inaugurale en décembre 2017 BPCO Gold II Exacerbation de BPCO d'origine infectieuse le 22.12.2017 Tabagisme actif (50 UPA) Status post-rupture chronique partielle du tendon d'Achille à droite (réaction au Tavanic) Tendinopathie du tendon d'Achille gauche (réaction au Tavanic) Status post-thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 2009 Status post zon en 2007 Douleurs dorsales sur fractures de tassement Douleur SCM gauche/art. sterno-claviculaire gauche suite à faux-mouvement Rx thorax/clavicule G (Dr. X) : pas de fracture, pas de lésion osseuse Antalgie Physiothérapie Possible côlon irritable. Hypertension artérielle inaugurale en décembre 2017. Exacerbation de BPCO d'origine infectieuse le 22.12.2017. Status post-rupture chronique partielle du tendon d'Achille à droite (réaction au Tavanic). Tendinopathie du tendon d'Achille gauche (réaction au Tavanic). Status post-thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 2009. Status post-zona en 2007. Douleur dorsale sur fractures de tassement. Douleur au sterno-cléido-mastoïdien gauche et à l'articulation sterno-claviculaire gauche suite à un faux-mouvement. Possible composante parkinsonnienne, 11.0.2020 • Tremblement d'action • Marche à petits pas Possible conflit mécanique tibio-talaire en médial sur bec ostéophytaire. Status post-ostéotomie malléole externe, implantation prothèse cheville G type Trabecular Metal de Zimmer le 26.04.2019 pour une arthrose avancée post-traumatique cheville gauche avec kystes dans la partie distale du tibia sur : • Status post-ostéosynthèse du pilon tibial en 1992 en Italie. • Ablation du matériel d'ostéosynthèse en 1993. Possible contamination MRSA • voisine de chambre à Fribourg contaminée Possible contusion musculaire avec traitement symptomatique par irfen. Patient invité à reconsulter en urgences en cas de péjoration clinique ou de reconsulter son médecin traitant en cas de non-amélioration clinique. Possible corps étranger oeil droit, sans lésion cornéenne visualisée. Bursite inflammatoire olécranienne gauche. Entorse ligament latéral interne droit. Possible crise migraineuse. Possible début de décompensation cardiaque, 23.01.2020 • progression oedèmes des membres inférieurs, dyspnée. Possible début de décompensation cardiaque, 23.01.2020 • Progression OMI, Dyspnée Possible entésite biceps droit, dans contexte d'entésite à répétition avec suspicion d'atteinte rhumatologique sous-jacente. Possible entésite biceps droit, dans contexte d'entésite à répétition avec suspicion d'atteinte rhumatologique sous-jacente. Traitement par prednisone, novalgin, dafalgan et oxynorm. Organisation d'une consultation rhumatologique avec le Pr. X. Possible fissure coude G sur chute. Possible fracture du genou droit le 18.01.2020. Possible gastro-entérite virale. Possible hématochézie le 25.01.2020 (DD : hématurie macroscopique, menstruations). Possible kératite herpétique débutante. Possible lésion kystique d'environ 3 cm de diamètre de l'ovaire gauche le 06.01.2020. Possible luxation de l'épaule droite post-électrisation. Possible neuropathie du nerf plantaire latéral G branche sensitive du nerf tibial d'origine probablement compressive au décours (ENMG du 26.09.2019 Dr. X). Status post AMO plaque Pedus 2.7 mm, prise de prélèvements, curetage pseudarthrose, greffe osseuse par Tutoplast spongiosa, ré-arthrodèse naviculo-cunéiforme médiale et arthrodèse naviculo-cunéiforme intermédiaire pied G le 07.05.2019 sur pseudarthrose naviculo-cunéiforme médial pied G sur status post arthrodèse naviculo-cunéiforme médial le 02.11.2018 pour arthrose naviculo-cunéiforme médiale du pied G et status post infiltration de l'articulation naviculo-cunéiforme médiale du pied G le 17.05.2018. Possible passage de calcul urinaire. DD : lombalgie aiguë non déficitaire. Possible passage de calcul rénal. Possible pneumonie basale droite communautaire le 07.12.2016. Pneumothorax drainé en juin 2016 (Bâle). Cholecystectomie, appendicectomie probable (n'est pas sûr). Possible pneumonie, 12.01.2020 • DD bronchite • Sous traitement de Jakavi (effet secondaire fréquent) • Sous-Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour depuis le 11.01 (introduit par MT) Possible réaction allergique sur irfen. Possible réaction allergique type urticarienne. Possible reflux gastro-oesophagien le 04.01.2020. Possible sténose du sigmoïde d'allure inflammatoire sur diverticulose chronique le 17.01.2020. Possible surinfection rénale gauche avec syndrome inflammatoire en augmentation • sans fièvre ni frissons, hémodynamiquement stable. Possible syndrome de sevrage Possible syndrome d'hypoventilation, obésité avec possible hypoxémie chronique Possible touche de décompensation cardiaque Possible traumatisme crânien Possible traumatisme crânien, le 21.12.2019 sur • OH aigu sur chronique Possible trouble de la personnalité évitante, le 30.01.2020. Possible trouble de l'adaptation avec symptômes de la lignée psychotique Possible trouble schizo-affectif. Possible vaginite. Posthite. Postpunktionellen Kopfschmerzen nach Spinalanästhesie am 16.08.2018 : • Labor am 20.08.2018 : CRP 0.4 mg/L, Leukozyten 6.5 G/L • St.n. Schraubenentfernung nach Stabilisierung der Fibula bei einer Maisonneuvre-Fraktur links unter Spinalanästhesie am 16.08.2018 Blutpatch am 20.08.2018 (fecit Dr. X) Potassium du 26.12 au 28.12.2019 Potassium effervescence au 26 au 30.12.2019 KCl 40 mmol iv Potassium effervette pendant 2 jours. Contrôle biologique chez le médecin traitant dans 2 jours. Potassium effervette 1x/j pendant 5 jours. Contrôle chez médecin traitant. Potassium effervette 2cpr PO Magnésium 2g IV puis Magnesiocard 10 mmol/j PO Potassium effervette 30 mmol cpr - 3 x/jour du 19.12 au 20.12.2019. Potassium effervette 30 mmol PO Attitude : Substitution PO Suivi biologique Potentielle colonisation par VRE lors d'un séjour hospitalier à Berne Potentielle nouvelle lésion de la corne postérieure du ménisque interne genou droit sur : • Status post arthroscopie genou droit pour résection partielle de la corne postérieure du ménisque interne compliquée par une arthrite septique du genou droit suivie d'un lavage-arthroscopique le 5.9 et 7.9.2018. Pouce à ressaut droit avec arthrose MCP I débutante asymptomatique droit. Pouce à ressaut droit chronique. Pouce D (dominant) : • Contusion versus torsion le 11.01.2020 Pouce du skieur avec rupture du ligament collatéral ulnaire main gauche le 03.01.2011. Dépression. Pouce F&P : avulsion en regard de la base de la phalange proximale au niveau du bord ulnaire correspondant à l'insertion distale du ligament collatéral ulnaire. Pas d'autres lésions objectivées, rapport osseux physiologique. Pouce G, poignet G du 03.01/04.01/07.01.2019, 20.02.2019, 19.03.2019, 23.05.2019 : St. p. fracture Winterstein avec ostéosynthèse et ablation du matériel d'ostéosynthèse. Anatomie conservée. Pas de signe dégénératif au niveau de la CMC I ni au niveau de la MP. POUCE GAUCHE DU 19.01.2020 MAIN GAUCHE DU 19.01.2020 Pouce G : Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. Main G : Examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé et superposable pour le reste au comparatif du même jour, notamment sans lésion osseuse traumatique mise en évidence. Dr. X Pour ce contrôle vu la clinique vraiment très légère. Nous avons discuté avec la patiente et n'avons pas effectué de radiographie. Nous avons donné un traitement anti-inflammatoire. Contrôle chez le médecin de famille dans une semaine si persistance des douleurs. Pour ce qui concerne le traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle avec un coup du lapin le 02.01.2020 nous effectuons un CT cérébro-cervical et des vaisseaux pré-cérébraux qui ne montrent pas de fracture, pas d'hémorragie ni de dissection des vaisseaux. Pour ce qui concerne l'épisode de vertiges rotatoires le 03.01.2020 dans le cadre du traumatisme crânien nous pouvons exclure une origine post-traumatique sur une hémorragie, nous retenons probable une récidive de vertiges paroxystiques positionnels bénins. Au vu de la symptomatologie vertigineuse disparue aux urgences et de l'examen neurologique sp et des résultats de laboratoire et du CT nous ne faisons pas de manœuvre de Dix-Hallpike. La patiente rentre à domicile avec un rendez-vous chez un ORL en cas de réapparition des symptômes. Pour cette patiente qui a été traitée pour des douleurs ischémiques dans le cadre d'un syndrome de Raynaud/CREST, on trouve une infection chronique avec une ostéomyélite de la phalange distale. On pose une indication pour une cure opératoire avec des prélèvements de l'os t débridement, l'ongle va être enlevé. En post-op l'antibiothérapie empirique va être commencée. Pour expliquer les douleurs, nous organisons un CT afin de vérifier la situation au niveau du Lisfranc et une IRM pour voir s'il y a des lésions ligamentaires internes/externes ainsi qu'une souffrance du tendon tibial postérieur. Arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Pour la fracture de la clavicule droite : • Pas de charge avant 6 semaines avec poursuite de physiothérapie du coude et de la main • Continuer traitement conservateur • Radiographie à prévoir à 6 semaines Consultation de contrôle le 28.02.2020 à 10h15 chez le Dr. X Contrôle clinique et pondéral dans 1 semaine avec adaptation du traitement diurétique Pour la virose, reconsultation dans 48h si otalgie ou pas d'amélioration de l'état général. Concernant l'anémie, nous proposons un contrôle dans quatre semaines à votre consultation. Pour la 1ère fois la patiente a eu une réponse favorable, malgré la courte durée, suite à l'infiltration sous-acromiale. L'examen clinique et les images parlent en faveur de l'instabilité du LCB avec lésion associée du sous-scapulaire. Nous proposons à la patiente une prise en charge chirurgicale avec AS de l'épaule G, prolongement de la cicatrice préexistante vers delto-pectoral, ténotomie/ténodèse du LCB, +/- suture du sous-scapulaire et +/- suture au niveau de l'intervalle des rotateurs. La patiente est informée des risques et bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. L'opération est agendée pour le 13.02.20. Pour le moment, il est trop tôt pour parler d'une cure de tunnel carpien à gauche. Je n'ai pas prévu de rendez-vous d'office mais le patient me recontacterait en fonction de l'évolution. Pour le Morbus sévère, j'ai expliqué longuement la nécessité de faire du stretching. Il faut savoir que dans le cadre de cette maladie les douleurs reviennent de façon périodique, notamment après une poussée de croissance importante. Ce patient qui a 15 ans est dans sa dernière période de croissance. Un traitement de physiothérapie pour des exercices de stretching a été prescrit avec la nécessité de faire aussi des exercices à la maison. Pour le poignet, début de la mobilisation sous physiothérapie. Il faut encore limiter la charge pour les 2 prochains mois. Prochain contrôle radioclinique dans environ 6 semaines. Concernant la colonne cervicale et le crâne, le patient va être pris en charge par nos collègues de la neurochirurgie. Pour le traumatisme crânien simple nous désinfectons les plaies et appliquons du Bepanthen. Nous lui faisons le rappel antitétanique. Nous expliquons au patient et à son épouse les symptômes pour lesquels reconsulter ; céphalées, changement de comportement ou nausées/vomissements.Pour la suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite nous réalisons une radiographie de l'épaule concernée. Le patient ira dans une semaine à la consultation du Dr. X pour un contrôle. Pour l'instant, au vu du fait que la patiente est parkinsonienne et qu'elle supporte très bien les douleurs, nous poursuivons le traitement conservateur. Nous lui conseillons tout de même de réduire la prise d'anti-inflammatoire et de prendre plutôt le Dafalgan, et nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique à 3 mois des fractures. Pour l'instant, la situation est stable et le patient arrive à gérer la situation des douleurs avec du simple Dafalgan, de la physiothérapie et des massages. Il va essayer d'arrêter le Lyrica durant la semaine qui vient. Cela fait déjà 3 jours qu'il ne le prend pas. Au vu de la stabilité de la situation, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais nous restons à disposition et lui donnons une ordonnance pour la physiothérapie et les massages, pour du Paracétamol à renouveler selon demande si le patient le désire. Pour l'instant, Mr. Y ne se dit pas assez dérangé pour une prise en charge chirurgicale. Nous le reverrons pour un dernier contrôle radioclinique dans 1 an. Mais nous restons à disposition en cas de problème avant la date du prochain rendez-vous. Pour l'instant, nous ne préconisons pas de prochain rendez-vous ni de prise en charge chirurgicale pour cette lyse isthmique. Nous donnons des conseils de posture et par rapport aux types de sports et aux mouvements qu'il doit éviter. Le patient peut reprendre ses activités sportives comme le football et nous conseillons surtout de faire de la natation pour son développement musculaire et pour la posture. Pour rappel anamnestique, patient de 80 ans, connu pour des antécédents cardiovasculaires avec pontage fémoro-poplité droit en avril 2019, et status post-infarctus avec pose de 2 stents en octobre 2008, syndrome métabolique avec diabète, hypertension artérielle et dyslipidémie. Il consulte ce jour aux urgences de Riaz en raison d'apparition subite d'une gêne, avec fourmillements et hypoesthésie dans la main gauche vers 02h00 du matin, puis douleurs dans l'avant-bras et la main. Pas de douleur thoracique, pas de dyspnée ni d'autre plainte. L'examen clinique aux urgences met en évidence une main gauche décolorée, avec un temps de recoloration prolongé gauche > droite. Absence de pouls radial et cubital gauche. Tension artérielle symétrique des 2 côtés : 162/72 à droite, et 159/72 à gauche. ECG : RSR, Fc 56, QRS fins, QTc à 460. Pas de trouble ischémique aigu. Laboratoire : Hb à 149, Leucocytes 6.9, CRP <5, créatinine à 88, urée à 7.9, potassium 4.1, sodium 136. Pas de trouble de la crase. Nous effectuons un angio-CT des membres supérieurs qui met en évidence une occlusion de l'artère brachiale sur 4,5 cm gauche. Artères cubitales et radiales perméables. Discussion du cas avec le chirurgien de garde (Dr. X), qui contacte l'assistant de chirurgie de Fribourg qui se met en rapport pour le transfert du patient pour suite de prise en charge à Fribourg. Pour rappel de l'histoire de la maladie, patient aux antécédents de cirrhose éthylique CHILD C se présente ce jour auprès de son médecin de famille dans un contexte de baisse de l'état général depuis 10 jours, contemporain d'une péjoration d'un ictère cutanéo-muqueux et d'une augmentation du périmètre abdominal. Lors de la consultation chez le médecin de famille, constat d'une forte perturbation du bilan hépatique pour lequel le patient est orienté aux urgences de Riaz. À son arrivée aux urgences, on retrouve un patient apyrétique, hémodynamiquement stable, présentant un abdomen de batracien indolore à la palpation sans trouble du transit, avec un tremor des membres supérieurs et un ictère cutanéo-muqueux. Sur le plan urogénital, on retrouve des urines foncées sans autres signes fonctionnels urinaires. Enfin, sur le plan neurologique, on retrouve un patient G14 (Y4V4M6) avec un ralentissement psychomoteur et un examen des paires craniennes sans anomalie notable. Nous réalisons un laboratoire qui retrouve une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 avec une hypokaliémie à 2.5 mmol que nous décidons de supplémenter PO et IV, ainsi qu'une hypercalcémie à 2.64. Au niveau du bilan hépatique, on retrouve une forte perturbation du bilan avec une hyperbilirubinémie à 427 et une hyperamoniémie à 111 pour laquelle nous introduisons une thérapie par laxatif osmotique. Enfin, sur le plan hématologique, on retrouve un syndrome inflammatoire biologique avec une leucocytose à 13 et une CRP à 46, ainsi qu'un trouble de la coagulation avec un TP à 26 % et un PTT allongé à 67 s que nous reversons par introduction de 10 mg IV de vitamine K. Une gazométrie artérielle est réalisée, retrouvant une acidose métabolique compensée à 7.45 de pH sur hyperlactatémie à 2.6 et insuffisance rénale, ainsi qu'une hypoxie à 8.3 sur probable syndrome restrictif dû au volume abdominal. Le sédiment urinaire ne retrouve pas d'argument pour une infection urinaire. Devant la présence d'une ascite, nous décidons d'une ponction évacuatrice et diagnostique avec évacuation de 6000 ml d'un liquide citrin pour lequel une anatomo-pathologie est en cours, ainsi qu'une cytologie et une chimie. Nous supplémentons également le patient par 3 flacons d'albumine 20 % et introduisons une antibiothérapie par Ceftriaxone 2 g afin de prévenir une infection du liquide d'ascite. Au vu du syndrome hépato-rénal, nous prenons un avis auprès des soins intensifs de Fribourg qui accepte le transfert pour suite de prise en charge. Le patient est transféré en ambulance le 11/01/19. Pour rappel, patiente vue le 29.01.2020 dans un contexte de poussée hypertensive symptomatique pour laquelle un traitement par Amlodipine 5 mg a été introduit. Au vu de l'impossibilité de consulter son médecin traitant, elle est revue ce jour pour contrôle. À son arrivée, nous retrouvons une patiente hémodynamiquement stable sur un versant hypertendu, sans autre plainte somatique associée. Vu la présence d'une hypertension artérielle à 186 mmHg systolique, nous décidons d'administrer 20 mg de Nifédipine per os, avec bonne réponse tensionnelle. Dans ce contexte, nous décidons d'un retour à domicile, sous couverture d'un traitement d'Amlodipine augmenté à 10 mg/jour et de Nifédipine en réserve. La patiente se présentera chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge, avec bilan d'hypertension artérielle à réévaluer.Pour rappel anamnestique, Mme. Y, 73 ans, connue pour des antécédents cardiaques, cardiopathie dilatée, avec pose de PM il y a 6 ans, se présente aux Urgences ce jour en raison d'une tachycardie. En effet, vers 00h, elle sent son défibrillateur se déclencher, puis une sensation lourde dans la poitrine. A l'entrée aux Urgences, TA est 165/97, pouls 125, sat 96 a.a, Fr à 19. L'ECG à l'admission aux Urgences montre une tachycardie ventriculaire à 134/min. Laboratoire et la gazométrie sont en cours. Nous laissons les soins de pister à nos collègues de soins intensifs de Fribourg. Nous contactons le cardiologue de garde qui demande le transfert en soins intensifs à Fribourg avec SMUR. La patiente reçoit 2 mg de Magnésium et 300 mg de Cordarone aux Urgences avant transfert à Fribourg. • Poursuite Amlodipine • Introduction Lisinopril 10 mg 1x/j • Esidrex 12.5 mg 1x/j • Metoprolol 25 mg 1x/j • Poursuite antiagrégation par Aspirine; introduction de statine • Poursuite antibiotérapie. • Poursuite de l'antibiothérapie pour 10 jours. • Double J à retirer dans 14 jours. • Consultation chez Dr. X le 03.02.2020 à 11h. • Poursuite Aspirine cardio 100 mg et Plavix 75 mg. • Viser une systolique entre 120 et 160 mmHg. • Bilan neuropsychologique le 30.12.2019. • Suivi nutritionnel. • Demande NRHI faite le 31.12.2019. • Transfert à Meyriez le 09.01.2020. • Poursuite attelle Aircast et physiothérapie. • Arrêt de travail prolongé. • Antalgie au besoin. • Au vu des fortes douleurs à 6 semaines, avec boiterie et incapacité de travail, nous effectuons une IRM, avec RDV au Team Pied pour discuter des résultats. • Poursuite Bactrim Forte 2 cpr/j avec un suivi de la fonction rénale et de la formule jusqu'au 07.01.2020. • Poursuite Citalopram. • Poursuite d'antibiothérapie par Bactrim jusqu'au 27.12.2019, ensuite réévaluation en consultation. • Réfection régulière du pansement. • Ablation des fils le 27.12.2019 à la consultation de Dr. X. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines à la consultation de Dr. X. • Poursuite d'antibiothérapie par ceftriaxone 2g. • Augmentation transitoire de la Prednisone à 20 mg/jour (vu le contexte septique), puis sevrage progressif à poursuivre en ambulatoire. • Poursuite de l'antibiothérapie par Amoxicilline jusqu'au 26.01.20 selon prescription. • Poursuite de la Co-Amoxicilline 80 mg/kg/jour en 2 doses jusqu'au 10.01 compris. • Poursuite de la mobilisation en ergothérapie. • Contrôle radio-clinique dans 4 semaines. • Poursuite de la physiothérapie. • Poursuite de la physiothérapie à la maison pour améliorer l'équilibre et la rééducation à la marche. • Éventuellement continuer avec une canne anglaise à G. Nous revoyons le patient pour un contrôle à 1 an post-opératoire le 06.10.2020 ou plus tôt en cas de problème. • Poursuite de la physiothérapie à sec et physiothérapie en piscine. • Prochain contrôle le 20.02.2020. Jusque-là, poursuite d'un arrêt de travail en tant que sommelière. • Poursuite de la physiothérapie avec mobilisation progressive et renforcement musculaire en balnéothérapie. • Reprise à 50 % du travail à partir du 09.01.2020. • Prescription d'une antalgie par anti-inflammatoire Irfen 400 mg (patient connu pour maladie de Crohn donc AINS limité à 1 comprimé par jour). • Le patient sera revu pour un contrôle radio-clinique dans 6 semaines. • Poursuite de la physiothérapie avec travail antalgique ciblé sur les péroniers. • D'un point de vue professionnel, nous planifions une reprise progressive à savoir 60 % jusqu'au 19.01.2019, puis à 80 % jusqu'au 01.03.2020 et reprise à 100 % le 02.03.2020 à un poste adapté. • Nous le reverrons suite à la reprise à 100 % soit fin mars. • Poursuite de la physiothérapie espacée. • Dans ce contexte, pas de nouveau contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de besoin. • Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie au home. • Rendez-vous en policlinique de chirurgie à l'HFR de Riaz le 23.01.2020. • Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 16.03.2020 (HFR Fribourg). • Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie. • L'accent doit être mis sur la pro/supination et la flexion/extension. • Dans un deuxième temps, renforcement musculaire. • Les douleurs au niveau de la pointe de la styloïde sont encore normales. • Sur les clichés radiologiques post-opératoires, on voit que la pointe de la styloïde s'est rapprochée de sa base depuis que le cal vicieux a été corrigé. • La possibilité d'une guérison de cet arrachement de la styloïde est possible. • Nous reverrons Mme. Y dans 6 semaines. • Poursuite de la physiothérapie, mobilisation active et passive sans limite d'amplitudes. • Prochain contrôle dans 6 semaines. • Limitation des activités sportives jusqu'au prochain contrôle. • Poursuite de la physiothérapie plus intensivement avec renforcement et MTT des membres inférieurs. • Reprise du travail à 50 % pour 2 semaines et reprise à 100 % le 27.01.2019. • Prochain contrôle clinique dans 3 mois pour discuter d'une éventuelle plastie. • Poursuite de la physiothérapie pour augmenter les amplitudes articulaires. • Prochain contrôle dans 6 semaines. • Poursuite de la physiothérapie pour récupérer des amplitudes articulaires complètes, mobilisation active et passive. • Prochain contrôle dans 6-8 semaines. • Poursuite de la physiothérapie pour stabiliser la situation et également traiter les cervicalgies par des mesures d'hygiène posturales. • Poursuite de la physiothérapie. • Prolongation de l'arrêt de travail à 50 % jusqu'au prochain contrôle radioclinique dans 2 mois (RX épaule f/neer/axiale). • Poursuite de la physiothérapie qui continue d'amener un bénéfice selon la patiente. • Nous l'encourageons à faire du stretching plusieurs fois par jour. • Prochain contrôle clinique dans 3 mois. • Poursuite de la physiothérapie. • Reprise du travail sans limitation de charge maximale. • Nous mettons un terme à la thérapie et restons à disposition si le patient devait devenir symptomatique. • Poursuite de la pommade pour résorber l'hématome et de l'antalgie au besoin. • Reconsultation éventuelle auprès de son médecin traitant si persistance des douleurs pour prolonger l'arrêt de travail, car elle travaille comme agent de sécurité. • Poursuite de la Prednisone pour un total de 1 mois: diminuer de 10 mg tous les 3 jours jusqu'à 10 mg, puis réduire par étapes de 2,5 mg. • Réévaluer l'indication à la réalisation d'une IRM de la colonne totale (coupe sagittale et axiale). • Bilan d'évolution neuropsychologique à Meyriez pour se prononcer quant à l'aptitude à la conduite automobile. • Prochain taux de Sirolimus le 31.01.2020, puis discuter avec un chef de clinique en hépatologie de l'Inselspital. • Poursuite de la prophylaxie anti-thrombotique jusqu'à marche en charge complète. • Vu qu'elle est gênée par l'Aircast, nous lui donnons une ordonnance pour un nouvel Aircast et une ordonnance pour les médicaments contre la douleur et la Clexane. • Nouveau rendez-vous de contrôle à la Filière 34 à 6 semaines de la fracture, pour un dernier contrôle radioclinique. • Prolongation de l'arrêt de travail de deux semaines, puis elle sera réévaluée chez son médecin traitant pour la reprise de l'activité. • Nous restons à disposition en cas de besoin. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. • Ablation des agrafes à 15 jours post-opératoires à la consultation de Dr. X. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines à la consultation de Dr. X. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. • Réfection des pansements par le patient lui-même et par vos soins. • Ablation des agrafes à 15 jours post-opératoires à votre consultation. • Contrôle de l'hémoglobine à votre consultation dans 1 semaine si asymptomatique ou avant en cas d'apparition de symptômes. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr X à 6 semaines post-opératoires. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. • Réfection du pansement deux fois par semaine à votre consultation. • Ablation des agrafes et des fils à 15 jours post-opératoires à la consultation du Dr X. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr X. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. • Réfection des pansements tous les 2 jours par une infirmière à domicile. • Mme Y sera revue à la consultation du Dr X pour ablation des fils à 2 semaines post-opératoires, puis pour contrôle radio-clinique à 6 semaines. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. • Réfection régulière du pansement et ablation des agrafes à 15 jours post-opératoires à votre consultation. • Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr X à 6 semaines post-opératoires. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique 6 semaines, puis à réévaluer lors du contrôle radio-clinique à ce moment. • Ablation du pansement Comfeel et des fils à 15 jours post-opératoires chez le médecin traitant en France. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires chez un orthopédiste en France. • Poursuite de la rééducation dans l'axe. • Incapacité de sport à l'école jusqu'à fin mars. • Prochain contrôle clinique à 3 mois post-opératoire. • Poursuite de la substitution per os sous Calcimagon. • Poursuite de la thérapie comme jusqu'à présent. • Poursuite de la thérapie initiée à l'HFR Riaz avec ralentissement du transit : Pantoprazol 40 mg 2 fois/j, Imodium 20 mg/j, pas d'opiacé (car intolérance), Buscopan 3 fois/j. • Suivi diète. • Suivi stomatothérapie. • Avis chirurgical (Dr X) 07.01.2020. • Investigation : • pH des selles pré Colestyramine 09.01.2020 : 7. • Traitement : • cf. diagnostic principal. • Colestyramine 2 g 1x/j. • Attitude : • Avis chirurgical concernant le rétablissement de la continuité (Dr X, HFR Fribourg) à distance. • Poursuite de la thérapie initiée à Riaz pour ralentissement du transit : Pantoprazol 40 mg 2 fois/j, Imodium 20 mg/j, pas d'opiacé (car intolérance), Buscopan 3 fois/j. • Nutrition parentérale indiquée, mais interrompue à la demande de Mme Y. • Avis chirurgical concernant le rétablissement de la continuité (Dr X, HFR Fribourg) à distance. • Poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines post-opératoires. • Ablation du Comfeel et des fils à 14 jours post-opératoires à votre consultation. • Contrôle à la consultation du Dr X à 6 semaines post-opératoires. • Poursuite de la thromboprophylaxie jusqu'au 23.01.2020 inclus. • Mr Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 12 jours post-opératoires. • Poursuite de l'Amoxicilline/clavulanate po 40 mg (amoxicilline)/kg/dose 2x/j pour 10 jours. • Surveiller et stimuler l'hydratation, viser 800 ml d'hydratation totale/24h. • Contrôle clinique à 48h si non reprise de l'hydratation, sinon contrôle clinique déjà prévu durant la semaine suivante. • Nous recommandons un US rénal à organiser à 4 semaines. • Poursuite de l'antalgie. • Poursuite de l'antalgie par AINS. • Consultation de contrôle à 24h au secteur ambulatoire des urgences. • US à discuter en cas de persistance des douleurs ou péjoration des douleurs. • Poursuite de l'antalgie par Paracétamol/Ibuprofène selon prescription. • Poursuite de l'hydratation à domicile avec antalgie par solution du CHUV et Normolytoral selon les besoins d'entretien (Lidocaïne 2 % en application locale jusqu'à la disponibilité de solution du CHUV, max ce jour). • Reconsultation si échec d'hydratation, péjoration de l'état général. • Poursuite de l'antibiothérapie. • Poursuite de l'antibiothérapie intra-veineuse par Rocéphine 2 g pour 7 jours jusqu'au 19.01.2020. • Mme Y vient pour administration de l'antibiothérapie tous les jours dans ce contexte-là. • Laboratoire et consultation de contrôle auprès de son médecin traitant en début de semaine prochaine. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 01.02.2020. • Consultation en chirurgie, Chefs de clinique, le 13.02.2020 à 09h30 avec prise de sang de contrôle. • Cholécystectomie à froid prévue le 13.03.2020. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 02.02.2020, dernière le matin. • Contrôle à votre consultation la semaine suivant la sortie, avec sédiment urinaire. Si persistance de l'hématurie, organisation d'un ultrason des voies urinaires avec vessie pleine, puis cystoscopie selon le résultat de l'US. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 06.02.2020 inclus. • Mr Y prendra rendez-vous à la consultation du Dr X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 07.01.2020 inclus. • Mr Y prendra rendez-vous à votre consultation pour un contrôle clinique et biologique dans la semaine suivant sa sortie. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 10.10.2020 inclus. • Reprise de l'Aspirine Cardio et suivi de l'hémoglobine. • Réfection des pansements et contrôle de la plaie tous les 48 heures dans le service de réhabilitation gériatrique. • Ablation des fils à 15 jours post-opératoires à la consultation du Dr X, policlinique d'orthopédie. • Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour dès 6 heures post-opératoires et pour une durée de 6 semaines. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr X. • Un rendez-vous est à prendre à la consultation du Dr X, ORL, pour contrôle à 7 jours du traumatisme. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 11.01.2020 inclus. • Poursuite du régime pauvre en fibres jusqu'à la réalisation d'une coloscopie que nous vous laissons le soin d'organiser à distance (6 semaines). • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 11.01.2020 inclus. • Régime pauvre en fibres jusqu'à réalisation d'une coloscopie à distance (8 semaines). • Mr Y sera convoqué par le service d'endoscopie pour coloscopie à 8 semaines. • Rendez-vous à la consultation du Dr X le 16.03.2020 à 08h30. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 12.01.2020 inclus. • Mme Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 12 jours post-opératoires. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 16.01.2020 inclus. • Poursuite d'un régime pauvre en fibres durant 4 semaines. • Mr Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et organisation d'une coloscopie à distance (6 semaines). Nous vous laissons le soin d'organiser ensuite un contrôle à la consultation du Dr X après la coloscopie. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 17.01.2020 inclus. • Contrôle clinique et biologique en policlinique de chirurgie le 16.01.2020 à 14h30. • Rendez-vous à la consultation du Dr X le 27.02.2020 à 14h30 pour discussion d'une éventuelle cholécystectomie. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 17.01.2020 inclus. • Mme Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle clinique et ablation des fils à 7 jours. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 18.01.2020 inclus. • Mr Y sera revu à la consultation du Dr X le 30.01.20 en vue d'une cholécystectomie. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 20.01.2020. • Mme Y prendra rendez-vous à votre consultation dans 1 semaine pour contrôle clinique. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 22.01.2020 inclus. • Ablation des fils à 5 jours du traumatisme chez un médecin du choix de Mme Y. • Poursuite de l'antibiothérapie par Amoxicilline selon prescription.Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim forte jusqu'au 12.03.2020 avec contrôle FSS et fonction rénale de manière hebdomadaire. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines de la réimplantation de la PTH. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des agrafes à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Dr. X, à 6 semaines de la réimplantation de la PTH D. Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim forte 1x/j à vie; à ces doses et avec ce médicament il est peu vraisemblable que le patient présente des effets secondaires; dans le cas où il ne devait pas supporter ce traitement l'abstention de toute antibiothérapie serait l'option. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 ou selon évolution de la guérison en rééducation à Billens. Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Dr. X, à 6 semaines. Suivi diabétologique. Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim forte 800/160 jusqu'à vendredi, le 10.01.2020. Prochain contrôle ce jour-là pour évaluation d'un changement d'antibiothérapie comme prévu avec nos infectiologues par Levofloxacin et Rifampicin. Poursuite de l'antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl. Poursuite de l'antibiothérapie par Clarithromycine traitement donné par le médecin traitant. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. et Metronidazole 500 mg 2x/j p.o. jusqu'au 21.12.2019. Poursuite de l'antibiothérapie par Vancomycine 2 g/j en continu jusqu'au 06.12.2019. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 60 mg 1x/j. Contrôle de la fonction rénale et FSS 1x/semaine chez le médecin traitant. Taux de Vancomycine 2x/semaine. Prise de sang le 02.12.2019 à l'HFR Fribourg (bras contrôle-latéral du PICC-Line). Contrôle à la consultation du team hanche, Dr. X, le 31.01.2020 pour discussion de la réimplantation de la PTH G avec date opératoire déjà réservée le 12.02.2019. Poursuite de l'antibiothérapie pour le jour restant. Poursuite des bains par Amukina Med pour le jour restant. Mme. Y est informée des signes et symptômes qui doivent motiver une nouvelle consultation en urgence. Poursuite de l'antibiothérapie pour 5-7 jours selon évolution. Reprise de la dose habituelle de prednisone après résolution de l'état de stress. IRM / échographie de contrôle à organiser à 6 mois. Poursuite de l'antibiothérapie. Contrôle à 48h au secteur ambulatoire des urgences pour voir l'évolution clinique. Poursuite de l'antibiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant à 3 jours (à disposition en ambulatoire si indisponibilité) +/- bilan angio +/- bilan podologie. Reconsulte en cas d'apparition de red flags. Poursuite de l'antibiothérapie. Désinfection. RDV de contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 72h. Ordonnance d'ergothérapie pour attelle Stalk thermo-formée donnée au patient. Poursuite de l'Effient une année, contrôle coronarographique avant arrêt (patient sera convoqué). Poursuite de l'Emovate. Poursuite de l'ergothérapie. Contrôle clinique dans 2 mois. Poursuite de l'ergothérapie et de la physiothérapie pour les exercices neuroméningés. Nous reverrons le patient dans environ 3 mois pour suivre l'évolution de la réinnervation. Poursuite de l'ergothérapie et de la physiothérapie pour principalement mobilisation active et passive mais également massages cicatriciels avec décollement de celle-ci en profondeur. Le patient actuellement est en incapacité de travail à 100 %. Avant son accident, le patient n'était pas employé. Une demande AI avait déjà été effectuée à l'époque, celle-ci avait été refusée. Le patient se plaint de douleurs au niveau des poignets mais également au niveau du dos. Cette blessure grave au niveau de sa main droite ne va certainement pas aider le patient à retrouver une activité professionnelle. Le rapport est envoyé à l'assurance invalidité pour évaluation d'une rente, respectivement voir avec le patient si une réinsertion professionnelle pourrait être envisagée ou non. Poursuite de l'ergothérapie. Prolongation de l'incapacité de travail jusqu'au prochain contrôle dans 3 mois. Poursuite de l'immobilisation dans un plâtre pour encore 2 semaines. Ensuite, ablation du plâtre et arrêt de la Clexane, reprise d'une charge selon douleurs avec attelle Aircast. Arrêt de sport pour 3 mois. