Cliniquement se présente un patient de 84 ans en état général diminué, de manière chronique. A l'admission à l'étage de médecine, il est toujours dyspnéique, hypoxémique à l'air ambiant, décompensé sur le plan cardiaque, toutefois encore stable sur le plan hémodynamique et apyrétique. L'antibiothérapie établie aux soins intensifs par Imipénème est poursuivie. Après avis urologique du Dr. X, la dilatation pyélo-calicielle mise en évidence au scanner est moins importante que lors des examens précédents avec une sonde double J qui n'est probablement pas bouchée et un aspect de micro-vessie siège d'une colonisation chronique. Des rinçages trois fois par jour avec 15 cc d'eau stérile sont effectués quotidiennement et la sonde double J est changée par Dr. X le 18.05.2020. L'évolution se fait favorablement avec régression des signes inflammatoires biologiques. Une échocardiographie transthoracique réalisée à l'entrée montre une progression de la cardiopathie connue avec une sténose aortique actuellement évaluée comme serrée et une FEVG passée de 55% en 2017 à actuellement 25% avec VG dilaté et hypokinétique. Après discussion avec les collègues de la cardiologie et de la néphrologie, la décision est prise, dans le cadre de l'attitude de traitement limitée souhaitée par le patient, de ne pas réaliser de TAVI. Cliniquement, biologiquement et à l'imagerie on retrouve des signes de décompensation cardiaque gauche avec respectivement oedèmes des membres inférieurs, crépitants à l'auscultation et des signes radiologiques de surcharge avec épanchement bilatéral. Chez ce patient insuffisant rénal au stade terminal sans diurèse une négrativation de la balance hydro-sodée par soustraction hydrique dans le cadre de la dialyse et des séances de VNI 2x/j sont mises en route. Une ponction pleurale évacuatrice est effectuée le 15.05.2020 permettant de retirer 1 Litre d'épanchement à gauche. L'évolution se fait favorablement avec sevrage de la VNI et régression de la surcharge volémique. Un INR suprathérapeutique à l'entrée est antagonisé par vitamine K avec relais par héparinisation intraveineuse à dose prophylactique. Après changement de la sonde JJ, le Marcoumar est réintroduit. Au vu d'une bonne évolution, Mr. Y peut rentrer au home le 22.05.2020 avec complément de suivi et dialyses régulières en néphrologie. Mr. Y, âgé de 89 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg suite à un déconditionnement global après AVC ischémique aigu fronto-pariétal gauche dans le territoire de l'artère cérébrale antérieure gauche le 18.04.2020 d'origine emboligène dans les suites d'une infection respiratoire à Covid-19. Sur le plan social, le patient est marié. Il vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite (ancien agriculteur). A l'admission, le patient se plaint d'une diminution de l'état général, il est cachexique. Le patient porte un pacemaker depuis le 21.04.2020 (suite à passage en FA lente). A l'examen neurologique, nous notons la présence de réflexes archaïques à droite avec un hymisyndrome moteur facio-brachial D. La force du MIF est préservée. Nous notons un déséquilibre glycémique avec des hyperglycémies préprandiales importantes régulièrement au-delà de 15 mmol/l malgré un traitement par Vokanamet. Pour cette raison, nous introduisons une insulinothérapie avec Lantus 1x/jour et Humalog le matin, ce qui permettra une correction de la glycémie. Mr. Y a présenté une tuméfaction au niveau du poignet paréthique avec chaleur et douleur à la palpation au niveau carpo-métacarpien. La radiographie montre une calcification radio-carpéenne, nous diagnostiquons une chondrocalcinose et mettons en place un traitement avec 5 mg de Prédnisone et des antalgiques en réserve avec glace locale avec une bonne réponse thérapeutique dans un premier temps. Nous observons une récidive de la chondrocalcinose au poignet droit motivant la reprise de la corticothérapie et l'ajout de Colchicine, avec une évolution thérapeutique favorable. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence une anosognosie des difficultés cognitives avec : • une désorientation temporelle partielle • un dysfonctionnement exécutif sévère : persévérations motrices et verbales, dépendance à l'environnement (écholalie, tendance à l'imitation, grasping). • manque du mot en spontané et paraphasies dans les tâches formelles, difficultés de compréhension orale en situation et pour les ordres complexes. Attention hypoacousie. • difficultés de lecture des mots irréguliers • difficultés de mémoire antérograde • difficultés attentionnelles avec ralentissement important, fatigabilité et difficultés de mémoire de travail (épellation inverse et comptage à rebours). Nous notons au décours une nosognosie en légère amélioration mais toujours insuffisante. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y a été suivi pour des indices nutritionnels biochimiques altérés (hypo-, hyperglycémies), un poids insuffisant (50.7 kg initialement pour un poids habituel de 57.5 kg), et une malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5/7, perte de 11% de son poids en moins d'un mois) et pour un apport oral insuffisant (initialement : 90% énergie et 75% en protéines). Les adaptations alimentaires mises en place ont permis de couvrir ses besoins entièrement et lui ont permis de retrouver son poids habituel. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il montre encore peu d'initiative ou uniquement de manière fluctuante. Il y a toujours une parésie de la main D qui n'a pas beaucoup évolué. Le patient nécessite une aide partielle pour les transferts, avec appui et stimulation pour se lever d'une chaise. La marche s'effectue avec tintébin, rollateur en chambre, accompagné sur 2 x 50 m en physiothérapie selon les jours. Après 24 jours d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre le Foyer St-Joseph à Châtel-St-Denis, le 18.05.2020, en état général conservé. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie au home pour poursuite de la stimulation neurosensorielle. Mr. Y, connu pour une maladie de Parkinson, est hospitalisé en médecine interne pour une baisse de l'état général. Il consulte aux urgences suite à une asthénie d'apparition progressive avec diminution des déplacements associée avec une majoration des tremblements parkinsoniens et une dyspnée nouvelle. Le bilan initial met en évidence une insuffisance respiratoire hypoxémique avec au CT thoracique une condensation en verre dépoli aspécifique dans le lobe inférieur gauche. Le patient est hospitalisé pour les besoins d'une oxygénothérapie et la suite des investigations. A l'étage, le frottis pour le Covid-19 revient négatif. Au vu de la suspicion clinique et biologique faible avec une image radiologique aspécifique, nous levons l'isolement. Le patient bénéficie de physiothérapie et l'oxygénothérapie est lentement sevrée. Une fonction pulmonaire à distance est recommandée dans le contexte d'un ancien tabagisme. La CPAP a été mise en suspend pendant l'hospitalisation, le patient ne supportant pas l'effet du masque et n'arrivant pas à bien dormir avec la machine. Mr. Y sera convoqué par nos collègues de la pneumologie pour réglage et adaptation du CPAP. Lors de son séjour, nous mettons en évidence un problème de compliance médicamenteuse avec un semainier qui ne correspond pas à la dernière prescription médicale retrouvée dans le carnet des soins à domicile du patient. De plus, cette ordonnance ne correspond pas à la dernière liste des médicaments que le médecin traitant nous fait parvenir.Sur le plan neurologique, le patient est revu par le Dr. X qui le suit en ambulatoire. Sur son avis, nous adaptons le traitement de Stalevo et introduisons du Madopar pour mieux contrôler les tremblements et ajoutons également du Rivotril avant le coucher. Avec ce traitement, le patient a eu moins de tremblements. Sur le plan orthopédique, Mr. Y se plaint de la persistance des douleurs du genou gauche connues dans un contexte de gonarthrose sévère. Les orthopédistes ne retiennent pas de prise en charge en urgence en l'absence de critère de gravité et recommandent d'organiser un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X à distance. Pour améliorer la mobilité, une réhabilitation neurologique à l'HFR Meyriez est recommandée. Mr. Y est transféré à l'HFR Meyriez en réhabilitation neurologique le 07.05.2020. Mr. Y consulte pour des douleurs rétrosternales oppressives, irradiant dans le bras gauche, apparues au repos le 30.04.2020. Le patient dit avoir arrêté ses traitements cardiovasculaires il y a 5-6 mois sur les conseils d'un ami. L'ECG montre des sous-décalages du segment ST dans les dérivations inférolatérales. Les troponines sont augmentées à 26 ng/L mais sans cinétique. Nous concluons à un NSTEMI inférolatéral. La coronarographie démontre une subocclusion de la RCx proximale et une sténose serrée de la portion distale en amont du stent posé en 2012. Le cardiologue effectue une angioplastie des deux sténoses avec un bon résultat immédiat. La fraction d'éjection du ventricule gauche est estimée à 65 %. Nous introduisons une double antiagrégation par Aspirine et Prasugrel pendant 6 mois suivie d'une antiagrégation simple par Aspirine à vie. Nous commençons aussi un traitement de Beloc et de Lisinopril. Au vu d'une dyslipidémie, nous débutons également un traitement d'Atorvastatine avec un taux cible de LDL < 1.4 mmol/L. Nous vous invitons à organiser une ETT en ambulatoire et une ergométrie dans 1 année. Mr. Y est transféré depuis un séjour de neuro-réhabilitation à l'HFR Meyriez à l'HFR Fribourg pour la prise en charge d'une embolie pulmonaire découverte scanographiquement dans le cadre d'épisodes de désaturation le 15.05.2020. À l'entrée, Mr. Y ne rapporte pas de plainte mis à part de la dyspnée et des gonalgies gauches connues. Nous introduisons une anticoagulation par Héparine initialement en raison d'une notion de macrohématurie. Nous pouvons ensuite relayer l'anticoagulation par Énoxaparine puis par Rivaroxaban. Nous conseillons de poursuivre l'anticoagulation à long terme car il ne s'agit pas du premier événement thromboembolique du patient. Concernant la macrohématurie, nous ne constatons pas d'épisode durant son séjour. Nous n'effectuons donc pas de bilan avec les urologues. Mr. Y présente suite au retrait de la sonde urinaire une algurie et dysurie accompagnées de fièvre. Nous diagnostiquons une pyélonéphrite que nous traitons pendant 7 jours par de la Ceftriaxone. Les hémocultures reviennent négatives et l'urotube révèle une flore mixte. L'évolution est favorable. Un rendez-vous avec un urologue serait toutefois judicieux, à organiser à distance. Concernant le traitement de la maladie de Parkinson, nous majorons les doses de Stalevo à 125 mg après discussion avec les neurologues. Nous constatons de bons effets suite à ce changement. Une dermatite séborrhéique est traitée avec succès par du Kétoconazole topique. Mr. Y peut être transféré en bon état général le 22.05.2020 à l'HFR Meyriez pour effectuer la suite de sa neuro-réhabilitation. Mr. Y, patient de 75 ans, nous est transféré des soins intensifs pour la suite de prise en charge d'un ARDS sévère à COVID-19. Pour rappel, il présente depuis le 19 mars un état fébrile avec toux sèche avec un contage confirmé chez l'épouse. Sa symptomatologie s'est empirée progressivement avec une faiblesse généralisée secondaire aux pics fébriles et efforts de toux. Au vu d'une péjoration sur le plan respiratoire avec augmentation des besoins en oxygène, il est transféré des urgences de Riaz aux soins intensifs de Fribourg. Le patient est intubé le 26.03.2020. Au début, l'évolution est stagnante. Après amélioration, le patient est extubé le 09.04.2020 sans avoir eu recours à un décubitus ventral. Sur le plan rénal, le patient présente une insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine mixte nécessitant une hémodiafiltration jusqu'au 09.04.2020. La diurèse est ensuite relancée par diurétiques de l'anse. Une hydratation intraveineuse puis orale permet une amélioration progressive de la fonction rénale. Son séjour aux soins intensifs se complique le 28.03.2020 par un choc septique. Un scanner ne met en évidence qu'une hépatisation pulmonaire droite et nous retenons comme foyer infectieux une VAP, qui est traitée initialement par Tazobac puis l'antibiothérapie est élargie pour de l'Imipénème-Cilastatine dès le 31.03.2020. Les cultures de l'aspiration bronchique reviennent positives pour C. albicans, raison pour laquelle un traitement par Fluconazole est administré du 01.04.2020 au 06.04.2020. Le patient présente également une importante polyneuropathie de la maladie critique et nécessite un support physiothérapeutique important. En outre, un état confusionnel est noté au réveil et probablement lié à l'intubation prolongée sans cause organique au scanner. Des troubles de l'adaptation légers sont également présents chez ce patient, suite à son hospitalisation aux soins intensifs. Après discussion avec le patient, il ne désire pas d'entretien psychiatrique pour le moment, ni de traitement. Le patient est aphonique après son extubation, une physiothérapie est mise en place et l'avis des ORL met en évidence une ankylose de la corde vocale gauche. Un traitement par aérosols de Pulmicort est débuté le 17.04.2020 avec une bonne amélioration clinique et reprise de langage (avec persistance de la dysphonie) le 27.04.2020. Un suivi logopédique est prévu durant le séjour en neuro-réhabilitation. Une thrombose veineuse profonde distale de la veine gastrocnémienne médiane gauche est mise en évidence et une anticoagulation thérapeutique par Héparine au vu de la fonction rénale et de la macrohématurie est introduite. Un switch par Eliquis à dose adaptée est possible dès le 29.04.2020, avec cependant une récidive de macrohématurie le 30.04.2020 nécessitant une reprise des rinçages vésicaux et motivant une anticoagulation prophylactique par Clexane dès le 30.04.2020 jusqu'à l'arrêt de l'hématurie le 02.05.2020, puis par Clexane thérapeutique dès le 03.05.2020. La durée d'anticoagulation proposée est de 6 mois. L'anticoagulation est à poursuivre par Clexane jusqu'à la réalisation d'une cystoscopie chez un urologue en ambulatoire après la réhabilitation. Le retrait de la sonde vésicale sera à évaluer par les collègues de réhabilitation en cas d'absence de récidive hématurique sous le traitement anticoagulant. Des troubles de la déglutition sévères nécessitent une alimentation par la sonde nasogastrique puis par un régime mixé-lisse et l'épaississement dès le 18.04.2020. Au vu d'un test de déglutition en amélioration le 28.04.2020, la sonde nasogastrique peut être retirée le 29.04.2020 avec stimulation à l'alimentation et hydratation per os. À la sortie, l'alimentation est de type haché-fin et les liquides ne doivent pas être épaissis. L'évolution étant favorable, Mr. Y peut être transféré en réhabilitation neurologique intensive à Meyriez le 05.05.2020 pour la suite de prise en charge. Mr. Y prendra rendez-vous à la consultation d'un médecin de son choix pour un contrôle clinique dans 1 semaine. Mr. Y, 59 ans, est hospitalisé aux soins intensifs de manière élective pour un nouveau cycle de plasmaphérèse. Ce traitement a été initié au CHUV en 2011 pour une neuropathie chronique ataxique invalidante (syndrome de CANOMAD).Les séances de plasmaphérèse se déroulent les 19.05.2020 et 20.05.2020 avec un volume d'échange de 4000 ml chaque jour. L'anticoagulation orale par Dabigatran a été maintenue durant les jours de plasmaphérèse en raison des antécédents d'obstruction thrombotique de la fistule artério-veineuse. Ce traitement est à prendre au minimum 2 heures avant les plasmaphérèse pour la dose du matin. Les laboratoires du 19 et 20.05.2020 ont été envoyés au médecin traitant par email à sa demande. Le patient est transféré au home de la Sarine le 20.05.2020. Les séances sont actuellement espacées de 3 semaines. Les prochains cycles de plasmaphérèse sont ré-agendés pour les 09.06 et 10.06.2020. Mr. Y, 66 ans, est hospitalisé aux soins intensifs dans le contexte d'un syndrome coronarien aigu de type NSTEMI le 30.04.2020. Patient connu pour une HTA, dyslipidémie et pour une maladie coronarienne bi-tronculaire, avec arrêt de son traitement habituel depuis décembre 2019. Il présente 15 jours avant son hospitalisation une douleur et des paresthésies au niveau du membre supérieur gauche à l'effort. Le 30.04, il récidive de la douleur avec apparition durant l'après-midi d'une douleur rétrosternale. Aux urgences, le patient est hypertendu, motivant l'introduction de TNT. L'ECG de l'admission montre un sous-décalage du segment ST en territoire inféro-latéral ainsi que des troponines positives sans cinétique franche. La coronarographie démontre une subocclusion de l'artère circonflèxe proximale et une sténose serrée de la portion distale en amont du stent de 2012, traitées par angioplastie et mise en place de deux stents actifs. La fraction d'éjection du ventricule gauche est estimée à 65 %. Par ailleurs, l'examen montre un bon résultat à moyen terme après PCI de l'artère circonflexe distale et de l'artère coronaire droite moyenne en 2012. Une double antiagrégation par Aspirine et Prasugrel est instaurée pendant 6 mois, puis l'Aspirine devra être poursuivie à vie. Concernant le contrôle des FRCV, son traitement de Lisinopril stoppé par le patient en décembre 2019 est réintroduit en parallèle avec un traitement bétabloquant. De l'Atorvastatine est introduite en raison d'une hypercholestérolémie visant un taux de LDL <1.4 mmol/l. Le patient est transféré dans le service de médecine interne le 01.05.2020. Mr. Y, 90 ans, est admis aux soins intensifs pour un traumatisme crânio-cérébral léger, suivi de deux épisodes de perte de contact suspects d'évènements comitiaux. Le patient, connu pour une maladie thrombo-embolique veineuse ancienne sous Sintrom et des chutes à répétition, chute à domicile dans des circonstances inconnues avec traumatisme crânien. Il est retrouvé par sa petite-fille quelques minutes après, au sol, conscient. Aux urgences, le patient présente à deux reprises une perte de contact. Durant le premier épisode, les yeux sont ouverts et révulsés avec un doute sur une déviation du regard et un mâchonnement de la bouche d'une durée d'environ 2 minutes, spontanément résolutif. La seconde fois, le patient présente seulement une perte de contact d'environ 10 secondes, avec révulsion des yeux. Un CT cérébro-cervical ne met pas en évidence de signe d'hémorragie ou de lésions post-traumatiques. Une IRM cérébrale révèle des signes d'angiopathie amyloïde, sans signe d'hémorragie récente. Un EEG ne montre pas de signe de foyer épileptique permettant d'arrêter le traitement par Keppra introduit à l'entrée. L'origine de la chute reste donc indéterminée, avec comme diagnostic différentiel l'OH chronique et une possible hydrocéphalie à pression normale. Des signes de sevrage éthylique avec délirium tremens nécessitent l'administration de benzodiazépines, de neuroleptiques et de Clonidine qui peuvent rapidement être sevrés. À sa sortie, le patient est confus à tendance hypo-active et les benzodiazépines sont uniquement en réserve. L'évolution est marquée par une péjoration sur le plan respiratoire avec un épisode d'OAP puis une pneumonie basale droite pour laquelle une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est initiée. Les suites sont favorables avec un sevrage de la VNI suite au contrôle tensionnel et à l'initiation d'un traitement diurétiques. Des troubles sévères de la déglutition sont constatés et nécessitent une alimentation uniquement par SNG avant réévaluation par l'équipe de physiothérapie. Au cours de son séjour, le patient présente une déglobulisation progressive pour laquelle il nécessite la transfusion de 2 CE. En raison d'une suspicion de saignement digestif, le traitement par IPP est majoré à 2 fois par jour et une recherche de sang occulte dans les selles est débutée. À noter que l'anticoagulation par Sintrom dans le cadre de la MTEV a été mise en suspens initialement en raison du TC. Sur avis neurologique, l'anticoagulation a été adaptée par Eliquis. Le 29.05.2020, Mr. Y est transféré en médecine interne pour suite de prise en charge. Mr. Y est hospitalisé en raison d'un choc cardiogène sur STEMI antérieur le 18.04.2020. Il se présente aux urgences de Tavel le 18.04.2020 en raison d'un malaise et d'une douleur rétro-sternale dans le contexte de diarrhées et vomissements. Il se présente en état de choc avec un œdème aigu du poumon motivant une intubation rapide et une prise en charge en coronarographie en raison d'un ECG mettant en évidence un STEMI antérolatéral. Le dépistage COVID est réalisé en raison de symptômes gastro-intestinaux à la veille de son admission, qui revient négatif le 19.04.2020. La coronarographie confirme une maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion aiguë du tronc commun et sténose significative de l'ostium de l'IVA proximale traitées par recanalisation et pose de deux stents. Une échocardiographie montre une akinésie de la paroi latéro-apicale, une hypokinésie modérée du septum apical, de la paroi inféro-apicale, de la paroi antéro-apicale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne et une hypokinésie minime de la paroi latérale moyenne, ainsi qu'une FEVG à 45 %. Un ballon de contre-pulsion intra-aortique est mis en place ainsi qu'un soutien aminergique. Il présente en post-coronarographie aux soins trois arrêts cardiorespiratoires sur une fibrillation ventriculaire d'une durée de 3-4 minutes, avec besoin de défibrillation et administration d'Adrénaline et Amiodarone. L'évolution est par la suite favorable sur le plan hémodynamique, avec un sevrage progressif de la Noradrénaline, du ballon de contre-pulsion puis de la Dobutamine. Le patient peut être extubé le 26.04.2020 avec relais par VNI intermittente pour une insuffisance respiratoire globale. Suite à l'intubation, le patient présente des sécrétions pulmonaires purulentes qui motivent la réalisation d'une bronchoscopie. La culture des aspirats bronchiques révèle la présence d'un Staphylococcus aureus MSSA traité par Co-Amoxicilline. La présence de Hafnia alvei résistant et la stagnation du syndrome inflammatoire ainsi que des nouveaux infiltrats motivent un changement de l'antibiothérapie par du Meropenem. De plus, il présente un réveil pathologique, avec absence de réaction dirigée à la stimulation et une agitation avec des mouvements stéréotypés. Un EEG réalisé montre un état hypoactif global sans signe d'épilepsie. Une IRM cérébrale réalisée par la suite montre de multiples petites lésions ischémiques aiguës constituées évoquant une origine embolique probablement sur la fibrillation auriculaire mise en évidence lors du séjour aux soins intensifs. Celle-ci est cardioversée par de la cordarone. Une anticoagulation thérapeutique est introduite dès le 27.04.2020. La thérapie antiagrégante suite à la pose de stent est adaptée avec l'accord des cardiologues dans ce cadre.L'évolution clinique est marquée par l'apparition d'un état confusionnel aigu multifactoriel dont l'évolution est favorable après l'introduction de quetiapine et distraneurine. L'évolution clinique est favorable après déplétion volémique par diurétiques. Le patient est inscrit en réadaptation cardio-vasculaire à Meyriez. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 73 ans, est admis aux soins intensifs en raison d'un choc cardiogène sur STEMI antérieur le 18.04.2020. Le patient présente des vomissements le 16.04.2020 et des diarrhées le jour de son admission. Suite à un malaise et une douleur rétrosternale, sa famille l'amène aux urgences à Tavel. Le patient présente un choc cardiogène avec œdème aigu du poumon, suite à un STEMI antérieur, raison pour laquelle il est intubé et transféré pour coronarographie. La coronarographie montre une maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion aiguë du tronc commun et sténose significative de l'ostium de l'IVA proximale, traitées par recanalisation et pose de deux stents. Un ballon de contrepulsion intra-aortique ainsi qu'un soutien aminergique par noradrénaline et dobutamine sont mis en place en salle de cathétérisme. À son admission aux soins intensifs, le patient présente trois arrêts cardio-respiratoires sur fibrillation ventriculaire. L'évolution est progressivement favorable, permettant un sevrage des amines et l'ablation du ballon de contre-pulsion après quatre jours. En raison d'un passage en fibrillation auriculaire dans le contexte du choc, une charge en amiodarone est effectuée puis stoppée au vu de l'évolution favorable; le traitement anticoagulant est poursuivi à dose réduite pendant la double anti-aggrégation (rivaroxaban 15mg/j) et sera à reprendre à dose standard à l'arrêt de l'aspirine. Le patient présente le 30.04.2020 une récidive d'œdème aigu du poumon dans le contexte d'une surcharge volémique, de bonne évolution sous nitroglycérine iv, ventilation non invasive et déplétion volémique. Un traitement d'insuffisance cardiaque est également progressivement introduit et sera à adapter lors de la suite du séjour. Une pneumonie associée au ventilateur à S. aureus MSSA, mise par bronchoscopie justifie une antibiothérapie par co-amoxicilline. Le traitement est élargi par méropénème en raison de la présence d'un Hafnia alvei résistant, d'une stagnation du syndrome inflammatoire ainsi que de nouveaux infiltrats. À noter qu'un dépistage COVID-19 a été effectué le 19.04.2020 au vu des symptômes gastro-intestinaux à l'entrée et est revenu négatif. Le patient présente initialement un réveil pathologique, suivi d'un état confusionnel aigu d'origine multifactorielle. Un EEG montre un état hypoactif global sans signe irritatif. Une IRM cérébrale réalisée par la suite montre de multiples petites lésions ischémiques aiguës d'origine embolique. L'évolution est lentement favorable sous traitement. Une nutrition entérale est poursuivie pendant le séjour aux soins intensifs en raison d'une dysphagie modérée, en complément d'une alimentation adaptée. Mr. Y est transféré en médecine interne le 04.05.2020. Une demande de neuroréadaptation intensive a été envoyée. Mr. Y est un patient de 30 ans, qui se présente le 30.04.2020 aux urgences en raison de douleurs abdominales. Le bilan effectué met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle nous prenons le patient au bloc opératoire pour une appendicectomie laparoscopie. L'intervention se déroule sans complication. Les suites sont simples permettant un retour à domicile le 02.05.2020. Mr. Y, 86 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance rénale aiguë KDIGO III d'origine multiple avec acidose métabolique à trou anionique augmenté et hyperkaliémie. Le patient présente des douleurs abdominales avec diarrhées, méléna et fièvre depuis une semaine. Il signale avoir consommé des anti-inflammatoires (Ecofénac) depuis 2-3 semaines pour ses douleurs arthrosiques. Le bilan d'admission met en évidence une insuffisance rénale aiguë KDIGO III avec acidose métabolique à trou anionique augmenté pour laquelle le patient reçoit du bicarbonate, et une hyperkaliémie traitée par insuline-glucose. L'origine de l'insuffisance rénale est mixte: pré-rénale sur hypovolémie secondaire aux diarrhées, rénale sur prise d'AINS et traitement habituel par IEC, et post-rénale sur globe vésical. Après pose de sonde vésicale et hydratation, la fonction rénale se corrige rapidement avec une phase polyurique transitoire, résolue au moment du transfert. Une infection urinaire est suspectée en présence de leucocytes et de bactéries dans le sédiment urinaire. Nous débutons une antibiothérapie par Ceftriaxone dès le 28.04.2020. Aucun germe ne peut être mis en évidence dans les prélèvements microbiologiques. L'évolution est favorable et l'antibiothérapie sera à poursuivre pour 5 jours au total. Dans le cadre des diarrhées, un frottis COVID-19 est effectué qui est négatif. En présence d'une anamnèse de méléna, une OGD est proposée, mais le patient refuse. Un traitement par IPP est introduit sans épisode de méléna pendant le séjour. Le patient présente également une hypertrophie testiculaire gauche, indolore et non inflammatoire. Une échographie testiculaire serait à prévoir par la suite. Une mycose des plis inguinaux est traitée par Pevaryl crème. Le patient est transféré en médecine interne à l'hôpital de Riaz le 01.05.2020. Mr. Y, 86 ans, nous est transféré des soins intensifs de l'HFR Fribourg le 01.05.2020, où il a été hospitalisé pour une insuffisance rénale aiguë KDIGO III d'origine multiple avec acidose métabolique à trou anionique augmenté et une hyperkaliémique. À l'entrée dans notre service, le patient est désorienté au niveau temporo-spatial, mais il est calme et collaborant. Il n'a pas de plainte ni de douleur et les paramètres vitaux sont dans la norme. Sur le plan biologique, le bilan sanguin met en évidence une insuffisance rénale aiguë en cours de résolution. L'évolution est favorable depuis la pose d'une sonde vésicale à l'HFR Fribourg et une hydratation, que nous poursuivons. Nous complétons les investigations avec un US d'abdomen complet qui met en évidence une nette hypertrophie prostatique avec parenchyme hétérogène et un volume estimé à 200 cc, ainsi que des kystes corticaux au niveau des deux reins avec à gauche, présence d'une formation kystique multi-loculée de 3 cm de diamètre et suspicion d'un kyste de type Bosniak III polaire inférieur de 21 mm de diamètre maximal. Dans ce contexte, nous prenons l'avis du service d'urologie de l'HFR Fribourg, qui exclut la possibilité d'intervention chirurgicale prostatique au vu de l'insuffisance rénale aiguë. Ils nous proposent de laisser la sonde vésicale pour éviter des complications. De plus, ils proposent un suivi urologique en ambulatoire, à faire dans les 15 jours maximum après la sortie. Une opération serait envisageable à 3 mois si la récupération de la créatinine le permet. Par rapport à l'infection urinaire mise en évidence à Fribourg, nous poursuivons l'antibiothérapie par Ceftriaxone, jusqu'au 02.05.2020, avec une évolution favorable.Par ailleurs, une anémie normochrome normocytaire avait été mise en évidence à Fribourg dans le contexte de saignement digestif haut pour lequel le patient avait refusé toute investigation. Au cours de l'hospitalisation en médecine, le patient présente 3 épisodes de méléna pour lesquels nous majorons le traitement d'inhibiteur de pompe à proton. Le 11.05.2020, le bilan sanguin de contrôle retrouve une hémoglobine à 78 g/l, raison pour laquelle le patient est transfusé, avec une hémoglobine de contrôle le lendemain à 90 g/l. Le laboratoire retrouve également une hypernatrémie dans le contexte de polyurie de levée d'obstacle, que nous traitons par concentré de Glucose 5%, avec une normalisation de la valeur de la natrémie. Concernant l'hypertrophie testiculaire gauche, qui est indolore et non inflammatoire, une échographie testiculaire est à prévoir. Le 07.05.2020, le patient présente un état fébrile à 38,4°C. A l'examen physique, nous notons une phlébite avec point d'entrée du cathéter veineux périphérique induré, avec trajet veineux palpable jusqu'au pli du coude et un oedème douloureux. Dans ce contexte, nous retirons la voie périphérique. En raison d'un patient porteur d'une sonde urinaire à demeure, nous demandons l'avis de la Dr. X, infectiologue, qui conseille l'administration d'une dose de Rocéphine iv, afin de couvrir une éventuelle infection urinaire. L'évolution est lentement favorable avec une diminution de l'oedème et de la douleur. Nous proposons un suivi par nos collègues en gériatrie. En outre, nous poursuivons le traitement de la mycose des plis inguinaux par Pevaryl crème, avec une bonne évolution. Vu le projet de la famille de retour à domicile et l'état encore fragile du patient, nous transférons Mr. Y dans le service de gériatrie pour une réadaptation globale, le 13.05.2020. Mr. Y, âgé de 73 ans, consulte les urgences le 19.05.2020 en raison d'un épisode de faiblesse avec une hypotension artérielle mesurée à domicile à 70/40 mmHg. A l'anamnèse, le patient nie avoir fait des malaises ni perdu connaissance. A l'admission à l'étage, le patient est hémodynamiquement stable, les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, le patient présente une réaction allergique sous forme de rash cutané aux membres supérieurs avec prurit et oedème au niveau de la face dorsale des bras jusqu'aux coudes, de type eczéma de contact après avoir manipulé des lilas le 16.05.2020. Durant l'hospitalisation, le patient présente une amélioration des lésions cutanées avec diminution de l'oedème et desquamation progressive, sous Bepanthen crème. Concernant le suivi tensionnel, nous mettons en suspens le traitement par Carvedilol, Dilzem et Enalapril et le patient présente un profil tensionnel correct durant le séjour. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution et de réévaluer l'indication du traitement antihypertenseur en ambulatoire. Pour mémoire, le patient est connu pour un porocarcinome temporal gauche diagnostiqué en 2018 avec une récidive métastatique pulmonaire et ganglionnaire en janvier 2020, pour laquelle il est actuellement sous traitement chimiothérapeutique par Paraplatine et Taxol (dernière séance jeudi 14.05.2020). Sur le plan biologique, le bilan sanguin retrouve une bicytopénie dans le contexte oncologique post-chimiothérapie et une leucopénie à 1,7 G/l, raison pour laquelle la dernière séance de la chimiothérapie prévue pour le 20.05.2020 est décalée au 27.05.2020. De plus, une hypomagnésémie à 0,45 mmol/l est retrouvée, que nous substituons par voie intraveineuse, avec relais per os à poursuivre en ambulatoire. L'évolution clinique est favorable, sans récidive d'épisode d'hypotension et Mr. Y peut regagner son domicile le 22.05.2020, en bon état général, tout en ayant un suivi à votre consultation. Mr. Y, patient dont les comorbidités vous sont connues, nous est amené en ambulance pour une baisse de l'état général. Il présente depuis plusieurs semaines une dyspnée d'effort en augmentation associée à une asthénie importante avec faiblesse généralisée. L'évolution clinique ambulatoire est également marquée par une ascite récidivante, drainée à plusieurs reprises depuis 2019, avec nette augmentation de celle-ci depuis le début d'année 2020. Au status, nous observons une anasarque avec ascite en grande quantité. Le bilan biologique met en évidence une péjoration importante de l'insuffisance rénale chronique connue. L'ascite est immédiatement ponctionnée et une péritonite bactérienne spontanée est exclue à l'analyse du liquide. Sur le plan cardiologique, nous retenons une décompensation cardiaque à prédominance droite sur une hypertension pulmonaire d'origine indéterminée déjà mise en évidence en ambulatoire en décembre 2019. L'ETT réalisée le 20.05.2020 montre une dilatation importante des cavités droites avec une fonction systolique très altérée, probablement en lien avec une HTAP importante (PAPs à 71 mmHg), sans aggravation cependant depuis décembre 2019. Après réalisation d'un ultrason abdominal et un bilan de cirrhose, nous retenons une origine cardiaque à l'ascite récidivante du patient. Sur le plan néphrologique, l'insuffisance rénale aiguë préterminale est attribuée à un syndrome cardio-rénal dans le contexte précité. Un traitement maximal à l'étage est mis en place, ne permettant pas une amélioration de la situation, ni sur le plan clinique, ni sur le plan biologique. Au vu de l'absence de potentiel de récupération au niveau cardiaque et après discussion pluridisciplinaire (cardiologues, néphrologues, soins intensifs) ainsi qu'avec le patient et sa famille, nous renonçons à un traitement invasif par dialyse ou un transfert en unité de soins intensifs. Des soins de confort sont initiés dès le 22.05.2020 et Mr. Y décède le 24.05.2020. Mr. Y est un patient de 62 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé de manière élective le 15.05.2020 pour une cholécystectomie laparoscopique et l'ablation du drain transhépatique. L'opération a lieu le jour même et se déroule sans complication. En post-opératoire, une collection sous-cutanée sur l'orifice du trocart ombilical est mise en évidence. Un drainage est réalisé et une antibiothérapie par co-amoxil p.o. est instaurée. Le prélèvement effectué est en cours. Les suites sont simples, permettant un retour à domicile le 18.05.2020. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X le 22.05.20 à 9h pour contrôle clinique et biologique. Nous suggérons un contrôle clinique avec l'ablation des fils à 12 jours post-opératoire chez son médecin traitant. Mr. Y, 62 ans, est admis aux soins intensifs pour un traumatisme crânien avec hémorragies cérébrales frontales et temporales droites, suivi de 3 crises d'épilepsies. Ce patient, connu pour un syndrome métabolique avec diabète insulinotraité, un SAOS et une cardiopathie ischémique, chute de sa hauteur le 25.04.2020 avec traumatisme crânien et perte de connaissance de quelques secondes selon son épouse, perte d'urine et amnésie circonstancielle. La chute survient dans le contexte d'une crise d'angoisse en lien avec des écoulements sanguinolents par le drainage biliaire percutané. Mr. Y ne présente pas de prodrome hormis une bouffée de chaleur. A l'arrivée des ambulanciers, ceux-ci constatent des myoclonies de la face et de l'œil droit et administrent du Rivotril. La glycémie à l'arrivée des ambulanciers est 8.1 mmol/l. Aux urgences, il fait une nouvelle crise avec myoclonie de la face et de la jambe droite, puis une 3ème crise cette fois-ci généralisée, toutes traitées par Rivotril. Le CT cérébral met en évidence des hémorragies frontales et temporales droites, d'allure post-traumatique. Sur avis neurologique, un traitement de Depakine est initié.A noter, l'introduction deux semaines auparavant d'un traitement d'Escitalopram. L'épouse du patient signale également un épisode deux semaines auparavant où le patient a eu un accident de voiture sans gravité dont il n'a aucun souvenir. L'événement déclencheur de l'état actuel semble être une syncope dans le contexte de crise d'angoisse. Le diagnostic différentiel comprend une origine arythmique. A noter, l'absence de trouble du rythme pendant son séjour aux soins intensifs. L'aspect des hémorragies cérébrales parle en faveur des saignements post-traumatiques et non pas pour des hémorragies spontanées. Une crise épileptique inaugurale comme cause de la chute peut également être discutée. Aux soins intensifs, la surveillance neurologique se déroule sans particularité. L'EEG montre un ralentissement aspécifique de l'hémisphère gauche. Un CT de contrôle montre une stabilité des hémorragies. Une IRM cérébrale montre une hémorragie sous-arachnoïdienne multiple de l'hémisphère droit avec au niveau pariétal une zone d'ischémie focale. Selon l'avis du Dr X, neurologue, on suppose une origine contusionnelle. La Depakine est à continuer et un contrôle clinique avec EEG est prévu dans 3 mois. La conduite est interdite pendant les 3 prochains mois, jusqu'au contrôle neurologique. Dans le contexte des crises d'angoisses à répétition, nous impliquons les collègues psychiatres qui recommandent la réintroduction d'Escitalopram. A noter que le patient est porteur d'un drainage percutané des voies biliaires depuis le 13.03.2020 dans le cadre d'une cholécystite aiguë lithiasique. Une cholécystectomie est prévue pour le 15.05.2020. A noter que le liquide biliaire drainé est hématique depuis le 24.04.2020. A cause d'un état fébrile, des hémocultures et cultures de la bile ont été effectuées. La culture de la bile devient positive aux Serratia marcescens et Stenotrophomonas maltophilia. Selon l'avis des infectiologues, un traitement avec des antibiotiques n'est pas indiqué étant donné que Mr. Y relate une évolution clinique favorable, un état général conservé, une disparition de la fièvre et une bonne évolution des valeurs d'inflammation. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 04.04.2020. Mr. Y est également examiné par Dr. X et Dr. X. Bonne évolution, poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire au niveau des muscles vertébraux et du quadriceps à droite. Prochain contrôle en octobre 2020. Mr. Y est amené en ambulance pour une baisse de l'état général et soins impossibles à domicile. Au service des urgences, le patient se plaint d'une fatigue généralisée évoluant depuis environ 2-3 jours sans autre symptôme associé. A l'examen initial, le patient est orienté, afébrile, hypotendu à 77/56 mmHg, tachycarde à 120/min et tachypnéique avec une hypoventilation basale gauche, des râles crépitants à droite et une saturation à 98 % à l'air ambiant. Sous hydratation, la tension artérielle et la fréquence cardiaque se normalisent. Les traitements potentiellement hypotenseurs sont suspendus. Le bilan biologique montre une pancytopénie avec une anémie à 80 g/L, thrombopénie à 6 G/l et une leucopénie à 0.9 G/l ainsi qu'un syndrome inflammatoire avec un CRP à 129 mg/l. Nous interprétons la pancytopénie dans le cadre de la chimiothérapie par Alimta. Un 1er culot érythrocytaire et plaquettaire sont administrés permettant d'atteindre une Hb à 82 g/L et des plaquettes à 21 G/l. Une nouvelle transfusion d'un culot érythrocytaire et de plaquettes est administrée les jours suivants devant une baisse persistante, permettant d'atteindre une Hb à 92 g/l, des thrombocytes à 20 G/l et des valeurs relativement stables à la sortie. Au vu de la leucopénie avec neutropénie à 0.59 G/L, un traitement avec Neupogen administré pendant 3 jours permet une évolution rapidement favorable. Nous recommandons un contrôle des valeurs hématologiques régulièrement avec évaluation d'une transfusion (cible Hb > 90 g/l, thrombocytes > 10 G/l (si état fébrile cible > 20 G/l), selon la Dr X). Sur le plan infectieux, le sédiment urinaire n'est pas pathologique et les résultats parvenus secondairement des cultures d'urine ne montrent pas de germe. A la radiographie du thorax, on retrouve un épanchement important à gauche, homolatéral à la lésion tumorale. Nous interprétons le syndrome inflammatoire biologique initial avec une CRP élevée et une baisse spontanée secondaire, dans le contexte de l'adénocarcinome pulmonaire. Une sonde urinaire est mise en place le 19.05.2020 suite à une rétention urinaire. Concernant l'insuffisance rénale chronique avec une GFR à 33 ml/min, elle est considérée selon les néphrologues comme probablement secondaire au traitement par Pemetrexed (Alimta) et l'arrêt de cette thérapie est suggéré. Une néphroprotection avec régime hyposodé, une tension artérielle cible <140/90 mmHg et une éviction des traitements néphrotoxiques sont également recommandées. En l'absence d'altération structurelle pathognomonique de néphrotoxicité sur Alimta et de conséquence thérapeutique directe, une biopsie rénale n'est pas indiquée. Après consultation de la Dr X, la chimiothérapie palliative avec Alimta peut être stoppée au vu de la néphrotoxicité ainsi que de la cytotoxicité et du stade évolutif de la tumeur. Le patient sera revu par la Dr X pour un contrôle clinique et discussion de la suite de prise. Une hyperparathyroïdie secondaire à l'insuffisance rénale a pu être mise en évidence à la biologie pour laquelle une substitution de vitamine D n'a pas été indiquée, les valeurs étant dans la norme. Sur le plan cardiologique, chez ce patient connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique depuis 2015, nous ne retenons pas l'indication à instaurer une anticoagulation vu le risque hémorragique significatif, principalement en lien avec les passages récurrents en thrombopénie dans le cadre de la chimiothérapie. L'Aspirine n'ayant pas d'indication claire, elle est également arrêtée. La situation à domicile étant devenue compliquée avec état dépressif latent, perte d'élan et hétéroagressivité envers son épouse, le patient et cette dernière souhaitent une prise en charge palliative. Nous pouvons transférer Mr. Y pour suite de prise en charge au service des soins palliatifs de l'HFR Meyriez dans un état stable le 26.05.2020. Mr. Y est un patient de 64 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge chirurgicale d'un nodule thyroïdien droit (classification Bethesda IV) par thyroïdectomie totale convertie à lobectomie droite avec isthmectomie. Le geste initial, de thyroïdectomie totale bilatérale, n'a pas pu être réalisé en raison d'une suspicion de parésie récurrentielle droite, constatée durant l'intervention grâce au monitoring, qui sera confirmée par nos collègues d'ORL par la suite. Un traitement par corticothérapie est débuté à dose rapidement décroissante. Le patient sera revu à la consultation d'ORL par la suite pour un suivi ambulatoire. L'évolution étant rapidement favorable, le patient retourne à domicile le 22.05.2020. Mr. Y est un patient de 64 ans, qui se présente pour une colique néphrétique droite associée à une macrohématurie. L'évaluation montre un caillot sanguin vésical ainsi qu'une dilatation pyélocalicielle droite sans obstruction sur l'uretère. Le patient bénéficie d'un rinçage vésical par cystoscopie et d'une urétérorénoscopie droite où aucune obstruction urétérale n'est objectivée. La sonde double J est laissée en place et sera enlevée au rendez-vous de contrôle chez Dr. X. Le patient peut regagner son domicile le 25.05.2020.Mr. Y est adressé pour une nouvelle coronarographie élective pour traitement des lésions résiduelles. L'examen du jour démontre un bon résultat après angioplastie de la coronaire droite le 06.05.2020. Comme convenu, on procède à une angioplastie de l'IVA distale, moyenne puis ostio-proximale avec un total de 3 stents actifs et excellent résultat final. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs se déroule sans complications. Le traitement est poursuivi à l'identique. Le patient sera revu pour un contrôle dans 1 mois chez son médecin traitant. Mr. Y est un patient de 73 ans, connu pour les antécédents et comorbidités sus-nommés, hospitalisé à Riaz dans le contexte d'une chute de sa hauteur avec cytolyse importante en raison d'une position prolongée au sol. Le 13.02.2020, il présente des douleurs latérales du tibia droit et des paresthésies d'apparition brutales au pied droit. L'examen clinique objective une pâleur cutanée au niveau du pied droit avec une différence de température au toucher (plus froid à droite) avec des doppler diminués, raison pour laquelle il nous est transféré. Un angio-CT montre une occlusion de l'artère poplitée droite avec 3 axes perméables en distalité. Le patient bénéficie le 14.02.20 d'une angioplastie avec thrombo-aspiration avec une évolution favorable. Un bilan angiologique sera à prévoir à Riaz à J7 du geste. En parallèle, Mr. Y présente un état fébrile sur une dermo-hypodermite sur cathéter périphérique au bras droit avec, sur avis infectiologique de Dr. X, une couverture par Cubicine dès le 11.02.2020 avec ajout de la Rifampicine le 14.02.2020. Un ultrason montre une thrombose veineuse superficielle de 20 cm de long. Dans ce contexte, il est anticoagulé à Riaz par Clexane puis, dans le contexte opératoire, par de l'héparine en intraveineux. L'évolution locale est favorable avec une disparition de l'érythème et une diminution de l'œdème du membre supérieur droit. Au vu de l'évolution favorable, le patient est re-transféré à Riaz pour la suite de l'antibiothérapie et l'anticoagulation, le Sintrom pouvant être repris si le bilan angiologique est favorable. Mr. Y est un patient de 74 ans connu pour les comorbidités et antécédents sus-mentionnés, hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une sténose asymptomatique de la carotide interne droite, estimée à 90 %. Il bénéficie le 14.05.2020 d'une thrombo-endartériectomie de la carotide interne droite en électif, qui se déroule sans complication. En post-opératoire, le patient est surveillé 24h aux soins intensifs où l'évolution est marquée par une raucité de la voix nouvelle, sans signe de détresse respiratoire associée. Un examen ORL est réalisé qui retrouve une parésie de la corde vocale droite, et recommande de la logopédie et un nouveau contrôle dans 2 mois. Sur le plan hémodynamique, le patient reste parfaitement stable et les traitements anti-hypertenseurs habituels sont repris. L'anticoagulation par Sintrom peut être reprise dès le 15.05.2020 et sera à adapter chez le médecin traitant. À noter qu'une hémoglobine glyquée revient légèrement supérieure à la norme. Nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser à distance un bilan diabétologique. Au vu de l'évolution favorable, le patient peut rentrer à domicile le 17.05.2020. Mr. Y, 74 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance après une thrombo-endariectomie de la carotide interne droite. Le patient présente une sténose de la carotide interne droite estimée à 85-90 % découverte dans un bilan de vertige pour laquelle il bénéficie de l'intervention sus-mentionnée, sous anesthésie par bloc cervical superficiel, sans complication anesthésique ni chirurgicale immédiate. La surveillance post-opératoire est sans particularité du point de vue hémodynamique et les traitements anti-hypertenseurs habituels sont repris. L'anticoagulation par Sintrom peut être reprise dès le 15.05.2020 au soir avec un bridging par Clexane dès le matin même jusqu'à atteinte de la cible thérapeutique. Durant la surveillance aux soins intensifs, le patient présente en post-opératoire une raucité de la voix nouvelle, sans signe de détresse respiratoire associée. Un examen ORL est effectué le 15.05.2020 qui retrouve une parésie de la corde vocale droite pour laquelle un suivi par les logopédistes est à organiser. À noter que l'hémoglobine glyquée revient légèrement supérieure à la norme. Nous vous laissons le soin d'organiser à distance un bilan diabétologique et un suivi par les diététiciens. Le patient est transféré dans le service de la chirurgie le 15.05.2020. Mr. Y est un patient de 22 ans qui est hospitalisé pour formation d'un abcès sur le site de ponction d'aiguille de son appareillage anti-diabétique. Il bénéficie le 11.05.2020 d'un drainage au bloc opératoire avec une évolution par la suite favorable. Il est mis au profit d'un traitement par Augmentin pour une durée de 5 jours. L'évolution tant localement qu'au niveau du contrôle glycémique est favorable, Mr. Y peut rejoindre son domicile le 11.05.2020. Mr. Y, patient de 66 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une suspicion de NSTEMI. De bonne santé habituelle, Mr. Y s'est présenté aux urgences de Tavel le 04.05.2020 pour des douleurs rétrosternales avec irradiation dans le bras gauche. Il mentionne être revenu d'un tour à vélo d'une durée de 3-4 heures où les douleurs avaient déjà commencé et ont persisté à son arrivée à la maison. Dans l'anamnèse, le patient rapporte avoir eu des douleurs similaires en qualité mais plus faibles en intensité depuis 8-10 mois durant l'effort physique. À noter des douleurs principalement à l'épaule droite avec quelques épisodes de douleurs de l'épaule et du bras gauche. Mr. Y note également une dyspnée à l'effort en légère péjoration les derniers mois. Il reste physiquement actif avec des activités sportives 3 fois par semaine, notamment des tours de vélo et du jogging. Aux urgences, l'ECG est sans modification significative mais les troponines sont légèrement élevées et sans cinétique. Sur avis cardiologique, le patient reçoit une dose de charge en Aspirine, Prasugrel et héparine et est transféré aux soins intensifs pour la suite de la prise en charge. Aux soins intensifs, le patient bénéficie d'une coronarographie qui montre une sclérose coronarienne sans sténoses significatives et un cathétérisme gauche-droit permettant d'infirmer une élévation des pressions pulmonaires. Sur avis cardiologique, nous poursuivons l'aspirine et l'atorvastatine au vu de la sclérose coronarienne. L'échocardiographie et la radiographie de thorax sont sans particularité. L'origine des douleurs thoraciques reste peu claire. Au vu d'une dyspnée en péjoration lente sur les derniers mois, un bilan pneumologique devrait être discuté avec évaluation d'apnées du sommeil mentionnée par le patient. La coronarographie se complique d'un hématome de l'abord radial droit pour lequel une compression est effectuée. Le profil tensionnel est élevé durant le séjour avec un traitement antihypertenseur X en ambulatoire. Nous proposons de procéder à une surveillance tensionnelle à domicile avec adaptation du traitement par le médecin traitant si nécessaire. Sur une suspicion de contact Covid-19, le patient est isolé et un frottis est effectué qui se révèle négatif. Mr. Y regagne son domicile le 05.05.2020. Mr. Y, patient de 76 ans, chute de sa hauteur en voulant descendre de son vélo (à l'arrêt), avec réception sur le côté droit occasionnant un traumatisme crânien, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. À noter qu'il portait un casque qui est intact. Tout de suite après la chute, le patient présente des douleurs au niveau du pli de l'aine ainsi qu'au niveau de la fesse à droite limitant la marche.A l'examen clinique aux urgences, on note une douleur à la palpation de l'ischion droit et une douleur au niveau du pli de l'aine à droite, surtout à la flexion des hanches. La marche entraîne également des douleurs au niveau du pli de l'aine à droite. L'examen neurologique est dans la norme. Le reste du statut clinique est non contributif. Des radiographies du bassin et de la hanche droite sont réalisées chez ce patient connu pour une PTH bilatérale, qui font suspecter une fracture de la branche ischio-pubienne droite. Mr. Y est alors hospitalisé en orthopédie pour gestion de l'antalgie et physiothérapie dans le but d'un retour à domicile. Le sédiment urinaire ne montre pas de microhématurie et le laboratoire révèle une pancytopénie connue dans le contexte d'une maladie lymphoproliférative, avec une anémie à 128 g/l, une leucopénie à 2.7 G/l et une thrombocytopénie à 96 G/l. Le bilan radiologique est complété par un CT du bassin qui confirme la fracture de la branche ischio-pubienne droite, stable, sans descellement ni signe de fracture péri-prothétique, ni d'autre fracture mise en évidence. Le patient se mobilisant à l'aide de deux cannes anglaises sans douleur, sous antalgie satisfaisante par Dafalgan et Tramal en réserve, un retour à domicile est possible le 11.05.2020. Mr. Y, en bonne santé générale, est hospitalisé pour des céphalées et des pseudovertiges à type de malaise le 08.05.2020 associés à une phonophobie et des nausées, qui s'améliorent spontanément dans la journée. Le lendemain, il présente le soir une faiblesse du bras et de la jambe gauche, associée à des céphalées non pulsatiles d'intensité modérée, également avec une sensation de malaise et des transpirations profuses. L'Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux ne révèlent pas d'ischémie ni d'hémorragie cérébrale. Vu les épisodes récurrents avec un diagnostic différentiel de vasculite ou de syndrome de vasoconstruction réversible, le patient est hospitalisé aux soins intensifs où il récidive une troisième fois les mêmes symptômes. L'Angio-IRM cérébrale ne révèle pas de lésion ischémique ni de lésion inflammatoire de type démyélinisante ainsi que des vaisseaux sanguins sans irrégularités ni micro-hémorragie, allant à l'encontre d'une vasculite. Le bilan neurosonologique est sans particularité, notamment l'absence de vasospasmes. Une ponction lombaire ne montre pas d'inflammation ni de signe d'hémorragie. L'électrophorèse des protéines reste à pister. En tenant compte le bilan précité et la bonne réponse au paracétamol, nous retenons le diagnostic probable de migraine sans aura, également soutenu par des épisodes similaires il y a une année. Néanmoins, le patient rapporte la persistance d'une faiblesse de l'hémicorps gauche avec au statut clinique une hypoesthésie tacto-algique hémicorporelle gauche et mal systématisée sans clair niveau médullaire ou de distribution radiculaire. Nous n'observons pas de parésie ni de syndrome pyramidal gauche. Nous proposons d'effectuer une IRM médullaire cervico-dorsale afin d'écarter une lésion centrale, que nous vous laissons le soin d'organiser (souhait du patient de l'effectuer en ambulatoire). Nous restons à disposition et serions reconnaissants de recevoir les résultats de l'imagerie. Le statut neurologique de sortie rapporte une hypoesthésie du membre supérieur gauche à prédominance médiale et du bord latéral du membre inférieur gauche avec discrimination maintenue. Le reste du statut est normal. Le bilan physiothérapeutique et ergothérapeutique est rassurant. Dans ces conditions, Mr. Y rentre à domicile le 12.05.2020. Mr. Y, 27 ans, est admis en unité stroke monitorée pour une suspicion d'AVC. Le patient consulte aux urgences en raison de céphalées et des vertiges à type de tangage le 08.05.2020 qui s'améliorent spontanément dans la journée. Le lendemain apparaissent une hémiparésie brachiale et des hémiparesthésies brachio-crurales gauches. Un épisode similaire est rapporté par le patient 2 ans auparavant. Aux urgences, le NIHSS est évalué à 3 points. Un CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux ne révèlent pas de signe d'ischémie aiguë ou hémorragique. L'étiologie reste indéterminée. En raison d'une suspicion d'AVC, une anti-agrégation par Aspirine et une thérapie par Atorvastatine sont débutées. Un bilan sanguin de vasculite est en cours. Une IRM cérébrale et de la colonne totale est agendée afin d'exclure une origine ischémique ou neuro-inflammatoire. Une ponction lombaire et un US Doppler des vaisseaux précérébraux seront également effectués après son transfert en division de neurologie. La surveillance neurologique aux soins intensifs se déroule sans complication. À la sortie des soins intensifs, le patient présente une paresthésie résiduelle du membre inférieur gauche avec une légère faiblesse persistante (NIHSS évalué à 2 points). En cas de confirmation d'un AVC ischémique, le bilan est à compléter par une échocardiographie et un Holter. Le patient est transféré le 11.05.2020 en unité stroke non monitorée. Mr. Y, 67 ans, est hospitalisé en médecine interne pour un AVC ischémique frontal gauche. Pour rappel, le patient est connu pour une cardiopathie rythmique avec FA paroxystique anticoagulée par Xarelto, ainsi qu'un antécédent d'AVC ischémique droit en 2010 secondairement hémorragique du territoire moyen droit d'origine cardio-embolique avec une hémi-plégie gauche séquellaire et dysphagie séquellaire. Il se présente le 03.05.2020 aux urgences pour un épisode de vomissements et perte d'urine inhabituelle avec apathie et présente une parésie du membre supérieur droit avec aphasie. Un scanner cérébral retrouve une lésion ischémique frontale gauche. L'avis neurologique préconise un traitement conservateur avec une dose de charge d'Aspirine cardio et une dose d'entretien ainsi que la statine comme traitement hypolipémiant. À l'étage de médecine interne, nous notons une nette évolution avec récupération totale du déficit neurologique occasionné avec un score NIHSS à 12/20 (au vu des séquelles préexistantes de l'événement ischémique de 2010). Une IRM cérébrale est proposée par les neurologues qui retrouve l'ischémie récente constituée frontale gauche sans transformation hémorragique. Le traitement anticoagulant par Eliquis 5 mg 2x/jour est initié le 06.05.2020 sous avis neurologique. Le patient bénéficie d'un test de déglutition qui permet la reprise habituellement d'une alimentation lisse. Le patient est mobilisé progressivement selon le protocole STROKE. Il bénéficie également d'une évaluation neuro-psychologique qui retrouve un dysfonctionnement exécutif sévère (apathie, manque d'incitation, mimique abaissée) et des troubles attentionnels (ralentissement, temps de latences, fatigabilité). Le discours est peu fluent et partiellement informatif, mais peut répondre par des mots et des phrases simples et correctes sur des questions personnelles et contextuelles. Il conserve une bonne compréhension orale et une communication fonctionnelle pour les besoins de base. Il présente également une légère hypokaliémie à 3.3 mmol/l que nous substituons per os. Nous vous prions de bien vouloir organiser un bilan sanguin dans les 48 heures de la kaliémie. Par ailleurs, le patient est récusé pour une neuro-réhabilitation au vu de la bonne évolution et de la récupération de son état habituel précédant l'événement ischémique aigu. L'évolution étant favorable, le patient rentre à domicile au home Intyamon le 08.05.20.Mr. Y présente une rupture complète du LCA du genou droit. Vu qu'il s'agit d'un jeune patient très actif faisant beaucoup de sport avec une instabilité résiduelle malgré la physiothérapie intensive pendant maintenant 5 mois, l'indication pour une plastie du LCA est donnée. Nous prévoyons une plastie par greffe de tendon quadriceps. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. Mr. Y va encore être vu par mes collègues du service d'anesthésie pour définir le type d'anesthésie. L'intervention est agendée pour le 4.6.2020. Mr. Y, âgé de 72 ans, est hospitalisé pour infection urinaire compliquée dans un contexte de néo-vessie iléale orthotopique selon Studer pour carcinome urothélial de haut grade en avril 2020. Le patient est adressé en raison d'un état sub-fébrile avec asthénie et myalgies progressives depuis 3 jours. À savoir que le patient présente un antécédent d'infection urinaire à E. coli ESBL après retrait de sonde urinaire le 20.04.2020 dans les suites post-opératoires urologiques, avec traitement d'Ertapénème durant 10 jours, malgré antibioprophylaxie par Trimethoprim/Sulfamethoxazole. Le bilan d'entrée montre un syndrome inflammatoire modéré avec leucocyturie, hématurie et protéinurie. Une infection urinaire compliquée est retenue et une antibiothérapie par Ertapénème est débutée dans un contexte d'infection à ESBL et des antécédents opératoires connus. Une culture d'urine est en cours. À savoir qu'aucune acidose hyperchlorémique n'est mise en évidence. Le traitement par Pantoprazole est suspendu, avec poursuite du traitement par Bicarbonate. Sur demande du service d'urologie du CHUV, le patient est transféré pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 47 ans connu pour un syndrome MEN-1 et actuellement pour un NSCLC neuroendocrine à grandes cellules ayant récidivé au niveau médiastinal (début d'une nouvelle chimiothérapie par Platinol-Gemzar le 04.05.2020 et le 12.05.2020) qui nous est adressé par son oncologue pour une baisse d'état général de 72h avec état fébrile objectivé dans leur service ambulatoire. Au bilan, le scanner thoraco-abdominal met en évidence une masse nécrotique para-oesophagienne distale droite passant de 1 cm à 4 cm par rapport au comparatif du 29.04.2020. Suspectant un abcès, nous demandons un avis aux chirurgiens thoraciques qui évoquent plutôt une nécrose d'une adénopathie. Afin de couvrir une surinfection, nous introduisons un traitement empirique par Meropénem aux urgences, puis Rocéphine et Bactrim et finalement Co-Amoxicilline. Les hémocultures démontrent la présence de Streptocoque gr.anginosus/milleri pansensible et l'antibiothérapie peut, au vu de l'absence d'état fébrile pendant 48h et de la forte régression du syndrome inflammatoire, être changée le 30.05.2020 pour de l'amoxicilline p.o. D'un point de vue électrolytique, une hypercalcémie est mise en évidence et nous introduisons une hydratation intraveineuse. Une hypophosphatémie est conjointement substituée. Nous renonçons sur avis oncologique à une recherche d'une hyperparathyroïdie au vu de l'origine paranéoplasique. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 30.05.2020 avec le conseil d'une hydratation orale importante. Un contrôle clinico-biologique est prévu en oncologie le 02.06.2020. Mr. Y est un patient de 81 ans, adressé pour une coronarographie élective dans un contexte de dyspnée, avec mise en évidence chez sa cardiologue traitante de nombreuses ESV et complément de bilan par CT coronarien qui laisse suspecter une atteinte tri-tronculaire. L'examen invasif du jour confirme l'atteinte avec une longue lésion de l'IVA proximale et moyenne en bifurcation avec la première diagonale qui présente également une sténose significative. La circonflexe et la bissectrice présentent des lésions intermédiaires. La coronaire droite présente une sténose significative de la partie RVG et de la partie moyenne et proximale. La fonction systolique VG est altérée (FEVG 45-50%). Après discussion avec le patient, on procède à une angioplastie de l'artère coronaire droite proximale, moyenne et de la branche rétroventriculaire avec un total de 3 stents actifs et un bon résultat final. Une nouvelle coronarographie sera réalisée dans 2 semaines pour angioplastie du réseau IVA-diagonale. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularités. On introduit l'aspirine 100 mg et une statine à vie, le Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois. Le reste du traitement est inchangé, nous laissons le soin à la Dr. X de l'adapter dans 1 mois. Le patient regagne son domicile le 20.05.2020. Mr. Y, 51 ans, connu pour un sondage à demeure en raison d'une infirmité moteur cérébrale avec vessie neurogène se présente aux urgences suite à un changement de sonde impossible. Une nouvelle tentative de sondage vésicale est infructueuse aux urgences. Le patient bénéficie donc de la mise en place d'une cystostomie par le Dr. X. Les suites sont simples et afébriles permettant un retour à domicile le 27.05.2020. Mr. Y, 55 ans, est adressé initialement par la permanence d'Estavayer pour l'apparition de douleurs thoraciques typiques à l'effort depuis le 08.05.2020, résolues au repos. L'ECG met en évidence des sus-décalages au niveau V3 à V5 et le dosage de troponines à la permanence est dans la norme. Le patient est transféré en coronarographie à Fribourg pour suspicion d'angor instable. L'examen met en évidence une sténose à 70-90% de la coronaire D traitée par mise en place de 2 stents actifs. Une charge en Prasugrel et Aspirine est administrée en per-coronarographie. Une échocardiographie transthoracique ne met pas en évidence d'insuffisance cardiaque ou d'anomalie valvulaire. Une discussion avec l'équipe de cardiologie retient la possibilité d'arrêter totalement l'antiagrégation plaquettaire si nécessaire. Sur avis hématologique (Dr. X), il est possible de poursuivre l'Aspirine tant que les plaquettes restent supérieures à 40 G/L. Une heure après la coronarographie, le patient présente un épisode d'aphasie complète de 5-10 min, rapidement régressive. Un angio-CT réalisé en urgence ne permet pas de mettre en évidence une cause ischémique ni hémorragique. Une IRM cérébrale du 12.05.2020 ne montre pas de signe d'AVC ischémique. L'origine de l'AIT reste indéterminée. Le contexte post-coronarographie fait suspecter une complication de l'intervention, cependant une cause hémodynamique sur un bas débit cérébral dans le contexte d'anémie sévère est également évoquée. Une antiagrégation plaquettaire n'est également pas introduite sur avis neurologique au vu du risque hémorragique dépassant le bénéfice. Un Holter serait à organiser à la recherche d'une arythmie emboligène. En parallèle, une pancytopénie est mise en évidence au laboratoire. Le frottis sanguin met en évidence 22.5% de blastes avec présence de bâtonnets d'Auer. La présence de ces éléments fait fortement suspecter une leucémie myéloïde aiguë. Une ponction-biopsie de moelle est réalisée le 12.05.2020, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un bilan large hématologique et infectiologique est également en cours. 5 culots érythrocytaires et 1 concentré plaquettaire sont administrés durant le séjour, pour un seuil transfusionnel de 80 g/L d'Hb et 20 G/L de thrombocytes. La surveillance aux soins intensifs reste par la suite sans particularité, permettant un transfert du patient en division d'oncologie pour suite de prise en charge.Mr. Y est transféré le 28.05.2020 de l'hôpital de Rennaz pour la réalisation d'une coronarographie. Le patient s'était présenté le jour précédent avec une douleur oppressive thoracique gauche. Les examens complémentaires ont montré une élévation des troponines ainsi que des modifications non significatives de l'ECG, permettant de poser le diagnostic de NSTEMI. Une coronarographie, effectuée le 28.05, montre une sténose significative de la première marginale distale qui est traitée par angioplastie et un stent actif avec très bon résultat final. L'ETT de contrôle à 24h montre une FEVG à 54% sans autre pathologie. Un traitement IEC et statine est introduit ainsi qu'une recommandation d'arrêter le tabac. L'aspirine devra être poursuivie à vie et le Brilique durant 6 mois. Le patient, connu pour une allergie à l'aspirine, a suivi un protocole de désensibilisation le 28.05.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs le 27.05.2020 pour un STEMI antérieur. Le patient de 80 ans, connu pour un diabète non insulino-requérant et une hypertension artérielle, se présente pour des douleurs thoraciques typiques. La coronarographie en urgence montre une maladie coronarienne tritronculaire avec pose de 2DES dans la RIVA. La ventriculographie estime la FEVG à 60%, avec une hypokinésie apicale. Une coronarographie est à prévoir dans 1 mois pour le traitement de la sténose d'une première grosse branche marginale de l'artère circonflexe. Une double anti-agrégation par Aspegic et Efient pour une durée de 6 mois. Le bétabloquant et le lisinopril sont introduits avec bonne tolérance, avec la poursuite du Nitroderm patch. À noter la réaction cutanée limitée aux racines des cuisses le 28.05, mise sur le compte de la nouvelle introduction médicamenteuse d'Aspirine, raison pour laquelle nous proposons de relayer par Aspegic, en accord avec les cardiologues. Un traitement anti-histaminique est à poursuivre pour une durée de 5 jours. L'atorvastatine est introduite pour une hypercholestérolémie pure. La surveillance est simple, sans trouble du rythme, ni récidive de douleurs thoraciques. Une échocardiographie transthoracique est demandée. Le 28.05.2020, Mr. Y est transféré en unité de médecine interne. Mr. Y est un patient de 59 ans en bonne santé habituelle hospitalisé en chirurgie pour surveillance neurologique dans un contexte de traumatisme crânien simple sur AVP à vélo le 18.05.2020. Dans le décours de l'hospitalisation, l'évolution clinique est satisfaisante. À noter qu'un nodule thyroïdien droit a été découvert de manière fortuite au CT-scan du 18.05.2020, motivant la demande d'un avis endocrinologique. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y quitte le service le 20.05.2020. Nous l'invitons à se présenter à la consultation de son médecin traitant le 25.05.2020 pour l'ablation des fils. Mr. Y, patient de 30 ans connu pour un adénocarcinome du côlon ascendant diagnostiqué le 20.01.2019 et traité par hémicolectomie droite avec CME le 29.01.2019, puis chimiothérapie adjuvante selon protocole FOLFOX, est hospitalisé pour une nouvelle chimiothérapie selon protocole FOLFIRI en raison d'une récidive tumorale avec carcinose péritonéale diagnostiquée le 23.04.2020. À noter que le patient s'est présenté au service des urgences le 23.04.2020 pour des douleurs abdominales crampiformes causées par un subiléus mécanique qui s'est résolu le jour même après prise de Gastrografine. Devant la persistance d'une gêne abdominale avec légères douleurs crampiformes menant à une inappétence avec perte pondérale de 8 kg sur les dernières 3 semaines, la mise en place d'une nutrition parentérale est décidée conjointement avec l'oncologue traitant, Dr. X, et le service de nutrition. Ainsi, une PICC line est posée le 30.04.2020, et la nutrition parentérale débutée. Sur le plan oncologique, le patient bénéficie d'une chimiothérapie selon protocole FOLFIRI le 01.05.2020. Le traitement est bien toléré, et un prochain cycle est prévu à 2 semaines. Durant le séjour, l'évolution est marquée par un iléus grêle probablement mécanique dans le contexte oncologique, se manifestant par des douleurs abdominales, des nausées et vomissements, ainsi qu'une inappétence. Le CT abdominal ne permet pas de visualiser d'obstacle, mais laisse suspecter une obstruction en lien avec la carcinose péritonéale. Selon avis chirurgical, nous mettons en place une sonde nasogastrique de décharge, et instaurons un traitement de Sandostatine, Fortecortin et Primpéran. L'évolution clinique étant peu favorable, le patient reçoit également de la Gastrografine. Il présente alors un passage de selles liquides, mais le bilan par la sonde de décharge reste fortement positif (600 cc sur les 12 dernières heures). Les radiographies abdominales de contrôle montrent une persistance de la dilatation des anses grêles. L'iléus ne se résolvant pas après un traitement conservateur, et en accord avec Prof. X, nous organisons un transfert en chirurgie au CHUV pour une probable intervention chirurgicale. L'oncologue traitante, Dr. X, est informée de la situation. Par ailleurs, le CT abdominal mettant en évidence des infiltrats pulmonaires bibasaux pouvant correspondre à une infection à Covid-19, nous effectuons un frottis qui revient négatif. Sur le plan urologique, le patient est porteur d'une sonde double J à droite dans le cadre d'une sténose de l'uretère distal. Cette dernière devrait être retirée en juillet 2020 à l'Hôpital Daler. Nous vous laissons le soin de rediscuter de cela selon l'évolution oncologique et chirurgicale. Mr. Y est transféré en chirurgie au CHUV pour la suite de prise en charge. Mr. Y présente les lésions susmentionnées, toutefois peu symptomatiques. Actuellement, je ne propose pas de traitement spécifique. Le patient est au bénéfice d'un traitement anti-inflammatoire en réserve, en fonction des douleurs. En cas de péjoration des douleurs, le patient pourrait profiter d'une infiltration par cortisone. Toutefois, l'indication n'est pas donnée actuellement. Je reste à disposition en fonction de l'évolution. Mr. Y présente une lésion du ménisque interne ainsi qu'un status après distorsion stade II du ligament collatéral interne du genou droit. Je propose un traitement conservateur et le patient ira faire de la physiothérapie. Je le revois dans 6 semaines pour une réévaluation clinique. En cas de persistance de douleurs, le patient pourrait éventuellement profiter d'une arthroscopie du genou droit pour régulariser le ménisque interne. Un arrêt de travail n'est pas donné au patient. Mr. Y, patient de 59 ans, connu pour une BPCO stade IVB post-tabagique, oxygéno-dépendant (3 litres au repos et 6 litres à l'effort), sous ventilation non invasive (BiPAP) nocturne et ayant bénéficié d'une insertion de 3 valves dans les 3 bronches segmentaires du lobe supérieur droit en juin 2019, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique sur pneumonie. Il se présente au service des urgences pour une dyspnée importante d'installation brutale ne s'améliorant pas avec l'augmentation de l'oxygène. Le patient ne se plaint par ailleurs pas d'autres symptômes, notamment pas d'état fébrile ni de toux. Le bilan initial met en évidence une insuffisance respiratoire hypercapnique (PaCO2 11 kPa) chronique (bicarbonates 45 mmol/l) et un syndrome inflammatoire important. Le scanner thoracique révèle une péjoration de l'emphysème pulmonaire sévère et des changements vasculaires en rapport avec une hypertension pulmonaire sévère (par rapport au comparatif de 2017), une atélectasie quasi-complète du lobe supérieur droit et complète du lobe moyen sur impaction mucoïde à partir de la bronche souche droite ainsi qu'une condensation dans le segment médio-basal du lobe inférieur droit.Sur avis pneumologique (Dr. X), une bronchoscopie est réalisée le 23.04.2020 avec intubation oro-trachéale au préalable. Les valves bronchiques sont alors retirées. Une 2ème bronchoscopie de nettoyage est effectuée le 24.04.2020. Les prélèvements ne mettent pas de germe en évidence hormis 1 colonie de Candida albicans ne nécessitant pas l'instauration d'un traitement. Une antibiothérapie par ceftriaxone est débutée le 22.04.2020, puis le spectre est élargi par pipéracilline-tazobactam puis Céfépime afin de couvrir un éventuel Pseudomonas aeruginosa qui est à poursuivre, selon discussion avec les infectiologues jusqu'au 02.05.2020. Le patient reste intubé du 23 au 25.04.2020 avec relais par ventilation non invasive, puis oxygène 3-6 l et bipap sur la nuit, ce dernier schéma étant son traitement d'oxygène habituel. Concernant l'ablation des valves pulmonaires, nous prenons contact avec le Dr. X, pneumologue au CHUV qui avait mis en place les 3 valves en 2019. Il n'est pas favorable à la pose de nouvelles valves, chez ce patient qui tolérait mal les précédentes dues aux importantes sécrétions. Il laisse le soin à son pneumologue traitant, Dr. X, de poursuivre la prise en charge globale et se met à sa disposition s'il le juge nécessaire. Une prise en charge nutritionniste est poursuivie chez ce patient avec un déficit pondéral associé à la BPCO. Mr. Y peut être transféré en état général stable en réadaptation pulmonaire à l'HFR Billens le 04.05.2020. Mr. Y, patient de 75 ans, connu notamment pour un syndrome dyskinétique de type chorée depuis l'enfance avec troubles cognitifs importants (MOCA 13/30), un trouble dépressif récurrent sévère avec personnalité de type psychotique et un diabète de type 2 insulino-requérant est adressé le 30.04.2020 par vos soins pour une suspicion d'infection urinaire haute avec douleur à la loge rénale droite et syndrome inflammatoire. Une culture d'urine a été réalisée par vos soins et le patient a bénéficié d'une dose de Rocéphine à votre cabinet. Aux urgences, l'examen des urines met en évidence une leucocyturie, hématurie et bactériurie. Nous poursuivons le traitement de Rocéphine et répétons la culture d'urine. Les cultures mettent en évidence un Staphylocoque doré résistant à la Pénicilline. Le patient restant fébrile malgré le traitement antibiotique, sans bactériémie objectivée et sans amélioration franche du syndrome inflammatoire. Le bilan est complété par une radiographie du thorax sans mise en évidence de foyer et nous réalisons un relais par Co-amoxicilline adapté à la fonction rénale du patient, sans modification clinico-biologique. Dans ce contexte, un frottis Covid est réalisé qui est négatif. Un avis infectiologique (Dr. X) est demandé avec relais par Invanz IV 1g, répétition d'une culture d'urine et d'hémocultures sans mise en évidence de germe. Des investigations à la recherche d'abcès prostatique sont demandées mais ne peuvent être réalisées. Nous complétons le bilan du patient par un laboratoire mettant en évidence une insuffisance rénale aiguë que nous investiguons par un US des voies urinaires complété par un CT abdominal mettant en évidence une urétéro-hydronéphrose bilatérale sans cause obstructive objectivable. Nous prenons avis à l'urologue de garde (Dr. X) qui propose de mettre une sonde vésicale à demeure et de faire un US abdominal de contrôle. L'évolution est favorable à l'US de contrôle et l'insuffisance rénale se résout. Le CT met également en évidence une structure hypo-échogène d'environ 5 cm de diamètre en regard du pôle supérieur du rein gauche d'origine indéterminée. Le patient est présenté au Tumorboard urologique qui propose de compléter le bilan par une IRM du rein gauche et un bilan dentaire. Depuis son entrée, le patient présente une respiration de Cheyne-Stokes avec un état de conscience fluctuant et des épisodes de pauses respiratoires importantes. Nous réalisons un CT cérébral ne mettant pas en évidence d'atteinte pouvant expliquer les symptômes du patient. Le bilan est complété par une IRM cérébrale ne révélant pas de lésion suspecte. Comme autre cause à ce trouble de la respiration, nous retrouvons une insuffisance cardiaque sévère avec FEVG à 10% avec des signes de surcharge intravasculaire, expliquant la défaillance multi-organique. Le patient présentant une nouvelle péjoration de sa fonction rénale d'origine pré-rénale associée à une hypernatrémie et une perturbation importante des tests hépatiques, nous l'hydratons avec du Glucose 5% avec bonne évolution sur la natrémie mais nette péjoration de la fonction rénale. Au vu de l'attitude claire discutée avec le patient et sa famille, le patient reste dans notre service et nous introduisons un traitement de Lasix IV à petite dose avec l'objectif d'une perte de 0.5-1 kg par jour, sur avis néphrologique (Dr. X). La famille du patient est informée de sa situation critique et bénéficie d'une visite. L'état clinique du patient se péjore graduellement avec diminution de l'état de conscience, inconfort avec péjoration de la natrémie. Des soins de confort sont alors mis en place et Mr. Y décède paisiblement le 10.05.2020. Mr. Y présente 2 problèmes dont un est probablement responsable pour le 2ème problème. C'est-à-dire le patient présente un Morbus Dupuytren que je classifierais de stade I des 2 mains en regard du 4ème et 5ème rayon. Je suspecte le Morbus Dupuytren responsable pour le phénomène intermittent de doigt à ressaut du 4ème et 5ème rayon de la main gauche. Je propose que le patient soit vu par l'équipe de la chirurgie de la main à l'HFR Fribourg pour un avis thérapeutique et je les remercie de bien vouloir convoquer le patient. Mr. Y présente un statut après probable entorse bénigne du genou G en amélioration. Étant donné que le statut clinique est très rassurant, je ne propose pas d'emblée une investigation supplémentaire sous forme d'IRM par exemple. Je propose que le patient reste encore en arrêt de travail jusqu'au 24.05.2020 avec une reprise prévue le 25.05.2020. En cas de persistance ou péjoration des douleurs, le patient me recontactera et dans ce cas-là nous pourrions effectuer une IRM native du genou G. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu, il me recontactera en cas de besoin. Mr. Y est un patient de 52 ans connu pour deux épisodes de diverticulite aiguë dans le passé (dernière colonoscopie le 28.11.2016) qui est hospitalisé au sein du service de chirurgie pour la prise en charge d'un nouvel épisode de diverticulite perforée couverte du côlon descendant. Une antibiothérapie intraveineuse est administrée dès son entrée à raison de Rocéphine 2g 1x/jour et Métronidazole 500mg 3x/jour. Durant l'hospitalisation, l'évolution est favorable tant sur le plan clinique que biologique, motivant un retour à domicile le 11.05.2020 avec un relais per os de son antibiothérapie par Co-amoxicilline 1g 2x/jour et Flagyl 500mg 3x/jour jusqu'au 17.05.2020 inclus en raison de l'intolérance du patient à la Ciprofloxacine. Nous invitons le patient à prendre rendez-vous à la consultation de son médecin traitant à une semaine de son hospitalisation pour un contrôle clinique. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle, une fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto, une sténose aortique avec statut post-TAVI en 2015, des antécédents AVC ischémiques multiples, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique aigu pariétal gauche. Pour rappel, le patient présente une aphasie et une dysarthrie d'apparition brutale le 28.04.2020 vers 18h00 et de résolution spontanée sur 30 minutes. Au service des urgences, le statut neurologique rapporte une aphasie fluente, dysarthrie et une ataxie du membre supérieur G. Le CT cérébral ne révèle pas de nouvelle lésion et une perméabilité des vaisseaux extra- et intracrâniens, Mr. Y est transféré aux soins intensifs pour surveillance neurologique. L'IRM cérébrale du 29.04.2020 retrouve une lésion ischémique 3 mm cortical pariétal gauche.L'échocardiographie transthoracique est superposable à celle de 2019 et rapporte un bon positionnement des valves. La source cardio-embolique est retenue suite à une anticoagulation infra-thérapeutique présente lors de l'hospitalisation avec un taux d'activité anti-Xa à 77 ng/ml. Sur le plan médicamenteux, l'anti-coagulation par Xarelto est relayée par de l'Eliquis 5 mg 2x/j. Le traitement d'Atorvastatine est majoré à 40 mg/j. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Le traitement antihypertenseur est majoré avec un anticalcique. Merci de suivre le profil tensionnel avec cible <140/90 mmHg. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 4 semaines. Le patient peut être référé en neuropsychologie si vous le jugez nécessaire. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie rapportant une désorientation spatio-temporelle, une dysarthrie modérée ainsi qu'un manque de mots modéré, probablement déjà présent depuis l'événement en 2019. Mr. Y peut regagner son domicile le 02.05.2020. Mr. Y est un patient de 92 ans que vous nous avez adressé en raison d'une possible prostatite avec depuis 2 jours une pollakiurie et une incontinence, asthénie et inappétence dans les derniers jours. Le laboratoire réalisé à votre consultation révélait un syndrome inflammatoire. Sur le plan social, Mr. Y vit seul, son fils vit au-dessus, se déplace sans moyen auxiliaire à domicile, rend visite en voiture à son épouse qui réside au Home à Attalens. À son admission aux urgences, nous ne constatons pas de douleur au toucher rectal ni de saignement. Le Murphy rénal est négatif. À son admission en gériatrie aiguë, le sédiment urinaire et l'urotube sont positifs à l'Escherichia Coli, dès lors nous mettons en place la Rocéphine 2G en intra-veineux avec une évolution favorable. Le bilan biologique identifie une carence en folate que nous substituons per os. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. Le patient est autonome à la marche, aux escaliers, aux transferts. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 113/126 (MIF physio : transferts 7/7, déplacements 7/7, escaliers 7/7). Le TUG n'est pas testé. En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation de son indépendance, de son autonomie et de la sécurité dans les activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, les repas sont adaptés afin que Mr. Y couvre ses besoins. Des conseils alimentaires lui sont donnés. L'examen clinique du 30.04.2020 ne montre pas de fièvre, une absence de troubles urinaires, sans signe d'incompétence cardio-respiratoire, sans trouble neurologique. Le 30.04.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour les signes vitaux ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est un patient de 78 ans qui consulte les urgences pour une péjoration de ses douleurs dorsales connues suite à une chute avec réception sur le dos le 05.04.2020. Pour rappel, Mr. Y est également connu pour une nécrose osseuse du corps vertébral L4 avec fixation percutanée L3-L5 et cimentoplastie le 08.03.2019, et chez qui une fracture de L2 avait été mise en évidence lors d'un CT le 17.03.20, avec indication à un traitement conservateur. Après sa chute de dimanche, les douleurs se sont péjorées, jusqu'à l'incapacité de se lever seul. Le patient rapporte également une symptomatologie respiratoire avec toux depuis environ 1 mois, bien évoluée sous Cefepime et Vancomycine, avec l'apparition d'un état fébrile le soir du 07.04.20. Sur le plan social, Mr. Y vit à domicile dans une maison. À son admission en médecine interne, sur avis des collègues de neurochirurgie, nous effectuons une IRM de la colonne vertébrale, qui montre une fracture-tassement du corps vertébral de L2 relativement récente avec une diminution de la hauteur dans sa partie centrale d'environ 30%, et un discret œdème de l'os spongieux au niveau des corps vertébraux et entre les fibres du muscle psoas des deux côtés. Au vu de la symptomatologie rapportée par le patient et de la présence d'un syndrome inflammatoire au bilan biologique, nous effectuons un frottis de dépistage Covid-19 le 10.04.2020, qui revient négatif. Mr. Y est admis en gériatrie aiguë pour la gestion de son antalgie et la suite de sa prise en charge. Pendant son séjour, Mr. Y présente à plusieurs reprises une perte du tonus musculaire des 4 membres avec rupture de contact et amnésie circonstancielle faisant suspecter une crise d'épilepsie atypique. Plusieurs imageries revenant sans particularité, nous prenons un avis chez nos confrères neurologues, qui évoquent une cause iatrogénique liée à la prise d'opiacés. De fait, il est proposé une rotation des opioïdes avec un bon effet et disparition des symptômes pour la suite de son séjour. Au vu d'une crase labile et étant donné que le patient ne reçoit le Marcoumar qu'en dialyse, nous entreprenons un relais par Héparine avant d'instaurer une dose quotidienne de Marcoumar avec une surveillance biologique régulière. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 15.04.2020 au 21.04.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est de 120 mètres avec une pause assise et l'aide de 2 cannes anglaises. Les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 56/126 par rapport à 80/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 6/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas testé. En ergothérapie, les séances sont limitées par un manque de force et d'endurance. Sur le plan diététique, nous ne faisons pas de bilan nutritionnel. Le patient mange la totalité de ses repas et boit les SNO prescrits. Les tests de la cognition du 16.04.2020, après disparition des symptômes neurologiques, montrent un MMS à 23/30 et un test de l'horloge à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 8/15. Le 22.04.2020, Mr. Y quitte notre service et est admis en réadaptation gériatrique. Mr. Y est un patient de 78 ans qui nous est adressé par les infirmières des soins à domicile pour des soins devenus impossibles à domicile associés à une notion de chute sans traumatisme le 08.05.2020. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une nécrose osseuse du corps vertébral L4 avec fixation percutanée L3-L5 et cimentoplastie le 08.03.2019. Une fracture de L2 avait été mise en évidence lors d'un CT le 17.03.2020 avec indication à un traitement conservateur. À son arrivée aux urgences, Mr. Y est encombré, désaturé, présente des difficultés respiratoires qui parlent en faveur d'une exacerbation de sa broncho-pneumopathie chronique obstructive associée à une décompensation cardiaque nécessitant la mise en place d'inhalations, d'une antibiothérapie par Céfépime 1 G/jour, d'un renforcement des diurétiques et d'une oxygénothérapie adaptée à la gazométrie. À son admission en gériatrie aiguë, Mr. Y se plaint de douleurs chroniques invalidantes au niveau du membre inférieur gauche ainsi que d'une toux grasse apparue il y a 2 jours.Au fil du temps, son état se péjore fortement, raison pour laquelle nous prenons contact avec vous afin d'avoir votre avis et de discuter d'une attitude. Devant la dégradation de son état général, dans un contexte d'antécédents lourds, et d'un commun accord avec sa famille, nous mettons en place un traitement symptomatique et antalgique. Le 15.05.2020, Mr. Y nous quitte. Mr. Y est un patient de 78 ans qui nous est adressé pour une réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé en gériatrie aiguë du 08.04.2020 au 22.04.2020 suite à la péjoration de douleurs dorsales connues suite à des chutes à répétition sur le dos. Le traitement antibiotique instauré pour un syndrome inflammatoire est terminé durant le séjour. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche est de 120 mètres avec l'aide du rollator et de 2 pauses. Le patient peut gravir 24 marches d'escalier avec l'aide de 2 rampes. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle est évaluée à 86/126 par rapport à 60/126 à son entrée (MIF physio : transferts 5/7, déplacements 5/7, escaliers 5/7). Le TUG n'est pas testé. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne, ainsi que des séances d'ergothérapie à domicile, dans le but d'adapter son lieu de vie pour éviter de nouvelles chutes. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel ne retrouve pas de malnutrition protéino-énergétique légère, démontrée par un NRS à 2/7 et un BMI à 31.5 kg/m2. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 16.04.2020 montraient un MMS à 23/30 et un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élevait à 8/15. Le 08.05.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/jour pour l'aide à la toilette ; ainsi que des séances d'ergothérapie à domicile et un suivi particulier à votre consultation. Mr. Y a rendez-vous en policlinique d'orthopédie le 18.05.2020 pour contrôle de l'état cutané et de la phlyctène. Selon l'évolution, une immobilisation par chaussure Barouk sera mise en place pour un total de 6 semaines. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 2 semaines. Mr. Y est un patient de 87 ans qui nous est adressé depuis le service de médecine interne pour une réadaptation gériatrique suite à un déconditionnement dans un contexte de suspicion de pneumonie virale à Covid-19 associé à des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. A son admission en réadaptation gériatrique, nous poursuivons la substitution vitamino-calcique Calcimagon-D3 puis nous introduisons une substitution en vitamine D et acide folique, leurs dosages étant abaissés. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche à l'aide du rollator est de 120 mètres. Le patient peut gravir 18 marches d'escalier avec l'aide d'une main courante. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 77/126 par rapport à 72/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG n'est pas testé. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour l'adaptation aux activités de la vie quotidienne ainsi que de l'évaluation des moyens auxiliaires. Les transferts sont effectués de manière autonome avec une légère guidance verbale. A sa sortie, Mr. Y reçoit des ordonnances pour une adaptation nécessaire à domicile afin de faciliter l'accès aux activités de la vie quotidienne et limiter son risque de chute. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec des troubles cognitifs et de mastication démontrée par un NRS à 5 et une perte pondérale de 14% de son poids en moins de 1 mois. Nous organisons une prise en charge avec un enrichissement des repas et la mise en place d'un SNO/jour afin d'améliorer la couverture nutritionnelle. Un enseignement nutritionnel est fait à son épouse par téléphone. Une ordonnance de SNO lui est délivrée à sa sortie afin de poursuivre le traitement à domicile. Sur le plan cognitif, Mr. Y refuse les tests de dépistage. Cependant l'équipe multidisciplinaire remarque des troubles mnésiques qui ne contre-indiquent pas un retour à domicile avec la mise en place d'un bon encadrement. Le 21.04.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour les signes vitaux, 1x/jour pour les soins de base ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y, connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique depuis 2009 avec 3 thermoablations (dernière en juin 2019) se présente aux urgences le 21.05.2020 pour des douleurs thoraciques insomniantes de type brûlure et irradiation dans le bras gauche avec une baisse d'état général. Il rapporte également des vertiges/étourdissements orthostatiques avec des épisodes de vision floue ces derniers jours. Le 11.05.2020, son traitement bêtabloquant a été réduit de moitié par les cardiologues après qu'il ait présenté une hypotension symptomatique (avec plaintes thoraciques). Aux urgences, le patient se présente hémodynamiquement stable et afébrile. A l'examen initial, Mr. Y est orienté et le statut cardiorespiratoire est sans particularité. Le bilan biologique montre des troponines à 10 sans cinétique et une TSH dans la norme à 0.5 mU/l. Devant un doute sur une activité atriale anormale aux urgences, le patient est hospitalisé pour surveillance. L'ECG du 22.05.2020 montre un rythme sinusal à 67/min chez un patient décrivant une résolution complète de ses symptômes. Devant le profil de fréquence cardiaque normal sans bloc conductif significatif, le traitement bêtabloquant est réaugmenté à 150 mg/j. Afin de limiter le risque d'hypotension, la dose d'IEC a été réduite de manière concomitante et devra être réévaluée. Devant cette évolution favorable, Mr. Y peut sortir le 22.05.2020 avec un Holter-ECG pendant 3 jours et consultation de suivi chez son cardiologue Dr. X. Mr. Y, âgé de 73 ans, est hospitalisé pour une 4ème récidive de dermohypodermite du membre inférieur gauche depuis 2015. Le patient présente depuis 48 heures une douleur du membre inférieur gauche suivi d'une rougeur cutanée avec frissons solennels. Le bilan d'entrée montre un syndrome inflammatoire sévère avec hypoxémie isolée à 8.9 kPa. Sur une clinique fortement évocatrice, une dermohypodermite est retenue et une antibiothérapie par Clindamycine débutée sur allergie connue à la Pénicilline. Une consultation podologique a lieu et ne montre pas de porte d'entrée cutanée plantaire. Un contrôle angiologique est aussi effectué et montre une insuffisance veineuse relative à l'obésité ainsi qu'une composante lymphatique au vu des érysipèles à répétition. Nous augmentons le Torasémide dans un but antihypertenseur et d'amélioration des œdèmes des membres inférieurs. Nous constatons aussi une augmentation des tests cholestatiques à la hausse durant l'hospitalisation que nous expliquons comme une hausse transitoire due à ses traitements antipsychotiques à la vue d'un US hépatique ne montrant pas de dilatation des voies biliaires, mais une stéatose. Nous vous laissons donc le soin de suivre l'évolution de cette atteinte. Mr. Y, patient de 77 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, se présente aux urgences le 01.05.2020, sur vos conseils, suite à la péjoration d'une toux de 3 semaines d'évolution avec expectorations purulentes associées, sans dyspnée ni état fébrile accompagnant. Pas d'anosmie ni d'agueusie. Pas de troubles de la déglutition. Pas de symptomatologie urinaire. Pas d'interventions dentaires récentes. Le patient nie avoir voyagé récemment. A noter un ancien tabagisme sevré depuis 25 ans et une consommation d'alcool à risque.Le status d'entrée retrouve des murmures respiratoires présents et symétriques avec des râles crépitants bibasaux plus accentués au niveau de l'hémiplage inférieur gauche. Le reste de l'examen est non contributif. Sur le plan biologique, le bilan sanguin met en évidence un syndrome inflammatoire avec une leucocytose. La gazométrie artérielle retrouve une hypoxémie légère sans hypercapnie, ne nécessitant pas d'oxygénothérapie. Le bilan radiologique met en évidence une masse liquidienne abcédée dans la scissure du poumon gauche, l'image évoque en premier lieu une pneumonie abcédée, toutefois une masse tumorale nécrotique abcédée n'est pas exclue. Malgré un aspect scanographique non évocateur d'une pneumonie à Covid-19, un frottis est effectué afin d'écarter un Covid avec image atypique, et revient négatif. Dans ce contexte, nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid. Ce dernier est arrêté après les résultats négatifs des antigènes urinaires de Legionella et Pneumocoque. De plus, un traitement par Metronidazole (Flagyl) est initialement introduit dans le but de mieux couvrir le spectre des bactéries anaérobes (avis du Prof. X). Par la suite, nous prenons l'avis infectiologique de Dr. X qui nous conseille l'arrêt du Flagyl et la poursuite de l'antibiothérapie par voie intraveineuse avec Rocéphine jusqu'au 07.05.2020, avec relais per os par Zinat le 08.05.2020. Le traitement per os est à poursuivre jusqu'au 25.05.2020. Mr. Y est attendu à la consultation de Dr. X à l'HFR Riaz le 25.05.2020. Mr. Y devra se présenter en avance pour réaliser un prélèvement sanguin et une radiographie du thorax. L'évolution est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 08.05.2020, en bon état général. Mr. Y est hospitalisé en raison d'un angor instable en péjoration depuis 2 semaines. La coronarographie réalisée le 18.05.2020 montre une lésion monotronculaire sur une sténose significative de l'IVA ostiale et une resténose intrastent de l'IVA proximale traitée par angioplastie et pose d'un stent actif. Il présente une amélioration directe de sa symptomatique. Une trithérapie pour un mois est préconisée par Aspirine, Plavix pour 6 mois et la poursuite de l'Eliquis. Un contrôle échocardiographique chez Dr. X à un mois est recommandée. Un contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires est préconisé à distance. Nous lui recommandons la diminution de la consommation d'alcool ainsi qu'une amélioration de son hygiène de vie. Mr. Y peut rentrer à domicile le 19.05.2020. Mr. Y est un patient de 81 ans, dernièrement hospitalisé pour une infection à Covid-19 depuis début avril et pour laquelle il bénéficiait d'une réadaptation pulmonaire qui nous est transférée de l'HFR Billens pour insuffisance respiratoire hypoxémiante en péjoration le 28.04.2020. Il présentait depuis une semaine une augmentation des besoins en oxygène avec dyspnée au moindre effort et un état fébrile récidivant malgré une antibiothérapie depuis le 22.04.2020. Pour rappel, le patient est par ailleurs connu pour une masse pulmonaire du lobe supérieur droit et adénopathies hilaires qui avaient été mises en évidence en ambulatoire mi-février mais jusque-là non investiguées. Cette masse avait à nouveau été mise en évidence mi-avril lors d'un scanner dans le cadre de l'infection Covid-19 du patient avec proposition de contrôle PET et fonctions pulmonaires à 6 semaines. Après avis pneumologique, il est décidé de ne pas procéder à une broncoscopie au vu de ses réserves pulmonaires limitées, mais d'effectuer une imagerie pour exclure une embolie pulmonaire au vu de l'historique de thrombose début avril. Dans ce contexte, un premier bilan avec échocardiographie est effectué le 29.04.2020 qui revient normal. Afin de compléter le bilan oncologique et pulmonaire, nous décidons en accord avec les collègues infectiologues, pneumologues et radiologues, d'effectuer un PET-CT le 30.04.2020. Cette imagerie nous permet d'exclure une embolie pulmonaire mais retrouve cette masse pulmonaire du lobe supérieur droit, ainsi que de multiples lésions secondaires, dont une deuxième masse au niveau du hile droit avec sténose sub-occlusive des artères des lobes supérieurs et moyens droits et sténose significative des bronches, ainsi que de multiples adénopathies cervicales, pré-trachéales et axillaires et des lésions osseuses costales et vertébrales. Dans ce contexte, nous effectuons une biopsie osseuse, qui nous permet de poser le diagnostic d'adénocarcinome pulmonaire multimétastatique. Des biopsies de deux adénopathies cervicales sont également effectuées, dont les résultats sont en cours. Mr. Y développe par ailleurs des douleurs costales gauches, déjà connues depuis quelques semaines, mais en majoration très probablement sur sa métastase costale gauche, motivant l'introduction d'un traitement antalgique dont de l'Oxycontin qui est rapidement arrêté selon le souhait du patient. Du point de vue respiratoire, le patient évolue favorablement après mise en place de Pulmicort et d'Ultibro, malgré une oxygénodépendance légère qui persiste. Mr. Y peut rentrer à domicile le 09.05.2020 avec mise en place de l'oxygénothérapie et de soins à domicile. Une réadaptation respiratoire, dans le contexte global ainsi que selon le patient, n'est pas envisagée. Il sera convoqué par nos collègues oncologues pour la suite de la prise en charge oncologique. Nous leur laissons par ailleurs le soin d'évaluer la poursuite du Xarelto à vie au vu du contexte oncologique ainsi qu'un arrêt de l'Aspirine Cardio. Mr. Y présente depuis environ une semaine des états fébriles fluctuants, de la toux, une asthénie et des arthromyalgies. Il consulte dans cet intervalle son médecin traitant qui lui prescrit un antibiotique sans réponse clinique franche. Mr. Y consulte ensuite les urgences de Riaz le 03.05.2020. Une radiographie thoracique révèle une atteinte compatible avec un COVID-19. Le frottis est positif et le patient est ensuite transféré le 04.05.2020 à Fribourg en raison de la possible prise en charge au service des soins intensifs en cas de péjoration de l'état. Pour le traitement d'une éventuelle surinfection bactérienne, une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine est introduite, cette dernière est interrompue sur la négativisation des antigènes urinaires. L'évolution clinico-biologique est favorable, avec un sevrage rapide de l'oxygénothérapie. Le traitement de Ceftriaxone est ensuite arrêté le 05.05.2020. Un retour à domicile est organisé le 06.05.2020 avec remise des mesures de quarantaine selon les indications proposées par l'OFSP, à savoir une auto-quarantaine d'au moins 10 jours dès le début des symptômes avec au moins 48 heures sans symptômes. De plus, une anticoagulation prophylactique au Rivaroxaban est prescrite pour les deux semaines suivant la sortie du patient. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle sévère sous quadrithérapie, est hospitalisé dans un contexte d'un AVC hémorragique pariétal gauche. Pour rappel, le patient est adressé aux urgences par son médecin traitant en raison d'une parésie nouvelle du membre supérieur droit avec atteinte de la motricité fine apparue le 03.05.2020 au réveil, associée à un manque du mot. À l'admission, le patient présente une aphasie fluente associée à une parésie sensitivo-motrice du MSD à prédominance distale. Un angio-CT cérébral et des vaisseaux précérébraux révèlent un AVC hémorragique pariétal gauche. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique.Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne rapporte pas de thrombose, de légère calcification de la valve aortique sans endocardite. La localisation et la taille de la lésion sont atypiques pour une origine hypertensive. Nous effectuons une IRM qui ne permet pas la mise en évidence de lésion néoplasique, de malformation vasculaire ou une angiopathie amyloïde. Une IRM cérébrale à 6 semaines est nécessaire pour rechercher une MAV. Le profil tensionnel reste dans les valeurs supérieures de la norme. Nous diagnostiquons un diabète chez ce patient avec facteurs de risque cardiovasculaire, nous proposons un contrôle à 3 mois afin d'évaluer un traitement antidiabétique oral. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée jusqu'au prochain bilan neuropsychologique. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'imagerie d'entrée met en évidence de multiples hypodensités nodulaires au niveau thyroïdien. Mr. Y n'a pas de symptôme dans la lignée de dysthyroïdie. Le patient sera revu en consultation ambulatoire endocrinologique. L'évolution clinique est nettement favorable avec au statut neurologique de sortie une aphasie fluente légère. Mr. Y rentre à domicile le 08.05.2020. Mr. Y, 77 ans, est admis en unité stroke en raison d'un AVC hémorragique pariétal gauche le 04.05.2020. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle, est adressé aux urgences par son médecin traitant en raison d'une parésie nouvelle du membre supérieur droit avec atteinte de la motricité fine apparue le 03.05.2020. A l'entrée, le patient présente également des troubles phasiques importants, avec un NIHSS à 6 points. Un angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux révèlent un AVC hémorragique pariétal gauche. Durant la surveillance aux soins intensifs, on note une nette amélioration des troubles phasiques, avec un NIHSS de sortie à 2 points. En raison d'un profil tensionnel élevé, du labétalol ivc est introduit de manière transitoire et rapidement arrêté après reprise partielle du traitement habituel. L'imagerie d'entrée met en évidence de multiples hypodensités nodulaires au niveau thyroïdien. Le dosage de la TSH est dans la norme. Une consultation d'endocrinologie est à prévoir en ambulatoire. Mr. Y est transféré en unité stroke non monitorée le 05.05.2020. Une IRM cérébrale à la recherche d'une pathologie sous-jacente est à prévoir durant l'hospitalisation. Mr. Y, 93 ans, a été hospitalisé pour une insuffisance cardiaque décompensée avec infection urinaire. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une cardiopathie ischémique, une fibrillation auriculaire anticoagulée, un BAV complet appareillé et une hypertrophie bénigne de la prostate avec sonde à demeure compliquée de plusieurs épisodes d'infection urinaire. Devant un état fébrile fluctuant avec pic à 39°C évoluant depuis trois jours ainsi qu'une dyspnée à l'air ambiant avec désaturation, le patient est adressé aux urgences. A l'examen initial, le patient est désorienté, tachypnéique avec des râles crépitants aux bases et turgescence des jugulaires et une saturation à 92% sous 2 L d'O2. L'examen macroscopique des urines est sans anomalie, on ne retrouve pas non plus de douleurs à la percussion des loges rénales ou à la palpation de l'abdomen. Le bilan biologique montre une insuffisance respiratoire hypoxémique partielle et un important syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire est toutefois pathologique avec leucocyturie et bactériurie. A la radiographie du thorax comme à l'angio-CT thoracique, on ne retrouve pas de foyer infectieux évident, d'embolie pulmonaire, ni d'image compatible avec une infection à Covid-19. Le frottis nasopharyngé Covid-19 est également négatif. Une antibiotérapie à large spectre couvrant en premier lieu une infection à point de départ urinaire et pulmonaire (au vu de la clinique) est débutée par Rocephine. La sonde urinaire est remplacée le 29.04.2020. Les cultures d'urine reviennent secondairement positives à Enterobacter complexe cloacae et Aerococcus urinae. L'évolution se fait favorablement avec régression des signes inflammatoires biologiques et obtention de l'apyrexie permettant un relais de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine. Cliniquement, biologiquement et à l'imagerie initiale, on retrouve des signes de décompensation cardiaque gauche avec respectivement œdèmes des membres inférieurs, crépitants à l'auscultation, un NT-proBNP augmenté à 7196 ng/L et des signes radiologiques de surcharge. Une diurèse forcée par voie intraveineuse permet un sevrage secondaire de l'oxygène. Une hypokaliémie secondaire au traitement diurétique est temporairement substituée par voie orale. Devant l'insuffisance rénale chronique organique avec une GFR à 30 ml/min et au vu de l'âge du patient, un changement de l'anticoagulation est effectué du Rivaroxaban pour l'Apixaban. Différents traitements potentiellement néphrotoxiques sont mis en suspens, dont la reprise sera à évaluer secondairement. Après évaluation des urologues, la Tamsulosine est arrêtée, le patient étant porteur d'une sonde urinaire à demeure. Un traitement substitutif d'un déficit en vitamine D a été instauré. Le bilan d'une anémie normocytaire normochrome objectivée à l'admission permet de conclure à une origine multifactorielle probable devant une carence en fer et acide folique, l'insuffisance rénale chronique et une hypothyroïdie sévère de découverte fortuite. Une substitution unique iv. en fer est administrée et en acide folique est débutée. Au vu de l'hypothyroïdie sévère chez un patient présentant une fibrillation auriculaire paroxystique, le traitement par Cordarone est arrêté. Une substitution par Euthyrox est graduellement augmentée jusqu'à une dose cible de 75 ug/j sur avis des endocrinologues avec bonne tolérance. Devant l'absence d'indication à une double thérapie chez un patient anticoagulé pour FA, l'aspirine a été également arrêtée. Les suites sont favorables, permettant un retour de Mr. Y au home St-François à Courtepin le 07.05.2020. Mr. Y, connu pour une maladie polivasculaire, présente d'importantes douleurs au niveau du membre inférieur gauche depuis 1 à 2 jours, raison pour laquelle il consulte les urgences le 08.05.2020. Le bilan angiologique effectué le jour même ne retrouve pas de nette dégradation du statut vasculaire et le patient est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour antalgie. A l'arrivée dans notre service, après avoir reçu deux cp de 0.2 mg de Temgesic, Mr. Y présente des troubles de l'état de conscience, associés à une bradypnée et une hypoxémie. Un traitement de Naloxone iv continu est débuté et le patient est adressé aux soins intensifs de Fribourg pour suite de prise en charge d'une insuffisance respiratoire d'origine iatrogène (opiacés). Aux soins intensifs, le traitement de Naloxone est poursuivi en iv continu, avec un réveil complet du patient et une normalisation de sa fréquence respiratoire, permettant un sevrage de la Naloxone. Le patient est alors retransféré le lendemain dans notre service. Sur le plan angiologique, une angiographie est effectuée le 14.05.2020 avec angioplastie et stenting de sténoses serrées de l'artère fémorale superficielle moyenne distale (Pulsar 7 x 100) et recanalisation de subocclusion de l'artère tibiale antérieure proximale du tronc tibio-péronier (Dr. X). Le geste se déroule sans complications. Au vu de la pose d'un stent, un traitement par Plavix 75 mg 1x/j est introduit et sera à poursuivre pour 1 mois selon avis du Dr. X.Sur le plan urinaire, le patient présente 3 épisodes de globe vésical (12, 15 et 16.05.2020) et dans ce contexte une sonde vésicale est posée. Nous décidons, au vu des récidives de rétention urinaire après l'essai d'ablation, de laisser celle-ci en place après la sortie et un rendez-vous de suivi chez le Dr. X est agendé pour le 25.06.2020 à 15h00. Un traitement par Tamsulosine est en place. L'état clinique du patient étant rassurant, Mr. Y peut regagner son domicile le 20.05.2020 avec réactivation des soins à domicile. Mr. Y, 66 ans, est hospitalisé pour récidive de crise d'épilepsie. Il est amené par la police pour état confusionnel suite à un accident mineur de la voie publique en voiture. Il est connu pour une angiopathie amyloïde, une hémorragie cérébrale temporale droite post-traumatique en 2015 ainsi qu'une épilepsie depuis 2016. Sur le plan neurologique, nous soulignons que nous retrouvons du point de vue clinique uniquement une hyperréflexie rotulienne gauche ainsi qu'un manque du mot. Le bilan radiologique et électroencéphalographique permet de retenir une épilepsie (foyer irritatif en pariéto-occipital droit et multiples séquelles cérébrales). Un dosage adéquat des antiépileptiques semble exclure une malcompliance. Le patient assure ne plus consommer d'alcool actuellement. Les traitements sont adaptés et il sera revu en neurologie en juillet 2020. Concernant son aptitude à conduire, un bilan neuropsychologique est effectué et confirme une incapacité qui devra être réévaluée lors de son rendez-vous en neurologie au mois de juillet 2020. Son permis de conduire a été retiré par les services de police. Mr. Y quitte notre service pour son domicile le 21.05.2020. Mr. Y, 87 ans, est admis aux soins intensifs pour une carbonarcose sur surdosage en Temgesic. Ce patient, connu pour une artériopathie oblitérante sévère des membres inférieurs, se présente initialement aux urgences de l'HFR Riaz pour des douleurs au niveau du membre inférieur gauche en aggravation depuis 2 jours. Le bilan angiologique ne retrouve pas de nette dégradation du statut vasculaire. Le patient est hospitalisé pour antalgie. Après avoir reçu 2 fois 0.2 mg de Temgesic, il présente des troubles de l'état de conscience, associés à une bradypnée et une hypoxémie. Un traitement de Naloxone est débuté avant son transfert dans notre service. Aux soins intensifs, le traitement de Naloxone est poursuivi en IV continu, avec un réveil complet du patient et une normalisation de sa fréquence respiratoire permettant un sevrage de la Naloxone. Il bénéficie d'une oxygénothérapie de 1 à 2 litres d'oxygène par minute aux lunettes. A la mobilisation, le patient ne présente aucune douleur au niveau des membres inférieurs. Le traitement par Gabapentin et paracétamol est poursuivi. Une angiographie avec essai de recanalisation est prévue la semaine prochaine. Un globe vésical est diagnostiqué à l'admission nécessitant la pose d'une sonde vésicale. Le patient est retransféré dans le service en médecine interne de l'HFR Riaz le 09.05.2020. Mr. Y, âgé de 74 ans, est hospitalisé pour fracture fémorale gauche compliquée d'une hémorragie peropératoire sur lésion d'une branche de l'artère fémorale profonde gauche. Le patient est initialement hospitalisé dans le contexte d'une fracture fémorale distale gauche sur chute mécanique de sa hauteur, pour laquelle il bénéficie d'une réduction ouverte et ostéosynthèse le 26.04.2020, se compliquant par un saignement peropératoire, nécessitant une embolisation de l'artère fémorale profonde gauche et un soutien transfusionnel. Le patient bénéficie d'une surveillance hémodynamique aux soins intensifs, suivi d'un transfert à l'unité de médecine interne le 29.04.2020. Durant son séjour aux soins intensifs, aucune instabilité hémodynamique n'est constatée avec absence d'anomalie neurovasculaire au membre inférieur gauche. Une déglobulisation à 48 heures post-opératoire nécessite la transfusion de 2 culots érythrocytaires et motive la réalisation d'un angio-CT, ne montrant pas de saignement actif. La thromboprophylaxie est assurée par des bottes anti-thrombotiques, avec relais par Héparine prophylactique. Une anticoagulation thérapeutique est reprise dès la stabilisation des valeurs d'hémoglobine, initialement par Héparine puis par Xarelto, à posologie réduite selon fonction rénale. Sur le plan orthopédique, l'évolution clinique de la cicatrice est favorable, permettant le retrait du Redon à 48 heures post-opératoires. Une mobilisation progressive est entreprise selon avis orthopédique, avec mobilisation en touch down de 15 Kg durant 8 semaines. Sur le plan néphrologique, une acutisation stade AKIN 2 d'une insuffisance rénale chronique est constatée, probablement d'origine mixte, sur bas débit puis sur néphropathie de contraste et syndrome cardio-rénal. L'évolution biologique est progressivement favorable par hydratation et mise en suspens des traitements néphrotoxiques, puis traitement diurétique. Sur le plan cardiaque, une échocardiographie retrouve l'insuffisance cardiaque sévère connue, avec dysfonction diastolique importante et élévation des pressions de remplissage gauche, motivant le traitement diurétique pré-cité. Le traitement habituel est progressivement repris après stabilisation de la fonction rénale. Le traitement par Aspirine est interrompu sur absence d'indication formelle. Nous vous laissons le soin de reprendre le traitement par Entresto et diurétique selon l'évolution pondérale, hémodynamique et rénale. Au vu d'une insuffisance rénale chronique et de sa marge thérapeutique étroite, le Diltiazem est arrêté, avec possibilité de majorer le traitement par Metoprolol selon tolérance clinique. Un état confusionnel aigu hypoactif d'origine mixte dans le contexte post-opératoire, algique et sur bas débit, nécessite une adaptation de l'antalgie, une médication neuroleptique et une réafférentation progressive, d'évolution progressivement favorable. Le patient est transféré le 11.05.2020 à Billens pour réadaptation musculo-squelettique. Mr. Y, âgé de 75 ans, connu pour syndrome métabolique, cardiopathie dilatée avec FEVG réduite, fibrillation auriculaire sous Xarelto, AOMI stade 4 et insuffisance rénale, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture fémorale gauche traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque le 26.04.2020, se compliquant par une hémorragie sévère intra-opératoire d'une branche sténotique de l'artère fémorale profonde. Sur le plan social, le patient est veuf. Il vit avec sa fille à domicile, avec 4 marches d'escalier à l'entrée et 3 marches pour arriver à sa chambre. Il profitait des passages d'une infirmière indépendante 2 fois par jour, il se déplaçait sans moyen auxiliaire. Il est à la retraite (ancien expert automobile à l'OCN). A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est collaborant, partiellement orienté. La cicatrice est calme avec un hématome du MIG. On observe une colorisation violette des orteils 2 et 3 D probablement sur troubles vasculaires chroniques. La flexion/extension du genou G est de 20-0-0° en actif et 30-0-0° en passif. La force du psoas gauche est cotée à M3, le quadriceps gauche à M2, la sensibilité est conservée et les pouls pédieux sont bien palpables. Le 13.05.2020, on observe une hypoglycémie asymptomatique à 2.3 mmol/l, avec une bonne évolution après mise en place de glucose et glucagon et modification de l'insulinothérapie. Ensuite, le patient se plaint d'aggravation des douleurs de la partie distale du fémur G. Le patient est afébrile. Il nie toute toux, dyspnée, dysurie et douleur abdominale. