Le déconditionnement musculaire et respiratoire est favorisé par une neuro-myopathie liée à la maladie critique, nécessitant des séances de ventilation non invasive suite à l'extubation, une oxygénothérapie et la poursuite de la physiothérapie respiratoire. Le patient étant connu pour un syndrome d'apnées obstructives du sommeil, la CPAP nocturne personnelle a été reprise. Une dysphagie modérée était présente suite à l'extubation. Le régime alimentaire a été adapté et des exercices quotidiens de déglutition sont effectués. Nous proposons un bilan ORL en cas d'absence d'amélioration. Une hypertriglycéridémie a été attribuée au propofol et à l'alimentation parentérale. Suite à leur arrêt, les triglycérides se sont progressivement améliorés, de même qu'une élévation modérée de la créatine-kinase. Une anémie macrocytaire est secondaire au traitement chronique de méthotrexate. L'immunofixation a identifié une bande monoclonale de type IgM lambda. Nous proposons de répéter cet examen au décours de la phase aiguë et de demander un avis hématologique. Le patient a été transféré le 14.02.2020 dans le service de chirurgie. Mr. Y, connu pour un NSCLC lobe inférieur droit et un carcinome malpighien in situ de l'œsophage moyen, ayant bénéficié d'une lobectomie inférieure D le 09.01.2020, compliquée d'une perforation bronchique avec empyème, avec re-thoracotomie le 28 et 29.01.2020, avec décortication et lavage pleural, traité par antibiothérapie jusqu'au 12.02.2020, transféré en réadaptation à Riaz le 05.02, est hospitalisé dans l'unité neurologique spécialisée dans un contexte d'un AVC ischémique sur le territoire sylvien G. Pour rappel, le patient a présenté une aphasie et un hémisyndrome facio-brachio-crurale sensitivo-moteur droit aigus, motivant un transfert direct à l'Inselspital (anti-coagulation). L'imagerie cérébrale confirme un AVC ischémique aigu sylvien G sur occlusion en tandem M1 gauche et de l'artère carotide interne gauche. Une thrombectomie est réalisée à 110 min après le début des symptômes sous AG avec bon résultat (TICI 3). L'évolution est partiellement favorable avec la persistance d'une aphasie sévère, entravant la communication. Le CT cérébral à 24h révèle une petite transformation hémorragique de la tête du noyau caudé G, une compression de la corne postérieure du ventricule G, et une suspicion de dissection de l'artère carotide interne dans son trajet pétreux. Il est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique. Le CT cérébral à 72h montre une régression de l'hémorragie, mais l'apparition d'un thrombus du sinus sagittal malgré l'anticoagulation thérapeutique. Après avis hématologique, oncologique et angiologique, il est décidé de maintenir l'anticoagulation par héparine et d'effectuer un relais par DACO durant l'hospitalisation en médecine. Un traitement d'Atorvastatine est majoré à 80 mg/j à l'Inselspital. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). L'origine reste soit athérosclérotique soit un syndrome paranéoplasique. L'échocardiographie transthoracique ne montre pas de dilatation de l'oreillette gauche ni de valvulopathie, la fonction contractile est maintenue. Il est proposé un ETT à 6 semaines sur un doute de la présence d'une structure fibrineuse. Un Holter de 72h sera posé durant l'hospitalisation. Les résultats seront à pister. Quant à l'atteinte neuropsychologique, une évaluation est à effectuer pour débuter également la rééducation, tout comme la logopédie. La conduite de véhicule automobile reste d'un point de vue neurologique contre-indiquée. Une consultation neurovasculaire de contrôle est à prévoir à 3 mois. Mr. Y présente le 15.02.2020 un état fébrile pour lequel les examens biologiques se révèlent tous négatifs. Sur récidive de pics fébriles et neutrophilie, nous répétons les hémocultures. Après avis infectiologique, une ponction pleurale est proposée, sans mise en place d'une antibiothérapie empirique, le patient étant stable cliniquement. Dans ce contexte, Mr. Y est transféré en médecine le 19.02.2020 pour les suites de la prise en charge infectieuse. À noter que l'HNF a été mise en suspens lors du transfert pour faire la ponction pleurale le jour même (contrôle de la crase prévu). Sur le plan oncologique, la situation reste curative mais la situation neurologique défavorable laisse ouverte la discussion de la suite de la prise en charge. Un entretien de famille est à prévoir afin de la déterminer. Mr. Y est un patient de 72 ans qui nous est adressé pour une réadaptation suite à une décompensation de gonarthrose bilatérale et une pneumonie traitée par Ceftriaxone du 11.01.2020 au 17.01.2020. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est de 120 mètres avec une pause assise et le patient peut gravir 30 marches avec une pause et l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle à sa sortie est de 76/126 (MIF physio : transferts 5/7, déplacements 5/7, escaliers 6/7). Le TUG se réalise en 21 secondes avec l'aide d'une canne. Les tests de la cognition réalisés le 24.01.2020 montrent un MMS à 25/30 et un test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Au vu de son indépendance dans les activités de la vie quotidienne ainsi que de sa mobilisation, et à sa demande, le séjour de réadaptation est raccourci. Le 25.01.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour les signes vitaux, 2/3x/semaine pour les soins de la plaie ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est un patient de 53 ans, connu pour probable hyperplasie de la prostate et suivi en ambulatoire par Dr. X depuis quelques mois, qui consulte les urgences en raison de l'apparition d'un état fébrile et de brûlures mictionnelles. À noter que le patient est porteur d'une sonde vésicale qui a été posée à l'hôpital de Rennaz le 25.01.2020 suite à une rétention urinaire aiguë, cette dernière ayant été changée en date du 31.01.2020 aux urgences de Riaz en raison de fuite d'urine péri-sonde. À l'anamnèse, le patient décrit l'apparition d'un état fébrile depuis la veille, mesuré à 39-40° au niveau oral, associé à des brûlures mictionnelles présentes depuis le changement de la sonde. Il décrit également des frissons et une diaphorèse le jour de la consultation, sans douleur abdominale ni hématurie visible au niveau de l'uriflac. On relève également une consultation à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 01.02.2020 en matinée, avec demande de consultation urologique, consultation qui a abouti au maintien de la sonde en raison d'une vessie vide à l'ultrason et d'urine dans l'uriflac, avec proposition d'avancer le rendez-vous de contrôle chez l'urologue traitant au lundi 03.02.2020. À l'examen clinique aux urgences, patient en état général conservé, algique. Status cardio-vasculaire et pulmonaire dans les normes. L'abdomen est souple mais sensible au niveau sus-pubien, sans défense ni détente. Le toucher rectal est très douloureux, sans présence de sang ou de selle au doigtier. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire, avec des leucocytes à 14 G/l et une CRP à 303 mg/l, l'hémoglobine est dans la norme à 143 g/l, on ne note pas de trouble électrolytique ni de la fonction rénale. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie, des nitrites positifs et une hématurie microscopique. L'urotube revient positif pour un Klebsiella pneumoniae multi-sensible, uniquement résistant à l'Ampicilline. Des hémocultures reviennent négatives après 5 jours.Au vu de l'examen clinique et des examens complémentaires, un diagnostic de prostatite aiguë d'origine probablement iatrogène sur sondage vésical difficile en raison d'une hyperplasie bénigne de la prostate est retenu. Le patient est dès lors hospitalisé en chirurgie pour suite de prise en charge. Sur le plan de l'antibiothérapie, une dose de 2 g de Ceftriaxone iv est administrée aux urgences puis le traitement est poursuivi initialement par un traitement per os de Ciprofloxacine 500 mg - 2 x/jour, relayé par un traitement iv de Ceftriaxone 2 g - 1 x/jour dès le 04.02.2020, à poursuivre jusqu'au 12.02.2020, avec relais par la suite par Ciprofloxacine 500 mg - 2 x/jour per os du 13.02 au 21.02.2020, soit un total d'antibiothérapie de 20 jours. Au décours de l'hospitalisation, la situation s'améliore avec disparition de l'état fébrile, amélioration des paramètres inflammatoires et diminution des douleurs. Un ultason abdominal effectué le 02.02.2020 met en évidence une lésion kystique au niveau du pôle supérieur du rein droit, de 28 x 17 mm, sans autre anomalie au niveau du parenchyme rénal ou d'hydronéphrose, une vessie en faible réplétion avec ballonnet en place dans la vessie, de petits échos au sein de l'urine et une prostate agrandie, mesurant environ entre 110 et 130 cc. Après discussion avec le Dr. X, urologue, décision est prise, en date du 02.02.2020, de mettre en place une sonde sus-pubienne de type Cystofix, geste qui est effectué par le Dr. X, avec retrait de la sonde vésicale par la suite. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 06.02.2020, avec la sonde sus-pubienne en place (un enseignement lui a été donné pour la vidange de cette dernière), et la poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 21.02.2020. Le patient se présentera à la consultation du Dr. X, urologue, le 10.03.2020 pour retrait du Cystofix et suite de prise en charge. Mr. Y, 21 ans, a été transféré aux soins intensifs depuis l'hôpital de Thun pour une nouvelle décompensation diabétique acidocétosique d'un diabète sucré de type 1. Le patient a été hospitalisé de multiples fois pour décompensation acido-cétosique (la dernière le 10.12.2019). Alors qu'il était en vacances à Gstaad, il a consulté les urgences à Thun en raison d'une faiblesse généralisée associée à une hyperglycémie à 30 mmol/l. Il n'aurait pas mesuré ses glycémies depuis 48h mais prétend avoir pris son traitement d'insuline comme d'habitude. Il relate une congestion nasale et rhinorrhée depuis 2 jours, sans fièvre. Il n'aurait pas consommé d'alcool et n'aurait pas fait d'écart alimentaire. Les facteurs précipitants de la décompensation diabétique actuelle sont une possible infection des voies aériennes supérieures d'origine virale, combinée à l'absence d'auto-contrôles glycémiques pendant 48 heures (capteur sous-cutané non fonctionnel au-delà de la date de péremption). Il n'y a pas de syndrome inflammatoire et le frottis de grippe est négatif. Une hydratation endoveineuse, une substitution de potassium et insulinothérapie intraveineuse ont permis de corriger rapidement l'acido-cétose. Un relais par son schéma habituel basal-bolus (Tresiba et insuline Humalog) a été effectué le 17.02.2020. Avec l'accord du médecin diabétologue et sans changement de son traitement habituel, le patient rentre à domicile avec la consigne de changer son capteur glucométrique sous-cutané le jour même. Un suivi en ambulatoire en diabétologie est organisé dans 1 semaine et un suivi journalier est assuré à domicile par une infirmière en diabétologie. Mr. Y est un patient de 66 ans, connu pour un antécédent d'urétérolithiase en 2016 qui se présente le 25.02.2020 pour des coliques néphrétiques gauches. L'évaluation aux urgences met en évidence une urétérolithiase de 4.5 x 4.5 mm dans le tiers moyen sans signe de complication. Le patient est hospitalisé pour une gestion de l'antalgie. L'évolution est favorable avec une bonne antalgie sous traitement oral permettant un retour à domicile le 27.02.2020. Mr. Y se présentera le 27.02.2020 à l'hôpital Daler, à jeun, en vue d'une cystoscopie, urétérorénoscopie et lithotripsie par le Dr. X. Mr. Y, 54 ans, est hospitalisé suite à des épisodes d'amnésie antérograde récidivants et un changement de comportement depuis décembre 2019 rapporté à l'hétéro-anamnèse. Un EEG montre un trouble irritatif léger à modéré au niveau fronto-temporal gauche. Un traitement par Acyclovir est introduit de manière préventive, jusqu'au retour des PCR négatives pour le HSV1, HSV2, CMV et VZV. L'électrophorèse des protéines dans le LCR revient également sans particularité. Les anticorps anti-neuronaux et onco-neuronaux sont encore en cours. Une origine épileptique est finalement retenue, sans indication à l'introduction d'un traitement. Un EEG de contrôle en neurologie sera réalisé à 3 mois. Mr. Y rentre à domicile le 05.02.2020. Mr. Y, 61 ans, a été admis aux Soins Intensifs pour une insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine mixte, sur consommation abusive d'opiacés et prise de benzodiazépines ainsi que sur broncho-aspiration. Le patient, institutionnalisé en home, a été amené aux urgences suite à un malaise avec trouble de l'état de conscience (Glasgow à 3/15). Dans sa chambre, une boîte de Targin est retrouvée à côté de lui (normalement pas dans son traitement habituel). Dans l'ambulance, il reçoit de la Naloxone avec une bonne réponse clinique et une amélioration du Glasgow à 13/15. Aux urgences, le Glasgow reste fluctuant avec nécessité de titration de Naloxone. La gazométrie a montré une acidose respiratoire hypoxémique hypercapnique. La radiographie thoracique a montré des signes de surcharge et des signes de bronchopneumonie avec des infiltrats réticulo-nodulaires bibasaux. L'insuffisance respiratoire hypercapnique s'est améliorée après des aérosols bronchodilatateurs, une séance de ventilation non invasive qu'il n'a pas supportée au-delà d'une heure et de la physiothérapie respiratoire. Le traitement diurétique (Torasémide) a été repris ce 04.02.2020. Une insuffisance rénale AKIN II d'origine pré-rénale s'est corrigée avec une correction volémique et la mise en suspens des traitements néphrotoxiques. Une hyponatrémie récidivante est attribuée soit aux antidépresseurs, soit à la consommation de bières ; un SIADH secondaire au nodule pulmonaire est aussi possible malgré la stabilité radiologique (PET-scan) décrite en 2018. En cas de persistance, un scanner thoracique pourrait être envisagé, en tenant compte de l'attitude générale. Le patient est transféré le 04.02.2020 en médecine interne. Mr. Y, 61 ans, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire globale aiguë d'origine mixte, sur consommation abusive d'opiacés et prise de benzodiazépines ainsi que sur broncho-aspiration. Le patient, institutionnalisé en home, est amené aux urgences suite à un malaise avec trouble de l'état de conscience (Glasgow à 3/15). Dans l'ambulance, il reçoit de la Naloxone avec une bonne réponse clinique et une amélioration du Glasgow à 13/15. Aux urgences, le Glasgow reste fluctuant avec nécessité de titration de Naloxone. La gazométrie montre une acidose respiratoire hypoxémique hypercapnique. La radiographie thoracique montre des signes de surcharge et des signes de bronchopneumonie avec des infiltrats réticulo-nodulaires bibasaux. L'insuffisance respiratoire hypercapnique s'améliore après des aérosols bronchodilatateurs, une séance de ventilation non invasive qu'il n'a pas supportée au-delà d'une heure et de la physiothérapie respiratoire. Un traitement corticoïde systémique est mis en place pour un total de 5 jours. Le patient est également couvert par Co-Amoxicilline pour 5 jours.Sur le plan médicamenteux, le traitement habituel de Morphine est diminué de 6 x 40 mg à 4 x 40 mg/j. La diminution est bien supportée par le patient. Une insuffisance rénale AKIN II d'origine pré-rénale se corrige avec une correction volémique et la mise en suspens des traitements néphrotoxiques. Le patient présente une réaction aiguë à un facteur de stress avec des angoisses, cauchemars et reviviscences suite à l'événement aigu d'insuffisance respiratoire. Il est vu par les psychiatres durant l'hospitalisation et un suivi psychiatrique ponctuel en ambulatoire est proposé. L'évolution favorable permet un retour à l'EMS le 14.02.2020. Mr. Y souffre d'une gonarthrose tricompartimentale du genou G. Après une tentative non fructueuse de toilettage articulaire et infiltration du genou, l'évolution est défavorable, le patient reste fortement symptomatique, raison pour laquelle nous posons l'indication pour une implantation de PTG à G. Le patient ira faire une IRM pour planifier la prothèse du genou. Je le reverrai deux semaines avant l'intervention pour discuter des risques et des bénéfices liés à celle-ci et pour signer le consentement éclairé. Comme le patient a bénéficié d'une infiltration le 29.01.2020, nous allons attendre par sécurité jusqu'au mois d'avril 2020 pour effectuer cette intervention. Mr. Y, 80 ans, connu pour les antécédents susmentionnés et sorti le 05.02.2020 de l'HFR Riaz après une hospitalisation pour une pneumonie basale gauche, est à nouveau hospitalisé en médecine interne le 10.02.2020 pour des fractures des côtes 8-9-10 droites. En effet, le patient est amené en ambulance aux urgences suite à une chute de sa hauteur avec réception sur le dos et sur le côté droit. A son admission, le patient est hémodynamiquement stable avec une saturation à 93% sous 4 l/min d'oxygène et se plaint de douleurs au niveau des côtes à droite. L'examen clinique montre des douleurs à la palpation des côtes 7 à 10 à droite sans volet costal ou crépitations sous-cutanées. L'auscultation pulmonaire montre une diminution symétrique du murmure respiratoire associée à des râles grossiers bilatéraux. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire léger avec une CRP à 19 mg/l ainsi qu'une leucocytose à 13.2 G/l. Une radiographie du thorax montre une fracture récente de l'arc antéro-latéral des côtes 8, 9 et 10 droites, il n'y a pas de pneumothorax. Un CT scan thoracique retrouve des fractures de côtes 8-9-10 sans volet costal ou lacération pulmonaire ainsi que quelques troubles ventilatoires bibasaux. Mr. Y est hospitalisé pour gestion de l'antalgie. Pendant le séjour, nous adaptons plusieurs fois le traitement antalgique avec une bonne évolution et des douleurs bien contrôlées sous Temgesic. Au cours de son hospitalisation, le patient bénéficie également de physiothérapie respiratoire avec un bon effet et l'oxygénothérapie peut être par la suite. Pour rappel, le patient a présenté une insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique avec une créatinine à 170 micromol/l le 28.01.2020, probablement d'origine prérénale corrigée à sa sortie avec une créatinine à 92 micromol/l. A son admission, nous observons une insuffisance rénale aiguë sur chronique avec une créatinine à 172 micromol/l. Devant ce tableau, une hydratation par NaCl iv est introduite du 10 au 15.02.2020 avec une créatinine à 126 micromol/l à sa sortie. Nous préconisons un suivi biologique de la fonction rénale chez le médecin traitant. De plus, le bilan biologique à l'admission met en évidence un INR à 1.3 infra-thérapeutique chez ce patient connu pour une maladie thrombo-embolique anticoagulée par Sintrom. Nous adaptons plusieurs fois la dose de Sintrom avec un INR supra-thérapeutique à 3.7 à la sortie et proposons d'effectuer un contrôle biologique chez son médecin traitant le 21.02.2020. Au vu d'une évolution favorable avec une bonne gestion de l'antalgie, Mr. Y retourne au home de l'Intyamon le 19.02.2020. Mr. Y, 80 ans, consulte les urgences le 28.01.2020 pour une péjoration de sa dyspnée et une orthopnée avec une toux et un état fébrile évoluant depuis le 25.01.2020. Il vous a consulté et vous avez introduit un traitement antibiotique (Cefuroxim 500 mg 2/j) mais sans amélioration clinique. A l'examen clinique d'entrée, le patient présente un GCS à 13/15 (il ouvre les yeux à la demande et présente une confusion avec un état somnolent). Il est dyspnéique avec une désaturation à 84% à l'air ambiant, nécessitant une oxygénothérapie. L'auscultation montre des râles basaux gauches avec une hypoventilation bibasale. L'ECG ne montre pas de signe ischémique aigu. Une radiographie de thorax montre des signes de foyer pulmonaire basal gauche. Nous retenons le diagnostic de pneumonie gauche et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g 1x/j iv et Klacid 500 mg 2x/j. Le bilan biologique aux urgences montre une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 200 umol/l, pas de trouble hydro-électrolytique, un syndrome inflammatoire avec CRP à 407 mg/l, leucocytose 14.9 G/l. Dans le contexte de l'insuffisance rénale probablement d'origine pré-rénale, une hydratation intraveineuse par 1000 ml de NaCl 0.9% est mise en place. Un INR supra-thérapeutique > 5.5 est noté, pour laquelle une dose unique de Konakion 10 mg est appliquée et le Sintrom est mis en pause. A l'entrée, le patient est subfébrile à 37.9°C. Nous prélevons deux paires d'hémocultures et Mr. Y est hospitalisé pour suite de prise en charge. Le 29.01.2020, le patient est à nouveau fébrile à 38°C. Le patient étant déjà sous antibiothérapie, nous poursuivons cette dernière. Un frottis grippe, deux paires d'hémocultures, un urotube et une recherche d'antigènes urinaires reviennent négatifs. Nous continuons l'antibiothérapie par Rocéphine pendant 9 jours au total. Mr. Y bénéficie d'oxygénothérapie et de physiothérapie respiratoire. Durant l'hospitalisation, la saturation à l'air ambiant revient dans la norme et l'oxygénothérapie est sevrée. Nous observons une amélioration de la fonction rénale. Par contre, nous constatons un épisode d'hypernatrémie à 150 mmol/l. Nous instaurons une perfusion iv par Glucose 5% 1000 ml/jour. Lors du contrôle laboratoire du 05.02.2020, la valeur de la créatinine est dans la norme à 98 micromol/l et le sodium est à 141 mmol/l. Suite à une hypokaliémie, nous substituons potassium per os et iv du 30.01 au 31.01.2020. Nous effectuons un bilan biologique suite à l'anémie normocytaire normochrome. Le taux de la vitamine B12 est dans la norme, mais nous substituons l'acide folique. Nous vous proposons d'envisager la substitution de fer en ambulatoire. A la sortie, les valeurs d'hémoglobine sont stables à 116 g/l. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut regagner le home de l'Intyamon le 07.02.2020. Mr. Y est un patient de 21 ans, en BSH, qui se présente aux urgences le 24.02.2020 pour des douleurs abdominales en FID. Le bilan par US abdominal met en évidence une appendicite aiguë et le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 24.02.2020. L'intervention se déroule sans complications, les suites postopératoires sont simples et le patient peut retourner à domicile le 25.02.2020. Mr. Y, patient de 74 ans, connu pour un carcinome urothélial invasif du rein gauche métastatique, nous est transféré depuis l'HFR Fribourg pour une réhabilitation palliative suite à des nausées et vomissements majeurs après chimiothérapie. Il a été récemment hospitalisé pour une pneumonie basale gauche en décembre 2019 et janvier 2020. Mr. Y est depuis toujours oxygéno-dépendant et dyspnéique à l'effort (NYHA III).A l'entrée, il ne présente ni nausées ni vomissements et a retrouvé son appétit. Il présente une fatigue en lien avec un sommeil perturbé lors de son hospitalisation à l'HFR Fribourg. Il n'a pas de troubles de sommeil à domicile. Il ne présente pas de douleur au repos. Il explique que son moral va bien et qu'il est une personne très optimiste. Le but de l'hospitalisation est un retour à domicile. Mr. Y habite avec son épouse dans une villa. Il y a environ 13 marches d'escaliers à effectuer. Il se déplace sans moyens auxiliaires. Il bénéficie de Spitex 1x/j pour les bas de contention et 3x/semaine pour la prise des paramètres vitaux. Mr. Y est proche de son fils, a une petite-fille et a de bons amis qui viennent aussi lui rendre visite régulièrement à l'hôpital. Au status, le patient est afébrile, normocarde et normotendu. La saturation est à 94 % à air ambiant. Le patient est orienté avec un examen neurologique dans la norme. Au status pulmonaire, on note des râles grossiers en base gauche. Au status abdominal, on note une hépatomégalie, ainsi qu'une défense à la palpation de l'hypochondre droit, que nous mettons en lien avec les métastases hépatiques diagnostiquées chez le patient. Nous débutons une réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physiothérapie, ergothérapie, art-thérapie, psycho-oncologie, aumônerie, service de liaison et colloque interdisciplinaire hebdomadaire. Le 01.02.2020, Mr. Y développe une toux grasse et un état fébrile. A l'examen clinique, on note l'apparition à l'auscultation pulmonaire de râles en base droite. Le contrôle de laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 110 mg/L et une leucocytose à 21 G/L. Des hémocultures sont effectuées et une antibiothérapie est débutée. Selon l'avis spécialisé des pneumologues du CHUV, une thérapie par Tazobactam est débutée et différents virus sont dépistés avec notamment une PCR positive pour un RSV. Durant l'hospitalisation et malgré l'antibiothérapie, Mr. Y développe le soir du 04.02.2020 un choc septique avec chute tensionnelle à < 70 mmHg de systole. Malgré un remplissage, la réponse tensionnelle reste minime avec des tensions systoliques aux alentours de 85 mmHg. Selon l'avis infectiologique, la thérapie actuelle est élargie à l'aide de Vancomycine et de Caspofungine. Des nouvelles hémocultures sont prélevées notamment sur le port-à-cath. Elles reviendront négatives par la suite. Malgré ces traitements, l'évolution n'est que brièvement favorable avant de s'aggraver à nouveau. Mr. Y exprime clairement sa volonté et ne souhaite pas de transferts aux soins intensifs, ni à Fribourg. Il ne souhaite pas de mesure prolongeant la vie. Le 10.02.2020, après discussion avec sa famille et le patient, les différents traitements anti-microbiens et fongiques sont stoppés et des soins de confort débutés avec accompagnement du patient et de la famille. Nous administrons notamment une antalgie par Morphine en i.v. continu dès le 11.02.2020 avec majoration de la dose selon confort. Le patient est soulagé avec ce traitement et dort paisiblement. Le 14.02.2020, Mr. Y décède entouré de ses proches. Mr. Y, 74 ans, est admis aux soins intensifs (SIB) pour tachycardie ventriculaire monomorphe le 19.02.2020. Le patient, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire, consulte aux urgences suite à une chute en scooter à 30 km/h. Il se présente avec une plaie tibiale d'environ 20 cm, sans autres plaintes. Lors de son évaluation aux urgences, un ECG révèle une tachycardie ventriculaire à environ 250 battements/min. Mr. Y est hémodynamiquement stable, raison pour laquelle un traitement par Amiodarone i.v. est débuté, sans cardioversion. Par la suite, le patient est pris au bloc opératoire pour cardioversion électrique et débridement de plaie au membre inférieur gauche. Lors de l'induction, le patient se cardioverse en rythme sinusal. La surveillance rythmique aux soins intensifs montre une bradycardie sinusale dans le post-opératoire immédiat nécessitant l'arrêt transitoire de l'Amiodarone. Le patient peut être extubé le 19.02.2020. L'Amiodarone est reprise par la suite associée à du Métoprolol. L'échocardiographie transthoracique le 19.02. montre une FEVG à 45 % avec une hypokinésie postérieure et latéro-basale. Un pacemaker-défibrillateur IRM compatible est implanté le 20.02.2020 par le Dr. X. Une coronarographie le jour même permet l'angioplastie et la mise en place de stents sur la coronaire droite proximale et ostiale. Une double antiagrégation par aspirine/Plavix est à poursuivre pendant 6 mois. Une dyspnée intermittente est interprétée dans un contexte de décompensation cardiaque gauche avec bonne réponse au traitement diurétique. Il convient d'introduire les inhibiteurs de l'enzyme de conversion versus de l'Entresto selon l'avis cardiologique en raison de la FEVG mesurée à 33 % à la coronarographie. Il n'y a pas de lésion au CT polytrauma réalisé le 19.02.2020. La plaie tibiale droite est explorée, rincée et suturée au bloc opératoire avec suivi quotidien par l'équipe d'orthopédie. Une antibiothérapie prophylactique de co-amoxicilline est introduite pour 7 jours en raison de l'exposition de l'os à l'air. Une mobilisation avec attelle jambière en décharge est préconisée jusqu'à l'ablation des fils à J14. Mr. Y est transféré en médecine le 21.02.2020. Mr. Y, patient de 79 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisé en raison d'une hémorragie digestive haute sur saignement d'ulcère duodénal. Pour rappel, le patient présente une fatigue avec sensation de malaise depuis 4 jours. Il a été opéré de l'épaule le 23.01.2020 avec mise en place d'un traitement anti-inflammatoire. A son arrivée dans le service de médecine interne, un épisode de méléna est objectivé. Le laboratoire retrouve une anémie à 94 g/l. Un traitement d'IPP intraveineux est initié. La gastroscopie retrouve un petit saignement actif à partir d'une ulcération de 2 x 6 mm environ, traitée par pose d'un clip métallique. Une recherche de H. Pylori est négative avec le test rapide à l'urée. L'évolution clinique est par la suite favorable après transfusions. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient peut rentrer à domicile le 15.02.2020. Il sera convoqué en ambulatoire pour la réalisation d'une nouvelle gastroscopie avec biopsies. Mr. Y est un patient de 91 ans, anticoagulé par Sintrom pour une fibrillation auriculaire, qui est amené aux urgences suite à une chute mécanique de sa hauteur avec réception sur le côté gauche. Lors du bilan réalisé aux urgences, la fracture susmentionnée est mise en évidence et l'indication opératoire est retenue. Cependant, le patient étant anticoagulé, une attente pour la prise en charge chirurgicale est nécessaire. Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie, initialement en lit strict dans l'attente d'une correction de la crase. Il reçoit plusieurs doses de Konakion jusqu'à obtention d'une crase normale le 13.02.2020, permettant la prise en charge chirurgicale. L'intervention se déroule sans complication et, dans les suites, Mr. Y se mobilise en charge selon douleurs, sous supervision des physiothérapeutes. La cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est calme et propre. Relevons le développement d'un important hématome de la cuisse gauche, avec une anémie à 78 g/l d'hémoglobine le 15.02.2020, nécessitant la transfusion d'un culot érythrocytaire, avec bonne réponse puisque la valeur d'hémoglobine remonte à 96 g/l le 20.02.2020. A cette occasion, un bilan d'anémie est effectué, mettant en évidence un déficit de vitamine B12 et d'acide folique qui sont donc supplémentés oralement.Le 14.02.2020, Mr. Y présente un état confusionnel aigu avec hallucinations et troubles cognitifs, motivant un consilium internistique et une adaptation du traitement d'Halopéridol et de Rispéridone. Le bilan réalisé à la recherche de l'étiologie de cet état confusionnel aigu suggère une origine urinaire et le patient est mis au bénéfice d'une antibiothérapie par Ceftriaxone 2 g iv/jour dès le 16.02.2020. L'uricult réalisé révèle un E.Coli et le traitement par Rocéphine est poursuivi une fois par jour. Nous laissons le soin à nos collègues de réadaptation gériatrique d'envisager un relais per os selon l'évolution. La sonde à demeure est changée le 18.02.2020, soit deux jours après l'initiation de l'antibiothérapie. Dans le bilan de l'état confusionnel, nous effectuons également un dosage de la TSH qui est légèrement augmentée. Cette valeur devra être testée à nouveau à distance. L'état confusionnel aigu se résout progressivement et la suite de l'hospitalisation se déroule sans complication. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y est transféré dans le service de réadaptation gériatrique le 21.02.2020 pour suite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 87 ans et connu principalement pour une fibrillation auriculaire sous sintrom, un syndrome métabolique, une insuffisance rénale chronique et une BPCO non stadée, est amené aux urgences en ambulance le 24.01.2020 en raison d'une dyspnée nouvelle, accompagnée d'une prise pondérale de 1.5 kg. A l'admission, le patient est hypertendu à 152/72 mmHg, normocarde, afébrile et sature à 95% à l'air ambiant. L'examen clinique met en évidence des œdèmes prenant le godet aux membres inférieurs remontant jusqu'à mi-mollets et prédominant à droite ainsi que des râles diffus aux 2 temps respiratoires au status pulmonaire. Le reste de l'examen clinique est non contributif. Le bilan biologique montre des pro-BNP augmentés à 1600 ng/l, des troubles électrolytiques avec une hypophosphatémie à 0.58 mmol/l, une hypomagnésémie à 0.61 mmol/l et un INR supra-thérapeutique à 4.4. La gazométrie artérielle montre une insuffisance respiratoire hypoxémique légère sans hypercapnie. La radiographie thoracique ne met pas en évidence d'épanchement pleural. Durant l'hospitalisation, le patient présente des douleurs rétrosternales intermittentes atypiques irradiant au niveau du membre supérieur gauche et disparaissant spontanément au bout de quelques minutes. Dans ce contexte clinique, un cycle de troponines et un ECG sont effectués et n'objectivent pas de STEMI ni de NSTEMI. Par rapport aux œdèmes des membres inférieurs, nous effectuons une adaptation de son traitement diurétique. Sur le plan biologique, nous substituons per os le magnésium et le phosphate. L'anémie normochrome normocytaire présente à l'entrée se résout spontanément durant l'hospitalisation. Concernant l'INR supra-thérapeutique, nous suspendons provisoirement l'Acénocoumarol jusqu'au 27.01.2020. L'INR à la sortie est de 3. Le sédiment urinaire à l'entrée mettant en évidence des leucocytes, des nitrites et du sang, nous remplaçons la sonde vésicale et réalisons une culture d'urine qui revient positive pour Escherichia Coli. Le patient étant asymptomatique avec une sonde à demeure, nous retenons le diagnostic de bactériurie asymptomatique à E.Coli, pour laquelle nous ne mettons pas en place d'antibiothérapie. Après 10 jours d'hospitalisation, Mr. Y peut regagner son domicile le 05.02.2020. Mr. Y, 43 ans, est amené aux urgences par son père pour un état fébrile à 39°C associé à des frissons, avec dyspnée et toux expectorante. Il aurait présenté les mêmes symptômes il y a deux semaines, traités par Amoxicilline prescrit par Dr. X jusqu'au 07.02.2020. Les symptômes se seraient par la suite améliorés, jusqu'à une récidive le soir du 13.02.2020. Nous diagnostiquons une pneumonie basale droite pour laquelle un traitement par Rocéphine et Clarithromycine est introduit. Les antigènes urinaires pour Légionelle et Pneumocoques reviennent négatifs et nous arrêtons la Clarithromycine. Par la suite, nous relayons le traitement de Ceftriaxone par un traitement de Céfuroxime. Le frottis grippe et les hémocultures reviennent aussi négatifs. Au vu d'une bonne évolution clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 19.02.2020, accompagné de son entourage qui ne souhaite pas l'introduction des soins à domicile. Mr. Y est un patient de 67 ans, connu pour les antécédents oncologiques susmentionnés qui avait bénéficié de la mise en place d'un Port-à-Cath à droite le 31.01.2020, qui se présente le 12.02.2020 aux urgences en raison d'un écoulement purulent venant de la cicatrice de mise en place de PAC avec une rougeur et douleurs associées. Dans ce contexte, une infection du PAC est retenue et l'indication à son ablation est posée. L'intervention est effectuée le jour même de la présentation et se déroule sans particularité. Les suites sont simples, permettant au patient un retour à domicile le 14.02.2020 avec un contrôle clinique et biologique chez nous le 17.02.2020. Mr. Y sera convoqué pour la pose du Holter de 24h, merci de pister ensuite les résultats. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Pas de conduite pendant 4 semaines sous réserve du suivi ophtalmologique et neuropsychologique. Consultation neurovasculaire de contrôle le 09.01.2020. Consultation en orthopédie pour épaule douloureuse, le patient sera convoqué. Mr. Y, patient de 80 ans, est hospitalisé pour des cervico-brachialgies gauches de territoires diffus sur possible compression radiculaire vs canal cervical étroit sur métastases C4-5 connues d'un adénocarcinome prostatique. Le patient se présente aux urgences en raison d'une péjoration, depuis 3 jours, des cervico-brachialgies gauches avec hypoesthésie distale mal systématisée du membre supérieur gauche. Au status, il présente une hyperréflexie tétra-appendiculaire, sans déficit moteur. Un CT de la colonne cervicale met en évidence de multiples lésions ostéocondensantes métastatiques au niveau de C2, C4, C5 avec sténose foraminale multiple prédominant au niveau C3, C4 et C5 de manière bilatérale, sans signe de fracture ni de lésion médullaire. Une IRM n'est pas réalisable en raison du pacemaker incompatible. Selon un avis neurochirurgical et au vu d'une évolution favorable avec une antalgie par Dafalgan et Pregabaline, nous ne réalisons pas de myélo-CT d'emblée. Le patient rentre à domicile le 28.02.2020 en état général conservé, sans aide à domicile sur sa demande et de son épouse. Dans le cas d'une péjoration de la clinique avec des douleurs mal contrôlées par l'antalgie ou l'apparition de symptômes neurologiques nouveaux, nous proposons d'adresser Mr. Y à la consultation neurochirurgicale du HFR (Dr. X) avec, au préalable, la réalisation d'un myélo-CT cervical au CIMF (Dr. X, Sainte-Thérèse) à la recherche d'une compression médullaire. Mr. Y, connu pour hépatite C et polytoxicomanie (dernière injection en janvier 2020 anamnestiquement), se présente au service des urgences avec des douleurs aux membres inférieurs associés à une rougeur et œdèmes sans fièvre accompagné d'un syndrome inflammatoire. Au vu d'une suspicion d'érysipèle, une antibiothérapie per os par Co-amoxicilline est entreprise avec bonne évolution. Au vu de la récidive, un bilan angiologique devra être effectué en ambulatoire afin d'évaluer une composante d'insuffisance veineuse chronique. Devant une suspicion de récidive d'endocardite, un ultrason cardiaque est effectué et permet d'exclure celle-ci. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 12.02.2020 avec suite de prise en charge par son médecin-traitant et son réseau ambulatoire. Mr. Y présente donc toujours une inflammation en regard de l'interligne du Lisfranc, particulièrement à la base du 2ème métatarsien à 9 mois post-traumatiques. Je suspecte une pseudarthrose en regard de ce 2ème métatarsien. Un CT SCAN va être organisé et je revois le patient suite à cet examen afin d'envisager la suite de la prise en charge. Mr. Y, 57 ans, est hospitalisé pour un état fébrile probablement sur un foyer pulmonaire. Le patient présente depuis le 22.02.2020 un état fébrile associé à une toux sèche, une dyspnée à l'effort et des douleurs thoraciques respiro-dépendantes. Le bilan microbiologique est négatif. Le bilan radiologique permet d'exclure une embolie pulmonaire et ne montre pas de franc foyer pulmonaire. Nous concluons à un état fébrile probablement d'origine pulmonaire. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Ceftriaxone-Clarithromycine le 23.02.2020, puis Co-amoxicilline IV du 24.02.2020 au 26.02.2020, puis Co-amoxicilline PO du 27.02.2020 au 29.02.2020. L'état fébrile disparaît dès le 23.02.2020. Il persiste des douleurs musculo-squelettiques respiro-dépendantes que nous mettons sur le compte de la Midostaurine (Rydapt). Sur avis onco-hématologique (Dr. X), la Midostaurine est stoppée le 26.02.2020. Le patient rentre à domicile le 26.02.2020. Il se rendra aux HUG le 27.02.2020 pour sa transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques. Mr. Y, patient de 66 ans, connu pour une maladie de Crohn, est hospitalisé dans le service de chirurgie le 02.02.2020 dans le cadre d'un iléus grêle sur probable poussée aiguë de sa maladie, mise en évidence par CT-abdominal. Une sonde naso-gastrique de décharge est mise en place, une antibiothérapie par Rocéphine-Flagyl est entreprise et sur avis gastro-entérologique un traitement corticostéroïde est initié. L'évolution clinique et biologique tout à fait favorable permet une ablation de la sonde naso-gastrique le 04.02.2020 et un retour à domicile le 08.02.2020. Sur avis des collègues en gastro-entérologie, l'antibiothérapie est à poursuivre jusqu'au 08.02.2020, et un schéma dégressif de Prednisone est poursuivi. Le patient sera convoqué par le cabinet de gastro-entérologie du Dr. X pour la suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 49 ans, qui se présente le 06.02.2020 aux urgences en raison de douleurs abdominales associées à des nausées et vomissements. Le bilan effectué aux urgences met en évidence une perturbation importante des tests hépatiques avec un syndrome inflammatoire élevé. Le patient est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge d'une cholangite. Une antibiothérapie est débutée et le patient bénéficie le jour même de l'hospitalisation d'une ERCP avec lithotripsie mécanique et pose de stent. Les suites post-interventionnelles sont simples avec une normalisation des tests hépatiques, permettant un retour à domicile le 10.02.2020. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Riaz une rééducation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une poussée aiguë de polyarthrite rhumatoïde séro-négative déjà connue, le 29.12.2019. Sur le plan social, le patient vit seul à domicile. Il est à la retraite. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont contrôlées par l'antalgie en place de manière satisfaisante. Pour rappel, le patient se plaignait de douleurs au niveau des doigts, des poignets, des coudes, des épaules, des hanches, des genoux et des chevilles, avec majoration d'une raideur matinale. A son entrée, les douleurs sont présentes uniquement au niveau des mains et des poignets. A l'anamnèse par systèmes, le patient ne signale aucune autre plainte somatique. Au status, le patient est orienté et collaborant. L'examen clinique des articulations met en évidence une persistance de la tuméfaction ainsi qu'une mobilisation douloureuse des articulations de la main et du poignet, le reste des articulations est sans particularité mais toujours légèrement douloureuses à la mobilisation. Nous profitons de son hospitalisation pour adapter le traitement antidiabétique avec une administration d'insuline rapide et lente d'office et un schéma de correction "Light" que le patient a appris à gérer au cours de son séjour, avec un résultat favorable. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Les douleurs, la raideur matinale ainsi que l'inflammation biologique se résolvent rapidement. Après 9 jours d'hospitalisation, l'évolution est rapidement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 23.01.2020, en état général conservé. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et ergothérapie à domicile pour la suite de la prise en charge. Les soins à domicile sont réactivés. Mr. Y, 65 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour une chimio-embolisation dans le contexte d'un carcinome hépato-cellulaire. Le patient subit une chimio-embolisation par Doxorubicine le 10.02.2020. Dans l'évolution, le patient présente des nausées et reçoit de l'Ondansétron iv. avec bon effet. Sur la nuit, le patient présente des douleurs constantes d'intensité modérée au niveau épigastrique/sub-ombilical irradiant en ceinture de deux côtés avec des nausées et vomissements associés. Un contrôle biologique du 11.02.2020 montre une élévation des paramètres pancréatiques et hépatiques. Un CT abdominal nous confirme le diagnostic de pancréatite nécrotique de la tête et du processus unciné avec duodénite par contiguïté. Nous adaptons le traitement antalgique et l'évolution clinique et biologique se montre rapidement favorable. Les valeurs se montrent stables avec diminution des paramètres pancréatiques. Un contrôle biologique est indiqué au début de la semaine prochaine (le patient est au courant). Le patient rentre à domicile selon son souhait le 13.01.2020. Mr. Y présente la clinique pour une épicondylite humérus radial. Afin de préciser le diagnostic, je demande un bilan par IRM. Je le reverrai après l'IRM afin de discuter de la nécessité d'une infiltration par cortisone. Mr. Y développe une anasarque de plus en plus importante dans un contexte d'hypoalbuminurie, répondant partiellement aux traitements diurétiques. Il décrit en outre une dyspnée traitée efficacement par morphine puis hydromorphone. Plusieurs épistaxis sont traités selon les recommandations de nos confrères d'ORL. Plusieurs épisodes de méléna sont objectivés. Ceux-ci surviennent cependant dans un contexte de baisse progressive de l'état général, Mr. Y ne souhaitant alors plus que des soins de confort. Aucune investigation supplémentaire n'est donc effectuée et un traitement IPP est instauré. Pendant le séjour, l'état général diminue progressivement. La prise alimentaire est compliquée en raison d'une dysphagie importante. Les nausées et vomissements sont traités de manière médicamenteuse avec bon effet. Au vu de la péjoration progressive, les soins de confort sont poursuivis. Mr. Y décède le 25.02.2020. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne en raison d'un sepsis d'origine urinaire. Le patient développe durant la nuit du 29.01.2020 un état confusionnel lors de son séjour en réhabilitation musculo-squelettique, d'origine multifactorielle probable, avec mise en évidence d'une infection urinaire récidivante et d'un globe vésical. Une sonde vésicale permet de lever le globe urinaire et une antibiothérapie par Céfépime iv. est débutée. En raison d'une péjoration clinique, le patient est transféré à l'HFR-Fribourg pour suite de prise en charge. Le bilan infectiologique montre la croissance d'un Pseudomonas aeruginosa multi-résistant dans l'uricult et un Pseudomonas aeruginosa multi-sensible dans les hémocultures. Après avis infectiologique et au vu de la bonne évolution clinico-biologique, il est décidé de poursuivre la Céfépime pour une durée totale de 10 jours. Cependant, une recrudescence du syndrome inflammatoire motive un second avis infectiologique, qui propose de couvrir le P. aeruginosa multi-résistant par introduction de Gentamycine adaptée à la fonction rénale. Cette antibiothérapie est relayée par du Ceftazidime/Avibactam par la suite, en raison de taux de Gentamycine supra-thérapeutiques. Le patient présente une rétention urinaire chronique. Après discussion avec l'urologue-traitant, une sonde vésicale à demeure est désormais indiquée en raison du résidu post-mictionnel important. Le patient refuse toutefois cette mesure, malgré des explications répétées sur le risque important de réinfection sévère en l'absence de sonde. Sa fille est également informée et respecte cette décision. Mr. Y est transféré à Billens le 14.02.2020 pour reprendre sa réhabilitation musculo-squelettique. Le projet futur sera à réévaluer, un retour à domicile semblant difficilement envisageable à l'heure actuelle. Mr. Y est un patient de 88 ans qui nous est adressé en ambulance par Dr. X suite à une perte de connaissance avec une amnésie circonstancielle et une chute dans la cuisine avec une réception sur la tête contre le radiateur. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse dans un appartement à Bulle. A son admission en gériatrie aiguë, Mr. Y est orienté, calme et collaborant. A l'examen clinique, nous retrouvons des bruits du cœur irréguliers, associés à un souffle systolique au foyer mitral et un murmure vésiculaire normal sur les deux plages pulmonaires. L'examen neurologique est normal. L'ECG réalisé montre une fibrillation auriculaire avec une transmission ventriculaire lente. Le bilan biologique retrouve une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale pour lequel nous procédons à une hydratation avec une évolution favorable. Sur le reste du bilan, nous observons une carence en vitamine D et B12 que nous substituons. La radiographie du thorax met en évidence une cardiomégalie et le CR cérébral ne trouve pas de saignement intracrânien. Concernant l'épisode de syncope, nous retenons un diagnostic de surdosage du traitement sous Bilol et Dilzem, probablement dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë, raison pour laquelle nous suspendons le traitement. A noter que le reste du bilan étiologique de la syncope revient sans particularité. Nous reprenons le traitement sous Bilol puis nous vous laissons le soin de majorer le traitement à votre consultation, si besoin. Nous retenons également un syndrome de dépendance à l'alcool objectivé par un score de Cushman durant le séjour à 1 point. Au vu du score sans gravité, nous ne retenons pas d'indication à l'introduction de Benzodiazépine, toutefois nous procédons à une supplémentation sous vitamines per os. Suite à sa chute, Mr. Y présente une plaie de 2 cm sur la partie frontale gauche sans critères de gravité pour laquelle nous mettons en place des points de suture. Nous vous laissons le soin de procéder à l'ablation des fils à votre consultation. Mr. Y présente une tuméfaction de la main gauche associée à une rougeur, probablement dans le contexte d'une exacerbation de la goutte. D'après son épouse, ces épisodes sont connus. Nous proposons de poursuivre le traitement sous Voltarène avec mise en place de la glace. En cas de persistance des symptômes, nous vous proposons d'introduire un traitement sous Colchicine ou Prednisone. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 07.02.2020 au 13.02.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 92/126 par rapport à 89/126 à sa sortie (MIF physio : transferts 7/7, déplacement 7/7, escaliers 6/7). Le TUG se réalise en 13 secondes avec l'aide du rollator. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel revient sans particularité, toutefois nous procédons à une substitution en vitamines au vu du syndrome de dépendance éthylique. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 12.02.2020 montrent un MMS à 21/30 et un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Le 13.02.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile (2x/semaine pour le contrôle des signes vitaux) ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est un patient de 75 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, dont un anévrisme aorto-iliaque droit de 42 et 30 mm, pour lequel il bénéficie d'un pontage aorto-bi-iliaque le 17.02.2020. Les surveillances post-opératoires habituelles aux soins continus se passent sans particularité. Les suites sont simples avec une reprise du transit le 25.02.2020. A noter, une dysphagie occasionnelle sans fausse route présente depuis le mois d'avril selon le patient, raison pour laquelle nous effectuons un transit baryté qui ne montre pas de diverticule de Zenker, mais une stase dans les vallécules qui peut être fonctionnelle selon nos collègues radiologues. Nous demandons donc une consultation ORL en ambulatoire. Au vu d'une évolution favorable et des plaies calmes, le patient rentre à domicile le 26.02.2020. Il sera revu à notre consultation à 2 semaines et à 3 mois post-opératoires avec un contrôle radiologique. Mr. Y, 75 ans, est admis en post-opératoire d'une cure (résection) élective d'anévrisme infra-rénal par prothèse bifurquée sur la bifurcation iliaque des deux côtés par laparotomie pour progression rapide de la taille de l'anévrisme. L'intervention se déroule sans complications avec antalgie assurée par péridurale avec bonne tolérance. Un soutien aminergique post-opératoire immédiat peut être sevré rapidement. Une anticoagulation prophylactique est débutée 2 h post-opératoire. Les pouls aux membres inférieurs sont présents durant l'entier de la surveillance. Les cibles tensionnelles sont inférieures à TAs 140 mmHg. La mobilisation est faite au fauteuil. Un angio-CT avant la sortie de l'hôpital à 3 mois et 12 mois post-op avec ensuite rendez-vous à la consultation de l'opérateur doivent être organisés. A noter la pose d'un filet Progrip protecteur en position rétro-musculaire dans le même temps opératoire en raison d'une hernie ombilicale avec paroi abdominale lâche, raison pour laquelle une ceinture abdominale doit être portée en permanence. Le patient est transféré à l'étage de chirurgie le 19.02.2020. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour une périmyocardite qui s'est compliquée d'un arrêt cardio-circulatoire sur fibrillation ventriculaire dont l'évolution est rapidement favorable.Le patient a été hospitalisé le 15.02.2020 pour des douleurs thoraciques avec à l'ECG des modifications électriques et des enzymes cardiaques positives. Une coronarographie a permis d'exclure une cardiopathie ischémique et met en évidence une hypokinésie antéro-latérale avec une FEVG à 45%. Le diagnostic de péri-myocardite est retenu et un traitement par Métoprolol et Lisinopril est introduit. Après 36 heures de surveillance, le patient est transféré aux soins intensifs du HIB Payerne. L'évolution se complique, le soir même, par un arrêt cardio-respiratoire sur fibrillation ventriculaire. Le ROSC est de 1 min 30 et il n'y a pas de no flow. Une échocardiographie transthoracique montre une hypokinésie globale avec une FEVG à 40%. Le patient est retransféré aux soins intensifs de Fribourg pour suite de prise en charge. Durant la surveillance, le patient ne récidive pas les troubles de rythme, il reste stable sur le plan hémodynamique et respiratoire et il n'a aucune séquelle neurologique. Après discussion avec les cardiologues, un traitement par Cordarone est introduit, le Lisinopril et le Metoprolol sont poursuivis et une Life Vest est mise le 22.02.2020 pour une durée de 1 à 3 mois. L'IRM cardiaque montre des multiples petites zones de rehaussement tardif (RT) au niveau de la paroi latérale et inféro-latérale du ventricule gauche confirmant le diagnostic de myocardite. La fonction ventriculaire gauche est à 60%. Le bilan étiologique réalisé à Payerne ne retrouve pas de cause ni infectieuse ni immunologique à la périmyocardite. Un contrôle chez Dr. X est prévu début mars et une IRM cardiaque de contrôle est à planifier à 03 mois. Mr. Y est transféré en médecine le 22.02.2020 équipé de sa Life Vest. Mr. Y, 48 ans, est hospitalisé pour la prise en charge d'une périmyocardite, compliquée d'un arrêt cardio-respiratoire le 16.02.2020. Pour rappel, le patient avait été hospitalisé le 15.02.2020 pour des douleurs thoraciques persistantes. Le bilan a mis en évidence des sus-décalages en latéral à l'ECG et des troponines positives. Une coronarographie a permis d'exclure une coronaropathie et met en évidence une hypokinésie antéro-latérale avec une FEVG à 45%. Un traitement de Métoprolol et Lisinopril a été introduit. Le patient est transféré le 16.02.2020 aux soins intensifs du HIB Payerne. Une fibrillation ventriculaire survient le soir même nécessitant une réanimation cardio-pulmonaire courte de 1 min 30 sans no flow, sans séquelle. Une échocardiographie transthoracique le 17.02.2020 montre une hypokinésie globale avec une FEVG à 40%. Le patient est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg pour surveillance après l'introduction d'Amiodarone. Il continue à présenter des douleurs thoraciques résiduelles apparaissant au changement de position. L'IRM cardiaque du 20.02.2020, effectuée au CHUV, montre des multiples petites zones de rehaussement tardif (RT) au niveau de la paroi latérale et inféro-latérale du VG, typiques pour des lésions de myocardite et une FEVG conservée à 60%. Sur avis cardiologique, le patient bénéficie d'une Life Vest dès le 22.02.2020 pour une durée de 1 à 3 mois, à revoir à la consultation de cardiologie chez Dr. X le 06.03.2020. Une IRM cardiaque ambulatoire de contrôle est planifiée à 3 mois de l'événement. Il est transféré à l'étage de médecine interne le 21.02.2020. Les sérologies effectuées à Payerne à la recherche d'une étiologie reviennent négatives pour l'HCV, le parvovirus B19, la toxoplasmose et les ANCA. Nous notons également une ancienne infection à CMV et EBV. La recherche de Coxsackie virus (au HIB) reste en cours lors de la rédaction de cette lettre. Mr. Y rentre à domicile le 25.02.2020. Mr. Y, âgé de 72 ans, connu principalement pour un adénocarcinome du cæcum diagnostiqué en 2017 et suivi par Dr. X, actuellement sous chimiothérapie palliative par Folfox (dernière dose le 30.01.2020), est hospitalisé dans le service de médecine interne le 06.02.2020 pour une probable mucite post-chimiothérapie. En effet, il est amené aux urgences en ambulance le 06.02.2020 pour une baisse de l'état général accompagnée de nausées, de vomissements et de diarrhées depuis le 31.01.2020 ainsi que de malaises avec perte de connaissance (deux épisodes le matin de son arrivée). A l'arrivée, le patient est hypotendu à 80/50 mmHg et tachycarde. Son état général est diminué et il rapporte une inappétence ainsi que des nausées, des vomissements et plusieurs épisodes de diarrhées par jour, accompagnés de douleurs abdominales diffuses. Au status, l'examen abdominal révèle des bruits diminués en fréquence, un abdomen souple sans signe de péritonisme. Au bilan biologique, nous retrouvons une pancytopénie sans agranulocytose dans le contexte de post-chimiothérapie et une insuffisance rénale aigüe AKIN 2 d'origine pré-rénale sans anomalie à l'échographie urogénitale. Une recherche de clostridium, et PCR dans les selles revient négative. Nous optons donc pour une mucite dans le contexte de chimiothérapie et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge avec une hydratation massive. Par la suite, il présente une clinique d'iléus motivant la pose d'une sonde naso-gastrique de décharge. Un CT-Scan thoraco-abdominal montre un état sub-occlusif au niveau grêle avec une importante dilatation de l'estomac sur probable bride versus implant tumoral iléal distal en regard de l'ombilic à gauche. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole est débutée devant un syndrome inflammatoire avec suspicion de translocation bactérienne. Sur avis chirurgical, un transit à la gastrographine est réalisé. Sur la radiographie effectuée 5 heures après la mise en place du produit de contraste, celui-ci se retrouve quasiment intégralement dans le côlon et dans l'ampoule rectale. Il persiste cependant des anses intestinales dilatées pouvant faire évoquer un état de sub-iléus. Une réalimentation per os est débutée par la suite. Cependant, un nouvel épisode de vomissement motive la remise en place de la sonde naso-gastrique et une laparoscopie exploratrice est proposée par les chirurgiens. Au cours de son séjour, une alimentation parentérale est initiée avec le PeriOlimel. Le patient présente un syndrome de renutrition inapproprié avec des troubles électrolytiques qui sont substitués avec succès iv puis per os. Une anémie normochrome normocytaire hyporégénérative d'origine tumorale, avec une hémoglobine à 78 g/l nécessite la transfusion d'un culot érythrocytaires. L'hémoglobine reste à recontrôler. Mr. Y souffre d'un diabète de type 2 insulino-requérant pour lequel il est traité par Insulatard. Le 09.02.2020, au vu d'hypoglycémies persistantes, nous suspendons l'Insulatard qui reste à réévaluer selon le profil glycémique. Au vu d'un profil tensionnel bas, le traitement antihypertenseur est en suspens. Mr. Y est transféré dans le service de chirurgie le 26.02.2020. Mr. Y, âgé de 76 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à l'implantation de PTH bilatérales sur coxarthrose, le 15.01.2020. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est avocat et ancien professeur de Droit. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. Les cicatrices sont calmes. A l'admission, la mobilisation est définie selon la douleur. La force au niveau des quadriceps est cotée à M4 des deux côtés et celle des psoas à M3 des deux côtés. La sensibilité est conservée. Il présente de légers OMI; les mollets sont souples et indolores.Durant son séjour, il n'a pas présenté de problématique particulière, l'état clinico-biologique est resté favorable durant l'hospitalisation. Sur le plan nutritionnel, le patient n'a pas bénéficié de régime particulier, nous avons noté une perte pondérale en lien probablement avec la résorption des œdèmes. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre de 120 m. Il peut monter et descendre 20 marches d'escaliers avec 1 canne et la main courante. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche à 90° à gauche et 80° à droite. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 31.01.2020, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Mr. Y, 87 ans, est amené aux urgences le 19.01.2020 en raison de la présence, depuis 3 jours, d'une baisse de l'état général avec une dyspnée au repos qui s'est aggravée le 19.01.2020 avec cyanose des extrémités, motivant la consultation aux urgences. À l'admission aux urgences, nous retrouvons un patient hémodynamiquement stable, mais avec une forte diminution de l'état général, des signes de décompensation cardiaque, une auscultation pulmonaire pathologique et une cyanose des 4 membres. Au bilan biologique, nous retrouvons une acutisation AKIN 2 d'une insuffisance rénale chronique stade G4, une hyperkaliémie à 6.1 mmol/l et un important syndrome inflammatoire. À la gazométrie artérielle, nous retrouvons une acidose métabolique avec pH à 7.0 et une rétention de CO2 ce qui motive l'introduction d'une VNI aux urgences, sans nette amélioration clinique et biologique. Une radiographie thoracique est effectuée et met en évidence une pneumonie basale droite, raison pour laquelle nous initions une antibiothérapie par Rocéphine. L'attitude de soins est rediscutée avec la famille le 19.01.2020, qui ne désire pas de soins intensifs ni de dialyse pour Mr. Y. Le patient est donc hospitalisé dans le service de médecine de Riaz pour soins de confort. Mr. Y décède le 20.01.2020. Mr. Y, dont les antécédents vous sont bien connus, est hospitalisé en médecine interne pour prise en charge d'une thrombose veineuse profonde avec ulcération cutanée. Pour rappel, le patient présente depuis 5-6 semaines un œdème du membre inférieur droit prenant le godet et remontant actuellement jusqu'au bassin avec des ulcérations au niveau de la face antérieure de la jambe droite. Une échographie de membres inférieurs met en évidence une thrombose veineuse profonde et une thérapie anticoagulante est débutée. À noter que nous arrêtons le traitement avec Aspirin en raison d'un risque hémorragique très élevé avec le double traitement. Durant le séjour, le patient bénéficie de traitement de physiothérapie. Une insuffisance rénale chronique est traitée par hydratation et se montre stable durant le séjour. Le patient présente des épisodes d'incontinence fécale depuis le début de son hospitalisation. Un CT abdominal montre une coprostase de tout le cadre colique sans signes de progression loco-régionale de la maladie oncologique. Après un lavement nous n'observons pas de nouveaux épisodes d'incontinence fécale. Nous introduisons un traitement avec Torasemid 5 mg avec une amélioration de l'œdème au niveau de la jambe droite. En raison d'une symptomatologie douloureuse au niveau du genou droit nous effectuons une radiographie qui met en évidence une gonarthrose tri-compartimentale. Nous adaptons l'antalgie avec bonne évolution. Les suites étant terminées, après discussion avec Mr. Y et sa famille, nous transférons le patient en court séjour au home de Cottens le 28.02.2020 avant d'envisager un retour à domicile. Nous vous laissons le soin de suivre la plaie au niveau du membre inférieur droit et adapter l'antalgie selon évolution. Mr. Y est hospitalisé pour investigation d'une dysphagie haute. Le CT cervico-thoraco-abdominal ne retrouve pas de lésion suspecte ORL ou œsophagienne. La nasofibroscopie ne retrouve pas non plus de lésion suspecte de la sphère ORL. Au TOGD, on note quelques fausses routes, un bon passage de produit de contraste par le pharynx et l'œsophage, sans sténose au niveau du cardia. Nous concluons à une dysphagie haute sans lésion suspecte de la sphère ORL possiblement sur presbyœsophage et xérostomie médicamenteuse. En présence d'une xérostomie, nous recommandons au patient d'avoir une bonne hygiène buccale. Nous n'avons actuellement pas d'argument pour effectuer une OGD. Néanmoins, en cas de récidive de la dysphagie, une OGD devrait être envisagée. Durant son hospitalisation, le patient présente par ailleurs une décompensation cardiaque globale favorisée par un profil tensionnel élevé. Nous introduisons un traitement de Lasix IV avec bon effet. Mr. Y est un patient de 80 ans, hospitalisé initialement aux soins intensifs et dans le service d'ORL, puis dans le service de médecine interne pour un stridor inspiratoire secondaire à une compression trachéale extrinsèque par un processus tumoral avec de multiples métastases pulmonaires. Le patient est connu pour un carcinome épidermoïde maxillaire, traité par chirurgie, radio et immunothérapie, ainsi que pour un adénocarcinome de la prostate. Depuis décembre 2019, il présente une dyspnée avec stridor inspiratoire, dysphonie, encombrement bronchique et dysphagie. En l'absence d'amélioration sous Co-Amoxicilline, il a été adressé aux urgences de l'HFR Riaz le 22.01.2020. Une tumeur cervicale droite nécrosante avec de multiples métastases pulmonaires a été identifiée au CT cervico-thoraco-abdomino-pelvien. Le bilan ORL a confirmé une compression extrinsèque de la filière laryngée. L'étiologie pourrait être un carcinome thyroïdien anaplasique métastatique. Un traitement de Méthylprednisolone iv et inhalations d'adrénaline a été aussitôt débuté. Une trachéotomie chirurgicale et cytoponction de la lésion cervicale droite ont été effectuées le 23.01.2020. La cytologie révèle un carcinome non à petites cellules probablement d'origine thyroïdienne. Lors de son séjour dans le service ORL, le patient présente une bonne évolution du point de vue respiratoire malgré des problèmes de canule. Nous tentons de réaliser une transcanulation sans succès en raison de la taille de la canule. Nous effectuons un suivi quotidien de la trachée en raison de la position de la canule. Une transcanulation est réalisée le 31.01.2020 et une recanulation avec canule Shiley XLT non fenestrée, ballonnet gonflé le 02.02.2020. Le tumorboard du 05.02.2020 définit une stratégie palliative avec une possibilité de faire quelques séances de radiothérapie localisée en cas de mauvaise réponse à la Prednisone, mais pas de chimiothérapie. Au vu d'une péjoration de la dyspnée malgré une canule ne montrant pas d'obstruction et d'une baisse marquée de l'état général, des soins de confort sont initiés après discussion avec le patient et sa famille. Mr. Y décède le 07.02.2020 sans détresse et entouré de sa famille. Mr. Y est un patient de 74 ans qui consulte ce jour les urgences sous menace de dénonciation à la justice de paix par son fils à la suite d'une consommation excessive la veille. Mr. Y a augmenté sa consommation de bières à 7-8 de 33 cl/jour depuis début janvier par rapport à 2-3 bières de 33 cl/jour avec un verre de vin aux repas le week-end, avant janvier.Mr. Y nous dit avoir essayé 2-3 sevrages de quelques jours sans réussite et se plaint de douleurs au membre inférieur gauche. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé pour un sevrage alcoolique en mai 2018 à Marsens. Le séjour ne se serait pas bien passé et Mr. Y refuse de retourner à Marsens. Sur le plan social, Mr. Y est retraité, occupe ses journées en travaillant en tant que démarqueur routier, vit dans une maison divisée en 3 appartements, au rez-de-chaussée, son amie est décédée depuis peu. Son fils vit dans la même maison. A son admission en gériatrie aiguë, Mr. Y est orienté, collaborant et apathique. A l'examen clinique, nous retrouvons des bruits cardiaques réguliers avec un souffle systolique à 2/6 maximal au foyer mitral sans irradiation, puis nous auscultons un murmure vésiculaire symétrique sans bruit surajouté, ainsi qu'une hernie ombilicale réductible. Le bilan biologique réalisé met en évidence une hyponatrémie hyperosmolaire, une légère cytolyse, une cholestase, une anémie normochrome, une leucopénie et une alcoolémie de 1,58 pour mille. L'hyponatrémie hyperosmolaire, qui est probablement en lien avec l'intoxication éthylique, évolue favorablement suite au sevrage de l'éthylisme et à la réhydratation en intraveineux. Concernant la leucopénie, nous proposons un contrôle biologique à distance. Nous considérons l'anémie d'origine carentielle et toxique. Les carences en acide folique et en vitamine D sont supplémentées par voie orale. Le sédiment urinaire trouve une micro-hématurie. Le bilan est complété par une US des voies urinaires, qui met en évidence une discrète ectasie pyélocalicielle droite. Le Dr. X, urologue, propose un CT abdominal à la recherche d'une lithiase urinaire ou d'une néoplasie des voies urinaires. Nous vous laissons le soin de pister le résultat du CT organisé pour le 14.02.202 et de compléter le bilan par une cystoscopie, en cas de CT sans anomalie. Concernant la dépendance à l'alcool, un traitement par Seresta est mis en place et adapté en fonction des besoins de Mr. Y. Le sevrage éthylique se déroule sans soucis particulier. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le patient se déplace avec une canne déjà présente à domicile. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 98/126 par rapport à 93/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le test TUG se réalise en 23,3 secondes. En ergothérapie et nutrition, le patient ne présente pas d'objectif. Il n'y a pas de prise en charge durant son séjour en dehors de l'évaluation primaire. Le 12.02.2020, Mr. Y, sous PAFA mis en place par le juge de paix, quitte notre service et rejoint le RFSM Marsens pour la suite de sa prise en charge. Mr. Y, patient de 56 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisé le 16.01.2019 pour investigation d'une nouvelle masse découverte sur l'IRM cérébral du 15.01.2020. Le patient bénéficie d'une craniotomie avec exérèse de la masse temporale droite le 27.01.2020. Au vu d'une surveillance neurologique sans particularité aux SI, le patient est transféré en chirurgie le 28.01.20. L'IRM de contrôle le 31.01.2020 montre une lésion ischémique péri-lésionnelle ainsi que du territoire de la sylvienne postérieure droite en majoration par rapport au comparatif, sans transformation hémorragique. Les résultats histologiques montrent une tumeur gliomateuse de haut grade avec infiltration cortico-sous-corticale et périventriculaire. Le bilan ophtalmologique montre une hémianopsie homonyme à gauche. Il bénéficie d'un bilan neuropsychologique pré-opératoire et post-opératoire. Le patient est transféré en réhabilitation neurologique intensive à Meyriez le 20.02.2020. Mr. Y, 68 ans, connu pour un carcinome urothélial de la vessie métastasé, est transféré du service de médecine interne de Riaz pour radiothérapie dans le cadre d'une progression tumorale au niveau cérébral et d'une nouvelle métastase cutanée glutéale gauche. Pour rappel, il est amené le 23.01.2020 en ambulance à Riaz pour d'importantes nausées, dans le cadre d'une progression des métastases cérébrales au scanner effectué. Un traitement de radiothérapie est effectué du 28.01.2020 au 11.02.2020 au niveau cérébral à titre symptomatique et glutéal gauche à but antalgique. De plus, un traitement symptomatique par Prégabaline est instauré contre les douleurs liées à la métastase glutéale. Le patient consultera son oncologue traitant (Dr. X) pour un contrôle le 20.02.2020. Concernant la mobilisation, le patient s'aide d'un rollateur mais demande une chaise roulante afin de se déplacer plus facilement. Un congé à domicile sur un week-end permet de préparer un retour en sécurité. Il sera au bénéfice de l'équipe de soins mobile Voltigo. Mr. Y rentre à domicile le 11.02.2020. Mr. Y, 91 ans, est hospitalisé pour une hémorragie digestive haute sur ulcère gastrique antral. Il se présente aux urgences en raison de plusieurs épisodes de méléna sur les dernières 24 heures chez un patient sous double anti-agrégation et sous Prednisone 40 mg depuis 3 jours pour traitement d'une crise de goutte. Un traitement de Pantoprazol intraveineux est initié. Une anémie sur perte digestive nécessite un soutien transfusionnel. Une oesogastroduodénoscopie met en évidence un ulcère gastrique antral sans stigmate de saignement. La double anti-agrégation est arrêtée, le traitement de Pantoprazol est relayé par voie orale à raison de Pantoprazol 40 mg 2x/j pendant 3 semaines puis diminution à 1x/j. Un traitement d'Apixaban est initié en fin d'hospitalisation en raison de la fibrillation auriculaire. L'évolution est favorable avec une hémoglobine restant stable et un patient ne présentant plus de nouvel épisode de méléna. Le patient décrit également des douleurs au niveau du siège depuis quelques jours. Des vésicules sont mises en évidence, compatibles avec un zona au niveau du territoire S 4 à gauche. Un traitement de Valacyclovir est mis en place pour un total de 7 jours. Au vu des douleurs neuropathiques, un traitement de Prégabaline est introduit et sera à adapter selon les douleurs. Le patient rentre à domicile le 20.02.2020. Mr. Y, patient de 34 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, est hospitalisé en raison d'un état fébrile associé à un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée avec suspicion d'arthrite septique suite à cette griffure de chat avec arthrite en regard. Le laboratoire d'entrée montre un syndrome inflammatoire modéré. Différentes investigations ont été réalisées en ambulatoire avant l'hospitalisation du patient. Une ponction de genou gauche retrouvait un liquide inflammatoire, des sérologies pour Bartonella et Brucella étaient négatives et une PCR pour Chlamydia trachomatis dans les urines également. Le Quantiferon est négatif. Une nouvelle ponction de genou gauche est réalisée à l'entrée avec recherche PCR pour Bartonella sur conseil de nos collègues infectiologues. Une recherche dans le liquide articulaire pour Tropheryma whipplei, Neisseria gonorrhoeae et une bactériologie à large spectre est également effectuée. Ces examens reviennent également négatifs, hormis la recherche de gonocoque qui est encore en cours. Une IRM de l'avant-pied droit retrouve une tuméfaction des tissus mous et un petit foyer d'ostéite sans signe d'ostéomyélite. Aucune antibiothérapie n'est introduite, le patient ne présentant pas de nouvel état fébrile lors du séjour et le syndrome inflammatoire restant stable. Des hémocultures à froid sont encore en cours lors de la sortie du patient ainsi que des cultures prolongées du liquide articulaire.La première hypothèse reste celle d'une origine infectieuse chez ce patient immunosupprimé au vu de la porte d'entrée sur griffure de chat et le tableau clinique est assez atypique pour une poussée de spondylarthrite chez ce patient où l'évolution était favorable sous Cosentyx. Au vu de la stabilité clinique, et en attente des résultats des différents examens, Mr. Y peut rentrer à domicile le 10.02.2020. Il sera revu prochainement par le Dr. X en rhumatologie. Si la piste infectieuse devait finalement s'écarter avec les résultats encore en attente, nous discuterons d'une corticothérapie ponctuelle (iv) avec Mr. Y. Il sera revu dans la semaine du 17 février et peut contacter le service dans l'intervalle en cas de nouvelle péjoration. Sur le plan diabétologique, nos collègues spécialistes proposent de poursuivre la Tresiba au dosage habituel et adaptent le schéma de correction. Mr. Y, patient de 34 ans, hospitalisé du 06.02 au 10.02.2020 pour une oligoarthrite d'origine indéterminée, est à nouveau admis dans notre service en raison d'une récidive d'état fébrile et péjoration de ses arthralgies. Lors de la précédente hospitalisation, les différentes investigations n'avaient pas retrouvé de germe dans les différents prélèvements. Le diagnostic différentiel comprenant une péjoration de sa maladie rhumatologique de base, un traitement de Solu-Medrol 125 mg est administré en ambulatoire le 14.02.2020, sans réelle amélioration. Le laboratoire d'entrée montre encore un syndrome inflammatoire léger. Une nouvelle ponction de genou gauche est réalisée le 18.02.2020 retrouvant un liquide inflammatoire à prédominance lymphocytaire. Les cultures sont négatives à 2 jours. Une recherche de Pasteurella et Streptobacillus est encore en cours. Les antistreptolysines reviennent négatives, tout comme la sérologie pour la tularémie. Une sérologie de leptospirose est en cours. La recherche de gonorrhée et chlamydia urinaire est également négative. Malgré l'absence de germe sur les différents prélèvements, une origine infectieuse ne nous semble pas exclue, le tout ayant débuté avec cette griffure de chat. Même si le tableau clinique peut être compatible avec une spondylarthrite en poussées, cet épisode ne ressemble pas au tableau clinique habituel de Mr. Y qui souffre plutôt d'une forme axiale et enthésitique. Dans le doute, un traitement empirique par Co-amoxicilline 2.2 g i.v. 4x/j est introduit avec amélioration lente de la symptomatologie. En effet, les arthrites du patient diminuent progressivement, tout comme ses douleurs. Cependant, le Cosentyx ayant été mis en pause depuis plusieurs semaines, le patient rapporte une recrudescence de ses douleurs de spondylarthrite au niveau lombaire et du bassin, mais pour l'instant, le traitement biologique reste en suspens. Au vu de la stabilité clinique, un relais per os pour Co-amoxicilline 1 g 2x/j est effectué pour une durée totale de 3 semaines. En attente des résultats, Mr. Y peut rentrer à domicile le 24.02.2020. Il sera revu en rhumatologie par le Dr. X le 02.03.2020 et peut contacter le service dans l'intervalle en cas de nouvelle péjoration. La reprise d'un traitement de fond pour le rhumatisme inflammatoire sera rediscutée par la suite. Durant le séjour, le patient rapporte une baisse de moral et être inquiet de ne pas savoir ce dont il souffre exactement. Le contexte de l'hospitalisation lui donne du temps pour réfléchir et ruminer. Le patient est volontaire et demandeur d'une aide, que nous vous laissons le soin d'organiser en ambulatoire. Mr. Y se présente aux urgences le 09.02.2020 en raison de palpitations et sudations depuis 13h40 ce jour, suite à un bref épisode de stress. A l'admission, le patient est tachycarde à 154/min et hémodynamiquement stable, avec une fibrillation auriculaire à l'ECG. Au vu de l'apparition récente en moins de 48 heures de la fibrillation auriculaire, une cardioversion est tentée par Cordarone avec un retour en rythme sinusal le 10.02.200. Mr. Y peut regagner son domicile le 10.02.2020 avec la poursuite de la Cordarone et du Xarelto, dont la durée reste à déterminer. Nous recommandons un arrêt des AINS, une consultation cardiologique avec échocardiographie transthoracique dans 3 semaines. Mr. Y, âgé de 85 ans, est hospitalisé pour lombalgie aiguë non déficitaire sur fracture de L4. Le patient consulte à 2 reprises au service des urgences en raison de lombalgies progressives depuis 1 semaine, atraumatiques. Le bilan radiologique au service des urgences constate une discopathie pluri-étagée avec fracture du plateau supérieur de L4 et absence de déficit neurologique clinique. Selon avis neurochirurgical, une IRM lombaire est réalisée, montrant une fracture récente du corps vertébral, sans critère d'instabilité, avec sténose canalaire sévère de L3 à S1 et foraminale L4-L5 bilatérale et L5-S1 à droite. Un SPINE JACK avec cyphoplastie est réalisée à titre antalgique, se déroulant sans complications notables. Une antalgie orale est de même administrée. Au vu d'une ostéoporose fracturaire, un bilan est réalisé, retrouvant un hypoandrogénisme, qui n'est en fait pas interprétable dans le contexte aigu avec traitement opiacé. Un suivi à distance n'est pas indiqué. Une gammapathie monoclonale est écartée. Une densitométrie osseuse est prévue en ambulatoire, avec suivi rhumatologique ultérieur. Un traitement antirésorbeur est indiqué et nous vous laissons le soin de le débuter en ambulatoire ou il pourra être débuté par les collègues rhumatologues. Enfin, une substitution par Calcimagon est introduite en prévention. Sur le plan hépatique, une cholestase motive la réalisation d'un US abdominal, ne retrouvant pas d'anomalie notable, avec suivi biologique indiqué en séjour de réadaptation. Sur le plan rénal, au vu de douleurs évocatrices de colique néphrétique, dans un contexte de pyélonéphrite récemment traitée, un uro-CT est motivé, montrant des lithiases calicielles à gauche, sans visualisation de calcul le long des voies urinaires en aval, avec symptomatologie progressivement résolutive. L'évolution clinique est favorable, permettant un transfert en réadaptation gériatrique à Tavel le 20.02.2020 pour l'entraînement à la marche. Mr. Y présente une coxarthrose bilatérale prédominante à droite avec une fonction de la hanche encore bonne. Il présente également une gonarthrose tri-compartimentale associée à une chondrocalcinose avancée mais le patient est très peu symptomatique. C'est pour cette raison que je n'ai pas de proposition thérapeutique pour l'instant. Si les douleurs devraient s'accentuer en regard du genou, on pourrait éventuellement faire une infiltration par Cortisone. Le patient va réfléchir et me recontactera en cas de besoin. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Mr. Y, 43 ans, est hospitalisé pour le bilan et le traitement d'un lymphome de Burkitt, EBV positif, diagnostiqué le 21.01.20 sur une biopsie testiculaire droite. Le patient présente de manière récurrente une tuméfaction au niveau du testicule droit depuis décembre 2019. Suite aux multiples récidives, des investigations complémentaires sont entreprises avec une orchidectomie droite pour une suspicion de maladie tumorale. Les résultats pathologiques mettent en évidence un lymphome de Burkitt, raison pour laquelle il est adressé afin de débuter une chimiothérapie. Lors de son évaluation initiale, le patient se plaint uniquement de douleurs épigastriques, et l'examen clinique est sans particularité. Nous complétons le bilan par un PET-CT qui retrouve une atteinte ganglionnaire diffuse avec notamment une infiltration intestinale du lymphome. Une IRM cérébrale ne montre pas d'atteinte intra-crânienne et la cytologie de la PL ne met pas en évidence de cellule maligne. Une chimiothérapie par R-Codox-M (Cf TIPs) est débutée de manière différée afin de diminuer le risque de perforation intestinale. Il bénéficie d'un traitement intrathécal. Le patient tolère relativement bien la chimiothérapie, avec notamment l'absence de syndrome de lyse. Il présente toutefois un taux supra-thérapeutique de méthotrexate à 84 heures, qui se corrige avec une majoration du leucovorin. Le traitement est également marqué par deux épisodes d'agranulocytose de très courte durée, sans complication infectieuse notable.Un bilan infectiologique sommaire retrouve une infection VIH nouvelle, en stade SIDA d'emblée au vu de sa maladie oncologique. La virémie initiale est à 302000 copies/ml et les CD4 sont à 0.445 G/l. Un traitement de trithérapie est rapidement initié sous avis infectiologique et adapté en fonction du profil de résistance du virus. Il sort sous trithérapie par Biktarvy. Au niveau infectiologique, nous retrouvons une hépatite B ancienne. Au vu d'un traitement VIH couvrant également ce virus (Tenofovir), nos collègues d'infectiologie ne préconisent pas de suivi de la virémie lors des prochaines chimiothérapies tant que le patient prend son traitement anti-VIH correctement. Au cours de son hospitalisation, le patient remarque des hémorroïdes externes douloureuses, qui nécessitent un traitement local, à réévaluer lors de la prochaine hospitalisation. Au niveau cardiologique, nous vous laissons le soin d'organiser une ETT et une ergométrie de contrôle à une année en raison de l'hypertrophie ventriculaire mise en évidence lors du bilan pré-chimiothérapeutique. Au vu de sa bonne évolution, le patient peut rentrer à domicile le 24.02.2020, avec des suites planifiées en ambulatoire en oncologie, puis une nouvelle hospitalisation pour la suite de chimiothérapie par IVAC le 02.03.2020. Mr. Y, 45 ans, est hospitalisé pour une deuxième thérapie à l'iode radioactif dans le contexte sus-mentionné, qui se déroule sans complications. Le rapport de la scintigraphie de contrôle est encore en cours. Mr. Y rentre à domicile le 05.02.2020. Mr. Y est un patient âgé de 76 ans, connu pour une hypertension artérielle traitée ainsi qu'une diverticulose sigmoïdienne et une hernie inguinale bilatérale, qui consulte aux urgences en raison de douleurs de l'hémi-abdomen droit d'apparition progressive depuis le 29.01.2020 dans l'après-midi, de type crampiforme, évaluées à 8/10, sans irradiation. Le patient ne signale ni fièvre, ni frisson, ni symptôme urinaire ou autre trouble du transit. À noter que le patient est au bénéfice d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g - 2 x/jour per os depuis le 25.01.2020 en raison d'ulcères multiples surinfectés du membre inférieur droit bilanisés en angiologie le 22.01.2020. À l'examen clinique d'entrée, on retrouve un abdomen souple avec une palpation douloureuse au niveau de l'hémi-abdomen droit, principalement au niveau de l'hypocondre droit, sans défense ni détente, un signe de Murphy négatif. Les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en intensité. Le reste du statut est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire, avec une CRP à 35 mg/l et des leucocytes à 11.2 G/l, une absence de perturbation des tests hépato-pancréatiques et une fonction rénale conservée. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Nous réalisons un CT abdominal qui montre des signes de cholécystite débutante, sans lithiase biliaire visualisée, ainsi qu'une hernie inguinale bilatérale sans signe de souffrance intestinale, un léger épaississement du côlon sigmoïde sans infiltration de la graisse, une minime lésion tissulaire du rein droit, sans calcul rénal, et l'absence de signe de diverticulite. Durant son séjour aux urgences, le patient présente un état fébrile mesuré à 39,5°C, raison pour laquelle deux paires d'hémocultures sont effectuées, qui reviendront négatives après 5 jours, et une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Métronidazole 500 mg - 3 x/jour est initiée. Au vu de la clinique et des paramètres biologiques, le patient est hospitalisé en chirurgie, avec poursuite de l'antibiothérapie, et il bénéficie le lendemain de l'admission, le 30.01.2020, d'une cholécystectomie par voie laparoscopique. Durant l'intervention, un drain de Jackson est placé au niveau de l'hypocondre droit, qui ramène au décours un liquide biliaire dès le 02.02.2020, raison pour laquelle ce drain est laissé en place à la sortie de l'hôpital. À noter que durant l'hospitalisation, les ulcères du membre inférieur droit sont pris en charge par des pansements quotidiens selon le protocole établi par le Dr. X, angiologue, en date du 22.01.2020, et une prise en charge en stomathérapie est demandée, avec un rendez-vous prévu le 07.02.2020 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Pendant le séjour, les paramètres cliniques et biologiques s'améliorent sur le plan abdominal avec toujours un drainage ramenant environ 50 ml/24h, motivant le maintien du drain à la sortie du patient. Mr. Y regagne son domicile le 04.02.2020. Il sera revu à la policlinique de chirurgie le 06.02.2020 pour contrôle des plaies et du drain, avec plus ou moins retrait de ce dernier selon la quantité de liquide prélevée. Il sera par la suite revu à la consultation du Dr. X le 12.02.2020 pour ablation des fils et contrôle des plaies opératoires. Mr. Y est un patient de 70 ans qui nous est adressé pour une réhabilitation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé le 15.01.2020 en médecine interne à Fribourg pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur grippe à Influenza A avec probable composante de surinfection bactérienne traitée par Co-Amoxicilline du 15.01.2020 au 22.01.2020 et Clarithromycine du 15.01.2020 au 18.01.2020. À noter également que le patient est tombé 48h avant cette hospitalisation et que cette chute s'est compliquée par une rhabdomyolyse. Concernant l'hypertension, les traitements de Co-Diovan ainsi que le Physiotens sont en suspens depuis son séjour en médecine. En raison d'un profil tensionnel satisfaisant, nous décidons de ne pas les reprendre. Sur le plan respiratoire, le patient présente à l'entrée une persistance de la toux grasse sans expectoration. Nous introduisons alors un traitement de Fluimicil pendant quelques jours ainsi que de la physiothérapie avec une bonne évolution. Concernant l'anémie, nous mettons en place une substitution en fer par voie orale avec Tardyferon que nous vous proposons de réévaluer en ambulatoire. Au vu de la présence d'une anémie hypochrome ferriprive, des hémofecatests pourraient être proposés également en ambulatoire. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'une canne est de 120 mètres. Le patient nécessite un peu d'aide pour les soins. Les escaliers et le TUG ne peuvent pas être effectués en raison de l'isolement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 88/126 par rapport à 77/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 1/7). En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation et d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel ne met pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique. Sur le plan thymique, Mr. Y ne décrit pas d'idées noires ni suicidaires mais dit être quelqu'un de bileux qui peut parfois dire quand il a un souci que pour lui c'est la corde ou le fusil, et rajoute qu'il n'a jamais pensé le faire réellement.Le 04.02.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : • 2x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, • 1x/semaine pour le semainier, • 2x/jour pour la glycémie et l'insuline, • tous les 3 jours pour le pansement, • 2x/jour pour les soins de base. Mr. Y, 63 ans, est réhospitalisé le 27.01.2020 suite à des troubles de la parole, avec une dysphasie et un discours incohérent d'une durée de 10 min sans déficit sensitivo-moteur. Il est connu pour un adénocarcinome du corps gastrique et de l'antre de stade IV avec métastases hépatiques, embolie septique pulmonaire lobe basal droit avec excavation, compliqué d'une zone de nécrose au niveau de la lingula le 24.07.2019. Il a présenté un choc septique en raison d'une tumeur digestive abcédante le 08.07.2019. Le CT cérébral met en évidence deux lésions au niveau pariétal et occipital motivant une IRM qui révèle de multiples AVC ischémiques d'âges différents, dans l'hémisphère cérébral droit, hémisphère cérébral gauche ainsi que dans le cervelet (lésion subaiguë dans l'hémisphère cérébral droit, lésion aiguë dans l'hémisphère cérébral gauche et des lésions mixtes dans les hémisphères cérébelleux). Cela fait évoquer une origine cardio-embolique aux multiples ischémies. Nous demandons un avis auprès de la Dr. X (infectiologue) qui préconise de débuter une antibiothérapie par Co-amoxicilline 2,2 g 6x/jour et Fluconazole 800 mg/j pour suspicion d'emboles septiques. Une échocardiographie transthoracique est réalisée le 30.01.2020 par le Dr. X, une source cardioembolique aux multiples lésions cérébrales ne peut alors pas être exclue. Le 29.01.2020 au soir, le patient présente un hémisyndrome caractérisé par une hémiplégie droite et une héminégligence droite d'apparition brutale avec diminution de la sensibilité tactile. Babinski positif à droite. Il présente également une hyperspasticité droite rendant la marche impossible, probablement sur un nouvel événement thrombo-embolique. Suite à la discussion avec l'oncologue (Dr. X) et les soins intensifs (Dr. X), une attitude palliative est décidée devant cette situation oncologique dépassée avec un syndrome de Trousseau extrêmement actif qui laisse présager un pronostic pauvre. Un colloque de famille est organisé le 29.01.2020 pour discuter de la suite de la prise en charge. L'attitude est claire avec une mise en place de soins palliatifs en accord avec la famille, chez un patient présentant une dégradation de son état général. Nous arrêtons par conséquent les investigations médicales et nous introduisons des soins de confort exclusifs à partir du 29.01.2020. Mr. Y décède paisiblement dans le service de médecine interne entouré par sa famille le 05.02.2020. Mr. Y, patient de 54 ans connu pour une maladie de Crohn depuis l'âge de 25 ans, jamais suivi par un gastroentérologue, se présente aux urgences de l'HFR Riaz le 19.02.2020 en raison de diarrhées avec incontinence sphinctérienne ainsi qu'un épisode de vomissements depuis le soir du 19.02.2020. Pour rappel, le patient avait été opéré en 2018 à l'HFR Riaz en raison d'une fistule péri-anale. À son arrivée aux urgences, le patient décrit aussi une constipation depuis 4 jours, traitée par de l'Optifibre, en association avec la prise de Tramal et de Paracétamol pour une élongation musculaire. En plus des diarrhées et du vomissement, le patient décrit des douleurs abdominales diffuses depuis le matin du 19.02.2020. Pas de sang dans les selles. Au status, hormis un état fébrile à 38,6 °C, le patient est hémodynamiquement stable avec des paramètres vitaux dans la norme et un état général conservé. L'auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité. Sur le plan abdominal, nous retrouvons des borborygmes normaux en fréquence et tonalité, un abdomen souple et indolore à la palpation, pas de défense ni de détente. Au toucher rectal, très douloureux, nous mettons en évidence un déficit sphinctérien léger avec une perte involontaire de selles liquides, aucune masse n'est palpée. À l'inspection de la marge anale, 5 orifices fistulaires (à 3h00, à 9h00, à 10h00, à 11h00 et à 12h00) sont visibles avec fil de Seton en place et évacuation spontanée de liquide purulent. En rinçant la fistule à 12h00, deux nouveaux points de sortie en regard du scrotum peuvent être mis en évidence. De plus, la marge anale droite présente des signes d'infection avec une palpation hyper-douloureuse ainsi qu'une tuméfaction et une rougeur. La cavité orale est sans particularité. Le bilan biologique initial montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 296 mg/l et une insuffisance rénale. En raison de l'insuffisance rénale, nous procédons à une hydratation intraveineuse avec une résolution complète le 21.02.2020. Au vu du syndrome inflammatoire avec probable origine abdominale, nous couvrons le patient avec une antibiothérapie par Métronidazole et Ceftriaxone. En collaboration avec la Dr. X, infectiologue, nous poursuivons cette thérapie aussi après une première hémoculture revenant positive à 1 jour, montrant des Staphylocoques warneri. À la recherche d'un abcès, nous effectuons une IRM pelvienne avec des séquences DWI qui met en évidence un abcès en fer à cheval autour de la partie supérieure du sphincter anal interne avec 4 trajets fistuleux. Au niveau radiologique, pas d'élément pour de nouvelles fistules. Le diagnostic d'abcès est non confirmé par les chirurgiens. Mr. Y est alors transféré depuis le service de médecine dans le service de chirurgie pour suite de la prise en charge. Durant son hospitalisation, nous poursuivons les rinçages avec H2O2. Le patient évolue favorablement, tant sur le plan clinique que biologique, avec notamment une grande amélioration du syndrome inflammatoire avec une CRP à 26 mg/l, sans leucocytose, lors du contrôle le 24.02.2020. Le 25.02.2020, Mr. Y peut retourner à domicile où il poursuivra l'antibiothérapie par voie orale à raison de Ciprofloxacine 2 x 500 mg/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour jusqu'au 28.02.2020 inclus.Le bilan biologique initial montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 296 mg/l et une insuffisance rénale. En raison de l'insuffisance rénale, nous procédons à une hydratation intraveineuse avec une résolution complète le 21.02.2020. Au vu du syndrome inflammatoire de probable origine abdominale, nous couvrons le patient avec une antibiothérapie par Métronidazole et Ceftriaxone. En collaboration avec le Dr. X, consultante en infectiologie, nous poursuivons cette thérapie également après une première hémoculture revenant positive à 1 jour, montrant des Staphylocoques warneri. À la recherche d'un abcès, nous effectuons une IRM pelvienne avec des séquences DWI qui met en évidence un abcès en fer à cheval autour de la partie supérieure du sphincter anal interne avec 4 trajets fistuleux. Au niveau radiologique, pas d'élément pour des nouvelles fistules. Après discussion avec le Dr. X, nous transférons Mr. Y dans le service de chirurgie le 21.02.2020 pour la suite de la prise en charge. Nous nous tenons à votre entière disposition pour ce qui concerne la prise de contact avec le service de gastroentérologie et pour la suite de la prise en charge de la maladie à long terme. Mr. Y, 66 ans, est hospitalisé suite à une baisse de son état général avec un état fébrile. Le bilan radiologique effectué à l'entrée parle en faveur d'une pneumonie communautaire et motive l'introduction d'une antibiothérapie pour une durée totale de 5 jours. L'évolution clinique et biologique est favorable. Le patient rentre à domicile le 20.02.2020, avec introduction des soins à domicile à 1 fois/jour. Des brochures pour l'inscription en centre de jours sont fournies à l'épouse de Mr. Y. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé aux soins intensifs dans les suites d'un AVC hémorragique des noyaux gris centraux droits. Le patient est retrouvé par sa famille au sol dans sa salle de bain le 19.01.2020, avec perte des urines et de selles et une amnésie circonstancielle. La dernière preuve de bonne santé date du 17.01.2020. À l'arrivée aux urgences, il présente un état confusionnel caractérisé par une agitation et une désorientation spatiale. On note un très discret hémisyndrome moteur G brachio-crural avec un NIHSS à 1. Le CT cérébral montre une hémorragie intraparenchymateuse dans les noyaux gris centraux droits. Le traitement d'Aspirine Cardio est stoppé. Une origine hypertensive est suspectée, raison pour laquelle le traitement antihypertenseur est adapté à la hausse. Le 20.01.2020, l'état de conscience du patient se péjore avec l'apparition d'une somnolence. Le CT cérébral de contrôle est stable, l'EEG montre un ralentissement aspécifique. Nous retenons l'hémorragie cérébrale, l'état confusionnel aigu et un traitement d'Haldol comme cause des troubles de l'état de conscience. L'évolution est progressivement favorable par la suite, sur le plan de l'état de conscience et de l'état confusionnel aigu. Il persiste malgré tout une certaine désorientation spatio-temporelle en fin de séjour. Les discrets déficits neurologiques moteurs restent stables durant l'hospitalisation. Les traitements de physiothérapie et d'ergothérapie permettent l'amélioration de la mobilisation. Un CT thoracique le 20.01.2020 révèle des embolies pulmonaires segmentaires gauches. Un filtre cave est posé le 20.01.2020 dans le contexte de l'hémorragie cérébrale. Une anticoagulation thérapeutique est introduite dès le 12.02.2020 sur avis neurologique. L'ablation du filtre cave sera à organiser 15 jours après cette anticoagulation en cas d'absence de récidive hémorragique. Une hypoxémie persiste dans le contexte des embolies pulmonaires, avec une possible composante chronique, au vu de l'excellente tolérance du patient. Une échocardiographie transthoracique révèle des signes d'HTAP. Une pneumonie par broncho-aspiration est traitée le 20.01.2020 par Co-Amoxicilline. L'évolution initialement défavorable motive un relais par Pipéracilline-Tazobactam. L'état du patient s'améliore par la suite. Des états fébriles fluctuants sans nouveau foyer clinique sont observés, sans syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, nous changeons le cystofix le 27.01.2020 en suspectant une éventuelle infection urinaire. Finalement, nous retenons une origine centrale à ces états fébriles et n'effectuons pas plus d'investigations dans ce sens. Concernant le cancer de la prostate, la situation est suivie par le Dr. X et le prochain rendez-vous est agendé le 09.06.2020. Vu l'évolution favorable, Mr. Y est reclassé le 06.02.2020 dans l'attente d'un transfert à Riaz pour une réadaptation gériatrique. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 67 ans, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire partielle dans le contexte d'une exacerbation BPCO. À l'admission, il rapporte avoir eu une péjoration de sa dyspnée avec augmentation du besoin en oxygène à domicile ainsi qu'une toux nouvelle, sans changement des expectorations. L'examen clinique révèle des sibilances pulmonaires diffuses. La radiographie de thorax ne montre pas de foyer constitué. Le bilan biologique montre une insuffisance respiratoire partielle. Le traitement antibiotique et corticothérapie débutés par le médecin traitant sont poursuivis avec ajout d'inhalation supplémentaire et de physiothérapie respiratoire. L'évolution est favorable, ce qui permet une diminution du besoin d'oxygène et un retour à domicile le 03.02.2020. Mr. Y est un patient de 65 ans connu pour un carcinome pancréatique qui se présente aux urgences pour un état fébrile. Pour rappel, ce patient a bénéficié d'une chimiothérapie arrêtée récemment suite à des effets secondaires et ne bénéficie actuellement plus de traitement oncologique. La situation palliative est acceptée par le patient. Il présente une asthénie depuis plusieurs semaines, une anasarque et constate un état fébrile. Suivant le conseil donné lors de la précédente hospitalisation, il consulte aux urgences. Sur le plan infectieux, une hémoculture prélevée sur port-à-cath met en évidence une bactériémie à E. coli. En absence de foyer abdominal et urinaire, le diagnostic retenu est une infection du port-à-cath. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par ceftriaxone intraveineux jusqu'à l'ablation du port-à-cath puis d'un relais par ciprofloxacine per os pour une durée de 14 jours. Par ailleurs, nous optimisons le traitement diurétique et parvenons à stabiliser le poids, toutefois sans parvenir à résoudre la situation ascitique. Un traitement complexe de médecine palliative a été réalisé durant l'hospitalisation afin d'optimiser la récupération d'autonomie du patient. Ce dernier bénéficie d'un programme de physiothérapie intensive, d'un suivi diététique, ergothérapeutique et spirituel. Le patient rentre à domicile le 27.02.2020. Mr. Y est un patient de 85 ans qui se présente aux urgences pour une dyspnée et une orthopnée en péjoration associées à des oedèmes des membres inférieurs importants en évolution depuis 2-3 mois selon lui. Aux urgences, le bilan met en évidence une insuffisance rénale sévère avec une hyperkaliémie, une acidose métabolique et une surcharge volémique ainsi qu'une désaturation à 84% à l'air ambiant, dans le cadre de la surcharge ainsi que d'un épanchement pleural droit important. Mr. Y est également en fibrillation auriculaire (le patient est connu pour une fibrillation auriculaire permanente anticoagulée par Sintrom). Mr. Y reçoit de l'insuline/glucose ainsi que du Resonium, puis est adressé aux soins intensifs pour la suite de sa prise en charge.L'insuffisance rénale, bilanée par CT, met en évidence une origine post-rénale sur un cancer prostatique métastatique et le syndrome cardio-rénal dans le contexte de la décompensation cardiaque. L'hyperkaliémie est contrôlée avec l'administration des schémas d'insuline/glucose. Une reprise de diurèse est permise par la levée d'obstacle et la pose d'une sonde vésicale. Le patient présente une acidose mixte, métabolique et respiratoire. La composante respiratoire est attribuée à une paralysie diaphragmatique sur une infiltration du nerf phrénique par tumeur, dénutrition et surcharge volémique. Mr. Y refuse catégoriquement un traitement par dialyse et une ventilation non invasive en raison de sa claustrophobie. La décompensation cardiaque globale est attribuée à la fibrillation auriculaire permanente accélérée ainsi que l'insuffisance tricuspidienne et mitrale importantes. L'US cardiaque met en évidence une cardiopathie hypertrophique avec une FEVG à 30%. La Furosemide permet initialement un bon contrôle de la volémie. Le diagnostic de cancer prostatique métastatique au niveau osseux (et pulmonaire) est retenu chez ce patient présentant au scanner de volumineuses adénopathies pelviennes bilatérales et médiastinales ainsi qu'une lésion ostéocondensante dans l'arc latéral de la 7ème côte gauche et des épanchements pleuraux bilatéraux. Un dosage de PSA révèle un taux très élevé à 738,2 ng/l. Une ponction pleurale à but diagnostique est réalisée le 14.01.2020 qui permet le retrait de 2L d'un transsudat dont la cytologie montre des cellules néoplasiques d'origine prostatique (diagnostic différentiel : urothélial). L'attitude oncologique est discutée au tumorboard du 15.01.2020 mais nous décidons, au vu de l'évolution de la situation globale, d'une attitude conservatrice avec des soins de confort, ce qui paraît le plus adapté. La situation est expliquée à la famille qui est d'accord avec la prise en charge. À son entrée en gériatrie, le laboratoire met en évidence une hypernatrémie à 154 mmol/l. Malgré des signes de surcharge, Mr. Y paraît hypovolémique au vu de sa sécheresse buccale et cutanée, nous introduisons alors une perfusion de glucose 5%. Pendant son séjour, Mr. Y présente une dyspnée aiguë avec une désaturation à 87% nécessitant la reprise de l'oxygénothérapie à 3L. Le patient présente des signes de surcharge importants (œdèmes des membres inférieurs jusqu'aux cuisses et râles pulmonaires jusqu'à mi-plage), nous suspectons alors un œdème aigu des poumons et nous administrons un traitement de Furosemide en intraveineux. Une embolie pulmonaire n'étant pas exclue, nous décidons également de reprendre l'anticoagulation avec une pompe héparine en intraveineux. L'ECG réalisé retrouve une fibrillation auriculaire rapide. La radiographie du thorax retrouve des épanchements bilatéraux. Le Doppler des membres inférieurs ne retrouve pas de thrombose veineuse profonde. Nous ne réalisons pas de CT thoracique injecté en raison de l'insuffisance rénale sévère. Malgré les traitements mis en place, l'état général de Mr. Y se dégrade rapidement et il décède le 26.01.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs dans le contexte d'une coagulation intravasculaire disséminée sévère, avec emboles et thromboses multiples. Ce patient de 81 ans, connu pour un purpura thrombocytopénique idiopathique suivi par le Dr. X sous traitement de Revolade, a été hospitalisé du 31.01 au 03.02.2020 pour une thrombose veineuse profonde proximale du membre inférieur gauche traitée par Xarelto. Le 08.02.2020, il présente une dyspnée aiguë motivant sa consultation aux urgences où un CT thoracique met en évidence des embolies pulmonaires segmentaires droites. Le bilan hématologique retrouve une thrombocytopénie à 35 G/l. Sur avis hématologique, une anticoagulation prudente est entreprise, initialement par Héparine, associée à un traitement d'immunoglobuline. Le 09.02, en raison d'une suspicion de thrombopénie induite par l'héparine, celle-ci est stoppée au profit d'une anticoagulation intraveineuse par Argatroban. Un CT thoraco-abdominal réalisé le 10.02.2020 montre de multiples thromboses et emboles (thrombose veineuse mésentérique, thrombose portale sous-segmentaire dans le segment hépatique VIII, ischémie rénale bilatérale, ischémie surrénalienne droite). Nous retenons le diagnostic de coagulation intravasculaire disséminée, dont l'origine n'est pas identifiée. Le bilan est complété par le dosage des anticorps anti-PF4 et le HIPA, qui permet d'exclure une thrombopénie induite par l'héparine. Les anticorps anti-phospholipides reviennent également négatifs. En raison de la persistance de la thrombocytopénie, une première cure de rituximab est administrée le 11.02. dans le but de remonter le taux plaquettaire. Le traitement sera poursuivi 1x/semaine pour une durée totale de 4 semaines. Le 09.02.2020, le patient présente une douleur thoracique transfixiante, avec à l'ECG des sus-décalages ST et des troponines positives, compatibles avec un STEMI. Au vu du contexte hématologique, une coronarographie n'est pas effectuée. L'ETT montre une fonction conservée à 50% mais avec une hypokinésie postérieure et inféro-apicale. La réalisation d'une coronarographie est à rediscuter selon l'évolution hématologique. Un bilan angiologique effectué le 14.02.2020 montre l'apparition d'une nouvelle thrombose au niveau de la grande veine saphène droite jusqu'à la limite de la veine fémorale commune, avec début de recanalisation des anciennes thromboses. Un suivi angiologique est à prévoir le 18.02.2020. L'anticoagulation thérapeutique par Argatroban est poursuivie avec un cible PTT à 50-60s. Un relais par Eliquis est à prévoir selon l'évolution et sur avis hématologique (à rediscuter si Tc>50 G/L et d-dimères <20'000). Le patient est transféré en médecine interne pour suite de la prise en charge le 15.02.2020. Mr. Y, 81 ans, est adressé pour une hospitalisation par le Dr. X et le Dr. X suite à la découverte d'une thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit, survenue dans le contexte d'une récidive d'un purpura thrombocytopénique idiopathique avec thrombopénie actuelle à 63 G/l. À noter qu'il y a 2 semaines, le patient présentait une thrombocytose à > 600 G/l ayant motivé une diminution de son traitement habituel par Revolade (à 37,5 mg/j), qui a été ensuite réaugmenté il y a 3 jours (à 100 mg/j) devant des thrombocytes à 100 G/l. Actuellement, Mr. Y décrit des douleurs du membre inférieur droit non insomniantes, survenues depuis 2 jours. La thrombose a été diagnostiquée dans ce contexte par le Dr. X. Il est connu pour des antécédents thrombo-emboliques en 2018, survenus également dans le contexte d'une réactivation de sa maladie hématologique. Un traitement par Xarelto avait été donné à l'époque. Un traitement par Xarelto à dose thérapeutique est réintroduit et le patient bénéficie d'un suivi quotidien des plaquettes durant son séjour hospitalier. Celles-ci restent stables et l'évolution clinique est favorable. Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.02.2020 avec une consultation chez le Dr. X le 06.02.2020.Mr. Y, 54 ans, a été transféré le 05.02.2020 aux soins intensifs pour une hémoptysie récidivante dans le contexte d'une métastase pulmonaire hilaire gauche d'un carcinome épidermoïde laryngé droit. Il a présenté plusieurs épisodes d'hémoptysie mineure depuis une semaine dans un contexte de métastase récidivante hilaire gauche du carcinome épidermoïde connu, infiltrant le médiastin et engainant la crosse aortique. L'hémoptysie d'une quantité plus importante le 06.02.2020 a motivé son admission aux soins intensifs. La bronchoscopie effectuée le 07.02.2020 par le Dr. X a mis en évidence une masse bourgeonnante dans la bronche souche gauche, au niveau de la suture de la bronche supérieure, qui semble créer une fistule broncho-pulmonaire. Il n'y avait pas de saignement actif, mais des sécrétions purulentes et hémorragiques (coagulées) bilatérales. La muqueuse saigne au moindre contact. Un traitement endoscopique par laser argon et instillation d'adrénaline a été effectué. Après discussion multidisciplinaire, la suite du traitement sera agendée sous forme de radiothérapie hémostatique à partir du 07.02.2020. Vu l'évolution oncologique et l'aspect de la lésion, aucun traitement chirurgical ni endovasculaire ne pourrait être proposé, ni de manière prophylactique ni de manière salvatrice en cas d'hémoptysie massive. Le traitement antifibrinolytique systémique et topique est à poursuivre en cas d'hémoptysie récidivante mineure. Le patient a été transféré le 07.02.2020 dans le service de médecine. Mr. Y, 54 ans, est hospitalisé pour des hémoptysies récidivantes dans le contexte d'une métastase pulmonaire hilaire gauche infiltrant le médiastin et engainant la crosse aortique d'un carcinome épidermoïde laryngé droit. Le patient a présenté plusieurs épisodes d'hémoptysies mineures durant la semaine précédant son hospitalisation. Une hémoptysie d'une quantité plus importante le 06.02.2020 a motivé son admission aux soins intensifs. Une bronchoscopie effectuée le 07.02.2020 met en évidence une masse bourgeonnante dans la bronche souche gauche, au niveau de la suture de la bronche supérieure, qui semble créer une fistule broncho-pulmonaire. Il n'y a pas de saignement actif, mais des sécrétions purulentes et hémorragiques bilatérales. Un traitement endoscopique par laser argon et instillation d'adrénaline est effectué. Les cultures d'aspiration bronchique révèlent une abondance de Staphylococcus aureus et quelques Pseudomonas aeruginosa, raison pour laquelle nous modifions l'antibioprophylaxie post-bronchoscopie de co-amoxicilline par de la lévofloxacine selon avis infectiologique. Le patient est transféré le 07.02.2020 dans le service de médecine. Après discussion multidisciplinaire, une radiothérapie hémostatique a été débutée à partir du 07.02.2020 et sera continuée pour 10 séances. Une chimiothérapie concomitante par carboplatine hebdomadaire a également été débutée. Au vu de l'évolution oncologique et de l'aspect de la lésion, aucun traitement chirurgical ni endovasculaire ne peut être envisagé en cas d'hémoptysie massive. Lors de son hospitalisation, Mr. Y présente des douleurs abdominales diffuses progressives nécessitant l'introduction d'une antalgie par opiacés. Au vu d'une clinique de subiléus, nous organisons un CT-scan qui permet d'exclure un iléus. Trois lésions rénales droites hypodenses et un micronodule pulmonaire nouveaux ont également été mis en évidence et seront bilantés en oncologie. Le patient peut rentrer à domicile en état général conservé le 13.02.2020. Un protocole d'urgence a été proposé et sera administré en cas d'hémoptysie massive et d'étouffement à domicile par la soeur de Mr. Y. Le patient ne désire pour le moment pas de suivi par Voltigo. Mr. Y, 62 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour bénéficier d'une extraction d'un adénome parathyroïdien droit et de l'excision d'un lipome sous-cutané thoracique le 25.02.2020. Les interventions se déroulent sans complication. Les suites opératoires sont simples avec une surveillance clinique et biologique sans particularité. Au vu de l'évolution favorable, nous laissons le patient rentrer à domicile le 26.02.2020 avec un contrôle à la consultation du Dr. X dans 4 semaines. Mr. Y, connu pour un carcinome de la vessie traité par TURP en janvier 2020, est hospitalisé dans le contexte d'un AVC ischémique aigu sylvien D. Pour rappel, il a présenté un hémisyndrome sensitivo-moteur gauche alors qu'il était chez des amis, il rentre à domicile et remarque qu'il ne peut pas enfiler sa veste. Son fils l'amène aux urgences de Riaz vers 18h. Aux urgences, on objective une chute du bras G, une hypoesthésie du membre inférieur G et une dysmétrie au talon-genou G. Les symptômes se résolvent spontanément après 6h. Le CT cérébral ne révèle pas de lésion. L'IRM cérébrale révèle des lésions aiguës constituées de même âge dans le territoire sylvien D. Il est hospitalisé en lit non monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une dose de charge d'aspirine 500 mg. Sur le plan étiologique, nous retenons une origine athérosclérotique, au vu d'une athérosclérose marquée dans le segment intra-pétreux de l'ACI droite. L'échocardiographie transthoracique ne rapporte pas de dilatation de l'oreillette gauche, de trouble de la contractilité ni de valvulopathie. Un Holter de 72 h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un trouble du rythme doit néanmoins être exclu, un R-test en ambulatoire doit être effectué en cas de Holter négatif. Sur le plan médicamenteux, une double anti-agrégation est introduite par aspirine 100 mg et clopidogrel 75 mg à poursuivre au long cours. Nous majorons le traitement d'atorvastatine à 60 mg/j et vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou > 50% de diminution des LDL). Durant l'hospitalisation, le patient présente une tension artérielle dans les valeurs supérieures de la norme, nous vous proposons de suivre la TA et le cas échéant d'introduire un traitement antihypertenseur (la cible recommandée étant < 130/80 mmHg). Le bilan neuropsychologique est normal. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Nous expliquons au patient les mesures d'hygiène afin de réduire les risques de récidive, notamment l'arrêt du tabagisme et la diminution de la consommation d'alcool. Nous avons également abordé la consommation d'alcool et l'avons mis en garde à plusieurs reprises concernant la conduite automobile et cette consommation. Mr. Y présente une ronchopathie et nous proposons d'effectuer une polygraphie ambulatoirement pour rechercher un SAOS. Une consultation neurovasculaire avec un doppler des vaisseaux pré-cérébraux est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est stable avec un statut neurologique de sortie rapportant une ataxie mineure du membre supérieur gauche. Mr. Y peut regagner son domicile le 18.02.2020. Un arrêt de travail de 2 semaines a été effectué. Mr. Y, 66 ans, a été admis aux soins intensifs suite à une explantation de PTH gauche infectée par Streptococcus dysgalactiae. Le patient est connu pour une maladie de Crohn et de Verneuil avec une fistule anale chronique. Il a déjà fait deux infections de prothèse de hanche dans le passé à gauche (Streptococcus dysgalactiae) et à droite (Staphylococcus aureus). Il a présenté depuis le 01.02.2020 un état fébrile avec douleurs des deux hanches et a été hospitalisé dans le service d'orthopédie. Une ponction articulaire des deux hanches a mis en évidence un liquide purulent du côté gauche et la microbiologie a de nouveau identifié un Streptococcus dysgalactiae. Une antibiothérapie empirique par cefepime a été débutée sur avis de l'infectiologue dès le 03.02.2020. Une explantation complète de la PTH gauche a été réalisée le 06.02.2020, avec lavage et mise en place d'un spacer imprégné de vancomycine. Suite à cette intervention, un choc septique a nécessité un soutien aminergique transitoire par noradrénaline. L'évolution est favorable et le patient a été extubé le 08.02.2020. L'antibiothérapie devra être adaptée en fonction de l'antibiogramme en cours. La pose d'une PICC-Line est à organiser au vu de la nécessité de poursuivre l'antibiothérapie au long cours.La mobilisation de la hanche gauche est limitée à 70° en flexum. Le pansement a été refait à 48 h par le chirurgien, qui décrit la plaie comme propre, et un des deux redons a été enlevé à sa demande. L'antalgie est bien contrôlée par Oxycodone. Un épaississement de la paroi du côlon ascendant, découvert au CT abdominal, pourrait être secondaire à une réactivation de la maladie de Crohn. Une colonoscopie est à organiser le 10.02.2020. Une hernie inguinale droite dans laquelle la vessie protruse a aussi été découverte fortuitement. Selon les collègues de la chirurgie générale, une incarcération avec souffrance de la paroi vésicale est peu probable. Une lésion au niveau dorsal de la main gauche, secondaire à une extravasation de la noradrénaline, a été traitée localement par l'application de crème Hemeran et nécessitera une surveillance quotidienne. Une insuffisance rénale aiguë dans le contexte septique s'est améliorée après correction volémique. Le patient a été transféré le 08.02.2020 dans le service d'orthopédie. Mr. Y, 72 ans, est hospitalisé pour une chimioembolisation de l'artère hépatique par billes chargées en Doxorubicine (Dr. X) dans un contexte de carcinome hépato-cellulaire moyennement différencié stade B selon BCLC, sans complication. Durant le séjour hospitalier, le patient présente à plusieurs reprises un état fébrile, sans piste clinique, probablement secondaire à la chimioembolisation. Les hémocultures sont négatives et le CT abdominal ne retrouve pas de complication. Le 23.02.2020, le patient présente un épisode de fibrillation auriculaire inaugurale paroxystique à réponse ventriculaire rapide. Nous hydratons le patient par voie intraveineuse ce qui permet un retour en rythme sinusal normocarde. Nous commençons un traitement par Apixaban. Nous vous recommandons d'organiser une consultation cardiologique avec ETT et holter. Le patient rentre le 26.02.2020. Mr. Y, âgé de 75 ans, est hospitalisé pour arthropathie du genou droit avec soins impossibles à domicile le 22.02.2020. Le patient présente depuis 2 semaines une gonalgie droite localisée en regard du compartiment interne, avec péjoration aiguë l'empêchant de marcher et motivant la consultation aux urgences. Le bilan d'entrée retrouve des signes d'arthrose dégénérative, sans syndrome inflammatoire biologique. Le patient est hospitalisé pour gestion de l'antalgie. Une ponction articulaire est réalisée par nos collègues rhumatologues, montrant un liquide clairement inflammatoire, avec recherche de cristaux négative. Une arthropathie microcristalline à cristaux de pyrophosphates dans un contexte de gonarthrose sous-jacente est cependant primairement retenue, sans argument clinico-anamnésique pour une crise de goutte, malgré hyperuricémie plasmatique. La culture de liquide articulaire est négative à 48 heures, permettant d'écarter une arthrite septique. Enfin, selon avis orthopédique, aucune prise en charge opératoire n'est indiquée pour la gonarthrose constatée, et une proposition de suivi ambulatoire uniquement en cas de persistance ou aggravation des symptômes est faite. Sur le plan antalgique, une antalgie orale et une infiltration intra-articulaire à base de corticostéroïdes sont réalisées, permettant une nette amélioration des symptômes et reprise de la marche. Une marche à l'aide d'un rollator et une physiothérapie en ambulatoire sont proposées afin de réduire le risque de chute. Sur le plan cardiovasculaire, la dernière pose de stent datant de 2004, le traitement par Aspirine est interrompu avec poursuite de l'anticoagulation orale seule par Apixaban. L'évolution étant favorable, Mr. Y rentre à domicile avec des soins à domicile. Mr. Y, patient de 82 ans, connu pour les antécédents sus-mentionnés, nous est transféré de la policlinique de Meyriez en raison de pétéchies au visage ainsi que pour une déshydratation attribuée à une gastro-entérite. Au bilan initial, le patient présente des troubles électrolytiques que nous substituons avec bonne évolution ainsi qu'une thrombocytopénie à 107 g/L. Une recherche étiologique des diarrhées revient positive pour une infection à Norovirus, nécessitant des mesures d'isolement. Le patient s'améliore rapidement sur le plan abdominal avec disparition des vomissements et des diarrhées. Concernant les pétéchies, nous les attribuons à l'effort des vomissements et elles disparaissent durant l'hospitalisation. Pour la thrombopénie retrouvée à l'entrée, elle s'améliore durant l'hospitalisation et nous vous laissons le soin de la recontrôler à distance. La dernière valeur d'INR datant du 06.02.2020 est de 5. Nous adaptons les valeurs de Marcoumar et vous prions de recontrôler prochainement ces valeurs. Le patient rentre en bon état général à domicile le 07.02.2020. Mr. Y, 71 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire d'une tumorectomie par pharyngo-laryngectomie partielle et évidement cervical bilatéral le 18.02.2020. Ce patient présente une nouvelle récidive locale de son carcinome ORL pour laquelle une prise en charge chirurgicale avec mise en place d'une trachéotomie est réalisée le 18.02.2020 sous anesthésie générale. En per-opératoire, le patient présente des épisodes d'hypotensions rapidement résolutifs avec la Phenylephrine. Les pertes sanguines sont peu importantes avec une hémoglobine en post-opératoire à 91 g/L. Aux soins intensifs, le patient reste hémodynamiquement stable sans soutien aminergique et sans nécessité de ventilation. Les douleurs sont gérées par paracétamol et oxycodone avec bon effet. Selon demande de l'opérateur, une antibiothérapie par co-amoxicilline est prescrite et il convient d'adopter une position en flexion du cou. La reprise d'une alimentation entérale par sonde nasogastrique sera débutée à l'étage après aval du Dr. X. L'évolution aux soins intensifs étant favorable, Mr. Y peut être transféré en chirurgie le 19.02.2020. Mr. Y, patient de 52 ans, présente depuis hier matin des douleurs au niveau du diaphragme en péjoration depuis ce matin du 11.02.2020 et irradiant vers l'FFD. Le patient se présente ce soir au service des urgences avec un état général abaissé et douleurs à 10/10 de type continue. Pas de nausée ni de vomissement. Pas de trouble du transit. Pas de troubles mictionnels. Pas de plainte respiratoire. Pas de douleurs rétro-sternaux. À l'examen clinique, nous mettons en évidence une absence de bruits abdominaux. Abdomen de bois. Défense et détente dans tous les quadrants. État fébrile associé à une inappétence. Le TR n'a pas été effectué. Dernière selle aujourd'hui, normale. Comme antécédent, nous retenons une opération d'hernie ombilicale opérée dans l'enfance. L'auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité. Pas d'allergie connue. Médicament : Condrosulf, anti-inflammatoires occasionnels.Mr. Y est un patient de 52 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge d'une appendicite aiguë perforée. En effet, il consulte les urgences de Riaz, adressé par son médecin de famille, pour des douleurs abdominales dont le bilan confirme le diagnostic d'appendicite aiguë perforée. Il est transféré à Fribourg afin de bénéficier le 12.02.2020 d'une appendicectomie par laparoscopie avec lavage de la cavité abdominale. Un traitement antibiotique est initié en intraveineux. L'évolution est alors favorable tant sur le plan clinique que paraclinique et permet un retour à domicile du patient le 16.02.2020. Mr. Y est un patient de 85 ans qui est amené aux urgences par ambulance à cause de douleurs thoraciques de type serrement vers 16h00 durant une heure. Mr. Y est traité par Co-Amoxicilline depuis 2 jours, présente une toux depuis samedi dernier avec des expectorations jaune-vert, sans fièvre ni frisson ainsi qu'une tachypnée sans cyanose. Le patient ne rapporte pas de palpitation, de syncope, de douleur abdominale, de troubles du transit ou encore de météorisme. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse dans un appartement à Broc. A son admission en gériatrie aiguë, Mr. Y est orienté et collaborant. A l'examen clinique, nous retrouvons des B1 B2 bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté, turgescence jugulaire, reflux hépato-jugulaire. Les pouls périphériques sont palpables aux 4 membres, sans œdème des membres inférieurs. Nous retrouvons une importante varicose des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, des râles crépitants bibasaux sont perçus. L'ECG ne montre pas de nouvelle anomalie par rapport au comparatif. La gazométrie montre une alcalose respiratoire avec une hypoxémie à 7.7. Le laboratoire met en évidence une CRP à 18 mg/l sans leucocytose, des D-dimères à 1530 ng/ml. Les troponines sont légèrement augmentées mais sans modification en dynamique. Nous relevons également une anémie normochrome normocytaire due à une carence martiale que nous substituons par 500 mg de Ferinject en intraveineux. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer franc. Le bilan est complété par un CT thoracique qui met en évidence un important emphysème pulmonaire, sans foyer pulmonaire, sans signe d'embolie pulmonaire. Nous retenons alors une exacerbation de la bronchopneumopathie chronique obstructive sur une probable bronchopneumonie. L'antibiothérapie est débutée par Co-Amoxicilline pour 5 jours. L'évolution est rapidement favorable sous traitement antibiotique et bronchodilatateur. L'oxygénothérapie introduite est sevrée au bout de 24h. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 17.02.2020 au 25.02.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche est de 130 mètres avec l'aide d'un rollator. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 101/126 par rapport à 78/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 2/7). Le TUG n'est pas testé. En ergothérapie, le patient bénéficie d'un entraînement à la marche afin de sécuriser ses déplacements avec le rollator et améliorer ses transferts. A sa sortie, le patient les effectue de manière autonome. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une difficulté de déglutition en lien avec des troubles cognitifs démontrés par la nécessité d'une texture adaptée pour les solides type "dysphagie normale" avec de la viande hachée finement. Une prise en charge nutritionnelle avec un enrichissement des repas et des collations entre les repas est mise en place. Mr. Y n'a pas de dénutrition avérée mais il existe un risque lié à ses troubles cognitifs et sa dysphagie. Les tests de la cognition ne sont pas effectués car le patient les refuse. Toutefois, Mr. Y reste orienté dans l'hôpital, comprend les consignes données par l'équipe médicale pour son retour à domicile. Le 25.02.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 2x/semaine pour les signes vitaux, 1x/semaine pour le semainier, 2x/jour pour les bas de contention ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y, âgé de 76 ans, connu pour adénocarcinome du pancréas et récemment hospitalisé suite à une pneumonie basale gauche, présente des douleurs basi-thoraciques gauches depuis le 22.12.2019 en péjoration, accompagnées d'une dyspnée et d'un état fébrile à 38°C. Cliniquement, nous mettons en évidence une hypoventilation pulmonaire gauche. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 100 mg/l sans leucocytose. Nous prélevons des hémocultures qui reviennent négatives. La radiographie du thorax révèle une opacité sur la plage pulmonaire gauche hormis la zone apicale. Nous complétons le bilan par un CT thoracique qui confirme la présence d'un épanchement pleural gauche avec un aspect cloisonné. Nous mettons en place un drain thoracique, avec le Dr. X, chirurgien. Nous effectuons l'analyse du liquide pleural. Les résultats reviennent positifs pour des polynucléaires (64 %), peu de cellules néoplasiques. Au vu de l'aspect plutôt infectieux des analyses du liquide pleural, nous mettons en place un traitement par Tazobac iv que nous relayons par de la Co-Amoxicilline per os pour une durée totale de 14 jours. Au vu de la bonne évolution clinique, nous retirons le drain et réalisons des radiographies de contrôle qui montrent la stabilité de l'épanchement pleural résiduel. Mr. Y peut regagner son domicile le 04.01.2020. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle clinique et biologique la semaine suivant sa sortie. Concernant le suivi oncologique, le patient sera contacté par son oncologue traitant dans un délai de 3 mois à compter de la date de sortie. Mr. Y, 65 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour la suite de la prise en charge initiée au CHUV pour un sepsis urinaire à Enterococcus faecalis. Le patient a été traité en décembre 2019 pour une endocardite à S. agalactiae avec remplacement valvulaire mitral et aortique par valves biologiques. Il présente une baisse de l'état général fin janvier, raison pour laquelle il est adressé à l'HFR Riaz. Une septicémie à E. faecalis est rapidement mise en évidence dans les hémocultures, avec un point de départ urinaire par probable colonisation d'une sonde double J à droite. Une antibiothérapie par Céfépime est débutée à l'HFR Riaz, puis sur avis infectiologique, une dose de Cubicine est administrée. En raison d'une suspicion d'endocardite des valves biologiques du patient, celui-ci est adressé au CHUV le 30.01.2020. Au CHUV, les différentes investigations, notamment échocardiographiques (ETT et ETO), ne montrent pas de signe d'endocardite. Une antibiothérapie par Amoxicilline est donnée pour une durée totale de 14 jours, avec une évolution clinico-biologique favorable. La sonde double J, en place depuis le 13.12.2019, en raison d'une hydronéphrose sur lithiase septique, est extraite le 07.02.2020 au CHUV. Le patient est réadressé dans notre service de l'HFR Fribourg le 11.02.2020. L'évolution sur le plan infectiologique est favorable. Au CHUV, un épanchement péricardique avait été visualisé lors des échographies cardiaques, avec un traitement conservateur par diurétique. A l'échographie transthoracique de contrôle dans notre service le 18.02.2020, une péricardite constrictive est mise en évidence, sans instabilité hémodynamique. Sur avis cardiologique, l'antiagrégation par Aspirine, actuellement sans indication, est stoppée avec poursuite d'une anticoagulation seule par Sintrom. Après avis auprès du service de chirurgie cardiaque du CHUV, le patient est à nouveau transféré au CHUV pour la suite de prise en charge chirurgicale.Le patient était porteur d'une sonde vésicale depuis décembre 2019 en raison d'une rétention urinaire dans un contexte d'hypertrophie prostatique. Un traitement de Duodart a été débuté, mais un sevrage de la sonde vésicale n'a pas pu être possible à multiples reprises (6x au total). Une consultation ambulatoire chez son urologue traitant, le Dr. X, sera à organiser, pour réévaluer le sevrage de la sonde vésicale à distance. Mr. Y quitte notre service le 19.02.2020 Mr. Y présente une plaie en étoile au niveau frontal droit. Après désinfection et champage, nous effectuons un débridement et une suture de la plaie avec 7 points à l'Ethilon 3.0. Le patient ne présente pas de trouble neurologique. Nous proposons un contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 15.02.2020 pour le contrôle de la plaie puis suite de la prise en charge par le médecin traitant. Mr. Y est un patient de 77 ans qui consulte les urgences pour une syncope d'origine indéterminée dans un contexte d'introduction de Temesta il y a 10 jours, avec hypotension orthostatique et déshydratation sur une diarrhée aiguë. Aux urgences, le bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 114 umol/l, une urée à 8.2 mmol/l sans troubles hydro-électrolytiques, une CRP à <5 mg/l, une leucocytose à 9.6 G/l, sans anémie avec une hémoglobine à 156 g/l. Dans le contexte de l'insuffisance rénale probablement d'origine pré-rénale, nous mettons en place une hydratation intraveineuse par 1000ml de NaCl 0,9% sur 24h. Nous effectuons un ECG qui revient superposable à celui réalisé lors de sa dernière hospitalisation. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer ni d'épanchement. À son arrivée en gériatrie aiguë, Mr. Y est normocarde, normotendu et apyrétique. Un syndrome inflammatoire avec majoration des leucocytes et augmentation de la CRP est mis en évidence. Le statut d'entrée (peu contributif en raison de l'agitation du patient) met en évidence une douleur sus-pubienne à la palpation. Nous effectuons un bladder scan à la recherche d'un éventuel globe vésical. Celui-ci met en évidence un résidu urinaire qui motive la pose d'une sonde vésicale. Nous retenons un diagnostic d'état confusionnel aigu sur globe vésical. Nous mettons en place un traitement avec Ciprofloxacine 500mg 2x/j du 05.02.2020 au 11.02.2020. L'urotube prélevé montre une présence de < 10^3 germes/ml. Les PCR des selles reviennent négatives. Au cours de son hospitalisation, nous majorons le traitement avec Quétiapine à 6.25mg 3x/jour en raison de l'état d'agitation du patient, puis nous repassons à 6.25mg 2x/jour et 1 dose de 6.25mg en réserve, puis nous ajoutons un traitement par Distraneurin 2x/j à partir du 06.02.2020 sur les conseils du Dr. X. Le traitement avec Exelon est stoppé après discussion avec le Dr. X. Le bilan sanguin retrouve une carence en vitamine D, en acide folique et phosphate, que nous substituons per os. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 04.02.2020 au 10.02.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est à volonté et le patient peut gravir 18 marches sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 41/126 par rapport à 37/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 19.2 secondes. En ergothérapie, au vu des différentes observations de l'équipe interdisciplinaire, il existe des difficultés à poser des objectifs spécifiques. Néanmoins, le patient présente une bonne mobilité. De ces faits, il n'y a pas d'intervention pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, au vu de la démence sévère, il n'y a pas d'intervention. Les tests de la cognition n'ont pas pu être effectués en raison d'une démence sévère connue. Le 14.02.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 2x/jour pour les soins de base, 2x/jour pour l'hydratation ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y, âgé de 80 ans, est amené aux urgences en ambulance le 16.01.2020, suite à une chute de son lit il y a 3 jours avec réception sur le côté droit et douleurs costales droites avec aggravation d'une dyspnée connue dans un contexte de BPCO. Le patient présente, par ailleurs, une toux grasse peu productive. Les ambulanciers mettent en évidence une saturation à 84% à l'air ambiant qui remonte à 91% sous 2 litres d'oxygène. À l'admission aux urgences, le patient est normotendu, normocarde, afébrile et sature à 75% à l'air ambiant. Nous notons, à l'examen clinique, une tachypnée, l'utilisation de la musculature accessoire avec tirages sus-claviculaires, une hypoventilation en base gauche avec râles crépitants et une palpation du gril costal droit douloureuse. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 278 mg/l sans leucocytose, une anémie avec hémoglobine à 104 g/l et une acutisation de son insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 197 umol/l. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer franc et montre le statut post-lobectomie gauche. Nous complétons les examens complémentaires par des antigènes urinaires (pneumocoque, Legionelle), une culture des expectorations et un CT thoracique qui met en évidence des séquelles de lobectomie inférieure gauche et un probable foyer pulmonaire avec bronchogramme aérien en base gauche. L'examen met également en évidence des fractures/tassements D6, D8, D10, D9 anciennes et une fracture du processus épineux D5. Nous ne notons pas la présence de fractures costales. Nous prenons avis auprès du Dr. X, orthopédiste, qui propose un traitement conservateur avec physiothérapie et sans immobilisation du dos. Concernant les fractures multiples des corps vertébraux non douloureuses, nous vous conseillons de réaliser un Dexa-scan. Nous mettons en place une hydratation, une antibiothérapie par Céfépime et une corticothérapie et Mr. Y est hospitalisé pour suite de prise en charge. Sur le plan pulmonaire, les antigènes urinaires (Pneumocoque et Legionelle) sont négatifs et la culture d'expectorations revient positive pour Staphylococcus aureus. Nous relayons par la suite le Céfépime par de la Co-amoxicilline pour une durée totale de 10 jours. Nous vous proposons de réaliser un contrôle à distance chez un pneumologue. Au vu d'un poids faible, nous prenons contact avec nos diététiciennes qui retiennent une malnutrition protéino-énergétique grave. Nous mettons en place, le temps de l'hospitalisation, une alimentation entérale. Sur le plan rénal, l'hydratation permet la normalisation de la fonction rénale. Mr. Y est transféré en réadaptation gériatrique le 04.02.2020. Mr. Y est un patient de 80 ans qui nous est adressé pour une réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé dans le service de médecine interne du 16.01.2020 au 04.02.2020 pour une décompensation de bronchopneumopathie chronique obstructive sur une pneumonie basale gauche à germe indéterminé traitée par Céfépime du 16.01.2020 au 21.01.2020 puis par Co-amoxicilline jusqu'au 26.01.2020 ainsi que Prednisone durant 5 jours. Sur le plan social, Mr. Y habite seul dans une maison. Le 07.02.2020, Mr. Y présente une désaturation à 84% et un état fébrile à 38.4°C. Nous retenons une récidive de pneumonie puis nous mettons en place un traitement de Céfépime du 07.02.2020 au 13.02.2020.Les hémocultures reviennent négatives. Une anémie normochrome normocytaire hypoproliférative à 79 g/L est mise en évidence, raison pour laquelle le patient reçoit un concentré érythrocytaire le 05.02.2020 avec une augmentation de l'hémoglobine à 90 g/L. Le toucher rectal met en évidence du méléna, raison pour laquelle nous mettons en place un traitement de Nexium 40 mg 2x/j. Vu qu'il n'y a aucune récidive durant le séjour et que le taux d'hémoglobine reste stable, nous vous laissons le soin d'organiser un bilan endoscopique en ambulatoire. La substitution en acide folique et en vitamine B12 est mise en suspens dans le service de médecine interne. Concernant les fractures/tassements des corps vertébraux de D6, D8, D10 et du processus épineux de D5 avec ancienne fracture de tassement de D9, nous poursuivons le traitement conservateur proposé par nos collègues du service de médecine interne. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 120 mètres et le patient peut gravir 18 marches d'escaliers avec l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 97/126 par rapport à 83/126 (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 5/7). Le TUG n'est pas testé. En ergothérapie, il n'y a pas d'objectif de mobilisation car le patient est autonome dans les déplacements et la mobilisation. Une évaluation cognitive est faite dans le cadre de BME qui montre globalement de bonnes capacités intellectuelles et instrumentales. Nous remarquons des oublis de la date du jour et de l'année ainsi qu'un besoin de répétition pour les consignes complexes. La capacité d'apprentissage est présente. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave, en lien avec un hypermétabolisme (bronchopneumopathie chronique obstructive), démontrée par un NRS à 5/7, un BMI à 16.6 avec une condition générale altérée. Nous décidons de mettre en place un SNO/jour afin de pallier à cette dette calorique, ce que Mr. Y accepte. Théoriquement, la SNG est également indiquée à domicile afin de couvrir 100% des besoins, mais le patient n'en souhaite pas. Le poids de sortie est de 45 kg (versus 44 kg à l'entrée). Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 13.02.2020 montrent un MMS à 29/30 et un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 0/15. Le 14.02.2020, Mr. Y regagne son domicile avec des séances de physiothérapie en ambulatoire et un suivi régulier à votre consultation. Monuril en ordre unique le 22.01.2020. Monuril 3 g sachet reçu aux urgences. Suivi clinique. Morbus Bechterew. Hypertonie artérielle. Lombosciatalgie. Morbus Crohn diagnostiqué en 1977 avec : • Résection iléo-caecale en 1977 compliquée d'une fistule grêle en 1981 • Drainage d'une fistule péri-anale en 1981 • Subiléus récidivant (2001, 2009, 2010, 2013, juin et novembre 2018) • Dilatation endoscopique de trois sténoses successives de l'iléon terminal (min 18 mm) en 2010 • Contrôle endoscopique en 2015 (dernier en date) : persistance de trois sténoses mesurant au moins 13 mm, à l'exception de la proximale qui est légèrement plus étroite et ne laisse plus passer l'endoscope ; en cas de symptômes d'obstruction, répéter l'endoscopie et procéder à une nouvelle dilatation. • Status post iléus sur récidive de sténose grêle au niveau de l'iléon terminal dans un contexte de maladie de Crohn les 28.06.2018 et 06.01.2019. Prolapsus rectal anamnestique. Hypospadie. S/p cure hernie inguinale droite selon Lichtenstein. Morbus Crohn : • Kolostoma. • Offen Analfisteln (seit 2004). • Unter Azathioprin. Morbus Darier. Acrocyanose des extrémités. Fibromyalgie. Hernie hiatale (s/p opération en 2013 ? manchette ?). Trouble anxio-dépressif avec s/p 2 tentamen en 2018 et 2019. Céphalées tensionnelles. Morbus Osgood Schlatter plus prononcé à gauche qu'à droite. Morphée (sclérodermie cutanée localisée). Douleurs abdominales basses d'origine indéterminée le 28.10.2015. Appendicectomie à l'âge de 9 ans. Ovariectomie gauche et ablavation v. ovarienne gauche en novembre 2015. Morphine du 31.01 au 09.2020. Méthadone du 09.02.2020 au 17.02.2020. Oxycontin du 17.02.2020 au 19.02.2020. Avis neurochirurgical : éventuellement considérer IRM rachis mais non réalisable actuellement car patient non compliant. Morphine IV continue, 0-5 mg/h et bolus. Morphine IV continue, 0-5 mg/h et bolus du 01.02 au 02.02.2020. Catapresan le 02.02.2020. Morphine IV et Oxycontin le 15.02.2020. Ibuprofène en réserve. Morphine IV. Traitement symptomatique : butylscopolamine et furosémide IV. Accompagnement interdisciplinaire de Mr. Y et sa famille. Morphine SC. Patch de fentanyl. Morsure. Morsure de chat. Morsure de chat au niveau de l'avant-bras droit face ventrale radiale le 31.01.2020. Morsure de chat au niveau du thénar de la main gauche. Morsure de chat au 3ème doigt de la main droite. Morsure de chien. Morsure de chien (Berger allemand) le 07.01.2020 avec : Plaie de la face antérieure du bras G proximal avec une plaie d'environ 2.5 cm de longueur avec une perte de substance. Plaie également au niveau de la face postérieure du bras G avec perte de substance sur 0.5 cm de longueur. Présence également de dermabrasion sur le bras G. Morsure de chien avant bras droit. Morsure de chien de 4 cm de longueur, à la jonction entre l'hélix de l'oreille gauche et le scalp temporal le 16.09.2018. Hématome sous-unguéal de l'hallux du pied gauche. Traumatisme mandibulaire à gauche en janvier 2020. Morsure de chien face dorsale de la main droite en regard du 4ème métacarpien le 07.02.20. • Tétanos à jour. Morsure humaine, le 28.02.2020. Morsures. Mort foetale in utero. Mort foetale in utero à 27 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 37 ans 3G-2P. Motivation à effectuer de la physiothérapie. Traitement antalgique selon douleur. Consilium angiologie pour bilanter les claudications. Consultation médicale si apparition de red flags ou aggravation de la symptomatologie sous traitement. Mouvement anormaux. Mouvement dystonique du membre supérieur droit induit à l'effort avec paresthésies facio-brachiale droite post traumatisme crânien sur possible syncope le 21.09.2018 : • IRM cérébrale du 24.09.2018 : pas de lésion ischémique ni hémorragique aigue. Status après paralysie à frigore du nerf facial en octobre 2015 (contexte de sérologie de Lyme positive en IgG). Status après pneumonie le 24.04.2019, traitée par Co-Amoxicilline pendant 10 jours. Status après cholécystectomie vers 2012. Status après cure de varices du membre inférieur droit vers 1990. Status après opération de la coiffe des rotateurs gauches vers 2000.Status après cure de tunnel carpien bilatéral en 1986. Status après carence en vitamine B12 substituée jusqu'en mars 2018. Status après carence en vitamine B12 substituée en 2016. Plage de verre dépoli isolée de maximum 18 mm de grand axe dans le lobe supérieur droit au CT thoracique du 30.01.2020. Carence en vitamine B9. Mouvement dystonique du membre supérieur droit induit à l'effort avec paresthésies facio-brachiales droites post-traumatisme crânien sur possible syncope le 21.09.2018 (DD: épilepsie) : • IRM cérébrale du 24.09.2018 (HIB Payerne) : pas de lésion ischémique ni hémorragique aiguë Status après paralysie à frigore du nerf facial en octobre 2015 (contexte de sérologie de Lyme positive en IgG) Status après pneumonie le 24.04.2019, traitée par Co-Amoxicilline pendant 10 jours. Status après cholécystectomie vers 2012. Status après cure de varices du membre inférieur droit vers 1990. Status après opération de la coiffe des rotateurs gauches vers 2000. Status après cure de tunnel carpien bilatéral en 1986. Status après carence en vitamine B12 substituée jusqu'en mars 2018. Status après carence en vitamine B12 substituée en 2016. Mouvement tonico-clonique. Mouvements anormaux. Mouvements anormaux des membres supérieurs au réveil, physiologique. Mouvements cloniques des deux bras en restant conscient. Gazométrie 16.02 : minime acidose métabolique, glycémie à 1.1 mmol/l. Bilan sanguin : pas de leucocytose, CRP < 5 mg/L. Avis maladies métaboliques (Dr X). Acides organiques urinaires le 17.02 : cétonurie importante. Mouvements généralisés répétitifs paroxystiques prédominants à l'hémicorps droit d'origine fonctionnelle le 14.02.2020. Movicol. Movicol, Kamillosan d'office. Algifor en alternance avec Dafalgan au besoin. Reconsulte à votre cabinet si persistance de la symptomatologie la semaine suivante. Movicol sachet. Dafalgan et Algifor en réserve. Consigne de reconsulter si péjoration clinique (fièvre, vomissements, péjoration des douleurs). Movicol Sachet 1x/jour. Movicol 2x/j dès le 19.12.2019. Movicol 2-3 sachets par jour. Bulboïd suppositoire en réserve. Movicol. Scheriproct crème et suppositoire. Coussin orthopédique pour hémorroïdes. Antalgie. En cas de persistance ou péjoration de la symptomatologie, le patient consultera son médecin traitant. Moviprep le 02.02.2020 et le 03.02.2020. Laboratoire le 03.02.2020. Colonoscopie le 03.02.2020 : rapport suivra. Mr. Y, patient de 70 ans, est hospitalisé pour une thrombendartériectomie fémorale bilatérale élective et mise en place d'une endoprothèse iliaque externe droite le 13.02.20 (PD Dr X). Mr. Y présente une ischémie critique chronique du membre inférieur droit (douleurs de décubitus) et artériopathie asymptomatique du membre inférieur gauche. Il bénéficie d'une thrombendartériectomie fémorale bilatérale et mise en place d'une endoprothèse iliaque externe droite le 13.02.20 par le Dr X sans complication per-opératoire. À son arrivée aux soins intensifs, le patient est asymptomatique mais hypertendu nécessitant du labétalol de manière transitoire. Le contrôle doppler des MI est dans la norme, avec un bon signal triphasique, sans suspicion clinique ou biologique de syndrome des loges. Le patient est mobilisé au fauteuil le 14.02.2020 et s'alimente normalement. L'anticoagulation par héparine est relayée par enoxaparine sur avis du Dr X. Le patient est transféré vers le service de chirurgie le 14.02.2020 pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 64 ans, est hospitalisé le 17.02.2020 pour une suspicion d'accident ischémique transitoire. Il présente le 17.02 vers midi une parésie complète du MSD, des difficultés à parler et une faiblesse du MID avec à son arrivée aux urgences la résolution quasi complète des symptômes avec un NIHSS à 0 points. Pour rappel, il a présenté un AVC en 2016 complètement résolutif et d'origine suspectée cardio-embolique post-coronarographie. Le CT-scan "time is brain" cérébral montre l'absence de lésion aiguë constituée et de saignement intracrânien. L'IRM cérébrale ne montre pas de lésion ischémique aiguë et le diagnostic d'AIT est retenu. Sur avis neurologique, l'aspirine cardio est remplacée par du clopidogrel après une dose de charge. L'évolution est favorable avec un NIHSS qui reste à 0. La surveillance rythmique est sans particularité. Une ETT est demandée. À noter une hypertriglycéridémie à 7.22 mmol/L pour laquelle nous vous proposons d'introduire de l'ezetimib. Le patient est transféré le 18.02.2020 à l'étage pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 72 ans, est adressé par son médecin traitant en raison d'une baisse de l'état général d'origine multiple. À noter que le patient n'a pas de suivi médical depuis plusieurs années. Dernière hospitalisation en 2014. La curatrice a mentionné au médecin traitant une baisse de l'état général avec situation sociale en péjoration (appartement insalubre, hygiène personnelle précaire). Le patient a accepté une hospitalisation dans le but de faire des contrôles biologiques. Sur le plan biologique, on note une anémie normocitaire microchrome d'origine probablement multifactorielle, liée en effet à la maladie leucémique ainsi qu'à une carence en fer. On note une hypovitaminose D et un manque d'acide folique. Des substitutions sont débutées. Une hypercholestérolémie est traitée avec l'introduction d'Atorvastatin 20 mg. Concernant la leucémie, au niveau biologique, on note par rapport au dernier contrôle une augmentation des lymphocytes (à 10.4 G/l, étaient 3.1 G/l en 2014). Nous laissons faire un CT thoraco-abdominal à la recherche des adénopathies diffuses ainsi que d'une hépatomégalie et splénomégalie qui pourraient expliquer une progression de la maladie expliquant la baisse de l'état général. L'image se montre dans la norme. Nous observons des épisodes de sudation nocturne et nous demandons un avis hématologique. Selon le spécialiste, aucune investigation supplémentaire n'est indiquée pour le moment. Une imagerie cérébrale montre une atrophie cérébrale avancée, GCA 2, avec une discrète atrophie cérébelleuse, une hydrocéphalies, ainsi qu'une leucoaraïose importante, Fazekas 3. Un bilan cognitif (MMS) se montre très significatif avec un résultat de 11/30. Un bilan neuropsychologique met en évidence un trouble neurocognitif majeur d'intensité moyenne d'origine mixte probable ainsi qu'une incapacité de discernement par rapport au choix de son lieu de vie. Pour ces raisons, nous organisons un colloque de famille avec la présence de la curatrice. Comme discuté, nous organisons un retour à domicile avec mise en place de soins à domicile une fois par jour ainsi que les repas à domicile tous les deux jours. Le patient peut rentrer à domicile le 03.02.2020. Mr. Y est hospitalisé pour un 2ème cycle de chimiothérapie RDHAP dans le contexte d'une leucémie lymphoïde chronique qui a évolué en DLBCL (syndrome de Richter). La chimiothérapie se déroule sans complication clinique ni biologique. Le patient sera revu par le Dr X le 10.02.2020. Mr. Y est hospitalisé pour un globe vésical sur lithiases vésicales le 16.02.2020. Le sédiment urinaire met en évidence une hématurie microscopique non glomérulaire. La culture d'urine revient négative. La prise de sang ne montre pas de syndrome inflammatoire ni d'insuffisance rénale. L'US des voies urinaires ne détecte pas de dilatation pyélocalicielle. Nous posons une sonde vésicale trans-urétrale et nous effectuons des rinçages trois fois par jour. Nous retirons la sonde le 19.02.2020. Le patient reprend une bonne diurèse spontanée. Nous vous invitons à organiser une consultation urologique en ambulatoire.Mr. Y, 57 ans, connu pour un remplacement valvulaire aortique par prothèse mécanique ATS 20 mm en raison d'une bicuspidie aortique en 2011, est admis pour une thermoablation de fibrillation auriculaire réfractaire à la Cordarone. L'intervention se déroule sans particularités le 24.02. En ce qui concerne le traitement, les cardiologues proposent d'arrêter la Cordarone et de poursuivre le Marcoumar avec des contrôles fréquents. Le laboratoire de contrôle du 26.02 montre un INR dans la suprathérapeutique. Nous adaptons le traitement de Marcoumar et vous laissons le soin de contrôler l'INR à votre prochaine consultation. Le patient rentre à domicile le 26.02.2020. Mr. Y, 72 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 27.02.2020 pour une surveillance post-trachéotomie. Mr. Y est hospitalisé depuis le 11.02.2020 pour l'investigation d'une masse cervicale latéro-thoracique droite progressive depuis plusieurs mois. Celle-ci s'avère être un probable carcinome anaplasique de la thyroïde à la biopsie avec un diagnostic différentiel de sarcome et est d'emblée métastatique (osseux et pulmonaire) avec un envahissement de la trachée, du lobe thyroïdien droit, de la bouche œsophagienne et de la carotide droite, avec extension ganglionnaire jugulo-carotidienne droite sus-jacente. Au vu d'une situation d'emblée dépassée et rapidement progressive au niveau respiratoire avec l'apparition d'un stridor, il est convenu avec Mr. Y d'une trachéotomie à visée palliative et d'une attitude limitée en cas de péjoration ou complication. Celle-ci est réalisée le 26.02.2020. Les suites opératoires se déroulent sans particularité. Sur avis ORL, une antibiothérapie par co-amoxicilline est reprise le 26.02.2020. Une radiographie de thorax de contrôle ne montre pas de complication. Le patient présente une malnutrition protéino-énergétique grave. Suite à un échec de mise en place de sonde nasogastrique par œsogastroduodénoscopie, une gastrostomie percutanée a été réalisée le 17.02.2020. Depuis, le patient bénéficie d'une nutrition entérale. Les troubles électrolytiques développés dans ce contexte sont substitués. Le patient est transféré le 27.02.2020 en service d'ORL pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 34 ans, connu pour des tendinopathies pluriarticulaires ainsi qu'une dépression majeure pas traitée, est hospitalisé en électif dans le contexte d'une dépendance aux opiacés afin de commencer un sevrage en milieu hospitalier. À l'entrée, le patient se montre calme, collaborant et motivé. Il explique avoir des douleurs chroniques au niveau du genou droit, de l'épaule droite et de la cheville des deux côtés. Il présente des conséquences de troubles de la marche, mais il est indépendant et marche sans aide. À noter que la dose de morphine à l'entrée est de 200 mg par jour. À l'entrée, le patient se montre légèrement tachycarde avec une fréquence cardiaque à 100/min. Pour les symptômes de sevrage, nous introduisons un traitement de réserve de Seresta. L'évolution montre une symptomatologie inchangée avec une réduction progressive de la dose de Targin. En effet, le syndrome algique selon le patient n'est pas changé par rapport à la réduction du dosage de Targin. Le sevrage se déroule jusqu'à la dose de 10 mg 2x par jour, mais le patient exprime son souhait de ne pas vouloir rester à l'hôpital et il affirme qu'il aimerait reprendre la dose de 200 mg 1x par jour. Le risque d'une overdose est bien expliqué. Mr. Y rentre à domicile selon son souhait le 09.02.2020. Mr. Y, 76 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une embolie pulmonaire centrale avec cœur pulmonaire aigu. Le patient a déjà présenté une embolie pulmonaire en février 2019, dans un contexte d'immobilisation, et l'anticoagulation par Xarelto a été stoppée en juin 2020. Il décrit depuis 1 mois une dyspnée d'effort progressive qui s'est subitement aggravée au moindre effort, stade NYHA III, le 03.02.2020. L'angio-CT thoracique confirme une embolie pulmonaire centrale bilatérale avec cœur pulmonaire aigu. Une anticoagulation thérapeutique a été débutée par héparine non fractionnée puis relayée par enoxaparine. Les signes de cœur pulmonaire aigu sont persistants le 04.02.2020. L'indication à une lyse in situ n'a toutefois pas été retenue. Vu la récidive thrombo-embolique et en absence d'une étiologie claire, une anticoagulation thérapeutique à vie est en principe indiquée. Une échographie cardiaque est à réaliser en fin de séjour et dans 3 mois. L'alpha-1-foetoprotéine et le PSA seront dosés le 05.02.2020 pour l'investigation d'une origine néoplasique. Une hépatopathie (probable cirrhose) a été diagnostiquée radiologiquement et nécessitera des investigations étiologiques. Une consommation d'alcool à risque était présente dans le passé, mais cela reste un diagnostic d'exclusion. Un US abdominal est prévu pour mieux visualiser la conformation du foie et exclure une thrombose porte. Une thrombopénie de consommation est probablement secondaire au processus thrombo-embolique ou à un possible hypersplénisme. Une ectasie de l'aorte ascendante à 46 mm est visualisée au CT scanner. La gynécomastie bilatérale est attribuée à la spironolactone ou à l'hépatopathie. Le patient a été transféré le 04.02.2020 dans le service de médecine interne. Mr. Y est hospitalisé pour une crise vaso-occlusive probablement sur une virose dans un contexte de drépanocytose homozygote (Hb S/S) sous Litalir. La prise de sang ne montre pas de syndrome inflammatoire. La radiographie thoracique ne retrouve pas de franches condensations alvéolaires compatibles avec un foyer infectieux ou un syndrome thoracique aigu. Le patient bénéficie d'une oxygénothérapie et d'une hydratation IV. Une antalgie efficace est obtenue par Dafalgan, Brufen et une PCA (Patient Controlled Analgesia) de morphine, que nous pouvons sevrer le 09.02.2020. D'un point de vue hématologique, l'hémoglobine et les LDH restent stables au cours de son hospitalisation. L'évolution clinique favorable permet un retour à domicile le 11.02.2020. Mr. Y, 73 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs le 08.02.2020 suite à l'évacuation chirurgicale d'un hématome sous-dural gauche subaigu. Le patient a présenté des troubles de l'équilibre motivant une consultation chez son médecin traitant. Le CT-scan cérébral a montré un hématome sous-dural de toute l'hémi-convexité gauche de densité hétérogène sans saignement actif avec effet de masse sous forme d'une compression du ventricule latéral gauche et déplacement contro-latéral des structures de la ligne médiane. Une trépanation frontale gauche et évacuation de l'hématome avec mise en place d'un drainage ont été réalisées le 08.02.2020. En post-opératoire immédiat, on note une légère pronation de la main droite, sans autre déficit. Après discussion avec le Dr. X, l'aspirine est poursuivie en raison d'une maladie coronarienne tritronculaire. Le patient est resté au lit strict avec sa tête à 0°. Un clampage du drain doit être effectué avant de l'asseoir pour manger. Il ne faut pas reprendre d'anticoagulation prophylactique jusqu'au retrait du drain. La surveillance aux soins intensifs s'est déroulée sans complication et le patient a été transféré le 09.02.2020 dans le service de chirurgie. Mr. Y, 52 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une grippe Influenza A avec ARDS modéré et pneumonie secondaire à germe indéterminé. Le patient a été hospitalisé initialement à l'hôpital de Tavel le 29.01.2020 pour une pneumonie initialement traitée par Co-Amoxicilline et associée à une grippe influenza A. L'apparition d'une insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique aiguë a nécessité son transfert aux soins intensifs le 31.01.2020.La grippe est à l'origine d'un syndrome de détresse respiratoire aiguë, sans amélioration sous ventilation non invasive et oxygénothérapie à haut débit. La progression rapide vers un ARDS modéré à grave a nécessité une intubation et une ventilation mécanique protectrice pendant 6 jours. La sédation a nécessité de hautes doses de propofol et dexmédétomidine. Sous Oseltamivir et poursuite de co-amoxicilline, l'état respiratoire s'est progressivement amélioré, avec une extubation le 06.02.2020. Des séances de ventilation non invasive intermittente, physiothérapie respiratoire et inhalations de bronchodilatateurs ont été poursuivies. Un iléus paralytique attribué au traitement opiacé s'est résolu sous métoclopramide et drainage gastrique. Une nutrition parentérale a été nécessaire, puis remplacée par une nutrition entérale et réalimentation par voie orale après l'extubation. Une hyponatrémie secondaire à une possible sécrétion inappropriée d'ADH d'origine infectieuse s'est progressivement corrigée et les troubles électrolytiques ont été substitués. Une carence sévère en vitamine D3 devra être aussi substituée et contrôlée ultérieurement. Le patient a été transféré le 08.02.2020 à l'hôpital de Tavel. L'objectif est la poursuite de la physiothérapie respiratoire et une remobilisation quotidienne. L'indication à un séjour de réadaptation devra être évaluée au cours des prochains jours. Mr. Y, patient de 82 ans connu pour une cardiopathie hypertensive et rythmique (FA permanente) sous Eliquis avec un FEVG à 37%, est porteur d'un pacemaker depuis 2010, et a des antécédents de deux AVC (en 2000 et 2017). Il nous est adressé pour la prise en charge d'un épanchement pleural unilatéral droit d'origine indéterminée. Pour rappel, le patient présente depuis quelques semaines une dyspnée à l'effort avec orthopnée, en péjoration progressive depuis les derniers jours. Il n'a pas présenté d'épisodes fébriles, ni de frissons à domicile. À noter que le patient présente une toux chronique (BPCO), et que durant la période de Noël, il a remarqué une péjoration de la toux, mais actuellement il ne remarque pas d'aggravation. Pas de symptôme B (pas de fatigue, pas de sudation nocturne) à l'anamnèse. Un bilan biologique d'entrée montre une pro-BNP à 2400 qui nous permet, avec l'examen clinique, de poser le diagnostic de décompensation cardiaque globale. Nous adaptons le traitement diurétique durant le séjour avec bon effet et diminution des œdèmes des membres inférieurs. Concernant l'épanchement, nous effectuons une ponction pleurale le 26.02.2020 qui se déroule sans complications. Au niveau laboratoire, on note un transudat monolymphocytaire et nous suspectons une origine parapneumonique de celui-ci. Sur le plan biologique, on note une cholestase extra-hépatique, et un examen clinique abdominal est sans particularité. Une ultrasonographie abdominale (bilan hépatique) est dans les limites de la norme. L'origine de la cholestase extra-hépatique reste peu claire, et nous vous laissons le soin de refaire un bilan biologique à 4 semaines. Le patient montre un épisode fébrile à 38 °C sans franche augmentation de paramètres infectieux au niveau biologique. Des hémocultures restent en attente au moment de l'écriture de cette lettre et seront à pister. Un traitement avec ceftriaxone est introduit. Mr. Y montre une évolution très favorable, sans état fébrile 48 heures après le début de l'antibiothérapie. Le patient peut rentrer à domicile le 29.02.2020 avec poursuite de l'antibiothérapie par voie orale. Mr. Y, patient de 74 ans connu pour une cardiopathie rythmique et hypertensive sous Xarelto, une cirrhose hépatique CHILD B dans un contexte de consommation d'alcool chronique, est hospitalisé le 25.01.2020 dans le contexte d'une baisse de l'état général d'origine multifactorielle. À l'entrée, l'anamnèse est difficile car fluctuante. Il a présenté le 25.01.2020 matin, une dyspnée avec orthopnée, une toux non productive, deux épisodes de diarrhées aqueuses et 2-3 épisodes de vomissements. Il ne décrit pas de fièvre mais des douleurs abdominales du flanc hypochondre gauche, qu'il n'arrive pas à décrire. À l'anamnèse approfondie, il se plaint de douleurs rétrosternales indescriptibles, sans irradiations, respiratoires dépendantes. Il a des œdèmes des membres inférieurs en augmentation depuis un mois, avec une prise de 4 kg en 2 semaines, mais retrouve son poids de fin décembre, et une nycturie stable. Sur le plan biologique, on note une hypokaliémie, une hypophosphatémie ainsi qu'une hypomagnésémie, raison pour laquelle des substitutions sont introduites. Pas de syndrome inflammatoire. Nous suspendons le traitement diurétique de base (Torasemid) et introduisons du Lasix intraveineux avec bon effet et diminution des œdèmes. Le poids cible est de 116-117 et à la sortie, le poids est de 117.6 g. En raison d'une asymétrie des œdèmes, nous demandons un avis angiologique avec US des membres inférieurs. Une TVP est exclue, et l'asymétrie est liée à une insuffisance de la GVS jambière prédominante à droite. Vu l'évolution favorable au niveau clinique ainsi qu biologique, le patient peut sortir le 06.02.2020. Mr. Y, patient de 30 ans, est hospitalisé le 10.02.2020 aux soins intensifs pour une intoxication médicamenteuse. Le 09.02, il est retrouvé somnolent par sa famille, ce qui motive un appel à l'ambulance. Auprès du patient, sont retrouvés l'équivalent de 450 mg de Mirtazapine, 10 mg de Risperdal et 180 mg de Zoldorm. Il est connu pour des troubles du sommeil ayant déjà nécessité plusieurs hospitalisations pour intoxication médicamenteuse ainsi que 2 antécédents de tentatives médicamenteuses en 2011 et 2012. Il rapporte la prise de 4 comprimés de Zoldorm avec par la suite une amnésie complète sans idéation suicidaire. Un screening urinaire exclut la prise d'autres substances. À son arrivée aux soins intensifs, le patient est légèrement somnolent. Après évaluation psychiatrique, des idéations suicidaires sont écartées avec surtout un contexte de dépendance aux benzodiazépines pour laquelle un suivi en ambulatoire est en cours auprès du Dr. X. Après explication des risques d'un retour précoce à domicile, le patient part contre avis médical le 10.02.2020. Mr. Y s'est engagé à ne pas conduire et à organiser un rendez-vous au plus vite auprès du Dr. X. Mr. Y, patient de 77 ans, connu pour un status après ischémie aiguë du membre inférieur droit stade IIa-IIb (Rutherford) sur occlusion de l'artère poplitée le 03.09.2018, probable syndrome de Trousseau et status post amputation MID selon Gritti (CHUV, 20.09.18) et un CA de la prostate, traité par radiothérapie (derniers rayons le 06.01.2020), est adressé par son médecin traitant pour une anémie sévérissime d'origine pas claire avec une hémoglobine à 27 g/l. Le patient rapporte une baisse de l'état général avec asthénie et dyspnée stade III depuis la fin du traitement de radiothérapie le 6 janvier. Pas d'extériorisation constatée, selles sans particularité, pas de plaintes urinaires. Pas de modification du traitement médicamenteux, pas de prise d'AINS, pas de prise de corticoïdes. Sur le plan biologique, on note aussi une insuffisance rénale chronique et une carence en fer. Mr. Y bénéficie de plusieurs transfusions durant le séjour (2 par jour, avec traitement diurétique associé). Un suivi laboratoire montre une augmentation de l'hémoglobine à 62 g/l le 20.02.2020. Concernant les investigations à la recherche de l'étiologie de cette anémie, nous effectuons une gastroscopie et une coloscopie le 19.02.2020 (Dr. X). Aucun signe d'hémorragie digestive haute récente n'est mis en évidence, notamment pas de sang frais ou ancien. La présence d'une tumeur ou d'un ulcère gastro-duodénal a été écartée. En revanche, l'examen montre un aspect irrégulier de la muqueuse de l'œsophage moyenne, d'origine suspecte, sur œsophage de Barrett long. Nous vous prions de pister les résultats de la biopsie. Pour compléter le bilan, une endosonographie est envisagée pour la semaine prochaine et le patient sera convoqué. D'après les résultats de la biopsie, nous vous laissons le soin d'organiser les éventuelles investigations nécessaires.L'origine étiologique de l'anémie sévérissime reste pas clarifiée. Une suspicion de proctite at-inique n'est pas exclue, malgré l'absence de symptomatologie spécifique. La présence d'une irrégularité de la muqueuse oesophagienne d'origine encore pas claire pourrait être un facteur étiologique de l'anémie. Sur le plan thérapeutique, nous arrêtons le traitement anticoagulant par Xarelto. Nous vous prions de réévaluer l'indication en considérant ce traitement comme un facteur favorisant une anémie spoliative. L'évolution se montre favorable sur le plan clinique et biologique et le patient rentre à domicile le 21.02.2020. • MRSA colonisation (positive tout : narines, plis inguinaux, aisselles) • Mucite conséquente à une chimiothérapie orale par Xeloda (dernière dose le 30.01.2020) avec : • douleurs épigastriques transfixiantes, dysphagie, pyrosis • iléostomie à haut débit (jusqu'à 4 l/j) • SIRS le 01.02.2020 (tachycardie, tachypnée, leucocytose avec 37% de formes immatures) • cholécystite alithiasique aiguë, DD cholécystite lithiasique avec passage du calcul. • Mucite orale • Mucite post-chimiothérapie avec trouble de la déglutition sur adénocarcinome du tiers distal de l'œsophage/de la jonction œsogastrique connu depuis le 20.01.2020 avec : • crachats hémoptoïques • dernière dose de chimiothérapie le 26.01.2020 (cisplatine, trastuzumab, 5-FU-5-FLUOROUCIL) • mise en place d'un port-à-cath pré-pectoral gauche par cathétérisation de la veine céphalique gauche. • Mucite sous chimiothérapie avec état de déshydratation le 03.02.2020 avec : • hypotension, diarrhées, péjoration de la fonction rénale, deux épisodes de malaise • dernière chimiothérapie le 29.01.2020. • Mucoviscidose. • Mucoviscidose delta-F508 homozygote : • colonisation par Escherichia coli ESBL et Staphylococcus aureus Méthicilline sensible • multiples surinfections pulmonaires virales et bactériennes • hémoptysie dans un contexte de mucoviscidose • sans suivi pneumologique Malnutrition chronique dans le contexte de mucoviscidose : • bouton de gastrostomie, oesophago-gastroscopie (Dr. X) et mise en place de PEG (Dr. X) utilisée du 14.10.14 à fin 10/18 • BMI 19 kg/m2 le 01.12.2018 • ostéopénie et sarcopénie • insuffisance pancréatique exocrine substituée • diabète sur insuffisance pancréatique • carence en vitamine D • atteinte intestinale Hépatopathie associée à la mucoviscidose. Anémie hypochrome normocytaire ferriprive sur malabsorption : • injections de Venofer 05/2018 (Inselspital) avec préparation (solumedrol 125 mg et Tavegyl 2 mg). • Asthme allergique aux acariens. • Trouble mixte de la personnalité avec traits borderline, hypochondriaques et immatures. • Aspergillose bronchopulmonaire allergique. • Mucoviscidose suivie au CHUV. • Multifactorielle déconditionnement le 06.02.2020 après : • thrombose de la gauche externe A. femoralis avec sévère claudication IIb-III au stade IIb-III • St. n. TEA gauche bifurcation de la A. femoralis et gauche externe A. iliakale thrombectomie le 07.10.2019 • choc septique au moment de la lung inflammation avec hypercapnie respiratoire aiguë • rupture d'un anévrisme infecté de la gauche bifurcation A. femoralis après multiples reconstructions vasculaires dans la région susmentionnée le 26.11.2019 avec infection chronique de Staphylococcus epidermidis du matériel de prothèse endovasculaire • profond iliofémoral Bypass gauche avec Omniflow 8 mm (le 26.11.2019) • Multifragmentaire fracture disloquée du phalanx distal Digitus I à la main droite avec : • plaie tangantielle, profonde. • Multinévrite ipsilatérale G V, VII et VIII d'origine indéterminée le 23.02.2020. DD : inflammatoire, infectieux (HIV, syphilis, Lyme), vasculaire. • Multiparité. • Multiparité et accouchement rapide. • Multiples angines à streptocoques. • Multiples angines (<4/an). • Multiples arthroscopies des genoux. Opération de l'épaule gauche. Méningite lymphocytaire de type Lyme le 17.05.2013. Céphalées post-ponction lombaire du 17.05.2014. Diverticulose sigmoïdienne traitée par sigmoïdectomie laparoscopique le 07.09.2016, avec : • s/p diverticulite perforée Hansen-Stock IIc le 23.04.2016. • s/p diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIb le 13.10.2015. Syndrome tunnel carpien ddc opéré.• s/p diverticulite perforée Dr. X le 23.04.2016 • s/p diverticulite sigmoïdienne Dr. X le 13.10.2015 • Syndrome tunnel carpien ddc opéré • Multiples AVC ischémiques d'âges différents sur probable origine cardio-embolique le 29.01.2020 DD emboles septiques • syndrome de Trousseau actif • dysphasie, dysarthrie, hémisyndrome droit. • Multiples AVC ischémiques punctiformes de l'hémisphère gauche (frontal, sous-cortical et occipital gauche) d'âges différents d'origine probablement cardio-embolique le 29.10.2019 • dans un contexte de valvulopathie aortique mécanique sous anticoagulation infra-thérapeutique • symptomatologie: confusion, parésie faciale droite, NIHSS initial: 2 points le 29.10.2019, 0 points le 30.10.2019 • Angio-CT cérébral le 14.10.2019, IRM cérébrale le 29.10.2019, ETT chez Dr. X le 22.10.2019, ETT le 30.10.2019, Holter 72h posé le 31.10.2019, bilan neuropsychologique le 31.10.2019 Occlusion de l'artère centrale de la rétine à gauche le 24.10.19 • d'origine cardio-embolique le 24.10.2019 • symptomatologie: scotome quadrant supérieur droit de l'œil gauche Pic hypertensif symptomatique le 24.10.2019 Arythmie symptomatique (extrasystolie/fibrillation auriculaire) chez une patiente anticoagulée par Sintrom INR infra-thérapeutique à 1.8 le 26.01.2020 • chez patiente porteuse de valve aortique mécanique depuis 1999 avec cible INR 2.5-3.5 • Multiples chirurgies colonne vertébrale avec: • Spondylodèse L3-L5 avec Viper II et vis cimentées, décompression L3-L4 et L4-L5 par laminectomie L4-L5 avec libération foraminale et AMO Diam, le 17.09.2014, pour instabilité L3-L5 avec sténose L3-L4 et L4-L5 ainsi que spondylarthrose progressive • AMO, re-greffe autologue d'une rupture et gêne du matériel d'ostéosynthèse, le 26.05.2003, post spondylodèse L5-S1 par plaque Louis en 1983 (Dr. X) • AMO vis L4 D et barres ddc. Décompression L2 et L3 par laminectomie et ablation des cicatrices intra-canalaires. Spondylodèse D11-L5 par système Viper (vis cimentées en D11, L2 et L5 G) avec correction de la scoliose + mise en place de BGel et os en postéro-latéral. PTD L3-L4 en 2002 Anévrisme de l'aorte abdominale connu depuis 2011 (3.8 cm de diamètre en décembre 2014) Ischémie sous-critique du MID sur sténose pluri-étagée de l'artère iliaque externe D et occlusion de l'artère fémorale superficielle D • Multiples consultations aux urgences (plusieurs dizaines si ce n'est des centaines) pour des douleurs abdominales paroxystiques répondant uniquement à la morphine, douleurs déjà connues et multi-investiguées depuis près de 10 ans. Probable tuberculose pleurale traitée le 13.02.2018 - suivi par Dr. X. (fin du traitement en octobre 2018) Douleurs thoraciques respiro-dépendantes le 12.05.2018 sur suspicion de tuberculose traitée probable. Hématémèse récurrente sur: • épisodes de Mallory-Weiss • reflux gastro-oesophagien grade B selon Los Angeles (OGD à l'Inselspital le 20.07.2010) • gastrite chronique avec éradication H. pylori en 2010. Cardiopathie hypertensive débutante: • ETT le 26.03.2012: FEVG à 65% avec bonne fonction contractile. Hémoglobinopathie: • drépanocytose hétérozygote (pas de crise vaso-occlusive) avec alpha-talassémie hétérozygote • test effectué au laboratoire de l'Hôpital Cantonal d'Aarau (non datable selon le document mais plus de 10 ans). Troubles mixtes de la personnalité avec traits narcissiques et impulsifs (F61): • selon le consilium psychiatrique du 20.06.2017. Consommation tabagique. Consommation problématique d'alcool, actuellement abstinent (F10). Consommation problématique de cannabis, actuellement abstinent (F12). • Multiples contusions suite à une agression par des inconnus le 22.02.2020: • colonne vertébrale hauteur T7-9 et L4. • hanche gauche trochanter major. • clavicule gauche. • épine iliaque postérieure supérieure des deux côtés. • rebord costal droit hauteur environ côte 6. • doigt 5 gauche. • plaies d'abrasion coude gauche. • plaies d'abrasion visage (os zygomatique gauche, arcade droite), hématome processus mastoïde droit. • Multiples contusions sur chute à ski. • Multiples débridements chirurgicaux: • le dernier: 25.02.2020: débridement et lavage plaie jambe droite Bactériologie: • 23.01.2020: (frottis plaie jambe droite): Pseudomonas aeruginosa Consilia et investigations: • Angiologique (Dr. X, 04.11.2019): Flux satisfaisant à l'écho-doppler en tibial postérieur et pédieux, pléthysmographies au-dessus du seuil d'ischémie, proposition d'un contrôle des FRCV. • Angiologique (Dr. X, 04.12.2019): Artériopathie avec atteinte jambière mais excellent flux physiologique jusqu'en poplité sous géniculé et flux corrects en tibial postérieur et pédieux. Revascularisation envisageable malgré des flux corrects actuellement. Antibiothérapie: • Co-amoxicilline 1.2 g iv 3x/j du 30.10.2019 au 13.11.2019 • Pipéracilline-tazobactam IV 3x/j du 02.12.2019 au 13.12.2019 (adaptée à la fonction rénale) puis à 4.5g 3x/j du 13.12.2019 au 13.12.2019 • Céfépime iv du 20.12.2019 au 27.12.2019 • Ciproxine p.o. du 03.01.2020 au 13.01.2020 et du 17.01.2020 au 22.01.2020 • Thérapie par bactériophages du 18.01.2020 au 23.01.2020 • Pipéracilline-tazobactam en i.v continu dès le 31.01.2020 Immunosuppression: • Solu-Médrol 250 mg iv du 12.12.2019 au 18.12 • Prednisone po dégressive dès décembre 2019 ==> 10 mg dès le 25.02.2020 • Humira 40 mg sc dès le 17.01.2020 • Multiples dermabrasions suite à la chute avec traumatisme crânien, le 06.02.2020. • Multiples dermabrasions suite à une altercation avec demande de constat de coups. Contracture musculaire • Multiples dermabrasions suite à une altercation avec demande de constat de coups. • Multiples fractures de tassement vertébraux (D5,6,7,D12, L3) • Multiples fractures des MIs dans les années 70 Trauma crânien sans perte de connaissance en 06.2017 Dysphagie légère d'origine multifactorielle • sur trouble postural grave: cyphose et antéposition de la tête (suite de fracture de la dens non traitée en juin 2017) • Presby-oesophage Douleur chronique du cou après un trauma crânio-cervical en juin 2017 avec: • fracture de l'odontoïde avec des bords sclérosés parlant pour une origine chronique • Multiples fractures (poignets, chevilles, côtes) dans la pratique du football Symptômes multiples mal systématisés dans un contexte probablement anxieux (paresthésies MSG, vertiges, palpitations, nausées/vomissements) Réassurance Temesta 1 mg expidet donné à Mr. Y en cas d'anxiété / insomnie • Multiples fractures-tassements dorso-lombaires: • récent D11, L1, L4. • Multiples hémangiomes hépatiques de découverte fortuite le 16.02.2020 Kyste rénal Bosniak I à gauche de découverte fortuite le 16.02.2020 • Multiples hématomes et dermabrasions • Multiples hématomes et dermabrasions. • Multiples intoxications médicamenteuses: • Tentamen médicamenteux le 04.09.2011: Stilnox 10 cp de 10 mg • Tentamen médicamenteux le 21.02.2012: Imovane 30 cp de 7.5 mg et Tranxilium quantité inconnue • Intoxication médicamenteuse le 03.08.2014: Zolpidem 10 mg: environ 20 cp, Atorvastatine 20 mg: environ 10 cp, Pantozol 20 mg: quantité indéterminée et Cetallerg 10 mg: quantité indéterminée. • Intoxication médicamenteuse le 15.05.2018: 150 mg Zoldorm, 6 g Irfen, 8 g Paracétamol, 5 cp de KCl, 50 mg Lisitril, et 30 cp Mélatonine Fracture du radius distal gauche peu angulée Splénectomie post-traumatique sur AVP 2006 • Multiples intoxications médicamenteuses: • Tentamen médicamenteux le 04.09.2011: Stilnox 10 cp de 10 mg • Tentamen médicamenteux le 21.02.2012: Imovane 30 cp de 7.5 mg et Tranxilium quantité inconnue • Intoxication médicamenteuse le 03.08.2014: Zolpidem 10 mg: environ 20 cp, Atorvastatine 20 mg: environ 10 cp, Pantozol 20 mg: quantité indéterminée et Cetallerg 10 mg: quantité indéterminée. Intoxication médicamenteuse le 15.05.2018: 150 mg Zoldorm, 6 g Irfen, 8 g Paracétamol, 5 cp de KCl, 50 mg Lisitril, et 30 cp Mélatonine Sp fracture radius distal gauche peu angulée Sp opération pour luxation récidivante de la patella droite Sp bursite genou gauche Opération genou droit AVP 2006 avec fracture ouverte du genou gauche opérée et ablation de la rate. Probable déchirure du ligament collatéral interne du genou gauche Multiples lésions hépatiques hypervasculaires compatibles avec des métastases de néoplasie primaire pour l’instant inconnue • date du diagnostic : 27.01.2020 • scanner thoraco-abdominal (CIMF, Ste-Thérèse) : multiples métastases hépatiques hypervasculaires et reins polykystiques surtout à gauche, la tumeur primaire n’est pas mise en évidence avec certitude, emphysème pulmonaire sévère • Ponction lésion hépatique le 07.02.2020 au HFR Multiples lésions ostéolytiques dans le squelette axial le 17.01.2020 • fracture de L1 avec infiltration du canal médulaire Multiples lésions suspectes, sans lésion néoplasique primaire identifiée le 05.02.2020 : • adénopathies médiastinales, nodules pulmonaires, multiples lésions osseuses dont une lésion lytique du grand trochanter gauche • IRM rachis lombaire : pas d'hernie discale objectivée, image suspecte des corps vertébraux L1-L2 DD : métastases osseuses, tumeur primitive de l'os, cancer du poumon. Multiples lésions ulcéreuses dans la vessie (depuis 22.02.2019) avec épisodes récurrents d'hématurie macroscopique avec : • lésion vésicale 2.2 cm hyperéchogène et hypervascularisée (US du 22.02.2019) : de la vessie de hypervasculaire • multiples ulcères dans la vessie sans masse (Cystoscopie de la vessie le 22.02.2019) • Schistosome négatif dans les urines (le 23.04.2019) • CT-thoraco-abdominal (le 06.03.2019) : pas de masse primaire ni secondaire • Uriculture négative (le 20.03.2019) Multiples lipomes dorsaux (status post nombreuses excisions) Multiples métastases cérébrales progressives avec nette majoration de l'oedème hémisphérique droit le 25.12.2019 • Effet de masse sur le ventricule latéral droit ainsi que sur le 3ème ventricule • Héminégligence gauche nouvelle • Avis neurochirurgien le 25 et 27.12.2019 (Dr. X) : pas d'indication opératoire (métastases centrales causant le plus d'oedème, >4 lésions, récidive depuis radiothérapie) • Planification de la stéréotaxie le 07.01.2020 Multiples nodules infracentimétriques thyroïdiens. • de découverte fortuite. Multiples sciatique avant la cure d'hernie lombaire en 1993 Notion de plastie de valve cardiaque au CHUV en 2014, suivi actuellement par Dr. X (cardiologue) Multiples thrombus de l'artère mésentérique supérieure sans souffrance intestinale, infarctus pôle de la rate le 11.02.2019 • Iléus paralytique Multiples trajets fistuleux connus, avec écoulement purulent le 19.02.2020 : • chez un patient connu pour une maladie de Crohn, non suivie depuis 2013 (dernier suivi en Espagne). Multiples ulcères au MIG le 17.02.2020 • Traitement antibiotique au Congo (Céphalosporine 3ème génération, Métronidazole, Pyrostacine) Mutation du facteur V de Leiden. Mutation du facteur V Leiden sous Xarelto 10 mg 1x/j Mutation facteur V de Leiden et mutation G20210A du gène de la prothrombine. Mutation Facteur V Leiden, sous Marcoumar avec : • status post-2 épisodes d'embolie pulmonaire gauche postopératoires en 1992 et 1997 Mutation hétérozygote de facteur V de Leiden et déficit en plasminogène depuis l'âge de 16 ans, sous Sintrom Mutilation génitale féminine de type I. Mutisme. Myalgies. Myalgies dans un contexte d'infection urinaire haute et baisse de l'état général, le 25.02.2020. Myasthénie gravis • Majoration du Mestinon 120 mg, 3x par jour depuis le 13.02.2020 Probable chevauchement entre une cholangite biliaire primitive et une hépatite auto-immune • suivi au CHUV • absence de fibrose hépatique significative à l'heure actuelle (Fribroscan) • ANA 1/640 homogène, anti-dsDNA 242 UI/ml, anti-nucléossomes 68 U, anti-histones 6.4 U sans éléments en faveur d'un LES • traitée par Ursofalk 750 mg/j • Cholangio-IRM prévue le 27.02.2020 et consultation de gastroentérologie le 03.03.2020 Ostéoporose au niveau de la colonne lombaire : • densitométrie osseuse le 17.02 : Z-score -3.1 DS au niveau L3-L4 Mycose au niveau des plis sous-mammaires le 21.01.2020 Mycose buccale Mycose buccale le 22.02 Mycose cutanée : • Aines de deux côtés Mycose des plis inguinaux le 19.02.2020. Mycose du pli inguinal gauche Mycose du siège Mycose vaginale Mycose vaginale • diagnostiqué par son gynécologue Dr. X avec prescription pour Fluomizin 1cpr/jr vag pendant 6 jours (traitement pas débuté) Mycoses cutanées abdominales, inguinales et sub-mammaires dans un contexte d'antibiothérapie périopératoire Mycoses cutanées au niveau interfessier Mycoses vaginales avec ADP inguinale droite Mycosis fungoïdes en 2013 Mélanome malin intra-épidermique de type SSM (SSM in situ), niveau I selon Clark, au niveau de la face antérieure de la jambe gauche, excisé en septembre 2011 Carcinome intra-épidermique ulcéré de type maladie de Bowen, excisé, au niveau cutané de la main gauche en septembre 2011 Mycostatine à poursuivre jusqu'à une semaine après la disparition complète des lésions Mycostatine dès le 18.02.2020 Mycostatine du 03.02 au 05.02.2020 • Metronidazole du 04.02 au 05.02.2020 • Fluconazole du 04.02 au 05.02.2020 • Ceftriaxone dès le 04.02.2020 CT scanner thoraco-abdominal non injecté le 04.02.2020 Mycostatine du 17.09 au 23.09.2019 • Diflucan 200 mg qd du 17.09 au 24.09.2019 Mycostatine du 19.01.2020 au 06.02.2020 Mycostatine du 24.01 au 03.02.2020 • Fluconazole du 24.01 au 03.02.2020 Mycostatine du 28.01.2020 au 07.02.2020 Mycostatine et soin de bouche dès le 22.02 Mycostatine jusqu'à résolution des symptômes Mycostatine PO du 02.02 au 07.02 puis reprise le 09.02.2020. Soins de bouche 3x/j. Mycostatine 1ml 4x/j dès le 19.11.2019 Mycostatine Mundisal Mycostatine Mundisal Mydocalm du 30.12.2019 au 06.01.2020 • Baclofène dès le 06.01.2020 • Fentanyl IN en R dès le 07.01.2020 Prise en charge interdisciplinaire Consultation en neurologie Inselspital le 11.02.2020 Myélo-CT Dr. X (à convoquer). Infiltrations facettaires L5-S1 Dr. X (à convoquer). Contrôle de suivi. Myélo-CT fonctionnel chez Dr. X (à convoquer). Contrôle au neurocentre (à convoquer) Consultation de suivi. Myélo-CT lombaire au CIMF le 05.03.2020. Prochain contrôle le 12.03.2020. Myélo-CT Dr. X (à convoquer). Contrôle de suivi. Myélofibrose primaire de la rate traité par Ruxolitinib Attaque de panique Globe vésicale récidivant Stent artère circonflexe moyenne posé le 07.12.2018 Myélofibrose primaire de la rate traité par Ruxolitinib Attaque de panique Globe vésicale récidivant Stent artère circonflexe moyenne posé le 07.12.2018 Myélome en cours de traitement avec notamment : • fracture pathologique L2 et lésion lithique tricorticale envahissant le canal et le psoas latéralement • suspicion de lésion D10 Myélome en cours de traitement avec notamment : • fracture pathologique L2 et lésion lithique tricorticale envahissant le canal et le psoas latéralement • suspicion de lésion D10 Myélome indolent IgA Kappa stade ISS 2, Salmon Durie IA • date du diagnostic : 05.01.2018 • laboratoire : immunofixation positive pour une paraprotéinémie IgA Kappa, IgA à 27,4 g/L, chaînes légères Kappa à 21,9 mg/L quotient Kappa/Lambda à 7,55, calcium à 2,20 mml/L, hémoglobine à 113 g/L, créatinine à 85 µmol/l • IRM du corps entier du 31.01.2018 : absence de lésion focale osseuse suspecte • ponction-biopsie de moelle du 01.02.2018 : tissu hématopoïétique légèrement hypercellulaire avec infiltration interstitielle et focale d'environ 20 à 30 % par des plasmocytes monotypiques pour IgA Kappa, compatibles avec une infiltration dans le cadre d'un myélome plasmocytaire • cytogénétique du 13.02.2018 : gain 1q (pronostic défavorable) • 07.06.2018 : IgA à 33,3 g/l, Kappa à 25,3 mg/l, ratio Kappa/Lambda à 3,83, hémoglobine à 106 g/l, créatinine à 102 µmol/l et calcium à 2,31 mmol/l • IRM colonne lombaire et pelvienne : pas d'altération du signal de l'os iliaque, du sacrum, des têtes fémorales. Infiltration des parties molles sous cutanées de la paroi abdominale inférieure en regard de la symphyse aspécifique et discrète prise de contraste des parties molles péri-trochantérienne des deux côtés sur problème inflammation à l'insertion du muscle fessier moyen. Hernie inguinale gauche à contenu graisseux • IRM du corps entier du 26.09.2018 : absence d'argument pour une lésion ostéolytique dans le contexte du myélome • bilan biologique du 26.09.2018 : stable • CT-scan abdominal du 22.01.2019 : pas de signe de progression ou d'atteinte myélomateuse. Pas de péjoration de la hernie • laboratoire du 08.04.2019 : IgA 37 g/L, Kappa 25,2 mg/L, Lambda 7,9 mg/L, créatinine 74 µmol/l, calcium 2,21 mmol/l, hémoglobine 104 g/L • ponction biopsie de moelle du 10.04.2019, Dresse X Histologie Promed P2019.4256 : infiltration du tissu hématopoïétique par un myélome plasmocytaire IgA Kappa avec un degré d'infiltration évalué à 60% • proposition d'un traitement selon schéma de chimiothérapie RVD lite. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Lipomatose multiple. Surdité de perception de l'oreille gauche (43%) et cophose droite, tympans cicatriciels, appareil auditif à gauche. Etat anxieux. Amblyopie droite sur forte myopie. Minime coxarthrose bilatérale. Tremor bilatéral. Obésité. Myélome multiple à IgG Kappa de stade ISS III, RISS III - Dr. X : • Date du diagnostic : 31.05.2019 • Pathologie (Promed P2019.6352) : myélome plasmocytaire à plasmocytes immatures d'immunophénotype IgG Kappa, avec infiltration diffuse supérieure à 90% du tissu hématopoïétique • Examen immunohistochimique : positivité pour les marqueurs plasmocytaires CD138 et MUM1 ainsi que nette monotypie cytoplasmique pour Kappa et IgG • Oncogénomique : hyper-diploïdie d'un gain en 1q impliquant le gène CKS1B d'une perte en 1p d'une monosomie 13 ainsi que des anomalies additionnelles. Aucun ré-arrangement IGH n'a été détecté par FISH • Début d'un traitement par Revlimid et Dexaméthasone dès le 10.06.2019 : arrêt dès le 03.07.2019 pour neutropénie fébrile, asthénie, diarrhée, nausées. • Actuellement : au vu de l'âge et de la volonté de poursuivre le traitement, demande de prise en charge de Velcade-Dexaméthasone Myélome multiple IgG Lambda : • date du diagnostic : 2003 avec présentation initiale comme smoldering myeloma, suivi par Dr. X • ponction-biopsie médullaire en 2003 : plasmocytose de 20 à 30%. Status post-6 cures de chimiothérapie par Alkeran et Prednisone en 2008 en raison d'apparition d'ostéolyses et une augmentation de la paraprotéine IgG • traitement durant une année par Thalidomide en 2008, associé à un traitement de Zometa (arrêt en raison d'une intolérance) • 6 cures d'un traitement par Velcade et Dexaméthasone de juillet à décembre 2011 en raison d'une progression tumorale (rémission partielle) • traitement par Revlimid et Dexaméthasone du 25.05.2012 au 24.03.2013 en raison d'une progression tumorale sous forme d'une augmentation des IgG (très bonne réponse avec normalisation des IgG) • traitement par Zometa de juin 2012 à juillet 2017 (arrêt au vu d'une ostéonécrose) • traitement par Velcade et Dexaméthasone depuis novembre 2013 en raison d'une nouvelle progression avec augmentation des IgG à 23 g/l (réponse partielle mais insuffisante) • traitement de Revlimid et Dexaméthasone depuis le 12.05.2014 au 29.02.2016 (bonne rémission avec normalisation des IgG en février 2015) • traitement d'Imnovid et Dexaméthasone du 19.11.2016 au 23.11.2017 en raison d'une progression tumorale avec nette augmentation des IgG à 40 g/l (bonne réponse avec normalisation du taux des IgG en janvier 2017) • traitement de daratumumab et Dexaméthasone du 09.11.2017 au 19.10.2018 en raison d'une progression tumorale (initialement très bonne réponse, échec au traitement après une année) • traitement par Kyprolis, Revlimid et Dexaméthasone du 14.11.2018 au 10.01.2020 au vu d'une nouvelle progression tumorale avec augmentation des IgG à 30 g/l et une fracture pathologique au niveau de la clavicule gauche (au début bonne réponse avec normalisation des IgG) • radiothérapie externe pour stabilisation locale au niveau de la clavicule du 19.11.2018 au 04.12.2018 • actuellement : progression tumorale avec insuffisance rénale, augmentation des IgG à 37 g/l le 09.01.2020, arrêt du traitement par KRD, demande de prise en charge pour un traitement par Empliciti, Revlimid et Dexaméthasone Myélome multiple, immunophénotype Lambda de l'aile iliaque droite • date du diagnostic : 08.04.2019 • ponction biopsie de la lésion de l'aile iliaque droite : néoplasie plasmocytaire aplasmocyte à prédominance mature, immunophénotype Lambda positif pour Cycline D1 parlant en faveur d'une translocation t (11; 14) (q13; q32) • pancytopénie, sans hypercalcémie, insuffisance rénale. immunofixation positive Lambda • dosage sérique Lambda libre : 48.7 mg/l • le patient refuse une ponction de moelle osseuse • status post radiothérapie palliative de l'aile iliaque droite du 01.05 au 22.05.2019 • consilium oncologique du 11.09.2019 : progression tumorale, nette péjoration de la pancytopénie. Proposition de débuter un traitement de chimiothérapie de type RVD. Demande de prise en charge par le médecin conseil de la caisse maladie d'un traitement par Revlimid, Velcade, Dexaméthasone pour les traitements d'induction en association avec la chimiothérapie standard avant la greffe de cellules souches chez un patient adulte souffrant d'un myélome multiple • dernière dose de chimiothérapie palliative (Revlimid, Velcade, Dexaméthasone) en novembre 2019 • myélome multiple, immunophénotype Lambda de l'aile iliaque droite • date du diagnostic : 08.04.2019 • ponction biopsie de la lésion de l'aile iliaque droite : néoplasie plasmocytaire aplasmocyte à prédominance mature, immunophénotype Lambda positif pour Cycline D1 parlant en faveur d'une translocation t (11; 14) (q13; q32) • myélome multiple sous chimiothérapie de Velcade, Alkéran et Prednisone, avec une dernière cure le 25.8.2014. • polyneuropathie périphérique des membres inférieurs sur chimiothérapie probable. • incidentalome surrénalien gauche connu depuis 2004. • myélopathie cervicale haute : • atteinte sensitivo-motrice asymétrique bilatérale des 4 extrémités • status post spondylodèse C1-C7. • polyarthrite rhumatoïde séropositive, CCP-positive, érosive : • status post-Méthotrexate, Leflunomide en raison d'intolérances • status post-hydroxychloroquine • Abatacept 1x/semaine depuis juillet 2012. • troubles dégénératifs et statiques très sévères du rachis lombaire. • troubles cognitifs légers (MMS 22/28 le 23.01.2020). • myélopathie D12-L1 • ostéoporose fracturaire avec fracture tassement en progression au niveau L1 avec recul du mur postérieur • paraparésie M4+ bilatérale en flexion de hanche et extension de genoux, M4 en dorsiflexion et releveur de l'hallux à G et M4 - en dorsiflexion et releveur de l'hallux à D • canal lombaire étroit multi-étagé à prédominance D12-L1 et L5-S1, compliqué par une myélopathie radioclinique et neurophysiologique • lombocruralgies • discopathies multi-étagées (D11-L5) • sténoses sévères neuro-foraminales (D12-L5) • status post décompression L4-L5 par cross-foraminotomie par la droite (OP le 09.05.2014) pour un canal lombaire étroit L4-L5 avec kyste synovial L4-L5 droit • myocardite probablement sur Influenza A le 05.02.2020 • FEVG 26% • thrombus intra-ventriculaire gauche • myoclonies et état confusionnel aigu sur intoxication aux opiacés le 17.01.2020 • probable intolérance à l'Oxycodone • myoclonies proprio-spinales le 29.01.2020 • origine fonctionnelle suspectée • myopathie liée à la maladie critique • myosite à Grippe B • myosite para-infectieuse • myosite virale • myringite G • M4+ orteil I pied droit. • traitement conservateur avec majoration de l'antalgie, physiothérapie. • arrêt de travail. • contrôle à la consultation orthopédique team spine à J7-10 (demande faite). • nausées et vomissements • Na+ 128 mmol/l, osmolalité plasmatique 269 mosmol/kg • Na urinaire 25 mmol/l, osmolalité urinaire 197 mosmol/kg • Na 150 • arrêt hydratation NaCl • N-Acétylcystéine iv selon protocole du 02.02. au 03.02 • N-acétylcystéine selon Prescott du 23.02 au 26.02.2020 • CT thoraco-abdominal le 22.02.2020 • test de grossesse le 22.02.2020 : négatif • avis tox-centrum le 22.02.2020 • N-Acétylcystéine 1ère dose : 9 g/1h iv. • N-Acétylcystéine 2ème dose : 3 g/4h iv. • N-Acétylcystéine 3ème dose : 6 g/16h iv. • avis Tox Info : continuer traitement comme schéma. Après 21h de traitement, faire un laboratoire de contrôle, continuer débit à 100 mg/kg en 16h jusqu'à normalisation des paramètres hépatiques. • hydratation. • laboratoire du 23.02.20 : ASAT 102 U/l, ALAT 108 U/l, PA 91 U/l, GGT 32 U/l, bilirubine totale 14.2 umol/l, bilirubine directe 7.0 umol/l. TP 39 %, INR 1,7, PTT 35 sec. • paracétamolémie : 50,7 mg/l à 13h 15 du 23.02.2020. • laboratoire du 24.02.2020 : ASAT 176 U/L, ALAT 196 U/I, PA 78 U/I, GGT 32 U/I, bilirubine totale 16 umol/l, bilirubine 6,4 umol/l, TP 43 %, INR 1,6, PTT à 35 sec. • paracétamolémie : <5 mg/l le 24.02.2020 à 8h10. • gazométrie artérielle le 23.02.2020. • gazométrie artérielle le 24.02.2020. • CT thoraco-abdominal : pas de perforation digestive, pas de dissection aortique. • avis Dr. X : indication claire à une hospitalisation en pédo-psychiatrie. • demander l'avis d'un pédopsychiatre à Marsens. • après exclusion des causes viszéralchirurgiques et cardiologiques aiguës, nous avons interprété les problèmes actuels surtout dans le cadre d'une exacerbation de douleurs abdominales chroniques. Les changements des habitudes intestinales sont différentiables sur une gastro-entérite. Nous avons diagnostiqué une infection urinaire et recommandons une thérapie antibiotique pour un total de cinq jours. Pendant le séjour au service des urgences, Mme. Y s'est montrée en bon état général. Lors de la conversation, il est apparu que les problèmes surviennent surtout le soir, accompagnés d'une "sensation étrange dans la tête" et d'un malaise. Après une brève conversation psychoéducative, nous avons pu libérer Mme. Y pour retourner chez elle. Éventuellement, le patient discutera d'une admission à l'hôpital prévu électivement à partir du 02.03.2020 avec vous. • après discussion avec la famille et en tenant compte des directives anticipées, décision de suivi palliatif. • traitement symptomatique avec morphine sous-cutanée, Dafalgan rectal. • après la prise d'Oxynorm 5 mg gouttes au service de permanence, Mme. Y a eu moins de douleurs. La clinique plaide en faveur d'une sinusite frontale gauche, pour laquelle elle reçoit des antibiotiques. En cas de problèmes persistants après 48h ou d'aggravation, Mme. Y devrait se remanifestation. • contrôle chez le médecin traitant en cas de problèmes récurrents. • crampes nocturnes DD syndrome des jambes sans repos, PAVK, hypomagnésémie, médicamenteux • IRLS 27 points (sévère) • artères des jambes perméables. (consultation angiologique 30.03.2015) • hypesthésie V2 gauche après St. n. névralgie du V. nerf crânien 2012 • anémie normocytaire hypochrome • Hb 128 g/l (10.04.2015), vitamine B12 392 pg/ml, acide folique 4.2 ng/ml (16.03.2015) • ferritine 34 ug/l (18.03.2015) • insuffisance rénale chronique de degré III • clearance selon Cockroft de 31 ml/min (09.04.2015) Hypertensive, ischämische und dysrhythmische Kardiopathie • Vorhofflimmern bei St. n. fruchtloser Kardioversion 2007, St. n. Thermoablation des Knotenpunktes 2004 • Monotronkuläre Läsion, signifikative Stenose der a. Interventrikularis mit Stent-Implantation. (Koronarangiographie 02/2014) • Linke Herzkammer nicht dilatiert mit normaler Kontraktionsfunktion. FEVL 56%. (Echokardiographie 07/2014) • Hypercholesterinämie Gangstörung bei St. n. schwerer Lumbalkanalstenose L4-L5 mit Diskushernie • St. n. interlaminärer Dekompression mit Entfernen der Hernie von rechts, Spondylodese L4-L5 per PAD 10mm (06.03.2015) NaCl rinçages de nez Triofan 1 pulvérisation/narine 2x/j pendant 5 jours max. Ibuprofène 400mg 3x/j Weleda sirop toux 5mL NaCl 0.9% Nacl 0.9% Mise en suspens de l'escitalopram et Trittico dès le 03.02.2020. Réintroduction sous contrôle de la natrémie Nacl 0.9% Mise en suspens de l'Escitalopram et Trittico du 03.02 au 04.02.2020 Nacl 0.9% 1 l sur 1 heure avec 10 unités d'Insuline s.c. puis en pompe 8 UI/heure. Hospitalisation en MEDU du 29.01.2020 au 30.01.2020. Avis diabétologie Dr. X le 30.01: Insuline Lantus 25 UI avec corrections de Novorapid. Metformine 500 mg 3x/jour dès le 30.01.2020. Antidiabétique oral : Metformine 3 x 500 mg. Insulinothérapie sous-cutanée. Nacl 0.9% 1000ml/24h Contrôle des glycémies Majoration de la Lantus de 28 U/j à 32 U/j. Sechéma de correction avec Humalog. Nacl 0.9% 500 ml NaCl 0.9% 500ml/24h Stimulation Hydratation per os NaCl 0.9% Arrêt du traitement par thiazidiques, Aldactone Arrêt temporaire du Losartan Suivi biologique (Na à 125 mmol/l le 04.01.2020) • Osmolalité normale 280 • Spot urinaire: Na 43, Osmol 290 NaCl 1500mL/24h Stimuler à boire NaCl 2.5L Ceftriaxone 2g Labo Sondage pour quantification diurèse Att : Hospitalisation aux soins intensifs Naevus de l'oeil gauche proche du nerf optique sur probable vasculite oculaire avec complications : • occlusion artérielle cilio-rétinienne avec anticipation veineuse responsable d'un oedème maculaire cystoïde fin 2018 • status après PRP de l'oeil gauche Syndrome sérotoninergique sur Venlafaxine • tremblements, myoclonies • troubles de l'équilibre, latéropulsions • hallucinations Status après plusieurs épisodes de pneumonies vers 2003-2005 Status post-ligature des trompes Status post-appendicectomie dans l'enfance Status post-adénoïdectomie dans l'enfance Status post-arthroscopie du genou droit avec nettoyage du ménisque en été 2008 Status post-diabète gestationnel. Naevus irrité orteil II pied gauche. Naissance à terme Naissance à terme, par accouchement par voie basse spontané, bonne adaptation néonatale. Naissance à terme par césarienne élective, sans complications périnatales. Naissance à terme, 37 2/7e SG, par césarienne pour siège. PN 3130 g (P 50), TN 46 cm (P 3-5), PCN 34 cm (P 25-50). Dilatation pyélocalicielle anténatale avec prophylaxie d'amoxicilline du 13.04 au 04.05.12 Insuffisance cardiaque sur communication inter-ventriculaires membraneuses multiples avec HTAP et hépatomégalie, opération en juillet 2012 06.2012: difficultés alimentaires avec perte pondérale sur insuffisance cardiaque sur CIV 06.2012: hyponatrémie sur diurétiques 06.2012: anémie normochrome normocytaire Bronchite obstructive à RSV - insuffisance respiratoire Difficultés alimentaires sur bronchiolite à RSV Coeliakie, suivi par Dr. X Naissance à terme. En anténatal, suspicion de malformation rénale, écartée par contrôle à la naissance (données anamnestiques). Naissance à 36 5/7 semaines d'aménorrhée par césarienne élective en raison d'une fatigue maternelle. Poids de naissance 2970 g Taille 48 cm périmètre crânien 34 cm, pH au cordon 7.13/7.35, Apgar 7-9-10. Maman G6P3, Strepto B inconnu. Sérologies: Toxo -, CMV +, Rubéole +, VDRL non fait, HBS -, HCV -, HIV -, Varicelle inconnue. S/p muguet buccal traité par Daktarin et fessier application de crème par la maman. Naissance à 39 6/7e SG, PN 3040 g, bonne adaptation néonatale Naissance au Daler à 39 1/7 SA, par AVB spontané, bonne adaptation néonatale avec APGAR 8/10/10. PN 2690 g, TN 47 cm, PC 31,5 cm. Naissance prématurée (7 mois) Infections pulmonaires récidivantes comme enfant (prises en charge au Portugal) Ostéosynthèse après fracture disloquée du tiers distal de la diaphyse de la métacarpe V droite • s/p retrait des vis (1.3 mm et 1.5 mm) Naissance 40 5/7 SA, PN 3750 g, Taille 54 cm, PC 34 cm APGAR 9/10/10 pH 7.19/7.23 Strepto B négatif, reste des sérologies dans la norme Naloxone i.v. Naloxone 0.2 mg le 13.02 Stop Oxycontin et oxynorme depuis le 13.02 Naloxone 0.4mg i.v. Titrage de Naloxone Bonne évolution de l'état de conscience Mr. Y, 6 ans, est hospitalisé pour déshydratation dans le cadre d'une gastroentérite aiguë. Une gazométrie montre une discrète alcalose métabolique sans trouble électrolytique. Aux urgences, il reçoit une dose unique d'Ondansétron avec un échec de réhydratation per os. Il bénéficie alors d'une réhydratation intraveineuse par NaCl 0.9%, d'une compensation des pertes et de ses besoins d'entretien par Glucosalin jusqu'au 13.02.2020. Les vomissements et diarrhées diminuent progressivement au cours du séjour. A l'examen clinique, nous mettons en évidence un souffle cardiaque plutôt fonctionnel. Nous vous laissons le soin de contrôler la présence de ce souffle à distance de l'infection. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 14.02.2020. Nausée. Nausée et vomissement DD sur opiacés Nausée, vomissement. Nausées. Nausées. Nausées. Nausées. Nausées. Nausées, baisse de l'état général. Nausées depuis 3 jours avec vomissements bilieux. Nausées d'origine indéterminée le 17.02.2020. Nausées et ballonnements dans un contexte de probable côlon spastique le 06.02.2020. DD : gastrite, reflux gastro-oesophagien. Nausées et douleurs à J5 post-adéno-amygdalectomie Nausées et douleurs abdominales. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements chez patiente enceinte à 16 SA le 05.02.2020. • avec déshydratation. • US par gynécologue en ordre le 05.02.2019. Nausées et vomissements d'origine virale probable le 26.02.2020. • dans un contexte d'IVRS depuis une semaine. Nausées et vomissements post-opératoires. Nausées et vomissements probablement d'origine multifactorielle, probablement d'origine médicamenteuse (Brintellix) déjà connu avant l'hospitalisation Nausées et vomissements sévères secondaires à la chimiothérapie Nausées gravidiques. • sans critères de gravité. Nausées sur iléus et carcinose péritonéale • Sous Primpéran Nausées, vomissements Nausées, vomissements et crampes abdominales. Nausées/vomissements N'ayant pas de facteur de gravité nécessitant des soins urgents, nous décidons d'organiser une hospitalisation élective pour la semaine prochaine afin de compléter le bilan, observer la prise alimentaire et mettre en place un suivi diététique. Reconsulte avant en cas de nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Né à l'Hôpital de Daler à 38 4/7 SA par voie basse, contrôle dans la norme, premier enfant. Né à terme à 36 4/7 par césarienne, PN 2550 g (P10-25), TN 45 cm (P 3), PC 33.5 cm (P25) Né à terme à 36 4/7 par césarienne, PN 2550 g (P10-25), TN 45 cm (P 3), PC 33.5 cm (P25) Né à terme à 39 6/7 SA, poids de naissance 3890 g (P75), taille de naissance 53 cm (P50-75), périmètre crânien de naissance 36 cm (P50-75) Né à terme, césarienne itérative. Status post bronchites spastiques 5-6 épisodes Trachéolaryngite bactérienne en avril 2012 Faux croup Né à terme par VB, PN 3'370 g Probable reflux gastro-oesophagien Né à 36 6/7 SA au Daler par césarienne élective sans complications péri-natales, bonne adaptation. PN 3170 g, TN 46 cm, PC 35 cm Pyélonéphrite aiguë (24.05.2017) Reins polykystiques/Hypertension artérielle dans un contexte de reins polykystiques sous traitement d'Enalapril 3 mg 2x/j Né à 37 SA, poids 2860 g, taille 50 cm, périmètre crânien 35 cm, Apgar 9/9/10 grossesse gémellaire, accouchement par voie basse, uniquement strepto B+ mais surveillance sans particularité par la suite. 1 mois : poids 3.980 kg, taille 53 cm, périmètre crânien 37 cm 2 mois : poids 5.3 kg, taille 57 cm, périmètre crânien 39 cm Né à 37 SA, poids 3140 g, taille 51 cm, PC 34.5 cm, Apgar 9/9/10 grossesse gémellaire, accouchement par voie basse, uniquement strepto B+ mais surveillance sans particularité par la suite. 1 mois : poids 4.5 kg, taille 55 cm, PC 39.5 cm 2 mois : poids 6.1 kg, taille 58 cm, PC 40.5 cm Né à 37 6/7 SA, poids de naissance 3050 g (P25-P50), taille de naissance 48 cm (P10), périmètre crânien de naissance 33 cm (P10) Né à 38 4/7 SA, poids de naissance 3270 g (P25-P50), taille de naissance 49 cm (P10-P25), périmètre crânien de naissance 34,5 cm (P25-P50). À l'entrée : J7 39 4/7 SA, poids d'entrée 3055 g (-6,5% PN), PC 35 cm, taille 49 cm Né à 38 6/7, accouchement déclenché en raison d'iso-immunisation anti Cw, AVB bonne adaptation Apgar 9/10/10, souffle cardiaque, rendez-vous en cardiologie en février. Streptocoque B positif avec contrôle aux 4 heures eo. Né à 39 2/7 SG, TN 47 cm, PN 2.840 kg S/p gastro-entérite à Rotavirus avec déshydratation légère estimée à 3-5% Né à 39 5/7 SG, PN 3500 g, AVB, APGAR 9/9/10. Né à 40 2/7, grossesse par insémination artificielle après stimulation ovarienne, accouchement par voie basse spontané, sérologies alignées, streptocoque B négatif, Apgar 9/10/10, pHa 7.17, pHv 7.27. Né à 40 4/7 AVB s.p. Né à 40 4/7 par forceps. PN 3700 g, TN 50,5 cm, PCN 35 cm, Apgar 9/9/10. Ne bouge pas son bras Né le 6.02 à 9h30 par césarienne pour CTG avec décélération, à 37 1/7 SA, pH artériel 7.3, pH veineux 7.34. Apgar 9/10/10 • Maturation pulmonaire à 33 5/7 SA • Facteurs de risque maternel : obésité morbide et tabagisme maternels (1 paquet par jour jusqu'à 7 mois de grossesse puis 10 cigarettes par jour) • Doppler pathologique (inversion des index cérébraux-placentaires) Né le 6.02 à 9h30 par césarienne pour CTG avec décélération, à 37 1/7 SA, pH artériel 7.3, pH veineux 7.34. Apgar 9/10/10 • Maturation pulmonaire à 33 5/7 SA • Facteurs de risque maternel : obésité morbide et tabagisme maternels (1 paquet par jour jusqu'à 7 mois de grossesse puis 10 cigarettes par jour) • Doppler pathologique (inversion des index cérébraux-placentaires) • Photothérapie sous une lampe le 11.02.2020 à 10h pour une durée de 12h à la maternité. Ne nécessite pas de point. Attitude : • Vérifier carnet de vaccination à la maison et si tétanos pas à jour, rappel chez médecin traitant. • Retour à domicile. • Mobilisation libre mais avec précaution. Ne pas prendre l'avion pendant une dizaine de jours Prendre rendez-vous dès son retour au Pérou avec son cardiologue traitant Né prématuré à 32 4/7 SA, connu pour une bronchodysplasie modérée avec un premier épisode de bronchite obstructive en fin décembre 2019 avec hospitalisation et oxygénodépendance, allergie au lactose, non connu pour un eczéma Ne souhaite pas de prise en charge psychiatrique ce jour. Nécessité d'oxygénothérapie Nécrose avasculaire tête fémorale G et D. Nécrose circonférentielle de l'hallux droit dans un contexte d'artériopathie sévère des membres inférieurs Nécrose du lambeau de peau. Avis orthopédique Dr. X : débrider la zone nécrotique, pansement et contrôle de plaie dans 24h. Débridement de plaie par Dr. X : désinfection, anesthésie locale, débridement de 1 cm x 1.5 cm, avec un lambeau encore viable de 1 cm carré, pansement. Photos avant et post-débridement montrées à l'orthopédiste. Attelle doigt. Poursuite antibiothérapie. Conseils soins de plaie donnés à la patiente. RDV de contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences le 16.02.2020. Nécrose péri-anale DD : gangrène de Fournier. Nécrose sèche de l'orteil gauche chez un patient diabétique sur probable insuffisance artérielle. Nécrose sèche du 3ème orteil pied G Nécrose tête fémorale hanche D sur statut post AMO DHS 09.2019 sur statut post ORIF par double voie d'abord par DHS sur fracture du col du fémur le 03.11.2017 par Dr. X au CHUV. Née à terme, accouchement par voie basse. Bonne santé habituelle Née à terme avec syndrome de désaturation d'origine X (transférée à Berne) et hypotension artérielle à la naissance. Pyélonéphrite en 2015 et en 2016 Insuffisance respiratoire sur possible pneumonie du lobe moyen et supérieur droit probablement virale le 26.11.2016 Née à terme avec syndrome de désaturation d'origine X (transférée à Berne) et hypotension artérielle à la naissance. Pyélonéphrite en 2015 et en 2016 Insuffisance respiratoire sur possible pneumonie du lobe moyen et supérieur droit probablement virale le 26.11.2016 Née à terme avec syndrome de désaturation d'origine X (transférée à Berne) et hypotension artérielle à la naissance. Pyélonéphrite en 2015 et en 2016 Insuffisance respiratoire sur possible pneumonie du lobe moyen et supérieur droit probablement virale le 26.11.2016 Née à terme, PN 3.355 g Née à terme, 38 4/7 SA, poids de naissance 3.470 g (P50-P75), taille de naissance et périmètre crânien de naissance non renseignés : carnet de santé non amené par les parents. Née à 38 1/7 SA, poids de naissance 3490 g. Visualisation de kyste de l'ovaire en anténatal, pas retrouvé aux échographies postnatales. Née à 38 1/7 SA, poids de naissance 3490 g. Visualisation de kyste de l'ovaire en anténatal, pas retrouvé aux échographies postnatales. Née à 39 4/7 par accouchement par voie basse spontanée PN 3070 g, TN 47 cm, PCN 33 cm. Bonne adaptation APGAR 10/10/10, pH ombilical 7.23. Constipation traitée avec Movicol à la maison Kystes infracentimétriques rate (DD kyste simple, kyste épidermoïde, lymphangiome) US abdominal le 26 et 27.08. Consilium hématologique : Dr. X Consilium gastro-entérologique : Dr. X Consilium chirurgical pédiatrique : Dr. X Née à 40 2/7, accouchement par voie basse, Apgar 10/10/10 Née à 40 3/7 SA, AVB Née à 41 4/7, accouchement provoqué pour terme dépassé, AVB instrumentée par ventouse, bonne adaptation, prend bien du poids, visite des 1 mois chez le pédiatre en ordre Nég. Vomissements et nausées chroniques depuis un an le 09.08.2019 • Avec anhédonie et sensation de déprime • Absence d'idées suicidaires Labo : pas de trouble électrolytique ECG : FC 65, RSR, QRS fins Test de grossesse urinaire : négatif Avis pédopsychiatrique (Dr. X) : absence d'idées suicidaires ou de critères de gravité chez cette patiente habitant en foyer, avec symptomatologie chronique sans antécédents de passage à l'acte. Patient sera revue le 12.08.2019 par Dr. X. Pas de traitement nécessaire en urgence. Att : • RAD avec Pantozol, Primperan • Suite de prise en charge en ambulatoire le 12.08.2019 : patiente sera convoquée Patiente instruite de reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Néoplasie folliculaire non invasive de la thyroïde à gauche Parenchyme thyroïdien sans lésion histo-pathologique notable à droite • Histologie P20202.2154 Néoplasie mammaire droite en 1993 traitée par chirurgie et radiothérapie Malaise et chute à domicile dans un contexte de grippe à Influenza B le 07.02.2018 • avec station prolongée au sol et rhabdomyolyse • hémorragie conjonctivale gauche post-traumatique Néoplasie myélodysplasique/myéloproliférative de type leucémie myélomonocytaire chronique de type 2 (CMML-2) selon la classification OMS 2017, avec présence de mutations des gènes ASXL1 et IDH2 (mutation p.R140Q), de score CPSS à 2 points (risque intermédiaire 2), diagnostiquée le 14.12.2017. Néoplasie myéloproliférative de type thrombocytémie essentielle selon la classification OMS 2008, triple négative, diagnostiquée le 06.01.2016 avec: • hémogramme au diagnostic: Hb 129 g/l, GB 6.5 G/l, Tc 641 G/l • biologie moléculaire du sang périphérique du 23.01.2014 (CHUV): absence de la mutation JAK2 V617F et absence du transcrit de fusion BCR-ABL • biologie moléculaire du sang périphérique du 04.02.2014 (CHUV): absence de mutation sur l'exon 9 du gène CALR • biologie moléculaire du sang périphérique de février 2014 (Unilabs Lausanne): absence de mutation sur le gène MPL • test HUMARA du sang périphérique du 06.01.2016: consistant avec une hématopoïèse clonale (perte de l'inactivation randomisée du chromosome X) • NGS du sang périphérique (panel TruSight Myeloid du sang périphérique) du 06.01.2016: présence de la mutation R132H du gène IDH1 (fréquence de 6,4%) • PBM du 14.01.2016: moëlle normocellulaire, trilinéaire, avec importante hyperplasie et signes de dysplasie au niveau de la lignée mégacaryocytaire, sans sidéroblastes en couronne ni excès de blastes, avec des réserves en fer absentes sans trouble de l'incorporation au médullogramme; tissu hématopoïétique légèrement hypercellulaire avec discrète hyperplasie des mégacaryocytes et formation de groupes lâches et discrètes atypies, sans fibrose réticulinique significative de la charpente (grade MF-0 selon OMS 2008) à la biopsie ostéomédullaire • cytogénétique médullaire du 14.01.2016: caryotype 46, XX [20] • traitement: cytoréduction par Litalir dès le 06.01.2016 • situation actuelle (20.02.2017): réponse hématologique complète (thrombocytes >450 G/l) Néphrectomie partielle en 2014 pour une néoplasie maligne. Prurit généralisé et érythème cutané transitoire. Néphrolithiase : 2 calculs de 2 mm de diamètre au niveau du système caliciel inférieur gauche. 1 calcul de 2 mm au niveau de la vessie. Néphrolithiase à droite le 08.02.20. Néphrolithiase droite symptomatique de 3x4x4 mm. Néphrolithiase gauche en 2015. Lombosciatalgie non déficitaire droite. Césarienne. Douleur sur lithiase rénale gauche en cours de prise en charge urologique le 17/04/19. Brûlure 1er degré en 01/2019 : • pied droit • cuisse droite. Néphrolithiase gauche traitée par lithotripsie en 1993 Dépression traitée jusqu'en 2010 Lombalgie non déficitaire le 23.05.2015 Obstétriques: • AVB au Portugal en 1993 à 38 SA • AVB au Portugal en 2000 à 37 SA Néphropathie chronique stade 3 le 07.02.2020 • CKD-EPI à 41 ml/min/1.73 m2 DD: composante aiguë surajoutée (produits de contraste) Néphrostomie à laisser en place pour l'instant au vu de l'impossibilité de mettre en place des sondes doubles J car invasion tumorale trop importante Poursuite de l'immunothérapie pour la tumeur vésicale Néphrotrans du 30.01.2020 au 06.02.2020 Néphrotrans 2 cp 3x/j à partir du 11.02.2020 Nettoyage au NaCl, Ialugen crème, Mepilex transfert, compresse et bande gaze. Explications données et matériel distribué à la patiente, informée de reconsulter son médecin traitant en cas de mauvaise évolution. Nettoyage avec eau oxygénée (H2O2) et désinfection Exploration de plaie Pansement simple avec compresses Nettoyage avec eau oxygénée (H2O2) Exploration de la plaie : caillot en fond de plaie, pas de saignement actif Désinfection Mise en place d'un pansement simple avec compresses et bande cofix autour de la tête Suivi clinique Nettoyage de la plaie et désinfection. 2 points de suture avec fil prolène 5.0. Nettoyage de l'entrée des broches et des broches. Confection d'un nouveau plâtre BAB fermé avec fenêtre. Prochain contrôle à ma consultation le 02.03.2020. Nettoyage, débridement, désinfection et pansement. Attitude : désinfection de la plaie et pansement à 48 h Nettoyage, débridement, désinfection et pansement. Attitude : • Mepilex Border • pas de bains Nettoyage, débridement, désinfection et pansement. Attitude : • contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 10.02.2020. Nettoyage, débridement, désinfection et pansement. Attitude : Désinfection plaie et pansement aux 48 h Nettoyage, débridement, désinfection et pansement. Contrôle en ambulatoire le 10.02.20. Nettoyage, désinfection, exploration sous anesthésie, 3 points de suture sur la plaie tibiale et 1 point de suture sur la plaie au de l'avant-pied. Tétanos à jour. Points de suture à enlever dans 7 jours chez le médecin traitant. Consultation médicale si apparition de red flags. Nettoyage, désinfection, pansement. Attitudes : Conseils hygiéniques Consultation médicale si apparition de red flags Status vaccinal pour le tétanos sera contrôlé avec le médecin traitant. Nettoyage et désinfection et pansement sec, attelle Edingberh. Le patient sera revu pour un contrôle le 17.02.2020 Nettoyage et désinfection quotidienne Nettoyage, exploration de la plaie au NaCl, désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaïne, 4 points de suture Prolène 5.0. Rappel tétanos. Contrôle en filière 34 à 48 h vu le délai de 24 h avant la consultation (risque augmenté d'infection). Contrôle chez médecin traitant à 10 jours pour ablation des fils. Nettoyage fréquent et essuyer avec linge. Solution de Procutol à mettre dans le bain 1x/j Nettoyage, pansement occlusif avec Opsite. Consigne de reconsultation. Nettoyage plaie, pansement sec. Patient parti sans avertir et sans consultation médicale. Neupogen dès le 10.12 pour 3 jours Suivi : • Bonne évolution biologique Proposition : • suivi de l'hémoglobine à effectuer en cas de péjoration de la dyspnée (seuil transfusionnel à 80 g/l) Neupogen Avis hématologique (Dr. X) : pancytopénie d'origine indéterminée vs. dans le contexte inflammatoire, refaire le point à la sortie de la patiente. Neuro : NC : Déficit de la fermeture paupière gauche, chute de la commissure labiale gauche, signe de cils positif gauche, pas de déficit du champ visuel, pas de trouble de l'occulmotricité, asymétrie des traits, froncissement du front, pas de trouble sensito-moteur des voies longues, pas d'altération des tests cérébelleux, ROTs vifs et symétriques. Poursuite traitement actuel par : Valtrex, prednisone à dose dégressive jusqu'au 28.02, vitamine A, gouttes opht et pansement oculaire gauche jusqu'à disparition des symptômes Contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Arrêt de travail. Neurocentre du 27.01.2020 : dénervation C5 à droite, compatible avec l'imagerie et les symptômes. Pas d'atteinte au niveau des racines C6-C7. Altération électroneuromyographique type tunnel carpien sous-clinique. Neurofibromatose. Neurofibromatose de type 1 Obésité de stade 2 (BMI 34.2 kg/m2 le 07.01.2020 - probablement surévaluée car taille faussée par scoliose) Hypertrophie bénigne de la prostate sous Tamsulosine Neuro-IRM 24.02 : pas de lésions du neurocrâne, visualisation de la sinusite sus-mentionnée. Examen clinique neuro rassurant. Poursuivre Irfen 600mg et Pantoprazole. Contrôle chez son médecin traitant en fin de semaine Neuronite vestibulaire gauche le 15.02.2020. Neuronite vestibulaire gauche, 15.02.2020 Neuronite vestibulaire Tabagisme sevré à 27 UPA Neurontin depuis le 06.02.2020. Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Team Spine. Neuropathie compressive du nerf péronier G postopératoire. Arthrose post-traumatique de l'articulation sous-talienne ddc sur fracture des calcanéis avec traitement conservateur en 1986. Arthrose tibio-talienne bilatérale débutante. Neuropathie médiane focale asymptomatique au poignet Neuropathie nerf cubital D sur status post transposition du nerf cubital à D, le 20.11.18. Cure du tunnel carpien D. Neuropathie périphérique sensitivomotrice à prédominance axonale. Artériopathie oblitérante stade I au niveau fémoro-poplité gauche. Adénocarcinome de la prostate, pT2c pN1 (mi) (1/5) L1 V0 Pn1 R1 : • Lymphadénectomie pelvienne bilatérale et prostato-vésiculectomie radicale le 25.04.2018, Dr. X : Histologie : 1) Quatre ganglions lymphatiques en partie en involution adipeuse, sans malignité (lymphadénectomie iliaque gauche). 2) Une micro-métastase de 0,025 cm de l'adénocarcinome prostatique (1/1, lymphadénectomie iliaque droite). 3) a) Adénocarcinome prostatique acinaire, de grade groupe 3 (WHO/ISUP 2016), de score de Gleason 4+3=7 : • incluant une composante minime de pattern 5 selon Gleason • avec infiltration bifocale du lobe droit et unifocale du lobe gauche • images de neurotropisme intra-prostatique et intra-capsulaire • plusieurs images compatibles avec des invasions tumorales de vaisseaux lymphatiques • néoplasie prostatique intra-épithéliale de haut grade. b) Hyperplasie prostatique bénigne et foyers de prostatite chronique non active. Urothélium de l'urètre prostatique, vésicules séminales et canaux déférents sans lésion histologique notable. Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Suivi logopédique Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique Neuroréadaptation intensive Conduite contre-indiquée Situation sera discutée au colloque des foramens ovales perméables le 25.02.2020 Consultation neurovasculaire avec Dr. X à l'HFR Fribourg 22.04.2020 à 14h30 Neuroréhabilitation intensive avec ergo/physiothérapie et neuropsychologie Rendez-vous de suivi chez Dr. X le 05.03.2020 à 10h Bilan neuropsychologique (23.01.20) Neuroréhabilitation intensive avec physio/ergothérapie, logopédie et neuropsychologie Holter 72h (30.12.2019) ECG (06.01.20) Bilan lipidique (04.02.20) : dans la norme Bilan neuropsychologique : contre-indication de la conduite jusqu'au prochain contrôle Consultation neurovasculaire de contrôle chez Dr. X au service de neurologie, HFR- Fribourg le 08.04.20 à 13h Contrôle neurologique chez Dr. X à l'hôpital de Meyriez- HFR, Fribourg Suivi logopédique en ambulatoire Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie et ergothérapie ECG (23.01.20) Schellong (23.01.20) Résidu post-mictionnel (23.01.20) : 36 ml Contrôle clinique et ENMG à la consultation de Dr. X à HFR-Fribourg le 25 février 2020. Neuroréhabilitation intensive Holter 72 (05.12.2019) : US des vaisseaux pré-cérébraux et contrôle neurologique (Dr. X 17.12.2019 et 29.01.2020) : Consultation neurovasculaire de contrôle et US des vaisseaux précérébraux le 28.04.20 à 16:15 chez Dr. X- neurologie-HFR-Fribourg le 28.4.2020 à 16H15 Plavix 75 mg 1/j dès le 07.02.2020 (double antiagrégation avec aspirine pour stent carotidien, poursuite à réévaluer par Dr. X lors du prochain contrôle) Neuroréhabilitation intensive multi-disciplinaire Poursuite de la thérapie avec double anti-agrégation par Aspirine cardio et Plavix dès le 09.02.2019 pendant 1 mois, suivi par Plavix seul Poursuite de la thérapie avec Scopoderm patch, Betaserc arrêté le 11.02.2019 Holter de 72 heures le 20.02.2019 : pas de troubles du rythme, pas de FA Neurotoxicité à l'oxycontin et la morphine avec • hallucination visuelle et confusion Neurotoxicité de la morphine avec hallucination visuelle, clonies Neurotoxicité de la morphine avec hallucination visuelle, le 23.01.2020 Neutropénie d'origine septique le 27.01.2020 Neutropénie fébrile le 15.02.2020 Neutropénie fébrile le 15.03.2019 dans le contexte d'une chimiothérapie récente (FOLFOX le 12.03.2019). • Rocéphine 2 g iv 1x/j le 15.03.2019 • Flagyl 500 mg 3x/j le 15.03.2019. Entérocolite à Campylobacter Spp. • antibiothérapie par Azithromycine 500 mg par jour du 16.03.2019 au 18.03.2019. Status post-angor de poitrine en 1993. Status post-AIT en juin 2016. Status post-appendicectomie dans l'enfance. Status post-pleurésie et tumeur pulmonaire bénigne droite en 1992. Status post-résection partielle du ménisque interne et externe gauche en 2014. Neutropénie fébrile sur leucémie aigue le 08.02.20 Neutropénie modérée à 0.58 G/l Névralgie cervico-brachiale atypique. Douleur thoracique sans étiologie retrouvée le 05/10/18. Névralgie cervico-brachiale droite, le 09.02.2020. Névralgie cervico-brachiale droite le 14.02.2020. Névralgie C5-C6 non traumatique non déficitaire. DD : tendinite du membre supérieur droit. Névralgie de type allodynique résiduelle sur status post cure d'un névrome de Morton, espace II et III, III et IV à gauche en juillet 2017 au Portugal. Névralgie du trijumeau droit en 2009. Névralgie du trijumeau droit le 20.02.2020 • Phlébo-IRM cérébrale native normale le 04.02.20. Névralgie post-zostérienne : • Suivi au centre de la douleur à Fribourg Névralgie post-zostérienne territoire L1-L2 de la cuisse gauche Névralgie post-zostérienne. Alcoolisation aiguë à 2.12. Tendinite du coude D. Névralgies cervico-brachiales gauches avec lombalgie aiguë non spécifique le 04.10.18. Névralgies occipitales le 09.05.2017 Névrite optique droite sur probable sclérose en plaque : • depuis janvier 2020 • antiMOG et antiAQP4 négatifs Névrite vestibulaire gauche le 21.05.2016. Fracture de la malléole externe G type Weber B et fragment du Wagstaff le 14.11.2018. Réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole latérale G par plaque tiers tube LCP 3,5 4 trous et ostéosuture du fragment Wagstaff au Vicryl 1. Névrome de Morton espace 3-4 pied D. Névrome Morton pied gauche opéré le 04.02.2019. Fracture du plateau supérieur des vertèbres L3 et L4 en 2014. Cure de hernie inguinale bilatérale en 2012. Suspicion d'urétrite. Insuffisance rénale aigue AKIN 1 avec une créatinine à 133 mcmol/l. Spermatocèle opérée en 1978. Nexium Nexium 20 mg 1x par jour Contrôle clinique chez vous dans 5-7 jours Consigne de reconsulter plus tôt si péjoration clinique (signe de détresse respiratoire expliqué à la maman) Nexium 40 mg 2x/j Transfusion de 1 culot érythrocytaire le 05.02.2020 Suivi biologique Nifédipine en ordre unique Remplacement de l'Enalapril par Lisinopril Ajout Amlodipine le soir Nifédipine le 29.01.2020 Labétalol le 29.01.2020 Amlodipine le 29.01.2020 Levetiracetam 1 g IV le 30.01.2020 dans le cadre d'une suspicion initiale d'évènement ictal Traitement de l'infection urinaire baisse (cf. Dx supplémentaire 1) Avis neurochirurgical (Dr. X) Avis neurologique (Dr. X) CT cérébral le 29.01.2020 CT cérébral le 30.01.2020 IRM cérébrale : atrophie globale, pas de PRES, pas d'HSA EEG : encéphalopathie, pas de foyer Sonde vésicale du 30 au 31.01.2020 Nifédipine, Nitroderm, Antalgie Sonde vésiculaire : 1000 ml Att : Majoration Antalgie et traitement antihypertensif Nifédipine retard 20 mg/j dès le 21.02.2020 Nifédipine 10 mg en ordre unique Nifédipine 20 mg Nifédipine 20 mg aux urgences. Nifédipine 20 mg retard Nifédipine 20 mg Adaptation du traitement habituel anti-hypertenseur : Amlodipine le soir et Lisinopril en suspens Nifédipine 20 mg Isoket 1 dose Nifédipine 20 g. Suite chez le médecin traitant. Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil.• nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihill • nihill • nihill • nihill • nihl • nihl • NIHSS : 7 pts (motricité MSG 3 pts, motricité MIG 1 pt, ataxie MIG 1 pt, sensibilité MSG et MIG 2 pts) à 18h30 • NIHSS: 3 pts (Hypoesthésie MS et MIG / Ataxie MSG / Pronation MSG), à 20h00 à Fribourg • NIHSS: 0 pt à 20h45 • Laboratoire • ECG: RSRN, Bloc de branche droite incomplet, avec sus-décalage unique en V2 • OH: 1.97%o • CT Time is Brain: Légère hypoperfusion frontale. Plaque d'athérome à 50% intrapetreux. Pas de lésion constituée visualisée. • Avis neurologique (Dr. X): Suspicion AIT. Ad Aspirine dose de charge 500mg, puis 100mg 1x/jour, Atorvastatine 60mg, Pas de lyse pour l'instant, hospitalisation en stroke unit, IRM le 17.02 • Attitude: • Hospitalisation en stroke Unit • US cardiaque demandé • Holter demandé • Pister laboratoire • IRM cérébrale lundi, demandé • NIHSS à l'entrée 7, après 2 heures: 0 • ECG: FA bradycarde • CT cérébral: pas de signe AVC • Avis neurologique: • Pas EEG car épilepsie peu probable, AIT peu probable • Évaluer une IRM à distance • Avis Neurochirurgie: pas de perturbation de la dérivation ventriculaire ni agrandissement des ventricules • Avis soin intensif: surveillance télémétrique • Attitude: • Transfert à Payerne pour surveillance télé-métrique • NIHSS à 0 à l'admission. • ECG. • Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique. • Avis neurologique Dr. X: probable migraine avec aura visuelle, chez Mme. Y connue pour des migraines fréquentes et des céphalées d'allure cervico-géniques. Demander un avis ophtalmologique. En fonction, une IRM cérébrale en ambulatoire est à discuter. • Avis ophtalmologique, rapport oral du Dr. X: décollement postérieur du vitré. Contrôle ophtalmologique le 19.02.2020 à 08h00. Interdiction de conduire pendant 3 heures. • Pas d'imagerie complémentaire. • Suivi par le MT en ambulatoire. • Prochain contrôle ophtalmologique à l'HFR le 19.02.2020 à 08h00. • Contrôle en urgence si myodésopsies/phosphènes/voile noir. • NIHSS initial : 5 • Labo : INR 2, Glyc 6, pas de trouble électrolytique • CT Time is brain : pas de thrombus visualisé, pas d'anomalie majeure au niveau des cartes de perfusion • Attitude : stop sintrom, charge d'Aspirine 250 mg aux urg, hosp en Stroke Unit • NIHSS 0. • Explications données par le médecin pour : • ECG. • Laboratoire. • Troponines H0 7 ng/l, H16 ng/l. • CT cervico-thoraco-abdominal: pas d'anévrisme, pas d'embolie pulmonaire, coronaires sans particularité. • Aux urgences: • 500 mg ASS i.v. • Morphine i.v • En l'absence de red flags au niveau clinique, biologique et scanographique, le patient retourne à domicile avec contrôle chez le médecin traitant pour suite d'investigations. Une échographie de stress pourrait être proposée. • Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. • NIHSS 0p aux Urgences, ABCD 3 points. • Laboratoire : cf annexes. • CT cérébral et cervical le 08.02.2020 : détaillé ci-dessous. • Avis neurologique de garde: ad CT cérébral + carotides pour exclure dissection carotidienne, IRM en ambulatoire, Aspirine si suspicion d'AIT, reconsulter en urgence si réapparition de symptômes. • IRM neurocrâne et contrôle FUA le 12.02.2020 à 7h00. • Consultation neurologique en ambulatoire (demande de consultation envoyée à l'HFR Fribourg - transmettre cette information à Mme. Y svp). • NIHSS: 1 pt (hypoesthésie). • ECG: pas de trouble de la repolarisation. • Laboratoire en cours. • Avis neurologue (Dr. X): transfert à Bern pour IRM et évaluation neurologique. • Garde de neurologie à Bern avertie. • Attitudes : • Alitement position couchée avec max 20 °C. • Transfert à Bern pour suite de prise en charge. • Nikotinabusus • Nikotinabusus • St. n. Depression • Beruf: Elektromonteur • Nitrée iv • Gazométrie : lactates 1.1, pH 7.4, PaO2 10.9, PaCO2 4.1 • Nitro caps aux urgences. • Nitro caps 0.8 mg. • Metoprolol 50 mg per os.Explication préalable pour les différents examens: • ECG • Laboratoire: Troponines (h0-3) 9-14-18. Avis Dr. X: NSTEMI improbable, troponinémie probable dans le contexte de l'HTA sur diagnostic 1. Mr. Y a pris contact avec son cardiologue traitant, Dr. X, depuis les urgences pour un suivi. Traitement antihypertenseur en réserve. • Nitroderm patch 5 mg aux urgences avec bon effet • Nitrofurantoïne du 28 au 30.01.2020 • Rocéphine dès le 30.01.2020 puis Nitrofurantoïne du 31.01 au 03.02 • Sonde vésicale dès le 30.01.2020, retirée par la patiente le 31.01.2020 • Stix/sédiment urinaire les 28.01 et 30.01.2020 • Urotube le 30.01.2020 : Klebsiella Pneumoniae résistant à l'ampicilline, résistance intermédiaire à la nitrofurantoïne • Bactrim Forte 2 x/j du 05 au 07.02.2020 • Nitrofurantoïne 100 mg 2 x/j du 26.12.2019 au 31.12.2019 • Nitrofurantoïne 100 mg 2 x/jour pendant 5 jours • Indication à s'hydrater régulièrement • Nitroglycérine i.v. continue du 20.01-21.01.2020 • Aspirine à vie, Ticagrelor pendant 12 mois et Atorvastatine dès le 22.01.2020 • Echocardiographie transthoracique le 10.01 et 17.01.2020 • Coronarographie diagnostique le 16.01.2020 (Dr. X) • Coronarographie le 22.01.2020 (Dr. X) : Assistance ventriculaire gauche par Impella, angioplastie avec 2 stents actifs dans l'IVA ostiale et tronc commun, angioplastie avec 1 stent actif dans la bissectrice • Coronarographie avec OCT après 6-8 semaines (mi-mars 2020) pour vérifier le stent du tronc commun • Ergométrie dans 1 année • Nitrogycérine i.v. continue du 20.01-21.01.2020 • Aspirine à vie, Ticagrelor pendant 12 mois et Atorvastatine dès le 22.01.2020 • Echocardiographie transthoracique le 10.01 et 17.01.2020 • Coronarographie diagnostique le 16.01.2020 (Dr. X) • Coronarographie le 22.01.2020 (Dr. X) : Assistance ventriculaire gauche par Impella, angioplastie avec 2 stents actifs dans l'IVA ostiale et tronc commun, angioplastie avec 1 stent actif dans la bissectrice • Ramipril dès le 19.02.20 • Diminution du bêtabloquant le 21.02.20 • Coronarographie avec OCT le 12.03.20 à 7h pour vérifier le stent du tronc commun • Ergométrie dans 1 année • Nitrogycérine iv continue du 07.02 au 08.02.2020 • Nitrogycérine iv du 14.02-15.02.2020 • Reprise traitement habituel (Equivalence Losartan 100 mg), Nebilet 5 • Introduction Amlodipine, Hydrochlorothiazide, Physiotens • Nitrogycérine patch transcutané. • Echocardiographie transthoracique le 13.02.2020 • Coronarographie le 14.02.2020 • IRM cardiaque de stress le 19.03.2020 à 14h00 (Affidea) • Consultation chez cardiologue traitant à planifier après IRM • Nitrogycérine patch transcutané. • Echocardiographie transthoracique le 13.02.2020 • Coronarographie le 14.02.2020 • IRM cardiaque de stress le 19.03.2020 à 14h00 (Affidea) • Consultation chez Dr. X, cardiologue (la patiente sera convoquée) • Nitrogycérine perf, surveillance. • Beloc 5 mg. • Trandate 50 mg iv continu débit 1,5 mg/min. • Prise d'Aprovel. • Nifédipine 20 mg aux urgences. • Nizoral crème à réévaluer selon évolution • NN à terme +7j, PN 3.750 kg (bonne adaptation) • NN à terme • NN à terme • NN à terme, PN 3090 g • bonne santé habituelle • pas d'opérations • NN à terme, PN 3.3 • bonne santé habituelle • Chirurgie hernie inguinale droite Janv 2020 • NN à terme, PN 3.605 • bonne santé habituelle • pas d'opérations • NN à 37 4/7, PN 1960 g ( contrôle Temp à 36.6, GCS 15/15, la patiente arrive à marcher sur une ligne continue, pas d'ataxie, pas de déficit sensitivo-moteur. Notre bilan biologique de contrôle à la sortie montre une amélioration de l'hypokalémie (K à 4 mmol/l) et aussi une amélioration de l'hypocalcémie avec un Ca corrigé de contrôle à 2.22 mmol/l. Nous discutons le cas avec notre chef de clinique de garde Dr. X: Au des examens clinique et biologique de contrôle qui reviennent dans la norme, nous laissons Mme. Y avec interdiction de conduite ce jour et également interdiction de boire de l'alcool ce soir. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Comme la patiente ne souhaite pas être opérée, elle prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Elle rentre à domicile avec une antalgie par Irfen et Dafalgan. Nous demandons l'avis du Dr. X qui propose un retour à domicile avec un traitement antalgique et un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires demain pour un contrôle clinique et biologique. En cas de persistance des symptômes, nous discuterons d'un éventuel U/S abdominal à la recherche d'une vésicule biliaire. Nous effectuons un Uro-CT. Nous demandons un avis orthopédique afin d'évaluer la nécessité de faire un US des tissus mous. Le patient est vu par l'orthopédiste qui diagnostique une contusion de la main D et propose un traitement conservateur avec antalgie, surélévation et repos. Malgré le diagnostic de contusion de la main D, nous souhaitons traiter le patient par Co-amoxicilline 1g 2x/jour pendant 7 jours afin de traiter une probable cellulite associée. Malheureusement, le patient quitte les urgences après le passage de l'orthopédiste, sans être revu par l'équipe de pédiatrie. Nous avons téléphoné à plusieurs reprises à ses parents afin d'envoyer une ordonnance pour l'antibiothérapie directement en pharmacie, mais tous les appels étaient sans réponse et impossible de laisser un message sur le répondeur. Nous demandons un avis orthopédique au Dr. X qui préconise la réalisation d'une radiographie du pied. Un bilan angiologique (avec mesure de la TC PO2) sera effectué chez le Dr. X le 10.01.2020, ainsi qu'une IRM du pied le même jour à Riaz. Le patient sera convoqué à la consultation du pied à risque du Dr. X pour la suite de la prise en charge. Vu son bon état clinique, le patient peut regagner son domicile le 05.02.2020 et la suite de la prise en charge sera faite de façon ambulatoire. Nous demandons un consilium psychiatrique afin d'évaluer l'indication à une hospitalisation psychiatrique à la demande de la police, qui juge que le patient peut rentrer à domicile. Le patient rentre à domicile le 26.02.2020. Nous demandons un consilium psychiatrique auprès du Dr. X, qui ne voit pas d'indication à une hospitalisation, et organise avec le patient un suivi ambulatoire chez un psychiatre. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail à 100% du 12 au 21.02.2020. Nous demandons l'avis du psychiatre de garde, Dr. X. Il préconise un retour à domicile. Mme. Y appellera demain le Centre psychosocial de Fribourg, et elle sera vue demain. Nous désinfectons à l'H2O2 puis nous suturons la plaie par 3 points hémostatiques à l'ethilon 4-0 selon Blair-Donati. Nous mettons en place un pansement compressif ainsi qu'une bande Cofix. Le patient sera revu en contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 25.02 à 9h. Xarelto en suspens le 25.02.20. Nous désinfectons et explorons la plaie. Nous réalisons une suture avec du fil 4.0 non-résorbable. Le rappel anti-tétanique a été effectué. Un contrôle de plaie et pansement chez le médecin traitant doit être fait à 48h, et ablation des fils dans 10 jours. Nous désinfectons et refaisons le pansement par Adaptic avec une compresse et un Cofix. La patiente ira pour un contrôle de plaie et la réfection du pansement dans 48h chez son médecin traitant. Nous lui faisons un arrêt de travail. Nous désinfectons et suturons la plaie à l'Ethilon 5-0. Nous mettons un Adaptic recouvrant la perte de substance avec une compresse et un pansement Opsite. Le patient ira pour un contrôle de la plaie à 48h chez son médecin traitant et y retournera dans 5 jours pour l'ablation des fils. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail. Nous désinfectons la plaie. Après un champage nous explorons et rinçons la plaie à l'aiguille boutonnée avant de réaliser 4 points de sutures de rapprochement Ethilon 4.0. Nous mettons en place un pansement Adaptic. Nous réalisons une radiographie de l'index gauche décrit ci-dessus. Il ira pour un contrôle à 48h chez son médecin traitant. Ablation des fils dans 10 jours. Le patient refuse son arrêt de travail étant charpentier indépendant. Il a déjà des antalgiques à la maison. Nous désinfectons la plaie avec Bétadine solution et sous anesthésie locale par Rapidocaïne et Bicarbonate nous suturons la plaie avec Ethilon 4-0 (2 points) puis tulle bétadinée et compresse stérile. Le rappel antitétanique est effectué aux urgences. Le patient rentre à domicile avec contrôle de la plaie chez son médecin traitant dans 48 heures et ablation des fils à 14 jours. Nous désinfectons la plaie. Le patient ira enlever les fils chez son médecin traitant dans 14 jours. Nous diagnostiquons cliniquement une pneumonie base gauche sans besoin d'oxygène pour l'instant associée à une angine et une otite D. Pas besoin d'effectuer un Streptotest vu l'absence de critères cliniques, l'absence de bénéfices thérapeutiques et l'antibiothérapie avec Amoxicilline pour 72 heures il y a 48 heures. Concernant l'otite D, pas besoin d'un traitement AINS vu l'absence de la symptomatologie clinique en association avec notre décision de reprendre l'antibiothérapie devant la pneumonie base G (Amoxicilline 80 mg/kg/j). Après plusieurs tentatives, nous n'avons pas pu discuter avec vous au téléphone concernant la situation. Nous proposons un contrôle à votre consultation dans 48 heures pour réévaluation clinique et nous expliquons en détails les signes de gravité (SDR, vomissements, refus de réhydratation, péjoration respiratoire, altération de l'état général). Nous diagnostiquons un abcès rétro-pharyngé G avec abcès para-vertébral G avec état général conservé. Après la demande des parents et vu l'absence des signes de gravité en ce moment-là (état hémodynamique stable, état général conservé) (père médecin généraliste), des soins ambulatoires sont préconisés au cabinet médical du père (VVP en place) avec contrôle journalier par le pédiatre surtout dans les 24 heures d'ici, dans 48h et 72 heures (le père nous garantit ce suivi). Les signes d'alerte sont expliqués en détails au père et à la mère (altération de l'état général, nucalgie importante, troubles squelettiques) ainsi que les complications potentielles. Concernant la durée des antibiotiques et le relais per os, nous vous proposons la prise d'avis ORL en fonction de l'évolution de l'état de Mme. Y. Devant l'explication en détails des signes d'alerte, des soins à poursuivre et des complications potentielles, nous restons à disposition pour consultation en urgence si péjoration clinique.Discussion du cas clinique avec la Dr. X. Nous diagnostiquons une contusion de la cheville gauche sur choc axial. Il n'y a pas à l'examen radiologique d'atteinte osseuse. Dans ce contexte, on met un traitement conservateur avec une charge selon douleur avec 2 cannes, anti-inflammatoire topique et per os et au vu d'un patient qui est boulanger, une incapacité de travail d'une semaine. Suite chez le médecin traitant selon évolution. Nous diagnostiquons une lésion de Chopart pour laquelle nous proposons une botte plâtrée fendue. La patiente sera revue en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. La patiente peut rentrer à domicile avec pour consigne de ne pas charger. Nous discutons avec la néphrologue qui s'occupe de Mme. Y pour planifier une opération en ambulatoire. Celle-ci est planifiée le 23.03.2020 en anesthésie locale vu que la fistule artério-veineuse est du côté où la patiente souffre d'un canal carpien. L'opération sera effectuée l'après-midi, le matin la patiente sera en dialyse. Elle signe le consentement éclairé. Nous discutons avec la patiente de réaliser une IRM afin de bilanter le tendon du biceps fémoral afin d'exclure une éventuelle fissure ou un arrachement partiel. Nous la reverrons après cet examen. Selon le résultat de l'IRM, prescription de physiothérapie. Nous discutons avec la patiente des deux options thérapeutiques comme lors de la dernière consultation du 08.10.2019. Soit un traitement opératoire du tunnel carpien soit de la physiothérapie pour des exercices neuro-méningés ainsi que des exercices au niveau de sa nuque. La patiente préfère un traitement conservateur. Elle se présente chez Mme. Y à Bulle pour des exercices neuro-méningés. Nous la reverrons d'ici 3 mois pour faire le bilan et voir si l'indication opératoire est retenue. Nous discutons avec la patiente des différentes options thérapeutiques, ma proposition est de faire une infiltration éco-guidée du Ier compartiment avec de la cortisone. Contrôle clinique chez nous 6 semaines plus tard. Si persistance des douleurs et si la patiente le souhaite, nous pourrions discuter d'une révision du Ier compartiment. Nous discutons avec la patiente des différentes options thérapeutiques possibles pour le diagnostic susmentionné. Nous optons avec la patiente pour une stabilisation arthroscopique selon Bankart avec greffe du bastille osseuse prise sur le bassin, ainsi qu'un comblement de la lésion de Hill Sachs. Nous expliquons à la patiente les bénéfices et risques de cette intervention et elle donne son accord en signant un consentement éclairé. L'intervention est agendée au 23.03.2020. Nous discutons avec la patiente par rapport à la prise en charge chirurgicale et prévoyons une cure d'hallux valgus avec ostéotomie de scarf de MT1 et ostéotomie selon Akin de P1. La patiente est bien informée par rapport aux risques de décompensation de l'arthrose débutante de MTP1 visible au dernier bilan radiographique qui pourrait nécessiter ultérieurement une arthrodèse de MTP1 dans un second temps. La patiente est bien renseignée par rapport aux risques et aux bénéfices d'une procédure chirurgicale qu'elle accepte en signant la feuille de consentement éclairé. L'intervention est agendée pour le 14.04.2020 prochain. Nous discutons avec la patiente par rapport aux différentes stratégies thérapeutiques, s'agissant d'un hallux rigidus débutant. Une option thérapeutique serait une arthrodèse de la MTP1 avec une limitation conséquente de la possibilité de porter des talons et de la mobilisation de l'avant-pied D. En alternative, notre première proposition serait éventuellement une cheilectomie avec excision de l'ostéophytose dorsale au niveau de la tête du Ier métatarsien qui pourrait limiter la gêne par le frottement avec les chaussures sans résoudre l'arthrose qui en est la cause. Dans l'intervalle, nous lui conseillons le port de chaussures plutôt larges avec une semelle rigide afin de limiter le déroulement du pied et donc la sollicitation de l'articulation MTP1. Nous laissons la patiente réfléchir. Elle nous recontactera si besoin pour rediscuter des détails d'une éventuelle prise en charge chirurgicale. Nous discutons avec le patient car les lancées électriques qu'il décrit ne suivent pas clairement l'une des 2 branches du nerf sensitif dorsal radial. Le patient les ressent plutôt suivre l'EPL. Nous n'arrivons pas à reproduire cette douleur et décharge électrique lors de la mobilisation du pouce, mais conseillons au patient de faire attention et découvrir quel mouvement concret provoque cette symptomatologie. Dans l'intervalle, le patient va appliquer une pommade anti-inflammatoire pendant 1 mois, 1 x jour. Nous le reverrons à notre consultation pour un contrôle clinique le 01.04.2020. Arrêt de sport à 100%. Nous discutons avec le patient concernant son anatomie peu favorable à une prise en charge chirurgicale par uniquement une herniectomie, en effet, celui-ci présente une discopathie large avec un canal lombaire étroit constitutionnel et des articulaires très proéminentes. Une prise en charge chirurgicale s'effectuerait selon notre avis uniquement par une spondylodèse au cas où les douleurs devenaient insupportables et les lombalgies augmentaient. Actuellement, il a très peu de douleurs lombaires, il persiste encore une sciatique, mais en diminution. Dans le contexte, nous proposons de poursuivre le traitement conservateur en lui expliquant tous les signes et symptômes devant l'amener à consulter, à savoir un syndrome de la queue de cheval ou une faiblesse motrice ou de nouveaux déficits, ainsi que de nouvelles paresthésies. Nous fixons d'ores-et-déjà un suivi en décembre avec une IRM et restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous discutons avec le patient de la poursuite du traitement par Condrosulf pendant les prochains mois mais en cas de persistance de douleurs, il reprendra contact avec nous pour effectuer une infiltration. Nous discutons avec le patient d'une éventuelle prise en charge chirurgicale avec discectomie et fixation avec ALIF et spondylodèse postérieure. Actuellement, Mr. Y est sous pression psychologique quant à une chirurgie car il nous rapporte avoir eu un Sudeck aux MS et dans son entourage, il connaît plusieurs personnes chez qui des interventions au niveau du rachis se sont mal déroulées. Il préfère pour l'instant une attitude expectative. À notre avis, cette situation congénitale est décompensée suite à son accident, avec une dysbalance et des douleurs musculaires, raison pour laquelle nous conseillons au patient de faire de la physiothérapie à but de renforcement musculaire et de rebalancement. Le patient a déjà fait une demande de reconversion professionnelle auprès de l'AI en raison également de problèmes au MSD. Nous discutons avec le patient d'une prise en charge chirurgicale avec discectomie, remplacement par cage et fixation, dans ce cas, un ALIF est conseillé. Au vu du fait que la dernière IRM était en octobre 2019, nous allons refaire cet examen avec une nouvelle consultation pour pouvoir en discuter encore avec le Dr. X. Au vu de la situation actuelle de pandémie, aucune opération élective ne peut être planifiée, donc nous sommes obligés de pré-réserver une date opératoire que pour le mois de juin 2020 avec un contrôle et nouvelle IRM fin mai. Nous discutons avec le patient et sa représentante thérapeutique de la prise en charge. Nous avons deux possibilités, la 1ère serait une grosse chirurgie de stabilisation de D10 au niveau sacré soit une décompression L5-S1 avec une stabilisation par spondylodèse de ces mêmes niveaux. Nous sommes plutôt de l'avis qu'une thérapie de décompression L5-S1 avec stabilisation par spondylodèse devrait être réalisée afin de calmer les douleurs du patient. Nous expliquons donc tous les risques et bénéfices liés à l'intervention et lui remettons le consentement éclairé pour réflexion et signature.Nous discutons avec le patient, il y a une évolution péjorative de la clinique par rapport à la douleur, mais le déficit de la force reste le même que lors de la dernière consultation. Le patient est actuellement décidé pour une prise en charge chirurgicale au besoin. Nous prions nos collègues du neurocentre de bien vouloir convoquer le patient pour un bilan de cette lombosciatalgie droite avec ENMG. Au vu de la surcharge facettaire accompagnée d'un syndrome vertébral sur le niveau adjacent à la discopathie, nous prions le Dr. X de bien vouloir convoquer le patient pour une infiltration facettaire L3-L4 à droite. Nous reverrons le patient suite à ce bilan et jusqu'au prochain contrôle nous le laissons à l'arrêt de travail à 100%. Nous discutons avec le patient par rapport au fait qu'il s'agit d'une évolution compatible avec un status post-opératoire normal compte tenu du type d'opération effectuée. Nous adaptons l'antalgie, notamment avec l'introduction de Tilur retard, Co-Dafalgan et une majoration du traitement myorelaxant avec Sirdalud 4 mg jusqu'à 3x/j. Pour les douleurs en regard de la région fessière, on lui prescrit l'application de huile de genièvre. Concernant les douleurs au niveau de la région sacro-iliaque, nous reverrons le patient dans 4 semaines et à ce moment-là, on envisagera une infiltration de l'articulation sacro-iliaque en cas de persistance de douleurs, donc après au moins 6 semaines de l'opération pour diminuer le risque de surinfecter la cicatrice chirurgicale en proximité. Nous discutons ce jour avec le Dr. X et la patiente. Nous posons une date opératoire le 04.06.2020. Cependant, le CT 3D Impingement a été organisé en externe. La patiente sera revue en consultation pour discuter de l'intervention en elle-même et pour la signature du consentement. Nous restons disponibles si besoin. Nous discutons du cas et des photos avec la Dr. X qui conseille la mise à plat de tous les phlyctènes et de les débrider. Ce que nous faisons, avec évacuation du liquide séreux contenu dans les phlyctènes, sans signe d'infection. Le patient reviendra pour un contrôle le 7 février 2020. Le cas sera discuté avec la Dr. X. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 10.02.2020, mardi avec les soins à domicile et mercredi à stomatothérapie. Rendez-vous à la consultation du team main le 17.02.2020. Nous discutons le cas avec la Dr. X, néphrologue traitant du patient, qui soupçonne un épanchement péricardique d'origine urémique et qui demande de transférer le patient en urgence à l'hôpital cantonal pour bénéficier d'une séance de dialyse. Nous discutons longuement avec la patiente, dans cette situation une prise en charge globale et réactive de sa part également est nécessaire. Nous conseillons le port d'une semelle compensatrice à gauche, des séances de physiothérapie pour balance posturale, stretching des abdominaux et renforcement dorsal, de faire des exercices à domicile avec le ballon de physiothérapie et de faire une activité sportive, soit la natation, soit le nordic walking 2x par semaine. Tout cela est une prise en charge qui doit durer 6 mois pour obtenir une amélioration, car actuellement sa sacro-iliaque à droite est décompensée. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois. Nous discutons longuement avec la patiente et ses parents des 2 options possibles à savoir un traitement conservateur ou une chirurgie avec réduction ouverte et ostéosynthèse. Ils sont favorables à la prise en charge chirurgicale. Les risques et les bénéfices de l'intervention sont expliqués à la patiente et à ses parents à l'aide d'un formulaire de consentement qu'ils signent. Nous discutons longuement avec le patient en présence aussi du chef de clinique du membre supérieur, le Dr. X, et lui expliquons les risques et bénéfices d'un traitement conservateur VS chirurgical. Actuellement, avec l'image radiologique du patient, il n'y a pas forcément d'indication chirurgicale. Nous décidons alors, en accord avec le patient, de traiter conservativement pour l'instant avec un contrôle radioclinique dans une semaine au secteur ambulatoire des urgences et discussion du cas selon les radiographies avec le team membre supérieur. Nous discutons longuement avec le patient et sa maman présente à la consultation. La lyse isthmique est dans un contexte de mauvaise fusion entre la partie postérieure et antérieure d'une vertèbre de la colonne, typiquement en L5 que l'on remarque plutôt chez les jeunes patients qui pratiquent des activités physiques avec contact ou avec des traumatismes légers mais à répétition au niveau de la colonne lombaire. Nous soulignons l'importance d'arrêter pour au moins encore 6 semaines toutes les activités sportives. Nous organisons un prochain contrôle dans 6 semaines avec une IRM lombaire et produit de contraste afin de pouvoir visualiser une résorption de l'oedème et afin de pouvoir discuter de la possibilité de reprendre une activité sportive. Si à ce moment-là il devait y avoir encore un cadre morphologique pathologique ou si le patient devait encore présenter des douleurs lombaires, nous devrons discuter d'une infiltration de la lyse isthmique. Nous discutons longuement avec le patient et son épouse de la prise en charge chirurgicale. Au niveau du poignet D : Abord dorsal, capsulotomie et refixation des arrachements osseux ligamentaires soit avec des ancres soit avec des vis libres. Mise au repos dans un plâtre avant-bras pour 8 semaines. Au niveau du métacarpe IV G : Abord dorsal avec ostéosynthèse soit par vis de compression soit par plaque. L'opération est planifiée en ambulatoire à Tavel pour des questions d'organisation. Le patient signe 2 consentements éclairés. Nous discutons longuement avec les parents afin de leur proposer une hospitalisation pour décharge parentale et pour faire le point sur la situation. Après réflexion, les parents refusent notre proposition et décident de consulter le jour même leur pédiatre. Nous discutons longuement avec Mme. Y car la symptomatologie qu'elle décrit lors de la station debout commençant en périphérie et remontant vers la cuisse est assez particulière. La première hypothèse est l'instabilité discale lors de la position debout, raison pour laquelle nous prions le Dr. X de bien vouloir la convoquer pour un myélo-CT fonctionnel. La 2ème hypothèse pourrait être une origine neurologique autre périphérique ou central, raison pour laquelle nous adressons la patiente auprès de nos collègues du neurocentre à Fribourg pour un bilan neurologique complet en sachant également qu'en 2017, la patiente a été piquée par une tique et son médecin traitant avait posé le diagnostic de maladie de Lyme. La patiente a déjà été examinée par la Dr. X qui a exclu sans doute une maladie de Lyme neurologique. Le doute reste sur des séquelles neurologiques liées à cet événement. 3ème hypothèse, nous allons exclure avec un ultrason la présence d'une hernie fémorale gauche. Suite à ce bilan, nous reverrons la patiente pour la suite de la prise en charge. Nous donnons au patient une attelle Stack pour les prochaines 3 semaines. Nous donnons aussi une attelle alu qui bloque l'interphalangienne distale vu qu'il est plus confortable avec ça. Prochain rendez-vous déjà prévu pour le 13 février 2020. Arrêt de travail à 50% sans charge du majeur droit jusqu'au prochain rendez-vous.Nous donnons 2 comprimés de Distraneurin à la patiente pour la nuit et lui conseillons de prendre contact avec son psychiatre le lundi 10.02.2020 pour discuter de l'adaptation de son traitement. Si celui-ci n'est pas joignable, elle appellera les urgences de Riaz pour un éventuel conseil de notre psychiatre sur place. La patiente retourne à domicile. Nous effectuons un contrôle biologique qui montre une légère leucocytose à 12.1 G/l avec une CRP à 7 mg/l, une créatinine à 58 umol/l. La GGT est à 99 U/I, le reste des tests pancréatico-hépatiques sont dans les limites de la norme. Nous faisons également un ASP qui montre une légère coprostase du cadre colique gauche. Nous donnons 40 mg de Nexium iv avec bon effet sur les douleurs. Au vu de la clinique et du bilan biologique, nous retenons le diagnostic susmentionné. La patiente peut rentrer à domicile avec un traitement de Nexium 40 mg 2x par jour pour 5 jours, puis 40 mg 1x par jour et de le poursuivre au-delà si nécessité de continuer le traitement antalgique. Nous proposons un contrôle chez le médecin traitant à 10 jours. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences s'il y a une péjoration des symptômes. Nous effectuons un bilan radiographique permettant d'exclure toutes fractures et pneumothorax. L'ECG est sans particularité. Le patient peut rentrer à son domicile avec un traitement antalgique et un arrêt de travail. Nous effectuons chez nous un bilan complet qui ne montre pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire, pas de troubles électrolytiques. Fer, ferritine et les hormones thyroïdiennes sont en cours. Nous proposons en parallèle de débuter un suivi pédopsychiatrique (les parents ont déjà un pédopsychiatre pour son frère) ainsi qu'un contrôle chez le pédiatre en fin de semaine. Cas discuté avec Dr. X. Nous effectuons la réfection du pansement ce jour. Nous essayons de refaire un pansement occlusif pour un bourgeonnement efficace mais la patiente ne le supporte pas, ne souhaite pas le garder. Nous mettons donc en place un pansement de Jelonet et compresses. Nous reverrons la patiente en secteur ambulatoire dans 48 h pour contrôle clinique avec réfection du pansement. Nous effectuons la réfection du pansement initialement fait le 25.02.2020. Un contrôle dans 48 h (02.03.2020) doit être effectué pour le suivi de la plaie. Nous effectuons un bilan biologique qui montre une Urée à 2.4, Créat 56, Na 139, K 13.9, ASAT 21, ALAT 17, phosphatase alcaline 74, GGT 10, Bilirubine totale 8.5, Bilirubine directe 4.7, Amylase 64, Lipase 30, CRP <5, Beta HCG 3819, Leucocytes 13, Hb 136. Nous demandons l'avis du psychiatre de garde qui propose une hospitalisation à l'hôpital de Marsens sous PAFA. Nous transférons la patiente par ambulance sous PAFA. Nous effectuons un bilan biologique et un sédiment urinaire mis en annexes. Le test de grossesse réalisé revient négatif. Nous demandons l'avis du Dr. X et nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement symptomatique et un rendez-vous pour un U/S abdominal pour ce matin à 9 h. Nous effectuons un bilan biologique et un sédiment urinaire mis en annexes. Le test de grossesse revient négatif. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement symptomatique et un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires prévu demain pour faire un U/S abdominal pour exclure une hernie inguinale. À la sortie, la patiente décrit une amélioration des douleurs après la reprise du Dafalgan 1 g à l'entrée aux urgences. Nous effectuons un bilan biologique mis en annexes. Nous effectuons un CT scan cérébral natif et une radiographie de la main droite décrits ci-dessus. Nous demandons l'avis du chirurgien de garde, Dr. X, qui propose un avis de l'ORL de garde. Au vu de l'absence d'un chirurgien maxillo-facial de garde, il propose également de débuter un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours, avec un traitement symptomatique et d'organiser un contrôle chez un chirurgien maxillo-facial pour le 03.02.2020. Nous demandons l'avis de l'ORL de garde qui ne propose pas d'autre proposition thérapeutique et propose de demander un avis ophtalmologique. L'ophtalmologue de garde nous propose une consultation chez lui ce jour à 16 h. Le patient va prendre un rendez-vous pour une consultation chez un chirurgien maxillo-facial le 03.02.2020. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique et des antibiotiques. Nous effectuons un bilan biologique qui met en évidence un syndrome inflammatoire modéré avec une CRP à 96 mg/l, sans leucocytose. Au vu de la clinique typique et des antécédents du patient, un CT scan abdominal est réalisé, mettant en évidence une diverticulite sigmoïdienne, avec un épaississement circonférentiel sur une longueur de 4 cm, avec infiltration de la graisse ++, sans collection, sans air libre, sans liquide libre, pas d'iléus grêle ou colique. Un avis chirurgical est demandé au Dr. X qui propose une prise en charge ambulatoire. Le patient reçoit une dose de Rocéphine 2 g iv et de Flagyl 500 mg iv aux urgences, puis l'antibiothérapie est relayée per os par Ciproxine 2 x 500 mg/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour pour une durée totale de 10 jours. Un livret d'informations sur le régime sans fibres est transmis au patient. Nous proposons à Mr. Y de prendre rendez-vous à la consultation de son médecin traitant pour contrôle clinique et biologique en fin de semaine. Nous laissons le soin à ce dernier d'organiser une coloscopie à distance de l'événement infectieux. Par ailleurs, le patient est informé qu'il doit reconsulter les urgences en cas de fièvre ou d'exacerbation des douleurs. Nous effectuons un bilan biologique qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 31 mg/l ainsi qu'une leucopénie à 2.8 G/l. Les tests hépatiques sont perturbés avec une ASAT à 78 U/I, une ALAT à 53 U/I, une GGT à 70 U/I et une bilirubine totale à 26.2 U/I. Le bilan pancréatique est dans la norme. Nous demandons un avis chirurgical au Dr. X (médecin cadre de garde) qui préconise de faire une radiographie abdominale sans préparation qui montre une coprostase. Au vu de la clinique et du bilan biologique, nous retenons le diagnostic susmentionné. Le patient rentre à domicile avec un traitement laxatif par Movicol sachet 1x par jour. Nous proposons au patient de consulter son médecin traitant lundi pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de péjoration des symptômes ou s'il y a une apparition de fièvre. Nous effectuons un bilan biologique qui montre une CRP à 17 mg/l sans leucocytose. Nous effectuons un ECG qui montre un rythme sinusal régulier à 86/min, axe normal, QRS fins à 80 ms, QTc à 381 ms, segment ST isoélectrique, pas d'onde Q, pas de trouble de la repolarisation ni de conduction. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer pulmonaire. Nous demandons l'avis du Dr. X (médecin chef de clinique de garde) qui, au vu des antécédents du patient, propose de garder le patient jusqu'au matin pour rediscuter le cas avec le médecin chef. Nous complétons le bilan avec un frottis nasopharyngé. Nous concluons à une bronchite d'origine virale et prescrivons un traitement symptomatique. Le patient rentre à domicile le 22.02.2020. Nous effectuons un bilan biologique qui montre une Urée à 5.2, créat à 64, Na à 139, K à 3.6, ASAT à 24, ALAT à 19, Ph alcoolique à 149, GGT à 20, Bil totale à 8.7, Bil direct à 3.3, Amylase à 42, Lipase à 31, CRP à 5, Leuco à 8.4, Hb à 138, D.Dimers à 691, Troponine à H0 à 3 et H1 à 3. Au vu des D-dimères augmentés, nous effectuons un CT thoracique qui exclut la présence d'une embolie pulmonaire. L'ECG ne montre pas de changement ischémique et nous ne trouvons pas de centrique significative des troponines. Nous attribuons ces douleurs à une origine musculo-squelettique.Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. La patiente prendra un rendez-vous de contrôle chez son médecin traitant. Nous effectuons un bilan biologique qui montre urée 5.7, créatinine 88, Na 142, K 3.8, leucocytes 7, Hb 157, pas de trouble de la coagulation. Nous effectuons un CT scan cérébral natif qui montre une fracture du plancher de l'orbite à droite avec herniation graisseuse et possible muscle droit, avec présence de l'air dans l'orbite et présence de sang dans le sinus maxillaire. Nous demandons l'avis de chirurgie de garde (Dr. X), qui propose de demander un avis de l'ORL de garde, au vu de l'absence d'un chirurgien maxilo-facial de garde. Il propose également de débuter un traitement antibiotique co-amoxicilline 1 g 2/j pendant 5 jours, avec un traitement symptomatique, et d'organiser un contrôle chez un chirurgien maxillo-facial pour lundi le 03.02.2020. Nous demandons l'avis de l'ORL de garde qui ne propose pas d'autres propositions thérapeutiques et propose de demander un avis d'ophtalmologue de garde qui propose une consultation chez lui ce jour à 16:00. Le patient va prendre un RDV pour une consultation chez un chirurgien maxillo-facial lundi le 03.02.2020. Le patient repart avec un traitement symptomatique et antibiotique. Nous effectuons un bilan biologique qui ne met en évidence un léger syndrome inflammatoire sans leucocytose. Une radiographie thoracique est effectuée et ne met pas en évidence de foyer ou de signe de surcharge cardiaque. Au vu d'une petite aggravation de l'IRC, nous mettons en place une perfusion de 500 ml de NaCl aux urgences. Après la perfusion, le patient se sent beaucoup mieux. Il peut à nouveau marcher sans ressentir de vertiges ni faiblesse. Il refuse une hospitalisation. Nous l'informons qu'il doit reconsulter aux urgences si son état se péjore et nous lui proposons d'aller voir son médecin traitant en début de semaine prochaine pour contrôle clinique. Nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas d'anomalie. L'ECG reste superposable à celui fait lors de la dernière hospitalisation. Nous effectuons une surveillance et le patient reste stable avec un GCS à 15/15 depuis son arrivée. Le patient rentre à Marsens. Nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas d'anomalie. Une sédimentation urinaire est faite. Nous effectuons un scanner cérébral qui ne montre pas de signe hémorragique. Étant donné que la patiente n'a pas sa capacité de discernement et au vu d'un risque par négligence et dans un contexte d'alcoolisation aiguë avec alcoolémie à 2.23 et un traumatisme crânien qui nécessite une surveillance neurologique et au vu de l'absence de place dans notre service, et du fait que la patiente refuse de passer la nuit chez son fils pour une surveillance neurologique, nous discutons du cas avec le Dr. X, chirurgien de garde, et décidons d'une hospitalisation sous PAFA, pour surveillance neurologique et prise en charge au RFSM de Marsens. Départ en ambulance. Concernant la plaie occipitale, la patiente refuse une suture, nous procédons à un collage par Dermabond et recommandons de ne pas mouiller la plaie pendant une dizaine de jours. Contrôle chez le médecin traitant dans 72 heures. Nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas d'anomalies. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement antalgique. Au vu du travail du patient (maçon), nous lui donnons un arrêt de travail pour 3 jours. Au vu de la suspicion de subluxation, nous prenons contact avec Mr. Y à plusieurs reprises sans réponses (numéro non viable). Nous effectuons un bilan biologique qui revient dans la norme hormis une pancytopénie connue. Au vu du type de douleurs (type explosif selon la patiente et qu'elle n'a jamais eu dans le passé) et au vu de l'antécédent de cancer du sein droit depuis 2018 et de l'absence d'un scanner de contrôle depuis 2018, nous effectuons un scanner cérébral injecté qui exclut une métastase cérébrale ou une autre anomalie. Mme. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique et nous proposons un contrôle à votre consultation la semaine suivant la sortie. Nous effectuons un bilan complet à la recherche d'un foyer infectieux qui revient négatif. Au vu de l'état général conservé du patient et en l'absence de signes de gravité requérant une hospitalisation, nous concluons à une probable infection virale des voies supérieures nécessitant un traitement symptomatique conservateur. Nous proposons à l'équipe soignante d'effectuer un contrôle des paramètres vitaux 3x/jour, de stimuler l'hydratation et l'alimentation, et de nous l'adresser de nouveau d'ici 48 h en cas de péjoration de la symptomatologie et de persistance de la fièvre. Un frottis de grippe serait à envisager si persistance des symptômes. Nous effectuons un bilan radiologique qui est sans particularité. Le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique pendant une durée de 3 jours, et ensuite en réserve. Nous effectuons un Bladder scan qui montre 530 ml de résidu mictionnel, nous mettons une sonde urinaire qui donne 550 ml d'urine. Le patient est soulagé. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec la sonde vésicale et il devra prendre un rendez-vous chez un urologue pour faire une cystoscopie. Nous effectuons un constat de coups et blessures, et effectuons une radiographie du nez qui montre une fracture des os propres du nez. En raison de l'épistaxis, nous prescrivons un traitement par co-amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours, avec l'instruction de consulter un ORL la semaine prochaine. Le patient rentre à domicile avec son constat de coups le 16.02.2020. Nous effectuons un CT abdominal qui est superposable au comparatif. Nous discutons avec Dr. X, qui prévoit un contrôle à sa consultation. Nous introduisons un traitement antibiotique par ciprofloxacine 500 mg et métronidazole 500 mg pour une durée d'une semaine. Le patient reçoit une dose de Rocéphine et de Flagyl aux urgences. Nous prévoyons un contrôle clinique et biologique à la Filière Urgences Ambulatoire le 13.02.2020. Mr. Y peut regagner son domicile le jour même. Nous effectuons un CT-scan abdominal qui montre la présence de diverticule mais pas de diverticulite, présence de calculs dans la vésicule mais pas de cholécystite. Rein sans particularité, pas de calculs rénaux. Présence d'un anévrisme de l'aorte abdominale connu qui, par rapport au dernier scanner, a pris 3.5 mm mais pas de signe de complications. Appel au Dr. X qui propose un retour à domicile ce soir et contrôle demain en début d'après-midi à la FUA, appeler Dr. X. Le patient aura de nouveau un laboratoire de contrôle. Nous effectuons un CT-scan cérébral et concluons qu'hormis un hématome sous-galéal frontal gauche, il n'y a pas de lésion traumatique visualisée, notamment pas de saignement intra- ou extra-axial ni de fracture des os du crâne et du massif facial. Atrophie cérébrale. Le laboratoire et l'ECG reviennent dans la norme. La patiente accepte le sevrage proposé par son entourage. La patiente est transférée au RFSM à Marsens pour une prise en charge. Nous effectuons un CT-scan qui montre la présence de 2 calculs de 2 mm de diamètre au niveau du système caliciel inférieur gauche, 1 calcul de 2 mm au niveau de la vessie. Pendant la surveillance aux urgences, le patient a fait sortir un calcul de 2 mm en urinant que nous avons envoyé en analyse. Depuis, le patient ressent une amélioration nette. Nous laissons le patient retourner à domicile avec un traitement symptomatique et de Pradif 0.4 mg pour une semaine. Un contrôle est prévu chez le médecin traitant la semaine prochaine. Le patient ira en contrôle chez un urologue. Nous effectuons un ECG qui montre un rythme régulier, sinusal, une fréquence à 74/minute. Axe normal. QRS à 80 ms, PR dans la norme, pas de sus ni de sous-décalage. Nous effectuons un bilan sanguin qui montre une Troponin H0 à 4, Creat 74, Na 140, CK, CRP <5, leuco 6.7, Hb 177. Le patient peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Il sera revu en contrôle chez son médecin traitant la semaine prochaine. Le patient bénéficie d'un arrêt maladie de 2 jours. Nous effectuons un ECG qui montre une bradycardie sinusale avec un ST isoélectrique. Le laboratoire montre des D-Dimères à 712 et des troponines à 22 ng/l, et effectuons alors un 2ème train qui revient à 35 ng/l. Le 3ème train est à 93 ng/l. Nous complétons le bilan avec un angio-CT qui ne montre pas d'embolie pulmonaire. Nous contactons les cardiologues de Fribourg qui proposent d'administrer de l'aspirine 500 mg iv, 5000 UI de liquémine et 60 mg d'Efient, de garder le patient en surveillance sur la nuit, avec une réévaluation clinique et biologique demain matin. Durant la nuit, le patient présente une tachycardie ventriculaire durant la nuit avec résolution spontanée à plusieurs. Nous recontactons les cardiologues de Fribourg et décidons de transférer le patient aux soins intensifs de Fribourg. Le patient est alors transféré le 15.02.20. Nous effectuons un ECG qui ne montre pas d'anomalie particulière. En raison de l'absence de symptomatologie du sevrage aigu, nous contactons le psychiatre de garde de Marsens, qui accepte une hospitalisation pour la patiente au RFSM Marsens. La patiente part en compagnie de son mari et de son fils à Marsens le 15.02.2020, avec comme indication de se rendre à la réception. Nous effectuons un ECG qui revient dans les limites de la norme. Au bilan biologique, les troponines reviennent à <4 ng/l, les D-Dimères sont à 196 ng/ml, absence de syndrome inflammatoire et les électrolytes sont sans particularité. La radiographie du thorax revient dans les limites de la norme. Nous effectuons un status cardio-pulmonaire qui revient dans les limites de la norme. Au status abdominal, on retrouve un abdomen souple et douloureux à la palpation en épigastre et en hypochondre droit sans défense ni détente. Les mollets sont souples, sans douleur et signe de Homans négatif. Au vu de la clinique et du bilan biologique rassurant, nous retenons le diagnostic susmentionné. Le patient rentre à domicile avec un traitement d'épreuve avec Pantozol 40 mg 1x par jour et Allucol sachet 3x par jour après les repas. Contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours. Nous effectuons un ECG, un laboratoire, une radiographie du thorax et un US abdominal qui ne montre pas d'anomalies particulières. Nous administrons 40 mg de Nexium, 10 mg de Primpéran et 1 g de Dafalgan. Le traitement soulage les douleurs du patient qui rentre à domicile le 23.02.20 avec un traitement de Nexium 20 mg 2x/jour ainsi qu'une antalgie par Paracétamol et Tramal. Nous lui indiquons d'arrêter l'Ibuprofen et d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Nous effectuons un examen clinique et biologique qui revient rassurant. Nous retenons un diagnostic de douleurs abdominales avec un diagnostic différentiel de syndrome du colon irritable. Nous prescrivons un traitement symptomatique et le patient sera revu en contrôle chez son médecin traitant en fin de semaine. Nous effectuons un examen clinique et un bilan biologique qui revient dans la norme. Le patient reste stable durant le séjour aux urgences. Nous contactons le psychiatre de garde qui propose dans un premier temps une augmentation de Temesta pour le soir et un retour au foyer. Nous contactons donc le foyer qui refuse de reprendre la patiente au vu de l'agressivité importante contre l'équipe. Nous recontactons le psychiatre de garde qui propose une hospitalisation au RFSM Marsens sous PAFA. Nous effectuons un examen clinique qui est rassurant. Le bilan biologique montre une alcoolémie à 2.15 et une hypokaliémie à 3.2 mmol/l. Nous effectuons une hydratation avec 1500 de NaCl et nous prescrivons un ordre unique de KCL de 20 mmol/l. Nous re-effectuons l'examen neurologique qui est dans la norme et la patiente marche sans perte d'équilibre. Elle rentre à domicile accompagnée par son père et elle est informée de l'interdiction de conduire ce jour. Nous effectuons un examen clinique qui est rassurant. Nous lui proposons un traitement par Antalgie/AINS pendant une durée de 5 jours. Le patient aura un contrôle clinique dans une semaine chez son médecin traitant. Nous effectuons un examen clinique qui met en évidence la présence d'une otite moyenne aiguë. Nous donnons une dose de Morphine goutte PO et une dose de charge AB (co-amox 2.2 IV) aux urgences. Au vu d'une bonne évolution, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec l'explication de poursuivre le traitement AB (Co-amox 1 g 2/j) pour une durée totale de 7 jours. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Nous effectuons un examen clinique qui montre une loge rénale droite sensible à la palpation. Le sédiment urinaire montre la présence de plus de 3 leucocytes, de nitrate et de sang. Nous effectuons un test de grossesse qui revient négatif. Nous envoyons un Uricult qui est en cours. Nous prescrivons un traitement antibiotique par Ciprofloxacine 500 mg 2/j pour une durée totale de 7 jours. Nous demandons à la patiente de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour faire un contrôle et pister les résultats de l'uriculture. Nous effectuons un examen clinique qui montre une plaie superficielle au niveau frontal à droite de 2 cm qui reste sur le plan du tissu sous-cutané. Vaccin anti-tétanique à jour. Nous effectuons une désinfection de plaie avec exploration puis fermeture avec 3 points de suture avec des fils de 0.5. L'ablation des fils sera à prévoir chez le médecin traitant dans 1 semaine. Nous effectuons un examen clinique qui ne montre pas de corps étrangers clair, nous re-examinons l'œil droit en tournant la paupière supérieure et nous trouvons une particule de peinture de moins de 0.1 cm. Nous enlevons le corps étranger avec un coton-tige et nous effectuons un rinçage avec du NaCl. Nous laissons le patient rentrer à domicile. Nous effectuons un examen clinique qui revient dans la norme, nous effectuons un bilan biologique mis en annexes. Nous prenons l'avis du Dr. X et lui injectons 1 g de Ferinject sur 20 minutes. La patiente reste encore 30 minutes pour une surveillance clinique avant de rentrer à domicile. Elle ira la semaine prochaine chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous effectuons un examen clinique. Retour à domicile avec antalgie simple. Suivi avec son pédiatre. La maman est bien avisée qu'en cas de réapparition des douleurs, ils devront reconsulter aux urgences. Un contact téléphonique est fait entre le médecin et la mère de Mr. Y le 11.02.2020 suite à la discussion du cas au colloque d'orthopédie, où il a été convenu de reconvoquer Mr. Y en consultation. Selon sa mère, il y a une amélioration clinique et la symptomatologie a presque disparu. Elle ne souhaite pas de nouvelle consultation. Ils reconsulteront en cas de péjoration/réapparition des douleurs. Nous effectuons un examen clinique, un bilan biologique et un sédiment urinaire qui reviennent tous dans la norme. Nous discutons du cas avec le chirurgien de garde qui propose un retour à domicile avec un traitement symptomatique et un contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant dans 48h. Nous effectuons un examen radiologique qui ne montre pas de fracture visible. Nous mettons une attelle Aircast et nous expliquons au patient de prendre un rendez-vous de contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. Nous effectuons une glycémie capillaire qui était à 6.6. Nous effectuons un bilan biologique qui est en cours. Nous appelons l'hôpital de Fribourg et nous transférons le patient aux stroke unit vers 00:15.Nous effectuons un laboratoire et un sédiment qui ne montrent pas de franche anomalie. Nous complétons le bilan avec un CT abdominal qui montre une cholecystolithiase sans signe de cholécystite. Nous discutons avec le patient de prendre rendez-vous chez le Dr. X, qui est au courant de la situation, afin d'évaluer la nécessité d'une intervention chirurgicale à distance. Mr. Y rentre à domicile le 12.02.2020 avec une antalgie et un arrêt de travail. Nous effectuons un laboratoire qui est aligné. Nous rassurons la patiente et lui conseillons de prendre rendez-vous à la consultation du Dr. X pour effectuer une anuscopie. La patiente rentre à domicile le 25.02.20. Après discussion avec le Dr. X, nous rappelons la patiente et lui prescrivons du Ialugen crème, et lui demandons de prendre rendez-vous chez le Dr. X dans la semaine. Nous effectuons un laboratoire qui montre une CRP à 18 mg/l sans leucocytose. La radiographie du thorax montre une suspicion de foyer basal gauche, mais elle fut difficile à faire en raison du manque de compliance de la patiente. Nous retenons une probable pneumonie basale droite et administrons 2 g de Rocéphine et 500 mg de Klacid. Nous discutons avec le fils et la belle-fille de la patiente qui souhaiteraient évaluer la nécessité d'un placement après l'hospitalisation. La patiente étant domiciliée au canton de Vaud, nous la transférons à l'hôpital de Rennaz. Nous effectuons un laboratoire qui montre une CRP à 199 mg/l et nous dosons la TSH. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Nous administrons un traitement symptomatique qui permet de soulager les plaintes de la patiente. Nous prescrivons un traitement par Brufen 400 mg ainsi qu'un traitement antalgique et symptomatique. La patiente rentre à domicile avec comme indication de contacter le médecin traitant afin d'évaluer la nécessité d'examens supplémentaires pour la thyroïde. Nous effectuons un laboratoire qui montre une CRP à 53 mg/l sans leucocytose, avec des gamma-GT à 159 U/I. Le sédiment urinaire ne montre pas d'infection. Après une discussion avec le Dr. X, nous prévoyons de compléter le bilan en ambulatoire avec un US de l'abdomen à la recherche d'un hématome ou d'une collection de la paroi abdominale. Nous organisons alors un rendez-vous pour un US à 12h00 le 12.02.2020, suivi d'un contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Le patient rentre à domicile le 11.02.2020 avec une antalgie. Nous effectuons un laboratoire qui montre une CRP à 8 mg/l sans leucocytose, la gazométrie montre une hypoxémie à 7.9. Nous mettons en place une oxygénothérapie. La radiographie du thorax montre une suspicion de foyer basal droit. Nous effectuons 2 paires d'hémoculture. Nous n'effectuons pas les antigènes urinaires aux urgences, car Mr. Y n'urine pas. Le bladder scan ne montre pas de globe urinaire. Nous mettons en place une oxygénothérapie et nous administrons 2 g de Rocéphine iv et 500 mg de Klacid aux urgences. Le laboratoire montre une créatinine à 150 umol/l avec une hyperkaliémie à 4.5 mmol/l. Nous hydratons le patient et administrons 15 g de resonium. En raison de l'absence de place à Riaz, nous transférons le patient en médecine à l'hôpital de Meyriez. Nous effectuons un laboratoire qui montre une légère anémie de 116 g/l. Un sédiment urinaire montre une leucocyturie. Nous administrons 10 mg de Primpéran, 80 mg de Nexium puis une perfusion de 8 mg/h de Nexium. La patiente étant hémodynamiquement stable, nous organisons un rendez-vous en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique et biologique afin d'organiser une OGD en ambulatoire. Nous prescrivons 40 mg de Nexium 2x/jour, avec comme indication de revenir aux urgences si un nouvel épisode d'hématémèse se produit. La patiente rentre à domicile le 22.02.2020. Nous effectuons un laboratoire qui montre une leucocytose à 12.9 G/l sans CRP. Nous hydratons la patiente et administrons du Primpéran 10 mg IV, qui permet de soulager les vomissements de la patiente. Nous prescrivons un traitement symptomatique. La patiente rentre à domicile le 16.02.2020. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas d'anomalie particulière et un ECG. Nous administrons une antalgie qui permet de soulager les douleurs du patient. Nous conseillons au patient de prendre rendez-vous avec son médecin traitant afin d'organiser une IRM cervicale. Il peut rentrer à domicile avec une antalgie. Nous effectuons un marquage de rougeur et nous lui donnons du Co-Amoxicilline 2,2 g iv aux urgences en dose unique. Nous prescrivons au patient du Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour du 22.02.2020 au 28.02.2020 inclus. En cas de péjoration, le patient est avisé de reconsulter aux urgences. En cas d'évolution lente ou de persistance, il ira pour un contrôle chez son médecin traitant. À noter que le patient est reconvoqué le 22.02.2020 pour un contrôle clinique aux urgences, après la discussion du dossier au colloque de chirurgie, afin d'écarter la suspicion d'un éventuel phlegmon des fléchisseurs. Nous effectuons un nouveau pansement avec désinfection, Adaptic et compresse et nous remettons en place l'attelle Edimbourg. Nous effectuons un rinçage au NaCl sans parvenir à ôter le corps étranger. Le patient va contacter l'ophtalmologue de garde demain matin pour l'extraction du corps étranger. Nous effectuons un sédiment urinaire qui montre une hématurie. Au vu de l'examen clinique rassurant, nous concluons à une migration du calcul et majorons le traitement antalgique avec du Tramal 50 mg. Le patient rentre à domicile le 23.02.20. Nous effectuons un Ultrason doppler du réseau veineux profond et superficiel de la jambe et cheville gauche qui montre la présence d'une thrombose superficielle locale en forme de boule de 1 cm à hauteur de la cheville gauche associée à un trajet superficiel thrombosé de 4 cm de longueur. Nous prescrivons de l'Arixtra 2.5 mg sol inj S/C 1x/jour pour une durée totale de 45 jours. Le patient va organiser un rendez-vous chez son angiologue pour un contrôle en fin de traitement. Nous faisons un arrêt maladie pour 3 jours. Nous effectuons un ultrason urodynamique qui montre une vidange incomplète de la vessie avec un sédiment urinaire qui ne montre pas de signe d'infection, mais une hématurie. Nous conseillons au patient de consulter en ambulatoire son urologue, le Dr. X, afin de compléter le bilan urologique. Nous effectuons un US abdominal qui montre un globe vésical qui motive un sondage urinaire. Nous faisons un sédiment urinaire qui montre une leucocyturie avec une hématurie ainsi qu'une prise de sang qui montre une CRP à 36 mg/l sans leucocytose. Nous complétons le bilan avec un urotube. Nous administrons du Glucosalin ainsi que de la Rocéphine 2 g iv. Nous transférons alors le patient au RFSM Marsens avec un traitement par Rocéphine 2 g iv pendant 1 semaine ainsi que des rinçages urinaires au minimum 2x/jour. Nous effectuons un bilan radiologique qui montre une fracture du tiers moyen de la clavicule gauche. Nous proposons un traitement conservateur dans un premier temps avec une immobilisation par anneaux claviculaires pendant une durée de 4 semaines puis une antalgie/AINS et un contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine avec un contrôle radiologique. Nous effectuons un bilan radiologique qui ne montre pas de fracture, le patient rentre à domicile avec un traitement asymptomatique. Nous effectuons une désinfection de la plaie avec Bétadine solution, rinçage abondant avec NaCl, pansement Opsite et compresse stérile. Le rappel antitétanique est fait ce jour. Le patient rentre à domicile avec un contrôle de la plaie dans 4 jours à la policlinique d'orthopédie. Nous effectuons une désinfection de la plaie puis anesthésie locale en bague, exploration de la plaie et rinçage abondant au NaCl, ablation de l'ongle, rapprochement des berges distales du lit de l'ongle par 2 points inversés de Vicryl 4-0, fermeture de la plaie par des points simples à l'Ethilon 4-0, confection d'un ongle artificiel qui est amarré à la peau par 2 points simples d'Ethilon 3-0; pansement Adaptic, compresses et bande Cofix. Nous mettons en place une attelle alu prenant le pouce. Le rappel antitétanique est effectué ce jour.Le patient rentre à domicile avec antalgie et AINS ainsi qu'une ordonnance pour de l'ergothérapie pour améliorer les fonctions musculo-articulaires. Il sera revu dans 48 heures à la policlinique d'orthopédie et l'ablation des fils se fera à 14 jours pour la plaie et à 3 semaines pour les d'amarrage unguéal. Nous effectuons une désinfection et un pansement betadiné. Une consultation chez le Dr. X est prévu cette semaine. Nous effectuons une perforation à l'aiguille fine afin d'évacuer l'hématome sous-unguéal. Nous rinçons et désinfectons la phalange distale puis effectuons un pansement avec adaptic et proposons un contrôle clinique lundi matin. Nous effectuons une prise de sang qui est alignée, la gazométrie montre une alcalose respiratoire sur probable hyperventilation et le test de grossesse revient négatif. Nous hydratons la patiente avec 1000 ml de NaCl sur 1h. Nous gardons la patiente en surveillance durant 3h aux urgences, avec une gazométrie de contrôle qui revient dans la norme. La patiente rentre à domicile le 15.02.2020. Nous effectuons une prise de sang qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 25 mg/l et une leucocytose à 13.3 G/l. Nous complétons le bilan avec un stix urinaire qui montre une leucocyturie, une hématurie et des nitrites positifs. Nous concluons à une cystite aiguë. Nous commençons un traitement par Nitrofurantoïne 100 mg 3x/jour pendant 5 jours et conseillons à la patiente d'aller voir son médecin traitant à 48h. La patiente rentre à domicile le 11.02.2020. Nous effectuons une radiographie de la colonne cervicale qui ne montre pas de fracture. Nous immobilisons le patient dans une minerve mousse et lui prescrivons une antalgie. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans 3 jours. Il reconsultera les urgences en cas de péjoration ou de signe d'alarme. Nous effectuons une radiographie de thorax qui ne montre pas de foyer ou d'épanchement, il n'y a pas de signes de surcharge. Mme. Y peut rentrer à son domicile avec un traitement symptomatique. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant dans 1 semaine pour contrôle clinique au cas où l'évolution ne serait pas favorable. Nous effectuons une radiographie du doigt qui ne montre pas de signe de fracture. Nous rassurons la mère et proposons de mettre des poches de glace sur le doigt s'il est algique. La patiente rentre à domicile le 11.02.2020. Nous effectuons une radiographie du poignet et de la main droite qui ne met pas en évidence de fracture. Suite à un avis auprès du Dr. X, orthopédiste de garde, le patient rentre à domicile avec une antalgie et une attelle Edimbourg pour une durée de 5 jours. Le suivi se fera chez son médecin traitant. Nous effectuons une radiographie du thorax au vu de l'auscultation asymétrique. Nous ne visualisons pas de foyer à la radiographie. Nous faisons alors 6 push de ventolin aux urgences, ce qui permet une nette amélioration sur le plan respiratoire avec disparition des battements des ailes du nez sans sibilances audibles. Dans ce contexte, nous laissons rentrer le patient à domicile avec ventolin au besoin, stimulation de l'hydratation et surveillance de l'état général. En cas de péjoration, reconsulter de suite. Nous fixons un contrôle clinique à 48h. Le pédiatre étant en vacances, nous organisons un rendez-vous chez nous mais la maman va essayer de trouver un pédiatre en ambulatoire. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de fracture costale. Nous prescrivons un traitement antalgique avec du Dafalgan 1 g, Irfen 400 mg, Sirdalud 2 mg et du Tramal en réserve si insuffisant. La patiente rentre à domicile. Nous effectuons une radiographie du 4ème orteil droit qui ne montre pas d'anomalie, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement antalgique et des explications d'utiliser une semelle rigide. Un contrôle chez le médecin traitant est à prévoir en cas de besoin. Nous effectuons une radiographie et un scanner qui mettent en évidence une fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Nous proposons au patient un traitement conservateur avec immobilisation du membre supérieur gauche dans un gilet orthopédique pour une durée de 6 semaines. Nous lui montrons comment faire des mouvements pendulaires de l'épaule ainsi que la mobilisation des doigts et du coude dans le gilet orthopédique. Le patient sera revu en policlinique d'orthopédie dans 7 à 10 jours. Nous effectuons une surveillance de la glycémie capillaire, les résultats sont en annexes. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec des conseils d'une alimentation moins sucrée ces prochains jours. Nous enlevons ce jour le Comfeel. La cicatrice est sèche et calme. Désinfection et mise en place de pansement simple jusqu'à demain. Marche en charge à l'aide de cannes. Arrêt de la Clexane. Nous organisons une IRM du pied G étant donné qu'elle se plaint également de douleurs à ce pied. Nous la reverrons dans un mois pour discuter des résultats et envisager l'intervention similaire. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour la cheville D. Nous enlevons donc l'attelle postérieure et proposons une immobilisation par Aircast jour et nuit pour 2 semaines. Révision du diagnostic pour une entorse de cheville gauche stade I-II avec une réévaluation par la suite chez son pédiatre. Nous enlevons la hernie du fil sous-cutané aujourd'hui au bistouri froid, puis désinfectons et mettons un pansement sec. La patiente peut reprendre le sport et doit continuer les séances de physiothérapie pour renforcement. Elle devra désinfecter chaque jour la partie distale de la plaie du bassin jusqu'à fermeture complète. La patiente sera revue à 1 an post-opératoire le 07.07.2020 pour contrôle radioclinique. Nous restons à disposition si besoin. Nous enlevons le plâtre aujourd'hui. Nous autorisons la patiente à marcher en charge selon douleurs avec physiothérapie. Renforcement musculaire. Arrêt de travail pour encore 2 semaines, puis reprise à 100% le 16.03.2020. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Nous enlevons le plâtre ce jour et mettons en place un Vacopedes. Elle sera revue dans 5 semaines pour un contrôle clinique. Nous enlevons le plâtre ce jour. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec autorisation de la marche en charge selon douleurs. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle radioclinique et pour discuter de l'ablation de la vis trans-syndesmotique. Nous envisageons donc un premier traitement anti-inflammatoire avec Aspirine durant 7 jours. Elle devra noter la durée des douleurs afin qu'on puisse savoir s'il s'agit plutôt d'un cadre dynamique ou d'une autre pathologie. La patiente nous informe avoir été évaluée par une collègue au CHUV et qu'elle a effectué une IRM de la colonne lombaire dont nous n'avons malheureusement pas les images ce jour mais dont nous aimerions le résultat afin d'avoir un bilan diagnostic complet. Prochain contrôle dans 2 semaines. Nous envisageons donc une infiltration thérapeutique par Dépo-Medrol au niveau sacro-iliaque gauche. Le but est d'enlever la composante inflammatoire et de voir si cela suffit pour soulager le patient. Si par contre, il persiste une douleur, malgré une 2ème confirmation diagnostique de la source algique, une éventuelle prise par chiropractie pourra être discutée.Nous envisageons un prochain contrôle de suivi dans 3 mois au vu de la bonne évolution. Pas de changement concernant l'aptitude sociale. Nous envisageons une cure chirurgicale par excérèse du kyste et libération du tunnel tarsien. Au préalable, nous prions nos collègues de Neurocentre de bien vouloir convoquer Mme. Y pour des études électromyographiques du nerf tibial postérieur G. Nous la reverrons suite à cet examen pour organiser la prise en charge chirurgicale. Nous évoquons une tuméfaction de la cheville sur reprise de la marche, et probable bandage élastique du genou s'arrêtant à mi-mollet. Le patient ne présente pas signe de gravité ni de douleur à la mobilisation, pas de rougeur ni de fièvre. Nous rassurons le patient qui peut rentrer à domicile avec un contrôle le 17.02.2020 à la policlinique d'orthopédie. Le patient nous recontactera en cas de péjoration dans les jours à venir. Nous expliquons à Mme. Y, bien qu'elle ait une lésion du ménisque interne, qu'il n'y a pas d'urgence opératoire à faire ce jour. Nous adressons Mme. Y à la consultation orthopédique team genou pour avis spécialisé, Mme. Y sera convoquée à cet effet. Nous expliquons à Mme. Y que ses douleurs au niveau postérieur ne sont pas explicables d'un point de vue morphologique. Le contrôle RX montre une bonne correction de l'offset. Nous établissons encore une prescription pour des anti-inflammatoires (Ibuprofen 600 mg avec Pantoprazol 20 mg) si Mme. Y présenterait des douleurs. Nous établissons également un nouveau bon de physiothérapie. Nous expliquons à Mme. Y qu'il est important de ne pas forcer sur les amplitudes extrêmes pour l'instant et que des douleurs au niveau du pli de l'aine sont encore normales car l'articulation est irritée 6 semaines après l'opération. Nous convenons avec Mme. Y qu'elle se présentera de nouveau à notre consultation pour un contrôle à 1 an post-opératoire, le 09.02.2021. En cas de problèmes, nous nous tenons évidemment à disposition et Mme. Y peut nous contacter. Nous expliquons à Mme. Y qu'elle souffre de douleurs chroniques liées à sa scoliose connue. Prescription de physiothérapie pour école du dos, balance posturale et ultrasons loco-dolenti. Prescription également de patchs chauffants. Nous prions nos collègues du Neurocentre de bien vouloir convoquer Mme. Y pour une ENMG et des PES/PEM en raison de cette perte de sensibilité au niveau de la plante des deux pieds, qui est nouvelle. Prochain contrôle chez nous après ce bilan. Nous expliquons à Mme. Y qu'il n'y a pour nous absolument aucune indication chirurgicale actuellement contrairement aux propositions du Dr. X que Mme. Y a consulté auparavant. Nous ne prescrivons pas de Condrosulf étant donné que Mme. Y a fait un choc anaphylactique lors de la dernière prise. Nous lui proposons un traitement physiothérapeutique et ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. Nous expliquons au patient comment poursuivre la réfection des pansements à domicile avec contrôle chez le médecin traitant et ablation des fils à J14. Nous expliquons au patient de prendre la Tamsulosine le 23.02.20 si persistance de douleurs pour aider à l'expulsion du calcul rénal. Nous expliquons au patient que la possibilité pour regagner la mobilité ou pour diminuer les douleurs serait d'implanter une prothèse inversée de l'épaule tout en gardant la tige humérale. Actuellement, le patient ne se sent pas prêt pour une opération au vu des interventions qu'il a dû subir ces 2 dernières années. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 an, le 27.01.2021 ou plus vite en cas de besoin. Nous expliquons et donnons au père de Mme. Y les indications de reconsultations: si apparition de vomissements, de céphalées inhabituelles, somnolence ou d'un déficit neurologique. Nous prescrivons un arrêt de sport pour 7 jours. Nous explorons la piqûre et réalisons une désinfection à l'Hibidil. Le patient peut regagner son domicile sans contrôle nécessaire. Nous faisons le point avec Mme. Y sur l'origine des douleurs et le déroulement habituel de la thérapie conservatrice en cas de fasciite plantaire. Nous lui enseignons du stretching à faire au moins 3-4 x 10 répétitions par jour. A noter que Mme. Y a bien fait les exercices de stretching régulièrement jusqu'à présent mais seulement du triceps sural et non du fascia plantaire. Nous lui recommandons de poursuivre la déambulation avec les semelles orthopédiques. Nous évoquons déjà la possibilité du traitement chirurgical par allongement selon Strayer en cas d'échec du traitement conservateur. Nous la reverrons dans 6 semaines pour décider de la suite du traitement. Nous faisons un drainage, une désinfection et appliquons un pansement simple. Le patient peut rentrer à domicile avec une antibiothérapie par Clindamycine 3 x 300 mg/jour PO pendant 5 jours. Nous lui donnons également un arrêt de travail jusqu'au 26.02.2020. Il reviendra le 26.02 en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique. Nous faisons un ECG, un bilan biologique qui revient sans particularité et une radiographie du thorax qui revient dans les limites de la norme (en attente du rapport définitif du radiologue). Nous avons demandé l'avis de la Tox-Info qui nous informe qu'il n'y a pas de surveillance nécessaire, avec risque de vasospasme coronarien pendant 3 jours. Au vu de l'absence de critères aigus nécessitant une hospitalisation, le patient quitte le service des urgences. Il est invité à reconsulter en cas de recrudescence de la symptomatologie. Nous faisons un examen clinique. Selon les critères d'Ottawa, il y a une indication pour une radiographie qui montre une fracture de la malléole latérale type Weber B de la cheville gauche. Nous mettons en place une attelle postérieure et faisons une radiographie post-plâtre de la cheville gauche. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Mme. Y rentre à domicile avec un traitement antalgique par Brufen et de la Clexane. Nous lui donnons comme conseils d'appliquer de la glace et de surélever sa jambe gauche. Elle sera contactée par le service d'orthopédie le 12.02 concernant la décision pour la suite de la prise en charge. Nous faisons un pansement directeur avec Stéri-strip pour le 5ème orteil G. Nous lui prescrivons des ondes de choc pour stimuler la consolidation osseuse de P1 dans cette position. Nous la reverrons dans 1 semaine pour changer le pansement. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Nous faisons un rinçage au NaCl. Nous instaurons un traitement par Ialugen crème, antalgie/AINS et Mme. Y reviendra en filière des urgences ambulatoires le 07.02 pour un contrôle clinique à 24h. Nous faisons une désinfection de la plaie et appliquons un pansement Adaptic. Nous faisons un rappel du vaccin Tétanos. Il rentre à domicile avec une antalgie en réserve et un arrêt de travail jusqu'au 16.02. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle le 13.02 et reviendra en filière des urgences ambulatoires pour un nouveau contrôle le 15.02. Nous faisons une désinfection de la plaie et des sutures à l'Ethilon 4-0. Elle rentre à domicile avec une prescription pour du Dafalgan. Mme. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle de la plaie à 48h et l'ablation des fils à J7. Nous faisons une désinfection de la plaie et un pansement Adaptic. Le patient a un contrôle prévu chez son médecin traitant dans 2 jours. Nous faisons une désinfection de la plaie et un pansement simple. Le patient rentre à domicile et il a un rendez-vous déjà prévu chez son médecin traitant le 24.02 pour l'ablation des fils.Nous faisons une désinfection et un pansement. Le suivi se fera chez son pédiatre traitant en début de semaine prochaine. Nous faisons une radiographie à la patiente qui ne montre pas de fracture. Nous immobilisons sa cheville avec une attelle Aircast pour 6 semaines et nous lui donnons des cannes anglaises. La patiente reviendra à la consultation du Dr. X le 15.01.2020 pour un contrôle. Nous lui prescrivons aussi de la physiothérapie et lui faisons un arrêt de sport. Nous faisons une radiographie du doigt qui ne montre pas de fracture. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Nous faisons une exploration de la plaie qui ne montre pas de lésion du tendon. Nous suturons ensuite par 4 points au Prolen 4-0. Un contrôle chez le pédiatre traitant est à prévoir dans 12 jours pour l'ablation des fils. Nous faisons une radiographie du genou droit complétée par un CT-scanner montrant une fracture de compression du plateau tibial postéro-externe de type Schatzker III. Une immobilisation dans une attelle Zimmer a été mise en place à Crans-Montant. Nous poursuivons l'immobilisation avec clexane et cannes. À la demande de la patiente, nous l'adressons au service du Dr. X à l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Nous faisons une radiographie du pied/cheville droite et retenons une suspicion d'entorse de Chopart droit. Nous immobilisons dans une attelle jambière postérieure fendue et faisons une radiographie de contrôle post-plâtre. La patiente rentre à domicile avec une thromboprophylaxie par Clexane 40 mg 1x/jour et une antalgie. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 01.03. Elle prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Nous faisons une radiographie du poignet et du scaphoïde gauche décrite ci-dessus. Nous procédons à l'immobilisation avec un plâtre AB scaphoïde fendu. Un contrôle à la policlinique d'orthopédie est prévu à 1 semaine pour une réévaluation clinique et un scanner pour exclure une fracture du scaphoïde. Nous gardons Mr. Y en surveillance neurologique. En raison de la persistance des fortes céphalées frontales évaluées à 8 sur 10 malgré Paracétamol et Ibuprofène, nous décidons d'effectuer un CT cérébral qui ne montre pas de saignement ni de fracture. Mr. Y garde des bons paramètres neurologiques lors de sa surveillance chez nous et présente par la suite une amélioration de son état général. Dans ce contexte, nous le laissons rentrer à domicile avec la feuille de consigne post-TC donnée et expliquée. Cas discuté et patient vu avec MC Dre. X. Nous gardons Mr. Y en surveillance chez nous quelques heures où nous pouvons observer qu'il garde un bon état général sans récidive des convulsions. Au vu de son bon état général, de l'état fébrile aux urgences et de la présence de fièvre < 24h, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile avec les consignes habituelles concernant l'éventualité d'une prochaine crise convulsive. À domicile : surveillance de l'état général et reconsulter si péjoration. Cas discuté et patient vu avec MC Dre. X. Nous gardons Mme. Y en surveillance aux urgences après la prise de 3 ml de Dafalgan. 1h après, ses paramètres se normalisent avec une FR 35/min, disparition des tirages, FC 150/min, sur le plan neurologique : bon tonus axial et périphérique, FANT, pupilles iso-iso, enfant sourit, suit du regard. Au vu de son excellent état général après la prise de fébrifuge, nous concluons à un épisode de mauvaise tolérance de la fièvre et nous laissons rentrer Mme. Y à domicile avec les consignes habituelles. Cas discuté avec MC Dre. X. Nous hospitalisons Mme. Y pour surveillance neurologique dans un contexte de suspicion de crise épileptique partielle complexe. Durant l'hospitalisation, la surveillance et l'examen neurologique sont sans particularité. Elle ne présente pas de nouvelle convulsion. Nous demandons un consilium auprès de notre neuropédiatre, Dr. X, qui propose un rendez-vous à sa consultation dans les prochaines semaines. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y peut rentrer à domicile le 03.11 sans traitement particulier et avec des consignes claires données aux parents en cas de récidive de crise. Nous immobilisons la patiente dans une attelle Cruro Ped ouverte ; le contrôle post-plâtre est satisfaisant. La patiente peut rentrer à domicile (en France) avec contrôle radio-clinique dans une semaine chez un orthopédiste. Dans l'intervalle, nous expliquons à la mère de la patiente les risques liés à la fracture (risque de syndrome des loges) et nous lui expliquons les signes poussant à reconsulter en urgence. Nous informons le patient qu'une éventuelle aggravation nécessitera une prise en charge chirurgicale mais au vu de l'absence de douleur, de déficit neurologique et de troubles morphologiques potentiellement dangereux, nous n'envisageons pas tout de suite une prise en charge chirurgicale mais plutôt une poursuite du traitement radiothérapeutique oncologique. Prochain contrôle dans 4 semaines. Nous instaurons une attelle Jeans à 20°, une antalgie et des prophylaxies TVP. La patiente reviendra pour contrôle orthopédique chez le Dr. X dans 5 jours. La patiente rentre à domicile avec un arrêt de travail. Nous instruisons le patient à un certain nombre d'exercices visant à regagner sa mobilité. Nous reverrons le patient dans 3 mois pour un contrôle clinique, le 06.05.2020. En cas de bonne évolution, le patient peut annuler le rendez-vous. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une gastroentérite virale débutante. Nous traitons le patient symptomatiquement et informons le patient des mesures hygiéniques et diététiques. Nous invitons le patient à reconsulter en cas d'apparition de symptômes abdominaux nouveaux ou de fièvre. Nous interprétons les symptômes le plus probablement dans le contexte d'une infection virale des voies respiratoires supérieures. Nous traitons la patiente symptomatiquement et l'informons des conseils diététiques et hygiéniques. Nous la reverrons dans une semaine pour un nouveau contrôle radioclinique. Nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer si nécessaire l'indication à la réalisation d'un Holter. Nous laissons le soin au médecin traitant d'envisager une endoscopie en ambulatoire. Nous l'autorisons à marcher en charge complète. Concernant les plaies, il sera suivi en diabétologie. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Nous lui conseillons de laisser de côté l'attelle qui risque d'affaiblir l'appareil ligamentaire. En revanche, nous conseillons la physiothérapie pour renforcer les muscles péroniers, faire des exercices de proprioception, du stretching de la chaîne postérieure et regagner les amplitudes articulaires. Nous lui prescrivons également des anti-inflammatoires pour 2 semaines. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons de stopper la physiothérapie et de porter des chaussures standards mais avec une semelle rigide. Nous lui prescrivons également une semelle de décharge rétro-capitale de l'avant-pied. Nous la reverrons dans 3 semaines pour un contrôle radioclinique. Nous lui donnons 4 push de Ventolin avec la chambre d'inhalation qui améliore la symptomatologie (disparition du stridor et du tirage). Nous discutons avec le chef de clinique de pédiatrie à l'HFR Fribourg qui est d'accord pour un transfert aux urgences de pédiatrie de l'HFR Fribourg. Le transfert se fait en ambulance. Nous lui enseignons des exercices d'hygiène du dos et lui recommandons de réaliser des séances de physiothérapie dans ce but et allons réaliser une IRM à but de diagnostic avec des séquences STIR au niveau dorsal et reverrons le patient par la suite. Nous lui expliquons qu'après l'opération elle pourra reprendre le football après une année post-opératoire. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices de l'opération. Une date opératoire est réservée pour le 14.04.2020 et elle reviendra 3 semaines avant l'opération pour signer le consentement et poser d'éventuelles questions. L'opération est réservée pour une ligamentoplastie de LCA par ischio-jambiers.Nous lui expliquons que nous ne disposons pas de modalité de diagnostic susceptible d'écarter à coup sûr une origine calcanéo-cuboïdienne des douleurs, au moins en partie. Dans tous les cas, nous proposons une cure de pseudarthrose avec prélèvements osseux au niveau de la crête iliaque ipsi-latérale. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous l'informons du risque d'une non-consolidation. Il est également informé qu'une éventuelle arthrodèse calcanéo-cuboïdienne peut être assortie au geste prévu et ceci sera décidé durant l'intervention. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec US et une semelle avec coin valgisant pour l'arrière-pied G. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec US. L'arrêt de travail à 100% est prolongé jusqu'au 01.03.2020 puis à 50% jusqu'au 15.04.2020. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie. Marche en charge selon douleurs, mobilisation de la cheville libre. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour libérer le tendon extenseur hallux. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour rééducation à la marche en charge selon douleurs, mobilisation libre et renforcement musculaire. Arrêt de travail prolongé d'un mois. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Nous lui prescrivons des Lift off Brace ddc à porter la nuit et de la physiothérapie avec US et ondes de choc. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Arrêt de travail jusqu'au 08.03.2022 à 100% puis 50% jusqu'au 23.03.2020. Nous lui prescrivons des semelles orthopédiques avec appui rétro-capital avant-pied D et physiothérapie avec stretching. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous lui prescrivons des semelles orthopédiques. Poursuite de l'ergothérapie. Prochain contrôle clinique en juin 2020. Nous lui prescrivons des semelles sur mesure et de la physiothérapie. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons des semelles sur mesure. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. En cas de mauvaise évolution, nous organiserons une IRM. Nous lui prescrivons des semelles sur mesure. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons le matériel pour la réfection du pansement à refaire 3 fois par semaine. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons un traitement antalgique. Nous lui conseillons du repos et une application de glace. Le patient reviendra pour un contrôle chez le Dr. X dans 3 semaines. Nous lui prescrivons une antibiothérapie locale à base de Ciproxine HC 3 gouttes 2x/jour pendant 7 jours ainsi que du Cerumenol 5 gouttes 1x/jour. La patiente rentre à domicile après consultation médicale. Elle prévoira de consulter un ORL le 24-25.02.2020. Nous lui proposons de garder en réserve le gantelet lors du port de lourdes charges dans son travail et de sevrer progressivement le gantelet. Nous restons à disposition si persistance des douleurs. Fin de traitement en policlinique d'orthopédie. Nous lui proposons un curetage du kyste avec comblement par greffe autologue et une arthrodèse temporaire. Le patient préfère réfléchir avec ses parents et nous recontactera. Nous lui rep prescrivons de la physiothérapie et lui conseillons de bien faire ces séances. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous maintenons donc notre indication chirurgicale de thermo-coagulation + stent VBS et cyphoplastie de L2. Le patient nous indique prendre de l'Aspirine Cardio, ceci n'est pas une contre-indication à notre prise en charge. Le patient reçoit le formulaire de consentement éclairé pour réflexion et signature après avoir été informé des risques et bénéfices. Nous maintenons donc notre proposition de prise en charge chirurgicale par décompression L3-L4 bilatérale et mise en place d'un Stenofix. Nous lui recommandons d'arrêter le Xarelto 3 jours auparavant. Nous l'hospitaliserons la veille afin d'entreprendre les examens complémentaires sous forme d'anti 10a. Entre-temps, nous organiserons une nouvelle IRM au vu de l'ancienneté de la précédente et restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous lui remettons le formulaire de consentement qu'elle nous rapportera la semaine prochaine. Nous maintenons le diagnostic sus-mentionné avec probable surinfection sous-jacente. Nous mettons en place un traitement antibiotique par Azithromycine. Un contrôle clinico-biologique est prévu pour le 03.02.2020. Nous conseillons le patient de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie. Nous mettons en place des séances de physiothérapie pour rééducation de cette cheville et nous proposons à la patiente une fin de traitement en policlinique. Mme. Y nous recontactera si péjoration de son état dans les semaines qui viennent. Nous mettons en place des Steristrips et procédons à la réfection du pansement. En cas de récidive de saignement, la patiente aura une consultation avec le Dr. X. Nous mettons en place un pansement occlusif et un contrôle clinique à 48h à la policlinique orthopédique doit être organisé. Nous mettons en place un pansement occlusif Opsite et une compresse stérile. Nous faisons un rappel anti-tétanique aux urgences. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Elle ira pour un contrôle clinique à 48h à la filière des urgences ambulatoires. Nous mettons en place une antalgie par Dafalgan, Sirdalud, Morphine et Fentanyl qui permettent de soulager la patiente. Nous effectuons un laboratoire, qui montre une CRP à 11 mg/l sans leucocytose. La patiente ayant été à 7 reprises aux HUG, nous contactons les rhumatologues et le centre de transplantation des HUG et convenons d'un transfert aux HUG. La patiente est alors transférée aux HUG. Nous mettons en place une minerve mousse à garder durant 3 jours. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à 5 jours. Une IRM sera à rediscuter en cas de persistance des douleurs. Nous mettons en place une sonde urinaire avec 700 ml d'urine et administrons Rocéphine 2 g iv en ordre unique. L'urotube set en cours. Nous prescrivons Ciprofloxacine 500 mg 2x par jour pendant 14 jours. Le patient retourne à domicile avec un certificat médical. Un contrôle et l'ablation de la sonde urinaire est à 7 jours chez l'urologue. Nous mettons fin à l'immobilisation dans le plâtre et le patient peut mobiliser son pouce selon douleurs. Un prochain contrôle aura lieu à ma consultation le 04.03.2020. Nous mettons fin au traitement par anneau avec ablation et nous laissons la position pour les bretelles pour écarter les jambes qui doivent être mises pour la sieste et pour la nuit. Un prochain contrôle clinique avec une radiographie du bassin face aura lieu après l'acquisition de la marche. Nous mettons fin au traitement par immobilisation et le patient peut mobiliser son genou selon douleurs. Prochain contrôle clinique le 16.03.2020. Pas de sport jusqu'au prochain contrôle. Nous mettons fin au traitement par immobilisation et la patiente peut se mobiliser selon douleurs. Pas de sport, pas de trampoline, pas de trottinette et pas de vélo pendant encore 4 semaines. Prochain contrôle le 27.03.2020.Nous mettons une attelle jambière postérieure. Mr. Y rentre à domicile avec antalgie, Clexane. Son prochain rendez-vous est en policlinique le jeudi 13.02.2020 prochain. Nous n'avons pas pu avoir accès aux images de l'IRM réalisée en octobre 2019. Concernant la clinique et l'examen clinique, il est possible que les douleurs soient liées à un conflit disco-radiculaire sur la racine L4 à droite, au niveau foraminal et extra-foraminal comme décrit dans le rapport d'IRM mais sans l'imagerie, nous ne pouvons pas juger. Une partie des douleurs est probablement liée à l'artériopathie des MI. Mr. Y nous rapporte effectuer de la gymnastique 3 fois par semaine et nous lui conseillons de poursuivre cela. Nous ne retenons pas d'argument pour une pyélonéphrite, raison pour laquelle nous mettons en place une antibiothérapie par Uvamine 100 mg 2x/jour. Mme. Y rentre à domicile. Nous ne retenons pas d'indication opératoire ni de diagnostic clair pouvant expliquer la symptomatologie de Mr. Y, raison pour laquelle nous lui conseillons de s'adresser à la consultation de l'antalgie afin d'envisager le geste de filtration de branches plus distales du nerf tibia postérieur comme déjà prévu suite à ce dernier examen pouvant exclure un problème mécanique à la base. Nous ne prévoyons pas un nouveau contrôle à notre consultation. Nous ne retrouvons aucun signe de gravité lors de l'examen clinique chez un enfant complètement asymptomatique aux urgences. Dans ce contexte, nous le laissons rentrer à domicile avec consigne de reconsulter si récidive des symptômes. Cas discuté avec Dr. X Nous ne retrouvons pas d'argument clinique pour une fracture du scaphoïde et la radiographie du poignet ne montre pas de fracture. Nous retenons alors une contusion et laissons Mme. Y rentrer à domicile. Nous ne retrouvons pas d'argument pour une origine mécanique (statique ou dynamique) qui pourrait mettre en relation la symptomatologie de Mr. Y avec le bilan radioclinique effectué ce jour. Nous retenons plutôt une origine neurologique. Nous décidons donc de demander un nouveau bilan neurologique auprès de Neurocentre. Nous le reverrons suite à cet examen. Nous ne retrouvons pas de fracture à la radiographie de la main. Nous interprétons les douleurs probablement dans le contexte d'une contusion de la main gauche. Au vu de la tuméfaction et des douleurs, nous proposons une attelle Edingburg avec contrôle clinique à une semaine. Si persistance des douleurs ou de la tuméfaction de la main, nous proposons d'effectuer un scanner à la recherche d'une fracture. Nous ne retrouvons pas d'instabilité du complexe ligamentaire latéral à une semaine post-traitement par immobilisation avec une attelle Aircast. CT-scan cheville gauche du 24.02 : mise en évidence d'un arrachement osseux au niveau du calcanéum. Poursuite de l'Aircast pendant deux semaines au total, puis rendez-vous au secteur ambulatoire des urgences pour un contrôle clinique et instauration de physiothérapie. Nous ne retrouvons pas d'origine claire quant à la cause des vertiges. Nous invitons Mme. Y à stimuler son hydratation et son alimentation et lui proposons de consulter un ORL en cas de persistance des symptômes. Nous informons également Mme. Y sur le risque de chute et ses mesures préventives. Nous ne visualisons aucune fracture à la radiographie du genou droit. L'ultrason du membre inférieur droit met en évidence une petite déchirure du muscle gastrocnémien avec présence d'une lame de liquide, pas de déchirure complète, pas de gros hématome. Nous prescrivons une antalgie, poche de glace, cannes, charge selon douleurs, Clexane. Un contrôle à une semaine est prévu à la consultation du Dr. X. Nous ne visualisons aucune fracture sur les radiographies et nous proposons un traitement conservateur avec une attelle du poignet et une bande élastique pour le genou droit. Mme. Y verra son médecin traitant dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Nous ne visualisons pas de fracture au CT-scan de la mâchoire. Nous suturons la plaie par 2 points simples Ethilon 5/0 après désinfection soigneuse et anesthésie locale. Après la suture, Mr. Y présente une amélioration de l'ouverture buccale avec persistance des douleurs aux articulations temporo-mandibulaires. Mr. Y sera revu en consultation par son pédiatre traitant pour un suivi de la plaie et un contrôle clinique de l'ouverture buccale. L'ablation des fils est à 5 jours. Mr. Y reconsultera aux urgences s'il y a une péjoration des symptômes. Nous ne voyons pas de contre-indication à une éventuelle reprise du traitement par Aspirine Cardio mais laissons le soin à Dr. X d'en décider. Prochain contrôle le 12.03.2020 pour le suivi de la spondylodèse dorsale. Nous n'envisageons pas d'infiltration ni d'intervention chirurgicale. Nous souhaitons plutôt optimiser le traitement conservateur. Les douleurs de Mr. Y sont présentes toute la journée avec une sensation de brûlure la nuit. Prescription de corticostéroïdes pour 11 jours associés à un traitement par Neurontin durant 6 semaines. Nous reverrons Mr. Y à la suite de ce traitement pour discuter de l'évolution clinique. Arrêt de travail à 100% prolongé. Nous nettoyons et désinfectons la plaie puis mise en place d'un pansement. Un contrôle à la filière des urgences ambulatoires est prévu le 15.02.2020 puis suivi chez son pédiatre. Nous nettoyons et désinfectons la plaie puis posons un pansement. Un rappel antitétanique est effectué ce jour. Mme. Y effectuera elle-même le changement du pansement puis verra son médecin traitant pour un contrôle de la plaie. Nous nettoyons la plaie, désinfectons avec de la Bétadine et explorons sous anesthésie locale. Nous visualisons le tendon extenseur du pouce mais ne visualisons pas de lésion ni de corps étranger. Nous suturons la plaie à l'Ethilon 4-0 et protégeons avec un pansement. Nous effectuons un rappel anti-tétanique. Nous prévoyons un rendez-vous en filière des urgences ambulatoires à 11h00 le 25.02 (appeler Dr. X). Mr. Y rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 26.02. Nous notons une amélioration biologique. Nous retenons le diagnostic de douleurs musculaires paravertébrales à gauche au niveau de L1 suite à une immobilisation pendant un geste cardiologique. Mr. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant en cas de péjoration ou persistance des douleurs. Nous nous retrouvons donc avec un patient présentant une persistance de douleurs C6, nous souhaiterions à but diagnostique et thérapeutique d'envisager une infiltration péri-radiculaire C6 droite, celle-ci semble actuellement faisable, raison pour laquelle nous prescrivons au patient le tout et le reverrons dans 2 à 3 semaines afin de discuter. Si une amélioration venait à s'envisager, il faudra discuter d'une éventuelle chirurgie. Nous nous retrouvons donc dans un contexte multifactoriel avec des cervicalgies au premier plan et une statique insatisfaisante au niveau cervical avec notamment une cyphose importante. La radiographie effectuée ce jour en complément met en évidence une hypermobilité discale au-dessus et une ankylose du segment C6-C7. Au vu du contexte psychologique global ainsi que des cervicalgies chroniques, nous recommandons donc la réalisation de séances de physiothérapie à but d'élongation abdominale et de rééquilibrage de la statique et reverrons notre patiente dans 3 mois. Une prise en charge chirurgicale ne serait en théorie pas contre-indiquée mais nous ne la recommandons pas de suite, surtout au vu de l'état psychologique actuel de notre patiente. Elle nous demande également un suivi auprès de Dr. X dans ce contexte. Mme. Y prendra contact elle-même. Nous nous retrouvons donc face à un patient présentant des douleurs importantes. Nous proposons une prise en charge par thermocoagulation de cette lésion L2, même si nous avons l'impression qu'il existe une lésion D10. Mise en place d'un STENT VBS au sein du corps de L2 et cimentage afin de soulager le patient. Nous lui proposons cette prise en charge assez rapidement et il souhaite réfléchir et le reverrons en consultation la semaine prochaine. Entre-temps, nous demandons à notre collègue Dr. X de réaliser une IRM de toute la colonne et de nous faire parvenir un compte rendu de ses précédentes consultations. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions.Nous nous retrouvons donc face à un patient qui présentait initialement une problématique cervicale avec actuellement une problématique secondaire sous forme d'épaule gelée. Nous lui recommandons la réalisation d'exercices pour mobiliser cette épaule, nous lui prescrivons de la physiothérapie dans ce sens, nous demandons à nos collègues de l'équipe du membre supérieur de le convoquer. Nous lui prescrivons également des patchs de thermacare à appliquer, ainsi que du Co-Dafalgan pour soulager les douleurs la nuit. Nous le reverrons dans 2 mois une fois qu'il sera vu par nos collègues. Nous nous retrouvons donc face à un patient qui présente une claudication à la marche accompagnée d'une radiculopathie hautement handicapante. L'ENMG n'a pas révélé d'atteinte et l'examen neurologique retrouve une force normale. Dans le contexte, au vu des trouvailles radiologiques, une prise en charge chirurgicale radicale par TLIF L4-L5 et L5-S1 par abord gauche s'envisage. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices liés à l'intervention. Il souhaite discuter avec son employeur entre temps. Prochain contrôle radioclinique dans 2 semaines avec des radiographies lombaires et un scanner afin de vérifier l'anatomie osseuse, notamment les anciennes approches chirurgicales. Nous nous retrouvons donc face à un syndrome sacro-iliaque au premier plan et un canal lombaire étroit sévère sur l'imagerie. Mme. Y ne présente aucune symptomatologie d'ordre neurologique, raison pour laquelle une prise en charge chirurgicale n'est pas indiquée actuellement au niveau lombaire. Nous lui expliquons les signes et les symptômes devant l'amener à consulter. Entre temps, au vu des douleurs sacro-iliaques importantes et handicapantes, nous proposons une infiltration sacro-iliaque bilatérale mais au vu de l'angoisse de la patiente, nous organisons celle-ci sous sédation au bloc opératoire. Nous nous retrouvons donc face à une maladie du segment adjacent avec une symptomatologie majeure empêchant Mme. Y d'effectuer ses activités de la vie quotidienne. Malgré un traitement conservateur maximalisé, les douleurs ne s'amenuisent pas et un traitement chirurgical peut s'envisager par TLIF ouvert sur 3 niveaux, L1-L2, L3-L4 et L4-L5 par abord gauche. Nous expliquons les risques et bénéfices liés à l'intervention et la patiente reçoit le consentement pour réflexion et signature. Nous organiserons également le neuromonitoring pour cette chirurgie et la patiente nous ramènera entre temps le CD de l'IRM. Nous nous retrouvons donc face à une patiente qui présente un syndrome sacro-iliaque gauche persistant malgré les différents traitements effectués. Pour rappel, elle avait déjà bénéficié d'une fixation de la sacro-iliaque droite par Ifuse. Dans le contexte, vu le refus de la dénervation, nous pouvons proposer une prise en charge chirurgicale par fixation de la sacro-iliaque gauche, intervention que la patiente souhaite bénéficier. Nous lui remettons le consentement éclairé ce jour mais la reverrons afin de planifier définitivement l'intervention pré-réservée pour le 29.06.2020. Nous nous retrouvons donc face à une probable récidive herniaire chez ce jeune patient. Au vu d'une récidive précoce, une prise en charge chirurgicale par herniectomie pourrait s'envisager mais l'alternative plus appropriée au vu des lombalgies du patient avec un syndrome para-vertébral serait un ALIF. Nous proposons tout d'abord une infiltration péri-radiculaire S1 droite puis un prochain contrôle chez nous. Nous nous retrouvons donc face à une probable variante de l'anatomie et non des anévrismes sacculaires comme mentionné lors du 1er angio-CT qui n'était pas dédié. L'IRM est plutôt rassurante sans HSA. Nous décidons donc d'obtenir l'avis de nos collègues à Genève et le patient nous donne son accord ce jour. Nous reverrons le patient dans 3 semaines pour clore le sujet. Nous nous retrouvons donc face à une problématique multiple avec une possible composante lombaire et sacro-iliaque. Les transverses sur les radiographies nous semblent élargies, raison pour laquelle nous souhaitons compléter le bilan par un scanner lombaire ainsi qu'une IRM lombaire à la recherche d'une arthrose facettaire ou d'un épanchement et le scanner à la recherche d'une atteinte osseuse. Nous reverrons la patiente par la suite. Entre temps, prescription de Co-Dafalgan comme antalgique. Nous nous retrouvons donc face à une situation complexe d'un patient ayant bénéficié de 2 chirurgies lombaires, notamment de décompression L3-L5, L4-L5, ainsi que d'une stabilisation unilatérale L5-S1. La fracture de stress ne présente actuellement pas de douleur au niveau lombaire comme on pourrait s'y attendre et le bilan est en cours de finalisation avec notamment l'ENMG. Nous proposons somme toute au vu du diabète du patient, ainsi que des douleurs d'allure neuropathique, d'introduire du Lyrica si celui-ci est possible avec insuffisance rénale du patient (patient porteur d'un rein unique). Nous reverrons notre patient dans 1 mois pour voir l'évolution sous ce traitement de Lyrica et faire le bilan également avec l'ENMG. Nous restons à disposition. Nous nous retrouvons donc face à une situation mixte de symptomatologie possiblement lombaire et sacro-iliaque avec une radiculopathie pas très claire. Nous souhaitons réaliser une ENMG au Neurocentre afin d'éclaircir la symptomatologie de la patiente et la reverrons par la suite pour envisager la suite de la prise en charge. Vu le syndrome sacro-iliaque d'allure plutôt mécanique, il est décidé d'effectuer des séances de chiropractie. En cas de douleurs radiculaires persistantes, une prise en charge chirurgicale sera indiquée. Nous nous retrouvons donc face à une suspicion de myélopathie débutante accompagnée d'une cervico-brachialgie. Au vu de la symptomatologie de la patiente, il est proposé de réaliser des PEM/PES et des radiographies cervicales afin d'étudier la statique. Une prise en charge chirurgicale sera probablement nécessaire soit par triple ACDF C4-C7, soit par corpectomie C5 et ACDF C6-C7, mise en place d'une plaque et cage. Nous lui expliquons l'ensemble de la procédure et la reverrons dans les suites des examens. Nous nous retrouvons face à un patient présentant des lombalgies chroniques en rendant ses activités de la vie quotidienne hautement limitées. Le traitement physiothérapeutique n'a pas franchement aidé le patient mais lui conseillons tout de même de le poursuivre, d'entreprendre de la natation et du stretching abdominal. Concernant une reconversion professionnelle, celle-ci a déjà été tentée, le patient nous parle d'une rente AI. Nous ne pouvons justifier une telle procédure au vu des discopathies. Une limitation de rendement dans certaines activités professionnelles peut se justifier à 10 ou 20 % mais à notre avis, pas plus. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous optons pour un traitement conservateur. Poursuite du port de Schlupfgips, confectionné ce jour, pour un total de 8 semaines. Prochain contrôle dans 7 semaines. Nous organisons donc une nouvelle IRM et prévoyons des radiographies de la colonne totale f/p pour exclure d'éventuelles altérations type tassement au niveau vertébral qui pourraient justifier les douleurs (suite à un AVP à vélo il y a 7 mois) et pour éventuellement mettre en évidence un cadre dégénératif arthropathique qui pourrait également justifier les douleurs.Nous organisons un arthro-CT et nous la reverrons dans un mois. Nous organisons un CT et le reverrons ensuite pour discuter de l'indication à une immobilisation par une bottine plâtrée. Nous organisons un curetage avec greffe autologue. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous organisons un SPECT-CT afin d'avoir des évidences métaboliques d'une éventuelle hyper-réaction facettaire qui puisse justifier les douleurs et qui puisse localiser une éventuelle infiltration. Prochain contrôle après cet examen. Nous organisons une ablation de la vis trans-syndesmotique. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous organisons une AMO de la cheville G, nous conseillons au patient de porter toujours les semelles sur mesure. Nous organisons une AMO de la vis le 28.02.2020. Nous gardons le contrôle prévu du 02.03.2020 ainsi que l'AMO le 10.03.2020. Nous organisons une infiltration au CIMF et la reverrons par la suite. Nous pensons à une infection virale et préconisons à Mme. Y de se reposer et de prendre du Dafalgan en cas de fièvre. Nous proposons également à la patiente de consulter son médecin traitant si ses symptômes persistaient au-delà de 5 à 7 jours. La patiente peut rejoindre son domicile le 20.02.2020 avec un état général conservé. Nous pensons qu'au vu de la persistance de la symptomatologie depuis 12 mois et du cadre morphologique avancé, il serait nécessaire d'effectuer une intervention d'ACDF par abord antérieur et mise en place d'une cage C5-C6. Puisque la patiente a déjà été opérée par un système Scarlet, nous envisageons de mettre également une cage Scarlet sur le niveau C5-C6 avec renforcement de la fixation par plaque Tryptik antérieure de C5 à C7. Nous prions nos collègues de l'ORL de bien vouloir convoquer la patiente pour un bilan fibro-laryngoscopique afin de juger de la fonctionnalité des cordes vocales ddc. Comme la patiente a déjà été opérée à gauche, elle pourra éventuellement bénéficier d'un abord contre-latéral, voire du même côté selon les résultats de l'examen ORL. L'intervention est agendée pour le 24.02.2020. Nous pensons que le patient souffre encore des séquelles du traumatisme. Il est important qu'il refasse de la physiothérapie particulièrement pour des exercices d'étirement de la capsule postérieure et aussi du renforcement musculaire comme des exercices de stabilité et du gainage. Pour l'instant, il n'y a pas d'indication pour une prise en charge chirurgicale. Il ne ressent pas d'instabilité ni de blocage. Prescription d'un nouveau bon de physiothérapie et nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 2 mois. Nous pensons que les douleurs sont liées à une Plica médio-patellaire symptomatique. Ablation de la bande et reprise de la mobilité progressive à l'aide de physiothérapie et des exercices par elle-même. Patchs Flectoparin à mettre localement durant 1-2 semaines et des anti-douleurs selon besoin sous protection de Pantoprazol. Arrêt de travail jusqu'au 20.02.2020. Contrôle clinique dans 1 mois. Actuellement, nous ne proposons pas de prise en charge chirurgicale par une résection arthroscopique. Si persistance de douleurs ou d'épisodes récidivants, cela sera à rediscuter. Nous pensons qu'il est nécessaire d'effectuer un prochain contrôle une fois qu'elle sera retournée à domicile afin d'exclure une évolution tardive. Nous soulignons l'importance d'avoir une bonne hydratation en buvant 2 litres d'eau par jour et de ne pas prendre une anticoagulation thérapeutique jusqu'au prochain contrôle. Nous pensons qu'il est nécessaire d'effectuer une nouvelle IRM lombaire afin d'avoir un bilan morphologique à jour concernant une éventuelle pathologie herniaire, voire sténosante de la colonne lombaire qui puisse justifier les symptômes. Nous ne pouvons pas non plus exclure une éventuelle composante sacro-iliaque droite comme le patient nous réfère avoir plutôt des douleurs lorsqu'il est assis sur le côté droit que gauche. Prochain contrôle après l'IRM. Concernant ses troubles érectiles, le patient nous informe avoir un rdv le 28.04.2020 pour un bilan. Nous pensons qu'il est nécessaire d'organiser une IRM lombaire afin de pouvoir mieux caractériser le cadre et avoir un diagnostic. Prochain contrôle après cet examen. Le patient peut poursuivre son activité professionnelle à 100%. Nous planifions donc une intervention chirurgicale pour une crâniotomie et résection de tumeur. Le patient est informé des risques et bénéfices liés à l'intervention, le consentement éclairé lui est remis pour signature. Nous posons le diagnostic de lombo-sciatalgie gauche non-déficitaire. La patiente poursuivra l'antalgie prescrite lors de la consultation du 16.02.2020 ainsi que la physiothérapie. Nous posons l'indication opératoire à une suture du tendon d'Achille. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous posons une minerve cervicale et procédons à l'examen clinique. Nous effectuons un ECG qui revient dans la norme. Les radiographies ne montrent pas d'épanchement pleural ni de signe d'insuffisance cardiaque. Nous discutons du cas avec le Dr. X et décidons de l'attitude suivante : minerve ôtée, retour à domicile avec antalgie standard pallier I, arrêt de travail refusé par le patient et consultation en début de semaine prochaine chez son médecin traitant. Nous donnons la feuille de surveillance neurologique à son épouse et le patient peut rentrer à domicile. Suite au colloque, nous téléphonons au patient : il sent une amélioration de son état général et au niveau des douleurs, donc pas de convocation. Nous poursuivons le traitement conservateur avec la mise en place d'une botte fermée ce jour. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 06.03.2020. Pas de sport jusqu'à fin mars 2020. Nous poursuivons le traitement conservateur avec la physiothérapie. Nous lui expliquons qu'il faut repousser le plus loin possible le moment de remplacer la prothèse. Nous ne fixons pas de nouveau rendez-vous d'office. Il nous contactera au besoin en cas de péjoration de la symptomatologie. Nous poursuivons le traitement conservateur. Circularisation du plâtre ce jour. Immobilisation pendant 6 semaines au total. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 04.03.2020. Nous poursuivons le traitement conservateur et nous avons mis un nouveau plâtre cruro-pédieux qui doit être porté pendant encore 3 semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 19.02.2020 avec évaluation de la mise en place d'un plâtre jambier. Nous poursuivons le traitement conservateur et nous procédons à la circularisation du plâtre ce jour. L'immobilisation et la décharge doivent être poursuivies. Prochain contrôle radio-clinique le 12.02.2020. Nous poursuivons le traitement conservateur et nous procédons à la circularisation du plâtre ce jour. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 21.02.2020. Nous poursuivons le traitement par immobilisation pour 2 semaines avec une attelle du poignet. Cette patiente se présenta au Team main dans 4 semaines pour un contrôle clinique. Nous poursuivons l'immobilisation dans le plâtre St.-Moritz durant encore 1 semaine et demi avec par la suite ablation de celui-ci et mobilisation normale mais sans charge. Pas de sport durant encore 4 semaines. Prochain contrôle clinique le 04.03.2020.Nous préconisons à la patiente de réaliser une 2ème infiltration à but thérapeutique. La patiente sera revue 1 mois après la 2ème infiltration péridurale et péri-radiculaire L5. La patiente est informée ce jour que si elle présentait des syndromes de la queue de cheval, c'est-à-dire dysurie, anesthésies en selles ou incontinences fécales, elle devra consulter en urgence pour prise en charge chirurgicale en urgence. Nous préconisons des séances de physiothérapie pour des exercices posturaux. Le contrôle radiologique ne montre pas d'aggravation de la scoliose connue. Au vu de l'âge du patient et d'une poussée de croissance débutante, nous pensons qu'il est nécessaire de faire encore un contrôle mais plus rapproché dans 12 mois. Nous préconisons la poursuite du traitement conservateur par une immobilisation d'un total de 8 semaines. La patiente est envoyée chez le plâtrier pour bénéficier de la confection d'une botte circulaire qu'elle devra porter pendant les 5 prochaines semaines. On recommande la poursuite de la décharge. La patiente, qui supporte mal les injections, reçoit aussi une prescription pour une prophylaxie par Xarelto 10 mg 1x jour per-os. Elle est clairement informée sur les avantages et les inconvénients respectifs de la prophylaxie par Xarelto et par Clexane. Prochain contrôle clinique dans 5 semaines. L'arrêt de travail à 100% est prolongé d'une durée de 5 semaines. Nous préconisons un bilan d'hypertension artérielle en ambulatoire chez son médecin traitant. Nous préconisons un contrôle biologique à distance chez le pédiatre. Nous préconisons une gestion des douleurs par Dafalgan et Voltarène, Novalgin et Tramal en réserve jusqu'à son retour en France. La patiente n'a pas eu de consultation ORL en urgence au vu de la symptomatologie non inquiétante. Un contrôle chez son ORL en France est prévu le 20.02. Nous prenons avis auprès du Dr X qui ne retient pas de critères pour une suture. Il recommande des bains de bouche pour soins locaux. Le patient reconsultera les urgences en cas d'apparition de signes d'infection locale. Nous prenons contact avec l'ophtalmologue de garde, Dr X, qui nous demande de lui adresser le patient pour évaluation. Nous prenons l'avis de l'orthopédiste de garde, Dr X, qui préconise une immobilisation par bretelle, du repos, des anti-inflammatoires et de la glace avec un contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail à réévaluer par les soins du médecin traitant. Nous prenons l'avis du Dr X qui nous préconise un pansement par tulle bétadinée ainsi qu'un contrôle en filière des urgences ambulatoires à 48h. La patiente rentre à domicile. Nous prescrivons au patient un traitement antalgique à base de Dafalgan et Irfen. Des applications de Keli-Méd 4x/jour lui ont aussi été prescrites. Le patient ira chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Nous prescrivons de la physiothérapie pour allongement des muscles de la chaîne postérieure du mollet ddc avec stretching. Nous organisons une IRM du pied D (pied le plus douloureux) à la recherche d'un névrome de Morton ou d'une bursite. Nous la reverrons suite à l'examen. Nous ferons également une radiographie des 2 pieds (f/p/o). Nous prescrivons de la physiothérapie pour assouplir les orteils. Arrêt de travail prolongé jusqu'au 06.04.2020. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Nous prescrivons des gouttes de Panotile et laissons la patiente rentrer à domicile. Nous prescrivons des séances de physiothérapie afin d'apprendre à réaliser correctement du nordic walking. La patiente pourra faire des exercices autonomes dès le mois d'avril. Prochain contrôle radioclinique dans 6 mois. Nous prescrivons un traitement par Flector patch et AINS per-os, le patient retourne à domicile et prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour contrôle en fin de semaine. Nous prescrivons un traitement symptomatique par Lopéramide et Primperan. Le test de grossesse revient négatif. Un contrôle clinique est prévu à 48 heures à la filière des urgences ambulatoires. S'il y a une persistance des diarrhées avec un état fébrile, il faudra envisager une culture de selles et une antibiothérapie. Nous prévoyons l'ablation du matériel d'ostéosynthèse à une année post-opératoire. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord oral et signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 23.03.2020. Nous prévoyons un prochain contrôle de suivi dans 3 mois. Nous prévoyons un traitement par Lyrica compte tenu de la mauvaise tolérance au Neurontin. Ceci au dosage de 50 mg 2x/j pour 3 semaines qui seront ensuite à augmenter selon tolérance par palier de 50 mg à la consultation du médecin traitant jusqu'à obtention d'un bon résultat clinique avec bonne tolérance de la patiente. Le prochain contrôle sera dans 4 mois avec un dernier contrôle scannographique juste avant la consultation qui est agendée au mois de juin. Indication de revenir nous consulter en cas de péjoration ou décompensation aiguë de douleurs ou apparition de nouveau problème, autrement nous demanderons au collègue du centre de la douleur de pouvoir convoquer la patiente pour une prise en charge des douleurs chroniques. Nous prions Dr. X de s'exprimer quant à la possibilité d'effectuer une infiltration par Dépo-Médrol, Ropivacaïne et une désinfection par Bétaseptic. Nous prions Dr. X de bien vouloir convoquer Mr. Y pour une cryo-ablation de la branche du nerf cutané interne du bras. Nous soutenons Mr. Y dans sa démarche auprès des instances AI pour une reconversion professionnelle dans un poste adéquat. Le patient est tout à fait motivé pour une réinsertion professionnelle au vu du fait qu'il a à sa charge 4 enfants et que son moral dépend aussi de son taux d'activité pendant la journée. Nous pensons qu'une prise en charge dans le centre de réhabilitation de la SUVA à Sion pourrait énormément aider le patient dans l'évolution positive de la symptomatologie. Nous reverrons Mr. Y lors d'un contrôle clinique le 06.05.2020. Nous prions le médecin de famille de bien vouloir organiser une ostéodensitométrie afin de desceller une ostéoporose et d'organiser un bilan pour une éventuelle néoplasie (par ex. électrophorèse en raison de myélomes multiples). Nous proposons à la patiente d'utiliser un tintébin pour qu'elle puisse se déplacer en toute sécurité mais elle refuse. Prescription de physiothérapie pour école du dos, posture et pour la hanche, ce qu'elle refuse également. Prochain contrôle clinique dans 2-3 mois. En cas de douleurs persistantes au pli de l'aine, nous pourrons adresser la patiente à la team hanche afin de discuter d'une éventuelle mise en place de prothèse. Nous procédons à la désinfection, à l'exploration, au rinçage abondant et à la suture par 3 points simples à l'ethilon 4-0. Nous appliquons Adaptic, compresse et Cofix. Nous prévoyons un contrôle de la plaie à 48h à la filière des urgences ambulatoires (médecin traitant en vacances). L'ablation des fils est prévue à 10 jours chez son médecin traitant. Nous procédons à la désinfection, au rinçage, à l'exploration et suturons la plaie à l'ethilon 4-0 et appliquons Adaptic, compresse et Cofix. Un contrôle de plaie est fixé à 48 heures chez son médecin traitant. L'ablation des fils est prévue à 10 jours chez son médecin traitant. Nous procédons à la désinfection, au rinçage et à l'exploration sous anesthésie locale, ablation d'un segment latéro-distal de l'ongle, suture du lit de l'ongle et de la pulpe par 2 points simples à l'éthilon 4-0. Nous mettons en place un pansement tule bétadiné, compresse, Cofix.Le patient ira en contrôle chez son médecin traitant à 48 heures en France. L'ablation des fils sera à 10 jours chez son médecin traitant en France. Nous procédons à la désinfection puis posons des Steri-Strips. Nous laissons le patient retourner à domicile avec une antalgie en réserve. Un contrôle est prévu chez le pédiatre dans 5 jours. Nous procédons à la réfection du pansement, et organisons un contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 72 heures. La patiente reconsultera aux urgences s'il y a une péjoration des symptômes. Nous procédons à l'ablation de plâtre et mise en place d'une attelle Velcro. Nous expliquons à la patiente qu'il ne faut pas encore porter de charge, et il faut continuer l'ergothérapie. Nous allons aussi organiser une ablation du matériel d'ostéosynthèse dans 3 à 4 mois. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Nous procédons à l'anamnèse et à l'examen clinique. La patiente peut retourner à domicile avec Dafalgan, Tramal et Bepanthène crème. Un contrôle à la filière des urgences ambulatoires est prévu à 24 heures. Nous informons la patiente de reconsulter avant s'il y a des symptômes du syndrome de loge. Nous procédons à l'examen clinique et au marquage de la lésion. Le patient peut retourner à domicile avec une antalgie par Paracetamol et une antibiothérapie pour 10 jours au total par Co-Amox 1g 3x par jour. Le patient refuse l'arrêt de travail. Un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires est prévu le 02.02 à 17h00. Nous procédons à l'examen clinique. La radiographie de la main droite met en évidence une fracture déplacée de la 1ère phalange du 5ème doigt de la main droite. La patiente ayant été vue par orhto de garde Dr. X, nous procédons à une syndactylie du 4ème et du 5ème doigt pour 6 semaines, attelle Edimbourg pour 4 semaines (2 semaines jour et nuit et 2 semaines seulement la nuit). Un contrôle est prévu dans une semaine chez une chirurgienne orthopédiste en France. Nous effectuons une radiographie post-immobilisation qui ne met pas de déplacement en évidence. Nous procédons à l'examen clinique, nettoyons la plaie et la suturons avec 2 points de suture Ethilon 4.0. L'ablation de fils se fera dans 7 jours à 10 jours selon l'évolution clinique chez son médecin traitant. Nous procédons à l'examen clinique puis à la désinfection, à l'anesthésie locale par Lidocaïne et à la suture par 5 points d'Ethilon 4.0. Nous mettons en place un pansement par Adaptic et compresses puis administrons un rappel du vaccin antitétanique. Le patient rentre à domicile avec un certificat médical pour 1 semaine. Un contrôle de la plaie et la réfection du pansement sera fait à 48 heures à la filière des urgences ambulatoires. L'ablation des fils est à 14 jours prévue chez le médecin traitant. Nous procédons à l'examen clinique puis à une radiographie qui ne met pas en évidence de luxation ni de fracture visualisée. Nous prescrivons une antalgie de 1er palier. À noter qu'un constat de coup a été réalisé en parallèle. Nous procédons à l'examen clinique qui ne montre pas de laxité, pas de défaut de rotation, tabatière indolore, piston négatif. La radiographie ne met pas en évidence de lésion osseuse. Nous prescrivons une antalgie simple, AINS. Nous mettons en place une bande élastique et attelle alu pour antalgie. La physio mobilisation sera faite dès le 7ème jour. Un contrôle chez son médecin traitant est prévu dans une semaine. Nous procédons à un examen clinique à l'otoscope puis à l'extraction de l'objet aux urgences par le Dr. X (ORL). Nous prescrivons de l'Algifor sirop en réserve. Un suivi n'est pas nécessaire. Nous procédons à un examen clinique. Nous désinfectons, faisons une incision et le drainage. Nous mettons un tulle bétadiné et faisons un frottis. Le patient reçoit 2.2 g Co-Amoxi o.i iv puis Co-Amoxicilline 1 g 2x par jour pendant 5 jours et nous mettons une attelle Edimbourg. Un contrôle clinique ainsi que le pistage du frottis sont prévus le 12.02.2020. Nous procédons à un examen clinique puis à une radiographie de l'avant-bras et poignet gauche qui ne met pas de fracture en évidence. Suite à la discussion du cas avec le chef de clinique d'orthopédie nous prescrivons une antalgie et mettons de la glace. Le suivi sera fait par le médecin traitant. Durant le passage aux urgences, le patient ne présente pas de douleur. Il est bien avisé qu'en cas de réapparition de douleurs ou de péjoration de l'état clinique qu'il reconsulte rapidement aux urgences. Nous procédons à un examen clinique puis à une radiographie du 5ème orteil du pied gauche qui met en évidence une fracture peu déplacée de la phalange distale. Après que le chef de clinique d'orthopédie ait vu le patient, nous réalisons une syndactilie du 4ème et du 5ème orteil pour 4 à 6 semaines et prescrivons une antalgie. Un rendez-vous de contrôle avec une radiographie à 1 semaine est prévu à la policlinique d'orthopédie. Nous procédons à un examen clinique rassurant. La radiographie du genou droit ne met pas de fracture en évidence. Une IRM pour une recherche ménisque discoïde est prévue le 13.02.2020 à 8h30. Un rendez-vous a été fixé dans 2 semaines chez le Dr. X. Nous procédons à un examen de la plaie sous anesthésie locale. La plaie est propre. Nous rinçons abondamment la plaie au NaCl et ne visualisons pas de structure noble. Nous procédons à la fermeture de la plaie au fils à peau 4/0. La vaccination antitétanique est refaite aux urgences. Le médecin traitant s'occupe du suivi de la plaie à 48 heures. Nous procédons à un laboratoire et à un ECG qui reviennent tous deux dans la norme. Les recherches du groupe sanguin et les recherches d'anticorps irréguliers sont en cours. Nous administrons Nexium 80mg aux urgences. Une mise en pause est faite avec Aspirine cardio, Efient, Bisoprolol. Nous prenons l'avis de la gastro-entérologue de garde (Dr. X) qui préconise un transfert à l'HFR à Fribourg dans le service de chirurgie: chambre 444 (confirmée). Elle demande que le patient reçoive si possible 1l de Moviprep ce soir et 1l de Moviprep demain matin. Une colonoscopie sera prévue demain matin par la Dr. X. Nous procédons à une ablation des fils ce jour, recouverte par un pansement Adaptic. Il continuera le changement de pansement tous les 2 jours. Nous recontrôlerons cliniquement le pansement dans 2 semaines. Nous procédons à une désinfection, à une incision et à un drainage de l'hématome sous anesthésie locale. Mèche en place. La patiente retourne à domicile et sera revue pour contrôle en policlinique de chirurgie le 20.02.2020. Nous procédons à une désinfection et nettoyage de la plaie, ainsi que suture par 2 points d'Ethilon 5.0, puis pansement. État donné la localisation de la plaie, nous conseillons une désinfection avec changement de pansement s'il se salit. Les parents sont informés de contacter le pédiatre-traitant pour contrôle de plaie à 48h. et ablation des fils à J10. Nous procédons à une incision après désinfection à la Bétadine, à un rinçage au NaCl et à la mise en place d'une mèche iodoformée. Un traitement antalgique/AINS est instauré. La patiente sera revue à la consultation de son médecin traitant le 07.02.2020 pour contrôle clinique et ablation de la mèche. Le Dr. X propose une consultation au Centre spécialisé pour la maladie de Verneuil au CHUV. Nous procédons à une radiographie du pied gauche décrite ci-dessus. Nous immobilisons la cheville dans une attelle jambière postérieure, réalisons une radiographie post-plâtre décrite ci-dessus, et prescrivons des cannes anglaises. Thrombo-prophylaxie par Clexane 40 mg chez un patient pubère. Un contrôle à la policlinique d'orthopédie est prévu à 1 semaine.Nous procédons ce jour à l'ablation des fils après désinfection. Nous lui prescrivons des supports plantaires avec décharge de l'avant-pied et soutien longitudinal de l'arche médiale. De plus, nous organisons un CT de contrôle du pied G. Nous le reverrons suite à l'examen. Arrêt de travail prolongé jusqu'au 26.03.2020 à 100%. Nous procédons ce jour à l'ablation des fils. Nous prescrivons de la physiothérapie que le patient n'a pas suivi jusque-là. Nous recontrôlerons le patient radiologiquement et cliniquement dans 1 mois soit à 6 semaines post-opératoires. Nous proposons à la médecin traitante d'envisager de référer la patiente vers un neurologue si la symptomatologie devait persister. Nous proposons à la patiente de ne pas reprendre son activité professionnelle actuellement en raison de l'amélioration des douleurs. Prescription de physiothérapie pour hygiène posturale et renforcement de la musculature. Prochain contrôle dans 3 semaines afin de juger de l'évolution. En cas de réapparition de la cervicobrachialgie nous pourrons toujours proposer une infiltration. Nous proposons à la patiente de poursuivre avec de la physiothérapie pour un renforcement des stabulateurs de la cheville. Nous proposons ensuite une fin de suivi en policlinique. Nous proposons à la patiente de poursuivre la physiothérapie et la prise d'antalgique au besoin. Nous conseillons fortement, au vu de la persistance des douleurs et des céphalées, de prévoir une prise en charge neuropsychologique afin de traiter la problématique de façon multidisciplinaire car ce type d'accident avec des entorses cervicales peut engendrer des douleurs chroniques même durant une année après l'accident. Concernant cette irradiation dans le MSG, puisqu'il s'agit d'un nouveau symptôme, nous préférons attendre et en cas de persistance de celui-ci, nous pourrons effectuer une consultation au Neurocentre (le testing de l'épaule gauche est totalement dans la norme avec un ROM complet et indolore, testing de la coiffe dans la norme et superposable au côté opposé). Prochain contrôle dans 2 mois. Prolongation de l'arrêt de travail à 50%. Nous proposons à la patiente de poursuivre la physiothérapie pour détendre l'appareil extenseur et la rotule. Au vu qu'elle attend un contrôle chez l'oncologue pour avoir les résultats des derniers examens, nous proposons à la patiente une éventuelle infiltration selon la nécessité ou pas de reprendre sa chimiothérapie. Elle va reprendre contact avec nous dès que toutes les informations seront disponibles. Nous proposons à la patiente d'effectuer une IRM de son genou pour écarter une possible lésion de la corne postérieure du ménisque interne. Nous la reverrons après cet examen. Nous proposons à la patiente un suivi chez son médecin traitant avec une éventuelle consultation ORL. Nous lui administrons 5 mg Amlodipin OU aux urgences. Pour ce qui est de l'hypertension nous lui proposons un monitorage ambulatoire de la pression artérielle sur 24h chez le médecin traitant avec une réévaluation de la thérapie antihypertensive. La patiente rentre à domicile. Nous proposons à la patiente une nouvelle infiltration sous-acromiale de l'épaule D (21.02.2020), suivi d'un contrôle clinique, le 01.04.2020. Suite à l'infiltration à réaliser, nous demandons à la patiente d'effectuer les exercices à domicile qu'elle a appris lors de nombreuses séances de physiothérapie. Nous proposons à la patiente une prise en charge chirurgicale avec le but d'enlever le fragment osseux intra-articulaire qui gêne la patiente. Pour cela, nous proposons une distraction articulaire avec la mise en place de 2 vis transpédiculaires L3-L4 à droite, nous allons essayer d'effectuer une arthroscopie de l'articulation facettaire à ce niveau un arthroscope du poignet qui est le plus petit à disposition et par la suite d'enlever le fragment osseux avec une petite pince arthroscopique. Si nécessaire, par la suite, fixation monolatérale avec système Spineart sera effectuée. La patiente est informée des risques et bénéfices de l'intervention, nous réservons la date pour le 16 mars 2020. La patiente reçoit le consentement éclairé et le renverra par la poste dans 3 jours. Nous proposons à Mr. Y de rentrer à la maison avec une antalgie au besoin. Il reconsulte en cas de douleur au niveau du pli de l'aine ou dans le cas de l'apparition d'une tuméfaction/douleur testiculaire. Nous proposons ainsi une ablation de l'attelle. Mr. Y continue la glace pendant quelques jours et nous recontacte si péjoration dans les jours qui viennent. Nous proposons au patient de continuer avec les séances de physiothérapie et étant donné la gêne du matériel d'ostéosynthèse, nous planifions une ablation de celui-ci, le 19.03.2020 en ambulatoire. Nous expliquons au patient le déroulement de l'intervention, les risques ainsi que les bénéfices liés à celle-ci et il signe le formulaire de consentement éclairé. Prochain contrôle, le 01.05.2020. Au vu de la persistance des douleurs lors de la marche en charge, nous prolongeons l'arrêt de travail jusqu'à l'opération. Nous proposons au patient de continuer le traitement par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour du 22.02.2020 au 28.02.2020. Le patient sera revu en poli d'orthopédie le 24.02.2020 pour suite de la prise en charge. Nous proposons au patient de poursuivre avec l'ergothérapie vu la bonne évolution à la mobilisation du doigt, nous lui prescrivons donc un nouveau bon. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois. En cas de besoin, le patient peut prendre contact avec le secrétariat pour un nouveau bon d'ergothérapie. Nous proposons au patient de poursuivre la physiothérapie, l'acupuncture et la pose de Flector localement en cas de douleurs. Nous le rassurons sur le fait que l'ossification de la TTA montre une bonne évolution. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais nous restons à disposition en cas de besoin pour la physiothérapie. Nous proposons au patient de poursuivre le traitement conservateur avec la physiothérapie. Vu la bonne évolution nous n'avons pas prévu de revoir le patient mais nous restons à disposition. Nous proposons au patient d'effectuer une fixation L5-S1 par voie antérieure avec la mise en place d'une cage. Le patient souhaite un 2ème avis et va se renseigner auprès de son assurance s'il y a des frais supplémentaires au cas où il serait pris en charge ailleurs. Nous restons à disposition pour la suite de la prise en charge. Nous proposons au patient d'effectuer une IRM pour bilanter la lésion avec un contrôle à la consultation par la suite. Nous proposons au patient des séances de physiothérapie en ambulatoire pour renforcement du quadriceps et relâchement des chaînes postérieures. Le patient peut marcher à l'aide de deux cannes anglaises en déroulant le pas. Il dispose d'un traitement antalgique au domicile qu'il devra prendre pendant 7 jours. Nous prescrivons un arrêt de travail à 100% jusqu'à fin du mois de janvier puis à 80% depuis début février pour tout le mois. Prochaine consultation avec contrôle clinique début mars 2020 afin d'évaluer si la reprise du travail à 100% est possible. Nous restons à disposition si besoin. Nous proposons au patient pour ses douleurs thoraciques un traitement symptomatique compte tenu de l'absence de lésion cardiaque et pulmonaire objectivées. Le patient rentre à domicile. Nous proposons au patient un arrêt du sport pour 2 semaines puis une reprise progressive selon les douleurs. Le patient consultera son médecin traitant si persistance des douleurs dans une dizaine de jours. Nous restons à disposition en cas de péjoration des symptômes. Nous proposons au patient un traitement conservateur de la lésion du LCB. Pour la probable tendinopathie muscle sus-épineux à droite, nous proposons la réalisation d'un IRM. Dans ce temps, nous prescrivons de la physiothérapie à but de renforcement de la coiffe des rotateurs bilatéralement. Nous reverrons le patient suite à l'IRM dans 6 semaines à notre consultation. Nous proposons au patient une immobilisation par une botte en résine fendue mais le patient refuse. Nous proposons alors un VacoPed S pour une immobilisation du pied, le patient accepte. Le patient étant originaire de Genève, il organisera le suivi à la consultation en orthopédie du HUG. Nous prescrivons également une prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg sous-cutané par jour pendant la durée de la décharge ainsi qu'un traitement antalgique et anti-inflammatoire. Nous proposons au patient une prise en charge chirurgicale avec arthroscopie de l'épaule, puis abord mini delto-pectoral pour résection AC, ténotomie/ténodèse du LCB, suture du sous-scapulaire, vidange du kyste et fixation du labrum. Nous informons le patient qu'il aura un arrêt de travail de minimum 3 mois. Nous avons agendé une date opératoire. Le patient est informé des risques et des bénéfices et nous donne son accord en signant le consentement éclairé. Nous proposons d'étendre le bilan par une nouvelle IRM avec injection de contraste intra-articulaire bilatérale ainsi que sous traction et également un scanner des membres inférieurs pour mesurer les torsions. Nous reverrons ensuite le patient pour voir si on peut envisager un geste de sauvetage aussi bien à G qu'à D étant donné son jeune âge. Nous proposons donc une prise en charge chirurgicale par mini-open TLIF L4-L5 par abord droit au vu de la prédominance des douleurs à droite. Nous souhaitons mettre en place du matériel Romeo et une cage TLIX et convoquons notre patiente pour le 6 mars. Entre-temps, une consultation anesthésiologique aura lieu, un CT-scanner, ainsi que la patiente nous retournera le consentement. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous proposons d'organiser une échographie des tissus mous afin d'évaluer la probable hernie ombilicale du patient. Nous proposons un contrôle clinique à votre consultation à la fin des 14 jours d'antibiotiques. Indication de reconsultation si difficultés respiratoires ou si péjoration de l'état général. Nous proposons un contrôle clinique à votre consultation le lundi 24.02.20. Indication de reconsultation si difficultés respiratoires ou péjoration de l'état général. Nous proposons un traitement à base de Tobradex et Ophtaxia. Si persistance ou aggravation clinique, le patient consultera un ophtalmologue. Nous proposons un traitement symptomatique à la patiente avec un PP car depuis la prise d'aspirine, elle se plaint d'épigastralgies. Nous proposons un traitement symptomatique avec contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes ou aggravation clinique. Nous proposons un traitement symptomatique et la patiente peut regagner son domicile. Nous proposons un traitement symptomatique par Algifor et Dafalgan pour 24h-48h. Nous prescrivons également en réserve un traitement antibiotique par Amoxicilline susp 200 mg/4 ml, 50 mg/kg/j pour 7 jours si persistance de la fièvre ou de l'otalgies d'ici 24h-48h (dès le 09.02.2020) malgré antalgie administrée d'office. Dans ce cas là, nous proposons un contrôle clinique et otoscopique dans trois semaines à votre consultation. Nous proposons une atelle edinburg et antalgie. La patiente sera revue en contrôle clinique en policlinique d'orthopédie courant de la semaine prochaine. Nous proposons une évaluation des fonctions pulmonaires. Nous proposons une fin de traitement avec arrêt de l'activité physique pour 3 semaines. Nous restons à disposition pour prescription de physiothérapie si le poignet devait toujours se montrer raide après ablation du plâtre. Nous proposons une infiltration du carrefour postérieur à but diagnostic et antalgique sous CT réalisée par les radiologues. Nous le reverrons pour un contrôle clinique un mois après ce geste pour discuter d'une éventuelle nouvelle infiltration du sinus du tarse en cas de persistance de la symptomatologie. Dans tous les cas, il s'agit de diminuer l'inflammation qui est survenue brutalement et spontanément sans traumatisme avant d'envisager tout autre thérapie. Nous proposons une nouvelle demande de consultation au centre de la douleur. IRM abdominale et coloscopie en ambulatoire. Représentation en cas d'apparition de red flags. Nous proposons une syndactylie des orteils 3-4. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous proposons 3 possibilités de prise en charge. La 1ère consiste à poursuivre le traitement conservateur avec éventuellement des mesures orthotiques. La 2ème option est chirurgicale avec une cure d'hallux valgus assortie d'une révision capsulaire et arthrodèse par broche de la MTP 2. La 3ème option est également chirurgicale et plus radicale, à savoir une arthrodèse de la MTP 1 afin de prévenir une récidive de contrainte de voisinage sur le 2ème rayon, qui subirait, comme dans la 1ère option, une révision capsulaire MTP 2 assortie d'une arthrodèse par broche. Elle opte pour la 3ème proposition. Les risques et les bénéfices de ce geste lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous rappelle pour date opératoire. Nous rassurons la patiente. Elle verra son médecin traitant à 48h ce vendredi pour un contrôle clinique. Elle aura également un contrôle en policlinique d'orthopédie le 06.03.2020. Nous rassurons la patiente et prescrivons un traitement symptomatique, avec indication de consulter son médecin traitant en cas d'absence d'amélioration de la symptomatologie d'ici la semaine prochaine et de revenir aux urgences si la situation se péjore. La patiente rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 14.02.2020. Nous rassurons le patient et le laissons rentrer à domicile avec comme consigne de reconsulter les urgences si apparition de fièvre ou autres symptômes. Nous rassurons le patient et lui proposons un traitement symptomatique. S'il y a persistance des symptômes ou une aggravation clinique, le patient consultera à nouveau. Nous réexpliquons à la patiente et à sa maman la prise en charge chirurgicale du genou à gauche. Nous allons procéder à une plastie du MPFL par le tendon gracilis. La dernière fois, le semi-tendineux avait été utilisé. Si le gracilis n'est pas assez fort, nous prendrons une allogreffe de tendon gracilis pour ne pas blesser encore le côté opposé. Dans le même temps, nous allons faire une transposition de la TTA et une libération du rétinaculum externe. Le déroulement opératoire, les risques et les bénéfices ainsi que le traitement post-opératoire ont été longuement discutés avec la patiente et sa maman. La patiente a signé le consentement éclairé. L'opération est prévue pour le 12.02.2020. Nous réactivons le suivi clinique au centre métabolique chez le Dr. X et le patient sera convoqué. Poursuite du suivi de la plaie en stomatothérapie par le Dr. X. Nous réalisons des radiographies main droite et du 5ème doigt droit décrites ci-dessus. Nous mettons en place une syndactylie des 4 et 5ème doigts. Le patient ira pour un contrôle en policlinique orthopédie après 7 jours. Nous lui prescrivons une antalgie et des AINS. Nous réalisons la réfection du pansement avec Ialugen. La patiente fera elle-même les pansements et reverra son médecin traitant lundi pour contrôle clinique. Nous restons à disposition en cas d'aggravation des symptômes. Nous réalisons le consentement pour cette PTH qui a déjà été planifiée et nous envoyons la patiente chez les collègues de l'anesthésie. Nous allons procéder à l'implantation d'une PTH G par voie antérieure de type Corail Pinnacle non cimentée.Nous réalisons un bilan biologique qui montre une diminution du syndrome inflammatoire par rapport au 03.02.2020 (CRP à 85 mg/l le 03.02). Devant ce tableau, nous décidons de débuter un traitement pour une boursite infrapatellaire avec immobilisation par attelle Zimmer, Clexane et cannes. Nous décidons d'effectuer une fenêtre dans l'antibiothérapie avec un contrôle en filière des urgences ambulatoires à 72h (consultation impossible pour le patient à 48H). Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 11.02. Le patient est prévenu de reconsulter les urgences avant en cas de péjoration des symptômes ou de développement d'une fièvre. Le patient sera par la suite suivi en policlinique d'orthopédie à 48h-72h du contrôle en filière des urgences ambulatoires. Nous réalisons un constat de coup. Nous appliquons de la glace en cas de douleurs. Il refuse l'arrêt de travail. Nous réalisons un contrôle de plaie et prenons avis orthopédique auprès de Dr. X, médecin-assistante en orthopédie, qui, au vu d'une limitation de la mobilité du pouce (notamment une extension complète contre force difficile), préconise un nouveau contrôle en policlinique à deux jours afin de refaire le pansement et de réexaminer le doigt du patient. Le patient prendra rendez-vous dans l'après-midi en policlinique d'orthopédie. Nous réalisons un laboratoire et un sédiment urinaire mis en annexes. Nous lui donnons une antalgie par Novalgine avec un bon effet sur les douleurs. Le patient rentre à domicile avec du Dafalgan et du Buscopan. Il ira pour un contrôle chez son médecin traitant le 03.02.2020. Nous réalisons un laboratoire mis en annexes ainsi qu'un sédiment urinaire propre et un test de grossesse négatif. Nous donnons à Mme. Y une antalgie par Buscopan et paracétamol avec un bon effet sur les douleurs. La patiente rentre à domicile avec une prescription de Buscopan et de paracétamol. Elle a rendez-vous le 03.02.2020 à 11h à jeun pour un US abdominal. La patiente ira à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique et les résultats de l'US le jour même. Nous réalisons un laboratoire mis en annexes et un US abdominal décrit ci-dessus. Nous lui prescrivons une antalgie simple. La patiente ira le 24.02.2020 chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous réalisons un laboratoire mis en annexes et une radiographie du poignet droit décrite ci-dessus. Nous faisons un rappel du vaccin anti-tétanique. Nous donnons au patient une antalgie par Dafalgan et Irfen avec une amélioration des douleurs. Nous prenons l'avis de Dr. X par téléphone qui nous conseille une immobilisation par une attelle Edimbourg et un transfert en urgence à l'HFR de Fribourg pour effectuer un US à la recherche d'une collection et pour exclure une arthrite septique. Transfert accepté par Dr. X, et le chef de clinique des urgences au courant. En cas de collection, ils effectueront un drainage, nous leur laissons ainsi le choix d'une éventuelle antibiothérapie. Nous réalisons un laboratoire que nous annexons. Nous lui prescrivons une antibiothérapie per os par Ciproxine 500mg 2x/jour, flagyl 500mg 3x/jour. Le patient reviendra dans 48h à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique, un laboratoire et l'adaptation de l'antibiothérapie selon les résultats de la coproculture. Le patient rentre à domicile. Nous réalisons un sédiment urinaire mis en annexes ainsi qu'un CT abdominal décrit ci-dessus. Nous expliquons au patient de prendre la Tamsulosine le 23.02.2020 en cas de persistance de douleurs pour aider à l'expulsion du calcul rénal. Le patient rentre à domicile. Nous réalisons un status ciblé aux urgences qui montre un status neurologique dans les limites de la norme avec les nerfs crâniens sp, une force et sensibilité conservées aux 4 membres ainsi que des ROT normovifs symétriques aux 4 membres. Des épreuves de Barré et cérébelleuses sont dans les limites de la norme. Le status cardiaque montre des B1-B2 bien frappés, sans bruit surajouté ainsi qu'une absence d'œdème des membres inférieurs. Au vu de la clinique et du bilan biologique rassurant, nous retenons le diagnostic susmentionné. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail du 13.02 au 16.02.2020. Nous recommandons au patient de se reposer à domicile et de consulter un psychologue pour la gestion du stress au travail s'il en ressent le besoin. Nous réalisons un stix urinaire sans sang. À noter qu'après avoir effectué toutes les investigations, Mme. Y rapporte que les douleurs dorsales dans la région D6-D7 sont présentes depuis longtemps et qu'elle bénéficie des séances régulières de physiothérapie pour cette raison. Elle a décidé de consulter parce qu'après la chute elle avait plus mal que d'habitude. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique par Dafalgan, Brufen et Pantozol pour une protection gastrique. Un rendez-vous est prévu chez le médecin traitant demain. Nous réalisons un streptotest qui revient négatif. Devant la durée des symptômes et la présence de signes cliniques en faveur d'une otite moyenne aiguë gauche, nous débutons une antibiothérapie par Co-amoxicilline 1g 3x/jour pendant 5 jours. Le patient prendra contact avec son ORL pour un contrôle dans 5 à 7 jours. Nous réalisons un streptotest qui revient négatif. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Il ira pour un contrôle clinique chez son médecin traitant en cas de persistance des symptômes dans 3-4 jours. Nous réalisons un ultrason de la main gauche qui ne montre pas de collection organisée. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous réalisons des gestes de parages et rinçage abondant de la plaie, pansement par tulle bétadiné et immobilisation par attelle Edimbourg. Un prélèvement bactériologique a été effectué. Le patient reçoit aux urgences une dose de Clindamycine 600mg IV. Il sera revu en policlinique d'orthopédie dans 24 heures. Nous réalisons une désinfection abondante, une exploration sous anesthésie locale et une suture avec fil 4.0. Nous lui prescrivons une antalgie. Il ira pour un contrôle chez son médecin traitant dans 48h. L'ablation des fils se fera à 10 jours. Nous réalisons une désinfection de la plaie avec Bétadine solution et sous anesthésie locale avec Rapidocaïne et Bicarbonate. Nous suturons la plaie avec 1 point (Ethilon 4-0), puis tulle bétadiné et compresse stérile. Le patient ira chez son médecin traitant dans 48 heures pour un contrôle de la plaie et dans 14 jours pour ablation des fils. Nous réalisons une désinfection par Hibidil, un champage selon le protocole, une anesthésie par Rapidocaïne 1%. Nous rinçons abondamment la plaie par NaCl et mettons en place 2 points de suture par Ethilon 4.0 et un pansement. Un rappel du tétanos par l'administration du vaccin Boostrix a été aussi réalisé. Nous adressons le patient pour suite de la prise en charge à son médecin traitant. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail. Nous réalisons une exploration de la plaie qui montre une section du fléchisseur profond à presque 80%. La plaie est refermée provisoirement par 3 points d'Ethylon 4.0. Au niveau de D3, un point est effectué et pour D2 nous mettons en place des stéristrips. Après discussion avec Dr. X du CHUV, le patient sera pris en charge par ses soins. Il se présentera le 13.02.2020 à 8h pour une intervention. Aux urgences, le patient reçoit un traitement par Zinacef 1.5 g IV et nous laissons le patient rentrer à domicile avec une prescription antibiotique d'Augmentin en prophylaxie (1g 2x/j pour 3 jours). Nous réalisons une IRM cérébrale, déjà prévue dans le bilan de la crise tonico-clonique qu'elle a eue le 17.02. L'examen revient normal (rapport Dr. X). Concernant la plaie à la lèvre supérieure, la patiente bénéficie d'une prise en charge chirurgicale réalisée par Dr. X avec un débridement de la plaie, antibiothérapie et contrôle à la filière des urgences ambulatoires le jour suivant.La patiente rentre à domicile suite à consultation médicale. Nous réalisons une radiographie de la cheville droite qui ne met pas en évidence de fracture au niveau de la malléole externe. Nous réalisons ensuite une radiographie de contrôle qui revient sans particularité. Nous prescrivons des cannes de décharge, une antalgie et Clexane 40 mg 1x par jour. La patiente retourne à domicile avec une atelle platrée postérieure et ira en contrôle à la policlinique à 7 jours. Nous réalisons une radiographie de la main droite et mettons en place une attelle Edimbourg. Nous prescrivons de l'ergothérapie pour la confection d'une attelle Intrinsic laissant la pince pouce-index pour 6 semaines. Le patient reviendra pour un contrôle à la policlinique d'orthopédie après 7 et 14 jours puis dans 6 semaines. Nous lui faisons un arrêt de sport pour 2 mois. Nous réalisons une radiographie du genou droit qui ne retrouve pas d'argument pour une lésion osseuse. Devant le tableau clinique d'entorse bénigne du ligament latéral externe droit, nous décidons d'une immobilisation avec une attelle jeans 20° sous couvert d'une antalgie adaptée avec une réévaluation clinique à J7 par son médecin traitant et des séances de physiothérapie en ambulatoire. Nous réalisons une radiographie du poignet gauche qui émet un doute quant à une éventuelle fracture Salter 2. Sur avis du Dr X, chef de clinique d'orthopédie, une immobilisation par plâtre AB fendu est mise en place. Le contrôle radiologique post-plâtre ne met pas en évidence de déplacement. Le patient retourne à domicile avec une antalgie simple et sera revu en policlinique d'orthopédie une semaine plus tard pour réévaluation clinique et suite de la prise en charge. Nous réalisons une radiographie du poignet qui ne met pas en évidence de fracture récente. Le diagnostic d'entorse bénigne du poignet est retenu et nous instaurons un traitement conservateur par une attelle et antalgie simple, selon avis du Dr X, orthopédiste de garde. Le patient sera vu en policlinique d'orthopédie le 20.02.2020 à 8h.45 pour un contrôle clinique. Nous réalisons une radiographie du pouce droit décrite ci-dessus. Nous immobilisons dans un plâtre AB scaphoïde fendu et réalisons une radiographie de contrôle post-plâtre. La patiente viendra le 24.02.2020 pour un US du pouce droit dans le but d'exclure une lésion de Stener puis elle ira en policlinique pour une réfection du plâtre et réévaluation clinique. Nous réalisons une radiographie du rachis lombaire et du bassin qui sont sans particularités. Une IRM du rachis lombaire et sacro-iliaque est agendée pour le 28.02.2020 et la patiente sera convoquée par l'équipe spine pour une suite de prise en charge. Entre-temps, nous proposons un traitement antalgique à la patiente. Nous réalisons une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer ni d'épanchement ou d'autre anomalie visible. Nous administrons de l'Atrovent 250 mcg et Ventolin 0.5 g avec une bonne réponse clinique et la disparition de la dyspnée. Concernant le traitement à la sortie, nous avons prescrit du Ventolin en réserve en cas de dyspnée, du Brufen et Angina pour l'angine. La patiente rentre à domicile. Elle est invitée à reconsulter les urgences en cas de péjoration ou de persistance de la symptomatologie décrite. Nous réalisons une radiographie du thorax qui ne montre pas de pneumothorax ni de fracture visualisable. Un traitement antalgique est prescrit à base de Dafalgan 1 g 3x par jour, Voltarène ret 150 mg par jour, Tramal gouttes 25 mg maximum 4x par jour en réserve. Une prescription de physiothérapie a aussi été donnée au patient. Nous conseillons un contrôle chez le médecin traitant pour évaluation clinique si persistance de la symptomatologie. Le patient quitte les urgences après consultation médicale pour un retour à domicile. Nous réalisons une réduction du trouble de rotation sous MEOPA et mettons en place une syndactylie et une attelle Edimbourg. Le patient sera revu à la policlinique d'orthopédie pour un contrôle radioclinique (réévaluer le trouble de rotation). Nous réalisons 1 point de suture Ethilon 5-0. Le contrôle de la plaie et l'ablation de fils se fera chez le pédiatre. Les parents feront la surveillance neurologique. Nous recommandons de poursuivre le traitement conservateur par bain de Dakin au moins 2 fois par jour. Nous la reverrons dans 1 semaine. En cas d'absence d'amélioration, nous envisagerons une cure selon Kocher. La patiente et sa maman sont déjà informées de l'intervention ainsi que des risques de complication, qui ne sont pas négligeables, en particulier chez les jeunes patients. Nous reconfectionnons ce jour une botte plâtrée qui doit être portée pendant encore 3 semaines. Prochain contrôle radio-clinique le 04.03.2020. Nous recontactons. Nous recontactons si de nouveau des douleurs au niveau de son doigt. Nous redirigeons la patiente vers l'ORL pour une évaluation du larynx. Pour une suspicion de globus syndrome, nous rassurons la patiente et administrons un traitement par esoméprazole. Nous rediscutons des différentes options chirurgicales et au vu des radiographies et de l'absence de tonus musculaire, nous proposons d'effectuer une prise en charge chirurgicale à minima et de laisser la tête dans cette position et de faire un ACDF par niveau C2-C4, cage et plaque afin de libérer la moelle. Nous leur expliquons les autres options de traitement que de corriger la statique et selon notre opinion ce ne serait pas la prise en charge optimale. La famille du patient souhaite encore réfléchir et discuter. Nous allons pré-réserver une date opératoire pour 2h30 et attendons la réponse du patient afin d'effectuer la consultation anesthésiologique. Entre-temps, nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous rediscutons des options avec la patiente, soit une prise en charge chirurgicale ou poursuivre le traitement conservateur. Actuellement, elle ne ressent pas d'instabilité, pas de limitation des activités sportives, et nous décidons avec la patiente de poursuivre le traitement conservateur. Elle va encore poursuivre les séances de physiothérapie et surtout des exercices régulièrement de renforcement musculaire et stabilité par elle-même. Nous restons à disposition si elle ressent dans le futur un lâchement et elle reprendra contact. Nous réduisons l'épaule par manoeuvre externe sous Fentanyl et Dormicum. Le bilan radiologique post-réduction montre une bonne congruence glénohumérale mais révèle une lésion de Hill Sachs. Nous réalisons un CT-scan pour bilanter la lésion. Le patient est immobilisé dans un gilet orthopédique pour 3 semaines avec un contrôle à la consultation du Dr X à 3 semaines. Nous refaisons le pansement après désinfection à la Bétadine et mise en place de compresse et de Tegaderm. Nous prescrivons le matériel pour refaire les pansements à domicile par le patient lui-même. Il consultera son médecin traitant à J14 pour l'ablation des fils. Le patient est informé ce jour que s'il y avait des signes d'inflammation ou d'infection, il devra reconsulter aux urgences pour un contrôle. Nous refaisons le pansement ce jour avec du tulle bétadiné. Il changera le prochain pansement chez son médecin traitant. Nous le recontrôlerons pour ablation des fils à 2 semaines post-opératoires. Nous refaisons le pansement et au vu de la bonne évolution, terminons le suivi en policlinique. Le patient refera son pansement à 48 heures lui-même et sera contrôlé chez son médecin traitant à 72 heures, ablation des fils chez le médecin traitant à deux semaines post-traumatisme.Nous réitérons nos explications à Mme. Y en lui expliquant la nature de ses douleurs cervicales qui sont actuellement jugulées uniquement par un traitement de Dafalgan qui s'avère insuffisant. Nous recommandons la poursuite des séances de physiothérapie, d'éviter les manipulations au niveau cervical et introduisons un traitement de Co-Dafalgan afin de favoriser l'antalgie. Nous ne prévoyons pas d'emblée un prochain contrôle mais restons à disposition en cas d'aggravation des douleurs et pourrons envisager une éventuelle infiltration que nous ne recommandons également pas au vu du cadre arthrosique et de la complication possible. Nous retenons comme diagnostic une paralysie faciale gauche pour laquelle nous mettons en place une corticothérapie de 5 jours avec un schéma dégressif sur une durée totale de 10 jours. Nous effectuons un bilan biologique que nous annexons. Nous reconvoquons Mr. Y à la filière des urgences ambulatoires le vendredi 21.2.2020 à 12:00 pour l'évaluation de la clinique. Nous retenons des douleurs d'allure musculo-squelettique au niveau du cou pour lesquelles un traitement à base de Mydocalm 150 mg et Dafalgan 1 g 3x/jour pendant 7 jours a été prescrit. Au vu de l'absence d'élément aigu nécessitant une hospitalisation, Mr. Y rentre à domicile suite à la consultation médicale aux urgences. En cas de persistance de la symptomatologie, Mr. Y est invité à consulter son médecin traitant. Nous retenons des douleurs thoraciques pariétales gauches. Nous faisons un ECG. Elle peut rentrer à domicile avec une prescription de Brufen. Mme. Y est convoquée le 10.02 en filière des urgences ambulatoires pour la suite de la prise en charge et la réalisation d'un CT-scanner (faire test de grossesse avant la CT). Nous retenons des lombalgies non déficitaires et non traumatiques. Nous avons introduit un traitement antalgique à base d'Ibuprofen 400 mg 3x/jour et Sirdalud 2 mg 1x/jour et à partir du 28.02 à 2x/jour. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 03.03.2020. Mme. Y est invitée à consulter chez son médecin traitant dans 7 jours pour une évaluation clinique et une éventuelle adaptation du traitement. Nous retenons le diagnostic d'angine virale. Poursuite du traitement symptomatique par Algifor et Dafalgan. Nous retenons le diagnostic de constipation à cause de modifications de régime. Nous effectuons un lavement aux urgences et prescrivons à Mr. Y un laxatif par Movicol. Nous lui conseillons de modifier son régime (enrichi en fruits et légumes, pain noir). Nous retenons le diagnostic de contusion au niveau du coude droit et probablement une tendinopathie de la coiffe des rotateurs sur chute traumatique pour laquelle nous prescrivons de la physiothérapie. Arrêt de travail prolongé. Suite chez le médecin traitant pour la reprise du travail. Nous retenons le diagnostic de contusion de la jambe gauche pour laquelle nous mettons en place un traitement antalgique (Paracétamol, Ibuprofène). Nous retenons le diagnostic de contusion du coude gauche pour laquelle nous mettons en place une attelle BAB postérieure. Mme. Y sera revue en policlinique orthopédique dans 4-5 jours. Nous retenons le diagnostic de contusion du pied droit. Traitement par semelle rigide, antalgie et 2 jours de repos. Suite chez le médecin traitant si nécessaire. Nous retenons le diagnostic de décompensation arthrosique de la hanche droite pour laquelle nous majorons le traitement antalgique actuel (Co-Dafalgan et Transtec). Nous retenons le diagnostic de dorsalgies chroniques non déficitaires en regard du rachis dorsal irradiant ventralement. Nous faisons un bilan biologique et une radiographie de la colonne thoracique. Mr. Y peut rentrer à domicile avec un traitement antalgique. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans une semaine avec prolongation de l'antalgie si nécessaire. Nous retenons le diagnostic de douleurs thoraciques pariétales. Nous faisons deux ECG, un bilan biologique et une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer infectieux ni d'élargissement de la silhouette cardiaque. Au vu de l'absence d'éléments aigus nécessitant une hospitalisation, Mr. Y rentre à domicile. Nous retenons le diagnostic de fasciite plantaire. Nous l'informons de l'importance d'un traitement spécifique et ciblé sur le problème de raccourcissement de la chaîne postérieure ainsi que de désenflammer la zone afin d'éviter un problème chronique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie à but anti-inflammatoire. Nous lui prescrivons également des talonnettes siliconnées. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous retenons le diagnostic de fracture du processus latéral du talus. En effet, bien que le fragment visible au CT semble bien corticalisé et pourrait correspondre à une ancienne lésion, le diagnostic de lésion fraîche correspond bien à l'anamnèse et au statut chez Mr. Y qui nie tout traumatisme significatif antérieur à ce niveau. Nous recommandons la poursuite d'un traitement conservateur par bottine plâtrée fendue pour 2-4 semaines avec une marche en charge selon douleurs sous protection des cannes. Poursuite de la prophylaxie antithrombotique pendant la durée de l'immobilisation. Il peut prendre du Dafalgan contre les douleurs mais lui conseillons de stopper les AINS. Prochain contrôle dans 2 semaines chez le plâtrier pour confectionner un nouveau plâtre. Arrêt de travail à 100% prolongé jusqu'au 04.03.2020. Nous retenons le diagnostic de fracture du trochiter de l'humérus gauche pour laquelle nous mettons en place un traitement conservateur (gilet orthopédique avec coussin en abduction). Mme. Y regagne son domicile le jour même et sera revue en policlinique orthopédique dans 5 jours. Nous retenons le diagnostic de luxation postérieure de la hanche droite. Nous réduisons la luxation et mettons en place une attelle jeans en extension, un coussin à 70°, une culotte de Hohmann. Pas de mouvement de flexion > 70°, pas de rotation interne. Mr. Y retourne en gériatrie après la consultation. Nous retenons le diagnostic de pic hypertensif pour lequel nous mettons en place un traitement anti-hypertenseur par Amlodipine 5 mg/jour. Nous conseillons à Mme. Y de mesurer la tension artérielle 3x/jour à domicile et de reprendre, si TA haute (> 180 mmHg de systolique), un comprimé d'Amlodipine 5 mg. Nous lui proposons de consulter son médecin traitant pour le suivi tensionnel et adaptation des traitements. Nous conseillons à Mme. Y de reconsulter si réapparition de la symptomatologie sans effet du traitement anti-hypertenseur. Nous retenons le diagnostic de pneumonie basale droite pour laquelle nous mettons en place une antibiothérapie par Tavanic. Nous conseillons à Mr. Y de reconsulter en cas de péjoration ou non amélioration de la symptomatologie. Nous retenons le diagnostic de pyélonéphrite aiguë. Le sédiment urinaire retrouve des nitrites. Nous administrons 2 g de Rocéphine en ordre unique aux urgences et Mme. Y peut regagner son domicile. L'antibiothérapie est relayée par Ciproxine per os. Un contrôle à la Filière Urgences Ambulatoires est prévu pour le 03.03.2020. Nous retenons le diagnostic de pyélonéphrite gauche pour laquelle nous mettons en place une antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg chaque 12h pendant 7 jours. Mme. Y sera revue à 48h chez son médecin traitant. Nous retenons le diagnostic de sinusite maxillaire pour laquelle nous mettons en place une antibiothérapie, des rinçages de nez et une antalgie. Nous conseillons à Mme. Y de reconsulter en cas de péjoration ou non amélioration de la symptomatologie. Nous retenons le diagnostic de syndrome grippal que nous traitons par Paracétamol, Brufen et Neo-Angine. Mr. Y contactera un médecin en cas de péjoration.Nous retenons le diagnostic de traumatisme crânien simple avec plaie de 1 cm en V à la racine du nez. Nous suturons le patient. Mr. Y sera revu chez son médecin traitant à 48 heures pour contrôle et à 5 jours pour l'ablation des fils. Nous expliquons les signes à surveiller après un traumatisme crânien et donnons la feuille informative associée. Nous conseillons également au patient de reconsulter en cas de fièvre ou de frissons. Nous retenons le diagnostic de traumatisme crânien simple sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle suite à une chute depuis le canapé d'environ 80 cm de hauteur. La patiente rentre à domicile avec ses parents. Nous lui prescrivons une antalgie. Nous donnons une feuille de surveillance neurologique pour surveillance à domicile de 4h. Les parents sont informés qu'il faut reconsulter en cas d'apparition de symptômes de gravité. Un contrôle clinique chez le pédiatre traitant le 12.02 est à prévoir par les parents. Nous retenons le diagnostic d'entorse bénigne du ligament collatéral externe droit le 08.02.2020, pour laquelle nous mettons en place une attelle. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X. Nous retenons le diagnostic d'entorse sévère de cheville gauche pour laquelle nous mettons en place une attelle jambière postérieure ainsi qu'une antalgie. Un contrôle à 7 jours sera à prévoir à la policlinique d'orthopédie. Nous retenons le diagnostic d'infection urinaire basse simple sans signe de pyélonéphrite et introduisons une antibiothérapie empirique par Nopil forte (Trimethoprim/Sulfaméthoxazole) cp 160/800 mg 2x/j po pour 5 jours, soit jusqu'au 12 inclus, ainsi qu'un traitement symptomatique par Ibuprofène 400 mg 3x/j si douleurs. Nous retenons le diagnostic d'IVRS. Nous proposons la poursuite du traitement symptomatique par Dafalgan et Algifor et contrôle à votre consultation au besoin. Nous retenons le diagnostic d'un traumatisme contusif du 5ème doigt de la main droite. La patiente rentre à domicile. Nous retenons le diagnostic d'urticaire d'origine indéterminée que nous traitons par antihistaminique pour 4 semaines. La patiente reçoit un traitement par Xyzal 5 mg aux urgences avec une bonne réponse. Elle rentre à domicile avec un traitement par Xyzal 5 mg. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle et pour discuter d'éventuelles investigations (si les tests allergiques sont envisagés, respecter un délai de quelques semaines). Nous retenons le diagnostic sus-mentionné. Nous mettons en place une antalgie par Dafalgan 1000 mg 4x par jour, Irfen 600 mg 2x par jour si douleurs pour une durée de 4 jours et Sirdalud 2 mg 3x par jour pour une durée de 4 jours. Le patient a été averti de ne pas conduire sous Sirdalud, ainsi qu'un arrêt de travail jusqu'à vendredi 14.02.2020 compris. Nous retenons un diagnostic de péritonisme débutant sur suspicion d'appendicite perforée. Nous transférons le patient à l'HFR Fribourg pour une prise en charge au bloc opératoire. Nous retenons un panaris du 2ème orteil gauche à un stade inflammatoire. Nous prescrivons des bains au Dakin 3x/jour et application de pommade Fucidin. La suite se fera à la consultation du Dr. X dans 10 jours. Nous retenons une entorse de l'articulation métacarpo-phalangienne du pouce droit pour laquelle nous mettons en place un gantelet. Mr. Y sera revu en policlinique dans une semaine. Nous retenons une hypersensibilité bronchique chez ce patient connu pour un asthme et fumeur. Nous faisons une radiographie thoracique qui ne montre pas de signe de foyer. Il rentre à domicile avec du Brufen en réserve et un arrêt de travail jusqu'au 14.02.2020. Il reviendra en filière des urgences ambulatoires le 13.02.2020 pour un contrôle clinique et une discussion du résultat du frottis grippe. Nous retenons une indication à une ablation de ces 2 vis de fixation de tubérosité tibiale antérieure ceci en ambulatoire. La patiente signe le consentement chirurgical après avoir reçu les informations sur les risques et bénéfices consécutifs à ce geste et nous organisons encore la consultation pré-anesthésique avant le geste chirurgical. Nous retenons une origine musculaire des douleurs et optimisons le traitement. Nous expliquons au patient les signes nécessitant une consultation en urgence. Nous retenons une otite moyenne aigue droite pour laquelle nous conseillons un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline pour une durée de 7 jours, ainsi qu'un traitement symptomatique. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 21.12. Nous conseillons à la patiente de consulter son médecin traitant en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. Nous retenons une suspicion de lésion du ménisque externe droit. Nous faisons une radiographie du genou droit et des rotules des deux côtés qui revient sans particularité. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Nous mettons en place une bande élastique avec antalgie et bon pour de la physiothérapie. Nous lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 18.02. Il prendra rendez-vous chez le Dr. X pour une consultation le 18.02. Nous retenons une suspicion d'entorse du Lisfranc pour laquelle une immobilisation en botte plâtrée de décharge pendant 7 jours est souhaitée. Un contrôle en policlinique d'orthopédie est prévu dans 7 jours. Nous prescrivons une antalgie à base de Dafalgan et Brufen ainsi qu'une prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg/jour. La patiente rentre à domicile. Nous retirons le BAB ce jour, nous lui mettons un plâtre AB. La patiente est autorisée à mobiliser librement le coude en flexion/extension. Pas de pronosupination pour encore 3 semaines. Nous recontrôlerons la patiente dans 3 semaines avec radio hors plâtre. Nous retirons les points de suture et reverrons la patiente pour un prochain clinique à 6 semaines post-opératoires. Nous retirons les 4 derniers points de suture et réalisons une réfection de pansement sec. Poursuite de la marche en charge partielle à 15 kgs avec Vacoped à 0° de flexion plantaire, anticoagulation prophylactique par Clexane. Prochain contrôle clinique à 6 semaines post-opératoires. Nous retrouvons donc de manière fortuite chez ce patient cette suspicion d'anévrismes au niveau sylvien avec un anévrisme pouvant être inquiétant du côté droit. Dans le contexte, nous allons réaliser une angio-IRM afin d'éclaircir l'anatomie, nous avons l'impression de retrouver une boucle vasculaire à droite et réadresserons le patient à nos collègues de Genève pour de plus amples investigations si nécessaire. Entre-temps, nous restons à disposition. Nous retrouvons le patient avec une importante dysbalance posturale avec des fortes douleurs lombaires. Nous lui donnons une ordonnance de rebalancement musculaire en physiothérapie avec stretching des abdominaux, élongation musculaire et également un bon pour de la natation, nous lui conseillons la marche avec des bâtons de nordic walking et cela doit être fait sur une durée de 6 mois. Par la suite, une prise en charge chirurgicale au niveau lombaire pourra être discutée. Nous lui donnons un arrêt de travail pour le prochain mois à 100%, par la suite son médecin traitant s'occupera du relai. Nous le reverrons pour un contrôle radio-clinique avec orthoradiogramme colonne totale dans 6 mois. Nous retrouvons un rachis très dégénératif et arthrosique. Nous le reverrons pour un contrôle radio-clinique (face et profil) dans 2 mois. Nous retrouvons une baisse de l'état général avec des plaintes multiples. La prise de sang et l'urine reviennent rassurantes. Concernant un éventuel dérèglement hormonal, nous dosons la TSH (résultat en cours) avec contrôle gynécologique le 02.03.2020.L'avis psychiatrique parle pour un tableau compatible à un trouble anxio-dépressif, pour lequel un traitement par somnifère est recommandé ainsi qu'un suivi psychologique. Concernant les plaintes abdominales, la patiente a déjà eu des examens. Contrôle chez le médecin traitant pour réévaluation de cette baisse de l'état général, avec oeso-gastro-colonoscopie et/ou CT thoraco-abdomino-pelvien en ambulatoire. Nous retrouvons une infection urinaire basse, mettons en place un traitement antibiotique avec contrôle pour résultat de la culture le 05.02.2020. Nous retrouvons une perturbation des tests hépatiques mais qui sont globalement en diminution, le patient ne se plaint d'aucune douleur ce jour et dit se sentir mieux. Il ne désire pas continuer les investigations en Suisse pour des raisons financières et sociales (toute sa famille vit en Alsace). Il rentre donc ce jour en France pour la suite des investigations. Nous reverrons la patiente en juillet vue la pandémie COVID pour décider de l'ablation du matériel. Elle appellera encore l'hôpital de Freiburg pour obtenir le protocole opératoire pour connaître le type de matériel afin de pouvoir commander le set d'ablation. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 4 semaines hors plâtre. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'au 11.03.2020. Nous reverrons le patient dans 4 semaines avec CT-scanner cérébral natif et une consultation. Nous l'encourageons à bien s'hydrater et bien dormir. Nous revoyons le patient ce jour soit à 11 semaines du traumatisme, celui-ci ne présente aucune douleur avec une flexion au niveau de l'IPP, de l'IPFD et LCP sans limitation, sans douleur avec une palpation indolore sans déformation, ni tuméfaction, raison pour laquelle nous procédons à une fin de traitement. Nous revoyons l'imagerie de Mr. Y et retrouvons des fractures pathologiques D3-D4 avec multiples métastases. Dans le contexte, nous réalisons une IRM en urgence retrouvant une épidurite probablement métastatique au niveau D3-D4 avec un cordon médullaire refoulé vers la gauche et fortement comprimé. Au vu de la paraparésie, nous proposons à Mr. Y une prise en charge chirurgicale par laminectomie à ces 2 niveaux, et fixation si possible. Nous lui expliquons les risques et bénéfices de la chirurgie et il souhaite initialement réfléchir et au vu du déficit neurologique depuis 5 jours, nous décidons de programmer une chirurgie pour le lundi matin avec neuromonitoring per opératoire. Il comprend les risques et bénéfices de l'opération. Nous lui expliquons qu'il a de fortes chances d'avoir une parésie aggravée en postopératoire, mais que l'évolution naturelle tendait vers cette option si. Nous revoyons toute l'imagerie effectuée jusqu'à présent : Arthro scanner, IRM injectée, radio conventionnelle. La lésion SL palmaire ne me semble pas être à l'origine de ses douleurs, celles-ci sont plutôt localisées du côté dorsal. Le test de Watson, même s'il est douloureux, ne démontre pas une instabilité du ligament SL motivant ainsi d'après moi aucun acte chirurgical. La radio ulnaire distal est légèrement instable, l'imagerie ne me permet pas de mettre en évidence, même partielle, du TFCC. Comme la patiente a eu une fracture du scaphoïde il y a 15 ans de cela, un remaniement du scaphoïde avec un début d'arthrose au niveau de la fossa scaphoidea peut être suspecté sur l'IRM injectée. Ceci n'explique néanmoins pas les douleurs que la patiente ressent au niveau du tubercule de Lister ni au niveau du tendon EPL. De manière globale, aucun acte chirurgical ne me semble être indiqué chez cette patiente. À la limite, nous pourrions faire une arthroscopie diagnostique pour mieux visualiser la fossa scaphoidea. L'arthro scanner ne démontre qu'une atteinte très légère de celle-ci. Nous souhaiterions demander un deuxième avis auprès du Dr. X, de notre côté nous reverrons la patiente dans 2 mois. Incapacité de travail prolongée jusqu'à fin mars. Nous rinçons abondamment la plaie NaCl à l'aiguille boutonnée et réalisons une compresse-Mefix. La patiente douchera la plaie 6 x/jour et elle arrêtera les antibiotiques. Elle reviendra le 20.02.2020 pour un contrôle en policlinique de chirurgie. Nous sommes à une année de l'opération. Le patient a eu un suivi maximal, également avec la thérapie à la SUVA à Sion. Actuellement, au vu de ces importantes adhérences cicatricielles, nous proposons de commencer par une infiltration des décollements au niveau de ces cicatrices, décollement également des cicatrices en profondeur au niveau de la coracoïde. L'infiltration sera effectuée par l'équipe d'antalgie, raison pour laquelle nous prions nos collègues de l'antalgie de bien vouloir convoquer la patiente, sachant que le patient a déjà un rendez-vous prévu le 13.03.20. Si ce geste n'apporte pas de bénéfice, une prise en charge chirurgicale pourra toujours être effectuée. Prolongation de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au prochain contrôle à notre consultation le 8 avril. Prescription de physiothérapie et un certificat pour pouvoir voyager à l'étranger. Nous sommes à 4 mois de l'évolution qui est favorable pour le moment. Nous prescrivons ce jour des séances de physiothérapie pour améliorer la force au niveau du membre supérieur G et au niveau de l'épaule D. Le patient peut reprendre son activité professionnelle à 50 % durant 6 semaines et après à 100 %. Nous reverrons le patient pour un contrôle radio-clinique dans 3 mois le 19.05.2020. Nous sommes donc à 4 mois de la précédente opération composée d'un TLIF L3-L4 et L5-S1 et d'une reprise chirurgicale et changement des tiges. Nous souhaitons poursuivre le traitement en attendant une fusion osseuse et expliquons à Mr. Y les différents exercices d'hygiène du dos afin de favoriser la réhabilitation et lui expliquons la durée de la fusion osseuse qui peut s'étendre jusqu'à 1 an. Nous le reverrons avec des radiographies dans 3 mois et avec un CT-scanner dans 9 mois. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous sommes face à une patiente qui présente 2 problématiques, à notre avis celle qui pour l'instant nécessite une prise peut-être chirurgicale est le rachis lombaire. Les collègues de la hanche se sont déjà exprimés par rapport à la dysplasie bilatérale de la hanche. Nous allons donc compléter le bilan avec un myélo-CT fonctionnel à la recherche d'une instabilité pas seulement en L4-L5 qui est connue et claire, mais également à l'étage L2-L3. Nous prions également les collègues du neurocentre de bien vouloir convoquer la patiente pour ENMG des membres inférieurs, notamment à gauche. Lors de la prochaine consultation, la patiente effectuera également une radiographie de la colonne totale debout. Nous lui donnons une incapacité de travail à 100 % jusqu'au prochain rendez-vous. Nous souhaitons demander un autre type d'examen, nous organisons un myélo-CT et nous reverrons le patient par la suite. Nous soulignons qu'actuellement il n'est pas possible d'envisager une opération pour améliorer les symptômes. La typologie des douleurs qui gênent le patient peut être traitée par physiothérapie, ce qui permettra de regagner la force au niveau du deltoïde également. Une opération n'aurait pas d'implication directe au niveau de la force. Mr. Y a bien compris la situation et sera revu dans 6 semaines pour un contrôle de suivi. Entre temps, nous prescrivons de la physiothérapie. Nous suivons le patient en policlinique avec une radiographie à deux semaines qui ne montre pas de déplacement secondaire de la fracture. Nous revoyons ensuite le patient à 6 semaines de son traumatisme. Le patient ne présente plus aucune douleur. Pas de douleur à la palpation du grand trochanter à l'examen clinique. Absence de trouble trophique. Mr. Y se mobilise avec son déambulateur comme auparavant. Au vu de la bonne évolution clinique, nous proposons une fin de traitement. Le patient nous recontactera si péjoration de son état dans les semaines qui viennent.Nous suspectons la présence d'une rupture de la plastie LCA droit avec une suspicion de fracture au niveau de la partie postérieure du condyle interne droit pour laquelle nous prescrivons un IRM en ambulatoire prévue pour le 06.03.2020 à 13:45 et par la suite Mr. Y prendra rendez-vous chez son opérateur pour discuter de la suite. Nous prescrivons un traitement antalgique, une paire de cannes anglaises et une anticoagulation par Clexane 40 mg 1/j. Mr. Y peut regagner son domicile le jour même. Nous suspectons un hématome sur saignement d'hémangiome. Nous organisons un US des tissus mous le 27.02.2020 et prendrons un avis en chirurgie ou dermatologie selon les résultats. Nous suspectons un rash cutané d'origine virale, au vu de l'état conservé et de l'absence d'autres symptômes nous proposons une observation de l'évolution avec retour à domicile. Nous suspectons un vertige paroxystique positionnel bénin de l'oreille droite. Après plusieurs manœuvres, la patiente décrit une amélioration des vertiges. En l'absence d'autres symptômes neurologiques ainsi que d'un examen rassurant, nous laissons la patiente rentrer à domicile. Nous lui conseillons de reconsulter si elle ne présente pas d'amélioration ou un nouveau symptôme neurologique. Nous suspectons une gêne du matériel d'ostéosynthèse. Nous posons donc l'indication opératoire à une AMO. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous suspectons une lésion en progression, au sujet du fait que pour des méningiomes (1ère suspicion radiologique pour la lésion dont on parle), on accepte d'habitude une augmentation entre 1 et 2 mm sur les 12 mois. On comprend donc que l'on dépasse actuellement presque 2x l'augmentation tolérable dans le contexte d'une patiente qui a quand même une bonne espérance de vie et une autonomie complète. La taille actuelle de la lésion justifierait déjà une prise en charge thérapeutique au vu du fait que plus de 3 cm ne permet pas d'envisager une radio-chirurgie et, bien que sans œdème, la compression progressive contre le parenchyme cérébral pourrait causer des symptômes comme des crises d'épilepsie dans le futur. Nous avons donc discuté avec la patiente et la fille, présente à la consultation, en proposant une dernière IRM dans 6 mois. Si à ce moment-là, nous confirmons une ultérieure augmentation de la taille, une opération chirurgicale sera nécessaire à discuter. Nous suspectons une sinusite sphénoïdale pour laquelle Mme. Y bénéficie d'un traitement antibiotique et d'un rinçage nasal. Mme. Y sera revue à 48H à la filière des urgences ambulatoires. Nous conseillons à Mr. Y de reconsulter les urgences en cas de péjoration de la symptomatologie. Nous suspectons une symptomatologie mixte sur la sténose canalaire et sacro-iliaque due à cette hernie L3-L4 médiane, raison pour laquelle nous adressons Mme. Y au Neurocentre pour un bilan neurologique avec ENMG. Nous organisons également un CT-scanner de la colonne lombaire pour bilan osseux et éventuellement à la recherche d'une calcification de cette grosse hernie L3-L4. Nous reverrons la patiente suite à ce bilan, une infiltration de la sacro-iliaque gauche pourra également être envisagée si le reste du bilan, surtout neurologique, revient dans la norme. Nous suspectons une tendinopathie achilléenne et une fasciite plantaire. Nous complétons le bilan par une IRM. Nous prescrivons de la physiothérapie pour assouplir les gastrocnémiens et US à but antalgique. Prochain contrôle clinique après l'examen. Nous suturons la plaie et conseillons aux parents de consulter le pédiatre à 48H pour un contrôle de la plaie et à 5 jours pour ablation des fils. Nous suturons la plaie. Mr. Y sera revu en policlinique dans 48H. Nous conseillons de reconsulter les urgences si péjoration de la symptomatologie (notamment fièvre, rougeur, écoulement purulent). Nous suturons la plaie superficielle avec Ethilon 4.0 après rinçage et nettoyage de la plaie. L'examen neurologique est tout à fait dans la norme. La patiente regagne son domicile avec proposition de contrôle de la plaie vendredi 14.02.2020 chez le médecin traitant et retrait des fils à 7 jours. Une feuille de surveillance neurologique est transmise à la maman qui est informée des symptômes de gravité et de la nécessité de reconsulter les urgences en cas d'apparition de ces symptômes. Nous tentons de réduire la bascule avec des manœuvres externes. Le contrôle radiologique est satisfaisant. Nous immobilisons le patient dans une attelle d'Edimbourg et faisons une syndactylie pour une durée de 4 à 6 semaines. Le patient sera revu en contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 7 jours. Nous tentons donc de réintroduire du Lyrica, nous commencerons à 50 mg 2x/j pour soulager les douleurs du patient. Nous proposons de majorer ce Lyrica dans 3 semaines en cas d'absence d'efficacité et de le remajorer une 2ème fois jusqu'à atteindre un dosage de 100 mg 2x/j. Nous reverrons notre patient uniquement pour un suivi clinique dans 3 mois avec cet essai thérapeutique. Nous avons également renouvelé l'ordonnance d'ergothérapie de notre patiente et recommandons la poursuite de celle-ci. Entre-temps, nous restons à disposition. Nous traitons la patiente pour une conjonctivite bactérienne que nous traitons par antibiotique et l'adressons pour contrôle chez son médecin traitant. Nous traitons le patient symptomatiquement et faisons un arrêt de travail pour 10 jours. Le patient sera convoqué pour une évaluation à l'IST afin de confirmer la suspicion d'une maladie professionnelle. En attendant leur évaluation, nous recommandons à l'employeur de ne plus exposer le patient à la substance incriminée (le TGF). Nous vérifions le carnet de vaccination qui a eu un rappel de TD-pur en 2019 par son généraliste, raison pour laquelle nous n'effectuons pas de Tétanos ce jour. Désinfection à la Bétadine, rinçage abondant avec NaCl de la plaie, pansement simple et compresse bande. Contrôle de la plaie à 48H chez son médecin traitant. Si signe d'infection, le patient est instruit de reconsulter aux urgences. Nous vous laissons adapter le traitement bêta-bloquant, ainsi que le diurétique à votre consultation. Nous vous laissons le soin de: • Contrôler les valeurs lipidiques et hépatiques dans deux mois et de réduire la dose de l'Atorvastatine 80 mg en fonction des résultats et de la tolérance. • Pister les résultats du R-Test, s'il s'avère négatif, nous vous recommandons de faire un autre R-Test pour exclure une origine cardio-embolique de l'AVC. • Pister les résultats de l'échocardiographie transoesophagienne prévue à 6 mois, en cas de disparition de la plaque, nous vous recommandons l'arrêt du Rivaroxaban et la réintroduction de l'Aspirine Cardio. Rendez-vous: • Contrôle neurovasculaire chez Dr. X en service de neurologie-HFR Fribourg le 23.04.20 à 14:30 • Contrôle neurologique chez Dr. X à l'hôpital de Meyriez-HFR Fribourg le 20.08.20 à 10:30 • Échocardiographie transoesophagienne de contrôle à 6 mois au service de cardiologie-HFR, Fribourg (le patient sera convoqué) • Contrôle neuropsychologique à l'hôpital de Meyriez-HFR, Fribourg le 07.07.2020 à 14h. Nous vous laissons le soin de contrôler les valeurs tensionnelles et d'adapter le traitement en fonction. Rendez-vous: • Contrôle clinique neurologique et ENMG chez Dr. X à HFR-Fribourg le 25 février 2020 à 10h30 • Contrôle oncologique chez Dr. X à l'hôpital de Payerne le 03.03.20 à 11h Nous vous laissons le soin de faire un contrôle de l'anémie à distance et l'adaptation du traitement diurétique et contrôle des paramètres hépatiques.Nous vous laissons le soin de faire un contrôle à distance et réévaluer l'administration de fer. Nous vous laissons le soin de revoir Mr. Y pour un contrôle clinique à 24 heures, soit le 13.02.2020. Dans l'intervalle, Mr. Y reviendra aux urgences en cas de récidive d'état fébrile, nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Nous vous laissons le soin de contrôler : • la formule sanguine à 3 mois et suivre la tolérance du traitement par le fer. • la vitamine D dans un mois et adapter le traitement en fonction. • les tensions artérielles et adapter le traitement en fonction. • les valeurs glycémiques et évaluer l'introduction d'un traitement. • les paramètres lipidiques et adapter le traitement en fonction (cible LDL < 1.40 mmol/L). Rendez-vous : • Consultation neurovasculaire de contrôle chez Dr. X au service de neurologie, HFR- Fribourg le 08.04.20 à 13h • Suivi logopédique en ambulatoire (rendez-vous organisé par Mme. Y) • Contrôle neurologique chez Dr. X à l'hôpital de Meyriez- HFR, Fribourg le 20.08.20 à 09h30 • Contrôle neuropsychologique à l'hôpital de Meyriez- HFR le 14.07.2020 à 9h Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à un éventuel bilan de cette anémie chronique stable en ambulatoire. Pansement à conserver jusqu'au 18.02 (les fils sont résorbables) et contrôle de la cicatrice à cette occasion. Prochain contrôle en cardiologie 10.03.2020. Ne pas porter de poids lourds pendant 3 semaines. Nous vous laissons le soin de contrôler l'anémie à distance et réévaluer la nécessité du traitement par Pantozol. Nous vous laissons le soin de contrôler les plaies sacrale et du hallux avec des soins réguliers réalisés par les soins à domicile. Nous recommandons de prendre un rendez-vous en podologie dès le retour à la maison. Nous vous proposons de référer votre patient auprès du Dr. X, son cardiologue traitant, pour une échocardiographie transthoracique. Le bilan IRM sera fait à l'HFR et le patient sera convoqué. Nous vous proposons d'effectuer un contrôle à 6 mois. Nous vous proposons d'effectuer un bilan en ambulatoire. Nous voyons Mme. Y avec une évolution radioclinique très favorable. Nous discutons avec Mme. Y de la possibilité d'enlever la plaque au niveau de l'ulna, cependant Mme. Y ne ressent pas de gêne spéciale au niveau de ces plaques. C'est pour cela que nous convenons avec Mme. Y qu'elle peut nous recontacter au cas où elle changerait d'avis et souhaiterait l'ablation de cette plaque ulnaire. Nous restons à disposition en cas de problème. Nous voyons Mme. Y pour son contrôle VNI dans le cadre de son hypercapnie nocturne sur un syndrome de Rett. Cliniquement, Mme. Y est beaucoup moins encombrée depuis l'an dernier. Elle présente une rare toux sans crachat et ne présente pas de dyspnée hormis dans le contexte de crises épileptiques. Sa mère décrit un épisode de pneumonie traitée ambulatoirement par antibiothérapie en 08/2019 après prise de contact avec le Dr. X. À la lecture rétrospective, nous ne retrouvons pas de fuites significatives. Les volumes sont adaptés, le masque également. Sur le plan de la compliance, Mme. Y dort sans VNI 2-3 nuits par semaine car sa mère travaille et Mme. Y ne pourrait enlever le masque par elle-même au besoin. La polygraphie est de mauvaise qualité car sans oxymétrie cependant la capnographie indique un IDO à 1.5/h. L'IAH est à 0/h. La capnographie ne montre pas de signe d'hypoventilation nocturne (SpO2 98%, tcpCO2 moyenne 4.8 kPa, tcpCO2 max 5.5 kPa). La gazométrie artérielle est partiellement veineuse avec une hypoxémie marquée (6.2 kPa) mais avec une normocapnie (5.7 kPa), sans trouble acido-basique (7.38) ni signe d'hypercapnie chronique (Bic 24 mmol/l). Au vu de ces éléments, nous maintenons les paramètres actuels et reverrons Mme. Y dans 12 mois pour le prochain contrôle VNI. Nous voyons Mr. Y pour son contrôle VNI dans le cadre de sa BPCO. Sur le plan clinique, Mr. Y ne présente pas de plainte respiratoire nouvelle, notamment pas de signe indirect d'hypoventilation nocturne et sa dyspnée mMRC III est en discrète amélioration. Expectorations matinales blanchâtres habituelles. Pas d'événement médical notoire depuis le dernier contrôle. À la lecture rétrospective, nous mettons en évidence de bons résultats avec les paramètres de réglages actuels. Pas de fuites significatives. La compliance de Mr. Y est excellente. La polygraphie présente un IAH faible (4/h) majoritairement composé d'hypopnées. La capnographie est meilleure que l'année précédente car ne montrant pas d'hypercapnie (tcpCO2 moyenne 5.3 kPa). La gazométrie artérielle au réveil est physiologique et celle diurne montre une hypoxémie, normocapnie, sans trouble acido-basique. Les fonctions pulmonaires sont améliorées par rapport au dernier contrôle avec actuellement un trouble obstructif de degré modéré à sévère (GOLD II, VEMS 52%). Mr. Y présente donc actuellement une BPCO GOLD stade II, classe A. Au vu de cela, nous réalisons une désescalade thérapeutique en remplaçant les Seretide/Spiriva par de l'Ultibro. Nous maintenons les paramètres ventilatoires et l'oxygénothérapie actuels. Nous reverrons Mr. Y dans 12 mois pour son prochain contrôle VNI. Nous voyons Mr. Y pour son contrôle VNI dans le cadre d'un SAOS très sévère appareillé depuis 2015, avec IAH initial à 85.3/h. Cliniquement, Mr. Y ne présente pas de somnolence. Sur le plan pulmonaire, il rapporte une rare toux avec crachats transparents, sans antécédent d'infection pulmonaire. Sur le plan de la compliance, Mr. Y a stoppé l'utilisation de l'appareil depuis l'été dernier pour intolérance au masque et ne l'a pas reprise malgré une adaptation par changement de masque en décembre dernier par la Ligue pulmonaire. Il note également une modification du rythme circadien avec un temps de sommeil court et retardé (6h à 9h30 le matin). Il ne rapporte aucune différence symptomatique depuis lors, avec un score d'Epworth à 3/24. Il conduit toujours la voiture, sans symptômes de somnolence. À la lecture rétrospective, nous ne retrouvons pas de fuites significatives. Les volumes sont adaptés, le masque également. Nous effectuons finalement une polygraphie avec capnographie pour déterminer le nombre d'apnées encore présent sans utilisation de la CPAP depuis un certain temps. La polygraphie montre un IAH à 29.8/h, dont 15.6/h d'événements obstructifs. La capnographie indique un IDO à 9.99/h. La capnographie ne montre pas de signe d'hypoventilation nocturne. La gazométrie artérielle montre une normoxémie sans hypercapnie, sans trouble acido-basique. Au vu de ces éléments, nous constatons une réduction du nombre d'événements par rapport au diagnostic initial, malgré un arrêt du traitement par Mr. Y, ce qui pourrait partiellement être expliqué par l'antécédent d'AVC. En accord avec Mr. Y, et au vu d'une malcompliance, nous décidons de stopper le traitement par ventilation non invasive. Nous proposons, si le rythme circadien reste perturbé et dérangeant pour Mr. Y, d'introduire de la mélatonine à raison d'un ou deux comprimés le soir. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle clinique dans 9 mois. Nous restons bien sûr à disposition et vous prions de nous réadresser Mr. Y en cas de réapparition de symptômes de somnolence diurne. Mr. Y rentre à domicile le 19.02.2020. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Consultation personnelle Dr. X. Consultation personnelle Dr. X. Consultation personnelle Dr. X. Consultation personnelle Dr. X. Consultation personnelle Dr. X. Consultation personnelle Dr. X. Consultation personnelle Dr. X. Nouveau né à terme à 40 2/7 SA, poids de naissance 3800 g (P50-P75), taille de naissance 51 cm (P25), périmètre crânien de naissance 35 cm (P25-P50) Nouveau né à terme, poids de naissance 3.450 kg Nouveau né à 40 5/7 SA, poids de naissance 3420 g (P25-50), taille 49 cm (P3-5), périmètre crânien 33 cm ( Sténose serrée de l'IVA moyenne et subocclusion de l'IVA medio-distale ; sténose serrée de la circonflexe proximale ; sténose serrée de la première marginale de bon calibre ; occlusion chronique de la coronaire droite moyenne collatéralisée en controlatéral septal et épicardique ; dysfonction systolique VG légère (FEVG 50-55%), hypokinésie apicale et diaphragmatique • pic de troponines à 895ng/l (valeurs du médecin traitant) NSTEMI, le 10.02.2020 NSTEMI le 11.02.2020 sur occlusion aiguë de la première marginale • Pic de CK à 1006UI/l le 12.02.2020 NSTEMI le 11.02.2020 sur occlusion subaiguë de la CX moyenne • Pic de CK à 2317 UI le 12.02.2020 NSTEMI le 12.02.2020 • contexte d'insuffisance cardiaque à FEVG conservée d'origine ischémique (maladie tritronculaire) NSTEMI le 12.02.2020 • Coronarographie le 01.06.2017 : NSTEMI sur subocclusion de la circonflexe moyenne avec PTCA et implantation d'un stent actif de la circonflexe moyenne • Coronarographie le 01.09.2017 : NSTEMI sur resténose précoce à 80% de la circonflexe proximale avec PTCA et ballon à élution • FEVG 55% le 09.12.2017 • Coronarographie le 09.12.2017 : NSTEMI sur resténose à 90-99% intrastent de la circonflexe proximale avec dilatation et mise en place de 2 stents actifs • Coronarographie le 29.10.2018 : STEMI antéro-latéral sur resténose thrombotique de la CX avec : resténose subtotale, thrombotique du segment stenté de l'artère circonflexe et une progression de la maladie coronarienne dans la partie distale de la CX. PTCA et stenting niveau de la CX. Sténose de la diagonale et de l'interventriculaire antérieure distale. Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale (collatérale Rentrop III) • Coronarographie le 25.04.2019 : resténose intra-stent RCX moyenne et distale (PTCA avec mise en place de deux stents actifs) • Fonction systolique normale • Coronagraphie le 21.10.2019 : Angioplastie de la CX ostiale, proximale et moyenne (3 stents actifs Orsiro) à la clinique Cecil • Coronagraphie le 25.10.2019 Syndrome métabolique avec : • Obésité sévère avec BMI 36.98 • HTA traitée avec dysfonction diastolique minime (grade I) • Diabète non insulino-requérant NSTEMI le 13.01.2020 sur probable anémie • FEVG à l'ETT du 13.01.2020 : 60 % • Coronagraphie de 2013 : coronaires saines • FRCV : ancien fumeur à 40 UPA stoppé en 2000, HTA, surcharge pondérale, intolérance au glucose, hypertriglycéridémie NSTEMI le 14.02.2020 sur maladie coronarienne monotronculaire : • Occlusion thrombotique d'une petite branche diagonale • Sténose significative de l'IVA proximale : PCI 1x DES • Sténose significative de l'IVA moyenne : PCI 1x DES • Pic CK 175 U/L le 15.02.2020 NSTEMI le 15.02.2020 sur/avec maladie coronarienne tri-tronculaire : • STEMI sur occlusion de la circonflexe proximale le 11.01.2014 • Coronagraphie du 11.01.2014 : subocclusion circonflexe proximale, sténose significative de la 1ère marginale, sténose significative de la CD proximale, sténose significative de l'IVA moyenne, sténose significative de la 1ère diagonale • Angioplastie de la circonflexe proximale avec thrombo-aspiration et implantation d'un stent actif, 2 stents actifs sur la 1ère marginale • FEVG 55 % NSTEMI le 15.02.2020 avec : • Subocclusion de la première marginale juste en amont du stent : PCI 1x DES. • FEVG 65 % • Pic de CK 1604 U/L le 16.02.2020 NSTEMI le 17.02.2020 GRACE : 142 points NSTEMI le 18.02.2020 NSTEMI le 20.02.2020 NSTEMI le 20.02.2020 sur : • Sténose serrée de la bifurcation d'interventriculaire antérieur/1ère diagonale • Sténose de la coronaire droite moyenne NSTEMI le 23.01.2020 sur sténoses serrées de la bifurcation de deux branches diagonales. Coronagraphie le 24.01.2020 : 2 stents actifs au niveau de la bifurcation de deux branches diagonales : • Aspirine à vie • Prasugrel pour 6 mois. Maladie coronarienne bitronculaire le 24.01.2020 : • Excellent résultat après PCI CX proximale (STEMI le 16.01.2020), à lit d'aval très pathologique • Sténoses serrées de la bifurcation de deux branches diagonales : PCI en V-Stenting avec 2x DES • Sténose intermédiaire de la coronaire droite distale et lit d'aval très infiltré sur l'IVP et RVG • STEMI sur occlusion aiguë de l'artère circonflexe proximale le 16.01.2020 • Fonction systolique VG normale (FEVG 55 %), hypokinésie diaphragmatique. Echocardiographie transthoracique le 23.01.2020. NSTEMI le 23.02.2020 : • Suspicion d'occlusion de la petite branche interventriculaire postérieure (DD embolique) • Status post-opération coronaire X en 1989 au CHUV NSTEMI le 25.02.2019 sur sténose de 99 % de l'a. interventriculaire antérieure proximale NSTEMI le 26.02.2020 DD : angor instable > à J5 d'une coronagraphie avec échec d'angioplastie de la circonflexe NSTEMI le 30.01.2020 NSTEMI, Maladie coronarienne tri-tronculaire avec : • Subocclusion d'une branche bissectrice (culprit) : PCI (1 DES) : Bon • Sténose 75 % IVA ostiale : PCI (1 DES) : Bon • Atteinte des petites branches marginales • Sténose focale 70 % ACD moyenne • Fraction d'éjection VG 48 %. NSTEMI probablement secondaire le 08.02.2010 NSTEMI sans obstruction coronarienne avec : • Lésion angiographiquement et hémodynamiquement non significative de l'ostium du tronc commun et de l'IVA proximale FFR = 0,94 (0,97 au repos). • Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. • Absence de sténose aortique significative • Absence d'hypertension pulmonaire • Aortographie normale • FEVG 50-55 % DD d'un infarctus de type 2 sans lésion coronarienne significative, Takotsubo inversé, Tachy-cardio-myopathie sur fibrillation auriculaire NSTEMI secondaire sur infection respiratoire le 06.02.2020 NSTEMI s/p pose de PTH le 08.01.2020 NSTEMI subaigu le 24.01.2020 avec : • Occlusion subaiguë de l'IVA moyenne • Dysfonction VG sévère (FEVG 30 %) le 24.01.2020 • Amélioration de la fraction d'éjection (FEVG à 50 %) le 28.01.2020 NSTEMI sur occlusion aiguë de la première marginale, le 11.02.2020 • Pic de CK à 1006 UI/l le 12.02.2020. NSTEMI sur occlusion thrombotique du pontage MIG-IVA le 10.02.2020 • FEVG 65 % NSTEMI sur sténose de 70 % du tronc commun et 2 sténoses de 70-90 % de la 1ère marginale de l'artère circonflexe le 31.01.2020 • PCI/ 1 DES tronc commun-CX moyenne, PCI/ 1 DES ostium 1ère marginale CX, avec kissing balloon final • Pic CK à 630 U/L le 01.02.2020 • FEVG 60 % NSTEMI sur sténose serrée de la bifurcation d'interventriculaire antérieur/1ère diagonale et sténose de la coronaire droite moyenne le 20.02.2020 NSTEMI sur sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure ostiale suivie d'une sténose de 70-80 % de l'IVA moyenne • Pic de CK à 180 U/L le 03.02.2020 • FEVG 55 % NSTEMI sur subocclusion de la première marginale (en amont du stent) le 15.02.2020 • FEVG 65 % • Pic de CK 1604 U/L le 16.02.2020 NSTEMI sur subocclusion thrombotique de la CX proximale le 18.02.2020 : • Pic de CK à 1880 U/L NT pro BNP 4260 ng/L Ad bilan cardiaque NT pro BNP 2324 ng/L Ad Lasix intra-veineux avec relais per os par Torasemide Suivi poids et diurèse Majoration du traitement b-bloquant Nucalgies. Nucalgies chroniques d'origine indéterminée le 08.02.2020 Nucalgies chroniques suite à un accident de voiture avec coup du lapin. Nucalgies chroniques 18.11.2019. Nutrition clinique Enrichissement des repas et SNO Substitution électrolytique Nutrition énergétique Avis diététiciennes Nutrition entérale du 11.01 au 07.02.2020 Alimentation orale avec suppléments nutritifs oraux dès le 07.02.2020 Substitution électrolytique Conseils diététiques. Calorimétrie indirecte le 20.01, 21.01, 31.01, 06.02.2020 Nutrition entérale Suivi diététique Suivi électrolytes régulier Ad Creon Réévaluer le rétablissement de la continuité selon la suite de prise en charge gynécologique Nutrition parentérale centrale par Omegaflex associée à Addaven et Cernevit dès le 12.02.2020 Nutrition parentérale du 06.02 au 08.02.2020 et entérale dès le 06.02.2020 Alimentation orale progressive Conseil diététique. Calorimétrie indirecte le 09.02.2020 Nutrition parentérale du 07.10 au 15.10.2019 VVC posée le 07.10.2019 au 09.11.2019 NYHA II, CCS II, parlant pour un angor stable Contrôle cardiologique en ambulatoire recommandé (ETT, Holter) OAP dans un contexte septique chez une patiente connue pour une cardiopathie ischémique avec lésions bitronculaires avec : • S/p mise en place d'un stent au niveau de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale. • Succès d'angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation de 1 stent actif. • Coronarographie le 14.05.2018 (Dr. X) • FEVG à 35% en 2017 Obésité Obésité Obésité Obésité Obésité. Obésité. Obésité. Obésité avec BMI à 35.2. Obésité (BMI à 28.6 kg/m2) Obésité (BMI 29) Obésité (BMI 29) Obésité (BMI 34 kg/m2) Obésité Classe II (BMI 39 kg/m2) Tachycardie supraventriculaire Syndrome d'apnée du sommeil Tabagisme occasionnel Obésité classe III selon OMS (BMI 43). Obésité de classe I selon l'OMS (BMI à 30.5 kg/m2) Rhume des foins non traité Légère ophtalmopathie basedowienne Obésité de classe II. Obésité de stade I Obésité extrême avec BMI à 36.5 kg/m2 Obésité grade II (BMI 34 kg/m2) Obésité Hypertension artérielle pas traitée Consommation d'alcool chronique Hémorragie digestive haute d'origine indéterminée • Antécédents d'ulcère gastrique opérés il y a 30 ans et prise d'Indométacine de longue date • Consommation chronique d'OH • Lésion ulcérée du colon transverse (ischémique versus AIN) Obésité Lithiase vésiculaire symptomatique Kyste rénal de 8 cm Rosacée Obésité modérée (BMI 32 kg/m2) Obésité modérée classe I selon OMS BMI 30.9kg/m2 Dépression Tabagisme actif à 35 UPA Obésité morbide HTA Syndrome d'apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) de degré sévère : • Appareillage par CPAP ResMed AirSense AutoSet 5/15 cmH2O Lombosciatalgie G Obésité morbide avec BMI 68.6 kg/m2 Obésité morbide avec score d'Epworth 8 points le 17.11.2014. Hernie hiatale. Obésité morbide BMI à 40 • Avec bypass gastrique en 2001 par laparotomie (Dr. X) État dépressif sous Fluoxetine Prolapsus génital C1-H0-R1 • Pose de TOT à prévoir dans un deuxième temps Obésité morbide : BMI à 44 Obésité morbide BMI 33,2. Obésité morbide (BMI 43.7) Hypertension artérielle Insuffisance veineuse des membres inférieurs Maladie thromboembolique veineuse Arthrose lombaire et discopathies Sciatalgies S1 droite Gonarthrose sévère à gauche avec atteinte méniscale Platypodie Neuropathie des membres inférieurs probable Tabagisme actif Obésité morbide (BMI 59 kg/m2) mars 2019 (161.7 kg) Asthme bronchique allergique : • Exacerbation en 2015 dans contexte infectieux • Fonction pulmonaire en 2015 : trouble de la ventilation mixte obstructif et restrictif moyen-sévère avec diminution du FEV1 à 1.93l (59% prédit), TLC 5.05l (83% prédit), hyperinflation, DLCO normale (84% prédit). • NO dans air expiré 17.10.2019 : 32 ppb (norme < 25), augmentation de l'oxyde d'azote dans l'air expiré avec indication d'une inflammation éosinophile des voies respiratoires. Syndrome d'apnée-hypopnée du sommeil obstructif léger • DD : Mr. Pickwick, syndrome d'obésité-hypoventilation • Fatigue diurne, somnolence diurne, ESS 15/24, VAS 6/10 • Obésité morbide (BMI 58kg/m2) • Polygraphie 28./29.01.2015 : AHI 15/h (AHI en RL 35/h), ODI 16/h (ODI en RL 32/h), SpO2 89% avec désaturation jusqu'à 79%, v.a. apnée obstructive, Scharchindex 28%. • Tentative de thérapie par CPAP indiquée, refusée par le patient. Hypothyroïdie • Sous Euthyrox 100mcg/jour Hypertension artérielle Obésité morbide (BMI 62). • Dans un contexte de trouble schizo-affectif avec hyperphagie boulimique. Pose de ballon intra-gastrique (Orbera) le 26.10.2018 (Dr. X). Obésité morbide (BMI 62) dans un contexte de trouble schizo-affectif avec hyperphagie boulimique Pose de ballon intra-gastrique (Orbera) le 26.10.2018 (Dr. X) Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 42,7kg/m2 (113kg ; 163cm) : • Status post-bypass gastrique proximal laparoscopique avec cholécystectomie laparoscopique le 21.01.2019 • BMI à 1 mois postopératoire : 38,7kg/m2 (103kg) • BMI à 1 an postopératoire : 30,1kg/m2 (82kg) • Douleurs persistantes du flanc gauche, reproductibles à l'examen clinique, majorées en Valsalva, DD herniation sur l'orifice de trocart dans le flanc gauche • CT-abdomen 30.12.2019 : discrète déhiscence sur l'orifice de trocart dans le flanc gauche, toutefois incomplète et sans hernie franche Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 42,1 kg/m2 (102 kg ; 156 cm) • Poids actuel (septembre 2019) : 120 kg Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 44,5 kg/m2 (123 kg ; 165 cm) Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 49,2kg/m2 (165kg ; 183cm) • Poids actuel (03.02.2020) : 157kg Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 51,89 kg/m2 (148 kg ; 170 cm) • Poids en décembre 2019 : 150 kg • Poids actuel (janvier 2019) : 148 kg Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 50 kg/m2 (118 kg, 153 cm) • Poids actuel 115 kg Obésité morbide de type III avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. Maladie thromboembolique veineuse avec : • Thrombose veineuse profonde en 2001 • Suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013 • Suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017 • Insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche, patiente sous Xarelto 20 mg. Psychiatrique : • Trouble de la personnalité type borderline • Retard mental léger avec troubles du comportement • Ancien syndrome de dépendance à l'alcool. • Tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. Surdité de 50% bilatérale. Myopie appareillée. Gonarthrose bilatérale. Dermohypodermite des deux jambes, avec lésions de grattage sur la partie antérieure du tiers distal des deux jambes, de 1 cm2 à droite et de 2x3 cm à gauche. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour, puis relais per os à raison de 2 x 1 g/jour jusqu'au 08.08.2019 inclus. Obésité morbide de type III avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. Maladie thromboembolique veineuse avec : • Thrombose veineuse profonde en 2001 • Suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013 • Suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017 • Insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche, patiente sous Xarelto 20mg. Psychiatrique : • trouble de la personnalité type borderline • retard mental léger avec troubles du comportement • ancien syndrome de dépendance à l'alcool. • tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. Surdité de 50 % bilatérale. Myopie appareillée. Gonarthrose bilatérale. Dermohypodermite des deux jambes, avec lésions de grattage sur la partie antérieure du tiers distal des deux jambes, de 1 cm2 à droite et de 2 x 3 cm à gauche. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour, puis relais per-os à raison de 2 x 1 g/jour jusqu'au 08.08.2019 inclus. Obésité morbide de type III avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • thrombose veineuse profonde en 2001. • suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013 • suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017 • insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche, patiente sous Xarelto 20 mg. Psychiatrique : • trouble de la personnalité type borderline • retard mental léger avec troubles du comportement • ancien syndrome de dépendance à l'alcool. • tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. Surdité de 50 % bilatérale. Myopie appareillée. Gonarthrose bilatérale. Dermohypodermite des deux jambes, avec lésions de grattage sur la partie antérieure du tiers distal des deux jambes, de 1 cm2 à droite et de 2 x 3 cm à gauche. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour, puis relais per-os à raison de 2 x 1 g/jour jusqu'au 08.08.2019 inclus. Obésité morbide de type III avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • thrombose veineuse profonde en 2001 • suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013 • suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017 • insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche, patiente sous Xarelto 20 mg Trouble de la personnalité type borderline Retard mental léger avec troubles du comportement Ancien syndrome de dépendance à l'alcool. Tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. Surdité de 50 % bilatérale Myopie appareillée Gonarthrose bilatérale Dermohypodermite des deux jambes, avec lésions de grattage sur la partie antérieure du tiers distal des deux jambes, de 1 cm2 à droite et de 2 x 3 cm à gauche. Obésité morbide (47,8 kg/m2) Diabète de type 2 non insulino-requérant Maladie variqueuse du membre inférieur D. Obésité morbide. Bypass gastrique en 2013. Obésité morbide. Hypercholestérolémie Obésité morbide. Pacemaker pour troubles du rythme (BAV 2ème degré type Mobitz II à conduction 3:1) en 2005. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 36,3 kg/m2 (93 kg ; 160 cm) • poids maximal : 104 kg • poids actuel : 90 kg Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 37,3 kg/m2 (105 kg ; 168 cm) • poids actuel (septembre 2019) : 103 kg Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 38,7 kg/m2 (111 kg ; 169 cm) Obésité sévère grade II (BMI 37,5 kg/m2) Obésité sévère stade II selon OMS avec BMI à 36,4 kg/cm2 déjà opérée par Bypass gastrique + cholécystectomie le 13.06.2016. Status post-hystérectomie. Status post-amygdalectomie. Status post-opération de la cheville droite. Douleur abdominale sur probable bézoard le 11.04.2017. Obésité stade II selon l'OMS (BMI 35,4 kg/m2) Obésité stade III selon l'OMS avec BMI 50,8 kg/m2 le 20.01.2020 Dyslipidémie HTA traitée Syndrome obésité/hypoventilation SAOS appareillé par VNI Lombo-radiculopathie bilatérale avec amyotrophie et troubles de la proprioception sur traumatisme médullaire D11 depuis 2010 Dorso-lombalgies chroniques avec : • Status post laminectomie D11, le 01.05.2010 • Status post cure de hernie discale D D12-L1, le 25.02.2009 • Status post spondylodèse asymétrique de L2-L5 D et L3-L5 G, le 11.02.2003 pour discopathies sévères • Status post microdiscectomie L4-L5 et décompression L3-L4, le 16.12.1997 pour canal lombaire étroit Syndrome des jambes sans repos Obésité (105 kg, 162 cm) BMI 40 kg/m2. Dépression. Obésité Asthme sévère Fibrillation auriculaire intermittente anticoagulée Douleur aux épaules sous fentanyl Obésité. Asthme. FA intermittente. Obésité. Bypass gastrique 2017. Obésité Diabète cortico-induit Cardiopathie hypertensive Fibrillation auriculaire Insuffisance rénale chronique de stade III Syndrome d'apnée du sommeil Syndrome inflammatoire avec suspicion de maladie de Crohn Obésité Diabète de type 2 Hypertension artérielle essentielle grade 2 Obésité. Diabète non insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée. Tumeur du pôle inférieur du rein droit de 6 x 6 cm. Le 04.07.2018, néphrectomie totale par laparotomie sus-ombilicale. CAR. Promed P2018.7686 : 1) Carcinome à cellules rénales de type à cellules claires du rein, de grade nucléolaire 2 mesurant 6,2 cm de plus grand axe au niveau du pôle inférieur du rein (néphrectomie droite). 2) Cysténofibrome ovarien de type mixte (mucineux et séreux) de 6 cm de plus grand axe. Status adhérentiel tubo-ovarien en présence d'une réaction gigantocellulaire au contact de fragments de fils chirurgicaux (ovariectomie droite). 3) Tissu adipeux mature sans ganglion lymphatique et sans malignité. Code TNM : pT1b pNX L0 V0 Pn0 R0. Stéatose hépatique marquée intra-opératoire. Obésité. Diabète non insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée. Tumeur du pôle inférieur du rein droit de 6 x 6 cm. Le 04.07.2018, néphrectomie totale par laparotomie sus-ombilicale. CAR. Promed P2018.7686 : 1) Carcinome à cellules rénales de type à cellules claires du rein, de grade nucléolaire 2 mesurant 6,2 cm de plus grand axe au niveau du pôle inférieur du rein (néphrectomie droite). 2) Cysténofibrome ovarien de type mixte (mucineux et séreux) de 6 cm de plus grand axe. Status adhérentiel tubo-ovarien en présence d'une réaction gigantocellulaire au contact de fragments de fils chirurgicaux (ovariectomie droite). 3) Tissu adipeux mature sans ganglion lymphatique et sans malignité. Code TNM : pT1b pNX L0 V0 Pn0 R0. Stéatose hépatique marquée intra-opératoire. Obésité Diabète type II non insulino-requérant depuis 2010 CPAP depuis 2006 HTA traitée depuis 2003 Prostatite chronique Obésité. F60.9 Trouble de la personnalité, sans précision, dyslexie. F32.9 Épisode dépressif, sans précision. Obésité. Hypertension artérielle. Lymphome cutané B de bas grade stable (status post-biopsie du coude droit en 2005). Trouble anxio-dépressif. Diverticulose sigmoïdienne sévère (colonoscopie en 2005). Gonalgies droite sur troubles dégénératifs. Fibrillation auriculaire persistante (sous Eliquis). Coprostase chronique • sur diverticulose sévère. Obésité. Intolérance au glucose (sous Metformin depuis avril 2013). Hypertension artérielle (sous Lisinopril depuis avril 2013). Obésité Kyste ovarien D Obésité Schizophrénie traitée actuellement par injection de Abilify (1x/mois) Hypercholestérolémie traitée par Simvastatine Obésité. Sp Bypass gastrique 2017. Obésité. Tabagisme 10 UPA. Ovaires polykystiques. Résistance à l'insuline. Bypass gastrique le 31.10.2016. Lumbago non déficitaire sur hernie discale L5-S1, sous Oxynorm en réserve. Observation durant 6 heures aux urgences Observation durant 6 heures aux urgences pédiatriques. Status à la sortie similaire à celui à l'arrivée: Excellent état général, muqueuse normocolorée, bonne hydratation, TRC<3sec. ORL : fond de gorge calme, tympans calmes ddc, notamment pas d'hémotympan, pas d'adénopathie cervicale palpée, nuque souple. Cardiovasculaire : b1b2bf, pas de souffle audible. Respiratoire : murmure vésiculaire symétrique, bonne entrée d'air, pas de bruits surajoutés, pas de signe de détresse respiratoire. Digestif : bruits normaux en tonalité et en fréquence, abdomen souple et indolore, pas de masse palpée, pas d'hépatosplénomégalie. Génito-urinaire : loges rénales souples et indolores. Organes génitaux masculins immatures. Testicules palpés dans le scrotum. Cutané: pas d'hématome visible ni au niveau du cuir chevelu ni au niveau des membres ou du tronc. Neurologie: pupilles iso-cores iso-réactives, occulomotricité sp., pas d'asymétrie faciale, tonus axial et périphérique sp., mouvements spontanés symétriques des 4 membres, pas de latéralisation. Obstétricaux : 2015: Accouchement par voie basse à 39 semaines d'aménorrhée après provocation pour oligoamnios + suspicion cholestase gravidique, péridurale, garçon, 3470 g, déchirure périnéale degré 1, France. 2016: Accouchement par voie basse à 41 4/7 semaines d'aménorrhée après provocation pour dépassement de terme, péridurale, garçon, 3660 g, éraillure non suturée, HFR Fribourg. Chirurgicaux: nihil. Obstétricaux: • AVB le 08.10.2004. • AVB le 14.05.2008 2007 Varices au Daler Accouchement par voie basse suite à une provocation. Diabète gestationnel insulino-traité. Obstétricaux: S/p fausse couche spontanée précoce 15.09.2018 accouchement par voie basse, garçon de 4850g, fracture de la clavicule, au Petit Prince. ??? accouchement par voie basse, fille. Généraux: 26/06/18 Thrombose veineuse superficielle de la grande saphène gauche Grossesse non-désirée à 8 1/7 SA chez une patiente 4G2P de 27 ans. • Curetage interrupteur le 26.04.2019 sous anesthésie générale. • Antalgie simple. Obstétricaux: • 2 AVB à terme en 1992 et 1995. • 1 IVG en 2001. Gynécologiques: Septembre 2019: endométrectomie par hystéroscopie. 2019 cure de Hernie hiatale. 2014 Abdominoplastie (Tunisie). Appendicectomie dans l'enfance. Obstétricaux : 2005: AVB instrumenté par forceps à 40 semaines d'aménorrhée avec naissance d'une fille de 3080 g 2009: AVB à 40 semaines d'aménorrhée avec naissance d'un garçon de 3790 g Accouchement rapide par voie basse à 40 semaines d'aménorrhée chez patiente 3G devenue 3P de 31 ans Rétention placentaire non hémorragique. Déchirure du Ier degré et éraillure des petites lèvres. Anémie post-partale à 97 g/l. Obstétricaux: 2018: AVB à 39 4/7 SA, naissance d'un garçon de 3830 g 2017: AVB à 38 4/7 SA, naissance d'une fille de 2620 g 2015: Fausse couche spontanée à 10 1/7 SA avec curetage hémostatique le 16.10.2015 2014: AVB à T+5, naissance d'une fille de 3500 g, particularité: hémorragie du post-partum Médicaux-chirurgicaux: Ablation des dents de sagesse durant l'enfance Cure de varices en 2019 Obstétricaux: S/P Césarienne à 39 3/7 SA pour NPD à 4cm à l'HFR Fribourg en 2012, fille, Camila de 2920g. S/P Césarienne à 40 2/7 SA pour échec de provocation par Propess. Gynécologiques non-opératoires: • IVG médicamenteuse en 2009 (HFR). Chirurgicaux non-gynécologiques: • chirurgie de la main gauche à l'âge de 6 ans. Antécédents familiaux: Mère: cancer du thymus. Sœur Vitiligo. Accouchement par césarienne élective, bi itérative à 39 3/7 SA, chez une patiente de 27 ans 4G devenue 3P. Contusion 5ème doigts main D. Obstétricaux: 2008: Césarienne pour non-progression de la dilatation à 40 semaines d'aménorrhée, garçon, 3000 g, Arabie Saoudite. 2010: Césarienne élective itérative à 40 semaines d'aménorrhée, Arabie Saoudite, garçon, 2500 g, Arabie Saoudite. 2016: Césarienne élective itérative à 38 5/7 semaines d'aménorrhée, fille, 2870 g, HFR Fribourg. Gynécologiques opératoires: 2015: Fausse couche, curetage, Soudan. Obstétricaux: 2010 Accouchement par voie basse à terme avec EMLD, sous péridurale (G, 3500 g) en Portugal. 2016 Accouchement par voie basse à terme avec déchirure de degré 1, sous péridurale (F, 3220 g) à l'HFR. Obstétricaux: 2015 : s/p accouchement par voie basse spontané avec naissance d'une fille de 2890 g. Accouchement par voie basse spontané à 38 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 29 ans 2-gestes devenue 2-pares le 15.09.2019. Obstétricaux: 2016: Accouchement par voie basse spontané à 38 5/7 SA sous péridurale, fille, 2830 g, périnée intact. Obstétriques: • 1997: AVB • 2008: AVB • 2013: Césarienne Chirurgicaux: • APP dans l'enfance Médicaux: • 11/2013: embolie pulmonaire (tabac + pilule + s/p césarienne), TTT avec Xarelto, jusqu'en 06/2015. Grossesse intra-utérine non-désirée à 7 5/7 SA chez une patiente 4G 3P de 35 ans. • Curetage interrupteur. Obstruction conduit auditif gauche par de la ouate Obstruction nasale. Obstruction ORL. Occlusion anastomotique sur S/p réparation chirurgicale d'une transection artère radiale gauche traumatique le 27.09.2018. Occlusion artère rétinale le 17.02.2020. Occlusion complète de l'artère carotide interne droite et subocclusion avec sténose de 50-60% de l'artère carotide interne gauche diagnostiquées entre fin 2012 et début 2013 avec : • Status post-accident ischémique transitoire en 2010 • Status post-chutes à répétition sur troubles visuels en 2012. Cardiopathie ischémique, arythmique et valvulaire avec : • fibrillation auriculaire permanente • Hypertension artérielle • Status post-remplacement de valve aortique mécanique en 1996 (INR cible 3-4) • Status post-pontage aorto-coronarien en 1996 • Ancien tabagisme. Hypertrophie bénigne de la prostate. Diverticulose étendue, hémorroïdes internes et marisques, polype du côlon ascendant excisé le 11.10.2013. Angiodysplasie du rectum et de la jonction recto-sigmoïdienne. Occlusion de l'artère pédieuse droite objectivée premièrement le 20.01.2014 sans revascularisation distale : • bilan angiologique le 15.05.2015 (Dr. X) • anticoagulation, pas de prise en charge chirurgicale Anévrisme du septum interauriculaire avec deux orifices inféro-antérieurs: anticoagulation thérapeutique. ETT du 13.04.2012 Tabagisme actif à 50 UPA Syndrome lombo-vertébral : • ostéochondrose érosive L3-L4 • spondylolyse bilatérale au niveau de L5 avec antélisthésis de L5 sur S1 de grade I • scoliose dextro-convexe lombaire • ostéoporose • fracture-tassement de L3-L4 en 2006 Douleurs post-amputation supra-géniculaire du membre inférieur gauche (douleurs fantômes) dès le 09.04.2012 Trouble de l'adaptation, réaction mixte anxio-dépressive réactionnelle avec idées suicidaires dès le 11.04.2012 Trouble de la personnalité de type dépendante Thyroïdite nodulaire avec fonction euthyroïdienne (évaluation endocrinologique du 02.08.2016) Hépatite C sous traitement Anémie ferriprive Consommation de cannabis Occlusion d'une boucle Omniflow au membre supérieur gauche Occlusion gastrique par masse tumorale le 08.01.2020 Occlusion totale de la carotide commune gauche et carotide interne droite Fibrillation auriculaire sous Eliquis Hypertension artérielle traitée par sartan Bloc de branche droit Insuffisance rénale chronique stade G4A2 acutisée AKIN I, avec une créatininémie à 255 µmol le 28.11.2019 Troubles cognitifs sur démence vasculaire : • IRM cérébrale le 22.10.2018 : Atrophie cortico-sous-corticale et leuco-encéphalopathie dégénérative d'origine vasculaire • Tests cognitivo-psychologiques du 03.12.2019 : MMSE à 20/30, test de la montre à 1/7, GDS à 4/15 Occlusion urètre suite à prostatectomie radicale : • pose de sonde sus-pubienne le 24.12.2019 • opération avec sondage antéro- et rétrograde permettant la mise en place d'une sonde vésicale standard et le retrait de la sonde sus-pubienne le 20.01.2020 Sonde vésicale en place (vidange toutes les 2h environ par le patient lui-même) Occlusions artérielles iliaques externes des deux côtés Odynie et état fébrile de retour de vacances Odynodysphagie Odynodysphagie d'origine peu claire DD obstruction glandes salivaires, DD toxoplasmose, DD viral, DD tumeur Odynodysphagie et dysphonie dès le 16.01.2020 DD : sur possible reflux gastro-oesophagien, connectivite Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie Odynophagie, difficultés respiratoires Odynophagie, dyspnée Odynophagie et toux sèche Odynophagies Oedème Oedème Oedème Oedème Oedème aigu du poumon à répétition sur insuffisance mitrale restrictive Oedème aigu du poumon le 12.02.2020 • chez patient connu pour des OAP récidivants dans un contexte de sténose des artères rénales bilatérales • DD : sur NSTEMI (cinétique de troponine) Oedème aigu du poumon sur décompensation cardiaque gauche le 12.02.2020 : • BNP 2888 ng/l • connu pour des OAP récidivants dans un contexte de sténoses des artères rénales bilatérales Oedème aigu du poumon sur insuffisance cardiaque gauche décompensée le 11.02.2020 • Contexte infectieux Oedème aigu du poumon sur pic hypertensif le 02.09.2019 Oedème aigu du poumon sur syndrome cardio-rénal de type III probable le 10.02.2020 Oedème aigu pulmonaire post-coronarographie le 05.02.2020 • contexte de sténose aortique calcifiée sévère avec indication à TAVI Oedème aigue du poumon sur syndrome cardio-rénal de type III probable le 10.02.2020 • hospitalisation aux soins intensifs le 10.02.2020 Oedème au niveau du membre inférieur gauche Oedème aux membres inférieurs traité par Lasix Gonalgie gauche traitée par Ibuprofène et Paracétamol Hypertension artérielle non traitée Oedème chronique des membres inférieurs • DD : insuffisance cardiaque droite, DD : insuffisance veineuse Oedème circonscrit de la cornée de l'œil droit Oedème de la cheville gauche d'origine indéterminée le 21.01.2020 : • antécédent de douleurs similaires aux chevilles (G>D) en mai 2019 • douleurs sterno-costales associées DD : cardiaque, paranéoplasique, dermatologique, inflammatoire Oedème de la joue droite Oedème des membres inférieurs dans un contexte d'insuffisance cardiaque chronique : Oedème des membres inférieurs et prise de poids d'origine indéterminée, 03.02.2020 • pas d'argument pour une décompensation cardiaque, ni thrombose profonde veineuse Oedème du membre inférieur droit Oedème du membre inférieur droit Oedème du membre inférieur droit Oedème du MSG d'origine probablement compressive dans le contexte oncologique Oedème d'un membre Oedème d'un membre Oedème et rougeur de la face et vomissements Oedème laryngé en per-opératoire le 21.02.2020 Oedème membre inf D Oedème membre inf D Oedème membre inférieur droit sur allongement gastrocnémiens selon Strayer le 04.02.2020 Oedème palpébral gauche Oedème palpébral gauche d'origine le plus probablement allergique Oedème papillaire bilatéral, d'origine indéterminée (ophtalmique probable) Investigations • Rapport ophtalmologique du 27.11.2019 : oedème papillaire, demande d'hospitalisation pour investigation neurologique • Labo le 27.11.2019 : aligné • CT cérébral injecté : examen normal • Avis neuro : ponction lombaire, IRM, consilium neuro le 28.11.2019 • Dépistage HIV, Syphilis, Borréliose le 28.11.2019 : négatif • Ponction lombaire le 27.11.2019 : pression 13 cmH2o, analyses complémentaires en cours • IRM cérébrale le 28.11.2019 : examen normal • Consilium neurologique du 28.11.2019 : oedème papillaire d'origine locale ophtalmique Contrôle ophtalmologique le 29.11.19 à 13h45 Oedème papillaire bilatéral en novembre 2019 Oedème pied droit d'origine indéterminée, le 25.02.2020 DD : inflammatoire : crise de goutte, pseudo-goutte Oedème post-opératoire membre inférieur gauche sur s/p implantation de PTH gauche par voie d'abord antérieure le 12.12.2019 sur une coxarthrose secondaire sur dysplasie de hanche gauche Oedème pulmonaire aigu sur crise hypertensive avec infarctus type 2 Oedeme pulmonaire sur Insuffisance cardiaque probablement para-infectieux Oedème scrotal douloureux le 03.02.2020 Oedèmes Oedèmes aigus du poumon cardiogénique récurrents dès le 29.12.2019 • DD : sur pics hypertensifs, contexte d'occlusion de l'artère rénale droite Décompensation cardiaque globale le 04.07.2019 • pneumonite chimique sur broncho-aspiration (DD : pneumonie infectieuse) le 05.07.2019 Hypothyroïdie sub-clinique le 16.07.2019 TSH à 11,53 mU/l, T4 à 12 pmol/l, T3 à 4,26 pmol/l Polyneuropathie axonale de la maladie critique, signes d'une myopathie à prédominance de la musculature proximale le 08.07.2019 Hématome musculaire jugulaire droit le 02.07.2019 Syndrome compartiment abdominal post-oesogastroduodénoscopie le 13.06.2019 • DD : translocation bactérienne (pose de SNG) Cure de hernie hiatale par laparotomie en 1988 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumonie à Legionnella pneumophila le 06.06.2019 (intubation oro-trachéale - Cormack I - du 06.06 au 16.06) Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur rhabdomyolyse et sepsis le 06.06.2019 Pancytopénie le 06.06.2019 avec présence d'érythroblastes (DD : d'origine toxique, dans le contexte infectieux) Traumatisme crânien sous OH le 27.12.2014 Fracture pertrochantérienne du fémur proximal droit, type AO 31-A1.2, opérée le 24.04.2013 Fracture trimalléolaire de la cheville gauche, type Maisonneuve, intra-articulaire en 2001 • ablation du matériel d'ostéosynthèse en 2002 Ostéosynthèse d'une fracture du tibia-péroné droit en 1998 Opération de la cataracte de l'œil droit Sepsis pulmonaire bi-basal à germe indéterminé le 28.12.2020, avec : • insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique Insuffisance rénale aiguë AKIN I, d'origine pré-rénale dans un contexte infectieux et sur syndrome cardio-rénal le 28.12.2019 Oedèmes des membres inférieurs. Oedèmes des membres inférieurs avec dermite de stase DD sur stase veineuse DD érysipèle Oedèmes des membres inférieurs ddc sur probable décompensation cardiaque • US-Doppler des MI le 23.01.2018 (Dr. X) : les vv. fém. com, fém. superf, poplitées, jambières et musculaires sont bien perméables et compressibles ddc, de même que les grandes et petites veines saphènes ddc. Les art. tib. post et pédieuses sont bien biphasiques ddc Oedèmes des membres inférieurs ne prenant pas le godet le 16.02.2020. Oedèmes des membres inférieurs sur lymphadénectomie ilio-obturatrice bilatérale le 24.01.2008 Oedèmes des membres inférieurs sur remplissage et corticoïdes à haute dose dans le contexte de la chimiothérapie le 26.02.2020 Oedèmes des MI d'origine mixte (traitement par Amlodipine). Maladie variqueuse minime. Oedèmes et érythème des membres inférieurs le 03.02.2020 • secondaire à l'obésité Oedèmes membres inférieures bilatéraux le 04.02.20 sur probable malcompliance médicamenteuse DD : dermohypodermite ? Oedèmes membres inférieurs Oedèmes sur insuffisance cardiaque le 07.02.2020. Œil droit : cataracte sénile Œil en verre gauche pour statut post-énucléation traumatique Hémorroïdes Hypothyroïdie substituée Œil rouge Œil rouge. Œil rouge. Oesogastroduodénoscopie le 13.02.2020 : Adrénaline et pose de clips Sérologie H. pylori : négative 2 CE le 13.02.2020, 1 CE le 14.02.2020 Pompe de pantozol du 13.02.2020 au 15.02.2020 Pantozol 2x40mg dès le 16.02.2020 Erythromycine 300mg le 13.02.2020 OGD de contrôle à prévoir dans 2 mois Oesogastroduodénoscopie le 14.02.2020 : Ulcère antral, pré-pylorique de 6 mm sans signe d'un saignement. Ad traitement antithrombotique minimal nécessaire pour le patient. Ad IPP, par exemple Esomep 40mg/jour au minimum, 30 min avant le premier repas au long cours. Il n'est pas certain que la lésion gastrique soit la source du saignement. Au vu de l'âge du patient et s'il est stable, une OGD de contrôle n'est pas indiquée. Oesogastroduodénoscopie le 17.02.2020 (Dr. X) Oesogastroduodénoscopie le 17.02.2020 (Dr. X) : Impaction d'aliments solides dans l'œsophage distal retirés à l'aide d'un filet Rothnet. Suspicion pour une infection Candida Albicans. Situation sub-sténosante à 43 cm des arcades dentaires, d'origine indéterminée. Il se pourrait que ce soit d'origine inflammatoire à cause d'un syndrome de reflux, mais une tumeur n'est pas exclue. Attendre les résultats d'histologie. Si ceux-ci ne ramènent pas de dysplasie, il faudra réévaluer la situation avec des biopsies dans environ 4 à 5 semaines avec une nouvelle gastroscopie et biopsies. Ad IPP 2x40 mg/jour jusqu'à la prochaine gastroscopie. Actuellement, je préconise une alimentation liquide. Si l'origine de la situation sub-sténosante reste indéterminée, un CT thoraco-abdominal et une endosonographie haute doivent être envisagés. Radiographie de thorax le 15.02.2020 : La silhouette cardiaque est dans les limites de la norme. Pas de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Emoussement du sinus costo-diaphragmatique droit, avec un épaississement pleural à la base droite, vraisemblablement d'origine cicatricielle. Altérations dégénératives du rachis dorsal. CT thoraco-abdominal le 17.02.2020 : Béance œsophagienne de ses deux tiers proximaux avec contenu alimentaire, lamination de son tiers distal en faveur d'une achalasie de l'œsophage. Lésion ovalaire d'allure tissulaire de 16 x 10 mm du lobe thyroïdien droit ad échographie thyroïdienne. US hépatique le 17.02.2020 : Examen abdominal dans la norme PET CT le 20.02.2020 : L'étude PET-CT 18F-FDG met en évidence une petite hyperactivité œsophagienne distale (SUVbwmax = 5.2), correspondant probablement à la lésion tumorale primitive. Nous ne mettons pas en évidence de foyer hyperactif pathologique net en regard des plages pulmonaires, du médiastin, du foie, de la rate ou du cadre osseux, en faveur d'éventuelles métastases. INTERPRÉTATION CT NATIF : Pas de lésion suspecte décelée aux étages cérébral et cervical. Étage thoracique : Absence d'adénopathie décelée. L'hyperactivité visualisée au niveau de l'œsophage distal n'a pas de claire corrélation anatomique sur la base de cet examen non injecté. En fenêtre parenchymateuse, absence de lésion nodulaire suspecte objectivée. Étage sous-diaphragmatique : Absence de lésion suspecte décelée, sous réserve d'un examen réalisé en phase native. En fenêtre osseuse, importants troubles dégénératifs, notamment du rachis lombaire, sans lésion suspecte clairement identifiée. Oeso-gastro-duodénoscopie le 17.02.2020 macroscopiquement normale. Iléo-colonoscopie le 17.02.2020 macroscopiquement dans les limites de la norme Biopsies (estomac, duodénum, iléon, colon) du 17.02.2020 : cf rapport Promed attaché Oesogastroduodenoscopie le 19.02.2020 (Dr. X) et biopsie œsophage moyen Pister résultats biopsie Endosonographie en ambulatoire (le patient sera convoqué) Oeso-gastro-duodénoscopie le 30.01.2020 (Dr. X) Colonoscopie et oeso-gastro-duodénoscopie le 31.01.2020 (Dr. X) Remplissage et Acide Tranexamique 1g (pré-hospitalier) Remplissage et Protamine 4000 UI (urgences) Pantozol intraveineux du 28.01.2020 puis relais per os le 30.01.2020 Oesophagectomie transhiatale avec tubulisation gastrique et anastomose cervicale et neurostimulation avec jéjunostomie d'alimentation le 21.02.2020 (Dr. X, Dr. X) Ventilation mécanique invasive du 21.02 au 22.02.2020 Noradrénaline du 21.02 au 22.02.2020 Antalgie péridurale du 21.02 au___ Oesophagite à reflux stade 2 selon Los Angeles (OGD 2018 Dr. X). Oesophagite de stade II sur plusieurs épisodes de vomissements, en décembre 2008. Multiples épisodes d'hématémèses en 2007 2x (2 OGD normales) et 2008 2x. Fracture intra-articulaire radius distal D (AO 23-C3) avec dermabrasions avant-bras et main D • neurocompression nerf médian poignet D • troubles sensitivo-moteurs connus MSD sur statut post lésion par balle avec atteinte du plexus brachial et fracture humérus proximal • réduction ouverte, OS radius distal D par 1 plaque palmaire de reconstruction Aptus 2,5 mm, 1 plaque radiale Aptus 2,5 mm.