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement cardiaque. Contrôle de poids et bilan sanguin. Adaptation du traitement diurétique et antihypertenseur. Poursuite de Valacyclovir pour un total de 7 jours avec bonne évolution. Poursuite des dialyses à raison de 3x/semaine : lundi, mercredi, vendredi. Poursuite des pansements secs. Prescription de Coban. Poursuite d'ergothérapie et physiothérapie. Poursuite du travail complet. Nous ne prévoyons plus de contrôle. Poursuite des recommandations d'ophtalmologie, Nevanac 0.1% et Tobradex en schéma dégressif. Poursuite des séances de dialyse. Poursuite des séances de dialyse durant l'hospitalisation. Poursuite des séances de dialyse. Avis néphrologique. Poursuite des soins de base. Poursuite des suppléments nutritifs oraux. Conseils et traitement diététiques (au moins 2 unités de traitement). Poursuite des traitements habituels. Poursuite du KCL retard. Poursuite du Maltofer prescrit par médecin traitant. Suivi clinico-biologique. Poursuite du Maltofer (traitement habituel depuis 2018). Suivi clinico-biologique. Oesogastroduodénoscopie et colonoscopie à organiser en ambulatoire. Poursuite du Movicol 4-6 sachets (adultes)/ jour. Contrôle clinique à 24h aux urgences pédiatriques. Reconsultation si péjoration clinique (vomissements, absence de gaz, douleurs abdominales). Poursuite du port de la CPAP. Oxymétrie nocturne sous 1 L/min. Poursuite du protocole de pansement en ambulatoire. Poursuite du protocole de pansement et suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Fin de suivi en policlinique. Poursuite du Recormon. Poursuite du schéma de la corticothérapie et Méthotrexate. Avis rhumatologique le 24.01.2020. Prednisone 60 mg jusqu'au 29.01.2020 puis schéma dégressif. Alendronate 70 mg 1x/semaine. Bactrim 3x/semaine en prophylaxie. Poursuite du schéma dégressif de l'oxycontin en ambulatoire. Poursuite du Symbicort jusqu'à 20.01.2020. Poursuite du traitement. Poursuite du traitement. Poursuite du traitement. Poursuite du traitement à domicile sous Coversum : • Majoration du Coversum ou ad. Amlodipine 5 mg • Suivi du profil tensionnel. Poursuite du traitement antibiotique prescrit jusqu'au 16.01.2020. Physiothérapie respiratoire. Surveillance. Poursuite du traitement anti-inflammatoire par Ibuprofène 10 mg/kg/dose 3x/j. Antalgie en réserve par Paracétamol 15 mg/kg/dose max 4x/j. Contrôle à votre consultation à 48h si persistance de l'état fébrile. Reconsultation si péjoration de l'état général, otorrhée, perte d'équilibre, trismus, limitation de la mobilité de la nuque, apparition de nouveaux symptômes. Poursuite du traitement antipsychotique introduit à Marsens. Haldol en iv 0.5 mg 2x/j dès le 25.12.2019. Haldol en iv 0.5-0-0-1 mg du 26.12 au 30.12.2019. Reprise traitement oral dès le 30.12.19 avec réserve iv si patiente opposante (Haldol 1 mg le matin et 2 mg le soir en R). Consilium psychiatrie le 23.12.2019. Consilium psychiatrique le 07.01.2020. Poursuite du traitement avec Aciclovir jusqu'au 28.12.2019. Pregabalin 25 mg depuis le 07.01.20. Cymbalta 30 mg jusqu'au 12.01.2020 avec augmentation à 60 mg dès le 13.01.20, et à 120 mg dès le 22.01.2020. Antalgie par Dafalgan, oxycontin.Contrôle ophtalmologie le 10.01.2020 Dr. X: Vitamin A pommade 2x/jour • Poursuite du traitement conservateur avec attelle et décharge. • On débutera la physiothérapie dans 2 semaines avec une mobilisation douce en flexion/extension à 40°. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. • Poursuite du traitement conservateur avec prescription de physiothérapie pour entretenir les mobilités articulaires et renforcement de la coiffe et d'antépulsion, pas de traction, des ports de charge pour 6 semaines. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Poursuite du traitement conservateur dans un Vacoped pour 3 semaines. Marche en charge selon douleurs avec cannes. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines. • Poursuite du traitement conservateur et prochain contrôle radioclinique à 6 semaines de la fracture le 28.01.2020. • Poursuite du traitement conservateur. Nous la reverrons à 1 mois du traumatisme pour enlever le plâtre et faire une radiographie. Selon la qualité du cal, nous continuerons avec une attelle amovible poignet pour encore 2 semaines. • Poursuite du traitement conservateur Physiothérapie avec gainage abdomino-dorsal, élongation abdominale et hygiène du dos Antalgie Suivi par le MT • Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle radioclinique dans 2 semaines. • Poursuite du traitement de base Suivi glycémie • Poursuite du traitement de flupentixol en raison de la symptomatologie légère. • Poursuite du traitement de Sirdalud et de la physiothérapie. Mr. Y rentre à domicile au vu d'un état général conservé. • Poursuite du traitement et adaptation. • Poursuite du traitement habituel. • Poursuite du traitement habituel par Torasémide 10 mg, puis augmenté à 15 mg Suivi du poids • Poursuite du traitement habituel. • Lobectomie de la Lingula du lobe supérieur gauche prévue préalablement au CHUV le 18.02.2020 (Dr. X). • Poursuite du traitement inhalateur habituel. • Poursuite du traitement inhalateur habituel Evaluer la nécessité d'une réadaptation pulmonaire ambulatoire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort (dernière datant de 2016). • Poursuite du traitement par Co-Amoxicilline pour 5 jours au total. Contrôle à votre cabinet en fin de thérapie. • Poursuite du traitement par Movicol 4 sachets/jours pour 48h. Reconsultation si péjoration de l'état général, progression des symptômes. Contrôle à votre consultation à 48h. • Poursuite du traitement par pansement VAC (-100 mgHg) avec changement en stomathérapie les 27.12., 31.12.2019 et 03.01.2020. Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim forte jusqu'à 4 mois postopératoires (24.04.2020) avec suivi de la fonction rénale et de la FSS (thrombocytes) chez le médecin traitant à raison de 1x/semaine puis 1x toutes les 2 semaines. Contrôle à la consultation du team pied, Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. jusqu'à charge complète ou selon ordre médical. Il faudra agender l'ablation du matériel d'ostéosynthèse après 4 mois, selon consolidation. • Poursuite du traitement per os. • Poursuite du traitement psychotrope. Consilium psychiatrique le 17.01, 20.01 et 24.01.2020. • Poursuite du traitement psychotrope instauré à Marsens. • Poursuite du traitement psychotrope instauré à Marsens Avis psychiatrique pour adaptation éventuelle du traitement. • Poursuite du traitement psychotrope Suivi psychiatrique le 17.01, le 20.01 et le 24.01.2020. • Poursuite du traitement symptomatique et de l'antibiothérapie durant 7 jours. Contrôle chez le médecin traitant le 03.02.2020. • Poursuite du traitement symptomatique instauré par le médecin traitant. AINS pour une durée de 5 jours, rinçage nasal. Contrôle chez médecin traitant en cas de persistance. • Poursuite du traitement symptomatique par Algifor sirop ou Nurofen sup. max 10mg/kg/dose max q8h, Paracétamol 15mg/kg/dose max q6h en réserve si douleurs, difficultés d'hydratation ou état fébrile. Surveiller et stimuler l'hydratation, Normolytoral pour compenser les besoins d'entretien estimés à env. 1.5l d'hydratation totale journalière. Poursuite de l'antibiothérapie par Clarithromycine selon votre prescription. Reconsultation si péjoration de l'état général, contrôle clinique à 12h à votre consultation. • Poursuite du traitement symptomatique par Méfénacide. Reconsultation si péjoration de l'état général, si difficultés d'hydratation. • Poursuite du traitement symptomatique Consultation si signe de surinfection cutanée. • Poursuite du traitement symptomatique. Rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant en cas d'évolution non favorable. • Poursuite du Vemlidy Tests hépatiques dans la norme. • Poursuite Eliquis. • Poursuite Ertapenem jusqu'au 15.01.2020. Contre-indication à la conduite: réévaluation préconisée en ambulatoire. • Poursuite et renforcement de la physiothérapie. Mr. Y peut reprendre son travail à 50 % à partir du 01.02.2020, pas de charges lourdes et charges maximales permises 1 kg. Contrôle clinique dans 6 semaines. • Poursuite évolutive avec métastases ganglionnaires latéro-cervicales droites du mélanome connu le 15.01.2020. • Poursuite hydratation et réintroduction progressive des purées. Consigne de reconsulter en cas de péjoration clinique. • Poursuite investigation chez le médecin traitant. • Poursuite IPP. Repas fréquents et de petite quantité. Contrôle chez le médecin traitant le 06.01.20. Rediscuter de la nécessité d'un contrôle gastro-entérologique (Dr. X). • Poursuite Madopar 62.5 mg 2-2-1-0. • Poursuite même traitement. Pause du Xyzal (le 27.12.2019). • Poursuite Méthadone 50 mg/jour. • Poursuite Rifaximine et Lactulose. • Poursuite rinçages de nez et Algifor d'office pendant 48 heures pour otite débutante. Contrôle clinique chez vous dans 48 heures. Consignes de reconsulter en cas de péjoration de l'état général ou respiratoire. • Poursuite Sintrom. INR dimanche à pister. • Poursuite substitution per os. • Poursuite substitution per os. • Poursuite substitution vitamine D. Substitution vitamine B12. • Poursuite traitement diurétique avec suivi du poids et de la diurèse. Mise en suspens de l'Eliquis jusqu'au 23.12.2019 avec relais par Héparine. Mise en suspens du Losartan à l'entrée, reprise Losartan 100 mg 1-0-0-0 dès le 16.12.2019. Suivi biologique. Suite à la sortie, suivi de la fonction rénale chez le MT. • Poursuite traitement habituel. • Poursuite traitement habituel par Paroxétine, Tritico et Demetrin. • Poursuite traitement habituel Suivi glycémie. • Poursuite traitement initial jusqu'à rémission totale clinique, Colchicine 0.5 mg au long court. Contrôle en rhumatologie le 21 janvier prochain. • Poursuite traitement Opsumit et Adempas. • Poursuite traitement symptomatique si douleurs. Surveiller et stimuler l'hydratation. Reconsultation si persistance des douleurs, si péjoration ou progression des symptômes. • Poursuite traitement Ventolin et Axotide. • Poursuite valacyclovir. Ad Hibidil pour désinfecter 2x/jour. Motivation à prendre un médecin traitant. • Poursuite Ventolin aux 4 heures durant 24 heures, puis 4 fois par jour. Poursuite Prednisone le 02.01. Consigne de reconsulter en cas de péjoration de la détresse respiratoire. Contrôle chez le pédiatre dans 2 jours. • Poursuite Ventolin 4x/jour jusqu'au rendez-vous de contrôle chez le pédiatre dans 2-3 jours. Consigne de reconsulter en cas de péjoration des symptômes respiratoires. • Poursuivre le traitement par podomexef. Contrôle dans 48 heures au fast track. Reconsulter avant si péjoration de l'état général, anurie ou tout autre symptôme inquiétant.Poursuivre l'alimentation par purée de légumes, compote de pomme, etc. Rdv chez le pédiatre le 20.01. pour refaire le point Poursuivre l'anticoagulation par Eliquis. IRM du neurocrâne de contrôle prévu pour le 08.01.2020 à 13h00 à HFR Fribourg. Poursuivre Betnesol 5 cp ad J3 puis Axotide 1 push 2x/j Ventolin 2 pushs q 4h en réserve Dafalgan / Algifor en réserve Contrôle clinique la semaine prochaine chez le médecin traitant. Poursuivre Dafalgan et Algifor en alternance durant 48h. Reconsultent aux urgences si réapparition des oedèmes, fièvre plus de 72h, pas de défervescence après fébrifuge, diminution de l'état général. Poursuivre Dafalgan et Irfen. Contrôle clinique +/- biologique au fast-track le 19.01. à 14h15, parents annulent si résolution de l'état fébrile. Poursuivre du traitement prescrit par son médecin. Ajout de Primpéran 10 mg 3 x/jour. Poursuivre l'hydratation fractionnée. Reconsulté si augmentation des vomissements, diminution de l'état général, nouveaux symptômes. Poursuivre la Clexane pour 3 semaines postopératoires. Contrôle radio-clinique à 8 semaines à la consultation du team rachis. Poursuivre le traitement. Laboratoire. Poursuivre le rinçage nasal en augmentant la fréquence. Algifor sirop enf. 3,5 ml en alternance aux 4 heures avec Dafalgan supp. 80 mg, si état fébrile. Poursuivre le rinçage nasal. Réassurance du père. Poursuivre une bonne hydratation. Mesure de la température à 10h, et si présence d'état fébrile : donner Algifor forte 8 ml. Poursuivre l'alternance Algifor forte 8 ml et Dafalgan sirop 17,5 ml sur 48h en cas d'état fébrile. Reconsultent si diminution de l'état général. Poursuivre Ventolin et Axotide comme prescrit par le pédiatre traitant. Avec en plus Dafalgan 5 ml 4x/j et Algifor 5 ml 3x/j durant 48h. Consultation de contrôle chez le pédiatre en début de semaine prochaine. Entre-temps consultent le pédiatre ou reviennent aux urgences si signes de détresse respiratoire et/ou si diminution de l'état général et/ou si persistance de l'état fébrile malgré Dafalgan/Algifor. Poussée de gonarthrose fémoro-tibiale bilatérale. Poussée de polyarthrite rhumatoïde. Poussée d'arthrite juvénile au niveau du tarse à droite en 2013. Tachycardie sinusale à 190/min, paroxystique, de résolution spontanée le 18.04.2018. Poussée d'arthrite microcristalline articulation métatarsophalangienne 1 droite le 13.01.2020. Poussée d'arthrose cervicale, depuis le 15.01.2020. Poussée de Ménière. DD : déficit vestibulaire aigu. Poussée de polyangéite granulomateuse avec atteinte axonale nerveuse périphérique nouvelle des nerfs péronier et sural gauches. Poussée de polyarthrite rhumatoïde le 29.12.2019 • score de DAS-28 à 5.16, activité forte Poussée de polyarthrite rhumatoïde séropositive réactionnelle au contexte infectieux • sous Simponi • suivi par Dr. X Poussée de PR. Poussée hypertensive. Poussée hypertensive à 200/110 mmHg le 14.01.2020 : • chez Mr. Y connu pour hypertension artérielle sous Exforge. Poussée hypertensive symptomatique. Poussées de polyarthrite rhumatoïde. Practomil 1000 ml. Extraction manuelle : nombreuses selles dures. Précédentes complications lors de l'induction : • Agranulocytose fébrile d'origine indéterminée le 04.07.2017 • Rectite sur agranulocytose fébrile avec isolation d'une E. coli résistante au Tazobac et à la Céfépime le 17.07.2017 • Candidose oropharyngée le 21.07.2017 • Abcès périanal le 04.08.2017 sur hémorroïdes décompensées Rectite radiologique selon CT du 15.09.2017 • Déjà décrite sur le CT du 21.07.2017 dans un contexte de mucite Mucite digestive (novembre 2017) 1985 : opération des varices 1986 : appendicectomie 1986 : stérilisation tubaire par laparotomie 1996 : hernie discale cervicale 2009 et 2010 : latéral release et plastie des genoux des deux côtés 2006 et 2016 : opération du tunnel carpien gauche et droit 2007 : syndrome lombo-radiculaire irritatif L4-L5 droit 2014 et 2016 : opération d'un doigt à ressaut (3e gauche) 2016 : zona L3-L4 2016 : hystérectomie totale, annexectomie bilatérale et urétérolyse gauche en 2016 Préciser avec EMS pourquoi pas d'anticoagulation Précordialgie. Précordialgie atypique. DD anxiété. Pré-diabète. Pré-diabète • HbA1c à 6.6% le 08.01.2020 Prédiabète • HbA1c 5.7%. Prédiabète • HbA1c 5.8%. Pré-diabète (HbA1c 6.4% le 05.12.2019). Pré-diabète avec HbA1c à 6.2%. Prédiabète • HbA1c 5.7% le 05.01.2020. Prédiabète • HbA1c 5.9%. Pré-diabète • HbA1c 6.1% le 28.12.2019. Prédiabète • HbA1c 6.6% Inselspital, 5.6% HFR. Prédiabète le 02.03.2017 avec • HbA1c à 6.2% le 02.03.2017 Fistulisation à la peau d'une pompe intrathécale de morphine depuis le 30.11.2017 avec : • ablation chirurgicale de la pompe intrathécale le 06.12.2017 (Dr. X) • mise en place de Fentanyl patch État confusionnel aigu le 27.11.2017 • infection urinaire basse Anémie normocytaire hypochrome le 07.12.2017 Micro-albuminurie le 03.03.2017 • avec clearance créat 64 ml/min (CKD-EPI) le 03.03.2017 Hémorragie parenchymateuse aiguë de la capsule interne D en mars 2009 Cupulolithiase D en mars 2009 Hystérectomie Appendicectomie Cholécystectomie en 2008 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 29.11.2017 et le 12.12.2017 avec : • créatinine plasmatique à 152 micromol/l • FE urée à 14.92% Myoclonies du MID sur probable sevrage aux opiacés le 07.12.2017 Trouble de l'équilibre et de la marche avec chutes le 19.02.2018 avec : • déficit de la force quadriceps M4 chronique et de la sensibilité de la jambe droite L4 et orteils • déficit de la sensibilité des orteils à gauche • lombalgie chronique • douleur du genou et de la hanche sans fracture à la rx du 12.01.2018 • dépression • MMS 28/30, Clock Test 7/7 et GDS 7/15 le 20.02.2018 Prednisone dès le 01.01.2019, prévu jusqu'au 05.01.2020 Co-Amoxicilline dès le 01.01.2019, prévu jusqu'au 05.01.2020 Aérosols Atrovent/Ventolin dès le 01.01.2020 Ultibro Breezehaler dès le 03.01.2020 VNI intermittente du 01.01 au 02.01.2020 Cathéter artériel radial droit du 01.01 au 03.01.2020 Sonde vésicale dès le 01.01.2020 Prednisone 2 mg/kg pendant 5 jours, puis un schéma dégressif Contrôle ORL dans 2 semaines (consilium fait) Contrôle à organiser en Infectiologie pédiatrique si Borréliose positive Investigation de l'anémie à distance de la maladie actuelle Prednisone 40 mg du 10.01 au 06.02.2020, puis arrêt selon un schéma dégressif. Prochaine injection de Lucrin chez Dr. X le 20.02.2020. Contrôle biologique incluant les valeurs hépatiques 1 x/semaine et formule sanguine complète à distance de l'hospitalisation et de la corticothérapie. Prednisone 40 mg pendant 5 jours Oxygénothérapie 1 L/min. Antibiothérapie par Co-amoxicilline pendant 7 jours. Prednisone 40 mg pendant 5 jours Remeron 15 mg 1 cpr le soir Consultation centre de la douleur du CHUV. Prednisone 40 mg Xyzal 1 cp. Prednisone 50 mg 5 jours et antihistaminiques. Prednisone 50 mg. Prednisone 50 mg 04.12 - 09.12.2019 Co-amoxicilline 04.12 - 11.12.2019. Prednisone 60 mg pendant 7 jours puis schéma régressif Valtrex 1 g pendant 5 jours Lacrynorm gttes Vitamine A pommade physiothérapie Contrôle à 7 jours. Prednisone 60 mg 06.01.2020 - avis rhumatologue en cours Doppler à temporal en attente. Prednisone 80 mg 1x/jour durant 5 jours. Valtrex 1000 mg 3x/jour durant 10 jours. Rendez-vous à 48 heures en ORL pour évaluation si nécessité d'effectuer une IRM cérébrale. Pré-éclampsie • HTA diastolique borderline sous Trandate 200 mg 3/j • RCIU : confirmé à la naissance, poids foetal 1540 g (P3). Pré-éclampsie non sévère Pré-éclampsie non sévère Pré-éclampsie sévère post partum avec TA 163/100 mmHg Fentanyl-Patch 12.5 ugram ab 17.01.2020 Magnesium bei Bedarf Prélèvement de selles en ambulatoire. Coloscopie en ambulatoire (demande envoyée à l'Hôpital de jour à Riaz). Contrôle chez son médecin traitant. Prélèvement Grippe Rx thorax Antipyrétiques en réserve Prélèvement MRSA vu événements dans le service de la Néonatologie. Pas encore envoyé. Directive officielle du service hygiène le 27.01.20 pour effectuer ou non de l'examen. Prélèvement nasal: Grippe B+, RSV/Grippe A neg Prélèvements articulaires (5x) per-opératoires le 08.01.2020 : négatifs Consilium infectiologique (Dr. X) Ablation du spacer, implantation de PTH à gauche et cerclage Dall-Miles pour fracture péri-prothétique du petit trochanter intra-opératoire le 08.01.2020 (Dr. X) Pose de Picc-line du 10.01 au 20.01.2020 Antalgie par PCA de morphine du 08.01 au 11.01.2020 Vancomycine 1 g - 2 x/jour iv du 08.01 au 14.01.2020 Mobilisation en charge partielle de 15 kg (touch/down) à l'aide de deux cannes anglaises pendant 6 semaines Anticoagulation préventive pendant 6 semaines Réfection du pansement tous les 2 jours et ablation des agrafes le 22.01.2020 Contrôle radio-clinique le 18.02.20 à 9h à la consultation du Dr. X/Dr. X prématuré à 35 SA+1 Prématuré de 26 semaines avec (anamnèse) : • Status post problème respiratoire. • Status post hémorragie cérébrale. • Status post colostomie pour iléus Prématuré de 28 3/7 SA, PN 1280 (P50-P90), TN 39.5 cm (P50-P90), PC 27 cm (P50-P90) Maladie des membranes hyalines Suspicion d'infection néonatale à J29 (pneumonie deux plages pulmonaires DD: broncho-aspiration) S/p 1-2 bronchites obstructives Insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive à RSV positif en janvier 2019 Prématuré de 32 2/7 SG Prématuré de 35 0/7 SA, PN 2260 g (P10-25), TN 45 cm (P3), PCN 32 cm (P25) Prématuré de 35 1/5 PN 2010 g (P8), PC 31 cm (P8), Taille 44 cm (P7) A l'entrée: J 4= 35 5/7, poids 1975 g Konakion 2 mg à J0 et J4 et Guthrie à J4 faits à Berne Oléovit dès J4 OEA passées Syndrome brady-apnéique post wet-lung Monitoring cardio-resp du 31.05 au 07.06.2016 Difficultés alimentaires dans le cadre de la prématurité SNG du 31.05 au 07.06.2016 Conjonctivite droite (01.06.) Frottis conjonctive: S. Viridians et Staph epidermidis (quelques) Euphrasia gttes 01.06 au 07.06. Mycose du siège Imazole crème du 04.06 au 11.06 Excroissance de peau sur le sacrum ligne médiane à 1.5 cm de l'anus US de contrôle le 08.06.2016: Pas de lésion sous-cutanée ou en profondeur de la toute petite excroissance cutanée. Les structures osseuses se présentent normalement. Le cordon médullaire s'arrête à hauteur de L2. Plagiocéphalie positionnelle Coussin ergothérapeute Prématuré né à 30 0/7 semaines de gestation, poids de naissance à 1535 g (P50-75), périmètre crânien de naissance 28 cm (P25-50), taille de naissance 42 cm (P50-75) • Jumeau 2 d'une grossesse mono-choriale bi-amniotique Syndrome transfuseur-transfusé grade 1 (transfusé), traitée par amnio-drainage de J2 le 14.02 Choc hémorragique sur KTAO (pas de transfusion) avec insuffisance rénale pré-rénale d'origine indéterminée (DD sur saignement ombilical) Prématurée de 29 5/7 SA, poids de naissance 950 g (P15); Taille 35 cm (P10); PC 25,4 cm (P15) • s/p Hyperbilirubinémie de la prématurité • s/p Hypoglycémies dans contexte prématurité • s/p Hémorragie intra ventriculaire bilatérale de grade 1 • s/p Contrôles FO: 6.4.17 et 21.4: sans signe pour ROP Prématurée de 33 5/7 SG avec PN 1990 g (P 25), TN 44 cm (P 10-50), PCN 32 cm (P 50-95) • J2 d'une grossesse gémellaire bi-amniotique, bichoriale Bronchite spastique avec détresse respiratoire modérée Betnesol 0.25mg/kg po du 02.07 au 04.07 Ventolin nébuliseur doseur du 02.07 au 05.07 Atrovent le 02.07 O2 du 02.07 au 05.07 OMA gauche Amoxicillin 50mg/kg/24hr du 02.07 au 12.07 Naaprep 0.9% 1-1-1-1 Nasivin 0.01% 1-1-1 du 02.07 au 06.07 Difficultés alimentaires Surveillance Prématurée née à 35 6/7 SA eutrophe pour les 3 paramètres Poids 2730 gr (P25-50) PC 33 (P25-50) et Taille 47 (P25-50) Prématurée 35 4/7 SG, PN 2520 g (P 40), TN 48,5 cm (P 60), PCN 33 cm (P 50) Reflux gastro-oesophagien clinique et intolérance aux protéines bovines GEA sans signe de déshydratation Réactions cutanées d'étiologie indéterminée (premier épisode d'urticaire en juin 2014) avec amélioration sous antihistaminiques Pyélonéphrite Prématurité Prématurité Prématurité Prématurité à 31 1/7ème, poids de naissance: 1195 g (P15); PC 27 cm (P15); Taille: 38.5 cm (P20) Prématurité à 35 1/7 SG, PN 3320 g (P95), TN 51 (P75-90), PCN 34.5 cm (P75-90) Hyperbilirubinémie NN (max 274 umol/l) nécessitant une photothérapie 1 lampe du 21.03 au 22.03, avec suivi laboratoire jusqu'au 23.03. Prématurité des jumeaux Prématurité 34 SA, poids de naissance 2150 g (P25-50), taille de naissance 44 cm (P25), périmètre crânien de naissance 32 cm (P50) Premier épisode d'hématochézie le 11.01.20 • probablement sur lésion infra-centimétrique située à 9h au niveau de la muqueuse du rectum. Premier essai de pose de sonde sans succès à cause de l'agitation du patient. Succès après antalgie par morphine. Attitude : Cystofix prévu le 10.01.20. Patient parti sans consultation médicale. Prendre contact avec allergologue Epipen en réserve, Xyzal et Ventolin au besoin Prendre contact avec la neuroréhabilitation de l'HFR Meyriez en post-opératoire pour que la patiente puisse bénéficier d'une neuro-réadaptation intensive (demande acceptée) Pister anticorps anti-neuronaux Attitude : Réhabilitation neurologique intensive après prise en charge chirurgicale, à prévoir directement post-Inselspital Berne • contrôle clinique et ENMG à 6-8 sem. (merci de faire la demande en NLG par téléphone) Pré-OAP d'origine probablement multifactorielle • fibrillation auriculaire rapide • pic hypertensif • insuffisance de traitement diurétique Préparation au CT injecté selon le protocole suivant : • 11h: 30 mg de Prednisone po. • 21h: 30 mg de Prednisone po. • 22h: 2mg de Clémastine IV. • 23h: CT injecté. Antibiothérapie par 2.2 g Co-Amoxicilline IV aux 8h. Prochaine dose chez les ORL lundi matin. CT injecté: cellulite mais pas de thrombose du sinus caverneux. Patient sera vu demain à 9h en ORL pour discuter de la suite de la prise en charge (notamment antibiotiques). Presbyacousie bilatérale appareillée Dyslipidémie Hallux valgus gauche Syndrome restrictif moyen à sévère avec : • Petite composante obstructive possible Insuffisance cardiaque systolique d'origine indéterminée : • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 49 %, le 03.01.2017 Prescription d'amoxicilline 25 mg/kg soit 500 mg pendant cinq jours et d'Algifor. Recontrôler si persistance de la fièvre dans 48h ou apparition d'un écoulement purulent. Prescription d'anti-inflammatoires avec Novalgine. On agende une infiltration de l'articulation AC. Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'à fin janvier puis reprise à 100% dès le 01.02.20. Prescription de Euphrasia collyre. Recontrôler chez le médecin traitant si péjoration. Prescription de Lisinopril 10 mg (selon avis Dr. X). Prescription de physiothérapie pour décollement et massages cicatriciels. Nous reverrons le patient d'ici 2 à 3 mois. Si persistance de gêne vu ce fil cutané, une opération en anesthésie locale pourrait lui être proposée. Il ne nécessite pas d'incapacité de travail. Prescription de physiothérapie pour mobilisation de l'épaule au-dessus de l'horizontale en active assistée pour les 6 prochaines semaines. Ablation ce jour du gilet ortho et mise en place d'une bretelle. Prochain contrôle dans 6 semaines environ. Prescription de physiothérapie pour mobilisation et proprioception. Nous prescrivons aussi des exercices neuromusculaires pour traiter cette irritation du nerf ulnaire. Nous organisons un contrôle clinique dans 6 à 8 semaines. Si persistance d'hyposensibilité subjective, prescription d'un examen neurologique pour examiner le nerf ulnaire. Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'à fin février. Prescription de séances d'ergothérapie pour le poignet. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Prescription d'huile de bain Excipial Balmandol à faire une fois par jour, crème Dexeryl 2x/j, crème hydrocortisone uniquement sur les lésions 1x/j pendant une semaine, puis 1 j/2 pendant une semaine et 1 j/3 pendant une semaine. Consulter le pédiatre si mauvaise évolution malgré traitement bien conduit. Prescription Targin 5/2.5 2x/jour. Prescription Valverde sommeil forte. Arrêt de travail pour le 07.01.2020. Coordonnées du centre des Toises remises au patient. Recommandation au patient de trouver un médecin traitant. Proposition d'avoir un suivi à la permanence. Recommandation au patient de consulter en urgences en cas d'idéations suicidaires. Présence de multiples adénomégalies dans le médiastin et les hiles pulmonaires. Présence de 4 échardes en bois sous l'ongle de l'index droit le 17.01.2020. Présence d'un corps étranger occipital (agrafe) le 13.01.2020. Présence d'une tumeur intra-abdominale, suspicion d'une tumeur neuro-endocrine, DD : métastase d'un carcinome épidermoïde. Cardiopathie rythmique et valvulaire avec : • remplacement de la valve aortique (Björk-Shiley) sur une insuffisance aortique en 1977 et fibrillation auriculaire chronique. • Hypertension artérielle pulmonaire. Insuffisance rénale chronique stade IV probablement sur néphroangiosclérose hypertensive non investiguée. Syndrome métabolique avec : • Hypertension artérielle. • Syndrome des apnées obstructives du sommeil non appareillé. Malvoyance sur cataracte bilatérale non opérée. Syndrome restrictif d'origine indéterminée. Goutte. Troubles de la déglutition. Présentation au Tumorboard le 11.12.2019. Biopsie le 04.12.2019 : pister NGS séquençage de Bâle + examen gynéco. PET-CT du 16.12.2019. Fonction pulmonaire : le 19.12.2019. Consilium gynécologique le 10.12.2019. Avis Dr. X (le 19.12.2019) : opération le 07.01.2020 à l'Inselspital Berne. Consilium anesthésique le 19.12.2019. Bronchoscopie avec EBUS le 20.12.2019 (Dr. X) : • biopsie ganglion médiastinal (réf.) : négatif. Préservation de fertilité chez Mme. Y nulligeste de 23 ans. Préservation de fertilité chez Mme. Y nulligeste de 23 ans, le 06.01.20. Annexectomie gauche pour cryo-conservation par laparoscopie le 13.01.2020 (+ pose de port-à-cath par la chirurgie). Antalgie simple. Decapeptyl 3.75 le 08.01.2020. Pré-syncope et vomissements. Pré-syncope probablement vagale le 08.01.2020. Présyncope sur hypotension sur déshydratation dans un contexte infectieux. Pré-travail persistant. Prévention de l'ostéoporose cortico-induite. Prévention des escarres. Prévoir ablation du filtre cave dès que possibilité d'anticoagulation thérapeutique. Prévoir imagerie et recherche de l'enzyme de conversion + lysozyme si l'hypercalcémie persiste. Suivi clinique et biologique. Résolution complète le 23.12.2019 avec Calcium 2.38 mmol/l, Calcium ionisé 2.40 mmol/l. Prévoir rendez-vous cardiologique. Prévoir un nouveau bilan vitamine B12, Folate, TSH. Prévoir une IRM de contrôle à 3 mois. Primpéran et Zofran en R. Evaluation nutritionnelle ? Primpéran 5 mg iv et paracétamol iv 500 mg. Laboratoire : Hb 127, INR 1.1, TP 79. Cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien : scanner cérébro-cervical. CT-scan : décrit ci-dessous. Retour à domicile avec feuille de surveillance post-traumatisme crânien. Prendre Primperan. Hydratation orale. Repos. Priorix à proposer dans le post-partum. Prise au bloc opératoire pour laparoscopie exploratrice. Prise de contact avec Dr. X, prochain contrôle prévu vendredi. Prise de contact avec le psychiatre traitant. Prise de contact avec les parents si l'uricult revient positif pour débuter l'antibiothérapie. Numéro du secrétariat de Mme. X donné aux parents car les parents souhaitent débuter un suivi urologique en Suisse, s/p circoncision et possible incontinence urinaire persistante à l'âge de 6 ans. Prise de contact avec pédopsychiatre de garde. Suivi organisé au CPP dès le lendemain matin (21.01.20, éducateur prend le rendez-vous). Surveillance par éducateur et reconsultation précoce au besoin. Prise de la pilule du lendemain Norlevo d.u. pris (en présence de ses parents également). Discussion avec la patiente de la nécessité d'une contraception fiable pour la suite, de refaire le test de grossesse dans 2-3 semaines, de faire un bilan de dépistage des maladies sexuellement transmissibles (ses parents informés aussi de la nécessité de voir le gynécologue traitant). Prise de poids. Prise de sang pour le laboratoire : aligné. Contrôle de plaie à 48h au secteur ambulatoire des urgences : contrôler qu'il ait une antibiothérapie pour 10 jours (1ère ordonnance pour 5 jours seulement). Prise de sang. Patient reparti sans consultation médicale. Prise de tension artérielle à droite. Prise de 10 mg/kg/dose d'Algifor. Prise en charge à Marsens à la Chrysalide. Prise en charge aux urgences du CHUV avec suture à la peau. Suivi en policlinique pour ablation des fils à J15. Prise en charge chirurgicale à discuter selon le contexte global. Prise en charge chirurgicale à l'HEL à Lausanne. Prise en charge complexe. Prise en charge de diabète de type I. Prise en charge de la prématurité et PN < 2000g. Prise en charge de l'hyponatrémie (cf Dx suppl. 1). Prise en charge dentaire et ORL le 23.01.2020 sous anesthésie générale. Prise en charge diététique. Prise en charge effectuée à Riaz : • Examen clinique. • Radiographie de la main/poignet droit d'incidence de face, profil et oblique. Avis orthopédique : Dr. X. • TT antalgique par Dafalgan. Prise en charge en maternité, suivi sage-femme à domicile. Le patient sera revu à 48h de vie pour la consultation de sortie habituelle en maternité. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Prise en charge interdisciplinaire. Arrêt de la prégabaline. Prise en charge interdisciplinaire. Dexaméthasone 8 mg dès le 21.01.2020. Prise en charge interdisciplinaire palliative complexe. Prise en charge interdisciplinaire.Temesta, puis Rivotril iv puis Nozinan iv Bénévole pour la nuit • Prise en charge interdisciplinaire • Alimentation plaisir • Prise en charge interdisciplinaire • Domperidon avant les repas • Prise en charge interdisciplinaire • Diminution du Seresta • Prise en charge interdisciplinaire • Entretien de réseau : Soins à domicile 2x/j., Voltigo, présence régulière de la soeur • Prise en charge interdisciplinaire • Entretiens avec le psychologue • Oxazépam d'office et en R • Prise en charge interdisciplinaire • Envisager forme longue durée de benzodiazépine (refuse Xanax retard) • Proposer psychologue • Prise en charge interdisciplinaire • Ergothérapie • Entretiens en présence des proches • Prise en charge interdisciplinaire • Huiles essentielles • Lorazépam en réserve • Prise en charge interdisciplinaire • Morphine PO • Prise en charge interdisciplinaire • Morphine PO (matin et soir car se plaint particulièrement de dyspnée et angoisse à ce moment-là) • Prise en charge interdisciplinaire • Oxazépam d'office et en réserve • Prise en charge interdisciplinaire • Physiothérapie • Prise en charge interdisciplinaire • Physiothérapie • Transfusion récente sans bénéfice ressenti par le patient • Prise en charge interdisciplinaire • Reiki, art-thérapie • Psychologue • Pas de médication pour l'instant • Entretiens de famille • Prise en charge interdisciplinaire • Simplification du traitement médicamenteux • Prise en charge interdisciplinaire • Soutien psychologique le 08.01.2020 • Prise en charge interdisciplinaire • Temesta • Prise en charge interdisciplinaire • Temesta • Oxygénothérapie au niveau de la trachétomie pour une cible à 92% • Aérosols Fluimucil, bépanthène • Prise en charge multidisciplinaire • Alimentation plaisir • Discussion d'introduire stéroïdes à reprendre vendredi 03.01.2020 • Prise en charge multidisciplinaire • Discussion d'introduire stéroïdes à reprendre lundi 05.01.2020 • Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 17.01.2020 au 18.01.2020, puis non monitoré 18.01.2020 jusqu'au 21.01.2020, date de son retour à domicile • Poursuite Aspirine 100 mg/j • Majoration de l'Atorvastatine à 40 mg/j • Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 17.01.2020 • IRM cérébrale le 20.01.2020 • Électroencéphalogramme le 20.01.2020 • Laboratoire: cholestérol total 5.3 mmol/l, LDL cholestérol 3.6 mmol/l, HbA1c 5.4 % • Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 01.01 au 02.01.2020, puis non monitoré du 02.01 jusqu'au 10.01.2020, date de son retour à domicile • Charge en Aspirine le 01.01.2020, puis 100 mg/j pour 2 semaines • Poursuite du Clopidogrel • Atorvastatine 80 mg dès le 01.01.2020 • Angio-CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux le 01.01.2020 • Echocardiographie transthoracique le 03.01.2020 • Holter le 03.01.2020 • Bilan angiologique des vaisseaux pré-cérébraux le 03.01.2020 • Dupplex transcrânien avec détection de HITs le 07.01.2020 • Bilan neuropsychologique le 09.01.2020 • Bilan lipidique le 03.01.2020: cholestérol total 3.2 mmol/l, LDL cholestérol 2.2 mmol/l; Hb glyquée à 5.5 % • Holter à répéter dans 2 semaines (patient sera convoqué) • Bilan ophtalmologique à faire en ambulatoire (patient sera convoqué) • Consultation de suivi en neuropsychologique le 26.02.2020 à 13h30 • Conduite contre-indiquée jusqu'à nouvelle évaluation neuropsychologique et ophtalmologique • Consultation neurovasculaire de contrôle le 22.04.2020 • Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 02.01 au 06.01.2020, puis non monitoré du 06.01 jusqu'au 13.01.2020, date de son transfert en neuroréhabilitation intensive • Atorvastatine 40 mg/j • Eliquis 2x 5mg dès le 08.01.2020 • Test de déglutition le 04.01.2020 • Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 02.01.2020 • IRM cérébrale le 03.01.2020 • CT cérébral natif le 05.01.2020 • Echographie cardiaque transthoracique le 03.01.2020 • Bilan neuropsychologique du 08.01.2020 • Laboratoire: cholestérol total 5.5 mmol/l, LDL cholestérol 4.16 mmol/l, HbA1c 5.8 % • FRCV : Ancien tabagisme à 50 UPA. Prédiabète • Conduite à réévaluer à l'HFR Meyriez • Inclusion dans l'étude ESTREL (Madopar vs Placebo) • Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 03.01.2020 au 04.01.2020, puis non monitoré du 04.01.2020 jusqu'au 15.01.2020, date de son retour à domicile • Aspirine cardio charge de 250 mg IV puis 100 mg/j PO du 04.01.2020 au 06.01.2020 • Plavix 75 mg/j dès le 07.01.2020 • Atorvastatine 40 mg/j dès le 04.01.2020 • Test de déglutition • Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 03.01.2020 • CT cérébral natif le 04.01.2020 • IRM cérébrale le 06.01.2020 • Echographie cardiaque transthoracique le 06.01.2020 • Echocardiographie transoesophagienne le 08.01.2020 • Holter sur 72 heures le 06.01.2020 • Bilan neuropsychologique le 07.01.2020 • Laboratoire: cholestérol total 6.8 mmol/l, LDL cholestérol 4.84 mmol/l, HbA1c 5.7 % • Anticorps anti-phospholipide: en cours • Ddimères: 736 ng/ml • Radiographie du thorax le 07.01.2020 • FRCV : Dyslipidémie • Pas de conduite jusqu'à la prochaine évaluation neuropsychologique • Consultation neurovasculaire de contrôle le 16.04.2020 • Consultation de suivi neuropsychologique à 1 mois (patient sera convoqué) • Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 06.01.2020 au 07.01.2020, puis non monitoré du 07.01.2020 jusqu'au 09.01.2020, date de son retour à domicile • Anticoagulation par Xarelto 20 mg/j introduite selon l'étude ELAN • Poursuite Atorvastatine à 40 mg/j • Test de déglutition • Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 06.01.2020 • IRM cérébrale le 07.01.2020 • Echographie cardiaque transthoracique le 07.01.2020 • Holter sur 72 heures le 08.01.2020 • Bilan neuropsychologique le 07.01.2020 • Laboratoire: cholestérol total 3.4 mmol/l, LDL cholestérol 2.02 mmol/l, HbA1c 6.6 % • FRCV : Hypertension artérielle. Diabète de type 2. Tabagisme actif. SAOS appareillé. Dyslipidémie • Pas de conduite pendant 2 semaines • Consultation neurovasculaire de contrôle le 01.04.2020 à 11h chez le Dr. X et entretien téléphonique le 06.02.20 +/- 3 jours • Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 09.01 au 10.01.2020, puis non monitoré du 10.01.2020 jusqu'au 17.01.2020, date de son transfert en médecine interne • Héparine thérapeutique IVC du 09.01.2020 au 13.01.2020 • Clexane thérapeutique du 13.01.2020 au 17.01.2020 • Lixiana 60 mg/j dès le 18.01.2020 • Atorvastatine dès le 08.01.2020 • Test de déglutition le 10.01.2020 • Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 08.01.2020 • Artériographie avec thrombectomie partielle le 08.01.2020 • CT scanner cérébral le 09.01.2020 • Echographie cardiaque transthoracique le 10.01.2020 • Holter sur 24 heures le 14.01.2020 • Bilan neuropsychologique le 16.01.2020 • Laboratoire: LDL cholestérol 2.13 mmol/l, HbA1c 6.6 % • FRCV : Tabagisme. Prédiabète. SAOS léger. • Aptitude à la conduite à réévaluer • Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois (patient sera convoqué)Test de déglutition Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 09.01.2020 IRM cérébrale le 09.01.2020 Echographie cardiaque transthoracique le 10.01.2020 Echocardiographie transoesophagienne le 13.01.2020 Holter sur 72 heures le 13.01.2020 US doppler des membres inférieurs le 10.01.2020 Angio-CT thoracique le 10.10.2020 Toxicologie urinaire négative Bilan de thrombophilie et anticorps antiphospholipides le 10.01.2020: à pister Bilan neuropsychologique du 13.01.2020 Laboratoire: cholestérol total 3.7 mmol/l, LDL cholestérol 2.23 mmol/l, HbA1c 5.5 % FRCV: tabagisme occasionnel Pas de conduite pendant 2 semaines Consultation neurovasculaire de contrôle à effectuer en Corée Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 14.01.2020 au 16.01.2020, puis non monitoré du 16.01.2020 jusqu'au 23.01.2020, date de son transfert en neuroréhabilitation intensive à Meyriez Aspirine cardio charge de 250 mg IV puis 100 mg/j PO le 14.01.2020 puis du 17.01.2020 au 20.01.2020 Plavix 75 mg/j PO le 14.01.2020 puis dès le 21.01.2020 Atorvastatine 80 mg/j dès le 17.01.2020 Betaserc dès le 21.01.2020 Test de déglutition le 14.01.2020 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 14.01.2020 IRM cérébrale le 14.01.2020 CT cérébral natif 16.01.2020 Echographie cardiaque transthoracique le 16.01.2020 Holter sur 24 heures le 21.01.2020 Examen neurosonologique le 20.01.2020 Bilan neuropsychologique le 20.01.2020 Laboratoire: cholestérol total 5.7 mmol/l, LDL cholestérol 4.09 mmol/l, HbA1c 10.7 % FRCV: HTA. Diabète. Conduite à réévaluer à Meyriez Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois chez Dr. X avec examen neurosonologique Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 19.01.2020 au 21.01.2020, puis non monitoré du 21.01.2020 jusqu'au 30.01.2020, date de son transfert en neuroréhabilitation intensive à Meyriez Labétalol du 19.01 au 20.01.2020 Introduction de Lisinopril, Amlodipine, Nifédipine Atorvastatine 20 mg/j dès le 23.01.2020 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 19.01.2020 CT cérébral le 20.01.2020 IRM cérébrale le 23.01.2020 CT cérébral le 24.01.2020 Bilan neuropsychologique du 23.01.2020 Laboratoire: cholestérol total 4.6 mmol/l, LDL cholestérol 3.37 mmol/l, HbA1c 5.5 % Fréquence cardiovasculaire: hypertension artérielle Pas de conduite, à réévaluer selon évolution Consultation neurovasculaire de contrôle le 14.05.2020 à 14h30 IRM de contrôle le 05.03.2020 à 12h15 +/- angiographie cérébrale selon résultats (recherche d'une anomalie vasculaire) Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 22.01.2020 au 23.01.2020, puis non monitoré du 23.01.2020 jusqu'au 29.01.2020, date de son transfert en Frailty Care Aspirine cardio charge de 500 mg IV puis 100 mg/j dès le 23.01.2020 Atorvastatine 40 mg/j dès le 22.01.2020 Test de déglutition le 22.01.2020 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 22.01.2020 IRM cérébrale le 23.01.2020 Echographie cardiaque transthoracique le 23.01.2020 Holter sur 72 heures à réaliser Bilan neuropsychologique du 28.01.2020 Laboratoire: cholestérol total 3.2 mmol/l, LDL cholestérol 1.76 mmol/l, HbA1c 5.6 % Mr. Y ne conduit pas Consultation neurovasculaire de contrôle le 07.05.2020 à 14h30 Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 23.01.2020 au 24.01.2020, puis non monitoré du 24.01.2020 jusqu'au 28.01.2020, date de son retour à domicile Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 23.01.2020 Echographie cardiaque transthoracique le 23.01.2020 Bilan neuropsychologique du 27.01.2020 Laboratoire: cholestérol total 3.2 mmol/l, LDL cholestérol 2.17 mmol/l, HbA1c 5.2 % (en 11.2019) Contre-indication à la conduite (Mme. Y ne conduit plus) IRM de suivi le 09.03.2020 à 09h45 (résultats à pister par le médecin traitant) Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 24.01.2020 au 25.01.2020, puis non monitoré du 25.01.2020 jusqu'au 29.01.2020, date de son retour à domicile. Aspirine 100 mg/j dès le 24.01.2020 Atorvastatine 40 mg/j dès le 24.01.2020 Test de déglutition le 24.01.2020 IRM cérébrale le 24.01.2020 (Inselspital) Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 25.01.2020 (HFR) Echographie cardiaque transthoracique le 28.01.2020 Holter sur 72 heures posé le 28.01.2020 Examen neurosonologique le 27.01.2020 EEG le 27.01.2020 Bilan neuropsychologique du 28.01.2020 Laboratoire: cholestérol total 6.62 mmol/l, LDL cholestérol 4.2 mmol/l (en 2019), HbA1c 5.7 % Pas de conduite pendant 2 semaines Consultation neurovasculaire de contrôle le 06.05.2020 à 14h30 Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 25.01.2020 au 27.01.2020, puis non monitoré du 27.01.2020 jusqu'au 30.01.2020, date de son retour à domicile. Aspirine cardio charge du 26.01.2020 au 27.01.2020 Plavix 75 mg/j dès le 28.01.2020 Atorvastatine 40 mg/j Test de déglutition le 25.01.2020 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 25.01.2020 CT cérébral natif le 26.01.2020 (12h) CT cérébral natif le 26.01.2020 (13h) IRM cérébrale le 27.01.2020 Echographie cardiaque transthoracique le 27.01.2020 Holter sur 72 heures le 30.01.2020 Bilan neuropsychologique du 29.01.2020 Laboratoire: cholestérol total 4.3 mmol/l, LDL cholestérol 2.48 mmol/l, HbA1c 4.9 % Fréquence cardiovasculaire: tabagisme actif Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois chez Dr. X (Mr. Y sera convoqué) Consultation de neuropsychologie à 4-6 semaines (Mr. Y sera convoqué) Pas de conduite ni de reprise professionnelle jusqu'au prochain contrôle neuropsychologique Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 27.01.2020 au 29.01.2020, puis non monitoré du 29.01.2020 jusqu'au 31.01.2020, date de son retour à domicile. Aspirine cardio charge de 250 mg IV le 27.01.2020 puis 100 mg/j pour 14 jours Poursuite du Plavix 75 mg/j Atorvastatine 80 mg/j dès le 27.01.2020 Test de déglutition le 27.01.2020 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 27.01.2020 IRM cérébrale le 29.01.2020 Echographie cardiaque transthoracique le 28.01.2020 Examen angiologique le 28.01.2020 Examen ophtalmologique le 28.01.2020 Duplex transcrânien avec détection de HITS sur l'ACM G le 29.01.2020 Laboratoire: cholestérol total 6.8 mmol/l, LDL cholestérol 5.2 mmol/l, HbA1c 5.9 % FRCV: Ancien tabagisme. Maladie coronarienne. Hypercholestérolémie. Diabète. Angiographie le 04.02.2020 à 15h30 en ophtalmologie Pas de conduite pendant 14 jours Consultation neurovasculaire de contrôle avec examen neurosonologique chez Dr. X le 28.02.2020 à 15h30 Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 27.12 au 28.12.2019, puis non monitoré du 28.12.2019 jusqu'au 04.01.2020, date de son transfert en médecine interne à l'HIB Payerne Aspirine le 27.12.2019, puis du 30.12.2019 au 02.01.2020 (mise en suspens pour thrombocytopénie) Clexane thérapeutique dès le 02.01.2020, à remplacer par du Xarelto 20 mg/j dès le 06.01.2020 Atorvastatine 40 mg/j dès le 27.12.2019 Test de déglutition le 27.12.2019 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux (HIB Payerne) le 27.12.2019 IRM cérébrale (HIB Payerne) le 27.12.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 30.12.2019 Holter sur 72 heures le 31.12.2019 Ultrason des vaisseaux pré-cérébraux le 31.12.2019 Bilan neuropsychologique le 30.12 et 31.12.2019 Laboratoire: cholestérol total 3.7 mmol/l, LDL-cholestérol 1.94 mmol/l, HbA1c 6.1 % Monomères de fibrine positifs le 30.12.2019 Conduite contre-indiquée Consultation neurovasculaire de contrôle à trois mois (à réévaluer selon évolution globale) Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 29.12 au 31.12.2019, puis non monitoré du 31.12.2019 jusqu'au 10.01.2020, date de son transfert en division de médecine interne.Clexane thérapeutique dès le 03.01 au 15.01.2020 Sintrom dès le 13.01.2020 Pantoprazole dès le 31.12.2019 Angio-CT cérébral et vaisseaux précérébraux le 29.12.2019 CT thoraco-abdomino-pelvien le 31.12.2019 CT cérébral le 08.01.2020 IRM cérébrale le 30.12.2019 Holter le 31.12.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 03.01.2020 Echocardiographie transthoracique Sonovue le 06.01.2020 Consilium d'ophtalmologie le 03.01.2020 Bilan neuropsychologique le 06.01.2020 Laboratoire : cholestérol total 2.8 mmol/l, LDL cholestérol 1.77 mmol/l, HbA1c 7.1 mmol/l VS le 01.01.2020 : dans la norme Electrophorèse des protéines le 01.01.2020 : dans la norme PSA le 01.01.2020 : dans la norme ANA, ANCA et FR le 03.01.2020 : dans la norme Conduite contre-indiquée (Mr. Y et Mme. Y informés le 31.12.2019) Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois chez le Dr. X : le 30.04.2020 à 10h30 Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 29.12.2019 au 30.12.2019, puis non monitoré du 30.12.2019 jusqu'au 02.01.2020, date de son transfert en médecine interne Aspirine cardio charge de 250 mg IV le 29.12.2019 puis 100 mg/j PO jusqu'au 02.01.2020 Eliquis 2x2.5mg dès le 02.01.2020 Atorvastatine 40 mg/j dès le 29.12.2019 Reprise de l'amlodipine le 01.01.2020 Lisinopril dès le 02.01.2020 Test de déglutition le 30.12.2019 : Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 29.12.2019 : Suspicion d'AVC ischémique partiellement constitué cortico-sous-corticale du gyrus précentral gauche. Importante athéromatose des vaisseaux pré-cérébraux. Echographie cardiaque transthoracique le 30.12.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 45 %. Interrogation du pacemaker le 30.12.2019 : FA permanente, bon fonctionnement, simulation ventriculaire 61 %. Bilan neuropsychologique du 31.12.2019 : difficultés multi-domaines à prédominance langagière et exécutive et semble compatible avec les données de la neuroimagerie Laboratoire : cholestérol total 4.4 mmol/l, LDL cholestérol 2.83 mmol/l, HbA1c 5.9 % Attitude : Pas de conduite Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois En attente d'une place de neuro-réadaptation Prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 10.01.2020 jusqu'au 21.01.2020, date de son transfert en médecine interne. Xarelto 20 mg/j, arrêté le 17.01.2020 en raison d'hématurie Clexane thérapeutique dès le 22.01.2020 Atorvastatine 40 mg/j Test de déglutition le 14.01.2020 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 10.01.2020 (HFR) IRM cérébrale le 11.01.2020 (Inselspital) IRM cérébrale le 12.01.2020 (Inselspital) Echographie cardiaque transthoracique le 13.01.2020 (Inselspital) Bilan neuropsychologique le 20.01.2020 Laboratoire : cholestérol total 3.69 mmol/l, LDL cholestérol 2.28 mmol/l, HbA1c 6.3 % FRCV : HTA. Dyslipidémie. Maladie coronarienne. Pas de conduite, à redéfinir Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois, Mr. Y sera convoqué Prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 13.01.2020 jusqu'au 24.01.2020, date de son transfert dans le service de médecine interne Aspirine cardio 100 mg/j jusqu'au 14.01.2020 Plavix 75 mg/j dès le 15.01.2020 Atorvastatine 80 mg/j Escitalopram dès le 19.01.2020 Test de déglutition Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 04.01.2020 (Universitätsklinikum Freiburg) CT cérébral natif 04.01.2020 (Universitätsklinikum Freiburg) CT cérébral natif 06.01.2020 (Universitätsklinikum Freiburg) CT cérébral natif 09.01.2020 (Universitätsklinikum Freiburg) CT cérébral natif 14.01.2020 (HFR) Echographie cardiaque transthoracique le 09.01.2020 (Universitätsklinikum Freiburg) Echographie cardiaque transoesophagienne le 13.01.2020 (Universitätsklinikum Freiburg) Monitoring-ECG sur 6 jours (Universitätsklinikum Freiburg) Holter de 72 h posé le 27.01.2019 Examen neurosonologique le 07.01.2020 (Universitätsklinikum Freiburg) Laboratoire : cholestérol total 3 mmol/l, LDL cholestérol 1.93 mmol/l en novembre 2019 FRCV : HTA. Dyslipidémie. Maladie coronarienne Pas de conduite, à réévaluer Consultation neurovasculaire de contrôle à prévoir selon évolution à Meyriez Prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 26.12.2019 au 08.01.2020, date de son transfert en neuroréhabilitation intensive à Meyriez Aspirine cardio charge de 250 mg IV puis 100 mg/j PO du 26.12.2019 au 28.12.2019 Eliquis 5 mg 2x/j dès le 28.12.2019 Poursuite de l'Atorvastatine 20 mg/jTest de déglutition le 25.12.2019 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 24.12.2019 (HFR Fribourg) Angio-CT de contrôle le 25.12.2019 (CHUV) CT cérébral natif le 28.12.2019 IRM cérébrale le 30.12.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 27.12.2019 Holter sur 72 heures le 30.12.2019 Bilan neuropsychologique le 30.12.2019 Laboratoire: cholestérol total 2.4 mmol/l, LDL cholestérol 1.06 mmol/l, HbA1c 5.8 % FRCV : HTA. Diabète. Dyslipidémie. Conduite à réévaluer à Meyriez selon évolution Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois (patiente sera convoquée) Prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 26.12.2019 au 08.01.2020, date de son transfert en neuroréhabilitation intensive à Meyriez Aspirine cardio charge de 250 mg IV puis 100 mg/j PO du 26.12.2019 au 28.12.2019 Eliquis 5mg 2x/j dès le 28.12.2019 Poursuite de l'Atorvastatine 20mg/j Reprise du Metoprolol le 01.01.2019 Lisinopril et Hydrochlorothiazide suspendus Test de déglutition le 25.12.2019 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 24.12.2019 (HFR Fribourg) Angio-CT de contrôle le 25.12.2019 (CHUV) CT cérébral natif le 28.12.2019 IRM cérébrale le 30.12.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 27.12.2019 Holter sur 72 heures le 30.12.2019 Bilan neuropsychologique le 30.12.2019 Laboratoire: cholestérol total 2.4 mmol/l, LDL cholestérol 1.06 mmol/l, HbA1c 5.8 % FRCV : HTA. Diabète. Dyslipidémie. Pas de conduite pendant ___ Consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois (patiente sera convoquée) Prise en charge neurologique complexe en Stroke Unit monitorée du 01 au 02.01.2020 (Dr. X) Angio-CT cérébral le 01.01.2020: AVC pariéto-occipital G subaigu, occlusion complète de V4 à G, sténose 50% de la carotide interne gauche, lésion cérébelleuse d'allure ancienne Aspirine et Plavix Anticoagulation prophylactique Prise en charge neurologique complexe en Stroke Unit monitorée du 19 au 20.01.2020 (Dr. X) CT time is brain le 19.01.2020 Prise en charge neurologique complexe en Stroke Unit monitorée du 23 au 24.01.2020 (Dr. X) Angio-CT cérébral et vaisseaux précérébraux le 23.01.2020 IRM cérébrale le 24.01.2020 Echo cardiaque le 24.01.2020 EEG le 24.01.2020: FEVG 60% Aspirine dès le 23.01.2020 Prise en charge neurologique complexe en Stroke Unit monitorée du 24 au 26.01.2020 (Dr. X) LDL-cholestérol du 25.01.2020: 1.95 mmol/l Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux 24.01.2020 Test de déglutition le 24.01.2020 Aspirine dès le 24.01.2020 Atorvastatine dès le 24.01.2020 Prise en charge neurologique complexe en Stroke Unit monitorée du 26 au 28.01.2020 (Dr. X) Beriplex 1000 IE IV le 26.01.2020 Angio-CT-scan cérébral et des vaisseaux précérébraux le 26.01.2020 IRM cérébrale le 27.01.2020 Avis neurochirurgical (Inselspital Dr. X, Dr. X HFR) Prise en charge neurologique complexe en unité stroke monitorée du 26.12.2019 au 30.12.2019 (Dr. X) Angio-CT cérébral le 26.12.2019 : sténose carotide interne droite avec subocclusion > 90%, occlusion V4 distale vertébrale gauche, lésion d'un AVC frontal droit d'allure ancienne Doppler vaisseaux précérébraux (angiologie) le 27.12.2019 : sténose > 95% artère carotide interne droite. Sténose modérée artère carotide interne gauche. Echocardiographie transthoracique le 27.12.2019 Holter du 28.12 au 29.12.2019 TEA carotide interne droite avec patch xénopéricardique le 29.12.2019 (Dr. X) Prise en charge neurologique complexe en unité stroke monitorée du 27.01 au 28.01.2020 (Dr. X) Angio-CT cérébral et des vaisseaux précérébraux le 27.01.2020 IRM cérébrale le 28.01.2020 Test de déglutition le 27.01.2020: eo Bilan lipidique / HbA1c le 27.01.2020 Poursuite Aspirine Mise en suspens transitoire de l'Eliquis, à reprendre dès le 28.01 au soir à demi-dose Introduction Ezetimib (intolérance aux statines) Prise en charge ORL : Mèche Ciproxine PO Prise en charge orthopédique aux urgences pédiatriques (Dr. X, Dr. X): • Antalgie par MEOPA, anesthésie en bague par Rapidocaïn • Désinfection par Bétadine, rinçage par NaCl • Remise en place du lit unguéal et suture de l'ongle par 2 points Vicryl, fixation de l'ongle par 2 points Prolène 3-4 Antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline 25mg/kg p.o. q12h pour 5 jours Prise en charge palliative Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe dès le 12.12.2019 Rendez-vous prévu le jeudi 16.01.2020 à 11h30 en oncologie avec Dr. X pour suite du traitement Prise en charge palliative complexe dès le 13.12.2019 Prise en charge palliative complexe dès le 19.12.2019 Prise en charge palliative complexe dès le 19.12.2019 Prise en charge palliative complexe dès le 19.12.2019 Ponction évacuatrice le 19.12.2019 et le 23.12.2019 : 1,8 litre et 2 litres la seconde : liquide sanguinolant Prise en charge palliative complexe dès le 20.11.2019 Prise en charge palliative complexe interdisciplinaire Prise en charge palliative complexe interdisciplinaire Prise en charge palliative complexe interdisciplinaire Prise en charge palliative complexe • Adaptation des traitements • Avis Cardiologue traitant (Dr. X) Prise en charge palliative complexe Test de déglutition Rivotril Prise en charge palliative interdisciplinaire complexe Prise en charge palliative interdisciplinaire complexe Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 10 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 11 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 12 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 12 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 16 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 18 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 21 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 22 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 7 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 11 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Prise en charge par chirurgie vasculaire prévu après un entretien téléphonique le 31.12.2019. Prise en charge par désinfection et protection par pansements (perte de selles récentes en raison des diarrhées). Prise en charge par incision chirurgicale sous anesthésie générale Surveillance. Prise en charge. Prochain contrôle radioclinique le 18.02.2020. Charge partielle augmentée à 30 kg. Prise en charge purement palliative souhaitée par le patient Antalgie par Oxynorm Mise en contact avec Voltigo. Prise en charge. Explication des examens effectués. Laboratoire : leuco 7, CRP 10. Radiographie : pas de signe d'atteinte osseuse. Sous Vancomycine par le médecin de la chirurgie. Bain de Dakin 3x/jour. Contrôle chez son médecin traitant dans 24 heures. Prise hydrique de 180 ml aux urgences. Probable abcès dentaire (dent 15). Probable abcès non purpéral QSI du sein droit chez Mme. Y. Status post distorsion cheville droite avec lésion des ligaments. Plaie pulpe D2 main gauche. Probable adénite mésentérique. Probable aggravation d'une symptomatologie connue post AVC, dans le contexte d'une baisse de l'état général - symptomatologie : asthénie, sensation de mal-être, lourdeur du membre supérieur droit. Probable AIT le 06.01.2020 - avec amaurose fugace de l'œil gauche pendant 1 minute. Probable AIT le 30.01.2020. Probable AIT pontique droit le 27.01.2020 DD : cardio-embolique (FA connue), artério-artérielle (hypoplasie artère cérébrale antérieure gauche et vertébrale droite) - ABCD2 score : 6 pts - NIHSS aux urgences 1 pt ; NIHSS à l'admission aux soins intensifs 0 pt ; NIHSS à la sortie des soins intensifs 0 pt. Probable AIT vertébro-basilaire le 07.10.2018, d'origine indéterminée, avec : - symptomatologie : vertiges, dysarthrie, instabilité à la marche - score ABCD2-I3 : 6 points - NIHSS 0 tout au long du séjour. Sigmoïdectomie (suite à des polypes bénins/diverticulose). Diverticulite colique en 2000. Appendicectomie. Multiples opérations orthopédiques des genoux des deux côtés 2005-2006. Arthroscopie épaule droite. Probable alcoolisme chronique : - consommation avouée de 2 litres de bière par jour. Probable angine virale. - CENTOR à 2. Probable antécédent d'orchiépididymite traitée par antibiothérapie chez le Dr. X, urologue à Bulle. Abcès périanal le 09.03.2017.Sensation d'avoir le cou gonflé sans critère de gravité le 15.04.19. Probable antécédent d'orchiépididymite traitée par antibiothérapie chez le Dr. X, urologue à Bulle. Abcès périanal le 09.03.2017. Sensation d'avoir le cou gonflé sans critère de gravité le 15.04.19. Probable AVC subaiguë ischémique suspect d'une localisation mésencéphalique avec diplopie binoculaire verticale (parésie de l'abaissement œil gauche) • DD parésie du n. IV gauche • Début des symptômes le 26.1.2020 à 12h30 Probable AVC sylvien gauche le 24.01.2020 • Hémisyndrome sensitivomoteur droite, dysarthrie, ataxie, ptose labiale • NIHSS initial (Berne) : 5 pts, NIHSS à l'entrée aux soins intensifs 2 pts ; NIHSS à la sortie des soins intensifs 4 pts • DD Epilepsie Probable balanite d'origine irritative sur hygiène intime excessive, le 04.01.2020. Probable blépharite bilatérale sans signes infectieux le 11.08.2019. Probable BPCO. OH chronique. État anxiodépressif. Probable bronchite post-infectieuse le 27.01.2020. Probable bronchoaspiration. Probable broncho-aspiration silencieuse le 17.12.2019. Probable brûlure de deuxième degré du pouce gauche. Probable bursite genou gauche le 24.05.2018. Probable carcinomatose péritonéale le 13.01.2020 • dans un contexte de carcinome lobulaire du sein gauche diagnostiqué en avril 2017 avec métastases osseuses depuis novembre 2019 Probable choc cardiogène avec insuffisance respiratoire sur tachycardie ventriculaire à 200/min. Probable cholangite aiguë en 2018. Probable cholécystite débutante le 10.01.2020. Probable cholécystite le 28.01.2020. Probable condensation vs décollement du vitré avec : • apparition de mouches mobiles dans les deux yeux en postopératoire sans trouble de l'acuité visuelle ou restriction du champ visuel Probable conflit fémoro-acétabulaire bilatéral symptomatique à D. Status post arrachement de l'épine iliaque antérieure et inférieure à G en 2018. Probable conjonctivite virale chez porteuse de lentilles. Probable contexte oncologique avec carcinome bronchique. Probable contusion cuisse droite : • DD hématome post-vaccin Probable contusion Dig IV main droite. Probable contusion du genou gauche. Probable contusion du pied droit sans signes de gravité. Probable contusion épaule droite. Probable corps étranger au niveau du système digestif. Probable corps étranger œil gauche. Probable corps étranger (poussière) œil gauche • examen à la fluorescéine dans la norme Probable crise d'angoisse. Probable crise d'angoisse avec hyperventilation et fourmillements des mains et du pourtour de la bouche. • contrôle du 22.01.2020. Probable crise d'angoisse dans le contexte d'un trouble de l'adaptation, le 30.01.2020. Probable crise d'angoisse le 30.01.2018 avec : • avec serrement de gorge Probable aponévrosite plantaire le 20.08.2018. Probable crise d'angoisse, le 30.01.2020. Probable crise de goutte : • DD arthrite septique Probable crise de goutte au poignet gauche. Probable crise de goutte du genou droit et de l'articulation MTP1 à droite le 21.01.2020 • Avis rhumatologique le 21.01.2020 : Ecofenac 75 mg 2x/j, pas encore d'indication à commencer de la Colchicine Probable crise de migraine compliquée le 14.11.2019 avec : • céphalées temporales droites continues qui deviennent pulsatiles aux efforts physiques légers, • photophobie et phonophobie, • scotomes de type points blancs sur l'hémichamp visuel droit, • champs visuels préservés, • pas de méningisme, patient afébrile, • asthénie avec lourdeur des deux jambes à prédominance droite, force M4+ des deux côtés, • déficit sensitif subjectif peu systématisé intéressant tout le membre inférieur droit, • anamnèse familiale positive pour migraines, • dernières règles il y a une semaine. Probable crise d'épilepsie le 25.12.2017 d'origine multifactorielle : • Absence et mouvements tonico-cloniques des membres supérieurs secondairement • Facteur déclenchant : éthylisme chronique, trouble du sommeil, déshydratation • Terrain à risque : traumatisme crânio-cérébral sévère avec crise d'épilepsie en 2009 • Introduction de Keppra 250 mg 2x/jour • Récidive de crise épileptique de type absence le 29.12.2017 sur non prise médicamenteuse • Keppra augmenté à 500 mg 2x/jour dès le 29.12.2017 • Diplopie nouvelle le 30.12.2017 spontanément régressive Traumatisme crânio-cérébral sévère le 18.07.2009 avec : • Fracture fronto-pariétale gauche, fracture fronto-pariéto-occipitale droite avec distension jusqu'au rocher avec pneumocéphalie • Hématome épidural fronto-pariétal droit, hématome sous-dural pariétal gauche (5 mm), hématomes sous-duraux bi-frontaux, hématomes sous-arachnoïdiens bi-frontaux, hématome intra-parenchymateux basi-frontal droit, discrète déviation de la ligne médiane vers la gauche • Hémiparésie gauche temporaire • Deux crises tonico-cloniques généralisées précoces et des petits maux tardifs secondaires Accident vasculaire cérébral ischémique thalamique gauche avec hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-facial droit partiellement régressif le 25.06.2012. S.p. fracture sous-capitale de l'humérus gauche avec rupture du tendon sous-épineux de l'épaule gauche avec ostéosynthèse et refixation de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche le 18.07.2009 (Dr. X). S.p. fracture pertrochantérienne gauche le 30.05.2019 : réduction fermée et ostéosynthèse avec clou PFNA fémur G (OP le 31.05.2019). Crise akinétique sur maladie de Parkinson probablement sous dosée en 06/2019. Dysélectrolytémie avec : • Hyperkaliémie légère à 5.2 mmol/l, 22.06.2019 • Hypophosphatémie à 0.55 mmol/l le 30.06.2019 Anémie normochrome normocytaire et arégénérative avec Hb à 85 le 30.06.2019. • ATCD de crise similaire en mai 2019. • Probable crise hystérique le 15.09.2017. • Status après laparoscopie pour endométriose avec résection de nodules endométriosiques en décembre 2013. • Status post-endométrite avec suspicion d'annexite à Gardnerella + BGN, traitée. • Status après décompression du nerf ulnaire gauche en 2015. • Status après cure d'hémorroïdes et de marisque, non datée. • Status post-opération du coude. • Opération genou G pour excroissance G en 2008. • Opération genou D pour Plica par arthroscopie en 2012. • Ablation d'un nodule du genou D en 2009. • Hématome du périnée à 3h avec incision/rinçage le 22.01.2017. • Suspicion de lésion de LLI G. • Entorse coude gauche le 11/01/18. • Pelvic inflammatory disease avec pyomètre après retrait stérilet Mona Lisa chez Mme. Y nulligeste de 27 ans. • Crise hystérique avec des idées suicidaires, le 27.02.2018. • Césarienne en urgence pour détresse maternelle après provocation pour désir maternel à 37 4/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y de 28 ans, primigeste devenue primipare le 20.01.2019. • Sevrage primaire de l'allaitement sans Dostinex. • Métrorragie et douleur abdominale d'origine X. • Douleurs abdominales d'origine indéterminée dans un contexte de sp césarienne en 01.2019. • Idées suicidaires. • Douleur thoracique d'origine ostéo-musculaire. • Probable cystite (DD balanite débutante). • Probable début d'infection des voies respiratoires supérieures. • Probable déchirure bicipitale droite le 23.01.2020. • DD : contracture bicipitale droite. • Probable déchirure intra-musculaire du gastrocnémien en médial de la jambe D. • Probable décompensation cardiaque gauche dans le contexte infectieux le 05.01.2020. • Probable décompensation psychotique dans le contexte de schizophrénie paranoïde connue. • Possible non-compliance médicamenteuse. • Probable décompensation psychotique d'un trouble schizo-affectif connu. • Probable décompensation psychotique le 03.01.2020 avec : • chorée de Huntington. • sous Olanzapine fixe et Lexotanil en réserve. • situation sociale difficile. • Probable dépendance aux opiacés. • Probable diverticulose. • Reflux sur hernie hiatale. • Polyarthrose. • Probable diverticulose. • Reflux sur hernie hiatale. • Polyarthrose. • Démence vasculaire. • Leucoencéphalopathie. • Anémie normochrome macrocytaire arégénérative avec hémoglobine à 79 g/l d'origine spoliative (plaie cutanée) et carentielle : • Anticoagulation par Clexane et Plavix. • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 18.10.2019. • Probable eczéma allergique. • Probable eczéma de contact irritatif le 08.01.20 : • Localisation péri-buccale. • Probable élongation musculaire. • DD : déchirure musculaire. • Probable endocardite aortique à Staph. aureus multisensible le 31.12.2019 : • DD cutanée. • Critères de Duke : 1 majeur (> à 3 hémoc positifs à Staph aureus), 1 mineur (fièvre). • Probable endocardite sur valve biologique mitrale et aortique à Entérocoques faecalis le 30.01.2020 à point de départ urinaire : • status post-endocardite mitrale et aortique à Streptococcus agalactiae le 11.11.2019. • status post-remplacement valve mitrale et aortique par bioprothèse par Dr. X le 19.11.2019. • sonde double J gauche en place depuis le 13.12.2019, sonde vésicale en place depuis janvier 2020. • Probable entérite présumée virale dans un contexte de contage de GEA 24 h avant. • Probable entorse bénigne de Chopart à droite le 22.01.2020. • Probable épicondylite médiale persistante. • Probable épididymite droite avec hydrocèle. • Probable épilepsie symptomatique avec troubles phasiques fluctuants non convulsifs. • Leucémie lymphoïde chronique. • HTA. • Hyponatrémie. • Probable épilepsie symptomatique avec troubles phasiques fluctuants, non convulsifs, sur un méningiome fronto-polaire gauche le 02.01.2020. • DD : fluctuation dans le contexte de l'œdème cérébral. • Méningiome connu depuis 2010 et présenté à la neurochirurgie du CHUV (décision d'un traitement conservateur et expectatif). • Probable épisode dépressif. • Probable épisode dépressif dans le contexte de trouble de l'attachement. • Probable épisode dépressif dans le contexte de trouble de l'attachement. • Trouble du comportement, 11.01.2020. • Mise en danger de sa personne avec consommation à risque d'alcool/cannabis. • Hétéro-agressivité verbale. • Avis pédo-psychiatre : ad PAFA à Marsens. • Probable état confusionnel sur état fébrile. • Probable état dépressif. • Probable état dépressif avec : • anhédonie, humeur triste et déprimée. • perte de poids, maux de ventre. • absence d'idée suicidaire. • Probable état dépressif, 20.01.2020. • Probable état grippal. • Probable état grippal débutant. • Probable état grippal débutant le 26.01.2020. • Probable éthylisation aiguë le 04.01.2020. • Probable étirement musculaire aine gauche. • DD : contracture. • Probable exacerbation d'une bronchopneumopathie chronique obstructive le 30.01.2020. • Probable fasciite plantaire gauche. • Probable faux-croup léger. • Probable fièvre médicamenteuse le 20.12.2019 secondaire à administration de Ceftriaxone. • Probable flutter auriculaire intermittent. • Probable fracture basale (salter 2) de P1 du 5e orteil du pied droit. • Probable fracture du scaphoïde main D. • Probable fracture non déplacée de la 6ème côte à droite : • DD : contusion de la 6ème côte à droite. • Probable fracture scaphoïde gauche. • Probable gastrite. • Probable gastrite. • Probable gastrite. • Probable gastrite aiguë avec ß-hCG > 5000 en faveur d'une grossesse a priori intra-utérine. • Probable gastrite le 03.01.2020. • Probable gastrite le 12.01.2019. • Probable gastrite le 14.01.20. • Probable gastrite le 27.01.2020. • Probable gastrite le 28.01.2020. • Probable gastroentérite. • Probable gastro-entérite au décours. • Probable gastro-entérite au décours le 28.01.2020. • Probable gastro-entérite d'allure virale. • Probable gastro-entérite dans un contexte de virose, le 25.01.2020. • Probable gastro-entérite débutante. • Probable gastro-entérite débutante. • Probable gastro-entérite débutante. • DD : gastrite d'origine indéterminée le 16.01.2020. • Probable gastro-entérite d'origine virale. • Probable gastro-entérite d'origine virale. • Probable gastro-entérite d'origine virale. • Probable gastro-entérite d'origine virale. • Probable gastroentérite d'origine virale le 08.01.2019. • Probable gastro-entérite d'origine virale sans signes de déshydratation. • Probable gastroentérite le 13.01.2020. • DD : APP débutante. • Probable gastroentérite virale. • Probable gastroentérite virale. • Probable gastro-entérite virale le 02.01.20. • Probable gastro-entérite virale le 06.01.2020. • DD : intoxication alimentaire. • Probable gastro-entérite virale le 10.01.20. • Probable gastro-entérite virale le 10.01.2020. • Probable gastro-entérite virale le 16.01.2020 avec : • hypokaliémie à 3.4 mmol/l. • Probable gastroentérite virale le 26.01.20. • Probable gastro-entérite virale non compliquée. • Probable gastro-entérite virale non compliquée. • Probable gastroentérite virale. • DD : gastrite sur OH. • Probable gastro-entérite/gastrite débutante. • Probable gastro-entérite/gastrite virale. • Probable grippe. • Probable grippe DD IVRS.Probable grippe DD IVRS Probable grippe le 12.01.2020. Probable grippe le 20.01.2020 (fièvre, toux, douleurs articulaires) Probable hémorroïdes asymptomatiques le 30.01.2020. Probable hépatopathie d'origine alcoolique Probable hépatopathie d'origine toxique Probable hypertension pulmonaire d'origine indéterminée Hémorragie cérébrale des ganglions basaux à gauche, d'origine hypertensive le 01.09.2004 et récidive le 03.09.2004 avec: • hémisyndrome sensitivo-moteur droit • aphasie globale et troubles associés comme praxie bucco-linguo-faciale, troubles de la mémoire, notamment la capacité épisodique, ainsi que de la mémoire visuelle et verbale • dérivation ventriculo-péritonéale Dilatation de l'aorte thoracique ascendante à 51 mm (09/2019, superposable à 2017) Hypertension artérielle traitée Obésité classe II (BMI 37 kg/m2) Diabète de type 2 non insulino-requérant mal contrôlé Incontinence urinaire Dépression Troubles de la déglutition avec broncho-aspirations à répétition Probable hypothyroïdie sur produit de contraste iodé le 20.12.2019 • TSH le 9.12.2019: 6.83 mU/I • CT injecté le 10.12.2019 ambulatoire • angiographie avec pléthysmographie le 20.12.2019 Probable impétigo Probable infection des voies respiratoires supérieures dès le 06.01 Probable infection urinaire afébrile Probable infection urinaire haute le 09.10.2013 Status post déchirure partielle du muscle vastus latéralis à droite Hépatite C traitée en 2005 (interféron et Ribavirin) Cholécystectomie il y a 5 ans Hystérectomie avec plusieurs cures d'adhérences Néphrolithiase Probable infection virale des voies aériennes supérieures Probable infection virale des voies aériennes supérieures avec: • Rhinopharyngite Probable infection virale des voies respiratoires supérieures DD grippe Probable infiltration tumorale des voies urinaires gauches le 02.12.2019. Epilepsie sous traitement de Dépakine. Probable retard mental. Probable intoxication alimentaire DD gastroentérite virale Probable intoxication alimentaire 25.01.2020. Probable intoxication médicamenteuse volontaire. Probable IPMN pancréatique le 14.01.2020 Probable ischémie aiguë du membre inférieur gauche le 03.01.2019 • pouls poplitée et pédieuse pas palpable, MI froid jusqu'à genou, motricité du releveur du pied M1 Probable ischémie rétinienne de l'œil droit transitoire dans un contexte de sub-occlusion chronique de la carotide interne D de son départ à sa partie intrapétreuse le 27.01.2020 • symptomatologie : amaurose fugace D (voile noire), faiblesse généralisée • NIHSS admission 0 points, NIHSS à 24h 0 points, NIHSS à la sortie 0 point • ABCD2 score : 4 • MIF 77 points Probable kyste pilonidal débutant. Probable lésion de la coiffe des rotateurs épaule G, 12.01.2020. Probable lésion de la coiffe des rotateurs (supra- et infra-épineux) de l'épaule gauche le 12.01.2020. Probable lésion du LCA. Probable lésion du LCP genou G le 22.01.2020. Probable lésion du ligament collatéral externe du genou droit, grade I à II, avec suspicion d'un arrachement fémoral. Probable lésion du ménisque interne. Probable lésion du ménisque interne avec probable ancienne entorse du ligament latéral interne non traitée, avec possible arthrose du compartiment interne débutante. Probable lésion musculaire abdominale le 21.01.2020. Probable lésion musculaire post-traumatique. Traitement antalgique et repos. Le patient est encouragé à reconsulter en cas de persistance des symptômes. Probable lipome face antérieure épaule gauche. Probable lipothymie. TC sans PC ni AC le 01.10.2019. Suspicion de reflux gastro-oesophagien. Probable luxation de l'épaule G avec bone loss en zone de Hill-Sachs sur traumatisme le 15.12.19. Probable luxation IPP postérieure avec entorse plaque palmaire IPP. Rx D5 main gauche: pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X): attelle grenouille en flexion, bon ergothérapie pour attelle en 8 et protocole plaque palmaire, rendez-vous dans 6 semaines au team membre supérieur, AT 2 semaines. Otalgies gauche. Probable maladie de Parkinson de forme akinéto-rigide Probable malaise d'origine vaso-vagal sans perte de connaissance. Palpitations dans un contexte d'angoisse le 12.08.2013. PC sur probable consommation d'alcool avec idéation suicidaire (pendaison) le 14.08.2015 Décollement du corps vitré ddc Sigmoidoscopie en 02/2011 (Dr. X): polypectomie de deux polypes hyperplasiques Probable malaise orthostatique avec TCC léger dans la journée. Probable malaise sur première prise de Tramadol le 01.01.2020. Probable malnutrition protéino-énergétique • NRS à 5/7, BMI à 29 kg/m2 Probable méningiome pariétal droit de 7 x 4 mm de découverte fortuite le 10.10.2019 Probable migraine avec aura le 08.01.20. DD : pic hypertensif. Probable migraine le 12.06.2017. 