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée avec CRP à 104 mg/l, procalcitonine à 0.48 ug/l, insuffisance rénale acquise avec créatinine à 141 umol/l eGFR 42 ml/min/1.73 m2 et hépatopathie, DD origine cardiaque ou médicamenteuse avec ASAT 1784 U/l, ALT 888 U/l, IFCC 140 U/l et hyperbilirubinémie. Nous arrêtons le traitement par Gevilon et Paracétamol. Sur le plan neurologique un GCS 14/15 (désorientation). Sur le plan cardiovasculaire, B1-B2 bien frappés, irréguliers sans souffle surajouté, reflux hépato-jugulaire, œdème du membre inférieur G sur hématome post-opératoire. Sur le plan respiratoire, diminution du murmure vésiculaire à la base gauche. Sur le plan digestif, abdomen souple et indolore, sans défense ni détente, ni masse palpable. Bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Sur le plan ostéoarticulaire, palpation de fémur G et genou gauche douloureux. Sur le plan cutané, coloration violette des orteils connus, pouls pédieux faibles mais palpables, pas de signe d'infection cutanée, pas de collection, cicatrice calme. L'examen ORL est dans la norme. Le bilan biologique du 14.05.2020 montre une péjoration de la fonction rénale avec créatinine à 145 umol/l et de syndrome inflammatoire avec CRP à 140 mg/l, leucocytose à 14.1 G/l et neutrophilie à 12.27 G/l. Le sédiment urinaire est positif pour flore bactérienne sans leucocyturie, ni nitrite. L'urotube le 13.05.2020 montre un Enterococcus faecalis 10^5 et la radiographie du thorax met en évidence un épanchement pleural bilatéral à prédominance gauche. Au vu de la décompensation cardiaque, rénale et du syndrome inflammatoire dont l'origine demeure indéterminée, nous transférons le patient au service de médecine interne de l'HFR Fribourg pour complément d'investigations et prise en charge spécialisée. Mr. Y est un patient de 76 ans qui se présente aux urgences le 28.04.2020 pour des douleurs abdominales en hypochondre droit depuis plus de 72h. Un bilan biologique et un CT scan mettent en évidence une cholécystite aiguë, une antibiothérapie par Ceftriaxone et Métronidazole est alors instaurée avec une réponse clinique et biologique favorable. Après relais des antibiotiques par voie orale, le patient peut retourner à domicile le 02.05.2020. Une consultation des Chefs de clinique en chirurgie est prévue le 04.06.2020 à 10.45h pour discuter d'une cholécystectomie à distance. Mr. Y, 70 ans, est hospitalisé en raison d'une suspicion d'AVC ischémique sylvien gauche. Le patient, connu pour un AVC ischémique en 2018, une épilepsie cryptogénique et une maladie de Parkinson, présente une parésie de l'hémicorps droit depuis trois jours. Le patient est amené aux urgences en raison d'une aggravation brutale de l'hémiparésie droite séquellaire ainsi que de l'apparition de troubles nouveaux de l'élocution. À l'entrée, le patient présente un score NIHSS à 2 points. L'angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux retrouvent une asymétrie des cartes de perfusion au niveau pariéto-occipital droit sans lésion ischémique constituée. Le bilan étiologique sera complété par une IRM cérébrale. Le bilan étiologique comprend également une échocardiographie transthoracique qui ne montre pas d'anomalie structurelle emboligène. Un Holter est organisé et sera effectué prochainement. Le patient bénéficie d'une charge en Aspirine, avec poursuite de l'antiagrégation par Clopidogrel seul. Le traitement d'Atorvastatine est poursuivi. La surveillance neurologique est sans particularité avec un NIHSS stable permettant un transfert en Stroke Unit non monitorisée le 27.05.2020. Mr. Y, 72 ans, est hospitalisé en électif le 20.05.2020 afin de bénéficier d'une cholécystectomie laparoscopique. L'intervention est effectuée le jour même de l'entrée et se déroule sans particularité. Les suites post-opératoires sont simples permettant un retour à domicile le 21.05.2020. Mr. Y est hospitalisé pour une périmyocardite aiguë. Pour rappel, le patient se présente au service des urgences le 12.05.2020 en raison de douleurs thoraciques insomniantes, transfixiantes, respiro-dépendantes, irradiantes dans la gorge. Un ECG montre des sus-décalages ST concaves diffus, à prédominance inféro-latérale. Le laboratoire montre une cinétique ascendante des enzymes cardiaques. L'échocardiographie transthoracique ne montre pas de trouble de la cinétique segmentaire ou autre signe de dysfonction systolique, ni d'épanchement péricardique. Une coronarographie exclut une cardiopathie ischémique. Après une surveillance aux soins intensifs, le patient est transféré dans notre service de médecine interne le 14.05.2020. Un traitement pour une périmyocardite par Colchicine et Ibuprofène est instauré le 12.05.2020 puis stoppé le 15.05.2020 en raison de l'hypothèse diagnostique de MINOCA (myocardial infarctus with non-obstructive coronary arteries). Un IRM cardiaque organisé à l'Inselspital Berne le 18.05.2020 reviendra positif pour une myocardite, et le traitement initial est réintroduit. De plus, il est expliqué au patient la nécessité d'arrêt de toute activité sportive durant au moins 3 à 6 mois, avec reprise selon suivi cardiologique. Une recherche d'étiologie est effectuée, avec des sérologies négatives pour HSV1, HSV2, EBV, SARS-CoV-2 et CMV. Au vu de sa bonne évolution clinique, Mr. Y regagne son domicile le 19.05.2020. Mr. Y, 19 ans, est hospitalisé aux soins intensifs dans le contexte d'une myopéricardite aiguë idiopathique. Le patient se présente aux urgences le 12.05.2020 en raison de douleurs thoraciques insomniantes, transfixiantes, respiro-dépendantes, irradiantes dans la gorge. Un ECG montre des sus-décalages ST concaves diffus, à prédominance inféro-latérale. Le laboratoire montre une cinétique ascendante des enzymes cardiaques. L'échocardiographie transthoracique ne montre pas de trouble de la cinétique segmentaire ou autre signe de dysfonction systolique, ni d'épanchement péricardique. Une coronarographie exclut une cardiopathie ischémique. Un traitement de Colchicine et d'Ibuprofène est introduit, pour une durée respective de 3 mois et 4 semaines. Une IRM cardiaque est à organiser à 1 mois. Il est expliqué au patient la nécessité d'arrêt de toute activité sportive durant au moins 3 à 6 mois, avec reprise selon suivi cardiologique. La surveillance se déroule sans particularité, permettant le transfert du patient en division de médecine interne le 14.05.2020. Mr. Y est un patient de 82 ans qui nous est adressé depuis la médecine interne de l'HFR Fribourg pour une réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé du 22.04.2020 au 06.05.2020 en raison d'une infection pulmonaire à Covid-19 avec une bonne récupération sous Ceftriaxone. Une antalgie est également instaurée suite à une crise de goutte. Sur le plan social, Mr. Y vit seul dans un appartement à Bulle. À son admission en réadaptation gériatrique, Mr. Y présente un épisode d'état fébrile sans symptôme respiratoire associé. L'auscultation pulmonaire montre des crépitations basales droites. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax montre un nouveau foyer en base droite, raison pour laquelle nous introduisons la Céfépime 2G 2x/j en intra-veineux du 08.05.2020 au 13.05.2020, avec une bonne évolution.Le 01.05.2020 nous retrouvons une amélioration de l'anémie normochrome normocytaire, sans carence vitaminique, que nous attribuons au contexte inflammatoire. Un nouveau contrôle de l'hémoglobine le 12.05 montre une amélioration avec une valeur à 111 G/l. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à votre consultation. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche est de plus de 300 mètres sans aucun moyen auxiliaire, de façon sécuritaire et autonome. Le patient peut gravir 36 marches d'escalier avec l'aide de la main courante. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 89/126 par rapport à 80/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 7/7, escaliers 6/7). Le TUG se réalise en 13 secondes sans moyen auxiliaire. En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation de son indépendance, de son autonomie et de sa sécurité dans les activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique, démontrée par un NRS à 3/7 et un BMI à 22.5 kg/m2. Les repas sont adaptés afin de couvrir ses besoins. Des conseils d'alimentation lui sont donnés. Le 14.05.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/semaine pour l'administration des médicaments et 1x/jour pour un contrôle. Mr. Y nous est adressé en ambulance par son médecin traitant le 22.05.2020 pour une désaturation à 85 % à l'air ambiant. A signaler que le patient a été frotté le 21.04.2020 pour le COVID-19 qui est revenu positif. Au vu d'une possible suspicion de surinfection bactérienne pulmonaire, une antibiothérapie par Ceftriaxone pour 4 jours et Clarithromycine est administrée jusqu'à négativisation des antigènes urinaires. L'évolution clinico-biologique est favorable, avec un sevrage progressif de l'oxygènothérapie. L'isolement peut être levé le 05.05.2020. Au vu du profil prothrombogénique du COVID-19, nous introduisons une anticoagulation prophylactique au Rivaroxaban durant 2 jours après la sortie de Mr. Y. Mr. Y présente le 03.05.2020 un état fébrile et des douleurs au poignet gauche puis droit. Au status, une hyperthermie et des douleurs à la pression sont objectivées. Nous interprétons ces pics fébriles dans le cadre d'une arthrite microcristalline. Les douleurs sont bien contrôlées avec une faible antalgie et l'application de froid. Une anémie nouvelle est trouvée de manière fortuite au laboratoire. Un bilan de base ne décèle pas de carence vitaminique. Nous ne testons cependant pas la ferritine au vu de l'inflammation. Nous interprétons une anémie d'étiologie mixte d'origine ferriprive inflammatoire et iatrogène sur prises de sang. Nous recommandons un dosage de la ferritine et un contrôle de l'hémoglobine à distance de l'événement infectieux actuel. Le patient présente une surdité appareillée connue de longue date limitant la communication. Selon les renseignements de l'équipe de liaison, la situation à domicile serait précaire. Un projet de réhabilitation gériatrique à l'HFR Riaz est décidé, en vue d'un retour à domicile avec majoration de l'aide à domicile par la suite. Mr. Y est transféré en réhabilitation gériatrique à l'HFR Riaz le 06.05.2020. L'isolement en lien avec le COVID-19 peut être levé le 05.05.2020. Mr. Y est un patient de 49 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge d'un abcès hépatique dans le contexte d'une probable métastase de sa maladie oncologique métastatique connue et suivie au CHUV. Il bénéficie le 28.04.2020 d'une ponction d'abcès hépatique sous imagerie pour laquelle la microbiologie revient négative. Une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl est initiée le 27.04.2020 avec un relais par Co-Amoxicilline le 01.05.2020. Sur la suite de l'hospitalisation, le patient montre une CRP stable, stagnante autour des 80, ainsi qu'une leucocytose. L'évolution clinique est par contre favorable, raison pour laquelle nous suspectons que ces valeurs sont augmentées dans le cadre d'un syndrome para-néoplasique. Le patient rentre à domicile le 05.05.2020 avec un rendez-vous de suivi prévu le 07.05.2020 chez son oncologue au CHUV. Mr. Y est un patient de 58 ans qui bénéficie d'une hémicolectomie droite avec CME et pose de sonde double J le 24.04.2020 dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication, les suites postopératoires sont favorables tant sur le plan clinique que biologique permettant un retour à domicile le 30.04.2020. Mr. Y, patient de 72 ans, connu pour une anémie chronique dans un contexte de tumeur neuroendocrine bien différenciée de l'intestin grêle, nécessitant des transfusions tous les 1 à 2 mois, nous est adressé le 30.04.2020 par le Dr. X, médecin de garde, afin d'effectuer une transfusion en raison d'une hypotension à domicile (mise en évidence par les soins à domicile) et d'un bilan biologique montrant une hémoglobine à 74 g/l. A son arrivée aux urgences, le patient est bradycarde, normotendu et afébrile. Il précise ne pas avoir présenté de nouveau saignement et est par ailleurs asymptomatique. Au laboratoire, l'hémoglobine est à 80 g/l et dans ce contexte il bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire, avant son transfert à l'étage de médecine pour surveillance. Le contrôle biologique du 01.05.2020 montre une hémoglobine à 78 g/l, chez un patient asymptomatique, sans signe d'extériorisation. Nous transfusons 2 culots érythrocytaires supplémentaires. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 02.05.2020. Mr. Y, 88 ans, est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour une insuffisance cardiaque aiguë le 14.05.2020. Le patient présente depuis 10 jours une dyspnée d'apparition progressive, actuellement NYHA 2-3, une toux avec quelques expectorations blanchâtres, pas d'état fébrile, des épisodes de douleurs rétro-sternales oppressives au repos de quelques minutes, sans irradiation et spontanément régressives, une orthopnée nouvelle, une prise de 3 kg, une nycturie connue, et de possibles oedèmes des membres inférieurs en péjoration. Un CT thoracique est effectué afin d'exclure une embolie pulmonaire. Au laboratoire, nous retrouvons des NT-proBNP élevés. Nous introduisons une thérapie diurétique par Torasémide et suivons l'évolution clinique du patient. Nous observons des épisodes d'hypotension orthostatique, motivant un arrêt de l'Irbesartan et du nitroglycérine-patch. Au vu de sa bonne évolution, Mr. Y regagne son domicile le 19.05.2020. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive et ischémique sur maladie coronarienne monotronculaire (dernière coronarographie avec pose de 5 stents à la coronaire droite proximale-moyenne et distale le 07.04.2020), status post tachycardie ventriculaire monomorphe le 06.04.2020 avec pose d'ICD le 09.04.2020; nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la révision d'une PTH droite sur infection par Morganella morganii et E. Coli, opéré le 24.03.2020. Sur le plan social, le patient est marié. Il vit avec son épouse. Il est à la retraite (ancien enseignant). A l'admission, le patient se plaint de douleur de la hanche droite à la mobilisation. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, le patient est orienté et collaborant. Les cicatrices sont calmes. La flexion/extension de la hanche droite est de 20°/0° en actif et de genou droit à 40°/0°. La force du membre inférieur droit est cotée à M2+ en proximal et à M5 en distal; la sensibilité est conservée. On retrouve aussi la langue noire chevelue, liée probablement à l'antibiothérapie.L'ECG d'entrée a montré un QTc prolongé à 500 ms, lié probablement au surdosage de Levofloxacine. Nous avons ajusté la posologie selon l'indication infectiologique, ce qui a conduit à la normalisation de QTc. Durant son séjour, Mr. Y a présenté des épisodes d'hypotension orthostatique symptomatique, confirmés par le test de Schellong. L'arrêt de traitement par Lisinopril 2.5 mg et l'utilisation des bandes de contention ont permis une amélioration du profil tensionnel. Le bilan biologique a montré une amélioration de l'anémie. Sur le plan nutritionnel, à l'anamnèse d'entrée, Mr. Y souffrait d'une malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5/7), d'un apport oral insuffisant (62% énergie, 46% protéines), et d'une perte de poids non intentionnelle (-6 kg). Nous avons mis en place des enrichissements et un SNO afin de couvrir ses besoins. En fin de séjour, Mr. Y avait retrouvé l'appétit et couvrait ses besoins à > 100%. La perte pondérale semble s'être arrêtée et une reprise pondérale est en cours. Mr. Y a reçu des conseils de fractionnement et d'enrichissement pour le domicile. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec les cannes anglaises en respectant la décharge. Il peut monter/descendre 20 escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche droite à 45°/0° et de genou droit à 90°/0° en actif. La force du membre inférieur droit est cotée à M3+ au quadriceps et iliopsoas D, à M5 en distal. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 02.05.2020, en bon état général. Les soins à domicile sont refusés par le patient. Mr. Y est un patient institutionnalisé au foyer Horizon Sud en raison d'un retard mental, connu également pour un diabète non insulino-requérant ainsi que pour des infections urinaires et des pneumonies à répétition, et porteur d'un Cystofix sus-pubien. Le dernier changement a eu lieu le 28.01.2020 par le Dr. X. Le patient est accompagné aux urgences le 07.05.2020 par son éducateur en raison d'un état fébrile à 38,5°C le matin. De plus, l'infirmière a remarqué une purulence du pansement du Cystofix. Le bilan effectué aux urgences montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 123 mg/l et leucocytes à 9.9 G/L, ainsi qu'un sédiment urinaire avec leucocyturie +++, protéinurie, nitrite négatif, flore bactérienne ++. Sur avis chirurgical, nous effectuons un CT scan qui ne met pas en évidence d'autres causes infectieuses au niveau abdominal. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/j et le Cystofix est changé le 07.05.2020. Un urotube et des hémocultures reviennent négatifs, tout comme un frottis Covid-19. Sur le plan biologique, nous constatons également une hyponatrémie hypoosmolaire à volume extracellulaire (VEC) conservé le 07.05.2020, d'allure chronique (origine médicamenteuse et potomanie), pour laquelle nous mettons le patient en restriction hydrique. La natrémie est en voie d'amélioration avec une natrémie à la sortie de 135 mmol/l. À noter durant le séjour la survenue d'un état fébrile d'origine indéterminée le 10.05.2020, DD : infection urinaire au décours, infection de Venflon. Le laboratoire montre une élévation d'un syndrome inflammatoire sans piste infectieuse claire. Un traitement complémentaire de la ceftriaxone par Vancomycine est instauré. Des prélèvements effectués (uroculture et hémocultures) sont revenus négatifs, puis la Vancomycine est arrêtée par la suite (24 heures après). Afin d'exclure un foyer infectieux, un CT thoraco-abdominal est effectué qui ne montre pas d'argument pour un foyer infectieux thoracique ou abdomino-pelvien décelable. L'antibiothérapie par Rocéphine est poursuivie jusqu'au 11.05.2020, soit une durée totale de 5 jours. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable. Le laboratoire de contrôle montre une CRP en amélioration à 37 mg/l. Une hypokaliémie mise en évidence au laboratoire de contrôle se corrige après une substitution per os. De plus, devant une suspicion de troubles de déglutition, une évaluation effectuée le 13.05.2020 ne met pas en évidence de troubles de la déglutition. Cependant, le patient a tendance à parler quand il mange et boit, ce qui peut engendrer des fausses routes. Pour cela, nous avons éduqué le patient et le personnel du foyer a été également avisé. Au laboratoire de contrôle du 15.05.2020, nous mettons en évidence une leucopénie à 1,7 G/l, sans agranulocytose. Le patient est afébrile. L'origine est probablement médicamenteuse chez un patient avec de multiples traitements psychotropes. Une leucopénie sur traitement par Rocéphine (pendant 5 jours), vs Vancomycine ne peut formellement être exclue étant donné des médicaments nouveaux reçus par le patient. En accord avec son psychiatre, nous stoppons le traitement d'Olanzapine. Mr. Y peut regagner le foyer Horizon Sud le 15.05.2020. Un contrôle clinique et biologique est prévu à la Filière Urgence Ambulatoire le 18.05.2020 à 14h00. Mr. Y rentre à la maison avec immobilisation par attelle et antalgie per os. Mr. Y rentre à la maison, nous le conseillons de consulter son médecin traitant si apparition d'un érythème migrant. Mr. Y est amené par ambulance au service des urgences pour deux épisodes de syncope avec prodromes et chute avec traumatisme crânien le matin du 22.05.2020. Le premier épisode survient après un effort de défécation avec douleurs abdominales aux toilettes, le deuxième épisode alors qu'il se relève. Pas de mouvement tonico-clonique objectivés par la femme. Au service des urgences, il présente un GCS 15/15 avec une diplopie binoculaire nouvelle et légère anisocorie droite > gauche, réactive, mais un statut neuro préservé sinon. Le CT cérébral montre un hématome sous-dural de la tente du cervelet droit de 3 mm. L'anticoagulation par Apixaban est suspendue, puis Mr. Y est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique. L'IRM cérébrale réalisée 6 heures après l'admission démontre une stabilité de l'hématome. Par ailleurs, elle révèle des lésions ischémiques séquellaires sans argument pour une lésion ischémique aiguë. La surveillance neurologique se déroule sans particularité avec un nouveau CT cérébral le 23.05.2020 qui permet la reprise d'une anticoagulation thérapeutique par Héparine, en accord avec l'équipe de neurochirurgie et de neurologie. Le patient est ensuite transféré à l'étage de médecine interne le 23.05.2020. La surveillance à l'étage se déroule bien et l'anticoagulation est relayée par de l'Apixaban. Un rendez-vous de contrôle en neurochirurgie est organisé pour juin. Mr. Y n'ayant pas bien supporté un traitement d'Escitalopram introduit 3 jours avant sa syncope, nous décidons d'un commun accord de ne pas reprendre le traitement. Concernant la diplopie, elle est régressive à l'étage de médecine. Une consultation en ophtalmologie révèle une légère atteinte périphérique du nerf IV ou VI spontanément résolutive. Le patient sera revu en contrôle en juillet. Durant son hospitalisation, Mr. Y présente à deux reprises des épisodes d'hypertension peu caractérisés après le repas du soir. L'épisode est calmé par du Lorazépam. Nous interprétons ces épisodes dans le contexte stressant des derniers événements. Le profil tensionnel étant à la limite supérieure de la norme, nous introduisons un traitement d'IECA. Nous laissons le soin au médecin traitant de contrôler le profil tensionnel et d'adapter la posologie.Mr. Y peut rentrer à domicile le 27.05.2020 en bon état général. Mr. Y, 61 ans, est admis aux soins intensifs pour un trauma crânio-cérébral sur syncope d'origine vagale le 22.05.2020. Ce patient est connu pour des lésions ischémiques multiples bihémisphériques et cérébelleuses de découverte fortuite en 2018 avec mise en évidence à l'époque d'une fibrillation auriculaire, actuellement anticoagulée par Eliquis, et une suspicion de crises épileptiques focales sur lésions ischémiques, traité par Keppra et suivi par Dr. X. Il est amené par ambulance pour deux épisodes de syncope avec prodromes et chute avec trauma crânien le matin du 22.05.2020. Le 1er épisode survient après un effort de défécation avec douleurs abdominales aux toilettes, 2ème épisode alors qu'il se relève. Pas de mouvement tonico-clonique objectivé par la femme. Aux urgences, il présente un GCS 15/15 avec une diplopie binoculaire nouvelle et légère anisocorie droite > gauche, réactive. Le CT cérébral montre un hématome sous-dural de la tente du cervelet droit de 3 mm. L'anticoagulation par Apixaban est suspendue, puis le patient est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique. Au status neurologique, le patient relate une péjoration de la diplopie binoculaire qui est compatible avec une lésion du nerf IV gauche. Une évaluation ophtalmologique avec confection de prismes sera réalisée au cours du séjour hospitalier. L'IRM cérébrale réalisée à 6 heures de l'admission démontre une stabilité de l'hématome. Par ailleurs, elle relève des lésions ischémiques séquellaires sans argument pour une lésion ischémique aiguë. La surveillance neurologique se déroule sans particularité avec un nouveau CT cérébral le 23.05.2020 qui permet la reprise d'une anticoagulation thérapeutique par Héparine, en accord avec l'équipe de neurochirurgie et de neurologie. Le patient est transféré dans le service de médecine interne le 23.05.2020. Mr. Y reviendra en contrôle dans 2 jours en policlinique. Mr. Y est un patient connu pour de multiples pancréatites, la dernière en mars 2020. Il se présente aux urgences le 08.05.2020 avec des douleurs abdominales en barre péri-ombilicale depuis la veille au soir. Mr. Y nous indique avoir pris 2 comprimés de Tramal 50 retard et avoir eu 4 épisodes de vomissements biliaires. À 3 heures du matin, il présente de plus un épisode de diarrhée noir/rouge le motivant à consulter. En raison d'une forte suspicion de saignement digestif haut, nous organisons une OGD (Dr. X), qui montre deux petites ulcérations. Le 10.05.20, le patient présente une nouvelle extériorisation et un Angio-CT visualise un saignement actif dans le duodénum. Une embolisation d'une branche de l'artère gastro-duodénale est effectuée. Comme le patient continue de saigner, il reçoit deux culots érythrocytaires permettant de stabiliser l'hémoglobine. Au vu de la persistance des extériorisations, une deuxième embolisation est effectuée avec embolisation complète de l'artère gastroduodénale. La réalimentation est bien tolérée et les douleurs sont contrôlées avec une antalgie simple. Face à une évolution clinique et biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 15.05.20, en bon état général. Mr. Y est un patient de 82 ans connu pour hypertension artérielle traitée et diabète de type 2 non insulino-requérant, hospitalisé au sein du service de chirurgie pour prise en charge d'une hématochézie survenue à plusieurs reprises le 05.05.2020. Au décours de son hospitalisation, le patient bénéficie d'une colonoscopie qui met en évidence une diverticulose sigmoïdienne sévère à gauche sans complication endoluminale ainsi que des hémorroïdes de stade 1 à 2. Pas de sang frais ou ancien ni aucune source de saignement identifiée dans le décours de l'intervention. Au vu de l'évolution clinique favorable tant sur le plan clinique que biologique, Mr. Y quitte le service le 08.05.2020. Nous l'invitons à se présenter à la consultation de son médecin traitant une semaine après pour un contrôle clinique et introduisons un traitement ponctuel par Movicol à réévaluer lors du contrôle. Aucun examen endoscopique complémentaire n'est préconisé si l'évolution est stable. Mr. Y, 76 ans, a été hospitalisé le 23.04.2020 pour un angor instable. Ce patient, connu notamment pour maladie coronarienne tritronculaire avec antécédent de 4 stents (bissectrice et coronaire droite, avec une dernière coronarographie le 28.01.2020 ayant montré deux lésions de la CD, dont 1 intrastent, traitée par 2 stents), une BPCO stade I et un carcinome épidermoïde moyennement différencié glotto-sus-glottique avec statut après laryngectomie totale, évidement ganglionnaire et trachéotomie suivi par radiothérapie en 1993, présente depuis 3 jours des douleurs thoraciques rétrosternales avec irradiation dans la mâchoire, qui ressemblent aux douleurs qu'il a ressenties en mai 2019 lors d'infarctus. Aux urgences, le bilan biologique montre des troponines élevées sans cinétiques. La coronarographie du 23.04.20 montre une resténose subocclusive et calcifiée de la CD moyenne et resténose vs recoil du stent actif de la CD ostiale à l'origine des symptômes du patient qui sont traitées par préparation des lésions par Rotablator puis inflation prolongée de ballon actif. L'évolution aux soins intensifs se fait sans complications : sans trouble du rythme ni récidive des douleurs thoraciques. Le Clopidogrel est remplacé par du Ticagrelor pour une durée de 12 mois en sus de l'aspirine cardio. Chez ce patient, l'HbA1c est dans la norme et le bilan lipidique montre un LDL à 1,8 mmol/l, la statine peut être augmentée selon tolérance (cible <1.4mmol/l). Une segmentectomie du segment pulmonaire S8 dans le cadre de la pathologie oncologique a déjà été repoussée suite à la dernière coronarographie et double antiagrégation. Après discussion avec la cardiologie, la double antiagrégation actuelle devra être réévaluée dès qu'une date opératoire sera envisageable, avec au minimum 3 à 6 mois de traitement, avant une mise en suspens. Dans les suites de la coronarographie, le patient présente une insuffisance rénale aiguë à diurèse conservée avec paramètres en faveur d'une origine intrinsèque compatible avec une nécrose tubulaire aiguë sur néphropathie aux produits de contraste. Nous instaurons en accord avec les néphrologues une hyperhydratation et les traitements néphrotoxiques, entre autres les antagonistes de l'angiotensine II, sont suspendus. Les suites se font favorablement avec amélioration progressive du bilan rénal. Au niveau électrolytique, on met en évidence peu de temps après la survenue de l'insuffisance rénale une hypercalcémie interprétée comme iatrogène, potentiellement aggravée par un excès de substitution de l'hypothyroïdie. Dans ce contexte, nous augmentons l'hyperhydratation en cours et introduisons temporairement un traitement par calcitonine, permettant la normalisation de la calcémie. Une étiologie tumorale a été discutée au vu de la néoplasie connue du patient, mais n'a toutefois pas été retenue au vu de l'évolution rapidement résolutive de l'hypercalcémie. Une hypernatrémie secondaire à l'hyperhydratation par NaCl a été corrigée par relais par une perfusion de Glucose 5%. La dose d'Euthyrox a été diminuée à 25 mcg/j et le bilan thyroïdien devra être recontrôlé dans 4 à 6 semaines. Une hypophosphatémie probablement carentielle a été corrigée par une substitution orale.Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 12.05.2020 avec soins à domicile. Mr. Y présente des douleurs thoraciques oppressives à l'effort le 05.05.2020. Il appelle une ambulance. A l'arrivée des ambulanciers, le patient est stable sur le plan hémodynamique et rythmique. L'ECG met en évidence un sus-décalage dans les territoires latéraux. Le patient est chargé en aspirine, Prasugrel et héparine et transféré en salle de cathétérisme. La coronarographie met en évidence une subocclusion de l'artère interventriculaire antérieur ostiale traitée par dilatation et stenting, ainsi que fenestration au niveau de l'artère bissectrice. La ventriculographie met en évidence une FEVG à 40%. Le patient est ensuite suivi aux soins intensifs et la surveillance rythmique est sans particularité. Le patient est ensuite transféré à l'étage le 06.05.2020 pour la suite de la prise en charge. Un traitement de physiothérapie est introduit et le patient ne présente plus de douleurs retro-sternales. Durant l'ETT du 07.05.2020, de nombreuses extrasystoles ventriculaires ont été constatées et nous recommandons la réalisation d'un holter à distance de l'événement actuel. Concernant la médication, un traitement par Metoprolol est débuté et le sartan est majoré. Nous introduisons également un traitement de Prasugrel pour une durée de 12 mois. Nous constatons une dyslipidémie au laboratoire et introduisons une statine. Nous recommandons un contrôle lipidique dans 4 à 6 semaines avec une cible de 1.4 mmol/l. Si la cible n'est pas atteinte, nous vous prions de rajouter de l'Ezetimibe ou de majorer la statine. Concernant l'épistaxis, un packing nasal a été mis en place durant 2 jours. Il est ensuite retiré le 08.05.2020 et le saignement reprend. Une mèche est introduite dans la fosse nasale et le saignement se tarit. Un rendez-vous de contrôle en ambulatoire est organisé le 10.05.2020 en ORL. Mr. Y peut rentrer à domicile le 09.05.2020 en attente de réadaptation cardiovasculaire à Meyriez. Mr. Y, 53 ans, est admis au service des soins intensifs pour un STEMI inféro-latéral sur subocclusion de la première marginale le 03.05.2020. Ce patient consulte le service des urgences en raison de douleurs thoraciques typiques à l'effort. L'ECG est compatible avec un STEMI inféro-latéral. La coronarographie effectuée en urgence montre une subocclusion de la première marginale qui est traitée avec pose d'un stent actif. La coronaire droite est chroniquement occluse et la fonction systolique du ventricule gauche est normale. Une gêne thoracique persiste suite à la procédure, avec un pic de CK à 1122 U/l après 25 heures, mais correction de l'ECG et sans trouble du rythme, raison pour laquelle une nouvelle coronarographie n'a pas été effectuée. L'échocardiographie confirme la fonction ventriculaire gauche segmentaire et globale conservée. Une double antiagrégation plaquettaire est débutée par Aspirine à vie et clopidogrel pendant 6 mois. Le traitement de sartan est complété par un bétabloquant. Le profil tensionnel élevé a nécessité transitoirement l'ajout d'un anticalcique, nitroglycérine patch et moxonidine. Le patient sera convoqué à la consultation du Dr. X dans 1 mois. Une réadaptation cardiovasculaire est proposée. Mr. Y, 53 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI inféro-latéral sur subocclusion de la première marginale. Ce patient consulte les urgences en raison de douleurs thoraciques typiques à l'effort. L'ECG est compatible avec un STEMI inféro-latéral. La coronarographie effectuée en urgence montre une subocclusion de la première marginale qui est traitée avec pose d'un stent actif. La coronaire droite est chroniquement occluse et la fonction systolique du ventricule gauche est normale. Une gêne thoracique a persisté suite à la procédure, avec un pic de CK à 1122 U/l après 25 heures, mais correction de l'ECG et sans trouble du rythme, raison pour laquelle une nouvelle coronarographie n'a pas été effectuée. L'échocardiographie confirme la fonction ventriculaire gauche segmentaire et globale conservée. Une double anti-agrégation plaquettaire a été débutée par aspirine à vie et clopidogrel pendant 6 mois au lieu du prasugrel en raison des antécédents d'encéphalite hémorragique. Le traitement de sartan est complété par un bétabloquant. Le profil tensionnel élevé a nécessité transitoirement l'ajout d'un anticalcique, nitroglycérine patch et moxonidine. Le patient sera convoqué à la consultation du Dr. X dans 1 mois. Une réadaptation cardiovasculaire devrait être discutée. Le patient est transféré le 05.05.2020 dans le service de médecine interne. Mr. Y est un patient de 80 ans hospitalisé le 01.05.2020 pour une leucémie à tricholeucocytes. Pour rappel, Mr. Y présente depuis plusieurs jours une fatigue et une faiblesse importantes motivant une consultation chez son médecin traitant qui met en évidence une anémie à 56 g/l, et l'adresse au service des urgences de l'HFR Fribourg. Le bilan confirme une anémie normochrome macrocytaire régénérative à 57 g/l, et montre une thrombocytopénie à 71 G/l, ainsi qu'une leucocytose à 21.9 G/l, avec la présence de tricholeucocytes au frottis sanguin. Durant son hospitalisation, le bilan est complété par un scanner abdominal montrant une splénomégalie avec multiples lésions hypodenses intra-parenchymateuses, ainsi que de multiples adénopathies rétropéritonéales suspectes pour une atteinte néoplasique. La ponction-biopsie de moelle réalisée confirme la suspicion initiale de leucémie à tricholeucocytes. Une chimiothérapie par Cladribine est initiée le 05.05.2020 pour une durée de cinq jours. En prévention d'un syndrome de lyse, une hydratation intraveineuse et un traitement par Allopurinol sont instaurés. Le patient est en agranulocytose dès l'admission, et nous mettons en place un isolement protecteur dès le 06.05.2020. Compte tenu de l'agranulocytose persistante, une stimulation par Filgrastim est débutée le 11.05.2020. Dans le cadre de l'anémie, Mr. Y bénéficie de transfusions sanguines itératives durant le séjour, y compris deux concentrés érythrocytaires en prévision du retour à domicile. Sur le plan infectieux, Mr. Y bénéficie de prophylaxies par Co-Trimoxazole et Valacyclovir dès la fin de sa chimiothérapie et pour une durée de 6 mois. Vu l'agranulocytose de durée indéterminée, et selon avis infectiologique, une prophylaxie antifongique par Posaconazole est initiée dès le 07.05.2020, avec un suivi des taux hebdomadaire. Un taux sera donc à effectuer en ambulatoire à 1 semaine de la sortie. Un suivi des galactomannane est également réalisé durant l'hospitalisation, et ne sera pas à poursuivre en ambulatoire. L'agranulocytose est marquée par un état fébrile unique objectivé durant son séjour. Une antibiothérapie empirique par Céfépime est débutée le 17.05.2020. En l'absence de foyer clinique ni microbiologique, et vu l'évolution biologique favorable, l'antibiothérapie est rapidement arrêtée après 4 jours en accord avec les infectiologues. L'évolution se complique également par une éruption cutanée pour laquelle nous sollicitons un avis dermatologique, avec la réalisation d'une biopsie cutanée montrant une atteinte éosinophilique compatible avec une étiologie médicamenteuse. Nous retenons la chimiothérapie comme probable étiologie à cette réaction. Un traitement par corticostéroïdes topique est initié, avec un schéma de sevrage progressif, à continuer jusqu'à guérison des lésions cutanées. En raison de signes de surcharge, avec œdèmes des membres inférieurs, le patient bénéficie transitoirement d'un traitement par Furosémide intraveineux permettant une amélioration clinique. Une échocardiographie transthoracique montre une fonction cardiaque normale, avec une fraction d'éjection évaluée à 65%.Durant le séjour, nous constatons une cholestase hépatique pour laquelle nous réalisons une échographie hépatique qui ne met pas en évidence d'atteinte des voies biliaires. Une étiologie médicamenteuse à cette perturbation des tests hépatiques semble le plus probable. L'évolution biologique est par la suite lentement favorable. Malgré l'agranulocytose persistante, Mr. Y rentre à domicile le 26.05.2020 en raison d'un bon état général. A sa sortie, le patient reçoit les consignes habituelles concernant les circonstances qui doivent le motiver à consulter le service des urgences. Il sera suivi en ambulatoire par le Dr. X, avec une première consultation prévue le 02.06.2020. Mr. Y, 72 ans, a été admis en unité stroke monitorée pour un accident ischémique transitoire le 11.05.2020. Il a présenté le 11.05.2020 au réveil, une hyposensibilité de la lèvre supérieure gauche persistante sur 4-5h sans autre symptôme. Il a également l'impression de mouvements imprécis des membres supérieurs depuis quelques jours avec quelques épisodes de lâchage des deux mains. L'adhérence médicamenteuse habituelle est douteuse, puisqu'il a stoppé de son propre arbitre son anti-hypertenseur récemment. Il a consulté son médecin traitant qui l'a adressé aux urgences. Un accident ischémique transitoire est probable, sans déficit neurologique récidivant. L'angio-CT cérébrale et l'IRM cérébrale n'ont pas montré de lésion aiguë ischémique ni hémorragique. Un relais de l'Aspirine pour du Clopidogrel a été effectué avec une dose de charge le 11.05.2020. De l'atorvastatine est également introduite pour un cholestérol LDL à 2.4 mmol/l (cible <1.4 mmol/l). L'échocardiographie est normale. Un enregistrement Holter sera à organiser en ambulatoire. Le patient a été informé de l'interdiction de conduite pendant 2 semaines. Un rendez-vous de suivi est prévu en neurologie en septembre 2020. Le patient est rentré à domicile le 13.05.2020. Mr. Y, 47 ans, est hospitalisé pour une méningo-encéphalite à tique (FSME). Il se présente au service des urgences le 14.05.2020 en raison d'un syndrome grippal depuis 5 jours, avec état fébrile, dyspnée, péjoration de ses céphalées habituelles et depuis le jour même un état confusionnel. Au service des urgences, le patient est fébrile et présente un tableau clinique d'état confusionnel aigu. Le status ne montre pas de point d'appel infectieux ni de latéralisation au niveau neurologique. Le bilan met en évidence un syndrome inflammatoire. La radiographie thoracique ne montre pas de foyer. Le frottis SARS-CoV-2 est à deux reprises négatifs. Mr. Y bénéficie initialement d'un traitement de Ceftriaxone pour couvrir une pneumonie, qui est rapidement stoppé devant la faible suspicion. Les hémocultures sont négatives à 5 jours. Un CT puis une IRM cérébrales sont dans la norme. Une ponction lombaire retrouve un excès lymphocytaire et une protéinorachie non significative. Un avis neurologique évoque une origine infectieuse centrale avec comme diagnostic différentiel un syndrome sérotoninergique devant un patient présentant une légère hyperréflexie généralisée. Le traitement est temporairement mis en pause et est stoppé selon avis du psychiatre traitant et de la pharmacologue (Dr. X). Les sérologies HIV et Lyme sont négatives. Les IgM pour le HSV-1/2 sont positifs, les IgG sont négatifs. Il n'y a pas de notion de lésion cutanée herpétique à l'anamnèse. Les PCR dans le LCR sont négatives pour HSV1, HSV2 et VZV et montrent des IgM et IgG positives pour FSME. L'évolution clinique est favorable et Mr. Y rentre à domicile le 23.05.2020. Il sera convoqué à distance pour un bilan neuropsychologique. Mr. Y, patient de 44 ans en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 06.05.2020 suite à une chute, d'une hauteur d'environ 6 mètres, en rétropulsion, avec traumatisme au niveau du rachis dorso-lombaire. Les investigations par radiographie et scanner effectuées aux urgences montrent un tassement de D12 semblant récent, mais difficile à évaluer. Un avis neurochirurgical est demandé (Dr. X), qui conseille d'effectuer une IRM dorso-lombaire, confirmant l'origine récente du tassement et montrant également une trabéculation osseuse atypique selon le Dr. X, pouvant évoquer un myélome. Le bilan biologique effectué (Ca normale, pas d'insuffisance rénale, pas d'anémie, pas de pic gamma à l'électrophorèse des protéines, immunofixation en cours) permet de raisonnablement exclure ce diagnostic actuellement. Le patient est transféré le 07.05.2020 dans le service d'orthopédie de l'HFR Fribourg pour bénéficier d'une biopsie + cimentoplastie D12. L'intervention se déroule le 08.05.2020 sans complication post-geste et le patient est retransféré le jour même dans notre service. L'analyse de la biopsie prélevée est en cours. Sur conseil de nos collègues de neurochirurgie, des radiographies de la colonne lombaire à J0 et J1 sont effectuées et ne montrent pas de déplacement secondaire. Les suites post-opératoires sont sans particularité et le patient se mobilise rapidement avec des douleurs bien contrôlées par l'antalgie. L'évolution clinique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 11.05.2020. Mr. Y, 42 ans, est admis aux soins intensifs pour un ARDS sévère sur pneumonie à COVID-19. Il présente une toux sèche depuis le 20.04.2020, avec état fébrile constaté lors d'un contrôle préopératoire dans le cadre d'une résection d'un macro-adénome pituitaire. Le bilan met en évidence une pneumonie à COVID-19 et le patient est hospitalisé en médecine interne puis aux soins intensifs, au vu d'une augmentation des besoins en oxygène. Malgré la mise en place de séances de ventilation non invasive, l'insuffisance respiratoire se péjore, raison pour laquelle le patient est intubé et ventilé mécaniquement dès le 29.04.2020 puis nécessite 6 séances de décubitus ventral et transitoirement du NO inhalé. Un traitement empirique d'hydroxychloroquine et d'Atazanavir est débuté en association avec la poursuite de l'antibiothérapie de ceftriaxone jusqu'au 28.04.2020. Une pneumonie associée au ventilateur à E. coli, E. faecalis et Stenotrophomonas motive un traitement de pipéracilline-tazobactam du 04 au 10.05.2020. L'évolution respiratoire est finalement favorable permettant une extubation le 14.05.2020 avec relais par ventilation non invasive. Par ailleurs, un iléus paralytique nécessite l'introduction de multiples procinétiques (Erythromycine, métoclopramide, Naloxone) ainsi qu'une nutrition parentérale. Sous ces traitements, le patient reprend un transit dès le 11.05 permettant par la suite de reprendre une alimentation entérale, relayée par un régime per os dès le 16.05, qui est bien toléré. Une insulinothérapie est introduite, nous vous laissons le soin d'adapter son traitement selon la reprise alimentaire et ses suivis glycémiques. Le 17.05.2020, le patient présente des douleurs abdominales avec un syndrome inflammatoire à la hausse et une lipase augmentée. Un CT abdominal le 18.05.2020 montre une pancréatite Balthazar D. Un US des voies biliaires ne montre pas de dilatation ni de calculs. Le dosage des triglycérides est normal. L'évolution est favorable avec reprise de l'alimentation par voie orale. Le syndrome inflammatoire ainsi que la lipasémie sont à la baisse. Mr. Y, motivé et volontaire, évolue rapidement avec de la physiothérapie intensive durant son séjour dans notre service, permettant un transfert en médecine interne le 20.05.2020. L'indication d'une réhabilitation pour la suite dépendra d'une réévaluation neuromusculaire par Dr. X à l'étage de médecine qui reste à organiser.Mr. Y, 42 ans, est admis en médecine interne du 25.04 au 26.04.2020, puis aux soins intensifs du 26.04 au 20.05.2020 pour un ARDS sévère sur pneumonie à COVID-19. Il présente une toux sèche depuis le 20.04.2020, avec état fébrile constaté lors d'un contrôle préopératoire dans le cadre d'une résection élective d'un macroadénome pituitaire. Le bilan met en évidence une pneumonie à COVID-19. Au vu d'une augmentation des besoins en oxygène, il est transféré aux soins. Malgré la mise en place de séances de ventilation non invasive, l'insuffisance respiratoire se péjore, raison pour laquelle le patient est intubé et ventilé mécaniquement du 29.04 au 14.05.2020 avec par la suite un relais par ventilation non invasive. Il a nécessité des séances en décubitus ventral ainsi que du NO inhalé transitoirement. Un traitement empirique d'hydroxychloroquine et atazanavir est débuté en association avec la poursuite de l'antibiothérapie de ceftriaxone jusqu'au 28.04.2020. Une pneumonie associée au ventilateur à E. coli, E. faecalis et Stenotrophomonas motive un traitement de pipéracilline-tazobactam du 04.05 au 10.05.2020. Par ailleurs, un iléus paralytique nécessite l'introduction de multiples procinétiques (erythromycine, métoclopramide, naloxone) ainsi qu'une nutrition parentérale. Sous ces traitements, Mr. Y reprend un transit dès le 11.05 permettant par la suite de reprendre une alimentation entérale, puis relayée par un régime per os dès le 16.05, qui est bien toléré. Le 17.05.2020, le patient présente des douleurs abdominales avec un syndrome inflammatoire à la hausse et une lipase augmentée le 18.05.2020. Un CT abdominal montre une pancréatite Balthazar D. Un US des voies biliaires ne montre pas de calcul biliaire et le dosage des triglycérides est dans la norme. L'évolution est favorable. Un syndrome d'apnée du sommeil modéré est découvert au cours de son hospitalisation nécessitant l'introduction d'une CPAP. Actuellement, en raison d'angoisses liées aux séjours intensifs, Mr. Y refuse la CPAP mais accepte de la tester à distance ainsi qu'un contrôle pulmonaire à 1-2 mois après la réadaptation. Il accepte un soutien psychiatrique pour la gestion de ses angoisses liées au séjour aux soins intensifs. Un pré-diabète de type 2 non traité mais connu est, au cours de son hospitalisation, décompensé, raison pour laquelle un traitement par insuline est introduit en parallèle de la Metformine. L'objectif final est l'arrêt de l'insuline et un traitement uniquement par Metformine. Il sera par la suite suivi en ambulatoire par Dr. X comme pour son macro-adénome. Une fois la réhabilitation arrivant à sa fin, nous vous laissons le soin de contacter l'équipe de neurochirurgiens de l'hôpital de l'Ile à Berne pour agender la résection de cet adénome ayant déjà un léger effet compressif connu stable et causant un hypogonadisme hypogonadotrope et une hypothyroïdie. La prochaine injection de Nevido 1000 mg sera pratiquée le 17.07.2020. Mr. Y présente une lésion ulnaire périphérique bilatérale prédominante à droite d'origine mécanique suite aux séjours aux soins intensifs. Un traitement physiothérapeutique et ergothérapeutique est débuté, ainsi que l'introduction de Novalgine et Dafalgan en première intention. La Gabapentine n'est pas introduite d'office pour éviter ses effets secondaires, mais sera à considérer en cas de douleur persistante malgré le traitement actuel. Mr. Y va en réhabilitation neuro-intensive le 29.05.2020. Mr. Y est un patient de 58 ans hospitalisé en chirurgie pour la prise en charge chirurgicale en urgence d'une hernie ombilicale incarcérée. L'intervention se déroule sans complication le 19.05.2020 avec des suites simples. Le patient peut regagner son domicile le 20.05.2020 en bon état général et avec une cicatrice calme et propre. Nous invitons le patient à se présenter à la consultation de son médecin traitant à J12 post-opératoires pour l'ablation des fils. Mr. Y, 84 ans, est hospitalisé pour la pose d'une PEG en électif. Il présente depuis 2014 des troubles de la déglutition sur des multiples AVC. Les soignants du home remarquent une péjoration progressive des troubles de la déglutition avec recrudescence des fausses-routes. Le patient a déjà bénéficié de nutrition entérale par SNG, mais cette dernière est tombée suite à un effort de toux. A son arrivée, nous reposons une SNG et débutons une alimentation entérale. Nous discutons avec le représentant thérapeutique et le home concernant l'intervention prévue. Une indication à une pose de GPR par l'équipe de radiologie est convenue. En effet, la pose de GPR n'implique pas une anesthésie générale pour un patient fragile, ce pourquoi nous la préférons à une PEG. La mise en place de la GPR se déroule sans complication. Le patient est anticoagulé dans un contexte de FA paroxystique par du Sintrom. Nous changeons ce dernier par de l'Eliquis à dose adaptée. A noter que nous devons stopper le traitement de Tamsulosine car il ne peut être administré par GPR. Mr. Y peut rentrer en EMS le 20.05.2020. Un frottis Covid-19 a également été effectué comme le veut le protocole pour retour en EMS qui revient négatif. Mr. Y, âgé de 60 ans et connu pour un diabète de type 2 sur insuffisance du pancréas, une hypertension artérielle non traitée et une consommation chronique d'alcool, est amené aux urgences en ambulance le 18.05.2020 pour perte de connaissance et amnésie, sans traumatisme crânien. Les investigations effectuées aux urgences ont permis de conclure à un coma hypoglycémique dans un contexte de prise de Lantus du matin, non suivie d'un repas, avec une glycémie prise par les ambulanciers à 1,8 mmol/l. L'état du patient s'améliore progressivement après l'administration iv de glucose (d'abord par les ambulanciers, puis par l'équipe des urgences). Après stabilisation de la situation d'urgence, avec une reprise d'un état de conscience, le patient est hospitalisé dans le service de médecine interne pour la suite de la prise en charge. La perfusion iv avec G10 est poursuivie à 1000 ml/24h et la Lantus du matin est mise en suspense le 19.05, permettant d'éviter des épisodes d'hypoglycémie. Le traitement par Insuline Lantus est alors repris le 20.05.2020 à 12 UI, avec bonne tolérance et un traitement par Novorapid 3 UI pré-prandial d'office le soir du 20.05.2020 selon avis de nos collègues de la diabétologie. Au vu d'une tendance à l'hyperglycémie le matin, le cas est discuté avec nos collègues diabétologues puis nous décidons d'augmenter le dosage de Lantus à 14 UI et de mettre en place un schéma de Novorapid lors de repas pour le retour à domicile selon la valeur de glycémie (2 UI si glycémie <9 mmol/l, 3 UI si > 9 mmol/l). Sur le plan tensionnel, nous constatons des tensions artérielles élevées pendant le séjour. Nous décidons alors d'introduire un traitement par Lisinopril 5 mg 1x/j le 19.05.2020, ensuite augmenté à 10 mg le 22.05.2020, avec bonne tolérance. Le patient, souhaitant rentrer à domicile, l'état clinique étant rassurant et au vu de l'absence de nouvel épisode d'hypoglycémie, Mr. Y quitte notre service le 22.05.2020 avec l'indication à un suivi à votre consultation la semaine suivant la sortie afin d'adapter le traitement par insuline ainsi que le traitement antihypertenseur. Mr. Y, 49 ans, est admis aux soins intensifs pour un NSTEMI. Ce patient, connu pour un syndrome de Loeys-Dietz (s/p opération de Bentall en 2007) anticoagulé par Sintrom, et un NSTEMI en 2017, présente depuis le 29.04 des douleurs thoraciques rétrosternales typiques d'apparition brutale. Il consulte son médecin traitant dans ce contexte le 30.04, qui l'adresse aux urgences pour suspicion de NSTEMI. Le bilan montre un ECG sans modification, des troponines avec une cinétique positive et une akinésie inféro-basale nouvelle à l'échocardiographie. Un CT aortique est réalisé qui permet d'exclure une dissection aortique. On retrouve toutefois sur cet examen une petite dissection de l'artère mésentérique supérieure et un petit anévrisme de l'artère mésentérique inférieure, pour lesquelles un avis chirurgical est demandé et ne retient pas de prise en charge particulière.Le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique. La coronarographie du 01.05.2020 ne montre pas de nouvelle lésion des coronaires. Sur une cinétique des troponines positives, les cardiologues recommandent la poursuite de l'aspirine en parallèle de l'anticoagulation thérapeutique par sintrom, ainsi que la majoration du béta-bloquant à visée anti-angineuse. Une IRM cardiaque de contrôle sera réalisée par le Dr. X qui suit le patient à l'hôpital de l'île à Berne dans le cadre de son syndrome de Loeys-Dietz. Nous avons également précisé au Dr. X la présence de la dissection de l'artère mésentérique supérieure et du petit anévrisme de l'artère mésentérique inférieure qui décidera de la suite à donner sur ces découvertes. Le patient est renvoyé, à sa demande, à domicile le 01.05.2020. Mr. Y est hospitalisé pour un épisode de syncope le 21.05.2020. Pour rappel, le patient a présenté une syncope post-prandiale survenue en position assise sans prodrome. Il relate une perte de connaissance d'une durée de quelques secondes après avoir mangé et bu deux verres de vin rouge, sans chute ni trauma crânien. L'anamnèse par système révèle une dyspnée NYHA 3 avec prise pondérale d'environ 10 kg dans les dernières semaines motivant l'introduction de Metolazone par son médecin traitant 5 jours auparavant. Sur le plan cardiaque, une élévation modérée de la troponine est attribuée à l'insuffisance rénale, sans argument pour un processus ischémique myocardique. L'échocardiographie ne met pas en évidence de cause structurelle pouvant expliquer la syncope. Mr. Y est transféré aux soins intensifs où la surveillance rythmique se déroule sans particularité. Une syncope d'origine mixte est retenue, vagale dans le contexte post-prandial, hypovolémique et hypotensive dans le contexte de déshydratation (diurétique) et d'une vasoplégie médicamenteuse (Amlodipine, Alfuzosine). Le patient est transféré en médecine interne pour suite de prise en charge le 22.05.2020. Un traitement par Lisinopril est introduit après récupération de la fonction rénale et le traitement anticalcique habituel est remplacé par un bêtabloquant afin d'éviter la récidive de syncopes futures. Sur le plan rénal, nous retrouvons au bilan une acutisation AKIN I d'une insuffisance rénale chronique KDIGO G4 sur syndrome d'Alport, d'origine fonctionnelle dans le contexte de la majoration du traitement diurétique. Dans ce contexte, nous arrêtons le traitement de Félbuxostat et vous laissons le soin de réévaluer la fonction rénale à distance afin de réintroduire ce médicament par la suite. Au vu de sa bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 25.05.2020. Mr. Y se présente le 19.05 pour une nouvelle coronarographie. Comme convenu, nous avons procédé à une intervention percutanée sur le tronc commun distal sous assistance ventriculaire gauche (Impella CP 3.5) avec une angioplastie par kissing au ballon actif sur l'IVA et la CX proximale. Nous avons ensuite procédé à une angioplastie de la circonflexe distale avec un stent actif et excellent résultat final. Il n'y a pas de complication vasculaire au contrôle angiographique final. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs se déroule sans particularités. Le patient poursuivra le traitement actuel avec l'Efient pour 12 mois. Un contrôle sera à prévoir chez le cardiologue traitant dans 1 mois. Le patient regagne son domicile le 20.05.2020. Mr. Y, 66 ans, est admis aux soins intensifs pour une syncope d'origine mixte le 21.05.2020. Ce patient nous est adressé pour une syncope post-prandiale survenue en position assise sans prodrome. Il relate une perte de connaissance d'une durée de quelques secondes après avoir mangé et bu deux verres de vin rouge, sans chute ni trauma crânien. L'anamnèse par système révèle une dyspnée NYHA 3 avec prise pondérale d'environ 10 kg dans les dernières semaines motivant l'introduction de Metolazone par le médecin traitant il y a cinq jours. Le bilan retrouve une acutisation KDIGO I d'une insuffisance rénale chronique KDIGO G4 sur syndrome d'Alport, d'origine fonctionnelle dans le contexte de la majoration du traitement diurétique. Il existe une élévation modérée de la troponine qui est attribuée à l'insuffisance rénale, sans argument pour un processus ischémique myocardique. L'échocardiographie ne met pas en évidence de cause structurelle pouvant expliquer la syncope. La surveillance rythmique se déroule sans particularité. Une syncope d'origine mixte est retenue, vagale dans le contexte post-prandial, hypovolémique et hypotensive dans le contexte de déshydratation (diurétique), de la vasoplégie médicamenteuse (Amlodipine, Alfuzosine) et hypotensive (Olanzapine, Quetiapine). Sur le plan rénal, le traitement diurétique est mis en suspens. La protéinurie est stable par rapport aux valeurs précédentes, estimée à 0.9 g/l avec un sédiment urinaire qui est inactif. Le patient est suivi par l'équipe de néphrologie qui propose l'instauration du Lisinopril après récupération de la fonction rénale et remplacement du traitement anticalcique par un bêtabloquant afin d'éviter la récidive des syncopes au futur. Le patient est transféré dans le service de médecine interne le 22.05.2020. Mr. Y, 74 ans, est hospitalisé pour une insuffisance cardiaque décompensée à prédominance gauche sur cardiopathie ischémique avec progression de la maladie cardiaque probablement sur insuffisance médicamenteuse. Il se présente au service des urgences le 19.05.2020 en raison d'une dyspnée progressive à l'effort depuis 2 mois en péjoration depuis 2 semaines avec notion d'un angor instable mal systématisé. Le status met en évidence des signes de surcharge au niveau pulmonaire avec un souffle systolique 4/6 nouveau au foyer mitral, sans œdème des membres inférieurs. L'ECG est superposable au comparatif et les troponines ne montrent pas de cinétique ascendante. Le NT-pro-BNP est augmenté à plus de 5'000 ng/l. La radiographie thoracique montre un léger épanchement pleural bilatéral avec redistribution vasculaire. Le pacemaker est interrogé et montre un fonctionnement normal. Une échocardiographie montre une dysfonction systolique sévère (FEVG 25-30 %), une dysfonction diastolique, une élévation des pressions de remplissage, une fuite mitrale importante, une fuite tricuspide moyenne ainsi qu'une hypertension artérielle pulmonaire. Un avis cardiologique ne retient pas d'indication à une coronarographie d'emblée et propose une majoration de son traitement cardiaque avec l'introduction de l'Aldactone et de l'Entresto. Le patient bénéficie également d'un traitement par Furosemide intraveineux avec bon effet sur la dyspnée et une échocardiographie de contrôle qui est stable et ne montre pas d'indication actuelle à une prise en charge interventionnelle de l'insuffisance mitrale nouvelle. Pendant le séjour, le patient rapporte également des épigastralgies matinales répondant à un traitement d'Alucol gel. Sur suspicion d'une maladie de reflux, un traitement d'épreuve par IPP est débuté. En raison d'une anémie avec sang occulte positif, nous recommandons d'effectuer un bilan endoscopique ambulatoire.L'évolution est favorable et Mr. Y rentre à domicile le 30.05.2020. Mr. Y, 21 ans, est hospitalisé pour une thérapie ablative à l'iode pour un carcinome folliculaire de la thyroïde. Le patient a bénéficié auparavant d'une stimulation avec Thyrogen. Le séjour se déroule sans complication. Une scintigraphie est effectuée à la fin du séjour. La suite de prise en charge se fera au cabinet du Dr. X. Mr. Y peut rentrer à domicile le 20.05.2020. Mr. Y, patient de 82 ans connu pour un adénocarcinome de la tête du pancréas cT2 cN0 M0 et ayant été hospitalisé dans notre établissement du 29.04 au 04.05.2020 pour une suspicion de cholangite sans qu'un diagnostic certain n'ait été mis en évidence, consulte aux urgences car vers 17h le 09.05.2020, il a présenté des douleurs soudaines au niveau de l'hypocondre droit, associées à un état fébrile à 38.5° à domicile. Pas d'irradiation des douleurs. Pas de nausée ni de vomissement, pas de constipation ni de diarrhée. Pour rappel, Mr. Y était sous antibiothérapie par Ciprofloxacine et Flagyl jusqu'à hier, le 08.05.2020. À son arrivée aux urgences, le patient est normocarde, normotendu et fébrile à 38.2°. Il ne présente plus de douleur abdominale. À l'examen clinique, l'abdomen est souple, dépressible, indolore. Péristaltisme normal avec bruits normaux en fréquence et en tonalité. Pas de défense, pas de détente, signe de Murphy négatif. Pas de douleur à la percussion des loges rénales. Du point de vue cardio-pulmonaire, les bruits cardiaques B1-B2 sont réguliers, sans souffle audible. Le murmure respiratoire est symétrique, sans bruit surajouté. Nous complétons le bilan avec les examens susmentionnés et retenons le diagnostic de cholangite sur obstruction partielle du stent cholédocien. Nous prenons avis auprès du chirurgien de garde, le Dr. X, qui, au vu de la péjoration des tests hépatiques et des résultats de la cholangio-IRM du 29.04.2020, n'exclut pas un possible obstacle ou matériel dans le stent cholédocien. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv - 1 x/jour et Métronidazole 500 mg iv - 3 x/jour. Une éventuelle ERCP est discutée avec les gastro-entérologues. Suite à une discussion téléphonique avec le gastro-entérologue de l'Inselspital, le Dr. X, le 09.05.2020, l'indication à une ERCP en urgence n'est pas retenue au vu de la clinique rassurante du patient. Une hospitalisation sur le site de Riaz est préconisée pour antibiothérapie iv et suite de prise en charge. En cas d'aggravation de son état clinique durant la nuit, un transfert à l'Inselspital en urgence pour ERCP peut être envisagé. Dans ce contexte-là, le patient reste à jeun jusqu'à nouvel ordre médical. Un laboratoire de contrôle sera effectué le 10.05.2020 puis un contact sera repris avec le Dr. X pour décision d'une ERCP. Au vu du souhait du patient d'être pris en charge à la Clinique Hirslanden Beau-Site, nous prenons un second avis auprès des gastro-entérologues sur ce site et contactons le Dr. X le 09.05.2020. Aucune ERCP n'est préconisée de sa part en urgence sur le week-end. Dans ce contexte-là, le patient reprend une alimentation orale qui est débutée par un régime pauvre en graisse. Le 10.05.2020, suite à une discussion téléphonique entre le Dr. X (Clinique Beau-Site) et le Dr. X, nous prévoyons un transfert du patient le 11.05.2020 à la Clinique Beau-Site pour réalisation d'une ERCP. La Fragmine est mise en suspens. Le patient sera à jeun dès 11h00 le 11.05.2020 dans l'éventualité d'une ERCP réalisée le même jour. Le 11.05.2020, Mr. Y est transféré à la Clinique Beau-Site pour suite de prise en charge et réalisation d'une ERCP avec +/- changement de stent cholédocien. Mr. Y est un patient de 79 ans, connu pour une hypertension artérielle et une fibrillation auriculaire sous Sintrom, qui se présente aux urgences de l'HFR Riaz le 02.05.2020 en raison de douleurs en fosse iliaque gauche apparues soudainement le matin même, d'intensité stable à EVA 6/10. Celles-ci ne s'accompagnent ni de nausées, ni de vomissements. Dernières selles normales le matin même, sans méléna, ni sang. Notion de constipation sur les deux derniers jours et aussi chroniquement selon le patient. À l'examen clinique, nous retrouvons un patient en bon état général, apyrétique. Sur le plan digestif, les bruits sont augmentés en fréquence et en tonalité. L'abdomen est sensible à la palpation en fosse iliaque, détente en fosse iliaque gauche, pas de défense claire. Signe de Murphy négatif. Au toucher rectal, tonus et sensibilité conservés, toucher rectal indolore, selles normales au doigtier, pas de sang, pas de fécalome. Le reste du status est sans particularité. Au vu de la clinique, un CT abdominal injecté est effectué le 02.05.2020, montrant une diverticulite à la jonction sigmoïdo-colique Hansen IIa, sans abcès, ni perforation. Le bilan biologique d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie où il bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour, avec mise à jeun. Le 03.05.2020, la réalimentation légère est bien tolérée et le transit reprend. L'évolution clinique est rapidement favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 04.05.2020, après avoir reçu un enseignement diététique afin de poursuivre un régime pauvre en fibres durant 4 à 6 semaines. L'antibiothérapie sera poursuivie par voie orale à raison de Ciprofloxacine 2 x 500 mg/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour jusqu'au 11.05.2020 inclus. Une coloscopie ayant déjà été réalisée le 12.02.2019, s'avérant dans les limites de la norme, nous ne prévoyons pas de nouvelle coloscopie dans 6 semaines. Mr. Y étant sous anticoagulation par Sintrom, il prendra rendez-vous à votre consultation pour le mercredi 06.05.2020 pour contrôle de l'INR et réglage du schéma. Mr. Y est un patient de 84 ans qui nous est adressé depuis le service de chirurgie de l'HFR Fribourg où il est hospitalisé suite à un débridement des plaies chroniques pré-tibiales ainsi que du dos du pied à droite sur une sclérodermie profonde généralisée. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé en réhabilitation gériatrique du 17.03.2020 au 07.04.2020 dans un contexte d'évolution défavorable d'ulcères. Le 07.04.2020, Mr. Y est envoyé à Fribourg pour une consultation auprès du Dr. X pour une évaluation des plaies. Un bilan angiologique en janvier avait permis d'exclure un AOMI. Au vu d'une plaie de grande taille sur le dos du pied avec une importante quantité de fibrine, de cellules nécrotiques et de biofilm, un débridement au bloc opératoire est effectué (Dr. X) en raison des douleurs, intervention réalisée le 07.04.2020 sans complication. À son admission en gériatrie aiguë, au vu de l'évolution favorable, nous préconisons une poursuite des pansements selon le protocole discuté entre le Dr. X et le Dr. X le 08.04.2020. En post-opératoire, le patient présente un globe urinaire à 900 ml raison pour laquelle une sonde vésicale est posée. Une antibiothérapie avait déjà été mise en place par Ciprofloxacine sur avis de la Dr. X. Au cours de son hospitalisation, Mr. Y présente une péjoration de son état cognitif avec un état confusionnel aigu persistant, dans le contexte infectieux. Devant ces éléments, le traitement avec Tramal est arrêté et l'antibiothérapie par Ciprofloxacine est également substituée par Meropenem, qui permet une amélioration des confusions.Concernant le syndrome de Morphée, le patient présente une nouvelle poussée de sclérodermie profonde généralisée avec une induration de la peau, notamment au niveau du dos ainsi qu'une augmentation des démangeaisons de façon généralisée. Dans ce contexte, la corticothérapie est majorée à 60 mg par jour dès le 10.04.2020, et le traitement par Metoject est réintroduit le 14.04.2020 avec un dosage inférieur à l'habituel, tout en ayant un contrôle strict de la fonction rénale. Sur le plan endocrinologique, le patient est connu pour un diabète cortico-induit, qui présente un profil élevé dans le contexte de la réintroduction de la corticothérapie à haute dose. Par conséquent, nous majorons à 20 UI l'insuline lente. Le bilan diététique met en évidence une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec des besoins accrus, démontrée par un NRS à 5/7 et une perte de poids de 5.7 kg/ 7.7% en moins d'un mois, qui se péjore progressivement en raison de l'état cognitif du patient. Pour cette raison, une sonde naso-gastrique est posée le 16.04.2020. Par la suite, le contrôle radiologique de la pose de la sonde met en évidence de manière fortuite un probable foyer pulmonaire basal gauche le 16.04.2020. Nous effectuons un CT thoracique le 17.04.2020 qui met en évidence des infiltrats d'origine probablement infectieuse sur le lobe supérieur gauche et le lobe inférieur gauche, qui pourraient correspondre à une pneumonie à SARS-COV-2, ainsi qu'à une pleurite gauche. En raison d'un nouvel état fébrile à 38°C le 19.04.2020, nous décidons d'introduire une antibiothérapie par Cefepime. Malgré le traitement initié, le patient présente progressivement une péjoration clinique avec un choc septique et des troubles de l'état de conscience avec hypotension. Le 22.04.2020, un frottis Covid-19 est effectué, revenant négatif. Vu le contexte polymorbide avec une attitude sans acharnement thérapeutique souhaitée par Mr. Y, nous décidons de passer aux soins de confort, avec l'accord de la famille. Le 24.04.2020, Mr. Y décède paisiblement. Mr. Y est un patient de 81 ans, hospitalisé en chirurgie pour une surveillance clinique et biologique d'une perforation rectale infra-péritonéale sur Freka-clyss le 25.05.2020. À l'arrivée, le patient n'a pas de douleurs abdominales et le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. L'évolution étant favorable tant au niveau clinique que biologique, un retour à domicile est possible le lendemain avec poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 31.05.2020. Mr. Y, patient de 88 ans, connu pour un BAV 3° porteur d'un pacemaker et une démence Alzheimer, est adressé aux urgences le 23.05.2020 depuis le RFSM CSH Marsens en raison d'une chute de son lit, sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. À l'admission, le patient se plaint de douleurs thoraciques droites et nous mettons en évidence un hématome des parties molles abdominales latéralement à droite. Le patient présente une hypoventilation bibasale, ainsi que des œdèmes des membres inférieurs. Le laboratoire montre une CRP à 127 mg/l. Nous effectuons un scan thoraco-abdominal qui montre un changement parenchymateux pulmonaire et pleural évoquant une décompensation cardiaque avec des épanchements pleuraux bilatéraux, associés à des atélectasies sous-jacentes. Un foyer infectieux sous-jacent ne peut être exclu, raison pour laquelle nous retenons une décompensation cardiaque sur infection pulmonaire et initions un traitement antibiotique par Rocéphine 2g IV et Klacid à partir du 24.05.2020, avec arrêt de ce dernier le jour même au vu des antigènes urinaires négatifs. Concernant les signes de surcharge de la décompensation cardiaque, nous instaurons du Lasix IV, qui est relayé par du Torem per os. Un frottis Covid revient négatif. Le laboratoire nous montre une péjoration de la créatinine plasmatique avec une valeur de 172 mcmol/l le 23.05.2020. Nous calculons la fraction d'éjection de l'urée, qui est à 29.81% et parle en faveur d'une origine pré-rénale. Au vu du contexte d'insuffisance cardiaque aiguë, nous retenons un syndrome cardio-rénal et poursuivons le traitement diurétique, ainsi qu'une restriction hydrique. Le CT scan montre également des fractures de la 9ème à la 12ème côtes, raison pour laquelle un traitement antalgique est instauré. Durant le séjour, le patient bénéficie de physiothérapie de mobilisation. Le patient monte les escaliers avec l'aide d'une rampe. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 82/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 2/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas testé. En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation de l'indépendance, l'autonomie et la sécurité dans les AVQ et AIVQ. Le 28.05.2020, le patient désature à 78% à l'air ambiant et présente un malaise avec deux épisodes de vomissements et une sudation profuse. Il présente une hypothermie à 33.8°C et une glycémie à 10.3. L'ECG montre un rythme électro-entraîne sans particularité. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire partielle. Nous effectuons un CT scan thoraco-abdominal injecté qui montre une majoration de son épanchement droit, avec un saignement actif, parlant en faveur d'un hémothorax massif. Le patient devient hémodynamiquement instable et est transféré aux Urgences où un drain thoracique a été posé avec succès. Devant cette évolution et vu la présence d'un saignement actif d'une artère intra-costale à droite, nous contactons la chirurgie thoracique à Fribourg pour la suite de la prise en charge. Nous mettons au courant son épouse et Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg, service de chirurgie thoracique le 28.05.2020, au vu du saignement actif de la 9ème artère intervertébrale. Mr. Y est un patient de 26 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour des douleurs abdominales avec ralentissement du transit depuis 5 jours. Le bilan des urgences met en évidence un iléus grêle mécanique avec signes de souffrance sur une hernie interne. Le patient bénéficie d'une laparotomie exploratrice avec résection segmentaire grêle contenant le diverticule, avec une anastomose iléo-iléale en 2 plans à 50 cm de la valve iléo-caecale. Il profite au passage d'une appendicectomie. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires restent simples. Devant cette bonne évolution, nous laissons Mr. Y regagner son domicile le 30.04.2020. Mr. Y est un patient de 78 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale dialysé et suivi par Dr. X pour de multiples tumeurs vésicales. Il bénéficie d'une TURV le 22.05.2020 qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples et afébriles. L'urine est claire, permettant un retrait de la sonde vésicale et un retour à domicile le 25.05.2020. Les résultats de la biopsie seront discutés au rendez-vous de contrôle au cabinet de Dr. X. Mr. Y est institutionnalisé suite à un AVC. Il a présenté un état fébrile, avec malaise, motivant son admission aux urgences. Il présentait un choc septique avec une fibrillation auriculaire à complexe large instable qui a été aussitôt cardioversion. Le choc septique est d'origine urinaire avec une bactériémie à Klebsiella pneumoniae. L'antibiothérapie initiale de pipéracilline-tazobactam est remplacée par de la ceftriaxone puis par du Co-Trimoxazole pour une durée totale de 14 jours. L'état hémodynamique se stabilise après expansion volémique et soutien aminergique, sevré le 13.05.2020. Le patient peut être transféré en médecine interne le 14.05.2020 pour la suite de la prise en charge. L'état clinique de Mr. Y s'améliore sous antibiothérapie.Une hématurie macroscopique constatée aux soins intensifs est attribuée à la malposition de la sonde urinaire à demeure avec un ballonnet gonflé dans l'urètre, ainsi qu'à une anticoagulation supra-thérapeutique. Des rinçages en continu sont effectués par une sonde urinaire à 3 voies jusqu'au 12.05.2020. En raison de fuites urinaires persistantes autour de la sonde urinaire, l'urologue préconise de laisser la sonde 3 voies en place pour l'instant et de débuter un traitement de Spasmo-Urgénine. La sonde vésicale sera retirée par le Dr. X à sa consultation le 26.05.2020. La fibrillation auriculaire paroxystique instable ayant été cardioversée par un choc électrique aux urgences. Le traitement habituel de Métoprolol est repris le 14.05.2020. La fibrillation auriculaire étant intermittente, l'anticoagulation thérapeutique est poursuivie. Concernant la cardiopathie, nous ne retenons pas d'indication au traitement de Spironolactone en présence d'une FEVG à 45% à la dernière ETT. Nous décidons donc d'arrêter le traitement et d'introduire un traitement diurétique de l'anse pour l'insuffisance cardiaque. Un probable shunt porto-cave de 19 x 15 mm à cheval sur les segments hépatiques II/III découvert fortuitement au scanner pourrait être associé à un carcinome hépato-cellulaire. En absence de sanction thérapeutique et après discussion avec le patient, nous décidons de ne pas pousser les investigations plus loin. Au laboratoire, une carence en acide folique est constatée et une substitution est introduite pour 6 semaines. Un épaississement pariétal du sigmoïde visualisé au scanner est compatible avec une sigmoïdite, probablement de contact en lien avec l'infection urinaire. Aucun traitement spécifique n'a été entrepris et le patient n'a pas présenté de symptomatologie. Mr. Y peut rentrer dans son Home en bon état général le 20.05.2020. Mr. Y est un patient de 77 ans qui nous est adressé depuis l'HFR Fribourg pour la mise en place d'une antalgie ainsi que pour une réadaptation gériatrique suite à un sepsis avec bactériémie à Streptococcus dysgalactiae, probablement d'origine cutanée, le 19.03.2020. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse dans un appartement en rez-de-chaussée à Châtel-St-Denis, ne bénéficie pas de soins à domicile, a une fille et des petits-enfants. Une décompensation cardiaque globale dans le contexte infectieux avait été mise en évidence à son entrée à Fribourg. Un traitement de Lasix avait été mis en place que nous relayons par du Torasémide per os. Concernant la fibrillation auriculaire mise en évidence à Fribourg, nous poursuivons le traitement de Métoprolol. Au vu du contexte diabétique, nous demandons un consilium diabétique dans le but d'obtenir un nouveau protocole de pansement. Nous poursuivons le traitement par Januvia et Diamicron. Concernant les lésions cutanées au niveau des pieds, nous introduisons un traitement par Terbinafine en empirique. Nous réalisons un prélèvement de squames dont les résultats sont encore en cours à la sortie de l'hôpital. Le prélèvement revient finalement négatif. Nous vous proposons donc de traiter l'Eczéma par de la crème à la cortisone de type Elocom. Si cela ne s'améliore pas sous ce traitement, un avis dermatologique est à prendre. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est de 100 mètres avec l'aide du rollator et d'une pause assise. Le patient refuse les escaliers en raison de l'absence d'escalier à son domicile et est autonome pour les transferts. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 91/126 par rapport à 90/126 à son entrée (MIF physio : transferts 5/7, déplacement 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est impossible à tester. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour la rééducation aux activités de la vie quotidienne. Celui-ci profite d'une évaluation de son indépendance, de son autonomie et de sa sécurité dans les activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une obésité stade IV en lien avec une méconnaissance des aliments démontrée par un BMI à 42,1. Le patient bénéficie d'un enseignement sur les sources de sucre ainsi que leur répartition sur la journée, collations. Une brochure Conseils alimentaires pour un meilleur équilibre de votre diabète lui est également donnée. Le 09.04.2020, après discussion entre le Dr. X, nous proposons la poursuite de sa réadaptation sur le site de Billens ; prise en charge que le patient décline en préférant un retour à domicile. Le 10.04.2020, Mr. Y regagne son domicile avec un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est un patient de 82 ans qui nous est adressé pour une réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé du 24.03.2020 au 06.04.2020 en gériatrie aiguë pour la prise en charge d'une hématurie. Mr. Y a également été hospitalisé en réadaptation gériatrique du 19.02.2020 au 23.03.2020 pour une réadaptation suite à un accident vasculaire cérébral dans le territoire M2 gauche et hématurie. Le 23.03.2020, le patient subit une résection transurétrale de 10 cm2 pour tumeur vésicale et TURP par le Dr. X. À son admission en réadaptation gériatrique, à l'examen clinique, nous retrouvons des œdèmes péri-malléolaires légers associés à une hématurie asymptomatique. Le patient présente une macro-hématurie post-opératoire résiduelle d'une tumeur vésicale avec probable composante de thrombopénie et anticoagulation par Xarelto qui a disparu en cours de séjour. Le traitement anticoagulant est repris avec Sintrom et un contrôle de l'INR à 24h et 48h. Nous vous laissons le soin de procéder à un contrôle en ambulatoire. Nous retrouvons une plaie sur le méato-urétral suite à l'arrachage de la sonde vésicale par le patient. Nous commençons le Ialugen jusqu'à cicatrisation. Au bilan biologique, nous notons la présence d'une carence martiale comme en témoigne une ferritine basse pour laquelle nous administrons du Ferinject 1x 1000. Pendant son séjour, nous notons un profil hypotensif, raison pour laquelle le Coversum N est arrêté afin d'avoir un meilleur contrôle de la pression artérielle. Le 15.04.2020, Mr. Y développe une infection urinaire à P. Mirabilis. Nous administrons de la Rocéphine puis Bactrim avec un bon effet. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche à l'aide de cannes anglaises est de 60 mètres avec 3 pauses assises. Le patient refuse les escaliers. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 64/126 par rapport à 79/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 5/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas testé. En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation de son indépendance, de son autonomie et de la sécurité dans les activités de la vie quotidienne. Les repas sont adaptés afin que Mr. Y couvre ses besoins et des conseils d'alimentation lui sont donnés. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 26.02.2020 montrent un MMS à 22/30 et un test de la montre à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élevait à 3/15. Le 21.04.2020, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Finalement, le 01.05.2020, Mr. Y rejoint le Home du Chatelet à Attalens. Mr. Y, 82 ans, a été hospitalisé pour un choc septique à point de départ urinaire, avec bactériémie à Klebsiella pneumoniae. Le patient est institutionnalisé suite à un AVC. Il a présenté un état fébrile avec malaise motivant son admission aux urgences. Il présentait un choc septique avec une fibrillation auriculaire à complexes larges instable qui a été aussitôt cardioversée. Le choc septique est d'origine urinaire avec une bactériémie à Klebsiella pneumoniae. L'antibiothérapie initiale de pipéracilline-tazobactam a été remplacée par de la ceftriaxone à poursuivre pour une durée minimale de 14 jours. L'état hémodynamique s'est stabilisé après expansion volémique et soutien aminergique, sevré le 13.05.2020. Un épaississement pariétal du sigmoïde est compatible avec une sigmoïdite, probablement de contact en lien avec l'infection urinaire. Aucun traitement spécifique n'a été entrepris. Une hématurie macroscopique a été attribuée à la malposition de la sonde urinaire à demeure avec un ballonnet gonflé dans l'urètre, ainsi qu'à une anticoagulation supra-thérapeutique. Des rinçages en continu sont effectués par une sonde urinaire à 3 voies jusqu'au 12.05.2020. En raison de fuites urinaires persistantes autour de la sonde urinaire, l'urologue a préconisé de laisser la sonde 3 voies en place pour l'instant et de débuter un traitement de Spasmo-urgénine. La sonde vésicale devra être changée sous antibiothérapie. La fibrillation auriculaire paroxystique instable ayant été cardioversée par un choc électrique, un rythme sinusal a pu être maintenu sous amiodarone. Le traitement habituel de métoprolol a été repris le 14.05.2020. La fibrillation auriculaire étant intermittente, l'anticoagulation thérapeutique devra être poursuivie. Un probable shunt porto-cave de 19 x 15 mm à cheval sur les segments hépatique II/III pourrait être associé à un carcinome hépato-cellulaire. Nous proposons de doser l'alpha-foetoprotéine. Le patient est substitué en électrolytes et en acide folique. Mr. Y a été transféré le 14.05.2020 en médecine interne. Mr. Y est un patient de 77 ans qui nous est adressé par le service de médecine de l'HFR Fribourg pour une réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé du 20.04.2020 au 08.05.2020 dans un contexte de faiblesse musculaire proximale progressive avec chutes récidivantes. Le séjour avait été compliqué d'une pneumonie nosocomiale, traitée par Ceftriaxone. Au niveau social, Mr. Y vit seul dans un appartement protégé au foyer Monferrini. À son admission en réadaptation gériatrique, nous retrouvons une légère hypoventilation des bases, sans difficulté respiratoire, sans douleur avec une bursite au coude gauche après une chute dans la maison. Sur le plan pulmonaire, nous poursuivons le traitement par Ceftriaxone déjà introduit depuis l'hôpital cantonal pour une durée totale de 7 jours, avec une évolution favorable. Les antigènes urinaires et les hémocultures reviennent négatifs. En raison de la bursite, nous demandons un avis en orthopédie. En l'absence de syndrome inflammatoire avec une CRP négative, un traitement conservateur est décidé. Une substitution en vitamine D et folates est poursuivie au vu des carences déjà mises en évidence lors de son passage par les soins aigües. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est de 360 mètres avec l'aide du tintébin. Le patient peut gravir 18 marches d'escalier avec l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 87/126 par rapport à 81/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 22.4 secondes avec l'aide du tintébin. En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation de son indépendance, de son autonomie et de sa sécurité dans les activités de la vie quotidienne. Mr. Y présente des difficultés à la mobilisation, se déplace sans tintébin, gère correctement les activités du point de vue cognitif, est capable de se relever d'une assise basse pour lui, utilise ses membres supérieurs pour s'aider. Des séances d'ergothérapie en ambulatoire sont prévues. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence et une asthénie, démontrée par un NRS à 3/7 et un BMI à 35. Ses repas sont adaptés afin que Mr. Y couvre ses besoins. Des conseils d'alimentation lui sont donnés. Pour le domicile, nous lui conseillons une alimentation enrichie en énergie et protéines associée à un SNO. Sur le plan cognitif, un bilan neuropsychologique est réalisé le 29.04.2020 concluant à un probable trouble neuro-cognitif majeur d'origine mixte vasculaire et neurodégénérative. Nous suspectons une atteinte lentement progressive chez ce patient, déjà en appartement protégé depuis plusieurs années en raison de difficultés dans ses activités de la vie quotidienne. La reprise de la conduite automobile est actuellement contre-indiquée jusqu'au prochain contrôle de l'OCN qui a lieu en août 2020. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Le 20.05.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 2x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, 1-2x/semaine pour les soins de base ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est un patient de 82 ans connu notamment pour une maladie coronarienne tri-tronculaire, une fibrillation atriale paroxystique anticoagulée, une dysfonction sinusale syncopale avec statut post-pose d'un pacemaker VVI en 1984, avec changement de boîtier et rajout de sonde atriale (Medtronic Adapta DR) en 2011, une probable maladie de Parkinson de forme akinéto-rigide à prédominance droite sous Madopar. Le patient consulte les urgences le 09.05.2020 suite à une perte de connaissance post prandiale, sans prodrome ni autre symptôme associé (pas de symptômes neurologiques, pas de mouvement tonico-clonique, pas de perte d'urines ou de selles) et avec reprise rapide de connaissance, avec une hypotension objectivée par les ambulanciers. Le patient rapporte également l'apparition plus fréquente de vertiges orthostatiques aux levers soudains. Le bilan effectué aux urgences, comprenant un ECG, un bilan biologique et une radiographie du thorax, est rassurant et un avis cardiologique est demandé (Dr. X), parlant en faveur d'une probable syncope d'origine vaso-vagale. Dans ce contexte, le patient est hospitalisé en médecine interne pour surveillance et suite de prise en charge. Le bilan est complété avec un test de Schellong, revenant positif malgré les bas de contention déjà mis en place. Nous vous proposons d'évaluer la nécessité d'adapter les bas de contention du patient. Un contrôle du pacemaker le 11.05.2020 (Dr. X) ne montre pas d'épisodes d'arythmie. Un avis neurologique est également demandé (Dr. X, neurologue traitant du patient) concernant une possible origine dysautonomique dans un contexte de maladie de Parkinson, nous confirmant une possible contribution à l'origine de la syncope et nous conseillant de réduire le Madopar à 125 mg 3x/j. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 20.05.2020. Nous retenons alors une syncope d'étiologie probablement mixte, avec une composante vaso-vagale et de dysautonomie (Parkinson en traitement par Madopar). Dans ce contexte, nous décidons alors de réduire le traitement anti-parkinsonien (Madopar 250 mg 3x/j à Madopar 125 mg 3x/j) et anti-hypertenseur de Lisinopril, sans modifier par contre la thérapie anti-angineuse au vu de la présence d'une cardiopathie non complètement revascularisée et avec de l'angor à l'effort (discuté également avec son cardiologue, traitant, le Dr. X).Avec l'adaptation du traitement, le profil tensionnel de Mr. Y se stabilise avec des valeurs bien contrôlées sur toute la journée du 14.05.2020, sans mise en évidence d'autres épisodes d'hypotension. L'évolution clinique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 15.05.2020, avec l'indication de faire des mesures régulières de la tension artérielle à domicile (au moins 1x/j). Mr. Y est un patient de 70 ans qui est amené aux urgences de l'HFR Fribourg en ambulance suite à une chute avec traumatisme crânio-occipital d'origine peu claire, sans témoin lors de la chute. Mr. Y est retrouvé par son fils au sol, sans notion de perte de connaissance, pas de notion de convulsion, anamnèse circonstancielle jusqu'au matin de ce jour. Pas de douleur rétro-sternale, pas de palpitation. Mr. Y rapporte une dyspnée nouvelle sans plainte uro-abdominale. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse dans un appartement et se déplace en rollator. À son admission chez le médecin de l'HFR Fribourg, un CT cérébral est réalisé, permettant d'exclure tout saignement actif et/ou fracture mais montrant un hématome sous-galéal dans les tissus mous au niveau pariéto-occipital gauche de moyenne taille. L'auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité, l'abdomen est souple et indolore. Sur le plan neurologique, le Glasgow est à 15/15, les nerfs crâniens sont dans la norme, sans aphasie, sans dysarthrie ni ataxie. Le Barré et le Mingazzini tenus, sans déficit sensitivo-moteur. Le patient est orienté dans les quatre modes. Sur le plan ostéo-articulaire, la percussion du rachis sans particularité. Présence d'une plaie occipitale qui est suturée par 3 agrafes et 3 fils de PDS. Un rappel antitétanique est effectué. L'ablation des agrafes et des fils pourra se faire le 27.04.2020. En raison d'une dyspnée en péjoration et de D-dimères à 35200 ng/ml, un CT thoracique est effectué, permettant d'exclure une embolie pulmonaire. L'examen met en évidence un épaississement circonférentiel de la paroi du tiers distal de l'oesophage que nous vous laisserons le soin d'investiguer. À son admission en gériatrie aiguë, Mr. Y nécessite encore de l'oxygène que nous arrivons à sevrer dès le lendemain de son arrivée dans notre service, et ne désature pas après l'arrêt de l'oxygène ni à l'effort. Le bilan vitaminique retrouve une hypovitaminose D pour laquelle nous débutons une substitution per os. Le statut neurologique montre une bonne orientation dans le temps et l'espace, les nerfs crâniens sont dans la norme, la motricité et le tonus sont conservés aux quatre membres, de même que la force et la sensibilité. Un CT cérébral de contrôle est effectué 24 heures après le traumatisme, s'avérant superposable au comparatif du 20.04.2020. Un Holter a été mis en place pour 24 heures. Le résultat de cet examen vous parviendra séparément. Nous demandons un bilan de déglutition qui ne retrouve pas de trouble de la déglutition. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 23.04.2020 au 29.04.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est de 200 mètres avec l'aide du rollator. Les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 95/126 par rapport à 82/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacements 5/7, escaliers 1/7). Le TUG se réalise en 21 secondes. En ergothérapie, une évaluation est faite. Mr. Y à domicile bénéficie d'un sommier électrique avec une barre latérale de redressement. Le patient est capable de mettre ses chaussures de façon autonome avec l'aide du chausse-pied. Les transferts s'effectuent de façon autonome. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel ne révèle aucun problème. Sur le plan cognitif, les tests cognitifs du 24.04.2020 sont rassurants, retrouvant un score de MMS à 29/30 et un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Le patient présente une thymie normale durant tout son séjour. Le 30.04.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 3x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, 3x/semaine pour l'aide à la toilette/douche ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y, 51 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique postopératoire sur traumatisme de la main gauche. Le patient, droitier et en bonne santé habituelle, nous est transféré depuis les urgences de Tavel à l'HFR Fribourg suite à un traumatisme en relation avec la porte de garage qu'il était en train de réparer. La porte lui est tombée sur la main gauche et le pied droit, provoquant les lésions susmentionnées pour lesquelles une indication opératoire en urgence est posée. L'intervention susmentionnée se déroule le 16.05.2020, sans complication. Une antiagrégation par Aspirine cardio est prescrite pour 1 mois étant donné une atteinte vasculaire avec sutures des artères digito-palmaires ulnaire et radiale. Concernant la fracture de l'hallux droit, une prise en charge conservatrice est préconisée, avec marche en charge selon douleurs dans une chaussure à semelle rigide pour 6 semaines. Les suites postopératoires nécessitent une surveillance vasculaire et hémodynamique sans complications aux soins intensifs. Le patient peut être transféré en état général stable à l'étage d'orthopédie le 18.05.2020. Mr. Y est un patient de 80 ans qui consulte les urgences une première fois le 12.05.2020 pour des diarrhées glaireuses depuis le 10.05.2020 accompagnées de douleurs abdominales diffuses intermittentes et un état fébrile à 38.5°. Un bilan infectieux avec radiographie de thorax, frottis Covid-19 et sédiment urinaire ne montre pas de foyer. Un traitement symptomatique est mis en place pour une suspicion de gastro-entérite et le patient est revu en contrôle le 14.05.2020. Mr. Y décrit une régression des symptômes hormis les diarrhées qui sont devenues verdâtres depuis le matin. Le patient est alors hospitalisé dans le service de gériatrie aiguë où un CT abdominal est effectué et montre un discret épaississement de la paroi au niveau du caecum et de l'iléon terminal avec mise en évidence de quelques ganglions en regard. Au vu d'une suspicion de colite infectieuse, une culture de selles est effectuée qui revient positive pour le Campylobacter. Nous mettons donc en place un traitement antibiotique par du Zithromax 500 mg pendant 3 jours avec du Bioflorin jusqu'à normalisation des selles. Le 18.05.2020, au vu de la bonne évolution clinique et biologique ainsi que 48h00 sans diarrhée, Mr. Y regagne son domicile. Mr. Y est un patient de 82 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs thoraciques rétrosternales sans irradiation particulière de quelques minutes, spontanément régressive sans signe d'appel cardiorespiratoire ni de syndrome infectieux associé. Devant les troubles cognitifs et l'isolement social, une hospitalisation est décidée pour une évaluation de son état de santé. À son admission en gériatrie aiguë, Mr. Y tient des propos cohérents, sa vigilance et sa conscience sont normales, sans douleur thoracique, sans dyspnée ou cyanose, sans signe d'insuffisance cardiaque ni respiratoire, sans signe de focalisation, sans déficit moteur ni sensitif, sans trouble de l'oculomotricité. L'abdomen est souple sans défense ni contracture, sans trouble du transit, sans lésion traumatique du scalp.L'angio-CT thoracique ne montre pas d'embolie pulmonaire, cependant nous retrouvons des microcalcifications au niveau du pancréas. Le bilan biologique met en évidence une fonction rénale normale, sans troubles ioniques, une discrète hypomagnésiémie, l'absence de syndrome inflammatoire biologique (CRP à <5 mg/l), des vitamines D2 à 72, acide folique à 3.1. Nous vous laissons le soin de faire une vérification en ambulatoire. La fourchette glycémique est dans la norme. L'ECG permet d'écarter un SCA. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est à volonté, de façon sécuritaire, les transferts s'effectuent seul, les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 105/126 par rapport à 79/126 à son entrée (MIF physio : transferts 7/7, déplacements 7/7, escaliers 7/7). Le TUG se réalise en 14.52 secondes. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 27.04.2020 montrent un MMS à 11/30 et un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Le 28.04.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 1x/jour pour l'administration de son traitement ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est admis aux soins intensifs le 17.05.2020 pour un polytraumatisme (traumatisme cranien, thoracique, abdominal et périphérique) suite à un accident de moto à haute cinétique (120km/h). Selon des témoins, il aurait heurté le véhicule devant lui et aurait roulé sur le béton. Le patient a eu un trauma crânien (casque griffé) et présente une amnésie totale de l'évènement. Aux urgences, il présente des douleurs à la clavicule gauche sans autre plainte. Le CT total Body met en évidence une lacération splénique de grade 2 pour laquelle le patient est surveillé pour une durée totale de 48 heures. Les contrôles de l'hémoglobine restent stables. L'échographie abdominale de contrôle s'avère dans la norme hormis la présence de multiples lithiases vésiculaires. Concernant le traumatisme thoracique, on note des fractures des arcs antérieurs des côtes 2 à 9 à gauche. L'antalgie est bien contrôlée par paracétamol. L'échocardiographie est normale, permettant d'exclure une contusion myocardique. Une fracture multifragmentaire de la clavicule gauche est mise également en évidence. En raison de l'apparition de fourmillements au niveau de la main gauche, une prise en charge chirurgicale est prévue aujourd'hui. La cause de l'accident reste peu claire. À noter une anamnèse négative pour des antécédents épileptiques et dysrythmiques. Un épisode de présyncope à l'âge de 8 ans. Mr. Y a une notion de bradycardie constitutionnelle mise en évidence à l'armée il y a quelques années. Anamnèse familiale négative pour des maladies cardiovasculaires et négative pour mort subite. Mr. Y est un patient de 26 ans qui se présente aux urgences suite à un accident de moto à 120 km/h. Le CT total Body met en évidence une lacération splénique de grade 2, des fractures costales en série sans pneumothorax visualisé et une fracture multifragmentaire de la clavicule gauche. Le patient est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique qui reste sans particularité et peut être transféré à l'étage de Chirurgie le 19.05.2020. Après un CT abdominal de contrôle qui montre une lacération splénique stable, une mobilisation progressive est débutée le 20.05.2020. Concernant la fracture de la clavicule, le patient bénéficie d'une réduction ouverte avec ostéosynthèse le 19.05.2020 qui se déroule sans complication. Après une surveillance hémodynamique jusqu'au 25.05.2020, le patient peut rentrer à domicile le 25.05.2020. Mr. Y, âgé de 62 ans, est hospitalisé pour infection urinaire compliquée dans un contexte de sonde urinaire sus-pubienne à demeure et immunosuppression pour myélite sur sarcoïdose. Le patient consulte en raison d'un état fébrile progressif depuis 24 heures, accompagné de frissons solennels et d'urines troubles. Le bilan d'entrée révèle un syndrome inflammatoire modéré avec leucocyturie, protéinurie et nitrites positives. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée pour traitement d'infection urinaire compliquée. Une culture d'urine identifie la présence de 10^6 germes à Klebsiella pneumoniae, résistante à toute antibiothérapie orale, motivant la poursuite du traitement intra-veineux pour une durée totale de 12 jours. Un changement de sonde urinaire est également réalisé par nos collègues urologues après 48 heures du début de l'antibiothérapie. À savoir qu'une bactériurie à 10^4 germes à Pseudomonas aeruginosa est de même constatée mais considérée comme contaminant au vu de l'amélioration des symptômes sous traitement de Rocéphine. Par ailleurs, ce germe n'est pas retrouvé après une nouvelle hémoculture réalisée après le changement de sonde urinaire. L'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un retour à domicile pour fin de traitement. Mr. Y, connu pour une HTA et une polypose gastrique, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique aigu. Pour rappel, le patient présente une faiblesse aiguë du membre inférieur et supérieur gauche avec un trouble de l'élocution. Aux urgences, les symptômes sont régressifs avec persistance d'une hémiparésie facio-brachio-crurale gauche ataxique et proportionnelle. L'angio-CT cérébrale ne rapporte pas de lésion ischémique ni d'hémorragie, mais une athéromatose modérée diffuse des axes pré-cérébraux. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une dose de charge en Clopidogrel. L'IRM cérébral révèle une lésion ischémique aiguë dans le territoire lenticulo-strié droit et une microangiopathie cérébrale hypertensive. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas de dilatation des oreillettes ainsi qu'une fonction cardiaque normale, mais un FOP modéré (score de RoPE 5 points) lors de la manœuvre de Valsalva, pour lequel la prise en charge sera discutée lors de notre prochain colloque trimestriel et pluridisciplinaire cardiologie-neurologie, mais d'un point de vue neurologique, l'indication à la fermeture n'est pas posée vu l'origine microangiopathique retenue. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un examen neurosonologique retrouve une athéromatose carotido-vertébrale diffuse sans sténose significative. Au vu de la localisation et de la morphologie de la lésion ischémique aiguë à l'IRM et du profil tensionnel élevé à l'entrée, l'origine microangiopathique est retenue. Un bilan d'organe cible est effectué et devra être répété régulièrement. Mr. Y sera convoqué par l'ophtalmologie pour chercher des signes de rétinopathie hypertensive. Sur le plan médicamenteux, une anti-agrégation est introduite par Plavix 75 mg/j et Aspirine Cardio pour 2 semaines avec maintien du Plavix seul au long cours. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée jusqu'au prochain contrôle neuropsychologique pour lequel le patient sera convoqué. La reprise du travail sera également réévaluée à ce moment. Mr. Y présente un épaississement pariétal de l'oesophage. Il est connu pour une polypose gastrique bénigne sur traitement IPP chronique, investiguée en 2014 et 2017. Au vu de la suspicion de HPNCC sur anamnèse familiale positive et l'imagerie en l'absence de symptôme de reflux ni symptôme B, nous vous proposons d'effectuer une OGD afin de clarifier la lésion. Au vu de la suspicion de HPNCC, discuter d'un suivi endoscopique tous les 2 ans.Nous découvrons une lésion pulmonaire aspécifique lobaire supérieur droit. Mr. Y étant asymptomatique avec le status normal chez un patient anciennement tabagique qui n'a pas présenté d'état fébrile récent, il est proposé un contrôle scanographique à 4 semaines suivi d'un avis pneumologique en fonction du résultat. Une crise de goutte au MTP du pied droit est diagnostiquée, le patient rapporte un épisode similaire également après une consommation excessive d'alcool. Nous proposons un dosage de l'acide urique à 2 semaines et d'évaluer un traitement prophylactique. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie rapportant une ptose labiale droite modérée, ainsi que des troubles cognitifs modérés à interpréter avec prudence devant des troubles attentionnels et une labilité émotionnelle nécessitant une réévaluation à distance en neuropsychologie. Mr. Y peut regagner son domicile le 20.05.2020. Mr. Y, patient de 59 ans, a été hospitalisé en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique. Il a présenté une faiblesse du membre supérieur et inférieur gauche avec une parésie faciale à gauche. Le score de NIHSS à son arrivée est à 7 points, avec un hémisyndrome facio-brachio-crural gauche sensitivo-moteur ataxiant, rapidement régressif, sans ischémie ni lésion vasculaire au CT. L'évolution neurologique est favorable avec un NIHSS à la sortie à 1 point. La surveillance hémodynamique ne révèle pas de trouble du rythme. L'IRM, un Holter et une échocardiographie transthoracique sont encore à réaliser. Un traitement par Clopidogrel est débuté en association avec l'Aspirine qui est poursuivi. L'hémoglobine glyquée est dans la norme. Le bilan lipidique est pathologique avec un taux de cholestérol, LDL et triglycérides élevés, motivant l'introduction d'une statine à haute dose d'emblée. Une gastroscopie avec un scanner thoracique est à prévoir pour un épaississement pariétal de l'œsophage découvert dans le scanner du 15.05.2020. Mr. Y est un patient de 18 ans connu pour un épisode de pneumothorax gauche spontané drainé au mois de mars 2020, hospitalisé en chirurgie pour la prise en charge d'une récidive de pneumothorax gauche. Le 14.05.2020, le patient bénéficie d'une résection Wedge apicale par thoracoscopie avec abrasion pleurale réalisée par le Dr. X. Les suites post-opératoires sont simples, motivant un retour à domicile le 18.05.2020. Nous invitons le patient à se présenter à la consultation de son médecin traitant à une semaine de l'hospitalisation, puis à la consultation du Dr. X le 26.06.2020 à 10:30, soit 6 semaines après l'intervention. Mr. Y est transféré dans notre service de chirurgie après un court séjour aux soins intensifs suite à une cholangite aiguë lithiasique. Il y a bénéficié d'une ERCP ayant permis l'extraction de la lithiase associée à une papillotomie. Une bactériémie à E. Faecium est également mise en évidence aux soins intensifs, et nous poursuivons l'antibiothérapie par Vancomycine en intraveineux en continu jusqu'au 01.05.2020. Les hémocultures de contrôle à J1 et J2 post-introduction de Vancomycine reviennent négatives. Durant son séjour en chirurgie, l'évolution clinique et biologique est favorable. Devant le diagnostic, l'indication à une cholécystectomie à distance (6-9 semaines) est posée. Toutefois, Mr. Y est un patient fragile, notamment sur le plan cardiaque avec une FEVG <35%, raison pour laquelle nous demandons un avis cardiologique en vue de cette opération afin d'en discuter ensuite avec sa fille, référente thérapeutique. Ce bilan revient favorable, avec notamment une FEVG meilleure que sur les comparatifs à 40-45%. Nous prenons la décision suite à ce bilan de planifier l'intervention, avec l'accord et le consentement donné par sa fille par téléphone. À noter que Mr. Y présente à plusieurs reprises pendant le séjour des douleurs thoraciques peu typiques et variables, qui se résolvent spontanément en quelques minutes. Les ECG et troponines effectués à plusieurs reprises n'ont jamais mis en évidence d'ischémie cardiaque. Aucun traitement n'est entrepris durant le séjour hospitalier, mais un patch de nitré pourrait se révéler utile si ces douleurs devaient réapparaître. Suite à plusieurs épisodes de fausse route, nous procédons à un épaississement des liquides permettant d'aider la symptomatologie. Devant cette bonne évolution, nous laissons Mr. Y regagner son home le 01.05.2020. Il n'y a pas de relais antibiotique nécessaire. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire après biopsie transthoracique d'une masse pulmonaire. Mr. Y, 57 ans, tabagique actif à 45 UPA, se présente aux urgences en raison d'une asthénie importante en péjoration depuis une semaine, avec dyspnée progressive. Le bilan scannographique retrouve une masse tumorale du lobe supérieur droit, avec infiltration de la veine cave et déviation de la trachée; de multiples adénopathies supra-diaphragmatiques sont retrouvées, avec une lésion au niveau de la surrénale gauche, évoquant une métastase. La biopsie transthoracique confirme un carcinome épidermoïde pulmonaire. À son admission aux soins intensifs, le patient ne rapporte pas de symptômes de compression de la veine cave. Le status clinique est rassurant avec un patient eupnéique à l'air ambiant, afébrile. Après concertation de l'oncologie, de la pneumologie, des chirurgiens thoraciques et des radiologues interventionnels, au vu de l'avancée de la maladie avec infiltration vasculaire, aucune sanction thérapeutique dans l'urgence n'est retenue. La suite de la prise en charge palliative sera à définir au prochain tumorboard, que nous laissons le soin à nos collègues de l'étage de prévoir. Un traitement antibiotique empirique est débuté à son entrée, en raison d'un syndrome inflammatoire et d'une image en verre dépoli au CT scanner d'entrée. Au vu de l'absence clinique en faveur d'une infection, le traitement est stoppé. Des douleurs lancinantes lombaires connues, dans le cadre de son hernie discale opérée en 2019, sont traitées par l'introduction d'oxycodone. Une adaptation antalgique est à prévoir au besoin. Le 16.05, Mr. Y est transféré en unité de médecine interne. Le patient comprend sa situation fragile et avancée de sa maladie oncologique, et accepte bien sa maladie. Nous vous laissons le soin d'introduire un soutien de soins palliatifs complexes à l'étage, selon les besoins du patient. Mr. Y consulte le service des urgences pour des tremblements généralisés depuis quelques heures. À l'anamnèse, il rapporte avoir bu de plus en plus durant le confinement. Le jour de l'admission, il n'a par contre pas consommé. Le diagnostic d'un syndrome de sevrage est posé cliniquement et le patient est hospitalisé. À l'étage, un traitement d'Oxazépam et une substitution en vitamines du groupe B sont introduits avec une bonne réponse clinique. Le patient ne désire pas de suivi psychiatrique à l'hôpital et nous pouvons réduire progressivement les doses d'Oxazépam. En raison de paramètres de la cholestase élevés, une sonographie abdominale est réalisée. Elle ne retrouve pas de signe en faveur d'une cholécystolithiase. Mr. Y peut rentrer à domicile le 27.05.2020 en bon état général. Le traitement d'Oxazépam n'étant pas totalement sevré, nous donnons 2 comprimés au patient et le médecin traitant réévaluera la suite du schéma dégressif lors de la consultation du 28.05.2020. La suite de la prise en charge de sa consommation d'alcool et de son sevrage se fera également par son psychiatre traitant.Mr. Y, 51 ans, connu pour un adénocarcinome canalaire du pancréas métastatique au niveau hépatique avec infiltration du duodénum diagnostiqué en mars 2020, actuellement sous chimiothérapie palliative, nous est adressé par son oncologue traitant, le Dr. X, en raison de la découverte fortuite d'une hypercalcémie asymptomatique le 06.05.2020. A l'arrivée, le patient est hémodynamiquement stable, les paramètres vitaux dans la norme. Il n'a pas de plainte, hormis une légère douleur au niveau épigastrique avec irradiation à l'hypochondre droit en lien avec le diagnostic oncologique du patient. Le laboratoire retrouve une hypercalcémie à 3,04 mmol/l, pour laquelle nous mettons en place une hydratation par voie intraveineuse avec du NaCl 0,9% à 2000 ml/24h, que nous majorons à 2500 ml/24h au vu d'un contrôle de la calcémie à la hausse. De plus, le taux de PTH s'élève à 145 ng/l. Dans ce contexte, nous prenons l'avis endocrinologique du Dr. X qui considère qu'il n'est pas possible à ce moment de savoir s'il s'agit d'un hyperparathyroïdisme primaire ou paranéoplasique sans une valeur du calcium antérieure au diagnostic oncologique, mais la probabilité est plus élevée pour le diagnostic d'hyperparathyroïdisme primaire. Selon son conseil, nous introduisons un traitement par Torasemide et nous arrêtons l'hydratation. Le laboratoire de contrôle du 11.05.2020 retrouve un calcium à 3,05 mmol/l et sur avis du Dr. X nous débutons un traitement par Mimpara 30 mg 1x/j. Le laboratoire de contrôle du 13.05.2020 montre une amélioration du Ca corrigé (2,94 mmol/l). Sur le plan oncologique, nous poursuivons le bilan avec un CT scan le 11.05.2020, montrant des multiples lésions ostéo-sclérosantes, touchant notamment des côtes et les ailes iliaques, de façon prédominante du côté gauche, suspectes pour des métastases osseuses, ainsi qu'un dosage du Ca 19.9 le 12.05.20, revenant à 12.003 U/ml. Le patient sera revu en consultation par le Dr. X le mardi 19.05.2020 pour le suivi oncologique ainsi que pour un contrôle des valeurs de calcémie et par la suite sera convoqué par nos collègues de l'endocrinologie pour la suite des investigations de l'hypercalcémie. Mr. Y regagne son domicile en bon état général le 13.05.2020. Mr. Y présente 2 problèmes. Il présente des omalgies intermittentes à droite d'origine indéterminée. On a remarqué une voussure en regard du muscle deltoïdien qui est assez volumineuse donc l'indication pour une IRM est donnée afin d'investiguer cette masse (IRM le 15.5.2020). En regard du genou, je suspecte une lésion du ménisque interne que l'on va également bilanter par une IRM native (IRM 15.5.2020). Je le reverrai après ces IRM à ma consultation le 20.5.2020 pour discuter des résultats et du traitement. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y, âgé de 67 ans, est hospitalisé pour une infection COVID-19. Il est confiné dans l'unité COVID entre le 13.05 et le 25.05.2020 (date de la levée d'isolement). Le patient est adressé en raison d'un état fébrile, précédé d'une acutisation de troubles de l'équilibre et d'une faiblesse des membres inférieurs progressifs depuis 5 jours. Une difficulté respiratoire est objectivée à domicile avec désaturation à 88% à l'air ambiant. Le bilan d'entrée révèle un très faible syndrome inflammatoire, sans foyer infectieux clairement visible à la radiographie thoracique. Le patient est hospitalisé pour surveillance clinique dans un contexte de suspicion d'infection COVID-19, finalement retenue sur frottis naso-pharyngé positif. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée, interrompue au 3ème jour sur absence d'arguments clinico-biologiques pour une surinfection bactérienne. L'évolution clinique est marquée par une oxygéno-dépendance avec hypoxémie sévère persistante, motivant la réalisation d'un CT thoracique le 22.05.2020, excluant une embolie pulmonaire, ne parlant pas en faveur non plus d'une surinfection bactérienne et retrouve l'image typique du Sars-Cov-2 avec infiltrats bilatéraux en verre dépoli. L'évolution est spontanément résolutive. Nous constatons également une acutisation de troubles de l'équilibre avec chutes mécaniques à répétition. Dans ce contexte avec rhabdomyolyse sévère (à plus de 42000 UI de CK), une hyperhydratation et un suivi rapproché de la fonction rénale sont mis en place, ne montrant pas de perturbation. Une hépatopathie aiguë avec cytolyse est mise en évidence parallèlement, de probable origine mixte sur toxicité médicamenteuse, infectieuse à COVID-19 et en lien avec la rhabdomyolyse. En accord avec les psychiatres, les traitements psychotropes potentiellement hépatotoxiques (entre autres antiépileptiques et le Bupropion - lequel avait par ailleurs déjà été mal toléré engendrant des complications similaires) sont progressivement réduits puis arrêtés, avec introduction d'Aripiprazole en relais. L'évolution biologique se fait vers la régression rapide des paramètres hépatiques. Au vu de l'épisode similaire survenu en 2013, une toxicité hépatique au Bupropion est fortement suspectée. Nous suggérons dans ce contexte de proscrire la réintroduction de ce traitement à l'avenir. Sur le plan psychiatrique, l'évolution montre une thymie stable sans éléments pour une décompensation sous le traitement actuel. Le patient sera revu en consultation par sa psychiatre traitante pour le suivi. Nous vous prions de bien vouloir contrôler le bilan hépatique à distance. Sur le plan cardiologique, une élévation transitoire des troponines, sans cinétique, est considérée comme secondaire à l'infection. Selon l'avis cardiologique, sur absence de modifications électriques significatives et en l'absence de symptomatologie, aucun bilan complémentaire n'est indiqué durant l'hospitalisation. Nous vous prions d'en réévaluer l'indication avec discussion de la réalisation d'une échocardiographie en ambulatoire. Mr. Y rentre donc à domicile à Horizon Sud le 27.05.2020. Mr. Y est hospitalisé pour une pancytopénie chronique d'origine multifactorielle et des investigations concernant des récidives de douleurs abdominales sans trouble du transit ni nausée ou vomissement ainsi qu'un déséquilibre hyperglycémique. Pour rappel, il a été récemment hospitalisé pour une bactériémie suite à une colite avec une thrombose porte d'origine infectieuse traitée par sintrom. Les investigations ne révèlent pas de syndrome inflammatoire, le scanner abdominal montre une diminution de la thrombose veine porte à la confluence spléno-mésaraïque, un foie d'allure cirrhotique avec des signes d'hypertension portale et une stabilité de l'infiltration mésentérique et des multiples ganglions intra-abdominaux. Le bilan angiologique montre une thrombose non-occlusive et un flux rétrograde dans la veine porte, la veine mésentérique supérieure et la veine splénique pouvant expliquer une congestion hépatique et potentiellement les douleurs. Selon l'avis angiologique, un contrôle échographique abdominal est prévu en ambulatoire pour évaluer les modifications. Les douleurs sont gérées par son antalgie habituelle avec une régression spontanée. Au vu de la diminution de la thrombose et de la non-occlusion, nous ne préconisons pas pour l'instant de prise en charge endo-veineuse. Au laboratoire, on met en évidence une glycémie élevée à 20 mmol/l. Un avis diabétologique est demandé et des adaptations des insulines sont réalisées. Un suivi diabétologique est prévu en ambulatoire. Le bilan hématologique met en évidence une carence en fer et un test de Coombs douteux, sans signes flagrants pour une anémie hémolytique. Un avis est pris auprès de la Dr. X, qui ne retient pas pour l'instant d'indication à rechercher une néoplasie hématologique avec une ponction biopsie de moelle. Le tableau est chronique, explicable par la cirrhose, l'hypersplénisme, la carence en fer. Elle recommande surtout un bilan endoscopique étiologique de cette carence. Le patient reçoit une substitution IV de fer. Nous organisons une endoscopie (gastro et colonoscopie) pour la recherche d'une cause de saignement et pour compléter le bilan de l'infiltration de la racine mésentérique qui pour le reste est stable.Au vu de l'amélioration clinique, un retour à domicile est possible le 06.05.20 avec la poursuite des investigations en ambulatoire. Mr. Y, 81 ans, nous est adressé par son ophtalmologue traitant pour douleur thoracique lors d'une consultation ambulatoire. Pour rappel, ce patient a présenté 3 épisodes de douleurs thoraciques depuis une semaine avec irradiation dans le bras G associés à des pics hypertensifs. Il est toutefois asymptomatique à son arrivée. Compte tenu de troponines élevées et un ECG non contributif, nous retenons le diagnostic de NSTEMI. Le patient bénéficie d'une coronarographie mettant en évidence une sténose de la bifurcation du tronc commun. Un stent est mis en place avec succès. Une double antiagrégation est débutée par Aspirine Cardio et Efient pour une durée de 6 mois. L'Aspirine Cardio est à poursuivre à vie. Au vu d'une fonction ventriculaire abaissée à 45 % à la ventriculographie, un contrôle échocardiographique est réalisé à 72 h avec une amélioration rassurante (FEVG à 55 %). Un traitement d'insuffisance cardiaque est débuté par Lisinopril et Metoprolol à doses progressives. Un bilan lipidique pathologique motive l'introduction d'un traitement par statine qui sera à réévaluer dans 4 semaines. Nous proposons à Mr. Y une réhabilitation cardiovasculaire ambulatoire. Ce dernier accepte mais elle n'est malheureusement pas réalisable pour des raisons logistiques chez un patient ne conduisant pas et ne pouvant pas se faire véhiculer. Nous optons alors pour des séances de physiothérapie en ambulatoire. Compte tenu d'une situation globale très satisfaisante et de l'échocardiographie rassurante, Mr. Y rentre à domicile le 18.05.2020 avec consigne de reconsulter à la moindre récidive de douleur thoracique. Mr. Y, patient de 87 ans suivi par Dr. X sur le plan nutritionnel par PEG pour une dysphagie chronique, nous est envoyé depuis son EMS pour un bouchon de son accès de nutrition entérale. Pour rappel, le patient présente depuis 2-3 mois une impaction de la PEG. La gastroscopie a malheureusement dû être repoussée en raison de mauvaises conditions de son état de santé contrindiquant l'anesthésie. Une rallonge jéjunale avait été posée afin de maintenir l'orifice ouvert. Actuellement, cette rallonge s'est bouchée. Après avoir retiré la partie jéjunale, une alimentation par PEG est à nouveau possible. Nous avons pris le soin de ne prescrire uniquement les traitements nécessaires et compatibles avec une alimentation par PEG afin d'éviter une nouvelle obstruction. Une OGD est effectuée le 05.05.2020 et permet de désimpacter la PEG et de la remplacer par un gastrotube. Après avoir effectué un frottis COVID-19 qui est revenu négatif, nous laissons le patient retourner à l'EMS le 05.05.2020 en vous laissant le soin d'administrer les traitements de Mr. Y un par un, accompagnés chacun individuellement de 20 mL d'eau afin d'éviter de boucher la sonde. Mr. Y, 84 ans, est admis aux soins intensifs pour un trouble de l'état de conscience d'origine indéterminée. Le patient, connu pour une épilepsie probablement sur une lésion limbique droite, est retrouvé au sol avec un trouble de l'état de conscience et un GCS fluctuant. A son arrivée aux urgences, le NIHSS est à 3 points. L'hétéroanamnèse laisse suspecter une immobilisation prolongée au sol et des erreurs dans la prise du traitement médicamenteux (traitement pris à double). L'origine de son trouble de l'état de conscience reste indéterminée. Une alcoolisation aiguë est exclue au vu de l'alcoolémie nulle. L'IRM permet d'exclure un AVC ischémique ou hémorragique. Les dosages sériques de Topiramate et Prégabaline ne montrent pas de sous-dosage mais plutôt un surdosage en Prégabaline. Le traitement antiépileptique habituel est arrêté au vu du surdosage et remplacé par un traitement par Dépakine 500 mg 2x/jour sur avis neurologique. Le CT cérébro-cervical montre une athéromatose au départ de l'artère carotide interne gauche. Après avis auprès de nos collègues neurologues, le diagnostic de sténose carotidienne asymptomatique est retenu avec une prise en charge conservatrice par Plavix et statine. De même, un anévrisme sacculaire de l'artère cérébrale antérieure droite est découvert fortuitement, un avis neurochirurgical concernant la suite de prise en charge sera à demander. Au cours de son séjour, le patient déclare une parésie des extenseurs du poignet droit associée à un important œdème de l'avant-bras droit. Nos collègues orthopédistes ne retiennent pas d'argument en faveur d'un syndrome des loges et préconisent la mise en place d'une attelle au poignet. En l'absence d'atteinte des membres inférieurs et de Babinski, une myélopathie semble peu probable. Le diagnostic le plus probable semble être une atteinte du plexus sur l'immobilisation prolongée. En l'absence de régression des symptômes, une IRM cervicale devra être discutée et un ENMG programmé dans 10 jours. Le bilan biologique montre une rhabdomyolyse traitée par hydratation et suivi des pH urinaires, avec évolution biologique favorable. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient est transféré le 29.05.2020 en médecine interne. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé pour un STEMI sub-aigu. En effet, il rapporte trois épisodes de gêne épigastrique lors des efforts ces 3 dernières semaines. Il présente un nouvel épisode de douleurs d'une durée d'environ 20 minutes, associé à un mal-être généralisé sur son vélo motivant une consultation au service des urgences. Une coronarographie met en évidence une maladie bitronculaire avec sténose significative de l'IVA proximale-moyenne et sténose serrée de l'IVA distale, traitée par pose d'un stent actif. La coronarographie se complique par une occlusion de la 1ère diagonale, traitée par fenestration et angioplastie au ballon. Le résultat final est excellent. Les autres lésions au niveau du tronc commun proximal et de la circonflexe seront traitées dans 2 semaines. Nous initions du Lisinopril, Metoprolol et de l'Aspirine et l'Efient pour 12 mois. Une échocardiographie met en évidence une FEVG à 50 % avec une dysfonction diastolique minime. Durant la surveillance rythmique, le patient présente un épisode de tachycardie ventriculaire non soutenue pour laquelle il est chargé en Magnésium. À noter qu'un traitement de statines a été proposé au patient, mais Mr. Y, après explications des risques/bénéfices, refuse le traitement au vu des effets indésirables. Une réhabilitation cardiovasculaire en ambulatoire serait indiquée après la nouvelle coronarographie. Le patient devait bénéficier d'une colonoscopie le 22.05.2020. Mais au vu de la situation, celle-ci doit être annulée et devra être réagendée en ambulatoire. Mr. Y rentre à domicile le 23.05.2020. Mr. Y est un patient de 49 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente le 16.05.2020 pour une colique néphrétique. Une urétérolithiase de 5 mm à gauche est mise en évidence et un traitement conservateur est initié. Le laboratoire du 17.05.2020 montre une insuffisance rénale aiguë AKIN I nouvelle. Mr. Y bénéficie de la mise en place d'une sonde double J à gauche le 17.05.2020. L'évolution post-opératoire est simple et afébrile avec un retour à des valeurs de créatinine normales permettant un retour à domicile le 18.05.2020.Mr. Y est hospitalisé pour une prostatite aiguë à Escherichia coli. • Le patient présente un état fébrile, une dysurie et des douleurs suspubiennes associés à une baisse de l'état général depuis deux jours. • Le statut montre des douleurs à la palpation de la prostate au toucher rectal. • Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire et des urines sales motivant l'introduction d'un traitement antibiotique par Ceftriaxone. • L'urotube montre un Escherichia coli multisensible permettant un passage per os du traitement par Ciprofloxacine pour une durée totale de 21 jours. • L'insuffisance rénale aiguë sur chronique se corrige partiellement lors du séjour. • Un suivi ambulatoire sera à convenir. • Au vu de ceci, son traitement de Metformine est mis en suspens. • Malgré ceci, ses glycémies restent stables lors du séjour. • Nous laissons le soin au médecin-traitant de réintroduire le traitement ou de changer par une autre molécule suivant l'évolution. Mr. Y peut rentrer à domicile le 12.05.2020. Mr. Y est un patient de 78 ans, adressé pour une coronarographie élective dans un contexte de dyspnée d'effort avec calcifications coronaires sur un angio CT dédié. • L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose significative de la bifurcation IVA-première diagonale et une sténose significative de la coronaire droite moyenne et proximale. • La fonction systolique VG est normale à 70%. • L'aortographie démontre une dilatation discrète de l'aorte ascendante. • Le cathétérisme cardiaque G/Dt démontre une hypertension pulmonaire mixte à prédominance capillaire. • Après discussion avec le patient, on procède à une angioplastie de la coronaire droite moyenne et proximale avec deux stents actifs jointifs et très bon résultat final. • La surveillance hémodynamique et rythmique se déroule sans complication. • Le traitement sera poursuivi comme suit : Aspirine 100 mg 1-0-0 pour 1 mois, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois, reprise Sintrom dès le 20.05, statine à vie. • Au vu d'un LDL cholestérol hors cible à 2.12 mmol/l, nous augmentons la Pravastatine à 40 mg. • Le patient sera reconvoqué dans 2 semaines pour traitement de l'IVA. • Nous proposons également un contrôle dans 1 mois chez la cardiologue traitante. Mr. Y regagne son domicile le 20.05.2020. Mr. Y, 67 ans, est hospitalisé pour une syncope d'origine indéterminée le 13.05.2020, probablement d'origine orthostatique sur introduction récente d'un alpha-bloquant. • Il est amené en ambulance pour une syncope avec prodromes vertigineux et traumatisme crânien dans la nuit du 13.05 au 14.05.2020. • Aux urgences, le CT cérébral ne montre pas d'hémorragie intracérébrale ni fracture. • Les troponines ne montrent pas de cinétique ascendante. • L'ECG met en évidence des extra-systoles connues avec bigéminisme. • Sur avis cardiologique, une échocardiographie montre une akinésie de la paroi inféro-basale connue et une fraction d'éjection ventriculaire gauche conservée. • Dans le contexte de bigéminisme, un Holter est réalisé à la recherche de passages en tachycardie ventriculaire, le rapport est en cours. • Le Schellong est négatif. • Nous retenons néanmoins une syncope d'origine probablement orthostatique sur introduction récente d'un alpha-bloquant. • L'Alfuzosine est stoppée. • A l'entrée, des D-dimères élevés et l'apparition d'une légère dyspnée motivent la réalisation d'un CT thoracique qui exclut une embolie pulmonaire. • L'évolution clinique est favorable et Mr. Y rentre à domicile le 18.05.2020. Mr. Y est un patient de 53 ans qui est envoyé aux urgences par son médecin traitant pour un pneumothorax iatrogène suite à une infiltration sous-costale pour des douleurs chroniques le jour même. • Le patient bénéficie d'une pose de drain thoracique le 08.05.2020, qui se déroule sans complication et le patient est hospitalisé en chirurgie. • Face à une évolution favorable avec un drain ne bullant plus dès le 10.05.2020, nous procédons à un retrait du drain le 11.05.2020. • Le patient reste en tout temps afébrile, compensé au niveau hémodynamique et les douleurs sont contrôlées avec une antalgie simple. • Nous laissons Mr. Y regagner son domicile le 12.05.2020. Mr. Y, patient de 71 ans, est hospitalisé pour une pneumonie abcédante. • Pour rappel, il a consulté initialement le service des urgences pour une dyspnée nouvelle au moindre effort avec toux. • Un important syndrome inflammatoire est mis en évidence et les examens radiologiques montrent des condensations ainsi que plusieurs cavernes au niveau des deux lobes supérieurs. • Suite aux avis pneumologique et infectiologique, une pneumonie abcédante est suspectée. • Un frottis Covid-19 est réalisé, qui revient négatif. • Au vu de la localisation des lésions, une tuberculose est initialement recherchée, puis exclue. • Les autres prélèvements microbiologiques sont non contributifs. • Un traitement antibiotique empirique par Co-amoxicilline est instauré pour une durée de 4 semaines. • Le suivi radiologique et biologique est favorable, permettant le passage à une antibiothérapie per os. • Un suivi infectiologique est prévu le 14.05.2020. • Dans le cadre du bilan infectieux, un dosage des anticorps anti-Aspergillaire est effectué. • Le résultat est faiblement positif. • Selon les infectiologues, ceci peut être le signe d'une colonisation mais pas d'une forme d'Aspergillose invasive. • Aucune thérapie anti-fongique n'est à débuter à ce stade. • Un nouveau dosage des anticorps anti-Aspergillaire devra être effectué à 3 mois. • Sur l'imagerie thoracique réalisée à l'entrée, une lésion hypodense au niveau du segment VII hépatique est mise en évidence fortuitement. • L'image parle en premier lieu pour un kyste biliaire. • Un complément d'imagerie par US confirme ce diagnostic. • Durant l'hospitalisation, le patient se plaint de myalgies de longue date, probablement sur son traitement de statine. • Nous proposons d'introduire un traitement de Livazo à la sortie et de réévaluer l'évolution des douleurs et le contrôle des valeurs lipidiques en ambulatoire. • Sur le plan hématologique, une anémie est mise en évidence à l'entrée. • Le bilan révèle une carence en acide folique. • Nous retenons une origine mixte à cette anémie, carentielle et inflammatoire. • Une substitution est instaurée et l'hémoglobine sera à recontrôler à distance de l'événement infectieux. • Sur le plan tensionnel, le traitement antihypertenseur habituel est mis en suspens durant l'hospitalisation en raison d'un profil tensionnel bas. • La reprise de ce dernier sera à réévaluer en ambulatoire selon les valeurs tensionnelles. Mr. Y peut rentrer à domicile le 05.04.2020. Mr. Y présente possiblement un syndrome vertébral sur les épanchements facettaires L4-L5 et en concomitance une lombo-sciatique d'apparition récente à droite depuis la réalisation de l'IRM. • Nous souhaitons réaliser une nouvelle IRM afin d'éclaircir le statut actuel et reverrons le patient dans ce contexte. • Des infiltrations facettaires pourront être envisagées au niveau L4-L5 mais seront à rediscuter en fonction de la sciatique. Mr. Y, 86 ans, se présente le 22.05.2020 pour une tuméfaction scrotale avec écoulement purulent depuis 1 semaine. • Il a bénéficié d'un traitement par Ciprofloxacine pendant 5 jours avec évolution défavorable. • La culture effectuée retrouve un germe résistant à la Ciprofloxacine mais sensible à la Co-Amoxicilline. • Une antibiothérapie intraveineuse est débutée et le patient est hospitalisé. • L'évolution est favorable permettant un retour à domicile le 22.05.2020. • Nous préconisons une poursuite du traitement pour une durée totale de 10 jours.Mr. Y, âgé de 56 ans, est hospitalisé pour pneumonie d'acquisition nosocomiale basale gauche à germe indéterminé. Le patient consulte en raison d'un état fébrile progressif depuis 24 heures accompagné de douleurs dorsales basithoraciques respiro-dépendantes. À savoir que le patient est récemment hospitalisé pour triple pontage aorto-coronarien au CHUV se compliquant par un probable syndrome de Dressler post-opératoire. Le bilan d'entrée révèle un syndrome inflammatoire sévère avec foyer pulmonaire basal gauche. Une antibiothérapie par Pipéracilline-tazobactam est débutée pour traitement de pneumonie bactérienne d'origine nosocomiale. Un frottis naso-pharyngé COVID-19 revient négatif, permettant la levée de l'isolement protecteur. L'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un relais oral de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour une durée totale de 7 jours. Le patient regagne le domicile dans l'attente d'une réadaptation cardio-vasculaire à Meyriez, prévue au 11.05.2020. Mr. Y présente une péjoration de gonalgies gauches sur une gonarthrose fémoro-tibiale interne et des lésions dégénératives du ménisque interne et externe déjà connues. Je propose de rebilanter son genou par une nouvelle IRM le 12.5.2020 pour discuter ensuite du traitement. Le patient souhaite faire un toilettage articulaire. En fonction des résultats de l'IRM, on pourra discuter d'une telle intervention. Je reverrai le patient après l'IRM le 20.5.2020. Mr. Y est un patient de 56 ans hospitalisé en chirurgie pour la gestion de l'antalgie après l'incision d'un abcès péri-anal à la jonction ano-rectale le 10.05.2020. Durant l'hospitalisation, l'évolution est favorable motivant un retour à domicile le 11.05.2020. Mr. Y prendra rendez-vous à la consultation de son médecin traitant à 48 heures pour un contrôle clinique et un contrôle à la consultation de proctologie est prévu le 18.05.2020 pour la suite de la prise en charge. Dans l'intervalle, nous invitons le patient à rincer sa plaie au domicile à raison de 6 douches par jour. Mr. Y nous est transféré des urgences de l'HFR Fribourg suite à plusieurs chutes à domicile dans un contexte de maladie de Parkinson. À l'entrée dans le service, le patient n'avait pas de plaintes. Il ne décrivait pas de dyspnée, ni de douleurs rétrosternales. Il ne rapportait pas d'hallucinations visuelles ni auditives. Le reste de l'anamnèse était sans particularité. Au niveau de l'examen clinique à l'entrée, le patient ne présentait pas d'anomalies des systèmes cardiovasculaire et respiratoire. Neurologiquement, le patient était collaborant et orienté dans le temps et dans l'espace. On observait une bradykinésie et une hypokinésie, une hypomimie et une réduction du clignement des yeux. Les pupilles étaient isocores et isoréactives; les nerfs crâniens grossièrement sans particularité; les réflexes ostéo-tendineux bicipital et rotulien étaient non-évaluables car le patient n'arrivait pas à détendre la musculature des membres. La force des bras est évaluée à 4/5 des deux côtés avec une plus grande faiblesse à droite, la force des jambes à 4/5 des deux côtés. On observait également une hypertonie extra-pyramidale avec une augmentation de la résistance des membres et un signe de la roue dentée. Pas de tremblement de repos, ni de dyskinésie ou de dystonie au moment de l'examen. La sensibilité était préservée et symétrique. Le test de Romberg tenu en flexion antérieure du tronc était négatif, l'épreuve doigt-nez était difficile et la diadococinésie ralentie. Dans le cadre de plusieurs chutes et hallucinations visuelles liées au traitement de la maladie de Parkinson, le Madopar a été réduit et la Quétiapine a été augmentée. Le 06.05.2020 sans effet clinique. Biologiquement, nous avons constaté une anémie sur carence en fer qui a été substituée. Une carence en magnésium et en vitamine D ont également été substituées. L'insuffisance rénale s'est normalisée après réhydratation. Le patient bénéficie d'une réadaptation à la marche avec rolateur. Au niveau de la mobilisation à l'entrée, le patient pouvait faire les transferts sous supervision (FIM 5) et il pouvait marcher avec le rolateur avec une aide de type contact (FIM 4). L'index de Tinetti montrait un risque de chute élevé (16/28). Vu la stabilisation de l'état du patient et la nécessité d'améliorer la mobilisation, nous transférons le patient le 06.05.2020 dans le service de réadaptation gériatrique pour la suite de prise en charge. Mr. Y, 49 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur pneumonie d'aspiration à Enterobacter cloacae. Le patient est connu pour des infections pulmonaires récidivantes, une BPCO stade IIC selon GOLD ainsi qu'une ancienne toxicodépendance à l'héroïne. Il a été hospitalisé en médecine interne le 09.05.2020 en raison d'une dyspnée en péjoration depuis 2 jours, associée à une toux et des douleurs basi-thoraciques. Il présente également des troubles de la déglutition ainsi qu'une anémie probablement d'origine spoliative. Les infiltrats pulmonaires multi-lobaires sont atypiques prédominant à droite, mais le dépistage SARS-CoV-2 et légionelle est négatif. Une antibiothérapie empirique par ceftriaxone et clarithromycine a été instaurée, puis relayée par Cefepime suite à l'identification d'Enterobacter cloacae. L'aggravation de l'insuffisance respiratoire aiguë a nécessité de la ventilation non-invasive en alternance avec de l'oxygénothérapie à haut débit jusqu'au 14.05.2020. Mr. Y reste dépendant de l'oxygène avec une augmentation des besoins lors des efforts, nous vous proposons de poursuivre deux séances de VNI par jour ainsi que la physiothérapie respiratoire. Nous suspectons des broncho-aspirations itératives secondaires à des régurgitations nocturnes dans un contexte d'hernie hiatale, sans trouble de la déglutition. Nous arrêtons les traitements de Trileptal et Imovane, et nous diminuons la Quétiapine nocturne pour diminuer un effet sédatif trop important de ses traitements psychotropes, pouvant majorer le risque de régurgitation. Nous vous proposons de poursuivre les explorations avec notamment une pH-métrie à organiser. Mr. Y présente une anémie hypochrome microcytaire probablement d'origine mixte dans un contexte carentiel. Il bénéficie le 12.05.2020 d'une transfusion, et nous débutons une substitution par acide folique et maltofer dès le 12.05.2020. Le bilan d'anémie sera à compléter avec notamment un bilan gastro-entérologique. Par ailleurs, Mr. Y est dénutri avec une perte de plusieurs kilos sur les derniers mois, avec des adénopathies thoraciques sur le CT du 12.05.2020. Une imagerie thoraco-abdominale sera à organiser à distance de l'épisode infectieux afin d'évaluer l'évolution. Mr. Y est transféré en Médecine le 15.05.2020. Mr. Y, 49 ans, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur pneumonie d'aspiration à Enterobacter complexe cloacae. Le patient est connu pour des infections pulmonaires récidivantes, une BPCO stade IIC selon GOLD ainsi qu'une ancienne toxicodépendance à l'héroïne. Il a été hospitalisé en médecine interne le 09.05.2020 en raison d'une dyspnée en péjoration depuis 2 jours, associée à une toux et des douleurs basi-thoraciques. Il présente également des troubles de la déglutition. Les infiltrats pulmonaires multi-lobaires sont atypiques prédominant à droite, mais le dépistage SARS-CoV-2 et légionelle est négatif. Une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Clarithromycine a été instaurée, puis relayée par Cefepime du 11 au 20.05.2020 suite à l'identification d'Enterobacter complexe cloacae.L'aggravation de l'insuffisance respiratoire aiguë a nécessité une ventilation non invasive en alternance avec de l'oxygénothérapie à haut débit, raison pour laquelle il est admis aux soins intensifs du 12.05 au 15.05.2020. Mr. Y présente une anémie normochrome microcytaire probablement d'origine mixte dans un contexte carentiel. Il bénéficie le 12.05.2020 d'une transfusion, et nous débutons une substitution par acide folique et fer (Maltofer) dès le 12.05.2020. Le bilan d'anémie sera à compléter avec notamment un bilan gastroentérologique, prévu le 26.05.2020. Des bronchoaspirations itératives secondaires à des régurgitations nocturnes sont suspectées, sans trouble de la déglutition. Nous adaptons son traitement psychotrope, mais demandons à son psychiatre traitant d'adapter son traitement. Une antibioprophylaxie n'est pas indiquée. Le traitement bronchodilatateur est adapté après discussion avec son pneumologue traitant. Le patient sera revu en consultation de pneumologie pour la suite de la prise en charge. Une hernie hiatale a aussi été mise en évidence et un bilan gastroentérologique est à prévoir dès que le patient est stable au niveau respiratoire. Par ailleurs, Mr. Y est dénutri avec une perte de plusieurs kilos sur les derniers mois, avec des adénopathies thoraciques sur le CT du 09.05.2020. Une imagerie thoraco-abdominale sera à organiser à distance de l'épisode infectieux afin d'évaluer l'évolution. Au vu de sa bonne évolution clinique et de la fin de l'antibiothérapie intraveineuse, Mr. Y peut regagner son domicile le 21.05.2020. Mr. Y est un patient de 94 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs articulaires au niveau du poignet droit, du coude droit et du genou droit. Sur le plan social, Mr. Y vit seul dans un appartement à Bulle, en rez. A son admission aux urgences, le genou, le coude et le poignet droits sont tuméfiés, chauds et les articulations présentent une raideur. Nous réalisons des radiographies de ces mêmes articulations, ne montrant pas de fracture ni d'épanchement intra-articulaire. Les orthopédistes réalisent deux ponctions articulaires, une au niveau du coude et une autre au genou droit, revenant toutes deux sèches. Le laboratoire réalisé révèle un acide urique augmenté à 521 umol/L et un syndrome inflammatoire avec une CRP à 170 mg/l, une leucocytose neutrophilique à 16.7 G/L. Nous retenons le diagnostic d'arthrite microcristalline probablement goutteuse des trois articulations, pour lequel un traitement de Prednison en schéma dégressif est mis en place ainsi qu'un traitement d'Adénuric. Des hémocultures sont également réalisées, revenant négatives. Mr. Y présente également une fibrillation auriculaire avec une réponse ventriculaire rapide le 19.04.2020 que nous traitons par Trandate 5 mg en intraveineux à trois reprises et Diltiazem 10 mg en intraveineux. Dans le contexte de fibrillation auriculaire rapide, ainsi que de prise de corticoïdes, nous mettons en évidence une décompensation cardiaque droite raison pour laquelle nous augmentons le traitement habituel de Torasémide. Il est à noter une notion de chutes à répétition à domicile. Nous observons également une chute en intra-hospitalier le 20.04.2020 avec traumatisme crânien simple. La surveillance neurologique revient sans particularité. Un test de Shellong est effectué le 21.04.2020 et revient négatif. Le bilan biologique montre une hypokaliémie, une hypofolatémie et une hypovitaminose D que nous substitutions per os. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réhabilitation gériatrique aiguë du 21.04.2020 au 28.04.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche est de 280 mètres sans moyen auxiliaire. Le patient peut gravir 18 marches d'escaliers avec l'aide de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 98/126 par rapport à 65/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 7/7, escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 15 secondes sans moyen auxiliaire. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge de la rééducation aux activités de la vie quotidienne ainsi que d'une évaluation de son indépendance, de son autonomie et de sa sécurité dans les activités de la vie quotidienne. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel ne met pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique, démontrée par un NRS à 1/7. Les repas sont adaptés afin que Mr. Y couvre ses besoins. Des conseils d'alimentation lui sont donnés. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 22.04.2020 montrent un MMS à 24/30 et un test de la montre à 7/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Après discussion avec l'équipe soignante, nous apprenons que le patient continue de conduire. Nous vous proposons de réévaluer sa capacité à conduire. Le 29.04.2020, Mr. Y regagne son domicile avec des séances de physiothérapie en ambulatoire et un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y est un patient de 55 ans hospitalisé électivement le 07.05.2020 pour la prise en charge de deux nodules de carcinome hépatocellulaire par thermoablation. Pour rappel, le patient a été diagnostiqué d'un CHC en février 2020, avec une IRM abdominale mettant en évidence des lésions compatibles avec un CHC. Après discussion au tumorboard du 12.02.2020, il est proposé d'effectuer une thermoablation des deux nodules de CHC du segment III. Le patient est hospitalisé en médecine interne en vue de cette intervention. Le 07.05.2020, le patient bénéficie de la thermoablation avec un résultat satisfaisant. Par la suite, le patient présente plusieurs états fébriles, associés à une péjoration des douleurs abdominales, motivant la réalisation d'un scanner abdominal ne mettant pas en évidence d'élément en faveur d'une atteinte infectieuse ou hémorragique. Une antibiothérapie prophylactique par Ceftriaxone est introduite dès le 07.05.2020 et maintenue de manière empirique jusqu'au 11.05.2020 soit pour une durée totale de 5 jours en raison des épisodes fébriles récidivants. Les hémocultures réalisées lors des pics fébriles demeurent stériles. Durant le séjour, les douleurs sont bien contrôlées avec un traitement par Oxycontin que nous vous proposons de réévaluer en ambulatoire. Le contrôle des tests hépatiques montre une évolution favorable dès le 09.05.2020 avec également un syndrome inflammatoire à la baisse. A la sortie, la cicatrice abdominale est calme. Durant son hospitalisation, nous constatons un profil tensionnel élevé pouvant en partie être expliqué par les douleurs. Néanmoins, nous vous proposons un suivi tensionnel en ambulatoire. Au vu d'une bonne évolution sur le plan clinique et biologique, Mr. Y quitte notre service le 13.05.2020, date de son retour à domicile. Le patient sera revu pour plusieurs contrôles oncologiques lors du mois de juin 2020. Mr. Y, patient de 74 ans, notamment connu pour une artériopathie périphérique, une cardiopathie ischémique, une insuffisance rénale chronique stade 3, une BPCO non stadée, une hépatopathie alcoolique sur consommation à risque d'alcool, consulte les urgences le 25.04.2020 en raison de douleurs abdominales d'apparition soudaine au niveau du flanc droit le 24.04.2020, sans autre symptôme accompagnant. Le bilan effectué aux urgences montre un syndrome inflammatoire avec CRP élevée et leucocytose, ainsi qu'une acutisation de son insuffisance rénale. Un CT scan abdominal est effectué, ne montrant pas de pistes infectieuses abdominales mais mettant en évidence une condensation lobaire inférieure droite, évoquant un foyer pulmonaire. Une radiographie de thorax met en évidence un infiltrat interstitiel bilatéral diffus, avec des épaississements bronchiques, prédominant du côté droit et à la base, pouvant correspondre à une atteinte infectieuse.En l'absence de symptomatologie pulmonaire mais n'ayant pas d'autres foyers à l'origine du syndrome inflammatoire de Mr. Y, un traitement par Rocephin et Klacid est débuté et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Les antigènes urinaires pour Legionella pneumophila et pour Pneumocoques reviennent négatifs et l'antibiothérapie par Klacid est stoppée le 27.04.2020. Un CT scan thoracique est effectué le 27.04.2020, confirmant la présence d'un foyer sous-pleural au niveau du segment apical et postéro-basal du lobe inférieur droit, sans autres lésions mises en évidence. Le syndrome inflammatoire ainsi que les douleurs abdominales de Mr. Y sont résolutives au cours de son séjour qui permet l'arrêt de l'antibiothérapie après 7 jours. Au vu du doute diagnostique et d'un aspect inhabituel de la condensation pulmonaire, nous vous proposons de réaliser une imagerie de contrôle à distance de l'infection afin d'évaluer l'évolution de cette condensation. Sur le plan hématologique, nous retrouvons un TP diminué ainsi qu'un PTT augmenté. Un dosage du facteur V est effectué, se montrant anormal à 42%, avec également un PTT avec test de mélange perturbé. Sur avis de nos collègues hématologues, nous mettons en suspend le traitement de Xarelto de Mr. Y, le substituons avec du Konakion 10 mg iv pour 5 jours et nous effectuons la recherche d'anticoagulant lupique, dont une copie vous est annexée. Le traitement par Xarelto est définitivement arrêté face à l'absence d'indication. Nous débutons un traitement par Plavix selon recommandation du Dr. X, qui suit Mr. Y depuis 2018. Sur le plan rénal, nous mettons en évidence une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale, raison pour laquelle le traitement néphrotoxique est mis en suspens, avec une évolution favorable de la valeur de la créatinine sérique. Cependant, la valeur étant toujours élevée, nous vous laissons le soin de contrôler la fonction rénale à distance. Concernant les traitements mis en suspend, ils n'ont pas été repris au vu du profil tensionnel de Mr. Y. Nous vous proposons de suivre l'évolution du profil tensionnel de Mr. Y et d'évaluer la nécessité de la reprise de son traitement. De plus, le bilan sanguin du 04.05.2020 retrouve une hypokaliémie à 3,4 mmol/l, que nous substituons. Nous vous proposons de suivre la kaliémie de Mr. Y lors de votre prochain suivi. Pendant l'hospitalisation, le 28.04.2020, Mr. Y chute avec un traumatisme crânien simple. Un scanner cérébral natif est réalisé, permettant d'exclure un saignement. Vu l'évolution clinique et biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 08.05.2020, tout en ayant un suivi à votre consultation dans les 2 prochaines semaines. Mr. Y, âgé de 88 ans, connu notamment pour un syndrome d'apnées du sommeil sévère appareillé, ainsi qu'une hyper-réactivité bronchique traitée et suivie (Dr. X), est hospitalisé le 27.04.2020 pour une probable pneumonie du lobe inférieur droit. Mr. Y présente depuis 10 jours une asthénie, suivie d'une rhinorrhée et dyspnée d'effort depuis 3 jours, avec état fébrile et frissons solennels, motivant sa consultation aux urgences. Le bilan d'entrée retrouve un faible syndrome inflammatoire avec une lymphopénie, avec absence de franc foyer infectieux à la radiographie thoracique. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance et traitement. Au vu de la clinique respiratoire, une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine est débutée, la Clarithromycine étant interrompue sur négativisation des antigènes urinaires. Un frottis COVID-19 revient négatif, motivant la réalisation d'un scanner thoracique natif, d'aspect atypique ou rarement rapporté dans les cas de pneumonie à COVID-19, motivant la levée de l'isolement protecteur. Ce dernier retrouve cependant des bronchectasies lobaires supérieure et inférieure droite, avec troubles rétractiles et plages en verre dépoli, notamment en inférieur droit, d'aspect chronique, mais ne pouvant cependant pas formellement exclure un foyer infectieux sous-jacent. Nous vous laissons le soin de rediscuter la possibilité de refaire un deuxième CT thoracique évolutif à distance de 2 mois. D'un point de vue urinaire, Mr. Y se plaint d'une dysurie lors de son hospitalisation. Un sédiment urinaire revient négatif et un globe urinaire peut être exclu. À savoir que la symptomatologie a perduré seulement pour 24 h. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y peut retourner à domicile le 07.05.2020. Mr. Y, connu pour une cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique, est hospitalisé dans le contexte de lombalgies non déficitaires sur tassement vertébral. Mr. Y se présente au service des urgences en raison d'une péjoration de lombalgies sans symptôme neurologique présente depuis 8 semaines qui ne sont plus soulagées par l'antalgie en place. Au service des urgences, la radiographie de la colonne lombaire montre des tassements de D11 et L1. Mr. Y est hospitalisé pour une gestion de l'antalgie et la suite des investigations. Le traitement antalgique est adapté avec l'introduction d'Oxycontin et Oxynorm qui ont un bon effet sur les douleurs. Un CT de la colonne totale montre une ostéopénie importante avec de multiples fractures des corps vertébraux de la colonne dorsale et lombaire d'allure plutôt chronique. Les neurochirurgiens ne retiennent pas d'indication chirurgicale et recommandent un traitement conservateur. Le contrôle radiologique à 2 semaines est rassurant. Au niveau biologique, une hypovitaminose D sévère est mise en évidence que nous supplémentons ainsi qu'une hypophosphatémie. Au vu d'une anamnèse familiale et d'une clinique compatibles pour une ostéogenèse imparfaite, nous adressons Mr. Y au service de rhumatologie pour la suite du bilan et l'organisation d'une densitométrie. Durant son séjour, Mr. Y présente des rectorragies nouvelles. Mr. Y reste hémodynamiquement stable mais nécessite une transfusion d'un concentré érythrocytaire durant le séjour. Les gastro-entérologues décident d'avancer la coloscopie prévue le 19.05.2020 et complètent le bilan avec une OGD. Celle-ci retrouve une angiodysplasie qui est coagulée ainsi que des ulcérations rectales mises sur le compte d'un prolapsus interne au vu de biopsies sans cellules suspectes ni inflammation significative. Compte tenu des saignements, nous mettons le traitement anticoagulant en suspens avec accord de nos collègues cardiologues. Une consultation cardiologique est déjà prévue, ce qui permettra de réévaluer la réintroduction du Sintrom à distance de l'épisode hémorragique, chez Mr. Y connu pour un flutter atypique et une valvulopathie de la valve mitrale. Une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale est décelée et mise sur le compte d'un bas débit sur des hypotensions asymptomatiques. La fonction rénale s'améliore avec l'adaptation des traitements cardiaques, notamment la diminution de l'Entresto et la mise en suspens de l'Aldactone en raison d'une hyperkaliémie. Nous vous laissons le soin de réévaluer ces traitements selon l'évolution clinico-biologique. En raison de la présence d'une anémie, de fractures osseuses et d'une insuffisance rénale, nous faisons une électrophorèse des protéines qui révèle une monoclonalité IgG lambda sans pic franc des gammaglobulines avec un rapport normal. Sur avis hématologique, il s'agit d'un MGUS, les signes CRAB actuels étant incomplets ou explicables par d'autres pathologies, et nécessitant initialement un suivi à 3 mois puis tous les 6 mois. En cas d'apparition d'un franc pic monoclonal et d'une perturbation biologique marquée, Mr. Y pourrait être adressé pour une consultation spécialisée.Durant son hospitalisation, le patient présente une décompensation de son diabète qui nécessite une adaptation de son schéma temporairement. Nous proposons un contrôle diabétologique à 1 mois pour réévaluation du traitement. Mr. Y rentre à domicile le 26.05.2020. Mr. Y présente une évolution satisfaisante au niveau de sa PTH G. Nous lui prescrivons encore un bon de physiothérapie afin d'améliorer le renforcement au niveau des abducteurs de la hanche et du quadriceps. Nous allons encore faire ce jour un orthoradiogramme afin de voir l'inégalité de longueurs des jambes et de pouvoir adapter des nouvelles semelles orthopédiques. Nous enverrons le CD directement au patient afin qu'il puisse prendre contact avec son technicien orthopédiste et y emmener ce CD. Nous reverrons Mr. Y à 1 an de l'opération le 16.02.2021. Nous lui prescrivons également encore des semelles orthopédiques. Mr. Y, 21 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique d'un pneumatocèle traumatique. Le patient, en bonne santé habituelle, chute à vélo (E-Bike) non casqué et heurte un poteau en pierre avec réception sur le thorax. Il n'a pas de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. Il décrit des douleurs thoraciques au milieu du thorax péjorées à l'inspiration, une dyspnée et des crachats hémoptoïques depuis. Le status clinique à son admission est rassurant. Un pneumatocèle traumatique avec une hémorragie alvéolaire du poumon droit est mis en évidence, avec pneumothorax postérieur basal droit et médiastinal antérieur, sans indication à une pose de drain. Une antalgie de 3e palier est instaurée et la surveillance hémodynamique est effectuée aux soins intensifs, sans complications. La radiographie de contrôle ne retrouve pas de signe de complications. Le 28.05.2020, Mr. Y est transféré en unité de chirurgie. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un sepsis d'origine urinaire compliqué d'un NSTEMI et d'un délirium dont l'évolution est favorable. Le patient est amené aux urgences suite à une chute traumatique survenant dans un contexte peu clair. Le scanner cérébral permet d'exclure toute complication hémorragique et une embolie pulmonaire est exclue par un angio scanner thoracique. En raison du contexte septique, un scanner abdominal est réalisé révélant une progression de la dilatation pyélocalicielle et urétérale proximale par rapport au comparatif de 2015. Le diagnostic d'urosepsis est retenu et une antibiothérapie par Rocéphine est débutée. Les prélèvements bactériologiques révèlent une bactériémie à Aerococcus urinae, raison pour laquelle l'antibiothérapie initiale est relayée par la Ciproxine sur avis de la Dr. X. La durée du traitement est à rediscuter d'autant plus que le changement de la sonde double J est planifié dans 3 mois (contexte de double anti-agrégation plaquettaire). De façon concomitante, on note l'apparition d'un bloc de branche gauche nouveau à l'ECG avec des enzymes cardiaques positives et avec une cinétique ascendante. Le bilan cardiaque (échocardiographie et coronarographie) objective une maladie coronarienne tritronculaire avec une occlusion chronique de la coronaire droite moyenne (instent), une occlusion chronique de la circonflexe moyenne et une occlusion de date indéterminée de la première diagonale de petit calibre. La fonction systolique VG est modérément altérée avec une hypokinésie sévère diaphragmatique. Durant la procédure, une recanalisation antérograde de la circonflexe moyenne avec pose d'un stent actif et fenestration vers la première marginale est réalisée. Par ailleurs, la tentative de revascularisation de la coronaire droite moyenne se solde d'un échec. Une double anti-agrégation par Aspirine et Clopidogrel est débutée. Une coronarographie est prévue à distance afin de tenter une recanalisation de l'artère coronaire droite. Le timing est à reclarifier avec les cardiologues tout en considérant la nécessité de la chirurgie urinaire dans 3 mois. Au cours du séjour, le patient présente un délirium hyperactif dans le contexte du sepsis. L'évolution est favorable sous Quétiapine et Distraneurin. Mr. Y est connu pour un SAOS appareillé. Durant son séjour aux soins intensifs, il n'a pas présenté de désaturation importante. Sa famille est sensée lui ramener sa machine personnelle. En raison de signes de surcharge, un traitement diurétique est débuté. Mr. Y est un patient de 74 ans qui se présente à la permanence médicale de l'HFR Fribourg à votre demande pour une évaluation suite à des douleurs invalidantes à la mobilisation de la jambe droite (douleur 8/10) avec diminution de la force dans la même jambe. Sur le plan social, Mr. Y habite seul dans un appartement au 4ème étage, est autonome et bénéficie du soutien de sa sœur pour le quotidien. À son admission en gériatrie aiguë, l'examen clinique d'entrée montre une diminution de la force de la jambe droite M3/M5, sans possibilité de lever contre la gravité ; jambe gauche M4/M5 avec sensibilité normale. Pas d'altération sensitive. Les réflexes ostéo-tendineux sont normaux. Présence également d'un tremor type Parkinson. Mr. Y se plaint principalement d'une douleur neuropathique au niveau de la région externe de la jambe droite, avec une sensation de choc/décharge électrique non constante, plus accentuée le matin. Une IRM lombaire effectuée le 04.05.2020 reste superposable par rapport à l'IRM de février, sans nouvelle altération. Nous prenons, par la suite, contact avec le Dr. X (neurochirurgien qui suit le patient), qui n'envisage pas de nouvelle opération de la colonne lombaire et propose un traitement conservateur par un contrôle antalgique associé à de la physiothérapie. Un traitement par Azilect, que le patient suit pour une maladie de Parkinson, présente un risque très élevé à cause des interactions médicamenteuses indésirables avec la plupart des médicaments morphiniques ou opioïdes/opiacés. D'ailleurs, en raison des problèmes cardiaques et de l'âge du patient, les anti-inflammatoires non stéroïdiens ne sont pas recommandés ; nous sommes donc limités quant aux choix de l'antalgie, ce qui rend son contrôle difficile. Suite à une révision de la littérature concernant les molécules antalgiques compatibles avec l'Azilect, nous décidons de poursuivre un traitement par Fentanyl. Ce dernier est administré sous forme de patch à 50 mg et nous permet un bon effet antalgique avec aussi une amélioration de la sécurité pendant sa mobilisation. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réhabilitation gériatrique aiguë du 06.05.2020 au 12.05.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le patient se déplace sans moyen auxiliaire ou avec l'aide d'une canne, peut gravir 4 marches d'escalier avec l'aide d'une canne. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 102/126 par rapport à 96/126 à son entrée (MIF physio : transferts 5/7, déplacement 5/7, escaliers 4/7). Le TUG se réalise en 20,10 secondes. En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation de son indépendance, de son autonomie et de sa sécurité dans les activités de la vie quotidienne. Mr. Y est indépendant pour les soins d'hygiène et utilise, le cas échéant, les moyens auxiliaires pour faciliter ses activités et lui éviter les douleurs.Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique en lien avec une inappétence démontrée par un NRS à 3/7 et un BMI à 29.6 kg/m2. Les repas sont adaptés afin que Mr. Y couvre ses besoins. Des conseils d'alimentation lui sont donnés. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 06.05.2020 montrent un MMS à 29/30 et un test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Le 14.05.2020, Mr. Y regagne son domicile avec un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y, 74 ans, est hospitalisé pour chute à domicile. Le patient est connu pour une cardiopathie ischémique et une maladie de Parkinson. Il présente une chute d'origine indéterminée et sans témoin à domicile avec trauma crânien. Les ambulanciers constatent une hyperthermie à 40.0 à leur arrivée et une désaturation à 90%. Le bilan met en évidence une sepsis urinaire à Aerococcus urinae avec défaillance multi-organique motivant un séjour transitoire aux soins intensifs. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine est adaptée selon cultures par Ciproxine avec évolution favorable. Les germes (s. hominis et epidermis) sont considérés comme des contaminants. La sonde double J n'a pas été changée en raison de la double anti-agrégation. Une opération est prévue au plus tôt 3 mois après coronarographie avec une pause des anti-agrégants. L'antibiothérapie est à poursuivre pour une durée totale de 14 jours et sera à réintroduire 24h avant le changement de la sonde et poursuivie 3 jours après le geste. Par ailleurs, un NSTEMI de type II motive une coronarographie en urgence mettant en évidence une occlusion chronique de la coronaire droite moyenne et de la circonflexe moyenne, ainsi qu'une occlusion de date indéterminée de la première diagonale. Une angioplastie avec pose de stent actif est effectuée au niveau de la circonflexe et une fenestration vers la première marginale avec très bon résultat final. La recanalisation de la coronaire droite s'est soldée par un échec. Une double anti-agrégation par Aspirine à vie et Clopidogrel pour 6 mois est débutée. L'Atorvastatine est poursuivie. Une seconde coronarographie aura lieu après le changement de la sonde double J en ambulatoire. Des perturbations des tests hépatiques sont spontanément résolutives et attribuées à l'état septique. Le patient présente aux soins intensifs un delirium hyperactif, probablement dans le contexte du sepsis. Un traitement par Midazolam iv est nécessaire avec un relais par Quétiapine et Distraneurin avec bonne réponse. Lors d'une chute dans ce contexte, le patient a eu un traumatisme crânien avec amnésie totale. Le CT cérébral natif ne met pas d'hémorragie en évidence. À noter un épisode de dyskinésie involontaire de la tête et du membre supérieur lors du séjour chez un patient déjà connu pour avoir présenté des hallucinations sous Madopar. Nous suspectons une interaction de la Ciproxine et de l'IMAO du matin. Une diminution de la dose de Madopar du matin permet de diminuer les dyskinésies avec succès. Le traitement sera à réévaluer dès la fin de l'antibiothérapie. Mr. Y est transféré à l'HFR Tavel en gériatrie aiguë pour suite de prise en charge. Mr. Y est retransféré de l'Inselspital à Bern pour suite de prise en charge post-choc hémorragique dans le contexte d'un saignement actif d'une fistule broncho-aortique avec obstruction des voies aériennes hautes. Le patient est connu pour un carcinome du tiers proximal de l'œsophage avec fistules broncho-œsophagienne post-actinique (plusieurs dilatations, stenting et opérations). Il est transféré de Fribourg à Berne le 28.04.2020 suite à une hémoptysie massive et choc hémorragique dans le contexte d'une fistule trachéo-aortique confirmée au CT scan. Après transfusion massive, une TEVAR peut être mise en place le 28.04. La bronchoscopie postopératoire exclut un saignement actif. Une sténose trachéale est visible dans le contexte d'un stent œsophagien protrudant au niveau de la bronche souche droite. Le patient présente un stridor post-extubation dans le contexte de cette sténose. Après discussion multidisciplinaire par les équipes à Bern, aucune option thérapeutique supplémentaire n'est retenue. Le patient est transféré à Fribourg pour la suite de la prise en charge. À son admission, le patient présente une détresse respiratoire avec stridor motivant l'introduction d'une sédation. Après discussion avec la famille et au vu de l'impasse thérapeutique actuelle, un traitement purement palliatif est décidé. Le patient décède le 01.05.2020. Mr. Y, 22 ans, en bonne santé habituelle, connu uniquement pour un urticaire récidivant depuis 2018 (environ 20 épisodes), présente depuis la dernière semaine une toux avec expectoration claires depuis 4 jours. Il décrit également des DRS et dorsalgies en lien avec les efforts de toux, et une dyspnée lors des quintes et à l'effort. Pas d'état fébrile mesuré, mais sensation de chaud-froid fluctuants sur la semaine. Pas de notion de contage mais habite dans un foyer pour requérants. Le jour de l'hospitalisation, il est retrouvé très dyspnéique au repos avec désaturation à 80% AA, tachypnée à 44/min et tachycardie à 105/min, sans trouble de l'état de conscience. La prise en charge initiale au service des urgences met en évidence une crise d'asthme sévère, avec rapide amélioration clinique et sevrage de l'oxygène après bronchodilatation par aérosols inhalés. Un frottis nasopharyngé à la recherche du Covid-19 est réalisé et le patient est placé en isolement contact et gouttelettes à l'étage de médecine interne. Durant son séjour, un traitement bronchodilatateur inhalé par Ventolin et Atrovent est adapté aux dates sus-nommées. Un traitement de Prednisone est administré et du Symbicort est introduit dès le 28.05.2020. De la physiothérapie respiratoire est réalisée avec enseignement thérapeutique. Sur le plan infectiologique, un frottis nasopharyngé à la recherche du Covid-19 revient négatif à l'étage, permettant de lever l'isolement le 28.05.2020. Nous réalisons également un bilan parasitaire à la recherche d'une éventuelle parasitose à cycle pulmonaire. Les suites sont favorables et Mr. Y peut rentrer à son logement le 29.05.2020. Mr. Y, patient de 43 ans, est hospitalisé pour le traitement d'un lymphome de Burkitt, EBV positif, diagnostiqué le 21.01.2020 sur une biopsie testiculaire droite. Le patient a été hospitalisé du 03.04 au 10.04.2020 pour le traitement de Méthotrexate du second cycle de chimiothérapie selon protocole R-CODOX-M, qui s'est déroulé sans complication majeure. Il est réhospitalisé le 20.04.2020 pour un nouveau cycle de chimiothérapie selon protocole R-IVAC, comprenant un traitement intrathécal. La chimiothérapie est bien tolérée, avec notamment l'absence de syndrome de lyse. Le traitement est marqué par une brève période d'agranulocytose du 30.04 au 03.05.2020. L'évolution se complique par un état fébrile à J4 d'agranulocytose sur une mucite orale, pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie par Céfépime. Conjointement, un traitement de Mycostatin est initié pendant 10 jours. Les hémocultures restent stériles à 72 heures, sans récidive de fièvre, permettant un relais oral par Lévofloxacine (vu la notion d'allergie à la pénicilline) pour une durée totale de 7 jours. Mr. Y rentre à domicile le 06.05.2020. Un PET-CT est prévu en ambulatoire, avec l'annonce des résultats et un contrôle oncologique auprès de Dr. X le 20.05.2020.Mr. Y présente une probable irritation du ramus infra-patellaris du nerf saphène en regard du trajet du portail arthroscopique antéro-interne. Je propose d'effectuer une infiltration loco dolenti par cortisone. Cette infiltration sera en même temps une infiltration test avec un anesthésiant local. Ensuite, le patient ira faire de l'ergothérapie à but de désensibilisation de la branche infra-patellaire du nerf saphène. J'introduis également un traitement par Lyrica sous forme de 3 cp à 50 mg comme dose initiale que l'on pourra, en cas de besoin, ensuite augmenter le dosage. L'infiltration sera faite le 20.5.2020. L'arrêt de travail doit être prolongé à 100%. Mr. Y est un patient de 44 ans qui est hospitalisé pour prise en charge d'une récidive de son carcinome papillaire de la thyroïde, déjà opéré en 2018, dont la surveillance avait mis en évidence une récidive ganglionnaire. Les suites postopératoires sont simples tant sur le plan clinique que paraclinique et permettent un retour à domicile du patient le 08.05.2020. Le cas du patient sera discuté au colloque multidisciplinaire du 13.05.2020 et il sera revu à notre consultation en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 21 ans connu pour consommation occasionnelle de cocaïne, dernière consommation le jour de la consultation, qui est emmené aux urgences par ambulance suite à une chute dans l'escalier d'environ 12 marches, avec traumatisme crânien et perte de connaissance d'une durée indéterminée. Il présente un épisode de vomissements sur place objectivé par les ambulanciers. Il présente à l'entrée des céphalées sans autres symptômes. Un CT cérébral visualise une hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale gauche ainsi qu'une fracture stable de l'os zygomatique droit. Le reste du bilan radiologique exclut toute autre fracture. Un CT de contrôle à 24 h montre une stabilité du saignement et un contrôle par IRM le 11.05.2020 ne parle pas en faveur d'un vasospasme ou de lésion ischémique. Le patient reste en tout temps stable hémodynamiquement et sans trouble de l'état de conscience. Les surveillances neurologiques restent sans particularité. Une antalgie simple contrôle les douleurs. Nous laissons le patient regagner son domicile le 13.05.2020 en bon état général. Mr. Y est hospitalisé en électif pour bronchoscopie. Il avait été hospitalisé le 14.05.2020 pour dyspnée et perte de poids avec découverte d'une masse suspecte au niveau du lobe supérieur droit. Une antibiothérapie avait été initiée pour une surinfection. Le patient avait quitté l'hôpital contre avis médical en refusant le suivi intra-hospitalier, mais avait accepté l'hospitalisation pour bronchoscopie. La bronchoscopie a lieu le 19.05.2020 sans complication immédiate. Il sera présenté au tumor board thoracique du vendredi 22.05.2020 pour discussion de la suite de la prise en charge. Le patient sera convoqué en fonction. En raison de diarrhées importantes, Mr. Y accepte l'antibiothérapie pour une durée de 8 jours au total. Le patient peut rentrer à domicile le 20.05.2020. Mr. Y, 74 ans, est hospitalisé pour investigations d'une dyspnée et douleurs thoraciques dans un contexte de baisse de l'état général et perte de poids. Pour rappel, il s'agit d'un patient de 74 ans connu pour un tabagisme, une hypertension artérielle et une consommation d'alcool à risque, qui est adressé aux urgences par le médecin traitant pour une suspicion de pneumothorax dans le contexte d'une dyspnée et toux sèche avec douleurs thoraciques droites. Le patient décrit également une perte pondérale involontaire d'environ cinq kilogrammes en trois mois ainsi que des sudations nocturnes occasionnelles. Au service des urgences, la prise en charge initiale retrouve un patient présentant des ronchis auscultatoires. Un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytose et neutrophilie ainsi qu'une hyponatrémie. Une radiographie thoracique met en évidence une opacité apicale droite, qui motive la réalisation d'un CT-scanner thoracique injecté. Celui-ci révèle une condensation complète du lobe supérieur droit hautement suspecte de tumeur du lobe supérieur droit avec occlusion bronchique lobaire supérieure droite et lésion d'allures métastatiques au niveau controlatéral et médiastinal. Un traitement antibiotique par co-amoxicilline IV est débuté et le patient est admis à l'étage de médecine interne en isolement gouttelettes et contact après qu'un frottis nasopharyngé Covid-19 ait été réalisé. En chambre, en présence du médecin cheffe de clinique adjointe et du médecin assistant de l'étage, le patient refuse toute prise en charge médicale hospitalière. Il arrache sa voie veineuse périphérique et exige de rentrer à domicile malgré les explications du personnel soignant. Ils lui sont expliqués les résultats du bilan radiologique et biologique réalisé la veille, qu'il comprend et quittance correctement. Nous lui expliquons également le diagnostic probable de pneumonie nécrosante post-obstructive sur compression bronchique tumorale. Il refuse toutefois la poursuite d'une antibiothérapie intraveineuse et comprend les risques d'infection grave qui découlent d'une telle décision. Le patient accepte de poursuivre un traitement antibiotique de co-amoxicilline per os en ambulatoire. Enfin, il accepte une hospitalisation élective le 18.05.2020 dans le but de réaliser une bronchoscopie diagnostique le 19.05.2020, en accord avec sa médecin traitante. Un rendez-vous de suivi le matin 18.05.2020 au cabinet du médecin généraliste est organisé. Mr. Y rentre à domicile le 15.05.2020 en bon état général contre avis médical. Il s'engage en présence du médecin cheffe de clinique adjointe et du médecin assistant à consulter dans les plus brefs délais en cas de péjoration des symptômes. Mr. Y est hospitalisé pour une embolie pulmonaire bilatérale avec répercussion cardiaque droite. Pour rappel, ce patient a présenté une syncope sans prodrome avec perte de connaissance d'environ trois minutes au matin du 24.05.2020 motivant sa consultation au service des urgences. Un épisode de dyspnée avec sudations importantes le 22.05.2020 est également décrit, de résolution spontanée sans récidive. Au service des urgences, une embolie pulmonaire centrale est mise en évidence, avec répercussions hémodynamiques sur le cœur droit. Une anticoagulation par héparine est mise en place et le patient est hospitalisé aux soins intensifs. Sur avis angiologique, une thrombolyse systémique n'est pas effectuée d'emblée au vu de la stabilité hémodynamique. Cependant, en raison d'une persistance de l'hypoxie et de la dilatation du ventricule droit avec hypertension artérielle pulmonaire importante, les cardiologues interventionnels décident d'effectuer une lyse in situ le 25.05.2020. L'évolution est par la suite favorable avec une amélioration de la fonction droite et une baisse rapide de l'hypertension artérielle pulmonaire. Une nouvelle ETT de contrôle est prévue à 1 mois auprès des cardiologues de l'HFR Fribourg qui convoqueront le patient. Sur le plan hématologique, nous suspectons un état pro-coagulant chronique dans le cadre d'un adénocarcinome de la prostate diagnostiqué en 2019 avec antécédent d'embolie pulmonaire au moment du diagnostic oncologique. L'évolution clinique à l'étage de médecine interne étant rapidement favorable, un relais par Rivaroxaban est effectué dès le 29.05.2020. En raison de l'état pro-coagulant chronique et de l'antécédent d'embolie pulmonaire en 2019, cette anticoagulation est à poursuivre au long cours. Mr. Y peut regagner son domicile le 29.05.2020. Mr. Y, 76 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique d'embolie pulmonaire bilatérale avec répercussion cardiaque droite.Le patient, connu pour une hypertension artérielle, des troubles bipolaires et un adénocarcinome de la prostate, présente depuis une perte de connaissance d'environ trois minutes le matin du 24.05.2020. Il n'a pas de douleurs thoraciques, pas de dyspnée, pas de troubles visuels ou de vertiges. Un épisode de dyspnée et une sudation importante le 22.05.2020 est décrit par le patient avec résolution spontanée. Le patient n'a pas eu de voyage récent, pas d'immobilisation. • Une récidive d'embolie pulmonaire bilatérale est diagnostiquée et traitée par Héparine. • Sur avis angiologique, une thrombolyse systémique n'est pas effectuée étant donné un risque intermédiaire à élevé stable hémodynamiquement. • Suite à une persistance de l'hypoxie le 25.05, et à la découverte d'un ventricule droit dilaté avec une HTAP importante, les cardiologues interventionnels décident d'effectuer une lyse in situ à l'aide d'un cathéter Mc Namarra le 25.05.2020. • L'évolution est par la suite favorable avec une diminution de la dilatation du VD, une amélioration de la fonction droite et une baisse importante de l'HTAP. • Un relais de l'anticoagulation par clexane est effectué le 26.05.2020. • Nous recommandons l'introduction d'une anticoagulation à vie chez un patient avec une récidive d'embolie pulmonaire centrale et une image de thrombo-embolie pulmonaire chronique au scanner. Mr. Y peut être transféré à l'étage de médecine en état général conservé le 26.05.2020. Mr. Y, âgé de 62 ans, connu pour HTA, diabète, cardiopathie hypertensive diastolique, hémochromatose et hypothyroïdie, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une rupture atraumatique de la tige au niveau du col PTH gauche traitée par implantation d'une prothèse de révision le 11.05.2020. • Sur le plan social, le patient est marié, il a un fils. • Il vit avec son épouse à domicile sur plusieurs étages. • Il travaille à 100% en tant qu'électricien. A l'admission, le patient ressent une gêne buccale causée par les aphtes, il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion/extension du genou G est de 20/0/0° en actif et en passif. La force du psoas gauche est cotée à M2, quadriceps gauche à M3- et la sensibilité est conservée. • Par rapport à une décompensation diabétique, nous adaptons l'insulinothérapie selon l'avis diabétologique et nous organisons un enseignement des gestes de contrôle de la glycémie et traitement par insuline. • Nous vous laissons le soin d'ajuster la posologie d'insuline rapide et de majorer la Metformine selon tolérance. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec les cannes anglaises en respectant la décharge sur un périmètre de 130 mètres. Il peut monter/descendre 10 escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche G à 60/0/0° en passif. Après 5 jours d'hospitalisation, le patient refuse de poursuivre le séjour hospitalier. L'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 23.05.2020, en état général conservé. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et ergothérapie à domicile. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une myopéricardite qui s'est manifestée par des épigastralgies fluctuantes. Le diagnostic est retenu sur la base du tableau clinique associé à des paramètres inflammatoires élevés, un bloc de branche droit nouveau et des troponines augmentées. L'échocardiographie est normale. Nous introduisons un traitement anti-inflammatoire par Colchicine et Ibuprofen, avec une nette amélioration clinique et des paramètres inflammatoires. Une échocardiographie et un test d'effort sont à prévoir après 6 semaines. Le patient est informé qu'il ne doit pas faire de sport jusqu'au prochain contrôle cardiologique. Le patient présente un angio-oedème d'apparition soudaine environ 24h après l'initiation des anti-inflammatoires et peu après s'être lavé les dents avec du matériel de l'hôpital. Une thérapie par Tavegyl et Solumedrol est initiée avec une amélioration rapide de la symptomatique. L'allergène n'est pas clairement identifié. Dans le doute, nous stoppons l'Ibuprofène et poursuivons une monothérapie par Colchicine. Nous vous recommandons d'effectuer des examens allergologiques pour les anti-inflammatoires de type AINS chez un patient qui utilise régulièrement ce type de molécule pour des douleurs articulaires. Suite au traitement par stéroïdes, le patient présente des hyperglycémies pré et post-prandiales. Une hémoglobine glyquée est mesurée à 5.7%. Une thérapie par Insulatard est débutée jusqu'à l'arrêt de la corticothérapie. Un suivi diabétologique est organisé à l'HFR Fribourg. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique aigu. Pour rappel, le patient est adressé au service des urgences en ambulance suite à l'apparition brutale d'un hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural G ataxiant associé à une dysarthrie, le 25.05.2020 à 7h 15, après le réveil. L'Angio-CT cérébro-cervical ne met pas en évidence de signe précoce d'AVC ni d'occlusion artérielle des vaisseaux intra- ou extra-crâniens. Une thrombolyse intraveineuse est administrée après 1h 30 après le début des symptômes qui se déroule sans complication. L'IRM cérébrale ensuite confirme une lésion ischémique sylvienne profonde droite dans le territoire lenticulo-strié. • Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas d'anomalie structurelle emboligène. • Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. • Un examen neurosonologique retrouve une athéromatose carotido-vertébrale diffuse sans sténose. • Un bilan angiologique n'amène pas d'argument objectif pour une dysplasie fibromusculaire. • L'étiologie reste indéterminée avec un diagnostic différentiel se situant en premier lieu entre une origine artério-artérielle et une origine microangiopathique bien que la taille de la lésion ischémique aiguë à l'IRM en coupe axiale dépasse la taille de 20 mm de diamètre. Sur le plan médicamenteux, une double anti-agrégation est introduite par Plavix 75 mg/j et Aspirine 100 mg/j pour 3 semaines puis relayée par le Plavix seul. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée jusqu'au prochain bilan neuropsychologique prévu à 4 semaines avec l'aide d'un interprète. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est nettement favorable avec un statut neurologique de sortie rapportant une ptose labiale gauche, un déficit moteur distal brachio-crural gauche à prédominance brachiale avec peu de répercussions dans les AVQ alors que Mr. Y peut regagner son domicile le 29.05.2020. Mr. Y est un patient de 77 ans qui est hospitalisé pour prise en charge chirurgicale à distance d'un épisode de cholécystite aiguë lithiasique traitée conservativement, qu'il avait présenté en janvier 2020. Le patient, au profit d'un traitement anticoagulation par Lixiana, bénéficie d'un relais par Clexane selon les recommandations, et l'opération du 12.05.2020, une cholécystectomie par laparoscopie par le Professeur X se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples, tant d'un point de vue clinique que paraclinique, permettant une reprise de l'anticoagulation thérapeutique par Lixiana dès le 14.05.2020. A noter que nous profitons de cette hospitalisation pour faire visiter le patient par nos collègues de chirurgie vasculaire pour une plaie du 3ème orteil du pied droit, dont l'étiologie artérielle n'est pas retenue et nous proposons au patient de poursuivre un suivi pour adaptation de ses semelles. Le patient retourne à domicile le 14.05.2020.Mr. Y, 81 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc septique le 27.05.2020. Le patient nous est adressé de l'hôpital de Riaz, où il est actuellement hospitalisé pour investigations d'un oedème testiculaire d'origine indéterminée. Il est connu pour un carcinome urothélial et une BPCO stade IV sous oxygénothérapie à domicile. Une rectoscopie le 22.05.2020 a mis en évidence une tumeur de la ligne pectinée jusqu'à 10 cm de la marge anale rectale. Un globe vésical sur infection urinaire avait initialement nécessité une antibiothérapie par Rocéphine et la mise en place d'un cystofix, remplacé le 26.05 par une sonde vésicale uréthrale. Le patient sonne dans la nuit pour des douleurs au niveau des membres inférieurs, accompagnées de dyspnée et frissons d'apparition brutale. Il n'a pas de douleurs rétro-sternales, pas de douleurs abdominales. Il décrit une constipation depuis environ 5 jours. Aux soins intensifs, le patient est tachycarde et hypotendu. Il bénéficie d'un remplissage sans support aminergique. Une antibiothérapie par Meronem avait été débutée à Riaz pour une suspicion d'urosepsis à germes résistants. Une translocation bactérienne abdominale pourrait aussi être la cause du sepsis. D'un point de vue oncologique, nous reprenons contact avec le Dr. X, oncologue traitant. Les dernières investigations montrent un cancer urothélial multimétastatique avec métastase rectum, osseuses. Le pronostic vital reste inquiétant avec une survie maximum à 1 an. On informe le patient avec son oncologue présent et une attitude : No rea si ACR, pas d'IOT, pas de dialyse, pas de reprise aux soins intensifs sauf pour geste très court est noté. Mr. Y, patient de 72 ans connu pour un carcinome hépato-cellulaire diagnostiqué en janvier 2020, est hospitalisé électivement pour une nouvelle chimio-embolisation du foie droit, la première ayant eu lieu le 20.02.2020. La chimio-embolisation avec Doxorubicine se déroule sans complications immédiates. L'évolution est marquée par un état fébrile accompagné de frissons solennels, motivant l'instauration d'une antibiothérapie par Ceftriaxone. Par la suite, le patient présente des états fébriles récidivants. Les hémocultures restant négatives, et l'évolution clinique et biologique étant favorable, nous les attribuons à la chimio-embolisation et arrêtons l'antibiothérapie après 5 jours. Mr. Y rentre à domicile le 13.05.2020. Un contrôle clinique et biologique est prévu auprès du Dr. X le 20.05.2020, et un contrôle auprès de Dr. X se fera à 2 semaines, avec la planification d'une nouvelle chimio-embolisation. Mr. Y, connu pour une maladie de Horton traité par Prednisone et Actemra, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique pariétal aigu. Pour rappel, le patient présente le 24.05.2020 une hypoesthésie du bras et avant-bras gauche après avoir effectué un mouvement à faible cinétique. Au service des urgences, le patient présente encore une hypoesthésie respectant plus ou moins le dermatome D1-D2 gauche. Le CT cérébral ne révèle pas de lésion ischémique ni hémorragique aigu mais une séquelle lacunaire de corps de noyau caudé et une athéromatose diffuse sans sténose. L'IRM cérébral confirme la lésion ischémique aigu cortical pariétal droit. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne rapporte pas d'anomalie structurelle évocatrice d'une origine cardio-embolique. Le patient sera prochainement convoqué pour un examen Holter sur 72 h. Un examen neurosonologique retrouve une athéromatose modérée des vaisseaux extra- et intra-cérébraux prédominante aux bifurcations carotidiennes, sans sténose significative. La source embolique d'origine artérielle est retenue en premier lieu. Sur le plan médicamenteux, une double antiagrégation par Aspirine 100 mg/j et Plavix 75 mg/j pour 3 semaines est introduite puis le Plavix est maintenu à long terme. Le traitement d'Atorvastatine à 80 mg/j est également maintenu, avec un taux de LDL cible <1.4 mmol/l. Mr. Y est vu en consultation rhumatologique lors de son hospitalisation. Il ne présente cependant pas de symptomatologie actuellement ainsi qu'une absence de syndrome inflammatoire. Une radiologie dorso-lombaire rapporte des tassements avec rétrécissement des foramens transverses, prédominant à C8 mais sans myélopathie. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée d'un point de vue neuropsychologique, en raison d'un ralentissement, de difficultés praxiques constructives et troubles exécutifs modérés. Le patient sera réévalué à 1 mois. L'évolution clinique est favorable avec au statut neurologique somatique de sortie absence de déficit fonctionnel handicapant persistant. Mr. Y peut regagner son domicile le 27.05.2020. Mr. Y est un patient de 49 ans, connu entre autres pour une pancréatite chronique d'origine éthylique avec de multiples épisodes de pancréatites aiguës sur chroniques, qui est hospitalisé pour la prise en charge d'un nouvel épisode de pancréatite aiguë sur chronique. L'évolution est lentement favorable avec la mise en place pour 5 jours d'une prophylaxie antibiotiques par Imipenem intraveineux. La surveillance des paramètres biologiques est alors favorable par la suite et la réalimentation peut être débutée dès le 10.05.2020. Le patient regagne son domicile le 13.05.2020 avec un suivi ambulatoire avec son médecin de famille par la suite. Une demande pour une IRM abdominale / du pancréas dans 4 à 6 semaines a été effectuée avec un contrôle ensuite à la consultation des chefs de clinique de notre service. Mr. Y est un patient de 52 ans hospitalisé dans notre service de chirurgie pour une diverticulite classée 2A selon Hansen & Stock. Il s'est en effet présenté aux urgences dans un contexte de douleurs abdominales suspubiennes crampiformes et le bilan a mis en évidence ce diagnostic. Nous privilégions une thérapie conservatrice avec une antibiothérapie intraveineuse. L'évolution est ainsi rapidement favorable avec une disparition des douleurs, sans fièvre subséquente. Devant cette bonne évolution, nous laissons Mr. Y regagner son domicile le 03.05.2020, date où l'antibiothérapie peut être relayée par voie orale. Il faudra organiser une coloscopie à environ 6 semaines. Il n'y a pour l'instant pas d'indication à un suivi chirurgical d'emblée. Mr. Y est un patient de 85 ans connu pour un angor instable sous traitement par Isoket, ainsi que pour un état anxieux. Le patient nous est adressé en ambulance suite à une asthénie depuis 1-2 jours avec hypotension mise en évidence à domicile. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse dans un appartement protégé à Broc. L'examen clinique reste dans les limites de la norme. Le bilan biologique effectué reste sans particularité hormis une carence en vitamine D que nous substituons. Un bilan étiologique concernant les épisodes d'hypotension identifie un Schellong positif qui se corrige suite à la mise des bas de contention.Nous remarquons également que Mr. Y utilise très fréquemment l'Isoket et présente une mauvaise compliance médicamenteuse. Suite à une crise d'angoisse accompagnée par une sensation d'oppressions thoraciques survenue pendant l'hospitalisation, le patient prend tout seul 3 poussées d'Isoket d'emblée (médicament personnel sur sa table de nuit), résultant d'une hypotension à 66/33 mmHg. Une reprise de l'anamnèse suite à cet événement révèle une mauvaise gestion à domicile qui peut aussi expliquer les épisodes d'hypotension. Concernant l'état anxieux, un avis psychiatrique est demandé le 20.05.2020, confirmant la présence des troubles anxio-dépressifs ainsi que des troubles cognitifs. Le médecin spécialiste recommande une diminution de l'Escitalopram à 5 mg et l'introduction du Distraneurin lors de crises d'angoisse. Devant donc le risque de surdosage chez un patient avec des troubles anxiodépressifs et neurocognitifs, nous privilégions un traitement anti-angineux par des comprimés de Nitroglycérine plutôt qu'un spray (risque de surdosage élevé avec spray, en faisant plusieurs poussées). Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation gériatrique aiguë du 18.05.2020 au 24.05.2020. Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est de 300 mètres avec l'aide du tintébin. Le patient peut gravir 18 marches d'escalier avec l'aide de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 75/126 par rapport à 71/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 5/7). Le TUG se réalise en 19.30 secondes avec l'aide du tintébin. En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation de son indépendance, de son autonomie et de sa sécurité dans les activités de la vie quotidienne. Mr. Y se déplace de manière sécuritaire avec son tintébin à roulettes, est indépendant pour la verticalisation, mais présente des douleurs dorsales qui limitent ses activités debout. Sur le plan diététique, le bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique démontrée par un NRS à 2/7 et un BMI à 29.8. L'Optifibre sera augmenté à 2x1 mesurette par jour pour le domicile avec une meilleure hydratation. Les repas sont adaptés afin que le patient couvre ses besoins. Des conseils d'alimentation lui sont donnés. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 16.05.2020 montrent un MMSE à 22/30 et un test de la montre à 3/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Le 28.05.2020, Mr. Y quitte notre service avec la mise en place de soins à domicile comme suit : • 2x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, • 2x/jour pour la gestion du traitement, • 1x/semaine pour le semainier, • 1x/2 jours pour les pansements du bras, • 2x/jour pour les bas de contention, • 1x/semaine pour l'aide à la toilette ; ainsi qu'un suivi régulier à votre consultation. Mr. Y, connu pour une cardiopathie ischémique stentée en 2015, une HTA et un tabagisme actif, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique aigu sylvien droit. Pour rappel, le patient est amené en ambulance après que sa fille l'a retrouvé allongé au sol à 7h30, inconscient, puis est objectivée une dysarthrie avec dernière preuve de bonne santé à 5h30. Aux urgences, Mr. Y décrit une hyposensibilité de tout l'hémicorps gauche sans trouble langagier. Le CT cérébral révèle une pénombre pariétale droite avec occlusion de l'ACM (M2 distal) ainsi qu'une athéromatose diffuse des axes extracrâniens non sténosante. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une lyse intraveineuse. L'indication à une thrombectomie n'est pas posée par nos collègues bernois. L'IRM de contrôle est rassurante, avec présence d'une petite transformation hémorragique pariétale droite. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique révèle une akinésie septale compatible avec une cardiopathie ischémique ainsi qu'un foramen ovale perméable uniquement au Valsalva, sans ASIA. La prise en charge de son FOP sera discutée lors du prochain colloque pluridisciplinaire le 26.05.2020, en tenant compte d'un score de ROPE à 4. Un bilan biologique avec mutation des protéines de la coagulation ainsi que les anticorps anti-phospholipides sont à pister. Un Holter de 72 h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. L'étiologie de l'AVC reste indéterminée (ESUS). Nous effectuons un scanner thoracique qui révèle des embolies pulmonaires segmentaires aux deux bases, sans signe d'instabilité hémodynamique. Sur absence de signe clinique de TVP, nous renonçons au bilan angiologique. L'anticoagulation thérapeutique par Eliquis est indiquée et devra être maintenue au minimum pendant 6 mois. En fonction du bilan thrombophylique et cardiologique (Holter), l'anticoagulation doit être réévaluée après 6 mois. Si la poursuite de l'anticoagulation thérapeutique n'est pas retenue à 6 mois, un relais au Plavix 75 mg/j est proposé d'un point de vue neurovasculaire. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est également introduit. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l). Des mesures sur l'hygiène de vie lui sont expliquées. Le bilan neuropsychologique révèle des difficultés attentionnelles et exécutives importantes, incitant à une réhabilitation hospitalière pour permettre une réinsertion professionnelle adéquate. Nous remarquons un trouble de l'humeur anxio-dépressif majeur post-AVC, jouant un rôle dans les difficultés susmentionnées. Le traitement par Escitalopram doit être maintenu et un essai avec la mélatonine pour les troubles du sommeil est indiqué. Nous vous prions de contacter le centre psychosocial de Fribourg lors du retour du patient à domicile. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée d'un point de vue neuropsychologique et devra être évaluée lors de son hospitalisation à l'HFR Meyriez. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique somatique de sortie rapportant une hyposensibilité de l'hémicorps facio-brachial gauche modérée. Mr. Y est transféré en neuroréhabilitation intensive à l'HFR Meyriez le 15.05.2020. Mr. Y, patient de 55 ans, a été hospitalisé en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique sylvien droit. Il a présenté une faiblesse du membre supérieur gauche avec une dysarthrie découvertes à 7h30 le 06.05.2020. À 5h00, le patient a encore été vu asymptomatique. Le score de NIHSS à son arrivée est à 2 points, avec une hypesthésie à gauche et une dysarthrie. Le CT scan cérébral a montré un AVC aigu pariétal droit à type majoritairement de pénombre sur une occlusion de l'artère cérébrale moyenne droite dans son segment M2. Une lyse intraveineuse est débutée aux urgences de Fribourg et le patient est transféré à l'Insel pour une éventuelle thrombectomie. En vue d'un profil bénéfice-risque bas, le geste n'a pas été effectué et le patient a été re-transféré à Fribourg. L'évolution neurologique est favorable avec un NIHSS à la sortie à 1 point (hypesthésie à gauche). Une IRM cérébrale montre un AVC ischémique pariéto-temporal droit avec de minimes suffusions hémorragiques superficielles en regard. Un Holter est encore à réaliser. L'échocardiographie transthoracique décrit une FEVG à 45% avec des troubles de la cinétique connue, sans thrombus apical. En raison d'une légère transformation hémorragique, le traitement par aspirine est poursuivi sans changement pour clopidogrel. Une hypercholestérolémie (LDL-cholestérol à 2.6 mmol/l) est traitée par atorvastatine, et l'ézétimibe est rajouté au traitement. L'hémoglobine glyquée est à la limite de la norme supérieure.Le patient est transféré le 07.05.2020 en unité de médecine interne. Mr. Y est un patient de 76 ans connu pour un adénocarcinome pancréatique de stade IV métastatique avec un épanchement pleural gauche connu qui est adressé aux urgences le 29.04.2020 par son oncologue traitant, en raison d'une péjoration de la dyspnée depuis le 26.04.2020, avec la présence d'essoufflement lors des efforts. Un avis est demandé au Dr. X, chirurgien, qui conseille, au vu de la nature cloisonnée de l'épanchement et de l'étiologie, soit une prise en charge chirurgicale avec thoracoscopie et talcage pleural soit une ponction pleurale sous guide radiologique pour soulager les symptômes du patient. L'attitude est alors rediscutée avec la Dr. X et au vu de l'état clinique et du pronostic du patient, la décision d'effectuer une ponction pleurale est prise. Le geste se déroule le 01.05.2020 en radiologie à l'HFR Fribourg (Dr. X), sans complication post-geste. L'analyse cytologique du liquide montre un matériel de type transsudat, avec très rares cellules atypiques sur fond d'éléments inflammatoires polymorphes. Pendant le séjour, nous mettons en évidence une légère péjoration de l'anémie chronique normochrome normocytaire hyporégénérative mise en évidence lors de la dernière hospitalisation et dans ce contexte, le patient bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire qui est bien tolérée. L'évolution clinique étant favorable, avec des paramètres qui restent stables sur les 24h de surveillance post-ponction, Mr. Y peut regagner son domicile le 02.05.2020. Mr. Y est un patient de 65 ans qui nous est adressé pour une réadaptation gériatrique depuis le service de médecine de l'HFR Fribourg en raison d'un déconditionnement global dû à de longues hospitalisations. Sur le plan social, Mr. Y est rentré du Nigéria il y a 2-3 ans avec un fils adoptif de 11 ans et 2 grands garçons de 24 et 21 ans qui sont à l'Université et vivent dans un appartement à Bulle. Le patient se déplace avec l'aide d'une ou 2 cannes pour la sécurité. À son admission en réadaptation gériatrique, Mr. Y est hémodynamiquement stable et afébrile. À l'examen clinique, nous ne retrouvons pas de souffle cardiaque mais de discrets œdèmes des membres inférieurs. Le patient présente aussi une hypoventilation en base droite et décrit des douleurs neuropathiques para-lombaires gauches mal systématisées connues depuis longtemps mais aggravées, pour lesquelles nous introduisons un traitement par Prégabaline 50 mg 2x/jour et de l'Oxycontin. Nous vous laissons le soin de faire l'adaptation en ambulatoire. Mr. Y se plaint d'une toux chronique surtout pendant la matinée. La radiographie ne montre pas de signes en faveur d'une infection pulmonaire. Devant une haute suspicion de sarcoïdose ou fibrose de type UIP, sans suivi pneumologique, nous demandons un consilium de pneumologie qui est refusé au vu de la non-urgence du cas. Après son hospitalisation, nos collègues pneumologues de Fribourg proposent d'adresser le patient avec le dossier complété à un pneumologue de la région (proche de Bulle) afin de refaire des fonctions pulmonaires complètes et de continuer la prise en charge. Nous vous laissons le soin d'organiser une consultation pneumologique en ambulatoire. Le laboratoire retrouve une hypothyroïdie infraclinique avec une TSH à 6,420, pour laquelle nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle d'ici 3 semaines à un mois. Durant son séjour, Mr. Y participe à des séances de physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche est de 300 mètres de façon autonome et sécuritaire. Le patient peut gravir 18 marches d'escalier avec l'aide d'une canne et de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 108/126 par rapport à 87/126 à son entrée (MIF physio : transferts 6/7, déplacement 6/7, escaliers 6/7). Le TUG se réalise en 16.4 secondes avec l'aide des deux cannes. En ergothérapie, le patient profite d'une évaluation de son indépendance, de son autonomie et de sa sécurité dans les activités de la vie quotidienne afin de soulager ses douleurs dorsales et d'améliorer sa participation. Sur le plan diététique, les repas sont adaptés afin de couvrir ses besoins et des conseils d'alimentation lui sont donnés. Le 06.05.2020, Mr. Y regagne son domicile avec la mise en place de soins à domicile comme suit : 2x/semaine pour le contrôle des signes vitaux, 1x/semaine pour les soins de plaie. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique initialement pour une suspicion d'AVC pontique. Le patient rapporte des vertiges rotatoires au réveil, majorés en position debout, associés à l'apparition brutale d'une hypoacousie gauche, durant 3-4h. Depuis lors, il présente plusieurs épisodes récidivants sur la journée, motivant sa consultation aux urgences le 30.05. Après exclusion d'une origine périphérique par les ORL, un angioCT scanner est réalisé avec absence de lésion ischémique ou hémorragique visualisée. Sur avis neurologique, le patient est transféré en unité de soins intensifs en Stroke Unit monitoré. Le statut clinique met en évidence une atteinte multiple des nerfs crâniens (VII à gauche, surtout VIII (auditif et vestibulaire bilatérale), IX à droite, X, XI à gauche) d'origine probablement lésionnelle ponto-bulbaire. Syndrome bi-pyramidal prédominant aux 2 membres inférieurs, touchant possiblement le membre supérieur gauche. Le scanner cérébral à l'admission montre des hypodensités ponto-bulbaires antérieures bilatérales et un élargissement du 4e ventricule, ainsi qu'une artère vertébrale gauche dilatée et calcifiée, le rapport définitif devra être pisté. Un bilan lésionnel primordial est à prévoir durant son séjour sur avis de la Dr. X. Nous laissons le soin aux collègues de la médecine interne de vérifier la possibilité de réaliser une IRM cérébrale centrée sur le tronc versus refaire un CT scanner avec des coupes fines dans la même région, chez un patient porteur d'un CRT-D. Selon le rapport opératoire du 25.06.2015, les sondes seraient IRM incompatibles. Une ponction lombaire n'est pas recommandée, en raison d'une suspicion d'hydrocéphalie non-communicante du 4e ventricule, probablement liée aux lésions pré-citées. De la physiothérapie vestibulaire et de la logopédie sont à préconiser durant son hospitalisation, et à poursuivre en ambulatoire. Mr. Y est transféré en médecine interne le 31.05 pour la suite des investigations. La Dr. X reste à disposition sur son téléphone privé pour la stratégie de la prise en charge durant son hospitalisation (078 944 32 30). Mr. Y est un patient de 75 ans connu pour des troubles de l'adaptation, avec perturbation mixte des émotions et des conduites, des troubles envahissants du développement, sans précision et une démence vasculaire sous-corticale. Il est connu également pour des troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition. Le patient habite dans un foyer et l'équipe soignante a noté une baisse de l'état général depuis 2 semaines avec des états fébriles et une toux sèche sans dyspnée. Le début de la symptomatologie n'est pas datable. À l'admission, l'anamnèse est impossible en raison d'un patient agité et non collaborant. Au statut cardiovasculaire, pulsations régulières à 80/min, B1B2 bien frappés, souffle à l'apex avec irradiation dans l'aisselle, holosystolique, 3/6, pas d'œdème des membres inférieurs. À l'auscultation pulmonaire, le patient est eupnéique, auscultation avec possibles râles basaux droits (le patient ne tient pas en position assise). Le reste du statut d'entrée est sans particularité.La radiographie du thorax montre quelques infiltrats bilatéraux diffus prédominants à la base droite, pouvant entrer dans le cadre d'un Covid-19. Nous effectuons un frottis de Covid-19 qui revient positif et le patient est mis en isolement dès le 20.04.2020. Nous introduisons également une antibiothérapie par Co-Amoxi 1 g 2x/j que nous arrêtons en raison de l'apparition d'une perturbation des tests hépatiques qui peut être due à la combinaison de Leponex et co-amoxicilline. L'évolution sur le plan respiratoire est favorable. Afin de compléter le bilan infectieux, nous effectuons un sédiment urinaire qui montre la présence de leucocytes et de flore bactérienne. Un urotube revient négatif. Concernant les troubles de l'adaptation, avec perturbation mixte des émotions et des conduites, des troubles envahissants du développement avec un traitement psychotrope comprenait du Leponex 12,5 mg x 3/j + Distraneurin 1 capsule de 192 mg x 4/j. Depuis son arrivée, le patient crie et essaie régulièrement de se lever de son lit, ce qui entraîne un risque de chute car il présente des troubles de l'équilibre. Dans le cadre de ce comportement, dans un contexte infectieux mais chez un patient qui reste orienté et cohérent selon l'équipe, un premier avis psychiatrique est demandé. La Dresse Xecotea, psychiatre de garde, propose d'ajouter du Temesta 1 mg x 4/j. En parallèle de cet ajout, la Distraneurin est arrêtée. Au vu d'une agitation nocturne en péjoration, nous demandons un deuxième avis psychiatrique de la Dresse Dubois qui ne propose pas la reprise de Rispéridone car n'ayant pas été efficace lors de sa dernière hospitalisation. Elle propose de rajouter des réserves de Distraneurin. Pendant le reste du séjour, les paramètres restent stables avec une saturation autour de 96 % à l'air ambiant et sans état fébrile. Mr. Y peut regagner le home le 01.05.2020. Nous laissons nos collègues du foyer pister le résultat du Leponex et adapter le traitement selon le résultat. Mr. Y, 78 ans, est hospitalisé pour des troubles de la marche d'apparition subaiguë depuis février 2020. Il a été adressé par son neurologue traitant qui a effectué un bilan par imagerie. Une IRM cérébrale montre potentiellement des signes de sclérose en plaques. L'IRM médullaire revient dans la norme, sans lésions démyélinisantes. Il est hospitalisé pour suites de prise en charge. Après avis neurologique, nous effectuons des investigations sur le LCR et sanguines. Un syndrome cérébelleux d'origine indéterminée est suspecté. Le diagnostic différentiel reste large incluant une composante potentiellement dégénérative, inflammatoire ou vasculaire. Le patient sera convoqué en neurologie pour la suite des résultats. Mr. Y rentre à domicile le 19.05.2020. Mr. Y, patient de 72 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, présentant une plaie très douloureuse compatible avec une angiodermite nécrosante pour laquelle il bénéficie de débridements itératifs avec mise en place d'un VAC du 20.04 au 28.04.2020 et également d'une greffe de Thiersch. Les suites postopératoires sont favorables avec une antalgie bien contrôlée, permettant un retour à domicile le 08.05.2020. À noter que nous prenons l'avis de nos collègues cardiologues en ce qui concerne le traitement par Efient et Eliquis, suite auquel nous arrêtons l'Efient et mettons en place l'Aspirine, le temps de reprendre l'anticoagulation thérapeutique. L'Eliquis seul sera à poursuivre à long cours. Le patient bénéficiera d'une réfection du pansement 1x/jour par les soins à domicile et 2x/semaine au centre fribourgeois des plaies, avec un prochain rendez-vous le mardi 12.05.2020. Mr. Y, patient de 89 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance postopératoire suite à la pose d'une prothèse de hanche droite. Connu pour de multiples comorbidités, Mr. Y souffre d'une polyarthrose invalidante. Il bénéficie donc le 25.05 de la pose d'une prothèse totale de la hanche droite. L'opération se déroule sous rachianesthésie et se passe sans complications immédiates. La surveillance aux soins intensifs se déroule sans complication. Le patient connu pour une insuffisance rénale chronique de stade IV a présenté une hyperkalémie corrigée par insuline et glucose en IV. Le traitement antihypertenseur par IEC a été mis en suspens. Nous recommandons une surveillance quotidienne des électrolytes sanguins ainsi que de sa fonction rénale. Au niveau de l'antalgie, le patient est couvert par Paracétamol et buprénorphine en réserve. Durant son séjour, le patient a présenté un épisode subfébrile à 38.3 sans frisson ou instabilité hémodynamique. Après discussion avec les infectiologues, ils ne recommandent pas de couverture antibiotique d'emblée. Un prélèvement urinaire a été effectué dans le cadre d'un cathéter urinaire à demeure. En cas de récidive, les infectiologues recommandent de couvrir le patient avec du Tazobac et de la cubicine de façon empirique. L'anticoagulation thérapeutique par Sintrom dans le cadre de la FA est à reprendre selon les directives de l'opérateur. En cas de péjoration de l'état clinique du patient, nous recommandons une évaluation prudente des traitements appliqués, le patient ne souhaitant pas de mesure invasive prolongeant son existence selon ses directives anticipées du 22.05.2020. En cas de nécessité d'adresser le patient aux soins intensifs, nous vous demandons d'en discuter l'indication directement avec un cadre des soins intensifs. Le patient est transféré le 26.05.2020 à l'étage d'orthopédie pour suite de prise en charge. Monuril monodose Morbus Addison avec : • ACTH augmentée, cortisol basal et après stimulation au Synacthen abaissé, anticorps anti-surrénaux et anti-21-hydroxylose positifs • Gastrite chronique légère à sévère Morbus de Parkinson. Morbus Dupuytren bilatéral stade I selon Meyerding. Suspicion de D4 et D5 à ressaut main gauche. Morbus Parkinson • Suivi à la Clinique de Tschugg par la Dresse Lisitehkina Morbus pertes bilatérales avec : • hanche D coxalgie chronique résiduelle • status post-luxation chirurgicale de hanche, correction de l'offset, élongation relative du col fémoral, distalisation du trochanter avec couverture d'un bout des tissus mous rétinaculaire, suture matracée du labrum le 01.03.2018 par le Prof Tannast. • Luxation chirurgicale de hanche au Portugal en 1990. • Hanche D : status post-luxation chirurgicale de hanche, élongation relative du col du fémur avec correction de l'offset le 13.06.2017. • Status post-ostéotomie du bassin vraisemblablement selon la méthode saltère en 2000 au Portugal. • hanche G dysplasie persistante avec instabilité chronique de la tête fémorale et rétroversion cotyloïdienne sur morbus Perthès. Morceau de plastique dans le nez. Morphine d'office et en réserve Adaptation du traitement diurétique Poursuite de l'oxygénothérapie Physiothérapie Morphine IV. Retour à domicile sans consultation médicale. Morphine puis hydromorphone Prise en charge interdisciplinaire. Morphine 20 mg IV. Retour à domicile au vu de l'amélioration de la clinique.Morphine Accompagnement interdisciplinaire Morsure. Morsure. Morsure. Morsure. Morsure. Morsure morsure Morsure animale. Morsure au bras par un chien morsure chat Morsure chat au bras Dr. X Morsure chien. Morsure chien vers 13:10 Morsure d'animal Morsure de chat. Morsure de chien au niveau de la fesse droite, sans critères de gravité. Morsure de chien au niveau de P2-D4 face palmaire de la main gauche le 25.05.2020. Morsure de chien au niveau tibial gauche. Morsure de chien avec 2 plaies punctiformes au niveau de la base de la 1ère phalange du pouce droit sur la face palmaire et dorsale le 30.05.2020 à 09h15 Morsure de chien bras droit le 04.05.2020. • débridée, lavée et suturée aux urgences (3 plaies). Morsure de chien bras droit, le 04.05.2020 • débridement, rinçage et suture aux urgences (3 plaies). Morsure de chien bras droit le 04.05.2020 Propre chien, chien suisse vacciné, dernier rappel Tétanos inconnu Morsure de chien de la 3ème phalange du 5ème doigt droit (05.05.2020). Morsure de chien en regard du 4ème et 5ème doigt main droite. Morsure de chien en regard du 4ème et 5ème doigt main droite le 23.05.2020. Morsure de chien jambe gauche. Morsure de chien le 16.05.2020. • Plaie superficielle type dermabrasion au niveau de la phalange médiale de la face interne du 3ème doigt gauche. • Dermabrasion de la face externe du 4ème doigt gauche au niveau de l'interphalangienne proximale. Morsure de cochon avec plaie d'environ 6 cm au niveau du tiers médial du tibia droit sur la face antérieure le 29.05.2020. Morsure de langue suite à chute de sa hauteur Morsure de serpent au niveau de l'index gauche le 27.05.2020 • probable Vipère péliade Morsure de tique Morsure de tique. Morsure de tique. Morsure de tique le 07.05.2020 Morsure de tique le 10.05.2020. Morsure de tiques. Morsure de tiques : • 2 tiques sur le creux poplité droit. • 1 tique sur l'espace interdigitale des III et IV doigts de la main gauche. Morsure le 27.05.2020. Morsure par un cheval. Morsures de chat. Morsures de chien. Morsures de chien Mort in utero Mouchage. Compression mécanique. Laboratoire : cf. annexes. Groupage. Consultation à la consultation du Dr. X le 01.05.2020 à 13:30. Mouvement anormal du membre supérieur gauche le 31.05.20. DD : épilepsie, paralysie de Todd. Mouvement involontaire membre supérieur gauche. Mouvements dyskinétiques incontrôlés d'origine probablement médicamenteuse le 26.05.2020 Mouvements spastico-cloniques d'origine indéterminée, 21.05.2020. Movicol en fixe à partir du 15.05.2020 Movicol en réserve Movicol 3x/jour jusqu'au 30.05. y compris. Débuter sans délai le traitement de Flagyl selon ordonnance de Dr. X. Poursuivre traitement par Oméprazole 1x/j. Contrôle clinique à votre consultation la semaine prochaine. Consultation chirurgie Dr. X dans les jours à venir. Moviprep 1L le 14.05.2020 Moviprep. Laxoberon. Mr. Y est hospitalisé aux Soins intensifs pour surveillance hémodynamique et respiratoire pour embolies pulmonaires bilatérales sévères. Le patient présente une dyspnée aiguë depuis 2 semaines qui s'est aggravée, raison pour laquelle il consulte sa médecin généraliste. Après scanner et échocardiographie, il est transféré de la Clinique Cécil au CHUV pour une EKOS-lyse le 12.05., devant un résultat modéré il bénéficie aussi d'une angiographie avec thrombo-aspiration des artères pulmonaires bilatérales le 13.05. Le patient n'est pas connu pour des facteurs de risque thrombo-emboliques, anamnèse familiale et personnelle négative, pas d'immobilisation à part du Home office suite au confinement, pas de douleurs dans le mollet. La surveillance aux soins intensifs retrouve toujours une tachycardie autour de 100/min sans instabilité hémodynamique. Mr. Y reste oxygéno-dépendant mais sans majoration des apports durant la surveillance. L'anticoagulation par Énoxaparine est poursuivie avec une cible thérapeutique le 15.05.2020. L'échocardiographie retrouve toujours un cœur pulmonaire avec une dilatation importante, une hypokinésie et une hypertension artérielle importante avec un PAPs à 90mmHg inchangée par rapport à la description de l'échocardiographie du 11.05.2020. Nous vous proposons de rediscuter avec les cardiologues lundi 18.05.2020 afin d'organiser une échocardiographie de contrôle. L'indication à une thrombendartériectomie pulmonaire chirurgicale n'a pas été retenue par les collègues du CHUV. Cette option devrait être rediscutée en cas de grande intolérance à l'effort et persistance de l'hypertension pulmonaire. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour un sepsis sévère. Face à l'ischémie aiguë du membre inférieur, le patient est transféré de Payerne en artériographie et présente rapidement une hypotension nécessitant une prise en charge aux soins intensifs. Sur le plan artériographique, le patient bénéficie d'une dilatation. On débute une anticoagulation par héparine diminuée initialement à 10000 ui/24 h puis réaugmentée à 15000 ui/24 h avec surveillance sur le PTT (car l'antiXa n'est pas interprétable) car toujours présence d’Éliquis. Les pouls restent bien présents aux extrémités sans complications au décours. Sur le plan hémodynamique, le patient est rempli de 2000 ml de Ringer lactate avec bonne amélioration de la tension. Les diurèses restent faibles le lendemain avec une insuffisance rénale aiguë sur chronique motivant une hydratation adaptée. Face à l'infection probablement d'origine urinaire, mise en route de Tazobac face à une hospitalisation prolongée à Payerne. Il faudra pister la bactériologie des urines à la recherche des germes. Le patient est très douloureux initialement sur la mobilisation au niveau des hanches nécessitant des bolus importants de fentanyl et kétamine. Essai de patch de fentanyl mais le patient présente un léger surdosage. On arrête le patch et mise en route de Temgesic en réserve selon douleur et surtout avant mobilisation. Découverte d'une lésion tumorale au niveau sacré sur le scanner non connu nécessitant une investigation à la recherche d'un cancer primitif. Découverte d'une vessie très épaissie motivant un avis des urologues. Face à une hypernatrémie et des troubles de la déglutition, mise en route d'une SNG avec eau libre. Mise en route d'une nutrition par nutrition entérale. Le patient pourrait retourner à l'hôpital de Payerne mais il n'y a pas de place ce jour en médecine. Réévaluer demain. Mr. Y, patient de 84 ans connu pour les antécédents mentionnés ci-dessus, notamment une cardiopathie ischémique, valvulaire et hypertensive avec maladie coronarienne bitronculaire, est hospitalisé dans le contexte d'une angor instable. Il consulte aux urgences le 01.05.2020 suite à une douleur thoracique lui rappelant son infarctus en 03/2020 apparue subitement à midi et au repos. Il décrit la douleur comme un coup de couteau/pression, stable, 8-9/10, localisée sous la fourchette sternale et irradiant vers l'épaule gauche, sans facteur modifiant. Mr. Y explique avoir cette douleur depuis une semaine mais que le matin de la consultation elle était très intense. À l'anamnèse par système, pas d'éléments notoires ces derniers jours (fièvre, état général, respiration, toux/crachats, selles/urines). Un bilan biologique montre une légère augmentation des enzymes cardiaques sans cinétique. Pas de syndrome inflammatoire. Une radiographie du thorax est sans particularités. Un ECG montre un rythme sinusal régulier, avec des ondes T pointues en précordial. Le patient est hospitalisé en médecine et une coronarographie est organisée pour le 02.05.2020. Cela montre un excellent résultat de l'angioplastie de la bissectrice en mars 2020 sans nouvelle lésion de novo. Le statut coronarien est inchangé sur le reste des vaisseaux. Selon avis cardiologique (Dr. X), les douleurs thoraciques ne sont pas expliquées par une progression de la maladie coronarienne épicardique.A savoir que nous observons un profil tensionnel élevé malgré le traitement de fond, et d'après avis cardiologique nous débutons un traitement de IEC. Nous concluons à une atteinte ischémique de type NSTEMI à l'effort sur tension artérielle mal contrôlée. Nous observons une persistance du profil tensionnel au-dessus de la norme et nous adaptons le traitement avec introduction d'une triple thérapie par Exforge (Amlodipine, valsartan, hydrochlorothiazide). A la sortie, Mr. Y sera suivi pour la première période après l'hospitalisation (3 fois par semaine) par le soins à domicile avec suivi du profil tensionnel. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement selon évolution clinique. Mr. Y peut rentrer à domicile le 06.05.2020. Mr. Y est admis aux soins intensifs en post-opératoire d'une Ethmoïdectomie, pour surveillance respiratoire. Le patient est connu pour un SAOS appareillé, contre-indiqué en post-opératoire. La surveillance se déroule sans complication et l'antibiothérapie prophylactique devra être poursuivie pour un total de 5 jours, ainsi que la Prednisone avec schéma dégressif rapide. Le 29.05.2020, Mr. Y est transféré en ORL pour suite de prise en charge. Mr. Y est admis aux soins intensifs en raison d'un syndrome coronarien aigu type NSTEMI. Le patient présente depuis 10 jours des épisodes d'angor instable motivant sa consultation chez son médecin traitant qui constate des modifications électriques au niveau du territoire inférieur à l'ECG en inférieur avec une élévation des troponines. La coronarographie révèle une occlusion fonctionnelle de l'artère coronaire droite moyenne qui est traitée par angioplastie et pose d'un stent. La surveillance rythmique aux soins intensifs se déroule sans complication. Un traitement par IEC est débuté, mais pas de bêtabloquant vu l'atteinte du réseau droit. L'aspirine devra être poursuivie à vie et l'efient pour 6 mois. Le 30.05.2020, Mr. Y rentre à domicile. Mr. Y s'est présenté le 26.05.2020 pour une coronarographie élective qui est demandée en raison d'une dyspnée nouvelle évoluant depuis plusieurs semaines avec une orthopnée. Au moment d'être installé en salle de coronarographie, le patient présente une insuffisance respiratoire aiguë en rapport avec un OAP qui est traité par un traitement diurétique et une séance de VNI. La coronarographie révèle une maladie coronarienne tritronculaire avec une sténose serrée de l'artère circonflexe distale et une sténose subocclusive de la postéro-latérale de l'artère coronaire droite. Ces différentes lésions sont traitées par angioplastie et mise en place de deux stents actifs. Par ailleurs, il reste des sténoses intermédiaires au niveau de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et distale. Le patient récidive un OAP en post-intervention, raison pour laquelle il est admis aux soins intensifs. Durant la surveillance, il refait un épisode d'œdème pulmonaire sur pic hypertensif nécessitant la VNI, un traitement par nitroglycérine et diurétique. En raison de la persistance d'une hypoxémie avec besoin de l'optiflow, le bilan est complété par une échocardiographie qui montre une dysfonction systolique et diastolique ventriculaire gauche sévère avec une FEVG à 27%. Le traitement de l'insuffisance cardiaque est optimisé avec introduction de l'aldactone, majoration des bêta-bloquants et de l'inhibiteur de l'enzyme de conversion. L'évolution est favorable, permettant le sevrage de la VNI et de l'oxygène à haut débit. Une réhabilitation cardiovasculaire devrait être discutée ou un suivi par Sinacard. Mr. Y est transféré en médecine interne le 30.05.2020 pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 44 ans connu pour cardiopathie dilatée d'origine valvulaire avec CRTD est hospitalisé dans un contexte de malaise le 12.05.2020. Le patient explique être allé aux toilettes dans la soirée, d'avoir ressenti des vertiges après avoir uriné, et d'être chuté en marchant. Il décrit un épisode lipothymique sans franche perte de connaissance, mais une incapacité à se retenir par manque de force. Mr. Y décrit un traumatisme crânien lors de la chute. Pas d'état post-critique d'après l'anamnèse. Pas de DRS ou de palpitations. Le patient décrit alors des douleurs traumatiques au niveau de l'omoplate (point de contact lors de la chute) et de la face où il présente deux lésions centimétriques du menton à gauche. Aux urgences, il présente un nouvel épisode lors d'une radiographie en position debout. Il ressent des vertiges et des nausées, s'assied et la situation cesse spontanément. Un bilan biologique montre une hypokaliémie et hypomagnésémie avec une légère leucocytose. Pas d'autres anomalies. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux. Nous demandons un avis cardiologique. Un contrôle du CRTD est sans particularités, pas d'anomalie dans le fonctionnement. Par ailleurs, le contrôle montre un flutter auriculaire à réponse ventriculaire normale apparu au mois de février 2020. D'après avis cardiologique, nous débutons une anticoagulation par Xarelto 20 mg. Une échocardiographie montre une claire progression de la dilatation du VG et de la dysfonction systolique du VG en comparaison au dernier contrôle échographique en 2018. D'après avis du Dr. X, nous arrêtons le traitement avec Amlodipine, et mettons en pause celui avec Torasemide. Le patient est informé de pister son poids et d'adapter le traitement diurétique en fonction. Le traitement d'Entresto est augmenté de 50 mg de plus par jour. L'évolution étant favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 13.05.2020. Le patient sera suivi en ambulatoire par les collègues du service de cardiologie du CHUV. Mr. Y est hospitalisé aux Soins Intensifs pour une surveillance rythmique et hémodynamique post-coronarographie pour un NSTEMI. Mr. Y est adressé par le Dr. X pour des douleurs thoraciques récidivantes avec irradiation dans les bras, lors de pics hypertensifs depuis 1 semaine. A l'arrivée aux urgences, il ne présente plus de douleurs thoraciques. L'ECG est non contributif, et on note une élévation des troponines. Mr. Y bénéficie d'une coronarographie qui montre comme lésions incriminées au NSTEMI une sténose serrée de l'IVA à sa bifurcation avec le tronc commun, traitée par un stent et une lésion intermédiaire de l'artère circonflexe traitée par dilatation. Durant la surveillance aux soins intensifs, Mr. Y ne présente pas de récidive de douleurs thoraciques ni de trouble du rythme. Nous introduisons une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine à maintenir à vie, et Prasugrel pour 6 mois. Ce dernier est à prendre à 10 mg par jour pour ces jours puis 5 mg par jour. Le bilan lipidique est pathologique et nous introduisons une statine. La fonction ventriculaire est évaluée à 40-45% à la ventriculographie. Une échocardiographie de contrôle est demandée. Un traitement d'insuffisance cardiaque par Lisinopril et bêta-bloquant est introduit, à adapter selon la tolérance hémodynamique du patient. Il est transféré le 16.05.2020 dans le service de médecine interne pour suite de prise en charge.Mr. Y est un patient de 81 ans, connu pour un carcinome urothélial papillaire de haut grade ayant bénéficié d'un RTUV en octobre dernier avec une radio-chimiothérapie adjuvante, qui se présente aux urgences de Fribourg le 15.05.2020 pour une tuméfaction scrotale et pénienne indolore de survenue périodique et d'origine indéterminée. L'examen clinique retrouve un œdème scrotal et pénien prenant le godet ainsi que des adénopathies iliaques de consistance dure et indolores à la palpation. Le bilan biologique retrouve un syndrome inflammatoire et le sédiment urinaire revient pathologique. Un CT abdominal est réalisé infiltration des tissus mous scrotaux ddc, inguinales et du pubis peut être compatible avec une dermohypodermite mais sans collection visible ni bulles de gaz. La tumeur vésicale n'est pas clairement analysable mais ne semble pas être majorée en taille par rapport au comparatif du 23.03.2020. Une antibiothérapie par Co-amoxicilline est débutée pour une suspicion de dermo-hypodermite et le patient est transféré à l'étage de médecine de Riaz pour suite de prise en charge. À son arrivée, le patient décrit une rétention aiguë d'urine depuis 9h au matin et un Bladder retrouve 600cc dans la vessie. À cause d'un important phimosis, la pose d'une sonde vésicale est impossible et un cistofix est mis en place par le Dr. X le 16.05. Nous prenons avis auprès du Dr. X qui conclut un œdème probablement en lien avec la progression tumorale. Concernant la mise en place du cystofix, nous prenons avis auprès de la Dr. X, radio-oncologue qui ne préconise pas d'irradiation sur le chemin du cystofix car la maladie est à priori contrôlée d'un point de vue de la vessie (si doute faire recherche de cellules tumorales dans les urines). Nous reprenons contact avec le Dr. X le 25.05 afin d'envisager un retrait de ce cystofix. D'un point de vue oncologique, nous reprenons contact avec le Dr. X, oncologue traitant et reprenons le bilan initialement prévu en mars avec une endoscopie le 22.05 qui retrouve une tumeur de la ligne pectinée jusqu'à 10 cm de la marge anale rectale, peut-être métastase d'un carcinome urothélial de haut grade. MRSA Abstrich am 17.04.2020: negativ MTEV avec plusieurs TVP, anti-coagulée par Xarelto Palpitations MTEV avec plusieurs TVP, anti-coagulée par Xarelto Diabète de type 2 Hypertension artérielle Mucite avec chéilite le 13.05.2020 avec : • prothèse dentaire mal adaptée • malnutrition protéino-énergétique le 26.02.2020 Mucite post-radique avec surinfection bactérienne le 31.05.2020 avec • dysphagie • état fébrile. Multi investiguée en mai 2020 sans trouver de cause, traitée par Imodium et en amélioration actuellement. Multiparité. Multiple axiale Skelettmetastasen mit • pathologischer Fraktur des Wirbelkörpers von L2 Multiple contusions après une bagarre le 15.06.2017 avec : • contusion crânienne. • fracture de tête de phalange distale d'index gauche. • contusion de cheville droite. • contusion thoracique droite. Multiple Lungenembolien Multiple récidives d'entorse stade 1 de la cheville gauche le 27.05.2020. Multiples arthroscopies des genoux non datées. Opération de l'épaule gauche non datée Méningite lymphocytaire de type Lyme le 17.05.2013 Céphalées post-ponction lombaire du 17.05.2014 Diverticulose sigmoïdienne traitée par sigmoïdectomie laparoscopique le 07.09.2016, avec : • s/p diverticulite perforée Hansen-Stock IIc le 23.04.2016 • s/p diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock IIb le 13.10.2015 Syndrome tunnel carpien ddc opéré en nov(à G) et déc (à D) 2019 Multiples AVC ischémiques des centres semi-ovales bilatéraux, corticales hémisphériques gauches ainsi que cérébelleuses bilatérales le 20.03.2020 sur dissection aortique : • Symptômes initiaux : hémi-syndrome facio-brachio-crural gauche avec dysphagie et dysarthrophonie avec geste de déglutition hypotone et ralenti. IRM cérébrale (20.03.2020), CHUV Angio-IRM (20.03.2020), CHUV Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation : syndrome pseudo-bulbaire avec dysarthrie, dysphagie et hypophonie, syndrome cérébelleux stato-cinétique gauche et parésie gauche du nerf XII Multiples AVC ischémiques des centres semi-ovales bilatéraux Multiples consultations aux urgences (plusieurs dizaines si ce n'est centaine) pour des douleurs abdominales paroxystiques répondant uniquement à la morphine, douleurs déjà connues et multi-investiguées depuis près de 10 ans. Probable tuberculose pleurale traitée le 13.02.2018 - suivi par Dr. X. (fin du traitement octobre 2018) Douleurs thoraciques respiro-dépendantes le 12.05.2018 sur suspicion de tuberculose traitée probable. Hématémèse récurrente sur : • épisodes de Mallory-Weiss • reflux gastro-oesophagien grade B selon Los Angeles (OGD à l'Inselspital le 20.07.2010) • gastrite chronique avec éradication H. pylori en 2010. Cardiopathie hypertensive débutante : • ETT le 26.03.2012 : FEVG à 65 % avec bonne fonction contractile. Hémoglobinopathie : • drépanocytose hétérozygote (pas de crise vaso-occlusive) avec alpha-talassémie hétérozygote • test effectué au laboratoire de l'Hôpital Cantonal d'Aarau (non datable selon le document mais plus de 10 ans). Troubles mixtes de la personnalité avec traits narcissiques et impulsifs (F61) : • selon consilium psychiatrique du 20.06.2017. Consommation tabagique. Consommation problématique d'alcool, actuellement abstinent (F10). Consommation problématique de cannabis, actuellement abstinent (F12). Multiples consultations aux urgences pour des douleurs abdominales paroxystiques répondant uniquement à la morphine, douleurs déjà connues et multi-investiguées. Probable tuberculose pleurale traitée 2018. Hématémèse récurrente sur épisodes de Mallory-Weiss, reflux gastro-oesophagien. Drépanocytose hétérozygote (pas de crise vaso-occlusive) avec alpha-talassémie hétérozygote. Troubles mixtes de la personnalité avec traits narcissiques et impulsifs (F61) : Consommation problématique d'alcool, actuellement abstinent (F10). Consommation problématique de cannabis, actuellement abstinent (F12). Multiples contusions Multiples contusions Multiples contusions au niveau de l'épaule gauche, thorax gauche et flanc gauche le 29.12.210 Multiples contusions au niveau thoracique, lombaire et pelvien suite à une chute le 30.04.2020 Multiples contusions, le 04.05.2020. Multiples déchirures musculaires quadriceps G Douleurs basi-thoraciques gauche d'origine indéterminée Multiples décompensations psychotiques. Multiples dermabrasions sur coude gauche, épaule gauche et hanche gauche le 20.05.2020. Multiples embolies pulmonaires centrales bilatérales le 30.09.2019 sous Xarelto Cure d'hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein, avec filets ProGrip (Dr. X) le 08.11.2016 Myotomie du muscle crico-pharyngé au laser CO2 (Dr. X) pour dysphagie sur hypertrophie du muscle crico-pharyngé le 21.10.2016 Opérations pour cataracte et glaucome en mars et mai 2014 Polyneuropathie d'origine indéterminée en 2013 Prothèse totale de la hanche droite, opérée à 3 reprises, la dernière fois en 1997 Prothèse totale de la hanche gauche en 1997 Hématome sus-dural chronique, acutisé en post-opératoire de prothèse totale de hanche gauche (sous Sintrom) drainé en 1997 Nycturie probablement en relation avec une hypertrophie bénigne de la prostate : • résection transurétrale de la prostate en 2000 pour hyperplasie bénigne Exanthème généralisé d'origine indéterminée le 03.10.2019 Multiples entorses au niveau des deux chevilles.Distention au niveau ligamentaire de la cheville gauche qui a été opérée à Montreux. Multiples entorses des 2 chevilles. Multiples fractures suite à une chute de sa hauteur le 18.04.2020 : • fracture multifragmentaire intra-articulaire du radius distal D, réduction de la fracture aux urgences avec immobilisation • fracture branche ischio/ilio-pubienne D, traitement conservateur, mobilisation selon douleurs • fractures des arcs antérieurs des côtes 6-7 D • contusion épaule D • contusion coude D Multiples hospitalisations à Marsens. Multiples hypodensités nodulaires dans les deux lobes thyroïdiens de découverte fortuite. Multiples hypodensités nodulaires dans les deux lobes thyroïdiens de découverte fortuite le 04.05.2020. Multiples interventions du genou gauche et du genou droit. Multiples luxations de l'épaule droite (2x/an depuis 20 ans). Status post-opération il y a 3 ans d'un hallux rigidus à droite. Status post-appendicectomie, amygdalectomie et opération des végétations dans l'enfance. Métastase mésentérique de l'adénocarcinome pulmonaire droit connu : • PET du 29.07.2019 (diagnostic différentiel GIST versus adénopathie métastatique) • Tumorboard thoracique du 07.08.2019 : ad laparotomie exploratrice avec résection de la masse Résection de masse mésentérique par mini laparotomie le 22.08.2019. Histologie : métastase de l'adénocarcinome pulmonaire droit connu. Tumorboard du 28.08.2019 : chimio/immunothérapie. Multiples nodules pulmonaires bilatéraux le 05.04.2020. Multiples nodules sous-pleuraux du lobe supérieur droit. Multiples petites lésions ischémiques aiguës des deux hémisphères cérébraux et du cervelet droit le 24.04.2020 : • d'origine embolique. Multiples petites lésions ischémiques aiguës des deux hémisphères cérébraux et le cervelet droit le 24.04.20 : • d'origine embolique. Multiples petites tumeurs papillaires récidivantes de la vessie : • St. p. RTUV, UPR G et URS distale G le 09.10.2019 pour petite récidive papillaire tumorale exophytique de la vessie (carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade pTa G1 à G2) • St. p. résection transurétrale de la vessie, URS flexible droite et néphro-urétérectomie droite le 28.11.18 pour carcinome urothélial papillaire de haut grade du bassinet et du calice moyen droit pT1 G3 R0 de 2.5 cm x 2.4 cm et carcinome urothélial papillaire non invasif pTa G3 de la vessie à la paroi postérieure de la vessie, y compris au niveau de 3 pseudo-diverticules US en avril 2020 : résidu post-mictionnel de 90 ml, prostate en trans-vésical 29 ml Cystoscopie : urètre pénien et bulbaire sp. Sphincter innervé, prostate : bilobaire obstructive, vessie : trabéculée, avec pseudodiverticule, plusieurs tumeurs exophytiques, pas de Cis, orifices urétéraux sp ddc PSA : 0.79. Multiples petits hématomes avec hyperkératose sur surcharge au niveau du talon G. Multiples plaies dans un contexte de chute à travers une porte vitrée le 12.05.2020 : • Plaie de 6cm au niveau de la fesse D • Plaie de 7cm au niveau de la cuisse D • Plaie de 1.5cm au niveau de la cuisse D • Plaie de 1.5cm au niveau du bras G • Plaie de 0.5cm au niveau de la main G • Petite plaie de 2cm au niveau du pouce D • Petite plaie de 0.5cm au niveau nasal • Plaie superficielle de 2cm au niveau basi-thoracique central. Multiples plaies du MID le 03.05.2020 avec : • section complète du tendon d'Achille • section aponévrose des gastrocnémiens et du muscle soléaire • section complète du nerf sural • section partielle avec perte de substance du nerf tibial • section complète du fléchisseur long commun des orteils • section partielle du tendon tibial postérieur. Multiples réactions anaphylactiques. Dorsalgie D10-D12 non déficitaire le 25.03.2019. Douleur abdominale épigastrique transfixiante d'origine indéterminée le 25.03.2019. Infection urinaire basse le 25.03.2019. AVP le 04.01.2020. Multiples réactions anaphylactiques. Dorsalgie D10-D12 non déficitaire le 25.03.2019. Douleur abdominale épigastrique transfixiante d'origine indéterminée le 25.03.2019. Infection urinaire basse le 25.03.2019. AVP le 04.01.2020. Douleurs abdominales / dorsalgies d'origine inconnue le 02. : • DD : Urolithiase. Multiples tentatives médicamenteuses. Alcoolisation aiguë à répétition. Abus de substance le 13.03.2019. Antécédents de fugue du foyer Horizons Sud. Hystérectomie inter-annexielle par laparotomie pour utérus myomateux symptomatique le 26.11.2014. Myalgie épaule droite, le 16.05.2020. DD : tendinite, syndrome grippal débutant, hyperthyroïdie. Myalgie unklarer Ätiologie DD : Muskelverspannung, Tendinitis. Myalgies. Myalgies. Myalgies diffuses le 16.05.2020 : • probablement sur contractures musculaires dans un contexte d'AVP à 20 km/h le 15.05.2020. Myalgies diffuses sur prise d'Atorvastatine le 14.04.2020 : • CK 44 U/l • tests hépatiques : dans la norme. Mycobactériose pulmonaire à M. abscessus subsp. abscessus avec : • forme nodulaire bronchiectatique • St. p. hémoptysies inaugurales en décembre 2018 • St. p. multiples infections broncho-pulmonaires depuis 2008 • Consultations en 2019 en pneumologie à l'HFR (Dr. X / Dr. X) et aux HUG (Prof. X). Mycose au niveau des plis inguinaux. Mycose buccale. Mycose buccale à Candida Dubliniensis. Mycose buccale le 14.03.2020. Mycose buccale le 15.05.2020. Mycose cutanée des plis abdominaux. Mycose des plis inguinaux le 15.04.2020. Mycose des plis inguinaux le 28.04.2020. Mycose du pli interfessier. Mycose interdigitale des orteils le 15.04.2020. Mycose interdigitale orteils 3-4 pied droit le 08.05.2020. Mycose linguale. Mycose orale et du siège. Mycose orale le 27.04.2020. Mycose oropharyngée le 10.03.2020. Mycose sous-mammaire bilatérale. Mycose vaginale le 28.04.2020. Mycose vaginale 13.03.2020. Mycose vulvo-vaginale. Mycoses au niveau inguinal et sous-axillaire le 20.05.2020. Mycoses sous-mammaires et inguinales.Mycostatin dès le 30.04.2020, soins de bouche Suivi clinique Mycostatine Mycostatine du 10.03.2020 au 20.03.2020 Fluconazole du 26.03.2020 au 09.04.2020 Bains de bouche Mycostatine du 13.05 au 23.05.2020 Régime haché Suppléments nutritifs oraux Suivi nutritionnel Mycostatine du 26.02 au 09.03.2020 Fluconazole du 11.03 au 14.03.2020 Mycostatine du 28.04 au 29.04.2020 (doute sur réaction cutanée au Fluconazole) Diflucan le 30.04 Morphine titrée dès le 27.04.2020 Xylocaïne dès le 27.04 Mycostatine 1 ml 3x/j Mycostatine 4x/j Myélo-CT au CIMF le 10.06.2020 Prochain contrôle le 25.06.2020 Myélo-CT et myélographie du 28.04.2020 (CIMF) : cages inter-somatiques en place au niveau C4-C5 et C5-C6, fusion C2-C3 connue, uncarthrose symétrique avec sténose foraminale C4-C5 gauche et C5-C6 gauche relativement prononcée et plus légère C5-C6 à droite, hernie discale C6-C7 médio-latérale à prédominance gauche avec un Impingement radiculaire C7 à prédominance gauche au niveau pré-foraminal. Pour la myélographie avec clichés fonctionnels, pas de macro-instabilité, bonnes amplitudes lors des mouvements de segments au niveau cervical. Myélo-CT IRM lombaires avec séquences vasculaires Prochain contrôle chez nous par la suite Myélofibrose primaire de la rate traité par Ruxolitinib Attaque de panique Globe vésicale récidivant Stent artère circonflexe moyenne posé le 07.12.2018 Myélographie fonctionnelle + CT du 12.03.2020 (CIMF) : forte suspicion de hernie discale mobile avec une déformité durale s'accentuant en extension avec une ouverture dorsale de l'espace discal L4-L5 en flexion. Légers troubles dégénératifs facettaires et au niveau L5-S1, débutant en L4-L5 et arthrose ilio-sacrée bilatérale modérée. Myélographie fonctionnelle + CT le 16.06.2020 (CIMF) Prochain contrôle le 25.06.2020 Myélographie fonctionnelle du 12.05.2020 (CIMF) : superposable avec celle de février 2019. Présence d'une structure tissulaire en contact avec la racine S1 gauche. Défect osseux du bord inférieur du plateau de L5. Myélome multiple à IgG Kappa stade IIIA selon Salmon et Durie • date du diagnostic : 23.02.2017 • histologie : myélome plasmocytaire avec infiltration interstitielle de 25 à 30 % (Promed P2178.17, ponction biopsie et aspiration de moelle osseuse) • plasmocytome para-vertébral thoracique droit, biopsié le 16.02.2017 : néoplasie plasmocytaire (Promed P1936.17) • immuno-phénotypisation le 23.02.2017 : population de cellules plasmocytaires clonales (immuno-phénotypisation 0322/17 hôpital de l'Île) • cytogénétique en attente • paraprotéinémie IgG 18.5 g/l • CT-thoraco-abdomino-pelvien du 23.02.2017 : multiples ostéolyses et fractures costales pathologiques, aspect mité des fémurs et humérus bilatéraux • anamnèse familiale : mère avec maladie de Vaquez • status post-radiothérapie du plasmocytome 20.02.2017 à fin mars 2017 • réaction allergique sur Nexium hospitalisation en clinique de médecine mi-avril 2017 • status post-5 cycles de chimiothérapie par Velcade associés à Dexamethasone (3 premiers cycles), bonne tolérance et baisse consécutive de la paraprotéinémie à actuellement 7 g/l (plateau depuis mi-mai 2017) • progression avec élévation de la paraprotéine à 17 g/l, février 2018 • status post-6 cycles de thérapie associant Revlimid à Dexamethasone et Zometa de mars à août 2018 (Zometa suspendu le 25.06.2018), excellente réponse avec IgG à 4 g/l • progression tumorale avec élévation de la paraprotéine à 13.2 g/l, octobre 2019 • introduction d'une thérapie par Revlimid associée à Dexamethasone à partir du 1.10.2019, mal tolérée, suspendue après 12 jours • progression tumorale avec élévation de la paraprotéinémie à 13.2 g/l, octobre 2019 • proposition de traitement par Revlimid et Dexamethasone, suspendu après 4 jours • progression tumorale avec élévation de la parprotéinémie à 12.9 g/l, février 2020 • actuellement : introduction d'une chimiothérapie par Velcade associée à Dexamethasone Carcinome mammaire gauche stade I • date du diagnostic : 1990 • Status post-mastectomie • Status post-chimiothérapie et radiothérapie • actuellement : pas d'évidence de rechute tumorale Myélome multiple à IgG Kappa stade IIIA selon Salmon et Durie • date du diagnostic : 23.02.2017 • histologie : myélome plasmocytaire avec infiltration interstitielle de 25 à 30 % (Promed P2178.17, ponction biopsie et aspiration de moelle osseuse) • plasmocytome para-vertébral thoracique droit, biopsié le 16.02.2017 : néoplasie plasmocytaire (Promed P1936.17) • immuno-phénotypisation le 23.02.2017 : population de cellules plasmocytaires clonales (immuno-phénotypisation 0322/17 hôpital de l'Île) • cytogénétique en attente • paraprotéinémie IgG 18.5 g/l • CT-thoraco-abdomino-pelvien du 23.02.2017 : multiples ostéolyses et fractures costales pathologiques, aspect mité des fémurs et humérus bilatéraux • anamnèse familiale : mère avec maladie de Vaquez • status post-radiothérapie du plasmocytome 20.02.2017 à fin mars 2017 • réaction allergique sur Nexium hospitalisation en clinique de médecine mi-avril 2017 • status post-5 cycles de chimiothérapie par Velcade associés à Dexamethasone (3 premiers cycles), bonne tolérance et baisse consécutive de la paraprotéinémie à actuellement 7 g/l (plateau depuis mi-mai 2017) • progression avec élévation de la paraprotéine à 17 g/l, février 2018 • status post-6 cycles de thérapie associant Revlimid à Dexamethasone et Zometa de mars à août 2018 (Zometa suspendu le 25.06.2018), excellente réponse avec IgG à 4 g/l • progression tumorale avec élévation de la paraprotéine à 13.2 g/l, octobre 2019 • introduction d'une thérapie par Revlimid associée à Dexamethasone à partir du 1.10.2019, mal tolérée, suspendue après 12 jours • progression tumorale avec élévation de la paraprotéinémie à 13.2 g/l, octobre 2019 • proposition de traitement par Revlimid et Dexamethasone, suspendu après 4 jours • progression tumorale avec élévation de la parprotéinémie à 12.9 g/l, février 2020 • actuellement : introduction d'une chimiothérapie par Velcade associée à Dexamethasone Carcinome mammaire gauche stade I • date du diagnostic : 1990 • Status post-mastectomie • Status post-chimiothérapie et radiothérapie • actuellement : pas d'évidence de rechute tumorale Myélome multiple à Kappa (depuis 2016) • suivi par Dr. X • non traité Myélome multiple IgG Lambda ISS stade II • date du diagnostic : 22.05.2019 • histologie (Promed P2019.5756) : infiltration lymphomateuse concomitante de la moelle osseuse par une population à petits lymphocytes B compatibles avec une leucémie lymphoïde chronique et par un myélome plasmocytaire IgG lambda • électrophorèse des protéines et dosage des immunoglobulines : bande monoclonale IgG lambda • chaînes légères : bande monoclonale IgG avec chaînes lambda 1110 mg/l, rapport kappa/lambda 0.02 • urines : bande monoclonale IgG lambda et lambda libres • bêta-2 microglobuline à 23,6 mg/l • CT pulmonaire et thoraco-abdomino-pelvien du 13.05.2019 : multiples lésions ostéolytiques sur l'ensemble du cadre osseux envahissant le canal rachidien à hauteur de D7. Une autre au niveau de D2, D9, L1 avec destruction de la partie postérieure et aussi L3 et L4 • IRM de la colonne du 27.05.2019 : innombrables lésions disséminées dans la totalité du rachis, au sein des éléments antérieurs et postérieurs, ainsi que dans la partie visible des ailes iliaques et des côtes, compatibles avec des lésions de myélome multiple. Fracture-tassement pathologique de D7 avec bombement du mur postérieur rétrécissant le canal rachidien, sans signe de myélopathie en regard • Xgeva 120 mg s.c. le 17.05.2019 • traitement de Revlimid et Dexaméthasone du 21.05.2019 à novembre 2019 • radiothérapie externe au niveau des vertèbres D7 et L1-L4 en juin 2019 • chimiothérapie palliative de type RVD lite du 28.11.2019 au 13.02.2020 • radiothérapie antalgique du plasmocytome de la région scapulaire gauche • chimiothérapie par Imnovid (Pomalidomide) dès février 2020 • non éligibilité pour une greffe • suivi oncologique Dr. X à l'HIB Payerne • actuellement : infiltration au niveau des racines nerveuses droites C6-D1 engendrant une symptomatologie parétique et douloureuse au niveau du MSD Myélopathie sur kyste synovial suite à décompression T11 en 2009 • clinique : hypoesthésie symétrique des jambes Douleurs neuropathiques des membres inférieurs post-spondylodèse en 2011. Dépression chronique Néphrolithiase D le 08.01.2020. Dissection focale du segment V3 de l'artère vertébrale gauche de découverte fortuite au CT cérébral du 22.01.2020. Canal lombaire étroit L5/S1. Myoclonies du bras droit Myoclonies sur neurotoxicité sur opiacés • contexte d'insuffisance rénale aiguë Myome FIGO 5-6 postéro-latéral gauche de 7 cm symptomatique (hyperménorrhée et douleurs pelviennes) chez une patiente de 30 ans 1G-1P. Myomectomie Myomectomie + clippage d'artère utérine droite + urétérolyse droite + ablation nodule endométriosique de la cloison recto-vaginal + pose d'un double J à droite + EBM par laparoscopie, le 23.12.2014. Entorse moyenne de la cheville gauche le 14.01.2015. Hernie ombilicale étranglée : • cure de hernie ombilicale sans filet le 12.11.2015. Myomectomie par voie vaginale à la LEEP Pertes sanguines estimées à 500 cc Résultats anatomopathologiques : Léiomyome sous-muqueux du corps utérin, avec impossibilité de dire si la lésion a été enlevée dans sa totalité, pas de signes d'atypie ou de malignité Myopathie. Myopéricardite d'origine indéterminée le 18.05.2020 • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 60 % Myo-péricardite, le 12.05.2020 > Selon des discussions avec le Dr. X en infectiologie : au lieu de Ciproxin à vie, Ertapenem 1g par jour pendant 10 jours tous les 3 mois comme traitement d'entretien. > Première dose le 14.04.2020 dans notre centre de jour. > Après 1 g de Novalgin i.v., nette amélioration des douleurs, mais douleur persistante du côté droit et augmentation du nombre de globules blancs (13.3 G/l). Nous demandons un complément d'examens pour exclure une appendicite aiguë. > Suivi en consultation orthopédique le 02.06.2020 > Prochain rendez-vous en consultation avec Dr. X le 27.05.2020 à 10h30 NaCl 0,45 % 2000 ml/24 h Nacl 1000 ml / 24 heures. 20 mmol KCl dans 250 ml de NaCl en 4 heures, puis relais avec 40 mmol de KCL dans 1000 ml de NaCl sur 24 heures. Ad KCL retard 20 mmol/l per os le 27.04.2020. Suivi biologique. Nageltrauma de Dig. I pedis dexter Naissance Naissance à terme à 39 3/7 SA au Daler, AVB spontané, APGAR 9/10/10. Naissance à terme au Daler, accouchement spontané. Bonne adaptation néonatale. Naissance à terme par voie basse, sans complications périnatales. Naissance à 36 semaines d'aménorrhée avec bonne adaptation néonatale Adénite inguinale gauche traitée par Azithromycine Mononucléose infectieuse en janvier 2016 • Naissance à 39 3/7, poids de naissance 3670 g (P90), taille de naissance 51 cm (P75), périmètre crânien 34.5 cm (P50) accouchement par voie basse non instrumenté • Examen génétique microarray à spectre moyen associé au gène à la recherche d'une maladie génétique : phelanmcdermid : pas d'anomalie retrouvée Naissance à 40 1/7 SA au Daler, poids de naissance à 3610 g (P 50), taille de naissance 50 cm (P 10-25), périmètre crânien de naissance à 36.5 cm (P 75) Convulsions néonatales d'origine indéterminée avec événements cardio-respiratoires • phénobarbital 20 ml/kg en dose de charge (17.05.19, 10:15) • US cérébral (17.05.19) Hospitalisation du 11 au 14.05.2020 dans un contexte de douleur abdominale. Dans ce contexte, radiographie abdominale le 11.05.2020 montrant une stase stercorale dans le côlon ascendant et descendant et avis gastroentérologique (Prof. X) le 11.05.2020. Diagnostic à la sortie : intolérance aux protéines de lait de vache. Naissance à 40 1/7 SA au Daler, poids de naissance à 3610 g (P 50), taille de naissance 50 cm (P 10-25), périmètre crânien de naissance à 36.5 cm (P 75) Convulsions néonatales d'origine indéterminée avec événements cardio-respiratoires • phénobarbital 20 ml/kg en dose de charge (17.05.19, 10:15) • US cérébral (17.05.19) S/p syndrome de détresse respiratoire du nouveau-né (DD : infection néonatale à début précoce, DD : tachypnée transitoire du nouveau-né) Naissance par accouchement par voie basse, à terme, bonne adaptation néonatale. Naissance par césarienne à 39 1/7 SG, PN 3550 g (P50-75), TN 51 cm (P25-50), PCN 35 cm (P50-75) 12.2013 Pleurs physiologiques et sur RGO Naissance prématurée avec maladie des membranes hyalines puis asthme durant l'enfance, actuellement non traité Pré-éclampsie en 2015 Appendicectomie non datée Cure d'hernie ombilicale non datée Utérotomie isthmique transverse basse (PE 400 cc) Naloxone 0.4 mg IV à 17 h 45 Naloxone 0.4 mg/h en pompe O2 4 L/min Gazométrie veineuse : ph 7.27, pCO2 8.7, lactates 1.1 RX thorax : ATT discuté avec Dr. X Transfert aux SIB FR pour surveillance Naloxone 0.4 mg IV bolus Naloxone 0.8 mg/h IVC le 08.05.2020 Nasivine en gouttes Toilettes nasales Prélèvement frottis SARS Cov2 Nausée d'origine indéterminée • suspicion de crise d'épilepsie avec aura digestive, connue pour une gastrite chronique Nausée et céphalée d'origine indéterminée DD : trouble psychosomatique, masse/tumeur cérébrale, anévrisme ou autre malformation vasculaire cérébrale Nausée et vertige sur syndrome pancérébelleux le 26.05.2020 Nausées Nausées Nausées. Nausées. Nausées. Nausées. Nausées d'origine indéterminée • DD : gastrite, COVID, hypercalcémie Nausées / vomissements. Nausées d'origine indéterminée depuis 10 jours DD : médicamenteux (paracétamol pour céphalée) Nausées d'origine indéterminée le 28.05.2020 : DD : alimentaire. Nausées d'origine multiple DD : médicamenteux, infectieux, troubles électrolytiques Nausées et céphalées Nausées et vertiges. Nausées et vomissement sur préparation colonoscopie le 28.05.20 • dans un contexte de douleurs abdominales chroniques suivies en ambulatoire avec colonoscopie prévue le 28.05.20 Nausées et vomissements, d'origine probablement chimio-induits, le 07.05.20 sur : • cure de Gemzar le 06.05.2020. Nausées et vomissements importants sur iléus obstructif Nausées et vomissements importants sur vortioxétine Nausées et vomissements le 31.05.2020. DD : effet secondaire traitement Abilify (introduit le 25.05.2020). Nausées et vomissements sur opioïdes le 12.05.2020 Nausées sous Méfénacide le 29.05.2020 • dans un contexte de douleurs post-opération dentaire. Nausées, vomissements Nausées, vomissements Nausées, vomissements Nausées, vomissements. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements, épigastralgies. Nausées, vomissements le 28.05.2020.Nausées, vomissements le 28.05.2020. Nausée/vomissement. NB : Consultation cardiologique le 28.05.2020 à 13h30 chez Dr. X. Né à terme de 39 2/7, opéré à 8 jours de vie pour • transposition des gros vaisseaux (fecit Pr. X). • 3 communications inter-ventriculaires résiduelles avec une HTA pulmonaire • Extra-systoles post-opératives. • Insuffisance respiratoire aiguë sur bronchiolite à RSV 21.04.16 • Réaction cutanée sur enveloppements de lavande 31.12.18 : Fracture supra-condylaire de l'humérus gauche, Gartland 4 Suivi cardiaque au CHUV, jamais présenté de complications cardiaques. Né à terme de 39 2/7, opéré à 8 jours de vie pour une transposition des gros vaisseaux (fecit Pr. X). • 3 communications inter-ventriculaires résiduelles avec une HTA pulmonaire • Extra-systoles post-opératives. • Insuffisance respiratoire aiguë sur bronchiolite à RSV 21.04.16 • Réaction cutanée sur enveloppements de lavande 31.12.18 : Fracture supra-condylaire de l'humérus gauche, Gartland 4 Né à terme de 39 2/7, opéré à 8 jours de vie pour une transposition des gros vaisseaux (fecit Pr. X). • 3 communications inter-ventriculaires résiduelles avec une HTA pulmonaire • Extra-systoles post-opératives. • Insuffisance respiratoire aiguë sur bronchiolite à RSV 21.04.16 • Réaction cutanée sur enveloppements de lavande 31.12.18 : Fracture supra-condylaire de l'humérus gauche, Gartland 4 Né à terme par VB, PN 3'370 g Probable reflux gastro-oesophagien Né à 36 3/7 semaines d'aménorrhée par césarienne pour désir maternel, avec une bonne adaptation néonatale 9/10/10. Poids de naissance à 2830 g (P25-50), périmètre crânien à 34 cm (P90) et une taille à la naissance à 45 cm (P25). Hospitalisation pour pyélonéphrite aiguë. Spasme du sanglot atypique DD : Convulsion occasionnelle versus. Otite moyenne droite aiguë : Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 doses durant 10 jours jusqu'au 09.10.19 compris. Né à 37 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire, pas de problème à la naissance, notamment neurologique, pas d'antécédents chirurgicaux. Né à 38 6/7, accouchement déclenché en raison d'iso-immunisation anti Cw, AVB bonne adaptation Apgar 9/10/10, souffle cardiaque rendez-vous en cardiologie en février 2020. Streptocoque B positif avec contrôle aux 4 heures eo. Né à 40 3/7 SG, PN 3610 g. Bonne adaptation. Né à 40 4/7 SA, accouchement par voie basse avec ventouse sans complication, bonne adaptation, poids de naissance 3610 g. Pas de risque infectieux (Strepto B -, rupture des membranes < 12 h, sérologies en ordre). Ne connaît pas ses traitements par cœur N'aurait pas de fluidifiant du sang (Sintrom il y a longtemps, arrêté ne sait pas pourquoi) Aspirine cardio Torasémide (probablement 25 mg) Atorvastatine dosage X Adcirca Inhalateur le matin (Ultibro ?) Colchicine pour la goutte (dosage X) Lantus 24 UI Humalog en correction ATT : • appel épouse pour liste exacte Né en Bolivie, arrivé en Suisse en 2015. Pas d'antécédent particulier. Ne pas décalotter pendant 1 semaine Consigne de reconsulter si récidive Contrôle chez le pédiatre le 11.05.20 Ne plie plus la jambe droite depuis 4 jours néant Nécrose de la tête humérale D sur : • status post réduction sanglante, ostéosynthèse par plaque PHILOS et inch plate le 09.01.19 • Lombalgies chroniques sur hernie discale L3-L4 et discopathie L4-L5, L5-S1. Nécrose et ostéite de l'hallux gauche et orteil 4 droit traité par amputation de l'hallux G et amputation trans-P1 du O4 D, ténotomie percutanée du FTL de O2 et O3 G le 04.05.2020 (Dr. X, Dr. X, Dr. X) • tête M1 G et O4 D surinfectés par Staphylococcus doré Nécrose / Abcès pulmonaire du LIG (2.8 x 4.3 cm) • avec suspicion d'hémorragie active intralésionnelle • séquelles d'infection pulmonaire décrite le 09.03.18 Nécrose / Abcès pulmonaire du LIG (2.8 x 4.3 cm) • avec suspicion d'hémorragie active intralésionnelle • séquelles d'infection pulmonaire décrite le 09.03.18 Née à 36 SA d'une grossesse gémellaire. Née à 39 3/7 SG par ventouse, PN 3420 g, PCN 34 cm, TN 47 cm. Apgar 9-10-10, période sp. Née à 41 4/7, accouchement par voie basse instrumenté par ventouse, provoqué pour terme dépassé, bonne adaptation postnatale. Née prématurée à 35 6/7 SA, accouchement instrumenté par ventouse. Bonne adaptation néonatale. Dernier contrôle chez vous pour les 4 mois, sp. Néo-Décongestine Néoplasie endocrinienne multiple de type 1 (MEN-1) diagnostiquée à l'âge de 17 ans (1990) • Résection trans-sphénoïdale d'un prolactinome (décembre 1990, Berne) avec insuffisance gonadotrope substituée, hyperprolactinémie fonctionnelle traitée par cabergoline, bilan hypophysaire 03.07.2017 : PRL dans la norme, déficit en GH non substitué. • Résection d'un insulinome par pancréatectomie caudale avec préservation de la rate (février 1992) • Parathyroïdectomie subtotale : 3 glandes avec implantation 1/3 dans l'avant-bras gauche • Syndrome de Zollinger Ellison sur gastrinome duodéno-pancréatique malin (2000) • Duodéno-pancréatectomie totale pour gastrinome métastatique (2007) avec diabète pancréatique insulino-traité, status post-iléus mécanique jéjunal sur adhésion (2014), métastases ganglionnaires mésentériques et rétro-péritonéales (CT abdominal de septembre 2014, st. post-3 cures de Lu-DOTOTOC à Bâle 2015). Status post-fuite post-opératoire de l'anastomose bilio-digestive. Cryo-ablation d'une métastase péritonéale en sept 2019 Carcinoïde typique du lobe inférieur droit classé pT1a (0.5 cm) pN0 M0, de stade IA • status post-lobectomie inférieure thoracique droite avec curage ganglionnaire par thoracoscopie le 11.10.2017 Néoplasie lympho-proliférative de type leucémie lymphatique chronique (LLC), atypique, de stade A selon Binet et II selon Rai (splénomégalie), diagnostiquée le 18.10.2019 • hémogramme au diagnostic : Hb = 139 g/l, GB = 23.4 G/l (PMN = 13.5%, mono = 2.5%, lympho = 65.5%, cellules écrasées = 15.5%), Tc = 154 G/l • cytométrie en flux du sang périphérique du 18.10.2019 : présence d'une population B-monoclonale kappa, CD5+, CD20+, CD23+, CD43-, CD79b+, CD22(+), CD81+, FMC7+, CD200(+), CD38-, d'immunophénotype compatible avec une LLC atypique (expression renforcée de CD20, CD79b et FMC7), représentant 64.9% des cellules nucléées • CT scan thoracique du 14.02.2020 : processus expansif postéro-apical droit de 2.5 cm et masse hilaire polylobée droite de 3 cm de diamètre en correspondant à un probable paquet d'adénopathies (refus d'exploration de cette masse pulmonaire par le patient) • CT scan abdomino-pelvien du 25.02.2020 : splénomégalie mesurant 25 cm en antéro-postérieur • Cytogénétique du sang périphérique du 12.03.2020 (CHUV) : absence de la délétion 17p13.1 (gène TP53) en FISH interphasique.NGS du sang périphérique du 12.03.2020 (CHUV) : absence de mutation au niveau du gène TP53. • 1er cycle de type chlorambucil (7 mg/m2/j, soit 14 mg/j p.o. J1-J10) et Prednisone (100 mg/j p.o. J1-J5 et 25 mg/j p.o. J6-J10) le 13.03.2020 (car volumineuse splénomégalie symptomatique) • Situation actuelle : disparition de la lymphocytose absolue dès le 06.04.2020 et régression importante de la splénomégalie à 16 cm au CT du 23.04.2020 Néoplasies endocriniennes multiples de type 1 (MEN-1) diagnostiquées à l'âge de 17 ans (1990) suivi par le Dr. X • 12/1990 (Berne) : résection trans-sphénoïdale d'un prolactinome avec insuffisance gonadotrope substituée, hyperprolactinémie fonctionnelle traitée par Cabergoline, bilan hypophysaire 03.07.2017 : PRL dans la norme, déficit en GH non substitué • 02/1992 : résection d'un insulinome par pancréatectomie caudale avec préservation de la rate • parathyroïdectomie subtotale : 3 glandes avec implantation 1/3 dans l'avant-bras gauche • 2000 : syndrome de Zollinger Ellison sur gastrinome duodéno-pancréatique malin • 2007 : duodéno-pancréatectomie totale pour gastrinome métastatique avec diabète pancréatique insulino-traité • Status post-fuite post-opératoire de l'anastomose bilio-digestive • status post-iléus mécanique jéjunal sur adhésion (2014) • 09/2014 CT abdominal : métastases ganglionnaires mésentériques et rétro-péritonéales • 08.09.2014 : iléus mécanique jéjunale probablement sur adhésion • 2015 : 3 cures de Lu-DOTOTOC à Bâle • 09/2019 : cryo-ablation d'une métastase péritonéale Carcinoïde typique du lobe inférieur droit classé pT1a (0.5 cm) pN0 M0, de stade IA • 11.10.2017 : lobectomie inférieure thoracique droite avec curage ganglionnaire par thoracoscopie Néovessie (Duke Pouch - poche iléo-colique) en fosse iliaque droite à cause d'infections urinaires à répétition en avril 2018 Infections urinaires à répétition, la dernière en date 15.01.2020 • scintigraphie rénale dynamique 20.12.2018 (bilan 6 mois post-cystoplastie) Bypass gastrique le 31.08.2016 Syndrome restrictif pulmonaire sous CPAP avant perte de poids suite au bypass (Dr. X) Obésité morbide BMI 49.6 kg/m2 Tabac 30 UPA sevré en 2000 Gastrite antrale érosive 2015. Néphrolithiase à la jonction pyélo-urétérale droite de 12 mm : • avec minime dilatation pyélocalicielle Néphrolithiase gauche le 11.05.2020 Néphrologie • Contrôle clinique et laboratoire le 15.05.2020 chez vous avec paramètres de la fonction rénale et électrolytes. • Selon évolution, discuter une réintroduction du traitement antihypertenseur par ICE/ARAII indiqué dans le cadre de la cardiopathie ischémique et potentiellement néphroprotecteur. • Si signes de surcharge discuter un traitement diurétique • Prière d'adresser Mr. Y pour une consultation de suivi chez le Dr. X, néphrologue à Payerne. Cardiologie • Double antiagrégation indiquée par ASS à vie et Ticagrelor pendant 1 an. Statine au long cours et surveillance des FRCV. • Contrôle clinique avec ETT chez les cardiologues au HFR Fribourg le 25.05.2020 à 13.00 heures. Au cours de cette consultation et au vu de la cardiopathie ischémique sévère pourra être discutée à plus long terme une double antiagrégation au long cours (par ex. ar ASS+Effient ou Ticagrelor à dose réduite) ORL/oncologie • Mr. Y sera convoqué par Dr. X pour la prise en charge du nodule pulmonaire. Double antiagrégation indiquée pour 1 an et au moins pendant 3 mois puis en discussion avec les cardiologues évaluer la suspension de la double agrégation pour réaliser une segmentectomie pulmonaire. • Mr. Y sera convoqué par Dr. X pour un contrôle ORL et la prise en charge de la prothèse phonatrice. Néphropathie diabétique et probable néphrite interstitielle chronique au stade terminal, dialysée depuis 02/2017 • reflux vésico-urétéral bilatéral de grade 4 à gauche et 1 à droite • diurèse résiduelle 800 ml / 24h • cathéter central permanent droit le 01.06.2017 Complications : • crises d'épilepsies sur dialyse, mise sous Levetiracetam • suivi par Dr. X Néphropathie induite par COVID-19 avec protéinurie et hypoalbuminémie le 23.04.2020 Néphropathie induite par COVID-19 le 15.04.2020 avec : • protéinurie, hypoprotéinémie, hypoalbuminémie Néphropathie sévère cortico-sensible probablement vasculite des petits calibres ANCA négatif Néphro-urétéro-pyélonéphrite bilatérale chronique avec insuffisance rénale terminale dialysée depuis 2017 suivi par le Dr. X • Résection transurétrale de la prostate pour hypertrophie prostatique obstructive 2011 • Résection d'une sténose du col pour obstruction récidivante en 05/2015 Néphro-urétéro-pyélonéphrite chronique bilatérale • résection transurétrale de la prostate pour hypertrophie prostatique obstructive 2011 • résection d'une sténose du col pour obstruction récidivante en 05/2015 • sonde vésicale à demeure Nettoyage au NaCl 0,9% Débridement. Aquacel, Adaptic. Contrôle dans 48h. Nettoyage au NaCl 0,9% Pansement avec Aquacel laissé en place et mise en place d'Adaptic et Ialugen sur la moitié médiale. Contrôle dans 48h. Nettoyage au NaCl 0,9% Pansement avec Aquacel sur phlyctène débridé et Ialugen. Contrôle dans 48h. Nettoyage avec NaCl 0,9%, désinfection avec Hibidil, colle Dermabond. Nettoyage avec NaCl 0,9%, désinfection avec Hibidil, colle Dermabond. Nettoyage avec NaCl 0,9% et désinfection avec Hibidil. Pansement. Nettoyage avec NaCl 0,9% et désinfection, pansement. Nettoyage avec NaCl 0,9% et désinfection, pansement. Aucune plainte durant la prise en charge. Nettoyage de la plaie par du sérum physiologique Surveillance clinique Antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2 IV 3x/jour Relais par Co-Amoxicilline per os 1gr x3/jour dès le 21.05.2020 Nettoyage des plaies, pansement, rappel tétanos aux urgences. Radiographie avant bras/coude gauche : pas de fracture ou luxation. Nettoyage des plaies, pansements. Radiographie du genou gauche : pas de fracture ou luxation. Nettoyage des plaies. Au vu de la bonne évolution clinique, retour à domicile avec Bepanthène Plus. Suivi ergothérapeutique organisé par Mr. Y. Nettoyage, désinfection, bandage. Nettoyage, désinfection, colle Dermabond, steristrip. Nettoyage, désinfection, colle Dermabond, steristrip. Nettoyage, désinfection, 3x steri-strip. Anti-tétanique IM. Attitude : Contrôle lundi 11.05.20 à la Clinique Générale. Nettoyage et désinfection de la plaie, Steristrip. Nettoyage et désinfection de la plaie, Steristrip. Nettoyage et pansement simple. Nettoyage NaCl Pansement Adaptic et Ialugel Contrôle clinique aux urgences dans 24 h. Nettoyage yeux avec NaCl et gouttes opht Euphresia durant 48 heures, si pas d'amélioration ou péjoration revoir le pédiatre. Consigne de reconsulter si péjoration clinique (fièvre, altération état général, vomissement). Nettoyage yeux avec NaCl Gouttes ophtalmiques Euphresia Neurapraxie du nerf axillaire suite à la luxation de l'épaule. Neuro : Rendez-vous à 3 mois chez Dr. X IRM en ambulatoire Gastro-colonoscopie à distance Neuroborréliose centrale le 18.04.20 Neurofibromatose type I (Morbus von Recklinghausen) Cardiopathie dilatative d'origine ischémique : • 16.05.2014 status post-reconstruction de la valve mitrale (annuloplastie avec Logix 30 mm) et quadruple pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA, Vx/CD, Vx/Cx-D1) (Dr. X) • pacemaker de resynchronisation et défibrillateur automatique bicaméral (Paradym RESon R CRT-D, en mode DDDR 50-120) en prévention primaire le 22.12.2014, mise en place sous pectoral pour douleurs le 25.06.2015 (Dr. X, HFR Fribourg) • Coronarographie 07/17 (Prof X): L'examen invasif du jour met en évidence des ponts perméables depuis l'opération à cœur ouvert en 2014. L'AMIG sur l'IVA, le pont sur la RCA ainsi que le pont saphène sur la CX et la 1ère diagonale montrent des flux excellents. Par contre la fraction d'éjection ventriculaire gauche est effondrée à EF 25% et les pressions télédiastoliques sont à la limite supérieure de la norme. Maladie de reflux avec hernie hiatale de 7 cm le 07.03.2016 • Métaplasie gastrique de la muqueuse duodénale avec inflammation aiguë minime • Gastroscopie ambulatoire du 13.11.2018 (Dr. X): Upside-down stomach sur grande hernie hiatale. Gastrite chronique possible. Hypertension artérielle Ostéoporose traitée avec Alendron et Oleovit D3 (depuis l'âge de 20 ans), avec lombalgies chroniques sous Fentanyl. Neuromonitoring peropératoire Fixation L1-L5 par 4 vis 6x50 et 2 vis 6x55 type Viper et 4 vis de l'ancienne spondylodèse type Viper fixée par 2 tiges de 110 mm. Décompression L3-L4 type undercutting par la gauche. Discectomie et TLIF par 3 cages TLIX Nuvasive L2-L3, L3-L4 et L4-L5 (8 mm en L2, 10 mm en L3-L4, L4-L5), avec correction de la lordose lombaire. Fusion postéro-latérale par 10 morceaux de Cerasorb. Neuropathie diabétique avec suivi en podologie à Fribourg • pré-ulcère du 1er métatarsien gauche Neuropathie fémorale axonale sévère G sur status post implantation de PTH G par voie antérieure avec acétabuloplastie le 07.11.2019 pour une coxarthrose bilatérale plus symptomatique à G qu'à D. Neuropathie optique aiguë bilatérale avec œdème papillaire (Dr X - Hôpital Jules Gonin Lausanne) s/p FA dans le contexte inflammatoire en février 2012, cardioversée par Cordarone et anticoagulée 3 mois. Neuropathie sévère dans le cadre d'une maladie de Charcot-Marie-Tooth. Adénocarcinome de la prostate cT2 Nx Mx G2 (PSA 3,2; Gleason 6) avec prostatectomie radicale par le Dr. X le 06.11.2013 (fuite de l'anastomose urétro-vésicale le 07.11.2013 avec reprise au bloc opératoire). Neuropathie ulnaire gauche le 27.04.2020 d'origine probablement compressive post-opératoire. • ENMG le 28.04.2020: neuropathie focale démyélinisante au passage du coude. AVC ischémique sylvien droit ancien, non daté d'origine artério-artérielle sur sténose subocclusive de l'artère carotide interne droite (90%). AVC ischémique aigu sylvien gauche d'origine artério-artérielle le 15.04.2020 sur athéromatose sténosante de la carotide interne gauche (75%). • Symptomatologie: Dysarthrie, aphasie, hémiparésie facio-brachio-crural droite • Lyse intraveineuse le 15.04.2020 à 12h50 • NIHSS à l'entrée (CHUV): 5 points, NIHSS post-lyse: 2 points, NIHSS à la sortie: 1 point • MIF: 126/126 • Hospitalisation au CHUV du 15.04.2020 au 21.04.2020 puis en stroke unit non monitoré du 21.04.2020 au 29.04.2020, date de son transfert en neuro-réadaptation intensive à Meyriez. • Stenting de la carotide interne gauche le 17.04.2020 • Double antiagrégation par Aspirine 100 mg/j et Clopidogrel 75 mg/j du 17.04.2020 au 03.07.2020 • Introduction Atorvastatine 80 mg/j • Angio-IRM le 15.04.2020 (CHUV) • CT cérébrale le 16.04.2020 (CHUV) • Bilan neurosonologique le 16.04.2020 et 20.04.2020 (CHUV) • Echocardiographie transthoracique avec test aux microbulles le 16.04.2020 • FRCV: Tabagisme actif, hypercholestérolémie • Contrôle neurovasculaire avec bilan neurosonologique le 14.08.2020 à 16h15 • Clinique à l'entrée: hémi-syndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural non proportionnel (motricité atteinte uniquement au niveau du membre supérieur droit) avec légère aphasie de production, troubles de l'attention et troubles mnésiques antérogrades. Cicatrisation vicieuse post lésion périnéale et scrotale accidentelle avec lésion de l'urètre spongieux le 19.02.2020, avec douleur à caractère neuropathique et dysfonction sexuelle. • CT abdomino-pelvien le 19.02.2020 • Urétrographie mictionnelle le 19.02.2020 • Révision des plaies, drainage, rinçage, suture de l'urètre et pose de sonde vésicale le 20.02.2020 • Antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole du 19.09.2020 au 24.02.2020 • Prégabaline 50 mg 2x/j dès le 05.05.2020 • Suivi par Dr. X Suspicion d'un trouble anxieux avec composante réactionnelle (diagnostic principal et diagnostic supplémentaire 2 + contexte socio-professionnel) avec céphalées de tension. Neuropathie ulnaire sensitivomotrice coude G après : • status post neurolyse du nerf cubital et transposition antérieure avec ablation plaque médiale de l'humérus distal à G le 05.03.2020 pour : Irritation modérée du nerf cubital coude G sur : • Status post OS de l'humérus distal à G en 2004. Neuropraxie de la racine L3 bilatérale sur : • canal spinal constitutionnel avec rétrécissement foraminal • traumatisme au bas du dos sur chute à ski fin décembre. Neurorehabilitation Neuroréhabilitation intensive après syndrome de Guillan-Barré. Neuroréhabilitation intensive avec de la physiothérapie et de l'ergothérapie HADS (2/21 pour l'anxiété, 3/21 pour la dépression) Physiothérapie en ambulatoire. Neuroréhabilitation intensive avec ergothérapie, physiothérapie, logopédie et neuropsychologie. • ANA, ANCA (23.03.2020): négatif. • Bilan anti-phospholipide (23.03.2020): lupus anticoagulant, cardiolipines anti-IgG et IgM, beta 2-glyco protéine I IgG et IgM négatif • Sérologie Syphilis, dépistage HIV (23.03.2020): négatif • C3, C4 (01.04.2020): dans la norme. • Albuminurie, protéinurie (01.04.2020): dans la norme. • CT thoraco-abdominal (31.03.2020): pas d'argument pour une tumeur ou de sarcoïdose. Contrôle neuropsychologique à Billens le 11.08.2020 à 13h Consultation neurovasculaire de contrôle chez Dr. X en service de neurologie, HFR-Fribourg le 24.06.2020 à 14h30 Consultation en Neurologie Dr X à l'HFR Meyriez dans 6 mois (Patient sera convoqué).Contre-indication à la conduite. Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie et nutrition clinique Échelle HAD: Anxiété 7/21, Dépression 2/21. Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie, logopédie et neuropsychologie. CT cérébral natif pré-op (20.04.20): pas de nouveau saignement, oedème stationnaire. Hospitalisation en neurochirurgie de l'Inselspital le 28.04.20 pour la réinsertion de la calotte crânienne le 29.04.20 avec un retour prévu en neuroréadaptation le 01.05.20. Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie, logopédie et neuropsychologie. Bilan neuropsychologique: éviter les longs trajets en voiture pour le premier mois. Physiothérapie ambulatoire. Régime normal. Contrôle chez Dr. X à l'HFR-Meyriez à 6 mois (Mr. Y sera convoqué). Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie, logopédie et neuropsychologie. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Pas de conduite jusqu'à fin du mois de mai 2020. Bilan lipidique et des transaminases avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) au prochain contrôle chez le MT. Ergothérapie en ambulatoire. Contrôle neurologique chez Dr. X dans 3 mois (Mr. Y sera convoqué). Contrôle neurovasculaire avec bilan neurosonologique le 14.08.2020 à 16h15. Suivi du stent carotidien avec consultation et angio-CT à 1 an par Dr. X au CHUV, Mr. Y sera convoqué. Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie, logopédie et neuropsychologie. Sérologies Anti-HEV IgM et Anti-HEV IgG (03.04.20): positifs. PCR HEV (03.04.20): négatif. Cryoglobulines (07.04.20): négatifs. Fait partie de l'étude IGOS-nerves. ENMG de contrôle & consultation Dr. X à Fribourg le 02.06.20 à 9h. Physiothérapie et ergothérapie en ambulatoire. Contre-indication à la conduite. Neuroréhabilitation intensive avec physiothérapie, ergothérapie, neuropsychologie et nutrition clinique. Journal Parkinson. Adaptation du traitement par Stalevo et Madopar DR le 15.05.2020. Neuroréhabilitation intensive multidisciplinaire avec ergothérapie, physiothérapie, neuropsychologie, logopédie et nutritionnelle. Neuroréhabilitation intensive. • Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. • Bilan lipidique et des transaminases mi-mai 2020 avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.4 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). • Pas de conduite jusqu'au prochain contrôle ophtalmologique chez Dr. X le 20.08.20 à 15.00 heures (RDV en mai 2020 est annulé). • Consultation neurovasculaire le 12.08.2020 à 14h30. Neuroréhabilitation intensive. Physiothérapie respiratoire. ENMG au service de neurologie le 15.05.20 à 15:30. Neuroréhabilitation multidisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie, neuropsychologie et suivi nutritionnel. • Appel Dr. X 06.05.2020: pas de corticoïde, pas de chimiothérapie, ni de radiothérapie pour le moment, d'accord pour les soins palliatifs, la recontacter dans deux semaines par les soins palliatifs. • Vu le mauvais pronostic et l'état clinique de Mr. Y en péjoration, arrêt de la réhabilitation, transfert en réhabilitation aux soins palliatifs de Meyriez le 20.05.2020. • Réévaluation d'un bilan ophtalmologique. Neuroréhabilitation multidisciplinaire intensive avec physiothérapie, ergothérapie, neuropsychologie et logopédie. Seresta depuis le 09.04.20 puis schéma dégressif jusqu'au 15.04.20. Rivotril 0.25mg dès le 16.04.20 et 0.25mg en réserve. Laboratoire (20.04.20): cuivre 14.2 mcmol/l (N:11.0-22.0), céruloplasmine: 0.22 g/l (0.15-0.30). Récolte cuivre urinaire (20.04.20): quantité n'est pas suffisante, collecte sur 8h et pas sur 24h, 0.89 umol/L. La quantité du LCR n'est pas suffisante pour pratiquer le dosage de protéine 14-3-3, A-Beta 42, Tau et Phospho-Tau. Rapport albumine LCR/sérum augmenté à 0.013 (N: ~ 0.0045), parlant en faveur d'une démence à corps de Lewy. Imagerie par DAT scan le 09.06.20 au service de médecine nucléaire à l'HFR-Fribourg : recherche de démence à corps à Lewy (Mr. Y sera contacté pour l'heure). Suivi psychologique : Mr. Y sera convoqué en ambulatoire par Dr. X. Consultation neuropsychologique à l'HFR-Meyriez dans 3 mois (Mr. Y sera convoqué). Consultation neurologique chez Dr. X à l'HFR-Meyriez (Mr. Y sera convoqué). Suivi neurologique à l'HFR Fribourg chez Dr. X et Dr. X le 29.10.2020 à 8h30. Physiothérapie et ergothérapie en ambulatoire. Neuroréhabilitation multidisciplinaire intensive avec physiothérapie, ergothérapie, neuropsychologie et suivi nutritionnel. • IRM cérébral prévu le 28.05.20 à 12h au CHUV, consultation infirmière 13h30, visite médicale 15h, visite radio-oncologique (Dr. X) 16h30 pour définir la suite du traitement. Neuroréhabilitation multidisciplinaire intensive avec physiothérapie, ergothérapie, neuropsychologie et logopédie. Échelle HAD: Dépression 1/21, Anxiété 4/21. Medical Research Council Sum Score à l'entrée: 36/60. Medical Research Council Sum Score à la sortie: 48/60. Physiothérapie ambulatoire. CMS 1x/semaine avec prise des paramètres vitaux et semainier. Neuroréhabilitation pluridisciplinaire intensive avec physiothérapie, ergothérapie, logopédie et neuropsychologie. Bilan hépatique et rénal (09.04.20): dans la norme. Méthotrexate 25 mg/semaine en sous-cutané dès le 14.04.20 en suspens depuis le 04.05.20. Acide folique 5 mg/semaine dès le 15.04.20 en suspens depuis le 04.05.20. Bilan hépatique et rénal (03.05.20): dans la norme. Neuroréhabilitation pluridisciplinaire intensive avec physiothérapie, ergothérapie, logopédie et neuropsychologie. Bilan hépatique et rénal (09.04.20): dans la norme. Méthotrexate 25 mg/semaine en sous-cutané dès le 14.04.2020. Acide folique 5 mg/semaine dès le 15.04.2020. Bilan hépatique et rénal (23.04.20): XXXX. To do: fonction hépatique, rénale 1x toutes les 2 semaines. Neurotoxicité à la morphine avec myoclonies le 22.05.2020. Neurotoxicité à la morphine, le 21.05.2020. Neutropénie le 31.03.2020 (Leuco 2.5 G/l, neutrophiles 1.77 G/l): • en premier lieu secondaire à une infiltration diffuse de la moelle osseuse par les métastases avec radiothérapie surajoutée. Neutropénie le 31.03.2020 (Leuco 2.5 G/l, neutrophiles 1.77 G/l): • en premier lieu secondaire à une infiltration diffuse de la moelle osseuse par les métastases avec radiothérapie surajoutée. Anémie macrocytaire hypochrome à 90 g/l le 25.03.2020. Plaie fibrineuse à la hanche droite le 29.03.2020: • brûlure à domicile. État subfébrile le 23.03.2020. Frottis Covid-19 le 23.03.2020: négatif. Constipation sur traitement opioïde le 16.03.2020. Possible décompensation de BPCO le 14.03.2020 dans un contexte de décompensation cardiaque. Prothèse totale de hanche à gauche et ostéophytectomie le long du bord antérieur sur coxarthrose, le 05.02.2014. Syndrome de Takotsubo le 28.11.2008 (DRS, mouvement des trops, akinésie apicale, coronaires saines). Prothèse totale de hanche à droite sur coxarthrose le 26.11.2008 (Dr. X). Appendicectomie en 1970. Opération de la cataracte des deux côtés. Zona. Neutropénie légère. Névralgie intercostale. Névralgie intercostale gauche. Névralgie V1 D due à l'infiltration tumorale connue depuis janvier 2020. Névralgies cervico-brachiales de C2-C3-C4 non déficitaires le 29.05.2020. Névrite optique dans le contexte de la sclérose en plaques. • DD: pseudo-poussée sur phénomène d'Uhthoff. Carence vitaminique en folate et vitamine D. Névrite optique en 2005, 2008, 2009, 2010 et septembre 2013. Thyrotoxicose en post-partum.Névrite optique rétrobulbaire gauche en cours d'investigation le 07.05.2020. DD NMO, syndrome clinique isolé, vasculite/autoimmun, infectieux, carentiel, endocrinologique. • IRM cérébrale 07.05.2020 : prise de contraste nerf optique gauche. • Avis ophtalmologique • Avis neurologique (Dr. X). Névrite optique rétrobulbaire gauche sévère, le 07.05.2020. • Consultation infirmière. Névrite rétrobulbaire G le 18.03.2016. Kystectomie ovarienne G par laparoscopie le 16.06.2011. AVB par forceps en 1991. Prothèses mammaires en 2006. • Capsulite post-implantation de prothèses mammaires (PIP) en 2006. • Capsulotomie + excision partielle et ré-implantation de prothèses mammaires le 04.11.2014. APP dans l'enfance. Discopathie protrusive avec sténose foraminale C6-C7 28.05.2018. Névrite vestibulaire gauche le 21.05.2016. Fracture de la malléole externe G type Weber B et fragment du Wagstaff le 14.11.2018. Réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole latérale G par plaque tiers tube LCP 3,5 4 trous et ostéosuture du fragment Wagstaffe au Vicryl 1. Névrome supra-claviculaire G, sur status post ostéosynthèse de la clavicule G par plaque MIPO le 09.01.18 sur fracture plurifragmentaire déplacée de la clavicule G du 07.01.2018. Nexium 2x40 mg en intra-veineux. Sang occulte selles : positif. Nexium 40 mg 1x/j pendant 1 mois. Echographie abdominale prévue par le médecin traitant le 03.06.2020. Prochain contrôle clinique à effectuer chez le médecin traitant la semaine prochaine. Proposition d'effectuer une gastroscopie en ambulatoire en cas de persistance des symptômes. Nhil. Nhil. Tabagisme. NHISS : 0. Examen neurologique complet. Nicardipine du 07.05. au 10.05.2020. Lisinopril dès le 10.05.2020. Amlodipine dès le 11.05.2020. Torasemide. Minoxidil dès le 11.05.2020. Nifédipine retard 20 mg aux urgences. Proposition d'un suivi tensionnel chez le médecin traitant. Nifédipine retard 20 mg per os en ordre unique. Poursuite du traitement habituel sans reprise du Périndopril, vu un profil tensionnel dans la norme durant l'hospitalisation. Nifédipine retard 20 mg PO aux urgences avec normalisation des valeurs. Traitement antihypertenseur à réévaluer selon profil tensionnel (Aprovel en réserve à la maison ?, patiente toujours avec TA haute). Nifédipine retard 20mg po. Nifédipine retard 20mg po. Nifédipine 20 mg au service des urgences. Poursuite IEC. Amlodipine dès le 07.05.2020. Nifédipine 20 mg en ordre unique le 25.04.2020. Majoration du traitement antihypertenseur par Losartan 150 mg par jour dès le 25.04.2020. Nifédipine 20 mg en OU. Lisinopril 10 mg en OU. Résolution des céphalées, pas de troubles neurologiques. Retour à domicile avec : • Lisinopril 10 mg 1x/jour. • organiser un Remler en ambulatoire. Nifédipine 20 mg retard le 23.04 et 24.04.2020. Amlodipine dès le 25.04 au 06.05.2020. Nifédipine 20mg aux urgences. Adaptation médicamenteuse à prévoir. Nifédipine 20mg po. Attitude : • explication à la patiente quant à l'importance de prendre son traitement. Pas de majoration thérapeutique au vu de l'absence de prise de Lisitril ce jour. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil. nihil. Nihil. Retour à domicile. Nihil Acutisation lombalgies chroniques non déficitaires • IRM en ambulatoire le 10.12.2019 (CIF): résultats à voir sur www.groupe3r.ch code d'accès 6A9G00UL Examen clinique Attitude • Au vu d'un examen clinique rassurant, nous renvoyons Mr. Y à domicile avec antalgie adéquate • Instructions des symptômes nécessitant une consultation en urgence • Si péjoration des douleurs, évaluer hospitalisation pour antalgie et avis neurochirurgie • Mr. Y instruit de ne pas conduire après la prise de Mydocalm • Suite de la prise en charge chez le médecin traitant: si persistance des douleurs évaluer une consultation spécialiséeNihil Acutisation lombalgies chroniques non déficitaires • IRM en ambulatoire le 10.12.2019 (CIF) : résultats à voir sur www.groupe3r.ch code d'accès 6A9G00UL Examen clinique Attitude • Au vu d'un examen clinique rassurant, nous renvoyons Mr. Y à domicile avec une antalgie adéquate • Instructions des symptômes nécessitant une consultation en urgence • Si péjoration des douleurs, évaluer hospitalisation pour antalgie et avis neurochirurgie • Mr. Y instruit de ne pas conduire après la prise de Mydocalm • Suite de prise en charge chez le médecin traitant : si persistance des douleurs évaluer une consultation spécialisée Nihil Colique néphrétique D sur calcul pyélo-urétéral. Uro CT Antalgie, Filtre à urines, Pradif RDV chez Dr. X urologue à Fribourg Nihil. Contusion costale latéro-dorsale à droite avec dermabrasion. Nihil. Contusion pied droit. Nihil Contusion tiers proximal jambe droite le 19.12.2017 Examen clinique. Rx-jambe droite Cannes anglaises avec marche en charge selon douleurs Antalgie standard. Contrôle auprès du médecin traitant à 48h. Si syndrome de loge reconsulter les urgences. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée Nihil Entorse du Chopart du pied gauche Anamnèse : multiples entorses de la cheville depuis 2 semaines au foot Status : testing du Chopart reproduit les douleurs, charge impossible Rx : pas de fracture visualisée Atelle jambière post Pas de clexane car absence de poils pubiens Prochain contrôle dans une semaine à la poli d'ortho Entorse du LLE de stade 1 de la cheville gauche Antalgie simple Rx : pas de fractures visualisées Suivi clinique concomitant à l'entorse du Chopart Nihil pas de traitement habituel Nihil pas d'antécédents de chirurgie abdominal Nihil. Médicaux : Intolérance au lactose. Nihil Pharyngite à streptocoque. Streptotest positif. Amoxicilline 750 mg 3x/j durant 7 jours. Infection des voies respiratoires supérieures. Traitement symptomatique. Nihil Tabagisme actif NIHSS : 0 ECG Test de Schellong du 23.04.2020 : négatif Tests de la cognition du 27.04.2020 : MMSE à 21/30 et test de la montre à 4/7 ; GDS à 4/15 Physiothérapie Ergothérapie Introduction Betaserc 8 mg 2x/jour, dès le 24.04.2020 Nihil Mr. Y est hospitalisé pour une dermo-hypodermite sur morsure de chat. Sur le plan infectieux, le bilan clinique et biologique d'entrée montre un discret syndrome inflammatoire, les hémocultures sont négatives. Nous administrons une antibiothérapie intraveineuse par co-amoxiciline (200 mg/KG/jour en 4 doses) du 13.05 au 15.05, avec relais per os dès le 15.05 par co-amoxiciline (60 mg/KG/jour en 2 doses) pour une durée totale de 10 jours, vu la bonne évolution clinique. Nous proposons un contrôle clinique à votre consultation 5 jours après la sortie et expliquons à Mr. Y et sa maman les signes qui doivent les faire reconsulter avant. Nitrofurantoïne du 30.04.2020 au 04.05.2020 100 mg 2x/j. Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j durant 5 jours. Premier comprimé donné aux urgences Explication du diagnostic et recommandations d'usage Nitrofurantoïne 5 jours Nitroglycérine du 06.05 au 07.05.2020 Adalat retard le 07.05.2020 Reprise progressive du traitement anti-hypertenseur habituel par Torasemide, Coversum, Amlodipine et Aldactone Nitroglycérine intraveineuse le 28.04.2020 Echocardiographie transthoracique le 30.04.2020 Coronarographie le 04.05.2020 (Dr. X) : angioplastie et 1 stent actif dans la première marginale Clopidogrel pour 1 mois Aspirine pour 4 mois Apixaban à vie au vu FA Nitroglycérine i.v. le 28.04.2020 Aspirine à vie et Clopidogrel dès le 04.05.2020 (3-6 mois) Echocardiographie transthoracique le 30.04.2020 Coronarographie le 04.05.2020 (Dr. X) : angioplastie et 1 stent actif dans la première marginale Nitroglycérine i.v. 29.04-30.04.2020 IEC, BB, Amlodipine dès le 30.04.2020 Nitroglycérine i.v. Ventilation non invasive Cathéter artériel radial droit du 27.05 au 29.05.2020 Nitrokaps avec bon effet Nifedipine 20 mg Attitude • Rapatrier bilan effectué par médecin traitant • Évaluer bilan étiologique hypertension artérielle secondaire Nizoral crème 2 fois par jour Nizoral shampoing 2 fois par semaine NN à terme par AVB s/p SDR néonatale NN à 40 2/7 SA, PN 3710 gr bonne santé habituelle NNT bonne adaptation néonatale NNT par voie basse, PN 3630 g, période sp. Régurgitations Nodule atrophique de la fesse droite d'allure chronique le 20.05.2020 • avec PTH gauche par Prof. X prévue début ou mi-juin 2020 Nodule de 12 mm de l'isthme thyroïdien non caractérisable Nodule du sein gauche de 1 cm avec adénopathie suspecte le 10.04.2015 : déjà ponctionné et bénin selon patiente, consultations gynécologiques régulières. Nodule thyroïdien gauche (3 cm de diamètre) avec histologie le 28.08.2015 (Promed-P7478.15) : micro-carcinome papillaire thyroïdien (diamètre maximal 2 mm), de type folliculaire, encapsulé, dans la région du pôle inférieur du lobe droit stade pT1a R0. Hyperplasie nodulaire (diamètre max 2,4 cm) du parenchyme thyroïdien, essentiellement micro-folliculaire, avec importants accidents évolutifs, minuscule fragment (mesurant 1,5 mm) de parenchyme parathyroïdien, adjacent au pôle inférieur du lobe thyroïdien gauche Cytologie : néoplasie à cellules de Hürthle suivie en endocrinologie (Dr. X). Opération thyroïdectomie totale bilatérale (Prof. X) le 26.08.2015. Nodule hétérogène du lobe thyroïdien gauche mesurant (20 x 18 mm) au CT du 05.01.2020 Nodule lobaire inférieur gauche de 9 mm et nodule lingulaire supérieur de 5 mm le 25.04.2020 Nodule post-traumatique d'environ 1 cm de diamètre en regard de P1-D2 face dorsale de la main droite le 25.05.2020. DD : malformation artério-veineuse, granulome. Nodule pulmonaire à centre hypodense du lobe inférieur droit 13.08.2016 (découverte fortuite) • 16.08.2016 et 24.08.2016 CT-thoracique • CT de contrôle prévu 1 mois après Lombalgies le 16.08.2016 Nodule pulmonaire à l'apex pulmonaire droit • DD dans le cadre du NET • FR : > 40 UPA Nodule pulmonaire base poumon droit de découverte fortuite en mai 2017, sans suivi nécessaire. Status post appendicectomie en 2009 Nodule pulmonaire dans le lobe supérieur G diagnostiqué le 20.02.2020 • Tumor Nodule bénin d'origine mixte au niveau du lobe inférieur G diagnostiqué le 26.01.2009 • s/p thoracotomie gauche avec résection wedge en 2009 Pneumonie abcédante du lobe supérieur D en 2004 Carcinome épidermoïde du lobe supérieur D cT2 cN2 cM0 diagnostiqué en 2004, traité par chimio- et radiothérapie Décompensation cardiaque le 29.12.2017 Épanchement péricardique d'origine indéterminée le 29.12.2017 Nodule pulmonaire de 5 mm au lobe moyen au CT thoracique du 27.09.2017 • CT thoracique - 05/2018 (Affidea) : pas de nodule décelé Vasectomie en 1997 Éthylisme chronique sevré en 1990 Amygdalectomie dans l'enfance Cœur pulmonaire le 07.11.2018 : • dilatation modérée et minime hypokinésie globale du VD avec fonction systolique du VD discrètement altérée (FAC 17 %, TAPSE 23 mm, DTI 12 cm/s)• hypertension pulmonaire importante avec PAPs à 70 mmHg • D-shaping systo-diastolique du septum interventriculaire avec mouvement paradoxal • FEVG 60 % et hypertrophie concentrique du ventricule gauche • Nodule pulmonaire de 7 mm, adénome surrénalien G de 3 cm de grand axe et calcification de l'aorte thoracique ascendante avec dilatation anévrismale à 5 cm de découverte fortuite le 14.01.2020 • CT thoracique le 14.01.2020 : nodule pulmonaire du lobe moyen de 7 mm à surveiller dans 3 à 6 mois. Nodule surrénalien à surveiller. • Nodule pulmonaire du lobe inférieur droit de 17 mm le 28.04.2020 DD métastase • Nodule pulmonaire spiculé de 9 mm du lobe inférieur droit • CT scan thoracique du 01.04.2020 • Nodule rond solide de 4 mm sous-pleural dans le lobe supérieur gauche le 08.05.2020 • Nodule sous-pleural du segment latéro-basal du lobe inférieur gauche de 8x7x6 mm • Associé à des adénopathies médiastinales en augmentation par rapport aux différents comparatifs • Dans un contexte d'adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit de stade IA, non résectable • status post-radiothérapie externe stéréotaxique en janvier 2016 • lésion pulmonaire avec prédominance interstitielle dans la lingula et la partie antérieure du segment antérieur du lobe supérieur droit • Pneumologue traitant : Dr. X à Montreux • Nodule sous-pleural, légèrement spiculé, du lobe inférieur droit et deux nodules granulomateux péritonéaux du flanc gauche : • mis en évidence au CT du 24.06.2019 • PET/CT le 27.06.2019 sans hypercaptation • présentation du cas au tumorboard au HFR le 03.07.2019 : actuellement pas d'indication à effectuer d'autres investigations. Pneumonie communautaire basale droite le 18.06.2019 : • sur pneumopathie interstitielle non spécifique (CT thoracique le 29.08.2016) Pneumonie bibasale le 29.06.2017 Pneumonie droite le 29.05.2017 Hyperkaliémie sévère à 7.8 mmol/L le 18.06.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 29.06.2017 avec acidose métabolique et hyperkaliémie Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 29.05.2017 avec acidose métabolique et hyperkaliémie Episodes de diarrhée du 24.06.2019 au 01.07.2019 post-antibiothérapie Cholécystectomie en 1995 Implantation de prothèse totale de hanche à droite en 2000 Acidose tubulaire rénale de type IV : • acidose métabolique à anion GAP non augmenté • Nephrotrans du 18.06.2019 au 08.07.2019 • contre-indication des IECs et des Sartans. Arrêt du Lisinopril • Nodule surrénalien gauche (20 mm) visible au CT du 05.01.2020 • Nodule thyroïdien droit de 26 x 16 mm de découverte fortuite chez un patient euthyroïdien • Nodule thyroïdien hypodense de 5 mm à gauche de découverte fortuite • patiente connue pour un antécédent de goître avec hyperthyroïdie traitée • symptôme : constipation sévère • Nodule thyroïdien. Exérèse d'un cancer cutané sous-mandibulaire gauche. Appendicectomie. Exérèse néoplasie vésicale en 2002. • Nodules hyperdenses du lobe thyroïdien droit le 03.05.2020 • Nodules sous-cutanés d'origine inconnue, développés en décembre 2019 • en cours d'investigation au CHUV (du 24.01 au 18.02.2020) • DD : sclérodermie de Buschke, fasciite de Schulmann, mucinose • St.p. infection cutanée à HSV1 en 2019 • ANA positif 1/320 homogène (AC1) Nucléolaire (AC9) • PET-CT 04.02.2020 : hypermétabolisme discret d'une infiltration tissulaire minime des tissus sous-cutanés prédominant au niveau des flancs, à rapprocher de la suspicion de syndrome de Schulman • biopsie profonde 03.02.2020 : compatible avec mucinose • biopsie profonde le 13.02.2020 : probable morphée profonde • Traitement : Prednisone 20 mg dès le 04.02.2020 en schéma dégressif dès le 18.02.2020 sur 6 semaines • Nodules thyroïdiens. Anémie ferriprive. Cancer du sein en 2013, en rémission, sous Tamoxifen. Mr. Y entre l'hôpital le 07.05.2020 pour une circoncision planifiée en ambulatoire. Comme l'intervention se révèle un peu plus compliquée que prévu, nous décidons de garder Mr. Y pour 48 heures à l'hôpital avec une sonde vésicale en place et des antibiotiques. Pendant l'hospitalisation, Mr. Y est toujours bien compensé au niveau des douleurs. Au vu de l'évolution favorable, nous retirons la sonde vésicale le 09.05.2020 et Mr. Y peut rentrer à la maison. Mme. Y est hospitalisée pour insuffisance respiratoire à 7 heures de vie. Sur le plan respiratoire, elle bénéficie d'un soutien par lunette d'O2 max à 0.5 l/min qui peut être stoppé le 12.05. Elle est eupnéique par la suite à l'air ambiant. Sur le plan infectiologique, le bilan sanguin réalisé à J1 montre une leucopénie à 3.9 G/l et une procalcitonine majorée à 44.5 ug/l ce qui est en faveur d'une infection néonatale précoce. Elle bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Amoxicilline/Gentamycine du 10.05 au 13.05. Les hémocultures reviennent négatives à 48 heures et les bilans sanguins réalisés le 13.05 montrent une résolution du syndrome inflammatoire ce qui permet l'arrêt de l'antibiothérapie. Elle reste stable sur le plan hémodynamique durant son séjour. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y peut rentrer à domicile le 15.05. noition de CA prostatique en cours de traitement sans précision Nombreux calculs des voies hépato-biliaires asymptomatiques (découverte au CT du 11.05.2020) Non traité Glycémie random correcte Suivi Non-anticoagulé vu antécédent d'hématome sous-dural Noradrénaline du 01.05 au 03.05 Noradrénaline du 11.05 au 13.05.2020 Ceftriaxone dès le 11.05.2020 (pendant 14 jours) Piperacilline/Tazobactam le 11.05.2020 Métronidazole du 11.05 au 12.05.2020 Clarithromycine le 11.05.2020 CT thoraco-abdominal injecté le 11.05.2020 Cathéter artériel radial droit du 11.05 au 13.05.2020 Noradrénaline du 14.04 au 19.04.2020 Vancomycine du 13.04 au 15.04.2020 Gentamycine le 15.04.2020 et le 17.04.2020 Caspofungine du 15.04 au 18.04.2020 Imipénème-Cilastatine du 13.04 au 18.04.2020 Céfépime du 18.04 au 20.04.2020 CT abdominal injecté le 15.04.2020 Noradrénaline du 18.04 au 19.04 Co-Amoxicilline iv du 18.04 au 19.04 Noradrénaline du 18.04 au 19.04.20 Co-Amoxicilline intraveineuse du 18.04 au 19.04.20 Noradrénaline du 23 au 25.01 et du 02 au 03.02.2020 Solucortef du 23.01. au 04.02.2020 Réanimation cardiopulmonaire courte (<2 min) le 23.01.2020 Noradrénaline i.v. du 18 au 19.05.2020 Cathéter artériel radial à droite du 18 au 19.05.2020 Noradrénaline iv du 18.05. au 19.05.2020 Cathéter artérielle radiale droite du 18.05. au 19.05.2020 Noradrénaline 04.05. au 05.05.2020 Solucortef du 04.05. au 06.05.2020 avec reprise Prednisone dès le 06.05.2020 Expansion volémique Albumine 20 mg le 07.05.2020 Rocéphine et Flagyl du 05.05. au 14.05. CT thoraco-abdominale 05.05.2020 Avis angiologique avec Duplex vaisseaux membres inférieurs (Dr. X) Avis chirurgical (Dr. X et Dr. X) Mme. Y est hospitalisée pour surveillance clinique et bilan dans un contexte de pleurs lors de l'alimentation ainsi que situation d'épuisement parental. Sur le plan digestif, nous poursuivons l'alimentation par Pregomin pepti en raison de la suspicion d'allergie aux protéines du lait de vache. La symptomatologie nous faisant également penser à un reflux gastro-oesophagien, nous introduisons un traitement par Nexium 1 mg/KG/jour dès le 14.05, avec bonne évolution au cours du séjour au niveau des épisodes de pleurs qui sont diminués. Comme convenu lors de notre entretien téléphonique du 15.05, nous proposons de maintenir le traitement par Nexium à domicile et d'effectuer un contrôle clinique à votre consultation à 5 jours. Les parents ont pu être rassurés sur les différents points d'inquiétude présentés et sont contents de l'évolution. Nous leur expliquons les critères de reconsultation médicale. Normalement, le vaccin de rappel DTP devrait être réalisé en 2021. Cependant devant l'état de rouille de la tige, nous décidons de répéter le vaccin ce jour. Le carnet de vaccination a été mis à jour pour Boostrix (Boostrix polio indisponible). Normalement sous Revlar selon Dr. X. Pas de traitement selon le patient, MT injoignable. Traitement de fond selon MT? Normochromes normozytäre Anämie: • Basalwerten entre 100-110 g/L Hémoglobine. Normolytoral. Normolytoral Antalgiques en réserve. Normolytoral sachets, 1 sachet dans 200ml d'eau, 3-4x/j. Dafalgan en alternance avec Algifor. Reconsulte si persistance/ péjoration des douleurs abdominales et/ou si diminution de l'état général. Note: La maman est repartie sans le certificat pour l'école. Elle me rappelle pour me donner son adresse e-mail pour que le certificat lui soit envoyé. Certificat transmis à notre secrétaire. Normolytoral 1 sachet dans 200ml d'eau 2-3x/j, 10-15 ml par 5-10 minutes. Dafalgan supp. 80mg, 1 suppositoire 4x/j max. (6 heures d'intervalle entre chaque dose). Dans l'attente de la réception des résultats du frottis naso-pharyngé SARS-CoV-2, certificat donné au papa (qui travaille dans un foyer pour personnes handicapées). Contrôle clinique chez vous le 18.05. dans le contexte de la consultation de contrôle des 6 mois. Normolytoral 50 ml/kg sur 4 heures. Fébrifuges en réserve. Normozytäre, hypochrome Anämie • Labor: Hémoglobine 125 g/l. Normozytäre normochrome Anämie avec 78 g/L Hb, a.e. Tumoranämie. Normozytäre normochrome Anämie. Labor (09.05.2020): Hb 87, Hkt 2.8, Ferritin normal, Vit B12 und Folsäure in der Norm. Normozytäre normochrome hyporegenerative Anämie am 27.03.2020 am ehesten bei Folsäuremangel • DD post-opératif DD dans le cadre de H. pylori-Gastritis • Z. n. H.pylori Gastritis avec seulement une thérapie partielle en raison d'une intolérance aux antibiotiques • Z. n. Transfusion de 2 EC le 31.03.2020 • Bilanz am 23.04.2020: Retikulozyten 62 G/l, LDH 378 U/l, Vit B12 514, Folsäure 2.3, Ferritin 442 • Okkultes Blut im Stuhl am 24.04.2020: positif • ad Folsäuresubstitution 5 mg/T ab dem 24.04.2020. Hiatushernie. Medikamentösanamnestisch obstruktive Lungenerkrankung unklarer Ätiologie • unter Flutiform. Lumbale Kompressionsfraktur L2 grade A1, am ehesten osteoporotisch, am 11.03.2020 • bekannte Osteoporose • CT LWS am 11.03.2020 (Hirslanden): Frische L2-Fraktur ohne Deviation • LWS Röntgen am 17.03.2020: stabile L2-Fraktur • Zustand nach Fraktur T12 Type A1.2 und Kyphoplastie mit Spine Jack medium (15.07.2014) sowie Zimentoplastie (08.08.2014). Osteoporose • 1999 - 2012: Biphosphonat-Therapie • 01/2015 - 01/2017: Teriparatid 20 µg/T • 13.02.2017: Einmalgabe Zoledronat 5 mg iv. • Behandelt durch Dr. X, letzte évaluierung am 05.02.2019 • Calcimagon, Vitamin D. Vitamin D Mangel • Erhöhung auf 16000 UI/ Woche bis am 17.05.2020, danach 6000 UI /Semaine. Notfallmässige Vorstellung am 18.05.2020 bei palpitations. Mme. Y a rapporté qu'elle était récemment consultée par Dr. X à propos de la plaie de son pied, lorsqu'elle a soudainement ressenti des palpitations et une forte dyspnée aux toilettes. Elle ressent de plus en plus de dyspnée durant la journée, ayant auparavant seulement dû utiliser l'oxygène la nuit. Elle a fréquemment des douleurs thoraciques depuis longtemps. Aucun toussotement, pas de fièvre, pas de douleurs abdominales, pas d'autres symptômes. Son poids est stable, pas d'accumulation d'eau dans les jambes. Elle n'a pas pris ses médicaments ce matin. 59-year-old patient in slightly reduced overall condition and obese nutritional status. Hypertension at 220/110 mmHg, normo- to tachycardic, afebrile, hypoxic. Kardio: Herzaktion normofrequent, rhythmisch. Herztöne rein, keine Herzgeräusche. Beinödeme nicht beurteilbar aufgrund von elastischen Binden. Pulmo: Allseits exspiratorisches Giemen, Knisterrasseln bibasal. Abdo: Bauchdecke weich, keine Klopf-/Druckdolenzen. Uro: Nierenlogen frei. Neuro: Patientin wach, allseits orientiert. Pupillen isokor, direkt und konsensuell reagibel. Ad Hauptdiagnose, Nebendiagnose 1 Laborchemisch, radiologisch und klinisch konnte eine kardiale Dekompensation oder eine ischämische Ursache der Beschwerden ausgeschlossen werden. Das EKG zeigte sich vergleichbar zu den Voruntersuchungen. Bei stark erhöhten Blutdruckwerten interpretierten wir die Beschwerden im cadre d'une situation de risque hypertensif. Nach Gabe von Lisinopril, Deponit und Beloc Zok besserte sich der Zustand der patientin bereits auf der Notfallstation. Nous avons initié un traitement avec Lisinopril, qui pourra être augmenté ensuite en ambulatoire. Dans le cadre d'une évaluation cardiologique préopératoire, Mme. Y se présentera en ambulatoire chez Dr. X le jour de la sortie. Ad Nebendiagnose 2 Laborchemisch zeigte sich ein Hämoglobin-Abfall seit der letzten Hospitalisation, weshalb wir ein Erythrozytenkonzentrat verabreichten. Ausserdem initiierten wir bei tiefen Folsäurewerten eine Substitution. Nous demandons un contrôle ambulatoire de la numération sanguine et éventuellement une nouvelle transfusion d'érythrocytes. Ad Nebendiagnose 3 Bei stark erniedrigtem Vitamin D und leicht reduziertem Calcium erhöhten wir die Vitamin D Substitution. Nous prions pour un contrôle ambulatoire et éventuellement un ajustement de la thérapie. Ad Nebendiagnose 4 Es zeigte sich eine Verschlechterung der bekannten Ulcera an den Unterschenkeln beidseits. La patiente avait déjà été vue avant l'hospitalisation par Dr. X et une prise en charge chirurgicale et un débridement au HFR Freiburg par Dr. X est prévu pour la semaine du 25.05.2020. Le prochain contrôle avec Dr. X pour un changement de bandage aura lieu le 22.05.2020. L'évaluation préopératoire par l'anesthésie se déroulera le 25.05.2020. Ad Nebendiagnose 5 Bei tiefem HbA1c haben wir im Rahmen der Komorbiditäten und des Hypoglykämierisikos die Therapie mit Insulin leicht reduziert. Nous demandons un contrôle ambulatoire de la glycémie. Ad Nebendiagnose 6 Keine Therapieänderung während der aktuellen Hospitalisation. Mme. Y hat einen Termin in der Sprechstunde von Dr. X am 27.05.2020 um 10.30 Uhr. Ad Nebendiagnosen 7-10 Keine Anpassung der Therapie während der aktuellen Hospitalisation. Wir konnten Mme. Y am 20.05.2020 in gebessertem Allgemeinzustand nach Hause entlassen. Notion anamnestique d'asthme d'effort. Notion d'abus sexuel intra-familial dans l'enfance. Notion d'asthme anamnestique • sans traitement de fond. Notion d'asthme non allergique. Cardiopathie valvulaire et hypertensive avec: • insuffisance mitrale sévère excentrique avec prolapsus d'A3 sur probable rupture de la corde, avec réparation par pose d'anneau Carpentier-Edwards physio 2, taille 32 (05.01.2018, Dr. X, CHUV) • insuffisance cardiaque stade II (NYHA). Notion d'asthme probablement allergique le 04.05.2020. Notion d'asthme. • traitement broncho-dilatateur en réserve. Notion de cancer de la vessie opéré il y a 20 ans. Pneumonie basale gauche le 06.02.2020. Notion de consommation éthylique à risque. Notion de consommation éthylique chronique/à risque • 1-2L de bière/jour. Notion de crises d'épilepsie non investiguées sur le plan neurologique le 03.05.2020.• absence de traitement. • Notion de kyste ovarien. • Douleurs abdominales évoluant depuis plus de 48h, sur probable hydrosalpinx droit, objectivé le 09.07.19. • Notion de pathologie dermatologique avec démangeaisons. • Notion de polykystose ovarienne. • Notion de sclérose en plaques avec symptômes hémicorps gauche. • Notion de thrombose veineuse des MI. • Notion de tumorectomie sein G. • Appendicectomie dans l'enfance. • Notion de violence conjugale verbale et physique. • Notion d'endométriose sous traitement par Visanne. • Notion d'opération du genou. • Traumatisme crânien simple le 13.08.2016. • Fracture des os propres du nez le 13.08.2016. • Suspicion de hernie inguinale droite le 04.01.2018. • Décompensation cardiaque à prédominance droite probablement sur FA rapide (2019). • INR supra-thérapeutique à 4.2. • Anticoagulation par Héparine à dose thérapeutique et suivi biologique. • Insuffisance rénale d'origine intrinsèque stade IIIb (CKD-EPI), GFR 38 ml/min/1.73m2. • FEUrea 35.4 %. • Etat confusionnel hyperactif le 12.02.2020. • DD Médicamenteux vs troubles électrolytiques. • Arrêt de tous les médicaments confusogènes, correction des électrolytes. • Hématurie macroscopique sur retrait traumatique de la sonde vésicale pendant l'état confusionnel le 17.02.2020 : • pose de sonde 3 voies et rinçages. • Carence martiale le 20.02.2020 : Ferinject 500 mg le 21.02.2020. • Plaie nécrotique pré-tibiale gauche post-traumatique, le 15.01.2020 avec : • dermohypodermite le 24.12.2019, hospitalisé jusqu'au 31.12.2019, sous Ciproxine jusqu'au 04.01.2020. • Pipéracilline-tazobactam du 22.01 au 01.02.2020. • Hémocultures (22.01) : négatives. • Frottis de plaie (22.01) : Serratia marcescens +++, Bacillus cereus ++, Enterococcus faecalis +, Quelques : Staphylococcus capitis, Staphylococcus aureus, Enterococcus casseliflavus, Pseudomonas aeruginosa. • Frottis de plaie (23.01) : Serratia marcescens ++. • Biopsie de plaie (10 et 13.02) : Enterococcus faecium et quelques Staph. haemolyticus. • Biopsie et histologie du 17.02 : staphylocoque hémolytique et enterococcus faecium en augmentation. • Histologie 17.02 : nécrose ischémique, pas de vasculite, pas de malignité, pas de signe de pyoderma. • Débridement de plaie MIG et pose de VAC, dès le 23.01.2020 avec réfection itérative jusqu'au 26.02.2020. • Amputation sus-géniculée du MIG le 26.02.2020 (Dr. X). • Bactériurie asymptomatique à Klebsiella aerogenes, 11.03. • Ciproxine 2 x 500 mg du 11.03.2020 au 12.03.2020. • Avis infectiologique (12.03) : pas de traitement car asymptomatique SV à demeure. • s/p Etat confusionnel hyperactif le 12.02.2020. • DD Médicamenteux vs trouble électrolytiques. • Notion d'un déficit homozygote en facteur du complément C4B (Dr. X, 24.04.2019, profil stable). • Suivi biologique aux 6 mois. • F 92.8 Autres troubles mixtes des conduites et troubles émotionnels. • F 10.0 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool. • Notion d'une infection urinaire basse, le 28.05.2020. • Sonde urinaire à demeure depuis le 16.12.2019. • ABT par Clindamycine 300 mg 2x/jour du 26.05.2020 au 01.06.2020 y compris. • Notre patiente présente donc une amélioration clinique très favorable et ce depuis 3 mois. Nous sommes contents de l'évolution et l'incitons à poursuivre la physiothérapie et à reprendre son activité professionnelle à 100 % tout en restant à domicile actuellement. Nous lui recommandons également d'effectuer un examen neuropsychologique, elle recontactera nos collègues dans ce sens et nous recontactera avant son prochain contrôle en cas de récidive des douleurs. • Prochain contrôle au mois de septembre pour un contrôle clinique. • Nourrisson sain. • Nous appelons la maman dès réception des résultats de la culture urinaire. • Culture urinaire en cours également chez vous. Consultation chez vous organisée pour le 18.05., lors de laquelle vous discuterez des résultats de ces cultures et d'une échographie des voies urinaires à organiser prochainement selon les dires de la maman. • Nous augmentons le Pantoprazol à 40 mg per os 2x/jour. • Nous proposons d'organiser une OGD en ambulatoire et un scanner abdominal en ambulatoire à la recherche d'une néoplasie. • Le patient a un suivi psychiatrique par Dr. X à Vevey, qui a mis en place le traitement par Remeron 15 mg per os, et il a déjà un contrôle clinique prévu le 02.06.2020. • Nous autorisons la patiente à marcher en charge selon douleurs. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. • Nous avons discuté avec la garde d'ortho de mettre en place une attelle. Par la suite, le patient va être convoqué par le Team main-poignet pour la prise en charge éventuellement chirurgicale. • Pas de sport pendant minimum 4 semaines si traitement conservateur. • Nous avons discuté avec le patient et avons convenu d'une amputation de la jambe G. Nous allons discuter avec Dr. X afin de pouvoir fixer une date opératoire pour être également présent. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. • Nous avons discuté longuement avec la patiente. On va répéter les IRM avec contraste i.v. pour une imagerie plus récente. On les comparera avec les dernières IRM disponibles de 2017. Vu la persistance de fortes douleurs au niveau du TFCC, on discutera lors du prochain rendez-vous, soit d'une arthroscopie du poignet avec débridement et shaving du TFCC associé à un test de stabilité intra-opératoire. L'alternative en cas d'instabilité du DRUG serait de faire une plastie selon Adams avec une greffe du palmaris longus qui est bien présent chez cette patiente. Pour le syndrome de la pointe du hamatum, on peut aussi ajouter un geste, soit en arthroscopie soit par voie d'abord ouverte d'excision de la pointe. On la reverra après l'IRM le 08.06.2020 pour discuter des possibilités thérapeutiques.Nous avons donc discuté avec la patiente et son époux de façon très détaillée du cadre actuel. Malgré que les 2 fractures puissent être responsables de la composante douloureuse, la symptomatologie qui gêne le plus la patiente actuellement est liée à cette altération chronique qui a peut-être été décompensée par les 2 fractures. On a donc discuté avant tout d'effectuer un bilan et un traitement physiothérapeutique pour regagner une posture correcte et évaluer une possible amélioration spontanée de la douleur dès qu'il y aura une élongation des muscles abdominaux et des muscles dorsaux. Au vu de cela, il est également envisageable une activité sportive par nordic walking. On garde en réserve la possibilité d'effectuer un traitement spécifique par cimentoplastie des niveaux Th12-L1 et prophylactiquement L1, au cas où il y a une persistance de la douleur au prochain contrôle dans 2 mois. Nous avons expliqué à la patiente que les altérations de la sensibilité peuvent durer encore longtemps et qu'il n'est pas certain d'une récupération, mais par contre il est clairement indiqué de travailler pour la récupération de la force. Comme la patiente est employée dans un home comme soignante, on envisage encore 1 arrêt de travail à 100% jusqu'au 14 juin pour effectuer un premier traitement de physiothérapie, suite auquel un traitement à domicile par la patiente devra être fait pour les prochains mois. Une reprise professionnelle à 50% est envisageable pour le 15 juin et à 100% dès le 13.07.2020. On reverra la patiente une dernière fois pour la conclusion du traitement, soit la 3ème semaine d'août. Nous avons longuement discuté de la situation et de l'indication à l'opération consistant en une épiphysiodèse médiale tibia proximal et fémur distal bilatérale pour la correction de l'axe MI avec la croissance. Cette dernière n'est pas obligatoire mais la maman et Mme. Y aimerait pouvoir la faire le plus tôt possible. La maman a signé le formulaire de consentement éclairé et l'intervention aura lieu le 09.06.2020. Nous avons procédé à l'ablation de la broche lors de la consultation de ce jour. La patiente peut se mobiliser selon douleurs pendant les prochaines semaines. Un contrôle clinique aura lieu le 03.06.2020. Pas de sport d'ici-là. Nous avons procédé à l'ablation des 3 broches ce jour. Un plâtre AB circulaire a été remis en place pour une durée de deux semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 03.06.2020. Pas de sport durant 3 mois. Nous avons récupéré l'ensemble de la documentation, notamment ophtalmologique et l'IRM et nous discutons avec Mme. Y des différentes options vis-à-vis de ce méningiome. En effet, il s'agit d'une lésion peu fréquente pour laquelle nous recommandons un consilium auprès de nos collègues neurochirurgiens à Genève. Elle accepte que nous fassions parvenir CD et différentes documentations pour se faire et elle sera revue par le Dr. X la semaine prochaine. La patiente sera directement contactée dans ce sens. Nous gravons donc les différentes IRM et les faisons parvenir à nos collègues. Nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous cernons 2 problématiques. D'une part, une otite moyenne aiguë sous antalgie depuis 24h et d'autre part une dermohypodermite du pied gauche. N'ayant pas de critère de gravité, nous instaurons une antibiothérapie per os par Co-Amoxicilline à 50mg/kg/j, soit 3.5ml = 280mg 2x/j pour 10 jours avec la première dose administrée à 4h15 le 30.05. De plus, nous administrons une dose de Méfénacide supp 125mg à visée antalgique. Nous complétons le bilan avec les examens susmentionnés. Nous retenons le diagnostic de traumatisme crânien simple. Après discussion avec le Dr. X, nous hospitalisons la patiente en vue d'une surveillance neurologique rapprochée aux 4 heures, lit strict, jusqu'à réévaluation clinique au matin. Nous préconisons de faire un test de Schellong à la patiente une fois l'évaluation neurologique faite par le Dr. X, pas de verticalisation envisageable avant. Nous laissons la patiente à jeun. Nous mettons l'aspirine cardio en pause au vu du traumatisme crânien. Concernant le traumatisme crânien, nous proposons au médecin traitant de réévaluer l'indication au Zolpidem au vu des troubles de la marche et de l'équilibre de la patiente et des multiples chutes à domicile. Concernant la plaie frontale droite, d'environ 1cm, en forme de C, nous rapprochons les berges avec de l'Ethilon 4.0 et 2 points de suture. Nous effectuons un rappel du vaccin antitétanique, couverture non à jour selon la patiente. Nous préconisons un contrôle clinique de la plaie à J2 (lundi) chez son médecin traitant et ablation des fils à J5 si bonne évolution, chez son médecin traitant également. Concernant l'insuffisance rénale chronique de la patiente, nous mettons en place une hydratation par NaCl 1000ml iv sur 24h. Nous complétons le bilan avec un CT scanner comme que la radiographie du 08.03.2020 n'était pas claire au niveau des douleurs (C7-T1), le CT scanner est complètement normal. Nous concluons à un vertige probablement dans le cadre d'un VPPB exacerbé par un bouchon de cérumen à droite. En cas de persistance des symptômes ou d'apparition de symptômes neurologiques, le patient est invité à recontacter son médecin traitant. Nous confectionnons un autre plâtre BAB circulaire avec une légère flexion du poignet. Immobilisation d'une durée totale de 4 semaines. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique hors-plâtre dans 3 semaines. Pas de sport durant 3 mois. Nous conseillons au patient de reconsulter en cas de signes d'alarme (perte de force, anesthésie en selles, troubles sphinctériens). Nous conseillons au patient la poursuite de l'ergothérapie pour mobiliser son doigt ainsi que pour la désensibilisation de celui-ci également. Prochain contrôle dans 6-8 semaines. Nous conseillons au patient une hygiène posturale et de faire des séances de physiothérapie pour rallongement et effectuer du stretching. Nous reverrons le patient dans 6 mois pour un contrôle clinique le 26.11.2020. Nous conseillons la poursuite de la physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% pour 1 mois supplémentaire. Prochain contrôle au besoin. Nous conseillons tout d'abord à la patiente d'effectuer une semelle pour rééquilibrer la longueur des membres inférieurs. Actuellement, les problèmes décrits par la patiente semblent plutôt liés au canal lombaire étroit, plus qu'à la fracture de D12 pour laquelle il sera toujours possible d'effectuer une vertébroplastie. Actuellement, la patiente n'arrive pas à expliquer quelles douleurs sont les plus importantes. Nous demandons au médecin traitant de clarifier avec l'hématologue s'il est possible d'effectuer une infiltration péri-durale pour calmer la symptomatologie de la patiente. Nous allons fixer un nouveau rendez-vous de contrôle dans 6 semaines pour voir l'évolution et l'avis de l'hématologie (patiente connue pour Facteur V de Leiden). Nous constatons une légère amélioration de la symptomatologie, surtout à D. La mobilité est acceptable mais il reste encore des douleurs à la mobilisation. Au niveau de l'épaule, il faut encore faire de la physiothérapie intensivement. Par contre, les douleurs décrites avec paresthésies du nerf ulnaire doivent être approfondies, raison pour laquelle on organise un ENMG et une IRM de la colonne cervicale. Les 2 résultats seront interprétés par nos collègues de l'antalgie afin de voir éventuellement une infiltration ciblée. Pas de nouveau contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de besoin.Nous décidons avec la patiente d'effectuer une IRM de son genou pour évaluer l'éventuelle présence d'une usure du cartilage ou une dégénérescence du ménisque ou l'abrasion de la Plica qui rendent tous un diagnostic différentiel avec les douleurs présentées par la patiente. Dès que l'examen sera effectué nous allons la revoir à notre consultation. Nous décidons de changer le plâtre par un petit gantelet avec poignet libre et IP du pouce libre. Dans le nouveau gantelet, Mme Y est confortable, malgré une peur initiale. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique hors-plâtre dans 3 semaines. Elle nous appellera pour le rendez-vous. Nous lui donnons un certificat d'arrêt de sport pour 6 semaines encore. Nous décidons de garder la vis trans-syndesmotique. Nous le reverrons dans 1 an pour un contrôle radioclinique. Nous avons expliqué au patient la possibilité que cette vis se casse mais que les conséquences cliniques sont très faibles. Nous décidons de laisser le plâtre pour encore une semaine. Poursuite de la Clexane. Ensuite, nous mettrons en place un Vacotalus pour 4 semaines. Poursuite de la physiothérapie. Elle nous contactera si nécessaire. Nous décidons de ne pas réaliser de nouvelle radiographie ce jour étant donné que la patiente ne présente pas de douleur à la palpation osseuse. Ablation définitive du plâtre. Mobilisation libre. Pas de sport durant encore deux mois et nous remettons un certificat médical dans ce sens. Le papa préfère faire un contrôle clinique à 4 semaines à votre consultation. Nous décidons de retirer les fils. Il n'y a pas de complication, pas de déhiscence de cicatrice. Nous mettons en place deux pansements Mepore simples. Le patient sera revu pour un contrôle clinique dans 6 semaines à la consultation du Dr. X. Nous décidons d'effectuer, dans un premier temps, une infiltration du genou pour soulager la douleur. En cas de persistante des douleurs, il pourra effectuer de la physiothérapie pour relâchement des chaînes postérieures. Et si vraiment les douleurs devaient persister alors nous pourrons lui proposer une PTG. La patiente est satisfaite de cette prise en charge par étape et nous fixons alors une date pour l'infiltration. Au vu des importantes douleurs lors du travail, nous lui donnons un arrêt de travail à 100% du 08.05.2020 au 17.05.2020. Nous demandons à la patiente de porter dès maintenant des chaussures normales à semelle rigide. Nous prescrivons de la physiothérapie et un arrêt de travail jusqu'au 28.06.2020 à 100%, puis reprise à 50% pour 2 semaines jusqu'au 12.07.2020 avec une réévaluation et une reprise du travail le 13.07.2020. Nous désinfectons la dermabrasion et mettons un pansement par Adaptic. Devant la suspicion d'une fracture de la houppe non déplacée, et après discussion avec Dr. X nous décidons de mettre une attelle Stack pour une durée de 7 jours. Nous prescrivons un arrêt de travail de 7 jours ainsi qu'un traitement antalgique. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 1 semaine. Le patient désinfectera lui-même tous les 2 jours la dermabrasion avec mobilisation progressive de l'IP en auto-rééducation. Dans 1 semaine si les douleurs sont moins importantes l'attelle Stack devra être enlevée. Nous discutons avec Mr. Y et sa maman de lui laisser le temps de s'habituer à ne plus avoir de plâtre, afin de reprendre confiance en sa jambe. Nous ne lui prescrivons pas de physiothérapie pour l'instant. Nous le reverrons pour un contrôle clinique le 19.06.2020. Entretemps, le sport avec risque de chute et de contact reste interdit. Nous discutons avec elle des différentes possibilités thérapeutiques. Comme la patiente a déjà été traitée pour un syndrome de la queue de cheval, nous n'envisageons pas d'infiltration épidurale ni de traitement physiothérapeutique qui ne ferait que repousser l'intervention. Nous préconisons un abord chirurgical pour une décompression L4-L5 et par la suite un traitement physiothérapeutique. Nous proposons cela à la patiente qui accepte cette attitude. Entre-temps, un rdv anesthésiologique sera effectué en raison d'une suspicion d'une hémophilie dans le passé non investiguée mais suspectée en raison de problèmes de cicatrisation. Mme Y prend actuellement du Co-Dafalgan, nous lui donnons une ordonnance pour un rollator à utiliser jusqu'à l'intervention. Nous discutons avec la patiente des possibilités thérapeutiques, soit un traitement conservateur avec plâtre durant 6 semaines, soit une intervention chirurgicale avec ostéosynthèse. Nous expliquons à la patiente qu'avec le traitement conservateur il y a un risque de déplacement de la fracture ainsi que le risque d'une arthrose précoce et d'une limitation de la mobilité du poignet. Nous lui conseillons donc plutôt l'intervention chirurgicale. La patiente a bien compris les risques et bénéfices de l'intervention et nous donne son consentement oral et écrit. Nous discutons avec la patiente et regardons les images de mars 2019. Une éventuelle reprise chirurgicale pourrait être rediscutée, mais afin de pouvoir s'exprimer de manière plus technique, nous organisons un scanner lombaire afin de visualiser d'éventuelles fractures. Prescription également d'un traitement antalgique à prendre durant 2 semaines. Nous reverrons la patiente après cet examen et après le traitement instauré. Nous discutons avec la patiente et sa maman, au vu du fait qu'actuellement les douleurs sont moins importantes, nous proposons pour l'instant une prise en charge conservatrice avec port de semelles pour 3-4 mois. Pour cela nous lui donnons une ordonnance pour évaluation de la marche et des semelles de soutien. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 3-4 mois, si pas d'amélioration, la prochaine étape sera d'effectuer un CT scan du pied G. Nous discutons avec la patiente et sa mère du protocole de Balgrist. Toutes les étapes importantes sont discutées avec elles. L'opération est planifiée en stationnaire le 26.05.2020. Elle signe le consentement éclairé. Une incapacité de travail comme opticienne durant 6 semaines est discutée avec la patiente. Nous discutons avec la patiente qu'actuellement nous n'avons pas d'indication chirurgicale à poser. Nous lui expliquons qu'il faut continuer les traitements au centre de la douleur afin de pouvoir contrôler ces douleurs chroniques. Nous adressons donc une copie de ce courrier au Dr. X afin qu'il prenne en charge la patiente pour gérer ces douleurs chroniques et pour qu'il propose un éventuel traitement par hypnose ou cryothérapie. En cas de péjoration des douleurs jugée par le Dr. X, il pourra réadresser la patiente à notre consultation. Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'à la fin août. Mme Y est très motivée à reprendre un travail lorsque ses douleurs seront bien gérées. Nous souhaiterions également que l'AI évalue la patiente concernant son incapacité de travail. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'emblée mais restons à disposition si nécessaire. Nous discutons avec la patiente qui désire un changement de cette prothèse afin de pouvoir reprendre la marche, sans douleur. Après discussion des risques et des bénéfices, elle signe la feuille de consentement éclairé. Le relais de l'anticoagulation sera géré par son médecin traitant avec arrêt du Sintrom environ 1 semaine avant la chirurgie. Celui-ci sera repris à J5 afin d'éviter le risque d'un hématome postopératoire. Nous discutons avec le patient des différentes options thérapeutiques, soit la mise en place d'une PUC, à savoir qu'il faut aussi réaliser un geste chirurgical au niveau de la rotule pour délivrer les lésions cartilagineuses, soit une PTG à G. Les risques et bénéfices sont expliqués et discutés avec le patient, notamment qu'avec une PUC, il peut tout de même continuer à avoir des douleurs persistantes au niveau de la rotule mais aussi au niveau du compartiment externe. Il va réfléchir à nos propositions et nous réservons une date opératoire pour le mois d'octobre 2020 et nous le reverrons quelques semaines auparavant. Si dans l'intervalle, les douleurs ne sont plus supportables, il nous contactera.Lors de la prochaine consultation, nous compléterons le bilan par des rx longs axes ddc. Nous discutons avec le patient du déplacement secondaire et du défaut de rotation ainsi que de la gêne qu'il pourra en garder. Le patient ne souhaite pas se faire opérer, selon lui, un léger défaut de rotation ne va pas le gêner grandement dans ses activités de la vie quotidienne. Nous nous décidons donc à poursuivre le traitement conservateur. Prochain contrôle dans une semaine. Nous discutons avec le patient et convenons que la priorité maintenant est donnée au problème au pied G qui est en cours d'investigation (notamment bilan angiologique et consilium d'infectiologie). À distance de 2-3 semaines après la résolution du problème et l'arrêt des antibiotiques, nous reverrons le patient à notre consultation pour un nouveau bilan par scanner possiblement injecté avec protocole mars et une nouvelle ponction de la hanche G sera organisée. En fonction des résultats et de l'évolution, nous discuterons par rapport aux 2 alternatives thérapeutiques, une 1ère, un traitement antibiotique suppressif à vie, en 2ème lieu, la possibilité de laisser fistuliser à la peau la collection et du coup gérer une fistule chronique. Nous discutons avec le patient et l'informons qu'il est probablement nécessaire de procéder à une opération à cause de l'instabilité. Le patient est encore indécis quant à la date opératoire et dans l'intervalle il va poursuivre la physiothérapie. Au vu de l'épanchement intra-articulaire, l'opération se fera probablement en automne. Prochain contrôle dans 2 mois. Nous discutons avec le patient et sa fille qui assure la traduction, d'une éventuelle indication opératoire. Pour notre part, vu le diamètre maximal de la lésion de 1 cm, les signes neuro-physiologiques débutants ainsi que les symptômes neurologiques clairs, une prise en charge par abord postérieur G pour laminotomie voire laminectomie C3-C4 avec exérèse de la lésion s'avère nécessaire. À noter qu'une éventuelle résection de la racine C3 pourrait être nécessaire en cas de visualisation per-opératoire d'un envahissement de celle-ci par le Schwannome (comme suspecté radiologiquement). Mr. Y est clairement informé qu'une telle intervention peut être compliquée par une tétraplégie post-opératoire ainsi qu'une paralysie du muscle phrénique pouvant nécessiter une intubation voire une trachéotomie. Des douleurs chroniques C3-C4 peuvent également persister. Nous lui expliquons que sans intervention chirurgicale, l'évolution naturelle de cette lésion pourrait toutefois engendrer le même type de complication. Au courant de tous ces risques, le patient opte pour l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 12.06.2020. L'intervention sera réalisée en collaboration avec le Dr. X. Nous discutons avec le patient sur la possibilité de retrouver une sensibilité au niveau du côté ulnaire. L'opération qui a été effectuée est principalement dans un but de prophylaxie du développement d'un neurome, ce qui actuellement heureusement n'est pas le cas. Prescription d'ergothérapie pour resensibilisation. Nous n'avons pas prévu de revoir le patient, nous restons à disposition. Nous discutons avec Mr. Y de la prise en charge. Du côté gauche, nous préconisons un traitement conservateur avec port d'un plâtre avant-bras durant 6 semaines. À droite, la fracture est intra-articulaire très distale et potentiellement instable. Le caractère de la fracture ne permet pas une ostéosynthèse simple qui ne garantirait pas une absence de dislocation secondaire à 100%. Nous proposons plutôt un traitement conservateur. Le 03.06.2020, les plâtres du patient seront circularisés et à ce moment-là, nous ferons également un contrôle radiologique. Un contrôle radioclinique à 6 semaines post-traumatiques est aussi déjà organisé. Nous discutons des options thérapeutiques soit chirurgicales soit conservatrices. La patiente a demandé l'avis de ses parents et a décidé d'un traitement conservateur. Prochain contrôle radioclinique dans 5 semaines. Nous discutons donc avec la patiente et lui expliquons que la solution envisageable actuellement ne serait qu'une spondylodèse L4-L5 avec fusion inter-vertébrale. L'instabilité post-décompression fait clairement partie des risques que nous avions expliqués à la patiente avant l'intervention, surtout au vu du cadre complexe dégénératif qui a été mis en évidence. La patiente est actuellement réticente à effectuer une intervention au vu de douleurs qui ne la gênent que partiellement et qui ne provoquent pas de boiterie ni de limitation dans ses activités de la vie quotidienne. Elle souhaite donc réfléchir et poursuivre le traitement physiothérapeutique. Prochain contrôle dans 4 semaines. Nous discutons du cas avec le Dr. X et proposons au patient une prise en charge chirurgicale sous forme d'une arthroscopie diagnostique. Mr. Y refuse cette proposition. De ce fait, nous lui prescrivons de la physiothérapie et lui remettons un certificat d'arrêt de travail pour une semaine. Nous lui recommandons de prendre rendez-vous à votre consultation pour la suite de la prise en charge et mettons fin ce jour, 13.05.2020, au suivi en policlinique d'orthopédie tout en restant à disposition selon besoin. Nous discutons en ce qui concerne la fracture du triquetrum avec le team main qui préconise soit un traitement par plâtre soit par une attelle selon la préférence de la patiente ainsi que sa capacité d'être compliante si on met juste une attelle. La patiente, après discussion, préfère quand même avoir le plâtre qui est plus sûr. Nous lui mettons alors un plâtre AB fermé aujourd'hui, à garder pour les 4 prochaines semaines. En ce qui concerne la fracture de la tête radiale, la patiente peut commencer à faire des mouvements en flexion-extension, mais pas en prosupination. Elle gardera encore la bretelle pour les 3-4 prochaines semaines. Nous la reverrons pour un prochain contrôle radioclinique le 26.05.2020. Nous discutons longuement avec la patiente ainsi qu'avec sa mère des deux options : soit accepter la situation actuelle, soit effectuer une ostéotomie de correction. La patiente nous dit être gênée dans toutes ses activités de la vie quotidienne ainsi que lors de ses activités sportives. Cette collégienne est également gênée en tenant son stylo. L'option d'une ostéotomie de correction est ainsi préférée. Nous avons deux options à lui proposer : soit de planifier l'ostéotomie de correction avec un programme externe qui nous permet de produire des aides de coupes de manière à avoir une ostéotomie et une correction la plus précise possible, ceci nécessite des coûts supplémentaires. Éventuellement, l'assurance de la patiente va prendre en charge ces coûts, la mère de la patiente va se renseigner. Les coûts sont estimés entre 1 500 et 2 000. L'alternative est d'effectuer une ostéotomie de correction sans aide de coupe, uniquement par contrôle visuel intra-opératoire. Cette ostéotomie me semble être facilement corrigible sans nécessairement avoir besoin d'une aide de coupe. Néanmoins, chez cette jeune patiente, vu que le côté dominant est lésé, les meilleurs résultats doivent être tentés. Dans ce contexte, mon choix se porte sur une ostéotomie de correction avec l'aide de guide de coupe. La patiente désirerait se faire opérer en août ou en septembre 2020. La mère de la patiente nous confirme leur choix. Le cas échéant, nous organiserons les examens complémentaires nécessaires pour produire ces aides de coupe.Nous discutons longuement avec Mr. Y et sa mère de la gravité des lésions ainsi que de toutes les étapes chirurgicales. Nous avons déjà prévu une opération le 27.05.2020, en préopératoire, nous allons effectuer un scanner pour mieux bilanter les lésions. Nous donnons une antalgie par Paracétamol 1 g IV, Fentanyl 100 mcg IV, Morphine IV titrée jusqu'à 7 mg et Co-Amoxicilline 2.2 g IV aux urgences. Mr. Y est transféré au CHUV pour la suite de la prise en charge. Nous effectuons des radiographies de contrôle qui montrent un matériel en place sans déplacement secondaire. Pas de lésion osseuse traumatique aiguë. Nous effectuons un laboratoire de contrôle qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les leucocytes sont à 5.8 G/L et une CRP < 5 mg/L. Nous mettons les douleurs sur une reprise de la marche plus intensive ces derniers jours. Pour exclure une infection à bas bruit, nous proposons à Mr. Y de revenir dans 2 jours pour un nouveau contrôle biologique et réévaluation des douleurs. Nous mettons en place par ailleurs de la physiothérapie à domicile. Mr. Y rentre à domicile. Nous effectuons un débridement de la dermabrasion après désinfection. Mise en place d'un pansement avec ialugen, Adaptic et compresses. Mr. Y ira chez son médecin traitant dans 2 jours pour la réfection du pansement. Tétanos refait aux urgences. Nous effectuons un examen clinique qui met en évidence une légère irritation localisée sur le gland, nous réalisons une désaffection et nettoyage de la région plus un traitement par Bépanthène crème. Mr. Y sera vu à la consultation du Dr. X le 06.05 pour un contrôle clinique et l'ablation de la sonde vésicale. Nous avons donné des conseils d'hygiène. Nous enlevons les fils restants. Nous lui conseillons de charger progressivement avec 10 % de plus de son poids tous les 2 jours. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. Nous envisageons avant tout une prise en charge physiothérapeutique pour une élongation musculaire efficace au niveau des fessiers et des abdominaux, une correction posturale avec des exercices d'hygiène du dos et un traitement antalgique général. On reverra Mr. Y dans 2 mois et, si à ce moment-là il y a une persistance de la symptomatologie malgré le traitement physiothérapeutique, une éventuelle infiltration sacro-iliaque à but diagnostique-thérapeutique pourra être envisagée. Pas d'indication chirurgicale pour le moment. Nous essayons d'enlever la bille aux urgences pédiatriques via un crochet souple mais sans succès raison pour laquelle nous appelons Dr. X, ORL de garde qui propose de voir Mr. Y le 03.05 à 9 h. Nous évoquons des douleurs abdominales crampiformes avec un état clinique excellent, sans signes d'alerte et des symptômes en amélioration d'après Mme. Y. Nous proposons une antalgie en réserve avec consignes alimentaires à domicile et contrôle chez le pédiatre si péjoration des symptômes ou aux urgences si signes d'alerte (vomissements, inconsolable, douleurs intenses malgré antalgiques, altération de l'état général). Nous excluons une ischémie cardiaque avec troponines négatives. Mme. Y répond bien à la nitroglycérine. Elle rentre à la maison avec Nifédipine retard et un contrôle chez le médecin traitant. Nous expliquons à Mme. Y que les douleurs qu'elle ressent sont probablement dues à l'ostéotomie de dérotation qui re-axe le muscle du tendon quadricipital et que c'est tout à fait normal de ressentir cette sorte de douleurs en plus en raison des longues heures de travail effectuées et des changements hormonaux liés à la grossesse. Tout cela en combinaison explique probablement les douleurs qu'elle ressent au niveau de la cuisse. Actuellement, vu qu'elle est enceinte, elle ne fera plus ces horaires de 12 h de suite et nous lui expliquons qu'il faudra faire de la physiothérapie pour tonification du quadriceps et des abducteurs et nous lui montrons comment corriger sa boiterie et à quoi faire attention. En ce qui concerne l'accouchement, il n'y a pas de contre-indication de notre part pour un accouchement naturel par voie basse. Nous reverrons Mme. Y pour un prochain contrôle radioclinique en janvier 2021. Nous expliquons à notre patiente que les douleurs cervicales sont essentiellement liées à la statique musculo-squelettique, raison pour laquelle nous souhaitons poursuivre la physiothérapie avec des massages locaux. Nouvelle prescription de patchs anti-inflammatoires. Nous lui enseignons quelques exercices d'hygiène du dos à entreprendre à domicile. Notre patiente est également connue pour une spondylarthrite ankylosante pour laquelle aucun suivi n'a été entrepris depuis 1-2 ans avec arrêt complet des traitements. Nous lui expliquons qu'un suivi s'impose pour ce genre de pathologie et lui recommandons de reprendre contact. Prochain contrôle dans 4 mois. Nous expliquons à Mr. Y la situation, à savoir qu'il pourrait y avoir une indication chirurgicale mais au vu de l'état cutané, un risque assez important serait pris. Je préfère donc, dans un premier temps, donner une chance au traitement conservateur mais avec le risque d'une part de pseudarthrose des fractures diaphysaires et d'autre part d'une instabilité au niveau du premier rayon. À ce moment-là, la chirurgie sera nécessaire mais nous aurons une situation cutanée qui sera plus optimale pour une chirurgie. Au vu de la tuméfaction et de la nécrose, je décide de ne pas circulariser le plâtre ce jour. Prochain contrôle la semaine prochaine à Riaz puis dans 2 semaines à Fribourg. Nous expliquons au père de laisser l'enfant bouger librement à son rythme, c'est normal qu'après l'ablation du plâtre, il garde la position avec le bras sur le ventre pendant quelques jours. Nous le reverrons dans 4 semaines pour un contrôle clinique et pour tester la mobilité. Nous expliquons en détail les risques infectieux devant une telle plaie et nous expliquons à la mère le délai pour une telle vaccination. Nous expliquons en détail les signes d'alerte pour la surinfection (érythème, tuméfaction, état fébrile) et les consignes pour les soins locaux (éviction de l'eau, suivi à domicile, crème anti-soleil). Nous expliquons le déroulement opératoire ainsi que les risques et bénéfices de cette intervention avec Mme. Y et son papa. Ils signent le formulaire de consentement éclairé. L'opération est prévue en ambulatoire pour le 20.05.2020. Arrêt de sport en postopératoire pour 4 à 6 semaines. Nous faisons une radiographie ci-dessus. Nous mettons en place une attelle en flexion 10°-20° et lui faisons une ordonnance pour une attelle en huit. Mr. Y rentre à domicile avec de l'ibuprofène 400 mg 2x/jour pendant 4 jours et du Dafalgan en cas de douleurs. Il ira pour un contrôle en policlinique dans 2 semaines. Nous faisons une réfection du pansement avec Adaptic et compresse et remise en place de l'attelle. Au vu de l'apparition de petites zones de nécroses et du pansement taché, Mr. Y reviendra dans 48 h en policlinique d'orthopédie pour réfection du pansement. Nous gardons Mr. Y aux urgences durant 6 h pour le réhydrater per os et intraveineux. Nous avons passé un bolus de 400 ml de NaCl 0.9 % sur 1 h puis du glucosalin 300 ml. Il a bu 350 ml de sirop et mangé un peu de compote de fruit sans vomissement. Il a eu 1 selle diarrhéique de 50 ml.La gazométrie à 6h s'est discrètement corrigée (pH 7.34, PCO2 à 3.9 kPa, bicarbonates à 15 mmol/l et base excès à 15 mmol/L, glycémie à 4.3 mmol/L) Au vu de la bonne prise hydrique per os et de l'amélioration de la gazométrie, nous proposons une poursuite de l'hydratation à domicile et de reconsulter en cas de diarrhées importantes, prise hydrique insuffisante ou autres signes de déshydratation expliqués aux parents (cible 750ml + compenser les pertes). Nous gardons une origine probablement traumatique à la lésion de la sclère chez un enfant en excellent état général sans symptômes ni signes infectieux et sans lésion de la cornée mise en évidence. Nous préconisons donc des soins locaux avec suivi à votre consultation en cas de persistance. Nous hospitalisons Mme. Y, enceinte à 29 semaines d'aménorrhée, dans notre service de chirurgie pour gestion de l'antalgie face à cette probable urétéro-lithiase droite. Afin de rendre les douleurs tolérables, nous prescrivons des opiacés à dose de confort. Le 05.05.2020, nous retrouvons un calcul de 3mm dans ses urines, avec initialement une clinique en nette amélioration. Toutefois pendant la nuit, les douleurs réapparaissent violemment et nous posons l'indication à la mise en place d'une sonde JJ à droite. L'intervention est effectuée le lendemain sans complications. Les suites postopératoires sont simples avec une disparition complète des douleurs qui ne nécessitent plus que la prise de Dafalgan. Devant cette bonne évolution, nous laissons la patiente regagner son domicile le 08.05.2020. La sonde JJ sera à retirer après son accouchement. La patiente pourra prendre rendez-vous elle-même au cabinet du Dr. X à ce moment-là. Nous immobilisons la cheville avec une attelle Aircast et prescrivons un traitement antalgique ainsi qu'un arrêt de travail. Le patient consultera son médecin traitant dans 2 semaines pour un contrôle clinique. Nous immobilisons la cheville avec une attelle Aircast et prescrivons un traitement antalgique ainsi qu'un arrêt de travail pour 7 jours. Le patient consultera son médecin traitant dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Nous immobilisons la cheville avec une bande élastique Cofix. Nous prescrivons un traitement antalgique et anti-inflammatoire ainsi qu'un arrêt de travail. Le patient reconsultera son médecin traitant dans une semaine si besoin. Nous immobilisons la cheville avec une bande élastique et prescrivons un traitement antalgique. Le patient arrive à marcher sans boiterie. Il reverra son médecin traitant dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Nous immobilisons le poignet avec une attelle velcro. Le patient a des anti-douleurs et des anti-inflammatoires au domicile qu'il prend si besoin. Il consultera son médecin traitant dans une semaine si une persistance des douleurs. Nous prescrivons un arrêt de travail de 3 jours au cas où, mais le patient affirme vouloir travailler car il est actuellement à l'essai. Il est droitier et travaille comme logisticien. Nous incisons et extrayons l'extrémité distale de la 3ème phalange du 4ème doigt au bistouri. Le patient rentre à domicile après la mise en place de compresses et d'un pansement simple. Nous insistons ce jour avec la patiente sur la nécessité de faire du stretching et de l'hygiène posturale avec des séances de physiothérapie régulières et intenses. Nous l'informons de la nécessité de le faire aussi à domicile et de se motiver. Le mari est aussi avec la patiente et est informé et accepte la prise en charge. Il n'y a pas d'indication chirurgicale pour le moment. Nous informons la patiente et son mari que la physiothérapie se fera après un an. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 6 mois. Nous restons à disposition si besoin. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une gastro-entérite virale débutante. En raison d'un syndrome inflammatoire dans les limites de la norme au vu de la grossesse actuelle, nous proposons un contrôle clinique à 48h afin d'évaluer l'évolution de la symptomatologie. Nous interprétons les symptômes dans le contexte de céphalées primaires légères, sans déficit neurologique objectivé, dans un contexte d'anxiété, avec contracture du trapèze droit. Nous prescrivons un traitement symptomatique et invitons la patiente à reconsulter en cas d'apparition de symptômes neurologiques. Nous interprétons les symptômes dans le contexte d'une irritation épigastrique dans le cadre d'une sonde naso-gastrique nouvellement posée et suite à une irritation post-radiothérapie quotidienne. Nous prescrivons un traitement symptomatique et invitons le patient à reconsulter en cas de persistance des symptômes ou blocage complet de la sonde naso-gastrique, vomissements, baisse de l'état général ou fièvre. Nous invitons la patiente à se présenter à la consultation de son médecin traitant à une semaine avec une prise de sang de contrôle (tests hépatiques). Mme. Y sera convoquée pour une nouvelle ERCP dans 2 mois par le service de gastro-entérologie. Nous invitons Mr. Y à prendre contact avec le secrétariat de notre hôpital afin de fixer un RDV pour consultation chirurgicale. Nous laissons Mr. Y rentrer à domicile avec des consignes de reconsulter si la maman observe des signes d'inflammation (expliqués) ou si la marche n'a toujours pas été reprise d'ici la fin de semaine. Nous laissons le soin au médecin traitant d'ajuster les traitements diurétiques (dosage pas clair durant le passage aux urgences). Nous laissons nos collègues des soins palliatifs de: • organiser un transport pour effectuer l'IRM du 28.05.2020 au CHUV • suivre le traitement oncologique avec le Dr. X • suivre l'anémie, les thrombocytes et la leucocytose • reprendre contact avec les infectiologues si besoin • poursuivre le traitement de la pneumonie à pneumocystis pour une durée de 21 jours • suivre les glycémies et adapter le traitement d'insuline • continuer le traitement d'Aldactone en fonction de l'évolution des œdèmes • réévaluer l'introduction de l'anticoagulation • suivre l'évolution de la lésion cutanée de la lèvre supérieure • organiser un bilan ophtalmologique • organiser la suite (retour à domicile avec surveillance 24h/24h ou EMS). Nous l'informons que l'œdème peut persister 3-6 mois voire parfois 1 an. Nous lui proposons de faire de la physiothérapie 2 fois par semaine pour améliorer les amplitudes articulaires. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous lui avons expliqué que les douleurs pouvaient persister des mois voire des années. Il va débuter la physiothérapie. Incapacité de travail jusqu'à fin août à 100%, puis à 50% jusqu'à la fin septembre et on le reverra fin septembre pour un contrôle radio-clinique et reprise du travail à 100%. Nous lui donnons une ordonnance afin de faire modifier la semelle orthopédique du pied D. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie avec stretching de la chaîne postérieure. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour la rééducation à la marche selon douleurs, renforcement musculaire et travail articulaire genou/cheville. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour les 2 chevilles. Nous organisons également un CT afin de rechercher la consolidation de l'ostéotomie du calcanéum. Lors du prochain contrôle, nous envisagerons l'AMO. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour renforcement musculaire, surtout des releveurs. Poursuite de la réfection du pansement tous les 2-3 jours. Prochain contrôle le 27.05.2020 pour l'ablation des fils. Nous lui prescrivons de la physiothérapie. Poursuite des soins locaux au niveau des orteils. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois.Nous mettons en place un pansement par Adaptic et des compresses. Pas de pansement occlusif nécessaire. Mr. Y ira chez son médecin traitant lundi pour la réfection du pansement et les suites de la prise en charge. Nous mettons en place une attelle plâtrée postérieure et des cannes. Le patient reviendra dans une semaine pour un changement de plâtre. Nous mettons en place une botte plâtrée fendue. Marche en décharge avec des cannes et prophylaxie anti-thrombotique pendant au minimum une semaine avec une thérapie antalgique. Nous recommandons à la patiente de surélever la jambe et poser de la glace et de rester au maximum au repos pour permettre le dégonflement des tissus mous. Elle sera reconvoquée à distance d'une semaine à la consultation du team pied pour réévaluation clinique et d'éventuels examens complémentaires. Nous lui donnons un arrêt de travail pendant cette semaine, à réévaluer lors de la prochaine consultation. Nous mettons en place une nouvelle mèche et laissons le patient rentrer à domicile. Nous mettons fin ce jour, 15.05.2020, au suivi en policlinique d'orthopédie. Mme. Y devra poursuivre son anticoagulation prophylactique jusqu'à mobilisation en charge complète. Elle prendra rendez-vous à votre consultation pour la suite de la prise en charge. Nous mettons en place une mèche et le patient rentre à domicile. Il reviendra pour un contrôle demain. Nous n'avons pas d'argument pour une infection du système nerveux central. Nous n'avons pas pu récolter les urines ni par sac à pipi ni par sondage. Mr. Y reste en bon état général durant les 6h où il est aux urgences. L'algifor semble faire bon effet. Devant cet état fébrile sans foyer depuis 4 jours, nous souhaitons le revoir en contrôle clinique à 24h +/- refaire une récolte urinaire si persistance de la fièvre. Nous ne mettons pas d'évidence de fracture à la radiologie. Nous concluons alors à une contusion osseuse de la phalange proximale et moyenne de D2 à droite. Nous mettons en place aux urgences une syndactylie à but antalgique pour 3-4 jours. Nous ne proposons pas de geste chirurgical. Nous lui conseillons de prendre contact avec l'AI afin d'adapter son poste de travail car nous pensons que celui-ci est inadapté bien qu'il travaille à 100%. Nous ne répétons pas de radiographie ce jour. Mr. Y peut commencer à se mobiliser en charge complète sans plâtre. Pas de sport. Prochain contrôle clinique le 29.05.2020 avant de recommencer l'école. Nous ne retenons pas de fracture de la base du crâne au vu de l'absence de signes à l'examen clinique ainsi que d'une fracture de la mâchoire au vu de l'ouverture de la mâchoire réalisable sans limitation. Nous effectuons également un score de BATIC au vu de la notion que le guidon a percuté l'abdomen et la douleur à la palpation du flanc droit et gauche qui revient < 7 avec notamment un US abdominal dans la norme. Dans ce contexte au vu de la clinique et des examens paracliniques rassurants nous laissons rentrer la patiente à domicile. Si apparition de vomissements, douleurs abdominales, péjoration de l'otalgie, douleurs à la mandibule, reconsulter de suite. Nous ne retrouvons pas d'arguments en faveur d'une origine cardiaque. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une compression du nerf médian. Nous prescrivons une attelle du poignet avec une antalgie simple. En cas de persistance des symptômes, nous invitons le médecin traitant à effectuer une décompression chirurgicale. Nous ne retrouvons pas d'arguments somatiques évoquant un état confusionnel aigu. Au vu du contexte de soins à domicile impossible, nous hospitalisons la patiente en gérontopsychiatrie afin d'effectuer un bilan psychiatrique et d'adapter le traitement actuel. Nous ne retrouvons pas de corps étranger à la radiographie (à noter qu'il manque la visualisation de l'œsophage supérieur, mais très petite portion). Au vu de l'excellent état général de l'enfant et de l'absence de symptôme, nous décidons d'un retour à domicile avec consigne de reconsulter si apparition de plaintes. Nous ne retrouvons pas de nouvelle fracture et la fracture du naviculaire est guérie. Prescription de physiothérapie à faire 2 à 3 fois par semaine afin de regagner de la musculature et pour débloquer le pied. Le patient souhaite poursuivre son travail à 100%. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, le patient prendra contact si besoin. Nous n'identifions pas de nouvel élément anamnestique ou clinique pour un autre diagnostic qu'une gastrite avec reflux, ni d'argument pour plus d'investigations en urgence. Après l'entretien, Mme. Y semble un peu rassurée bien que pas totalement sereine. Elle rentre à domicile, en poursuivant le traitement par Pantoprazol. Une gastroscopie est organisée le 19.05.2020 chez Dr. X. Si cet examen se révélait non concluant, un transit baryté pourrait éventuellement encore être discuté. Nous conseillons vivement à Mme. Y de privilégier les consultations à votre cabinet, afin de garantir un meilleur suivi et une prise en charge cohérente, ainsi que d'éviter la multiplication des intervenants et des avis. Nous restons néanmoins bien sûr à disposition en cas d'urgence. Nous notons un botryomycome sur le bord ulnaire de l'ongle du majeur droit mais pas d'argument pour une infection sous-jacente. Nous proposons à la patiente de faire des bains de Dakin pour éviter une surinfection et elle ira consulter un dermatologue la semaine prochaine pour une probable ablation du botryomycome. Nous notons un hématome sous-unguéal sous tension. À la radiographie, pas de fracture mise en évidence. Nous effectuons une trépanation de l'ongle pour évacuer l'hématome sous tension. Le patient reviendra en contrôle dans 2 jours pour le suivi de la bonne évolution. Nous notons une bonne évolution clinique de la plaie. La suite du traitement se fera chez le médecin traitant avec ablation des points à 15 jours et réfection du pansement dans 2-3 jours chez le médecin traitant. Nous nous retrouvons donc face à un patient hyperalgique avec une fracture L1 en progression. Dans le contexte, nous proposons une prise en charge chirurgicale par kyphoplastie assistée du système Spine Jack que nous organiserons avec une consultation anesthésiologique auparavant. Notre patient est également au bénéfice d'un traitement par Xarelto pour une ancienne embolie pulmonaire ainsi que pour une artériopathie, raison pour laquelle nous souhaiterions la suspension de celui-ci si possible, il se renseignera auprès de son médecin. Entre-temps nous le convoquons d'ores et déjà pour la chirurgie qui sera prévue le vendredi 05.06.2020 et restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Un traitement de relais par Aspirine Cardio peut être envisagé pour la chirurgie. Nous nous retrouvons donc face à un patient qui présentait déjà une discopathie avancée il y a un an. Nous proposons de refaire l'IRM lombaire avec des séquences vasculaires sur les disques afin d'évaluer les différents niveaux. Nous expliquons à notre patient la pathologie avec notamment un bulging discal antérieur, raison pour laquelle nous effectuons également un angio-CT afin d'évaluer la fusion osseuse au niveau L5-S1 et les vaisseaux iliaques et l'anatomie de ceux-ci en 3 dimensions. L'option thérapeutique si l'imagerie révèle une stabilité serait de réitérer l'infiltration péri-radiculaire L5 à gauche, voire un abord chirurgical d'emblée en fonction des douleurs du patient. La stratégie serait dépendante des trouvailles scannographiques et de la fusion antérieure, mais nous privilégierions un abord antérieur pour maximiser l'optimisation de la lordose. Nous restons à disposition.Nous nous retrouvons donc face à un patient qui présente des lésions cérébrales atypiques sans lésion primaire. Nous souhaitons tout de même la réalisation d'une nouvelle IRM avec spectroscopie afin d'identifier la nature des lésions et allons d'ores et déjà chercher une plage opératoire pour notre patient et le convoquerons dans ce contexte. Nous lui remettons le formulaire de consentement qu'il nous retournera signé et il sera également vu par nos collègues d'anesthésie. Entre-temps, nous restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous nous retrouvons donc face à une patiente présentant une situation complexe évaluée par la SUVA dans le contexte. Nous proposons donc de réadresser la patiente à la SUVA afin de réeffectuer un bilan notamment avec un ENMG et une évaluation socio-professionnelle. En parallèle, notre patiente présente selon elle des altérations au niveau urinaire avec notamment la nécessité d'une intervention chirurgicale dont nous ne connaissons pas la nature et la mise en place d'une sonde urinaire rendant les différents examens complémentaires actuellement difficiles. Nous vous laissons le soin de réadresser la patiente à la SUVA pour la suite du traitement et restons à disposition pour toutes éventuelles questions. Nous nous retrouvons face à un patient avec une double problématique de fracture au niveau de D12 type tassement, raison pour laquelle nous effectuons en complément des radiographies ce jour. Concernant les douleurs coccygiennes ou sacrées, nous organisons un scanner du sacrum et du coccyx avec reconstruction 3D et reverrons le patient par la suite. Nous organisons des bilans complémentaires à effectuer. Le patient sera revu après avoir réalisé le CT de la colonne et la scintigraphie. Concernant le pied, un avis au Neurocentre avec un bilan neurologique du membre inférieur D sera réalisé ainsi qu'une IRM de l'avant-pied et lors de la prochaine consultation une RX pied D face profil oblique en charge. Les résultats seront discutés avec le Dr. X. Nous reverrons le patient après tous ces examens. Nous restons à disposition si besoin. Nous organisons l'ablation du clou de Prévôt pour le 26.05.2020. Le papa signe le consentement éclairé. Nous organisons un CT du pied G afin d'évaluer le degré de consolidation des fractures et l'installation de lésion dégénérative précoce au niveau des articulations touchées lors du traumatisme. Nous le reverrons suite à cet examen. Nous envisagerons éventuellement une infiltration articulaire à but diagnostic et thérapeutique. Nous organisons un CT du pied G et le reverrons ensuite. Nous l'envoyons chez le plâtrier pour confectionner un plâtre circulaire. Nous lui recommandons de marcher en décharge stricte du MIG en attendant les résultats du CT. Prescription de Clexane et nous l'envoyons aux urgences pour recevoir l'enseignement adéquat. Arrêt de travail prolongé jusqu'au 01.06.2020. Nous organisons un CT pour étudier le stock osseux au niveau du tibia distal en prévision d'une arthrodèse de la cheville. A noter qu'après discussion avec la patiente, nous allons prescrire de la physiothérapie et évaluer cliniquement la patiente pour décider de la nécessité de cette arthrodèse. Nous organisons un traitement chirurgical par réduction ouverte et arthrodèse temporaire par plaque Pedus. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous organisons une infiltration comme proposée par le Dr. X au niveau de L5-S1 à gauche. Nous prescrivons la mise en place d'un corset amovible jusqu'à la mi-cuisse, à porter quelques heures par jour lorsqu'elle est debout. Prochain contrôle par la suite. Nous organisons une infiltration sous US chez les radiologues au niveau talo-naviculaire D. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec stretching des chaînes postérieures. Arrêt de travail à 50% pour le mois de juin. Nous la reverrons à 6 semaines de l'infiltration pour un contrôle clinique. Nous organisons une IRM du tendon d'Achille. Nous le reverrons dans 6-8 semaines. Dans l'intervalle, il va reprendre la physiothérapie qui a été interrompue durant le confinement. Nous lui prescrivons de l'Ecofenac en réserve. Nous pensons que les douleurs sont liées à une cicatrice au niveau du portail d'arthroscopie médial qu'à une nouvelle lésion méniscale. Les signes méniscaux sont négatifs et il y a également une bonne stabilité dans le plan sagittal. Pour l'instant, nous lui conseillons de poursuivre la rééducation par gainage, relâchement des chaînes postérieures, proprioception et renforcement musculaire. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Si les douleurs devaient persister ou qu'il remarque un blocage, alors nous organiserons une IRM. Nous pensons qu'elle souffre surtout d'un déconditionnement du genou G avec une forte atrophie du quadriceps qui est survenue après cette tuméfaction. On discute avec elle de lâcher le plus rapidement possible les cannes et de marcher avec des bâtons de nordic pour se tenir droite et pour charger totalement la jambe et bien dérouler le pas. Physiothérapie pour étirements de la chaîne postérieure et pour détendre les ischio-jambiers et regagner une extension complète. Pour bilanter la tuméfaction pré-patellaire, nous organisons un US et nous la reverrons après cet examen. AT à 100% jusqu'au 29.05.2020, ensuite reprise à 50% jusqu'à la fin du mois de juin. Nous pensons qu'une luxation rotulienne est peu probable. Il a certainement fait une entorse du ligament collatéral interne mais qui est stable en F/E. Pour exclure une lésion méniscale ou du LCA, nous organisons une IRM et nous la reverrons après cet examen. Nous posons l'indication pour une prise en charge chirurgicale dès récupération de la peau. L'opération est prévue pour le 02.06.2020 avec une hospitalisation. Nous avons rediscuté du déroulement opératoire ainsi que des risques et bénéfices de cette intervention et il nous donne son accord écrit ainsi que sa mère qui signent le formulaire de consentement éclairé. A savoir que l'opération sera annulée si les tissus mous n'ont pas totalement récupéré. Il sait qu'il doit surélever le plus possible la jambe et mettre de la glace. Nous poursuivons le traitement physiothérapeutique et nous la reverrons pour un prochain contrôle clinique dans 6 mois. Nous préconisons de ce fait une ablation du Rucksack, un arrêt de sport pour un mois et nous mettons fin au suivi en policlinique. Nous restons tout de même à disposition. Nous préconisons une réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque dorsale pour cette fracture disloquée du MC V à droite. L'intervention est prévue en ambulatoire au Daler pour le 15.05.2020. Un contrôle post-opératoire à 6 semaines est déjà planifié. Nous prescrivons de la physiothérapie et organisons une infiltration en radiologie. Nous la reverrons 6 semaines après ce geste. Nous prescrivons des anti-inflammatoires et du Voltaren en crème. Nous informons à nouveau le patient sur les règles d'hygiène posturale et lui conseillons de faire des séances de stretching à faire à domicile. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous prescrivons des séances de physiothérapie, un traitement antalgique et myorelaxant. Un arrêt de travail est également prescrit pour 7 jours avec d'après le patient une possibilité d'avoir un poste aménagé sur son lieu de travail. Le patient reverra son médecin traitant dans 1 semaine pour contrôle clinique. Nous prescrivons un traitement antibiotique préventif par coamoxicilline pendant 3 jours et effectuons une immobilisation du bras à garder pour la même durée. Nous suggérons un contrôle chez le médecin traitant à la fin du traitement.Nous prions l'AI, qui ont déjà reçu une annonce, d'évaluer le cas de Mr. Y avec les nouveaux documents envoyés par la SUVA qui confirment notre pronostic. Le patient a des rendez-vous à la consultation du Dr. X dans le service de la douleur. On prescrit des séances de physiothérapie et d'ergothérapie pour poursuivre les progrès au niveau de la fonction articulaire et musculaire, et ainsi préserver les acquis. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. Nous procédons à la circularisation du plâtre BAB. Prochain contrôle radio-clinique le 05.06.2020 mais nous restons à disposition en cas de besoin entre-temps. Pas de sport durant 3 mois. Nous procédons à la désinfection par Hibidil, fils coupés au ras de la peau, désinfection et pansement. La patiente est avisée de reconsulter les urgences en cas de signes infectieux, ces derniers lui sont expliqués. Nous procédons à l'ablation des fils palmaires de la paume et de la base de D3. Ablation de la zone hyperkératosique de la cicatrice à la base de D3 puis mise en place d'un steri strip (cicatrice fermée en profondeur) et réfection du pansement. Par la suite, la réfection du pansement sera effectuée par la patiente aux 48 heures. Nous lui remettons une ordonnance pour le matériel nécessaire. Mme. Y sera revue pour un contrôle clinique à la consultation du Dr. X dans 6 semaines. Nous procédons à une réfection des pansements selon le protocole établi à la sortie de l'hôpital. Mr. Y sera revu à votre consultation dans 48 heures pour un suivi biologique et ECG dans le contexte de l'antibiothérapie au long cours. Il sera également revu à la consultation Team pied de l'HFR Fribourg le 18.05.2020. Dans l'intervalle, les changements de pansements seront effectués par les infirmières à domicile. Nous mettons fin au suivi en policlinique d'orthopédie ce jour, 29.04.2020, mais restons bien évidemment à disposition pour revoir le patient au besoin. Nous proposons à la maman une ablation du clou de Prévôt, nous lui expliquons les risques et les bénéfices, elle donne son accord oral et signe le consentement éclairé. L'opération est agendée pour le 16.06.2020. Nous proposons à la patiente de renouveler une infiltration sous-acromiale et gléno-humérale de son épaule D le 03.06.2020, ce que la patiente accepte. Nous lui remettons tout de même un bon pour de la physiothérapie ainsi qu'un traitement antalgique par Voltarène 75 mg ret matin et soir. Pas d'arrêt de travail. Nous proposons à la patiente d'effectuer de la physiothérapie pour renforcer la musculature. Nous lui donnons alors une ordonnance et, en cas de besoin, elle nous recontactera pour une nouvelle ordonnance. Prochain contrôle en septembre 2020. Nous proposons à la patiente une application nocturne de Flectoparin patchs à la face antérieure du genou et la reverrons pour un prochain contrôle clinique en juillet 2020. Nous proposons au papa une consultation orthopédique en raison du test des tendons extenseurs et fléchisseurs qui étaient difficilement réalisables afin d'écarter une lésion. Au vu de la longue attente (3h), le papa préfère rentrer à domicile avec une immobilisation antalgique et de contrôler la clinique à 48h à votre consultation. Nous l'informons de reconsulter chez nous si pas d'amélioration à 24h. Attitude: • immobilisation par syndactylie D2D3 par bande (à refaire chaque jour) • antalgique au besoin • contrôle au plus tard à 48h à votre consultation ou à 24h chez nous si aucune amélioration notable Nous proposons au patient de poursuivre les séances de physiothérapie. Nous lui remettons un certificat médical pour 50% du 28.5.2020 au 4.6.2020 avec une reprise du travail à 100% le 5.6.2020. Nous ne programmons pas de rendez-vous de contrôle mais restons à disposition au besoin. Nous proposons au patient d'effectuer une hygiène posturale à long terme et d'effectuer du stretching musculaire. Nous lui conseillons d'effectuer de la natation et d'utiliser un ballon lors du travail pour regagner un équilibre correct de la colonne. Nous allons fixer un nouveau rendez-vous de contrôle pour voir l'évolution clinique dans 6 mois. Nous proposons au patient un traitement conservateur par plâtre AB à porter durant 6 semaines mais, au vu de l'importante tuméfaction, nous décidons de refaire un nouveau plâtre AB fendu avec un prochain contrôle clinique dans une semaine en salle des plâtres afin de juger de l'évolution et, à ce moment-là, nous pourrons circulariser le plâtre qui sera gardé durant 6 semaines. Lors de la consultation à 6 semaines, un contrôle radioclinique hors plâtre sera effectué. Nous proposons au patient une poursuite de l'immobilisation par l'attelle en 8 pour 2 semaines, avec relais par syndactylie pour 4 semaines supplémentaires. Mr. Y retournera chez son ergothérapeute pour la suite de prise en charge et prendra rendez-vous à la consultation de son médecin traitant dans 1 mois pour contrôle clinique. Nous mettons fin ce jour, 23.03.2020, au suivi en policlinique d'orthopédie mais restons bien évidemment à disposition selon nécessité. Nous proposons au patient une prise en charge chirurgicale pour plastie du LCA +/- complétée d'une suture du ménisque externe du genou gauche. Le patient accepte. Nous expliquons au patient le déroulé de l'intervention. Le consentement chirurgical est expliqué et signé avec le patient. Une copie lui est remise. L'intervention est prévue pour le 4.6.2020. Nous proposons de suivre la résolution de l'exanthème et que le patient bénéficie d'une consultation allergologique en ambulatoire. Nous vous proposons de suivre le poids, les électrolytes et d'adapter le traitement diurétique au besoin. Nous proposons des exercices de physiothérapie pour stretching du fascia plantaris et des chaînes postérieures des 2 jambes, nous proposons des exercices de proprioception et le port de semelles proprioceptives ddc, pour cela nous donnons des ordonnances. Pas d'interdiction au sport. Nous la reverrons pour un contrôle clinique le 07.10.2020. Nous proposons des séances de physiothérapie pour rééducation posturale, stretching pour le genou opéré afin de diminuer le flexum, rééducation à la marche et afin de débloquer les sacro-iliaques à gauche. Prochain contrôle dans 4-5 semaines. Actuellement, nous ne voyons aucune indication à un traitement chirurgical. Nous proposons donc à Mme. Y une stratégie par infiltration péri-radiculaire afin de soulager ses symptômes. Nous avions proposé une infiltration péri-radiculaire L5 pour un état hyperalgique sur ce dermatome, la patiente n'a pas effectué l'infiltration en raison d'un état nauséeux. Pour rappel, patiente connue pour une hépatite B. D'un point de vue traitement alternatif, une prise en charge chirurgicale pourrait s'envisager avec révision et discectomie, voire un TLIF chez une patiente peu symptomatique au niveau lombaire. Elle ne souhaite actuellement pas d'autre prise en charge vu l'amélioration clinique. Nous lui donnons donc rendez-vous le 06.08.2020 d'ores et déjà, elle nous recontacte entretemps si les douleurs redeviennent importantes. Nous proposons d'organiser une IRM du genou. Cependant, le patient n'ayant pas d'assurance maladie-accident valable en Suisse, nous suggérons un retour à domicile avec antalgie adaptée (Dafalgan cp 1g max 4x/j et Ibuprofène cp 400mg max 3x/j) et consultation spécialisée chez Dr. X dès que possible afin de décider de l'indication à effectuer une IRM. Dans l'attente, immobilisation avec attelle jeans à 0°, décharge selon douleurs et antithromboprophylaxie. L'oncle sera contacté pour la suite de la prise en charge (079 286 99 35). Nous proposons encore le port d'une attelle pour 3 semaines, Mme. Y a déjà essayé une aircast sur une ancienne fracture et ne la tolère pas, raison pour laquelle nous proposons une immobilisation avec chaussette en Softcast circulaire pour 3 semaines. Suite à la mise en place du plâtre, elle peut marcher dessus sans douleur à l'aide des béquilles. Arrêt de sport pour encore 6 semaines. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines.Nous proposons la vaccination contre le tétanos aux urgences vu la plaie profonde et vu l'absence de vaccins depuis la naissance. La mère souhaite faire chez le pédiatre et préfère réfléchir encore. Nous expliquons en détail les risques infectieux devant une telle plaie et nous expliquons à la mère le délai pour une telle vaccination. Nous expliquons en détail les signes d'alerte (érythème, tuméfaction, état fébrile) et les consignes pour les soins locaux (éviction de l'eau, suivi à domicile, crème anti-soleil). Nous proposons l'ablation de l'attelle Stack car pas de fracture visualisée, aussi selon le rapport du radiologue. Au vu de la complète régression des douleurs, le patient peut reprendre son travail à partir du début de la semaine prochaine. Explication d'effectuer une mobilisation libre du pouce pour regagner la mobilité (raideur post-immobilisation de l'IP). Nous restons à disposition en cas de besoin. Nous proposons un contrôle clinique à votre consultation dans une semaine. Nous proposons un rendez-vous de suivi à votre consultation. Nous vous proposons de suivre la kaliémie de Mme. Y et d'évaluer l'arrêt de la substitution en potassium. Nous proposons un traitement conservateur par antalgie et physiothérapie. Mme. Y n'a plus besoin de porter le gilet. Les consignes ont été transmises par téléphone à son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous proposons une attelle Edimbourg et antalgie. Mme. Y sera revue en policlinique d'orthopédie la semaine suivant la consultation aux urgences. Nous proposons une cure d'ongle incarné des 2 hallux. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous proposons une hospitalisation à Mme. Y en raison de ses symptômes. Elle préfère une prise en charge ambulatoire. Mme. Y s'engage à consulter son médecin traitant cette semaine pour une réévaluation de ses vertiges et de la faiblesse des membres inférieurs inexpliquée. Devant un examen clinique rassurant, sans dysmétrie, avec une force conservée, au vu du scanner cérébral normal, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile. Nous rappelons la maman en cas de culture urinaire positive afin d'introduire une antibiothérapie. La maman sera également contactée en cas de résultat positif pour le frottis naso-pharyngé SARS-CoV-2. Contrôle clinique et +/- biologique chez vous dans 24 heures, le 27.05. Dafalgan supp. 80 mg aux 6h entre-temps. Reconsulte avant si diminution de l'état général. Nous rassurons le patient. En l'absence de symptomatologie persistante, nous ne recommandons pas la réalisation de nouveaux examens. Nous demandons au patient de continuer à suivre activement les séances de physiothérapie et de, dès que possible à l'ouverture des piscines, faire de la natation. Comme prévu, le patient sera revu au cours du mois de juin 2020 où un contrôle radioclinique avec orthoradiogramme colonne totale devra être réalisé. Nous réalisons aujourd'hui le consentement éclairé et nous expliquons à Mr. Y l'intervention en détail qui aura lieu ce vendredi à l'Hôpital Daler et qui sera effectuée par Dr. X. Le patient signe le consentement éclairé et n'a plus de questions. Nous réalisons l'ablation de la mèche et un rinçage abondant avec NaCl. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie en réserve et les conseils de réaliser des bains avec de la Bétadine. Nous réalisons le changement du pansement ce jour. Le patient n'est pas algique. Il ne prend pas son traitement antalgique car les douleurs sont absentes. Il reviendra dans deux jours pour un nouveau contrôle clinique et réfection du pansement. Si à ce moment-là le pansement est propre et calme, la suite pourra être réalisée chez son médecin traitant avec réfection du pansement tous les deux jours et ablation des fils à J14 post-traumatique. Nous réalisons un constat de coups et le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Nous réalisons un laboratoire et un ECG qui se trouve en annexes. Nous administrons un Dafalgan 1 g per os. Nous réassurons le patient qui ne souhaite pas d'antalgie supplémentaire ni de Temesta 1 mg. Nous prescrivons Relaxane 3x par jour. La suite sera chez le médecin traitant s'il y a un besoin d'investigation supplémentaire ou de reprise du suivi cardiologique. Nous réalisons un scanner abdominal qui ne montre pas de masse mais la présence de caillots de sang dans la vessie. Nous prenons l'avis urologique de Dr. X qui suspecte une prostatite et demande de laisser rentrer le patient à domicile avec un traitement par Céfuroxime 500 mg per os 2x/jour pendant 2 semaines, une hospitalisation n'est pas indiquée selon lui. Le patient prendra rendez-vous chez Dr. X pour un contrôle clinique la semaine prochaine. Nous réalisons un scanner facial et cérébral qui ne montre pas d'atteintes osseuses. Le formulaire de constat de coups a été rempli. Le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve. La feuille de surveillance et les explications ont été données à sa mère. Nous recommandons au patient de poursuivre le traitement physiothérapeutique. Nous ne pouvons pas exclure à 100% la présence d'un second hit du nerf ulnaire au niveau du coude. Nous proposons donc un traitement par chiropractie afin d'améliorer la mobilisation dans les activités quotidiennes. Prochain contrôle clinique dans 2 mois et demi. Nous recommandons fortement au patient de prendre contact pour faire le suivi chez le cardiologue traitant. Nous recommandons un contrôle clinique chez le médecin traitant dans 7-10 jours. Gastro- et coloscopie à organiser en ambulatoire. Surveillance des paramètres et bilan hydro-électrolytique avec réévaluation de l'Aldactone. Réévaluation régulière de l'état psychologique et de la nécessité d'une aide. Nous recommandons un contrôle des tests hépatiques et du syndrome inflammatoire à votre consultation et un rendez-vous est programmé à la consultation de Dr. X le 18.06.2020 à 09h00. Nous reconfectionnons une botte plâtrée circulaire que le patient doit porter jusqu'au 15.05.2020 date du prochain contrôle. Une ablation du plâtre et une radiographie hors plâtre aura lieu à ce moment-là. Nous recontactons au besoin. Nous redemandons ce jour avis auprès du chirurgien viscéral de garde, Dr. X, qui comme nous depuis le 09.05 pense que la prise en charge doit avoir lieu au CHUV, au vu du risque de rétraction et de brûlure du 2e degré B voire 3e degré. Nous prenons contact avec Dr. X (chirurgienne pédiatrique CDC), qui consulte Dr. X (chirurgien plasticien), et une prise en charge par les plasticiens du CHUV est organisée (la mère sera convoquée par le service de polyclinique plastique aujourd'hui ou demain). Nous rediscutons avec le patient d'une prise en charge chirurgicale par ALIF L5-S1. Vu la discopathie multi-étagée, nous lui expliquons cependant que les douleurs risquent de ne pas disparaître à 100% et que nous traitons en priorité le niveau L5-S1 avec cette sciatique confirmée. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 18.05.2020. Dans l'intervalle, nous organisons une congélation de sperme préventive, bien qu'il nous informe ne plus vouloir d'enfant. À noter toutefois actuellement l'absence de désir ainsi que des troubles érectiles pouvant compromettre cette procédure. Le patient nous adressera également une lettre signée, nous confirmant sa volonté de ne plus avoir d'enfant.Nous rediscutons de la prise en charge chirurgicale VS prise en charge conservatrice et lui expliquons les risques et les bénéfices des deux options. Nous lui proposons de faire une réduction ouverte et une ostéosynthèse. Il préfère poursuivre le traitement conservateur. Nous mettons donc en place un plâtre AB circulaire. Prochain contrôle radioclinique hors plâtre dans 5 semaines afin de juger de l'évolution radioclinique. Nous réduisons la luxation avec du Propofol iv avec l'aide des anesthésistes. La radiographie post-réduction montre une tête humérale basse. Après réduction, le patient présente une contracture du deltoïde en abduction contrariée. La coiffe des rotateurs n'est pas testée du fait des douleurs. Après avis du Dr. X, nous proposons de mettre en place une bretelle à but antalgique pour une durée de 6 semaines avec contre-indications des mouvements abduction/rotation externe. Le patient continuera à prendre les antalgiques à domicile. Il consultera son médecin traitant dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Nous restons à disposition si besoin. Nous refaisons le pansement et le patient rentre à domicile. Nous réglons l'attelle articulée jusqu'à 90° de flexion pour encore 1 semaine puis nous expliquons au patient qu'il pourra l'utiliser sans limiter la flexion et essayer de la sevrer progressivement à partir de mi-mai. Nous le reverrons le 04.06.2020. En cas de persistance de sensation d'instabilité et d'une laxité au stress valgus nous envisagerons une réparation du LLI et du LCA. Nous poursuivons entretemps les séances de physiothérapie. Nous remarquons une bonne évolution de la mobilité de cette épaule liée à une activité constante du patient et de la physiothérapie. Pour cette raison, nous proposons d'effectuer encore des séances de physiothérapie pour gagner les amplitudes et une bonne force musculaire. Pour l'instant, éviter pour les 3 prochains mois toutes les activités sportives à haut risque (VTT, surf). Nous allons fixer un nouveau rendez-vous de contrôle le 29.07.2020. Nous remarquons une bonne progression dans la mobilité de cette épaule. Nous conseillons quand même de poursuivre la physiothérapie pour récupérer toutes les amplitudes et progressivement il pourra commencer le port de charge. Pour l'instant, nous conseillons seulement comme activité physique de la marche avec des cannes, mais ce n'est pas encore le moment pour reprendre la course à pied et le vélo. Concernant le travail, le patient reprend à 30% dès le 11.05.2020 jusqu'à fin mai et à 50% dès le 01.06.2020. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Nous remercions la consultation des tumeurs du service d'orthopédie de convoquer le patient dans les plus brefs délais au no 078 247 66 39. Nous remplissons un constat de coups. Le patient rentre à domicile avec une antalgie. Nous retenons donc le diagnostic d'instabilité mid-carpale D décompensée par le traumatisme du 04.02.2020. Nous proposons au patient de faire de la physiothérapie pour renforcer la musculature et stabiliser cette articulation. Vu que le patient est droitier et maçon, avec un travail de port de charges lourdes, on prolonge l'arrêt de travail jusqu'à la fin juin. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle. Nous retenons le diagnostic d'une probable tendinopathie du LCB. Nous proposons à Mme. Y de poursuivre les séances de physiothérapie. Nous la reverrons pour un contrôle au mois d'août pour juger de l'évolution. Nous retirons les fils. La cicatrice reste fermée sans signe de déhiscence. Nous mettons en place un pansement Mepore pour 48h. Mme. Y pourra par la suite reprendre ses activités sans restriction. Nous mettons fin au suivi à la consultation du Dr. X. Nous retrouvons un polyéthylène qui est probablement subluxé mais nous ne sommes pas sûrs que cela provienne de l'accident du mois de mars qui aurait engendré une mauvaise fonction de la prothèse. Il s'agit peut-être également d'une irritation de L5 à droite qui provient probablement d'une récidive ou d'un ancien fragment d'une hernie discale L4-L5 à droite. Nous discutons de toutes les options avec le patient mais afin de compléter le bilan, nous organisons une myélographie fonctionnelle et CT afin d'évaluer l'irritation fonctionnelle des racines. Prochain contrôle par la suite afin de discuter d'une prise en charge. Arrêt de l'Oxycontin en raison de la réaction allergique. Nous reverrons le patient après les examens neurologiques. La feuille d'évaluation des douleurs est remise. Nous reverrons le patient dans 6 mois pour un contrôle radioclinique. Concernant le problème de demande d'AI, le patient a réitéré sa demande avec l'aide de son assistante sociale. Nous attendons un questionnaire de l'AI afin de pouvoir répondre à leurs questions. De notre point de vue, après évaluation radioclinique et électrophysiologique durant les dernières années après 2016 et au vu du fait que le patient a subi 2 interventions de spondylodèse lombaire, il est nécessaire d'avoir une année complète de récupération avec une rentrée provisoire à 100% pour les 12 prochains mois qui est également justifiée par le statut clinique actuel. Nous re-visualisons l'IRM du mois de février qui ne montrait pas de rupture des tendons mais un fort Bone Bruise au niveau de la fracture du trochiter. Nous pensons qu'il y a une forte inflammation au niveau sous-acromial et préconisons de poursuivre la physiothérapie afin de faire une décompression sous-acromiale. Nous agendons également d'ores et déjà une infiltration sous-acromiale et jugerons de la nécessité de la réaliser ou non le même jour. Nous reverrons Mme. Y par la suite. Actuellement, nous ne posons aucune indication opératoire. Nous revoyons votre patient ce jour aux urgences pédiatriques. Nous répétons l'examen urinaire qui écarte une infection urinaire au vu de l'absence de leucocytes et de nitrites. Nous n'avons également aucun critère clinique pour une suspicion d'une maladie de Kawasaki. L'enfant étant en bon état général, nous décidons de ne pas répéter le bilan sanguin et nous informons la maman qu'elle peut arrêter l'antibiotique au vu de l'intolérance. Si Lucas présente une péjoration de son état général et/ou des pics fébriles plus importants, reconsulter aux urgences de suite ce week-end. Nous sommes à environ deux mois du traumatisme traité avec une attelle Aircast. Mme. Y présente des douleurs persistantes notamment à la marche au niveau de l'articulation de Chopart. Une immobilisation plâtrée n'est pas indiquée dans ce cas-là, ni une intervention chirurgicale. À deux mois post-traumatiques, il n'y a aucune indication de décharge du pied. Nous préconisons d'adapter le traitement antalgique et de continuer à mettre les bandes élastiques au niveau du pied lors des marches. Nous conseillons à Mme. Y d'éviter les marches intenses et de se limiter à des marches douces. Nous reverrons Mme. Y dans 4 semaines pour un contrôle clinique au team pied. Nous informons dès à présent Mme. Y que les douleurs peuvent persister pendant longtemps du fait d'un traumatisme il y a deux mois. Nous suspectons qu'au niveau de la hanche D, le patient ait développé une bursite trochantérienne pour laquelle nous proposons le traitement par patchs locaux à garder pendant 3 semaines. Concernant l'épaule, nous proposons aussi de continuer la physiothérapie de mobilisation et renforcement de l'épaule pour reprendre toutes les amplitudes. Au vu de ces douleurs en regard de l'insertion du platysma, nous proposons au patient une évaluation chez les collègues du service d'antalgie pour essayer de calmer ces douleurs avec une infiltration. Le patient est à la recherche d'un travail.Nous suspectons une lésion du ménisque externe du genou droit. Mise en place d'une physiothérapie et d'un arrêt de travail pour 1 semaine à réévaluer chez le médecin traitant. Nous suspectons une possible lésion ligamentaire durant son déménagement, DD lésion tendineuse ou fracture de fatigue occulte. Nous proposons au patient le port d'une semelle rigide et repos. Nous reverrons Mr. Y dans 3 semaines pour contrôle en policlinique. Il nous recontactera avant en cas de péjoration de son état. Mr. Y est en chômage partiel et ne souhaite pas d'arrêt de travail dans l'immédiat. Nous suspectons une tendinopathie à l'insertion proximale du tendon bicipital avec une possible lésion de SLAP, raison pour laquelle nous proposons à la patiente d'effectuer une IRM et d'effectuer une physiothérapie ciblée pour travailler les abaisseurs de l'épaule. Prochain contrôle après l'IRM. Nous suturons la plaie superficielle de l'hémifront droit avec colle dermabond. Nous expliquons à la maman les conseils habituels concernant la plaie (pas de contact avec l'eau, pas de désinfectant, crème grasse, surveillance des signes de surinfection). Concernant le TC, nous expliquons les signes à surveiller à domicile et de reconsulter en cas d'apparition. Nous téléphonons avec nos collègues de Tavel en leur soulignant que de notre point de vue, un éventuel traitement par infiltration de l'articulation sacro-iliaque droite avec Curavisc peut être réalisé (1cc-0.5cc de Curavisc + 5 cc de Ropivacaïne 0.75 mg/ml pour une infiltration sacro-iliaque). Cette procédure peut être effectuée à Tavel. Nous prions nos collègues d'effectuer un diagnostic différentiel d'un éventuel cadre douloureux d'origine abdominale. Prochain contrôle par la suite. Nous visualisons bien l'écharde qui gêne le patient au niveau de la face palmaire de la 3ème phalange du 2ème orteil. Nous l'ablaons avec une pince et une aiguille. Pansement simple. Mr. Y protégera la petite dermabrasion ces prochains jours. Nous vous laissons le soin de prévoir un suivi à 5-7 jours à votre consultation pour le suivi de l'asthme et pister les résultats de parasitologie. Nous vous laissons le soin de suivre le profil tensionnel et d'effectuer les examens proposés par Dr. X selon l'évolution de la patiente. Nous vous laissons le soin d'effectuer un dosage Plaquenil à J9 (le 02.05.2020). Nous vous laissons les soins de faire un contrôle biologique à distance. Nous recommandons un contrôle pneumologique à distance. Nous vous laissons le soin de réévaluer un contrôle gastro-entérologique en raison de troubles de la motilité à niveau distal de l'œsophage. La patiente sera convoquée pour une évaluation ORL en ambulatoire à l'HFR Fribourg. Nous vous proposons de reprendre les médicaments par voie orale et la nutrition entérale en fonction de l'évolution. Nous vous proposons de suivre l'évolution clinique et biologique du patient et d'évaluer l'indication à réaliser un bilan à la recherche d'une néoplasie. Nous vous proposons de réaliser un suivi de la fonction thyroïdienne dans 3 mois. Nous vous proposons de suivre l'évolution de l'hémoglobine et de la kaliémie de la patiente. Nous vous proposons de suivre l'évolution des symptômes du patient et d'évaluer l'indication d'une prolongation du traitement. Nous vous proposons de suivre la kaliémie de votre patient. Nous vous proposons d'évaluer la nécessité d'adapter les bas de contention du patient. Le patient sera revu à la consultation de Dr. X le 20.05.2020. Mesures régulières de la tension artérielle à domicile (au moins 1x/j). Nous vous proposons d'organiser une consultation psychiatrique en ambulatoire, selon le désir de la patiente. Nouveau cas Nouveau contrôle de la plaie dans deux jours planifié. Nouveau contrôle des plaies à la consultation ambulatoire des urgences dans 48 heures et éventuelle ablation du Penrose. Jusqu'à ce contrôle, poursuite de l'immobilisation avec l'attelle et du traitement de Co-Amoxi pour 7 jours au total. Nouveau contrôle le 10.07.2020. Nouveau-né à terme, PN 3100 g, TN 50 cm. Nouveau-née à terme, poids de naissance 3.710 kg. Nouvelle chute avec TC le 23.05.2020. Nouvelle coronarographie dans 2 semaines par Dr. X. Suivi cardiologique ambulatoire dans 6 semaines. Nouvelle dyspnée d'effort depuis avril 2020: probablement d'origine multifactorielle : sur cardiomyopathie hypertrophique, dans un contexte de prise pondérale importante avec syndrome de Cushing sur corticothérapie systémique, origine pulmonaire avec contexte de BPCO et utilisation suboptimale des bronchodilatateurs. Nouvelle fracture traumatique le 06.05.2020 sur une fracture diaphysaire déplacée du tiers moyen de la clavicule droite, avec raccourcissement inférieur à 2 cm le 29.03.2020. NSCLC type adénocarcinome cT2a cN0 cM0 stade IB. NSCLC type adénocarcinome pT3 pN0 (0/23) L0 Pn1 G2 R0 cM0 stade IIB date de diagnostic : 30.03.2020. status post-lobectomie supérieure gauche le 27.04.2020. NSTEMI. NSTEMI aigu le matin du 24.04.2020 avec décompensation cardiaque à prédominance gauche : diagnostic différentiel : angor instable sur crise hypertensive dans un contexte d'insuffisance cardiaque. NSTEMI antérieur le 12.09.2018 : occlusion subaiguë de l'artère interventriculaire antérieure moyenne : PTCA/DES x 2. légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie antéro-apicale, EF 50%. Coronarographie le 13.09.2018 (Dr. X). ETT le 13.09.2018 (Dr. X). NSTEMI antéro-apical sur dissection de l'IVA proximale per-coronarographie le 26.02.2009. Maladie coronarienne de 2 vaisseaux avec : sténose IVA proximale à 95-99% : échec d'angioplastie et dissection IVA proximale, flux ralenti post-coronarographie. sténose longue de 70% de la 1ère marginale. occlusion de la circonflexe distale. FEVG 61% en OAD par ventriculographie. NSTEMI antéro-inférieur, DD Takotsubo. NSTEMI avec maladie coronarienne tritronculaire le 03.05.2020 : Sténose 70% ACD ostiale, moyenne et distale avec angioplastie et pose de 3 stents actifs. Sténose 90% première diagonale avec angioplastie et pose de 2 stents actifs. Sténose 90% deuxième diagonale de petit calibre. Sténose 50% IVA moyenne et distale. Sténose 50% CX moyenne. Sténose 90-99% de la première marginale de petit calibre. NSTEMI avec OAP le 19.05.2020. DD : sur cardiopathie ischémique, cardiopathie de stress (Takotsubo) : pic de troponine le 20.05 à 136, BNP 13376. inversion nouvelle des ondes T en antérieur le 20.05.2020. NSTEMI de type 2 le 01.05.2020. NSTEMI le 01.05.2020 probablement sur pic hypertensif avec : cardiopathie ischémique, valvulaire et hypertensive avec maladie coronarienne bitronculaire. TAVI avec Edwards Sapien S3 pour sténose aortique en 05.2018. stenting du tronc commun (novembre 2012), occlusion chronique et collatéralisation de la circonflexe ostiale. stenting du tronc commun (in stent) et de l'IVA proximale en avril 2018. fenestration de la branche bissectrice à travers les mailles du stent TC. stenting de la branche bissectrice avec DES, PTCA du stent TC/IVA avec DEB. ACD infiltrée diffusément sans sténose significative. NSTEMI le 05.05.20.NSTEMI le 05.05.2020 : • ETT le 06.05.2020 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec dyskinésie de la paroi inféro-basale. FEVG à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. PTDVG normales. Insuffisance mitrale légère à modérée. • Dose de charge Aspirine 250 mg i.v. à l'HFR Fribourg • Consilium cardiologique le 06.05.2020 (Dr. X) : absence de dysfonction systolique du VG, asynchronisme au niveau des parois inféro-basal et inféro-latéral-basal (possiblement sur BBD), pas de coronarographie urgente. Poursuite d'ASS 100 mg/jour, et l'ajout éventuel d'une statine à faible dose (AVC au CT cérébral). NSTEMI le 07.08.2012 maladie coronarienne bitronculaire avec pose d'un stent actif au niveau de l'interventriculaire antérieure (FEVG 60 %) Tabagisme actif à 60 UPA Syndrome pulmonaire obstructif modéré et restrictif mixte Consommation d'alcool à risque (4 bières/jour) Syndrome métabolique avec : obésité, dyslipidémie, HTA, diabète. NSTEMI le 08.05.2020 • Lésion IVA et Circonflexe NSTEMI le 08.05.2020 sur sténose significative de l'IVA moyenne et occlusion aiguë de la seconde diagonale le 08.05.2020 • pic de CK le 08.05.2020 : 1567 U/l NSTEMI le 10.05.2020 • Score de Grace : 92 points NSTEMI le 10.05.2020 • score de Grace : 92 points • pic de CK à 190 U/L. NSTEMI le 17.05.2020 • Score de Grace 129 points. NSTEMI le 18.05.2020 NSTEMI le 29.05.2020 NSTEMI le 30.05.2020 NSTEMI secondaire au sepsis le 27.04.2020 NSTEMI secondaire dans contexte septique le 17.05.2020 • score de Grace 129 points • fraction d'éjection à 50 % • pic de CK : 2153 U/L NSTEMI secondaire dans le contexte d'anémie sévère le 25.05.2020. NSTEMI sur le territoire de l'IVA. NSTEMI sur lésion bitronculaire avec lésion serrée de l'IVA • Pic de CK 218 U/l le 16.05.2020 NSTEMI sur lésion bitronculaire avec sténose serrée de la bifurcation TC-IVA-CX 70-90 %. • sténose de l'ostium de l'artère circonflexe à 50-70 %. • FEVG : 40-45 % à la ventriculographie le 15.05.2020. NSTEMI sur maladie coronarienne bitronculaire le 10.05.2020 • Pic de CK à 190 U/L NSTEMI sur maladie coronarienne monotronculaire le 15.05.2019 • sur occlusion transitoire spontanément recanalisée de l'artère circonflexe distale • Coronarographie le 15.05.2019 (Dr. X) : pas de PCI/stent au vue de la recanalisation spontanée • Echocardiographie le 17.05.2019 (prof. Y) : FEVG 50 %, hypokinésie globale minime, auricule gauche dilaté, insuffisance mitrale modérée. Tachycardie ventriculaire monomorphe instable à 225/min le 15.05.2019 • sur occlusion transitoire spontanément recanalisée de l'artère circonflexe distale. Cardioversion électrique sous sédation le 15.05.2019 (2 chocs à 150 Joules) FRCV : Hypercholestérolémie traitée, HTA traitée, Surpoids, Tabagisme actif (75 UPA) BPCO stade IB recontroller : • exacerbation sur pneumonie à H. influenzae en 2015 • Tabagisme actif (75 UPA) FPC 2016 : VEMS 82 %, Hyperinflation statique, réversibilité significative Hypertension artérielle essentielle. NSTEMI sur occlusion fonctionnelle de l'artère coronaire droite moyenne le 29.05.2020 : NSTEMI sur sténose de l'IVA proximale le 05.04.2017 • coronarographie le 06.04.2017 (Prof. Y) : angioplastie avec implantation de 1 stent actif sur la bissectrice. Status post AVP en 1988 • OS postérieure acétabulum D • OS grand trochanter et OS par cerclage à D Descellement prothèse totale épaule D implantée en 1992 sur nécrose tête humérale post-fracture tête humérale 4 parts en 1988 Fracture péri-prothétique humérus D en 2011 traitée par ostéosynthèse Changement prothèse totale épaule D, conversion en hémi-prothèse et greffe osseuse au niveau de la glène (OP le 30.04.2018) NSTEMI sur sténose serrée du tronc commun le 31.07.2018 avec : • subocclusion de l'artère circonflexe sans possibilité de dilatation. • patient connu pour inr coronaropathie tritronculaire et quadruple pontage en 2002. • ETT du 02.08.2018 (Prof. Y, Dr. X) : FEVG conservée. • Coronarographie le 03.08.2018 (Prof. Y) : 1 stent dans le tronc commun. Anévrisme de l'aorte abdominale à 36 mm de découverte fortuite le 31.07.2018 avec : • décision de ne pas effectuer d'investigations supplémentaires. Maladie coronarienne tritronculaire avec status post 4 PAC.• saphène marginale et circonflexe, AMIG sur RIVA, AMID sur coronaire droite (2002). • AMIG-IVA occluse avec PCI IVA (2009, Dr. X). • PAC (Dr. X, Lausanne, 2010). • subocclusion TC ostiale avec PCI (2018, Dr. X). • subocclusion RCx proximale avec occlusion PAC-MA (2018). • occlusion ACD native et AMID mais bon résultat à long terme après PAC-ACD. • fonction VG systolique normale. Facteurs de risque cardiovasculaire : hypertension artérielle, dyslipidémie. NSTEMI sur sténose significative de la première marginale le 04.10.1970. NSTEMI sur subocclusion de l'IVA moyenne le 10.09.2018. Coronarographie le 10.09.2018 (Dr. X). • 2 stents actifs dans l'IVA moyenne. Aspirine dès le 10.09.2018 à vie. Clopidogrel dès le 10.09.2018 pour 1 mois. Atorvastatine, Lisinopril dès le 11.09.2018. TNT le 10.09.2018. NSTEMI sur subocclusion de l'IVA proximale le 15.03.2019. Malaise le 27.05.2019. NSTEMI sur une maladie coronarienne tritronculaire le 27.05.2020. • pic de CK 941 UI/I le 28.05.2020. NSTEMI sur une maladie coronarienne tritronculaire le 28.04.2020 : • Lésion intermédiaire de l'interventriculaire antérieure proximo-moyenne. • Sténose subocclusive de la première marginale. • Prolifération intrastent minime de la circonflexe moyenne. • Occlusion chronique de la coronaire droite proximale avec reprise homolatérale et controlatérale septale et épicardique. • Fonction systolique ventriculaire gauche conservée (FE 60 %), anévrisme postéro-basal. • Sténose aortique légère (Gradient moyen 10 mmHg, Surface 1.5 cm2). NSTEMI 05.05.2020. NSTEMI 05.05.2020. • ETT 06.05.2020 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une dyskinésie de la paroi inféro-basale. FEVG à 65 % (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. PTDVG normales. Racine aortique normale. Valve aortique calcifiée sans sténose ni insuffisance. Valve mitrale calcifiée. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale légère à modérée. Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de signes indirects pour une élévation des résistances pulmonaires (PAPs à 32 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. NT proBNP (08.05.2020) : 112 ng/l. Bas de contention : refusé par Mr. Y. NT-pro-BNP : >70'000. TSH : 1,7 mU/l. Radiographie thoracique le 17.05.2020. ECG le 17.05.2020. US de débrouillage le 18.05.2020 (Dr. X) : VCI dilatée sans modification à la respiration. Lignes B aux bases pulmonaires. ETT le 20.05.2020. Avis cardiologique le 20.05.2020 (Dr. X) : majoration du traitement de Furosemide, Pas d'investigation complémentaire recommandée concernant l'hypertension pulmonaire au vu du contexte global. Pas de potentiel de récupération. Furosemide iv du 19.05. au 24.05.2020. Aldactone p.o du 20.05 au 22.05.2020. Soins de confort dès le 22.05.2020. NT-proBNP à 26640 le 13.05.2020. Diurétiques. Ntpro-BNP à 6034 ng/L. Drain thoracique (pleurocath) du 14.04.2020 au 17.04.2020 dans le service de chirurgie. Lasix 60 mg en intra-veineux le 13.04.2020, puis Lasix 3x40 mg/j du 17.04.2020 au 24.04.2020 puis passage per os avec Torem. NT-proBNP le 25.05.2020 : 1639 ng/l. Echocardiographie transthoracique le 26.05.2020. Fonctions pulmonaires le 28.05.2020. Majoration du traitement habituel de Torasémide à 15 mg/j. NTproBNP 3000ng/L. Lasix 40mg IV. Attitude : Poursuite diurétiques IV. Suivi poids. Nucalgie. Nucalgie suite à un accident de la voie publique en voiture de cinétique moyenne le 26.05.20. • Ceinture présente. • Airbag non activé. • Pas de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. Nucalgies chroniques suite à un accident de voiture avec coup du lapin. Numéro du triage du RFSM transmis à Mme. Y (026 305 77 77) pour prise de rendez-vous. NUT Midline carcinoma pulmonaire, classé pT1c pN2 (4/8) R0, juillet 2018. • lésion du lobe supérieur droit, arc antérieur droit de C1, adénopathies péri-hilaires droites et cervicales bilatérales. • Suivi oncologique au CHUV (Dr. X, 079.556.82.32). • Traitement par inhibiteurs BET à titre compassionnel dès le 21.02.2019 pour dissémination de la maladie. Nutrition artificielle dans un contexte d'AVC en 2018 : • PEG en place. Nutrition clinique. Nutrition clinique avec enrichissement des repas. Nutrition clinique. Nutrition entérale par SNG du 25.02 au 28.02, reprise le 02.03.2020. Substitution en B9 et vitamine D. Correction électrolytique. Nutrition clinique. Supplément nutritif oraux. Nutrition entérale dès 09.05.2020. Suivi diététicien. Nutrition entérale du 09 au 13.05.2020 puis substituts nutritifs per os. Suivi diététique. Nutrition entérale du 28.04 au 16.05.2020. Nutrition parentérale du 29.04 au 14.05.2020. Insuline IVC du 28 au 16.05.2020. Insuline Lantus dès le 17.05.2020. Nutrition entérale par SNG dès le 05.05.2020. Nutrition entérale puis orale. Suivi diététique. Nutrition entérale 30.03.2020 au 17.04.2020. Conseil et traitement diététique. Physiothérapie. Suivi du poids. Nutrition par voie orale mixée. Nutrition parentérale dès le 30.04.2020. Substitution électrolytique intraveineuse. Nuvaring comme anticonceptionnel. OAP flash sur pic hypertensif dans le cadre septique le 16.05.2020. • TA 220/115. OAP flash sur pic hypertensif le 27.05.2020. OAP sur défaillance cardiaque le 31.05.2020 avec : • NSTEMI aigu le matin du 24.04.2020 avec décompensation cardiaque à prédominance gauche. • NSTEMI le 08.10.2019 (pas de coronarographie au vu du contexte global). • Oedème pulmonaire aigu sur hypertension artérielle mal contrôlée le 15.02.2018. • FA anticoagulée par Eliquis. • ECG du 24.04.2020 : ECG superposable au comparatif du 13.04.2020 : fibrillation auriculaire normocarde à 79 battements par minute. QRS normoaxé, fins et monomorphes. Pas de trouble de la repolarisation. Transition de l'onde R dans les dérivations précordiales en V4. QTc (Bazett) 440 ms. OAP sur insuffisance cardiaque gauche le 26.05.2020. Obésité. Obésité. Obésité. Obésité. Obésité. Obésité. Obésité avec BMI à 32. Obésité avec BMI à 34 (Taille 175 cm, poids 105 kg en mai 2020). Tabagisme actif (6 cigares par jour). Troubles mnésiques probablement sur prise d'antalgiques depuis AVP. Obésité avec BMI 39.5 kg/m2. • Status post-bypass gastrique proximal avec cholécystectomie le 06.09.2019. Status post hystérectomie totale janvier 2020. Obésité avec lipoedème. Obésité. • BMI à plus que 40 kg/m2. Obésité : BMI 30,4. Obésité, BMI 33. Vertiges chroniques d'origine indéterminée. Troubles mnésiques sous forme de perte de mémoire, chroniques, d'origine indéterminée. Obésité (BMI 35.8 kg/m2 le 01.05.2020, taille 188 cm, poids 126 kg). Hypercholestérolémie. Syndrome des apnées obstructives du sommeil appareillé. Tremor de repos Notion d'hernie inguinale à gauche Syndrome pulmonaire mixte discret avec emphysème alvéolaire de grade léger Hyperplasie bénigne de la prostate avec status post TURP Obésité (BMI 35.8 le 01.05.2020, taille 188 cm, poids 126 kg) Hypercholestérolémie Syndrome des apnées obstructives du sommeil appareillé Syndrome pulmonaire mixte discret • Emphysème alvéolaire de grade léger Hyperplasie bénigne de la prostate avec: • status post TURP Tremor de repos Notion d'hernie inguinale à gauche Obésité (BMI 36.5 kg/m2) Greffe cornée droite pour kératocône Pancréatite et méningite à 18 ans Obésité classe III (BMI à 43 kg/m2). Hypertension artérielle. Polyarthrose (suivie par Dr. X). Diverticulose. Gastrite antrale : • pas d'H. Pilori, pas d'argument pour reflux gastro-oesophagien à la dernière OGD du 08.09.2015. Paraparésie spastique congénitale. Epigastralgies résistantes au Pantozol. Obésité clinique suspectée Obésité de classe II selon l'OMS (BMI 37.5 kg/m²) Syndrome des jambes sans repos Hernie discale et cervicale Lombalgies chroniques Tabagisme actif 35-40 UPA Obésité de classe II Hypertension artérielle sous Lisinopril Dyslipidémie anciennement sous Atorvastatine en prévention primaire, stoppé au vu du contexte global Lombosciatalgies droites chroniques non déficitaires avec : • discopathie lombaire pluriétagée associée à une hypertrophie des ligaments jaunes L4-5 avec rétrécissement récessal bilatéral • infiltration péridurale avec Fortecortin 12 mg et Ropivacaïne 0.2 % 5 ml en L3/4 le 18.02.2019 (HFR Tafers) Coxarthrose bilatérale Kyste poplitée gauche Anémie normocytaire hypochrome arégénérative d'origine multifactorielle (inflammation dans contexte tumoral, carence martiale, carence en vitamines B9 et B12) depuis mars 2020, substituée en acide folique, Vit B12, et fer • acide folique 5 mg/j pendant 1 mois • vitamine B12 1000 mcg/j pendant 1 semaine • Ferinject 1000 mg le 26.03.2020 • Ferinject 1000 mg le 03.04.2020 Obésité de grade II selon l'OMS avec un BMI initial à 37,3 kg/m2 (102 kg pour 162 cm) Obésité de stade II, selon l'OMS Hématurie microscopique connue le 13.02.2020 (investiguée par le médecin traitant) Obésité (IMC 38 kg/m2) Hyperlipidémie Cholécystolithiase asymptomatique Maux de tête tensionnels suivi par Dr. X, 2013 • IRM crâne 12/2013 : méningiome frontal droit • Doppler des vaisseaux pré-cérébraux le 12/2013 : normal Hirsutisme idiopathique (Dr. X) Syndrome de douleur lombospondylogénique chronique à droite dans le cas de modifications dégénératives de la colonne lombaire et d'un canal rachidien étroit (Dr. X, 2013) Hémorroïdes de stade II Diabète sucré de type II, sous Metformine Hypertension artérielle Obésité morbide Obésité morbide Obésité morbide. Obésité morbide Maladie hypertensive sévère avec atteinte clinique d'organes cibles : • Absence d'HVG démontrée à l'échocardiographie du 23.12.2019, (Dr. X); FEVG conservée à 65%, dysfonction diastolique modérée (grade II), • HTA compliquée de : 1. Pics hypertensifs a) 14.12.2019 TAs max. à 210 mmHg avec manifestation angoreuse; b) 19.12.2019 TAs max. à 190 mmHg avec OAP (Killips II) sur dysfonction principalement diastolique : • troponines sans cinétique • NT-proBNP Nadir à 3742 ng/l 2. Atteinte cérébrale (encéphalopathie) • céphalée clinique le 14.12 avec hyponatrémie à 125 mmol/l, hypo-osmolaire /DD iatrogène (Citalopram) 3. Poussée d'insuffisance rénale aiguë - Akin 1 (19.12.2019) sur fond d'insuffisance rénale chronique (MDRD à 46 ml/min) : • échographie artères rénales (24.12.2019) : pas de sténose mais index de résistance très élevé au niveau rénal, compatible avec une atteinte parenchymateuse. Syndrome d'apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS) de degré sévère : • appareillage par CPAP ResMed AirSense AutoSet 5/15 cmH2O Lombosciatalgies gauches. Asthme : • variabilité importante du VEMS (gain de 540 ml par rapport à la spirométrie effectuée en juillet 2019) • bonne évolution de la symptomatologie sous Relvar • Relvar Ellipta 92/22 mcg Obésité morbide avec BMI à 53 kg/m2. Tabagisme actif à 80 UPA. Probable BPCO. Probable syndrome d'obésité-hypoventilation (Syndrome de Pickwick). Flutter auriculaire anticoagulée par Xarelto non ralenti, score CHADS 2-VASC : 1. Obésité morbide de grade III avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • thrombose veineuse profonde en 2001 • suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013 • suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017 • insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche, patiente sous Xarelto 20 mg Psychiatrique : • trouble de la personnalité type borderline • retard mental léger avec troubles du comportement • ancien syndrome de dépendance à l'alcool • tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit Surdité de 50 % bilatérale Myopie appareillée Gonarthrose bilatérale Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 42 kg/m2 (117 kg pour 167 cm) • poids actuel (février 2020) : 119 kg Obésité morbide de grade 3 selon l'OMS avec BMI initial à 44,6 kg/m2 (111 kg pour 158 cm) Obésité sévère stade II selon OMS avec BMI initial à 38,8 kg/m2 (98 kg, 159 cm) • Status post bypass gastrique proximal et cholécystectomie laparoscopique le 29.05.2017. • BMI à 1 mois post-opératoire : 33.6 • BMI 1 an post-opératoire 24.1/m2 (61 kg) • BMI 22 mois post-opératoires : 23.3 kg/m2 (59 kg) Status post-2 césariennes. Status post curetage utérin en 2011. Status post résection hémangiome/kyste avant-bras droit 12.05.2017. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 38,8 kg/m2 (98 kg; 159 cm) Bypass gastrique + cholécystectomie par laparoscopie le 29.05.2017 Obésité stade I selon l'OMS. Obésité stade II • BMI à 35 kg/m2 Obésité stade II (105 kg pour 168 cm, BMI 37) avec syndrome restrictif. Psychose maniaco-dépressive équilibrée depuis 1 an sous Lurasidone, Valproate et Venlafaxine suivie par Dr. X à Pully : • décompensation bipolaire avec état mixte et aspect psychotique avec hospitalisation à Marsens en mai 2014. Découverte fortuite d'une hyperplasie nodulaire focale hépatique de 2,6 cm du segment IV b. Obésité stade IV avec by-pass gastrique le 18.01.2010 compliqué avec : Lâchage de suture de l'estomac distal le 19.01.2010 Laparotomie exploratrice, suture d'une fistule sur l'estomac distal, mise en place d'un stent sur l'anastomose gastro-jéjunale, mise en place d'un 2ème drain thoracique à droite liée le 28.01.2010 Lâchage de suture de l'anastomose gastro-jéjunale le 29.01.2010 Stent par voie endoscopique anastomose gastro-jéjunale le 29.01.2010 Stent par voie endoscopique anastomose oeso-jéjunale le 12.02.2010 Fistule de l'estomac distal Débridement et pose de VAC abdominal pour abcès de paroi le 05.03.2010 Trachéostomie sur insuffisance respiratoire hypoxémique d'étiologie mixte (atélectases, épanchements pleuraux) avec sevrage ventilatoire difficile le 19.01.2010 Pneumonie nosocomiale droite le 22.03.2010 : • compliquée d'un sepsis le 26.03.2010 Empyème bilatéral le 05.03.2010 Chylothorax droit le 05.02.2010 et le 05.03.2010 : • drainage thoracique le 25 et le 28.01.2010 • pigtail droit et gauche sous CT le 05.03.10 Tentamen médicamenteux par surmédication par Temesta avec hospitalisation secondaire à Marsens 03.2018Episode dépressif aigu dans un contexte d'état dépressif chronique le 16.09.2016. Obésité Hématurie microscopique connue le 13.02.2020 (investiguée par le médecin traitant). Obésité Hypercholestérolémie Troubles du transit Thrombose du MI D sous Sintrom. Obésité Hyperlipidémie Diverticulose colon ascendant et sigmoïde IRC post hypernéphrome G opéré en 2000 (cf. ATCD) • clearance selon Cockroft-Gault à 50.95 ml/min le 27.05.2013. Polyarthrite rhumatoïde doublement séropositive • sous spiricort. Polyarthralgies d'origine mixte sur • polyarthrose (omarthrose, arthrose des mains) • polyarthrite rhumatoïde doublement séropositive • microcristalline (goutte, CCPD). Obésité Hyperlipidémie Sigmoïde et diverticulose ascendante du côlon. Polyarthralgie d'origine mixte • la polyarthrite (arthrite de l'épaule, arthrite de la main) • la polyarthrite rhumatoïde • microcristalline (goutte, CCPD). Obésité Hyperlipidémie Sigmoïde et diverticulose ascendante du côlon. Polyarthralgie d'origine mixte • la polyarthrite (arthrite de l'épaule, arthrite de la main) • la polyarthrite rhumatoïde • microcristalline (goutte, CCPD). Polyarthrite rhumatoïde avec : • corticothérapie au long cours (Spiricort 5 mg de manière irrégulière depuis des années) • Enbrel 50 mg lors des poussées • mobilisation en chaise roulante depuis 10 ans. Obésité Hypothyroïdie substituée. Obésité. Sevrage OH SAOS bilanté non appareillé pour mauvaise tolérance. Cardiopathie ischémique avec status post infarctus inférieur en 2002 avec pose d'un stent. HTA Dyslipidémie Status post tabagisme, arrêté depuis l'accident. Observation. Observation aux urgences jusqu'à 6 heures post-chute. Observation de 1h aux urgences pédiatriques s'avérant sans particularité. Observation et surveillance neurologique sp. jusqu'à 6 heures post-chute aux urgences pédiatriques. A bu du thé et du lait. N'a pas vomi. A regardé la télévision puis s'est endormie 1 heure. Obstétricaux : • césarienne, instrumentation : non, lésion génitale : périnée intact, Date : 30.12.2012, anesthésie : péri, lieu : HFR Fribourg, sexe : M, SA : 41, poids (g) : 2720, particularités : cs pour dystocie à 3 cm, CTG intermédiaire et liquide méconial. Gynécologiques opératoires : • 2010 curetage pour grossesse non évolutive débutante, péjoration en septicémie • 2014 laparoscopie pour algie chronique en exacerbation : foyers endométriose fosse ovarienne gauche • 05.03.2015 curetage pour grossesse non évolutive à 7 SA. Bilan fausse-couche à répétition : anticardiolipines négatif, cavité utérine normale à l'US 3D. • Grossesse non évolutive 1er trimestre. Accouchement par césarienne à 32 1/7 SA pour rupture prématurée des membranes et présentation en siège, chez une patiente de 26 ans 5G devenue 2P le 27.11.2015. Chirurgicaux non gynécologiques : 2003 appendicectomie. Obstétricaux : • PRENDIA test négatif le 25.10.19 réalisé en raison du test du 1er trimestre à 1/940. Chirurgicaux : • status post appendicectomie dans l'enfance. Obstétricaux : AVB, forceps, Date : 1993, Lieu : Philippines, Sexe : F, SG : T+7, Poids (g) : 3000g, Particularités : NPP. Obstétricaux : voie d'accouchement : AVB, Date : 2012, lieu : Afghanistan, sexe : M, poids (g) : 3600, allaitement (mois) : 18, particularités : à domicile. voie d'accouchement : AVB, Date : 2014, lieu : Afghanistan, sexe : M, poids (g) : 3800, allaitement (mois) : 14, particularités : à domicile. Accouchement par voie basse à 39 6/7 SA le 05.08.16 chez une patiente de 24 ans 3G devenue 3P après une mise en travail spontanée. Anémie du post-partum, Hb à 104 g/L. Syndrome grippal le 18.03.2020. Obstétricaux : Voie d'accouchement : AVB, Instrumentation : ventouse, Date : 2008, Lieu : HFR Fribourg, Sexe : F, SA : 39.4/77, Poids (g) : 3190, Lésion génitale : EMLD, Particularités : CTG PATHOLOGIE. Voie d'accouchement : AVB, Instrumentation : non, Date : 2010, Lieu : HFR Fribourg, Sexe : M, SA : 40.5/, Poids (g) : 3340, Lésion génitale : déchirure vaginale, Particularités : AVB très rapide. Obstétricaux : 2001, 2004, 2008, 2010 4x césarienne. Chirurgicaux : 2016 : cholécystectomie par laparoscopie. Utérus myomateux symptomatique chez une patiente 4G4P de 38 ans. Laparoscopie avec hystérectomie totale et salpingectomie bilatérale avec adhésiolyse le 09.05.2019 sous anesthésie générale. Obstétricaux : 2007 césarienne à 38 1/7 semaines d'aménorrhée pour siège, fille, poids (g) : 3400. 2010 césarienne à 40 2/7 semaines d'aménorrhée pour stagnation à 4 cm, fille, poids (g) : 3500. 2014 césarienne à 38 5/7 semaines d'aménorrhée, fille, poids (g) : 2920. Obstétrique : 1991 : césarienne pour non progression de la dilatation, à terme. 1996 : césarienne élective pour macrosomie à terme. 1999 : césarienne élective bi-itérative (grossesse gémellaire avec mort in utero d'un des jumeaux). Gynécologique : 2000 : hystérectomie subtotale pour ménométrorragies. 1993-4 : 2 grossesses extra-utérines avec laparoscopies et une fausse couche incomplète avec curetage. 2018 : conisation. Chirurgicaux : Amygdalectomie durant l'enfance. Appendicectomie 1980. Hernie hiatale axiale symptomatique avec oesophagite peptique stade II selon Savary et Miller traitée par fundoplicature laparoscopique le 13.01.2015. Ostéotomie genou gauche en 2018. Obstipation. Obstruction intermittente du Cystofix, sur mauvais calibrage, le 01.05.2020. Obstruction intestinale le 27.06.2019 : • status après laparotomie, adhésiolyse, sigmoïdectomie, courte résection grêle et suture grêle, colostomie terminale (01.05.2018, Dr. X) suite à une diverticulite sigmoïdienne le 27.04.2018, compliquée d'un abcès péri-sigmoïdien de 1.7 cm de diamètre. • Status après rétablissement de la continuité par anastomose colo-rectale latéro-terminale mécanique, courte résection grêle et adhésiolyse extensive (18.07.2018, Dr. X). • CT abdominal natif 27.06.2019 : importante stase gastrique avec l'apparition également d'une aérobilie ainsi que des anses grêles pelviennes modérément dilatées. • pose de sonde naso-gastrique de décharge du 27.06.2019 au 29.06.2019. • réalimentation progressive dès le 30.06.2019. Système digestif : • diverticulite sigmoïdienne le 27.04.2018, compliquée d'un abcès péri-sigmoïdien de 1.7 cm de diamètre avec : • 26.04.2018 : mise en place d'un drain sous guidage radiologique (Fribourg). • 01.05.2018 (Dr. X) : laparotomie, adhésiolyse, sigmoïdectomie, courte résection grêle et suture grêle, colostomie terminale. • réadaptation après colostomie terminale après opération de Hartmann et courte résection grêle le 01.05.2018. • 18.07.2018 (Dr. X, Riaz) : rétablissement de la continuité par anastomose colo-rectale latéro-terminale mécanique, courte résection grêle et adhésiolyse extensive. Système ostéo-articulaire : • status après cure de tunnel carpien gauche en 2010. • status après implantation de prothèse totale de hanche bilatérale. Système neuro-cognitif : • troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • malnutrition protéino-énergétique et perte pondérale de 3.2% en deux semaines. • anémie microchrome microcytaire avec hémoglobine à 108 g/l. • troubles du transit chez patiente porteuse d'une poche parentérale de colostomie terminale.tests de la cognition : MMSE à 27/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 2/15 Status après mastectomie bilatérale pour carcinome Abcès de la paroi au niveau sous-ombilical, le 25.07.2018 Lésion cutanée variqueuse de la face antérieure de la cuisse gauche Obstruction intestinale le 27.06.2019 traitée par pose de sonde naso-gastrique de décharge du 27.06.2019 au 29.06.2019 Décompensation arthrosique sur chondrocalcinose du poignet droit le 11.07.2019 Radiographie du poignet droit le 11.07.2019 Douleurs abdominales associées à un manque de selles : • dans la suite d'une hospitalisation dans le service de Chirurgie du 26.06.2019 au 04.07.2019 pour obstruction intestinale le 27.06.2019 traitée par pose de sonde naso-gastrique de décharge du 27.06.2019 au 29.06.2019 • radiographie de l'abdomen le 06.07.2019 • avis Dr. X • hypokaliémie à 2.8 le 06.07.2019 • substitutions intraveineuses et orales Obstruction nasale chronique Obstruction nasale post-traumatique Obstruction sonde urinaire. Obstruction sonde urinaire le 25.05.20. Obstruction trachéotomie. Occlusion artère mésentérique supérieure (superposable), empreinte du ligament arqué sur l'origine tronc coeliaque (superposable) au CT du 27.05.2020 • superposable au scanner du 10.03.2020 Occlusion artère sous-clavière gauche chronique asymptomatique Occlusion au départ de l'artère vertébrale gauche non datable d'origine indéterminée • Pas d'argument pour une dissection aiguë • DD : origine athéromateuse, dissection ancienne (2006) Occlusion complète de l'artère iliaque gauche avec reprise de la circulation par l'artère épigastrique et occlusion également au niveau de l'artère iliaque externe droite avec reprise de la circulation par l'artère épigastrique, le 28.11.2019 : • Intervention angiologique le 28.11.2019 - HFR Fribourg, Dr. X : mise en place de 2 stents après dilatation au niveau de l'axe iliaque gauche. • Double anti-agrégation par Aspirine Cardio et Plavix 75 mg pour 1 mois, puis Aspirine Cardio seule à vie Suspicion de sinusite bilatérale à prédominance droite le 19.12.2019 Tabagisme actif Vasculite leucocytoclasique cutanée des petits vaisseaux d'origine probablement médicamenteuse sur Plavix le 19.12.2019 • DD : para-infectieux • Consilium dermatologique le 19.12.2019 (Dr. X) • Biopsie cutanée sur la jambe droite le 19.12.2019 (D 19-20982, Inselspital) • Immunofluorescence sur biopsie de la jambe droite 19.12.2019 : dépôts de IgG et C3 dans la paroi des vaisseaux • DOT vasculite (ANCA) : négatif • Arrêt du Plavix le 19.12.2019 • Cortisone topique classe III du 21.12.2019 au 03.01.2020 • Prednisone 40 mg du 21.12.2019, sevrage progressif dès le 02.01.2020 Suspicion de broncho-pneumopathie chronique obstructive non stadée avec • Emphysème pulmonaire • Tabagisme chronique • Hypoxémie et hypercapnie chroniques • Fonctions pulmonaires le 08.01.2020 Sténose aortique sévère diagnostiquée le 06.01.2020 • pas de notion de syncope Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition : • Facteurs prédisposants : artériopathie oblitérante des membres inférieurs, malnutrition protéino-énergétique modérée • Facteurs précipitants : médicament (Lyrica débuté le 10.12.2019), hypovitaminose D, consommation d'alcool à risque Z. 75-Difficultés liées aux services médicaux et autres services de santé. Z63.5-Dislocation de la famille par divorce Hypertension artérielle Occlusion de la boucle prothétique Omniflow huméro-humérale au membre supérieur gauche le 04.04.2019 dans un contexte d'insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur glomérulonéphrite à IgA avec : • confection d'une fistule artério-veineuse radio-céphalique latéro-terminale selon Brescia-Cimino à 9 cm au-dessus du poignet gauche le 10.03.2017 (Dr. X) • échec d'angioplastie le 16.05.2017 pour mauvaise maturation de la fistule sur veine trop fine en post-anastomotique • confection d'une boucle prothétique (Omniflow) huméro-humérale au membre supérieur gauche le 29.09.2017 (Dr. X) • occlusion thrombotique de la boucle prothétique huméro-humérale au membre supérieur gauche le 03.03.2018 • thrombectomie au Fogarty de la boucle le 04.03.2018 • occlusion thrombotique de la boucle traitée par thrombectomie au Fogarty et plastie d'élargissement de l'anastomose veineuse le 25.07.2018 (Dr. X) • angioplastie au ballon médicamenteux de l'anastomose artérielle, dilatation de la zone anastomotique veineuse avec cutting balloon et ballon médicamenteux par double accès de la fistule artério-veineuse le 23.01.2019 • bilan angiologique le 04.04.2019 et thrombo-embolectomie de la FAV du membre supérieur gauche et transposition de la prothèse sur la veine basilique le 05.04.2019 Cyphoplastie avec spine Jack L4 le 08.03.2019 pour tassement du plateau supérieur de L4 : • fixation percutanée postérieure de L3-L5 avec système Neo : 5x vis 6/50 cimentées, 1x vis 6/25 non cimentée, tiges 80 mm le 26.04.2019 Arthroscopie de l'épaule gauche avec débridement sous-acromial le 08.05.2012 pour rupture massive de la coiffe des rotateurs Prothèse totale du genou gauche Gonalgies et lâchages Pancréatite aiguë biologique d'origine indéterminée le 12.09.2016 Hémicolectomie droite pour adénocarcinome du côlon, T4 N0 M0 en 2006, suivi d'un traitement adjuvant par Xeloda Occlusion de la boucle prothétique Omniflow huméro-humérale au membre supérieur gauche le 04.04.2019 dans un contexte d'insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur glomérulonéphrite à IgA avec : • confection d'une fistule artério-veineuse radio-céphalique latéro-terminale selon Brescia-Cimino à 9 cm au-dessus du poignet gauche le 10.03.2017 (Dr. X) • échec d'angioplastie le 16.05.2017 pour mauvaise maturation de la fistule sur veine trop fine en post-anastomotique • confection d'une boucle prothétique (Omniflow) huméro-humérale au membre supérieur gauche le 29.09.2017 (Dr. X) • occlusion thrombotique de la boucle prothétique huméro-humérale au membre supérieur gauche le 03.03.2018 • thrombectomie au Fogarty de la boucle le 04.03.2018 • occlusion thrombotique de la boucle traitée par thrombectomie au Fogarty et plastie d'élargissement de l'anastomose veineuse le 25.07.2018 (Dr. X) • angioplastie au ballon médicamenteux de l'anastomose artérielle, dilatation de la zone anastomotique veineuse avec cutting balloon et ballon médicamenteux par double accès de la fistule artério-veineuse le 23.01.2019 • bilan angiologique le 04.04.2019 et thrombo-embolectomie de la FAV du membre supérieur gauche et transposition de la prothèse sur la veine basilique le 05.04.2019 Cyphoplastie avec spine Jack L4 le 08.03.2019 pour tassement du plateau supérieur de L4 : • fixation percutanée postérieure de L3-L5 avec système Neo : 5x vis 6/50 cimentées, 1x vis 6/25 non cimentée, tiges 80 mm le 26.04.2019 Arthroscopie de l'épaule gauche avec débridement sous-acromial le 08.05.2012 pour rupture massive de la coiffe des rotateurs Prothèse totale du genou gauche Gonalgies et lâchages Pancréatite aiguë biologique d'origine indéterminée le 12.09.2016 Hémicolectomie droite pour adénocarcinome du côlon, T4 N0 M0 en 2006, suivi d'un traitement adjuvant par Xeloda Encéphalopathie métabolique et iatrogénique avec installation brutale d'hypotonie bilatérale des 4 membres et rupture de contact, le 17.04.2020 Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée, le 06.04.2020 INR supra-thérapeutique sous Marcoumar Fracture tassement L2 le 17.03.2020 avec chute à domicile sans traumatisme crânien le 05.04.2020 Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 08.05.2020 CT natif : hématome sub galéal pariétal gauche nouveau par rapport au comparatif de 4 x 14 mm• Confection d'une fistule artério-veineuse radio-céphalique latéro-terminale selon Brescia-Cimino à 9 cm au-dessus du poignet gauche le 10.03.2017 (Dr. X) • Echec d'angioplastie le 16.05.2017 pour mauvaise maturation de la fistule sur veine trop fine en post-anastomotique • Confection d'une boucle prothétique (Omniflow) huméro-humérale au membre supérieur gauche le 29.09.2017 (Dr. X) • Occlusion thrombotique de la boucle prothétique huméro-humérale au membre supérieur gauche le 03.03.2018 • Thrombectomie au Fogarty de la boucle le 04.03.2018 • Occlusion thrombotique de la boucle traitée par thrombectomie au Fogarty et plastie d'élargissement de l'anastomose veineuse le 25.07.2018 (Dr. X) • Angioplastie au ballon médicamenteux de l'anastomose artérielle, dilatation de la zone anastomotique veineuse avec cutting balloon et ballon médicamenteux par double accès de la fistule artério-veineuse le 23.01.2019 • Bilan angiologique le 04.04.2019 et thrombo-embolectomie de la FAV du membre supérieur gauche et transposition de la prothèse sur la veine basilique le 05.04.2019 • Cyphoplastie avec spine Jack L4 le 08.03.2019 pour tassement du plateau supérieur de L4 • Fixation percutanée postérieure de L3-L5 avec système Neo : 5 x vis 6/50 cimentées, 1 x vis 6/25 non cimentée, tiges 80 mm le 26.04.2019 • Arthroscopie de l'épaule gauche avec débridement sous-acromial le 08.05.2012 pour rupture massive de la coiffe des rotateurs • Prothèse totale du genou gauche • Gonalgies et lâchages • Pancréatite aiguë biologique d'origine indéterminée le 12.09.2016 • Hémicolectomie droite pour adénocarcinome du côlon, T4 N0 M0 en 2006, suivi d'un traitement adjuvant par Xeloda • Encéphalopathie métabolique et iatrogène avec installation brutale d'hypotonie bilatérale des 4 membres et rupture de contact, le 17.04.2020 • Fracture tassement L2 le 17.03.2020 • avec chute à domicile sans TC le 05.04.2020 • Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée, le 06.04.2020 • 1) Contact COVID-19 • 2) Toux chronique • 3) Sp traitement antibiotique pour exacerbation BPCO par Cefepime du 12.03.2020 au 22.03.2020 • 4) Actuellement sous Cefepime/Vancomycine depuis le 06.04.2020 jusqu'au 23.04.2020 (Dr. X et Dr. X) • INR supra-thérapeutique sous Marcoumar • Occlusion de la boucle prothétique Omniflow huméro-humérale au membre supérieur gauche le 04.04.2019 dans un contexte d'insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur glomérulonéphrite à IgA avec : • confection d'une fistule artério-veineuse radio-céphalique latéro-terminale selon Brescia-Cimino à 9 cm au-dessus du poignet gauche le 10.03.2017 (Dr. X) • échec d'angioplastie le 16.05.2017 pour mauvaise maturation de la fistule sur veine trop fine en post-anastomotique • confection d'une boucle prothétique (Omniflow) huméro-humérale au membre supérieur gauche le 29.09.2017 (Dr. X) • occlusion thrombotique de la boucle prothétique huméro-humérale au membre supérieur gauche le 03.03.2018 • thrombectomie au Fogarty de la boucle le 04.03.2018 • occlusion thrombotique de la boucle traitée par thrombectomie au Fogarty et plastie d'élargissement de l'anastomose veineuse le 25.07.2018 (Dr. X) • angioplastie au ballon médicamenteux de l'anastomose artérielle, dilatation de la zone anastomotique veineuse avec cutting balloon et ballon médicamenteux par double accès de la fistule artério-veineuse le 23.01.2019 • bilan angiologique le 04.04.2019 et thrombo-embolectomie de la FAV du membre supérieur gauche et transposition de la prothèse sur la veine basilique le 05.04.2019 • Cyphoplastie avec spine Jack L4 le 08.03.2019 pour tassement du plateau supérieur de L4 avec fixation percutanée postérieure de L3-L5 avec système Neo : 5 x vis 6/50 cimentées, 1 x vis 6/25 non cimentée, tiges 80 mm le 26.04.2019 • Arthroscopie de l'épaule gauche avec débridement sous-acromial le 08.05.2012 pour rupture massive de la coiffe des rotateurs • Prothèse totale du genou gauche • Gonalgies et lâchages • Pancréatite aiguë biologique d'origine indéterminée le 12.09.2016 • Hémicolectomie droite pour adénocarcinome du côlon, T4 N0 M0 en 2006, suivi d'un traitement adjuvant par Xeloda • Occlusion de la carotide interne gauche • Petite hernie cicatricielle sus-ombilicale asymptomatique • Hypertension artérielle • Hyperlipidémie traitée • Tabagisme chronique stoppé en 2001 • Syndrome métabolique avec : • Hypertension artérielle • Diabète insulino-requérant • Obésité • Occlusion de l'artère mésentérique supérieure et empreinte du ligament arqué à l'origine du tronc coeliaque le 27.05.2020 • superposable au scanner du 10.03.2020 • Occlusion de l'artère mésentérique supérieure et empreinte du ligament arqué sur l'origine tronc coeliaque le 27.05.2020 • superposable au scanner de 10.03.2020 • Occlusion intestinale • Occlusion récente de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif le 13.05.2020 • Occlusion/subocclusion FAV sur thrombus le 22.05.2020. • Oculac, Floxal. • Contrôle ophtalmologique le 11.05.2020. • Odèmes des membres inférieurs plus marqués à droite • contexte : AOMI avec s/p angioplastie des artères poplités D et G 2012 • Odynodysphagie dans le contexte d'une infection à H. Pylori en cours de traitement • Odynodysphagie • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie. • Odynodysphagie • Odynodysphagie • Odynodysphagie d'allure irritative le 07.07.2019 • Appendicectomie à l'âge de 11 ans • Bronchite asthmatiforme dans contexte de IVRS le 17.12.2017 • Balanite probablement d'origine mycotique • Onychomycose D 4-5 main G (décembre 2017) suivi par Dr. X, dermatologue • Odynodysphagie et otalgie gauche • Odynodysphagie et reflux gastro-oesophagien le 24.05.2020. • patient connu pour une oesophagite à éosinophilie. • Odynodysphagie persistante. • Odynophagie. • Odynophagie. • Odynophagie. • Odynophagie • Odynophagie • Odynophagie depuis 1 semaine • DD : Covid vs autre virose • Odynophagie fébrile, sans signe de gravité, le 20.05.2020. • Odynophagies et état fébrile. • Oedème aigu du poumon dans contexte d'hypertension pulmonaire sévère et insuffisance cardiaque droite le 30.05.2020 : • Institutionnalisée. • Dépendante pour les AVQ. • Désaturation à 70% AA à l'arrivée. • Sur possible infection pulmonaire (DD : COVID-19, décompensation cardiaque virose). • Oedème aigu du poumon le 15.05.2020, probablement sur : • prise d'AINS depuis 2 mois jusqu'au 10.05.2020 pour omalgies gauches • Oedème aigu du poumon sur fibrillation auriculaire rapide et cardiopathie valvulaire le 23.06.2018 et le 12.02.2020 • Distorsion de la colonne cervicale et contusion du crâne avec hématome infra-orbitaire gauche, 15.04.2013 • Pneumonie acquise en communauté en 2009 • Oedème aigu du poumon sur pic hypertensif 19.05.2020 • Oedème aigu pulmonaire dans le contexte d'une fibrillation auriculaire nouvelle • Oedème des membres inférieurs le 11.05.2020 • Oedème des MI en postopératoire • Oedème du dos de la main droite le 31.05.2020 d'origine indéterminée • Oedème du membre inférieur droit. Oedème du membre inférieur gauche Oedème du membre supérieur droit le 13.03.2020 • DD : sur compression par hématome Oedème d'un membre. Oedème d'un membre Oedème main droite. Oedème membre inférieur droit. Oedème membre inférieur droit dans le cadre d'une stase : • Status post dermo-hypodermite • Pas d'argument en faveur d'une thrombose veineuse profonde : US du 20.04.2020 sans particularité, D-dimère négative • DD compression extrinsèque Oedème osseux au niveau du trapèze main D après AVP le 09.10.19 Oedème pénien le 27.04.2020 Oedème pénien le 27.04.2020. AVC non investiguée 2017. Cholécystectomie en 1971. Appendicectomie non datée. Hypovitaminose D substituée. Oedème pulmonaire aiguë sur pic hypertensif le 30.04.20 Oedème pulmonaire aiguë sur pic hypertensif le 30.04.2020 Oedeme scrotal bilatérale et pénien indolore de survenue périodique d'origine indéterminée • DD Compression veineuse ? Lymphatique ? Hydrocèle ? Dermo-hypodermite ? Oedème scrotal sur probable stase veineuse par compression de la veine cave par adénopathie maligne le 15.05.2020 • DD : dermo-hypodermite scrotale. Oedèmes de membres inférieurs avec signes radiologiques de surcharge pulmonaire • Suspicion d'insuffisance cardiaque à fraction d'éjection conservée • Fraction d'éjection à 75 % : possible cœur hyper dynamique avec obstruction dynamique sur un bourrelet septal sous-aortique Oedèmes des membres inférieurs d'origine indéterminée le 30.04.2020 avec : • dyspnée à l'effort. Oedèmes des membres inférieurs d'origine multifactorielle (hypoalbuminémie, surcharge hydrique) Oedèmes des membres inférieurs d'origine probablement périarticulaire le 11.05.2020 • absence d'insuffisance veineuse ou de signes majeurs pour un lymphoedème Oedèmes des membres inférieurs probablement sur surcharge hydrique dans le contexte d'une hydratation IV Oedèmes des membres inférieurs probablement sur insuffisance veineuse chronique • Bilan ambulatoire en angiologie (aurait dû être organisé par médecin traitant) Oedèmes des membres inférieurs sur insuffisance veineuse chronique DD légère décompensation cardiaque • patient habituellement sous Candesartan 16/12.5, en pause au début de l'hospitalisation Oedèmes des membres inférieurs sur probable insuffisance veineuse Oedèmes membres inférieurs péjorés sur réhydratation intraveineuse le 26.05.2020 Oeil droit : éclatement oculaire sur traumatisme contusif Oeil droit inflammé Oeil droit rouge. Oeil gauche érythémateux Oeil rouge Oeil rouge Oeil rouge après avoir reçu le stylo d'un camarade Oeil rouge gauche Oeso-gastro-duodénoscopie et rectosigmoïdoscopie le 06.05.2020 : Ulcère de 8 mm dans la partie du bulbe duodénal, Forrest III et un ulcère de 5 mm Forrest III dans la partie 2 duodénale. Varices oesophagiennes de stade I à 30 cm des arcades dentaires, sans signe de saignement récent. Autrement, oeso-gastro-duodénoscopie normale. Selon les examens d'aujourd'hui, le patient a certainement saigné des 2 ulcères (un dans la part 1 duodénale et le 2ème, dans la part 2 duodénale) Forrest III recouvert de fibrine. Absence de sang frais dans le tract gastro-intestinal haut visualisé. Une rectosigmoïdoscopie sans préparation jusqu'à 40 cm a été effectuée, avec visualisation de selles brunes sans selles méléniques ni de sang frais. Sonographie abdominale le 08.05.2020 : Examen compatible avec un foie cirrhotique. Absence de complication à type de lésion focale ou de thrombose portale. Lame d'ascite péri-hépatique. ECG le 08.05.2020 : fibrillation auriculaire tachycarde, FC 100/min, pas de sous- ni de sus-décallages. Oeso-gastro-duodénoscopie le 04.03.2020 Avis de gastro-entérologie le 31.03.2020 : organiser une cholangio-IRM à distance Oesogastroduodénoscopie sous anesthésie générale le 10.05.2020 (Dr. X) : récupération de 50 % du couteau (lame) Oesophage de Barrett sur reflux Oesophagite de reflux sévère Oesophagite de reflux. HTA Insuffisance mitrale Lombalgies chroniques • Spondylolisthésis grade II Carcinome mammaire droit QSE pT1c pN0 (0/19) M0, G2 • date du diagnostic : février 2000 • histologie : carcinome canalaire invasif en partie intra-canalaire • examen immuno-histo-chimique : ER/PR positif • status post-tumorectomie et curage ganglionnaire droit le 06.03.2000 • status post-irradiation mammaire droite du 11.04 au 25.05.2000 • status post-thérapie antihormonale par Tamoxifen (durée ?) • anamnèse familiale : néant • facteurs de risque : point • rechute avec épanchement pleural droit, décembre 2019 • CT-thoraco-abdominal du 30.12.2019 : épanchement pleural droit avec nodules scissurales • ponction de l'épanchement pleural droit le 30.12.2019 : adénocarcinome, ER 80 %, PR 70 %, HER-2 négatif (Promed C2019.1637) • PET-CT du 29.01.2020 : aspect nodulaire scissural du poumon droit avec légère hypercaptation pleurale postéro-basale droite, sans autre signe de métastatisation • thérapie anti hormonale par Kisqali et Letrozole à partir du 11.02.2020, bien tolérée, hormis un dégoût de nourriture, quelques nausées • CT-thoraco-abdominal du 09.04.2020 : en comparaison avec les clichés précédents datant du mois de décembre 2019, on retrouve l'aspect nodulaire de la grande scissure à droite inchangée et évoquant un minime épanchement suspendu scissural dans le contexte d'épanchement pleural droit. Pas de lésion en faveur d'une récidive locale ou d'une manifestation tumorale ganglionnaire ou à distance • actuellement : poursuite du traitement par Kisqali et Letrozole, ainsi que Calcimagon D3 Oesophagite peptique dans le cadre d'un reflux gastrique traité par Nexium. Côlon irritable. Diverticulose sigmoïdienne. Oesophagite stade 2 Diverticulose (colonoscopie de 2011) Oesophagite Diabète NIR. Hypercholestérolémie traitée. Hypothyroïdie substituée. Oesophago-gastro-duodénoscopie avec prises de biopsies à proposer en électif OGD à organiser en ambulatoire OGD à organiser en ambulatoire par le médecin traitant. OGD à prévoir en ambulatoire OGD (demandée, date en attente) à Fribourg devant la clinique et le complément anamnestique du jour OGD en 2008 qui a conduit à un traitement d'épreuve contre H. Pylori. OGD en novembre 2010 : pas de pathologie. Status post probable gastrite traitée par Pantozol 40 mg per os. Status post hystérectomie en raison de polypes utérins. Cystite non compliquée le 08.10.2015 Traumatisme oculaire sur gaz poivre non daté OGD en 2011 sans particularité. s/p opération hernie discale L4 en février 2020. OGD et coloscopie en ambulatoire le 26.05.2020 Réévaluation du traitement psychotrope avec psychiatre traitant pour diminution sédation Discuter pH-métrie Suivi par les diététiciens et supplément nutritif oral OGD le 28.05.2020 à l'HFR Fribourg OGD sans particularité en 1991. Status post lésion de long chef épaule (biceps ?) en 1989. Status post cure de hernie inguinale des deux côtés et crurale droite, cure de varicocèle gauche. TURP en 1995. Plastie prépuciale et ablation d'un lipome. Appendicectomie. S/p cure hernie inguinale droite. OH à 21h45 : 2.34 pour mille. Attitude : • reste aux urgences pour surveillance de l'éthylisation. OH chronique avec alcoolémie ce jour à 1.31 OH chronique. Consommation nicotinique à 40 UPA. Hernie cervicale avec paresthésie et parésie du 5e rayon de la main droite OH chronique. Etat anxio-dépressif sous benzodiazépines. Retard mental. Toux chronique sur tabagisme à 40 UPA. OH occasionnel Tabagisme Oligoarthrite (cheville droite et hanche droite) et ténosynovite associée le 19.12.2016. Oligoarthrite du poignet gauche et de l'épaule droite le 29.01.2020, traitée par infiltration, suivie par Dr. X St.p. Cupulolithiase du canal semi-circulaire latéral gauche en juin et novembre 2013 Neuronite vestibulaire avec migraine holocrânienne très forte, chez Mme. Y non connue pour être migraineuse Cardiopathie ischémique Obésité stade 2 Hernie discale lombaire et cervicale Maladie de Sudeck Insuffisance veineuse chronique Troubles de la sensibilité profonde d'origine peu claire Nodules sous-cutanés d'origine inconnue, en cours d'investigation au CHUV : • DD : scléroedème de Buschke, fasciite de Schulmann, mucinose • multiples investigations au CHUV du 24.01 au 18.02.2020 • ANA positif 1/320 homogène (AC1) Nucléolaire (AC9) • PET-CT 04.02 : hypermétabolisme discret d'une infiltration tissulaire minime des tissus sous-cutanés prédominant au niveau des flancs, à rapprocher de la suspicion de syndrome de Schulman • biopsie profonde 03.02.2020 : compatible avec mucinose • biopsie profonde le 13.02.2020 : probable morphée profonde • traitement : Prednisone 20 mg dès le 04.02.2020 en schéma dégressif dès le 18.02.2020 sur 6 semaines Oligoarthrite microcristalline à cristaux de monosodium d'urate le 02.05.2020 • Pied et genou gauche • CT-scanner thoracique 20.04.2020 : pas de foyer • Frottis nasopharyngé Covid-19 20.04.2020 : négatif Mme. Y présente une entorse modérée du ligament talo-fibulaire antérieur de la cheville droite. Nous ne voyons pas de fracture à la radiologie. Dans ce contexte, nous proposons : • une immobilisation par une attelle plâtre en décharge pendant 1 semaine • un contrôle clinique à votre consultation à 1 semaine avec ablation de l'immobilisation et switch pour une immobilisation par aircast, en cas de mauvaise évolution faire avancer le rendez-vous chez Dr. X. • arrêt de sport 1 mois puis avec aircast pendant 3 mois • bon pour physiothérapie • nous effectuons également une demande pour une consultation à distance (1-2 semaines) chez Dr. X, orthopédiste pédiatrique afin de prévoir une consultation à distance au vu des épisodes répétés d'entorse de cheville Cas discuté et Mme. Y vue avec Dr. X OMA droite avec réaction mastoïdienne sans mastoïdite 05.2015 OMA gauche au décours Omalgie gauche. Omalgies aspécifiques sans limitation des mouvements Omalgies chroniques sur probable spondylarthropathie Omalgies droites chroniques acutisées le 25.05.2020 • sur rupture coiffe des épineux (sous-scapulaire et supra-épineux) Omalgies droites sur probable omarthrose, le 04.05.2020 Omarthrose concentrique bilatérale. Omarthrose droite. OMI OMI avec port de bas de contention depuis longtemps. OMI bilatéraux le 17.05.2020 DD : chronique sur insuffisance veineuse, décompensation cardiaque droite. OMI bilatéraux • Patient sous Xarelto au long cours depuis janvier 2020 (TVP MID) • Pas de cardiopathie connue DD dermite de stase sur insuffisance veineuse chronique, lymphoedème, EIS médicamenteux OMI bilatéraux DD dermite de stase sur insuffisance veineuse chronique On a à disposition une RX effectuée sur film de cellulose en Italie et une IRM effectuée à l'extérieur. Le cadre radiologique montre une scoliose lombaire raisonnablement idiopathique avec un cadre arthrosique au niveau L4-L5, L5-S1, associée à une réduction de la lordose lombaire. L'imagerie par résonance magnétique confirme cela en soulignant la discopathie avancée L4-L5 avec signes de modiques type I et une discopathie débutante L5-S1. Associé à cela, un hypersignal en T2 au niveau facettaire L4-L5, L5-S1 pour suspicion de facettopathie. Au niveau de la musculature profonde de stabilisation de la colonne, on met en évidence une certaine hypotrophie avec remplacement graisseux, par contre la musculature superficielle de la colonne est bien trophique et tonique. On a bien discuté avec Mme. Y et sa maman. Il faudra donc faire une AMIC de la facette centrale de la rotule à D, une ostéotomie de la tubérosité tibiale antérieure, une plastie de renfort du MPFL et une plastie en Z afin de relâcher le rétinaculum externe du genou. On laisse le temps à Mme. Y de bien réfléchir à cette intervention. Nous pourrons éventuellement programmer cette opération en juillet/août. Mme. Y nous recontacte pour fixer un prochain rendez-vous. On a bien expliqué au papa et à Mme. Y la raison de ses douleurs. Pour l'instant, elle doit suivre de la physiothérapie avec de la mobilisation et des massages et éventuellement des ultrasons locaux. Elle doit prendre aussi des antidouleurs. Je ne ferais pas une immobilisation actuellement. Je reverrai Mme. Y pour un contrôle clinique le 08.07.2020, entretemps je reste à disposition en cas de besoin. On a bien expliqué au patient et à son épouse que le cadre actuel est le meilleur que l'on aurait pu envisager suite à la manifestation clinique aiguë, et que donc l'amélioration actuelle est indicative de la nécessité de poursuivre un parcours de travail physiothérapeutique pour augmenter le plus possible les possibilités d'amélioration. On reverra le patient dans 6 mois, en décembre, pour un contrôle de suivi. On laisse notre collègue urologue qui suit le patient le choix au sujet des éventuelles autres thérapies pour l'amélioration de la fonction sphinctérienne urinaire. On a discuté avec Mme. Y au sujet des possibilités thérapeutiques. Actuellement, la première ligne sera de rééquilibrer le cadre musculaire avec des exercices physiothérapeutiques d'élongations des muscles abdominaux, fessiers, d'hygiène posturale et de renforcement de la musculature de stabilisation profonde. Pour cela un bon de physiothérapie a été donné. On prévoit un traitement ambulatoire d'une durée de 4 à 6 mois. Entretemps, on reverra Mme. Y dans 2 mois, le 09.07.2020. Si à ce moment-là, malgré la physiothérapie, il y aura une persistance des douleurs invalidantes, une prise en charge par infiltration facettaire L5-S1 et par la suite L4-L5 pourra être envisagée à but diagnostique et thérapeutique. Une éventuelle prise en charge chirurgicale par spondylodèse ne rentre actuellement pas en ligne de discussion au vu du cadre débutant de la symptomatologie sans une prise en charge thérapeutique efficace envisagée pour l'instant. Mme. Y est bien au courant de cela, elle est mise en arrêt de travail à 100 % encore pour 1 mois, mais recommencera à travailler à 50 % à partir du mois de juin. On reverra par la suite Mme. Y. On a discuté avec Mme. Y que l'indication serait une prothèse totale du genou au vu de sa gonarthrose tri-compartimentale et éventuellement une prothétisation au niveau de la rotule. On a informé Mme. Y de tous les risques et les bénéfices de l'intervention. Elle est d'accord et signe le consentement éclairé pour une implantation d'une PTG à G selon protocole ERAOS avec réadaptation à Tavel ou à Morat. L'intervention aura lieu le 08.07.2020.On a discuté avec Mme. Y des 2 possibilités, soit de laisser la situation comme ça, soit de faire une intervention pour effectuer l'ablation du kyste radio-carpien dorsal au niveau du poignet G. Vu le travail de la patiente et la persistance des douleurs toujours très importantes, on décide d'effectuer l'intervention chirurgicale. Après explication de l'intervention, Mme. Y a signé le consentement éclairé et on programme l'intervention ambulatoire pour le 02.06.2020. A la suite, elle aura un arrêt de travail de 4 semaines. On a discuté avec M. Y de la possibilité d'effectuer en ambulatoire une infiltration avec Depomedrol au niveau de la poulie A1. Sinon, on peut aussi effectuer une intervention chirurgicale ambulatoire pour la cure de doigt à ressaut. Le patient préfère effectuer la semaine prochaine l'infiltration avant l'été et arrêter le travail durant 1 semaine, puis planifier l'intervention définitive en octobre. On demande donc un US de la main afin de pouvoir évaluer l'épaisseur de la poulie A1 au niveau du tendon fléchisseur du Dig. IV à G et nous effectuerons mercredi prochain l'infiltration. On a discuté d'une façon détaillée avec la patiente en lui montrant les images. Actuellement, on considère prioritaire un traitement de renforcement osseux et des compléments d'investigations pour voir la sécurité au sujet d'une éventuelle pathologie rhumatologique concomitante. De notre point de vue, on ne peut pas exclure, dans les prochains mois, que l'évolution soit telle de devoir nécessiter un abord chirurgical pour fixation de la colonne. Mais actuellement, au vu de l'intensité très modeste des symptômes, on adapte plutôt un traitement physiothérapeutique avec une antalgie en réserve. On reverra la patiente le 06.08.2020 avec une RX de la colonne totale face profil, pour évaluer la statique et une éventuelle cyphotisation débutante. On a donc discuté avec le patient et son épouse des options thérapeutiques. Il est clair que le cadre de dysbalance actuelle est tellement important, associé à une fixation spontanée de la colonne dorsale qui limite encore plus la mobilité. La possibilité d'avoir une aggravation est réelle et le patient peut avoir dans le futur également des risques que des troubles de la marche progressent jusqu'à l'impossibilité de se déplacer. Au vu de cela, notre proposition thérapeutique serait un traitement agressif à considérer pour 4 à 6 mois de physiothérapie réadaptative avec élongation des muscles abdominaux, renforcement des muscles fessiers, travail avec un rollator, reconstitution progressive d'une statique correcte. Il est très difficile d'avoir une régression du cadre radiologique avec cette thérapie, mais cela pourra clairement aider à limiter la douleur. En cas d'éventuelle prise en charge chirurgicale, une telle correction nécessiterait une fixation dorso-lombo-sacro-iliaque avec des ostéotomies de correction, chose pour laquelle, pour l'instant, on ne considère pas cette indication, au vu des échecs et de la morbidité de l'intervention. Si le traitement envisagé n'est pas efficace pour soulager le patient, une éventuelle discussion au sujet de cette chirurgie sera réalisée dans un 2ème temps de manière plus spécifique. Pour l'instant, le patient partage notre point de vue et ne souhaite pas de prise en charge chirurgicale et il sera revu par la suite. On a donc discuté du procédé thérapeutique, en envisageant avant tout une prise en charge physiothérapeutique pour 6 semaines, suite à laquelle on reverra la patiente. Au moment où il y aura une persistance voire aggravation de ces douleurs, et l'état clinique sera confirmé, une infiltration test par Dépo-Médrol et Ropivacaïne au niveau sacro-iliaque G pourra être envisagée. On a longuement discuté avec le patient et on lui a expliqué que l'insuffisance du SL va précipiter une arthrose précoce. Il est indiqué un traitement chirurgical avec une reconstruction du ligament SL. Il s'agit d'une intervention avec une longue durée de rétablissement. On comprend que pour le patient, cette situation est difficilement acceptable car il est actuellement très peu symptomatique et a repris le travail à 100 % avec uniquement de légères gênes aux amplitudes maximales. On va lui donner du temps pour réfléchir et on va se revoir pour un contrôle radio-clinique dans 3 mois pour discuter des suites. On a procédé ce jour à une ponction de la collection sous US avec le radiologue. Le liquide a été envoyé en microbiologie. Ce dernier était d'aspect trouble. Je prévois une prise de sang avec une mesure de la CRP et des leucocytes ainsi qu'un scanner protocole Impingement et une ponction articulaire au niveau de la hanche G. Je reverrai le patient à l'issue de ces examens le 09.06.2020 en le mettant en garde de consulter immédiatement aux urgences en cas d'apparition d'un état fébrile. On a une bonne évolution à 2 mois post-opératoires. Poursuite avec la physiothérapie pour améliorer les amplitudes. On reverra le patient dans 1 an pour un contrôle 1 an post-opératoire. On confirme un trouble de la torsion fémorale à l'examen clinique d'environ 20°, une rétrotorsion du fémur D. On explique à la maman du patient que probablement vu l'âge du patient et les épiphyses encore ouvertes, il pourrait éventuellement compenser, mais on propose quand même de mesurer pour objectiver ce trouble de torsion avec une IRM du bassin des membres inférieurs. Après discussion avec le radiologue, Dr. X, il va établir un protocole pour la mesure de torsion avec une IRM pour ne pas irradier le patient. Prochain contrôle à notre consultation le 19.05.2020 après l'IRM. On convient de répéter l'IRM afin de voir si le fragment se résorbe et ensuite le patient sera vu à la consultation du team rachis. Prescription de physiothérapie. On demande à la maman si elle peut encore porter et laisser l'attelle Lorrach uniquement avec les jambes sans les bretelles lorsqu'elle fait la sieste ou la nuit pour dormir. Si l'attelle est trop petite, on peut aussi laisser le traitement sans attelle. J'aimerais revoir Y quand elle marchera pour un contrôle clinique et des RX du bassin face. On discute avec la patiente de la possibilité d'une lésion (partielle), voire une neurapraxie de son nerf digitopalmaire radial du Dig II. Si on voulait savoir s'il s'agissait d'une section relevante, il fallait faire une exploration avec une probable neurorraphie épineurale. En post-op, la sensibilité ne se remettrait de toute façon pas tout de suite, une reconvalescence pendant serait attendue. Vu la petite gêne et le peu de douleurs, la patiente se décide contre une exploration. On lui explique la problématique de formation de neurome avec des douleurs neuropathiques. Comme prophylaxie de celui-ci, on prescrit une ergothérapie pour la ré/désensibilisation. En cas de formation de neurome symptomatique, une prise en charge chirurgicale pour une révision serait toujours possible. On prévoit un prochain contrôle dans 2 mois. On discute avec le patient d'effectuer une 2ème infiltration sous US, mais vu qu'il en a déjà fait une avec une rémission des douleurs pendant 3-4 mois, il préfère maintenant trouver une solution radicale. On opte donc pour une intervention chirurgicale ambulatoire pour effectuer l'ablation du kyste. On a donc programmé cela pour le 12.06.2020, le patient a signé le consentement éclairé après explications de l'intervention et des risques péri-opératoires. Après l'intervention, M. Y devra aussi rester en arrêt de travail à 100 % pendant 3-4 semaines. On discute avec Mme. Y du diagnostic posé et des possibilités à disposition. La 1ère possibilité est de ne pas effectuer d'intervention et de laisser la condition actuelle avec éventuellement une réduction des efforts et du stress au niveau du poignet, en 2ème possibilité on peut effectuer une ostéotomie de correction combinée du radius distal pour faire une élongation et un raccourcissement de l'ulna et éventuellement faire une ostéotomie de raccourcissement de l'ulna. Sinon, la dernière option serait une intervention de résection de la tête de l'ulna selon Darach. Après discussion de tous les risques et bénéfices de l'intervention susmentionnée, on laisse la patiente y réfléchir et pour l'instant, on optera pour un traitement conservateur et on lui donne un rendez-vous de contrôle dans 4 mois pour voir l'évolution de la clinique. Dans le cas d'une péjoration, on fera éventuellement un scanner du poignet D et du poignet G selon le protocole CARD Balgrist avec reconstruction 3D pour effectuer toutes les évaluations au niveau de l'articulation radio-ulnaire distale avant de proposer une des interventions susmentionnées.On discute avec Mme. Y de son diagnostic et du traitement. Le fragment osseux qui est tout petit ne va très probablement pas gêner. Si on voulait l'enlever, nous causerions une cicatrice très importante avec l'abord gun shot ou on désincère tout l'appareil des fléchisseurs. Une refixation n'est pas discutée vu la taille du fragment et le bon confinement de l'articulation. L'attelle en 8 est contre-indiquée vu qu'elle causerait un flexum important aussi. On commence une ergothérapie au centre ITS pour une attelle nocturne en extension du doigt, une syndactylie et une détuméfaction par du Coban. Si plus tard ce fragment devait encore gêner la flexion, une ablation pourrait toujours être faite. Nous prévoyons un prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. On discute du cas avec le Dr. X qui examine également le patient. Dans un premier temps, on propose une infiltration foraminale L5-S1 à gauche pour soulager la racine L5 à gauche qui est symptomatique actuellement, geste réalisé par les radiologues. En cas d'échec, on pourra poursuivre avec une discectomie L4-L5, L5-S1. On exclut l'incompatibilité ABO et Rhésus par le Coombs qui revient négatif. La résorption de la bosse séro-sanguine nous paraît peu probable vu le passage d'une durée déjà de 5 jours depuis la naissance sans ictère au début. Nous retenons plutôt un ictère physiologique vs un ictère lié à l'allaitement (un peu précoce mais possible). Mme. Y n'est pas anémique et sa bilirubine sanguine revient inférieure à la limite pour photothérapie. Nous proposons un contrôle de la bilirubine le 19.05 afin de voir la cinétique de l'augmentation. On explique à la patiente que l'épisode actuel présente une évolution favorable et qu'il est survenu dans un contexte d'instabilité de la cheville d'origine plutôt fonctionnelle, sans claire lésion ligamentaire, en tout cas à l'examen d'aujourd'hui. Nous lui proposons donc de la physiothérapie pour renforcement musculaire et proprioception, ainsi que du stretching de la chaîne postérieure qui montre un raccourcissement avec un test de Silfverskiöld positif. Au vu de l'évolution déjà plutôt favorable depuis que la patiente fait des exercices à domicile, la situation devrait clairement s'améliorer avec des séances de physiothérapie bien menées. Dans ce sens, pas de contrôle systématique. Nous restons à disposition en cas de non-amélioration et de persistance d'épisodes d'instabilité de la cheville. On explique au patient que la compliance est très importante et on lui prescrit encore de la physiothérapie et de l'ergothérapie, surtout pour la coordination et des exercices électifs du FDS et FDP. On discute d'une éventuelle ténolyse s'il n'y a pas d'amélioration mais nous sommes persuadés que les amplitudes vont s'améliorer après les exercices et l'utilisation de l'attelle prescrite. On note un retard de rééducation à 3 mois post-opératoires car la patiente n'a pas pu profiter d'une physiothérapie comme on l'avait prévue à cause du COVID-19. Je propose alors à Mme. Y de débuter la physiothérapie afin de regagner une fonction normale de son genou. Je la reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation clinique à ma consultation. On organise un scanner pour évaluation de la consolidation osseuse de l'arthrodèse, puis une infiltration du 6ème compartiment pour désenflammer le LCU. On demande à notre collègue de l'antalgie, au Dr. X, qui suit le patient de faire une infiltration au niveau du ramus superficialis nervi radialis pour éviter la progression des douleurs neuropathiques et la centralisation des douleurs. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. On organise un scanner pour mieux évaluer le fragment osseux visualisé sur la RX. Notre hypothèse est même si elle ne se rappelle pas d'un traumatisme important que le défaut osseux au niveau de la phalange est dû à un fragment osseux qui s'est déplacé en association avec le ligament collatéral radial, créant une ossification. On discute avec la patiente de plusieurs possibilités thérapeutiques et des risques de l'ablation de ce fragment avec instabilité résiduelle du ligament collatéral radial. La mise en place d'une prothèse de PIP est aussi prématurée vu le bon état de l'articulation PIP. Vu que la patiente va commencer actuellement la saison de golf, on se reverra en novembre, le 16.11.2020, avec le scanner pour une évaluation de ce fragment et pour discuter de la procédure. On procède à la réfection du pansement après désinfection à la Bétadine. On recommande la réfection régulière du pansement chez le médecin traitant tous les 3-4 jours. Nous prévoyons une ablation des fils dans 2 semaines à notre consultation. Le patient reçoit un arrêt de travail d'une durée de 2 semaines à 100 %. On propose au patient de continuer le traitement en physiothérapie vu que l'évolution est déjà favorable avec 5 séances. Nous reverrons le patient le 26.08.2020 pour faire le point. On recommande la poursuite du traitement conservateur par bain d'amukina 2x par jour au moins au cours des 7 prochains jours, assorti d'une thérapie antibiotique per os de Co-Amoxicilline 1 g 2x/j. Prochain contrôle le 11.05.2020. En cas d'évolution défavorable, on envisage une thérapie chirurgicale et la patiente et sa maman sont clairement informées de ceci. On refait le pansement, l'évolution de la plaie est dans la norme. 2 semaines post-opératoires, les fils doivent être enlevés. Vu que le patient sera à Zurich, il va contacter son médecin de famille. Un prochain contrôle chez nous est prévu dans 10 jours. L'attelle Édimbourg est encore portée surtout la nuit. On remarque un certain dysfonctionnement de l'index suite à la persistance des douleurs neuropathiques. On prescrit un autre bon pour une ergothérapie à Morat pour la réintégration du doigt dans la vie quotidienne avec une éventuelle syndactylie, re-/désensibilisation et probablement un traitement de miroir. Par contre, on ne prévoit pas de nouveau rendez-vous fixe, M. Y est prié de nous contacter en cas de besoin. On reprend le protocole conservateur de rupture du tendon d'Achille à 2 mois, avec poursuite de la chaussure Künzli pour 1 semaine avec la grande talonnette, puis 1 semaine avec la petite talonnette. Il pourra ensuite enlever totalement la talonnette. Instauration de la physiothérapie pour stretching, proprioception et ajustement de la chaussure Künzli. Poursuite de l'arrêt de travail (le patient travaillant sur les chantiers) pour 4 semaines supplémentaires à 100 % puis reprise à 50 %. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Ondansetron orodispersible 4 mg Dafalgan cp 1 g Hydratation orale fractionnée bien tolérée.Frottis naso- et pharyngé pour SARS-CoV-2 : En cours • Ondansétron 3x/j • Zinc 1x/j pendant 2 semaines • Pas de carence en vitamine B12 Onde T négative en III avec QRS nég., RSR à l'ECG du 21.05.2020 Ongle incarné. Ongle incarné au niveau de l'orteil gauche Ongle incarné bord latéral hallux D. Ongle incarné des 2 hallux le 18.05.2020. Ongle incarné du premier orteil du pied droit le 14.05.2020. Ongle incarné hallux ddc face interne. Onychomycosis • Unter Pevaryl OP : Réduction fermée et immobilisation dans une attelle plâtrée cheville à D le 23.05.2020 OP : Fixateur externe tibio-calcanéen, débridements, lavage et fermeture plaie face interne cheville droite avec fermeture partielle et pose d'un VAC le 23.05.2020 (Dr. X) OP : Ablation fixateur externe, réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque tiers tube LCP et aptus hand malléole externe, et OS par 2 vis malléole interne cheville droite, lambeau libre pédiculé Gracillis ipsilatéral de recouvrement malléole interne cheville droite le 29.05.2020 (Dr. X, Dr. X) Co-amoxicilline i.v. du 22.05 au 26.05.2020, puis le 29.05.2020 Co-amoxicilline p.o. dès le 30.05.2020, prévu jusqu'au 04.06.2020 (6 jours) Pister bactériologie puis avis infectio si besoin Radiographie post-op Liquemine IVSE 10 000 UI /24h dès 4 heures post-op pendant 48 heures minimum Contrôle lambeau par Doppler 1/h pendant 24h puis aux 3 heures. Premier pansement de lambeau et prise de lambeau à J1 avec Dr. X. Pansement prise de greffe à J2 puis 3 fois par semaine Ablation fils J 14. Ablation agrafes J 14 selon OM. Redon site de prise de lambeau dès le 29.05.2020 Penrose site de greffe dès le 29.05.2020 Lit strict pendant 5 jours OP hallux valgus ddc TC le 10.03.2017 OS fracture clavicule G tiers moyen déplacée, plurifragmentaire le 10.03.2017 Sinusite aigüe le 27.06.2018 OP le 01.07.2020 Prochain contrôle le 14.08.2020 OP le 02.06.2020 OP le 03.05.2020 : Réduction ouverte et ostéosynthèse du radius par plaque Aptus adaptive 2 ; réduction ouverte et ostéosynthèse de l'ulna par Synthes hook plate, à G. OP le 03.06.2020. OP le 04.05.2020/avant-bras G : révision de plaie, suture muscle FDS, coagulation branche cutanée du nerf cutané antébrachial médial, lambeau de rotation 15x10 cm et 10x7 cm Antibioprophylaxie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 04.05. au 06.05.2020, relais p.o. par co-amoxicilline 1 g 3x/j du 06 au 07.05.2020. Rappel tétanos fait le 04.05.2020 aux urgences OP le 05.06.2020 OP le 05.06.2020 au Daler Contrôle post-opératoire le 20.07.2020 OP le 07.07.2020 Prochain contrôle le 20.07.2020 OP le 08.05.2020 OP le 08.07.2020. OP le 09.06.2020 OP le 12.05.2020 Contrôle post-op le 22.06.2020 OP le 12.06.2020 OP le 14.05.2020 : • AS épaule D • Refixation du tendon sus-épineux et du tendon sous-scapulaire • Ténotomie/ténodèse du long chef du biceps OP le 16.06.2020 Prochain contrôle le 27.07.2020 OP le 16.07.2020 OP le 20.08.2020 OP le 22.05.2020 : exploration de la plaie, prélèvements, rinçage et suture plaie pulpe P2 pouce D. Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 22.05. au 23.05.2020 • Co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 23.05.2020, jusqu'au 01.06.2020 Microbiologie : négative à J2, à pister OP le 23.06.2020 Prochain contrôle le 03.08.2020 OP le 26.05.2020 OP le 27.05.2020 Prochain contrôle le 06.07.2020 OP le 29.06.2020 OP le 30.04.2020 : débridement d'infection, ablation de corps étrangers, incision du tunnel carpien, biopsies (histologie/bactériologie) main/poignet à D Rappel tétanos fait le 27.04.2020 (Dr. X) Consilium infectiologie le 01.05.2020 Microbiologie du 30.04.2020 : • Biopsies (3/3): Escherichia coli, Aeromonas sp., Hafnia alvei, P. aeruginosa Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2.2 g 4x/j i.v. du 30.04. au 01.05.2020 • Cefepime 2 g 2x/j i.v. du 01.05. au 03.05.2020 • Ciprofloxacine 500 mg 2x/j p.o. du 03.05. au 10.05.2020 OP ménisque externe genou D en octobre 2001. Entorse genou G avec déchirure LCA et déchirure corne postérieure ménisque interne et corne postérieure ménisque externe ; accident de football en juin et août 2017. Thrombose veineuse profonde en 2013 sous Xarelto pendant 1 an et demi. OP pour AMO grand trochanter D post OS pour fracture en juin 2018 OP rupture LCA genou G en 1996 OP plastie ligamentaire cheville D en 1990 Coxarthrose G sur conflit mécanique en CAM • Implantation PTH G OP 02.05.2020 : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque palmaire radius (Aptus FPL) à G. OP 22.04.2020 : pontage femoro-poplité sus-géniculaire (P1) MID en prothèse Goretex 6 mm Bilan angiologique le 17.04.2020 Aspirine et Atorvastatine à vie Contrôle angiologique dans 3 mois et contrôle en chirurgie vasculaire avec les résultats Opacités nodulaires non spécifiques du lobe moyen et lobe inférieur à droite le 03.05.2020 : • D'origine peu claire (DD infiltrat infectieux DD néoplasie) • 03.05.2020 CT-scanner thoracique : opacités nodulaires non spécifiques du lobe moyen et lobe inférieur à droite compatibles en première lieu avec une origine infectieuse. Pas de lésions typiques pour une infection au COVID-19 Opacités pulmonaires DD granulomes Opération : Fermeture de transverso stomie, résection segmentaire du côlon transverse, colostomie terminale en hypochondre droit, fistule muqueuse en fosse iliaque gauche par abord local le 19.05.2020 (Dr. X/Dr. X) Cathéter de péridural D9-D10 dès 19.05.2020 Ceftriaxone / Metronidazole du 19.05.2020 jusqu'à ablation du redon sous-cutané para-stomiale Opération : PTG ERAOS le 10.06.2020 Opération au Daler le 22.05.2020 Prochain contrôle le 03.07.2020 Opération clavicule gauche en 2005 et 2010 pour retrait des plaques. Opération Daler le 15.05.2020 Opération de cataracte des deux côtés en 2013. Opération de hernie discale au niveau L1-L2 (Dr. X). Pneumonie au Covid-19 le 16.03.2020. Opération de la cataracte à gauche le 28.10.2010 Cholécystectomie Plusieurs opérations des pieds Status après pose de prothèse de hanche gauche Status après pose de prothèses de genoux bilatérales Subiléus paralytique le 22.07.2016 Ostéomyélite du premier rayon du gros orteil pied gauche avec ulcération neurotrophique le 29.06.2016 : • Polyneuropathie sensitivo-motrice des membres inférieurs d'origine inconnue • Hémoglobine glyquée à 5.1% • Sous Co-Amoxicilline et Ciproxin le 21.07.2016 (idéalement 12 semaines, au moins 6 semaines), puis traitement antibiotique intermittent depuis le 20.08.2016 • Radiographie du pied gauche le 20.09.2016 : status d'arthrodèse métatarsophalangienne du gros orteil ; matériel d'ostéosynthèse enlevé ; aucune lésion lytique ; tissus mous discret Malaise orthostatique le 21.05.2017 : test de Schellong positif (hypotension, tachycardie, de reproductibilité des symptômes) Opération de la cataracte des deux côtés. Fracture du bassin non datée. Ostéosynthèse humérus proximal gauche par plaque Philos 3 trous pour fracture multi-fragmentaire déplacée le 07.11.2013. Fracture de tassement récent atraumatique D6-D7 sur ostéoporose. • Scintigraphie osseuse (13.03.2018) • CT scanner dorsal (14.03.2018) Opération de la cheville gauche en 2016 avec vissage de la malléole interne. Opération de la colonne X en 10.2019 (Hôpital Salem). Opération de la hanche gauche en 2016 dans un contexte d'impingement. Néphrolithiase droite. Opération de la jambe droite (sans précision). Opération de la prostate pour dysplasie (versus carcinome ?). Néphrectomie. Appendicectomie à l'âge de 11 ans. Cure d'hernie inguinale bilatérale dans l'enfance. Prolongation de m. demi-tendineux gauche, le 23.05.2017. Hernie lombaire L4/L5 en cours d'investigation chez Dr. X. • S/p infiltration par corticoïdes. Céphalées atypiques primaires chez Mr. Y, connu pour migraines le 10.01.2018. • DD : céphalées tensionnelles, migraineuses. Crise de migraine le 17.07.2019. • DD : sur introduction de Valium. Opération de la prostate. Appendicectomie. Cholécystectomie. Opération de la thyroïde. Otite moyenne aiguë avec probable perforation tympanique, contamination conduit auditif externe à droite. Plaie superficielle joue gauche. Opération de l'oreille droite avec implantation d'une prothèse auditive en 2001, non fonctionnelle depuis 2012. Opération du ménisque genou gauche il y a 10-15 ans. Cure de varices bilatérales en 2007. Saignement du conduit auditif externe droit. Opération diverticulaire en 2000. Prothèse totale du genou en 2018. Prothèse totale de la hanche en 2017. TVP. Status post cure de cataracte bilatérale. Status post hystérectomie. Diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock 2A avec hémorragie digestive basse le 30.06.2018. • Résection sigmoïdienne avec anastomose termino-terminale le 29.05.2000 pour diverticulose sévère. Anémie postopératoire (prothèse hanche) avec Hb à 79 g/l le 05.11.2018. Opération du canal rachidien 09/2017. Cholecystectomie il y a 30 ans. Appendicectomie à 15 ans. Fracture intra-articulaire radius distal D avec réduction ouverte, OS radius distal D 08/2016. Épisode dépressif moyen dans un contexte social difficile juin 2019. • épuisement avec anorexie (perte de 6 kg de poids dans six mois). • sous Cymbalta 60 mg/j et Distraneurin 2x/jour. • douleurs chroniques généralisées. • crises d'angoisse. Déconditionnement physique d'origine multifactorielle en lien avec les diagnostics supplémentaires 1, 2 et 3. Gonalgie droite. • implantation d'une prothèse totale du genou droit le 28.01.2019 (Dr. X). Dysesthésies des membres inférieurs et membres supérieurs d'origine indéterminée le 14.04.2019. • HbA1c, bilan électrolytique par la calcémie, le bilan hépatique, une VS, bilan vitaminique par B6, B12, acide folique, TSH, ferritine en ordre en 04/2019. • ENMG le 16.04.2019 : EMG normal. • avec atteinte sensitivo-motrice. > sous Cymbalta 60 mg/L. > initiation de Benerva par Dr. X à des valeurs de vitamine B1 inférieures à la normale, arrêté le 25.06.2019 (en consultation avec Dr. X). Opération du 16.05.2020 : exploration, rinçage et fermeture cutanée, Dig III main gauche. Opération du 16.05.2020 : suture des artères digito-palmaires ulnaire et radiale Dig II au Dafilon 10-0, réduction ouverte et ostéosynthèse de Dig II-P1 par 1 vis CCS, main gauche. Antalgie loco-régionale par Ropivacaïne dès le 16.05.2020. Rappel vaccination anti-tétanos à jour. Antibioprophylaxie par Co-amoxicilline 2.2 g iv 3x/24h pour 48h. Prophylaxie antithrombotique avec Liquemine pour 72h, puis relais par Clexane. Aspirine cardio 100 mg pour 1 mois. Radiographie Dig II le 16.05.2020. Radiographie main gauche le 16.05.2020. Surveillance vasculaire et hémodynamique aux soins intensifs du 16.05 au 18.05.2020. Opération d'un pectus incavatus à l'âge de 15 ans. Appendicectomie à l'âge de 11 ans. Opération d'une hernie discale en 2005. • Infiltration foraminale L3-L4 gauche en 2017. Appendicectomie. Opération cataracte déduite en 2010. Accouchement 3 enfants. Contusion orbito-faciale gauche. Zona au niveau de l'hémiface droite. Opération estomac X, environ 1988. Opération genou déduit (D suite à arthrose, G suite à chute). Opération hernie inguinale durant l'enfance. Contusion du genou D avec tuméfaction souple. Plaie au niveau du doigt V, main D, face radiale en regard de l'IPP, 1.5 cm de longueur. Contusion au niveau de l'avant-pied D. Contusion au niveau des métacarpes 1, 3-4-5 de la main D. Perte de substance de la pulpe de P3d2 main D. Plaie superficielle en zone 1 de la face palmaire de D3 main D. • Suture de la plaie par 3 points à l'ethilon 4.0.Pansement avec adaptic compresses et cofix au niveau de la perte de substance Opération glandes sudoripares axillaires bilatérales vers 2000 Incision abcès axillaire G le 20.01.2014 Macrohématurie non glomérulaire symptomatique d'origine probablement infectieuse Opération hallux du pied gauche Opération hernies abdominales Opération le 06.05.2020. Opération le 10.06.2020 Opération le 12.05.2020 Opération le 17.06.2020 Opération le 20.05.2020 Opération le 22.05.2020 : exploration de la plaie, prélèvements, rinçage et suture plaie pulpe P2 pouce droite. Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 22.05. au 23.05.2020. • Co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 23.05.2020, jusqu'au 01.06.2020. Microbiologie : négative à J2, à pister. Discuté avec Dr. X contrôle dans 2-3 jours à la filière, merci de contacter Dr. X lors du changement de pansement Opération le 24.06.2020 Opération lithiase salivaire (anamnestiquement). Suspicion de fracture de la fibula distale (Salter-Haris I) le 29.08.2013. Uro-lithiase gauche le 17.08.2017 Luxation acromio-claviculaire stade Tossy 2 le 12.09.2017 Opération oreilles. Torticolis. Opération pour rupture du ligament croisé antérieur genou gauche en 1996. Opération pour plastie ligamentaire cheville droite en 1990. Coxarthrose gauche sur conflit mécanique en CAM • Implantation de prothèse totale de hanche gauche. Opération pour une hernie épigastrique en 2008 AVP en 2012 avec des troubles d'incontinence fécale traité et suivi par Dr. X à Romont. Opération prévue le 10.09.20 Contrôle postopératoire le 21.10.20 Opération prévue le 17.06.2020 (PTG ERAOS) Opération prévue le 19.05.2020 à l'HFR Fribourg Opération prévue le 22.05.2020. Opération prévue le 29.05.2020. Opération prévue pour le 04.06.20 Prochain contrôle le 17.07.20 Opération réservée pour le 24.06.2020. Opération vésicule biliaire. Opération vésicule biliaire en 1999. Opération gynécologique X en 2009? Appendicectomie dans l'enfance. Traumatisme crânien simple le 04.11.2014. Césarienne. Douleurs abdominales d'origine indéterminées (DD : colique néphrétique gauche, diverticulite). Syncope probablement orthostatique dans un contexte d'infection urinaire et déshydratation le 26.07.2018. Accident ischémique transitoire d'origine indéterminée le 25.02.2020. • Symptomatologie : Dysarthrie pendant 25 minutes. • Score ABCD2 : 3 points. • NIHSS 0 points à l'admission et sortie. • Origine artério-artérielle possible : plaque mixte de la bifurcation carotidienne gauche. Cervicalgies sur probable radiculopathie C5 gauche depuis 5 semaines le 25.02.2020 avec : • Parésie du membre supérieur gauche. Opérations des genoux pour ostéochondrose. Contusion de l'épaule droite le 08.12.2015. Crise convulsive le 14.09.2018 actuellement sous Keppra 1500 mg par jour (500 mg le matin et 1000 mg le soir). • Dernière crise le 04.06.2018. • Arrêt du traitement en 2011 et reprise en juin 2018. • Facteurs déclenchants indéterminés. Plaie occipitale en Y, superficielle de 4 cm. Crise tonico-clonique le 22.09.2018 chez un patient connu pour épilepsie et actuellement sous Dépakine chrono 500 mg 2x/jour (dernier contrôle chez Dr. X le 17.09.2018). • Status post-crise convulsive le 14.09.2018 augmentation du Keppra à 1000 mg 2x/jour. • Consultation avec Dr. X le 17.09.2018 : stop Keppra, Dépakine chrono 500 mg 2x/jour. Opérations du coude gauche dans l'enfance. Tendinite du biceps gauche. Opérations du rachis à 7 reprises, avec spondylodèse L2-S1 dans un contexte de maladie herniaire lombaire Rupture du quadriceps droit opéré Opération des 2 épaules pour rupture de la coiffe des rotateurs Opérations (HFR Fribourg) : • 11.03.2020 : membre inférieur droit : débridement, lavage, ostéosynthèse par fixateur externe tibio-calcanéo-métatarsien, couverture de défect cutané par Epigard • 11.03.2020 : membre inférieur gauche : débridement, lavage, suture de la plaie à la face latérale du pied gauche • 13.03.2020 : second look de la plaie à la face médiale du tiers distal de la jambe droite. Débridement, prélèvements profonds et changement d'Epigard • 19.03.2020 : changement Epigard • 24.03.2020 : jambe droite : • ROOS par plaque 3.5 LCP 8 trous de la fibula et enclouage centro-médullaire du tibia. Comblement du tibia selon Masquelet. Couverture du défect cutané par mobilisation du FDL et greffe de Thiersch avec pose de VAC • jambe gauche : nécrosectomie et greffe de Thiersch avec pose de VAC • 30.03.2020 : ablation du pansement VAC. Opératoire : Bypass gastrique en janvier 2020. Médicaux : Erysipèle jambe gauche en mai 2019. Status post hypercapnie aigue avec hypoxémie sur insuffisance respiratoire en juillet 2018. Fracture tibiale genou droit en juin 2019. Obstétricaux : Status post 2x accouchements par voie basse, 1x césarienne. Opérée en 2019 pour tunnel carpien droit Opérée pour hernie inguinale Ophtalmoplégie inter-nucléaire : • Suspicion de maladie démyélinisante, infection virale Oppression rétrosternale d'origine indéterminée le 09.05.2020 • DD angor DD musculo-squelettique DD asthme Oppression thoracique. Oppression thoracique avec palpitation et dyspnée le 18.05.2020 • Contexte d'épanchement péricardique visualisé au CT thoracique le 18.05.2020 Oppression thoracique d'origine indéterminée le 18.05.2020. • Probablement dans un contexte de bronchite possiblement sur Covid-19 ou autre virose. Oppression thoracique le 31.05.2020 sur état anxieux. Optimisation volémique Orchiépididymite droite.Orchiépididymite droite avec hydrocèle associé et épididymite gauche débutant le 24.04.2020: • Antécédent de rétention urinaire sur infection urinaire compliquée en 11.2019 Orchi-épididymite droite et épididymite gauche débutante le 24.07.2018. Cure hernie inguinale et hydrocèle à droite à 9 mois. Orchi-épididymite droite le 21.05.2020 • probablement sur hydrocèle du testicule droit connue Orchiépididymite gauche actuellement sous antibiothérapie • suivi par le Dr X Ordonnance avec Prednisone 50 mg + Lévocétirizine 5 mg PO pendant 3 jours. Contrôle chez son médecin traitant. Consultation en ambulatoire chez un allergologue. Enseignement des signes qui doivent motiver une nouvelle consultation aux urgences. Organisation d'une intervention chirurgicale souhaitée par la patiente Organisation d'une intervention chirurgicale souhaitée par la patiente. Discussion avec Dr X qui organisera l'intervention au Lindenhof. Organiser polysomnographie à distance de l'évènement aigu Organiser réhabilitation CV ou suivi par Sinacard Organiser rendez-vous cardiologique en ambulatoire pour une échographie du cœur. Contrôle FC et symptômes respiratoires. Organiser suivi/consultation pour sevrage éventuel Organiser une prise de sang le 11.05.2020 (contrôle hémoglobine) Organiser un rendez-vous chez un allergologue à distance Organiser une ETT en ambulatoire Organiser une ergométrie dans 1 année Organiser une évaluation neurologique à distance (non fait par nos soins). Organiser un rendez-vous chez un urologue. Orgelet paupière supérieure droite Orgelet paupière supérieure droite avec traitement par floxal, 1 cm de pommade 3x/jour dans l'œil droit. Mme. Y invitée à consulter un ophtalmologue en cas de non-amélioration clinique d'ici 2-3 jours, ou en cas de péjoration clinique. Orientation aux urgences de Fribourg. Orientation vers triage RFSM. 2 comprimés de Temesta 1 mg donnés aux urgences en cas d'insomnie ou d'angoisses. ORIF plaque Philos avec Hinge-plate le 25.12.2019 pour fracture headsplit humérus proximal D le 24.12.2019. ORIF plaque Variax clavicule G le 23.01.2020 sur fracture plurifragmentaire tiers moyen clavicule G le 16.01.2020. Origine Valsartan écartée vu non-amélioration avec passage au Lisinopril. Essai avec passage du Métoprolol au Bisoprolol Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour: Légère scoliose dextro-convexe lombaire avec inclinaison du bassin vers la D. Hyperlordose lombaire. Bonne balance sagittale. OS PROPRE DU NEZ : pas de fracture de l'OPN. Os sub-fibulaire traumatisé en 2020 sur entorse de la cheville D 3ème épisode. OSG Distorsion Grad III Osmolalité calculée: 273 mosm/l. NaCl 500 ml IV. Contrôle chez médecin traitant. Osmolalité sérique et urinaire à pister Suivi biologique Osmolalité sérique et urinaire. Suivi biologique. Ostéomyélite chronique avec poussée aiguë tibia G sur s/p accident il y a 30 ans, anamnéstique Status post cure d'ostéomyélite du tibia G le 23.11.2019 avec reprise le 05.12.2019. Ostéomyélite chronique de la phalange distale 4ème doigt à gauche dans un contexte de syndrome de CREST avec : • douleurs extrêmes pulsatiles et crises paroxystiques • antalgie par Kétamine et Fentanyl en pompe, Clonazépam, Amitriptyline • débridement de phalange distale (lit de l'ongle, pulpe, os) le 29.01.2020 (Dr X) • Céfuroxime du 29.01 au 04.02.2020, relais par clindamycine jusqu'au 05.03.2020 et Ciprofloxacine au long cours Ostéomyélite de la phalange distale Dig IV à G avec douleurs extrêmes pulsatiles et crises paroxystiques • Dans le cadre d'un syndrome de CREST Avis antalgie (Dr X) le 23.12.2019 Interventions • Bloc supra-claviculaire le 31.12.2019 • Bloc médian le 01 et 02.01.2020 Kétamine et fentanyl continu en pompe, rivotril Amitriptyline Débridement phalange distale (lit de l'ongle, pulpe, os) Dig IV à G le 29.01.20 Avis infectiologique Dr. X/Prof. X Céfuroxime 1500 mg 3x/j du 29.01.2020 au 04.02.2020, relais par clindamycine 600 mg et Ciprofloxacine 600 mg 2x/j pour 4 semaines Suivi-proposition : • retrait du fil de prolène dès le 17.02.20, soins à domicile avertis • pas de contrôle en chirurgie de la main d'emblée si bonne évolution, sont à disposition selon évolution au décours • Bloc stellaire le 10.01.2020 Rhizarthrose pouce gauche Cécité congénitale de l'œil droit Sténose à 50% de l'artère mésentérique supérieure sur une plaque molle connue depuis juin 2012 Arthrose acromio-claviculaire et conflit sous-acromial droit Lombalgies chroniques avec arthrose inter-facettaire étagée, hernie discale et canal lombaire étroit modéré Trouble de l'adaptation avec réaction anxio-dépressive dans un contexte de maladie évolutive et de douleurs chroniques. • A peur de perdre l'usage de sa main et de devenir complètement dépendante • Prise en charge interdisciplinaire, soutien psychologique, art-thérapie • Rivotril Douleurs neurogènes fantômes de la jambe droite amputée • S/p amputation infra-géniculée selon Burgess du membre inférieur droit le 15.12.2016 • S/p greffe de Thiersch du moignon du membre inférieur droit le 27.03.2017 • S/p amputation selon Gritti le 14.01.2019 pour fracture ouverte fémoro-tibiale droite au niveau du moignon d'amputation sous-géniculée droit le 02.01.2019 avec déhiscence de plaie du moignon membre inférieur droit en 06.2019 Asthénie dans le contexte de maladie évolutive et de douleurs chroniques. • Accompagnement interdisciplinaire • Amitriptyline • Clonazépam Ostéomyélite du petit trochanter du fémur G Ostéomyélite tibia distale avec arthrite septique cheville D dans contexte : • surinfection d'un ulcère chronique malléole interne D, sur AOMI stade IV Ostéonécrose aseptique de la tête humérale D sur s/p réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos et Hinge-plate, ténotomie-ténodèse du LCB et greffe de Tutoplast le 24.12.2019 pour une fracture 3 parts de l'humérus proximal D. Ostéonécrose de la tête du fémur G symptomatique dans un contexte de métastase connue du cotyle G • Status post radiothérapie en 2018 (30 Gy) • Lésion chronique du muscle gluteus minimus Ostéonécrose symptomatique de la tête fémorale G. Ostéopathies post-actiniques • fracture transversale d'insuffisance d'acétabulum cotyle droit avec ostéonécrose avasculaire de la tête fémorale D stade IV selon Ficat avec troubles dégénératifs secondaires le 19.12.2017 • fracture de l'aileron sacré droit, de S3, et de L5 le 06.06.2019 • antalgie par Targin • Prolia de 11.2016 à 02.2019 Ostéopénie : • ostéodensitométrie faite en 2019. • caractère familial. Lombosciatalgie droite connue. Cervicarthrose avec : • céphalées tensionnelles. Ostéoporose. Ostéoporose avec : • hypovitaminose D à 32 nmol/l • hypocalcémie à 1.90 mmol/l • hypomagnésémie 0.69 mmol/l • hypophosphatémie 0.57 mmol/l • PTH et TSH dans la norme Ostéoporose avec : • Status après cyphoplastie pour fracture tassement L3 • Status après hystérectomie • Lombosciatalgies gauches non déficitaires Ostéoporose avec suspicion de fracture de tassement sur corticothérapie • densitométrie osseuse du 03/2020 Ostéoporose avec tassement L1 • Hypercholestérolémie Ostéoporose densitométrique Ostéoporose densitométrique sévère : • Facteurs de risque d'ostéoporose : tabagisme actif, ménopause précoce chirurgicale à l'âge de 31 ans substituée, consommation d'OH à risque, fracture de hanche chez la mère, malabsorption sur status post bypass gastrique en 2005. • Fractures : multiples et traumatiques de l'avant-bras droit/gauche en 2003/2005, 3 côtes en 2015, coude gauche en 2017, cheville gauche en 2018. • Densitométrie osseuse du 13.06.2018 : TBS à 1.157, colonne lombaire à -4,1 DS, col du fémur à -2,5, hanche totale -2,6 DS • Traitement d'Aclasta 5 mg iv 1x/an, 2ème perfusion en février 2020 Ostéoporose diagnostiquée en 2002 • traitement par Fosamax® de 2002 à 2005, Prolia® d'août 2011 à août 2016 puis perfusion d'Aclasta® en octobre 2018 • dernière densitométrie osseuse en juin 2018 avec un T-score L1 à L3 à -2.2 DS, col du fémur à -2.0 DS et fémur total gauche à -2.1 DS. TBS à 1.037 témoignant d'une microarchitecture très dégradée, pas de fracture visible de D7 à L4 • Aclasta® en octobre 2018 Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire • suivi en rhumatologie • Aclasta 5 mg i.v. une fois par an, première injection le 09.07.2019 Ostéoporose fracturaire avec : • Fractures côtes à D et vertébrales multi-étagées, non datée D11, L2, L3, L4 • FRCV : tabagisme >40 UPA, SSRI, IPP, sédentarité, apports calciques à réévaluer • Aclasta 5mg iv OU le 19.12.2019 Ostéoporose fracturaire avec : • fracture comminutive discrètement déplacée de la branche ilio-pubienne gauche, péri-acétabulaire traumatique sur chute le 02.04.2020 • fracture du trochanter majeur du fémur à droite le 18.03.2020 • anciennes fractures de tassement sévères de D12 en galette ainsi que des tassements cunéiformes de D11 et L2 et des tassements biconcaves de L1 et L3. • ostéopénie • hypovitaminose D • poids 45,5 kg Ostéoporose fracturaire avec : • fractures de tassement sévère de D12 en galette ainsi que des tassements cunéiformes de D11 et L2 et des tassements biconcaves de L1 et L3. Coxarthrose droite. Chondrocalcinose de l'articulation coxo-fémorale et de la symphyse pubienne. Scoliose dextro-convexe à la jonction dorso-lombaire. Diverticulose floride du côlon descendant et du sigmoïde, sans signe de diverticulite. Incontinence fécale Ostéoporose fracturaire avec : • fractures de tassement sévère de D12 en galette ainsi que des tassements cunéiformes de D11 et L2 et des tassements biconcaves de L1 et L3 Coxarthrose droite Chondrocalcinose de l'articulation coxo-fémorale et de la symphyse pubienne Scoliose dextro-convexe à la jonction dorso-lombaire Diverticulose floride du côlon descendant et du sigmoïde, sans signe de diverticulite Ostéoporose fracturaire sévère avec : • fracture/tassement L1 d'allure récente • fracture/tassement D11 ancien Ostéoporose fracturaire : • traitement par Prolia jusqu'en 2014. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec une chute le 30.10.2016 : • moyens auxiliaires inadaptés • ostéoporose fracturaire • troubles cognitifs • incontinence urinaire/nycturie • dénutrition • anémie Traitement de réhabilitation gériatrique précoce complexe du 02.11.2016 au 08.11.2016. Anémie normochrome, normocytaire arégénérative d'origine carentielle (folate et B12). Malnutrition protéino-énergétique grave : • BMI 21.5 kg/m2 • NRS 5. Troubles cognitifs : • Bilan de la cognition : -- 06.11.2016 : MMS 19/30, test de l'horloge 4/7, GDS 6/15 -- août 2014 : MMSE 24/30, test montre 3/7. Ostéoporose, fracture L3 il y a +/- 4 ans. Ostéoporose le 30.05.2020 • sous calcimagon Ostéoporose non fracturaire • athéromatose des bulbes carotidiens ddc. Ostéoporose non fracturaire • Athéromatose des bulbes carotidiens bilatérales Ostéoporose non fracturaire • Athéromatose des bulbes carotidiens bilatérales Ostéoporose traitée par Zoledronate 1x par année depuis janvier 2020. HTA traitée. Syndrome fibromyalgique. Ostéoporose traitée. Glaucome traité. Ostéoporose traitée. Thyroïdite de de Quervain. Hypertension artérielle traitée. Ostéoporose Coxarthrose li-bettont Paroxysmales Vorhofflimmern Ostéoporose. Fractures vertébrales ostéoporotiques. Hypertension artérielle traitée. Ostéoporose HTA Ostéoporose HTA Ostéoporose Hypercholestérolémie Ostéoporose Probable BPCO Ostéoporose. Syndrome de douleur lombaire dans le contexte d'une récidive d'herpès zoster. Troubles de la marche et de l'équilibre. Status post-déformation de la pièce avec fracture calcanéenne multifragmentaire sur le côté gauche, après une chute mécanique le 15.07.2018. Status post-ostéosynthèse le 19.07.2018 Hypertension artérielle - Sous traitement au Losartan et à l'Amlodipine Dyslipidémie sous Rosuvastatine. Déficit de Vitamine D3 • sous Calcimagon D3, Vitamine D3 Streuli. Lombosciatalgie chronique gauche avec • déficit dermatome de la cuisse L4 avec : modifications dégénératives avancées connues des disques intervertébraux à hauteur LWK3/4/5, SWK1, avec ostéochondrose dorsale modérée et arthrose avancée des facettes articulaires, ainsi qu'une possible constriction récessive discoligamentaire des 2 côtés à hauteur LWK 4/5, légèrement accentuée du côté gauche, avec une possible irritation de la racine nerveuse gauche L5, ainsi qu'une possible tangence récessive discocapsulaire/ostéodiscogène de la racine nerveuse gauche S1. Ostéoporose. Syndrome respiratoire obstructif. Incidentalomes hépatiques (CT abdominal du 03.06.13). Possible maladie de Paget au niveau de la vertèbre L3 (CT abdominal du 03.06.13). Probable céphalées migraineuses. Cardiopathie ischémique et hypertensive. Intolérance au glucose. Dyslipidémie. Ostéoporose. Syndrome respiratoire obstructif. Incidentalomes hépatiques (CT abdominal du 03.06.13). Possible maladie de Paget au niveau de la vertèbre L3 (CT abdominal du 03.06.13). Probable céphalées migraineuses. Cardiopathie ischémique et hypertensive. Intolérance au glucose. Dyslipidémie. Ostéoporose. Syndrome respiratoire obstructif. Incidentalomes hépatiques (CT abdominal du 03.06.13). Possible maladie de Paget au niveau de la vertèbre L3 (CT abdominal du 03.06.13). Probable céphalées migraineuses. Cardiopathie ischémique et hypertensive. Intolérance au glucose. Dyslipidémie. Ostéoporose. Syndrome respiratoire obstructif. Incidentalomes hépatiques (CT abdominal du 03.06.13). Possible maladie de Paget au niveau de la vertèbre L3 (CT abdominal du 03.06.13). Probable céphalées migraineuses. Cardiopathie ischémique et hypertensive. Intolérance au glucose. Dyslipidémie. Ostéoporose. Syndrome respiratoire obstructif. Incidentalomes hépatiques (CT abdominal du 03.06.13). Possible maladie de Paget au niveau de la vertèbre L3 (CT abdominal du 03.06.13).Probable céphalées migraineuses. Cardiopathie ischémique et hypertensive. Intolérance au glucose. Dyslipidémie. Ostéoporose. Syndrome respiratoire obstructif. Incidentalomes hépatiques (CT abdominal du 03.06.13). Possible maladie de Paget au niveau de la vertèbre L3 (CT abdominal du 03.06.13). Probable céphalées migraineuses. Cardiopathie ischémique et hypertensive. Intolérance au glucose. Dyslipidémie. Ostéosarcome fibroblastique, G3, de l'extrémité distale du fémur droit avec : • 12.05.2013- 20.07.2013 : 2 cycles MAP selon le protocole AOST 0331. • 14.08.2013 : résection chirurgicale en bloc avec reconstruction par prothèse avec foyer résiduel d'ostéosarcome fibroblastique de G3, représentant <10 % de la lésion, exérèse complète R0 07.09.13- 08.12.13 : 2 cycles MAP selon le protocole AOST 0331. • 13.12.2013 - 24.02.2014 : 2 cycles Doxo monothérapie + 2 cycles MTX HD selon le protocole AOST 0331. • 22.04.2015 : CT-scan : majoration en taille d'un nodule du segment postéro-latéral du lobe inférieur droit mesuré à 8,3 mm. • 04.06.2015 : métastasectomie de 2 nodules pulmonaires avec résection en coin siège d'une métastase de l'ostéosarcome connu mesurant 1 cm de grand axe d'exérèse complète. A noter que, la résection wedge de la 2ème lésion ne montre que du remaniement hémorragique sans lésion histologique notable. • 28.01.2016 : révision de PTG tumorale droite avec changement de l'implant fémoral descellé et libération de l'appareil extenseur. • 30.04.2019 : révision de prothèse tumorale massive du genou droit avec libération de la néo-capsule, resurfaçage rotulien et raccourcissement de l'implant fémoral. • 12.08.2019 : Ct scan : augmentation en taille d'une adénopathie inguinale droite passant de 10 à 13 mm et iliaque externe passant de 14 à 17 mm qui, dans le contexte, reste suspecte de récidive. • 15.08.2019 : colloque sarcome : refaire un bilan radiologique dans 2 mois. • Actuellement : diminution en taille des adénopathies iliaques externes et inguinales droites au scanner thoraco-abdominal du 05.11.2019. • Proposition : colloque du 14.11.2019 : reprise des suivis cliniques et radiologiques aux 6 mois. Insuffisance rénale chronique (toxicité au méthotrexate) stade II. Herpès génital épisodique récurrent. Hypertension artérielle traitée. Asthme (ancien tabagisme à 8 UPA). Ostéosynthèse armée fémur D (OP le 01.05.2020) Antalgie par PCA du 01.05. au 10.05.2020, gérée par les anesthésistes Diagnostic anatomopathologique (biopsie fémur proximal D) - Rapport Promed du 04.05.2020 : localisation osseuse métastatique d'un adénocarcinome moyennement différencié CK7+ TTF1-, CDX2+ partiel, PSA-, CK20-. Transfert en médecine interne le 12.05.2020 pour suite de prise en charge oncologique Ostéosynthèse du fémur D dans l'adolescence Compression nerf ulnaire dans le Sulcus nervi ulnaris à D • Décompression N. ulnaris dans le Sulcus ulnaris à droite par voie endoscopique Ostéosynthèse du poignet D et coude G il y a environ 10 ans Epistaxis antérieure droite récidivante Ulcère gastrique Ostéosynthèse d'une fracture intra-articulaire du radius distal gauche le 07.06.2012. Prothèse totale de hanche gauche en 1993, droite en 2012. Prothèse totale du genou droit en 2001. Phlegmon de la gaine des fléchisseurs D1 à D5 main droite à Brevibacterium sp. B. casei traité par exploration, rinçage le 01.12.2013 et antibiothérapie par Co-Amoxocilline du 01 au 11.12.2013. Chute de 6 m avec traumatisme crânio-cérébral, double fracture du crâne et fracture du fémur gauche à l'âge de 6 ans. Fracture non déplacée de l'anneau pelvien gauche sur chute de sa hauteur le 17.01.2014. Hystérectomie totale. Cure de varices des membres inférieurs. Ostéosynthèse humérus proximal par plaque Philos le 11.02.2020 à G. Ostéosynthèse pilier latéral et médial humérus distal et implantation d'une prothèse charnière du coude à G (O le 14.04.2020) Otalgie. Otalgie Otalgie Droite Otalgie droite Otalgie droite. Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche. Otalgies à droite. Otalgies bilatérales. Otite à fin février 2013. Otite bilatérale Otite bilatérale D > G Otite D débutante Otite débutante le 11.05.2020 Otite externe bilatérale. Otite externe bilatérale. Otite externe diffuse gauche le 14.01.2017. APP. Opération hernie inguinale droite. Plastie LCA DIDT (OP le 18.04.2012). Probable hernie inguinale sub-clinique le 28.09.2014. Fasciite plantaire droite le 13.03.2019. Otite externe droite. Otite externe droite • lavage d'oreille fréquent et nettoyage avec coton-tige Otite externe droite le 10.05.2020. Otite externe et moyenne le 22.08.2018 traitée par Ciproxine durant 7 jours. Entorse radio-carpienne gauche le 11.10.2018 • sur chute avec mécanisme d'hyperextension il y a 3 semaines. Instabilité de l'épaule droite sur laxité de l'épaule objectivable. Suspicion de décompensation psychiatrique le 20.03.2020 : infirmée --> retour à domicile. Otite externe le 24.05.2020. Otite externe le 28.05.2020. Otite externe maligne avec tentative de tympanoplastie gauche en 1991 et 1993. TCC et fracture du rocher gauche en 1991. Hémisyndrome sensitivo-moteur résiduel gauche après accident de moto en 1985. Splénectomie en 1985 suite à un accident de moto. Obstruction intestinale en 1986. Épanchement pleural gauche de type exsudat idiopathique le 13.04.2015. Alcoolisation aiguë à 3.51 o/oo le 07.03.2016. Iléus paralytique le 07.03.2020 DD : médicamenteux (opiacés), oedème anse grêle Thrombose jugulaire gauche avec ablation VVC jugulaire gauche le 05.03.2020 Thrombose des artères radiales bilatérale le 09.03.2020 Escarres multiples le 20.02.2020 Iléus paralytique le 07.03.2020 DD : médicamenteux (opiacés), oedème anse grêle Otite média sous AB jusqu'à aujourd'hui. Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë débutante à D Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche au décours : • drain transtympanique depuis février 2020 Otite moyenne aiguë gauche (voire bilatérale) Otite moyenne aiguë gauche (voire bilatérale) le 30.05.20 • sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline 50 mg/kg/j pour 10 jours • au décours le 31.05.20 Otite moyenne droite le 10.05.2020 : • réfractaire au traitement conservateur. Otite moyenne gauche compliquée d'une mastoïdite débutante. Otite moyenne gauche non compliquée. Otite virale droite Otite virale/myringite virale gauche Otolithe latéralisé à droite. Primpéran IV. Manoeuvre de Semont efficace répétée deux fois. Attitude : • Retour à domicile avec Primpéran en réserve. • Brochure donnée avec explication pour la manoeuvre d'Epley. Ouverture du pansement, rinçage de la plaie, pansement occlusif Contrôle en ambulatoire à 5 jours Représentation si apparition de red flags Ouverture du pansement, rinçage de la plaie, pansement occlusif. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 10 jours. Représentation si apparition de red flags. Ouverture du plâtre et mise en place de bandage élastique. Ovules d'Econazol Xyzal Oxazépam dès le 25.05.2020 Diazépam du 25.05 au 26.05.2020 Lévomépromazine le 26.05.2020 Clonidine du 26.05 au 28.05.2020 Dormicum i.v. le 27.05.2020 Thiamine à haute dose du 25.05 au 28.05.2020 Seresta d'office et en réserve CIWA aux 4h. Substitution vitaminique. Oxazépam en réserve du 05 au 19.05.2020 Oxazépam en réserve 05.05-10.05. Oxazepam 05.05.2020 Lorazépam dès le 05.05.2020 Quétiapine dès le 08.05.2020 Clonidine i.v.c. du 09.05 au 10.05.2020 Oxybuprocaïne + vit A + pansement occlusif. Consulte en ophtalmologie demain dans la journée si gène persiste. Oxybuprocaïne: Pas de lésion ni corps étranger visible Vitamine A + pansement occlusif. Si besoin consultera ophtalmologie demain matin. Oxycodone dès le 16.05.2020 Oxycodone Prise en charge interdisciplinaire Oxycontin 5mg 2x/j à partir du 12.05.2020 Oxynorm en réserve Oxygène durant 1 heure, puis sevrage Oxygénothérapie : sevrage progressif Diurétiques de l'anse Cathéterisme cardiaque gauche/droite le 04.05.2020 (Dr. X) Echocardiographie transthoracique le 27.04, 30.04 Consilium pneumologique le 04.05.2020 (Dr. X) ETT avec mesure des pressions pulmonaires au décours de la phase respiratoire aiguë Polysomnographie dès 02 sevrée Fonctions pulmonaires en ambulatoire à distance Oxygénothérapie Poursuite du traitement d'Ombrez Oxygénothérapie Reprise du traitement habituel de Torasemide Suivi du poids 1x/j Oxygénothérapie Ventilation non invasive le 04.05.2020 Oxymétrie nocturne Oxyure Oxyures Pabal 100 mg le 16.05.2020 Acide Tranexamique 1g le 16.05.2020 Transfusions: CE x 2 16.05.; PFC: 16.05, 17.05 Pabal 100 mg le 16.05.2020. Transfusion de 2 CE le 16.05.2020. Packing nasal avec rapid rhino du 06.05 au 08.05 Avis ORL (Dr. X) le 06.08.2020 Packing nasal avec rapid rhino du 06.05 au 08.05.2020 Avis ORL (Dr. X) le 06.08.2020 Rendez-vous de contrôle le 10.05.2020 en ORL Paie profonde. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10: Pas de douleur ; Dyspnée 0/10: Pas de dyspnée ; Nausée 5/10: A parfois des nausées, actuellement pas. Sensation de gêne digestive ; Fatigue 7/10: Importante, n'a plus la force de marcher seul ; Somnolence 5/10: Episode d'agitation nocturne ; Inappétence 4/10: Peu d'appétit, mangeait mixé à la maison ; Anxiété 2/10: Dit être à peine anxieux à l'idée de mourir ; Dépression 0/10: Ne rapporte pas de tristesse ; Sensation de mal-être 5/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 10 points Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Etait paysan. Est retourné à domicile quelques semaines, habite avec son épouse avec notion d'épuisement de celle-ci ; Projet du patient / des proches : Etre confortable. Pouvoir voir sa famille ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Famille avec notamment épouse et fils très impliqués dans les soins. Mr. Y nous est adressé du domicile par l'équipe Voltigo pour une fin de vie. Après une première hospitalisation en soins palliatifs du 16.04.2020 au 23.04.2020, Mr. Y était rentré à domicile. Ces derniers temps, la prise en charge est devenue plus difficile notamment en raison d'une asthénie importante et d'épisodes de confusion ayant conduit à l'épuisement de son épouse et du réseau à domicile. A son arrivée, nous rencontrons un patient ictérique dans un état général très diminué. Mr. Y n'a pas de plainte particulière mais présente une confusion intermittente. Pour la confusion, nous introduisons un traitement d'Haldol et de Nozinan avec bon effet. En raison de la dégradation de l'état clinique de Mr. Y avec une somnolence accrue et une rigidité musculaire, ces traitements sont arrêtés par la suite. La famille de Mr. Y est tenue au courant de la situation terminale de Mr. et bénéficie d'échanges téléphoniques et en présence de l'équipe médico-soignante afin de les soutenir dans leur processus de deuil. L'épouse de Mr. Y nous confie être triste mais sereine par rapport à la fin de vie de son époux. Mr. Y décède le 09.05.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10: Pas de douleur décrite ; Dyspnée 0/10: Pas de dyspnée selon le patient mais difficile à évaluer vu le peu d'activité physique ; Nausée 0/10: Pas de nausée ; Fatigue 6/10: Importante depuis quelques temps, en lien selon le patient avec les nuits difficiles ; Somnolence 6/10: Diurne avec plusieurs siestes par jour ; Inappétence 6/10: Mange peu mais ne sait pas s'il a perdu du poids ; Anxiété 5/10: Aimerait rentrer le plus rapidement possible ; Dépression 5/10: En lien avec l'hospitalisation et les difficultés de communication ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 0/10: Parler à l'air très difficile, cela représente un gros effort pour le patient, n'en connaît pas les raisons. Depuis fin décembre 2019 selon sa fille Barthel limitation fonctionnelle motrice : 20 points Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est marié avec Mme. Y, 3 enfants et 11 petits-enfants. A travaillé à l'Arsenal à Fribourg ; Projet du patient / des proches : Retourner le plus rapidement possible à domicile. Aime passer du temps sur sa tablette ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Très proche de sa femme (principale proche aidante) et de ses enfants. Mr. Y est hospitalisé depuis le domicile pour un épuisement du réseau. A son entrée, il présente une baisse importante de l'état général évoluant depuis quelques mois mais qui s'est nettement accélérée ces derniers jours. De plus, on constate une aphasie importante associée à un déficit de la motricité oculaire verticale et à une ataxie/apraxie importante. L'hétéroanamnèse avec son épouse confirme des troubles du langage évoluant depuis décembre 2019 déjà. Un tableau de démence est suspecté. Nous n'effectuons pas le bilan proposé par le neurologue de l'HFR suite au refus de l'épouse du patient en adéquation avec la volonté de son mari. Concernant les troubles du sommeil (2-3 heures par nuit) probablement secondaires à sa démence, ayant initialement motivé son hospitalisation suite à l'épuisement de son épouse, sa principale proche aidante, différents traitements ont été essayés avec une efficacité modérée. Durant l'hospitalisation, Mr. Y présente des douleurs mal caractérisables en raison des troubles de la communication. Toutefois, elles semblent prédominer au niveau de la nuque et du bras droit. Elles répondent favorablement au traitement par du fentanyl instauré. L'hospitalisation se complique de spasticité musculaire en lien avec sa démence. Elles répondent favorablement à un traitement par diazépam. Face à la perte d'autonomie importante, il est décidé initialement après discussion avec son épouse d'un placement dans un EMS. La péjoration importante et rapide de l'état de Mr. Y, il est décidé de concert avec la famille d'une fin de vie à l'unité. Des entretiens réguliers sont effectués avec la famille pour les soutenir au mieux face à cette maladie rapidement évolutive et la mort prochaine de leur proche. Mr. Y décède le 25.05.2020, ayant fait don de son corps à la science, le nécessaire a été effectué pour que sa volonté soit respectée. ESAS : Douleurs 2/10 : Lombalgies irradiant parfois dans le membre inférieur D sous forme de lancée, prédominant le matin, sans facteur déclenchant identifié, plutôt en amélioration par rapport à la consultation Voltigo de fin 2019, soulagée par la prise de réserves de morphine (3-4x/j.) ; Dyspnée 8/10 : Au moindre effort, absente au repos, impression que je vais mourir, besoin de plusieurs minutes pour se remettre ; Nausée 2/10 : Nausées sans vomissement ni facteur déclenchant depuis quelques jours ; Fatigue 0/10 : Pas de fatigue ; Somnolence 4/10 : Somnolence diurne : plusieurs épisodes par jour d'endormissements intempestifs, notamment en lisant ; Inappétence 4/10 : Diminution de l'appétit depuis quelques semaines, dégoût alimentaire sans dysgueusie ; Anxiété 2/10 : Dit ne pas avoir peur de la mort, mais craindre que cela dure longtemps, de souffrir ; Dépression 4/10 : Tristesse en lien avec l'impression de ne pas être pris au sérieux dans sa souffrance par ses amis qui ne la trouveraient pas si malade que ça, sentiment d'injustice ; Sensation de mal-être 4/10 : Se sent globalement mal fichu, a l'impression qu'elle va mourir bientôt Barthel limitation fonctionnelle motrice : 90 points Palliative Performance Scale : 70% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Plutôt isolée socialement, une nièce dont elle nous donne le numéro bien qu'elles ne soient pas très proches, quelques amis, infirmier indépendant : Pierre Thévoz passe tous les jours. Suivi Voltigo interrompu (Mathilde) car plus de besoin à l'époque ; Projet du patient / des proches : Pense qu'elle va mourir bientôt, raison pour laquelle elle est venue à l'unité de soins palliatifs, ambivalence à ce sujet : voudrait que ça ne traîne pas, tout en espérant pouvoir rajouter des mois à la vie (ce qu'elle peut élaborer) ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Ne souhaite pour le moment pas d'implication de sa famille Mme. Y nous est adressée du domicile pour une réhabilitation palliative. À l'entrée, elle présente au premier plan une forte dyspnée qu'elle décrit comme présente au moindre effort. Nous introduisons un traitement de fond par morphine avec un spray de fentanyl intranasal en réserve. Au vu de la composante cardiaque, le traitement diurétique est également majoré. Mme. Y se dit partiellement soulagée par ces traitements, mais reste très limitée dans sa mobilité en raison de ce symptôme. Nous réalisons plusieurs entretiens médico-infirmiers afin de soutenir Mme. Y dans son vécu de la maladie. Vu la situation globale et la limitation fonctionnelle de Mme. Y, une place en appartement protégé à la Rose d'Automne est organisée. Mme. Y est très impliquée dans la réalisation de ce projet. Dans l'attente de son déménagement, Mme. Y est reclassée le 26.05.2020. Elle reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 2/10 : Occasionnelles ; Dyspnée 0/10 : Ni au repos ni à l'effort ; Nausée 0/10 ; Fatigue 4/10 : De plus en plus ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 3/10 : L'appétit s'améliore, mange de plus en plus, surtout de la soupe ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 : Malgré le traumatisme de l'abus à l'HFR Hôpital cantonal ; Sensation de mal-être : Pas demandé Barthel limitation fonctionnelle motrice : 30 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit seule, veuve, a un fils qui est très dépendant d'elle, à l'AI, appartement avec 2 étages avec escaliers. A beaucoup d'amis. Religieuse sur le papier, mais pas plus ; Projet du patient / des proches : veut aller à l'EMS de Marly, là où il y a des amis. Ne comprend pas ce qui l'attend avec le cancer ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : pour l'instant en conflit avec le fils. Mme. Y est transférée depuis le HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour une réhabilitation palliative. À son arrivée, la patiente se plaint surtout de douleurs abdominales viscérales à droite dans un contexte de métastase hépatique. Elle mentionne également une baisse de l'état général se manifestant surtout par une asthénie et une baisse de l'appétit. Concernant les douleurs, elles répondent favorablement au traitement d'opioïde instauré. Durant l'hospitalisation, Mme. Y présente à nouveau comme pendant son séjour à l'HFR-Hôpital cantonal un état fébrile asymptomatique objectivé jusqu'à 39,5 °C dont l'anamnèse, le statut et le bilan biologique ne retrouvent pas de cause claire. Il s'amende spontanément. Une cause tumorale est finalement retenue. Sur le plan social, Mme. Y avoue très vite que le retour à domicile semble trop difficile, il est donc décidé en accord avec la patiente et son fils d'un placement en EMS. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 12.05.2020 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 3/10 : Mentionne de légères douleurs abdominales dans un contexte de constipation malgré le laxatif ; Dyspnée 9/10 : Dyspnée de repos et d'effort connue, orthopnée importante l'ayant empêché de dormir cette nuit. Toux mais n'arrive pas à expectorer ; Nausée 0/10 : Pas de nausée ; Fatigue 7/10 : Se dit fatigué même s'il ne fait rien ; Somnolence 7/10 : Rapporte une tendance à avoir les yeux qui se ferment. N'a pas du tout dormi cette nuit ; Inappétence 0/10 : Pas d'inappétence rapportée. Dit avoir perdu 17 kg avec le traitement diurétique ; Anxiété 5/10 : Dit n'avoir pas envie de mourir, inquiétude non précisée ; Dépression 7/10 : Dit que sa vie n'est plus que manger, dormir et aller aux toilettes, ce qu'il considère comme triste. A toujours du plaisir à faire certaines choses, aime les mots croisés, les découpages, bricoler ; Sensation de mal-être 5/10 ; Autre 8/10 : Sécheresse buccale importante. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est divorcé, habite seul avec des soins à domicile et Voltigo ; Projet du patient / des proches : Retourner à la maison dès que possible. Ne pas mourir tout de suite. Pouvoir bricoler, faire des mots croisés et des découpages ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Non discuté, fille assez impliquée dans la prise en charge. Rappelons que Mr. Y est sorti de notre service le 28.04.2020 pour aller vivre chez sa fille. Après plus de 15 jours à domicile, il nous est transféré pour une suite de traitement. Il présente au premier plan une dyspnée de base avec de plus en plus des épisodes paroxystiques sévères. Les traitements par pompe de fentanyl et les diurétiques IV sont poursuivis et adaptés durant le séjour. L'état clinique du patient étant déjà fragile à son arrivée, se dégrade progressivement durant le séjour. Plusieurs entretiens médico-infirmiers sont réalisés avec Mr. Y afin de l'accompagner dans le vécu de sa maladie. Mr. Y nous fait part d'un grand besoin d'autonomie, comme par exemple, la liberté d'aller fumer ses cigarettes. Des contacts téléphoniques ont lieu avec la fille de Mr. Y afin de la tenir au courant et de l'accompagner dans le processus de maladie terminale de son papa.Une heure après sa dernière cigarette, il décompense sur le plan respiratoire avec une sensation d'étouffement. Après avoir reçu un protocole d'urgence antidyspnée, il est sédaté sous BiPAP. Mme. Y décède le 18.05.2020 en présence de ses proches. • Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 4/10 : Polyarthralgies de longue date dans un contexte d'arthrose selon Mr. Y, en pic à 4/10, déclenchées par la mobilisation principalement, soulagées partiellement par le Dafalgan ; Dyspnée 0/10 : Pas de dyspnée ; Nausée 0/10 : Pas de nausée ; Fatigue 6/10 : Intense fatigue, sommeil jugé bon en général mais perturbé par une pollakiurie nocturne depuis environ 3 semaines ; Somnolence 2/10 : Tendance à s'endormir lorsqu'il est inactif sur son fauteuil, surtout après les repas ; Inappétence 4/10 : Appétit en diminution, peu d'envies ; Anxiété 2/10 : Craintes quant à la perte progressive de ses capacités et facultés ; Dépression 6/10 : Tristesse en lien avec la dégradation progressive de son état général, les pertes de capacités, la séparation prévue avec ses proches, sa lente agonie, anhédonie ; Sensation de mal-être 6/10 : En lien avec la perte progressive des capacités ; Autre 4/10 : Ralentissement psychomoteur, se dit confus. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 60 points Palliative Performance Scale : 60% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit avec son épouse dans une maison avec escaliers (pourrait vivre sur un étage) : Mme. Y apportait seule tous les soins jusque-là car Mr. Y voulait continuer sans aide pour le moment, épuisement de Mme. Y qui souhaite un réseau. 3 enfants (2 filles et un garçon) et 5 petits-enfants, un autre en route pour novembre. Aimait jouer aux cartes, au foot. Contre-maître puis syndicaliste. Ne croit pas aux miracles ; Projet du patient / des proches : Retour à domicile après mise en place d'un réseau. A peur de ce qu'il décrit comme sa lente agonie et de la séparation avec ses proches, mais pas de la mort elle-même selon lui ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Épouse et enfants très impliqués. Mr. Y nous est envoyé du domicile pour une réhabilitation palliative. A son arrivée, le patient se plaint principalement d'une asthénie importante. Selon sa famille, Mr. Y serait également très déprimé. Concernant l'asthénie, Mr. Y bénéficie d'une prise en charge physio et ergothérapeutique qui constate un profil d'autonomie limité avec un besoin de guidance important pour tous les actes de la vie quotidienne. Vu la tristesse et la grande détresse psychique constatée, nous introduisons un traitement antidépresseur avec l'accord de Mr. Y. Nous réalisons également plusieurs entretiens médico-infirmiers afin de le soutenir dans le vécu de sa maladie. Des conflits de longue date avec son épouse semblent également contribuer à sa tristesse. Il bénéficie parallèlement d'un soutien psycho-thérapeutique et spirituel qu'il semble apprécier. Vu l'évolution durant le séjour et l'autonomie limitée, nous organisons un entretien avec la famille de Mr. Y, pour qui un retour à domicile à long terme paraît difficilement envisageable. Un projet de placement en home avec un bref retour à domicile est décidé, ceci afin d'accéder au souhait de Mr. Y de passer un moment chez lui avec sa famille. Mr. Y rentre à domicile le 25.05.2020 avant un placement au home de Farvagny prévu pour le 27.05.2020. Il bénéficiera d'un suivi par l'équipe Voltigo. Un suivi psychothérapeutique avec le psychologue de l'unité est organisé en ambulatoire à Billens, la famille de Mr. Y organisera les transports. • Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 5/10 : Douleurs en regard du sein droit ; Dyspnée 0/10 : Pas de dyspnée ; Nausée 0/10 : Pas de nausée ; Fatigue 10/10 : Asthénie importante depuis 1 semaine avec somnolence diurne ; Somnolence 7/10 : Somnolence diurne sans insomnie ; Inappétence 0/10 : Pas d'inappétence ; Anxiété 7/10 : Angoisse lors des moments de sentiments de mal-être ; Dépression 0/10 : Pas de tristesse ; Sensation de mal-être 10/10 : Mal-être important, mal systématisé. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points Palliative Performance Scale : 50% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit seule à domicile, soins à domicile + Voltigo. Retour à domicile de 3 semaines depuis la dernière hospitalisation ; Projet du patient / des proches : Retour à domicile et amélioration de ses symptômes. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches : ne veut pas être une charge pour ses enfants, peuvent être informés. Mme. Y est hospitalisée depuis le domicile pour une réadaptation palliative. A son entrée, la patiente se plaint d'une asthénie importante. La dexaméthasone est diminuée et Mme. Y bénéficie d'un accompagnement interdisciplinaire et spirituel qu'elle nous dit apprécier. Mme. Y souffre d'un mal-être général en lien avec la progression de sa maladie oncologique. Elle bénéficie d'un soutien psychologique, arthérapeutique et spirituel (poursuite du suivi en ambulatoire). Hormis des adaptations mineures de traitement, l'accent est prioritairement mis sur l'approche non médicamenteuse, notamment par la présence des différents membres de l'équipe soignante. Mme. Y apprécie notamment l'échange verbal, le drainage lymphatique et l'hypnose. Au vu de l'échec du retour à domicile notamment en lien avec une anxiété importante et un besoin plus marqué de présence et d'accompagnement, un projet de placement en home est décidé d'entente avec Mme. Y et sa famille. Mme. Y est transférée au home de Meyriez le 15.05.2020 en attente d'une place définitive dans un autre home. • Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 5/10 : Douleurs lors des mobilisations au niveau des jambes et des deux poignets ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 10/10 : Asthénie importante en progression depuis une semaine avec somnolence associée ; Somnolence 10/10 : Somnolence diurne et nocturne ; Inappétence 10/10 : Inappétence en progression depuis une semaine ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 5/10 : Confusion. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 20 points Palliative Performance Scale : 30% • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit à domicile avec son épouse avec soins à domicile et Voltigo. 3 enfants, très présents. Foi : Catholique ; Projet du patient / des proches : Fin de vie sans douleur ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Patient confus mais très proche de ses enfants et de sa femme qui ont toujours été très impliqués dans la prise en charge. Mr. Y est hospitalisé depuis le domicile pour un état confusionnel aigu hypoactif. A son entrée, le patient présente un état confusionnel hypoactif avec somnolence et un ralentissement psychomoteur important probablement secondaire à un surdosage ou une neurotoxicité à la méthadone. Elle est substituée par un patch de fentanyl. Malgré une amélioration de la situation, le patient présente des troubles cognitifs importants secondaires à une probable démence non investiguée vu la pathologie oncologique évolutive. En parallèle, Mr. Y se plaint de douleurs articulaires qui semblent bien maîtrisées avec le traitement actuel. Durant son séjour, Mr. Y fugue de l'hôpital dans un moment de confusion. Il est retrouvé par la police à la gare de Romont. La persistance de la confusion et le risque de fugue persistant avec plusieurs nouvelles tentatives rendent impossible tout retour à domicile chez ce patient dont la situation à domicile était déjà fragile. Après discussion avec son épouse et ses enfants, il est décidé de privilégier un placement dans un EMS protégé au vu du risque de fugue. Nous adaptons le traitement de nuit, le patient dort mieux et reste calme.Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 12.05.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 5/10 : Douleurs sous forme de pic, constantes, base thoracique antérieure ; Dyspnée 5/10 : Stable selon le patient ; Nausée 0/10 ; Fatigue 6/10 : Importante ; Somnolence 6/10 : Se manifeste par une somnolence diurne avec multiples siestes ; Inappétence 6/10 : Mange 1/4 de portion avec perte de poids ; Anxiété 6/10 : Importante, surtout seul ou lors d'épisodes de dyspnée ou de douleurs plus importantes ; Dépression 0/10 : Pas évaluable, patient confus ; Sensation de mal-être 6/10 : À cause de la symptomatologie Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points Palliative Performance Scale : 20 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit seul à domicile, une fille au Portugal. Mr. Y est très croyant, a une amie très proche des enfants de sa compagne, qu'il décrit comme ses propres enfants ; Projet du patient / des proches : Hors contexte vu la confusion au moment de l'entrée ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Hors contexte vu la confusion au moment de l'entrée. Mr. Y est hospitalisé depuis le domicile pour un état confusionnel aigu hypoactif. À son arrivée, on retrouve un patient complètement désorienté, confus avec des troubles de l'attention majeurs et un discours incohérent. Il arrive toutefois à mentionner qu'il a plus de douleurs basithoraciques bilatérales depuis quelque temps, pour lesquelles il a dû augmenter la méthadone, parfois de manière anarchique. Il se plaint également d'une sensation de dyspnée, elle aussi en majoration depuis quelque temps. Après une amélioration transitoire suite à l'arrêt du Tramal, l'état confusionnel réapparaît en devenant mixte sur une hypoxémie due à l'obstruction tumorale massive. Devant la persistance de la confusion ne répondant pas aux traitements instaurés et le patient devenant de plus en plus agité, une sédation palliative est initiée. En parallèle, une pompe de fentanyl IV continu est également instaurée pour mieux gérer l'antalgie et surtout la dyspnée, permettant une diminution progressive des doses de méthadone. L'état de Mr. Y ne fait que se dégrader durant son hospitalisation. Nous nous entretenons régulièrement avec les proches de Mr. Y pour les accompagner au mieux dans leur ressenti face à la maladie et à la mort. Mr. Y décède le 13.05.2020 entouré de son amie. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : Au niveau de la jambe et de la nuque. Fond constant avec pic algique ; Dyspnée 8/10 : Exacerbation depuis 4 jours ; Nausée 5/10 : Intermittentes par phase. 1-2 vomissements par jour ; Fatigue 8/10 : Présente depuis longtemps mais nette augmentation depuis 4 jours ; Somnolence 8/10 : S'endort dès qu'on arrête de le stimuler ; Inappétence 6/10 : Mange moins d'un quart de portion ; Anxiété 6/10 : Importante ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 0/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 20 points Palliative Performance Scale : 30 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Ancien peintre en bâtiment, marié avec Mme. Y, deux fils : Yann et Fabrice avec qui il vit ; Projet du patient / des proches : Souhaite un retour à domicile. Gestion des symptômes ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Relation fusionnelle avec son fils Fabrice. Mr. Y est hospitalisé depuis le domicile pour des soins impossibles à domicile. À son arrivée, Mr. Y se plaint surtout d'une dyspnée très importante au repos en péjoration depuis quelques jours, de douleurs musculaires à la nuque de type neurogène, chroniques au niveau des membres inférieurs. Il mentionne également une asthénie extrême se manifestant surtout par une somnolence diurne. De plus, le patient et son fils rapportent une diurèse effondrée depuis quelques jours. Malgré un traitement diurétique maximal, le patient reste anurique. Un laboratoire de contrôle confirme une créatinine et une urée extrêmement augmentées. Devant l'état clinique du patient et l'insuffisance rénale anurique, il est décidé avec le patient et son fils d'une fin de vie dans l'unité. La dégradation rapide de l'état clinique et l'annonce d'une fin de vie imminente suscitent beaucoup d'angoisse chez Mr. Y. La foi étant très importante pour le patient et son entourage, les visites régulières de l'aumônier leur apportent également un grand réconfort. Concernant la dyspnée, elle semble répondre favorablement à une pompe de fentanyl. En parallèle, un traitement par céftriaxone est initié en raison de sécrétions d'allure infectieuse dans le but de les diminuer pour minimiser l'inconfort respiratoire. Un entretien de famille est également organisé avec Fabrice, le fils de Mr. Y, qui est également son principal proche aidant. Un suivi de deuil est également proposé aux proches avec le psychologue de l'unité. Mr. Y décède le 27.05.2020 entouré de ses proches. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : Douleurs abdominales diffuses, constantes avec exacerbations paroxystiques, absence de transit depuis le début du séjour hospitalier ; Dyspnée 2/10 : Ne s'en plaint pas spontanément, mais remarque une légère gêne, tachypnée et tirage visible ; Nausée 0/10 : En avait avant son hospitalisation, plus actuellement ; Fatigue 8/10 : Au premier plan selon lui, se sent très faible, chute cette nuit en allant aux toilettes ; Somnolence 7/10 : Dort beaucoup ; Inappétence 7/10 : Ne mange plus, boit quelques gorgées ; Anxiété 3/10 : Se dit serein mais parallèlement un peu anxieux en lien avec l'idée de mourir, pour lui et ses proches. Ne peut pas préciser plus sa peur ; Dépression 0/10 : Ne rapporte pas de tristesse ; Sensation de mal-être 8/10 : Notamment en raison des douleurs et de la faiblesse ; Autre 8/10 : Xérostomie : bon effet de la glace. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 30 points Palliative Performance Scale : 40 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est marié, a deux enfants. Situation très difficile à vivre pour la famille avec un grand besoin d'écoute et d'information. On leur aurait annoncé vendredi que Mr. Y pourrait décéder très rapidement, alors qu'ils ne s'y attendaient pas. L'épouse dit avoir l'impression que la médecine les a lâchés et vit très difficilement l'arrêt de l'alimentation et de l'hydratation. Ont essayé plusieurs approches alternatives, est suivi depuis plusieurs mois par une guérisseuse qui travaille avec les énergies et en lien avec Dieu. Mr. Y serait très engagé dans cette approche, se dit toujours combatif. Ambivalence de l'épouse entre l'envie de croire à une amélioration de l'état de son mari décrit par la guérisseuse et le fait qu'elle rend compte que son mari peut mourir bientôt ; Projet du patient / des proches : Être confortable, avoir moins de douleur ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Famille semblant très soudée et impliquée dans la prise en charge. Mr. Y nous est adressé du service de médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une fin de vie.A son arrivée, le patient se plaint de douleurs abdominales ainsi que d'une asthénie importante. Nous rencontrons un patient en état général très diminué avec une cachexie importante. Il présente également une tachypnée et un tirage mais ne se plaint pas spontanément de dyspnée. Les douleurs abdominales sont mises en lien avec un iléus mécanique. A son arrivée dans le service de médecine interne, Mr. Y présentait également des vomissements importants ayant bien répondu au traitement mis en place. Le traitement par Sandostatine, morphine, Haldol et dexaméthasone en intraveineuse est donc poursuivi et adapté à son arrivée chez nous. Le jour de son arrivée, nous réalisons un entretien de famille afin d'accompagner au mieux Mr. Y et ses proches dans leur vécu de la maladie et de la mort prochaine. Son épouse nous fait part de sa difficulté à vivre la situation actuelle et de son besoin d'écoute et d'information par rapport à la situation de son mari. L'état de Mr. Y étant déjà très fragile à son arrivée, il décède le 05.05.2020 dans la nuit, suivant son arrivée dans notre unité. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : Douleurs sous oppressives au niveau de sa masse surrénalienne de taille très importante, avec des irradiations dans la jambe gauche sous forme de décharge électrique. Douleurs à 2-3 avec des pics algiques pouvant durer une journée entière ; Dyspnée 5/10 : Intermittente, à la mobilisation surtout et parfois à la parole ; Nausée 0/10 ; Fatigue 6/10 : Se manifeste par une somnolence diurne importante ; Somnolence 6/10 : S'endort facilement lorsqu'elle regarde la télé par exemple ; Inappétence 6/10 : A perdu 10 kg sur les 6-7 derniers mois ; Anxiété 4/10 : Concernant les douleurs et surtout l'évolution de sa maladie ; Dépression 4/10 : Son moral est affecté par les douleurs et l'évolution de sa maladie ; Sensation de mal-être 3/10 : En lien avec les douleurs et la progression de la maladie ; Autre 0/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 80 points Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y est d'origine italienne, est mariée depuis 55 ans avec Antonio. A 2 filles Patricia et Mirella (2 enfants). Vit avec Antonio dans un appartement sans escalier (accès par le garage), Voltigo en place et aide au ménage. Principaux proches aidants : son mari et sa fille qui habite aussi à Neyruz ; Projet du patient / des proches : Antalgie et retour à domicile dès que possible ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Très fusionnelle avec sa famille Mme. Y est hospitalisée depuis le domicile pour une gestion de l'antalgie. A son arrivée, Mme. Y rapporte en premier lieu une exacerbation des douleurs d'allure mixte au niveau de sa masse de tout l'hémi-abdomen gauche avec des irradiations sous forme de décharge électrique dans tout le membre inférieur gauche. En parallèle, elle mentionne une dyspnée à l'effort en lien avec les douleurs. Finalement, elle mentionne une angoisse plus marquée depuis quelques jours concernant le devenir de sa maladie avec une augmentation de ses symptômes. Concernant les douleurs en augmentation, probablement sur de hautes doses de méthadone, une pompe de kétamine les améliore grandement et permet même une diminution des doses de méthadone. La dyspnée s'améliore également avec une meilleure gestion de l'antalgie. Un entretien de famille est également organisé face à l'augmentation constante des douleurs et l'augmentation de la masse abdominale qui semble s'être accélérée depuis quelque temps. Les proches sont également soutenus dans leurs ressentis face à la maladie et à la fin de vie de Mme. Y. Mme. Y peut rentrer à domicile le 26.05.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : Intermittentes en ceinture sous forme de serrement au niveau des 6-7ème côtes ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 6/10 : Surtout le soir avec vomissements ; Fatigue 6/10 : Augmentation depuis quelque temps, surtout depuis les chimiothérapies, selon elle ; Somnolence 6/10 : Somnolence surtout diurne, nombreuses siestes durant la journée, s'endort facilement devant la télé par exemple ; Inappétence 6/10 : Mange moins d'un quart des portions, perte de poids mais ne sait pas combien ; Anxiété 7/10 : Surtout en lien avec sa famille, mais ne veut pas en parler au moment de son entrée ; Dépression 5/10 : En lien avec les symptômes et le fait de ne plus pouvoir voir sa famille ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 0/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 40 points Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Travailleuse sociale. A perdu son mari, il y a 8 ans d'un cancer, est actuellement en couple avec Serge. A 3 enfants et un petit-fils ; Projet du patient / des proches : Aller mieux, manger plus par la bouche pour retourner à domicile ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Privilégier ses enfants et ensuite son compagnon Mme. Y nous est transférée de l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour une réhabilitation palliative. A son arrivée, Mme. Y se plaint essentiellement de nausées et de vomissements surtout post-prandiaux avec une baisse d'appétit, de douleurs thoraciques et abdominales et d'épisodes anxieux importants en lien avec sa famille. Sur le plan des nausées et vomissements, une tentative de reprise de l'alimentation entérale est effectuée à la demande de la patiente. Cela a eu pour effet, malheureusement, d'augmenter la symptomatologie. Une alimentation plaisir uniquement est poursuivie selon la volonté de la patiente par la suite. Très vite, un diagnostic clinique d'iléus est retenu devant le tableau clinique. Malgré un traitement conservateur maximal, elle ne reprend malheureusement pas de transit. Concernant l'antalgie, le traitement de morphine instauré semble efficace. Cependant, elle manifeste des myoclonies attribuées à une neurotoxicité de la morphine nécessitant une rotation avec de l'hydromorphone. Mme. Y nous confie assez vite que ses enfants en sont à des stades de cheminement très différents concernant sa maladie. Plusieurs entretiens avec la famille peuvent avoir lieu afin d'accompagner au mieux Mme. Y et ses proches dans leur vécu de la maladie et de la mort prochaine de leur proche. L'état clinique de Mme. Y se dégrade rapidement durant son hospitalisation. Conformément à son désir, uniquement les traitements symptomatiques sont poursuivis. Mme. Y décède le 24.05.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 7/10 : Dans l'hémithorax G irradiant dans l'épaule, en augmentation ces derniers temps, avec oedème important de tout le bras G, décrites comme angoissantes et importantes malgré l'antalgie en place ; Dyspnée 8/10 : Au moindre effort y compris à la parole, déjà présente à domicile, mais majorée ces derniers jours avec oxygéno-dépendance à 4 l/min ; Nausée 0/10 : Pas de nausée ; Fatigue 9/10 : Se dit épuisée et trop fatiguée pour discuter avec sa maman qui doit venir en visite ; Somnolence 9/10 : Somnolente avec lutte pour garder les yeux ouverts pendant l'entretien ; Inappétence 0/10 : Pas d'inappétence rapportée, mais selon transmission, alimentation difficile avec épisodes de fausses routes ; Anxiété 9/10 : Se dit très angoissée par ses douleurs, par la dyspnée de la suite sans arriver à préciser plus en détail. En augmentation ces derniers jours. Bon effet du Seresta même si le Temesta soulage aussi, en avait déjà en réserve à la maison ; Dépression 0/10 : Pas de tristesse rapportée, serait connue pour un trouble anxio-dépressif ; Sensation de mal-être 8/10 Barthel limitation fonctionnelle motrice : 20 pointsPalliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : A arrêté de travailler il y a un an en raison de sa maladie, travaillait dans un bureau dans la société Otis. Appréciait son travail. Est proche de sa maman qui l'aidait à domicile, a également un ami. Dit avoir peur de la suite, en même temps dit que ce n'est pas grave, que ça ira peut-être mieux après ; Projet du patient / des proches : Avoir moins de douleur et d'angoisse ; Comment le patient souhait-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Est très proche de sa maman. A un ami. Mme. Y nous est transférée de la Clinique Générale pour une fin de vie. A son arrivée, Mme. Y se plaint principalement d'importantes douleurs au niveau de sa plaie oncologique ainsi que d'une angoisse importante. Nous rencontrons une patiente dans un état général très diminué, présentant également une dyspnée au moindre effort. Au niveau de l'antalgie, nous ajoutons de la morphine en intraveineux continu en plus des patchs de fentanyl déjà en cours, également dans l'idée d'améliorer la dyspnée. Du Rivotril en intraveineux est également débuté dans l'idée de traiter une composante neuropathique des douleurs. Le traitement anxiolytique de la patiente est simplifié avec introduction de Rivotril intraveineux et nous réalisons un soutien dans le vécu de la maladie par l'équipe médico-soignante. La maman de la patiente est tenue au courant de la situation terminale de sa fille et a l'occasion de lui rendre visite seule et avec la soeur de Mme. Y. Malgré une grande tristesse en lien avec la mort prochaine de leur proche, elles nous confient s'être préparées à la survenue de ce décès. L'état clinique de Mme. Y se dégrade rapidement, et elle décède un jour après son arrivée chez nous, le 12.05.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 8/10: Au niveau de sa plaie au visage, avec prurit associé ; Dyspnée 0/10: Pas de dyspnée ; Nausée 7/10: Déjà à domicile, épisode de vomissements peu après son arrivée chez nous ; Fatigue 8/10: Se dit très fatigué et faible ; Somnolence 8/10: Dormait beaucoup chez lui ; Inappétence 10/10: Ne mangerait plus depuis plusieurs jours ; Anxiété 0/10: Ne se dit pas plus anxieux que cela ; Dépression 6/10: Dit ne plus pouvoir faire ce qui lui procurait du plaisir auparavant ; Sensation de mal-être 8/10 ; Autre 6/10: Vertiges : uniquement lorsqu'il se lève. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 35 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Est rentré à domicile des soins palliatifs le 16.03.2020, est suivi par Dr. X de Voltigo et les soins à domicile 1x/j. A une fille Alizée qui a 14-15 ans, qu'il a eu avec son ex-épouse ; Projet du patient / des proches : Rester aux soins palliatifs en mode Résidence. Il aurait idéalement voulu rentrer chez lui, mais seulement si son état général est similaire à sa sortie de la Villa St François mi-mars ; Comment le patient souhait-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : N'aurait pas eu de contact récent avec son ex-épouse et sa fille, ce qui le peine. Mr. Y est hospitalisé depuis son domicile pour une fin de vie. A l'admission, Mr. Y présente un état général très diminué. Il se plaint de douleurs importantes ainsi que des démangeaisons au niveau de la plaie oncologique. Selon Dr. X de l'équipe Voltigo, la situation serait devenue impossible à domicile en raison de la baisse d'état général de Mr. Y, qui lui occasionne notamment des vertiges et chutes, ainsi qu'une incapacité à s'alimenter ou réaliser ses soins d'hygiène. En raison des douleurs importantes malgré le traitement antalgique en place, d'une confusion et d'une détresse psychique importante dans un contexte de maladie oncologique terminale, nous décidons de débuter une sédation palliative après avoir obtenu l'accord de Mr. Y. Après une tentative infructueuse de sédation par midazolam seul en intraveineux continu, du propofol est ajouté avec bon effet. Malgré l'état de somnolence de Mr. Y, il bénéficie d'un accompagnement spirituel, d'un soutien psychologique et de la présence de l'équipe médico-soignante. L'épouse et la fille de Mr. Y sont tenues informées de la situation. Une visite est organisée permettant à sa fille Alizée d'être soutenue par l'équipe infirmière et de prendre congé de son papa. Mr. Y décède le 09.05.2020. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 8/10 Douleur totale notamment en regard de localisation de chute ; Dyspnée 4/10: Dyspnée NYHA II à l'effort mais reste alitée la plupart du temps; Nausée 0/10 ; Fatigue 5/10: Asthénie et somnolence ; Somnolence 2/10: Somnolence diurne, mais pas un problème selon la patiente. Pas d'inversion du cycle ; Inappétence 5/10: Avec perte de poids ; Anxiété 0/10 ; Dépression 5/10: Tristesse dans contexte de décès récent de son fils, dit ruminer et de beaucoup s'inquiéter de son entourage ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 9/10: Mobilisation limitée en lien avec la perte de force dans les jambes engendrant une dépendance accrue pour les actes de la vie quotidienne. Barthel limitation fonctionnelle motrice : 20 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit à domicile avec mari, les soins à domicile et Voltigo sont introduits, mais que 1 visite ; Projet du patient / des proches : Retour à domicile selon la patiente, institutionnalisation selon la famille ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins: personne de référence = fille Mme. Y nous est adressée depuis le domicile par nos collègues de Voltigo dans un contexte de soins impossibles à domicile. Elle présente en effet plusieurs épisodes de chute avec des douleurs diffuses consécutives qui répondent bien aux différentes adaptations de l'antalgie. Ces symptômes s'inscrivent dans un contexte de troubles cognitifs avec possible état confusionnel aigu surajouté. Le traitement des différentes causes réversibles n'amène malheureusement pas d'amélioration notable sur le plan cognitif, faisant suspecter une atteinte néoplasique cérébrale. Des épisodes d'agitation psychomotrice sont efficacement traités par Nozinan. Mme. Y peut dire à quel point elle se sent lasse de cette situation et de la dégradation de son état général, souhaitant dormir le plus possible et être tranquille. Plusieurs contacts téléphoniques peuvent avoir lieu avec les membres de la famille afin de les accompagner au mieux dans leur vécu de la maladie et de la fin de vie. En raison d'une dégradation progressive de l'état clinique avec des troubles de la vigilance de plus en plus marqués, le projet de placement en EMS est abandonné pour une fin de vie dans l'unité et le cadre des visites dans le contexte COVID est assoupli. Mme. Y décède le 30.04.2020 après une ultime visite de son mari. palpitation Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. palpitations palpitations palpitations Palpitations cardiaques d'origine indéterminée, le 17.05.2020.DD: cardiaque, anxiété. Palpitations depuis 2-3 jours Palpitations d'origine indéterminée le 03.05.2020. • Contexte d'anxiété aiguë. Palpitations d'origine indéterminée, le 12.10.2019. Céphalée de tension, le 12.10.2019. Palpitations d'origine indéterminée, le 14.05.2020. • DD: tachycardie supraventriculaire. Palpitations d'origine indéterminée, le 22.05.2020. • DD: sur épisode anxieux aigu. Palpitations d'origine indéterminée le 22.05.2020 le matin. • DD: sur épisode anxieux aigu. Palpitations d'origine indéterminée le 23.05.2020. Palpitations d'origine indéterminée le 25.05.2020. DD: anxiogène, syndrome de Roemheld de résolution spontanée. Palpitations d'origine indéterminée, le 31.05.2020. Palpitations d'origine indéterminée. DD: • dysrythmie (FA) • composante psychogène Palpitations et TSV. Palpitations intermittentes. • DD: extrasystolie symptomatique. Palpitations intermittentes, le 06.05.2020 avec : • extrasystoles ventriculaires monomorphes. Palpitations investiguées par cardiologue -> pas de traitement. Dissection traumatique de l'artère vertébrale D (V2-V3) avec lésion ischémique cérébelleuse homolatérale en 01/2012. Sinusite maxillaire aiguë D 01/2012. Syncope avec contusion du crâne 12/2011. Palpitations le 02.05.2020. • Score de Genève à 5 points, PERC rule-out à 2 points. DD: effet indésirable à la clarithromycine. Palpitations, le 16.05.2020. • FA intermittente connue, anticoagulée par Eliquis. DD: passage en FA intermittente, ESV symptomatique. Palpitations, le 23.05.2016. Palpitations régulières dans le cadre d'une hypomagnésémie légère le 10.07.2017. Palpitations sur extrasystoles ventriculaires monomorphes symptomatiques. Contusion d'une fracture consolidée au niveau de l'humérus apical gauche et fracture de l'omoplate distale post-chute, le 24.09.2013. Palpitations, vertige, nausées. Paludisme. Hypertension artérielle. Pampers pleins d'urines durant la consultation : odeur habituelle selon la maman. Panaris. Panaris de l'hallux gauche. Panaris débutant hallux droit 04.05.2020. • pas de collection drainable le 04.05.2020. • porte d'entrée par soins des ongles le matin du 04.05.2020. • 1 antécédent d'erysipèle du membre inférieur droit. Panaris dig II main droite le 12.11. Avis orthopédique. Antibiothérapie co-amoxicilline. Contrôle clinique le 13.11 vers 17h. IVRS le 13.11. Traitement symptomatique. Panaris du majeur droit. Panaris du pouce de la main gauche le 22.05.2020. Panaris du 5ème doigt droit. Panaris infecté 4ème orteil pied G. Incision panaris 4ème orteil pied G (OP le 17.09.2014). Panaris péri-unguéal région radiale de la 2ème phalange du 1er orteil gauche le 05.05.2020 : • suppuration. Panaris péri-unguéal sur la région radiale de P2 D1 à gauche. Panaris stade 1-2. Panaris 4ème doigt main droite (12/2019). Panaritium index droite le 26.04.2020. Pancératite aiguë d'origine indéterminée. • Score de Ranson: 0. Pancératite aiguë d'origine lithiasique. • Score de Ranson: 0. • Lipase: 1686 U/l, amylase 658 U/l le 08.05.2020. Pancréatite aiguë (Balthazar C) d'origine inconnue. • DD sur alcool. • DD biliaire. • DD idiopathique. Pancréatite aiguë (Balthazar C) d'origine indéterminée. DD: OH, idiopathique. Pancréatite aiguë Balthazar C, score CTSI 3/10 modérée, d'origine lithiasique le 06.03.2020. Cholécystite lithiasique le 04.04.2014. Pancréatite aiguë Balthazar droite d'étiologie indéterminée (alcool, cholélithiase). Pneumothorax gauche le 24.09.2015. Fracture de flexion/distraction C7-D1, le 15.09.2015, traitée par : • stabilisation postérieure C5-C6 avec vis dans la masse latérale (système Synaps) et stabilisation D2, D3 et D4 extra-pédiculaire avec système URS et BGel en postéro-médial, le 16.09.2015. Fracture non déplacée diaphysaire du 5ème métatarse gauche. Cervicalgies chroniques multifactorielles. • fracture de flexion/distraction C7-D1 le 15.09.2015 sur chute. • stabilisation postérieure C5-C6 avec vis dans la masse latérale (système SYNAPS) 09.2015. • stabilisation D2, D3, et D4 extra-pédiculaire avec le système URS et BGel en postéro-médial 09.2015. Pancytopénie 12.2017 sur carence vitaminique B9 et B12. Pancréatite aiguë biliaire le 14.04.2018 avec cholangite biliaire. • Cholécystectomie laparoscopique le 25.07.2018. Décompression lombaire 2006. PTH G 2018 et PTH D 2019. RTUP 2014. Opération Dupuytren D. Tabagisme 25 UPA stoppé en 2009. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique février 2020. • hyperkaliémie 5.6 mmol/l. • Fe urée 30.94 %. • eGFR 18 ml/mn/1.73m2. Pancréatite aiguë de stade Balthazar A d'origine lithiasique le 21.05.2020. Pancréatite aiguë de stade Balthazar C le 18.05.2020. Pancréatite aiguë d'origine éthylique le 05.05.2020. • début de la symptomatologie le 05.05.2020 à 3h. • lipase le 05.05.20 à 2119 U/l. • Score de Ranson à 1. Pancréatite aiguë d'origine probablement éthylique le 16.11.2016. Pancréatite aiguë le 05.05.2020 : • RANSON score initial assessment: 1 point. • Bisap score: 0 point. Pancréatite aiguë le 05.05.2020. • début de la symptomatologie le 05.05.2020 à 3h. • lipase à 2119 U/l. • Score de Ranson à 1. Pancréatite aiguë le 21.03.2020 (Balthazar C, CTSI 3) avec : • status post-pancréatites aiguës récidivantes d'origine alcoolique, dernier épisode en juin 2019 Balthazar E. • status post-pancréatite aiguë en octobre 2017, mai 2018 et août 2018. • pseudokyste pancréatique de la queue du pancréas. Pancréatite aiguë le 25.05.2020. Pancréatite aiguë légère sur embolisation le 12.05.2020. Pancréatite aiguë post-ERCP le 18.05.2020. • Balthazar C. Pancréatite aiguë probablement lithiasique le 25.05.2020. • DD sur Janumet, Co-lisinopril. Pancréatite aiguë sur chronique Balthazar C le 05.05.2020 : • RANSON score initial assessment: 1 point. Pancréatite aiguë sur probable cholédocholithiase le 20.04.2020. • Lipase: 878 U/l. • Ranson à l'entrée: 3 points. • Balthazar C. Pancréatite Balthazar D d'origine indéterminée le 18.05.2020. Pancréatite Balthazar D d'origine indéterminée le 18.05.2020. • spontanément résolutive. Pancréatite biologique le 10.04.2020. Pancréatite céphalique Balthazar E. en 05.2015. Suture d'un ulcère bulbaire perforé par laparoscopie en 2013, et traitement d'éradication de l'H. Pylori. Accident de chasse avec balle au niveau dorsal. Pancréatite chronique d'origine éthylique avec : • status post-multiples pancréatites aiguës alcooliques, dernière en date du mois d'avril 2015 (Balthazar E). • lésion kystique au niveau du corps du pancréas. • IRM le 17.06.2013 : lésion au niveau du corps pancréatique ouvrant le diagnostic différentiel entre IPMN (side branch) et cystadénome. • endosonographie avec biopsie (Dr. X, Salemspital) le 03.07.2013 : pas de signe de malignité. Cure de hernie discale (L5-S1) en 2006. Douleurs abdominales aiguës sur progression et transformation hémorragique du pseudokyste pancréatique connu. Pyélonéphrite gauche non compliquée à E. Coli résistante à la co-amoxicilline et piperacilline-tazobactam. Carcinome à cellules rénales sous-type à cellules claires du rein, grade 3, pT1aR0 : • Néphrectomie partielle droite le 22.09.16 (Opérateur : Dr. X). • Suivi scannographique à 6 mois et 12 mois. Pyélonéphrite gauche découverte au scanner. Hémocultures le 09.11.2016 : en cours. CT abdominal le 08.11.2016. Ceftriaxone 2g 1x/j IV du 08.11.2016 au 15.11.2016.Chlam Gono urinaire négatif Corps étranger intraoesophagien ATT • intubation propofol, succinylcholine, fentanyl par anesthésistes pour OGD réalisée par Dr. X en box des urgences avec déblocage d'un volumineux bolus alimentaire poussé dans l'estomac • RAD après 2h de surveillance post-réveil, sans complication post-intubation au moment de la sortie Pancréatite en 2005 Pancréatite en 2014. Pancréatite aiguë simple le 21.04.2015. Fracture C1-C3 avec greffe osseuse en 1995. Pancréatite oedémato-interstitielle aiguë non compliquée d'origine mixte le 12.05.2020 • éthylique et hypertriglycéridémie Pancréatite oedémato-interstitielle aiguë non compliquée d'origine mixte le 12.05.2020 • éthylique • hypertriglycéridémie • score de Ranson 3 points (mortalité 16%) Pancréatite post-ERCP le 24.01.2017. Pancréatite probablement éthylique Pancréatite probablement sur lithiase biliaire le 18.05.2020 • score de Ranson : 2 points à l'admission Pancytopénie. Pancytopénie avec : • déficit en Vitamine B12 à 171 pg/ml • anémie normochrome normocytaire arégénérative avec Hb à 92 g/l le 29.04.2020 • thrombocytopénie à 124 G/l le 29.04.2020 • leucopénie à 3,6 G/l le 29.04.2020 sans neutropénie. Pancytopénie chronique • dans un contexte de traitement chimiothérapeutique pour un SMD actuellement en rémission Pancytopénie chronique d'origine multifactorielle • dans contexte cirrhose, carence martiale, hypersplénisme Pancytopénie chronique probablement iatrogénique Pancytopénie connue (contexte de maladie lymphoproliférative) avec : • anémie à 128 g/l • leucopénie à 2.7 G/l • thrombocytopénie à 96 G/l. Pancytopénie dans le contexte de chimiothérapie par Alimta le 19.05.2020 avec : • thrombopénie à 6 g/l • leucopénie à 0.9 g/l • anémie normochrome normocytaire à 80 g/l Pancytopénie dans le contexte de chimiothérapie 19.05.2020 • par Alimta • biologie : thrombopénie à 6 G/l, leucopénie à 0.9 g/l avec neutropénie à 0.59 G/L, anémie normochrome normocytaire à 80 g/l Pancytopénie dans contexte oncologique le 08.05.2020 Pancytopénie dans le cadre du traitement par Temodal Pancytopénie dans le contexte de la chimiothérapie par Paraplatine et Alimta Pancytopénie dans le contexte du myélome multiple • anémie normocytaire normochrome à Hb 90 le 27.04.2020 • leucopénie à 2.2 G/l le 27.04.2020 • thrombocytopénie à 37 G/l le 27.04.2020 Pancytopénie dans un contexte d'immunosuppression thérapeutique DD infection virale. Pancytopénie d'origine mixte toxique et carentielle le 28.04.20, avec • thrombocytopénie • leucopénie • anémie macrocytaire hypochrome Pancytopénie le 05.05.2020 d'origine mixte sur spoliation digestive, contexte infectieux et malnutrition avec : • anémie à 88 G/l • thrombocytopénie à 111 G/l • leucopénie à 3.5 G/l Pancytopénie le 09.02.20 d'origine mixte septique et toxique sur la chimiothérapie • leucocytes 0.9 G/L, neutrophiles à 0.76 G/l, plaquettes à 44 G/l, Hb 89 g/l Tabagisme ancien (environ 40 UPA) Zona abdominal droit Sepsis d'origine urinaire le 09.02.2020 • SOFA 6 points Pancytopénie le 28.05.2020 avec : • leucocytes à 0.3G/l • hémoglobine à 123g/l • thrombocytes à 17G/l Pancytopénie non fébrile le 20.05.2020 Pancytopénie non fébrile le 20.05.2020 • post-chimiothérapie le 14.05.2020 • Hb 60 g/l, Leuco 2.3 G/l (segmenté 1.75 G/l), Tc 40 G/l Pancytopénie > péjorée avec thrombopénie à 52G/l dans contexte inflammatoire/infectieux DD : effet indésirable du Kisqalir (+- létrozole) Pancytopénie sur hypersplénisme. Diabète type II non insulino-dépendant. Cirrhose hépatique. Pannel toxiques urinaire : négatif (cf annexes) Bilan biologique 13.05 : Alcoolémie 0, gazométrie, glycémie, lactate, valeurs hépatiques et rénales alignés. (cf annexes) Paracétamolémie à 4h (calculé avec 23:00) : 18.5mg/l = absence de toxicité selon Rumack et Matthew (cf annexes) Évaluation pédopsychiatrique 13.05.20 (Dr. X) : état dépressif dans le cadre d'un conflit de loyauté massif entre un père et une mère en conflit larvé. Mr. Y n'a plus d'idées suicidaires depuis le tentamen. La thérapie se poursuit en ambulatoire au CPP. Prochain rendez-vous le mercredi 20.05. à 16h. (cf annexes) Pansement, attelle à enlever dans 48-72 h selon clinique. Dafalgan/Algifor en réserve. Pansement avec Bepanthen Mr. Y dit ne pas avoir besoin d'antalgie ni d'arrêt de travail. Explication des signaux d'appel d'infection. Attitude : Contrôle dans 48h en Filière 34. Pansement avec Bepanthen. Mr. Y dit ne pas avoir besoin d'antalgie ni d'arrêt de travail. Explication des signaux d'appel d'infection. Attitudes : Contrôle dans 48h en filière 34. Pansement avec Ialugel plus Changement du pansement chaque jour Réfection du pansement à la permanence le 31.05.2020 Réfection du pansement et contrôle clinique avec réévaluation de l'arrêt de travail le 02.06.2020 Arrêt de travail du 29.05.2020 au 02.06.2020 Mr. Y averti des signes et symptômes devant motiver une consultation en urgence Cas et attitude discutés avec Dr. X. Pansement avec ialugen plus Pansement compressif et hémostatique Rappel tétanos le 27.04.2020 Arrêt clexane le 13.05.2020 Soins locaux Suivi clinique Pansement compressif et hémostatique Rappel tétanos le 27.04.2020 Soins locaux Pansement compressif 48 heures puis pansement occlusif du 26.03 au 16.04.2020, puis pansement simple Antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour 3 jours à compter du 19.03.2020 Pansement compressif Contrôle régulier à la filière des urgences ambulatoires Évacuation d'un hématome et résection de tissus nécrotiques sur 5 x 1 cm, excision des berges, suture de la plaie par Ethilon 3.0 le 24.04.2020 Antibioprophylaxie 1 g 3x/jour du 22.04 au 27.04.2020 Pansement, Ialugen + Pansement ialugen, Adaptic et compresses. Suites chez le médecin traitant. Pansement local respirant 1x/j pour une cicatrisation en 2ème intention Stop atelle Discussion avec les parents des signes d'infection qui motiveraient une nouvelle consultation Pansement mepilex, matelas nimbus Pansement occlusif du 11.05 au 17.05.2020. Suivi en policlinique d'orthopédie. Pansement occlusif, puis pansement par Adaptic-compresse, puis pansement sec. Suivi en policlinique d'orthopédie. Pansement sec pour 48h, puis soin quotidien à l'eau savonneuse Surveillance de plaie, reconsulter si signes de surinfection (érythème, tuméfaction, chaleur, douleur, collection purulente) Contrôle de plaie à 48h puis ablation des fils à 7 jours à votre consultation Soins de cicatrice (protéger du soleil, massage régulier par Bepanthen crème) Reconsultation si péjoration de l'état général, apparition de symptômes neurologiques, vomissements. Pansement selon protocole brûlure, avec contrôle à 24h au Secteur Ambulatoire des Urgences, le 18.05.2020. Pansinusite chronique Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Arthrose Pansinusite chronique Gastrite positive au hélicobacter pylori 05/2019 • 3 tentatives antibiotiques, la dernière en date 06.02.-19.02.2020 avec Co-Amoxicilline 2x1g et Rifabutin 2x150mg Pantoprazol dose de charge de 80 mg puis IVc 8 mg/h jusqu'au 01.05, puis 40 mg 2x/j Oesogastroduodénoscopie refusée par Mr. Y Pantoprazol IV du 24.05 au 27.05.2020 Gastroscopie refusée par Mme. Y Pantoprazol 40 mg / 12 h du 24.05- Gastroscopie refusée par Mme. Y Pantozol dose de charge de 80 mg puis ivc 8 mg/h à l'HFR Fribourg. Oesogastroduodénoscopie refusée par le patient. Pantozol 40 mg 2x/jour dès le 01.05.2020. Pantozol 20 mg 1x/j. Pantozol 40 mg matin et soir pour 1 semaine, ensuite 1x par jour. Dafalgan 1 g et Novalgin 500 mg selon besoin. Pantozol 40 mg 2x/jour dès le 20.04.2020. Ulcar en réserve dès le 20.04.2020. Dafalgan en réserve. Temesta en réserve. Potassium effervette relayé par KCl retard le 22.04.2020. Pantozol 40 mg 2x/j. Recherche sang occulte dans les selles. OGD/colonoscopie à réévaluer. Pantozol 80 mg iv puis 8 mg/h de 08.05.-13.05.2020. Transfusion de 2 CE le 09.05.2020. Octréotide 50 ug/h puis 25 ug/h de 08.05.