• cure tunnel carpien D (OP le 14-15.05.2012) • Fracture os propre du nez, septum nasal (sans hématome du septum) et de l'orbite latérale D • Diplopie des 4 quadrants sur hématome muscle droit latéral orbitaire D • Syncopes récidivantes d'origine inconnue > Echographie cardiaque - ETT le 14.05.2012 : FEVG à 60 %. Visuellement hypertrophie VG homogène. Dysfonction diastolique minime (grade I) > hypoesthésie joue et lèvre D connue post-fracture massif facial • Décompensation diabétique hyperglycémique hyperosmolaire chez un patient de type 2 insulino-requérant avec le 29.06.2017 • Anémie microcytaire hypochrome hyporégénérative le 03.07.2017 • Alcalose respiratoire probablement chronique d'origine inexpliquée le 28.06.2017 • Etat de stress post-traumatiques (F43.1) • Alcalose respiratoire probablement chronique d'origine peu claire depuis juin 2017 (hyperventilation et possible compensation d'une acidose métabolique le 03.10.2019) • Alcalose d'origine mixte le 16.10.2019 • alcalose respiratoire d'allure chronique • alcalose métabolique probablement sur vomissement Hydratation Surveillance clinique • Oesophagite post-radique aiguë le 14.02.2020 • Dernière séance de radiothérapie le 07.02.2020 • Oesophagoscopie rigide et souple sous anesthésie générale • Office AI du canton de Fribourg, Impasse de la Colline 1, 1762 Givisiez • OGD à discuter • OGD et Colonoscopie prévue en ambulatoire le 21.02.2020 • OGD et coloscopie le 31.12.2019 Contrôle chez Dr. X dans 10 jours. Sera convoquée pour une consultation dans notre service de rhumatologie pour janvier 2020. • OGD le 03.02.2020. Helicobacter pylori le 03.02.2020 : négative. Nexium 80 mg iv puis relais per os 40 mg. • OGD le 12.02.2020 (Dr. X) 1 CE le 11.02.2020 2 CE le 12.02.2020 IPP intraveineux du 11.02. au 12.02.2020. Esoméprazole 40 mg 2x/j dès le 13.02.2020 • OGD le 14.02.2020 (Dr. X) : selon transmission orale, découverte de varices oesophagiennes contre-indiquant la pose de PEG. • OH aigu le 27.05.2018. Abcès de 6 cm face interne de la cuisse droite, le 20.05.2019. Claquage musculaire. Abcès de 5 cm face interne cuisse G le 20.12.2019 avec suspicion maladie de Verneuil. • OH chronique • OH chronique avec alcoolémie à 1,29 %o le 04.06.2014. Status post angor stable le 04.06.2014. Status post syndrome de sevrage de drogues sous Méthadone (elle n'a pas pris sa dose les 25 et 26.02.2014) et vomissements et douleurs abdominales post-consommation excessive d'alcool le 26.02.2014. Agressivité sur syndrome de dépendance à l'héroïne, actuellement sous Méthadone 100 mg par jour le 15.10.2019. • OH chronique. État dépressif. • OH chronique, sevrée en 2013, traitement d'Antabuse en cours Status post-vissage antérieur par deux vis de la DENS pour une fracture C1-C2 en 2005 • OH chronique Tabagisme de longue durée (100 UPA) Hypertension artérielle Adénocarcinome acinaire de la prostate, de groupe 5, score de Gleason 5+4=9 (WHO/IUSP 2016) avec métastases osseuses le 04.07.2019 • IRM colonne lombaire le 04.07.2019 : multiples lésions focales métastatiques au niveau D4, D6, D7, D8 et D12, L1, L5 avec tassement D4 et lésions au niveau de l'aileron sacré des deux côtés Douleur thoraco-lombaires sur métastases osseuses Cirrhose CHILD A d'origine probablement éthylique le 18.07.2019 Anémie normochrome macrocytaire le 17.07.2019 d'allure chronique Troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec : • polyneuropathie toxique (alcool, médicamenteuse), déconditionnement dans le contexte oncologique • Oligoamnios idiopathique connue depuis 21 4/7 semaine d'aménorrhée avec test Actim Prom négatif. • Oligo-amnios idiopathique depuis 34 2/7 semaines d'aménorrhée. • Oligoarthrite d'origine indéterminée avec : • DD : origine infectieuse, poussée de spondylarthropathie • état fébrile le 05.02.2020 et syndrome inflammatoire • patient connu pour spondylarthropathie axiale, HLA B27+, sous Cosentyx • tendinopathie achilléenne G, arthrite de genou G et arthrite de P1 de l'hallux D • griffure de chat à l'hallux D en décembre 2019 • Oligoarthrite du poignet gauche et de l'épaule droite le 29.01.2020, traitée par infiltration Cupulolithiase du canal semi-circulaire latéral gauche en juin et novembre 2013 Neuronite vestibulaire avec migraine holocrânienne très forte, chez Mme. Y non connue pour être migraineuse Cardiopathie ischémique Hypertension artérielle Obésité stade 2 Arthralgies chroniques, suivi par Dr. X Hernie discale lombaire et cervicale Maladie de Sudeck Insuffisance veineuse chronique Troubles de la sensibilité profonde • Oligoarthrite poignet G et épaule D le 29.01.2020 • DD : microcristalline • Infiltration bourse sous-acromiale et poignet G le 29.01 Cupulolithiase du canal semi-circulaire latéral gauche en juin et novembre 2013 Neuronite vestibulaire avec migraine holo-crânienne très forte, chez Mme. Y non connue pour être migraineuse Cardiopathie ischémique. Hypertension artérielle. Obésité stade 2. Arthralgies chroniques, suivi par Dr. X. Hernie discale lombaire et cervicale. Maladie de Sudeck. Insuffisance veineuse chronique. Troubles de la sensibilité profonde. • Oligoarthrite subaiguë d'origine indéterminée avec : • DD : origine infectieuse, poussée de spondylarthropathie • hospitalisation du 06.02 au 10.02.2020 • récidive d'état fébrile les 11.02 et 12.02.2020 • Solumedrol 125 mg le 14.02.2020 sans amélioration • patient connu pour spondylarthropathie axiale, HLA B27+, sous Cosentyx • tendinopathie achilléenne G, arthrite de genou G et arthrite de P1 de l'hallux D • griffure de chat à l'hallux D en décembre 2019 • Oligurie • Oligurie sur cystofix dysfonctionnant le 09.02.2020. • Oligurie sur probable manque d'apport • Mr. Y est un jeune patient de 14 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleur en fosse iliaque droite sans autre plainte associée. Le bilan met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle il bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 01.02.2020. La suite est marquée par une péritonite clinique à J1 postopératoire qui motive la reprise chirurgicale le 02.02.2020 par laparoscopie exploratoire convertie en laparotomie où une perforation grêle est retrouvée. Dans ce contexte, nous effectuons une résection grêle de 20 cm avec anastomose directe, lavage intra-abdominal et mise en place d'un VAC sous-cutané. L'antibiothérapie débutée en préopératoire par Piperacilline-Tazobactam est par la suite continuée. Mr. Y bénéficie d'un changement de VAC par la suite avec fermeture secondaire effectuée le 06.02.2020. L'évolution par la suite est lentement favorable. Une chute de l'hémoglobine d'origine indéterminée retrouvée le 10.02.2020 motive la réalisation d'une sonographie qui reste sans particularité. Le jour-même, Mr. Y présente des extériorisations de sang par voie basse. Dans ce contexte, nous effectuons un angio-CT en urgences qui ne retrouve pas de saignement actif. Une gastroscopie retrouve une légère gastrite. Un traitement par IPP est débuté. Mr. Y peut regagner son domicile le 12.02.2020. L'antibiothérapie sera continuée pour un total de 14 jours avant que nous revoyions le patient à notre consultation pour un contrôle et l'ablation des fils. À noter que nous mettons en évidence des oxyures lors de l'appendicectomie, raison pour laquelle nous débutons un traitement de Vermox pour Mr. Y et son entourage proche. • OMA bilatérale OMA bilatérale en amélioration OMA bilatérale réfractaire OMA débutante OMA droite OMA droite. OMA droite perforée OMA gauche OMA gauche: • rinçages du nez et add Nasivine • Contrôle à 48h chez le pédiatre ou avant si péjoration de l'état clinique OMA gauche associée à une otorrhée OMA gauche au décours OMA gauche débutante OMA gauche et conjonctivite bilatérale bactérienne OMA gauche, perforée OMA perforée à D OMA réfractaire OMA réfractaire bilatérale Omalgie D d'allure neuropathique, type allodynie sur status post suture de sus-épineux de l'épaule D, le 03.09.2014 par le Dr X, avec vis flottante dans une zone kystique au niveau de la tête humérale. Lombosciatalgie non déficitaire G, avec légère dessiccation des disques intervertébraux L3-L4, L4-L5, petite lésion ligamentaire postée au niveau de L5-S1. Omalgie droite. Omalgie droite d'origine indéterminée le 21.02.2020. Omalgie droite probablement d'origine musculaire le 19.02.20. Omalgie droite sur contracture du trapèze et possible déchirure d'adhérence cicatricielle, status post stabilisation de l'épaule droite selon Latarjet le 09.09.2019. Omalgie droite sur probable lésion de la coiffe des rotateurs avec arthrose acromio-claviculaire Omalgie droite sur traumatisme direct le 21.02.2020. DD: suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs. Omalgie et douleurs au bras droit Omalgie gauche atraumatique le 18.02.2020 • avec contracture douloureuse du musculaire trapèze. Omalgie gauche extrinsèque le 21.02.20. Omalgie gauche, le 28.02.2020. DD: spondylarthropathie, arthrite acromio-claviculaire gauche. Omalgies épaule D post-traumatiques. Omalgies gauches post-traumatiques d'origine X sur status post chute directe sur le moignon de l'épaule gauche en 2016 au snowboard. Arthrose AC gauche modérée avec tendinopathie du sus-épineux et lésion partielle du sus-épineux (IRM de 2016). Omarthrose D. Omarthrose D sur lésion massive de la coiffe des rotateurs (Hamada-Fukuda IIA) Omarthrose G post traumatique sur status post • AS épaule G avec refixation d'une lésion SLAP en 2005; traumatisme en 2003 • Ablation corps étranger intra-articulaire, suture labrum par v. ouverte, ténolyse du sous-scapulaire le 30.12.2012 par le Dr X. Omarthrose grade II selon Amada épaule D et omarthrose G. Boursite sous-acromiale symptomatique. Syndrome de tunnel carpien D. On a discuté avec Mme. Y du fait que d'autres altérations aspécifiques de la perception auriculaire, comme évoqué par cette dernière, ne sont pas liées à l'intervention et pour cela, nous prions nos collègues ORL de convoquer Mme. Y. Nous allons organiser une nouvelle IRM et la reverrons après cet examen. On a discuté avec Mme. Y et ses parents des indications opératoires et de l'opération. On leur a bien expliqué les risques et complications et également les bénéfices de l'opération. On va commencer par le côté G. Ils ont donné leur consentement oral et écrit et l'opération est prévue le 01.04.2020. Elle passe aujourd'hui chez les anesthésistes pour la visite pré-opératoire. On a discuté avec Mme. Y des différentes possibilités thérapeutiques. Vu que l'infiltration a eu un grand bénéfice et que Mme. Y est actuellement confortable, nous repoussons la prise en charge chirurgicale avec l'implantation d'une prothèse Touch. On ne prévoit pas de prochain rendez-vous mais Mme. Y peut nous recontacter si les douleurs réapparaissent pour une infiltration au niveau de CMC I à gauche. On a discuté avec Mme. Y que la limitation de la mobilité est probablement due à la guérison de la fracture dans une position pas tout à fait anatomique. Les options thérapeutiques sont soit un traitement conservateur pour reprendre le maximum possible des amplitudes nécessaires pour la vie quotidienne avec une amplitude de mouvement d'environ 60° qui n'est pas loin selon le statut clinique de ce jour en sachant qu'elle n'arrivera probablement pas à reprendre son travail à 100%. L'autre alternative serait une prise en charge chirurgicale avec ablation du matériel et une ostéotomie de correction et ré-ostéosynthèse. On a expliqué à Mme. Y les deux possibilités et elle va y réfléchir et discutera des options avec son chirurgien. On lui a prescrit une incapacité de travail à 50% jusqu'au 6 mars 2020 avec augmentation graduelle de la capacité de travail jusqu'à 80% du 07.03.2020 au 04.04.2020. On a discuté avec Mr. Y des différentes possibilités. On lui conseille plutôt un traitement chirurgical vu le déplacement secondaire. Il est très clair sur l'idée de ne pas se faire opérer. Mr. Y a bien compris les risques et les bénéfices des différentes modalités thérapeutiques. On continue le traitement conservateur avec l'attelle Edimbourg. Arrêt de travail à 100% en tant que maçon. On va le voir pour un contrôle radio clinique dans 6 semaines. On a donc discuté de tous les risques péri-opératoires avec les parents et expliqué l'intervention, d'abord du côté G puis du côté D. Le consentement éclairé est signé pour les 2 côtés. On commencera donc par le côté G avec une refixation de l'épine antéro-inférieure iliaque et du tendon du muscle rectus femoralis ainsi que la correction de l'offset par voie d'abord antérieure dans les prochaines semaines. Puis après 8 semaines on fixera une pré-réservation pour le côté D et on fera une arthroscopie de la hanche D avec correction de l'offset et dénervation du labrum. On va donc organiser le bloc opératoire et on fixe également le rendez-vous chez l'anesthésiste. On a expliqué à Mme. Y et à sa maman que le déficit d'extension est à cause du raccourcissement de la phalange suite à la fracture. Pour récupérer l'extension complète, on peut soit faire une ostéotomie d'allongement soit poursuivre le traitement conservateur. Vu son jeune âge et son grand potentiel de récupération et vu qu'elle a encore les lignes de croissance ouvertes, on lui conseille plutôt le traitement conservateur. On a enlevé l'attelle Murphy ce jour. Nous ferons un contrôle radio-clinique dans 6 mois pour évaluer la progression. On a expliqué à Mme. Y que cette tuméfaction est due à des tophi goutteux. On lui propose un traitement conservateur. Avec un traitement chirurgical et une ablation des tophi, il y a un grand risque de lésion cutanée compliqué par des fistules en post-opératoire. Pour l'arthrose, vu que Mme. Y est aussi asymptomatique, on pense qu'une arthrodèse n'améliorerait pas la symptomatologie avec un grand risque d'infection et des complications à cause des tophi goutteux en parallèle. On propose plutôt à Mme. Y de se présenter chez son médecin traitant ou aux urgences en cas d'écoulement et dans ce cas bien désinfecter, prendre une antibiothérapie prophylactique et mettre une attelle temporaire jusqu'à la guérison de la peau. On reste à disposition s'il y a une péjoration de la symptomatologie. On a expliqué à Mme. Y que les douleurs sont dues à la compression du nerf médian au niveau du tunnel carpien, probablement associées aux irradiations au niveau des cervicales. Vu l'échec des traitements conservateurs, on lui propose une prise en charge chirurgicale avec une décompression du nerf médian au niveau du tunnel carpien des deux côtés. Vu qu'elle est plus symptomatique au niveau de la main gauche, on commence par ce côté. On lui explique les risques et les bénéfices de l'opération, en particulier la possibilité d'une persistance des douleurs en post-opératoire dues à la problématique cervicale. Mme. Y a donné son consentement oral et écrit.On a expliqué à la patiente qu'elle a probablement eu un traumatisme du ligament SL dans le passé avec actuellement de l'arthrose. Vu son jeune âge et les douleurs supportables, on lui propose de commencer un traitement conservateur avec de la physiothérapie et éventuellement des infiltrations. En cas de péjoration de la symptomatologie, on pourra discuter dans le futur d'une prise en charge chirurgicale avec soit une proximal row carpectomy soit une arthrodèse 4C. On va se voir dans 2 à 3 mois pour un contrôle clinique et une éventuelle organisation d'une infiltration si elle a toujours des douleurs. Nous prescrivons de la physiothérapie anti-inflammatoire avec renforcement FCR et ECRB entre temps. On a expliqué au patient qu'au bloc opératoire le ramus superficialis du nerf radialis et ses branches étaient visualisées et intactes. On lui a prescrit l'ergothérapie pour la désensibilisation et la neurologie méningée. Vu que le patient a repris ses activités ainsi que le travail à 100 %, nous ne prévoyons pas d'autre contrôle mais nous le contacterons en cas de besoin. On a expliqué au patient qu'il pourra récupérer complètement l'extension en mettant l'attelle pendant la nuit. Vu l'évolution favorable et le fait qu'il soit asymptomatique, nous ne prévoyons pas de rendez-vous mais restons à disposition en cas de besoin. On a la suspicion d'un syndrome de tunnel carpien à gauche, raison pour laquelle nous l'envoyons pour un bilan neurophysiologique au Neurocentre. Du côté droit, on a une suspicion d'un kyste radiocarpal dorsal ainsi qu'une tendovaginite de Quervain. Une ultrasonographie pour visualiser les pathologies et infiltrer avec 20 mg de DépoMédrol dans un premier temps dans le kyste et dans un deuxième temps pour la tendovaginite de Quervain est demandée à nos radiologues. Lors de la prochaine consultation, on ferait également une radio du poignet droit. La patiente est informée qu'elle est obligée de prendre à chaque rendez-vous quelqu'un pour traduire. Elle est également motivée à apprendre le français. On prévoit un prochain contrôle dans à peu près 2 mois. On a la suspicion qu'au majeur à droite, il y a eu un léger traumatisme, raison pour laquelle l'arthrodèse n'est pas complètement guérie. Vu que la patiente est peu symptomatique, on ne change rien au comportement actuel. Le Dig II est guéri selon les expectatives. Pour les douleurs intermittentes du poignet, on explique à nouveau à la patiente l'arthrose de son articulation. Comme elle arrive à bien gérer les douleurs, on ne prévoit pas de mesure opératoire. Si les douleurs se péjorent, on pourrait envisager une infiltration aux stéroïdes. Nous prévoyons un prochain contrôle radiologique pour les arthrodèses des doigts dans 8 semaines. On a prévu un dernier contrôle de suivi dans 12 mois, suite auquel, si à ce moment-là la condition clinique est encore superposable, on pourra considérer le traitement terminé. On aperçoit une progression de la consolidation osseuse au niveau du grand trochanter. Prescription de physiothérapie à sec et en piscine pour tonification des abducteurs de hanche. Prolongation de l'arrêt de travail à 100 % pour 2 mois supplémentaires et prochain contrôle radioclinique le 07.04.2020. On commence à enlever la minerve pour les repas et pour l'hygiène personnelle. Il la portera encore pour le reste de la journée pour les prochaines 2 semaines et on reverra le patient avec un scanner cervical lors de la prochaine consultation. En cas de progression satisfaisante de l'ossification, on pourra considérer le traitement terminé et enlever la minerve. On considère nécessaire d'effectuer un bilan d'ostéodensitométrie pour une raisonnable ostéoporose sous-jacente (dernier bilan effectué il y a plus de 2 ans). On a donc envoyé une demande de convocation auprès de la rhumatologie. À suivre, on reverra la patiente en février, à 2 semaines de ce jour avec une nouvelle radiographie lombaire. Si à ce moment-là la douleur persiste, après optimisation du traitement conservateur, et que la patiente est tout de même encore gênée par des douleurs invalidantes avec une aggravation radiologique voire apparition d'une cyphose qui n'est actuellement pas présente, une éventuelle prise en charge chirurgicale par cyphoplastie pourra être prise en considération. On considère que des infiltrations L5-S1 et L4-L5 devraient être avant tout envisagées pour dépister un cadre algique sur les syndromes susmentionnés. Par contre, une IRM cervicale ne montre pas d'aggravation par rapport à la précédente. On a discuté avec le patient en soulignant que les images ne posent pas de contre-indication à une réinsertion professionnelle dans un domaine adapté, avec changement de position fréquent et travail de petites livraisons, gardien, conciergerie. Au vu de cela, nous prions les collègues de l'AI qui s'occupent du cas du patient de pouvoir évaluer les possibilités de réinsertion professionnelle en raison du fait qu'en juillet la rente prévue pour la pathologie oncologique sera arrêtée. Nous prions également nos collègues oncologues de s'exprimer de façon spécifique sur les possibilités de réinsertion professionnelle du patient, liée à la pathologie traitée par leur soin. Nous reverrons le patient après les infiltrations. On décide, vu la persistance des douleurs, d'attendre encore presque 3 mois pour laisser consolider complètement l'ossification hétérotopique, faire un scanner pour visualiser, et si la clinique reste la même, il faudra planifier une ablation de cette ossification hétérotopique. On demande à notre collègue de la radiologie de regarder les images de l'IRM qui ont été faites à la demande du médecin traitant à la recherche d'une éventuelle lésion du LT ou ligament radio-triquétral. En plus, nous programmons un US à la recherche d'un kyste dorso-radial qui pourrait expliquer les douleurs, toujours par le Dr X. En traitement, la patiente doit garder son attelle pendant encore 3 semaines donc une immobilisation du pouce totale de 6 semaines. On lui a donné une prescription d'ergothérapie pour commencer la mobilisation dans 3 semaines. Arrêt de travail à 100 % pour encore 3 semaines. Elle reprendra le travail dès le 29.02.2020 et nous la reverrons pour un contrôle clinique et pour discussion des résultats de l'IRM et l'US dans 1 mois. On désinfecte avec du NaCl. Absence de signe infectieux. On refait le pansement occlusif et on reverra le patient dans une semaine. On discute avec la mère et Mr. Y de la suite. Mr. Y est informé des complications qu'il risque s'il ne se présente pas demain à l'école (plus de difficultés à l'école, police, JdP...). On conseille à la mère d'appeler le SEJ et une consultation d'urgences au CPP sera organisée pour commencer un suivi pédopsychiatrique afin d'évaluer les difficultés que Mr. Y présente, qui l'amènent à ces troubles de comportement. On discute avec la patiente des deux possibilités de traitement : opération versus traitement conservateur. Vu le caractère instable de la fracture (la patiente a vécu sans attelle pendant 2 à 3 jours et avec attelle 10 jours), on ne note pas de dislocation secondaire. On n'a pas de déformation de rotation qui limite la fonction, raison pour laquelle on conseille plutôt un traitement conservateur. Comme alternative, on pourrait envisager une ostéosynthèse par vis et par plaque. Après l'opération, le temps de reconvalescence serait d'au moins 6 semaines. Pour l'instant, la patiente se décide pour un traitement conservateur. Comme musicienne, elle a un arrêt de travail d'environ 10 %.On discute avec le patient et l'agent pénitencier qui l'accompagne. Le cadre clinique, la durée des symptômes et l'échec du traitement conservateur par infiltration avec une cohérence clinique et radiologique, nous poussent à envisager une prise en charge chirurgicale de cure de hernie discale L4-L5 par abord médian gauche, exploration intra-foraminale. Cette opération pourrait se dérouler en régime ambulatoire, mais il faut considérer que s'il y a une complication, on pourrait devoir garder le patient pour 24-48h. Au vu de cela, dans la nécessité éventuellement de planifier à priori une surveillance, on n'a pas encore organisé du point de vue logistique l'opération, mais on laisse à l'administration de l'établissement pénitencier et au cabinet médical qui s'occupe du patient la décision au sujet de faire suivre le patient auprès de l'hôpital cantonal de Fribourg ou auprès de l'unité carcérale à Bern. S'il y a la possibilité de suivre le patient à Fribourg, on aura la nécessité de le revoir pour discuter d'une façon détaillée des risques et bénéfices liés à l'opération et avoir la signature d'un consentement éclairé. On discute avec Mr. Y l'indication de l'opération. Le but est de corriger l'inclinaison palmaire pour avoir une meilleure fonction du pouce. Il donne son consentement éclairé. L'opération est prévue le 05.02.2020 à Riaz. On discute avec Mr. Y les deux possibilités de traitement : un traitement conservateur avec une syndactylie et mobilisation dès le début versus l'opération avec un fenêtrage dorsal de la corticale et un essai de désimprimer le fragment articulaire. Comme le patient est oligosymptomatique et l'articulation bien alignée, on se décide pour un traitement conservateur. L'ergothérapie est commencée à l'HFR le jour même pour une syndactylie et la mobilisation libre selon les douleurs. Nous prévoyons un prochain contrôle radiologique dans 6 semaines. On discute de manière détaillée avec le patient, en soulignant qu'actuellement une prise en charge chirurgicale est contre-indiquée au vu de la symptomatologie modeste, et qu'il faudra optimiser le traitement conservateur par des exercices de statique et de la natation. D'un point de vue général, le team hanche nous a informés par écrit qu'un traitement conservateur est à envisager actuellement pour la hanche. Notre collègue Dr. X, médecin cadre responsable du team genou, avait discuté dans le passé avec le patient pour une éventuelle correction chirurgicale au niveau du genou droit où il y a actuellement une dégénérescence avancée du cartilage, mais pour l'instant, le patient souhaite attendre. De notre point de vue, nous reverrons le patient dans 6 mois. Nous laissons nos collègues du team hanche et du team genou réévaluer le patient. On discute donc avec Mr. Y des possibilités thérapeutiques et on opte pour une révision de la cupule par voie latérale avec ostéotomie trochantérienne et remplacement de la cupule par une cupule double mobilité. Nous planifions donc l'opération le 01.07.2020 et programmons une consultation chez les anesthésistes. On effectue une injection de 100 mg progestérone (médicament personnel) i.m. (dans les fesses) sans complication. Mme. Y revient demain pour un geste infirmier et pour une deuxième injection. On effectue une radiographie thoracique qui ne montre pas de fracture de côte. Au niveau du poignet gauche, on note une possible fracture du poignet dorsal et de la base M3. Le CT demandé confirme cette hypothèse en ce qui concerne le poignet, montrant une fracture de la base M3 à gauche. Selon l'avis orthopédique, nous mettons en place une attelle Edimbourg, une antalgie et un contrôle auprès du Dr. X dans 2 semaines. On effectue une réduction fermée sous analgésie orale, on pose un plâtre. On est à 10 jours de l'accident de ski entraînant le diagnostic susmentionné avec une bonne évolution radioclinique. Changement de la bande élastique autour du plâtre qui est légèrement resserré. Nous reverrons Mr. Y dans 2 semaines pour mettre en place une botte plâtrée puis faire un contrôle radiologique. S'il y a mise en évidence d'un signe de consolidation, on permettra la charge dans le plâtre durant les 2 semaines suivantes. On explique à la patiente que cliniquement, on pense plutôt que les douleurs ne sont pas à cause de ces kystes. On lui organise une infiltration sous sonographie au niveau du SL. Nous la revoyons après l'infiltration pour évaluer l'évolution. Au regard de la reconstruction de RCL, l'évolution est tout à fait favorable. Nous lui avons conseillé de faire la physiothérapie et l'ergothérapie comme prescrit la dernière fois pour récupérer les amplitudes. On explique au patient l'origine de la corde de la maladie de Dupuytren. Comme pour l'instant la collagénose (Xiapex) n'est plus vendue sur le marché, nous lui proposons une fasciectomie partielle de la corde. En post-opératoire, une attelle tendant les doigts doit être portée pendant au moins 6 à 8 semaines la nuit. Comme il a déjà des engagements de prévu en avril, nous lui proposons la date du 25.02.2020 à Tavel. On explique au patient que cette déformation peut être due à la chute ou à la maladie de Dupuytren. On va organiser une IRM à la recherche d'une lésion de la bandelette centrale. Nous lui avons conseillé une prise en charge chirurgicale avec fasciectomie et plastie en Z versus en lambeau pour la prise en charge de cette maladie de Dupuytren au 5ème rayon à gauche avec une éventuelle refixation de bandelette centrale si c'est confirmé à l'IRM. Le patient a bien compris les risques et bénéfices de l'opération et a donné son consentement oral et écrit. On explique au patient que ses douleurs au niveau des hanches sont probablement dues à la couverture acétabulaire augmentée et à un blocage mécanique. C'est pour cela qu'il n'y a pas d'atteintes de cartilage classiques. On lui organise une infiltration à but thérapeutique et diagnostique. On commence soit par une prise en charge chirurgicale directe avec implantation d'une prothèse totale de hanche, soit des infiltrations de hanches ddc et on le reverra pour un contrôle 3 semaines après l'infiltration le 07.04.2020 pour discuter du suivi. On explique au patient qu'il a une fracture au niveau de l'humérus proximal, ce qui explique la symptomatologie douloureuse. On lui prescrit des séances de physiothérapie pour reprise des amplitudes, surtout en abduction et antépulsion en actif assistée. Prescription d'anti-inflammatoires à prendre d'office. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. On explique au patient qu'il a une protrusion discale associée avec une hernie actuellement comprimant la racine S1 à gauche. On a discuté de plusieurs options thérapeutiques. On lui organise une infiltration de la racine de S1 à gauche. On se revoit pour un contrôle clinique le 10.03.2020 pour discuter de l'évolution et lui expliquer aussi qu'une prise en charge chirurgicale éventuelle serait liée à un haut risque de récidive à cause d'un disque pathologique. On explique au patient qu'une partie des douleurs au moins est imputable à un conflit tibio-astragalien associé à une arthrose avec un pincement de l'interligne marqué au niveau antéro-médial à la jonction tibio-astragalienne. Toutefois, cette arthrose ainsi que le conflit associé n'expliquent pas toute la symptomatologie du patient. En particulier, certains éléments de l'anamnèse évoquent un syndrome d'algoneurodystrophie tandis que d'autres évoquent un problème d'origine vasculaire. C'est pourquoi nous prions nos collègues de l'angiologie de convoquer le patient pour un bilan artériel du membre inférieur gauche. De plus, nous prions nos collègues de la rhumatologie de aussi convoquer le patient, compte tenu de l'évocation d'une maladie de Sudek. Le patient pourra nous être réadressé le cas échéant suite à ces 2 consiliums.On explique aux parents qu'il s'agit d'une maladie multifactorielle pour laquelle, vu qu'il est toujours asymptomatique, on n'a aucun procédé chirurgical que l'on peut prendre en considération pour le moment, mais s'il devenait symptomatique, on devra agir rapidement avec une chirurgie de correction au niveau du toit acétabulaire avec une ostéotomie du bassin et une distalisation du grand trochanter pour prolonger le plus longtemps possible la possibilité d'une implantation de PTH. Dans la maladie de Legg-Calvé-Perthes, la moitié des patients ne sont pas symptomatiques comme lui. Par contre, l'évolution vers des douleurs dues à la formation d'un conflit fémoro-acétabulaire et la présence d'une antéversion très importante surtout à gauche provoque une compensation de la colonne lombaire avec des douleurs à ce niveau-là. On propose donc le suivi clinique du patient avec un contrôle radioclinique dans 1 an, le 09.02.2021, avec RX bassin face hanche axial droite et gauche, mais en cas de symptômes, on anticipera le rendez-vous et on fera un scanner pour mesurer la torsion fémorale et une IRM. On montre à Mr. Y la radio et le scanner. On lui explique l'ostéosynthèse par vis canulée et la transfixation MC I/II. En post-opératoire, il doit porter une attelle rhizarthrose pendant 6 semaines, avec un arrêt de travail comme chauffeur d'environ 8 semaines. L'opération est prévue le 20.02.2020 à Tavel. On ne considère pas nécessaire de fixer un prochain rendez-vous, mais on reste à disposition en cas de récidive de la symptomatologie. On a bien spécifié au patient que le cadre discopathique et arthropathique pour lequel il a été traité est un cadre chronique et qu'il sera très important d'effectuer des activités d'élongation musculaire et de prévention avec hygiène posturale. On lui a donné une ordonnance de physiothérapie. On ne note pas de dislocation secondaire de ces fractures spiroïdes métacarpiens III et IV. Le traitement conservateur peut être poursuivi. On adapte l'attelle équerre à une attelle métacarpal brace avec appui aux MCP III et IV de 60° pour 2 semaines en plus. Après, raccourcissement de l'attelle et libération des MCP également. Syndactylie de III et IV. Arrêt de travail 100 % jusqu'au prochain contrôle. Arrêt de sport pour 2 mois. On ne pose pas de contre-indication à l'éventuelle nécessité d'effectuer des traitements cardiovasculaires spécifiques. Le patient, qui garde tout de même une polymorbidité, est actuellement suivi pour les problèmes urologiques et l'urologue a prévu des examens spécifiques par la gastro-entérologie de Riaz, et également par le Dr. X, cardiologue, qui a proposé une éventuelle thérapie endo-vasculaire pour la problématique cardiologique (information donnée par le patient, pas de documentation spécifique). Le cadre cérébral actuel est tout à fait compatible avec d'autres traitements s'il y a la nécessité. De notre point de vue, nous reverrons le patient dans 6 mois pour le suivi habituel dans le cadre de méningiome pour exclure une éventuelle récidive précoce qui pourrait bénéficier, dans le contexte d'une taille réduite, d'une éventuelle thérapie irradiante sans la nécessité de réopérer. On souligne bien l'importance de continuer les traitements réadaptatifs ambulatoires à domicile. On note que la prescription d'anti-inflammatoire n'a pas permis d'amendement de la symptomatologie décrite par Mme. Y. Nous notons également que les tests provocatifs effectués ce jour sont tous négatifs. Compte tenu de la notion de douleurs survenant sous forme de décharges électriques, nous suspectons une composante neuropathique. C'est pourquoi on adresse Mme. Y au neurologue pour un bilan. Nous restons à disposition. On note que l'infiltration a eu un bon effet. Le patient est rassuré quant à ses douleurs en regard du bord latéral du pied sur l'absence de fracture. Le patient reçoit une prescription de vaseline salicylée à appliquer une fois par jour en attendant qu'il puisse voir un dermatologue. Il a déjà rendez-vous avec son médecin traitant demain pour discuter de ce problème. De plus, il est adressé chez le plâtrier médical pour la confection de semelles de décharge en regard des lésions plantaires. Prochain contrôle dans 1 mois. On note une évolution favorable. La patiente est envoyée chez nos plâtriers pour la confection d'une cale du bord externe du pied à porter progressivement dans les chaussures afin de soulager les tendons péroniers et de prévenir la récidive. Prochain contrôle dans 1 mois. À cette occasion, si la cale a été efficace, on pourra adresser la patiente chez le maître bottier pour la confection de semelles orthopédiques. On note une évolution favorable suite à l'infiltration du 05.02.2020. Les douleurs latérales sont imputables à une inflammation des péroniers. Le patient reçoit une prescription pour de l'Ecofénac lipogel à appliquer 2 fois par jour. Nous recommandons la poursuite du port des semelles valgisantes, qui devraient permettre de soulager les péroniers à terme. L'arrêt de travail de 30 % est prolongé jusqu'au prochain contrôle qui est prévu dans 2 mois. On note une lésion de EDC IV qui est probablement liée à l'arthrose de la DRUG, les ostéophytes ont provoqué une lésion du tendon EDC IV. On planifie une ultrasonographie pour confirmer ce diagnostic et exclure une atteinte de EDC V. Après l'ultrasonographie, nous discuterons du traitement chirurgical. Très probablement, nous ferons une ablation des ostéophytes et une ténodèse du EDC IV sur EDC V. En cas de péjoration des douleurs de l'arthrose DRUG, nous pourrions envisager une prothèse partielle de la tête ulnaire (Eclipse) ou bien une prothèse totale (Schecker). L'option de faire une résection de la tête ulnaire (Darrach) ne nous semble pas être une procédure de choix, vu que ça peut être lié à une instabilité du moignon de l'ulna qui pourrait causer des problèmes à la conduite d'une chaise roulante. Nous prévoyons un prochain contrôle après l'ultrasonographie. On note une nécrose sèche sans signe de complication. Nous proposons au patient de mettre un pansement sec avec compresses et Cofix. Le patient sera revu le mardi 04.02.2020 par le Dr. X, chef de clinique en orthopédie, pour suite de la prise en charge. On observe un arrêt des saignements suite au traitement hypotensif par Beloc 5 mg IV et Trandate 50 mg IV ainsi qu'avec une compression locale avec compresse et Tabotamp. Nous laissons rentrer la patiente après le contrôle tensionnel et la patiente consultera son dentiste demain matin. Nous remettons des compresses ainsi que du Tabotamp à la fille en cas de nouveau saignement et lui expliquons le geste à adopter si resaignement. Au départ de l'hôpital, la patiente était stable sur le plan tensionnel et le saignement était arrêté, mais se présente aux urgences 45 minutes plus tard avec un resaignement avec des pressions artérielles à 215 mmHg systolique. Nous réintroduisons du Trandate à 45 mg/h et proposons de nouveau une compression avec du Tabotamp. Le patient reprend par la suite son traitement par Aprovel, qui baisse la pression artérielle à 170/80 mmHg. Nous administrons alors une dose de Nifédipine retard 20 mg, permettant d'obtenir un bon contrôle de la tension artérielle. Nous contactons son dentiste, qui accepte de la voir dans la matinée pour cautériser le saignement. Nous conseillons ainsi à Mme. Y de prendre contact le lendemain avec son généraliste pour l'adaptation du traitement antihypertenseur et du traitement anticoagulant.On observe une amélioration des symptômes après Paracétamol et AINS avec douleurs évaluées à 1/10. Les examens biologiques montrent une anémie microcytaire hypochrome (à investiguer chez médecin traitant) et CK augmentés à 8559, ALT 60, ASAT 210, qu'on explique par les exercices physiques de cross-fit il y a 4 jours. L'IRM cérébral est dans la norme. On retient le diagnostic de migraine atypique, le patient rentre à domicile avec antalgie simple et contrôle chez le médecin traitant. On organise une IRM du coude. On demande à notre collègue en anesthésie, le Dr. X, de faire une infiltration du nerf interosseux postérieur. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 6 semaines pour discuter des résultats des deux examens. On parle de façon très détaillée avec la patiente et la fille. Bien que le cadre radio-clinique et électrophysiologique parlent pour une indication chirurgicale, que l'on partage également, il serait nécessaire d'envisager une prise en charge physiothérapeutique pré-opératoire et post-opératoire pour optimiser les possibilités de récupération de la patiente. À ce sujet, une ordonnance pour des exercices de renforcement musculaire au niveau de la cuisse gauche a déjà été donnée, associée à une ordonnance pour un rollator. En plus, on remarque un cadre de stase veineuse avec un œdème dur au niveau des membres inférieurs des deux côtés, dans le contexte raisonnable d'un problème associé à la maladie métabolique de base. Avant de l'opérer, on envisage donc une évaluation spécifique auprès de nos collègues d'angiologie pour exclure un cadre de thrombose veineuse, chose pour laquelle on prie nos collègues de pouvoir nous tenir au courant après avoir convoqué la patiente. Nous pré-réservons une date opératoire à 6 semaines de ce jour, un consentement éclairé lui a déjà été expliqué et remis à la patiente et un consilium d'anesthésie demandé. On peut raisonnablement poser l'indication à l'implantation d'une PTH à G. L'opération peut se faire par voie antérieure avec implantation d'une prothèse non cimentée tant au niveau de la cupule que de la tige type pinacle-corail. Signature du consentement ce jour et organisation de l'opération prévue le 20.05.2020. On poursuit avec le traitement conservateur avec immobilisation dans un plâtre cruro-pédieux pendant encore 3 semaines, puis le patient reviendra pour un contrôle radio-clinique à notre consultation, confection d'une botte plâtrée à porter pour encore 2 semaines. On prévoit donc une PTH G cimentée type Fitmore MS-30 qu'on peut très bien envisager par voie d'abord antérieure. On planifie l'opération pour le 09.04.2020. Le patient sera encore vu en consultation d'anesthésie et je laisse le soin à la Dr. X d'organiser un arrêt du Marcouar avec relais par Clexane avec un arrêt total de l'anticoagulation 48h avant l'intervention. On prie le Dr. X du centre de la douleur chronique d'évaluer la possibilité d'une cryothérapie directe. En cas d'échec d'un traitement mini-invasif par cryothérapie, une excision de la plaie chirurgicale avec coagulation directe des berges de plaie et une nouvelle suture devra être discutée. On procède aujourd'hui à l'ablation des fils. Le patient doit continuer la marche en charge partielle (15-20 kg) durant encore 5 semaines. Mobilisation de la cheville en flexion-extension hors du plâtre de manière quotidienne. Prochain contrôle radio-clinique à ma consultation à 6 semaines post-opératoires le 10.03.2020. On propose de faire des bains à Dakin avant le changement de pansement. Pansement stérile sec. Les instructions sont données. M. Y est informé qu'il doit se représenter immédiatement dès qu'il y a le moindre doute d'une récidive de l'infection. On rassure le patient et on reste à disposition en d'élément nouveau et pas de médication antalgique. On refait le pansement avec mise en place d'une botte plâtrée fendue. Prochain contrôle chez son médecin opérateur au HUG mardi prochain. On refait le pansement. Il peut être laissé en place jusqu'au 03.02.2020, date du prochain contrôle. On renonce à l'infiltration vu l'évolution favorable. Je le revois pour un contrôle à 6 semaines. On retient le diagnostic d'une anémie régénérative postopératoire symptomatique (tachycardie sinusale). La patiente rentre à domicile avec contrôle clinico-biologique à la FUA à 48 heures. On retient le diagnostic d'une anémie régénérative postopératoire symptomatique (tachycardie sinusale). La patiente rentre à domicile avec contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires dans 48 heures. On retient un traitement conservateur avec la mise en place d'un traitement de physiothérapie pour détendre les chaînes musculaires postérieures, corriger le schéma de marche et travail des amplitudes articulaires. Attelle optionnelle et peut être portée la nuit. Pour la journée, déambulation avec des cannes anglaises jusqu'à un schéma de marche harmonieux. Prochain contrôle dans 2 semaines. Incapacité de sport pour 6 semaines, soit jusqu'au 01.03.2020. On retrouve une hypotension orthostatique dans le contexte infectieux de gastrite avec vomissements. Après l'hydratation IV aux urgences, la patiente rentre à domicile avec continuation d'hydratation per os. On retrouve 2 problèmes : un léger hallux valgus et une arthrose de degré modéré. Compte tenu du contexte, la première procédure que nous proposons en cas d'aggravation de la symptomatologie qui paraît d'ailleurs pour l'instant encore gérable, serait une infiltration de la 1ère articulation MTP. La deuxième option serait une chéilectomie dorsale de la tête MT1 qui pourrait améliorer l'inflammation locale mais qui risquerait d'être une procédure limitée par rapport à la composante liée à l'hallux valgus. En revanche, une solution chirurgicale plus conséquente serait une arthrodèse de MTP1 avec correction de l'hallux valgus et de l'arthrose MTP1 en même temps. La patiente va réfléchir et nous recontactera si besoin afin de programmer une infiltration et puis éventuellement discuter de la suite. On suspecte une forte contusion de l'épaule D avec une possible lésion au niveau des tendons de la coiffe. Le patient a fait, il y a environ 1 mois, une IRM qu'il ne nous a malheureusement pas amenée. On va donc réévaluer le patient avec les images dès que possible, afin de décider d'une éventuelle prise en charge chirurgicale. Entre-temps, le patient doit poursuivre la physiothérapie avec décompression sous-acromiale. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 8 mars 20. Prochain contrôle dans 6 semaines. Ondansetron 0,15 mg/kg Normolytoral 50 mg/kg sur 4 heures Compensation des pertes. Ondansétron 3 mg prise unique. Ondansetron 3x/T depuis le 11.02.2020 Domperidon en réserve. Ondansétron 4 mg Antalgie par Algifor p.o., Perfalgan i.v., Novalgine p.o., Ulcar p.o., Nexium. Gazométrie, FSC, CRP Stix et sédiment urinaire Bolus 400 ml de NaCl 0,9% sur 1 heure, puis entretien par Glucosalin 80 ml/h. Ondes T négatives en territoire antéro-septal le 18.02.2020. - DD sur hypoxie sévère - Artères coronaires saines avec réseau de Thébesius - Hyperkinésie VG systolique, EF 70%. Ongle du pouce droit décollé, avec début d'infection du lit unguéal. Ongle incarné. Ongle incarné à l'hallux droit, douloureux. Ongle incarné bord médial de l'hallux D. Ongle incarné bord médial hallux D. Ongle incarné hallux D, le 01.02.2020. Ongle incarné hallux droite. Ongle incarné le 13.02.2020. Ongle incarné O1 pied gauche le 13.02.2020. Ongle incarné rebord latéral de l'hallux D. Ongle incarné (1er orteil D). Ongles incarnés ddc. Ongles incarnés des bords internes et externes des deux gros orteils.Cure d'ongles incarnés des bords internes et externes des deux gros orteils selon Kocher. Abrasion de la cornée œil gauche sur corps étranger. • Ongles incarnés en 2011. • Onguent nasal RÜEDI Spirig HC. • OP au laser œil D. • Oppression rétro-sternale sur probable angor sous Aspirine cardio. • Traitement conservateur d'une hernie discale L4-L5 D luxée vers le bas en 2007. • Rupture tendon quadriceps D; le 11.04.2017. • Douleur thoracique/épigastrique le 03.07.2018. • OP: Césariennes 4x. • OP Correction septale (correction de la cloison nasale) en 2016. • OP de correction 3ème orteil pied G en mars 2018. • Hystérectomie en 2015 pour fibrome. • OP nodule sein G en 2010. • Palpitations 2018 sans syncope. • Excision de polypes nasaux des 2 côtés en 2003. • OP fracture radius distal D en 1983. • Traitement conservateur fracture radius distal G en 1981. • OP hernie discale L4-L5. • OP kyste main D, 3x. • Status post OS fracture jambe D le 20.02.2016 par plaque métaphysaire du tibia et plaque tiers tube du péroné le 30.06.2017. • Ablation du matériel d'OS jambe D (OP le 15.05.2017). • OP le 02.04.2020. • OP le 03.02.2020 : arthroplastie carpo-métacarpienne I à G par prothèse Touch (coupule 9, tige 3, col 15° 8). • OP le 04.02.2020. • OP le 04.02.2020. • Contrôle post-opératoire le 19.03.2020. • OP le 04.03.2020. • Consultation post-opératoire le 03.04.2020. • OP le 10.02.2020. • OP le 10.02.2020. • OP le 11.02.2020 à l'HFR Riaz. • OP le 11.02.2020. • Contrôle post-opératoire le 27.03.2020. • OP le 12.02.2020. • Contrôle post-op le 27.03.2020. • OP le 12.03.2020. • OP le 14.01.2020. • OP le 14.05.2020. • OP le 16.04.2020. • OP le 17.02.2020. • Prochain contrôle le 11.03.2020. • OP le 18.02.2020. • OP le 18.03.2020. • OP le 19.02.2020. • Contrôle post-opératoire le 03.04.2020. • OP le 19.03.2020. • OP le 22.04.2020. • OP le 27.01.2020 : Dig IV G : réduction ouverte, ostéosynthèse de P3 par plaque Aptus 1.5 mm TriLock avec réinsertion du tendon FDP III (corkscrew + Prolène 3.0). Antibioprophylaxie par co-amoxicilline i.v. puis p.o. pour 5 jours au total. • OP le 29.01.2020. • Contrôle post-opératoire le 06.03.2020. • OP tunnel carpien D. • Hystérectomie 2001. • AS genou D et méniscectomie partielle interne 06/12. • Fracture radius distal G, tx conservateur 11/2013 ; densitométrie 03/14 : pas d'ostéoporose, mais TBS fortement altérée. • Pneumonie basale gauche, d'acquisition communautaire. • Incidentalome surrénalien gauche (diagnostic 2008). - non sécrétant ; CTRL IRM 02/18 : stable (2x2.6x2.6 cm), dernier bilan hormonal en 2008. - IRM contrôle 10/2019 : masse stationnaire, faire contrôles bisannuels puis annuels. DD adénome sécrétant actuellement. - avis endocrinologique (Dr. X) le 19.12.2019. - suivi ambulatoire avec bilan hormonal dans le service d'endocrinologie à Fribourg. • OP 01.04.2020. • OP 28.01.2020 (ERAOS). • Contrôle post-opératoire le 13.03.2020. • Opacité nodulaire de 4 mm à l'apex gauche de découverte fortuite. • Opacité para-hilaire droite dans un contexte de SIADH d'origine indéterminée le 09.02.2020. • Opacité spiculée d'env. 1 cm intéressant le segment supérieur de la lingula le12.08.2017. - CT thoracique le 29.11.2017 : disparition quasi complète des lésions précédemment décrites actuellement non suspecte. Epanchements pleuraux de type transsudat d'origine indéterminée le 18.08.2017. Fracture ilio-ischio-pubienne droite sur chute accidentelle le 31.01.2018 : prise en charge conservatrice. • Opération : PTH voie d'abord latérale hanche D le 12.02.2020 (Dr. X). IOT (CK-IIb) le 13.02.2020 par anesthésie. Cathéter artériel radial gauche du 12.02.2020 au 13.02.2020. Radiographie hanche F/P le 13.02.2020. Clexane prophylactique après 6h postop. Zinacef 1.5 gr iv 3x24h postop. Mobilisation en charge 15 kg pour 8 semaines. Flexion max hanche 70° pour 8 semaines. Ablation Redon à J2 sur ordre médical. Pansement à J2. Ablation agrafes à J14 chez le MT. Contrôle RX clinique chez le team hanche à 8 semaines postop. • Opération agendée au 03.04.2020. • Opération agendée au 10.03.2020. • Opération agendée le 14.04.2020. • Opération au cerveau il y a 4 ans (tumorectomie ?) - sans précision. Auto- et hétéro-agressivité le XX.XX.XXXX avec : - Intoxication alcoolique aiguë. - Affirmation de consommation de 18 comprimés de Rivotril 2 mg (peu d'argument clinique pour croire le patient). - Lacérations thoraciques multiples faites dans le foyer. - Multiples lacérations des membres inférieurs faites aux urgences. • Opération au niveau de la thyroïde en raison d'un kyste en 2000. • Hernie ombilicale. • Opération au niveau de la thyroïde en raison d'un kyste, en 2000. • Hernie ombilicale. • Métastases au niveau des lobes inférieur et supérieur droits d'un carcinome folliculaire pTx cN0 pM1, stade IV, le 20.02.2020. - Status post-thyroïdectomie totale bilatérale le 27.04.2000. • Syncope vaso-vagale, le 24.02.2020. - DD : Orthostatique/situationnelle sur la douleur. • Opération bilatérale des tympans. • Cholécystectomie. • Suspicion de passage d'un calcul rénal gauche avec dilatation persistante du pyélon à 1,7 mm et des calculs dans le calice à gauche. • Extraction de calcul rénal à gauche il y a 40 ans. • NSTEMI le 11.06.2019. • Opération cataracte. • Ostéosynthèse radius distal G 01.2015. • Ostéosynthèse olecrâne G 03.2006. • Prothèse épaule D 2005. • Fracture ischio-pubienne 2003. • Opération cloison nasale 05/2019. • Opération de cataracte le 03.02.2020. • Status post appendicite à l'âge de 8 ans. • Status post opération pour kyste sein gauche. • Opération de cataracte 03.02.2020. • S/p APP à l'âge de 8 ans. • S/p opération pour kyste sein G. • Opération de cheville, bras et 2 genoux et embolisation de la rate suite à un AVP en 2005. • Opération de la cataracte aux deux yeux (G 2010, D 2012), fecit Dr. X. • Appendicectomie non datée. • Bronchospasme dans un contexte d'infection des voies respiratoires probablement virale le 16.02.2013. • Hallucinations visuelles le 13.05.2017 dans un contexte du syndrome de Charles Bonnet. • MMSE le 15.05.2017 : 28/30. • MOCA-test : Légère atteinte cognitive à 23/30. • Vertiges de type tangage le 13.05.2017. DD : Central, trouble du rythme. Avis cardiologique Dr. X : ablation de flutter auriculaire le 02.03.2017. • Chute sans traumatisme crânien ni complication le 17.05.2017. • Opération de la cataracte bilatérale. • Opération de la cataracte bilatérale en 2012. • Hystérectomie en 2005 aux HUG pour carcinome de l'endomètre. • Cholécystectomie (lithiase) en 1999. • Éventration avec plaie cutanée abdominale para-ombilicale gauche de décubitus et greffe de peau (Thiersch) en 2017 (Dr. X). • Opération de la cataracte œil gauche en septembre 2017. • Hernie discale L5 traitée conservativement. • Coliques néphrétiques récurrentes jusqu'en 2006. • Appendicectomie en 1967. • Embolie pulmonaire centrale de haut risque le 10.10.2017. • Opération de la cheville gauche. • Plusieurs épisodes de lithiases rénales traitées au Daler. • Canalolithiase du canal semi-circulaire postérieur gauche. • Traumatisme costal gauche suite à une chute de sa hauteur, point de réception : hémithorax gauche. • Opération de la cloison nasale en 2011. • Cautérisation de la cloison nasale. • Probable sinusite éthmoïdale : opération de la cloison nasale le 02.07.2012.Lombalgie gauche aiguë non déficitaire. Opération de la hanche 2010. Lésion du tendon du biceps, opérée. Opération de la prostate en 1995 et 2005 pour hyperplasie bénigne de la prostate. Lithiase urinaire en 2000. Cure de hernie discale lombaire environ en 2000. Suspicion de neuroborréliose en 2011. État fébrile d'origine indéterminée le 05.12.2014, d'origine probablement mixte. Globe urinaire le 05.12.2014. Cure de hernie inguinale et appendicectomie préventive en 08.2015. Opération de l'hallux droit en 2001. Anémie normochrome normocytaire hyporégénérative probablement d'origine rénale 11/2016. DD : composante hémolytique probablement sur microangiopathie rénale. Opération de l'œil D suite à la réception d'une vis dans l'œil (1991) (visus 10 %). Opération de la cataracte D. Amputation du majeur D suite à un accident avec une arme à feu (1959). Fracture de la clavicule G dans l'enfance traitée conservativement. Opération de malformation cardiaque à l'âge de 4 ans. Obésité traitée par by-pass gastrique en 2016 avec cholécystectomie. Opération de Spina Bifida à l'âge de 5 ans. OST et OS tibia gauche à l'âge de 14 ans. Multiples épisodes d'érysipèle du membre inférieur gauche, le dernier en mars 2013. Escarre sacrée en mars 2013. Reconstruction d'un lambeau IGAP fesse gauche avec excision profonde et superficielle de la peau le 15.11.2015 sur • ulcère de décubitus (grade 5) fesse gauche avec ostéomyélite chronique os ischiatique. Décompensation cardiaque globale le 16.01.2018 • œdème des membres inférieurs d'apparition progressive depuis plusieurs années. • dyspnée NYHA III. • NT Pro-BNP à 6727 ng/l le 17.01.2018. Escarre sacrée infectée à Proteus mirabilis le 09.07.2019 • avec abcès en regard du coccyx. • dans un contexte de paraplégie et insuffisance musculaire du tronc sur Spina Bifida. Débridement avec Stiefel et aquacel Ag d'un abcès en regard du coccyx de manière itérative dès le 11.07.2019. Confection d'une transversostomie à double-canon le 12.07.2019. Co-amoxicilline 2.2 g intraveineuse 3x/jour du 11.07.2019 au 18.07.2019. Antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g per os 3x/jour dès le 18.07.2019. Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë post-opératoire avec composante chronique plurifactorielle le 12.07.2019 • interférence diaphragmatique et atélectasies transitoires. • syndrome obésité-hypoventilation (oxygénothérapie nocturne 3 l/min). • syndrome d'apnée/hypopnée obstructif du sommeil de degré modéré appareillé. • syndrome restrictif léger (fonction pulmonaire mars 2019). • cœur pulmonaire avec hypertension artérielle pulmonaire importante. Oxygénothérapie et physiothérapie respiratoire. Soutien respiratoire par CPAP personnelle. ETT le 11.07.2019 : FEVG à 55 %. Dilatation importante du ventricule droit avec dysfonction modérée. Hypertension artérielle pulmonaire importante (PAPs à 76 mmHg). Opération des amygdales il y a 20 jours. Accident il y a 6 mois, opéré à Neuchatel. Opération des épaules des deux côtés. Crise aiguë de maladie de Ménière 01/2014. Kystectomie rein gauche, par le Dr X. Selon le patient histologie bénigne, non tumorale, début 2016. Douleur loge rénale droite : possible colique néphrétique (pas d'imagerie, stix sans particularité). Possible lithiase rénale droite, il y a 4 ans selon le patient. Décembre 2016. Diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIa le 09.08.2018. Hypertrophie prostatique avec calcifications en son sein. Infection urinaire basse. Colique néphrétique gauche avec lithiase urétérale distal de 3 mm, le 24.09.2018. Opération des ligaments pied gauche et droit en 1997. Plaie par écrasement face radiale de Dig II gauche. Plaie par écrasement face radiale de Dig III gauche avec rupture de la bandelette radiale du ligament collatéral en regard de l'IPD (accident du 16.09.2018). Traumatisme crânien avec perte de connaissance le 28.04.2019. Fracture extra-articulaire en regard du condyle de la mandibule à gauche le 28.04.2019. Plaie lacéré contuse lèvre inférieure le 28.04.2019. Opération des varices à 48 ans. Lobectomie gauche. Fracture sous-capitale de l'humérus droit, le 28.04.2018. Pneumonie le 02.05.2018. Hypocalcémie à 2,15 mmol/l le 04.05.2018. Insuffisance rénale semblant chronique. Opération des végétations non datée. Angine à Streptocoque non datée. Opération du biceps en 2014 sans précision. Opération du genou droit. Colique néphrétique. Traumatisme œil gauche par un corps étranger métallique. Opération du genou gauche pour une excision d'une excroissance osseuse à l'âge de 10 ans. Opération du ménisque gauche. Opération du nez en raison d'une déviation de la cloison. Fracture d'un doigt. Fracture basale P1 D2 main gauche. Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Y 1.5. Aura prolongée le 24.03.2018 : • dans probable contexte d'une hémorragie du semi-ovale gauche en 2011. Ulcérations et fissures linguales le 05.12.2019. Opération d'un kyste mammaire gauche en 1976. Hernie ombilicale symptomatique avec collet de 1.5 cm à contenu réductible. • Cure d'une hernie ombilicale par scopie avec filet le 13.04.2011. Fasciite plantaire pied D le 23.12.2017. Opération d'une sténose urétrale en 2015. Opération en urgence le 21.02.2020, hémostase par cautérisation (Dr X). Acide tranéxamique le 21.02.2020. Fibrinogène 1 g le 22.02.2020. Co-Amoxicilline du 21.02 au 25.02.2020 (5 jours). Solumédrol 125 mg le 21.02 et le 22.02.2020. Clexane dès le 22.02.2020. Alimentation lisse et froide dès le 22.02.2020. Opération épaules des deux côtés. Crise aiguë de maladie de Ménière 01/2014. Kystectomie rein gauche, par le Dr X dans un contexte de douleur en loge rénale gauche sans hématurie macroscopique, un CT a été fait et a permis de visualiser le /les kystes avec décision de kystectomie à visée diagnostique, selon le patient histologie bénigne, non tumorale, début 2016. Douleur loge rénale droite interprétée comme colique néphrétique (pas d'imageries, stix décrit comme sans particularité). Possible lithiase rénale droite, il y a 4 ans selon le patient. Décembre 2016. Diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIa le 09.08.2018 : • Antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl IV, puis prise en charge ambulatoire avec laboratoire et contrôle clinique la semaine suivante chez le médecin traitant. • CT 09.08.18 : status post-kystectomie du rein gauche avec accolement de ce dernier au fascia de Zuckerkandl, en lien avec le s/p opératoire. Multiples kystes corticaux des deux côtés. Le plus grand au niveau de la lèvre postérieure du rein droit mesurant 53 x 67 x 73 mm. Concrétions calciques hyperdenses (251 HU) dans le bas-fond vésical, mobilisables aux changements de position. Hypertrophie prostatique avec calcifications en son sein. Infection urinaire basse, AB dans le contexte de la diverticulite. Antibiothérapie par Ciproxine cpr 500 mg et Flagyl cpr 500 mg du 10.08.2018 au 17.08.2018.Colique néphrétique gauche avec lithiase uretère distal de 3 mm, le 24.09.2018 Opération épaules des deux côtés Crise aigüe de maladie de Ménière 01/2014 Kystectomie rein gauche, par le Dr. X dans un contexte de douleur en loge rénale gauche sans hématurie macroscopique, un CT a été fait et a permis de visualiser le /les kystes avec décision de kystectomie à visée diagnostique, selon patient histologie bénigne, non tumorale, début 2016 Douleur loge rénale droite interprétée comme colique néphrétique (pas d'imageries, stix décrit comme sans particularité) Possible lithiase rénale droite, il y a 4 ans selon le patient. Décembre 2016 Diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIa le 09.08.2018 : • Antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl IV, puis prise en charge ambulatoire avec laboratoire et contrôle clinique la semaine suivante chez le médecin traitant. • CT 09.08.18 : status post-kystectomie du rein gauche avec accolement de ce dernier au fascia de Zuckerkandl, en lien avec le s/p opératoire. Multiples kystes corticaux des deux côtés. Le plus grand au niveau de la lèvre postérieure du rein droit mesurant 53 x 67 x 73 mm. Concrétions calciques hyperdenses (251 HU) dans le bas-fond vésical, mobilisables aux changements de position. Hypertrophie prostatique avec calcifications en son sein. Infection urinaire basse, AB dans le contexte de la diverticulite • Antibiothérapie par Ciproxine cpr 500 mg et Flagyl cpr 500 mg du 10.08.2018 au 17.08.2018 Colique néphrétique gauche avec lithiase uretère distal de 3 mm, le 24.09.2018 Opération épaules des deux côtés Crise aiguë de maladie de Ménière 01/2014 Kystectomie rein gauche, par le Dr. X. Selon patient histologie bénigne, non tumorale, début 2016 Douleur loge rénale droite : possible colique néphrétique (pas d'imagerie, stix sans particularité) Possible lithiase rénale droite, il y a 4 ans selon le patient. Décembre 2016 Diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIa le 09.08.2018 : • CT 09.08.18 : status post-kystectomie du rein gauche avec accolement de ce dernier au fascia de Zuckerkandl, en lien avec le s/p opératoire. Multiples kystes corticaux des deux côtés. Le plus grand au niveau de la lèvre postérieure du rein droit mesurant 53 x 67 x 73 mm. Concrétions calciques hyperdenses dans le bas-fond vésical, mobilisables aux changements de position. Hypertrophie prostatique avec calcifications en son sein. Infection urinaire basse Colique néphrétique gauche avec lithiase uretère distal de 3 mm, le 24.09.2018 Opération glaucome œil droit le 01.06.2015 Accident de travail le 31.10.2014 avec : • traumatisme crânio-cérébral et plaie occipitale • fracture de D12, fracture de L1 et fracture de D9 traitées par cyphoplastie D12 et L1, vertébroplastie D9, cimentage avec Cohésion 10 cc le 03.11.2014 Spondylolisthésis sur lyse isthmique L4-L5 avec volumineux kyste synovial, canal lombaire étroit sévère et discopathie L5-S1 grade V selon Pfirmann Tentamen médicamenteux et par veinosection de l'avant-bras gauche le 16.06.2015 • prise d'acide méfénamique (45.5 g) • coma prolongé (environ 80 heures) et convulsions le 17.06 • Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine prérénale et sur AINS le 17.06 • Foyers pulmonaires para-hilaire droit et rétrocardiaque sur broncho-aspiration le 17.06 • Intubation orotrachéale et ventilation mécanique du 18.06 au 20.06. • Acidose métabolique à trou anionique bas le 17.06 • secondaire à une hypoalbuminémie modérée et hyperchlorémie Opération glaucome œil droit le 01.06.2015 Accident de travail le 31.10.2014 avec : • traumatisme crânio-cérébral et plaie occipitale • fracture de D12, fracture de L1 et fracture de D9 traitées par cyphoplastie D12 et L1, vertébroplastie D9, cimentage avec Cohésion 10 cc le 03.11.2014 Spondylolisthésis sur lyse isthmique L4-L5 avec volumineux kyste synovial, canal lombaire étroit sévère et discopathie L5-S1 grade V selon Pfirmann Tentamen médicamenteux et par veinosection de l'avant-bras gauche le 16.06.2015 • prise d'acide méfénamique (45.5 g) • coma prolongé (environ 80 heures) et convulsions le 17.06 • Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine prérénale et sur AINS le 17.06 • Foyers pulmonaires para-hilaire droit et rétrocardiaque sur broncho-aspiration le 17.06 • Intubation orotrachéale et ventilation mécanique du 18.06 au 20.06. • Acidose métabolique à trou anionique bas le 17.06 • secondaire à une hypoalbuminémie modérée et hyperchlorémie Oedème aigu du poumon à répétition sur insuffisance mitrale restrictive Perturbation des paramètres hépatiques d'origine indéterminée le 17.02.2020 • DD : foie de stase, origine médicamenteuse • Sous lisinopril 10 mg 2x/j Opération glaucome œil droit le 01.06.2015 Accident de travail le 31.10.2014 avec : • traumatisme crânio-cérébral et plaie occipitale • fracture de D12, fracture de L1 et fracture de D9 traitées par cyphoplastie D12 et L1, vertébroplastie D9, cimentage avec Cohésion 10 cc le 03.11.2014 Spondylolisthésis sur lyse isthmique L4-L5 avec volumineux kyste synovial, canal lombaire étroit sévère et discopathie L5-S1 grade V selon Pfirmann Tentamen médicamenteux par acide méfénamique (45.5 g) le 16.06.2015 avec coma prolongé (environ 80 heures) et convulsions le 17.06.2015 Plaie superficielle par veinosection de l'avant-bras gauche sur geste auto-agressif le 16.06.2015 Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine prérénale et sur AINS le 17.06.2015 Foyers pulmonaires para-hilaire droit et rétrocardiaque sur broncho-aspiration le 17.06.2015 Intubation orotrachéale et ventilation mécanique du 18.06 au 20.06.2015 Acidose métabolique à trou anionique bas le 17.06.2015 secondaire à une hypoalbuminémie modérée et hyperchlorémie Hypoglycémie modérée sur jeûne le 17.06.2015 Anémie normocytaire normochrome (Hb à 110 g/l) le 16.06.2015 Hypertriglycéridémie modérée le 19.06.2015 Acidose métabolique à trou anionique bas le 17.06.2015 secondaire à une hypoalbuminémie modérée et hyperchlorémie Hypoglycémie modérée sur jeûne le 17.06.2015 Anémie normocytaire normochrome (Hb à 110 g/l) le 16.06.2015 Hypertriglycéridémie modérée le 19.06.2015 Opération kyste à la main droite, 3x. Status post-OS fracture jambe droite le 20.02.2016 par plaque métaphysaire du tibia et plaque tiers tube du péroné le 30.06.2017. Opération le 09.04.2020. Opération le 17.02.2020 Opération le 18.06.2020. Opération le 21.08.2020 par le Dr. X Oeil droit: extraction extra-capsulaire de la cataracte par phako-émulsification et mise en place d'une lentille pliable de chambre postérieure de type NIDEK SZ-1 de 21.0 dioptries Opération lithiase salivaire (anamnestiquement). Suspicion de fracture de la fibula distale (Salter-Haris I) le 29.08.2013. Uro-lithiase gauche le 17.08.2017 Luxation acromio-claviculaire stade Tossy 2 le 12.09.2017 Opération oeil gauche pour strabisme en 1966 AVC subaigu ischémique occipital gauche d'origine embolique probable le 23.12.2019 avec : • NIHSS 1 point (amputation du champ visuel droit) • Sous anticoagulation thérapeutique dès le 18.12.2019 pour thrombose du membre supérieur droit Opération ORL (kyste de glande salivaire). Opération aux varices. Opération au col de l'utérus. S/p, éradication d'Hélicobacter pylori en 2016. Bronchopneumonie basale gauche le 29.11.2017. Opération poignet droit en 2018 en Syrie suite à accident. Operation pour hernie diaphragmatique à la naissance réopéré à l'âge de 2 ans. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. Fausse couche en fin septembre 2017 Opération pour hernie discale L4-L5 Fracture vertèbre lombaire après un accident à cheval 1995 Ostéosynthèse pour une fracture tibio-péroné droite Arthroscopie genou gauche avec gonarthrose, possibilité de mettre une prothèse mais en attente. Macrohématurie depuis 2005 investiguée par médecin traitant avec US normal en 2005 Amygdalectomie non datée Appendicectomie non datée Fracture Lisfranc médial rayons 1-2 à D et fracture du cuboïde latéral avec impaction latérale pied droit le 23.06.2017 avec: • ostéosynthèse avec fixation par plaque Pedus 2.7 en T du 2ème métatarse, plaque rhomboïde pedus 2.3 sur le cuboïde et embrochage de TMT 1 pied droit le 07.07.2017 • ablation des broches TMT 1 pied droit le 10.11.2017 Ostéosynthèse avec fixation par plaque Pedus 2.7 en T du 2ème métatarse Fractures costales droite 3-8 sur accident de la voie publique à haute cinétique le 23.06.2017 Opération pour ménisque genou gauche en janvier 2020 Hystérectomie et ovariectomie 1990- avec substitution hormonale pendant 10 ans Ligaments croisés du genou gauche en 2003 Chirurgie d'exérèse de calcification pour tendinopathie calcifiante des deux épaules Intervention pour des calcifications de la mâchoire Appendicectomie État dépressif avec hospitalisation de 4 semaines à Marsens en février 2019 (suite à mort de son mari) Lombosciatalgies droites non déficitaires chez patiente avec : • status post-hémilaminectomie L4-L5 et L5-S1 D avec discectomie L5-S1 pour sténose foraminale et une hernie discale L5-S1 D en 2000 • infiltration facettaire L4-L5 en 2006 • status post-péridurale le 07.05.2009 • nouvelle péridurale le 18.02.2010 • nouvelle infiltration facettaire L4-L5 D le 25.02.2010 • status post-spondylodèse L4-5, le 25.08.2010 Opération pour tétralogie de Fallot en enfance. Opération pour un kyste au ventre X. Douleurs sur gastrite antrale probablement à Helicobacter pylori le 17.09.2017 Gastrite antrale à H. pylori (OGD le 14.09.17): éradication avec Co-Amoxicillin 1g 2x/j et Clarithromycine 500mg 2x/j, Pantoprazol 40mg 2x/j pour 14 jours; fini le 08.10.17. Céphalées de l'hémiface gauche persistante depuis 1 mois le 17.10.2017. Tentamen par strangulation le 22.11.2017. Perturbation des tests hépatiques. • probablement sur introduction de Rispérdal Suspicion de conjonctivite virale débutante, le 29.10.2019. Suspicion d'intestin irritable, le 29.10.2019: • Colpermin 3x/j Polyurie d'origine indéterminée le 29.10.2019 DD Stress DD Diabète insipide débutant Névralgie cervico-brachiale droite, le 09.02.2020. Opération prévue à la cataracte le 23.01.2020 repoussée, le patient sera reconvoqué Contrôle médecin traitant le 17.02.2020 à 10h30 (FSC) PET-CT en ambulatoire le 19.02.2020 à 9h (HFR Fribourg) +/- biopsie à organiser selon les résultats Contrôle chez le Dr. X le 02.03.2020 à 14h30 Contrôle à la Team Spine (orthopédie) le 26.03.2020 à 10h Contrôle chez le Dr. X le 31.03.2020 à 11h Opération prévue le 03.03.2020. Opération prévue le 04.05.2020 Contrôle postop le 19.06.2020 Opération prévue le 06.03.2020. Opération prévue le 07.04.2020. Opération prévue le 10.03.2020. Opération prévue le 11.02.2020. Opération prévue le 13.03.2020. Opération prévue le 14.04.2020. Opération prévue le 17.03.2020. Opération prévue le 18.02.2020. Opération prévue le 19.02.2020. Opération prévue le 20.02.20 Opération prévue le 20.05.2020. Opération prévue le 21.04.2020. Opération prévue le 23.04.2020 Contrôle post-op le 05.06.20 Opération prévue le 24.03.2020. Opération prévue le 28.02.2020. Opération prévue le 31.03.2020. Opération prévue pour le 26.03.20 Contrôle postop le 08.05.20 Opération prévue pour le 26.03.20 Postopératoire le 08.05.20 Opération: PTH G MS-30 cupule Muller avec anneau de Ganz et greffe autologue le 02.04.2020. Opération sur les cornets nasaux pour obstruction nasale chronique en 1972. Rhino-conjonctivite allergique. Opération appendicite + endométriose en Italie. Pyélonéphrite gauche le plus probable le 16.12.2018. Opération testicule pour kyste non datée. Hernies inguinales bilatérales opérées 2018. Contusion de la hanche gauche et de l'épaule gauche le 16.12.15. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 25.09.2017. Hernie discale L5/S1 droite. Opération tunnel carpien bilatéral. Opération vésicule biliaire en 1999 Opération gynécologique X en 2009? Appendicectomie dans l'enfance Traumatisme crânien simple le 04.11.2014 Césarienne Douleurs abdominales d'origine indéterminées DD colique néphrétique gauche, diverticulite? Syncope probablement orthostatique dans un contexte d'infection urinaire et déshydratation le 26.07.2018 Opérations des genoux des deux côtés suite à un accident de ski (1981). Dermo-hypodermite du membre inférieur gauche sur mycose interdigitale (2011). Traumatisme crânien avec plaie superficielle temporale gauche (10.09.2014). Probable candidose cutanée. Otite externe bilatérale non datée. Opérations des tympans ddc Cholécystectomie Suspicion de passage d'un calcul rénal gauche avec dilatation persistante du pyélon à 1,7 mm et des calculs dans le calice à gauche Extraction de calcul rénal à gauche il y a 40 ans NSTEMI DD angor instable le 11.06.2019 Opérée le 10.02.2020. Opérée pour hernie ombilicale Dépression en 2015 OPG : pas de cavité. Avis dentiste de garde : le patient peut se rendre à présent chez lui. Retour à domicile, contrôle dentiste. Si pas de pathologie dentaire, téléphonera lundi secrétariat ORL pour suite de prise en charge (numéro donné). Ad antibiothérapie au vu de la réaction locale. Pas de cellulite donc pas d'antibiothérapie iv. OPG: fracture tête mandibule G. Radiographie Worms. Avis ORL: prise en charge maxillo-faciale nécessaire. Mr. Y doit prendre RDV chez le Dr. X. Pas de nécessité à une prise en charge opératoire en urgence. RAD avec antalgie, Mr. Y prendra RDV chez le Dr. X demain. Ophtalmoplégie douloureuse du nerf crânien VI gauche, le 28.01.2020, DD : syndrome de Tolosa-Hunt, schwannome/méningiome. Oppression thoracique Oppression thoracique Oppression thoracique. Oppression thoracique. Oppression thoracique dans un contexte de crise d'angoisse le 04.02.2020. Oppression thoracique d'origine indéterminée. Oppression thoracique d'origine indéterminée. DD: anxiété. Oppression thoracique, infarctus exclu, le 25.02.2020. Oppression thoracique probablement dans contexte anxieux, le 29.02.2020. Oppressions thoraciques d'origine indéterminée le 07.02.2020. Optimisation de la thérapeutique avec une évolution favorable • Laboratoire du 19.01.2020 : créatinine 147 umol/L (le 08.01.2020 créatinine 281 Mmol/L) Optimisation du traitement Optimisation du traitement antalgique et conseils de rigueur. Optimisation du traitement de l'insuffisance cardiaque avec B-bloquant, IEC, double anti-agrégation pendant 1 an. Optimisation du traitement de l'insuffisance cardiaque CAVE néphrotoxiques Contrôle à distance Optimisation thérapeutique Orage rythmique avec multiples épisodes de tachycardie ventriculaire sur cardiopathie ischémique le 31.01.2020 • 8 chocs du défibrillateur le 31.01.20 (4x en pré-hospitalier, 4x aux urgences) • Récidives de tachycardie ventriculaire intra-hospitalière avec dernier choc du défibrillateur le 02.02.2020 • Porteur de pacemaker défibrillateur AAI-DDD depuis 08.2009 Orale Aphten Orchidopexie pour orchidocriptie à l'âge de 17 ans. Corps étranger dans l'œil gauche. Orchi-épididymite droite le 31.01.2020. Orchi-épididymite droite sans signe de complication le 20.02.2020. Orchi-épididymite gauche le 17.02.2020. Orchi-épididymite gauche le 17.02.2020 • bilan urinaire : propre • avis chirurgien de garde : symptôme d'origine peu claire, pas de complication herniaire • US testiculaire : orchi-épididymite gauche • gonocoque et chlamydia : négatifs • contrôle à prévoir chez le médecin traitant Ordonnance pour attelle jeans en flexion 20° Antalgie en réserve Canne pour décharge Contrôle clinique chez vous dans 3 jours Si persistance des douleurs, nous vous suggérons d'organiser une IRM afin d'exclure une lésion du ménisque interne et prévoir un contrôle ensuite chez le Dr. X Ordre médical : 03.02.2020 : perfusion de 2 g Ceftriaxone iv et 320 mg de Gentamicine iv. 04.02.2020 : perfusion de 2 g Ceftriaxone iv et 320 mg de Gentamicine iv. 05.02.2020 : perfusion de 2 g Ceftriaxone iv et 320 mg de Gentamicine iv, laboratoire (feuille remplie), puis contrôle médical. Organisation de SAD Organiser consultation auprès du cardiologue traitant après IRM (Dr. X) CK à suivre Organiser ETT de contrôle en ambulatoire Poursuivre pipéracilline tazobactam jusqu'au 22.02.2020 Organiser un bilan diététique ambulatoire pour suivi des apports Poursuite du suivi psychiatrique avec le Dr. X Régler antalgie selon évolution clinique Organiser une cystoscopie en ambulatoire Organiser une IRM abdominale pour spécifier les lésions hépatiques et pancréatiques. ORIF fracture-luxation tri-malléolaire cheville D le 13.11.2019. ORIF plaque Philos avec Hinge-plate le 25.12.2019 pour fracture headsplit humérus proximal D le 24.12.2019. ORL le 19.02.2020 : pharyngite probablement d'origine virale dans un contexte grippal. Pas de dysphonie. CB sp hormis une légère rougeur de la paroi post de l'oropharynx, pas d'hypertrophie amigdalienne, ni plaque ni signe d'abcès. A la NF : tapis de végétations adénoïdes non obstructif, hyperhémie intense à ce niveau-là. Vallecules et base de langue sp, épiglotte fine, hyperhémie muqueuse face laryngée de l'épiglotte et hypopharynx sans œdème. Cordes vocales fines, bien mobiles et symétriques. Filière aérienne préservée. Radiographie thoracique 19.02.2020 : pas de foyer pulmonaire, s.p. hépatectomie. Radiographie de thorax le 19.02.2020 : pas de foyer parenchymateux systématisé notable. Pas d'autre signe d'infection. Orthopédie : Contrôles réguliers de la plaie chirurgicale au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle rx-clinique à la consultation du team genou, Dr. X/Dr. Y, à 6 semaines. Urologie : Clexane thérapeutique jusqu'au 12.02.2020, reprise Xarelto si absence d'épisode hémorragique/hématurique. Cardiologie : Contrôle chez le Dr. X, cardiologue traitant; Mr. Y prendra RDV après sa sortie de l'Hôpital. Orthopédiste de garde non disponible pour plusieurs heures en raison d'une chirurgie en cours (consultation durant la nuit). Le testing ligamentaire est difficile en raison des douleurs, raison pour laquelle une immobilisation avec une attelle Edimbourg et un contrôle clinique aux urgences dans 48 heures est décidé après discussion avec les parents. Orthopnée chronique. Orthopnée en péjoration. Orthoradiogramme colonne totale de face du jour (PACS) : minime attitude scoliotique au niveau thoracique. Symétrie des crêtes iliaques. Orthoradiogramme colonne totale face et profil : légère scoliose lombaire sinistro-convexe et dysbalance posturale bien visible sur le profil. Orthostatisme dans le cadre de l'hypovolémie. Orthostatisme sur déshydratation le 24.02.2020. OS fracture diaphysaire 5ème métacarpien main G en janvier 2014. Rerupture du LCA genou D le 08.06.2015 au football sur statut post • reconstruction LCA par DIDT le 04.02.2015 sur rupture LCA, déchirure point d'angle postéro-interne avec atteinte du LLI et POL en septembre 2014 sur agression. • Arthroscopie genou D, plastie du LCA par tendon du quadriceps (OP le 11.05.2016) Syndrome grippal avec maux de gorge, EF et vomissements le 28.08.2016. Contusion genou droit le 30.04.2019. Status post arthroscopie genou droit avec plastie de LCA partant quadricipital le 05.2016. Rerupture de plastie de LCA à droite et déchirure point de l'angle postéro-interne avec atteinte de LLI et POL. Status post reconstruction de LCA par DIDT le 04.02.2015. Plaie au niveau du thénar gauche. Dernier tétanos : date inconnue. OS PROPRE DU NEZ : fracture peu déplacée de l'os propre du nez. Intégrité de l'épine nasale. Dr. X. Oseltamivir du 27.01. au 01.02.2020. Co-Amoxicilline du 27.01 au 01.02.2020. Solumédrol 1 dose le 27.01.2020. Diamox dès le 01.02.2020. Ventilation non invasive aux soins intensifs du 27.01 au 01.02.2020. VNI nocturne dès le 31.01.2020 : suivi par le service de pneumologie. • gazométrie à faire le 02.02.2020 (en fin de nuit). Rx thorax les 27.01 et 30.01.2020 : pas de foyer. Cathéter artériel radial droit du 27.01 au 01.02.2020. Oseltamivir per os du 02.02 au 06.02.2020. Ventilation non invasive le 03.02.2020. Furosemide le 02.02.2020. Torasémide dès le 03.02.2020. Reprise traitement anti-hypertenseur habituel le 03.02.2020. OSG distorsion droite. V.a nécrose au talus droit. Douleur thoracique pariétale. OSG-Trauma droit. Osmolalité urinaire le 10.02.2020 : 194 mosmol/kg. Na+ urinaire : 33 mmol/l. Restriction hydrique 1 l/24h dès le 10.02.2020. Ossifications hétérotopiques avec suspicion de lésion partielle au niveau du tendon du gluteus minimus hanche D et présence d'un conflit fémoro-acétabulaire type cam peu avancé avec lésion du labrum antéro-inférieur. Ossifications péri-prothétiques Brocker IV de la hanche D après PTH sur coxarthrose le 26.08.2019 par le Dr. X à Clarens. Ostéochondrite disséquante du condyle fémoral interne du genou G. Ostéochondrome de la métaphyse tibiale dorso-médial à G. Osteochondrosis dissecans patellae D. Ostéodensitométrie à organiser par le MT. Bilan pour une éventuelle néoplasie (myélomes multiples). Ostéodensitométrie en rhumatologie (à convoquer). Prochain contrôle le 25.02.2020. Ostéogénèse imparfaite. • Suivi au CHUV. Ostéomalacie. Fracture non déplacée partie distale du radius et arrachement osseux styloïde ulnaire poignet droite le 18.05.2019. Ostéomyélite chronique à S. lugdunensis du fémur gauche le 17.11.2019. • AMO fémur G, cure de pseudarthrose, débridement et ablation du callus, prise de biopsie et réostéosynthèse avec fixateur externe (OP le 19.11.2019). • Débridement, prélèvement, ostéosynthèse armé par plaque (OP le 29.11.2019). • Co-Amoxicilline 1.2 g IV 3x/24h le 18.11.2019, puis Co-Amoxicilline 2.2 g IV 3x/24h du 20.11.2019 au 23.11.2019. • Floxapen 2g IV 4x/j le 23.11.2019 au 02.12.2019. • Cefepime 2g IV 2x/j du 2.12.2019 au 12.12.2019. Ostéomyélite chronique de MTP hallux pied G sur plaie chronique. Ostéomyélite chronique du 2ème métatarse et de la phalange proximale du 2ème orteil pied G sur mal perforant plantaire avec status post • 3 débridements entre le 14.12. et le 24.12.2019 d'une dermohypodermite associée du pied G avec point d'entrée d'une verrue plante du 2ème métatarse avec tentative de cryogénisation/excision le 11.12.2019. • Germes (14.12.2019) : Staph. pyogenes (béta-hémolytique gr. A), E. complexe cloacae (+++), K. oxytoca (quelques), Staph. pseudointermedius (quelques). • Sous antibiothérapie jusqu'au 17.01.2020. Ostéomyélite de la malléole externe gauche sur ulcère chronique. Ostéomyélite de la phalange distale Dig IV à G avec douleurs extrêmes pulsatiles et crises paroxystiques. • Dans le cadre d'un syndrome de CREST. Avis antalgie (Dr. X) le 23.12.2019. Interventions. • Bloc supra-claviculaire le 31.12.2019. • Bloc médian le 01 et 02.01.2020. • Bloc stellaire le 10.01.2020. Ostéomyélite phalange distale Dig IV à G. • Syndrome de Raynaud, CREST. • St. p. débridement phalange distale (lit de l'ongle, pulpe, os) Dig IV à G, prélèvement de biopsies (3xbact, 1x histo) du 29.01.2020. Ostéonécrose de la tête fémorale D au niveau antéro-supérieur. Ostéonécrose de la tête fémorale gauche post-traumatique FICAT III sur : • statut après réduction et ostéosynthèse du col fémoral gauche, le 04.02.2017 pour fracture sous-capitale. • statut après ablation du matériel d'ostéosynthèse, le 22.12.2017. • statut après ablation d'exostose sur la face latérale du fémur proximal gauche, le 27.12.2018. Syndrome d'impingement fémoro-acétabulaire sur cal avec lésion antérieure du labrum, hanche gauche. Ostéonécrose symptomatique de la tête fémorale G. Ostéopénie. Densitométrie à prévoir chez le médecin traitant. Ostéopénie. Lombosciatalgie droite connue. Ostéoporose. Ostéoporose. Ostéoporose. Ostéoporose : • Cyphoplastie D12 et L1 bipédiculaire avec système Tektona et cimentage par Cohésion 5 cc à chaque niveau le 29.05.2015 pour fracture-tassement D12 et L1 type A1.2. Hypertension artérielle traitée. Ostéoporose : • Ibandronate (Bonviva) 1x/3 mois depuis avril 2012, dernière injection en septembre 2016. • DXA 2012 : Lomb. -2.6, F -2.6. • DXA janvier 2015 : L -1.7, H -3.1. • actuellement : carence en vitamine D. Ostéoporose de la colonne lombaire. Ostéoporose de la colonne lombaire. • Densitométrie osseuse du 17.01.2020 (Affidea Fribourg) : Z-score -3.1 DS au niveau L3-L4. Ostéoporose densitométrique sévère. • Facteurs de risque d'ostéoporose : tabagisme actif, ménopause précoce chirurgicale à l'âge de 31 ans substituée, consommation d'alcool à risque, fracture de hanche chez la mère, malabsorption sur statut post bypass gastrique en 2005. • Fractures : multiples et traumatiques de l'avant-bras droit/gauche en 2003/2005, 3 côtes en 2015, coude gauche en 2017, cheville gauche en 2018. • Densitométrie osseuse du 13.06.2018 : TBS à 1.157, colonne lombaire à -4.1 DS, col du fémur à -2.5 DS, hanche totale -2.6 DS. • Aclasta chez médecin traitant le 22.02.2019 (1ère injection). Trouble de personnalité Borderline : • plusieurs antécédents d'abus médicamenteux (2x en 2015, 2012). • plusieurs hospitalisations à Marsens. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance, utilisation continue (F10.25) : • actuellement sous Selincro. • avec plusieurs passages aux urgences pour intoxication aiguë (en 2018, 2016, 2015). Trouble dépressif récurrent. Poly-allergie (suivie par le Dr. X). Trouble de stress post-traumatique. Migraine sans aura. Hypovitaminose B12 et vitamine D.Oedèmes des membres inférieurs intermittents d'origine indéterminée. Nodule sous cutané d'origine indéterminée. Tendinite de De Quervain droite Herpes vulvaire récidivant Polyneuropathie sensitive débutante possible • composante des allodynies • peau sèche • diminution des ROT achiléens Douleurs chroniques diffuses et multi-systématisées d'origine indéterminée le 23.11.19 • contexte de spondylarthrite probable (sous Simponi) • composante psychosomatique probable • composante neuropathique non exclue DD: fibromyalgie Ostéoporose et spondylarthrose HTA Phlébites à répétition MID (sous Sintrom, actuellement en suspens) Ostéoporose fracturaire • fracture du poignet gauche en 2012, du bassin en 2014 et de L1 en novembre 2019 • Ancien traitement : Aclasta® 2014, 2015, 2016 • Traitement actuel : Forsteo, calcimagon D3 500/400 2x/j depuis novembre 2019 • Dernière Densitométrie osseuse le 31.10.2019: ostéopénie du tiers distal du radius selon critères OMS. • Bilan : électrophorèse des protéines et immunofixation dans la norme le 05.11.2019 • Facteurs de risque: polyartrite rhumatoïde, IPP au long cours, malnutrition protéino-énergétique modérée, âge, post-ménopause Ostéoporose fracturaire avec : • Fractures côtes à D et vertébrales multi-étagées, non datée D11, L2, L3, L4 • FRCV : tabagisme >40 UPA, SSRI, IPP, sédentarité, apports calciques à réévaluer • Aclasta 5mg iv OU le 19.12.2019 Ostéoporose fracturaire avec fracture atraumatique de type A1 au niveau de la vertèbre D8, type tassement stable le 21.02.2020 : • absence de déficit sensitivo-moteur • dans un contexte d'ostéoporose sévère • avec antalgie et maintien impossibles à domicile Ostéoporose fracturaire avec fracture-tassement L1 sur trauma à basse cinétique le 21.02.2020 Ostéoporose fracturaire avec multiples tassements : • Vertébroplasties multiples D10 à L5 les 27.11.2012 et 08.01.2013 • Multiples traitements médicamenteux depuis 2002, non traitée depuis 2016 Hypertension artérielle diagnostiquée en 2016, traitée par IECA Athéromatose aortique, artériopathie asymptomatique des MI sans sténose, sténose du tronc coeliaque au CT du 31.07.2019 Ostéoporose fracturaire clinique avec : • fracture stable récente du corps vertébral de L4, atraumatique le 11.02.2020 Ostéoporose fracturaire • Dernière ostéodensitométrie en mars 2016 Ostéoporose fracturaire, le 07.02.2020 Ostéoporose fracturaire le 18.10.2017 : • Fracture-tassement anciens de L2 et D11. Ostéoporose généralisée. Ancienne toxicomanie, substitution à la Méthadone; cannabis occasionnellement. Hépatite C chronique avec charge virale élevée. Consommation OH à risque. Ostéoporose. Nystagmus depuis l'âge de 12 ans. Ostéoporose sévère avec chutes à répétition avec: • thoralcalgies diffuses d'allure mécanique • contusion du genou et décompensation gonarthrosique (16.10.18) • ancienne fracture L1/L3 non datée • fracture des branches iléo-ischio-pubiennes (08.2017) Lombalgies sur ostéoporose fracturaire (tassements D12 et L4 récents et L1 et L3 anciens) dans un contexte de chutes à répétitions Radiographie rachis lombaire: • 14.11.18: tassements D12 et L4 nouveaux par rapport au comparatif du mois d'octobre 2017 • 19.11.18: fractures stables Ostéoporose sévère avec • Sous traitement par Prolia du 2015 jusqu'à avril 2019 • Pas de traitement depuis avril 2019 • Betacrosslaps en octobre 2019: 0.39 Ostéoporose sévère fracture D11-L2 sous biphosphonate plus de 5 ans • actuellement sous Alendronate Lombalgies chroniques avec : • Discopathie pluri-étagée avec anciens tassements vertébraux D11 et D10 • Sténose foraminale au niveau L4-L5 droite due à une hernie discale • Remaniements post-opératoires après laminectomie bilatérale L5-S1 • Arthrose facettaire bilatérale pluri-étagée • Status après cure d'hernie discale L5-S1 et 1975 Gonarthrose et chondrocalcinose genou gauche Insuffisance veineuse des membres inférieurs Diverticule de Zenker Reflux oesophagien • sous Pantozol Ostéoporose sévère, traitée par biphosphonate Insuffisance rénale terminale avec hémodialyse 3 fois par semaine Fracture ostéoporotique traumatique du bassin avec fixation en mars 2019 Ostéoporose: • sous Calcimagon Etat dépressif Ostéoporose traitée par Prolia Ostéoporose traitée par Prolia Status post tuberculose traitée dans l'adolescence Etat anxio-dépressif Diabète de type II (HbA1c 6.7% le 21.01.2020) • Mesure hygiéno-diététique et suivi de la glycémie à jeun et de l'HbA1c +/- introduction d'un traitement de Metformine chez le médecin traitant à 3 mois Ostéoporose Arthrose Atrophie cortico-sous-corticale modérée Ostéoporose HTA traitée Ostéoporose. Thyroïdite de Hashimoto. Trouble dépressif. Recto-colite ulcéro-hémorragique actuellement sans traitement. Ostéoporose. Varices des membres inférieurs. Tunnel carpien. Ostéosynthèse de la jambe droite. Fracture du bassin type B2, de la branche ischio-pubienne G et de la colonne antérieure du cotyle G en 2010 avec : • traitement conservateur. Remplacement valvulaire aortique par une prothèse biologique fecit Dr. X, le 18.11.2014 dans le cadre d'une insuffisance aortique sévère avec : • prothèse valvulaire biologique 25 mm Perimount Magna Ease Edwards Lifescience • insuffisance cardiaque avec FEVG à 30% sans coronaropathie significative • coronarographie du 05.08.2014 (Dr. X) : insuffisance aortique sévère 4/4. Dilatation modérée à importante du ventricule G, avec fonction systolique globale à la limite inférieure de la norme. FEVG à 57%. Absence de maladie coronarienne significative associée. Réadaptation cardiovasculaire, contrôle des facteurs de risques et optimisation du traitement cardiovasculaire. Prophylaxie de l'endocardite selon les directives de la Société Suisse de Cardiologie. Traitement médicamenteux pour le remodelage du ventricule G. Suivi cardiologique à organiser. Ostéosynthèse de la tête radiale gauche (OP le 31.01.2013): fracture de la tête radiale gauche Mason II. Ostéosynthèse d'une fracture du col gauche par plaque. Amputation des doigts de la main gauche dans l'enfance. Hernie inguinale indirecte bilatérale, de type inguino-scrotale à gauche. • Cure de hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein avec filets Progrip TEM1208G le 22.01.2019 (Dr. X). Ostéosynthèse d'une fracture intra-articulaire du radius distal gauche le 07.06.2012 Prothèse totale de hanche gauche en 1993, droite en 2012 Prothèse totale du genou droit en 2001 Rupture de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite en 2009 Phlegmon de la gaine des fléchisseurs D1 à D5 main droite à Brevibacterium sp. B. casei traité par exploration, rinçage le 01.12.2013 et antibiothérapie par Co-Amoxicilline du 01 au 11.12.2013 Traumatisme crânio-cérébral sur chute de 6 m, double fracture du crâne et fracture du fémur gauche à l'âge de 6 ans Fracture non déplacée de l'anneau pelvien gauche sur chute de sa hauteur le 17.01.2014 Hystérectomie totale Cure de varices des membres inférieurs Gastrite, diarrhées et pancréatite biologique le 06.11.2019 sur traitement de Lodine US abdominal supérieur le 07.11.2019: sp Hypovitaminose D à 71nmol/l le 08.10.2019 Ostéosynthèse par un clou gamma pour fracture sous-trochantérienne droite le 23.1.2020 • Clexane 40 mg sc/jour pendant 6 semaines. Hyponatrémie hypo-osmolaire à 127 mmol/l dans le contexte d'un SIADH en février 2020. Status post-polypectomie. Status post-syncope possiblement orthostatique le 25.07.2019. Status post-hyponatrémie sévère hypoosmolaire à 120 mmol/l sur déshydratation. Status post-œdème de la lèvre inférieure d'origine indéterminée le 25.07.2019.Ostéosynthèse sur fracture spiroïde du tiers distal de la jambe D en 2012. Ostéosynthèse fracture Weber B malléole externe D en 2010. Pose de stent sur syndrome coronarien aigu avec angor instable (maladie coronarienne mono-tronculaire avec sténose de 30% du tronc commun) en 2004. Cure de hernie inguinale G en 1960. Appendicectomie en 1958. Ostéotomie de raccourcissement ulna droit (fixation par plaque LCP 2.7 mm compact foot sous compression), résection apophyse styloïde ulnaire à droite le 01.10.2012. Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque palmaire de reconstruction (Aptus Medartis) et plaque radiale antiglide radius distal à droite le 26.02.2012 sur fracture intra-articulaire déplacée radius distal (AO-23C3). AMO plaque LCP 2.7 ulna à droite. Urétérolithiase droite à niveau de L3/L4 de 3 mm, le 21.05.2017 • insuffisance rénale avec créatinine à 122 PTH G 01/2020 Urétérolithiase proximale gauche de 3 mm le 11.04.2016 avec : • discrète infiltration péri-rénale gauche • insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 122. Ethylisation aigue le 25.02.2020 • état dépressif acutisé dans le contexte d'éthylisation Surveillance clinique aux urgences 2h30 Pantozol 40 mg p.o. Retour à domicile en compagnie de ses enfants, 1 enfant s'engage à rester la nuit avec Numéro RFSM transmis, encouragement du patient à prendre contact pour un suivi psychologique Ostéotomie péri-acétabulaire d'antéversion avec autogreffe osseuse prise à l'épine iliaque antéro-supérieure, hanche G le 12.12.2019 sur conflit fémoral-acétabulaire type pincer avec rétroversion cotyloïdienne hanche G. Ostéotomie sous capitale du 5ème rayon pied D le 21.04.2020. Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie Otalgie gauche Otalgie à droite. Otalgie à G Otalgie aigue Otalgie D Otalgie dans le contexte d'une virose des voies aériennes supérieures Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite Otalgie droite. Otalgie droite d'origine indéterminée Otalgie droite Toux Rhume Cephalées otalgie et erythème facial Otalgie G. Otalgie gauche Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche otalgie gauche Otalgie gauche, d'origine indéterminée, le 27.02.2020. Otalgie gauche d'origine peu claire, le 18.03.2018. Probable granulome apical dent 22 le 10.03.2016. Status post AVP, 01.2007. Status post gastrite, gastroscopie 01.2007. Status post sigmoïdectomie avec anastomose colo-rectale termino-terminale et surrénalectomie droite pour incidentalome en 2006. Douleur au niveau du pied gauche avec tuméfaction localisée en 2014. Plaques érythémateuses prurigineuses migrantes d'origine indéterminée DD : urticaire multiforme, érythème annulaire. Algiurie et pollakiurie récidivantes. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 09.12.2018 • avec vomissements concomitants depuis 3 semaines DD gastrite avec RGO. CT-scan abdominal : multiples calculs au niveau de la vésicule biliaire sans dilatation des voies intra et extra-hépatiques, avec découverte fortuite d'une lésion du rein gauche d'allure tumorale. otalgie gauche, état fébrile Otalgie gauche, le 18.02.2020. Otalgie gauche. DD bouchon de cérumen Otalgie sans signes d'inflammation Otalgie Maux de gorge Cephalées Otalgies Otalgies. Otalgies. Otalgies. Otalgies bilatérales Otalgies droites Otalgies droites otalgies récurrentes, la dernière date du 12/19, traitement inconnu Otite à répétition. Tentamen médicamenteux. Otite aigue moyenne, bilatérale Otite aigue moyenne bilatérale Otite aiguë moyenne bilatérale Otite, baisse d'état général. Otite, baisse d'état général. Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale il y a une semaine, sous antibiothérapie par Amoxicilline 50 mg/kg/j. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 80 mg/kg/j depuis 3 jours car otite bilatérale réfractaire. Otite bilatérale, moyenne aigue Gastro-entérite au décours, virale probable, sans signes de réhydratation Otite congestive à droite Otite D débutante Otite D résistante à l'Amoxicilline Otite de l'oreille moyenne gauche Otite débutante bilatérale Otite droite Otite droite débutante Otite droite moyenne aigue Otite externe. Otite externe à gauche Otite externe à gauche le 12.01.2017. Tentamen en mars 2018, hospitalisation à Marsens. Décompensation psychotique avec agitation et hétéro-agressivité. Otite externe aigue Otite externe aiguë Otite externe aigue droite Otite externe aigue droite. Otite externe aiguë droite Otite externe bilatérale Otite externe bilatérale, le 25.06.2014. Fermeture de CIA en 2009. Appendicectomie en 2008. Otite externe D, le 01.02.2020. Otite externe D le 14.02.2016 Otite externe droite, le 05.02.2020. Otite externe droite. Amygdalite streptococcique. Otite externe G. Otite externe G, le 01.02.2020. Otite externe G le 20.02.2020 • Antibiothérapie et corticothérapie déjà prescrites par le médecin traitant. Otite externe Gauche Otite externe gauche le 05.02.2020. Otite externe gauche sur bouchon de cérumen le 21.02.2020. Otite externe le 01.07.2016. Otite externe maligne • tentative de tympanoplastie gauche en 1991 et 1993. TCC et fracture du rocher gauche en 1991. Hémisyndrome sensitivo-moteur résiduel gauche après accident de moto en 1986. Splénectomie en 1985 suite à un accident de moto. Obstruction intestinale en 1986. Épanchement pleural gauche de type exsudat idiopathique le 13.04.2015.Alcoolisation aiguë à 3.51 o/oo le 07.03.2016. Otite interne gauche le 03.02.2020. Otite média D avec syndrome tubulo-vestibulaire et micro-perforation le 18.02.2020 • vertiges diffus et perte audition (Rinne négatif). Otite moyenne Otite moyenne aiguë Otite moyenne aiguë: • sans critère de gravité. Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite avec otorrhée purulente Otite moyenne aiguë à droite, débutante à gauche. Otite moyenne aiguë à droite sans perforation du tympan Otite moyenne aiguë à G Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche. Otite moyenne aiguë avec rhinosinusite frontale et maxillaire, 14.02.2020. Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale avec échec de traitement per os Otite moyenne aiguë bilatérale avec perforation à gauche Otite moyenne aiguë bilatérale (D>G) réfractaire à antibiothérapie par: • Amoxiciline p.o. 25 mg/kg q12h (du 15 au 20.01) • Co-amoxicilline p.o. 40 mg/kg q12h (du 29.01 au 01.02) • Rocephine i.m. 50mg/kg (=400mg) 3 doses (02.02, 03-04.02) • Avis ORL (Dr. X): otite séreuse bilatérale avec bon état général, pas de signe de gravité. L'antibiothérapie par Co-Amoxicilline du 29-01.02.20 a été insuffisante en durée, pas d'argument pour une résistance à la Co-Amoxicilline. Proposition de reprise de Co-Amoxicilline 40 mg/kg q12h pour 10 jours Pas d'indication à une paracentèse en urgence, traitement par rhino-soins en fréquence, Nasivine 2 gouttes bébé 3x/j pour 7 jours Otite moyenne aiguë bilatérale (D>G) réfractaire à antibiothérapie par: • Amoxiciline p.o. 25 mg/kg q12h (du 15 au 20.01) • Co-amoxicilline p.o. 40 mg/kg q12h (du 29.01 au 01.02) • Rocéphine i.m. 50mg/kg (=400mg) 3 doses (02.02, 03-04.02) • Reprise de Co-Amoxicilline 40 mg/kg q12h pour 10 jours (05.02) Otite moyenne aiguë bilatérale (D>G) réfractaire à antibiothérapie par: • Amoxiciline p.o. 25 mg/kg q12h (15-20.01) • Co-amoxicilline p.o. 40mg/kg q12h (29.01-01.02) • Rocephine i.m. 50mg/kg (=400mg) première dose unique (01.02) Otite moyenne aiguë bilatérale (D>G) réfractaire à antibiothérapie par: • Amoxiciline p.o. 25 mg/kg q12h (15-20.01) • Co-amoxicilline p.o. 40mg/kg q12h (29.01-01.02) • Rocephine i.m. 50mg/kg (=400mg) première dose unique (01.02), deuxième dose (03.02) • Avis ORL: pas d'indication à une tympanotomie, contrôle clinique dans 24 heures aux urgences Otite moyenne aiguë bilatérale ne répondant pas à l'Amoxicilline Otite moyenne aiguë bilatérale DD otite perforée bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale. Traitement: Dafalgan et Algifor, RDV en Fast Track le dimanche 16.02 à 15h00 Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë débutante Otite moyenne aiguë débutante à droite Otite moyenne aiguë débutante à droite et angine Otite moyenne aiguë à droite et conjonctivite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aiguë droite Angine virale IVRS Otite moyenne aiguë droite, au décours Otite moyenne aiguë droite débutante Otite moyenne aiguë droite le 29.02.2020 Otite moyenne aiguë droite perforée Otite moyenne aiguë droite perforée Otite moyenne aiguë droite Angine virale Otite moyenne aiguë droite IVRS Otite moyenne aiguë droite IVRS Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche Otite moyenne aiguë à gauche. Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche dans un contexte d'IVRS Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche IVRS Otite moyenne aiguë gauche, perforée Otite moyenne aiguë gauche récidivante Otite moyenne aiguë gauche récurrente Otite moyenne aiguë gauche 06.02.2012. Hémorroïdectomie selon Ferguson le 27.03.2013 (Dr. X). Paresthésies récurrentes non-objectivées aux urgences le 16.04.2016. Otite moyenne aiguë le 17.02.2020. Otite moyenne aiguë le 28.02.2017. Status post-stérilet intra-abdominal découvert en mars 2019: • Novembre 2017: mise en place d'un stérilet. • Ultrason abdominal avec stérilet non visualisé. Supposition d'une expulsion par voie vaginale. • Octobre 2018: contrôle chez la gynécologue : persistance des douleurs en fosse iliaque gauche depuis une année. Un nouvel examen par ultrason abdominal est réalisé. • Décembre 2018: CT scan abdomino-pelvien met en évidence une lésion hépatique focale, pas de visualisation de stérilet. • Mars 2019: douleurs persistantes en fosse iliaque gauche avec pic fébrile : CT abdomino-pelvien à l'HFR Riaz mettant en évidence la présence du stérilet dans le compartiment abdominal, tangentiellement à la paroi du sigmoïde. • Le 20.03.2019: Dr. X laparoscopie au Daler pour extraire le stérilet. Douleur abdominale suspubienne d'origine indéterminée. Douleur abdominale d'origine indéterminée. Otite moyenne aiguë oreille ? Algifor 7ml 3x/jour, Dafalgan en réserve, Amoxicilline après 48h si aucune amélioration. Otite moyenne aiguë perforée à droite Otite moyenne bilatérale Otite moyenne bilatérale réfractaire Otite moyenne chronique perforée gauche avec tympanosclérose sévère et sténose du conduit auditif externe. Fente maxillo-palatine opérée dans la petite enfance. Otite moyenne D le 18.02.2020 • avec vertige/atteinte vestibulaire. Otite moyenne débutante à droite Otite moyenne débutante à gauche Otite moyenne d'origine probablement le 16.02.2020 avec : • Etat grippal. • Otite moyenne d'origine virale probable le 15.2.2020. • Otite moyenne d'origine virale probable le 5.2.2020. • Otite moyenne droite. • Otite moyenne droite aiguë non compliquée le 20.02.2020. • Otite moyenne droite débutante. • Otite moyenne droite le 19.12.2019. • Otite moyenne droite perforée le 02.05.2016. Arrachement plaque palmaire D5 2ème phalange main droite le 07.04.2018. Perte de connaissance d'origine peu claire avec traumatisme crânien le 14.03.2019, DD prise d'alcool, troubles du rythme cardiaque, épilepsie: • douleurs occipitales. • Co-Amoxicilline 625 mg 3x par jour pendant 1 semaine. • Dafalgan. • Troubles anxieux le 14.03.2018. • Temesta 1mg expidet cp aux urgences. • Zyprexa 5 mg dès le 14.03.2018 (prescrit par psychiatre traitant). • Otite moyenne gauche. • Otite moyenne gauche débutante et angine virale. • Otite moyenne gauche le 03.02.2020. • Otite moyenne gauche le 24.09.2013. • Otite moyenne gauche perforée le 20.02.2020. • Surdité brusque des deux côtés le 08.02.2019 • accompagnée par des vertiges de quelques minutes et tinnitus des deux côtés depuis 48h. • Otite moyenne perforée droite. • Otite moyenne perforée gauche. • Otite perforée à droite en décembre 2019 ? • Plastie du ligament croisé du genou droit 2000. • Fracture distale intraarticulaire du radius à droite 2016. • Lésion de Lisfranc à droite 2017. • Fracture du pied gauche. • Tendinite du M. Pronator teres droite. • Otite réfractaire bilatérale à prédominance droite. • Otite séreuse chronique G en amélioration • Suivi par le Dr. X en ORL. • Otite séreuse droite douloureuse. • Otite séro-muqueuse droite dans contexte IVRS. • Otite virale. • Otite virale à D. • Otite virale gauche/ Myringite gauche. • Otites à répétition et drains ddc. • Otites à répétition, présence de drain tympanique bilatéralement. • Otites à répétitions. • Naissance sans problème. • Otites à répétitions avec : • status post paracentèse et mise en place d'un drain en 2000 et 2006. • Otites externes des deux côtés et moyenne à droite 10.2012. Angine à Streptocoque le 28.01.2014. • Otites moyennes aigües bilatérales. • Otites perforées bilatérales. • Otites récidivantes. • Otites virales bilatérales. • Otitis media links, 10.02.20. • Otitis media perforata droite. • Otorrhée droite. • Otorrhée gauche. • Otorrhée sanglante isolée anamnestique sur grattage, non objectivée aux urgences. • Otosclérose bilatérale. • Otoscope : présence de bouchon de cérumen à D, CAE calme. Rinçage à l'eau tiède. Après rinçage, tympan calme mais non visualisable en entier, disparition hypoacousie et douleurs. Antalgie. Consultation chez le MT si persistance ou aggravation des symptômes. • Otoscopie : calme. Antalgie. • Otoscopie : CAE discrètement érythémateux, tympan calme. Antalgie par Dafalgan et Algifor. • Otoscopie. Antalgie par Dafalgan et Algifor. Antibiothérapie par Co-amoxicilline. • Otoscopie. Antalgie par Dafalgan et Ibuprofène. Panotile gouttes pour une semaine. • Otoscopie. Antalgie par Dafalgan et Ibuprofène. Panotile gouttes pour une semaine. Dispense école et sport du 16 au 19.02.2020. • Otoscopie. Antalgie par Dafalgan, Irfen. Ciproxin HC pendant une semaine. • Ouverture bouchon : 200 cc urine claire. Rinçage de la sonde : pas d'obstruction. Mise en place d'Uriflac car plus facilement manipulable par la patiente. • Ouverture de la plaie post-opératoire du pied droit. • Ovaires polykystiques. Fausse couche + curetage en 2014. Portage streptocoque B. Anémie du post-partum à 92 g/l. • Accouchement par voie basse après rupture prématurée des membranes chez une patiente de 34 ans devenue 1G à 39 1/7 semaines d'aménorrhée le 01.09.2017. Déchirure périnéale de degré 2. • Ovariectomie bilatérale pour kystes en 2010. • Colique néphrétique droite le 08.06.2016. • Céphalées occipitales en coup de tonnerre le 31.01.2017. • Contusion thoraco-lombaire et du bassin suite à une chute de sa hauteur, le 17.01.2019. • Oxazépam d'office et en réserve. Thiamine 300 mg/j sur 3 jours. • Oxazépam en réserve. • Oxazépam en réserve dès le 19.02.2020. • Oxazépam et substitution vitaminique. Transfert à Marsens en volontaire pour suite de sevrage avant transfert au Torry. • Oxazépam le 04.02. Diazepam dès le 04.02. Clonidine iv le 04.02.20. Thiamine charge du 04.02 au 05.02.2020. • Oxybuprocaïne 0.4 %. Fluorescéine gouttes : abrasion visualisée en regard de l'iris de l'œil gauche. Vitamine A, pansement occlusif de l'œil. Pas de conduite de véhicule. Consultera en ophtalmo demain matin. • Oxygène à haute débit 24.02.2020. Ventilation non invasive 24.02.2020. Intubation oro-trachéale (Dr. X ; Cormack 1) et ventilation mécanique invasive du 24.02. Noradrénaline 24.02. Ceftriaxone 24.02. Clarithromycine le 24.02.2020. Oseltamivir 24.02. Solucortef du 24.02 au ___. Curarisation du 24.02 au ___. • Cathéter artériel radial D 24.02. Voie veineuse centrale jugulaire droite 24.02. (Dr. X). Sonde nasogastrique 24.02. Sonde vésicale 24.02. • Hémocultures : _ à pister. Cultures d'expectoration : _ à pister. • Radio Thorax 24.02.2020. • Oxygène aux lunettes si besoin. Physiothérapie respiratoire et de mobilisation. Poursuite du traitement diurétique per os avec suivi quotidien du poids. Radiographie du thorax le 23.12.2019. • Oxygène aux lunettes 0,5-1 L – pendant 15 heures. • Oxygénodépendance dans un contexte d'une bronchite modérée. • Oxygénothérapie. • Oxygénothérapie aux lunettes du 13 au 16.02.2020. Laboratoire du 13.02.20 : CRP 43 mg/l, pas de leucocytose, gazométrie alignée. Traitements complexes de médecine complémentaire (médecine anthroposophique). • Oxygénothérapie aux lunettes le 25.02. Ventolin et Atrovent en pushs, espacés progressivement. Corticothérapie par Betnesol per os 0.25 mg/kg/jour pour 3 jours. Gazométrie le 25.02. Rx de thorax le 25.02. • Oxygénothérapie dès le 14.02.2020. Ventilation non invasive dès le 17.02.2020. Atrovent, Ventolin, Pulmicort. • Cathéter artériel du 17.02.2020 au 20.02.2020. • Polysomnographie et capnographie le 18.02.2020. • Transfert au HFR Billens pour réadaptation pulmonaire prévu le 26.02.2020. • Oxygénothérapie dès le 26.02.2020. Ceftriaxone dès le 26.02.2020. Clarithromycine per os du 26.02 au 28.02.2020. • Isolement de contact et aérosol du 26.02 au 28.02.2020. • Oxygénothérapie du 10.01.2020 au 27.01.2020. • Oxygénothérapie du 1.02.2020 au 4.02.2020. Frottis RSV négatif. Surveillance cardio-respiratoire. Médecine anthroposophique. • Oxygénothérapie du 16.01.2020 au 20.01.2020. • Oxygénothérapie du 27.01 au 31.01. Test d'épreuve au Ventolin sans bénéfice. Traitements complexes de médecine complémentaire (médecine anthroposophique). • Oxygénothérapie, sevrage progressif. • Oxygénothérapie. Gazométrie artérielle.Poursuite Torem 20 mg per os • Oxygenothérapie • Majoration diurétique per os • Oxygénothérapie • Nifédipine retard 20 mg depuis le 27.01.2020 puis stoppé pour hypotension • Echocardiographie transoesophagienne le 28.01.2020 • Cathétérisme droit-gauche le 07.02.2020 • Plavix 75 mg durant 6 mois • Reste du traitement inchangé ETT de contrôle dans 3 mois Réhabilitation palliative à la VSF • Oxyplastin sans amélioration (mais application difficile en raison de l'agitation de la patiente pendant les soins) • Traitement par Fluconazole et Mycoster sans amélioration • O2: 3L/min. • CT-scan thoracique natif (patiente allergique au iode). • Gazométrie artérielle. • Tavanic 500 mg/j iv du 11.12 au 16.12. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : • Douleurs 4/10 à la mobilisation uniquement en ceinture au niveau du thorax, a du mal à les caractériser • Dyspnée 0/10 Pas de dyspnée depuis les drainages • Nausée 0/10 Pas de nausée actuellement • Fatigue 6/10 Importante depuis l'hospitalisation met cela en lien avec le rythme imposé par l'hôpital • Somnolence 0/10 • Inappétence 0/10 Pas d'inappétence, pas de perte de poids • Anxiété 5/10 en lien avec la récidive récente de son cancer • Dépression 5/10 pleure plusieurs fois pendant l'entretien, surtout à l'évocation de sa famille • Sensation de mal-être 5/10 en lien avec la fatigue, la perte de mobilité et l'angoisse • Autre 0/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 65 points Palliative Performance Scale : 70% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Ancienne travailleuse de bureau, mariée, a 1 fille dont elle est très proche et une petite-fille Projet du patient / des proches : Regagner en mobilité, rentrer à domicile Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Très proche de son mari et de sa fille, à convenir avec eux mais très présents Mme. Y est hospitalisée dans notre unité pour une réhabilitation palliative dès le 30.01.2020. À son arrivée, elle se plaint surtout d'une asthénie très importante avec une perte de force se traduisant par une perte de mobilité. Elle mentionne également des douleurs intermittentes en ceinture au niveau du thorax qu'elle a du mal à caractériser. Le traitement antalgique est adapté avec une évolution favorable. Concernant sa dyspnée, les épanchements pleuraux sont régulièrement drainés à l'aide des deux PleurX avec bonne réponse clinique. Elle souffre également d'une toux sèche résiduelle pour laquelle un traitement de dexaméthasone permet un bon effet, conjointement avec les opiacés. En raison de sa perte de force et de mobilité, des séances de physiothérapie régulières ont rapidement un effet positif. Durant son hospitalisation, elle présente des douleurs toujours plus importantes au niveau sacro-iliaque droite zone de métastase osseuse connue. En plus d'une adaptation de l'antalgie, des séances de radiothérapie à visée antalgique sont également organisées au décours de l'hospitalisation. Elle rapporte également une tristesse en péjoration. En effet, elle avoue devoir prendre du temps pour accepter sa nouvelle réalité (diagnostic de la récidive après avoir passé plusieurs années en rémission, présence de métastases) et remarque une diminution importante du moral dans ce contexte. Sur sa demande d'aide pharmacologique, nous débutons un traitement de citalopram avec stabilisation progressive du moral. Les angoisses générées par sa situation actuelle sont gérées par benzodiazépines. De multiples entretiens pluridisciplinaires permettent également l'élaboration des anxiétés et de l'humeur et un accompagnement de Mme. Y et de ses proches. Après un congé se déroulant sans complication, un retour à domicile est organisé le 22.02.2020 avec suite de prise en charge ambulatoire en oncologie et radiothérapie. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : • Douleurs 0/10 ; • Dyspnée 2/10 Rapporte avoir eu de la peine à respirer, non datable (antécédent de bronchite il y a 2 semaines) • Nausée 0/10 ; • Fatigue 8/10 fatigué la journée (car agitation nocturne et peine à dormir selon les filles) • Somnolence 8/10 s'endort facilement quand il est inactif • Inappétence 3/10 ; • Anxiété 0/10 ; • Dépression 0/10 dit que le moral est sans particularité ; • Sensation de mal-être 0/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 10 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Proches très aidants, actuellement épuisés car Mr. Y nécessite beaucoup d'aide (pratiquement 24/24h) Projet du patient / des proches : ne pas souffrir, probable fin de vie envisagée par la famille, selon souhait exprimé par Mr. Y, pas d'investigations envisagées. Mr. Y est hospitalisé depuis son domicile pour agitation et troubles cognitifs importants avec épuisement du réseau familial. A l'admission, Mr. Y n'a pas de plainte particulière et présente une anosognosie par rapport à sa situation. La famille décrit des troubles cognitifs en péjoration depuis quelques années (oublis, difficulté à reconnaître les proches, peine aux activités de la vie quotidienne). La situation s'est fortement aggravée ces 3 dernières semaines avec diminution rapide des capacités cognitives nécessitant la présence continue d'un proche et une agitation importante, surtout nocturne. Une prise de sang révèle un syndrome inflammatoire sans leucocytose. La fonction rénale et hépatique ainsi que la formule sanguine sont sans particularité. Au vu de la situation générale, sans clair foyer clinique, il est convenu avec la famille de ne pas faire d'autres examens complémentaires et d'effectuer des traitements symptomatiques. Lors d'un scanner en 2018 : lésions rénales ainsi que pulmonaires suspectes de processus néoplasique avaient été détectées. Mr. Y avait refusé de poursuivre les investigations et ne désirait pas de prise en charge thérapeutique. Une évolution de ces processus pourrait expliquer la situation actuelle. Sous traitement médicamenteux, les agitations sont contrôlées. L'état général se dégrade rapidement et Mr. Y décède le 23.02.20 entouré de sa famille. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : • Douleurs 0/10 ne décrit pas de douleur ; • Dyspnée 6/10 surtout à l'effort en nette péjoration depuis quelques jours ; • Nausée 6/10 intermittente, pas de vomissement, surtout depuis quelques jours ; • Fatigue 6/10 depuis quelques mois, mais nette péjoration depuis quelques jours ; • Somnolence 6/10 s'endort facilement la journée, passe de bonnes nuits, a l'impression de dormir de plus en plus ; • Inappétence 6/10 mange très peu, a perdu près de 40 kg depuis le début de sa maladie, n'a presque rien mangé depuis 3 jours ; • Anxiété 0/10 ne décrit pas d'anxiété ; • Dépression 0/10 Thymie décrite comme normale ; • Sensation de mal-être 6/10 surtout en lien avec la baisse de l'état général ; • Autre 0/10 RAS Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : A deux fils, un vivant à Fribourg, un qui vit au Costa Rica. Très proche des deux. A un frère également qui vient le voir tous les jours et qui l'aide énormément. Est divorcé, n'a pas plus de contact avec son ex-femme ; Projet du patient / des proches : Se reposer, stabiliser la situation, vivre encore quelques temps ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Très proche de sa famille donc à inclure pour les décisions importantes Mr. Y nous est transféré depuis les urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une anémie à 30 g/l d'hémoglobine sur saignement digestif haut. A l'admission, Mr. Y rapporte une dyspnée, une fatigue et des nausées en péjoration depuis quelques jours. Le bilan aux urgences montre une anémie importante pour laquelle il reçoit des transfusions de concentrés érythrocytaires et du plasma frais congelé avec bonne réponse du point de vue clinique.Il rapporte également une dysphagie importante aux solides dans le contexte du carcinome gastrique pour laquelle une alimentation plaisir est mise en place sans prise en charge invasive de réalimentation. Mr. Y nous exprime être prêt à mourir mais néanmoins désireux de profiter des quelques plaisirs qui lui restent. Dans ce contexte, il est initialement décidé de transfuser Mr. Y si un bénéfice clinique est atteignable. Suite à des transfusions lors de l'hospitalisation, Mr. Y rapporte ne pas remarquer de différence au niveau de ses symptômes. Il est par la suite décidé de ne plus transfuser le patient et de traiter de manière symptomatique. Les contrôles biologiques révèlent une persistance du saignement digestif à bas bruit malgré l'arrêt des traitements anticoagulants et la poursuite à haute dose d'inhibiteur de la pompe à proton. L'état général de Mr. Y se péjore progressivement et il décède le 23.02.2020. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 10/10 Au niveau de la main G, en lancées de plus en plus fréquentes et intenses, intensité par moment à 10/10 ; Dyspnée 0/10 pas de dyspnée ; Nausée 0/10 Pas de nausées ; Fatigue 6/10 Se dit fatiguée et légèrement somnolente ; Somnolence 6/10 Somnolence importante, s'endort facilement sans stimulation ; Inappétence 6/10 Mange un peu moins que la moitié d'une portion ; Anxiété 8/10 Non explorée ; Dépression 10/10 Se dit au bout moralement, nous dit être enfermée dans un appartement au 3ème étage sans possibilité de sortir car l'AI ne lui aurait pas permis d'adapter les escaliers, dit attendre que le temps passe chez elle et ne pas avoir de hobby ; Sensation de mal-être 10/10 En lien avec les douleurs et la perte d'autonomie ; Autre 0/10 RAS Barthel limitation fonctionnelle motrice : 30 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Était femme de chambre à Zurich puis Estavayer, est en couple avec son compagnon depuis 17 ans ; Projet du patient / des proches : Gagner en autonomie gestion de la douleur ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Très proche de son compagnon et de sa fille. Décisions à prendre en tenant compte de leur opinion et bien sûr de celle de Mme. Y Mme. Y nous est transférée de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour gestion d'antalgie. Mme. Y présente des douleurs d'allure ischémique de la main gauche, non soulagées malgré de multiples essais médicamenteux et recours à des avis spécialisés en anesthésie et rhumatologie. A son arrivée, nous rencontrons une patiente en grande souffrance sur le plan somatique et psychique. Les douleurs sont décrites comme insupportables. Au niveau de l'antalgie, nous majorons le fentanyl et la kétamine en pompe et débutons une anxiolyse par Rivotril intraveineux puis relais p.o. Nous discutons également avec Mme. Y afin de mieux comprendre la situation, mais celle-ci ne communique que peu à ce stade. Devant une évolution clinique défavorable avec des sécrétions devenues purulentes, un avis orthopédique est demandé. Une ostéomyélite de la phalange distale est diagnostiquée et serait en grande partie responsable de l'exacerbation des douleurs. Un premier débridement au bloc opératoire est effectué. La patiente est mise sous Céfuroxime après avis infectiologique. Une biopsie osseuse intra-opératoire est effectuée et permet d'adapter l'antibiothérapie pour de la clindamycine et ciprofloxacine p.o. Un essai de prise en charge de l'antalgie par pompe de kétamine et patch de fentanyl se solde par une recrudescence des douleurs, raison pour laquelle nous continuons l'antalgie avec une pompe CADD double fentanyl et kétamine permettant une bonne gestion des douleurs. Concernant sa sclérodermie, la Nifédipine est arrêtée en raison d'un profil tensionnel trop bas non compatible avec sa maladie. Le sildénafil est en revanche continué conformément aux instructions des rhumatologues. En raison d'une thrombose veineuse profonde axillaire et subclavière droite secondaire à la Picc-line, une anticoagulation thérapeutique par Xarelto est encore en cours à la sortie. Un contrôle angiologique est prévu le 03.04.2020 pour réévaluer la poursuite de l'anticoagulation. Plusieurs entretiens de famille peuvent avoir lieu avec Mme. Y et ses proches afin de les accompagner au mieux dans leur parcours face à la maladie chronique et à la souffrance qu'elle engendre. En raison de la bonne amélioration des douleurs, Mme. Y rentre à domicile le 16.02.2020 avec suite d'antalgie par pompe fentanyl et kétamine ainsi que soins locaux et antibiothérapie pour l'ostéomyélite. Des soins à domicile ainsi que l'équipe Voltigo sont organisés. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 10/10 Douleurs hanche et lombaire gauches, caractérisées comme chaudes, brûlantes, déclenchées par la mobilisation, calmées par le repos ; Dyspnée 5/10 Dyspnée stade NYHA IV, oxygénodépendante à 4L/min au repos, 5L/min lors des mobilisations ; Nausée 0/10 ; Fatigue 0/10 ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 7/10 inappétence en péjoration depuis 1 mois ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 50 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit à domicile avec sa femme qui est épuisée de la situation à domicile. Maison avec escaliers pas adaptés actuellement à l'état de santé du patient ; Projet du patient / des proches : Retour à domicile. Souhaite ne plus avoir de douleur. Mr. Y est transféré depuis le HFR le 06.02.2020 pour une réadaptation palliative. Au premier plan, le patient rapporte des douleurs incidentes nociceptives, somatiques avec une composante neuropathique périphérique, déclenchées par la mobilisation. Nous adaptons son traitement antalgique avec un bon effet. Nous introduisons notamment un spray de fentanyl en prévision des mobilisations, ce qui convient très bien au patient. Pour les douleurs de fond, nous adaptons le traitement d'opioïde avec deux rotations en raison de l'apparition d'une neurotoxicité. A la sortie, Mr. Y est traité avec de l'hydromorphone. De plus, Mr. Y bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire, notamment un suivi physiothérapeutique avec fangos pour ses douleurs et profite d'une alimentation plaisir pour son inappétence. Lors d'un entretien de famille avec son entourage, la femme de Mr. Y peut exprimer beaucoup d'émotions et un épuisement en lien avec les difficultés rencontrées à domicile. Nous proposons des adaptations du domicile et de continuer le suivi par Voltigo et les soins à domicile. Mr. Y rentre à domicile le 18.02.2020. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 5/10 semble avoir des douleurs lors des mobilisations ; Dyspnée 0/10, aphasie, Ne semble pas en détresse respiratoire ; Nausée 0/10 Anamnèse impossible patient aphasique ; Fatigue 0/10 Anamnèse impossible patient aphasique ; Somnolence 0/10 Anamnèse impossible patient aphasique ; Inappétence 0/10 Anamnèse impossible patient aphasique ; Anxiété 0/10 Anamnèse impossible patient aphasique ; Dépression 0/10 Anamnèse impossible patient aphasique ; Sensation de mal-être 0/10 Anamnèse impossible patient aphasique ; Autre Anamnèse impossible patient aphasique Barthel limitation fonctionnelle motrice : 0 point Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Comment le patient souhait-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? :Aphasie, épouse et fils présents, expliquent que Mr. Y aurait exprimé le souhait de mourir le plus vite possible. Mr. Y est transféré depuis l'HFR Riaz pour une fin de vie. À son arrivée, le patient présente des douleurs au niveau du membre inférieur droit uniquement à la mobilisation. Elles répondent favorablement au traitement antalgique instauré. Très vite durant son hospitalisation, Mr. Y manifeste son envie de mourir le plus rapidement possible, il refuse plusieurs fois les traitements symptomatiques proposés de peur qu'ils prolongent sa vie. Plusieurs entretiens sont réalisés avec ses proches pour les rassurer sur le rôle des traitements qui servent uniquement à favoriser son confort. La situation est acceptée par les proches avec lesquels plusieurs entretiens peuvent être effectués afin de les accompagner au mieux dans leur vécu douloureux de la maladie. De plus, le patient souffre de problèmes de communication très importants dans le contexte de son glioblastome. En effet, le patient est presque entièrement aphasique. Cette situation semble difficile à vivre par le patient. Il bénéficie dans ce contexte d'un accompagnement interdisciplinaire pour l'aider au mieux dans cette situation. L'état général se dégrade progressivement pendant l'hospitalisation. Suite à une discussion avec les proches, un traitement sédatif à but symptomatique est mis en place. Mr. Y décède le 22.02.2020. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : • Douleurs 8/10, douleurs abdominales en particulier au flanc D, depuis plusieurs mois, à prédominance nocturne et à la mobilisation, partiellement soulagées par la défécation, transit avec alternance de diarrhées et constipation (aussi de longue date), pas de nausée ni vomissement ; • Dyspnée 0/10, pas de dyspnée ; • Nausée 0/10, pas de nausée ; • Fatigue 6/10, faiblesse généralisée ; • Somnolence 0/10, pas de somnolence ; • Inappétence 5/10, mange en fonction de ses douleurs ; • Anxiété 8/10, se dit relativement anxieux, en lien avec le fait qu'on ne puisse plus rien lui proposer pour soigner son cancer, dit vouloir mourir vite le moment venu ; • Dépression 5/10, quelques moments de tristesse, grande tristesse à l'annonce de l'échec des traitements oncologiques avec à ce moment-là des idées suicidaires temporaires ; • Sensation de mal-être 5/10, en lien avec ses problèmes de transit et de douleurs surtout ; • Autre 0/10, RAS Barthel limitation fonctionnelle motrice : 70 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Son entourage social se limite principalement à des professionnels à savoir Mme. Y sa psychologue dont il est proche et son notaire. Il n'a plus de contact avec son ex-épouse et son fils. Était ingénieur en organisation du travail et en électronique. Il vit actuellement seul dans un appartement moderne à Avenches. ; Projet du patient / des proches : qu'on règle ses douleurs au ventre et ses problèmes de constipation. ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Souhaite qu'on tienne sa psychologue et son notaire informés de la situation. Mr. Y, nous est envoyé du domicile par Dr. X dans un but de réhabilitation palliative. À son arrivée, Mr. Y présente un état général diminué avec une cachexie et une sarcopénie. Il se plaint principalement de douleurs abdominales viscérales prédominant du côté droit avec notion d'alternance de diarrhées et constipation. Il décrit ses douleurs comme invalidantes au quotidien interférant notamment avec son alimentation, son transit et son sommeil. L'adaptation de l'antalgie avec introduction de morphine per os permet un bon contrôle des douleurs. Un abdomen sans préparation ne met pas en évidence d'iléus. Un relais par oxycodone a dû être effectué en raison d'une neurotoxicité de la morphine se manifestant par des hallucinations visuelles. L'évolution est rapidement favorable. Mr. Y présente également une composante anxieuse pour laquelle il bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire. L'état général se dégrade progressivement, raison pour laquelle il est convenu d'un séjour en résidence palliative à la Villa Saint-François pour accompagnement, un retour à domicile n'étant plus possible dans ces conditions. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : • Douleur 0/10, pas de douleur ; • Dyspnée 0/10, pas de dyspnée ; • Nausée 0/10, pas de nausée ; • Fatigue 4/10, avec somnolence diurne ; • Somnolence 0/10, somnolence diurne ; • Inappétence 5/10, inappétence avec à son entrée des vomissements sans nausée associée ; • Anxiété 0/10, pas d'anxiété ; • Dépression 0/10, pas de dépression ; • Sensation de mal-être 0/10, pas de sensation de mal-être ; • Autre 0/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 95 points Palliative Performance Scale : 90% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit seule à domicile à Fribourg et à Sion. Pas de soins à domicile, aide pour le ménage. Famille : 2 frères et 1 sœur. De confession catholique ; Projet du patient / des proches : rentrer à domicile avec un réseau ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : pas de souhait spécifique. Mme. Y nous est transférée depuis le HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour une réadaptation palliative. À son entrée, la patiente se plaint d'une inappétence en lien avec sa maladie oncologique avancée et son statut post-dérivation gastro-jéjunale. Nous arrêtons l'alimentation parentérale au profit d'une alimentation plaisir avec très bon effet. La PICC-line est ensuite retirée en prévision d'un retour à domicile. Seul reste le port à cath demeurant fonctionnel. Mme. Y rapporte une asthénie d'origine multiple. Le bilan biologique montre une amélioration de la pancytopénie induite par chimiothérapie et la patiente bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire avec bon effet. En vue d'un retour à domicile, nous introduisons des soins à domicile 3x/semaine et réactivons l'aide au ménage. Mme. Y rentre à domicile le 04.02.2020. Une consultation chez son oncologue, Dr. X, est prévue le 17.02.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : • Douleurs 0/10 ; • Dyspnée 0/10 ; • Nausée 0/10 ; • Fatigue 6/10 : habituellement à 4, majorée à 6 car dort moins bien depuis l'hospitalisation. Inversion du rythme jour/nuit depuis novembre 2019 ; • Somnolence 4/10 : dort 4-5 heures en journée ; • Inappétence 5/10 : mange 1/2 portion ; • Anxiété 0/10 ; • Dépression 0/10 ; • Sensation de mal-être 6/10 : surtout en lien avec la fatigue et la perte d'autonomie ; • Autre : prurit chronique, surtout aux membres à prédominance nocturne. Perte d'autonomie et de force. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 35 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : est marié avec son épouse depuis 11 ans, n'a pas d'enfant. Ancien enseignant en philosophie et histoire des religions au collège, aime beaucoup écrire. A une sœur dont il est très proche, également très proche de sa belle-famille qui vit en France ; Projet du patient / des proches : rentrer à la maison gagner en mobilité (25 marches à domicile). Mr. Y est transféré de l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour une réhabilitation palliative. À son arrivée, il se plaint principalement d'une asthénie importante et d'une perte de mobilité. Il mentionne également une inversion de son rythme jour/nuit. Des séances de physiothérapie permettent une amélioration rapide de son périmètre de marche durant son séjour. Il reprend rapidement un rythme de sommeil normal en chambre individuelle et le remplacement de la trazodone (Trittico) par la mirtazapine (Remeron).Au vu des antécédents d'anasarques de Mr. Y, son poids est régulièrement surveillé et son traitement diurétique adapté. Il semble arriver à une relative stabilité aux alentours de 100 kg durant son séjour. Nous vous laissons le soin de réévaluer la posologie des diurétiques à distance. De plus, il mentionne des démangeaisons importantes, surtout nocturnes, insomniantes pour lesquelles un traitement par Remeron est instauré devant la suspicion d'une origine, au moins en partie, métabolique avec une efficacité partielle seulement. À noter qu'un diagnostic d'eczéma craquelé avait été retenu par nos collègues dermatologues. Mr. Y prendra lui-même un nouveau rendez-vous en ambulatoire en fonction de l'évolution. Un entretien de famille est organisé pour estimer l'importance du réseau nécessaire pour le retour à domicile. Des soins à domicile 3x/semaine en plus de Voltigo sont instaurés. Mr. Y rentre à domicile le 03.02.2020 après une nette amélioration de son état général. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 7/10 : Asthénie importante, réfractaire au traitement par dexaméthasone majoré récemment ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 3/10 : Angoisse de mort ; Dépression 5/10 : Sensation de tristesse globale et chronique en lien avec le vécu de sa maladie ; Sensation de mal-être 0/10. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 30 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit à domicile avec son mari dans une maison sur 3 étages, suivi par Voltigo, pas de soins à domicile. Mme. Y, croyante, foi très importante ; Projet du patient / des proches : Espère un miracle et souhaite rentrer à domicile avec amélioration de la mobilisation, mari très présent (proche aidant depuis une trentaine d'années), envisage plutôt une fin de vie dans l'unité. Mme. Y est hospitalisée le 15.01.2020 pour une fin de vie et un épuisement de réseau. Au premier plan, la patiente se plaint d'une importante asthénie d'origine multifactorielle. Nous adaptons ses traitements et la patiente bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire avec un effet modéré sur la fatigue. Durant son hospitalisation, Mme. Y profite de la présence de ses proches. Son mari peut exprimer beaucoup d'émotions face à la dégradation de l'état clinique de la patiente et se dit hésitant d’annoncer à cette dernière le caractère palliatif et terminal de son cancer. Nous organisons un entretien de famille avec le Dr. X, oncologue traitant, afin d’annoncer l’absence d'alternative thérapeutique oncologique et les difficultés de prise en charge rencontrées à domicile. Durant cet entretien, Mme. Y peut verbaliser son mal-être en lien avec la dégradation neurologique rapide et, afin de préserver son mari, qu'un retour à domicile dans ces conditions n'est plus envisageable. Elle peut aussi exprimer son espoir qu'un possible miracle parviendrait à la guérir, tout en acceptant qu'il n'existe aucun traitement oncologique. De multiples entretiens peuvent avoir lieu avec Mme. Y et également ses proches afin de les accompagner dans leur vécu émotionnel de la maladie et du deuil. L'état clinique de Mme. Y se dégrade rapidement, avec des céphalées traitées efficacement par morphine, ainsi qu'une altération progressive de l'état de conscience. Elle décède le 03.02.2019 entourée de ses proches. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 10/10 : Dyspnée NYHA IV avec angoisse liée à la dyspnée ; Nausée 0/10 ; Fatigue 7/10 : Asthénie diurne ; Somnolence 5/10 : Somnolence en lien avec l'asthénie ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 10/10 : Angoisse de mort et de dyspnée très importante ; Dépression 5/10 : Tristesse en lien avec progression de la maladie ; Sensation de mal-être 5/10 : Mal-être lorsqu'elle est seule et la dyspnée ; Autre 5/10 : tremblements et vertiges. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 55 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit seule à domicile mais très bien entourée de ses enfants et de sa sœur qui est actuellement en voyage. Soins à domicile + Voltigo ; Projet du patient / des proches : Rentrer à domicile. Pouvoir marcher seule. Moins d'asthénie. Gestion de la dyspnée ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Directive anticipée auprès du Dr. X, ses proches sont au courant. Mme. Y est hospitalisée depuis le domicile le 13.01.2019 pour une gestion d'angoisses et un épuisement de réseau. Au premier plan, la patiente se plaint de beaucoup d'angoisses dont elle souffre chroniquement, acutisées par la dyspnée et des angoisses de mort. Nous adaptons ses traitements psychotropes avec peu d'amélioration. En effet, les modifications de traitements sont mal vécues et mises en échec par la patiente. Les revendications sont multiples, il est difficile d'établir un lien de confiance. Malgré cela, Mme. Y accepte tout de même une majoration de son traitement antidépresseur et un sevrage de la prégabaline. De plus, la patiente profite d'une alimentation plaisir et bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire pour l'aider dans le vécu de sa maladie et de l'asthénie d'origine multiple. En vue d'un retour à domicile, nous organisons un entretien de réseau avec la patiente, sa fille et Véronique de Voltigo. Durant cette discussion, ces dernières peuvent verbaliser les difficultés rencontrées à domicile, notamment l'accompagnement de la patiente qui est facilement rassurée par la présence de ses proches et des multiples intervenants (soins à domicile, Voltigo, physiothérapie, etc.). À cette occasion, Mme. Y peut exprimer qu'elle souhaite dorénavant être hospitalisée à la Villa St-François si nécessaire, l'expérience actuelle ayant été globalement bonne. À relever que nous constatons que le maintien à domicile reste très précaire en raison de cette anxiété généralisée. La patiente n'entend pas la nécessité de trouver un lieu de vie plus sécurisant. Il se pourrait que les proches se trouvent dans un fort conflit de loyauté quant à cette éventualité de placement. Mme. Y rentre à domicile le 27.01.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 10/10 : Dyspnée terminale avec râles, non mobilisable à la toux ; Nausée 0/10 ; Fatigue 0/10 ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 0/10 : Anamnèse limitée par l'état général extrêmement diminué et en détresse respiratoire. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 0 points Palliative Performance Scale : 10% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vie à domicile avec sa famille, 2 enfants. Religion : catholique ; Projet du patient / des proches : Fin de vie, ne pas souffrir ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : pas pu en discuter. Mr. Y nous est transféré depuis le domicile par Voltigo pour une fin de vie après que son état général s'est dégradé rapidement. Le patient présente une détresse respiratoire terminale avec râles agoniques, soulagée par la morphine intraveineuse, diurétiques et butylscopolamine. Mr. Y décède rapidement entouré de ses proches le 27.01.2020, quelques minutes après son arrivée dans l'unité. Palliative Basic Assessment d'entrée :ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 5/10 : Dyspnée au repos péjorée par les mobilisations ; Nausée 0/10 ; Fatigue 0/10 ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 4/10 : Rapporte une inappétence depuis sa deuxième hospitalisation ; Anxiété 9/10 : Angoisses nocturnes avec tension interne depuis environ 3 mois ; Dépression 8/10 : Labilité émotionnelle avec tristesse importante en lien avec l'anxiété ; Sensation de mal-être 9/10 : Sensation de mal-être sans élément déclencheur ; Autre 10/10 : Insomnie Barthel limitation fonctionnelle motrice : 80 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit à domicile avec sa femme, pas de soin à domicile ou d'autre aide ; Projet du patient / des proches : Rentrer à domicile et passer de bons moments avec son entourage ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Décision médicale avec sa femme Mr. Y est transféré depuis l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une réhabilitation palliative. Au premier plan, le patient se plaint d'angoisses, qui répondent bien à l'introduction de lorazépam. Cependant, les revendications du patient et de la famille sont multiples et il est difficile d'établir un lien de confiance. En effet, les modifications de traitements sont mal vécues et mises en échec par le patient. Malgré cela, Mr. Y accepte tout de même l'introduction d'un antidépresseur. De multiples entretiens peuvent avoir lieu avec le patient et ses proches pour les aider dans le vécu de la maladie. Ses derniers peuvent exprimer beaucoup d'émotions et une perte de confiance avec le corps médical en raison des hospitalisations récurrentes et des nombreuses complications subies par Mr. Y. Sur le plan respiratoire, Mr. Y se plaint d'une dyspnée. Nous adaptons les diurétiques permettant un sevrage de l'oxygénothérapie. De plus, le patient bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire pour ses troubles de la marche d'origine multiple avec notamment une évaluation et adaptation du domicile par notre collègue ergothérapeute, en prévision d'un retour à domicile. Mr. Y rentre à domicile le 10.02.2020 avec des soins à domicile 1x/semaine. Une consultation chez son oncologue est prévue le 24.02.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 10/10 : Si debout, au niveau de la paroi thoracique D, comme des pics, légers à modérés quand assis, pas de douleur couché. Légère douleur à la mobilisation de l'épaule droite ; Dyspnée 6/10 : Surtout à l'effort même minime, connue et stable selon le patient ; Nausée 0/10 : Pas de nausée pour le moment, en a eu par le passé ; Fatigue 6/10 : Se manifeste par de la somnolence ; Somnolence 6/10 : Fait une sieste après le dîner, s'endort facilement en regardant la télévision. Dort bien la nuit ; Inappétence 5/10 : Mange 1/2 portion, a perdu 30 kg en 5 mois ; Anxiété 0/10 : Pas d'anxiété ; Dépression 0/10 : Pas de thymie triste ; Sensation de mal-être 6/10 : Surtout en lien avec les douleurs ; Autre 0/10 : RAS Barthel limitation fonctionnelle motrice : 50 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Ancien agriculteur, vit avec son épouse dans une ferme. A 3 filles et 2 petits-enfants. Son épouse vient de se faire réopérer d'une hernie discale ; Projet du patient / des proches : Il avait du plaisir à s'occuper des quelques bêtes qu'ils avaient. Passer du temps en famille ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Très proche de son épouse et de ses filles, entretien de famille à organiser. Mr. Y est transféré depuis l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une gestion de l'antalgie et une réhabilitation palliative dès le 31.01.2020. À son arrivée, il se plaint surtout de douleurs au niveau des 2ème et 3ème côtes à droite. Ses douleurs sont présentes depuis plusieurs mois. Elles sont décrites comme des pics. Elles ne sont présentes que lors des verticalisations mais disparaissent en position couchée. Son traitement antalgique est adapté avec mise en place d'un patch de fentanyl et réserve de morphine. En parallèle, il bénéficie de radiothérapie locale au niveau de la masse médiastinale pouvant participer aux douleurs au niveau costal. Les douleurs s'améliorent progressivement, permettant une amélioration de la mobilité. Il mentionne également une dyspnée importante à l'effort connue et stable sur laquelle les traitements par opiacés n'ont que peu d'effet. Lors du séjour, Mr. Y présente des nausées avec baisse de l'état général. Nous mettons également en évidence une diminution des glycémies (alors que les traitements anti-diabétiques avaient été stoppés) ainsi qu'une hypotension artérielle. Nous diagnostiquons une insuffisance surrénalienne aiguë sur diminution trop rapide de la prednisone (mise en place pour les douleurs ainsi que l'asthénie). Avec ré-augmentation de la dose, les symptômes s'améliorent. Nous mettons en place un schéma dégressif plus progressif, ce qui permet un retour à domicile le 19.02.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 4/10 : Céphalées de l'hémicrâne gauche sous forme de serrement, intermittentes ; Dyspnée 0/10 : Pas de dyspnée actuellement ; Nausée 0/10 : Pas de nausée ; Fatigue 0/10 : Pas de fatigue ; Somnolence 5/10 : S'endort à l'arrêt de la stimulation ; Inappétence 0/10 : Pas d'inappétence ; Anxiété 4/10 : Quant à l'avenir ; Dépression 0/10 : Thymie neutre à priori ; Sensation de mal-être 0/10 : Pas de mal-être décrit ; Autre ESAS : Difficile à réaliser au vu des troubles cognitifs importants Barthel limitation fonctionnelle motrice : 0 points Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Ancien graphiste, veuf depuis plusieurs années, a 3 enfants et une petite-fille ; Projet du patient / des proches : Mr. Y attache beaucoup d'importance à l'art et au processus créatif ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : hors contexte Mr. Y nous est transféré depuis le HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une fin de vie. Au premier plan, Mr. Y se plaint de céphalées intermittentes mises sur le compte de sa maladie oncologique avancée ainsi que des douleurs généralisées et mal systématisées lors des mobilisations. La symptomatologie est bien contrôlée sous morphine. On constate d'importants troubles cognitifs qui compliquent la prise en soins. Mr. Y bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire pour ses troubles de la communication et ses angoisses mal systématisées, avec notamment un accompagnement spirituel. Durant son hospitalisation, Mr. Y profite de la présence de sa fille et communique régulièrement avec ses enfants qui habitent en Angleterre via une application informatique. Lors d'un entretien de famille avec sa fille, cette dernière peut exprimer beaucoup d'émotions quant à la dégradation lente de l'état clinique du patient, mais se dit prête à l'idée d'une fin de vie. Au vu du contexte global, de l'état clinique stable du patient, et la prise en charge palliative ne permettant pas un retour à domicile, Mr. Y est passé en résidence palliative le 05.02.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 5/10 : Douleurs lombaires intermittentes basses irradiant dans les plis inguinaux ddc, déclenchées après env. 30 min en position assise, disparaissent après 2-3 min en position debout - Crampes intermittentes intenses des deux jambes (cuisses et mollets) survenant la nuit, cédant spontanément après plusieurs minutes, avec contracture musculaire et notamment flexion dorsale des pieds ; Dyspnée 2/10 : Absente au repos, mais orthopnée objectivée en position semi-allongée ; Nausée 0/10 : Absente actuellement, en a eu beaucoup après le traitement de Rilutek qui a été arrêté pour cette raison ; Fatigue 9/10 : Dit ne plus dormir depuis plusieurs jours car n'arrive pas à se positionner de manière confortable pour dormir ; Somnolence 8/10 : S'endort en regardant les infos à la télé ; Inappétence 2/10 : Décrit un appétit globalement conservé, prend un SNO par jour en raison d'une perte de 4kg récente, reprise depuis, tousse parfois ; Anxiété 2/10 : Ne se dit pas anxieuse, dit se rendre compte de la situation, qu'elle ne peut pas changer, ne pas vouloir prolonger la situation ; Dépression 4/10 : Ne rapporte pas de baisse de moral, globalement souriante malgré deux épisodes de pleurs pendant l'entretien, a pris du Cipralex 20 mg/j. un temps, a arrêté en raison de nausées ; Sensation de mal-être 4/10Barthel limitation fonctionnelle motrice : 30 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est veuve, mari décédé subitement à l'âge de 55 ans. A deux filles adultes et plusieurs petits-enfants. Notion de deuils familiaux multiples (mari, deux petits-enfants en bas âge, multiples frères et sœurs). Fille très émue face à la situation rapidement progressive de sa maman, auparavant très indépendante. Était infirmière aux soins intensifs de Fribourg, a continué à travailler après sa retraite jusqu'en juin 2019 avec des personnes handicapées ; Projet du patient / des proches : Retour à domicile ou fin de vie à la Villa St-François. Refuse un placement en home ou un séjour au HFR Fribourg où elle a travaillé ; Comment le patient souhait-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Famille très unie, entretien de famille à prévoir. Mme. Y, 69 ans, connue pour une sclérose latérale amyotrophique rapidement progressive diagnostiquée en octobre 2019, nous est transférée sur demande de l'équipe Voltigo dans un objectif initial de réadaptation palliative. Mme. Y présente une baisse d'état général rapidement progressive sur les dernières semaines avec épuisement progressif du réseau à domicile. À son arrivée, Mme. Y se plaint d'une asthénie généralisée, mise en lien avec des troubles des insomnies importantes depuis le 23.12.2019 en raison d'une incapacité à se mobiliser seule dans son lit. Elle se plaint également de douleurs paroxystiques crampiformes au niveau des membres inférieurs ainsi que d'une dyspnée au moindre effort. Au niveau de l'antalgie, nous introduisons un traitement myorelaxant par Mydocalm puis par Lioresal avec pour effet une diminution des crampes nocturnes. Des réserves de fentanyl intranasal sont également mises en place malgré une grande réticence initiale avec anxiété de Mme. Y concernant la prise d'opiacés. Nous discutons longuement avec Mme. Y et sa famille du projet de retour à domicile, même temporaire, souhaité par Mme. Y. Nous élaborons dans un premier temps des congés à domicile sur plusieurs jours avec l'aide de soins à domicile et de proches de Mme. Y. Un statut de "résidente" à la villa Saint-François est également décidé. En raison d'une maladie rapidement évolutive et d'une dépendance pour tous les actes de la vie quotidienne, un retour à domicile nous paraît difficilement envisageable, raison pour laquelle Mme. Y est passée en résidence palliative le 21.01.2020 et retransférée en soins aigus dans notre unité le 18.02.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 10/10 : Douleurs totales constantes, avec crises le matin et le soir avant de recevoir la MST, sous forme de brûlures, raideur au niveau du dos et des articulations des membres supérieurs. Douleurs profondes au niveau des jambes, pas de lien avec les articulations. Calmées partiellement par la morphine et la MST ; Dyspnée 0/10 ; Nausées 5/10 : Nausées sans facteur déclenchant ; Fatigue 5/10 : Asthénie globale et chronique ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 5/10 : Rapporte des symptômes faisant penser à des crises d'angoisse ; Sensation de mal-être 10/10 : Importante sensation de mal-être, difficilement caractérisable ; Autre 6/10 : Impatiences, évoque des jambes sans repos Barthel limitation fonctionnelle motrice : 55 points Palliative Performance Scale : 60% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit à domicile avec son mari et ses 2 enfants (4 et 8 ans). Mari souvent surmené et les enfants ont mis de la distance avec la patiente ; Projet du patient / des proches : Retrouver une vie de couple normale et se reposer, adaptation de l'antalgie ; Comment la patiente souhait-t-elle associer les proches aux décisions et aux soins ? : Discussion des traitements avec mari ok Mme. Y nous est transférée depuis l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour une réadaptation palliative. Au premier plan, elle se plaint de douleurs d'une part nociceptives somatiques au niveau de ses articulations sur hyperlaxité et d'autre part de douleurs neuropathiques périphériques en regard de ses membres inférieurs. Les raideurs matinales sont telles que Mme. Y reste clouée au lit tous les matins. Nous adaptons son antalgie avec un succès mitigé sur les douleurs. La proposition de l'adjonction d'un traitement antidépresseur est initialement refusée par la patiente, les antécédents d'importants effets secondaires la retiennent de tester à nouveau quelque chose. Un essai par une autre molécule sera envisagé par son psychiatre le Dr. X, ce avec quoi Mme. Y se dit d'accord. Mme. Y exprime une souffrance totale en lien avec l'évolution progressivement défavorable de ses douleurs chroniques. Elle présente de forts épisodes d'anxiété et de déprime suite aux événements douloureux difficilement contrôlables. Sur le plan psychopathologique, nous vous proposons de contacter le Dr. X pour plus de renseignements. Elle bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire, notamment de fangos, de séances familiales d'art-thérapie et de l'accompagnement par notre équipe soignante avec un effet modérément bénéfique selon elle. En prévision d'un retour à domicile, nous organisons un entretien de réseau avec le Dr. X, psychiatre de la patiente, afin d'organiser le suivi ambulatoire. Lors de cet entretien, le mari de Mme. Y peut exprimer beaucoup d'émotions en lien avec la dégradation de l'état clinique de sa femme et peut verbaliser les multiples difficultés rencontrées à domicile en lien notamment avec la perte d'autonomie. Ce dernier peut exprimer aussi sa frustration quant à l'impuissance de la médecine face à la situation de son épouse. Mme. Y rentre à domicile le 26.02.2020 avec réactivation des soins à domicile en cours avant l'hospitalisation et suivi par l'équipe Voltigo. Mme. Y reviendra également à l'accueil de jour de la Villa St-François qu'elle apprécie beaucoup et y poursuivra notamment l'art-thérapie en famille. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : Douleurs thoraciques droites, non-respiro-dépendantes, constantes, difficiles à caractériser ; Dyspnée 0/10 : Pas de dyspnée mentionnée ; Nausée 0/10 : Pas de nausée ; Fatigue 8/10 : depuis 2 semaines environ, sans réel facteur déclenchant ; Somnolence 8/10 : S'endort à de multiples reprises pendant la journée sans stimulation ; Inappétence 0/10 : Appétit conservé malgré la perte de 15 kilos depuis le début de la maladie ; Anxiété 0/10 : Pas d'anxiété ; Dépression 0/10 : Pas de dépression ; Sensation de mal-être 6/10 : Surtout en lien avec la fatigue ; Autre 0/10 : Pas de notion de fausse route, tendance à la constipation (dernières selles le 19.01.2020), pas de plainte urinaire. Pas de notion de confusion, d'idée qui se mélange, a besoin de guidance pour les activités du quotidien.Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points Palliative Performance Scale : 50% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : est mariée, a deux enfants, 3 petits-enfants. Ancienne infirmière dans un home ; Projet du patient / des proches : Est passionnée de tricot et de frivolité. Aimerait rentrer à domicile ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Mari très présent, avis des proches à prendre en compte. Mme. Y est hospitalisée depuis le C4, l'unité ambulatoire d'oncologie pour une prise en charge palliative dès le 21.01.2020 dans un contexte de baisse de l'état général. À son arrivée, la patiente se plaint principalement d'un ralentissement psychomoteur important en augmentation depuis une dizaine de jours sans état confusionnel associé. En parallèle, il y a une perte d'autonomie chez une patiente qui a besoin de guidance pour des activités de la vie quotidienne pour lesquelles elle était encore indépendante il y a peu. De plus, elle mentionne des douleurs thoraciques chroniques droites qu'elle a du mal à caractériser. Une adaptation de l'antalgie est effectuée avec un très bon effet. Durant la première journée d'hospitalisation, elle présente des troubles de l'état de conscience importants avec une désaturation à 69 % à l'air ambiant sur une probable accumulation du fentanyl (patch hautement dosé avec sarcopénie perturbant l'absorption). Le patch de fentanyl est arrêté et remplacé par de l'hydromorphone dont la posologie est réduite de 60 %. Le risque d'une nouvelle embolie pulmonaire restant important chez cette patiente, un relais de l'Eliquis par de la Clexane thérapeutique est effectué pendant l'épisode aigu. L'évolution est par la suite favorable avec un état de conscience qui se normalise et des saturations à l'air ambiant qui retrouvent leurs valeurs habituelles aux alentours de 92 %. Plusieurs entretiens de famille sont organisés dans l'idée de mettre en place un réseau. Des soins à domicile 2x/s ainsi que Voltigo sont instaurés. Suite à la bonne évolution clinique et au regain de l'autonomie perdue, Mme. Y peut rentrer à domicile le 07.02.2020. • palpation et mobilité conservées. • pas d'autres investigations • Palpitations • Palpitations • Palpitations • Palpitations • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations avec paresthésie de l'hémicorps gauche. • Palpitations cardiaque paroxystique le 02.02.2020 • Palpitations cardiaques intermittentes d'origine indéterminée. DD : troubles du rythme / crise d'angoisse. • Palpitations cardiaques paroxystiques • Palpitations depuis 2 semaines suite à une intervention dentaire. • Palpitations d'origine indéterminée. • Palpitations d'origine indéterminée depuis plusieurs mois • 2-3 épisodes/mois • Palpitations, d'origine indéterminée, le 01.02.2020. • Palpitations d'origine indéterminée le 15.08.2015. • Palpitations d'origine indéterminée le 17.02.2020. • Palpitations d'origine indéterminée, le 25.02.2020. • dans un contexte de tachycardie sinusale investiguée sans critère de gravité. • Palpitations d'origine indéterminée, le 25.02.2020 DD : tachyarythmie. • Palpitations d'origine indéterminée le 26.02.2020 (DD : crise d'angoisse) • Palpitations d'origine indéterminée, probablement mixte, dans un contexte de grossesse et hyperthyroïdie, le 23.08.2019. • Palpitations d'origine indéterminée DD : crise d'angoisse, épuisement professionnel • Palpitations et douleurs bras gauche. • Palpitations et douleurs rétro-sternales. • Palpitations nocturnes le 16.02.2020. • facteurs de risque cardiovasculaire : Nicotine, alcool, suspicion d'hypertension artérielle. • DD : angoisses. • Palpitations récurrentes d'origine indéterminée • Palpitations sur extrasystoles ventriculaires monomorphes le 09.02.2020. • Palpitations sur possible passage transitoire en fibrillation auriculaire, le 12.02.2020. • Palpitations sur probable passage en fibrillation auriculaire paroxystique chez une patiente sous Xarelto. • Paludisme non compliqué à P. falciparum • avec état fébrile au retour d'un séjour au Cameroun du 28.12.2019 au 15.02.2020. Absence de prophylaxie • status post-crise de malaria en juillet 2015 • Paludisme non compliqué à P. falciparum • avec état fébrile au retour d'un séjour au Cameroun du 28.12.2019 au 15.02.2020 • status post-crise de malaria en juillet 2015 • Panaris • Panaris. • Panaris. • Panaris. • Panaris. • Panaris. • Panaris. • Panaris abcédé au niveau du majeur D • Panaris au niveau du 3ème doigt droit • Panaris au 3ème doigt de la main droite. DD : surinfection hématome avec fistulisation à la peau. • Panaris au 4ème doigt de la main droite le 27.02.2020. • Panaris au 5ème doigt de la main gauche le 07.02.2020. • Panaris de l'index gauche. • Panaris débutant le 09.02.2020. • pas de collection drainable. • Panaris Dig I pied droit • Panaris du majeur droit drainé le 10.02.2020 • Contrôle FUA le 12.02.2020 • Panaris du 1er orteil du pied droit. • Panaris du 1er orteil du pied droit le 20.02.2020. • Panaris du 2ème orteil gauche à un stade inflammatoire le 16.02.2020. • Panaris en amélioration le 09.02.2020. • Ichtolan crème. • Panaris index droit • Panaris majeur droit drainé le 10.02.2020. • Panaris pouce droit, le 09.02.2020. • Pancolite avec épaississement diffus de la paroi intestinale du côlon ascendant, transverse et descendant sans signe de complication. • Pancolite sévère évocatrice d'une maladie de Crohn le 05.02.2020. • Pancréatite aiguë Balthazar C, CTSI 2 pts d'origine biliaire le 05.12.2019 avec : • CT abdominal le 05.12.2019 : pancréatite Balthazar C • Ultrason abdominal le 06.12.2019 : stéatose hépatique, cholécystolithiase, pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques • Antibiothérapie prophylactique par Emipenem du 06.12 au 12.12.2019 • Pancréatite aiguë Balthazar D d'origine indéterminée le 07.02.2020 avec : • Score de Ranson à l'admission : 2 • Duodénite par contiguïté de D2-D3 • Pancréatite aiguë Balthazar D le 07.02.2020 sur • pancréatite chronique avec calcification de la queue et du corps du pancréas • Pancréatite aiguë biliaire le 14.04.2018 avec cholangite biliaire • Cholécystectomie laparoscopique le 25.07.2018 Décompression lombaire 2006 PTH G 2018 et PTH D 2019 RTUP 2014 Opération Dupuytren D Tabagisme 25 UPA stoppé en 2009 • pancréatite aiguë d'origine alcoolique probable • Pancréatite aiguë d'origine indéterminée le 08.02.2020 • Pancréatite aiguë d'origine lithiasique, Balthazar B, le 20.09.2016 : • ERCP avec papillotomie et extraction de 4 concréments le 29.06.2017 • cholécystectomie avec cholangiographie peropératoire le 06.11.2017 Réduction ouverte, ostéosynthèse du radius distal par plaque Aptus pour fracture intra-articulaire avec impaction et bascule palmaire du radius distal et fracture styloïde cubitale type AO 23-C3 gauche le 09.09.2016 Fracture de la tête à l'extrémité radiale du radius droit avec bascule postérieure non datée • Pancréatite aiguë d'origine probable alcoolique, classée Balthazar D, le 03.02.2020 Lipasémie à 1400 UI/L Pancréatite aiguë d'origine probable alcoolique, classée Balthazar E, le 03.02.2020 Lipasémie à 1400 UI/L Pancréatite aiguë le 26.01.2020 Lipase 630 U/l Pancréatite aigue sévère le 11.01.2020 : • post-ERCP Pancréatite aigue sévère le 11.01.2020 : • post-ERCP Antibiothérapie par Tienam du 13.01.2020 au 23.01.2020 Cholédocholithiase symptomatique avec suspicion de migration lithiasique le 08.01.2020 • sténose de la papille Cholecystectomie par laparoscopie avec cholangiographie le 10.01.2020 (Dr. X) ERCP le 10.01.2020 : sténose significative de la papille : brossage et mise en place de stent plastique qui sera changé dans 6 semaines Pancréatite aiguë très probablement dans le cadre d'un passage de calculs dans une cholécystolithiase le 07.11.2019 : • Présentation avec douleurs thoraciques/ épigastriques avec irradiation en forme de ceinture sur les flancs Status post-saignement gastro-intestinal en 05/2019 Status post-hémorragies gastro-intestinales récurrentes dans le cadre d'une maladie inflammatoire chronique de l'intestin et les pouchitides récurrentes en 07/2018 Status post-pancréatite aigue soit médicamenteuse ou hypertriglycéridémie en 07/2017 Status post-sepsis d'étiologie peu claire en 06/2017 avec décompensation cardiaque gauche Status post-laparotomie avec adhésiolyse étendue pour un iléus mécanique de l'intestin 2017 (HFR Fribourg), longueur résiduelle de l'intestin grêle 250 cm de la poche de Treitz bid Status post-iléus et abcès dans le petit bassin avec fistule iléo-anale 2012 Status post-hémorragie sous-arachnoïdienne à cause d'un anévrisme de l'A. cerebri communicans 03/2007 Status post-léphrolithiase 08/2005 Status post-colectomie sous-totale avec application d'une poche iléo-anale en 2000 en Inde en cas de forte suspicion de colite ulcéreuse Syndrome de l'intestin court avec cachexie en 2000 Cholécystolithiase connue (jusqu'à maintenant asymptomatique) Pancréatite aiguë très probablement dans le cadre d'un passage de calculs dans une cholécystolithiase le 07.11.2019 : Saignement gastro-intestinal en 05/2019 Hémorragies gastro-intestinales récurrentes dans le cadre d'une maladie inflammatoire chronique de l'intestin et les pouchitides récurrentes en 07/2018 Pancréatite aigue soit médicamenteuse ou hypertriglycéridémie en 07/2017 Sepsis d'étiologie peu claire en 06/2017 avec décompensation cardiaque gauche Laparotomie avec adhésiolyse étendue pour un iléus mécanique de l'intestin 2017 (HFR Fribourg), longueur résiduelle de l'intestin grêle 250 cm de la poche de Treitz bid Iléus et abcès dans le petit bassin avec fistule iléo-anale 2012 Hémorragie sous-arachnoïdienne sur anévrisme de l'A. cerebri communicans 03/2007 Néphrolithiase en 08/2005 Colectomie sous-totale avec application d'une poche iléo-anale en 2000 en Inde avec forte suspicion de colite ulcéreuse Syndrome de l'intestin court avec cachexie en 2000 Pancréatite aiguë 2 épisodes d'étiologie indéterminée (2011 et 2013) Status post-opération d'une hernie hiatale par laparotomie en 1984. Status post-amygdalectomie. Surinfection d'un lipome au niveau du dos, incisé le 15.04.2019. Abcès sous-cutané dorsal supérieur droit le 27.05.2019. • récidive d'abcès post fermeture précoce après incision d'un probable lipome surinfecté le 15.04.2019. Pancréatite aiguë 2 épisodes d'étiologie indéterminée. Status post-opération d'une hernie hiatale par laparotomie en 1984. Status post-amygdalectomie. Surinfection d'un lipome surinfecté, au niveau du dos, incisé le 15.04.2019. Abcès sous-cutané dorsal supérieur droit le 27.05.2019 • récidive d'abcès post fermeture précoce après incision d'un probable lipome surinfecté le 15.04.2019. Pancréatite biliaire avec ERCP 05/2011 (fecit Dr. X) Cholécystectomie Appendicectomie Pancréatite biologique le 04.02.2020 : Pancréatite caudale en 2013 avec iléus paralytique. DD : biliaire, virale (adénovirus, CMV), oreillons, familiale, première manifestation d'une maladie inflammatoire de l'intestin, fibrose kystique, malformation du pancréas. Pancréatite d'origine indéterminée, Balthazar C. Oeil gauche : plaie du bord libre de la paupière supérieure. Pancréatite d'origine indéterminée. Ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure le 06.09.2018. Discectomie rétropéritonéale L5-S1 par la gauche et mise en place d'une cage le 11.12.2017. Insuffisance rénale aiguë le 14.12.2017 dans un contexte infectieux. Pseudo-obstruction avec colite post-opératoire le 14.12.2017. Prothèse totale de la hanche gauche. Prothèse totale de la hanche droite. Pancréatite d'origine probablement biliaire le 26.03.2014. Pancréatite en 2005. Hystérectomie. Cure de hallux valgus. Appendicectomie. Pancréatite en 2018. Pancréatite interstitielle aiguë avec syndrome inflammatoire d'origine incertaine le 11.02.2020 DD métabolique, biliaire • para-néoplasique (voir diagnostic ci-dessous) Pancréatite lithiasique. Pancréatite nécrotique de la tête et du processus unciné avec duodénite par contiguïté le 11.02.2020 • post-chimio-embolisation le 10.02.2020 Pancréatite oedémateuse d'origine indéterminée, DD : alcoolique, médicamenteuse, biliaire, le 05.02.2020. Pancytopénie Pancytopénie avec : • leucopénie avec nadir à 3.2 le 24.09.2019 • anémie normocytaire normochrome avec nadir à 107 le 23.09.2019 • thrombocytopénie avec nadir à 84 le 23.09.2019. Probable virose le 22.09.2019. Appendicite aiguë. Bilan biologique et CT. Le 28.12.2019, Dr. X : appendicectomie laparoscopique. • DAP : Ablation des fils dès le 10ème jour post-opératoire à votre consultation. Tuméfaction/induration de tissu mou au niveau de la cicatrice ombilicale de laparoscopie le 04.01.2020 DD : hernie ? Hématome sous-cutané ? Abcès (peu probable, vu l'absence de signes d'infection) ? Pancytopénie avec : Agranulocytose : 0.5 G/l Thrombocytopénie : 34 G/l Anémie : 76 g/l Pancytopénie chronique d'origine indéterminée le 14.02.2020 avec : • Hb 68 g/l • leucocytes à 3.0 G/l • thrombocytes à 102 G/l • anciennement bilané avec substitution en B12 sans amélioration Pancytopénie chronique intermittente multifactorielle : • agranulocytose le 14.01.2020 puis récidives les 17-24-29.01.2020, 01-03-06-10-13.02.2020 DD : inflammatoire, médicamenteux (Tegretol, antibiotiques, novalgine), splénomégalie de 15 cm (CT 19.09.2019), déficit en acide folique, hémolyse (exclu), spoliatif au niveau digestif (peu probable) • TSH sp en septembre 2019 Pancytopénie dans le contexte de la chimiothérapie. Pancytopénie d'origine indéterminée avec • leucopénie connue depuis avril 2018 • bicytopénie connue depuis le 25.03.2019 • Radiographie des mains et des pieds le 27.03.2019 : aucune érosion, ni stigmates de polyarthrite rhumatoïde sévère, plaidant en défaveur d'un syndrome de Felty • CT-Scan thoracique le 27.03.2019 : masse médiastinale DD thymome Consilium rhumatologique le 27.03.2019 Avis hématologique le 27.03.2019 Ponction biopsie de moelle le 27.03.2019 : modifications hématopoïétiques de type réactionnel, peu contributives Biopsie rétro-sternale le 29.03.2019 : • status post-thymectomie par Da Vinci le 09.07.2019 (Inselspital) Pancytopénie d'origine infectieuse sans agranulocytose avec : • anémie normochrome normocytaire • thrombocytopénie • leucopénie. DD : status post-hémorragie gingivale suite à une extraction dentaire le 27.01.2020.Pancytopénie due à une dégénérescence de la moelle liée à l'âge : • Transfusions de culots érythrocytaires les 09.09.2019 et 10.09.2019 Pancytopénie le 02.02.2020 : Lc 2.8 G/l, Hb 120 g/l, Tc 66 G/l. Pancytopénie le 08.02.2020 post chimiothérapie (Carboplatine et Etopophos) avec : • Agranulocytose : 0.5G/l, résolue le 11.01.2020 (0.74 G/l neutrophiles) • Thrombocytopénie : 34 G/l • Anémie : 76 g/l Pancytopénie le 09.02.2020 d'origine mixte septique et toxique sur la chimiothérapie • Leucocytes 0.9 G/L, neutrophiles à 0.76G/l, plaquettes à 44G/l, Hb 89 g/l Pancytopénie le 11.02.2020 avec : • Anémie normochrome macrocytaire à 82 g/l • Thrombopénie à 99 G/l • Leucopénie légère à 3.9 G/l. Pancytopénie le 30.01.2020 • Anémie macrocytaire à 77 g/l, lc 3.8 et Tc 44 le 30.01.2020 • D'origine probablement mixte : spoliation, progression du myélome multiple IgG Lambda Pancytopénie le 30.01.2020, avec : • DD : dans un contexte de la maladie oncologique et/ou infectieuse, CIVD, saignement • Tc à 50 G/l, 44 G/l le 31.01.2020, deuxième prise de sang le 31.01 avec Tc à 47 G/l • Hb à 102 g/l le 31.01.2020 • Leuco à 2.1 G/l, 2.7 G/l le 31.01.2020, pas d'agranulocytose. Pancytopénie post-chimiothérapie avec : • Thrombopénie à 105 G/l • Leucopénie à 1.8 G/l • Hémoglobine à 110 g/l. Pancytopénie probablement sur infiltration oncologique médullaire • Anémie normochrome normocytaire à 68 g/l le 13.01.2020 • Leucopénie à 1.8 G/l le 13.01.2020 • Thrombocytopénie à 13 G/l le 13.01.2020 Pancytopénie sur hypersplénisme. Diabète type II non insulino-dépendant. Cirrhose hépatique. Pancytopénie (15.01.2020) Pancytopénie. Probable virose le 22.09.2019. Appendicite aiguë. Bilan biologique et CT-scan. Le 28.12.2019, Dr. X : appendicectomie laparoscopique. Tuméfaction/induration de tissu mou au niveau de la cicatrice ombilicale de laparoscopie le 04.01.2020. Panendoscopie le 19.02.2020 + biopsies + trachéotomie trans isthmique Histologie : carcinome épidermoïde moyennement différencié de la muqueuse malpighienne à la transition avec la muqueuse respiratoire, avec infiltration de la sous-muqueuse Transcanulation le 26.02.2020 par une Rusch 10 en raison d'une canule trop courte n'allant pas dans la lumière de la trachée. IRM prévue le 03.03.2020 Proposition d'une laryngectomie totale avec évidement ganglionnaire bilatéral +/- radio-chimiothérapie adjuvante par le tumorboard du 26.02.2020 Panicattacke : • DD : Hypoglykämie, Hypotension Pansement. Pansement Burn Free. Pansement selon protocole pansement brûlure (Jelonet et ialugen). Pas de critère de gravité. Attitude : • RAD et contrôle clinique mercredi matin au secteur ambulatoire des urgences. • Changement de pansement mercredi. Si bonne évolution, suite de la PEC par le médecin traitant. • Antalgie (conduite interdite avec Tramadol) • Ne souhaite pas d'arrêt de travail. Pansement de plaie Pansement hémostatique sans saignement ultérieur. Surveillance aux urgences dans la norme. Attitude : • Antalgie en réserve. • Explications à Mme. Y et à la famille des motifs de consultation aux URG ou chez le médecin traitant. • Contrôle de plaie avec changement de pansement lors du RDV déjà prévu demain pour dialyse. • Mme. Y amènera son carnet de vaccinations pour évaluer si dernier rappel de tétanos < 10 ans. • Nouveau contrôle de plaie au secteur ambulatoire des urgences mercredi 19.02.2020 avant dialyse prévue à 13h. Pansement hémostatique sans saignement ultérieur. Surveillance aux urgences sans particularité. Attitudes : • Antalgie en réserve. • Explications à Mme. Y et à la famille des motifs de consultation aux urgences ou chez le médecin traitant. • Contrôle de plaie avec changement de pansement lors du rendez-vous déjà prévu demain pour dialyse. • Mme. Y amènera son carnet de vaccinations pour évaluer si dernier rappel de tétanos < 10 ans. • Nouveau contrôle de plaie en F34 mercredi 19.02.2020 avant dialyse prévue à 13h. Hallux pied droit : pas saignement, pas signe surinfection, motricité/sensibilité sans particularité. Pansement compressif au tri. Prochain contrôle 21.02.2020 aux urgences. Pansement ialugen/adaptic Contrôle à 48h aux urgences Pansement ialugen/adaptic Contrôle à 48h aux urgences Pansement main gauche Pansement occlusif avec Opsite. Pansement occlusif du 03.02.2020 au 11.02.2020. Pansement pendant 10 jours. Contrôle de la plaie à 10 jours chez le médecin traitant. Contrôle du pacemaker à 4-6 semaines chez le cardiologue. Pansement plaie Pansement plaie Pansement plaie Pansement refait par Dr. X selon protocole (Ialugel + adaptic) sous MEOPA Revient mercredi 05.02.2020 à 10h, allo Dr. X Pansement sec au tri. Pansement selon protocole de l'EMS Suivi Pansements réguliers Surveillance Pansinusite chronique. Gastrite positive au helicobacter pylori 05/2019. Pantoprazol 40 mg le matin pendant 3-4 semaines à réévaluer par le médecin traitant. Éviction des anti-inflammatoires. Pantoprazol 40 mg pour 2 semaines. Discuter gastroscopie et ultrason abdominal en ambulatoire. Nouvelle présentation si récidive des douleurs. Pantoprazol 40 mg 2x/j dès le 15.02.2020 Pantoprazol 80 mg IV aux urgences + 10 mg Primpéran aux urgences. Hydratation et Zofran 4mg aux urgences. Laboratoire (examen avec explication donnée par le médecin). Retour à domicile. Red Flags enseignés au Mr. Y. Traitement antiémétique et gastro-protecteur. Consulter les urgences si persistance de la symptomatologie ou hydratation impossible. Pantozol. Colonoscopie du 20.02.2020 (Dr. X) : ulcère de la valve iléocaecale. Reste de l'iléocolonoscopie dans les limites de la norme. OGD du 20.02.2020 (Dr. X) : gastrite antrale non érosive. L'OGD permet d'écarter une lésion néoplasique. Pantozol et Motilium. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences (Filière 34) dans 5 jours. Gastroscopie à distance pour préciser l'épaississement oesophage inférieur visualisé au CT. Pantozol IV continu du 31.01 au 07.02.2020 Pantozol IV 40 mg 1x/jour du 07.02 au 10.02.2020 Pantozol 20 mg. Pantozol 40 mg 1x/j pendant 4 semaines. Mr. Y cherchera un médecin généraliste. Évaluation avec généraliste si besoin de OGD / laboratoire avec tests pancréatiques. Pantozol 40 mg 5 jours. Pantozol 40mg pour 2 semaines, si persistance ad gastroscopie. Pantozol. Traitement d'éradication à administrer par nos collègues du CHUV. PAP test à prévoir en post-partum. PAP test en cours. Pipelle en cours. Laboratoire FV en cours. Curetage biopsique le 08.02.2020. Échographie de contrôle post curetage. Matériel envoyé à anatomo-pathologie. PAP test et colposcopie au contrôle du post-partum. PAP Test 13.02.2020 Pipelle de Cornier 13.02.2020 Par ambulance O2 nasal 6l, 2x 20 mg Lasix Examen clinique Laboratoire : Troponines 81 -> 114, CRP 24, Lk 10.8 Gazométrie artérielle US ciblé : lignes B bibasales, épanchement pleural bilatéral CT Thoracique le 28.02.2020 : image compatible avec décompensation cardiaque G, sans EP, épanchements pleuraux bilatéraux, verre dépoli bilatérale possiblement compatible avec OAP, cause cardiaque probable Avis soins intensifs : pas de place, hospitalisation en médecine interne Attitude • Poursuite aspirine, pas de dose de charge • Lasix iv, suivi du poids • Avis cardiologique dès que possible pour discuter coronarographie • Deponit patch rajouté au traitement anti-hypertenseur Par rapport à la gravité des blessures au niveau de la main, l'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie avec amélioration de la flexion sur le 5ème mais également sur le 4ème rayon. Par rapport au fourmillement du dermatome du nerf médian, on souhaite une investigation plus approfondie par les neurologues. Nous demandons donc à nos collègues de la neurologie de convoquer Mme. Y. Prochain contrôle dans 3 mois pour discuter des résultats et d'une éventuelle prise en charge chirurgicale avec décompression du nerf et ablation du matériel d'ostéosynthèse dans le même temps opératoire.Par rapport aux dernières valeurs de mobilisation, le patient a perdu environ 15° de flexion. Le fait qu'il n'a pas de physiothérapie est certainement contre-productif pour l'évolution. Dans l'état actuel des choses, il est difficile d'améliorer la situation sans un suivi de physiothérapie. Dès septembre 2020, le patient va faire une école à Bienne pour devenir ingénieur en bois. Cette période sera plus propice à la physiothérapie. L'alternative d'une arthrolyse par voie ouverte est discutée avec le patient, ceci impliquerait une incapacité de travail de 2 à 3 semaines comme étudiant. Il va réfléchir à cette possibilité. Nous nous reverrons en juin 2020. • Paracétamol 1 g avec effet positif, Voltarène 50 mg avec effet positif. • Vitamine A + Floxal gel + pansement occlusif. • Patient ira consulter en ophtalmologie demain. • Paracétamol 1 g per os, Brufen 600 mg, Vitamine A, pansement ophtalmologique. • Contrôle le lendemain en ophtalmologie. • Patient reparti sans consultation médicale. • Paracétamol 1 g. • Voltarène 50 mg. • Patient parti sans consultation médicale. • Paracétamol 1 g au tri. • Patient reparti sans consultation médicale. • Paracétamol 1 g au tri. • Patiente repartie sans consultation médicale. • Paracétamol 1 g, Primpéran 10 mg et Pantozol 40 mg au tri. • Patiente repartie sans consultation médicale. • Paracétamolémie: < 5 mg/l • Laboratoire: ASAT 22 U/l, ALAT 17 U/l • Avis pédopsychiatrie de liaison • Parage de la plaie: Dr. X, désinfection locale, champage, pose de 5 agraphes au cuir chevelu. Pas de complication post-geste. • Vaccination antitétanique à jour. • Antalgie. • Retour à domicile. • Ablation des points de suture à 5 jours par le médecin traitant. • Paralysie cérébrale congénitale (IMC) avec : • Tétraspasticité prédominante MI • Apraxie oculomotrice modérée avec bonne coordination visuo-manuelle (ralentie), légère dysarthrie • Troubles neuro-cognitifs • Aplasie de l'articulation huméro-radiale proximale avec subluxation et flexum du coude, hypoplasie rotulienne bilatérale • Status post ténotomie psoas droit antérieur, abaissement rotulien D et G, ténotomie D interne basse du côté G, arthrodèse de Chopart et allongement des tendons d'Achille par ténotomie bilatérale • Moyens auxiliaires : kay walker, fauteuil roulant avec possibilité de verticalisation • Paralysie cordale bilatérale s/p thyroïdectomie totale en 2015 (goitre multinodulaire) • Hypertension artérielle depuis 2014. • Syndrome du colon irritable. • Paralysie de Bell d'origine idiopathique le 11.02.2020 avec : • DD : neuroborréliose, infection à herpès virus, VIH. • Paralysie de Bell grade 3 selon House-Brackmann (atteinte frontale : très légers mouvements, orbiculaire : fermeture complète possible avec effort, bouche : légère faiblesse) • Paralysie du nerf récurrent droit avec dysphonie le 02.02.2020 • probablement sur progression tumorale • Paralysie du plexus brachial proximal sans signe de fracture associée, sans stridor ni syndrome de Horner • Paralysie faciale. • Paralysie faciale. • Paralysie faciale gauche d'allure périphérique d'origine indéterminée • DD paralysie de Bell, fonctionnelle • dans le contexte post-partum • Paralysie faciale périphérique à frigore le 29.01.2020. • Déjà traitée par son médecin traitant avec Prednisone, Valtrex, gouttes ophtalmiques. • Paralysie faciale périphérique à frigore le 29.01.2020. • Déjà traitée par son médecin traitant avec Prednisone, Valtrex, gouttes ophtalmiques. • Paralysie faciale périphérique d'origine virale probable. • Rapports sexuels à risque (HIV négatif en 2013). • Syncope d'origine probablement vaso-vagale dans le contexte d'éthylisation. • Syphilis latente tardive le 22.11.2017. • Papillite bilatérale. • Sciatalgie droite non déficitaire atraumatique le 05.07.2018. • Paralysie faciale périphérique d'origine virale probable. • Rapports sexuels à risque (HIV négatif en 2013) • Syncope d'origine probablement vaso-vagale dans un contexte d'éthylisation la veille avec prodrome de mal-être • Notion d'hospitalisation pour hépatite B aiguë au Portugal (environ 1990) • HBV : infection guérie. • Syphilis latente tardive le 22.11.2017 • sans troubles neurologiques associés • Sérologies HIV nég, HCV nég • Sérum : TPHA Ig à 10240 : positif RPR à 128 : positif • LCR : TPHA Ig à 32: calcul de l'index de TPHA modifié = 0.4 (seuil 0.8-2, donc négatif), RPR à <2 : négatif • Consilium infectiologique (Dr. X/Dr. X): Pénicilline G 6x/24h du 22.11.2017 au 24.11.2017 puis 4x/24h du 24.11.2017 au 02.12.2017. • Papillite bilatérale • Suivi en ophtalmologie HFR : RDV ophtalmologique du 23.11.17 : Fx visuelle normal, AV et champs visuels sp. FO : pupille bilatérale, disparition des hémorragies et des cotton woolspot. • Sciatalgie D non déficitaire atraumatique le 05.07.2018. • Paralysie faciale périphérique gauche DD : paralysie de Bell, Lyme. • Cholélithiase symptomatique récidivante probable du 23.10.2019. • Paralysie faciale périphérique gauche le 17.02.2020 : • contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires du 21.02.2020. • Paralysie faciale périphérique gauche. • paresthésie de l'hémiface gauche. • Paralysie faciale périphérique le 09.02.2020. • grade II-III selon classification de House-Brackmann. • Paralysie faciale périphérique 02/2013 • Paralysie hémiface. • Paralysie récurrentielle sur lésion du nerf récurrent gauche iatrogène • Paralysie releveur du pied et releveur de l'hallux G. • Paralysie supranucléaire progressive • Fracture métatarse V gauche pseudo-jones 02/2018, traitement conservateur avec semelle rigide et prophylaxie anti-thrombotique • Hernie discale anamnestique • Paramètres avant son départ 38.2°C et FC 102/min. • DD : • méningite : pas d'arguments, pas de raideur de nuque, bon état général • PTI : pas de thrombocytopénie • pétéchies sur effort de vomissement : le plus probable • Attitude : • fébrifuges au besoin • reconsulter de suite si extension des pétéchies ailleurs qu'au niveau du visage • reconsulter si péjoration de l'état clinique et/ou persistance de l'état fébrile après 5 jours • Discuté avec MC Dr. X • Paraparésie douloureuse d'origine possiblement fonctionnelle • DD myélite/polyradiculopathie/myosite/effet secondaire médicamenteux (Doxycycline)/ hypokaliémie • Paraparésie proximale sévère (M1/5) à début subaigu, sur : • fracture type C de la vertèbre L1 avec déplacement roto-translationnel droit vers la gauche de la colonne dorso-lombaire, sur lésion trans-osseuse bipédiculaire de L1, dans le contexte d'un DISH de la colonne dorso-lombaire • Paraparésie proximale sévère (M1/5) à début subaigu, sur : • fracture type C de la vertèbre L1 dans le contexte d'un DISH de la colonne dorso-lombaire • Status post : • fixation D11-L3 par abord per-cutané avec système NEO (8 vis de 5x55 mm et 1 vis de 5x50 mm et deux tiges de 160 mm et 10 morceaux de Cerasorb) le 08.01.2020 • décompression D12-L1 par spinosectomie, laminectomie complète et flavectomie le 08.01.2020 • Paraplégie de niveau L3 ASIA A depuis 1990 à la suite d'un accident, vessie neurogène (L3 : quadriceps, dermatome à mi cuisse) • Sensibilité préservée partiellement au niveau L1 L2 L3, absente dès L4. Motricité également absente dès L3. Pas de sensibilité ni motricité au niveau sacral. • Brûlures bilatérales des jambes au 3ème degré • Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec :Angio-CT du bassin 17.06.15 (Payerne) : sub-occlusion des artères fémorales gauches et droites • Débridement chirurgical des ulcères avec mise en place de pansements VAC Presbyacousie ? Paraplégie des jambes depuis août 2016 suite à un accident en parapente. Paraplégie incomplète D12 suite à un accident en parapente en 2013. Paraplégie rapidement progressive et spontanément résolutive le 21.06.2016 (DD : trouble somatoforme) Césarienne en urgence pour pré-éclampsie avec HELLP syndrome le 18.09.2014 Accouchement le 14.11.2010 par ventouse de Kiwi en 3 tractions aux épines +1 pour NPP et CTG suspect chez une patiente 1G 1P de 25 ans à 40 SA. Réduction mammaire en 2002 Pyélo-urétérite droite le 20.08.2016 traitée avec sonde double J (fecit Dr. X) Hystérectomie pour dysplasie du col utérin stade III en 2019 Parasitose à Blastocystis hominis chez patiente connue pour épisode de diarrhées et vomissements récidivants • Blastocystis hominis découvert par MT dans les selles (octobre 2019) • E. coli-multirésistant connu depuis 2018 (UPCI). Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 insulino-requérant • hypertension artérielle • obésité • dyslipidémie. Malnutrition protéino-énergétique modérée, avec perte d'appétit. Bradycardie sinusale depuis 2012 avec extrasystoles supraventriculaires. Polyalgies avec : • omarthrose droite sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite • lombalgies chroniques sur hernie discale L4/L5 avec status post-cure de hernie • syndrome modéré du tunnel carpien. Processus d'apparence invasive du sinus sphénoïdal et empty sella sign (probable sinusite fongique invasive chronique) : • céphalées, vertiges et trouble de la parole depuis le 02.05.2013. Possible syndrome des jambes sans repos. Parathyroïdectomie en février 2018 parésie Parésie du membre inférieur droit Parésie du membre supérieur droit, post-résection de lésion corticale fronto-pariétale gauche le 31.01.2020 Parésie du MID à M2 sur compression métastatique D3-D4 le 14.02.2020 • Contexte d'adénocarcinome de la prostate Parésie du nerf VI côté D d'origine indéterminée le 20.02.2020 DD atteinte fosse postérieure d'origine inflammatoire, vasculaire, tumorale Parésie du nerf VI côté D le 20.02.2020. DD : atteinte fosse postérieure d'origine inflammatoire, vasculaire, tumorale Parésie et hypoesthésie hémiface gauche, vertiges, bourdonnements, céphalées Parésie faciale inférieure gauche post-opératoire sur anesthésie locale le 24.02.2020 Parésie faciale périphérique droite. Parésie faciale périphérique House-Brackmann III, à gauche • avec début de kératite superficielle œil gauche • probablement sur progression tumorale Parésie faciale périphérique idiopathique droite de grade III le 24.02.2020. Parésie MID Parésie proximale des membres inférieurs sur compression médullaire d'origine vasculaire (thrombose veineuse traumatique avec hématome en regard de la vertèbre L1) le 08.01.2020 Parésie transitoire du membre inférieur gauche sur probable accident ischémique transitoire le 19.02.2020 de 19h00 à 22h00 • paresthésie du membre supérieur gauche DD AIT d'origine 1) cardioembolique 2) d'origine artério-artérielle sur athéromatose des troncs supra-aortiques 3) bas débit local dans le contexte cardiologique DD crise d'angoisse Paresthésie. Paresthésie de l'hémiface gauche. Paresthésie de l'hémiface gauche et faiblesse des MI Paresthésie des deux membres inférieurs. Paresthésie d'origine X le 24.02.2020 • DD : stress, hypomagnésémie. Paresthésie du membre supérieur droit et de la joue droite, alexie, dysarthrie, aphasie et céphalées (serrement temporal gauche) avec désorientation spatiale durant 2 heures le 06.02.2020. DD AIT DD Migraine atypique DD accident évolutif d'un kyste X. Paresthésie en regard du nerf facial V3 gauche le 05.02.20. Paresthésie et faiblesse des jambes Paresthésie Paresthésies. Paresthésies. Paresthésies. Paresthésies. Paresthésies. Paresthésies de l'avant-bras gauche Paresthésies des extrémités, le 03.02.2020 • sur probable arrêt de supplémentation calcique Paresthésies du membre supérieur gauche chez une patiente déjà multi-investiguée. Paresthésies hémiface gauche. Paresthésies, hypoesthésie de l'hémiface gauche correspondant au territoire du nerf V le 19.02.2020. DD : inflammation du ganglion de Gasser post-syndrome infectieux (notion de syndrome grippal il y a 2 semaines). Paresthésies intermittentes bilatérales des membres supérieurs le 13.04.2017. Douleurs abdominales depuis 10 jours d'origine indéterminée le 15.03.2018. Paresthésies nocturnes membres inférieurs d'origine indéterminée : DD : jambes sans repos, déficit vitaminique. Parkinson Parkinson médicamenteux modéré probablement sur risperidone Parle russe anamnèse très complexe : • surveillance clinique Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG • laboratoire • urines : leuco +++ Traitement : Patch de Nitroderm 5mg Amlodipine 5mg Attitude : Retour à domicile avec ordonnance de Movicol et Ramipril HCT Conseil de trouver un médecin traitant pour le suivi à long cours Parodontite apicalis aigüe dent 38 Paronychie de l'index gauche Parotidite droite DD : bactérienne ou virale Parotidite droite Pharyngite Paroxétine en suspens Duloxétine dès le 09.02.2020 Parvovirus pas Pas d'anticoagulation prophylactique Pas besoin d'oxygène durant le sommeil, saturation entre 91-95% Boit biberon de 240 ml. Pas de signes de déshydratation. Contrôle dans 48 heures chez le pédiatre. Indication de reconsulter avant si péjoration clinique respiratoire pas connues Pas connus. Otite externe simple le 09.07.2019. Pas d'abdomen aigu. Douleurs en fosse iliaque droite également, mais anamnèse et reste du status très peu évocateurs d'une appendicite. Pas d'abdomen chirurgical Stix/sédiment urinaire : leuco 0, nitrites 0 Pas d'ablation de fils Contrôle à la consultation du Dr. X le mardi 03.03.2020 à 10h00 Contrôle à la consultation du Dr. X le mercredi 25.03.2020 à 15h00 Pas d'ablation de fils Présentation au Tumor Board du 12.02.2020 et suivi ambulatoire en oncologie Consultation de chirurgie thoracique dans 6 semaines soit le vendredi 13.03.2020 à 10h00 Pas d'ablation des fils (résorbables) Contrôle clinique chez le pédiatre dans une semaine Pas d'agressivité, pas d'idées noires Avis psychiatre de garde : • pas de critères pour une hospitalisation en urgence • le patient ne souhaite pas d'hospitalisation Retour à domicile avec son époux. Prise en charge le lendemain chez son psychiatre traitant (Dr. X) Reconsulter les urgences si besoin Pas d'allergie connue, vaccinations à jour Pas d'amélioration de la situation sous physiothérapie concernant les douleurs mais amélioration de la mobilité selon le patient. Nous proposons au patient de refaire le bilan après radio standard du genou G en charge des longs axes, ainsi qu'une IRM. Nous revoyons le patient le 21.02.2020 pour discuter des suites de la prise en charge.Pas d'antécédent médico-chirurgical. Grossesse surprise chez une jeune patiente de 17 ans, primigeste. Demande d'interruption légale d'une grossesse de 5 semaines et 6 jours (dernières règles remontant au 14.05.2011). Confirmation d'une grossesse intra-utérine correspondant à l'aménorrhée à l'ultrason du 24.05.2011. Pas d'antécédents médico-chirurgicaux particuliers. Pas d'antécédent obstétrical particulier. Née à 39 SA, par césarienne élective avec un poids de naissance de 4.040 kg. Légère détresse respiratoire à la naissance. Pas d'anticoagulation vu le risque de saignement important et les chutes à répétition. Pas d'argument biologique pour une ostéomyélite en raison de l'absence de syndrome inflammatoire malgré 4 jours de boiterie. Pas d'argument clinique pour torsion testiculaire. stix/sédiment urinaire : leuco 0, nitrites 0. Echographie testiculaire : vascularisation symétrique des testicules, discret hydrocèle à gauche, pas d'hypervascularisation en regard de l'épididyme, image hyper vascularisée en regard du pôle supérieur testiculaire (DD vaisseaux proéminents) à recontrôler à distance. traitement par algifor d'office durant 48 heures. Contrôle à 48 heures chez pédiatre. Indication de reconsulter avant si douleurs importantes, œdème, tuméfaction, péjoration clinique. Pas d'argument pour bronchiolite pour le moment. Pas d'argument pour confirmer une hématurie vraie. Pas d'argument pour un syndrome hémolytique urémique. Pas de signes infectieux, donc pas d'antibiothérapie empirique. Pas d'argument pour une arthrite/ostéomyélite. Pas de fracture visualisée sur les radiographies effectuées le 20.02.2020 et pacsées à l'HFR. Examen clinique rassurant et enfant évalué par les orthopédistes (assistante et CDC). Retour à domicile avec consignes de surveillance et traitement symptomatique par Dafalgan sirop 30 mg/ml à 15 mg/kg/dose soit 6 ml = 180 mg max. 4x/j et Algifor sirop 20 mg/ml à 10 mg/kg/dose soit 6 ml = 120 mg max. 3x/j si fièvre/douleurs. Contrôle clinique le 24.02.2020 si persistance de la symptomatologie. Reconsulte avant si apparition de signes inflammatoires cutanés/hématome, état fébrile, nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Pas d'argument pour une complication de la pneumonie (minime épanchement visualisé à la radiographie du 23.02), pas de détresse respiratoire. Après antalgie aux urgences, la patiente prend 1 biberon per os avec bonne tolérance. Pas d'argument pour une origine ischémique, épileptique, néoplasique, démyélinisante. Pas de labo aux urgences car les résultats ne sortiraient pas ce jour. DD : métabolique (déficit vitaminique, électrolytique), périphérique (tunnel carpien bilatéral, maladies inflammatoires). RAD avec antalgie et arrêt de travail. Suite de prise en charge par le médecin traitant. Pas d'argument pour une péjoration de la pneumonie ou complication. Pas d'arguments pour syncope d'origine cardiaque ou neurologique. Pas d'attitude particulière selon Toxzentrum. Patient adressé en ophtalmologie. Pas de bilirubine totale sanguine à faire. Suivi clinique. Pas de carence en acide folique, vitamine B12, fer, THS dans la norme. Pas de cassure de la courbe pondérale, pas de sang dans les selles, bon état général. Aux urgences, boit 60 ml de lait. Réassurance maternelle. Pas de changement de traitement d'Amoxicilline prescrit le 23.02 à 50 mg/kg/j en 2 doses. Contrôle au Fast Track dans 48 heures. Pas de conduite automobile jusqu'au prochain contrôle ophtalmologique (prévu dans 3 mois). Suivi chez son médecin traitant après introduction de l'atorvastatine. Suivi de la pression artérielle avec l'introduction de la nifédipine d'office. Pas de conduite automobile pendant 6 semaines. CT-scan cérébral de contrôle le 19.03.2020 à 12h45. Suivi en neurochirurgie au HFR le 24.03.2020 à 10h. La patiente sera convoquée en neuropsychologie dans 5 semaines. Pas de contage, pas d'aliment suspect. Examens complémentaires : • Sang : CRP < 5 mg/L. Attitude : • Anti-émétiques. Pas de contrôle prévu. Pas de crise d'asthme notée aux urgences. Pas de critère pour coronavirus. Retour à domicile. Pas de critères de Centor pour réaliser un streptotest. Traitement symptomatique. Pas de critères pour un dépistage du Coronavirus (exposition datée à 1 mois, patiente pauci-symptomatique). Réassurance. Retour à domicile. Pas de cryo-conservation du sperme (discuté le 30.01.20), a 5 enfants, en aurait parlé avec sa compagne. ==== Bilan==== Sérologies le 29.01.20 : HCV négatif, HBs AG négatif / anti HBs <10 UI/l / anti-HBc IgG positif / anticorps HBc IgM négatif. VZV IgG positif, Toxoplasmose IgM/IgG négatifs. CMV IgG positif / IgM négatif. EBV IgM, IgG, IgG EBNA : positif. HSV-1 IgG positif, HSV-2 IgG positif, HSV-1/2 IgM négatif. Syphilis négatif. Quantiféron négatif. Virémies CMV et EBV : • Le 31.02.20 : EBV 22'100 copies/ml. • Le 05.02.20 : CMV 600 copies/ml, EBV 7600 copies/ml. • Le 12.02.20 : CMV 900 copies/ml, EBV 1400 copies/ml. • Le 19.02.20 : CMV à 100 copies/ml, EBV absent. Ponction biopsie de moelle le 29.01.20 : • Biopsie (Promed P2020.1214) : tissu hématopoïétique légèrement hypercellulaire avec modifications réactives non spécifiques. Pas d'argument pour une infiltration manifeste dans le cadre du lymphome de Burkitt. • Cytométrie de flux (Inselspital) : légère infiltration de cellules B matures CD5- et CD10- chez 0,8 % des cellules, autrement pour les cellules B : CD19+, CD20+, CD22+, CD23(+), CD27-, CD43-, CD81+, FMC7-, LAIR-1(+), CD79b+, CD103-, CD123+, CD200+, CD38+. Augmentation des cellules T par rapport aux B et NK. Ponction lombaire le 03.02.20 : • Limpide, eau de roche (pression de sortie non effectuée, rythme des gouttes lent). 1 élément, 0 érythrocyte. • Glucose 3.8 mmol/l, protéines 0,34 g/l. • Cytologie (Promed, C2020.131) : absence de cellules suspectes de malignité. PET-CT le 29.01.20. Echocardiographie transthoracique le 29.01.20 : FEVG à 61 %. === Procédures === Voie veineuse centrale du 30.01 au 24.02.2020. === Traitement === Chimiothérapie R-Codox-M (en étapes différées car risque de rupture digestive). • Prednisone 100 mg 1x/j du 31.01 au 05.02.20. • Rituximab le 03.02.20. • Oncovin le 03.02 et 11.02.20. • Endoxan du 06.02 au 10.02.20. • Adriablastin le 06.02.20. • Dexaméthasone du 06.02 au 11.02.20 et du 17.02 au 19.02.20. • Methotrexate du 17.02 au 18.02.20 avec : -- Taux de méthotrexate normal à 36 h à 2,93, normal à 60 h à 0,26 mmol/l, taux suprathérapeutique à 84 h à 0,15 mmol/l, et taux normal à 108 h à 0,06 mmol/l. • Leucovorin du 18.02 au 20.02.20. Chimiothérapie intrathécale à J1 et J3 et J18 et le 20.02.2020 : • Cytosar 70 mg le 03.02.20. • Cytosar 70 mg le 05.02.20. • Methotrexate 12 mg le 20.02.20. Allopurinol 300 mg/j depuis le 30.01-20.02.2020. Neupogen 30 Mio U dès J14 le 16.02 au 18.02.2020, reprise du 21.02 au 24.02.2020. === Seuils transfusionnels === • Hb < 70 g/L. • Tc < 10 G/L, si EF < 20 G/L. === Agranulocytose/Prophylaxies === Agranulocytose le 17.02, puis le 21.02. • Isolement protecteur du 17.02 au 18.02.2020. Prophylaxie par Bactrim dès le 05.02.20. Prophylaxie par Valacyclovir dès le 05.02.20. Proposition : • Laboratoire de contrôle le 26 et le 28.02.2020 au C4. • Hospitalisation prévue le 02.03.2020 pour la prochaine séance de chimiothérapie par IVAC. Pas de CT cérébral au vu de l'absence de sanction thérapeutique. Hydratation par Glucose 5 %. Ceftriaxone du 29.01 au 30.01.2020. Soins de confort dès le 30.01.2020. Pas de CT thoracique injecté car insuffisance rénale. Doppler veineux des membres inférieurs. Radiographie du thorax 23.01.2020. Oxygénothérapie. Gazométries du 13.01.2020 au 17.01.2020 et le 22.01.2020. Pas de culture de selles (diarrhées présentes avant l'antibiothérapie). Traitement symptomatique. Pas de déficit neurologique.Prescription d'antalgie RAD, le patient est prévenu de reconsulter en cas de persistance de la douleur. Pas de déplacement par rapport au dernier comparatif d'il y a 3 semaines, signe de consolidation en cours. Pas de détresse respiratoire lors de l'examen, notamment pas de tirages. Seulement des bruits transmis. Auscultation normale. Pas de signes cliniques en faveur d'une pneumonie. Explications données aux parents sur les symptômes à surveiller à domicile et les raisons à consulter. Pas de foyer franc, mais discrète infection des voies respiratoires supérieures, probablement dans un contexte viral. Pas de signes pour une infection bactérienne ou signes de gravité. L'impétigo au niveau de la lèvre inférieure ne peut pas expliquer la fièvre. Pas de foyer visualisé à la Rx du thorax. Streptotest positif. Amoxicilline 1g aux 12 heures pour 6 jours. Invitation à reconsulter en cas de péjoration clinique. Pas de fracture au niveau clinique. Pas de fracture visualisée. Minerves mousse à visée antalgique et antalgie d'office par Dafalgan 1g 4x/j et Ibuprofène cp 400mg 3x/j pour 3 jours, puis en R. Une dose de Sirdalud 2mg po donnée en réserve en cas de douleurs musculaires ne cédant pas à l'antalgie simple. Arrêt de sport pour une semaine. Contrôle clinique chez le pédiatre dans 4-5 jours. Si persistance des douleurs à la palpation des apophyses épineuses vertébrales, rediscuter de l'indication à effectuer une IRM du rachis à la recherche de lésions ligamentaires et/ou demander un avis spécialisé orthopédique. Pas de FRCV connu. Pas de frottis effectué car pas d'argument pour une infection à Coronavirus (retour de Chine du père > 14 jours, père sans symptômes respiratoires et spontanément résolu, pas de cas de Coronavirus décelé chez les collègues du père). Pas de gestes aux urgences car saignement tari. Prendre l'Adalat sur le week-end et rediscuter de la thérapie anti-HTA avec le médecin traitant lundi. En cas de récidive, contacter son ORL ou revenir aux urgences sur le week-end. Pas de laboratoire comparatif. Hémodynamiquement stable, pas de signe d'extériorisation du sang. Suivi par MT en ambulatoire. Pas de lésion visible à la fluorescéine. Nous referons le patient en ophtalmologie pour les suites de prise en charge. Pas de no flow. Low flow 35 minutes, récupération ROSC après 2 mg d'adrénaline, puis asystolie de nouveau *3. Arrêt des mesures de réanimation le 20.02.2020 à 21h30. IOT sonde 7.5. Pas de nouveau contrôle. Pas de possibilité de faire des ultrasons à Meyriez aujourd'hui ad H-FR Fribourg. Nous avons donné 1g Novalgin i.v. et ca. 300ml Ringer i.v. Pas de prise en charge invasive selon le souhait de la patiente et de la famille. Pas de prochain contrôle. Pas de prochain contrôle. Pas de prochain contrôle prévu. Fin de traitement. Pas de radiographie. Contrôle en ORL à 5 jours. Antalgie. Pas de récidive de vomissement ni de diarrhée. Reprend un bon état général, peut rentrer à domicile avec Normolytoral pour compensation des pertes et contrôle clinique chez le pédiatre si persistance des symptômes ou reconsulter de suite si péjoration de l'état clinique. Pas de signe d'obstruction intestinale. Contrôle chez le pédiatre dans 2 jours. Reconsulter si pas de réduction spontanée. Consultation chez Dr. X, urologue pédiatre sera organisée à distance. Pas de signes cliniques en faveur d'une appendicite. Explications données à Mme. Y sur les symptômes à surveiller à domicile et les raisons à consulter. Pas de signes de surinfection. Pansement simple. Pas de Sintrom ce jour. Poursuite selon carnet, à vérifier et réévaluer à l'étage (la patiente n'est pas capable de dire combien elle prend de Sintrom). Pas de streptotest réalisé car toute la famille est positive pour angine à streptocoque. Antibiothérapie : Amoxicilline 25mg/kg 2x/j durant 6 jours. Pas de streptotest réalisé vu que les 4 frères sont malades avec angine à streptocoque et critères pour réaliser le test. Amoxicilline 25mg/kg 2x/j durant 6 jours. Pas de substitution per os au vu du contexte. Pas de suivi neurochirurgical. Reprise du Sintrom le vendredi 21 avec contrôle d'INR 2 à 3 jours plus tard. Fin de traitement. Pas de suivi oncologique depuis 2016 (refusé par la patiente). Soins de plaies. Proposition Dr. X (Oncologue) : ad hormonothérapie par Arimidex 1mg 1x/j + radiothérapie. Thérapies oncologiques refusées par la patiente. Pas de suivi psychiatrique connu. Pas de test de grossesse au vu de l'absence d'exposition < 1 an. Traitement symptomatique, suivi ambulatoire. Conseil de reprendre contact avec son gynécologue traitant. Pas de traitement en plus vu le traitement de Co-Amoxicilline en cours. Pas de traitement. En cas de symptômes, tenir compte du profil multirésistant. Pas de tuméfaction, pas d'hématome visible. Pas de douleur à la palpation de la malléole ni au ligament fibulo-talaire antérieur ni au niveau du deltoïde. Pas de douleur au Squeeze test. Éversion et inversion pas douloureuses. Pas de vomissement aux urgences. Pas d'extériorisation de sang actuellement. Examens complémentaires : • bilan d'anémie le 04.02.2020 : Pas de carence en vitamine B9 ou B12. Ferritine augmentée (contexte inflammatoire). Attitude : • 1 CE le 08.02.2020. • Acide folique 5 mg 1x/j pendant 1 mois. • Vitamine B12 1000 mcg 1x/mois. Pas d'imagerie au vu de l'examen clinique rassurant et au vu du contexte évocateur. Reconsultera si récidive de céphalée semblable ou anomalie neurologique. Consultera son médecin traitant pour suite de prise en charge. Attitude : Retour à domicile avec antalgie simple. Pas d'imagerie comparative à notre disposition. Attitudes : • Suivi par médecin traitant en ambulatoire. Pas d'imagerie comparative à notre disposition. Suivi par le médecin traitant en ambulatoire. Pas d'indication à effectuer des examens complémentaires ce jour. Status articulaire sp, pas de boiterie au moment de la consultation, pas d'état fébrile anamnestique ou à la consultation. Retour à domicile avec consignes de surveillance et traitement symptomatique en réserve par Algifor sirop 20mg/ml à 10mg/kg/dose soit 7.5 ml max. 3x/j si fièvre/douleurs/boiterie. Reconsulte si état fébrile, signes inflammatoires cutanés en regard d'une articulation, nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Si récidive de la boiterie sans autre symptôme, administrer l'Algifor d'office pour 3-4 j, puis en réserve et consulter pédiatre pour suite de prise en charge. Pas d'indication à effectuer une radiographie ou autre imagerie. Retour à domicile avec consignes de surveillance et antalgie par Diclofenac gel, application topique 2x/j pour une semaine, Algifor forte sirop 40mg/ml, 10mg/kg/j, soit 8ml = 320 mg 3x/j pour 3 jours, puis en R. Arrêt de sport pour une semaine. Contrôle chez le pédiatre si persistance des douleurs > 4-5 jours. Pas d'indication à l'imagerie radiologique. Désinfection, rinçage, pansement. Suivi ambulatoire par infirmière à domicile. Pas d'introduction de nouveau traitement antidépresseur pendant le sevrage. Pas d'investigation. Pas d'investigations désirées par la patiente et sa famille. Pas d'isolement au vu des symptômes depuis >5 jours. Pas d'isolement. Frottis VRE : en cours. Pas d'argument en faveur d'une cause centrale des céphalées, cliniquement compatibles avec une migraine. La patiente reçoit une dose d'Imigran avec bon effet. Elle rentre à domicile sous AINS, prokinétique et Zolmitriptan en réserve. Elle sera revue le 01.03 pour contrôle clinique. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Les dernières radiographies du mois d'août 2019 montraient déjà une arthrose avancée de la hanche gauche. Pas de signe d'infection → ad Mepilex pansement. Ad contrôle le 21.02.2020 pour pansement. Passage à l'acte suicidaire violent avec un couteau à pain, éraflure linéaire au niveau de la partie gauche du cou le 06.04.2018 • suite à des menaces suicidaires à répétition • danger pour lui-même dans l'immédiat • impossibilité de prise en charge ambulatoire Avis psychiatrique Dr. X : risque de passage à l'acte, hospitalisation en mode PAFA à RFSM CSH_Marsens Contact et discussion avec la fille validée pour l'hospitalisation Rappel tétonos réalisé Contusion du tiers proximal de l'humérus gauche dans un contexte d'ostéopénie importante sur carcinome prostatique avec métastases Anamnèse et examen clinique Radiographie de l'humérus : doute sur fracture du tiers proximal de l'humérus bras gauche CT scan : pas de fracture, mais présence d'ostéopénie importante RDV prévu prochainement à la consultation d'oncologie au CHUV Antalgie déjà présente dans le traitement habituel du patient Bretelle pour soutenir le bras gauche Fracture de l'humérus droit dans un contexte de cancer de la prostate • Avis Dr. X : Immobilisation par gilet orthopédique 1996 TURP pour HBP 1997 Cure de hernie 2000 Appendicectomie 2003 Résection du diverticule de Meckel, compliquée d'un sepsis 2006 CCK Passage à une héparine de bas poids moléculaire le 07.02.2020. Normalisation de la thrombocytémie le 10.02.2020. Passage de Ceftriaxone et Clarithromycine Pister Ag urinaire Passage des infirmières à domicile 1 x/jour pour vidange du drain (à quantifier). Contrôle à la policlinique de chirurgie de l'HFR Riaz le 06.02.2020 à 15h15. Consultation auprès de Dr. X le 12.02.2020 à 11h pour ablation des fils et contrôle des plaies. Patch de fentanyl Prednisone avec schéma dégressif Radiothérapie antalgique du 20.01.2020 au 07.02.2020. Pathologie (Promed P2020.689) : Méningiome de type transitionnel OMS grade I à gauche, méningiome de type transitionnel OMS grade I avec composant focale angiomateuse à droite EEG le 20.01.2020 : Tracé pathologique par une activité de base ralentie et déstructurée, avec une focalisation lente ultérieure à prédominance frontale droite. CT cérébral le 17.01.2020 : saignements intraparenchymateux frontaux droits associés à un œdème cérébral local, provoquant un effet de masse sur le ventricule latéral droit, et une déviation des structures de la ligne médiane jusqu'à 5 mm, sans engagement. CT cérébral le 19.01.2020 : Péjoration de l'hémorragie intraparenchymateuse frontale droite avec œdème périlésionnel. Effet de masse et engagement sous-falcoriel. CT cérébral le 20.01.2020 : Stabilité de l'hémorragie intraparenchymateuse frontale droite avec œdème périlésionnel. Effet de masse et engagement sous-falcoriel inchangé. Pas de nouvel engagement. IRM cérébrale le 21.01.2020 : légère épaississement du pachyméninge frontal à gauche en regard du site opératoire, soit compatible avec un résidu tumoral soit réactionnel. Stabilité de la minime collection sous-durale bi-frontale. IRM le 10.02.2020 : remaniement hémorragique diminué en taille par rapport au comparatif, avec diminution de l'effet de masse sur les ventricules latéraux ainsi qu'une diminution de la déviation de la ligne médiane, passant de 10 à 5 mm. On retrouve les lames d'hématome sous-dural frontal bilatéral, inchangées. Collection sous-galéale bi-frontale en hyposignal T2 FLAIR mesurant 12 mm de diamètre bilatérales, compatible avec des collections du LCR. Aspect concave de l'hypophyse contre un aspect plus convexe sur l'IRM comparative. Le patient a été prévenu de consulter le médecin traitant en cas d'inefficacité du traitement. Patient admis aux urgences de l'HFR Riaz le 25.01.2020 à la suite d'une chute à vélo dans la neige, réception sur les fesses avec mécanisme d'hyperextension de la hanche D. Pas de traumatisme crânien ni du rachis. Douleurs des ischio-jambiers et fessier D. Les radiographies standard du bassin ne montrent pas de lésion osseuse. Une IRM est réalisée le 27.01.2020 mettant en évidence le diagnostic susmentionné. L'indication opératoire est posée et le patient est transféré à Fribourg le 28.01.2020. L'intervention chirurgicale se déroule le 29.01.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale évolue favorablement, elle est calme et sèche à la sortie. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Radiographies postopératoires satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1 x/j sous-cutané. L'évolution étant favorable, le patient peut regagner son domicile le 31.01.2020. Patient admis pour une coronarographie élective dans un contexte de cardiomyopathie hypocontractile avec FEVG à 25 % découverte le 13.01.2020 au cours d'une hospitalisation pour flutter auriculaire inaugural. Dans ce contexte, le patient a bénéficié de deux cardioversions électriques respectivement le 14.01 et le 18.02.2020. L'examen invasif du jour montre une lésion intermédiaire de 50-70 % de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale, qui est dilatée et stentée avec succès. Aspirine 100 mg 1-0-0 pendant 1 mois, Plavix 10 mg 1-0-0 pendant 6 mois, Xarelto à vie. La surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs est sans particularités. Le patient quitte notre établissement le 26.02.2020 en bonnes conditions générales. Patient adressé au secteur ambulatoire des urgences le 06.02.2020 à 16h30. Patient adressé ce jour aux urgences en raison d'un malaise. ECG d'entrée : fibrillation auriculaire avec passage en tachycardie ventriculaire non soutenue. Introduction de 2 g de magnésium aux urgences avec diminution de la fréquence des épisodes de TVNS. Laboratoire en cours avec les électrolytes. Nous décidons de transférer le patient aux urgences à l'HFR Fribourg. Départ en ambulance. Patient adressé par son médecin traitant pour NSTEMI. A présenté le 02.02 de 21h30 à minuit une oppression thoracique avec irradiation dans les 2 bras et sensation de dyspnée. Pas de récidive des symptômes depuis. Avait déjà présenté des douleurs similaires mais de moindre intensité la semaine précédente, à deux reprises, durant 15 minutes, également au repos. Mise en évidence chez le médecin traitant de troponines à 895 ng/l, pas de modifications ECG. Aux urgences de Fribourg, répétition de l'ECG qui est toujours sp, troponines à 712 ng/l. Patient pris en coronarographie (cf rapport annexé), avec mise en évidence de maladie tri-tronculaire. Contact est pris par Dr. X avec Dr. X, CDC de garde de chirurgie vasculaire. Conviennent d'un transfert immédiat en chirurgie cardio-vasculaire au CHUV. Le patient ne présente pas de récidive de douleurs durant la durée de sa prise en charge au HFR. Patient âgé de 39 ans qui a consulté le 01.02.2020 aux urgences en raison d'une contusion thoracique infra-mammaire antérieure droite. Le patient rentre à domicile avec une antalgie sous forme d'Irfen 400 mg 3 x/j pendant 3 jours, Tramal 50 caps uniquement le soir pour dormir (pas de conduite), pour une durée de 3 jours. Un ultrason est prévu demain pour contrôle abdominal en vue d'exclure une lésion d'organes intra-abdominaux (RDV à 9h00 au tri). Patient asymptomatique et présentant ces lésions multiples réhaussantes. Le diagnostic différentiel serait des lésions micro-métastatiques dans le contexte du cancer pulmonaire ou alors une autre pathologie d'ordre neurologique. Nous demandons donc à notre collègue, Dr. X et à nos collègues de neurologie de bien vouloir convoquer le patient afin de poursuivre le bilan.D'un point de vue neurochirurgical, nous ne recommandons actuellement pas de prise en charge mais restons à disposition. • Patient asymptomatique lors de la surveillance aux urgences. Explication des examens effectués. Laboratoire : normal. Urines normales Ultrason abdominal ciblé au lit du malade (Dr. X et Dr. X) : pas de dilatation des voies urinaires, pas de liquide libre. Pas d'autre anomalie visible. Attitude : Antalgie en réserve. Explications des motifs de reconsultation aux urgences ou chez le médecin traitant. • Patient avec des plaies du dos de la main droite qui bénéficie d'une désinfection abondante et exploration des plaies. Par la suite, nous réalisons une suture avec du fil 4.0 en Blair Donati. Ablation des fils à J10 et pansement à J2 chez le médecin traitant. Tétanos à vérifier (car possiblement à jour). Si pas à jour, il reviendra pour vaccin. • Patient avec un syndrome grippal et une probable sinusite débutante avec un discret syndrome inflammatoire. Nous réalisons une radiographie du thorax qui ne retrouve pas de foyer systématisé. Nous proposons un traitement symptomatique et, en cas de persistance des symptômes, le patient consultera son médecin traitant. • Patient avec une cellulite du visage. Nous réalisons un laboratoire qui retrouve une discrète CRP à 9 et des leucos à 8. Nous réalisons un CT-maxillofacial qui ne retrouve pas de phlegmon ou abcès. Nous débutons une antibiothérapie avec 2.2g de Co-amoxi et relayons par 1g 3x/j. Le patient sera vu par son médecin traitant dans 3 jours pour une évaluation clinique. • Patient avec une commotion cérébrale suite à une rixe. Le patient bénéficie d'un CT-scan cérébral qui ne retrouve pas de saignement intra-crânien ni de fracture. Le patient est surveillé aux urgences et on note une amélioration clinique. Dans ce contexte, le patient peut regagner son domicile avec une fiche de surveillance remise à la mère. • Patient avec une contusion du genou droit à qui nous proposons un traitement antalgique et une attelle Zimmer. Le patient verra son médecin traitant samedi prochain pour une évaluation clinique. • Patient avec une entorse Stadler II de la cheville droite à qui nous proposons un traitement avec une attelle Aircast. Le patient verra son pédiatre dans 10 jours pour un contrôle clinique. • Patient avec une hémorragie sous-conjonctivale post-traumatique sans facteur de risque d'aggravation que nous rassurons et laissons rentrer. Le patient pourra éventuellement consulter un ophtalmologue en cas de persistance de l'hémorragie au bout de 3 semaines. • Patient avec une insuffisance rénale terminale et dialyse. • Patient avec une lombalgie commune que nous soulageons avec des antalgiques. Nous proposons de la physiothérapie en ambulatoire et le patient sera vu par son médecin traitant dans 10 jours pour un contrôle clinique. • Patient avec une plaie superficielle en V (4cm et 2cm) que nous désinfectons et suturons au fil 4.0. Nous administrons une dose du vaccin anti-tétanique et proposons un traitement antalgique. Le patient rentre à domicile. • Patient calme durant l'examen puis pleure 1 minute avant de régurgiter. Après avoir régurgité, patient calme et souriant. Il mâchonne à plusieurs reprises durant l'examen. • Patient cardiopathe ischémique connu admis pour une angioplastie programmée. L'examen du jour démontre un très bon résultat après angioplastie de l'IVA moyenne pour NSTEMI en janvier. Comme convenu, nous avons procédé à une angioplastie de la CD proximale avec un stent actif avec excellent résultat final. La fonction VG systolique est modérément abaissée (FEVG 40-45%) avec des pressions de remplissage télédiastoliques plutôt bien contrôlées. Poursuite et optimisation du traitement d'insuffisance cardiaque avec notamment majoration du bêta-bloquant au vu des extrasystoles et introduction d'aldactone. Aspirine 100mg 1-0-0, Charge Plavix 300 mg ce soir puis 75mg 1-0-0 pour 2 mois. Une suspicion de thrombus ventriculaire gauche est confirmée par une échographie transthoracique avec sonovue, un traitement de Xarelto 15 mg est donc débuté le 22.02.2020. La surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs est sans particularités. Le patient quitte notre établissement le 22.02.2020 en conditions générales bonnes. • Patient cardiopathe ischémique connu admis pour une angioplastie programmée. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne tri-tronculaire avec bon résultat intrastent actif de la CX, bissectrice et IVA et sténoses critiques de l'IVP. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'IVP avec mise en place de 2 stents actifs et ouverture de la maille vers la RVP avec bon résultat final. Succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire postérieure. Implantation de 1 stent actif. Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère interventriculaire postérieure. Implantation de 1 stent actif avec bon résultat final. Aspirine 100mg 1-0-0 pendant 3 mois, Plavix 75 mg 1-0-0 pendant 12 mois, Xarelto 15 mg 1-0-0 le temps de la tri-thérapie et Xarelto 20 mg 1-0-0 sur le suivi, reste du traitement inchangé. A noter que pendant la surveillance rythmique sur la nuit, le patient présente un épisode de fibrillation auriculaire lente asymptomatique à environ 35 bpm. Pendant la journée, le patient présente plutôt une fibrillation auriculaire normocarde-rapide et pour rappel, il est connu aussi pour une dysfonction ventriculaire gauche sévère. Il n'a jamais présenté de syncopes ou de vertiges. On propose donc de poursuivre le traitement bêta-bloquant à la même dose et d'organiser un Holter dès que possible. Le patient quitte notre établissement le 28.02.2020 en conditions générales bonnes. • Patient cardiopathe ischémique connu admis pour une coronarographie suite à un test d'effort pathologique. L'examen invasif du jour par l'accès radiale droite démontre une progression de la maladie coronarienne avec une longue lésion de l'IVA proximale/moyenne englobant la bifurcation IVA proximale/1ère diagonale. Le stent implanté en 2004 est indemne d'une resténose. En plus, la bissectrice montre une lésion significative ostiale. La petite CX et la grande ACD ne montrent pas de lésions significatives. La fonction systolique du VG est normale. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'ostium de l'artère bissectrice avec implantation de 1 stent actif direct. Après, la bifurcation (IVA/1èreDA) est traitée avec dilatation et implantation de deux stents actifs avec « kissing balloon technique » à la fin. Le résultat final est bon. Aspirine 100mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois, statines/ezetrol (LDL<1.4mmol), Pantoprazole 20mg 1-0-0 pour 12 mois. La surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs est sans particularités. Le patient quitte notre établissement le 25.02.2020 en conditions générales bonnes. • Patient cardiopathe ischémique connu avec statut après STEMI inférieur le 02.02.2020 sur occlusion de la 2ème marginale de l'artère circonflexe, traitée par désoblitération et mise en place de 2 stents actifs, stenting direct d'une sténose de la 1ère marginale de la CX. Admis ce jour pour une angioplastie programmée. Cet examen montre un bon résultat à court terme de la PCI des 2 branches marginales de la CX. Nous avons procédé à une PCI/ 2 DES de l'IVA moyenne et à une PCI/ 1 DES de l'IVA proximale avec un bon résultat final. Aspirine 100mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularités.Le patient quitte notre établissement en conditions générales bonnes le 20.02.2020. • Patient connu pour cardiopathie ischémique, admis pour dyspnée et récidive d'angor. Segmentectomie prévue début février pour nodule pulmonaire. > L'examen invasif du jour démontre une resténose intrastent très serrée de la coronaire droite ostiale qui est traitée avec un stent actif. La coronaire droite moyenne présente une sténose significative et est traitée avec un stent actif avec très bon résultat. Il persiste une sténose significative de la coronaire droite distale et de la rétroventriculaire gauche pour lesquelles nous proposons un traitement médicamenteux. Il y a une sténose intermédiaire, hémodynamiquement non significative, de la circonflexe ostiale (FFR 0.91). L'IVA présente une lésion intermédiaire de la portion moyenne qui est inchangée par rapport au dernier examen. Le résultat après angioplastie de la bissectrice est excellent. • Aspirine 100 mg 1-0-0 et statine à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 3-6 mois, reste du traitement inchangé. Une chirurgie peut être envisagée sous monothérapie antiplaquettaire (Aspirine) au plus tôt dans 3 mois. • Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs se déroulent sans complications. Le patient regagne son domicile le 29.01.2020. • Patient comorbide qui présente une symptomatologie mixte probablement d'origine lombaire et au niveau de la hanche. Nous proposons une prise en charge chirurgicale au niveau L4-L5 par décompression canalaire unilatérale droite et undercutting gauche. Auparavant, nous souhaitons un consilium anesthésiologique au vu des comorbidités du patient pour voir si une prise en charge chirurgicale durant 1h30 en décubitus ventral pourrait s'envisager. Avant tout geste, nous souhaitons également un consilium après du Dr. X en chirurgie vasculaire pour une plaie chronique du membre inférieur. • Patient connu pour des otites perforées après des épisodes de virose. Le garçon a eu un syndrome grippal la semaine dernière et depuis midi, il a présenté un écoulement de l'oreille gauche. La semaine dernière, la pédiatre a noté un tympan gauche légèrement érythémateux. Il a reçu des anti-inflammatoires et la situation allait mieux mais aujourd'hui, ça s'est aggravé. Normalement, il prend des gouttes dans cette situation: ciproxin HC. Status: oreille droite: cérumen obstruant le canal oreille gauche: liquide séreux remplissant l'oreille, perforation tympanique Attitude: goutte de ciproxin prescrite. rdv chez l'ORL habituel cette semaine • Patient connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire, admis pour une coronarographie élective dans un contexte d'angor anamnestique de stade III. > L'examen invasif du jour démontre comme étiologie à l'angor des sténoses serrées de la circonflexe proximo-moyenne et première marginale de bon calibre qui sont traitées, après discussion avec Mr. Y, par angioplastie et pose de deux stents actifs jointifs avec excellent résultat final. Il existe une sténose significative d'une petite branche diagonale ainsi que d'une petite branche de la RVG qui ne nécessitent qu'un traitement médicamenteux. Les stents de l'IVA et de la CD ainsi que la RVG sont perméables sans resténose. L'Aspirine sera à poursuivre à vie, le Plavix 75 mg pour 6 mois. Nous introduisons également un traitement d'Amlodipine au vu de la tension artérielle élevée durant le séjour. Le patient sera revu dans 1 mois à la consultation du Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 31.01.2020. • Patient connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire, admis pour une coronarographie élective dans un contexte de dyspnée persistante. > L'examen invasif du jour démontre malheureusement une progression de la maladie coronarienne tritronculaire. Le résultat à long terme après stenting du tronc commun est bon, mais l'ACD proximale montre une resténose significative (70-90 %; a été traitée déjà une fois avec DEB/DES). En plus, on trouve une nouvelle lésion au niveau de l'IVA proximale (lésion de bifurcation avec la première diagonale). Après discussion avec Mr. Y, il est décidé de l'adresser pour un pontage au CHUV. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 70 %. À noter également une lésion intermédiaire de l'artère sous-clavière gauche. Les suites post-interventionnelles sont sans complication dans un premier temps, mais Mr. Y présente un important saignement au niveau du point de ponction sur le chemin du retour chez lui. Il se présente à nouveau en cardiologie le jour même, où l'on met en évidence un hématome au point de ponction, ainsi qu'un souffle. Le saignement se tarit spontanément. Le bilan angiologique montre un pseudo-anévrisme fermé, ne nécessitant pas de prise en charge particulière. Mr. Y sera adressé pour discussion d'un pontage au CHUV. Il regagne son domicile le 11.02.2020. • Patient de 11 ans adressé par les urgences de l'HFR Tafers à la suite d'un choc direct du poignet G la main en hyperextension lors du cours de gymnastique le 30.01.2020. Les investigations mettent en évidence la fracture susmentionnée. L'indication opératoire est posée en regard du radius distal G. L'intervention chirurgicale se déroule le 30.01.