2 accouchements par voie basse non compliqué en 2010 et 2007. Colite gauche (colite infectieuse VS RCUH ou autre MICI) le 20.05.2018. Probable migration lithiasique urinaire gauche, premier épisode. Probable micro-fissure anale traitée conservativement. Contracture du muscle trapèze gauche. Antalgique et AINS. Physiothérapie. Probable muguet buccal Probable myalgie basi-thoracique à gauche dans le cadre d'un état grippal le 13.10.2015. Traitement symptomatique avec Paracétamol et Diclofénac. Probable myélome multiple avec : • lésion lytique L2, lésion suspecte D9 • pic IgG à 47 g/l, rapport kappa/lambda libre à 138.2 • protéinurie 442 mg, 6% albumine. • pas d'anémie, pas d'insuffisance rénale, pas d'hypercalcémie • 2 critères SLiM : rapport kappa/lambda libre 138.2, lésion lytique LD 3.9 cm (au CT) Probable myosite post-infectieuse de 2 mollets Probable néoplasie d'origine indéterminée métastatique le 22.01.2020 Probable neuronite vestibulaire DD : vertiges paroxystiques positionnels bénins (VPPB) Syndrome carcinoïde de l'iléon, opéré en 2015 Probable névrome de Morton 3ème espace intermétatarsien pied gauche. Probable nouveau foyer pulmonaire droit le 21.11.2019 Probable NSTEMI secondaire au problème infectieux Probable OH chronique. Probable ostéoporose fracturaire • Suite d'investigations et traitement chez le médecin traitant Ancien tassement plateau supérieur de D12 visualisé le 08.02.2019 • Rx, CT-scan du 08.02.2019 : fracture d'allure ancienne Tabagisme actif Probable otite moyenne aiguë droite Probable pancréatite aiguë d'origine indéterminée (1er épisode). Probable pancréatite biliaire Probable pic hypertensif le 30.01.20. Probable pleurite post-pneumonie Probable pleurs dans un contexte d'IVRS DD sur mycose. Rinçage de nez au NaCl Imazole crème à appliquer (stop fuicidine que la maman applique) Reconsulter si persistance des pleurs ou baisse de l'état général ou tout autre signe inquiétant Probable plexopathie brachiale G dans le contexte : • status post luxation de l'épaule G en novembre 2019. Probable rupture massive de la coiffe des rotateurs à G. Probable polyneuropathie d'origine diabétique. Status post ostéosynthèse par inch plate et PHILOS humérus proximal D en 2017. Probable pneumonie avec désaturation à l'air ambiant Probable pneumonie basal droite le 17.01.2020Syndrome inflammatoire biologique en augmentation dès le 15.01.2020 Probable pneumonie basale droite débutante. Probable pneumonie basale gauche DD. Infection urinaire haute Probable pneumonie communautaire sans foyer radiologique individualisable le 04.01.2020 • état inflammatoire. Probable pneumonie débutante basale D en décembre 2015 Urosepsis à E. coli multisensible en janvier 2015 Bronchite surinfectée en mai 2014 Fièvre récidivante sans foyer clinique en 2008 Status post-TURP en 2004 Status post-opération du genou gauche Status post-lithiases rénales droite en 1976 Macrocytose sur carence en acide folique Troubles cognitifs (mnésique) avec : • MMS 21/30 Probable pneumonie débutante basale D en 12.2015 Urosepsis à E. coli multisensible en 01.2015 Bronchite surinfectée en 05.2014 Fièvre récidivante sans foyer clinique en 2008 Status post-TURP en 2004 Status post-opération du genou gauche non datée Status post-lithiases rénales droite en 1976 Probable pneumonie débutante de la base droite, le 14.10.2019 Décompensation diabétique mixte (acidocétosique et hyperosmolaire) le 27.09.2018 dans un contexte d'arrêt du traitement Dermohypodermite du membre inférieur gauche le 11.03.2018 Erysipèle membre inférieur droit avec probable boursite genou D Acidose métabolique avec trou anionique élevé le 11.11.2019 d'origine mixte : • Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine prérénale • Ethylisation aiguë à 3.3 pour mille • Acidose lactique sur Metformine Expansion volémique le 11.11.2019 Substitution en NaBic le 11.11.2019 Hémorragie digestive haute sur oesophagite de reflux avec ulcère dès le 12.11.2019 • anémie hypochrome et normocytaire à 87g/l Oeso-gastro-duodénoscopie avec biopsies gastriques le 19.11.2019 Angio-CT thoraco-abdominal le 20.11.2019 Pantoprazole à haute dose dès le 20.11.2019, puis 40 mg 2x/j durant 1 mois, puis 1x/j au long cours Probable pneumonie G 30.01.2020 dans contexte de status post segmentectomie 6 par thoracoscopie uniportale + lymphadénectomie loco-régionale le 23.01.2020 avec : • majoration de l'épanchement pleural G • atélectasie lobe inf G. • aggravation de l'anémie avec 108g/actuel • DD surinfection épanchement pleural postopératoire (empyème). Probable pneumopathie d'hypersensibilité le 16.12.2019 avec/sur : • Exposition aux déjections de poules + fourrage • CT scan thoracique : piégeage gazeux, réticulations fines, bronchiectasies de traction et fibrose pulmonaire • Bilan biologique négatif pour les connectivites • Bilan fonctionnel impossible à pratiquer • Désaturation significative à l'effort Probable pneumopathie interstitielle bilatérale, DD : sarcoïdose, pneumoconiose (silicose, asbestose) • refus de bronchoscopie en 2016 • exposition professionnelle (solvants et amiante) • suivi par Dr. X BPCO de stade IIID avec : • ancien tabagisme à 30 UPA (stop en 2010) • fonctions pulmonaires du 22.06.2016 : trouble obstructif de degré très sévère, sans réversibilité aiguë après inhalation de B-2 mimétiques, avec VEMS à 30% du prédit Probable pneumopathie post-radique en novembre 2019 • radio-chimiothérapie concomitante avec Cisplatine et Vinorelbine du 16.07 au 24.09.2019 dans le contexte de son carcinome épidermoïde primaire pulmonaire cT4 cN2 cM0, stade IIIB selon TNM 8ème édition Probable polyneuropathie périphérique des membres inférieurs d'origine indéterminée Sténose aortique serrée, asymptomatique, nouvellement diagnostiquée le 19.11.2018 Probable poussée d'arthrose débutante. DD : arthrite débutante. Probable premier épisode de migraine atypique avec aura le 30.01.2020. Probable pyélonéphrite en 2014 Status post-cure de hernie inguinale bilatérale de type direct selon Lichtenstein le 16.01.2017. Status post-cure de récidive de hernie inguinale droite de type direct selon Rives le 04.09.2017. Status post-hématome/sérome post-opératoire du pli inguinal droit en septembre 2017. Récidive de hernie/éventration inguinale droite latérale. Le 09.04.2018, Dr. X : cure combinée laparoscopique et par tomie inguinale d'une récidive/éventration herniaire inguinale droite avec mise en place d'un filet Pariétex bi-couche en intra-abdominal, mise en place d'un filet Ultrapro Mesch (lot KK8DBRW0) en inter-musculaire inguinal droit. Probable pyélonéphrite en 2014. Status post-cure de hernie inguinale bilatérale de type direct selon Lichtenstein le 16.01.2017. Status post-cure de récidive de hernie inguinale droite de type direct selon Rives le 04.09.2017. Status post-hématome/sérome post-opératoire du pli inguinal droit en septembre 2017. Récidive de hernie/éventration inguinale droite latérale. Le 09.04.2018, Dr. X : cure combinée laparoscopique et par tomie inguinale d'une récidive/éventration herniaire inguinale droite avec mise en place d'un filet Pariétex bi-couche en intra-abdominal, mise en place d'un filet Ultrapro Mesch (lot KK8DBRW0) en inter-musculaire inguinal droit. Probable pyélonéphrite gauche. Probable pyélonéphrite gauche débutante le 08.01.2020. Probable pyélonéphrite (Premier épisode) Probable réaction allergique, Probable réaction allergique d'origine alimentaire (crevettes au lait de coco) Probable réaction vagale sur épistaxis spontanément résolutif Probable réactivation d'un zona facial dans le territoire V1 gauche favorisée par une possible gastro-entérite virale débutante Probable rechute psychotique avec une demande d'hospitalisation à Marsens. Avis psychiatrique de garde. Evaluation psychiatrique et décision d'hospitalisation volontaire à Marsens. Probable récidive de crise goutteuse genou D Probable récidive de fibrillation auriculaire paroxystique connue le 11.01.2020. • CHA2DS2-VASc : 2 points. • HAS-BLED : 2 points. • Sous Xarelto 20 mg. Probable récidive de TVP le 12.01.2020 : • maladie variqueuse et embolie pulmonaire en 2018 • Score de Genève à 1 Probable reflux gastro-oesophagien. • dans un contexte d'intoxication aiguë à l'alcool. Probable reflux-gastro-oesophagien, 03.01.2020 • DD sur néoplasie Probable rétro-torsion du col fémoral accentué bilatéralement Genu valgum physiologiques accentué Pes planus bilatéral Probable rhinosinusite aiguë d'origine bactérienne dans le contexte d'un syndrome grippal. Probable rhinosinusite virale le 06.01.2020. Probable rupture non datée du muscle supra-épineux de l'épaule droite Probable rupture partielle du tendon du muscle supra-spinatus de l'épaule droite du 12.01.2020. Probable saignement gynécologique sur changement de contraception. Probable sténose urétrale post-TUR-P en 2016 avec hématurie iatrogène post-tentative de sondage vésical le 08.01.2020 Probable surcharge cardiaque le 14.12.2019 avec : • Légères OMI bilatéraux, • Prise de poids, • Crépitants bi-basaux à l'auscultation pulmonaire, • Bonne réponse au traitement avec diurétiques. AVC ischémique sylvien gauche le 17.07.2013. Fracture au niveau de la colonne vertébrale il y a 20 ans (niveau inconnu). Hernie discale au niveau de la colonne lombaire (niveau inconnu). Probable surinfection de kyste hémorragique rénale gauche à E. faecalis le 30.05.2017. Syndrome de Mallory Weiss avec caillot visible sur la ligne de Seid (OGD du 20.12.2016). Cholécystectomie en 1995. Occlusion d'un foramen ovale perméable (janvier 2017). Etat fébrile sur accident hémorragique et/ou infection bactérienne des kystes rénaux d'une polykystose hépato-rénale sévère. Transformation hémorragique d'un kyste rénale au pôle inférieur gauche le 21.07.2017. Probable surinfection de la PTG droite le 06.01.2020 Probable syncope d'origine cardiaque. Probable syncope d'origine indéterminée : • perte de connaissance brève, non objectivé, ralentissement moteur.• examen neurologique dans la norme • sur probable déshydratation (500 ml d'eau par jour) • Probable syndrome d'apnée du sommeil (à évaluer). • Hernie abdominale épigastrique. • Fibrillation auriculaire inaugurale avec réponse ventriculaire rapide. • Hypertension artérielle essentielle. • Probable syndrome de Gilbert • Bilirubine augmentée 01.08.2018. • Probable syndrome du colon irritable, dd néphrolithiase le 15.12.2014. • Probable syndrome du nerf cubital. • Probable compression du nerf radial au niveau de l'arcade de Frohse. • Inflammation de l'articulation AC suite à une chute à ski en 2016. • Probable syndrome du tunnel carpien à G. • Probable syndrome fémoro-patellaire droite le 10.10.2016. • Probable syndrome grippal • Probable syndrome grippal avec: • IVRS • angine • Probable syndrome grippal avec infection des voies respiratoires supérieures • Probable syndrome grippal DD grippe débutante. • Probable syndrome obstructif (pas de bilan). • Hypertension artérielle traitée. • Probable syndrome viral débutant • Probable tachycardie paroxystique. • Probable tendinite de De Quervain débutante à G. • Status post cure de tunnel carpien et pouce à ressaut à D, le 23.09.2019. • Status post cure de tunnel carpien et pouce à ressaut à G, le 04.10.2018. • Fracture péri-prothétique genou gauche sur traumatisme le 26.12.2017. • Probable tendinite des extenseurs sur status post entorse bénigne du poignet gauche en novembre 2019 • Probable tendinite du grand et moyen fessier bilatéral. • Probable tendinite du pes anserinus gauche • Probable tendinite quadricipitale, le 24.01.2020, • Probable tendinopathie des releveurs du carpe, main droite. • Probable torticolis d'origine postural • Probable toux aigüe prolongée post virose • Probable toux post-infectieuse • Probable traumatisme crânien avec perte de connaissance sur accident de la voie publique. • Contusion hépatique simple. • Fracture de P2 D1 gauche extra-articulaire. • Contusion de l'arc antéro-latéral de la 10ème côte droite. • Contusion du bras gauche. • Contusion de l'épaule gauche. • IVG médicamenteuse non datée. • Status post-grossesse extra-utérine droite. • Status post-salpingotomie le 13.04.2015. • Probable traumatisme crânien en 2017 • avec possible perte de connaissance • Probable tremblement essentiel avec • tremblements d'action et de repos légers appendiculaires bilatéral prédominant aux MS • Probable trouble anxieux et dépressif mixte - F41 • Probable trouble de la personnalité (traits infantiles, histrioniques) - F60.8 • Probable trouble de la personnalité de type borderline le 29.12.2015 avec tentamen par strangulation dans le contexte de conflits familiaux. • Probable trouble de la personnalité d'origine x • difficultés de gestion médicamenteuse • Probable trouble de l'adaptation. • Probable trouble de l'adaptation DD : trouble anxieux, trouble de l'humeur le 30.01.2020 avec: • idées suicidaires scénarisées • symptômes dépressifs et anxieux • attaques de panique récurrentes. • Probable trouble dépressif léger le 31.01.2020. • DD : trouble de l'adaptation • Sans risque suicidaire • En lien avec une situation de stress au travail. • Probable trouble dépressif récurrent - F33.9 • Vertiges chroniques d'origine indéterminée • Ostéoporose, sous Calperos quotidien et Ibandronate mensuel • Probable trouble neurologique fonctionnel le 30.01.2020. • DD : migraine avec aura atypique (très improbable), crise d'épilepsie (très improbable). • Probable ulcère gastrique • Probable ulcère gastrique dans un contexte de tabagisme et d'OH sevré il y a 6 semaines, 02.01.2019 • DD gastro-entérite, DD colite à clostridium, DD néoplasie non exclue • Probable vasospasme coronarien (DD. Périmyocardite) avec : • Coronographie normale • EF 55% • Probable vertige paroxystique positionnel bénin le 10.10.2019 • Insuffisance rénale aiguë KDIGO I d'origine pré-rénale sur déshydratation le 10.12.2019 • Probable virose • Probable virose additionnelle • Probable virose au décours d'une pneumonie d'évolution lentement favorable. • DD: syndrome de toux post-broncho-pneumonie. • Probable virose avec: • rhinite, bon état général • Probable virose débutante • Probable virose débutante avec: • angine • Probable virose débutante avec angine • Probablement Novalgine. • Probablement poussée d'arthrose cervicale le 17.01.2020. • Probablement sur additif alimentaire. • Probables adénopathies cervicales le 20.05.2012 • Probables céphalées de tension. • Probables chutes répétitives dans le contexte d'éthylisation aiguë • DD : violence conjugale • traumatisme facial avec hématome arcade sourcilière droite. • Multiples hématomes de différente datation, des douleurs généralisées, une défense abdominale et une douleur à la percussion du rachis. • Probables crises d'épilepsie partielles. • Probables douleurs abdominales post-opératoire s/p cystoscopie + correction reflux vésico-urétéral bilatéral hier 30.01 par Dr. X. • Probables multiples hémangiomes hépatiques le 24.01.2020 • Probables syncopes vaso-vagales en 08/2019. • Pyélonéphrite gauche à germe indéterminé le 22.09.2019. • Céphalées d'origine indéterminée avec composante positionnelle en 08/2019. • DD: Céphalées de tension, migraine, céphalées post-PL, psychogène, sur progestatif. • scanner, IRM et PL en 08.2019, sans particularité. • Probables troubles de la marche et de l'équilibre • Probables troubles de la thymie • Probables troubles de l'humeur sans précision • Problématique sociale : sans domicile fixe • Problème anal. • Problème dentaire. • Problème ophtalmique • Problème ophtalmique. • Problème ophtalmologique. • Problème psychiatrique non spécifié, actuellement non traité • Problème psychologique (?) • Problème technique sur pompe insuline le 28.08.2018. • Décompensation diabétique acido-cétosique, le 17.11.2014 : mal-compliance médicamenteuse. • Suspicion de lésion de l'os semi-lunaire vs dissociation scapho-lunaire clinique, le 11.12.2014. • Contusion costale, le 11.12.2014. • TC sans PC ni AC, le 10.12.2014. • Diabète de type I • diagnostic 12.2001 • Pose de pompe à insuline le 27.02.2017 • Suivi diabétologie • Décompensation diabétique mixte sur dysfonctionnement de pompe à insuline le 22.04.2018. • Problème urogénital d'origine indéterminé. • DD : testiculaire ? Maladie sexuellement transmissible ? • Problèmes affectifs. • Obésité (BMI 44 kg/m2) • Hypertension artérielle. • Problèmes familiaux avec • possible état dépressif concomitant (trouble du sommeil, inappétence) • Avis pédopsychiatrique par téléphone : pas d'indication à une hospitalisation à Marsens, plutôt un placement en foyer d'urgence avec poursuite du suivi en ambulatoire.s/p cure de hernie discale lombaire L4-L5 à la clinique générale • sciatalgie G persistante Douleurs hyper-aigües sur probable sevrage aux opiacés DD: fibromyalgie Problèmes ophtalmologiques. Procédure judiciaire à visée de mise à l'abri. Procédure médico-légale. Processus démentiel débutant évoluant avec troubles mnésiques, négligence de l'hygiène corporelle et isolement social. Aggravation récente avec symptômes de persécution délirants envers son mari avec auto- et hétéro-agressivité. Maladie d'Alzheimer. Troubles anxio-dépressifs chez une patiente avec traits de personnalité histrionique, labilité émotionnelle et menace suicidaire le 11.06.2018. Malvoyance de l'œil droit sur probable cataracte. Processus expansif temporal D de 7x6cm à composante mixte, kystique et tissulaire avec: • DD Glioblastome, astrocytome kystique • Lésion secondaire de 2cm au niveau de la capsule interne homolatérale • Œdème péri-lésionnel avec déviation des structures médianes à D et engagement de 8mm Prochain contrôle le 05.02.20 Prochain contrôle le 26.02.2020. Prochain changement de double J bilatérale dans 6 mois Prochain changement de sonde vésicale dans 3 mois Co-Amoxicilline 1 gr jusqu'au 25.01.2020 Prochain changement des plâtres le 24.12.2019 Prochain consultation le 04.03.2020 Prochain contrôle le 06.10.2020. Prochain contrôle à la Team genou le 31.01.2020. Pas de prochain contrôle prévu à la Team pied. Prochain contrôle à ma consultation le 12.2.2020. Prochain contrôle à 1 an post traumatisme le 07.07.2020. Prochain contrôle à 1 an post-OP le 24.11.2020. Prochain contrôle à 1 an post-opératoire le 06.10.2020. Prochain contrôle à 1 an post-opératoire le 24.11.2020. La patiente nous contactera dans 6 semaines pour un éventuel rendez-vous si nécessaire. Prochain contrôle à 1 an post-opératoire le 29.09.2020. Prochain contrôle à 2 ans post-opératoires Prochain contrôle après le scanner le 11.02.2020 pour évaluation des résultats. Prochain contrôle avec mise des plâtres le 08.01.2020 Prochain contrôle chez son gynécologue traitant le 16.01.2020. Prochain contrôle clinique dans 1 an post-opératoire, la patiente prendra rendez-vous elle-même. Prochain contrôle clinique dans 2 ans Prochain contrôle clinique dans 2 ans si persistance de la symptomatologie Prochain contrôle clinique le 02.03.2020. Prochain contrôle clinique le 03.02.2020. Prochain contrôle clinique le 07.07.2020. Prochain contrôle clinique le 18.02.2020 Prochain contrôle clinique le 28.04.2020. Prochain contrôle clinique le 29.01.2020 pour l'ablation des fils. Marche selon douleur. Prochain contrôle clinique uniquement dans 3 mois le 14.04.2020. Prochain contrôle dans un an. Prochain contrôle dans une année avec IRM cérébrale Prochain contrôle dans une année en orthopédie pédiatrique Prochain contrôle dans 1 an. Prochain contrôle dans 1 année. Prochain contrôle dans 1 an (la maman téléphonera 2 mois avant pour la prise de rdv) Prochain contrôle dans 3 mois (partie sans prendre de RDV) Prochain contrôle dans 3 semaines : le 29.01.2020. Prochain contrôle dans 3 semaines à ma consultation le 29.1.2020. Prochain contrôle dans 4 semaines à la consultation du Dr. X Prochain contrôle dans 6 mois. Prochain contrôle dans 6 mois (parti sans prendre de rdv). Prochain contrôle dans 6 semaines à votre consultation. Prochain contrôle du neurostimulateur à l'Inselspital dans 5 mois. Prochain contrôle en ambulatoire dans 4 semaines à la consultation de neurochirurgie 06.02.2020 à 13h00 Prochain contrôle fin mars avec une IRM cérébrale Prochain contrôle le 01.04.20 Prochain contrôle le 01.04.2020. Prochain contrôle le 01.04.2020 chez Dr. X. Prochain contrôle le 01.07.20 Prochain contrôle le 02.03.020. Prochain contrôle le 02.03.2020 Prochain contrôle le 02.03.2020. Prochain contrôle le 02.03.2020. Prochain contrôle le 02.03.2020. Prochain contrôle le 02.03.2020. Prochain contrôle le 02.03.2020. Prochain contrôle le 02.03.2020. Prochain contrôle le 02.03.2020. Prochain contrôle le 02.04.2020. Prochain contrôle le 02.06.2020. Prochain contrôle le 02.07.2020. Prochain contrôle le 03.02.2020 Prochain contrôle le 03.02.2020. Prochain contrôle le 03.02.2020. Prochain contrôle le 03.02.2020. Prochain contrôle le 03.02.2020 après CT. Prochain contrôle le 03.02.2020 après IRM du 29.01.2020. Ponction sous ultrason à organiser. Prochain contrôle le 03.03.2020. Prochain contrôle le 04.02.2020 à la demande de la patiente pour discuter d'une opération pour une résection arthroscopique de la déformité de type cam. Prochain contrôle le 04.03.20 Prochain contrôle le 04.08.2020 après CT cervical du jour. Prochain contrôle le 04.11.2020. • Prochain contrôle le 05.02.20 • Prochain contrôle le 05.02.2019 après infiltration. • Prochain contrôle le 05.02.2020 • Prochain contrôle le 09.03.2020 à 8 semaines • Rendez-vous en stomato le 22.01.2020 • Prochain contrôle le 05.03.20 • Prochain contrôle le 05.03.2020 • Prochain contrôle le 05.03.2020. • Prochain contrôle le 05.03.2020 • OP réservée pour le 17.03.2020 • Prochain contrôle le 05.06.2020 • Prochain contrôle le 05.08.20 • Prochain contrôle le 06.02.2020 • Prochain contrôle le 06.02.2020. • CT-scanner le 04.06.2020 • Prochain contrôle le 04.06.2020 • Prochain contrôle le 06.03.20 • Prochain contrôle le 06.03.2020 • Prochain contrôle le 06.03.2020 • Prochain contrôle le 06.03.2020 • Prochain contrôle le 06.04.2020 • Prochain contrôle au team genou (merci de convoquer la patiente) • Prochain contrôle le 06.07.2020 • Prochain contrôle le 06.10.2020 après IRM cervicale du jour • Prochain contrôle le 07.01.2020. • Prochain contrôle le 07.02.2020 • Prochain contrôle le 07.04.2020 • Prochain contrôle le 07.05.2020. • Prochain contrôle le 07.07.2020. • Prévoir un interprète en Vietnamien. • Prochain contrôle le 07.09.2020. • Prochain contrôle le 08.01.2020 • Prochain contrôle le 08.04.20 • Prochain contrôle le 08.04.2020. • Prochain contrôle le 08.09.2020. • Prochain contrôle le 09.01.2020 après IRM. • Prochain contrôle le 09.03.2020 • Prochain contrôle le 09.06.2020 • Prochain contrôle le 09.10.2019. • Prochain contrôle le 1er avril 20 • Prochain contrôle le 10.02.20 • Prochain contrôle le 10.02.2020 après CT du 28.01.2020. • Prochain contrôle le 10.03.2020 • Prochain contrôle le 10.09.2020 • Prochain contrôle le 11.02.2020 • Prochain contrôle le 11.02.2020 après CT du jour • Prochain contrôle le 11.03.2020 • Prochain contrôle le 11.11.20 • Prochain contrôle le 12.02.19 (opération prévue le 20.02.20) • Prochain contrôle le 12.02.2020 • Prochain contrôle le 12.03.2020 • Prochain contrôle le 12.08.2020. • Prochain contrôle le 13.01.2020 • Prochain contrôle le 13.02.2020 après IRM du jour • Prochain contrôle le 13.03.2020 • Prochain contrôle le 13.04.2020. • Prochain contrôle le 14.01.2020. • Prochain contrôle le 14.02.2020. • Prochain contrôle le 14.04.2020. • Prochain contrôle le 15.01.2020 après CT du 14.01.2020. • Prochain contrôle le 15.01.2020 après IRM du 14.01.2020. Stomathérapie pour soins de plaie Prochain contrôle le 15.04.2020. Prochain contrôle le 15.06.2020. Prochain contrôle le 16.03.2020. Prochain contrôle le 16.04.2020. Prochain contrôle le 16.07.2020. Prochain contrôle le 17.01.2020. Prochain contrôle le 17.02.2020. Prochain contrôle le 17.03.2020. Prochain contrôle le 17.04.2020. Prochain contrôle le 17.06.2020. Prochain contrôle le 17.11.2020. Prochain contrôle le 18.01.2021. Prochain contrôle le 18.02.2020. Prochain contrôle le 18.02.2020 après IRM du jour. Prochain contrôle le 18.03.2020. Prochain contrôle le 18.05.2020. Prochain contrôle le 18.06.2020. Prochain contrôle le 19.01.2021. Prochain contrôle le 19.02.2020. Prochain contrôle le 19.02.2020. Prochain contrôle le 19.02.2020. Prochain contrôle le 19.03.2020. Prochain contrôle le 19.05.2020. Prochain contrôle le 19.06.2020. Prochain contrôle le 20.01.2020. Prochain contrôle le 20.02.2020 après CT cérébral. Prochain contrôle le 20.04.2020. Prochain contrôle le 20.07.2020. Prochain contrôle le 21.01.2020 au Team Rachis. Prochain contrôle le 21.02.2020. Prochain contrôle le 21.04.2020. Prochain contrôle le 22.01.2020 après IRM. Prochain contrôle le 22.04.2020. Prochain contrôle le 23.01.2020 après IRM du jour. Prochain contrôle le 23.04.2020. Prochain contrôle le 24.01.2020. Prochain contrôle le 24.02.2020. Prochain contrôle le 24.03.2020. Prochain contrôle le 24.04.2020. Prochain contrôle le 24.04.2020 OP pré-réservée pour le 13.05.2020. Prochain contrôle le 25.02.2020.Prochain contrôle le 25.03.2020 à 4 semaines post opératoires. Prochain contrôle le 26.02.2020. Prochain contrôle le 26.03.2020. Prochain contrôle le 26.03.2020 avec scanner. Prochain contrôle le 27.01.2020 après CT et IRM. Prochain contrôle le 27.03.2020. Prochain contrôle le 27.04.2020. Prochain contrôle le 27.05.2020. Prochain contrôle le 28.01.2020 après IRM cérébrale du jour. Prochain contrôle le 28.04.2020 après CT du jour. Prochain contrôle le 29.01.2020 après CT. Prochain contrôle le 29.01.2020 après IRM au CIMF. Prochain contrôle le 29.01.2020. Traitement conservateur par Vacoped. Prochain contrôle le 30.01.2020. Prochain contrôle le 30.03.2020. Prochain contrôle le 30.04.2020. Prochain contrôle le 30.04.2020 après CT cervical du jour. Prochain contrôle le 31.01.2020. Prochain contrôle le 31.01.2020 après CT-scanner du même jour à 7h30. Prochain contrôle le 31.01.2020 pour changement de pansement. Prochain contrôle le 14.02.2020 pour ablation des fils. Prochain contrôle le 21.02.2020 OP réservée pour le 10.03.2020. Prochain contrôle prévu le 01.04.2020. Prochain contrôle prévu le 04.03.2020. Prochain contrôle prévu le 08.04.2020. Prochain contrôle prévu le 11.03.2020. Prochain contrôle prévu le 13.03.2020. Prochain contrôle prévu le 18.03.2020. Prochain contrôle prévu le 19.02.2020. Prochain contrôle prévu le 26.02.2020. Prochain contrôle radioclinique à une année post-opératoire. Prochain contrôle radio-clinique à une année post-opératoire le 24.11.2020. Prochain contrôle radioclinique à 1 an post-opératoire le 06.10.2020. Prochain contrôle radioclinique dans un mois. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Prochain contrôle radioclinique dans 2 ans. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. Prochain contrôle radioclinique le 03.02.2020. Prochain contrôle radioclinique le 06.03.2020. Prochain contrôle radioclinique le 10.03.2020. Prochain contrôle radioclinique le 11.02.2020. Prochain contrôle radioclinique le 12.02.2020. Prochain contrôle radioclinique le 18.02.2020. Prochain contrôle radioclinique le 20.04.2020. Prochain contrôle radioclinique le 21.01.2020. Prochain contrôle radioclinique le 22.01.2020. Prochain contrôle radioclinique le 23.03.2020. Prochain contrôle radioclinique le 25.02.2020. Prochain contrôle radio-clinique le 27.05.2020. Prochain contrôle radio-clinique le 28.04.2020. Prochain contrôle radio-clinique le 29.01.2020. Prochain contrôle radioclinique prévu le 18.03.2020. Prochain contrôle radioclinique prévu le 22.04.2020. Prochain contrôle radio-clinique avec nos collègues du team hanche le 18.02.2020. Contrôle radio-clinique au team Spine le 23.04.2020. Prochain contrôle suite IRM le 11.02.2020. Prochain contrôle vendredi prochain à FR 34. Ablation des fils à 14 jours chez nous. Prochain contrôle VNI dans 12 mois. FPC selon évolution clinique (très difficilement réalisable). Une réhabilitation pulmonaire pourrait être envisagée en cas de péjoration respiratoire progressive • Prochain contrôle 04.03.20 • Prochain contrôle 07.02.20 • Prochain contrôle 07.10.2020 • Prochain contrôle 08.04.20 • Prochain contrôle 11.03. • Prochain contrôle 11.03.20 • Prochain contrôle 25.03.20 • Prochain cycle de chimiothérapie le 20.01.20. • Prochain pansement le 20.01.2020 • Prochain rdv post-opératoire le 29.09.2020. • Prochain rendez-vous • Prochain rendez-vous chez le médecin de famille pour un contrôle clinique le 07.01.2020. Ablation des fils chez le médecin traitant après 14 jours de la mise en place. • Prochain rendez-vous le 02.03.2020 • Prochain rendez-vous le 03.02.2020 • Prochain rendez-vous le 03.02.2020 pour une OP • Prochain rendez-vous le 03.04.2020 • Prochain rendez-vous le 06.01.2020 • Prochain rendez-vous le 06.03.2020 • Prochain rendez-vous le 06.03.2020 chez le Dr. X • Prochain rendez-vous le 06.03.2020 pour une OP • Prochain rendez-vous le 06.04.2020 • Prochain rendez-vous le 07.02.2020 pour une OP • Prochain rendez-vous le 09.01.2020 pour une infiltration • Prochain rendez-vous le 09.03.2020 • Prochain rendez-vous le 13.03.2020 • Prochain rendez-vous le 14.02.2020 • Prochain rendez-vous le 15.01.2020 pour une OP • Prochain rendez-vous le 16.03.2020 • Prochain rendez-vous le 17.02.2020 • Prochain rendez-vous le 17.02.2020 pour une infiltration • Prochain rendez-vous le 17.04.2020 • Prochain rendez-vous le 19.02.2020 • Prochain rendez-vous le 20.02.2020 • Prochain rendez-vous le 20.04.2020 • Prochain rendez-vous le 21.02.2020 pour une OP • Prochain rendez-vous le 22.01.2020 • Prochain rendez-vous le 23.03.2020 • Prochain rendez-vous le 24.01.2020 pour une OP • Prochain rendez-vous le 24.02.2020 avec scanner • Prochain rendez-vous le 24.02.2020 pour une OP • Prochain rendez-vous le 27.01.2020 • Prochain rendez-vous le 27.03.2020 • Prochain rendez-vous le 28.01.2020 pour une OP à Tavel • Prochain rendez-vous le 28.02.2020 • Prochain rendez-vous le 29.01.2020 • Prochain rendez-vous le 30.01.2020 pour une OP à Tavel • Prochain rendez-vous le 31.01.2020 pour une OP • Prochaine chimiothérapie le 23.01.2020 • Prochaine chimiothérapie prévue le 27.01.2020 : à réévaluer • Prochaine chimiothérapie prévue le 27.01.2020 - repoussée • Avis oncologique (Dr. X) • 2ème cycle de chimiothérapie néo-adjuvante prévu le mercredi 05.02.2020 à 8h (au C4) • Prise de sang prévue le mardi 04.02.2020 à 10h, puis contrôle en oncologie • Prochaine consultation au team hanche le 04.02.2020. • Prochaine consultation le 03.04.2020. • Prochaine consultation le 04.02.2020. • Prochaine consultation le 06.06.2019. • Prochaine consultation le 13.02.2020. • Prochaine consultation le 16.01.2020 • Prochaine consultation le 18.06.2020. • Prochaine consultation le 19.05.2020. • Prochaine consultation le 21.02.2020. • Prochaine consultation le 27.02.2020. • Prochaine consultation le 29.03.2019 au team MS. • Prochaine consultation le 30.01.2020. OP réservée le 12.02.2020. • Prochaine consultation le 31.03.2020 • Prochaine dilatation prévue pour janvier 2020 • Prochaine immunothérapie le 28.01.2020 à 11h30, HFR Fribourg • Prochaine radio dans 5 jours, si pas de déplacement secondaire poursuivre le traitement choisi et fermer le plâtre. • Proctite actinique et syndrome inflammatoire le 23.12.2019 • Procto-Glyvenol crème 5 %. • Procto-Synalar crème • Profil de TA élevé sur non compliance thérapeutique le 11.01.2020 • Profil glycémique à J3 dans la norme. Suivi à 3 mois post-partum en diabétologie • Profil glycémique à J3 HGPO à 3 mois • Profil glycémique permissif dans le contexte palliatif. Insuline lente arrêtée le 16.01.2020. Suivi glycémique en escalier • Profil tensionnel élevé jusqu'à 200/100 mmHg • Information éclairée répétée des risques encourus • Prise en charge médicamenteuse par la patiente non souhaitée • Anosognosie de la part de la patiente • Progression de la carcinomatose péritonéale le 07.01.2020 • Progression de la maladie oncologique avec métastases cérébrales le 23.01.2020 : • Progression de la maladie oncologique cérébrale • Progression de l'hématome sous-dural pariétal gauche et de l'œdème périfocal pariéto-temporelle droite, le 24.01.2020 • Hématome sous-dural pariétal gauche et sous-arachnoïdien pariétale traumatique de 6.2 mm le 16.01.2020 • Hospitalisation en chirurgie 16.01 au 24.01.2020 • Progression d'une insuffisance cardiaque terminale (FEVG 10-15%) sur cardiomyopathie d'origine mixte valvulaire, hypertensive et dilatée (d'origine probablement alcoolique) diagnostiquée en 2008 avec : • Coronarographie 02.2008 : coronaires saines • FA rapide avec cardioversion électrique le 06.08.2012 avec récurrence le 27.04.2017 • Tachycardie ventriculaire instable avec ACR le 25.10.2012 (HFR Fribourg) • Pose de pacemaker-défibrillateur tricaméral (CRT-D) le 01.11.2012 (HFR Fribourg), contrôlé le 06.07.2017 (compatible si IRM T < 1.5) • Choc cardiogénique le 05.05.2017 avec cure de Levosimendan • Décompensation cardiaque probablement sur insuffisance mitrale sévère le 06.07.2017 avec valvuloplastie mitrale avec implantation de 2 Mitra-Clip le 14.07.2017 (Inselspital) • Décompensation cardiaque globale 12.2017 • Pas de projet de greffe (récusé car mal compliance), pas d'assistance ventriculaire • Progression tumorale avec iléus gastro-duodéno-jéjunal, dilatation pyélocalicielle gauche. • dans un contexte d'adénocarcinome invasif sigmoïdien peu différencié à cellules discohésives en bague à sceau avec composante mucineuse (pT4b pN1a L0 V0 Pn1 G3 R0 M0) sur syndrome de Peutz-Jeghers. • Progression tumorale pulmonaire • Projet • Discrépance entre projet souhaité et état général • Projet d'une inscription dans un EMS avec sa femme à organiser • Projet et situation familiale • Prolapsus anal • Prolapsus colique dans la poche de stomie le 27.12.2019. • Prolapsus (côlon sigmoïde) de la colostomie • Colostomie à double canon en fosse iliaque gauche par laparoscopie le 13.06.2012 pour une incontinence anale sur malformation ano-rectale • Incontinence anale sur malformation ano-rectale sévère haute avec fistule recto-urétérale avec : • Colostomie à l'Inselspital en décembre 1994 • Abaissement abdomino-périnéal et anoplastie en septembre 1995 • Fermeture colostomie en octobre 1995 • Opération par la technique de Pena en 1998 • Colostomie en double canon en fosse iliaque gauche par laparoscopie le 13.06.2012 • Spina bifida occulta en S1 et S2 • Consommation de cannabis de 08.10.2017 • Intoxications alcoolique et au cannabis 05.2014 • Prolapsus de l'anse afférente au niveau de la stomie sans signe de souffrance • Prolapsus (côlon sigmoïde) de la colostomie sans signe de souffrance • Colostomie à double canon en fosse iliaque gauche par laparoscopie le 13.06.2012 pour une incontinence anale sur malformation ano-rectale • Révision pour le prolapsus le 30.12.2012 • Nouvelle révision de la colostomie avec résection de 45 cm de colon en 03.2013 pour prolapsus • Nouvelle épisode de prolapsus traité conservativement en 05.2014 • Nouvelle cure de prolapsus, résection segmentaire et stomato-plastie 12.2016 • Sténose sous-aortique très légère en 2010 • Amygdalectomie et adénoïdectomie en 1999 • Prolapsus génital C1-H0-R1 • Prolapsus hémorroïdaire à 6h PG avec œdème au pourtour • avec hématome du périnée anamnestique. • Prolapsus hémorroïdaire, le 07.01.2020. DD : hématome du périnée. • Prolapsus rectal • Prolapsus rectal extériorisé le 13.01.2020 • Prolapsus vaginal, 28.01.2020 • Prolongation arrêt de travail. • Fin de traitement le 26.01.2020. • Prolongation de l'antibiothérapie pour 7 jours au total. • Couverture de la leptospirose et du streptobacille par l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline. • Contrôle chez le médecin traitant à la fin de l'antibiothérapie. • Prolongation de l'arrêt de travail pour 3 semaines. • Nous le reverrons dans 3 semaines. • Nous lui prescrivons également de la physiothérapie. • Prolongation de l'arrêt de travail. • Reprise à 100% le 10.02.2020. • Pronation douloureuse • Pronation douloureuse à gauche • Pronation douloureuse bras gauche • Pronation douloureuse le 05.01.2020. • Propess le 22.01.2020 • Travail soutenu par Syntocinon le 23.01.2020 • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV pour portage de Streptocoque du groupe B • Suite de couches • Prophylaxie antibiotique par Clindamycine 900 mg iv • Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. • Poursuite de l'antibiothérapie par Rimactan 600 mg 1x/j et Tavanic 750 mg 1x/j p.o. jusqu'à 4 mois postopératoires. • Sous l'antibiothérapie prescrite, contrôle FSS 1x/semaine, fonction rénale, hépatique et ECG (mesure du QT) chez le médecin traitant. • Risque de tendinopathie, notamment Achilléenne liée aux quinolones (en cas de douleurs, arrêt du traitement et consultation médicale rapide). • Contrôle clinique à la consultation du team genou, Dr. X, à 2 semaines avec ablation des fils puis rx-clinique à 6 semaines. • Prophylaxie antithrombotique par Liquemine 5000 2x/j pour 6 semaines postopératoires. • Changement de pansement 2x/semanes et ablation des fils à J14 à la consultation du médecin traitant. • Contrôle radio-clinique postopératoire à 6 semaines à la consultation du Dr. X. • Suivi rhumatologique pour l'ostéoporose fracturaire. • Prophylaxie avec bas de contention. • Prophylaxie avec vaccination et gamma-globuline pour le bébé à la naissance. • Prophylaxie des ossifications hétérotopiques par Indocid 75 mg 2x/j p.o. jusqu'au 30.01.2020. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 8 semaines postopératoires. • Contrôles réguliers de la plaie, ablation des agrafes à J14 chez le médecin traitant. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Prof. X à 6 semaines. • Prophylaxie infecieuse par Amphotericin B • chez patient sous Prednisone et Sirolimus • leucopénie d'origine indéterminée à l'Inselspital (DD : Bactrim) • Prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. • Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 10.01.2020 pour contrôle et +/- réalisation d'une IRM par la suite. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 20 mg pendant son hospitalisation. • Reprise de l'Eliquis à J10 • Contrôle radiologique de la fracture ulna distale G. • Contrôle radio-clinique (RX des cervicales face et profil) à 6 semaines à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. à poursuivre en réadaptation. • Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14. • Contrôle rx-clinique à la consultation du team membre supérieur, Dr. X, à 4 semaines. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc 1x/j pour 6 semaines. • Réfection régulière du pansement (3 fois par semaine) et ablation des fils à 14 jours postopératoires chez son médecin traitant. • Contrôle rx-clinique à 6 semaines à la consultation du Dr. X (RDV normalement pris selon ERAOS). • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant 6 semaines postopératoires. • Contrôles réguliers de la plaie, ablation des agrafes à J14 chez le médecin traitant. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Prof. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. à poursuivre. • Contrôle de la CRP chez le médecin traitant le 02.12.2019. • Contrôle à la consultation du team hanche Prof. X/Dr. X le 26.11.2019 afin de discuter de la réimplantation de la PTH D qui sera agendée au début 2020 en fonction de l'état cutané local. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à charge complète du MIG pas avant 3 mois. • Contrôles réguliers des plaies avec poursuite des soins locaux de la plaie en regard de l'ulna avant-bras G. • Ablation des agrafes fémur proximal G à J14. • Contrôle rx-clinique (fémur G) à la consultation du team hanche, Prof. X/Dr. X à 6 semaines • Contrôle rx-clinique (bras/avant-bras G) à la consultation du team genou, Dr. X/Dr. X à 6 semaines.Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à charge complète sans cannes dès 4 semaines. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du team membre supérieur, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à charge totale. Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Dr. X, à 4 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à la charge totale Antibiothérapie par co-amoxicilline 1g 2x/j p.o. jusqu'au 31.12.2019 compris Suivi de la plaie opératoire genou D par les SAD avec réfection du pansement à raison de 3x/semaine. Contrôle clinique et ablation des fils à la consultation du team pied, Dr. X, à J14 puis selon évolution de la plaie. Suivi urologique (le patient prendra rdv chez un urologue) pour discussion des résultats microbiologiques. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à la charge totale. Contrôles réguliers de la plaie chirurgicale chez le médecin traitant; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité), fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle rx-clinique à la consultation du team pied, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie chirurgicale chez le médecin traitant; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle clinique à 4 semaines puis rx-clinique à 8 semaines à la consultation du Dr. X. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Prophylaxie de CRPS par Redoxon 1x/j jusqu'au 12.02.2020. Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Prophylaxie des ossifications hétérotopiques par Indocid retard 2x1/j jusqu'au 13.12.2019 Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim forte jusqu'au 17.02.2020 et Rimactan 300 mg 2x1/j jusqu'au 22.02.2020. Suivi de la FSS et de la fonction rénale toutes les 2 semaines chez le médecin traitant. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des agrafes à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie des agrafes et fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Dr. X, à 6 semaines. Surveillance de la tension artérielle chez le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 8 semaines postopératoires. Contrôle clinique à 4 semaines puis rx-clinique à la consultation du Dr. X à 8 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 8 semaines postopératoires. Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 4 semaines puis rx-clinique à 8 semaines à la consultation du Dr. X. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'au 26.01.2010. Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation d'orthopédie pédiatrique, Dr. X, à 4 semaines avec planification de l'ablation des broches. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires minimum. Contrôles réguliers de plaie, ablation des fils sur avis médical à environ J21. Soins locaux selon protocole de stomathérapie aux 48 h. Pas de curetage systématiquement nécessaire. Rdv en stomathérapie le 23.12.2019 à 08h45 et le 30.12.2019 à 15h15 en présence du Dr. X. Rdv en diabétologie, Dr. X, le 31.12.2019 à 09h00. Rdv en podologie le 07.01.2020 à 17h00. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant 3 mois postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des agrafes à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie et ablation des agrafes à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du team pied, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 4 semaines postopératoires. Réfection régulière du pansement à raison de 3x/semaine chez le médecin traitant, ablation des fils à J14. Contrôle clinique à la consultation du team genou, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines ou charge totale. Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie chirurgicale au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle rx-clinique à la consultation du team membre supérieur, Dr. X, à 6 semaines (07.02.2020 à 10h00). Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires/charge totale. Réfection des pansements 2 à 3x/semaine par les SAD. Ablation des fils à J14 à la consultation du team pied. Contrôle rx-clinique à la consultation du team pied, Dr. X, à 6 semaines. Prévoir l'ablation de la vis de positionnement syndesmotique à 3 mois. Investigations neurologiques selon évolution de l'hypoesthésie du nerf saphène et du nerf fibulaire profond à réévaluer à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation du team pied, Dr. X, à 6 semaines (17.02.2020 à 14h20). Suivi chirurgie vasculaire : rdv le mardi 18.02.2020 à la consultation du Dr. X (crossectomie agendée au 09.01.2020, repoussée). Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires.Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prophylaxie des ossifications hétérotopiques par Indocid 75 mg 2x/j p.o. pour 2 semaines postopératoires. Contrôle clinique à 4 semaines puis rx-clinique à 8 semaines à la consultation du Prof. X. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers des plaies, ablation des agrafes à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du team hanche, Prof. X/Dr. X, à 6 semaines. Suivi en oncologie, Prof. X, avec rdv à prendre dès sa sortie de l'Hôpital. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Prophylaxie des ossifications hétérotopiques par Indocid retard 75 mg 2x/j pour 2 semaines postopératoires. Contrôles réguliers des plaies chirurgicales par l'infirmière des soins à domicile, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Prof. X à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Réfection régulière des pansements à raison de 2 à 3x/semaine, ablation des fils du côté latéral de la cheville G à J14 par les SAD. Contrôle rx-clinique à la consultation du team pied, Dr. X/Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 8 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie à raison de 2 à 3x/semaine jusqu'à J14; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle de l'hémoglobine à distance par le médecin traitant. Contrôle clinique à 4 semaines puis rx-clinique à 8 semaines à la consultation du Prof. X. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 8 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie par les SAD, ablation des fils à la consultation du team pied à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du team pied, Dr. X/Dr. X, à 8 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 8 semaines postopératoires. Réfection du pansement 2-3x/semaine jusqu'à l'ablation des Stéristrips à J14; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle clinique à 4 semaines puis contrôle rx-clinique à 8 semaines à la consultation du Prof. X. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Attelle anti-équin. Suite de prise en charge à la clinique Hirslanden de Genève selon le désir de la patiente. Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg s.c dès 6h postopératoires. Contrôles réguliers des plaies et ablation des agrafes chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines à la consultation du Prof. X/Dr. X. Prophylaxie thromboembolique par Clexane 60 mg sc 1x/j dès 6h postopératoires pour 6 semaines. Réfection du pansement à J2, puis régulièrement (3 fois par semaine). Ablation des fils à 14 jours postopératoires chez son médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines à la consultation du Dr. X. Prophylaxie thromboembolique par Héparine 5000 UI 2x/jour pour 8 semaines postopératoires, relayée par Sintrom seul dès le 06.01.2020. Contrôle radio-clinique à 8 semaines post-opératoire le 13.01.2020 à la consultation du team pied, Dr. X. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. dès le 18.12.2019 pour 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie chez le médecin traitant, fils résorbables (pas d'ablation nécessaire). Contrôle de l'Hb chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Prof. X à 6 semaines avec réévaluation du déficit neurologique. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité); fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Prof. X à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. jusqu'à 6 semaines. Contrôle rx-clinique calcanéum G à la consultation du team pied, Dr. X, à 10 jours puis à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. jusqu'au 17.01.2020. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation du team pied, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. pour 6 jours. Contrôles réguliers de la plaie chez le médecin traitant, ablation des fils à J14. Contrôle clinique à la consultation du team pied, Dr. X/Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. pour 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie chez le médecin traitant; fils résorbables (pas d'ablation nécessaire). Contrôle hémoglobine à distance chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 3 semaines puis rx-clinique à 6 semaines à la consultation du Prof. X. Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. pour 6 semaines postopératoires. Réfection du pansement régulièrement, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle à la consultation du team genou, Dr. X, à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. pour 8 semaines postopératoires. Prophylaxie des ossifications hétérotopiques par Indocid 75 mg 2x/j pour 2 semaines postopératoires. Contrôles réguliers des plaies chez le médecin traitant, ablation des fils à J14. Contrôle clinique à 4 semaines puis rx-clinique à 8 semaines à la consultation du Prof. X. Prophylaxies: • Valtrex 500 mg 1x/j • Bactrim 3x/semaine Chimiothérapie par Bendamustine + Obinutuzumab 20.01-22.01.20 (4ème cycle) • Obinutuzumab 1000 mg le 20.01.20 • Bendamustine 125 mg/j du 20 au 21.01.20 Soutien transfusionnel CE irradié : 1x le 27.01.20 (pour le retour à domicile) Suivi-propositions • rendez-vous de contrôle le vendredi 31.01.20 à 9h30 pour prise de sang au C4 puis 10h00 à la consultation d'hématologie • poursuite des contrôles santé 1x/semaine au domicile • suivi du traitement de torasémide et adaptation selon poids et électrolytes Propos suicidaires Proposition au médecin traitant : • pister le bilan vitaminique et thyroïdien auprès de l'hôpital de Riaz Proposition au médecin traitant pour faire la recherche de maladie de coeliaque et de Helicobacter pylori ou une intolérance alimentaire. Proposition de contrôle à 48h pour suivi clinique, notamment œdème palpébral et céphalées. Proposition de contrôle clinique à votre consultation la semaine du 13 au 17.01.2020 Proposition de référer le patient à un neurologue pour la suite de la prise en charge. Proposition de contrôle de la fonction rénale et d'adaptation du traitement si besoin. Proposition de contrôle en F34 à 24h pour suivi de l'hémoglobine +/- avis gastro si persistance de la chute. Proposition de contrôle TSH à distance. Proposition de contrôler le calcium et la vitamine D afin d'adapter le traitement. Adapter l'antalgie si besoin. Proposition de mettre crème hydratante +++, Mme. Y ne souhaite pas de crème corticoïde. A réévaluer par pédiatre dans les prochains jours si pas d'amélioration. Proposition de re-contrôle des urines et autres investigations à distance. Proposition de recontrôler l'hémoglobine et la créatinine à distance. Proposition de remettre un plâtre après mise sous traction avec le doigtier japonais qui est bien supporté par la patiente. Plâtre AB fendu posé. A la sortie, régression de la symptomatologie des dysesthésies à la main gauche. Proposition de reprendre la marche selon douleurs et de continuer la physiothérapie. Anticoagulation prophylactique comme la charge totale n'est pas possible actuellement. La patiente a rendez-vous chez le Dr. X le 10.02.2020. Si l'évolution n'est pas favorable dans l'intervalle, la patiente reprendra contact. proposition de reprise de la contraception et effectuer un TG à domicile dans une semaine. écoulement mammelonaire à investiguer si persistance, pas d'indication dosage PRL en urgence. • Proposition de substitution en ambulatoire • Proposition de suivi pneumologique en ambulatoire • Substitution ferrique à évaluer en ambulatoire • Proposition de suivre la natrémie et le spot urinaire • Proposition de traitement conservateur par air-cast qui lui permet une marche en charge selon douleurs. Comme elle a de la peine à charger ces jours, proposition de prophylaxie antithrombotique jusqu'au prochain contrôle dans une semaine au secteur ambulatoire des urgences. Cannes. Arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle, patiente enseignante. • Proposition de traitement conservateur par attelle Jeans avec marche en charge à l'aide de cannes. Anticoagulation prophylactique. Contrôle secteur ambulatoire des urgences le 08.01.2020. Si évolution favorable, mobilisation libre. Dans le cas contraire, discussion quant à l'organisation d'une IRM pour bilancer l'état ligamentaire et méniscal. • Proposition de traitement conservateur par immobilisation par plâtre AB pendant 6 semaines. Confection du plâtre AB fendu ce jour. Contrôle radio-clinique secteur ambulatoire des urgences dans une semaine. • Proposition d'effectuer un bilan thyroïdien si la symptomatologie persiste. • Proposition d'introduction d'analogue de GLP-1 • Proposition d'organiser en ambulatoire une oesogastroduodénoscopie et une colonoscopie. • Proposition d'organiser un suivi psychiatrique. • Proscription du mouchage pour 4-6 semaines, rinçage au NaCl 4x/jour selon avis ORL du CHUV. Contrôle clinique le 07.01.2020 à 15h00 à la consultation ambulatoire de chirurgie maxillo-faciale du CHUV. • Prostata Hyperplasie • Prostatabeschwerden • Anamnestisch stabil, unter Therapie keine Beschwerden • Unter Therapie mit Pradif • Prostatahyperplasie mit Dauerkatheter seit 2017, TUR-P bei Prostatahyperplasie 05/2010 • Cystofix seit dem 23.04.2018, definitive Cystostomie am 28.05.2018 (Dr. X) • Akute Bauchschmerzen nach erster Cystofix-Einlage am 23.04.2018 mit anschliessender stationärer Behandlung bei urogenitaler Infektion • Postoperative Komplikationen am 28.05.2018 mit Hämatoperitoneum in allen vier Quadranten, Laparoskopie und anschliessende Laparotomie zur Hämatomevakuation • Postoperativ falsch positionierter Katheter mit Ballonisierung der Urethra • Postoperativer Blutverlust mit Hämoglobinabfall und Transfusionsbedarf St.n. kardialer Dekompensation mit neu diagnostiziertem stillem Vorderwandinfarkt (05/06 2018) mit/bei: • Koronare Herzkrankheit • Fragl. Myokardinfarkt 1970er Jahre • Mehrfaches (3-4x) Stenting, zuletzt 2011 • Echo 2018: EF 63%, stabile, mittelgradige Aortenklappeninsuff. • kvRF: Ca. 1970 sist. Zigarettenkonsum, kumulat. 40PY, art. HT, Dyslipidämie • Normokardes Vorhofflimmern, Erstdokumentation 16.10.2017; vor Makrohämaturie unter OAK, aktuell gestoppt (Xarelto 20 mg) • Radiologisch leichte basoapikale Umverteilung mit interstitieller Flüssigkeitsansammlungen und Kardiomegalie sowie Pleurarerguss bds. • EKG vom 21.06.2018: neu aufgetretene T- Negativierung in allen Brustwandableitungen bei asymptomatischem Patient, keine kardialen Beschwerden erinnerlich (Vergleichs-EKG vom 23.05.2018 ohne T-Negativierungen) • nach Rücksprache mit der Familie und dem Patienten wird auf weitere kardiologische Abklärungen/Interventionen verzichtet Klinischer und radiologischer V.a. Osteoporose: • Bisphosphonat (1x wöchentlich, Name nicht erinnerlich) seit 10/2017 (begonnen durch die Hausärztin) • Rx 10/2017 und MRI 09/2017: Frischer WK-Einbruch LWK4, sehr whs. osteoporotisch • Calcimagon D3 zur oralen Substitution, zurzeit ausgesetzt Spinalkanalstenose L3/L4 und L4/L5 re>li mit Schmerzaustrahlung in die Beine bds., unter Dafalgan 500 mg 4xTag Raynaud-Phänomen bei Kälteexposition Aktenanamnestisch M. Menière • Prostatakarzinom CT1c cN0 cM0II Gleason Score 7 iPSA 24.7 ng/ml (Dr. X) • St. n. Radiochemotherapie 12/2010 • Rezidivfreiheit am 25.09.2017 • Prostatectomie radicale • Prostatectomie radicale et curage ilio-obturateur bilatéral pour adénocarcinome prostatique en 2005 (pT2a pNO M0, Gleason 6). Hémicolectomie pour diverticulite en 1980 Pneumothorax spontané gauche en 1960 • Prostatectomie radicale pour adénocarcinome de la prostate il y a 7 ans. Micro-nodules pulmonaires basaux. Maladie diverticulaire sigmoïdienne avec status post-plusieurs épisodes de diverticulite. Résection sigmoïdienne par laparoscopie le 21.03.2018 (Dr. X). Dilatation pyélocalicielle modérée du rein gauche sur calcul situé à la jonction pyélo-urétérale d'environ 8.5 x 7.5 x 6 mm. • Prostatite • Prostatite à E. Coli le 19.06.2012. Perturbation des tests hépatiques avec Gamma-GT à 84 U/l le 19.06.2012. DD : maladie hépatique, cholestase, abus d'alcool, médicamenteuse. NSTEMI le 09.06.2016 • Coronarographie (Dr. X) le 09.06.2016: angioplastie de l'artère circonflexe moyenne avec implantation de 2 stents actifs. • Aspirine cardio à vie et Efient 10 mg/j pendant 6 mois. Douleurs épigastriques et thoraciques d'origine indéterminée (DD: gastrite). • Prostatite aiguë à E. Coli le 08.01.2020 avec: • Résidu post-mictionnel estimé à 230 cm3 • Hypertrophie prostatique à 130 cm3 • Vessie de lutte • Prostatite aiguë à E. Coli le 23.12.2019. • Prostatite aiguë à Klebsiella pneumoniae multisensible le 31.12.2019 • Prostatite aiguë le 07.06.2019, DD: chronique. Pneumonie probablement d'origine bactérienne le 07.10.2018. Rétention urinaire aiguë le 22.02.2018. Ostéo-nécrose mandibulaire traitée par débridement chirurgical le 25.01.2017. Hernie discale L3-L4-L5 en 2008 environ. Sténose de l'urètre bulbo-pénien, le 12.12.2018, Dr. X : urétrotomie interne. • Prostatite aiguë sur chronique en cours de traitement • TURP par le Dr. X le 05.03.2015 pour hypertrophie bénigne prostatique obstructive, confirmée à l'histologie, favorisant des récidives infectieuses sur stagnation d'urine • Prostatite chronique à Pseudomonas aeruginosa le 02.12.2019: • urosepsis avec pyélonéphrite bilatérale et abcès prostatique en 09/2019 • tentative de drainage abcès prostatique infructueuse et TURP partielle le 01.10.2019 (Dr. X) • Rocéphine 2g IV (19.09.2019), puis Tazobac 4.5 g 3x/j IV (19.09.-03.10.2019), puis Ciprofloxacine 750 mg 2x/j PO (04.10.-31.10.2019) • Prostatite en mai 2019. • Prostatite en 2011. Suspicion de bursite genou droit. Entorse premier degré de la cheville gauche. Intervention cardio-chirurgicale pour défaut inter-atrial (le patient n'est pas trop sûr ...). Diverticulose colique. Kystes rénaux simples bilatéraux. Passage de lithiase urinaire, le 14.10.2019. • Prostatite multirésistante à E. coli ESBL le 11.12.2018 Pneumonie nosocomiale basale gauche le 26.11.2018 Nombreuses chutes avec TC, dernier épisode en 09.2018 Hématome sous-dural chronique avec trépanation le 05.2015Prostatite • sonde vésicale depuis le 22.12.2019 sur rétention urinaire aiguë • connu pour hyperplasie bénigne de la prostate sous Tamsulosine (suivi Dr. X). Protection Schéma WC Protéinurie. protéinurie Protéinurie à 5 g/24h d'origine indéterminée : • Pré-éclampsie et HELLP avec accouchement par césarienne le 30.12.2019. Prothèse bipolaire pour fracture du col fémoral gauche (2017) Herpès labial (2015) Crise de goutte (1980) Prothèse de genou droit en novembre 2011 avec reprise opératoire en 2013 Prothèse de la hanche droite Prothèse genou droit Cholecystectomie Status post cure de Dupuytren membre supérieur D et G Multiples épisodes d'hémorragies digestives basses, nécessitant des transfusions : • sous Eliquis pour FA (avant la fermeture auriculaire) • diverticulose massive avec prédominance dans la partie sigmoïdienne et le côlon descendant sans signe d'inflammation, pose de 3 clips dans la partie rectale le 09.11.2018 Décompensation cardiaque congestive globale le 26.12.2018 Sepsis sur abcès hépatique du segment II, avec bactériémie à E. Coli le 20.07.2019 • status post-chimio-embolisation par billes chargées en Doxorubicine le 12.07.2019 par le Dr. X Laboratoire Drainage de l'abcès sous guide CT le 20.07.2019 : contenu purulent. Prélèvements non envoyés en bactériologie Insuffisance rénale aiguë AKIN 1, 20.07.2019 • GFR (selon Cockcroft-Gault) le 20.07.2019 : 51 ml/min Diarrhées chroniques d'origine indéterminée, 24.07.2019 Prothèse totale de la hanche droite en octobre 2011 Cholécystectomie en 2010 Prothèse totale du genou gauche en 2006 Cure de tunnel carpien droit en 2002 Prothèse totale du genou droit en 1998 Cure de cataracte bilatérale en 1996 Hystérectomie et cystopexie en 1995 Cure de varices en 1995 Prothèse totale de hanche à droite Excision d'une tumeur bénigne dorsale droite Cure de hernie inguinale bilatérale le 03.09.2019 (Dr. X) • à droite, une cure selon Rives avec mise en place d'un filet Ultrapro Mesh low MMBGGDQ0 pour la moitié du filet • à gauche, une cure selon Lichtenstein avec l'autre moitié du filet Prothèse totale de hanche bilatérale. Prothèse totale de hanche bilatérale. Prothèse totale de hanche bilatérale. Status post hernie inguinale bilatérale. Prothèse totale de hanche droite en 2003 (Dr. X) pour coxarthrose sur status post-ostéotomie péri-acétabulaire (1987 Dr. X) et status post-dysplasie de la hanche. Syndrome de l'articulation sacro-iliaque avec lombosciatalgie à droite. Cure de tunnel carpien droit le 18.10.2016 (Dr. X). Cure de tunnel carpien gauche le 09.11.2015 (Dr. X). Cure d'hallux valgus gauche selon Scarf et Akin le 13.01.2014 (Dr. X). Hallux valgus, pied droit. Le 07.01.2019, Dr. X : cure d'hallux valgus selon Scarf et Akin, pied droit. Prothèse totale de hanche en 2013. Appendicectomie dans l'enfance. Prothèse totale de la hanche droite en 2013 Abcès sous-cutané face dorso-ulnaire de 4x2,5 cm avant-bras proximal G avec dermohypodermite • Germe en cause : Staph. aureus Prothèse totale de la hanche droite le 06.03.2013 pour coxarthrose Cure d'hémorroïdes Cure de hernie hiatale Fracture du genou gauche avec arthrodèse il y a 20 ans Accident vasculaire cérébral ischémique sylvien droit superficiel le 02.12.2019 : diagnostic différentiel : sur bas débit d'origine artério-artérielle : • Clinique : dysarthrie et faiblesse du MSG d'une durée de 20 minutes au réveil post-cholécystectomie (NIHSS 2) • Sténoses courtes du départ des artères carotides internes prédominant du côté droit sur plaque d'athéromatose • Dissection focale de l'artère carotidienne droite • Sous double anti-agrégation (aspirine cardio et Efient) Cholécystolithiases symptomatiques avec : • Cholécystite aiguë lithiasique perforée avec abcès péri-vésiculaire le 04.10.2019 • Drainage d'abcès péri-vésiculaire le 09.10.2019 • Cholecystectomie élective par laparoscopie le 02.12.2019 Dr. X Globe urinaire post-opératoire avec sonde urinaire du 02.12.2019 au 05.12.2019 Probable encéphalopathie métabolique d'origine médicamenteuse sur Temesta le 05.12.2019 : • Péjoration de la symptomatologie neurologique avec fatigue importante (NIHSS à 3) • CT cérébral 05.12.2019 : pas de transformation hémorragique de l'AVC Prothèse totale de la hanche droite le 06.03.2013 pour coxarthrose Status post-cure d'hémorroïdes Status post-cure de hernie hiatale Status post-fracture du genou gauche avec arthrodèse il y a 20 ans Prothèse totale de la hanche gauche, le 10.09.2014, sur status post-nécrose de la tête fémorale gauche Prothèse totale de la jambe gauche Gastroscopie en décembre 2007 avec gastrite chronique et éradication H. pylori Colonoscopie en décembre 2007 montrant la présence d'hémorroïdes internes sans autres anomalies PSA en décembre 2010 à 0.80 Zona Territoire T3 gauche 23.12.2014 Insuffisance rénale (AKIN 1) aiguë le 20.12.2014 avec une clairance à 50 ml/min Irritation de la plèvre pulmonaire droite le 24.10.2016 • RX du thorax : pas de pneumothorax visualisé, pas d'atteinte des côtes, pas de foyer visualisé comparable au précédent cliché • Laboratoire : pas de signe d'inflammation, pas de leucocytose • ECG du 24.10.2016 : rythme sinusal irrégulier avec des extrasystoles ventriculaires monomorphes, fréquence à 75/minute, axe dévié à -10°, PR 166ms, QRS allongé à 140ms, axe signe d'hémi-bloque de branche 3, QT corrigé à 406ms pas de trouble de la repolarisation, pas de signe d'hypertrophie Retour à domicile après réassurance et traitement symptomatique Conseil de reconsulter son médecin traitant si non amélioration des symptômes ou de reconsulter les urgences si péjoration des symptômes Lombalgies aiguës d'origine musculo-squelettique le 01.12.2018 • Antalgie avec 5 mg Morphine p.o. aux urgences • Sirdalud et Tramal en gouttes • Le patient a été instruit à reconsulter en cas de signes de gravité • Le patient a déjà un contrôle chez son médecin traitant le 03.12.2018 Prothèse totale du genou D en 2018 Cure de tunnel carpien des 2 côtés Prothèse totale du genou gauche Prothèse totale du genou gauche Prothèse totale du genou gauche en mars 2012 Prothèse totale de la hanche gauche en 1997 Deux césariennes en 1963 et en 1966 Prothèse totale du genou gauche en 2017. Maladie thromboembolique veineuse avec embolie pulmonaire bilatérale et thrombose d'une veine péronière gauche le 26.08.2019. Prothèse totale hanche gauche en 1991 et droite en 2000 Fracture péri-prothétique non déplacée fémur gauche avec traitement conservateur Status post phakectomie bilatérale Hypovitaminose D sévère à 22 nmol/l Anémie normochrome normocytaire à 115 g/l d'origine probablement carentielle Hypertension artérielle symptomatique Prothèse totale hanche gauche en 1991 et droite en 2001 avec fracture périprothétique non déplacée fémur gauche à traitement conservateur en 2011 Cure hernie crurale incarcérée à gauche en juin 2019 Status post-phakectomie bilatérale Hypovitaminose D sévère à 22 nmol/l Anémie normochrome normocytaire à 115 g/l d'origine probablement carentielle Hypertension artérielle symptomatique Prothèse Touch CMC I à D le 20.01.2020 Prothèse uni-compartimentale interne sur gonarthrose fémoro-tibiale interne sur genu varum du genou G, le 23.02.2016. Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg jusqu'au 05.04.2016. Prothèses de hanche totales bilatérales Episodes de vertige positionnel paroxystique bénin sur otolithe Etat confusionnel aigu le 23.02.2017 sur démence jusqu'alors non investiguée avec/sur: • chute à domicile avec fracture de la base du nez le 23.02.2017 • hospitalisation et traitement antibiotique • infections ou troubles électrolytiques exclus • CT crânio-cérébral du 23.02.2017: sans particularité intracérébrale • MMS le 08.03.2017: 15/30, test de la montre 0/7, GDS 7/15 • Hypovitaminose B12 • Evaluation neuropsychologique: au vue des fluctuations importantes de l'orientation et de l'attention avec des résultats non concluants des fonctions mnésiques, il peut en être conclu que le délire ne soit pas encore entièrement résolu. (cf rapport annexé) Réhabilitation gériatrique précoce Anémie normocytaire chronique avec Hb à 109 g/l le 23.02.2017 avec/sur: • hypochromie limite le 23.02.2017 (28 pg) • carence en vitamine B12 (118 pg/ml) et acide folique à la limite de la norme (5.7 ng/ml) le 27.02.2017 • notion documentée de macrohématurie chronique dans le passé, actuellement non présente • s. p. pancolite en 2015 avec hématochézie dans le contexte de diverticulose connue • hémoglobine le 07.03.2017 à 121 g/l après 1x perfusion de Ferrijet 500 mg le 25.02.2017 Pas d'investigations actuelles dans le contexte global et l'évolution démentielle Substitution en vitamine B12 et acide folique Contusion de hanche droite le 24.06.2018: • chute de sa hauteur sur les fesses • Rx bassin face et hanche D axiale: pas de fracture visualisée • Antalgie avec Dafalgan 1 g 3x/j et Novalgin 500 mg 4x/j en réserve selon douleurs Prothèses mammaires et lipoplastie abdominale en 2010. Status post ligature des trompes. Ethylisation aiguë le 10.08.2013. Gastroentérite d'origine virale. Protocole Actrapid et glucose. protocole: Chlorhexidin, Adaptic, compresses, bande Protocole de soins de la plaie. Protocole des obstructions jéjunales Radiologie interventionnelle le 30.12.2019 Avis chirurgical (Dr. X) Changement sonde d'alimentation le 30.12.19 (Dr. X) Diminution du débit de nutrition entérale dès le 01.01.2020 Protocole désensibilisation Aspirine le 01.01.2020 en prévision de la coronarographie protocole Désimpaction par movicol Protocole discuté avec garde d'hématologie CHUV - Dr. X Sérologies hépatite A, B, C, HIV réalisées avant la première dose d'Octanate Octanate 500 ui iv donnée aux urgences ce jour - 1 dose Hospitalisation avec surveillance neurologique Avis garde d'hématologie le 03.01: retour à domicile et consigne de reconsulter en cas de diminution de l'état général Protocole insuline-glucose (250 ml de G20% avec 20 U de Actrapid sur 20 min) - Dr. X Lasix 80 mg IV - Dr. X Diurétique Bicarbonate Cathéter artériel MSG sous US (Dr. X, Dr. X) du 16.01 au _ Sonde urinaire dès le 16.01.2020 Radiographie du thorax le 16.01.2020 US abdominal (Dr. X, Dr. X) : pas d'obstruction rénale droite, pas de dilatation pyélo-calicielle droite US bedside (Dr. X, Dr. X) : épanchements pleuraux prédominants à gauche, ligne B, pas d'épanchement péricardique, veine cave ++ Protocole insuline-glucose Diurétique Bicarbonate Dialyse intermittente dès le 17.01.2020 (3x/semaine) US abdominal le 17.01.2020 Biopsie rénale droite le 21.01.2020 (Dr. X) Sonde urinaire dès le 16.01.2020 Cathéter de dialyse jugulaire interne droite dès le 17.01.2020 Protocole insuline-glucose Diurétique Bicarbonate US abdominal le 17.01.2020 Dialyse intermittente dès le 17.01.2020 (3x/semaine) Biopsie rénale droite le 21.01.2020 (Dr. X) Sérologies sans résultat biologique en faveur d'un Lupus Sonde urinaire dès le 16.01.2020 Cathéter de dialyse jugulaire interne droite dès le 17.01.2020 Sonde trois voies dès le 21.01.2020 suite à macro hématurie post-biopsie rénale Protocole pansement selon instructions du CHUV Plaie suivie au CHUV, dernière altération du protocole le 10.01.2020 Soins locaux, avec amélioration Protocole plaque palmaire, avec attelle en huit pour 2 semaines puis syndactylie pour 4 semaines. Protocole soins de plaies aux 48h Protocoles de pansement: désinfection au NaCl, bétadine tulles comme pansement primaire et compresses comme pansement secondaire. Réfection 3x/semaine Rendez-vous à la consultation du Dr. X au centre des plaies dans deux semaines le 04.02.2020 à 15:00 au premier étage Rendez-vous à la consultation du Dr. X dans 6 semaines mercredi 11.03.2020 à 11:15 Rendez-vous à la consultation de l'angiologie dans le lundi 02.03.2020 à 14:00 à l'HFR Riaz Protosan gel Mepilex • Consultation d'infirmière diabétologique le 09.01.2020 • Annulé le RDV de podologie le 14.01.2020 à Fribourg et replanifié pour contrôle dans 8 semaines le mardi 10.03.2020 à 14h30 à la consultation podologie à Fribourg. Protrusion lombaire (IRM 2016) Protubérances de 9 mm dans la bronche souche à droite et de 7 mm dans la bronche souche gauche d'origine indéterminée le 19.12.2019 Provocation Provocation de l'accouchement Provocation du travail Provocation et travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Instrumentation par ventouse kiwi. Suite de couches. Provocation par ballonnet et Misoprostol Antalgie par protoxyde d'azote Suites de couches Provocation par Ballonnet, rupture artificielle des membranes et Syntocinon le 25.01.2020. Antalgie par rachi-anesthésie. Suite de couches. Provocation par Misodel le 14.01.2020 à 02h00 et Syntocinon Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie et AG Utérotomie isthmique transverse basse (PE 150 cc) Surjet intradermique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5 g Suite de couches Placenta envoyé en anatomo-pathologie Provocation par Misoprostol le 03.01.2020 Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par Misoprostol le 14.01.2020 à 16h45 Travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Suite de couches Provocation par Misoprostol le 25.01.2020 à 15h30. Travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Suite de couches Provocation par Misoprostol le 30.12.19 Provocation par Syntocinon le 30.12.19 Pose de péridurale le 30.12.19 Suites de couches Provocation par Misoprostol, Propess et mise en place d'un ballonnet. Antalgie par péridurale. Suite de couches Provocation par Misoprostol Incision selon Pfannenstiel sous péridurale renforcée Utérotomie isthmique transverse basse (PE 300 cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5 g Suite de couches Provocation par Misoprotol puis Syntocinon Antalgie par péridurale Suite de couches Provocation par Propess du 17 au 18.01.2020 puis par ballonnet le 18.01.2020Suite de couches • Provocation par Propess le 08.01.2020 et ballonnet Foley le 09.01.2020 • Travail soutenu par Syntocinon • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Propess • Suite de couches • Provocation par Propess • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Placenta envoyé • Provocation par Propess • Antalgie par protoxyde d'azote • Suites de couches • Provocation par Propess • Travail soutenu par Syntocinon • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Propess • Travail soutenu par Syntocinon. • Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV pour portage Strepto B • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Propess • Travail soutenu par Syntocinon • Suite de couches • Provocation par Prostin le 08.01.2020. au Daler • Césarienne secondaire pour CTG pathologique le 09.01.2020 au Daler • Transfert en néonatologie de l'HFR le 09.01.2020. • Provocation par rupture artificielle des membranes • Travail soutenu par Syntocinon • Antalgie par péridurale • Suites de couches • Provocation par Syntocinon • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par 10 cpr de Misoprostol • Instrumentation par ventouse Kiwi • Suite de couches • Provocation pour dépassement du terme. • Provocation pour oligoamnios • Provocation pour rupture prématurée des membranes prolongée • Provocation pour terme dépassé • Provoquée par rupture artificielle des membranes • Travail soutenu par Syntocinon • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Prurit. • Prurit d'origine indéterminée • Prurit et érythème cutané diffus. • Prurit généralisé depuis 15 jours environ • pas de lésion cutanée objectivée. • Prurit généralisé sans exanthème. • DD: Xérose cutanée. • Prurit membres inférieurs du 02.01.2020. • Diagnostic différentiel: gale. • Prurit vaginal et douleurs mictionnelles. • PSA le 07.01.2020 : 0.20 ng/ml • Consilium urologique le 07.01.2020 • Tamsulosine dès le 07.01.2020 • Échec initial puis refus d'essai supplémentaire de sondage vésicale par le patient • Contrôle en ambulatoire chez le Dr. X le 14.01.2020 • PSA pathologique le 13.11.2019 • Quotient FPSA/PSA à 13 % • Pseudarthrose de la phalange moyenne 5ème orteil du pied D sur traumatisme sur un coin de lit en septembre 2019. • Pseudarthrose de la pointe du grand trochanter à droite • Pseudarthrose du calcanéum D sur : status post cure de pseudarthrose, débridement, greffe osseuse par Tutoplast et réostéosynthèse par une plaque Arthrex comprehensive foot system 3.5 mm au calcanéum D et révision des tendons péroniers à D par résection de 2 lésions longitudinales et tubulisation le 21.06.2019 sur status post révision et débridement du tibial postérieur D, augmentation avec le flexor digitorum longus et ostéotomie d'allongement du calcanéum et fixation par une plaque 2.7 en T le 18.12.2018 sur tendinite tibiale postérieure D sur pied plano valgus réductible grade II B • Pseudarthrose du scaphoïde main D • Poignet D : • St. p. révision de pseudarthrose, greffe osseuse bicorticale du bassin D, OS scaphoïde avec CCS 3 x 21 mm du 04.11.2019 • Chute le 11.02.2018 • Pseudarthrose d'une probable ancienne fracture dans l'enfance de la base du 2ème MT du pied D. • Pseudarthrose éperon olécrânien sur contusion du coude D, le 21.06.2019. • Pseudarthrose hypertrophique des ostéotomies ilio et ischio-pubiennes avec fracture de fatigue de la colonne postérieure après une ostéotomie péri-acétabulaire et dislocation chirurgicale de la hanche G sur une protrusio acetabuli massive. • Pseudarthrose malléole interne cheville D sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse du bord postéro-interne du talus par vis libres, de la malléole interne par vis libres et plaque en T Pedus 2,7 mm, de la malléole externe par cerclage/haubanage le 02.04.2019 sur status post révision, lavage d'une plaie transverse supra-malléolaire externe et réduction fermée, mise en place d'un fixateur externe tibio-calcanéen à D le 25.03.2019 pour une fracture/luxation bimalléolaire à D ouverte, stade Gustillo II, fracture comminutive du bord interne du corps du talus à D et entorse du Chopart à G. • Status post greffe de peau selon Thiersch face interne du pied G, prise de greffe sur la cuisse ipsi-latérale le 30.04.2019 sur status post débridement de la nécrose malléole interne G avec Versajet et mise en place de pansement VAC le 23.04.2019 sur une nécrose cutanée face interne cheville G. • Status post révision et lavage de la plaie face interne talon G le 25.03.2019. • Status post révision de plaie et lavage de l'articulation du genou D par arthrotomie d'une arthrotomie traumatique du genou D le 25.03.2019. • Pseudarthrose P3 Dig II à D • Fracture du 01.10.2019, traitement conservateur • Pseudo-anévrisme artère fémorale D post ponction le 03.01.2020 • Pseudo-anévrisme de l'artère fémorale droite post ponction le 03.01.2020 • Pseudo-anévrisme de l'avant bras droit • Pseudo-anévrisme fémoral droit le 07.01.2020 • post-ponction fémorale le 08.01.20. • Pseudo-anévrisme fémoral droite post-coronarographie le 24.01.2020 • Pseudo-anévrisme mycotique para-oesophagien le 06.09.2019 • Pseudo-hyponatrémie. • Pseudo-hyponatrémie à 127 avec hyperglycémie à 17.5 • Pseudo-Jones du 24.01.2020. • Rx du pied. • Mise en place d'un traitement conservateur avec confection ce jour d'un soulier type Geisha qu'il s'agira de porter pour 4 semaines. • Prochain contrôle radio-clinique dans une semaine et ensuite à 4 semaines du traumatisme. • Pseudokrupp • Pseudokrupp Anfall • Pseudomyxome péritonéal diagnostiqué le 20.08.2019 avec : • PET-CT du 17.07.2019 : tumeur ovarienne droite associée à une carcinose péritonéale. • Biopsie d'une masse pelvienne droite le 29.07.2019 : adénocarcinome mucineux infiltrant un tissu conjonctif fibreux probablement sous-péritonéal. • IRM des seins injectée du 05.08.2019 : asymétrie de densité du quadrant supéro-externe du sein gauche visualisée à la mammographie de juillet, correspondant à du parenchyme mammaire. Marqueurs tumoraux du 29.07.2019 : CAE 18.8 ng/ml, CA 125 à 22 U/ml. CA 15-3 : 39.9 U/ml et CA 19-9 : 197 U/ml. • IRM du 20.08.2019 : multiples implants de carcinose péritonéale avec notamment la présence de masses dans le Douglas et en projection appendiculaire. • Tentative de laparoscopie exploratrice convertie en mini-laparotomie en raison d'un status adhérentiel trop important. Biopsie excisionnelle du ligament gastro-colique le 20.08.2019 : anatomopathologie : néoplasie mucineuse compatible avec une origine appendiculaire : pseudomyxome. • Cyto-réduction chirurgicale étendue le 23.09.2019 : omentectomie, splénectomie en monobloc, cholécystectomie, stripping diaphragmatique et suture d'une perforation diaphragmatique bilatérale. Glissonectomie hépatique droite. Résection antérieure haute, hystérectomie et annexectomie bilatérale en monobloc. Anastomose colorectale termino-terminal agrafée • Chimiothérapie hyperthermique intra-péritonéale par Mitomycine 35 mg/m2 + 5 FU le 23.09.2019 • Le 03.10.2019 : Pancytopénie avec agranulocytose sur chimiothérapie, épanchement pleural droit drainé chirurgicalement, pneumothorax gauche persistant sur défaut de ré-expansion pulmonaire (atélectasies bibasales), insuffisance anastomotique colorectale • Persistance de multiples collections intra-abdominales sur péritonite bactérienne secondaire (lâchage du moignon rectal) à E.Coli, E.faecalis et E. faecium le 15.10.2019. Le 16.10.2019 : drainage d'abcès pelvien pré-sacré sur lâchage du moignon rectal par rectoscopie, colonisation à Enterococcus faecium du point de ponction du drain abdominal gauche. Deux collections pré-sacrées : postérieure de 6 x 7 cm avec drain en place, antérieure non drainée. Le 28.10.2019 : tumor-stents bilatéraux sur IRA post-rénale Suspicion de néphrite interstitielle aiguë sur Vancomycine et Tazobac • éosinophiles à 4.92 G/L le 14.12.2019 et 3.40 G/L le 16.12.2019 Polyarthrite rhumatoïde traitée par Méthotrexate (une fois par semaine), arrêté depuis l'opération du 20.08.2019. Dégénérescence maculaire liée à l'âge avec : • dernière injection intra-oculaire le 20.09.2019 • le 17.10, hémorragie maculaire compatible avec l'épisode d'agranulocytose • suivi par le Dr. X au HFR cantonal Pseudo-troubles électrolytiques sur probable dilution le 27.12.2019 • hyponatrémie • hypokaliémie • hypomagnésémie. Psoriasis Psoriasis avec arthrite psoriasique • sous Methotrexate. Psoriasis cutané. Psoriasis, traité par corticoïdes topiques. Obésité. Psoriasis traité par Humira Psoriasis traité par Humira. Hyperplasie bénigne de la prostate. Tabagisme actif (2 cigarettes/j depuis 30 ans). Dysesthésie et dyskinésie du gros orteil droit • s/p opération du nerf péronier. Troubles thymiques : suivi psychiatrique. Psoriasis Goutte Psychiatrique - dépendance OH : • Crise d'hyperventilation, le 13.01.2012. • Traumatisme crânien et de la colonne cervicale sur chutes à répétition dans le contexte d'alcoolisation aiguë, le 25.05.2016. • Alcoolisation aiguë le 11.01.2018. • Abus médicamenteux le 09.05.2018 avec hospitalisation à Marsens. • Intoxication médicamenteuse et éthylique le 13.05.2018. • chute dans le cadre d'une éthylisation aiguë / Ethylisation aiguë à 2,68 pour mille. > Décision de PAFA suite à une discussion avec le Juge de paix, Dr. X et Dr. X. Transfert au RFSM CSH Marsens le 16.11.2018. Entorse de la cheville gauche, stade II le 13.01.2018. Opératoire : • Appendicectomie. (date X) • Amygdalectomie. • Césariennes en 1992 et en 2001, deux accouchements par voie basse. • Hystérectomie subtotale avec conservation des annexes en 2002 pour endométriose. • Laparoscopie avec adhésiolyse en 2004. • Bypass gastrique en 2005. • Laparoscopie avec ovariectomie gauche en 2006. • Adhésiolyse et annexectomie droite laparoscopique le 22.06.2010 pour syndrome douloureux pelvien avec échec de traitement conservateur. • Résection sigmoïdienne selon Hartmann le 24.06.2010 pour sepsis sévère avec péritonite sur perforation sigmoïdienne après annexectomie droite par laparoscopie le 22.06.2010. • Rétablissement de la continuité le 27.09.2010. • Annexectomie gauche avec adhésiolyse par laparotomie le 03.05.2016 sous anesthésie générale. Réaction anaphylactoïde sur ingestion de pulpe dans un cadre de poly-allergie. Traumatisme crânien pariétal gauche : fracture longitudinale extra-labyrinthique du rocher gauche, s'étendant à la suture squameuse et se prolongeant dans l'os pariétal gauche, sans déplacement. Hypocalcémie symptomatique le 24.02.2019 Angine le 24.02.2019 Infection urinaire simple le 13.03.2019 Douleurs chroniques exacerbées dans le cadre d'une spondylarthropathie axiale et périphérique enthésitique réactive à Chlamydia trachomatis Suspicion d'entorse de Chopart pied gauche Entorse de LLE cheville gauche stade II TCC sous état d'ébriété le 26.11.2019 Psychose aiguë. Psychose débutante. Psychose suivie. Dépression chronique suivie. • Décompensation psychique avec suicidalité aiguë le 28.04.2015 dans un contexte d'état dépressif et troubles de personnalité (borderline). Hospitalisation à Marsens. PTG bilatérale non daté Status post ORIF pour fracture trimalléolaire D en 1989 PTG bilatérale PTH bilatérale Arthroplastie de l'épaule bilatérale en 2014 et 2018 Ostéosynthèse d'une fracture de l'humérus proximal droit en 2009, AMO 2010 Ostéosynthèse de la cheville droite il y a 40 ans Troubles du sommeil avec altération du rythme veille/sommeil Érysipèle du membre inférieur droit en 2017 TVP en 1992 PTG bilatérale PTH bilatérale Arthroplastie de l'épaule bilatérale en 2014 et 2018 Ostéosynthèse d'une fracture de l'humérus proximal droit en 2009, AMO 2010 Ostéosynthèse de la cheville droite il y a 40 ans Troubles du sommeil avec altération du rythme veille/sommeil Érysipèle du membre inférieur droit en 2017 TVP en 1992 PTG D en novembre 2017. Angor instable à coronaires saines sur probable microangiopathie et cardiopathie hypertensive le 26.01.2018. Névralgie cervico-brachiale droite. Dyspnée et douleur thoracique à l'effort d'origine indéterminée, possiblement sur dysfonction diastolique. PTG D en 2011 Multiples interventions au niveau de l'épaule G avec mise en place d'une prothèse inversée en 2007 Canal lombaire étroit L3-L4, L4-L5 avec antérolisthésis dégénératif de L4 sur L5 grade I selon Meyerding PTG D en 2014 et PTG G en 2011 Status post hystérectomie PTG D en 2014 et PTG G en 2011 Status post hystérectomie PTG D sur gonarthrose le 12.12.2019 PTG droite NSTEMI sur subocclusion de la circonflexe proximale et de l'IVA moyenne le 05.01.2014 Coronarographie le 06.02.2014 (Dr. X) : angioplastie de l'artère circonflexe proximale avec implantation d'un stent actif, implantation d'un deuxième stent actif au niveau de l'IVA moyenne Aspirine à vie Plavix 75 mg pour 12 mois Contrôle cardiologie avec échocardiogramme trans-thoracique le 11.08.2014 à 15h30 PTG G en 2011 et droite non datée. AVB en 1986. Paresthésies, hyposensibilité et tuméfaction du MSG d'origine indéterminée le 20.07.2014 : • compression radiculaire partielle post-traumatique ou dégénérative (pas de déficit moteur). • compression du retour lymphatique sur obstacle dans le défilé thoracique (pas de masse à la Rx thorax, pas de ganglions palpables, pas de symptômes B). • thrombose vasculaire (pas d'argument à l'US-doppler du MSG le 20.07.2014). • algoneurodystrophie. PTG G sur gonarthrose tricompartimentale en octobre 2016 Fracture os triquétrum G le 28.07.2015, traitée conservativement. PTG G 05.02.18 avec révision le 12.03.18 pour libération et suture de l'aileron rotulien externe PTG D 29.08.16 Operation cataracte Ostéosynthèse radius distal G 01.2015 Ostéosynthèse olécrâne G 03.2006 Prothèse épaule D 2005 Fracture ischio-pubienne 2003 PTG gauche PTG gauche (OP le 28.01.2020) PTG gauche sur gonarthrose tricompartimentale le 09.03.2016. PTG droite en 2008. Status post PTH gauche. PTH droite sur nécrose de la tête fémorale le 17.08.2017. Arthroplastie de l'épaule droite par implant renversé pour nécrose de la tête humérale et arthrose secondaire le 27.03.2014. Ostéosynthèse d'une fracture de l'humérus proximal droit en 2009 avec ablation du matériel d'ostéosynthèse l'année suivante. Ostéosynthèse de la cheville droite il y a 40 ans. Troubles du sommeil avec altération du rythme veille/sommeil. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 transitoire avec clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 72 ml/min à l'entrée. Érysipèle du membre inférieur droit, traité par Co-Amoxicilline depuis le 24.01.2017. Thrombose veineuse profonde en 1992. Prothèse inversée de l'épaule gauche pour omarthrose invalidante le 17.05.2018. Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie. Gilet d'abduction pour 6 semaines. Immobilisation sur coussin d'abduction pour 6 semaines et mobilisation depuis le coussin jusqu'à 100° en élévation, rotation externe 10° et rotation interne au ventre. Pas de port de charges. Contrôles réguliers de la plaie. Ablation du Comfeel® à J14. Adaptation de l'antalgie : • Arrêt du Targin dès le 07.06.2018. • Arrêt du Dafalgan le 15.06.2018. Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg inj sc jusqu'au 05.06.2018. PTH D en 2013 Abcès sous-cutané face dorso-ulnaire de 4x2,5 cm avant-bras proximal G avec dermohypodermite. • Germe en cause : Staph. aureus PTH D le 21.02.2019 Cholécystectomie non datée PTH D prévue le 29.04.2020. PTH D sur coxarthrose en mars 2012 Contusion hanche D en juin 2018 Fracture branche ischio-pubienne G en novembre 2012 Episodes de vertige positionnel paroxystique bénin sur otolithe Etat confusionnel aigu le 23.02.2017 sur démence jusqu'alors non investiguée avec/sur : • chute à domicile avec fracture de la base du nez le 23.02.2017 • MMS le 08.03.2017 : 15/30, test de la montre 0/7, GDS 7/15 • Hypovitaminose B12 Anémie normocytaire chronique avec Hb à 109 g/l le 23.02.2017 avec/sur : • hypochromie limite le 23.02.2017 (28 pg) • carence en vitamine B12 (118 pg/ml) et acide folique à la limite de la norme (5.7 ng/ml) le 27.02.2017 • notion documentée de macrohématurie chronique dans le passé, actuellement non présente • pancolite en 2015 avec hématochézie dans un contexte de diverticulose connue • hémoglobine le 07.03.2017 à 121 g/l après 1x perfusion de Ferrijet 500 mg le 25.02.2017 Embolie pulmonaire en mars 2015, traitée par Xarelto jusqu'à fin septembre 2015 Suspicion d'AIT en 2011, DD orthostase Opération pulmonaire pour pneumothorax récidivants il y a plus de 50 ans PTH douloureuse bilatérale. PTH droite en 1995 Rupture du tendon d'Achille droit en 1994 PTH droite par voie mini-invasive en 2015 (Dr. X). Cure de hernie ombilicale en 2014. Poussée de chondrocalcinose du genou droit le 01.03.2017. PTG gauche en 2008. Césarienne en 1975. Cholécystectomie en 1970. Lombotomie gauche pour néphrolithiase en 1968. Appendicectomie en 1949. Ostéosynthèse par plaque LCP et cerclage Dall-Miles le 05.12.2016 pour fracture périprothétique Vancouver B1 du fémur droit. Fracture du bord médial de la rotule droite avec hémarthrose. Probable crise de chondrocalcinose du genou droit favorisée par le contexte traumatique. Fracture péri-prothétique du fémur droit type Vancouver C. Le 08.11.2018, Dr. X, Dr. X : ablation de la plaque du fémur droit, réduction ouverte et ostéosynthèse par une plaque LISS 15 trous, cerclage par fils métalliques Dall-Miles. PTH droite Cholecystectomie Cure d'hernie ombilicale et des hernies inguinales ddc par filets Etat confusionnel aigu d'étiologie multifactorielle le 19.06.2014 : • troubles électrolytiques • douleurs abdominales • médicamenteux (Norfloxacine, benzodiazépine, Tramadol) PTH droite Suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite Splénectomie et pancréatectomie partielle en 1964 sur polytraumatisme par accident de la voie publique Opération pour volvulus en 1958 PTH en 2013 PTH G le 01.04.2020. PTH G par voie antérieure mini-invasive pour fracture du col du fémur Garden IV le 27.11.2019 sur chute de sa hauteur PTH G sur coxarthrose le 23.04.2014 OST intertrochantérienne D et G en 1966. Décompression L2-L3 intra-laminaire ddc, cure de hernie discale G et spondylodèse avec cage VTI 8mm L2-L3 le 12.03.2012 et mise en place d'un PAD pour une discopathie multi-étagée, en particulier L2-L3, avec hernie discale paramédiane G sur sténose du canal lombaire ainsi que lombo-cruralgies G déficitaires. Coxarthrose gravissime D le 09.01.18 • Implantation PTH D (cupule Fitmore 56, noyau Durasul 56/36, tige MS 30/8 standard, centralizer 8/10, bouchon Weber 3, Palacos R+G, tête Protasul 20/36, col L), ostéophytectomie le long du bord antérieur, ostéophytectomie postéro-inférieure, bursectomie trochantérienne (OP le 15.04.2015) Rétention urinaire symptomatique (350ml) en postopératoire le 09.01.18 PTH G sur coxarthrose secondaire à une dysplasie de la hanche en 2015. Coxarthrose secondaire sur dysplasie de la hanche D : Implantation d'une PTH D le 28.04.2016 Arthrose tibio-astragalienne cheville G sur status post OS fracture bimalléolaire en 1995 environ. PTH gauche non datée PTG gauche 2007 PTG droite 2005 PTI chronique depuis 2001, multiples thérapies d'immunoglobuline et corticoïdes. PTI vs vasculite para-virale Ptose labiale et palpébrale et apraxie Ptose sans myosis oeil G connue Etat anxio-dépressif Hypothyroïdie substituée Polyarthrite rhumatoïde HTA PTSD avec suivi au CPP. Pubalgies et inguinalgies d'origine indéterminée dès le 01.01.2020 : • DD : syndrome radiculaire, sur alitement prolongé, maladie rhumatologique sous-jacente, chondrocalcinose sur traitement de Furosémide Puisque le patient présente déjà des troubles sensitivo-moteurs des MI et au vu des symptômes actuellement présents aux MS avec des signes parlant en faveur d'une myélopathie, nous proposons une prise en charge chirurgicale consistant en une discectomie C5-C6, C6-C7, mise en place de cage et plaque antérieure. Dans le même temps opératoire, nous pourrions envisager l'ablation du nodule thyroïdien selon les résultats de la ponction écho-guidée prévue pour ce matin. Au vu d'un suivi à Nottwil, nous donnons l'autorisation pour une opération extra-cantonale afin que le patient puisse être suivi dans une structure adéquate à ses besoins en post-opératoire. Pulmicort pour 2 semaines, poursuite ventolin 2x/j comme traitement de fond Pulpite incisive supérieure gauche. Purpura de Henoch-Schoenlein (diagnostic 11/2019) Purpura de Schönlein Henoch en 2005 avec néphropathie à IgA (biopsie en 2004), suivi par Dr. X Trouble dépressif sous Sertraline avec palpitations occasionnelles Trouble du comportement alimentaire avec obésité stade 3 selon l'OMS avec BMI 44.6 kg/m2 (10.2016), suivie au centre métabolique Asthme • multiple crise d'asthme (10/2016, 2011, 12/2017 • insuffisance respiratoire hypoxémique le 20.07.2017 Hernie discale L4-L5 sans déficit neurologique Cervico-brachialgies chroniques G > D Notion de colon irritable Suspicion de syndrome d'apnée du sommeil Tension artérielle fluctuante Oedèmes des membres inférieurs d'origine indéterminée Tabagisme stoppé mi-décembre 2017 (vapoteuse avec nicotine) Purpura rhumatoïde Purpura thrombocytopénique auto-immune diagnostiqué en 01.2010. Diabète cortico-induit. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Obésité. Pustule Pustulose céphalique néonatale Pustulose exanthématique aiguë généralisée sur prise de lamotrigine le 03.01.2020 Pyélonéphrite Pyélonéphrite Pyélonéphrite Pyélonéphrite Pyélonéphrite Pyélonéphrite. Pyélonéphrite à D le 03.01.2020 Pyélonéphrite à droite le 03.01.2020. Pyélonéphrite à droite le 03.01.2020. Pyélonéphrite à E. Coli ESBL le 18.01.2020 • nosocomiale sur sonde urinaire Pyélonéphrite à E.coli 10.2019 Méningite à Entéro virus 10.2019 Pyélonéphrite à gauche le 05.12.2019, pyélo-urétrite à gauche le 20.12.2019 • s/p Bricker le 21.07.2019 Pyélonéphrite à germe indéterminé le 09.01.2020 • Furadantine (3 doses) depuis le 09.01.2020 (médecin traitant) • Culture d'urine non réalisée en ambulatoire Pyélonéphrite à l'âge de 3 ans. N'a jamais eu d'échographie des voies urinaires. Pyélonéphrite le 22.12.2019 traitée par 10 jours d'antibiothérapie p.o. Autrement BSH, pas de médicaments au long cours. Pyélonéphrite aiguë pyélonéphrite aiguë Pyélonéphrite aiguë à E.coli multisensible Pyélonéphrite aiguë à S. saprophyticus le 22.09.2015. AVB 2016. Pyélonéphrite aiguë avec : • urolithiase bilatérale (jonction urétéro-vésicale : 5mm à D et 6mm à G)• dilatation pyélocalicielle bilatérale (à 28 mm à D et à 14 mm à G). • Pyélonéphrite aiguë bilatérale à E. Coli le 15.01.2020 • Pyélonéphrite aiguë D • Pyélonéphrite aiguë droite non compliquée. • Pyélonéphrite aiguë en novembre 2014 2000: AVB, Sexe: F, Poids (g): 3700. 2002: AVB, Sexe: M, Poids (g): 3400. Hystérectomie totale interannexielle par laparoscopie. Douleurs basithoraciques gauches multi-récidivantes: • Douleurs basithoraciques gauches d'origine probablement musculo-squelettique le 14.02.2016 • Douleurs basithoraciques gauches et gêne inspiratoire le 03.03.2018 DD: douleur musculo-squelettique? pleurite post IVRS? Coqueluche probable au décours le 25.07.2018 • Pyélonéphrite aiguë gauche non compliquée le 02.01.2020. • Pyélonéphrite aiguë le 03.01.19, premier épisode • Pyélonéphrite bilatérale avec : • bactériémie K. pneumoniae ESBL le 20.03.2019 • traitement par Méropénème, Ertapénème puis Ciprofloxacine Iléus mécanique dans un contexte de carcinome du rectum et carcinome urothélial, le 20.03.2019 • status post résection antérieure inter-sphinctérienne et colostomie terminale le 04.09.2012 • status post chirurgie par de Bricker en juin 2014 • iléus grêle mécanique sur status adhérentiel le 13.08.2017 • CT-abdominal le 20.03.2019 - suivi clinique avec résolution spontanée Notion de syndrome de Guillain-Barré (sans précision) Discopathie de la colonne cervicale avec status post intervention au niveau cervical (sans précision) avec parésie M4+ ddc Carcinome urothélial de la vessie en stade PT2 G3 • date du diagnostic : 05.06.2012 • status post-RTUV (Dr. X) du 31.05.2012 • histologie (Promed P4436) : carcinome urothélial de haut grade pT1 G3 • status post-2ème RTUV le 05.07.2012 • histologie (Promed P5494.12) : carcinome urothélial solide en partie de type « nested variant » avec infiltration focale stade pT2 G3 • complément du bilan avec PET et CT thoraco-abdominal : voir ci-dessus • status post-radiothérapie (60 Gy) du 15.10. au 26.11.2012 associée à une chimiothérapie par Paraplatine et 5-FU • CT thoraco-abdominal du 10.01.2013 : la masse vésicale n'est plus visible, pas de signe de métastases à distance • CT du 17.09.2013 : status post-radique avec épaississement pariétal sans mise en évidence d'une lésion endoluminale, pas de changement en taille des lésions ganglionnaires métastatiques rétro-péritonéales avec une minime partie avec réhaussement centimétrique • PET CT du 02.10.2013 : pas de captation des lésions rétro-péritonéales • Urétrocystoscopie : multiples télangiectasies dont une saignant à bas bruit dans le contexte de lésions post-radiques • status post-chirurgie, chirurgie par de Bricker en juin 2014 • actuellement : rémission complète Hernie parastomiale de la colostomie terminale en fosse iliaque gauche • status post-cure de hernie avec la mise en place d'un filet rétro-musculaire le 12.08.2015 Péjoration d'une polyneuropathie pré-existante des membres supérieurs dans un contexte de chimiothérapie (transient acute OXLIN) le 06.12.2016 : • Radiculopathie C4/C5 et C7/C8 pré-existante résiduelle d'un canal cervical étroit opéré (sans précision) • Diagnostic différentiel: neuropathie toxique, carentielle • Avis neurochirurgical le 06.12.2016 : pas de sanction neurochirurgicale vu l'absence de compression médullaire Embolies pulmonaires segmentaires des deux lobes inférieurs et thrombose de la veine iliaque externe gauche diagnostiquée en février 2017 Hématurie macroscopique le 28.12.2017 avec status post opération de Bricker en 2014 pour carcinome de la vessie Syndrome inflammatoire d'étiologie indéterminée le 15.07.2019 avec bactériurie asymptomatique à proteus mirabilis++, enterococcus faecalis++ • Pyélonéphrite bilatérale avec bactériémie à E. Coli multisensible le 21.01.20. • Pyélonéphrite bilatérale et cystite à E. coli multisensible le 22.08.2013 Hépatite B en 2011 • HDV Ig totaux négatif le 19.04.2011 • HIV 1+2 Ag P24 négatif le 19.04.2011 Extraction totale de la dentition supérieure et inférieure en 2010 sur ostéomyélite mandibulaire et maxillaire Colite néphrétique en 1980 • Pyélonéphrite D. • Pyélonéphrite • DD cystite, DD vulvite • Pyélonéphrite débutante le 30.01.2020. • Pyélonéphrite débutante, 11.01.2020 • Pyélonéphrite droite. • Pyélonéphrite droite. • Pyélonéphrite droite à E. Coli ESBL le 13.01.2020 • infection urinaire basse le 10.01.2020 • Pyélonéphrite droite à E. Coli le 30.12.2019 • Pyélonéphrite droite à E. coli, le 08.01.2020 • Pyélonéphrite droite à ESBL sensible à l'ertapénème le 13.01.2020 • Infection urinaire basse le 10.01.2020 • Sédiment urinaire pathologique • Pyélonéphrite droite à Staphylococcus aureus le 30.12.2019, • urotube effectué par le médecin de garde • Pyélonéphrite droite aiguë. • Pyélonéphrite droite avec surinfection de sonde double J le 25.12.19 • CT abdominal le 25.12.19 • Ceftriaxone IV (adapté à la fonction rénale) du 25.12.19 au 01.01.20 Insuffisance rénale aiguë AKIN III, sur chronique CKD G3b, de type pré-rénale le 25.12.2019 avec • Anurie pendant 48h Avis néphrologique 26.12.19 (Dr. X) Avis urologue traitant (Prof Dr. X Zürich) • Pyélonéphrite droite du 16.12.2019. • Pyélonéphrite droite le 03.01.2020 avec probable intolérance à la Ciprofloxacine. • Pyélonéphrite droite le 19.01.19 • Pyélonéphrite droite, le 25.01.2020. • Pyélonéphrite droite le 25.01.2020 • Pyélonéphrite en cours de traitement. • pyélonéphrite en 2009 • Pyélonéphrite en 2015. Décompensation diabétique cortico-induite d'un diabète de type 2 en 04.2015. Sigmoïdectomie (suite à des polypes bénins/diverticulose). Diverticulite colique en 2000. Appendicectomie. Multiples opérations orthopédiques des genoux des deux côtés 2005-2006. Arthroscopie épaule droite. Anémie normochrome normocytaire arégénérative à 119 g/l, le 01.01.2018, sur déficit en folates avec: • Réticulocytes 36 G/l. Probable AIT vertébro-basilaire le 07.10.2018, d'origine indéterminée, avec: • Symptomatologie: vertiges, dysarthrie, instabilité à la marche. • Score ABCD2-I3: 6 points. • NIHSS 0 tout au long du séjour. Ethylisation aiguë avec perte de connaissance, le 29.01.2019, avec: • Alcoolémie à 1.44. • Diagnostic différentiel: AIT, troubles du rythme, hypotension sur Eliquis. Chute dans le contexte d'alcoolisation aiguë, le 21.06.2019 • contexte de dépendance à l'alcool • Pyélonéphrite gauche • Pyélonéphrite gauche. • Pyélonéphrite gauche à E. Coli • status post-opération de rallongement des voies urinaires il y a 20 ans, dernier contrôle urologique il y a des années anamnestiquement sans particularités. • Pyélonéphrite gauche à germe indéterminé à 16 6/7 SA le 15.07.2019 • pyélonéphrite gauche aiguë • Pyélonéphrite gauche • chirurgie rénale indéterminée dans l'enfance • Pyélonéphrite gauche en septembre 2019. • Pyélonéphrite gauche en 2015. Appendicectomie. Intoxication médicamenteuse en décembre 2016. Pneumencéphale et fracture temporale à la suite d'un traumatisme crânien. • Pyélonéphrite gauche et cystite hémorragique à Escherichia coli le 29.01.2020 • dans un contexte de néphropathie à IgA • Pyélonéphrite gauche et prostatite aiguë le 24.12.2019 • urotube positif pour Enterococcus Faecium (résultat du 08.01.2020) • Pyélonéphrite gauche le 06.01.2020. • Pyélonéphrite gauche le 06.01.2020 (E. coli sur une paire d'hémoculture le 07.01.2020). • Pyélonéphrite gauche, le 08.01.2020 Pyélonéphrite gauche le 08.01.2020. Pyélonéphrite gauche le 08.04.2014 Suspicion d'AIT en janvier 2012. Diverticulite en 2012: • Éventration au niveau de la cicatrice médiane et celle de fermeture d'iléostomie en fosse iliaque droite avec : • hémicolectomie gauche par laparotomie avec iléostomie de protection le 03.01.2012 pour une diverticulite sigmoïdienne chronique et sténosante • diverticulite dans le bas sigmoïde avec abcès et perforation couverte traitée par antibiothérapie et drainage en décembre 2011 • diverticule de Meckel avec muqueuse gastrique ectopique • fermeture d'iléostomie le 30.05.2012. Cure d'éventration selon Rives le 17.10.2012 par Dr. X. 2 épisodes de pancréatite sur OH il y a 15 ans. Anémie d'origine spoliative sur prise d'AINS en juin 2018. Pyélonéphrite gauche le 09.01.2020. Pyélonéphrite gauche le 13.01.2020. Pyélonéphrite gauche le 14.01.2020 traité par antibiothérapie. Masse médiastinale antérieure de 32 x 16 mm au contact de l'aorte, opérée en 2017. Nodule pulmonaire du lobe moyen traité par résection Wedge. Accident de moto avec traumatisme de l'œil gauche -> prothèse oculaire œil gauche. Erosion cornéenne droite sur probable corps étranger métallique. Tentamen médicamenteux. Pyélonéphrite gauche le 22.01.2020. Pyélonéphrite gauche non compliquée diagnostiquée le 30.12.2019. Pyélonéphrite gauche non compliquée, 22.01.2020. Pyélonéphrite le 17.09.2016. Saignement gastro-intestinal haut sur ulcère gastrique avec H.pylori positif le 17.09.2016. Pyélonéphrite le 23.01.2020. Pyélonéphrite obstructive débutante à droite sur urétéro-lithiase de 6 x 5 x 8 mm au niveau de l'uretère distal. Pyélonéphrite obstructive droite sur calcul résiduel post-lithotripsie le 18.12.2019. • status post-lithotripsie et mise en place de double J pour un calcul de 16 x 5 x 5 mm en 11.2019. • status post-retrait de la sonde J le 16.12.2019. • suivi Dr. X. Pyélonéphrite obstructive gauche. Pyélonéphrite obstructive gauche le 23.10.2019. Pyélonéphrite obstructive sur lithiase urétérale proximale gauche de 7 x 4 x 7 mm depuis le 14.01.2020. • s/p ESWL il y a 30 ans (Dr. X) pour urétéro-lithiase gauche. Pyélonéphrite obstructive sur urétérolithiase de 7 x 9 mm à gauche le 15.01.2020. • Néphrolithiase à droite associée • Insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale. Pyélonéphrite simple le 08.01.2020. Pyélonéphrite simple le 8.1.2020. Pyélonéphrite 1er épisode à l'âge de 3 mois (septembre 2017). US des voies urinaires le 11.09: sp. Traitement: Ceftriaxone i.v 50 mg/kg/j, puis i.m. Avis Dr. X (néphrologue pédiatrique): ad amoxicilline 80 mg/kg/jour en 3 doses pendant 10 jours associée à la Cefpodoxime 8 mg/kg/jour en 2 doses pendant 10 jours, suivi d'une prophylaxie par du Bactrim 2 mg/kg/jour. CUM non faite (refus des parents). Pyélonéphrites à répétition, la dernière en décembre 2019. Pyélonéphrite. • sans critère de gravité. Pyélonéphrite. Tentamen par défenestration en 2007. Tentamen en 2009. Abus médicamenteux en 2013. Lombalgie non déficitaire atraumatique le 24.09.2017. Pyélo-urétérite aiguë, sans néphrite, le 27.01.2020. • contrôle à la filière des urgences ambulatoires à 72 heures. Pyélo-urétérite gauche à E. faecalis le 30.12.2019. Pyélo-uréthrite aiguë sans néphrite. Pyrosis le 04.04.19. • chez Mme. Y de plus de 50 ans, connue pour un éthylo-tabagisme et présence de symptomatologie B (inappétence, perte de poids). Pyrosis post-opératoire : • status post-oesophagectomie selon Merendino le 28.06.2019. QT à 450 ms. • sous Lévofloxacine et Métoclopramide. QT long à 500 msec le 06.01.2020 déjà observé en septembre 2019. QT long à 513 ms le 20.01.2020. QTc long à 500 ms le 06.01.2020. • Médication favorisant le QT long du 06.01 au 08.01.2020 (Erythromycine). QTc long à 560 ms transitoire le 03.01.2020. QTc prolongé vers 480 ms. Quadruple pontage coronarien (AMIG-IVA; AMID-CD; Vx-Dg; 1-intermédiaire) opéré le 21.11.2016 à l'Inselspital par Dr. X. Coronarographie du 25.10.2016 (Dr. X) : maladie coronarienne tritronculaire avec : • occlusion chronique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • sténose significative de la première diagonale • sténose subocclusive de l'artère bissectrice • sténose significative de la branche marginale • sténose significative de l'artère coronaire droite proximale • hypokinésie apicale • FEVG à 50%. Hydro-pneumothorax à la radiographie du thorax du 02.12.2016 : traitement conservateur. Quatre césariennes. Hystérectomie. Cure de hernie abdominale. Bursotomie traumatique du coude gauche en 2016. Souffrance cutanée avec phlyctènes sur entorse de stade III cheville gauche le 17.03.2016. Quelques situations ont marqué le séjour de Mr. Y dans notre service : Sur le plan du réentraînement à l'effort, Mr. Y débute dans un groupe d'intensité faible et progresse tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de pédaler durant 30 minutes à une puissance de 70 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, nous objectivons une augmentation de la distance parcourue (+55 m) avec des paramètres cardiaques qui sont corrects. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, Mr. Y bénéficie d'un enseignement concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi que d'ateliers diététiques, avec suivi individuel diététique et ergothérapeutique. En particulier, il participe au programme nutritionnel de réadaptation cardiovasculaire "Au cœur de l'alimentation". Sur le plan des corrections des facteurs de risque cardiovasculaires, le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 3.1 mmol/L, un HDL à 1.03 mmol/L, un LDL à 1.83 mmol/L et des triglycérides à 1.46 mmol/L. Nous laissons le soin à Mr. Y d'effectuer un contrôle en ambulatoire dans 2 à 3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.4 mmol/L. Sur le plan médicamenteux: • devant la persistance des douleurs au niveau de la cicatrice de sternotomie qui ne sont que modérément soulagées par la prise de Dafalgan, nous introduisons du Benerva avec un bon effet immédiat. Nous laissons les soins à Mr. Y de stopper le traitement après l'arrêt des douleurs. • vu les tendances hypotensives et les pertes liquidiennes postopératoires, nous réintroduisons son traitement antihypertenseur à dose réduite avec une posologie adaptée pendant son séjour selon l'évolution tensionnelle. Sur le plan clinique: • au vu de la persistance de l'OMI à gauche (voir des antécédents de lymphangite bilatérale), un bas de contention (force 2) est prescrit pour le retour à domicile. • au cours de son hospitalisation, le patient a présenté une lésion érythémateuse/orangée prurigineuse au niveau de la cicatrice de saphénectomie, associée à quelques lésions satellites rondes et rouges au pourtour de la lésion principale. Suspectant une mycose, un traitement topique par Pevaryl crème est initié. Cependant, au vu de l'extension de la lésion malgré le traitement topique, un traitement per os est introduit avec le Fluconazole pour une durée totale de 1 mois. L'examen clinique de sortie montre un discret OMI à gauche et une lésion érythémateuse au niveau de la cuisse droite (au niveau de la cicatrice de saphénectomie). Questionnaire rempli. Laboratoire. Un rapport vous parviendra séparément. Quétiapine, puis Nozinan arrêté le 26.12.2019 Prise en charge interdisciplinaire Protocole de sédation avec dormicum iv continu la nuit dès le 19.12.2019 Protocole de sédation diurne à la demande si épisode de dyspnée non gérée par médication habituelle dès le 26.12.2019 Quétiapine XR 50 mg le soir Quintus varus à D Quintus varus bilatéral. Raccourcissement de la chaîne postérieure pied G. Pied G : hallux valgus (angle HVA 37°, IMA 12°), orteil en griffe débutant O2, abductus O3 avec métatarsalgies de transfert O2 à O4. Pied D : hallux valgus (angle HVA 32°, IMA 14°). Raccourcissement de la musculature des muscles abducteurs flexeur et extenseur de hanche Raccourcissement de la musculature gastrocnémienne des deux côtés avec marche sur la pointe des pieds Raccourcissement du cubitus d'environ 0.5 cm suite à une fracture de l'avant-bras gauche avec bascule postérieure de 25° le 03.10.2015 traitée conservativement. Raccourcissement du tendon d'Achille bilatéral. Rachis cervical : • discopathie multi-étagée avec hernie discale C6-C7 en conflit avec la racine de C7 droite Rachis lombaire : • discopathie multi-étagée avec sténose en L5-S1 RAD RAD. Antalgie par Oxynorm (Tramal non supporté par le patient). RAD avec antalgie RAD avec antalgie au besoin. Reconsulte chez le pédiatre, le cas échéant aux urgences, en cas d'état fébrile et/ou si vomissement et/ou si péjoration de l'état général et/ou augmentation des douleurs. RAD avec antalgie d'office durant 48h. Revient si vomissement, changement du comportement, diminution de l'état général. RAD avec antalgie Reconsulter si nécessaire RAD avec antalgie simple et conseil d'appliquer des compressions tièdes sur l'orgelet. Le patient est informé des signes et symptômes qui doivent motiver une nouvelle consultation aux urgences. RAD avec antalgie, suite de prise en charge chez le MT en cas de persistance des douleurs. RAD avec attelle poignet-avant-bras G et antalgie d'office. Présentation du cas au colloque de radiologie. Nous rappelons les parents s'il y a une modification de la prise en charge à faire. RAD avec conseils selon l'évolution clinique. RAD avec contrôle chez le MT. Contrôle chez le MT et organiser une échocardiographie à la recherche d'une sténose de la valve aortique. RAD avec matériel donné pour recherche de sang fécal occulte RAD avec matériel donné pour recherche de sang fécal occulte. Nous rappellerons les parents en cas de présence de sang occulte dans les selles. Revient aux urgences si présence de sang frais dans les selles et/ou si diminution de l'état général. RAD avec Prednisone et antihistaminiques. La patiente consultera un allergologue à distance de l'événement aigu. Informations des symptômes nécessitant une nouvelle consultation aux urgences. RAD avec recommandation de reconsulter en cas de symptôme suspect (feuille de surveillance transmise). RAD avec repos sur le weekend, pas de télévision ni de jeux vidéo, ni de musique. Revient aux urgences si vomissement, latéralisation sensitivo-motrice et/ou si diminution de l'état général. Consultation en neuropédiatre à prévoir (mail envoyé) avec +/- EEG. RAD avec suppositoire de Weleda Chamomilla en réserve si inconfort et/ou fièvre. Contrôle clinique chez le pédiatre le 14.01. à 9h00. Revient aux urgences durant la nuit si diminution de l'état général. RAD avec TTT symptomatique et arrêt de travail. RAD Convocation RFSM en électif RAD Consulter MT et Dr. X (neuro CHUV qui avait déjà suivi Mr. Y) pour suite de PEC. Arrêt de travail et pas de conduite Radiale Hinterhornläsion medialer Meniskus Kniegelenk links • Chondromalazie I - II° retropatellär • Diagnostische Arthroskopie Teilmeniskektomie des medialen Meniskushinterhornes Kniegelenk links (OP am 29.12.2014) Radicalgie cervicale suivant le dermatome C6 le 15.1.2020. Radiculalgies cervicales probables. Radiculopathie C7. Radiculopathie L4 des deux côtés avec claudication neurogène sur sténose canalaire L3-L4 avec : • scoliose lombaire dégénérative et apex en L3 et dysbalance sagittale avec cyphose D12-L3. Radiculopathie non déficitaire le 12.02.2019. Radio cheville ap lat le 03.01.2020 avis ortho : Effectuer Rx en charge pour évaluer stabilité fracture. RX en charge : pas de déplacement des fragments. Nouveau avis ortho Dr. X : TTT conservateur avec boîte plâtrée. contrôle 1 semaine team pied, circularisation du plâtre. immobilisation 6 semaines. charge autorisée depuis ce soir. anticoagulation 6 semaines. • boîte plâtrée aux urg. att: TTT conservateur avec boîte plâtrée. contrôle 1 semaine team pied, circularisation du plâtre. immobilisation 6 semaines. charge autorisée depuis ce soir. anticoagulation 6 semaines. Radio cheville droite : pas de fracture Rx genou droit : arrachement osseux au niveau de la tête fibula CT genou : arrachement osseux au niveau de l'insertion du LC droit sur la tête de la fibula ATT : • RAD avec antalgie, charge selon douleur, physiothérapie Radio cheville droite face/profil Radio genou droit face/profil/axial Radio clavicule G du 08.01.2020 : Fracture en voie de consolidation en position anatomique. Radio colonne lombaire ap latéral debout le 18.01.2020. Radio coude droit ap latéral le 18.01.2020. Radio hanche droite, bassin ap 18.01.2020. e-FAST Dr. X : absence de pneumothorax, absence de liquide pleural, péricardique, abdominal libre. Stix urinaire : Hématurie +++ (règles actuellement). Radio de thorax : signe de surcharge, cardiomégalie, pas de foyer objectivé, pas d'atteinte osseuse. désaturation à 93, remonte à 96 sous 1L d'oxygène Radio dig I D en 2 plans. Fracture consolidée. Perte limitée de substance osseuse du côté radial. Radio Dig II à D dp/latéral du 24.01.2020 : Comparé avec l'image en décembre 2019, on ne note pas d'agrandissement de l'ostéolyse autour de la pseudarthrose. Radio Dig II à G dp/latéral du 24.01.2020 : En regardant l'évolution, on note une ostéolyse de la phalange distale avec une perte de substance. La DIP est abîmée, plus d'espace articulaire avec une ankylose partielle. Radio Dig III dp/latéral à G du 06.01.2020 : Fracture légèrement disloquée en extension du P2 avec une en forme de 7 points. Radio Dig III G : Pas d'arrachement osseux. Arthrose débutante du côté ulnaire. Radio Dig III G dp/latérale du 17.01.2020 : On note un début d'arthrose avec des ostéophytes dorsal à la tête de la phalange moyenne et à la base de la phalange distal. Radio Dig III G 02.10.2019 (Hôpital intercantonal de la Broye) : Légère irrégularité à la face palmaire de la base P2. Pas d'autre lésion. Radio Dig III main D face profil le 27.12.2019 : Présence d'un corps étranger rectiligne de 7 mm de longueur sur le bord ulnaire à hauteur de la PIP Dig III. Pas de fracture visualisée. Radio Dig IV à G dp/latéral du 31.01.2020 : Alignement correct. Comparé avec la radio post-réduction, on ne voit plus de fragment de l'arrachement de la plaque palmaire. Radio Dig IV à G dp/latérale du 28.01.2020 : On note une perte de substance osseuse/ostéolyse basale ulnaire phalange distale. Radio Dig IV à G du 06.01.2020 : Le morceau osseux de la fracture Mallet est en place, probablement léger pas articulaire. Pas de dislocation secondaire. Radio Dig V à D du 14.10.2019 : St. p. ablation des vis en P2 avec une arthrose débutante de la DIP et PIP. Ostéopénie d'immobilisation. Radio Dig V dp/latérale du 27.01.2020 : Dans le cliché latéral, on voit une ostéolyse de la couronne de la phalange distal. Radio Dig V du 10.01.2020 : On note un arrachement osseux de la plaque palmaire à la base de P2 qui est en train de se résoudre. Début d'arthrose au niveau de la PIP et de la DIP. Radio du IV ème doigt face profil du 06.01.2020 : Consolidation du fragment du bord radial de la base de P3 mais non rattaché au reste de P3. Radio du pouce D face profil du 06.01.2020 : Articulation MCP bien alignée. Arrachement osseux à hauteur de P1 Dig I à peine visualisé. Radio du thorax le 22.01.2020 : Foyer retrocardiaque. Pas d'épanchement pleural. Image cardiovasculaire normale sans signe d'insuffisance cardiaque ou de péricardite. Les hiles, le médiastin, les tissus mous et le cadre osseux sont également de morphologie normale sans évidence de fracture costale en particulier. Radio du V ème rayon face profil main D : Pas de déplacement secondaire. Consolidation osseuse atteinte. Radio du 17.01.2020 : Mise en évidence d'un déplacement par rapport aux clichés précédents avec une médialisation de la diaphyse mais qui semble stabilisée. La tête est légèrement en valgus, bien alignée sur les clichés de profil. Radio épithélite péri-anale et inguinale de grade 3 : • Radiothérapie du 20.10.2019 au 03.12.2019 (99Gy) Radio genou D : Fracture du plateau tibial latéral droit (type II selon Schatzker) avec impaction centrale, associée à une fracture metaphyso-diaphysaire avec une extension jusqu'au niveau du tubercule inter condylaire latéral. Petits fragments osseux intraarticulaires. Pas de fracture du péroné ou de la rotule. Lipohémarthrose et tuméfaction des parties molles. CT jambre droite : Fracture du plateau tibial latéral droit (type II selon Schatzker) avec impaction centrale, associée à une fracture metaphyso-diaphysaire avec une extension jusqu'au niveau du tubercule inter condylaire latéral. Petits fragments osseux intraarticulaires. Pas de fracture du péroné ou de la rotule. Lipohémarthrose et tuméfaction des parties molles. Radio genou G Radio genou gauche : pas de fracture visualisée, épanchement visible. Attitude : • Protocole RICE. • Antalgie par Dafalgan/Irfen. • Arrêt de travail du 10 au 14.01.2020 inclus. • Si persistance de la symptomatologie d'ici la fin de l'arrêt, doit reconsulter son médecin traitant pour évaluation IRM. Radio lombaire le 10.10.2019 : perte de hauteur lombaire, cyphoscoliose. IRM rachis : • Dexaméthasone dès le 16.10.2019 : 16 mg 3 jours, puis 8 mg 4 jours, puis 4 mg depuis le 24.10 puis schéma dégressif dès le 07.11.2019. • Poursuite chimiothérapie. • Radiothérapie sur les métastases vertébrales (Dr. X) du 25.10 au 07.11.2019 (10 séances) : amélioration clinique attendue entre le 04.11 et le 17.11.2019. • Pister amélioration clinique entre le 04.11 et 17.11.2019 : pas d'amélioration franche clinique. Radio main D en 3 plans du 10.01.2020 : Fracture oblique de la tête MC II avec peu de déplacement. Pas de déplacement secondaire comparé avec la radio du 02.01.2020. Radio main D face profil oblique : St. p. ostéosynthèse par plaque dorsal base MC III et tête MC IV avec un bon positionnement ainsi que la fracture et le matériel. Pas de rupture du matériel. Consolidation osseuse en cours. Radio main D profil (complément du bilan effectué le 06.01) : Fracture sous-capitale du V ème métacarpien avec bascule palmaire de 24°. Radio main D 3 plans du 20.01.2020 : Pas de dislocation secondaire comparé avec la radio post-réduction. Radio main face profil du 10.01.2020 : Bonne position des implants prothétiques. Radio main face profil oblique à D du 24.01.2020 : Déplacement secondaire de la fracture. Radio poignet D : fracture radius distal légèrement déplacée extraarticulaire. Radio poignet D dp/latéral du 27.01.2020 : Alignement du carpe correct, ulna + de 2.2 mm, angle SL 54°. Radio poignet D dp/latéral du 27.01.2020 : La fracture est guérie. Pas de dislocation du matériel d'ostéosynthèse, pseudarthrose de la styloïde ulnaire. Radio poignet D du 10.01.2020 : Comparé à la dernière radio de 2016, on ne note pas de dislocation secondaire du matériel d'ostéosynthèse. Arthrose radio-carpale processus styloïde radial et au niveau de la DRUG. Pseudarthrose de la styloïde ulnaire. Radio poignet D du 27.01.2020 : On note la consolidation de la fracture métaphysaire du radius et une pseudarthrose du processus styloïde ulnaire. Ulna + de 2.2 mm, tilt dorsal du radius 3°. Radio poignet G dp/latéral du 27.01.2020 : Alignement du carpe correct, tilt palmaire de 5°, ulna neutre. Radio poignet D face profil du 06.01.2020 : Pas de lésion osseuse visualisée. Présence d'une fossa lunata bien marquée. Radio poignet D 15.09.2019 : Diastase scapho-lunaire à 4 mm. Arthrose radio-carpienne importante. Angle SL à 87°. Aspect d'un SLAC Wrist. Radio poignet dp/latéral pouce à D du 17.01.2020 : Pas de dégénération. Légère subluxation vers radial-dorsal CMC I. Prominence dorsale CMC II/III. Radio poignet du 17.01.2020 : Consolidation osseuse complète. Pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Radio poignet G dp/latéral du 17.01.2020 : Alignement du carpe correcte. Pas de dégénération. Léger ulna + de 1 mm. IRM poignet G 2018 : Arrachement du TFCC dans la fovea. Radio poignet G dp/latéral du 24.01.2020 : Léger ulna +, alignement du carpe régulier. Ultrasonographie poignet G du 22.11.2019 (Affidea Givisiez) : Kyste palmaire collé à l'artère radial d'environ 1.1 x 0.8 cm. Petite pédicule vers l'articulation radio-carpienne. Radio poignet G dp/latéral du 27.01.2020 : SL angle 60°, pas d'élargissement de l'intervalle SL. Ulna neutre. Radio poignet G dp/latéral du 31.01.2020 : La fracture est guérie, pas de dislocation des vis ou de la plaque. Soong 1. Radio poignet G du 29.08.2019 : On note une diastase du SL de 3 mm et un angle SL de 80°. Sinon, pas de lésion osseuse. Radio poignet D dp/latérale du 24.01.2020 : Alignement du carpe correct, intervalle SL de 2 mm, angle SL 45°. Pencil Grip View bilatérale du 24.01.2020 : On note une diastase de G 6 mm, comparé à D de 2 mm. Arthro-IRM poignet G du 12.11.2019 : dans l'arthographie, il y a un flux de produit de contraste mid-carpal vers radio-carpal. Dans l'IRM, une lésion du ligament SL est difficile à voir vu les coupes para-tangentielles. Radio poignet G face profil de ce jour : consolidation osseuse de la fracture. Pas de déplacement secondaire des moyens d'ostéosynthèse. Vème doigt à G face et profil : Consolidation osseuse de la fracture.Radio poignet G face profil du 27.01.2020 : Consolidation de l'arrachement de la styloïde ulnaire. Radio pouce G dp/latéral du 13.01.2020 : Arthrose avec un espace articulaire étroit. Grand ostéophyte à la base du métacarpien I où on note dorsalement un kyste intra-osseux. Pas d'arthrose de la STT. Radio pouce G face profil ce jour : bonne position des implants prothétiques. Radio pouce G face profil du 17.01.2020 : Présence d'une géode sous-chondrale au niveau de la tête du Ier métacarpien. Légère subluxation vers ulnaire de la MCP. Radio pouce main G : rhizarthrose avec une légère subluxation vers radial. Sclérose. Radio scaphoïde et avant-bras gauche : Poignet : Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. En particulier, pas de fracture du scaphoïde. En cas de persistance de douleurs, une nouvelle radio voire un scanner devra être réalisé. Avant-bras : Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radio thorax Radio thorax ap le 01.01.2020 Laboratoire + dépistage toxiques RSI aux urgences : succynilcholine ethomidate Gazométrie artérielle le 01.01.2020 ATT hosp aux soins intensifs Radio thorax face Sédiment urinaire : propre bilan biologique 2 paires d'hémoculture Avis ORL : pas de signe d'otite externe ni d'otite interne. Pas de traitement ORL indiqué CT cérébral : pas de liquide derrière les tympans, pas de signe de mastoïdite Radio thorax le 16.01.2020 Antigène urinaire du 16.01.2020 : négatifs à Pneumocoques et Legionelle Frottis grippe du 16.01.2020 : négatif Angio-CT thoracique du 18.01.20 : Embolie pulmonaire dans l'artère pulmonaire droite avec atteinte des branches lobaires, segmentaires et sous-segmentaires en aval, sans répercussion cardiaque droite. Radio thorax le 17.01.2020 : épanchements pleural bilatéral en augmentation par rapport au contrôle du 26.12.19 Adaptation diurétiques (lasix, aldactone et torem) Echocardiographie le 20.01.2020 Radio thorax le 19.12.2019 : redistribution vasculaire apicale, épanchements bilatéraux ECG le 19.12.2019 : sinusal, normocarde, T négative V1, pas de progression R antérieure Echocardiographie le 23.12.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bonne fonction gauche avec dysfonction diastolique. Consilium angiologique le 24.12.219 : absence d'argument échographique en faveur d'une sténose des artères rénales significative. Par contre, les indices de résistance très élevés dans les reins ddc sont compatibles avec une atteinte parenchymateuse (par exemple hypertensive, diabétique, etc). Absence de TVP ilio-fémorale (Mme Y signale des OMI bilatérales depuis 3 semaines). Radio thorax le 24.12.2019 : En position couchée. Ascension de la coupole diaphragmatique droite. Présence de quelques opacités mal délimitées au sein des deux plages pulmonaires pouvant correspondre à d'éventuels foyers. Opacité calcique mesurant environ 25 mm du plus grand diamètre en surprojection de la base pulmonaire gauche (granulome pulmonaire ? Opacité calcique au sein du parenchyme mammaire gauche ?). Status post cimentoplastie de L1. Radio thorax le 27.01.2020 : pneumothorax associé à un épanchement pleural CT-thoracique le 28.01.2020 : Malgré le drain thoracique en place, persistance d'un pneumothorax associé à un épanchement pleural droit cloisonné et un rehaussement pleural (empyème ?). Volumineux emphysème sous-cutané pariétal droit. L'ensemble doit faire évoquer une fistule broncho-pleurale à corréler à une bronchoscopie. Status post-lobectomie inférieure droite avec importants troubles ventilatoires lobaires moyens sur image de sténose de la bronche lobaire moyenne et probable foyer infectieux lobaire supérieur. Thrombus au sein du moignon de l'artère pulmonaire lobaire inférieure droite. Laboratoire : cf annexes Radio thorax Sédiment urinaire Co-Amoxicilline 1.2 g iv Radio Vème doigt face profil du 06.01.2020 : Pas de déplacement secondaire par rapport au dernier contrôle. Consolidation osseuse en cours mais pas encore atteinte. Radio Vème doigt face profil du 10.01.2020 : Consolidation osseuse atteinte avec un bon alignement de P3. Trait de fracture encore très légèrement visualisé. radio ATT augmentin 2.2 g IV rappel antitétanique lavage au bloc et hospitalisation en ortho Radiographie du thorax le 11.01 : Opacité mal délimitée intéressant la partie inférieure du champ pulmonaire droit et les régions centrales, culs-de-sac costo-diaphragmatiques libres, cadre osseux sans particularité Frottis RSV le 11.01 : positif Radiographie Radiographie Radiographie. radiographie radiographie radiographie radiographie radiographie radiographie radiographie radiographie Radiographie : luxation latérale de l'IPP du 5ème doigt avec repositionnement après réduction fermée sous anesthésie en bague. Discuté avec Dr. X : immobilisation dans une attelle alu après syndactylie D4-D5 main gauche en position intrinsèque plus avec contrôle clinique à la consultation du team chirurgie de la main en début de semaine prochaine. Mr. Y sera convoqué pour un rendez-vous à la consultation des spécialistes de la main. Ergothérapie pour immobilisation dans une attelle ergothérapeutique thermoformée et mobilisation. Radiographie : pas de fracture. Radiographie : pas de fracture en regard de la plaie Désinfection avec Hibidil, nettoyage avec aiguille boutonnée et NaCl dans la plaie 9 points simples avec des fils vicryl 4.0 pansement simple avec compresse et bandage. Contrôle chez le pédiatre dans 10 jours pour enlever les fils. Consignes plaies données Radiographie : pas de fracture mise en évidence. DESCRIPTION Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. CONCLUSION Pas de signe de fracture. Radiographie : pas de fracture. Antalgie simple. Radiographie : pas de fracture Suivi clinique radiographie : pas de fracture traitement antalgique en réserve arrêt de sport 1 semaine bretelle antalgique à mettre maximum 2 jours Radiographie : pas de lésion osseuse visualisée. Consultation ortho Dr. X : exploration de plaie aux urgences + contrôle à 48h en F34 chez l'orthopédiste puis prochain contrôle à 12 jours pour retrait des fils + réévaluation de l'arrêt de travail. Attitude : vaccin tétanos + antibioprophylaxie + antalgie. Radiographie : Pas d'examen comparatif à disposition. Trame osseuse sans particularité. Respect des axes anatomiques et des interlignes articulaires. Pas de trait de fracture. Présence d'un os accessoire de l'articulation calcanéo-cuboïdienne. Tissus mous sans particularité. Radiographie abdomen : absence de corps étranger visualisé.Radiographie abdomen sans préparation: localisation dans le côlon ascendant Avis chirurgical (Dr. X): attitude expectative, filtrer les selles, si absence d'aimant d'ici 48 h, consulte à nouveau. Consultation si péjoration de l'état général, présence de vomissements, douleurs abdominales. Radiographie abdomen sans préparation 08.01.12: localisation dans le côlon ascendant Radiographie abdomen sans préparation 11.01.12: absence de corps étranger Radiographie abdominale le 04.01.2020 CT abdominal injecté 10.01.2020 Avis gastro-entérologique Avis chirurgical (Dr. X) 13.01.2020: proposition de dérivation gastro-jéjunale Sonde naso-gastrique du 31.12.19 au 07.01.2020 Sonde naso-jéjunale à 3 voies du 07.01 au 18.01.2020 (emplacement gastrique visible au CT 10.01.2020) avec aspiration suc gastrique et biliaire Pose de picc-line le 13.01.2020 Dérivation gastro-jéjunale le 15.01.2020 (OP Dr. X) Nutrition entérale du 01.01. au 04.01.2020, puis du 07.01 au 10.01.2020 Erythromycine 250 mg 4x/j du 06.01 au 08.01.2020 pour stimulation intestinale Nutrition parentérale dès le 14.01.2020 Traitement symptomatique Radiographie avant pied D face/profil: pas de fracture Semelle rigide et canne Antalgie en réserve Consigne de reconsulter si absence d'amélioration dans 1 semaine Radiographie avant-bras G: pas de fracture Antalgie en réserve Arrêt de sport 1 semaine Radiographie avant-bras gauche/coude gauche Vu avec Dr. X et CDC Dr. X - diagnostic peu clair Immobilisation avec BAB 1 semaine Contrôle à 1 semaine à la consultation Dr. X Rediscuté avec Dr. X qui souhaite échographie du coude. Patient convoqué le 06.01 pour échographie par Dr. X, suite à la prise en charge aux urgences pédiatriques Radiographie bassin + hanche : lésion ostéolytique du grand trochanter gauche. Bilan d'extension au CIF. Transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg après discussion avec Dr. X pour surveillance respiratoire au vu du risque de saignements alvéolaires. Radiographie bassin + hanche le 06.12.2019 : pas de fracture Radiographie bassin de face et hanche gauche axiale (10.01.2020): Pas de fracture. Poignet de face et profil (10.01.2020): Pas de fracture. Bilan de chute: ECG Laboratoire (10.01.2020): hypothyroïdie périphérique, carence en vitamine D et vitamine B12, anémie normochrome normocytaire, discrète hypocalcémie, hypomagnésémie Sédiment urinaire (10.01.2020): compatible avec une infection urinaire Schellong test: négatif (10.01.2020) Arrêt de l'aspirine cardio 100 mg (pas de prévention primaire chez patient > 75 ans) Radiographie bassin et hanche profil du 10.01.2020 Poursuite du Paracétamol Mise en suspend de l'Arcoxia Oxynorm en réserve dès le 10.01.2020 Radiographie bassin et hanche 08.01.2020 Attitude • Au vu de la clinique avec absence de douleur et de la radiographie montrant une coxarthrose légère, nous ne retenons pas d'indication opératoire d'emblée Radiographie bassin: pas d'arrachement osseux visualisé Arrêt de sport 1 semaine Contrôle chez pédiatre dans une semaine si persistance des douleurs Béquilles avec charge selon douleurs Antalgie en réserve Radiographie Botte plâtrée Tentative de réduction sous Fentanyl et MEOPA Avis orthopédique: Dr. X, médecin assistant d'Orthopédie Radiographie bras + avant-bras D : décrite ci-dessous. Retour au domicile avec antalgie de 1er palier. Radiographie bras + avant-bras droit : matériel d'ostéosynthèse en place au niveau de l'avant-bras D, pas de matériel au niveau du bras droit. Retour au domicile avec antalgie de 1er palier. Radiographie bras droit Avis orthopédiste de garde Dr. X: Arrachement dorsal du radius distal. Radiographie cervicale le 01.01.2020 Radiographie cervicale le 01.01.2020. Pas de lésion osseuse récente. Modifications dégénératives massives. Calcification ventrale de la HPA modérée. Ostéochondrose massive C5/6. CT cérébro-thoraco-abdominal le 03.01.2020 : comparatifs : CT thoraco-abdominal du 29.08.2019 et IRM cérébrale du 29.03.2019. Cérébral : atrophie cérébrale cortico-sous-corticale diffuse avec apparition d'une prise de contraste nodulaire suspecte de 7 mm dans la partie supérieure du lobe cérébelleux droit. Thoracique : stabilité de la masse pulmonaire spiculée du segment postérieur du lobe supérieur droit juxta-scissurale. Abdomen : diverticulose colique descendante et sigmoïdienne avec apparition d'un épaississement focal d'un diverticule sigmoïdien haut et de la graisse alentour en faveur d'une diverticulite non compliquée. Stabilité en taille de l'anévrysme de l'aorte abdominale infra-rénale 40 mm avec thrombus mural hémicirconférentiel gauche. IRM cérébrale le 10.01.2020 : lésion intra-parenchymateuse cérébelleuse droite hautement suspecte pour une lésion métastatique. Radiographie cheville: Arrachement distal de la fibula. Radiographie cheville D F/P : pas de fracture visualisée ni d'arrachement visualisé Radiographie genou D F/P : pas de fracture visualisée ni d'arrachement visualisé Radiographie avant pied F : pas de fracture visualisée ni d'arrachement visualisé Radiographie cheville D F/P Radiographie genou D F/P Radiographie avant pied F Orthopédiste non joignable entre 11 h et 12 h 30 Radiographie cheville droite face/profil : pas de fracture visualisée. Traitement antalgie et anti-inflammatoire. Mise en place d'une attelle Aircast pendant 6 semaines. Physiothérapie à partir de la 4ème semaine pour laquelle une prescription a été faite. Arrêt de travail pendant 10 jours à 60 % qui puisse lui permettre de suivre l'école. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 10 jours avec évaluation d'une éventuelle reprise du travail. Radiographie cheville et pied / avant-pied gauche : pas de fracture visualisée. Au vu d'une impossibilité de charger et des douleurs à la palpation du Chopart, mise en place d'un plâtre fendu. Décharge. Contrôle dans 7-10 jours. Radiographie cheville face/profil : pas de fracture visualisée. Radiographie cheville F/P: doute sur fracture malléole externe mais pas de tuméfaction ni hématome et douleur prédomine à la palpation malléole interne Avis orthopédique Antalgie, glace et surélévation du membre inférieur G Attelle Aircast Arrêt de sport 1 semaine Contrôle clinique chez le pédiatre dans 5 jours Radiographie cheville F/P gauche Avis orthopédique Antalgie, glace et surélévation du membre inférieur G Attelle Aircast pour minimum 2 semaines, puis pour le sport 4-6 semaines Contrôle clinique chez le pédiatre dans environ 2 semaines Mme. Y informée du changement d'attitude le 06.01.2020 par téléphone Radiographie cheville F/P: pas de fracture ni d'arrachement visualisé (doute sur arrachement malléole externe non confirmé par orthopédiste Dr. X) Radiographie cheville F/P Consilium orthopédique Dr. X Attelle Aircast Radiographie cheville G F/P : pas de fracture ni d'arrachement visualisé Radiographie pied G F/P : pas de fracture ni d'arrachement visualisé Radiographie cheville G F/P Radiographie pied G F/P Radiographie cheville gauche : 1ère série de clichés : Fracture transverse pratiquement non déplacée malléolaire interne avec tuméfaction des parties molles en regard. Ancienne fracture à bords sclérosés de la pointe malléolaire externe. Importante tuméfaction des parties molles en regard. Pas d'évidence de lésion osseuse récente surajoutée. Pas d'ouverture de la syndesmose. 2ème série de clichés : St/p mise en place d'une contention en plâtre de Paris avec bon positionnement de la cheville à 90°. Pas de déplacement secondaire de la fracture récente malléolaire interne. CT-scan cheville gauche : fracture de la malléole interne peu déplacée avec un 3ème fragment dans sa partie antérieure. Pas de fracture aiguë de la malléole externe (ancienne fracture non fusionnée). Quelques fragments osseux en regard bien corticalisés devant correspondre également à un ancien traumatisme. Solution de continuité du processus antérieur du calcanéum avec bords corticalisés devant correspondre à une ancienne fracture non consolidée. Pour le reste, les rapports anatomiques sont physiologiques. Epanchement intra-articulaire dans l'articulation talo-tibiale. Radiographie cheville gauche : arrachement fibula distal non déplacé. • Antalgie au besoin. • Attelle McDavid pour 4 semaines. • Contrôle clinique chez le MT à une semaine. Radiographie cheville gauche face/profil : pas de fracture visualisée. • Traitement antalgique et anti-inflammatoire. • Attelle Aircast pendant 6 semaines jour et nuit. • Surélévation de la jambe, glace. • Physiothérapie à débuter à partir de la 4ème semaine. • Contrôle chez le médecin traitant la 6ème semaine avant d'enlever l'attelle. • Arrêt de sport pendant 6 semaines. Radiographie cheville gauche F/P : pas de fracture ni arrachement visualisé. Radiographie genou gauche F/P : pas de fracture ni arrachement visualisé. Radiographie jambe F/P : fracture spiroïde tibia gauche. Radiographie jambe F/P post plâtre : pas de déplacement secondaire. Radiographie cheville gauche F/P et avant-pied gauche F/oblique : pas de fracture ni arrachement visualisé. Radiographie cheville gauche F/P. Radiographie genou gauche F/P. Radiographie jambe gauche F/P : fracture spiroïde du tibia gauche. Consilium orthopédique Dr. X et Dr. X. Plâtre cruro-pédieux fendu 4 semaines fait par Dr. X. Contrôle Dr. X dans 1 semaine. Radiographie cheville gauche le 24.01.20 : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. Protocole RICE. Antalgie. Attelle Aircast. Arrêt de travail. Physiothérapie dès 7 jours. Contrôle chez le médecin traitant à 7 jours. Radiographie cheville gauche : tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Radiographie cheville/pied droit : cf. annexes. • Attelle SplintPod avec thromboprophylaxie par Clexane 40 mg 1x/jour. • Contrôle en policlinique à 1 semaine pour ré-évaluation clinique. Radiographie clavicule droite du 20.01.2020 : fracture de la diaphyse moyenne de la clavicule D, déplacée, avec chevauchement des fragments sur environ 1cm. Le reste des structures osseuses examinées dans les limites de la norme. Radiographie clavicule droite face tangentielle : pas de fracture visualisée. Radiographie clavicule face/tangentielle : fracture 1/3 latéral de la diaphyse de la clavicule D avec un chevauchement de < 20 mm. Avis orthopédique Dr. X : traitement conservateur avec poursuite de l'immobilisation encore 3 semaines et contrôle en orthopédie pédiatrique dans 3 semaines (Dr. X). Consigne de reconsulter si péjoration clinique, déficit neurovasculaire. Radiographie colonne cervicale : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. Compléter bilan avec CT. CT cervical le 24.01.20 : décrit ci-dessous. Avis pédiatrique, Dr. X. Surveillance neurologique de 6h. 500 mg de Paracétamol. Repos. Antalgie. Minerve rigide. IRM cervical prévu le lundi 27.01.2020 à 12h. Demande de convocation par team Spine la semaine du 27.01.2020 par e-mail. Radiographie colonne cervicale : pas de lésion osseuse. Radiographie colonne lombaire : pas de lésion osseuse. Radiographie thorax : pas de lésion osseuse des vertèbres ni des côtes, pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural. Sédiment urinaire : érythrocytes 3 - 5/champ. US système urogénital : dans la norme, pas de lésion rénale. Radiographie colonne cervicale face/profil/axiale du 28.01.2020 : examen effectué de C1 à C7. La hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de tuméfaction des tissus mous pré-vertébraux. Rectitude de la colonne cervicale. Facettes toutes bien alignées. Sur l'incidence trans-buccale, très discrète excentration de la dens de la D vers la G. Massifs latéraux alignés. Radiographie colonne dorsal. Avis chirurgien orthopédique : indication à effectuer un CT. CT colonne dorsale : pas de fracture, pas de tassement. Traitement symptomatique. Radiographie colonne dorsale face/profil : hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Discrète attitude scoliotique en S de la colonne dorsale haute centrée sur D4-D5 comme sur l'examen du 10.08.2010. Radiographie colonne dorsale le 05.01.2020 : détaillée ci-dessous. Avis orthopédique, Dr. X. Contact team rachis Fribourg. Radiographie colonne lombaire face et profil du 20.01.2020 : aspect discrètement cunéiforme de D12, probablement constitutionnel, mais tous les corps vertébraux lombaires sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Radiographie colonne lombaire face et profil le 16.01.2020 : trame osseuse sp. Troubles dégénératifs prédominants en L4-L5. Pas de perte de hauteur des corps vertébraux. Pas de trait de fracture. Tissus mous sp. IRM lombaire le 11.12.2019 (ambulatoire) : discopathies étagées du rachis lombaire. En L4-L5, remaniements Modic 1-2 des plateaux vertébraux. Hernie discale médiane et paramédiane affleurant la racine de L5 à la sortie du sac dural. En L5-S1 discopathie avec bombement discal postérieur prédominant en postéro-latéral gauche. Oedème osseux au niveau de la berge sacrée de l'articulation sacro-iliaque bilatéralement en position discrètement antérieure évoquant en première hypothèse des remaniements dégénératifs-mécaniques. IRM de colonne lombaire native le 23.01.2020 : examen réalisé sans injection de produit de contraste. IRM comparative du 11.12.2019 faite à l'extérieur. Discopathie L4-L5 avec modification de type Modic II. Pas de rétrécissement foraminal ni canalaire significatif. Bombement discal circonférentiel étagé, au niveau L4-L5 venant au contact des racines du L5 bilatérales sans anomalie de signal de ces dernières, notamment sans signe de conflit radiculaire. Infiltration sous CT le 28.01.2020 : explications de la procédure et de ses potentielles complications au patient. Recueil du consentement éclairé. Repérage du point de ponction à l'aide d'une grille et marquage à la peau. Désinfection cutanée et mise en place d'un champ stérile. Ponction à l'aide d'une aiguille spinale. Après avoir vérifié le bon positionnement de l'aiguille dans l'espace épidural L4-L5 droit par injection de contraste, injection d'un mélange d'une ampoule de 1ml de Fortecortin et de 2 millilitres de Ropivacaïne. Pas de complication immédiate. Radiographie colonne lombaire face/profil du 28.01.2020 : Radiographie bassin du 28.01.2020 : Colonne lombaire : comparatif du 08.10.2018. Attitude scoliotique sinistro-convexe à large rayon de courbure de la colonne lombaire connue et inchangée. Hauteur des corps vertébraux conservée. La petite irrégularité de la partie postérieure et inférieure de L4 doit correspondre à une image construite déjà visualisée partiellement sur l'examen précédent. Pas d'argument pour un tassement vertébral.Bassin : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mr. Y. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radiographie colonne lombaire le 08.01.2020 : absence de fracture de tassement. Radiographie colonne lombaire le 08.01.2020 Physiothérapie Antalgie Myorelaxants Physiothérapie mobilisation à domicile. Radiographie colonne lombaire, le 15.01.2020 : signes d'arthrose, sans tassement ni fracture. CT bassin le 15.01.2020 : luxation antérieure du coccyx possiblement en relation avec le traumatisme récent. Avis chirurgical (Dr. X) : traitement conservateur. Radiographie colonne totale : décrite ci-dessous. Radiographie du bassin : décrite ci-dessous. Radiographie du coccyx : décrite ci-dessous. Avis orthopédique, Dr. X. Antalgie par Dafalgan et Tramal. Coussin circulaire creux. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Radiographie colonne totale 17.01.2020 : rapport en cours. Radiographie coude droit : déplacement de la fracture de > 2 mm à 2 semaines. Avis CDC Dr. X : prise en charge au Bloc Opératoire ce jour pour ostéosynthèse par vis. Consentement signé. Traitement et arrêt de travail selon ordre post-OP. Radiographie coude du jour : pas de déplacement de la fracture. Nous avons fermé le plâtre, à garder encore 2 semaines. Mobilisation du coude libre. RDV de contrôle le 21.01.2020 au Secteur Ambulatoire des Urgences pour ablation de plâtre et dernier contrôle clinique. Radiographie coude et humérus : fracture supra-condylienne D, pas de luxation, humérus intact. Avis orthopédique : fracture supracondylienne non déplacée, écharpe pour mise en flexion du coude, contrôle orthopédique le 27.01 pour décider de la suite de prise en charge. Radiographie coude F/P : pas de lésion osseuse visualisée. Radiographie coude gauche F/P : hématobourse, pas de fracture ni d'arrachement osseux visualisé. Radiographie coude gauche F/P : pas de fracture ni d'arrachement osseux visualisé mais signe indirect de fracture (fat pad antérieur et postérieur). Radiographie coude gauche : pas de lésion. Poursuite Ibuprofen et Ecofenac gel. Immobilisation du coude. Contrôle clinique à une semaine : envisager IRM si pas d'amélioration, communication des résultats de laboratoire. Radiographie coude gauche (04.01.2020) : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X, 04.01.2020) : débridement, rinçage, 2 points de suture et mise en place d'un Penrose. Attitude : Prévoir retrait des fils à 7-10 jours selon évolution locale. Radiographie cou/thorax/abdomen haut : pas de corps étranger visualisé. Mais totalité des anses intestinales non visualisées. Radiographie cou/thorax/abdomen haut : pas de corps étranger visualisé. Mais totalité des anses intestinales non visualisées. Attitude wait and see, suivre les selles durant 15 jours. Indication de reconsulter si douleurs abdominales avec autres signes de gravité. Radiographie de thorax 21.01.20. Hémocultures du 21.01, 22.01, 23.01.20 : négatives. Avis infectiologique (Dr. X, Dr. X) 21.01, 22.01 et 23.01.20. CT abdominal 21.01.20. Stop antibiothérapie. Consultation gynécologique le 27.01.20 et consultation infectiologique le 27.01.20 à 10h30. Radiographie de bassin plus hanche droite : pas de lésion osseuse. Échographie du pli de l'aine : hernie sans signe d'incarcération, pas d'épanchement au niveau de la hanche. Formule sanguine complète : dans la norme, CRP < 5. Consultation par chirurgien de garde (Dr. X). Radiographie de cheville droite du 26.01.2020 : fracture de la malléole externe de type Weber B, peu déplacée. Ébauche d'épine et d'éperon calcanéen. Tuméfaction des tissus mous en regard. Contrôle post-plâtre : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé, superposable pour le reste au comparatif du même jour, notamment sans déplacement secondaire de la fracture de la malléole externe de type Weber B (Dr. X). Radiographie de cheville/pied droit le 14.01.2020 : pas de lésion osseuse traumatique clairement visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie post-plâtre du pied droit le 14.01.2020 : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé, superposable pour le reste au comparatif du même jour, notamment sans lésion osseuse traumatique objectivée. (Dr. X). Radiographie de D4. Drainage, lavage abondant, mèche bétadinée, pansement, Co-amoxiciline 1g / 2x par jour pour 7 jours. Radiographie de la cheville de face et de profil : les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge de Mr. Y. Irrégularité de la marge inférieure de la malléole tibiale pouvant correspondre à un petit arrachement. Tuméfaction au niveau des parties molles en regard. Épine calcanéenne. Éperon calcanéen. Dr. X. Radiographie de la cheville droite : cf rapport radiologique. Radiographie après mise en place de l'attelle 90° (2ème essai) : cf rapport radiologique. Avis orthopédique (Dr. X) : immobilisation avec une attelle JP à 90°, avec un contrôle à la policlinique orthopédique dans 7-10 jours. Incapacité de travail : 100% du 06.01.20 au 10.01.2020. Radiographie de la cheville droite : tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite du 02.01.2020 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mme. Y. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous péri-malléolaires externes. (Dr. X). Radiographie de la jambe droite du 02.01.2020 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mme. Y. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous péri-malléolaires externes. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite du 14.01.2020 : rapports anatomiques physiologiques. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous péri-malléolaires internes avec corps étranger à la peau pouvant correspondre à des compresses et du matériel de bandage. Pas de lyse osseuse, notamment de la malléole interne. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite du 21.01.2020 : tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite F/P : pas de fracture ni d'arrachement osseux visualisé. Radiographie du genou droit F/P : pas de fracture ni d'arrachement osseux visualisé. Radiographie de la cheville droite F/P. Radiographie du genou droit F/P. Radiographie de la cheville droite le 27.12.2019. CT de la cheville et pied droits le 27.12.2019. IRM du pied droit le 30.12.2019. Avis orthopédique le 27.12.2019 (Dr. X). Consilium infectiologique (Dr. X/Dr. X). Bandes de contention. Co-Amoxicilline du 27.12.2019 au 04.01.2020 et le 06.01.2020. Bactrim du 05.01 au 06.01.2020, puis dès le 07.01 au 15.02.2020. Radiographie de la cheville droite le 27.12.2019. CT de la cheville et pied droits le 27.12.2019. IRM du pied droit le 30.12.2019. Avis orthopédique le 27.12.2019 (Dr. X). Consilium infectiologique (Dr. X/Dr. X). Bandes de contention. Co-Amoxicilline du 27.12.2019 au 04.01.2020 et le 06.01.2020. Bactrim du 05.01.2020 au 06.01.2020, puis dès le 07.01 (prévu 6 semaines).Radiographie de la cheville et du pied droit du 31.01.2020 : pas de fracture. Radiographie de la cheville et pied gauche du 01.01.2020 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Remaniements dégénératifs en regard des malléoles. (Dr. X) Radiographie post-plâtre de la cheville gauche du 01.01.2020 : examen réalisé sous contention plâtrée, superposable au comparatif du même jour, notamment sans lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : absence de clichés comparatifs. Status après ancienne ostéosynthèse avec 3 vis en projection du processus antérieur de l'astragale. Absence de lésion traumatique ostéoarticulaire récente visible. Rapports articulaires de la cheville conservés. Très discrète tuméfaction des parties molles péri-malléolaires externes. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : décrite ci-dessous. Immobilisation par attelle Aircast 6 semaines. Repos, glace, surélévation. Antalgie/AINS. Physiothérapie. Le patient part en vacances (suivi à son retour). Radiographie de la cheville gauche : décrite ci-dessous. Immobilisation par attelle Aircast. Marche en charge selon douleurs. Repos, glace, surélévation. Antalgie. AINS. Physiothérapie. Rendez-vous chez le médecin traitant dans 1 mois. Radiographie de la cheville gauche + en charge : décrite ci-dessous. Immobilisation dans une attelle Aircast. Repos, glace, surélévation. AINS. Rendez-vous à la policlinique dans 1 semaine. Radiographie de la cheville gauche + en charge : décrite ci-dessous. Immobilisation dans une attelle plâtrée en décharge. Clexane. Repos, glace, surélévation. Rendez-vous en policlinique 1 semaine. Arrêt de travail. Radiographie de la cheville gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Centre d'ossification sous tibial (Os sous-malléolaire interne). Os trigone. Tuméfaction autour de la cheville. CONCLUSION : sans signe d'une fracture. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous péri-malléolaires externes. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : pas de fracture visualisée, œdème. Attelle plâtrée postérieure. Radiographie de contrôle post-plâtre : ne montrant pas de point d'appui. Canne de décharge. Contrôle en policlinique orthopédique à 7 jours, feuille distribuée à la patiente. Clexane prophylactique 40 mg avec enseignement thérapeutique. Arrêt du sport pendant une semaine à réévaluer au prochain contrôle à la policlinique orthopédique. Arrêt de travail : certificat médical 100 % du 01.01.2020 à une durée indéterminée. Radiographie de la cheville gauche : détaillée ci-dessous. Scanner du pied gauche : détaillé ci-dessous. Radiographie après mise d'attelle : détaillée ci-dessous. Avis orthopédique Dr. X : ad CT, attelle JP, contrôle à la policlinique orthopédique dans une semaine. Attelle JP, prophylaxie thrombose veineuse profonde. Antalgie. Arrêt de travail. Contrôle à la policlinique orthopédique dans une semaine. Radiographie de la cheville gauche, du calcanéus gauche et CT-scan de la cheville et du pied gauche natif : pas de comparatif disponible. Examen réalisé sans injection de produit contraste. Pas de fracture clairement visible. Le trait hypodense transverse à la partie postéro-inférieure du sustentaculum tali (cf. images clé) doit correspondre à un vaisseau. Pas de luxation. Mortaise sans particularité sous réserve d'un examen statique. Interlignes articulaires conservées. Ébauche d'épine calcanéenne. Os trigone. Discret œdème des tissus mous en région sous-calcanéenne. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche du 01.01.2020 : 1ère série de clichés 19h20 : Tuméfaction des parties molles périmalléolaires externes. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Rapports articulaires de la cheville conservés. 2ème série de clichés : St/p mise en place d'une attelle postérieure. Bon positionnement de la cheville à 90°. Pas de pli ou point de pression visible. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche du 18.01.2020 : tuméfaction des parties molles péri-malléolaires à prédominance externe. Articulation tibio-péronéo-astragalienne conservée. Pas de lésion traumatique osseuse. Os trigone. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : pas de fracture (voir ci-dessous). Radio après mise de l'attelle : voir ci-dessous. Attelle jambière postérieure. Prophylaxie antithrombotique, antalgie. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 10 jours. Radiographie de la cheville gauche/pied gauche : Cheville gauche, 1ère série de clichés : Tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Cheville gauche, 2ème série de clichés : Examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé, superposable pour le reste au comparatif du même jour, notamment sans lésion osseuse traumatique mise en évidence. Pied gauche : Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville le 07.01.2020. Antalgie. Attelle Aircast jusqu'à disparition de l'œdème malléolaire. Radiographie de la colonne cervicale : Normale. Hauteur des vertèbres et des espaces intervertébraux. Normale ligne spinolaminaire. Pas d'indice de troubles post-traumatiques du squelette ou des structures. Inclinaison droite convexe. Dens normal centré. Tissus mous sans anomalie. Pas de modifications dégénératives. (Dr. X) Radiographie de la colonne cervicale : rectitude du rachis due à la minerve. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X) Radiographie de la colonne cervicale face/profil/axial du 10.01.2020 : courbure disharmonieuse, inversée, avec aspect de minimes antérolisthésis C2-C3, mais pas de lésion osseuse traumatique clairement visualisée. Par ailleurs, pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée. (Dr. X) Radiographie du bassin face du 10.01.2020 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Petits corps calcifiés en regard des bords externes des cotyles pouvant correspondre à des arrachements anciens des labrums, secondairement calcifiés. Présence d'un DIU. (Dr. X) Radiographie du genou gauche et des rotules des deux côtés du 10.01.2020 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du coude gauche du 10.01.2020 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. (Dr. X) Radiographie de la colonne cervicale face/profil/axiale du 17.01.2020 : examen effectué de C1 à C7 qui est partiellement visualisé. D1 n'est pas visualisée. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de tuméfaction des tissus mous prévertébraux. Dens bien centrée, massifs latéraux alignés. (Dr. X) CT-scanner de la colonne cervicale natif du 17.01.2020 : examen effectué de C1 à D3. La hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Uncarthrose C4-C5, C5-C6 avec calcification antérieure du disque intervertébral et uncarthrose C6-C7 avec net pincement de l'interligne somatique. Pas d'arthrose facettaire significative. Pas de fracture. Sur l'incidence axiale, discrète excentration de la dens par rapport aux massifs latéraux. (Dr. X)Radiographie de la colonne dorsale : on retrouve le st/p cimentoplastie et spondylodèse de D11 à L1 d'aspect superposable au comparatif du 22.08.2019. Hypercyphose dorsale modérée avec des lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal sous la forme notamment de petites réactions ostéophytaires intersomatiques. Pas de lésion osseuse traumatique d'apparition nouvelle. Dr. X Radiographie de la colonne dorsale du 01.01.2020 : attitude scoliotique dextro-convexe. Alignement et hauteur des corps vertébraux conservés, sans fracture/tassement visible. Absence de refoulement des lignes paravertébrales. Pédicules et apophyses épineuses tous visibles, alignés sur l'incidence de face. Pas d'altération décelable de la partie visible des arcs costaux. Dr. X Radiographie de la colonne dorsale et lombaire latéral couché le 05.12.2019 : spondylarthrose et spondylolisthésis L4/5 Antalgie Physio mobilisation Radiographie de la colonne dorsale le 27.12.2019 : scoliose de convexité dorsale G, lombaire D et composante rotatoire marquée au niveau lombaire. Hauteur des corps vertébraux dorsaux conservée sans fracture/tassement. Lésions dégénératives ostéophytaires pluri-étagées Antalgie Physiothérapie Radiographie de la colonne dorso-lombaire : pas de fracture Traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen et Sirdalud Incapacité de travail du 07 au 13.01.2020 Prochain contrôle clinique le 13.01.2020 Radiographie de la colonne lombaire du 04.12.2019 : pas de tassement, troubles dégénératifs. • IRM du 2016 : notion hernie discale L3-L4 • CT de la colonne lombaire du 09.12.2019 : conclusion : la hernie discale L3-L4 précédemment visualisée en 2016 n'est pas retrouvée sur ce scanner. Pseudo-antélisthésis de L4/L5 connu et inchangé. Le canal spinal est modérément rétréci à ce niveau en raison d'une arthrose facettaire relativement évoluée. Les neuroforamens sont modérément rétrécis de façon multi-étagée, un peu plus en L5-S1 des deux côtés et en L3-L4 et L4-L5 à droite. • Antalgie par Oxycontin, avec réserve Oxynorm. • Instauration de Prégabaline. • Physiothérapie de mobilisation et stimulation musculaire Radiographie de la colonne lombaire face et profil : statut post-spondylodèse dorsolombaire avec vis pédiculaires cimentées en place, intactes sans signe de déscellement. Une longue tige de Harrington droite intacte. À gauche, la tige semble rompue au niveau de la partie supérieure de la vis pédiculaire en L3. St/p bloc intersomatique L3 et L4 et cage discale en place. St/p arthrodèse sacro-iliaque gauche avec matériel en place. Le tout limite l'analyse des structures osseuses. Bloc intersomatique sur fusion osseuse interfacettaire bilatérale des derniers espaces intersomatiques lombaires. Pas d'évidence de fracture récente. Parties visibles des articulations coxofémorales sp. Radiographie de la colonne lombaire face/profil du 21.01.2020 : cliché réalisé en position couchée, ne permettant pas de juger pleinement de la statique. Composante rotatoire du rachis. Morphologie, alignement, hauteur des corps vertébraux conservés, sans fracture/tassement visible. Réactions ostéophytaires débutantes des plateaux vertébraux étagés de D9, D10, D12, L1. Alignement des murs antérieurs et postérieurs conservé. Pas d'atteinte des processus épineux. Les pédicules et les apophyses épineuses sont tous visibles, alignés. Articulations sacro-iliaques symétriques. Partie visible des articulations coxo-fémorales sp. Courbure harmonieuse sacro-coccygienne. Radiographie du genou et rotule droit du 21.01.2020 : contenu calcique, structure osseuse et rapports articulaires du genou conservés, sans lésion traumatique visible. Pas d'épanchement intra-articulaire. Fabella. Rotule centrée sans lésion. Radiographie de la cheville droite du 21.01.2020 : contenu calcique, structure osseuse et rapports articulaires de la cheville conservés, sans lésion traumatique visible. Tissus mous sp. Radiographie de la face et profil du genou gauche et rotules ddc : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires du genou conservés, sans lésion traumatique visible. Pas d'épanchement intra-articulaire. Suspicion de patella alta. En défilé fémoropatellaire les rotules sont symétriques, centrées sans lésion. Tuméfaction des parties molles en regard du tendon rotulien, sans CE radio-opaque. Radiographie de la jambe gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mr. Y. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radiographie de la jambe gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Radiographie de la main : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Radiographie de la main droite : décrite ci-dessous. Radiographie de la main droite : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mme. Y. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radiographie de la main droite : pas de fracture visualisée. Remise en place de l'attelle de pouce à visée antalgique. Glace. Antalgie/AINS. Rendez-vous en policlinique dans 1 semaine. Radiographie de la main droite : pas de lésion osseuse traumatique, ni de corps étranger radio-opaque visualisé. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Radiographie de la main droite : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Radiographie de la main droite : voir ci-dessous. Antalgie : Dafalgan, Irfen. Contrôle chez pédiatre si persistance des douleurs. Radiographie de la main droite du 17.01.2020 : fracture de la base de P1 du 5ème doigt droit type Salter-Harris II avec angulation de 15 degrés. Tuméfaction. Radiographie de la main droite du 17.01.2020 : après correction de la position et après fixation dans une attelle, meilleurs rapports d'axes. Radiographie de la main droite du 25.01.2020 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés et les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. Radiographie de la main droite et du poignet droit ne montre pas de fractures. Nous mettons en place une attelle Edimbourg dans un but antalgique pendant 3-4 jours. Antalgie en réserve par Dafalgan et Brufen. La patiente a été renvoyée à l'hôpital de Marsens accompagnée par un infirmier de Marsens. Radiographie de la main droite face/oblique du 25.01.2020 : petite irrégularité de la corticale radiale sous-capitale du 5ème métacarpien qui pourrait correspondre à une fracture toutefois non déplacée, vs un vaisseau, à confronter avec la clinique. Radiographie du coude droit face/profil du 25.01.2020 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. Radiographie de la main du jour : pas de déplacement de la fracture. Ablation du plâtre, mobilisation libre sans résistance pour encore 3 semaines. Début de physiothérapie. Radiographie de la main et du poignet droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mr. Y. Pas de fracture visualisée. Absence d'altération dans les tissus mous. Dr. X. Radiographie de la main gauche : absence de corps étranger en projection des parties molles. Image punctiforme radiotransparente en projection de l'espace interdigital à la hauteur des têtes des 4ème et 5ème métacarpiens. S'agit-il de la plaie objectivée au status clinique ? Pas de corps étranger radio-opaque visible. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. (Dr. X). Radiographie de la main gauche : fracturée sous-capitale du 5ème métacarpien sans bascule palmaire visible. (Dr. X). Radiographie de la main gauche : RX effectuée en complément des deux incidences réalisées en extérieur. Fracture diaphysaire des 4ème et 5ème MC avec bascule palmaire. Angulation estimée à 26° pour le 4ème MC, 34° pour le 5ème MC. Intégrité des os du carpe. (Dr. X). Radiographie de la main gauche du 12.01.2020 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) CT-scanner de la main/poignet gauche natif du 12.01.2020 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mr. Y. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie de la main gauche du 17.01.2020 : en raison de la pathologie sous-jacente, l'examen n'a pas pu être réalisé en extension et l'on retrouve la déformation en boutonnière, toutefois sans lésion osseuse traumatique sous-jacente visualisée. (Dr. X) Radiographie de la main/poignet droit d'incidence de face, profil et oblique. Radiographie de l'abdomen couché : importante stase stercorale pancolique avec impression d'interruption de la colonne stercorale en FIG. Très discrets résidus stercoraux en projection de la ligne médiane. Ampoule rectale aérée, vide de selles. Absence de distension grêle pathologique visible. Compte tenu de la stase stercorale, absence de calcification pathologique en projection des voies urinaires. Un phlébolite pelvien. Lésions dégénératives pluri-étagées du rachis lombaire. Coxarthrose droite. Un CT scan a été réalisé en complément de bilan. Rapport séparé. (Dr. X). CT-scan de l'abdomen injecté : comparatif à l'examen du 27.04.2017. On retrouve un remaniement interstitiel sous-pleural basal bilatéral sur les quelques coupes explorant les bases pulmonaires et évoquant une atteinte chronique. On retrouve un important dolichocôlon sigmoïde avec une large boucle distale s'étendant jusqu'en fosse iliaque droite. Importante stase stercorale pancolique prédominante au niveau de la première boucle sigmoïdienne. Analyse fine des parois limitée par la stase stercorale. Toutefois, pas d'évidence de lésion tumorale. Discrète infiltration aspécifique au niveau de la jonction du côlon descendant et du sigmoïde, sans évidence de diverticule. Pas de collection abcédée en regard. Pas de liquide libre ou d'air libre. Absence d'adénomégalie suspecte. Intestin grêle sans épaississement pariétal ou distension pathologique visible. Estomac collabé. Le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normales, sans dilatation du système excréteur. Gros vaisseaux rétropéritonéaux de calibre conservé et perméables. Perméabilité des branches aortiques. Vessie en bonne réplétion, à contenu liquidien. Utérus et ovaire gauche sans particularité. On retrouve une formation kystique annexielle droite de 4 cm de diamètre, à parois fines. On retrouve d'importantes lésions dégénératives lombaires étagées, nettement prédominantes en L2-L3 avec antélisthésis de grade I de L3 sur L4. Pincement intersomatique pluri-étagé avec phénomène du vide discal en L2-L3 et L4-L5. Structures lacunaires en partie sclérosées et punctiformes, correspondant à un hémangiome du corps vertébral de D12. CONCLUSION : important dolichocôlon sigmoïde, avec larges boucles fusant en fosse iliaque droite. Stase stercorale pancolique prédominante jusqu'au niveau de la boucle sigmoïdienne proximale. Pas d'évidence de masse ou de sténose suspecte visible. Absence d'iléus grêle. (Dr. X). Radiographie de l'abdomen couché du 10.11.2019 : aérocolie, aérogrêlie de répartition aspécifique avec discrète accentuation de la composante aérique grêle toutefois sans distension pathologique. Stase stercorale pancolique. Ampoule rectale pleine de selles toutefois pas d'évidence de franc fécalome. DIU en projection du petit bassin. Squelette visible sans particularité. (Dr. X) Radiographie de l'avant-pied droit : sans particularité, pas d'arthrite remarquable Antalgique sous Apranax. Physiothérapie de mobilisation Schellong négatif. Radiographie de l'avant-pied droit face/oblique : fracture transverse de la base du 5e métatarse non déplacée. Consilium avec médecin assistante en orthopédie Dr. X : traitement conservateur par mise en place d'une attelle jambière postérieure en décharge. Contrôle dans 1 semaine chez Dr. X. Radiographie de l'avant-bras gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X). Radiographie de l'avant-bras ne montrant pas de lésion osseuse. Mr. Y vu par l'orthopédiste de garde, présence d'une élongation des fléchisseurs du poignet gauche. Attelle du poignet gauche pour une semaine. Antalgie simple. Pas de sport pendant 2 semaines. Écharpe à but de confort. Radiographie de l'avant-pied gauche du 21.01.2020 : absence de lésion osseuse traumatique visible. (Dr. X) Radiographie de l'épaule droite : décrite ci-dessous. Consultation à la consultation de Dr. X dans une semaine. Radiographie de l'épaule droite : luxation gléno-humérale antérieure droite. Réduction sous Fentanyl 100 mcg et Dormicum 2 mg en intraveineux + MEOPA. Immobilisation dans bretelle antalgique 2-3 semaines. Antalgie par Dafalgan. Physiothérapie. Radiographie de l'épaule droite : pas de lésion osseuse notamment traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Dr. X. Radiographie de l'épaule droite ace et neer : signes d'atteinte chronique de la coiffe des rotateurs avec discrète ascension de la tête humérale, rupture du cintre gléno-huméral. Interligne articulaire gléno-huméral conservé. Pas de lésion traumatique osseuse surajoutée visible. Pas d'évidence d'atteinte de l'articulation AC. (Dr. X) Radiographie de l'épaule droite : détaillée ci-dessous. Bretelle. AINS. Physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Radiographie de l'épaule droite face/neer du 12.01.2020 : luxation gléno-humérale antéro-inférieure. (Dr. X) Radiographie post-réduction de l'épaule droite du 12.01.2020 : par rapport au comparatif du même jour, on constate une bonne réduction de la luxation gléno-humérale antéro-inférieure. Pas de lésion osseuse traumatique associée visualisée. (Dr. X) Radiographie de l'épaule droite face/neer du 26.01.2020 : calcifications en regard du tendon distal du sus-épineux, compatibles avec une tendinopathie calcifiante. Pas de lésion osseuse visualisée. Arthrose AC et gléno-humérale débutante. (Dr. X) Radiographie de l'épaule droite face/neer et de la clavicule droite du 02.01.2020 : fracture du tiers distal de la clavicule avec chevauchement des fragments d'environ 2,5 cm. (Dr. X) Radiographie de l'épaule droite le 18.01.2020 Avis orthopédique (Dr. X) Immobilisation par gilet orthopédique pour 6 semaines Contrôles radiologiques à 1, 2 et 6 semaines Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. Avis orthopédique (Dr. X) : traitement conservateur - gilet orthopédique pour 6 semaines, premiers mouvements dès 3 semaines, mouvements actifs assistés dès 4 semaines. Contrôle chez le Dr. X dans 7 jours. Radiographie de l'épaule gauche : détaillée ci-dessous Radiographie du thorax : détaillée ci-dessous Status non réalisable car la patiente est non compliante à cause d'une démence Avis (Dr. X) : gilet orthopédique pendant 6 semaines. Contrôle à la policlinique d'orthopédie le 27.01.2020 Radiographie de l'épaule gauche du 02.01.2020 : fracture peu déplacée du trochiter. (Dr. X) Radiographie de l'épaule gauche face et neer : fracture multi-fragmentaire peu déplacée du trochiter. Congruence articulaire gléno-humérale conservée. Espace sous-acromio-huméral conservé. (Dr. X). CT-scan de l'épaule et du bras gauche natif : comparatif de la radiographie du 3.01.2020. Fracture non déplacée multifragmentaire du tubercule majeur de la tête humérale gauche, épanchement articulaire et tuméfaction des tissus mous adjacents. Tête humérale centrée sur la glène. Pas de luxation acromio-claviculaire. Remaniement osseux de la partie distale de la clavicule (DD : arthrose, ancien trauma). (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face et neer : interligne articulaire gléno-humérale conservé. Espace sous-acromio-huméral conservé. Absence de lésion dégénérative ou de nature inflammatoire décelable. Pas de calcification en projection des parties molles. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face et neer : par rapport à la radiographie du même jour, st/p réduction de l'articulation gléno-humérale avec des rapports anatomiques physiologiques. Mise en évidence d'une structure calcifiée en regard du bord antéro-inférieur de la glène, devant correspondre à une fracture de type Bankart osseux. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face et neer : pas de déplacement secondaire notable de la fracture - arrachement du trochiter par rapport au 31.12.2019. Rapports anatomiques de l'articulation gléno-humérale dans la norme. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face/neer du 06.01.2020 : contenu calcique, structure osseuse et rapports articulaires de l'épaule conservés, sans lésion traumatique visible. Intégrité de la partie visible du gril costal. Tissus mous sp. (Dr. X) Radiographie de l'épaule gauche le 12.12.2019 Consilium orthopédique le 13.12.2019 Physiothérapie de renforcement, mobilisation libre Radiographie de l'épaule le 15.01.2020 : en cours Radiographie de l'épaule : pas de fracture (détaillée ci-dessous). Antalgie Radiographie de l'orteil droit : corps osseux en regard de la partie distale de P1O1 sur le versant externe évoquant un défaut de fusion, mais pas de lésion osseuse traumatique récente visualisée. (Dr. X) Radiographie de l'orteil : pas de fracture visualisée. Radiographie de l'os propre du nez : irrégularité de la corticale supérieure de l'os nasal, une fracture à ce niveau n'étant pas formellement exclue, à confronter avec la clinique. (Dr. X). Radiographie de main/poignet/scaphoïde droit du 12.01.2020 : comparatif à l'examen du 06.11.2017. Ostéosynthèse de la base du 4ème métacarpien ainsi que de l'os hamatum en position inchangée par rapport à l'examen précédent. Par contre apparition d'une fracture péri-prothétique diaphysaire moyenne de MC4. Apparition d'une fracture déplacée de la base du 5ème métacarpien. Pas de fracture de l'os scaphoïde. (Dr. X) Radiographie de thorax du 05.01.2020 : Silhouette cardiaque incomplètement évaluable en raison de l'incidence et des surprojections. Up-side-down stomach se surprojetant sur la plage pulmonaire droite. Redistribution vasculaire. Flou péri-hilaire évoquant néanmoins une surcharge et émoussement des récessus costo-diaphragmatiques suggérant des épanchements pleuraux. Radiographie du thorax 11.01.20 : pas de pneumothorax, ni de fracture. CT cérébral 11.01.20 : pas d'hémorragie intracrânienne ni de fracture des os du crâne et du massif facial. Leucoaraïose. Echocardiographie transthoracique du 06.01.2020 : cardiopathie dilatée avec dilatation importante du ventricule gauche avec un anévrysme de la paroi apicale, une akinésie de la paroi septale antérieure, du septum moyen, du septum basal, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi antéro-basale et une hypokinésie de la paroi latérale moyenne et de la paroi inférieure moyenne. FEVG à 20 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Sténose aortique sévère de type low-flow low-gradient low-EF (DD sténose aortique pseudo-sévère sur FEVG sévèrement diminuée), avec une surface aortique calculée à 0,66 cm² (0,48 cm²/m²) selon l'équation de continuité. Gradient moyen VG-Ao à 13 mmHg. Epaississement de moins des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale importante fonctionnelle sur dilatation du VG. Oreillette gauche très dilatée. PAPs à 46 mmHg. Insuffisance tricuspide modérée. Avis gastro-entérologue le 04.04.19 (Dr. X) : - poursuivre traitement avec Primpéran avant les repas et IPP 2x/j - si récidive de symptômes (nausées, vomissements), réévaluer prise en charge chirurgicale (mini-invasif) malgré les comorbidités. - Erythromycine peut être utilisée en hospitalier en cas de gastroparésie. Radiographie de thorax du 27.12.2019 : comparatif du 01.11.2019. Apparition de quelques opacités dans les plages pulmonaires à droite, foyer débutant ? Epaississement des parois bronchiques diffuse, moins marqué sur le comparatif. Pas d'épanchement pleural à droite.Emoussement du sinus costo-diaphragmatique à gauche. Pas de pneumothorax. Le reste de l'examen est inchangé. CT thoracique le 31.12.2019 : apparition des nodules centro-lobulaires en verre dépoli et quelques condensations de taille péri-centimétrique dans deux plages pulmonaires évoquant des foyers infectieux en premier lieu, virale ? Fongique ? Stabilité de l'épanchement péricardique de quantité modérée. CT abdominal le 09.01.2020 : pas d'adénopathie rétropéritonéale, mésentérique, iliaque ou inguinale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Radiographie de thorax le 02.01.2020. Traitement : cf. diagnostic principal. Radiographie de thorax le 05.01.2020. ECG le 05.01.2020 : rythme électro-entraîné. Echographie transthoracique et contrôle pacemaker le 06.01.2020. Lasix du 05.01 au 08.01.2020. Torasémide du 09.01 au 15.01.2020. Soin de confort dès le 15.01.2020. Arrêt de la fonction défibrillateur le 20.01.2020 avec l'accord du fils. Radiographie de thorax le 06.12.2019. Antigènes urinaires : Pneumocoque et Legionelle négatifs. Oxygénothérapie avec cible de saturation de 88-92 %. Rocéphine du 06.12.2019 au 09.12.2019 avec relais par Co-amoxicilline per os du 10.12.2019 au 14.12.2019. Klacid en ordre unique le 07.12.2019. Atrovent et Ventolin. Radiographie de thorax le 07.01.2020. Echocardiographie transthoracique le 08.01.2020. Avis Cardiologique (Dr. X) le 07.01.2020. Ventilation non-invasive intermittente du 07.01 au 08.01.2020. TNT transcutané le 07.01.2020. Furosemide iv du 07.01 au 08.01.2020. Torasémide dès le 09.01.2020. Suivi pondéral. Physiothérapie. Réadaptation gériatrique (Estavayer-le-lac) dès le 22.01.2020. Radiographie de thorax le 14.01.2020. Radiographie de thorax le 15.01.2020 : foyer en base droite sous forme d'infiltrat alvéolaire sous-pleural. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Radiographie de thorax le 15.01.2020. CT thoracique le 15.01.2020. Antigènes urinaires pour pneumocoques positifs. Oxygénothérapie 2-3 l/min. VNI intermittente le 16.01.2020. Traitement antibiotique : voir diagnostic principal. Radiographie de thorax le 15.01.2020. CT thoracique le 15.01.2020. VNI intermittente le 16.01.2020. Radiographie de thorax le 15.01.2020. Frottis de grippe le 15.01.2020 : Influenza A positif. Antigènes urinaires (Pneumocoques, Légionellose) le 15.01.2020 : négatifs. Co-Amoxicilline du 15.01 au 22.01.2020. Clarithromycine du 15.01 au 18.01.2020. Bronchodilatateurs. Physiothérapie respiratoire. Oxygénothérapie. Isolement gouttelettes du 15.01 au 20.01.2020. Réadaptation gériatrique à Riaz dès le 27.01.2020. Radiographie de thorax le 19.12.2019 : aorte déroulée calcifiée. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Radiographie de la hanche droite et fémur droit le 19.12.2019 : fracture multifragmentaire déplacée en regard de la tige fémorale de la PTH droite. Pas d'anomalie décelable du côté controlatéral. CT cérébro-thoracique le 19.12.2019 : pas de lésion traumatique hématique cérébrale et mandibulaire. Fracture non déplacée des OPN. Pas d'image de lésion traumatique de la colonne cervicale. Spondylarthrose étagée de la colonne cervicale. CT du pelvis le 20.12.2019 : fracture multi-fragmentaire déplacée autour de la tige fémorale de la PTH droite, passant par le massif inter-trochantérien et intéressant la diaphyse proximale, avec détachement du petit trochanter. Pas de luxation de la PTH droite. Pas de fracture autour de la cupule droite. PTH gauche sans particularité, sans descellement, sans fracture péri-prothétique. Pas de fracture des branches ischio- ou ilio-pubiennes. Hématome des parties molles profondes de la cuisse droite. Radiographie de thorax le 24.01.2020 : comparatif avec le CT thoracique du 21.01.2017. Ratio cardio-thoracique à la limite supérieure de la norme. Calcifications aortiques. S/p Micra. Pas de franc signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Opacité rétrocardiaque évocatrice d'un foyer de pneumonie débutant. Pas de pneumothorax. Discopathies multi-étagées. Radiographie de thorax le 30.12.2019 : flou péri-hilaire gauche sans épanchement pleural associé, image évoquant en premier lieu une infiltration pneumonique du lobe supérieur. Echocardiographie transthoracique le 06.01.2020 : VG non dilaté, hypertrophie modérée excentrique avec bourrelet septal de 12 mm, fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 %, visuelle 60 %. Fonction diastolique de type I avec pressions de remplissage basses. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif sur valve tricuspide légèrement épaissie et calcifiée : V max 2,2 m/s, Gradient moyen VG-Ao à 11 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence d'insuffisance mitrale mais valve dysplasique et petite calcification en particulier feuillet post avec légère ballonisation. Cavités droites non dilatées, VD normocinétique, fuite tricuspide de grade I, HTAP entre 50 et 55 mmHg. AP non dilatée. VCI non dilatée, compliante. Pas d'épanchement péricardique. Radiographie de thorax le 30.12.2019. Antigènes urinaires le 30.12.2019 : négatifs. Culture d'expectorations le 30.12.2019 : flore mixte. Frottis Influenza A/B le 30.12.2019 : négatif. Rocéphine 2g IV du 30.12 au 01.01.2019, relais par Co-Amoxicilline du 01.01 au 05.01.2020. Klacid du 30.12 au 31.12.2019. Oxygénothérapie. Physiothérapie respiratoire. Radiographie de thorax : opacité lobe supérieur droit. FSC : Lc 19.4, Hb 96, Tc coagulé, CRP : 126. Gazométrie : pH 7.42, pCO2 4.5, bic 22. Test malaria 3x négatif. Radiographie de thorax : pas de masse visualisée. FSC : Hb 80 g/l, Lc 37,1 G/l, blastes 85,5 %, Tc 107 G/l. TP 75 %, PTT 26. CRP : 10. Gazométrie : pH 7.39, pCO2 5.0, BE -2,0. AST 17, ALT 9, Gamma-GT 12, Bilirubine totale 6.1 420. Radiographie de thorax 02.01.2020. VNI le 02.01.2020. Morphine le 02.01.2020. Furosémide iv du 02.01 au 09.01.2020. Relais par Torasémide p.o dès le 10.01.2020. Physiothérapie respiratoire. Radiographie de thorax 10.01.2020 : comparatif du 29 mai 2019. Par rapport au comparatif, aspect globalement inchangé de la silhouette cardiomédiastinale. Présence de sondes de Holter en projection de la partie inférieure du thorax. On note la présence d'une opacité péri-hilaire silhouettant la silhouette cardiaque à gauche, correspondant à la masse connue et visualisée la dernière fois sur le CT du 7 janvier 2020. Reste du status cardiopulmonaire dans les limites de la norme. Cadre osseux et tissus mous sp. Echocardiographie transthoracique 10.01.2020 : VG non dilaté, non hypertrophié, fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 66 %. Fonction diastolique de type I avec pressions de remplissage basses. Valve aortique tricuspide légèrement remaniée sans sténose ni fuite significative, surface aortique à 2,2 cm² (1,32 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Absence de valvulopathie mitrale. OG et cavités droites non dilatées. VD normocontractile. PAPs normales. Pas de masse intra cardiaque visible, pas d'infiltration myocardique tumorale visible en ETT. Décollement péricardique systolique isolé localisé en regard du ventricule droit. VCI petite. Proposition Holter ECG pour explorer palpitations de Mr. Y. Douleur thoracique atypique pour une origine cardiologique (au repos, prolongée, reproduite à la palpation). Holter 10.01.2020 : nombreuses extrasystoles ventriculaires avec bigéminisme. Radiographie de thorax 28.12.2019 : apparition d'un infiltrat rétro-cardiaque, compatible avec un foyer de pneumonie.