-13.05.2020. Patiente toujours hémodynamiquement stable. Avis du gastroentérologue de garde : pas joignable. Avis du Dr. X : transfert aux soins intensifs B pour surveillance. PAP du 29.04.2020 : présence de sang et de cellules endométriales, négatif pour lésion malpighienne intra-épithéliale. Pipelle de Cornier du 29.04.2020 : fragments d'un polype endométrial. Groupe sanguin : A Rhésus positif. Laboratoire du 15.05.2020 : Hémoglobine 141 g/L, Leucocytes 7.4 g/L, Thrombocytes 349 G/, crase en ordre, CRP <5 mg/l, electrolytes en ordre. PAP test le 17.02.2020 : négatif pour lésion malpighienne intra-épithéliale. Recherche Chlamydia urinaire par PCR le 06.05.2020 : négative. Laboratoire le 08.05.2020 : Hémoglobine 138 g/L, Leucocytes 10.2 G/L, Thrombocytes 336 G/L. Laboratoire le 09.05.2020 : Hémoglobine 134 g/L, Leucocytes 9.9 G/L, Thrombocytes 322 G/L. PAP test 18.02.2020 : LSIL CINtec PLUS positif. Laboratoire 04.03.2020 : Hémoglobine 137 g/L, Leucocytes 4.6 G/L, Thrombocytes 238 G/L, crase, créatinine, urée, ASAT, ALAT alignés. Groupe sanguin : O Rhésus positif, Ac irréguliers négatifs le 07.05.2020. PAP 28.04.2020 : ASCUS. Papule de la région scapulaire droite (1 mm) suite à morsure de tique début mai. • DD : corps étranger (fragment de tique resté sous la peau). • pas d'argument pour érythème migrant. Papules érythémateuses diffuses prurigineuses d'origine indéterminée le 27.05.2020. • DD : urticaire, rosé de Gibert. Par orthopédiste de garde (non vu par pédiatre). Applications de compresses. Par rapport au statut avant l'ablation du matériel, la patiente va mieux en ce qui concerne les douleurs en regard du pouce. Elle a également une meilleure mobilité du poignet. En ce qui concerne les symptômes de CRPS I, on ne note malheureusement pas d'amélioration. Les brachialgies sont restées les mêmes. Je n'ai pas prévu de contrôle d'emblée à ma consultation car du point de vue chirurgical je ne peux plus intervenir pour améliorer sa situation. Je propose un suivi à la consultation de la douleur à l'HFR Fribourg auprès du Dr. X. Je reste à disposition en cas de besoin. Une reprise de travail n'est pas possible pour l'instant; l'arrêt de travail est prolongé du 20.05 jusqu'à 12.06.2020, date de sa consultation au centre de la douleur. Paracétamol effervescent pour gargarisme. Adressée à la permanence/médecin traitant demain matin si ne va pas mieux. Paracétamol 1 g per os, Morphine 10 mg per os. Patiente repartie sans consultation médicale. Paracétamolémie à 20 h : 33.7. Avis psychiatrique : pas d'indication à une hospitalisation à Marsens, suivi psychiatrique en ambulatoire. Contrôle de suivi étroit chez psychiatre dans la semaine. Paralysie. Paralysie des 4 membres paroxystique le 25.05.2020. • chez une patiente connue pour un statut post-hémorragies cérébrales multiples (cérébelleux gauche et occipital droit, sous-arachnoïdienne pariétal droit) le 24.02.2019 sur angiopathie amyloïde et ancienne lésion frontale. • CT du 25.05.2020 : hémorragie intraparenchymateuse pariétale gauche nouvelle. Paralysie faciale. Paralysie faciale. Paralysie faciale droite traitée par Valtrex et Prednisone (11/2012). Complications lors de l'hospitalisation au CHUV du 13.03.2020 au 02.04.2020 : • 27.03.2020 : QT long acquis sur neuroleptiques. • 23.03.2020 : État confusionnel aigu. • 21.03.2020 : Choléstase hépatique. • 20.03.2020 : Hémisyndrome brachio-crural gauche et dysphagie sur AVC ischémique multiples. • 17.03.2020 : Hypernatrémie sur déficit d'eau libre. • 15.03.2020 : Pneumonie nosocomiale à Citrobacter koseri. • 14.03.2020 : Hypokaliémie légère. Paralysie faciale gauche d'origine périphérique, 05.05.2020. Paralysie faciale périphérique. Paralysie faciale périphérique. Paralysie faciale périphérique. > House-Brackmann 2-3. Paralysie faciale périphérique d'origine indéterminée de grade 3, le 18.05.2020. Paralysie faciale périphérique G (House-Brackmann V) le 04.05.2020. • kératite de l'œil gauche. Paralysie faciale périphérique gauche sur lésion périphérique post-TEA de la carotide interne gauche. Chute de la commissure labiale droite nouvelle le 14.05.2020. Paralysie faciale périphérique gauche. Accident de travail avec amputation P2-P3 de D2 droit. Paralysie faciale périphérique. Notion de cure de hernie hiatale avec appendicectomie et CCK dans les années 80's. Paralysie vocale gauche. Paraparésie L4-L5 sur sténose canalaire lombaire L3-L4 et L4-L5 avec composante dégénérative hypertrophique ligamentaire et réaction phlegmoneuse sur cadre de sepsis le 12.08.2019. • Débridement et drainage abcès dorso-lombaire le 02.07.2019. • Spinectomie L3-L4, laminectomie L3-L4, flavectomie, débridement et décompression L3-L4, L4-L5 le 16.08.2019. Paraparésie proximale sévère (M1/5) à début subaigu, sur : • fracture type C de la vertèbre L1 dans le contexte d'un DISH de la colonne dorso-lombaire. Status post : • fixation D11-L3 par abord per-cutané avec système NEO (8 vis de 5x55 mm et 1 vis de 5x50 mm et deux tiges de 160 mm et 10 morceaux de Cerasorb) le 08.01.2020. • décompression D12-L1 par spinosectomie, laminectomie complète et flavectomie le 08.01.2020. Paraparésie proximale sévère (M1/5) à début subaigu, sur : • fracture type C de la vertèbre L1 dans le contexte d'un DISH de la colonne dorso-lombaire. Status post : • fixation D11-L3 par abord per-cutané avec système NEO (8 vis de 5x55 mm et 1 vis de 5x50 mm et deux tiges de 160 mm et 10 morceaux de Cerasorb) le 08.01.2020. • décompression D12-L1 par spinosectomie, laminectomie complète et flavectomie le 08.01.2020. Paraparésie proximale. Polyneuropathie sensitive des membres inférieurs. Lymphopénie d'origine indéterminée le 02.06.12. Malaises avec vertiges le 21.11.2016 chez un patient connu pour : • accident vasculaire cérébral ischémique territoire artère cérébrale postérieure et tronc basilaire d'origine indéterminée avec lésions cérébelleuses gauche et droite (tronc basilaire) et ganglion de la base droite (territoire artère cérébrale postérieure) le 12.11.2016. Gastro-entérite le 04.05.2017. Insuffisance rénale aiguë le 04.05.2017. Paraphimosis. Paraphimosis. Paraphimosis le 25.04.2020 sur anasarque. Paraphimosis réduit sans complication. Paraphimosis sans nécrose associée. Paraplégie sensitivo-motrice niveau T10 : • fracture de la vertèbre T12 en 1969. • laminectomie T11 à L1. • dysfonction autonome avec incontinence vésicale, fécale et dysfonction érectile. Dyslipidémie : • sous Rosuvastatine. Nécrose de la tête fémorale en 1991 : • traitée par prothèse totale de la hanche. • luxation atraumatique le 28.10.2019 avec réduction fermée aux urgences. • luxation spontanée de la hanche droite le 25.11.2019. • infection de prothèse chronique fistulisée à la peau le 12.12.2019. • dernière ponction du 16.12.2019 positive pour Bacteroides fragilis. • pas de remplacement opératif. • consilium infectiologique 03.03.2020 : pas de couverture antibiotique car l'écoulement par la fistule permet un contrôle de l'infection. En cas de péjoration clinique et/ou biologique, cette dernière pourra être couverte par du Tazobactam.Cardiopathie rythmique (maladie atriale), ischémique avec maladie bitronculaire et sténose aortique sévère (low flow low gradient) • traitement par Amiodarone (05-06.08.18) • indication pour un TAVI. • échocardiographie transoesophagienne 16.07.2018 : ventricule gauche avec hypokinésie globale modérée (FEVG 35%). Sténose aortique modérée. • coronarographie du 03.08.2018 : angioplastie avec 4 stents actifs (4ème génération) sur l'IVA proximale • coronarographie du 06.08.2018 : Pas de resténose de l'IVA proximale au niveau de l'implantation des stents y compris à l'origine de la première diagonale. • Holter 04.09.2018 : rythme sinusal de base, AV-Block Grad I (Max PQ 330 ms). • Aspirine Cardio à vie, Aldactone, Enalapril, Beloc Zok, Rosuvastatine et Xarelto AOMI stade IV bilatéral : • recanalisation de l'artère fémorale superficielle gauche par angioplastie et pose de stent, recanalisation de l'artère poplitée par angioplastie au ballon impacté, recanalisation d'une occlusion courte du tronc tibio-péronier par angioplastie et thrombo-aspiration et recanalisation de l'artère fibulaire par multiples angioplasties à gauche le 23.03.2017 • angioplastie à droite de l'artère fémorale superficielle, poplitée et péronière le 05.12.2011 Escarre sacrée de décubitus avec ulcère (stade III), suivi en stomatothérapie Kératose actinique Omarthrose à droite avec rupture complète de la coiffe des rotateurs Paraprotéinémie le 26.04.2020 DD secondaire à l'insuffisance rénale, amyloïdose Parésie Parésie corde vocale droite post-opératoire, le 14.05.2020 Parésie diaphragmatique droite, avec : • atélectasie lobe moyen et lobe inférieur droit Parésie du membre supérieur gauche Parésie du MSG le 11.05.2020 avec à l'IRM un schwanome VS méningiome Parésie du nerf crânien VI de l'œil gauche. Parésie du plexus brachial G (nerf médian, nerf ulnaire) et spasticité résiduelle des membres inférieurs sur status post • AVP le 10.11.2000 avec lésion plexus brachial, fracture-luxation D6-D7 avec paraplégie complète, stabilisation le 10.11.2000, fracture C2, stabilisation le 10.11.2000. • Status post transposition du nerf ulnaire coude G Parésie et douleurs neuropathiques du MSD d'apparition subaiguë sur infiltration paravertébrale droite des racines nerveuses de C6 à D1 • contexte de myélome multiple avec lésions vertébrales ostéolytiques disséminées. • CT thoraco-abdomino-pelvien le 16.04.2020 (Payerne) : Absence d'anomalie morphologique permettant d'expliquer la symptomatologie clinique Parésie et hypoesthésie du membre supérieur gauche d'origine inconnue, suivi en ambulatoire par Dr. X. Parésie extenseurs poignet droit DD : atteinte plexus sur immobilisation prolongée Parésie MSG Parésie plexus brachial gauche (n. médiant et n. ulnaire) Parésie récurrentielle droite Paresthésie bilatérale des deux mains Paresthésie bilatérale de territoire ulnaire par compression répétitive d'hypothénar Paresthésie du bras gauche. Paresthésie du membre supérieur droit avec troubles de l'élocution d'origine indéterminée le 28.05.2020. DD : AIT DD : sur séquelles du dernier AVC sylvien gauche du mois d'avril 2020. PARESTHÉSIE DU Membre supérieur droit et de l'hémiface droit d'origine peu claire le 23.05.2020 DD : AIT. PARESTHÉSIE DU pied droit. PARESTHÉSIE joue droite. Paresthésie membre inférieur. Paresthésie membre inférieur gauche. Paresthésies. Paresthésies aux 4 membres, symétriques, le 21.05.2020 • d'origine probablement multifactorielle, sur carence vitaminique • DD : B12 malgré une substitution orale Vitamine D, carence électrolytique • chez une patiente vegan Paresthésies buccales d'étiologie indéterminée le 09.05.2020 • sans critère de gravité Paresthésies dans le plâtre Paresthésies dans le territoire du nerf ulnaire à D sur possible radiculopathie à D. Epaule D : Status post arthroscopie, stabilisation de l'os acromial par 2 vis HCS, ténotomie ténodèse du long chef du biceps, suture du sus-épineux et résection ouverte acromio-claviculaire le 24.09.2018. Epaule G : rupture transfixiante de la partie antérieure du sus-épineux sans rétraction. Arthrose AC et bursite sous-acromiale. Paresthésies des membres inférieurs d'origine indéterminée le 02.05.2020. Paresthésies des 2 mains depuis fin 2019. Paresthésies d'origine indéterminée le 16.05.2020 • DD : anxiété, syndrome des jambes sans repos. Paresthésies du membre supérieur gauche le 27.05.2020. DD : compression nerveuse périphérique. Paresthésies et douleurs rétrosternales. Parkinson. Parkinson Cataracte Hyperplasie bénigne de la prostate Infection urinaire compliquée en novembre 2017 avec : • Globe urinaire le 29.10.2017 • Pyurie, bactériurie • Pose de sonde urinaire le 29.10.2017, tentative de retrait le 05.11.2017 au matin, puis nouvelle pose le 05.11.2017 au soir US vésical + prostatique le 03.11.2017 avec traitement antibiotique dans le contexte du diagnostic principal, Pradif et consultation chez Dr. X Parois de la vessie très dilatées Paronychie post-traumatique de l'annulaire droit. Parotidectomie sus-faciale droite avec dissection du nerf facial et parésie faciale droite résiduelle Exérèse de 2 lipomes sous-auriculaire et scapulaire des deux côtés Lipome sous-mentonnier et occipital gauche Hernie ombilicale Status post-ostéotomie bilatérale des hanches Coma éthylique avec alcoolémie à 4,2 %o le 15.11.2013 Salves de TV non soutenues (max. 8 complexes) sur hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 15.11.2013 Hématome sous-cutané sternal le 17.11.2013 Parotidectomie sus-faciale droite, le 05.05.2014 (Dr. X). Status post-suture de tendons au pouce gauche. Status post-suture pouce droit. Status post-granulome sur fil (Dig II, OP 1990 et post-ablation névus sous-claviculaire D). S/p lobectomie supérieure droite par tomie, avec curage ganglionnaire le 21.12.2012 pour un adénocarcinome du lobe pulmonaire supérieur droit, pT1b N0 G2-3 M0 R0. Parotidite bactérienne droite. Parotidite droite le 02.05.2020. • consultation de suivi le 04.05.2020. Parotidite gauche le 09.05.2020 : • DD : bactérienne, probablement iatrogène post-infection dentaire traitée par plombage le 05.05.2020. • DD : lithiase parotidienne. Parotidose gauche sur probable sialolithiase. Douleur thoracique gauche d'origine probablement musculaire le 26.02.2018. Pas besoin d'autre contrôle ORL ou pédiatrique ici Si EF persistant > 48h ou ne baisse pas sous antipyrétiques, à reconsulter dans 24-48h chez le pédiatre Pas connus. Pas critère de gravité, évolution normale de la cicatrisation. Mis Bepanthen plus et compresse. Pas d'ablation de fils (résorbables). Pas d'antécédent de fracture ni d'opération. Pas d'antécédents. Pas d'anticoagulation au vu du contexte général Pas d'anticoagulation au vu du risque hémorragique Pas d'argument à l'ECG ou au bilan biologique pour une origine ischémique cardiaque,Schellong le 10.05.2020 : positif. Contrôle pacemaker 11.05.2020 : pas d'arythmie détectée au moment de la probable syncope. Avis Dr. X : • possible composante de dysautonomie • réduction Madopar à 125 mg 3x/j • prochain rendez-vous de suivi le 20.05.2020. Adaptation du traitement antihypertenseur : arrêt du Lisinopril. Pas d'argument actuellement pour surinfection ou érythème migrant. Instructions de surveillance données à la patiente, qui reconsultera à votre cabinet ou chez nous le cas échéant. Pas d'argument clinique ou anamnestique pour une cellulite péri-orbitaire. Pas d'argument pour un abdomen aigu (pas de défense, pas de détente), patient stable hémodynamiquement et confortable avec Dafalgan. Pas d'argument pour un abdomen chirurgical, pas de syndrome inflammatoire et sédiment urinaire négatif. Au vu de la présence de liquide libre à l'US abdominal et l'appendice qui n'a pas pu être visualisé, nous proposons au patient de revenir en contrôle demain afin de réévaluer cliniquement +/- biologique et US. Consigne de rester à jeûn. Pas d'argument pour un ATLE/BRUE : pas d'apnée, pas d'étouffement, pas de changement de coloration (cyanose, pâleur) et pas de changement du tonus. Consigne de réveiller l'enfant au moins aux 4h sur la journée et de ne pas la laisser dormir 8h de suite sinon inversion du rythme veille-sommeil pour rattrapage alimentaire. Le status est complètement dans la norme. Réassurance maternelle. Appel de la maman à 1h du matin le 03.05 : • Elle a donné à manger à Mme. Y quasiment en continu depuis son retour à domicile car elle pleure ++ et cherche à téter. Elle prend à chaque tétée et a présenté un nouvel épisode de vomissement. Pas d'épisode de cyanose, perte de tonus ou apnée. Nous proposons à la maman de faire une pause dans l'allaitement et d'essayer de la bercer ou de donner une lolette pour la calmer et consigne de téléphoner si persistance de l'inquiétude parentale pour hospitalisation de surveillance. Nouvel appel de la maman à 5h15 du matin le 04.05 : • Mme. Y a à nouveau dormi toute la journée mais elle a été réveillée régulièrement aux 3-4 heures pour allaitement puis a pleuré à partir de 19h. La maman est inquiète par rapport à la température mesurée avec le thermomètre frontal qui était à 36.1 chez Mme. Y (alors que la veille c'était 33.0) et 35.9°C chez la maman qui a mesuré avec un autre thermomètre axillaire 38.0°C sur elle-même. Pas d'autre symptôme, pas de vomissement, pas d'épisode d'apnée/tachypnée, pas de perte de tonus, pas de cyanose/pâleur, pas de toux ni rhinite mais quelques éternuements. Comportement habituel. Je propose de mesurer la température axillaire avec l'autre thermomètre et après 10 minutes la température axillaire de Mme. Y était de 36.6°C. La maman dit avoir mis un body et pyjama très chaud, pièce chaude, et un coussin en noyau de cerise chauffé. Je propose d'enlever le coussin et de découvrir légèrement la patiente. Au vu des nombreux appels et des questionnements de la maman, je propose de venir consulter afin d'examiner Mme. Y et prévoir une hospitalisation de surveillance en Néonatologie durant 24h, afin d'évaluer les pleurs et l'allaitement. La maman refuse de venir car elle n'est pas inquiète si pas de fièvre, et préfère être vue par la sage-femme ou éventuellement le pédiatre durant la journée si nécessaire. La maman se dit rassurée. Consigne de reconsulter si altération de l'état général, fièvre. Pas d'argument pour une compression nerveuse radiculaire au vu de l'absence de douleur lombaire et iliaque et du status clinique rassurant. Semble plutôt être un "pincement" du nerf d'origine musculaire. Retour à domicile avec AINS et bon de physiothérapie, contrôle chez le médecin traitant. Pas d'argument pour une infection urinaire (excellent état général, abdomen souple, pas de vomissement). Pas d'argument pour une balanite (pas de rougeur, pas de tuméfaction du prépuce, pas d'écoulement). Pas d'argument pour une infection. Application topique de feniallerg, bandage et prise de Xyzal 2.5 mg 1x/j per os. Consignes de surveillance données aux parents, indication de reconsulter si majoration tuméfaction, augmentation érythème, douleurs importantes. Pas d'argument pour une maladie de Lyme. Pas d'argument pour un abdomen chirurgical. Pas d'argument pour une origine cardiaque (péricardite, ischémie, hypertrophie ventriculaire, ...), ni pour une origine pulmonaire (pas de pneumothorax, embolie pulmonaire très peu probable, ...), ni digestive. Au vu du contact pour des symptômes infectieux chez la maman et des symptômes respiratoires chez Mr. Y, ad frottis pour SARS-CoV-2. Le papa sera contacté avec le résultat. Dans l'attente, confinement strict. Retour à domicile avec consignes de surveillance et traitement symptomatique en réserve par Dafalgan cp 1g max. 4x/j et Ibuprofène cp 400 mg max. 3x/j si douleurs. Reconsulte si récidive, nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Pas d'argument pour une pneumonie, pas d'écoulement postérieur visualisé, pas de critère pour un asthme allergique. Excellent état général. Pas d'argument pour une surinfection. Pas d'argument pour intervention en urgences. Pas d'attitude active en ce qui concerne l'épaule G. Vu la gêne de la patiente, je préconise maintenant une prise en charge chirurgicale avec cure de tunnel carpien à droite. J'informe la patiente du déroulement intra et postopératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue dans les plus brefs délais. Pas de coagulopathie connue. Pas de comparatif disponible. Pas de complication. Pas de prise en charge particulière. Pas de contrôle post-opératoire prévu, Dr. X restera disponible téléphoniquement avec la famille si besoin. Pas de contrôle supplémentaire indiqué. Prescription par Dr. X d'une aiguille boutonnée et NaCl pour que la maman puisse rincer la plaie à la maison. Pas de corps étranger visible. Oxybuprocaïne + vit A + pansement occlusif. Si gêne persiste demain, le patient consultera en ophtalmologie. Patient parti sans consultation médicale. Pas de critère de frottis COVID, selon recommandations OFSP. RAD avec recommandations d'usage de l'OFSP. Critères de reconsultation expliqués au patient. Pas de critère de gravité, excellent état clinique. Pas de critère pour prise en charge chirurgicale en urgences. Attitude : Ad consultation chef de clinique de chirurgie dès que possible : demande secrétariat. Pas de critère pour une suture de la plaie, pas de critère de gravité pour un traumatisme crânien. Pas de CT cérébrale d'emblée à J10. CT cérébrale si apparition de symptôme neurologique. Pas de CT-cérébral car clinique sp. Proposition pour antalgie par Dafalgan 1g max 4x/24h, patiente a ce traitement à domicile. Certificat médical pour la journée. Information en cas de péjoration : nausées, vomissement, céphalées intenses, écoulement oreille : revenir aux urgences ou consulter le pédiatre. Pas de déplacement secondaire. La légère bascule dorsale est tout à fait acceptable. Le patient présente déjà une bonne mobilité. Poursuite du traitement conservateur pour une durée totale de 6 semaines au terme duquel le patient se présentera après avoir fait une ablation du plâtre pour un contrôle radio clinique. Pas de diarrhée objectivée aux urgences. Labo : pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation de la fonction rénale. Suivi par médecin traitant en ambulatoire. Coproculture si persistance des diarrhées. Pas de fracture à la rx du coude du 18.04.2020. Soins des dermabrasions. Pas de fracture visualisée aux radiographies, mais suspicion clinique très haute d'arrachement de plaque palmaire. Ad immobilisation pour 3 semaines avec arrêt de sport. Bon d'ergothérapie donné pour confection d'attelle adaptée et rééducation. Retour à domicile avec consignes de surveillance et antalgie en réserve par Dafalgan cp 500 mg max. 4x/j en 1ère intention et Ibuprofène cp 400 mg max. 2 x/j en 2ème intention si douleurs. Contrôle clinique à votre cabinet dans 3 semaines. Reconsulte avant si nouvelle symptomatologie. Pas de frottis SARS-CoV-2 effectué aux urgences au vu du résultat négatif chez vous le 05.05.2020. Pas de lésion osseuse traumatique à la radio, mise en place d'une attelle Aircast pour une durée de 6 semaines jour et nuit. Mme. Y met le poids mais charge tout de même douloureuse nous mettons en place de la clexane pour les premiers jours avec des cannes. Mme. Y ira chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Attelle Aircast pour 6 semaines jour et nuit et à 6 semaines mise en place de physiothérapie avec récupération des amplitudes articulaires et exercices de proprioception de la cheville à mettre en place par le médecin traitant. Pas de Mabtera le 18.05.2020, prochaine dose en juillet 2020. Suivi par Dr. X. Pas de maladie et pas de médicaments. Pas de médicaments réguliers. Pas de notion de coagulopathie. Pas de nouveau contrôle clinique sauf si demande du patient en cas de besoin. Pas de nouveau rendez-vous. Pas de prise en charge chirurgicale vu l'âge, pas de contrôle. Pas de prise en charge en urgence. Sera évoquée au colloque de chirurgie demain matin. Contacter la chirurgie vasculaire demain pour suite de prise en charge. Pas de prise en charge oncologique proposée. Pas de redflags. Traitement par Dafalgan, Irfen, Tramal, Mydocalm 150 mg 3x/jour. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Patient averti des redflags. Pas de physiothérapie d'emblée. Pas de réelle toux objectivée durant la consultation. Compte tenu de la toux anamnestique et de l'inquiétude maternelle au vu des personnes à risque dans l'entourage, ad frottis pour SARS-CoV-2. La maman sera informée du résultat. Dans l'attente, consignes de confinement strict expliquées. Retour à domicile avec consignes de surveillance. Reconsulte si nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Pas de signe de déshydratation, patient observé lors de la prise d'un biberon: boit très vite ses 80 ml de HIPP et régurgite de petites quantités après le biberon, pas de vomissement en jet (objectivé par une infirmière des urgences) et la mère confirme que ce n'est pas comme les derniers vomissements. L'US abdominal ne montre pas d'hypertrophie du pylore, le radiologue n'arrive pas à visualiser les intestins afin d'exclure une malrotation, mais la clinique est rassurante avec un ventre souple et pas de vomissement biliaire. Le radiologue propose de faire une TOGD afin d'exclure une valve duodénale si persistance des vomissements en jet. La patiente prend entre 165-195 ml/kg/jour, nous proposons donc à la maman, au vu de la très bonne prise pondérale, d'essayer de diminuer légèrement la quantité de lait et évaluer si amélioration des vomissements qui pourraient être finalement provoquées par une suralimentation. Pas de critère de gravité chez cette patiente pour le moment. Cas discuté avec Dr. X. Pas de signe de déshydratation. Gazométrie alignée. Pas de signe de gravité en lien avec le traumatisme crânien. Les symptômes peuvent être mis en lien avec une probable atteinte virale. Les parents seront contactés avec le résultat du frottis pour SARS-CoV-2. Retour à domicile avec consignes de surveillance, confinement strict pour toute la famille et stimuler hydratation (fractionnée au besoin). Reconsulte si persistance de la symptomatologie >72 h, nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Pas de signe de gravité (excellent état général, pas de fièvre, pas de vomissement, pas d'éruption pétéchiale, pas de signe neurologique). Cas discuté avec Dr. X et Dr. X. Pas de signes pour une infection urinaire avec examens de laboratoire rassurants. Probable "Daytime urinary frequency syndrome", fréquent chez les enfants de cet âge après une infection urinaire. Réassurance de la maman, consignes d'hygiène vésicale (mictions 6x/j à heures régulières, assise, en prenant son temps). Reconsulte si état fébrile, nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Pas de sport pour 6 semaines. Interdiction de conduire pour 6 semaines. Contrôle radio-clinique (RX colonne dorsale debout) à 2 semaines à la consultation du Team Spine. Contrôle à 6 semaines à la consultation du Team Spine. Contrôles neurologiques à domicile. Pas de suivi particulier nécessaire. Suivi pédiatrique habituel et par SF à domicile. Conseils de surveillance donnés. Vitamine D dès 8 jours de vie. Consulter en urgence en cas de fièvre avant l'âge de 3 mois. Pas de suture nécessaire, pas d'indication clinique à une imagerie. Traitement local et systémique par médecine anthroposophique (arnica). Conseils de consulter un dentiste dans les jours qui suivent. Pas de suture nécessaire de la plaie palmaire. Une désinfection et pansement simple suffisent, Mme. Y refera les pansements tous les deux jours et nous la revoyons dans une semaine. Elle rentre à domicile avec une immobilisation dans une attelle alu. Pas de symptôme ni signe pour une invagination, une infection bactérienne, un diverticule de Meckel. Aucune indication à un examen complémentaire. Discussion avec Dr. X. Rendez-vous le 19.05, d'ici là, lait en poudre partiellement hydrolysé et consultation diététique pour la maman qui tirera son lait et le jettera pour les prochaines semaines. Pas de symptômes neurologiques, pas de signe de gravité, pas de signe de surinfection ou d'abcès. Pas de traitement. Pas de traitement au vu du contexte global en accord avec la patiente. Fébrifuge et antalgie en réserve. Pas de traitement débuté selon le souhait du patient. Pas de trouble neurologique à l'examen clinique. Pas de vomissement et diarrhées peu fréquentes. Hydratation par Normolytoral à la seringue bien tolérée. Retour à domicile avec consignes de surveillance, poursuite de l'hydratation fractionnée, compensation des pertes avec Normolytoral et traitement symptomatique en réserve par Dafalgan sirop 30 mg/ml à 15 mg/kg/dose soit 5 ml = 150 mg max. 4 x/j et Algifor sirop 20 mg/ml à 10 mg/kg/dose soit 5 ml = 100 mg max. 3 x/j si fièvre/douleurs. Reprise des traitements topiques pour la mycose (Daktarin et Imazole ? la maman dit avoir le nécessaire à domicile, pas d'ordonnance donnée). Reconsulte si nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. La maman sera contactée pour le résultat du frottis SARS-CoV-2. Dans l'attente, consignes de confinement strict expliquées. Pas d'élément pour un problème cardiaque après l'échographie normale. Le bilan biologique est également rassurant. Nous pensons que les douleurs thoraciques ressenties par Mr. Y sont d'origine gastriques et qu'il a fait un malaise orthostatique ou vagal. Mr. Y peut rentrer à domicile sans suivi nécessaire. Pas d'érythrocytes cylindres hématiques ni de cellules dysmorphiques au sédiment urinaire pour une origine glomérulaire. Symptômes d'infection urinaire (dysurie, pollakiurie) et leuco/nitrites sur le premier stix urinaire. Début traitement antibiotique par Podomexef (vue les antécédents probables avec l'Amoxicilline), culture d'urine à pister. Pas d'étiologie claire retrouvée aux plaintes de la patiente, notamment pas d'abdomen aigu, pas de perturbation des tests hépatiques, pas de trouble électrolytique ni syndrome inflammatoire. Dans le contexte de la prise médicamenteuse récente, je recommande de poursuivre le traitement de Pantoprazole débuté, pour au moins une semaine encore, et d'y associer au besoin un traitement symptomatique par Primperan.Mme. Fejes et son mari souhaitent poursuivre la prise en charge à votre consultation. Pas d'examen complémentaire ce jour. Pas d'hémorragie intracérébrale mise en évidence. Pas de prise de contraste pathologique. Plages diffuses hypodenses de la substance blanche périventriculaire dd, aspécifiques (probable leucoaraïose relativement inchangée par rapport au comparatif). Perméabilité conservée des vaisseaux du polygone de Willis. Perméabilité conservée des vaisseaux précérébraux. Hypertrophie du lobe thyroïdien gauche avec présence de plusieurs lésions nodulaires (on propose un avis spécialisé). Pas d'idées suicidaires actuellement. Pas d'indication à effectuer de bilan urinaire au vu d'un foyer ORL franc. Retour à domicile avec consignes de surveillance et traitement symptomatique en réserve par Dafalgan sirop 30 mg/ml à 15 mg/kg/dose soit 6.5 ml = 165 mg max. 4x/j et Algifor sirop 20 mg/ml à 10 mg/kg/dose soit 6.5 ml = 130 mg max. 3x/j si fièvre/douleurs. La maman sera contactée pour le résultat du frottis pour SARS-CoV-2. Dans l'attente, confinement strict. Reconsulte si persistance de l'état fébrile >48 h ou avant, si nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Pas d'indication à effectuer de nouveaux examens au vu de la proximité des derniers. Appelle avec sa fille qui va aller voir l'orthopédiste et le généraliste ce jour et nous demande de l'envoyer à Tafers afin que toutes les informations soient centralisées. Att : • transfert à Tafers de suite Pas d'indication à effectuer une radiographie, devant l'absence de critères d'Otawa. Retour à domicile avec consignes de surveillance, repos avec arrêt de sport pour une semaine, semelle Darco à visée antalgique et traitement symptomatique en réserve par Dafalgan sachets 500 mg max. 4x/j et Ibuprofène sachets 400 mg max. 3x/j si douleurs. Contrôle clinique à votre cabinet si persistance des douleurs à une semaine. Reconsulte si nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. Pas d'indication à répéter un test pour SARS-CoV-2. Retour à domicile avec consignes de surveillance, antibiothérapie par Amoxicilline susp 200 mg/4 ml, 50 mg/kg/j soit 5 ml = 250 mg 2x/j pour 10 jours et traitement symptomatique en réserve par Tylenol supp 200 mg max. 4x/j et Algifor sirop 20 mg/ml à 10 mg/kg/dose soit 5 ml = 100 mg max. 3x/j si fièvre/douleurs. Contrôle clinique (otoscopique) à votre cabinet dans 3 semaines. Reconsulte avant si persistance de l'état fébrile >48 h sous antibiotiques, nouvelle symptomatologie ou atteinte à l'état général. La culture urinaire est toujours en cours, en cas de résultat positif, la maman sera contactée. Pas d'indication à une radiographie. Antalgie par anti-inflammatoire. Consultation chez pédiatre de garde en cas de persistance des symptômes le 6 mai 2020. Pas d'indication au frottis Covid-19. RAD avec recommandation d'usage. Pas d'investigation au vu de l'absence de sanction thérapeutique. Pas d'investigation cardiaque supplémentaire (discussion du cas avec le Dr. X). Patient averti des signes et symptômes devant motiver une consultation en urgence. Pas d'opération intra-abdominale. Douleurs abdominales infra-ombilicales 03.2018. DD : • gastro-entérite virale. • fonctionnelles. Douleur thoracique d'origine probablement musculaire. Pas faits aujourd'hui. Pas poursuivi en absence d'indication. Pas réalisé ce jour. Pas retrouvé à l'ETT du 11.05.2020 (mais les deux examens sont de mauvaise qualité). Passage de lithiase biliaire, • DD : ampullome. • Status post-bypass gastrique avec cholecystectomie en 2015. Passage de lithiase urinaire gauche le 11.05.2020. Passage en FA rapide dans le cadre septique le 16.05.2020. Passage en tachycardie supraventriculaire aux urgences (après le CT scan). Passage spontané en fibrillation auriculaire tachycarde à 105/min aux urgences après hydratation iv par 1000 ml NaCl 0.9 %. Nouveau passage en flutter tachycarde 2:1 le 01.05.2020. Reprise du bêtabloquant le 01.05.2020 (mis en suspens le 30.04.2020). Patch Deponit 5 mg le 28.05.2020. Pathologie : uT4, uN1, M0. Date du diagnostic 12.03.2020. Actuellement : réduction Gemzar de 50 % à cause de thrombocytopénie. Transfusions de 2 CE le 04.05.2020. Pathologie lombaire chronique et complexe chez cette patiente aux antécédents de dépression et de prise en charge d'un syndrome lombo-vertébral de manière multimodale. Actuellement, nous retrouvons malgré tout un syndrome sacro-iliaque au 1er plan à gauche, raison pour laquelle nous souhaitons infiltrer cette sacro-iliaque en salle de plâtre. En effet, les douleurs assises avec une irradiation sur la face postérieure accompagnées d'un examen clinique concordant, nous poussent dans cette direction. La patiente exclut une quelconque prise en charge chirurgicale et son fils s'y oppose également, raison pour laquelle nous nous tiendrons uniquement à la prise en charge sacro-iliaque et reverrons la patiente par la suite. Patient a reçu Xyzal, conseil de prendre le traitement prescrit à Mr. Y. Conseil de prendre RDV chez dermatologue si symptômes persistants. Patient accompagné de sa sœur. Il prend la décision de rentrer à domicile. Il est averti de reconsulter les urgences en cas de persistance/majoration des symptômes. Dafalgan 1 gr au tri. Patient admis pour une coronarographie élective. L'examen invasif du jour montre une occlusion chronique de l'artère interventriculaire antérieure distale qui est traitée avec implantation de 2 stents actifs. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient quitte notre établissement le 10.01.2020 en bon état général. Patient adressé à la permanence médicale. Patient adressé à la Permanence médicale de Fribourg. Patient adressé à la PMF. Selon protocole antalgie a reçu Diclofenac 50 mg PO, Morphine 10 mg per-os au tri à 08h50. Patient adressé au médecin traitant pour certificat. Frottis Covid-19 non effectué. Patient adressé au médecin traitant pour certificat. Frottis non effectué car absence de critère. Patient adressé au RSFM pour la suite de prise en charge. Patient adressé par les urgences de l'HFR Riaz en raison de l'évolution défavorable d'une plaie par cutter en regard de la face palmaire de P2 Dig IV à D le 27.04.2020. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 28.04.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Ablation des drains à J2. Les prélèvements peropératoires reviennent positifs pour un Staph. aureus, Raoultella ornithinolytica et un Citrobacter freundii. Un consilium d'infectiologie est demandé le 29.04.2022 et une antibiothérapie par co-amoxicilline est prescrite pour 2 semaines au total. Mobilisation sous contrôle de l'ergothérapie. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Attelle Edimbourg. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cutané pendant l'hospitalisation. Au vu de la bonne évolution, le patient peut regagner son domicile le 01.05.2020.Patient afébrile à l'arrivée qui chauffe ensuite à 38,5 C et frisson • Meronem 1 gr IV • Frottis COVID • ECG : RSR, normoaxé, pr<200 msec, QRS fin, ST isoelectrique, QT dans la norme • labo : CRP 170, LEUCO 2,8, hypercalcémie, hypophosphatémie • hemoc 2 paires --> à pister • uricult : --> à pister • CT thoraco-abdo : masse para oeso ADP = masse tumorale de 1 cm en mars --> 4 cm • Avis Dr. X : Hospitalisation et correction des troubles électrolytiques • Hospitalisation Patient âgé de 13 ans, sans antécédents pathologiques, consulte nos urgences accompagné par sa mère pour des douleurs au niveau du poignet gauche suite à une chute de son vélo avec réception sur la main gauche. L'examen clinique montre un patient stable avec des douleurs à la palpation du poignet gauche. Nous commençons un traitement antalgique avec Fentanyl. L'examen radiologique montre une fracture ulnaire et radiale avec une déviation de 10-15°. Après un avis orthopédique, le patient bénéfice d'un plâtre BAB (brachiale/anti-brachiale) et d'un traitement symptomatique à la sortie. Nous conseillons le patient en présence de sa mère de consulter les urgences en cas d'augmentation des douleurs, apparition des troubles de la sensibilité ou de la motricité. Patient âgé de 47 ans, sans antécédents pathologiques notables, consulte nos urgences pour des vertiges rotatoires d'installation soudaine ce matin, déclenchés par le positionnement de la tête à gauche et droite. L'examen montre un nystagmus horizontal latéral des deux côtés avec un manoeuvre positif de Dix-Hallpike. Devant l'amélioration des vertiges par le manoeuvre d'Epley, nous suspectons un vertige paroxystique positionnel bénin et nous conseillons le malade de répéter ce manoeuvre chez lui jusqu'à disparition du vertige, en lui donnant un traitement symptomatique avec Motilium. En cas de persistance des vertiges, nous proposons au malade de consulter un spécialiste en ORL. Patient âgé de 81 ans adressé des Urgences de Fribourg pour la prise en charge d'une insuffisance rénale aiguë d'origine indéterminée. Le patient a été évalué à l'HFR-Fribourg pour investiguer une anomalie échocardiographique et des troponines élevées. Une ETT, associée à l'absence de douleur thoracique, confirme l'absence de trouble de la cinétique VG et exclut une cardiopathie ischémique. En raison d'une déshydratation avec insuffisance rénale aiguë, le patient est transféré à Meyriez pour être hospitalisé. À son arrivée dans notre service, on retrouve un patient en état général moyen, sans plaintes. Patient cohérent, orienté, pupilles isocores, réactives directement et indirectement. À l'auscultation pulmonaire, on entend des râles crépitants fins en base droite, l'abdomen est ballonné, dépressible, indolore, sans défense ni détente. Pas de déficit sensitivo-moteur au niveau des membres supérieurs et inférieurs. Lors de la visite matinale, nous notons une oligurie malgré l'hydratation et la sonde urinaire. Le patient rapporte de légères nausées, une inapétence et une grande fatigue. Il n'a pas de douleurs abdominales spontanées. Au status, les bruits intestinaux sont diminués sur le flanc droit et l'abdomen est tendu et douloureux diffusément à la palpation. Au toucher rectal, on note la présence de selles molles dans l'ampoule rectale, pas de sang, pas de masse. Les résultats de laboratoire montrent une légère augmentation de la créatinine et de l'urée, la CRP est stable. Nous suspectons une obstruction des voies urinaires par compression extrinsèque et demandons un scanner abdominal qui met en évidence un iléus grêle sévère sans cause précise. Nous demandons un avis chirurgical sur l'indication d'un transfert. Après évaluation du dossier, le Dr. X propose de poser une sonde nasogastrique et de transférer le patient aux urgences à l'HFR-Fribourg. Entre-temps, Mr. Y devient hypotendu et développe une insuffisance respiratoire nécessitant une oxygénothérapie au ventimasque à 6L/min. Le patient est transféré par ambulance. Patient âgé de 85 ans, hospitalisé en raison de diarrhées et d'un érythème cutané prurigineux depuis février 2020. Mr. Y présente des diarrhées progressives accompagnées d'un érythème et prurit cutané diffus, perte pondérale de 6 kg depuis février 2020, survenue après l'introduction d'un traitement d'Entresto et Carvedilol. À savoir, deux épisodes de chute rendant le maintien à domicile précaire. Son médecin traitant réalise plusieurs changements médicamenteux, récemment introduits lors de la dernière hospitalisation en février 2020, en raison de la suspicion d'une origine médicamenteuse (Entresto, Torasemide, Aldactone et Pravastatine stoppés, reprise du Losartan). Sur le plan abdominal, au vu des diarrhées chroniques avec symptômes B et calprotectine fécale positive, une colonoscopie a pu exclure une lésion tumorale et une maladie inflammatoire. Les biopsies ne démontrent pas de colite microscopique. Une recherche de parasites et bactéries dans les selles revient négative. Le frottis COVID-19 est négatif. L'origine est probablement médicamenteuse sur prise de Valsartan et/ou Carvedilol. Ceux-ci sont remplacés par Aliskirène et Métoprolol respectivement. L'évolution est favorable par la suite avec normalisation du transit intestinal. Devant une érythrodermie diffuse avec hypereosinophilie ponctuelle (à 2.56 G/L), un avis dermatologique est demandé. Une biopsie cutanée montre une dermatite spongiforme superinfectée avec des granulocytes éosinophiles. Nous interprétons les manifestations cutanées aussi dans le cadre d'une hypersensibilité médicamenteuse aux Sartanes ou Carvedilol. Un syndrome hypereosinophilie avec atteinte cutanée est infirmé devant l'absence d'une hypereosinophilie persistante. Une consultation de suivi en dermatologie est prévue. Le bilan d'entrée montre également une insuffisance rénale aiguë KDIGO 1 d'origine prérénale sur insuffisance rénale chronique G4. L'évolution biologique est progressivement favorable après hydratation. L'acidose se corrige graduellement avec l'administration de Néphrotrans. Les troubles électrolytiques sont corrigés. Le traitement de Métoprolol est majoré et de la digoxine ajoutée pour le contrôle d'une fibrillation auriculaire avec réponse ventriculaire rapide. En raison de l'insuffisance rénale chronique, la fréquence d'administration de la Digoxine est diminuée à 2 fois par semaine et un contrôle régulier du taux de digoxine est recommandé. Le Diltiazem est stoppé en raison de la présence d'une insuffisance cardiaque avec dysfonction systolique (FEVG 20 %). Une anémie normochrome normocytaire normo-régénérative d'origine probablement mixte (rénale, inflammatoire et carentielle) est diagnostiquée. Le déficit en acide folique est substitué. Une dénutrition protéino-énergétique modérée secondaire aux diarrhées justifie un suivi nutritionnel durant son hospitalisation. Plusieurs facteurs favorisants pour les troubles de la marche sont identifiés. L'hypovitaminose D est substituée. Une physiothérapie en ambulatoire est prévue. Mr. Y rentre à domicile avec des soins à domicile. Une consultation en télémédecine est fixée. Patient amené par la police en raison d'un accident de voiture dans un état d'alcoolisme aigu. Patient asymptomatique, anticoagulé par Marcoumar, sous traitement par Métoprolol. Patient aura consultation ORL et consultation chez cardiologue traitant. • Aldactone en pause, majoration du Torasémide à 5 mg/j. • Bas de contention prescrits. • Consignes de reconsultation. Patient confus à l'admission, impossibilité d'uriner. Pose de sonde avec retrait de 400 ml d'urine. Diminution Risperidon à 0.5 mg le soir. Stop Spasmo-Urgénine le 04.05.2020. Toucher rectal du 05.05.2020 : prostate légèrement agrandie, légèrement sensible à la palpation. US des voies urinaires du 06.05.2020 : discrète augmentation du volume prostatique estimé entre 30 et 40 cc. Avis Dr. X, urologue de garde : le patient ne ressentant pas le besoin d'uriner après clampage 4 h (présence au bladder scan de 500 cc), la sonde urinaire est laissée en place. Organiser une consultation urologique en ambulatoire. Poursuivre l'Alfuzosine. Patient connu pour cardiopathie ischémique entre autres, dialysé, adressé par le HIB Payerne pour une coronarographie dans un contexte de suspicion de NSTEMI. L'examen du 13.05 par Dr. X montre comme lésion la plus sévère une sténose ostiale subtotale de la RVP, traitée par PCI au ballon seul avec un résultat modérément satisfaisant (sténose résiduelle de 70% avec image de dissection stable non occlusive). Dans ce contexte, le patient est gardé pour la nuit pour une nouvelle coronarographie le 14.05. Nous prenons contact avec le Dr. X, qui préconise un bilan biologique le 14.05 au matin pour décider de faire la dialyse prévue le 14 à Fribourg ou de la reporter au 15 à Payerne. Il prend également contact avec les collègues de néphrologie pour les mettre au courant du cas. Au vu d'une kaliémie élevée le 13.05 au soir, M. Y bénéficie d'une dialyse le 14.05 au matin avant sa nouvelle coronarographie. La coronarographie du 14.05 permet l'implantation de 2 stents. La double anti-agrégation devra être poursuivie 1 mois, avec par la suite uniquement Sintrom et Plavix à long terme. Le patient est retransféré à Payerne le 15.05.2020. Patient consultera l'ORL de garde demain, reparti sans consultation médicale. Patient de 17 ans admis en urgence à la suite d'un accident de kitesurf sur terre le 01.05.2020 avec torsion de l'épaule G. Les investigations mettent en évidence la fracture déplacée de la clavicule G avec menace à la peau. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 01.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire est calme sous le pansement Comfeel. Retour à domicile le 02.05.2020 Patient de 20 ans connu pour un traumatisme de pied droit après un pied du parasol est tombé sur ce pied. Étudiant, sans allergie. Radiographie sans signe d'fracture ou dislocation. On a interprété le problème avec le mouvement actif en raison de l'hématome parce que les tendons étaient palpables. Patient de 31 ans qui présente des douleurs de hanche D sur probable conflit fémoro-acétabulaire secondaire de type cam pour lequel nous agendons un CT 3D Impingement et une arthro-IRM de hanche. Nous reverrons le patient après ces examens, le 30.06.2020. Patient de 35 ans qui est en bonne santé habituellement et qui vient ce jour aux urgences pour une demande de constat de coup. Le formulaire de constat a été rempli au patient. Le patient rentre à domicile. Antalgie en réserve. Patient de 36 ans qui présente une coxarthrose G invalidante pour laquelle nous posons l'indication à l'implantation d'une PTH par voie antérieure (tige Corail, cupule Pinnacle). L'intervention, ses bénéfices, risques et suites sont expliqués au patient. Le consentement éclairé est signé ce jour, nous le convoquerons dès que possible selon les disponibilités du bloc opératoire. L'arrêt de travail est prolongé à 100% jusqu'au 12.06.2020. Patient de 37 ans qui présente un conflit fémoro-acétabulaire G type mixte symptomatique pour lequel, au vu de l'âge du patient et de l'absence de lésion cartilagineuse, nous posons l'indication à une prise en charge chirurgicale sous forme d'une luxation chirurgicale de hanche avec plastie cotyloïdienne, refixation du labrum et correction d'offset fémoral. L'intervention, ses bénéfices, risques et suites sont expliqués au patient. Il signe le consentement éclairé ce jour. Il sera convoqué selon les disponibilités du bloc opératoire. Patient de 38 ans qui est en bonne santé habituellement vient ce jour aux urgences pour une demande de constat du coup. Le formulaire de constat a été rempli. Patiente rentre à domicile. Antalgie en réserve. Patient de 38 ans qui présente un conflit fémoro-acétabulaire de hanche G type came symptomatique pour lequel nous confirmons l'indication à un recontourage cervico-céphalique en arthroscopie. L'intervention, ses bénéfices, risques et suites sont expliqués au patient. Le consentement éclairé est signé ce jour. L'intervention est agendée pour le 03.06.2020. L'arrêt de travail à 100% est prolongé jusqu'à cette date. Patient de 41 ans qui présente un conflit fémoro-acétabulaire de hanche D symptomatique probablement de type extra-articulaire sur rétrotorsion, pour laquelle nous agendons un CT scan 3D Impingement et une arthro-IRM avec traction. Nous reverrons le patient après ces 2 examens pour discuter des suites à donner. Incapacité de travail à 100% prolongée du 12.05.2020 au 24.05.2020. Patient de 42 ans, connu pour un antécédent de spondylodèse L5-S1 sur AVP en 1993 avec fracture et ostéosynthèse de l'aile iliaque droite et greffe osseuse poplitée droite. Il présente le 09.05.2020 d'apparition brutale une nouvelle exacerbation des cruralgies droites de type décharge électrique jusqu'à 10/10 on/off nécessitant la prise de ses réserves habituelles d'Oxynorm et également de la morphine en intra-veineux. Ceci s'inscrit dans un contexte de pollakiurie avec dysurie. Au niveau de l'état général, on note un EF à 40°C objectivé par les ambulanciers. Au service des urgences, le patient est algique avec un examen clinique peu spécifique. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire élevé. Le stix urinaire est pathologique. La culture urinaire revient positive pour un E. Coli multisensible. Les hémocultures reviennent négatives. L'uro-scanner du 12.05.2020 ne montre pas de dilatation pyélo-calicielle ni obstacle dans les voies urinaires. Les infections urinaires à répétition s'inscrivent dans le contexte du diabète mis en évidence. Monsieur Y bénéficie d'une antibiothérapie par Ceftriaxone avec une bonne évolution clinique permettant un relais par Ciprofloxacine jusqu'au 25.05.2020. Au vu du contexte de matériel prothétique dans la même localisation que les douleurs, nous demandons un avis orthopédique ainsi qu'un avis infectiologique qui, au vu de l'absence de symptomatologie évocatrice, propose de ne pas effectuer d'imagerie lombaire à la recherche d'une spondylodiscite ou infection du matériel prothétique. Nous proposons de bien suivre ceci et d'envisager une imagerie si la symptomatologie devenait évocatrice. Le patient présente un diabète inaugural. Le profil glycémique ne nécessitant pas la prise d'insuline rapide, nous introduisons un traitement de Metformine 500 mg 1x/jour à adapter par la suite. En vue de l'obésité morbide, un traitement anti-GLP1 est également indiqué. Du point de vue antalgique, les douleurs évoluent favorablement. Monsieur Y sera revu en consultation ambulatoire par l'équipe antalgie. Concernant les complications du diabète, nous préconisons un dépistage de la rétinopathie diabétique par un contrôle ophtalmologique annuel. Un dépistage annuel de la néphropathie diabétique par un rapport micro-albuminurie sur créatininurie dans les urines matinales est indiqué. Sur le plan cardio-vasculaire, nous visons des cibles de tension artérielle <130/80 mmHg et un taux de cholestérol-LDL < 2,6 mmol/l.Patient de 44 ans hospitalisé en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée qui se déroule le 13.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les rx postopératoires sont satisfaisantes. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement, elles sont sèches et calmes à la sortie. Antalgie standard. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Retour à domicile le 17.05.2020. Patient de 46 ans hospitalisé en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée. Pour rappel, le 25.04.2020, le patient fait une chute à vélo avec réception sur l'épaule D. Il consulte les urgences où les investigations confirment le diagnostic susmentionné. L'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule le 27.04.2020, sans complications. Les plaies chirurgicales restent calmes et propres. Absence de troubles sensitivo-moteurs du MSD. Gilet orthopédique. Mobilisation douce avec la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Antalgie standard. Retour à domicile le 29.04.2020. Patient de 49 ans admis en urgence le 03.05.2020 en raison d'une tuméfaction du coude G avec érythème depuis 3 à 4 jours suite à une blessure pénétrante 2 semaines auparavant. Le patient consulte à l'HFR Tafers qui nous l'adresse. Les rx ne montrent pas de lésion osseuse. Les leucocytes sont à 6,3 G/l et la CRP à 116 mg/l le 03.05.2020. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 04.05.2020, sans complications. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. La microbiologie du 04.05.2020 revient positive pour un Staph. aureus multisensible. Poursuite de l'antibiothérapie i.v. jusqu'à la sortie puis passage en p.o. pour 10 jours au total. Antalgie standard. Attelle BAB. En raison d'un globe urinaire en postopératoire le 04.05.2020, une SV a été posée, reprise de la miction spontanée le 05.05.2020. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Retour à domicile le 06.05.2020. Patient de 5 mois, hospitalisé dans un contexte de fièvre sans foyer évident initialement. Durant l'hospitalisation, présente deux pics fébriles qui répondent aux fébrifuges. Ne présente pas de trouble respiratoire ni de besoin en oxygène. Un laboratoire a été fait aux urgences qui montre un syndrome inflammatoire (CRP à 53) sans hyperleucocytose. La radiographie du thorax est de mauvaise qualité, ne montre pas un foyer parenchymateux franc. Lors de l'examen clinique du 04.05 on retrouve une herpangine débutante des deux côtés. La prise alimentaire et hydrique ainsi que la diurèse sont habituelles. Un retour à domicile est possible ce jour. La maman a reçu les conseils des symptômes à surveiller à domicile et les raisons à consulter. Patient de 51 ans hospitalisé en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée qui se déroule le 30.04.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Antalgie standard. La plaie opératoire est calme. Retour à domicile le 01.05.2020. Patient de 52 ans admis aux soins intensifs pour une crise d'épilepsie généralisée sur un glioblastome thalamique gauche. Patient de 52 ans hospitalisé en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée qui se déroule le 01.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postopératoires satisfaisantes. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Antalgie standard. Retour à domicile le 02.05.2020. Patient de 53 ans connu pour une urétérolithiase gauche asymptomatique depuis 2019 suivi par son urologue traitant qui consulte pour des douleurs abdominales droites. Le bilan biologique et radiologique évoque une appendicite avec suspicion de perforation. Une laparoscopie exploratrice le 19.05.2020 confirme ce diagnostic et visualise une péritonite localisée sur appendicite perforée. Une appendicectomie est réalisée et le patient traité par antibiothérapie du 19.05.2020 avec relais per os dès le 22.05.2020 prévu jusqu'au 24.05.2020. Les cultures d'ascite montrent un E. Coli multisensible. Les suites biologiques et cliniques sont favorables, la réalimentation bien tolérée et le patient peut rentrer à domicile le 23.05.2020. Patient de 54 ans adressé à l'HFR Riaz en raison d'une plaie du mollet G suite à la chute accidentelle de son pistolet chargé d'une balle de plomb de 6 mm le 23.04.2020. Première prise en charge aux urgences de l'HFR Riaz avec rappel tétanos et administration de co-amoxicilline 2,2 g i.v. en OU le 23.04.2020. Les rx réalisées le 23.04.2020 n'ont pas montré de lésion osseuse ou de corps étranger. Absence de trouble à la marche ou de déficit sensitivo-moteur du MIG. L'indication à une prise en charge au bloc opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 24.04.2020, sans complications. Antibioprophylaxie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 24 au 25.04.2020 puis co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. à la sortie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Attelle jeans, charge selon douleurs. Antalgie suffisante, patient stable et afébrile. Les plaies évoluent favorablement. Retour à domicile le 25.04.2020. Patient de 54 ans hospitalisé en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée. Pour rappel, le soir du 06.05.2020, ce patient est victime d'une torsion de la cheville D en inversion sur un ponton en bois entraînant la fracture mentionnée ci-dessus. Il est hospitalisé dans notre service du 06 au 07.05.2020 pour surveillance des tissus cutanés et mesures de détumescence. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 12.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Absence de troubles neuro-vasculaires. Les rx postopératoires sont satisfaisantes. Les plaies chirurgicales restent calmes et propres. Antalgie standard. Immobilisation par attelle postérieure puis botte plâtrée fendue. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut regagner son domicile le 19.05.2020 en bon état général avec des plaies chirurgicales sèches. Patient de 58 ans, en bonne santé habituelle, qui présente une infection superficielle de plaie de P2 du pouce D dans les suites d'un traumatisme de P2 avec un hameçon le 17.05.2020. L'hameçon est retiré et la plaie rincée aux urgences de l'HFR Tafers. En raison d'une plaie simple de la face dorsale du poignet D le 19.05.2020, le patient consulte son médecin du travail qui suture cette plaie. Le pouce est érythémateux et tuméfié. Une thérapie antibiotique par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. est débutée. Lors du contrôle clinique à l'HFR Tafers le 23.05.2020, les signes d'inflammation locale du pouce sont en aggravation. Le patient nous est adressé pour suite de prise en charge. Nous posons l'indication à un lavage au bloc opératoire. L'intervention chirurgicale se déroule le 22.05.2020, sans complications. Poursuite du traitement antibiotique par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. dès le 22.05.2020 pour 24 h avec relais p.o. par co-amoxicilline 1 g 3x/j dès le 23.05.2020 pour 10 jours au total, soit le 01.06.2020. La plaie évolue favorablement à J1 permettant un retour à domicile. À noter que la microbiologie à J2 est négative ; à pister à J14. Patient de 59 ans admis en urgence à la suite d'une lésion par tronçonneuse de l'avant-bras G le 04.05.2020. Le bilan réalisé aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné et permet d'exclure une lésion osseuse. L'indication opératoire est posée.L'intervention chirurgicale se déroule le 04.05.2020, sans complications. Attelle dorsale le poignet en flexion. Les suites postopératoires sont simples et afébriles. Absence de troubles neuro-vasculaires distalement à la lésion, hormis une hypo-anesthésie sur une surface d'environ 6x5 cm en regard du territoire du nerf cutané médial de l'avant-bras, présence depuis l'accident. Antalgie standard. Antibioprophylaxie par co-amoxicilline 2,2 g i.v. 3x/j du 04 au 06.05.2020 puis relais p.o. par co-amoxicilline 1 g 3x/j, pour un total de 72 h. Au 1er jour de plaie le 05.05.2020 ablation des Easy Flows mis en place durant l'intervention chirurgicale. Bonne évolution de la plaie. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 06.05.2020. Mr. Y, 59 ans, en bonne santé habituelle qui consulte les urgences pour des douleurs en fosse iliaque droite avec état subfébrile le 23.05.2020. Le bilan biologique et radiologique met en évidence une appendicite rétro-caecale posant l'indication à une laparoscopie exploratrice qui retrouve une appendicite rétro-caecale perforée avec une péritonite de 2 quadrants. L'opération se déroule sans complication. Le patient est par la suite couvert par antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole. L'évolution clinico-biologique étant favorable nous passons à une antibiothérapie per os et laissons Mr. Y rentrer à domicile le 28.05.2020. Mr. Y, 61 ans, transféré du service de médecine interne de Payerne dans notre unité pour suite de prise en charge. Le patient a été hospitalisé à Payerne du 15.05.2020 au 22.05.2020 en raison d'une baisse de l'état général, diminution progressive de l'autonomie avec dépendance pour toutes les activités de la vie quotidienne ainsi qu'un épuisement de l'entourage. Pendant son hospitalisation, le patient présente des douleurs dans le bras gauche ainsi que des céphalées. Au vu du risque de fausse route, un épaississement des boissons et un régime lisse sont mis en place. Mr. Y prend également un supplément 3x/j. À l'entrée, l'anamnèse avec le patient est impossible. Il présente un état général diminué et une dysarthrie importante. Il ne décrit pas de douleur ou de dyspnée, il n'a pas d'autre plainte. Il semble quand même inconfortable. Pour le confort, nous adaptons le traitement par morphine sc en continu. Mr. Y décède le 23.05.2020 paisiblement. Mr. Y, 63 ans, admis aux soins intensifs le 18.05.2020 en raison d'une poussée hypertensive associée à des troponines positives, survenant dans un contexte de sevrage alcoolique. Pour rappel, il est initialement hospitalisé en médecine interne depuis le 17.05.2020 en raison d'une baisse de l'état général et d'un anasarque en progression sur plusieurs jours. Connu pour un syndrome de dépendance à l'alcool avec multiples admissions à Marsens, il rapporte à l'anamnèse dirigée une consommation quotidienne d'une bouteille de whisky par jour, avec sevrage spontané depuis la veille de son hospitalisation. Lors du séjour en division, il présente des douleurs épigastriques associées à 2 épisodes de vomissements, sans modifications dynamiques objectivées à l'ECG. Dans ce contexte, un dosage des troponines est effectué et montre une valeur augmentée à 66 ng/l. Il nous est alors adressé pour surveillance rythmique et complément d'investigations. Une ETT est réalisée le 18.05.2020, qui ne montre pas de récidive de Takotsubo ni de troubles nouveaux de la cinétique segmentaire. De l'avis de nos collègues cardiologues, les troponines sont attribuées en premier lieu à une probable ischémie sous-endocardique en relation avec une hypertension mal contrôlée et un sevrage alcoolique. L'indication à une nouvelle coronarographie n'est pas retenue à ce stade. Un CT-scan thoracique effectué à l'admission a permis d'écarter raisonnablement une embolie pulmonaire ou encore une dissection aortique. Le traitement par aspirine est poursuivi et les anti-hypertenseurs sont majorés. L'évolution est simple par la suite. Des troubles électrolytiques en relation avec la consommation d'alcool et une dénutrition modérée sont substitués. Un suivi nutritionnel et biologique rapproché est recommandé, compte tenu des risques de syndrome de renutrition. Un suivi rapproché des glycémies est également préconisé. Le sevrage alcoolique est bien contrôlé sous Seresta, qui est à adapter selon l'évolution clinique. Mr. Y, 63 ans, hospitalisé en électif pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 13.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Absence de troubles neuro-vasculaires. Antalgie standard. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané pendant l'hospitalisation. Le 14.05.2020, l'hémoglobine est à 115 g/l. La plaie chirurgicale reste calme et propre, elle est sèche à la sortie. Retour à domicile le 16.05.2020. Mr. Y, 63 ans, connu pour une cardiopathie ischémique dilatée, est envoyé par Medhome pour avis ORL pour un déficit cochléo-vestibulaire gauche aigu. Le patient présente des vertiges rotatoires paroxystiques, non positionnels, d'une durée de 3-4 heures avec résolution spontanée, depuis 3 jours avec surdité aiguë (1-2 épisodes par jour) avec nausées et vomissements. Troubles de la marche avec perte d'équilibre lors des épisodes de vertiges. Légères céphalées frontales. Pas d'état fébrile, pas de traumatisme crânien, pas d'autres plaintes neurologiques. Social: vit à domicile avec sa femme qui souffre de crise d'épilepsie. Mr. Y, 65 ans, qui présente une coxarthrose bilatérale invalidante avec comme plainte principale un manque de mobilité pour laquelle nous posons l'indication à l'implantation de 2 PTH par voie antérieure (cupule Pinacle, tige Corail) lors du même temps opératoire, en commençant selon le souhait du patient par le côté D. L'intervention, ses bénéfices, risques et suites sont expliqués au patient. Le consentement éclairé est signé ce jour. Il sera convoqué selon les disponibilités du bloc opératoire. Mr. Y, 67 ans, connu pour un tabagisme actif à 80 UPA et éthylisme chronique (sevré 3 semaines auparavant), hospitalisé pour baisse de l'état général évoluant depuis 3 semaines avec asthénie, baisse de l'appétit et amaigrissement de 7 kg. Il rapporte également des troubles de l'équilibre avec chute et traumatisme de la main droite sans trauma crânien ainsi que des hallucinations visuelles et auditives avec désorientation sporadique. Il se plaint également de frissons sans état fébrile, ni sudation nocturne. Pas de trouble du transit, ni d'antécédent oncologique dans l'anamnèse personnelle et familiale. À l'examen initial, le patient est bien orienté avec des paramètres vitaux dans la norme, apyrétique. L'auscultation retrouve quelques râles crépitants aux bases, prédominants à droite, avec une bonne saturation à 94 % à l'air ambiant. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP augmentée, sans leucocytose associée. À la radiographie du thorax, on trouve un infiltrat à la base droite, évocateur d'une pneumonie, ainsi qu'un doute sur une opacité suspecte du lobe supérieur droit. Au vu de l'absence de signe clinico-biologique franc pour une infection bronchopulmonaire bactérienne, on sursoit à l'introduction d'une antibiothérapie et une surveillance clinico-biologique avec hydratation sont mises en route. L'évolution se fait favorablement avec régression de la CRP. Au vu du tableau et des facteurs de risque pour une néoplasie, le bilan est complété par un CT thoracique, lequel retrouve également l'image de pneumonie lobaire inférieure droite et permet d'exclure la présence de masse suspecte au niveau thoracique.Devant l'éthylisme chronique récemment sevré et dans le cadre du bilan oncologique, une sonographie abdominale est effectuée montrant une stéatose hépatique, sans lésion focale suspecte. L'alpha-foetoprotéine est dans la norme. Une substitution en vitamine avec Benerva et Becozym a de principe été installée. La PSA était également dans la norme. Une insuffisance rénale aiguë prérénale a été interprétée dans le contexte d'une déshydratation (défaut d'apport et infection pulmonaire). Le suivi biologique montre une évolution favorable après hydratation. Au vu d'une dysélectrolytémie avec une hypokaliémie et hyponatriémie et de l'hépatopathie alcoolique, un traitement par Aldactone est introduit permettant une normalisation. Celui-ci devra être réévalué. Nous diagnostiquons un manque de vitamine D, pour laquelle une substitution est installée. Le patient rapporte une tristesse, angoisse et idées noires depuis 3 semaines. Devant les antécédents de dépression, une consultation psychiatrique est refusée par le patient qui, au cours de son séjour, note une amélioration de son humeur avec retour de l'appétit. La malnutrition protéino-énergétique diagnostiquée initialement à l'entrée est essentiellement interprétée dans ce contexte. Afin de compléter le bilan, une endoscopie digestive avec gastro/coloscopie devra être effectuée à distance. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y peut rentrer en bon état général à domicile le 28.05.2020. Mr. Y, 69 ans, connu pour des infections urinaires récidivantes depuis avril 2019, hospitalisé pour une infection urinaire compliquée à Actinobaculum schaalii le 29.04.20. Pour rappel, le patient est suivi par le Dr. X pour un lymphome non-Hodgkinien, actuellement en progression tumorale et traité à titre palliatif par GemOx et Rituximab dont le dernier cycle s'est terminé le 23.04.2020. Il présente depuis le même jour une asthénie importante avec état fébrile, accompagné de brûlures mictionnelles et pollakiurie. Le bilan biologique effectué au service des urgences retrouve un syndrome inflammatoire avec leucocyturie. Un traitement antibiotique par Ceftriaxone est initié. Au vu d'un globe urinaire mis en évidence le 01.05.2020, une sonde vésicale est mise en place le même jour. Au vu d'Actinobaculum schaalii, germe peu commun retrouvé dans les urines, nous demandons un avis infectiologique, préconisant la poursuite de la Ceftriaxone dans l'attente du profil de sensibilité. Il est décidé, selon le souhait du patient qui veut rapidement rentrer, de poursuivre une antibiothérapie à domicile par Ertapenem (Ceftriaxone non remboursée), qui est à continuer jusqu'au 11.05 dans l'attente de l'antibiogramme. Le patient sera revu en ambulatoire chez son médecin traitant le 11.05.2020, où un relais d'antibiothérapie sera à envisager selon les résultats communiqués. De plus, le patient est connu pour une dyspnée avec oxygénodépendance à domicile, sur épanchement pleural droit sévère dans le contexte de progression de son lymphome. Dans ce contexte de dyspnée, légèrement majorée depuis quelques jours, un frottis nasopharyngé Covid-19 est réalisé et revient négatif à l'étage, permettant la levée de l'isolement contact et gouttelettes. Nous effectuons par ailleurs une radiographie du thorax, qui montre la présence d'une opacité plus marquée et mal délimitée en surprojection du lobe supérieur droit pouvant correspondre à un foyer infectieux. L'état respiratoire de Mr. Y évolue par la suite favorablement. Mr. Y peut rentrer à domicile le 06.05.2020 en bon état général. En raison des antécédents multiples d'infection urinaire chez ce patient sur probable résidu mictionnel, nous décidons de laisser en place la sonde vésicale à la sortie. Nous laissons le soin à nos collègues urologues de réévaluer son indication lors du contrôle urologique ambulatoire prévu en juin. Mr. Y, 69 ans, hospitalisé à Tavel pour investigations d'une hémianopsie nouvelle. Pour rappel, Mr. Y présente une hémianopsie apparue il y a 3 semaines, accompagnée d'une tendance aux chutes du côté droit. À noter également une surdité du côté droit, toutefois dans un contexte d'implant ORL avec complications multiples. Les investigations initiales à l'HFR Tavel mettent en évidence une masse occipitale gauche fortement suspecte d'une néoplasie avec quelques nodules accessoires uni-hémisphériques. Un IRM confirme une image fortement suspecte d'un processus oncologique. Au vu d'un bilan d'extension scannographique ne montrant pas de tumeur primaire et une image compatible, nous suspectons un glioblastome multifocal, avis partagé par les neuro-radiologues. En accord avec les oncologues, nous n'organisons pas de nouvelles investigations oncologiques et adressons le patient à nos collègues neurochirurgiens pour biopsie/excision de la masse. Sur la demande de ces derniers, nous organisons un bilan ophtalmologique et neuropsychologique en ambulatoire dans un contexte pré-opératoire. Le bilan radiologique sera complété par une tractographie organisée par leurs soins. Nous adressons le patient à la consultation de neurochirurgie afin de finaliser le projet opératoire, d'ores et déjà agendé au 15.06.2020. Mr. Y rentre à domicile le 29.05.2020. Mr. Y, 70 ans, admis en urgence à la suite d'une chute de sa hauteur le 08.05.2020 avec réception sur la hanche D. Les investigations mettent en évidence la fracture susmentionnée. L'indication à l'implantation d'une PTH est posée. À l'entrée, une infection urinaire est mise en évidence, motivant l'introduction d'une antibiothérapie par Ciproxine dès le 08.05.2020. L'intervention chirurgicale se déroule le 10.05.2020, sans complications. À l'induction, le patient présente une broncho-aspiration sur probable gastroparésie, traitée par mise en place d'une SNG et introduction d'une antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j pour 5 jours. Un consilium d'infectiologie est demandé le 11.05.2020 et le traitement de Ciproxine est stoppé le 12.05.2020. Nous introduisons une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Les rx postopératoires de contrôle montrent une prothèse en place. Rééducation à la marche sous conduite de la physiothérapie. Devant la bonne évolution, Mr. Y peut regagner son domicile le 18.05.2020. Le jour de la sortie, la plaie chirurgicale est calme. Le patient ne présente pas de troubles neuro-vasculaires. Mr. Y, 73 ans, hospitalisé en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée, qui se déroule le 01.05.2020, sans complications. Les rx postopératoires de contrôle montrent un déplacement secondaire du grand trochanter, motivant une reprise chirurgicale le 06.05.2020 avec ostéosynthèse du grand trochanter par 2 vis et 1 cerclage. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut., reprise de l'Eliquis 5 mg 2x/j p.o. dès le 11.05.2020. Le 08.05.2020, nous remarquons une augmentation des tests de cholestase avec cliniquement une sensibilité à la manœuvre de Murphy, motivant une US abdominal, qui montre du sludge biliaire sans dilatation des voies biliaires ni signes de cholécystite. Après réévaluation clinique avec les collègues de la chirurgie, les douleurs semblent plutôt liées à l'accès pour la thoracotomie effectuée l'année passée. Nous décidons en parallèle d'arrêter le Dafalgan. La mobilisation se déroule en charge partielle de 15 kg du MID avec peine, sous conduite physiothérapeutique. La plaie chirurgicale est calme et sèche et les douleurs sont soulagées avec une antalgie par opiacés. Au vu de la nécessité de poursuite de la prise en charge oncologique, le patient est transféré en médecine interne le 12.05.2020.Patient de 74 ans, hospitalisé en électif à l'HFR Fribourg en orthopédie pour prise en charge chirurgicale d'une gonarthrose tricompartimentale du genou gauche. Il bénéficie d'une pose de prothèse totale du genou gauche le 19.05.2020 par le Dr X, intervention qui se déroule sans complication. A noter la présence d'une anémie post-opératoire à 106 g/l d'Hb ne nécessitant pas de soutien transfusionnel. A noter un contrôle radiologique post-opératoire et une antalgie de palier I satisfaisants. Une mobilisation en charge selon douleurs sous protection d'une attelle Jeans à 0° avec l'aide des physiothérapeutes a été débutée. La plaie montre un léger écoulement sanguinolent, sans signe infectieux. Le 20.05.2020, le patient présente un état fébrile isolé, sans plainte focale, raison pour laquelle un sédiment urinaire est prélevé, compatible avec une infection, ainsi que des hémocultures et un urotube. Le patient est transféré à l'HFR Riaz le 20.05.2020 pour le suivi post-opératoire. Une antibiothérapie par Ciproxine 2 x 500 mg/jour est administrée du 22 au 25.05.2020, stoppée après des résultats négatifs de la culture d'urotube. Nous retenons alors une bactériurie et une microhématurie dans le contexte du sondage vésical. Cette sonde est d'ailleurs retirée le 25.05.2020, avec bonne reprise des mictions. Les hémocultures reviennent également négatives. La physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleur est poursuivie, sous protection de deux cannes anglaises pour une durée de 6 semaines. Une thromboprophylaxie par Xarelto 10 mg per-os/jour a également été instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. A noter que lors de la mobilisation, une attelle Jeans à 0° (en extension) est préconisée pour un total de 4 semaines. La réfection des pansements aux 48 heures, la dernière le 29.05.2020, montre une cicatrice calme, sans signe infectieux. Un contrôle est prévu à votre consultation le 02.06.2020 et la réfection des pansements sera effectuée par les infirmières de soins à domicile. Une ablation des agrafes est également prévue à votre consultation à 15 jours post-opératoires. Concernant l'anémie, un suivi biologique est réalisé, avec une hémoglobine au plus bas à 87 g/l le 22.05.2020, stable, avec une valeur à 88 g/l lors de la sortie de l'hôpital. Nous vous laissons le soin de recontrôler cette valeur le 02.06.2020. Par ailleurs, le 28.05.2020, nous mettons en évidence une hypokaliémie à 3,2 mmol/l motivant une substitution per-os. Cette valeur sera également contrôlée par vos soins le 02.06.2020. Patient de 74 ans qui présente une plaie pré-tibiale G chronique sans contact osseux à 3 mois après suture de plaie. Avant un geste de couverture cutanée, nous agendons une IRM afin d'exclure une ostéomyélite du tibia. En présence d'une ostéomyélite, nous prévoirons alors un alésage endo-médullaire en même temps que le geste de couverture cutanée (greffe de peau mince versus lambeau). Nous référons le patient à la consultation du team pied du Dr X pour la suite de prise en charge. Patient de 74 ans qui se présente aux urgences de l'HFR Riaz le 23.04.2020 en raison de l'évolution défavorable d'un mal perforant plantaire en regard de la MTP 1 pied D. Pour rappel, il présente depuis le 15.04.2020 une plaie de la MTP 1 D avec développement d'une rougeur de la face plantaire de la MTP 1 avec trajet lymphangitique ascendant depuis le 21.04.2020. A l'entrée, le 23.04.2020, les leucocytes sont à 14,6 G/l et la CRP à 265 mg/l. Cliniquement, visualisation d'un écoulement purulent de la face plantaire de la MTP 1. A l'HFR Riaz, introduction d'une antibiothérapie par co-amoxicilline i.v. depuis le 23.04.2020, demande de bilan angiologique et d'une IRM motivant son transfert à Fribourg le 24.04.2020. Le bilan angiologique du 24.04.2020 revient sans particularité. L'IRM du pied D ne montre pas de signe franc d'ostéite. Toutefois, le status du 25.04.2020 montre un Probe-to-bone test positif avec persistance d'un écoulement purulent. Patient afébrile. Par ailleurs, le syndrome inflammatoire reste élevé sous antibiothérapie avec une CRP à 230 mg/l le 25.04.2020. L'indication à une prise au bloc opératoire est posée et l'intervention chirurgicale se déroule le 25.04.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. La microbiologie des prélèvements peropératoires revient positive pour un Staph. aureus et un Klebsiella oxycota. Un consilium d'infectiologie est demandé le 28.04.2020 et l'antibiothérapie par co-amoxicilline est poursuivie avec passage en p.o. dès le 29.04.2020, jusqu'au 25.05.2020. Prophylaxie thrombo-embolique par Liquémine 5000 UI 2x/j durant l'hospitalisation. Antalgie suffisante, patient stable et afébrile durant le séjour. Pendant l'hospitalisation, le patient a été vu pour une consultation de podologie le 28.04.2020 durant laquelle il a bénéficié d'un soin des pieds. Le test au monofilament traduit une polyneuropathie des MI probablement diabétique. Afin d'investiguer l'atteinte micro-vasculaire, une éventuelle rétinopathie et néphropathie diabétiques sont à dépister. Actuellement, le profil glycémique du patient ainsi que l'HbA1c à 6.3% traduit un bon contrôle métabolique de son diabète sous monothérapie de Metformine. Le patient ayant actuellement une GFR à 47 ml/min, nous vous proposons de reprendre son traitement habituel de Metformine (max 1000 mg/j si GFR entre 30-60 ml/min). Il a bénéficié d'un enseignement infirmier aux mesures glycémiques le 29.04.2020. Confection d'un plâtre Geisha avec semelle adaptée le 30.04.2020. A noter que la recherche de MRSA du 01.05.2020 s'est avérée négative. Ablation des fils le 01.05.2020 sur une plaie qui présente un léger écoulement sanguin. Le 01.05.2020, Mr. Y peut regagner son domicile. Patient de 75 ans, connu pour les multiples antécédents sus-mentionnés, qui est hospitalisé pour une baisse de l'état général avec ralentissement psychomoteur d'origine multifactorielle, associée à une insuffisance rénale aiguë et une infection urinaire le 06.05.2020. Mr. Y est donc également connu pour de multiples antécédents chirurgicaux avec complications diverses, et présente des douleurs abdominales chroniques dans ce contexte, sans amélioration malgré plusieurs tentatives d'adaptation du traitement médicamenteux. Afin d'exclure une cause centrale à son ralentissement psychomoteur, le patient bénéficie d'un CT, puis d'une IRM cérébrale qui ne montrent pas d'hémorragie ou d'ischémie. Compte tenu de l'altération significative de la fonction rénale, nous retenons une origine multifactorielle sur insuffisance rénale, accumulation consécutive d'opioïdes, et péjoration des troubles cognitifs connus. Sur le plan rénal, Mr. Y présente à son entrée une insuffisance rénale aiguë sur chronique d'origine probablement mixte rénale et pré-rénale, ainsi qu'une acidose métabolique compensée, que nous traitons par hydratation, Néphrotrans et arrêt des traitements potentiellement néphrotoxiques. La fonction rénale, en parallèle avec le ralentissement psychomoteur du patient, évolue par la suite de manière favorable. Une infection urinaire à Klebsiella aerogenes est également mise en évidence le 06.05.2020, motivant l'introduction de Ceftriaxone, relayée par Meronem (contexte de Klebsiella multirésistante en février 2020), puis par Ciprofloxacine jusqu'au 15.05.2020. Au cours de l'hospitalisation, nous remarquons une ataxie à la marche avec impression de perte de force au niveau du pied gauche. Une cause centrale est exclue par IRM cérébrale, un ENMG du membre inférieur gauche est à considérer afin d'exclure une cause périphérique à sa symptomatologie.Mr. Y est par ailleurs connu pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs, déjà thrombolysée et stentée à droite en 2014, avec des douleurs persistantes bilatéralement et pour lesquelles il bénéficie de la mise en place de stents bilatéraux au niveau iliaque externe le 14.05.2020. Par ailleurs, le patient relate des douleurs abdominales quotidiennes chroniques, dans un contexte de multiples antécédents chirurgicaux, avec extériorisation sanguine au niveau d'une fistule iléo-cutanée, motivant un CT abdominal, qui ne retrouve pas de cause organique aiguë à ces douleurs. Au vu de la non-amélioration de la clinique abdominale, malgré l'adaptation de l'antalgie à de nombreuses reprises et après avis antalgique spécialisé, il est décidé, en accord avec Mr. Y, son fils, ainsi que les collègues chirurgiens (Dr. X et Prof. X) de solliciter un 2e avis chirurgical à l'Inselspital Berne. Mr. Y est donc transféré à l'Inselspital Berne le 26.05.2020 pour suite d'investigations. Nous restons à disposition pour la suite de la prise en charge post-opératoire si une chirurgie est envisagée, ou pour une prise en charge axée essentiellement sur un contrôle des symptômes dans le cas où une opération serait non envisageable. Patient de 76 ans adressé par la permanence de l'HFR Meyriez en raison de l'infection d'une plaie thénar main D suturée le 27.04.2020. Pour rappel, en date du 27.04.2020, le patient est victime d'une chute à vélo entraînant les lésions décrites ci-dessus. La plaie du thénar main D ainsi que la plaie de l'arcade sourcilière G sont suturées à Meyriez. Concernant la fracture de l'os zygomatique et de la fracture transversale du rocher à D, les ORL préconisent une antibioprophylaxie par co-amoxicilline 1 g 3x/j pour 3 jours ainsi qu'une consultation de chirurgie maxillo-faciale chez le Dr. X à une semaine. En regard de la plaie du thénar main D, développement d'une infection des tissus mous. Un US de la main D réalisé aux urgences le 29.04.2020 montre une minime infiltration des structures sous-cutanées en regard de la plaie. L'indication opératoire est posée au vu du résultat de l'US et de la clinique. L'intervention chirurgicale se déroule le 30.04.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont favorables. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. La microbiologie peropératoire du 30.04.2020 revient positive pour un Escherichia coli, un Aeromonas sp, un Hafnia alvei et un Pseudomonas aeruginosa. Un consilium d'infectiologie est demandé le 01.05.2020. En accord avec les infectiologues, la co-amoxicilline est changée pour Cefepime dès le 01.05.2020 au vu de la résistance à la co-amoxicilline de l'Hafnia alvei; relais p.o. le 03.05.2020 par Ciprofloxacine à poursuivre jusqu'au 10.05.2020. La plaie opératoire évolue favorablement, les deux drains sont retirés à J2, présence toutefois d'une zone de macération en regard de la plaie qui est à surveiller. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. À noter une hyponatrémie à 130 mmol/l le 30.04.2020 qui est surveillée; au contrôle du 02.05.2020, elle est à 138 mmol/l. Le 03.05.2020, Mr. Y peut regagner son domicile le 03.05.2020. Patient de 77 ans admis en urgence dans le service de médecine interne en raison d'une baisse de l'état général avec fatigue généralisée depuis environ une semaine et douleurs invalidantes du MIG. Il présente des nausées et vomissements (1-2x/jour, sans lien avec les repas) depuis le 14.04.2020. De plus, diarrhées (brunâtres, sans sang ni mucus, 5-8x/jour) depuis le 14.04.2020. Notion de constipation il y a une semaine, traitée par Movicol. À noter également des gonalgies G depuis plusieurs mois. Pas de fièvre ni frissons. Pas de dysurie. Pas d'autres plaintes. À noter que le patient est connu pour un carcinome pulmonaire du lobe supérieur D, stade pT2b (6 cm) pN0 (0/17), G3, M0-1, R0, évoluant depuis juillet 2015 (traité par lobectomie supérieure D et chimiothérapie) avec métastase unique au niveau du toit du cotyle G (découverte en 2018, traitée par radiothérapie), actuellement sous Tagrisso de bonne tolérance. Suivi par Prof. X (dernier contrôle le 08.04.2020). Le 27.04.2020, il est transféré en orthopédie pour l'implantation d'une PTH à G. L'intervention chirurgicale se déroule le 27.04.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie à 75 g/l le 30.04.2020 nécessitant la transfusion de 2 CE; Hb à 93 g/l le 01.05.2020. La plaie chirurgicale évolue favorablement, elle est calme et sèche à la sortie. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Antalgie standard. Le 04.05.2020, Mr. Y est transféré en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Patient de 77 ans qui est hospitalisé en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée qui se déroule le 14.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les rx postop sont satisfaisantes. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. À la sortie, les plaies chirurgicales sont calmes et sèches sous le pansement Comfeel. Les douleurs sont soulagées par une antalgie simple. Au vu de l'évolution favorable, le patient peut regagner son domicile le 16.05.2020. Patient de 78 ans, admis pour une fermeture de l'auricule gauche, dans un contexte de microbleeds cérébraux sur anticoagulation par Eliquis pour une fibrillation auriculaire avec antécédents d'AVC et AIT. On procède comme convenu à la fermeture de l'auricule gauche sous contrôle échographique transoesophagien et angioscopique. La procédure se passe sans complication, le patient bénéficie également d'une coronarographie qui montre des lésions coronariennes connues et stables. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans particularité. L'Eliquis est stoppé, une double anti-agrégation par Plavix et Aspirine sera à poursuivre 3 mois, puis une anti-agrégation simple selon le contrôle prévu chez les neurologues en mai. Le patient reçoit une carte de prophylaxie de l'endocardite pour 6 mois. Mr. Y regagne son domicile le 11.02.2020. Patient de 8 ans envoyé par les urgences de l'HFR Riaz à la suite d'une chute avec réception sur l'avant-bras G en jouant au football le 12.04.2020. Les investigations mettent en évidence la fracture susmentionnée. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 13.04.2020, sans complications. Absence de troubles neuro-vasculaires en pré et postopératoire. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Les orifices des broches restent propres et calmes. Immobilisation par BAB fendu. Retour à domicile le 13.04.2020. Patient de 82 ans connu pour maladie de Parkinson transféré des urgences de Fribourg pour baisse de l'état général dans un contexte de diarrhées chroniques d'origine indéterminée. À l'entrée, le patient décrit une baisse d'état général avec perte de poids de 5 kilos les 6 derniers mois. Il ne présente pas de fièvre ou de perte d'appétit. Il a des diarrhées fluctuantes liquides jusqu'à 2 épisodes par jour, sans rectorragie ou mucus visible. Il décrit un ballonnement avec augmentation des gaz, sans douleurs abdominales actuellement. Cliniquement le patient est cachectique, il présente un ralentissement général dans le contexte de sa maladie de Parkinson. L'examen abdominal est rassurant, sans douleur à la palpation ou masse palpable. La prise de sang est dans la norme hormis une anémie, ainsi que le sédiment urinaire. Nous effectuons une colonoscopie le 06.05.20 qui montre une masse sténosante à 10 cm de la marge anale. Le CT abdominal montre une masse au niveau du côlon sans signe d'iléus actuellement. Nous prenons un avis chirurgical auprès du Dr. X qui propose un transfert en chirurgie pour compléter le bilan et stomie de décharge dès que possible. Nous expliquons le résultat de la colonoscopie au patient en expliquant qu'il s'agit peut-être d'une tumeur. Il accepte de faire une chirurgie si c'est nécessaire. Nous transférons le patient en chirurgie à Fribourg pour suite de prise en charge le 08.05.2020. Patient de 85 ans, hospitalisé début avril pour une infection à Covid et pour laquelle il bénéficiait d'une réadaptation respiratoire, qui nous est transféré de l'HFR Billens pour une insuffisance respiratoire aiguë le 02.05.2020, dans un contexte de décompensation cardiaque gauche et de pneumonie nosocomiale bilatérale. Dans ce contexte de péjoration respiratoire, nous effectuons le 02.05.2020 une radiographie, puis un CT du thorax, qui montrent une péjoration des foyers de pneumonie préexistants, ainsi que des épanchements pleuraux bilatéraux. Nous instaurons le jour même des diurétiques intraveineux en continu, ainsi qu'un changement d'antibiothérapie de la Céfépime en faveur du Méropénème. Le patient est également mis sous oxygénothérapie maximale, avec instauration de bronchodilatateurs. Au vu de l'état général du patient, tant au niveau physique que cognitif, il est décidé de privilégier une prise en charge axée sur des soins maximaux à l'étage. La situation respiratoire se dégrade progressivement, avec une dyspnée et une tachypnée très importantes. Au vu de la situation, il est décidé, en accord avec la famille, de passer à des soins de confort. Mr. Y décède paisiblement le 09.05.2020. Patient de 85 ans qui présente une infection chronique de PTH D fistulisée à la peau avec instabilité ainsi qu'une artériopathie de stade IV avec nécrose sèche du MID. Nous exposons les différentes possibilités thérapeutiques au patient à savoir: • l'attitude maximaliste: ablation de la prothèse sans réimplantation et amputation du membre inférieur D. • l'attitude minimaliste: maintien de la prothèse et attitude conservatrice au niveau du pied. Au vu des risques anesthésiques élevés, de l'absence de douleurs présentées par le patient, de l'absence de gêne lors des transferts lit-fauteuil, de la présence d'une fistulisation à la peau permettant un drainage permanent, et d'une nécrose actuellement sèche au MID, nous optons pour l'attitude conservatrice. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais sommes à disposition pour réévaluer le patient en cas de changement de situation. Patient de 86 ans, institutionnalisé en EMS, admis en urgence à la suite d'une chute de sa hauteur le 09.05.2020 avec réception sur la hanche D. Les investigations mettent en évidence la fracture susmentionnée. Après discussion avec le patient et sa famille, l'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 10.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par le développement d'un état confusionnel aigu, que nous traitons, après consilium psychiatrique, par introduction de Quétiapine à bas dosage avec amélioration de l'état cognitif. Ce traitement sera à surveiller au long cours. Nous introduisons une thromboprophylaxie de Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Les douleurs sont soulagées par une antalgie simple. Les rx de contrôle montrent une fracture réduite et un matériel d'ostéosynthèse en place. Le patient bénéficie d'une rééducation à la marche en charge selon douleur avec l'aide des physiothérapeutes. L'évolution est favorable permettant un retour au home le 14.05.2020. Le jour de sa sortie, les cicatrices sont calmes. Le patient ne présente pas de troubles neuro-vasculaires. Patient de 89 ans qui présente à l'hétéroanamnèse d'une proche-aidante une confusion depuis deux à trois semaines avec diminution de l'état général et des troubles de la marche en péjoration. On note également une augmentation des OMI déjà présents depuis environ 10 jours. Pas de notion de chute. Le reste de l'anamnèse systématique est dans la norme. Le patient vit seul à domicile. Une amie proche s'occupe de lui au quotidien avec le Spitex pour la douche une fois par semaine. Nous retrouvons un patient en état général diminué mais orienté à tous les modes à l'entrée. Le rythme cardiaque est irrégulier et on note des oedèmes des membres inférieurs bilatéraux remontant jusqu'à mi-mollet. Les status pulmonaire et abdominal sont dans la norme. La marche est instable avec une ataxie et un polygone de sustentation augmenté. Au laboratoire, ne se montre pas d'élévation des valeurs inflammatoires et une légère augmentation du NT-proBNP. L'ECG d'entrée met en évidence une fibrillation auriculaire lente nouvelle, pour laquelle nous commençons un traitement par Eliquis. Pas de foyer ou signes de décompensation cardiaque à la radio thoracique. Un scan cérébral montre une légère augmentation de l'hydrocéphalie comparée au scan effectué en 07/2019, sans signes d'ischémie ou de saignement intracrânien. En quelques jours d'hospitalisation, l'état du patient s'améliore nettement avec une amélioration des troubles cognitifs et de la marche. Sur avis du neurochirurgien Dr. X, nous devrions faire une nouvelle ponction lombaire soustractive et si amélioration de la clinique, envoyer le patient au Lindenhof pour une prise en charge chirurgicale. Nous faisons une évaluation des troubles cognitifs et de la marche, qui montrent des résultats comparables aux tests effectués après la réadaptation gériatrique l'année passée après la ventriculocisternostomie. Nous essayons tout de même de faire une ponction lombaire mais, malgré plusieurs tentatives, nous n'arrivons pas à atteindre le LCR. Au vu de l'amélioration d'état du patient, objectivée par son amie proche, nous renonçons à la possibilité d'une intervention chirurgicale et organisons une réadaptation gériatrique pour améliorer la sécurité de la marche. En raison des oedèmes, nous adaptons le traitement par Torasémide et effectuons des bandages des membres inférieurs. Après avoir l'accord du patient, nous informons le Juge de Paix pour initier les démarches pour une curatelle volontaire. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Le patient quittera l'hôpital de Meyriez le 12.05.2020 pour aller en réhabilitation à Estavayer-le-Lac. Patient décide de rentrer à domicile; il consultera son médecin traitant demain. Patient difficilement évaluable car s'agite et pleure ++ lors du status et présente un épisode de vomissement lors de l'inspection du pharynx avec l'abaisse-langue. Le status neurologique est dans la norme, sous réserve d'un examen compliqué, mais l'enfant est rapidement calmé dans les bras de maman. Enfant gardé en surveillance jusqu'à 6h post-chute. Contrôles cliniques neurologiques et des paramètres vitaux toujours dans la norme. Pas de nouvelle symptomatologie, elle a mangé avec bonne tolérance. Patient dirigé vers la permanence médicale. Patient en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences de l'HFR Riaz suite à un traumatisme de la cheville droite, de mécanisme indéterminé, en glissant sur la terre mouillée. Craquement audible et fortes douleurs de la cheville droite avec impotence fonctionnelle et charge impossible depuis lors. Aux urgences, la cheville droite se présente tuméfiée aux malléoles interne et externe avec déformation visible en éversion. À noter l'absence de troubles neurovasculaires.Le bilan radiologique met en évidence une fracture-luxation trimalléolaire de la cheville droite. Une réduction est réalisée sous sédation avec, par la suite, mise en place d'une immobilisation par botte plâtrée. Le contrôle radiologique post-réduction est acceptable. Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie de Riaz dans l'attente d'une détuméfaction en vue de la prise en charge chirurgicale. Le 13.05.2020, Mr. Y est transféré dans le service d'orthopédie de l'HFR Fribourg. • Mr. Y est réorienté vers la permanence médicale. • Mr. Y est évalué par le CDC. Retour à domicile avec ordonnance. • Mr. Y est gardé en surveillance jusqu'à 6 h post-chute. Contrôles cliniques neurologiques et des paramètres vitaux toujours dans la norme. Pas de nouvelle symptomatologie. Pas de fracture cervicale visualisée à la radiographie. Selon avis orthopédique : minerve mousse et contrôle clinique chez le pédiatre dans 4 jours, antalgie en réserve. Cas discuté avec Dr. X (Cheffe de clinique de pédiatrie). • Mr. Y est hospitalisé en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée qui se déroule le 13.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation en charge selon douleurs. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Antalgie standard. Retour à domicile le 14.05.2020. • Mr. Y est hospitalisé en urgence pour évolution défavorable d'une plaie/abrasion olécrânienne D suite à une chute survenue il y a 2 semaines. Depuis une semaine Mr. Y présente une rougeur du coude D associée à une tuméfaction. Consulte le médecin traitant qui nous l'adresse pour suite de prise en charge. Du point de vue inflammatoire, la CRP est à 106 mg/l et les leucocytes à 12,1 G/l le 24.04.2020. L'indication à une bursectomie est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 24.04.2020, sans complications. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Absence de trouble neuro-sensitif du MSD. Attelle BAB. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cutané pendant l'hospitalisation. Du point de vue infectieux, les prélèvements peropératoires reviennent positifs pour un Staph. aureus MSSA. Poursuite de l'antibiothérapie i.v. puis p.o. par co-amoxicilline. Le 27.04.2020, les leucocytes sont à 6 G/l et la CRP est à 60 mg/l. Un trigéminisme nouveau est objectivé aux urgences, Mr. Y étant asymptomatique. Une hypomagnésémie est observée, substituée pour une durée de 10 jours selon avis cardiologique. Un contrôle biologique chez le médecin traitant est proposé. Un US transthoracique est effectué le 28.04.2020 montrant : FEVG à 70 %; pas de trouble valvulaire majeur. L'arythmie ventriculaire et les FRCV posent l'indication à un écho de stress pour exclure une maladie coronarienne sous-jacente. Examen programmé dans 3 semaines. Mr. Y se mobilise de manière autonome par ailleurs. Il reçoit une antalgie suffisante, demeure afébrile et stable durant son séjour. Retour à domicile le 29.04.2020. • Mr. Y est normotendu aux urgences à 152/84 mmHg. 4 mesures de tension quotidiennement, puis contrôle à votre consultation le 28.05.2020, avec adaptation du traitement au besoin. • Mr. Y est parti sans consultation. • Mr. Y est parti sans consultation. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. Adressé à la PMF. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. Discuté avec MRT et proposition au patient de rappeler son médecin traitant ou PMF. • Mr. Y est parti sans consultation médicale, ne souhaite plus attendre. • Mr. Y est parti sans consultation médicale (ne voulait pas attendre). Paracétamol 1 g PO. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. Proposition de test Covid. Consignes d'auto-isolement données. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. Adressé à la PMF. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. ECG envoyé à son médecin. • Mr. Y est parti sans consultation médicale. Ira consulter son médecin traitant. • Mr. Y présente une symptomatologie possiblement mixte C6 et C7 avec la réalisation d'une infiltration péri-radiculaire C7 n'ayant apporté aucun bénéfice. Actuellement, le traitement antalgique est insuffisant, raison pour laquelle nous introduisons un traitement par corticoïdes de Dexaméthasone 10 mg 1x/j. à diminuer d'1 mg par jour et ce pour 10 jours. Nous souhaitons que Mr. Y soit convoqué au Neurocentre pour la réalisation d'une ENMG et reverrons Mr. Y par la suite afin de juger de l'évolution. Entre-temps, nous ne réitérons pas l'IRM, celle-ci sera peut-être à refaire en fonction de l'évolution. • Mr. Y que vous adressez en raison d'une mauvaise évolution d'une dermohypodermite du membre supérieur droit, sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline per-os depuis 48 heures. Mr. Y présente une croûte en regard de l'olécrâne droit sans notion de traumatisme, avec tuméfaction, rougeur, chaleur et douleurs du coude et de l'avant-bras droits en augmentation progressive. Notion d'écoulement purulent intermittent du coude. À son arrivée aux urgences, nous retrouvons un coude et avant-bras droits tuméfiés, rouges et chauds avec tuméfaction de la bourse olécranienne, légèrement fluctuante, indolore. Présence de lésions cutanées superficielles, légèrement fibrineuses à la face dorsale de l'ulna proximale. Le laboratoire rapporte un syndrome inflammatoire avec CRP à 241 mg/l sans leucocytose et une créatinine à 144 umol/l. La radiographie du coude ne montre pas de lésion osseuse ni d'épanchement intra-articulaire. L'US de l'avant-bras droit ne montre pas de franche collection mais un œdème diffus sous-cutané. Une incision de la bourse est réalisée sous anesthésie locale avec écoulement d'un liquide citrin; un rinçage abondant est effectué avec mise en place d'un Penrose. Une bactériologie est en cours. Une immobilisation par attelle BAB est mise en place ainsi qu'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2,2 g iv aux urgences puis Co-Amoxicilline 1,2 g iv 3x/jour dès le 27.05.2020. Un transfert à l'HFR Fribourg est organisé le 29.05.2020, afin de poursuivre le suivi de cette bursite et d'évaluer l'indication opératoire d'une bursectomie. Nous notons également une insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement d'origine pré-rénale dans le contexte infectieux avec mise en place d'une hydratation intraveineuse et mise en suspens de l'IEC et du thiazide, à reprendre dès que la fonction rénale le permet. • Mr. Y qui consulte pour une rougeur avec induration médialement à la jéjunostomie depuis quelques jours sans autre problème. Au CT, on trouve un abcès sous-cutané d'environ 3 cm, un test au produit de contraste ne visualise pas de fuite. Après drainage manuel de Mr. Y, on organise un drainage sous ultrason qui ne retrouve pas de collection. Un rinçage parastomial est effectué et sera continué à raison de 2x/j par les soins à domicile. • Mr. Y qui présente donc essentiellement des lombalgies au plan dans un contexte de discopathie débutante et de déséquilibre sagittal. Il a effectué récemment des abdominaux avec flexion du tronc ayant probablement entraîné des douleurs au niveau de l'ilio-psoas. Nous lui recommandons d'abord plutôt des séances de physiothérapie pour hygiène du dos et élongation abdominale et enseignement du gainage abdomino-dorsal statique sans forcer. Nous lui prescrivons également des patchs de Flector et de la crème Voltarène à appliquer. Nous le reverrons dans 4 mois.Patient qui présente donc une composante de lombalgie et une statique lombaire insatisfaisante accompagnée d'une sciatique S1 gauche avec épisodes récidivants. L'IRM concorde avec les trouvailles cliniques raison pour laquelle nous organisons une infiltration péri-radiculaire S1 gauche et reverrons le patient par la suite. Une prise en charge chirurgicale est déjà expliquée au patient au vu des symptômes récidivants et de l'apparence radiologique. Patient qui vient suite à une chute avec réception sur la main droite et le genou droit. Les radiographies ne montrent pas d'atteinte osseuse. Sous anesthésie par Rapidocaïne nous mettons en place 4 points de sutures avec Ethilon 4.0, Adaptic, pansement stérile. Tétanos à jour. Contrôle de la plaie dans 48 heures chez le pédiatre. Ablation des fils dans 14 jours. Patient réadressé chez son médecin traitant ou à la permanence médicale ou en ORL lundi (selon ses préférences) pour suite de prise en charge. Patient refusant de demander une curatelle administrative volontaire. Patient pouvant s'annoncer volontairement à Pro Infirmis pour demander un soutien du côté administratif s'il le souhaite, a reçu les informations de contact. Patient réorienté à la permanence médicale. Patient reparti sans consultation médicale. Patient reviendra demain à 18 au Secteur ambulatoire des urgences pour contrôle. Patient sans symptôme (a eu un résultat Covid-19 positif le 08.05.2020). Patient sera convoqué en neurologie. Patient sera convoqué par la secrétaire du Dr X lundi 18.05.2020 pour un EEG. Patient sorti contre avis médical ne souhaitait pas attendre une intervention ce jour, devra être recontacté pour prise en charge. Rx du coude gauche : pas de fracture associée. Laboratoire. Patient sous Aspirine à vie pour antécédent d'angor avec dernier contrôle anamnestiquement dans la norme. Patient toujours sous antibiothérapie et ce jusqu'à l'ablation des fils. Réfection du pansement ce jour avec désinfection à l'Octenisept et mise en place d'un Adaptic et compresses. Prochain contrôle dans une semaine pour réfection du pansement et contrôle clinique. Patient transféré de l'HFR Tavel pour suite de prise en charge orthopédique. Patient transféré depuis la salle de coronarographie pour une dyspnée aiguë. Patient avait aujourd'hui une coronarographie élective prévue pour une dyspnée à l'effort et un test d'effort pathologique. Lors de la mise en position décubitus, le patient présente une dyspnée aiguë, sans douleurs thoraciques ou palpitations associées. Patient n'a pas pris son traitement diurétique ce jour (Torem 20 mg p.o). Examen clinique aux urgences. Général : diminué, afébrile, SpO2 90% sous 4l/min. CV : B1B2 bien frappés, réguliers, sans souffle audible. PPP. OMI jusqu'à mi-tibia. Pneumo : Tachypnéique, MVS avec crépitants grossiers sur toutes les plages pulmonaires. Patient vu au tri par Dr. X. Mycostatin 1 ml 4x/jour jusqu'à 48H après disparition des douleurs. Patient vu au tri par MRT. Floxal pommade et pansement ophtalmique. Reviendra demain en consultation ophtalmologique. Patient vu par le Dr. X après consultation ce matin avec la permanence médicale de Fribourg. Le Dr. X retient le même statut clinique et le même diagnostic que la permanence médicale de Fribourg, et il préconise un contrôle clinique à une semaine en filière ambulatoire prévu pour vendredi 08.05.2020. Mme. Y admise aux SI pour une surveillance neurologique après accident de la voie publique à vélo électrique le 09.05.2020. Le CT total body démontre un hématome sous dural G de 6 mm. Un CT de contrôle après développement d'une diplopie binoculaire démontre xxx. La surveillance neurologique se passe sans incidents, la patiente est transférée le xxx. Mme. Y a reçu un Xyzal. Conseillé de prendre le traitement prescrit par le médecin à Riaz. Conseil de prendre RDV avec dermatologue. Mme. Y accompagnée au C4 où RDV prévu. Mme. Y admise à l'HFR Meyriez le 27.04.2020 à la suite d'une chute sur l'épaule D et le sternum. Les rx mettent en évidence une fracture déplacée 3 parts de l'humérus proximal D nécessitant une prise en charge opératoire au vu du risque de nécrose de la tête humérale. Le 30.04.2020, la patiente est transférée à Fribourg et l'intervention chirurgicale se déroule le même jour, sans complications. L'anticoagulation par Xarelto 20 mg 1x/j est mise en suspens. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire est propre et sèche à la sortie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane dès 6 h postop, jusqu'au 02.05.2020. Reprise du Xarelto 20 mg 1x/j dès le 03.05.2020. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie standard. Retour à domicile le 03.05.2020 avec les SAD. Mme. Y admise en urgence à l'HFR Riaz le 14.05.2020 à la suite d'une chute sur vertige avec réception sur les mains le matin du 14.05.2020. Patiente connue pour un carcinome rénal métastatique au niveau pulmonaire et osseux (rachis cervical) sous radiothérapie et immunothérapie à visée palliative. Les investigations mettent en évidence la fracture de l'humérus G. Absence de troubles neuro-vasculaires. Un traitement conservateur de la fracture est proposé à la patiente qui refuse, elle veut absolument une intervention chirurgicale tout en sachant les risques directs par rapport à un AVC. A noter une hémorragie digestive probablement haute est mise en évidence à l'HFR Riaz pour laquelle la patiente ne souhaite pas de prise en charge. A noter une anémie microcytaire et hypochrome avec Hb à 64 g/l le 14.05.2020 motivant la transfusion de 2 CE. L'anticoagulation par Xarelto est mise en suspens le 14.05.2020. Le 15.05.2020, Mme. Y est transférée à Fribourg pour suite de prise en charge. L'intervention chirurgicale se déroule le 18.05.2020 avec, en peropératoire, la transfusion de 1 CE. Les suites postopératoires sont simples et afébriles. Les rx postopératoires montrent un bon positionnement du matériel. Les douleurs sont soulagées par une antalgie de palier III avec relais par palier I pour la suite. La plaie chirurgicale reste calme et propre sous le pansement Comfeel. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Concernant l'hémorragie digestive, un avis de gastro-entérologie est demandé et un traitement de Nexium 40 mg 2x/j est instauré pour 4 semaines au total puis selon évolution. Au vu de l'absence de symptômes, la patiente peut progressivement reprendre un régime normal dès le 19.05.2020. L'hémoglobine reste stable par la suite et l'anticoagulation par Xarelto peut être reprise le 20.05.2020. L'évolution étant favorable, la patiente peut regagner son domicile le 22.05.2020. Un rendez-vous en radio-oncologie est agendé au 25.05.2020 à 13h00 chez la Dr. X. Mme. Y adressée à la permanence médicale. Mme. Y adressée à la permanence médicale de Fribourg. Mme. Y adressée à la permanence médicale de Fribourg. Mme. Y adressée à la permanence médicale de Fribourg. Mme. Y adressée à la permanence médicale de Fribourg. Mme. Y adressée à la permanence médicale de Fribourg. Mme. Y adressée à la PMF, avec son accord. Mme. Y adressée par le médecin traitant pour CRP 139, RX pulmonaire avec pneumonie bilatérale et frottis Covid fait ce jour négatif.Patiente adressée par le service de gériatrie aiguë le 09.04.2020 pour un état fébrile à 38.6°C et une toux aiguë Patiente adressée par l'HFR Meyriez pour suite de prise en charge. Patiente adressée par son médecin traitant. Radiographie de la cheville et du pied gauche : arrachement dorsal du talus probablement ancien sans corrélat clinique, pas d'épanchement intra-articulaire. Attitude : • Poursuite du protocole RICE et Aircast pour durée totale de 6 semaines. • Physiothérapie. • CT-scan de la cheville gauche prévu le 26.05.2020 avec contrôle en policlinique d'orthopédie. Patiente allergique à la pénicilline qui a reçu du Co-Amoxicilline iv 2,2g Patiente au courant et ne souhaite pas d'investigation. Patiente connue pour un diabète. Malgré l'évolution post-opératoire favorable, apparition de lésions type pied diabétique ddc. Elle n'est pas encore suivie par un podologue. De plus, son médecin traitant ayant fermé son cabinet, elle n'a encore consulté personne pour cette problématique. Nous contacterons donc son médecin traitant afin d'instaurer un suivi des plaies en podologie. Nous réalisons ce jour un débridement et posons un pansement Adaptic. Concernant la cheville D, contrôle radio-clinique dans 2 mois. Patiente de 10 ans qui est en bonne santé habituellement et qui présente des douleurs au niveau malléolaire externe gauche depuis le traumatisme hier le 26.05.2020. Radiographie de la cheville gauche et du pied gauche ne montrant pas d'atteinte osseuse. La patiente rentre à domicile avec immobilisation de la cheville gauche par une attelle AirCast. Antalgie par Algifor en réserve. Contrôle clinique chez le pédiatre dans 1 semaine. Patiente de 14 ans qui présente des douleurs abdominales débutées sur la journée du 16.05 initialement en péri-ombilical et puis localisation en fosse iliaque droite. Douleurs légèrement améliorées par l'antalgie. Une prise de sang réalisée aux urgences ne montre pas de syndrome inflammatoire. L'US abdominale ne visualise pas l'appendice mais révèle du liquide libre en Douglas, ovaire droit en ordre, ovaire gauche agrandi et d'aspect irrégulier mais flux sanguin présent, sans arguments pour une torsion ovarienne. Dans ce sens, un avis gynécologique est pris, une échographie est refaite qui confirme sur l'ovaire gauche une visualisation du corps jaune, compatible avec l'ovulation, le liquide libre peut être compatible avec les règles. Pas d'explication pour les douleurs importantes pendant l'échographie sur le flanc droit (ovaire droit dans la norme). Patiente présente des douleurs persistantes malgré l'antalgie reçue (Novalgin IV et Dafalgan). Patiente a été examinée par notre collègue chirurgien, Dr. X, qui ne retrouve pas de signes d'abdomen chirurgical. Explications données au père sur les possibles pathologies. Décision de retourner à domicile et de la contrôler dans 12 heures aux urgences avec +/- contrôle biologique et US en fonction de la clinique. Patiente de 15 ans qui présente un conflit fémoro-acétabulaire D symptomatique sur rétroversion cotyloïdienne et torsion fémorale diminuée, pour laquelle nous posons l'indication à une luxation chirurgicale de hanche avec trimming du mur antérieur, refixation labrale et +/- ostéotomie fémorale de rotation selon testing per-opératoire. L'intervention, ses bénéfices, risques et suites sont expliqués à la patiente et à sa maman. Le consentement éclairé est signé ce jour. Elle sera convoquée selon les disponibilités du bloc opératoire. Patiente de 19 ans hospitalisée en électif pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, en date du 06.05.2020, la patiente fait une chute dans les escaliers avec torsion du pied D entraînant la fracture susmentionnée. Au vu du raccourcissement et des troubles rotatoires en regard du 5ème métatarsien, l'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 15.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie chirurgicale reste calme et propre. Adaptation d'un VACOpedes et mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané. Au vu de la bonne évolution, la patiente peut regagner son domicile le 16.05.2020. Patiente de 19 ans, 1G-0P à 37 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes. Par la suite, la patiente se met en travail spontanément. Le travail est harmonieux sous anesthésie péridurale et elle accouche le lendemain. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée au contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.05.2020 en bon état général. Patiente de 22 ans, 3G-1P à 40 1/7 semaines d'aménorrhée qui se présente pour un contrôle à terme à la consultation prénatale. Nous mettons en évidence une présentation du siège. Dans ce contexte, nous proposons une césarienne élective qu'elle accepte. L'intervention se déroule sans complication avec la naissance d'une fille pesant 3270 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.05.2020 en bon état général. Patiente de 23 ans, 1G-0P à 40 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour une protéinurie isolée sans pré-éclampsie mise en évidence lors d'un bilan pour des céphalées transitoires. Elle bénéficie d'une provocation par Misoprostol et rupture artificielle des membranes. Elle donne naissance à un garçon pesant 3120 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 08.05.2020 en bon état général. Patiente de 23 ans, 4G-1P à 39 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 21.05.2020 pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance à un garçon pesant 3040 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.05.2020 en bon état général. Patiente de 25 ans qui présente les lésions susmentionnées pour lesquelles nous posons l'indication à une prise en charge chirurgicale sous forme d'une luxation chirurgicale de hanche par ostéotomie du grand trochanter avec ostéotomie de dérotation subtrochantérienne, réduction du mur antérieur, suture et refixation du labrum et correction d'offset antéro-supérieur. L'intervention, ses bénéfices, risques et suites sont expliqués à la patiente. Le consentement éclairé est signé ce jour. Elle sera convoquée selon les disponibilités du bloc opératoire. Patiente de 25 ans, 1G-0P à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 05.05.2020 pour rupture prématurée des membranes avec mise en travail spontanée. Elle donne naissance par voie basse spontanément à une fille pesant 3290 g, de bonne adaptation néonatale.La délivrance dirigée est normale et complète et une déchirure périnéale de degré 2 ainsi que des éraillures des petites lèvres sont suturées. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 08.05.2020 en bon état général. Patiente de 25 ans, 3G-2P à 39 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 09.05.2020 pour rupture prématurée des membranes. Après une attitude expectative de 24 h, la patiente est provoquée par Syntocinon et nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent ensuite rapidement. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3300 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 12.05.2020 en bon état général. Patiente de 26 ans, 1G-à 37 2/7 semaines d'aménorrhée est admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes depuis 3 h. La patiente s'est mise en travail spontanément après une attitude expectative de 18 h. Le travail est soutenu par Ocytocine. Après 1 heure de poussée active, la présentation fœtale reste haute posant l'indication à une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complications et la patiente donne naissance à une fille pesant 3250 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.05.2020, en bon état général. Patiente de 26 ans, 1G-0P à 37+1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 06.05.2020 en vue d'une césarienne en urgence pour procubitus du cordon ombilical fœtal et présentation en siège découverte fortuitement lors d'un contrôle chez le Dr. X. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3250 g, de bonne adaptation néonatale. La patiente développe à J1 un hématome au niveau de la cicatrice qui diffuse dans les parties déclives en direction du pubis et du flanc droit. Il n'y a pas de collection palpable ni signes d'infection et la patiente est confortable avec une antalgie simple. Une hémoglobine de contrôle à J2 s'avère à 107 g/l avec initiation d'une substitution martiale per os. Nous optons pour une surveillance avec compression et application de froid. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.05.2020 en bon état général. Elle sera revue à une semaine pour contrôle de l'hématome et de la cicatrice. Les conseils d'usage sont donnés et la patiente sait quand reconsulter. Patiente de 26 ans, 2G 0P à 41 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 17.05.2020 en vue d'une provocation pour terme dépassé et désir maternel. Elle bénéficie de l'administration de Misoprostol permettant la mise en travail. La dilatation est harmonieuse sous anesthésie péridurale. La patiente donne naissance spontanément à un garçon pesant 4320 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 20.05.2020 en bon état général. Patiente de 26 ans, 2G-1P à 37 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 08.05.2020 pour rupture prématurée des membranes et portage de streptocoques du groupe B. Dans ce contexte, elle est provoquée par Misoprostol. Elle donne naissance rapidement à un garçon pesant 2860 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.05.2020, en bon état général. Patiente de 27 ans, nulligeste qui nous est adressée par son gynécologue traitant pour une bartholinite gauche. Il s'agit d'une récidive après un premier épisode en février 2020 résolu par anti-inflammatoires. Dans ce contexte, nous posons l'indication opératoire qui est acceptée par la patiente. L'intervention se déroule le 28.05.2020 sans complications. Les suites post-opératoires sont simples permettant un retour à domicile le jour même. Patiente de 27 ans, 1G-0P à 39 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 22.05.2020 en vue d'une césarienne élective pour présentation podalique. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3520 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. Un sevrage primaire de l'allaitement est assuré par le Dostinex dans le post-partum immédiat. Contraception par Azalia-po-1x/j à partir du 10.06.2020. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.05.2020 en bon état général. Patiente de 27 ans, 1G-0P à 40 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 28.04.2020 pour mise en travail spontanée. Le travail est soutenu par Syntocinon sous anesthésie péridurale. En raison d'un CTG pathologique à dilatation complète aux épines + 2, nous posons l'indication à une extraction par ventouse kiwi. Elle donne naissance à un garçon pesant 3420 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée avec sa gynécologue traitante au contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.04.2020 en bon état général. Patiente de 28 ans, 1G-0P à 39+5/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 22.05.2020 pour des contractions utérines. Vu une phase de latence prolongée, la patiente bénéficie d'une provocation par Propess. En raison d'un CTG qui devient pathologique et de l'absence de mise en travail, nous posons l'indication à une césarienne. Elle donne naissance à un garçon pesant 3480 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.05.2020 en bon état général. Patiente de 28 ans, 2G-0P à 40 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 10.05.2020 pour mise en travail spontanée. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse.L'accouchement par voie basse est instrumenté par ventouse kiwi pour non progression de la présentation à épines +1. Mme. Y donne naissance à un garçon pesant 3510 g, de bonne adaptation néonatale. Une suture périnéale de degré 2 est suturée sans complications. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum, dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 15.05.2020, en bon état général. Mme. Y, 28 ans, 2G-0P, se présente aux urgences avec un saignement vaginal actif important depuis ce soir. À savoir que Mme. Y avait fait une fausse-couche spontanée arrêtée à environ 8 semaines d'aménorrhée, mise en évidence il y a 3 semaines. Sur le plan hémodynamique, Mme. Y est stable. À l'examen gynécologique, nous mettons en évidence un saignement actif avec la présence de matériel retenu dans le col utérin. L'examen échographique montre un endomètre hétérogène. Nous posons par conséquent l'indication à un curetage hémostatique en urgence. L'intervention se déroule sans complication. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre le 10.05.2020 à domicile. Mme. Y, 28 ans, 4G-2P à 40 5/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Elle donne naissance spontanément à une fille pesant 3870 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera à rediscuter lors du contrôle du post-partum, dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 22.05.2020 en bon état général. Mme. Y, 28 ans, 4G3P à 39+1/7 SA, admise en salle d'accouchement le 16.05.2020 pour mise en travail spontané sur utérus cicatriciel. Mme. Y avait une césarienne élective tri-itérative prévue le 18.05.2020. Dans ce contexte, l'indication à une césarienne en urgence est posée. Mme. Y souhaite également une stérilisation tubaire, qui est effectuée dans le même temps opératoire. L'intervention se déroule sans complication et Mme. Y donne naissance à un garçon de 3210 g avec bonne adaptation néonatale. Durant l'hospitalisation, Mme. Y développe une infection urinaire non compliquée traitée par Monuril 3g po en dose unique. Le reste des suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum à votre consultation et dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 20.05.2020 en bon état général. Mme. Y, 29 ans, 1G-0P à 39 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes. Mme. Y est mise sous antibioprophylaxie par Clamoxyl en raison d'un portage de Streptocoques B au niveau ano-vaginal. Au vu de la non mise en travail spontanée après 2h d'expectative, nous procédons à une provocation par Syntocinon. Le travail est harmonieux sous anesthésie péridurale et elle accouche le 28.04.2020. L'accouchement est compliqué d'une déchirure vaginale droite profonde allant jusqu'à la fosse ischio-rectale suturée par des points séparés et en X par du Vicryl 1. Elle présente également une déchirure vaginale gauche et des petites lèvres suturées selon la technique habituelle. Les suites post-partales par la suite sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la mise en place d'un stérilet en cuivre au post-partum. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 01.05.2020 en bon état général. Mme. Y, 29 ans, 1G-0P à 40 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse. Elle donne naissance à une fille pesant 3710 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum. Dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 05.05.2020, en bon état général. Mme. Y, 29 ans, 1G-0P à 41 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 03.05.2020 pour mise en travail spontanée. Le travail ainsi que la dilatation se déroulent de manière harmonieuse et rapide. Elle donne naissance à une fille pesant 3690 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule Desonur. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 05.04.2020, en bon état général. Mme. Y, 29 ans, 2G-0P à 37 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 09.05.2020 en vue d'une provocation pour cassure de la courbe de croissance avec PFE à 2300 (P90, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est initié après autorisation des pédiatres et se déroule harmonieusement. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.05.2020 en bon état général. Patiente de 36 ans, 4G-3P à 38+ 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 15.05.2020 en vue d'une césarienne élective bi-itérative. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3890 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future : desonur-po-1x/j. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.05.2020 en bon état général. Patiente de 37 ans, 1G-0P à 37+6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 08.05.2020 en vue d'une césarienne élective pour présentation podalique. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3370 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel : sevrage primaire par Dostinex selon protocole. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 12.05.2020 en bon état général. Patiente de 37 ans 1G-1P qui se présente pour ablation de deux kystes de la grande lèvre gauche symptomatique et pose de DIU. Patiente de 38 ans, 3G-2P à 39 2/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 13.05.2020 pour rupture prématurée des membranes depuis 1 semaine. Nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl et la patiente se met spontanément en travail. La dilatation est harmonieuse. Elle donne naissance par ventouse Kiwi pour non progression de la présentation et CTG suspect aux épines+2 à un garçon pesant 3640 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.05.2020 en bon état général. Patiente de 38 ans, 4G-1P à 41+1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 07.05.2020 pour une provocation pour terme dépassé. Après administration de Misoprostol, la patiente se met en travail et dilate harmonieusement sans anesthésie. L'accouchement par voie basse est spontané et rapide avec naissance d'une fille de 2860 g (P5) soit un RCIU méconnu, avec bonne adaptation. Les suites post-partales immédiates sont marquées par une rétention placentaire complète hémorragique avec des pertes sanguines estimées à 1300 ml in toto. Nous effectuons une délivrance placentaire et une révision des 3 étages au bloc opératoire sous anesthésie générale. La patiente reçoit au total 70 UI de Syntocinon avec bonne réponse utérine. L'hémoglobine de contrôle à J1 s'élève à 91 g/l avec prescription de fer per os dès la reprise du transit. La patiente souhaite un sevrage primaire de l'allaitement, raison pour laquelle elle reçoit du Dostinex 1 mg. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum à votre consultation. Dans l'attente, la patiente utilisera un préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.05.2020. Patiente de 41 ans, 2G-2P à 38 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective itérative. L'intervention est marquée par la perte de 1200 ml de sang et elle donne naissance à un garçon pesant 3470 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales immédiates sont marquées par la transfusion de 2 culots érythrocytaires (hémocue à 80 g/l) en salle de réveil avec une hémoglobine de contrôle à 111 g/l le 01.05.2020 (92 g/l avant la transfusion). Une thromboprophylaxie par Clexane 60 mg 1x/j est débutée 6 heures post-opératoires et sera poursuivie 6 semaines post-partum. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. La patiente a vu le diabétologue le 04.05.2020 : Glycémie à 4.7 à J3 post-partum. HGPO le 17.07.2020 agendé. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.05.2020, en bon état général. Patiente de 41 ans, 4G-0P à 34 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 02.05.2020 suite à une décélération profonde sur un CTG de contrôle dans le cadre d'un retard de croissance intra-utérine avec redistribution cérébro-placentaire avec Doppler ombilical > P95 et oligoamnios. Dans ce contexte, et au vu de la présentation podalique, nous posons l'indication à une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complications et la patiente donne naissance à un garçon de 1750 (< P3) qui est hospitalisé en néonatologie. Les suites post-partales sont simples et afébriles. La patiente souhaite un sevrage de son allaitement par Dostinex effectué le 02.05.2020 selon protocole. Concernant son diabète gestationnel insulino-requérant, la glycémie de contrôle à J3 est dans la norme. La contraception future sera discutée pendant le contrôle du post-partum à votre consultation. Dans l'attente, la patiente utilisera un préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 07.05.2020, en bon état général. Patiente de 42 ans, en bonne santé habituelle, connue pour appendicite perforée traitée conservativement, qui se présente ce jour pour appendicectomie laparoscopique. L'opération se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples permettant un retour à domicile le jour-même de la chirurgie à savoir le 08.05.2020. Patiente de 43 ans hospitalisée en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée qui se déroule le 15.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Absence de troubles neuro-vasculaires. La plaie chirurgicale reste calme et propre. Antalgie standard. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Au vu de la bonne évolution, la patiente peut regagner son domicile le 17.05.2020. Patiente de 45 ans, 3G-1P qui se présente pour des métrorragies depuis 10 jours associées à des douleurs intermittentes en fosse iliaque droite, nausées et vomissements. A l'examen clinique, nous n'objectivons pas de saignement actif. L'US vaginal met en évidence un endomètre de 20 mm et une suspicion d'adénomyose. Le laboratoire montre une pancytopénie, raison pour laquelle nous demandons un avis hématologique qui conclut à une cause d'origine utérine spoliative. Un bilan d'anémie et une substitution en vitamine B9 sont proposés. Les sérologies effectuées à l'entrée mettent en évidence une hépatite B chronique non connue. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance et prise en charge chirurgicale. Elle bénéficie d'une dose de Ferinject 1000 mg IV, 1 gr de Fibrinogène, une hydratation IV et une injection de DepoProvera intramusculaire en attente d'un curetage en urgence. L'intervention se déroule sans complication le 26.05.2020 avec transfusion d'un culot érythrocytaire et d'un concentré plaquettaire en per-opératoire. Les suites post-opératoires sont simples permettant un retour à domicile le 26.05.2020. Mme. Y, 48 ans, qui est connue pour cervicalgies chroniques, présente des douleurs épigastriques depuis plusieurs jours de type brûlures, sans irradiation, accompagnées par des nausées avec plusieurs épisodes de vomissements. Un bilan biologique et un laboratoire sont mis en annexe. Aux urgences, le patient a reçu Nexium 40 mg avec un effet favorable sur les douleurs. Nous observons régulièrement les valeurs de paramètres vitaux et constatons une hypertension à 205/100 mmHg. Pour cette raison, nous administrons Nifédipine 20 mg avec un effet favorable sur les valeurs de TA. À la sortie, nous administrons le traitement par Lisinopril 2,5 mg per os 1 fois par jour avec un contrôle tensionnel régulier et, par la suite, un contrôle chez son médecin traitant dans 3-4 jours. La patiente rentre à domicile avec un contrôle clinique chez son médecin traitant dans 3-4 jours. Mme. Y, 49 ans, hospitalisée en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée, qui se déroule le 15.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation en charge selon douleurs avec chaussure DARCO sous conduite de la physiothérapie. La plaie chirurgicale reste calme et propre. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Au vu de la bonne évolution, la patiente peut regagner son domicile le 17.05.2020. Mme. Y, 50 ans, qui consulte suite à un traumatisme de la colonne vertébrale le 23.05.2020. Radiographie de la colonne vertébrale ne montrant pas de fracture. Vu l'examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile avec antalgie en réserve, arrêt de travail pour 3 jours. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 3 jours. Mme. Y, 52 ans, connue pour un statut post-bypass gastrique avec cholécystectomie en 2015, qui consulte pour des douleurs abdominales depuis le 13.05.2020 avec 1 épisode de vomissement et 1 épisode de selles liquides le 14.05.2020. Pas de fièvre ni de frisson. Le bilan biologique et radiologique parlent en faveur d'un passage de lithiase biliaire, mais un ampullome ne peut être exclu. Un avis gastroentérologique est pris auprès du Dr. X qui propose de ne pas effectuer d'ERCP au vu du statut post-bypass gastrique. Un CA19-9 est normal le 19.05.2020. L'évolution clinique et biologique est favorable, la reprise alimentaire est bien tolérée et la patiente peut regagner son domicile le 21.05.2020 en bon état général. Elle reviendra en ambulatoire le 25.05.2020 à 11h pour un PET-CT. Un suivi sera ensuite effectué auprès des Chefs de clinique de Chirurgie. Mme. Y, 54 ans, hospitalisée en électif pour l'implantation d'une PTH. L'intervention se déroule le 06.05.2020, sans complications. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie asymptomatique à 91 g/l le 07.05. et 90 g/l le 08.05.2020 sans nécessité de transfusion ; un contrôle est à prévoir par le médecin traitant. Absence de troubles neuro-vasculaires postopératoires. La plaie chirurgicale est calme et sèche à la sortie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation, puis Xarelto 10 mg 1x/j p.o. à la sortie. Retour à domicile le 10.05.2020. Mme. Y, 54 ans, présente donc des douleurs persistantes de hanche D, toutefois en diminution progressive, pour lesquelles une infection de prothèse a été exclue par ponction de hanche. Du côté G, la patiente est demandeuse d'une prise en charge. En raison de la présence de cristaux de pyrophosphates à la ponction intra-articulaire, nous remercions nos collègues rhumatologues de bien vouloir évaluer la patiente à leur consultation afin d'éliminer une cause rhumatologique à ses douleurs. Nous informons la patiente de la nécessité de s'annoncer auprès de l'AI afin d'effectuer une détection précoce pour un reclassement professionnel. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle radioclinique à 11 mois post-opératoires, le 04.08.2020. Mme. Y, 56 ans, 6G-3P, se présente pour des métrorragies post-coïtales avec douleur vaginale. À l'examen clinique, une déchirure vaginale saignant activement est visualisée. L'indication à une prise en charge chirurgicale en urgence est posée. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le jour même. Mme. Y, 57 ans, admise en urgence à la suite d'une chute de sa hauteur le 27.04.2020 avec réception sur le bras D et le genou G. Les investigations mettent en évidence les diagnostics susmentionnés. L'indication opératoire est posée en regard de la fracture de l'humérus D. L'intervention chirurgicale se déroule le 28.04.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie nécessitant la transfusion de 2 CE le 30.04.2020. À noter que le CT et l'IRM du genou G ne montrent pas de fracture, raison pour laquelle une charge complète est autorisée à G. Les rx postop de l'épaule D sont satisfaisantes. La plaie chirurgicale est calme et propre. Antalgie standard. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antibioprophylaxie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 27.04. au 29.04.2020 puis relais p.o. par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 02.05.2020. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut durant l'hospitalisation. Sur le plan internistique, un bilan d'ostéoporose est réalisé, mettant en évidence une hypovitaminose D associée à un profil phospho-calcique perturbé, justifiant l'introduction d'une supplémentation p.o. de Vit. D, magnésium et calcium. Un nouveau bilan biologique sera à prévoir dans 3 mois. Le bilan électrolytique étant également perturbé, la patiente bénéficie d'une supplémentation de potassium i.v. pour 24 h puis p.o. pour 4 jours (jusqu'au 06.05.2020, avec normalisation de la kaliémie. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente peut regagner son domicile le 06.05.2020. Mme. Y, 57 ans, déjà investiguée en 2019 pour des hémoptysies sans qu'une étiologie claire ait pu être retrouvée, présente depuis ce matin des hémoptysies massives avec 5 épisodes évalués au total à 300 ml, motivant sa consultation à Riaz. Le bilan radiologique permet d'exclure une embolie pulmonaire et montre des altérations apicales connues associées à des lésions lobaires inférieure droite en verre dépoli et un encombrement alvéolaire diffus ponctiforme pouvant être compatible avec un épisode infectieux ou secondaire aux saignements. Aucun syndrome inflammatoire ni trouble de la coagulation n'est retrouvé. La patiente est transférée aux soins intensifs pour surveillance dans l'attente d'une bronchoscopie. La surveillance se déroule sans complication et la bronchoscopie est réalisée le 20.05.2020. L'examen met en évidence une muqueuse bronchique diffusément irritée avec des saignements diffus. Un LBA est réalisé et devra être pisté. Dans l'intervalle, un traitement de co-amoxicilline est introduit pour traiter une éventuelle bronchite infectieuse. Une maladie de reflux est également possible au vu d'une hernie hiatale constatée au CT, pour laquelle nous introduisons du Pantozol. Le traitement d'aspirine en prophylaxie primaire est stoppé et nous ne débutons pas d'anticoagulation prophylactique vu le contexte.A noter également des épisodes d'hypoglycémies symptomatiques (tremblements et sudations) pour lesquels des perfusions de glucoses sont nécessaires durant la mise à jeun. Seule une demi-dose d'insuline a été administrée le 20.05 et le traitement habituel pourra être repris le 21.05.2020. Le 20.05.2020 Mme Y est transférée en médecine interne pour suite de prise en charge. • Patiente de 60 ans admise pour une crise d'épilepsie tonique généralisée d'origine structurelle le 04.05.2020. La patiente rapporte une première crise généralisée clonique de 5 minutes puis une deuxième partielle du membre supérieur gauche motivant une consultation au service des urgences. A noter que la patiente est connue pour une épilepsie chronique secondaire depuis 2018. Au service des urgences, nous observons une dysarthrie, une ataxie de l'hémicorps droit et une diminution de la motricité fine du bras gauche. Le laboratoire montre des lactates à 4.2 mmol/l, sans syndrome inflammatoire ni trouble électrolytique. Un scanner puis une IRM cérébrale montrent une stabilité de la métastase frontale droite avec une augmentation de l'œdème périlésionnel et de son effet de masse ainsi qu'une nouvelle lésion de 5 mm au niveau temporal droit. Un EEG montre un important foyer irritatif fronto central droit. Nous retenons une crise épileptique structurelle probablement provoquée par l'augmentation de l'œdème péri-lésionnel frontal droit. Cette lésion cause probablement également la diminution de la motricité fine du bras gauche observée depuis une année. Un avis neurologique est demandé au Dr. X qui propose d'introduire un traitement par Levetiracetam 500 mg deux fois par jour. Les neurochirurgiens proposent une corticothérapie par dexaméthasone en schéma dégressif. S'il y a une péjoration de la motricité du bras gauche lors du sevrage, nous proposons d'augmenter les doses de dexaméthasone à la dose minimale efficace. Nous n'observons pas de nouvelle crise d'épilepsie. Un EEG de contrôle montre une amélioration au niveau du foyer irritatif temporal droit. Un rendez-vous de suivi est organisé chez le Dr. X le 28.07.2020. Si l'épilepsie et la clinique du bras gauche ne sont pas maîtrisées avec les médicaments, la patiente pourra reprendre contact avec le Dr. X pour une éventuelle opération. Au niveau oncologique, nous observons une nouvelle lésion temporale de 5 mm suspecte de métastase. Le Dr. X reprendra contact avec la patiente pour évaluer la possibilité d'une nouvelle radiochirurgie. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien montre une stabilité des lésions pulmonaires sans nouvelles lésions suspectes. Les radiologues observent néanmoins une lésion aspécifique au niveau du corps vertébral D1 (hémangiome bénin vs. agressif, métastase semble exclue), stable par rapport au contrôle de décembre 2019. Nous proposons de prendre contact avec le Dr. X pour relire les images et, en cas de doute, compléter avec une IRM de la colonne dorsale. Nous laissons le soin au Dr. X et au Dr. X d'assurer la suite du suivi oncologique à la clinique de la source. Compte tenu de l'introduction d'un traitement de Keppra chez une patiente sous nombreuses phytothérapies, nous avons pris un avis de pharmacologie clinique afin d'éviter les interactions médicamenteuses. Nous n'observons pas d'interaction majeure entre les traitements introduits et la phytothérapie. La pharmacienne clinique propose cependant d'éviter d'utiliser le paracétamol ou de l'utiliser avec précaution compte tenu de la prise de Spag Kawa Passiflora (Piper Methysticum, Passiflora Incarnata) pour des raisons de risque d'hépatotoxicité. Suite à l'IRM cérébrale, nous observons une dérégulation de la valve de la dérivation ventriculo-péritonéale qui est contrôlée puis réglée sur la valeur 2 à l'Inselspital, car nous ne possédions pas l'appareil pour la régler à l'HFR de Fribourg. Mme Y rentre à domicile le 08.05.2020 avec une évaluation d'une ergothérapeute à domicile. • Patiente de 60 ans hospitalisée en électif pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, le 25.04.2020, la patiente fait une chute de sa hauteur avec réception directe sur le coude droit. Les investigations réalisées aux urgences mettent en évidence la fracture susmentionnée. Immobilisation par BAB fendu. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 27.04.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. La plaie chirurgicale reste calme et propre. Absence de troubles neuro-vasculaires. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cutané pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 28.04.2020. • Patiente de 64 ans, connue pour un cancer pulmonaire à petites cellules multimétastatique, notamment cérébral avec carcinose méningée, qui nous est adressée par le Dr. X pour une baisse de l'état général et une pancytopénie avec agranulocytose post-chimiothérapie le 27.04.2020. Pour rappel, la patiente avait bénéficié d'une nouvelle ligne de traitement par Topotecan, initiée du 20.04 au 25.04, et se présente à l'entrée avec dysphagie ainsi qu'une asthénie marquée depuis quelques jours. Le jour de son entrée, Mme Y présente une somnolence accrue, motivant un CT cérébral qui ne montre pas de progression de l'œdème cérébral sur ses métastases connues, ni d'hémorragie intra-cérébrale. En raison d'une pancytopénie avec agranulocytose persistante, la patiente bénéficie de transfusions de concentrés érythrocytaires et plaquettaires ainsi que d'injections de Neupogen. Au vu d'un état fébrile sans foyer franc le 27.04.2020, nous initions le jour même un traitement antibiotique à large spectre avec de la Cefepime et du Métronidazole. Les hémocultures reviennent positives pour E. coli. En raison d'une mycose orale, nous débutons également un traitement de mycostatine puis de fluconazole le 30.04.2020. Au cours de son hospitalisation, la patiente développe des importants troubles électrolytiques avec hypokaliémie, hypocalcémie, hypophosphatémie et hypomagnésémie, que nous substituons par voie intraveineuse, sans parvenir à une normalisation. L'état général de la patiente se dégrade malheureusement progressivement et rapidement. Au vu de l'absence d'amélioration clinique et de la maladie oncologique dépassée, nous décidons de passer à des soins de confort. Mme Y décède paisiblement le 02.05.2020. • Patiente de 64 ans, retraitée, très active (professeure de fitness) qui consulte le 11.05 dans le cadre du suivi de douleurs au pied gauche avec IRM ayant permis d'écarter une fracture de stress. Lors de cette consultation de suivi, la patiente rapporte un traumatisme du genou droit le 10.05. Entorse du genou avec torsion vers l'intérieur. Depuis lors, gonflement et douleurs importantes à la mobilisation, charge difficile, flexion limitée. Une radiographie standard a permis d'écarter une fracture et une IRM est organisée pour le jeudi 14.05.2020. Dans l'intervalle, une antalgie par Dafalgan, atelle jeans est prescrite. Une prophylaxie anti-thrombotique a également été prescrite.L'IRM montre une entorse de grade II du ligament colatéral médial dans sa partie proximale et moyenne. Les résultats ont été transmis le 18.05 à la patiente. Une ordonnance pour 9 séances de physiothérapie lui a également été remise. Patiente de 65 ans, admise aux soins intensifs le 18.05.2020 pour surveillance rythmique post-coronarographie en raison d'un syndrome de Takotsubo. Elle consulte initialement à la permanence de Meyriez en raison d'une dyspnée nouvelle de stade IV, associée à une discrète oppression thoracique. En raison de discrets sus-décalages en inférieur à l'ECG et de troponines positives, elle nous est adressée pour complément d'investigations cardiologiques. La coronarographie effectuée en urgence est compatible avec un syndrome de Takotsubo, sans facteur précipitant évident. Une maladie coronarienne bi-tronculaire est également mise en évidence, qui n'explique cependant pas le tableau clinique et para-clinique mais motive l'introduction d'un traitement par aspirine et statine. L'état respiratoire s'améliore également après introduction de bronchodilatateurs et corticoïdes inhalés. Des fonctions pulmonaires devront être organisées à distance de l'épisode actuel. La surveillance rythmique se déroule sans complications, un traitement IEC est débuté à faibles doses vu le profil tensionnel bas et du Nebilet est introduit également au dosage minimal vu la FEVG diminuée. Une ETT de suivi devra être organisée dans 3 semaines ainsi qu'une IRM de stress dans 2-3 mois pour évaluer la nécessité d'un traitement des lésions de l'ACD et de la diagonale. Le 19.05.2020, Mme Y est transférée en médecine interne pour suite de prise en charge. Patiente de 66 ans, connue pour un carcinome ORL, actuellement sous chimiothérapie par Erbitux, qui nous est transférée par le Dr. X pour baisse de l'état général et subiléus sur probable fécalome associé à un globe vésical le 17.04.2020. Pour rappel, la patiente se plaint d'asthénie et inappétence depuis une semaine et absence de selles depuis lors. Elle présente depuis deux jours un gonflement abdominal et des douleurs sus-pubiennes associées à une anurie. Un schéma laxatif et une sonde vésicale sont mis en place. Le globe vésical entraîne une insuffisance rénale d'origine post-rénale rapidement résolutive grâce au sondage, avec une polyurie de levée d'obstacle qu'on surveille. L'évolution est favorable et la sonde peut être retirée le 06.05.2020. Le bilan biologique retrouve également une hypernatrémie (Na 173). L'origine est probablement une déshydratation avec diminution des apports hydriques due aux fuites des liquides dans la trachée dans le contexte d'un Provox vieux mis en place en octobre dernier. Celui-ci est remplacé lors d'une consultation ORL. Celle-ci a aussi pu être favorisée par la levée d'obstacle suite à la pose de la sonde vésicale. Un schéma d'hydratation IV permet sa résolution progressive. Sur le plan oncologique, la chimiothérapie initialement prévue le 18.04 est reportée au lundi 04.05.2020. Elle est bien tolérée sur le plan clinique. On observe par contre une mauvaise tolérance sur le plan hématologique avec une thrombocytopénie pour laquelle on met en suspens l'anticoagulation. L'évolution est favorable. La patiente va poursuivre son suivi oncologique avec le Dr. X. Du point de vue dermatologique, on signale une folliculite secondaire à l'Erbitux qui évolue favorablement avec un traitement de Fucicort. Dans le contexte oncologique et des traitements chimiothérapeutiques, la patiente présente une dénutrition sévère pour laquelle elle bénéficie d'un suivi par nos collègues diététiciennes. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 69 ans, qui bénéficie le 18.05.2020 d'une laparotomie exploratrice en urgence et résection selon Hartmann en raison d'une perforation iatrogène du sigmoïde. Elle nous est adressée intubée, en post-opératoire immédiat, pour suite de prise en charge et sevrage ventilatoire. Pour rappel, une annexectomie bilatérale élective est réalisée le 15.05.2020 à l'hôpital Daler. Dans les suites opératoires, la patiente présente 2 épisodes de vomissement ainsi qu'une rétention urinaire qui motivent la réalisation d'un scanner le 18.05.2020. Cet examen montre des épanchements et condensations pulmonaires bilatérales postéro-basales parlant en faveur d'une pneumopathie infectieuse. À l'étage abdominal, un pneumo-péritoine important évoquant une perforation digestive est mis en évidence avec un infiltrat collecté au niveau de la racine mésentérique. La patiente est alors transférée à l'HFR Fribourg pour la réalisation d'une laparotomie exploratrice en urgence. L'opération du 18.05.2020 met en évidence une perforation du sigmoïde iatrogène. Le sigmoïde est réséqué et une colostomie de décharge est réalisée, sans complication. En raison d'un bilan radiologique évoquant par surplus une pneumonie avec condensations pulmonaires bilatérales, la patiente nous est adressée intubée. L'évolution post-opératoire est simple et la patiente est extubée quelques heures après son arrivée dans notre service, sans complication. Les condensations pulmonaires bi-basales sont attribuées en premier lieu à une pneumopathie d'inhalation, couverte par Tazobac (instauré en raison de la péritonite stérol-correcte). Le frottis Covid-19 s'avère négatif et l'isolement gouttelettes est levé. Au vu de l'évolution simple, la patiente est transférée à sa demande en division de chirurgie à l'HFR-Fribourg. À noter qu'elle a arraché accidentellement sa sonde naso-gastrique lors de ce transfert. Patiente de 70 ans qui présente un descellement de l'implant cotyloïdien d'une PTH D implantée en 2017 avec rétrotorsion de la tige pour laquelle, au vu des douleurs invalidantes, nous posons l'indication à une révision bipolaire de cette prothèse. Un bilan biologique avec FSS et CRP est effectué ce jour. Une ponction de hanche D sous contrôle scopique sera effectuée le 25.05.2020. L'intervention, ses bénéfices, risques et suites sont expliqués à la patiente. Le consentement éclairé est signé ce jour. Nous prévoyons une révision de prothèse avec implantation d'un anneau de Ganz, greffe du cotyle, cimentage d'une cupule à double mobilité et implantation d'une tige de révision par trochantérotomie fémorale étendue. La patiente sera convoquée selon les disponibilités du bloc opératoire. Patiente de 71 ans, connue pour un diabète type 2 difficile à contrôler sur malcompliance, qui est adressée par son médecin traitant pour la prise en charge de cervicalgies avec irradiation dans l'épaule D, présentes depuis environ 1 mois sans troubles sensitivo-moteurs du membre supérieur droit. Un CT le 30.04.2020 avait révélé en C4/5 une uncarthose et une ostéochondrose avec suspicion d'irritation de la racine de C5. Une IRM effectuée chez nous ne montre pas davantage de lésions au niveau du rachis. Une antalgie par palier 2 permet un certain contrôle des douleurs, complexes chez cette patiente connue pour des douleurs chroniques. Au vu de la découverte d'une bactériémie à Staph. Aureus le 01.05.2020, nous mettons la patiente sous Daptomycine et effectuons une IRM à la recherche d'une spondylodiscite qui revient dans la norme ainsi qu'une ETO ne montrant pas de végétations ni de signes d'endocardite. Jusqu'à preuve du contraire, la bactériémie est traitée comme une endocardite durant 4 semaines au total avec poursuite des antibiotiques intraveineux à domicile.De plus à l'entrée, la patiente présente une décompensation diabétique hyperosmolaire. La patiente avoue une mauvaise compliance thérapeutique ces derniers temps. Elle décrit une polyurie et polydypsie depuis 1-2 semaines et l'hémoglobine glyquée à >10% reflète une malcompliance sur le long terme, connue de son médecin traitant. Nous simplifions son traitement d'insuline lente pour le domicile et adaptons les bolus aux repas. Concernant les douleurs importantes dont souffre Mme Y, nous évoquons un soutien psychiatrique qui semble indiqué chez cette patiente ayant subi des violences dans sa vie de jeune femme qu'elle ne souhaite pas clarifier. Elle refuse d'ailleurs un suivi ou un soutien psychiatrique concernant ses douleurs, en insistant qu'elle a eu de mauvaises expériences avec les psychiatres par le passé. Cependant, une discussion pour l'orienter vers un psychologue semblerait adéquate étant donné que cet aspect de sa vie semble influencer grandement sa santé, que ce soit sur ses douleurs ou sur son contrôle du diabète. Patiente de 72 ans, connue pour plusieurs épisodes de diverticulite par le passé, dont le 1er il y a 4 ans, est adressée par la permanence médicale pour suite de prise en charge d'une diverticulite Hansen Stock IIA. La patiente est hospitalisée en chirurgie et une antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole est débutée le 23.05.2020 pour 48h intra-veineux avec relais per os pour une durée totale de 10 jours. L'évolution, clinique et biologique, étant rapidement favorable, la patiente retourne à domicile avec les conseils d'usage. Elle souhaite organiser elle-même via son médecin de famille, une colonoscopie dans 4-6 semaines. La patiente quitte l'hôpital le 25.05.2020. Patiente de 72 ans, connue pour un carcinome rénal non à petites cellules, métastatique aux niveaux pulmonaire et osseux (rachis cervical), sous radiothérapie et immunothérapie à visée palliative, qui consulte aux urgences de l'HFR Riaz suite à une chute de sa hauteur avec réception sur les mains dans un contexte de vertiges. Une déformation du bras gauche apparaît avec d'intenses douleurs. À noter l'absence de troubles neuro-vasculaires. Le bilan radiologique (radiographie et CT) met en évidence une fracture oblique diaphysaire de l'humérus gauche, probablement d'origine pathologique avec mise en place d'une immobilisation par attelle BAB + attelle en U, ainsi que gilet orthopédique. Suite à la discussion avec la patiente, une indication opératoire est retenue dans un but de soulager la douleur avant tout. La patiente est transférée dans le service d'orthopédie de Fribourg le 15.05.2020 afin de bénéficier d'une consultation d'anesthésie et en vue de sa prise en charge chirurgicale. Au bilan biologique, nous mettons en évidence une anémie microcytaire et hypochrome à Hb 64 g/l dans un contexte probable d'hémorragie digestive haute/basse avec un hémofecatest positif; au toucher rectal, nous ne mettons pas en évidence de saignement actif. Un traitement par Nexium 80 mg iv en bolus puis 8 mg/h iv continu est mis en place et la patiente est mise à jeûn. Nous transfusons 2 culots érythrocytaires avec une Hb de contrôle à 88 g/l. Après discussion avec la patiente, cette dernière refuse l'OGD et la coloscopie au vu de sa situation palliative (pronostic de 6-12 mois selon son oncologue et refus d'acharnement thérapeutique). Au vu de la stabilité de l'hémoglobine post-transfusionnelle, nous passons le Nexium à 40 mg iv 2x/jour avec un régime lisse et froid dès le 15.05.2020 au soir. Nous proposons de réévaluer la reprise d'un régime normal selon tolérance et contrôle de l'hémoglobine avec passage au Nexium 40 mg 2x/jour per os. Dans le contexte péri-opératoire avec indication à une anticoagulation thérapeutique (thrombus de l'oreillette gauche), une anticoagulation par Liquémine iv continu sera à débuter le 16.05.2020 en fonction de l'hémoglobine. Actuellement, le Xarelto a été mis en suspens. Dans le contexte de mise à jeûn et d'hypercalcémie, une hydratation iv est mise en place. Patiente de 73 ans, connue pour un adénocarcinome du bas rectum avec métastase hépatique, qui nous est adressée par l'oncologie pour hypokaliémie lors d'un contrôle avec CT scan le 13.05.2020. Après confirmation avec les oncologues, nous expliquons cette hypokaliémie réfractaire et hypomagnésémie comme un effet secondaire fréquent de son traitement d'Erbitux, sans nouveauté à l'ECG. Nous substituons Mme Y en potassium et en magnésium et la laissons ensuite retourner à domicile avec des substitutions PO de ces électrolytes. Un contrôle ambulatoire aura lieu en oncologie. Nous notons aussi que la patiente se plaint de douleurs au niveau de la sphère buccale avec une prothèse dentaire mal adaptée, qu'elle n'ose pas changer étant donné les coûts que cela représente pour elle au niveau financier. Un suivi diététique est déjà en place et le contact de la ligue contre le cancer lui est donné pour évaluer une éventuelle aide financière. Durant l'hospitalisation, la patiente souligne aussi qu'elle n'a pas eu de contrôle dermatologique depuis longtemps et qu'un suivi de ses naevi la rassurerait. Mme Y rentre à domicile le 19.05.2020 avec une chimiothérapie prévue le jour même. Patiente de 74 ans connue pour les antécédents susmentionnés, qui est hospitalisée le 18.05.2020 pour une cholécystectomie élective qui se déroule sans complication le même jour. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Les douleurs sont contrôlées par une antalgie simple. Nous laissons Mme Y regagner son domicile le 20.05.2020 en bon état général. Patiente de 75 ans, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un NSTEMI survenu le 01.05.2020. Dans la semaine précédant le diagnostic, Mme Y rapporte avoir souffert d'épigastralgies oppressives. La douleur était majorée à l'effort. Elle rapporte une dyspnée d'effort et nocturne. Elle consulte le 01.05.2020 en raison d'un mal-être généralisé et d'une persistance de la douleur. Un NSTEMI est diagnostiqué, elle bénéficie le 03.05.2020 d'une coronarographie. Depuis l'examen invasif, la patiente ne rapporte plus de douleur thoracique et une nette amélioration de sa dyspnée. L'examen clinique d'entrée est sans découverte pathologique. La patiente débute sa réadaptation cardiovasculaire sans complication. Dans la nuit du 16.05.2020, elle développe un trouble de l'état de conscience objectivé par les infirmières. Le GCS est à 10 (4, 2, 4) avec une anisocorie associée à une TAs à 200 mmHg. Au vu de la forte suspicion d'AVC hémorragique, la patiente est transférée sur le site de l'HFR Fribourg pour prise en charge. Patiente de 75 ans qui vient du domicile pour une réadaptation cardiovasculaire des suites d'un syndrome de Takotsubo survenu le 05.05.2020. Mme Y rapporte s'être rendue le 04.05.2020 chez le dentiste où elle a subi une extraction dentaire problématique et stressante. Dans l'après-midi, elle mentionne une baisse de l'état général avec apparition de douleurs épigastriques. Dans la soirée des douleurs apparaissent au niveau du trapèze gauche. Au réveil, des douleurs thoraciques présentes l'inquiètent et la poussent à consulter. Son médecin traitant diagnostique des douleurs thoraciques non nitrosensibles. Suite à un ECG pathologique, Mme Y est ensuite transférée à l'HFR Fribourg où une coronarographie d'urgence permettra de faire le diagnostic de Takotsubo. Les suites hospitalières sont simples et la patiente rentre à domicile le 09.05.2020. Elle ne rapporte aucune plainte à son arrivée à l'étage. L'examen clinique d'entrée est sans grande particularité.Durant le séjour, le 16.05.2020, la patiente rapporte des nuccalgies comparables à celles ressenties lors de l'épisode de Takotsubo. Elle bénéficie d'un ECG, d'un laboratoire avec troponine et D-dimères. Les différents examens reviennent tous négatifs. Les douleurs seront soulagées par physiothérapie et application de fango. Mise à part cet épisode, le séjour se déroule sans complication. Sur le plan des facteurs de risque cardiovasculaires, nous diagnostiquons le 05.05.2020 une dyslipidémie avec un taux de LDL à 3.97 mmol/L; le score GSLA restant faible (5.4%), nous ne débutons donc pas de traitement par Statine. Nous vous laissons le soin de recontrôler le bilan lipidique dans 2-3 mois. Si la valeur du LDL dépasse 4.7-4.8 mmol/L, un traitement s'impose. En attendant, il faut privilégier une alimentation riche en acides gras mono et poly-insaturés. Le profil tensionnel est bien contrôlé sous le traitement actuel. Mme. Y n'a pas participé de ce fait au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires. Pour rappel, elle avait été suivie en juin 2019 par l'équipe de nutrition clinique lors d'un séjour hospitalier. Depuis, la patiente a pris 6-7 kilos. L'IMC est actuellement à 23,3 kg/m2. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité légère et a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. À la fin de la prise en charge, elle est capable de marcher pendant une durée de 30 minutes à une allure de 5 km/h sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Elle peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 2.2 km/h sur une pente de 1 % pendant 20 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, nous objectivons une augmentation de la distance parcourue (+ 50 mètres) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le 23.05.2020, Mme. Y peut regagner son domicile. Patiente de 76 ans hospitalisée en électif pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, le 27.04.2020, la patiente fait une chute de sa hauteur avec réception sur la main G en hyperextension. Elle consulte les urgences où les rx mettent en évidence la fracture susmentionnée. L'indication opératoire est retenue. Immobilisation dans un plâtre BAB dans l'attente de l'intervention. L'intervention chirurgicale se déroule le 29.04.2020, sans complications. Rx postop satisfaisantes. Immobilisation par BAB fendu. La plaie chirurgicale reste propre et calme. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Les suites postopératoires sont marquées par un état confusionnel avec des hallucinations auditives et visuelles motivant un consilium de psychiatrie le 01.05.2020. Un traitement par Haldol et Distraneurin est introduit. L'évolution est satisfaisante après modification de l'antalgie et arrêt du Tramal. Retour à domicile le 02.05.2020. Patiente de 77 ans qui chute de manière accidentelle le 08.05.2020 avec fracture ouverte de l'os propre du nez, plaie de la paupière inférieure gauche et atteinte du sac lacrymal inférieur nécessitant une prise en charge opératoire. L'intervention se complique d'une possible crise convulsive qui nécessite une intubation. Un saignement rétropharyngé est constaté en postopératoire et nécessite un méchage bilatéral par l'équipe ORL et son transfert aux soins intensifs intubée pour sevrage ventilatoire et extubation. Suite à un contrôle ORL n'objectivant pas de saignement le 09.05.2020, l'extubation est réalisée sans complication. Le 10.05.2020, le méchage gauche peut être retiré, mais le droit est conservé en raison d'une récidive de saignement. L'anticoagulation par Xarelto pour une FA est initialement stoppée et reversée par Beriplex. Toute reprise d'une anticoagulation thérapeutique devra être validée par l'équipe d'ORL. Dans l'intervalle, nous prescrivons des bottes antithrombotiques. Au vu de la notion de SAOS et du méchage, le traitement habituel de Temesta est stoppé et nous proposons de réévaluer son arrêt définitifs avec le médecin traitant de la patiente en raison des chutes à répétitions. Suite à l'interruption du traitement diurétique habituel de la patiente, cette dernière présente une décompensation cardiaque légère, pour laquelle nous réintroduisons son traitement habituel et proposons de suivre quotidiennement le poids. Le 10.05.2020, Mme. Y est transférée en médecine interne pour suite de prise en charge. Patiente de 78 ans admise en urgence à la suite d'une torsion de la cheville G sur glissade dans les escaliers le 03.05.2020. Les investigations mettent en évidence la fracture susmentionnée. L'indication opératoire est retenue. Au vu de l'importante tuméfaction des tissus mous, la patiente est hospitalisée pour surélévation et surveillance en vue d'une ostéosynthèse de la fracture. En raison de la découverte d'une FA inaugurale aux urgences, la patiente bénéficie d'une anticoagulation thérapeutique par Clexane 60 mg 2x/j. Le 06.05.2020, selon le souhait de la patiente, transfert à la Clinique Générale à Fribourg pour la prise en charge opératoire. Patiente de 78 ans, connue pour une démence fronto-temporale, institutionnalisée à la villa Beausite, est hospitalisée le 30.04.2020 en raison d'une désaturation à 70% et une tachypnée à 50/min au home. Elle était rentrée le matin du même jour après une hospitalisation à Riaz du 19 au 29.04.2020 pour une pneumonie basale droite dans un contexte d'infection à COVID-19. Elle avait été traitée par antibiothérapie, également pour une cystite concomitante, et par Plaquenil. Aux urgences, le bilan biologique met en évidence des D-dimères élevés et un discret syndrome inflammatoire. La gazométrie artérielle sous 15 l d'oxygène par minute montre une insuffisance respiratoire hypoxémique. Un scanner thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire et montre un foyer et un épanchement basal D plutôt stable par rapport au comparatif. L'électrocardiogramme révèle une fibrillation auriculaire rapide à 160/min. Un traitement par Metoprolol intraveineux puis per os est introduit avec pour effet une baisse de la fréquence cardiaque et une diminution significative des besoins en oxygène. Elle est par la suite hospitalisée en médecine interne. Concernant la fibrillation auriculaire, nous introduisons une anticoagulation par Xarelto 20 mg/j en absence de contre-indication connue. Ce traitement sera à réévaluer au home en fonction des troubles de la déglutition et d'un éventuel risque de chute. D'entente avec nos collègues cardiologues, nous renonçons à réaliser une échographie cardiaque vu l'absence de conséquence thérapeutique et le comparatif de 2018 sans anomalie structurelle visualisée. À noter que le récent traitement par Plaquenil pourrait également avoir contribué à cet événement. Un bilan biologique avec TSH revient dans la norme. Une hypernatrémie déjà présente lors du séjour à Riaz est mise en évidence. Une hydratation légère par glucose est débutée. Après une bonne évolution sur le plan cardiaque avec normalisation de la fréquence et stabilisation de son état clinique, Mme. Y rentre au home le 05.05.2020. Patiente de 79 ans hospitalisée en électif pour l'intervention chirurgicale susmentionnée qui se déroule le 06.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie avec Hb à 85 g/l le 08.05.2020 motivant la transfusion de 1 CE avec bonne réponse (Hb à 97 g/l le 09.05.2020). Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut dès 6 h postop puis reprise de l'anticoagulation par Xarelto 15 mg 1x/j dès le 11.05.2020.Antalgie standard. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Une hyperkaliémie à 5.2 mmol/l justifie un traitement hypokaliémiant et un suivi biologique avec bonne évolution. La plaie chirurgicale reste calme et propre, elle est sèche à la sortie. Le 11.05.2020, Mme. Y est transférée en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Patiente de 82 ans initialement hospitalisée en gériatrie à l'HFR Riaz le 13.04.2020 pour agitation probablement dans le contexte d'une décompensation cardiaque. Dans la nuit du 13 au 14.04.2020, la patiente fait une chute avec impotence fonctionnelle du MIG. Le bilan rx objective la fracture susmentionnée. L'indication opératoire est posée et la patiente est transférée à Fribourg le 14.04.2020. À l'entrée, la patiente présente encore des signes de décompensation cardiaque, ce pourquoi un avis internistique est demandé. Proposition de poursuivre le traitement diurétique pour optimiser son état respiratoire en préopératoire. Après évaluation anesthésique, elle est prise au bloc le 15.04.2020. Le bilan rx postopératoire est satisfaisant. Elle est au bénéfice d'une thromboprophylaxie par Liquémine 5000 UI 2x/j sous-cutané en postopératoire immédiat. En raison de désaturations et péjoration de sa décompensation cardiaque avec notamment tachycardie et désaturations, elle est transférée aux soins intensifs pour suite de prise en charge le 16.04.2020. En raison de ses troubles cognitifs dont désorientation et discours incohérent, une suite de prise en charge gériatrique est proposée après sa sortie des soins intensifs. Nous resterons à disposition pour suivi sur le plan orthopédique. Une demande de reprise de l'hospitalisation en gériatrie aiguë a été déjà demandée en postopératoire immédiat. Patiente de 85 ans connue pour cardiopathie hypertensive et dysrythmique, dernière décompensation cardiaque en novembre 2019, se présente pour une dyspnée progressive NYHA III depuis le 27.04.2020, ainsi qu'une douleur thoracique légère sans irradiation avec sensation de chaleur, indépendante de l'effort ou de la respiration. L'auscultation pulmonaire met en évidence des râles fins bibasaux. L'auscultation du cœur montre un souffle systolique 2/6 au foyer d'Erb. L'ECG d'entrée est superposable aux derniers ECG. La radiographie de thorax parle en faveur d'une décompensation cardiaque, associée à une augmentation des NTproBNP au laboratoire. Devant une augmentation des d-dimères, un CT thoracique est réalisé et permet d'exclure une embolie pulmonaire. Une décompensation cardiaque gauche est retenue, mais nous ne retrouvons pas de cause claire. Le plus probable étant une crise hypertensive. En effet, nous ne retrouvons pas d'infection, de fibrillation auriculaire rapide ou d'ischémie cardiaque mais le profil tensionnel est élevé pendant le séjour. Une thérapie diurétique par Lasix i.v. est introduite le 28.04.20. Vu le cours clinique favorable, un relais par Torasemid p.o. est possible le 30.04.2020. Le dosage des antihypertenseurs est également adapté. Une hypokaliémie et une hypomagnésémie ont été substituées p.o. Mme. Y quitte notre service pour son domicile le 04.05.2020. Patiente de 85 ans connue pour une BPCO et une cardiopathie hypertensive, qui est admise aux soins intensifs pour la prise en charge d'un œdème aigu du poumon sur un pic hypertensif. La patiente est admise en médecine interne en raison d'une pneumonie basale droite. Durant la nuit suivant son admission, la patiente est retrouvée hypertendue et hypoxémique motivant son admission aux soins intensifs. Le tableau clinique initial évoque en premier lieu un œdème aigu des poumons, du furosémide et de la nitroglycérine sont administrés et nous débutons une ventilation non-invasive avec bonne réponse clinique. La nitroglycérine peut rapidement être sevrée et un traitement IEC et diurétique est débuté et devra être adapté selon le profil tensionnel. La pneumonie est initialement traitée par rocephine et klacid. Les hémocultures reviennent positives dans un flacon pour un cocci gram positif motivant la poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline et le résultat définitif de bactériologie devra être pisté. La patiente est transférée le 20.05.2020 dans le service de médecine interne. Patiente de 86 ans qui est hospitalisée le 12.05.2020 en raison de la mise en évidence d'une polyglobulie dans le contexte d'un probable événement cérébro-vasculaire subaigu. Pour rappel, Mme. Y avait présenté mi-avril un épisode subit de sensation de lourdeur et de perte de force dans la jambe à droite avec ataxie à la marche, sans autre déficit neurologique focal ou de langage. Dans le cadre des investigations relatives à ces symptômes, en partie retardées par le contexte de pandémie, son médecin traitant met en évidence une polyglobulie. Nous effectuons un bilan de polyglobulie primaire, qui revient négatif (JAK-2, EPO), mais les explorations radiologiques révèlent la présence d'une volumineuse masse rénale gauche d'origine très probablement tumorale, qui est biopsiée le 19.05.2020 et dont les résultats histopathologiques et le bilan d'extension par CT thoraco-abdominal sont encore en cours au moment du départ de la patiente. Mme. Y sera revue par Dr. X le 27.05.2020 dans le cadre d'une consultation d'onco-gériatrie pour communication des résultats de la biopsie et évaluation de la suite de prise en charge oncologique. La polyglobulie secondaire est traitée actuellement par aspirine jusqu'à nouvel avis. Par ailleurs, au vu d'une suspicion d'AVC subaigu, nous effectuons une IRM cérébrale, qui met en évidence un AVC subaigu au niveau du bras postérieur de la capsule interne gauche qui peut expliquer la symptomatologie neurologique. Nous effectuons un bilan AVC qui ne montre pas de sténose significative au niveau pré-vertébral, une échocardiographie revient normale et un bilan neuropsychologique confirme des troubles mnésiques, exécutifs et attentionnels sans indication à une prise en charge supplémentaire. Les résultats du Holter sont encore en cours. Mme. Y rentre à domicile le 21.05.2020 avec mise en place de soins à domicile 2x/semaine. Elle sera revue par Dr. X la semaine prochaine pour discussion des résultats et suite de prise en charge oncologique. En fonction des résultats, une discussion pluri-disciplinaire dans le cadre d'un TB urologique est à considérer. Patiente de 87 ans amenée à la Permanence le 04.05.2020 par son épouse en raison d'une baisse de l'état général depuis une semaine, avec notamment une fatigue accrue et une inappétence. Le patient décrit des douleurs abdominales diffuses mais prédominantes en épigastre, une absence de selles depuis 4 jours, des nausées et un épisode de vomissement le 1er mai. Le reste de l'anamnèse systématique et l'hétéroanamnèse avec son épouse est sans particularité. À l'entrée se présente un patient en état général diminué, avec des paramètres vitaux dans la norme. Le statut cardio-pulmonaire est normal. Le ventre est diffusement douloureux à la palpation, avec un péritonisme léger au niveau du flanc D. Au labo, on note une élévation de CRP à 44 mg/l sans leucocytose, les valeurs hépatiques et rénales sont dans la norme. Un test au COVID-19 revient négatif. À la radiographie abdominale, on voit des signes irritatifs aspécifiques dans le milieu droit de l'abdomen. Nous concluons à une constipation que nous traitons par laxatif et lavement avec évacuation d'une grande quantité de selles et soulagement perceptible de la douleur abdominale. Un traitement par Laxoberon est installé d'office par la suite. Il persiste un abdomen légèrement douloureux à la palpation au niveau du ventre moyen D à la sortie. Un suivi biologique révèle un manque de vitamine D, raison pour laquelle une substitution orale est initiée.Sur notion de problèmes de livraison de Memantin de la pharmacie après la sortie, nous changeons le traitement pour un patch de Rivastigmine. Nous prions le médecin traitant de réévaluer le traitement en ambulatoire. Le patient quitte notre service le 08.05.2020 pour son domicile. • Patiente de 87 ans, connue pour une d'othlithiase et suivie par le Dr. X dans ce contexte, qui est hospitalisée pour des vertiges sur probable insuffisance vertébro-basilaire sur syndrome de vol sous-clavier le 09.05.2020. Pour rappel, la patiente présente des vertiges chroniques sur othlithiase depuis plusieurs mois et se présente avec une acutisation de ses symptômes, qui sont de qualité et d'intensité différentes, accompagnées d'ataxie. Au vu d'une suspicion d'AVC, nous effectuons un CT cérébral-carotidien, puis une IRM cérébrale qui ne montre pas d'ischémie ou de saignement cérébelleux ou cérébral, mais qui met en évidence une sténose de l'artère sous-clavière gauche de 80-85 % jusqu'à l'émergence de l'artère vertébrale gauche. Dans ce contexte, une cause d'AIT sur bas débit ne pouvant être exclue, nous effectuons un doppler vertébro-carotidien le 11.05.2020, qui confirme la persistance d'un vol vertébral permanent, avec un flux antérograde au niveau du tronc basilaire. Une mise en place de stent n'est pas indiquée. Mme. Y peut rentrer à domicile le 13.05.2020 avec mise en place de soins à domicile 2 fois par semaine, elle est instruite de la possible récurrence des vertiges selon les mouvements du risque plus élevé de chute si cela devait récidiver. • Patiente de 87 ans, qui est hospitalisée pour des épigastralgies d'origine peu claire dans un contexte mixte de pic hypertensif et possible gastrite modérée. Un CT thoraco-abdominal est effectué au service des urgences, sans trouver de cause organique à ces douleurs (CT par ailleurs non injecté au vu de la difficulté initiale de poser une voie veineuse à la patiente et ensuite par souhait de cette dernière). En raison de l'âge de Mme. Y et du contexte général, nous décidons de privilégier une prise en charge conservatrice et symptomatique avec introduction de Pantozol, de diurétiques pour une possible insuffisance cardiaque mise en évidence au CT, et d'un traitement antihypertenseur au vu des pics hypertensifs que présente la patiente à l'entrée. L'évolution est progressivement favorable sur le plan clinique. Par ailleurs, une masse pré-sacrée ouvrant le diagnostic sur un possible liposarcome est découverte à l'imagerie abdominale effectuée à l'entrée. Une IRM abdominale de bilan serait à envisager en ambulatoire selon l'évolution clinique et le contexte général. Le jour de sa sortie, la patiente présente un état subfébrile sans foyer clinique anamnestique ou à l'examen clinique. En accord avec la patiente et selon ses souhaits, nous convenons de ne pas procéder à des investigations supplémentaires et de confirmer son retour à domicile avec un contrôle auprès du médecin traitant dans le courant de la semaine prochaine. Mme. Y évolue donc favorablement et peut rentrer à domicile avec mise en place de soins à domicile 1x/jour. Au vu des vertiges connus, avec une situation stable mais de plus en plus compliquée en appartement protégé, il est décidé, en accord avec la patiente, d'une inscription en prévision de placement, avec retour à domicile en attente d'une place en EMS. • Patiente de 91 ans admise en urgence à la suite d'une chute au home le 03.05.2020 avec réception sur la hanche gauche. Les investigations mettent en évidence la fracture du col fémur gauche. L'indication opératoire est posée. Le Plavix est mis en suspens. L'intervention chirurgicale se déroule le 03.05.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané. Sur le plan infectieux, une infection des voies urinaires basses est mise en évidence à l'entrée et traitée par Nitrofurantoïne. Le 05.05.2020, la patiente présente un état fébrile à 38,5°C accompagné d'un syndrome inflammatoire avec CRP à 317 mg/l. Un test de dépistage pour le COVID-19 revient négatif. Une rx du thorax montre une modeste opacification pulmonaire à droite évoquant une possible pneumonie débutante sur broncho-aspiration. Un traitement de Ceftriaxone 2 g i.v. 1x/j est débuté le 06.05.2020. Bonne évolution clinique et biologique, sans nouvel épisode fébrile et avec diminution du syndrome inflammatoire au contrôle du 07.05.2020 (CRP à 260 mg/l). Au vu de la bonne évolution, Mme. Y peut regagner son home le 07.05.2020. • Patiente de 92 ans, admise aux soins intensifs le 17.05.2020 pour surveillance rythmique et physiothérapie respiratoire intensive en post-opératoire immédiat d'une laparotomie exploratrice avec adhésiolyse, résection antérieure basse, colostomie transverse définitive, et appendicectomie. Institutionnalisée en raison d'une démence avancée (12/28 en 2019), elle présente des douleurs abdominales le 15.05.2020 motivant son transfert aux urgences. Un pneumopéritoine est mis en évidence au CT-scan d'entrée motivant une prise au bloc en urgence pour une laparotomie exploratrice avec mise en évidence d'une tumeur rectale perforée. L'intervention se déroule sans complication. Elle nous est adressée pour suite de prise en charge. L'évolution est marquée par une insuffisance rénale aiguë, rapidement corrigée après réanimation volémique ciblée. Une déplétion volémique par Torasis est instaurée dès le 18.05.2020 en raison de bilans hydro-urinaires fortement positifs (8'000 ml sur 72h) et un suivi rapproché du poids, des électrolytes et de la fonction rénale est préconisé. En raison d'atélectases post-opératoires, elle bénéficie de VNI du 16 au 17.05.2020, avec une bonne évolution. Le 17.05.2020, elle présente une fibrillation auriculaire paroxystique, spontanément cardioversée. L'évolution est par la suite simple et la patiente est transférée en division le 18.05.2020 pour suite de prise en charge. Au vu des risques de chutes dans le cadre d'un déconditionnement post-opératoire, une mobilisation sous supervision directe est recommandée. • Patiente de 92 ans admise en urgence le 27.04.2020 à la suite d'une chute mécanique de sa hauteur avec réception sur la hanche gauche. Les investigations mettent en évidence la fracture susmentionnée. L'indication opératoire est posée. Le Sintrom est stoppé le 27.04.2020 avec réversion de la crase par Konakion. L'intervention chirurgicale se déroule le 28.04.2020, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie à 78 g/l le 30.04.2020 nécessitant la transfusion de 2 CE; Hb à 113 g/l le 01.05.2020. Les plaies chirurgicales restent calmes et propres. Rx et CT postop satisfaisants. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané. Le 01.05.2020, Mme. Y est transférée en rééducation à l'HFR Billens. • Patiente de 93 ans qui nous est transférée le 06.05.2020 depuis l'EMS St François à Courtepin pour un état subfébrile et érythème du membre supérieur droit. À l'entrée, la patiente décrit un état subfébrile depuis la veille avec développement depuis le 06.05.2020 d'un érythème et œdème de l'ensemble du membre supérieur droit. Elle présente également une polyurie, sans dysurie. De plus, elle se plaint de nausées avec un épisode de vomissement alimentaire le 05.05.2020. Cliniquement, la patiente est orientée dans les 3 modes. Le rythme cardiaque est irrégulier avec souffle systolique 3/6 irradiant dans les carotides, elle présente des légers œdèmes au niveau des chevilles, absence de râles crépitants pulmonaires aux bases. Au niveau cutané, on observe un membre supérieur droit douloureux, érythémateux et œdématié du poignet jusqu'à l'épaule.Le laboratoire d'entrée montre un syndrome inflammatoire, une leucocyturie, une bactériurie, une hématurie et des nitrites urinaires. Nous effectuons un frottis covid-19 dans le contexte de l'état subfébrile qui revient négatif. La culture d'urine revient positive avec un E. Coli sensible à l'ampicilline. Nous diagnostiquons une dermo-hypodermite du membre supérieur droit et une infection urinaire basse. Nous mettons en place une antibiothérapie de co-amoxicilline 2.2 g 3x/j du 06.05.20 au 08.05.20 puis relais par voie orale avec co-amoxicilline 1 g 3x/j du 09.05.20 au 16.05.20. L'évolution est rapidement favorable. La patiente ne présente plus d'état subfébrile ou de polyurie. Mme Y retourne dans son lieu de vie le 12.05.2020. Patiente de 96 ans en excellent état général envoyée par son médecin traitant après la découverte d'une tachycardie par les soins à domicile. Mme Y est asymptomatique en dehors d'une légère fatigue ce dernier jour. On met en évidence une FA rapide à l'ECG. La fréquence se ralentit finalement après un anticalcique intraveineux. On ne relève pas de décompensation cardiaque associée. On ne retrouve pas de cause infectieuse, hypovolémique ni électrolytique. En raison de l'introduction du métoprolol, nous diminuons l'irbesartan et vous laissons le soin de suivre le profil tensionnel. Une anticoagulation par rivaroxaban est introduite. Mme Y rentre à domicile le 26.05.2020. Patiente gardée en surveillance dans le contexte d'un traumatisme abdominal avec douleurs abdominales. L'US FAST effectué aux urgences montre une lame de liquide hépatique et rétro-vésicale, l'US abdominal effectué par le radiologue de garde ne retrouve pas de liquide périhépatique mais retrouve une lame de liquide rétro-vésicale. Le bilan biologique effectué le 08 et 09.05 ne montre pas de perturbation des tests hépatiques, rénaux et pancréatiques, l'hémoglobine reste stable également. Pas d'hématurie au sédiment urinaire. Elle est gardée aux urgences pour surveillance hémodynamique durant la nuit et ne présente pas de douleurs abdominales et reste stable hémodynamiquement. Elle est revue avant son départ par le chirurgien de garde, Dr. X, qui retrouve un abdomen rassurant et propose un retour à domicile avec contrôle clinique chez le pédiatre dans 48 heures et consigne de reconsulter plus tôt aux urgences pédiatriques si péjoration des douleurs abdominales. Patiente gardée en surveillance jusqu'à 4 h post-chute. Contrôles cliniques neurologiques et des paramètres vitaux toujours dans la norme. Pas de nouvelle symptomatologie. Père très inquiet et demandeur pour une imagerie. Nous contactons le médecin de garde d'ORL qui ne propose pas d'imagerie mais propose un contrôle clinique à 48 heures +/- avis ORL à reprendre à ce moment-là. Patiente ne souhaite pas de prise en charge par diététiciens. Patiente nous est envoyée par HFR Riaz qui a consulté ce matin à 09h00 avec: laboratoire pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale, hépatique et crase dans la norme. IRM le 04.05 à Riaz: pas de lésion ischémique aiguë. Pas de masse dans le conduit auditif interne droit, ni de prise de contraste suspecte (pas d'argument pour une paralysie faciale périphérique). Les altérations de la substance blanche péri-ventriculaire et au contact du corps calleux peuvent faire évoquer une maladie démyélinisante au vu de leur arrangement et de leur disposition. Il n'y a pas de lésion active actuellement. Avis neurologie (Dr. X): cf consilium. Sérologies VZV, HSV, CMV, EBV, hépatite C: envoyés, à pister. Ponction lombaire le 04.05.2020: résultats à pister. Traitement aux urgences: Solumédrol IV OU 500 mg le 05.05 et le 06.05 au C2. Patiente partie dans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale, adressée à la PMF. Patiente partie sans consultation médicale, ira consulter à la PMF demain. Patiente partie sans consultation médicale, redirigée vers la permanence médicale de Fribourg. Patiente partie sans consultation médicale, réorientée vers la PMF. Selon protocole antalgie a reçu paracétamol 1 g, diclofénac 50 mg. Patiente partie sans consultation médicale, sans avertir l'infirmière de tri. Temesta 1 mg au tri. Patiente partie sans consultation médicale. Vu avec MRT de garde, patiente adressée à la PMF. Patiente partie sans consultation médicale. Adressée à la PMF. Patiente partie sans consultation médicale. Ibuprofène 600 mg pos. Antalgie en R. Consulte dentiste demain. Patiente présentant une sciatalgie récidivante. Le dernier bilan radiologique datant du mois de février, nous lui proposons la réalisation d'une nouvelle IRM, suivie d'un nouveau contrôle dans 3 semaines. Dans l'intervalle, instauration d'un traitement antalgique. Nous restons à disposition au besoin. Patiente primigeste de 33 ans, à 11 4/7 semaines d'aménorrhée selon la date des dernières règles. Dernier contrôle de la grossesse le 24.04 chez Dr. X selon patiente. Elle se présente en urgence ce jour en raison d'une douleur abdominale de type crampiforme (comme des contractions selon la patiente), en association avec un spotting rouge-rosé depuis 2 semaines. Au status, la patiente est stable hémodynamiquement, afébrile, avec un abdomen souple malgré ses douleurs. Au spéculum, le col est entre ouvert à 0.5 cm au niveau de l'orifice externe, avec une métrorragie rouge de faible abondance. A l'échographie, nous constatons une grossesse arrêtée à 8 6/7 semaines d'aménorrhée. Après discussion avec la patiente et présentation des attitudes possibles pour la suite, elle opte pour un curetage évacuateur en urgence au vu de ses douleurs. L'intervention se déroule sans complication le 23.05.2020. Le matériel est envoyé en analyse anatomopathologique. Les suites sont simples et Mme Y regagne son domicile le 24.05.2020 avec un contrôle clinique et échographique dans 4-6 semaines. Patiente qui présente donc une symptomatologie probablement au premier tunnel carpien accompagné d'une trouvaille à l'IRM d'une hernie discale C5-C6. La patiente ne décrit de franche irradiation concomitante à un territoire radiculaire et notamment pas d'irradiation sur un territoire C6. Nous ne retrouvons pas non plus d'hyper-réflexie à l'examen clinique ni de signe de levée pyramidale. Nous préconisons donc la prise en charge chirurgicale du tunnel carpien et reverrons par la suite notre patiente dans 3 mois avec une IRM cervicale et une ENMG qui sera organisée par le Dr. X après l'intervention. Patiente qui présente une symptomatologie atypique de claudication neurogène chez une patiente vasculaire et avec d'importantes comorbidités. Nous souhaitons la réalisation d'un bilan angiologique des MI afin de s'assurer de l'absence d'explication vasculaire à cette claudication même si anamnestiquement elle n'est pas totalement compatible. Nous organisons également un myélo-CT au CIMF, une IRM étant contre-indiquée, afin de statuer sur l'état lombaire de notre patiente.Prochain contrôle par la suite. • Patiente qui se présente à la Permanence de Meyriez pour une altération de l'état général, une fatigue et une aggravation des céphalées et des vertiges déjà connus depuis quelques heures. Mme. Y rapporte aussi des douleurs abdominales transitoires résolues spontanément ce jour. Par ailleurs, elle a mesuré la température ce matin qui était autour de 37°C. Le reste de l'anamnèse systématique est sans particularités. Cliniquement, on note une sensibilité avec défense au niveau de la fosse iliaque gauche, le statut cardiopulmonaire et neurologique sont dans la norme. Le labo révèle une élévation des valeurs inflammatoires. Nous suspectons une diverticulite mais la patiente ne souhaite pas d'investigations supplémentaires pour le confirmer formellement. Nous débutons un traitement par Rocephin et Metronidazole, relayés par Co-Amoxi IV puis per os au vu de la bonne évolution. La patiente quitte notre service le 23.05.2020 pour son appartement protégé. La patiente est en attente pour un lit à l'EMS. • Patiente qui se présente pour une asthénie avec une perte de poids sans symptômes B depuis plusieurs semaines. La patiente rapporte une inappétence, des troubles du sommeil, une anxiété, une tristesse et des douleurs chroniques aux épaules. Associé à l'inappétence, Mme. Y mentionne la persistance de légères diarrhées depuis quelques semaines. Aucun autre symptôme rapporté. Le statut clinique révèle des douleurs diffuses à la palpation abdominale profonde. Le toucher rectal est dans la norme. Sur le plan neurologique, nous trouvons une diminution généralisée de la force à M4, liée probablement à l'asthénie, ainsi qu'une augmentation du tonus généralisée avec des tremblements de repos et des signes de roue dentée aux membres supérieurs D>G. La marche est partiellement stable avec une tendance au contact entre les deux pieds, une diminution du polygone et du balancement des bras avec le regard et la tête fixés. Le reste du statut est normal. Un bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose. Une radiographie du thorax, un électrocardiogramme et un bilan urinaire ne montrent pas de découvertes pathologiques. La patiente est hospitalisée pour observation à l'HFR Meyriez car elle se dit si faible qu'elle ne peut rentrer à la maison. Nous suspectons d'abord une maladie de Parkinson mais la patiente avait déjà été vue par un neurologue en ambulatoire qui avait retenu un tremblement essentiel accru par l'angoisse. Toutefois, à 48 heures d'hospitalisation, la patiente fait un pic fébrile motivant la réalisation d'un test au virus COVID-19. Il revient positif, avec une augmentation de CRP sans leucocytose. Un scan thoracique met en évidence une pneumonie bilatérale. La patiente reçoit un traitement antibiotique par Klacid et Rocéphine, qui est arrêté lors du contrôle à 3 jours, allant dans le sens d'une pneumonie virale. Un isolement contact et gouttelettes est maintenu pour 14 jours selon les directives de l'HFR. Un nouveau frottis COVID-19 effectué le 08.05.2020 sur demande de l'hôpital de Marsens revient négatif. Des diarrhées (dont le début n'est pas clairement établi par la patiente) à une fréquence de 1-3x/jour persistent à la fin de l'épisode viral. La patiente avait été traitée par antibiotiques pendant une hospitalisation à l'HiB en 04/2020 pour la suspicion d'une colite, donc nous effectuons un prélèvement de selles sur C. difficile qui revient négatif. Nous interprétons le symptôme plus probablement comme fonctionnel DD résidu non contagieux de l'infection COVID. Un traitement par Bioflorin est installé, avec de l'imodium en réserve. Sur le plan psychiatrique, selon l'hétéro-anamnèse, Mme. Y souffre depuis de nombreuses années d'un trouble anxio-dépressif suivi et traité par le Dr. X. À noter une faible compliance médicamenteuse de la patiente qui, selon sa fille, craint les effets secondaires des médicaments. Au début de l'hospitalisation, nous notons une augmentation de l'angoisse ainsi qu'une diminution de l'élan vital et une fatigue importante. Après évaluation de la patiente par le Dr. X (psychiatre), nous commençons un traitement par Brintellix en gouttes de faible dose, avec une augmentation progressive de la posologie. Un transfert à Marsens est indiqué selon le Dr. X. Nous discutons avec la patiente et sa famille du projet. La famille se dit d'accord car la situation est trop lourde pour la vie à domicile actuellement. La patiente est réticente mais ne s'oppose pas formellement au projet. Suite à l'abrogation des mesures d'isolement et sous Brintellix, on note une nette amélioration de la thymie de la patiente ; par contre, il persiste une angoisse importante en relation avec l'idée d'aller à Marsens. La patiente est transférée au RFSM le 11.05.2020 pour la prise en charge spécialisée de son état psychique. • Patiente réadressée à la Permanence médicale de Fribourg. • Patiente refuse toute investigation, souhaite uniquement des soins de confort. Discussion avec le Dr. X qui va réévaluer la possibilité d'augmenter la dexaméthasone par la suite, pour améliorer le confort de la patiente. • Patiente réorientée vers la Permanence médicale. • Patiente réorientée vers la Permanence médicale de Fribourg pour le suivi de prise en charge. • Patiente réorientée vers la PMF. • Patiente réorientée vers le RFSM pour le suivi de prise en charge. • Patiente réorientée vers les urgences psychiatriques pour le suivi de prise en charge. • Patiente réorientée vers un dentiste de garde. • Patiente repartie après consultation infirmière. • Patiente repartie sans consultation médicale. • Patiente reprogrammée après triage. • Patiente sera recontactée pour prise en charge chirurgicale (à jeun 03/05 à minuit. Consentement ok). • Patiente suivie à la Team du membre supérieur. • Patiente victime d'une hétéro-agression le 30.04.2020 avec : • traumatisme crânien • lésions de strangulation • contusion thoracique • contusion du bassin • contusion de l'épaule gauche • instabilité des incisives centrales (n°41, 42). • Patiente vue par Dr. X au tri. Réaction allergique simple, conseil de prendre son Xyzal qu'elle a déjà. • Patiente 0G de 23 ans adressée de Riaz pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite d'apparition brutale depuis 17h30. À son admission, la patiente est afébrile et hémodynamiquement stable et elle présente une douleur à la palpation profonde en fosse iliaque droite sans signe de péritonisme. Nous objectivons également cliniquement une vaginose pour laquelle nous prescrivons un traitement de Fluomizin. Les examens complémentaires concluent à un kyste ovarien droit anéchogène de 9x8x6 cm avec une septation et deux végétations de max 3x4 mm. Après discussion avec la patiente, l'indication opératoire est posée. L'intervention se déroule sans complication. Nous mettons en évidence un volumineux kyste hémorragique droit avec une torsion annexielle (trois tours de spires) et une nécrose de l'annexe pour laquelle nous effectuons une annexectomie. Les suites post-opératoires sont simples, permettant un retour à domicile de la patiente le 25.05.2020. • Patiente 1G1P de 52 ans, en péri-ménopause, qui consulte pour des métrorragies abondantes. Elle décrit des métrorragies depuis environ 2 ans, de faible intensité, sans changement pondéral, sans douleur abdominale et sans symptôme uro-digestif. Cliniquement, la patiente est hypotendue à son admission. Une anémie à 42g/l est mise en évidence. Elle reçoit 2 concentrés érythrocytaires aux urgences puis nous est transférée pour évaluation. Nous objectivons un col de taille augmentée avec un saignement diffus léger actif. L'US montre une masse cervicale de 49x44x35 mm, très vascularisée avec vascularisation en corbeille, vascularisation remontant en intra-cavitaire jusqu'à la paroi antérieure.La patiente est hospitalisée pour surveillance des saignements et investigation. Après avoir reçu 5 culots érythrocytaires, l'hémoglobine monte à 91 g/l. Dans ce contexte, nous discutons avec la patiente d'une prise en charge chirurgicale proposant une hystérectomie versus myomectomie. La patiente préfère une attitude conservatrice et elle signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Les suites post-opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le jour même de l'intervention. Patiente 2G-1P à 29 2/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire bichoriale biamniotique spontanée, qui consulte en raison de vertiges et d'une fatigue. Le CTG met en évidence des élévations de tonus irrégulières non ressenties par la patiente. Un US endovaginal montre un col à 18 mm au valsalva (20 mm au repos). Le laboratoire est aligné avec une hémoglobine à 87 g/l sans syndrome inflammatoire. Le stix urinaire est négatif. Nous hospitalisons la patiente pour une cure de maturation pulmonaire, débutée le 05.05.2020 à 15h. Devant la suspicion clinique de mycose vulvo-vaginale, un traitement de Gyno-Pevaryl est débuté. En raison de l'apparition de contractions utérines douloureuses ne cédant pas sous tocolyse par Adalat, un traitement de Tractocile est débuté à 0h le 06.05.2020. L'US montre un col se raccourcissant à 9 mm avec un funneling de 17x9 mm. La patiente est donc transférée le 06.05.2020 aux HUG pour suite de prise en charge. Patiente 2G-1P à 30 4/7 semaines d'aménorrhée le 29.04.2020, connue pour un placenta praevia recouvrant qui se présente pour une 5ème récidive de métrorragie. Elle a bénéficié de 2 cures de Celestone le 16 et le 17.03.2020, puis le 14 et le 15.04.2020. A l'arrivée le 28.04.2020, la patiente est stable hémodynamiquement et afébrile. Elle signale une perte d'un grand caillot vers 23h30, plus abondante que les derniers épisodes de saignement, sans facteur déclencheur. Elle n'a pas de douleur abdominale et ne ressent pas de contraction, les mouvements fœtaux sont bien ressentis. Le reste de l'anamnèse est sans particularité. Au speculum, présence d'un caillot de sang intra-vaginal de 2 cm sans saignement actif par le col qui est fermé. A l'échographie transvaginale, le col est à 26 mm et confirme le placenta praevia postérieur recouvrant, connu. L'échographie abdominale démontre un fœtus en position céphalique d'excellente vitalité fœtale avec des dopplers dans la norme. Le poids du fœtus est estimé à 1550 g (p30). Le CTG est réactif, non pathologique, et met en évidence une contraction utérine sur 30 minutes, non ressentie par la patiente. Le laboratoire est aligné avec une hémoglobine fœtale nulle. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée pour une surveillance de 48h. Le 29.04.2020, les saignements se tarissent et les CTGs effectués sont réactifs, non pathologiques. La nuit du 30.04.2020, on note un 6ème épisode de saignement. La patiente est normotendue à 120/78 mmHg et la fréquence cardiaque à 103 bpm. Au speculum, on objective un saignement actif en faible quantité et à l'échographie, un col mesurant 23.8 mm et un placenta praevia postérieur avec image d'un hématome de 17x13 mm, Manning 8/8 et des Dopplers de l'artère ombilicale et ACM oe. Le CTG est réactif, non pathologique, avec présence d'une activité utérine sans contractions ressenties par la patiente. Nous commençons une tocolyse par Tractocile et nous transférons la patiente à la maternité de Berne pour la suite de la prise en charge. Patiente 2G-1P de 29 ans à 32 6/7 semaines d'aménorrhée sous traitement de Trandate 200 mg 3x/j pour une hypertension artérielle gravidique, qui consulte le 13.05.2020 pour une péjoration de ses tensions artérielles. La patiente est connue pour un décollement placentaire avec mort in utero à 35+6/7 semaines d'aménorrhée dans un contexte de pré-éclampsie en 2017. A l'admission, cliniquement, la patiente est asymptomatique. Le bilan de gestose est sans particularité avec une protéinurie négative sur 24 heures. L'US abdominal montre une bonne vitalité chez un fœtus eutrophique avec un IP du Doppler ombilical >P95. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée pour maturation pulmonaire qui a eu lieu le 13 et le 14.05.2020. Les valeurs de la glycémie deviennent pathologiques pendant la maturation pulmonaire, motif pour lequel un schéma d'insulino-thérapie a été mis en place. Le profil tensionnel reste dans la norme pendant l'hospitalisation. Une césarienne élective est agendée au 18.05.2020. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 1660 g qui est transférée en pédiatrie pour la prise en charge néonatale. Les suites post-partales sont simples. Les glycémies sont dans la norme dans le post-partum. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle post-partum. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 22.05.2020 en bon état général. Patiente 2G-1P de 35 ans, en bonne santé habituelle, qui nous consulte en urgence le 21.05.2020 pour une métrorragie abondante avec des douleurs pelviennes. Anamnestiquement, la date des dernières règles remonte au mois de mars et 2 tests de grossesse faits à domicile la veille sont revenus positifs. Un premier contrôle avait été agendé à la consultation de sa gynécologue la semaine prochaine. A l'examen clinique, la patiente est normocarde, normotendue et afébrile. L'abdomen est souple. Le speculum confirme la présence de multiples caillots volumineux dans le vagin avec une métrorragie active de faible abondance. L'échographie confirme le diagnostic d'une probable fausse couche en cours, avec une image de sac gestationnel dans l'isthme et un endomètre épaissi à 10 mm en amont. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente un curetage hémostatique en urgence, qu'elle accepte. L'intervention se déroule sans complication le 21.05.2020, permettant un retour à domicile le 22.05.2020. Patiente 2G-2P de 27 ans se présente en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque et flanc gauche, intermittentes, d'apparition brutale, associées à des nausées et vomissements depuis 20h00 le soir précédent. L'examen clinique d'entrée met en évidence un abdomen distendu et douloureux en fosse iliaque gauche, avec une défense sans détente. L'US endovaginal retrouve un ovaire gauche rétro-utérin et œdématié. Il n'y a pas de perturbation biologique. En raison de la suspicion d'une subtorsion ovarienne gauche, l'indication à une prise en charge chirurgicale en urgence est retenue. La patiente signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication le 30.04.2020 et met en évidence un corps jaune à gauche. L'ovaire gauche est fenestré. Nous effectuons une adhésiolyse avec l'exérèse partielle d'un probable myome sous-séreux adhérentiel à la paroi antérieure au niveau de la cicatrice du Pfannenstiel. En raison d'une effraction de la cavité, un point en X est mis en place. Une grossesse étant contre-indiquée durant 6 mois, une contraception progestative est débutée. Le redon est retiré à J0. L'évolution clinique étant favorable, la patiente rentre à domicile le 01.05.2020. Elle sera revue pour ablation des fils à J10 et à 1 mois pour le contrôle post-opératoire. Patiente 3G-1P avec une interruption médicamenteuse de grossesse le 02.05.2020 à 6 5/7 semaines d'aménorrhée avec saignement persistant sur rétention de matériel, chez qui un curetage évacuateur était prévu ce matin. La patiente consulte en urgence pour un saignement vaginal important depuis 17h avec changement de protections aux 5 min et présence de caillots de sang sans douleurs abdominales.A l'admission, la patiente est normotendue et est tachycarde à environ 110 bpm. Le status met en évidence du sang rouge intravaginal avec caillots de sang, un col ouvert env 1 cm sans saignement actif. Le laboratoire montre une anémie spoliative en péjoration à 61 g/l (Hb à 71 g/l le jour précédent). L'USTV montre une rétention de matériel de 17x21 mm (image superposable à celle du 14.05.2020). Dans ce contexte, il est proposé à la patiente d'effectuer le curetage évacuateur en urgence ainsi que la pose de DIU Mirena comme souhaité. L'intervention se déroule sans complication et la patiente bénéficie en per-opératoire de deux culots érythrocytaires. Les suites post-opératoires sont simples, la patiente reste afébrile et est soulagée par une antalgie simple. Elle rentre à domicile en bon état général le 15.05.2020. Mme. Y, 37 ans, se présente pour un saignement vaginal à 14 semaines d'aménorrhée. La grossesse actuelle est marquée par un spotting présent depuis le début de la grossesse ainsi que trois épisodes d'hémorragies vaginales semblables à l'épisode actuel. Selon la patiente, un DPNI est en cours pour un dépistage du 1er trimestre pathologique avec un risque augmenté de T21/13/18. A l'entrée, la patiente est hémodynamiquement stable. A l'examen clinique, nous trouvons du sang intravaginal sans saignement actif du col de l'utérus. A l'ultrason, nous retrouvons une cavité utérine remplie de caillots de sang avec un foetus sans battements cardiaques. Dans ce contexte, nous proposons un curetage évacuateur sous anesthésie générale, accepté par la patiente. Elle signe le consentement éclairé et l'intervention se déroule sans complication. Le produit de curetage est envoyé en anatomopathologie. La patiente ne désire pas d'examen génétique sur le foetus. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Elle regagne son domicile le 15.05.2020 en bon état général. Mme. Y, 34 ans, connue pour des infections urinaires à répétition (environ 1x/mois depuis deux ans), est adressée aux urgences par son médecin traitant le 28.04.2020 en raison de douleur dans la fosse iliaque gauche, de vomissements et d'un état fébrile persistant et de paramètres inflammatoires augmentés (Hémoglobine 141 g/l, Leucocytes 11.6 G/l, Thrombocytes 344 G/l, CRP 116 mg/l). Initialement, un diagnostic de pyélonéphrite gauche est posé et une antibiothérapie par Ceftriaxone par voie intraveineuse est débutée. Après 72 heures de Ceftriaxone, l'évolution n'est pas favorable avec une persistance des vomissements, des douleurs aux quadrants inférieurs de l'abdomen et en hypochondre gauche. Dans ce contexte, un uro-CT le 30.04.2020 permet d'exclure un abcès rénal ou une lithiase urinaire et met en évidence une image possiblement compatible avec un abcès ovarien gauche. A l'examen clinique, douleur pelvienne gauche à la pression mais sans défense ou rebound, tension artérielle 130/81 mmHg, fréquence cardiaque 79 bpm, température 37.6°C. A l'échographie endovaginale, ovaire et trompe gauche accolés à l'utérus. Donc vu la conclusion d'un probable pyosalpinx gauche, la patiente est hospitalisée pour antibiothérapie iv par Metronidazole, Doxycycline et poursuite de la Ceftriaxone. Lors de l'hospitalisation, la patiente décrit depuis le 29.04.2020 des céphalées inhabituelles ne cédant pas sous antalgie. Un avis internistique est demandé et conclut à des céphalées tensionnelles dans le contexte infectieux avec proposition d'un traitement avec AINS et hydratation. L'évolution est favorable. Depuis le début du traitement antibiotique, la patiente reste afébrile et les examens de laboratoire montrent une réduction des index inflammatoires et infectieux. Elle rentre à domicile le 03.05.2020 après 48h d'antibiothérapie iv et réalise per os. A l'entrée, la patiente est stable, sans symptômes neurologiques aigus. Nous recommandons une laborkontrolle avec vitamines et un IRM du crâne, car c'est la deuxième fois qu'elle a de tels symptômes. Une sclérose multiple devrait déjà avoir été exclue. Contrôle am 06.05 pour les résultats de laboratoire et d'IRM. Mme. Y se présente en compagnie de sa fille pour une consultation clinique. Elle a depuis une semaine une perte de force au bras gauche, à la jambe gauche, une dysarthrie ainsi que des paresthésies intermittentes à la main gauche. Aucun accident ni contusion. La fille a pris contact vendredi avec le médecin généraliste, qui a recommandé un traitement avec Xarelto 10 mg 1x par jour. En cas de plaintes persistantes, le médecin généraliste a recommandé une nouvelle consultation au HFR Tafers le 27.04.2020. Anamnèse : amaurose bilatérale. À l'entrée, la patiente présente un état cardiorespiratoire compensé et afebril, en bon état général et d'un statut nutritionnel légèrement obèse, hypertendue (BD 175/86 mmHg), normocarde (HF 67/min), SpO2 95%, Temp 36.7°C. Haut : Pas d'éruption cutanée, pas de rougeurs, pas de blessures superficielles. Cardio : Sons cardiaques réguliers, purs, pas de bruits supplémentaires. Pas d'irradiation dans les carotides ou l'aisselle. Pouls périphérique bien palpable des deux côtés. Temps de recoloration < 2 secondes. Pas d'œdèmes aux jambes. Pneumo : Bruit respiratoire vésiculaire sur tous les champs pulmonaires, pas de bruits supplémentaires. Abdomen : Bruits intestinaux réguliers, abdomen souple, pas de douleur à la pression, pas de résistances, pas de défense. Urogénital : Pas de douleur à la percussion de la loge rénale. Appareil locomoteur : Pas de douleur à la percussion de la colonne vertébrale. Neuro : Pupilles non évaluables bilatérales, amaurose. Nerfs crâniens II-XII sans particularité (légère baisse du coin gauche des lèvres). Perte de force au bras gauche en flexion 4/5, en extension 5/5, perte de force au mollet gauche 4/5 en extension, 5/5 en flexion. Motricité et sensibilité des quatre membres et au visage préservées. Essai genoux-talons normal. Pas d'abaissement au test de Barré/Mingazzini. Concernant le diagnostic principal et le diagnostic secondaire 1 : En l'absence de valeurs inflammatoires et d'un cancer de l'endomètre connu, le CT du crâne montre un soupçon de métastase cérébrale. En concertation avec le médecin de garde de la neurochirurgie du HFR Fribourg, nous avons initié un traitement avec Fortecortin et organisé une IRM. L'IRM a confirmé une masse temporopariétale et a également montré un méningiome frontobasal. En concertation avec le médecin de garde en oncologie, nous avons organisé un PET-CT pour rechercher d'autres métastases et avons demandé un avis de radio-oncologie. Le PET-CT n'a montré aucune autre métastase, si bien qu'après une discussion interdisciplinaire (oncologues, radio-oncologues et neurochirurgiens), la recommandation pour un traitement chirurgical primaire avec biopsie en cas de soupçon de tumeur cérébrale primaire (DD : métastase) a été faite. Nous avons libéré Mme. Y le 07.05.2020 après l'avis neurochirurgical au HFR Fribourg. Concernant le diagnostic secondaire 3 : En raison de l'insuffisance rénale, nous avons suspendu le Metformin et adapté la posologie du Diamicron à la fonction rénale réduite. Sous le traitement par stéroïdes, le diabète sucré, auparavant bien équilibré, s'est décompensé et nous avons traité la patiente temporairement avec un schéma de correction. À la sortie, nous avons ajusté le traitement antidiabétique à un GFR de 29 ml/min avec Insuline Lantus. La patiente a été formée par le service de diabète pendant son séjour à l'hôpital et nous avons organisé une prise en charge quotidienne par le Spitex pour la sortie à domicile. Pour le maintien du traitement à l'insuline, nous vous prions de vous adresser à votre cabinet médical. Concernant le diagnostic secondaire 4 : À l'entrée, une insuffisance rénale chronique a été observée. Les paramètres de rétention rénale étaient dans la plage des valeurs connues de Mme. Y et sont restés constants pendant l'hospitalisation.Ad Nebendiagnose 2 und 5 bis 7: Keine diagnostischen Massnahme während der aktuellen Hospitalisation, die medikamentöse Therapie wurde unverändert fortgeführt. Wir konnten Mme. Y am 07.05.2020 in gebessertem Allgemeinzustand nach Hause entlassen. Paul n'ayant pas les critères pour une maladie de Kawasaki complète, nous effectuons les examens complémentaires nécessaires pour exclure une maladie de Kawasaki incomplète. Les résultats sont rassurants, ainsi que l'examen clinique. Pause de 1 jour, puis reprise du schéma selon carnet. Suivi biologique par le MT prévu le 21.05.2020. PAVK Grad IV rechts mit trockener Gangrän Dig I und II Fuss rechts • St. n. PTA A. femoralis superficialis rechts 09/11 PAVK Stadium I PC PC avec TC sur éthylisation aiguë. PC sans TC. PCOS. PCR C. difficile 09.05.2020: négatif Magnésiocard mis en pause le 07.05.2020 Suivi clinique PCR Covid-19 du 19.05.2020 : négatif Isolement type aérosol du 18 au 19.05.2020 Physiothérapie de mobilisation et prévention des atélectasies PCR dans les selles le 06.05.2020 : négatives Clostridium dans les selles le 08.05.2020 : négatif Calprotectine le 18.05.2020 : 430 Ceftriaxone et Metronidazole du 04.05 au 05.05.2020 : stoppés au vu du peu d'arguments pour une piste bactérienne Evolution : • spontanément en amélioration avec selles molles PCR multiples dans les selles : négative Recherche d'Adénovirus et Norovirus : négative Recherche toxine de C. difficile dans les selles : négative PCR multiplex : négative. Calprotectine : dans la norme. Elastase pancréatique : normale, (non abaissée) Bonne évolution, pas de récidive depuis le 21.05.2020. PCR multiplex selles, parasites) le 05.05.2020 : négative Culture (helminthes, protozoaires) le 05.05.2020 : négative Leucocytes selles le 05.05.2020 : négative Calprotectine fécale le 05.05.2020 : positive (334 ug/g) Sérologie (HIV, HCV, HBV) le 07.05.2020 : négative TSH : normale Electrophorèse des protéines plasmatiques, B2 microglobuline : rapport Kappa/Lambda 2.96 (légèrement augmenté) Immunofixation : négative Colonoscopie le 13.05.2020 : nombreux diverticules sur l'ensemble du colon, sinon colon normale Biopsies le 13.05.2020 (Promed) : pas d'argument pour une maladie inflammatoire chronique (MICI) ni colite microscopique, absence d'infiltration éosinophilique. Aucun signe de malignité Losartan en suspend du 04.05 au 14.05.2020, introduction d'Aliskirène le 19.05.2020 Diltiazem en suspend du 08.05.2020 Carvedilol remplacé par Metoprolol dès le 07.05.2020 PCR SARS Cov19 sur frottis nasopharyngé le 23.04.2020: négatif PCR selles 28.04.2020 : négatif Clostridium difficile le 28.04.2020 : négatif Dosage de l'élastase pancréatique dans les selles le 28.04.2020 (laboratoire RISCH) Hydratation iv Suivi biologique PCRCOV SARS-CoV-2 PCR (Genexpert) nég Uricult: Flore mixte 10E4/ml Peak flow initial : 81% du prédit (sans modification post-traitement). Attitude : • 2x Atrovent 250 mcg inh + 3x Ventolin 5 mg inh, avec disparition des sibilances et normalisation de la fréquence respiratoire • retour à domicile, avec adaptation des traitements (Seretide d'office pour 10 jours et Ventolin en réserve). Peak flow 22h40 : 200 l/min (41 % du prédit) mauvaise exécution. Peak flow 23h10 post traitement : 390 l/min 81% du prédit. Atrovent + Salbutamol nébulisation. Observation sur la nuit. Retour à domicile. Education thérapeutique pour chambre d'inhalation. Adaptation traitement anti-asthmatique • Ventolin 100 mcg aeros doseur 2 pushs 3-4x/j si dyspnée • Vannair 200/6 aeros doseur 2 pushs 2x/j. Contrôle chez son médecin traitant à distance. Peak flow 80% de la valeur prédite. Attitude: Rendez-vous chez le médecin traitant déjà prévu le 27.05.20. Proposition d'éventuelle consultation en ORL si persistance enrouement. PEG posée le 30.04 ECG : rythme sinusal tachycarde sans signe ischémique aigu, superposable au comparatif du 05.03.2020 Labo : Lc 8.2, CRP 93, Créat 61 Urines : Lc +++, nitrite +, corps cétoniques +++ CT abdominal : pas de source infectieuse/de foyer visualisé, pas de fuite lors de l'injection de produit de contraste au niveau de la PEG. Hémocultures en cours Uricult en cours Avis chir (Dr. X/Dr. X) : pas de prise en charge chirurgicale au vu de l'absence de source abdominale aux différents examens effectués. Point d'insertion de la PEG propre. Attitude : • Rocéphine 2 g/j • Remplissage : Ringer Lactate 1500 mL iv sur 5h • Transfert retour sur l'hôpital de Meyriez avec prescription médicamenteuse effectuée PEG surinfectée du 10.04.2020 • posée en 03.2020 chez patient connu pour un adénocarcinome oesophagien pT3N2 Péjoration d'asthme chronique sur probable allergie pollinique, le 15.05.2020 • DD : anxiété. Péjoration de la situation psychiatrique Péjoration de l'état psychique péjoration dermo hypodermite fesse droite Péjoration des douleurs dorsales Péjoration d'infection respiratoire chronique à Mycobacterium avium le 28.04.2020 : • oxygénodépendante (2 l/min au home, 1 l/min aux urgences) depuis 1 semaine • toux avec expectorations jaunâtres connues. Péjoration d'un cancer pulmonaire Péjoration épanchement pleural gauche d'origine carcinomateuse • contexte d'adénocarcinome de la tête du pancréas • critères de Light positifs pour exsudat à prédominance neutrophilique • cytologie du 08.05.2020 (Promed C2020.508) : cellules tumorales malignes de type adénocarcinome • drain pleural du 08.05 au 12.05.2020 (Dr. X) • changement de drain pleural sous scopie le 12.05.2020 avec drainage jusqu'au 15.05.2020 (Dr. X). Péjoration respiratoire Péjoration transitoire d'un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural droit connu sur bas débit le 23.04.2020 Pemphigoïde bulleuse le 04.05.2020 Pemphigoïde bulleuse (suivi par Dr. X) sous corticothérapie et Méthotrexate Insuffisance rénale chronique stade 3a Hypothyroïdisme Surdité bilatérale, prédominant à droite Lombalgies chroniques Douleurs chroniques au niveau des plis inguinaux, d'origine indéterminée Troubles anxieux, diagnostic différentiel : début d'état démentiel. Pendant son séjour, l'évolution globale est favorable. I. Sur le plan clinique et le contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires : • Nous confirmons (radiographie du thorax) la présence des épanchements pleuraux bilatéraux postopératoires à son arrivée. Légèrement dyspnéique à l'effort à son arrivée, il est complètement asymptomatique à sa sortie. • L'échocardiographie réalisée pendant le séjour confirme le bon fonctionnement de la prothèse et l'absence de fuite périprothéthique pathologique et d'épanchement péricardique. • Un Holter de 24 heures infirme la présence d'une extrasystolie pathologique. • Le profil tensionnel durant le séjour montre des valeurs moyennes aux alentours de 140 mmHg de systole. Le traitement par Amlodipine et Losartan est régulièrement adapté. A la sortie nous reprenons le traitement de Coveram 5 plus du patient. Nous vous laissons effectuer un suivi régulier de la pression artérielle. • Un LDL à 3.5 mmol/L est retrouvé et au vu du contexte global, un traitement par Atorvastatine 10 mg est introduit dès le 25.05.2020. Le traitement sera poursuivi par Rosuvastatine 5 mg 1x/jour dès la sortie. Nous vous prions de contrôler ces valeurs à 3 mois. II. Sur le plan de l'éducation thérapeutique, il a bénéficié: • d'une prise en charge diététique: Il a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques, il a participé à 2/4 cours. La suite du suivi et le bilan se feront en ambulatoire. • d'une prise en charge ergothérapeutique: Mr. Y vit avec son épouse qui travaille encore. Mr. Y a l'habitude de gérer les activités ménagères (stop pendant 3 mois). A un jardin mais son fils peut s'en occuper. A l'habitude d'aller en forêt couper du bois à la tronçonneuse (3 mois) Mr. Y joue des percussions : cymbales, grosse caisse > attendre 3 mois pour reprendre. Mr. Y se demande quand il pourra retourner chez son ostéopathe. Des informations concernant la reprise de la conduite, les activités sexuelles, les déplacements en voyage, les conseils pour altitude ont été donnés. III. Sur le plan du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité légère et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. A la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 25 minutes à une allure de 5.5 Km/h sans symptômes ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du vélo jusqu'à 80 Watts pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 205) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le 27.05.2020 Mr. Y regagne son domicile. Il reviendra par la suite dans la section ambulatoire de la réhabilitation cardiovasculaire pour la consolidation de son séjour stationnaire. Pénis d'aspect physiologique Pentathérapie par Amlodipine, Torasémide, Belok-Zok, Loniten, Lisinopril Consilium angiologique le 13.05.2020 PERC Rule out : embolie pulmonaire exclue. ECG. Réassurance, consignes de reconsultation, antalgie simple. Perf de G5, 1L/24h Perforation abdominale intestin grêle le 26.05.20 • dans contexte diagnostic 2 • 02/20: dernière chimiothérapie avec PET-CT 26.02.20 de fin de traitement • 04/20: douleurs abdominales, CT à Payerne avec aspect hétérogène du grêle DD tumoral DD infectieux • 09.-18.04.20: Ciproxine - Métronidazole en ambulatoire • 25.05.20 PET-CT: épaississement pariétal circonférentiel fortement hypermétabolique d'un segment d'environ 6 cm du jéjunum distal avec dilatation anévrismale très suspect de traduire une récidive lymphomateuse. Pas d'autres lésions hypermétaboliques. Perforation des vis sur déplacement secondaire après OS par plaque Philos épaule D le 08.04.2020 sur une fracture 3 parts. Perforation du sigmoïde iatrogène le 18.05.2020 • annexectomie bilatérale le 15.05.2020 (Daler) Perforation et inflammation de la paroi rectale avec liquide et air libre le 08.04.2020 • CT abdominal natif (le 08.04.2020): Infiltration du mésorectum avec du liquide libre et doute sur une image d'air libre extraluminale, à corréler au contexte clinique (suspicion de perforation). • Avis chirurgical le 08.04.2020: perforation est confirmée Perforation oesophagienne iatrogène post-ERCP le 21.04.2020, avec: • Pneumomédiastin de quantité modérée • Oesogastroduodénoscopie le 21.04.2020 • Pantoprazole 80 mg puis 8 mg/h dès le 21.04.2020 - 28.04.2020 Antibiothérapie : • Ceftriaxone le 21.04.2020 • Imipenem du 21.04 au 30.04.2020, dosage le 27.04.2020 1.5 mg/L • CT cou-thorax-abdomen le 21.04.2020 • CT thoracique - abdomen supérieur 25.04.2020 • Nutrition parentérale du 21.04.2020 au 29.04.2020 • Deux sondes naso-gastriques (en amont et en aval du clip) en aspiration du 21.04 au 29.04.320 • Repositionnement de la SNG proximal sous OGD le 29.04.2020 Perforation rectale Perforation rectale infrapéritonéale le 25.05.2020 • sur lavement par Frekaklyss Perforation rectale intrapéritonéale le 25.05.2020 • sur lavement par Frekaklyss Perforation utérine fundique per-opératoire. Perfusion de Solumédrol 1g iv selon ordre médical. Perfusion de Solumédrol 500 mg i.v. Rendez-vous secteur ambulatoire des urgences le 18.05.2020 pour le même geste. Perfusion de 1 g de Solumédrol selon ordre médical. Perfusion de 20 UI de Syntocinon. Perfusion de 20 UI de Syntocinon. Perfusion de 20 UI de Syntocinon. Perfusion de 40 UI de Syntocinon iv. Révision de la filière génitale. Révision de la cavité utérine. Massage utérin. Pertes sanguines estimées à 600 cc. Hémoglobine de contrôle à 79 g/l avec ferritine à 7 microgr/l motivant l'administration de 1 g de Ferinject le 18.05.2020. Perfusion G5. Suivi biologique. Perfusion G5 1 litre / 24 h le 17.04.2020. Perfusion G5 le 22.04.2020. Perfusion Mabthera Péricardite aiguë avec épanchement péricardique de 22 mm le 25.01.2017 Remplacement de l'aorte thoracique ascendante par opération de Bentall par Bio-Composite-Graft 25 mm (Edwards Lifesciences Model 3300 TFX) et hémi-arc (Gelweave 28x8mm), fecit Dr. X le 25.05.2016, pour anévrisme de l'aorte ascendante avec insuffisance valvulaire aortique modérée. Cholécystectomie laparoscopique le 25.09.2012 pour cholécystite nécrosante sur cholécystolithiase avec pancréatite biliaire modérée Cure de hernies de Spiegel avec interposition d'un filet, en avril 2014 à gauche et en avril 2016 à droite Ostéotomie tibiale à 2 reprises au membre inférieur gauche avec déficit du releveur du pied gauche suite à une intervention sur le membre inférieur gauche en 1990 Fracture des vertèbres D7-10 sur accident de la voie publique en 1992 Gonarthrose droite Décompensation hyperosmolaire d'un diabète de type II non insulino-requérant le 02.03.2020 : • Consilium diabétologie le 02.03.2020. Enseignement thérapeutique du diabète le 05.03.2020. Péricardite aiguë le 29.05.2020. 2 critères / 4 : douleurs positionnelles, modifications de l'ECG typiques. Péricardite aigue le 30.08.2017 Crise de panique le 21.07.2018 Idées suicidaires chez Mme. Y connue pour des troubles anxio-dépressifs le 08.07.18 Acutisation de douleurs musculaires chroniques dans un contexte d'état anxio-dépressif le 22.01.2020 Traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle et plaie pariétale le 24.03.2020 (CT cérébral natif: pas de lésion traumatique) Péricardite aigue le 30.08.2017 Crise de panique le 21.07.2018 Idées suicidaires chez Mme. Y connue pour des troubles anxio-dépressifs le 08.07.18 Acutisation de douleurs musculaires chroniques dans un contexte d'état anxio-dépressif le 22.01.2020 Traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle le 24.03.2020 • Chute probablement mécanique • Polymédication psychiatrique Examen clinique: status neurologique sp ECG: superposable aux anciens Bilan biologique: sp CT cérébral natif : pas de lésion traumatique ATT Retour à domicile Feuille de surveillance post TC donnée et expliquée (présence du mari) Contrôle clinique chez le psychiatre traitant en ambulatoire avec modification du traitement (risque de chute élevé avec médication actuelle) Plaie pariétale le 25.03.2020 Rinçage NaCl 0.9% Désinfection Octenisept Rapprochement berges cutanées 19 agrafes Ablation des agrafes à J6 chez le médecin traitant Péricardite constrictive effusive sur épanchement péricardique non circonférentiel : • prise en charge au CHUV en chirurgie thoracique du 19.02.2020 au 02.03.2020 • drainage péricardique par voie sous xyphoïdale du 22.02.20 • anatomo-pathologie : remaniement fibreux avec inflammation chronique du péricarde associé à un dépôt de fibrine. Pas de granulome ni de tumeur mis en évidence • ETO le 11.03.2020 (Dr. X, Dr. X) : interaction entre le ventricule droit et gauche comme possible signe de péricardite constrictive, avec de plus une veine cave supérieure dilatée et non compliante en faveur d'une POD > 15 mmHg. • ETT le 13.03.2020 (Dr. X) : pas d'épanchement, signes de péricardite constrictive en amélioration • ETT le 01.04.2020 : persistance des signes de péricardite constrictive Péricardite en 11.2018. Céphalées d'allure musculo-squelettique le 07.12.2019. Probable lésion du ligament collatéral externe du genou droit, grade I à II, avec suspicion d'un arrachement fémoral. Péricardite en 2000. Pneumonie atypique basale droite en 2008. Mycose buccale traitée par Fluconazol en août 2017. Tassement vertébral lombaire en août 2017. Appendicectomie non datée. Amygdalectomie non datée. Deux césariennes. Ablation des annexes (sans précision). Hystérectomie non datée pour fibrome. Perturbation des tests hépatiques le 16.08.2018 avec : Hyponatrémie hypoosmolaire à 126 mmol/l le 16.08.2017. Rash maculeux prurigineux au niveau du tronc, des cuisses et des bras. Hyponatrémie isotonique à 129 mmol/l : 05.2019. Péricardite idiopathique le 29.11.2016 Cure de hernie inguinale droite le 07.10.2016 Rupture d'un kyste de Baker du genou gauche en 2017 Déficit en acide folique Péricardite opérée en 1989. Péricardite opérée pour épanchement en 1989 : agrafes chirurgicales toujours en place. Cardiomyopathie de Tako-tsubo. Tachycardie supraventriculaire symptomatique probablement sur sevrage d'alcool. Syndrome de dépendance à l'alcool avec : • syndrome de sevrage alcoolique • hyponatrémie hypoosmolaire • hépatopathie alcoolique • gastrite chronique • syndrome de malabsorption • chute à répétition avec rhabdomyolyse. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l Péricardite probable dans un contexte de lupus érythémateux disséminé le 16.05.2020 : • status post infarctus dilaté en 2003 de l'IVA moyenne • lupus érythémateux avec syndrome antiphospholipides non traité, résolu Péricardite probablement virale le 27.04 avec récidive le 31.05.2015, probable récidive dans le 2ème semestre de 2015. Probables attaques de panique le 27.04.2015 Pneumonie en avril 2015 Perforation traumatique du tympan gauche Péricardite sans épanchement péricardique. Pancolite avec épaississement diffus de la paroi intestinale du côlon ascendant, transverse et descendant sans signe de complication. Péricardite virale le 28.12.2018 FA post-péricardite virale (28.12.2019) Récidive de FA 11.08.2019 avec, le 02.12.2019 cathétérisme transeptal, isolation électrique des veines pulmonaires, arrêt Cordarone le 02.12.2019. Récidive de péricardite fin décembre 2019 Appendicectomie dans l'enfance Asthme traité par Ventolin en R Lésion du ménisque interne du genou g Périchondrite D'abcédée Incision drainage, perte de substance cartilagineuse d'environ 2 cm Périchondrite de l'oreille droite. Péri-myocardite aiguë bénigne le 12.05.2020 • FeVG 70% • Pic de CK à 1069 U/I le 13.05.2020 Périonyxis hallux D Périonyxis hallux D. Périonyxis hallux D. Périonyxis hallux pied gauche sur onychocryptose. Périphérique polyneuropathie • sous Pregabalin Péritonite diffuse sur perforation iléale distale le 14.10.2019 : • perforation (à environ 15 cm de la valvule iléo-caecale) par un couteau de 20 cm de long et une cuillère de 13 cm ingérées le 08.10.2019 : multiples laparotomies, résection de 20 cm de l'iléon. Plaies à répétition sur auto-mutilation. Intoxication médicamenteuse au paracétamol (20 g) le 29.03.2019. Bypass gastrique en 2016. Ingestion de deux couteaux à beurre le 14.12.2019. Ingestion volontaire d'un couteau à beurre le 18.01.2020 vers 18h00 • radiographie abdominale montre un couteau au niveau de l'œsophage Avis gastro-entérologue Dr. X : transférer à HFR Fribourg pour l'intervention Le service des Urgences à HFR Fribourg, l'anesthésiste de garde et les Soins Intensifs sont avertis. La patiente restera hospitalisée aux Soins Intensifs à HFR Fribourg, ensuite transfert au Chirurgie à Fribourg ou à Riaz Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 17.01.2020 DD cellulite/panniculite ingestion - couteau localisé au niveau de l'estomac et de l'œsophage Péritonite purulente localisée sur appendicite aiguë perforée le 18.05.2020 Persistance de douleurs au niveau lombaire sur : • syndrome sacro-iliaque D • status post dénervation facettaire L4-L5 le 20.01.2020 (Dr. X), avec réduction des douleurs lombaires • lyse isthmique L5 bilatérale avec arthrose facettaire et possible surcharge facettaire sur status post-discectomie L5-S1 par abord rétro-péritonéal par la G et mise en place d'une cage ALIF Synfix M 10.5/10°, pré-remplie au Ceracell et fixée par 2 vis de 20 mm en L5 + 2 vis de 25 mm en S1 le 02.11.2018 pour une discopathie évolutive L5-S1 avec protrusion discale • radiculopathie sensitive résiduelle L5 D, sans atteinte électroneuromyographique Persistance de douleurs au genou D sur : • entorse du LLI genou D, distension du LCA sur : • polytraumatisme sur chute à ski le 08.02.2020 avec : 1) traumatisme crânio-cérébral avec perte de connaissance 2) fracture des vertèbres D9-D11-D12 type A1 selon l'AO, fracture des apophyses transverses de L1 à D, L2 à G, L3 ddc, L4 à D 3) fracture de la 10ème côte G, contusions pulmonaires 4) fracture spiroïde diaphysaire déplacée du 4ème métacarpien G 5) fracture face dorsale du semi-lunaire, fracture du trapèze, arrachement du capitatum et fragment osseux dans l'articulation scapho-radiale associée à une atteinte du ligament luno-triquétral poignet D 6) lacération de la rate de grade II 7) plaie frontale suturée à l'Hôpital de l'Ile 8) plaie de l'éminence thénar main D suturée à l'Hôpital de l'Ile Persistance de douleurs post-fracture métaphysaire de l'extrémité distale du tibia droit le 09.03.20 Persistance de douleurs thoraciques atypiques le 23.05.2020. Diagnostic différentiel : musculo-squelettique, angoisse Persistance de 3 fils non résorbables en regard de la cicatrice de la cheville gauche le 26.05.2020. Persistance des douleurs thoraciques le 16.05.2020 chez un patient status post-péricardite le 19.03.2020. DD : trouble anxieux, douleurs pariétales. Personnalité émotionnellement labile type borderline, avec risque suicidaire élevé Troubles anxio-dépressifs Perte d'autonomie globale, soins impossibles à la maison Perte d'autonomie importante dans le contexte de la suspicion de démence Perte de connaissance. Perte de connaissance. Perte de connaissance. Perte de connaissance. Perte de connaissance. Perte de connaissance. Perte de connaissance. Perte de connaissance avec épisode d'amnésie Perte de connaissance avec tremblements de l'hémicorps gauche Perte de connaissance d'origine indéterminée à l'effort le 21.05.2020ECG: bloc de branche D, suspicion onde epsilon • DD: arythmie, cardiomyopathie Perte de connaissance d'origine indéterminée le 16.05.2020 • DD: vasovagal, iatrogénique médicamenteux. Perte de connaissance d'origine indéterminée 25.04.2020 • DD épileptique, neuro-végétatif Perte de connaissance d'origine X • DD: arythmie, cardiopathie Perte de connaissance et traumatisme crânien. Perte de connaissance sans traumatisme crânien. • DD: épilepsie, crise d'angoisse. Perte de contact post-consommation de 3.5 g de cocaïne, le 14.05.2020 • avec morsure de lèvre, sans perte d'urine, • DD: effet de la cocaïne épilepsie initiale Perte de poids et asthénie Perte de substance de P3D3 de la main gauche le 11.05.2020. Perte de substance dorso-ulnaire de P3 D5 de la main gauche, avec amputation partielle de l'ongle le 11.05.2020. Perte d'un membre. Perte pondérale + EF + trouble du sommeil + anorexie d'origine indéterminée déc. 2016. Perte pondérale anamnestique de 10 kilos en 3 mois avec appétit conservé et sans argument pour une pathologie organique Perte pondérale de 7 kg en 3 semaines le 05.05.2020 • DD. Sur douleurs, trouble du comportement alimentaire, épisode dysthymique Perte pondérale, ictère Perte totale de l'aquacel Pertes estimées totales à 1200 ml. 2 CE en salle de réveil. Hb de contrôle: 111 g/l le 01.05.2020. Pertes sanguines peropératoires le 14.02.2020 et anémie postopératoire avec Hb à 85 g/l le 17.02.2020 Pertes sanguines peropératoires le 19.04.2020 Perturbation aspécifique des tests hépatiques dans le cadre du diagnostic principal Perturbation de la crase • INR à 2.3 sous Xarelto. Perturbation de la crase le 03.04.2020 avec: • TP à 41 % et PTT à 54 sec. Perturbation des tests hépatiques (ASAT 162 U/l, ALAT 197 U/l, PH alcaline 395 U/l, GGT 438 U/l) le 20.04.2020 probablement dans un contexte médicamenteux (Leponex + Co-Amoxi). Perturbation des tests de cholestase, possiblement d'origine médicamenteuse le 14.05.2020 Perturbation des tests hépatiques le 28.04.2020 d'origine probablement mixte sur: • sur dilatation du cholédoque chronique • contexte infectieux Perturbation des tests hépatiques à type de cholestase. Perturbation des tests hépatiques avec cholestase de possible origine médicamenteuse le 26.03.2020: • Moxifloxacine du 16.03.2020 au 26.03.2020 • Amphotéricine B du 17.03.2020 au 26.03.2020 Perturbation des tests hépatiques dans le contexte du diagnostic principal Perturbation des tests hépatiques dans un contexte de lithiase vésiculaire asymptomatique Perturbation des tests hépatiques dès le 02.04.20 • Probablement dans le contexte infectieux DD médicamenteux Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 07.05.2020 • dans le contexte de sepsis et possible foie de stase Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée (possiblement sur prise d'OH) Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée • DD: alcoolique probable. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée • DD contexte de sepsis Perturbation des tests hépatiques et pancréatiques le 13.05.2020 • asymptomatique et sans critère de gravité (amylase et lipase <3x la norme). Perturbation des tests hépatiques et pancréatiques le 13.05.2020 • asymptomatique et sans critère de gravité (amylase et lipase <3x la norme) US bedside abdominal (Dr. X) 13.05.2020: pas de lithiase vésiculaire, pas de dilatation des voies biliaires ni de la vésicule biliaire, pancréas homogène sans particularité, foie homogène sans particularité, Murphy radiologique négatif • DD foie de stase Perturbation des tests hépatiques le 01.04.2020 Perturbation des tests hépatiques le 01.04.2020 en augmentation le 23.04.2020, probablement dans le contexte infectieux Perturbation des tests hépatiques le 07.04.2020 • sur choc hémorragique • sur consommation éthylique chronique Perturbation des tests hépatiques le 15.04.2020 Perturbation des tests hépatiques le 17.05.2020 • chez un patient connu pour un syndrome de dépendance à l'alcool. Perturbation des tests hépatiques le 20.05.2020, DD: • dans le contexte d'une consommation à risque (Perturbations déjà retrouvées dans les laboratoires du médecin traitant). Perturbation des tests hépatiques le 23.05.2020 secondaire à l'état de choc Perturbation des tests hépatiques le 24.04.2020 • DD hépatopathie OH (ancien OH), foie de choc Perturbation des tests hépatiques le 25.04.2020. Perturbation des tests hépatiques sur probable cholestase Perturbation des tests hépatiques, 15.05.2020 • dans le cadre de 5 métastases hépatiques connues. Perturbation du profil glycémique chez une patiente connue pour un DGNIR après administration de corticoïdes pour la cure de maturation pulmonaire. Perturbation globale des tests hépatiques d'origine indéterminée: • DD hépatite médicamenteuse (trithérapie), cholédocholithiase. Perturbation isolée de ASAT à 140 U/l d'origine indéterminée DD sur infection à COVID-19 le 09.04.2020. Perturbations des tests hépatiques d'origine indéterminée le 27.05.2020: • DD médicamenteux, auto-immun • dans le contexte d'immunosuppression par Aterak et Plaquenil pour connectivite (anamnestique) et RCUH. Perturbations des tests hépatiques le 06.05.2020 • DD post chimiothérapie, foie de stase Pes plano valgus bilatéral. Pes plano valgus bilatéral. Genu varum bilatéral. PET-CT en ambulatoire - le patient recevra une convocation. Contrôle oncologique auprès de Dr. X prévu le 20.05.2020 à 9h30. Contrôle infectiologique auprès de Dr. X à prévoir à 2-3 mois. PET-CT 22.04.2020: hypertrophie parotidienne bilatérale plus marquée que sur le comparatif US glandes parotides le 28.04.2020: hypertrophie D>G, parenchyme homogène, pas de nodule ni de kyste Biopsie glande parotidienne le 01.05.2020 (Dr. X) : important remaniement lipomateux sans infiltrat lymphoïde ou néoplasique Att: • Retrait des fils chez Dr. X en ORL le 11.05.2020 à 16h45 PET-CT 22.04.2020: persistance d'une faible captation d'une lésion d'allure calcifiée en regard du sein gauche Avis gynécologique (Dr. X) : répéter US et mammographie, si lésions stables, rien d'autre à faire, si lésions évolutives, à nouvelle biopsie mammaire Mammographie le 28.04.2020 US mammaire le 28.04.2020 (Dr. X) : Stabilité des deux masses connues du sein gauche se trouvant respectivement à cheval des QS et dans le QSE, sans autre anomalie mise en évidence. Examen classé B-IRADS 2. Att: • Suivi gynécologique habituel Petit kyste ténosynovial zone III D4 main D Petite dissection de l'artère mésentérique supérieure et petit anévrisme de l'artère mésentérique inférieure de découverte fortuite le 30.04.2020 Petite hernie ombilicale le 11.05.2020 Petite lésion kystique mesurant environ 17 x 10 mm en para-aortique gauche, infra-rénal (probable petit kyste rétropéritonéal) à l'angioIRM du 11.05.2020 Petite perte de substance de 0.4 cm au niveau de la pulpe du pouce gauche en distalité de l'ongle. PET-scan le 27.04.2020 Biopsie d'une adénopathie sus-claviculaire D sous US guidée le 29.04.2020 (Dr. X) Pathologie le 29.04.2020 : tissu fibro-adipeux, par endroits contenant des fibres musculaires striées, ainsi que matériel amorphe mucineux (biopsie, adénopathie sus-claviculaire droite) PET-scan le 27.04.2020 Biopsie d'une adénopathie sus-claviculaire D sous US guidée le 29.04.2020 (Dr. X)