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale est propre et calme. Immobilisation par BAB fendu. Absence de troubles neuro-vasculaires du MSG. Retour à domicile le 31.01.2020. • Patient de 11 ans, qui présente le 13.02.2020 un trauma facial avec probable fracture des os propres du nez. Dans ce contexte, nous débutons un traitement anti-inflammatoire et recommandons au patient de prendre contact avec un ORL la semaine prochaine pour réévaluation une fois que le nez est détuméfié. Recommandations d'usage données au patient. • Patient de 15 ans, hospitalisé aux soins intensifs suite à une intoxication médicamenteuse au Lorazépam. > Cet adolescent est suivi pour des troubles psychiatriques avec des idées noires depuis une année et demi. Une hospitalisation a été effectuée à l'hôpital de Marsens jusqu'au 21.02.2020 avec un traitement à la sortie par Risperdal. Il est retrouvé somnolent suite à la prise volontaire de 50 mg de Lorazépam. À l'anamnèse et à l'hétéroanamnèse, il n'y a pas de facteur déclenchant particulier. Les ambulanciers ont administré du charbon activé. Le patient est somnolent mais réveillable sans nécessité de traitement par Flumazénil. Il est parfaitement stable sur le plan hémodynamique et respiratoire. L'évolution sur le plan neurologique permet au patient de se mobiliser dans le couloir sans oxygène et de communiquer distinctement. Un consilium de pédopsychiatrie conclut à une hospitalisation en mode volontaire à l'hôpital psychiatrique de Marsens pour mise à l'abri au vu des idées suicidaires persistantes et du récent passage à l'acte. Les parents du patient sont présents et informés de la situation et du projet qu'ils acceptent. Le patient est transféré le 28.02.2020 dans le service psychiatrique de l'hôpital de Marsens en ambulance. • Patient de 16 ans qui consulte à la Permanence le 03.02.2020 pour un état grippal pour lequel nous préconisons un traitement symptomatique. • Patient de 17 ans, avec trauma direct sur genou droit fléchi avec des douleurs mécaniques depuis lors. Une fracture est exclue. Une lésion du ménisque interne est suspectée cliniquement. Un tiroir postérieur est mis en évidence, mais devant l'absence de tuméfaction du genou, une lésion aiguë d'un ligament croisé nous semble peu probable. Nous débutons un traitement symptomatique et prévoyons un contrôle clinique de suivi à 1 semaine.Patient de 18 ans, connu pour une notion d'épilepsie non traitée et non suivie, est transféré de l'hôpital d'Yverdon après un épisode de crise convulsive. Celle-ci aurait été objectivée le 10.02.2020 par l'éducateur du foyer où il réside la semaine. Le patient aurait présenté une révulsion des yeux avec mouvements tonico-cloniques des 4 membres durant 3 à 5 minutes suivie d'une phase post-critique. Le patient est hospitalisé chez nous pour surveillance neurologique et avis spécialisé. Il bénéficie d'un EEG dont le tracé est interprété comme pathologique et un traitement de Lamotrigine per os est débuté de manière progressive selon l'avis de nos collègues neurologues. Un diagnostic d'épilepsie généralisée idiopathique est retenu, à noter qu'aucun syndrome n'est apparemment connu chez ce patient. Aucune analyse génétique n'aurait été réalisée selon son père. Au vu d'une bonne récupération clinique sans anomalies au statut neurologique et d'un rapport d'IRM cérébrale décrit comme dans la norme en 2017, le patient rentre à domicile accompagné de son père le 11.02.2020. Un suivi chez le médecin traitant des tests hépatiques et de la formule sanguine à 2 semaines nous semble indiqué. Le suivi neurologique avec EEG de contrôle à 3 mois se fera à la consultation du Dr. X. Patient de 18 ans, en bonne santé habituelle qui consulte suite à un traumatisme du genou droit en torsion. La radiographie du genou droit ne montre pas de fracture. Le patient est immobilisé dans une attelle avec des cannes en décharge du membre inférieur droit, de la Clexane prophylactique et une antalgie par Brufen et Dafalgan. Un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie est prévu dans 1 semaine. Patient de 20 ans qui rapporte une épilepsie secondaire à un traumatisme. Il est requérant d'asile et vit dans un foyer à Fribourg depuis le 06.01.2020. Une dose de benzodiazépine est donnée dans l'ambulance et le bilan par CT cérébral et EEG ne met rien en évidence. Le taux de Keppra mesuré est infra-thérapeutique ce qui motive une augmentation du traitement. De petites doses de Rivotril sont réintroduites. Il sera suivi en épileptologie à Genève. Durant le séjour, Mr. Y rapporte que le Rivotril l'aide également à diminuer des angoisses récurrentes. Nous lui expliquons que ces médicaments engendrent une dépendance et nous l'encourageons à sevrer de manière progressive les benzodiazépines. Mr. Y rentre au foyer le 08.02.2020. Patient de 20 ans avec des diarrhées aigües sans red flags. Nous retenons une probable gastro-entérite virale que nous traitons symptomatiquement. Patient de 27 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte les urgences, amené par une ambulance pour contusion thoracique. Nous complétons le bilan avec les examens susmentionnés et retenons le diagnostic suivant: Polytraumatisé : Patient enseveli sous la terre suite à la réparation d'une canalisation dans une tranchée, avec : • lacération grade III hépatique avec suspicion de saignement actif. • lacération grade III rénale droite. • hémopéritoine avec sang dans le pelvis. • fracture pédicule gauche L2. • fracture côtes 8-9 droites. • fracture du mur post du cotyle gauche (fracture intra-articulaire de la hanche, à priori stable). Patient hémodynamiquement stable. Nous prenons contact avec le Dr. X, puis l'HFR Fribourg, qui préconise un transfert à l'Inselspital de Berne. Nous prenons contact avec le Dr. X de l'Inselspital de Berne qui accepte son transfert, en SMUR. Patient de 30 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale, qui nous est adressé pour pose de cathéter de dialyse et initiation de la thérapie d'épuration extra-rénale. Pour rappel, ce patient présente depuis juin 2019 une insuffisance terminale. Le bilan étiologique pointe une cause post-rénale sur malformation congénitale avec reflux urétéro-vésical. Compte tenu d'une évolution défavorable, l'indication à une dialyse est posée en l'attente d'un projet de greffe rénale par don vivant. Le patient bénéficie de la pose d'un Permacath qui se déroule sans complication. Les deux premières séances de dialyse ont lieu avec une bonne tolérance. Au vu d'une anémie en péjoration, nous profitons de l'hospitalisation pour instaurer un traitement érythropoïétique sur le conseil du néphrologue traitant ainsi qu'un traitement d'inhibiteur de l'enzyme de conversion. Compte tenu d'une bonne tolérance à l'initiation de la dialyse, le patient rentre à domicile et est attendu en néphrologie pour une nouvelle séance le 21.02.2020. Patient de 30 ans qui présente une toux depuis 1 semaine avec l'apparition nouvelle d'un état fébrile. Les résultats biologiques et radiologiques parlent en défaveur d'une surinfection bactérienne. Nous débutons donc un traitement symptomatique. Par ailleurs, le patient a également remarqué une voussure indolore du scrotum à gauche depuis 2 semaines. Un phlébolithe de 3 mm est mis en évidence à l'US scrotal. Patient de 31 ans qui consulte pour la survenue le 08.02.20 d'un traumatisme crânien suite à un choc entre lui et son collègue en jouant au football. La zone de contact étant la tempe gauche. Par la suite, le patient a eu un épisode de vomissements 15 min après, des troubles de la vision de type flash lumineux et des fourmillements à l'hémiface droite et des céphalées temporales bilatérales d'intensité légère, non calmées par la prise d'AINS mais sans péjoration. Pas de perte de connaissance. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité. À l'examen clinique, nous n'objectivons pas de pathologie, un saignement sous ou extra-dural est peu probable. Nous recommandons au patient un repos durant 6 jours et de consulter aux urgences en cas de péjoration de la symptomatologie. Dans ce cas de figure, une IRM cérébrale serait à envisager. Nous ne prescrivons pas de traitement antalgique, vu que le patient en avait déjà. Patient de 32 ans, en bonne santé habituelle, qui depuis hier présente de la fièvre et de la toux, des arthralgies, des myalgies. Depuis ce matin, il présente également une rhinorrhée, sans raideur de nuque, pas de purpura. Il n'a pas fait le vaccin contre la grippe. Il explique qu'il revient d'un voyage en Inde il y a une semaine. Patient de 33 ans, en BSH, amené à la Permanence pour un état fébrile à 40. Le patient se plaint principalement de céphalées d'allure tenssionnelle et de symptômes gastro-intestinaux. Le statut est rassurant avec notamment un abdomen souple et une absence de méningisme. Le laboratoire montre une CRP augmentée. Nous retenons une probable gastro-entérite bactérienne à l'origine de l'état fébrile et des céphalées secondaires à l'état fébrile et une probable déshydratation. L'évolution est favorable lors de sa surveillance chez nous avec amélioration de la fièvre et des céphalées avec hydratation et traitement fébrifuge. Le patient rentre à domicile, raccompagné d'un ami, avec un traitement antibiotique empirique, et nous lui recommandons un suivi clinique chez son médecin à 48h. Patient de 35 ans, connu pour une toxicomanie à l'héroïne (4g/jour, fumée) et un asthme non stadé/suivi, hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire sévère sur pneumonie lobaire inférieure droite. À noter également une crise d'asthme en décembre et une pneumonie en novembre pour lesquelles il a refusé l'hospitalisation et a quitté les urgences contre avis médical. Mr. Y présente une dyspnée au repos depuis le matin du 01.02.2020 associée à de la toux avec des expectorations verdâtres. Il rapporte des douleurs thoraciques à droite lorsqu'il tousse. Aux urgences, le patient est fébrile, tachycarde, tachypnéique à 40 min avec des sibilances sur toutes les plages qui cèdent rapidement après bronchodilatateur. Malgré cela, il reste très dyspnéique. Le bilan met en évidence une insuffisance respiratoire hypoxémique avec un syndrome inflammatoire. Un CT thoracique montre un foyer lobaire inférieur droit, des micronodules diffus faisant évoquer une atteinte par des germes atypiques/tuberculose miliaire. Il est traité par Co-Amox, Clarithromycine et Tamiflu. Il est transitoirement isolé. En raison d'une récidive à 3 mois d'une pneumonie, un test HIV est effectué en accord avec le patient, qui est encore en cours. Le bilan infectieux montre un antigène urinaire positif pour le Pneumocoque et un test rapide négatif pour Influenza. Nous arrêtons donc le Tamiflu et la Clarithromycine et poursuivons la thérapie avec la Coamoxiciline seule.Concernant la consommation d'héroïne, le patient consomme 4 grammes d'héroïne par jour répartis sur 6 prises quotidiennes. Dernière prise à 18 heures le 01.02. Rapidement, il présente des symptômes de sevrage, raison par laquelle il est substitué par Morphine IV et Clonidine. L'évolution est favorable avec sevrage de l'Oxygène à haut débit dès le matin du 02.02 et une saturation à 92% au repos et à l'effort (marche) sous air ambiant. Le patient demande à sortir contre avis médical le 02.02. Nous lui expliquons le risque de péjoration clinique, voire même le risque vital, en lien avec l'infection sévère et l'insuffisance respiratoire qu'il présente, même au vu de la stabilité hémodynamique, l'absence de besoins en oxygène, mais le patient reste insistant sachant qu'il est capable de discernement, il signe une décharge et rentre à domicile contre avis médical le 02.02.2020. Une ordonnance pour une antibiothérapie de 7 jours lui est donnée. Patient de 36 ans, en bonne santé habituelle, qui présente des douleurs au niveau du gros orteil droit suite à un traumatisme contre un mur. La radiographie du gros orteil droit montre une fracture de la base de P2 O1 à droite, non déplacée. Nous proposons une immobilisation par la chaussure Barouk, et le patient peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. Un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie est prévu dans 1 semaine. Patient de 36 ans, transféré aux soins intensifs en raison d'une intoxication multiple (BZD; Opioïdes, MDMA, OH). Mr. Y est amené en ambulance aux urgences de Riaz en raison d'une agitation extrême en ville de Bulle. Il aurait consommé du whisky et de l'ecstasy (MDMA). À son arrivée aux urgences de Riaz, il est extrêmement agité, présente des mouvements désarticulés, est hypertendu et tachycarde. Au status, il présente une mydriase bilatérale réactive, des sudations profuses et une xerostomie. Au laboratoire, on retrouve une éthanolémie à 1.07g/l, et le tox-screen urinaire montre des amphétamines fortement positives, ainsi que des opiacés (patient sous Sevrelong) et cannabis. Après titration de Midazolam, le patient présente brutalement des troubles de l'état de conscience, nécessitant une intubation. Il est transféré aux soins intensifs pour suite de prise en charge. L'évolution est rapidement favorable, permettant une extubation le matin du 01.02. Le patient présente un comportement calme et adapté, permettant un retour à domicile. Patient de 38 ans qui nous est transféré des urgences de Riaz le 08.02.2020 pour pneumonie lobaire inférieure droite et suspicion de pyélonéphrite. Aux urgences, le patient présente un état fébrile avec des maux de tête, des douleurs dorso-lombaires, une asthénie et des douleurs de l'hémithorax droit respiro-dépendantes, depuis 3 jours avec une sensation de dyspnée. Le patient ne présente pas de symptomatologie urinaire mais décrit des urines foncées et malodorantes. Pas de voyages récents, pas de contact avec des voyageurs venant de l'Asie. Au niveau du status aux urgences, on retient une hypoventilation et discrète crépitation en base droite. La loge rénale est douloureuse plus du côté droit qu'à gauche. On retrouve aussi des douleurs dorso-lombaires. Lors de son admission à Meyriez, le status est superposable à celui des urgences de Riaz. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 21.8G/l, et une CRP à 100mg/l. Un CT thoraco-lombaire permet d'exclure une embolie pulmonaire et confirme une pneumonie basale droite. Les hémocultures réalisées à l'admission en raison d'un pic fébrile à 38.8°C reviennent positives pour S. pneumoniae tout comme les antigènes urinaires. Les cultures d'urines montrent une flore mixte. Selon les infectiologues, il n'y a pas d'argument pour retenir le diagnostic de pyélonéphrite malgré un sédiment urinaire perturbé. Nous proposons un contrôle de l'urine dans 2 semaines afin d'exclure une prostatite chronique. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie à large spectre par Rocéphine et Klacid du 08.02.2020 au 10.02.2020. Le 11.02.2020, nous passons à de l'amoxicilline per os jusqu'au 14.02.2020 pour un total de 7 jours d'antibiotiques. Dans le contexte de la pneumonie avec bactériémie, nous effectuons un screening du VIH et de la syphilis qui reviennent négatifs tous les deux. Le 11.02.2020, le patient bénéficie d'une injection de Ferinject 500mg qui était planifiée en ambulatoire en raison d'une carence en fer avec une Ferritine à 10ug/l. Celle-ci est à compléter en ambulatoire. L'évolution est favorable. Toutefois, le jour de sa sortie, le patient présente des céphalées nouvelles occipitales répondant partiellement au Dafalgan. L'examen neurologique est dans la norme. Nous prescrivons de l'Irfen 400mg en réserve. Le patient retourne à la maison le 12.02.2020. Patient de 38 ans, qui à la maison utilise une guillotine à papier et se coupe l'ongle et la pulpe superficiellement en regard du bord ulnaire du pouce droit. Devant cette plaie d'avulsion, nous ne pouvons effectuer qu'un pansement compressif avec du Spongostan, permettant d'arrêter le saignement. Un contrôle clinique est prévu à 24h. Patient de 40 ans, connu pour un asthme saisonnier, qui consulte pour une dyspnée au repos et des douleurs d'allure musculaire dans le cadre d'une IVRS. Nous ne retenons pas de crise d'asthme ni de pathologie cardio-pulmonaire significative. Nous débutons un traitement symptomatique. Patient de 42 ans qui consulte pour des vertiges d'allure orthostatique avec une démarche ébrieuse nouvelle, d'apparition brusque ce jour, sans autres symptômes associés hormis une fatigue. Au status, la seule anomalie est un ralentissement psycho-moteur et une dysmétrie du membre supérieur gauche. Un CT cérébral permet d'exclure une lésion ischémique ainsi que tumorale. Nous retenons une possible déshydratation au vu du caractère orthostatique des symptômes et d'un patient reconnaissant peu s'hydrater. Après des recommandations hygiéno-diététiques, le patient regagne son domicile. Patient de 46 ans connu pour trouble bipolaire qui est amené par la police. Depuis lundi, il relate un changement de comportement au travail. Il se sent plus actif. Ce matin, il est allé dans une école et a tapé avec un ballon contre une vitre puis avec sa tête. Une enseignante l'aurait vu et aurait appelé la police. Le bilan biologique revient sans particularités. Suite à une consultation psychiatrique réalisée par Dr. X, le patient est hospitalisé à Marsens en mode volontaire pour observation de l'évolution de son état psychique et un traitement approprié. Un transfert est organisé. Patient de 47 ans, connu pour des douleurs abdominales neuropathiques, suivi par le Centre de la douleur à Vevey, avec un status post périmyocardite en 2006, qui consulte aux urgences en raison de douleurs rétrosternales respiro-dépendantes depuis ce matin au réveil. Les douleurs rétrosternales sont apparues progressivement. Elles sont sous forme de point douleur à l'hémithorax gauche, respiro-dépendantes, non irradiantes et reproductibles à la palpation.Le patient ne présente pas d'état fébrile, pas de nausée ni diarrhée. Il n'a pas d'autre plainte. Le laboratoire montre une hémoglobine à 151 g/l, des leucocytes à 11 G/l, des plaquettes à 255 G/l, une créatinine à 59 µmol/l, sodium à 140 mmol/l, potassium à 3,3 mmol/l, Ca corrigé à 2,16 mmol/l, Magnésium à 0,82 mmol/l, Phosphates à 1,04, ASAT à 20 U/l, ALAT à 22 U/l, Gamma-GT à 48 U/l, LDH à 335 U/l, PA à 82, bilirubine directe à 3,3 µmol/l, bilirubine totale à 7,4 µmol/l, CK à 98 U/l, et une CRP <5 mg/l. Le dosage de troponines est revenu négatif, sans cinétique. Nous avons pu exclure une embolie pulmonaire, les D-dimères sont revenus négatifs. ECG: Rythme sinusal régulier, fonction cardiaque à 70, QRS fins, pas de trouble ischémique. La radiographie de thorax effectuée ne montre pas de foyer. Le patient a reçu 4 mg de Morphine + 1 g paracétamol et du Voltaren avec amélioration de la douleur. Nous concluons à une origine probablement pariétale et laissons le patient regagner son domicile avec un traitement antalgique et un suivi par le médecin traitant. Patient de 47 ans qui consulte à la Permanence le 12.02.20 pour des diarrhées acqueuses avec douleurs abdominales depuis 72 h. Le patient est afébrile et l'abdomen est non péritonéal. Devant la prise d'une antibiothérapie récente (pour une éradication d'H. Pylori), nous effectuons un laboratoire qui permet d'exclure un syndrome inflammatoire et une coproculture à la recherche de C. Difficile. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique en attendant les résultats. Une gastro-entérite virale semble pour l'instant le plus probable. Patient de 48 ans, connu pour une maladie de Horton sous Prednisone 10 mg/j, ainsi que pour un DMT2 insulino-requérant, est hospitalisé en raison d'un état fébrile. Pour rappel, Mr. Y est connu du service de chirurgie pour un escarre malléolaire droit de mauvaise évolution suite à une immobilisation par attelle jambière pour une fracture de la base du 5ème métatarse droit en mars 2019. La plaie est débridée à plusieurs reprises avec pose de VAC puis finalement couverture par lambeau péroné le 23.08.2019 (Dr. X). Les prélèvements microbiologiques opératoires étaient négatifs et une IRM excluait une ostéomyélite, cependant le patient est suivi en stomatothérapie par le Dr. X en raison d'une déhiscence d'une partie de la plaie. Par la suite, il est hospitalisé du 10.10 au 11.10.2019 en raison d'une fièvre vespérale associée à une dyspnée avec un bilan biologique et scannographique par CT thoraco-abdominal sans piste clinique permettant un retour à domicile. Il reconsulte une semaine plus tard en raison de la persistance d'un état fébrile, mesuré à 38.3 °C à domicile avec un épisode de frissons le 20.10.2019 et des douleurs en péjoration au niveau de la greffe de peau. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP jusqu'à 55 mg/l et une VS jusqu'à 76 mm/1h, sans leucocytose ou déviation gauche. Sur avis orthopédique, nous effectuons une IRM permettant d'exclure une ostéomyélite mais montrant des signes de myosite sans collection. Dans ce contexte, nous réalisons des prélèvements microbiologiques de la plaie qui reviennent négatifs. L'échocardiographie ne montre pas de signe d'endocardite et les critères de Duke sont négatifs tout comme les hémocultures. Les sérologies de Lyme sont négatives. Le PET-CT ne montre pas de signe de vasculite avec uniquement un comblement du sinus nasal gauche. À noter des symptômes compatibles avec un IVRS (rhume et une voix nasillarde) sans récidive de l'état fébrile et une baisse du syndrome inflammatoire durant l'hospitalisation nous laissant suspecter une sinusite que nous traitons par rinçages de nez avec NaCl. Nous avons adapté le traitement d'insuline durant le séjour. Dans le contexte de la corticothérapie à long terme, nous réalisons une densitométrie osseuse qui permet d'écarter une ostéoporose. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 30.10.2019. Patient de 50 ans, connu pour une transplantation rénale dans un contexte de néphropathie sur pénicilline, qui est admis initialement aux urgences d'Yverdon adressé par son néphrologue pour découverte d'une fibrillation auriculaire inaugurale. Le patient nous a ensuite été adressé pour la suite de la prise en charge, celui-ci étant domicilié dans le canton de Fribourg. Un bilan cardiologique ne met pas en évidence de cause ischémique ou trouble valvulaire sous-jacent chez ce patient et permet de retenir une indication à une anticoagulation par Sintrom, les NOAC étant difficilement évaluables au vu du BMI élevé. Un RDV en cardiologie dans 3 semaines aura lieu afin de proposer une cardioversion au patient si la fibrillation auriculaire persiste. Concernant le diabète de type 2 nouvellement mis en évidence, il s'inscrit dans le contexte du syndrome métabolique du patient et la manœuvre thérapeutique la plus efficace sera probablement une perte de poids. Des mesures hygiéno-diététiques ont donc été conseillées au patient. Au vu de la légère augmentation de l'HBA1c, nos diabétologues proposent l'introduction de la metformine et un suivi dans un centre métabolique au choix du patient. Le patient peut rentrer à domicile en bon état général le 04.02.2020. Patient de 52 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs en FIG depuis ce matin. Les douleurs se sont installées progressivement durant la journée et ce soir sont trop fortes, raison pour laquelle il consulte. Le patient ne présente pas de nausées, ni vomissements. Pas d'état fébrile. Les dernières selles datent de ce soir, légèrement plus consistantes selon le patient. Clinique: Abdomen souple et dépressible, palpation douloureuse en FIG, pas de douleurs à la percussion des loges rénales. Bruits H-A dans la norme. TR: pas de sang au doigtier, pas de douleurs. Attitude: Le patient ne montre pas de signe de gravité avec un abdomen sans défense, ni détente, néanmoins malgré la morphine, le patient reste algique. Le sédiment montre est propre. Le laboratoire montre une leucocytose à 13 et une CRP à 23. Au vu des douleurs persistantes, nous effectuons un CT qui montre une diverticulite simple. Discussion avec Dr. X. Patient de 53 ans, admis aux soins intensifs le 11.02 en raison d'un NSTEMI. Connu pour une hypertension et une hypercholestérolémie, il consulte initialement les urgences à Riaz en raison d'un angor persistant depuis la veille. Le bilan met en évidence un NSTEMI avec un sous-décalage en latéral et l'inversion d'onde T en D2 et troponines positives. Il est chargé en Aspirine, Efient, Héparine et transféré à Fribourg pour coronarographie. La coronarographie montre une maladie coronarienne d'un vaisseau sous forme d'une occlusion subaiguë de l'artère circonflexe moyenne, avec une hypo-akinésie inférieure correspondante, qui n'a pas pu être désoblitérée. L'infarctus dans ce territoire est constitué et le patient n'a pas d'angor résiduel. Sur avis cardiologique, nous instaurons un traitement conservateur avec Aspirine cardio seule, et progressivement un bétabloquant et une IEC, qui sont à majorer selon la tolérance hémodynamique du patient. Nous introduisons une statine pour un LDL cible <1,4 mmol/l. L'hémoglobine glyquée est discrètement élevée. La fonction cardiaque est discernablement diminuée à la ventriculographie. Une échocardiographie est demandée. L'évolution est simple, sans récidive d'angor ni trouble du rythme ventriculaire mis en évidence. Le point de ponction radial droit est calme. Le patient est transféré en unité de médecine le 12.02.2020 pour suite de prise en charge.Patient de 53 ans connu pour un syndrome broncho-obstructif gravissime de type overlap avec une composante asthmatique et une composante de BPCO, insuffisant cardiaque avec FEVG à 40%, polytoxicomane avec consommation active de crystal-meth et cannabis se présente pour une dyspnée NYHA III présente depuis 2 semaines avec prise de poids et OMI. A son arrivée, le patient sature à 80% AA, tachycarde à 110 bpm, FR 36 bpm. L'examen clinique retrouve: • Cardio : B1B2 bien frappés et réguliers, pouls périphériques palpés aux 4 membres, OMI bilatéraux prenant le godet jusqu'au genoux, présence d'un reflux hépato-jugulaire • Pulmonaire : MV bilatéral et symétrique, crépitants bi-basaux • Abdominal : souple et indolore à la palpation, pas de défense ni détente, McBurney et Murphy négatif, bruits normaux en fréquence et en tonalité loges rénales souples et indolores, matité sus-pubienne Nous réalisons : Gazométrie AA : pH 7.39, pCO2 7.6, pO2 7.5, Bic 34, Sat 86%. Un bilan biologique ne retrouvant pas de franc syndrome inflammatoire. Une Rx thorax. Nous débutons un traitement par aérosols atrovent-ventolin, une séance de VNI d'une durée de 1 h ainsi qu'un traitement diurétique de Lasix 40 mg IV. La gazométrie post VNI sous 2 L pH 7.40, pCO2 7.9, pO2 7.4, Bic 36, Sat 86% ne montre pas d'amélioration des échanges gazeux, nous prenons avis auprès des SI de Fribourg et transférons le patient en SMUR aux SIB du cantonal. Patient de 53 ans, qui consulte les urgences de Riaz le 27.01.2020 pour une baisse de l'état général accompagnée d'un syndrome extra-pyramidal sous Leponex. Le patient se plaint à l'admission d'une baisse de force musculaire généralisée depuis la veille, l'empêchant d'effectuer ses activités de la vie quotidienne. Il est connu pour une schizophrénie avec troubles bipolaires et était hospitalisé en médecine interne du 09.01.2020 au 20.01.2020 secondaire à un ralentissement psychomoteur et syndrome extra-pyramidal médicamenteux. En raison de ces problématiques, une diminution du Leponex a été faite passant de 250 mg/j à 150 mg/j. Au status neurologique, il présente des signes cliniques d'un syndrome extra-pyramidal illustré par des tremblements de repos asymétriques au membre supérieur droit et de la mâchoire qui disparaissent à l'effort. Il présente également un aspect de roue dentée au niveau des membres supérieurs ddc en augmentation de la rigidité musculaire. La marche n'a pas été évaluée. On note la présence d'une voix saccadée. On note une hyporéflexie généralisée. Le reste de l'examen clinique est sans particularités. Nous réalisons un laboratoire montrant une anémie normochrome normocytaire à 116 g/l et une hypoprotéinémie à 62.9 g/l. Le patient est hospitalisé en médecine pour suite de prise en charge. Considérant un nouveau parkinsonisme secondaire, nous diminuons la posologie de Leponex progressivement jusqu'à 75 mg/j sans amélioration de la symptomatologie du patient, raison pour laquelle nous demandons un consilium de neurologie. Selon l'avis du neurologue, le syndrome parkinsonien est sévère et probablement d'origine primaire. Il propose ainsi un traitement d'épreuve par Levodopa ainsi qu'un bilan complémentaire par IRM cérébrale montrant quelques lésions de la substance blanche probablement d'origine dégénérative vasculaire et une sinusite maxillaire gauche de découverte fortuite. En raison d'une apparition d'un syndrome inflammatoire, nous décidons de traiter cette sinusite par Co-Amoxi. Après avis de notre psychiatre et en accord avec le neurologue, nous décidons de transférer le patient à l'HFR - Fribourg, après l'introduction du traitement par Madopar le 06.02.2020 et majoré le 09.02.2020 qui permet une légère amélioration de la symptomatologie, pour suite de prise en charge. Le patient est transféré à l'HFR - Fribourg le 10.02.2020. Patient de 53 ans qui se présente aux urgences pour dyspnée et douleurs thoraciques depuis son réveil. Nous retenons le diagnostic de crise d'asthme dans un contexte d'infection virale des voies respiratoires supérieures. L'état du patient s'améliore sous traitement de bronchodilatateurs. Le bilan cardiologique permet d'exclure une atteinte du myocarde. Le patient quitte notre service contre avis médical le 16.02.2020. Il revient chercher ses documents de sortie le 17.02.2020. Patient de 54 ans admis pour une coronarographie suite à un CT-coronarien ayant montré des sténoses au niveau de l'IVA. L'examen invasif du jour révèle une maladie coronarienne des trois vaisseaux. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une dilatation de l'IVA avec mise en place de 4 stents actifs. Nous proposons de le reconvoquer pour traitement de la circonflexe dans 2 mois. Aspirine à vie et Efient 10 mg/d pour la durée de 6 mois. La surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs est sans particularités. Le patient quitte notre établissement le 26.02.2020 en conditions générales bonnes. Patient de 54 ans qui présente un probable claquage musculaire des ischio-jambiers gauche. Nous débutons un traitement symptomatique. Patient de 55 ans, qui, il y a 2 jours, est rentré de l'Italie du Nord. Depuis deux jours, présence de la toux en amélioration et de la fièvre jusqu'à 38.7°C. Pas d'autres symptômes. Patient de 55 ans, admis aux soins intensifs pour surveillance rythmique sur NSTEMI. Mr. Y, connu pour un ancien tabagisme et une hypercholestérolémie non traitée, présente depuis 16h00 ce jour des douleurs rétro-sternales en barre avec irradiation dans le dos, associées à dyspnée et diaphorèse alors qu'il travaillait sur un chantier. La douleur persiste 30 min au repos puis s'atténue. Il continue de travailler, puis, en raison d'un fond de douleur thoracique, décide de venir aux urgences. L'ECG montre des T négatives en latéral avec cinétique des troponines. Sur demande cardiologique, de l'aspirine et de l'héparine thérapeutique sont prescrites. La surveillance rythmique aux soins intensifs est sans particularité. La coronarographie le 21.02.2020 montre une maladie coronarienne bitronculaire avec pose de 2 stents actifs sur l'IVA, 1 stent actif sur la première diagonale et un stent actif au niveau de la coronaire droite moyenne. La FEVG à la ventriculographie est conservée à 65 %. Une échocardiographie de contrôle est à effectuer à 48 h-72 h. Le patient bénéficie d'une double antiagrégation par aspirine et efient pour 6 mois, puis aspirine seule à vie. Les LDL cibles sont <1.4 mmol/l avec introduction d'atorvastatine. Le métoprolol et le lisinopril sont introduits et à adapter. Un contrôle cardiologique dans 1 mois doit être organisé chez le Dr. X. Un épisode isolé d'hématochézies de faible quantité le 22.02.2020 sans baisse d'hémoglobine et sans répercussion hémodynamique est mis sur le compte d'hémorroïdes avec épisodes similaires dans le passé. En cas de récidive de l'hémorragie digestive basse, une colonoscopie devra être discutée à but diagnostic. À noter une importante déformation du poignet gauche asymptomatique suite à une fracture à l'adolescence avec pose puis retrait de plaque. Une radiographie de contrôle retrouve une importante déformation osseuse ulnaire avec arthrose radiologique des os du carpe. Une attitude conservatrice est à adopter. Le patient est transféré en médecine interne pour suite de prise en charge. Patient de 57 ans, connu pour des multiples allergies alimentaires et aérologènes, qui cet après-midi marche en forêt et depuis 15h30 ressent une sensation de gorge serrée, dyspnée, changement de voix et dysphagie. Il prend 50 mg de prednisone, Xyzal, Ventoline et Seretide puis s'endort, avec au réveil persistance de la symptomatologie. A l'arrivée aux urgences, il est hémodynamiquement stable, sans stridor, avec une luette très tuméfiée et des amygdales petites sans exsudats. La luette remonte très difficilement. Le reste de l'examen est dans la norme avec un murmure vésiculaire symétrique sans sibilances ni stridor. Il reçoit de l'adrénaline 0.5 mg et Tavegyl 2 mg IV. L'œdème ne s'améliore malgré les aérosols à adrénaline. Nous décidons de transférer le patient aux urgences de Fribourg pour une évaluation par les soins intensifs.Patient de 57 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire et hémodynamique dans le cadre d'une embolie pulmonaire centrale bilatérale intermediate-high risk. • Patient avec une fracture accidentelle de la cheville droite le 03.02.2020 traitée conservativement avec plâtre pour 6 semaines et sous clexane prophylactique à dose de 40 mg/j pour un poids de 145 kg, qui consulte les urgences pour une dyspnée depuis le 13.02 au réveil avec vertiges. La fréquence cardiaque à son admission est à 120 bpm avec une TAs de 140 mmHg et une saturation à l'air ambiant de 91% sans tachypnée au repos. Un angio-CT objective une embolie pulmonaire centrale bilatérale qui est traitée par bolus de 5000 UI de liquemine avec initiation de xarelto. • Aux soins intensifs, la surveillance hémodynamique est favorable avec un profil hypertendu nécessitant la reprise du traitement anti-hypertenseur habituel d'Exforge HCT. L'oxygénothérapie se fait aux lunettes à raison de maximum 2 l/min. Le patient est mobilisé au fauteuil sans particularité hormis des douleurs du membre inférieur droit lié à la position déclive. Il n'y a par ailleurs pas d'argument clinique pour une thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit. En raison du risque intermediate-high, un avis formel angiologique écarte la nécessité d'une lyse in-situ. Il n'y a pas d'indication à une échocardiographie en raison de la présence de répercussions sur le cœur droit visibles sur le CT. Nous poursuivons le traitement de xarelto qu'il convient de poursuivre pour 3-6 mois selon évolution (15 mg 2x/j pour 21 jours puis 20 mg 1x/j). • Une adaptation du plâtre du membre inférieur droit est déjà agendée à l'HFR de Tavel le 14.02.2020. • Le patient est transféré à l'HFR Tavel pour suite de prise en charge. Patient de 58 ans cardiopathe ischémique connu admis pour une coronarographie dans un contexte d'angor de novo. • Cet examen montre une resténose intrastent actif de 70-90% de l'artère coronaire droite moyenne et une sténose de novo de 50-70% de l'artère coronaire droite proximale, traitées par PCI/ 2 DES avec un bon résultat final. • Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. • La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularités. • Le patient quitte notre établissement en bonnes conditions le 20.02.2020. Patient de 61 ans connu pour un carcinome pulmonaire neuroendocrine de haut grade du lobe inférieur gauche oligo-métastatique présentant un échappement thérapeutique qui nous est adressé par l'hôpital de Fribourg pour une prise en charge palliative dans le but d'assurer le confort du patient en fin de vie. • À son arrivée, Mr. Y est calme et confortable, ne mentionne aucune plainte spontanée. Une antalgie est assurée par une administration de morphine en i.v. continu. Une sédation nocturne légère déjà instaurée à Fribourg est poursuivie à l'aide de Dormicum selon le confort du patient. L'évolution de la maladie étant rapidement progressive, Mr. Y décède le 16.02.2020 entouré de sa famille. Patient de 61 ans, connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire, qui est adressé par les urgences en raison d'un angor instable. • L'examen invasif du jour montre comme corrélation avec l'angor une sténose subtotale en partie intrastent de l'artère coronaire droite moyenne, traitée par PCI/ 1 DES avec un bon résultat final. • Les suites post-interventionnelles et la surveillance aux soins intensifs se déroulent sans complication. • Le patient poursuivra son traitement d'Aspirine Cardio et de statine, avec ajout du Plavix 75 mg pour 6 mois. Il sera revu à la consultation du Dr. X dans 10 jours. • Mr. Y regagne son domicile le 13.02.2020. Patient de 62 ans admis pour un STEMI inférieur sur occlusion de la 2ème branche marginale de l'artère circonflexe le 02.02.2020. • Ce patient présente le 02.02.2020 des douleurs thoraciques typiques motivant sa consultation aux urgences. L'ECG met en évidence des sus-décalages du segment ST dans le territoire inférieur ainsi que des troponines positives. Il est chargé en Aspirine, Efient et héparine et une coronarographie est effectuée en urgence. • La coronarographie met en évidence une maladie coronarienne de 3 vaisseaux, avec comme lésion coupable une occlusion de la 2ème branche marginale de l'artère circonflexe, qui est traitée avec mise en place d'un stent actif ; la procédure est complétée par angioplastie et stenting de la circonflexe moyenne et par un direct stenting de la 1ère marginale avec un bon résultat. Il y a également des sténoses au niveau de l'IVA qui devront être traitées dans environ 3 semaines. La ventriculographie montre une hypokinésie inférieure avec une fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE : 60%). Une échocardiographie transthoracique et un suivi cardiologique seront organisés par les collègues de médecine interne. • Un traitement par aspirine et prasugrel est instauré qui sera poursuivi pendant 12 mois, puis l'aspirine seule à vie. De l'atorvastatine est également instaurée. Un traitement de bêta-bloquant est à introduire afin de viser une fréquence cardiaque au repos à 60/min. Nous laissons le soin aux collègues de médecine interne d'évaluer la nécessité d'un traitement antihypertenseur les jours prochains (reprise de la Nifédipine ou introduction d'un IEC/ARA II). • Le bilan des facteurs de risque cardiovasculaires montre une hypertension artérielle traitée habituellement par Nifédipine, une hypercholestérolémie non traitée et une anamnèse familiale positive (père AVC à 60 ans). Par ailleurs, ce patient est connu pour deux événements thromboemboliques (TVP découverte fortuite en 2009 et EP en 2018 survenue dans un contexte postopératoire). Un bilan de thrombophilie est à prévoir à distance de l'événement aigu. • La surveillance aux soins intensifs se déroule sans particularité. • Le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 03.02.2020. Patient de 62 ans admis pour un STEMI inférieur. • Il s'agit d'un patient connu pour une hypertension qui présente le 02.02.2020 vers 9h30 du matin des DRS oppressives motivant sa consultation aux urgences. Pas de symptômes associés. Aux urgences, le bilan met en évidence des sus-décalages ECG dans le territoire inférieur ainsi que des troponines positives à 145 ng/L. Il est chargé en Aspirine, Efient et héparine et une coronarographie est effectuée en urgence. • La coronarographie met en évidence une occlusion de la Cx qui est dilatée avec mise en place de 3 stents (Cx et marginales). Il y a également des sténoses au niveau de l'IVA. • Le bilan des facteurs de risque cardiovasculaires est à compléter. Un traitement par Atorvastatine est débuté. Un IEC et un bêta-bloquant sont également à introduire. • La surveillance aux soins intensifs est à suivre. • Le patient est transféré à l'étage de médecine interne le ____. Patient de 62 ans, qui se présente aux urgences pour un syndrome grippal. • Ce patient présente depuis 3 jours une dyspnée accompagnée de toux avec des expectorations blanchâtres et des myo-arthralgies. • Au vu de la clinique, nous suspectons une probable exacerbation sur une infection à Influenza A confirmée biologiquement. Le patient bénéficie de la prise en charge d'une probable exacerbation de BPCO avec introduction de bronchodilatateurs en réserve et introduction de Serevent. L'état du patient est progressivement favorable.Compte tenu d'un bon état général et d'une symptomatologie en diminution, nous proposons au patient de rentrer à domicile et de reconsulter en cas de péjoration sur le plan respiratoire. Nous proposons de réaliser des fonctions pulmonaires pour confirmer la BPCO et de confirmer l'indication à poursuivre le traitement par Serevent au long cours. Le patient quitte notre service en bon état général le 20.02.2020. Patient de 63 ans admis aux soins intensifs pour un AVC constitué du gyrus précentral frontal droit. Le matin du 17.02. il remarque une hyposensibilité du thénar gauche avec une faiblesse diffuse de la main gauche motivant sa présentation aux urgences. Le bilan met en évidence une hypoesthésie de la main gauche au niveau du pouce et une discrète ataxie du membre inférieur gauche. Le bilan met en évidence une lésion ischémique constituée du gyrus précentral frontal D et une plaque athéromateuse ulcérée de la carotide droite. Il est donc chargé en Plavix, l'Aspirine est poursuivie et le traitement de Statine est majoré. L'IRM le 18.02 met en évidence des lésions multiples dans le territoire de l'artère carotide D. Une ETT ne montre pas d'arguments pour une cause cardio-embolique. L'origine la plus probable des AVC est la plaque de la carotide D pour laquelle un traitement médicamenteux maximal est proposé (double anti-aggrégation plaquettaire et statine haute dose). L'évolution est favorable avec légère amélioration de l'hypoesthésie de la main gauche et un NIHSS score à la sortie à 1. Le patient est transféré le 18.02.2020 à l'étage pour la suite de la prise en charge. Patient de 63 ans avec un s/p STEMI antérieur subaigu sur sténose subocclusive de l'IVA moyenne le 17.01.2020, admis pour une angioplastie programmée. L'examen invasif du jour démontre un très bon résultat après angioplastie de l'IVA moyenne. Comme prévu, nous avons traité la bifurcation CX proximo-moyenne avec la première marginale avec 3 stents actifs en technique de T-Stenting. L'IVA proximale présente une sténose significative qui est traitée avec un stent actif en stenting direct. Le résultat final est excellent. Au vu de la complexité de l'angioplastie du jour, le traitement de la coronaire droite est différé dans 1 mois. Aspirine 100 mg 1-0-0 et statine à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularités. Le patient quitte notre établissement en conditions générales bonnes le 19.02.2020. Patient de 63 ans qui nous est adressé par les urgences de Fribourg pour une douleur abdominale épigastrique nouvelle survenue progressivement associée à une hypersalivation et reflux liquidien oesophagien. Mr. Y ne mentionne pas d'autres plaintes abdominales. Il rapporte parallèlement l'apparition d'une dyspnée progressive depuis 10 jours, actuellement de stade II selon NYHA ainsi que des céphalées en casques présentes depuis plusieurs jours également. L'examen clinique aux urgences montre une hémiparésie faciale droite, une force conservée, une hyposensibilité en chaussette des deux membres inférieurs. Des réflexes hypovifs et une épreuve des bras tendus dans la norme. Le reste de l'examen clinique revient sans particularité. Aux urgences de Fribourg, l'ECG ne montre pas de pathologie aiguë. Un bilan biologique exclut un syndrome inflammatoire et une atteinte hépato-pancréatique. Une radiographie du thorax et un sédiment urinaire reviennent également sans découverte pathologique. Au vu d'une situation de soins difficile à domicile, le patient est transféré dans le service de médecine à Meyriez pour la suite de la prise en charge. A l'étage, nous retrouvons un patient en état général conservé, hémodynamiquement stable. Le status d'entrée est comparable au status effectué à l'admission des Urgences. On note toutefois un patient au tonus passablement rigide et très ralenti. Nous effectuons le 07.02.2020 un transit baryté montrant une dyskinésie du larynx avec défaut d'initiation de la 2e onde de contraction ainsi qu'une contractions tertiaires de l'œsophage distal, non propulsives. Dr. X propose d'utiliser les réserves de Madopar et éventuellement de faire des injections de botox dans les glandes salivaires si nécessaire. Cela sera réévalué lors du prochain contrôle. Au cours de son séjour, le patient reste stable hémodynamiquement. Il présente des épisodes de blocages matinaux pour lesquels nous adaptons sa médication de Madopar. Le patient bénéficie également d'une réserve de Madopar liquide qu'il peut prendre lors de symptomatologie entre les prises fixes de Madopar. Au niveau des douleurs, le patient est couvert par de l'Oxycontin et de l'Oxynorme en réserve. En ce qui concerne ses troubles thymique, nous majorons son traitement par Remeron à 30 mg par jour selon la proposition du dernier avis psychiatrique de Dr. X. La médication avait déjà été adaptée lors du dernier séjour hospitalier mais n'a semble-t-il pas été poursuivie à domicile. Le 14.02.2020, nous avons une rencontre interdisciplinaire avec Mr. Y, sa femme, un traducteur parlant thaïlandais, l'infirmière de liaison et Dr. X. Lors de cette rencontre, nous expliquons au patient et à sa femme les différentes possibilités de soins à domicile, les particularités de sa maladie ainsi que son pronostic. Nous décidons d'un retour à domicile le 17.02.2020 avec aide quotidienne matinale de Spitex ainsi qu'un suivi par Voltigo. Le patient fait également les démarches auprès de l'AI pour bénéficier d'une chaise roulante pour ses déplacements lors de moments de rigidité. A sa sortie, il bénéficiera d'une chaise roulante de location. Le patient rentre à domicile le 17.02.2020. Patient de 63 ans, requérant d'asile d'origine géorgienne, en Suisse depuis 10 mois, connu pour une cirrhose hépatique mixte alcoolique et virale sur hépatite C chronique, ainsi qu'une polytoxicomanie sous traitement substitutif de Sevre Long, qui est hospitalisé dans le cadre d'une encéphalopathie hépatique. Pour rappel, le patient a déjà été hospitalisé à plusieurs reprises en raison de décompensation ascitique de sa cirrhose ou de rupture de varice. Il est adressé aux urgences par son psychiatre traitant en raison d'une confusion. A l'hétéroanamnèse, le patient présente une confusion nouvelle depuis quelques jours, associée à une absence de selles depuis quelques jours. L'anamnèse est difficile, mais nous ne retrouvons pas de clair argument en faveur d'une extériorisation de sang, une intoxication ou un foyer infectieux. Lors de son évaluation clinique initiale, le patient est hémodynamiquement compensé, mais présente une somnolence marquée. Il n'y a pas de trouble neurologique focal ou myosis, l'examen est marqué par une importante asterixis. Nous n'objectivons pas d'ascite clinique ou radiologique. Le bilan biologique ne montre pas de trouble électrolytique, d'anémie ou de syndrome inflammatoire. En raison d'une clinique assez claire, nous retenons le diagnostic d'encéphalopathie hépatique, dont l'étiologie la plus vraisemblable est une constipation. Un traitement de lactulose est dès lors initié avec une évolution clinique rapidement favorable. Durant l'hospitalisation, nous ne remarquons pas de méléna ou d'hématémèse, et l'hémoglobine reste stable. Le traitement est à poursuivre et à adapter afin de respecter les cibles de 2 à 3 selles par jour. Un régime pauvre en protéines est également préconisé. Le bilan biologique initial met en évidence une insuffisance rénale aiguë légère, qui se résout avec une hydratation intraveineuse. Les traitements diurétiques sont mis en suspend, sans qu'il ne développe d'ascite clinique. En raison d'une évolution biologique favorable sous ce régime, les deux molécules sont réintroduites à sa sortie, aux doses précédentes, excepté la spironolactone, que nous proposons au 2/3 de sa dose habituelle et que nous vous laissons le soin d'augmenter en fonction de l'évolution clinique et biologique.Au vu de son évolution favorable, le patient peut rentrer à domicile en date du 28.02.2020. • Patient de 64 ans admis pour une coronarographie élective dans un contexte d'hypokinésie inférieure sévère à l’ETT dépistage et d’onde Q inférieure à l’ECG, pas d'angor. • L'examen invasif du jour démontre une occlusion chronique bien collatéralisée de la coronaire droite distale dominante et de gros calibre. La circonflexe proximale présente une sténose serrée. Les branches bissectrice, première et deuxième diagonales de petit calibre, présentent des lésions intermédiaires. L’IVA est indemne de sténose significative. La fonction VG systolique est légèrement altérée (FEVG 50-55%) avec une hypokinésie inférieure sévère. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une recanalisation de la coronaire droite distale puis implantation de 4 stents actifs jointifs dans les segments distaux, moyens et proximaux avec excellent résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 et statine à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Re-coro dans 1 mois pour traitement de la circonflexe. Contrôle dans 6 semaines chez le Dr. X. Ergométrie dans 1 année. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularités. Le patient quitte notre établissement en bonnes conditions générales le 19.02.2020. • Patient de 64 ans, hospitalisé pour une pose de défibrillateur implantable élective. Ce patient est connu pour une cardiopathie mixte avec une fraction d'éjection diminuée. Une pose de défibrillateur est planifiée par le Dr. X. L'intervention a lieu sous anesthésie locale. Nous ne relevons pas de complication post-interventionnelle. Le contrôle du défibrillateur est normal, la radiographie du thorax de contrôle ne révèle pas de pneumothorax et une sonde en place. Le patient sera revu par son médecin traitant pour révision de la cicatrice. Il rentre à domicile le 14.02.2020. • Patient de 65 ans, connu pour un antécédent d'éthylo-tabagisme et pour un carcinome épidermoïde de l'oropharynx D avec extension à la base de la langue stade T4 diagnostiqué récemment (début février 2020), est hospitalisé en électif pour une pose de PEG en prévision d'un traitement de radio-chimiothérapie prévu dans 3 semaines environ. À noter que le patient arrive actuellement à s'alimenter par la bouche. À son arrivée, le patient n'a pas de plaintes ni douleurs. À noter qu'une anamnèse et un status détaillé n'ont pas été réalisables en raison de la non-collaboration du patient, se disant fâché que la PEG prévue n'ait pas pu être réalisée. Une gastroscopie est réalisée avec découverte de varices œsophagiennes contre-indiquant la pose de PEG. Le patient rentre donc à domicile. Un suivi en ambulatoire en oncologie est prévu afin de bilanter ces varices œsophagiennes et de rechercher une éventuelle cirrhose sous-jacente. Un suivi diététique est également en cours. Le patient, se disant fâché que la PEG prévue n'ait pas pu être réalisée, quitte le service avant qu'on puisse le revoir après la réalisation de l'OGD. • Patient de 66 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé pour une persistance de douleurs radiculaires L4 sur hernie discale L3-L4 et malgré une infiltration épidurale le 20.02.2020. Nous notons également une absence complète de déficit sensitivomoteur. Une antalgie polyvalente par oxycodone, prégabaline, ibuprofène, Dafalgan et la mise en place d'un TENS permet d'obtenir une réduction satisfaisante des douleurs. En présence d'une hernie importante, les douleurs neuropathiques peuvent perdurer jusqu'à 5 jours après une infiltration et l'antalgie obtenue peut également être attribuable à un effet retardé de celle-ci. Une consultation en neurochirurgie a été organisée dans 2 semaines car une prise en charge neurochirurgicale sera éventuellement proposée si les douleurs persistent. Le patient rentre à domicile en bon état général le 26.02.2020. • Patient de 67 ans, connu pour de multiples récidives de cancer ORL et un syndrome de dépendance à l'alcool, qui nous est adressé le 29.01.2020 par son oncologue traitant pour adaptation de l'antalgie de douleurs latéro-cervicales, récemment péjorées après l'arrêt de ses patchs de fentanyl 75 mcg/h. Au vu de cet arrêt d'une semaine, nous réintroduisons un patch à dosage réduit (50 mcg/h) qui ne sera pas augmenté lors de son hospitalisation au vu de son effet suffisant sur les douleurs, avec une prise de morphine per os limitée à 3-4 prises par jour. D'un point de vue oncologique, nous organisons un CT-scan cervico-thoraco-abdominal qui met en évidence une progression de la tumeur avec infiltration de toutes les structures adjacentes mais sans aucune métastase à distance. En seconde ligne après la chimiothérapie interrompue en raison de complications en mars 2019, une immunothérapie par nivolumab est proposée et est acceptée par le patient. Il sera revu dans ce but en oncologie. D'un point de vue nutritionnel, le patient souffre d'une malnutrition protéino-énergétique modérée avec une dysphagie aux solides dans le contexte de la progression locale. Une gastrostomie percutanée radiologique est posée le 04.02.2020 avec un début de la nutrition entérale le 05.02.2020. Le patient rentre à domicile en état général conservé le 06.02.2020 avec des soins à domicile organisés 2x/j et la demande d'une prise en charge par Voltigo faite. • Patient de 69 ans admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur grippe A surinfectée à Pneumocoque. Depuis le 21.02.2020, Mr. Y se plaint de myalgies diffuses, une toux productive et une baisse de l'état général qui est traitée de manière symptomatique par son médecin traitant. Il consulte le 24.02. aux urgences à Meyriez devant une non-amélioration de son état. Aux urgences, une insuffisance respiratoire hypoxémique avec un foyer basal droit est mise en évidence. Les besoins d'oxygène importants motivent son admission aux soins intensifs. À noter que Mr. Y n'a pas voyagé récemment et ne rapporte pas de contage. Une antibiothérapie empirique est débutée par Ceftriaxone et Clarithromycine. Les Ag urinaires sont négatifs pour Legionella mais positifs pour le Pneumocoque. Le frottis de grippe est positif. Nous introduisons donc l'Oseltamivir, poursuivons la Ceftriaxone et arrêtons la Clarithromycine. L'évolution sous oxygène à haut débit et sous ventilation non-invasive est défavorable nécessitant une intubation oro-trachéale le 24.02.2020. • Patient de 69 ans, connu pour un myélome multiple actuellement non-traité suivi par le Dr. X, envoyé aux urgences de l'HFR Fribourg par les collègues de Marsens pour des soins impossibles en milieu psychiatrique. Pour rappel, le patient a été hospitalisé du 16.01.2020 au 29.01.2020 à Payerne pour une gestion de l'antalgie sur des douleurs des membres inférieurs. Durant son hospitalisation, il développe un état confusionnel d'origine peu claire, avec hétéro-agression. Une ammoniémie à 114 g/L est mise en évidence. Malgré un traitement par Importal, le patient ne présente aucune amélioration de sa symptomatologie. Un traitement par Benerva associé à traitement d'essai par Seresta pour éventuel sevrage OH n'a permis aucune amélioration. Une ponction lombaire et un CT-scanner cérébral ne permettent pas de déceler la cause de l'état confusionnel. Au vu d'une péjoration de l'hétéro-agressivité et l'absence de cause somatique claire, le patient est transféré à Marsens pour suite de prise en charge sur avis des psychiatres. On constate une diminution progressive de son état général avec refus d'alimentation et d'hydratation, raison pour laquelle le patient est réévalué une première fois aux urgences de l'HFR le 31.01.2020 (suspicion d'infection urinaire par la suite infirmée) et une deuxième fois le 03.02.2020, date de son hospitalisation en médecine.Au bilan initial, nous mettons en évidence des dysélectrolytémies, une hyperammoniémie, une insuffisance hépatocellulaire et des troubles de la crase. Une échographie abdominale montre un foie d'aspect cirrhotique, sans thrombose porte, un flux ralenti, mais pas hépatofuge. La cirrhose est de stade CHILD C. Concernant son état confusionnel, après substitution des troubles électrolytiques et une diminution de l'ammoniémie, le patient ne s'améliore pas sur le plan clinique. Le patient reste confus pendant toute la durée de l'hospitalisation, alternant entre phases d'agitation et d'hypoactivité. Sur avis neurologique, un EEG montre une bradydysthymie diffuse parlant pour une encéphalopathie, sans signes irritatifs. La recherche d'anticorps antineuronaux revient négative. L'IRM cérébrale ne montre pas de lésions particulières. Une recherche de VIH ainsi que de syphilis revient négative. En raison de l'anamnèse de consommation excessive d'alcool (plus d'une bouteille de vin par jour depuis 30 ans, voire plus) et des troubles mnésiques rétro- et antérogrades associés à des confabulations, nous suspectons un syndrome de Korsakoff. Nous rediscutons l'attitude du patient en présence de son épouse. Nous expliquons à l'épouse l'impossibilité de faire rentrer son mari à domicile en raison du risque de chute et d'agressivité dans les moments d'agitation. Communément, nous décidons d'un placement en EMS. Il est également décidé de ne pas introduire d'alimentation par sonde nasogastrique. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR Fribourg, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement en attente de placement en EMS et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patient de 70 ans admis en post-opératoire d'une hémorragie ORL. Mr. Y est connu pour un SAOS. Il est opéré le 21.02 d'une septoturbinoplastie et uvulo-palato-pharyngoplastie. Pendant la surveillance post-opératoire, il se plaint de dyspnée et l'équipe soignante observe du sang dans la bouche. Il reçoit 125 mg de Solumedrol, 1 g d'acide tranéxamique et 2 mg de Tavegyl, puis est transféré à l'HFR pour la suite de la prise en charge. Aux urgences, le patient présente un stridor. Il est pris en salle d'opération en urgence avec mise en évidence d'un caillot susglottique. Après ablation du caillot, un saignement actif est mis en évidence, qui est traité par cautérisation directe avec un bon effet. Les pertes sont estimées à 500 ml (300 ml de sang aspirés dans l'estomac + pertes ORL). La surveillance post-opératoire se passe bien. Une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline est à poursuivre pour 5 jours. L'alimentation (lisse et froide) est reprise dès le 22.02.2020. Le patient est démêché au niveau nasal le 23.02.2020 en raison d'un inconfort extrême. Il rentre à domicile en bon état général le 23.02.2020. L'hémoglobine de sortie est de 138 g/l. Il sera revu par le Dr. X à 24 heures post-opératoires. Patient de 70 ans connu pour une coronaropathie depuis 2003 pris en charge par le SMUR pour malaise versus arrêt cardiaque. En sortant de la messe vers 10h30, Mr. Y a présenté des douleurs thoraciques oppressives, s'est assis sur des escaliers puis ne se souvient plus de rien. À l'arrivée du SMUR, le patient est au sol en PLS, il respire, puis vers 10h45, il aurait présenté une activité électrique sans pouls (tracé non disponible), d'où le début du massage cardiaque sans administrer d'adrénaline. Mais en s'apprêtant à intuber le patient, le médecin du SMUR trouve que le patient réagit. Il reçoit un bolus de 500 mg d'Aspégic. À l'arrivée aux urgences, Glasgow 15, pas de douleurs, FC 63/min, rythme sinusal régulier avec sus-décalage ST dans les territoires inférieurs. La coronarographie objective une maladie coronarienne sévère calcifiée de 3 vaisseaux, avec sténose 80-90 % du tronc commun distal, sténose 95 % IVA ostiale, resténose intrastent CX proximale, occlusion intrastent IVP (collatéralisée par IVA). Une hypo-akinésie inférieure avec dysfonction systolique ventriculaire gauche modérée (FE : 40 %). On découvre fortuitement une sténose de 50 % de la sous-clavière droite. Le patient a reçu une charge d'Efient de 60 mg, il est à jeun depuis 9h30. Patient de 70 ans qui est amené aux urgences par son amie pour un rash eczématiforme progressif, apparu 3-5 semaines auparavant au niveau des membres inférieurs. Celui-ci a ensuite progressé sur les avant-bras et le tronc. Légèrement prurigineux. À noter une lésion de grattage avec écoulement citrin au niveau du mollet gauche. Aux urgences, le patient reçoit une dose de co-amoxicilline en raison d'une suspicion de dermohypodermite, mais est stoppé à son arrivée à l'étage où un traitement symptomatique par émollient est introduit dès le 31.01.2020. Un avis dermatologique nous oriente vers un eczéma compliquant la dermite de stase connue ainsi que dans un contexte de dyshydrose et d'hygiène cutanée limitée. En raison d'une AOMI connue de stade IIA avec de faibles pouls palpables, nous ne proposons pas de bandage des jambes, mais conseillons au patient de surélever les jambes lors des moments d'immobilisation. Le patient évolue favorablement et peut rentrer à domicile le 05.02.2020 en état général conservé avec un suivi dermatologique à 6 semaines. Patient de 71 ans connu pour une cardiopathie terminale ischémique et rythmique avec pompe cardiaque LVAD et une insuffisance rénale chronique qui consulte aux urgences pour une éruption cutanée prurigineuse au niveau de l'abdomen et des 4 membres évoluant depuis le 26.01.2020. Il a été hospitalisé à l'Inselsspital du 03.01 au 15.01.2020 pour une pneumonie à E. faecium traitée par différents antibiotiques (Meronem, Ceftriaxone, Vancomycine) jusqu'au 29.01.2020. Il avait consulté les urgences la veille pour un érythème prurigineux avec un retour à domicile avec une prescription d'anti-histaminiques et de prednisone. En raison de l'aggravation des symptômes, un avis dermatologique téléphonique est demandé et suspecte un DRESS. Le patient est donc hospitalisé en médecine interne avec un traitement de corticoïdes systémiques et topiques. À l'étage, le suivi des paramètres hépatiques et rénaux est rassurant, sans atteinte énorale également. Le prurit est toutefois réfractaire au traitement de Xyzal et Atarax. Le 03.02.2020, le patient manifeste la volonté de partir. Après une discussion avec les médecins de l'unité lui exposant les risques (aggravation de la réaction, atteinte hépatique et/ou rénale), Mr. Y décide de rentrer à domicile en possession de sa capacité de discernement. Il quitte donc notre établissement le 03.02.2020 avec la recommandation de se présenter en contrôle chez son médecin traitant. Patient de 71 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance neurologique dans le cadre d'un AVC ischémique aigu. Le 12.02.2020, lors de son hospitalisation à Riaz, le patient présente une aphasie et un hémisyndrome facio-brachio-crural sensitivo-moteur droit (NIHSS 18) motivant un transfert à l'Inselspital. L'imagerie confirme un AVC ischémique aigu sur occlusion de l'ACM gauche et de l'artère carotide gauche. Une thrombectomie est réalisée 110 minutes après le début des symptômes avec bon résultat. Le CT cérébral de contrôle du 13.02.2020 montre une lésion ischémique pariéto-temporo-insulaire et des ganglions de la base à gauche ainsi qu'une petite hémorragie de la tête du noyau caudé gauche, une compression de la corne postérieure du ventricule gauche, et une suspicion de dissection de l'artère carotide interne dans son trajet pétreux.L'origine de l'AVC est probablement paranéoplasique versus embolique et étant donné les antécédents de thrombose veineuse profonde avec embolie pulmonaire consécutive (2012). Une anticoagulation thérapeutique par héparine est introduite. Un traitement d'edoxaban sera à considérer. Une échographie transthoracique ne montre pas de thrombus ni de FOP. Dans le contexte néoplasique, le patient présente une dénutrition protéino-énergétique pour laquelle une alimentation entérale est poursuivie. Le test de déglutition montre une dysphagie légère. Un état fébrile sans foyer clinique hormis la présence de diarrhées motive la mise en culture des selles, des urines et des hémocultures. Le patient peut être transféré le 15.02.2020. Patient de 71 ans polymédicamenteux, connu pour une insuffisance rénale terminale sur néphroangiosclérose diabétique et hypertensive dialysé depuis 1 mois avec épisodes hypotensifs répétés durant les dialyses, motivant une nouvelle coronarographie de contrôle sur avis cardiologique. Cet examen est superposable à la dernière coronarographie de 2014 avec des sténoses étagées multiples de l'IVA et de la coronaire droite non revascularisables mécaniquement avec parallèlement toujours une dysfonction systolique sévère (fraction d'éjection ventriculaire gauche estimée à 20%). Pas de modifications au niveau du traitement médicamenteux. Le traitement anticoagulant par Sintrom a été repris le soir même. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularités. Le patient quitte notre établissement en conditions générales bonnes le 20.02.2020. Patient de 71 ans qui nous est adressée par la consultation oncologique pour un exanthème d'origine indéterminée. Pour rappel, cette patiente a présenté il y a une semaine un épisode d'angioedème des lèvres suivi d'apparition de plaques érythémateuses prurigineuses migrantes et de lésions érythémateuses fixes de la racine des membres inférieurs. Suite à une consultation dermatologique, nous retenons le diagnostic d'urticaire sur AINS. Nous instaurons un traitement d'antihistaminique à haute dose avec une disparition des lésions urticariennes. Un bilan immunologique exclut une vasculite. Des biopsies cutanées restent en cours d'analyse lors de la sortie. Sur le plan oncologique, la patiente doit bénéficier d'une nouvelle immunothérapie qui sera organisée en ambulatoire par son oncologue traitant. La patiente rentre à domicile le 29.02.2020. Patient de 71 ans, institutionnalisé, qui nous est amené à la Permanence le 03.02.2020 suite à une chute d'allure mécanique 3 jours auparavant avec depuis lors des douleurs à la hanche gauche et la région lombaire. Une fracture est exclue et le patient retourne dans son home avec un traitement antalgique. Patient de 72 ans admis aux soins intensifs en post-opératoire d'un Bricker. Il s'agit d'un patient connu pour un carcinome urothélial depuis 2019 déjà opéré qui présente une récidive locale motivant une cystectomie radicale le 14.02. Celle-ci se passe sans complications. L'hémoglobine après une chute initiale s'est révélée stable pendant la durée de la surveillance. Les valeurs de chimie clinique des prélèvements de drains sont restées dans la norme. L'antalgie est assurée par une péridurale thoracique (Th9-10) efficace qui sera suivie à l'étage par les collègues de l'antalgie. Le patient reprend des boissons par la bouche dès le 14.02. Une alimentation parentérale à 50 % de la cible est débutée le 15.02 selon avis chirurgical. La reprise de l'alimentation entérale se fera selon les directives de l'opérateur dans les suites de l'hospitalisation. En raison d'une consommation d'alcool à risque, le patient reçoit une charge en Thiamine et un traitement par oxazépam en réserve. Le patient a présenté une syncope convulsivante d'origine mixte le 15.02.2020 probablement due à une hypotension causée par une vaso-plégie à cause de la péridurale, un statut volumique déplété en postopératoire et un valsalva lorsqu'il a été mis sur la chaise pour aller à selle. Le patient reçoit un remplissage intraveineux. Une nouvelle mobilisation se fait sans problème dans la même journée. Sur une évolution sans particularité, le patient est transféré à l'étage de chirurgie le 15.02.2020. Patient de 73 ans, connu pour une consommation d'alcool à risque, qui est retrouvé inconscient devant son appartement, facilement réveillable, par un passant qui le ramène à l'intérieur et qui appelle l'ambulance. À l'arrivée des ambulanciers, le patient est agressif, non collaborant, raison pour laquelle le SMUR est appelé afin de mettre en place un PAFA pour mise en danger de sa personne. À l'examen clinique d'entrée, le patient est hémodynamiquement stable, collaborant, orienté, avec un Glasgow à 15, visiblement sous l'emprise de l'alcool mais sans agressivité. Pas de déficit neurologique. Suite à l'examen clinique, nous réalisons un bilan biologique qui revient sans particularité. La gazométrie réalisée montre des lactates à 4.5 mmol/l sur déshydratation et des CK négatifs. Nous complétons le bilan par un CT cérébral injecté qui ne retrouve pas de saignement ni de fracture. Le patient est hospitalisé en chirurgie, en lit strict, sous hydratation et surveillance neurologique aux 4 heures. La gazométrie de contrôle montre des lactates à 2.8 mmol/l. Le lendemain de l'admission, le patient ne présente pas de plainte, pas d'amnésie, pas de déficit neurologique, il est orienté dans le temps et l'espace. L'alimentation est reprise, bien tolérée. Au vu de l'évolution favorable, le patient regagne son domicile le 01.02.2020. Patient de 74 ans, connu pour un carcinome épidermoïde de l'œsophage métastatique au niveau pulmonaire, osseux et musculaire, qui présente le 01.02.2020 des douleurs intenses 10/10 au niveau du muscle gluteus maximus droit, irradiant dans la face postérieure de la jambe avec quelques paresthésies. Le patient décrit qu'il s'agit des mêmes douleurs sur le trajet du nerf sciatique qu'il a eues par le passé mais en plus intenses. À l'étage de médecine, un contrôle des douleurs efficace peut être rapidement obtenu par le moyen d'opiacés que nous proposons de sevrer dès que possible en ambulatoire. À la lecture des imageries à disposition, on ne trouve pas de métastase osseuse anatomiquement compatible avec la symptomatologie. À noter une hypercalcémie légère à 2.61 mmol/l (calcium corrigé) asymptomatique s'inscrivant probablement dans le contexte métastatique au niveau osseux et qui sera suivie en oncologie ambulatoire. Le patient peut rentrer à domicile le 04.02.2020 en état général conservé. Patient de 74 ans, connu pour un thymome traité par chirurgie et radiothérapie, actuellement en rémission, qui est adressé par son oncologue traitant pour une suspicion de myasthénie grave devant une douleur du membre inférieur droit après effort avec des anticorps anti-RAch positifs. Le patient décrit une sensation de raideur musculaire et une gêne au niveau du mollet droit qui surviennent après un effort physique important. Il n'a aucune autre symptomatologie neurologique et il est en excellent état général. Il fait des longues heures de marche régulièrement (marche en montagne plusieurs fois par semaine).L'examen clinique retrouve une force discrètement abaissée du membre inférieur droit comparé à gauche (M4 comparé à M5), ce qui est connu par le patient depuis l'enfance. Une évaluation neurologique avec ENMG ne retient pas d'argument actuel pour une myasthénie grave. Vu que Mr. Y est asymptomatique, aucun traitement n'est proposé, ni d'autre investigation. En cas d'apparition des symptômes (diplopie, troubles respiratoires, faiblesse musculaire), nos collègues neurologues restent à disposition et vu que le risque de développer une myasthénie grave reste présent, une consultation neurologique ambulatoire de suivi sera prévue dans 3 à 4 mois. • Patient de 75 ans, connu pour LLC depuis 2009, FA sous Xarelto et HTA traitée qui se présente accompagné de son épouse en raison d'une toux avec expectorations persistantes depuis 1 semaine avec baisse d'état général. L'épouse décrit une notion de contage dans toute la famille depuis quelques semaines avec toux et expectorations. Selon l'épouse, le patient a présenté des épisodes de confusion le 12.02.2020 au soir. À noter que le patient présente une quasi-cécité ainsi qu'une hypoacousie importante. Pas de DRS, pas de dyspnée mais souffle court perceptible, notion d'état subfébrile jusqu'à 38.4°C, toux avec expectorations (dit ne pas cracher mais avoir des glaires qu'il avale). Difficultés à l'anamnèse au vu du patient qui semble parfois confus et comme absent. Le bilan biologique montre un important syndrome inflammatoire avec CRP à 420 mg/L et Lc à 57.6 G/l dans le contexte de la LLC connue, une insuffisance rénale avec 144 µmol/l de créatinine (dernière valeur disponible à 110 µmol/l en septembre 2019). La recherche d'antigènes urinaires de légionelle et pneumocoque revient négative. La gazométrie initiale sous 12 l/min d'oxygène au masque démontre un pH normal avec pO2 à 13.0 kPa et pCO2 à 4.7 kPa. Nous hospitalisons donc le patient en lit monitoré sous oxygène à 8 l/min au masque et débutons un traitement antibiotique par ceftriaxone 2 g 1x/jour. Une gazométrie de contrôle sous 8 l/min à 19h40 montre une acidose respiratoire avec pH 7.35, pO2 8.7 kPa, pCO2 5.6 kPa et bicarbonates à 22 mmol/l avec saturation à 87%. Nous prenons donc contact avec nos collègues des soins continus du HFR de Fribourg qui acceptent le transfert pour réévaluation du patient +/- hospitalisations en soins continus pour ventilation non-invasive. Départ en ambulance. • Patient de 75 ans connu pour une hypertension artérielle pulmonaire d'origine mixte, emmené en ambulance dans un contexte de baisse de l'état général. Pour rappel, le patient a été hospitalisé en novembre 2019 pour une bactériémie sur cholécystite lithiasique aiguë compliquée ayant nécessité un drainage per-cutané. Le patient a ensuite quitté l'HFR Fribourg avec un drain biliaire en place et a séjourné à Billens du 19.12.2019 au 24.12.2019 en réadaptation. Il devait bénéficier d'une cholécystectomie en ambulatoire par le Dr. X le 03.02.2020, mais cette intervention n'a pas eu lieu à cause de la dégradation du patient qui a renoncé de son propre chef à l'intervention. À l'étage, un prélèvement microbiologique au niveau du drain biliaire montre une croissance importante de Proteus mirabilis. Une opacification du drain le 07.02.2020 montre une bonne perméabilité des voies biliaires. Nous réalisons des drainages itératifs permettant la stabilisation de la situation. En l'absence de clinique et de syndrome inflammatoire, nous ne retenons pas de diagnostic de cholangite. Le patient bénéficiera d'une cholécystectomie laparoscopique le 25.02.2020 avec ablation du drain biliaire. Sur le plan cardiaque, Mr. Y présente une péjoration des œdèmes des membres inférieurs sans autres signes de surcharge hydrique, probablement secondaire à une malcompliance médicamenteuse. L'évolution est favorable après reprise du traitement. À noter également la présence d'une polyneuropathie d'origine plurifactorielle. Lors de ce bilan, nous mettons en évidence une immunofixation des protéines qui se révèle douteuse et que nous proposons de contrôler dans 3 mois. Mr. Y présente une situation sociale précaire. Selon l'hétéro-anamnèse de sa femme, il serait négligeant de sa santé et son hygiène à domicile. Un épisode d'hétéro-agressivité est rapporté par sa conjointe, actuellement sous le coup d'une plainte pénale. Une évaluation psychiatrique estime que le patient possède sa capacité de discernement concernant son lieu de vie. Un bilan par nos collègues neuro-psychologues est interrompu sur un refus du patient et une hétéro-agressivité envers l'examinatrice. Après discussion avec le patient, celui-ci accepte un projet de placement en EMS compte tenu de la situation peu adéquate pour un retour à domicile. Par ailleurs, le patient profite de l'hospitalisation pour réaliser une demande de curatelle de gestion volontaire dont la décision est encore en suspens. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patient de 75 ans, adressé ce jour pour une coronarographie élective par son médecin traitant. Celle-ci met en évidence fin 2019 des ondes Q en DIII et aVF sur un ECG de routine. Une échographie est réalisée, de qualité sub-optimale, avec suspicion d'hypokinésie de la paroi inférieure du ventricule gauche. Le bilan IRM est complété par une IRM cardiaque, qui confirme les signes d'ischémie. Le patient signale des oppressions thoraciques depuis plusieurs mois. Le bilan coronarographique met en évidence les atteintes susmentionnées, et le patient est adressé pour réalisation d'un pontage aorto-coronarien à la Clinique Cecil le jour même. Mr. Y quitte l'hôpital de jour de cardiologie en ambulance. • Patient de 76 ans qui consulte à la Permanence de l'HFR Meyriez le 16.02.2020 en raison d'une sensation de mal-être depuis le matin. En effet, vers 10h, alors qu'il lisait le journal, Mr. Y a ressenti un scintillement des deux yeux et une sensation de mal-être peu spécifique, suivi d'un épisode de vomissement. Il ne présente pas d'autre symptôme, notamment pas de douleurs thoraciques, pas de dyspnée, pas de symptômes neurologiques, pas de plaintes abdominales. Il note également une fréquence cardiaque plus basse qu'à son habitude, motivant sa consultation aux urgences. Le patient est sous Cordarone, Lisinopril et Marcoumar pour une fibrillation auriculaire intermittente. Il n'y a pas eu de changement récent dans son traitement médicamenteux. Au status, le patient est bradycarde à 48 puls/minute avec une tension à 150/80 mmHg des deux côtés. À l'auscultation cardiaque, on note un souffle cardiaque systolique, maximal au foyer aortique. Les status pulmonaire, neurologique, abdominal et digestif sont sans particularité. Le bilan biologique permet d'exclure une embolie pulmonaire ou une ischémie cardiaque. L'ECG montre une bradycardie sinusale à 47/min, sans autre anomalie. Il n'y a pas de signes de décompensation cardiaque ou foyer à la radiographie thoracique. Nous suspectons une bradycardie symptomatique d'origine médicamenteuse et suspendons la Cordarone à partir du 17.02.2020. Le patient est monitoré du 16 au 18.02.2020 et montre une bradycardie stable autour de 40 à 50 puls/min. Mr. Y reste asymptomatique pendant l'hospitalisation. En l'absence de normalisation du rythme cardiaque, après 48 heures d'observation, nous laissons le patient rentrer à domicile sans reprise de la Cordarone. Nous vous prions d'évaluer l'indication à la réintroduction du traitement le 20.02.2020 à votre consultation de contrôle.Mr. Y quitte notre service pour son domicile le 18.02.2020 en bon état général. • Patient de 76 ans, qui se présente initialement le 20.02 à la Permanence en raison d'une fièvre et toux depuis 3 jours. Un diagnostic de pneumonie basale gauche est retenu et il est mis sous Co-amoxicilline. Un contrôle clinique est prévu le 23.02.2020. Lors de ce contrôle, l'épouse du patient rapporte une persistance de l'état fébrile et de la toux. Le patient est hospitalisé à l'étage de médecine le 23.02.2020. À l'examen clinique, on retient un état général diminué, un patient apyrétique, normocardre, normotendu qui sature à 85% à l'air ambiant. L'auscultation cardiopulmonaire est lointaine avec de légers œdèmes des membres inférieurs, plus marqués au membre hémiplégique gauche. La radiographie du thorax confirme une aggravation du foyer gauche. Le laboratoire montre une augmentation isolée de la CRP à 69 mg/l. Une légère insuffisance rénale aiguë, des tests hépatiques dans les normes ainsi qu'un stix urinaire négatif. Nous poursuivons l'antibiothérapie intraveineuse par rocephin et klacid. Les antigènes urinaires ainsi que le frottis de grippe reviennent négatifs. L'évolution est favorable et l'antibiothérapie est oralisée et poursuivie jusqu'au 25.02.2020 pour une couverture totale de 6 jours. Sur le plan cardiaque, le patient bénéficie d'une dose unique de Lasix aux urgences. Au cours de son séjour, il perd 1.7 Kg et nous poursuivons son traitement habituel par torem 5mg que nous majorons à sa sortie à 15mg en raison d'une prise pondérale légère. Nous recommandons au patient de reprendre rdv chez son médecin traitant pour le suivi de la volémie et l'adaptation de traitement. Sur le plan de son diabète, nous poursuivons son traitement habituel et obtenons un bon profil glycémique. Néanmoins, le patient présente une légère hypoglycémie matinale le 26.02.2020 qui est le reflet d'une prise alimentaire volontairement réduite par le patient le soir précédent car il souhaite perdre du poids. Nous diminuons l'insulatard à 16U et vous laissons le soin de réévaluer le traitement d'insuline lente en ambulatoire. En ce qui concerne son anticoagulation pour sa FA par Marcoumar, nous poursuivons son schéma habituel et proposons un contrôle INR en courant de la semaine prochaine. Le patient rentre à domicile le 27.02.2020. • Patient de 77 ans connu pour un adénocarcinome du colon, est hospitalisé de manière élective le 27.02.2020 pour une thermo-embolisation de métastases hépatiques. L'intervention se déroule sans complications. Un bilan biologique le 28.02.2020 montre une légère augmentation des valeurs hépatiques, qui est attendue après une thermo-ablation. L'évolution est stable et le patient ne présente pas de plaintes pendant l'hospitalisation. Mr. Y peut rentrer à domicile le 29.02.2020. • Patient de 78 ans, institutionnalisé et connu pour des troubles cognitifs ainsi qu'un cancer de la prostate métastatique au niveau osseux, qui nous est adressé par son oncologue pour exacerbation de douleurs humérales droites suite à une chute 2 jours auparavant. Une fracture pathologique de l'humérus distal droit est mise en évidence et une prise en charge conservatrice avec un gilet orthopédique et antalgie est proposée. Le patient évolue favorablement avec une légère majoration de son traitement opiacé de base. Dans le cadre de son bilan, une radiographie de thorax met en évidence un épanchement pleural gauche, déjà présent à la scintigraphie du 06.02.2020. Le patient ne présentant pas de symptômes associés et au vu du contexte, nous ne retenons pas l'indication à une ponction diagnostique ou thérapeutique. Le patient peut rentrer dans son home, en état général conservé le 24.02.2020. • Patient de 78 ans qui consulte initialement chez son médecin traitant le 17.02.2020 dans un contexte de douleurs thoraciques oppressives apparues le 16.02.2020 à l'effort. Le bilan initial montre une fibrillation auriculaire nouvelle avec des troubles de la repolarisation associés et des troponines élevées, il est donc adressé aux urgences de Fribourg où il bénéficie d'une coronarographie le 18.02.2020 L'examen invasif démontre une athéromatose coronarienne avec une lésion angiographiquement et hémodynamiquement non significative du tronc commun et de l'IVA proximale (FFR 0.94). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 55% avec une discrète hypokinésie globale (sous réserve de la fibrillation auriculaire). Le cathétérisme cardiaque droit ne montre pas d'hypertension pulmonaire, parlant contre une embolie pulmonaire significative. L'aortographie est normale. Persiste un diagnostic différentiel large d'un infarctus de type 2 sans lésion coronarienne significative. Le bilan biologique montre une légère cholestase probablement dans le cadre du NSTEMI qui se normalise spontanément par la suite. Une échocardiographie transthoracique montre une fibrillation auriculaire tachycarde et une FEVG 40-45% avec image de Takotsubo inversé (ballonement au niveau de la base). Concernant la fibrillation auriculaire, une anticoagulation par Eliquis 5 mg x2/j est débutée le 19.02.2020. Un traitement bêta-bloquant est également introduit pour le contrôle de la fréquence cardiaque. Un contrôle est prévu le 10.03.2020 en cardiologie pour une nouvelle échographie avec une possible introduction de Cordarone en cas de persistance de la FA, voire une cardioversion électrique. Suite à la bonne évolution clinico-biologique, le patient peut rentrer à domicile le 20.02.2020. • Patient de 78 ans, admis pour une fermeture de l'auricule gauche, dans un contexte de microbleeds cérébraux sur anticoagulation par Eliquis pour une fibrillation auriculaire avec antécédents d'AVC et AIT. On procède comme convenu à la fermeture de l'auricule gauche sous contrôle échographique transœsophagien et angioscopique. La procédure se passe sans complication, le patient bénéficie également d'une coronarographie qui montre des lésions coronariennes connues et stables. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans particularité. L'Eliquis est stoppé, une double antiagrégation par Plavix et Aspirine sera à poursuivre 3 mois, puis une antiagrégation simple selon le contrôle prévu chez les neurologues en mai. Le patient reçoit une carte de prophylaxie de l'endocardite pour 6 mois. Mr. Y regagne son domicile le 11.02.2020. • Patient de 79 ans cardiopathe ischémique connu, admis pour une coronarographie élective dans un contexte d'angor. L'examen invasif du jour démontre, comme origine possible à l'angor, une sténose significative de la première marginale de bon calibre. Cette dernière n'explique vraisemblablement pas le BBG ni la dyspnée à l'effort. Après discussion des possibilités thérapeutiques avec Mr. Y, nous avons traité la sténose avec un stent actif avec très bon résultat final. Les stents de l'IVA et de la CD sont perméables sans resténose. La fonction systolique VG est normale. Aspirine 100mg 1-0-0 et statine à vie, Plavix 75mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularités. Le patient quitte notre établissement en conditions générales bonnes le 19.02.2020. • Patient de 79 ans, connu pour maladie coronarienne bi-tronculaire, admis pour une coronarographie élective dans le contexte de ... L'examen invasif du jour démontre une maladie bitronculaire avec une sténose significative de l'IVA proximo-moyenne en bifurcation avec la deuxième diagonale. La coronaire droite est dominante et chroniquement occluse dans sa partie moyenne et bien collatéralisée par le réseau gauche. La fonction systolique VG est conservée avec une akinésie diaphragmatique. On procède à une recanalisation antérograde de la CD moyenne et une angioplastie de la CD distale, moyenne et proximale avec implantation de 4 stents actifs avec excellent résultat final. Il persiste une sténose intermédiaire de la CD distale vers la RVG.Les suites post-interventionnelles et la surveillance aux soins intensifs se déroulent sans complication. Le patient poursuivra Aspirine et statine à vie, ainsi qu'Efient 5 mg 1-0-0 pour 6 mois. Il sera reconvoqué pour une nouvelle coronarographie dans 2 mois pour contrôle de la CD. Nous laissons le soin au Dr. X de le revoir dans 1 mois. Mr. Y regagne son domicile le 12.02.2020. Patient de 84 ans, connu pour une FA et une insuffisance rénale chronique, est admis le 6.02.2020 en électif pour un retrait de stent biliaire installé le 5.12.2019 dans un contexte post-cholangite biliaire en août 2019. L'intervention se déroule sans complication notable et le sintrom peut être repris dès le 07.02.2020. Le patient rentre à domicile le 07.02.2020 en bon état général. Patient de 85 ans, connu pour un AVC ischémique de la carotide interne droite le 03.01.2020, qui présente d'après son épouse depuis environ 3 jours des difficultés à la marche avec une notion de chute le 06.02 avec perte de connaissance. Elle rapporte également une notion de frissons le soir précédent. Le patient a été retrouvé par les ambulanciers dans des conditions d'hygiène insalubre, dans son urine et ses selles. Le patient est également connu pour une dépendance à l'alcool mais n'aurait pas été alcoolisé d'après son épouse depuis 2 semaines. À son arrivée à la permanence, le patient est calme mais non collaborant, désorienté dans les 3 modes. Il ne rapporte pas de douleurs, pas de plaintes à l'anamnèse ni à l'hétéroanamnèse. Au niveau de l'examen clinique, on retient un état fébril à 38.5°C, un examen cardiopulmonaire dans les normes. Sur la base des examens urinaires, nous diagnostiquons une infection urinaire compliquée que nous traitons par rocéphine puis par ciprofloxacine. Le patient présente un globe à l'arrivée et une insuffisance rénale aiguë. Il bénéficie d'une hydratation intraveineuse et d'une pause de sonde urinaire. Nous suspendons également son traitement anti-diabétique et la statine en raison de la dysfonction rénale et introduisons de la tamsulosin. Le patient présente un état confusionnel mixte avec agressivité verbale. Nous suspectons d'abord une réaction paradoxale au Seresta et nous arrêtons cette médication. Toutefois, l'état confusionnel ne s'améliore guère. Lors d'un moment d'agitation, le patient retire partiellement sa sonde urinaire le 12.02. La miction est présente la nuit suivante. Le laboratoire de contrôle du 13.02 montre une aggravation de sa fonction rénale. Un ultrason le même jour permet d'exclure une obstruction des urétérales et une anomalie du parenchyme rénal. On retient cependant un nouveau globe urinaire à plus de 700 ml. Une nouvelle sonde urinaire est posée le 13.02.2020. L'évolution clinique est favorable avec une amélioration de la fonction rénale au laboratoire et la disparition de l'état confusionnel. Le 20.02.2020, nous essayons un sevrage de la sonde urinaire, celui-ci reste sans succès. Le patient est resondé le soir du 20.02.2020. Le 21.02.2020, avec l'amélioration de la fonction rénale et des glycémies stables, nous réintroduisons les traitements de Metformin et rosuvastatine. Sur le plan du traitement hypotenseur, nous suspendons le traitement par Nebivolol et Zanidip en raison de tension artérielle à la limite inférieure de la norme. Nous vous laissons le soin de réévaluer la reprise de ce traitement en ambulatoire. Nous proposons une réadaptation gériatrique à Tafers mais le patient refuse. Le patient désire rentrer à domicile pour entreprendre un voyage en Thaïlande le 28.02.2020. Nous expliquons les risques d'un retour à domicile ainsi qu'un voyage à l'étranger au patient. Celui-ci en est conscient mais maintient qu'il doit partir en Thaïlande pour aider son épouse sur place. Le patient rentre le 24.02.2020 à domicile et verra le Dr. X dans l'après-midi. Patient de 85 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, amenée aux urgences par ses proches, pour deux épisodes de chutes, fatigue et confusion depuis deux jours. La patiente a présenté deux chutes accidentelles 2 jours précédant l'hospitalisation dans un contexte décrit comme de la désorientation par ses proches. Ces derniers relèvent également une toux productive depuis quelques jours, sans état fébrile. Au bilan biologique initial, une hyponatrémie hypoosmolaire modérée ainsi qu'une anémie normocytaire normochrome sont mises en évidence, ainsi qu'un syndrome inflammatoire attribué à une surinfection bronchique. Sur le plan respiratoire, la patiente s'améliore rapidement sous traitement par Levofloxacine durant 7 jours. Le syndrome inflammatoire diminue puis reste stable malgré l'antibiothérapie, motivant la réalisation d'une nouvelle radiographie montrant une image superposable, sans foyer. Sur le plan neurologique, la patiente présente des épisodes de confusion, principalement nocturnes avec hallucinations visuelles en début de séjour. Le traitement de la surinfection bronchique ainsi que la stabilisation de l'hyponatrémie permettent d'améliorer l'état confusionnel. L'origine de l'hyponatrémie est plurifactorielle, attribuée à l'insuffisance cardiaque à prédominance droite (non investiguée en raison d'absence de conséquence thérapeutique) ainsi qu'à l'insuffisance rénale aiguë. L'hyponatrémie, probablement chronique, est stabilisée à 130 mmol/L et bien tolérée. Nous préconisons un contrôle dans une à deux semaines. Concernant l'anémie, nous retrouvons une carence en acide folique que nous substituons pour une durée d'un mois. L'insuffisance rénale aiguë se corrige après un arrêt transitoire des diurétiques et une stimulation à la boisson. La patiente présente de multiples contusions secondaires à sa chute. Les radiographies réalisées permettent d'exclure des fractures respectivement du genou droit, de la cheville droite, du 3ème rayon de la main gauche et de l'épaule gauche. En raison de douleurs persistantes du genou droit avec franche limitation à la marche, un CT-scan est réalisé montrant l'absence de fracture mais une impaction du plateau tibial avec importante arthrose tricompartimentale. Les orthopédistes préconisent le port d'une attelle Jean avec charge selon tolérance, sans autre intervention, ceci pour 2-3 semaines. Une antalgie efficace par Tramal est mise en place pour faciliter la mobilisation de la patiente. L'ultrason de la jambe droite exclut une thrombose et met en évidence un kyste de Becker partiellement rupturé, pour lequel aucun traitement n'est préconisé. L'échographie de la main révèle du liquide libre autour de la gaine du 3ème rayon de la main gauche, sans signe infectieux. Une surveillance sans immobilisation est proposée par les collègues de l'orthopédie. Sur le plan social, après discussion avec l'époux et le fils ainsi que la patiente, une décision pour un placement en EMS est prise. Les démarches sont initiées par la famille. Une réadaptation gériatrique est refusée. La patiente quitte l'HFR pour aller en EMS le 13.01.2020. Patient de 86 ans admis aux soins intensifs pour une suspicion d'AVC ischémique sous-cortical gauche. Hospitalisé en orthopédie pour une fracture périprothétique de la hanche droite, Mr. Y présente le 15.02. une aphasie complète et des troubles de la déglutition. Le 16.02.2020, dysarthrie et faiblesse du membre supérieur droit, aphasie et amputation du champ visuel droit avec un NIHSS initial à 5 points. Le bilan radiologique ne montre pas d'ischémie démarquée ni d'hémorragie. Une subocclusion de la carotide gauche est connue depuis 2018 et Mr. Y est habituellement anticoagulé pour une fibrillation auriculaire (DACO mis en suspens dans le contexte orthopédique). Nous suspectons donc un AVC ischémique sous-cortical gauche. Nous réintroduisons l'Aspirine. Un test de déglutition est normal. L'IRM le lendemain montre des lésions occipitales bilatérales évoquant en premier lieu une origine embolique.Les collègues angiologues et chirurgiens vasculaires proposent un traitement conservateur concernant la sténose carotidienne lors du board vasculaire du 17.02.2020. L'IRM montre en séquence T2* la suspicion d'une hémorragie sous-arachnoïdienne frontale droite (dd angiopathie amyloïde), raison pour laquelle un CT scan natif est fait le 18.02. qui ne montre pas d'hémorragie. Les neurologues retiennent donc plutôt une angiopathie amyloïde. Une anticoagulation thérapeutique est introduite le 18.02.2020. Pour éviter une anticoagulation thérapeutique à terme au vu du risque de saignement de l'angiopathie amyloïde, un avis cardiologique est demandé pour évaluation à l'indication d'une fermeture auriculaire afin de pouvoir poursuivre un traitement par Aspirine seul. L'évolution neurologique est favorable et permet le transfert du patient en lit stroke non monitoré le 18.02 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 87 ans, amené aux urgences en ambulance pour malaise. Ce patient a présenté un épisode de vertiges, associé à une perte de connaissance de 5 minutes avec hémi-syndrome selon les témoins. La symptomatologie est régressive avant l'arrivée des ambulanciers et le patient retrouve son état normal rapidement. Un bilan initial ne met pas en évidence de signe suspect d'un AVC. Le bilan est complété par un nouveau scanner des vaisseaux pré et intra-cérébraux qui met en évidence des sténoses multiples de la circulation de la fosse postérieure. Un IRM confirme de multiples lésions anciennes ischémiques du pont et du cervelet. Par ailleurs, une plaque athéromateuse instable de l'artère vertébrale gauche est relevée. Nous concluons à une insuffisance vertébro-basilaire sévère avec probables lésions ischémiques de bas débit, et nous introduisons donc un traitement de statine à haute dose dans le but de stabiliser la plaque suspecte. Nous maintenons le traitement anti-agrégant au vu d'un profil de risque de chute trop important pour une anticoagulation thérapeutique dans le cadre de la fibrillation auriculaire paroxystique. Le bilan est complété par un Holter dont le résultat reste en attente à ce jour. En cas de bradycardies lors des épisodes, nous recommandons un avis cardiologique quant à l'indication d'une pose de pacemaker chez ce patient très sensible à un bas débit. Sur le plan social, nous discutons du maintien à domicile lors d'un colloque réseau qui confirme un retour à domicile non envisageable sans encadrement permanent. Nous inscrivons donc le patient en EMS au vu de son risque de chute majeur. Le bilan est complété par un examen neuropsychologique confirmant l'incapacité de discernement du patient quant à son retour à domicile. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement, et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 87 ans, connu pour HTA avec prothèse de hanche gauche, qui se présente pour une douleur du genou droit apparue depuis 1 semaine, qui est en augmentation ce jour. Impotence à la marche et douleur au repos. Pas de notion de traumatisme. Pas d'état fébrile objectivé. Pas de piqûre de tiques récente. Pas de crise de goutte par le passé. Une radiographie du genou montre une arthrose avancée au stade 4 décompensé avec épanchement articulaire. Une ponction articulaire nous permet de poser le diagnostic de chondrocalcinose. Le patient est hospitalisé pour surveillance clinique. Le soir du 11.02.2020, Mr. Y montre un état fébrile, que nous attribuons à l'arthropathie décompensée. Les résultats des hémocultures sont à pister. Le 12.02.2020, nous effectuons une deuxième ponction (50 ml), avec injection de triamcinolone, avec bon effet. Le patient peut rentrer à domicile le 12.02.2020. Mr. Y, 88 ans, qui nous est adressé par l'hôpital de l'Ile à Berne suite à son passage aux urgences en raison d'une parésie de la jambe gauche, une spasticité généralisée, une aphasie et une apathie objectivées par le personnel soignant de son EMS. A l'anamnèse, le personnel soignant rapporte une chute 3 jours auparavant avec l'apparition de la symptomatologie et une baisse de l'état général. A l'entrée aux urgences de l'hôpital de l'Ile à Berne, le patient présente un GCS à 11 ainsi qu'un NIHSS à 11. Un foyer infectieux bactérien a été exclu à l'aide d'un bilan biologique, d'une radiographie du thorax et d'une ponction lombaire. Le patient a évolué spontanément de façon favorable et nous a été adressé pour la suite de la prise en charge. A son arrivée à Meyriez, le patient est désorienté dans le lieu et le temps, présente une dysarthrie mais communique de manière ciblée. Les nerfs crâniens sont globalement conservés, les extrémités rigides. Le statut cardio-pulmonaire est dans la norme. A l'étage de médecine, la situation évolue favorablement. Un bilan biologique de contrôle montre une insuffisance rénale aiguë que nous traitons par une augmentation des apports hydriques per os. On note également une anémie normochrome normocytaire à 106 g/L qui semble être chronique chez ce patient. Un dosage de la vitamine B12 revient dans la norme. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Un sédiment urinaire ne montre pas d'infection urinaire. Une radiographie du thorax montre une diminution des volumes pulmonaires par rapport à 2015. On note une petite bande d'atélectase en base gauche sans foyer clair ou signe de surcharge cardiaque. Suite à une bonne évolution clinique et une absence de récidive de la symptomatologie initiale, le patient peut rentrer en bon état général dans son EMS de Sugiez le 04.02.2020. Mr. Y, 89 ans, connu pour un lymphome folliculaire indolent suivi par Dr. X, actuellement au 3e cycle de Mabthera, est hospitalisé en oncologie pour baisse de l'état général avec état fébrile récidivant à 38°, asthénie, 2 épisodes de diarrhées et inappétence. Un bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 233, sans leucocytose. Des hémocultures à froid sont en cours. Un bilan par scanner cervico-thoraco-abdomino-pelvien montre une stabilité de certaines masses du lymphome et des nodules pulmonaires, et une disparition de certaines masses apparues au scanner de début janvier 2020. Le patient présente une évolution spontanément favorable, sans mise en évidence d'états fébriles durant l'hospitalisation et la diminution spontanée du syndrome inflammatoire. Le patient sera revu en consultation prochainement et poursuivra le traitement de Mabthera en ambulatoire. Mr. Y rentre à domicile le 14.02.2020. Mr. Y, 89 ans, hospitalisé en chirurgie pour une fracture de la colonne antérieure et hémitransverse acétabulaire droite suite à une chute le 09.02.2020 et traité conservativement. Patient connu pour une FA, anticoagulé par Pradaxa. Adressé aux urgences à la suite d'une suspicion d'AVC avec hémisyndrome D et abaissement de la commissure labiale. Le Pradaxa avait été stoppé suite à un hématome avec déglobulinisation.Examen clinique: • Cardiovasculaire : B1B2 bien frappés irréguliers, souffle holosystolique ++ en aortique • Pulmonaire en antérieur : murmures vésiculaires symétriques sans bruits surajoutés • Neurologique : conscient, désorienté dans le temps mais orienté dans l'espace et sur soi, GCS 15/15, pupille iso-so, NC II à XII sp, pas de déficit moteur ou sensitif, barré tenu, pas de disdiadococinésie. (NIHSS 1) Examens complémentaires: • Laboratoire : anémie Hb 89 g/l, leucocytose à 15.2, thrombopénie à 129 G/l, CRP 155 mg/l, leucocytose 15.2 G/l • Gazométrie : lactate à 1.1 mmol/l • CT cérébral et pré-cérébraux : sténose carotidienne perméable Nous suspectons un état confusionnel sur probable sepsis à point de départ urinaire. Nous suspendons la Ciprofloxacine, mettons en place une antibiothérapie iv par Rocéphine 2 g. Un IRM cérébral aura lieu le 18.02.2020. Nous observons une péjoration de l'anémie pour laquelle nous transfusons le patient avec 2 CE. Un contrôle biologique aura lieu le 14.02.2020. Le patient remonte à l'étage de chirurgie pour suite de prise en charge. Mr. Y, 89 ans, se présente aux urgences pour une hématurie sur sonde à demeure (possiblement sur hyperplasie de la prostate). Le patient est envoyé par Marsens. Mr. Y est hospitalisé à Marsens dans un contexte de troubles mentaux et du comportement (avec troubles de la personnalité paranoïaque, démence vasculaire). Dans l'après-midi, Mr. Y a tiré sur sa sonde et juste après la sonde se bouche. À Marsens, ils essaient de resonder mais apparition de sang dans l'uriflac. Le patient nous est envoyé dans ce contexte. Nous mobilisons la sonde urinaire sans succès, nous enlevons la sonde et tentons de mettre en place une nouvelle sonde sans succès. Le patient n'arrive pas à uriner spontanément. Nous effectuons un bladder scan qui montre une vessie avec 650 mL. Mise en place d'un Cystofix par Dr. X. Le patient présente rapidement des urines rouges dans l'uriflac. Le patient baisse progressivement ses tensions autour de 80/55. Nous mettons en place un NaCl 0.9 500 mL rapidement et mise en place ensuite d'un voluven sur 30 min. Nous effectuons une prise de sang qui montre une Hb à 130, Mr. Y ayant 150 à son arrivée. On note une hypocapnie à 4, PO2 à 16.5 et lactate à 2.0. Devant la baisse du profil tensionnel, nous réalisons un scanner qui montre ..... Mr. Y, 90 ans, est amené aux urgences en ambulance pour chute au domicile. Pour rappel, ce patient relate une chute accidentelle d'environ 10 marches en montant l'escalier. Le mécanisme est clairement accidentel selon les dires du patient. Le patient décrit un traumatisme crânien sans perte de connaissance et une douleur thoracique gauche immédiate après la chute, toutefois sans symptomatologie respiratoire ou neurologique. Le bilan initial exclut un saignement intracrânien et nous ne relevons pas de fracture du poignet gauche. Nous suspectons une fracture de l'arc postérieur de la 7ème côte à gauche à la radio de thorax, toutefois sans complication. Durant le séjour, nous relevons un orthostatisme lors du test de Schellong, raison pour laquelle nous proposons des bas de contention à domicile. Nous ne réalisons pas d'autres investigations dans le cadre du bilan de chute compte tenu d'une origine accidentelle claire. Par ailleurs, le patient explique que son domicile est d'ores et déjà en cours d'aménagement, entre autres avec un transfert du lieu de vie au rez-de-chaussée pour éviter de devoir emprunter les escaliers. Nous relevons un souffle aortique connu lors de l'hospitalisation. Nous vous proposons d'évaluer l'indication à un bilan échographique selon les désirs du patient concernant une prise en charge valvulaire. Compte tenu de tous ces éléments, nous proposons un retour à domicile au vu d'un patient en bon état général et bénéficiant d'un bon encadrement. Le patient rentre à domicile le 27.02.2020. Mr. Y, 90 ans, nous est transféré le 19.02.2020 depuis les urgences de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge pour bactériémie d'origine indéterminée. Mr. Y avait été amené aux urgences de Fribourg la nuit du 18 au 19.02 pour des frissons solennels. Devant un patient en bon état général, un laboratoire rassurant (leucopénie à 2.5 G/l, sans CRP) et l'absence de foyer clair, le patient regagne son domicile. Cependant, dans la journée, les 4 bouteilles d'hémocultures prélevées reviennent positives, motivant la convocation du patient aux urgences. Un franc foyer clinique n'est toujours pas identifié. Au laboratoire de contrôle, il y a à ce moment un syndrome inflammatoire biologique avec une leucocytose à 16.5 G/L et une CRP à 86 mg/l. Une antibiothérapie par Meronem est débutée (en raison d'une suspicion d'origine urinaire et un antécédent d'infection urinaire à E. Cloacae résistant à la Ceftriaxone) et le patient est transféré dans le service de médecine interne de l'HFR Meyriez pour suite de prise en charge. Mr. Y vit à domicile avec un accompagnement d'aide privé 24h/24h et un suivi régulier par le Spitex. Il est bien entouré de sa famille. À l'arrivée à Meyriez, le patient est désorienté, dit se sentir bien, et ne comprend pas pourquoi il est hospitalisé. L'anamnèse est peu contributive. L'examen clinique cardio-pulmonaire est sans particularité, hormis des légers râles bibasaux. L'abdomen est souple, avec une douleur à la palpation du bas ventre, sans défense ou détente. La loge rénale droite est douloureuse à la percussion. Nous effectuons des contrôles d'INR, qui montrent une valeur à 1.6 le 21.02.2020. Nous adaptons le traitement en conséquence, avec une normalisation de l'INR à 2.6 au contrôle du 24.02.2020. Nous vous prions de recontrôler l'INR prochainement à votre consultation. Par la suite, les hémocultures reviennent positives pour un Klebsiella oxytoca et un Citrobacter spp. L'antibiogramme montre, entre autres, une sensibilité au Meropenem et à la Ciprofloxacine. L'antibiothérapie par Meropenem intraveineux est maintenue jusqu'au 23.02.2020. En raison d'une bonne évolution clinique et biologique, nous effectuons un relais per os pour de la Ciprofloxacine le 23.02.2020. Le traitement devra être poursuivi jusqu'au 03.03.2020. Mr. Y peut quitter le service pour son domicile le 24.02.2020. Mr. Y, 91 ans, admis aux soins intensifs le 06.02.2020 en post-opératoire d'une craniotomie en urgence en raison d'un hématome sous-dural gauche aigu. Il s'agit d'un patient sous Aspirine et Sintrom, qui chute le 05.02 de manière accidentelle avec traumatisme crânien, sans perte de connaissance. Il consulte chez son médecin traitant qui effectue un CT cérébral. Un hématome sous-dural gauche de >2 cm d'épaisseur avec déviation de la ligne médiane est mis en évidence, motivant un transfert aux urgences. Il bénéficie d'une craniotomie en urgence après réversion du Sintrom par 2000 UI de Beriplex. L'opération est compliquée d'un saignement diffus secondaire à l'évacuation de l'hématome sous-dural, nécessitant la pose d'un Spongostan. Les pertes sont estimées à 1000 ml en peropératoire. Le patient reçoit encore 3 g d'acide tranéxamique et 1 g de fibrinogène en peropératoire. Il est transféré intubé aux soins intensifs en fin d'intervention pour suite de prise en charge. L'évolution hémodynamique et respiratoire est favorable, permettant une extubation sans complication le 06.02 à 3:30. Une aphasie post-extubation est documentée, avec un GCS à 13-14, sans déficit sensitivomoteur franc objectivé. Un test de déglutition est effectué par nos collègues physiothérapeutes le 06.02 et montre une dysphagie légère. Un scanner de contrôle post-opératoire montre un drainage satisfaisant de l'hématome. Après avis neurochirurgical (Dr. X), le patient est transféré le 06.02.2020 en chirurgie pour la suite de prise en charge.Patient de 91 ans, connu des troubles cognitifs, est envoyé par le foyer pour un état confusionnel présent depuis 1 semaine, en péjoration depuis samedi. A fait un contrôle chez le médecin traitant, qui n'aurait rien trouvé au laboratoire et l'aurait mis sous Avalox depuis dimanche. A chuté à 2 reprises, le samedi et dimanche durant la nuit sans témoin, et le patient n'explique pas les circonstances. Pas de plaintes spontanées du patient, désorienté en temps. Pas de DRS, pas de dyspnée. Pas de toux. Pas de douleurs abdominales. Pas de dysurie. Pas de vertiges, pas de céphalées. Pas de douleurs OA. Général: afébrile, tachycarde à 110, normotendu. Cardio: B1B2 bien frappés, irrégulier, pas de souffle. Pas d'OMI. Pouls périphériques palpables aux 4 membres. Pulm: râles crépitants basal droit. Neuro: GCS 14/15, orienté en espace et personne, désorienté en temps. Pupille en myosis et isoréactive ddc. NC non testable en raison de l'absence de collaboration du patient. Force conservée ddc. Abdo: ASI, pas de défense, pas de détente. BNTF, LRSI. Pas de masse palpable. TR indolore, pas de masse palpable, pas de sang mais selles fraîches sur le gantier. Cutané: érythème région sacrée. Crâne: pas de douleurs à la palpation du crâne et massif facial. Rachis: pas de douleur à la palpation et percussion du rachis. L'ECG montre des extrasystoles avec un BBG complet connu. Nous effectuons un laboratoire qui montre une insuffisance rénale, une anémie, un sédiment urinaire prélevé avec un sondage aller-retour, et ne montre pas de signe infectieux, mais une hématurie probablement d'origine traumatique. Nous effectuons une radiographie du thorax qui montre des signes de surcharge. Nous complétons le bilan avec un CT cérébral natif, en raison des chutes et de l'aspirine cardio dans le traitement habituel qui ne montre pas de signe de saignement. Nous hydratons le patient initialement, puis arrêtons en raison de la décompensation cardiaque. Nous administrons du Lasix 40 mg IV en ordre unique, et mettons en place un traitement par Lasix 20 mg 3x/jour. En raison de l'absence de place en gériatrie, nous transférons le patient à Tavel en gériatrie aiguë. Patient de 91 ans, connu notamment pour un antécédent de neuroborréliose avec épilepsie sous Keppra et une diverticulose sigmoïdienne, est adressé par le Dr. X le 30.01.2020 en raison d'une baisse de l'état général progressive depuis 2 mois avec des troubles amnésiques connus en péjoration ainsi que des troubles d'équilibre. Le patient explique que depuis la dernière hospitalisation dans le mois de septembre, il remarque une fatigue plus importante. Il explique des épisodes de trouble de la langue avec manque de mots ainsi que des troubles de mémoire à court terme. En plus, il présente une incontinence fécale intermittente nouvelle. Récemment, il a remarqué une instabilité de la marche, raison pour laquelle il marche avec 2 cannes. Selon l'hétéroanamnèse, le patient a chuté la semaine passée sans TC ni PC. La fille a remarqué des erreurs dans la prise de médicaments (une fois les médicaments de 2 jours). A l'anamnèse par système, le patient se plaint d'une fatigue physique ainsi que psychique avec troubles de mémoire. Pas de nausées/vomissements, épisodes de diarrhées liquides la semaine passée. Sur le plan biologique, un contrôle d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire. Une insuffisance rénale reste stable avec amélioration durant l'hospitalisation. L'électrophorèse des protéines met en évidence une gammapathie monoclonale pas significative, pour laquelle un contrôle biologique sera indiqué dans un an. Le patient montre une évolution favorable avec amélioration de son état général, ainsi qu'une disparition des récents épisodes d'incontinence fécale. Par conséquent, nous concluons à un état confusionnel lié à la rétention urinaire. Un bilan neuropsychologique fait le 31.01.2020, des troubles mnésiques ainsi qu'exécutifs sont encore présents (dans le contexte d'un trouble neurocognitif majeur d'intensité légère à modérée d'origine multifactorielle). Selon l'avis neuropsychologique, un retour à domicile sera quand même possible, avec l'aide de soins à domicile. Mr. Y rentre à domicile le 11.02.2020. Patient de 91 ans, connu pour des troubles cognitifs, est adressé le 11.02.2020 par l'urgence de l'HFR Riaz pour un état confusionnel présent depuis une semaine, en péjoration depuis samedi. Un contrôle chez le médecin traitant ne montrait ni des troubles électrolytiques ni une infection. Pour une prophylaxie d'une infection urinaire, Moxifloxacine était prescrite, qui pouvait provoquer un état confusionnel. A l'entrée dans notre service, le patient n'avait pas de plaintes. Il est désorienté dans les trois modes, mais collaborant. Il n'avait pas de douleurs rétrosternales, pas de dyspnée, pas de toux, pas de douleurs abdominales, pas de dysurie, pas de vertiges, pas de céphalées. Le statut d'entrée a montré une tachycardie à 90/min, tachypnée à 21/min, il est légèrement hypertendu. Nous notons des râles crépitants à la base gauche, rythme cardiaque irrégulier, pas d'œdème de membres inférieurs. Le reste de l'examen n'était pas possible de poursuivre à cause d'une agitation. L'ECG montre des extrasystoles avec un BBG complet connu. Nous effectuons un laboratoire qui montre une insuffisance rénale, une anémie, un sédiment urinaire ne montre pas de particularités. Une radiographie du thorax montre des signes de surcharge. Dans ce cadre, le patient a reçu le 11.02.2020 Lasix 100 mg, cela permettait d'obtenir l'amélioration de l'état clinique le jour précédent : nous notons pas de râles crépitants dans les poumons, les paramètres vitaux restent stables. Pour la suite, nous proposons de continuer la thérapie diurétique par Aldactone 25 mg et Torasemid 10 mg. Au niveau psychique, le patient est inconfortable et agité en raison de l'environnement étranger, c'est pourquoi un retour à domicile est organisé plus tôt que possible. Nous vous proposons de contrôler à distance la fonction rénale et mesurer le poids 2x/semaine avec l'adaptation du traitement diurétique. Vu un état général amélioré, Mr. Y peut regagner son domicile le 13.02.2020. Patient de 94 ans, institutionnalisé et connu principalement pour des lombalgies chroniques, est adressé par le home après 3 jours d'état fébrile, de toux et un épisode de désaturation objectivée le matin même. Nous diagnostiquons une bronchopneumonie avec des foyers de pneumonie au niveau des deux apex pour lesquels nous introduisons une antibiothérapie empirique par ceftriaxone. Le syndrome inflammatoire important s'améliore rapidement et nous pouvons sevrer le patient de l'oxygénothérapie le 18.02.2020. Au niveau cardiaque, le patient présente des signes de redistribution de la circulation au niveau pulmonaire, suggérant une décompensation cardiaque à prédominance gauche, que nous traitons avec du furosémide. Le patient peut rentrer à son EMS en bon état général le 19.02.2020. Patient de 94 ans qui se présente aux urgences accompagné par sa fille en raison d'une baisse de l'état général depuis 2 semaines avec faiblesse généralisée, inapétence, faible apport volémique (boit moins qu'un litre par jour) ainsi que des troubles de sommeil. Il signale aussi des douleurs à la poitrine gauche chroniques qu'il traite avec Glycérol et une dyspnée chronique qui s'est légèrement aggravée. Le patient rapporte également une perte de poids d'environ 4 kg en un mois, sans sudations nocturnes. Le reste de l'anamnèse systématique est dans la norme. A l'examen clinique, on note un ictère et des conjonctives pâles chez un patient normotendu afébrile. L'auscultation cardiaque montre un rythme normocarde irrégulier avec un souffle holosystolique 3/6 aortique irradiant dans les carotides. Absence d'œdèmes périphériques. L'auscultation pulmonaire montre une diminution du murmure vésiculaire à droite avec wheezing expiratoire sur l'ensemble des plages pulmonaires. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente, les bruits hydro-aériques sont audibles dans les 4 quadrants. L'examen neurologique est normal hormis une ptose de la paupière gauche connue.L'ECG montre un trouble du rythme nouveau. La radiographie du thorax ne montre pas d'infiltrat ou des signes de décompensation cardiaque. Le laboratoire montre une hypokaliémie à 2.9 mmol/l que nous substituons. Vu l'âge et le contexte, nous décidons en accord avec Mr. Y et sa famille, de faire une thérapie de confort uniquement et de ne pas réaliser d'autres investigations. L'état général de Mr. Y se dégrade progressivement. Mr. Y présente des moments d'agitation le soir pour lesquels nous introduisons du temesta en réserve. Le 19.02.2020, en raison de difficultés respiratoires, nous introduisons un traitement symptomatique par morphine s.c.. Puis en raison de douleurs persistantes, ne cédant pas à l'administration de morphine sous-cutanée, nous mettons en place une antalgie par morphine i.v. continue avec bonne réponse clinique. Mr. Y décède paisiblement le soir du 20.02.2020 en présence de sa famille. Mr. Y décide de repartir sans consultation médicale car se sent mieux. Mr. Y est déjà sous doxycycline pour prophylaxie anti-malarique jusqu'au 11.02.2020. Examen clinique RX genou gauche : détaillée ci-dessous Cannes anglaises pour mise au repos du genou Clexane 40mg 1x/jour Contrôle chez le médecin traitant dans 48h et si besoin changement de l'antibiothérapie Arrêt de travail à 100% du 03.02 au 05.02.2020 Mr. Y est également examiné par Dr. X. Pour le genou G, on a déjà constaté qu'il y avait un infarctus osseux qui s'étend jusque dans le condyle fémoral interne mais pour l'instant, comme il y a toujours une intégrité de la structure en cortical et au vu des douleurs qui sont tolérables, il n'y a pas d'indication chirurgicale. Afin de mieux visualiser le conflit fémoro-patellaire du genou D, on organise un ct-scanner de ce genou et nous le reverrons par la suite pour discuter de la suite à entreprendre. Mr. Y est reparti avant la fin de la consultation. Mr. Y évolue bien d'un point de vue clinique et radiologique à 1 mois. Nous préconisons la reprise du Sintrom avec un contrôle d'INR 3 jours après. Nous recommandons un INR strict entre 2 et 3 maximum avec un suivi rapproché les premiers temps. Nous n'entreprendrons pas d'autre suivi neurochirurgical. En cas de nécessité, nous restons à disposition. Mr. Y évolue bien d'un point de vue neurologique, nous recommandons de poursuivre la physiothérapie qu'il a déjà entreprise afin de soulager les douleurs d'allure musculaire. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si besoin. Mr. Y fuit le suivi médical. Discussion avec la famille dès que possible. Contacter le service de liaison dès que possible. Mr. Y gagne progressivement des amplitudes articulaires, mais présente encore une inflammation sous-acromiale et une diminution de la mobilité. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle le 29.04.2020. Mr. Y est gardé en surveillance 1 heure après la consultation afin d'objectiver une amélioration de l'état général après la prise d'Algifor. Mr. Y présente à 1h post Algifor un état général amélioré, marche dans le couloir, boit un chocolat froid 200 ml, et a une miction complète. Mr. Y est groupé 1x aux urgences (2 groupes le 21.02.20). HemoQ: 140g/L 2 voies veineuses posées aux urgences. Laboratoires: en attente. Transfert en ORL pour cautérisation (contact téléphonique Dr. X). Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs le 04.02.2020 pour une surveillance dans le cadre d'une suspicion d'un AVC aigu. Lors de son admission, notion d'aphasie et dysarthrie le 04.02.2020. À l'hétéroanamnèse avec son fils, celui-ci rapporte plutôt un discours incohérent. Mr. Y est traité pour une infection respiratoire par son médecin traitant du 20.01 au 26.01 par co-amoxicilline. L'angio-CT cérébral et l'IRM du neurocrâne ne montrent pas d'arguments pour un AVC ischémique, ni hémorragique. Sur avis du neurologue, l'aspirine est stoppée et le Sintrom est repris. Le diagnostic d'un état confusionnel aigu sur une probable accumulation d'opiacés dans le cadre de l'insuffisance rénale aigüe et de l'infection respiratoire récente est retenu. Une insuffisance rénale KDIGO I accompagnée d'une hyperkaliémie légère est présente à l'admission. Une hydratation est administrée vu le risque de néphropathie de contraste et par conséquent d'aggravation de l'insuffisance rénale. Le CT scanner met en évidence une hypodensité de 20 mm (grand axe), avec calcifications périphériques dans le lobe thyroïdien gauche à discuter avec l'endocrinologue si d'autres investigations sont nécessaires. Le 05.02.2020, Mr. Y est transféré vers le service de médecine et peut rentrer à domicile le 06.02.2020, en état général conservé. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance dans le cadre d'une suspicion d'un AVC aigu. Lors de son admission, notion d'aphasie et dysarthrie le 04.02.2020. À l'hétéroanamnèse avec son fils, celui remarque plutôt un discours incohérent. Mr. Y est traité pour une infection respiratoire par son médecin traitant du 20.01 au 26.01 par co-amoxicilline. L'angio-CT cérébrale et l'IRM du neurocrâne ne montrent pas d'arguments pour un AVC ischémique, ni hémorragique. Sur avis du neurologue, l'aspirine est stoppée et le Sintrom est repris. Nous retenons le diagnostic d'un état confusionnel aigu sur une probable accumulation d'opiacés dans le cadre de l'IRA et de l'infection respiratoire récente. Une insuffisance rénale KDIGO I accompagnée d'une hyperkaliémie légère est présente à l'admission. Une hydratation est administrée vu le risque de néphropathie de contraste et par conséquent d'aggravation de l'insuffisance rénale. Le traitement néphrotoxique est en suspens. Le CT scanner met en évidence une hypodensité de 20 mm (grand axe), avec calcifications périphériques dans le lobe thyroïdien gauche à discuter avec l'endocrinologue si d'autres investigations sont nécessaires. Le 05.02.2020, Mr. Y est transféré dans le service de médecine. Mr. Y, indépendant, vendeur de voitures, ne peut travailler tout le jour. Raison pour laquelle, jusqu'au RDV au Neurocentre, arrêt de travail à 50% pour travail de bureau. Nous avançons le RDV pour effectuer l'ENMG, initialement prévu en neurologie auprès de l'HFR, auprès du Neurocentre à Fribourg. Les résultats sont à transmettre à la consultation de Dr. X. Mr. Y, indépendant, vendeur de voitures, ne peut travailler tout le jour. Raison pour laquelle, jusqu'au RDV en neurologie, arrêt de travail à 50% pour travail de bureau. Nous avançons le RDV pour effectuer l'ENMG, initialement prévu en neurologie auprès de l'HFR, auprès du Neurocentre à Fribourg. Les résultats sont à transmettre à la consultation de Dr. X. Mr. Y est informé de ne pas se moucher. Triofan. Traitement antalgique. Coordonnées de l'ORL Dr. X remis à Mr. Y pour prendre un rendez-vous la semaine prochaine pour réévaluation du nez une fois décomprimé. Mr. Y est initialement hospitalisé à l'HFR Tafers en réadaptation gériatrique puis en médecine interne à l'HFR Fribourg pour une arthrite microcristalline de l'épaule D avec traitement rhumatologique. La ponction effectuée aux urgences ne montrait pas de bactéries à l'examen direct, mais la culture révèle la présence d'un Pseudomonas aeruginosa. En accord avec les infectiologues, une antibiothérapie par céfépime est initiée et, en raison de la présence d'une collection articulaire qui s'étend au niveau de la musculature deltoïdienne, Mr. Y est pris au bloc opératoire pour une arthroscopie de l'épaule D avec lavage, débridement, et ensuite chirurgie à ciel ouvert avec résection acromio-claviculaire, débridement de la fosse du sus-épineux et bursectomie sous-acromiale/sous-deltoïdienne le 08.08.2019.Au niveau chirurgical, la plaie évolue de manière défavorable, avec lors des scanners et IRM la récidive de collections et la remontée du syndrome inflammatoire. Le 04.09.2019, le patient est transféré en orthopédique pour suite de prise en charge. Le 05.09.2019, reprise chirurgicale avec rinçage, débridement arthroscopique, prise de prélèvements bactériologiques et drainage épaule D. À noter que Mr. Y avait fait une chute avec traumatisme crânien lors de l'hospitalisation en médecine. Le CT cérébral retrouve un hématome sous-galéal, ainsi qu'un hématome sous-dural. Les surveillances neurologiques sont sans particularité. Un CT scanner organisé à 2 semaines montre une diminution de l'hématome. Il présente par contre le 06.09.2019 une paralysie faciale du n. VII à G. Le CT injecté cérébral effectué sur avis neurochirurgical ne montre pas d'occlusion. Le traitement anti-agrégant est complété avec du Plavix. Au niveau pulmonaire, objectivation d'une pneumonie le 22.09.2019, traitée par co-amoxicilline p.o. après avis internistique. Au vu de la baisse d'état général du patient, un colloque interdisciplinaire est effectué le 07.10.2019. Au niveau infectieux, il est nécessaire de prélever la zone incriminée, raison pour laquelle une ponction par les radiologues avec mise en place de drain est effectuée. Les prélèvements reviennent positifs pour le pseudomonas. Du point de vue orthopédique, la seule intervention bénéfique serait un Girdlestone au niveau huméral proximal D, impossible au vu de l'état général du patient. Un drain sous US pourrait être une alternative moins risquée. Il n'y a pas de suite chirurgicale immédiate donnée. Au niveau nutritionnel, le patient présente une inappétence et dénutrition sévère. Les substituts oraux ne suffisant plus à couvrir ses besoins, une SNG est introduite le 08.10.2019. Au niveau volémique, après évaluation internistique, une décompensation cardiaque avec OMI est découverte. Au vu de tous ces éléments avec évolution défavorable, le patient est transféré en médecine le 04.10.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y est intéressé au soutien en ambulatoire. Mr. Y part sans consultation médicale. Mr. Y part sans consultation médicale. Mr. Y part sans consultation médicale. Mr. Y part sans consultation médicale. Mr. Y part sans consultation médicale. Mr. Y part sans consultation médicale. Mr. Y part sans consultation médicale. Mr. Y part sans consultation médicale. Mr. Y parti sans consultation médicale. Mr. Y parti sans consultation médicale. Mr. Y absent de la salle du tri à 16h20. N'a pas averti. Mr. Y dit se sentir vraiment bien, comme à l'habitude. Abdomen toujours souple. L'infirmier lui suggère de reconsulter si douleurs, troubles du transit, et persistance de l'inappétence. Conseil de bien s'hydrater. Le patient dit avoir faim. MRT averti du départ du patient. Mr. Y parti sans consultation. Mr. Y s'organise pour un suivi psychologique en ambulatoire. Mr. Y paucisymptomatique d'une contusion du genou à qui nous proposons une bande élastique sans contrôle orthopédique par la suite. Le patient rentre à domicile. Mr. Y plâtré aux urgences d'Yverdon avec 2 plâtres bras/avant-bras. Avis orthopédique (Dr. X) CT coude droit le 29.01.2020. Radiographies poignet gauche le 30.01.2020. Mr. Y présente depuis deux mois une insuffisance rénale sur glomérulonéphrite proliférative à IG A. Mr. Y présente donc une dysbalance sagittale en progression; dans le contexte, nous souhaitons introduire des séances de physiothérapie afin d'effectuer une élongation musculaire abdominale, des exercices d'hygiène du dos et de renforcement de la charnière para-vertébrale. Nous prescrivons également un bon pour un rollator afin d'améliorer la marche. Prochain contrôle dans 3 mois une fois la physiothérapie bien entamée. Mr. Y est très actif. Nous lui expliquons qu'au niveau chirurgical nous ne pouvons pas lui proposer de solution. La prochaine étape serait de mettre une prothèse monocompartimentale mais nous pensons que c'est encore trop tôt vu la grande activité du patient et les grandes attentes. Nous lui proposons d'améliorer la symptomatologie de manière temporaire avec évacuation du kyste de Baker sous guide sonographique par les radiologues. Nous restons à disposition en cas de persistance ou péjoration de la symptomatologie. Mr. Y évolue favorablement avec la physiothérapie avec une amélioration assez franche de la force et ce depuis 1 mois. L'hypoesthésie est totalement régressive. Nous souhaitons tout de même réaliser un bilan neurologique large et demandons à nos confrères du neurocentre de nous donner leur opinion dans le contexte. Un ENMG est également demandé afin de comprendre le tout. Nous reverrons le patient dans 1 mois avec l'examen susmentionné. Entre-temps, nous restons à disposition. Mr. Y présente avec un accident ischémique transitoire avec outil d'évaluation de phase aiguë d'AVC score de 0 à l'arrivée. Nous prenons un avis auprès du Dr. X qui propose un transfert aux urgences de Fribourg pour complément d'investigation et suite de prise en charge. Mr. Y présente donc cette voussure nouvelle progressive et douloureuse. L'IRM confirme une origine tumorale de cette lésion et dans le contexte, une prise en charge chirurgicale s'impose. Nous demandons au patient d'effectuer sa consultation cardiologique d'ici demain au vu de sa prise d'Aspirine afin d'envisager un arrêt de celle-ci. Nous demandons également à nos collègues oncologues de bien vouloir contacter le patient pour la découverte des nodules pulmonaires. Nous programmons d'ores et déjà un scanner cérébral et une nouvelle IRM cérébrale ainsi qu'une consultation anesthésiologique pour une prise en charge chirurgicale de cette lésion. Nous lui expliquons les risques et bénéfices et le consentement éclairé lui est remis. Prochain contrôle le 11.02.2020 afin de finaliser le tout et d'envisager une date opératoire. Mr. Y présente donc une exacerbation de symptomatologie depuis la réalisation de la précédente IRM qui date de près de 2 mois et demi. Nous souhaitons réaliser une IRM rapidement et reverrons notre patient dans les suites. Nous lui expliquons les signes et symptômes devant l'amener à consulter, notamment perte motrice, troubles sphinctériens, urines ou anaux.Patient qui présente donc une lombosciatique hautement invalidante ne dormant plus depuis plus de 5 jours malgré le traitement de Prednison, de Brufen et de Dafalgan. Au vu du déficit clinique, ainsi que de la corrélation radiologique sous forme de hernie discale L4-L5, il est proposé au patient une prise en charge chirurgicale tout en lui évoquant les différentes options à savoir une infiltration et une attitude intensive avec rééducation motrice. Il préfère opter pour la prise en charge chirurgicale, nous lui expliquons les risques et bénéfices de celle-ci et lui fournissons le consentement et organiserons rapidement une consultation anesthésiologique. Patient qui présente essentiellement des lombo-radiculalgies avec malheureusement absence d'IRM ce jour. Un ENMG avait retrouvé une lésion chronique de la racine L4 gauche sans dénervation aiguë à l'ENMG. Nous souhaitons obtenir l'IRM et reverrons le patient dans ce contexte. Entre-temps nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Le patient nous parle également d'un problème érectile sans trouble sphinctérien qu'il soit urinaire ou fécal. L'examen clinique ne retrouve pas d'hypoesthésie dans la région génitale. Nous lui expliquons les différentes origines à ses troubles érectiles et lui recommandons une consultation urologique et nous reconsulter avec l'IRM. Patient qui présente essentiellement un syndrome facettaire dans ce contexte, nous souhaitons effectuer une infiltration facettaire L5-S1 bilatérale et reverrons le patient dans les suites. Patient qui présente une instabilité chronique de sa cheville droite, avec une lésion au niveau du ligament latéral externe, raison pour laquelle le Dr. X retient une indication opératoire afin de réaliser une plastie du ligament latéral externe de la cheville droite par une ancre Arthrex. L'intervention se déroule sans complication le 03.02.2020. Le contrôle radiologique post-opératoire est satisfaisant. Le patient est mobilisé dès J1 dans un vacoped, en décharge du membre inférieur droit, sous prophylaxie thrombo-embolique par Clexane intra-hospitalière, puis par Xarelto 10 mg/jour pour une durée totale de 6 semaines. De la physiothérapie est débutée durant le séjour, avec un patient qui se déplace à l'aide de cannes anglaises et qui arrive à monter et à descendre les escaliers. Au vu d'une mobilisation satisfaisante et d'une antalgie bien contrôlée, Mr. Y regagne son domicile le 04.02.2020. Il sera revu à la consultation du Dr. X pour la réfection du pansement. Patient qui présente une symptomatologie d'hallux valgus à droite, raison pour laquelle une indication opératoire pour une cure d'hallux valgus est posée par le Dr. X qui l'opère le 03.02.2020. Le patient bénéficie d'une cure d'hallux valgus par Scarf et Akin à droite, qui se déroule sans particularité. La radiographie post-opératoire est satisfaisante. Le patient est mobilisé en charge selon douleurs sous protection d'une chaussure Barouk et bénéficie d'une thrombo-prophylaxie par Clexane intra-hospitalière, stoppée dès le retour à domicile. Mr. Y étant confortable sous antalgie standard, il peut regagner son domicile le 04.02.2020. Il sera revu à la consultation du Dr. X pour réfection du pansement ainsi que pour l'ablation des fils. Patient qui vient pour douleur bras droit en trajet jusqu'à région axillaire depuis 17h30. Sous traitement de maladie de Lyme. Aspirine 1000 mg. Patient ne souhaite plus attendre et repart sans consultation médicale. Patient reçoit pommade vitamine A + pansement compressif sur avis Dr. X se représentera en ophtalmologie demain si persistance des douleurs. Patient reconvoqué. Patient référé à la consultation de la team rachis de l'HFR pour évaluation et suite de prise en charge (sera convoqué). Informé des signes de gravité devant motiver une nouvelle consultation aux urgences (extension de la parésie, troubles sphinctériens, anesthésie en selle...). Antalgie majorée par du Tramal avec suivi du traitement introduit par MT. Patient référé par médecin traitant et employeur pour suspicion coronavirus. Avis Dr. X et Dr. X : pas de critères OFSP/OMS pour dépistage coronavirus. Retour à domicile avec arrêt de travail au vu du syndrome grippal avec état fébrile fluctuant. Patient rentre à domicile après accord du MRT. Patient repart sans consultation médicale. Patient reparti sans consultation médicale. Patient sera convoqué en ambulatoire pour biopsies gastriques à distance. Patient sorti contre avis médical avant l'acquisition du CT cérébro-cervical et massif facial. Contrôle secteur ambulatoire des urgences pour constat de coups le 17.02.2020. Traitement antalgique. Patient suivi en policlinique le 11.02.2020. Patient surveillé aux urgences durant 2 heures avec de bonnes saturations et prise de la première dose d'Amoxicilline per os, bien tolérée. Cas discuté avec Dr. X. Patient surveillé aux urgences durant 3 heures, avec un maintien des saturations dans la norme durant une sieste. Il bénéficie d'un train de Ventolin avec Betnesol avec une bonne réponse. Patient trouvé dans trou de 4 m de profondeur. Patient vient pour administration de Varitect CP 1900 ui en injection IP sur OM Dr. X. Patient vient pour douleur dentaire depuis 2h. Dent cassée. Patient a reçu Voltarène 50 mg per os et Morphine 10 mg per os. Patient reparti sans consultation médicale. Patient vient suite à une altercation avec son voisin, veut porter plainte. Patient revient le 24.02.20 à 14h30 pour constat de coup. Patient vu au tri par le médecin responsable du tri. Nous n'arrivons pas à retirer l'impact après avoir mis une goutte d'Oxybuprocaïne. Application de pommade vitamine A et cache œil. Le patient reviendra demain matin dès 8h en consultation ophtalmologique. Patient vu avec MA orthopédie Dr. X : pas de laxité ligamentaire, pas d'immobilisation nécessaire, physiothérapie indiquée. Patient vu par MRT, a reçu antalgie et réorientation chez la permanence dentaire. Patient vu par MRT, a reçu antalgie et retour à domicile. Patient vu par MRT, a reçu Dafalgan 1 g, Brufen 600 mg, Tramal 50 mg. Patient vu par urologue de garde, puis discussion téléphonique avec Dr. X. Patient vu par urologue de garde, puis discussion téléphonique avec Dr. X.• Patiente a reçu 1 gramme de Paracétamol. • Patiente repartie sans consultation médicale. • Patiente admise pour une coronarographie dans un contexte d'angor typique avec une ergométrie douteuse et un CT-coronarien évocateur d'une maladie tritronculaire. > L'examen invasif du jour confirme la maladie tritronculaire avec des sténoses serrées de l'IVA moyenne, de la CD distale et de la bifurcation CX-Marginale. La fonction systolique VG est normale. Le score Syntax est à 15. Après discussion des différentes options thérapeutiques, Mme. Y souhaite une revascularisation percutanée. Nous avons procédé à une angioplastie de l'IVA moyenne avec pose d'un stent actif, et angioplastie de la CD distale avec un stent actif et excellent résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 et statine à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 1 semaine puis 5 mg (en raison du poids < 60 kg) pour 6 mois, reste du traitement inchangé. La surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs est sans particularités. La patiente quitte notre établissement le 22.02.2020 en conditions générales bonnes. • Patiente admise pour une coronarographie élective. > L'examen invasif du jour montre des artères coronaires athéromateuses. On note une lésion fonctionnellement non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne ainsi qu'une lésion non significative de l'ostium de l'artère coronaire droite distale, englobant l'origine de l'artère interventriculaire postérieure. Les valeurs de FFR sont normales pour ces deux lésions. On met en évidence une anémie normocytaire hypochrome avec une ferritine abaissée à 21 ug/l, on administre donc une perfusion de ferinject. Les surveillances hémodynamiques et rythmiques aux soins intensifs sont sans particularités. La patiente quitte notre établissement en conditions générales bonnes le 13.12.2020. • Patiente adressée au secteur ambulatoire des urgences le 06.02.2020 à 10h00. • Patiente adressée au secteur ambulatoire des urgences le 06.02.2020 à 13h30. • Patiente adressée au secteur ambulatoire des urgences le 06.02.2020 à 11h30. • Patiente adressée en gynécologie pour suite de prise en charge. • Patiente au status aligné à la permanence qui n'a d'ailleurs plus de céphalées. La patiente et sa maman sont rassurées, il s'agit possiblement d'un 1er épisode de migraine avec aura. Je proposerais tout de même d'en parler avec le pédiatre. • Patiente avec douleurs thoraciques d'origine probablement musculosquelettique avec un laboratoire aligné et un ECG normal. Nous proposons un traitement antalgique et la patiente peut regagner son domicile. • Patiente avec épistaxis sur poussée hypertensive avec des tensions à l'admission à 240 mmHg de systolique. Nous réduisons la pression artérielle avec 2 push d'isoket et 5 mg d'amlodipine. Nous proposons à la patiente de prendre de l'Amlodipine 5 mg et de consulter son médecin traitant dans 24h. • Patiente avec une angine érythémato-pultacée avec un streptotest négatif. Nous rassurons la patiente et lui proposons un traitement symptomatique. En cas de persistance ou d'aggravation de l'état clinique, la patiente consultera son médecin traitant pour suite de prise en charge. • Patiente avec une évolution plutôt favorable d'un point de vue lombaire. Au vu de l'antécédent oncologique en 2017, notamment d'une lobectomie rénale, un scanner est prévu jeudi 13.02.2020. La patiente contactera son urologue afin d'étendre le scanner jusqu'au sacrum. En cas de persistance des douleurs, nous lui recommandons de nous reconsulter avec une IRM dans 3 mois si le scanner ne révèle rien. Entre temps, prescription de séances de physiothérapie pour hygiène du dos et élongation abdominale. • Patiente avec une hématurie macroscopique probablement non glomérulaire (absence de cylindres) avec une hyperleucocytose à 12.3 sans syndrome inflammatoire biologique mais une clinique évocatrice d'une cystite chez une patiente connue pour des infections urinaires à répétition. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente un ultrason des voies urinaires qu'elle aura le 19.02.2020 à 12h et sera revue à la filière des urgences ambulatoires. Avant son départ, la patiente nous signale avoir une amélioration des symptômes (diminution de la pollakiurie et des douleurs). Nous proposons un traitement pour une cystite à base de furadantine à réévaluer au contrôle clinique. La culture d'urines revient positive à Aerococcus sanguinicola le 21.02.2020, un germe émergent associé à des infections urinaires. Selon la littérature, un traitement empirique par nitrofurantoïne est jugé efficace pour les infections urinaires basses. • Patiente avec une infection urinaire chez qui nous proposons un traitement par Furadantine. Par ailleurs, la patiente présente une leucopénie probablement dans le contexte de la prise de Fluoxetine. Nous proposons de revoir la Fluoxetine. La patiente sera revue par son médecin traitant dans 1 semaine pour un contrôle clinique. • Patiente avec une plaie du scalp de <1 cm que nous désinfectons abondamment avec de l'Hibidil et réalisons un point de suture pour rapprocher les berges. Nous proposons un traitement antalgique avec de l'Algifor et un contrôle chez son pédiatre dès 48h. • Patiente avec une pyélonéphrite gauche débutante pour qui nous débutons une antibiothérapie à la Rocéphine et relayons avec de la Ciproxine. Du fait de l'absence de médecin traitant, la patiente sera revue à la filière des urgences ambulatoires avec les résultats de l'urotube dans 72 heures. • Patiente ayant présenté un érysipèle de l'hémi-visage gauche à J2 d'une tympanoplastie de type I avec plastie d'élargissement du conduit auditif externe gauche. Hospitalisation pour traitement antibiotique IV et surveillance, avec bonne évolution. La patiente sort ce jour en bon état général. • Patiente cardiopathe ischémique connue admise pour une angioplastie programmée. > Comme convenu, nous avons effectué une angioplastie de la bifurcation MA/RCx avec un stent actif et un bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 1 semaine puis 5 mg (en raison du poids < 60 kg) pour 6 mois, reste du traitement inchangé. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins continus est sans particularités. La patiente quitte notre établissement le 29.02.2020 en conditions générales bonnes. • Patiente cardiopathe ischémique connue avec un status post STEMI postérieur sur occlusion thrombotique aiguë de la circonflexe proximale le 13.02.2020, admise pour une angioplastie programmée. > L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne tri-tronculaire avec bon résultat post-angioplastie de la CX dans le cadre de STEMI et reprise pour angioplastie d'une sténose critique de l'IVA. Après discussion avec Mme. Y, nous avons procédé à une angioplastie de la bifurcation IVA diagonale avec mise en place de 2 stents actifs selon la technique du TAP avec bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois, reste du traitement inchangé. Une demande de réadaptation cardio-vasculaire en ambulatoire a été envoyée. La surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs est sans particularités. La patiente quitte notre établissement le 28.02.2020 en conditions générales bonnes. • Patiente connue pour une scoliose juvénile traitée fonctionnellement. • Patiente convoquée. • Patiente de 101 ans, qui présente une chute accidentelle à domicile sans malaise ou perte de connaissance. La patiente chute dans sa salle de bain accidentellement. Après une station au sol d'environ une heure, elle appelle du secours et les ambulanciers l'amènent aux urgences pour bilan de chute. Dans le cadre du bilan initial, un scanner exclut un saignement intracrânien. Nous ne réalisons pas de bilan de chute supplémentaire au vu de l'absence de piste pour une pathologie spécifique et de l'âge de la patiente car nous ne prévoyons pas de prise en charge thérapeutique spécifique. Sur le plan fonctionnel, la patiente reste asthénique mais se déplace avec un rollator et réalise ses transferts de manière pratiquement autonome. Au vu d'un maintien à domicile jusqu'à ce jour et d'un potentiel de récupération, nous organisons une période de réadaptation à l'UATO pour évaluer la possibilité d'un retour à domicile. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patiente de 13 ans BSH, vierge, se présente en raison des douleurs abdominales en fosse iliaque gauche depuis 2 jours d'apparition brutale, à 8/10, intermittentes, partiellement soulagées par du Dafalgan associées à des vomissements. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité. L'examen clinique d'entrée met en évidence une patiente hémodynamiquement stable et afébrile. L'abdomen est tendu et douloureux en fosse iliaque gauche avec défense sans détente et les loges rénales souples et indolores. Nous effectuons une US qui montre un kyste uniloculaire annexiel gauche de 70x60x50 mm avec ovaire gauche en localisation rétro-utérine et refoulement gauche de l'utérus. Le laboratoire est aligné. L'indication à une prise en charge chirurgicale en urgence est retenue et la patiente bénéficie d'une laparoscopie exploratrice. L'intervention se déroule sans complications le 03.02.2020 et met en évidence une torsion annexielle gauche avec double spire et présence d'un kyste paratubaire gauche. Nous procédons à une détorsion de l'annexe gauche puis à une ponction-kystectomie. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le jour de l'intervention et sera revue à notre consultation dans 3 semaines. Afin d'éviter une récidive de kystes ovariens, nous débutons une pilule oestro-progestative pour une durée de 3 mois débutée à J3 post-opératoire. • Patiente de 13 ans avec un traumatisme de la cheville droite suite à un mécanisme en varus équin. Une entorse du ligament talo-fibulaire antérieur est cliniquement suspectée. Cependant, la radiographie ne permet pas d'exclure une fracture en regard du cartilage de croissance après relecture radiologique et orthopédique. Dans ce contexte, nous traitons la patiente comme telle avec une botte plâtrée et une décharge. La patiente sera revue pour un contrôle clinique à 10 jours à la consultation de l'orthopédiste pédiatrique à Fribourg. • Patiente de 17 ans qui consulte pour un état grippal évoluant depuis 2 semaines avec un état fébrile persistant et, au premier plan, une toux grasse. La radiographie thoracique permet d'exclure une pneumonie. Devant un état général diminué, d'un état fébrile persistant et d'un syndrome inflammatoire à la hausse, nous suspectons une surinfection bactérienne d'une IVRS, pour laquelle nous débutons un traitement empirique par Amoxicilline. • Patiente de 2 ans, en bonne santé habituelle, qui hier est tombée d'un lit superposé sur les pieds. La radiographie du pied gauche ne montre pas de fracture. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve et nous lui conseillons de consulter son pédiatre d'ici 3-4 jours. • Patiente de 20 ans en bonne santé habituelle, 2G1P qui consulte en raison d'une grossesse non désirée à 9 4/7 SA le 01.02.2020 (DDR: 26.10.19), pour laquelle elle a consulté chez sa gynécologue pour une IVG. Elle a reçu la mifégyne le 24.01.20, puis le cytotec le 27.01.20. Elle dit avoir expulsé le sac gestationnel le 27.01.20 et décrit un saignement abondant depuis le 24.01, présence de caillots. Elle a revu sa gynécologue le 29.01 et une US faite le même jour aurait retrouvé une expulsion partielle du sac. Elle lui aurait prescrit du Cytotec 6x/j pendant 48h mais les saignements restent toujours aussi abondants. En raison d'un saignement persistant et d'un endomètre épaissi mesuré à 17 mm à l'échographie du 01.02.20, un curetage hémostatique en U2 est décidé. Les suites sont compliquées par un saignement résiduel pour lequel 25 unités de Syntocinon sont données en post-opératoire. Au réveil, la patiente ne présente pas de douleur. Elle a pu rentrer à domicile le jour même. • Patiente de 21 ans qui est en bonne santé habituelle et qui présente des douleurs abdominales diffuses de type crampiforme depuis 3 jours, accompagnées par plusieurs (environ 5 par jour) épisodes de diarrhées le 30 et le 31.01.2020, arthralgie, myalgie, asthénie, nausées avec vomissements. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques, pas d'anémie, pas de trouble de la crase, bonne fonction rénale, pas de trouble électrolytique. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous lui conseillons un contrôle chez son médecin-traitant dans 3 jours. • Patiente de 21 ans, 1G-0P à 37 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour rupture spontanée des membranes. Le travail est harmonieux sous péridurale et elle donne naissance à une fille pesant 2900 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, en attendant, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Désire sevrage secondaire : 4 comprimés de Dostinex donnés à prendre tous les 12 h sur 48 h. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.02.20, en bon état général. • Patiente de 21 ans chez qui nous mettons en évidence une fracture distale intra-articulaire de la phalange proximale de l'auriculaire gauche pour laquelle nous débutons un traitement conservateur et prévoyons un premier contrôle radio-clinique à 1 semaine. • Patiente de 22 ans, primigeste à 39 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 09.02.2020. Durant le travail, en raison d'une suspicion de chorioamniotite, de la Gentamycine selon protocole est ajoutée au Clamoxyl que la patiente recevait déjà en raison du portage ano-vaginal du Streptocoque groupe B. Elle donne naissance à une fille pesant 3340 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Elle présente le 10.02.2020 une décompensation modérée de son asthme connu dans un contexte de probable virose, avec nette amélioration sous bronchodilatateurs par aérosols (salbutamol et ipratropium). L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 12.02.2020, en bon état général. • Patiente de 23 ans, 1G-0P à 41 0/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 05.02.2020 en vue d'une provocation pour oligoamnios par Propess. Elle donne naissance à une fille pesant 3250 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination chez le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 09.02.2020, en bon état général.Patiente de 24 ans, 1G-0P à 37 0/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 05.02.2020 en vue d'une provocation par Propess pour RCIU et Doppler ombilical pathologique chez un fœtus connu pour suspicion de CIV membraneuse. Après 24h de provocation sans mise en travail avec un CTG suspect, la patiente est demandeuse d'une césarienne. Elle donne naissance à un garçon pesant 2120 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est sevré sur demande de la patiente. La contraception future se fera par pilule progestative. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 12.02.2020, en bon état général. Patiente de 24 ans, 1G-0P à 37+5/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 29.01.2020 pour une rupture prématurée des membranes. Par la suite, mise en travail spontanée. Au vu d'un CTG pathologique en phase expulsive, une indication pour extraction par ventouse est posée. Elle donne naissance à un garçon pesant 3050 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.02.20, en bon état général. Patiente de 24 ans, 1G-0P à 40 5/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Le travail est harmonieux sous Syntocinon. À dilatation complète mise en évidence d'un déficit d'expulsion, raison pour laquelle on a effectué une extraction par ventouse métallique. Elle donne naissance à une fille pesant 3790 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.02.2020, en bon état général. Patiente de 24 ans, 2G-1P à 40 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 08.02.2020 pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance à un garçon pesant 3150 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 10.02.2020 en bon état général. Patiente de 24 ans, 3G 1P à 35 6/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 02.02.2020. Le travail et la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. Elle donne naissance à une fille pesant 2380 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par l'apparition de céphalées accentuées en position debout, avec mise en évidence d'une brèche durale, évaluée par les anesthésistes. Une anesthésie locale du ganglion sphéno-palpatif est effectuée le 03.02.2020 avec résolution incomplète des symptômes, raison pour laquelle un blood patch est effectué le 04.02.2020 avec disparition des céphalées. Sur le plan électrolytique, une hypokaliémie à 2.9 mmol/l est mise en évidence fortuitement, pour laquelle la patiente bénéficie d'une substitution potassique IV puis per os ainsi que l'hypomagnésémie qui est rapidement corrigée par du magnésium per os. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 06.02.2020, en bon état général. Patiente de 25 ans, 1G 0P à 38 5/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective pour présentation podalique le 07.02.2020. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 3400 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 11.02.2020, en bon état général. Patiente de 25 ans, 1G-0P à 40 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour une thrombocytopénie péjorée ce jour à 86 G/l le 03.02.2020. La provocation est débutée par Misoprostol puis poursuivie par Syntocinon. La dilatation est harmonieuse. En raison d'une non-progression de la présentation à épines+2, une instrumentation par ventouse métallique est effectuée. La manœuvre de Jaquemier permet de résoudre une dystocie des épaules, avec naissance d'un garçon de 4150 g, de bonne adaptation néonatale. Une délivrance manuelle est effectuée en l'absence d'une délivrance spontanée. Nous mettons en évidence une déchirure périnéale de degré IIIa, suturée selon la technique habituelle. Nous recommandons la régularisation de transit par des laxatifs, un contrôle US de la musculature anale par le Dr. X dans 6 semaines et une rééducation périnéale dès 6 semaines post-partum. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 08.02.2020, en bon état général. Patiente de 25 ans, 2G-2P à 39+1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour prétravail. Elle bénéficie de la pose d'une anesthésie péridurale. Par la suite, le CTG montre une bradycardie fœtale d'origine indéterminée avec un col à 2 doigts larges. Nous posons l'indication à une césarienne en urgence extrême. L'intervention se déroule sans complication et elle donne naissance à un garçon pesant 3510 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.02.2020, en bon état général. Patiente de 25 ans, 3G 2P à 27 2/7 SA le 11.09.2019, suivie pour un hématome sous-membranaire amniotique stable connu depuis 19 1/7 SA avec saignement vaginal régulier, qui consulte ce jour pour un saignement vaginal rouge plus important. Elle ne décrit pas de douleurs abdominales, pas de perte de liquide amniotique et les mouvements fœtaux sont bien ressentis. Elle ne présente pas de symptômes urinaires ni digestifs. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable. Le spéculum montre un saignement actif de sang brun, un col long fermé. L'ActimProm est faiblement positif. L'US transvaginal montre un col long et l'US abdominale montre un fœtus en siège, PFE 1259 g (03.09.2019) une excellente vitalité fœtale et une bonne quantité de liquide amniotique avec un hématome sous-membranaire amniotique de 2 x 1 cm. US transvaginal montre un col long de 3.5 cm, fermé. L'HbF est à 1 ce jour (HbF le 10.09.2019 à 0). Dans ce contexte, la patiente est transférée à Bern pour la prise en charge. • Patiente de 25 ans, 3G-2P à un terme inconnu, admise en salle d'accouchement le 22.02.2020 pour mise en travail spontanée après une grossesse marquée par un déni de grossesse jusque-là. A l'échographie d'entrée, fœtus en présentation céphalique, Manning 8/8, liquide amniotique en ordre, PFE à 3400 g, Doppler ombilical IP 0.90, placenta postérieur fundique. Le travail se déroule d'une façon harmonieuse. Elle donne naissance à un garçon pesant 3450 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. La patiente a bénéficié d'un soutien psychologique dans le post-partum. Elle a montré une bonne acceptation du bébé, avec une bonne relation mère-enfant et d'être capable de répondre aux besoins de l'enfant. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.02.2020, en bon état général. • Patiente de 26 ans, 2G-1P à 41 SA 1/7, admise en salle d'accouchement pour césarienne élective pour antécédent de césarienne et refus d'AVAC. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance à une fille de 3440 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites du post-partum sont simples, hormis le développement d'une otite moyenne traitée par antibiotique. La patiente désire sevrage primaire réalisé par Dostinex 1 mg cpr po OU. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 24.02.2020 avec son bébé. • Patiente de 26 ans, 3G-2P à 40 3/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 02.02.2020. Le travail se déroule harmonieusement. Elle donne naissance à un garçon pesant 4330 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 05.02.2020, en bon état général. • Patiente de 26 ans, 4G-2P à 39 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 06.02.2020. Le travail est harmonieux et elle donne naissance à un garçon pesant 3500 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 08.02.2020, en bon état général. • Patiente de 26 ans, 4G-2P à 40 2/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané le 31.01.2020. La dilatation est harmonieuse sous péridurale et elle donne naissance à un garçon pesant 4350 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par des céphalées en position debout, avec mise en évidence d'une brèche durale suite à la péridurale. L'équipe anesthésique propose un traitement par bloodpatch, effectué le 03.02.2020 avec résolution des symptômes. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 04.02.2020, en bon état général. • Patiente de 27 ans, 1G-0P à 38 5/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective pour présentation podalique. L'intervention se déroule sans complication. La patiente donne naissance à une fille pesant 3140 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.02.2020, en bon état général. • Patiente de 27 ans, 1G-0P à 38 3/7 SA, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes. Au vu de l'absence d'une mise en travail spontanée et une rupture prolongée des membranes, une provocation de l'accouchement est faite par Misoprostol. Par la suite, le travail et la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. En phase exclusive, mise en évidence d'un CTG intermédiaire, raison pour laquelle une indication à extraction par venteuse est posée. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3660 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.02.2020, en bon état général. • Patiente de 28 ans, 1G-0P à 40 2/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance à une fille pesant 2790 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.02.2020, en bon état général. • Patiente de 28 ans, 1G-0P à 41 1/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 22.02.2020. Le travail est dystocique et soutenu par Syntocinon sous péridurale. Un défaut d'engagement complique le travail, raison pour laquelle nous posons l'indication à une césarienne en urgence qui se déroule sans complications. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3710 g, de mauvaise adaptation néonatale et qui est hospitalisé en néonatologie pour détresse respiratoire. Par la suite, en raison d'une bonne évolution, le nouveau-né rentre de la néonatologie à J2 de vie. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.02.2020, en bon état général. • Patiente de 28 ans, 2G-1P à 41 0/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 04.02.2020. Le travail et la dilatation se déroulent harmonieusement. Elle donne naissance à une fille pesant 3830 g, avec détresse respiratoire à la naissance et prise en charge par la néonatologie. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel est sevré sur la demande de la patiente. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 08.02.2020, en bon état général. • Patiente de 28 ans, 3G-2P à 38 4/7 SA, admise en salle d'accouchement le 31.01.2020 en vue d'une césarienne élective bi-itérative avec désir de contraception par stérilisation tubaire. L'intervention se déroule sans complication et elle donne naissance à une fille pesant 2840 g, de bonne adaptation néonatale.Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 03.02.2020 en bon état général. • Patiente de 28 ans, 3G-2P à 40 5/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 29.01.2020 en vue d'une provocation pour suspicion de choléstase gravidique. Elle bénéficie d'une provocation par Misoprostol, ballonnet et rupture artificielle des membranes. Par la suite, le travail est harmonieux sous péridurale et elle donne naissance à une fille pesant 3410 g, de bonne adaptation néonatale. • Les suites post-partales sont simples. • L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. • La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.02.20, en bon état général. • Patiente de 28 ans, 4G-2P à 38 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective pour présentation podalique le 07.02.2020. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 2850 g, de bonne adaptation néonatale. • Les suites post-partales sont simples. • L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. • La contraception future se fera par préservatif. • Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 10.02.2020, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 1G0P à 41 3/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour terme dépassé le 30.01.2020. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 30.01.2020 dans la nuit, puis poursuite de la provocation par ballonnet Foley. Par la suite, dilatation harmonieuse soutenue par Syntocinon. En raison d'un CTG suspect, l'indication à une instrumentation par ventouse Kiwi à épines + 2 est posée. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3370 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 05.02.2020, en bon état général. • Patiente de 29 ans, ayant subi une opération le 03.01.2020, suite à laquelle elle présente des symptômes de dénervation vésicale. Nous la convoquons dans notre service le 21.01.2020 et nous lui apprenons l'auto-sondage vésical afin d'éviter les rétentions urinaires et dans le but d'une rééducation vésicale à long terme. La consultation se déroule sans complication et la patiente regagne son domicile le jour même, avec un contrôle prévu à notre consultation le 12.02.2020. • Patiente de 29 ans connue pour un status après laparotomie selon Pfannenstiel (avec ouverture verticale de l'aponévrose) et annexectomie droite le 29.01.2020 suite à une masse abdomino-pelvienne d'origine indéterminée qui se présente actuellement car son drain d'aspiration n'est plus fonctionnel depuis ce matin. Vu l'examen clinique rassurant, nous effectuons le changement du redon. Un contrôle clinique est prévu le 04.02.2020 au service de gynécologie de l'HFR Fribourg. • Patiente de 29 ans qui est actuellement traitée par Co-Amoxicilline suite à une pneumonie basale droite et qui présente des douleurs épigastriques, accompagnées de nausées et une perte d'appétit depuis 3 jours. Au vu de l'examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement par Nexium et Motilium. Contrôle clinique chez son médecin traitant dans 3 jours. • Patiente de 29 ans, 2G0P à 40 6/7 SA, admise en salle d'accouchement le 30.01.2020 pour rupture prématurée des membranes. Après une expectative de 24 heures, nous débutons une provocation par Misoprostol puis Syntocinon. Par la suite, le travail est harmonieux sous anesthésie péridurale. En fin de travail, en raison d'un état fébrile, d'une tachycardie fœtale, nous avons une suspicion de chorioamnionite et nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl et Gentamicine. En raison d'un CTG pathologique, nous posons l'indication à une extraction par ventouse Kiwi à épines + 2. La patiente donne naissance à une fille pesant 3190 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 03.02.2020, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 2G-0P à 39 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Le travail est harmonieux sous péridurale et elle donne naissance à un garçon pesant 3530 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.01.2020, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 3G1P à 37 0/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour HTA gestationnelle borderline. Elle bénéficie d'une provocation par Misoprostol débutée le 20.02.2020. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. La patiente donne naissance à un garçon pesant 2850 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples, les valeurs de tension artérielle sont restées dans la norme, sans besoin de traitement. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1 fois par jour est mise en place. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.02.2020, en bon état général. • Patiente de 30 ans, 1G 1P à 39 6/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Le travail se déroule de façon dystocique et un diagnostic de défaut d'engagement est posé avec, par la suite, décision de césarienne en urgence acceptée par la patiente. L'intervention se déroule sans complication. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3520 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.02.2020, en bon état général. • Patiente de 30 ans, 1G-0P à 26 4/7 semaines d'aménorrhée (TP: 10.05.2020) d'une grossesse gémellaire bi-choriale bi-amniotique le 06.02.2020 admise pour une cure de maturation pulmonaire pour un col à 8.8 mm mesuré ce jour en contrôle prénatal (17 mm il y a 7 jours), chez une patiente qui ne se plaint pas de contractions utérines. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable. Le laboratoire d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire, le stix urinaire est propre. Le CTG est réactif non pathologique pour les deux fœtus, présence d'élévations de tonus non ressenties par la patiente. L'échographie faite ce jour montre deux fœtus en présentation céphaliques d'excellente vitalité avec une quantité de liquide amniotique normale, avec un col à raccourci à 8 mm. Le col reste stable à cette mesure après quelques heures.A noter que la patiente est traitée par Nifédipine 20 mg retard 3x/j et Utrogestan 200 mg 1x/j depuis le 23.01.2020. Dans ce contexte, la patiente bénéficie d'une première dose de Celestone le 06.02.2020 à 17h00. Elle reste stable sans nouvelles plaintes et les CTG sont réactifs non pathologiques avec, au tocogramme, des élévations de tonus. Après discussion avec la patiente et le Dr. X, nous décidons de transférer la patiente dans un centre universitaire. La patiente part dans le service du pré-natal au CHUV le 07.02.2020. • Patiente de 30 ans, 1G-0P à 41 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes. Pour la suite, mise en travail spontané. La dilatation se déroule de manière harmonieuse. Elle donne naissance à un garçon pesant 3100 g, de bonne adaptation néonatale. La délivrance placentaire est compliquée d'une hémorragie du post-partum sur rétention de matériel placentaire et atonie utérine, nécessitant une révision des 3 étages au bloc opératoire. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.02.2020, en bon état général. • Patiente de 30 ans, 1G-0P à 41 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour dépassement de terme le 03.02.2020. Elle bénéficie de la prise de Misoprostol et le travail est soutenu par Syntocinon. En raison d'une rupture de membranes de >18h (rupture spontanée des membranes 8h après le début de la provocation), la patiente bénéficie d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl selon schéma habituel. En phase d'expulsion, au vu d'un CTG intermédiaire, l'indication à une instrumentation par ventouse Kiwi est posée après une EMLD. Elle donne naissance à une fille pesant 3320 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. La plaie de l'épisiotomie est propre et calme. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative. La vaccination de la rubéole sera à effectuer dans le post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 07.02.2020, en bon état général. • Patiente de 30 ans, 2G-1P à 34 4/7 semaines d'aménorrhée, admise dans notre unité pour des contractions utérines ressenties environ toutes les 3 minutes, apparues le 19.02.2020 dans l'après-midi. Pas de trouble du transit, pas de plainte urinaire, pas d'état fébrile, pas de perte vaginale. Elle ressent bien les mouvements fœtaux. A l'examen clinique, on trouve des constantes alignées, un abdomen souple, indolore, et au spéculum : écoulements physiologiques. Le toucher vaginal, fait à 00h30, met en évidence un col postérieur, mou, 1 cm de long, 2 cm de large, PC haute. Au cours de son hospitalisation, la patiente observe une diminution des contractions utérines ressenties. Au CTG, les contractions étaient initialement à 4/10 min, et le 20.02.20 à 2-3/10 min. Le col utérin est réévalué à 11h le 20.02.2020, inchangé par rapport à la veille. Après discussion avec la patiente, nous proposons un retour à domicile avec Bryophyllum 2 cp 4x/j et un prochain contrôle à votre consultation à 36 semaines d'aménorrhée. • Patiente de 30 ans, 3G-1P à 38 6/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 03.02.2020. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse et rapide. Elle donne naissance à un garçon pesant 3080 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 06.02.2020, en bon état général. • Patiente de 30 ans, 3G-2P à 10 3/7 semaines d'aménorrhée (date des dernières règles 20.11.2019) adressée par son gynécologue traitant en raison d'une GNE de 6 semaines d'aménorrhée selon US et suspicion mole. Prise du Cytotec (27.01 et 28.01) avec pertes rouges et des caillots associées aux douleurs abdominales crampiformes. A l'entrée, la patiente est hémodynamiquement stable. Elle rapporte pas de saignement, quelques douleurs abdominales stables, crampiformes, type règles, pas de prise d'antalgie. Pas de trouble mictionnel, quelques nausées, pas de vomissement, pas de trouble digestif, pas d'état fébrile. Nous effectuons un US qui montre un sac gestationnel déformé et un endomètre hétérogène à 33 mm sans prise de Doppler. Le bilan sanguin retrouve une B-HCG à 58181 U/L. L'indication à une prise en charge chirurgicale est retenue et la patiente bénéficie d'un curetage évacuateur. L'intervention se déroule sans complication. Le matériel est envoyé pour analyses anatomopathologiques. Les suites de l'hospitalisation sont simples et la patiente reste afébrile et nous autorisons une sortie le jour même. La patiente rentre à domicile avec des conseils d'usage. • Patiente de 30 ans, 3G-2P à 40 1/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant et suspicion de macrosomie par Syntocinon. Elle donne naissance à une fille pesant 4400 g (>p95), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Concernant la notion de violence conjugale, la situation du couple est déjà connue par la Justice de paix et un suivi par notre sage-femme conseil est en place. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 04.02.2020, en bon état général. • Patiente de 31 ans, 1G-0P à 39 SA, admise en salle d'accouchement le 08.02.2020 pour mise en travail spontanée. Le travail est harmonieux dans la baignoire et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2790 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 11.02.2020, en bon état général. • Patiente de 31 ans, 1G-0P à 40+3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Le travail est harmonieux sous péridurale. Elle donne naissance à un garçon pesant 3620 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son nouveau-né le 02.02.2020, en bon état général. • Patiente de 31 ans, 2G-0P à 40 3/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané le 02.02.2020. En raison d'un CTG pathologique, l'indication à une instrumentation par ventouse Kiwi est posée. La patiente donne naissance à une fille pesant 2610 g (p<3), de bonne adaptation néonatale. La délivrance est incomplète, raison pour laquelle une révision utérine sous péridurale est effectuée, avec mise en évidence de restes de membranes.Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 05.02.2020, en bon état général. Patiente de 31 ans, 2G 1P à 40 0/7 SA, admise en salle d'accouchement le 22.02.2020 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel non insulino-requérant. Elle est provoquée par Cytotec puis Propess. Par la suite, le travail est harmonieux sous anesthésie péridurale. La patiente donne naissance à une fille pesant 3990 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.02.2020, en bon état général. Patiente de 31 ans, 2G 1P à 41 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. À son arrivée, la patiente est à 5 cm de dilatation. La suite de la dilatation se déroule harmonieusement. La patiente donne naissance à une fille pesant 3040 g, de bonne adaptation néonatale. Selon le désir de la patiente, elle est adressée à la maison de naissance du Petit Prince pour suite des couches. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente quitte notre service avec son bébé le 04.02.20, en bon état général. Patiente de 31 ans, 2G-0P à 38 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 31.01.2020 pour rupture prématurée des membranes depuis le 28.01.2020. Nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl après 18 h de la rupture et provocation par Propess après 24 heures d'expectative sans mise en travail spontané. L'accouchement est instrumenté par forceps pour non-progression de la présentation après une EMLD. Elle donne naissance à un garçon pesant 3270 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 06.02.2020, en bon état général. Patiente de 31 ans, 3G-1P à 39 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes et par la suite mise en travail spontanée le 12.02.2020. Elle donne naissance à une fille pesant 3060 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 16.02.2020, en bon état général. Patiente de 32 ans, enceinte de 14 semaines, hospitalisée dans le contexte d'une grippe à Influenza A. Elle est adressée par le médecin de garde en raison d'un état fébrile avec toux productive, légère dyspnée et plusieurs épisodes de vomissements depuis 2 jours. À son arrivée, Mme. Y rapporte également des douleurs thoraciques péjorées lors de la toux et en position couchée. Au niveau biologique, un important syndrome inflammatoire motive l'introduction d'une antibiothérapie IV avec relais per os par la suite. La patiente est alors hospitalisée en médecine interne. Un frottis revient positif pour une grippe Influenza A. Nous décidons de poursuivre l'antibiothérapie chez cette patiente enceinte malgré pour couvrir une possible infection bactérienne concomitante. Un traitement par Tamiflu n'est pas introduit en raison de symptômes durant plus de 48 heures. La patiente bénéficie d'un contrôle gynécologique montrant une grossesse d'évolution normale : Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 10.02.2020 et consultera son médecin traitant prochainement pour un contrôle. Patiente de 32 ans, 1G0P à 40 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 06.02.2020. En raison d'un CTG pathologique à 4 cm de dilatation, nous posons l'indication à une césarienne en urgence. Elle donne naissance à un garçon pesant 3820 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le status vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 10.02.2020, en bon état général. Patiente de 32 ans, 1G0P à 41 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 04.02.2020 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess, d'un ballonnet puis poursuite de la provocation par Misoprostol. En raison d'un échec de provocation, l'indication à une césarienne est posée et acceptée par la patiente. Elle donne naissance à une fille pesant 4070 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 10.02.2020, en bon état général. Patiente de 32 ans qui présente une prostatite. Une culture d'urine est réalisée et une antibiothérapie empirique par Ciprofloxacine pour 2 semaines est débutée. Au vu d'un 2ème épisode d'infection urinaire chez ce patient jeune, décrivant par ailleurs déjà des symptômes de prostatisme, nous recommandons une consultation chez un urologue à distance. Patiente de 33 ans en bonne santé habituelle qui nous est transférée des Urgences de Fribourg le 03.02.2020 dans le contexte d'une baisse de l'état général sur gastroentérite. Pour rappel, la patiente décrit un voyage au Kenya pendant les jours de fêtes où elle a été traitée pour une suspicion de Malaria. Aux Urgences à Fribourg, elle décrit un épisode fébrile avec frissons associé à des arthralgies/myalgies diffuses et des diarrhées florides. La patiente est fortement déshydratée. Le laboratoire réalisé aux urgences révèle un test de Malaria négatif, une absence de syndrome inflammatoire tout comme des électrolytes, tests hépatiques et une lipase dans la limite de la norme. A l'étage de médecine à Meyriez, la patiente est réhydratée par intraveineux. Elle est placée en isolement gouttelettes. Cet isolement peut être levé le 05.02.2020 après une évolution favorable avec 24 heures sans selles. En l'absence de selles, nous n'avons pas pu réaliser de cultures de selles. La cause exacte des diarrhées reste donc indéterminée. La patiente décrit des douleurs persistantes à la palpation au niveau du cadrant inférieur droit. Au vu de l'évolution clinique favorable et du laboratoire favorable, nous attribuons ces douleurs à la gastroentérite et ne réalisons pas d'examens supplémentaires. Nous proposons à la patiente de reconsulter en cas de persistance du tableau clinique. La patiente rentre à la maison le 06.02.2020. Patiente de 33 ans hospitalisée de manière élective pour une radiothérapie à l'iode radioactif qui se déroule du 17.02.2020 au 19.02.2020. La thérapie se déroule sans complications. La scintigraphie à l'iode après le traitement met en évidence deux métastases ganglionnaires probables. Un suivi par échographie et thyroglobuline est proposé par nos collègues de la médecine nucléaire. La patiente aura un rendez-vous de suivi chez le Dr. X le 05.03.2020.Elle rentre à domicile le 19.02.2020. • Patiente de 33 ans, 1G 0P à 36 6/7 SA, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes le 31.01.2020. Après une attitude expectative de 24h sans mise en travail spontané, une provocation par Misoprostol est débutée puis poursuivie par Syntocinon iv. En raison d'une non-progression de la présentation, l'indication à une extraction par ventouse Kiwi est posée. Elle donne naissance le 01.02.2020 à une fille pesant 2550 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 06.02.2020, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 2G devenue 2P à 42 0/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie d'une provocation par Syntocinon, la dilatation est harmonieuse et l'accouchement est spontané. Les suites post-partales sont simples. La contraception future se fera par préservatif. Selon désir maternel, la patiente est transférée à la maison de naissance du Petit Prince pour suite de couche à J1 soit le 03.02.2020. • Patiente de 33 ans, 2G 1P à 38 4/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation par Misoprostol pour HTA gestationnelle symptomatique. La patiente consulte le 19.02.2020 pour des céphalées et un épisode de vomissements survenus le matin. Elle présente une tension artérielle de 153/91mmHg au maximum, sans symptôme de pré-éclampsie avec un bilan de gestose aligné. Vu la présence de tensions labiles, la décision de déclenchement de l'accouchement est prise. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3460 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.02.2020, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 2G-1P à 38 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 11.02.2020. Elle donne naissance à une fille pesant 3530 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 13.02.2020, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 2G-1P à 39 2/7 semaines d'aménorrhée, adressée en salle d'accouchement par le Petit Prince pour une pose de péridurale avec un col dilaté à 6 cm à midi, lors du transfert. Lorsque la patiente est installée à 12h30, le col est à dilatation complète. En raison d'une bonne progression, une péridurale n'a pas pu être mise en place, mais la patiente est partiellement soulagée par Kalinox. Elle donne naissance à une fille pesant 4020 g, de bonne adaptation néonatale. La contraception future se fera par préservatif. Sur désir maternel, la patiente est réadressée au Petit Prince à J0 pour les suites de couches. • Patiente de 33 ans, 3G-2P à 41 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation par Syntocinon pour dépassement de terme. Le travail est harmonieux. En phase expulsive mise en évidence d'une bradycardie fœtale pour laquelle une indication à une extraction par ventouse Kiwi est posée. Elle donne naissance à un garçon pesant 3330 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.02.2020, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 3G-3P qui a consulté sa gynécologue traitante ce jour en raison de métrorragies importantes depuis 3 semaines en augmentation les derniers jours, avec des caillots et mise en évidence d'un hématomètre, raison pour laquelle la patiente est adressée pour suite de prise en charge. A noter que la patiente est sous Depo-Provera depuis 2015 avec dernière injection il y a 3 mois. A l'entrée, elle est hémodynamiquement stable. L'examen au spéculum met en évidence du sang frais avec des caillots sans saignement actif. Nous effectuons une US qui montre un endomètre hétérogène à 18 mm sans prise de Doppler. L'indication à une prise en charge chirurgicale est retenue et la patiente bénéficie d'un curetage hémostatique et diagnostique. L'intervention se déroule sans complication. Les suites de l'hospitalisation sont simples et la patiente reste afébrile et nous autorisons une sortie le jour même. Nous introduisons un traitement hormonal par patch d'Estrogen pour une durée de 2 semaines. La patiente rentre à domicile avec des conseils d'usage. • Patiente de 34 ans, 2G 1P à 37 5/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant par Misoprostol. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent ensuite rapidement et harmonieusement. Elle donne naissance à une fille pesant 2660 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif dans un premier temps, puis par DIU. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 05.02.2020, en bon état général. • Patiente de 34 ans, 2G-0P à 39 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 12.02.2020 pour une mise en travail spontanée. Le travail est soutenu par Syntocinon, mais en raison d'une non-progression de la dilatation à 6 cm, l'indication à une césarienne est posée. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3530 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. En raison d'une anémie symptomatique à 78 g/l, la patiente bénéficie d'un culot érythrocytaire le 13.02.2020. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 16.02.2020, en bon état général. • Patiente de 34 ans, 3G-1P à 40 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 06.02.2020 pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance à une fille pesant 3210 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 09.02.2020, en bon état général. • Patiente de 34 ans, 4G 2P à 39 4/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 31.01.2020. Le travail est harmonieux sous péridurale et elle donne naissance à un garçon pesant 3230 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication.La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le médecin généraliste. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 03.02.2020 en bon état général. • Mme. Y, 34 ans, 4G 3P à 37 2/7 SA, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes. Après une attitude expectative de 24h, Mme. Y se met spontanément en travail. Ce dernier ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. • Elle donne naissance à une fille pesant 3150 g, de bonne adaptation néonatale. • Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. • La contraception future se fera par pilule, dans l'attente Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 22.02.2020, en bon état général. • Mme. Y, 35 ans en bonne santé habituelle, consulte ce jour les urgences après une perte de connaissance d'une durée de 30 secondes survenue dans le bus au travail vers 7h30 ce matin. Mme. Y décrit avoir ressenti un coup de chaleur avec un voile noir, des sifflements dans l'oreille gauche et des douleurs abdominales juste avant la perte de connaissance. Elle décrit avoir perdu les urines, pas de morsure de langue. Des témoins disent avoir vu des convulsions au moment de la crise. Glissement depuis la position assise sans TC. Lors de la phase post-critique, Mme. Y dit avoir eu des faiblesses musculaires dans les jambes avec démarche ébrieuse associée à une fatigue mais orientée dans les 3 modes. Mme. Y a pris un Dafalgan 1g sans effet sur les douleurs abdominales. • Mme. Y avait présenté un épisode similaire le samedi 25.01.19 avec voile noire, coup de chaleur et douleur abdominale mais sans perte de connaissance. • Mme. Y dit se sentir plus fatiguée ces dernières semaines, pas de perte de poids, pas de sudation nocturne. • Traitement habituel : pilule contraceptive. • Pas d'allergie. A l'examen clinique réalisé aux urgences : • Général : état général conservé, orientée dans les 3 modes, apyrétique, acyanotique. • Neuro : GCS 15/15, pupilles iso-chores, iso-réactives. Nerfs crâniens sp, Force et sensibilité conservées aux 4 membres, ROT symétriques aux 4 membres, réflexe cutané-plantaire en flexion ddc. Epreuve des bras tendus maintenues. Epreuves cérébelleuses dans la norme. • Abdo : Bruits intestinaux normaux en tonalité et fréquences, abdomen souple et indolore à la palpation, Murphy négatif. • ORL : otoscopie : tympan gauche non érythémateux, sans collection rétro-tympanique. Tympan droit non visualisé. Le bilan biologique montre une leucocytose à 43 G/l avec une bicytopénie (Thrombo 74; Hb 108). Une gazométrie artérielle montre un pH dans la norme, lactate dans la norme. Nous avons demandé un avis au Dr. X : transfert aux urgences de Fribourg. • Mme. Y, 35 ans, 1G 0P à 37 5/7 SA, admise en salle d'accouchement le 18.02.2020 pour rupture prématurée des membranes. Après une attitude expectative de 24h, nous débutons une provocation par Misoprostol. Par la suite le travail est soutenu par Syntocinon. Au vu d'une non-progression de la présentation, une instrumentation par forceps est nécessaire. • Mme. Y donne naissance à un garçon pesant 2940g, de bonne adaptation néonatale. • Les suites post-partales sont simples. Mme. Y demande un sevrage secondaire médicamenteux. • La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 23.02.2020 en bon état général. • Mme. Y, 35 ans, 2G 1P à 39 3/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance à une fille pesant 2900 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule, dans l'attente Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 27.02.2020, en bon état général. • Mme. Y, 35 ans, 2G 1P à 40 1/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective itérative le 31.01.2020. L'intervention se déroule sans complication et elle donne naissance à un garçon pesant 3870 g, de bonne adaptation néonatale. • Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est sevré secondairement sur demande de Mme. Y. • La contraception future se fera par pilule progestative. • Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 04.02.2020, en bon état général. • Mme. Y, 35 ans, 2G-0P à 38 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective pour siège le 13.02.2020 après échec de version manuelle externe le 31.01.2020. L'intervention se déroule sans complication et elle donne naissance à un garçon pesant 2950 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Les tensions artérielles sont stables autour de 130/80 mmHg. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Mme. Y part effectuer le reste du séjour du post-partum au Petit Prince le 14.02.2020, en bon état général. • Mme. Y, 35 ans 2G-2P connue pour de multiples antécédents gynécologiques dont un statut post-hystérectomie pour dysplasie cervicale de haut grade et une suspicion de colique néphrétique, se présente pour la deuxième fois en urgence, dans la nuit du 10 au 11.02.2020, en raison de douleurs en fosse iliaque gauche depuis 6 jours en péjoration sans amélioration sous antibiothérapie par Ciprofloxacine initiée par son médecin traitant le 05.02.2020 en raison d'une infection urinaire. Un CT scan abdominal effectué au Daler le 05.01.2010 a mis en évidence la présence d'une lithiase au niveau caliciel gauche de 5 x 3 mm et une lésion kystique annexielle gauche de 4,8 cm de diamètre transverse. À l'entrée, Mme. Y est hémodynamiquement stable et afébrile. L'examen clinique démontre une défense sans détente en fosse iliaque gauche. Un CT injecté retrouve le kyste ovarien multiloculé à gauche agrandi en taille mesurant 74 x 58 x 74 mm. L'US confirme la présence de ce kyste biloculaire avec une lame de liquide libre dans le douglas. Dans ce contexte, nous posons l'indication à une laparoscopie exploratrice en urgence le 11.02.2020. L'intervention se déroule sans complication le 11.02.2020. Nous pratiquons une adhésiolyse puis kystectomie ovarienne gauche. Les suites post-opératoires sont simples et Mme. Y reste afébrile. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le jour de l'intervention. • Mme. Y, 35 ans, 3G-2P à 40 2/7 SA, admise en salle d'accouchement le 24.02.2020 en vue d'une provocation pour suspicion de macrosomie par Misoprostol, suivi par Propess et ballonnet. Mme. Y donne naissance à une fille pesant 3870 g (p75-p90), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle post-partum, dans l'attente Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin généraliste. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y part effectuer la suite du post-partum au Petit-Prince le 25.02.2020. Patiente de 35 ans, 3G-2P à 40 2/7 semaines d'aménorrhée, connue pour deux antécédents d'accouchement par césarienne pour désir maternel, et avec un désir d'accouchement par voie basse pour son 3ème enfant, admise en salle d'accouchement pour une suspicion de pré-travail. Elle ressent des contractions irrégulières mais douloureuses apparues vers début de soirée. Le matin, après une nuit de contractions sans modifications du col de l'utérus, discussion avec le Dr. X par rapport à la voie d'accouchement. La patiente est d'accord pour un accouchement par césarienne. L'intervention se complique avec perforation de la vessie, raison pour laquelle une antibioticothérapie a été débutée et une sonde vésicale est mise en place. L'intervention a été compliquée également par une hémorragie de l'hystérotomie et des varices du dôme vésical avec des pertes estimées à 1000 cc. Elle donne naissance à une fille pesant 3430 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. À la prise de sang de contrôle, mise en évidence d'une anémie avec Hb à 90 g/L corrigée par traitement du fer po. La contraception future se fera par vasectomie du conjoint, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.02.2020, en bon état général, avec la sonde urinaire en place et l'antibioticothérapie à poursuivre. Patiente de 35 ans, 4G-3P à 40 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 14.02.2020 pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance à une fille pesant 2690 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 16.02.2020, en bon état général. Patiente de 35 ans qui présente une infection urinaire basse non compliquée que nous traitons par une dose unique de Fosfomycine. Patiente de 36 ans, 3G-2P à 39 1/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective bi-itérative. L'intervention se déroule sans complication. La patiente donne naissance à un garçon pesant 4090 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.02.2020, en bon état général. Patiente de 36 ans, 4G-2P à 39 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 12.02.2020 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant et suspicion de macrosomie. À l'admission, la patiente refuse catégoriquement la provocation et souhaite une césarienne. La patiente a été informée des risques et signe le consentement. L'intervention se déroule sans complication le jour même. Elle donne naissance à un garçon pesant 3930 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 16.02.2020, en bon état général. Patiente de 36 ans, 5G-1P, qui consulte aux urgences à 35 0/7 SA pour saignement vaginal d'apparition brutale sans douleur abdominale associée. À l'examen clinique, CTG réactif non pathologique sans contractions. L'échographie montre un fœtus vital, poids présumé de 2409 g, LA dans la norme, Doppler ombilical et cérébral moyen dans la norme, placenta postérieur, pas d'image claire évoquant un décollement placentaire mais suspicion de saignement marginal spontané non écarté. La patiente est hospitalisée pour surveillance. Depuis son hospitalisation, la patiente n'a plus présenté d'épisodes de saignement, CTG réactif non-pathologique. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 24.02.2020. L'échographie avant la sortie montre un placenta normo-inséré sans signes de décollement, LA dans la norme et Doppler ombilical et de l'artère cérébrale moyenne dans la norme. Patiente de 36 ans, 5G-3P à 37 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective tri-itérative. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 2550 g qui a présenté une détresse respiratoire nécessitant une prise en charge en néonatologie. Il rejoint sa mère dans le service de la maternité le 18.02.2020. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet hormonal, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.02.2020, en bon état général. Patiente de 36 ans, 6G-5P à 38 6/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontané. Le travail et la dilatation se déroulent d'une façon harmonieuse. Elle donne naissance à une fille pesant 2570 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.02.2020, en bon état général. Patiente de 36 ans qui consulte aux urgences le 04.02.20 pour un trauma de son 4ème orteil droit la veille au soir. Une fracture est exclue à la radiographie. La patiente rentre à domicile avec un traitement conservateur. Patiente de 37 ans, 2G-1P à 40 SA, admise en salle d'accouchement le 01.02.2020 pour mise en travail spontanée. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3010 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 04.02.2020, en bon état général. Patiente de 37 ans, 2G-0P à 36 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 10.02.2020 en vue d'une césarienne élective pour grossesse gémellaire bi-choriale bi-amniotique avec RCIU de J1. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à deux filles pesant respectivement 1760 g et 2660 g, avec séjour en néonatologie. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 16.02.2020, en bon état général. Patiente de 37 ans, 3G-2P à 38 4/7 SA, admise en salle d'accouchement pour une rupture prématurée des membranes. Une prophylaxie par antibiotique est mise en place pour positivité à Streptocoques de groupe B et un déclenchement de l'accouchement par Misoprostol est débuté. Par la suite travail soutenu par Syntocinon iv. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3350 g, de bonne adaptation néonatale.La patiente a un planning familial terminé et elle souhaite une contraception définitive par stérilisation tubaire. L'intervention est faite dans l'immédiat du post-partum et se déroule sans complications. Par la suite, les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.02.2020, en bon état général. • Patiente de 37 ans, 3G-1P, en bonne santé habituelle, avec grossesse harmonieuse, qui se présente pour des contractions utérines douloureuses ayant débuté dans la nuit du 01 au 02.02.20, sans plainte urinaire ni du transit. Pas d'écoulement vaginal. Une échographie faite le 01.02 montre une présentation céphalique, dos à gauche, placenta antérieur, Manning 8/8 et une grande citerne à 6.9 cm. À l'examen au spéculum, le col est postérieur, long de 2 cm, 1 doigt large, pertes vaginales physiologiques. Durant son hospitalisation, les contractions ressenties diminuent en intensité et en fréquence sous Bryophyllum et traitement antibiotique par Monuril. Au toucher vaginal, le col utérin reste inchangé par rapport à l'entrée, c'est-à-dire postérieur, long de 2 cm, 1 doigt large. Le CTG à la sortie : tracé réactif non pathologique avec 2 contractions utérines par 10 minutes, faiblement ressenties, non douloureuses. Au vu de la stabilité de la situation, la patiente a pu rentrer à domicile le 02.02.20. • Patiente de 38 ans, 2G-1P, à 38 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 05.02.2020, en vue d'une césarienne élective pour désir maternel. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3750 g. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est sevré sur demande de la patiente. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 09.02.2020, en bon état général. • Patiente de 38 ans, 6G-4P, à 38 1/7 SA, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 21.02.2020 et un deuxième Propess le 22.02.2020. Par la suite, le travail est harmonieux. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3230 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.02.2020, en bon état général. • Patiente de 39 ans, connue pour malformation cervicale avec fusion des corps vertébraux de C2 et C3 et hémivertèbre C3 sur agénésie facettaire gauche, a consulté hier suite à un accident au ski. Ce jour, la patiente a été reconvoquée pour faire un CT-Scan cervical. Le CT-Scan cervical ne montre pas de fracture ni luxation du rachis cervical. Fusion des corps vertébraux de C2 et C3 avec hémivertèbre C3 sur agénésie facettaire gauche. Déviation dextro-convexe du rachis cervical. Alignement antérieur et postérieur conservé. Pas de tuméfaction des tissus mous pré-vertébraux. La patiente peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. • Patiente de 39 ans, 2G-0P, à 37 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 09.02.2020 pour mise en travail spontanée. Le travail se déroule de manière harmonieuse. Durant les poussées actives, en raison d'un CTG pathologique et d'une présentation céphalique aux épines +2, nous posons l'indication à une instrumentation par ventouse métallique. Elle donne naissance à un garçon pesant 2580 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 13.02.2020, en bon état général. • Patiente de 40 ans qui a été opérée au CHUV le 04.12.2020 suite à une fracture du 5ème métacarpe gauche déplacée et réopérée le 23.01.2020 pour ablation des vis, présente une collection au niveau de la cicatrice. La radiographie de la main gauche montre un status après fracture sous-capitale du 5ème métacarpe gauche. Le bilan biologique montre une CRP à 7, leucocytes à 11,5. Nous immobilisons la main gauche par une attelle Edimbourg. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve et un ultrason de la main gauche est prévu le 02.02.2020 à 9h00. La patiente restera à jeun et elle se rendra à la filière des urgences ambulatoire après l'ultrason. • Patiente de 40 ans, 10G-6P, qui a bénéficié le 31.01.2020 de la mise à plat d'un abcès non-puerpéral fistulisé à la peau à cheval des QS du sein droit. Un examen microbiologique a été effectué en péri-opératoire. Les suites post-opératoires sont en ordre. Les constantes sont dans la norme, la patiente est afébrile et peut gagner son domicile le 01.02.2020. • Patiente de 40 ans, 2G-1P, à 40 4/7 semaines d'aménorrhée le 03.02.2020, admise en salle d'accouchement pour contractions utérines. Après 24h, en raison d'un pré-travail persistant, nous effectuons une rupture artificielle des membranes et par la suite le travail est harmonieux. En raison d'une non-progression de la présentation, une instrumentation par ventouse métallique est effectuée. Elle donne naissance à une fille pesant 3580 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 07.02.2020, en bon état général. • Patiente de 40 ans, 3G-2P, à 40 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 06.02.2020 en vue d'une provocation pour âge maternel par Misoprostol. Elle bénéficie d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl pour un portage de streptocoques groupe B au niveau ano-vaginal et elle donne naissance à une fille pesant 4000 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative. Le statut vaccinal de la coqueluche sera à vérifier avec le carnet de vaccination et le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 09.02.2020, en bon état général. • Patiente de 42 ans, admise pour un STEMI aux soins intensifs. Elle présente depuis le 08.02 des DRS irradiant dans les deux bras et la mâchoire, avec une intensité de 10/10, qui dure toute la journée, avec une absence de douleurs le 09.02, qui recommence ce jour (10.02). Elle consulte chez sa médecin traitante qui diagnostique un STEMI et appelle la filière. Elle reçoit une charge d'Efient, Aspirine et Liquémine. La coronarographie met en évidence une sub-occlusion de la Cx proximale dans laquelle un stent est posé. Le reste des coronaires et la fonction cardiaque est dans la norme. La surveillance se déroule sans particularité. Nous introduisons un traitement d'inhibiteur de l'enzyme de conversion. Pour cause de bonne fonction ventriculaire, nous n'introduisons pas d'office le beta-bloquant et recommandons une réévaluation à distance. Concernant le suivi, une ETT de contrôle est à réaliser le 12.02.2020.Concernant la dyslipidémie, nous introduisons un traitement par atorvastatine à majorer afin d'atteindre une cible LDL > 1.4 mmol/l. À cause de la présence d'une tryglycéridémie, nous recommandons également une consultation diététique et un contrôle par la suite. Mme. Y est transférée le 11.02.2020 en service de médecine à Riaz pour suite de prise en charge. Mme. Y, 44 ans, connue pour une maladie de Crohn, spondylarthropathie, status après cholécystectomie, calculs rénaux, présente des douleurs abdominales épigastriques depuis le 30.01.2020 d'apparition brutale, irradiant vers le dos, de type de coups de couteaux intermittents. Le bilan biologique montre une CRP à 9, une leucocytose à 5,3. Pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Pas de trouble de la crase. Bonne fonction rénale. Pas de troubles électrolytiques. Du sang est retrouvé dans le sédiment urinaire. Nous réalisons un scanner abdominal qui met en évidence un kyste liquidien du rein gauche agrandi 26 x 33 mm (en comparant avec le scanner en 2011 : 13 x 15 mm). Pas de calcul. Pas de dilatation pyélocalicielle. Pas de liquide libre intra-abdominal. Aux urgences, Mme. Y a reçu du Nexium et Ulcar sans effet, puis du Novalgine avec disparition complète des douleurs. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie par Novalgine, Dafalgan et Nexium 40 mg. Nous conseillons à Mme. Y de prendre rendez-vous chez son gastro-entérologue la semaine prochaine pour un contrôle clinique. Mme. Y, 44 ans, 3G 2P à 36 4/7 SA, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. À son arrivée, Mme. Y est déjà à dilatation complète, et accouche après un effort de poussées. Mme. Y donne naissance à une fille pesant 2540 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 26.02.2020, en bon état général. Mme. Y, 46 ans, présente des douleurs de la pulpe de son 3ème doigt gauche dans les suites d'une blessure avec une écharde, compliquée d'une surinfection traitée par une semaine d'antibiothérapie. Nous effectuons une incision centimétrique en regard de la pulpe, sous anesthésie locale, qui permet d'exclure une collection résiduelle mais ne permet pas de trouver l'écharde sous-jacente. L'incision est fermée par un point et nous proposons à Mme. Y un contrôle clinique à 1 semaine chez son médecin traitant pour l'évolution et évaluer le retrait du fil. Mme. Y, 5 ans, chute accidentellement en avant avec trauma facial. Une fracture nasale est possible au vu de la tuméfaction apparue. Dans ce contexte, nous organisons un rendez-vous en ORL à 5 jours, selon les recommandations de la garde de pédiatrie pour réévaluation. Le reste de l'examen physique ne met pas en évidence de lésion traumatique significative et Mme. Y rentre à domicile avec un traitement antalgique et les instructions post-TC. Mme. Y, 5 ans, consulte pour une probable infection virale des voies aériennes supérieures, pour laquelle nous débutons un traitement symptomatique. Mme. Y, 51 ans, connue pour un carcinome ovarien à petites cellules métastatique avec arrêt du traitement oncologique, nous est transférée le 03.02.2020 depuis le service de médecine interne de Fribourg pour suite de prise en charge en médecine palliative. Mme. Y était hospitalisée à Fribourg pour une décompensation ascitique avec épanchement pleural. L'imagerie avait montré une ascite cloisonnée, rendant le drainage impossible. L'épanchement pleural a été pris en charge par pose de Pleur-X. Mme. Y avait par la suite développé un iléus pour lequel une sonde naso-gastrique de décharge a été posée. Après une discussion en famille, la décision avait été prise de poursuivre les soins dans notre service de médecine palliative, pour un accompagnement de fin de vie. À l'entrée, Mme. Y se plaint principalement de tristesse. Elle se sent déprimée depuis qu'elle a perdu tout espoir de pouvoir rentrer à domicile. La seule joie qui lui reste ce sont ses enfants, mais elle rapporte une difficulté de communiquer avec eux depuis que sa situation est terminale. Elle souhaiterait ainsi mourir rapidement. Elle se plaint également de douleurs, surtout dorsales, ainsi que de nausées et de vomissements. Au status, Mme. Y est orientée aux 4 modes. Elle ne présente pas de déficit neurologique. L'auscultation cardiaque est sans particularité. L'auscultation pulmonaire est effectuée couchée. On note une hypoventilation aux 2 bases. À l'examen abdominal, on note un abdomen distendu, surtout à gauche. Les bruits sont fortement réduits dans les 4 quadrants. L'abdomen est tendu et dur, sans défense ou détente. La symptomatologie reste stable sans amélioration de l'iléus. En l'absence d'amélioration de son état, Mme. Y nous demande de ne pas avoir de mesures prolongeant sa vie et souhaite une sédation par dormicum i.v. continu dès le 12.02.2020. Nous arrêtons en parallèle la sandostatine et instaurons également une antalgie i.v. continue dès le 13.02.2020. Mme. Y se dit soulagée avec ce traitement. Mme. Y décède le 17.02.2020 paisiblement dans son sommeil. Mme. Y, 51 ans, connue pour une ancienne polytoxicomanie sevrée actuellement, se présente aux urgences pour des cervicalgies non déficitaires, suite à des coups infligés par sa fille elle-même suivie à Marsens pour polytoxicomanie et trouble borderline. L'examen physique ne fait pas suspecter de lésion nécessitant des examens complémentaires. Nous proposons à Mme. Y de réaliser un constat pour coups et blessures, mais Mme. Y ne souhaite pas porter plainte. Mme. Y refuse également la proposition d'un suivi psychiatrique au vu du contexte très difficile. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie et Mme. Y retourne à son domicile le 03.02.2020. Mme. Y, 51 ans, consulte pour un état grippal que nous traitons symptomatiquement. Mme. Y, 52 ans, en bonne santé habituelle, est transférée de Berne pour suite de prise en charge d'un traumatisme crânien cérébral compliqué par une hémorragie sous-arachnoïdienne survenue le 16.02.2020 après une chute à cheval. Actuellement, elle se plaint de troubles de la mémoire à court terme, de quelques épisodes de vertiges de type tangage et de ralentissements psychomoteurs. Nous organisons un bilan en neuropsychologie qui révèle la persistance d'une amnésie antérograde. Une prise en charge en neuro-réhabilitation n'est cependant pas recommandée. Mme. Y peut rentrer à domicile en bon état général le 21.02.2020. Des soins à domicile seront organisés dès la semaine prochaine pour des contrôles de santé. Mme. Y, 52 ans, consulte à la Permanence pour des douleurs abdominales brutales et intenses survenues le matin même et persistantes. L'abdomen est diffusément douloureux, notamment en épigastre, mais sans péritonisme. Le laboratoire est aligné. Cependant, devant des douleurs demeurant intenses, nous effectuons un CT abdominal qui permet d'exclure une pathologie abdominale ou vasculaire aiguë. Une coprostase est cependant mise en évidence que nous retenons comme étant à l'origine des douleurs et débutons un traitement symptomatique. Afin de s'assurer de la bonne évolution clinique, nous prévoyons un rendez-vous de suivi à 48 heures. À noter également la découverte fortuite de 3 lésions hépatiques pour lesquelles nous vous laissons le soin de comparer l'évolution par rapport à une imagerie antérieure et d'adapter la suite des investigations en fonction.Patiente de 53 ans qui nous est adressée par le Dr. X pour injection iv d'immunoglobuline dans le cadre du traitement de sa dégénérescence pontocérébelleuse avant un séjour en neuroréhabilitation intensive à Meyriez. A son entrée, la patiente est hémodynamiquement stable, apyrétique et en bon état général. L'anamnèse systématique revient négative hormis des palpitations cardiaques transitoires. La patiente rapporte également des paresthésies au niveau des mains et au niveau du genou survenues ces derniers jours. L'examen cardiopulmonaire et abdominal est normal. L'examen neurologique montre des nerfs crâniens dans la norme, des réflexes ostéotendineux symétriques et hypervifs aux quatre membres sans clonus. Au niveau tricipital les réflexes sont normovifs. On note également une faiblesse musculaire M4 plus marquée distalement au niveau des membres supérieurs. L'épreuve doigts-nez et talon-genou est dans la limite de la norme. La diadoccocinésie est ralentie. Le polygone de sustentation est élargi à la marche avec des troubles de l'équilibre à la marche connus. Nous débutons les injections intraveineuses d'intratect le 19.02.2020. Ces injections sont bien supportées. Au cours de son séjour, la patiente rapporte une faiblesse des membres inférieurs plus prononcée. Le jour de son transfert en neurologie, nous réalisons un stix urinaire pour suspicion d'une infection urinaire. Celui-ci montre une bactériurie avec des nitrites positifs. Le traitement sera introduit par nos collègues de neuro-réadaptation. La patiente est transférée en neuro-réadaptation le 27.02.2020. Patiente de 54 ans, connue pour un asthme et une probable BPCO (tabagisme actif 15 UPA) sous Ultibro au long cours, ainsi qu'une polymyosite d'origine inconnue, est hospitalisée pour une bronchite asthmatiforme avec crise d'asthme sévère. Elle présente un contexte de syndrome grippal depuis 10 jours avec rhinorrhée, polymyalgie et polyarthralgies, maux de gorge (contagion : mari avec même symptomatologie) et consulte pour une apparition brutale de douleurs thoraciques respiro-dépendantes associées à une dyspnée et une toux non productive en augmentation sans fièvre, ni voyage récent. A l'examen, la patiente est en détresse respiratoire sans désaturation. Des troponines reviennent négatives sans cinétique et des dimères négatifs. Des aérosols d'Atrovent et Ventolin ainsi qu'un traitement de corticostéroïdes systémiques et inhalés permettent une bonne amélioration clinique. La patiente rentre à domicile le 15.02.2020. Patiente de 55 ans en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences pour diplopie. Pour rappel, cette patiente a présenté il y a 48 h une diplopie qui se péjore depuis et est exacerbée lorsque le regard est dirigé vers la droite. Un ophtalmologue consulté dans l'intervalle nous la réfère pour parésie du nerf abducens droit. A son arrivée, la patiente présente une parésie isolée du NC VI qui motive un scanner cérébral. Ce dernier exclut une atteinte hémorragique cérébrale ainsi qu'une atteinte des vaisseaux précérébraux. Nos collègues neurologues proposent de compléter le bilan par un IRM et d'évaluer l'indication à une ponction lombaire selon les résultats radiologiques. En accord avec ces derniers, nous proposons d'organiser l'imagerie et le suivi en ambulatoire au vu de l'absence de signe de gravité au bilan initial. La patiente quitte notre service le 21.02.2020. Patiente de 57 ans, connue pour une BPCO stade IIID avec oxygène à domicile, consulte les urgences le 9.02.2020 pour une dyspnée depuis une semaine associée à une majoration de la toux et des expectorations que nous attribuons à une exacerbation de BPCO. Au vu de l'absence de foyer à la radiographie et d'état fébrile ainsi qu'une CRP modérément augmentée, nous n'introduisons pas d'antibiothérapie empirique. La patiente évolue favorablement sous nébulisations d'Atrovent et de Ventolin ainsi qu'après l'introduction de prednisone. Au niveau de son diabète, la patiente présente une décompensation liée à l'épisode infectieux et à la corticothérapie. Nous constatons une majoration de ses glycémies préprandiales et majorons l'insuline basale. Nous vous laissons le soin de réévaluer son profil glycémique à votre consultation. Pour des raisons familiales, la patiente préfère rentrer à domicile le 12.02.2020 et nous organisons donc une poursuite des aérosols via un nébulisateur jusqu'au 14.02.2020, date de sa consultation chez son médecin traitant. Patiente de 59 ans, cardiopathe ischémique connue admise pour une angioplastie programmée de la coronaire droite. L'examen du jour montre un bon résultat à court terme de la double PCI de l'IVA, avec à la ventriculographie une résolution de l'hypokinésie antéro-latérale et apicale. Nous avons procédé à une PCI/ 1 DES d'une sténose de 70-90 % de l'artère coronaire droite proximale avec un bon résultat final. Concernant le traitement, arrêt du lisinopril et du Meto Zerok, Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, Atorvastatine 40 mg. La surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs est sans particularités. La patiente quitte notre établissement le 27.02.2020 en bonnes conditions générales. Patiente de 61 ans, connue pour un adénocarcinome du pancréas avec ascite carcinomateuse en traitement de chimiothérapie palliative, qui présente une baisse d'état général depuis 2 semaines et un vomissement biliaire le 12.02.2020, jour de son hospitalisation en médecine interne. Nous attribuons la baisse d'état général à une cause multifactorielle : probable progression de la maladie au vu de la péjoration des paramètres hépatiques, contexte post-chimiothérapie et déshydratation. Nous introduisons donc une hydratation IV et des anti-émétiques avec un bon effet. La patiente présente un indice de performance à 4 qui s'améliore à 3 lors de son hospitalisation. A noter la persistance d'une hypotension orthostatique symptomatique que nous proposons de traiter avec du Gutron. D'un point de vue du diabète, nous introduisons une insuline lente lors de son hospitalisation que nous proposons de poursuivre en ambulatoire afin de limiter la glycosurie et la perte de poids. Un suivi ambulatoire par les infirmières en diabétologie est prévu. Selon son souhait, Mme. Y peut rentrer à domicile le 15.02.2020 avec poursuite des soins à domicile 3x/semaines et de Voltigo (fils aidant très présent également). Patiente de 62 ans connue pour HTA, BPCO sur tabagisme actif (40 UPA), hépatite B, et trouble dépressif récurrent, consulte à cause de l'état subfébrile ce jour et l'échec de traitement de l'exacerbation de BPCO malgré 3 courses d'antibiothérapie. Co-amoxicilline 1000 mg 2x/j le 10-17.01.2020 et le 22-28.01.2020 + Prednisone 40 mg pour 5 jours, Levofloxacine 500 mg dès 30.01.2020 + Prednisone 10 mg. Elle signale une dyspnée et une toux productive depuis janvier et une douleur rétrosternale en bloc respiro-dépendant. Sur le plan social, elle est une résidente à l'Horizon Sud, elle est divorcée avec 2 enfants. Au statut aux urgences : Sur le plan général, un état général conservé, calme et collaborant, apyrétique, normotendue, normocarde, eupnéique. Sur le plan cardiovasculaire, des bruits cardiaques B1 et B2 bien frappés, sans souffle, pas de signes de surcharge, pas d'œdème des membres inférieurs, mollets souples et indolores. Sur le plan pulmonaire, des ronchis et des sibilances diffus. Sur le plan abdominal, l'abdomen est souple et indolore à la palpation, pas de défense, pas de détente, borborygmes normaux en fréquence et en tonalité. Sur le plan uro-génital, les loges rénales sont indolores à la percussion. Sur le plan neurologique, le score de GCS est à 15/15, orienté en 3 modes.Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire qui nous permet d'arrêter l'antibiothérapie par Levofloxacine, par contre on retrouve une hyponatrémie. Le CT thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire. On instaure une restriction hydrique et le traitement bronchodilatateur. La patiente est hospitalisée pour suivi d'hyponatrémie et BPCO. À cause du manque de places à l'HFR Riaz, la patiente est transférée à l'HFR Meyriez. Mme. Y, 62 ans, connue pour un mélanome malin brachial gauche diagnostiqué en juillet 2019 d'emblée métastatique (cérébrales, pulmonaires et ganglionnaires) et traitée par thérapie ciblée, présente depuis 8 jours des troubles de l'équilibre progressifs, un léger manque du mot, une légère apraxie des membres supérieurs et une asthénie. Vertiges de type tangage en orthostatisme. Au vu de la suspicion de récidive métastatique au niveau cérébral, son oncologue, Dr. X, débute une corticothérapie empirique et organise le bilan en ambulatoire avec une IRM cérébrale le 17.02.2020, révélant une progression oncologique avec de nouvelles lésions, notamment au niveau du tronc cérébral. Le cas est présenté aux radio-oncologues qui la recevront en consultation le 24.01.2020. D'un point de vue clinique, la patiente décrit rapidement moins de vertiges et se sent moins asthénique au cours de son hospitalisation. Elle peut donc rentrer à domicile en état général conservé le 21.02.2020. Mme. Y, 63 ans, connue pour un adénocarcinome du sigmoïde métastatique au niveau hépatique, ainsi qu'un antécédent de lymphome, est hospitalisée pour une thermoablation hépatique par Dr. X. Cette intervention se déroule le 13.02.2020 sans complications immédiates. Après une surveillance clinico-biologique sans particularité, la patiente rentre à domicile le 15.02.2020. Un contrôle par scanner abdominal à 6 semaines est prévu, une convocation suivra par la suite. Mme. Y, 65 ans, vivant en Horizont Sud, connue pour un retard mental, est adressée aux Urgences par Dr. X en raison d'une BEG. En effet, le patient a été traité ces dernières semaines par plusieurs antibiotiques, ciprofloxacine puis Bactrim pour des infections urinaires à répétition. Il a été vu le 05.02.20 par Dr. X (MT absent) en raison d'une infection pulmonaire et le patient a été mis sous antibiothérapie Co-amoxicilline. L'évolution est défavorable avec par ailleurs ce jour des manifestations cutanées, plaques rouges aux membres supérieurs et des œdèmes de pieds, raison pour laquelle il reconsulté Dr. X qui nous l'adresse. À l'entrée aux Urgences, l'anamnèse est difficile devant un patient avec retard mental. Il décrit une BEG avec difficulté pour les AVQ et des douleurs généralisées mal systématisées. Au status aux Urgences: Patiente désorientée, GCS 15/15. Examen des nerfs crâniens difficile, pas de collaboration du patient. ROT hypovifs symétrique. La force et la sensibilité sont conservées. Pulmo: MVS, discrète crépitation bibasale. CV: B1, B2 bien frappées, pas de souffles audibles. Abdomen globuleux, souple, indolore à la palpation. Pas d'hépato-splénomégalie palpable. PEG sans signes d'inflammation. LRSI à la palpation. Sonde sus-pubienne en place. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 152 mg/l et leucocytes à la limite inférieure 4 G/l. La radiographie pulmonaire montre des signes de bronchopneumonie droite. Au vu de la bronchopneumonie avec syndrome inflammatoire chez un patient avec des comorbidités susmentionnées et s/p plusieurs antibiothérapies récentes, le patient est hospitalisé au Médecine à l'HFR Tafers (transfert à cause du manque de places à l'HFR Riaz). Mme. Y, 65 ans, connue pour une BPCO non stadée, une hypertension artérielle et un diabète de type 2, consulte les urgences le 18.02.2020 en raison d'une dyspnée à la parole. De plus, à l'anamnèse aux urgences, la patiente décrit avoir ressenti, en particulier le samedi 15.02.2020, des douleurs thoraciques transfixiantes et constrictives au repos, à 10/10, respiro-dépendantes. À l'anamnèse systématique, Mme. Y ne décrit aucune autre plainte supplémentaire, en particulier pas de toux productive, pas d'état fébrile, pas de frissons, pas de symptômes B. À l'admission aux urgences, la patiente est tachycarde à 118/min et hypertendue à 157/118 mmHg, afébrile et acyanotique, désaturant à 89% à l'air ambiant et avec une fréquence respiratoire à 32/min. L'auscultation pulmonaire met en évidence un expirium prolongé avec pincement des lèvres, une respiration tachypnéique superficielle, une hypoventilation diffuse. Les murmures vésiculaires sont symétriques, sans bruit surajouté. L'auscultation cardiaque est sans particularité avec absence de signe d'insuffisance cardiaque. Hormis une hernie de la ligne blanche déjà connue, sans troubles du transit ni douleurs abdominales, le reste de l'examen clinique est physiologique. Au bilan biologique, nous retrouvons un syndrome inflammatoire sévère (CRP à 329 mg/l, leucocytose à 27,7 G/l). La gazométrie artérielle met en évidence une insuffisance respiratoire partielle légère. L'ECG d'entrée ne montre pas de signe d'ischémie ou de signe indirect de surcharge gauche ou droite. Au vu d'une cinétique des troponines négative, nous excluons un syndrome coronarien aigu. La radiographie thoracique ne nous fournit pas de nouveaux éléments pouvant diriger la démarche diagnostique. En raison d'un taux élevé de D-Dimères, nous effectuons un CT thoracique à la recherche, en outre, d'une maladie thromboembolique. Le scanner thoracique met en évidence un foyer de pneumonie en regard du lobe supérieur gauche ainsi qu'une masse pulmonaire isolée et spiculée de 15 mm. Nous retenons le diagnostic de pneumonie du lobe supérieur gauche et nous débutons un traitement par Ceftriaxone et Clarithromycine qui peut être adapté le 20.02.2020 en raison de l'absence d'antigènes urinaires. Le 21.02.2020, nous relayons le traitement antibiotique par Co-Amoxicilline initialement puis par Doxycycline en per os, au vu d'une allergie connue à la pénicilline, jusqu'au 26.02.2020 avec une évolution favorable. L'expectoration montre une faible présence de Candida albicans asymptomatique, à noter que la patiente a une récidive récente de mycose buccale. Les hémocultures sont négatives à 5 jours du prélèvement. Concernant la masse pulmonaire suspecte, nous informons la patiente de la possibilité d'une maladie néoplasique et en accord avec elle, nous organisons en premier lieu un scanner abdominal, qui met en évidence un volumineux nodule surrénalien gauche d'environ 32 mm de diamètre. En deuxième lieu, un PET-CT sera effectué à distance de l'infection pulmonaire, prévu pour le 09.03.2020 à 08h20 à l'HFR Fribourg. Sur le plan du traitement diabétique, nous effectuons plusieurs changements au vu de plusieurs épisodes d'hypoglycémie durant l'hospitalisation aussi dans le contexte de l'infection aiguë. À la sortie, nous reprenons le traitement habituel mais nous arrêtons le Glyméril en raison de la forte association avec un risque hypoglycémiant accru. Une consultation en diabétologie avec Dr. X est prévue le 20.02.2020. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 25.02.2020. Mme. Y, 65 ans, transférée de Billens suite à un encombrement bronchique persistant après une réhabilitation pulmonaire de 1 mois, qui avait été organisée à la suite d'une insuffisance respiratoire aiguë d'origine mixte dans un contexte de trachéite croûteuse avec un important bouchon en distalité du laryngostome traitée par désobstruction et une pneumonie basale gauche traitée par antibiothérapie jusqu'au 03.01.2020. Sur le plan ORL, l'évaluation est rassurante notamment pas d'obstruction au niveau de la trachée. La patiente sera reconvoquée à la consultation de Dr. X en avril. Sur le plan pneumologique, le CT scan thoracique montre une diminution nette de l'encombrement au niveau du comparatif de décembre 2019, pas de signe de surinfection, pas d'indication à un toilettage bronchique. Nous décidons de continuer les aérosols et l'évolution est lentement favorable. La patiente rentre à domicile le 12.02.2020 avec réactivation des soins à domicile. • Patiente de 66 ans qui nous est transférée de neuroréhabilitation pour une prise en charge palliative suite à de multiples AVC ischémiques avec séquelles neurologiques importantes et dont le potentiel de neuroréadaptation est jugé insuffisant après un nouvel AVC le 21.01.2020. L'examen clinique d'entrée est très limité par la somnolence et l'aphasie sévère de la patiente. La patiente est grabataire et répond difficilement aux ordres. Sur le plan moteur, l'hémi-corps droit est totalement plégique, la force de l'hémicorps gauche est évaluée à M3+. L'examen de la sensibilité ainsi que des paires crâniennes est difficilement réalisable. Nous débutons une réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physiothérapie, ergothérapie, art-thérapie, psycho-oncologie, aumônerie, service de liaison et colloque interdisciplinaire hebdomadaire. L'état de conscience de la patiente s'améliore spontanément durant le séjour. Mme. Y se réveille et cherche le contact. Elle reste cependant complètement aphasique et ne peut pas communiquer oralement. Un moyen de communication par gestes est recherché par la logopédiste mais reste sans succès. Lors d'une discussion de famille, la décision est prise de maintenir une alimentation parentérale. Pour le confort de la patiente, la prise de médicaments est réduite et adaptée à la situation. De plus, nous réduisons les contrôles de la glycémie et le schéma de correction, le but étant d'éviter les complications à court terme uniquement. La patiente reste stable sous cette thérapie et se montre souriante et confortable à chaque visite médicale. Elle ne présente toutefois aucun progrès sur le plan neurologique et une nouvelle réhabilitation n'est pas indiquée. Mme. Y n'étant plus en mesure de gérer ses affaires financières et administratives, elle bénéficie d'un examen par la justice de paix le 10.02.2020 concernant une mesure de curatelle. Après discussion avec la famille de Mme. Y, au vu de l'absence de potentiel de réhabilitation, un projet de placement en EMS est mis en place. Sur le plan médical, Mme. Y reste stable durant l'ensemble du séjour. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patiente de 67 ans, hospitalisée aux soins intensifs en raison d'insuffisance respiratoire globale sévère sur décompensation de BPCO stade IV D. Mme. Y décrit une péjoration de sa dyspnée (mMRC III) depuis un mois et depuis 15 jours une augmentation de la toux et des expectorations jaunâtres. Son médecin traitant organise une réadaptation respiratoire à l'HFR Billens, mais l'aggravation de l'hypercapnie avec une somnolence motive un transfert avec une hospitalisation aux soins intensifs. Une infection à Influenza est exclue. Une antibiothérapie par Levofloxacine, des corticoïdes systémiques, des bronchodilatateurs de courte durée sont administrés ainsi qu'une ventilation non invasive. L'évolution est lentement favorable. Au vu d'une turgescence jugulaire et d'oedèmes des membres inférieurs associés à une tachycardie, une ETT est organisée montrant un cœur droit pulmonaire avec hypertrophie du ventricule droit et hypertension pulmonaire sévère. Afin d'exclure une embolie pulmonaire, nous organisons un CT scan thoracique ne montrant pas d'embolie pulmonaire mais des signes en faveur d'une hypertension pulmonaire. Nous proposons d'effectuer un test de marche par les physiothérapeutes et de prendre contact avec le pneumologue traitant Dr. X pour organiser les suites des investigations. Au vu d'une bonne évolution clinico-biologique, Mme. Y est transférée à l'HFR Billens pour une réhabilitation respiratoire avec comme objectif un retour à domicile. • Patiente de 7 ans avec mise en évidence d'une angine à Streptocoque pour laquelle nous instaurons un traitement par Amoxicilline. • Patiente de 70 ans, connue pour un problème dermatologique en cours d'investigations au CHUV, qui est hospitalisée en médecine interne dans un contexte d'IVRS à RSV. Mme. Y est amenée aux urgences devant une péjoration de la dyspnée dans un contexte de toux sèche et fièvre depuis 4 jours. Le laboratoire montre une CRP augmentée avec une absence de leucocytose. L'ECG est normal. Le test rapide revient positif pour un RSV. Un traitement symptomatique par Makatussin, Ventolin et Atrovent est introduit et la patiente est hospitalisée pour une oxygène-dépendance. Lors de son entrée, la patiente se plaint d'un épisode de sang dans les selles. À l'étage, la patiente évolue favorablement avec une diminution du besoin en oxygène. • Patiente de 70 ans qui nous est adressée depuis les urgences de Fribourg. La patiente présente depuis une semaine des douleurs constantes associées à un oedème du membre inférieur droit, sans notion de traumatisme, d'immobilisation récente ou de voyage. L'anamnèse systématique est non contributive. La patiente est veuve, vit seule à domicile avec aide au ménage une fois par semaine, se mobilise sans moyens auxiliaires et est autonome dans ses AVQ. Aux urgences, l'ultrason de débrouillage ne montre pas de TVP. Cet examen est répété le jour suivant par le radiologue et permet d'exclure une thrombose veineuse profonde ou superficielle. La patiente est hospitalisée pour une dermo-hypodermite et bénéficie d'une antibiothérapie IV par clindamycine du 10.02.2020 au 12.02.2020. Celle-ci peut être oralisée le 12.02.2020 et est à poursuivre jusqu'au 17.02.2020 pour une couverture antibiotique de 7 jours au total. Nous vous proposons de revoir la patiente à votre consultation pour un contrôle clinique une fois l'antibiothérapie achevée. À cette même occasion, il a été discuté conjointement avec la patiente et sa fille de planifier un éventuel séjour à la clinique la Métairie à Nyon pour une reprise de suivi sur le plan de sa dépendance à l'alcool. L'évolution clinique est favorable. La patiente rentre à domicile le 15.02.2020. • Patiente de 72 ans, consultant à la Permanence suite à une sensation de mal-être aspécifique avec une mesure ambulatoire d'une tension artérielle diastolique élevée. À son arrivée chez nous, la patiente est initialement hypertendue, mais ceci se corrige spontanément. La patiente est actuellement asymptomatique. Un ECG est réalisé qui est sans particularités. La patiente rapporte également un changement dans son transit depuis plusieurs mois avec un examen biologique aligné permettant d'exclure une carence martiale ainsi qu'une dysthyroïdie. Nous proposons d'organiser une colonoscopie en ambulatoire. Par ailleurs, une hyperbilirubinémie conjuguée est également objectivée, chronique selon nos comparatifs, que nous vous laissons le soin de contrôler +/- bilanter.